Comment Astra-Zeneca a-t-elle réussi à produire le “vaccin COVID-19” en juillet 2018 avant même que la maladie ne soit découverte ou nommée ?

[Extrait de : profession-gendarme.com]

Par Alessia C. F. (ALKA)

Beaucoup de gens ont beaucoup d’explications à donner. Les boîtes du vaccin COVID-19 d’AstraZeneca indiquent une date de production du 15 juillet 2018. Mais “COVID-19” n’a été découvert qu’en 2019 et n’a été NOMMÉ que le 11 février 2020.

Voici la preuve irréfutable : Une boîte de vaccin COVID-19 d’AstraZeneca, avec la date de fabrication du 15 juillet 2018 imprimée par ordinateur sur le rabat de la boîte :




Au secours ! Le Réel revient !

Par Lucien Samir Oulahbib

En France, les « chiens » aboient, la caravane « Zemmour » semble bien passer (au grand désarroi d’Alain Duhamel) ; même Robert Ménard en convient au bout du compte ; pourquoi ? Bruno Le Maire « ne veut pas » le savoir, malgré les requêtes de Sonia Mabrouk qu’une hyène a immédiatement rangée dans le camp zemmourien parce qu’elle a fait (benoîtement) remarquer que le réel cognait (de plus en plus fort) à la porte…

Pourquoi Le Maire ne « veut pas le savoir “? C’est ‘l’aveu’ : il ne veut pas savoir parce qu’il préfère la Croyance ; la ‘conviction’, dit-il, en soi ? Peu importe le réel ? N’oublions pas qu’il est membre (éminent) de la Secte au Pouvoir qui prétend que sa Modélisation du Monde est le seul Réel admissible. Le ‘vrai’ réel lui est de (plus en plus) interdit de séjour (une Commission a même été nommée pour ce faire).

Mais cela se voit, par exemple dans la manière dont les chiffres C.19 sont manipulés. Mais, ‘en même temps’, cela ne se voit pas. Magie de la propagande. Alors que (tous) les traitements qui marchent sont bien sûr (de plus en plus pourchassés) par les Orcs de la Secte.

D’ailleurs même Zemmour ne s’en mêle pas tant cette dernière est puissante (une force de frappe inouïe) et qu’ajouter cet aspect à sa diatribe pourrait encore plus effrayer les populations inquiètes par nature, et dont les plus apeurées font souvent le second tour d’une Présidentielle en France… Alors… (‘Paris vaut bien une messe’…).

Mais cela ne veut cependant pas dire qu’il n’a pas vu l’état délétère du système sanitaire en France et qu’il existe de plus en plus un hiatus entre une Suède qui n’a guère confiné et un Israël qui a hyper-injecté : où est le Réel ici ? Il serait bon de le demander à un Didier Raoult avant qu’il ne parte sous d’autres cieux plus cléments non ?…

Pendant ce temps, la France, en dessous des 1 % en matière carbone (le nouveau diable malgré les analyses d’un François Gervais) est ‘condamnée’ à plier un peu plus les genoux (avec toujours la muselière sur la gueule) pour se faire… tatouer ce qu’il faut (injections expérimentales, y compris pour être plus ‘fluide en genres’, avec injections de ‘réfugiés’ divers…) le tout en silence (Voltaire étant oublié, sa tête roule même sur le bitume compatissant par inertie d’un monde devenu sans pesanteur).

Alors ? Mais rien. Circulez ! Il n’y a rien à voir.




France — Contre la prorogation du passe sanitaire et de l’état d’urgence : lettre ouverte d’universitaires aux députés

[Source : enseignementrecherchelibertes.fr]

Lettre ouverte aux députés contre la prorogation du passe sanitaire et de l’état d’urgence

Syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! »

https://enseignementrecherchelibertes.fr/

enseignementrecherchelibertes@protonmail.com


Objet : Lettre ouverte aux députées et aux députés de la République Française

Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

Le syndicat d’enseignants, de chercheurs et de personnels d’éducation « Enseignement, Recherche et Libertés ! » a examiné le Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire, présenté par M. Jean Castex, Premier ministre, enregistré le 13 octobre et qui doit être discuté prochainement par l’Assemblée Nationale. En ce qui suit, notre syndicat propose une analyse des implications de l’« Exposé des motifs » censé justifier ce projet de loi. Nous comptons ainsi enrichir le débat autour de ce projet qui devrait s’ouvrir publiquement le 19 octobre 2021. Un tel sujet, qui affecte l’ensemble de la communauté nationale ne saurait se dérouler dans un cercle étroit : en citoyennes et citoyens, nous entendons faire valoir notre opinion et notre expertise dans ce domaine. Étant donné que nous avons traité plus en détail la dimension médicale et sanitaire de la crise épidémique que nous traversons dans la lettre ouverte adressée au Sénat le 7 octobre 2021, nous la mettons ici en annexe afin de nous concentrer à présent surtout sur les implications juridiques et politiques du présent Projet de loi.

1. Un passe socio-économique sans aucune pertinence sanitaire  

Le premier ministre M. Jean Castex, à peine quelques mois après la mise en place du système du passe, dit « sanitaire », se présente devant les élus de la Nation pour demander – ou plutôt exiger – la prolongation de l’état d’urgence et la poursuite de l’implémentation de ce système. Revenir sur ces questions en « procédure accélérée » n’est pas sans évoquer une sensation de déjà vu des scènes déroulées en juillet 2021. Après le débat orageux à l’Assemblée et au Sénat, le ministre de la Santé, M. Olivier Véran n’avait pas hésité à déclarer alors que : «À l’heure où certains taxent le gouvernement de faire preuve d’autoritarisme, parlent de dérive autocratique voire pourquoi pas de dictature, la meilleure réponse que vous pouvez apporter, c’est celle (…) qui consiste à avoir recueilli la majorité tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat». Il n’a pas hésité à se féliciter de « l’union nationale retrouvée ». Maniant ainsi à son habitude la désinformation, il oubliait de mentionner que la loi avait été votée avec 156 voix pour, 60 voix contre et 14 abstentions, avec non moins de 60 % d’absentéisme sur un total de 557 députés. Dans le rythme effréné imposé alors par l’agenda du gouvernement, le texte a été arraché, selon l’expression des sénateurs, « avec un pistolet sur la tempe »[1]. Faisant usage de fausses informations scientifiques, entretenant un climat de peur par les médias autour de l’explosion de cas du variant Delta (alors que l’on faisait à l’époque entre 4 et 5 millions de tests par semaine), et mettant une incroyable pression sur les parlementaires, l’exécutif avait précisément éveillé les spectres de « l’autoritarisme », de la « dérive autocratique » voire « pourquoi pas la dictature » que le ministre de la Santé voulait conjurer par sa rhétorique.

Malgré ce passage en force et les problèmes posés par rapport aux valeurs de la République, le Conseil Constitutionnel avait néanmoins validé le projet de loi, avec à peine quelques modifications à la marge, le 5 août 2021[2]. Selon la décision de la haute juridiction, cela était justifié par « l’existence d’une catastrophe sanitaire et du risque qu’elle persiste dans les deux prochains mois », prémisse que le Conseil, loin de vérifier par ses propres spécialistes, acceptait sur la foi de l’exécutif. Le dispositif du passe dit « sanitaire » s’était donc mis en place dans un contexte d’urgence habilement entretenu par la propagande de l’exécutif. De sorte que les mises en garde de l’opposition et de la Défenseure des Droits, Madame Claire Hédon, quant aux risques démocratiques que comportait ce dispositif sans précédent dans l’histoire de notre République, n’ont pas été véritablement prises en compte. (Nous y reviendrons dans la partie finale de notre analyse).   

Le jour suivant, le 6 août 2021, le Conseil Constitutionnel a néanmoins acté sur une « Proposition de loi de programmation pour garantir un accès universel à un service public hospitalier de qualité ». Cette proposition de loi était portée par l’association « Notre hôpital, c’est vous », composée de collectifs de soignants et ONG caritatives, et soutenue par plus de 200 députés et sénateurs issus de 11 groupes politiques d’opposition, tant de gauche que de droite. Son objectif était de mettre « la question de l’hôpital au centre de la grande explication démocratique qui vient », à savoir les élections de 2022 et, concrètement, d’augmenter les moyens des hôpitaux, en particulier « en termes de lits et de soignants »[3]. En pleine pandémie, on aurait pu croire qu’un tel objectif était pourtant essentiel. Mais malgré toutes les attentes, butant sur un petit détail technique, le Conseil Constitutionnel, qui n’avait trouvé que peu à redire sur le passe dit « sanitaire », a considéré une si opportune proposition de loi comme étant tout simplement « contraire à la Constitution »[4].

Nous rappelons cette succession des faits qui soulève trois questions de fond. Pourquoi ce n’est pas le gouvernement Jean Castex qui a élaboré une loi en faveur d’un hôpital public de qualité ? Pourquoi, si l’opposition l’a initiée en fin de compte, le gouvernement n’a pas appuyé une si généreuse initiative ? Et quelles ont été les véritables priorités du Conseil Constitutionnel s’il a pu signer l’échec d’une initiative sincèrement dédiée à la santé publique et à l’urgence de la crise sanitaire, tout en donnant feu vert aux mesures liberticides et sans pertinence sanitaire dudit passe ?

Les deux décisions du Conseil Constitutionnel du 5 et du 6 août 2021 doivent donc se lire comme la face et le revers d’une seule et même médaille. Promouvant l’un et interdisant l’autre, le Conseil Constitutionnel a fait malgré tout le choix conscient de favoriser une certaine ligne politique fidèle à l’agenda de l’exécutif, dont la dimension sanitaire et le sort de l’hôpital n’étaient que le cadet de ses soucis.

Le principe du passe dit « sanitaire » s’appuyait toutefois sur deux prémisses de base concernant les vaccins : une efficacité réputée exceptionnelle d’environ 95 %, avec pour résultat l’empêchement de la transmission de la maladie une fois le schéma vaccinal de deux doses accompli par le patient. Selon les déclarations publiques répétées du ministre de la Santé, les personnes doublement vaccinées seraient devenues « complètement immunisées ». Qui pourrait en effet s’opposer à une perspective aussi prometteuse ?

Pourtant, ce fut précisément durant la discussion du passe dit « sanitaire » que des nouvelles préoccupantes parvinrent en France depuis Israël et d’autres pays connaissant une forte vaccination et qui subissaient en juillet-août 2021 une forte hausse des contaminations due à la progression du variant Delta[5].

En effet, on l’a appris alors que : 

  • 1)    Les vaccins n’empêchent les personnes vaccinées ni de se contaminer ni d’être contagieuses.
  • 2)    L’immunité qu’ils confèrent se réduit comme peau de chagrin en six mois : baissée devant le variant Delta à seulement 39 %, elle arrive après six mois à environ 16 %. C’est précisément de ce constat qu’il apparut très vite la nécessité d’introduire une troisième et une quatrième dose[6]

Ainsi, en vertu du point 2), il apparut de manière claire que les assertions du ministre Olivier Véran, qui se référait aux personnes doublement vaccinées comme étant « complètement immunisées » étaient au mieux une forte exagération et au pire une fausse publicité. Mais, ce qui était encore plus inquiétant, le point 1) révélait que le dispositif du passe dit « sanitaire » était en fait dépourvu de toute véritable efficacité sanitaire. Questionné à ce sujet, le professeur Éric Caumes a reconnu le 6 septembre que les vaccins n’empêchaient pas les infections, voire des formes graves de la maladie. De ce fait, il concédait que le passe dit « sanitaire » était en réalité plutôt un « passe socio-économique »[7].

2. Le passe socio-économique : un dispositif éphémère et limité juridiquement

Malgré son penchant certain en faveur du gouvernement, le Conseil d’État n’a validé le dispositif du passe « sanitaire » que d’une manière extrêmement circonscrite. Il faut relire attentivement son Avis du 19 juillet 2021 relatif à l’adaptation des outils de gestion de la crise sanitaire, qui est loin du résumé que l’on veut en donner[8].

D’abord le Conseil d’État reconnaît que ce dispositif porte une grave atteinte aux libertés fondamentales :

« cependant une telle mesure, en particulier lorsqu’elle porte sur des activités de la vie quotidienne, est susceptible de porter une atteinte particulièrement forte aux libertés des personnes concernées ainsi qu’à leur droit au respect de la vie privée et familiale ».

Ensuite, il reconnaît qu’une telle mesure pourrait avoir pour conséquence d’entraîner une « obligation de soins » :

« le fait de subordonner certaines de ces activités à l’obligation de détenir un certificat de vaccination ou de rétablissement ou un justificatif de dépistage récent peut, dans certaines hypothèses, avoir des effets équivalents à une obligation de soin ».

De surcroît, le Conseil rappelle que le passe « sanitaire » ne doit pas être un outil de contrainte à la vaccination. La formule est incisive :

« l’application du passe sanitaire à chacune des activités pour lesquelles il est envisagé de l’appliquer doit être justifiée par l’intérêt spécifique de la mesure pour limiter la propagation de l’épidémie, au vu des critères mentionnés précédemment et non par un objectif qui consisterait à inciter les personnes concernées à se faire vacciner ».

Enfin, pour justifier la légalité de la mesure, le Conseil d’État analyse minutieusement les indicateurs de l’épidémie à la date de sa saisine et rappelle les modélisations de l’Institut Pasteur : diffusion du variant Delta (80,2% de tests révélant sa présence), transmissibilité du virus accru de 60%, taux d’incidence de 96% pour 100.000 habitants, admission à l’hôpital (+ 57%) et en soins critiques (+67%), couverture vaccinale de 46,4%…

Pourtant, il est apparu très vite que les modélisations de l’Institut Pasteur, qui ont servi comme base du discours du 12 juillet 2021 et de l’action du gouvernement étaient tirées d’une étude non publiée et non revue par les pairs produite à l’occasion. Ces informations ont été soumises à une critique par le professeur Peter McCullough, de l’université Baylor du Texas, une des autorités mondiales en matière de Covid-19[9] et par le mathématicien Vincent Pavan[10]. Non seulement les données se révèlent fausses, mais il apparaît même qu’elles auraient été consciemment manipulées. Il est digne de noter que, après ces critiques, l’équipe de l’Institut Pasteur a rétracté l’étude concernée… mais les décisions politiques extrêmes prises sous son influence, elles, sont restées en place, affectant la vie de 67 millions de Français. Cela évoque un parfum de scandale politico-scientifique, comme la célèbre étude frauduleuse du Lancet, qui avait permis au même ministre Olivier Véran d’interdire en été 2020 les traitements de la Covid-19 en France. La fraude a été alors vite démontrée par les scientifiques, l’étude publiée retirée avec un grand retentissement (Lancetgate) ; nonobstant la décision d’Olivier Véran est restée en vigueur, avec des conséquences catastrophiques sur le nombre de morts en France durant la pandémie (118 000, comparé au Japon, qui n’a eu que 18.000 morts de Covid-19 pour une population deux fois plus nombreuse, plus dense et plus âgée)[11].

En matière de libertés fondamentales, les plus hautes juridictions de la République Française ne contestent donc pas que le passe socio-économique dit « sanitaire » constitue une atteinte grave aux droits des citoyens. Le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État n’ont pas manqué de le souligner, tout en précisant que ce système était acceptable, soit du fait de sa limitation dans le temps, soit du fait de sa proportionnalité avec la situation sanitaire au moment de son adoption. L’instauration, le maintien et surtout la prolongation de ce dispositif soulèvent toutefois de nombreuses interrogations juridiques.

3.  Obligation vaccinale détournée et discriminations scandaleuses

 Aucune étude ne permet de démontrer l’efficacité de ce dispositif. Il est en effet impossible de mesurer spécifiquement l’efficacité d’une mesure sanitaire donnée, notamment parce qu’elle n’est pas appliquée de manière exclusive mais associée à un panel de mesures incluant notamment la vaccination massive et les mesures barrières. Au surplus,

« la circulation virale est également influencée par des paramètres sociologiques tels que la mobilité, la fréquentation des transports, commerces, entreprises, et leur densité de population, les brassages associés aux vacances, la rentrée scolaire » [12].

Nos représentants politiques l’avouent d’ailleurs : il s’agissait en fait d’un moyen pour « inciter fortement » les Français récalcitrants à se faire vacciner, comme le rappelait même le ministre des Transports, M. Jean-Baptiste Djebbari[13]. Les conséquences du refus de cette vaccination, accentuées par le non-remboursement des tests et la fin des autotests constituent les prémisses d’une véritable mort sociale. Les personnes non vaccinées sont exclues directement ou indirectement d’une partie des transports publics, des cafés, des restaurants, des bibliothèques et autres lieux culturels, des associations sportives…  Aussi surprenant que cela puisse être, nous avons affaire à des instances gouvernementales qui assument de travailler activement pour la persécution des citoyennes et des citoyens de France, qui entre autres bénéfices considérables, leur paient le salaire.  Au-delà de cette aberration démocratique de fait, les actions du gouvernement contreviennent frontalement à la législation nationale et européenne. 

Le Conseil d’État a souligné, à deux reprises, l’obligation vaccinale que pouvait entraîner l’instauration du passe dit « sanitaire » :

« Il rappelle, ainsi qu’il l’avait relevé dans son avis n° 401741 du 17 décembre 2020 sur le projet de loi relatif au régime pérenne de gestion des crises sanitaires, que le fait de subordonner certaines de ces activités à l’obligation de détenir un certificat de vaccination ou de rétablissement ou un justificatif de dépistage récent peut, dans certaines hypothèses, avoir des effets équivalents à une obligation de soins[14] ».

En ce sens, le passe dit « sanitaire » est un outil de contrainte plus qu’un outil sanitaire et, incontestablement il est vecteur de discriminations. Or, ces deux aspects ont été fermement condamnés par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe dans ses Considérations éthiques, juridiques et pratiques sur la vaccination contre la Covid 19. Ainsi au point 7.3 du texte :

« 7.3 pour ce qui est de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins :

7.3.1 de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ;

7.3.2 de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner » [15].

Force est donc de constater que le système mis en place par le gouvernement Jean Castex est l’exact contraire de ce texte.

4. Un régime de privation de libertés hors cadre et déconnecté de la réalité de l’épidémie

Ce système entraîne au surplus une privation de liberté doublement incompréhensible. Ainsi qu’a pu le souligner Guillaume Zambrano, maître de conférences à la faculté de droit de Nîmes, cette restriction de liberté est décidée de manière arbitraire, par simple effet mécanique d’un texte et sans aucun débat contradictoire alors que « toute personne privée de liberté a le droit de passer devant un juge. De fait, quand une personne est assignée à résidence ou condamnée à porter un bracelet électronique, la mesure doit être approuvée par le juge des libertés et de la détention. Quand on condamne des personnes pour des dommages sociaux comme le vol, la fraude fiscale, les coups et blessures, elles ont eu droit à un procès ». Qui plus est, cette restriction ne repose que sur une simple présomption de contagion. Autrement dit, on applique une sanction très lourde et significative sur de simples suppositions. Il s’agit d’une forme d’application d’un principe de précaution dont on laisse le soin aux citoyens de contrôler l’application[16].

Le Conseil d’État, saisi en référé de plusieurs requêtes visant à suspendre le passe dit « sanitaire », n’a pas estimé qu’il existait un doute suffisamment sérieux sur sa légalité l’autorisant à faire droit aux demandes. Il a cependant expressément lié ces décisions aux données scientifiques existantes permettant d’établir un tableau de l’épidémie en temps réel. Dans une série d’ordonnances en date du 26 juillet 2021, le juge des référés du Conseil d’État a ainsi insisté sur la dégradation de la situation sanitaire en France,

« avec une diffusion croissante du variant Delta, particulièrement transmissible. À la date du 19 juillet, le nombre de personnes infectées par la covid-19 a augmenté de 111 % par rapport à la semaine précédente et de 244 % par rapport à la semaine du 3 juin. Le nombre d’hospitalisations a quant à lui augmenté de 57 % voire 67 % pour les admissions en service de soins critiques. Par ailleurs, les modélisations de l’Institut Pasteur font craindre une aggravation encore plus importante en août, avec une couverture vaccinale encore insuffisante pour permettre un recul durable de l’épidémie[17] ».

Même dans la décision du Conseil Constitutionnel du 5 août on trouve également cette délimitation par le principe de proportionnalité :

« 23. Les mesures prévues dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire ne peuvent en tout état de cause être prises qu’aux seules fins de garantir la santé publique. Selon le paragraphe III du même article, elles doivent être strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. Il y est mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. Le juge est chargé de s’assurer que de telles mesures sont adaptées, nécessaires et proportionnées à la finalité qu’elles poursuivent.

24. En dernier lieu, quand la situation sanitaire le permet, il doit être mis fin à l’état d’urgence sanitaire par décret en conseil des ministres avant l’expiration du délai fixé par la loi le prorogeant »  [18].

Par rapport à ce cadre législatif contraignant, il faut remarquer que l’ « Exposé des motifs » du projet de Loi par lequel le gouvernement entend justifier une décision de prorogation du passe « sanitaire » et de l’état d’urgence, n’avance au total que deux arguments, qui sont tous les deux d’une pauvreté surprenante.

Premièrement, il est affirmé que les mesures prises (état d’urgence sanitaire, vaccination, passe sanitaire) auraient « contenu » l’épidémie. La vérité est qu’il n’en existe aucune preuve scientifique. Bien au contraire, une étude toute récente publiée par S.V. Subramanian et A. Kumar, comparant les États-Unis avec d’autres pays hautement vaccinés souligne que « les pays dont le pourcentage de la population entièrement vaccinée est plus élevé présentent un plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants. Notamment, Israël, dont plus de 60 % de la population est totalement vaccinée, a enregistré le plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants au cours des 7 derniers jours. L’absence d’association significative entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est également illustrée, par exemple, par la comparaison entre l’Islande et le Portugal. Ces deux pays, dont plus de 75 % de la population est entièrement vaccinée, comptent plus de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud, dont environ 10 % de la population est entièrement vaccinée ». Croire ainsi qu’une vaccination massive de la population aurait conféré une protection générale s’avère être une chimère, contraire aux études les plus récentes, car les personnes vaccinées continuent d’être porteuses, malades et vectrices du virus[19].

Deuxièmement, dans le même « Exposé des motifs », le gouvernement affirme qu’il y aurait malgré tout un « risque » de rebond épidémique. Ainsi, c’est le gouvernement qui, après avoir « fortement incité » – pour utiliser une litote – à la vaccination de plus de 70% de la population, doute lui-même des résultats de sa propre politique sanitaire ? Néanmoins, il est impossible de fonder des décisions politiques aussi liberticides sur des divinations de cette nature. Il y aura toujours à l’avenir un risque quelconque : à ce compte-là, le passe et l’état d’urgence devraient être éternels.

En revanche, l’ « Exposé des motifs » est complètement muet sur le seul élément qui serait déterminant pour asseoir une telle décision : l’état actuel de l’épidémie. Or selon le bulletin du Réseau sentinelles INSERM du 13/10/2021, le taux d’incidence de la Covid-19 est de 3 cas pour 100 000 habitants : « Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021 s40), le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [2 ; 5]), ce qui représente 2 181 [1 187 ; 3 175] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste[20]. L’ « Exposé des motifs » du premier ministre Jean Castex n’apporte à cette réalité aucun démenti.

Or, dans la mesure où tant le Conseil d’État que le Conseil Constitutionnel lient l’existence et non simplement l’application du passe dit « sanitaire » à la réalité de l’épidémie, et non aux divinations doctes qui se sont tant de fois trompées jusqu’à présent, au regard des mêmes indicateurs, il résulte que le maintien du passe socio-économique ne devrait même pas être débattu… Et cela d’autant moins que le Conseil scientifique, dans son avis du 5 octobre, reconnaît que l’on ne peut lier passe « sanitaire » et amélioration de la situation épidémique[21].

5. Un projet de loi d’inspiration totalitaire chinoise

Il y a ainsi un très grand écart entre les objectifs sanitaires affichés par l’exécutif, validés sur la foi du gouvernement par les hautes juridictions de la République, et le « passe socio-économique » qui a finalement été mis en œuvre. Ce qui devient encore plus inquiétant désormais est l’utilisation politique du passe dit « sanitaire » pour exercer un contrôle généralisé de la population et la priver, comme c’est déjà le cas, de vie sociale (voire, comme en Italie ou en Israël, de vie professionnelle). Cela constitue une atteinte insupportable aux droits fondamentaux que rien, et surtout pas une maladie au taux de mortalité comparable à celui de la grippe dont le taux d’incidence est négligeable depuis plusieurs mois, ne saurait justifier[22].

Le grand philosophe italien Giorgio Agamben, un disciple de Michel Foucault et spécialiste de la question du biopolitique, a admirablement expliqué récemment devant le Sénat italien, le 7 octobre 2021, le problème politique (non médical) posé par une vaccination assortie à un « Green Pass » :

« nos sociétés sont passées du modèle qu’on appelait autrefois de la « société disciplinaire » à celui d’une « société de contrôle » ; de société fondées sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme. Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je vous demande : jusqu’où sommes-nous prêts à accepter que ce contrôle aille ? Est-il possible que les citoyens d’une société prétendument démocratique soient dans une situation pire que les citoyens de l’Union soviétique sous Staline ? Vous savez peut-être que les citoyens soviétiques étaient obligés de présenter une propiska, un laissez-passer pour tout déplacement d’un endroit à un autre. Mais on est aussi obligé de montrer un passe sanitaire pour aller au restaurant, voire même pour aller au musée ou au cinéma. Et maintenant —ce qui est encore plus grave avec le décret que vous devez transformer en loi— même à chaque fois que vous allez travailler »[23].

Si l’on essaie de faire la généalogie intellectuelle des mesures du gouvernement Castex, on peut noter que leur inspiration remonte directement au rapport du Sénat du 3 juin 2021, intitulé Crises sanitaires et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés[24]. Défendant le principe selon lequel « si une dictature sauve des vies pendant qu’une démocratie pleure ses morts », les auteurs du rapport invitaient à adopter « la bonne attitude [qui] n’est pas de se réfugier dans des positions de principe, mais de s’interroger sur les moyens concrets, à la fois techniques et juridiques, de concilier efficacité et respect de nos valeurs » (sic !)[25]. À cet effet, ils saluaient le principe de passe(port) sanitaire comme une « bonne nouvelle », et ceci même au prix de prendre le contre-pied de la critique sévère de la Défenseure des droits[26] qui, déjà dans son avis du 17 mai adressé au Parlement, avait sévèrement jugé le dispositif présenté par le Gouvernement[27]. On réalise ainsi que ce rapport opposait sans sourciller les valeurs de la République, incarnées par la Défenseure des droits, à un dispositif directement inspiré – comme le reconnaissent les auteurs eux-mêmes – du modèle chinois, pays qui a vu, selon leur analyse, la mise en place des premiers passes sanitaire et vaccinal[28].

Reconstituer la généalogie de l’idée et du système de passe « sanitaire », fait ainsi remonter les origines intellectuelles du présent projet de loi jusqu’au modèle totalitaire chinois, que le gouvernement Jean Castex a adopté, une rhétorique habile à l’appui, presque intégralement, sans faire beaucoup de cas des mises en garde de la Défenseure des Droits en faveur de la défense des valeurs de la République Française. Mais le premier ministre n’est pas le seul à pouvoir s’attribuer ce mérite. Il faut également reconnaître que, dans la mise en place de ce système inspiré de la Chine communiste, le ministre de la Santé M. Olivier Véran a joué aussi un rôle capital. Comme le révèle l’enquête du Monde publiée en mai 2020 par les journalistes Solenn de Royer et Harold Thibault sur le réseau tentaculaire de la Fondation France – Chine, l’actuel ministre de la Santé en était une des plus brillantes recrues, bien que loin d’être le seul.  

« Le monde est tout petit », reconnaît l’ambassadeur de France en Afrique du Sud Aurélien Lechevallier, ex-conseiller diplomatique d’Emmanuel Macron, qui a, pour sa part, rencontré M. Macquin à HEC et M. Lenain à Washington, où ils ont été tous deux en poste. Intégré à la promotion 2017-2018, M. Lechevallier a aidé le trio à repérer les valeurs montantes de la Macronie, comme les ministres Brune Poirson et Agnès Pannier-Runacher ou la députée (La République en marche, LRM) Coralie Dubost, qui a coopté l’année suivante Olivier Véran, son compagnon et futur ministre de la Santé »[29].

Les assertions des journalistes du Monde sont d’ailleurs confirmées par les données publiques de la Fondation France – Chine, qui a en effet l’honneur de compter M. Olivier Véran parmi les membres de la promotion 2019[30]. Selon l’analyse du Monde, ce « réseau puissant » où « se fabrique l’influence » est un réseau « sous le contrôle total du Parti Communiste Chinois ». Selon l’ambassadeur Aurélien Lechevallier, ce réseau de soft power « offre aux Chinois un accès privilégié à des responsables politiques de haut niveau et à des PDG dans des secteurs stratégiques. Certes pas à des secrets d’État, mais à un niveau d’interlocuteurs inégalé ». Or, force est de constater que, à force de côtoyer les Young Leaders chinois et les hauts responsables de la République Populaire de Chine, le gouvernement Jean Castex, où les ministres Olivier Véran, Brune Poirson et Agnès Pannier-Runacher jouent un rôle déterminant dans la construction du programme sanitaire, est en train de mettre en place précisément un système de contrôle socio-économique inspiré du modèle totalitaire chinois.

À la lumière de ce constat, les dix points d’alerte de la Défenseure des Droits ne font que gagner encore plus une brûlante actualité[31]. Sous le rouleau compresseur de ce modèle d’inspiration totalitaire, on constate plus que jamais « la nécessité d’un débat démocratique » qui fait défaut en raison de la sourde oreille que le gouvernement prête à l’opposition et à la population qui, depuis plus de 14 semaines, manifeste dans la rue contre la mise en œuvre de ce système. Avançant masqué, ce projet totalitaire se décline dans une avalanche de documents normatifs, rédigés dans une novlangue qui pose des problèmes d’« intelligibilité du texte », laissant de « nombreuses zones d’ombre » qui confèrent une énorme marge d’action au gouvernement. Nous avons tous pu constater à quel point les mesures élaborées depuis début août 2021 par le gouvernement ont provoqué des « restrictions d’accès aux transports publics et aux biens et services ». La « mise en œuvre des restrictions d’accès » a incité « le contrôle d’une partie de la population par une autre », situation typique d’un régime totalitaire qui rompt décisivement avec l’idée même de fraternité de la République française.

Cette société de surveillance est en même temps également une société de discriminations, qui n’en sont que la conséquence naturelle. Ainsi La Défenseure des droits avait souligné « les risques de discriminations dans l’emploi », rappelant « qu’aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié, ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, telle que définie à l’article 1er de la loi du 27 mai 2008 ». Toutefois les « mesures d’isolement étendues » et la « vaccination obligatoire pour certaines professions » ont conduit au licenciement de dizaines de milliers de médecins et de soignants, ordonné de manière autoritaire par le ministre Olivier Véran, ce qui n’a fait que donner justice à cet avertissement formulé par Madame Claire Hédon. Cela marque une rupture radicale avec le système de protection du travail mis en place par le Préambule de la Constitution de 1946, qui fait partie de notre socle constitutionnel.

Mais ce qui est encore plus grave c’est que le passe socio-économique, prétendument « sanitaire » a entraîné « des risques considérables d’atteinte aux droits de l’enfant ». Se fondant sur les données scientifiques, la Défenseure des droits était « favorable à ce que, pour les mineurs de 12 à 18 ans, la vaccination reste uniquement encouragée et ne tombe pas sous le coup d’une obligation déguisée. Elle considère en outre que, pour les mineurs de moins de 12 ans, le projet de loi devrait indiquer de manière expresse qu’ils sont exemptés de la vaccination ». Allant à l’encontre de ces recommandations, le gouvernement a incité fortement la vaccination massive des jeunes, en conditionnant leur vie sociale à la possession d’un passe « sanitaire ». Dans le pays des Droits de l’Homme, non seulement les vies des adultes mais aussi celles des enfants et des adolescents sont désormais conditionnées par la possession de cet artefact d’inspiration chinoise.

Ensuite, le passe socio-économique contribue à exclure « Les personnes en situation de pauvreté », qui « pourraient (en) être doublement victimes ». Comme par la politique catastrophique des trois confinements ordonnés de manière autoritaire par le président Emmanuel Macron un million de personnes ont basculé dans la catégorie des pauvres, ces mesures doublement discriminatoires affectent plus de 10 millions de personnes. Enfin, « les risques liés au traitement des données » ont été prouvés par les fuites de données de santé de millions de citoyens : si même les passes « sanitaires » du premier ministre Jean Castex et du président Emmanuel Macron se sont retrouvés en accès libre sur les réseaux sociaux, quelle protection du secret de la santé peut dès lors espérer le citoyen commun ? Jamais en reste de décliner sa responsabilité, l’Elysée a fustigé « une faille déontologique » et « la négligence ou la malveillance de professionnels de santé ». Alors qu’en réalité, c’était au responsable de la mise en place de ce système de surveillance généralisée que le président de la République aurait dû s’en prendre… en se regardant dans le miroir.

