Après une augmentation des cas, la FDA va ajouter une mise en garde contre les inflammations cardiaques suite aux vaccins COVID-19

[Source anglophone : Lifesitenews]

[Photo : Shutterstock]

24 juin 2021 (LifeSiteNews) – La Food and Drug Administration (FDA) placera une étiquette de mise en garde contre l’inflammation cardiaque sur les fiches d’information des vaccins COVID-19 fabriqués par Pfizer/BioNTech et Moderna, a annoncé l’agence mercredi.

Le Dr Doran Fink, directeur adjoint de la division des vaccins de la FDA, a déclaré à un groupe d’experts des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) que la FDA prévoyait d' »agir rapidement » pour ajouter les nouveaux avertissements à la lumière de l’augmentation des rapports de problèmes cardiaques post-vaccinaux.

Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) des CDC s’est réuni mercredi pour examiner les données relatives à des cas plus élevés que prévu d’inflammation cardiaque chez les personnes ayant reçu des doses des vaccins Pfizer ou Moderna, qui reposent tous deux sur la technologie de l’ARN messager. Le CDC avait prévu une réunion d’urgence pour examiner ces rapports la semaine dernière, mais cette réunion a été annulée en raison du 19 juin.

« Nous sommes d’accord sur le fait que, sur la base des données disponibles, une mise en garde dans les fiches d’information, tant pour les prestataires de soins de santé que pour les personnes vaccinées et les soignants, serait justifiée dans cette situation », a déclaré M. Fink. « Nous prévoyons qu’après la réunion de l’ACIP d’aujourd’hui, nous agirons rapidement pour mettre à jour les fiches d’information avec cette information », a-t-il ajouté.

Les avertissements « incluraient probablement des informations indiquant que ces événements se sont produits chez certains vaccinés, en particulier après la deuxième dose de vaccins à ARNm, et que l’apparition des symptômes a généralement eu lieu de plusieurs jours à une semaine après la vaccination », a poursuivi M. Fink. Bien que « la plupart des cas semblent avoir été associés à une résolution des symptômes », « peu d’informations sont disponibles sur les complications potentielles à long terme », a-t-il noté.

Les CDC ont annoncé lors de la réunion de l’ACIP que plus de 1 200 cas d’inflammation cardiaque après la vaccination par le COVID-19 avaient été signalés aux autorités fédérales au 11 juin. Selon les CDC, les 1 226 rapports concernent des myocardites, un type d’inflammation du muscle cardiaque, et des péricardites, une inflammation de la membrane qui entoure le cœur. Les symptômes les plus courants sont les douleurs thoraciques, l’essoufflement et les palpitations cardiaques.

Plus de 800 cas d’inflammation cardiaque sont survenus chez des patients ayant reçu une deuxième dose du vaccin COVID-19 de Pfizer ou Moderna, tandis que 267 cas ont été signalés après une première dose. Les hommes représentaient la grande majorité des patients, dont 79 % après la deuxième dose, selon les données présentées par le Dr Tom Shimabukuro, directeur adjoint du bureau de la sécurité des vaccins du CDC.

La plupart des cas ont suivi l’utilisation du vaccin Pfizer, qui a reçu une autorisation d’urgence de la FDA pour les enfants de plus de 12 ans. Environ 39% de tous les cas concernent des personnes de moins de 30 ans, a relaté la présentation de Shimabukuro. Parmi les rapports concernant des jeunes, le CDC en a identifié 323 qui répondent à la définition de cas de l’agence. Presque tous ces cas ont nécessité une hospitalisation, et neuf patients sont toujours à l’hôpital.

Les rapports ont été soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System, un programme de suivi des blessures liées aux vaccins géré par la FDA et les CDC. Les experts ont signalé à plusieurs reprises que le VAERS, un système de surveillance passive, sous-estime considérablement le nombre de blessures, comme l’ont souligné les commentateurs publics lors de la réunion de l’ACIP.

Le Dr Grace Lee, qui copréside le groupe de travail technique sur la sécurité du vaccin COVID-19 des CDC, a évoqué une « association probable » entre la myocardite et les vaccins à ARNm COVID-19. « Les données disponibles à ce jour suggèrent une association probable de la myocardite avec la vaccination à ARNm chez les adolescents et les jeunes adultes », a-t-elle déclaré mercredi, faisant écho aux conclusions similaires des autorités israéliennes.

« La présentation clinique des cas de myocardite après la vaccination a été distincte, se produisant le plus souvent dans la semaine suivant l’administration de la deuxième dose, avec une douleur thoracique comme présentation la plus fréquente », a ajouté Lee.

Les nouvelles données dévoilées hier par les CDC représentent une forte augmentation des cas signalés d’inflammation cardiaque post-vaccination par rapport à il y a deux semaines seulement, lorsque les CDC ont annoncé que près de 800 cas de myocardite ou de péricardite avaient été soumis au VAERS jusqu’au 31 mai.

Malgré le lien « probable » entre l’inflammation cardiaque et les vaccins à ARNm, l’ACIP a déclaré que la politique vaccinale actuelle ne changerait pas, même pour les jeunes, affirmant qu’une analyse des risques et des avantages favorisait toujours les vaccins. Les enfants et les jeunes adultes ont un taux de mortalité lié au COVID-19 aussi bas que 0,1 %, voire moins, selon les estimations des CDC.

En avril, la FDA a recommandé une pause sur le vaccin COVID-19 fabriqué par Johnson & Johnson en réponse à six cas de coagulation du sang. Le CDC a déclaré que le vaccin de Johnson & Johnson, qui est particulièrement lié à l’avortement, ne présente pas un « schéma de déclaration similaire » concernant l’inflammation cardiaque.




Crise financière de 2008, covid-19, « great reset » et contrôle des populations : la grande manipulation

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Anne Philippe, pour FranceSoir

TRIBUNE – Après la crise financière internationale de 2008 qui a laissé les présumés coupables continuer leurs activités en toute impunité, voici le covid-19 qui précède le « Great Reset » en instrumentalisant la peur et l’appauvrissement, le tout combiné à une administration de thérapies géniques expérimentales à la population mondiale.

La crise financière internationale de 2008 et les non-dits

Une analyse est apparue en France en mars 2008 à l’occasion de différents travaux qui présageaient la crise qui allait s’abattre à l’automne de cette même année. La France a été un mini creuset de ce qui se préparait à l’échelle mondiale, ce qui a facilité les investigations. En juillet 2008, une déclaration a été adressée à Tracfin pointant trois pistes d’enquêtes à poursuivre, menant toutes aux États-Unis. Cette déclaration n’a jamais été enregistrée ni suivie d’effet. Des conflits d’intérêt et menaces indirectes sont apparus au plus haut niveau et ces pistes n’ont pas fini d’être explorées. À ce stade, il a été prouvé que les présumés coupables avaient une immunité judiciaire planétaire et pouvaient poursuivre leurs funestes projets : la théorie du « ruissellement » (les classes dirigeantes faisant ruisseler une partie des profits vers les salariés, opération bénéficiant à tout le monde) serait remplacée par la théorie de la « captation » (toutes les richesses appartenant à une minorité, le retour à une sorte d’esclavagisme de masse). Il est à noter qu’à la suite de cette crise financière internationale de 2008, les banques ont été sauvées par l’argent des contribuables sans aucune résistance ni investigation poussée de leur part, ce signal a été décisif. Les serviteurs des États ne réagissaient pas, baignés dans leurs avantages confortables, et ces États pouvaient apparaître comme « privatisables » et les peuples apparaissaient être asservis.

Le Covid-19 et le « Great Reset »/Grande Réinitialisation

La crise du covid-19 intervient à la fin d’un cycle issu de la crise de 2008. Le « quantitative easing », adopté au lendemain de cette crise de 2008 par les banques centrales, consistant à acheter des titres plus ou moins douteux des banques pour les inciter à prêter davantage sans création de valeur en face, combiné avec un déficit public abyssal, arrivait à un point que ces bulles d’endettement allaient exploser au niveau mondial. Coïncidence ou pas, on laissera le lecteur se faire sa propre opinion.

La théorie développée au forum de Davos vient compléter cette analyse, le « Great Reset », avec sa volonté de dominer, contrôler et manipuler les populations. Cette théorie, combinée avec d’autres puissantes forces mondiales, a instrumentalisé le covid en développant la peur, en propageant des thérapies géniques expérimentales, en généralisant l’appauvrissement mondialement.

Des données fausses et anxiogènes

L’OMS a confirmé que le test covid-19 est invalide et que les estimations des « cas positifs » sont sans fondement, menant à ce que le confinement n’ait aucune base scientifique (janvier 2021). En effet, les tests RT-PCR sont trop sensibles. Le nombre de cycles d’amplification devrait être inférieur à 35, de préférence 25-30 cycles. Si les cycles sont supérieurs à 35, la probabilité que le résultat soit un faux positif est de 97% (selon l’avis scientifique de Pieter Borger). Dans un article publié par le New York Times du 29 août 2020, des experts américains de l’université d’Harvard s’étonnaient déjà que les tests RT-PCR tels qu’ils sont pratiqués puissent servir de tests de contagiosité, encore plus comme preuves de progression pandémique, dans le cas de l’infection par le SRAS-CoV-2.

On peut également se demander pourquoi les gouvernements de l’Union européenne souhaitent mettre en place un passeport vaccinal qui s’oppose aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS, déclaration du 19 avril 2021). L’OMS rappelle que « les preuves sont limitées concernant la performance des vaccins sur la réduction de la transmission » et que « la preuve de vaccination peut favoriser une liberté de circuler différenciée ».

Des thérapies géniques expérimentales

On note une censure, sur les réseaux sociaux, de plusieurs lanceurs d’alerte qui sont ou relaient les propos de grands scientifiques indépendants tels que le Pr Montagnier (prix Nobel), Alexandra Henrion-Caude (généticienne) et Jean-Bernard Fourtillan qui ont démontré la dangerosité de ces thérapies géniques expérimentales (notamment de la protéine Spike contenue dans ces « vaccins »). On peut également rappeler quelques difficultés rencontrées suivantes :

  1. Le Moderna contient l’ingrédient listé sous sa dénomination commerciale, le SM-102, qui est un produit qui n’est pas destiné à un usage humain ou vétérinaire selon la page de description du produit ou l’on trouve cet avertissement.
  2. L’AstraZeneca et le Johnson & Johnson ont généré une multiplication de cas de thromboses ce qui a poussé certains pays européens à les exclure
  3. Le Pfizer ne serait pas non plus anodin avec des mises en garde sur la nécessité de prise simultanée de contraceptifs ou de relations protégées 

Prisonniers de dettes irremboursables — paupérisation

Suite à la pandémie de Covid-19 et aux mesures liberticides prises par les différents États, les leviers de la dette publique et privée ont été actionnés. Selon les données du FMI, l’endettement public mondial devrait atteindre 100 % du PIB mondial fin 2021. En France, le montant de la dette publique atteindra 2 675 milliards d’euros à la fin de cette année, plus que la richesse nationale. Olivier Dussopt, le ministre délégué en charge des Comptes publics a annoncé une dégradation massive du déficit budgétaire de l’État français cette année à 220 milliards d’euros, soit 47 milliards de plus que prévu. Il s’agirait d’un nouveau record depuis 1945. La hausse de la facture du « quoi qu’il en coûte » est en cause. Ces endettements publics ont, entre autres, aidé à financer également un gigantesque plan de relance de 2 200 milliards de dollars qui a été adopté fin mars 2021 par le Congrès US et le Next Generation EU, de 750 milliards d’euros, convenu à l’été 2020 pour faire face aux conséquences des restrictions liées au Covid-19. Cette frénésie de dette publique ne semble pas s’arrêter avec un budget de 6 000 milliards de dollars pour l’année fiscale 2022 proposé par Joe Biden au Congrès, soit un déficit budgétaire de 1 800 milliards de dollars en 2022.

Quant à la dette privée, la BCE, dans son dernier rapport semestriel sur la stabilité financière publié en mai 2021, met en garde les États et les banques face au risque d’insolvabilité des entreprises. Selon une récente étude d’Allianz, le nombre de défaillances d’entreprises pourrait augmenter de 32 % cette année en Europe. En effet, dans le cadre de la lutte contre le Covid-19, les gouvernements ont favorisé l’endettement des entreprises en ne distinguant pas les entreprises « zombies », qui n’auraient jamais dû être sauvées, de celles viables qu’il aurait fallu certainement mieux accompagner. Or, pour la France, les Prêts Garantis par État (PGE) sont couverts à 90 % pour les entreprises qui ont un chiffre d’affaires inférieur à 1,5 milliard d’euros et entre 70 à 80% pour les autres. Or, s’il y a défaut de paiement sur ces prêts, c’est le contribuable qui paie. La BCE s’inquiète également de la « remarquable exubérance » des marchés financiers liée aux politiques ultra-accommandantes et de la trajectoire du bitcoin (actif intrinsèquement sans valeur), objets de spéculation qui pourraient mener à la ruine des petits épargnants non avertis. Cette tendance est également observée outre-Atlantique avec une déconnexion entre Wall Street et l’économie réelle. Cet appauvrissement des peuples vise leur soumission.

Conclusion : depuis 2008, le monde est en danger face à des grands donneurs d’ordre qui sont hors de contrôle des gouvernements et qui représentent un énorme risque pour la démocratie et la liberté. En réponse, que font les « politiques » et à quand un grand réveil « citoyen » ?

Sources :

Les Echos / Essai de Jean-Marc Daniel,
Mondialisation.ca / Dr Michel Bugnon-Mordant,
Les Echos / Nouriel Roubini,
Mondialisation.ca / Philippe Huysmans,
Sputniknews / Dmitri Bassenko /
Mondialisation.ca / Michel Chossudovsky / Dr Pascal Sacré,
Les Echos / Renaud Honoré,
Les Echos / Daniel Fortin, Jean-Marc Daniel,
Les Echos / Marion Heilmann, Thibaut Madelin,
Le Figaro / AFP,
BusinessBourse, OFCE /Jérôme Creel, Christophe Blot, Xavier Ragot,
Les Echos / Guillaume de Calignon, Fabien Buzzanca,
Les Echos/ Richard Hiault 

Auteur(s): Anne Philippe, pour FranceSoir




L’insanité « sanitaire » de la Secte Delta

Par Lucien Samir Oulahbib

Les psychotiques de la Secte Delta s’accrochant au pouvoir sont devenus des sortes de zombies volontaires (des reptiliens-qui-le-nient-farouchement) ils sont sans pupilles, sans âme, mais en public ils mettent des « contacts » pour simuler « l’humain » afin de déclamer cependant qu’il faudra bien injecter après l’été leur élixir provisoire de manière obligatoire. En attendant, soufflez (un peu) d’ici la rentrée, la peur panique étant tout de même entretenue depuis deux à trois jours, la lancinante psalmodie des chimères « expertes » rabattant le troupeau vers la falaise à coups de « delta ! delta ! » et en écho « vaccin, vaccin », delta vaccin vaccin delta : le tube de l’été (« contact » chantait B.B)

Mais dès maintenant les soignants sont menacés, ce qui implique à terme d’obliger Raoult, Fouché, Guérin, Wonner, de se faire injecter S (Spike) Substance Spike (S.S : Sécurité Sociale, tout le monde aura deviné…), sinon la suspension (Achtung !) puis la radiation seront en vue. Il est certes possible de hausser les épaules (c’est même recommandé par les chasseurs de « fake » parasites de l’anti-bande FN, un peu comme il y a un an la locution « passeport sanitaire » prêtait à sourire. Complot quand tu nous tiens…). Tiens, tiens (d’ailleurs il semble bien que selon des sites de dissidents chinois réfugiés aux USA, une défection de haut rang aura parlé, mais pour l’empêcher de déblatérer le fils de Biiiden est de nouveau embêté par les sbires du CCP, photos sordides à l’horizon, d’où l’enlisement des « révélations » façon Fauci…)

Même la mère Pécresse, l’eusses-tu cru, en vient à entonner la ritournelle visant à envoûter les enfants appelés au sacrifice sur le front chair à canon, comme d’habitude haut les cœurs et fi aux myocardites — même pas peur, peuh ! Alors que les traitements précoces sont de plus en plus performants

Aussi cette « l’eusses-tu cru » mérite tout autant le cordon « sanitaire » : celui du vote nul, un beau bulletin avec un NON! Ne parlons pas des autres vendus non plus, RN compris. « J’irai cracher sur vos tombes », écrivait Boris Vian. Ce ticket n’est toujours pas périmé, des « p’tits trous, des p’tits trous, toujours des p’tits trous et l’on me mettra dans un grand trou », mais pas tout de suite, non, « mourir pour des idées » oui, mais de mort lente chantait Brassens qui n’aurait certainement pas été invité à l’Élysée le 21 juin Homais !  Aurait écrit peut-être Gustave F qui disait « Bovary c’est moi ». Était-il LGBTQI+++ avant l’heure ? Il aurait certainement souligné cette contradiction entre afficher une tendance et vouloir la promouvoir comme s’il s’agissait d’un vêtement ou d’une mode qu’il serait possible de transformer ensuite, l’Exécutif hongrois en doute, mais aussi le « gay » de base : pourquoi l’obliger à s’habiller en queer telle est la SEULE question, pourquoi OBLIGER à « vacciner » à confondre CO2 et CO comme l’explique François Gervais ? Pourquoi ce mauvais universel en vient à alimenter les communautarismes en une espèce de néocolonialisme maquillé d’antifascisme défendu par des zombies n’ayant que le mot « pouvoir » à/dans la bouche à partir du moment où il serait « bio » ?…

Mais ce n’est pas en appelant à ne pas voter pour » eux » que l’on avancera d’un pouce, si n’est pas pris à bras le corps le fait que la domination néo-léniniste est devenue le bras armé de l’affairisme globaliste et scientiste, même si ce dernier se pare de légalité, toutes les dictatures n’ont-elles pas des Codes juridiques suintants de mots caressant dans le sens du poil son « souverain » (le Peuple…). Ce n’est pas leur enflure qui manque. Alors qu’il s’agit de coquilles vides, car inapplicables. Mais lorsqu’elles se referment sur soi, l’absence d’oxygène se fait vite sentir jusqu’à en devenir « jaune ».

Le monde étouffe donc, en ce début d’été maussade qui ne fait guère « fournaise climatique » (aussi faut-il la reculer en… 2050 plutôt qu’en 2000 puis 2020, 2030, les plus « prudents » parlant de 2100) un autre élixir de plus aux retombées de plus en plus sonnantes et trébuchantes.

Suffit-il de dire « non » dans les urnes ?… En 2005 cela n’a rien donné. En 2017 non plus, en 2022 ?…




“L’homme le plus intelligent du monde” analyse le programme de vaccination de l’élite mondiale

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

L’une des personnes les plus intelligentes au monde s’élève contre la vaccination Covid-19, affirmant que l’élite mondiale à l’origine de la campagne de vaccination n’a probablement pas à cœur les intérêts de l’humanité.

La plupart des gens ignorent tout de l’éleveur de chevaux du Missouri Christopher Langan, 69 ans, qui a travaillé comme ouvrier du bâtiment et videur dans un bar pendant près de 20 ans.

Cependant, un article paru dans Esquire en 1999 a rendu Langan célèbre, en le décrivant à l’époque comme “l’homme le plus intelligent d’Amérique”, avec un QI d’environ 200.

Une interview de Lagan réalisée en 2019 par “Spike Jonze” (Adam Spiegel) vous permettra de comprendre à quel niveau se situe cet homme.



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Depuis, M. Langan a fait l’objet d’un reportage dans l’émission “20/20” d’ABC, et son intelligence a été largement documentée compte tenu de son passé inhabituel.

Actuellement, il s’est lancé dans un projet baptisé “Modèle cognitivo-théorique de l’univers (CTMU)”, qui tente de mettre en évidence le “lien entre l’esprit et la réalité” et d’expliquer l’existence de Dieu par les mathématiques.

C’est dans un groupe Facebook consacré au CTMU que M. Langan a démoli la semaine dernière la campagne mondiale de vaccination contre le virus Covid-19 comme seul un génie pouvait le faire.

Selon Langan, le plan de vaccination de l’élite mondiale n’est probablement pas une élimination (immédiate), mais une stérilisation progressive de la population afin de maintenir la supériorité de la classe dirigeante sur les masses abruties.

Lisez la discussion de Langan avec les membres du groupe CTMU ci-dessous, transcrite à partir de captures d’écran Facebook :

Commentaire : “Je me suis demandé s’il n’y avait pas une motivation négative derrière le V@x. Si j’étais un oligarque sociopathe et que je pensais que l’humanité devait être réduite massivement pour protéger la Terre, est-ce que j’utiliserais le vax pour provoquer une mort massive ou une stérilisation massive ? L’une ou l’autre de ces approches provoquerait d’énormes bouleversements, mais la stérilisation de masse serait celle qui causerait le moins de perturbations.”

Réponse : Premièrement, selon la définition habituelle du terme “vaccin”, les injections actuelles ne sont pas des “vaccins”. Elles ne sont qu’une autre souche de technologie dangereuse que la superclasse parasitaire finance et utilise dans le but de dominer et de contrôler le monde.

Une extinction massive de la population humaine serait traumatisante et menacerait le statu quo. Si la population humaine s’effondre et que l’économie suit le mouvement, l’élite n’aura rien, aucune supériorité innée ou capacité d’adaptation, qui pourrait la protéger et contribuer à sa survie. C’est pourquoi elle préfère la stérilisation de masse et un déclin démographique plus lent (mais toujours rapide).

Évidemment, la superclasse parasitaire s’inquiète de la destruction de son environnement par la surpopulation humaine. Malheureusement, elle a raison sur ce point : alors que la Terre et ses ressources sont limitées, la croissance démographique est exponentielle. Mais il y a au moins trois problèmes majeurs dans leur approche.

(1) Au lieu d’aborder le contrôle de la population de la bonne manière, en améliorant la population par l’éducation et l’hygiène génétique, en faisant appel à ce qu’il y a de meilleur dans l’espèce humaine et en la convainquant de contrôler son propre comportement reproductif pour son propre bien et celui de la Terre, ils préfèrent mentir et se faufiler dans le dos de tout le monde, en nous escroquant et en nous menaçant de nous faire “vacciner” sous de faux prétextes. D’où leur négligence flagrante du Logos. Au lieu d’améliorer l’humanité, ils la dégradent, en s’appuyant sur une combinaison d’ignorance publique, de confiance mal placée, et d’idées et d’idéologies sans issue comme l’athéisme, le matérialisme, le communisme, le multiculturalisme et la “diversification” ethnique forcée, la “gouvernance mondiale” tyrannique pour amener l’humanité à se conformer.

(2) Alors que l’élite mondiale veut désespérément le contrôle total de la planète et de sa population humaine, elle n’est ni assez intelligente ni assez bonne moralement pour le mériter, et n’a aucune idée de la manière de l’utiliser correctement à l’avantage de l’espèce humaine et de la planète dans son ensemble.

(3) Cela se reflète dans le fait que leur programme de contrôle se limite au contrôle de la quantité et exclut totalement le contrôle de la qualité. Ils supposent que toute la véritable richesse génétique de l’humanité réside en eux, malgré leur manque flagrant de mérite (génie, rectitude morale). Souscrivant à une idée dépassée appelée “darwinisme social”, ils supposent simplement que tous les autres, même s’ils sont meilleurs et plus intelligents, sont inférieurs et remplaçables et devraient être soit éliminés, soit stérilisés, soit descendus, déracinés et fondus dans une vaste race d’esclaves de couleur moka pour la commodité de l’élite.

En bref, en se remplissant les poches et en bousculant tout le monde, l’élite se considère comme une “race maîtresse”, une sorte d’association mondiale d’élevage pour laquelle le reste de l’espèce n’est rien d’autre qu’un troupeau de bovins dociles à élever pour la servilité et tout juste assez d’intelligence pour suivre les ordres. Cela a été clairement et irréfutablement documenté, par exemple, par le programme de “génocide des Blancs” décrit il y a un siècle par R.N. Coudenhove-Kalergi, financé à l’origine par les Rothschild, les Warburg et d’autres banquiers internationaux, et qui fait maintenant l’objet d’une politique internationale dans tout le monde occidental.

Il est facile de voir où cela mène, et ce n’est bon nulle part. Personnellement, je suis prêt, si nécessaire, à infliger des blessures physiques graves à toute personne qui tenterait de me faire subir une de ces injections, et il devrait en être de même pour toute autre personne qui se respecte.

Q : “Pourquoi les propriétaires de la Plantation Mondiale voudraient-ils tuer ou réduire la fertilité de leurs sujets les plus soumis et les plus obéissants ?”

R : Vous ne comprenez peut-être pas tout à fait. Résister au “vaccin” permet à l’élite de vous identifier comme quelqu’un qu’il vaut mieux tuer et qui est donc éligible à la “vaccination prioritaire.” 😉

De plus, ils pensent qu’ils peuvent forcer tout le monde à prendre le “vaccin”, donc c’est discutable. Prenez-le maintenant, et vous pourrez être zombifié et asservi en tant que cyborg chimique ; ne le prenez pas, et vous serez prêt à être abattu, sans avoir besoin de “vaccin”. Tous les esclaves “valables” qui meurent immédiatement sont des dommages collatéraux acceptables ; de plus, chaque mort sert l’agenda de la dépopulation. (Ne supposez jamais que ces accros du contrôle n’ont pas calculé chaque mouvement qu’ils font pour sa valeur “pile nous gagnons, face vous perdez”. Même lorsqu’ils ne savent pas distinguer leur cul de leur coude, ce qui est assez souvent le cas, c’est leur principal critère politique).

Rappelez-vous, l’élite suppose qu’elle est la crème-de-la-crème génétique, et suppose que tous les autres sont des déchets génétiquement inférieurs et donc finalement sensibles à leurs techniques de contrôle mental. Il s’agit d’une opération de masse dans laquelle l’erreur humaine rend impossible une sélection efficace de la “qualité”, que celle-ci soit définie par le mérite objectif ou par la possibilité de servir la classe supérieure parasitaire.

Dans la vision élitaire du monde, seule l’élite est “élite”. Tous les autres sont de la merde et donc sacrifiables.

Le “darwinisme social” est leur justification absolue de leur propre pouvoir, et ils croient nécessairement qu’aucune personne assez stupide pour prendre ce faux vaccin contre le coronavirus ne peut être digne d’être préservée, tandis qu’ils pensent également que toute personne qui refuse le vaccin mérite d’être raflée et tuée.

Pile, je gagne, face tu perds.


Sources
https://www.newswars.com/smartest-man-in-america-breaks-down-global-elites-vaccine-sterilization-agenda/
https://www.youtube.com/watch?v=sKB4wAqMKRQ

Traduction et sous-titres : https://cv19.fr


[Voir aussi :
Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe
Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard et liens annexes]




La guerre du Bien contre le Mal

[Source : zonefr.com]

par Christine Deviers-Joncour

Consciente depuis le début des années 90 de ce qui se préparait, rien de ce qui arrive aujourd’hui, hélas, ne me surprend. Dans un de mes articles précédents, j’ai mentionné des rencontres, des dîners à cette époque avec le sieur Attali, éminence grise toxique, sherpa de nos présidents.

J’entendais ce mot terrible : DÉPOPULATION.  

Je croyais innocemment à une galéjade. 

Ce texte, prétendument issu d’un entretien de Jacques Attali avec le journaliste et médecin Michel Salomon publié dans son ouvrage L’Avenir de la vie, paru en 1981 : 

« Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui ciblera certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont. »

Et de conclure par une allusion à la vaccination : 

« Nous aurons pris soin d’avoir prévu […] un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. »

Froid dans le dos !

J’ai récemment découvert cet article sur une prévision du développement démographique prévu jusqu’en 2025 de Deagel : Deagel, une véritable organisation de renseignement pour le gouvernement américain, prédit une dépopulation mondiale massive (50-80 %) d’ici 2025.

[Ndlr : cette partie a été supprimée du site http://www.deagel.com/ depuis au moins plusieurs mois.]

Parlons-en de ce vaccin mortifère : La majorité des personnes vaccinées pensent qu’elles ont été protégées contre le Covid, c’est une fraude.

L’automne prochain sera meurtrier : en raison de l’épidémie de maladies et de décès qui se produira, les gouvernements commenceront à promouvoir la prochaine série de vaccination, car ils ont toujours prévu de mettre ces décès sur le compte de « variants », nouvelles versions du Covid !

En vaccinant des millions de personnes, ils poussent le virus à muter et à devenir plus fort et plus mortel (surtout s’ils imposent des mesures de confinement !) Résultat désastreux est que le système immunitaire naturel de centaines de millions de vaccinés est effectivement détruit !

[Ndlr : dans le cadre de la théorie virale, un virus virulent se propage peu, car il tue trop rapidement son hôte, alors qu’un virus qui se propage efficacement n’est pas dangereux. Si les vaccins forcent les virus à muter, alors une mutation a autant de chances de l’affaiblir que de le rendre plus mortel. Cependant, cette théorie est remise en question par des pionniers qui reviennent aux sources à la lumière des moyens modernes d’observation et d’expérimentation (voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.). Dans cette nouvelle approche, les vaccins ont pour seul rôle d’empoisonner l’organisme, d’intoxiquer diverses cellules et de leur faire produire en particulier ce qui a été appelé un jour « virus », ceci en tant que déchet et/ou de moyen de réparation, selon la nature du virus.]

La fausse pandémie de Covid-19 aurait-elle été créée, en partie, pour trouver un prétexte à la vaccination de masse, afin que le vaccin soit proposé comme solution à la prétendue menace posée par le Covid-19 ?                                                

Normalement, pour obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable, cela prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle. Mais il y avait urgence et Big Pharma a vu là la bonne aubaine pour s’enrichir un peu plus.

Je me souviens lorsque l’on m’avait donné comme mission de débloquer le véto mis par Mitterrand pour cette vente des Frégates à Taiwan, je m’étais rebellée. Vendre des armes sûrement pas !!! Alors je reçus cette réponse :

« Ce ne sont pas les marchands d’armes les plus dangereux, ce sont les laboratoires pharmaceutiques ! »

Un vaccin n’est pas anodin : il s’agit le plus souvent d’un virus désactivé ou affaibli, et peut dans certains cas aggraver la maladie qu’il est censé prévenir. Peter Hottez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de SRAS en 2003, a ainsi constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. C’est ce que l’on appelle une « facilitation de l’infection par des anticorps » (Antibody-dependant enhancement ou ADE en anglais).

Les accidents se multiplient partout dans le monde et la plupart des personnes vaccinées pensent qu’elles ont été vaccinées contre l’infection : c’est une autre fraude !

Le nombre de décès aux États-Unis est 40 fois plus important depuis plus de vingt ans, suite à la campagne de vaccination ! Quand cette information sera connue par un grand nombre d’entre nous, des têtes vont commencer à tomber aux USA, mais aussi en Europe.

Et les morts s’accumulent un peu partout sur la planète. Les gens pleurent leurs proches disparus. Motus sur les médias mainstream.

Et puis ceci : Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?

Expérience et fourniture de Spike couplée à des perles magnétiques.

Les médias hurlent au fake sur tous les supports !

Mais de nombreux scientifiques tentent d’y répondre.

Dans mon entourage amical, combien de personnes avouent qu’ils ont jugé bon de se faire vacciner, alors que je n’ai cessé durant ces derniers mois de les mettre en garde et de les dissuader ? Non, rien n’y a fait. Penauds, ils se dédouanent : « Les vacances arrivent, nous voulons bouger et voyager ! »

Quelle inconscience !

Certains me traitent de complotiste. Mais qui sont les complotistes ???

Complot Qui fomente les complots ? Le peuple ? Non ! Ce sont eux les politiques et les médias aux ordres les vrais comploteurs… complotistes.

Tous, présidents, ministres, députés, sénateurs, conseillers d’État, les « sages » du Conseil Constitutionnel… Les entendez-vous dénoncer l’horreur que l’on fait subir au peuple et ce qu’on leur prépare comme avenir ? Seraient-ils tous corrompus pour se taire et laisser faire, en manque de probité, d’honneur, menacés ou complètement dépassés ?

Ne craignent-ils pas un jour la vindicte du peuple ?

La Guerre des mondes de HG Wells a bel et bien débuté. La plupart des gens ne sont pas conscients qu’ils sont sur le bord de l’extinction, sinon du contrôle total sur leur vie.

Malgré toutes les manifestations, malgré tous les discours, malgré toutes les pétitions, les politiciens et les médias continuent à se vautrer sans vergogne dans le mensonge, la perfidie et la trahison envers leur population. Leur lâcheté ou compromission sont inacceptables. Nous assistons à un génocide programmé sur tout la planète !

Les scientifiques honnêtes alertent, partagent leurs études scientifiques, quelques médecins intègres eux aussi montent au créneau et mettent en garde contre ces tests PCR et Vaccins, et les autorités les bâillonnent, les détractent, les insultent, censurent et les bannissent quand on ne les enferme pas dans des asiles psychiatriques.

Il ne s’agit pas ici de pessimisme, comme certaines personnes pourraient le croire, mais bien d’hyper réalisme. Les cabalistes et les comploteurs ont pour finalité de détruire la société actuelle, pour en rebâtir une nouvelle selon de nouvelles normes qui ne seront évidemment pas conçues pour le bien-être de l’humanité.    

Le Forum Économique Mondial et ses partenaires globalistes ont été les premiers bénéficiaires de la pandémie. Comme le chef du FEMKlaus Schwab, l’a fait remarquer avec enthousiasme à maintes reprises, la pandémie est une « occasion » parfaite pour les globalistes d’accélérer ce qu’ils appellent le programme du « Grand Reset » — un plan visant à démanteler complètement le cadre politique et économique actuel du monde et à le reconstruire en une civilisation socialiste hautement centralisée dans laquelle ils ont un contrôle total et où la liberté individuelle n’est plus qu’un vague souvenir.

Allez chercher des infos sur leur dernière trouvaille : « Cyberpolygon », dirigé par le FEM en juillet dernier. Ce jeu de guerre est censé « simuler » une cyberattaque contre des infrastructures vitales qui entraînerait l’arrêt de la chaîne d’approvisionnement globale, ou du moins des chaînes d’approvisionnement de certains pays : 

https://lesakerfrancophone.fr/cyber-polygon-le-prochain-jeu-de-guerre-globaliste-conduira-t-il-a-une-autre-catastrophe-bien-commode [ou ici : Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ?]

Ils sont une poignée de malfaisants, de fous génocidaires qui ont organisé toute cette fraude et qui nous entraînent dans l’Armageddon ! Mais nous sommes huit milliards sur cette planète. Rien n’est perdu.

Rien n’est définitif. Apocalypse = Révélation.

Ils ont leur Grand Reset et nous le Grand Réveil.

Depuis tant d’années, je sais. Depuis tant d’années je fus témoin de leurs honteuses manipulations et mises en place de ce que nous vivons aujourd’hui ! Le premier choc fut le 11 septembre 2001. Ce fut leur coup d’envoi ! Par un des plus grands hasards, je fus un petit témoin de cette opération, deux mois auparavant, en juillet, à Washington.

Quand les tours du World Trade Center se sont effondrées, en recoupant tout ce que j’avais vu et entendu deux mois auparavant, cela fut une évidence… Dans les mois qui suivirent, je savais la vérité et ne pouvais rien dire sans passer pour une démente. Un jour je raconterai si Dieu me prête vie. Mais, depuis quelques années, peu à peu, le voile se lève ! Et ils sont à vue. D’ailleurs maintenant ils ne se cachent même plus, sûrs d’eux !

