Les «complots de panurges», cancer de la résistance.

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

Par Jean Pierre Aussant

Il y avait déjà le « prêt-à-penser ». Nous avons maintenant le « prêt-à-découvrir ».

Les faux complots que je qualifierais de complots «prêts-à-découvrir» comme le virus «fabriqué en Chine» (s’il est fabriqué en Chine, c’est qu’il existe…) ou encore l’efficacité de la chloroquine (si elle est efficace, c’est que là aussi, le virus existe, car rien n’est efficace contre rien…), sont souvent sinon créés par la dictature elle-même, au moins encouragés par elle, et ce dans le but d’entraîner la population (en lui donnant un peu d’avoine à ruminer) dans des réflexions «cul-de-sac» et sans danger pour elle. C’est qu’il s’agit avant tout d’empêcher le peuple de comprendre que le seul vrai complot à découvrir, est que le corona n’est que la « dramatisation sémantique » d’une simple grippe. Et rien d’autre…

En clair, les opposants à la dictature de l’hygiène ont le droit de tout dire, y compris que le virus a été balancé sur terre par les extra-terrestres, mais en revanche, ils n’ont pas le droit de nier son existence. Bref, tout dire sauf……la vérité. La dictature nous autorise pour ainsi dire à donner notre opinion, à condition toutefois de faire quelques concessions au mensonge. Elle nous dit : « accepte le mensonge, et après dis ce que tu veux ».

Force est de constater hélas, que l’immense majorité des « résistants » plus ou moins médiatisés qui pullulent désormais dans les réseaux sociaux (à coups de vidéos « regarde, c’est du lourd ») se vautrent tête première dans ce piège (et avec eux les revues en ligne de résistances plus ou moins catholiques comme….(ils se reconnaîtront). Ainsi, quand bien même sans le savoir et quand bien même en étant bien intentionnés, ces gens contribuent « en creux » à propager le mensonge de la dictature qu’ils essayent pourtant de combattre.

Dans cet esprit, je ne peux que réitérer ce que voici deux ans j’écrivais déjà dans mon essai «l’instrumentalisation du corona»: la condition sine qua non à toute résistance crédible est de manifester une tolérance zéro contre la plus grande fakenews de tous les temps. Toute autre approche ne pourra que générer à plus ou moins long terme encore plus de trouble et de confusion.

Jean Pierre Aussant


[Voir aussi :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
L’effondrement de l’hypothèse virale. Mise à jour]




Ô Macron fol polymorphe !

Par Lucien Oulahbib

Sans doute, ce (te) iel s’avère être plutôt un petit Faust, peut-être Pinocchio, au moment de sa bascule en mauvais garçon (manqué ?). Du moins en apparence, car cette « chose » s’apparenterait plus (« en dernière instance ») au dément de Psychose se prenant pour sa mère qu’il aurait imaginé comme étant l’autre « iel ». Impossible (n’est pas français) ? Les magiciens et sorciers se perdent en conjectures.

En tout cas, sa hargne, si précieuse, à vouloir démanteler minutieusement ce qu’il nomme les « non-vaccinés » (les rescapés de cette démesure en réalité) montre bien que nous avons affaire à un maniériste, chauffeur maniaque des Grands Chemins qui autrefois vous brûlaient les pieds, aujourd’hui la cervelle à coup d’ondes TV et Radio véhiculant leurs halos hagards, vitupérant sur ceux qui refusent de se faire piquer (alors qu’il en reste encore quatre à s’enfiler), en prétextant qu’ils encombreraient les hôpitaux alors que si c’était vrai il aurait suffi de laisser les médecins prescrire et de ne pas leur fermer autant de lits.

Ce fiel, qui comme l’enfer est pavé de bonnes intentions, se déverse telle une lave non seulement totalitaire, mais purificatrice, à la façon de ces fanatiques qui il n’y a pas si longtemps allaient brûler les incroyants (puis on les guillotina et gaza — progressisme oblige — tout en hurlant, vociférant : « Science ! Science ! Science ! », façon horde du Ku Klux Klan nouvelle mouture.

Nous en sommes là donc, à creuser le fond d’une morgue, désormais sans plus aucun autre « garde fou » que le Peuple qui, peut-être, comme autrefois, à Valmy, saura dire NON !!! : « Qu’un sang impur abreuve nos sillons »… Nous, les impurs…




David Pujadas s’attaque frontalement au mirage Omicron, preuves à l’appui

[Source : lemediaen442.fr]

Rien ne va plus, Pujadas commence à s’énerver. L’agacement face aux mensonges n’est plus tenable. (…) Une chose est certaine, il en a gros sur la patate et n’est certainement pas le seul journaliste à être agacé.


Nous sommes jeudi 30 décembre 2021 et le journaliste de LCI a décidé de s’attaquer frontalement au tsunami Omicron, afin de montrer aux téléspectateurs qu’il n’est en réalité qu’un mirage. Les arguments sont là, les chiffres, les preuves et face à ce constat sans appel, David Pujadas commence par cette phrase :

« l’Apocalypse Omicron, alors je dis Apocalypse, parce que c’est couramment admis. On ne peut pas dire Omicron sans dire tsunami, raz-de-marée, la falaise, le mur qui va tous nous ensevelir. C’est ce qu’on entend dans les médias. C’est ce qu’on entend chez les médecins. Vous lisez dans la presse, vous l’entendez à la radio, vous le voyez à la télévision. Bref, la peur, l’inquiétude. »

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Le Média en 4-4-2




Et si la plus grande expérience de l’histoire sur les êtres humains était un échec ?

[Source : anguillesousroche.com]

Un collègue analyste boursier chevronné m’a envoyé un lien par SMS aujourd’hui, et lorsque j’ai cliqué dessus, j’avais du mal à croire ce que je lisais. Quel titre. « Le PDG d’une compagnie d’assurance-vie de l’Indiana affirme que les décès ont augmenté de 40 % chez les personnes âgées de 18 à 64 ans ».

[Ndlr : l’accès à l’article étant visiblement interdit depuis l’UE — signalé par plusieurs utilisateurs —, voici sa capture PDF :]

Ce titre est une bombe de vérité nucléaire se faisant passer pour l’enveloppe de manille sèche d’un agent d’assurance pleine de tables actuarielles.

Des personnes nous écrivent fréquemment, à Jill et à moi-même. Des gens que nous n’avons jamais rencontrés. Ils appellent, ils viennent à la ferme sur rendez-vous ou à l’improviste, ils remplissent nos boîtes aux lettres électroniques de leurs demandes. Ils veulent tous quelque chose : du temps, de l’attention, une interview. Beaucoup veulent nous parler de leurs peurs, de leurs maladies, de leurs cauchemars ou (ce qui semble souvent) de conspirations paranoïaques. Et puis, avec le temps, ces peurs et ces « conspirations » se confirment. Comme me l’a dit récemment Jan Jekielek (rédacteur en chef du Epoch Times), il est de plus en plus difficile de distinguer les théories du complot de la réalité.

Un visiteur de ferme m’a raconté qu’il avait prédit un nombre massif de décès dans les trois années à venir à cause des vaccins génétiques, et que tout cela était lié au « Grand Reset » et au programme de dépeuplement du Forum économique mondial (FEM). J’ai essayé de le rassurer en lui disant que, selon moi, c’était hautement improbable – tout en pensant en privé à la facilité avec laquelle les gens tombent dans ce type d’idées de conspiration, et au fait que je dois faire attention à ne pas tomber dans ce travers lorsque je suis confronté à tant de décisions de santé publique qui semblent soit incompétentes, soit infâmes. À l’époque, je ne connaissais le FEM que comme l’hôte d’une grande fête annuelle à Davos, en Suisse, où les super riches et les hoi oligoi des nations occidentales se rendaient pour assister à des conférences Ted, boire le meilleur vin, voir et être vu. Je suis stupide. Quel long et étrange voyage cela a été. Je doute que même Hunter S. Thompson aurait pu l’imaginer dans son état le plus drogué et alcoolisé. Il suffit de dire que je nomme Ralph Steadman comme illustrateur officiel de la pandémie de SRAS-CoV-2. Ou un Hieronymus Bosch ressuscité.

Mais je m’éloigne d’un point que j’ai peur d’énoncer clairement.

Il commence à me sembler que la plus grande expérience sur les êtres humains de l’histoire a échoué. Et, si ce rapport plutôt sec d’un cadre supérieur d’une compagnie d’assurance-vie de l’Indiana s’avère vrai, alors la campagne de Reiner Fuellmich sur les « crimes contre l’humanité » visant à convoquer de nouveaux procès de Nuremberg commence à sembler beaucoup moins chimérique et beaucoup plus prophétique.

Voici ce que m’a inspiré ce rapport de Margaret Menge, collaboratrice de The Center Square.

« Le directeur de la compagnie d’assurance OneAmerica, basée à Indianapolis, a déclaré que le taux de mortalité avait augmenté de 40% par rapport aux niveaux d’avant la pandémie chez les personnes en âge de travailler.

« Nous observons, en ce moment même, les taux de mortalité les plus élevés que nous ayons vus dans l’histoire de cette activité – et pas seulement chez OneAmerica », a déclaré le PDG de la compagnie, Scott Davison, lors d’une conférence de presse en ligne cette semaine. « Les données sont cohérentes chez tous les acteurs de cette activité ».

OneAmerica est une compagnie d’assurance de 100 milliards de dollars dont le siège social se trouve à Indianapolis depuis 1877. La société compte environ 2 400 employés et vend de l’assurance-vie, notamment de l’assurance-vie collective aux employeurs de l’État.

M. Davison a déclaré que l’augmentation du nombre de décès représente « un nombre énorme, énorme », et que ce ne sont pas des personnes âgées qui meurent, mais « principalement des personnes en âge de travailler de 18 à 64 ans » qui sont les employés d’entreprises qui ont des plans d’assurance-vie de groupe par le biais de OneAmerica.

« Et ce que nous avons vu au troisième trimestre, et que nous voyons se poursuivre au quatrième trimestre, c’est que les taux de mortalité ont augmenté de 40% par rapport à ce qu’ils étaient avant la pandémie », a-t-il dit.

« Pour vous donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe de trois sigmas ou d’une année sur 200 correspondrait à une augmentation de 10 % par rapport à la période pré-pandémique. « Donc 40 %, c’est du jamais vu ».

Alors, qu’est-ce qui explique cette hausse sans précédent de la mortalité toutes causes confondues ?

« La plupart des demandes de remboursement de décès déposées ne sont pas classées comme des décès COVID-19,

‘Ce que les données nous montrent, c’est que les décès qui sont déclarés comme des décès COVID sous-estiment grandement les pertes réelles de décès parmi les personnes en âge de travailler à cause de la pandémie. Il se peut que tous les décès ne soient pas inscrits sous la rubrique COVID sur leur certificat de décès, mais leur nombre est tout simplement énorme, énorme.’ »

Prenez un moment pour lire l’article en entier. Maintenant. Puis continuons, en supposant que vous l’ayez fait.

AU MINIMUM, d’après ce que j’ai lu, on doit conclure que si ce rapport se tient et est confirmé par d’autres dans le monde aride des actuaires d’assurance-vie, nous avons à la fois une énorme tragédie humaine et un profond échec de politique publique du gouvernement américain et du système HHS américain pour servir et protéger les citoyens qui paient pour ce « service ».

Si cela est vrai, alors les vaccins génétiques si agressivement promus ont échoué, et la campagne fédérale claire visant à empêcher un traitement précoce avec des médicaments vitaux a contribué à une perte massive et évitable de vies.

Au pire, ce rapport implique que les mandats fédéraux de vaccination sur le lieu de travail ont conduit à ce qui semble être un véritable crime contre l’humanité. Des pertes massives de vies chez des travailleurs (présumés) qui ont été forcés d’accepter un vaccin toxique à une fréquence plus élevée que la population générale de l’Indiana.

DE PLUS, nous avons également vécu la campagne de propagande et de censure la plus massive et la mieux coordonnée au niveau mondial de l’histoire de l’humanité. Tous les grands médias de masse et les entreprises de technologie des médias sociaux se sont coordonnés pour étouffer et supprimer toute discussion sur les risques des vaccins génétiques ET/OU des traitements alternatifs précoces.

Si ce rapport est vrai, il faudra rendre des comptes. Il ne s’agit pas seulement d’écraser le premier amendement de la Constitution des États-Unis et de le broyer dans la boue avec une armée d’infanterie lourde alimentée par l’intelligence artificielle. Cet article se lit comme la description sèche d’un événement de masse évitable causé par une procédure médicale expérimentale obligatoire. Une procédure pour laquelle toutes les possibilités pour les victimes de s’informer sur les risques potentiels ont été méthodiquement effacées de l’internet et de la conscience publique par une cabale internationale corrompue opérant sous le drapeau de la « Trusted News Initiative ». George Orwell doit se retourner dans sa tombe.

J’espère avoir tort. Je crains d’avoir raison.

Lire aussi : Malone : Ne prenez pas part au mensonge

Sources : Zero HedgeDr. Robert Malone via Substack




La forteresse Macron se lézarde ! infligez-lui la déroute qu’il mérite

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

La forteresse Macron se lézarde plus vite et plus profondément que nous ne pouvions l’imaginer. Après une nouvelle offensive éclair menée entre Noël et Nouvel An (dont le mauvais effet psychologique sur ses soutiens a probablement été sous-estimé par son entourage), Macron enchaîne désormais les déconvenues. Après avoir renoncé au passe sanitaire en entreprise, avoir concédé le retour du certificat du rétablissement, le gouvernement doit composer avec des députés qui se rebellent, et des fissures partout dans l’édifice et dans la « narration » qui lui sert à justifier sa politique de ségrégation. C’est le moment d’intensifier la pression pour infliger une dérouté à ce président scélérat.



La forteresse Macron n’est pas encore tombée, mais des fissures, et mêmes des brèches s’ouvrent dans l’édifice, qui laissent à penser que tout est désormais possible. 

Travail de sape dans la forteresse Macron

Hier, les députés se sont rebellés contre le mépris présidentiel pour le débat parlementaire. Il faut dire que les couleuvres commencent à être trop grosses à avaler, même pour un député grouillot qui doit son élection au Président (et qui lui devra, en juin, si les choses continuent, son élimination au premier tour des législatives). 

Déjà, cet été, le Président avait attendu la veille de la Fête Nationale pour annoncer la vaccination obligatoire des soignants et le passe sanitaire. Attendre que les Français soient en vacances pour prendre ce genre de mesure autoritaire n’a rien de glorieux. 

Déjà, cet été, le Président avait exigé des députés qu’ils votassent sans broncher un texte qui en a fait vaciller plus d’un. 

Mais cet hiver, rebelotte. Et cette fois, ce ne sont pas les séjours à la plage qui ont morflé. C’est la trêve sacrée entre le renouveau de la lumière et le changement d’année. 

Il est probable que très peu de conseillers autour d’Emmanuel Macron aient un sens sacré suffisant pour comprendre combien ce genre d’habitude devient déplacée lorsqu’elle touche aux fondements spirituels de la société. Mais nous sommes convaincus que cette maladresse a un impact beaucoup plus important qu’on ne le pense. 

Mais Macron ne s’est pas contenté du prétexte d’une prétendue cinquième vague pour imposer des mesures copiées de l’Italie. Il ne s’est pas contenté de faire travailler les conseillers d’Etat entre Noël et Nouvel An. Il a aussi exigé des députés qu’ils accélèrent les débats jusqu’à ne plus débattre… pour pouvoir tenir un calendrier dont on mesure les sous-entendus politiques. 

Tout ce que Pfizer prend n’est plus à prendre

Qui est dupe, désormais, de la soumission du pouvoir en France aux intérêts de Pfizer ?

L’ampleur des effets secondaires est de plus en plus difficile à nier. Même dans les beaux quartiers parisiens, l’affaire prend une tournure inattendue, comme le montre ce message sur les réseaux sociaux :

Peu à peu, le “narratif” gouvernemental prend l’eau. Les doutes viennent à un nombre grandissant de personnes sur l’empressement que Macron met à refourguer du Pfizer à tour de bras. 

Dans la rue, on entend partout que la troisième dose passe mal. Ceux qui la subissent prennent de façon fréquente de plein fouet des effets secondaires extrêmement désagréables. Il devient difficile de les cacher, et la cécité du ministre de la Santé sur ce point est suspecte. 

Lorsque les “complotistes” en parlaient, on pouvait ricaner. Mais lorsque soi-même on fait l’épreuve de ce moment difficile, l’esprit s’ouvre…

L’annonce d’une quatrième dose, dans ces conditions, a beaucoup fragilisé la crédibilité de la politique menée par Macron. Beaucoup en viennent à se demander ce que cela cache vraiment !

Profitons-en pour contre-attaquer de façon unie

C’est le moment de passer à l’action !

Nous vous proposons une action commune entre Rester libre ! et Bon Sens, l’association créée par Christian Perronne et quelques autres. 

Il s’agit d’expliquer à votre député que vous ferez ce qu’il faut pour qu’il ne soit pas réélu s’il vote le passe sanitaire. 

Je suis très heureux de cette alliance avec Bon Sens pour mener cette action de dissuasion. 

Vous trouverez ici tous les détails sur cette action qui vous prendra 5 minutes. Ces 5 minutes sont vitales pour la démocratie.

De toutes les manières, passez à l’action. Sortez de la mine, descendez des collines. Tout ce que vous ferez ira dans le bon sens. 

Figurez-vous que 2022 peut nous réserver d’excellentes surprises ! et figurez-vous que vous pouvez contribuer à les créer !




Le Conseil mondial de la santé (WCH) appelle à un arrêt immédiat des « vaccins » expérimentaux contre la Covid-19

Auteur : « Bon Sens »

Des témoignages, des études, des appels à la prudence mis à mal, quand bien même LES FAITS sont édifiants et prouvés scientifiquement.

Tous ces appels de Médecins, Scientifiques, lanceurs d’alerte ne peuvent plus être ignorés…

Le Conseil mondial de la santé (WCH) appelle à un arrêt immédiat des « vaccins » expérimentaux contre la Covid-19, dans une déclaration qui a été créée et signée par des médecins, des avocats et d’autres personnes aidant à diriger le nouveau Conseil mondial de la santé.

ET CEUX NE SONT PAS DES CONSPIRATIONISTES !

Des experts de renommée mondiale, dont le Dr Paul Alexander, le Dr Byram Bridle, le Dr Geert Vanden Bossche, le Prof. Dolores Cahill et les Drs. Sucharit Bhakdi, Ryan Cole, Richard Fleming, Robert W. Malone, Peter McCullough, Mark Trozzi, Michael Yeadon, Wolfgang Wodarg et Vladimir Zelenko, ENTRE AUTRES, avertissent constamment le monde des effets indésirables résultant des injections expérimentales de Covid-19. ILS mettent également en garde contre leurs effets à long terme, qui ne peuvent être connus pour le moment, car la plupart des essais cliniques ne seront achevés qu’en 2023, et certains jusqu’en 2025.

Le Conseil mondial de la santé a débuté en septembre 2021 dans le but de fournir les derniers avis scientifiques impartiaux. Il s’agit d’une coalition faîtière initialement composée de 45 organisations axées sur la santé du monde entier. Les recommandations élaborées par les médecins sont conçues pour aider le public à prendre les meilleures décisions en matière de santé.

Le Conseil mondial de la santé déclare qu’il est temps de mettre un terme à cette crise humanitaire. En outre, le Conseil déclare également que toute implication directe ou indirecte dans la fabrication, la distribution, l’administration et la promotion de ces injections viole les principes fondamentaux de la common law, du droit constitutionnel et de la justice naturelle, ainsi que le Code de Nuremberg, la Déclaration d’Helsinki et d’autres traités internationaux.

Nous savons maintenant que les enfants sont plus de cent fois plus susceptibles de mourir de ces injections expérimentales que Covid-19.

Les athlètes injectés, dans le monde, s’effondrent sous nos yeux. Malgré le fait que les systèmes de notification soient limités et passifs, des millions d’effets indésirables ont été enregistrés, notamment la mort, la paralysie, les caillots sanguins, les accidents vasculaires cérébraux, la myocardite, la péricardite, les crises cardiaques, les fausses couches spontanées, la fatigue chronique et la dépression extrême…

Déclaration du WCH (World Council for Health) ⬇️⬇️

Déclaration du Conseil mondial de la santé sur Omicron (B.1.1.529) ⬇️⬇️



Une autre déclaration, celle de Barrington, qui regroupe des épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques de la santé publique, qui sont vivement préoccupés par les effets néfastes sur la santé physique et mentale des politiques COVID-19 en vigueur, et ils recommandent une approche qu’ils appellent, la protection ciblée.

Déclaration De Great Barrington ⬇️⬇️

https://gbdeclaration.org/

[Voir aussi :
Comment parvenir à l’immunité collective : la déclaration de Barrington]




Les fausses promesses du Dépistage Prénatal Non Invasif (DNPI)

[Source : genethique.org]

Pour 15 alertes “justifiées”, 85 sont erronées : les tests prénataux non invasifs recherchant des maladies de plus en plus rares induisent les femmes en erreur, dénonce le New York Times. Pour en arriver à ces conclusions, le journal a interrogé des chercheurs et combiné les données de plusieurs études concernant les cinq tests de microdélétion les plus courants aux États-Unis.(([1] Tests recherchant le Syndrome de Di George, le syndrome du cri du chat, le syndrome Wolf Hirschhorn et les syndromes de Prader Willi et Angelman, et syndrome de délétion 1p36)) Sans remettre en question le dépistage des trisomies 21 et 18 (cf. Trisomie 21 : des chiffres têtus ; Le CIB met en garde sur les « tendances eugéniques » du DPNI).

« Promesse de la Silicon Valley aux femmes enceintes », ces tests prénataux sont censés détecter de « graves » anomalies génétiques du fœtus avec une précision « remarquable ». D’abord centrés sur la trisomie 21, ces tests se sont répandus depuis une dizaine d’années. Cherchant à se démarquer les unes des autres, les entreprises commercialisant ces tests ont petit à petit proposé d’élargir le nombre de maladies dépistées. Se tournant vers des maladies de plus en plus rares. Or selon le New York Times, ces prédictions se révèlent fausses dans la plupart des cas.

En outre, ces résultats sont anxiogènes pour la femme enceinte, et poussent à l’avortement (cf. Tests préconceptionnels, dépistage prénatal : une surabondance d’informations anxiogènes. ;  Le diagnostic prénatal source d’angoisse pour les femmes). Une étude réalisée en 2014 montrait déjà que dans 6% des cas, les femmes n’attendaient pas la confirmation des résultats du test de dépistage(([2] Par un examen diagnostic, comme une amniocentèse.)) pour avorter.

Médecins et femmes enceintes sont induits en erreur, estime le New York Times, par des brochures présentant les tests comme « fiables », « extrêmement précis ». Certaines entreprises vont jusqu’à proposer des tests sans publier de données sur leurs performances, ou n’indiquent que les chiffres pour leurs meilleurs dépistages. D’autres fondent leurs affirmations sur des études incluant seulement 1 ou 2 grossesses présentant la maladie en question (cf. Irlande : informer sur les failles des tests de dépistage prénatal ; Au Royaume-Uni, des publicités pour le DPNI retirées). Ces tests échappent en effet au contrôle de la FDA(([3] Food and Drug Administration)), qui ne les règlemente pas.

Mais les gains financiers sont énormes : les estimations des analystes sur la taille du marché du dépistage prénatal vont de 600 millions de dollars à des milliards de dollars, et le nombre de femmes passant ces tests devrait encore doubler d’ici 2025 (cf. Le développement mondial du marché du test prénatal non invasif ; Des intérêts financiers à l’origine des pressions visant à intégrer le DPNI dans le dépistage de la trisomie 21 ?).

Source : New York Times, Sarah Kliff et Aatish Bhatia (01/01/2022)




Appel à la résistance des députés, sénateurs, élus, citoyens contre une société orwellienne

Par Nicole Delépine

Bravo, Mme la Députée M Wonner en ce triste 3 janvier où le macronisme tente d’enterrer la démocratie et de transformer notre société en une terre orwellienne.

Elle a raison, cette courageuse députée.

Votre pass vaccinal arrive trop tard, car les Français ont bien compris que le variant omicron avec lequel vous vouliez nous affoler, en fait apporte une immunité naturelle qui va enterrer cette pandémie. On peut multiplier les cas, en imposant une folie de tests, mais cela ne multiplie pas les hospitalisés ni les morts qui seraient vraiment liés au covid.

et le commentaire du ministre est inadmissible :

Duval Philippe

« Que l’on soit d’accord ou pas avec Martine #Wonner, rien ne justifie les propos tenus par Olivier Véran

. En plein examen de la loi à l’Assemblée nationale, #Veran en réponse à l’intervention de la députée : “Madame Wonner, la chloroquine ne se fume pas” »

Et les Français clament leur refus de l’apartheid devant l’Assemblée nationale malgré le déluge.

Le groupe LFI pose une motion de rejet présenté par Jean-Luc Mélenchon :

https://twitter.com/i/broadcasts/1lPKqmDYVllKb

Député Dupont-Aignan

Le texte de loi du #passevaccinal débattu à partir de ce jour 3 janvier 2022

Je me battrai de toutes mes forces à l’Assemblée nationale pour faire tomber le passe vaccinal, qui est une arme de plus de destruction massive de notre devise Liberté, Égalité et Fraternité ! #DirectAN

Députée Mathilde Panot

En Macronie, l’individu est coupable. Coupable d’être chômeur, coupable d’être pauvre, ou encore, coupable d’être malade !

Bravo à ces députés qui tentent d’éveiller les collègues contre ce totalitarisme qui avance, même pas masqué…

Les citoyens doivent participer à cette information des députés, sénateurs, élus en leur écrivant leur propre lettre

Ou inspirée de lettres ouvertes déjà proposées :

Il faut agir tout de suite : adresser dès aujourd’hui une lettre aux députés et aux sénateurs — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Joindre nos députés et leur faire comprendre l’importance de leur vote qui pourrait transformer notre société en apartheid et aboutir un jour ou l’autre à de la violence pour en sortir.

Dans l’immédiat, joignons-les dans leurs permanences ou par écrit ou téléphone, qu’ils sachent que nous savons l’horreur du projet, et que nous saurons leur prise de position.

Rodolphe Bacquet (rbacquet@mail1.alternatif-bien) a initié la pétition « non au pass vaccinal » qui atteint le million 200 000 signatures et qu’il faut continuer à transférer le plus possible — texte dans le lien ci-dessus)

[Pétition] NON AU PASS VACCINAL ! (leslignesbougent.org)

ou en transmettant des lettres ouvertes comme celle de J E Chabert :

De : Jacques-Elie Chabert <je.chabert@gmail.com>
Envoyé : vendredi 31 décembre 2021 12 h 35
À : undisclosed-recipients:
Objet : Fwd: votez NON AU PASS VACCINAL

Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur,
Madame la Députée, Monsieur le Député,

Le projet du gouvernement de Jean Castex est d’instaurer un « Pass vaccinal » qui remplacerait le « Pass sanitaire ». Ces deux instruments de contrôle, « Pass vaccinal » et « Pass sanitaire », sont des atteintes à l’état de droit qu’aucune « crise » ne justifie.

À un point de bascule aussi crucial, votre responsabilité historique est engagée au moment même où la CNIL vient d’autoriser l’envoi à la CNAM et aux médecins de la liste de leurs patients non-vaccinés en prévoyant que l’on pourrait tordre le nez au règlement qui protège les données personnelles, la CNIL gesticule et feint de se battre pour résister à l’extorsion de nos données personnelles de santé par les multinationales américaines et en tout premier Microsoft [A].

Ces dispositions porteraient gravement atteinte à notre constitution et à nos lois, qui spécifient que tout acte médical doit être consenti de façon libre et éclairée. En fait, il a bien été établi qu’un acte médical imposé sous la contrainte — il en existe de toutes sortes — est condamné par les lois supranationales de Nuremberg qui furent conçues pour conjurer le retour à la barbarie des camps de concentration [B].

Ces dispositions violeraient la loi de l’Union Européenne encadrant l’instauration du « pass sanitaire », qui a expressément interdit qu’un tel document puisse aboutir à une discrimination entre vaccinés et non-vaccinés.

Ces dispositions méprisent les avertissements du Conseil Constitutionnel qui exigeait que le « pass sanitaire » soit temporaire. Si « temporaire » est maintenant synonyme de « en attendant de mettre en place pire » alors nous devons condamner et sanctionner le cynisme achevé de l’équipe qui prétend nous gouverner.

Facteur aggravant et constituant de cette protestation, ce « pass vaccinal » n’a pas de fondement scientifique. Le Pr Delfraissy a admis lors de sa dernière audition au Sénat que le « pass sanitaire » n’avait pas endigué l’épidémie de Covid, son but étant de contraindre les citoyens à la vaccination [C]. Le « pass sanitaire » n’a eu aucun effet sur la contagiosité virale et les hôpitaux accueillent maintenant de doubles et triples vaccinés. Ce vaccin ne « marche » pas et, contrairement à l’argument cent fois répété, il ne prévient pas la survenue des « formes graves ». Les effets adverses et les effets paradoxaux explosent [D].

En droit français et en droit international, il n’est pas possible d’imposer une obligation de traitement médical à une personne en bonne santé ne présentant aucun surcroît de risque pour son entourage, la vaccination COVID n’étant pas altruiste. La loi portée par M. Castex étant une véritable « obligation vaccinale » assortie d’un dispositif punitif, n’est pas légale. L’accepter serait une faute qui aurait pour conséquence une mise sous tutelle et un asservissement du peuple français tout entier qui, par son injustice, déclencherait un enchaînement de mesures toujours plus coercitives.  

• Si vous donnez votre feu vert au gouvernement sur le « pass vaccinal », vous posez les bases d’un modèle de société où le contrôle du statut médical conditionnera la vie sociale et facilitera la prédation de l’État américain sur l’ensemble de l’économie. Le principe « KYC » (Know Your Customer) qui soutend cette gigantesque opération et qui prétend tout connaître de nos entrailles n’est pas acceptable ;

• Votre approbation aurait pour conséquence d’opposer deux classes de citoyens à l’intérieur du même pays : vaccinés contre non-vaccinés et vous introduiriez une discrimination qui ne connaît que de sombres exemples dans l’histoire de notre pays et celles des peuples ;

• Votre approbation aurait pour conséquence de condamner la totalité des citoyens à un traitement expérimental appelé « vaccination », sans limite annoncée de durée, avec une dose supplémentaire tous les 3 mois. Alors que l’expérimentation de vaccination de masse aurait dû être stoppée, on a, comme pour les antibiotiques, toutes les raisons de redouter des conséquences à long terme de cette surconsommation.

C’est à peine concevable, mais il faut se rendre à l’évidence que les fabricants de médicaments exercent une telle pression sur les politiques et les médias que « protéger » devient synonyme de « condamner ». Il ne m’appartient pas de prodiguer un complément de culture sur la vaccination. À chacun de faire ses recherches en déjouant le grossier narratif officiel.

Je vous demande solennellement, vous, représentants du peuple français auxquels sera soumis ce projet de loi début janvier, de défendre la liberté républicaine, la justice sociale, notre intégrité et l’économie de la France en censurant ce projet de loi.

Veuillez recevoir, Mesdames et Messieurs les élus de l’Assemblée nationale et du Sénat, l’expression de ma très haute considération.

Jacques-Elie Chabert
je.chabert@gmail.com


[A]
https://www.dataprivacy.pro/le-contentieux-entre-microsoft-et-la-cnil/
https://www.msn.com/fr-fr/finance/economie/feu-vert-de-la-cnil-%C3%A0-lenvoi-aux-m%C3%A9decins-de-la-liste-de-leurs-patients-non-vaccin%C3%A9s/ar-AALS27Y
https://www.lemondedudroit.fr/decryptages/61993-nouvelles-exigences-cnil-transmission-donnees-partenaires-commerciaux-courtiers-donnees.html
https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_les-gouvernements-decident-en-opposition-au-citoyen-selon-la-presidente-de-la-ligue-des-droits-humains-invitee-a-jeudi-en-prime?id=10706245

[B]
http://www.revuedlf.com/droit-administratif/sur-la-liceite-dune-obligation-vaccinale-anti-covid/
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32021R0953&from=EN
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070721/LEGISCTA000006136059/#LEGISCTA000006136059

[C]
https://www.liberation.fr/checknews/jean-francois-delfraissy-a-t-il-dit-que-le-pass-sanitaire-ne-protege-pas-20211209_R7DTOX4XPVBJRPBNIFX42ZLDWQ/

[D]
Le système américain VAERS enregistre les rapports de blessures et de décès dus aux vaccins. Il a été bien documenté que la base de données ne contient que 1 % à 10 % des vrais chiffres, pour diverses raisons. En d’autres termes, les nombres réels peuvent être 10x à 100x plus que ceux dans la base de données. 46 dossiers VAERS d’enfants décédés à la suite d’un Pfizer : https://goodsciencing.com/covid/46-children-killed-by-covid-vaccines-in-us/ _ https://vaers.hhs.gov/ et https://www.adrreports.eu/fr/, les deux organes de pharmacovigilance — américain et européen — ressentent officiellement déjà, ensemble, pour l’Europe et les États-Unis, cent mille (100 000) morts et cinq millions (5 000 000) de personnes subissant les effets secondaires graves (AVC, myocardites, paralysies de Bell, Creutzfeldt-Jakob — y compris d’enfants, y compris de fœtus dans les mères enceintes), en conséquence directe de la vaccination COVID.

Et pour la morale de l’Histoire

Richard Ferrand, le président de l’Assemblée nationale ne pourra pas assister aux débats sur le pass vaccinal.

« Déclaré positif à la suite d’un test réalisé ce matin et doté d’un schéma vaccinal complet, le président reste à l’isolement, conformément aux directives sanitaires »

Richard Ferrand « continuera à distance à exercer ses responsabilités » et « a demandé au vice-président David Habib de présider la séance des questions au gouvernement ».




Lettre ouverte aux députés et sénateurs à propos du projet de loi sur le pass vaccinal

Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs,

Cette présente lettre ouverte constitue notre cinquième lettre ouverte, après celles :

Certains d’entre vous ont pris des positions fermes contre l’obligation vaccinale ainsi que contre le pass sanitaire, et nous tenons à vous en remercier de tout cœur. Vous avez su discerner le projet de société liberticide et totalitaire qui se met en place sous prétexte de crise sanitaire.

D’autres n’ont simplement pas pris en compte les faits que nous avons rapportés et qui sont vérifiables par tout un chacun à condition de faire l’effort d’examiner les sources d’information – la plupart du temps censurées par nos grands médias –, notamment la littérature scientifique, les données officielles de pharmacovigilance et les nombreuses voix de lanceurs d’alerte courageux qui appellent à l’arrêt immédiat de la campagne de vaccination et dénoncent le climat délétère qui s’installe par la propagande d’État, la désinformation massive, la censure sur les réseaux sociaux, la suppression de la liberté d’expression, du débat scientifique contradictoire, et la promotion de la pensée unique.

D’autres encore continuent de balayer d’un revers de main rapide les arguments scientifiques développés et les craintes d’un totalitarisme sanitaire que nous avons exprimées, sans jamais interagir de manière sérieuse et scientifique aux faits que nous présentons, mais en se cramponnant à leur idéologie. Cette attitude dénote un mépris pour le peuple et une confiscation de la représentativité populaire que les parlementaires sont censés assurer.

Nous tenons, une fois de plus, à vous alerter sur le projet de loi mortifère et scandaleux de pass vaccinal sur lequel vous serez appelés à voter aujourd’hui, ce lundi 3 janvier 2022, et qui n’était en fin de compte que le véritable objectif du gouvernement.

En effet, mettant à profit les fêtes de fin d’année, le gouvernement a décidé d’adopter un projet de loi transformant le pass sanitaire en passe vaccinal dans les prochains jours.

De même qu’il avait fait adopter le pass sanitaire dans la torpeur de l’été, il réédite la même manœuvre en essayant de faire adopter un projet liberticide au moment même où les Français étaient occupés à fêter Noël puis le jour de l’An.

Ce projet de passe vaccinal retire à la parole publique ce qui lui restait de crédibilité, crédibilité qui était déjà anéantie par le flot incroyable de mensonges et de contre-vérités, tous plus graves les uns que les autres, que le gouvernement n’a cessé de proférer, en toute impunité.

Comme des millions de concitoyens, nous estimons que l’adoption de ce pass vaccinal serait une forfaiture en termes de libertés publiques. La pétition lancée par Rodolphe Bacquet contre le pass vaccinal juste après l’annonce du projet a été déjà signée par 1 174 779 citoyens au 3 janvier 2022 à 10h05, ce qui montre une mobilisation massive de l’opinion publique contre ce dispositif. Permettez-nous de vous rappeler quelques faits importants dont certains sont mis en avant dans le texte de cette pétition :

1Le pass vaccinal est l’aboutissement d’un an de mensonges successifs.

Depuis un an, le gouvernement fait “passer la pilule” à coup de promesses non tenues, et même de mensonges. 

  • Emmanuel Macron, il y a un an, annonçait ainsi que la vaccination ne deviendrait pas obligatoire :
  • L’on nous avait ensuite promis que le pass sanitaire serait provisoire :
  • Puis qu’il n’y aurait pas de pass vaccinal :



Et maintenant, voici ce qui s’est passé (depuis un an, avec une inflexion accélérée depuis six mois seulement) :

27 décembre 2020 : Emmanuel Macron réaffirme sur Twitter que le vaccin ne serait pas obligatoire ;

25 février 2021 : en marge d’un Conseil européen, le Chef de l’État garantissait qu’il «ne conditionnerait pas l’accès à certains lieux à la vaccination»,

31 mai 2021 : mise en place du pass sanitaire uniquement pour les «grands rassemblements» de plus de 1000 personnes ;

5 août 2021 : extension à de nombreux lieux publics du pass sanitaire jusqu’au 15 novembre 2021, date limite de son application, nous assurait Olivier Véran ;

15 octobre 2021 : fin de la gratuité des tests de dépistage ;

10 novembre 2021 : prolongation du pass sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022 ;

25 novembre 2021 : réduction du délai de validité des tests de dépistage de 72 heures à 24 heures ;

17 décembre 2021 : annonce de la mise en place du pass vaccinal.

Ces manipulations accumulées permettent au gouvernement d’aller toujours plus loin pour violer notre consentement !

Tous ces mensonges répétés à l’envie par l’exécutif destinés à faire accepter progressivement, par palier, des mesures dont l’objectif inavoué était de parvenir à instaurer un pass vaccinal généralisé sont l’expression et la preuve d’une manipulation de masse à visage découvert.

Nos dirigeants sont ainsi passés maîtres dans une technique appelée “le pied dans la porte”. Elle consiste à faire une demande peu coûteuse qui sera vraisemblablement acceptée, suivie d’une demande plus coûteuse. La deuxième demande a plus de chance d’être acceptée si elle a été précédée de l’acceptation de la première, qui crée une sorte de palier et un phénomène d’engagement.

Voilà comment : l’on a commencé par nous demander des choses “simples” comme porter un masque et faire une première dose de vaccin. La porte était ouverte vers une deuxième dose, puis une 3ème dose, avant une 4ème déjà annoncée par les experts pour le printemps.

2Le pass vaccinal exerce un chantage pour violer notre consentement, en complète violation de l’éthique médicale la plus élémentaire et des traités et conventions internationaux.

Maintenant que tous les verrous législatifs ont été levés, que l’opinion a été formatée pour accepter un narratif mensonger soutenu par la peur, le ministre de la santé, M. Olivier Véran, déclare, avoue sans la moindre honte et dans la plus complète impunité, que le « pass vaccinal est une forme déguisée d’obligation vaccinale ».

Ainsi, l’exécutif a fait désormais tomber le masque et a reconnu à de nombreuses reprises que le pass sanitaire n’était ni plus, ni moins qu’une extorsion de consentement pour contraindre à la vaccination. Il entend même aujourd’hui aller plus loin dans la violation de notre Constitution et souhaite imposer un pass vaccinal, qui n’a plus rien de sanitaire puisqu’un test négatif est plus efficace que le vaccin pour prévenir les contaminations.

Ces comportements vont à l’encontre de tous les textes internationaux sur le respect de la dignité humaine, le consentement éclairé et l’expérimentation médicale sur les êtres humains.

De tels propos montrent combien M. Véran sait tirer profit de sa position de ministre pour extorquer un consentement par la contrainte et la ruse. De tels propos et de tels actes, dans une véritable démocratie où la justice et les institutions fonctionneraient normalement et de manière impartiale auraient suscité une vague d’indignation appelant à sa démission et auraient déjà mené leurs auteurs devant les tribunaux, servant de pièces à conviction. Mais pourquoi n’en est-il rien ?

La France a ratifié le 13 décembre 2011 la convention d’Oviedo qui contient les principes du code de Nuremberg et qui est opposable à la France depuis le 1er avril 2012. Le décret n° 2012-855 correspondant a été publié le 5 juillet 2012.

Que dit cette convention ?

Ce traité part de l’idée que l’intérêt de l’être humain doit prévaloir sur l’intérêt de la science ou de la société.

Il énonce une série de principes et d’interdictions concernant la génétique, la recherche médicale, le consentement de la personne concernée, le droit au respect de la vie privée et le droit à l’information, la transplantation d’organes, l’organisation du débat public sur ces questions, etc.

Chapitre I

Chapitre II

Chapitre III

Chapitre V

Chapitre VIII

La France est liée par la signature de cette convention et ne peut pas faire ce qu’elle veut.

Le gouvernement le sait et fait tout pour nous extorquer notre consentement sans passer par l’obligation effective avec un produit expérimental non caractérisé correctement.

Le pass sanitaire ou vaccinal est un moyen de chantage, d’intimidation et d’extorsion du consentement. Cet outil porte une atteinte gravissime à nos droits fondamentaux humains inaliénables qui ne peuvent pas être subordonnés à des injections répétées imposées par le gouvernement.

Ces droits sont la liberté d’aller et venir, le droit à la vie privée, le droit au travail, le droit à l’éducation.

La discrimination et la haine érigées en mode de gouvernance par le Président Macron sont des atteintes graves à nos droits fondamentaux et relèvent du Code pénal.

3. Le pass vaccinal n’a aucun fondement scientifique et s’oppose à toute rationalité : la vaccination de masse, bien au contraire, conduira inéluctablement à un drame sanitaire.

La littérature scientifique révèle clairement que la vaccination n’est certainement pas la panacée qui nous est vantée à coups de slogans publicitaires simplistes qui s’apparentent aux envolées commerciales des marchands de tapis. Rappelons-ici quelques faits scientifiques indiscutables tels que les présente le Professeur Gunter Kampf de la faculté de médecine de Greifswald en Allemagne, qui dément dans un article récent du Lancet, chiffres à l’appui, cette affirmation selon laquelle l’on assisterait à une pandémie de non-vaccinés :

  • Les vaccinés ont un poids dans la transmission du virus non négligeable et qui ne cesse d’augmenter.
  • Les charges virales sont identiques chez les vaccinés et les non–vaccinés.
  • En Allemagne, 54 % des cas de Covid-19 frappent des personnes vaccinées.
  • Les vaccinés peuvent développer des formes graves de la Covid-19 et en mourir.
  • Les vaccinés peuvent transmettre la Covid-19 même à des individus vaccinés.

Face à ces faits vérifiables, en réalité, des centaines de professionnels de la santé dûment compétents sont parvenus à la conclusion opposée à celle du discours ambiant officiel martelé à longueur de journée, qualifiant l’utilisation de ces injections expérimentales Covid-19 d’« inutiles, inefficaces et de dangereuses » ; alors que plus de 59 000 scientifiques et praticiens médicaux ont affirmé qu’en raison du danger relativement faible de la Covid-19 pour la grande majorité de la population, « ceux qui courent un risque minimal » devraient être autorisés « à vivre leur vie normalement [et] à développer une immunité [collective] contre le virus » en dehors de tout vaccin ; et que plusieurs milliers d’autres ont qualifié d’ « irresponsable » le fait d’exposer la population à un vaccin insuffisamment testé pour contrer un virus aussi faible. En effet, dans « la grande majorité des cas (~ 99,8 % dans le monde), le SRAS-CoV-2 n’est pas mortel. Il s’agit généralement d’une maladie dont la gravité va du léger au modérément grave. Par conséquent, l’écrasante majorité des personnes ne sont pas à risque face à la Covid-19 et n’ont pas besoin d’être vaccinées » (source). La Covid-19 a un âge moyen de décès qui est plus élevé que celui de la population générale, ce qui démontre sa nature bénigne, et le taux de survie global est de 99,74 %.  Les taux de survie rapportés pour les personnes de moins de dix-huit ans sont de 99,998 %, pour celles de dix-huit à cinquante ans, de 99,95 %, de cinquante à soixante-cinq ans, de 99,4 %, et pour celles de plus de soixante-cinq ans, de 94 %, ce qui équivaut à des personnes de moins de 70 ans ayant une meilleure chance de mourir de la grippe que de la Covid-19 qui présente une menace globale comparable aux pandémies de grippe moyennes de 1936 et 1957. Il est nécessaire ici de préciser que même ces chiffres  constituent des statistiques de décès  considérablement gonflées, causées par des méthodes de comptage très défectueuses utilisées et promues par des agences de santé du gouvernement fédéral aux intérêts conflictuels. Des centaines de professionnels de la santé affirment qu’ « environ 99 % des gens sont déjà protégés contre la Covid-19 par des réponses anticorps de type mémoire » et que « la plupart des gens seront désormais immunisés en raison de leur exposition au SRAS-CoV-2 », de sorte que cette population ne « bénéficiera pas du tout de la vaccination ».