Désormais cependant, c’est un 11e point d’alerte que la Défenseure des droits devrait ajouter dans sa liste. Il s’agit d’une alerte suprêmement politique. Car le gouvernement Jean Castex, en tentant de nouveau d’imposer en force la prorogation du passe « sanitaire » jusqu’en été 2022, ne cache même plus ses velléités de biaiser fortement le déroulement des élections présidentielles et législatives de l’année prochaine en faveur du président Emmanuel Macron et de sa future majorité. Parmi les nombreuses déclarations en ce sens, celle du ministre de l’Intérieur, M. Gérald Darmanin, sont peut-être les plus inquiétantes. Dans son entretien dans le JDD, il n’a pas caché son plan de « vouloir peser sur le scrutin » présidentiel de 2022.

« Ce qu’ambitionne le ministre de l’Intérieur c’est avant tout d’être le ministre de l’Intérieur de la réélection d’Emmanuel Macron. « Je suis candidat à ça : montrer la force du Président sur le régalien », confie Darmanin, qui y voit sa « responsabilité dans la campagne » et se dépeint en « garant, en partie » de ce front » [32].

Ces déclarations sont d’une gravité sans précédent et nous tenons à avertir les députés de leur signification : dans tous les régimes autoritaires ou dictatoriaux, les ministres de l’intérieur contribuent à faire élire le président sortant, tout en sauvant les apparences du contraire. Alors que, en France, le ministre de l’Intérieur proclame haut et fort son projet dans ce sens ! C’est donc une alerte démocratique d’une extrême urgence que pose, en fin de compte, le projet de loi présenté par le gouvernement.

En conclusion de cette analyse, le syndicat « ERL ! » attire l’attention sur le manque d’arguments scientifiques et juridiques du projet du passe socio-économique, faussement nommé « sanitaire ». De surcroît, ce projet dont nous épinglons l’inspiration totalitaire, pose un grave problème démocratique durant une année électorale qui a déjà commencé. À ce titre, le livre récent d’enquête publié par les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme, a révélé une série de détails sur l’origine du mouvement. En particulier, nous retenons la signification du nom « En Marche ! », que d’ailleurs le parti LREM a conservé jusqu’à présent :

« C’est Brigitte Macron qui choisit finalement En Marche ! En effet, l’unanimité n’est pas immédiate ; l’avocat François Sureau, membre de la bande quoique proche de François Fillon (en macronie, tout devient possible), n’est franchement pas fan. Au cours d’un déjeuner, il s’emporte : « C’est pas possible que ça s’appelle En Marche ! Ça rappelle la Grande Marche sur Rome de Mussolini ! La définition du fascisme, c’est le mouvement, sans direction… » L’avocat, homme de culture, jette un froid, ses objections portent. « À ce moment-là, pour nous, le nom est flingué, opine [Stanislas] Guerini. Et là, Brigitte dit : “Moi, j’aime bien.” L’argument historico-intellectuel est balayé. »[33].

En tant que scientifiques, nous mettrons au contraire devant les députés de la Nation précisément cet argument historico-intellectuel. Nous nous permettons de vous rappeler que vous n’êtes pas les élus d’un président, ni d’un parti, mais d’abord et avant tout celles et ceux de la Nation française. Nous vous appelons, toutes et tous, membres de l’opposition tout comme de la majorité, à un véritable sursaut démocratique. Vous ne voudrez pas rester dans l’histoire comme les garants de la mise en place définitive d’un programme de contrôle de la population française et, partant, de la démocratie de notre République, inspiré du modèle totalitaire du Parti Communiste Chinois ou d’autres régimes du passé. Pour toutes ces raisons, le syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! » s’adresse à tous les parlementaires pour les persuader de rejeter cette proposition de loi au nom des valeurs suprêmes de la République Française : Liberté, Égalité et Fraternité que le système du passe socio-économique bafoue au point qu’il finit par menacer désormais l’existence même de notre République.

Recevez, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés, y compris de la majorité présidentielle, les meilleures salutations des membres du syndicat « Enseignement, Recherche et Libertés ! » et de ses sympathisants.

Paris – Aix-en-Provence – Poitiers

17 octobre 2021





Des journalistes mainstream se rebiffent-ils contre la propagande vaccinale ?

Par Diane Vincero

Appel à témoins sur CNews

🚨📢🔴🇲🇫 Sur CNEWS ce soir, Pascal Praud invite toutes les personnes victimes d’effets secondaires du vaccin à venir témoigner sur son plateau.

Faites tourner partout pour inonder la chaine.
Pascal Praud attend vos appels.
Soyez nombreux pour témoigner et dénoncer.

Pascal Praud ne croyant pas ce que vient de dire Yvan Rioufol sur Cnews à savoir qu’il y a de nombreux effets secondaires suite aux vaccins et qu’il suffisait de lire les témoignages sur les réseaux sociaux…
Praud met en doute les réseaux sociaux et affirme qu’il n’y a pas d’effets secondaires car personne n’en témoigne sur les plateaux TV.

Rioufol repond que c’est normal car personne n’invite les victimes à témoigner !

Praud lance donc un appel à témoignages pour inviter des personnes à témoigner sur le plateau appeler Cnews.

Numéros de CNews :
0171355555
0146964433

S’ils ne vous répondent pas, vous avez le mail Yvan Rioufol : irioufol@lefigaro.fr

N’hésitez pas à relayer au maximum

Rejoignez la Vérité Censurée
https://t.me/LaveriteCensure

Vidéo d’un collectif de journalistes

[Source : https://www.bitchute.com/video/fbmeXnSvUKYR/]






Encore un mort du cancer étiqueté Covid-19 par les autorités

[Source : @trottasilvano]



[Ndlr : au Québec, les médias relayent des cas de prétendus morts de la Covid qui s’avèrent avoir été vaccinés quelques jours avant un test PCR positif.]




« Neo Kosmo » vous explique la mafia des laboratoires pharmaceutiques

[Source : lemediaen442.fr]

Neo Kosmo :

« Le fonctionnement du système de santé français peut être un peu flou pour beaucoup de gens. Alors, on va prendre le temps d’éclaircir tout ça. Dans un premier temps, je vais faire un schéma pour expliquer comment ça fonctionne. Ensuite je vous dirai pourquoi c’est un système super malsain et pour finir, j’exposerai une solution pour éradiquer définitivement le problème. »

Mediator, Levothyrox, Dépakine ont obtenu une autorisation de mise sur le marché. Un autre exemple des dérives causées par le lobbying des laboratoires (il se compte en milliards, comme leurs profits). En 2013, le CEPS (Comité économique des produits de santé) a accordé une AMM au Sovaldi, un médicament de Gilead contre l’hépatite C. Si on tient compte d’un prix de vente au plus haut, le traitement complet devrait coûter 600 €, mais… la sécu accepte de le rembourser à 100 % au tarif de 56 000 € ! Un peu cher ? Pas de problème, l’État n’en achète que pour la moitié des malades. Devant les protestations des associations, les négociations reprennent et finalement, en 2014, le prix du traitement est baissé à 41 000 € ! On voit comment est creusé le trou de la sécu.

SOMMAIRE :

  • 0:00 Introduction
  • 0:41 Comment marche le système de santé ?
  • 4:04 Les dérives du système
  • 10:15 La solution
Neo Kosmo



Martinique : des gendarmes patrouillent à l’intérieur de l’hôpital pour arrêter les soignants non-vaccinés

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D. 

Nous sommes en Martinique, à l’hôpital Pierre Zobda-Quitman (Fort-de-France), la vidéo (voir ci-dessous) , a été filmée à l’intérieur de l’hôpital. Des gendarmes parcourent les couloirs, afin de débusquer des soignants —  médecins, infirmières, brancardiers — sans le passeport sanitaire. La scène est surréaliste et digne d’un film de science-fiction ou d’horreur.

Rappelons que deux brancardiers avaient été arrêtés et menottés au sol par la police. Suite à cela, des heurts avaient eu lieu à l’extérieur de l’établissement, et se sont soldés par l’arrestation de trois soignants.

https://twitter.com/LE_GENERAL___/status/1449491742793797635?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1449491742793797635%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Flemediaen442.fr%2Fmartinique-des-gendarmes-patrouillent-a-linterieur-de-lhopital-pour-arreter-les-soignants-non-vaccines%2F

L’entrée de l’hôpital Pierre Zobda-Quitman ressemble à un checkpoint en zone de guerre, l’accès est réservé aux vaccinés. Benjamin Garel, directeur du CHU de Martinique, nous fait une confidence pour le moins intrigante. Selon lui « Les chiffres sont évidents, il y a un vaccin qui tue ! » On n’en demandait pas tant, mais on salue la franchise.

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2




CANADA – Deux policiers actifs brisent le silence (Documentaire – 2021)

[Source : @MEDIAPORT]

Après la sortie fulgurante de Mr. Maxime Ouimet il y a déjà plusieurs mois, deux policiers ACTIFS du Québec brisent le silence sur les décrets abusifs et antis constitutionnels du gouvernement de la CAQ et du premier Ministre Justin Trudeau.

Ces policiers nous rappellent que les actions mises en place sont imputables, que la charte des droits et libertés devra toujours être respecté et que toutes les actions au nom du décret sanitaire vont contre nos droits fondamentaux.

Le code du Nuremberg a été établi pour que plus personne n’ose dire qu’il exécutait des ordres. Pour que plus personne ne puisse se cacher derrière une dictature montante.

Source vidéo:
https://www.facebook.com/watch/?v=2916677901996037






Zemmour : « Je suis vacciné, j’ai le pass et ça ne me dérange pas »

[Source : E&R vie Sott.net]

Un extrait du passage d’Éric Zemmour au micro complice d’André Bercoff :



La réaction de Youssef Hindi :

Écouter également la rhétorique embrouillée d’Éric Zemmour sur le pass de la 40e minute à 42’30 :

« Le pass ne me gène pas, je peux comprendre le danger que vous y voyez, euh… oui il faudra bien l’arrêter, euh… que vous dire d’autre, euh… je vois bien les dangers qu’il y a derrière, mais ça ne me dérange pas, surtout le sujet essentiel n’est pas là. »

https://www.youtube.com/embed/c6QfgPBcF_E

Un gloubi-boulga qui s’explique par :

- la fausse opposition du « journaliste » au pouvoir réel qui considère donc que la lutte contre la tyrannie capitaliste parasite le Grand Remplacement ; fausse opposition qu’il a bien résumé en s’adressant à plusieurs grands patrons (dont Henri de Castries, président-directeur général d’AXA de 2000 à 2016, administrateur de Nestlé et de HSBC, ancien président de l’Institut Montaigne, et président du comité de direction du groupe Bilderberg depuis 2012) lors d’un dîner : « Si j’arrive au pouvoir, c’est pour traiter un sujet : le choc des civilisations. Sur l’économie, ce ne sera pas la révolution. » Quand on comprend les véritables enjeux de l’opération Covid-19, à savoir la survie du capitalisme et sa mutation du capitalisme néolibéral au capitalisme davossien de la surveillance, on se dit que tout est dit !

- l’entourage (ou l’équipe de campagne) d’Éric Zemmour, à commencer par Frank Tapiro, publicitaire zélé qui a officié pour Nicolas Sarkozy et a soutenu Emmanuel Macron en 2017. Ce Jacques Séguéla du pauvre est notamment l’organisateur mi-septembre au Trocadéro (Paris) d’un « Festival citoyen » en faveur du pass sanitaire… Événement qui a évidemment et magistralement fait un bide ! Un triste sire qui s’est également prononcé pour la reconnaissance faciale et la détection par intelligence artificielle des porteurs de masques…

Pour le reste, relire cet extrait de l’entretien de Youssef Hindi pour Rivarol :

Vous suivez de près la pré-campagne d’Éric Zemmour. Quelle est, selon vous, sa « vraie » position sur la question ?

Je vais le laisser répondre. Reprenons ses déclarations et prises de position chronologiquement depuis le début de la pandémie.

Le 27 mai 2020, sur Paris Première, Fabrice Di Vizio, avocat du collectif de médecins C 19, qui a également déposé une plainte contre des ministres, a été l’invité de l’émission Zemmour & Naulleau. À cette occasion, Éric Zemmour a défendu l’action gouvernementale, en rejetant la faute sur ceux qui ont porté plainte contre les membres de l’Exécutif. Zemmour a directement accusé l’avocat Fabrice Di Vizio d’être responsable de la politique de confinement menée par le gouvernement :

« C’est à cause de vous qu’on ne déconfine pas assez vite. C’est-à-dire que vous terrorisez Édouard Philippe. C’est sûr. À cause de vous, il est obsédé par Laurent Fabius (NDA : il fait référence à l’affaire du sang contaminé) et donc il n’ose rien faire. »

Lorsque le scandale des dîners clandestins a éclaté alors que les Français étaient confinés et semi-confinés depuis un an, Éric Zemmour a évidemment pris parti pour la caste dirigeante contre le peuple lors de son émission Face à l’info le 7 avril 2021 :

« Je vous avoue que je suis sidéré par l’importance accordée à cette histoire, par la violence (!) des réactions. Soyons sérieux, c’est une histoire de cornecul, c’est vraiment trois fois rien. Le Français avait la réputation d’être léger, là je lui trouve une rigueur toute germanique, c’est ‘‘dura lex, sed lex’’ (NDA : la loi est dure, mais c’est la loi). Vraiment ça me sidère l’importance accordée à cela. Et vraiment je vous dis, la méchanceté, la fureur ! »(([1] https://www.dailymotion.com/video/x…))

Selon Zemmour, les Français sont de méchants germaniques – sous-entendu presque des nazis – quand ils s’agacent de voir leurs bourreaux prendre du bon temps tandis qu’ils sont appauvris, enfermés chez eux et fliqués.

Quant à la vaccination obligatoire, Zemmour s’y est dit opposé, mais, car il y a toujours un « mais » :

« On peut favoriser la vaccination. On peut rendre, par exemple, le passe obligatoire dans différents endroits. On peut inciter à la vaccination, moi je veux bien, on a le droit quand on est au gouvernement de choisir ce qu’on veut favoriser. On pourrait supprimer la gratuité pour les tests. »(([2] https://twitter.com/avec_marine/sta…))

Zemmour soutient dans les faits la tyrannie sanitaire, l’écrasement des Français. Il est et a toujours été complice des traîtres et autres sociopathes au pouvoir, c’est pourquoi il est si médiatisé et promu par tous les moyens, n’en déplaise à ceux qui placent en lui leurs espoirs. Il n’a nulle intention de remettre en cause le capitalisme mondialisé et financiarisé, la tyrannie de l’argent-roi, le pouvoir des Rothschild. Il n’agit nullement en faveur des classes populaires et des classes moyennes dont il se moque éperdument, puisqu’il ne remet en cause ni l’euro ni l’Union européenne qui empêchent la France de pratiquer une politique protectionniste.

Il s’agit pour lui et ses soutiens oligarchiques de déplacer la colère du peuple vers un seul ennemi facile, un bouc émissaire, le musulman, jugé seul coupable d’absolument tous les maux, pour permettre le maintien de la même domination communautaire, judéo-sioniste, sur les mœurs, les institutions, les consciences et même sur l’extrême droite, grand-remplacée par les Zemmour, Lévy, Goldnadel et consort. D’ailleurs, ses principaux soutiens, Julien Madar et Jonathan Nadler, sont des banquiers d’affaires venus de chez Rothschild et de JP Morgan. On fait mieux comme position anti-Système !

Notes




Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Christine Massey et Jon Rappoport

Avec une formation en biostatistique, Christine Massey a utilisé les demandes de liberté d’information (FOIA) comme un outil de recherche, comme une fraise à diamant, pour découvrir la vérité sur le SARS-CoV-2. C’est-à-dire : Le virus existe-t-il ?

Son approche a donné des résultats choquants.

Dans un monde à moitié sain d’esprit, le travail de Christine remporterait de nombreux prix et bénéficierait d’une large couverture médiatique. Dans le monde actuel, de plus en plus de personnes, de leur propre chef, s’éveillent à ses découvertes et révisent complètement leur perception de la “pandémie”.

Voici mon récent entretien avec la brillante et implacable Christine Massey :

Q : Vous et vos collègues avez adressé de nombreuses demandes de communication d’informations aux agences de santé publique du monde entier. Vous avez demandé des documents qui montrent que le virus SARS-CoV-2 existe. Comment avez-vous développé cette approche ?

R : En 2014, une dame d’Edmonton a soumis une demande de liberté d’information à Santé Canada, demandant des études relatives à l’ajout d’acide hydrofluorosilisique (acide fluorure résiduel industriel) à l’eau potable publique (fluoration de l’eau). La réponse de Santé Canada indiquait qu’elle ne disposait d’aucune étude pour étayer ses affirmations selon lesquelles cette pratique est sûre ou efficace.

Quelques années plus tard, des études de grande qualité financées par le gouvernement ont montré que les niveaux courants d’exposition au fluorure pendant la grossesse sont associés à un QI inférieur et à des symptômes accrus de trouble du déficit de l’attention chez les enfants. Néanmoins, les dentistes et la communauté de la santé publique ont continué à promouvoir et à défendre la soi-disant “grande réussite de santé publique” consistant à imposer ce traitement dentaire préventif controversé à des communautés entières, et ont fait fi de ces études. J’ai donc eu recours à des demandes de liberté d’information pour montrer que diverses institutions promouvant et défendant la fluoration de l’eau en Ontario, en Alberta et dans l’État de Washington n’ont pas pu fournir ou citer ne serait-ce qu’une seule étude primaire indiquant l’innocuité de ces résultats.

Ainsi, lorsque j’ai appris de la part de personnes comme David Crowe, le Dr Andrew Kaufman, le Dr Stefan Lanka et le Dr Thomas Cowan que le prétendu virus [Coronavirus] n’avait jamais été isolé (purifié) à partir d’un échantillon de patient, puis caractérisé, séquencé et étudié au moyen d’expériences comparatives, et que son existence n’avait donc jamais été démontrée, j’ai réalisé que les demandes de liberté d’information pouvaient être utilisées pour vérifier leurs affirmations.

La plupart des gens ne vont pas prendre le temps de vérifier toutes les études sur la soi-disant “isolation du virus” par eux-mêmes, donc les demandes de liberté d’information étaient un moyen de 1) s’assurer que rien n’avait été oublié, et 2) d’aller droit au but et de confirmer ce que ces messieurs [Kaufman, Cowan, Crowe, Lanka] disaient, s’ils étaient effectivement corrects.

Ainsi, en mai 2020, j’ai commencé à soumettre des demandes d’accès à l’information pour tout document détenu par l’institution concernée décrivant l’isolement/la purification du prétendu “virus du COVID-19” à partir d’un échantillon non altéré prélevé sur un patient malade, par quiconque, n’importe où sur la planète.

Q : Combien d’agences de santé publique et d’agences gouvernementales avez-vous interrogées dans le cadre de demandes FOIA ?

R : J’ai personnellement posé des questions et reçu des réponses de 22 institutions canadiennes. Il s’agit d’institutions de santé publique, d’universités qui prétendent avoir “isolé le virus”, et de 3 services de police – en raison de leur application des restrictions liées au “COVID-19”. J’ai également reçu personnellement des réponses de plusieurs institutions à l’extérieur du Canada, y compris les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies et le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci. J’attends les réponses d’un certain nombre d’autres institutions.

De nombreuses personnes à travers le monde ont obtenu des réponses à des demandes identiques, similaires ou connexes de la part d’institutions de leur propre pays. Une personne qui a beaucoup travaillé sur ce sujet en Nouvelle-Zélande et dans d’autres pays est mon collègue Michael S. Un collègue nommé Marc Horn a également obtenu de nombreuses réponses au Royaume-Uni. Une poignée d’autres personnes ont obtenu plusieurs réponses, et beaucoup de gens en ont obtenu une ou deux.

J’ai compilé toutes les réponses qui m’ont été envoyées sur ma page FOI[archive cv19], et au moment où je tape ces lignes (4 octobre 2021), nous avons des réponses FOI de 104 institutions dans plus de 20 pays, toutes relatives à la purification/existence du prétendu virus. En outre, il y a des documents judiciaires d’Afrique du Sud et du Portugal. Au total, 110 instructions sont représentées en ce moment sur mon site web. Il y a des réponses FOI d’autres institutions que je n’ai pas encore eu l’occasion de mettre en ligne.

Q : Comment qualifieriez-vous les réponses que vous avez reçues de ces agences ?

R : Toutes les institutions sans exception ont omis de fournir ou de citer ne serait-ce qu’un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient.

Vingt et un des 22 établissements canadiens ont admis sans détour qu’ils ne possédaient pas de tels documents (comme l’exige la législation canadienne). De nombreuses institutions à l’extérieur du Canada ont admis la même chose, y compris le CDC (2 novembre 2020), le ministère de la Santé de l’Australie, le ministère de la Santé de la Nouvelle-Zélande, le ministère de la Santé et des Soins sociaux du Royaume-Uni…

Et dans certains cas, des excuses stupides ont été fournies. Par exemple, la réponse de la Direction norvégienne de la santé a été qu’elle ne possède pas, ne stocke pas et ne contrôle pas les documents contenant des informations sur les patients. La Direction de la santé publique du Pays de Galles a répondu au Dr Janet Menage qu’elle n’avait pas produit de tels documents et que, même si elle était normalement disposée à l’orienter vers des documents relevant du domaine public, ce serait trop difficile dans ce cas.

L’agence brésilienne de réglementation de la santé (Anvisa), qui approuve les injections à la manière de la FDA, a déclaré à Marcella Picone qu’elle ne disposait d’aucun dossier sur la purification du virus et qu’elle n’y était pas tenue par la loi, de sorte qu’il n’est pas de son ressort de s’assurer que le virus existe réellement.

Q : Quel est le texte exact de vos demandes FOIA ?

Le texte a quelque peu varié au fil du temps. Par exemple, au début, j’utilisais le mot “isolation”. Mais comme ce terme est tellement galvaudé par les virologues, je m’en tiens maintenant à “purification”.

Dans toutes mes demandes, j’ai spécifié exactement ce que j’entendais par “isolement/purification” (séparation du prétendu virus de tout le reste), et que les particules purifiées devaient provenir directement d’un échantillon prélevé sur un être humain malade, l’échantillon du patient n’ayant pas été préalablement altéré par une autre source de matériel génétique (c’est-à-dire les cellules rénales de singe, alias cellules Vero, et le sérum bovin fœtal qui sont généralement utilisés dans les études bidon d’”isolement de virus”).

J’ai toujours précisé que je ne demandais pas de dossiers où les chercheurs n’ont pas purifié le prétendu virus et ont plutôt cultivé quelque chose et/ou effectué un test PCR et/ou séquencé quelque chose. J’ai également précisé que je demandais des documents rédigés par n’importe qui, n’importe où – et pas seulement des documents créés par l’institution en question. Et j’ai demandé des citations pour tout document de purification détenu par l’institution mais déjà disponible au public ailleurs.

La dernière itération [de la demande FOIA] est publiée sur une page de mon site Web où j’encourage les autres à soumettre des demandes aux institutions de leur propre pays : Template for “SARS-COV-2 isolation” FOI requests.

Q : Ces agences disent toutes qu’elles n’ont pas de dossiers prouvant l’existence du SARS-CoV-2, mais en même temps, certaines de ces agences parrainent et financent des études qui affirment que le virus existe. Comment expliquez-vous cette contradiction ?

Je vais aborder cette question à l’aide d’un exemple.

L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) est la seule institution canadienne qui n’a pas fourni de réponse directe ” aucun dossier ” jusqu’à présent. Au lieu de cela, elle m’a fourni ce qu’elle prétendait être des documents recevables.

Il s’agit de quelques courriels et d’une étude de Bullard et al. qui a été soutenue par l’ASPC et son Laboratoire national de microbiologie, ainsi que par Santé Manitoba et le Laboratoire provincial Cadham du Manitoba.

Ni l’étude ni les courriels ne décrivent la purification du prétendu virus à partir d’un échantillon de patient ou de quoi que ce soit d’autre. Le mot “isoler” (ou “isolation” / “purifier” / “purification”) n’apparaît même pas, sauf dans le manuscrit de l’étude dans le contexte de l’isolement de personnes, pas d’un virus.

…dans la section Matériaux et méthodes, nous constatons que ces chercheurs ont effectué des “tests” PCR pour une partie de la séquence du gène E (pas un virus), et qu’ils ont incubé des échantillons de patients (pas un virus) sur des cellules Vero (cellules rénales de singe) supplémentées avec du sérum bovin fœtal, de la pénicilline/streptomycine et de l’amphotéricine B, et qu’ils ont surveillé les dommages causés aux cellules de singe.

Aucun virus n’a été recherché ou purifié dans les échantillons des patients. Aucun groupe de comparaison, de quelque nature que ce soit, n’a été mis en place dans les procédures relatives aux cellules de singe. Aucun virus n’a été requis ou démontré comme étant impliqué dans l’étude, mais “il” a été accusé de tout dommage aux cellules de singe et “il” a été mentionné à plusieurs reprises tout au long de l’étude (j’ai compté 26 occurrences).

Néanmoins, il s’agissait du seul document fourni par l’Agence de santé publique du Canada.

Et bien que les chercheurs n’aient pas prétendu avoir “isolé” le prétendu virus dans cet article, ils ont effectué le même genre de procédure de culture cellulaire et de travaux sur les singes que les virologues de tous les pays font passer pour un “isolement du virus”. (Parce que la virologie n’est pas une science).

…Notez l’admission dans le résumé [de l’étude] : “La RT-PCR détecte l’ARN, pas le virus infectieux”.

…J’ai donc écrit à l’Agence de la santé publique du Canada pour l’informer qu’aucun des documents qu’elle m’a fournis ne décrit réellement la séparation du prétendu virus de tout le reste dans un échantillon de patient, et que j’exige une réponse précise indiquant qu’elle n’a aucun document à ce sujet.

Dans sa réponse révisée, l’Agence a insisté sur le fait que l’essai de référence utilisé pour déterminer la présence d’un virus intact dans les échantillons de patients est l’effet cytopathique visible [destruction des cellules] sur les cellules dans une culture cellulaire, et que “la PCR confirme en outre la présence d’un virus intact”.

…Comme vous l’avez souligné à vos lecteurs à maintes reprises : Personne n’a isolé/purifié “le virus”. Ils supposent simplement que les échantillons de patients le contiennent (sur la base de tests PCR sans signification). Ils falsifient les échantillons de patients avec du matériel génétique et des médicaments toxiques, affament les cellules, puis accusent de manière irrationnelle le “virus” de nuire aux cellules. Ils montrent du doigt quelque chose qui n’a jamais été purifié, caractérisé, séquencé ou étudié scientifiquement, dans une culture cellulaire et insistent sur le fait que “c’est le virus”. Ils fabriquent les “génomes” à partir de zillions de séquences détectées dans une soupe. Ce ne sont que des spéculations et des hypothèses sauvages, aucune science.

Les personnes responsables des affirmations manifestement frauduleuses faites par ces institutions sont donc soit extrêmement incompétentes, soit intentionnellement menteuses.

-fin de l’interview-


Pour soutenir les derniers commentaires de Christine, ces agences répondront aux demandes de FOIA par : “nous n’avons pas de dossiers sur la purification du virus” – et parraineront ensuite des études qui prétendent que le virus A ÉTÉ purifié et découvert, parce que…

Les normes de purification du virus dans les études ne sont pas des normes du tout. Elles sont totalement irrationnelles.

Cependant, parce que Christine est très précise et exacte dans ses demandes FOIA, quand il s’agit de ce que signifie la purification, les agences sont obligées de répondre …

“Eh bien, dans ce cas, nous n’avons aucune trace de purification du virus…”

Ce qui veut dire : Il n’y a pas de documents montrant que le virus a été isolé ; il n’y a pas de documents montrant que le virus existe.

Article original (anglais) : https://blog.nomorefakenews.com/2021/10/07/the-non-existent-virus-explosive-interview-with-christine-massey/
La source originale de cet article est nomorefakenews.com
Copyright © Christine Massey et Jon Rappoportnomorefakenews.com, 2021


[Voir aussi :
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




Si on vous dit que les GAULOIS cèdent, n’y croyez pas… STOP PASS !

Par N Delepine (Sur telegram : t.me/DrDelepine)

PENSEZ-VOUS QUE LES FRANÇAIS SOIENT DUPES ?

À soumettre d’urgence aux députés LREM, MODEM et AGIR tentés de voter le projet de loi ce mardi 19 ! Qu’ils pensent à nos Libertés et prosaïquement à leur réélection !(([1] N° 4565_____ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958QUINZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 13 octobre 2021. PROJET DE LOI portant diverses dispositions de vigilance sanitaire,
(Procédure accélérée) (Renvoyé à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République, à défaut de constitution d’une commission spéciale
dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.)
PRÉSENTÉ par M. Jean CASTEX, Premier ministre))

Comme insiste un fidèle correspondant (J. H), il est urgent d’informer directement nos députés (dont certains demanderont vos suffrages à nouveau dans quelques mois) sur l’imposture de la loi qu’ils devraient voter le 19 octobre. Il y a urgence à les joindre par mail (un par un, les mails groupés n’arrivent pas) et par demande de rendez-vous, ou par téléphone.

Insistez, car la prorogation du pass et de l’état d’urgence n’a aucune raison sanitaire, comme « l’exposé des motifs » censé le justifier le démontre.

L’« Exposé des motifs », n’avance au total que deux « arguments », d’une pauvreté spectaculaire !

– Les mesures prises (état d’urgence sanitaire, vaccination, passe sanitaire) auraient « contenu » l’épidémie. La vérité est qu’il n’en existe aucune preuve scientifique.
– Il y aurait un « risque » de rebond épidémique. Mais peut-on fonder des décisions politiques aussi liberticides sur des supputations ?

En revanche, l’« Exposé des motifs » est muet sur le seul élément qui serait déterminant pour asseoir une telle décision : l’état actuel de l’épidémie.

ÉTAT RÉEL DE L’ÉPIDÉMIE

Selon l’OMS l’épidémie est en chute libre en France depuis août ainsi que l’objective cette courbe de l’Université John Hopkins du 17/10.

Dans notre pays, le nombre actuel des nouveaux cas journaliers est inférieur à 5000 alors que notre voisin britannique, champion européen de l’injection Astra Zeneca en compte 40 000.

Selon le bulletin du Réseau sentinelles INSERM du 13/10/2021, le taux d’incidence Covid est de 3 cas pour 100 000 habitants :

« Surveillance de la COVID-19 :

La semaine dernière (2021s40), le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants (IC 95 % [2 ; 5]),

ce qui représente 2 181 [1 187 ; 3 175] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste.

L’ » Exposé des motifs » n’apporte à cette réalité aucun démenti. En conséquence, un parlementaire peut-il en conscience voter un projet de loi aussi liberticide sur un argumentaire aussi inconsistant ?

Et que justifie la « procédure accélérée » si ce n’est priver les parlementaires d’un débat solide ?

Par exemple leur montrer que les pays sans pass vont mieux que les muselés

Joignez députés, sénateurs et tous vos élus qu’ils transmettent le refus du peuple à cette nouvelle loi liberticide sans même l’ombre d’une justification sanitaire(([2] Joignez nos représentants !
sénateurs :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs
députés :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes
membres des cabinets Ministériels :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=cabmin
4 Agences de presse :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=medias&type_media=Agence%20de%20presse))

La grande fête de l’Élysée organisée par le président footballeur le démontre : aucun masque et aucune distanciation, masques pour les serveurs !

Jean Marc Morandini @morandiniblog

16 oct.

Pourquoi les images d’Emmanuel Macron faisant la fête à l’Elysée avec plusieurs dizaines de personnes ont énervé des internautes qui ont le sentiment que le Président est « au-dessus des règles qu’il impose » – Vidéo | Jean-Marc Morandini (jeanmarcmorandini.com)



« Mais les internautes se demandent pourquoi absolument personne ne respecte les gestes barrières ou ne porte le masque. “Ma petite fille est obligée d’être masquée en classe” s’interroge une internaute, “et le Président lui fait la fête à l’Élysée sans rien respecter de ce qu’il nous impose”.

Un autre se demande pourquoi “lui doit porter le masque dans le train, mais pas le Président à l’Élysée en train de danser et bouger”…

On peut également voir des gens s’étonner que “les serveurs portent des masques, mais pas les personnalités qui elles ont le droit de s’amuser sans masque”.

LE PEUPLE N’EST PAS DUPE Ceux qui attendent la publication des résultats définitifs des essais en cours qui devraient être terminés en 2023

Union Française Contre le #PassSanitaire @UnionSanitaire

16 oct.