Leur « plan » semble fonctionner et ils se frottent les mains ! Mais trop vite, trop loin ils sont allés et de petits cailloux vont enrayer leur machination infernale et leur projet démoniaque et sataniste de contrôle planétaire. Et quelques voix se lèvent. Ainsi ce courageux député finlandais Ano Turtiainen [Voir : Finlande — Vaccination Covid : des parlementaires seront accusés de génocide] monte au créneau :

« Alors, je vous demande à tous : combien de personnes doivent encore mourir ou être blessées avant que nous n’arrêtions ce massacre ? Chers collègues, vous êtes désormais conscients de la menace extrême et grave qui pèse sur la sécurité de notre nation, et que les inconvénients des injections sont plus importants que les avantages. Vous n’avez plus de raison de ne pas agir pour sauver notre nation. Enfin si vous continuez à tromper nos citoyens, en leur racontant par exemple des contes de fées selon lesquels les vaccins sont sûrs et ont une licence de commercialisation. Vous êtes intentionnellement impliqués dans plusieurs crimes, le plus grave d’entre eux pouvant même être un génocide. Une fois de plus je vous rappelle à tous ici : un crime devient intentionnel lorsqu’il est commis en connaissance de cause. Maintenant vous êtes tous conscients, merci. »

J’ai tellement de rancune accumulée devant tant de cruauté, de mensonges, lâcheté, perversion et d’injustices… Mais l’instant n’a de place qu’étroite entre l’espoir et le regret et c’est la place de la vie. Il m’a fallu du temps pour tenter de transformer ces ressentiments, pour éprouver moins d’amertume, pour ne plus goûter ce fiel qui souvent m’envahissait jusqu’à l’écœurement et l’envie de vomir. Je tente d’éprouver de la compassion pour certains, infirmes du cœur et inachevés, mais je n’en aurai jamais pour cette poignée de salopards diaboliques qui nous entraînent en enfer.

Soudain je reprends espoir en venant librement ici balancer certaines vérités sans être bannie. Merci à MediaZone de m’avoir accueillie !

On va se battre encore et encore. C’est une « guerre contre les peuples », comme ils disent : c’est une sacrée guerre du Bien contre le Mal !  Mais les peuples s’éveillent et j’aperçois enfin une petite lumière au bout du tunnel. Serrons les coudes tous ensemble et résistons! Luttons fièrement, pour nos enfants, pour notre terre, pour l’amour, pour la vie ! Que Dieu nous vienne en aide !

Quand le pouvoir de l’amour l’emportera sur l’amour du pouvoir alors le monde connaîtra la paix.

(Jimi Hendrix)

Christine Deviers-Joncour
http://christinedeviersjoncour.com




L’inventeur de l’ARNm interrogé sur les dangers de l’injection

[Source anglophone : mercola.com]

Analyse du Dr Joseph Mercola

RÉSUMÉ

►Le Dr Robert Malone est l’inventeur de la plate-forme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN. Il est très préoccupé par le manque de transparence des effets secondaires, la censure de la discussion et l’absence de consentement éclairé qu’entraînent ces vaccins.

►La protéine libre de la pointe du SRAS-CoV-2 est biologiquement active — contrairement aux hypothèses initiales — et provoque de graves problèmes. Elle est responsable des effets les plus graves observés dans le COVID-19, tels que des troubles de la coagulation, des caillots sanguins dans tout le corps et des problèmes cardiaques.
Ce sont les mêmes problèmes que nous constatons aujourd’hui chez un nombre impressionnant de personnes qui ont reçu le « vaccin » COVID-19.

►La protéine de pointe présente également une toxicité pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes. Les données indiquent que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82 %.

►Les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés présentent un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois supérieur à la normale.

►Les injections de COVID-19 n’ont qu’une autorisation d’utilisation d’urgence, qui ne peut être accordée que s’il n’existe pas de remèdes sûrs et efficaces. De tels remèdes existent, mais ils ont été activement censurés et supprimés.

Dans la vidéo ci-dessus [Voir ici], l’animateur du podcast Dark Horse, Bret Weinstein, docteur en biologie évolutionniste, s’entretient avec le Dr Robert Malone, l’inventeur de la plate-forme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN,(([1] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021)) et Steve Kirsch, un entrepreneur qui a mené des recherches sur les effets indésirables des thérapies géniques COVID-19.

Je me rends compte qu’il s’agit d’une interview de trois heures absolument épique, mais si vous attachez de l’importance à ce que j’ai enseigné, vous devez au minimum lire très attentivement l’intégralité de cet article.

M. Malone est le scientifique qui a inventé la technologie permettant de réaliser le test COVID et il révèle comment cette introduction a été compromise sur le plan éthique pour rendre le consentement éclairé absolument impossible pour le citoyen moyen. Regardez l’interview si votre emploi du temps le permet, mais lisez attentivement cet article à coup sûr.

Kirsch a récemment publié l’article « Should You Get Vaccinated ? » dans lequel il explique comment et pourquoi il a changé d’avis sur les « vaccins » COVID-19. Et ce, après avoir reçu les deux doses du vaccin Moderna, comme l’ont fait ses trois filles.

Si vous ou l’un de vos proches avez des doutes sur le test COVID, alors vous devez absolument lire l’article de Kirsh, car il s’agit clairement de l’un des meilleurs articles sur le sujet et il présente l’autre côté de l’histoire, qui n’est JAMAIS présenté dans les médias grand public.

N’oubliez pas que sans une divulgation complète des risques liés au vaccin, il est impossible d’obtenir un consentement éclairé.(([2] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)) Si vous lisez l’article de Kirsch, vous obtiendrez, de manière très détaillée, l’autre côté que les médias conventionnels refusent de partager. Il écrit :

« J’ai récemment appris que ces vaccins ont probablement tué plus de 25 800 Américains (ce que j’ai confirmé de 3 façons différentes) et handicapé au moins 1 000 000 d’autres. Et nous ne sommes qu’à mi-chemin de la ligne d’arrivée. Nous devons suspendre ces vaccins MAINTENANT avant que d’autres personnes ne soient tuées.

Sur la base de ce que je sais aujourd’hui des avantages minuscules des vaccins (environ 0,3 % de réduction du risque absolu), des effets secondaires (y compris la mort), des taux actuels de COVID et du taux de réussite des protocoles de traitement précoce, la réponse que je donnerais aujourd’hui à toute personne me demandant conseil sur l’opportunité de prendre l’un des vaccins actuels serait : « Dites simplement NON ».

Les vaccins actuels sont particulièrement contre-indiqués si vous avez déjà été infecté par le COVID ou si vous avez moins de 20 ans. Pour ces personnes, je dirais « NON ! NON ! NON ! »

Dans cet article, je vais vous expliquer ce que j’ai appris depuis que je suis vacciné et qui m’a totalement fait changer d’avis. Vous apprendrez comment ces vaccins fonctionnent et les raccourcis qui ont conduit aux erreurs commises.

Vous comprendrez pourquoi il y a tant d’effets secondaires, pourquoi ils sont si variés et pourquoi ils surviennent généralement dans les 30 jours suivant la vaccination. Vous comprendrez pourquoi les enfants ont des problèmes cardiaques (pour lesquels il n’existe aucun traitement), perdent temporairement la vue et la capacité de parler. Vous comprendrez pourquoi jusqu’à 3 % d’entre eux peuvent être gravement handicapés par le vaccin. »

La protéine Spike est une cytotoxine bioactive

Comme l’explique Malone, il y a plusieurs mois, il a averti la Food and Drug Administration américaine que la protéine Spike — que les « vaccins » COVID-19 demandent à vos cellules de fabriquer — pouvait être dangereuse. La FDA a rejeté ses inquiétudes, affirmant qu’elle ne pensait pas que la protéine Spike était biologiquement active. En outre, les fabricants de vaccins ont spécifiquement conçu les injections de manière à ce que la protéine Spike soit collée et ne flotte pas librement.

Eh bien, ils avaient tort sur les deux points. Il a depuis été bien établi qu’en effet, la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se libère, qu’elle est biologiquement active et qu’elle cause de graves problèmes. Elle est responsable des effets les plus graves observés chez COVID-19, tels que des troubles de la coagulation, des caillots sanguins dans tout le corps et des problèmes cardiaques.

Ce sont les mêmes problèmes que nous constatons aujourd’hui chez un nombre stupéfiant de personnes ayant reçu une ou deux injections du « vaccin » COVID-19. Pour des informations plus approfondies sur la façon dont la protéine Spike cause ces problèmes, veuillez consulter mon interview avec Stephanie Seneff, Ph.D. et Judy Mikovits, Ph.D.

L’utilisation du mot « vaccin » n’est pas vraiment appropriée ici, et je ne veux pas contribuer à l’utilisation abusive de ce mot. Ces injections ne sont clairement pas des vaccins. Elles ne fonctionnent pas comme les vaccins conventionnels précédents. Comme le dit clairement l’inventeur des vaccins à ARNm dans l’interview, il s’agit de thérapie génique. Comprenez donc que lorsque je parle de vaccin ou de vaccination, je parle en réalité de thérapie génique.

La protéine de pointe se dissémine dans tout votre corps

Dans un récent entretien(([3] Newzworldtoday.com 2 juin 2021)) avec Alex Pierson, Byram Bridle, docteur en immunologie et chercheur canadien sur les vaccins, a parlé de recherches inédites obtenues auprès de l’organisme de réglementation japonais grâce à une demande de loi sur la liberté d’information.

Il s’agissait d’une étude de biodistribution réalisée par Pfizer, qui a montré que l’ARNm du vaccin ne reste pas dans et autour du site de vaccination, mais est largement distribué dans le corps, tout comme la protéine de pointe.(([4] Nouvelles du site du procès 6 juin 2021))

Il s’agit d’un problème grave, car il a été démontré que la protéine de pointe est une toxine qui provoque des dommages cardiovasculaires et neurologiques. Une fois dans la circulation sanguine, la protéine Spike se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Dans ce cas, elle peut provoquer l’agglutination des plaquettes, ce qui entraîne la formation de caillots sanguins, et/ou provoquer des saignements anormaux. J’ai détaillé ces résultats et d’autres dans « Chercheur : ‘Nous avons fait une grosse erreur’ sur le vaccin COVID-19 ».

On a arrondi les angles*

[Ndlr : *Pour éviter d’exposer des données problématiques]

La protéine Spike est également toxique pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes. Kirsch cite des données suggérant que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82 %.(([5] Lettre au rédacteur, commentaire sur la sécurité du vaccin ARNm COVID-19 chez les femmes en ceintes (PDF) )) Le taux normal est de 10 %, il ne s’agit donc pas d’une hausse mineure. Kirsch écrit(([6] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)):

« Il est déconcertant que le CDC affirme que le vaccin est sûr pour les femmes enceintes alors qu’il est si clair que ce n’est pas le cas. Par exemple, l’une de nos amies de la famille en est victime. Elle a fait une fausse couche à 25 semaines… Elle a reçu sa première injection il y a 7 semaines, et sa deuxième il y a 4 semaines.

Le bébé présentait une grave hémorragie cérébrale et d’autres défigurations. Son gynécologue n’avait jamais vu une telle chose de sa vie. Ils ont fait appel à un spécialiste qui a dit qu’il s’agissait probablement d’un défaut génétique (parce que tout le monde croit au récit selon lequel le vaccin est sûr, il est toujours exclu comme cause possible).

Pas de rapport VAERS. Pas de rapport du CDC. Pourtant, les médecins à qui j’ai parlé disent qu’il est certain à plus de 99 % que c’était le vaccin. La famille ne veut pas d’autopsie de peur que leur fille ne découvre que c’était le vaccin. C’est un exemple parfait de la façon dont ces effets secondaires horribles ne sont jamais signalés nulle part. »

Il est inquiétant de constater que les données de biodistribution de Pfizer révèlent que l’on a pris des raccourcis dans l’intérêt de la rapidité, et que l’un des aspects de la recherche qui a été ignoré est la toxicologie de la reproduction. Pourtant, malgré l’absence d’une enquête initiale sur la toxicologie de la reproduction et un nombre croissant de rapports de fausses couches (qui est probablement un sous-dénombrement important), les Centers for Disease Control and Prevention continuent d’exhorter les femmes enceintes à se faire vacciner. Pourquoi cela ?

Y a-t-il une suppression intentionnelle des données VAERS ?

De plus, comme nous l’avons évoqué dans l’interview, il semble que les données du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) soient manipulées, car des rapports qui avaient été déposés ont disparu. Pourquoi ont-ils été supprimés ? Et sans le consentement des déclarants ?

« Les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois plus élevé que la normale. »

Même avec cette manipulation, le nombre de décès signalés après la vaccination contre le COVID-19 dépasse tout ce que nous avons jamais vu. D’après Kirsch, le taux de mortalité lié aux injections de COVID-19 dépasse celui de plus de 70 vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et il est environ 500 fois plus mortel que le vaccin contre la grippe saisonnière (([7] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)) qui a toujours été le plus dangereux.

D’autres effets graves sont également hors normes. Par exemple, des données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux 25 fois plus élevé de myocardite (inflammation du cœur) que la normale.(([8] Ottawa Citizen 4 juin 2021)) De plus, de nombreux jeunes gens meurent actuellement des suites de cette myocardite.(([9] Le Défenseur 15 juin 2021))

M. Malone souligne qu’en relisant la version la plus récente de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) qui régit ces injections de COVID, il a découvert que la FDA a choisi de ne pas exiger une collecte et une évaluation rigoureuses des données post-vaccinales, alors qu’elle avait toute latitude pour le faire.

Comme l’a noté Weinstein, il s’agit d’une autre anomalie qui nécessite une réponse. Pourquoi ont-ils opté pour une saisie de données aussi laxiste, car sans elle, il n’y a aucun moyen d’évaluer la sécurité de ces produits. Vous ne pouvez pas identifier les signaux de danger si vous n’avez pas de processus pour capturer les données sur les effets et les évaluer toutes.

« Toute la logique de l’EUA consiste à substituer la saisie en temps réel d’informations clés à la saisie prospective de ces mêmes informations », explique M. Malone. « Mais pour ce faire, vous devez obtenir les informations et elles doivent être rigoureuses. »

Autres anomalies

En outre, comme l’a fait remarquer M. Weinstein, si vous diffusez un vaccin dans le cadre d’une utilisation d’urgence — parce que vous dites qu’il y a une urgence sanitaire sans précédent et qu’il n’y a pas d’autres options, et qu’il vaut donc la peine de prendre un risque supérieur à la normale — vous ne le donnerez toujours pas aux personnes qui ne courent aucun risque ou un risque faible de contracter la maladie en question.

Cela inclut les enfants, les adolescents et les personnes en bonne santé de moins de 40 ans, au strict minimum. Les enfants semblent naturellement immunisés contre le COVID-19(([10] Science 14 mai 2021 ; 372(6543) :738-741)) et il a été démontré qu’ils ne sont pas des vecteurs de la maladie,(([11] Archives of Disease in Childhood 2020;105:618-619)) et les personnes de moins de 40 ans ont un taux de létalité de l’infection de seulement 0,01 %.(([12] Annals of Internal Medicine 2 septembre 2020 DOI:10.7326/M20-5352)) Cela signifie que leurs chances de survie sont de 99,99 %, ce qui est aussi bon que possible.

Les femmes enceintes seraient également exclues, car elles constituent une catégorie à haut risque pour toute expérimentation, et toute personne ayant guéri du COVID serait exclue, car elle possède désormais une immunité naturelle et n’a pas besoin d’un quelconque vaccin. En fait, une récente

Une étude de la Cleveland Clinic(([13] medRxiv 5 juin 2021 DOI :10.1101/2021.06.01.21258176))(([14] Nouvelles médicales Sciences de la vie 8 juin 2021)) a révélé que les personnes dont le test de dépistage du SRAS-CoV-2 avait été positif au moins 42 jours avant la vaccination ne tiraient aucun bénéfice supplémentaire des vaccins.

Pourtant, tous ces groupes à risque incroyablement faible sont exhortés et même incités de manière inappropriée à se faire vacciner, ce qui constitue également un comportement anormal. L’analyse des risques et des avantages ne tient pas seulement compte du risque d’effets graves et de décès liés à la maladie, mais aussi de la disponibilité de traitements alternatifs, ce qui constitue une troisième anomalie majeure.

Nous avons assisté à une suppression claire des informations montrant qu’il n’existe pas un seul, mais plusieurs remèdes efficaces qui pourraient réduire à pratiquement zéro le risque de COVID-19 pour un certain nombre de groupes de personnes. Les exemples incluent l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, qui sont tous deux utilisés en toute sécurité depuis des décennies par des millions de personnes dans le monde.

Le principe de précaution veut que tant qu’un médicament ou une stratégie de traitement n’est pas nuisible, même si l’effet positif peut être faible, il doit être utilisé jusqu’à ce que de meilleures données ou de meilleurs traitements soient disponibles. C’est la logique qu’ils ont utilisée pour les masques (même si les données n’ont montré aucun avantage statistique et qu’il existe un certain nombre d’inconvénients potentiels).

Mais lorsqu’il s’agit d’hydroxychloroquine et d’ivermectine, ils ont supprimé l’utilisation de ces médicaments alors qu’ils sont extrêmement sûrs lorsqu’ils sont utilisés aux doses appropriées et qu’il a été démontré qu’ils fonctionnent vraiment bien dans plusieurs dizaines d’études. Comme le note Kirsch dans son article :(([15] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021))

« Les médicaments reproposés [comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine] sont plus sûrs et plus efficaces que les vaccins actuels. En général, un traitement précoce avec un protocole efficace réduit de plus de 100 fois le risque de décès. Ainsi, au lieu de 600 000 décès, nous aurions moins de 6 000 décès. REMARQUE : le vaccin a déjà tué plus de 6 000 personnes et ce chiffre ne concerne que le vaccin (et ne tient pas compte des décès dus à une percée). »

Les médecins sont également muselés et leurs avertissements supprimés et censurés. Le Dr Charles Hoffe a administré le « vaccin » COVID-19 de Moderna à 900 de ses patients.

Trois d’entre eux sont désormais handicapés à vie et un est décédé. Après avoir écrit une lettre ouverte au Dr Bonnie Henry, responsable provincial de la santé en Colombie-Britannique, dans laquelle il déclarait être « très alarmé par le taux élevé d’effets secondaires graves de ce nouveau traitement « ,(([16] Lettre ouverte du Dr Charles Hoffe 5 avril 2021)) ses privilèges hospitaliers lui ont été retirés.

Les lois de bioéthique sont manifestement violées

Dans un essai du 30 mai 2021,(([17] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021)) Malone a examiné l’importance du consentement éclairé, concluant à juste titre que la censure fait en sorte que le consentement éclairé ne peut tout simplement pas être donné. Le consentement éclairé n’est pas seulement une belle idée ou un idéal. C’est la loi, tant au niveau national qu’international. L’actuelle campagne de vaccination viole également les principes bioéthiques en général.

« À titre d’information, sachez que je suis un spécialiste et un défenseur des vaccins, ainsi que l’inventeur original de la plate-forme technologique du vaccin à ARNm (et du vaccin à ADN). Mais j’ai également reçu une formation approfondie en bioéthique de l’Université du Maryland, du Walter Reed Army Institute of Research et de la Harvard Medical School, et le développement clinique avancé et les affaires réglementaires sont des compétences essentielles pour moi », écrit M. Malone.

« Pourquoi est-il nécessaire de supprimer la discussion et la divulgation complète des informations concernant la réactogénicité et les risques de sécurité des ARNm ? Analysons rigoureusement les données sur les événements indésirables liés aux vaccins. Peut-on trouver des informations ou des schémas, comme la découverte récente des signaux de cardiomyopathie, ou les signaux de réactivation du virus latent ?

Nous devrions faire appel aux meilleurs experts en biostatistique et en apprentissage automatique pour examiner ces données, et les résultats devraient — non doivent — être mis à la disposition du public rapidement. Suivez-moi et prenez un moment pour examiner avec moi la bioéthique sous-jacente à cette situation…

La suppression de l’information, la discussion et la censure pure et simple concernant les vaccins actuels de COVID, qui sont basés sur les technologies de thérapie génique, jettent une mauvaise lumière sur l’ensemble de l’entreprise des vaccins. Je pense que le public adulte peut gérer l’information et les discussions ouvertes. En outre, nous devons divulguer entièrement tous les risques associés à ces produits de recherche expérimentale.

Dans ce contexte, le public adulte est essentiellement un sujet de recherche qui n’est pas tenu de signer un consentement éclairé en raison de la dérogation de l’EUA. Mais cela ne signifie pas qu’ils ne méritent pas la divulgation complète des risques que l’on exige normalement dans un document de consentement éclairé pour un essai clinique.

Et maintenant, certaines autorités nationales demandent le déploiement des vaccins EUA chez les adolescents et les jeunes, qui, par définition, ne sont pas en mesure de fournir directement un consentement éclairé pour participer à une recherche clinique — écrit ou non.

Le point essentiel ici est que ce qui est fait en supprimant la divulgation et le débat ouverts concernant le profil des effets indésirables associés à ces vaccins viole les principes bioéthiques fondamentaux de la recherche clinique. Cela remonte à la convention de Genève et à la déclaration d’Helsinki.(([18] Association médicale mondiale AMM Déclaration d’Helsinki)) Il doit y avoir un consentement éclairé pour l’expérimentation sur des sujets humains ».

L’expérimentation sans consentement éclairé approprié viole également le Code de Nuremberg,(([19] Code de Nuremberg de 1947)) qui énonce un ensemble de principes d’éthique de la recherche pour l’expérimentation humaine. Cet ensemble de principes a été élaboré pour garantir que les horreurs médicales découvertes lors des procès de Nuremberg à la fin de la Seconde Guerre mondiale ne se reproduisent plus jamais.

Des lignes ont été franchies qui ne doivent jamais l’être

Aux États-Unis, nous avons également le rapport Belmont,(([20] HHS.gov Le rapport Belmont)) cité dans l’essai de Malone, qui énonce les principes éthiques et les lignes directrices pour la protection des sujets humains de la recherche, couverts par le Code of Federal Regulations 45 CFR 46 (sous-partie A). Le rapport Belmont décrit le consentement éclairé comme suit :

« Le respect des personnes exige que les sujets, dans la mesure de leurs capacités, aient la possibilité de choisir ce qui doit ou ne doit pas leur arriver. Cette possibilité est offerte lorsque les normes adéquates de consentement éclairé sont respectées.

Si l’importance du consentement éclairé est incontestable, la nature et la possibilité d’un tel consentement font l’objet de controverses. Néanmoins, il est largement admis que le processus de consentement peut être analysé comme contenant trois éléments : l’information, la compréhension et le caractère volontaire. »

Les Américains, et même les peuples de la terre entière, sont empêchés d’accéder librement à l’information sur ces thérapies géniques et de la partager. Pire encore, nous sommes induits en erreur par les vérificateurs de faits et les plates-formes Big Tech qui interdisent ou apposent des étiquettes de désinformation sur toute personne et tout ce qui en discute de manière critique ou interrogative. Cette même censure empêche également la compréhension des risques.

Enfin, le gouvernement et un grand nombre d’acteurs du secteur des vaccins encouragent les entreprises et les écoles à rendre ces injections expérimentales obligatoires, ce qui viole la règle du volontariat. Le gouvernement et les entreprises privées créent également des incitations massives à participer à cette expérience, notamment des loteries d’un million de dollars et des bourses universitaires complètes. Rien de tout cela n’est éthique ni même légal. Comme l’a noté Malone:(([21] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021))

« … comme ces vaccins ne sont pas encore autorisés sur le marché (homologués), il est spécifiquement interdit de contraindre des sujets humains à participer à une expérimentation médicale. Par conséquent, les politiques de santé publique qui répondent aux critères généralement admis de coercition pour participer à la recherche clinique sont interdites.

Par exemple, si je proposais un essai clinique impliquant des enfants et que j’incitais la participation en distribuant des glaces à ceux qui étaient prêts à participer, n’importe quel comité de sécurité des sujets humains (IRB) institutionnel aux États-Unis rejetterait ce protocole.

Si je devais proposer un protocole de recherche clinique dans lequel la population d’une région géographique perdrait ses libertés individuelles à moins que 70 % de la population ne participe à mon étude, une fois encore, ce protocole serait rejeté par n’importe quel IRB américain pour cause de coercition à la participation des sujets. Aucune coercition pour participer à l’étude n’est autorisée.

Dans la recherche clinique sur les sujets humains, dans la plupart des pays du monde, cette exigence est considérée comme une ligne de démarcation à ne pas franchir. Et maintenant, on nous dit de renoncer à cette exigence sans même qu’une discussion publique ouverte soit autorisée ? En conclusion, j’espère que vous vous joindrez à moi, que vous prendrez un moment pour réfléchir par vous-même à ce qui se passe. La logique me semble claire.

1. Un produit médical non autorisé déployé dans le cadre d’une autorisation d’utilisation en urgence (EUA) reste un produit expérimental en cours de développement de recherche clinique.
2. L’AUE autorisée par les autorités nationales accorde essentiellement un droit à court terme d’administrer le produit de la recherche à des sujets humains sans consentement éclairé écrit.
3. La Convention de Genève, la déclaration d’Helsinki et l’ensemble de la structure qui soutient la recherche éthique sur les sujets humains exigent que les sujets de recherche soient pleinement informés des risques et qu’ils consentent à participer sans contrainte. »

Encore une fois, si votre emploi du temps le permet, j’espère sincèrement que vous prendrez le temps d’écouter l’interview de Weinstein avec Malone et Kirsch. Oui, c’est très long — environ 3 ½ heures — mais ils sont tous astucieux dans leurs observations, ce qui rend la conversation éclairante. Et n’oubliez pas de lire et de partager largement l’article de Kirsch, « Should You Get Vaccinated ? ”(([22] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021))


[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Le Dr Joseph Mercola est le fondateur de Mercola.com. Médecin ostéopathe, auteur à succès et récipiendaire de multiples prix dans le domaine de la santé naturelle, sa vision principale est de changer le paradigme de la santé moderne en fournissant aux gens une ressource précieuse pour les aider à prendre le contrôle de leur santé. En raison de ses efforts inlassables pour diffuser des informations importantes sur la santé au public, le Dr Mercola a reçu de nombreux prix et distinctions. En 2009, il a été nommé le meilleur Ultimate Wellness Game Changer, qui récompense « 100 innovateurs, visionnaires et leaders dans 10 catégories qui exploitent le pouvoir des nouveaux médias pour remodeler leurs domaines et changer le monde ».

Il a également reçu des prix prestigieux d’Emord and Associates PC pour ses contributions à la médecine holistique, notamment le prix Sacred Fire of Liberty, le prix Excellence in Health Journalism Award et le Freedom of Informed Choice Award. Le Dr Mercola a ouvert la voie à des changements révolutionnaires dans le domaine de la santé naturelle. Il est toujours en avance sur la courbe en matière d’information sanitaire innovante, dépassant les limites de la médecine conventionnelle pour apporter des conseils de santé fiables à son public.

Le Dr Robert Malone a inventé la technologie de thérapie génique par ARNm et a averti la FDA que les vaccins sont dangereux. La FDA l’a-t-elle écouté ? Non. Au lieu de cela, il a été censuré par Big Pharma et la FDA a obtenu l’autorisation d’utilisation d’urgence qui a entraîné des centaines de milliers de blessures. Lisez l’intégralité de cet article et — si vous le pouvez — écoutez attentivement l’entrevue vidéo.


Sources et références




Pr Christian Vélot : « Il est urgent de ne pas vacciner les enfants »

[Source : Collectif VRAI ou sur VK ou Internet Archive]

Christian Vélot est docteur en sciences médicales et biologie, spécialisé en génétique moléculaire, généticien moléculaire et Professeur à l’université de Paris-Saclay, Président du conseil scientifique du CRIGEN.

Dans cet entretien, le collectif V.R.A.I. [Vaccination Réinformation Action Israël] interroge Christian Vélot sur la question spécifique de la vaccination des enfants contre la COVID :

  • quel rôle particulier jouent les enfants au plan épidémique en ce qui concerne la protection contre l’apparition de variants potentiellement plus dangereux ?
  • quels sont les risques de génotoxicité et d’immunotoxicité des vaccins contre la COVID ? quels sont les risques de vacciner en pleine pandémie sur le plan de l’apparition de variants plus dangereux ?
  • quelle est la balance bénéfice/risque des vaccins contre la COVID pour les enfants ?
  • qu’est-ce que la recherche récente nous apprend des effets de la protéine spike (que le vaccin nous fait produire) sur l’organisme?
  • comment peuvent s’expliquer les effets secondaires déjà constatés sur les populations jeunes vaccinées (myocardites, déréglements menstruels…) ?
  • pourquoi faut-il attendre plusieurs années avant de connaître les effets à long terme d’un vaccin ?
  • quelles stratégies alternatives à la vaccination de masse pour sortir de la crise ?
  • quel grave problème sanitaire des nations occidentales a révélé la crise actuelle ?

Liens vers les articles et vidéos évoqués dans l’entretien :

La Tribune de Delfraissy ( + 4 autres personnes) :
Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract – The Lancet Public Health

Expertise écrite du Dr VÉLOT : (09/2020)
Covid-19 : Rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (criigen.org)

L’étude scientifique démontrant la toxicité de Spike à elle seule sur des aspects cardio-vasculaires :
SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2 | Circulation Research (ahajournals.org)

L’article tout récemment publié sur l’action de la polymerase theta capable de transformer l’ARN en ADN :
New discovery shows human cells can write RNA sequences into DNA — ScienceDaily

Vidéo Vaccins (20/12/2020 – 48mn)
https://criigen.org/covid-19-les-technologies-vaccinales-a-la-loupe-video/

DVD CRIIGEN (2 autres Conférences du Dr VÉLOT / L’une sur les « Techniques de manipulation génétique » et l’autre sur les « Perturbateurs endocriniens et l’épigénétique ») :
Les DVD du CRIIGEN – CRIIGEN

Conférence Direct Zoom + Youtube : « Vaccins anti-Covid-19 • Quelles technologies ? – Quels risques ? (Approfondissements et Actualités) » (22/04/2021 – 2H44)
https://youtu.be/MG0AOKssJII




Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

[Source : Cogiito]

[Sur l’illustration : « Big Pharma est un cartel monopolistique protégé par le gouvernement. »]

par Lance D Johnson.

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.   

Ce système dominé par les grandes sociétés pharmaceutiques est également légalement autorisé à commercialiser directement auprès des consommateurs, permettant un lavage de cerveau perpétuel de la population en général et des professionnels de la santé.

projects.propublica.org/docdollars

Pire encore, Big Pharma est mis en place de manière à générer des rendements élevés pour leurs actionnaires ; le système n’est pas incité à promouvoir la meilleure santé d’une population. Cette incitation à haut rendement fait ressortir les comportements les plus épouvantables et les décisions commerciales les plus antihumaines .

PDF à télécharger en anglais seulement : pharma_covid-19_report

Big Pharma est parvenue à convaincre des populations entières qu’il n’y a pas d’immunité naturelle, pas d’autres solutions contre les infections que ses produits de santé.

Par exemple, lors de l’épidémie de covid-19, certains médecins ont eu le courage d’utiliser des antiviraux sûrs et peu coûteux tels que l’hydroxychloroquine, le zinc, l’ivermectine, le glutathion, la vitamine D et C. Mais au lieu de promouvoir des traitements antiviraux sûrs et faciles à utiliser, l’establishment Big Pharma s’est battu pour supprimer les traitements et autres approches pour aider la population à développer une réponse immunitaire saine.

Rien de nouveau sous le soleil, pour ceux qui comprennent comment fonctionne ce monopole. Au fil des décennies, la nutrition et la phytothérapie traditionnelle ont été systématiquement retirées de la médecine occidentale.   

Cette suppression des informations vitales et des solutions d’immunité naturelle ouvre finalement la voie à une autorisation d’utilisation d’urgence des investissements dans les vaccins « trop gros pour échouer ». Alors que ces sociétés se battent pour la domination, leur influence sur les agences de réglementation, les médias et la « science » conduit à des activités commerciales contraires à l’éthique et c’est la raison pour laquelle aucune société pharmaceutique ne peut être digne de confiance.

La cupidité des grandes sociétés pharmaceutiques rend les systèmes médicaux vulnérables, en particulier lors d’une épidémie  

Rien qu’en 2020 : Pfizer, GlaxoSmithKline, Johnson & Johnson, Sanofi, Gilead et AstraZeneca ont généré un flux de revenus combiné de 266 milliards de dollars.

Même si l’industrie regorge d’argent, le gouvernement fédéral américain a remis aux monopoles Big Pharma au moins 18 milliards de dollars de fonds publics pour développer des vaccins contre le covid-19. Ce siphonnage de la richesse du peuple américain est mené sans un seul vote du peuple lui-même.

Le Congrès ne représente pas la Volonté du Peuple ; eux aussi sont rachetés par cette monstruosité Big Pharma.  

Au cours de la dernière décennie, GlaxoSmithKline (GSK) a été condamnée à une amende de 3 milliards de dollars pour avoir versé des pots-de-vin à des médecins américains.

En Grande-Bretagne, GSK a été condamné à une amende pour corruption de producteurs de médicaments génériques.

GSK a publié un article dans une revue médicale qui a induit les parents en erreur sur la sécurité d’un antidépresseur pour leurs enfants.

Pour gagner 100 milliards de dollars supplémentaires, GSK a augmenté le prix d’un inhalateur pour l’asthme de 18% sur le marché américain. Au fur et à mesure que les actionnaires encaissent, blesser les gens devient plus susceptible d’être une pratique commerciale.

Pfizer a également augmenté le prix des médicaments essentiels sur lesquels les patients comptent.   

Pfizer a augmenté le prix d’un médicament antiépileptique dont 48 000 patients britanniques avaient besoin. En un an, les services de santé nationaux ont dû payer plus de vingt-cinq fois le prix initial de ce médicament juste pour garder ces patients en vie.

Dans l’ensemble, les grossistes et les pharmacies britanniques ont été confrontés à des hausses de prix de 2 300%, ce qui a permis à Pfizer de générer 16 milliards de dollars de bénéfices l’année dernière seulement.

Dans un essai de médicament au Nigeria, Pfizer a profité d’une épidémie, a menti sur son traitement expérimental contre la méningite et a soumis les enfants à des médicaments expérimentaux à risque, sans fournir un consentement éclairé adéquat aux parents.

Pfizer a finalement dû verser 75 millions de dollars aux familles touchées – des centimes par rapport au montant que le gouvernement fédéral les a renfloués en 2020.  

Johnson & Johnson (J&J) est actuellement la société pharmaceutique la plus prospère au monde, avec un chiffre d’affaires de 82 milliards de dollars au cours de la dernière année. Ce succès repose également sur des hausses de prix contraires à l’éthique, notamment une hausse sans précédent de 19% des prix des médicaments contre la leucémie et le cancer de la prostate et une hausse de 16% des prix des médicaments contre le VIH.

AstraZeneca construit son empire en supprimant les médicaments génériques qui pourraient offrir des options plus abordables aux patients. La Cour européenne de Justice a récemment soutenu la Commission européenne et a jugé qu’AstraZeneca avait abusé de sa position sur le marché pour bloquer les médicaments génériques.

AstraZeneca a manipulé les marchés en retirant son autorisation de mise sur le marché pour le Losec, en même temps qu’ils ont introduit une version de deuxième génération du médicament. Cette tactique a retenu les essais cliniques assez longtemps pour empêcher les fabricants de médicaments génériques de proposer une alternative moins chère sur le marché.

Le système de cupidité, de censure et de contrôle de Big Pharma rend les systèmes médicaux vulnérables et met la vie des gens en danger, en particulier lors d’une épidémie.




Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Debra Heine – Le 15 juin 2021

Lors d’une interview extraordinaire la semaine dernière, le Dr Peter McCullough, professeur américain de médecine et vice-chef du service de médecine interne de l’université Baylor, a déclaré que le monde avait été soumis à une forme de bioterrorisme et que la suppression des premiers traitements contre le COVID-19 – comme l’hydroxychloroquine – « était étroitement liée au développement d’un vaccin ».