Au sujet du variant Omicron qui a servi à justifier le pass vaccinal, David Pujadas, sur LCI, a martelé le 31 décembre 2021 :

« Non, l’Apocalypse Omicron n’a pas lieu »,

et toute la panique générée par les médias tourne court, une fois les données scientifiques examinées calmement et consciencieusement.

La séquence de 1 mn 13 s extraite de la vidéo ci-dessus et dans laquelle le présentateur de télévision déconstruit le narratif apocalyptique peut également être visionnée ci-dessous :



Le Pr Jean-Michel Claverie, pour sa part, n’hésite pas à dénoncer le narratif covidien officiel comme une escroquerie profitant à quelques firmes pharmaceutiques, mais dénué de tout fondement scientifique.

https://www.youtube.com/embed/qELr4EplWGA

C’est également ce que clame l’épidémiologiste Laurent Toubiana de l’INSERM qui fait valoir que la Covid-19 est « l’un des plus gros mensonges de tous les temps », et est une « épidémie très banale » tant les chiffres réels sont anecdotiques :

  • 33-40 malades/100000 habitants/semaine,
  • très peu d’hospitalisés.

Il ne faut pas compter les « cas » dépistés, mais les personnes qui tombent vraiment malade.

https://www.youtube.com/embed/C3zJrBJkXmY

La généticienne Alexandra Henrion Caude, anciennement directrice de recherche à l’INSERM et spécialiste de l’ARN, nous explique, dans un langage simple et clair, pourquoi il ne faut pas prendre une troisième dose, puis une quatrième dose, etc. alors que le vaccin ne fonctionne pas. Il suffit d’avoir un peu de bon sens pour comprendre ce qui est expliqué dans la vidéo ci-dessous :



Ces faits réunis ont conduit le Dr Harvey Risch, épidémiologiste de l’Université de Yale, entre autres scientifiques compétents et de renommée mondiale, à qualifier la présente pandémie de « pandémie de peur » artificiellement créée.

Le vaccinologue belge Geert Vanden Bossche explique dans un entretien ses réticences sur la vaccination de masse pendant la pandémie. Dans une autre vidéo en anglais, de durée 15 mn 15 s, le vaccinologue adresse un appel solennel à l’OMS en suppliant l’organisation d’abandonner la vaccination de masse, notamment des enfants, avertissant du désastre sans précédent qu’elle provoquerait (et dont nous voyons déjà les tragiques prémices).

4. Le pass vaccinal exposerait nos concitoyens à des effets délétères ou mortels de thérapies géniques expérimentales, ce qui relève d’un acte criminel aggravé par son caractère intentionnel et prémédité.

Plus grave, le pass vaccinal contraindrait beaucoup de nos concitoyens à une vaccination génique expérimentale, qui a déjà tué l’équivalent d’une petite ville de plus de 35 000 habitants dans l’Union européenne d’après les statistiques officielles de l’organisme européen Eudravigilence, sans parler des effets graves non rémissibles qui se chiffrent en centaines de milliers (https://www.adrreports.eu/en/covid19_message.html). Ce « massacre » est inédit dans l’histoire de la vaccination. Notre prix Nobel de Médecine, le Professeur Luc Montagnier, et d’autres virologistes, épidémiologistes, spécialistes de biologie moléculaire de renommée internationale, dont l’un des inventeurs du vaccin à ARNm, le Dr Robert Malone, nous alertent régulièrement sur des effets délétères que nous ne faisons qu’entrevoir (maladies neuro-dégénératives, AVC, thromboses, myocardites…)  Comme le Pr Luc Montagnier, nous appelons à l’arrêt immédiat de cette folie vaccinale sous la contrainte.

Nous présentons ci-dessous les statistiques extraites de la base de données Eudravigilance pour les effets secondaires graves ou mortels des vaccins Moderna / Pfizer / Janssen / Astrazeneca dans l’Union européenne, qui est la partie émergée de l’iceberg vaccinal vers lequel fonce le Titanic occidental avec à son bord des passagers crédules, conditionnés par une propagandastaffel bien huilée ou bercés d’illusions scientistes : le Titanic ne peut pas couler ! Nous avons également tabulé ces statistiques dans ce fichier Excel.

Le nombre de doses administrées et de personnes vaccinées peut se trouver sur :

https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensions/COVID-19/vaccine-tracker.html#uptake-tab

Pfizer – Biontech (Tozinameran) Fatal
26/06/21
Sans rémission
26/06/21
Fatal
25/12/21
Sans rémission
25/12/21
Troubles du système sanguin et lymphatique 88 229 14976
Troubles cardiaques 1078 2338 2338 14061
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 9 30 43 157
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 5 2512 11 8996
Troubles endocriniens 2 104 5 697
Troubles oculaires 18 2352 36 8025
Troubles gastro-intestinaux 377 9922 745 29753
Troubles généraux et conditions du site d’injection 2412 32856 4537 95992
Troubles hépatobiliaires 31 114 83 399
Troubles du système immunitaire 36 577 85 2452
Infections et infestations 804 4115 1688 13865
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 116 771 290 2318
Enquêtes 292 2587 481 8524
Troubles du métabolisme et de la nutrition 152 917 266 2689
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 99 18641 200 53423
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 24 103 130 482
Troubles du système nerveux 843 23001 1719 71591
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 15 56 65 307
Problèmes liés aux produits 0 13 3 36
Troubles psychiatriques 113 2191 191 8055
Troubles rénaux et urinaires 126 418 252 1541
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 2 1263 5 27477
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 928 5431 1774 18800
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 70 6461 134 21407
Circonstances sociales 12 232 21 1125
Procédures chirurgicales et médicales 20 61 136 405
Troubles vasculaires 305 3212 705 10111
Total 7977 120278 16172 417664
Nombre de doses 177694000 177694000 525596153 525596153
% / nombre de dose 0,0044892 0,0676883 0,0030769 0,0794648
Moderna (spikevax)        
Troubles du système sanguin et lymphatique 31 958 109 3604
Troubles cardiaques 474 883 1028 4464
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 4 18 9 64
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 866 6 2836
Troubles endocriniens 1 42 6 202
Troubles oculaires 8 834 35 2590
Troubles gastro-intestinaux 148 2539 368 8988
Troubles généraux et conditions du site d’injection 1849 10969 3313 36579
Troubles hépatobiliaires 14 83 47 222
Troubles du système immunitaire 5 202 18 828
Infections et infestations 245 1305 937 4630
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 82 512 185 1418
Enquêtes 93 704 295 2817
Troubles du métabolisme et de la nutrition 87 385 239 1231
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 80 4791 202 16752
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 17 51 77 229
Troubles du système nerveux 438 6474 944 22464
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 2 48 6 138
Problèmes liés aux produits 0 1 4 9
Troubles psychiatriques 70 750 166 2593
Troubles rénaux et urinaires 60 223 192 729
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 2 241 8 4701
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 416 1736 1056 6373
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 30 2120 88 8035
Circonstances sociales 13 275 40 913
Procédures chirurgicales et médicales 41 90 164 467
Troubles vasculaires 146 1028 372 3252
Total 4356 38128 9914 137128
Nombre de doses 22057000 22057000 140715073 140715073
% / nombre de doses 0,0197488 0,1728612 0,0070454 0,0974508
Astrazeneca        
Troubles du système sanguin et lymphatique 150 3719 257 4946
Troubles cardiaques 431 2580 768 4599
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 3 37 6 75
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 3780 6 5678
Troubles endocriniens 3 116 4 278
Troubles oculaires 14 4784 30 6703
Troubles gastro-intestinaux 169 18037 385 22473
Troubles généraux et conditions du site d’injection 952 56700 1664 72315
Troubles hépatobiliaires 29 163 64 289
Troubles du système immunitaire 13 564 33 936
Infections et infestations 236 4819 492 7486
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 86 1840 186 2790
Enquêtes 85 3531 185 5221
Troubles du métabolisme et de la nutrition 51 2824 106 3436
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 47 37151 136 47802
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 8 95 32 216
Troubles du système nerveux 573 46270 1075 60663
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 4 35 17 78
Problèmes liés aux produits 0 47 1 70
Troubles psychiatriques 29 3986 64 5568
Troubles rénaux et urinaires 34 786 68 1153
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 0 2912 3 7987
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 414 8264 931 11609
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 23 10994 57 15114
Circonstances sociales 5 210 6 513
Procédures chirurgicales et médicales 16 196 28 328
Troubles vasculaires 258 4817 487 7484
Total 3633 219257 7091 295810
Nombre de doses 43198000 43198000 138153102 138153102
% / nombre de doses 0,0084101 0,5075628 0,0051327 0,2141175
Janssen        
Troubles du système sanguin et lymphatique 17 145 44 421
Troubles cardiaques 62 167 181 623
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 0 8 1 20
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 90 2 629
Troubles endocriniens 1 2 1 49
Troubles oculaires 3 195 8 686
Troubles gastro-intestinaux 24 829 85 2284
Troubles généraux et conditions du site d’injection 144 3847 586 9538
Troubles hépatobiliaires 4 15 13 46
Troubles du système immunitaire 0 23 10 130
Infections et infestations 14 166 171 791
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 8 120 22 289
Enquêtes 119 1938
Troubles du métabolisme et de la nutrition 11 70 52 224
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 17 2263 49 5539
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 0 10 8 31
Troubles du système nerveux 73 2574 228 6977
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 1 2 1 11
Problèmes liés aux produits 0 2 0 1
Troubles psychiatriques 5 124 20 524
Troubles rénaux et urinaires 8 50 28 164
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 0 57 6 1367
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 44 538 275 1554
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 2 344 10 1271
Circonstances sociales 3 34 4 186
Procédures chirurgicales et médicales 26 170 65 354
Troubles vasculaires 63 605 160 1317
Total 530 12450 2149 36964
Nombre de doses 3124000 3124000 48531244 48531244
% / nombre de doses 0,0169654 0,3985275 0,0044281 0,0761654
Total 16496 390113 35326 887566
Nombre de personnes complètement vaccinées dans l’UE     307391000 307391000
Nombre total de doses administrées 246073000 246073000 852995572 852995572
Ratio effets secondaires ou mortels / nombre de personnes complètement vaccinées     0,0001149 0,0028874
Ratio effets secondaires ou mortels / nombre total doses 6,7037E-05 1,5854E-3 4,1414E-05 0,00104053
Source: https://qap.ecdc.europa.eu/public/extensions/COVID-19/vaccine-tracker.html#distribution-tab
Eudravigilance: https://www.adrreports.eu/en/search_subst.html#
Nombre de morts (toutes classes d’âge confondues) / nombre cas déclarés en France 0,019547325 0,012904174
Nombre morts 0-59 ans / nombre cas déclarés en France 0,001954733 0,001290417
Sources :
https://fr.statista.com/statistiques/1104103/victimes-coronavirus-age-france/
https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/dashboards/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6

Pourtant, une première brèche avait été ouverte dès le printemps dernier, elle continue à s’élargir, mais les officiers supérieurs, sans doute grisés par les appâts de quelque princesse vénéneuse de la pharmacie, n’osent pas entendre son grondement lugubre :

1) Sur 308 millions de vaccinés, il y a eu 35 000 morts et 900 000 affections graves sans rémission. Ceci est du jamais vu pour une campagne de vaccination. Le Pr Luc Montagnier parle, avec raison, de « folie vaccinatoire ».  Le Pr Christian Perronne, ancien vice-président du groupe « European advisory group of experts on immunisation », qui conseille la politique vaccinale européenne de l’Organisation mondiale de la santé, a la même analyse.

2) Le taux de mortalité de la Covid pour la classe d’âge 0-60 ans, qui représente environ 10 % des cas mortels en France, et de l’ordre de 1 mort pour 1000 malades déclarés, est trois fois inférieur à la probabilité de développer un effet secondaire grave non rémissible (toutes classes d’âge confondues) suite à l’administration des vaccins géniques mentionnés plus hauts. Où est le bénéfice ?

Il est encore possible d’affiner cette analyse de la nocivité des vaccins en examinant précisément la répartition des événements indésirables et létaux sur les différents lots. En réalité, tous les lots des vaccins anti-Covid19 ne se valent pas ! Il s’agit en fait d’une gigantesque loterie.

Le site http://howbad.info regroupe des tableaux sur les différents effets des vaccins Covid répartis par lots. Il s’agit d’une mise en forme des données officielles présentes sur le site gouvernement des Etats-Unis VAERS.

Les données au 23 décembre 2021 ont été compilées dans le tableau Excel ci-joint. Il ressort de ces données qu’un faible pourcentage de lots (5 % pour les Etats-Unis, 30 % en dehors des Etats-Unis) sont associés à 90 % des effets indésirables et à un nombre de décès jusqu’à 200 fois supérieur à celui associé au pourcentage des lots moins nocifs.

Toujours dans le registre des effets délétères des vaccins anti-Covid, il convient de noter qu’il y a eu une multiplication par 5 des morts subites d’origine cardiaque chez les joueurs de la FIFA en 2021.

Il ne s’agit pas de 24 athlètes, ni de 30, ni de 75 – non, depuis décembre 2021, ce sont 183 athlètes et entraîneurs professionnels qui se sont soudainement effondrés ! 108 d’entre eux sont morts ! Selon la littérature, le phénomène d’effondrement d’un athlète pour des raisons non liées à une blessure est rare. Alors, quelle est donc la cause de cette soudaine épidémie ?

Stephen Connolly et le Dr Yaffa Shir-Raz présentent leur analyse :

Dans plus de 80 des cas, comme les stars du football Sergio Aguero et Christian Eriksen, les athlètes se sont effondrés pendant le jeu, la course ou l’entraînement, ou immédiatement après. Dans la plupart des cas, il a été rapporté que la cause de l’effondrement est liée au cœur, notamment une myocardite, une péricardite, une crise cardiaque ou un arrêt cardiaque. La deuxième cause signalée est la coagulation.

Nous soulignons que la liste dont nous disposons est encore plus longue, mais par souci de prudence, des dizaines de cas ont été retirés de celle-ci, dont nous ne disposions pas de tous les détails, de sorte que seuls les cas rapportés en détail ont été inclus. En outre, nous avons supprimé les cas dans lesquels des facteurs de risque antérieurs étaient mentionnés, tels qu’une maladie cardiaque ou un diabète.

Pour obtenir une meilleure image des données par rapport aux années précédentes, nous n’avons examiné que les données relatives aux décès d’athlètes enregistrés auprès de la FIFA et avons comparé les données concernant le nombre de MCS (morts cardiaques subites)/DSI (morts subites inexpliquées) chez ces athlètes au cours des années précédentes au nombre de cas en 2021.

Pour savoir combien de décès se sont effectivement produits au cours des deux dernières décennies parmi les joueurs de la FIFA (2001-2020), nous avons utilisé Wikipedia – « Liste des footballeurs d’association décédés en jouant ». Pour savoir combien de cas se sont produits en 2021, nous avons utilisé la liste collectée par nos soins dans « Real-Time News » (qui inclut les cas notés dans Wikipedia pour 2021).

Le Dr Josh Guetzkow, maître de conférences au département de sociologie et d’anthropologie et à l’Institut de criminologie de l’Université hébraïque, a analysé les données. « Un article publié dans le British Medical Journal montre que le risque de MCS est de un sur 50 000 (avec une fourchette de un sur 30 000 à un sur 80 000) », explique-t-il. « Selon les données de la FIFA, en 2000, il y avait 242 000 athlètes enregistrés dans l’association, et en 2006, 265 000 athlètes enregistrés. En supposant que la FIFA n’a pas changé de manière significative en vingt ans, l’on peut s’attendre à environ 5 décès par an ».

Selon Wikipédia, sous la rubrique « Liste des footballeurs d’association décédés en jouant », entre 2001 et 2020, il y a eu en moyenne 4,2 décès par an attribués à des MCS ou à des DSI, la grande majorité étant des MCS. En revanche, en 2021, selon notre liste, il y a eu 21 cas de MCS/DSI parmi les joueurs de la FIFA. En d’autres termes, au lieu de 4 décès par an dus aux MCS/DSI (selon les données de Wikipédia), ou de 5 cas par an (calculés selon le BMJ) pendant la période 2001-2020, 21 joueurs sont décédés jusqu’à présent cette année.

C’est-à-dire environ 5 fois plus que la moyenne annuelle !

Ce chiffre s’avère statistiquement significatif. En fait, il n’y a pas eu d’autre année depuis 2001 où la différence entre le nombre de cas observés de MCS/DSI et le nombre attendu soit statistiquement significative. En 2021, elle est hautement significative sur le plan statistique et ne peut se produire par hasard qu’environ 2 fois sur 1 000.

Stephen Connolly et Dr Yaffa Shir-Raz, « 5-fold increase in sudden cardiac deaths of FIFA players in 2021« .

Face à tous ces chiffres accablants et effrayants que vous pourrez aisément vérifier, Mesdames et Messieurs les élus, notre ministre de la santé Olivier Véran ose affirmer, de manière effrontée, dans une fourberie qui le caractérise désormais, que les « rapports de l’ANSM qui sont publics et transparents ne déplorent à ce stade pas de cas avérés de décès imputables à la vaccination ».

Il semble assez évident que seule l’administration de ces substances à la protéine spicule aux personnes âgées ou « à risque » aurait encore un sens. Mais encore faut-il bien évaluer le bénéfice-risque de la potion. Notez que les sociétés pharmaceutiques Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson ont été condamnées à plusieurs reprises pour malversations :

  • depuis l’année 2000, Pfizer a été inculpé 74 fois d’infractions pénales et civiles et a payé plus de 4 milliards de dollars d’amendes, les principales infractions ayant été la commercialisation non approuvée de produits, la corruption, les fausses déclarations, les violations de sécurité ;
  • la société Johnson & Johnson a dû payer une amende de 8 milliards de dollars suite à la mise sur le marché de produits pharmaceutiques dangereux qui ont occasionné des milliers de morts et de séquelles ;
  • les mêmes sociétés pharmaceutiques sont sous le coup d’une amende de 25 milliards de dollars pour la commercialisation d’opioïdes qui ont occasionné 48 000 morts par an (commercialisation rendue possible par des malversations auprès de services de vérification et de personnels peu scrupuleux du corps médical),

et que dernièrement le scandale « PfizerGate » a encore ébranlé le narratif covidien officiel, sans que les médias en tirent les conclusions qui s’imposent. Le problème de fraude sur les données des essais cliniques du vaccin Pfizer avait été soulevé par le journal scientifique réputé The British Medical Journal (BJM) qui a été l’objet d’un « fact-checking » orienté de Facebook, ce qui montre à quel point les géants des réseaux sociaux et les GAFAM se livrent à une guerre de désinformation contre la science et les scientifiques intègres.

Le Dr Robert A. Malone, le Pr Luc Montagnier, le Dr Alexandra Henrion Caude, le Dr Geert Vanden Bossche, entre autres, ont alerté sur les effets à long-terme (cancers, destruction des défenses immunitaires, maladies neuro-dégénératives, etc.) des vaccins anti-Covid-19 qui se manifesteront au fil des mois prochains et au fil des « boosters ». La surmortalité anormale constatée pour les 15-44 ans pendant l’année 2021 est rapportée sur le site https://www.euromomo.eu/ et peut donc être suivie.

Concernant les femmes enceintes, en octobre 2021, le New England Journal of Medicine a finalement admis que l’étude originelle – publiée le 14 octobre 2021 par Shimabukuro et. al – ayant servi de caution à la campagne de vaccination Covid-19 du CDC et de la FDA, ciblant les femmes enceintes, était corrompue. L’étude correctrice est intitulée “Spontaneous Abortions and Policies on COVID-19 mRNA Vaccine Use During Pregnancy”.

Le Dr Joseph Mercola, sur son site aux Etats-Unis, récemment, a expliqué comment les auteurs de l’étude originelle avait intégralement truqué leurs conclusions.

L’étude portait sur 827 femmes enceintes et l’objectif en était d’évaluer le taux de fausses couches pour toutes les femmes vaccinées contre la Covid-19 durant les 20 premières semaines de la grossesse. C’est alors que deux médecins de Nouvelle-Zélande – les Dr Aleisha Brock et Simon Thornley – reprirent les données de cette étude, afin de mettre en exergue qu’il s’agissait en fait d’une catastrophe intégrale avec une incidence cumulative d’avortements spontanés de l’ordre de 82 % (104/127) à 91 % (104/114).

« Une nouvelle analyse de ces données indique une incidence cumulative d’avortements spontanés de l’ordre de 82 % (104/127) à 91 % (104/114) – à savoir de 7 à 8 fois plus que ce présentent les résultats originaux des auteurs de l’étude.»

En fait, selon ces deux médecins néo-zélandais : 

«une évaluation des 827 femmes dans le dénominateur de ce calcul révèle qu’entre 700 et 713 femmes enceintes furent exposées au vaccin après que le cadre temporel, pour l’analyse, a été dépassé – à savoir les 20 premières semaines de grossesse.»

Ainsi, Shimabukuro et. al avaient inclus, dans leurs analyses de ce groupe de 827 femmes, des femmes enceintes alors qu’elles n’avaient pas été vaccinées durant les 20 premières semaines (mais plus tard) et que, donc, elles ne pouvaient pas être à risque de fausse couche post-vaccinale suite à une injection reçue durant le premier trimestre. 

Parmi les 104 bébés perdus durant les 20 premières semaines, 96 moururent avant la fin des 13 premières semaines de grossesse, ce qui signifie que la vaccination Covid-19, durant cette première partie de la grossesse, signe, quasiment, l’arrêt de mort du fœtus. 

Entre autres effets collatéraux primaires, il faut, également, signaler 9,4 % de bébés prématurés.

Quant à la vaccination des enfants, là encore les mesures prises sont complètement absurdes. En effet, des médecins et scientifiques allemands ont rapporté récemment que pas un seul enfant en bonne santé âgé de 5 à 18 ans n’est mort de la Covid en Allemagne au cours des 15 premiers mois de l’épidémie. Même en incluant les enfants et les adolescents présentant des pathologies préexistantes, seuls six enfants de cette tranche d’âge sont morts, ont constaté les chercheurs. Les maladies graves étaient également extrêmement rares. Selon les chercheurs, la probabilité qu’un enfant en bonne santé âgé de 5 à 11 ans ait besoin de soins intensifs pour une infection par la Covid était d’environ 1 sur 50 000. Pour les enfants plus âgés et plus jeunes, les probabilités étaient un peu plus élevées, soit environ 1 sur 8 000. Environ 1,5 million d’enfants ou d’adolescents allemands ont été infectés par le Sars-Cov-2 entre mars 2020 et mai 2021, ont constaté les chercheurs.

Résultats : Le taux global d’hospitalisation associé à l’infection par le SARS-CoV-2 était de 35,9 pour 10 000 enfants, le taux d’admission en soins intensifs était de 1,7 pour 10 000 et le taux de létalité de 0,09 pour 10 000. On a constaté que les enfants sans comorbidités étaient nettement moins susceptibles de souffrir d’une évolution grave ou fatale de la maladie. Le risque le plus faible a été observé chez les enfants âgés de 5 à 11 ans sans comorbidité. Dans ce groupe, le taux d’admission en soins intensifs était de 0,2 pour 10 000 et la létalité n’a pas pu être calculée en raison de l’absence de cas. Le taux global du PIMS-TS était de 1 pour 4 000 infections par le SRAS-CoV-2, la majorité étant des enfants sans comorbidités.

Sorg, A. L. et al., « Risk of Hospitalization, severe disease, and mortality due to COVID-19 and PIMS-TS in children with
SARS-CoV-2 infection in Germany
« . Prépublication medRxiv, 30 novembre 2021.

Les chercheurs ont fait part de leurs conclusions dans un article de 17 pages publié sur le serveur de prépublication medrxiv récemment (cet article est également téléchargeable ici).

5. Le pass vaccinal signe l’enterrement définitif et irrémédiable de l’État de droit et l’entrée dans un totalitarisme sanitaire, une société orwellienne.

Cinq observations des plus pertinentes sur le projet de loi sur le pass vaccinal déposé par le gouvernement devant l’Assemblée Nationale ont été faites par le collectif de juristes DéjàVu :

  1. Le pouvoir exceptionnel réclamé par le gouvernement n’aurait plus pour objectif de “lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19”, mais de “lutter contre l’épidémie de Covid-19”. Pourquoi cet élargissement fait-il l’objet de la première disposition de ce projet de loi ? La nuance est subtile, mais interroge sur le but poursuivi et sur sa circonscription dans le temps, qui reste pourtant, en droit, la condition d’un régime d’exception.
     
  2. La large possibilité de prendre un transport longue distance sans pass sanitaire en cas d’urgence serait supprimée et remplacée par un très restreint “motif impérieux d’ordre familial ou de santé » lorsque le voyageur ne dispose pas de certificat d’injection, sous réserve d’avoir en plus un test négatif (sauf en cas d’urgence, en plus de l’impériosité du motif, ainsi que de son caractère familial ou sanitaire). Ce glissement sémantique trahit-il un glissement de régime ?
     
  3. L’interdiction de contrôler une identité par les personnes chargées de vérifier le pass (par exemple, un serveur dans un restaurant) est à nouveau remise en question par le gouvernement en ces termes : “Il [pourrait] être exigé, en cas de doute sur ces documents, la présentation d’un document officiel d’identité.
     
  4. Comme si le régime déjà en vigueur n’était pas déjà assez répressif, une peine d’amende de 1 500 € maximum serait distribuée aux personnes utilisant le pass d’un tiers ainsi qu’aux exploitants qui ne contrôleraient pas le pass à l’entrée de leur établissement.
     
  5. À l’article 2 du projet de loi, vous constaterez que le gouvernement tente encore d’aggraver les mesures d’isolement et de quarantaine et donne aux préfets la possibilité de “recevoir les données strictement nécessaires à l’exercice de leurs missions de suivi et de contrôle du placement en quarantaine ou à l’isolement”.

Et ce collectif de conclure :

Après avoir prétendu il y a un an que “la vaccination contre le coronavirus ne sera pas obligatoire” (source), le Président de la République, le Premier Ministre et le ministre de la santé démontrent leur capacité à gouverner par fausses promesses successives pour instaurer un régime répressif durable basé sur des motifs sanitaires.

En simple, comme l’a résumé le Ministre de la santé, ce projet de loi est pire qu’une obligation vaccinale sous peine d’amende : “Le pass vaccinal est une façon d’arriver à l’obligation vaccinale, mais moi, je pense que c’est plus efficace que de mettre une amende” (source).

C’est le député européen Les Républicains François-Xavier Ballamy qui, avec raison, exprime ses préoccupations de voir l’État de droit se déliter devant nos yeux :

Mais tout cela est en fait très logique ; car ce que révèle ce nouveau revirement, c’est que le passe vaccinal comme le passe sanitaire depuis le début ne sont pas des mesures sanitaires. Ce que nous disions dès juillet est aujourd’hui rendu incontestable par le fait que le gouvernement refuse désormais de prendre en compte un test négatif pour établir ce passe. Si l’objectif était de limiter la circulation du virus dans des lieux précis, un test négatif est pourtant bien plus efficace pour cela qu’une preuve de vaccination, puisque ni deux ni trois doses – ni même quatre ou cinq demain… – n’empêchent d’être contaminé et contagieux. Il est donc totalement irrationnel que le premier ministre ose accuser les Français non vaccinés de «non-assistance à personne en danger », comme si eux seuls diffusaient le virus… De fait, en réduisant le passe sanitaire au vaccin, le gouvernement ne réduit en rien le risque de contamination là où il est exigé ; il ne fait que contraindre les Français à une vaccination que la loi n’a pourtant jamais rendue obligatoire. Sur ce point, une mention spéciale doit d’ailleurs être réservée au Conseil d’État, qui a sombré dans l’indignité en se reniant lui-même avec une servilité littéralement pitoyable. En juillet, il avait admis le principe du passe sanitaire à la condition expresse qu’un test négatif permettrait son obtention – sans quoi, écrivait-il, il ne s’agirait plus d’une mesure de protection, mais d’une incitation vaccinale dissimulée. Ne pas délivrer ce passe à des personnes prouvant pourtant qu’elles sont indemnes du Covid constituerait, écrivaient les magistrats, «une atteinte disproportionnée à la liberté d’aller et venir, au droit au respect de la vie privée et familiale ». Quelques mois plus tard, les mêmes magistrats viennent d’approuver la mesure précise qu’ils interdisaient, et de bénir ainsi l’enterrement de ces principes fondamentaux…

Ce qui disparaît, c’est une règle essentielle pour l’État de droit, résumée ainsi par notre Constitution : «Nul ne peut être contraint de faire ce que la loi n’ordonne pas. » Avec le passe vaccinal, le gouvernement tombe dans une contradiction désastreuse pour les libertés publiques, l’égalité en droit et l’amitié civique. Il s’agit en effet de dire que la vaccination n’est pas obligatoire, mais que ceux qui ne s’y plient pas sont quand même coupables, et qu’il devient par conséquent légitime d’accuser, de blâmer, de brimer, de punir, de priver même de droits absolument fondamentaux des concitoyens qui ne se sont pourtant soustraits à aucune obligation légale. Le gouvernement pense-t-il pouvoir arrêter l’épidémie par la vaccination généralisée, en dépit des préconisations de l’OMS, des expériences acquises ailleurs dans le monde, et de la survenue de cette cinquième vague dans un pays déjà massivement vacciné ? S’il le pensait, il assumerait de rendre cette vaccination obligatoire par la loi. S’il ne le fait pas, c’est qu’il se contente de désigner des boucs émissaires pour justifier une crise hospitalière dont il est, en réalité, l’un des premiers responsables, avec ses prédécesseurs. La situation ne serait pas si dramatique pour les soignants héroïques qui affrontent cette épidémie si ce gouvernement n’avait pas fermé des lits et laissé l’hôpital perdre encore de nombreux personnels formés, au milieu même de la crise.

En attendant, la transformation du passe sanitaire en passe vaccinal trahit la folie de la logique dans laquelle nous entrons, qui se vérifie à ses conséquences déjà manifestes sur notre droit : alors que le scrupule du droit à la vie privée justifiait jusque-là d’interdire aux policiers municipaux tout contrôle d’identité, le serveur d’un bistro demandera maintenant votre passeport pour vous servir une limonade… Le Parlement peut bien se plier, les autorités judiciaires se renier, l’opinion elle-même s’endormir, il faut maintenir ce principe, jusqu’à ce qu’ait lieu une prise de conscience désormais vitale. En démocratie, la souveraineté du peuple s’exprime par la loi qui oblige, non par la contrainte déguisée. Elle garantit que la liberté est la règle, non l’exception ; et elle reconnaît que les droits fondamentaux ne sont pas une concession de l’État attribuée pour bonne conduite. Vaccinés ou non, nous avons aujourd’hui tous le devoir de rappeler quelques évidences en danger.

François-Xavier Bellamy, «Le passe vaccinal ou la poursuite du délitement de l’État de droit». Le Figaro, 28 décembre 2021.

Jusqu’où ira le gouvernement ? Étant donné la virulence des mesures « sanitaires » qui sont imposées à une cadence effrénée suivant une logique liberticide préméditée et habilement conçue, et la turpitude de l’exécutif qui excelle dans les revirements, vérités en demi-teinte et mensonges les plus ahurissants et scandaleux, la question mérite d’être posée de la manière la plus grave.

https://www.youtube.com/embed/pVodZHnnvTQ

Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs, pouvez-vous, voulez-vous en toute conscience être complices de tels mensonges, de tels agissements frauduleux, de telles manipulations sournoises, d’une telle trahison de la démocratie, de telles violations de l’État de droit, d’un tel anéantissement de la dignité humaine ?

Même le Conseil constitutionnel, qui est la plus haute juridiction de notre démocratie et le dernier rempart contre l’arbitraire du pouvoir et qui est censé protéger les Français des abus de pouvoir de l’exécutif ou des parlementaires, des dispositions législatives qui vont à l’encontre de notre Constitution, ne respecte pas ses propres statuts, s’empêtre dans ses contradictions dans sa volonté manifeste d’entériner l’extension du pass sanitaire, trahit sa haute fonction de gardien de la Constitution et devient le chien de garde d’un pouvoir dévoyé dont les dérives éclatent en plein jour. C’est pourquoi nous réclamons la démission des membres du Conseil constitutionnel et vous demandons de vous associer à cette démarche.

Nous vous demandons de vous opposer par tous les moyens à l’adoption législative du pass vaccinal, qui est d’autant plus injustifié que la virulence de la Covid-19 semble s’atténuer, le virus Omicron se révélant beaucoup moins dangereux que ses prédécesseurs.

Le professeur Mattias Desmet, psychologue et statisticien belge, explique le comportement absurde et irrationnel que nous observons actuellement dans le monde entier en ce qui concerne la pandémie de Covid et ses contre-mesures. Il appelle ce phénomène « psychose de formation des masses ». Il s’agit une sorte d’hypnose des foules qui aboutit à faire tomber littéralement une grande partie de la population dans un état de psychose. La psychose de formation des masses explique comment les Allemands ont accepté les atrocités commises par le parti nazi dans les années 1930, et elle explique pourquoi tant de personnes dans le monde entier soutiennent aujourd’hui l’apartheid médical et la destruction des personnes non vaccinées. C’est tellement irrationnel et inhumain que beaucoup se sont demandés comment nous en sommes arrivés là. Il s’avère que la psychologie du totalitarisme a été étudiée depuis des décennies et que tout ceci peut être expliqué comme un phénomène psychiatrique qui apparaît lorsque certaines conditions existent dans une société. Ne pensez pas que cette crainte du fascisme soit révolue. Lorsqu’un Président de la République cherche à stigmatiser une partie de la population (les non-vaccinés), leur menant la vie dure, en ne leur permettant pas de vivre et allant jusqu’à les déposséder de leurs libertés et droits fondamentaux garantis par la Constitution et la Déclaration des droits de l’homme, il faut clairement sonner l’alerte. Toutes ces décisions seront suivies de décisions beaucoup plus graves, violentes, sanguinaires, si la spirale du mécanisme totalitaire n’est pas interrompue dès maintenant.

La normalienne Ariane Bilheran (docteur en psychopathologie, spécialiste de la psychologie du pouvoir, pouvoir déviant et abusif) a bien analysé l’idéologie sanitaire nazie et a largement cité un article universitaire qui effectue une reconstitution historique des faits qui ont conduit les Nazis à l’apogée de leur délire paranoïaque collectif, à savoir l’extermination de masse : l’idéologie nazie était, exactement comme aujourd’hui, de type sanitaire. Cette idéologie a orchestré le délire collectif et partant, a organisé le totalitarisme dans ses pulsions liberticides et mortifères.

Et le Professeur Gunter Kampf de la faculté de médecine de Greifswald en Allemagne, dans un article du Lancet, que nous mentionnions plus haut, lance également le même avertissement :

Historiquement, les États-Unis et l’Allemagne ont tous deux engendré dans l’histoire récente des expériences négatives, en stigmatisant une partie de la population pour leur couleur de peau ou leur religion.

Pr Gunter Kampf.

Stigmatiser les non-vaccinés comme le fait et y encourage le gouvernement n’est pas justifié et est le prélude certain à un fascisme rampant. Nous ne sommes déjà plus en démocratie.

Face à l’entêtement des autorités dans le monde entier, des plaintes pénales ont été déposées :

  • Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et Hannah Rose, avocate spécialisée dans les droits de l’homme ont déposé une plainte pénale historique adressée à la Cour pénale internationale contre des personnalités de premier plan dans le domaine de la santé publique, les accusant de génocide.
  • Une plainte pénale contre MM. les ministres Jean Castex, Olivier Véran et Michel Blanquer a été déposée par Me Virginie de Araujo Recchia devant la Cour de Justice de la République, accusés des chefs suivants :
    • abus fraduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse (article 223-15-2 du Code pénal),
    • extorsion et tentative d’extorsion (articles 312-1 et 312-9 du Code pénal),
    • empoisonnement et tentative d’empoisonnement (article 221-5 du Code pénal),
    • tromperie aggravée et tentative de tromperie aggravée commise en bande organisée (articles L441-1 et L454-1 du Code de la consommation et articles 132-71 du Code pénal),
    • escroquerie et tentative d’escroquerie commise en bande organisée (articles 313-1 et 132-71 du Code pénal),
    • génocide (article 211-1 du Code pénal).
  • Une plainte pénale a été déposée aux États-Unis contre Alex Azar (secrétaire à la Santé et aux Services sociaux des États-Unis), le Dr Anthony Fauci (conseiller médical en chef du président des États-Unis), le Dr Peter Daszark (président de l’ONG basée à New York, EcoHealth Alliance), la FDA (Food and Drug Administration, l’administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments), les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies), le NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases, ou Institut national des allergies et des maladies infectieuses), Moderna et Pfizer sur la base des huit chefs d’accusation suivants :
    • 18 U.S.C § 2331 §§ 802- Actes de terrorisme perpétré sur le territoire intérieur et ayant entraîné la mort de citoyens américains.
    • 18 U.S.C § 2339 – Complots en vue de commettre des actes de terrorisme.
    • 15 U.S.C §1-3 – Complots en vue de commettre une activité commerciale criminelle.
    • 18 U.S.C § 175 – Financement et création d’une arme biologique.
    • 15 U.S.C. §8 – Manipulation du marché et répartition.
    • 18 U.S.C § 1001 – Mensonges auprès du Congrès.
    • 15 U.S.C. §19 – Directions imbriquées.
    • 18 U.S.C § 2384 – Atteinte à la sureté de L’État.

Au vu de tous les éléments graves qui viennent d’être exposés et de la menace réelle et imminente de totalitarisme qui guette notre démocratie battue en brèche, considérant que plus de 2 300 professionnels de la santé et universitaires en France ont récemment élevé leur voix contre les mesures sanitaires Covid-19 du gouvernement et la nouvelle religion covidienne qui a pris le contrôle de la nation, et considérant, enfin, que plus de 5 000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle et revendiquent le respect du Serment d’Hippocrate, nous vous demandons instamment de lancer au plus vite la procédure de motion de censure du gouvernement.

Si par malheur le projet devait être adopté par les deux assemblées, et la censure rejetée, nous vous demandons de vous rassembler avec au moins 59 autres parlementaires pour déférer ce projet de loi au Conseil constitutionnel afin qu’il en prononce l’inconstitutionnalité.

Si ce texte devait malgré tout être voté et promulgué, et si nous constations que vous aviez participé à son adoption, nous serions obligés de conclure que le parlement français n’est qu’une chambre d’enregistrement de décisions prises dans les cénacles internationaux promouvant la « Grande Réinitialisation » si chère au Forum de Davos, associant « Big Pharma » et « Big Media » qui censure toute information contraire à la doxa d’une société orwellienne en gestation ; et nous vous assurons que vos noms ne seront pas oubliés de l’Histoire. Avec d’autres juristes compétents, nous mènerons un combat sans merci et sans relâche pour que la vérité éclate et que les responsables d’un crime contre l’humanité sans précédent soient jugés par une justice impartiale.

En espérant que vous comprendrez à quel point ce projet de loi marquerait l’avènement d’une société totalitaire qui n’est pas celle que nous voulons et qu’aucun être humain de bon sens ne désirerait pour lui-même, les siens et sa progéniture, nous vous prions, Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs, d’agréer l’expression de nos sentiments distingués.

Aussi la loi n’a point de vie, la justice n’a point de force ; car le méchant triomphe du juste, et l’on rend des jugements iniques.

Habacuc 1:4.

Vigilance Pandémie, le 3 janvier 2022.




Luxembourg — Lettre ouverte contre l’obligation vaccinale

[Transmis par Christine Côte]

E F V V – European Forum for Vaccine Vigilance
Jean-Pierre EUDIER, Président,
7, Rue des Maximins
8247 MAMER

Commission Consultative Nationale d’Éthique
Madame la Présidente
Julie-Suzanne BAUSCH
18-20, Montée de la Pétrusse
L-2327 Luxembourg

LETTRE OUVERTE

Luxembourg, le 3 janvier 2022

Conc. : Votre rapport du 8 décembre 2021 sur l’obligation vaccinale des majeurs

Madame la Présidente,

Dans votre rapport du 8 décembre 2021, vous ouvrez la porte à la vaccination des enfants ainsi qu’à l’obligation vaccinale des majeurs.

La Commission semblait naguère hostile à la vaccination obligatoire, peut-être reviendra-t-elle de nouveau sur cette opinion dans six mois. Vous avez avec vous votre conscience, votre morale et votre responsabilité.

Vos considérations semblent préparer l’opinion publique à briser le tabou de l’inviolabilité du corps humain et du droit de la personne, de refuser, d’interrompre ou de s’abstenir d’un soin.

Tout comme les membres de la Commission, nous sommes des membres de la société civile, comptant parmi nous des juristes, des médecins, des fonctionnaires concernés par la vie de la cité.

Nous sommes tout d’abord au regret de devoir évoquer la question des liens éventuels de certains membres de la Commission avec les membres du Gouvernement et d’autres personnalités du monde politique.

En particulier, nous vous prions de nous confirmer que l’homonymie de votre patronyme avec Monsieur le vice premier Ministre François BAUSCH, n’est qu’une pure coïncidence.

Votre Commission étant un rouage de la démocratie, cette question doit pouvoir être évoquée en toute quiétude et objectivité.

Votre confirmation nous suffira.

Nous nous devons de combattre votre point de vue.

En laissant disparaître la pensée individuelle, le conformisme favorise les dérives d’un processus de négation des libertés individuelles et d’acceptation d’une politique de ségrégation.

Aussi, nous nous permettons de vous adresser la présente lettre ouverte en vous invitant à venir débattre sachant que le travail de la Commission doit obéir à l’exigence systématique de « recherches et débats pluralistes, objectifs qui tiennent compte de la complexité de l’horizon normatif de notre société. »

« À qui est persuadé détenir une vérité universelle, il est indécent d’oser demander des preuves. C’est le principe de l’intégrisme religieux. La peur de la maladie et de la mort nous rendent vulnérables face aux marchands d’espoir. La démarche scientifique n’échappe pas aux règles de la psyché humaine. La science nous a sorti de l’obscurantisme, veillons à ce qu’elle ne nous y replonge pas. Ce n’est pas au réel de se plier à nos croyances. »

Peut-être n’y prêterez-vous aucune attention.

Il nous importe aussi de laisser le témoignage que nous nous y sommes opposés, l’avenir jugera ensuite de l’opinion et de l’attitude de chacun.

Il s’agit encore de faire prendre conscience à nos concitoyens que l’oppression et le chantage à la vaccination ne sont pas des choses normales et de leur donner les arguments juridiques afin de s’y opposer.

Nous évoquons ici non seulement les mesures liberticides sous prétexte de la crise sanitaire mais aussi et surtout au regard de la stigmatisation et la pression exercées sur une partie de la population.

La science et la rationalité ont disparu faisant place à une idéologie politique assumée visant à vacciner à tout prix l’ensemble de la population.

Le passage du système 3G au système 2G dans les cinémas et les restaurants en est l’exemple le plus éloquent. Cette politique apparaît ici contre-productive, voire potentiellement favorable à la diffusion du virus.

L’avis du Collège médical du 8 décembre 2021 est particulièrement éloquent dans ce contexte :

« le collège médical constate avec satisfaction que le gouvernement se propose donc de suivre cet avis d’augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée (seuls les certificats de vaccination et de rétablissement 2G sont admis pour les activités et les établissements dits de loisirs) ».

Le Collège médical appelle ainsi à des « mesures coercitives renforcées » sur les récalcitrants à la vaccination.

Ces termes sont terribles car ils opèrent un glissement dans une logique qui justifie l’exercice de la violence sur la population.

Vous l’admettez d’ailleurs vous-même dans votre rapport en stigmatisant ceux qui n’ont « pas fait leur devoir de citoyen ».

Jusqu’où irons-nous ? Après les avoir privés de leurs moyens de subsistance, faut-il enfermer les réfractaires ? Faudra-t-il même les priver de l’autorité parentale ? De leurs comptes bancaires ? Faudra-t-il aller jusqu’à les condamner pour mise en danger de la vie d’autrui ?