“TOUS DANS LA RUE N’oubliez jamais que vous n’êtes pas seuls, nous sommes des millions à refuser ce gouvernement pourri. Unissons nos forces et faisons plier le gouvernement”. Soutenez-nous en vous abonnant sur Twitter #Manifestation16octobre #GiletsJaunesSaison2

Un rapide aperçu de ce 16 octobre 2021

“Il y a toujours autant de monde dans les rues d’#Aix-en-Provence contre Macron et sa volonté de maintenir le cap malgré l’absence totale de crédibilité de son pass « (([3] @jlouis 0881 11 h · 16 oct. 2021·Twitter))

Aujourd’hui, les #GiletsJaunes ont repris les ronds-points et ils sont des milliers dans les rues de Paris. Saison 2, acte 1. C’est parti !(([4] @maroc_online #Manifestation16octobre #GiletsJaunesSaison2))

AVIGNON

MARSEILLE

MONTPELLIER

Très long cortège à la #Manifestation16octobre organisée par @_LesPatriotes

! Nous n’accepterons jamais le #PassDeLaHonte, sa prolongation et la vaccination sous contrainte de tous !

et




Maitre Brusa nous énumère la redoutable composition des injections nazitaires !!!

[Source : michelledastier.com]






Lettre ouverte aux députés et sénateurs français appelés à voter le 19 octobre 2021 la prolongation injustifiée de « l’état d’urgence »

Par Nicole et Gérard Delépine

INJUSTIFIÉE, car épidémie terminée

« Le gouvernement présentera un texte de loi au Parlement le 19 octobre pour “maintenir pendant plusieurs mois encore, jusqu’à l’été, la possibilité de recourir” au pass sanitaire, a précisé Gabriel Attal, au cas où la situation sanitaire venait à se dégrader. Il sera débattu à l’Assemblée nationale mercredi 19 octobre sous l’intitulé Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire. “On demande au Parlement de nous laisser la possibilité de déclencher tout ou une partie des mesures de freinage” a expliqué le ministre de la Santé Olivier Véran mercredi matin, interrogé sur France Info. Ainsi, le recours au confinement, au couvre-feu et autres mesures de restrictions serait également possible jusqu’au 31 juillet 2022. »(([1] L’internaute.com Sarah Ponchin, Mis à jour le 15/10/21 PASS SANITAIRE. Une troisième dose de rappel du vaccin Covid-19 sera-t-elle bientôt obligatoire pour tout le monde afin d’avoir un pass sanitaire valide ? Le gouvernement pourrait l’envisager à long terme.))

Dans ce texte, le porte-parole reconnaît lui-même que l’épidémie est terminée.

Pourquoi une procédure accélérée alors que l’épidémie est terminée dans notre pays ?

À vous, nos représentants élus, nous demandons solennellement de nous rendre nos libertés fondamentales et à ne pas céder à l’autoritarisme de l’exécutif.

Vous avez pu constater que la France livrée aux décisions arbitraires du gouvernement reposant sur un conseil de défense sortant de la limite constitutionnelle, n’a eu que des résultats très décevants, parmi les plus mauvais mondialement, y compris en Europe. La Suède tant décriée pendant de longs mois par nos médias a conservé l’essentiel des libertés avec finalement un taux de décès inférieur au nôtre de 20 % (1478/Million d’habitants contre 1760/M), sans confinement, sans fermeture des écoles, de la vie, sans masque, sans vaccination obligatoire, sans victimes collatérales et sans perte majeure de son PIB (-2,5 % contre 8,5 % en France) etc.

Il est temps que les décisions législatives vous reviennent et que les propositions de loi puissent être discutées avec le temps nécessaire sur des dossiers étayés de données avérées.

Comme beaucoup de professionnels de santé, nous sommes d’ailleurs à votre disposition pour toute information objective basée sur les chiffres de l’OMS et des agences sanitaires nationales. Nous nous permettons de vous apporter ici quelques précisions quant à l’absence de justification médicale de ce pass qui aggrave la situation sanitaire, là où il est encore imposé.

LE PASSE DIT SANITAIRE, LIBERTICIDE, N’A AUCUNE JUSTIFICATION MÉDICALE, CAR LE PASS AUGMENTE LES CONTAMINATIONS

Les données avérées internationales prouvent que le pass est médicalement nocif

Quelques pays européens ont imposé le pass à leur population depuis plus de trois mois. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que le pass, loin de ralentir les contaminations, entraîne une augmentation de celles-ci. Les courbes actualisées en ce 15 octobre 2021 le démontrent une nouvelle fois.

L’Autriche a imposé le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22.

La Grèce a imposé le passe en espérant ainsi rassurer les touristes et sauver sa saison touristique.

Malheureusement l’obligation du pass a été suivie par la multiplication par 4,5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert ne retrouvant pas son niveau de 2019 (-30 %).

Mais aussi la population, car depuis le pass la mortalité a été multipliée par 2.

La Tchéquie a instauré le pass début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4

En Roumanie le pass a été imposé début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.

Cette envolée des contaminations a été suivie quelques jours plus tard de l’explosion de la mortalité quotidienne alors qu’elle est proche de zéro dans les pays sans passe comme le Suède, la Biélorussie, la Croatie, la Belgique…

Au Danemark la mise en route du pass a été suivie par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.) Depuis lors, le Danemark a supprimé le pass.

Ainsi dans tous les pays champions du pass, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations et souvent de la mortalité quotidienne.

L’échec du pass a été également constaté dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un pass.

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur pass sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).

Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques avant d’y participer. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les pass, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France aussi, le pass n’empêche pas les clusters d’apparaître. Malgré le pass sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

Comment peut-on expliquer ces échecs avérés du pass partout où il est utilisé ?

Le concept du passe repose sur l’hypothèse que les pseudo vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant. Ces deux croyances sont fausses ainsi que le ministère l’a officiellement reconnu devant le Conseil d’État. Les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne champions des injections Pfizer et Astra Zeneca le confirment amplement.

Les porteurs de pass, victimes de la propagande officielle se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec pass aux Pays-Bas comme en Catalogne. Cette pratique favorise les infections, en s’opposant par ailleurs à l’immunité collective acquise pendant la vie « normale » comme le démontre l’absence de contaminations des pays libres comme le Texas. Les matches avec grande foule n’y déclenchent aucun cluster, comme les énormes manifestations en Europe où les peuples se libèrent du pass et du masque le plus souvent, retrouvant un écosystème normal.

Le passe majoritairement refusé ou abandonné en Europe

En Europe, la majorité des états ont refusé ou abandonné le pass, qu’il s’agisse de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Russie, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de la Finlande, de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Biélorussie, de la Croatie et leur situation sanitaire actuelle est bonne.

Seuls principalement les pays du sud suivent encore les recommandations de la Commission européenne entraînant d’énormes réactions populaires comme en Italie dans de nombreuses villes, et le blocage des ports italiens.

Il faut espérer que les décideurs de ces pays considèrent enfin les mauvais résultats avérés de cette mesure et se rendent compte qu’au lieu de ralentir l’épidémie, le pass l’accélère et la pérennise et donc qu’il est donc urgent, ne serait-ce que pour des raisons sanitaires, de le supprimer.

POURSUIVRE LA SURVEILLANCE PAR LE PASS EST UNE DÉCISION EXCLUSIVEMENT POLITIQUE ET LIBERTICIDE

L’épidémie est terminée comme en atteste quotidiennement et depuis des mois le réseau sentinelle. Il n’y a plus d’épidémie ! G. Attal l’a confirmé !

 Comme l’a établi Laurent Toubiana, l’épidémie est terminée depuis fin novembre 2020 Depuis cette date, le taux d’incidence, le seul fiable, celui du Réseau sentinelles a été sans discontinuer ridiculement bas. Cette semaine, il est de 3 cas/100 000 h :

« Surveillance de la Covid-19 :

la semaine 40 (2021s40), le taux d’incidence des cas d’IRA(([2] IRA : insuffisance respiratoire aiguë, non spécifique du Covid)) dus au SARS-CoV-2 (Covid-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants, ce qui représente 2 181 nouveaux cas de Covid-19 ayant consulté un médecin généraliste.

Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s39 : 3 [2 ; 5], soit 2 247 [1 425 ; 3 069] nouveaux cas d’IRA dus à la Covid-19 vus en médecine générale). »(([3] https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/)) Ce taux est établi à partir d’examens cliniques, non faussé à partir des tests PCR non fiables.

LA DISCUSSION DE L’OPPORTUNITÉ DE LA PROLONGATION DE L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE EST PUREMENT POLITIQUE

Et la liberté du gouvernement de légiférer via décrets en toute impunité et sans contrôle parlementaire, comprenant la poursuite de l’exigence du pass, ne relève en aucun cas de santé, de sanitaire, mais exclusivement de politique, avec privations de liberté.

Ces sujets ont déjà largement été débattus : le pass conduit à une discrimination en matière de droit à la liberté de mouvement, jouissance d’autres droits et libertés fondamentaux, tels que, le droit au respect de la vie privée et familiale ou encore le droit à la liberté de réunion.(([4] Pass sanitaire : l’équilibre délicat entre libertés et protection de la santé publique | Le HuffPost (huffingtonpost.fr) ))

Le pass s’oppose à La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen :

« Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » (art. 1)

« La Loi est l’expression de la volonté générale. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents » (art. 6). 

La rupture du principe d’égalité peut également entraîner des conséquences pénales puisque toute discrimination au sens du Code pénal (article 225-1) est passible de peines correctionnelles, notamment lorsqu’elle porte sur l’état de santé d’un citoyen.

Ne doutons pas que les tribunaux soient déjà inondés de plaintes pour discrimination et en particulier depuis l’interdiction de travail et rémunération de soignants et pompiers opposés à recevoir l’injection génique, dite vaccin, encore en expérimentation thérapeutique jusqu’en 2023 et sujet à de nombreux accidents dont témoigne l’éviction au moins temporaire de Moderna et d’AstraZeneca, en plus des rapports officiels des agences de santé FDA, MHRA, EMA, et ANSM.

Ces rapports chiffrent un nombre de décès post vaccinaux et d’accidents secondaires aux injections, bien supérieur aux chiffres ayant abouti à l’interdiction du vaccin H1N1 (53 morts). Ce silence devant ces morts officialisés par les responsables de santé publique et niés par notre ministre pose des problèmes. Nous espérons qu’en tant que représentants du peuple, vous pourrez avoir des réponses sur ce silence assourdissant, qui ne peut à long terme qu’augmenter la méfiance des citoyens sur la parole de l’état, ses représentants et les vaccinations véritables au sens pasteurien.

Le droit international érigeant un principe de non-discrimination

Le pass s’oppose donc à ce droit reconnu par la France. L’article 14 de la Convention européenne des droits de l’homme dispose

« La jouissance des droits et libertés… doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l’origine nationale ou sociale, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance ou toute autre situation ».

Le Protocole nº 12 à ladite Convention européenne des droits de l’homme, plus large encore, interdit tout acte de discrimination lié à la « jouissance de tout droit prévu par la loi ».

« Nul ne peut faire l’objet d’une discrimination de la part d’une autorité publique, quelle qu’elle soit » (article 1).

Le Défenseur des droits est très critique, dans son avis rendu en urgence « Extension du passe sanitaire : les 10 points d’alerte de la Défenseure des droits » du 20 juillet 21. Fondamentalement, il remet en cause la proportionnalité des restrictions apportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent.

Le 31 mars 2021, le Conseil de l’Europe avait alerté

dans son avis « Protection des droits de l’homme et pass vaccinal » sur l’utilisation éventuelle de certificats de vaccination, comme celle de données relatives à l’immunisation, « à des fins autres que strictement médicales, par exemple pour donner aux personnes concernées un accès exclusif à des droits, services ou lieux publics ».

Cette question soulevait de nombreuses questions de respect des droits de l’homme et devait être considérée « avec la plus grande prudence ».

Cette position trouve un écho dans sa résolution 2351 « Vaccins contre le Covid-19 : considérations éthiques, juridiques et pratiques », qui présentait comme élément permettant de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins le fait « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ».

Cette mesure liberticide, présentée par le gouvernement comme libératrice a des relents orwelliens suscite une opposition grandissante semaine après semaine. Comme le dit l’économiste Éric Verhaeghe :

« la mise en place du pass sanitaire donne lieu à un magnifique flash totalitaire provoqué par Emmanuel Macron. Dans ces moments où la démocratie cède brièvement la place à des mesures autoritaires illibérales, la propagande d’État donne dans la novlangue à la Big Brother de 1984. Ce qui est liberticide devient libérateur, et ce qui est libérateur est dénoncé comme une menace. »(([5] Le pass sanitaire, ce flash totalitaire entre novlangue de Big Brother et Great Reset — Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

À quoi correspond cette volonté du gouvernement de prolongation du pass en l’absence d’épidémie comme le prouve le réseau sentinelle, sinon à une extorsion de consentement à la pseudo vaccination et à la troisième dose et les suivantes ?

« le gouvernement s’occupe de contraindre les personnes encore non vaccinées de le faire : ce vendredi 15 octobre a marqué la fin du remboursement des tests PCR et antigéniques de confort. “Les tests ne seront payants que pour les personnes qui ne sont pas du tout vaccinées et qui n’ont pas d’ordonnance”, a expliqué Olivier Véran sur France Info le 13 octobre. De plus, les autotests négatifs réalisés sous supervision médicale ne sont plus reconnus comme preuve d’obtention du pass sanitaire. »(([6] Pass sanitaire : bientôt une troisième dose pour tous ? (internaute.com) ))

UNE EXTORSION DE CONSENTEMENT AUX PLUS FAIBLES

Cette décision est inacceptable. Elle va discriminer ceux qui ne pourront s’assurer un budget « tests » et contraindre les plus pauvres à s’injecter cette thérapie inefficace et dangereuse. La transparence sur les contaminations post vaccinales et l’existence niée de formes graves chez les vaccinés ainsi que les effets secondaires relatés par les agences paraît indispensable auprès de vous, nos représentants. Est-ce le cas ? Et que justifie une nouvelle fois une « procédure accélérée » alors que le gouvernement lui-même reconnaît « la baisse de la circulation du virus » ?(([7] De l’aveu même du porte-parole de l’Elysée, l’épidémie est terminée et toutes ces mesures existeraient, car : « Gabriel Attal a martelé qu’il existait toujours un “risque non négligeable de reprise de l’épidémie”. Actuellement c’est plutôt une épidémie de tuberculose qui se profile pourtant…))

CHERS ÉLUS, NOUS COMPTONS SUR VOUS

pour nous rendre nos libertés chèrement acquises il y a un peu plus de deux siècles. Il semble que la commission des lois aille dans ce sens et nous félicitons ses membres.

« Pass Sanitaire : Les Députés Desserrent Momentanément Le Dispositif En Commission Des Lois » C.M. avec AFP Le 15/10/2021

Le projet de loi « vigilance sanitaire » sera-t-il rétabli à sa version initiale le 19 octobre lors de son passage en séance à l’Assemblée ?

« Momentanément, les députés ont allégé vendredi les conditions de mise en œuvre du controversé pass sanitaire, prenant ainsi le gouvernement à rebrousse-poil, avant le passage du projet de loi “vigilance sanitaire” dans l’Hémicycle, mardi » Contre toute attente, les députés, qui examinaient cet énième texte sur l’état d’urgence sanitaire en commission des Lois, ont adopté un amendement du député La République en marche (LREM) Pacôme Rupin, opposant de longue date à cet outil qu’il juge « dangereux » pour les libertés publiques. »

L’amendement de Pacôme Rupin, adopté de justesse par 8 voix contre 7, prévoit de circonscrire l’utilisation du pass sanitaire géographiquement et en fonction de l’évolution de l’épidémie de Covid. Il propose que le recours au pass soit territorialisé et qu’il ne puisse être mis en œuvre qu’en cas de taux d’incidence supérieur ou égal à 50, sur une semaine continue, dans le département concerné.

« Il est important de mettre des critères. On ne peut pas laisser une totale faculté au gouvernement d’utiliser cet outil sans un minimum de règles. Je pense qu’on peut avancer, peut-être pas sur celui-là (son amendement adopté, NDLR) mais sur un encadrement un peu plus strict », a déclaré Pacôme Rupin.(([8] https://www.bfmtv.com/politique/parlement/pass-sanitaire-les-deputes-desserrent-momentanement-le-dispositif-en-commission-des-lois))

Ceci est déjà un premier pas, mais bien sûr nous espérons, de vous, nos élus, une récupération totale de nos libertés, la suppression de la loi d’urgence qui comme le montre la disparition de l’épidémie, n’a plus aucune légitimité sanitaire.

Merci de votre écoute.

Avec nos respects.





Bill Gates explique que le vaccin covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN… MàJ

[Source : crashdebug.fr]

Vous trouverez dans ces articles plus d’informations sur le vaccin de Gates et de la DARPA,

https://youtu.be/2MGXePjIzXE [Vidéo censurée]

[Mise à jour : ]

[anglais]

Et dans cette autre vidéo,

[anglais]

Bill Gates explique tranquillement, sans aucun état d’âme, ça semble même le faire marrer, qu’il pourrait y avoir un effet de bord toutes les 10.000 vaccinations, ce qui ferait 700.000 personnes potentiellement impactées [anglais], et pour lui c’est une bagatelle. Ces gens sont des psychopates….

Plutôt que d’enseigner aux gens comment améliorer leur état de santé général ou renforcer leur immunité grâce à des aliments sains, des compléments de qualité et une activité physique, les pouvoirs en place disent au monde que la seule façon de survivre à la crise du Coronavirus est de hâter le développement d’un vaccin et de l’injecter ensuite à chaque être humain sur la planète.

Le gouvernement américain, ainsi que de grandes villes comme Chicago, vont déjà de l’avant avec des plans visant à utiliser les ressources gouvernementales et l’armée pour distribuer des centaines de millions de doses de vaccins aux Américains d’ici la fin de l’année.

Au premier plan de cette conversation se trouve Bill Gates, qui est devenu en quelque sorte le plus grand expert mondial en matière de pandémies et de vaccins. Par le biais de sa fondation, il soutient l’OMS et le développement de nouveaux vaccins, et soutient actuellement un certain nombre de sociétés pharmaceutiques dans leur course à l’invention du produit qui sauvera le monde du Covid-19.

En règle générale, le processus de développement, d’essai et de production de masse des vaccins prend des années, mais grâce à la nouvelle technologie expérimentale émergente, M. Gates espère pouvoir vacciner « 7 milliards de personnes en bonne santé » en un temps record.

Une nouvelle génération de vaccins est en train d’émerger à l’heure où nous parlons. Pour l’instant, il n’existe pas de vaccins à ADN et à ARN approuvés pour l’usage humain, mais comme le dit M. Gates dans le post suivant de son blog personnel, le moment est venu de les essayer sur tout le monde. Dans le commentaire suivant, il explique la différence entre les vaccins traditionnels et les vaccins à ADN/ARN, qui, une fois encore, n’ont jamais été approuvés pour un usage humain :

Enseigner à votre corps comment vaincre un agent pathogène sans jamais tomber malade. Les deux types les plus courants – et ceux que vous connaissez probablement le mieux – sont les vaccins inactivés et les vaccins vivants. Les vaccins inactivés contiennent des agents pathogènes qui ont été tués. Les vaccins vivants, en revanche, sont constitués d’agents pathogènes vivants qui ont été affaiblis (ou « atténués »). Ils sont très efficaces, mais plus sujets aux effets secondaires que leurs homologues inactivés.

Les vaccins inactivés et vivants sont ce que nous considérons comme des approches « traditionnelles ». Il existe un certain nombre de candidats vaccins COVID-19 des deux types, et pour une bonne raison : ils sont bien établis. Nous savons comment les tester et les fabriquer.

L’inconvénient est que leur fabrication prend du temps. Il y a une tonne de matière dans chaque dose d’un vaccin. La plupart de ce matériel est biologique, ce qui signifie que vous devez le cultiver. Cela prend du temps, malheureusement.

C’est pourquoi je suis particulièrement enthousiaste à l’égard de deux nouvelles approches adoptées par certains des candidats : Les vaccins à ARN et à ADN. Si l’une de ces nouvelles approches se révèle efficace, nous serons probablement en mesure de diffuser les vaccins dans le monde entier beaucoup plus rapidement (par souci de simplicité, je ne vais expliquer que les vaccins à ARN. Les vaccins à ADN sont similaires, mais avec un type de matériel génétique et un mode d’administration différents).

Notre fondation – à la fois par son propre financement et par l’intermédiaire de la CEPI – soutient le développement d’une plateforme de vaccins à ARN depuis près de dix ans. Nous avions prévu de l’utiliser pour fabriquer des vaccins contre des maladies qui touchent les pauvres comme la malaria, mais aujourd’hui, elle semble être l’une des options les plus prometteuses pour le COVID. Le premier candidat à entamer des essais sur l’homme était un vaccin à ARN créé par une société appelée Moderna.

Voici comment fonctionne un vaccin à ARN : plutôt que d’injecter l’antigène d’un agent pathogène dans votre corps, vous lui donnez le code génétique nécessaire pour produire cet antigène lui-même. Lorsque les antigènes apparaissent à l’extérieur de vos cellules, votre système immunitaire les attaque et apprend à vaincre les futurs intrus au cours du processus. En gros, vous transformez votre corps en sa propre unité de fabrication de vaccins.

Comme les vaccins à ARN laissent votre corps faire la plus grande partie du travail, ils n’ont pas besoin de beaucoup de matériel. Cela les rend beaucoup plus rapides à fabriquer. Mais il y a un hic : nous ne savons pas encore avec certitude si l’ARN est une plate-forme viable pour les vaccins. Étant donné que le COVID serait le premier vaccin à ARN à sortir, nous devons prouver à la fois que la plateforme elle-même fonctionne et qu’elle crée une immunité. C’est un peu comme si vous construisiez votre système informatique et votre premier logiciel en même temps ». ~ Bill Gates

Ainsi, le vaccin Covid-19 ne sera pas un vaccin traditionnel. Il ne sera pas testé de manière significative ou standard étant donné l’état d’urgence actuel. Il sera administré par les militaires, et tout le monde sur la planète devra le prendre.

Comme l’a fait remarquer le journaliste d’investigation Jon Rappoport :

« Deux nouvelles technologies sont dans la filière de test COVID au moment où nous parlons : Les vaccins à ADN et à ARN. Ils n’ont jamais été mis en circulation pour un usage public. La technologie de l’ADN est en fait une thérapie génique. Des gènes sont injectés dans le corps et modifient de façon permanente et inconnue la composition génétique du receveur. Les vaccins à ARN comporteraient le danger de déclencher des réactions auto-immunes, c’est-à-dire que l’organisme se mettrait en guerre contre lui-même.

Le vaccin qui est exploité par le gouvernement américain… sous l’égide de ses National Institutes of Health… par le biais de la société pharmaceutique Moderna… n’a JAMAIS été utilisé sur le marché avant.

IL N’EST PAS AUTORISÉ À ÊTRE UTILISÉ PAR LE PUBLIC.

LES VACCINS ARN ET LA TECHNOLOGIE QU’ILS UTILISENT SONT ENTIÈREMENT EXPÉRIMENTAUX.

ET C’EST LE TYPE DE VACCIN QUI EST MIS EN PLACE À LA HÂTE EN 90 JOURS.

Qu’est-ce qui pourrait bien mal tourner dans le monde ?

Une façon de le découvrir est de le lancer sur des millions de personnes, de prendre du recul et de voir ». ~Jon Rappoport

Vous êtes prêts à ce que votre famille et vos enfants servent de cobayes dans le cadre de la plus grande expérience de santé mondiale jamais menée ?

Alex Pietrowski est un artiste et un écrivain soucieux de préserver une bonne santé et la liberté fondamentale de jouir d’un mode de vie sain. Il est rédacteur pour WakingTimes.com. Alex est un étudiant passionné de yoga et de vie.

Cet article (Bill Gates explique que le vaccin Covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN), créé et publié à l’origine par Waking Times, est publié ici sous une licence Creative Commons avec mention d’Alex Pietrowski et de WakingTimes.com.

Source : Dcdirtylaundry.com

Informations complémentaires :


Source : https://www.santeglobale.world :

« Il est à noter, qu’à cette occasion, j’ai pu observer un délire, qui est le plus stupéfiant sur le plan médicamenteux, de toute ma carrière, pourtant longue, sur le danger extrême de l’utilisation de l’hydroxychloroquine et de la chloroquine. Ces médicaments sont prescrits depuis 80 ans, il est probable qu’au moins 1/3 de la population a eu l’occasion d’en manger. En France, la CNAM rapporte que 36 millions de comprimés de Plaquenil 200 mg ont été́ distribués en 2019. L’émotion formidable, sur les risques de la chloroquine et l’hydroxy-chloroquine, témoigne d’une absence complète de contrôle de l’information raisonnée, basée sur la bibliographie, et non pas sur les émotions des uns et des autres, voire la manipulation de l’opinion et je mesure mes termes. Par définition, le directeur de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), en est responsable. »

Professeur RAOULT : La chloroquine : émotion, délire, manipulation de l’opinion

Youtube : (sud radio) J.D Michel – « Les courbes épidémiques des pays confinés et des pays non confinés sont les mêmes ! »

Le confinement était la dernière chose à faire !!

DAVID ICKE SANS CENSURE !! LA FIN DU CONTRÔLE, LE TRIOMPHE DE L’AMOUR !

Troisième interview de David Icke par Brian Rose sur ©London Real (mai 2020) :



(en anglais)

David Icke montre avec clarté toute la folie de la « pandémie » créée par le technocrates pour nous asservir :

Tony Robbins interroge des médecins sur la pseuodo épidémie de coronavirus, décapant !

(audio, en anglais)




10 mesures urgentes pour en finir avec la crise COVID en 2022

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Vous êtes nombreux à demander comment sortir concrètement de la crise du COVID, notamment à l’occasion du prochain quinquennat. Je vous propose ici 10 idées de mesures urgents à prendre pour préparer un monde d’après humaniste et libre, et pour entamer le mouvement de recul dont nous avons besoin pour endiguer la domination de la caste. Il s’agit de dix idées urgents et immédiates, qui ne font évidemment pas un programme complet. N’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez !

Par Éric Verhaeghe

Les mesures qui sont exposées ici sont des mesures “urgentes” et donc très sectorisées, qui visent, durant les cent premiers jours du prochain quinquennat à créer un “choc” sociétal permettant le réveil de la société française face aux libertés menacées par une caste en pleine réaction contre le suffrage universel et ses conséquences. 

On ne trouvera donc pas un problème complet, mais un simple guide des décisions immédiates et urgentes.

Volet sanitaire

1° Abolir la notion d’état d’urgence sanitaire et rétablir les fonctionnements démocratiques normaux : le système macronien de suspension du fonctionnement normal de la démocratie sous un prétexte sanitaire instrumentalisé doit s’arrêter. Le recours à des conseils de défense pour décider de mesures expéditives et liberticides doit être banni. 

2° Rétablir la liberté de prescrire et autoriser les traitements peu coûteux, abandonner la politique du tout-vaccin : la stratégie guidée par les laboratoires pharmaceutiques consistant à ne pas soigner le COVID de façon précoce pour contraindre les Français à recourir à un vaccin dont les effets secondaires sont minorés mène à une catastrophe sanitaire. Les médecins doivent retrouver la liberté de prescrire les traitements qu’ils jugent adaptés, y compris les traitements peu coûteux. 

3° Abolir le passe sanitaire et la politique de crédit social, abroger la loi du 5 août 2021 : l’abrogation de la loi doit être immédiate. Le renoncement à toute politique de crédit social doit devenir un principe général du droit. 

4° Mettre en place une Commission d’enquête spéciale sur l’influence des laboratoires pharmaceutiques durant la crise du COVID et sur la corruption parmi les médecins et chercheurs : sur le modèle du rapport rédigé par deux sénateurs en 2010, l’État doit enquêter sur les coulisses de la stratégie sanitaire menée depuis le début de l’année 2020. Une commission spéciale regroupant des parlementaires et des juges doit être mise en place, avec des pouvoirs d’investigation judiciaire exceptionnels, pour déterminer quels moyens les laboratoires pharmaceutiques ont déployé pendant la crise, y compris au niveau européen. Les personnalités corrompues doivent être durement sanctionnées. 

Volet politique

5° déconcentrer les pouvoirs de l’État et supprimer la bureaucratie : après un an et demi de captation du pouvoir par la bureaucratie, PLUS JAMAIS ÇA ! Démantèlement des ARS, réduction drastique des effectifs de l’administration préfectorale, de l’administration hospitalière, et de la caisse nationale d’assurance-maladie. 

6° dépolitiser la haute fonction publique en obligeant les fonctionnaires à démissionner en cas de passage en cabinet ministériel et en supprimant la garantie de l’emploi pour les 500 postes-clés de la haute fonction publique. Il faut couper le cordon ombilical entre la haute fonction publique et le pouvoir politique. Les postes-clés doivent être soumis à une obligation de réussite contrôlée par le Parlement. Les milliers de hauts fonctionnaires en situation de chômage déguisé et payés par le contribuable doivent être licenciés. 

7° supprimer les aides à la presse : la presse doit vivre de ses lecteurs, pas des faveurs d’un État qui achète son consentement. 

8° entamer un dialogue avec la Commission Européenne pour inverser les transferts de souveraineté : sans initier une réforme des traités, l’inversion de la logique de transfert de la souveraineté nationale vers la Commission européenne doit commencer le plus tôt possible. La logique initiale de subsidiarité européenne doit guider l’action des Etats-membres. 

Volet sociétal

9° desserrer la contrainte exercée par la caste sur la société, en rétablissant la liberté d’enseigner et de soigner : la liberté de l’école à la maison doit être rétablie. La liberté de prescrire et la liberté de rembourser les soins hors des déconventionnements forcés de l’assurance-maladie doivent également l’être. La solidarité spontanée entre les individus doit être restaurée. 

10° défiscalisation et désétatisation progressive de la société française, en plafonnant à terme les recettes publiques à 40% du PIB : la crise du COVID a montré l’emprise que l’État et sa bureaucratie ont tissé au fil des années, grâce à une pression fiscale supérieure à ce que connaissent les pays de l’Union Européenne. Il est temps de recentrer l’Etat sur ses missions régaliennes (police, armée, justice, fisc), et de le faire maigrir sur le reste. 




Une province canadienne publie de nouvelles règles COVID qui permettent au gouvernement de saisir des propriétés privées

[Source : resistance-mondiale.com]

[Photo : Scot Moe, Premier ministre de la Saskatchewan]

Par bertruxskydric

Les fonctionnaires de la Saskatchewan peuvent « autoriser l’entrée dans tout bâtiment ou sur tout terrain, sans mandat, par toute personne dans le cadre de la mise en œuvre d’un plan d’urgence ».

Un gouvernement provincial canadien a promulgué des pouvoirs d’urgence de type orwellien au nom de la lutte contre le COVID qui permettent aux autorités de détenir ou de renvoyer des personnes sans mandat et de saisir des biens personnels à volonté. 

En vertu des  nouvelles ordonnances sanitaires , le ministre de la Saskatchewan peut « autoriser l’entrée dans tout bâtiment ou sur tout terrain, sans mandat, par toute personne dans le cadre de la mise en œuvre d’un plan d’urgence ».

Le gouvernement a également le pouvoir de « provoquer l’évacuation de personnes et le retrait de personnes ou de bétail et de biens personnels de toute région de la Saskatchewan qui est ou pourrait être touchée par une situation d’urgence et de prendre des dispositions pour les soins et la protection adéquats de ces personnes ou du bétail et des biens personnels.

Le nouveau décret d’urgence provincial en vertu  de la Loi sur les plans d’urgence a  été signé le 13 septembre par le premier ministre Scott Moe. Les commandes ont été annoncées par le ministère de la Santé de la Saskatchewan.

Selon le ministère de la Santé, les nouvelles ordonnances sont nécessaires pour « assurer la mobilité de la main-d’œuvre du système de santé grâce à une plus grande flexibilité dans la planification et la réorientation des travailleurs de la santé vers les zones confrontées à des pressions de capacité et dans l’utilisation de ressources supplémentaires ».

Les nouveaux pouvoirs sanitaires d’urgence permettent au gouvernement « d’assumer la direction et le contrôle de l’intervention d’urgence d’une autorité locale ».

Ils donnent également au gouvernement le pouvoir « d’acquérir ou d’utiliser tout bien immobilier ou personnel que le ministre juge nécessaire pour prévenir, combattre ou atténuer les effets d’une situation d’urgence ».

Dans le cadre de cette ordonnance, le gouvernement a réactivé les termes d’une lettre d’entente avec la Saskatchewan Health Authority et un grand nombre de syndicats provinciaux, dont le Saskatchewan Union of Nurses et la Health Sciences Association of Saskatchewan.

La lettre d’entente explique comment le gouvernement peut forcer le « redéploiement temporaire des employés de la santé pour répondre à l’augmentation prévue des besoins en soins de santé liés à la COVID-19 ». 

Toute personne résidant en Saskatchewan est mandatée par la loi pour suivre les nouvelles ordonnances d’urgence ou faire face à des sanctions sévères ou à une peine d’emprisonnement.

Les nouvelles commandes sont intervenues après que le gouvernement a déclaré une « quatrième vague » de COVID-19 stimulée par la « variante Delta ».

La province, qui compte environ un million d’habitants, indique actuellement que 262 personnes sont hospitalisées en raison de COVID-19. 