Le Dr McCullough a fait ces commentaires explosifs lors d’un webinaire le 11 juin, avec le Dr Reiner Fuellmich, un avocat allemand, qui pense que la pandémie a été planifiée et qu’elle constitue « un crime contre l’humanité. »

Le Dr McCullough a déclaré que, selon lui, le bioterrorisme s’est déroulé en deux étapes – la première étant le déploiement du coronavirus, et la seconde, le déploiement des vaccins dangereux, qui, selon lui, pourraient déjà être responsables de la mort de milliers d’Américains.

Le Dr McCullough pratique la médecine interne et la cardiologie, est rédacteur en chef de Reviews in Cardiovascular Medicine, rédacteur principal de l’American Journal of Cardiology, rédacteur en chef du manuel Cardiorenal Medicine et président de la Cardiorenal Society.

« La première vague de bioterrorisme est un virus respiratoire qui s’est répandu dans le monde entier et qui a touché relativement peu de personnes – environ un pour cent de la population – mais qui a suscité une grande peur », a expliqué le Dr McCullough lors du webinaire organisé par Oval Media avec d’autres médecins. Il a fait remarquer que le virus visait « principalement les personnes fragiles et les personnes âgées, mais pour les autres personnes en bonne santé, c’était un peu comme un simple rhume ».

Le Dr McCullough a ensuite précisé qu’il avait traité de nombreux patients atteints de la maladie, qu’il avait écrit des articles sur le sujet, qu’il avait lui-même été atteint de la maladie et qu’il avait vu un décès dans sa propre famille dû au COVID.

Le médecin a déclaré qu’il pense que la peur du virus a été utilisée très rapidement pour générer des politiques qui auraient un impact énorme sur la vie humaine, comme les mesures draconiennes de confinement.

« Tout ce qui a été fait en matière de santé publique en réponse à la pandémie n’a fait qu’aggraver la situation », a-t-il souligné.

M. McCullough a expliqué que, très tôt, en tant que médecin traitant des patients atteints du COVID, il a mis au point un régime de traitement précoce pour les personnes atteintes du virus, qui a permis de réduire les séjours à l’hôpital d’environ 85 %, et il a commencé à publier des articles sur ce qu’il avait appris. Le médecin a noté qu’il s’était heurté à une « résistance à tous les niveaux » pour ce qui est de traiter les patients et de publier ses articles.

« Heureusement, j’ai eu assez de force de publication pour publier les deux seuls articles de toute la littérature médicale qui enseignent aux médecins comment traiter les patients atteints de COVID-19 à la maison pour éviter l’hospitalisation », a-t-il déclaré.

« Ce que nous avons découvert, c’est que la suppression du traitement précoce était étroitement liée à la mise au point d’un vaccin, et que l’ensemble du programme – et dans un sens, la phase 1 du bioterrorisme – a été déployé, [et] consistait réellement à maintenir la population dans la peur, et à l’isoler pour la préparer à accepter le vaccin, qui semble être la phase 2 d’une opération de bioterrorisme. »

M. McCullough a expliqué que le coronavirus et les vaccins diffusent tous deux « dans le corps humain, la protéine spike, [qui est] la cible de gain de fonction de cette recherche bioterroriste. »

Il a reconnu qu’il ne pouvait pas dire tout cela à la télévision nationale, car l’establishment médical a fait un travail de propagande très poussé sur la question.

« Ce que nous avons appris avec le temps, c’est que nous ne pouvions plus communiquer avec les agences gouvernementales. En fait, nous ne pouvions pas communiquer avec nos collègues propagandistes des grands centres médicaux, qui semblent tous être sous le charme, presque comme s’ils avaient été hypnotisés. »

« De bons médecins font des choses impensables comme injecter à des femmes enceintes de l’ARN messager biologiquement actif qui produit cette protéine de pointe pathogène. Je pense que lorsque ces médecins se réveilleront de leur transe, ils seront choqués de penser à ce qu’ils ont fait aux gens », a-t-il déclaré, faisant écho à ce que lui-même et le Dr Harvey Risch, professeur à l’école de santé publique de Yale, ont déclaré à Laura Ingraham, animatrice de Fox News, lors d’une interview le mois dernier.

M. McCullough a expliqué à Reiner Fuellmich que l’été dernier, il a lancé une initiative de traitement précoce pour éviter que les patients atteints du COVID ne soient hospitalisés, ce qui a nécessité l’organisation de plusieurs groupes de médecins aux États-Unis et à l’étranger.  Le médecin a noté que certains gouvernements ont essayé d’empêcher ces médecins de fournir les traitements, mais avec l’aide de l’Association des médecins et chirurgiens, ils ont pu publier un guide du patient à domicile et, aux États-Unis, ils ont organisé quatre services télémédicaux différents et quinze services télémédicaux régionaux.

Ainsi, les personnes atteintes du COVID-19 ont pu appeler ces services et se faire prescrire les médicaments dont elles avaient besoin dans des pharmacies locales ou des pharmacies de distribution par correspondance, a-t-il expliqué.

« Sans que le gouvernement ne comprenne vraiment ce qui se passait, nous avons écrasé la courbe épidémique des États-Unis », a affirmé M. McCullough. « Vers la fin décembre et en janvier, nous avons essentiellement pris en charge la pandémie avec environ 500 médecins et des services de télémédecine, et à ce jour, nous traitons environ 25 % de la population américaine du COVID-19 qui sont en fait à haut risque, âgés de plus de 50 ans avec des problèmes médicaux qui présentent des symptômes graves. »

Le médecin a déclaré que sa conviction que la suppression du traitement précoce était « étroitement liée » aux vaccins, est ce qui l’a conduit à concentrer son attention sur la mise en garde du public contre les vaccins.

« Nous savons qu’il s’agit de la phase deux du bioterrorisme, nous ne savons pas qui est derrière, mais nous savons qu’ils veulent une aiguille dans chaque bras pour injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral dans chaque être humain », a-t-il déclaré. « Ils veulent chaque être humain ». Le médecin a par la suite averti que les vaccins expérimentaux pourraient à terme provoquer des cancers, et stériliser les jeunes femmes.

Le Dr McCullough a déclaré que son objectif est de mettre à part un grand groupe de personnes que le système ne peut atteindre, ce qui inclurait les personnes qui ont déjà eu le virus, celles qui sont immunisées, les enfants, les femmes enceintes et les femmes en âge de procréer.

Le cardiologue a poursuivi en disant qu’étant donné qu’il n’y a aucun avantage clinique pour les jeunes à se faire vacciner, même un seul cas de myocardite ou de péricardite après les injections « est de trop ». Pourtant, même si le CDC a connaissance de centaines de rapports alarmants de cas de gonflement du cœur chez les adolescents et les jeunes adultes, il ne va réévaluer la question que plus tard en juin. Il a accusé le corps médical de négliger de faire quoi que ce soit pour réduire les risques des vaccins.

Ayant présidé plus de deux douzaines de comités de surveillance de la sécurité des vaccins pour la FDA et l’Institut national de la santé, M. McCullough a pu critiquer la manière dont les vaccins ont été mis en place.

« Avec ce programme, il n’y a pas de comité des événements critiques, il n’y a pas de comité de surveillance de la sécurité des données, et il n’y a pas de comité d’éthique humaine. Ces structures sont obligatoires pour toutes les grandes enquêtes cliniques, et donc le mot qui est vraiment utilisé pour ce qui se passe est une malversation, c’est-à-dire la faute des personnes en autorité », a expliqué le médecin.

« Sans aucune mesure de sécurité en place, vous pouvez voir ce qui se passe », a-t-il poursuivi.

« En gros, c’est la plus grande application d’un produit biologique avec la plus grande quantité de morbidité et de mortalité de l’histoire de notre pays ».

« Nous en sommes à plus de 5 000 décès jusqu’à présent, comme vous le savez, et je pense à environ 15 000 hospitalisations. Dans l’UE, c’est plus de 10 000 décès. Nous travaillons avec les données du Center for Medicaid (CMS), et nous avons une assez bonne piste pour que le chiffre réel soit décuplé. »

McCullough a expliqué que, comme la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) ne représente qu’environ 10 % des mauvaises réactions aux vaccins, son équipe a dû se tourner vers d’autres sources pour obtenir des informations.

« Nous avons maintenant un lanceur d’alerte au sein du CMS, et nous avons deux lanceurs d’alerte au sein du CDC », a révélé le médecin. « Nous estimons que 50 000 Américains morts. Cinquante mille morts. Donc nous avons en fait plus de décès dus au vaccin par jour que certainement la maladie virale de loin. C’est essentiellement de la propagande pour du bioterrorisme par injection. »

Le Dr McCullough dit avoir vu dans son cabinet des personnes présentant des cas de thrombose de la veine porte, de myocardite et de graves problèmes de mémoire post-vaccination. « C’est tellement déconcertant », a-t-il dit.

Il a ajouté qu’il a récemment été violemment attaqué dans les médias par une femme de Singapour qui est liée à la Fondation Gates.

Le Dr McCullough a ensuite exprimé une théorie effrayante selon laquelle les vaccins pourraient avoir été conçus pour réduire la population mondiale.

« Si vous dites que tout cela est un programme de la Fondation Gates pour réduire la population, cela correspond très bien à cette hypothèse, non ? La première vague a été de tuer les personnes âgées par l’infection respiratoire, la deuxième vague est de prendre les survivants et de cibler les jeunes et de les stériliser », a-t-il déclaré.

« Si vous remarquez les messages dans le pays, aux États-Unis, ils ne sont même pas intéressés par les personnes âgées maintenant. Ils veulent les enfants. Ils veulent les enfants, les enfants, les enfants, les enfants, les enfants ! Ils se concentrent tellement sur les enfants », a-t-il déclaré, notant qu’à Toronto, au Canada, le mois dernier, ils ont attiré les enfants en leur promettant des glaces pour obtenir le vaccin. Selon un rapport, le gouvernement de l’Ontario – qui n’exige pas le consentement des parents pour la vaccination des enfants – a encouragé les enfants à se faire vacciner par Pfizer lors d’un événement pop-up.

« Ils ont retenu les parents, et ils ont vacciné les enfants », s’insurge le médecin. Il a ajouté que la mère de son épouse canadienne avait été vaccinée de force contre son gré.

M. McCullough a prédit que les États-Unis se préparent à forcer les gens à recevoir les injections.

« Nous devons arrêter cela, et nous devons voir ce qui se cache derrière tout cela », a-t-il conclu.

[Source :] https://amgreatness.com/2021/06/15/dr-mccullough-covid-vaccines-have-already-killed-up-to-50000-americans-according-to-whistleblowers/

Vidéo de l’interview en anglais






Lettre à un ami qui n’est plus… accessible

Par Alain Tortosa

Hier j’ai perdu un ami qui m’a été « volé » par le Covid…

Hier tu m’as signifié à quel point mon existence te met dans l’embarras.

[Illustration : indiatimes.com]

Ne croyez pas que mon ami soit décédé du « fléau », son corps est bien vivant et il est bel et bien en bonne santé… mais que dire de son âme, de son esprit, de ses valeurs ou de son esprit critique ?

Ne croyez pas que j’accuse ce virus, jusqu’à présent plutôt gentil au demeurant, mais uniquement la dictature sanitaire et les médias à sa botte.

« Ce texte est pour toi et tous les autres qui ne pourront pas me lire et encore moins adhérer… »

Mon cœur pleure, car tu es mon ami depuis 30 ans et tu ne peux plus me parler. Il ne nous est plus possible de communiquer, d’échanger, d’argumenter… alors que c’est une des richesses de l’humanité…

Le problème couvait depuis des mois et je préférais me taire, ne pas te faire parvenir les informations en ma possession, ne pas te perturber dans tes certitudes fragiles… que de te heurter.

Il était évident que tu ne pouvais pas (et non voulais pas) entendre, même si j’imagine que tu penses demeurer dans un libre arbitre et des pensées propres.

Tu as donc ressenti le besoin de m’écrire que…

  • Tu es heureux d’être vacciné.
  • Tu es heureux que toute ta famille soit vaccinée.
  • Tu es heureux de savoir que ton petit fils de douze ans et en pleine santé sera lui aussi bientôt vacciné.

Tu es donc vacciné. Ton bonheur de l’être ne me dérangerait pas s’il été issu d’un choix libre et éclairé, mais…

  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », respecter encore les confinements ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » respecter les couvre-feux ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », porter encore un masque ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » respecter la distanciation ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », te laver les mains au gel hydroalcoolique ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », être prudent et te méfier des non-vaccinés comme moi, mais aussi des vaccinés ?(([1] Interrogé sur BFM le 16 juin par un journaliste demandant si deux vaccinés double dose pouvaient se serrer la main, un médecin a répondu qu’il « valait mieux éviter et rester prudent »…))

Et incroyable…

  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » et « protecteur » présenter un test PCR négatif, comme les non-vaccinés, avant de te rendre en Corse ?

Sans doute pas… parce que les médias t’ont dit que c’était à la fois logique et transitoire…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait une telle vaccination légitime…
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Je cherche à comprendre ce que t’apporte ton vaccin.

En effet, que t’apporte-t-il au quotidien que tu n’avais pas lorsque tu n’étais pas vacciné ?

  • Le fait d’être membre à part entière de notre « merveilleuse » société devenue soudainement « solidaire » en 2020 ?
  • Le fait d’être un « bon » citoyen ?
  • Le fait d’être « comme tout le monde » ?
  • Le fait de pouvoir répondre à ta marchande de légumes « oui ! » lorsqu’elle te demande si tu t’es injecté ?
  • Le fait d’être enfin rassuré par un « vaccin » qui n’empêche pas de tomber malade, ne protège pas autrui et permet, au mieux, de ne pas faire de formes graves si l’on ignore les risques d’anticorps facilitants ?

Trouves-tu légitime et moral de demander aux enfants, jeunes et moins jeunes, de se vacciner pour officiellement protéger des personnes âgées, malades ou en fin de vie ?(([2] Les autorités sanitaires ne cachent plus que les enfants ne risquent rien et le Dr Fischer, « m.vaccin » a même dit que la décision de les vacciner n’était qu’arithmétique.))

Trouves-tu légitime et moral de demander à TON petit-fils de porter un masque toute la journée, d’être confiné, de renoncer à l’insouciance de l’enfance, et maintenant lui demander (ou l’avoir manipulé pour…) de se vacciner pour protéger qui ? Ses grands-parents ?

Les médias t’ont dit que c’était normal, l’unique voie « altruiste »…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait ces mesures légitimes et morales…
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Pourquoi tant de peurs, tant d’acceptations, tant de renoncements ?

En toute sincérité…

  • Crois-tu vraiment que cette maladie ne se soigne pas ?
  • Crois-tu vraiment qu’il n’existe aucun traitement efficace ?
  • Crois-tu vraiment que tous les experts mondiaux (au-delà de tout soupçon et sans conflit d’intérêts, eux) qui ont un discours diamétralement opposé à la doxa sont, du jour au lendemain, devenus délirants ou complotistes ?
  • Crois-tu que l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine sont inefficaces et, qui plus est, devenus soudainement dangereux en 2020, après des dizaines d’années de commercialisation ?

Les médias, les incompétents ou les corrompus le répètent tous les jours, toute la journée…

Ils osent même parler de « bon sens » !

Ce petit club d’imbéciles et de corrompus qui peut accéder aux médias mainstream, ne peut parler que de « consensus » et tu ne peux que les croire…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans…

  • Si je lui avais dit qu’il trouverait logique ou raisonnable que le seul traitement possible contre un virus respiratoire soit le paracétamol.
  • Qu’il ne fallait pas consulter son médecin avant d’être à l’article de la mort.
  • Que des molécules inoffensives utilisées depuis plus de 70 ans devaient être interdites.
  • Que le droit de prescription devrait être retiré aux médecins et que certains seraient poursuivis devant leur Conseil de l’Ordre de Vichy.
  • Et que la vaccination serait, comme par « hasard », l’unique voie…

Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Tu vois, mon texte est long, très long…, mon ami, plus long que tes quelques lignes pour condamner notre amitié.

Il est tellement plus facile de répéter en boucle le discours de France Info sans réfléchir que d’analyser et chercher à comprendre…

Les vaccins sont-ils pour toi, un tout petit peu, source d’inquiétudes ou ne serait-ce que de questionnements ?

Sais-tu que :

  • Les premiers essais sur l’homme ont eu lieu en avril 2020 ! Non-événement !
  • Des pans entiers de sécurités ont été volontairement ignorés « à cause de l’urgence » ! Non-événement !
  • La commercialisation a débuté en phase III avant la fin des essais ! Non-événement !
  • Une technologie ARN messager expérimentale jamais déployée ! Non-événement !
  • Des effets secondaires à moyen et long terme totalement inconnus ! Non-événement !
  • Le risque de variants induits par la vaccination ! FakeNews !
  • Le risque d’anticorps facilitants qui rendraient une nouvelle infection plus dangereuse pour les vaccinés ! Délire complotiste !

Ces thérapies géniques vaccinales sont autorisées, elles sont recommandées par tous les « médecins » médiatiques, toutes les autorités de santé, tous les gouvernements et même l’OMS…

Elle est vendue toute la journée par tous les médias mainstream… « C’est bien parce qu’ils sont sans danger et efficaces », non ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal de s’injecter à lui-même et sa famille des substances expérimentales à base d’ARNm jamais utilisées sur l’homme hormis pour des cancers en phase terminale.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Qu’as-tu fait du principe de précaution qui te semblait un préambule indispensable à toute action ?

Selon toi, le masque doit-il aussi être porté « au nom du principe de précaution » ?

  • Aucune étude n’a jamais prouvé l’efficacité du port du masque dans une population générale. Même l’OMS le disait ainsi que les autorités françaises avant la grande mystification.
  • Tu es bien conscient qu’il ne peut pas être anodin de porter un masque toute la journée pendant des mois et d’autant plus pour des enfants.
  • Tu es bien conscient que si le dispositif avait une efficacité, il perturberait les échanges gazeux et que plus il filtrerait les virus et plus il gênerait la respiration.
  • Tu es bien conscient que tu réingères notamment une partie de ton CO2 et que tu respires les produits chimiques toxiques du masque et/ou de ta lessive ?
  • Tu es bien conscient que tu détruis la relation à autrui, les interactions humaines et les émotions avec cette muselière faite pour rendre visible une épidémie dont nous ignorerions l’existence sans les médias et que nous aurions pris comme une simple grippe…
  • Tu es bien conscient que tu perturbes gravement l’apprentissage des émotions et du langage chez les tout petits…

Ah, mais la Pravda t’a répété qu’il n’y avait pas d’alternative, que le masque était sans aucun danger et qu’il sauvait des vies.

Il fallait même le porter, seul, en montagne ou à la plage, au nom du « principe de précaution » !

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique de faire porter un masque en toute circonstance à une population en bonne santé.
Il aurait aussi trouvé étrange l’invention de l’asymptomatique contagieux et dangereux !
Il m’aurait rappelé que lorsque qu’il existe des certitudes concernant les risques et les effets secondaires négatifs certains d’une mesure et de nombreux indices ou études passées montrant que la mesure est non seulement dangereuse et sans doute inefficace, alors on s’abstenait !
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Selon toi, les confinements doivent-ils aussi être mis en place au nom du principe de précaution ?

  • Cela fait des siècles que nous savons que les quarantaines ne fonctionnent pas à grande échelle et qu’il suffit d’un seul individu pour faire effondrer l’édifice.
  • Tu es bien sûr au fait que par le passé on confinait les malades… pas les bien portants…
  • Tu sais que les conséquences économiques et psychologiques ne peuvent qu’être désastreuses…
  • Tu entends même désormais que les suicides explosent notamment chez les jeunes.
  • Veux-tu ignorer le fait que des pays qui n’ont pas confiné ont eu de meilleurs résultats ?
  • Veux-tu ignorer que les pays qui ont le moins détruit les droits de l’homme ont eu moins de morts ?
  • Veux-tu ignorer que les pays les plus pauvres ont le moins souffert ?
  • Veux-tu ignorer que la courbe ne s’est jamais aplanie en France durant le confinement et qu’il n’y a eu aucun rebond au déconfinement malgré les prévisions catastrophiques des oracles ?

Ah, mais la Pravda t’a dit qu’il n’y avait pas d’alternative et que le confinement avait sauvé au moins 80 000 vies en France. Il fallait confiner « au nom du principe de précaution » !

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique d’enfermer ensemble les malades, interdits de traitements, et les bien portants notamment dans les maisons de retraite.
Il m’aurait rappelé que lorsqu’il existe des certitudes concernant les risques et les effets secondaires certains négatifs et de nombreux indices ou preuves montrant que la mesure pourrait être inefficace, alors on s’abstient !
Il m’aurait dit que c’est ça le principe de précaution !
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Alors tu te vaccines et il faut désormais vacciner toute la population mondiale au nom du « principe de précaution » ?

  • Jamais personne n’a réussi à mettre au point des vaccins contre les coronavirus.
  • Tout scientifique sait que les coronavirus mutent en permanence pour survivre.
  • Les faux vaccins mis au point en quelques semaines ne ciblent que la protéine Spike les rendant vulnérables à toutes mutations.
  • La vaccination durant une épidémie augmente naturellement le risque de création de variants et d’autant plus que les vaccins ne sont pas de vrais vaccins, des virus atténués et qu’ils sont imparfaits.(([3] La prétendue efficacité de 90 % n’est pas sur l’impossibilité de tomber malade, ni sur le blocage de la transmission, mais sur l’absence de formes graves. Bref les études elles-mêmes précisent que ce n’est pas des vaccins.))
  • La technologie ARN messager ou des adénovirus modifiés génétiquement est totalement expérimentale et n’a jamais été déployée à grande échelle sur l’homme et encore moins sur des enfants ou des femmes enceintes.

Mais suis-bête mon ami, nos « gentilles » autorités nous ont expliqué que la vaccination de la population générale était l’unique option et qu’il fallait la généraliser, même sur les enfants, « au nom du principe de précaution » !

  • Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique d’utiliser une technologie expérimentale sur l’ensemble des humains pour espérer, peut-être, mettre fin à une pandémie pour laquelle plus de 99 % des Français ont survécu malgré l’interdiction de traitement et toutes les mesures contre-productives.
  • Le risque de modification de notre ADN ? Jeté aux oubliettes.
  • Le rapport bénéfice versus risque obligatoirement défavorable pour des personnes en bonne santé qui ne risquent RIEN de ce virus ? Jeté aux oubliettes.
  • Le risque de maladies auto-immunes ou de cancers à long terme ? Jeté aux oubliettes !
  • Le risque sur la fertilité ? Jeté aux oubliettes. Il m’aurait aussi rappelé que lorsqu’il existe des certitudes concernant les risques, les effets secondaires et de nombreux indices montrant que la mesure pourrait être inefficace,voire même dangereuse, notamment du fait des mutations du virus, alors on s’abstient ! Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Ta pensée cartésienne a disparu petit à petit pour se transformer en foi !
Ta foi, car il ne peut s’agir maintenant que de foi, est devenue inébranlable.
Ta pensée actuelle ne peut plus être ta pensée, mais uniquement le reflet des tables de la loi de l’église du coronavirus et ses fidèles serviteurs…

Mais toi, toi qui te disait (ou pourrait peut-être encore dire que tu es) mon ami…

… Pourquoi ne m’aides-tu pas à ouvrir les yeux sur ma « folie » et ta « réalité », toi qui es convaincu de toutes ces « vérités » répétées sans cesse depuis des mois ?

Pourquoi ne pas essayer de me convaincre que :

  • « Le Covid est un fléau. »
  • « Le masque protège avec un rapport bénéfice vs risque favorable. »
  • « Le confinement sauve des vies avec un rapport bénéfice vs risque favorable. »
  • « Il n’y a pas de traitements hormis le paracétamol et il faut absolument interdire aux médecins de prescrire. »
  • « Le vaccin est l’unique voie avec un rapport bénéfice vs risque favorable même pour les populations qui ne risquent strictement rien ! »
  • etc.

Pourquoi as-tu de fait renoncé avant même d’essayer de me « sauver » ?

Te penses-tu incapable d’y parvenir ou est-ce parce que les médias t’ont répété jour après jour de ne surtout pas me parler à moi le « complotiste », de ne pas essayer de me raisonner ?

Les médias te l’ont dit…

  • Ma raison a « vacillé ».
  • Je suis devenu un « complotiste ».
  • Je mets en doute le « consensus » scientifique édicté par le Ministère de l’Unique Vérité.
  • Mon esprit de contradiction va jusqu’à remettre en question les « évidences ».
  • Je suis prisonnier de mon « délire », incapable de penser et me remettre en question.
  • Sans doute suis-je un « adolescent cinquantenaire »…
  • Suis-je à ce point « aveuglé » que je vais finir par affirmer que la Terre est plate ?

Pourquoi m’as-tu abandonné ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans procès, sans avoir cherché à me comprendre ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans savoir ce que j’avais à dire ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans chercher à discuter ?

Notre amitié ne valait pas de…

  • Chercher à m’expliquer ? Non.
  • Lire mes dizaines de textes, mes milliers de pages que j’ai écrites sur le sujet depuis le mois de mars 2020 ? Non.
  • Chercher à savoir d’où venaient mes « croyances délirantes » ? Non.

Et toi ?

  • As-tu pensé à vérifier et me demander si mes affirmations étaient sourcées ?
  • As-tu fait tes propres recherches ou t’es-tu contenté d’ingérer le discours officiel comme on gave une oie ?

Peux-tu au moins m’accorder le bénéfice d’un travail délirant auquel s’ajoute le travail titanesque de mes amis scientifiques, juristes ou simples « humains » qui cherchent à comprendre ?

Mon ami l’aurait pu…

Toi qui as tant travaillé et étudié dans ta vie, as-tu oublié la valeur du travail ?

  • Sais-tu que j’ai passé des milliers d’heures, si si, des milliers d’heures à étudier le sujet ?
  • Sais-tu que j’ai lu des centaines d’études scientifiques ?
  • Sais-tu que j’ai étudié des statistiques nationales et mondiales ?
  • Sais-tu que je suis entouré de spécialistes qui font de moi un être insignifiant face à des puits de science ?
  • Sais-tu que je doute et que je me remets en question tous les jours et que je m’interroge depuis le mois de mars et même en t’écrivant cette lettre ?

Bien sûr que non, tu ne peux pas l’imaginer…

Car si c’était le cas, je serais « obligatoirement » arrivé aux mêmes conclusions que toi, toi qui détiens une « vérité prémâchée » par les autorités.

Je serais donc arrivé aux mêmes conclusions que toi et les médias. Je serais sorti de mon délire et j’adhérerais pleinement à la doxa que nous subissons depuis plus d’un an…

Mon ami, celui qui avait ses propres pensées aurait pu m’accorder le bénéfice du doute et surtout le bénéfice du travail accompli…

Tu juges donc que mon temps n’a aucune valeur, que j’ai perdu tout sens commun alors même que tu me pensais plutôt intelligent.

Tes valeurs ne te poussent-elles pas à m’aider au même titre que les miennes me poussent à informer et aider autrui à ouvrir les yeux autant que faire se peut.

Les médias t’ont répété que j’ai évidemment perdu toute capacité de raisonnement, que je suis dans le délire, que je suis dans une secte et que nul ne peut m’aider à en sortir…
Pire encore, je serais devenu « dangereux » au point qu’il ne faut plus me parler, plus discuter avec moi ou mes amis.

À moins que… à moins que tu ne sois toi, en état de sujétion, et que ce soit toi qui te trouves hypnotisé et dans une secte.

Mais le couperet est tombé et tu m’as proposé par écrit (sans doute moins contagieux) ta « solution » :

Voici la proposition de mon « ami ».

« Pourrais-tu supprimer ma photo (et celles de ma famille) sur le site ou tu exposes tes convictions sur ce sujet ? Dans la mesure où je ne partage pas ton analyse de la situation, cette proximité me met dans l’embarras. »

Sommes-nous encore amis ?

Pouvons-nous encore nous rencontrer dans une cave ou le sous-sol d’un parking souterrain qui serait dépourvu de caméras de surveillance ?

Adhères-tu à ce monde et est-ce que tu vis bien de ne surtout pas t’afficher à côté d’un « complotiste », de celui qui ne pense pas « comme tout le monde » ?

Mais de quoi as-tu si peur ?

Que l’on imagine que tu pourrais toi aussi avoir ou soutenir des pensées « déviantes » ?

Et si on m’obligeait à porter une étoile sur le torse ou me parquer dans un camp, cela pourrait-il être de nature à te soulager ?

Le plus simple, le plus rassurant pour toi est, de toute évidence, que je n’existe pas, ni moi ni mes amis.

Sommes-nous si anxiogènes à :

  • Répéter que cette maladie n’est pas si grave.
  • Répéter que cette maladie se traite.
  • Répéter qu’elle ne tue qu’exceptionnellement et qu’en général elle ne fait qu’accompagner des personnes en fin de vie.
  • Répéter qu’elle ne tue pas plus que les infections respiratoires des autres années ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait adhéré à ces propos.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre et personne ne doit savoir que nous étions amis…

Et quelle angoisse pour toi d’entendre que nous ne pouvons pas contrôler un virus, que nous n’avons jamais contrôlé la moindre épidémie, que le mieux est de laisser circuler le virus au maximum parmi la population en bonne santé afin de parvenir à une immunité naturelle de masse, et ce afin qu’il disparaisse de lui-même…

La dictature sanitaire a ainsi réussi le tour de force de rendre anxiogène celui qui, comme moi, avec des centaines de preuves à l’appui te dit qu’il n’y a pas à s’inquiéter et que les choses s’arrangeront naturellement avec le temps.

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait adhéré à ces évidences.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Hélas :

  • Tout a été volontairement mis en œuvre pour perturber le processus naturel et l’immunité naturelle de masse.
  • Tout a été fait pour affaiblir et traumatiser la population.
  • Tout a été fait pour dénigrer et interdire les traitements efficaces.
  • Tout a été fait pour rendre indispensable des vaccins qui, par leur nature, ne pourront pas enrayer la maladie.

Mais rien de neuf sous le soleil.

Cela fait des dizaines d’années que l’industrie pharmaceutique a arrêté de fabriquer des médicaments qui guérissent pour se consacrer quasi exclusivement à des médicaments qui traitent le malade à vie en faisant tout pour que le patient ne guérisse jamais.

Et cette année serait l’année de l’industrie pharmaceutique qui deviendrait au service de l’humanité ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait confirmé 1000 fois ces affirmations !
Mais tout ceci je ne peux plus te le dire, tu ne peux plus l’entendre…

Je suis triste, les médias ont eu (provisoirement ?) raison de notre amitié, car je ne conçois pas une amitié dans laquelle un des deux « amis » ne peut exposer son amitié au grand jour…

J’espère qu’une fois sorti de ta léthargie, de ta sidération, que les vérités seront sorties dans les médias nationaux (elles sortent dans la plupart des pays sauf en France pour l’instant), tu pourras rouvrir ton esprit.

Ce jour-là tu te rendras d’abord sur le site de mon livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? » et tu pourras lire que tout ce que j’affirme depuis le mois de mars 2020 ne relève pas de théories du complot ou de fakenews, mais de faits scientifiques avérés.

En attendant, même si je pleure, je poursuis mon chemin avec mes nouveaux amis de grande valeur avec qui j’ai tant à partager…

Alain Tortosa.

Le 14 juin 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210614-hier-jai-perdu-un-ami.pdf





Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?

[source : https://lilianeheldkhawam.com]

par Liliane Held-Khawam.

Expérience et fourniture de Spike couplée à des perles magnétiques

Une entreprise qui vend des Spike couplées à des nanoperles magnétiques:
MBS-K001
SARS-CoV-2 Spike S1-coupled Magnetic Beads
S1 protein antibody screening
 (cf détails tout en bas)
Order
MBS-K002
SARS-CoV-2 Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Spike protein RBD antibody screening
Order
MBS-K013
Human ACE2-coupled Magnetic Beads
Virus capture
Order
MBS-K014
Human Anti-SARS-CoV-2 Spike RBD Antibody-coupled Magnetic Beads
Virus capture
Order
MBS-K015
SARS-CoV-2 Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Spike protein trimer antibody screening
Order
MBS-K016
SARS-CoV-2 Spike Trimer (D614G)-coupled Magnetic Beads
Spike protein trimer(D614G) antibody screening
Order
MBS-K017
SARS-CoV-2 Nucleocapsid Protein-coupled Magnetic Beads
Nucleocapsid protein antibody screening
Order
MBS-K018
SARS-CoV-2 Spike S2-coupled Magnetic Beads
Spike S2 antibody screening
Order
MBS-K019
SARS-CoV-2 Spike NTD-coupled Magnetic Beads
Spike NTD antibody screening
Order
MBS-K029
SARS-CoV-2 (B.1.1.7) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K030
SARS-CoV-2 (B.1.351) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K031
SARS-CoV-2 (P.1) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K032
SARS-CoV-2 (B.1.351) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K033
SARS-CoV-2 (P.1) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K034
SARS-CoV-2 (B.1.1.7) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder (cf ci-dessous)

Je vous invite à prendre très au sérieux l’histoire des vaccinés magnétisés. Ce n’est pas une blague, ni du conspirationnisme. C’est simplement tragique.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/25/sante-des-nanoparticules-magnetiques-dans-les-cellules-que-lon-peut-commander-a-distance/
[ou : Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!]

Vous trouverez ci-dessous une étude qui a été menée sur des personnes qui venaient de se faire vacciner. Comme vous le verrez, cette micro-étude va confirmer la présence de champ magnétique. Les enquêteurs ont arrêté l’expérience compte tenu de la frayeur éprouvée par les « cobayes » lors de la découverte de la magnétisation de leur bras . Cette expérience a été menée par l’Association European Forum for Vaccine Vigilance (SITE ICI) qui a la gentillesse de nous mettre à disposition cette étude.

Avant de vous laisser lire le rapport de l’enquête, je vous présente quelques captures d’écran d’une entreprise qui a tout à fait les compétences pour fabriquer et délivrer du nanomatériel magnétisé.

Le site de Acro Biosystems est fabricant et fournisseur de ce qui semble fort bien être des nanoperles magnétiques qui se couplent à la protéine Spike du Sars Cov2. Vous voyez ci-dessus qu’il y a différents modèles de ce qu’ils appellent Magnetic Beads! (cf détails d’un des modèles tout en bas de la page).

S’ils les fabriquent, c’est qu’ils ont des clients qui en demandent. Cette entreprise vend des trésors à des fabricants de vaccins. Ainsi, vous trouvez entre autres:

https://www.acrobiosystems.com/A1111-SARS-CoV-2-Related-Products.html

Vous serez ravis de savoir que ces industriels des protéines emploient 100 000 scientifiques dans 60 pays! Et ils ont 5000 clients.

LHK


ÉTUDE SUR L’ELECTROMAGNÉTISME DES PERSONNES VACCINÉES AU LUXEMBOURG

Synthèse et conclusion du travail d’enquête effectué par l’association European Forum for Vaccine Vigilance

Mamer, le 06 juin 2021.

Image tirée du site http://www.siencedirect.com

Depuis quelques mois, ce sont des centaines de vidéos amateurs qui fleurissent un peu partout sur les réseaux sociaux mettant en scène des personnes visiblement devenues électromagnétiques suite à la vaccination. C’est en tout cas ce que l’on peut observer.

Après que de nombreuses questions nous ont été posées par un certain nombre de nos membres sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » apparaissant chez les sujets vaccinés, notre association a pris la décision de s’intéresser concrètement à ce sujet pour le moins intriguant.