Tout est possible dans cette logique qui veut qu’ils soient les responsables de la pandémie !

La minorité est déjà fortement marginalisée par des communications agressives de personnalités influentes du monde politique, n’hésitant pas à la décrire comme complotiste et inconsciente des risques qu’elle fait encourir aux autres.

Après avoir été stigmatisés, culpabilisés puis privés de leurs droits, les réfractaires à la vaccination seront désormais « hors la loi » avec l’obligation déjà programmée à la vaccination, à en croire votre rapport.

Toutes ces annonces accentuent la dangereuse dérive vers une stratégie de désignation d’un bouc émissaire. Quand on désigne un groupe de personnes comme coupable de tous les maux d’un pays, l’Histoire nous montre que c’est non seulement toujours faux et qu’ensuite cela finit toujours très mal.

Vous rétorquerez très certainement que tel est le jeu de la démocratie et que la majorité des citoyens approuvent la politique du gouvernement.

L’anomalie devient la norme.

Des bonnes fois sont abusées, des mauvaises fois abusent.

Les citoyens ont l’impression d’être les jouets d’un scénario absurde. L’école est désorganisée, le monde économique est sur les nerfs. La science, la rationalité et le droit ont disparu, place aux passions.

La politique de ségrégation du laissez-passer vaccinal est présentée comme la seule alternative au confinement.

Près de deux ans après la sidération du confinement, les citoyens constatent à présent que nous n’avons ni la liberté, ni la sécurité et que nos enfants en subissent en première ligne les conséquences.

Nous ne concevons pas la démocratie comme la tyrannie de la majorité.

Il y a lieu de respecter les institutions gardiennes de la démocratie et notamment la Constitution mais aussi les traités internationaux comme la Convention européenne des Droits de l’Homme.

Le justiciable doit, en outre, pouvoir faire usage d’un recours effectif de constitutionnalité et non pas plusieurs mois ou même années après lorsqu’il est exposé à la suspension de ses revenus.

Or, les pouvoirs publics semblent miser sur la durée des procès tout en prenant de court le justiciable en transférant de surcroît la responsabilité de l’application de la loi sur les opérateurs économiques.

Il n’est donc pas surprenant qu’en se coupant des conseils de sagesse et de pondération que la constitution luxembourgeoise et européenne lui permettrait de conserver, il s’insinue une forme très archaïque de pouvoir dans une vision unilatérale de l’ordre social arrêtée depuis le choix de l’état d’urgence sanitaire.

Le Grand-Duché du Luxembourg doit respecter les engagements dont il est signataire et notamment la résolution 2361 de l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe votée le 27 janvier 2021 par tous les pays de la communauté laquelle prescrit une attitude respectueuse des libertés qu’elle énonce clairement dans les paragraphes suivant :

7.3.1 « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement; »

et 7.3.2 « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner; »

Les principes définis dans la résolution 2361 doivent être respectés.

Le respect de la parole donnée est une valeur essentielle qui fonde la confiance nécessaire à l’exercice du pouvoir.

Même sur le site Internet du Ministère de la Santé, à la question : est-ce que la vaccination contre la COVID-19 sera obligatoire, il est répondu : « Comme pour la plupart des vaccins dans notre pays, la vaccination contre la COVID-19 sera effectuée sur base volontaire »(https://covid19.public.lu/fr/vaccination.html).

Les citoyens se sentent trahis par l’application insidieuse du système « CovidCheck », d’abord sur une base volontaire, puis réservée aux manifestations nocturnes et à présent généralisée sous contrainte à une grande partie des activités sociales.

Un État qui ne respecte pas les obligations internationales qu’il a signées, pour imposer par la force un vaccin démontre qu’il remplace son devoir de convaincre par l’autoritarisme et rompt ainsi le contrat social.

Nous vous invitons également à la lecture de l’article 5 de la Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine signée le 4 avril 1997 à Oviedo (Espagne). Cette Convention est le seulinstrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’Homme dans le domaine biomédical.

Elle reprend les principes développés par la Convention européenne des Droits de l’Homme dans le domaine de la biologie et de la médecine.

Ce texte est une Convention cadre visant à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine.

Nous reproduisons ici son article 5 qui prévoit :

« Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé.

Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques.

La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. »

Un vaccin ou une injection dite « vaccinale » est bien évidemment « une intervention dans le domaine de la santé » au sens de la Convention.

Par conséquent la convention d’Oviedo telle qu’interprétée par le Conseil de l’Europe, interdit aux États signataires, le vaccin obligatoire, la contrainte et la discrimination des personnes non vaccinées.

Plus généralement, la convention d’Oviedo prohibe implicitement la politique du laissez-passer vaccinal, beaucoup ayant été contraints à la vaccination pour pouvoir retrouver leur vie sociale ou simplement travailler.

Il est vrai que l’article 26-1 de la Convention d’Oviedo prévoit une exception :

« L’exercice des droits et les dispositions de protection contenues dans la présente Convention ne peuvent faire l’objet d’autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sûreté publique, à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé publique ou à la protection des droits et libertés d’autrui. »

Toutefois, celle-ci ne s’applique pas en l’espèce.

La recherche médicale ne peut cependant pas faire l’objet de restrictions au libre consentement, conformément à l’article 16 de la Convention :

« Les restrictions visées à l’alinéa précédent ne peuvent être appliquées aux articles 11, 13, 14, 16, 17, 19, 20 et 21. »

Article 16 : Protection des personnes se prêtant à une recherche

« Aucune recherche ne peut être entreprise sur une personne à moins que les conditions suivantes ne soient réunies :

i. il n’existe pas de méthode alternative à la recherche sur des êtres humains, d’efficacité comparable ;

ii. les risques qui peuvent être encourus par la personne ne sont pas disproportionnés par rapport aux bénéfices potentiels de la recherche ;

iii. le projet de recherche a été approuvé par l’instance compétente, après avoir fait l’objet d’un examen indépendant sur le plan de sa pertinence scientifique, y compris une évaluation de l’importance de l’objectif de la recherche, ainsi que d’un examen pluridisciplinaire de son acceptabilité sur le plan éthique ;

iv. la personne se prêtant à une recherche est informée de ses droits et des garanties prévues par la loi pour sa protection ;

v. le consentement visé à l’article 5 a été donné expressément, spécifiquement et est consigné par écrit. Ce consentement peut, à tout moment, être librement retiré. »

Les vaccins disponibles sont en phase 3 d’essais cliniques, jusqu’au 27 octobre 2022 pour MODERNA et au 2 mai 2023 pour PFIZER. Jusqu’à ces dates, il ne s’agit que de médicaments expérimentaux. Les termes utilisés pour le vaccin PFIZER est « Investigational medicinal product » (IMP) (médicament expérimental) ; Protocole Pfizer pp. 46,139 clinicaltrialsregister.eu

Il s’agit d’essais cliniques au sens de l’article 2 du règlement UE 536/2014 pour lesquels l’Agence européenne du médicament n’a délivré qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle au sens de l’article 4 du Règlement 507/2006.

L’application de ces normes interdit l’obligation ou la contrainte vaccinale car les vaccins ne sont pas définitivement agréés puisque les essais cliniques continuent.

Pour autant, même à supposer pour les besoins de notre raisonnement que les vaccins en question seraient définitivement agréés, les restrictions à l’article 5 de la Convention d’Oviedo doivent être proportionnelles et mesurées en tenant compte des droits fondamentaux.

Si suspendre les contrats de travail pourrait correspondre à un simple sentiment de protection de la santé publique liée à une épidémie qui fait plusieurs fois le tour du monde, laisser les travailleurs sans revenus de substitution, est un acte inhumain et dégradant.

La CEDH a constaté dans un arrêt de Grande Chambre que laisser des individus sans revenus pendant plusieurs mois, est bien un acte inhumain et dégradant au sens de l’article 3 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

ARRÊT DE LA GRANDE CHAMBRE M.S.S contre Grèce et Belgique requête 30696/09 du 21 janvier 2011

« 263. Au vu de ce qui précède et compte tenu des obligations reposant sur les autorités grecques en vertu de la directive européenne « Accueil » (paragraphe 84 ci-dessus), la Cour est d’avis qu’elles n’ont pas dûment tenu compte de la vulnérabilité du requérant comme demandeur d’asile et doivent être tenues pour responsables, en raison de leur passivité, des conditions dans lesquelles il s’est trouvé pendant des mois, vivant dans la rue, sans ressources, sans accès à des sanitaires, ne disposant d’aucun moyen de subvenir à ses besoins essentiels. La Cour estime que le requérant a été victime d’un traitement humiliant témoignant d’un manque de respect pour sa dignité et que cette situation a, sans aucun doute, suscité chez lui des sentiments de peur, d’angoisse ou d’infériorité propres à conduire au désespoir. Elle considère que de telles conditions d’existence, combinées avec l’incertitudeprolongée dans laquelle il est resté et l’absence totale de perspective de voir sa situation s’améliorer, ont atteint le seuil de gravité requis par l’article 3 de la Convention.

Il s’ensuit que le requérant s’est retrouvé, par le fait des autorités, dans une situation contraire à l’article 3 de la Convention. Dès lors, il y a eu violation de cette disposition. »

Nous vous invitons à considérer encore le règlement (UE) 2021/953 du Parlement européen et du Conseil du 14 juin 2021 relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE).

Celui-ci interdit clairement la discrimination à l’encontre des personnes ne souhaitant pas se faire vacciner :

« la délivrance de certificat en vertu du paragraphe 1 du présent article ne peut entraîner de discrimination fondée sur la possession d’une catégorie spécifique de certificats visées à l’article 5, 6 et 7 »

Il prohibe implicitement mais nécessairement l’obligation vaccinale. Nous vous rendons attentif au considérant 36 dudit règlement :

« Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auxquelles le vaccin contre la Covid 19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. »

Pour revenir à la vaccination des enfants :

Votre Commission admet elle-même dans son rapport que le risque est « assez limité » pour l’enfant de tomber malade mais que la vaccination des plus petits « augmente en chiffres absolus le taux de vaccination de la population » (sic).

Tout d’abord, il faut avoir bien peu de cœur pour imputer la propagation du virus à des enfants.

C’est l’intérêt personnel de nos enfants qui nous importe et non pas les objectifs d’augmentation du taux de vaccination.

Suivant la Convention internationale des droits de l’enfant, c’est d’ailleurs sur le seul critère de l’intérêt supérieur de l’enfant que doit être prise toute décision qui concerne un mineur.

La même notion est reprise au terme de la Charte des Droits fondamentaux de l’Union européenne en son article 24 :

« dans tous les actes relatifs aux enfants, qu’ils soient accomplis par des autorités publiques ou des institutions privées, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération primordiale. »

Nous estimons que des enquêtes sérieuses devraient être lancées avant de continuer la campagne de vaccination, ou du moins qu’il est impératif d’informer de manière claire le public du risque significatif d’apparition d’effets secondaires, y compris de décès.

Nous nous permettons de vous rappeler la campagne de vaccination de sinistre mémoire contre le papillomavirus.

Un article du 27 mars 2008 du journal « Le Jeudi », bien moins complaisant avec les autorités, dénonçait le manquement au devoir d’information du Ministre quant à l’efficacité du vaccin et les effets secondaires :

« Ce que le ministre de la santé n’a pas dit. Le ministre de la santé a failli dans sa mission d’information. Les parents doivent être mis en garde sur le fait que les signataires de cette lettre ne leur ont pas tout dit et même que certaines de leurs affirmations deviennent fausses par omission. »

La Cour européenne des Droits de l’Homme s’est prononcée au sujet de la légitimité de l’obligation vaccinale des enfants aux termes d’un arrêt du 8 avril 2021 (VAVRICKA c/ REP. TCHÈQUE).

Si la Cour européennes des Droits de l’Homme n’a pas sanctionné l’obligation vaccinale tchèque pour la vaccination traditionnelle, il ne s’agit pour autant en aucun cas d’une légitimation juridique de la vaccination obligatoire contre la COVID.

La Cour rappelle que, selon sa jurisprudence, la vaccination obligatoire, en tant qu’intervention médicale non volontaire, constitue une ingérence dans l’exercice du droit au respect de la vie privée tirée de l’article 8 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

La Cour européenne des Droits de l’Homme a donc rendu une décision in concreto en tenant compte de plusieurs éléments comme :

  • la vaccination existe depuis de nombreuses années,

    Ce n’est pas le cas du vaccin COVID élaboré dans un temps record et qui est encore en phase d’essai.

  • les maladies contre lesquelles le vaccin lutte sont graves,

    Dans l’immense majorité des cas de COVID-19, l’infection est bénigne. Les statistiques officielles ne montrent pas une surmortalité significative en 2020. Selon les statistiques officielles luxembourgeoise, 85 % des décès concernent des personnes âgées de plus de 60 ans. Après plus de deux ans de lutte, nous savons donc quelle doit être la cible prioritaire des soins.

  • les effets secondaires sont connus et peu significatifs,

    En décidant de vacciner une population en bonne santé face à un virus qui ne la tuera pas, il est indispensable d’avoir un très haut niveau de qualité du vaccin, ce qui est contredit par les chiffres officiels du ministère de la santé et les suspensions et retraits de vaccin pourtant déjà administrés.

    Surtout, une méfiance existe compte tenu des suspensions et interdictions de vaccins en cours (Johnson&Johnson et Astra Zeneca). Des cas de thrombose ont été révélés et il convient de déterminer s’ils sont sans lien avec les vaccins réalisés.

    Les 11 décès reconnus à Luxembourg sur une période de moins d’un an de vaccination constituent un chiffre considérable qui ne peut être passé sous silence.

  • les conséquences de la non-vaccination sont temporaires et limitées,

    Les conséquences de la non-vaccination sont extrêmement violentes allant jusqu’à la suspension des moyens de subsistances et l’exclusion des activités sociales et de loisirs.

  • la vaccination obligatoire n’entraînait pas de contrainte physique.

    Ce n’est pas encore le cas mais nous ne pouvons pas exclure une telle dérive au train où vont les choses.

Une lecture mesurée et raisonnable de la motivation de l’arrêt VAVRICKA ne plaide guère pour la légalité de l’obligation vaccinale pour le cas de la COVID-19.

Le temps du droit n’est pas le temps des médias et de la politique, il est d’ailleurs possible qu’une initiative si téméraire soit tuée dans l’œuf avant même sa mise effective en application.

Nous oublions nos principes, les engagements politiques et nos traités au profit d’une idéologie politique assumée visant à vacciner l’ensemble de la population.

Au nom de quels principes ?

Est-ce au nom du « bien commun » de la mythique immunité collective ?

Au Grand-Duché de Luxembourg, malgré un taux de vaccination de près de 80 %, nous atteignons des records de contamination, à savoir un taux quasi équivalent à celui de l’année précédente lorsque nous ne disposions pas du vaccin.

On promettait la liberté au Danemark en septembre dernier avec des taux record de vaccination. En décembre 2021, le pays est de nouveau confiné…

Un confinement a été décrété pour les fêtes de Noël aux Pays-Bas, dont le taux de vaccination de la population avoisine les 80%.

Malgré un taux de vaccination de quelques 80%, l’Islande connaît depuis novembre 2021 un pic de contamination inouï, deux fois supérieur à l’année précédente lorsque la population ne disposait pas du vaccin.

Voici la définition du mot « vaccin » dans le dictionnaire LAROUSSE :

« Substance d’origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l’égard d’autres infections. »

Il est désormais clair que la vaccination n’empêche pas la transmission du virus, rendant illusoire la mythique immunité collective.

Le vaccin ne peut tout au plus constituer un traitement prophylactique potentiel contre des formes graves.

Les études scientifiques et notamment la référence « LANCET » dans un article de Günter KAMPF du 19 novembre 2021 intitulé « The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is increasing » et une multitude d’autres recherches de la même teneur démontrentclairement que la vaccination n’empêche pas la propagation du virus.

Nous citons l’article scientifique précité :

Many decision makers assume that the vaccinated can be excluded as a source of transmission. It appears to be grossly negligent to ignore the vaccinated population as a possible and relevant source of transmission when deciding about public health control measures”.

Il faudrait donc multiplier les « boosters » (quel mot horrible !) à l’apparition d’un nouveau variant, sous peine de se voir privé de vie sociale et professionnelle, toujours sans garantie quant à l’efficacité, ni quant au danger potentiel du vaccin.

A cette course absurde, mais fort lucrative pour l’industrie pharmaceutique, nous serons toujours en retard d’une bataille.

D’ailleurs, qui en décidera ?

Délèguerons-nous à l’industrie pharmaceutique le pouvoir de décider du nombre de doses à administrer ?

Au-delà de la question des primo-vaccinés, cette pression intolérable concerne l’ensemble de la population, vaccinée ou non.

Si deux vaccins ont déjà échoué, on aura besoin d’urgence d’une troisième dose, puis d’une quatrième et ainsi de suite.

Combien de doses faudra-t-il encore avant d’admettre que les vaccins n’ont pas l’efficacité voulue ?

Les sources officielles révèlent que Commission européenne a 4,6 milliards de doses de vaccins contre la COVID-19 et des négociations sont en cours pour obtenir des doses supplémentaires,soit quelques 10 doses par personnes, enfants compris, en tenant compte de la population totale de l’Union européenne.

Tout vacciné est un futur non-vacciné s’il décide de ne plus se soumettre aux différents rappels de vaccination programmés.

La création d’un laissez-passer vaccinal, voire l’obligation vaccinale ne sont pas des réponses sérieuses pour lutter contre la pandémie quand près de 80 % des luxembourgeois sont déjà vaccinés.

Il y a un manque de proportion évident entre la lutte contre la pandémie de la COVID-19 et les droits fondamentaux des citoyens qui vont vivre une « mort sociale », alors que les mutations du virus, rendent la multiplication des doses vaccinales moins efficaces.

D’ailleurs, de plus en plus de scientifiques, voire même de politiques, prennent leurs distances avec la politique du tout vaccinal.

En Angleterre, le comité de la Chambre des Lords s’est déclaré hostile à l’obligation vaccinale et fustige les essais :

« il existe une incertitude considérable quant à l’efficacité des vaccins contre le covid, certaines complications graves à court terme et un manque de données sur les méfaits à long terme. »

Une information relayée par le « British Medical Journal » BMJ dont voici un extrait traduit :

« En tant que médecins et professionnels de la santé, dont beaucoup travaillent dans le NHS, nous tenons à exprimer notre opposition à ce que la vaccination anti-SRAS-CoV-2 soit obligatoire pour tout groupe de personnes, y compris les travailleurs de la santé et les soignants. Nous convenons avec le comité de la Chambre des Lords que les preuves sont insuffisantes pour justifier cette mesure, mais le gouvernement et le Parlement ne semblent pas être à l’écoute et les vaccins obligatoires pour lepersonnel du NHS devraient être promulgués cette semaine.

Nous ne contestons pas que le covid-19 peut être et a été une infection dangereuse, et nous convenons que les vaccins sont efficaces dans de nombreuses situations. Cependant, il existe une incertitude considérable quant à l’efficacité des vaccins contre le covid, certaines complications graves à court terme et un manque de données sur les méfaits à long terme. Dans cette situation, il est impératif queles gens soient en mesure de faire un choix en toute connaissance de cause quant à l’opportunité de se faire vacciner ou non. »

Dans son rapport de surveillance du vaccin COVID-19 de la semaine 42, l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni admet à la page 23 que les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination :

« (…) recent observations from UK Health Security Agency (UKHSA) surveillance data that N antibody levels appear to be lower in individuals who acquire infection following 2 doses of vaccination. »

L’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni poursuit en expliquant que cette baisse d’anticorps est pratiquement permanente.

A l’opposé, près de 140 publications scientifiques attestent l’efficacité de l’immunité naturelle à long terme après l’infection COVID-19 :

L’immunité est apparemment étudiée non seulement sous l’aspect des anticorps mais également des T cells (immunité à plus long terme), car l’immunité existe même en l’absence d’anticorps.

Elle est bien supérieure à la protection vaccinale.

L’immunité naturelle est occultée au Luxembourg, si bien que des personnes présentant un taux élevé d’anticorps doivent se soumettre à la vaccination après une période qui n’est pas déterminée par une consultation médicale individuelle préalable.

Alors qu’elle est parfaitement ignorée au Luxembourg, l’immunité naturelle fait l’objet d’un projet de loi aux États-Unis dénommé « Natural Immunity is real Act » :

« The applicable agency shall acknowledge, accept, agree to truthfully present, and incorporate, the consideration of natural immunity as it pertains to COVID–19 with respect to the individuals subject to the applicable regulations. »

Est-ce au nom de la préservation du système hospitalier ?

Nous observons que des épisodes grippaux d’une ampleur supérieure à la crise actuelle étaient relativement banalisés par le passé.

Nous nous permettons de citer ici la réponse de Madame la Ministre de la santé à la question parlementaire numéro 2697 du 25 janvier 2017 de Monsieur le Député Halsdorf concernant l’épidémie de grippe :

« La grippe causée par le virus influenza survient le plus souvent au Luxembourg vers janvier et février. Cet épisode est d’une durée d’environ deux mois (…) Cette saison-ci, la grippe a débuté au Luxembourg fin décembre 2016 et a atteint son pic à la mi-janvier 2017. Le nombre de cas semble actuellement aller en diminution. En parallèle à cet épisode, on constate une augmentation du nombre de décès toutes pathologies confondues.

L’inspection sanitaire de la direction de la santé suit le nombre hebdomadaire de décès et a constaté que ce nombre est passé d’une moyenne hebdomadaire d’environ 80 décès à 120 décès par semaine à la mi-janvier 2017. Ce phénomène est constaté tous les ans lors de l’épisode grippal. Le surplus de décès survient principalement auprès de personnes ayant des problèmes de santé graves et qui se trouvent en fin de vie. Les décès ne sont souvent pas directement dus à la grippe elle-même mais la conséquence de l’infection virale aggravant les problèmes de santé préexistants (…) »

Permettez-nous de reprendre les données figurant dans un avis juridique du cabinet d’avocats

« FRANK, COHRS & BOCK » en date du 14 octobre 2021 : « selon la carte sanitaire de 2019 du Ministère de la Santé (sortie en 2021), le nombre de lits disponibles s’élève à un total de 2.644 lits (2.221 dans les

4 centres hospitaliers et 423 dans les établissements hospitaliers spécialisés). Il s’avère que moins d’un pour cent (1%) des lits disponible est pris par des patients hospitalisés à cause ou avec le COVID-19 ».

D’après les données officielles du site du Ministère de la Santé, 51 personnes se trouvaient hospitalisées pour raisons de COVID-19 en date du 20 décembre 2021, soit moins de 2% du total des lits disponibles.

Nous devons également reprendre une statistique encore moins réjouissante, celle du nombre de décès et d’effets secondaires liés à l’administration du vaccin.

La communication gouvernementale prétendant que les vaccins sont sûrs, efficaces et sans dangers apparaît en contradiction avec les clauses d’exonération des contrats relatifs aux vaccins, mais aussi des données de la pharmacovigilance.

Suivant le rapport officiel du 1er novembre 2021 émis par le Ministère de la Santé, on recense quelques 1.940 cas d’effets secondaires immédiats des vaccins dont 430 cas graves et 11 décès.

Parmi les 430 cas, on recense 286 cas médicalement significatifs, 115 cas de recours à une hospitalisation, 18 cas de mise en jeu du pronostic vital et 11 décès.

Si une entreprise avait tué 11 personnes avec son produit, nous tenterions de mettre les responsables en prison.

On ne sait strictement rien du contenu des seringues vendues par Pfizer mais il nous est demandé de faire confiance à cette firme qui s’est précisément distinguée par son passé de malfaiteur et de charlatan.

Outre les effets secondaires thrombo-emboliques décrits en début de campagne de vaccination, d’autres pathologies inflammatoires se sont manifestées.

L’exemple le plus connu est celui de la découverte récente des problèmes de myocardite et péricardite et l’inclusion de ces signaux de sûreté (quoique tardive) dans les rapports de l’Agence Européenne du Médicament, dont on ne citera que celui lié au myocardites et péricardites et qui peut être consulté en suivant le lien ci-après :

https://www.ema.europa.eu/en/documents/prac-recommendation/updated-signal-assessment-report-myocarditis-pericarditis-tozinameran-covid-19-mrna-vaccine_en.pdf

Pour reprendre juste quelque lignes de ce document, contrairement à ce que la presse voudrait faire croire, les effets indésirables de ces produits ne sont pas du tout anodins allant jusqu’aux séquelles permanentes et irréversibles, une mortalité précoce ou même à la mort immédiatement après l’injection :

« In 50% of cases, acute myocarditis resolves quickly within 2-4 weeks, however 25% may develop persistent cardiac dysfunction and 25% may deteriorate to end-stage dilated cardiomyopath (p. 4/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis withTozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY) (…).

3.1.2.1. MYOCARDITIS As of 31 May 2021, in Eudravigilance were received 145 cases reporting myocarditis with Comirnaty vaccine in the EEA. In these 145 cases, 143 cases were assessed as serious for which the seriousness criteria was ticked 172 times as follows: 5 times‘Death’, 18 times Life-threatening, 104 times Hospitalization, 2 times Disablingand 43 times ‘Seriousness Other (p.34/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis with Tozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY) »

De plus, ces mêmes documents montrent clairement que les problèmes relatifs au profil de sûreté de ces produits sont loin d’être résolus, même dans le cas de signaux déjà documentés et acceptés par l’Agence Européenne du Médicament:

« Comment PRAC Rapporteur: The MAH (Marketing Autorisation Holder, dans ce cas ci Pfizer Biontech) did not provide the requested age strata under 25 years of age: 12-15, 16-19, 20-24. This is not acceptable as the current signal is strongest in those age groups. Moreover, the same predominance within these age groups is consistent in several other O/E analysis conducted by Israel, USA, UK and the WHO. Question 2 is not resolved.” (p. 18/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis with Tozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY,) »

De nouveaux effets secondaires apparaissent régulièrement.

Les nanoparticules lipidiques des vaccins à ARN-messager ont été pointées du doigt dans le risque de développer des maladies auto-immunes et allergiques.

Il est impossible de prévoir exactement à ce jour quels types de désordres immunitaires pourraient émerger à l’avenir pour chaque type de vaccin mis sur le marché.

Pourtant la campagne de vaccination bat son plein sans que nous ne puissions poser la moindre question et, les mêmes causes produisant les mêmes effets, elle fera encore immanquablement des décès.

Qui en assumera la responsabilité morale et judiciaire ? Souvenons-nous du « responsable mais pas coupable » lors du procès qui a suivi l’affaire du sang contaminé chez nos voisins?

Quant à la responsabilité financière, qui l’assumera sinon le contribuable ?

Compte tenu des risques qu’elle fait peser sur la santé de la population, nous estimons qu’il est très grave d’imposer la vaccination tant que nous ne disposons pas d’une information loyale et objective, telle que décrite par de nombreuses sources indépendantes, de tous les effets secondaires potentiels réparables ou irréparables à court, moyen et long terme, avec certification que tous les paramètres médicaux concernant les essais et les études requis ont été satisfaits.

Il ressort de ce qui précède que l’obligation vaccinale générale de la population n’est pas juridiquement défendable.

Dans le cadre de la vaccination contre la COVID-19, aucun des critères de proportionnalité et d’efficacité visés aux termes des Traités et principes européens, par rapport à l’objectif de santé suivi, n’apparait rempli compte tenu de :

  • La connaissance relativement incomplète de la maladie,
  • La capacité de mutation du virus,
  • La circonstance que les personnes à risque sont majoritairement vaccinées,
  • La vaccination diminue en efficacité avec le temps,
  • La vaccination n’arrête pas la propagation ni la contamination par le virus,
  • Les effets secondaires existent et restent inconnus à long terme,
  • Nous sommes toujours en phase d’essais cliniques,
  • Le vaccin n’empêche pas de tomber parfois sévèrement malade à cause des variants,
  • Aucun objectif d’éradication ne peut être scientifiquement avancé par rapport à un virus qui a déjà fait plusieurs fois le tour du monde.

Nous sommes partisans du principe de la vaccination, sous réserve que celle-ci soit sûre, efficace et nécessaire et qu’elle tienne compte de l’identité biologique de chaque individu, paramètre dangereusement oublié par le principe de l’obligation.

Tous ceux qui souhaitent être vaccinés contre la COVID -19 doivent pouvoir le faire, y compris en choisissant le vaccin approprié, notamment le vaccin chinois SINOVAC réalisé avec un virus désactivé sur base de la méthode traditionnelle.

Nous ne comprenons pas pourquoi le principe de la liberté de choix du vaccin approprié est ignoré au mépris des pétitions publiques.

La pétition publique n°1827 demande la distribution au Luxembourg du vaccin russe Sputnik V contre la COVID-19.

La pétition publique n°2141 demande à repousser la date des mesures « CovidCheck » au travail jusqu’à la disponibilité du nouveau vaccin « NOVAVAX ».

La pétition publique n°1950 plaide pour ne pas rendre la vaccination COVID-19 obligatoire et de ne pas instaurer, avec le temps, de discriminations entre les personnes vaccinées et les personnes non-vaccinées.

Elle a recueilli la signature de 11.456 (mauvais ?) citoyens.

La pétition publique n°2078 demande l’égalisation des mesures « CovidCheck » à l’ensemble de la population afin de lever les contraintes et discriminations qui se mettent en place pour forcer les non-vaccinés à céder et se laisser vacciner.

Elle a été signée par 5.722 citoyens.

S’agit-il de mauvais citoyens car ils ont osé émettre des réserves quant à la politique du tout vaccinal ?

Nous sommes inquiets de la violence du discours à l’encontre de la population non-vaccinée ou qui décidera de ne plus se soumettre aux injections à venir.

Subissant déjà une forte pression sociale en raison d’un choix personnel, nous craignons d’être soumis à la vindicte populaire devant un discours de plus en plus agressif, haineux et radical jusque dans les termes de votre rapport.

Nous estimons que, le traitement par l’anathème, la peur et la contrainte visant à imposer à tout prix la vaccination au mépris des droits fondamentaux issus des engagements internationaux, par :

  1. la radicalisation du discours des pouvoirs publics contre les réfractaires,
  2. la multiplication progressive des restrictions serrant comme dans un étau les réfractaires,
  3. les mesures discriminatoires imposées afin « d’augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée »,
  4. La mise en œuvre du laissez-passer vaccinal sur le lieu de travail sous peine de suspension des moyens de subsistance au mépris notamment du droit au travail garanti par la Constitution aux termes de son article 11: « la loi garantit le droit au travail et l’État veille à assurer à chaque citoyen l’exercice de ce droit. La loi garantit les libertés syndicales et organise le droit de grève » et du respect du principe de « l’égalité de traitement en matière d’emploi et de travail » (article L-251.1 du Code du Travail).

CONSTITUENT un traitement INHUMAIN et DÉGRADANT au sens de l’article 3 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

La finalité idéologique des mesures visant à « augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée » (sic) n’est en aucun cas une justification sanitaire, tout au plus un grave abus de droit sanctionné par l’article 54 de la Charte des Droits fondamentaux de l’Union européenne :

« Aucune des dispositions de la présente Charte ne doit être interprétée comme impliquant un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits ou libertés reconnus dans la présente Charte ou à des limitations plus amples des droits et libertés que celles qui sont prévues par la présente Charte. »

Nous comprenons certes la tentation accessoire d’instaurer un modèle de société de « la solidarité et de la responsabilité » en tirant les leçons de la crise COVID comme une « destruction créatrice » pour reprendre l’expression de Schumpeter.

Nous ne pouvons qu’être sceptiques face à ceux qui voient la crise sanitaire comme une « fenêtre d’opportunités » pour la transition vers la « société numérique », impliquant la numérisation de nos vies jusque dans notre for intime, la géolocalisation, l’inspection et, à terme, l’aliénation de l’individu et la servitude.

Beaucoup parmi nous sont issus des pays totalitaires de l’ancien bloc soviétique et sont légitimement hostiles aux modèles préfabriqués qui s’apparentent en réalité à une « construction destructrice ».

Les dispositions inédites dans l’histoire récente du Grand-Duché prennent des proportions totalitaires dans le sens premier et original du terme, à savoir une intrusion étatique sur la totalité des activités individuelles.

Certes, nous n’avons pas l’écho du bruit des bottes, mais les réfractaires à la vaccination verront leurs moyens de subsistance suspendus ou devront accepter un chantage à leur vie familiale et position sociale.

Beaucoup d’entre nous se sont battus pour leur liberté dans leur pays d’origine et ne sauraient à présent accepter de s’engouffrer vers un totalitarisme « soft » par confort ou par paresse.

Nous serions ravis d’échanger avec vous et nous vous montrerons que nous ne sommes nullement des irresponsables, des extrémistes « anti-vax » ou d’autres caricatures médiatiques, mais de simples citoyens.

Votre commission étant ouverte à l’échange et aux débats d’idées, nous nous permettons de vous inviter à débattre publiquement avec nous, avec nos juristes, avec nos médecins, nos comptables et nos fonctionnaires.

YES, WE CARE !

Nous vous prions d’agréer, Madame la Présidente, l’expression de nos sentiments très distingués.

Pour EFVV

Jean-Pierre Eudier

Président

Copie de ce courrier à :

  • Son Altesse Royale le Grand-Duc Henri
  • Xavier Bettel, Premier ministre, Ministre d‘Etat
  • Paulette Lenert, Ministre de la Santé
  • Fernand Etgen, Président de la Chambre des Députés

Copie de ce courrier par e-mail à :

  • Mesdames et Messieurs les Députés
  • Mesdames et Messieurs les Conseillers d’Etat
  • Représentants des organes de presse Grand-Ducale



Nouvelle bombe du professeur Claverie chez Morandini : ce vaccin ne sert à rien contre Omicron, on est là avec la troisième dose simplement pour vous fourguer des surplus

[Source : Nicolas Bonnal]




Les vœux pour 2022 de Marcel D. et son équipe : « Il n’y aura pas de négociation, nous gagnerons ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D.

L’année s’annonce décisive et la détermination du pouvoir à écraser les Français devra se confronter à une partie du peuple tout aussi déterminé à ne pas se laisser écraser sous le poids des lois ségrégationnistes. 2022 risque d’être une année déterminante pour ceux qui veulent gouverner le monde, ce rouleau compresseur qui semble inarrêtable doit faire face aux récalcitrants, aux non-alignés, aux hommes libres.


C’est dans cette optique que des médecins, des psychologues, des avocats, des journalistes, les petites gens, le peuple dans son ensemble, ont décidé de dire NON. Non à ces médecins de plateau, à ces politiques au courage dans les chaussettes, à ces journalistes qui rampent dans le déshonneur comme des larves, à tous ces traîtres qui pensent échapper au courroux en exécutant des galipettes, en transformant en mensonge ce qui est vérité et en changeant en vérité ce qui est mensonge… La justice passera en son temps.

Dans ce monde cyclique, la raison reprendra toujours sa place. L’empire vacille et tente de reprendre la main avant sa chute et seule la violence lui fait croire qu’il y arrivera. Pourtant, la Putain de Babylone tombera, et ses sujets avec. La partie de poker qui se joue actuellement ne doit pas faire oublier que les gouvernements n’ont aucune carte, sauf celle du mensonge. Ils doivent bluffer. La libération d’Elie Domota face à la pression du peuple guadeloupéen rassemblé en masse devant le commissariat, montre où se trouve véritablement le pouvoir. La peur des élites est que les peuples en prennent conscience.

Dans cette course folle, la résistance des peuples est primordiale, de nouvelles structures émergent, de nouveaux médias font le travail de réinformation, le réveil des Français à chaque dose fait aussi son bout de chemin… Le temps ne joue pas en faveur de nos ennemis, d’où cette précipitation, cette violence, cet acharnement. La division est et sera l’une des plus précieuses armes du pouvoir. Comprenons bien une chose, Macron a un objectif et, pour y parvenir, il a aussi une cible sur laquelle il compte s’acharner : « Faire peser les contraintes sur les non-vaccinés reste notre boussole absolue » ces propos ont été tenus lundi 27 décembre, par Emmanuel Macron, quelques heures avant le Conseil de défense sanitaire, rapporte le Canard enchaîné. Les non-vaccinés sont donc une base sur laquelle nous devons nous appuyer car il font barrage au monde orwellien du crédit social à la chinoise dans lequel ces fous veulent nous précipiter. La lutte doit se verticaliser car le problème est bel et bien au gouvernement, celui qui joue aux chaises musicales avec le peuple, le fait danser assis puis debout avec ou sans masque, selon l’humeur du moment… Et pendant ce temps-là nos enfants déprimés se suicident, dans le vide ou au bout d’une corde, sans que le pouvoir daigne s’y intéresser. Soyons directs, ils crèvent dans l’indifférence totale. Dans ce Titanic, on sacrifie les enfants, la nouvelle devise : « Les hommes et les femmes d’abord ! » semble contenter les lâches apeurés par un virus Omicron aux effets gonflés par la propagande.

Mes amis, dans cet océan de merde, Le Média en 4-4-2 fera sa part pour servir la raison. Notre équipe vous donne chaque jour, 7 jours sur 7 et 365 jours par an une information de qualité. Nous sommes tous des bénévoles soucieux de voir nos enfants grandir dans un monde où le masque tombera. A vrai dire, le travail que nous fournissons n’en est pas vraiment un, c’est un devoir, une obligation et aussi un moyen de conjurer la dépression et aussi, je vous l’avoue sans honte, de se marrer quand nos ennemis voudraient nous voir pleurer et accepter par désespoir d’être des esclaves.

Sur ces bonnes paroles, nous vous souhaitons une excellente année, une année où les genoux ne fléchissent pas, bien au contraire. Soyez déterminés, il n’y aura pas de négociation, nous gagnerons, un point c’est tout !

Marcel D., président du Média en 4-4-2″




La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins

[Source : Recherches Covid-19]

[Ndlr : de nombreux articles présentés par Nouveau Monde autour des approches alternatives à la théorie virale et à celle, plus générale, des germes proviennent du site Recherches Covid-19 qui effectue un remarquable travail de collecte d’informations dans ce domaine.]

Dans cette vidéo Stefan Lanka présente l’avancée de ses travaux sur les expériences témoins qui permettront de réfuter les affirmations des virologues qui affirment avoir découvert le génome du SARS-CoV-2 chez un patient à Wuhan, en démontrant que les méthodes utilisées sont à l’origine des résultats obtenus et qu’il est possible d’obtenir exactement les mêmes résultats à partir de prélèvements humains sains en reproduisant les mêmes méthodes et techniques.

[Voir aussi :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
et ses liens annexes.]

Il explique également les mécanismes qui conduisent les scientifiques à rechercher la cause d’une maladie sous la forme d’un élément matériel, dans ce cas d’un virus contagieux, avant même de se questionner sur les autres causes possibles, et la raison pour laquelle ce concept est majoritairement accepté sans être remis en cause.

Il évoque aussi les bases de la virologie avec la découverte du virus de la mosaïque du tabac et de la rage, et avertit sur les dangers potentiels des nanoparticules lipidiques présentes dans les vaccins, sujet occultés par l’engouement autour des innovations en biotechnologie et des craintes concernant le graphène dans les vaccins Covid.

Vidéo disponible intégralement ou en extraits courts :

Stefan Lanka – La vérité sur le graphène
Stefan Lanka – La vérité sur le virus de la mosaïque du tabac
Stefan Lanka – La vérité sur le virus de la rage
Stefan Lanka – 2e phase des expériences témoins (génétique)



Rapport de l’Institut Max Planck d’histoire des sciences de 1999 dont il est fait mention (traduction automatique en français)

Transcription interview complète

Vidéo originale sans sous-titres




La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité

[Source : cv19.fr (Recherches Covid-19)]

[Ndlr : de nombreux articles présentés par Nouveau Monde autour des approches alternatives à la théorie virale et à celle, plus générale, des germes proviennent du site Recherches Covid-19 qui effectue un remarquable travail de collecte d’informations dans ce domaine.]

Les docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith viennent de publier un article choc intitulé “La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité”.
Ils couvrent tout ce qui se cache derrière la fraude – y compris les acteurs, la PCR, la virologie, la modélisation et plus encore.


Contenus

Résumé

Première partie

L’agenda mondialiste
Le cheval de Troie
La double tromperie de la virologie
Les quatre piliers de la fraude COVID-19
Le premier pilier : L’isolement

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique
Le troisième pilier : La PCR
Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Troisième partie

En résumé
Conclusion
POST-SCRIPTUM
Crimes contre l’humanité
L’insulte finale
A propos des auteurs

Télécharger l’article au format .pdf


Résumé

Le COVID-19 est une fraude parce que son agent causal présumé, un prétendu nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, n’a pas été prouvé comme existant dans la nature et n’a donc pas été établi comme la cause du COVID-19, la maladie et la pandémie inventées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pour la même raison, il n’y a pas de variants du “virus”, qui n’existent que de manière hypothétique dans les ordinateurs, les banques de gènes en ligne et dans l’esprit de personnes innocentes qui ont été complètement bernées par leurs gouvernements.

La fraude du COVID-19, avec ses nombreuses allégations grotesques, ne constitue rien de moins qu’une guerre contre l’humanité menée par des organisations telles qu’Anser, Fors Marsh et Palantir qui mènent l’escroquerie par l’intermédiaire de Big Pharma, avec ses soutiens et ses complices, notamment le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les conglomérats technologiques, les médias de masse, les gouvernements complices et les “pirates” du COVID tels que l’UNC Chapel Hill et l’Imperial College London, pour ne citer que quelques bénéficiaires de la fraude.

Le COVID-19 est une guerre contre l’humanité parce que les politiciens et leurs gouvernements continuent d’utiliser cette maladie imaginaire pour terroriser et emprisonner leurs citoyens, en les privant de leurs droits fondamentaux et de leurs libertés, et en violant leurs corps autrefois inviolables par des injections expérimentales et dangereuses contenant une séquence d’ARNm de protéine spike générée par ordinateur qui ordonne au corps de s’empoisonner. Ces injections infâmes, qui contiennent également des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées, affectent des millions de personnes et en tuent plusieurs milliers dans le monde entier, dont 218 Néo-Zélandais au 2 octobre 2021.[1]

Une fraude virologique est au cœur de ces crimes contre l’humanité : le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé physiquement ni démontré comme étant l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Dans cet article, les auteurs examinent le monde illusoire de la virologie pour expliquer comment un virus que personne n’a vu ni ne sait d’où il vient, dont personne ne sait ce qu’il fait ni où il va, traverse, selon les fraudeurs, les frontières et les barrières et vient vous chercher où que vous soyez. Comment se fait-il, demandent les auteurs, que cette folie fantasmagorique se soit transformée en un monde empreint de peur, dans lequel les gouvernements démocratiques ont abandonné les principes démocratiques pour s’engager dans le contrôle et la “suppression d’êtres humains”, ce qui pourrait simplement se transformer en une “variante” de la troisième guerre mondiale ?[2]


[Voir aussi :
L’effondrement de l’hypothèse virale
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey

Sur le graphène :
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]


Première partie

L’agenda mondialiste

Ne vous méprenez pas, nous sommes actuellement assaillis par une fraude mondiale d’une telle ampleur et d’une telle malveillance qu’elle menace notre existence même telle que nous la connaissons sur cette planète.

L’escroquerie concerne un prétendu nouveau coronavirus, inventé et non découvert par la virologie, qui a permis à Bill Gates de prédire une pandémie unique en son genre, nécessitant des milliards de vaccins pour la combattre, ce qui lui permet d’augmenter considérablement les actifs du Bill and Melinda Gates Trust qui se trouve aux côtés de la Bill and Melinda Gates Foundation (BMGF).[3]

Un autre qui se préparait avec impatience au déploiement de ces ” vaccins ” de masse, qui ne sont pas des vaccins mais des armes biologiques, était Peter Daszak de EcoHealth Alliance. Comme il l’a déclaré en 2015, “nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité des MCM [Contre-mesures médicales], comme un vaccin pan-influenza ou pan-coronavirus. Les médias sont un facteur clé, et l’économie suit le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient des bénéfices à la fin du processus.”[4]

En septembre 2019, le Global Preparedness Monitoring Board, une création de l’OMS et de la Banque mondiale, a conseillé aux pays de se préparer à un potentiel “pathogène respiratoire mortel” en investissant dans “des vaccins et des thérapeutiques innovants, une augmentation de la capacité de fabrication, des antiviraux à large spectre et des interventions non pharmaceutiques appropriées”. [5] Ils ont également conseillé que “tous les pays doivent développer un système pour partager immédiatement les séquences génomiques de tout nouveau pathogène”.[6]

Le monde était préparé à une ” pandémie ” et le 4 décembre 2019, le Dr Anthony.
Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré que son agence ” menait et soutenait des recherches pour développer des technologies de plateforme vaccinale de pointe qui pourraient être utilisées pour développer des vaccins antigrippaux universels ainsi que pour améliorer la vitesse et l’agilité du processus de fabrication des vaccins antigrippaux “. Ces plates-formes technologiques comprennent l’ADN, l’ARN messager (ARNm), les particules de type viral, les vaccins à base de vecteurs et les nanoparticules auto-assemblées.[7] Tout était donc prêt pour libérer les technologies génétiques et les nanoparticules sur des populations sans méfiance, sous couvert d’une crise sanitaire à quelques semaines de distance. Il suffisait de remplacer la grippe, qui n’avait plus réussi à effrayer le monde depuis longtemps, par un “nouveau” coronavirus mortel imaginaire.