Le 17 septembre, le Dr Saqub Shahab, médecin hygiéniste en chef de la province, a émis une ordonnance d’isolement provisoire obligatoire et de couverture faciale comme palliatif jusqu’à l’entrée en vigueur du passeport vaccinal de la province en octobre.

Moe a récemment déclaré que son gouvernement était “trop ​​patient” avec ceux qui n’avaient pas reçu les vaccins COVID lors de l’introduction d’ un passeport vaccinal.  

Les mots de Moe contre les non vaccinés comprenaient également une phrase selon laquelle, bien qu’il n’ait jamais voulu « mettre en œuvre » un passeport vaccinal, sa « patience a pris fin » avec les non-piqûres.

À partir du 1er octobre, il faut présenter une preuve de vaccination ou un test négatif pour manger à l’intérieur, se rendre dans des lieux de divertissement, assister à des conférences ou à de grands événements ou participer à des centres de fitness intérieurs.

Toutes les provinces canadiennes ont depuis longtemps le pouvoir d’édicter de telles règles draconiennes, qui limitent en fait les droits des personnes en cas d’urgence, mais utiliser une urgence « sanitaire » pour le faire est du jamais vu dans les temps modernes.

La province de l’Alberta a également récemment déclaré une urgence publique en vertu de sa  Public Health Act Comme en Saskatchewan, le gouvernement peut pénétrer dans des immeubles sans mandat ou saisir des biens personnels. 

Le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, bien qu’il ait promis que sa province serait ouverte « pour de bon »,  a  récemment introduit un passeport vaccinal COVID-19. Il a également promulgué de nouvelles règles interdisant aux personnes «non vaccinées» de se rassembler dans leurs maisons privées.

John Carpay, président du Justice Center for Constitutional Freedoms (JCCF), a déclaré qu’en « vertu » du gouvernement Kenney limitant les interactions sociales à l’intérieur de pas plus de 10 personnes, le gouvernement « reconnaît que les personnes vaccinées sont propagateurs de virus.

« Sur quelles preuves le gouvernement s’appuie-t-il pour croire que les personnes non vaccinées sont de pires vecteurs de virus que les personnes vaccinées », a déclaré Carpay dans un communiqué envoyé à LifeSiteNews.

« Le premier ministre Kenney s’est joint au premier ministre Trudeau pour faire des boucs émissaires, diaboliser et vilipender la minorité d’individus non vaccinés.

Les injections de COVID-19 approuvées pour une utilisation d’urgence au Canada, y compris le vaccin Pfizer pour les 12 ans et plus, ont toutes des liens avec des cellules dérivées de bébés avortés.  

Tous les quatre ont également été associés à de possibles effets secondaires graves tels que des caillots sanguins, des éruptions cutanées, des fausses couches et même des crises cardiaques chez les hommes jeunes et en bonne santé. 

La liste des événements indésirables reconnus par la FDA est passée des réactions anaphylactiques graves aux événements thrombotiques mortels, à la myocardite inflammatoire  et aux maladies neurologiques invalidantes comme le syndrome de Guillain Barré. Pendant ce temps, le CDC a signalé un taux de survie à l’infection COVID-19 supérieur à 99,95 % pour les moins de 50 ans. 

Contact:

L’honorable Scott Moe
Premier ministre de la Saskatchewan
226 Édifice législatif
Regina, Saskatchewan
CANADA S4S 0B3

Téléphone : (306) 787-9433
Télécopieur : (306) 787-0885
Courriel :  premier@gov.sk.ca

Traduction de l’article Canadian province issues new COVID rules that let gov’t seize private property – LifeSite (lifesitenews.com)




Un pas de plus vers l’empoisonnement du monde avec l’interdiction envisagée des huiles essentielles

Par Diane Vincero

Big Pharma, Monsanto (Nestlé — Bayer), les GAFA, etc. continuent leur progression pour rendre le monde totalement tributaire d’eux… Nous en voyons déjà largement les effets aujourd’hui avec la prétendue pandémie de Covid.

Big Pharma :

piétine le système à son profit :

  • a déjà obtenu d’être lavé de toute responsabilité pour les effets secondaires de ses vaccins, a déjà imposé 11 vaccins aux bébés (les générations futures…),
  • a imposé la vaccination Covid,
  • a obtenu que les plantes comme la Valériane (effet tranquillisant sans accoutumance), la passiflore (effet sur le sommeil, sans accoutumance), le millepertuis (antidépresseur), etc., etc. ne puissent plus être présentés comme ce qu’ils sont, mais comme de vulgaires « compléments alimentaires »,
  • a obtenu en 2007, à l’échelle européenne, que l’argent colloïdal ne puisse plus être recommandé per os (= par voie générale) — alors que c’est un excellent antibactérien, antiviral, antimycosique, anti-inflammatoire et cicatrisant —, sous le prétexte totalement fallacieux et mensonger (…) qu’il entraîne « des dépôts bleus dans le corps », ce qui n’est vrai qu’au-delà de 20 ppm (= parties par million), c’est-à-dire à des concentrations totalement inutiles puisque les ions sont alors agglomérés et sont trop volumineux pour pouvoir pénétrer dans les cellules pour assurer leurs multiples effets bénéfiques. Ceux-ci sont obtenus pour des concentrations optimales de 15 ppm (où les ions sont libres et donc suffisamment petits pour pénétrer dans les cellules).
  • a obtenu qu’on ne puisse pas, en France, procéder à des perfusions à hautes doses de vitamine C pour guérir des cancers.
  • a obtenu d’imposer ses 2 protocoles de chimiothérapie contre le cancer alors qu’il y a des protocoles plus anciens
  • qui fonctionnent de façon vraiment efficace (comme l’a souligné le Dr N. Délépine.
  • a obtenu que les traitements par la médecine tibétaine et autres médecines ancestrales ne soient pas délivrés en France.
  • etc., etc.

Progressivement, au fil des décennies, Big Pharma a pris le pouvoir sur les politiques, a évincé tous les traitements naturels et veut maintenant parachever son œuvre destructrice en supprimant les huiles essentielles… Jusqu’à ce qu’il n’existe plus que… leurs molécules chimiques avec leurs effets secondaires délétères…

Il faut savoir que toutes ces substances naturelles connues et utilisées depuis la plus haute antiquité constituent une concurrence importante pour Big Pharma puisqu’il ne peut pas breveter les substances naturelles… Donc, il a jeté le discrédit sur leurs effets, tout en ayant — quand même — synthétisé les molécules chimiques à partir des connaissances sur les effets bénéfiques des plantes !!… Puis, il en a fait interdire l’utilisation, et maintenant, il veut terminer par l’élimination des huiles essentielles !!!

Programme mégalo et délirant qui n’obéit à aucune logique saine et bienveillante.

[Voir aussi :
Les résultats dévastateurs de la « révolution verte » en Afrique
et Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910]

Monsanto :

industrie chimique qui détruit l’Humanité avec ses produits chimiques, « phytosanitaires », comme les pesticides. Monsanto qui existe depuis les années 1920 et qui s’est juré de rendre l’Humanité entière tributaire de lui !!… Stratégie progressive là aussi, au fil des décennies.

Les insecticides qui détruisent les insectes pollinisateurs [abeilles, papillons, etc.] et donc à terme, empêchent le développement les fleurs et les fruits. À terme, il restera quoi à manger ???? Les céréales OGM de Monsanto qui résistent aux pesticides…. [cf. plus bas] !!!

Le Roundup [glyphosate], herbicide promu de façon universelle par Monsanto auprès des cultivateurs, jardiniers, etc. qui stérilise la terre, qu’on retrouve dans nos assiettes tous les jours et qui détruit notre système immunitaire, provoque de l’hypertension artérielle, du diabète de type 2, de l’obésité qui touche maintenant 30 % de la population mondiale […], des cancers, des maladies auto-immunes [sclérose en plaques, thyroïdite d’Hashimoto, spondylarthrite ankylosante, etc.], etc., etc.

Les OGM Monsanto résistants au Roundup, mais dont il faut racheter les semences à Monsanto chaque année, car elles ne repoussent pas….

Monsanto qui a racheté Nestlé [industrie agroalimentaire polluée, générant de plus en plus de maladies], s’est marié à Bayer [notre voisin allemand, industriel chimique et pharmaceutique], arrivant ainsi à nos portes et permettant ainsi le mariage entre les effets délétères de l’industrie chimique et les traitements pharmaceutiques des maladies provoquées par la partie chimique du système…

Toute une chaîne de A à Z : produits chimiques sur les cultures et dans la nourriture, destruction des pollinisateurs et disparition des fleurs et des fruits, OGM résistant aux pesticides, maladies diverses, médicaments.

Et ainsi : ils tiennent tout le monde dans leurs mains…

Progressivement, ces géants broient tout sur leur passage. Ne les laissons plus avancer !!

[Voir aussi :
Nestlé dit que la majorité de son portefeuille de produits alimentaires est mauvais pour la santé
Les Racines de nos Maladies
Monsanto, Syngenta et Bayer ont décidé d’investir des millions de dollars pour développer des « sprays » de morceaux d’ARN afin de transformer les plantes en OGM directement dans les champs
Comment la Fondation Gates pousse le système alimentaire dans la mauvaise direction]


[Source : leslignesbougent.org]

Par Helena Wittkopf

Pétition : Huiles essentielles en danger — sauvons notre patrimoine naturel !

Adressé à : La Commission Européenne

Huiles essentielles en danger : sauvons notre patrimoine naturel !

Non à l’interdiction des huiles essentielles par l’Union Européenne !

A l’heure où je vous parle, la Commission Européenne a déjà pris sa décision : classer les huiles essentielles comme des substances dangereuses dans l’Union européenne… 

… D’ici la fin de l’année !

L’étape d’après ? Les interdire complètement ?

A partir de cette date, les huiles essentielles pourraient bien être en passe de disparaître du paysage santé et cosmétique. 

Les huiles essentielles n’ont rien à voir avec les substances chimiques de synthèse ! 

Les huiles essentielles contiennent plus de 200 molécules actives100% naturelles : elles sont les extraits les plus purs et les plus concentrés d’une plante ! 

Pourtant, une des mesures phares du Pacte vert initié par la Commission européenne ? 

Les traiter sur le même plan que des substances chimiques de synthèse : c’est absurde ! 

D’ici la fin de l’année, on pourrait vraiment finir par voir figurer des têtes de mort sur un flacon de lavande ou de menthe poivrée… comme sur la bouteille d’un produit ménager corrosif ! 

Alors que les huiles essentielles sont utilisées depuis des millénaires pour soigner de nombreux maux mais aussi embellir la peaules cheveuxle corps

Aujourd’hui, ce sont des millions de Français qui ont chaque jour recours aux puissantes propriétés des huiles essentielles (Il se peut d’ailleurs que vos propres produits de beauté en contiennent ou que vous en fassiez vous-même usage quotidiennement) !

C’est la meilleure alternative qui existe aux cosmétiques chimiques qui contiennent souvent des substances très controversées (perturbateurs endocriniens, substances cancérigènes, allergènes…). 

Des centaines de milliers d’emplois menacés ! 

La production des huiles essentielles crée un nombre considérable d’emplois chaque année, en France et dans le reste de l’Europe. 

De la culture agricole à la parfumerie, la cosmétique ou encore la distillerie : ce sont des milliers de personnes qui vont se retrouver sur la paille si ce projet de loi est adopté ! 

La Commission européenne ne peut pas se permettre de faire mourir tout un artisanat et un savoir-faire

Ce sont les petits producteurs et les agriculteurs qui seront les premières victimes de cette mesure. Ne sont-ils pas déjà assez bridés dans leur métier comme ça ? Qui va les indemniser si on les empêche de travailler ? 

Et qu’allons-nous faire de toutes ces étendues de lavande si caractéristiques du sud de la France ? Les brûler ? 

Tout un écosystème est sur le point de s’effondrer ! 

Il y a urgence ! 

La Commission européenne doit rapidement prendre conscience que les huiles essentielles sont aujourd’hui indispensables

Elles ont de multiples vertus sur notre santé et sur notre bien-être physique et psychique. En cosmétique par exemple, elles sont capables de résoudre de nombreux problèmes de peau acné, imperfections, poils incarnés, inflammations, rougeurs… 

La Commission européenne doit rapidement prendre conscience de la spécificité des huiles essentielles : il n’est pas possible de les classer dans la même catégorie que les produits chimiques de synthèse que l’on trouve sur le marché

Si nous n’agissons pas maintenant, d’ici la fin de l’année : il sera plus facile de se procurer un produit potentiellement cancérigène qu’un cosmétique élaboré à partir d’un extrait de plante 100 % naturel !

C’est pourquoi nous exigeons que la Commission européenne adopte une législation spécifique et adaptée aux produits naturels dont font partie les huiles essentielles..

… Qui serait plus proche de la réalité ! 

Les huiles essentielles font partie de notre patrimoine culturel et naturel

Elles sont indispensables pour obtenir des cosmétiques durables, respectueux de notre peau et 100 % naturelles

Avons-nous, aujourd’hui, réellement envie de revenir aux produits toxiques et douteux suite aux mesures du Pacte Vert ? 

La réponse est NON ! 

Signez cette pétition pour faire savoir notre désaccord, sauver des emplois et pouvoir continuer à avoir des cosmétiques naturels sur le marché !

Aidez-moi à mobiliser vos proches, aidez-moi à faire renoncer l’Union Européenne.

Il y a urgence !

S’il vous plaît, signez ma pétition et faites-la signer autour de vous !

Un grand merci !

Pour signer la pétition

Sources

Auteur : Helena Wittkopf




15 octobre 2021 : radiation des soignants = autodafé du Serment d’Hippocrate

Par Lucien Samir Oulahbib

À écouter le dernier Conseil Scientifique indépendant (CSI) qui avait invité un spécialiste du SARS-CoV-2, il semble bien que, selon lui, les Autorités en place aient échoué, d’une part en employant imprudemment une technologie mal maîtrisée (d’où les doses à répétition par ailleurs périmées au bout de six mois), d’autre part en écartant des techniques préventives comme la vitamine D ; elles ont donc aggravé la situation. Alors que cette prévention articulée à une thérapie précoce pour les malades effectifs aurait pu représenter une barrière puissante évitant l’aventurisme affairiste auquel nous assistons actuellement.

Le second exposé, relatif au déni de l’existence de relations de causalité entre injections et effets secondaires, était également d’autant plus intéressant qu’il rappelait en effet que les industries du tabac avaient pendant longtemps rigoureusement nié les corrélations causales entre tabac et cancer du poumon. L’exposé se fragilise cependant inutilement en indiquant aussi comme exemple lesdites négations de « climato-sceptiques » concernant les liens entre hausse des températures (1,5 % sur 150 ans) et élévation de gaz dits à « effet de serre » (CO2, méthane, vapeur d’eau…) liée à l’activité humaine, car là, pour le coup, la démonstration n’est pas faite comme l’a indiqué François Gervais, spécialiste du CO2, en signalant d’une part que les 3/4 de l’augmentation du CO2 a émergé avant les années 1940 (donc avant le boom industriel des années 50-60) et que d’autre part l’on confond CO2 et CO. Le premier est bénéfique pour la végétation, à la différence du second qui du fait d’une combustion non aboutie sécrète des toxines toxiques qui sont cependant éliminées de mieux à mieux (ainsi les nouveaux pots catalytiques les éliminent à 98 %).

Ce qui fait que les relations causales dépendent de l’objet étudié et surtout de l’angle choisi : si l’on adopte par exemple un point de vue purement arithmétique, il est sûr qu’en lissant sur 500 ans le nombre d’incidences criminelles l’on peut trouver que la Cour des Miracles pouvait être plus dangereuse que Place Stalingrad aujourd’hui. Mais cette constatation académique ne vaut rien au niveau politique lorsqu’il s’agit de subir pour tout un chacun des perturbations vitales qui statistiquement pèsent peu alors qu’elles sont si importantes pour les personnes les vivant au quotidien. Il en est évidemment de même pour ces quartiers qui voient les « natifs » être réellement chassés par les nouveaux arrivants comme l’indiquent ces derniers temps ces nombreux exemples relatés par des maires courageux, même si cela ne forme encore qu’une poignée en ratio avec le nombre d’étrangers aux quartiers concernés ; mais dans ce cas, et si cela était si infime que cela, ce serait identique à ce qui est dit aujourd’hui concernant les effets secondaires des injections qui, comparés aux trois milliards de personnes en phase expérimentale, pèseraient peu au vu de leurs remontées encore infimes. Alors que cependant, l’on sait d’une part que des médicaments ont été arrêtés pour moins que cela et que d’autre part l’on ne connaît pas encore les effets à long terme de ces injections à AMM conditionnelle (et qui n’a pas été renouvelée aux dernières nouvelles), comme la prolifération actuelle des maladies auto-immunes et des cancers. C’est du moins ce que relatent plusieurs membres du CSI (à cette même séance) ; tout en espérant, à décharge, que les fonctions immunitaires naturelles des personnes en bonne santé ont en fait éliminé d’emblée cette inoculation (alors que celle-ci accentuerait la fragilité des personnes plus à risques ce qu’il faut creuser).

En tout cas, ce qui est à retenir et ce qui est très grave, c’est que l’on a adopté une technologie qui n’a guère d’effets positifs, car si l’on compare l’été 2020 et l’été 2021 l’écart létal n’est pas significatif avec ou sans injection. En effet, en juin 2020 avant l’arrivée de ce que l’on a appelé plus tard des « variants », causes des remontées de cas et de malades, la courbe était retombée sans injection (voir d’autres comparaisons ici dans l’étude animée par Laurent Toubiana). D’autre part, le fait d’avoir empêché les médecins de prescrire, y compris lorsqu’il n’y avait pas d’injections, est bien la preuve que le Serment d’Hippocrate aura été piétiné et, aujourd’hui mis au feu, puisqu’en cette date désormais maudite du 15 octobre 2021 (au même titre que celles du 5 août et du 12 juillet 2021), les soignants non injectés sont non seulement suspendus, mais interdits de pratiquer, ce qui est un scandale immense, inouï, inédit qui fera date.

Jamais en effet, pour une maladie si peu létale qui plus est, et alors que ces soignants savent prendre leurs précautions, une politique aussi brutale et cruelle, n’a été adoptée, montrant par là toute l’inhumanité d’une Secte sûre de son fait, prétentieuse, alors qu’elle s’est trompée sur toute la ligne (y compris sur l’efficacité supposée des « confinements », battue en brèche), croyant tout savoir sur l’immense complexité de la vie humaine. Alors qu’il faut toujours rester modeste, tant nous savons encore si peu de choses sur ce que le mot « santé » veut dire, du moins si l’on cherche à aller plus loin que cette remarque de Claude Bernard lorsqu’il indiquait pour celle-ci qu’il s’agissait déjà du « silence des organes », ce qui n’est pas rien, certes, mais nécessiterait sans doute de continuer à les sonder, tant le silence, surtout lorsqu’il est abyssal, décèle des causalités insoupçonnées, ce qui peut cependant permettre d’en prévenir les effets à venir si on laisse précisément les médecins faire librement leur travail.

Mais Claude Bernard est oublié. La médecine, les médecins, leurs longues, très longues années d’études et de pratiques, tout est jeté à la « poubelle de l’Histoire » au profit d’une vaste machinerie pseudo scientifique (scientiste en réalité) façon Frankenstein, Folamour, voire Menguele, tant expérimenter par exemple sur des enfants — qui ne font pas partie des catégories à « risques » (censées être par ailleurs « protégées » par l’injection) — s’avère être de plus en plus un crime contre l’Humanité, à tendance génocidaire. Ceci devra être bien sûr durement sanctionné, à commencer par tous ces sophistes de plateau qui sont les premiers responsables à avoir par exemple décrié les traitements précoces et surtout, comme l’indique Didier Raoult dans son dernier ouvrage, sont restés minutieusement silencieux devant ces manipulations de données dignes de pratiques cyniques nihilistes et en fait mafieuses.

C’est ce silence, plus que celui des « organes » qui est devenu inadmissible et doit donc être très durement sanctionné.




L’étude foireuse de Véran pour s’autojustifier

[Source : pgibertie.com]

Epi-Phare — des questions à poser sur la fameuse étude de Véran qui justifie Véran

… Covid-19 : une étude française confirme l’efficacité des vaccins sur plus de 22 millions de personnes

Fait sans précédent, ces deux analyses ont été réalisées sur un total de 22,6 millions de personnes. Ce sont « les études épidémiologiques analysant l’efficacité “en vie réelle” des vaccins qui portent sur le plus grand nombre de personnes dans le monde », souligne Antoine Flahault, professeur d’épidémiologie et directeur de l’Institut de santé globale à Genève. « Les études israéliennes sur le sujet, elles, ont inclus près de 6,5 millions de participants, les études britanniques 2,6 millions et les études nord-américaines 3,4 millions », précise l’épidémiologiste suisse.

Une étude  chez 15,4 millions de personnes âgées de 50 à 74 ans (7,7 millions vaccinées comparées à 7,7 millions non vaccinées) l’autre chez 7,2 millions de personnes âgées de 75 ans et plus (3,6 millions vaccinées comparées à 3,6 millions non vaccinées). Les deux cohortes ont été suivies jusqu’au 20 juillet 2021.

Une presse d’investigation se serait posée la question des conflits d’intérêt : Véran justifiant Véran  et surtout elle aurait lu l’étude

Il me semble utile de poser quelques questions sur la fiabilité de l’étude.

1) Il n’est pas vrai que la totalité des Français de plus de 50 ans soient incorporés dans cette étude et nous ne pouvons que le regretter…

L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200000

Ils auraient inventé un million d’habitants…

https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/france/structure-population/population-ages/

https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381474

Pour les 50 à 75 ans , ils en étudient 15,4millions, l’INSEE en compte 21M soit …

Ce serait donc plus de 85% des plus de 50 ans  en France qui auraient été suivis depuis le 11 février et jusqu’au 20 juillet , pour moitié  non vaccinés pour une autre moitié  à partir de la première dose

2) Toutes les hospitalisations covid n’ont pas été prises en compte

Un total de 26000 hospitalisés depuis  le 11 février  jusqu’au 20 juillet pour cause de covid selon l’étude

Au cours de cette même période selon Geodes nous en obtenons huit fois plus  pour les catégories concernées : 80% des hospitalisations covid ont disparu…

La Drees nous a habitué à des choix sélectifs et l’ont ne peut que s’en inquiéter.

Nous constatons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte pour les vaccinés , nous pouvons être certains qu’au moins 90%  des hospitalisés Covid ont été testé covid via un test pcr, mais ils ne doivent être que 60% des hospitalisés non vaccinés à être certifiés covid.

3) En réalité il n’y a pas eu de suivi de tous les Français de plus de 50 ans

mais des « appariements de vaccinés et non vaccinés pouvant être utilisés plusieurs fois, un non-vacciné servant  ensuite après la vaccination comme vacciné dans la poursuite de l’étude.

L’étude reconnait les appariements.

Les groupes « vaccinés » et « non vaccinés » ont été constitués, en appariant chronologiquement (du 27
décembre 2020 au 30 avril 2021) chaque sujet vacciné à un sujet non vacciné à la date de vaccination (ou
date index) de mêmes âge, sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans
PUI (pharmacie à usage intérieur)). Les personnes vaccinées et non vaccinées ont été suivies de la date
de vaccination jusqu’au 20 juillet 2021.

Nous retrouvons les même défauts dans une étude israélienne, la même opacité des données  avec plusieurs biais évidents :

Le biais chronologique reconnu de l’étude israélienne : risque de mettre dans le même couple un vacciné et un non vacciné  mais pour des périodes chronologiques différentes , les non vaccinés sont très nombreux pour les groupes âgés en pleine pandémie ( février mars  avril) et sils seront très exposés à la maladie. Si on les compare à un nombre équivalent de vaccinés  en mai ou juin , les vaccinés tomberont moins malades non parce qu’ils sont vaccinés mais parce que la pandémie est terminée…

Ils nous garantissent bien un appariement chronologique entre le 27 décembre et le 30 avril …Je veux bien mais il y a un os.

Très concrètement parlons des vaccinés Pfizer suivis après le 14e jour  post deuxième dose. Il y en a beaucoup parmi les plus de 75 ans après le mois de mai , qu’ils en aient trouvé  1M700 000 n’est pas difficile. Mais pour trouver un nombre équivalent de non vaccinés, il y a un os dans le yaourt…

Mais à qui feront ils croire qu’ils ont pu suivre un nombre équivalent  de plus de 75 ans  non vaccinés et de vaccinés après le 30 avril ? ….Au début mai il n’y avait en France que 1,5 millions de plus de 75 ans  , et leur nombre n’ a cessé depuis de diminuer…

À moins d’inventer un million de plus de 75 ans non vaccinés, l’étude était impossible à réaliser pour cette période faute d’effectifs

À moins de ne pas respecter l’appariement chronologique et de comparer ce qui ne l’est pas , des vaccinés

Merci de me rassurer.

Reprenons donc l’étude en attendant des précisions sur les comparaison s à long terme qui me posent problème.

Plus de 75 ans : le risque  d’hospitalisation réduit des deux tiers.

Non=vaccinés 5 471 / 3 645 744 (0.15 %)
Vaccinés à partir de la première dose 1 540 / 3 645 744 (0.04 %)

Pour les 50 74 ans Le risque d’hospitalisation  réduit de moins des deux tiers   et seulement de moitié avec moderna :

Non-vaccinés 13 223 / 7 754 912 (0.17 %)
Vaccinés après la première dose 4 317 / 7 754 912 (0.06 %)

On nous dit qu’il ne s’agit que des hospitalisations covid  Rien donc sur l’ensemble des hospitalisations qui auraient pu nous interpeler sur les effets secondaires. Cependant entreau cours de la deuxième semaine qui suit la première inoculation il se passe quelque chose d’étrange

Suivi du 7e jour jusqu’au 13e jour après la 1re dose :

Moderna

Non-vaccinés 139 / 288 795 (0.05 %)
Vaccinés 179 / 288 795 (0.06 %)

Pfizer

Non-vaccinés 1 926/ 2 823 965 (0.07 %)
Vaccinés 1 234 / 2 823 965 (0.04 %)

Il n’y a aucune différence [franche] entre vaccinés et non-vaccinés.

Une protection liée à la vaccination de un à trois pour les hospitalisations semble cohérente avec des statistiques d’autres pays.

Pour arriver à un à neuf il faut s’appuyer sur des comparaisons post deuxième doses qui butent sur des impossibilités démographiques étudiées plus haut.

CE QUE L’ON POUVAIT ATTENDRE.

Si l’on applique  la règle Véran ( le vaccin réduit la mortalité de 90% on tombe alors sur des absurdités statistiques). En effet sans le vaccin il faudrait multiplier par dix le nombre de morts vaccinés  pour avoir le nombre de décès évités

Sans le vaccin , cet été la France aurait eu plus de mort que l’hiver dernier avec deux fois moins de cas … Impossible

Israël et le Royaume Uni auraient dû avoir  depuis mars   trois fois plus de décès que n’en ont enregistré les statistiques de ces pays , bien plus que cet hiver

DEUX POSSIBILITES

  1. L’étude est truandée
  2. La France est protégée par Jupiter

Voir la démonstration par l’absurde sur Twitter  par un biologiste dissimulé par le pseudo Mounotella.

L’équipe de France Soir met en évidence d’autre biais :

Epi-phare, une étude d’auto-validation du ministre de la Santé (francesoir.fr)


[Source : francesoir.fr]

Epi-Phare, une étude d’auto-validation du ministre de la Santé

Une si petite chose, et tant d’effets
Pixabay

Auteur(s) : Pierre Chaillot, statisticien, Vincent Pavan, mathématicien, et Xavier Azalbert, pour FranceSoir

ANALYSE — Ce lundi 11 octobre, le groupement Epi-Phare a publié deux études affirmant que « la vaccination est efficace à plus de 90 % pour réduire les formes graves de Covid-19 chez les personnes de plus de 50 ans en France ». Cette étude sort à quatre jours des discussions au Sénat sur la vaccination obligatoire en France. Depuis près de 18 mois, les experts nous vantent les mérites des études randomisées en double aveugle publiées après revue par les pairs dans des journaux indépendants sans que les auteurs n’aient de lien d’intérêt. Le canon de la science nous dit-on, malgré le fait que nous avons dû faire face à une nouvelle maladie qui aurait dû entraîner au sein de la loi d’urgence des « décisions adéquates ». Les études définies comme « best practice » font l’objet de protocoles enregistrés (clinicaltrials.gov ou bien Prospero) afin de s’assurer que celles-ci respectent les normes et règles établies. Le lecteur de cette dernière étude ne pourra donc qu’être surpris de l’absence de déclaration préalable de cette étude ou de l’absence de revue par les pairs. Le « deux poids, deux mesures » dénoncés par bien des scientifiques lors des derniers mois prend toute sa mesure avec cette nouvelle étude qui s’apparente plus à une autoévaluation ou auto-validation du ministre de la Santé Olivier Véran. Avant de rentrer dans les biais méthodologiques, les travers de cette étude au niveau macro sont nombreux : absence de revue par les pairs, non-déclaration préalable, lien entre Epi-phare, l’ANSM et le ministère de la Santé, sans parler de l’absence de validation ou calibration au réel en comparant à d’autres pays.

Transparence

L’étude Epi-Phare mesure-t-elle vraiment l’impact de la vaccination ?

La méthodologie d’Epi-phare est sensiblement la même que celle utilisée pour Israël dans l’étude de Dagan et al, dont la critique a été faite dans l’article « A-t-on encore le droit de questionner la politique vaccinale ? » Elle utilise le même type de données, les mêmes outils d’analyses, porte donc les mêmes biais et arrive aux mêmes conclusions. Les résultats dépendent entièrement de la manière dont ont été remonté les hospitalisations et décès liés à la Covid-19.

Cette étude montre seulement que les vaccinés ont 90 % moins de chance d’être déclarés malades de la Covid-19 ou décédés de la Covid-19. Rien ne nous montre que les vaccinés sont réellement moins hospitalisés ou décédés que les non-vaccinés. Il serait pourtant très simple de vérifier si la vaccination a un impact positif sur la santé.

La méthode volontairement borgne, biaisée d’emblée

La méthode de cette étude est décrite en page 7 ou 8 selon l’une ou l’autre des deux études : La cohorte de sujets vaccinés a été identifiée à partir de la base des données nationales pseudonymisées VAC-SI mise en œuvre par l’Assurance maladie. Ces données ont été couplées au Système national des données de santé (SNDS) afin de décrire leurs caractéristiques sociodémographiques et leurs comorbidités ainsi que d’identifier la cohorte de sujets non vaccinée.

Cela signifie que l’étude peut suivre tous les événements intéressants des vaccinés et non vaccinés intervenant à l’hôpital et les comparer.

Les événements d’intérêt (hospitalisation pour COVID, décès survenant au cours de l’hospitalisation pour COVID-19) ont été définis à partir des données d’hospitalisation du Programme de médicalisation des systèmes d’information (PMSI) Fast Track collecté et restitué par l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH).

Cela signifie que seuls les évènements déclarés comme liés à la Covid-19 seront analysés. C’est un énorme biais.

En premier lieu, comme il a été montré dans la dernière revue des statistiques de la DREES, les non-vaccinés sont bien plus souvent testés que les vaccinés (pass sanitaire oblige). Ainsi, un non-vacciné a beaucoup plus de chance d’avoir un test positif qu’un vacciné.

Rappelons ici que la Haute autorité de santé considère que la spécificité des tests Covid-19 est de 98%. Ainsi, jusqu’à 2 % de faux positifs peuvent être comptabilisés. Tester massivement les non-vaccinés qui ne sont pas malades va nécessairement entraîner des comptages de faux positifs qui seront rangés dans la case « asymptomatique ». Si on testait tous les millions de petits garçons français avec un test de grossesse, on en trouverait forcément quelques-uns de positifs. Avec la nouvelle logique Covid, il faudrait donc les déclarer en « grossesse asymptomatique ».

Ainsi, tous ces non-vaccinés, surtestés et donc positifs par le hasard des choses, vont voir leurs évènements indésirables classés en « Covid ». Biaisant ainsi tous les résultats statistiques.

De plus, dans cette dernière critique sur les statistiques de la DREES, il a été montré que les non-vaccinés sont beaucoup plus souvent inscrits à l’hôpital dans la case Covid-19 que les vaccinés, même sans test positif de confirmation.

Chacun peut vérifier que dans le tableau 1 de sa dernière étude, la DREES informe des entrées à l’hôpital, soins critiques et décès pour cause Covid-19, selon le statut vaccinal et la présence d’un test RT-PCR positif. Ainsi, sur la période du 30 août au 5 septembre, 619 personnes ont été déclarées décédées de la covid-19 à l’hôpital. Parmi elles, 466 étaient non vaccinées et 130 avaient une vaccination complète. Étonnamment, seuls 61% des non-vaccinés déclarés décédés de la Covid avaient bien un test positif (286/466) contre 92% des vaccinés (119/130).