Est-ce que cet effet est donc réel ou n’est-ce juste qu’une élucubration ?

Cette enquête, à caractère statistique et sociologique portant sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » et dont il est question ici, soulève à minima et au préalable trois questions importantes :

  1. Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après acte de vaccination ?
  2. Si tel est le cas, est-il vrai que seuls les individus vaccinés présentent cet effet ?
  3. Qu’est-ce qui est réellement injecté aux individus sous la qualification de vaccin et qui pourrait provoquer cet effet ?

Pour tenter de répondre à ces questions, l’enquête a été confiée à l’un des membres de l’association. Il s’agit de la personne chargée de traiter des questions démographiques et sociologiques.

Présentation des paramètres de l’enquête :

À des fins d’une réalisation accélérée, il a été décidé :

  • D’interroger un panel de 200 individus domiciliés ou travaillant au Luxembourg.
  • Que ce panel serait divisé en 2 groupes : le premier serait composé de 100 individus vaccinés au Luxembourg et le second de 100 individus non vaccinés à des fins de comparaison.
  • Que chacun de ces groupes devrait compter 50 femmes et 50 hommes.
  • Que seuls les individus actifs seraient retenus pour participer à l’étude en raison du fait qu’ils sont beaucoup plus contraints à la vaccination que les individus inactifs.
  • Que le lieu de l’étude serait le centre commercial Belle-Étoile et la route d’Arlon à Strassen.
  • Que les variables retenues seraient donc le sexe, l’âge, la profession, le nombre d’injections, l’origine pharmaceutique des injections, la date des injections, l’attraction magnétique, l’émission-réception d’un champ électrique et la ville du lieu de résidence de la personne interrogée.

NB : Il convient par ailleurs de préciser que pour des raisons de praticité, seuls les personnes portant des vêtements à manches courtes ou des vêtements sans manches seraient interrogées.

Présentation de la méthode d’approche et de réalisation de l’enquête :

  • L’interrogateur se présente aux individus, présente l’association, puis présente l’enquête :

« Bonjour Madame ou monsieur, je vous prie de bien vouloir m’excuser de vous déranger mais je m’appelle Amar, je travaille pour l’association European Forum for Vaccine Vigilance (EFVV) et je réalise actuellement une enquête statistique et anonyme sur les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées vivant au Luxembourg » … « Il s’agit d’une enquête qui porte sur des informations stipulant que les gens vaccinés pourraient présenter des effets électromagnétiques et nous, à EFVV, nous cherchons à savoir si c’est bien la réalité observée ».

  • L’interrogateur demande ensuite aux interrogés s’ils veulent bien, en connaissance de cause, participer de leur gré à l’enquête.

« Est-ce que vous auriez quelques minutes à m’accorder s’il vous plaît et est-ce que cela vous intéresserait de participer à notre enquête ? ».

  • L’enquêteur explique ensuite aux individus interrogés les intérêts de l’enquête et introduit les individus dans le vif du sujet en leur présentant un aimant qu’il accroche, par effet magnétique, à un objet métallique (poteau, voiture, etc). Il explique ensuite aux personnes interrogées que les aimants n’adhèrent pas à l’homme et qu’ils n’adhèrent qu’aux objets métalliques mais que des informations nous sont parvenus prétendant que les gens vaccinés généraient une attraction à l’aimant en raison justement du fait qu’ils ont été vaccinés.
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se prêter au jeu et appliquer l’aimant sur son épaule, à l’endroit où, il ou elle, a été injectée.
  • Lorsque l’aimant colle à la peau au niveau de l’épaule, l’enquêteur demande alors à la personne de coller l’aimant sur l’autre épaule pour savoir si l’adhésion ne trouve pas son explication dans une concentration ferrique locale (implant, effet de l’injection, etc).
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se laisser passer un testeur de champs électriques et de champs magnétiques (marque Meterk, modèle MK54) au niveau des épaules en expliquant que des informations avaient également été rapportées à notre association et qui disaient que les gens vaccinés étaient également générateurs de champs électriques.
  • L’enquêteur continue la discussion et continue de répondre, dans la mesure du possible, aux personnes interrogées qui s’intéressent à l’expérience menée et aux résultats de l’enquête.

Présentation synthétique des résultats pour la semaine d’étude du 1er juin au 5 juin 2021 :

  • Seules 30 personnes vaccinées et 30 personnes non vaccinées ont finalement été interrogées alors que l’objectif était d’en interroger 100 pour le premier groupe et 100 pour le second.
  • La condition de la répartition par genre a été respectée. Dans chaque groupe, il a été interrogé 15 femmes et 15 hommes.
  • Dans le groupe des non-vaccinés, sur les 30 individus interrogés, le nombre de personnes présentant une attraction à l’aimant est de 0 (zéro). L’expérience s’arrête donc là pour ce groupe.
  • Dans le groupe des vaccinés en revanche, sur les 30 individus interrogés, 29 présentent une attraction à l’aimant. C’est-à-dire que l’aimant adhère à leur peau sans difficulté. Toutes, ce sont fait vacciner en vaccinodrome.

NB : La 30ème personne, qui ne présente pas d’accroche à l’aimant, ne s’est pas faite vacciner en vaccinodrome comme toutes les autres. Elle s’est faite vacciner par une infirmière avec qui elle travaille depuis de nombreuses années.

  • Sur ces 29 individus, 22 ont l’aimant qui adhèrent sur une seule épaule et uniquement sur la zone de l’injection. Ces 22 personnes sont celles qui n’ont reçu qu’une seule injection.

Les 7 autres personnes de ce même groupe ont l’aimant qui adhèrent sur les deux épaules.

  • Dans ce groupe dit des vaccinés, domiciliés ou travaillant au Luxembourg, il ressort que :
  • 17 ont reçu au moins une injection du laboratoire Pfizer
  • 7 ont reçu au moins une injection du laboratoire Astra Zeneca
  • 3 ont reçu au moins une injection du laboratoire Moderna
  • 3 ont reçu l’injection unique de Johnson & Johnson
  • 6 ont reçu les 2 injections du laboratoire Pfizer
  • 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Astra Zeneca
  • 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Moderna
  • 2 des individus de ce groupe, un infirmier travaillant au CHL et ayant été un des premiers à se faire vacciner, et un analyste financier, ont présenté des émissions de champs électrique totalement anormales. Pour l’infirmier, il a même été réalisé une vidéo qui montre les valeurs émises par le testeur aux environs de son épaule gauche. Pour l’analyste, les valeurs émises par le testeur étaient approximativement les mêmes mais l’individu a brusquement mis fin à sa participation sous l’effet de la panique.
  • Sur les 30 personnes interrogées faisant partie du groupe des vaccinés, 29 résident ou travaillent à Strassen. 1 seule habite à Metz mais travaille à Strassen.
  • Il semblerait que les personnes qui ont été vaccinées plus tôt dans le programme de vaccination gouvernemental sont beaucoup plus électromagnétiques que les personnes qui l’ont été de façon plus récente. L’aimant adhère plus vite et tient beaucoup mieux que chez les personnes fraîchement vaccinées.
  • Il conviendrait de prendre des mesures plus précises en relation avec ce dernier constat.

Remarque : L’exercice étant totalement déstabilisant pour les gens interrogés, à aucun moment il ne leur est demandé d’appliquer l’aimant sur une autre zone que les épaules. Il aurait été très intéressant de savoir si l’aimant adhère également sur les zones du cou, de la poitrine, du front ou des jambes ainsi que de savoir si d’autres objets tels que des cuillères, ciseaux et smartphones adhèrent également. Ce n’est pas faisable en espace public.

Conclusion :

  • Il ressort que les personnes vaccinées dégagent bien un champ électromagnétique et que, plus les individus ont été vaccinés tôt, plus ils dégagent un champ fort. Cette sensation et cette appréciation, qui ne relève uniquement que de l’expérience tactile à l’application et au retrait de l’aimant à l’épaule, devrait faire l’objet d’une vérification beaucoup plus précise, sur un plus grand nombre de personnes et avec des appareils beaucoup plus précis.
  • Il a été extrêmement difficile de trouver des individus acceptant de se prêter au jeu de cette expérience assez déstabilisante.
  • Les individus s’intéressent à l’expérience par curiosité et puis, quand ils voient que l’aimant s’accroche à leur peau, ils deviennent dubitatifs dans un premier temps, puis d’un coup ils deviennent froids. Certains d’entre eux deviennent même extrêmement nerveux pour ne pas dire qu’ils semblent être complètement sous le choc.
  • Les personnes s’interrogent sincèrement sur le fait de voir comment il est possible qu’un aimant puisse adhérer à leur peau aussi facilement que celui-ci adhère à un poteau métallique.
  • Ils demandent des explications et l’enquêteur les rassure en leur disant qu’il doit bien y avoir une explication physique ou biologique. Ils sont renvoyés vers le médecin qui leur a conseillé de se faire injecter à des fins de compréhension.
  • Une dame a même pleuré en disant qu’elle ne voulait pas se faire vacciner mais qu’elle a été contrainte par son employeur qui l’y a obligé au prétexte qu’elle travaille au contact de la clientèle.
  • Dans les discussions, il ressort que les gens ne se vaccinent même pas pour des raisons médicales ou des raisons de santé, ni par conviction ou par peur de la maladie mais plus souvent dans l’espoir de revenir à une vie normale et de pouvoir à nouveau voyager librement.
  • Lors des échanges, les gens expriment clairement leur désarroi en disant après coup qu’ils sont pris en otages dans un engrenage politico-psychosocial. Beaucoup reconnaissent que cette injection est non consentie et qu’à aucun moment on leur a donné des explications rationnelles (selon la convention d’Oviedo), c’est-à-dire un éclairage du point de vue de la balance bénéfices-risques et de l’information explicite quant à la composition même des fioles servant aux injections. Ils qualifient ensuite, après réflexion et discussion, cet acte de : « erreur, folie, échappatoire, solution, ou encore même de chantage ».

Ce sont exactement ces termes qui revenaient très souvent dans les témoignages et les notes.

Il conviendrait là encore de mener une enquête psychosociale beaucoup plus approfondie sur les motivations réelles qui ont menées ces individus vaccinés à accepter de se faire injecter. L’idéal serait de pouvoir enregistrer et filmer toutes les conversations, les interviews et les échanges spontanés avec les vaccinés pour ensuite les analyser.

  • L’enquête est arrêtée pour des raisons de conscience et de morale car l’enquêteur n’arrive plus à faire face au désarroi et à l’impuissance des gens dont les visages se pétrifient lorsqu’ils réalisent qu’ils ont été injectés d’une substance dont ils ne savent finalement rien.
  • L’enquêteur, qui a étudié les techniques de management et la psychosociologie par le passé, est très mal à l’aise face à ces personnes qui s’interrogent sur ce qui leur arrive.

Les personnes deviennent pâles, blanches, nerveuses. Elles se mettent une main vers le front ou alors croisent les bras en se pinçant la lèvre du bas. Certaines transpirent des mains car on les voit qui se les essuient sur les hanches ou sur les cuisses.

Ces effets et ces expressions surviennent généralement dans des états d’angoisse, de stress extrême ou de tension réellement palpable et mesurable.

Chez les interrogés, ces manifestations physiques incontrôlées sont révélatrices d’un profond mal-être quand ils réalisent après coup qu’ils ont sans doute commis l’irréparable.

L’acte de vaccination étant, cela va de soi, un acte irréversible.

En résumé :

À la question, est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après avoir subi au moins un acte de vaccination ? La réponse est affirmative. Effectivement, les individus deviennent bien électromagnétiques sur zone d’injection à minima.

À la question, qu’est-ce qui est injecté aux individus et qui provoque cet effet ?

Nous répondons que c’est aux gouvernements et aux autorités garantes de la santé publique et de la santé des luxembourgeois de répondre à cette question car ce sont eux qui, en amont, ont pris la décision lourde de « vacciner » des populations en bonne santé à l’aide de « vaccins » encore au stade expérimental et dont, lors des essais cliniques, tous les hamsters sont morts.

Nous ne répondrons pas ici de la responsabilité des uns et des autres mais il est certain que si des nanoparticules superparamagnétiques (magnetic beads) sont entrées dans la composition de ces dits vaccins, à titre expérimental ou pour quelque raison que ce soit, alors que jusque-là celles-ci n’étaient réservées qu’aux thérapies anticancéreuses, alors il est urgent de demander une mise au point, dans les plus brefs délais, aux laboratoires pharmaceutiques et aux autorités de santé qui elles, ont donné leur autorisation pour la mise sur le marché de ces injections.

C’est aux toxicologues et aux pharmacologues à qui il revient maintenant la responsabilité de découvrir les origines et les causes de ces effets d’attraction observés sur les sujets vaccinés et c’est aux hommes politiques, garants de la santé des citoyens de ce pays, de demander très rapidement l’ouverture d’une enquête approfondie et publique sur la composition exacte et réelle de ces dits vaccins.

PS : 2 sites et 1 document de travail intéressants à consulter qui traitent des solutions nanos et des ferrofluides :


Exemple de nanoprotéines Spike couplée à des perles magnétiques

lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2021/06/sars-cov-2-antibodies-sars-cov-2-recombinant-proteins-kits-beads-magnetisme


[Voir aussi :
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm]




Premier cas d’étude post-mortem d’un patient vacciné contre le SRAS-CoV-2 : « ARN viral trouvé dans chaque organe du corps »

[Source anglophone : Hal Turner Radio Show]

La toute première autopsie d’une personne vaccinée contre le COVID-19, qui a été testée négative 18 jours plus tard lors de son admission à l’hôpital, mais 24 jours après le vaccin, a révélé que l’ARN viral était présent dans presque tous les organes du corps. Le vaccin, tout en déclenchant une réponse immunitaire, n’a PAS empêché le virus de pénétrer dans tous les organes du corps.

L’ARN viral a été trouvé dans presque tous les organes du corps, ce qui signifie que les protéines Spike aussi.

Il existe des anticorps (comme ceux que le « vaccin » est censé créer), mais ils ne sont pas pertinents car, d’après une étude japonaise, nous savons maintenant que c’est la protéine spike S1 qui cause les dommages.

Nous avons parlé à un spécialiste des maladies infectieuses d’un hôpital du New Jersey ce matin. Nous lui avons envoyé les résultats de l’autopsie et lui avons demandé son avis.

Lorsqu’il nous a rappelés un peu plus tard, il était clairement secoué. Il nous a dit : « Vous ne pouvez pas me citer par mon nom, je serai renvoyé par l’hôpital si vous le faites ». Nous avons accepté de dissimuler son identité.

Il nous a ensuite dit :

« Les gens pensent que seule une minorité de personnes subissent des effets indésirables du vaccin.

D’après ces nouvelles recherches, cela signifie que tout le monde – finalement – aura des effets indésirables, car ces protéines Spike se lieront aux récepteurs ACE2 partout dans le corps.

Cet ARNm était censé rester sur le site d’injection, mais ce n’est pas le cas. Cela signifie que les protéines Spike créées par l’ARNm se retrouveront également dans tous les organes, et nous savons maintenant que ce sont les protéines Spike qui causent les dommages.

Pire encore, la présence de l’ARN viral dans tous les organes, malgré un vaccin, indique :
1) Soit que le vaccin ne fonctionne pas du tout ;
2) Soit que le virus bénéficie d’un renforcement dépendant des anticorps (ADE), ce qui signifie qu’il se propage plus rapidement chez les personnes vaccinées.

Il s’agit d’une bombe à retardement mondiale ».

Selon le rapport d’autopsie publié, l’homme vacciné était âgé de 86 ans et a été testé NÉGATIF pour le COVID-19 lorsqu’il a été admis à l’hôpital pour de graves troubles gastro-intestinaux et des difficultés respiratoires. Voici ce que décrit le rapport :

Nous rapportons le cas d’un homme de 86 ans résidant dans une maison de retraite qui a reçu le vaccin contre le SRAS-CoV-2. Ses antécédents médicaux comprenaient une hypertension artérielle systémique, une insuffisance veineuse chronique, une démence et un carcinome de la prostate. Le 9 janvier 2021, l’homme a reçu le vaccin BNT162b2 à ARN modifié par des nucléosides, sous forme de nanoparticules lipidiques, en une dose de 30 μg. Ce jour-là et au cours des 2 semaines suivantes, il n’a présenté aucun symptôme clinique (tableau 1). Le jour 18, il a été admis à l’hôpital pour une diarrhée qui s’est aggravée. Comme il ne présentait aucun signe clinique de COVID-19, l’isolement dans un cadre spécifique n’a pas eu lieu. Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine. Le test d’antigène et la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour le SRAS-CoV-2 se sont révélés négatifs.

Le rapport de l’autopsie précise que les tests n’ont montré « aucun changement morphologique associé au COVID » dans ses organes.

« Morphologique » signifie structurel. On sait maintenant que l’infection par le COVID provoque des changements structurels très spécifiques aux endroits qu’elle infecte. CES CHANGEMENTS N’ÉTAIENT PAS apparus chez l’homme vacciné avant sa mort.

L’homme vacciné maintenant décédé se trouvait dans une chambre où un autre patient a finalement été testé POSITIF pour le COVID, et le rapport indique qu’ils pensent que l’homme vacciné décédé a attrapé le COVID après avoir été admis, par l’autre patient dans la même chambre.

Les dommages causés aux organes de l’homme vacciné aujourd’hui décédé ont donc eu lieu AVANT qu’il ne soit infecté par le COVID par l’autre patient de la chambre d’hôpital.

Pire, une fois que l’homme vacciné a effectivement été infecté par le COVID, celui-ci s’est propagé si rapidement dans son corps qu’il n’a apparemment eu aucune chance. Voici des images de tissus :

Le rapport post-mortem complet est publié sur ScienceDirect.com (ICI)




Une vidéo explosive et inédite montre Peter Daszak décrivant des « collègues chinois » développant des coronavirus « tueurs »

[Source : Actu Intel]

Le président d’EcoHealth Alliance, Peter Daszak, qui a collaboré avec le Wuhan Institute of Virology dans le cadre de recherches financées par le National Institute of Allergy and Infectious Disease du Dr Anthony Fauci, semble se vanter de la manipulation de coronavirus « tueurs » de type SRAS effectuée par ses « collègues chinois » dans un clip découvert par The National Pulse.

NDLR : quelqu’un a dit « gain de fonction » ?

Par NATALIE WINTERS

Source : The National Pulse

Daszak a fait cet aveu lors d’un forum de 2016 consacré aux « maladies infectieuses émergentes et à la prochaine pandémie », ce qui semble être en contradiction avec le refus répété de Fauci de financer la recherche sur les gains de fonction à l’Institut de virologie de Wuhan.

Tout en décrivant comment son organisation séquence les virus mortels, Daszak décrit le processus d’ »insertion de protéines en pointe » dans les virus pour voir si elles peuvent « se lier aux cellules humaines » comme étant effectué par ses « collègues en Chine » :

« Ensuite, lorsque vous obtenez une séquence d’un virus, et qu’elle ressemble à un parent d’un pathogène méchant connu, comme nous l’avons fait avec le SRAS. Nous avons trouvé d’autres coronavirus chez les chauves-souris, toute une série, dont certains ressemblaient beaucoup au SRAS. On a donc séquencé la protéine spike, celle qui s’attache aux cellules. Puis nous… Ce n’est pas moi qui ai fait ce travail, mais mes collègues en Chine. Vous créez des pseudo particules, vous insérez les protéines spike de ces virus, vous voyez si elles se fixent aux cellules humaines. À chaque étape, on se rapproche de plus en plus de ce virus qui pourrait vraiment devenir pathogène pour l’homme. »

« On se retrouve avec un petit nombre de virus qui ressemblent vraiment à des tueurs », ajoute-t-il.

Ces commentaires font suite à des preuves de plus en plus nombreuses que le NIAID de Fauci a des liens financiers et personnels profonds avec l’Institut de virologie de Wuhan – et que l’alliance EcoHealth de Daszak était l’un des principaux mandataires qui acheminaient l’argent vers le laboratoire du Parti communiste chinois.

Plus d’une douzaine de documents de recherche réalisés dans le cadre d’une subvention de 3,7 millions de dollars de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) mentionnent Shi Zhengli, directeur du Centre des maladies infectieuses émergentes du laboratoire de Wuhan, comme coauteur aux côtés de Daszak. Shi a inclus ces subventions soutenues par Fauci dans son CV.

Le laboratoire de Wuhan a également mentionné les National Institutes of Health (NIH) comme l’un de ses « partenaires », mais a secrètement effacé cette mention en mars 2021 (NDLR : on vous avait traduit l’article ici).




Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés

[Source : Eveilhomme.com]

https://youtu.be/bSZxQ34FbrA

[Voir aussi : La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?]




« Ceci n’est pas un vaccin »

Par Lucien Samir Oulahbib


Dans ce moment surréaliste si douloureusement vécu, cette affirmation dans le titre n’est peut-être pas tant que cela une énième imitation de Magritte, mais l’illustration de notre triste réalité devenue même hyperréaliste, en ce sens où nous est imposé (en guise de « science » censée nous « éclairer » sur ce « réel » sanitaire) un trompe-l’œil : il s’agit en effet d’un modèle coercitif Canada Dry de perception et de comportement. La peinture présentée montre ainsi qu’une thérapie génique expérimentale (TGE) ayant une autorisation provisoire de mise sur le marché et appelée pompeusement « vaccin » aurait pour but de protéger non pas soi-même, mais « autrui » (nous pourrions lui faire du mal sans le savoir) ; ce qui implique déjà alors de ne plus percevoir ce « médicament vaccinal » comme ayant pour objet d’abord de protéger son porteur, mais d’empêcher qu’il puisse nuire, voilà la réalité (inédite) telle qu’elle nous est peinte. Et à laquelle il est sommé de croire sous peine d’être mis à l’Index..

Or, il s’avère que personne, pas même parmi les « positifs », n’est transmetteur sans symptômes (Fauci l’avouait il y a plus d’un an dans ses emails confortant ce qu’une docteure de l’OMS avait indiqué à la même époque — avant de se faire rabrouer — ainsi que l’Institut Pasteur), ce qui rendrait alors d’autant plus caduque la volonté de « vacciner » les enfants et adolescents. Ces derniers sont bien loin d’être les victimes majeures de cette maladie, celle-ci étant alimentée plutôt par le manque de soins préventifs précoces…

C’est donc bien ce détournement de fonction dudit « vaccin » (censé d’abord protéger son porteur) qui s’avère de plus en plus irréaliste, irresponsable, inconcevable, puisque tout le discours sur le côté principalement « asymptomatique » d’une maladie aux taux de létalité et mortalité infimes s’avère en réalité être de plus en plus faux…

Et pourtant cela n’empêche pas que des pseudo philosophes tels Enthoven et Onfray (par ailleurs guère connus comme étant des spécialistes en matière de santé) éructent des menaces, bien loin de leur posture maniérée en matière de tolérance stoïque de bon aloi. Exit donc Montaigne et Voltaire. Chassez le naturel, place à l’Inquisition au nom de « la » Morale (maximaliste pour le coup). Ne parlons pas d’un pseudo journaliste comme Patrick Cohen et d’autres encore, sans oublier nos deux « médecins » Dupont et Dupond — Alexandre et Marty — dont les visages défigurés par l’envie et la haine/jouissance solitaire dévoilent qu’ils deviennent le portrait craché que tentait en vain de cacher Dorian Gray dans son intimité.

Pourtant cela repart de plus belle en une GB de plus en plus « vaccinée », sans oublier les 1/1000 de myocardite chez les jeunes en Israël (comme l’indique le Courrier des Stratèges), comme si cette TGE inoculée avait pour but en réalité d’augmenter la fonction venimeuse du virus puisqu’il posséderait un « gain de fonction » permettant d’être mieux accepté par l’organisme humain. C’est en tout cas ce qui semble indiquer son séquençage selon Alexandra Henrion-Caude montrant dès novembre 2020 que ce « gain » aurait même été « breveté » : Fauci reconnaît l’existence de recherches liées à un tel « gain », tout en démentant le fait que sa participation financière au laboratoire P4 incriminé ait eu pour objet ce dernier… Pourtant, l’on ne voit pas vraiment comment dans une structure aussi opaque au sein d’un régime politique fait de la même matière la teneur des sommes allouées pourrait être vérifiée comme Fauci le prétend…

Mais peu importe, surtout s’il s’avère en tout cas qu’au fond ce « gain de fonction » peut faciliter la transmission du virus à l’organisme humain et que ledit « vaccin » est précisément structuré à partir d’une de ses parties (dont cette fameuse protéine Spike), car l’hypothèse se renforce en stipulant que ce virus à la réalité augmentée serait le levier permettant ce Grand Reset ou ce grand remodelage des sociétés urbaines contemporaines en route vers le tout numérique et le tout sanitaire, nos corps et esprits devenant le produit à manipuler fabriquer et vendre en même temps (le tout au nom également de la lutte contre le réchauffement climatique). « Vaccinés », nous voilà ainsi encore plus perméables à ce virus augmenté (puisque directement inoculé et non plus reçu aléatoirement), devenant donc dépendants de « l’antidote » que serait la « dose » [vaccinale] vendue, un peu comme dans les films de SF, ou plus prosaïquement à la façon des « addictions », alors qu’ayant des traitements précoces et prenant tout ce qu’il faut pour rester en bonne santé nous n’aurions pas besoin de tout cela en réalité…

Le « tout hygiéniste » formaté par la Secte Scientiste Affairiste (SSA) est ainsi parti à l’assaut global du dernier terrain vague supposé : nos corps qu’il faut littéralement programmer, baignant par ailleurs dans cette eau intellectuelle putride bien imaginée dansI-robot et Minority report, et que des pré-cyborgs en tête de gondole cherchent à nous vendre en guise d’élixir de vie.

Lucien Samir Oulahbib

Le 07/06/2021

Dernier ouvrage paru : Rhombe:
https://www.editions-harmattan.fr/livre-rhombe_les_nouvelles_eve_marie_marianne_les_nouveaux_adam_moise_jacob_lucien_samir_oulahbib-9782343233161-69943.html




Vacciner les enfants contre le covid serait « irresponsable, inutile et contraire à l’éthique »

Par Nicole et Gérard Delépine

DANGER : les enfants ne doivent pas être vaccinés par les pseudovaccins anticovid

À l’heure où l’épidémie est en voie de disparition en France, Europe et USA et que la divulgation des mails du DR Fauci montre qu’il a menti pour préparer le marché aux pseudo vaccins, il faut absolument faire échapper les petits à ces injections géniques expérimentales qui ne sont pas des vaccins, au sens classique du terme.(([1] Depuis Pasteur un vaccin se compose d’antigènes que l’on injecte pour stimuler la réponse immunitaire spécifique. Les pseudo vaccins actuels ne comportent pas d’antigène, mais un code génétique donnant des ordres à nos cellules.))

Les révélations scandaleuses qu’apporte la publication des mails de FAUCI arriveront-elles à temps à maturation pour stopper la folie vaccinale ? Ne vous étonnez pas en tous cas des gesticulations du pouvoir et des médias pour vous forcer à vous vacciner le plus vite possible, y compris les plus jeunes sous prétexte de passeport vaccinal ou autres mesures coercitives. Grâce à Macron, nous serons peut-être les derniers à l’abandonner, mais il disparaîtra en pratique, comme l’a prédit Eric Verhaeghe(([2] Pass sanitaire : Macron peut-il passer en force ? – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) )) dans un article récent du courrier des stratèges et nous même dès avril dernier,(([3] Delépine – Passeport vaccinal : chronique d’une mort annoncée mondialisation.ca 9 avril 2021 https://www.mondialisation.ca/passeport-vaccinal-chronique-dune-mort-annoncee/5655350)) sa suppression début juin en Israël(([4] https://fr.businessam.be/trois-mois-apres-son-introduction-israel-na-deja-plus-besoin-du-passeport-vaccinal/)) et en bientôt en Grande-Bretagne(([5] https://jeminformetv.com/2021/06/01/le-pass-sanitaire-la-grande-bretagne-jette-leponge/)) le confirme.

Nous répétons depuis plus d’une année que les enfants et adolescents ne risquent rien du Covid(([6] Delépine – Les écoles doivent ouvrir comme prévu le 11 MAI 2020. Pas de danger, ni pour les enfants ni pour les adultes. Démonstration Agoravox 17/4/2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-ecoles-doivent-ouvrir-comme-223390))

La littérature internationale démontre unanimement que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes côtoyés. Les quelques articles qui essaient de faire croire le contraire ne s’appuient que sur des données théoriques de laboratoires ou des simulations mathématiques fausses et jamais sur des études épidémiologiques dans le monde réel, les enseignants n’étant pas plus à risque de covid que la population générale (contrairement au jeu pervers de leurs syndicats qui ont tenté de le faire croire).(([7] Institut Pasteur COVID-19 DANS LES ÉCOLES PRIMAIRES : PAS DE TRANSMISSION IMPORTANTE DU VIRUS ENTRE ENFANTS OU VERS LES ENSEIGNANTS
https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/covid-19-ecoles-primaires-pas-transmission-importante-du-virus-entre-enfants-ou-enseignants))

Même ceux qui prônent en France la vaccination pour les plus jeunes, le reconnaissent et font intervenir des arguments aussi malhonnêtes les uns que les autres.

Le plus ridicule propose la vaccination comme antidépresseur ! « Vacciner les enfants les ferait rentrer dans le sort commun (!) et donc « aiderait à leur reconstruction psychologique » ! Message pervers qui a le mérite de reconnaître qu’en tant que protection contre le covid, il n’a aucun rôle.

Une couverture vaccinale très élevée peut-elle empêcher les contaminations ?

Des apôtres de la vaccination covid des enfants veulent l’imposer pour obtenir la couverture vaccinale la plus élevée possible(([8] dont on sait avec l’exemple de la rougeole qu’elle est incapable d’éradiquer le virus)) dans le but officiel de sauver les personnes âgées. Mais les pays qui ont les plus hauts taux mondiaux de couverture vaccinale comme le Bhoutan (96 %), Gibraltar (>100 %) ou les Seychelles (>70 %) ont été victimes de graves flambées épidémiques post vaccinales ainsi que le montrent les courbes suivantes publiées par l’OMS(([9] Sur son site officiel WHO Covid19 Dashboard)) commentées par nos soins en rouge.

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Une couverture vaccinale même très élevée paraît donc incapable de prévenir les contaminations.

Quant à la protection des anciens comme argument ? Ces mêmes personnes âgées auxquelles on a refusé les traitements précoces efficaces et donné facilement le Rivotril « pour les soulager » et, de fait, les euthanasier intéressaient-elles le pouvoir ? Pourtant, environ dix mille personnes(([10] France Soir Chronique N°52 — « La sur prescription des 3 benzodiazépines injectables Rivotril®, Valium® et Tranxène®, a coïncidé avec les pics de décès de résidents dans les EHPADs, ce qui interroge »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-ndeg52-la-surprescription-des-3-benzodiazepines-injectables-rivotrilr)) pourraient ainsi être décédées dans les EHPAD avec l’aide de ce « merveilleux » médicament interdit aux insuffisants respiratoires et donné larga manu grâce au décret de fin mars 2020 de Édouard Philipe-Véran renouvelé en octobre et récemment le 1er juin 2021…

Qu’en est-il ?(([11] 40+ Doctors Tell UK Drug Regulators: Vaccinating Kids for COVID is ‘Irresponsable, Unethical and Unnecessary’ • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

APPEL DE MÉDECINS À LEURS GOUVERNANTS AU ROYAUME-UNI

« vacciner les enfants contre covid est « irresponsable, contraire à l’éthique et inutile » »

Dans une lettre ouverte adressée à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé,(([12] Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) executive agency of the Department of Health and Social Care in the United Kingdom which is responsible for ensuring that medicines and medical devices work and are acceptably safe.)) plus de 40 médecins, médecins et scientifiques au Royaume-Uni affirment que les enfants sont plus vulnérables aux effets potentiels à long terme des vaccins CONTRE LA COVID.

Le groupe a déclaré qu’aucune personne de moins de 18 ans ne devrait être vaccinée contre la COVID, car les preuves montrent que le virus ne présente aucun risque pour les enfants en bonne santé. Lettre écrite en réponse à des documents divulgués du service national de santé du Royaume-Uni détaillant comment les autorités sanitaires britanniques prévoient de vacciner les enfants de plus de 12 ans.

Selon les documents du service de santé, des enfants dès l’âge de 5 ans pourraient être vaccinés dès juillet 21 — une mesure qui, selon le gouvernement, « pourrait être nécessaire pour réduire les cas de COVID alors que les confinements se lèvent dans tout le pays ». Pourtant les enfants ne transmettent pas et l’épidémie européenne s’effondre.

De hauts responsables anglais viennent, de plus, d’avouer officiellement avoir truqué les chiffres et instrumentalisé la peur pour imposer les mesures dites sanitaires qui convenaient aux politiques. Vont-ils poursuivre leurs mensonges ?(([13] Covid: des scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la « peur » pour faciliter le contrôle de la population ! — Le Libre Penseur
« Dans un long article The Telegraph révèle que des « scientifiques du comité (SPI-B) qui a encouragé l’utilisation de la peur pour contrôler le comportement des gens pendant la pandémie de covid ont admis que leur travail était ‘’contraire à l’éthique ‘’ et ‘’totalitaire ‘’ ».
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson))

Les auteurs de la lettre ont rappelé que le risque de décès par COVID chez les enfants en bonne santé est de 1 sur 1,25 million. Les pseudovaccins géniques contre la COVID sont responsables des accidents vasculaires cérébraux dus à des thromboses veineuses cérébrales chez les personnes de moins de 40 ans — conclusion qui « a conduit à la suspension de l’essai pour enfants Oxford-AstraZeneca », ont précisé les auteurs. Ils précisent :

« les enfants ont une vie devant eux, et leurs systèmes immunologique et neurologique sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes. »

Sommes-nous vraiment au temps des apprentis sorciers, des joueurs de roulette russe ou bien le mythe de Faust a -t-il hanté nos dirigeants, mais aussi les populations étrangement soumises à cette intoxication par injection d’une substance qui peut transformer notre ADN voire celui des générations suivantes. Nul ne sait et c’est bien le plus invraisemblable. Dans le monde qui a inscrit il y a peu le principe de précaution dans la Constitution, où les mots environnement, futur de la planète reviennent à toutes les sauces, où des arracheurs d’OGM purgent encore leur peine, ceux qui achètent bio et chassent l’OGM de leur savon ou de leur shampoing se font injecter le poison qui les transformera au minimum en humains OGM. Bravo les communicants ! Vous avez transformé nos écolos et leurs adeptes, une bonne partie de la population, en défenseur de l’Homme OGM… Vous êtes très forts.(([14] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il faut lire cette lettre in extenso : « Covid-19 Child Vaccination: Safety and Ethical Concerns — An Open Letter From UK Doctors to Dr. June Raine, Chief Executive, MHRA » :

« Nous souhaitons vous informer de nos graves préoccupations concernant toutes les propositions visant à administrer des vaccins contre la COVID-19 aux enfants. Des documents gouvernementaux récemment divulgués suggèrent qu’un déploiement du vaccin contre la COVID-19 chez les enfants de plus de 12 ans est déjà prévu pour septembre 2021, et la possibilité que des enfants d’à moins de 5 ans soient vaccinés en été dans le pire des scénarios ».

Nous avons été profondément troublés d’entendre plusieurs représentants du gouvernement et du SAGE(([15] Leur comité scientifique conseiller du gouvernement anglais :
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson)) appeler dans les médias à ce que le déploiement du vaccin contre la COVID-19 «se tourne vers les enfants aussi vite que possible ». Le Matériel pédagogique distribué aux écoles de Londrescontient des questions « chargées d’émotions et inexactitudes ».