Les événements qui se sont déroulés au cours des 20 derniers mois auraient semblé inconcevables il y a encore deux ans, sauf dans l’esprit de personnes comme Gates et Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui avaient déjà imaginé de détruire la démocratie de l’intérieur par une réponse autodestructrice induite par la peur d’un tel virus. Comme Schwab l’a écrit dans La Grande Réinitialisation, semant les graines de son programme mondial : “Depuis qu’il a fait son entrée sur la scène mondiale, le COVID-19 a radicalement bouleversé la façon de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de prendre part à l’économie mondiale. “[8] C’était une affirmation extraordinaire pour un coronavirus si “nouveau” que les séquences des protéines de pointe (spike) étaient déjà brevetées par leurs inventeurs et, dans le cas du brevet américain 7279327 B2, attribué à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, aux États-Unis, en 2007, et prétendument fourni à Moderna en novembre 2019, un mois avant que le COVID-19 ne fasse son entrée sur la scène mondiale à Wuhan.[9] C’est la chanson que Schwab aime chanter avec Thierry Malleret : ” La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n’a pas de parallèle dans l’histoire moderne. Nous ne pouvons pas être accusés d’hyperbole lorsque nous disons qu’elle plonge notre monde dans son ensemble et chacun d’entre nous individuellement dans les moments les plus difficiles que nous ayons connus depuis des générations. C’est un moment décisif pour nous – nous aurons à faire face à ses retombées pendant des années, et beaucoup de choses changeront à jamais”.[10] La choriste mondialiste, ancienne Premier ministre néo-zélandaise, Helen Clark, coprésidente du Groupe indépendant de l’OMS pour la préparation et la réponse à la pandémie, reprend le même refrain hyperbolique : “En moins d’un an et demi, le COVID-19 a infecté au moins 150 millions de personnes et en a tué plus de trois millions. Il s’agit de la pire crise sanitaire et socio-économique combinée de mémoire d’homme, et d’une catastrophe à tous les niveaux… Le COVID-19 est le Tchernobyl du XXIe siècle – non pas parce qu’une épidémie est comparable à un accident nucléaire, mais parce qu’il a montré si clairement la gravité de la menace qui pèse sur notre santé et notre bien-être. Elle a provoqué une crise si profonde et si étendue que les présidents, les premiers ministres et les responsables d’organismes internationaux et régionaux doivent maintenant accepter d’urgence leur responsabilité de transformer la manière dont le monde se prépare et réagit aux menaces sanitaires mondiales.”[11]

Ces affirmations absurdes et non fondées des mondialistes constituent une source de peur sur laquelle s’appuient les entreprises pharmaceutiques telles que Pfizer pour soutirer de vastes sommes d’argent aux États-nations qui vendent leur peuple pour une bouchée de pain. Cette pratique d’extorsion est à la base de l’accord de fabrication et de distribution qui a fait l’objet d’une fuite entre Pfizer et l’Albanie, en vertu duquel la première exigeait de la seconde qu’elle accepte que le “vaccin” Pfizer soit soumis à des “risques et incertitudes significatifs”, qu’il “puisse ne pas réussir pour” un large éventail de raisons, et que Pfizer n’ait “aucune responsabilité pour tout échec … dans le développement ou l’obtention de l’autorisation du produit conformément aux dates estimées décrites dans cet accord.[12]

Derrière les “leurres”, comme David Martin décrit les principaux acteurs pharmaceutiques – Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Merck Ridgeback, Gilead Sciences – se trouvent les criminels parrainés par l’État, les “corsaires” : Anser, “le plus grand contractant de toute la campagne terroriste COVID”, qui gère l’opération Warp Speed ; Fors Marsh, l’agence qui a créé le label COVID-19 et qui est chargée de veiller à ce que le message COVID-19 soit le même dans le monde entier ; Palantir, de Peter Thiels, qui vous suit par téléphone où que vous soyez grâce à Gotham Data Tracking ; et Publicis Sapient, qui coordonne toutes les données COVID-19 et dit au monde entier combien il y a de cas COVID, bien qu’il n’y ait pas de cas COVID à compter.[13] Puis il y a les pirates, parmi lesquels on peut compter : Ralph Baric et son Chimera Laboratory à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, qui a reçu plus de 100 millions de dollars depuis 1999 pour transformer en armes les particules du coronavirus, dont 28 millions de dollars du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci pour transformer en armes la protéine spike ; Vanderbilt ; Emory ; Johns Hopkins University ; University of California System ; Massachusetts Institute of Technology ; New York University Langone ; German Centre for Infection Research ; Imperial College London ; Institute for Health Metrics and Evaluation ; et Erasmus.[14]

Le bouton “go” a été poussé sur cette fraude mondialiste lorsqu’un ouvrier de 41 ans s’est présenté à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec des symptômes indiscernables des autres maladies respiratoires courantes parmi les 11 millions de résidents qui subissent une pollution asphyxiante dans la capitale de la province chinoise du Hubei. Le génome d’un virus que personne n’avait vu, et encore moins isolé et purifié, a été publié début janvier 2020, rebaptisé SRAS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus le 11 février, le jour même où le chef d’orchestre de la fraude, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (Tedros), a annoncé son compagnon conséquent : “nous avons maintenant un nom pour la maladie : COVID-19. Je vais l’épeler : C-O-V-I-D trait d’union 1 9 – COVID-19”.[15]

À la fin du mois de mars 2020, la démocratie était à genoux, le peuple en tant que peuple exclu de la vie publique, emprisonné dans ses foyers. Les camps d’exclusion étaient désormais nos maisons. Et puis l’impensable : les politiciens ont annoncé qu’ils allaient inoculer à leurs populations des injections génétiques codées hautement expérimentales, jamais utilisées auparavant sur des humains, et dont les essais cliniques, déjà tronqués et grotesques, devaient encore durer des années.[16] Nos représentants élus n’ont pas pris la peine de nous le dire. Ils ne nous ont pas dit non plus que ceux qui semblaient tolérer l’inoculation initiale pouvaient transporter dans leur corps des bombes à retardement de maladies neurodégénératives et auto-immunes potentielles ainsi que des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées.[17]

Le cheval de Troie

Tout tourne autour de ces deux concepts : absence et présence. De quoi est fait le SARS-CoV-2 : d’absence ou de présence ? Telle est la question que nous devons trancher. Car sans la présence instanciée du SARS-CoV-2, il n’y a pas de cas de COVID-19 à compter, et donc pas de motif ou de justification pour la réponse d’un gouvernement à une pandémie fantôme.

Cet assaut contre l’humanité s’appuie sur un cheval de Troie pour introduire la tromperie dans nos esprits et nos corps, rendant possible la réalisation de l’agenda mondialiste d’un réseau de contrôle de la population dans le but ultime apparent de contrôler les populations de toutes les manières possibles.[18]

Alors que les débats se poursuivent dans le monde entier sur les origines du COVID-19, le nombre de cas les plus récents, sa létalité et l’efficacité des prétendus vaccins, les participants à ces débats semblent tenir pour acquis qu’un virus existe réellement. La grande majorité du public et du corps médical ignore que le cheval de Troie est la virologie moderne et ses méthodes antiscientifiques qui affirment l’existence de virus tels que le SARS-CoV-2. La plupart seraient surpris d’apprendre que le “virus” n’a jamais été trouvé à l’intérieur d’un seul être humain et qu’il n’a jamais été démontré qu’il était la cause d’une quelconque maladie.

La double tromperie de la virologie

Le crime contre l’humanité COVID-19 exige l’absence de ce virus. Il n’existe donc aucune référence matérielle permettant de recouper le génome fictif, afin d’établir, par exemple, si les prétendues protéines du SARS-CoV-2 proviennent spécifiquement du prétendu virus.

Ce tour illusoire repose sur la double tromperie de la virologie : (a) la substitution de la signification du dictionnaire et du postulat scientifique du substantif “isolement” par son contraire ; et (b) la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (CPE) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro par la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo pour établir la causalité entre le pathogène supposé et la maladie. Cependant, même l’utilisation de lignées cellulaires “normales” ne permettrait pas d’établir la causalité selon les postulats de Koch ou tout autre postulat scientifique, puisqu’il s’agit simplement d’observations en éprouvette impliquant des virus présumés.

Cette double tromperie constitue une violation des postulats sur lesquels la communauté scientifique s’appuie depuis longtemps. Cette absence physique fait du SARS-CoV-2 une fraude sans faille, que les virologues financés par l’industrie applaudissent et que le complexe médico-pharmaceutique exploite et récompense. Cet art noir est si obscur et son langage si ardu que peu de gens dans le grand public s’arrêteraient pour le remettre en question. Même Stephen Bustin, expert en réaction en chaîne par polymérase (PCR) et créateur des protocoles MIQE conçus pour dompter le “Far West” de la RT-PCR, se laisse prendre à cette fraude virologique, comme il l’a révélé dans son interview avec Eric Coppolino :

Eric Coppolino (EFC) : Mais il y a deux définitions différentes de l’isolement qui circulent. L’une est que vous le séparez de tout le reste, et l’autre est que vous le mettez dans un bouillon et vous le trouvez.
Stephen Bustin (SB) : Oui. Eh bien, ce n’est pas vraiment mon domaine d’expertise. En ce qui me concerne, j’ai lu les articles et si c’est la façon standard d’isoler un pathogène, alors je n’ai aucun problème avec cela.
EFC : Eh bien, c’est la façon actuelle qui est utilisée, je dirais, que l’idée d’une véritable purification vous le séparez dans une centrifugeuse, et vous savez que vous avez un échantillon de seulement cela. Et c’est ce qui est séquencé et utilisé pour amorcer la PCR. Il ne semble pas que ce soit ce qui se passe…
SB : Eh bien, la façon dont la séquence a été établie, en prenant les échantillons du patient original, en cultivant quelque chose, puis en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SRAS.[19] Qui ressemblait alors de très près à un virus du SRAS de chauve-souris. Et qui était évidemment différent. Donc, ça… Eh bien, vous savez, c’est une façon standard de faire les choses, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, sauf que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de faire.[20]

Les quatre piliers de la fraude COVID-19

Si p, alors q ; maintenant q est vrai ; donc p est vrai. Par exemple : “Si les porcs ont des ailes, alors certains animaux ailés sont bons à manger ; maintenant certains animaux ailés sont bons à manger ; donc les porcs ont des ailes. Cette forme de déduction est appelée méthode scientifique. “[21] Bertrand Russell, 1946

La fraude mondiale COVID-19 repose sur quatre piliers, tous interdépendants.

Le premier pilier : L’isolement

La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”.[22] Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes … pourrait être associée au virus de la rougeole. “[23]

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai – en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique.[24] Elles ont été utilisées par les médias du monde entier pour alimenter l’imagination du public sur l’existence d’un minuscule microbe ressemblant à une mine marine qui pourrait le frapper et le couler à tout moment. Quant aux images de micrographie électronique mises en avant dans les publications scientifiques, elles montrent simplement des nanoparticules dans et autour de cellules de culture, comme décrit dans les expériences de laboratoire ci-dessus.

Schéma 1. ” Effets cytopathiques – aucun virus requis”[25]

Elles sont censées être les virus du SARS-CoV-2 sur la base de déclarations arbitraires. Par définition, un virus est une particule infectieuse qui peut provoquer une maladie chez un hôte vivant. Aucune de ces propriétés essentielles n’a été démontrée dans les expériences virologiques décrivant l’isolement et la pathogénicité prétendus.

Les virologues ont passé des décennies à tenter de le faire sans succès et, au lieu d’admettre qu’il pouvait y avoir un problème avec la théorie des virus, ils ont simplement changé le sens du mot. C’est un état de fait scandaleux. Le monde est actuellement pris en otage parce que les virologues n’isolent pas réellement les virus, ils se contentent de dire qu’ils le font, et ne semblent pas s’inquiéter du fait que l’assaut actuel contre l’humanité repose sur cette fraude scientifique évidente.

La première fraude, fondamentale, consiste à affirmer que le virus a été isolé et qu’il est l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Si cette affirmation (toujours non fondée) n’était pas acceptée, la fraude du COVID-19 imploserait, tout comme la “pandémie du siècle” de Gates. En d’autres termes, la fraude de l’isolement repose sur la violation du sens accepté pour tromper, alors que, par exemple, un “isolat” n’a pas plus été isolé que de simples pensées. Cela met en place un discours circulaire vicieux auquel il est impossible d’échapper : la prémisse de l’existence est établie par le mensonge, et par son insistance absolue, l’existence du virus est “confirmée” de manière concluante et répétée. La virologie se nourrit de cette insistance, car sans elle, il n’y a pas de virus, pas de virologie, pas de “tests” PCR “positifs”, et plus d’emplois pour les virologues qui inventent des virus que Big Pharma combat avec des “vaccins” miraculeux. C’est également la raison pour laquelle les idées qui vont à l’encontre de ce récit sont censurées par le gouvernement et par les grands médias, et pourquoi les agences de sécurité de ce pays terrorisent les personnes qu’elles prétendent protéger, en leur imposant la fraude virologique sur laquelle repose toute la mascarade. L’ensemble de l’appareil d’État est actuellement dédié à cette cause.

Fan Wu et al.[26]

Plutôt que de recourir à la méthode largement utilisée par les virologues pour affirmer l’isolement et la pathogénicité par l’induction de CPE (effet cytopathique), Fan Wu et al, les premiers inventeurs du génome du SARS-CoV-2, ont envoyé l’échantillon extrait du liquide pulmonaire du patient directement au séquençage pour deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques ou “reads”.[27] Il est important de noter que les échantillons envoyés pour le séquençage n’étaient pas des virus physiquement isolés mais des échantillons bruts contenant des millions de fragments génétiques uniques provenant du patient lui-même, d’innombrables microbes, et même de l’air que le patient avait respiré sur le chemin de l’hôpital. Plus de 56,5 millions de “reads” ont été produites à partir de cette “soupe” génétique et assemblées pour créer 384 096 contigs (longues séquences génétiques) sur Megahit, et 1,32 million de contigs sur Trinity.[28] Peut-être avec une prédisposition à prouver leur canular infondé selon lequel il existe “la capacité continue de la propagation virale de l’animal à causer une maladie grave chez les humains”, Fan Wu et al. ont choisi la plus longue (30 474 nucléotides) qui, selon eux, avait une identité de nucléotides de 89,1 % avec le génome in silico du coronavirus de la chauve-souris (SL-CoVZC45) inventé en 2018.[29] Ainsi, un “génome” aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssinien est devenu le modèle utilisé pour la conception d’amorces pour la méthode RT-PCR afin de soi-disant détecter un virus dont l’existence n’avait pas été démontrée.[30] Par la suite, il a été décidé que le génome avait besoin d’un couper-coller, peut-être pour le faire paraître encore plus proche des 29 802 nucléotides du modèle de chauve-souris SL-CoVZC45 et il a été réduit à 29 875 nucléotides dans la version suivante sur GenBank.[31] Mais les artistes n’en avaient pas fini avec leur création et un troisième et dernier modèle a été dessiné avec une séquence terminale complètement différente comportant 23 bases adénines consécutives, ce qui ressemblait davantage au modèle de chauve-souris qui comportait 26 bases adénines consécutives en queue.[32] On ne sait pas très bien comment les virologues ont pu savoir quel “génome” choisir alors que toutes les options étaient des constructions informatiques hypothétiques. Il devient donc rapidement évident que l’anti-science de la virologie et la perversion du mot “isolement” sont non seulement délirantes mais aussi très trompeuses et qu’elles ne peuvent servir de base à quoi que ce soit, et encore moins à la santé et au bien-être de populations entières.

Un an plus tard, le Dr Wu Zunyou, du CDC chinois, dans une interview avec Janis Mackey-Frayer, déclarait que l’isolement n’avait jamais eu lieu : “Ils n’ont pas isolé le virus”, a-t-il déclaré. “C’est la question [pourquoi aucune donnée n’a été partagée]. Je ne soupçonne pas que cela provienne de ce à quoi nous pensions au départ.”[33]

Cette fraude fondatrice a été récompensée par des subventions en 2020 d’un montant total de 900 000 dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates accordées aux deux institutions auxquelles 14 des 19 coauteurs de la fraude étaient affiliés : L’Université Fudan a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-006277 ” pour soutenir l’étude épidémiologique et identifier les risques élevés d’infection par le COVID-19, ce qui contribuera à la stratégie d’intervention de santé publique nationale et internationale et au développement de produits “, pour un montant total de 300 000 dollars ; et le China CDC a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-005832 ” pour soutenir la réponse d’urgence et l’évaluation, et préparer la Chine à la pandémie potentielle, ce qui contribuera non seulement à contrôler et à contenir la maladie, mais aussi à apporter l’expérience de la Chine à la santé mondiale “, pour un montant total de 600 000 dollars.[34]

Peng Zhou et al.

Des méthodes pseudo-scientifiques similaires et la même fausse revendication d’isolement se retrouvent dans l’article de Peng Zhou et al. reçu par Nature 13 jours après celui de Fan Wu et al. mais publié en ligne dans le même volume, 579, le même jour, le 3 février 2020.[35] Ces auteurs revendiquent également l’isolement réussi de ce qu’ils appellent “2019-nCoV BetaCoV/Wuhan/WIVO4/2019” (EPI_ISL_402124) mais sur la base des CPE (effets cytopathiques) qu’ils ont observés dans trois lignées cellulaires.[36] Cependant, il s’agit de substituts illégitimes de l’infection postulée d’un animal ou d’un hôte sain (non malade). Les trois lignées cellulaires utilisées étaient les suivantes : Les cellules Vero E6 (aneuploïdes) dérivées du rein d’un singe vert africain ; Huh7, une lignée cellulaire d’hépatocytes humains prélevée sur une tumeur du foie en 1982 et cultivée par la suite ; et les cellules HeLa humaines dérivées d’une femme humaine en 1951 souffrant d’un carcinome cervical et cultivées par la suite.[37] Aucune de ces lignées cellulaires ne répond au critère postulé d’un hôte sain avec lequel on peut tester la pathogénicité, mais elles sont privilégiées car elles produisent les effets recherchés, c’est-à-dire un effet cytopathique et l’apparition de vésicules extracellulaires. Aux lignées cellulaires ont été ajoutés, entre autres, des sels inorganiques, du sérum bovin fœtal pour nourrir les cellules, et un ensemble d’éléments cytotoxiques tels que l’amphotéricine B – un antifongique, la trypsine – qui hydrolyse les protéines, la pénicilline – un antibiotique, la streptomycine – un autre antibiotique, le glutaraldéhyde – un désinfectant et un fixateur, le tétroxyde d’osmium – un agent oxydant à toxicité aiguë, et la résine époxy – pour créer un substrat solide pour le découpage en tranches ultrafines.[38] Bizarrement, en se basant sur le fait qu’un ARN de provenance inconnue faisait partie de la culture dans laquelle de nombreuses cellules sont mortes à la suite d’une famine induite et d’un stress avec des ingrédients cytotoxiques, les auteurs ont affirmé qu’ils avaient réussi à isoler leur virus, 2019-nCoV BetaCov, et non que le cocktail d’ingrédients cytotoxiques avait décimé leurs lignées cellulaires anormales.

En bref, Peng Zhou et al. n’ont rempli aucun des postulats permettant d’identifier le virus ou de confirmer qu’il est à l’origine d’une quelconque maladie. Le prétendu virus n’avait même pas été physiquement isolé et purifié pour une caractérisation biochimique et restait donc entièrement théorique.

Cela n’a apparemment pas inquiété la Fondation Bill et Melinda Gates, la fondation qui fournit à l’Académie chinoise des sciences, à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19, sous le numéro INV-006377, d’un montant total de 359 820 USD, dans le but suivant : “Soutenir le développement d’une plateforme d’essais pour la sélection de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation de produits pour le contrôle de la pandémie de COVID-19”.[39]

Na Zhu et al.

Publiés dans The New England Journal of Medicine le 20 février 2020, Na Zhu et ses collaborateurs décrivent leur étude des échantillons des voies respiratoires inférieures, y compris le liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA), prélevés chez quatre patients atteints de pneumonie de cause inconnue, qui s’étaient tous rendus au Huanan Seafood Market de Wuhan peu avant leur tableau clinique.[40]

Bien qu’ils affirment avoir isolé le virus, il est clair que les auteurs n’entendent pas le terme “isolement” dans le sens du dictionnaire et du principe, mais dans le sens antonymique de la virologie et dans celui de la substitution de cellules hôtes malades à des cellules non malades pour établir la causalité entre un prétendu virus et la maladie du patient.[41] Dans ce cas, le surnageant centrifugé à partir du LBA du patient “a été inoculé sur des cellules épithéliales humaines… réséquées à partir de patients subissant une chirurgie pour un cancer du poumon”, bien que prétendument exemptes d’agents pathogènes.[42] En tout état de cause, des cellules cancéreuses seraient présentes dans ces cellules et, comme elles ont l’habitude de le faire, ces cellules produiraient une abondance d’exosomes, qui seraient visibles par le biais de la microscopie électronique à transmission.[43] Contrairement à Fan Wu et al et Peng Zhou et al, Na Zhu et al ont bien produit des images de ce qu’ils ont décrit comme des “particules de 2019-nCoV” mais sans aucune vérification de leur composition biochimique à partir d’un spécimen purifié.[44] Il est tout simplement impossible d’établir, à partir des images proposées, que les particules sont des virus (c’est-à-dire infectieux et pathogènes) ou qu’elles contiennent le prétendu génome du SARS-CoV-2.

Pourtant, malgré cette double tromperie qui hante la virologie, les virologues s’accrochent à leurs convictions et à leur métier. Car comme le disent Na Zhu et al : “Bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan.”[45] La base de cette affirmation semble être que les auteurs ont placé des pointes en forme de flèche sur des vésicules extracellulaires de composition inconnue et les ont baptisées “2019-nCoV”.

L’implication et la composition inconnue étaient toutefois suffisantes pour la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a accordé à l’Institut national de contrôle et de prévention des maladies virales, auquel 13 des 18 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19 sous le numéro INV-019121 pour un montant de 71 700 dollars US “pour aider le CDC chinois à évaluer la qualité des réactifs de diagnostic sérologique du COVID-19 en Chine et fournir des preuves de l’utilisation scientifique des réactifs dans le diagnostic clinique et l’enquête épidémiologique”.[46]

Leon Caly et al.

Leon Caly et al. ont produit leur propre version sous le titre “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia” (isolement et partage rapide du nouveau coronavirus de 2019 (SRAS-CoV-2) chez le premier patient diagnostiqué avec COVID-19 en Australie) lorsqu’ils ont fait état d’un homme de 58 ans originaire de Wuhan qui s’est “senti mal” à son arrivée à Melbourne le 19 janvier 2020.[47]

Lorsqu’ils ont affirmé que les cellules Vero “présentaient des vésicules liées à la membrane cytoplasmique contenant des particules de coronavirus”, Caly et al. n’ont pas pu trouver de “virions” avec la prétendue protéine spike, ils ont donc ajouté de la trypsine au milieu de culture cellulaire, et avant qu’ils aient pu dire “Jack Robinson”, la trypsine, dont la fonction est de digérer les protéines, avait englouti la couche protéique externe d’un “virion” sphérique de 100 nm pour révéler “la frange caractéristique en forme de couronne des protéines spike”, ce qui, ajoutent-ils sans la moindre ironie, “a immédiatement amélioré la morphologie du virion”.[48] En d’autres termes, lorsque les exosomes ne ressemblaient pas au virus qu’ils souhaitaient, ils leur ont donné un petit coup de pouce trypsinisé. Les prétendus virions n’ayant pas été purifiés, leur composition biochimique n’a pas pu être établie : le “génome” proposé a en fait été constitué après avoir généré “environ 30 000 000 de “reads”” à partir du mélange de cultures de tissus.[49] Comme pour tous les autres articles de cette nature, aucune explication n’a été fournie quant à la manière dont ces particules seraient à l’origine de maladies ou si ces mêmes particules existent dans l’organisme humain. Là encore, on ne peut parler que de vésicules extracellulaires de signification inconnue, produites à partir de cellules rénales anormales de singe dans une éprouvette. Le problème supplémentaire de savoir si les images de micrographie électronique de tissus préparés in vitro ressemblent même à celles de cellules vivantes dépasse le cadre de cet essai.

Il n’est pas nécessaire d’en dire plus sur les folies de cet article et sur les absurdités virologiques qui le sous-tendent, si ce n’est pour ajouter que le ministère néo-zélandais de la santé (MOH) déclare qu’il s’agit d’un exemple “d’isolement et de culture du virus en laboratoire”.[50]

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique

Cette tragédie mondiale a été en grande partie rendue possible par le déclin de la science ” – l’étude systématique de la nature et du comportement de l’univers matériel et physique, basée sur l’observation, l’expérience et la mesure ” – vers le scientisme, “l’application non critique des méthodes scientifiques à des domaines d’étude inappropriés “.[51] Cela est devenu un système de croyance sécularisé dont l’autorité repose sur sa propre performativité et sur la présupposition d’une préexistence phénoménologique dans laquelle les suppositions et les hypothèses sont considérées comme concluantes et les abstractions sont traitées comme des répliques du réel.

Le deuxième pilier de la fraude COVID-19 est celui du séquençage génomique.

Les virologues prétendent avoir établi la structure génétique complète de virus tels que le ” SARS-CoV-2 ” et l’avoir téléchargée dans des banques de données, comme Fan Wu, Peng Zhou, Na Zhu, Leon Caly et leurs équipes l’ont fait au début de 2020, et comme beaucoup l’ont fait depuis. Là encore, ils affirment avoir un “isolat” du virus, mais cette déclaration est faite après avoir “construit” le génome à partir de leur mélange contenant des fragments génétiques de provenance inconnue. Dans le cas de Fan Wu et al, bien qu’il n’y ait pas de chauves-souris en vente dans le marché couvert de fruits de mer où le patient travaillait, et bien que les auteurs n’aient pas été en mesure de confirmer un hôte intermédiaire ou un réservoir pour leur virus, ils ont néanmoins choisi in silico (par ordinateur) un autre coronavirus de chauve-souris comme modèle pour créer WH-Human 1 (SARS.-CoV-2).[52] Tout cela, sans doute, fait partie intégrante du besoin de validation scientifique de la virologie, qui s’exprime dans sa quête depuis 20 ans de l’eldorado des chauves-souris où, selon elle, se trouvent tous les trésors du monde en matière de coronavirus.[53] En attendant, elle continue d’inventer des virus pour nourrir Big Pharma et se maintenir à flot.

Le processus utilisé par la virologie pour prétendre à “l’isolement” peut être résumé comme suit. À partir de la “soupe” biologique prélevée dans les poumons ou les écouvillons nasaux des patients, qui contient toutes sortes de matériel provenant du sujet humain, d’innombrables microbes commensaux et de contaminants potentiels, les plates-formes d’assemblage de novo recherchent de courts fragments génétiques. Après avoir trouvé des millions de fragments uniques dans le mélange, ces logiciels assemblent un “génome” (un long morceau) en fonction des paramètres définis dans le programme. En cours de route, il y a un peu de couper-coller et si des morceaux sont “manquants”, d’autres modèles prêts à l’emploi peuvent être ajoutés pour combler les lacunes. Cependant, les algorithmes, les modèles de probabilité et les sélections arbitraires créés par l’homme ne peuvent pas répondre par “oui” ou par “non” à la question de son existence physique dans la nature, notamment parce que tout “génome” de coronavirus utilisé comme modèle dans sa production sera également propositionnel, la méthodologie n’offrant aucun lien confirmable avec l’univers matériel ou physique, faisant du nouveau membre du genre Coronavirus un simple produit supplémentaire des processus sui-référentiels de la virologie.

Une analogie pour ces processus serait que vous trouviez un million de cartes sur le sol, chacune avec des phrases partielles. Vous commencez à les arranger pour en faire des phrases complètes, puis finalement une histoire. Si certaines parties ne correspondent pas, vous les jetez, et si des parties semblent manquer, vous empruntez un paragraphe d’une autre histoire. Mais comment savoir s’il s’agit d’une histoire existante et non d’une invention de votre part ? Et pourquoi n’y aurait-il pas dix petites histoires, ou pas d’histoire du tout ? En bref, vous ne pouvez pas prétendre connaître l’histoire si vous n’avez pas accès à l’histoire complète avant de commencer. Et c’est là que réside la tromperie de la virologie – les virologues ne travaillent pas avec un génome complet parce qu’ils ne travaillent pas avec un virus complet. Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et nous disent ensuite que cela constitue la preuve d’un virus. Cependant, ceux d’entre nous qui examinent attentivement leurs expériences peuvent voir qu’il y a un problème : il n’y a aucune preuve matérielle d’un quelconque virus.

En effet, ce que l’on ne dit pas au public, c’est qu’aucun virus appelé SARS-CoV-2 n’a jamais été réellement isolé et purifié en tant que structure unique. Ce qui se passe, c’est simplement le séquençage à l’aveugle d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance inconnue. Par conséquent, il n’existe aucune preuve, pas même la plus vague garantie, que le “génome” in silico qui en résulte existe dans la nature ou a quelque chose à voir avec un “virus”. De cette façon, cependant, l’invention du “virus” est présentée comme une découverte, son faux statut étant assuré rétroactivement par l’acte de dénotation par lequel sa dénomination prétend à son existence antérieure et à sa pathogénicité.

Qu’un génome hypothétique fictif inventé par une telle anti-science soit au cœur de cet assaut contre l’humanité est un scandale scientifique et éthique. C’est cette fausse science qui a mis le monde sens dessus dessous. C’est là le caractère insidieux du crime de la virologie, une version généralisée de la fausse revendication de l’isolement qui donne aux politiciens la “permission” de violer ceux qu’ils emploient, et d’étendre leur programme systématique de violation corporelle au secteur privé, les dernières victimes étant les travailleurs du commerce au détail et de l’hôtellerie.[54]

Pour le reste, le crime s’insinue dans notre conscience sous couvert de devoir et de bienfaisance, amenant nombre d’entre nous à accepter dans notre corps le contenu inconnu de flacons que le gouvernement n’a apparemment pas pris la peine de vérifier, produits par un fabricant ayant un palmarès spectaculaire de fraude médicale criminelle, contenu qui, en outre, introduit clandestinement dans notre corps des vecteurs génétiques aux effets mal déterminés, tout cela pour le plus grand bien de la protection de la société contre une maladie mortelle qui n’existe pas.[55]

La façon dont une démocratie contemporaine a pu se laisser prendre à une telle absurdité grotesque mais mortelle dépasse le cadre de cet essai. Il suffit de dire que c’est la raison pour laquelle le gouvernement néo-zélandais n’est pas “votre unique source de vérité”, mais un pourvoyeur criminel de mensonges monumentaux qu’il utilise pour couvrir ses lâches crimes contre l’humanité, ses actes de terreur et de démocide, ainsi que le carnage socio-économique généralisé et la dislocation qu’il continue d’infliger à la population de cette whenua [terre en Maori], reproduisant les circonstances antérieures à l’établissement des pires régimes totalitaires.

Le troisième pilier : La PCR

Le troisième pilier de la fraude COVID-19 concerne la mauvaise application de la PCR (modifiée en RT-PCR, reverse-transcriptase-PCR afin de détecter l’ARN monocaténaire, car la PCR ne peut qu’amplifier l’ADN avec précision). Cette application erronée porte sur l’amplification de séquences d’ARN prélevées sur des sujets humains qui appartiendraient au SARS-CoV-2 et à une maladie appelée COVID-19. Or, la PCR ne peut confirmer ni l’un ni l’autre de ces éléments ; sa capacité se limite uniquement à l’amplification des séquences nucléotidiques sélectionnées, et non à la détermination de leur provenance ou de leur signification. Cette fraude repose donc sur l’attribution d’une signification aux séquences amplifiées, qui est fournie par : (a) la référence au génome imaginaire in silico et non à une entité physique prouvée appelée SARS-CoV-2 ; et (b) une “maladie” qui, par un raisonnement circulaire absurde, a été définie par le résultat de la PCR lui-même. Le SARS-CoV-2 n’a jamais été localisé chez un sujet humain, isolé, purifié, puis photographié et caractérisé biochimiquement comme une structure unique. Il n’a pas été prouvé qu’il existe dans la nature ; en fait, des composants clés ont été brevetés en 2007, ce qui, par définition, signifierait qu’ils sont fabriqués par l’homme.[56] En ce qui concerne les courtes séquences nucléotidiques détectées par les kits PCR utilisés, elles existent mais proviennent d’ailleurs, et non d’un virus étiqueté ” SARS-CoV-2 ” (si la PCR est mal faite ou à des nombres de cycles élevés, comme c’est le cas habituellement, la séquence cible peut même ne pas exister dans l’échantillon et un résultat ” positif ” est simplement un artefact du processus). En outre, la PCR ne peut pas diagnostiquer le statut infectieux d’un humain de manière avérée et aucun lien cohérent n’a jamais été trouvé entre un état pathologique et les résultats de la PCR. En bref, la mauvaise application de la PCR signifie que le COVID-19 est une construction scientifiquement dénuée de sens qui ne représente rien de plus qu’une illusion référentielle.

Dès le départ, le but de cette application erronée était de fournir la base statistique d’une pandémie basée sur une maladie inventée par l’OMS au profit de l’élite et de certains membres de l’industrie pharmaceutique, et non pour l’humanité. Au 3 janvier 2020, avec seulement ” 44 cas-patients atteints de pneumonie d’étiologie inconnue “, il n’y avait aucune base pour amorcer le bouton de démarrage de la pandémie que l’OMS et l’industrie pharmaceutique recherchaient désespérément ; Moderna et BioNTech, le partenaire de Pfizer, avaient par exemple perdu près d’un milliard de dollars à eux deux en 2,5 années financières entre 2016 et 2019.[57]

Dr Kary Mullis, l’inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) : “Cela ne vous dit pas que vous êtes malade.” (Photo : LA Times 13 août 2019)

Cependant, après la publication sur le site Internet de l’OMS, les 13 et 17 janvier 2020, de séquences de tests PCR non évaluées par des pairs, conçues par Christian Drosten et al. pour détecter le prétendu virus, des tests conçus, comme l’ont reconnu les auteurs, ” sans disposer de matériel viral “, le nombre de cas de COVID-19 a commencé à augmenter.[58]

Entre le 22 et le 24 janvier, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence pour suivre la situation internationale, alors que seuls 17 décès et 581 cas avaient été signalés à ce stade.[59] Cette absence de cas posait un problème aux entreprises pharmaceutiques désireuses de mettre sur le marché leurs dispositifs hautement expérimentaux de codage génétique, déguisés en vaccins, sans avoir à passer par les processus d’approbation normaux, qu’elles doutaient de pouvoir satisfaire. [60] Une urgence de santé publique pourrait être le moyen de contourner les conditions d’autorisation rigoureuses des autorités réglementaires.[61] Les “tests” RT-PCR ont atteint leur objectif, produisant suffisamment de cas pour que Tedros déclare “une urgence de santé publique de portée internationale” (PHEIC), et pour alimenter la rhétorique : “L’heure est aux faits, pas à la peur. L’heure est à la science, pas aux rumeurs. L’heure est à la solidarité et non à la stigmatisation.”[62] En effet, en sept jours seulement, à partir du 24 janvier, le nombre de cas de COVID-19 a augmenté de 1 245,61 % dans le monde, passant de 581 à 7 818, dont 98 seulement en dehors de la Chine.[63] Le lendemain, le nombre total de cas était passé à 9 826.[64] La fraude internationale était là, au grand jour, avec la croissance astronomique d’un virus fantôme qui n’avait pas été isolé et dont on n’avait pas encore démontré qu’il était à l’origine d’une quelconque maladie. Tedros recommandait d’accélérer le “développement de vaccins, de thérapies et de diagnostics”, ce qui était encore plus important que “l’urgence de santé publique de portée internationale”.[65]

L’odeur de la fraude était partout. Drosten a omis de déclarer qu’il était membre du comité éditorial d’Eurosurveillance lorsque son article et celui de ses co-auteurs ont été publiés dans Eurosurveillance le 23 janvier, deux jours après avoir été soumis.[66] Il est également apparu que Drosten serait “probablement poursuivi en justice pour détention d’un titre de doctorat frauduleux”.[67] Un autre co-auteur, Chantal Reusken, a également omis de déclarer qu’elle faisait partie du comité éditorial d’Eurosurveillance, et un autre co-auteur de Drosten, Olfert Landt, PDG de TIB Molbiol, a omis de déclarer son conflit d’intérêts jusqu’au 29 juillet 2020, alors que sa société fabriquait un kit PCR basé sur les séquences de test publiées.[68] Pour Landt, la tromperie s’est avérée très payante, comme son entreprise l’indiquera plus tard : “TIB Molbiol … fournit des kits de test PCR COVID-19 depuis début janvier 2020. Au cours des 12 derniers mois, nous avons livré plus de 60 millions de tests.”[69]

Soudain, le monde a été plongé non pas dans une pandémie virale mais dans une pandémie de PCR générant la peur dans le monde entier. Mais la peur paie et paie bien. L’institution à laquelle les créateurs les plus éminents de cet article étaient associés, l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin, a reçu une subvention 2020 du BMGF sous le numéro INV-005971 “pour développer des outils de diagnostic et de virologie permettant une réponse rapide au nouveau coronavirus 2019” pour un montant total de 249 550 dollars.[70]

La pandémie de tests PCR a maintenant soutenu la pandémie fantôme de COVID-19 pendant presque deux ans. On prétend que la PCR peut détecter un virus et une infection, mais ce n’est qu’une tromperie de plus. La méthode PCR amplifie simplement des fragments génétiques, c’est tout. Comme nous l’avons établi, personne n’a de spécimen physiquement isolé ni même prouvé l’existence du virus. C’est pourquoi les séquences des tests PCR de Drosten ont été conçues sans virus, tout comme les séquences des tests des centres américains de contrôle et de protection des maladies (CDC).[71] En d’autres termes, la PCR a été calibrée pour détecter les séquences génétiques d’un “virus” dont l’existence dans la nature n’a pas été démontrée. Au lieu de cela, elle détecte des séquences de provenance inconnue que l’on trouve chez certains humains et, semble-t-il, chez certaines chèvres, une caille et un jaquier.[72] Comme l’a souligné Kary Mullis, l’inventeur de la PCR, lauréat du prix Nobel, la PCR “ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé va vous faire du mal ou quoi que ce soit de ce genre”.[73] En effet, bien qu’il se présente comme un “flux de travail diagnostique pour le 2019-nCoV”, l’article de Drosten décrit simplement la sensibilité analytique et la spécificité de leur protocole PCR pour amplifier les séquences nucléotidiques sélectionnées, il n’établit aucune spécificité diagnostique pour une quelconque condition clinique.[74] Ainsi, bien que les autorités sanitaires affirment que la PCR est adaptée au diagnostic du COVID-19, un tribunal autrichien a confirmé le contraire en mars 2021, son jugement faisant écho à celui de Mullis : “‘un test PCR n’est pas adapté au diagnostic et ne dit donc rien en soi sur la maladie ou l’infection d’une personne’”.[75] Le partenaire complémentaire dans le crime de la PCR est la définition de l’OMS d’un cas de “COVID-19”.[76] Essentiellement, un cas confirmé peut être et sera très probablement “une personne ayant un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) positif”, c’est-à-dire un test PCR, que la personne soit malade ou non.[77] Cela a créé une situation absurde où un cas de “COVID-19” n’est rien d’autre que le résultat du test PCR d’un test qui n’en est pas un, car le test PCR n’a aucune capacité de diagnostic à cet égard, puisqu’il s’agit simplement d’un outil d’amplification. Les tests PCR “positifs” sont ensuite affichés par des organisations telles que l’Université et la Médecine John Hopkins qui présentent des statistiques dénuées de sens comme si elles étaient légitimes. En d’autres termes, aucun des 243 554 336 cas de COVID-19 affichés sur le tableau de bord du coronavirus de Johns Hopkins au 25 octobre 2021 n’existe en dehors du discours vicieusement circulaire qui repose uniquement sur la double prémisse non prouvée selon laquelle le SARS-CoV-2 a été isolé et est à l’origine du COVID-19.[78]

En conséquence, nous vivons aujourd’hui une tyrannie médicale, déconnectée du monde naturel et tellement absurde que la détection de quelques fragments génétiques chez une personne peut servir d’excuse pour enfermer une nation entière.

Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Les nombres astronomiques de cas produits par la méthode PCR sont devenus la base du nombre de reproduction (R0) qui a initialisé tous les modèles épidémiologiques du COVID-19. Pourtant, même en s’appuyant sur ces chiffres sans valeur, la modélisation des épidémies, connue depuis longtemps pour sa faillibilité prédictive, a quand même réussi à produire des prédictions spectaculairement grotesques.