Cette étude d’Epi-Phare n’est pas une étude randomisée. Il ne s’agit pas d’un groupe d’étude et d’un groupe de contrôle choisis au hasard et portant des caractéristiques similaires. Cette étude est construite à partir de données administratives médicales. Il n’y a donc absolument aucun contrôle scientifique préalable sur leur qualité. Personne ne sait si la déclaration « hospitalisation Covid-19 » ou « décès Covid-19 » est sans biais relatif au statut vaccinal. Les statistiques semblent plutôt révéler un biais en accord avec des pressions politiques ou financières, comme nous avons pu le voir sur l’aspect « surdéclaration » expliqué dans cette vidéo ou l’étrange répartition géographique expliquée dans cet article.

Ainsi, ces études d’Epi-Phare contiennent les mêmes biais de sélections que les statistiques de la DREES, il est donc normal d’y retrouver les mêmes ordres de grandeur des résultats.

Une méthodologie complexe permet de masquer les incohérences

S’il y a bien une maladie qui s’est répandue depuis 2020 dans le monde scientifique, c’est la modélite aiguë. Désormais, toute étude semble devoir s’appuyer sur des modèles. Cela a le double avantage de donner un caractère sérieux à n’importe quel résultat trivial ou même invraisemblable, tout en éliminant toute relecture par des personnes non initiées à ces cascades. Lorsqu’on a été formé à comprendre les mécanismes de ces modèles, on est souvent surpris de la distance séparant le titre de l’étude des statistiques utilisées.

Un appariement étrange vaccinés/non-vaccinés

Concernant l’étude des 75 ans et plus, les auteurs annoncent page 5 suivre une cohorte de vaccinés et une cohorte de non-vaccinés en France, représentant 7,2 millions de personnes. Il est étonnant d’avoir les données d’autant de personnes puisque l’Insee estime la population de France (donc incluant les DOM-TOM) de plus de 75 ans à 6,4 millions de personnes. Une erreur de 800 000 personnes de la part de l’institut semblerait assez improbable, surtout s’il s’agit de personnes ayant leurs données SNDS disponibles.

À la page 11, les auteurs précisent : 2 486 060 (40,5%) sujets inclus uniquement dans le groupe « vaccinés », 2 486 060 (40,5%) sujets inclus uniquement dans le groupe « non vaccinés » et 1 160 913 (19,0%) sujets initialement inclus dans le groupe « non-vaccinés » puis devenus vaccinés par la suite, et donc inclus successivement dans le groupe « non-vaccinés » puis le groupe « vaccinés ».

Ainsi, la cohorte suivie serait en réalité de 6,1 millions de personnes (et pas 7,2), dont 1,1 million comptés 2 fois.

Ce double comptage est à la fois incompréhensible et problématique. Les auteurs écrivent en page 8 : 

Afin de rendre comparable les groupes « vaccinés » et « non vaccinés », nous avons constitué des couples (1 personne vaccinée et 1 personne non-vaccinée), en appariant chronologiquement (de 27 décembre 2020 au 30 avril 2021) chaque sujet vacciné à un sujet non vacciné à la date de vaccination (ou date index) de mêmes âge (même année de naissance), sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans PUI (pharmacie à usage intérieur)). Ces informations constituent les variables d’appariement. Les sujets non vaccinés (témoins) ne pouvaient être appariés qu’à une seule personne vaccinée. Si un sujet témoin était vacciné au cours du suivi, le suivi était aussitôt arrêté pour l’ensemble du couple auquel il appartenait, puis le sujet nouvellement vacciné était de nouveau éligible pour être inclus dans la cohorte en tant que vacciné.

Ainsi, avec cette méthode, les premiers vaccinés sont très rapidement sortis de l’étude puisqu’ils ont beaucoup de chance d’être appariés à un non-vacciné qui va se faire vacciner rapidement. Dès lors, il paraît tout à fait normal que l’étude ne soit pas capable de détecter de baisse d’efficacité vaccinale, puisqu’elle se débarrasse des primo-vaccinés au fur et à mesure. Les 1,1 million de comptés 2 fois signifient que l’étude de 1,1 million des 2,4 millions de vaccinés qui n’ont pas changé de groupe s’est arrêté précocement soit 45%.

Pourtant, il est trivial de savoir qui dans toute la cohorte sera un jour vacciné. Il ne faut donc pas apparier un vacciné avec un futur vacciné pour ne pas perdre son suivi.

Des non-vaccinés en bien mauvaise santé

Les auteurs ont apparié vaccinés et non-vaccinés selon quatre critères : même âge (même année de naissance), sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans PUI (pharmacie à usage intérieur)).

Pourtant, les nombreuses études à disposition montrent que l’état de santé d’une personne est déterminant sur son risque d’être hospitalisée ou même de décéder. À la page 16 de l’étude, on apprend que les non-vaccinés sont plus souvent :

  • En situation de grande défavorisation (indice 4 et 5)
  • Fragiles
  • Alcooliques
  • Obèses
  • Diabétiques
  • Fumeurs

Précisons à ce stade que les personnes défavorisées sont le plus souvent sous-diagnostiquées, ainsi les problèmes médicaux identifiés ont une probabilité plus grande d’être sous-estimés.

Il est donc « étonnant » que l’appariement n’ait pas eu lieu également sur ce type de critère qui risque fort de biaiser les résultats.

« Nous demandons que soit réalisé un appariement cohérent avec les variables affectant le résultat. »

Au lieu d’améliorer la qualité de l’appariement, les auteurs ont décidé d’établir une méthode pour corriger les biais des covariables citées. Le modèle de Cox est censé proposer des résultats sans biais. Pour appliquer cette méthode il faut supposer que l’évènement que l’on suit (décès ou hospitalisation) résulte d’une somme de facteurs et que certaines hypothèses soient vérifiées.

Ainsi, il faut que le risque porté par chaque covariable soit constant. Le modèle ne tient pas la route si le risque d’être hospitalisé pour Covid-19 lorsque l’on est fumeur dépend de la période de l’année. Étant donné que ce risque est fortement lié à la saison (beaucoup d’hospitalisations et de décès l’hiver et très peu l’été).

« Il faut donc que soient publiées les vérifications d’hypothèses permettant de justifier le modèle. »

Ajoutons que cette régression de Cox qui additionne des facteurs de risque n’a aucun sens si on considère que les risques ne s’additionnent pas. Ainsi, pour simplifier, si on considère que le risque porté par le fait de fumer et d’être obèse à la fois, est bien plus grand que le risque d’être fumeur additionné au risque d’être obèse, ce modèle ne tient pas non plus. Pourtant, cette augmentation du risque plus forte qu’un simple cumul semble bien probable dans la vraie vie. À l’inverse, si les risque ne s’additionnent pas et que le plus grand l’emporte, par exemple, le modèle s’écroule aussi.

Une méthode sans biais pourtant facile à mettre en œuvre

Il serait extrêmement facile pour Epi-Phare de retirer le biais de sélection sur l’enregistrement « Covid ». Il suffirait de garder la même étude, mais de choisir comme évènement d’intérêt « hospitalisation » et « décès », à la place d’« hospitalisation Covid » et « décès Covid ».

Cette étude permettrait en plus d’évaluer le bénéfice total de la vaccination, rapporté à ses risques. En effet, même si nous supposions que la déclaration Covid-19 n’a aucun biais de sélection entre non-vacciné et vacciné, il reste le biais lié à l’injection en elle-même. Si jamais l’injection est associée à une augmentation de la mortalité, même faible, des plus fragiles, alors les plus fragiles sont décédés avant d’être malades de la Covid-19. On trouvera alors un taux de mortalité lié à la Covid-19 plus faible chez les vaccinés, car certains seront morts avant.

Ainsi, comme pour l’étude de Dagan et al., nous demandons que soient considérés comme évènements d’intérêt les « décès » et « hospitalisations ». Cela nous permettra de savoir si ces injections ont un réel intérêt pour la santé publique.

D’autres personnes se sont interrogées sur cette étude

Sur les réseaux sociaux, plusieurs personnes se sont employées à critiquer cette pseudo-étude, comme Patrice Gibertie sur son blog Epiphare/des questions a poser sur la fameuse étude de veran qui justifie veran.

L’analyse la plus intéressante porte sur la validation exogène de l’étude en appliquant les données à d’autres pays comme Israël ou le Royaume uni pour analyser qu’en appliquant les ratios (1/10 décès de vaccinés) de l’étude Epi-Phare au Royaume uni il y aurait donc au 15650 décès de plus de 50 ans s’il n’y avait pas eu les vaccins. La calibration au réel est une phase essentielle de toute étude rétrospective et visiblement elle a été totalement omise de l’étude Epi=Phare comme si les autres pays n’existaient pas.

Et d’un point de vue de la dépense publique et du rapport coût-bénéfice ?

Il ne fait aucun doute que, si la Covid-19 est bien une maladie hautement contagieuse et mortelle dont les vaccins protègent à plus de 90%, il devrait apparaître nettement un intérêt de ces produits pour les décès et hospitalisations toutes causes.

Rappelons que cette demande a été clairement formulée par la Cour des comptes. Dans son rapport du 22 septembre 2021, la Cour des comptes analyse les statistiques mises à disposition par le gouvernement pour « informer » sur la situation actuelle et surtout justifier sa politique

La Cour des comptes est donc bien consciente que les statistiques estampillées « Covid » n’apportent absolument aucune information sur la situation sanitaire, et ce depuis le début de cette crise. Le terme « opaque » est bien évidemment le doux euphémisme de « propagande ».

Vu les sommes actuellement engagées dans cette politique vaccinale (5,7 milliards d’euros) alors qu’est maintenu le choix de supprimer les lits d’hôpitaux (-5 700 en 2020), il est plus que temps de prouver l’intérêt de cette stratégie, sans biais.

Un gain ridicule au regard de son coût

À partir de la page 23 sont listées les différences entre vaccinés et non-vaccinés selon la méthode utilisée. Même si nous n’avions pas relevé de problème de méthode dans cette étude, il faut réaliser le piètre bénéfice révélé ici.

Pour une somme engagée de 5,7 milliards d’euros, la politique du tout-vaccinal « permettrait » de passer d’un taux de 0,31% d’hospitalisation des personnes de 75 ans et plus à 0,03%, soit de 19 000 à 2 000 (-17 000 séjours) pour 6,2 millions de personnes. Pour les 20 millions de 50-74 ans, le risque passerait de 0,05% à 0,01%, soit de 9 000 à 1000 (-8 000).

Cela fait donc 5,7 milliards dépensés pour « éviter » 25 000 hospitalisations. En comparaison l’hôpital a enregistré en 2019 11,7 millions de séjours en hospitalisation complète et 17,6 millions de journées en hospitalisation partielle. Ce 25 000 est donc complètement insignifiant sur l’activité hospitalière française (0,21%) comme le révèle la quasi-impossibilité de l’observer graphiquement.

En revanche, en 2019, les dépenses de consommation de soins hospitaliers (secteurs public et privé, hors soins de longue durée) s’élèvent à 97,1 milliards d’euros. Les 5,7 milliards dépensés représentent près de 6 % de ce budget.

Constater un tel montant d’argent public ainsi dépensé au bénéfice des grands industriels pharmaceutiques, alors que le gain que l’État s’échine à vouloir justifier n’a pas le moindre rapport avec le coût de la vaccination, n’est qu’une preuve supplémentaire qu’à aucun moment depuis 18 mois il n’a été question de santé publique.

La transparence est le socle de toute étude scientifique, permettant à tous les chercheurs de réaliser des analyses sur la même base de données publiques. Si le gouvernement est aussi sûr de lui sur l’efficacité des vaccins, qu’il permette enfin aux chercheurs indépendants d’accéder aux données. C’est normalement le fondement de toute étude scientifique de nous permettre de réaliser aussi des analyses sur la même base. Pourquoi continuer à cacher des données pseudonymisées qui d’après eux prouvent le miracle de la vaccination en sauvant de nombreuses vies ? Ouvrez enfin les accès pour que nous puissions, nous aussi, être enfin convaincus par votre politique, au lieu d’avoir à subir vos conclusions sans pouvoir les vérifier.

Jacques Attali a bien déclaré que « faire confiance doit devenir un droit de l’Homme » et Lénine que « La confiance n’exclut pas le contrôle. » 

Auteur(s): Pierre Chaillot, statisticien, Vincent Pavan, mathématicien, et Xavier Azalbert, pour FranceSoir


[Source : pgibertie.com]

Même si Pascal Praud ne le veut pas, l’étude de Véran est foireuse

Non, Mr Praud vous ne pouvez renvoyer Yvan Rioufol dans les cordes par un simple argument d’autorité. L’étude EPI-PHARE est indigne, comparable à celle menée par la call-girl américaine pour discréditer l’hydroxychloroquine et permettre l’arrêt des expériences sur la molécule.

Non M Praud vous ne pouvez renvoyer Yvan Rioufol dans les cordes par un simple argument d’autorité. L’etude EPI PHARE est indigne, comparable a celle menée par la call girl américaine pour discréditer l’hydroxychloroquine et permettre l’arret des expériences sur la molécule.

Tout comme pour le Lancet Gate les observateurs découvrent le pot aux roses en mettant en évidence des impossibilités statistiques. J’avais exposé les mêmes remarques pour une étude qui prétendait suivre via des appariements presque toute la population israélienne. Depuis le biais chronologique a été reconnu : risque de mettre dans le même couple un vacciné et un non-vacciné, mais pour des périodes chronologiques différentes, les non-vaccinés sont très nombreux pour les groupes âgés en pleine pandémie (février mars avril) et ils seront très exposés à la maladie. Si on les compare à un nombre équivalent de vaccinés en mai ou juin, les vaccinés tomberont moins malades non parce qu’ils sont vaccinés, mais parce que la pandémie est terminée…

L’étude de Mr Véran s’en défend, mais alors nous nous heurtons à des impossibilités statistiques : comment trouver des non-vaccinés en nombre suffisant en mai juin juillet ?

L’étude explose sous les incohérences ! Les données de l’Assurance Maladies et celles de Santé publique France sont en contradiction sur de multiples points avec celles de ladite étude. Vérifiez !

Si l’on applique la règle Véran (le vaccin réduit la mortalité de 90 % on tombe alors sur des absurdités statistiques). En effet sans le vaccin il faudrait multiplier par dix le nombre de morts vaccinés pour avoir le nombre de décès évités

sans le vaccin, cet été la France aurait eu plus de morts que l’hiver dernier avec deux fois moins de cas… Impossible

Israël et le Royaume-Uni auraient dû avoir depuis mars trois fois plus de décès que n’en ont enregistré les statistiques de ces pays, bien plus que cet hiver

Aux 722 décédés britanniques non vaccinés il faudrait rajouter 1700 vaccinés décédés et donc 17 000 décédés évités par le vaccin selon Véran. 20 000 MORTS au lieu de 2400… Impossible !

Vous avez lancé un appel à témoignage, nous serons des centaines d’universitaires à vous répondre sur tous les points précis, mais en attendant :

Comment expliquez-vous que cette étude qui prétend suivre 22 millions de Français sur plusieurs mois puisse y parvenir ?

Le diable se cache dans les détails :

20 % DES PLUS DE 55/74 ANS FUMENT, l’étude n’en trouve que 5 %.

10 % DES PLUS DE 74 ANS FUMENT L’ÉTUDE EN TROUVE 1 %.

Les statistiques officielles comptent 170 000 personnes prises en charge pour Parkinson dans toute la France, l’étude en trouve le double pour les plus de 50 ans.

Des différences inexplicables en plus ou en moins sont vérifiables pour le diabète ou Alzheimer.

Les groupes de non-vaccinés sont deux fois plus nombreux à ne pas être vaccinés contre la grippe. Les lecteurs de ce blog n’ignorent pas que la moitié des Covid graves sont associés à une grippe préparant le terrain à la Covid.

la différence est conséquente pour les plus de 75 ans parmi lesquels on compte 700 000 non vaccinés contre la grippe de plus dans le groupe des non-vaccinés Covid.

L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200 000

1,1 M DE VACCINES AURAIENT ÉTÉ COMPTES ET APPARIES DEUX FOIS

Au début de la période considérée 1,1 M de vaccinés contre I, 1 million de non vaccinés, mais au fur et à mesure où les non-vaccinés se font vacciner, ils deviennent dans l’étude des vaccinés et sont appariés à de nouveaux non vaccinés. Les 1,1 M de vaccinés avec lesquels ils étaient appariés sont retirés définitivement de l’étude et par conséquent cessent d’être suivis. S’ils tombent malades par la suite, au pire moment de la pandémie, cela ne sera pas pris en compte.

Étudions ce qui se passe au cours du dernier mois de ladite étude

CONTRADICTION ENTRE SANTÉ PUBLIQUE France ET L’ÉTUDE EPI-FOIRE : 600 vaccinés hospitalisés manquent à l’appel en juillet

Entre le 20 juin et le 21 juillet selon Geodes nous avons eu en tout 730 hospitalisations de plus de 75 ans

Par ailleurs selon Epi Phare l’étude se serait poursuivie avec en appariement un million de non vaccinés de cette tranche d’âge, soit a minima, tous ceux qui vivent dans le pays à ce moment-là…

Et un million de vaccinés (faciles à trouver). Mais à qui feront-ils croire qu’ils ont pu suivre un nombre équivalent de plus de 75 ans non vaccinés et de vaccinés après le 30 avril ? … Au début mai il n’y avait en France que 1,5 million de plus de 75 ans, et leur nombre n’a cessé depuis de diminuer…

Toujours selon EPI-PHARE il y aurait eu pour tous les non-vaccinés disponibles dans le pays 154 hospitalisations… On devrait en déduire que les hospitalisés vaccinés de plus de 75 ans sont 730-154 soit 576… Pas du tout ils n’en trouvent que 25

Problèmes majeurs c’est de cette période que l’on tire les enseignements sur l’efficacité à long terme des vaccins contre le Delta

En recoupant les statistiques de l’étude avec celles de la DREES, nous observons deux biais majeurs :

  • les vaccinés se font tester dix fois moins que les non-vaccinés ce qui rend impossibles les comparaisons de risques de contamination entre les deux catégories. Les études sérieuses portent sur la charge virale dans les muqueuses, elle est identique ce qui démontre que la vaccination ne protège pas de la contamination
  • nous pouvons être certains qu’au moins 90 % des hospitalisés vaccinés Covid ont été testés Covid via un test PCR, mais ils ne doivent être que 60 % des hospitalisés non vaccinés à être certifiés Covid

La sous-évaluation des vaccinés hospitalisés est donc là encore évidente !




La poliomyélite, une escroquerie médicale de plus ?

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

L’histoire de la polio

La maladie la plus souvent invoquée pour défendre les vaccins est sans conteste la poliomyélite. Par coïncidence, c’est aussi le plus grand mensonge et la plus grande escroquerie médicale de tous les temps. Les toxines causant la “polio” sont bien documentées. Le virus responsable de la polio n’a jamais existé.

Une infirmière assiste un patient de 27 ans dans un poumon d’acier à Syracuse, N.Y., en 1954

1824 : Les ouvriers métallurgistes souffraient depuis des siècles d’une paralysie similaire à la polio, causée par le plomb et l’arsenic présents dans les métaux qu’ils travaillaient. Le scientifique anglais John Cooke observe : “Les fumées de ces métaux, ou leur réception en solution dans l’estomac, provoquent souvent des paralysies”.

1890 : Aux États-Unis, on commence à pulvériser de l’arséniate de plomb jusqu’à 12 fois par été pour tuer le carpocapse des pommes.

1892 : Des épidémies de polio commencent à se produire dans le Vermont, une région de culture de pommes. Dans son rapport, l’inspecteur du gouvernement, le Dr Charles Caverly, note que les parents signalent que certains enfants tombent malades après avoir mangé des fruits. Il déclare que ” la paralysie infantile se produit généralement dans des familles comptant plusieurs enfants, et comme aucun effort n’a été fait pour les isoler, il est très probable qu’elle n’est pas contagieuse ” (un seul enfant de la famille ayant été touché).

1907 : L’arséniate de calcium est utilisé principalement sur les cultures de coton.

1908 : Dans une ville du Massachusetts comptant trois usines de coton et des vergers de pommiers, 69 enfants tombent soudainement malades de paralysie infantile.

1909 : Le Royaume-Uni interdit les importations de pommes en provenance des États-Unis en raison de la présence de résidus importants d’arséniate de plomb.

1921 : Franklin D. Roosevelt développe la polio après avoir nagé dans la baie de Fundy, au Nouveau-Brunswick. La toxicité de l’eau pourrait être due à des écoulements polluants.

1943 : Introduction du DDT, un pesticide neurotoxique. Au cours des années suivantes, son utilisation se généralise dans les foyers américains. Par exemple, du papier peint imprégné de DDT a été placé dans les chambres d’enfants.

1943 : Une épidémie de polio dans la ville britannique de Broadstairs, dans le Kent, est liée à une laiterie locale où les vaches étaient lavées au DDT.

1944 : Albert Sabin rapporte qu’une cause majeure de maladie et de décès des troupes américaines basées aux Philippines était la poliomyélite. Les camps militaires américains y sont pulvérisés quotidiennement avec du DDT pour tuer les moustiques. Les colonies philippines voisines n’ont pas été touchées.

1944 : Le NIH rapporte que le DDT endommage les mêmes cellules de la corne antérieure qui sont endommagées dans la paralysie infantile.

1946 : Gebhaedt montre que la saisonnalité de la polio est en corrélation avec la récolte des fruits.

1949 : Le Dr Morton Biskind, endocrinologue, praticien et chercheur médical, constate que le DDT provoque ” des lésions de la moelle épinière similaires à celles de la polio humaine “.

1950 : Le directeur médical de l’hygiène industrielle de la santé publique américaine, J.G. Townsend, note la similitude entre l’empoisonnement au parathion et la polio et pense que certaines polio pourraient être causées par la consommation de fruits ou de légumes contenant des résidus de parathion.

1951 : Le Dr Biskind traite ses patients atteints de polio comme des victimes d’empoisonnement, en éliminant les toxines de la nourriture et de l’environnement, en particulier le lait et le beurre contaminés par le DDT. Le Dr Biskind écrit : “Bien que les jeunes animaux soient plus sensibles aux effets du DDT que les adultes, dans la mesure où la littérature disponible est concernée, il ne semble pas que les effets de telles concentrations sur les nourrissons et les enfants aient même été pris en compte.

1949-1951 : D’autres médecins déclarent avoir du succès dans le traitement de la polio avec des antitoxines utilisées pour traiter les empoisonnements, le dimercaprol et l’acide ascorbique. Exemple : Le Dr. F. R. Klenner rapporte : Lors de l’épidémie de poliomyélite en Caroline du Nord en 1948, 60 cas de cette maladie ont été pris en charge… Le traitement consistait en des doses massives de vitamine C toutes les deux à quatre heures. Les enfants jusqu’à quatre ans recevaient une injection de vitamine C par voie intramusculaire… Tous les patients étaient cliniquement bien portants au bout de 72 heures.”

1950 : Le Dr Biskind présente au Congrès américain des preuves que les pesticides sont la principale cause des épidémies de polio. Il est rejoint par le Dr. Ralph Scobey qui déclare avoir trouvé des preuves évidentes d’empoisonnement en analysant les traces chimiques dans le sang des victimes de la polio.

Commentaire : C’était un non-lieu. La théorie de la causalité virale ne devait pas être remise en question. Les carrières d’éminents virologues et d’autorités sanitaires étaient menacées. Les idées de Biskind et Scobey sont tournées en ridicule.

1953 : Les vêtements sont rendus imperméables aux mites en les lavant dans de l’EQ-53, une formule contenant du DDT.

1953 : Le Dr Biskind écrit : “On savait déjà en 1945 que le DDT était stocké dans les graisses corporelles des mammifères et qu’il apparaissait dans leur lait… pourtant, loin d’admettre une relation de cause à effet entre le DDT et la polio qui est si évidente et qui, dans n’importe quel autre domaine de la biologie, serait immédiatement acceptée, pratiquement tout l’appareil de communication, tant profane que scientifique, a été consacré à nier, dissimuler, supprimer, déformer et tenter de convertir en son contraire cette preuve accablante. La diffamation, la calomnie et le boycottage économique n’ont pas été négligés dans cette campagne”.

1954 : Une législation reconnaissant les dangers des pesticides persistants est promulguée, et l’élimination progressive du DDT aux États-Unis s’accélère parallèlement à un transfert des ventes de DDT vers les pays du tiers monde.

(Notez que l’élimination progressive du DDT coïncide avec le début de la vaccination généralisée contre la polio. Cela dit, les cas de polio ne montent en flèche que dans les communautés qui acceptent le vaccin antipoliomyélitique, car ce dernier contient des métaux lourds et d’autres toxines, de sorte que le récit de la paralysie recommence. Comme les vaccins contre la polio provoquent d’énormes pics de polio, le public mal informé demande davantage de vaccins contre la polio et le cycle s’emballe de manière exponentielle).

1956 : l’American Medical Association impose à tous les médecins agréés de ne plus classer la polio comme telle. Tous les diagnostics de polio sont rejetés au profit du syndrome de Guillian-Barre, de la PFA (paralysie flasque aiguë), de la paralysie de Bell, de l’infirmité motrice cérébrale, de la SLA (maladie de Lou-Gehrig), de la SEP, de la MD, etc. Ce tour de passe-passe a été fabriqué dans le seul but de donner au public l’impression que le vaccin contre la polio avait réussi à faire reculer la polio ou à l’éradiquer. Le public a mordu à l’hameçon et, jusqu’à ce jour, de nombreux arguments en faveur des vaccins sont alimentés par le mensonge fabriqué concernant l’éradication de la polio par le vaccin.

1962 : Publication de Silent Spring de Rachel Carson.

1968 : Abandon de l’homologation du DDT aux États-Unis.

2008 : La paralysie flasque aiguë (PFA) fait toujours rage dans de nombreuses régions du monde où l’utilisation de pesticides est élevée, et où le DDT est toujours utilisé. La PFA, la sclérose en plaques, la paralysie de Bell, l’infirmité motrice cérébrale, la sclérose latérale amyotrophique (maladie de Lou Gehrig) et le syndrome de Guillain Barré sont tous des diagnostics de type “panier de crabes”, aux symptômes similaires, liés à l’empoisonnement par les métaux lourds et à une charge toxique élevée.

2008 : L’OMS déclare sur son site web : Il n’y a pas de remède à la polio. Ses effets sont irréversibles”.

Conclusion :

La croyance moderne selon laquelle la polio est causée par un virus est une tragédie permanente pour les enfants du monde. Les fonds publics sont gaspillés pour des vaccins inutiles et dangereux alors que les enfants pourraient être traités avec des antitoxines. Un débat sur le mythe de la vaccination est justifié, ainsi qu’une enquête complète sur le véritable programme exécuté contre l’humanité, impliquant la science, les produits chimiques, les vaccins, le domaine médical en général et le gouvernement.

[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Propositions de ressources pour vérifier ces informations :
https://learntherisk.org/vaccines/diseases/#Polio
https://www.westonaprice.org/health-topics/environmental-toxins/pesticides-and-polio-a-critique-of-scientific-literature/

Source (anglais) : https://truth11.com/2021/10/09/the-history-of-polio-the-go-to-disease-to-defend-vaccines-is-polio-coincidently-its-also-the-greatest-lie-and-medical-con-job-of-all-time/




La secrétaire de presse de la Maison Blanche qualifie les vaccinés de « personnes marquées » — La marque de la bête !

[Source : Hal Turner Radio Show]

Le 10 septembre 2021, la Maison Blanche a diffusé en direct sur Internet une conférence de presse à laquelle participait l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki.  Une grande partie de cette conférence de presse portait sur l’annonce faite précédemment par le président qu’il allait obliger les entreprises de 100 employés ou plus à faire vacciner leurs employés contre le COVID-19.

Ce mandat met les gens dans une position où ils doivent soit accepter une thérapie génique expérimentale dans leur corps, soit perdre leur gagne-pain.  C’est de la coercition et de l’extorsion.

Depuis cette annonce, de plus en plus d’efforts ont été déployés, tant aux États-Unis qu’à l’étranger, pour obliger les gens à se faire vacciner contre le COVID.  Au Canada, par exemple, les autorités québécoises ne se contentent pas d’exiger que les travailleurs de la santé se fassent vacciner, mais si ces derniers refusent, ils ne seront pas simplement renvoyés de leur emploi, mais leur LICENCE de soins de santé sera révoquée afin qu’ils ne puissent pas aller travailler ailleurs !

Le niveau de « pression » pour prendre cette modification génétique est si fort, et le refus de la prendre est si répandu que l’intimidation draconienne, la coercition et l’extorsion pour prendre la modification génétique, semblent maintenant la norme.

Les raisons pour lesquelles de nombreuses personnes rejettent le vaccin sont valables : Il provoque des caillots sanguins qui entraînent des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques chez de nombreux patients.  Plus de 14 000 Américains sont déjà morts quelques jours seulement après avoir pris le vaccin.  Certains meurent en quelques minutes !

Chez les jeunes, le vaccin a provoqué des myocardites, c’est-à-dire des gonflements du muscle cardiaque… et des péricardites, c’est-à-dire des gonflements de la paroi du cœur.  Statistiquement, les jeunes qui souffrent de myocardite ont un taux de mortalité de vingt pour cent dans l’année et de cinquante pour cent dans les cinq ans.  En d’autres termes, la moitié d’entre eux meurent.  Sur les quelque 9 millions de jeunes qui ont pris le vaccin, 360 000 ont contracté une myocardite.  Statistiquement, la moitié d’entre eux (180 000) seront MORTS dans les cinq ans !
Pourtant, le pouvoir en place continue de faire pression pour que ce vaccin soit administré à un nombre croissant de personnes.   

Dès le début de la distribution du soi-disant vaccin COVID-19, on a appris que les soi-disant « vaccins » ne contenaient pas le contenu typique d’un vaccin.   Habituellement, un vaccin contient une petite quantité du virus réel, soit vivant, soit atténué pour le rendre plus faible.  Ce n’est pas le cas des vaccins COVID.   Habituellement, les vaccins contiennent des versions « ADN recombinant » du virus, où des gènes du virus réel sont génétiquement remplacés par des gènes de levure, de sorte que l’extérieur du virus conserve son apparence, mais que l’intérieur est constitué de levure inoffensive.  Les vaccins COVID ne contiennent pas cela non plus.

La plupart des vaccins COVID contiennent de l’ARN messager (ARNm), l’un des messagers les plus fondamentaux des blocs de construction de l’ADN du corps humain.  L’ADN dit à l’ARN ce qu’il doit faire ; l’ARN dit ensuite à toutes les cellules de notre corps ce qu’elles doivent faire. Étrangement, l’ARN a la capacité de modifier l’ADN par l’action de la transcriptase inverse.   Une fois que l’ADN est modifié, il ne peut jamais – JAMAIS – être remis dans sa forme originale.  Il est modifié à jamais.

Ce fait a conduit certaines personnes à demander :

« Si l’ARNm modifie notre ADN, sommes-nous encore humains ? ». 

D’autres ont demandé,

« puisque la Cour suprême des États-Unis a statué que personne ne peut breveter une substance naturelle, mais peut breveter des substances modifiées, si le fait de permettre à l’ARNm de modifier notre ADN fait de nous la propriété de la société qui a modifié notre ADN ?  Sommes-nous un nouveau produit maintenant ? »

Enfin, certains sont allés jusqu’à demander :

« Notre Créateur, Dieu, nous reconnaîtrait-il comme siens une fois que notre ADN a été modifié ? ». 

C’est cette question que beaucoup de gens ont trouvé la plus troublante, car les croyants de la Bible ont été mis en garde depuis des générations contre « la marque de la Bête ».

Sans entrer dans les interprétations sans fin des passages bibliques, nous présentons simplement ce que dit la Bible :

1 Puis je vis monter de la mer une bête qui avait sept têtes et dix cornes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème.
2 La bête que je vis ressemblait à un léopard; ses pieds étaient comme ceux d’un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, son trône et une grande autorité.
3 Une de ses têtes paraissait blessée à mort; mais sa plaie mortelle fût guérie, et toute la terre, saisie d’admiration, suivit la bête,
4 et l’on adora le dragon, parce qu’il avait donné l’autorité à la bête, et l’on adora la bête, en disant:  » Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle? « 
5 Et il lui fut donné une bouche proférant des paroles arrogantes et blasphématoires, et il lui fût donné pouvoir d’agir pendant quarante-deux mois.
6 Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, son tabernacle et ceux qui habitent dans le ciel.
7 Et il lui fut donné de faire la guerre aux saints et de les vaincre; et il lui fût donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue et toute nation.
8 Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dans le livre de vie de l’Agneau immolé, dès la fondation du monde.
9 Que celui qui a des oreilles entende!
10 si quelqu’un mène en captivité, il sera mené en captivité; si quelqu’un tue par l’épée, il faut qu’il soit tué par l’épée. C’est ici la patience et la foi des saints.
11 Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui portait comme un dragon.
12 Elle exerçait toute la puissance de la première bête en sa présence, et elle amenait la terre et ses habitants à adorer la première bête, dont la plaie mortelle avait été guérie.
13 Elle opérait aussi de grands prodiges, jusqu’à faire descendre le feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes,
14 et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête, persuadant les habitants de la terre de dresser une image à la bête qui porte la blessure de l’épée et qui a repris vie.
15 Et il lui fut donné d’animer l’image de ta bête, de façon à la faire parler et à faire tuer tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête.
16 Elle fit qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front,
17 et que nul ne pût acheter ou vendre, sil n’avait pas la marque du nom de la bête ou le nombre de son nom.
18 C’est ici la sagesse! Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la bête; car c’est un nombre l’homme et ce nombre est six cent soixante-six.