Manipulation des responsables syndicaux enseignants qui eux-mêmes manipulent les enfants

Il y a eu un langage troublant utilisé par les dirigeants syndicaux enseignants, qui conduit à la coercition des enfants pour qu’ils acceptent les vaccins contre la COVID-19.

La pression des pairs dans les écoles devrait être encouragée selon les directives gouvernementales relayées par les syndicats. Pourtant la coercition visant à faire accepter un traitement médical est contraire aux lois et déclarations britanniques et internationales.(([16] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Passer par les enfants est particulièrement minable, méprisable et illégal. La pression sur les enfants ne peut pas être acceptée selon la charte des droits de l’enfant.

« Une telle rhétorique est irresponsable et contraire à l’éthique, et encourage le public à exiger la vaccination des mineurs avec un produit encore au stade de la recherche et dont aucun effet à moyen ou long terme n’est connu, contre une maladie qui ne présente aucun risque matériel pour eux. Un résumé de nos motifs est donné ci-dessous et une explication plus détaillée et entièrement référencée est disponible. » dit la lettre adressée aux instances médicales gouvernementales anglaises.

Les auteurs listent ensuite les risques et avantages dans les traitements médicaux. Citons quelques réflexions majeures.

NE PAS REPRODUIRE LES TRAGÉDIES PASSÉES AVEC D’AUTRES VACCINS COMMERCIALISÉS À LA HÂTE

«  Nous devons veiller à ce que les tragédies passées qui se sont produites ne se reproduisent pas, en particulier lorsque les vaccins sont mis sur le marché à la hâte.

Par exemple, le vaccin contre la grippe porcine Pandemrix, déployé à la suite de la pandémie de 2010, a entraîné plus d’un millier de cas de narcolepsie, lésion cérébrale dévastatrice, chez les enfants et les adolescents, avant d’être retiré.

Le Dengvaxia, vaccin contre la dengue, a également été déployé sur les enfants avant les résultats complets de l’essai, et 19 enfants sont morts d’une possible détérioration dépendante des anticorps (ADE) avant le retrait du vaccin.(([17] Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue – AgoraVox le média citoyen)) Une répétition de cette situation avec les vaccins contre la COVID-19, aurait non seulement un impact sur les enfants et les familles touchés, mais aurait également un effet extrêmement dommageable sur le taux de vaccination en général ».

En France aussi, des médecins pro-vaccination craignent l’impact négatif des effets dommageables de la pseudo vaccination anticovid quand l’étendue des effets délétères sera connue, car l’acceptation facilitée par la confusion entre vaccin habituel et « vaccin » covid se retournera dans l’autre sens. Il sera trop tard pour que les gens confiants et trompés admettent leur erreur (difficile à sortir d’une conviction même devant les preuves, car mentalement on se détruit intérieurement) et ils risquent de rejeter en bloc les vaccins.

« Aucune intervention médicale ne devrait être introduite sur une base « taille unique (…). Cette approche a été décrite en octobre dernier par la chef du Groupe de travail gouvernemental sur les vaccins, Kate Bingham ». Elle avait déclaré : « nous devons simplement vacciner toutes les personnes à risque. Il n’y aura pas de vaccination des moins de 18 ans. Il s’agit d’un vaccin réservé aux adultes, destiné aux personnes de plus de 50 ans, qui se concentre sur les travailleurs de la santé, les travailleurs des foyers de soins et les personnes vulnérables. Les enfants n’ont pas besoin d’être vaccinés pour leur propre protection ».

« L’immunité acquise naturellement donne une immunité plus large et plus durable que la vaccination. En effet, de nombreux enfants seront déjà immunisés. Les enfants à très haut risque peuvent déjà se faire vacciner pour des raisons humanitaires. Les enfants n’ont pas besoin de vaccination pour soutenir l’immunité collective ».

PRÉOCCUPATIONS À COURT TERME EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ DES « VACCINS » ANTICOVID

Selon la lettre adressée au MHRA (réf 12)

« Au 13 mai, le MHRA 22 avait reçu un total de 224 544 événements indésirables, dont 1 145 décès en lien avec les vaccins contre le SARS-CoV-2. Les rapports d’accidents vasculaires cérébraux dus à la thrombose veineuse cérébrale initialement en faible nombre, mais à mesure que la sensibilisation augmentait, de nombreux autres rapports ont conduit à la conclusion que le vaccin AstraZeneca ne devrait pas être utilisé pour les adultes de moins de 40 ans. Cette conclusion imprévue a également conduit à la suspension de l’essai pour enfants d’Oxford AstraZeneca.

Des événements similaires ont été notés avec les vaccins Pfizer & Moderna sur le système américain de déclaration des effets indésirables (VAERS) et il est probable qu’il s’agisse d’un effet lié à la production de protéine Spike. »

« Les nouvelles lignes directrices du Royaume-Uni sur la prise en charge de la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (VITT) incluent tous les vaccins contre la COVID-19 dans leurs préconisations. La possibilité d’autres problèmes de sécurité inattendus ne peut être exclue.

En Israël, où les vaccins ont été largement déployés auprès des jeunes et des adolescents, le vaccin de Pfizer a été associé à plusieurs cas de myocardite chez de jeunes hommes et des préoccupations ont été soulevées au sujet de rapports faisant état d’une altération des cycles menstruels et de saignements anormaux chez les jeunes femmes après le vaccin. »

Les décès signalés aux USA chez des enfants vaccinés inclus dans des essais inquiètent les médecins anglais

« il y a maintenant eu un certain nombre de décès associés à la vaccination signalés au VAERS aux États-Unis, bien que les vaccins ne soient administrés qu’aux enfants dans le cadre d’essais et d’un déploiement très récent aux 16-17 ans ».

PRÉOCCUPATIONS EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ À LONG TERME

« Tous les essais de phase 3 du vaccin contre la COVID-19 sont en cours et ne devraient pas se terminer avant la fin de 2022 ou le début de 2023. Les vaccins sont EXPÉRIMENTAUX et ne disposent que de données limitées à court terme et de données à un peu plus long terme sur l’innocuité pour les adultes. En outre, beaucoup utilisent une toute nouvelle technologie de vaccin à ARNm, qui n’a jamais été approuvée auparavant pour une utilisation chez l’homme. L’ARNm est effectivement un promédicament et on ne sait pas combien de protéine Spike un individu produira.

Les effets potentiels d’apparition tardive peuvent prendre des mois ou des années pour devenir apparents. Les essais limités sur les enfants entrepris à ce jour sont totalement sous-renseignés pour éliminer les effets secondaires rares, mais graves ».

Insistons avec nos collègues anglais :

Les enfants ont la vie devant eux, leurs systèmes immunologiques et neurologiques sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes.

« Un certain nombre de préoccupations spécifiques ont déjà été soulevées, y compris les maladies auto-immunes et les effets possibles sur le placenta et la fertilité. Un article récemment publié a soulevé la possibilité que les vaccins contre la COVID-19 à ARNm puissent déclencher une maladie neurodégénérative à base de prions. Tous les risques, connus et inconnus, doivent être mis en balance avec les risques de COVID-19. »

Le serment d’Hippocrate dit : « d’abord ne pas nuire », devoir d’agir avec prudence et proportionnalité.

« Les données probantes actuelles et disponibles montrent clairement que le calcul du risque par rapport aux avantages ne soutient PAS l’administration de vaccins précipités et expérimentaux contre la COVID-19 aux enfants, qui n’ont pratiquement aucun risque de COVID-19, mais qui font face à des risques connus et inconnus liés aux vaccins ».

La Déclaration des droits de l’enfant dit :

« l’enfant, en raison de son immaturité physique et mentale, a besoin de garanties et de soins spéciaux, y compris d’une protection juridique appropriée ». En tant qu’adultes, nous avons le devoir de protéger les enfants contre des préjudices inutiles et prévisibles.

La fin des essais de phase 3 actuels devrait au moins être attendue ainsi que plusieurs années de données sur l’innocuité chez les adultes, afin d’exclure ou de quantifier tous les effets indésirables potentiels.

Les auteurs de la lettre au MHRA concluent :

« nous appelons nos gouvernements et les régulateurs à ne pas répéter les erreurs de l’histoire et à rejeter les appels à vacciner les enfants contre la COVID-19. Une extrême prudence a été exercée sur de nombreux aspects de la pandémie, mais c’est certainement le moment le plus important pour faire preuve d’une véritable prudence nous ne devons pas être la génération d’adultes qui, par la précipitation et la peur, inutiles, met en péril la santé des enfants. »

COMPLÉTONS CETTE ANALYSE ANGLAISE PAR LES RAPPORTS AMÉRICAINS SUR LES ESSAIS INFANTILES(([18] COVID Vaccine Injury Reports Among 12- to 17-Year-Old More Than Triple in 1 Week, VAERS Data Show • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Regardons d’abord l’ensemble des signalements aux USA. Aux États-Unis, 281,6 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées au 21 mai 2021. Cela comprend 120 millions de doses du vaccin de Moderna, 152 millions de doses de Pfizer et 10 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la COVID.

Sur les 4 406 décès signalés en date du 21 mai, 23 % sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % dans les 24 heures et 38 % chez des personnes qui sont tombées malades dans les 48 heures suivant la vaccination.

Le nombre d’événements indésirables signalés à la suite de vaccins contre la COVID continue d’augmenter, selon les données publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) au 21 mai. Les données proviennent directement des déclarations soumises au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS).(([19] Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables d’un vaccin aux États-Unis.
Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’incidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de libération))

Les données montrent qu’entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai, un total de 262 521 événements indésirables totaux ont été signalés au VAERS, dont 4 406 décès — une augmentation de 205 par rapport à la semaine précédente — et 21 537 accidents graves, en hausse de 3 009 par rapport à la semaine dernière.

CHEZ LES JEUNES

Les rapports d’incidents et accidents liés au vaccin antiCovid chez les jeunes de 12 à 17 ans ont plus que triplé en 1 semaine, selon les données de VAERS au 28 MAI

Les données ont montré 3 449 événements indésirables au total, contre 943 rapports la semaine précédente, chez les jeunes de 12 à 17 ans. Les données de cette semaine comprenaient 58 déclarations d’événements indésirables graves dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans.

LES CDC ENQUÊTENT SUR LES PROBLÈMES CARDIAQUES CHEZ LES ADOLESCENTS ET LES ADOLESCENTS APRÈS LE VACCIN CONTRE LA COVID

Le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation des CDC a publié un avis le 17 mai avertissant les médecins des rapports de myocardite qui semble survenir principalement chez les adolescents et les jeunes adultes, plus souvent chez les hommes que chez les femmes, plus souvent après la deuxième dose et généralement dans les quatre jours suivant la vaccination avec les vaccins Pfizer ou Moderna. La plupart des cas semblaient « bénins » et un suivi est en cours. La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque qui peut entraîner une arythmie cardiaque et la mort.

Comme l’a rapporté The Defender le 26 mai, le Connecticut a signalé 18 nouveaux cas de problèmes cardiaques chez les adolescents qui avaient reçu un vaccin COVID. Les 18 cas ont entraîné une hospitalisation, la grande majorité pendant quelques jours, tandis qu’une personne était toujours hospitalisée le 26 mai.

Une recherche dans VAERS a révélé 419 cas de péricardite et de myocardite, parmi tous les groupes d’âge, signalés aux États-Unis après la vaccination contre la COVID entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai. Sur les 288 cas signalés, 247 cas ont été attribués à Pfizer, 151 cas à Moderna et 20 cas au vaccin COVID de J&J.

COMMENT CONVAINCRE DE LA NÉCESSITÉ DU VACCIN CHEZ L’ENFANT ?
SURESTIMER LES HOSPITALISATIONS POUR COVID : CQFD

Une étude menée par des chercheurs de Stanford a révélé que le comptage des infections au SARS-CoV-2 chez les enfants hospitalisés surestimait l’impact de la COVID dans les populations pédiatriques, car les chiffres incluaient de nombreux patients asymptomatiques. Sur 117 admissions à l’hôpital, les auteurs ont conclu que 53 patients (45 %) ont été admis pour des raisons non liées au virus. L’étude a également révélé que 39,3 % (soit 46 patients) codés comme étant atteints du SARS-CoV-2 étaient en fait asymptomatiques (personne saine ayant seulement un test PCR positif).

« Si nous nous fions aux résultats positifs des tests de SRAS-CoV-2 des hôpitaux, nous gonflons environ deux fois le risque réel d’hospitalisation de la maladie chez les enfants. »

Alors, ne nous laissons pas manipuler, la vie actuelle et l’avenir de nos enfants est en jeu ! Prenons le temps d’attendre ce que deviendra l’épidémie actuellement terminée en Europe et aux USA et les résultats des traitements précoces dont l’autorisation est indispensable.

Cette épidémie disparaîtra peut-être définitivement comme celle du SRAS et du Mers. Et si ce n’est pas le cas, attendons les résultats des essais et des « vaccinations » sur des milliards d’individus qui ont été précipités dans la vaccination par une propagande inégalée. Qui vivra verra. Souhaitons leur bonne chance.





« La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme » déclare le Pr Bridle. MàJ

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

« Nous avons fait une erreur ». Dans une interview récente avec la journaliste Alex Pierson, le professeur Byram Bridle, spécialiste en immunologie virale, déclare que ces nouvelles recherches et travaux l’ont mené à faire des découvertes importantes sur le virus et en particulier la protéine Spike. Cette protéine est celle qui a fait l’objet de nombreux travaux notamment sur les vaccins à ARN messagers. Dans le cadre de son interview, le professeur Bridle prend les devants pour expliquer les éléments de sa découverte ainsi que les conséquences notamment pour la vaccination en cours…

Byram Bridle, canadien, est un immunologiste viral passionné par l’amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche (1) la conception et à l’optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers et (2) sur l’étude des réponses de l’hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires. closevolume_off

Il est donc tout à fait normal que dans le cadre de ses travaux, il se soit penché sur le coronavirus et il déclare :

« Jusqu’à récemment, nous n’avions jamais pensé que les protéines Spike pouvaient être toxiques ! Les vaccins ARNm qui ont été testés pour la première fois sur des animaux et dont les études n’ont jamais été rendues publiques, montrent que les nanoparticules d’ARNm ne restent pas localement au site de ponction dans le tissu musculaire, comme supposé et revendiqué par les fabricants, mais vont dans les organes à des concentrations parfois dramatiques, où ils sont transférés de cellules en cellules et absorbés en continu. »

Les chercheurs du groupe du Pr Bridle ont donc découvert que la protéine Spike du vaccin est une toxine et crée des dommages cardio-vasculaires (le coronavirus a une protéine Spike qui permet d’entrer dans le corps). On croyait que l’injection dans l’épaule restait localisée. Mais une étude a observé où va la protéine après : dans le sang, s’accumule dans le foie, les ovaires. C’est pourquoi on l’utilise en thérapie génique vaccinale, on la fabrique, notre système la détecte et se défend contre elle, en théorie.

En pratique, on a découvert que la protéine pose problème : 13 jeunes ont reçu la thérapie génique Moderna et on a observé que la protéine Spike est passée dans leur sang chez 11 des 13 jeunes. En passant dans le sang, elle peut se lier aux récepteurs de nos plaquettes pouvant provoquer coagulation, caillots, problème neurologique. Ce qui explique tous les effets secondaires graves que l’on a pu observer (thromboses et autres caillots).

Ses travaux le mènent à conclure :

« Nous avons fait une erreur. La protéine de pointe est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme. Il est même transmis par le lait maternel aux enfants allaités ». »

La vidéo de l’interview avec les sous-titres : [sous-titrage en français par ivermectine-covid.ch]

https://videas.fr/embed/b6543e41-ed5a-4233-ae9a-0ae37e6d96fb/

L’étude est publiée et en cours d’évaluation par les pairs. La voici : étude (PDF)

En réaction à cette recherche, le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine déclare : 

Au nom du principe de précaution: Il faut arrêter immédiatement toutes vaccinations Covid-19 utilisant la protéine Spike.

Un article du site LifeSiteNews a documenté cela en détail, traduit ci-après : 

Une nouvelle recherche terrifiante révèle de manière inattendue un pic de protéine du vaccin dans la circulation sanguine. La protéine est liée aux caillots sanguins, aux lésions cardiaques et cérébrales et aux risques potentiels pour les bébés allaités et la fertilité. Cette recherche montre que la protéine de pointe de coronavirus de la vaccination COVID-19 pénètre de manière inattendue dans la circulation sanguine, ce qui est une explication plausible pour des milliers d’effets secondaires signalés des caillots sanguins et des maladies cardiaques aux lésions cérébrales et aux problèmes de reproduction , a déclaré la semaine dernière un chercheur canadien sur les vaccins contre le cancer.

Bridle, chercheur en vaccins ayant reçu une subvention gouvernementale de 230000 dollars en 2020 pour la recherche sur les vaccins COVID, a déclaré que son groupe de scientifiques internationaux avaient déposé une demande d’informations auprès de l’agence de réglementation japonaise pour avoir accès à ce qu’on appelle l ‘« étude sur la biodistribution . »

« C’est la toute première fois que des scientifiques découvrent où vont ces vaccins à ARN messager [ARNm] après la vaccination », a déclaré Bridle. « Est-ce une hypothèse sûre qu’il reste dans le muscle de l’épaule? La réponse courte est: absolument pas. C’est très déconcertant. »

Les chercheurs avaient fait l’hypothèse que les nouveaux vaccins à ARNm COVID se comporteraient comme des vaccins traditionnels et que la protéine de pointe du vaccin – responsable de l’infection et de ses symptômes les plus graves – resterait principalement dans le site de vaccination au niveau du muscle de l’épaule. Au lieu de cela, les données japonaises ont montré que la tristement célèbre protéine de pointe du coronavirus pénètre dans le sang où elle circule pendant plusieurs jours après la vaccination, puis s’accumule dans les organes et les tissus, y compris la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et dans concentrations assez élevées dans les ovaires.

« Nous savons depuis longtemps que la protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Il peut causer des dommages à notre corps s’il entre en circulation », a déclaré Bridle.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est ce qui lui permet d’infecter les cellules humaines. Les fabricants de vaccins ont choisi de cibler la protéine unique, permettant aux cellules de la personne vaccinée de fabriquer la protéine qui, en théorie, provoquerait alors une réponse immunitaire à la protéine, l’empêchant d’infecter les cellules.

Un grand nombre d’études a montré que les effets les plus graves du SRAS-CoV-2 (le virus responsable du COVID-19), tels que la coagulation sanguine et les saignements, sont dus aux effets de la protéine de pointe du virus lui-même.

« Ce qui a été découvert par la communauté scientifique, c’est que la protéine de pointe à elle seule est presque entièrement responsable des dommages au système cardiovasculaire, si elle entre en circulation », a déclaré Bridle aux auditeurs.

Les animaux de laboratoire injectés avec une protéine de pointe purifiée dans leur circulation sanguine ont développé des problèmes cardiovasculaires, et il a également été démontré que la protéine de pointe traversait la barrière hémato-encéphalique et causait des dommages au cerveau.

Une grave erreur, selon Bridle, était la croyance que la protéine de pointe ne s’échapperait pas dans la circulation sanguine. « Maintenant, nous avons des preuves claires que les vaccins qui fabriquent les cellules de nos muscles deltoïdes fabriquent cette protéine – que le vaccin lui-même, plus la protéine – entre dans la circulation sanguine », a-t-il déclaré.

Bridle a cité l’étude récente qui a détecté la protéine SARS-CoV-2 dans le plasma sanguin de 11 des 13 jeunes travailleurs de la santé qui avaient reçu le vaccin COVID-19 de Moderna, dont trois avec des niveaux détectables de protéine de pointe. Une protéine « sous-unité » appelée S1, faisant partie de la protéine de pointe, a également été détectée. La protéine de pointe a été détectée en moyenne 15 jours après la première injection. Un patient avait une protéine de pointe détectable au jour 29, un jour après une injection, qui a disparu deux jours plus tard. 

Effets sur le cœur et le cerveau

Une fois en circulation, la protéine de pointe peut se fixer à des récepteurs ACE2 spécifiques qui se trouvent sur les plaquettes sanguines et les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins. « Lorsque cela se produit, il peut faire l’une des deux choses suivantes : cela peut soit provoquer l’agglutination des plaquettes, ce qui peut conduire à la coagulation. C’est exactement pourquoi nous avons constaté des troubles de la coagulation associés à ces vaccins. Cela peut également entraîner des saignements. » Bridle a également déclaré que la protéine de pointe en circulation expliquerait les problèmes cardiaques récemment signalés chez les jeunes qui avaient reçu les injections.

« Les résultats de cette étude Pfizer qui a révélé la biodistribution de l’ARNm du vaccin ne sont pas surprenants, mais les implications sont terrifiantes », a déclaré Stephanie Seneff, chercheuse principale au Massachusetts Institute of Technology, à LifeSiteNews. Il est maintenant clair que le contenu du vaccin est administré à la rate et aux glandes, y compris les ovaires et les glandes surrénales. « La protéine de pointe libérée est rejetée dans le milieu, puis atteint finalement la circulation sanguine, causant des dommages systémiques. Les récepteurs ACE2 sont communs dans le cœur et le cerveau, et c’est ainsi que la protéine de pointe provoque des problèmes cardiovasculaires et cognitifs », a déclaré Seneff.

Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont récemment annoncé qu’ils étudiaient les rapports de maladies cardiaques bénignes suite à la vaccination COVID-19 et la semaine dernière, 18 adolescents dans l’état du Connecticut seul ont été hospitalisés pour des problèmes cardiaques qui se sont développés peu de temps après avoir pris Vaccins contre le Covid-19.

Le vaccin d’AstraZeneca a été interrompu dans un certain nombre de pays et n’est plus recommandé pour les jeunes en raison de son lien avec des caillots sanguins potentiellement mortels et mortels, mais les vaccins à ARNm COVID ont également été liés à des centaines de rapports d’ événements de coagulation sanguine .

La FDA a mis en garde contre le danger de la protéine Spike

Le rhumatologue pédiatrique J.Patrick Whelan avait averti un comité consultatif sur les vaccins de la Food and Drug Administration du potentiel problème de la protéine Spike dans les vaccins COVID de causer des dommages microvasculaires causant des dommages au foie, au cœur et au cerveau de manières qui n’ont pas été évaluées en les essais de sécurité.

Alors que Whelan n’a pas contesté la valeur d’un vaccin contre le coronavirus qui a fonctionné pour arrêter la transmission de la maladie (ce qu’aucun vaccin COVID en circulation n’a été démontré), a-t-il déclaré : souffrent de dommages durables ou même permanents à leur microvascularisation cérébrale ou cardiaque en raison de l’incapacité à apprécier à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéines de pointe complètes sur d’autres organes. »

Le pic de protéines associé au vaccin dans la circulation sanguine pourrait expliquer une myriade d’événements indésirables signalés par les vaccins COVID, y compris les 4000 décès à ce jour et près de 15000 hospitalisations, signalés au système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS) du gouvernement américain au 21 mai 2021. Puisqu’il s’agit d’un système de notification passif, ces rapports ne sont probablement que la pointe de l’iceberg d’événements indésirables, car une étude de Harvard Pilgrim Healthcare a révélé que moins d’un pour cent des effets secondaires que les médecins devraient signaler chez les patients après la vaccination sont en fait rapportés. VAERS.

Bébés, enfants et adolescents qui allaitent, fragiles, les plus à risque

Bridle a déclaré que la découverte d’une protéine de pointe induite par le vaccin dans la circulation sanguine aurait des implications pour les programmes de don de sang. « Nous ne voulons pas de transfert de ces protéines de pointe pathogènes à des patients fragiles qui sont transfusés avec ce sang », a-t-il déclaré. Le scientifique a également déclaré que les résultats suggéraient que les bébés allaités dont les mères avaient été vaccinées risquaient d’obtenir des protéines de pointe COVID de son lait maternel. Bridle a ajouté que « toutes les protéines du sang se concentrent dans le lait maternel » et « nous avons trouvé des preuves de nourrissons allaités souffrant de troubles de la coagulation dans le tractus gastro-intestinal » dans VAERS.

Bien que Bridle ne l’ait pas cité, un rapport VAERS décrit un nourrisson de cinq mois allaité dont la mère a reçu une deuxième dose du vaccin Pfizer en mars. Le lendemain, le bébé a développé une éruption cutanée et est devenu inconsolable, a refusé d’allaiter et a développé une fièvre. Le rapport indique que le bébé a été hospitalisé avec un diagnostic de purpura thrombocytopénique thrombotique , une maladie sanguine rare dans laquelle des caillots sanguins se forment dans de petits vaisseaux sanguins dans tout le corps. Le bébé est mort.

La nouvelle recherche a également trouvée de graves implications pour les personnes pour qui le SRAS Coronavirus 2 n’est pas un agent pathogène à haut risque, et cela comprend tous nos enfants.

Effet sur la fertilité et la grossesse?

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les testicules et les ovaires dans les données secrètes de Pfizer publiées par l’agence japonaise soulève également des questions. « Allons-nous rendre les jeunes stériles? » Bridle a demandé. Il y a eu des milliers de rapports de troubles menstruels par des femmes qui avaient pris un vaccin COVID-19, et des centaines de rapports de fausses couches chez des femmes enceintes vaccinées, ainsi que de troubles des organes reproducteurs chez les hommes.

Campagne de diffamation vicieuse

En réponse à une demande, Bridle a envoyé une déclaration à LifeSiteNews lundi matin, déclarant que depuis l’interview radio, il avait reçu des centaines de courriels positifs. Il a également ajouté qu ‘« une campagne de dénigrement vicieuse a été lancée contre moi. Cela comprenait la création d’un site Web diffamatoire en utilisant mon nom de domaine. »

« Tels sont les moments où un universitaire ne peut plus répondre aux questions légitimes des gens avec honnêteté et sur la base de la science sans craindre d’être harcelé et intimidé », a écrit Brindle. « Cependant, ce n’est pas dans ma nature de permettre que des faits scientifiques soient cachés au public.»

Il a joint un bref rapport décrivant les principales preuves scientifiques à l’appui de ce qu’il a dit lors de l’entrevue. Il a été rédigé avec ses collègues de la Canadian COVID Care Alliance (CCCA) – un groupe de médecins, scientifiques et professionnels canadiens indépendants dont le but déclaré est de fournir des informations factuelles de qualité supérieure sur le COVID-19, dans le but de réduire les hospitalisations. et sauver plus de vies.

Un point central de l’énoncé était le risque pour les enfants et les adolescents qui sont la cible des dernières stratégies de commercialisation des vaccins, y compris au Canada.

Au 28 mai 2021, il y avait eu 259 308 cas confirmés d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les Canadiens de 19 ans et moins. Parmi ceux-ci, 0,048% ont été hospitalisés, mais seulement 0,004% sont décédés, selon le communiqué de l’ACCJE. La grippe saisonnière est associée à une maladie plus grave que le Covid-19.

Compte tenu du petit nombre de jeunes sujets de recherche dans les essais de vaccins de Pfizer et de la durée limitée des essais cliniques, le CCCA a déclaré que les questions sur la protéine de pointe et une autre protéine du vaccin doivent trouver une réponse avant que les enfants et les adolescents ne soient vaccinés, y compris si la protéine de pointe du vaccin traverse le barrière hémato-encéphalique, si la protéine de pointe du vaccin interfère avec la production de sperme ou l’ovulation, et si la protéine de pointe du vaccin traverse le placenta et affecte un bébé en développement ou se trouve dans le lait maternel.

LifeSiteNews a envoyé à l’Agence de la santé publique du Canada la déclaration de l’ACCJE et a demandé une réponse aux préoccupations de Bridle. L’agence a répondu qu’elle travaillait sur les questions, mais n’a pas envoyé de réponses avant l’heure de publication. 

Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson n’ont pas répondu aux questions sur les préoccupations de Bridle. Pfizer n’a pas répondu aux questions permettant d’établir depuis combien de temps l’entreprise était au courant des données de recherche, publiées par l’agence japonaise, montrant des pics de protéines dans les organes et les tissus des individus vaccinés.

À propos du Dr Bridle

Sur son site internet, le Dr Bridle est présenté comme un immunologiste virologue passionné par l’amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche. Un des volets de son programme de recherche est dédié à la conception et à l’optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers. Le but de son équipe de recherche est d’exploiter la puissance naturelle du système immunitaire d’un patient pour éliminer ses propres cellules cancéreuses. Cela représente la thérapie personnalisée ultime et détient le potentiel de traiter les cancers plus efficacement, en toute sécurité et à moindre coût que les options actuelles. Le deuxième volet de son programme de recherche se concentre sur l’étude des réponses de l’hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires. Cela a des implications pour le traitement des maladies infectieuses et des troubles induits par l’inflammation. Ces deux programmes ont été unifiés de manière unique. Le laboratoire Bridle exploite son expertise dans la fabrication de vaccins anticancéreux puissants et combine cela avec son intérêt pour l’immunité antivirale pour développer des vaccins pour se protéger contre les maladies infectieuses telles que celles causées par des coronavirus hautement pathogènes. Le mentorat de la prochaine génération de scientifiques canadiens est une responsabilité que le Dr Bridle prend très au sérieux. Il considère également comme un privilège d’enseigner aux étudiants des programmes de doctorat en médecine vétérinaire, des cycles supérieurs et du premier cycle de l’Université de Guelph.

Centre d’intérêts de recherche du laboratoire

Le programme de recherche du laboratoire Bridle comporte deux volets :

Le premier consiste à développer de nouvelles biothérapies hautement ciblées pour le traitement des cancers. Dans un effort pour tuer les cellules malignes avec un minimum de dommages des spectateurs aux tissus normaux, deux approches sont combinées: (a) l’immunothérapie anticancéreuse qui dirige le pouvoir du système immunitaire d’un patient contre sa ou ses propres tumeurs et (b) la virothérapie oncolytique, qui utilise des virus qui se répliquent et ne tuent que les cellules cancéreuses. La spécificité, la capacité de ciblage systémique et les fenêtres de traitement courtes de ces thérapies promettent que les patients cancéreux pourraient être traités efficacement avec des effets secondaires réduits et à un coût minime. L’objectif est de traduire les itérations les plus prometteuses de ces thérapies en essais cliniques chez les animaux de compagnie comme tremplin vers des tests sur des patients humains. 

L’étude des réponses de l’hôte aux virus est un deuxième objectif du laboratoire. Un domaine d’intérêt est le développement d’une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents aux tempêtes de cytokines induites par les virus. L’équipe de recherche du Dr Bridle a identifié un rôle essentiel de la signalisation par le récepteur de l’interféron de type I dans la régulation négative d’un vaste réseau de cytokines. Les réponses des cytokines aux virus sont souvent très différentes entre les femmes et les hommes et le groupe de laboratoire Bridle cherche à comprendre pourquoi. À l’intersection de ces deux programmes, se trouve une initiative de recherche visant à modifier les plateformes optimisées de vaccination contre le cancer de l’équipe de recherche pour cibler le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoC) -2, qui est l’agent causal de la maladie à coronavirus identifié à la fin de 2019 (COVID-19). 

Financement de la recherche :

Le laboratoire Bridle est ou a été financé par Instituts de recherche en santé du Canada, Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), Institut de recherche Terry Fox, Société canadienne du cancer, Société de recherche sur le cancer, Fondation canadienne du cancer du sein, Fonds de recherche rapide COVID-19 de l’Ontario, Université de Guelph / Collège vétérinaire de l’Ontario / Département de pathobiologie Financement de démarrage COVID-19, Centre national d’excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (BioCanRx), OVC Pet Trust, Le Fonds de lutte contre le cancer du ciel bleu souriant, Fondation canadienne pour l’innovation – Fonds des leaders John R. Evans, Fondation canadienne pour l’innovation – Fonds d’exploitation des infrastructures, Fonds de recherche du ministère de la Recherche et de l’Innovation de l’Ontario – Programme d’infrastructure de recherche.

Le laboratoire Bridle fait partie du Consortium canadien du virus oncolytique, Réseau de centres d’excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (membre fondateur), Société canadienne d’immunologie, Société canadienne de virologie, Institut de recherche Terry Fox, Institut d’investigation comparative sur le cancer, Groupe de l’ostéosarcome du chien: biomarqueurs / biothérapie de la néoplasie (DOGBONe), One Health Institute


[Voir aussi :
Un nouveau rapport fait la lumière sur le culte apocalyptique des vaccins
Le tableau de bord de CoVaxx-19 : Saignements, caillots sanguins et tout le reste
La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus]


[Mise à jour : condensé « complotiste » sur la problématique de la protéine Spike, dans cette vidéo de 14 min.
Source : Vivre sainement]






Covid, vaccins et mithridatisation

[Source : blog de Gérard Maudrux via reseauinternational.net]

La mithridatisation est le fait d’ingérer des doses croissantes d’un produit toxique afin d’acquérir supposément une insensibilité ou une résistance vis-à-vis de celui-ci. Et si les vaccins à ARN et ADN n’étaient pas des vaccins mais une forme de mithridatisation ? De plus en plus d’études semblent nous orienter dans ce sens, et nous attendons avec impatience la publication du Dr Bridle qui devrait en faire une synthèse documentée. Ci-joint la traduction de sa dernière intervention par nos amis suisses.

Depuis quelques temps quand on me parle des flambées de cas après vaccinations, plutôt que parler de nouvelles contaminations, qui seraient des coïncidences troublantes, j’évoquais plutôt une maladie propre développée par le vaccin, maladie ressemblant à la Covid, avec patients positifs sans doute du fait de la présence dépistée de fragments de protéine. Les très nombreux effets secondaires des vaccins seraient alors des formes atténuées de cette maladie, car il y a beaucoup de similitudes, notamment en ce qui concerne les troubles de la coagulation. Kevin McCairn avait déjà bien travaillé et documenté le sujet de la toxicité propre de la protéine spike.

Il semble de plus en plus établi, que la protéine spike, n’est pas seulement un élément de la coque du virus à visée esthétique, mais serait sans doute responsable d’une partie des troubles engendrés par le Sars-Cov-2, peut-être des plus importants, vasculaires et hématologiques. Ce serait la substance la plus active et toxique du virus. Le virus sans spike serait alors quasi inoffensif, et les variations de la spike le rendraient plus ou moins toxique, c’est le cas des variants récents, variations du virus qui ne portent que sur la spike.

Un vaccin classique injecte le “toxique” atténué ou mort. Ici on l’injecte “actif”, non atténué, d’où les effets secondaires très nombreux, parfois mortels, comme jamais vus dans les vaccins autorisés à ce jour. Si la spike est la substance la plus active du virus, ce n’est plus un vaccin que l’on injecte, mais le toxique, et c’est non plus un vaccin, mais une forme de mithridatisation. On ne pratique pas autrement pour désensibiliser les patients allergiques à une substance qui est toxique pour leur organisme.

Dans ces conditions, l’injection indirecte de la substance la plus toxique du Sars-Cov-2, sans l’avoir atténuée au départ, serait une erreur. Erreur non prévisible au départ, vu les connaissances sur la spike au début. Quand je parle d’injection indirecte, j’évoque un autre problème, qui est le passage par une phase génétique, car ce n’est pas la spike que l’on injecte directement, mais le mode d’emploi pour que notre organisme la fabrique lui-même. Aux effets secondaires initiaux, dus à la spike et non à l’ADN ou l’ARN injecté, peuvent alors s’ajouter des effets plus tardifs, dus à des modifications génétiques. C’est une inconnue totale qui peut être sans danger pour certains, gravissime pour d’autres, nous n’en savons rien, nous en sommes au stade de traitement expérimental. Sur ce point, j’avais écrit il y a 6 mois qu’il faudrait deux ans pour savoir, je m’y tiens.