Le plus grand pourvoyeur de cette absurdité spéculative est Neil Ferguson de l’Imperial College London (ICL), auteur principal du rapport 9 de l’ICL, publié sans examen par les pairs le 16 mars 2021, qui prédit que 550 000 personnes au Royaume-Uni et 2,2 millions de personnes aux États-Unis mourraient dans un délai d’environ trois mois sans intervention non pharmacologique (masque, confinement…)[79] Ses prédictions catastrophiques ont amené les gouvernements à changer de cheval à mi-chemin et ont provoqué, comme on pouvait s’y attendre, une panique généralisée parmi un public non averti, créant un environnement de peur et une volonté de se conformer aux politiques de “santé” publique dans de nombreux pays. Lorsqu’il a finalement publié les programmes du rapport 9 pour les soumettre à l’examen du public, Ferguson a constaté qu’ils étaient ridiculisés par les experts commerciaux et universitaires. Un expert commercial a estimé qu’il s’agissait d’un “désordre bogué qui ressemble plus à un bol de pâtes aux cheveux d’ange qu’à une pièce de programmation finement réglée”, tandis que des scientifiques de l’université d’Édimbourg ont signalé qu’il échouait “au test scientifique de base consistant à produire les mêmes résultats à partir du même ensemble initial de paramètres”.[80] Dix jours plus tard, Ferguson, qui estime que les modèles sont des “versions simplifiées de la réalité”, prédit, dans un autre article cosigné par l’ICL, que 40 millions de personnes pourraient mourir dans le monde à cause du COVID-19.[81]

La modélisation du chaos en Nouvelle-Zélande a été largement le domaine de trois groupes. Le premier à publier son rapport, daté du 27 février 2020, a été le groupe de modélisation commandé par le gouvernement, l’University of Otago Wellington COVID-19 Response Group (UOWCRG). Dans ce rapport, les modélisateurs “estiment que le nombre de décès probables se situe entre 12 600 et 33 600”, ce qui correspond à 0,67 % de la population néo-zélandaise et à plus de 52 millions de décès dans le monde.[82] N’ayant effectué aucun contrôle préalable sur les circonstances de l’origine du SARS-CoV-2, mais ayant recueilli diverses informations à son sujet de toutes parts, y compris ses données de reproduction (R0) provenant de quatre sources différentes et le nombre de cas d’infection en Australie, l’UOWCRG a prédit que le système hospitalier du pays serait submergé par “336 000 personnes” nécessitant une “hospitalisation”, et entre 67 000 et 79 000 patients nécessitant des unités de soins intensifs dans le pire des cas.[83]

Cependant, la fantasmagorie de mort massive sur laquelle l’état d’exception a été décidé ne repose pas sur les modélisateurs mandatés par le gouvernement, mais sur deux rapports de modélisation non mandatés et non évalués par des pairs, dont les huit auteurs, quatre pour chaque rapport, n’avaient aucune qualification en épidémiologie ni aucune expérience préalable de la modélisation d’une épidémie humaine. Leurs prédictions astronomiques n’étaient pas le fruit d’une rigueur scientifique mais d’une spéculation algorithmique fondée sur des chiffres de cas provenant du ministère de la santé pour l’un des rapports, et pour l’autre, sur des “comparaisons avec des données internationales sur les parcours des cas et des études de modélisation pour les épidémies au Royaume-Uni et aux États-Unis (Ferguson et al 2020)” afin de calibrer leur “nombre de reproduction avec contrôle (Rc)”.[84] Le premier de ces rapports provient de Wigram Capital Advisors, une petite société de conseil en macroéconomie spécialisée dans la Chine et l’Asie.[85] L’autre, Te Pūnaha Matatini (TPM), qui se décrit comme un “Centre d’excellence en recherche sur les systèmes complexes”, est rattaché à l’université d’Auckland.[86] Les modèles de Wigram ont été “exécutés autour du 22 mars” et prévoyaient 4 000 cas de COVID-19 pour le 3 avril et 10 000 pour le 9 avril.[87] C’est à la modélisation de Wigram que le gouvernement s’est référé le 23 mars quand il a affirmé : “Si la transmission dans la communauté décolle, le nombre de cas doublera tous les cinq jours.”[88] Si l’Australie avait connu le même nombre de cas le même jour, doublant tous les cinq jours, sa population de 25,5 millions d’habitants aurait été infectée à la mi-juin et, sur la même base, la population mondiale de 7,8 milliards d’habitants aurait été infectée à la fin de juillet 2020.[89]

L’auteur principal de TPM est intervenu de manière spectaculaire le dimanche 22 mars, en s’adressant aux médias avec l’affirmation alarmante que sa modélisation provisoire, réalisée sur la table de sa cuisine, suggérait que 60 000 personnes allaient mourir à moins qu’une “stratégie de suppression agressive” ne soit mise en œuvre “dès que possible”, ce qui, par miracle, permettrait de sauver 50 000 de ces vies.[90] Les modélisateurs n’avaient aucun précédent auquel se référer concernant les effets d’une telle stratégie, mais surtout, ils n’avaient aucune idée de l’existence même du virus. Comme l’a admis l’auteur principal, ces résultats ont été produits avec “beaucoup d’approximation” en se basant sur des données provenant de l’étranger, tandis que la modélisation elle-même traitait “la Nouvelle-Zélande comme une grande ville où tout le monde a la possibilité d’infecter quelqu’un d’autre”, une erreur fondamentale qui a contribué aux prévisions de mortalité grotesques du rapport.[91] Le lendemain matin, les 60 000 de TPM étaient passés à 1,67 % de la population, soit 83 500 personnes qui pourraient mourir sans aucune mesure d’intervention de “santé” publique, une histoire fantaisiste sans fondement dans la réalité mais qui a fait trembler les parlementaires et à laquelle les apprentis sorciers croient encore un an plus tard.[92] Extrapolé à la population mondiale, “le ministère de I’autopromotion de TPM” venait de prédire que 130 260 000 personnes allaient mourir dans le monde. Le petit groupe TPM a été richement récompensé par le gouvernement avec un prix de 6 millions de dollars pour l’avoir aidé à promouvoir un récit absurde et à susciter une peur sans fondement dans la population de la Nouvelle-Zélande.[93] Si TPM a remporté le prix de la prédiction la plus grotesque, l’ICL de Neil Ferguson a été le grand gagnant. Gates, qui apprécie une histoire effrayante qui confirme ses “prédictions”, qui ferme une grande partie du monde et qui décide que seuls les “vaccins” peuvent le rouvrir, a puisé dans ses réserves pour son frère d’armes de l’ICL, sortant de sa poche arrière un ensemble de subventions pour 2020 d’un montant total de 91 494 791 dollars.[94] Parmi ces subventions, citons INV-016635, d’un montant total de 1 080 771 USD, pour “évaluer l’efficacité potentielle d’un vaccin à base d’acide ribonucléique (ARN) contre le COVID-19”, INV-023013, d’un montant total de 140 041 USD, pour “modéliser l’impact potentiel des diagnostics rapides pour le COVID-19”, et INV-023210, d’un montant total de 1 487 605 USD, pour comprendre comment les impacts sociaux et autres impacts indirects du COVID-19 (distanciation sociale, quarantaine, etc.) et les perceptions du risque influencent les comportements sexuels à risque qui pourraient conduire au VIH.[95] Si l’année 2020 a été une année record pour l’ICL, M. Gates s’occupait depuis longtemps de l’ICL, la Fondation Bill et Melinda Gates lui ayant accordé des subventions depuis 2002 pour un montant total de 302 164 640 USD, soit environ 16 000 000 USD par an au cours des 19 dernières années.[96]

Alors que la confusion et le débat font rage sur ces modèles, sur les raisons pour lesquelles le “virus” se comporte si différemment selon les endroits, sur l’existence d’une surmortalité et sur l’efficacité des “vaccins”, tout cela n’est qu’une distraction. Si l’on examine l’article d’origine de Fan Wu et al. et tous ceux qui ont suivi, la vérité est que l’existence du “SARS-CoV-2” n’a pas été démontrée. Il n’y a pas de “COVID-19” en dehors d’un récit malveillant imposé à l’humanité.

Troisième partie

En résumé

La fraude du COVID-19 est l’œuvre d’élites internationales, de l’industrie pharmaceutique et de politiciens complices travaillant à un programme mondialiste, dont l’objectif semble être l’extinction des droits de l’homme et des libertés et le démantèlement de la démocratie dans le but de contrôler les populations et d’extorquer de vastes sommes d’argent aux pays sur la base qu’une maladie, le COVID-19, inventée par l’OMS, représente une menace sérieuse pour leurs populations.

Le fondement de cet agenda est la fraude selon laquelle un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2 a été trouvé et isolé chez des sujets humains et qu’il a été démontré qu’il était la cause d’une maladie appelée COVID-19. Rien de tout cela ne s’est produit.

Le remède proposé pour ce supposé virus tueur est une protéine de pointe (spike) produite par une séquence génétique qui ne se trouve pas dans la nature mais dans un brevet américain de 2007. Les “vaccins” basés sur cette séquence ont tué plusieurs milliers de personnes dans le monde et en ont mutilé et blessé des millions d’autres.

La base statistique de cette pandémie fantôme a été déterminée par l’application erronée d’une méthode PCR qui n’a aucune spécificité diagnostique (clinique) établie. Elle n’a pas permis de diagnostiquer un seul cas d’une nouvelle maladie et n’a produit que des nombres de cas “COVID-19” sans signification.

En conséquence, le gouvernement néo-zélandais est complice de la fraude mondiale du COVID-19 et est donc accusé de crime inconsidéré, notamment de violation des droits de l’homme, de crimes contre l’humanité, de démocide, d’actes de terreur et de meurtre de masse.

Conclusion

Depuis l’entrée en vigueur, le 25 mars 2020, de l’Avis de préparation aux épidémies (COVID-19) 2020, nous vivons dans l’état d’urgence, que l’on peut décrire comme un espace liminal entre la loi et la vie, où la loi ne s’applique plus et où la force pure s’approprie l’anarchie pour se faire la loi.[97] Positionné dans une sorte de “no man’s land entre le droit public et le fait politique”, l’état d’urgence “n’est pas une dictature (qu’elle soit constitutionnelle ou inconstitutionnelle, commissariale ou souveraine) mais un espace dépourvu de droit, une zone d’anomie dans laquelle toutes les déterminations juridiques – et surtout la distinction même entre public et privé – sont désactivées.”[98] Nos maisons sont devenues des prisons, nos corps ne sont plus inviolables, la marque de l’aiguille détermine qui est inclus et qui est exclu, tout cela incarne l’état d’urgence et peut être considéré comme un signe avant-coureur de ce qui nous attend.

Pour conclure, nous espérons que cet essai pourra à la fois vous encourager et vous aider à vous préparer à ce qui nous attend. Car dans le climat actuel, dans ce contexte politique, les circonstances ne feront que continuer à se détériorer si nous ne nous soulevons pas en masse pour réclamer ce que nous avons appris qu’il est si facile de perdre mais volé par ce gouvernement en moins de deux ans, le tout sur la base d’une fraude imbécile qui a néanmoins terrorisé et divisé le peuple de Nouvelle-Zélande au point de le rendre dysfonctionnel, divisant les familles et les amis, les amants, les âmes sœurs, les collègues et les meilleurs amis.

Cet essai vise également à encourager la poursuite des recherches sur la légitimité des méthodologies employées par les virologues établis, ainsi que sur la mauvaise application de la PCR dans les diagnostics cliniques. Si ces méthodes anti-scientifiques continuent à être largement acceptées, nous risquons de voir encore plus de “pandémies” sans fondement, nécessitant encore plus de “vaccins”, se poursuivre indéfiniment dans le cadre de la “nouvelle normalité”. En fait, un fabricant a déjà fait part de son intention de “développer un vaccin combiné à ARNm “afin que les gens puissent recevoir une injection chaque automne pour une protection très efficace contre les virus respiratoires les plus problématiques”.[99]

Il n’y a rien de normal à ce que l’industrie pharmaceutique et les organisations mondialistes créent une demande de thérapies géniques inutiles par la peur et la création de pseudo-pandémies. Il n’y a rien de normal en ce qui concerne la censure sans précédent du débat scientifique et l’empêchement des praticiens médicaux de fournir un consentement éclairé à leurs communautés. Seuls les plus naïfs pourraient croire que, dans cet environnement artificiel, une cabale d’élites et une industrie ayant un bilan effroyable de préjudices et de décès font du monde un endroit plus sain pour ses habitants.

Les tyrannies naissent et disparaissent. Celle-ci, dans son ascension, est déjà en train de s’étouffer de son propre orgueil. Les façades scientifiques et idéologiques sur lesquelles cette escroquerie s’appuie entraîneront sa propre chute et, avec elle, une nouvelle ère dont nous hériterons tous. Les tyrans cachés, lorsqu’ils finissent par émerger, sont toujours nus, des vaisseaux vides remplis des idées des autres, faisant la guerre aux innocents pour se cacher de ce qui leur manque. Ils n’ont pas encore appris que le contrôle est une voie sans issue ou que ce qui fait s’élever l’esprit humain n’est rien d’autre que l’acceptation.

POST-SCRIPTUM

Dans le cadre du processus de reprise pacifique de ce qui appartient au peuple néo-zélandais, Heterodoxies Society Incorporated a déposé une procédure le 6 août 2021 devant la Haute Cour d’Auckland, CIV-2021-4041599. Malheureusement, depuis lors, sur la base d’un artifice juridique qui n’a aucune base statutaire apparente ou valeur juridique, l’affaire a été suspendue, c’est-à-dire confinée dans un équivalent de quarantaine juridique. Voici une partie de ce que la Cour a récemment refusé d’entendre.

Crimes contre l’humanité

“Il est question de bio-armement intentionnel de protéines de pointe à injecter aux gens pour les rendre dépendants d’un vaccin contre les ”pancoronavirus”. Cela n’a rien à voir avec un agent pathogène qui a été libéré… Il s’agit d’injecter aux gens une protéine S1 connue pour être nocive… La tragédie, c’est que nous sommes dans un monde où des centaines de millions de personnes se voient injecter une séquence informatique stimulant un agent pathogène… qui est vendue sous ce que l’office des brevets, la profession médicale et la FDA et ses propres normes cliniques ne considèrent pas comme un vaccin, mais en utilisant ce terme, nous soumettons maintenant des centaines de millions de personnes à ce que l’on savait être, en 2005, une arme biologique. ” Dr David Martin, 12 juillet 2021[100]

Le 20 septembre 2021, une conférence de presse s’est tenue à l’Institut de pathologie de Reutlingen, en Allemagne, afin de présenter, dans la première partie intitulée “Cause du décès après une vaccination Covid-19”, les conclusions des pathologistes Arne Burkhardt et Walter Lang qui avaient enquêté sur dix décès de personnes de plus de 50 ans décédées dans le contexte chronologique de l’administration de soi-disant vaccins COVID-19, dont le Comirnaty de Pfizer. Dans la deuxième partie, “Composants non déclarés des vaccins Covid-19”, les éléments non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits ont été présentés et discutés par divers participants, dont des médecins d’Allemagne et d’ailleurs.[101]

Le professeur Dr Burkhardt a enseigné pendant de nombreuses années aux universités de Hambourg, Berne et Tübingen, et a également été professeur invité/visiteur dans un certain nombre d’universités du monde entier. Il a dirigé l’Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans, après quoi il a exercé en tant que pathologiste. Il a publié plus de 150 articles dans des revues spécialisées. Le professeur Dr Walter Lang a travaillé comme pathologiste à la faculté de médecine de Hanovre de 1968 à 1985, puis a fondé un institut privé de pathologie à Hanovre où il a travaillé pendant 25 ans. De 1985 à 2020, il a effectué des examens de consultation pour la pathologie de la clinique pulmonaire de Herner. Ils étaient accompagnés dans cette présentation par le professeur Dr Werner Bergholz, ancien professeur d’électrotechnique spécialisé dans la gestion de la qualité et des risques à l’université Jacobs de Brême, qui avait travaillé pendant 17 ans dans la gestion de la production de puces chez Siemens avant cette nomination.[102]

Sur les dix personnes décédées qui ont subi un examen post mortem, Burkhardt et Lang, se fondant sur le matériel tissulaire obtenu auprès des médecins légistes qui avaient d’abord examiné les cas, ont estimé que cinq des décès étaient très probablement liés aux “vaccins” COVID-19, deux probablement, un n’était pas clair et ils ont considéré que deux n’avaient aucun lien de causalité.[103] “Dans trois cas, ils ont trouvé des maladies auto-immunes rares ; l’une d’entre elles était si rare qu’ils ne l’ont découverte qu’en regardant de près l’image numérisée. Il s’agissait de la maladie de Hashimoto, une hypothyroïdie déclenchée par une réaction auto-immune ; de la vascularite leucoclastique, une réaction inflammatoire dans les capillaires qui entraîne des saignements de la peau ; et du syndrome de Sjögren, une inflammation des glandes salivaires et lacrymales.”[104] On a observé un large éventail de maladies, certaines communes, d’autres rares. Les trouver dans un collectif de dix patients était “très extrême”, a déclaré Burkhardt.[105] Comme il le dit : “Nous sommes en présence d’un système immunitaire qui dépasse complètement les limites, qui s’attaque de lui-même à lui-même, et l’inflammation a lieu dans chaque organe, dans chaque vaisseau… et cela conduit à une forte réaction auto-immune et à des maladies. Ce sont des maladies, je dirais, qui sont de 1 pour 100 000 normalement.”[106]

Selon les pathologistes, les lymphocytes avaient afflué et causé une destruction cellulaire massive. Ils ont montré des images d’accumulations de lymphocytes dans une grande variété de tissus, du muscle cardiaque au rein, au foie, à la rate et à l’utérus”, et aussi “des images dans lesquelles le tissu a été massivement attaqué en conséquence, et toute une série de follicules lymphocytaires … au mauvais endroit, par exemple dans le tissu pulmonaire”.[107] Ils “ont également montré des détachements de cellules endothéliales – qui sont les cellules lisses qui forment la paroi des vaisseaux sanguins – des amas de globules rouges qui finissent par provoquer une thrombose, et des cellules géantes qui [s’étaient] formées autour des corps étrangers piégés”.[108] Burkhardt l’a décrit comme suit dans ce résumé paraphrasé de ses conclusions générales : “J’ai beaucoup réfléchi à ce que j’ai vu et je n’ai pu voir qu’une seule chose, à savoir des lymphocytes déchaînés (devenus fous furieux) dans tous les organes et tous les tissus. Nous assistons à une réaction immunitaire extrême, une attaque de soi-même contre soi-même (déclenchée par le vaccin). J’ai été témoin de l’hyperplasie (croissance excessive) et de l’activation des organes lymphatiques, des ganglions lymphatiques et de la rate, ainsi que de l’infiltration des lymphocytes dans les organes non lymphatiques. Le résultat (de cette tempête lymphocytaire) est la perte de la capacité et de la fonction immunitaires externes, combinée à une inflammation et une destruction des tissus causées par les lymphocytes, avec le risque d’une réaction auto-immune prolongée. Personne ne peut dire si et combien de temps il faudra à ces tissus pour se régénérer et retrouver leur état normal et sain.”[109]

Vous trouverez ci-dessous des diapositives représentatives préparées et présentées par le Dr Burkhardt lors de la conférence de presse :

Figure 2. Légende pour le cas 7 : C’est une image à plus haute résolution d’un follicule lymphatique dans le tissu alvéolaire pulmonaire. On voit également ces follicules lymphatiques autour des vaisseaux sanguins pulmonaires. Il s’agit d’une preuve évidente de dommages alvéolaires (dans les poumons). Ce qui se passe ici, c’est que l’appareil immunitaire d’une personne attaque ses propres tissus. Ainsi, les vaccins déclenchent des maladies auto-immunes qui peuvent ne pas se manifester avant plusieurs années. L’infiltration massive de lymphocytes dans les tissus cérébraux, cardiaques, pulmonaires et rénaux est un signal d’alarme pour les maladies auto-immunes et le cancer. Attendez-vous à voir les taux de cancer augmenter considérablement dans les années à venir.”
Figure 3. Légende pour le cas 2 : Cette diapositive montre des vaisseaux sanguins du tissu pulmonaire avec un amas d’érythrocytes (globules rouges).”
Figure 4. Légende : Le syncytium a englouti et tente de digérer une de ces structures non biologiques (identifiées par la flèche jaune) dans le tissu pulmonaire. Le syncytium va échouer dans sa tentative de digestion.”

Dans la deuxième partie, un large éventail d’images de corps étrangers trouvés dans les flacons des fabricants a été photographié et leurs mouvements enregistrés par vidéo. Selon les présentateurs, aucun de ces objets n’a jamais été trouvé dans les vaccins traditionnels et ne devrait se trouver dans le corps humain. Leurs formes vont de l’apparence d’une carte SIM à des filaments en forme de perles et à de grandes formes rocheuses. Ils semblent être des structures métalliques. Aucun des experts ne savait à quoi elles servaient. “Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience”, et pourtant “ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes”.[110]

Comme l’a dit Holger Fischer, avocat allemand et membre du panel, “nous n’avons pas à avoir la charge de la preuve. Si vous aviez une limonade présentant ce type de contamination, elle serait immédiatement retirée du marché.”[111] Maria Hubmer-Mogg, un médecin autrichien, a abondé dans le même sens. “Ces vaccins doivent être retirés immédiatement et leur utilisation d’urgence révoquée”.[112] Faisant référence au récit de la peur, elle a ajouté : “les gens veulent maintenant vacciner leurs enfants, même leurs tout-petits. C’est quelque chose d’inimaginable, c’est de la pure folie, et cette folie doit être arrêtée immédiatement.”[113]

Après plus de deux heures et demie, Fischer a clôturé la conférence de presse par la déclaration suivante : “Une chose est claire, quiconque persiste à poursuivre en connaissance de cause à partir d’aujourd’hui est légalement punissable ; ils ne peuvent pas dire qu’ils ne l’ont pas fait délibérément ou du moins en partie délibérément. Il s’agit d’un crime contre l’humanité que l’on appelle ” élimination d’êtres humains “, et les partis éliminent leur électorat ici … Beaucoup de gens ne savent pas à quel point ils sont malades. Beaucoup vont peut-être découvrir ce soir [qu’ils ont besoin] de se faire aider … Nous voulons sauver ce qui peut l’être chez ceux qui sont déjà vaccinés.”[114]

Vous trouverez ci-dessous une sélection d’images, présentées lors de la conférence, de nombreux objets non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits. Ces images devraient suffire à elles seules à mettre un terme immédiat au déploiement criminel du Comirnaty en Nouvelle-Zélande.

Figure 5. Légende : Le reste des diapositives montre des corps étrangers non biologiques trouvés dans les vaccins. Ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes. (Plusieurs des diapositives ont été fournies par d’autres médecins en Allemagne ou en Autriche). Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience.”
Figure 6. Légende : OVNIs trouvés dans les vaccins.”
Figure 7. Légende : (On dirait un téléphone portable pour moi !)”
Figure 8. Légende : Salamandre ?”
Figure 9. Légende : Un OVNI dans le sérum du vaccin.” Le Dr Burkhardt affirme en avoir vu des centaines dans des cellules, mais cette image est celle “d’une gouttelette de liquide vaccinal fortement agrandie par microscopie à champ sombre.”
Figure 10. Légende : Un autre filament perlé.”
Figure 11. Légende : Burkhardt remarque les rangées d’objets bleus sur la plus grande tache. Il se demande si ce ne sont pas des nanopuces en quelque sorte.” Ceci montre le corps étranger non biologique dans le liquide vaccinal.
Figure 12. Légende : “Burkhardt se demande si ceci est aussi une puce de graphène.” Est-ce qu’elle “transporte on ne sait quelle information vers l’appareil de fabrication des protéines dans les cellules.”

L’insulte finale

Alors que l’accord conclu par Pfizer avec le gouvernement néo-zélandais reste caché aux yeux du public, et que le contenu des flacons de Pfizer reste occulté par un gouvernement aveugle à sa propre perfidie, une fuite du contrat de fabrication et de fourniture de Pfizer avec l’Albanie ouvre une fenêtre sur le monde infâme dans lequel ce géant pharmaceutique exerce son pouvoir sur les Etats-nations et leur extorque de l’argent sur la base de la fraude COVID-19. Ce contrat, signé par trois fonctionnaires albanais, fait de leur gouvernement une partie au fait que “les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus.”[115] Pourtant, les énormes profits de Pfizer, qui s’élèvent à 12 dollars par flacon selon ce contrat, sont garantis même si une multitude de décès et de blessures surviennent, pour lesquels le gouvernement acheteur doit “indemniser, défendre et dégager de toute responsabilité Pfizer … contre tout procès, toute réclamation, toute action, toute demande, toute perte, tout dommage, toute responsabilité, tout règlement, toute pénalité, toute amende, tout coût et toute dépense … découlant du vaccin, s’y rapportant ou en résultant”.[116] S’agit-il du même type d’arrangement que celui auquel le ministre néo-zélandais des Finances a consenti lorsqu’il a accordé à Pfizer-BioNTech l’immunité de poursuites le 5 octobre 2020, un arrangement qui doit être notifié à la Chambre parce que l’indemnité dépasse 10 millions de dollars ?[117] Si c’est le cas, alors le gouvernement néo-zélandais est également lié par un contrat méprisable, qui sera caché au public pendant dix ans, pour l’achat d’un produit dont il sait et accepte qu’il est “sujet à des risques et des incertitudes significatifs… [et] peut ne pas être efficace”, mais qu’il n’a cessé de promouvoir comme “sûr et efficace”, qu’il a imposé à de larges pans de la population active et qu’il insiste pour que sa séquence de fabrication de poison et ses corps étrangers non déclarés soient introduits dans le corps de nos enfants.”[118]

À propos des auteurs

Dr Mark Bailey MB ChB (Bachelier en médecine et en chirurgie), PGDipMSM (Diplôme de troisième cycle en médecine musculo-squelettique), MHealSc (Maîtrise en sciences de la santé) (Otago)
Est un chercheur en microbiologie, industrie médicale et santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Dr John Bevan-Smith BA (Hons) First Class (Licence de lettres (4 ans) avec mention très bien), PhD (doctorat) (Auckland)
Est un chef d’entreprise, auteur et chercheur, qui a entrepris des recherches pour le Tribunal de Waitangi Te Rōpū Whakamana i te Tiriti o Waitangi/The Ministry of Justice Te Tāhū o te Ture.


Essai original (anglais) : https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/
Présentation vidéo de la partie 1 de l’essai par le Dr. Samantha Bailey (anglais) : The COVID-19 Fraud & War On Humanity (Part 1)
Traduction française : https://cv19.fr

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Références

↑1 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Conférence de presse, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 1:27:20 : https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/ ; Au 25/9/21, un total de 2 448 262 événements indésirables et 26 041 décès avaient été signalés à l’Agence européenne des médicaments (Europe) ; au 15/9/21, un total de 1 204 555 événements indésirables et 1 662 décès avaient été signalés à Yellow Card (Royaume-Uni) ; au 1/10/21, un total de 2 826 646 événements indésirables et 16 310 décès avaient été signalés à VAERS (États-Unis). Le nombre total d’événements indésirables signalés dans ces trois régions s’élève à 6 479 563 et le nombre total de décès à 44 013. Compte tenu de la sous-déclaration connue de ces événements, il est prévu que les chiffres réels pourraient être au moins cinq fois plus élevés.
Voir : America’s Frontline Doctors et al. v Xavier Becerra, Secretary of the U.S. Department of Health and Human Services, et al., Civil Action No. 2:21-cv-00702-CLM, dépôt le 19 juillet 2021, 41 ; Citizens’ Adverse Events register.
↑2 Holger Fischer, in Burkhardt et al., “Cause of death after Covid-19 vaccination”, 2:19:13.
↑3 Bill Gates, “Responding to Covid-19 – A Once-in-a-Century Pandemic ?”, The New England Journal of Medicine (28 février 20) : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762#article_references ; interview de Bill Gates par Ellen DeGeneres, “Bill Gates on Finding a Vaccine for COVID-19, the Economy, and Returning to ‘Normal Life’”, YouTube (14 avril 20) : https://www.youtube.com/watch?v=5oEcxMfwJnw
↑4 “Developing MCMs for Coronaviruses”, dans Rapid Medical Countermeasure Response to Infectious Diseases : Enabling Sustainable Capabilities Through Ongoing Public- and Private-Sector Partnerships : Workshop Summary (Washington DC : National Academies Press, 12 février 2021) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK349040/
↑5 Global Preparedness Monitoring Board, “A World at Risk”, (Sept 2019), https://constitutionwatch.com.au/wpcontent/uploads/A-world-at-risk-WHO.pdf
↑6 Ibid.
↑7 Anthony S. Fauci, “The Role of the National Institutes of Health in Research Addressing Seasonal and Pandemic Influenza”, témoignage devant le House Committee on Energy and Commerce Subcommittee on Oversight and Investigations (4 déc. 2019) :
https://energycommerce.house.gov/sites/democrats.energycommerce.house.gov/files/documents/Testimony%20-%20Fauci%20%28NIH%29%2012.04.2019.pdf
↑8 Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation (Forum Publishing, Genève, 2020), Couverture arrière
↑9 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No. : US 7,279,327 9 Oct 2007) ; Témoignage du Dr David Martin, “CDC Fraud”, audition de la commission d’enquête extraparlementaire German Corona (12 Jul 21) : https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/.
↑10 Schwab et Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation, 11.
↑11 Helen Clark et S.E. Ellen Johnson Sirleaf, coprésidentes du Groupe indépendant pour la préparation et la réponse aux pandémies, “COVID-19 : Make it the Last Pandemic”, OMS (mai 2021), 4.
↑12 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidentiel Protection Sociale, le Ministre d’Etat pour la Reconstruction et l’Institut de Santé Publique”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 7 (2.1 [b]-[d]) : http://ti-health.org/wp-content/uploads/2021/05/AlbaniaPfizer.pdf
↑13 Dr David Martin, Wise Traditions Conference 2021, “Follow the Patents, Then You Will Understand Covid”, (5 Nov 21) : https://rumble.com/vov60h-dr.-david-martin-follow-the-patents-then-you-will-understand-covid.html
↑14 Ibid, 25:11
↑15 “Remarques du Directeur général de l’OMS lors de la réunion d’information à l’intention des médias sur 2019-nCoV le 11 février 2020”, OMS (11 févr. 20), 2/4 : https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-remarks-at-the-mediabriefing-on-2019-ncov-on-11-february-2020 ; “Pourquoi le virus et la maladie ont-ils des noms différents ?”, OMS (11 févr. 20) : https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/technical-guidance/namingthe-coronavirus-disease-(covid-2019)-et-le-virus-qui-cause-it ; Fan Wu et al, “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank : MN908947.3, GenBank (18 mars 20, soumis le 5 janvier 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947
↑16 Paul D Thacker, “Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai vaccinal de Pfizer”, BMJ, 375/n2635 (2 Nov 21), 1-3 : https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635
↑17 Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause de la mort après la vaccination Covid-19”, Conférence de presse Conférence, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 2:19:13.
↑18 James Corbett, “Bill Gates et la grille de contrôle de la population”, The Corbett Report, (18 mai 20) :
https://odysee.com/@corbettreport:0/gatespopulation:b
↑19 Remarque : Bustin s’est trompé dans ses souvenirs. Comme nous l’expliquons ci-dessous, cette étape non valide n’a pas été effectuée par les inventeurs du SARS-CoV-2.
↑20 Stephen A Bustin, “Why the need for qPCR publication guidelines?-The case for MIQE”, Methods, 50 (16 Dec 2009), 218 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/ ; Interview de Stephen Bustin par Eric Coppolino, “Planet Waves FM Interview with Stephen Bustin conducted by Eric F Coppolino”, transcription par Joshua Halinen, New York 1er février 2021), 01:02:00 : https://cormandrostenreview.com/wp-content/uploads/2021/02/bustintranscript.pdf
↑21 Bertrand Russell, The Basic Writings of Bertrand Russell 1903-1959 (Londres : Routledge, 1992, publié pour la première fois 1961), 200
↑22 John F Enders et William C Peebles, “Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles”, Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine (PSEBM), 86 (reçu le 16 mai 1954), 277-286.
↑23 Ibid., 287.
↑24 https://www.qwant.com/?client=brz-brave&q=SARS-CoV-2+images&t=images
↑25 La méconnaissance du virus – La rougeole comme exemple; Wissenschafftplus Magazin 01/2020; https://cv19.fr/2021/03/07/la-meconnaissance-du-virus-la-rougeole-comme-exemple/
↑26 Fan Wu, ISPOR Summit (2018): https://www.ispor.org/conferences-education/conferences/past-conferences/ispor-summit-2018/program/speakers/speaker/fan-wu-md-phd
↑27 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, Nature, Vol 579 (3 Feb 20, author correction 2 Apr 20), 266, Methods page: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3
↑28 Ibid. Megahit et Trinity sont les noms de deux plateformes d’assemblage de novo.
↑29 bid., 265-6, Methods page.
↑30 Joan Pontius et al, “Initial sequence and comparative analysis of the cat genome”, Genome Research, 17 (2007), 1680.
↑31 Fan Wu et al., “Wuhan seafood market pneumonia virus isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.2, GenBank (14 Jan 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.2/ ; Dan Hu et al., “Bat SARS-like coronavirus isolate bat-SL-CoVZC45, complete genome”, GenBank : MG772933.1, GenBank (29 sept. 2020) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MG772933.
↑32 Fan Wu et al., “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.3, GenBank (18 Mar 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.3.
↑33 Interview par Janis Mackey-Frayer du Dr Wu Zunyou, “Wuhan maintenant un an après”, NBC Nightly News Broadcast (Full) – 23 janvier 2021 | NBC Nightly News, NBC (23 Jan 21), 13:30-13:50 : https://www.youtube.com/watch?v=TjjA-8JXzYI
↑34 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑35 Peng Zhou et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 579 (12 Mar 20), 270-273 plus 16 unnumbered supplementary papers: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7.pdf
↑36 Ibid., 272.
↑37 Ibid, Résumé du rapport, deuxième page non numérotée.
↑38 Ibid, “Methods”, première page non numérotée.
↑39 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑40 Na Zhu et al., “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”, The New England Journal of Medicine, 382 (20 Feb 20, first published 24 Jan 20, updated 29 Jan 20), 728.
↑41 Ibid., 728, 730-31.
↑42 Ibid., 728.
↑43 Ibid., 731.
↑44 Ibid.*
↑45 Ibid., 733. Emphasis added.
↑46 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021).
↑47 Leon Caly et al., “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia”, MJA, 212/10 (1 Jun 20, received 25 Feb 20, accepted Mar 20, published 9 Mar 20), 459 : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.5694/mja2.50569.
↑48 Ibid., 461-62.
↑49 Ibid., Supplementary methods: https://onlinelibrary.wiley.com/action/downloadSupplement?doi=10.5694%2Fmja2.50569&file=mja250569-sup-0001-Supinfo.pdf
↑50 Letter of Rebecca Drew, Group Manager, Science and Insights, COVID-19 Health System Response, undated OIA letter Ref: H202008345, Ministry of Health. https://fyi.org.nz/request/14170-request-for-records-held-by-ministry-of-health-describing-the-isolation-of-a-sars-cov-2-virus-directly-taken-from-a-symptomatic-patient-of-covid-19
↑51 Jeremy Butterfield, Editorial Director, Collins Concise Dictionary Fifth Edition (Glasgow: HarperCollins, 2003), 1348.
↑52 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, 265, 268-9.
↑53 David Cyranoski, “SARS outbreak linked to Chinese bat cave”, Nature, 552 (7 Dec 17), 15-16.
↑54 Rahul Battharai, épidémie de Covid 19 Delta : Businesses welcome vaccine certificates for retail and hospitality ” NZ Herald (26 Oct 21) : https://www.nzherald.co.nz/business/covid-19-delta-outbreak-businesses-welcome-vaccine-certificates-for-retail-and-hospitality/WB2WIX4KHGR27ZZNS6JJXFIGKQ/
↑55 “Le ministère de la Justice annonce le règlement le plus important de son histoire en matière de fraude aux soins de santé”, ministère de la Justice des États-Unis (2 septembre 2009), 2 : https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-announces-largest-health-care-fraud-settlement-its-history.
↑56 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No.: US 7,279,327 9 OcT 2007).
↑57 ” Novel Coronavirus (2019-nCoV) Situation Report – 1 “, OMS (21 jan 20), 1 : https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/330760/nCoVsitrep21Jan2020-eng.pdf?sequence=3&isAllowed=y . Moderna, Inc, ” United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement ” (9 nov 2018), 12, 94 ; BioNTech SE, United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement “, (sans date, supposé 2019), 5, F-7 : https://investors.biontech.de/static-files/0eb8771c-1cda-4868-bb9f-bdb22dfd29e4 . Les pertes de Moderna se sont élevées à 230 314 000 dollars pour 2016, 255 916 000 dollars pour 2017 et 243 308 000 dollars pour les neuf mois à fin septembre 2018, et auraient besoin de plus d’investissements. Bien qu’ayant levé 1,1 milliard de dollars depuis 2008 dans le cadre de placements privés de leurs actions, BioNTech a tout de même enregistré une perte avant impôts de 85 950 000 € pour 2017 et de 48 262 000 € pour 2018.
↑58 Victor Corman, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Christian Drosten Charité Virology, Berlin, Germany; Olfert Landt, Tib-Molbiol, Berlin, Germany; Marion Koopmans, Erasmus MC, Rotterdam, The Netherlands; Maria Zambon, Public Health England, London. Additional advice by Malik Peiris, University of Hong Kong, “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor Corman, et al., “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor M Corman, Olfert Landt, Marco Kaiser, Richard Molenkamp, Adam Meijer, Daniel KW Chu, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Julia Schneider, Marie Luisa Schmidt, Daphne GJC Mulders, Bart L Haagmans, Bas van der Veer, Sharon van den Brink, Lisa Wijsman, Gabriel Goderski, Jean-Louis Romette, Joanna Ellis, Maria Zambon, Malik Peiris, Herman Goossens, Chantal Reusken, Marion PG Koopmans, Christian Drosten, “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23: https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045
↑59 Bloomfield Affidavit, (13 Jul 20), 8; “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21): https://en.wikipedia.org/wiki.COVID-19_pandemic_cases_in_January_2020
↑60 Moderna, Inc., “United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement” (9 Nov 2018), 12.
↑61 James Delingpole interview of Reiner Fuellmich, The Delingpod (23 May 21): http://www.odysee.com/@JamesDelingpoleChannel:0/feullmich:8
↑62 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20): https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-statement-on-ihr-emergency-committee-on-novel-coronavirus-(2019-ncov)
↑63 “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21); Andrew Joseph, “WHO declare coronavirus outbreak a global health emergency”, STAT (30 Jan 20).
↑64 Ibid.**
↑65 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20), 3.
↑66 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 January 2020), 23.
↑67 William Engdahl, “Coronavirus Scandal Breaking in Merkel’s Germany”, (10 Dec 20): http://www.williamengdahl.com/englishNEO10Dec2020.php
↑68 Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, 29.
↑69 “RT-PCR test kits and VirSNiP Mutation Assays for strain surveillance”, TIB Molbiol (accessed 6 May 20): https://www.tib-molbiol.de/covid-19
↑70 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021).
↑71 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel: For Emergency Use Only Instructions for Use Catalog # 2019-nCoVEUA-01 1000 reactions”, 40: https://www.fda.gov/media/134922/download
↑72 Jesús García Blanca, “The scam has been confirmed: PCR does not detect SARS-CoV-2”, D-Salud-Discovery, 242 (8 Nov 20): https://www.dsalud.com/reportajes/fraudes-y-falsedades-en-el-ambito-medico/ ; English trans.: http://philosophers-stone.info/wp-content/uploads/2020/11/The-scam-has-been-confirmed-Dsalud-
November-2020.pdf ; Jerry Fisayo-Bambi, “Tanzania: goat, paw paw, jackfruit test positive for coronavirus”, Morning Call (6 May 20): https://www.africanews.com/2020/05/06/tanzania-how-can-goat-papaya-pawpaw-test-positive-to-corona-morning-call/
↑73 David James, “PCR Inventor: “It doesn’t tell you that you are sick”, OffGuardian (5 Oct 20): https://off-guardian.org/2020/10/05/pcr-inventor-it-doesnt-tell-you-that-you-are-sick/
↑74 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23.
↑75 “Austrian Court Rules PCR Test Not Suitable For COVID-19 Diagnosis And That Lockdowns Has No Legal Basis”, GreatGameIndia (8 Apr 21): https://greatgameindia.com/austria-court-pcr-test/
↑76 “WHO COVID-19 Case definitions: Updated in Public health surveillance for COVID-19 | COVID-19: Surveillance, case investigation and epidemiological protocol” (16 Dec 20): https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-Surveillance_Case_Definition-2020.2
↑77 Ibid.***
↑78 Johns Hopkins University & Medicine Coronavirus Resource Center (accessed 25 Oct 21): https://coronavirus.jhu.edu/map.html
↑79 Neil M Ferguson et al., “Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID- 19 mortality and healthcare demand”, Imperial College London (16 Mar 20), 6, 7, 13: DOI: https://doi.org/10.25561/77482
↑80 Hannah Boland and Ellie Zolfagharifard, “Coding that led to lockdown was ‘totally unreliable’ and a ‘buggy mess’, say experts”, The Telegraph (16 May 20): https://www.telegraph.co.uk/technology/2020/05/16/coding-led- lockdown-totally-unreliable-buggy-mess-say-experts/ ; Ram Sagar, “The most devastating software mistake of all time. Why is the Imperial model under criticism?”, AIM (24 May 20): https://analyticsindiamag.com/the-most-devastating-software-mistake- of-all-time-why-is-the-imperial-model-under-criticism/
↑81 Neil M Ferguson et al., “Report 12: The Global Impact of COVID-19 and Strategies for Mitigation and Suppression “, Imperial College London (26 Mar 20), 1: https://doi.org/10.25561/77735
↑82 Lucy Barnard, Nick Wilson, Amanda Kvalsvig, Michael Baker, “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand: Revised Preliminary Report for the NZ Ministry of Health”, University of Otago Wellington (27 February 2020), 1, 5, 11, 12: https://www.health.govt.nz/publication/covid-19-modelling-reports; Bloomfield, Affidavit (13 Jul 20), 101.4.
↑83 Barnard et al., “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand”, 1, 2, 5; Denis Glover, “The Magpies”, in Enter Without Knocking (Christchurch: The Pegasus Press, 1971, first published 1964), 34; “Ventilators and ICU bed capacity”, Ministry of Health (11 May 20); Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501
↑84 Alex James, Shaun C Hendy, Michael J Plank, Nicholas Steyn, “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/2020/03/26/suppression-and- mitigation-strategies-for-control-of-covid-19-in-new-zealand/
↑85 “Wigram Capital Advisors Limited”, Dun & Bradstreet: https://www.dnb.com/business-directory/company-profiles.wigram_capital_advisors_limited.218e802dadfa3ba161e5a098660e33ed.html
↑86 “Our Story”, Te Pūnaha Matatini: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/about-us/
↑87 Jaijus Pallippadan-Johny, John McDermott, Rodney Jones and Michael Duddin, “Monitoring and Forecasting the COVID-19 Pandemic in New Zealand Including the Successful Impact of the Lockdown”, Public Health Expert (22 May 20): https://blogs.otago.ac.nz/pubhealthexpert/tag/pandemic/
↑88 “Post-Cabinet press conference”, Beehive (23 Mar 20), 1-3; “Prime Minister: COVID-19 Alert Level increased”, Beehive (23 Mar 20); “Post-Cabinet Press Conference 23 March 2020 on COVID19”, YouTube (23 Mar 20), 10:55.
↑89 Ashley Bloomfield, “COVID-19 media update, 24 March”, Ministry of Health (24 Mar 20), 5:08: https://www.health.govt.nz/news-media/news-items/covid-19-media-update-24-march#vid
↑90 Kate Newton, “The man modelling NZ’s Covid-19 spread from his kitchen table”, Radio NZ (27 Mar 20): https://www.rnz.co.nz/news/in- depth/412744/the-man-modelling-nz-s-covid-19-spread-from-his-kitchen- table; Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501 ; Nikki Macdonald, “Coronavirus: Controls could cut Kiwi deaths from 60,000 to 10,000”, Stuff (22 March 20): https://www.stuff.co.nz/national/health/coronavirus/120455106/corona virus-controls-could-cut-kiwi-deaths-from-60000-to-10000
↑91 Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20).
↑92 Alex James et al., “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4.
↑93 New Zealand Tax Payers Union, “Why Is Sean Hendy’s Modelling Group Getting $6m For Advice Treasury Is Paying $30k For Elsewhere?”, Community.Scoop (Oct 11 2021): https://community.scoop.co.nz/2021/10/why-is-sean-hendys-modelling-group-getting-6m-for-advice-treasury-is-paying-30k-for-elsewhere/
↑94 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑95 Ibid.****
↑96 Ibid..
↑97 Epidemic Preparedness (COVID-19) Notice 2020, New Zealand Gazette (25 March 2020).
↑98 Giorgio Agamben, trans. Kevin Attell, State of Exception (Chicago: The University of Chicago Press: 2005), 1, 50.
↑99 Phil Taylor, “Moderna plans triple vaccine targeting flu, COVID and RSV”, Pharmaphorum, (8 Jul 20): https://pharmaphorum.com/news/moderna-plans-triple-vaccine-targeting-flu-covid-and-rsv/
↑100 Evidence of Dr David Martin, “CDC Fraud”, Hearing of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee (12 Jul 21): https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/
↑101 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑102 Ibid.*****
↑103 Ibib., 15:50 to 26:20; “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination” (21 Sep 21)”, 1: Source: https://de.rt.com/inland/124390-lymphozyten-laufen-amok-pathologen-untersuchen-todesfaelle-nach-impfung/. Translated from German by http://www.DeepL.com/Translator.
↑104 Ibid.******
↑105 bid., 27:45 on.
↑106 Ibid., 53:00
↑107 “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination”, 1-2.
↑108 Ibid., 2.
↑109 Dr Calvin Luther Martin, “Close paraphrase of Dr Burkhardt’s overall conclusions” (accessed 13 Oct 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑110 Dr Burkhardt, “Slideshow presentation”, Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21); Ibid., 1:53:
↑111 2:19:13.
↑112 Ibid.*******
↑113 Ibid…
↑114 Ibid., 2:34:30.
↑115 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 19 (5.5).
↑116 Ibid., Attachment B – Delivery Schedule and Price, 22 (8.1).
↑117 Ben Strang, “Government grants vaccine suppliers indemnity against claims”, Stuff via Radio NZ (25 Jan 21): https://www.rnz.co.nz/news/alert-top/435107/government-grants-vaccine-suppliers-indemnity-against-claims
↑118 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 7 (2.1 [b]-[c]); “Dr Ashley Bloomfield and MedSafe’s Chris James talk about vaccine approvals”, Ministry of Health (4 Feb 21): https://www.youtube.com/watch?v=th4U_9Ddk4s



Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey

[Source : cv19.fr]

Le Dr Mark Bailey rejoint Kelvyn Alp pour discuter des détails de la fraude du “virus Covid 19”.

Le Dr Bailey démonte la fausse science et le faux récit qui a été déployé comme étant une “pandémie”.

Le seul virus qui existe est un virus mental entretenu par les grands médias.

Le Dr Bailey et sa femme, le Dr Sam Bailey, ont pris conscience de la vérité sur les virus et parlent courageusement au monde de leurs recherches des deux dernières années et de la façon dont ils s’opposent au système pour sauver l’humanité.

La Nouvelle-Zélande a la chance d’avoir deux experts aussi éloquents et compétents, prêts à s’aventurer là où peu de membres de la communauté médicale sont allés.

Découvrez le Dr Sam Bailey sur Odysse (vidéo en français) et sur son site Web http://www.drsambailey.com

Retrouvez également l’article co-écrit par Mark Bailey intitulé “La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité”.