La Bible indique donc que les habitants de la terre seront séduits [Ndlr : « ensorcelés », « hypnotisés »…] et devront accepter une marque pour pouvoir acheter ou vendre.

Qu’est-ce que le monde voit se dérouler en ce moment même avec la marque du COVID ?   Nous voyons les gens se faire dire qu’ils ne peuvent pas sortir, qu’ils ne peuvent pas entrer dans les magasins (acheter ou vendre) sans quoi ?  Le vaccin !

Et quel est l’un des ingrédients du vaccin COVID ?  « Luciférase »… le nom de Lucifer !

Pourtant, alors qu’une myriade de personnes, même des experts religieux, ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour expliquer aux gens que les vaccins COVID ne sont PAS la « marque de la bête », l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a laissé échapper le contraire.  Lors du point de presse du 10 septembre, Psaki, depuis le podium de la salle de presse de la Maison Blanche, a répondu à une question des journalistes sur le mandat de Biden en disant ce qui suit :

« Ce que vous avez entendu le président transmettre hier, ce sont les prochaines mesures qu’il prend, en utilisant tous les leviers du gouvernement, pour réduire, euh, les maladies, pour réduire les hospitalisations, pour protéger les personnes marquées, et sauver plus de vies. »   [Ndlr : « Marked people » en anglais.]

Elle l’a vraiment dit, PERSONNES MARQUÉES.
PERSONNES MARQUÉES !!!!!!!!

Avancez jusqu’à 1:11:50 dans la vidéo ci-dessous, et vous entendrez la journaliste poser la question à Psaki et vous verrez et entendrez Psaki le dire elle-même :

Personne ne fait une telle erreur.  Personne ne substitue le mot « marqué » [« marked » en anglais] à « plus » [« more » en anglais].  

Pourtant, c’est exactement ce que le secrétaire de presse de la Maison Blanche a dit.  « Des personnes marquées. »

Commentaire d’Hal Turner

Ne vous laissez pas tromper.  Vous connaissez maintenant la vérité.  Vous l’avez entendue de leur propre bouche.
Les vaccinés sont des « personnes marquées ».  Quelle autre marque aurait-elle pu vouloir dire, sinon la marque de la bête ?

Une fois que vous l’aurez entendu de vos propres oreilles, si vous restez assis là, complètement étonnés, vous ne serez pas les seuls.   J’ai été complètement abasourdi de l’entendre moi-même.

C’est aussi clair que le jour.  Aussi clair que le nez au milieu de ma figure.  « Les personnes marquées. »
Un certain nombre d’entre vous m’ont dit que nous vivions dans les derniers jours.   J’ai eu du mal à le croire, mais après cela… wow!… c’est ce que je vois.  

En fait, compte tenu de ce que je vois, il semble maintenant que notre gouvernement national soit dirigé par Satan lui-même.

Non, merci.


[Note de Joseph :
L’élément le plus abondant de la croûte terrestre est la silice (SIO2) composée de silicium et d’oxygène.
Le silicium est la base des puces électroniques qui équipent tous les ordinateurs, tablettes, téléphones prétendument intelligents, et même la plupart des appareils électroniques et électroménagers, jusque dans les voitures.
Il est la base de l’informatique pratique, et se trouve donc derrière le fonctionnement de tous les logiciels sans lesquels une bonne partie des miracles de la technologie moderne ne seraient pas accomplis.
Les États-Unis et leur pouvoir bicéphale (ou bicorne) Démocrate-Républicain représentent la terre de naissance de l’informatique moderne, notamment avec la Silicon Valley.
La Bête de la terre peut donc symboliser à la fois les États-Unis et l’informatique.
La science s’est corrompue en scientisme technologique répandu sur la Terre entière au point de devenir comme une véritable religion mondiale dont les dogmes et croyances ne se discutent pas plus que ceux du catholicisme en nette perte d’influence. Le dogme vaccinal et celui du réchauffement climatique anthropique, par exemple, sont indiscutables aux yeux des grands-prêtres médiatiques qui font office de nouveaux inquisiteurs devant toute déviation de la pensée unique. Les discuter, les remettre en question, c’est s’exposer à l’excommunication de l’église scientiste, voire au bûcher pour sorcellerie.

Voir aussi :
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist]




Florian Philippot : « Covid — fin de partie pour cette MAFIA internationale ! »

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Lettre ouverte aux journalistes diffamateurs

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Maryse Laurence Lewis

Ce texte a été motivé par la lecture d’un article rédigé par la psychologue Geneviève Beaulieu-Pelletier, publié dans le journal le Soleil.(([1] https://www.lesoleil.com/actualite/science/neuf-barrieres-psychologiques-derriere-le-refus-de-la-vaccination-314dc917f0c619c1956b5396bbdf5f51))

Les gens qui refusent actuellement la vaccination, et dont on parle tant, sont en fonction dans les hôpitaux et les CHSLD. Contrairement aux journalistes des grands médias, leurs études englobent l’anatomie, la biologie, la connaissance des substances chimiques. De plus, même pour les préposés n’ayant pas cette formation, ceux-ci et le personnel soignant sont en contact direct avec les patients. Donc, mieux placés que quiconque pour savoir combien de malades décèdent réellement de la Covid-19 et combien de cas lui sont attribués par “co-morbidité”, alors que des centaines de patients sont hospitalisés pour des maladies respiratoires, cardiaques ou pour faiblesses immunitaires. Selon la Société Canadienne du Cancer, ce sont en moyenne 228 personnes par jour, au Québec et au Canada, qui meurent de cette maladie. (Des conspirationnistes, sans doute!) Excluant les cas habituels de mortalité par grippes saisonnières, malgré la vaccination effectuée chaque automne, depuis des années. Faites le compte et n’allez pas insinuer que ces causes de décès n’existent plus, et ne confondez pas les détections supposées de cas positifs d’avec les individus réellement atteints par un virus.(([2] https://cancer.ca/fr/research/cancer-statistics/cancer-statistics-at-a-glance))

La publicité mensongère

Dans les publicités gouvernementales, radiodiffusées ou livrées par la poste aux citoyens, on affirme que la vaccination ne présente aucun risque. Même l’Organisation Mondiale de la Santé mentionne les effets secondaires possibles et les incertitudes. Sans doute, les journalistes des grands médias et le gouvernement ignorent-ils ce qu’est un choc anaphylactique ou le syndrome de Guillain Barré. Et on insulte ceux qui refusent la vaccination et qui, eux, savent la différence entre les quatre types de vaccins que l’on administre en ce moment.(([3] https://www.who.int/fr/news-room/q-a-detail/coronavirus-disease-(covid-19)-vaccines?adgroupsurvey))

De même, Mme Beaulieu-Pelletier affirme que les vaccins dérivent de techniques connues depuis longtemps. En ce qui concerne le vaccin des Chinois, oui. Ce sont d’ailleurs eux qui ont inventé le principe des vaccins, bien avant Pasteur! Dans “Les voyages de Potocki”, en 1791, cet aventurier polonais le confirme, durant un périple au Maroc, un père montrait fièrement son enfant vacciné, grâce au procédé utilisé en Chine et en pays musulmans pour contrer la variole.(([4] Jean Potocki, Voyages, Éditions Garnier-Flammarion, publication de 2015.))

Si on parle de vaccin à virus inactivé ou atténué, oui, la technique est maîtrisée depuis longtemps. De vaccin à véhicule viral ou protéine recombinante, c’est plus récent, mais déjà testé. Quant aux doses de Moderna et Pfizer, toutes les deux utilisant un brin d’ARN, il est totalement faux de prétendre que cette technique est éprouvée et que les tests sur les humains sont achevés. Bill Gates n’est pas un philanthrope, il a investi dans tous les vaccins, sauf celui des Russes, et s’il se préoccupait de la santé des Africains, il n’aurait pas fait entreposer ses doses dans un hangar à 28 degrés Celsius, alors que même un congélateur ordinaire ne suffit pas à conserver adéquatement ces composés à l’ARN. 

L’Esprit critique, c’est justement savoir rejeter les sites farfelus et s’informer au-delà des médias subventionnées par des entreprises privées et des monopoles financiers. Et surtout, se renseigner auprès des scientifiques qui ne sont pas en collusion avec les entreprises pharmaceutiques. Celles-ci ont d’ailleurs exigé des États de ne jamais être tenues responsables de l’inefficacité ou des dommages entraînés par leurs vaccins. De plus, si les vaccins s’avéraient si efficaces, le peu d’individus non vaccinés ne pourraient contaminer ceux qui ont reçus les deux doses, et auxquels on en proposera une troisième, une quatrième… Étant donné qu’il existe une cinquantaine de laboratoires de niveau P4 où l’on conserve les pires virus, cette histoire n’aura de fin que lorsqu’on les interdira.

Si j’en avais les moyens, j’initierais un procès en diffamation et pour non respect de la neutralité journalistique, entre autres, à Mme Marie-Andrée Chouinard et à Richard Martineau, à Mme la Bien-Pensante psychologue, ainsi qu’aux responsables d’Info-sectes qui confondent les gens lucides et les  instigateurs de groupes ésotériques. Ces journalistes trahissent leur rôle de média d’information en ne présentant pas les arguments des gens qui s’opposent à la vaccination obligatoire. Ils sont incapables de justifier ou décrire les particularités des vaccins, ne sont aptes qu’à insulter ceux qui savent pourquoi ils ne désirent pas devenir cobayes pour des entreprises n’ayant rien de philanthropiques. Les gens qui défendent la liberté de recevoir ou de refuser le vaccin, lié à la Covid, ne sont pas des ignorants aux prises avec des problèmes psychologiques. Au lieu de confondre les amateurs de sectes, les visionnaires d’extraterrestres et autres fabulateurs d’avec les gens conscients, formés en médecine ou en biologie, Mme Beaulieu-Pelletier ferait mieux de soigner de véritables complotistes et pervers tel que Klaus Schwab, le fondateur du Forum Économique Mondial et les membres de la Fondation Rockefeller.

[Note de Joseph : les personnes qui ont vu des entités non humaines, supposément extraterrestres ou d’une autre nature, ou celles qui pensent que celles-ci peuvent réellement exister ne sont pas du tout nécessairement des fabulateurs ni des tarés. Un nombre non négligeable de scientifiques en font partie, dont des astronomes professionnels. Quant aux sectes, n’importe qui peut s’y retrouver embarqué sans s’en rendre compte au départ, parce qu’il traverse une période de vulnérabilité, ou parce qu’il trouve un groupe sympathique, ou encore parce que les idéaux, les philosophies, ou les modes de vie présentés l’attirent. Des individus de tous milieux socioculturels, de toutes professions, et de n’importe quel QI s’y sont déjà retrouvés.

Le procédé qui consiste à dénigrer des groupes humains pour tenter de revaloriser celui auquel on s’identifie est beaucoup trop facile. S’il y a présentement un combat contre l’Humanité, peut-être vaut-il mieux éviter de se tromper d’adversaire ou de s’en créer inutilement. Cette dernière se trouve déjà suffisamment divisée.]

Le premier publiant sans censure des élucubrations transhumanistes dans sa “Quatrième révolution industrielle” et les seconds ayant financé les recherches eugénistes avant, pendant et après la période nazie. Quant à la « théorie conspirationniste » de volonté de réduction de la population, faites une recherche sur l’initiative de Henry Kissinger et son Memorendum-200. Des femmes et aussi des hommes pauvres, de l’Inde, du Brésil, du Pérou, entre autres, ont été stérilisés grâce au Fonds des Nations-Unies pour la Population. Un travail parfois effectué à une vitesse digne d’une usine performante, comprenant des dommages collatéraux sous forme de décès. Sur le site officiel, on parle de contraception, de prévention, jamais de charcuterie en série.(([5] https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9rilisation_contrainte
//pdf.usaid>pdf_docs>PCAAB500 (document qui se télécharge) ))

À l’ensemble du personnel soignant que l’on menace de congédiement, je suggère donc de s’allier au groupe CSAPE qui demande à la Cour Pénale Internationale de juger les responsables de la crise actuelle pour crime contre l’humanité.(([6] https://www.csape.international/))

Maryse Laurence Lewis

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Maryse Laurence Lewis, Mondialisation.ca, 2021

Notes – Références :




La prison électronique ou rien?

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Dominique Muselet

J’ai participé autrefois à une expérience grâce à laquelle j’ai découvert un des principes fondamentaux de ce qu’on appelait la Création quand Dieu dirigeait nos vies.

L’animateur a mis toutes sortes d’instruments à la disposition d’un groupe de personnes n’ayant aucune connaissance musicale, puis il nous a demandé de jouer ensemble, a enregistré notre performance et nous l’a fait écouter. A la cacophonie du début, s’est substituée, en deux jours, une belle harmonie…

Et c’est là que j’ai compris que l’harmonie est le cœur de la Création. Il me semble que tout dans l’univers aspire à l’harmonie et que sans harmonie rien ne fonctionnerait. Ou du moins, il doit y avoir davantage d’harmonie que de désordre pour que ça marche.

Bon, je crois que nul ne niera qu’en ce moment l’harmonie est particulièrement mise à mal dans notre société. La polarisation, la « fracture » qui est le fonds de commerce des commentateurs stipendiés, a atteint des sommets. Au niveau international, le conflit s’intensifie entre l’Occident déclinant et le bloc eurasiatique montant. La guerre nucléaire menace. Les multinationales financiarisées et les politiciens qu’elles ont fait élire mènent une guerre impitoyable aux peuples, les riches aux pauvres, les covidistes aux réfractaires à l’ordre sanitaro-politique, les mondialistes au communautarisme, et au niveau local, les tribus nouvellement formées, se livrent de cruelles guerres de territoire et d’influence…

L’histoire de la création chez les Iroquois

La recherche d’harmonie est ce que personnellement j’appelle Dieu. Dans un ashram, en Inde, j’ai lu, dans la traduction d’un livre de prières sanskrites, que Dieu, c’est « ce qui tient tout ensemble ». Quand Jésus dit que Dieu est amour, il dit la même chose. L’amour n’est pas un sentiment, c’est l’action de créer ou de maintenir l’harmonie, l’unité, la paix. Le diable, c’est l’incarnation de tout ce qui divise. Jusqu’ici, l’univers est toujours là et nous aussi. Cela semble indiquer que, même si des morceaux de l’univers se désagrègent sans cesse, Dieu, la force « qui tient tout ensemble », triomphe encore, peut-être de justesse, mais il triomphe.

C’est ce qu’ont tenté de nous enseigner Jésus, Gandhi, Martin luther King et tant d’autres. Malheureusement, les États, nos nouveaux dieux, n’ont pas à leur disposition de grandes réserves d’amour. Du coup, ils choisissent le contrôle, la menace, la manipulation, la coercition, la punition, la prison, pour tenter de tenir tout ensemble. Il est vrai que leur but n’est pas non plus aussi désintéressé que celui du Dieu de Jésus, eux cherchent plutôt à se maintenir eux-mêmes, à nos dépens s’il le faut.

La dérive liberticide actuelle est bien documentée par de nombreux observateurs, même si le camp de l’Establishment tente de les faire taire par tous les moyens. Je ne vais pas y revenir. D’ailleurs, j’ai décidé d’ignorer désormais ce gouvernement et ses folies criminelles pour protéger ma santé mentale et ma paix intérieure. Ce qui m’intéresse ici, c’est d’essayer, à partir du présent, de nous projeter dans l’avenir.

Un des effets les plus inattendus de l’opération-Covid a été, à mon sens, de rebattre les cartes des alliances sur le terrain. Des gens et des groupes ont carrément changé de camp. Les Socialistes, certains écologistes, quelques Gilets jaunes et beaucoup de gens qu’on croyait tolérants et de bon sens ont révélé leur vrai visage en soutenant les mesures mises en place par les apprentis Big Brother, ou en en exigeant d’encore plus liberticides. On dirait qu’ils veulent passer de la libre circulation des personnes et des capitaux à la prison électronique pour tous (sauf pour eux évidemment).

De l’autre côté, des gens qu’on avait l’habitude de considérer comme des fashos comme Florian Philippot, ou qu’on tenait pour de nuisibles capitalistes ou des suppôts de la Caste, se sont révélés des défenseurs de la liberté tout à fait extraordinaires. Les irréductibles gauchistes diront que ces gens-là déguisent leur pensée pour tirer un profit personnel de la crise, mais moi j’ai tendance à croire que ceux qui risquent leur statut, leur emploi, leur vie, pour défendre la liberté, sont au moins aussi sincères que ceux qui hurlent avec les loups…

Et donc il n’est pas question que, pour plaire aux censeurs de tout bord, je me prive des analyses, des expériences et des enseignements de qui que ce soit.

Et je commence  derechef, ma descente aux enfers avec le conspirationniste, Giorgio Agamben, qui pose la question que beaucoup se posent :

Et si le passe sanitaire n’était pas une conséquence, mais la finalité ?

Auditionné par le Sénat italien le philosophe Giorgio Agamben a d’abord souligné une énorme contradiction dans la loi italienne:

 « Vous savez que le Gouvernement, avec un décret-loi spécial numéro ddl 44/2021 appelé « bouclier pénal » désormais converti en loi, s’est exonéré de toute responsabilité pour les dommages causés par le vaccin. 

Et la gravité de ces dommages résulte du fait que l’article 3 du décret en question mentionne explicitement les articles 589, 590 du Code pénal qui se réfèrent à l’homicide involontaire et… aux blessures par négligence (…)

Comment l’État peut-il accuser d’irresponsabilité ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner, alors que c’est le même État qui décline le premier, formellement, toute responsabilité pour les éventuelles conséquences graves ? »

Puis il a répondu à la question soulevée plus haut :

 « Il a été dit par des scientifiques et des médecins que le passe sanitaire n’a aucune signification médicale en soi, mais sert à forcer les gens à se faire vacciner.

Je crois plutôt que l’on peut dire le contraire : c’est-à-dire que le vaccin est un moyen de forcer les gens à avoir un passe sanitaire. C’est-à-dire un dispositif qui vous permet de contrôler et de suivre, une mesure sans précédent, leurs mouvements.

Les politologues savent depuis longtemps que nos sociétés sont passées du modèle qu’on appelait autrefois de la « société disciplinaire » à celui d’une « société de contrôle » ; de société fondée sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme.

Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je vous demande : jusqu’où sommes-nous prêts à accepter que ce contrôle aille ? »

Thalès et la société de surveillance

J’enchaîne avec le libéral libertaire Éric Verhaeghe qui est lui aussi épinglé par le pape de la bien pensance comme « proche de la sphère conspirationniste ». Si son amour de la liberté peut le rendre aveugle aux méfaits de la propriété privée des moyens de production, il fait merveille dans la lutte contre l’hystérie covido-politico-sécuritaire. Interviewé par Rachel Marsden, Verhaeghe nous révèle que Thalès, le marchand d’armes, a énormément investi dans l’énorme marché d’avenir de l’identité numérique à travers sa filiale Idémia, avec les encouragements de l’État. Le passe sanitaire, que les gens sont soi-disant très heureux d’avoir, est, selon cette entreprise elle-même, la première étape de la construction d’une identité numérique à travers un wallet qui se terminera par les moyens de paiement (ce qui permettra à l’État et aux banquiers centraux de disposer de notre argent comme si c’était le leur !) Dans le monde dystopique qu’ils nous promettent, il faudra montrer ses papiers (enfin son code QR !) pour aller prendre un café ou l’autoroute, bref nous serons surveillés sans cesse et partout.

 Selon Éric Verhaeghe, le Brexit et tous les mouvements souverainistes inquiètent la caste libérale occidentale mondialisée. Elle a donc décidé de neutraliser les effets du suffrage universel en utilisant des technologies numériques pour pérenniser sa domination sur nos sociétés. Le passe sanitaire est la première expérience de Crédit social dans le monde occidental. Il punit les dissidents et récompense les obéissants sous couvert de nous protéger, l’argument des castrateurs de tous les temps. En Chine, il est d’ailleurs prévu que les paysans, qui sont d’éternels mauvais payeurs, règlent leurs impôts à travers la reconnaissance faciale, efficace à 80/95%.

Cette surveillance répressive est déjà utilisée en entreprise grâce à la télémétrie, selon la Quadrature du cercle, qui échappe, on ne sait pourquoi, à la vindicte de Conspiracy Watch :

« l’employé·e data-driven n’a pour seule fonction que de maximiser ses performances et la plus-value qu’il ou elle produit pour le bénéfice d’une entreprise qui aspire à une omniscience quasi-divine (…) Amazon se distingue régulièrement en la matière, par exemple avec la surveillance des conducteur·ice·s de camions de livraisons par un logiciel d’intelligence artificielle aux États-Unis, l’usage d’un logiciel qui suit automatiquement l’activité de chaque personne en mesurant le nombre de colis scannés et qui peut décider de licencier automatiquement les moins productives ou encore, en 2018, le dépôt de deux brevets pour un bracelet permettant de surveiller les mouvements des mains des employé·e·s dans les entrepôts. »

Y a-t-il un antidote à la dérive totalitaire de la Caste ?

En principe tout excès génère son antidote, pas toujours pour le mieux d’ailleurs. Par exemple, la caste mondialiste a supprimé les frontières des États, résultat, les frontières se sont rapprochées au point d’envahir notre intimité (codes d’accès, codes secrets, passe sanitaire et autres passes, caméras, surveillance électronique, etc.)

C’est le sociologue Michel Maffesoli, dûment vilipendé par Street Press (dans la grande famille des gardiens du discours convenu, on se répartit les rôles) pour ses soi-disant liens avec l’extrême-droite, qui nous apporte ici des éléments de réponse dans un article intitulé : Comment l’idéal démocratique a été remplacé par l’idéal communautaire.

A la question de Durkheim :

« Comment tient une société que rien ne transcende mais qui transcende ses membres ? » 

Maffesoli répond :

« Par le sentiment partagé. Le partage du sentiment est le vrai ciment sociétal ; il peut conduire au soulèvement politique, à la révolte ponctuelle, à la lutte contre l’exclusion, à la grève par solidarité, il peut également s’exprimer par ou dans la banalité courante. Dans tous les cas, il constitue un ethos qui fait que contre vents et marées, au travers des carnages et des génocides, le peuple se maintient en tant que tel, et survit aux péripéties politiques ».

Selon lui, « la standardisation mondiale » engendre une « accentuation des valeurs particulières » qui permettent de se « réapproprier son existence ». Les « petits réseaux fédérant de petits groupes existentiels » se multiplient. On constate une « émergence de l’idéal communautaire que la modernité s’emploie à nier ».

La réponse et l’antidote à la déshumanisation totalitaire que veut nous imposer la Caste, c’est de l’ignorer autant que possible et de s’unir et de se réunir partout avec ceux qui partagent notre sentiment, pour défendre des terres, des bâtiments, des idées, des acquis, des droits, des idéaux, ou pour échapper à l’esclavage de l’emploi et de la consommation, à l’isolement, à la précarité, à la robotisation, à la surveillance, ou pour expérimenter d’autres façons de vivre.

Bien sûr tout cela sera combattu pied à pied par la Caste au pouvoir, mais le mouvement est irréversible. Le balancier est reparti dans l’autre sens. Rien n’empêchera les liens de se tisser, les communautés de se former et la société de se régénérer, d’autant plus qu’il suffit que le positif l’emporte d’un iota sur le négatif pour que le désordre (la haine, l’envie, la division, l’exploitation) cède la place à l’ordre (l’harmonie, la coopération, la paix).

C’est ainsi que, comme le dit Maffesoli, 

« contre vents et marées, au travers des carnages et des génocides, le peuple se maintient en tant que tel, et survit aux péripéties politiques  ». 

Dominique Muselet, Montreuil, le 13 octobre 2021

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dominique Muselet, Mondialisation.ca, 2021




Pseudo-vaccins ou Artémisine ? Les Seychelles versus Madagascar

Par Gérard Delépine

Depuis 20 mois, nos gouvernants et les médias prétendent qu’il n’y aurait pas de traitement du Covid et que le seul espoir de sortie de crise résiderait dans l’injection génique appelée fallacieusement vaccin.

Deux îles de l’Océan indien éloignées seulement de 1800 kilomètres ont choisi des stratégies anticovid différentes : les Seychelles ont opté, comme la France, pour le tout vaccin.

Madagascar a choisi les traitements précoces et tout particulièrement le CVO+, composé de plantes locales, entre autres d’artémisinine et de ravintsara. La comparaison de l’évolution de ces deux îles semblables par leurs populations, leurs climats et leur mode de vie permet d’évaluer l’efficacité des deux approches.

Les Seychelles

La population des Seychelles avait été épargnée par le Covid, mais son activité touristique principale source de devises, était paralysée par les restrictions des voyages et la peur des touristes potentiels.

Pour tenter de sauver sa saison touristique, le gouvernement a décidé de vacciner l’ensemble de la population. La campagne de vaccination a débuté le 10 janvier 21 avec l’injection télévisée du président et a depuis touché près de 80 % des habitants.

Depuis la « vaccination », le nombre de cas a été multiplié par 40 et celui des morts par plus de cent. La mortalité cumulée globale au 17/10/2021 atteint 1120 par million (112/100000) ainsi que le montre ce graphique publié par l’OMS(([1] À consulter sur l’OMS Covid Dashboard en choisissant sur la carte du monde les Seychelles)) et annoté par nos soins en rouge.

Localisation des Seychelles (îles entourées en rouge)
En zoomant

L’explosion du nombre des contaminations et la forte augmentation de la mortalité apparus après le début de la campagne de vaccination censée stopper l’épidémie font craindre que celle-ci ait paradoxalement facilité l’épidémie.

Madagascar

À Madagascar, le président a refusé de suivre les recommandations de l’OMS et de confiner sa population. Il a fortement milité pour les traitements précoces par les plantes traditionnellement utilisées avec succès contre le paludisme, distribuées et contenues dans le CVO+.

« La formulation de la gélule CVO+ a suivi les normes et protocoles sanitaires internationaux en vigueur », a affirmé la présidence de la République en octobre 2020 dans le cadre du lancement de la formule produite par la société Pharmalagasy. Ses recommandations, raillées par les médias dominants et critiquées par l’OMS, ont été largement suivies par son peuple avec succès, comme l’objective ce schéma de l’évolution de l’épidémie publié par l’OMS.

Le 20 mars 2021, le président malgache s’est montré prudent sur la vaccination dans son intervention télévisée, en indiquant que lui et sa famille n’avaient pas l’intention de se faire vacciner, et préfèrent encore toujours le Covid Organics maintenant distribué en gélules. En réponse aux critiques de ses adversaires, il leur a proposé de servir de cobayes. « Si on commande un vaccin, on va d’abord le tester sur l’opposition ».

Le 5 juillet 2021, l’Organisation Mondiale de la Santé a reconnu qu’elle avait décidé d’étudier les données scientifiques fournies par les épidémiologistes et les hôpitaux malgaches concernant le Covid-Organics en s’intéressant plus particulièrement au médicament appelé CVO.

Au 13 octobre 2021, Madagascar ne recense que 43 610 cas de Covid (1615 par million soit 125 fois moins que les Seychelles) et pleure 960 morts, mortalité cumulée de 35 par million, soit trente fois moindre que celle des Seychelles.

Dans l’Océan indien, le match traitements précoces/pseudo-vaccin a été gagné par KO par Madagascar et ses traitements précoces !




Le Pass sanitaire a été annulé à l’hôpital de Trinité en Martinique

[Source : qactus.fr]

VICTOIRE DES SOIGNANTS EN MARTINIQUE !!

Le Pass sanitaire a été annulé à l’hôpital de Trinité en Martinique. VICTOIRE des soignants en Martinique contre le Pass sanitaire.

Le directeur de l’hôpital de Trinité en Martinique vient d’annuler le Pass sanitaire face à la résistance des soignants. Le Pass sanitaire devait être applicable à partir d’aujourd’hui pour les salariés du CHUM de Trinité en Martinique.

Bravo  !





Voilà comment la Martinique se défend contre l’obligation vaccinale et voilà pourquoi la Martinique a gagné la bataille

Cette vidéo devrait être envoyé à la direction de tous les établissements de santé concernés :




Lapsus révélateur sur un plateau de télé

« Les chiffres sont évidents, il y a un vaccin qui tue » !

Ce monsieur est le directeur du CHU Martinique :




Liza – figure de la résistance – Martinique

Suite à la censure de la vidéo sur Youtube, Liza est de retour sur Viméo.

https://player.vimeo.com/video/623558728?h=f3c78cf83b
Liza – figure de la résistance – Martinique from MAWONAJ on Vimeo.

Le 11/10/2011 en MARTINIQUE

Les syndicats hospitaliers, opposés à l’obligation vaccinale, ont rencontré la direction du CHU de Martinique contre le Pass sanitaire obligatoire dans les hôpitaux.

Le personnel hospitalier, opposé à l’obligation vaccinale, a été reçu par Benjamin Garel, le directeur du CHU de Martinique hier matin (lundi 11 octobre).

Les syndicats hospitaliers ont érigé des barrages devant les entrées des différents hôpitaux de l’île (Fort-de-France, Lamentin, Trinité…).

Benjamin Garel a proposé la mise en place d’un test antigénique à compter de ce mercredi (13 octobre 2021) pour les soignants qui ne veulent pas se faire vacciner.

Une soignante a exigé de Benjamin Garel qu’il s’engage et ‘assume sa responsabilité pour les effets secondaires du vaccin… mais il n’a pas assumé!!






La décantation

Par Lucien Samir Oulahbib

La manipulation scientiste-hygiéniste-affairiste actuelle ayant échoué (les dizaines de millions de morts ne sont pas au rendez-vous malgré le refus de remettre les compteurs annuels à zéro et malgré la jungle féroce des manips statistiques), cette forfaiture dévoile bien comment ce carcan fait office de camisole de force étouffant les esprits libres, mais aussi les corps sevrés en drogues mentales et expérimentales diverses ; sans que ceux-ci ne se demandent un seul instant comment se fait-il qu’il soit encore possible d’accepter de se les faire injecter tous les six mois, et pour les autres à chaque instant (drogue médiatique), alors que pour les vaccins « classiques » (réactionnaires ?) il suffisait d’un rappel tous les dix ans ou alors une fois pour toutes ?…

Pourquoi tant d’injections pour un virus « syndémique » au sens de ne toucher que la partie fragilisée de la population par une génétique et un vieillissement donnés et des modes de vie sédentaires peu favorables à dynamiser une immunité naturelle ?

Ne serait-ce pas parce que ce serait cette dernière qui a été désignée commeétant le but de cette manip triptyque (scientiste-hygiéniste-affairiste) ? Ainsi, par « crainte de voir l’immunité diminuer », clame hypocritement la prothèse holographique faisant office de Premier Ministre en France, le piétinement minutieux forcené paranoïaque des libertés fondamentales est désormais acté comme salvateur, impliquant prolongement des inepties et autres incuries.

En fait et plus généralement le hiatus grandissant entre une réalité annihilant toutes les exponentielles — confondant fantasmes statistiques et historicité des épidémies aux courbes fonctionnant toujours en cloche et jamais en hausse infinie — montre bien que nous sommes gouvernés à la fois par des monstres qui sont en même temps des Lilliputiens.

Tempête dans un verre d’eau ?…

Les peuples ont cependant du mal à l’admettre, tant ils ont été en effet hypnotisés durant bientôt deux ans — ce qui laisse des traces — surtout lorsque la perception est affadie, le cerveau embrumé, un QI sans doute réduit à la portion congrue, les consciences ayant perdu leur âme depuis longtemps (soit cette capacité de clairvoyance instantanée), réduites à n’être que des vitrines encore « vivantes », des hublots de viandes trouées, tatouées que les Maîtres/ses S.M viennent dompter quand cela leur chante via les flux électro-symboliques quadrillant la planète Terre.

Nous sommes de nouveau en pleinemétaphysique des fluides, d’aucuns parlant même de « fluidité de genre ». Ainsi une minorité autoproclamée par définition (les M.S.M : Maîtres/ses Sado-Maso des M.M ou médias mainstream), mais ayant l’aval des Puissants globalistes (et leur manip triptyque) vient en effet reconstruire en grand la République de Salò, tant ils sont tous (les Puissants globalistes et leurs Outils M.S.M) désireux de « faire l’Histoire » et non pas seulement la lire au coin du saladier de coke tout en se faisant fourrer par la « diversité » (comme le conseillait déjà Henri Miller dans Tropique du Cancer, sans oublier Edouard Nabe de l’autre côté du courant thélémite, mais tendance Drumont voyant par exemple dans les origines de la Première Guerre mondiale un complot juif). Aussi tentent-ils par tous les moyens de malaxer à distance et dans les alcôves (payées également par l’argent public) nos corps et esprits afin d’assouvir leur désir ultra-narcissique de psychopathes invétérés visant à nous transformer en tains de leur miroir afin de nous demander inlassablement « qui est la plus belle » traquant alors nos « Blanche-Neige » pour leseffacer.