On peut penser que les problèmes actuels des vaccins ne sont pas liés à l’ADN ou à l’ARN, mais uniquement à la spike, à une maladie de la spike. Dans ces conditions, la recherche ne doit-elle pas s’orienter vers la recherche d’une molécule qui se combinant à la spike inhiberait celle-ci, rendant alors le virus quasiment inoffensif. Les anticorps monoclonaux allaient un peu dans ce sens, mais peu pratiques et sans doute trop sensibles aux variations de la spike les rendant obsolètes ? Une autre voie existe déjà aussi : bloquer immédiatement la multiplication du virus pour bloquer la multiplication de la spike, cela s’appelle le traitement précoce.




Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir

TRIBUNE

Le 25 mai dernier, l’Académie Nationale de Médecine émet le souhait d’étendre la vaccination aux enfants et adolescents. Cette volonté s’inscrit dans le concept de « l’immunité collective », édictant que pour y parvenir, 90% d’une population adulte doit être vaccinée soit 80% d’une population totale, enfants compris.

Les enfants sont nos êtres chers, nos petits innocents à protéger, notre avenir. 

Devons-nous les vacciner ? 

Impossible de répondre à cette question de santé publique sans dissocier l’émotionnel du rationnel.

Que vous soyez parent, grand-parent, parrain, marraine, sœur, frère, oncle, tante, vous aimez forcément vos enfants, petits-enfants nièces ou neveux, d’un amour inconditionnel et ne souhaitez que leur bien-être, leur santé et leur bonheur. Prenez quelques minutes pour lire cet article. Installez-vous confortablement. Servez-vous un petit café, un thé comme vous l’appréciez.

Dans cette tribune, nous allons tenter de poser le plus clairement possible des arguments sourcés, afin de trouver une réponse sans ambiguïté à la question de la vaccination des moins de 15 ans. 

Pour commencer, les enfants peuvent-ils avoir le Covid-19 ? 

La réponse est ici sans appel : oui les enfants peuvent être contaminés et porteurs du Sars Cov-2. Les chiffres disponibles sur le site de Santé Publique France et plus largement ceux publiés au niveau international, indiquent que les enfants de tous âges peuvent être testés positifs au Covid-19, et ceci quels que soient leur âge et leur origine ethnique.

[Ndlr : être testé positif au Covid-19 avec un test non prévu pour diagnostiquer une maladie (et qui engendre d’autant plus de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification utilisé est élevé) ne signifie nullement que l’on a cette maladie. Voir : Les tests de coronavirus positifs ne sont pas des «cas»: les experts de la santé démystifient le faux récit des médias mainstream sur la COVID-19]

Toutefois, les données de surveillance montrent également que les enfants sont globalement moins touchés par la maladie. Un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies indique que moins de 5% des cas Covid-19 signalés dans l’Union Européenne concernent des personnes de moins de 18 ans. 

Quels sont leurs symptômes ? 

Selon l’étude Ped-Covid coordonnée par l’hôpital Necker et l’Institut Pasteur auprès de 775 enfants âgés de 0 à 18 ans, testés positifs dans sept hôpitaux parisiens et de la proche couronne entre le 1er mars et le 1er juin 2020, 69.4% de ces jeunes patients ne présentaient aucun symptôme. D’ailleurs, d’après cet article, Bruno Hoen, directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur, affirme même que « Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et de l’odorat n’ont jamais été observés chez les moins de 15 ans ». Quand l’infection se manifeste par des signes cliniques, c’est le plus souvent « par un syndrome grippal banal » explique le Dr Fabienne Kochert, pédiatre. Les symptômes constatés sont : fièvre, toux, irritabilité ainsi que des problèmes digestifs (vomissements, diarrhées). 

Sont-ils hospitalisés ? 

Alors qu’ils constituent 17,75 % de la population française, les moins de 15 ans ne représentent même pas 1% des patients hospitalisés et des décès. Les formes graves sont exceptionnelles, ce qui explique la rareté des jeunes patients à l’hôpital. Quelques cas de maladies de Kawasaki ont été découverts en début de pandémie avec les premières souches du virus (sans qu’un lien formel ne soit établi), ces infections semblant baisser avec l’arrivée des variants, virus généralement plus contagieux mais moins agressifs que le virus original présent lors de la première vague. 

Décèdent-ils du Covid ? 

Depuis le 1er mars 2020, six décès d’enfants âgés de 0 à 14 ans ont été enregistrés lors d’une hospitalisation pour Covid en France. En général, ces enfants sont en mauvaise santé, présentent une ou plusieurs comorbidités, à l’exemple de cet enfant de 9 ans décédé d’une atteinte neurologique liée à un arrêt cardiaque qui a pourtant été comptabilisé dans les décès Covid car sa sérologie indiquait qu’il avait été au contact du coronavirus sans en avoir les symptômes.

Une étude européenne publiée dans la revue spécialisée The Lancet Child & Adolescent Health, portant sur 582 patients positifs par test PCR dans 82 établissements de santé, a montré que seuls quatre enfants sont décédés dont deux avec des comorbidités préexistantes. 

Les enfants sont-ils contaminants ? 

Là aussi, regardons ce que disent les études. Par exemple, l’étude menée par l’Institut Pasteur dans des écoles de l’Oise, sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. En revanche, les parents étaient plus infectés chez les enfants positifs. L’étude conclut que les parents ont été la source de l’infection et pas l’inverse. D’autres études vont également dans ce sens, en atteste le professeur Robert Cohen, pédiatre : « les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Citons enfin le cas de ce garçon de 9 ans, positif au Covid, qui a continué à vivre normalement (écoles, ski-club, auprès de ses parents et ses deux frères…) sans contaminer aucune des 172 personnes vivant à son contact, dont 112 élèves et professeurs. 

Enfin, d’après l’Association Française de pédiatrie ambulatoire, « les facteurs de division du risque par rapport aux adultes sont de l’ordre de 1/10 000 pour les décès, de 1/1000 pour les formes graves, 1/100 pour les hospitalisations, 1/3 sur le pourcentage de PCR positives. Ceci est particulièrement vrai chez l’enfant de moins de 10 ans ». Ainsi, on peut au bout d’un an et demi de pandémie, affirmer que :

  1. Oui, les enfants peuvent attraper le virus du Sars-Cov-2.
  2. Mais, ils ont peu de symptômes.
  3. De plus, ils ne sont quasiment pas hospitalisés.
  4. En outre, les décès sont extrêmement rares, favorisés par des comorbidités.
  5. Enfin, ils contaminent peu, y compris leur entourage proche. 

La crainte selon laquelle les enfants contamineraient leurs parents ou leurs grands-parents n’est fondée sur aucun argument statistique, et même si cette possibilité n’est pas à exclure totalement car il existe toujours des cas isolés, elle est d’une rareté notoire. Ce coronavirus n’est donc pas une menace mortifère pour nos chères têtes blondes. Par conséquent, à ce stade, l’intérêt d’une vaccination semble assez limité, puisque grâce à leur système immunitaire et leur physiologie de jeunes êtres humains, les enfants résistent naturellement au Covid-19.

Les scientifiques tentent d’ailleurs à l’heure actuelle de comprendre pour quelles raisons et par quels mécanismes les plus jeunes ne sont pas touchés par le Covid-19 comme le sont les adultes. 

Les vaccins chez les enfants

Rappelons qu’en France, certains vaccins sont obligatoires. L’hexagone est d’ailleurs l’un des seuls pays au monde à imposer pas moins de onze vaccins aux nouveaux nés depuis 2018. Les maladies visées sont la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l’haemophilus Influenza de type B, l’hépatite B, le pneumocoque, et le méningocoque de type C.

Ces infections ont pour caractéristiques d’être assez voire très contagieuses, de donner parfois des séquelles à vie et surtout d’être mortelles, en particulier chez les jeunes enfants. Dans ces cas précis de maladies malignes, on comprend donc aisément que les vaccins puissent sauver des vies ou éviter des handicaps. Mais qu’en est-il du vaccin Covid ? Pourquoi faudrait-il vacciner des enfants contre un virus qui ne les affecte pas, ne les rend pas malades, et qu’ils ne transmettent pas à leur entourage ? Étrange volonté que de vouloir injecter un sérum pour un bénéfice direct quasi nul, vous en conviendrez. 

Regardons de plus près ce que sont ces vaccins Covid.

Quatre vaccins sont actuellement autorisés en France : le Pfizer et le Moderna, tous deux à technologie ARN messager (ARNm) ; et l’AstraZeneca et le Janssen, tous deux à adénovirus.Ces sérums marquent une rupture dans la fabrication classique des vaccins car les deux techniques utilisées sont nouvelles, et n’ont jamais avant la pandémie de Covid-19, été utilisées à grande échelle sur l’homme. 

Un vaccin traditionnel utilise le virus atténué ou désactivé : injecté dans le corps, les cellules l’identifient comme étant un intrus et fabriquent des anticorps spécifiques. Appelons-les les soldats. Si par la suite, la personne vaccinée est confrontée au virus en question, son organisme possède déjà une armée de petits soldats prêts à le combattre, entourés d’autres combattants, les lymphocytes T. Ces « soldats anticorps » s’amenuisent avec le temps, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est nécessaire de faire des rappels de certains vaccins, afin de renouveler les effectifs. Vous remarquerez ici que le vaccin traditionnel stimule de façon assez mécanique mais naturelle le système immunitaire, ceci par un leurre de vrai/faux virus. 

Les vaccins à ARNm envoient un message codé en langage ARN aux cellules du corps du vacciné. Le message est limpide : il faut produire une protéine, appelée protéine Spike. Après le vaccin, les cellules se mettent à produire Spike, reconnue comme un intrus et combattue à son tour par les petits soldats vus plus haut : les anticorps. 

Les vaccins à adénovirus, ou vecteur viral, utilisent quant à eux des virus vivants ayant été rendus inoffensifs, et dans lesquels on a greffé un morceau d’ADN (un message génétique). Cet ADN est délivré dans les cellules du vacciné, traduit en ARN (le même message mais dans un autre langage), qui code la protéine Spike. Le mécanisme est ensuite le même que précédemment avec l’ARNm : fabrication des anticorps spécifiques. Pour AstraZeneca par exemple, l’adénovirus injecté est un adénovirus de chimpanzé, pour Spoutnik et Janssen, ce sont des adénovirus humains. 

Ces deux nouvelles techniques, ARNm et vecteur viral, sont bien différentes des vaccins traditionnels : l’ordre donné aux cellules humaines consiste à produire la protéine de pointe du virus, c’est-à-dire une partie de celui-ci, plus précisément les molécules qui l’entourent et qui lui permettent d’infecter la personne contaminée. La protéine Spike est en effet la clé qui permet au coronavirus d’entrer dans le corps humain. Le principal avantage de ces deux techniques est la rapidité avec laquelle les laboratoires ont pu mettre au point ces vaccins, là où il faut habituellement des années de recherche, de tests, d’ajustements, d’échecs, puis de réussites (en moyenne le développement d’un vaccin prend entre 10 et 15 ans).

Cette fois pour le Sars-Cov-2 l’industrie pharmaceutique a ici été capable de concevoir, tester, demander les autorisations, les obtenir, puis produire des sérums à grande échelle en moins d’une année. Heureusement, vous vous en doutez, les autorités sanitaires veillent au grain : les autorisations accordées sont conditionnées. Dans cet article du CTIAP de l’Hôpital de Cholet qui a décortiqué les documents officiels publiés par l’Agence Européenne du Médicament, on apprend qu’AstraZeneca a jusqu’à mars 2024 pour préciser les substances actives et excipients de son vaccin ainsi que les résultats définitifs de son étude clinique. On appelle cela une « AMM conditionnelle » : une autorisation de mise sur le marché qui pose des conditions.

Pfizer et Janssen ont quant à eux jusqu’à décembre 2023 pour déposer la confirmation de l’efficacité, de la sécurité et de la tolérance de leurs vaccins. Le plus pressé des quatre laboratoires est Moderna, qui doit se dépêcher de donner ses conclusions puisque son échéance est fixée à décembre 2022. 

Oui vous avez bien lu.

Les quatre vaccins actuellement inoculés à l’ensemble de la population adulte volontaire sont encore en phase d’essai. Sous pression de l’urgence pandémique, les autorités sanitaires ont pris pour argent comptant les études menées par les laboratoires eux-mêmes, et ont accepté de mettre sur le marché des vaccins… dont l’innocuité est encore à l’étude. Ces laboratoires sont au-dessus de tout soupçon, bien entendu. Par exemple Pfizer détient un record mondial. En 2009, il a été condamné à payer 2,3 milliards de dollars pour pratiques commerciales frauduleuses. En cause un anti-inflammatoire aux effets secondaires entraînant des complications cardiaques ainsi que trois autres médicaments mis sur le marché et largement promus.

Et l’herbe n’est pas forcément plus verte ailleurs. Le laboratoire Johnson&Johnson (Janssen) mouillé en 2020 dans le scandale du talc qui donne des cancers, a écopé d’une condamnation de 2,1 milliards de dollars.

Le groupe AstraZeneca, qui est actuellement poursuivi par l’UE pour non-respect de ses engagements de livraison de vaccins, a dû régler une amende de 60 millions d’euros en 2005 pour utilisation abusive du système de brevets et des procédures de commercialisation des produits pharmaceutiques afin de prévenir ou de retarder l’arrivée sur le marché de médicaments génériques qui concurrençaient son anti-ulcéreux. C’est ainsi que partout dans le monde on inocule des sérums, sans être totalement certains qu’ils sont inoffensifs à court, moyen et long termes. Enfin, pas tout à fait.

À court terme, nous disposons de quelques indicateurs grâce à la pharmacovigilance dont le travail consiste à récolter les effets indésirables des médicaments et vaccins, à partir de déclarations volontaires des soignants et patients. En France, elle est assurée par les CRPV et l’ANSM. Vous qui lisez cette tribune, vous pouvez si vous le souhaitez déclarer des effets secondaires en cliquant ici. C’est un acte citoyen qui permet de surveiller la survenue de symptômes liés aux médicaments et ainsi de déceler des molécules dangereuses. 

Que dit la pharmacovigilance sur les vaccins Covid ? 

À l’échelle de la France, deux articles doivent nous alerter. Le premier concerne le centre de pharmacovigilance de Tours qui, submergé par les signalements sur les vaccins, a demandé aux patients et aux médecins de ne pas tout déclarer afin de prioriser les signalements les plus graves.

Une pharmacovigilance oui, mais une pharmacovigilance sélective.

Le second article porte sur le centre du Limousin, qui reçoit en temps normal, d’après le Professeur Marie-Laure Laroche, responsable du centre, « à peine 10 notifications par an pour les vaccins classiques » mais qui, en quatre mois et demi de vaccination Covid, a vu les déclarations multipliées par 400, soit 4000 déclarations. Répétons-le pour ceux qui n’étaient pas totalement concentrés et buvaient une gorgée de leur thé préféré : multipliées par quatre-cents !

Enfin, les derniers rapports de l’ANSM disponibles en ligne, font état de près de 20000 cas d’effets secondaires liés à Pfizer, dont 5245 cas graves, dont 580 décès. Au total pour les quatre vaccins, 37 018 cas ont été rapportés, dont 26% de cas graves (hospitalisation, séquelles, décès).

Répétons-le pour mieux accentuer : cinq-cent-quatre-vingts décès liés uniquement au vaccin Pfizer en France du 28 décembre 2020 au 13 mai 2021. À l’échelle de l’Europe, EUDRAVIGILANCE, la base européenne de pharmacovigilance, enregistre des signalements d’effets indésirables comme jamais. Au 22 mai 2021, la comparaison avec deux autres lots de vaccins contre la grippe et la diphtérie est sans appel : les vaccins Covid sont les plus agressifs de toute l’histoire des vaccins administrés à l’homme, mais également les plus meurtriers !En additionnant les cas de décès post-vaccinaux des quatre vaccins, le total s’élève à plus de 12 000 morts. 

Aux USA, pays qui a vacciné 50% de sa population adulte, le VAERS, système de surveillance sous la responsabilité des CDC – Centers Disease of Control – enregistre des chiffres tout aussi alarmants, jugez plutôt :Sur les vingt dernières années (jusqu’à début mai 2021), le VAERS a enregistré 4182 décès, tous vaccins confondus. Du 14 décembre 2020 au 3 mai 2021, il comptabilise très exactement 4178 morts liés aux vaccins Covid. Ces seuls vaccins parviennent donc à eux-seuls, à totaliser en une poignée de mois autant de décès que TOUS les vaccins injectés au cours des vingt dernières années sur le sol américain. 

Le plus inquiétant est que la pharmacovigilance n’est qu’un indicateur. Elle ne recense pas de manière exhaustive et obligatoire tous les décès et effets secondaires qui surviennent après vaccination. Si, d’après le VIDAL, tous les effets secondaires – sérieux ou anodins – doivent être signalés dans les bases, il n’en est rien en pratique. En effet, les professionnels de santé et les patients n’en signalent qu’une infime partie, que ce soit par oubli ou plus simplement par manque d’informations sur les procédures à suivre. 

Par ailleurs, depuis les vaccins Covid, des consignes sont données pour ne signaler que les effets secondaires inattendus ou graves. Nous venons donc de décrire sommairement ce que sont les vaccins Covid, les études et essais toujours en cours, et une pharmacovigilance qui s’emballe malgré le faible taux de remontées. Certains se sont peut-être étranglés en découvrant les données, d’autres ont sans doute cliqué sur les liens et sont estomaqués de découvrir que de telles informations aussi cruciales sur les vaccins ne soient pas davantage rendues publiques. Ces signaux doivent nous alerter sur la vaccination des enfants.

Pouvons-nous accepter d’injecter ces formules inédites dans les bras de nos progénitures sans prendre la mesure des effets possibles sur leur santé ?Pouvons-nous accepter de vacciner nos enfants compte tenu des nombreux dommages causés aux adultes ?Ne devons-nous pas attendre que les essais soient totalement terminés avant de prendre une telle décision ? 

Des essais en cours sur les enfants aux États-Unis 

Connaissez-vous l’âge du plus jeune vacciné au monde ? Il s’appelle Vincenzo Mincolla, petit bonhomme joufflu, tétine en bouche, qui a reçu sa première dose de Pfizer à l’âge de 7 mois, et sa deuxième à 8 mois (voir la vidéo de son injection ici). Ses deux parents sont soignants et ont accepté sans hésitation d’enrôler leur bébé dans l’essai clinique de Pfizer « au nom de la science ». 

Depuis le 16 mars 2021, des essais menés par Moderna sont en cours aux USA et au Canada sur 6750 enfants et bébés âgés de 6 mois à 11 ans. D’autres essais sont en cours avec Pfizer et AstraZeneca. Les résultats ne sont pas encore publiés mais gageons que puisque les enfants ne sont quasiment jamais malades du Covid, les vaccins montreront une efficacité exceptionnelle. Reste à connaître les effets secondaires. 

Le VAERS fait état de plusieurs dizaines de cas d’effets indésirables graves et dont des décès d’enfants et adolescents ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer ou de Moderna. Les cas sont rapportés par des soignants ou les familles des patients, ce qui complique la fiabilité des sources. Il est difficile de trouver des articles fiables.Néanmoins, voici deux exemples issus du VAERS, l’un d’une petite de 2 ans et l’autre d’une jeune fille trisomique de 15 ans, toutes deux décédées. 

On ne compte plus les témoignages de proches de victimes sur les réseaux sociaux… qui disparaissent comme par magie ; notamment sur Youtube et Facebook. Plusieurs groupes du réseau social n°1 mondial rassemblant diverses expériences malheureuses de vaccinés ont tout simplement été fermés. On peut raisonnablement se poser des questions. Certaines vérités ne semblent pas « désirées » car seule compte la propagande vaccinale. 

En Israël, pays ayant complètement vacciné 56,6% de sa population avec les deux doses, des voix s’élèvent contre la vaccination des enfants car des cas de myocardites chez des patients jeunes ont été rapportés. 

Conclusion 

Nul doute que vous avez désormais terminé votre boisson, et que malgré sa chaleur, cet article a jeté un froid. 

Tout d’abord car les nouvelles ne sont guère réjouissantes. Les vaccins ne sont pas aussi fiables que ce qu’on nous assure. Malgré toute l’énergie déployée par les éminents spécialistes des plateaux TV et des radios pour convaincre et apaiser les craintes, les chiffres et les documents non publiés parlent d’eux-mêmes : des incertitudes planent sur les effets à moyen et long termes des vaccins. Vous, ou vos proches et amis, avez peut-être reçu une ou plusieurs doses. Certains ont été très malades, d’autres n’ont rien remarqué, mais depuis, une fatigue, des maux se sont réveillés ou sont apparus. Quelques-uns d’entre vous ont d’ailleurs pu observer une recrudescence d’AVC ou de problèmes cardiaques dans leur entourage, ou ont assisté aux obsèques d’une personne âgée, qui avait été vaccinée quelques jours avant son décès. Il n’y a pas de mystère, ni de coïncidences. Il faudrait être aveugle ou inconscient pour ne pas établir formellement de lien de causalité entre l’injection et tous ces événements qui surviennent dans les heures, les jours ou les semaines qui suivent. 

Désormais vous savez. Vous venez de prendre connaissance d’un faisceau d’indices qui doivent vous alerter sur la vaccination de vos enfants. Une maladie qui ne les touche pas, des vaccins encore en phase d’essais, des informations négatives peu dévoilées au grand public, une pharmacovigilance qui s’emballe, des cas de décès et effets indésirables graves signalés sur des enfants… que des indicateurs au rouge. Désormais, si vous décidez de mener vos enfants à l’aiguille, et que tout ne se passe pas comme prévu, vous ne serez pas les victimes désinformées d’un système qui promeut la vaccination, non. Non, vous serez des parents responsables de ce qui arrive à leurs enfants. Vous croiserez leur regard en ayant conscience à chaque instant que vous ne les avez pas protégés, et ceci malgré tout l’amour que vous leur portez. L’Agence Européenne du Médicament vient de donner son feu vert pour le vaccin Pfizer des 12-15 ans.

De grands scientifiques, comme Arnaud Fontanet, épidémiologiste et membre du conseil scientifique, déclarent aux micros des journalistes de France Info et BFM qu’il faut vacciner les enfants pour atteindre l’immunité collective, et ceci, sans apporter un seul argument rationnel valable.

À quel prix ? Si un seul adolescent ou enfant décède du vaccin en France, ce sera pour sauver qui ? Une personne âgée de plus de 85 ans (âge médian des morts Covid sur les 100 000 premiers décès) ? Un adulte avec comorbidités ?D’autres, comme l’éditorialiste Eric Naulleau dans l’émission TPMP ou encore le philosophe Raphaël Enthoven dans l’émission Les Grandes Gueules sur RMC, qui n’ont ni diplôme scientifique, ni formation médicale, encensent la vaccination obligatoire pour tous avec une ferveur douteuse. Sans parler du footballeur Kylian Mbappé, un modèle pour de nombreux jeunes, qui s’affiche pansement sur le bras sur les réseaux sociaux.

Qui sont ces gens ? Ont-ils lu ne serait-ce qu’une seule étude randomisée ? Quelles sont leurs qualifications pour jeter l’opprobre sur les réticents, qui eux, s’informent du mieux qu’ils peuvent ? La vaccination n’est pas un débat philosophique, politique ou sportif. Elle doit rester un enjeu sanitaire et une décision médicale.

Et moi ? Qui suis-je pour vous avoir amené jusqu’à la fin de cette tribune ? Je ne suis personne. Ni épidémiologiste au conseil scientifique, ni politicienne, ni philosophe, ni sportive, ni éditorialiste. Et c’est justement parce que je ne suis rien de tout cela, que je suis vous. Une maman qui aime ses enfants, une fille qui veut protéger ses parents, une amie qui veille sur ses proches. Comme vous, je n’apprécie pas qu’on m’assomme et me matraque chaque jour de publicités et de messages sur et pour la vaccination, ni que les médias filtrent les informations à l’aune de la propagande vaccinale. Comme vous, il n’y a qu’une priorité dans ma vie et dans mon cœur : la santé et le bien-être de mes enfants. C’est la raison pour laquelle j’attends la fin des essais cliniques et que je ne cèderai jamais aux mesures qui ne relèvent pas du bon sens. 

Pour conclure, reposons la question de départ : devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? Vous êtes seuls juges. Mais maintenant, vous savez.

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir


[Voir aussi :
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La vaccination de masse déclenche un pic de cas COVID-19 et des décès

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Michael Whitney
Mondialisation.ca, 30 mai 2021
MERCOLA 21 mai 2021


Les cas de COVID ont fortement augmenté dans presque tous les pays qui ont lancé une campagne de vaccination de masse.

Le Cambodge a commencé sa campagne de vaccination début février après n’avoir compilé aucun décès ; après avoir commencé son programme de vaccination, les décès ont commencé à s’accumuler.

Il se peut que quelque chose dans le vaccin lui-même tue des gens

Les chercheurs de Salk ont confirmé que les principaux dommages causés par la COVID sont causés par la protéine de Spike et non par le virus ; si c’est le cas, alors pourquoi injectons-nous aux gens des vaccins qui enseignent à leurs cellules à fabriquer ces protéines.

118 millions d’Étasuniens ont maintenant reçu une protéine de Spike génératrice de caillots ; personne ne sait combien de temps ces protéines potentiellement mortelles restent piégées dans la paroi des vaisseaux sanguins ou quels dommages elles pourraient éventuellement causer.

Maintenant que les cas ont fortement diminué aux États-Unis, pourquoi ne pas abandonner les vaccinations jusqu’à ce que l’on comprenne mieux les risques à long terme ?

*

Les cas de COVID ont fortement augmenté dans presque tous les pays qui ont lancé une campagne de vaccination de masse. (Veuillez regarder cette courte vidéo avant que YouTube ne la supprime.1)
Pourquoi cela se produit-il ?

[Une animation de la mortalité COVID à travers le monde pour examiner l’impact de la vaccination, en testant l’hypothèse qu’ils sont jusqu’à 97% efficaces pour réduire la mortalité.Crédit @britishbennyboy sur Twitter pour l’animation.]

La vaccination de masse était censée réduire la menace de la COVID, mais – à court terme – elle semble beaucoup l’aggraver.

Pourquoi ? Et pourquoi la COVID « fait-elle maintenant une éclosion dans 4 des 5 pays les plus vaccinés ? » Selon le magazine Forbes :2

« Les pays où les taux de vaccination sont les plus élevés au monde – y compris quatre des cinq pays les plus vaccinés – se battent pour freiner les épidémies de coronavirus qui sont, par habitant, plus élevées que l’augmentation dévastatrice de l’Inde, une tendance qui a mis en question l’efficacité de certains vaccins … et la sagesse d’assouplir les restrictions, même avec la plupart de la population vaccinée. »

Pire que l’Inde ? Comment cela peut-il être ainsi ? Et pourquoi huit membres « entièrement vaccinés » des Yankees de New York [équipe de hockey] ont-ils obtenu un résultat positif au test COVID ? Voici l’histoire de l’Associated Press :3

« L’arrêt-court des Yankees de New York, Gleyber Torres, a été testé positif pour la Covid-19 malgré sa vaccination complète et son avoir précédemment contracté le coronavirus pendant la période de repos. Torres fait partie des huit soi-disant positifs de la percée parmi les Yankees – des personnes qui ont obtenu un résultat positif malgré leur vaccination complète. »

Et si cela ne prête pas assez à confusion, découvrez ce qui se passe au Cambodge. Le Cambodge a commencé sa campagne de vaccination début février après avoir compilé zéro décès. C’est vrai : le pays n’a connu aucun décès par COVID avant mars 2021, quelques semaines après avoir commencé son programme de vaccination. Et c’est à ce moment-là que les décès ont commencé à s’accumuler, comme vous pouvez le voir dans le tableau accrocheur ci-dessous.

Vaccinations et décès du COVID-19 Cambodge

Graphique de Joel Smalley Twitter4

Zéro décès COVID-19, jusqu’à la campagne de vaccination

Alors, voyons si nous pouvons le comprendre. Il n’y a eu aucun décès avant le lancement de la campagne de vaccination, mais peu après le début des injections, les décès ont commencé à augmenter. Pensez-vous qu’il pourrait y avoir un lien ici ? Pensez-vous que, peut-être, les décès sont liés aux vaccins ?

Bien sûr, ils le sont. Et c’est pourquoi les médias tentent de balayer cette histoire sous le tapis. Cela ne correspond pas au « récit officiel » sur les vaccins, ils ont donc décidé de « d’effacer » complètement l’histoire. « Poof » et c’est parti ! Et, en fait, c’est pire qu’une dissimulation parce que peu de temps après l’entrée en fonction de Biden, les CDC ont changé leur méthodologie de test, ce qui rend plus difficile le test positif.

En d’autres termes, ils ont truqué le système de sorte qu’il semble que moins de personnes « entièrement vaccinées » aient contracté la COVID après l’inoculation. Le Dr. Joseph Mercola explique ce qui se passe dans les coulisses :

« Maintenant, les États-Unis Les Centers for Disease Control and Prevention ont encore réduit la TDM, dans ce qui semble être un effort clair pour cacher les cas révolutionnaires du COVID-19, c’est-à-dire les cas dans lesquels des personnes entièrement vaccinées reçoivent un diagnostic de COVID-19. »

C’est tout un grand jeu de passe-passe. Ils manipulent le système pour donner l’impression que les vaccins arrêtent l’infection lorsque les preuves prouvent le contraire. Et remarquez le surnom délibérément trompeur que les médias ont inventé pour les personnes qui contractent la COVID après avoir été vaccinées. Ils les appellent « cas de percée » [breakthrough cases]. « Percée » ? Vraiment ?

Si les cas augmentent dans presque tous les pays qui lancent une campagne de vaccination de masse, alors il n’y a rien de « nouveau » [breakthrough] à cela. C’est le résultat prévisible d’une expérience ratée. Voici plus d’informations sur un article intitulé : « Taux de COVID après la vaccination dans le monde » :5

« … le gouvernement a supposé que si « vous vaccinez beaucoup de gens, le problème disparaît », mais les questionneurs parmi nous ne l’ont pas supposé. Surtout après avoir lu le document d’information de la FDA pour le vaccin COVID-19 Pfizer-BioNTech par exemple, beaucoup d’entre nous avaient des questions après l’avoir lu ; à la page 42, il est dit :

Les cas suspects de COVID-19 survenus dans les 7 jours suivant toute vaccination étaient de 409 dans le groupe vaccinal contre 287 dans le groupe placebo. Il est possible que le déséquilibre des cas suspects de COVID-19 survenant dans les 7 jours suivant la vaccination représente une réactogénicité vaccinale avec des symptômes qui chevauchent ceux du COVID-19.

Dans l’ensemble, cependant, ces données ne soulèvent pas de préoccupation quant au fait que la déclaration spécifiée dans le protocole des cas suspects, mais non confirmés, de COVID-19, aurait pu masquer des événements indésirables cliniquement significatifs qui n’auraient pas été détectés autrement. »

La FDA savait que les personnes vaccinées sont plus susceptibles de contracter la COVIDPour en savoir plus: Le vaccin « expérimental » contre l’ARNm Covid-19. On vous dit la vérité ?

WTF !?! Ainsi, la FDA SAVAIT que les personnes vaccinées étaient plus susceptibles de contracter la COVID que celles du groupe placebo, mais elle a approuvé les vaccins de toute façon ?!? Est-ce une négligence criminelle ou simplement une vieille stupidité ?

S’il vous plaît. Relisez le paragraphe ci-dessus et décidez si vous auriez donné le « feu vert » à ces injections douteuses ou non ?  Voici plus d’informations sur le même article :6

« Ce qui suit montre des données provenant du monde entier provenant de certains endroits sélectionnés. Il est, bien sûr, vital de souligner que la corrélation n’est pas la causalité. Et qu’il y a des pays où le déploiement des vaccins ne précède pas ou ne coïncide pas avec une augmentation des infections. Cependant, je n’ai pas été en mesure de trouver de pays où les taux de covidés ont commencé à baisser après le début de la vaccination, ou dans lequel une baisse a coïncidé avec le début de la vaccination.

En Indonésie, par exemple, le taux de covidé diminuait au début de la vaccination et semble n’avoir pas été affecté dans sa trajectoire par le déploiement du vaccin. Le lecteur peut consulter lui-même ces tableaux sur le site Internet. Jetez un coup d’œil à ceux-ci et voyez ce que vous en pensez… »

OK, donc l’auteur essaie de donner la plus grande tournure positive possible à la performance du vaccin. Il dit : « la corrélation n’est pas une causalité », ce qui signifie : « Ne faites pas fiez pas à ce que vous voyez lorsque vous observer les graphiques parce que – si vous le faites – vous tirerez la conclusion évidente que les vaccins augmentent considérablement vos chances de contracter la COVID dans les quelques semaines qui suivent la vaccination ».

Les graphiques vous convaincront également que Fauci, Biden et les médias ont menti comme des charlatans sur l’efficacité des vaccins. (Veuillez consulter les tableaux de l’article et juger par vous-même.) En voici plus :7

« Ce qui est très clair si l’on examine les données dans le monde entier, c’est que les vaccinations ne sont certainement pas associées à une baisse fiable des cas de covidés dans un délai prévisible. Cela, à côté des observations du procès, doit certainement être abordé. Que se passe-t-il ici ?

Est-ce juste que les vaccinations sont lancées par coïncidence en même temps que les épidémies sont sur le point de se produire ? Dans de très nombreux endroits ? Ou le vaccin ne fonctionne-t-il pas immédiatement ? Sinon, pourquoi pas ? … Ou le vaccin rend-il les gens plus sensibles à l’infection ? Si c’est le cas … s’agit-il d’un effet temporaire ? Qu’est-ce qui en est la cause ? …

Combien de temps faut-il pour qu’une sensibilité accrue diminue ? … On nous dit que tout le monde doit être vacciné (mais) Comment peut-on donner le consentement libre et éclairé dans ces conditions ? »

Ce sont toutes de bonnes questions. Malheureusement, le Dr. Fauci et ses collaborateurs n’ont pas l’intention d’y répondre. Au lieu de cela, leurs alliés dans les médias font tout ce qu’ils peuvent pour faire disparaître cette histoire et détourner l’attention vers les mystérieux « variants », qui sont la diversion médiatique quotidienne. Suis-je trop dur ? Peut-être, mais peut-être pas assez dur.

Raison de douter des propos rassurants des fabricants de vaccins

Jetez un coup d’œil à ce clip d’un article sur Conservative Woman intitulé « Toutes les raisons de douter des propos rassurants des fabricants de vaccins » :8

« J’ai déjà fait état d’une hausse étonnante des décès qui s’est produite parallèlement à une campagne de vaccination intensive à Gibraltar, où la petite communauté a donc développé le taux de mortalité par covidés le plus élevé au monde. Nous savons également que des milliers de décès ont été observés aux États-Unis, dans l’UE et au Royaume-Uni à la suite de la vaccination contre la Covid, souvent immédiatement après l’administration de l’injection.

