Ukraine : la fuite en avant de la Secte néo-nazie dominant l’Occident

27/02/2022 (2022-02-27)

Par Lucien SA Oulahbib

Au lieu de s’en tenir aux faits — Ce qui s’est passé réellement dans le Donbass depuis huit ans (les bombardements incessants et les actions de forces paramilitaires), sans parler de la violation des Accords de Minsk 2 par le clan au pouvoir à Kiev (mis en place sous Obama…) — et qu’il s’agisse de Biden (empêtré par diverses « affaires »), Johnson (idem : il est toujours sur la sellette suite à ses transgressions festives lors des confinements), Macron (une élection en vue…), mais encore également des seconds couteaux comme Bourlanges (sur Europe 1), tous, au lieu de soutenir l’offre de négociations (demandée par le président ukrainien, puis repoussée par Biden) mettent de l’huile sur le feu en voulant traiter la Russie en « paria » à l’identique de ce qu’ils font au fond pour les personnes non injectées…

Car au-delà des spécificités, il s’agit de la même rengaine, la même haine aigrie et méprisante envieuse de personnages qui voient la Russie et d’autres encore s’échapper de leurs griffes de papier (mais avec des dents atomiques aurait répondu Khrouchtchev à cette formule de Mao…). Ceux-ci veulent labourer frénétiquement les chairs et les âmes qui refusent leur modèle cybernétique, et veulent modeler, moduler de plus en plus les êtres singuliers (et nations) en « particules alimentaires », zombis branchés sur Métaverse et Netflix, voguant d’injection en injection (une fournée nouvelle achetée pour mai en France) pour les rendre dépendants médicalement. Ils veulent les transformer en nouveaux terreaux affairistes, scellant l’alliance objective entre Big Pharma, Big Tech et la Technostructure globale, le tout formant cette Secte hygiéniste, scientiste, affairiste avec le néonazisme comme cosmologie totale : création d’une race de Trans dont la démesure veut agir non seulement sur les corps, mais aussi le climat, en attendant de le faire sur l’univers (comme le réclamait l’une de leur pythie : Blanchot…).

Comment se fait-il que cette irrationalité « marche », que les médias, les grandes instances académiques et institutionnelles courent même, et ce non seulement sur cette question locale, mais aussi sur le sanitaire, le climat, la mondialisation « heureuse » ? À cela, peut-être deux réponses :

– d’une part, la séduction liée à la puissance de la Technique depuis deux siècles (bien analysée par Baudrillard) qui fait croire que cette dernière aurait réponse à tout, y compris résoudre pour de bon la souffrance dite existentielle à coup de pilules miracles (voir la baisse de l’espérance de vie aux USA chez les jeunes générations — Raoult en parle dans sa vidéo du 22 février 2022) ; d’où l’acceptation du discours scientiste prétentieux autour des virus et du climat, pensant qu’il serait possible d’éradiquer et de réduire sans se rendre compte qu’il s’agit surtout de syndémie et d’explosion de mégapoles qui ont créé des systèmes de saturation cependant de plus en plus régulés par les médecines alternatives et la réduction de la pollution (les moteurs thermiques d’aujourd’hui sont 98 % plus « propres »).

– D’autre part, l’intimidation liée au discours d’autorité qui fait que par exemple le journaliste en « questionnement » (alors que c’est son job) se verra rabroué par le cercle de référence supérieur (son chef, le relais intellectuel d’une revue jugée compétente, elle-même liée à d’autres cercles dits « académiques »), eux-mêmes filtrés aujourd’hui par tous les circuits de communication qui sont chargés autour des Pouvoirs de faire circuler l’électricité symbolique et d’en disjoncter les cercles « disruptifs » qui iraient à l’encontre du discours faisant office de perception nécessaire et suffisante.

Séduction et intimidation donc, ou les deux mamelles libidinales du syndrome de Stockholm où l’on voit la victime prendre le parti de son bourreau y compris jusqu’à le désirer physiquement tant, à force, la puissance brute fascine et donne envie de s’y soumettre ne serait-ce pour être reconnu, être au moins quelque chose plutôt que rien…

D’où la servilité de toutes ces jeunes générations fascinées, tels des lapins pris dans les phares, et s’en allant défendre bec et ongles une Secte qui les manipule pourtant jusqu’à leur faire prendre des vessies pour des lanternes : une femme est un homme en devenir (ou l’inverse) ; un enfant, un adulte en puissance ; la liberté serait la servitude (celle de « contaminer autrui » alors que l’injection s’est avérée contaminante…) ; et la paix serait la guerre continuée par d’autres moyens.

Dans cette inversion de plus en plus totale des perceptions. L’irrationalité devient antirationnelle et donc totalitaire au sens de ne plus accepter aucun débat, dialogue, discussion, car se poser une question serait déjà pour « eux » (les membres de cette Secte) devenir complotiste conspirationniste. Bref, nous nageons de plus en plus dans leur paranoïa, celle-là même qui déclenche la guerre, la vraie.

Comment s’en débarrasser ? En coupant leurs cordons toxiques. Lesquels ?…

Bonne question…

[Note de Joseph : une réponse plausible, même si elle sera souvent jugée irrationnelle ou délirante, se trouve sans doute plus facilement dans l’occultisme, l’ésotérisme ou même les religions, voire dans l’ufologie. Ces cordons y sont considérés comme l’influence directe ou la possession par des entités dites « satanistes », alors que les ufologues modernes parleraient plutôt de manipulation « reptilienne » ou « draconique » de la part de races non humaines. De telles influences, si elles existent bien, sont similaires à des mécanismes hypnotiques et la victime ne peut en sortir que par le biais d’un contre-hypnotiseur capable de déprogrammer l’individu en lui offrant par exemple un message plus fort apte à effacer le premier, ou bien lorsqu’elle vit un choc salutaire suffisant pour qu’elle se réveille d’elle-même, mais cette alternative entraînera probablement des séquelles psychologiques ou traumatiques plus importantes. Dans le monde, les chefs d’État, les « experts » de plateaux télévisés et les grands prêtres médiatiques les plus influents sont possiblement sous une telle emprise et utilisent à leur tour des mécanismes divers de contrôle mental sur les foules, notamment la psychose de formation de masse (voir Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin). Un message susceptible de les contrer est centré sur l’Amour, comme les camionneurs canadiens l’ont tenté. Cela n’a pas été suffisant, car il est nécessaire de parvenir à atteindre une masse critique de conscience positive avant de pouvoir contrebalancer l’influence malsaine de telles entités. Le convoi de la liberté aura cependant contribué à augmenter cette conscience au niveau planétaire.]

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