Interview complète (en anglais) : https://freeworldnews.tv/watch?id=61cc2cc9e21b29401529d82e


[Voir aussi :
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie]




Philippe de Villiers : Ce que je ne savais pas… et vous non plus, sur « Le jour d’après »

[Source : profession-gendarme.com]

Avez vous 01 heure de votre temps à consacrer à l’écoute de cette vidéo ? Si oui vaus saurez tout sur la PLANDEMIE…

Conférence enregistrée à notre université d’été 2021 qui avait pour thème: Naissance d’une nouvelle religion, l’écolo-hygiénisme. https://renaissancecatholique.fr/

Source : Youtube

Si vous n’avez pas regardé jusqu’au bout nous pouvons en conclure que vous faites partie du “Troupeau” hypnotisé par les “Médias Mainstream” qui eux réfléchissent à votre place…




Après avoir été suspendu sur Twitter, le Dr R. Malone inventeur des vaccins ARN explique pourquoi les thérapies préventives sont supprimées

[Source : Qactus]

Bientôt, ils brûleront les livres ! Après avoir suspendu son compte sur Twitter le Dr Robert Malone, décide de faire une vidéo avec Joe Rogan dans son émission et nous explique beaucoup chose de très intéressantes et vous dit tout ce que vous devez savoir.

Voici les Tweets qui ont suspendu le Dr Malone de Twitter, ci-dessous la traduction :

Robert W. Malone, MD @RWMaloneMD 5h
Les inoculations Pfizer pour la COVID-19 — Plus de mal que de bien — VIDÉO
Les données de Pfizer sur 6 mois montrent que les inoculations de Pfizer pour la COVID-19 causent plus de maladies qu’elles n’en préviennent. De plus, une vue d’ensemble des défauts de l’essai de Pfizer en ce qui concerne conception et de l’exécution.
canadiancovidcarealliance.org/media-resource…

Robert W Malone, MD @RWMaloneMD — 5h
on vous a menti. Encore, et encore, et encore.


Entretien de Joe Rogan avec le Dr Malone qui est un des inventeurs des vaccins ARN. Le Dr Malone explique pourquoi les thérapies préventives sont supprimées.

Les quelques passages principaux, des grandes annoncent en vidéos ci-dessous détaillés :

Ci-dessous, le Dr Robert Malone explique comment l’Uttar Pradesh a écrasé la COVID avec un traitement précoce, Joe Biden a rencontré Narendra Modi et une décision a été prise de ne pas divulguer le contenu du traitement. Pourquoi ? Joe Biden représente Pfizer.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone sur la chasse aux médecins, « Le Dr McCullough a 150 000 $ de dettes en ce moment même, j’essaie de défendre sa licence médicale. C’est l’un des auteurs les plus publiés au monde. »



Ci-dessous, le Dr Malone parle de la propriété commune entre Pfizer et Reuters, qui fournit des services de « vérification des faits » à Twitter.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone explique à Joe Rogan quels avantages financiers les hôpitaux reçoivent pour les patients COVID et les décès. Si une personne est tuée par une blessure par balle et a eu la COVID, l’hôpital considérera qu’il s’agit d’un décès de la COVID.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone explique comment la principale organisation de vérification des faits de Twitter a des liens financiers avec Pfizer. Cela représente un grave conflit d’intérêts, car ils aident à déterminer quelles informations médicales sont autorisées à être entendues et discutées.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone donne son avis sur ce qui pourrait être à l’origine du ciblage de médecins, comme Peter McCullough, qui préconisent un traitement précoce par Covid pour éviter que les gens ne soient hospitalisés.

Il dit à Joe Rogan de suivre l’argent.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone donne à Joe Rogan les détails de l’article sur l’attaque de l’Atlantique, financé par Facebook et Johnson & Johnson ont financé.



Ci-dessous, le Dr Malone fait remarquer qu’Israël, qui en est à sa quatrième dose, a un taux de mortalité plus élevé que les États palestiniens environnants.




USA le 31/12/21, L’interview complète de Joe Rogan / Dr Robert Malone est en ligne ! Nous partagerons des extraits de cette interview importante, connaissant les risques. Entretien complet la vidéo complète en anglais ci-dessous.


Ci-dessous le Dr Robert Malone suggère que nous vivons une psychose de formation de masse. Il explique comment et pourquoi cela peut arriver et ses effets. Il fait une analogie avec l’Allemagne des années 1920/30 « ils avaient une population très intelligente et très instruite, et ils sont devenus fous ».



Ci-dessous, le Dr Robert Malone met en accusation la réponse de notre gouvernement à la Covid « Ils sont sans foi ni loi. Ils ignorent complètement la bioéthique. Ils ont enfreint toutes les règles que je connais, sur lesquelles j’ai été formé pendant des années ».



Ci-dessous, Le Dr Robert Malone et Joe Rogan expliquent en quoi Omicron est une variante d’évasion du vaccin. Recevoir plusieurs injections maintenant, c’est « comme prendre à plusieurs reprises un vaccin contre la grippe s’il y a deux saisons et espérer qu’il protégera contre cette grippe ».



Ci-dessous, Joe Rogan et le Dr Robert Malone discutent de la façon dont les personnes dotées d’une immunité naturelle à la COVID courent un risque plus élevé d’événements indésirables dus au vaccin.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone sur la méchanceté de l’ivermectine. Dr Robert Malone : « Il existe de bonnes études de modélisation, qui montrent qu’un demi-million de décès excessifs se sont produits aux États-Unis, à cause du blocage intentionnel du traitement COVID précoce par le gouvernement américain ».



Ci-dessous, Joe Rogan et le Dr Robert Malone soulignent qu’une discussion sur les risques des vaccins COVID n’est PAS autorisée. Le Dr Robert Malone croit que les gens devraient avoir la liberté de choix et cela inclut de connaître les risques.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone propose les deux tweets potentiels qui auraient pu conduire à son interdiction de Twitter. Il explique à Joe Rogan que la censure des grandes technologies vise tout ce qui pourrait amener les gens à hésiter à se vacciner.



Ci-dessous, Joe Rogan interroge les grandes technologies pour avoir censuré « l’une des personnes les plus qualifiées au monde pour parler de vaccins », Le Dr Robert Malone répond à la censure des grandes technologies.



Ci-dessous, Joe Rogan discute avec le Dr Malone du miracle de l’Uttar Pradesh où la Covid a pratiquement disparu.



Malone:

« L’Uttar Pradesh (N.B: une grande région d’Inde) comme vous le savez a éliminé le Covid ! »

Rogan:
« Vous pouvez nous dire comment ils ont fait parce que c’est assez fascinant. »

Malone:

« Ce n’est pas très clair concernant les médicaments.
Mais ce que nous sommes certain c’est qu’il y a une histoire cachée derrière tout ça.
Il y a eu une décision de prise.

Donc on sait que le Covid faisait beaucoup de dégâts dans l’Uttar Pradesh.
Ils ont une population assez proche de celle des USA,c’est énorme OK? Et avec tous les différents types de classes sociales.

Et le Covid causait beaucoup de morts et de maladies.
Et ils ont pris cette décision comme une solution ultime et désespérée de déployer des thérapies préventives en packages.
Et de façon accélérée à travers toute la région.
Et cela comprend plusieurs produits.La composition n’a pas été entièrement dévoilée.
Cela a été fait en coordination avec l’OMS
Et peu importe ce qu’il y avait dans ce package,il y a des rumeurs que ça inclut l’ivermectine.
Mais il y a eu une rencontre de Biden avec Modi.
Et il y a eu une discussion et une décision prise de ne pas dévoiler le contenu des kits qui ont été déployés dans cette région et qui y sont toujours.
Et le virus a quasi disparu là-bas,le reste du Monde se plaint de l’Omicron et des hospitalisations,l’Afrique du Sud exceptée,mais l’Uttar Pradesh est très bas en termes de décès. »

Rogan:
« Donc il y a eu une rencontre avec Biden ? »

Malone:

« Il y avait Joe Biden et Modi…
Je ne sais pas de quoi ils ont discuté, mais ce que je sais c’est qu’immédiatement après, il y a eu la décision de ne pas dévoiler le contenu de ces kits et ce qui a été déployé dans la région. »

Rogan:
« C’est fou de penser qu’en pleine pandémie il y a une partie du Monde en Inde qui est très compétente pour éliminer le virus.
Et ils ne vont pas dire comment ils ont fait.
C’est fou! »

Malone:

« Mon opinion sur tout ça c est que je dis: Voilà les faits,ce sont des données vérifiables.
Tirez-en vos propres conclusions. »

Malone:

« De ce que je peux observer si l’on regarde qui finance… C’est que les hôpitaux sont encouragés à traiter les patients Covid.

Ce qui relie les différentes parties de l’histoire,et qui inclue la suppression par le gouvernement des thérapies préventives,c’est que les hôpitaux sont encouragés financièrement à soigner les patients Covid.

Si les patients Covid sont soignés en dehors de l’hôpital et empêchés d’y aller,comme c’est le cas à l’Imperial Valley (N.B: près de la frontière mexicaine) où les Drs Brian Tyson et George Fareed ont sauvé des milliers de vies d’indigènes latinos,qui passent la frontière pour bosser dans les champs,vraiment ils se démènent pour sauver les pauvres,il y a des histoires incroyables là bas avec les thérapies préventives…

Mais on ne cherche pas à savoir ce qu’ils font, car ils soignent des pauvres et ils sont mis de côté.
Et si l’on donne ces thérapies en ville,les hôpitaux n’auront plus d’argent, car les gens seront guéris avant d’y aller.
(…)
Ce que j’observe c’est que les hôpitaux sont encouragés financièrement et aussi à laisser mourir… »

Rogan le coupe:
« Ils sont dissuadés de donner des traitements préventifs ? »

(Malone confirme)




Une nouvelle étude scientifique révèle qu’au moins 400.000 Américains sont morts à cause des vaccins Covid-19

[Source : La cause du peuple]

Des chercheurs de l’Université de Columbia ont découvert que le nombre réel de personnes décédées aux États-Unis et dans d’autres territoires à la suite de l’une des injections expérimentales de Covid-19 est nettement plus élevé que les chiffres officiels des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ( CDC).
Le CDC affirme qu’un peu plus de 20.000 personnes sont décédées à la suite de la vaccination contre Covid-19, mais le facteur de sous-déclaration de Columbia estime à 20 fois ce nombre, soit environ 400.000 décès, ce qui est beaucoup plus précis.
Les mêmes causes (vaccins ARNm) produisant les mêmes effets, nous pouvons en déduire le nombre de décès et d’effets indésirables pour chaque pays, en proportion du  nombre d’individus vaccinés.

Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) indique actuellement environ 20.000 décès et près de 103.000 hospitalisations ont été signalées comme effets indésirables des injections de Covid-19 aux États-Unis et dans d’autres territoires.

Nombre de décès suite à la vaccination Covid-19 dans le VAERS

Le problème avec le VAERS est qu’il n’enregistre qu’un très petit pourcentage – aussi peu que 1% – des effets indésirables et des décès liés au vaccin. Pour cette raison, les scientifiques utilisent souvent des multiplicateurs pour estimer le nombre réel.

Un résumé de cette dernière étude sur les décès par injection de Covid-19 explique que « des estimations précises des événements indésirables graves et des taux de mortalité induits par le vaccin Covid-19 sont essentielles pour les analyses du rapport risque-bénéfice de la vaccination et des rappels contre le coronavirus SARS-CoV-2 dans différents groupes d’âge. »

Source

Pour la recherche, les scientifiques de Columbia ont utilisé la variation régionale des taux de vaccination pour prédire la mortalité toutes causes confondues et les décès non liés à la covid au cours des périodes ultérieures. Ceci était basé sur deux ensembles de données indépendants et accessibles au public des États-Unis et de l’Europe.

Ils ont découvert que plus de six semaines après l’injection, les injections de Covid-19 avaient une corrélation négative avec la mortalité. Durant cinq semaines, cependant, les injections ont prédit la mortalité toutes causes confondues dans presque tous les groupes d’âge avec un schéma temporel lié à l’âge cohérent avec le déploiement du vaccin aux États-Unis.

En comparant le taux de mortalité par vaccin estimé de l’étude avec le taux signalé par le CDC, les chercheurs ont conclu que les décès indiqués dans VAERS sont sous-déclarés d’un facteur 20, ce qui est « cohérent avec le biais de sous-détermination connu du VAERS ». Sur cette base, les scientifiques ont déclaré que jusqu’à 187.000 personnes pourraient être décédées à cause des vaccins Covid-19 entre février et août 2021 aux seuls États-Unis.

L’équipe de l’Université de Columbia a également conclu que les risques associés aux injections de Covid-19, y compris les rappels, « l’emportent sur les avantages chez les enfants, les jeunes adultes et les personnes âgées présentant un faible risque professionnel ou une exposition antérieure au coronavirus« .

Ils ont en outre souligné qu’il existe un « besoin urgent d’identifier, de développer et de diffuser des diagnostics et des traitements pour les effets indésirables et débilitants causées par les vaccins, et qui bouleversent la vie de tant de gens ».

Cependant, une analyse plus approfondie menée par Steve Kirsch et Jessica Rose suggère que cette nouvelle étude pourrait encore sous-estimer le nombre réel de décès suite à la vaccination contre le Covid-19, après que son équipe a découvert que le véritable nombre de décès dus aux injections pourrait être 41 fois plus élevé que ce qui a été signalé au VAERS. Cela porterait le nombre total de décès à 820.000.

Mais un calcul plus récent effectué par Wayne à VAERS Analysis suggère que le taux de sous-déclaration réel pourrait atteindre 44,64, ce qui porterait le nombre réel de décès suite à la vaccination contre Covid-19 à 893.000.

Calcul du véritable taux de sous-déclaration de 44,64

Les données CMS sur la diapositive ci-dessous (données pertinentes encerclées) montrent 52.030 décès survenus dans les 14 jours suivant l’injection dans une population de 27.431.845 bénéficiaires de Medicare. Cela équivaut à un taux de mortalité de 189 pour cent mille (ou 1.890 par million) :

Il faut noter qu’il s’agit de personnes recevant n’importe quelle dose, pas seulement des personnes « complètement vaccinées » avec 2 doses.

Étant donné que Medicare n’est disponible que pour le groupe d’âge des 65 ans et plus (bien qu’il existe quelques exceptions que nous considérerons comme négligeables), nous devrons extraire les données du même groupe d’âge du VAERS.

Si nous effectuons une requête sur les rapports VAERS américains pour la tranche d’âge de 65 ans et plus et pour les décès dans les 14 jours suivant l’injection, nous obtenons 2.369 décès. Pour obtenir le nombre total de personnes vaccinées avec au moins une dose dans ce groupe d’âge, nous devons télécharger les données à partir de cette page CDC – https://covid.cdc.gov/covid-data-tracker/#vaccination-demographic::

Une fois que nous avons ouvert le fichier csv téléchargé, nous additionnons ensuite le nombre de vaccinations indiqué pour le groupe d’âge des 65-74 ans et le groupe d’âge des 75+ ans pour obtenir 55.949.565.

Enfin, nous prenons les décès et divisons par le nombre de vaccinations (2 369/55 949,565), ce qui donne un taux de mortalité de 42,34 décès par million. En comparant le taux de mortalité CMS de 1.890/million au taux de mortalité VAERS, nous voyons que le ratio est de 1.890/42,34, ce qui nous donne un facteur de sous-déclaration pour le VAERS de 44,64. Cela correspond à un véritable taux de notification dans le VAERS de 2,2 % de tous les événements indésirables.

Source :  The Exposé on December 31, 2021

Estimation du nombre de décès
et d’effets indésirables (E.I.) 
causés par les vaccins covid pour quelques pays 

Millions Vaxxés taux décès Taux E. I. Milliers décès Milliers E.I.
France 49 0,20% 1,01% 97 499
Canada 29 0,20% 1,01% 58 297
États-Unis 204 0,20% 1,01% 400 2060
Algérie 6 0,20% 1,01% 11 57
Belgique 9 0,20% 1,01% 17 89
Tunisie 6 0,20% 1,01% 11 59
Suisse 6 0,20% 1,01% 11 59
Monde 3770 0,20% 1,01% 7392 38070

Jusqu’à ce jour, il y aurait eu
7,392 millions de morts causées par les vaccins Covid,
et 38 millions d’effets indésirables.




Quelles actions résistantes mener en 2022 ?

Par Joseph Stroberg

2021 a pratiquement démontré que divers types d’actions entreprises pour tenter de se libérer de la tyrannie covidienne, voire de certains gouvernements, n’ont pour l’instant pas donné grand-chose et se sont même révélées dans certains cas relativement futiles ou stériles. Plusieurs raisons peuvent expliquer ces échecs (notamment des manifestations) ou ces retards dans l’obtention de résultats lorsque ceux-ci sont encore possibles (comme dans le cas de certaines procédures judiciaires). Pour espérer mieux en 2022, nous gagnons à commencer par reconsidérer le tableau des forces en présence dans cette nouvelle forme de guerre, un conflit dont la véritable cible n’est pas un virus, mais l’Humanité.

Comme pour toute action sur le plan physique, tout l’art de la guerre se ramène en définitive à trouver, puis à mettre en œuvre les moyens qui permettent d’obtenir le résultat optimal avec la dépense minimale d’énergie. En d’autres termes, l’art le plus fin respecte le principe physique de « moindre action » et l’on découvrira peut-être un jour que l’art sublime est celui qui se trouve en plein accord des lois physiques et métaphysiques de l’univers (ceci incluant alors les dimensions psychologiques, psychiques et spirituelles). Cela vaut donc notamment pour la guerre et l’art de la mener avec le minimum de pertes, mais le maximum de résultats dans le temps minimal possible.

L’idée de cet article est venue de la suggestion d’un lecteur, Bernard, qui propose le type d’action suivante pour 2022 :

« Il ne s’agirait pas de manifester lors des déplacements des dirigeants, mais lors de leurs déclarations à la télévision. En effet, à chaque fois qu’ils font une déclaration, c’est pour nous annoncer des contraintes supplémentaires. Une manifestation sur les balcons serait une façon concrète de réagir pour leur dire NON tout de suite, les désapprouver et leur faire savoir immédiatement.

À la réflexion, je me demande même si ça ne serait pas plus efficace de renouveler cette manifestation tous les soirs à 20 h (l’heure du début des journaux télévisés en France). On l’a bien fait pendant le confinement pour applaudir les soignants tous les soirs à 20 h, et même dans une petite ville de 4300 habitants passifs comme la mienne, on entendait la clameur des manifestants.

Je pense qu’une manifestation facile à mettre en œuvre par chacun individuellement pourrait devenir massive. Dans ces conditions, elle permettrait aux indécis et aux endormis de prendre conscience de la force que nous représentons en étant solidaires dans la contestation.

De plus, je crois que cela constituerait une manifestation non violente, mais très forte si elle prend de l’ampleur. Beaucoup d’activistes insistent sur la nécessité d’actions non violentes pour éviter de tomber dans un piège qui conduirait aussitôt le gouvernement à décréter la loi martiale. Et ils ont raison, le pouvoir n’attend que ça ! »

Nous examinerons donc ici si ce mode d’action ou d’autres sont susceptibles de respecter ou non un minimum le principe de moindre action et par conséquent s’ils font ou non honneur à l’art de la guerre et auront des chances faibles ou fortes de faire tomber l’arnaque plandémique ou même le Nouvel Ordre Mondial.

En physique, il existe des phénomènes qui permettent d’obtenir de grands effets avec une faible dépense d’énergie, ceci parce que les efforts sont soit diffusés dans le temps (cas de la résonance), soit démultipliés par le jeu de la mécanique (comme pour l’effet de levier) ou d’autres lois. Ainsi, lorsque des soldats marchent sur un pont à sa fréquence propre exacte, ils le font entrer en vibration, en « résonance » de manière de plus en plus forte et peuvent finir par dépasser la limite de résistance de ses matériaux, puis donc le briser. En économie, ils parlent d’effet de levier lorsque certaines formes d’action ou d’investissement relativement faibles permettent d’obtenir de grands rendements et donc un bon retour sur investissement. De nouveau en mécanique, un moteur électrique bien huilé engendre peu de frottements et tourne donc plus rapidement, avec moins de pertes d’énergie sous forme de chaleur. Par analogie, on peut chercher sur le plan sociétal, les types d’actions qui sont susceptibles de respecter au mieux ces grands principes physiques extrapolables sur d’autres plans.

Les actions les plus efficaces pour faire tomber le Nouvel Ordre Mondial, doivent tenir compte à la fois de tels principes et lois universelles, mais aussi bien sûr de la nature même de ce Système (voir Vie et mort des systèmes). Le Nouvel Ordre Mondial est un système organisé autour de concepts et d’idéologies matérialistes qui découlent ultimement de la peur de la mort physique. C’est pour cette raison essentielle que notamment ses promoteurs et ses valets cherchent l’immortalité par le biais des machines, de l’IA (Intelligence Artificielle) et du transhumanisme, après l’avoir illusoirement et vainement cherchée via l’alchimie incomprise et ne l’avoir toujours pas trouvée par le biais des manipulations génétiques. Leur présente quête est pareillement vouée à l’échec, car la matière elle-même n’est pas immortelle, mais périssable, limitée dans le temps et dans l’espace.

Pour espérer faire durer leur vie sur Terre, les mondialistes cherchent à se ménager un paradis confortable en réduisant la population terrestre à cinq cents millions d’individus (voir Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial), en contrôlant le climat (au moins selon leurs croyances par la diminution de la production de CO2 — dioxyde de carbone, voire par l’utilisation d’installations telles que HAARP), en parquant le commun des mortels dans les villes pendant qu’ils se réserveront les vastes territoires sauvages et la campagne, selon les vœux du Forum Économique Mondial et de l’Agenda 2030 de l’ONU. (Voir par exemple Le « Great Reset » n’est pas du complotisme, « L’Agenda 2030 » [vert] de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !, et But des Agendas 21 et 2030)

Pour mener à bien leur programme qui date de plusieurs décennies et même possiblement d’au moins quelques siècles (se le transmettant alors de génération en génération), ils disposent maintenant des ressources suivantes :

  • au moins 90 % de la finance mondiale ;
  • la mainmise sur les multinationales ;
  • le contrôle des médias « mainstream » (dominants) ;
  • les organismes internationaux qu’ils ont créés de manière non démocratique (ONU, OMS, OMC…) ;
  • l’appui des grandes institutions religieuses (le faux pape actuel étant par exemple un fervent promoteur du N.O.M., de la vaccination, de la réduction du CO2, etc.) ;
  • le contrôle de la médecine via les entreprises pharmaceutiques, l’OMS, la GAVI et les ordres professionnels des personnels de la Santé (médecins, infirmiers…) ;
  • le contrôle de la plupart des ressources minérales, pétrolières et énergétiques exploitées, au moins dans les pays sous leur influence directe, éventuellement par la corruption des hommes politiques lorsque ces ressources sont étatiques ;
  • même chose pour les ressources agroalimentaires, de plus en plus d’agriculteurs et de petits producteurs étant réduits à la faillite ou au suicide ;
  • le contrôle des juges les plus influents (par le chantage, les menaces de mort ou la corruption), spécialement au niveau des plus hautes juridictions nationales et internationales ;
  • etc. ?

Connaissant les caractéristiques fondamentales et les forces du Nouvel Ordre Mondial, quelles stratégies, méthodes et actions ont des chances d’aboutir ? Si le point de vue exposé plus haut est réaliste, alors ce seront celles qui respectent le mieux le principe de moindre action et l’art de la guerre qui en découle en ce qui concerne la gestion victorieuse des conflits (dans le cas, comme ici, où il n’existe pour l’instant aucune conciliation possible, tant et aussi longtemps qu’il n’apparaîtrait pas un conciliateur d’envergure et d’impartialité suffisantes pour être reconnu par les deux parties en conflit).

Et elles devront bien sûr pouvoir être menées réellement par les résistants, c’est-à-dire qu’elles devront d’abord compter sur leurs propres ressources qui sont dérisoires sur le plan matériel par rapport à celles de l’adversaire. Chercher à l’affamer, comme il avait été notamment proposé dans Ne plus nourrir la Bête, demanderait beaucoup trop de temps et de cohésion internationale pour être réaliste à ce stade de la situation. Le gros monstre plein de graisse tiendrait bien plus longtemps que les petites bestioles malingres à un tel jeu. Ces dernières ne peuvent guère non plus espérer pouvoir voler la nourriture du premier, car elles auraient bien plus de chances de se faire écraser face à la puissance de feu de l’assaillant lors de toute tentative d’un tel ordre. Alors quoi d’autre, lorsque l’on dispose de peu de ressources face à un puissant adversaire ?

Pour le Nouvel Ordre Mondial, la lutte est apparemment très facile, au point que ses promoteurs et ses agents ne se cachent même plus (voir Nos bourreaux ne se cachent même plus ! et Les Peuples et les États piétinés, les comploteurs ne se cachent même plus). En cas de tentative de rébellion de la populace, ils n’ont qu’à viser les têtes et les décapiter. Sans leader, la résistance devient aussi forte et opérante qu’un poulet sans tête. Cependant, il existe diverses stratégies en cas de conflit asymétrique, comme c’est le cas de la présente guerre menée par l’élite contre l’Humanité. L’une d’elles est la guérilla, mais encore une fois, c’est une approche longue et nous n’avons plus le temps pour ce genre de chose. De plus, habituellement la guérilla n’a des chances de succès que si elle s’appuie sur une aide étrangère ou à la rigueur sur l’ensemble de la population opprimée. Ici, l’équivalent du support étranger serait une aide extraterrestre ou surnaturelle. Aucune de ces deux sortes n’est pour l’instant visible à l’horizon. Quant au soutien du peuple, avec les deux tiers en état hypnotique pro N.O.M., il est plutôt vain de le chercher.

Oublions la guérilla et la tentative d’affamer ! Ne comptons pas trop non plus sur les approches juridiques alors même que la justice est probablement aussi corrompue que le monde politique et les médias, et qu’en plus l’adversaire peut s’ingénier à faire durer les procédures et à jouer sur les myriades de lois pour aboutir au final à un non-lieu. Quoi d’autre ? Eh bien il existe aussi la stratégie de certains arts martiaux, comme le Judo, qui consiste à retourner la force de l’adversaire contre lui. La technique est voisine de l’effet de levier et fait purement appel aux lois physiques de la mécanique. On utilise par exemple l’élan de l’adversaire pour le déséquilibrer ou pour dévier ses coups et les rendre inopérants, voire retournés contre lui-même. Les deux forces principales de l’adversaire dans la phase actuelle du conflit sont les médias qui sont utilisés par l’« hypnotiseur », contrôleur mental des foules, et la théorie virale qui donne le crédit à l’hypnose par sa justification des pseudo vaccins. (Voir Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin)

Retourner les médias contre l’adversaire nécessite de parvenir à d’abord retourner certains journalistes mainstream, ceci grâce à une relativement grande puissance démonstrative déjà présente dans de nombreux médias alternatifs. Cela ne peut bien sûr fonctionner que sur des journalistes, assez rares, qui ne soient pas déjà hypnotisés et qui ne soient pas non plus corrompus. Et il faut sans doute aussi qu’ils soient prêts à perdre leur emploi. Ce n’est pas gagné. Et ça peut aussi prendre du temps pour atteindre un pouvoir d’influence suffisant dans ces médias dominants. Quant à convaincre du caractère possiblement ou probablement frauduleux et fallacieux de la théorie virale, ceci relève pour l’instant de « Mission impossible », au moins tant et aussi longtemps qu’un nombre significatif de médecins et/ou de chercheurs en médecine ne se penchent pas sérieusement et sans a priori sur la question.

Si l’on peut difficilement actuellement attaquer l’idée germe utilisée pour engendrer la psychose de masse Covid (à savoir l’existence d’un méchant virus qui leur donne une explication de leur angoisse existentielle), est-il possible de renverser cette sorte d’hypnose collective d’une autre manière ?

Annuler une hypnose se fait plus simplement par l’hypnotiseur lui-même. Cependant, comme ici ce dernier est l’assaillant, il n’a aucun intérêt à détruire son arme. Par contre, un autre hypnotiseur peut éventuellement produire une contre hypnose, c’est-à-dire implanter de nouvelles instructions ou croyances dans l’esprit de l’hypnotisé, mais dans ce cas il ne vaut pas mieux que son adversaire qui a perdu tout sens moral. Toute hypnose ou intervention similaire devrait se faire, comme pour tout acte médical, avec un consentement libre et éclairé du patient. Donc, oublions aussi cette possibilité ! Néanmoins, le réveil d’une hypnose peut aussi être produit par un choc salutaire du genre d’une douche froide ou par un bruit soudain qui fait sortir l’individu de sa torpeur. Une conséquence probable est alors malheureusement un état de déséquilibre psychologique plus ou moins marqué, l’individu perdant son centrage ou son alignement intérieur entre ses différentes composantes de personnalité (physiques, émotionnelles et mentales). Le « charme » est rompu, mais rien n’est venu le remplacer. Ce n’est guère mieux.

Revenons maintenant à la proposition de Bernard. Elle revient à utiliser les médias contre le Système, en permettant à ce type de démonstration d’être largement connu, un peu comme au temps initial des Gilets Jaunes. Elle coûte peu d’énergie et se trouve reliée au phénomène de résonance évoqué plus haut, par son côté cyclique (la répétition de l’action chaque jour à heure fixe). Cependant, pour être efficace et agir dans un sens de réveil de l’hypnose, le « bruit » provoqué, la parole prononcée, le discours proposé… doit être porteur d’un message fort, capable d’offrir une meilleure réponse que le virus à l’angoisse existentielle, au vide intérieur ressenti par les individus… Les participants doivent eux-mêmes éviter tout signe reliant au mensonge colporté par l’hypnotiseur et doivent dont refuser masque, distanciation et confinement, au moins à l’heure de leur démonstration. Sortir alors dehors et s’y réunir à plusieurs qui se serrent les coudes ou se tiennent par la main et non masqués pendant qu’une partie d’entre eux tape sur des casseroles ou joue du tambour en rythme aurait sans doute plus de poids qu’isolés sur des balcons. Reprendre en chœur la chanson des partisans (par exemple, ou un chant équivalant qui puisse être porteur d’au moins une partie du message à passer) serait sans doute mieux que des casseroles et des tambours ou pourrait accompagner ces derniers. (Voir aussi Ami entends-tu les sanglots longs des violons de l’automne ? L’heure est venue de passer à l’action !). Bien sûr l’efficacité potentielle de cette approche sera au moins proportionnelle au nombre de participants.

L’approche qui vient d’être succinctement présentée réunit plusieurs éléments compatibles avec l’art de la guerre, particulièrement contre un adversaire à la puissance disproportionnée. Si elle implique un nombre suffisant de Français (ou d’autres nations), elle pourrait à un moment donné aussi être suivie d’une autre démonstration de grande ampleur qui elle serait la preuve d’une cohésion suffisante de la Résistance, comme proposé dans l’article France — Une croix pour faire tomber le régime. Les personnes qui trouvent l’idée intéressante et faisable gagneront à rapidement se contacter pour organiser concrètement les premières démonstrations et si possible simultanément dans plusieurs villes de France. Il n’est probablement pas nécessaire que chaque jour cela dure plus de 30 minutes, voire même plus de 10.


Note : par ailleurs, ce n’est pas parce que certaines actions semblent bien moins efficaces que d’autres et ont peu de chances a priori d’aboutir à des résultats concrets qu’il faut pour autant y renoncer si l’on sent devoir les mener à bien. Il est déjà arrivé de nombreuses fois dans l’Histoire humaine où une réussite est intervenue (dans un projet donné ou lors de la tentative de relever un défi particulier), ceci même contre toute attente.




Le PaSS néonazi dans sa monstruosité tranquille

Par Lucien Samir Oulahbib

Le V qui fait office de prothèse sociopathe au soi-disant « Ministre de la Santé » veut par ses insultes à répétition (qu’il s’adresse en fait à lui-même) amoindrir les gens raisonnables considérés ainsi comme des parias parce qu’ils sont non injectés. Mais ce faisant, il veut masquer évidemment le fait que la plupart des « cas » actuellement mesurés sont, justement, des injectés (!), en Allemagne (70 %) comme en France (à 90 %, souligne Martine Wonner à partir de 25′ et elle indique aussi que la majorité des malades en réa sont des injectés). Ceci est après tout logique, puisque cette expérimentation — ayant détourné la technique ARNm à mauvais escient (et toujours sous AMM conditionnelle) injecte la partie la plus virulente du vaccin, la Spike S, en vue au départ de susciter artificiellement (par injonction paradoxale, d’un certain côté) la création d’anticorps. Mais ceux-ci s’estompent lorsque la vraie rencontre virale n’a en fin de compte pas eu lieu ; ce qui n’empêche pas que pour certains les effets secondaires soient non quelconques et parfois mortels (jusqu’à affaiblir voire dé-cons-truire durablement le système immunitaire naturel).

Mais ces dégâts collatéraux sont d’autant plus soigneusement cachés (ici statistiquement) — comme le font les assassins lorsqu’ils font disparaître leurs victimes — que le camouflage de cette obligation injectable évite alors l’obligation d’indemniser (comme l’indique Maître David Guyon). Par le trompe-l’œil de l’impératif moral (ce serait un « devoir » selon les vœux de l’autre V faisant office de prothèse présidentielle) la Secte affairiste-hygiéniste au pouvoir passe cette obligation sous silence, ce qui est d’une perversité rare.

Le V, lui, n’en a cure, enfermé délicieusement dans sa bulle sectaire (tout en montrant du doigt encore une fois « l’autre » — avant extermination ? Nous en sommes qu’à deux ans de coup d’État hygiéniste après tout…). Peu importe si le nouveau variant n’est guère létal (et qu’il n’y a pas eu de surmortalité en 2020, mais un taux d’occupation infime des hôpitaux), puisqu’il s’agit, pour les V en service commandé (entre Noël et le Nouvel An), de vendre en réalité l’idée du PaSS. Comme le remarque bien Maître Pierre Gentillet, celui-ci est appelé à durer pour se transformer peu à peu en PaSS sociopolitique — via les biais rationalisés comme ceux du climat, du racisme, des LGTBQ++ — qui vous infirme dans vos droits si vous avez péché à l’encontre de cette nouvelle trilogie sacrale, celle du néonazisme au pouvoir arrivé à stance.

La qualification de « PaSS néonazi » peut certes être trouvée « exagérée » ; mais pourtant il semble bien que celle de « totalitarisme », quoique pertinente, reste trop abstraite, parce qu’elle n’indique pas l’amplitude concrète de son emprise visant à la manipulation non seulement mentale, mais aussi biologique, au niveau non seulement génétique, mais génital et hormonal.

Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si la génération issue de 68, qui a été la première à expérimenter massivement des substances chimiques (opiacés, LSD, amphétamines…, excitants divers) et qui milite pour tout ce qui peut se substituer à la procréation naturelle, soit actuellement à la manœuvre pour le compte des Maîtres néonazis qu’ils détestaient naguère (et toujours encore, par injonction paradoxale là encore : « j’aime tant te détester », comme dans Portier de Nuit). Ces derniers les tiennent aujourd’hui financièrement et libidinalement en laisse (biochimique) dans la nouvelle conformité, avec les morales néo-léninistes destroy du désir et du plaisir qui servent de canevas symbolique pour fabriquer charnellement leur nouveau peuple global aseptisé dans tous les sens du terme.




Manifestation Gilets jaunes devant BFM à Paris, 29 décembre 2021

[Source : NTD Français]




Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie

[Source : cv19.fr]

Par Antonin Pimousse

C’est établi, tout le monde le sait, il y a des milliers d’études, le SARS-CoV-2 est le virus responsable de la grille de symptômes appelée COVID-19. [Ndlr : selon le récit officiel.]

Il y a des doutes sur l’efficacité des masques, des confinements, des passes sanitaires, de la distanciation sociale, des vaccins, des modes de transmissions, de la période d’incubation, de l’infectiosité des asymptomatiques, de la pertinence des tests PCR, mais le fondement, le virus, est inattaquable [Ndlr : selon le récit officiel].

Il y a d’ailleurs trois études qui affirment démontrer que ce virus est contagieux et responsable d’une maladie, chez l’animal certes, éthique oblige, mais s’il fallait une preuve pour ceux qui douterait (qui douterait d’une évidence ?), c’est bien dans ces articles que nous la trouverons.

Souris

Le premier est une étude chinoise publiée le 07 mai 2020 dans la revue Nature, La pathogénicité du SARS-CoV-2 chez les souris transgéniques hACE2, elle affirme “confirmer la pathogénicité du SARS-CoV-2 chez les souris hACE2”.

Les souris hACE2 sont modifiées génétiquement pour qu’elles expriment l’ACE2 humain (hACE2), enzyme de conversion de l’angiotensine 2, présente dans pratiquement tous les organes chez l’homme et identifiée comme le récepteur fonctionnel du SRAS.

L’expérience est simple, il y a trois groupes de souris :

Le premier groupe est constitué des souris transgéniques (hACE2) à qui on inocule nasalement après anesthésie avec Avertin l’isolat du SARS-CoV-2 (un isolat en virologie n’est pas un isolat comme en bactériologie, l’isolat est ici une culture cellulaire sur cellules rénales de singes Vero contenant de la L-glutamine, du glucose, du pyruvate de sodium, du bicarbonate de sodium, du sérum bovin fœtal, de la pénicilline et de la streptomycine) ;

Le deuxième groupe est constitué de souris sauvages normales à qui on inocule l’isolat de la même manière ;

Le troisième groupe est constitué de souris transgéniques à qui on inocule nasalement une solution saline (tampon phosphate salin).

De légers poils hérissés et une perte de poids a été observé uniquement chez les souris hACE2 inoculée, atteignant 8% 5 jours après l’infection puis revenant rapidement à la normale, aucun autre signe clinique n’a été détecté.

Si des poils hérissés et une perte de poids ne correspond pas forcément aux symptômes observés chez l’homme, il s’agit de souris et on peut envisager qu’elles réagissent différemment.

Cette expérience présente néanmoins certaines lacunes qui peuvent faire douter de la pertinence des résultats obtenus.

Premièrement l’expérience témoin, les scientifiques déclarent utiliser un isolat, mais le terme n’est pas approprié puisque la solution s’apparente plus à une soupe de matériels génétiques provenant de trois espèces différentes et de produits toxiques, cette solution ne contient pas uniquement le virus. Il serait très simple de reproduire la même culture cellulaire sans y ajouter l’isolat de SARS-CoV-2 et de l’inoculer au groupe témoin, pourtant, seule une solution saline est utilisée.

Aurait-on obtenu les mêmes résultats si les souris du groupe témoin avaient été traitées de la même manière ?

Les scientifiques n’ont peut-être pas jugé utile de pratiquer cette expérience, car ils inoculaient également les souris sauvages de la même manière que les souris transgéniques, elles n’ont d’ailleurs pas présenté de symptômes (perte de poids et fourrure hérissée). Mais comme l’expérience témoin sur les souris transgéniques est questionnable, il n’est pas établi que les produits de la culture cellulaire seuls ne provoquent pas une réaction différente entre souris sauvages et souris hACE2.

Toute modification génétique entraîne des réactions imprévisibles, on sait par exemple que les souris transgéniques surexprimant l’ACE2 dans le cœur présentent une mort subite due à des arythmies cardiaques. L’explication possible de ce phénotype défavorable peut être liée à un rôle non défini de l’ACE2 au cours du développement. Il est probable que la surexpression chronique de l’ACE2 et/ou de l’Ang-(1-7) puisse induire des anomalies du développement chez les souris transgéniques.

Les résultats de cette étude utilisant des souris génétiquement modifiées sont donc difficilement interprétables, il est possible que les méthodes seules utilisée dans cette expérience, en dehors du virus fourni par une autre équipe de chercheurs, conduisent aux mêmes résultats.

Cette étude avait également fait scandale à sa première parution, car des manipulations au niveau des photographies histopathologiques avaient été détectées par Elisabeth Bik, une consultante en microbiome et intégrité scientifique.

Ce n’est pas super. Un article de @Nature sur la pathogénicité du SARS-CoV-2 avec un chevauchement possible des photos représentant les différents groupes traités.
https://twitter.com/MicrobiomDigest/status/1260030238987128833

La figure 3 pose aussi question,

“nous avons démontré la colocalisation de la protéine S du SARS-CoV-2 (Fig. 3f) et du récepteur humain ACE2 (Fig. 3g) dans les cellules épithéliales alvéolaires des souris hACE2 infectées par HB-01 en utilisant l’immunofluorescence, à 3 dpi (Fig. 3h). Ce phénomène n’a pas été observé chez les souris hACE2 traitées par tampon phosphate salin (PBS) (Fig. 3a-d) ou chez les souris de type sauvage infectées par HB-01 (données non présentées), ce qui indique que le SARS-CoV-2, comme le SARS-CoV, utilise l’ACE2 humain comme récepteur d’entrée.”

Il aurait été plus pertinent de comparer les résultats des souris sauvages inoculées avec ceux des souris transgéniques pour démontrer ce point, il est tout à fait possible que la protéine S soit détectée simplement par ce qu’elle a été inoculée, indépendamment du récepteur hACE2, et dans ce cas une image d’une souris sauvage inoculée chez qui on ne détecterait pas la protéine S donnerait plus de crédibilité à l’étude.

Cette étude apporte donc difficilement une preuve irréfutable du lien entre le matériel génétique utilisé et la perte de poids et la fourrure hérissée des souris transgéniques, mais d’autres études de ce type pourront peut-être répondre aux différents points soulevés.

Hamsters

Le deuxième article est une étude chinoise publiée le 3 décembre 2020, “Simulation des manifestations cliniques et pathologiques de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) dans un modèle de hamster doré syrien : Implications pour la pathogenèse et la transmissibilité de la maladie

Cette race de hamster a été choisie en raison de la similarité entre l’ACE2 humain et celui de l’animal.

L’expérience utilise des méthodes similaires à la première sur les souris, un groupe de 11 est inoculé intranasalement avec “l’isolat” du SARS-CoV-2, et un groupe de 3 avec une solution saline. Seuls les anesthésiants changent, ici de la kétamine et de la xylazine.

En noir le groupe inoculé avec la solution saline,
en rouge avec l’isolat du SARS-CoV-2 et l’évolution du poids.

“Les animaux exposés au SARS-CoV-2, mais pas ceux inoculés avec la solution saline (PBS), ont présenté une perte de poids corporel moyenne progressive allant jusqu’à environ 11 % de 1 à 6 jours, puis ont progressivement repris leur poids à 14 jours (figure 2A). Ils ont développé une léthargie, une fourrure ébouriffée, une posture de dos voûté et une respiration rapide depuis 2 dpi et ont commencé à se rétablir à 7 dpi. Aucun des animaux infectés par le SARS-CoV-2 et des animaux infectés par le virus fictif n’est mort.”

Cette étude présente donc les mêmes défauts que la première concernant l’expérience témoin, il y a aussi une différence importante de hamsters utilisés (11 contre 3) induisant une variation des paramètres de poids plus important entre la moyenne des deux groupes et une absence de groupe témoin pour les images histopathologiques des voies respiratoires (disponible pour la rate et l’intestin, ce qui représente peu d’intérêt).

Dans la deuxième partie de l’étude, des hamsters inoculés (n=3) avec l’isolat sont mis dans la même cage que des hamsters sains non inoculés (n=3) pour étudier l’infectiosité.

En noir les hamsters “contact”,
en rouge les hamsters inoculés et l’évolution du poids.

Le groupe inoculé présente une perte de poids corporel moyenne progressive allant jusqu’à environ 15 % de 1 à 6 jours, le groupe contact naïf ne montre pas de perte de poids moyenne plus importante que le groupe inoculé avec solution saline, en fait ils gagnent même beaucoup plus de poids après 14 jours.

Il est noté : “Il est intéressant de noter que les animaux index ont présenté une perte de poids significativement plus importante (P < 0,05) que les animaux contacts entre 2 et 8 dpi.”
“La perte de poids minime chez les animaux contacts naïfs pourrait être liée à un inoculum viral plus faible par rapport à la dose intranasale unique élevée de virus reçue par les animaux index stimulés.”

Les scientifiques ne mentionnent à aucun moment les signes cliniques des hamsters contacts naïfs, peut-être n’en ont ils pas observés.

Ils concluent que l’expérience à marché, car les deux groupes de hamsters ont été testés positifs par test PCR, mais rien ne montre que les hamsters contacts soient tombés malades. Il est possible qu’une partie du matériel génétique inoculé aux hamsters index se soit répandu aux hamsters contacts sans induire le moindre symptôme, et que les hamsters index aient présenté des symptômes à cause des méthodes et produits contenus dans l’isolat.

Il est également précisé que “Les modifications histopathologiques et l’expression de la protéine virale N dans les cornets nasaux, la trachée, les poumons et les tissus extrapulmonaires des animaux de contact étaient similaires à celles des animaux contaminés (figure supplémentaire 5).”

La figure supplémentaire 5 en question :

Aucune précision sur la partie des voies respiratoires représentée, et le gène S semble être présent à l’état de trace par rapport aux autres images.