Les fabricants, les principales revues médicales et la plupart des gouvernements insistent sur le fait que ces décès ne sont pas liés au vaccin. Dans de nombreux cas, les décès et les maladies graves ont été attribués à une infection fortuite par le virus. Mais les preuves sont de plus en plus nombreuses que pour certains, en particulier les personnes vulnérables et âgées, le vaccin lui-même crée ou aggrave la maladie même contre laquelle il est censé être protecteur…

… un phénomène inquiétant qui apparaît régulièrement dans les études sur le vaccin Covid est une flambée des prétendues « infections » qui se produit précisément au cours de cette période de trois semaines, et généralement immédiatement après l’injection … Les chercheurs soulèvent la possibilité que le vaccin puisse déclencher des « symptômes semblables aux symptômes de la Covid-19, y compris la fièvre » chez les personnes récemment exposées au virus …

Il suggère que le mécanisme peut être une baisse de l’immunité causée par une perte de globules blancs après le vaccin, observée dans les essais Pfizer et AstraZeneca, rendant les vaccinés plus vulnérables au virus à court terme. »

OK, donc l’auteur arrive à la même conclusion que l’auteur précédent ; peut-être que le vaccin rend les gens plus sensibles au virus en abaissant leurs défenses et, par conséquent, en favorisant l’infection. C’est certainement une possibilité, mais il en existe d’autres qui pourraient être infiniment plus graves. Jetez un coup d’œil :9

« Il n’a pas été généralement reconnu que le vaccin est conçu pour nous protéger en provoquant nos cellules à produire la toxine même qui rend le virus plus dangereux que ses prédécesseurs dans la famille des coronavirus. Cette toxine, connue sous le nom de protéine spike, peut endommager non seulement les poumons, mais aussi affecter des organes tels que le cerveau, le cœur et les reins.

Le raisonnement derrière l’administration du vaccin est que l’exposition temporaire à la toxine peut fournir une protection à long terme contre la maladie causée par le virus. Les premières indications indiquent que cette stratégie fonctionne, bien qu’il ne soit pas encore du tout certain dans quelle mesure la baisse des taux d’infection observée dans les populations intensément vaccinées est saisonnière et liée aux vagues d’infection, ou si elle constitue un avantage durable.

Mais il existe également une possibilité très réelle, étayée par des expériences sur les animaux ainsi que par les études citées ci-dessus, que le vaccin lui-même produise des symptômes chez les personnes vulnérables qui sont ensuite attribués au Covid-19. Les dommages à la santé peuvent être particulièrement graves chez une personne qui a été récemment ou qui est simultanément infectée par le virus réel.

Il y a donc tout lieu de douter des propos rassurants des fabricants selon lesquelles les décès et les blessures observés comme accompagnant la vaccination, et que dans certains cas ressemblent au Covid-19 et sont attribués à celui-ci, ne sont pas liés aux vaccin. La situation est suffisamment grave pour que certains médecins et scientifiques demandent un moratoire sur d’autres vaccinations contre la Covid jusqu’à ce que le vaccin ait été dûment vérifié. »

Il se peut donc que quelque chose dans le vaccin lui-même tue des gens. C’est une possibilité réelle. Bien sûr, les sociétés pharmaceutiques et les responsables de la santé publique rejettent carrément cette hypothèse, mais les professionnels de la santé et les scientifiques pensent que le danger est suffisamment important pour demander que le programme de vaccination de masse soit temporairement interrompu.

Principaux dommages causés par la COVID causés par les protéines spike.

Certains lecteurs se souviendront que le Salk Institute a récemment publié une étude qui a montré que la « protéine « spike » distinctive du CoV-2 du SRAS… « endommage les cellules, confirmant que la COVID-19 est une maladie principalement vasculaire ». Voici un extrait de l’article daté du 30 avril 2021:10

« Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré d’une couronne classique de protéines de pointe du CoV-2 du SRAS, mais ne contenait aucun virus réel. L’exposition à ce pseudovirus a causé des dommages aux poumons et aux artères d’un modèle animal – prouvant que la protéine spike seule était suffisante pour causer la maladie.

Des échantillons de tissus ont montré une inflammation des cellules endothéliales tapissant les parois de l’artère pulmonaire. (Note – « Les cellules endothéliales vasculaires tapissent l’ensemble du système circulatoire, du cœur aux plus petits capillaires. »)

L’équipe a ensuite reproduit ce processus en laboratoire, exposant des cellules endothéliales saines (qui lignéent les artères) à la protéine spike. Ils ont montré que la protéine de pointe a endommagé les cellules en se liant à l’ACE2. Cette liaison a perturbé la signalisation moléculaire de l’ACE2 aux mitochondries (organites qui génèrent de l’énergie pour les cellules), provoquant des dommages et une fragmentation des mitochondries.

Des études antérieures ont montré un effet similaire lorsque des cellules ont été exposées au virus du CoV-2 du SRAS, mais c’est la première étude à montrer que les dommages se produisent lorsque les cellules sont exposées seules à la protéine de pointe. »

On ne saurait trop insister sur l’importance de ce rapport. Les chercheurs de Salk confirment que les principaux dommages causés par la COVID sont causés par la protéine spike et non par le virus. Et, si c’est le cas, alors pourquoi injectons-nous aux gens des vaccins qui enseignent à leurs cellules à fabriquer des protéines spike ?

Cela n’a aucun sens. Et comment cela affecte-t-il notre compréhension du phénomène que nous avons vu dans des pays du monde entier, c’est-à-dire la forte augmentation des cas à la suite de la vaccination de masse ? Permettez-moi de vous donner une explication plausible, mais non encore prouvée :

La forte augmentation des cas et des décès à la suite d’une vaccination de masse n’est PAS liée au COVID « la maladie respiratoire », mais au COVID « la maladie vasculaire ». La composante vasculaire est principalement le résultat de la protéine S [S pour spicule, Spike en anglais ou protéine de pointe] produites par les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins (endothélium) qui activent les plaquettes qui provoquent des caillots sanguins et des saignements.

L’autre facteur principal est la réaction auto-immune dans laquelle les lymphocytes tueurs attaquent son propre corps, déclenchant une inflammation généralisée (et une défaillance potentielle des organes). En bref, les décès post-injection sont causés par les protéines S [Spike ou de pointe] produites par les vaccins et non par la COVID. Encore une fois, regardez la carte du Cambodge. Il n’y a eu aucun décès avant la vaccination. Tous les décès sont survenus par la suite. Cela suggère que les décès sont attribuables aux vaccins.

Une dernière réflexion : 118 millions d’Étasuniens ont maintenant reçu une protéine de pointe génératrice de caillots. À l’heure actuelle, personne ne semble savoir combien de temps ces protéines potentiellement mortelles restent piégées dans la paroi des vaisseaux sanguins ou quels dommages elles pourraient éventuellement causer.

En gardant cela à l’esprit, ne serait-ce pas le bon moment pour faire preuve d’un peu de prudence ? Maintenant que les cas ont fortement chuté dans tout le pays [États-Unis], pourquoi ne pas abandonner la vaccination anti-Covid tant que nous n’aurons pas une meilleure compréhension des risques à long terme ? Ce serait une bonne décision, n’est-ce pas ? Il suffit de reporter les nouvelles injections jusqu’à ce que la sécurité du produit puisse être garantie. Si on a pas été prudent jusqu’à maintenant sur cette question de vaccination, ce serait le moment de prendre des précautions.

Mike Whitney

Michael Whitney, analyste géopolitique et social renommé basé dans l’État de Washington, USA. Il a commencé sa carrière de journaliste-citoyen indépendant en 2002 avec un engagement en faveur d’un journalisme honnête et de la paix mondiale.

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

Article original en anglais :

Mass Vaccination Triggers Spike in Cases, Deaths, publié le 27 mai 2021.

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca

L’image en vedette est de Children’s Health Defense

Notes

YouTube 13 mai 2021

Forbes 11 mai 2021

NBC News 14 mai 2021

Twitter, Joel Smalley

5, 6, Informer l’Écosse 6 avril 2021

8, La femme conservatrice 3 mai 2021

10 Salk News 30 avril 2021

La source originale de cet article est MERCOLA
Copyright © Michael Whitney
MERCOLA, 2021




Hold-Up (Mise à jour : lien vers le film en deux parties, après la censure par YouTube + vidéo de Pierre Barnérias)

[Source : FranceSoir]

Hold-Up, film en sortie nationale 11 novembre. Pourquoi j’ai produit ce film par Christophe Cossé?

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir

TRIBUNE : Le film Hold-Up produit par Pierre Barnérias et Christophe Cossé, sort ce mercredi 11 novembre.  Christophe Cossé est producteur de documentaires et de films avec une formation en anthropologie sociale et psychologie clinique.  

Pourquoi j’ai produit ce film ?

Ce qui me vient en premier à l’esprit, c’est cette phrase de Kierkegaard :

« Il s’agit de comprendre ma destination, de voir ce que Dieu veut proprement que je fasse. Il s’agit de trouver une vérité qui soit vérité pour moi, de trouver l’idée pour laquelle je veux vivre et mourir».

Avec cette singulière crise politique qui remet en cause bien des principes de notre humanité, et que maquille la préoccupation sanitaire, nous sommes parvenus à l’heure des choix. Dès lors, avec nos connaissances et notre conscience, à quoi sommes-nous prêts à renoncer ? Devons-nous céder à la peur, au besoin de sécurité, ou préférer embrasser la vie et la liberté ? Ma démarche, notre démarche commune tant avec mes coproducteurs qu’avec toutes celles et ceux venus témoigner, c’est avant tout d’avertir sinon d’alerter, d’interpeller, d’informer le plus grand nombre.

L’épidémie et son traitement ont tout d’une intrigue dramatique. Cet évènement épidémique révèle en définitive une crise profonde, révélatrice de l’état actuel de notre société, de ses institutions et de sa culture. On y découvre non seulement le pouvoir de la presse, désormais inféodée au pouvoir par le jeu des actionnaires qui la détiennent, mais aussi la puissance des réseaux sociaux qui véhiculent tant le relais de cette dernière, qu’un contre-pouvoir raillé par la censure, mais ô combien salvateur pour la connaissance et la liberté d’expression ou d’information.

L’issue de cette épidémie, somme toute habituelle et saisonnière, présente donc en quelque sorte les deux genres aristotéliciens: la tragédie de l’humanisme ou l’épopée d’un renouveau. Gageons qu’elle débouche sur le renouveau. D’autres y voient une dimension biblique.

C’est donc une question de choix, d’élan instinctif, d’appel ce qui m’a poussé dans ce film. Et aussi parce que le scénario qui se déroule sous nos yeux mérite un témoignage. Sans prétention aucune, je me réfère à Alexis de Tocqueville : « ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux.»

C’est la base du film, nous évertuer à comprendre : les mensonges, la manipulation, l’ingénierie sociale, la corruption. Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l’intituler « Coup d’Etat ».

Nous sommes en fin de cycle, tout va très vite, et se radicalise. Il n’y a plus d’espace d’échange, de réflexion, de pensée. Pour Pierre et moi, comme pour Nicolas, il n’était pas envisageable de ne rien faire. Et nous prévoyons même de continuer à filmer et à suivre l’actualité, car nous pressentons un changement fondamental dans notre humanité. Notre actualité sociale et politique nous y ramène. Le président Macron a décidé de confiner derechef sa population pour six semaines.

Nouvelle étape du scénario.

La lecture des derniers relevés hebdomadaires de l’OMS et du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, permet clairement de constater que tous les pays ayant pratiqué le confinement ont eu les pires résultats dans le degré de résilience de leur population au COVID-19.

Le taux de mortalité est établi à 0,15%. Plus de 98% des individus ayant contracté le virus guérissent. Le nombre de morts associés abusivement au Covid reste encore deux fois inférieur à celui des erreurs médicales ou du tabac.

Outre que le fait de confiner toute une population saine et non malade a été et demeure une première dans l’histoire de l’humanité, toutes les études qui ont été produites depuis le premier confinement rejoignent les conclusions des précédentes, à savoir l’inefficacité de cette mesure. Serait-elle politique ?

L’OMS vient, il y a quelques semaines à peine, de convenir de son inefficacité et de son inutilité. On se souvient pourtant de cette étude de Neil Ferguson, de l’Imperial College, qui prévoyait plus de 500 000 morts en Grande-Bretagne, et 10 millions de victimes en Afrique, dont s’inspiraient l’OMS et les dirigeants occidentaux dans leur décision de confiner alors que l’épidémie était déclarée.

Ce même épidémiologiste, qui, dix ans auparavant, lors de l’épidémie de la grippe A (H1N1), avait également envisagé un désastre sanitaire de plus de 60 millions de victimes dans le monde. A l’époque, le rapport du Sénat (2010) avait clairement dénoncé l’irrationalité de ces analyses, la dérive de la politique sanitaire et avait surtout mis en lumière les conflits d’intérêts qui semblaient régir cette dernière.

Malgré cela, notre gouvernement, après s’être défendu à maintes reprises de l’envisager, l’a confirmé, ce nouvel emprisonnement. Il avance même de surcroît vouloir y associer quelques autres mesures coercitives, tout en dénonçant l’irresponsabilité, sinon l’incurie, de ceux qui s’y opposent.

Ce nouveau confinement  a été officiellement décrété en conséquence de l’importance du nombre de cas de contaminations et du nombre de malades admis en réanimation. Le seuil de 60% des lits occupés a ou aurait été franchi.

Or, il serait bon de remettre en perspective les données sanitaires des cinq années précédentes pour constater que nos services hospitaliers sont toujours saturés à cette période de l’année, tant pour d’autres coronavirus, que pour la grippe ou des problèmes respiratoires. Il est éloquent de rappeler que notre Ministre de la Santé a lui-même participé à la faillite de notre système de santé, en soutenant la politique de réduction des lits en milieu hospitalier, ce qui provoque depuis quelques années déjà, l’engorgement des services de réanimation.

Il serait également bienséant de préciser, dans un souci de transparence et d’honnêteté, que le nombre de patients en réanimation tient aussi compte du nombre de patients en soins intensifs dans le privé. Toutefois, dans le calcul de Monsieur Véran et de son Comité scientifique, on compte les malades du privé, mais pas le nombre de lits; simple tour de passe-passe pour permettre d’augmenter le taux d’occupation en réanimation et de justifier la peur, la panique ou la terreur. Etrange pour des médecins.

Que dire du bilan médical des malades admis en ce début du mois de novembre en réanimation ou en soins intensifs, si ce n’est un profil type d’individus de plus de 65 ans affectés par la comorbidité, victimes de saturation de leur système immunitaire ?

Que dire du nombre réel de victimes du Covid alors que l’on recense comme tels les décès dus aux maladies cardio-vasculaires, aux cancers, aux diabètes ?

Que dire du nombre réel des cas de contaminations, avec un moyen de dépistage peu fiable et trompeur et dont la sensibilité vient d’être augmentée aux dépens de sa déjà faible efficacité ?

Que dire du gouvernement, qui, après avoir constaté il y a six mois la saturation de nos services publics hospitaliers, n’a pas investi pour de nouveaux lits en réanimation ?

Serait-il utile d’expliquer enfin pourquoi aucune autopsie n’a été diligentée ?

Que dire de la médecine libérale, sans moyens d’agir sur la prophylaxie de la maladie, privée d’hydroxychloroquine, d’azithromycine, de macrolides ou de C3G ? En les coupant de leurs moyens, le gouvernement favorise l’orientation des soins vers l’hôpital.

De tout cela il n’est point question. Le gouvernement semble suivre sa propre feuille de route, sur cette deuxième vague et son confinement finalement induit, annoncés depuis le mois d’avril. Alors s’ils savaient, pourquoi ne pas avoir agi ? Une fois de plus ?

Ce choix d’un deuxième confinement n’est pas qu’un révélateur de l’échec de notre politique sanitaire. C’est la confirmation d’une grave et profonde crise institutionnelle et démocratique. L’état d’urgence sanitaire est anticonstitutionnel et illégal. Les élections municipales se sont déroulées hors du cadre constitutionnel. Le Conseil constitutionnel est en sommeil, prié par le gouvernement de se confiner également, les deux chambres sont au ralenti, les textes sont examinés par 10% des députés, l’exécutif détient les pleins pouvoirs, et nos libertés sont à nouveau restreintes comme jamais dans un cadre de paix.

L’état d’urgence sanitaire ne respecte nullement les applications de l’article 16 et de l’article 53 de la Constitution, le rendant anticonstitutionnel et illégal.

Au niveau des institutions, ce qui a aussi changé, dès le début de la crise, c’est que le gouvernement s’est doté d’un Conseil scientifique dont les membres sont majoritairement proches des laboratoires pharmaceutiques. Il existe pourtant des organismes réputés et sans doute plus indépendants comme l’INSERM, le CNRS, les académies de médecine, de pharmacie, ou de vétérinaires… ?

Avec ce nouveau confinement, le gouvernement restreint une nouvelle fois nos libertés. Une nouvelle fois, elles sont bafouées et notamment, la liberté d’aller et venir, la liberté d’entreprendre et la liberté de réunion. Mais d’autres plus individuelles.

La liberté d’aller et venir existe en pratique depuis la fin du servage en France. Elle apparaît dans les textes en 1315, sous Louis X. Le décret royal précisait :

“ Toute créature humaine doit généralement être franche par droit naturel. Le Roi condamne avec énergie le joug et la servitude, qui est tant haineuse et fait qu’en leur vivant, les hommes sont réputés comme morts et, à la fin de leur douloureuse et chétive vie, ils ne peuvent disposer ni ordonner des biens que Dieu leurs a prêtés en ce siècle.”

La liberté d’entreprendre est plus récente. Elle date de la Révolution française. Le décret d’Allarde de 1791 autorise tout citoyen à exercer le métier ou le négoce qu’il veut, pourvu qu’il paie ses impôts. Cela permettait d’échapper à la logique des corporations et de rang social où vous étiez plus ou moins lié par ce que faisaient vos parents avant vous. Il ne semble pas que cette liberté d’entreprendre ait connu jusqu’ici de restriction ou d’interdiction.

Puis la liberté de réunion, comme la liberté d’expression, sont des libertés fondatrices de la IIIème République. Elles marquent le droit d’exprimer son désaccord avec le pouvoir en place. Elles ont permis la création des syndicats par exemple. 

Les médecins sont désormais censurés lorsque leur parole publique ne fait pas écho à la politique dominante, et même sur les réseaux sociaux, la police de la pensée s’installe.

Toutes ces libertés ont été acquises de haute lutte dans les larmes et le sang, souvent par des personnes très jeunes qui ont généreusement donné leur vie pour leurs idéaux afin que d’autres puissent en bénéficier. Et pourtant, nous demeurons contraints dans nos libertés, sans réagir, affichant par là-même notre degré de consentement.

« Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes » écrivait Machiavel dans Le Prince.

Enfin, une liberté très singulière et fondamentale dans le droit naturel humain a été violée, celle de la tendresse, du toucher, de l’attention. Sous la menace de la force en plus d’un décret, il a été interdit aux proches de visiter leurs parents. On a laissé mourir nos anciens, ils ont été cloisonnés, enfermés dans leurs EHPAD, interdits de sortie, de visite, de tendresse, de soins. Un premier pas vers l’euthanasie.

Mais le pire à mes yeux est de ne pas avoir la liberté de mourir. Le deuxième pas vers l’euthanasie a été franchi ; sa légalisation a été effective par le décret du 28 mars, autorisant les médecins à utiliser le Rivotril pour « accompagner » les patients. Ce décret a été abrogé par un nouveau le 10 juillet. Le pays des droits de l’Homme ?

Le mépris du genre humain.

Sous le prétexte de cette épidémie dont seuls les messagers de l’idéologie sanitaire autoritaire martèlent son danger, il convient de nous surveiller, de nous diriger, de nous contraindre à une société de surveillance et de soumission. De là découlent ces délicieuses valeurs nouvelles que sont la délation, la dénonciation, le repli sur soi. Les valeurs humanistes sont menacées d’implosion, on ne parle plus d’éthique, de morale ou de respect, mais d’obéissance, de protocole, de menaces et de peurs. Un véritable cheval de Troie pour notre humanité que ce coronavirus.

Ainsi, se profile la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu. En France, en Europe, mais dans le monde entier, au prétexte d’un virus pas plus offensif qu’un autre COVID saisonnier. Quelle incroyable et phénoménale entreprise de manipulation globale, au service d’une sombre idéologie, qui avant d’accomplir son dessein, distille la peur, la menace et la confusion afin que chacun perde ses repères pour mieux embrasser le pouvoir et l’autorité dans une servitude volontaire et rassurante. Je cite à nouveau Alexis de Tocqueville,

« ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux. »

Cet état d’urgence sanitaire est aussi une catastrophe économique et sociale qui peut déboucher sur une crise économique puis politique majeure.

Au moins 400 000 PME ont dû fermer, soit environ 4 millions de personnes au chômage, sur les 10 ou 12 millions d’indépendants, combien vont pouvoir reprendre une activité ? Combien d’entre nous vont gonfler le nombre déjà exorbitant des personnes vivant en deçà du seuil de pauvreté, qui a été réévalué à 10 millions de personnes en France ? Combien de milliers de personnes vont rejoindre les 5 millions de Français qui ont déjà recours à l’aide alimentaire ? Combien de nos compatriotes vont être délogés, rejoignant la triste cohorte des 900 000 SDF ?

La loi du travail, les acquis sociaux ont déjà été revisités, corrigés, étirés. Avec la crise « sanitaire », tout employé ou salarié, au lieu de réclamer une augmentation ou une amélioration de ses conditions de travail ou de ses droits, va désormais réclamer du travail ou se plier à l’effort national, quelles qu’en soient les conditions. En majorité, il est assigné à résidence en télétravail, dans des conditions pour la plupart, d’inconfort.  Dix points de PIB à rattraper…

Ces événements actuels révèlent que l’on a glissé peu à peu vers une technocratie sanitaire, relayée par une presse qui paraît encore plus docile et inféodée au pouvoir. Ce pouvoir est lui-même de plus en plus gangréné par les conflits d’intérêts, et en particulier par le pouvoir des grands laboratoires, réputés pour leur corruption.

Les scientifiques se font journalistes, sinon politiques, tout comme les journalistes se posent comme experts dans une émulation complice de coercition et de domination. Plus alarmant, les politiques deviennent quant à eux les communicants, souvent malgré eux, des puissances financières qui les soutiennent.

Nos sociétés s’orientent-elles vers ce « biopouvoir » imaginé par Foucault ?

Le philosophe voyait le pouvoir sur les hommes évoluer vers un autoritarisme de la santé. Il observait qu’après le pouvoir sur les âmes, par les ministres de l’Eglise illustré par le troupeau de brebis égarées, c’est sur l’humain que le pouvoir monarchique s’est exercé, avec le pouvoir de donner la mort. Après l’effondrement de la monarchie, il y eut toutes ces dérives autoritaires du 20ème siècle. Légitimées par le dogme visant à transformer l’humanité ou l’humain vers un monde meilleur, elles se sont illustrées dans la prise en charge de la vie, non plus des âmes, mais des hommes.

Avec le biopouvoir, le dogme, c’est la santé ; il s’agit de prendre en charge d’un côté le corps pour le discipliner, et de l’autre la population pour la contrôler. L’élément commun au corps et à la population, c’est la norme. La norme statistique. C’est elle qui fait en sorte que ce biopouvoir s’exerce, de manière rationnelle, à la fois sur un ensemble statistique, c’est-à-dire une collectivité, et sur un individu.

Et ce biopouvoir contrôle tous les mécanismes de la vie de l’individu dans la société : politiques, judiciaires, policiers, économiques, philosophiques.

La question mérite d’être posée. En effet, non seulement des hommes d’affaires, des politiques et des médecins veulent imposer un type de traitement unique, la vaccination, sans passer par les règles démocratiques habituelles grâce à l’état d’urgence, mais de plus, chaque citoyen va devoir s’y soustraire au risque d’une mise au ban social. L’individu risque de perdre non seulement sa liberté, mais surtout sa souveraineté.

Au-delà de cette sombre hypothèse, reprenons toute la terminologie, la sémantique pour ne pas dire la novlangue actuelle, en commençant par celui que nous entendons le plus : le confinement. Étymologiquement, on retrouve dans le confinement, le terme « finis » qui en latin signifie frontière, barrière, limite. Le confinement, outre sa définition médicale brandie par la gouvernance, signifie réclusion, internement.

Enfin, employé au participe, le confiné est dit d’un espace qui manque d’oxygène, d’espace ou de nourriture.

Il est aussi fait mention d’une « distanciation sociale » pour éviter la propagation du virus. Or il ne s’agit que de distanciation physique, mais on nous impose la notion de « social », car en effet, la barrière, la limite, la frontière imposée par ce confinement devient un mur entre nous. Tout contrevenant est sévèrement critiqué, dénoncé et voué aux sanctions administratives. La tendresse est déconseillée, sinon réprimée.

Le port d’un masque est devenu obligatoire bien qu’il ait au préalable été déclaré inutile, et cet artifice est une autre barrière, un autre symbole d’enfermement.

On évoque le traçage des individus, la recherche ou la poursuite des cas contacts, le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine…

Dans le discours ambiant, non seulement les termes sont vidés de leur sens premier, mais il ne s’agit pas de se fier à la vérité, comme le disait si subtilement Sibeth Ndiaye, mais « d’orienter la réalité pour faire accepter notre projet politique aux Français; cela ne relève pas du mensonge, mais de la désinformation positive ». Evidemment !

Michel Onfray le rappelait dans son ouvrage « Théorie de la dictature », en rapprochant notre monde actuel de celui de 1984 :

« On peut citer aussi l’inversion systématique du sens des mots, par exemple, la guerre c’est la paixla haine c’est l’amour… qui reformate complètement les cerveaux ».

Car, conformément au concept de solipsisme, c’est dans le cerveau de chacun que le monde existe, “et que le réel est une construction mentale”.

Si la pensée est donc bien formatée, on ne voit plus que ce à quoi on croit.

Déjà dans « Surveiller et punir », en 1975, Michel Foucault expliquait comment la propagation de la peste avait permis aux Etats d’imposer au XVIIe siècle des mesures coercitives à travers leur pouvoir de normalisation :

« Espace découpé, immobile, figé. Chacun est arrimé à sa place. Et s’il bouge, il y va de sa vie, contagion ou punition […] Le rapport de chacun à sa maladie et à sa mort passe par les instances du pouvoir, l’enregistrement qu’elles en font, les décisions qu’elles prennent […] Derrière les dispositifs disciplinaires, se lit la hantise des contagions, de la peste, des révoltes, des crimes, du vagabondage, des désertions, des gens qui apparaissent et disparaissent, vivent et meurent dans le désordre. »

Et ce qui se passe sous nos yeux, c’est également un exemple parfait des expériences de Milgram. Chacun a tendance, pour se rassurer, à se dépersonnaliser pour embrasser la cause de l’autorité. Qui forcément détient la vérité, qui forcément peut rassurer, qui forcément peut conforter et protéger.

Il est plus rassurant de croire à une illusion qui rassure qu’à une vérité qui dérange. C’est entre autres une question de champs d’information. Pour celui ou celle qui n’a pas l’accès à un champ d’information différent de celui sur lequel il s’est construit, ou celui sur lequel on l’a construit, il y a distorsion, coupure, rejet. C’est en cela qu’il est difficile de faire comprendre à nos concitoyens les véritables contours de ce script.

C’était la triste situation de nombreux pays au XXème siècle, dont on espérait pourtant ne pas reproduire les erreurs à notre époque :

Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez”, disait Hannah Arendt.

Par des techniques de manipulation bien connues de la PNL (programmation neuro-linguistique) comme la double contrainte, l’injonction paradoxale, l’ingénierie sociale, le saupoudrage, le discours ambiant associe manipulation, désinformation, et hypnose conversationnelle. Le piège fonctionne.

La double injonction selon laquelle tout va bien mais en fait cela ne va pas est le pire qui soit pour tomber dans le piège de la peur et l’endoctrinement. C’était le premier stade de l’épidémie, on va quand même au théâtre ou au bureau de vote. A présent c’est l’inverse. Il ne se passe rien, mais on crie alerte. Le parfait système coercitif.

On assiste aussi au système peur/ soulagement, bien connu sous le thème « good cop / bad cop ». Provoquer une crainte, une peur, par une mise en scène avec des dangers existants ou virtuels. Puis « en même temps », le locuteur ou son complice change de ton avec une ouverture possible. Ce n’est pas la peur qui provoque la soumission mais le soulagement. Et le soulagement, c’est la perspective du dépistage, du vaccin. Et en attendant on reste bien chez soi. Confiné. Emprisonné chez soi, en soi. Docile ?

Car nul n’est obligé de s’y soumettre ! C’est l’heure des choix. Pour exister, un manipulateur a besoin d’un manipulé, tout comme un maître d’un esclave. Est esclave celui qui y consent. Allons nous consentir, allez vous consentir à vous soumettre ?

« La vie vaut ce que nous sommes capables de risquer pour elle ». Il n’y a de liberté que par l’acte même de libération : celui qui ne veut pas risquer sa vie risque fort la servitude. Cependant, une fois maître, l’individu devient passif, inactif. C’est son esclave qui travaille, qui s’accomplit. Ainsi le maître devient dépendant du travail de son esclave, il devient l’esclave de son esclave, car c’est en travaillant qu’on atteint la liberté.

Tous les pouvoirs, et de plus en plus ceux de la pensée, sont désormais attribués à la médecine et aux mains de celles et ceux qui la gouvernent, l’orientent. Faut il rappeler que c’est Rockefeller qui a racheté toutes les écoles de médecine aux Etats Unis dans les années 1920, afin d’y dispenser une médecine exclusivement allopathique afin d’écouler les produits chimiques provenant du pétrole, ce qui va constituer la base de la pétrochimie et de l’industrie pharmacologique.

Il ne s’agit pas d’une médecine basée sur l’alimentation, pourtant premier principe d’Hippocrate, ou sur l’herboristerie, la phytothérapie, l’homéopathie, ou sur l’hypnose, la méditation ou la psychologie, la médecine chinoise ou ayurvédique, médecines traditionnelles à l’efficacité démontrée, mais il s’agit bien d’une médecine exclusivement allopathique. Une nouvelle religion qui n’en tolère pas d’autres.

Désormais la santé n’est plus un bien, c’est devenu une valeur. Force est de constater que c’est aussi devenu un diktat.

L’humanité doit accepter d’être soignée malgré elle, selon des codes ou des normes qui lui sont imposés. Une humanité confinée, contrainte, aux droits violés, mais protégée ! Pour appliquer un soi-disant principe de précaution, en réponse à une menace fantôme dont la virtualité ne s’inspire que de prévisions statistiques, que de calculs établis selon des modèles aux principes tronqués ou faussés, des projections qui ont été mises à mal par la réalité sanitaire. Cela n’a pas de sens. Un profond changement est en cours.

Et pour mieux comprendre cette fin de cycle globale, qui appelle à ce bouleversement profond, quelle qu’en soit l’impulsion, faisons un retour en arrière.

2019 était l’année de tous les dangers : risques bancaires  avec de nombreux établissements en déroute, risques sur l’euro, économies au ralenti, manifestations sociales multiples fragilisant les pouvoirs en place. Et surtout, la fin annoncée du dollar, et l’avènement des cryptomonnaies.

La situation bancaire était critique, en particulier en Europe et aux États-Unis. Les milieux financiers craignaient pour la survie de la Deutsche Bank et la Commerzbank en Allemagne, de l’Intesa San Paolo en Italie, ou de la Société Générale en France. Toute faillite aurait déclenché en effet un « Bank run » partout en Europe que seule une fermeture coordonnée de toutes les banques de la zone et l’instauration d’un contrôle des capitaux aux frontières pourraient éviter.

Quand une banque importante fermera, on peut imaginer que toutes les banques de la zone euro fermeront. Que l’on se rassure, pour ces organismes qui constituent le fondement de notre « état », tout a déjà été mis en place légalement par la Directive BRRD européenne et Loi Sapin 2 pour pouvoir « chyprioter » nos comptes sous prétexte de nous protéger…. d’une catastrophe bancaire et économique.

À la situation bancaire critique s’ajoutait le risque de l’éclatement de la zone euro. Depuis les élections italiennes en mars 2019, la probabilité d’une sortie de l’euro de l’Italie s’était considérablement accentuée. En parade, il était prévu de faire tourner la machine à billets, ce qui aurait fait perdre toute valeur à l’euro, et la dépréciation des actifs. Aujourd’hui, certes, on risque d’en arriver au même point… avant le grand saut ?

A ce risque s’ajoutait également celui du système monétaire instauré depuis les accords de Bretton Woods, en 1944, visant à définir les grandes lignes du système économique et financier mondial, menacé par la nouvelle monnaie chinoise.

Un éclatement du système monétaire sous la pression d’une nouvelle monnaie chinoise. La Chine a créé une nouvelle monnaie basée et convertible en or. Or l’avantage des US de posséder la monnaie mondiale est que cela lui a permis de financer ses déficits. Le modèle économique américain repose en effet sur un abus chronique de dette qui est achetée par les pays qui cherchent à recycler leurs dollars. La Chine a lancé une alternative monétaire au dollar,  et de ce fait n’a plus besoin d’acheter des obligations américaines. Bras de fer pour le leadership !

La guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis était aussi particulièrement lancée, à coup de taxes, de protectionnisme et d’intimidations diplomatiques.

Enfin, le risque de crise sociale inquiétante pour les pouvoirs, tant en France que dans le monde, représentée par des mouvements populaires spontanés (Gilets jaunes…) comme par des manifestations de corporations ou de métiers, tous debout contre des réformes jugées inadaptées, injustes ou forcées au nom du marché et de ses lois.

Ainsi, ce choc anthropologique dont parlent à l’unisson les hommes politiques du monde entier que représente le Covid est une véritable aubaine.

Ce virus de pangolin serait-il à ce point opportuniste ?

Afin d’entrevoir ce que nous réserve l’avenir proche, faut-il s’inspirer des travaux du Forum Economique de Davos qui prône, comme le FMI, « The Great Reset », faut-il se tourner vers les principes collectivistes et transhumanistes de Bacon ou de Moore martelés par Attali et Minc ? S’inspirer de la Chine capitaliste autoritaire ?

Nous sommes à l’heure des choix.

Avec ce film, c’est un engagement pour la vie, le respect du vivant, mes enfants, parents, amis. Hymne à la vie, à l’amour, à l’âme humaine.

Voir aussi le debriefing de Christophe Cossé

https://www.youtube.com/embed/-ZSJ27H1YoU

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir


Les Sources du film

HOLD UP + (sources)

00 : 02 : 28

L’Homme sera bientôt un être modifié par la technologie

Vidéo de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

00 : 08 : 30

Les prophéties de Neil Ferguson pour confiner

https://www.liberation.fr/checknews/2020/06/03/les-previsions-de-ferguson-qui-ont-conduit-de-nombreux-pays-a-se-confiner-etaient-elles-fantaisistes_1790061/

Les recommandations de l’OMS quant à l’utilisation des masques

Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 : orientations provisoires, OMS.

Janvier 2020 : Microsoft Word – Advice on the use of masks 2020-01-29_fr_14FEB2020_marissa.docx (who.int)

Avril 2020 : WHO-2019-nCoV-IPC_Masks-2020.3-fre.pdf

Juin 2020 : WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf

00 : 12 : 27

L’inexactitude des chiffres diffusés – Hypoxie heureuse :

Article Science et Avenir, Les “happy hypoxics”, ces patients du Covid-19 qui ne se rendent pas compte qu’ils manquent d’oxygène (07/05/20)

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/les-happy-hypoxics-ces-patients-du-covid-19-qui-ne-se-rendent-pas-compte-qu-ils-manquent-d-oxygene_144159

00 : 13 : 13

Évolution du nombre de morts entre Mars et Septembre en 2018, 2019 et 2020.