Pour les contrer il nous faut déc(h)anter. Arrêter de les citer, d’en parler, de s’étonner en employant leurs mots. Ce sont, tous, des suppôts néo-léninistes affairistes, Nouvelle Milice en action agissant pour le compte de La Secte Globale.

Et il faut en effet faire respecter les dénivellements du champ de bataille actuel : comme leurs prothèses intellectuelles et manuelles tentent de nous attirer avec des artefacts langagiers, il ne faut surtout pas employer leur vocabulaire, ne pas leur répondre là où elles le désirent, mais par contre les attaquer sans relâche frontalement et en quinconce, sans oublier les pièges à l’ancienne, mais aussi l’artillerie longue distance dont le martèlement incessant devrait à terme déblayer le terrain pour les bombardements lourds à venir prélude à l’assaut : sans pitié (ou alors celle de King Kong).




Passe sanitaire : pourquoi la bourgeoisie managériale trahit si facilement la démocratie libérale

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le passe sanitaire, initialement présenté comme extrêmement limité dans son usage, franchit un nouveau cap aujourd’hui : le gouvernement propose son maintien jusqu’à l’été prochain… Nos lecteurs n’en sont pas surpris, puisque nous annonçons son installation permanente depuis cet été. Mais la question qui se pose est de savoir pourquoi la caste mondialisée ne rencontre aucune opposition dans les couches supérieures de la société face à ce reniement caractérisé de la démocratie libérale. De notre point de vue, l’ère macronienne correspond (mais c’est une tendance mondiale) à l’émergence d’une bourgeoisie managériale formatée pour obéir et structurellement favorable à un système d’apartheid social.

Sur les raisons pour lesquelles le passe “sanitaire” est maintenu jusqu’à l’été 2022, nous nous sommes déjà largement exprimés. Le projet n’a rien de sanitaire, il s’intègre simplement au projet d’identité numérique déployé par la Commission Européenne (le fameux “wallet”). Il s’agit d’organiser un système d’identification et de contact tracking sur un modèle chinois, tel que le Great Reset de Klaus Schwab l’a proposé. 

Tout ceci s’appuie sur des investissements industriels, portés notamment par Thalès, qui cherchent aujourd’hui leur rentabilité sur le marché mondial de l’identité numérique. Donc, face à cette collusion d’intérêts industriels, nous savons que le passe sanitaire n’est pas prêt de disparaître. 

Passe sanitaire et crédit social à la chinoise

Pour le reste, le principe du passe sanitaire correspond à une tendance longue du capitalisme de connivence, fondé sur les relations incestueuses entre la bureaucratie et le management des grandes entreprises transnationales. Face aux menaces létales que le rejet du multilatéralisme (incarné par le Brexit) et du libre-échange (incarné par Trump) représente, ce capitalisme de connivence est bien décidé à utiliser toutes les possibilités technologiques nouvelles pour asseoir sa domination. 

Pour ce faire, il est prêt à se transformer en un capitalisme de surveillance où son pouvoir se fondera sur le crédit social à la chinoise. Les bons citoyens auront des droits que les mauvais citoyens perdront. Nous recommandons ici la lecture du rapport du Sénat, au printemps, sur le sujet, pour comprendre et mesurer l’influence du modèle chinois sur la caste au pouvoir en France. 

L’écrasante culpabilité de la bourgeoisie managériale dans cette rupture

On le comprend peu à peu, nous sommes en train de changer d’ère, de civilisation, mais aussi de régime et de gouvernance. Progressivement, la démocratie libérale cède la place à un système autoritaire que nous avons appelé le régional socialisme dans notre livre sur le Great Reset. 

Ce régional socialisme s’appuie sur deux piliers. Il est régional au sens des régions continentales, avec son obsession de bâtir des ensembles multilatéraux comme l’Union Européenne. Il est socialiste au sens où il subsume le droit individuel sous une couche de “protection collective” : risquez donc votre vie en vous vaccinant pour le bien du groupe ! Et il professe le “big government”, à rebours de la tendance insufflée en son temps par Ronald Reagan. 

Cette nouvelle vision du monde, en rupture avec la démocratie libérale, est essentiellement le fait de ceux qui ont inventé la théorie de la “Start Up Nation”. Ils se rassemblent dans ce que nous pourrions appeler la bourgeoisie managériale, représentante française de la caste mondialisée. Ces gens-là sont des cadres plus ou moins supérieurs, des dirigeants d’entreprise qu’ils n’ont pas créées ou d’administration, parfois des enseignants, qui ont un patrimoine moyen et une aversion générale au risque. 

La bourgeoisie managériale porte toutes les croyances insufflées par “l’altruisme efficace” aux Etats-Unis : culture de l’excuse, culpabilité de l’homme blanc, remplacement du christianisme par la religion de la nature, effacement de l’humanisme au profit du transhumanisme. Au salut de l’âme, elle préfère le sauvetage de la planète, à la béatitude, elle préfère le bien-être. 

Bourgeoisie managériale et manie du contrôle

L’une des caractéristiques de cette caste qui déteste le risque et l’incertitude, c’est l’obsession du contrôle, rebaptisé “protection”. Il faut se protéger de tout : du virus, de la maladie, de la mort, de l’agression, de l’agressivité, de toute forme de menace. On écoutera ici avec attention Sandrine Rousseau, l’égérie d’EELV, pour dévoiler les points saillants de cette caste, qui hait profondément l’ordre spontané des sociétés (parce que masculines, machistes, brutales, injustes, etc.) et souhaite la rebâtir en contrôlant tous ses étages. 

Cette caste-là, qui a pris le pouvoir au fil des années qui nous séparent de Mai 68, mais qui doit beaucoup aux années Mitterrand pour son élaboration intellectuelle, est le réceptacle naturel du capitalisme de surveillance. Comment fait-on pour se protéger, en effet ? Eh bien, on contrôle. Tout : les risques, les menaces, les vies privées, les maladies, et même les eaux calmes car il faut toujours se méfier de l’eau qui dort. 

Dans cette propension au contrôle, on trouvera l’explication majeure de la facilité avec laquelle la bourgeoisie macronienne plaide pour un pass sanitaire qui discrimine. Ces gens-là sont rassurés, se sentent protégés, lorsqu’ils présentent leur identité vaccinale à l’entrée d’un bar ou d’un restaurant : ils ont besoin d’une vie contrôlée, d’une société sous contrôle. 

Bourgeoisie managériale et apartheid

On nous objectera que l’expression “bourgeoisie managériale” est bien floue. Elle pourrait même être fourre-tout. Et nous partageons assez ce constat : il faudrait être plus précis. 

C’est la caractéristique d’une caste : on y appartient pour des raisons “floues”, ce qui diffère beaucoup d’une classe sociale qui se définit objectivement. Pour forger une caste, il faut passer du temps à dire qui en fait partie, qui n’en fait pas partie. D’où cette obsession propre à la bourgeoisie managériale de s’individualiser par des signes, et d’exclure, de cliver pour bien marquer des frontières dans un paysage incertain. Le passe sanitaire en fait partie : il y a ceux qui l’ont, et qui vont au restaurant, ou à la bibliothèque, et ceux qui ne l’ont pas, qui n’ont plus accès aux mêmes lieux que les “élus”. 

Parce qu’au fond la bourgeoisie managériale ne sait pas trop qui elle est, elle se forge une identité par des exclusions, des “je suis qui je suis en désignant qui je ne suis pas” (on se souvient de la phrase de Griveaux sur la France qui fume des clopes et roule en diesel) et elle exige de tous les postulants le respect de rites initiatiques qu’elle a choisis. Il ne faut pas être baptisé pour en faire partie (le baptême étant universel), il faut être vacciné. 

Bref, c’est une France à deux vitesses dont la bourgeoisie managériale a besoin. 

France de la certitude et France du doute

Au fond, la bourgeoisie managériale veut une France pleine de certitudes confortables. Il faudrait que l’on soit sûr de plein de choses : de notre prospérité, même relative, même décroissante, il ne faut pas qu’elle soit incertaine. Il faut qu’on soit sûr que les maladies n’arriveront plus, que l’on ne croisera pas de gens malades, que l’on n’attrapera pas de cancer en buvant trop, en mangeant trop de viande, trop de saucisson, trop de matière grasse, en fumant, en ne faisant pas assez de sport. Il faut que les experts nous disent quoi faire et comment vivre pour que tout se passe bien. 

C’est le triomphe du conformisme, de la bonne conscience, et du bien-être. 

Face à cette France de la certitude, prend forme peu à peu, la France du doute. Elle a derrière elle le privilège de l’âge, puisqu’elle fut cimentée par ce vieux Descartes qui faisait tabula rasa. Cette France-là aime son risque. Elle ne sait pas ce qui va lui arriver, mais ça lui va bien. Le risque qu’elle ne veut pas courir, c’est que l’Etat la tienne par la paletot en sachant tout d’elle. Elle ne veut pas non plus prendre le risque de recevoir un vaccin sans savoir au juste ce qu’il contient. 

Deux salles, deux ambiances au fond. 

Choisissez la vôtre. 




Traitement pour calmer la tempête de cytokines : une découverte russe qui sauvera beaucoup de vies

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Un groupe de scientifiques russes a créé un médicament qui pourrait potentiellement révolutionner le traitement du Covid-19 en désamorçant la réaction la plus catastrophique que la maladie provoque chez les patients, sans détruire leur réponse immunitaire.

Le médicament, appelé Leitragin, a été développé par le Centre de recherche en technologie biomédicale de l’Agence fédérale russe de médecine et de biologie (FMBA) et fait actuellement l’objet d’essais cliniques en Russie. Bien que sa substance de base était auparavant connue et utilisée dans la médecine du traitement des ulcères par les médecins soviétiques et russes, c’est l’équipe FMBA qui a découvert comment l’appliquer pour le traitement des cas graves de Covid-19 et d’autres maladies qui causent une inflammation pulmonaire potentiellement mortelle.

Les scientifiques russes s’étaient chargés de trouver une substance qui agirait comme un «interrupteur d’arrêt» pour la réaction en chaîne qui, après avoir été déclenchée par le virus envahissant SARS-CoV-2, provoque en fait une défaillance potentielle des organes et la mort. Cette réaction du système immunitaire, surnommée la « tempête de cytokines », a été diversement décrite comme une réaction excessive de notre corps au virus ou une « attaque suicide » contre l’agent pathogène envahissant, et même comme un mécanisme évolutif pour arrêter la propagation d’infections mortelles avec la mort de l’hôte.

Essayer d’arrêter cette réponse immunitaire incontrôlée tout en préservant la capacité du corps à combattre le virus sans causer plus de dommages est ce pour quoi les scientifiques et les médecins des unités de soins intensifs du monde entier ont lutté pendant la pandémie de Covid-19. À cet égard, le Leitragin est présenté comme un changeur de jeu, car son nouveau mécanisme agit de manière ciblée et serait totalement sans danger pour la santé.

RT a interviewé le chef de l’équipe de scientifiques russes derrière le Leitragin, et a parlé à un chercheur indépendant étudiant les tempêtes de cytokines, pour en savoir plus sur le potentiel du nouveau médicament.

À la recherche du déclencheur mortel

Une tempête de cytokines, également connue sous le nom d’hypercytokinémie, est déclenchée par de minuscules protéines messagères appelées cytokines, qui sont normalement les agents de confiance de notre corps pour traiter les infections, les inflammations et les traumatismes. Cependant, lorsqu’il s’agit de certains agents pathogènes dangereux tels que le H1N1, le H5N1, le virus Ebola et le SRAS-CoV-2, le système immunitaire peut décider qu’il est submergé par le virus et « devenir fou ». Cela peut entraîner une inflammation massive et, potentiellement, un choc septique et la mort, a déclaré à RT Maxim Skulachev, un associé de recherche de premier plan à l’Institut de recherche en biologie physicochimique de l’Université d’État de Moscou (MSU).

Jusqu’à présent, on pensait qu’une tempête de cytokines était causée par une libération incontrôlable de dizaines de types de cytokines différents, ce qui la rend difficile à contenir. Cependant, les scientifiques du FMBA Biomedical Technology Research Center disent qu’ils ont peut-être tout simplement trouvé le fond du problème et identifié un seul coupable clé.

Le groupe, dirigé par le chef du centre, Vladislav Karkischenko, a publié les résultats des essais précliniques de leur médicament sur des souris dans le Journal of Immunology Research fin septembre.

Au début, les scientifiques russes ont passé des mois à déterminer leur modèle d’infection Covid-19 – selon Skulachev, la réponse des rongeurs à la maladie ne correspond pas tout à fait à celle des humains, même chez les souris dites «humanisées». Ensuite, ils sont passés par un processus de dépistage de drogues et ont identifié une substance désamorçant ce qu’ils croient être une cytokine particulière déclenchant la tempête.

La cytokine en question est appelée protéine du groupe de boîte 1 à haute mobilité, ou HMGB1, a déclaré Karkischenko à RT. Libéré en masse par les cellules immunitaires lors de cas graves de Covid-19, il déclenche la libération de nombreuses autres cytokines, le transformant en un « processus incontrôlable ».

Des recherches antérieures n’ont pas considéré le HMGB1 comme la « cytokine principale », mais il est si omniprésent que son nombre pourrait être mille fois plus élevé pendant l’infection, a déclaré Karkischenko, ce qui indique qu’il est responsable de la « cascade finale de réactions ».

Nous pensons que cette cytokine de phase tardive [HMGB1] est le principal agent d’inflammation pendant [l’infection par] le SRAS-CoV-2

Les scientifiques de la FMBA ne sont pas seuls dans leurs hypothèses. La protéine HMGB1 a déjà attiré l’attention des chercheurs du monde entier et a été désignée comme cible thérapeutique potentielle dans le traitement du Covid-19.

Saluant « l’énorme quantité de travail » effectué à la FMBA, Skulachev de MSU dit qu’une équipe de son institut a obtenu des résultats similaires au cours de leurs propres recherches sur les tempêtes de cytokines. De plus, il pense que les deux équipes ont peut-être découvert indépendamment un « mécanisme de suicide évolutif » universel qui tue un organisme pour empêcher la propagation d’infections graves.

« Nous ne pouvons pas vivre sans système immunitaire. Si une personne a souffert d’une infection virale grave, il faut être méticuleux dans le choix du moment d’administration du médicament. Faites-le quelques heures trop tôt et un virus tuerait une personne par auto-réplication », a-t-il déclaré.

Dans leur recherche d’une solution, les chercheurs de la FMBA ont essayé un hexapeptide opioïde appelé [D-Ala2]-dynorphine 1-6, et les résultats se sont avérés étonnamment prometteurs. Les taux de mortalité chez les souris présentant des conditions induites chimiquement similaires aux tempêtes de cytokines chez l’homme ont diminué de quatre fois, a déclaré Karkishenko. Notant que les scientifiques occidentaux semblent se concentrer sur les opioïdes en tant que composants des analgésiques, il ajoute que ces substances sont beaucoup plus polyvalentes et peuvent également être inoffensives.

« Dans notre article, nous avons pu prouver que les récepteurs opioïdes déclenchent des processus avec un effet anti-inflammatoire massif tout en ne causant aucun dommage à une personne« , a déclaré Karkischenko.

En juin, Leitragin a été enregistré par les autorités sanitaires russes dans le cadre d’une procédure d’urgence. À cette époque, la FMBA a déclaré qu’elle avait déjà été testée sur quelque 300 volontaires et avait montré des résultats très positifs puisqu’aucun des patients, qui avaient reçu de le Leitragin, n’avait été admis dans des unités de soins intensifs ou n’était décédé. Ils avaient également tendance à récupérer plusieurs jours plus tôt que ceux qui avaient reçu un traitement « standard », a déclaré Karkischenko. Le Leitragin était initialement destiné à des tests sur des patients Covid avec une gravité modérée de la maladie, mais certains médecins se sont chargés de traiter les patients critiques, a-t-il ajouté.

« Ce médicament est conçu pour résoudre un problème insoluble. Ces patients n’ont pratiquement pas d’autres alternatives », a expliqué Skulachev, faisant référence à des cas graves de Covid.

« Développement majeur »

Malgré ce que Karkischenko dit être des résultats prometteurs, les scientifiques derrière le Leitragin doivent encore prouver son efficacité dans des études cliniques. Le centre travaille actuellement sur une publication à grande échelle qui impliquerait les résultats des essais cliniques et plus d’informations sur le médicament lui-même. Les hôpitaux russes, quant à eux, sont autorisés à traiter les patients avec le Leitragin dans le cadre d’une autorisation d’utilisation limitée.

« Il s’agit d’un mécanisme évolutif que nous avons hérité de nos ancêtres« , a déclaré Skulachev, ajoutant que le trait évolutif n’a pas rattrapé le fait que l’humanité a développé des vaccins et des médicaments pour faire face à de telles maladies.

« Résoudre un problème insoluble »

Actuellement, les médecins n’ont pas beaucoup d’options dans leur lutte contre la tempête de cytokines. Ils doivent soit utiliser des anticorps monoclonaux – des médicaments très coûteux capables de supprimer un seul type de cytokine – soit « tuer » complètement le système immunitaire avec des anti-inflammatoires stéroïdiens. Les deux méthodes présentent de sérieux inconvénients.

Les recherches du centre FBMA ont montré que la suppression des cytokines souvent ciblées pourrait ne pas toujours produire l’effet requis car la « tempête » pourrait continuer à faire rage après un bref répit, a déclaré Karkishenko. Skulachev, quant à lui, note que l’utilisation de stéroïdes hormonaux pourrait être encore plus dangereuse.

S’il s’avère efficace et sûr, cependant, le médicament peut s’avérer avoir des utilisations bien au-delà du traitement Covid-19, car il est conçu pour faire face à la réaction du système immunitaire et non à un virus spécifique.

« Le Leitragin vise à supprimer les processus inflammatoires« , a déclaré Karkischenko, ajoutant que « c’est un médicament basé sur une approche absolument innovante » et peut être utilisé pour traiter « diverses conditions« . Le centre FMBA travaille déjà sur différentes formulations de médicaments pour le Leitragin.

« Environ 80% de toutes les conditions critiques [chez les patients] dans les unités de soins intensifs sont liées à la tempête de cytokines et potentiellement à cette protéine spécifique qui la provoque« , a expliqué Skulachev, notant que « la gamme potentielle d’utilisations de ce médicament pourrait être extrêmement large« .

Cela pourrait être une évolution majeure. « 

Algora Blog | October 12, 2021 URL: https://wp.me/p7g3IJ-1oX

[Source originelle : Drug to calm cytokine storm: Life-saving Russian discovery could be key to stopping body’s ‘suicide attack’ in severe Covid cases — RT Russia & Former Soviet Union]




France — Le Sénat rejette une seconde fois la proposition de loi Vaccination Obligatoire contre le Sars-CoV 2

[Source : L’Informateur. (qactus.fr)]

Le Sénat rejette la proposition de loi Vaccination Obligatoire contre le Sars-CoV 2 : 262 voix contre et 64 voix pour.




Liste complète des sénateurs ayants votés « pour »…

Viviane Artigalas
Alain Duffourg
Gisèle Jourda
Sebastien Pla
David Assouline
Jérôme Durain
Patrick Kanner
Émilienne Poumirol
Joël Bigot
Vincent Éblé
Éric Kerrouche
Angèle Préville
Florence Blatrix Contat
Frédérique Espagnac
Marie-Pierre de La Gontrie
Claude Raynal
Nicole Bonnefoy
Rémi Féraud
Jean-Yves Leconte
Christian Redon-Sarrazy
Denis Bouad
Corinne Féret

Annie Le Houerou
Sylvie Robert
Hussein Bourgi
Jean-Luc Fichet
Jean-Jacques Lozach
Gilbert Roger
Isabelle Briquet
Martine Filleul
Monique Lubin
Lucien Stanzione
Rémi Cardon
Fabien Genet
Victorin Lurel
Jean-Pierre Sueur
Marie-Arlette Carlotti
Hervé Gillé
Jacques-Bernard Magner
Rachid Temal
Yan Chantrel
Laurence Harribey
Didier Marie

Jean-Claude Tissot
Catherine Conconne
Jean-Michel Houllegatte
Serge Mérillou
Jean-Marc Todeschini
Thierry Cozic
Olivier Jacquin
Michelle Meunier
Mickaël Vallet
Michel Dagbert
Éric Jeansannetas
Jean-Jacques Michau
André Vallini
Stéphane Demilly
Patrice Joly
Marie-Pierre Monier
Sabine Van Heghe
Gilbert-Luc Devinaz
Bernard Jomier
Franck Montaugé
Yannick Vaugrenard




PCB : Les évêques mexicains font chanter des prêtres afin qu’ils se fassent vacciner

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Il a été rapporté que :

« les évêques mexicains ont publié le 30 août quatre cas dans lesquels leur service de santé ne paiera pas les factures que le prêtre ne peut pas payer lui-même :

– lorsqu’un prêtre s’est exposé imprudemment au Covid ; »

Commentaire : De facto, tout peut être considéré comme imprudent : par exemple, le fait que le prêtre n’oblige pas les fidèles à porter des masques. Ainsi, tout opposant idéologique à la corona-psychose peut être innocemment puni.

« – quand il est testé positif au Covid-19, mais ne prend pas de mesures ; »

Commentaire : le Dr Montanari déclare que les tests PCR sont à 80 % peu fiables et utilisés à des fins de manipulation publique. Le virologue tchèque S. Pekova ajoute qu’un test positif ne signifie pas qu’une personne est malade. De plus, ces tests se sont avérés très dangereux. Ils endommagent les muqueuses, introduisent même des parasites et des nanoparticules dans l’organisme, et il y a eu des cas de rupture de la barrière hématoencéphalique. Les médecins mettent en garde contre ces tests.

– Dr Petrella : « Ne vous faites pas tester ! Une fois testé, vous serez obligé de vous faire vacciner. »

« – quand il n’utilise pas de masques [inutiles] ; »

Commentaire : Les médecins disent : Les personnes en bonne santé n’ont jamais été obligées de porter un masque. Le masque ne protège pas contre le virus ; au contraire, l’immunité chute rapidement. En portant un masque, une personne respire ses propres émissions et souffre d’un manque d’oxygène, ce qui a un impact négatif sur le fonctionnement du cerveau.

Idéologiquement, si un prêtre masqué fait face au peuple pendant la messe, tout cela n’est qu’un coup publicitaire pour tout ce système frauduleux, qui se poursuit avec des tests peu fiables et une vaccination expérimentale. C’est une parodie de Dieu et une manipulation des personnes qui mettent leur confiance dans les prêtres.

« – quand il refuse la « vaccination » [controversée et dangereuse]. »

Commentaire : Les évêques mexicains ont-ils au moins une connaissance élémentaire du vaccin à ARN messager ? Rappelons quelques faits :

  • 1) Qui fait la promotion du vaccin ? Le vaccin est promu par les pouvoirs en place. Pourquoi ? Pas pour le bien de la santé humaine; c’est tout le contraire, comme l’a révélé Bill Gates : « Si nous faisons un excellent travail sur les vaccins, nous pourrions réduire la population de 10 à 15 % » (dans la première étape). Les évêques mexicains, ainsi que le pseudo-pape Bergoglio, appliquent ce programme de mort à tous leurs prêtres, sous la terreur.
  • 2) Le vaccin à ARN modifié change le génome humain, et c’est un crime contre Dieu le Créateur ! Les évêques mexicains sont-ils conscients qu’ils forcent les prêtres et les croyants à cette rébellion ? À qui servent ces évêques ? Dieu ou Satan ?
  • 3) Le vaccin possède, comme base biologique, des tissus arrachés à un enfant vivant à naître avant qu’il ne soit tué. En imposant des vaccins à ARNm, les évêques mexicains promeuvent le meurtre sadique d’enfants à naître. Sous la morale catholique, ils sont sujets à l’excommunication – l’expulsion de l’Église.
  • 4) Les évêques mexicains savent-ils que le vaccin contient des nanoparticules et fait partie du processus de puçage de l’humanité ? L’Écriture met en garde contre cela, parlant de l’étang de feu. Ces Judas mexicains portant la mitre obligent les prêtres, ainsi que toute la nation mexicaine, à suivre le chemin qui aboutit à l’étang de feu. C’est une tragédie que la hiérarchie catholique apostate soit devenue la meneuse de la nation, et s’oppose au président du Mexique, qui s’oppose à la vaccination obligatoire et aux restrictions de liberté qui y sont associées.
  • 5) Ces loups épiscopaux mexicains déguisés en mouton savent-ils que la vaccination est une expérience interdite sur l’être humain en vertu du Code de Nuremberg, et qu’elle vise la réduction ou le génocide de l’humanité ? Ici, les imposteurs et les criminels religieux, qui vivent en parasites du Corps mystique du Christ, se sont clairement exposés. Ils travaillent astucieusement avec Bergoglio pour détruire l’Église ; non seulement afin de perpétrer un génocide physique, mais aussi pour jeter beaucoup d’âmes qui ont reçu la marque dans l’étang de feu.

Que disent les véritables experts, plutôt que le pseudo-pape Bergoglio ou les médias mensongers, à propos de la vaccination ?

Dr Vladimir Zelenko, États-Unis :

« Le ministère de la Santé vous ment. Le 20 décembre 2020 : Il y a un énorme pic dans la courbe des décès en Israël. La vaccination nationale a commencé le 20 décembre. Il n’y a aucune justification à l’utilisation de cette injection mortelle et empoisonnée… C’est une arme biologique. Lorsqu’une personne reçoit une injection de ces « vaccins », son corps devient une usine de production de protéines spike. »

Dr Dolores Cahill, Irlande :

« 90 % des vaccinés mourront dans les deux ans. »

Dr Ryan Cole, États-Unis :

« Le vaccin (à ARNm) est une toxine. Il provoque des micro-caillots, des réponses inflammatoires dans le cerveau, le cœur, les poumons… »

Pr Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste et virologue :

« Après la vaccination contre le Covid-19, des caillots sanguins ont été retrouvés dans les vaisseaux. Lorsque vous faites vacciner votre enfant, vous commettez un crime ! Je considère ces vaccins expérimentaux comme des expériences menées sur les êtres humains, expériences qui sont interdites. » (Voir Code de Nuremberg)

Le Dr Luc Montagnier, virologue français et lauréat du prix Nobel de la découverte du VIH, appelle à l’arrêt immédiat de la vaccination de masse :

« C’est le plus grand risque de génocide de l’histoire de l’humanité. »

Nous demandons de quel droit et sur quelle base les évêques mexicains font du chantage et imposent des sanctions aux prêtres guidés par le bon sens, la conscience et les avertissements d’experts incorruptibles et honnêtes en virologie. Ces clercs sont-ils des experts en médecine ? S’ils scandent « le vaccin pour tous » comme un mantra, faisant appel au pseudo-pape Bergoglio, rappelons que Bergoglio s’est attiré une malédiction multiple, un anathème, pour crimes spirituels commis contre le Christ, l’Église et l’humanité. Il a intronisé le démon Pachamama, violant ainsi le Premier Commandement et introduisant l’idolâtrie païenne, ce qui conduit à l’apostasie du Christ vivant qui est le seul Sauveur. En promouvant la légalisation du mariage homosexuel et l’adoption d’enfants par les homosexuels, Bergoglio non seulement abolit les lois morales, mais attire le châtiment du feu temporel et éternel (2Pt 2:6; Jud 1:7) sur ceux qui se soumettent à lui. Quant au vaccin à ARNm, le pseudo-pape boycotte notoirement les avertissements urgents des meilleurs experts médicaux, et est consciemment impliqué dans le génocide sournois de l’humanité.

Posons une question à ces Judas mexicains : Bergoglio est-il un hérétique et est-il expulsé de l’Église, ou est-il un pape légitime ? « Si quelqu’un prêche un autre évangile, qu’il soit maudit (anathème) ! »(Gal 1:8-9) Bergoglio prêche un anti-évangile sodomite et du Covid, et donc, il est maudit, expulsé.

Chers évêques mexicains, nous vous demandons de vous repentir publiquement, de vous excuser auprès des prêtres et d’appeler la vérité la vérité, l’hérésie, l’hérésie et un crime, un crime. Si vous n’êtes pas disposés à vous repentir, laissez les prêtres et les croyants se séparer de vous en tant que plus grands ennemis du Christ et de l’Église, sur base des enseignements de l’Église.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires

Le 29 septembre 2021

Les évêques mexicains font chanter des prêtres afin qu’ils se fassent vacciner

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudo-pape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné.

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Concernant la prière et les vaccins (vidéo)




Le troublant Accord signé par la France en décembre 2019 confirme le pouvoir mondial de l’OMS. Fin probable de l’hôpital public…

[Source et auteur : LHK]

Nous avons vu dans notre dernière publication que l’OMS a l’ambition de s’approprier la gouvernance mondiale de la santé avec des conséquences définitives et irrémédiables sur l’autorité locale, celle-ci devenant une simple exécutante de l’organisation supranationale.

En faisant mes recherches sur la montée en puissance de l’OMS (vs l’autorité locale), je suis tombée hier sur des informations très intéressantes qui concernent la France, et curieusement 3 ministères sont signataires dont celui de la Santé de Agnès Buzyn, actuellement sur la sellette.
https://www.ouest-france.fr/politique/agnes-buzyn/justice-agnes-buzyn-affirme-n-avoir-aucun-doute-que-la-verite-sera-connue-95f88e73-51f7-4f29-9102-67db15e5b961

Ce n’est pas la première fois que nous parlons d’elle ici. Souvenez-vous quand nous avions découvert le dossier où la ministre de l’époque demandait le classement de l’hydroxychloroquine dans la catégorie des molécules vénéneuses. Nous avions alors trouvé que le timing de ce classement était incroyablement troublant par rapport à l’émergence du Covid.
https://lilianeheldkhawam.com/2020/03/18/un-timing-troublant-qui-consista-a-compliquer-lacces-a-lhydroxychloroquine/

Nous avions parlé aussi d’elle dans l’étude du rôle de Alain Fisher, le monsieur vaccin de France, qui avait réussi à faire passer l’obligation de faire injecter 11 vaccins aux enfants. La ministre de l’époque était Mme Buzyn.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/06/24/alain-fischer-le-pediatre-qui-fait-le-grand-ecart-entre-la-recherche-scientifique-les-multinationales-et-les-fondations-rothschild-les-citoyens-doivent-se-mobiliser/

La vidéo ci-dessous montre à quel point Mme Buzyn était contestée dans le milieu hospitalier mis sous pression de manière chronique et interpellante.



D’autres scandales connus et moins connus avaient fait de la ministre de la Santé une personne encombrante à la fin de son mandat.

Ce décor planté, voici l’incroyable découverte que j’ai faite hier soir. Un décret avait été publié en mars 2020.

Décret n° 2020-243 du 12 mars 2020 portant publication de l’accord-cadre entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025 (ensemble deux annexes), signé à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019 (1)

Ce Décret daté du 12 mars 2020 est passé entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé. Jusque-là rien de spécial. Il y a une pandémie et un gouvernement décide de passer un accord avec un organisme mondial afin de définir la collaboration.

Texte du Décret et de ses annexes

decret-nc2b0-2020-243-du-12-mars-2020-portant-publication-de-laccord-cadre-entre-le-gouvernement-de-la-republique-francaise-et-oms-pour-un-partenariat-renforce-legifranceTélécharger

Ce texte converge de manière très précise avec les arguments relevés dans notre dernière publication.

Un accord-cadre qui couvre la période 2020-2025

Ce qui interroge plus, c’est le contrat-cadre qui est au coeur de ce décret. Or, il a été signé avec l’OMS à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019. Au moment où le virus circulait déjà à Colmar…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/03/24/3-decembre-2019-au-moins-un-cas-avere-de-coronavirus-a-colmar/

… confirmé par la suite :
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/02/10/le-sars-cov-2-circulait-sans-doute-en-france-des-novembre-2019_6069431_3244.html

La signature intervient après que des hospitalisations eurent lieu à Wuhan :
https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-des-chercheurs-de-wuhan-hospitalises-des-novembre-2019-la-chine-dement-da7fb9bc-bc80-11eb-a359-3a714ef76b03

En décembre 2019, Paris ne pouvait ignorer ce qu’il se passait à Colmar ou à Wuhan. C’est d’autant plus vrai que Mme Buzyn a pris ses fonctions quelques semaines après l’inauguration du laboratoire P4 de Wuhan à laquelle assistait son mari Yves Lévy, à l’époque directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Elle ne pouvait donc ignorer que le virus circulait à ce moment.
https://lilianeheldkhawam.com/2020/01/26/la-sulfureuse-cooperation-franco-chinoise-a-wuhan-challenges/

Or, nous retrouvons le nom de Mme Buzyn en tant que signataire de l’Accord avec l’OMS. Et ce papier est signé en décembre 2019, plus exactement le 31 du mois. Qu’est-ce qui justifiait cette précipitation?