Cette deuxième étude montre donc difficilement le lien entre SARS-CoV-2 et une maladie chez le hamster, l’expérience de transmissions entre hamsters inoculés et hamsters contacts tend même à démontrer une absence d’infectiosité entre contacts (chez le hamster).

Macaques

La troisième étude, publiée le 12 mai 2020 par une équipe aux États-Unis, “Maladie respiratoire chez les macaques rhésus inoculés avec le SARS-CoV-2” est le modèle parfait pour étudier la contagiosité du SARS-CoV-2 sur un modèle non-humain, car l’ACE2 du macaque rhésus est 100 % identique à l’ACE2 humaine au niveau de la région d’interface.

8 macaques (4 mâles et 4 femelles) sont inoculés avec une culture cellulaire de compositions similaires aux isolats de la première et deuxième étude via une combinaison d’administration intranasale (0,5 ml par narine), intratrachéale (4 ml), orale (1 ml) et oculaire (0,25 ml par œil), cette fois aucune anesthésie n’est effectuée.

“Nous avons inoculé à huit macaques rhésus adultes l’isolat nCoV-WA1-202014 du SARS-CoV-2. Le premier jour après l’inoculation (dpi), tous les macaques ont montré des changements dans leur schéma respiratoire et leur piloérection (hérissement des poils), comme le reflètent leurs scores cliniques (Fig. 1a). Les autres signes de maladie que nous avons observés comprenaient une diminution de l’appétit, une posture voûtée, une apparence pâle et une déshydratation (Tableau 1 des données étendues). La toux a été entendue occasionnellement dans la pièce où les macaques étaient logés, mais n’a pas pu être attribuée à des macaques individuels. Les signes de la maladie ont persisté pendant plus d’une semaine, tous les macaques étant complètement guéris entre 9 et 17 dpi (Fig. 1a, Données étendues Tableau 1). Nous avons observé une perte de poids chez tous les macaques (Fig. 1b) ; la température corporelle a atteint un pic à 1 dpi mais est revenue à des niveaux normaux par la suite (Fig. 1c). Sous anesthésie, les macaques n’ont pas montré une respiration accrue ; cependant, tous les macaques ont montré des schémas respiratoires irréguliers (Fig. 1d).”

Nous noterons d’abord qu’aucune expérience témoin n’est effectuée, “Un système en double aveugle n’a pas été utilisé dans cette étude car tous les macaques ont été soumis au même traitement.”, une logique questionnable, le traitement auquel les macaques sont soumis étant potentiellement traumatique (les macaques ne sont pas anesthésiés et sûrement contentionné pour l’inoculation) et la culture cellulaire utilisée contenant beaucoup d’autres substances que le virus SARS-CoV-2, elle pourrait potentiellement induire une réaction toxique ou allergique.

Les scientifiques pointent eux-mêmes que le schéma respiratoire des macaques revient à la normale après anesthésie (pour euthanasie), indiquant que la modification de la respiration, ainsi que les autres symptômes, pourraient également être liés au stress induit par les méthodes physiques utilisées pour l’inoculation.

Les macaques sont également testés par PCR :

“L’excrétion virale était la plus élevée dans le nez (figure 2a) ; le virus a pu être isolé dans des écouvillons prélevés à 1 et 3 dpi, mais pas par la suite. Les charges virales étaient élevées dans les écouvillons de gorge immédiatement après l’inoculation, mais elles étaient moins constantes que dans les écouvillons de nez par la suite ; chez un macaque, les écouvillons de gorge étaient positifs à 1 dpi et à 10 dpi, mais pas entre les deux (Fig. 2a).”

Ces données semblent indiquer que la culture cellulaire inoculée rend positif le test PCR s’il est effectué sur les tissus inoculés. En mettant du matériel génétique chez les macaques et en retrouvant ce matériel génétique chez eux, on prouve donc que du matériel génétique a été inoculé à des macaques. La “charge virale” ne semble pas non plus augmenter comme on pourrait le penser si le virus se répliquait dans les cellules, il semble être excrété comme une particule exogène non-assimilable par l’organisme (du macaque).

Les images histopathologiques et des poumons sont difficilement interprétables en l’absence de groupe témoin soumis au même traitement (mais sans virus). Une inhalation pulmonaire de la culture cellulaire pourrait également provoquer les “changements” observés.

Nous avons donc revu ici les trois articles scientifiques majeurs utilisés pour démontrer la pathogénicité du SARS-CoV-2 et son lien de causalité avec la maladie Covid-19.

S’ls présentent quelques défauts méthodologiques, cela ne prouve toujours pas que le SARS-CoV-2 n’est pas contagieux et responsable du COVID-19 chez l’homme.

Pourquoi ?

Par ce que nous n’avons pas d’autres modèles pour expliquer la maladie, la biologie et la vie.

[Note de Joseph : si, il existe un tout autre modèle. Voir notamment :

Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
La théorie des exosomes contre celle des virus

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Fauci et la grande arnaque du sida
L’outil statistique maîtrisé démontre que la Covid et les maladies hivernales telles que la grippe ne sont pas des phénomènes de contagion, mais sont fortement corrélées à la température
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale
Deux visions de la maladie et de la santé
Vie et mort des systèmes
Terre vivante ?
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience

De plus le modèle viral apparaît frauduleux, puisqu’on ne trouve apparemment aucune étude qui respecte intégralement la démarche scientifique avec les expériences de contrôle ou contre-expériences que l’on devrait pourtant logiquement mener pour établir la réalité du lien de cause à effet entre le virus et la maladie qu’il est supposé provoquer. Notamment les virus devraient respecter les postulats de Koch et de Rivers (voir en particulier Déclaration sur l’isolement des virus).

Question subsidiaire concernant cette étude particulière : si le SRAS-CoV-2 est censé être la cause de la Covid via les récepteurs ACE2, et sachant que le singe n’est pas si éloigné que ça de l’Homme sur le plan génétique, pourquoi les présents symptômes pour les macaques seraient la démonstration que ces derniers ont eu la Covid alors qu’ils n’ont aucun rapport avec les symptômes humains ? La réponse logique est la suivante : en fait ils ne démontrent rien, parce que le matériel injecté n’est pas la cause de la Covid, mais d’un empoisonnement à cause des produits toxiques présents dans l’isolat. Et la Covid humaine est quant à elle le résultat d’autres types d’intoxication du corps, particulièrement ceux produits par des ondes électromagnétiques pulsées, comme la 4G, le Wi-Fi et la 5G.

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?]

Une maladie dite infectieuse doit être causée par un agent matériel unique, et l’élimination de cet élément d’origine inconnue (une chauve-souris, un pangolin, le voisin, qui ont eux même “attrapé ce virus” suite à sa formation par le biais de réactions chimiques aléatoires de la nature et de l’univers) ne peut être aboutie que par sa recherche et sa destruction. Le virus est une entité unique, aléatoire, sans but, que les cellules du corps répliquent jusqu’à leur éclatement, c’est ainsi.

Si l’alimentation, les carences, l’état psychique, le microbiome, les toxines et polluants ont un rôle sur la santé, c’est avant tout en jouant sur le système immunitaire qui permet de se battre contre les virus et bactéries pathogènes. L’homme a évolué depuis des milliers d’années en s’adaptant aux virus, à tel point que 8 % de son ADN en serait composé, il fait partie intégrante de notre code génétique.

Il est donc impossible que le SARS-CoV-2 ne soit pas contagieux, il est impossible que le SARS-CoV-2 ne soit pas responsable de la grille de symptômes appelée COVID-19, par ce qu’il est impossible que nous pensions autrement.
[Ndlr : selon le récit officiel.]

Antonin Pimousse




Covid-19 — Un présentateur de CNews : « Les Français sont anesthésiés… On s’est fait laver le cerveau »

[Source : echelledejacob]






Pour Fabrice Di Vizio les médecins ne devront pas se plaindre…

[Source : lereporterindependant]

… si maintenant à cause de la Covid, ils remplacent les soins par les statistiques.

*




Covid-19 : des voix dissimulées de spécialistes (Rétrospective 2021)

[Source : www.kla.tv/21171]

Des voix dissimulées de spécialistes ̶ en exclusivité sur Kla.TV (Rétrospective 2021)

L’année dernière, en 2021, les médias d’État financés par contribution obligatoire se sont encore plus enfoncés dans le marasme. Ils passent catégoriquement sous silence les avis spécialisés les plus importants de médecins, microbiologistes, chercheurs, scientifiques, avocats et témoins oculaires de haut niveau. Un discours ouvert n’est plus possible depuis longtemps. Le grand public n’est plus informé que de manière unilatérale par les principaux médias et est acculé par la peur, l’incitation à la division et les géants de l’industrie pharmaceutique avides de profits. En 2021, kla.tv a répondu au grand besoin de l’humanité en donnant la parole à des experts de tous les domaines importants de la science, de l’éducation et de la médecine. Pour vous, en exclusivité aujourd’hui, une rétrospective des principales voix professionnelles qui peuvent enfin transmettre leur savoir révélateur au monde entier sur Kla.TV …

Le Dr Sucharit Bhakdi est spécialiste en microbiologie et en épidémiologie infectieuse et ancien professeur à l’université Gutenberg de Mayence. Il y a dirigé pendant 22 ans l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène. Il a été l’une des premières voix spécialisées à remettre en question les mesures Covid19 et les restrictions massives des droits fondamentaux qu’elles impliquent, et a écrit une lettre ouverte à la chancelière allemande Angela Merkel à ce sujet. Avant même le début des vaccinations, il a été l’un des premiers à mettre en garde contre les dommages massifs causés par les vaccins, tels que les accidents vasculaires cérébraux, les hémorragies cérébrales et les décès dus à la vaccination. Lorsque ceux-ci se sont produits en grand nombre et dans toute leur tragédie, il a expliqué de manière compréhensible pour tous et sans relâche les tenants et les aboutissants afin de préserver la population mal orientée de dommages encore plus graves. Selon le Dr Bhakdi, les vaccins basés sur les gènes sont totalement différents des vaccins ordinaires et mille fois plus dangereux. Pour le Dr Bhakdi, la campagne de vaccination est le plus grand crime possible.

Me Reiner Fuellmich, avocat, résume ainsi les conclusions de la commission d’enquête extraparlementaire Covid19, dans laquelle plus de 150 experts ont déjà pris la parole :

  • Avec Covid19, il n’a jamais été question de santé.
  • Le virus n’est pas plus dangereux qu’une grippe, avec un taux de mortalité de 0,14 à 0,15 %.
  • Les prétendus vaccins sont en réalité des expériences de thérapie génique. Elles sont extrêmement dangereuses.
  • Selon une estimation conservative, il y aurait au moins 500 000 morts après le début de la vaccination.
  • Nos gouvernements n’agissent pas dans le meilleur intérêt de leur peuple, mais sont largement sous le contrôle des hommes de main des entreprises multinationales et des ONG.
  • Bill Gates parle depuis de nombreuses années de la nécessité de réduire de manière draconienne la population mondiale.
  • Klaus Schwab demande en outre un gouvernement mondial sous l’égide de l’ONU. Celui-ci doit être atteint par un chaos mondial sous forme de pandémies, de guerres et de catastrophes naturelles, afin que la population mondiale croie que seul un gouvernement mondial pourra encore l’aider.
    Me Fuellmich, avec l’aide de collègues internationaux, engage également des actions juridiques sous forme de recours collectifs contre les mesures Covid19 ».

Le Dr Wolfgang Wodarg est pneumologue, professeur contractuel en école supérieure, a dirigé pendant de nombreuses années un service de santé publique en tant que médecin officiel, a été pendant de nombreuses années député du SPD au Bundestag et président de la commission de la santé au Bundestag allemand, etc.
Il avait déjà mis en garde contre l’alarmisme alimenté par l’industrie pharmaceutique lors de la grippe porcine. Le Dr Wodarg a montré, preuves à l’appui, que le professeur Drosten s’est trompé dans son alarmisme de l’époque sur la grippe porcine. Il a vivement conseillé d’éviter les vaccins qui provoquent de graves effets secondaires. Selon lui, il n’y a pas lieu de s’alarmer outre mesure. Le Dr Wodarg a montré que l’OMS avait modifié la définition de la pandémie, de sorte que toute grippe peut aujourd’hui être déclarée pandémique. Ainsi, l’exigence d’un nombre élevé de décès ou de maladies graves a été supprimée de la définition.
Au sujet du vaccin ARNm-Covid, le Dr Wodarg déclare :

« Ce vaccin modifie génétiquement la personne qui est vaccinée. […] Des milliards de personnes doivent maintenant être vaccinées. C’est totalement irresponsable. Je ne peux que recommander aux gens : Ne vous faites pas […] vacciner avec un vaccin produit avec une telle négligence en si peu de temps ».

[Voir aussi :
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
Coronavirus : Une maladie respiratoire comme chaque hiver ? (du Dr. Wolfgang Wodarg)]

Le Dr Werner Bergholz, ancien professeur à l’Université Jakobs de Brême a travaillé pendant de nombreuses années dans le management de la qualité. En été 2021, il tire un bilan provisoire de la vaccination Covid : de 2000 à 2020, pour environ 40 millions de vaccinations, on a enregistré environ 20 décès par an. En 2021, jusqu’au mois de juillet inclus, il y a déjà eu 1 230 décès. Il ne s’agit donc pas d’une légère augmentation, mais d’une hausse dramatique. Selon la base de données de l’EMA, plus de 14 000 personnes sont déjà décédées en Europe. Cela signifie au moins dix fois plus de personnes gravement atteintes. Concernant la valeur d’incidence constamment utilisée, le professeur Bergholz déclare : « Cette incidence est une bêtise sur le plan physique, statistique et métrologique. »

[Voir aussi :
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Les soupçons de crime vaccinal anti-Covid se confirment]

En septembre 2021, lors de la conférence de pathologie de Reutlingen, le professeur Arne Burkhardt, expert en la matière, s’est penché avec des scientifiques, des médecins et des juristes sur les effets secondaires des vaccins Covid-19 pouvant entraîner la mort et sur des composants non déclarés des vaccins. Il a attiré l’attention sur des corps étrangers métalliques qui ont été identifiés dans les vaccins Covid-19 de différents fabricants. Il a également indiqué qu’au Japon, des particules métalliques avaient été trouvées dans le vaccin Moderna.

[Voir aussi :
Pr Arne Burkhardt : « Sur 10 autopsies, 5 décès sont très probablement liés à la vaccination »
Des médecins allemands confirment à nouveau la corrélation entre vaccin et surmortalité]

Lors du même congrès de pathologie de Reutlingen, Madame Dr Uta Langer a montré des clichés pris au microscope en champ sombre sur des restes de vaccins de la société BioNtech Pfizer. On y voyait des substances non organiques dont la taille variait entre 40 micromètres et 0,5 millimètres. Elle n’a pas pu déterminer avec certitude ce qu’étaient ces corps étrangers, mais il pourrait s’agir de micropuces. Des structures similaires ont pu être mises en évidence avec le vaccin Johnson & Johnson. Sur des prises de vue du sang de personnes vaccinées, Uta Langer a mis en évidence des amas de globules rouges en forme de rouleaux. En plus de cet effet, des corps étrangers semblables à des filaments et n’étant pas d’origine organique ont pu être identifiés dans les clichés.

Le Dr Bolland et d’autres médecins ont observé que des tumeurs cancéreuses se sont développées de manière explosive après une vaccination anti-Covid. Il parle spontanément de turbo-cancer et pose la question suivante : Est-il possible que cela soit lié à la vaccination ? Est-il possible que la question de la dégradation du système immunitaire par la vaccination, discutée dans les milieux spécialisés, joue un rôle dans ce cas ?

Le Dr Carrie Madej, spécialiste en médecine interne et ostéopathe, a dirigé pendant 19 ans deux cliniques dans l’État de Géorgie, aux États-Unis. Selon elle, les gens doivent savoir que le vaccin anti-Covid n’est pas un vaccin sûr. Cette campagne de vaccination serait une grande expérience publique sur l’humanité. Elle rappelle que ce type de vaccin utilise une technologie qui peut modifier génétiquement les organismes. Il n’existe pas d’études probantes pour ce vaccin. Toutes les expériences menées sur des animaux au cours des 20 dernières années avec des sérums vaccinaux à ARN-messager ou à ADN- modifié ont échoué. Lorsque les animaux vaccinés entraient en contact avec des agents pathogènes du rhume ou de la grippe, ils avaient plus de pneumonies, de problèmes de foie et il y avait plus de décès. Elle fait remarquer qu’en cas de décès ou d’effets secondaires après une vaccination, les fabricants n’assument aucune responsabilité ou indemnisation. Elle demande un moratoire sur ces nouveaux vaccins qui ont le potentiel de modifier durablement le génome humain.

[Voir aussi :
Quelle humanité pour demain ? Dr. Carrie Madej]

Le Dr Heiko Schöning est médecin et analyste à Hambourg, cofondateur de l’organisation « Ärzte für Aufklärung », de la « commission d’enquête extraparlementaire Covid » (ACU), vice-président de la « World Doctors Alliance » et cofondateur de la « World Freedom Alliance ». Grâce à ses recherches, il a pu démontrer que la pandémie de Covid répète une stratégie criminelle. Ces stratégies ont toujours été précédées de tests qui ont abouti à de nouvelles structures de pouvoir. C’est exactement selon le même schéma que les criminels d’aujourd’hui ont déjà commis un crime similaire avec des bactéries mortelles de l’anthrax en 2001. Des détails criminels et un sens aigu de la déduction l’ont amené à la conclusion suivante : ce sont toujours les mêmes instituts et clans qui sont impliqués dans ce jeu détestable. Lors de conférences de presse et d’interviews, il démontre que les chiffres du Covid publiés sur les infections et les décès sont falsifiés et gonflés par des astuces rhétoriques et mathématico-statistiques. Le Dr Schöning démontre que beaucoup de choses autour des mesures de la pandémie relèvent d‘un crime mafieux visant à remodeler le monde selon des règles totalitaires. Dans son livre « Game over », il a exposé par écrit ses connaissances, montré les structures et désigné les auteurs. Selon lui, nous sommes confrontés à une mafia internationale à laquelle appartiennent également des chefs d’État et des hommes politiques. Il encourage les gens à s’unir pour dénoncer ces crimes organisés à l’échelle mondiale et ainsi y mettre fin.

[Voir aussi :
Le crime organisé : COVID-19 et ANTHRAX-01 — Interview avec Heiko Schöning]

Le Dr Andreas Heisler est médecin généraliste à Ebikon Lucerne et a été médecin de garde pendant de nombreuses années. Depuis le début de la pandémie de Covid, il s’engage pour un discours ouvert entre les médecins, les scientifiques et les politiques. Avec des collègues médecins, il a fondé l’association Aletheia, « Médecine et science pour la proportionnalité ». Plus de 600 médecins sont déjà membres d’Aletheia, qui compte plus de 2 500 membres issus du secteur de la santé. Contrairement à la surpopulation des hôpitaux prévue par les médias au printemps 2020 en raison du Covid-19, le Dr Heisler a observé que l’hôpital cantonal de Lucerne, aménagé comme un hôpital de guerre, restait vide. Il l’a signalé dans une lettre adressée au ministère de la Santé à Berne, mais n’a reçu aucune réaction.
Le Dr Heisler considère la campagne de vaccination comme une expérimentation humaine et à propos de ses collègues médecins vaccinateurs, il dit : « Ce que vous faites va à l’encontre du code de Nuremberg qui stipule que nous ne pouvons participer à des expérimentations sur l’homme ! » D’autant plus si les gens ne sont pas mis au courant. Par ailleurs, le Dr Heisler fait état de graves effets secondaires liés à la vaccination.

Le scientifique et homme politique indo-américain Shiva Ayyadurai détient quatre diplômes d’ingénieur du prestigieux Massachusetts Institute of Technology. En tant que biologiste des systèmes, il qualifie cette crise de « la plus grande escroquerie anxiogène de tous les temps ». Il explique cette affirmation en comparant le nombre de décès dus au Covid-19 avec le nombre de décès aux États-Unis dus à d’autres causes, telles les maladies cardiovasculaires ou le cancer par exemple. Ceux-ci sont bien plus élevés – mais aucune panique n’est provoquée et aucune mesure n’est introduite.
M. Ayyadurai est convaincu que seule une approche holistique et des soins particuliers du système immunitaire peuvent être la réponse aux épidémies. De plus en plus de gens vivent sainement et comprennent que les médicaments sont toxiques. L’industrie pharmaceutique se concentre uniquement sur la production de vaccins et ouvre un nouveau champ d’activité avec la maladie du Covid. Sa conclusion est la suivante : dans cette crise du Covid, de nombreux médecins et scientifiques ne disent plus la vérité par peur de perdre leur emploi et par souci pour leur famille et, au contraire, courbent l’échine.

Le Dr Michael Yeadon a obtenu un doctorat avec mention en biochimie et toxicologie dans le domaine de la pharmacologie respiratoire. Il a ensuite passé sa vie à faire de la recherche dans l’industrie pharmaceutique, en se concentrant sur l’inflammation, l’immunologie et l’allergie en rapport avec les maladies respiratoires, ce qui fait de lui un expert dans ce domaine. Dès le début de la crise du Covid, il a été extrêmement préoccupé par les fausses informations diffusées par les politiques et les médias et par les mesures anti-Covid complètement inadaptées et exagérées. Le Dr Yeadon est horrifié par l’utilisation et l’interprétation totalement erronées des tests PCR et demande l’arrêt immédiat de ces tests. Au vu des dommages horribles et des décès causés par la vaccination, l’initié Yeadon qualifie les vaccins Covid de crime contre l’humanité et met expressément en garde contre leur utilisation. Il qualifie de meurtre le fait de vacciner des enfants, compte tenu des dommages à long terme et des taux de mortalité élevés.

[Voir aussi :
Dr YEADON : Nous allons nous interposer entre ces criminels et nos enfants
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves. MàJ : vidéo]

Le Dr Christian Zürcher est spécialiste de la douleur et médecin généraliste qui possède son propre cabinet en Suisse. Il rapporte que de nombreux patients ont présenté les troubles les plus divers après avoir été vaccinés par le vaccin anti- Covid : maux de tête, fatigue, modifications de la peau, lassitude, mais aussi changements de caractère. Des patients lui ont rapporté que des proches étaient en parfaite santé avant la vaccination et qu’ils sont ensuite tombés gravement malades, ont subi des attaques cérébrales ou sont décédés. Lors de l’interview, le Dr Zürcher a montré, à l’aide d’une étude de l’Université d’Oxford, que les « vaccinés » avaient une charge 251 fois plus élevée de virus COVID-19 dans leurs narines par rapport aux « non vaccinés ». Cette étude a été publiée dans la prestigieuse revue médicale « The Lancet ».

Le Dr Claus Köhnlein est médecin et auteur du célèbre livre « Virus-Wahn – Wie die Medizin-Industrie ständig Seuchen erfindet und auf Kosten der Allgemeinheit Milliarden-Profite macht » (La folie des virus – Comment l’industrie médicale invente constamment des épidémies et fait des milliards de profits sur le dos de la collectivité). Il a souligné d’emblée que le Covid-19 était une pandémie test. Comme pour la grippe porcine, une nouvelle épidémie est pour ainsi dire initiée afin de mettre des médicaments sur le marché et de faire en sorte que des vaccins apparaissent à l’horizon. « Il suffirait de bannir le test du marché pour que la vie reprenne son cours normal. L’activité de la maladie serait alors comme elle l’a toujours été ». Le Dr Köhnlein a encore connu personnellement Kary Mullis, l’inventeur du test PCR. Mullis disait lui-même que cette méthode PCR ne permettait pas de diagnostiquer une maladie. Mais c’est exactement ce qui est fait aujourd’hui avec ce test. Et c’est sur cette base que se déroulent toutes nos mesures aberrantes.
Le Dr Köhnlein a expliqué la surmortalité momentanée en avril 2020 par le mauvais traitement initial des patients. C’est justement cette augmentation de la surmortalité en avril qui a répandu cette peur démesurée, avec des images soutenues par la presse comme les fosses communes à New York.

[Voir aussi :
Épidémies et contagions
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies]

Le Dr Rashid A. Buttar a suivi une formation en chirurgie générale et en médecine d’urgence. Il est toxicologue certifié pour les métaux et médecin préventif. Il est aujourd’hui directeur médical de la médecine avancée avec des cliniques en Californie et en Caroline du Nord. Le Dr Rashid Buttar révèle les activités criminelles de Bill Gates et d’Anthony Fauci. Il révèle également les mises en scène des urgences, les faux diagnostics délibérés, les certificats de décès et les taux d’occupation des hôpitaux falsifiés sur lesquels se basent les chiffres de la pandémie. Il montre également que la pandémie a été mise en place sur le long terme. Il démontre que les aspects fondamentaux du fonctionnement du système humain, tous les aspects de la viralité et des maladies infectieuses, ainsi que les postulats de Koch sont tout simplement ignorés.
Le Dr Buttar souligne que le test PCR n’est pas adapté à des fins de diagnostic. Le Dr Buttar est convaincu que des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques savent parfaitement qu’il s’agit d’une fraude. Mais ils ne diraient rien parce qu’ils ont peur d’être dénoncés, d’être socialement exclus et de perdre leur licence.

[Voir aussi :
Ce que cache le test PCR ?]

Marcel Barz, informaticien économique et ex-officier de l’armée nationale allemande, a examiné de plus près les chiffres de l’année 2020 publiés par les autorités publiques, comme l’Institut Robert Koch, et par les médias publics. Ses analyses statistiques ont révélé que 2020 était une année tout à fait banale en termes de mortalité. Dans aucun groupe d’âge, la mortalité n’a été particulièrement élevée par rapport aux années 2012 à 2020. Sur la base du nombre de décès en Allemagne, il n’a donc pas pu prouver l’existence d’une pandémie. Il a ensuite examiné l’occupation des unités de soins intensifs en 2020. En résumé, il a constaté qu’en Allemagne le nombre de lits de soins intensifs occupés était resté largement inchangé en l’espace de 15 mois. Seul le nombre de lits libres a été réduit de plus de 6 000 pendant la pandémie. De ce fait, le pourcentage d’occupation des lits de soins intensifs a faussement augmenté. Il en conclut que nous sommes ici trompés et abusés.

[Voir aussi :
« Je n’en peux plus »]

John O’Looney, entrepreneur de pompes funèbres au Royaume-Uni, a indiqué qu’il n’y avait pas d’augmentation du taux de mortalité avant la vaccination. Il a vu des personnes décédées qui ont été délibérément marquées comme mortes du COVID. Parmi eux, il y avait des patients atteints de cancer en phase terminale, des personnes ayant subi une crise cardiaque ou même des personnes accidentées. Mais il n’y a pas eu d’augmentation du nombre de décès, et c’était le cas dans tout le secteur. Dans aucune des entreprises de pompes funèbres avec lesquelles il a parlé et dans aucune des morgues où il est entré, on ne voyait rien correspondant aux chiffres de la pandémie. Mais avec la vaccination, le taux de mortalité a augmenté de manière exceptionnelle. O’Looney a déclaré :

« Je n’ai jamais rien vu de tel en 15 ans. Nous avons affaire à un programme de dépopulation ».

[Voir aussi :
Covid-19 : témoignage d’un directeur de pompes funèbres]

Le Dr Peter McCullough est cardiologue au Texas. Il est en première ligne dans le débat sur la sécurité des vaccins contre le Covid. Il s’oppose à la vaccination des enfants parce que des études indiquent qu’un enfant est plus susceptible d’être hospitalisé avec une inflammation du cœur comme effet secondaire qu’avec le Covid-19. Concernant le port du masque, il affirme qu’aucune étude n’a pu démontrer que les masques protègent les enfants.
Selon le Dr McCullough, une étude a démontré qu’une vaccination répétée a pour effet de charger l’organisme en protéine spike. Des études montrent que la protéine spike s’accumule notamment dans le cœur, la moelle osseuse et le système immunitaire. Ainsi, les vaccinations répétées peuvent entraîner des maladies chroniques en raison de l’accumulation de protéine spike dans l’organisme. La FDA (agence américaine des médicaments) a déjà mis en garde contre diverses maladies neurologiques consécutives à la vaccination, entre autres le syndrome de Guillain-Barré.

[Voir aussi :
Analyse des assertions scientifiques d’Emmanuel Macron par le Pr Peter McCullough
Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste]

Le Dr Toku Takahashi, ancien professeur et directeur de clinique au Japon, a rapporté dans une interview avec Kla.TV :

« En 2018, il y a donc 3 ans, seules trois personnes au total sont décédées au Japon des suites du vaccin contre la grippe. Mais plus de 1 300 personnes, sans compter les cas non déclarés, sont déjà décédées (jusqu’à mi-2021 environ) des suites de la vaccination Covid 19. C’est une énorme différence. »

Lui aussi cite les vaccins à ARNm comme étant la cause de décès dus à la vaccination, car ils produisent la protéine spike qui est toxique dans le corps des personnes vaccinées et qui peut provoquer des inflammations dans les vaisseaux, pouvant éventuellement entraîner diverses embolies comme des thromboses ou des infarctus pulmonaires. Le Dr Takahashi rapporte qu’en raison du manque de couverture médiatique, une grande partie de la population japonaise ne sait pas que les vaccins Covid n’ont pas été entièrement testés et qu’il ne s’agit pas d’un vaccin traditionnel, tel un vaccin antigrippal ordinaire.

Mesdames et Messieurs, il est scandaleux que les médias publics que nous finançons par contribution obligatoire en tant que peuple, censurent ces voix d’experts dans le monde entier et ne leur donnent pas la parole. Malgré les attaques et les calomnies massives des médias publics et les attaques d’associations professionnelles de hackers, Kla.TV s’est continuellement et pleinement engagé quotidiennement pour vous en 2021.
Diffusez nos émissions dans toutes les langues disponibles et faites connaître Kla.TV. Nous concluons avec les paroles courageuses d’Ole Skambrax, un rédacteur de l’ARD qui a appelé le scandale par son nom et a été licencié peu après par la chaîne SWR de l’ARD :

« Je ne peux plus me taire. Je ne peux plus accepter sans rien dire ce qui se passe depuis maintenant un an et demi chez mon employeur, le service public de radiodiffusion. Les statuts et les traités d’État pour les médias stipulent « pondération », « cohésion sociale » et « diversité » dans les reportages. C’est exactement le contraire qui est pratiqué. Il n’existe pas de véritable discours et d’échange dans lequel toutes les parties de la société se retrouvent. »



de ls/ts/ch/hm

Sources / Liens :




Boris Cyrulnik : Pourquoi dire non — Langage totalitaire et résistance (conférence)

[Source : Université Clermont Auvergne]

Boris Cyrulnik, Docteur en médecine, Neuropsychiatre, Neurologue, auteur de nombreux livres grands publics et professionnels a animé le 21 octobre 2021 une conférence intitulée « Pourquoi dire non, langage totalitaire et résistance » dans les locaux de l’Université Clermont Auvergne.

Pourquoi lors de catastrophes (naturelles, sociales, ou dictature, etc.), certaines personnes ont le courage ou la force de dire non, alors que d’autres ont le plaisir de se soumettre ?

[Voir aussi Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
et lien annexes]




Lettre ouverte au Collectif des Maires Résistants

Par Geneviève Pagnard 

Sommaire :

1- Présentation de mon parcours

2- Lien entre la situation actuelle et la place de Big Pharma et des GAFA

3- Lien entre la manipulation destructrice et la situation actuelle

4- Solutions pour sortir de la dictature

5- Conclusion

Tout d’abord, je souhaite vous remercier pour votre remarquable et saine initiative de rassembler le maximum de maires pour revenir à la défense des droits du peuple.

L’objet de cette lettre est de mettre en lien différents domaines de la Société actuelle pour aboutir à des propositions pour la France de demain (c’est-à-dire 2022). Ces liens me sont permis par le parcours que j’ai suivi dans mon cursus universitaire et psychiatrique.

1- Présentation de mon parcours professionnel

Pour ma part, je suis médecin psychiatre victimologue, diplômée de Criminologie et Agressologie. J’ai rédigé ma thèse de Médecine sur «La pollution en Méditerranée par les insecticides et les agents bactério-virologiques». Cette thèse a été primée en 1985 par le Ministère de l’Environnement et l’Académie de Médecine. Elle a une implication dans les liens évoqués rapidement ci-dessus. 

Ce prix implique que depuis au moins 1985, les politiques sont au courant de la gravité des effets de la pollution sur l’environnement et sur la population, et, ils ont continué malgré tout dans le sens de ces graves pollutions….

Je précise n’avoir aucun conflit d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, ni aucun autre lobby ou aucune administration. Je n’ai aucune appartenance politique ni religieuse.

Du fait de mon refus des injections covid, nos gouvernants et dans leur sillage, le Conseil de l’Ordre des Médecins, m’interdisent l’exercice de médecin psychiatre en tant que salariée, libérale, mais aussi, chose incompréhensible, sous la forme de téléconsultations, c’est-à-dire entre mon ordinateur et celui d’un patient qui peut résider dans un autre pays, voire à l’autre bout du monde… 

De ce fait, comme beaucoup de soignants, je suis mise au ban de la Société, mon dernier contrat de travail et mon salaire ayant été suspendus le 15 septembre 2021, comme beaucoup de mes confrères…

Je n’exerce donc plus en tant que médecin psychiatre, mais, par téléconsultation, en tant que psychothérapeute victimologue et c’est à ce titre que je m’exprime ici…

Pour mieux vous faire comprendre ma démarche, il me faut d’abord vous expliquer mon parcours et vous en comprendrez alors mieux les implications actuelles.

J’ai commencé la victimologie directement sur le terrain, lors des attentats du RER de Saint-Michel à Paris, puis j’ai été amenée à suivre d’innombrables victimes de traumatismes en tout genre : braquages de banques, agressions, viols, accidents de la route, etc., et très rapidement, je me suis rendu compte que les victimes voient leur vie basculer à la suite de ces traumatismes et que leur vie ne sera plus jamais la même par la suite. Mais plus encore, je me suis rendu compte que ces traumatismes sont des traumatismes ponctuels et qu’à côté de ces traumatismes, il y a des traumatismes répétitifs, beaucoup plus nombreux que sont les violences intrafamiliales comprenant les violences physiques, les violences psychologiques (seules ou souvent associées au violences physiques), les viols et les incestes, etc.

Pour avoir suivi des centaines de victimes de violences psychologiques, j’ai mis en évidence un processus totalement stéréotypé d’un cas sur l’autre qui est la manipulation destructrice (MD), exercée par un profil d’individus associant des traits de personnalité pervers (instrumentalisation de l’Autre, agressions masquées sous un air faussement bienveillant, se considèrent comme au-dessus des lois), paranoïaques (ils font la loi, sont psycho-rigides, ne se remettent jamais en question, estiment avoir toujours raison et sont donc totalement imperméables au dialogue), et psychopathiques (instabilité de l’humeur avec des colères brusques et sans fondement, une intolérance totale à la frustration, un chemin de vie privé et professionnel souvent instable). 

Les ravages provoqués par les MD sur les conjoints victimes et les enfants sont considérables et ont des implications qui se répercutent jusque dans les générations suivantes.

C’est pour tenter d’attirer l’attention des juges aux affaires familiales et des juges pour enfants, qui n’ont aucune formation psy (…) et particulièrement dans la reconnaissance de ce processus destructeur, mais aussi pour attirer aussi l’attention de tous les professionnels judiciaires qui interviennent dans le champ de la famille et passent la plupart du temps à côté de ce processus que j’ai écrit «Crimes impunis ou Néonta : histoire d’un amour manipulé», dans lequel je décris sous forme romancée, l’histoire d’une famille victime d’un MD, avec au fur et à mesure, un décryptage de ce processus de MD de manière à ce que, par une simple lecture de ce livre, tous ces professionnels judiciaires apprennent à repérer ce processus de manipulation destructrice tellement fréquent, insidieux et destructeur qui touche au bas mot 30 % de la population. La forme romancée leur permet de bien comprendre comment les victimes (pourtant souvent intelligentes…) tombent dans ce piège et à quel point la destruction quotidienne finit par les faire sombrer, et les enfants avec elles…

Et c’est ainsi que j’ai été auditionnée par M. Guy Geoffroy, Député et Madame Muguette Dini, Sénatrice, dans le cadre de la loi du 09/07/2010 sur les violences conjugales et les violences faites aux femmes, et qu’ils ont voulu décloisonner la Justice en introduisant un délit de harcèlement moral dans le couple et la famille, permettant aux Juges aux affaires familiales de sanctionner les agresseurs, et permettant d’éviter aux victimes de devoir se retrouver encore confrontées à leurs agresseurs devant un magistrat de correctionnelle.

J’ai pu admirer l’investissement profond de ces deux personnes, leur désir profond de faire avancer la défense des victimes et j’ai pu les retrouver ultérieurement tout aussi investies dans la défense des victimes d’agressions sexuelles.

2- Lien entre la situation actuelle et la place de Big Pharma et des GAFA

Ma thèse sur la pollution par les insecticides m’a permis de découvrir l’impact délétère de ces produits sur l’environnement à large échelle : le DDT qui a une rémanence de 30 ans dans l’environnement, fabriqué par Monsanto et interdit de fabrication en France dans les années 1967, mais qui est utilisé aux Antilles actuellement, Antilles qui sont pourtant françaises… 

Le chlordécone, interdit en France qui lui a une rémanence de…. 700 ans dans l’environnement et entraîne notamment des cancers de la prostate et qui est utilisé dans les bananeraies aux Antilles, Antilles pourtant françaises… Et où vont les bananes ensuite ??? En France métropolitaine, dans les assiettes de nos «chères petites têtes blondes»…

Ces pesticides qui comme les fertilisants, les additifs alimentaires, les perturbateurs endocriniens, etc., etc., tous ces produits des grands lobbies entraînent des maladies comme l’hypertension artérielle, le diabète, le cancer, l’obésité, les maladies auto-immunes (comme la thyroïdite d’Hashimoto, la polyarthrite rhumatoïde, etc.), etc. et détruisent parallèlement la flore et la faune terrestres et aquatiques, c’est-à-dire la planète entière (pollution environnementale à large échelle, merci les grands lobbies et les politiques qui les entretiennent dans ce sens, et merci ensuite de culpabiliser les Français d’être des pollueurs, et les Antillais de refuser la vaccination : «l’hôpital qui se fout de la charité» !!!…)

Ces comorbidités qui fragilisent de plus en plus les populations depuis l’après-guerre à l’insu de ces populations… et qui font que, leur système immunitaire étant trop sollicité, elles auront de plus en plus de mal à faire face à des maladies ou épidémies normalement bénignes…

Big Pharma, l’industrie pharmaceutique a pris ces dernières décennies, une place phénoménale (dans le formatage des médecins, mais aussi sur les gouvernants, obtenant notamment une loi qui les dégage de toute responsabilité des effets secondaires de leurs vaccins, notamment les… 11 vaccins imposés maintenant à nos bébés !!!…), Big Pharma qui soigne «généreusement» les patients victimes de toutes les comorbidités que tous ces produits toxiques entraînent, et «la boucle est bouclée» !!!…

De même les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon), qui ont aussi pris une place prépondérante sur nombre de gouvernements (comme l’indique le rapport N°673 du Sénat français du 03/06/2021, rapport louant la place prise par les GAFA et vantant le contrôle que le numérique va permettre sur la population…).

L’ensemble de ces énormes lobbies aboutit ainsi à la situation actuelle dans cette prétendue pandémie «grave» du covid, on constate que tout est lié aujourd’hui : les polluants des grands lobbies entraînent des comorbidités «soignées grâce à Big Pharma», comorbidités qui rendent les patients fragiles face à des maladies normalement bénignes, en mettant leur système immunitaire à mal, et Big Pharma, grâce aux politiques, veut baisser encore plus les défenses immunitaires de ces patients par leurs injections et faire flamber leurs comorbidités, mais aussi provoquer d’innombrables effets secondaires graves, voire mortels sur des personnes parfaitement saines… C’est CRIMINEL !!!…

Manifestement, tout le système est profondément corrompu.

3- Lien entre la manipulation destructrice et la situation actuelle

On voit depuis le début de cette histoire du covid, se mettre en place, très progressivement et insidieusement, tous les ingrédients de la manipulation destructrice (MD) :

  • un beau principe mis en avant : «il faut protéger les autres, mettre un masque, respecter le confinement, etc., l’état veut votre bien et vous protège par toutes ces mesures liberticides»
  • au passage, on culpabilise les Français (mais la mascarade covid actuelle est identique dans le monde entier et concerne tous les Terriens…) qui ne portent pas le masque, ne respectent pas les gestes barrières, et dernièrement, refusent de se faire injecter par Big Pharma.
  • des mensonges incessantsprésentés de façon très progressive, très insidieuse, comme savent si bien le faire les pervers, mensonges tous plus énormes les uns que les autres, sans prendre même soin de leur donner une apparence plausible, dans un mépris total du peuple, avec l’aide des médias et instituts de sondages, qui on le sait, sont la propriété des Bolloré, Lagardère et consorts, c’est-à-dire des journalistes en pleins conflits d’intérêts, payés pour entretenir la peur dans les populations par des pseudo variants «dangereux» pour forcer à la vaccination par un lavage de cerveau en règle et permanent, comme le font si bien les pervers !!!…..
  • une intolérance totale à la frustration, avec des mesures de plus en plus dictatoriales, paranoïaques et perverses sur les non vaccinés, mais également sur les vaccinés qui ont reçu une à deux doses, pour les obliger à passer à la vaccination «chronique», des mesures criminelles comme la suspension du contrat de travail et du salaire, l’obligation de se faire vacciner pour rendre visite à un proche hospitalisé (fût-il un enfant…), C’EST D’UNE CRUAUTÉ SANS NOM !!! Pire encore, il y a l’interdiction d’accès aux soins pour les non-vaccinés, notamment pour les insuffisants rénaux auxquels les dialyses, indispensables à leur survie, sont interdites s’ils ne se font pas vacciner !!! et qui sont face à un choix épouvantable qui est soit de mourir d’une insuffisance rénale, faute de dialyse, soit de se faire vacciner et de risquer de mourir par les effets secondaires d’une injection sur un terrain déjà extrêmement vulnérable, etc., etc.

C’EST D’UNE CRUAUTÉ SANS NOM ET CELA MÉRITE LES PIRES CHÂTIMENTS !!!…

L’unique but de toute cette vaste mascarade covid étant de FORCER A LA VACCINATION COÛT QUE COÛT, malgré les effets secondaires graves, voire mortels. C’est CRIMINEL…. Et, le tout allant dans le sens indiqué dans le rapport 673 du Sénat mentionné ci-dessus : avoir un contrôle strict de la population (sur son compte en banque, ses déplacements etc.etc.)

-un piétinement de toutes les lois nationales, européennes et internationales, dans l’illégalité la plus totale, les dirigeants se montrant au-dessus des lois et faisant les lois à la vitesse de l’éclair en fonction de leurs propres intérêts, mais toujours sous couvert pervers «de vouloir protéger le peuple de façon bienveillante»…

En conclusion, le système français, pyramidal, partant d’un président de la République avec, au plus bas échelon, le peuple, a fait ses preuves en matière de mesures liberticides, dictatoriales, antidémocratiques. Il est grand temps de passer à un autre système dans lequel le peuple retrouvera sa place…

4- Solutions pour sortir de la dictature

Aujourd’hui, pour sortir de cet épouvantable cauchemar, il faut rassembler des personnes authentiquement bienveillantes, qui ont fait leurs preuves de façon répétitive jusqu’au 29 décembre 2021. D’autres personnes mal intentionnées risqueraient en effet de «flairer le sens du vent» pour s’engouffrer dans le convoi et venir pervertir à nouveau le système.

Vous avez créé le Collectif des Maires Résistants, voulant rassembler tous les élus locaux, c’est-à-dire proches du peuple, et c’est un excellent point de départ, surtout si vous arrivez à fédérer tous les groupuscules créés à droite et à gauche pour en faire une organisation puissante par le nombre et la synergie.