Les signataires

En effet, l’accord-cadre (contrat) qui lie le Gouvernement de la République française et l’OMS pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025, a été signé à Paris le16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019. On y notera la participation du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. En quoi est-il concerné à l’heure où on ne parlait pas encore de trouver des vaccins révolutionnaires, ni de tests, et de vaccination sur les lieux d’enseignement?

Quelques commentaires sur l’Accord

Dans cet accord, nous nous bornerons à relever quelques éléments intéressants. L’OMS est l’autorité directrice et coordinatrice des travaux en matière de santé mondiale. Elle est donc d’abord une Autorité qui a un rôle non seulement de coordination supranationale, mais aussi opérationnel sur le terrain. Et ce à l’intérieur de TOUS les pays du monde.

Réaffirmant le rôle de l’OMS, renforcé par le processus de transformation en cours, en tant qu’autorité directrice et coordinatrice des travaux en santé mondiale et garante de la santé de tous les peuples ;
Soulignant que la France et l’OMS souhaitent travailler ensemble à faire progresser la Couverture sanitaire universelle (CSU) et poursuivre leurs efforts vers la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies

extrait des objectifs de l’accord-cadre signé en 2019 entre la France et l’OMS

Cela signifie qu’il faut imaginer qu’un jour viendra où c’est l’OMS qui devra prendre le relai en matière de décision et de mise à disposition de ressources venues d’autres pays, à l’image du recrutement massif de personnel soignant libanais pour la France. Le tout en référence aux ODD qui sont les objectifs de l’Agenda 2030.

Peut être une image de 3 personnes, personnes debout et texte qui dit ’NOUS RECRUTONS La 1ère entreprise sociale d'Europe recrute des MÉDECINS Libanais, Libanaises Un salaire attractif, prise en compte de l'ancienneté et l'expérience Regroupement familial accéléré Une aide financière à l'installation Un accompagnement individuel et facilitateur Si vous êtes: Médecin Anesthésiste Réanimateur, Pédiatre, Gynécologue Obstétricien, Cardiologue, Pneumologue Endocrinologue, Chirurgien Digestif, Chirurgien Urologue, Chirurgien Orthopédiste, Ophtalmologue, Oncologue, Médecin Généraliste. Vous êtes prêt pour un nouveau départ en France? N'hésitez pas, envoyez votre CV beleyconsulting@gmail.com’
Le pillage des cerveaux est en cours après que la finance internationale ait mis en place un embargo sur tout ce qui permet non de vivre mais de survivre. La jeunesse et les gens les mieux éduqués sont cueillis facilement et pour bien moins cher que leurs équivalents locaux.

Dans son Article II qui décrit le champ et les domaines de coopération, nous relevons brièvement la référence à l’harmonisation, à la structure transversale des processus (cf nos travaux sur le Coup d’Etat planétaire), et à des ingénieurs sanitaires (cf nos travaux sur l’ingénierie sanitaire, la nanomédecine, etc Exemple:
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/comment-page-1/).

Avec le recul, un objectif de ce texte attire particulièrement l’attention. Je rappelle qu’il a été signé le 16 décembre déjà à Paris. Soit AVANT que la crise du Covid ne démarre officiellement en Europe :

(…) une meilleure protection des populations face aux situations d’urgence sanitaire, notamment à travers le renforcement de la sécurité sanitaire, y compris la lutte contre les flambées épidémiques et les maladies à potentiel pandémique et la mise en œuvre du Règlement sanitaire international (RSI), notamment par les activités menées par le bureau de l’OMS à Lyon ;

Décret n° 2020-243 du 12 mars 2020 portant publication de l’accord-cadre entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025 (ensemble deux annexes), signé à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019 (1)

Administration des dons accordés à l’OMS

Un passage de cet accord-cadre mérite attention. Il s’agit d’un extrait du financement de l’OMS par Paris. Dans le point 3.4 des Dispositions financières, il est dit que:

« La France concourt aux mécanismes mis en œuvre par l’OMS avec ses donateurs afin de mieux prévoir et aligner les ressources disponibles de l’Organisation avec les budgets programmes approuvés par ses Etats membres, en particulier à travers les processus de dialogue financier. »

Coup de théâtre le 16 février 2020, Mme Buzyn quitte précipitamment son poste .

Création de l’Académie de l’OMS conformément à l’Accord-cadre et à l’Agenda 2030…

Le 24 février 2020 la France s’engage à verser 100 millions de dollars à l’OMS. Ca tombe bien puisque toutes les modalités d’administration des subventions étaient prévues dans le contrat signé en décembre 2019.

Voici un extrait du communiqué de l’OMS au sujet des 100 millions de subvention :

Aujourd’hui, le Ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, M. Jean-Yves Le Drian et le Directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, se sont rencontrés à la Mission permanente de la France auprès de l’Office des Nations Unies à Genève pour aborder la question, qui sera la plus grande plateforme de formation continue, et la plus innovante, dans le domaine de la santé mondiale.

L’Académie de l’OMS vise à atteindre des millions de personnes dans le monde, offrant un milieu d’apprentissage de haute technologie, constitué d’un pôle à Lyon et d’antennes dans les six Régions de l’OMS. L’Académie offrira des possibilités d’apprentissage aux dirigeants, aux enseignants, aux chercheurs, aux agents de santé, aux membres du personnel de l’OMS et au grand public et proposera des formations de grande qualité, multilingues, à la fois en ligne et en présentiel, et abritera un centre de simulation pour les situations d’urgence sanitaire à la pointe de la technologie.

La discussion qui a eu lieu aujourd’hui fait suite à une Déclaration d’intention signée par Emmanuel Macron, Président de la République française, et le Dr Tedros le 11 juin 2019 et à l’annonce par la France d’une contribution de US $100 millions (€90 millions) à l’OMS pour appuyer la création de l’Académie, qui sera une division interne de l’Organisation.

https://www.who.int/fr/news/item/24-02-2020-france-pledges-us100-million-for-who-academy

… Mme Buzyn devient ce septembre 2021 la directrice exécutive de ladite Académie de l’OMS!!! AJOUT

En clair, Mme Buzyn dirige en 2021 le centre qu’elle a créé avec l’OMS en 2019, la veille de quitter sa fonction de ministre de la santé. Ledit centre financé avec l’argent public français. Juste incroyable.

Soudain la crise des hôpitaux publics prend une autre allure

Le 13 janvier 2020, Mme Buzyn réagissait à la crise que connaît l’hôpital public:

« Dans certains endroits, la pression financière a été trop importante depuis 10 ou 15 ans et elle a dégradé considérablement les conditions de travail. Nous sommes dans une dynamique inverse », assure ce lundi sur franceinfo la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn alors que plus de 1 000 médecins ont signé une pétition et menacent d’abandonner – certains l’ont déjà fait – leurs fonctions administratives.

Et de poursuivre qu’elle dégageait « des financements dès ce mois de janvier : 150 000 euros ont été alloués aux hôpitaux dès ce mois-ci pour l’achat du matériel du quotidien« . Une somme ridicule donc en comparaison avec la donation de 100 millions de dollars à l’OMS…

Alors pourquoi?

La conclusion qui semble s’imposer à ce stade est que les gouvernants nationaux ont décidé de laisser couler les hôpitaux publics et autres assurances sociales au profit d’un système planétaire intégré et globalisé détenu par le marché de la finance (BigPharma entre autres).

Ce sont les financiers qui dirigent et dirigeront toujours plus la stratégie sanitaire locale et globale. Cela signifie très clairement qu’ils auront des droits sur le corps humain. Restera à envisager le sort des inutiles. A commencer par les personnes âgées…

Et ces gens ont des idées de ce que nous devrions être, faire et penser…

Entretemps, le personnel soignant des hôpitaux et les libéraux, clairement harcelés, risquent d’avoir des jours bien difficiles devant eux.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/09/04/la-medecine-financiarisee-est-numerique-elle-na-que-faire-dun-raoult-ou-dun-fouche/ https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/25/nanosante-le-metier-de-medecin-voue-a-disparaitre-changement-du-paradigme-medical/

LHK


Rappel :

https://lilianeheldkhawam.com/2021/10/11/important-loms-veut-lautorite-absolue-en-matiere-de-sante-publique-mondiale-alain-berset-en-fer-de-lance/




Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison ?…

Par Alain Tortosa

Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison…
Et si je me faisais des idées, et si je m’étais pris à mon propre piège.
Et si nous vivions en démocratie, et si nos gouvernants et l’industrie étaient « bons ».
Et si les médias étaient ce qu’ils disent :
compétents, intègres, intelligents, professionnels et indépendants ?

Liberté ?

Hier j’étais encore une fois de plus en train de manifester aux cris de « liberté » et de « dictature ». Nous étions bien entendu peu nombreux au regard de la population.

Je n’avais pas l’impression que ceux qui nous dévisageaient avaient le sentiment de ne pas être libres. Ni même ceux que nous pouvons croiser (pas moi, je n’y mets plus les pieds) dans un supermarché avec un masque jusqu’au front et trois doses de « vaccin ».

Dictature ?

Voilà un mot que nous devrions bannir ou manier avec précaution comme ne manque pas de nous le rappeler les « journalistes » tous les jours. Ceci n’étant « qu’une simple marque de respect à l’égard des peuples opprimés » qui eux, vivent « vraiment » dans une dictature !

Si j’interroge nom voisin en évoquant les mots de « dictature sanitaire », il va me regarder avec des yeux exorbités comme si je lui avais annoncé avoir vu une soucoupe volante débarquer dans mon jardin.

La masse, le peuple français, ne vit pas en dictature… mais pourquoi moi oui ?

Histoire d’enfoncer encore plus le clou, j’ajouterais que je vivais déjà en dictature avant même la crise du Covid, c’est dire si je dois être complètement « allumé » aux yeux de certains.

Afin de tenter de mettre un peu d’objectivité, je vais d’abord me référer à la définition du dictionnaire.

Si l’on en croit Le Larousse, une dictature c’est un :

« Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes (junte) qui l’exercent sans contrôle, de façon autoritaire »

Tout être « raisonnable » ou « journaliste » confirmera que nous vivons bien dans une « démocratie ». Et oui, où avais-je la tête… nous avons un président élu, un gouvernement, un parlement élu, des institutions, des contre-pouvoirs, des juges « indépendants », une presse « libre » et surtout des « élections libres »… Comment pourrions-nous vivre en dic-ta-tu-re ?

Mais j’y pense, Hitler est bien arrivé au pouvoir par des élections, Pétain a bien obtenu les pleins pouvoirs par les députés, il y a aussi un parlement en Corée du Nord où le dictateur a été élu ! En fait, si on y regarde bien, quasi tous les régimes totalitaires ont des élections et un parlement, non ?

Et voilà, emporté par ma crise délirante, je me mets à oser comparer la France à la Corée du Nord ! Tout être de raison sera bien conscient que mes propos sont outranciers et frisent le ridicule…

Vous dites « Un parlement » ?

Pour autant, une démocratie existe principalement par la liberté d’expression et ses contre-pouvoirs.

Or, depuis le début de la crise, le Conseil d’État et même le Conseil Constitutionnel approuvent des lois d’exception que ledit conseil reconnaît non-constitutionnelles, mais « acceptables » au motif que nous vivons un état d’urgence, une crise « exceptionnelle » et que ces lois sont « temporaires ».

Je vous rappelle pour exemple que le « temporaire » du passe sanitaire qui est censé prendre fin le 15 novembre sera probablement reconduit jusqu’à l’été prochain « pour notre sécurité »…

Depuis le début de la prétendue crise sanitaire, les décisions sont prises en dehors de toute transparence, de tout contre-pouvoir et par un « conseil de défense ». Les lois d’urgence sont votées par un parlement qui, lorsque les décisions ne sont pas en accord avec le gouvernement, sont revotées le plus « légalement » du monde… dans l’indifférence quasi générale.

Cette « démocratie » a pour le moins un fonctionnement bien étrange. Elle donne le sentiment que TOUS les pouvoirs sont dans les mains d’un seul homme, le Président de la République, président dont nous ne savons pas précisément de qui il tient les siens.

Tout ceci serait votre définition d’une démocratie ?

L’indice de bonheur et le totalitarisme ?

Les Français semblent globalement heureux. Je ne perçois pas le moindre désespoir chez tous ces masqués, vaccinés, passe-sanités… Ils sont confinés, privés de liberté de mouvement, privés de loisirs, contraints à porter une muselière, contraints de se vacciner pour avoir le droit de vivre, mais… heureux. Nous pouvons supposer que si nous vivions en dictature ils seraient écrasés par tout ceci ?!

Et bien non !

« Le bonheur ne se mesure pas non plus à la liberté.

Je ne pense pas qu’il y avait de sondages, mais le peuple allemand semblait heureux en Allemagne pendant la période nazie (avant 1944).

Ils avaient leur ennemi commun, de quoi manger, du travail… et ils croyaient en leur leader charismatique qui allait les sauver et leur rendre leur honneur.

Un article publié par Forbes en 2008 “Chasing Happiness” (à la poursuite du bonheur), indique : “Les données révèlent que le bonheur n’est pas proportionnel au revenu moyen, au type de gouvernement — démocratie contre dictature…” »(([1] Extrait « 7 milliards d’esclaves et demain ? »))

Nous voyons donc que celui qui vit dans une dictature, mais qui n’est pas ciblé par cette même dictature pourra être aussi heureux que dans une démocratie.

Mais pourquoi ne suis-je pas comme tout le monde ? Les droits de l’homme sont pour moi une donnée non négociable alors qu’ils semblent totalement annexes pour des millions de Français.

Démocratie, liberté d’expression et censure ?

Nous vivons à ce point une période « merveilleuse » qu’il n’existe aucune censure en France. Non, non, ne riez pas ! Je ne fais que rapporter le sentiment de la masse.

Une majorité de Français adhère à la propagande et regrette que les réseaux sociaux soient si laxistes. D’aucuns pensent même que les médias classiques font une part trop belle aux « complotistes ».
Et oui !
Il n’y a de fait aucune « censure » en France, mais uniquement une chasse à la « désinformation ».

Une preuve de plus que nous vivons donc bien en démocratie pour la majorité des Français qui approuvent la suppression des « informations mensongères ». C’est d’autant plus intéressant que cette même majorité, totalement servile, se dit à la fois « Charlie » et pour la « liberté d’expression ».

Rappelons que celui qui ne suit pas la Doxa est un « ennemi du peuple », un « assassin » en puissance. Allons bon, ne pas adhérer, discuter, critiquer toutes les mesures mises en œuvre « pour notre bien » ne peut qu’être « objectivement » criminel.

Par exemple, celui qui ne met pas de masque (comme votre serviteur) et qui affirme que celui-ci est inefficace, contre-productif et dangereux va, de fait, automatiquement mettre en danger les personnes qui sont autour de lui. Il n’y a donc pas « censure » en le muselant, mais « suppression de propos dangereux ».

Le monde est à ce point délirant que l’on applaudit l’interdiction de publier sur Facebook ou Twitter à un président des États-Unis en exercice et démocratiquement élu…

Démocratie qui définit donc ce qui est vrai ou pas, acceptable ou pas, dangereux ou pas. Tout français est ainsi totalement libre de dire ce qui est autorisé par le Ministère de la Vérité.

Nous ne serions donc pas dans une « dictature qui censure la liberté d’expression », mais dans une « démocratie qui protège son peuple de personnes dangereuses ».

Et moi, naïf, qui m’obstine à nommer un tel régime une dictature. L’idée de l’État « grand frère » et bienveillant qui me protège choque profondément mes valeurs.
Éduquer, oui, mettre en garde oui, interdire non !

Les confinements ?

Étant indécrottable, je n’ai toujours pas digéré le fait d’avoir été assigné à résidence en l’absence d’accusation, de procès et de jugement. Procédé qui me semble plus présent dans un régime dictatorial qu’en démocratie…

Pour être honnête, le confinement a été plutôt agréable pour ma famille. Notre dictateur bienfaiteur a acheté notre silence (que nous devrons rembourser avec intérêts)… Et puis nous avions la chance de sortir sans les nuisances des voitures, les enfants étaient heureux de ne pas aller à l’école… Je confesse que cette période était pour moi à la fois viscéralement inacceptable et dans le même temps plutôt agréable.

Ici encore mon émoi n’était pas celui de la majorité des Français.

« Mais n’as-tu pas compris qu’à virus exceptionnel, solution exceptionnelle ? »

Ben non, quand bien même, la fin ne justifie pas les moyens !

Petit rappel des déclarations du président du conseil scientifique en juin 2020 :

« Nous assumons le fait d’avoir proposé le confinement durant les trois journées très difficiles des 12, 13 et 14  mars. Ce n’était pas notre décision, car elle appartient au politique.

Ce n’était pas une bonne décision, mais la moins mauvaise, étant donné les outils que nous avions. » 

Une autorité a dit aux Français, en dehors de toute preuve scientifique, qu’il fallait confiner ensemble malades et bien portants pour éviter le pire. Puis cette autorité leur a dit que ce confinement a sauvé des dizaines de milliers de vies. Et enfin nombreux sont celles et ceux qui croient encore à ce joli conte pour enfants.

Les catastrophes économiques, sur la santé mentale, sur la violence conjugale, sur les retards de soin ? Cela n’interpelle que les Français concernés. Pour les autres, c’était plutôt des vacances payées. Et si vous leur dites que les pays qui n’ont pas confiné ont eu moins de morts par habitant que nous, ils ne peuvent l’entendre, grâce au soutien actif de la propagande.

Alors ?

  • Si je ne m’obstinais pas à vouloir me rappeler le « liberté égalité fraternité » sur le fronton de toutes les mairies…
  • Si j’oubliais que je pouvais me prendre 135 euros d’amende juste pour être sorti de mon domicile…
  • Qu’il y avait des haut-parleurs dans la ville répétant les consignes…
  • Que des drones tournaient sur la plage au cas où un promeneur en plein hiver contaminait une mouette…
  • Ceci tandis que l’on pouvait s’entasser devant des supermarchés bondés…

Alors j’aurais peut-être pu me convaincre que nous étions en démocratie et que le confinement des personnes non malades était une « bonne » chose.

  • Aussi « bonne » que de dire aux malades de rester chez eux et de ne surtout pas se rendre chez leur médecin de famille avant d’être à l’article de la mort ?
  • Aussi « bonne » que d’interdire les médecins de prescrire ?
  • Aussi « bonne » que de « finir » les vieux au Rivotril ?

Les masques ?

Et que dire de ces « appendices naturels » ? Encore aujourd’hui je croise des centaines de personnes qui ne semblent souffrir en rien avec leur accessoire sur le nez. Après tout, ce n’est qu’un bout de tissu ou du plastique devant la bouche. Elles semblent ne présenter aucune souffrance, même si je ne peux voir leur visage.

Pire encore, elles continuent de le porter et je vois encore des cours d’école pleines d’enfants masqués alors même que le seigneur du département (préfet) a supprimé son arrêté l’obligeant à l’extérieur. Je ne supporte pas de les voir, cela me retourne les tripes à en avoir physiquement mal.

Suis-je juste un crétin d’égoïste (comme le disent les autorités ou les masqués que je croise) ? Le plus drôle avec l’affaire du masque est qu’elle a eu des débuts rocambolesques. Sans doute le seul épisode de la crise qui a débuté par une vérité « le masque ne sert à rien et est dangereux » Pour terminer en « le masque est vital pour ne pas assister à la fin du monde », masque qui demeure indispensable pour protéger les vaccinés d’un « vaccin efficace à 90 % ». L’affaire est à ce point comique que le français manipulé croit que c’est la première annonce qui était un mensonge et la deuxième une vérité.

Ici encore mon problème est que je sais lire et que je ne me contente pas d’écouter la Pravda.

  • Que dois-je faire de toutes les études publiées avant la crise, y compris des écrits de l’OMS, qui affirmaient que ce masque en population générale ne sert strictement à rien, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur ?
  • Que dois-je penser des pays qui n’ont pas masqué leur population et qui n’ont pas plus de décès ?
  • Que dois-je faire du nombre de cas qui n’a cessé d’augmenter au fil de la généralisation du port du masque ?
  • Que dois-je faire de la dangerosité du produit et du faux sentiment de sécurité qui était aussi affirmé par l’OMS ?
  • Que dois-je faire de ce nid à bactéries, de cet appendice qui augmente votre taux de CO2 et diminue votre oxygène ?
  • Que dois-je faire des troubles psychiques induits chez les bébés, les enfants et même les adultes ?
  • Que dois-je faire d’une société qui fait d’une personne en bonne santé une menace pour la vie d’autrui et dont on doit se méfier ?

De toute évidence, aucune de ces pensées ne traverse l’esprit de celles et ceux qui le portent toute la journée y compris seuls dans une voiture.

Une autorité qu’ils ne peuvent penser malveillante leur a dit qu’il fallait le porter et ils arrêteront de le porter temporairement uniquement le jour où cette même autorité leur dira qu’il n’est plus nécessaire.

Autorités qui nous ont dit que le confinement nous sauverait, puis que la distanciation nous sauverait, puis que les tests PCR nous sauveraient, puis que le masque nous sauverait, puis que le vaccin nous sauverait, puis que le passe sanitaire nous sauverait… et aujourd’hui ?

Aujourd’hui, on vous dit que la suppression en tous lieux du masque n’est pas à l’ordre du jour et que ce serait même irresponsable, alors même que 90 % des personnes à risque seraient injectées… Cela gêne-t-il ou questionne-t-il ces mêmes Français qui le portent sans colère ni révolte ?
Non, absolument pas… « C’est comme ça et c’est pas bien grave ».

Je m’aperçois de l’échec qui se dessine au fil de mon écriture… comment pourrais-je raisonnablement adhérer à la doxa et me dire que je me fourvoie depuis le début de la crise ?

Le vaccin et le passe sanitaire ?

C’est peut-être ma dernière chance de « pouvoir me réveiller, de sortir de mes délires complotistes et enfin revenir vers le bon sens ». Comment douter de la vérité sanitaire quand 100 % des politiques, médecins médiatiques, journalistes vous répètent depuis des mois que les « vaccins » sont efficaces et sans danger ? Après tout, je ne vois pas les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’ils sont presque tout injectés. OK, mais je n’ai pas vu les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’il y avait cette fameuse terrible pandémie !

Pourquoi des personnes en bonne santé, et encore plus des enfants, se feraient-elles injecter ces produits expérimentaux pour lesquels nous n’avons que quelques mois de recul ? Même la majorité des médecins corrompus reconnaît que le Covid ne touche que les personnes en mauvaise santé, aux défenses immunitaires défaillantes.

Je suis décidément sur une très mauvaise pente et je sens déjà les portes de l’enfer se refermer sur moi. Mais j’ai encore une petite chance de pouvoir revenir dans le bon chemin. Tel un éclair d’espoir, une lumière vient d’apparaître… Une étude « indépendante » vient d’être publiée en France sur l’efficacité des vaccins. Réjouissons-nous mes frères, les vaccins sont bien efficaces à plus de 90 % comme on le pensait, pour réduire les hospitalisations ! C’est une étude « indépendante » (si, si, c’est écrit sur leur site) conduite par « epi-phare », une émanation de l’ANSM (qui évalue la sécurité des médicaments pour le ministère). Je vais enfin pouvoir cesser de regarder les courbes épidémiques des pays qui ont massivement vacciné et pour lesquels nous assistons à une explosion des cas et des décès.. Et puis pourquoi irais-je chercher la petite bête comme le fait que l’étude s’arrête juste avant la remontée des décès de la 4e vague ? Ou quelle compare 3,6 millions de vaccinés à 3,6 millions de non vaccinés de plus de 75 ans alors même que plus de 75 % des personnes dans la tranche d’âge étaient vaccinés vers la fin de l’étude et que de fait il n’y avait plus suffisamment de non-vaccinés pour en trouver autant que de vaccinés. Le plus rigolo est qu’il semble que l’étude portait sur 7,5 millions de plus de 75 ans alors que la France en compterait un million de moins !
Et voilà, mes délires me reprennent, je vais chercher la petite bête au lieu de me contenter de cette simple affirmation d’efficacité.

Quand bien même le risque de s’injecter et d’avoir des séquelles graves ou de mourir ne serait que d’un sur un million, pourquoi le prendre ? Comment pourrais-je survivre à la mort de mon enfant en pleine santé si d’aventure il décédait d’une injection expérimentale ?

Vient alors le mythe de la vaccination solidaire et altruiste. Il faut que je me ressaisisse et me rappelle que le français de 2020 et 2021 est devenu so-li-dai-re !
Ça va rentrer oui ?

Je dois absolument m’empêcher de penser que même les autorités sanitaires reconnaissent et insistent sur le fait que les vaccinés sont contaminants, qu’ils doivent continuer à porter le masque et qu’ils doivent désormais prendre une troisième dose d’un produit « efficace » pour le rendre « efficace ».

Effacer de ma mémoire les pays qui ont eu un recours massif à l’injection et dont la situation est catastrophique.

Pendant ce temps, tout ce petit monde de « vaccinés » vit comme si tout ceci n’était que mythe ! Pour être honnête, ce n’est pas tout à fait vrai, la plupart ignorent totalement les faits que j’ai relatés, n’ayant qu’une unique source « d’informations ».

Mais revenons au fameux « vaccin solidaire » qui vise à injecter tous les enfants pour (officiellement) empêcher de vieux grabataires de mourir…

Qui peut croire qu’un humain s’injecterait ces poisons ou qu’il l’injecterait à ses enfants pour protéger quiconque s’il avait le sentiment que ces produits sont potentiellement dangereux ou mortels ?

Seule la publicité peut nous faire gober un truc pareil. Les injections sont purement égoïstes. POINT.

Nous avons eu dans un premier temps une petite frange de la population paniquée qui s’est vaccinée « volontairement » pour se protéger du « méchant virus ». Puis le gros de la troupe s’est fait injecter pour aller en vacances, au cinéma ou au restaurant. Croyez-vous que ces millions de Français auraient fait ces injections s’ils avaient pensé qu’il y avait un risque, même infinitésimal, pour leur propre vie ou celle de leurs enfants ? Non, ils sont à ce point crédules (j’avais ajouté « et con », mais je suis désormais politiquement correct) pour gober les mensonges de la dictature et croire ce que les médias vomissent à longueur de journée :

« Une injection expérimentale de masse inédite d’ARNm sur des sujets sains et jeunes ne présente aucun danger ni à court ni à long terme ! »

Ce monde est merveilleux.

À noter que par le passé, l’alcool, le tabac, les rayonnements ionisants, le mercure, l’amiante et j’en passe… ne présentaient aucun danger pour la santé et, qui plus est, étaient considérés pour certains comme bénéfiques, alors pourquoi pas de l’ARN messager ?!

Donc ici aussi je ne peux pas… Je suis dans l’incapacité de croire que cette injection d’ARNm sur tous les habitants de la planète permettra d’éradiquer un virus qu’ils croient dangereux et que cet acte ne présente strictement aucun danger pour la santé.

Nous, les complotistes dissidents, disposons de milliers de témoignages d’effets secondaires graves, nous disposons de centaines de témoignages sur la planète de médecins qui signalent des effets secondaires et des décès à court terme chez des enfants. Nous disposons aussi de témoignages sur les soignants menacés et interdits de faire remonter ces informations. Tous ces soignants respectés hier seraient-ils devenus soudainement fous ou menteurs ?

Mais quand bien même toutes mes objections ne seraient que délire complotiste… Pourquoi prendre le risque d’un cancer à 20 ou 30 ans pour une maladie somme toute bénigne qui ne menace que des personnes à risques spécifiques et pour laquelle il est désormais prouvé que l’injection massive n’amènera pas une immunité de masse ?

Qui est le fou, l’irresponsable ou le criminel comme certains aiment à l’affirmer ? Celui qui critique comme moi ou celui qui injecte ses propres enfants ?

Alors ?

Et moi dans tout ça ?
Je ne suis pas comme tous ces Français absents, je vis les débuts d’une vraie dictature dans laquelle la censure est « juste », dans laquelle il n’y a plus de parlement, ni même de gouvernement et encore moins de juges, mais un « conseil de défense ».
Je suis victime de discrimination, interdit de commerces, de restaurants, de cinémas, de vacances, de voyages et bientôt de travail au nom de la « sécurité ».

Je souffre, je hurle, je pleure… souffrance d’autant plus grande que je ne vois pas les endormis souffrir.
Je suis bien sûr interdit de communication avec toutes ces personnes « heureuses », les médias ne cessant de les mettre en garde contre moi le non-malade, mais pour autant potentiellement contaminateur d’idées. Je possède non pas des indices, mais des centaines de preuves que mes pensées ne sortent pas d’un chapeau, mais toute discussion est vaine et interdite. Tous ces masqués, confinés, vaccinés ne veulent surtout pas savoir… alors je suis leur con et la réciproque l’est tout autant. Ces pourritures de vérificateurs qui pleuvent sur tous les médias de toutes les grandes chaînes rient en parlant de nous les « complotistes ». Ils font de nous des débiles, des naïfs, des analphabètes ou de dangereux psychopathes d’extrême droite de la fachosphère et donc bien sûr antisémites comme il se doit. Ceci afin de bien dédouaner les « bons » Français de discuter avec nous, les « pervers manipulateurs ».

J’ai passé et je passe encore des milliers d’heures à étudier la maladie, les symptômes, les publics touchés, les traitements, les statistiques, l’efficacité de telle ou telle mesure, les « vaccins » ou les études scientifiques publiées avant ou depuis la crise.

Et pourtant ma parole a moins de crédit à leurs yeux qu’un « médecin » médiatique :

  • Qui passe sa vie sur un plateau TV.
  • Qui est allé jusqu’à approuver l’interdiction de prescrire.
  • Dont la « vérité » se résume à la vérité médiatique.
  • Qui de fait n’a pas lu la moindre étude.
  • Et, qui plus est, croule sous les conflits d’intérêts.

Dans notre monde qui a perdu toutes ses valeurs, un tel gars corrompu est crédible, car il passe dans les grands médias et a un diplôme.

Au-delà de l’injustice, au-delà de ce procès en sorcellerie, au-delà de cette interdiction qui m’est faite de discuter, d’argumenter, de prouver mon absence de folie…

Ces autorités, ces médias et ces moutons (comment les appeler autrement ?) m’ont fait un mal terrible.

ILS ont tué (ou tout du moins blessé mortellement) mon empathie ! Je confesse n’en avoir plus rien à faire de leur sort. Je suis usé, lessivé…

Ils veulent continuer à porter leur muselière jusqu’à la fin de leurs jours, vivre comme des moutons et diminuer leurs défenses immunitaires… je n’en ai plus que faire. Ils veulent prendre le risque d’avoir des effets secondaires graves à court, moyen ou long terme ou même mourir de ces injections expérimentales… Grand bien leur fasse ! Pire encore, ils ont pris la décision d’injecter leurs propres enfants dont certains sont déjà ou vont décéder pour qu’ils puissent jouer au foot… Eh bien, cela ne me fait plus rien.

J’ai fait ma part. J’ai écrit des dizaines d’articles sur la dangerosité et la totale inutilité de ces poisons. Ils veulent croire la propagande ? Ils veulent croire l’industrie pharmaceutique alors qu’elle est la plus pourrie de toutes les industries qui de plus prétend agir pour nous ?

Grand bien leur fasse !… Ils m’ont à ce point déçu. Ils ont à ce point cette volonté de mettre la tête dans le sable, de ne pas vouloir savoir… que je ne peux plus RIEN pour eux.

Je les vois tel un banc de sardines. Leur survie est purement statistique comme la survie d’une sardine l’est aussi. D’un côté nous avons (pour peu que les sardines et la masse des Français pensent) « avec de la chance, je vais survivre à l’attaque des requins » et de l’autre « avec de la chance, je vais survivre au vaccin ». Ils ne comptent que sur le faible pourcentage de risques, à leurs yeux inexistants, tout en croyant à la dangerosité de ce virus… statistiquement anodin.

C’est trop tard. Je ne peux plus être empathique. J’ai acquis la conviction que si on leur disait de marcher à quatre pattes ou qu’on les faisait monter dans des trains pour aller dans des camps « afin de se mettre à l’abri du virus », ils le feraient sans la moindre réaction.

Ma survie n’est plus que pur égoïsme pour moi et pour les miens. Tous les résistants, les personnes qui réfléchissent et doutent, nous allons finir par faire tomber cette dictature immonde qui se drape sous ses airs de « bienveillance ». Mais personnellement, et même s’ils en tireront aussi les bénéfices, je ne le fais plus du tout pour eux.
Ils ont tué cette lumière en moi et je ne suis pas prêt de leur pardonner.

Alain Tortosa

12 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211012-et-si-ils-avaient-raison.pdf




Pourquoi tant de personnels soignants préfèrent perdre leur emploi que recevoir le « vaccin »

[Source : CrowdBunker]