[Voir aussi : https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/lappel-solennel-du-collectif-des-maires-resistants
ou ici]

Parmi les personnes bien intentionnées, j’ai relevé, dans le désordre :

  • Martine Wonner, psychiatre, député qui pourrait parfaitement, par sa double casquette, prendre en charge, sous forme collégiale bien sûr, le ministère de la Santé, aidée de ses confrères ci-dessous dans la gestion des épidémies.
  • Professeur Christian Perronne, infectiologue
  • Professeur Didier Raoult, infectiologue
  • Alexandra Henrion-Caude, généticienne
  • Christian Vélot, maître de conférence en génétique moléculaire
  • Valérie Bugault qui connaît à la perfection le droit et l’histoire du droit et pourrait être de grand conseil, de façon collégiale, pour la réorganisation de la gouvernance de la France. Elle prône en effet, comme le Collectif des Maires Résistants, de partir de la base et d’éviter le système pyramidal pervers.
  • Françoise Tulkens, ex-présidente de la CEDH qui peut aussi apporter son aide pour rétablir les lois telles qu’elles étaient avant le covid (et avant les obligations vaccinales, mais aussi avant la loi dédouanant Big Pharma de la responsabilité des effets secondaires de ses vaccins et celles qui dédouanent les politiques de leur responsabilité dans la gestion du covid…)
  • le CSAPE qui a déjà fait un énorme travail sur tous les textes de loi bafoués à l’échelon national, européen et international et a déposé en juin dernier une plainte près la CPI (Cour Pénale Internationale) pour crimes contre l’humanité, en dressant la liste des criminels présumés parmi les politiques français et leurs liens avec Big Pharma.

Il y a encore d’innombrables personnes qui se sont exprimées ces deux années (avant le 29 décembre 2021), notamment dans les deux hémicycles, et qui pourraient être associées à ce renouveau.

Apparemment (à vérifier en termes de personnalité pour être sûr…) :

Au parlement européen :

  • Virginie Joron
  • Raphaël Glucksmann

Au Sénat :

  • Stéphane Ravier
  • Alain Houpert
  • Loïc Hervé
  • Fabien Gay

À l’Assemblée nationale :

  • Eric coquerel
  • Jennifer DeTemmerman
  • José Evrard
  • Caroline Fiat
  • François Ruffin
  • Laurence Trastour-Isnart

Si leurs traits de personnalité sont sains, ils pourraient apporter leurs compétences dans des domaines qui leur sont propres, ce qui élargirait le champ des possibles.

Il y a aussi des personnes issues de collectifs, comme Profession gendarmesGendarmes libresPompiers libresFrance police, etc. qui semblent avoir compris qu’ils ont été instrumentalisés de façon très perverse par les dirigeants pour leur servir de bouclier protecteur contre le peuple, et que les dirigeants les ont armés comme des marionnettes exécutantes contre le peuple…

À chacun de nous de rassembler tous les noms des personnes qui ont (avant le 29 décembre 2021…) dénoncé la mascarade Covid sur les réseaux sociaux, etc..

Y compris le nom des journalistes et journaux qui ont sans relâche cherché à alerter la population avec de VRAIES informations, comme Richard BoutryFrance Soir, etc.. Ceux-là sont d’éthique !!…

De la même manière, que chacun rassemble les noms de personnes qui ont prôné la ségrégation et la persécution des non-vaccinés (dans les hémicycles, mais aussi sur les réseaux sociaux, en enregistrant leurs propos pour preuves…), qui ont mis à la porte des professionnels non vaccinés, etc., etc., etc. Cela servira le moment venu lorsque les procès débuteront…

Quoiqu’il en soit, attention de ne pas «faire entrer les loups dans la bergerie»… Une vigilance stricte est indispensable pour repérer les MD… et, dès lors qu’on a appris comment fonctionne la MD, et quel est le profil des MD, on les repère très vite…

En effet, la course effrénée à la présidence a toujours mis en évidence des MD toujours prêts à faire de «belles promesses» pour ensuite abuser du peuple, ne serait-ce que financièrement, l’argent étant un nerf de la guerre chez les MD… Nous avons pu en observer tous les agissements et toutes les répercussions, «à loisir», depuis le départ de De Gaulle…. au point même qu’on pourrait se demander si les dés n’étaient pas pipés bien avant le jour des élections….

France, pays «démocratique»…..

Aujourd’hui, comme à l’occasion de chaque élection présidentielle, nous voyons le panier de crabes s’agiter de plus en plus pour décrocher LA place de pouvoir et d’argent, mais pas pour œuvrer dans l’intérêt du peuple… Le système est à bannir maintenant !!!…

Guy Geoffroy, maire de Combs-la-Ville qui est un être profondément engagé dans des causes humaines et environnementales depuis toujours, qui est un homme d’éthique, honnête, bienveillant et qui devrait être notre futur président. Comme vous, il ne court pas après les honneurs et c’est un de ses points forts !!

N.B. : C’est ce que j’ai pu observer lors du travail que nous avons fait ensemble sur les victimes de violences conjugales et, en décrivant Monsieur Geoffroy ainsi, en l’évoquant comme futur président, je n’engage que moi, parce que je ne l’ai pas informé de cette idée que j’ai eue aujourd’hui en réfléchissant à la démarche du Collectif des Maires Résistants.

Il a travaillé, nous l’avons vu ci-dessus sur la loi du 09/07/2010 sur les violences conjugales, et sur les agressions sexuelles, mais, chose surprenante, aussi dans l’environnement, deux domaines que nous avons en commun !

Je vous mets ci-dessous quelques extraits de son riche parcours.

-Guy Geoffroy :

  • À étudié le droit constitutionnel, les relations internationales, le droit de la mer. DES de Droit public et en Sciences politiques. Engagé en faveur de l’enseignement professionnel.
  • Maire de Combs-la-Ville depuis 1995. En 2001, Combs-la-Ville reçoit le 1er prix national des «Eco-Maires» pour sa politique environnementale globale.
  • Il est élu président du SIVOM et des Eco-Maires de France en 2008, il est un des principaux artisans du projet de nouveau centre de traitement écologique des déchets ménagers par compostage et méthanisation qui fait déjà référence en France et en Europe.
  • Il est élu député de la 9e circonscription de Seine-et-Marne de 2002 à 2017.
  • Il est co-auteur, avec la Sénatrice Madame Muguette Dini, de la loi du 9/7/2010 sur les violences conjugales et les violences faites aux femmes.

5- En conclusion :

Une chose est sûre : quel que soit le nouveau président propulsé par le Collectif des Maires Résistants, il faudra le protéger, et protéger aussi toutes les personnes désignées pour prendre la cause du peuple en main, et protéger leurs familles. En effet, les grands lobbies évoqués ci-dessus auront peut-être l’idée de se montrer menaçants en voyant la prépondérance de leurs places s’effondrer…




Parlement européen : un député français s’élève contre la tyrannie Covid

[Source : Ninechat]




Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin

[Source : La cause du peuple]

La plupart des gens n’arrivent pas à comprendre ce dans quoi nous sommes réellement engagés. Dans un état d’esprit présentant les caractéristiques croisées d’un état hypnotique et psycho-traumatique (allant jusqu’au fameux « syndrome de Stockholm »), ils s’illusionnent majoritairement sur le fait que nous sommes dans une simple parenthèse de limitation de nos droits fondamentaux due à une terrible pandémie. Cette limitation et les mesures de contrainte, brutales, qui nous sont imposées servant à nous protéger le temps que passe cette menace et que nous puissions revenir « au monde d’avant. ».
Or, nous sommes d’ores et déjà profondément engagés dans une dérive totalitaire, accompagnée d’un véritable génocide, bien pire que ce que  la plupart d’entre nous le pensent.

Ce qui suit a été écrit par le docteur Robert Malone, MD, MS, l’inventeur du vaccin ARNm, concernant la psychose de masse entourant les «vaccins» COVID-19 et l’incapacité ou le refus du public de voir la mort et la destruction causées par ces vaccins.

H. Genséric

Dr Malone :

Comme beaucoup d’entre vous le savent, j’ai passé du temps à faire des recherches et à parler de la théorie de la psychose de masse. La plupart de ce que j’ai appris est venu du Dr Mattias Desmet, qui s’est rendu compte que cette forme d’hypnose de masse, de la folie des foules, peut expliquer l’étrange phénomène d’environ 20-30% de la population du monde occidental devenant fasciné par les Nobles Mensonges et le récit dominant concernant la sécurité et l’efficacité des vaccins génétiques, et propagés et appliqués à la fois par les politiciens, les bureaucrates scientifiques, les sociétés pharmaceutiques et les médias traditionnels.

Ce que l’on observe avec l’hypnose de masse, c’est qu’une grande partie de la population est totalement incapable de traiter de nouvelles données et faits scientifiques démontrant qu’elle a été induite en erreur sur l’efficacité et les effets néfastes de l’utilisation obligatoire du masque, des enfermements et des vaccins génétiques qui obligent le corps à fabriquer de grandes quantités de protéine Spike de coronavirus biologiquement active.

Ceux qui sont hypnotisés par ce processus sont incapables de reconnaître les mensonges et les fausses déclarations dont ils sont bombardés quotidiennement et ils attaquent activement quiconque a la témérité de partager avec eux des informations qui contredisent la propagande qu’ils ont appris à adopter. Et pour ceux dont les familles et les réseaux sociaux ont été déchirés par ce processus, et qui constatent que des parents et amis proches les ont ignorés parce qu’ils remettent en question la « vérité » officiellement approuvée et suivent en fait la littérature scientifique, cela peut être une source de angoisse profonde, de chagrin et de douleur psychologique.

C’est avec ces âmes à l’esprit que j’ai inclus une discussion sur la théorie de la formation de masse du Dr Mattias Desmet lors d’une récente conférence que j’ai donnée à Tampa, en Floride, devant un auditoire d’environ 2000 personnes. Alors que je regardais le public et que je parlais, je pouvais voir du soulagement sur de nombreux visages, et même des larmes couler des yeux d’hommes stoïques.

[Voir aussi :
Conférence – les mensonges du COVID
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective
Crise Covid : comment sortir de l’hypnose négative ? – Du problème aux solutions
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Alexandre Boisson, ex-policier du GSPR : Covid-19, manipulation des foules & résilience alimentaire
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mécanismes des régimes totalitaires
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Comment on manipule pour avoir le consentement
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]

À mon insu, quelqu’un a enregistré le discours et a ajouté la piste vocale à une série d’images apaisantes de paysages naturels, produisant une vidéo qui est devenue virale dans le monde entier. Un lien vers la vidéo, ainsi que quelques notes pour clarifier et compléter l’exposé sont annexés ci-dessous. Beaucoup m’ont dit qu’ils trouvaient cela très guérissant. J’espère que ça pourra t’aider aussi :

Un bref aperçu de Mass Formation, qui a été développé par le Dr Mattias Desmet. Il est psychologue et statisticien. Il est à l’Université de Gand en Belgique. Je pense que le Dr Mattias est au courant de ce qui se passe et il appelle ce phénomène : PSYCHOSE DE FORMATION DE MASSE

Ainsi, quand il parle de formation de « masse », vous pouvez considérer cela comme l’équivalent de la formation de « foule ». On peut penser à cela comme : PSYCHOSE DE LA FOULE

Les conditions pour mettre en place une psychose de formation de masse incluent le manque de connexion sociale et de création de sens ainsi que de grandes quantités d’anxiété latente et d’agressivité passive. Lorsque les gens sont inondés d’un récit qui présente un « objet d’anxiété » plausible et une stratégie pour y faire face, alors de nombreux individus se regroupent pour lutter contre l’objet avec une détermination collective. Cela permet aux gens de cesser de se concentrer sur leurs propres problèmes, évitant ainsi une angoisse mentale personnelle. Au lieu de cela, ils concentrent toute leur pensée et leur énergie sur ce nouvel objet.

Au fur et à mesure que la formation de masse progresse, le groupe devient de plus en plus lié et connecté. Leur champ d’attention se rétrécit et ils deviennent incapables d’envisager des points de vue alternatifs. Les dirigeants du mouvement sont vénérés, car on les considère incapables de faire des erreurs.

Sans relâche, une société sous le charme de la formation de masse soutiendra une structure de gouvernance totalitaire capable d’atrocités autrement impensables afin de maintenir la conformité . Une note : la formation de masse est différente de la pensée de groupe. Il existe des moyens simples de corriger la pensée de groupe en faisant simplement appel à des voix dissidentes et en vous assurant de leur donner des plates-formes. Ce n’est pas si facile avec la formation de masse. Même lorsque le récit s’effondre, des fissures dans la stratégie ne résolvent clairement pas le problème, la foule hypnotisée ne peut pas se libérer du récit. C’est ce qui semble se produire actuellement dans le monde avec COVID-19 [et en France avec Zemmour]. La solution pour ceux qui contrôlent le récit est de produire des mensonges de plus en plus gros pour étayer la solution. Ceux qui sont contrôlés par la formation de masse ne sont plus capables d’utiliser la raison pour se libérer du récit de groupe.

Bien sûr, l’exemple évident de formation de masse est l’Allemagne dans les années 30 et 40. Comment le peuple allemand, très instruit, très libéral au sens classique du terme ; les gens à l’avant-garde de la pensée l’occidentale… comment ont-ils pu devenir si fous et faire ce qu’ils ont fait?  

Comment cela pourrait-il arriver à un peuple civilisé ?

Le leader d’un mouvement de formation de masse utilisera sa plate-forme pour continuer à fournir au groupe de nouvelles informations sur lesquelles ses fans vont se concentrer [comme Moïse Yehouda Z]. Les dirigeants, à travers les principaux médias et les canaux à leur disposition, alimentent en permanence la « bête » avec plus de messages qui focalisent et hypnotisent davantage leurs adhérents.

Des études suggèrent que la formation de masse suit une distribution générale :

  • 30% sont soumis à un lavage de cerveau, et sont hypnotisés et endoctrinés par le récit de groupe
  • 40 % au milieu sont perméables au récit et peuvent suivre si aucune alternative valable n’est perçue
  • 30% luttent contre le récit.

Ceux qui se rebellent et se battent contre le récit, deviennent l’ennemi de ceux dont le cerveau a été lavé et deviennent la cible principale de ces derniers pour des agressions [à l’image des singes[1]].

L’un des meilleurs moyens de contrer la formation de masse est que ceux qui s’opposent au récit continuent de s’y opposer, ce qui sert à briser l’hypnose de certains membres du groupe ayant subi un lavage de cerveau et à persuader le milieu perméable de choisir la raison plutôt que l’inconscience.

Le Dr Desmet suggère que pour quelque chose d’aussi gros que COVID-19, le seul moyen de briser la psychose de formation de masse est de donner à la foule quelque chose de plus grand sur lequel se concentrer. Il pense que le totalitarisme est peut-être ce plus gros problème. Bien sûr, après COVID-19, le totalitarisme mondial peut être le plus gros problème de notre temps.

Source :  https://www.thetruthseeker.co.uk/?p=247495


Transcription courte de la vidéo (https://crowdbunker.com/v/aIJpNp94uV) du Dr Mattias Desmet

Si vous avez ces 4 éléments :  

  • le manque de liens sociaux, [Ndlr : ce qui est favorisé par les « Réseaux Sociaux » qui ne remplacent pas les contacts réels.]
  • le manque de sens dans la vie [Ndlr : les religions et la spiritualité apportent un sens à la vie, mais l’individu qui s’en est éloigné devient vide, déconnecté de son âme. Voir aussi Le secret de l’exil juif et le dévoilement du messie],
  • une « anxiété flottante »
  • et un mécontentement psychologique [de type] « anxiété flottante »,

alors la société est à haut risque en ce qui concerne la naissance d’un phénomène de masse [auquel il faut ajouter un média de diffusion de masse pour parvenir à ses fins].

[Ndlr : L’anxiété flottante désigne un trouble mental dans lequel l’attaque d’anxiété ou de panique est générée sans une situation ou un objet spécifique qui le déclenche (c’est-à-dire une anxiété sans cause discernable. L’individu n’arrive pas à trouver d’où peut venir son anxiété). Le trouble d’anxiété généralisée, ou DAG, est le terme médical utilisé pour désigner l’anxiété flottante.]

Et ces 4 conditions étaient présentes peu avant la crise du corona. Il y avait comme une épidémie de burnouts. Il y avait entre 40% à 70% des gens qui considéraient leur travail comme n’ayant aucun sens comme cela est décrit dans le livre « Bullshit Jobs » de David Graeber. Et aussi lorsqu’on regarde la consommation des produits psychotropes. C’était énorme et cela montre à quel point le mécontentement était présent dans notre société.
Par exemple en Belgique qui représente environ 11 millions de personnes, il est consommé jusqu’à 300 millions de doses d’anti-dépresseurs par année. C’est énorme.

On voit que ces 4 conditions étaient réunies, le manque de sens, de liens sociaux, anxiété et mécontentement « librement suspendus dans l’air ».

Vous devez savoir que l’anxiété « flottante » est le phénomène psychologique le plus douloureux qu’une personne puisse expérimenter. Cela mène à des attaques de panique et à des expériences psychologiques de toutes sortes très douloureuses.

Et donc, ce que les gens veulent dans ce cas-là, est de connecter cette anxiété à quelque chose. Ils cherchent une explication à leur anxiété. Si cette anxiété « flottante » est hautement présente au sein de la population, et si les médias fournissent un narratif qui pointe vers un objet d’anxiété, et, en même temps, fournissent une stratégie qui permette de gérer cet objet d’anxiété, alors toute l’anxiété se connecte à cet objet et les gens acceptent de suivre la stratégie pour gérer cet objet peu importe le coût, les conséquences. C’est ce qui se produit au début d’une formation de masse.

Ensuite, lors de la 2e étape, les gens démarrent une bataille collective et héroïque contre cet objet d’anxiété. De cette manière, un nouveau type de lien social et un nouveau sens de la vie émergent.
Soudainement, la vie est dirigée vers cette bataille contre l’objet d’anxiété et, de ce fait, il y a établissement d’une nouvelle connexion avec d’autres gens. Et le basculement soudain d’un état négatif, d’un manque radical de connexion sociale, vers l’opposé, vers une connexion sociale massive qui est expérimenté au sein d’une foule, ce « switch » soudain mène vers une sorte d’intoxication mentale et c’est ce qui fait que la formation de masse ou la formation de foule est l’exact équivalent de l’hypnose [« switch » qui fait oublier le manque de sens, l’anomie & l’angoisse, et qui donne en même temps une réponse concrète au mécontentement, est le caractère presque magique du switch].

Donc, toutes les personnes qui ont étudié ce phénomène de formation de masse, comme Gustave Lebon, McDougal, Canetti, ont remarqué que la formation de masse n’était pas similaire à l’hypnose mais était son exact équivalent. La formation de masse est un genre d’hypnose.

Donc, ce qu’il se passe à ce moment où les gens expérimentent cette intoxication mentale est que le fait que le narratif soit incorrect, même de manière flagrante, n’a plus d’importance. Ce qui compte est qu’il mène vers cette intoxication mentale.
Et c’est pourquoi ils continuent à suivre le narratif malgré le fait qu’ils pourraient se rendre compte de son absurdité en y réfléchissant brièvement. C’est le mécanisme central de la formation de masse et c’est ce qui le rend si difficile à contrer.

Parce que, pour les gens, ça n’a pas d’importance que le narratif soit erroné. Et ce que nous essayons de faire constamment est de montrer que le narratif est absurde mais, pour les gens, ce n’est pas ce qui compte. Ce qui compte est qu’ils ne veulent pas revenir à cet état précédent douloureux d’anxiété « flottante ».

Ce dont nous devons nous rendre compte, si nous voulons changer la donne, est que la première chose que nous devons faire est de reconnaître cette anxiété douloureuse, de réfléchir à ce qui nous a mené à cet état de  manque de sens de la vie, de manque de liens sociaux, d’anxiété et de massif mécontentement « flottant » [Ndlr : sans cause discernable ou reconnue par l’individu qui la subit], et d’essayer de dire aux gens que nous n’avons pas besoin d’une crise corona pour établir de nouveaux liens sociaux entre-nous. Nous devons trouver d’autres manières qui puissent nous permettre de gérer tous ces problèmes psychologiques qui existaient avant la crise et essayer de trouver d’autres solutions.

Nous n’avons pas besoin de ce type de phénomène massif pour résoudre le problème. La formation de masse est, en fait, une solution symptomatique à un problème psychologique réel.
Et, selon moi, cette crise est avant tout une large crise sociétale et psychologique, bien plus qu’une crise biologique par exemple, ou sanitaire.

Et donc, à partir de cet état d’intoxication mentale, vous pouvez expliquer tous les autres phénomènes liés au totalitarisme. L’intoxication mentale mène à un rétrécissement du champ de l’attention, elle fait en sorte que les gens ne font que ce qui est indiqué par le narratif.

Par exemple, les gens voient les victimes du coronavirus mais semblent incapables de voir, à un niveau corrélatif, les dommages collatéraux sociaux et leurs victimes. Ils sont également incapables, au niveau émotionnel, de ressentir de l’empathie pour les victimes sociales indirectes de la crise sanitaire et y compris davantage touchées directement par le virus d’ailleurs [ces victimes son invisibilisées car hors cadre du narratif].

Ce n’est pas par égoïsme, c’est un des effets de ce phénomène psychologique. Et, en fait, la formation de masse n’entraine pas du tout d’égoïsme, bien au contraire. La formation de masse focalise tellement fort l’attention sur un point unique que vous pouvez prendre tout aux gens, leur bien-être physique, matériel et psychologique, ils ne le remarqueront même pas. Et c’est l’une des conséquences majeures de la formation de masse.

Et c’est exactement la même chose qu’avec l’hypnose classique. Lorsque, durant l’hypnose, l’attention de quelqu’un est focalisée sur un point particulier, vous pouvez lui couper dans la chair à vif sans que la personne ne le remarque. C’est ce qui se passe lorsque l’hypnose est utilisée comme type d’anesthésie durant une opération chirurgicale. Une simple procédure d’hypnose est suffisante pour rendre les gens complètement insensibles à la douleur.

Cela démontre que la focalisation de l’attention est tellement forte, que ce soit en formation de masse ou en hypnose, que les personnes sont complètement insensibles à toutes les pertes qu’ils subissent en conséquence.

Une autre conséquence qui est typique des états totalitaires est que les gens deviennent radicalement intolérants à toute voix dissonante. Si quelqu’un raconte une autre histoire ou bien si quelqu’un dit que cette histoire officielle est fausse, alors cette personne menace de réveiller les gens et ils se mettront en colère parce qu’ils seront confrontés avec l’anxiété et le mécontentement psychologique initiaux et donc ils vont diriger toute leur agressivité contre toute voix dissonante. Et, en même temps, ils sont radicalement tolérants par rapport à leurs leaders, les gens qui représentent la voix du narratif mainstream.

Ils [les leaders] peuvent tricher, mentir, manipuler, et faire tout ce qu’ils veulent, ils seront toujours pardonnés par la foule, parce que la foule semble penser qu’ils le font pour leur bien. Cela fait également partie des mécanismes de la formation de masse.

[Je me suis arrêté à 13:40 environ]

NOTES de H. Genséric

[1] Théorème du singe

Le conditionnement mental est le processus menant le cerveau à adopter certains modèles de pensée, tendances ou état mental. Le conditionnement mental peut être d’origines diverses : les mass-média, la société, les pairs, la famille, la religion ou le système éducatif. Le conditionnement mental peut être illustré par le fameux «Théorème du singe » qui se rapporte à une expérience faite à l’Université de San Diego (USA).

Plus d’infos »

VOIR AUSSI :




L’argumentaire gouvernemental sur les non-injectés est mensonger

Par Lucien Samir Oulahbib

Faire croire que l’actuel « pic de cas » serait lié aux non-injectés est complètement faux. J’en ai fait l’expérience : une connaissance triplement injectée vient de devenir positive après avoir fait son troisième shoot ce qui est « normal » puisqu’on lui injecte la part active du virus

Ceci est bien sûr nié. Et dans le cas où un injecté transmet, comme il est admis tout de même, ce serait donc uniquement « à cause » des non-injectés, donc une « cause » externe et non pas interne (éternel stratagème : la paille et la poutre, toujours la faute d’autrui), omettant le fait que pour un injecté, le produit est censé le « protéger »…

Ainsi dans la propagande gouvernementale (et mondiale, au sens d’être globalement intégrée), le non-injecté serait le seul transmetteur effectif (le fameux « asymptomatique »), certes sans le savoir, mais peu importe ! Il est « responsable ». Il doit donc se faire injecter pour lever le doute, cacher que le produit ne marche pas, y compris pour les formes graves, puisque désormais ce sont les injectés qui encombrent en réalité concrète (et non pas statistique) les hôpitaux avec la subtilité suivante : si vous êtes entre deux shoots ou n’avez pas la troisième (au-dessus de 65 ans), alors vous êtes considérés comme non-injecté… Même Ubu Roi n’y aurait pas pensé…

Pourtant… Non seulement une personne non malade ne peut pas transmettre, par définition, mais également une personne positive non plus, du moins de telle sorte que cela irait vers une infection puis une hospitalisation comme l’avait démontré cette étude de l’Institut Pasteur concernant les enfants.

Le gouverne/ment, en banal VRP (bonimenteur vendant son élixir, factice, y compris pour les « formes graves ») prétend le contraire parce que cela doit coller avec le formulaire de vente et la pub (mensongère) qui va avec.

Le meilleur moyen de lutter contre cette maladie est connu, surtout pour éviter les formes graves : traitements précoces et préventifs comme le clament des centaines de milliers de médecins compétents indépendants. CQFD.

Demandons un débat entre Perronne et l’actuel préposé à la Santé et nous verrons comment le premier démontre qu’il a raison lorsqu’il dit que nous aurions pu éviter la plupart des morts si les traitements précoces avaient pu se déployer avec les mesures exactes de doses requises et massivement – comme ce fut le cas dans de nombreux pays, le tout confirmé par de nombreux témoignages comme ceux du Doctothon.




Il faut agir tout de suite : adresser dès aujourd’hui une lettre aux députés et aux sénateurs

Par Nicole Delépine

Omicron, l’excuse pour le pass vaccinal, ne donne qu’un simple rhume et va permettre une immunité naturelle aux habitants de la planète. Notre gouvernement pressé de faire passer ses lois liberticides non sanitaires tente de continuer à aviver la peur.(([1] L’excellente nouvelle de l’arrivée d’Omicron : le cadeau du Père Noël | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Il faut joindre nos députés et leur faire comprendre l’importance de leur vote qui pourrait transformer notre société en apartheid et aboutir un jour ou l’autre à de la violence pour en sortir.

Dans l’immédiat, joignons-les dans leurs permanences ou par écrit ou téléphone, qu’ils sachent que nous savons l’horreur du projet, et que nous saurons leur prise de position.

Rodolphe Bacquet (rbacquet@mail1.alternatif-bien) a initié la pétition « non au pass vaccinal » qui devrait atteindre bientôt le million de signatures et qu’il faut continuer à transférer le plus possible dont voilà le texte :

« Le pass vaccinal est une atteinte majeure à l’État de droit.

Chers amis,

Le projet du gouvernement de transformer le pass sanitaire en pass vaccinal n’est pas une formalité administrative.

C’est un point de non-retour vers l’obligation vaccinale généralisée,

C’est autoriser une discrimination de chaque Français en fonction de son statut vaccinal.

Ne nous laissons pas faire !

Cette mesure VOUS concerne.

En laissant faire le pass vaccinal, vous autoriseriez le gouvernement à vous imposer le nombre de doses qu’il jugera utile, 3 doses, 4 doses, 5 doses, sans contrôle et avec chantage au pass sanitaire à la clé.

Si vous laissez faire cela, vous acceptez que votre vie quotidienne soit conditionnée à la vérification d’une information de santé dont la confidentialité est censée être garantie par le droit.

Il vous sera impossible d’y échapper car les tests de dépistage ni même le statut de “guéri du Covid” ne seront plus considérés.

Cette mesure inique nécessite une réaction immédiate.

La loi sur le pass sanitaire sera présentée à l’Assemblée Nationale au cours de la première semaine de janvier 2022.

Si elle est votée, il sera impossible de revenir en arrière.

C’est maintenant qu’il faut réagir : en signant cette pétition et en envoyant ce texte à votre député(e).

N’acceptons pas de livrer notre santé au gouvernement et de tirer un trait sur le consentement médical ! ».

[Pétition] NON AU PASS VACCINAL ! (leslignesbougent.org) plus de 900 000 ce 29 décembre 2021

Rodolphe Bacquet, dont beaucoup lisent la lettre alternatif bien-être, propose un canevas à adapter si vous le souhaitez pour une lettre à adresser rapidement aux députés et sénateurs.

Le temps presse. Le gouvernement fait passer en accéléré cette proposition de loi et réunit dès ce jour 29 décembre en discussion en commission parlementaire extraordinaire.

Voici un exemple de courrier proposé à adapter et adresser à votre élu(([2] Tous les députés ont une adresse mail sur le même format : leur prénom, un point, puis leur nom de famille complet suivi de l’adresse @assemblee.nationale.fr

Cela donne : prénom.nom@assemblée.nationale.fr
Pour les sénateurs, seule la première lettre de leur prénom est employée ; soit : p.nom@senat.fr

Vous trouverez dans le lien en source l’annuaire public répertoriant les noms et adresses mail de tous les députés et sénateurs de France. Sur le site de l’Assemblée nationale et du Sénat.

Pour adresser un courrier postal à votre député en utilisant l’adresse suivante :
Mme ou M. le ou la Député(e) Prénom Nom
Assemblée Nationale 126 rue de l’Université 75355 Paris 07 SP

Vous pouvez interpeller votre élu local dans sa permanence en demandant rv urgent, ou sur les réseaux sociaux en utilisant, sur facebook ou twitter, la formule @prénomnom)) que vous pouvez bien sûr remplacer par un écrit de votre choix.

« Mme La députée, Mr le Député

Le projet du gouvernement de Jean Castex d’instaurer un Pass vaccinal qui remplacera le Pass sanitaire est une atteinte à l’état de droit. C’est aussi un contresens scientifique et médical dans la mesure ou les vaccinés ne sont pas protégés de la maladie et qu’ils peuvent contaminer les autres, vaccinés ou non vaccinés

Nous vous demandons solennellement, vous élus du peuple français auxquels sera soumis ce projet de loi début janvier, d’assumer votre rôle de garants d’une loi équitable pour tous les citoyens.

Votre responsabilité est historique : si vous donnez votre feu vert au gouvernement sur le pass vaccinal, vous posez les bases d’un modèle de société où le contrôle du statut médical conditionnera la vie sociale.

Si vous autorisez cette mesure, vous acceptez de créer deux classes de citoyens — vaccinés et non-vaccinés. Vous mettez au ban de la société des citoyens qui n’auront pas accès aux mêmes droits et services que la majorité. Vous contraignez la totalité des citoyens à une vaccination tous les 4 à 6 mois, sans limite annoncée de durée.

Vous ne pouvez pas laisser faire cela.

Ces dispositions portent gravement atteinte à notre constitution et à nos lois, qui spécifient que tout acte médical doit être consenti de façon libre et éclairée, et non contraint.

Ces dispositions violent la loi de l’Union européenne encadrant l’instauration du pass sanitaire, qui a expressément interdit qu’un pass puisse aboutir à une discrimination entre vaccinés et non-vaccinés.

Ces dispositions méprisent les avertissements du Conseil Constitutionnel qui exigeait que le pass sanitaire soit temporaire.

Allez-vous accepter, vous représentants de la légalité publique, une telle atteinte à la légalité ?

Facteur aggravant, ce pass vaccinal n’a pas de fondement scientifique.

Le Pr Delfraissy a admis lors de sa dernière audition au Sénat que le pass sanitaire n’avait pas endigué l’épidémie de Covid, son but étant de contraindre les citoyens à la vaccination] Le pass sanitaire n’a eu aucun effet sur la contagiosité virale et les hôpitaux regorgent maintenant de doubles et triples vaccinés.

La loi portée par M. Castex est une obligation vaccinale pure et simple, assortie d’un dispositif punitif. Nous vous demandons solennellement de ne pas voter cette loi qui reviendrait à discriminer les citoyens en fonction de leur statut vaccinal et nous enfermera dans un cercle de mesures toujours plus coercitives.

Le moment est grave, chers élus. Il vous appartient aujourd’hui de défendre la liberté républicaine, la justice sociale et la non-discrimination entre les Français.

Veuillez recevoir, Mesdames et Messieurs les élus de l’Assemblé Nationale et du Sénat, l’expression de notre très haute considération. »

Il nous semble nécessaire de préciser aux élus les éléments suivants :

Rappelons à tous que cette pseudovaccination reste expérimentale, les essais n’étant pas terminés avant 2023, et que les produits géniques utilisés n’ont qu’une AMM conditionnelle. Les effets secondaires y compris graves sont maintenant reconnus publiquement par la directrice générale de l’ANSM(([3] Audition de la direction générale de l’ANSM au Sénat le 29 décembre 2021
« on le sait, il y a une sous-déclaration en pharmacovigilance.
À mi-novembre, nous avons 110 000 déclarations d’effets indésirables. Dans une année normale, nous avons 45 milles déclarations tous médicaments confondus »
.)) ainsi que par les sites de l’EMA EudraVigilance, de la FDA et des CDC le VAERS entre autres.

Les arguments scientifiques réfutant ceux du projet de loi concernant le passe vaccinal sont à lire sur aimsib.org par exemple

pour accéder au texte : https://www.aimsib.org/2021/12/25/refutation-des-arguments-scientifiques-justifiant-le-passe-vaccinal/ dont le résumé est le suivant :

« Ce projet repose sur la supposée explosion des « cas » : ces cas ne sont pas des malades et nous ne sommes donc pas en période épidémique.
Le projet de loi reconnaît que les vaccins présentent une efficacité diminuée avec le temps et que les rappels sont de nature à la rétablir ; cependant les nombreuses données récentes montrent l’inefficacité de ce rappel contre les variants actuellement circulants :

Les données de neutralisation des variants au laboratoire ainsi que d’efficacité constatée en « vie réelle » vont dans le même sens et montrent une efficacité nulle ou parfois même négative (augmentation de la susceptibilité des vaccinés au variant Omicron).
De plus le variant Omicron en circulation actuellement semble moins pathogène que les précédents, suivant en cela l’atténuation attendue des virus à ARN

Enfin comme le montre Pierre Chaillot dans le document joint la Covid-19 ne
sature pas les hôpitaux en cette fin 2021 (« Non, les non-vaccinés ne saturent pas les réanimations », ci-dessous).
L’instauration de ce passe vaccinal n’est donc aucunement justifiée scientifiquement. »




La directrice générale de l’ANSM annonce une explosion des effets indésirables du vaccin !!

[Source : Le Sentier de la Croix Glorieuse]

https://youtu.be/zGwBx_I-UgY



La Grande Imposture

[Source : General Martinez 2022 – Youtube]

Cette fin d’année 2021 marque le terme de deux années au cours desquelles la crise sanitaire liée au Covid-19 a complètement monopolisé le débat médiatique, occultant les dangers évoqués dans la tribune dite des généraux du printemps dernier et qui demeurent ceux qui menacent vraiment la France. Curieusement, le président de la République est resté et persiste à rester silencieux sur le constat présenté dans cette tribune pourtant approuvé par une large majorité de Français…




L’appel solennel du « Collectif des maires résistants »

[Source : FranceSoir]

[Illustration tirée de :
Les maires Fabrice Marchand et Thierry Renaux, sur le plateau du « Défi de la véritéF.
Froger / D6, pour FranceSoir / AFP]

Auteur(s): FranceSoir

« L’heure est grave », lance le « Collectif des maires résistants » en introduction d’un appel solennel qu’ils lancent aux Français. [texte intégral ci-après]

Fabrice Marchand et Thierry Renaux sont tous deux maires de petites communes rurales dans les Ardennes. Ils étaient venus nous présenter leur collectif il y a un mois et demi. 

Voir aussi : « On ne croit plus dans les partis », les maires se rebellent et soutiennent un parti du peuple

Aujourd’hui, le projet gouvernemental de pass vaccinal les conduit à passer la vitesse supérieure. Leur constat d’une démocratie confisquée, et même « trahie », d’un pays dans lequel Emmanuel Macron instaure un « pouvoir absolu », avec le concours d’une partie des médias qui alimentent une « vérité sous influence », les conduit à appeler leurs concitoyens à « redevenir les maîtres de leur destin, les capitaines de leurs âmes ».

Quels sont leurs constats ? Leurs revendications ? La traduction concrète de cet appel ? Leurs projets pour peser dans la vie publique, alors que s’ouvre la campagne présidentielle ?

Les deux maires ont relevé « le Défi de la vérité » :



L’appel du Collectif des maires résistants :

Nous, le Collectif Des Maires Résistants, forts du soutien de nos concitoyens, nous adressons aux Français et aux Françaises, car l’heure est grave.

En effet, le projet de loi déposé par Jean Castex le 27 décembre 2021 est l’acte de trop d’une série de décisions iniques au cours des 18 derniers mois, entraînant la confiscation des libertés fondamentales des Français, sur la base d’une information déloyale.

Par ailleurs ce projet de loi est sciemment déposé dans l’urgence au moment des fêtes.

Il comporte des obligations et privations de liberté inacceptables dans une démocratie.

En effet, ce projet viole les principes les plus fondamentaux de droit, tels que l’égalité des citoyens et le respect de la dignité humaine pourtant protégés par notre droit et de très nombreuses conventions internationales.

LES FAITS

En détail, voici le constat que nous établissons.

Le 17 mars 2020, Emmanuel Macron a déclaré qu’il était en guerre et que rien ne serait plus jamais comme avant. Quoi qu’il en coûte

Depuis cette date, la démocratie a été confisquée aux Français au motif d’une urgence sanitaire établie et maintenue avec des données mensongères et trompeuses.

En 18 mois, Emmanuel Macron et ses gouvernements ont réussi à tout anéantir, ils ont bafoué les institutions démocratiques de France, ils ont renié les conventions internationales signées par la France, notamment en matière de droit à librement disposer de son corps.

Le 12 juillet dernier, Emmanuel Macron a définitivement déchiré le contrat sociétal en instaurant la discrimination comme principe de gouvernance, en faisant ressurgir les démons des pires heures de notre Histoire, divisant les Français, les dressant les uns contre les autres. Selon que vous êtes vaccinés ou non, vous n’aurez plus les mêmes droits.

Le 15 octobre dernier, les députés ont trahi le peuple de France en prolongeant la loi d’urgence jusqu’en juillet 2022, refusant délibérément tout débat scientifique et arguments objectifs et indépendants pour lui préférer l’information biaisée et parcellaire communiquées par le gouvernement qui ressemble désormais à une croyance plus qu’à de la science. En ignorant les scientifiques indépendants et objectifs qui prônent les traitements précoces, la représentation nationale a contribué à priver de soins de nombreux Français, entraînant de nombreux décès.

Au cours des derniers mois, le Conseil d’Etat a gravement failli à sa mission et n’a servi que de chambre d’enregistrement des décisions du gouvernement, refusant délibérément de relever les nombreux mensonges et contradictions des mémoires du gouvernement, mises en évidence par les nombreuses procédures initiées par des collectifs de citoyens.

Le Conseil constitutionnel, empêtré dans les conflits d’intérêts de son président, dont le fils travaille pour Emmanuel Macron au sein d’un cabinet de conseil américain, a lui aussi détourné l’esprit et la lettre de sa mission, trahissant ainsi les Françaises et les Français.

Jamais dans l’histoire de notre pays, un dirigeant n’a, comme Emmanuel Macron, voulu imposer le pouvoir absolu, sans contrôle indépendant des institutions parlementaires et judiciaires, qui sont devenues de facto inexistantes car capturées et sous influence.

Or, l’article 16 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 rappelle que « Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution ».

 A l’évidence, les Maires de France SONT le dernier rempart de notre démocratie.

LA VERITÉ NE DOIT PLUS ÊTRE SOUS INFLUENCE

Le seul enjeu aujourd’hui est de retrouver nos droit et libertés et notamment :

  • La liberté de conscience qui est le droit accordé à chaque citoyen de conduire son existence selon les valeurs, les principes, les opinions, les religions et les croyances de son choix
  • Le droit à l’autonomie personnelle qui s’exprime particulièrement dans le droit de l’individu à disposer de son corps et au respect de la dignité humaine en toutes circonstances.

Cette liberté nous a été soustraite par une poignée de médecins, de scientifiques et de haut-fonctionnaires, dont chaque jour nous dévoile l’absurdité de leurs décisions prises sur la base d’études frauduleuses et guidées par de nombreux conflits d’intérêts.

La science a été instrumentalisée comme une croyance par un petit groupe d’individus, qui se sont octroyé le privilège du savoir scientifique et se sont érigés en tribunal de l’obscurantisme.

Avec la collaboration des médias, ils ont distillé méthodiquement, jour après jour, sur tous les plateaux télé sans contradiction, des informations fausses, soutenues par les journalistes qui manquent ainsi à l’article 1er de la charte de Munich.

Nous savons aujourd’hui que :

  • Ils ont biaisé des informations, qu’ils se sont arrangés avec la vérité de manière à manipuler les Français, en jouant sur l’émotionnel, comme l’instrumentalisation de la peur, diminuant l’esprit critique et refusant tout questionnement de bon sens, pour extorquer le consentement et inciter sous contrainte à l’injection d’un traitement expérimental, faussement appelé vaccin.
  • Contrairement à ce qu’ils ont affirmé, le vaccin ne protège ni de la contamination, ni de la contagion.
  • Contrairement à ce qu’ils ont affirmé, l’immunité naturelle est plus efficace que l’immunité vaccinale.
  • Contrairement à ce qu’ils ont affirmé, les vaccins à ARN messager ont de nombreux effets indésirables, dont certains sont graves, dans des proportions jamais connues dans l’histoire des vaccins.
  • Deux doses ne suffisent pas à maintenir l’immunité et que ceux qui se sont fait vacciner ont souscrit à un abonnement vaccinal : trois doses, puis quatre doses, puis cinq doses.
  • Le rapport bénéfice / risque de l’injection pour les enfants est en leur défaveur.
  • La vaccination de masse en période de pandémie est une hérésie scientifique car elle favorise la mutation de variants résistants à la vaccination.
  • Des traitements précoces existent et fonctionnent, entrainant la nullité des autorisations temporaires pour ces pseudo-vaccins.
  • Le bon sens au service de l’intérêt général est de laisser les médecins prescrire, et de faire confiance à nos soignants.

NOTRE APPEL

En conséquence, nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à redevenir « les maîtres de leur destin, les capitaines de leurs âmes » en soutenant le mouvement du Collectif des maires Résistants, qui n’a pour seul et unique objectif que de restaurer la démocratie et l’Etat de droit pour le bien commun.

Pour cela, nous invitons tous les mouvements engagés pour le respect des libertés fondamentales, qui souhaitent mettre un terme définitif au simulacre de démocratie mis en scène par Emmanuel Macron, ses acolytes et commanditaires, à rejoindre le CDMR dans une démarche apolitique et non partisane

Nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à prendre contact avec chaque maire, chaque élu, local ou régional, pour les inciter à défendre la démocratie et à rejoindre le mouvement.

Nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à prendre contact avec chaque membre de la représentation nationale, députés ou sénateurs, pour les mettre face à leur responsabilité dans l’hypothèse où ils s’essaieraient à voter une loi substituant un régime d’exception non démocratique puisque sans séparation véritable des pouvoirs, à l’Etat de droit pour imposer de facto la vaccination obligatoire.

Nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à rappeler à ces élus qu’il est de leur devoir de voter, après s’être assurés d’avoir pris connaissance de toute information disponible. En faillissant à cette obligatoire morale et à ce devoir, tout élu qui contribuerait à mettre en danger la vie d’autrui par les effets indésirables causés par l’injection d’un produit toujours en phase expérimentale, s’exposerait à des poursuites judiciaires en vertu des lois nationales et des traités internationaux auxquels la France est assujettie, notamment en matière de santé des populations. Le Collectif des maires Résistants veillera à ce que la responsabilité individuelle des élus soit engagée.

Nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à se rapprocher de leurs médecins et à les encourager à s’informer pleinement sur les alternatives thérapeutiques de traitements précoces prouvés scientifiquement et observés sur le terrain dans de nombreux pays. De nombreux médecins prescrivent ces traitements avec succès, parfois hors AMM, dans le plus grand respect de leur serment d’Hippocrate et droit d’ordonnance.

Fort du soutien des Françaises et des Français, dans un premier temps, nous saisirons les diverses instances nationales (Assemblée nationale, Sénat, Conseil d’Etat, Conseil constitutionnel) internationales, avec le soutien d’associations de citoyens et d’avocats pour faire à nouveau respecter les libertés fondamentales.

Nous demanderons à être auditionnés avec nos experts scientifiques et juridiques dans le cadre de l’évaluation du projet de loi inique déposé par Jean Castex.

A l’instar des plus éminents scientifiques dans le monde, nous demandons un moratoire sur la vaccination obligatoire, afin d’évaluer objectivement et indépendamment les choix de politique sanitaire du gouvernement.

Nous sommes la France, celle que nous construisons chaque jour avec courage et par amour pour nous enfants, comme les cathédrales en commençant par les fondations.  

Le Collectif Des Maires Résistants de France et chacun d’entre nous sommes les fondations de notre Etat démocratique et nous veillerons, avec une détermination sans faille, à ce que celui-ci ne soit plus jamais confisqué !

Le Collectif Des Maires Résistants.

Auteur(s): FranceSoir