Courbe INSEE :

Évolution du nombre de décès depuis le 1ᵉʳ septembre 2020 − Nombre de décès quotidiens | Insee

00 : 13 : 33

Nombre total de morts de la Covid-19 dans le monde

Covid-19 Dashboard by the Center for Systems Science and Engineering (CSSE)

COVID-19 Map – Johns Hopkins Coronavirus Resource Center (jhu.edu)

00 : 13 : 46

Nombre total de tests effectués dans différents pays entre mars et octobre 2020

Graphique Total Covid-19 tests: Total COVID-19 tests (ourworldindata.org)

00 : 13 : 58

Explication des cycles de dépistage

https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289

https://www.industrie-techno.com/article/baisser-le-seuil-de-detection-des-tests-rt-pcr-du-covid-19-pour-mieux-depister-les-individus-contagieux.61734

00 : 15 : 57

Les faux positifs

Article de Paris Match : Covid-19 : les tests PCR contestés (24/11/20)

Covid-19 : les tests PCR contestés (parismatch.com)

00 : 16 : 35

Le gouvernement tente de justifier le confinement

Article du Parisien : Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie (10/03/20)

Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie – Le Parisien

00 : 16 : 54

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20) https://www.dailymotion.com/video/x7vy2q8

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Article The Epoch Times : Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? (06/11/20, Mis à jour le 07/11/20)

[Vidéo] Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? | Epoch Times (theepochtimes.com)

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Les camps au Canada => Site de Randy Hillier:

https://www.randyhilliermpp.com/20201007_question

Dépistage massif à Wuhan

L’article du test sur les asymptomatiques à Wuhan ; https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w

00 : 20 : 29

Les mesures sanitaires contraignantes dans les écoles

Une du Canard Enchainé n°5207, “Un masque, une frousse et des crayons !” du 26 août 2020

Acheter un numéro du Canard enchainé à l’unité (lecanardenchaine.fr)

00 : 30 : 19

Allocution du Président de la République, 16 mars 2020

Site de l’Elysée : Adresse aux Français, 16 mars 2020 | Élysée (elysee.fr)

00 : 35 : 43

L’épidémie va durer

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin du 09 octobre 2020

Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 09/10 (bfmtv.com)

00 : 36 : 44

Comparatifs des morts par épidémie

Graphique “Comparatifs des morts dans le monde chaque année”

https://www.worldometers.info/fr/population-mondiale/

00 : 37 : 04

Les résultats de l’étude des sénateurs sur la gestion de la crise sanitaire H1N1

Rapport du Sénat du 26 juillet 2017

r16-6851.pdf (senat.fr)

00 : 37 : 44

Allocution d’Olivier Véran

Point de situation coronavirus – (28/02/20)

Point de situation coronavirus – 28 février 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 37 : 50

Interview de Sibeth Ndiaye

Le Grand Entretien, France Inter (04/03/2020)

Sibeth Ndiaye : “Au stade 3 de l’épidémie de coronavirus, on ne va pas arrêter la vie de la France” – YouTube

00 : 38 : 08

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (18/03/20)

Point de situation coronavirus | mercredi 18 mars 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 15

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (03/04/20)

Point de situation du vendredi 3 avril – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 22

Déclaration d’Olivier Véran à l’Assemblée Nationale

Questions au gouvernement (07/04/20)

Olivier Véran: “Il n’y a aucune décision de recommandation du port du masque à l’heure actuelle” pour la population (bfmtv.com)

00 : 38 : 31

Déclaration de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (22/04/20)

Jérôme Salomon, point de situation coronavirus du mercredi 22 avril – YouTube

00 : 38 : 36

Déclaration de Edouard Philippe à l’Assemblée Nationale

Compte rendu intégral de la séance du 28 avril sur la stratégie nationale du plan de déconfinement (28/04/20)

Assemblée nationale ~ Séance du mardi 28 avril 2020 (assemblee-nationale.fr)

00 : 38 : 38

Allocution du Président de la République, (14/07/20)

Site de l’Elysée : 14 juillet : l’interview du Président Emmanuel Macron | Élysée (elysee.fr)

00 : 41 : 17

Audition d’Olivier Véran au Sénat

Covid-19 : l’audition d’Olivier Véran, ministre de la Santé, devant la commission d’enquête du Sénat – YouTube

00 : 42 : 00

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le figaro, Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (04/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (lefigaro.fr)

00 : 42 : 05

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Figaro, Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (13/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (lefigaro.fr)

00 : 42 : 09

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis (01/04/20)

Direct – Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 13

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Les Echos, Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars

(03/04/20)

Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars | Les Echos

00 : 42 : 17

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi

(25/04/20)

Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 22

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis

(20/04/20)

Direct – Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis – Libération

(liberation.fr)

00 : 42 : 27

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Monde, Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe (18/04/20)

Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe

00 : 42 : 32

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Parisien, Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total (19/04/20)

Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total – Le Parisien

00 : 43 : 22

Les journalistes sont perdus sur les nombre de morts

Article de Libération, Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien (22/08/20)

Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien

00 : 43 : 26

Où sont les morts de la grippe ?

Article de Libération, La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers ? (12/03/20)

La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers? – Libération (liberation.fr)

00 : 44 : 11

La Covid fait flamber le prix des consultations

Site de l’Assurance maladie, 27 novembre 2020

Les médecins au cœur du circuit de « contact tracing » des patients Covid-19 | ameli.fr | Médecin

00 : 46 : 05

Le Pr Perronne alerte sur les chiffres apocalyptiques

Livre du Professeur Christian Perronne – Y’a t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? – Edition Albin Michel, 2020

00 : 47 : 56

Le masque de papier

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Le masque de papier”, (10/09/ 2009)

00 : 49 : 16

Site d’analyse de tous les articles sur tous les traitements

Site c19study.com

00 : 52 : 02

La chloroquine est réservée aux spécialistes

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire – Légifrance (legifrance.gouv.fr)

00 : 52 : 33

L’utilisation de la chloroquine est réservée pour les cas graves

Une du Canard enchaîné, N° 5187, Un nouveau slogan : “Pestez chez vous!” – (08/04/20)

00 : 54 : 59

Le fonctionnement de l’hydroxy chloroquine

Audition d’Agnès Buzyn à l’Assemblée Nationale

[INTEGRAL] Coronavirus : Agnès Buzyn devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale – YouTube

00 : 55 : 56

La sonnerie de clairon du gouvernement sur la dangerosité de l’hydroxy chloroquine

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

00 : 56 : 06

La balance bénéfices/risques de la chloroquine

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct du 28 mai 2020

Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 28/05 (bfmtv.com)

00 : 58 : 53

Karine Lacombe a été payée par des laboratoires

Base de données euros for docs

Vision par Professionnel bénéficiaire | Euros For Docs

01 : 14 : 32

Le remdesivir est réservé aux soins palliatifs

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

01 : 21 : 24

La CIA avait prévue une future pandémie mondiale

Livre d’Alexandre Adler – Le rapport de la CIA, comment sera le monde en 2020 ? – Edition Robert Laffont – 2005

01 : 22 : 27

La fondation Rockefeller, spécialiste des scénarios apocalyptique

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

01 : 25 : 37

Attali affirme qu’Emmanuel Macron pourra être président un jour

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali, BFM TV, (27/08/2014)

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali – YouTube

01 : 25 : 55

Attali tire les leçons de la crise de H1N1

L’express – Conversation avec Jacques Attali

Changer, par précaution | Conversation avec Jacques Attali – Lexpress

01 : 30 : 16

Gilead rafle la mise sur le remdesivir

Journal Les Echos, Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead (07/10/20)

Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead | Les Echos

01 : 30 : 45

Gilead se voit valorisé après une fusion

Article de Stratégie Bourse du 09/06/20

AstraZeneca envisage de fusionner avec Gilead (strategie-bourse.com)

01 : 30 : 54

Le business plan des laboratoires

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire”, 11 octobre 2005

Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire – Les Guignols – CANAL+ – YouTube

01 : 33 : 12

L’étude Discovery annulée

Article Le Monde, Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne, (07/05/20)

Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne (lemonde.fr)

01 : 33 : 14

L’étude Discovery annulée

Article L’Humanité : Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne (04/05/20)

Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne | L’Humanité (humanite.fr)

01 : 33 : 20

Barrage à l’hydroxychloroquine

Gautret et al. (2020) Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID‐19: results of an open‐label non‐randomized clinical trial. International Journal of Antimicrobial Agents – In Press 17 March 2020 – DOI : 10.1016/j.ijantimicag.2020.105949

Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID-19 – IHU (mediterranee-infection.com)

01 : 34 : 11

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20)

01 : 36 : 02

Gilead vend pour 220 millions d’euros de doses à l’Union Européenne

Article de Marianne : Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead, (05/12/20)

Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead (marianne.net)

01 : 36 : 06

Le remdésivir jugé inefficace et dangereux

Article de Industrie Pharma, Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (20/11/20)

Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (industriepharma.fr)

01 : 36 : 20

Gilead voit son chiffre d’affaire trimestriel augmenter de 17%

Article de The New England Journal of Medicine, Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host (03/12/20)

Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host | NEJM

01 : 37 : 21

Martin Blachier, homme d’affaire et épidémiologiste

Site Accueil | Monsite (ph-expertise.com)

01 : 39 : 52

Fauci, chercheur sur les transmission des virus inter-espèces

NIH Director’s Blog, President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola, (02/12/14)

President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola – NIH Director’s Blog

01 : 40 : 18

Les travaux de Fachi jugés dangereux

Newsweek : Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research, (28/04/20)

Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research (newsweek.com)

01 : 41 : 29

Un virus échappé d’un laboratoire américain

Article de Military.com, CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension (24/11/19)

CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension | Military.com

01 : 41 : 39

Un laboratoire fermé après qu’un virus se soit échappé

Article de Mediapart,Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! (05/05/20)

Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! | Le Club de Mediapart

01 : 45 : 21

Le nombre de morts par l’AFP

Article de Courrier Picard, Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation, (26/10/20)

Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation (courrier-picard.fr)

01 : 45 : 46

Fabrice Fries élu à la tête de l’AFP

Article de Libération, Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché, (12/04/18)

Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché – Libération (liberation.fr)

01 : 45 : 57

Montant total de la dotation de Le Monde en 2019 et 2020

Fondation Bill et Melinda Gates

Le Monde – Bill & Melinda Gates Foundation

01 : 46 : 14

L’Etat débloque une grosse enveloppe pour les médias

Article Les Echos, Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias, (05/07/20)

Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias | Les Echos

01 : 47 : 23

Qui dirige les médias ?

Schéma “Médias, Qui possède quoi ?”

Médias français, qui possède quoi ? (Le Monde diplomatique, décembre 2020) (monde-diplomatique.fr)

01 : 49 : 12

L’origine probable du virus

Document du CNRS : Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS (11/02/2020)

Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS | CNRS

01 : 49 : 16

L’origine probable du virus

Science Direct, The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade, (Avril 2020)

The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade – ScienceDirect

01 : 49 : 49

Le virus est d’origine naturelle selon Zheng Li Shi

Nature, A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin (17/09/20) A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin | Nature

01 : 50 : 38

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Article MaxiSciences.com, Une virologue chinoise dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué en laboratoire (18/09/20)

Coronavirus : la virologue chinoise Li-Meng Yan dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué dans un laboratoire à Wuhan (maxisciences.com)

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Science, Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2, (13/11/20)

Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2 | Science (sciencemag.org)

01 : 54 : 39

Disparition de tubes contenant le virus du SRAS

Article Le Monde, La mystérieuse disparition de 2349 tubes contenant du virus SRAS, (15/04/14)

La mystérieuse disparition de 2 349 tubes contenant du virus SRAS (lemonde.fr)

01 : 54 : 44

Virus transporté clandestinement

Article Le Parisien, Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile, (23/03/17)

Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile – Le Parisien

01 : 54 : 49

Intrusion dans un laboratoire P4

Article 20 Minutes, Lyon : un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4, (22/03/16)

Lyon : Un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4 (20minutes.fr)

01 : 54 : 58

La piste du labo reste l’origine la plus probable

Article du Daily Mail : China lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official, amid bombshell claims Wuhan scientist has turned whistleblower (02/01/21)

Lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official | Daily Mail Online

01 : 55 : 02

Une de Libération du 13 novembre 2020

Article de libération : Hold-Up, le virus du complot (13/11/20)

“Hold-up” : Le virus du complot. 13 novembre 2020 – Liberation

01 : 55 : 12

Une étude indienne suggère que le virus pourrait venir d’un labo

bioRxiv, Discovery of unique insertions in Covid-19 : structural and functionnal implications, Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag | bioRxiv

01 : 55 : 43

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Monde, Non, le Covid-19 n’est pas une “combinaison du SRAS et du sida”. (09/03/20)

Non, le Covid-19 n’est pas une « combinaison du SRAS et du sida » (lemonde.fr)

01 : 55 : 53

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Parisien, Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable (17/04/20)

Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable – Le Parisien

01 : 57 : 03

Une nouvelle méthode pour modifier l’ARN

Science et Avenir, Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13, (25/10/17)

Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13 – Sciences et Avenir

01 : 57 : 14

Les nanotechnologies vont permettre de “bricoler le vivant”

Conférence de Laurent Alexandre, La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI,

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 05 : 16

Le Forum économique de Davos

World Economic forum

How US foreign policy will shape the ‘Great Reset’ | World Economic Forum (weforum.org)

02 : 06 : 26

Attali soutient que l’on se dirige vers un gouvernement mondial

Arrêt sur Images – 2010

“Il faudra un gouvernement mondial. Après, ou à la place de la guerre ?” [Avent2020] – Par La rédaction | Arrêt sur images (arretsurimages.net)

02 : 06 : 39

Le Brevet nanoparticules et cryptomonnaie

Brevet Microsoft (22/05/20)

Un message pour la Journée Internationale de la Diversité Biologique, le 22 mai 2020 – Navdanya international

02 : 08 : 22

La vérité sur la 5G

Publicité Free (2020)

Free Mobile – 5G : La Vérité – YouTube

02 : 11 : 18

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

02 : 11 : 29

Les maladies graves découlant du Covid 19 seraient causées par des cellules colonisatrices

ncbi, Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (01/10/2008)

Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (nih.gov)

02 : 17 : 37

Laurent Alexandre – Global Postiv Forum

Global Positive Forum – Laurent Alexandre – French – YouTube

02 : 19 : 05

Présentation du PDG de Twitter

Site de Berggruen

You searched for – Berggruen Institute

02 : 19 : 27

Envol du cours boursier de Square

Cours boursier de Square

Square, Inc. Class A Common Stock (SQ) Stock Quotes | Nasdaq

02 : 20 : 03

Les personnalités appartenant à l’Institut Berggruen

Site du Bergguren Institute

The Transformations of the Human – Our Work – Berggruen Institute

02 : 21 : 16

Les dieux et les inutiles

Conférence de Laurent Alexandre aux élèves de Polytechnique (12/02/19)

Table ronde de l’X sur le Transhumanisme – YouTube

02 : 27 :00

Recherche des déterminants génétiques de l’intelligence

Conférence de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 28 : 21

Ce dont j’ai le plus peur, c’est la peur”

André Comte-Sponville sur RTL (8/09/20)

Coronavirus : “Je n’ai pas peur de la Covid-19”, assure le philosophe André Comte-Sponville – YouTube

02 : 36 : 22

Le pire bilan en France en un jour ?

Article La dépêche – Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie (27/10/20)

Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie – ladepeche.fr

02 : 36 : 36

Rectificatif de l’information du 27/10/20

Article France Info – RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (27/10/20)

RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (francetvinfo.fr)

02 : 36 : 42

Spot de sensibilisation aux gestes barrières

Spot de sensibilisation du gouvernement

Le spot “choc” du gouvernement pour le respect des gestes barrières – Vidéo Dailymotion

02 : 38 : 24

L’exploit de Florian Gomet

Article L’Equipe – Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte (27/09/20)

Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte – L’Équipe (lequipe.fr)

02 : 45 : 42

Des vaccins prêts en 12 à 18 mois

Emission BFM TV – Good moring Business – Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – (21/12/20)

Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – 21/12 (bfmtv.com)

02 : 46 : 19

Les vaccins vont être testés sur toute la population européenne

Commission Européenne – Roadmap of vaccination (03/2019)

2019-2022_roadmap_en.pdf (europa.eu)

02 : 46 : 45

Investissement massif dans une entreprise de fabrication de bouteilles de vaccins

Les Echos – Schott, le passeur du vaccin anti-Covid (04/12/20)

Schott, le passeur du vaccin anti-Covid | Les Echos

02 : 47 : 11

Aucun traitement n’est utile contre le virus ?

Site de l’ANSM

L’ANSM mobilisée dans la mise à disposition des vaccins COVID-19 – ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (sante.fr)

02 : 47 : 33

Interdiction du Remdesivir

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19

(20/11/20)

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19 (who.int)




L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves. MàJ : vidéo

[Source : via https://numidia-liberum.blogspot.com via reseauinternational.net]

[Mise à jour : vidéo en traduction française de Michael Yeadon sur le Pass sanitaire, ajoutée en fin d’article.]

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics) un groupe de plus de 160 experts médicaux indépendants dans le monde – ont lancé un avertissement sévère aux agences de santé publique au sujet des vaccins expérimentaux contre le COVID-19, qualifiant ces vaccins de « inutiles, inefficaces et dangereux » et susceptibles de conduire à « décès en masse prévisibles », selon un rapport de Lifesitenews.

Le groupe Doctors for COVID-19 Ethics, cofondé par l’ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, compte plus de 160 experts médicaux du monde entier parmi ses signataires. Parmi les autres membres fondateurs figurent le professeur Sucharit Bhakdi MD, ancien président de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence, en Allemagne, et le Dr Wolfgang Wodarg, ancien chef du comité de la santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Les médecins ont écrit plusieurs lettres à l’Agence européenne des médicaments sur les problèmes du vaccin COVID-19 et sont confrontés à la censure… Le groupe peut également être trouvé sur Twitter

Dans leur lettre du début du mois, Doctors for COVID-19 Ethics a souligné les graves implications sanitaires des vaccins pour les personnes en bonne santé et pour les malades, affirmant que les vaccins « ne sont pas sûrs, ni pour les receveurs, ni pour ceux qui les utilisent ou autorisent leur utilisation ».

Ils ont souligné les risques de « perturbations létales et non létales de la coagulation sanguine, y compris les troubles hémorragiques, la thrombose cérébrale, les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques », « une aggravation des maladies dépendant des anticorps », des réactions auto-immunes et les effets potentiels des « impuretés vaccinales dues à des normes de fabrication précipitées et non réglementées ».

« Contrairement aux affirmations selon lesquelles les troubles sanguins post-vaccination sont « rares », de nombreux effets secondaires courants du vaccin (maux de tête, nausées, vomissements et « éruptions cutanées » de type hématome sur le corps) peuvent indiquer une thrombose et d’autres anomalies graves », ont déclaré les experts.

« Les événements de coagulation qui reçoivent actuellement l’attention des médias ne sont probablement que la « pointe d’un énorme iceberg ».

« En raison de l’amorçage immunologique, les risques de coagulation, de saignement et d’autres événements indésirables peuvent augmenter avec chaque revaccination et chaque exposition au coronavirus intermédiaire« , a ajouté Doctors for COVID-19 Ethics. « Au fil du temps, que ce soit des mois ou des années, cela rend à la fois la vaccination et les coronavirus dangereux pour les groupes d’âge jeunes et en bonne santé, pour lesquels la non vaccination COVID-19 ne pose aucun risque substantiel », ont-ils soutenu.

« Tout comme le tabagisme pourrait causer le cancer du poumon sur la base des premiers principes, tous les vaccins à base de gènes peuvent provoquer des troubles de la coagulation sanguine et de la coagulation, en fonction de leurs mécanismes moléculaires d’action », ont-ils déclaré. « Dans le même ordre d’idées, des maladies de ce type ont été observées dans tous les groupes d’âge, entraînant des suspensions temporaires de vaccins dans le monde ».

« Depuis le déploiement du vaccin, l’incidence du COVID-19 a augmenté dans de nombreuses régions où les taux de vaccination sont élevés. En outre, plusieurs séries de décès par COVID-19 se sont produites peu de temps après le début des vaccinations dans les résidences pour personnes âgées », ont déclaré les médecins. « Ces cas peuvent être dus non seulement à une amélioration dépendante des anticorps, mais aussi à un effet immunosuppresseur général des vaccins, ce qui est suggéré par la fréquence accrue de l’herpès zoster chez certains patients ».

« Quel que soit le mécanisme exact responsable de ces décès signalés, nous devons nous attendre à ce que les vaccins augmentent plutôt que de diminuer la létalité du COVID-19 », ont-ils poursuivi….

« Les vaccins sont expérimentaux par définition. Ils resteront dans les essais de phase 3 jusqu’en 2023. Les destinataires sont des sujets humains ayant droit au consentement éclairé libre en vertu de Nuremberg et d’autres protections, y compris la résolution 2361 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe et les conditions d’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA ».

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics ) ont particulièrement mis en garde contre les vaccins, comme ceux produits par Pfizer et Moderna, qui reposent sur la nouvelle méthode de vaccination à l’ARNm.

« L’expérience initiale pourrait suggérer que les vaccins dérivés d’adénovirus (AstraZeneca/Johnson & Johnson) provoquent des effets indésirables plus graves que les vaccins à ARNm (Pfizer/Moderna). Cependant, lors d’injections répétées, le premier induira bientôt des anticorps contre les protéines du vecteur adénovirus », selon les médecins. « Ces anticorps neutraliseront ensuite la plupart des particules virales du vaccin et provoqueront leur élimination avant qu’elles ne puissent infecter des cellules, limitant ainsi l’intensité des lésions tissulaires ».

« En revanche, dans les vaccins à ARNm, il n’y a pas d’antigène protéique à reconnaître par les anticorps. Ainsi, quel que soit le degré d’immunité existantl’ARNm du vaccin atteindra sa cible – les cellules du corps », ont-ils déclaré. « Ceux-ci exprimeront alors la protéine de pointe (spike) et subiront par la suite l’assaut complet du système immunitaire ».

« Avec les vaccins à ARNm, il est pratiquement garanti que le risque d’événements indésirables graves augmentera à chaque injection successive ».

« Leur préférence apparente par rapport aux premiers [les vaccins à dérivés d’adénovirus (AstraZeneca/Johnson & Johnson)] est préoccupante au plus haut degré ».

« Dans la plupart des pays, la plupart des gens seront désormais immunisés contre le SRAS-CoV-2 », ont également noté les experts, soulignant que les personnes atteintes de coronavirus ont un taux de survie estimé à 99,8% dans le monde. « Quelle que soit la gravité de la maladie, ils disposeront désormais d’une immunité suffisante pour être protégés d’une maladie grave en cas de nouvelle exposition. Cette majorité de la population ne tirera AUCUN bénéfice de la vaccination ».

Pour les personnes à risque d’infection sévère, le virus reste traitable, ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19. « Une convergence de preuves indique qu’un traitement précoce avec des médicaments existants réduit l’hospitalisation et la mortalité d’environ 85% et 75%, respectivement », ont-ils expliqué, soulignant « de nombreux médicaments anti-inflammatoires, antiviraux et anticoagulants éprouvés, ainsi que des médicaments monoclonaux anticorps, zinc et vitamines C et D ».

« L’immunité naturelle des cellules T offre une protection plus forte et plus complète contre toutes les souches de SRAS-CoV-2 que les vaccins, car l’immunité naturellement amorcée reconnaît plusieurs épitopes viraux et signaux costimulateurs, et pas simplement une seule protéine (spike) », ont-ils poursuivi.

La lettre des médecins a également démenti les affirmations selon lesquelles la vaccination est nécessaire pour empêcher la propagation du virus par une infection asymptomatique.

« Les vaccins ont été présentés comme un moyen de prévenir une infection asymptomatique et, par extension, une “transmission asymptomatique” », ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19.

« Cependant, la « transmission asymptomatique » est un artefact de procédures et d’interprétations de test PCR invalides et peu fiables, conduisant à des taux élevés de faux positifs. Les preuves indiquent que les personnes asymptomatiques positives à la PCR sont des faux positifs en bonne santé, et non des porteurs ».

Le groupe a cité une étude chinoise portant sur près de 10 millions de personnes, qui a révélé que les porteurs asymptomatiques de COVID ne transmettent pratiquement jamais le virus. « En revanche, les articles cités par le Center for Disease Control pour justifier les allégations de transmission asymptomatique sont basés sur des modèles hypothétiques et non sur des études empiriques », ont-ils déclaré. « En clair, les vaccins ne sont pas nécessaires pour prévenir une maladie grave ».

Les experts ont également exprimé des inquiétudes quant à l’efficacité des vaccins COVID-19, déclarant qu’« aucune donnée longitudinale à moyen ou long terme » ne prouve l’efficacité du vaccin. Ils ont critiqué les essais de vaccin contre le coronavirus, observant que l’Agence européenne des médicaments « a noté du vaccin Comirnaty (Pfizer mRNA) que les cas graves de COVID-19 « étaient rares dans l’étude et que des conclusions statistiquement certaines ne peuvent pas en être tirées ».

« Le calcul bénéfice-risque est donc clair, les vaccins expérimentaux sont inutiles, inefficaces et dangereux ». « Urger la vaccination pour « protéger les autres » n’a donc aucun fondement en fait », conclut leur lettre, offrant un avertissement qui donne à réfléchir à ceux qui poussent les vaccins.

« Les acteurs autorisant, contraignant ou administrant une vaccination expérimentale contre le COVID-19 exposent les populations et les patients à des risques médicaux graves, inutiles et injustifiés », ont-ils déclaré. « Les fabricants de vaccins se sont exonérés de toute responsabilité légale pour les événements indésirables pour une raison. En cas de décès et de dommages dus aux vaccins, la responsabilité incombera aux personnes responsables de l’autorisation, de l’administration et/ou de la coercition des vaccins via des passeports vaccinaux, dont aucun ne peut être justifié par une analyse risques-avantages sobre et fondée sur des preuves ».

Le Dr Michael Yeadon est devenu un problème pour la mafia médicale dominante qui continue d’insister sur le fait que la « pandémie » est réelle – et que les vaccins expérimentaux sont non seulement « nécessaires » mais aussi « sûrs et efficaces ».

Les références de Yeadon ne peuvent être remises en question – et son expérience interne avec Pfizer le place dans une position pratiquement inattaquable pour être une voix faisant autorité sur ce sujet.

Si les médias n’étaient pas complices de ce programme de dépeuplement de masse en cours, les terribles commentaires du Dr Yeadon feraient la une des journaux 24h/24 et 7j/7 – au lieu de cela, ses articles sont effacés même des archives Internet, ce démontre encore plus leur importance.

Le Dr Yeadon a précédemment souligné qu’il n’y a pas d’explication rationnelle quant à la raison pour laquelle les autorités « préféreraient » les vaccins à ARNm dangereux et problématiques aux vaccins à base d’andénovirus – à moins que l’intention de leurs promoteurs ne soit de tuer et de mutiler autant de personnes que possible, puis être en mesure de nier que le vaccin avait quelque chose à voir avec les décès.

Le fait que Yeadon pense que les vaccins contre l’adénovirus sont moins susceptibles de tuer autant de personnes que les vaccins à ARNm de Moderna et Pfizer explique en grande partie pourquoi les vaccins contre l’adénovirus AstraZeneca et Johnson & Johnson ont été retirés dans de nombreux pays en raison de « problèmes de sécurité ».

En retirant ces vaccins, le public aura bien sûr le sentiment qu’il peut « faire confiance » à son gouvernement et à sa responsabilité de le protéger – alors qu’en fait, ces vaccins sont retirés afin que le public soit obligé de prendre les vaccins ARNm bien plus dangereux, et dont les effets secondaires dévastateurs sont bien plus durables et n’apparaîtront pas avant la soi-disant troisième vague de la « pandémie ».

Il est également intéressant de noter que ce rapport confirme quelque chose d’autre que nous avons rapporté auparavant, à savoir que, grâce à notre réponse immunitaire naturelle au coronavirus, la plupart d’entre nous développons une immunité à long terme des cellules T sans le vaccin.

Malgré ce fait, personne ne prend la peine d’obtenir un simple test d’anticorps pour savoir s’il est déjà immunisé contre les lymphocytes T contre le coronavirus avant d’obtenir un vaccin dont il n’a même pas besoin – et pourrait le tuer.

Pour découvrir à quel point les intentions sont corrompues derrière les « recommandations » vaccinales et les passeports obligatoires, voyons s’ils sont prêts à accepter des tests positifs d’anticorps au lieu de la vaccination – étant donné que l’immunité naturelle est plus efficace que la vaccination.


source anglaise : https://christiansfortruth.com







Hier était un jour « comme les autres »… hier tu t’es « vacciné ». Mise à jour : vidéo

Par Alain Tortosa

[Texte sous forme vidéo, en fin d’article.]

Tu t’es fait injecter :

  • Un « vaccin » avec un « rapport bénéfice vs risque positif »… comme les autres.
  • Un « vaccin » « testé »… comme les autres.
  • Un « vaccin » « sans danger »… comme les autres.
  • Un « vaccin » « efficace »… comme les autres.
  • Un « vaccin » « solidaire »… comme les autres.
  • Un « vaccin » qui « permettra de sortir la crise »… comme les autres.

… Un « vaccin » qui « permettra de retrouver les libertés »… oui, mais avec un passeport !

Tu as fait confiance :

  • Aux laboratoires pharmaceutiques qui, tu le reconnais, sont là pour faire de l’argent… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres.
  • À l’OMS qui, tu le reconnais, est financée majoritairement par Bill Gates et dans les mains des lobbies… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres.
  • Aux agences de santé qui, tu le reconnais, sont chapeautées par des lobbies… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres.
  • Aux politiques qui, tu le reconnais, sont corrompus… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres.
  • Aux médecins médiatiques qui, tu le reconnais, ont des conflits d’intérêts… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres…

Ta vaccination est pour toi un non-événement, comme si tu m’avais dit que tu t’étais lavé les dents hier soir ou que tu avais fait la vidange de ta voiture.

Tu peux même croire que c’est ton choix, TA décision…

  • Alors même que l’on te confine depuis des mois.
  • Alors même que tu subis une pression sociale et un chantage à la liberté depuis des mois,
  • alors même que tu es maintenu dans la peur et l’incertitude depuis des mois.
  • Alors même que l’on te ment sur la dangerosité de la maladie, le nombre de cas, les hospitalisations ou les décès.
  • Alors même que l’on te dit qu’il n’y a pas de traitements contre cette maladie.
  • Alors même que tu ne disposes que d’informations positives sur ces « vaccins ».
  • Alors même que l’on te répète jour après jour que le « vaccin » est l’UNIQUE voie.

Et tu appelles cela du « libre arbitre » ?

Mon monde n’est pas le même…

Hier était un jour noir, tu as demandé que l’on t’injecte un « poison ».

  • Un « poison » au rapport bénéfice vs risque obligatoirement négatif, car tu es en bonne santé, que ton risque de mourir du Covid est nul, que ton risque de faire une forme grave est quasi nul et donc que le rapport bénéfice risque ne pouvait être QUE défavorable.
  • Un « poison » mis au point en quelques semaines et testé sur l’homme au mois de mai 2020 ! Un « poison » qui a bénéficié de dérogations et fait sauter des sécurités élémentaires pour bénéficier d’une autorisation de mise sur le marché provisoire. Un « poison » qui est encore en phase III, phase qui dure d’habitude des années avant la commercialisation dont tu es le cobaye, un simple sujet d’expérimentation.
  • Un « poison » aux effets secondaires immédiats inédits dans l’histoire de la vaccination. Seulement 1 % des effets secondaires seraient remontés. Un « poison » qui tue, de façon statistiquement significative des personnes jeunes et en bonne santé alors même qu’elles ne mourraient pas du Covid. Un « poison » expérimental, jamais testé sur des personnes en bonne santé et dont la technologie était jusque là réservée à des malades en phase terminale. Un « poison » dont la protéine Spike artificielle pourrait (peut) entraîner des problèmes de fausses couches ou de stérilité. Un « poison » dont on ignore totalement les effets à long terme pour soi-même ou pour sa descendance. Un « poison » qui favorise les variants (Afrique du Sud, Brésil, Inde, Royaume-Uni…). Un « poison » qui pourrait contaminer, voir même « vacciner » les personnes non vaccinées.
  • Un « poison » dont l’efficacité théorique officielle se borne à empêcher de faire des formes graves pour des personnes en bonne santé qui n’en font pas. Un « poison » qui ne prétend pas diminuer la mortalité au regard des données. Un « poison » qui pourrait engendrer des formes plus graves de maladies chez les personnes vaccinées du fait des anticorps facilitants, apanage des coronavirus.
  • Un « poison » qui ne bloque pas l’épidémie. Un « poison » qui n’empêche pas de tomber malade et le nombre de malades vaccinés qui ne fait que croître. Un « poison » qui ne protège pas son entourage et n’empêche pas de propager le virus, comme cela a été confirmé par les autorités et le Conseil d’État. Un « poison » qui n’a RIEN de « solidaire ». qui
  • Un « poison » qui n’empêchera pas de sortir de la crise. L’épidémie explose dans des pays qui n’avaient pas connu de première vague comme par exemple les Seychelles depuis qu’ils ont lancé une campagne de vaccination massive chez les personnes jeunes, au point qu’ils se confinent désormais. Une immunité collective vaccinale de masse qui ne sera JAMAIS atteinte, information qui est de plus en plus reconnue et avouée par les médecins mainstream.

Les « poisons » favorisent les variants, ils obligent la commercialisation de nouveaux « poisons » qui eux-mêmes fabriqueront de nouveaux variants obligeant de nouveaux « poisons »…

Ils ne permettront pas de supprimer les gestes barrières, les masques et de retrouver ses libertés.

Ils ne permettront que de produire de nouveaux poisons et de pérenniser la suppression des libertés.

Pfizer a négocié en 2009 la somme de 2,3 milliards d’amende pour échapper à un procès pour publicité mensongère et corruption massive de médecins.

Les médecins médiatiques ont des conflits d’intérêts et sont grassement arrosés par les laboratoires.

Les agences de santé sont gangrenées. Les passerelles entre le privé et le public sont permanentes.

Les « poisons » ont été autorisés sur les SEULES données fournies par l’industrie !

Une commissaire européenne ayant négocié l’achat des « poisons » est en prise à une affaire de corruption dans son pays pour 4 millions d’euros…

L’OMS est totalement dans les mains des lobbies et de la fondation Gates.

Les bénéfices de l’industrie pharmaceutique dépassent ceux de l’industrie du pétrole et le coût de la recherche et développement est peanuts au regard de leur chiffre d’affaires…

Les politiques ne peuvent pas accéder au pouvoir sans la générosité des maîtres du monde.

Et il faudrait leur faire confiance ?!

Alors, comment parler de « libre arbitre », de vaccination « volontaire » dès lors que toutes les informations fournies dans les médias sont fausses ?!

  • En premier lieu, sur la dangerosité du Covid qui n’est pas plus importante que la grippe dès lors que des traitements précoces sont mis en œuvre pour les personnes à risque, Covid qui ne tue que des personnes en fin de vie ou avec de fortes comorbidités et qui épargne totalement les enfants en bonne santé.
  • Les confinements, les gestes barrières et le port du masque relèvent de la patte de lapin.
  • Il existe de plus en plus de traitements dont l’efficacité a été prouvée.
  • Ces « poisons » appelés « vaccins » sont, au mieux, générateurs de variants et, au pire, des armes de destruction massive.
  • Ces « poisons » ont des effets secondaires inédits dans toute l’histoire de la vaccination.
  • Au mieux, ils n’aggraveront pas l’épidémie, au pire ils la rendront de plus en plus dangereuse.
  • Les personnes injectées ne protègent pas les autres, cela a été confirmé par le Conseil d’État.
  • Le retour des libertés qui serait corrélé à la vaccination de masse est un leurre ou une escroquerie visant à généraliser un passeport sanitaire et mettre en œuvre un crédit social.

Alors ?

Veux-tu savoir si ce que je viens d’écrire et pour lesquels je dispose d’un nombre hallucinant d’informations vérifiées ou d’études est une réalité ou un délire ?

Es-tu prêt à prendre le risque d’être pointé du doigt, d’être à la marge, et ne pas être « comme tout le monde », dans le moule ?

Ou…

Préfères-tu fermer les yeux et jeter définitivement aux oubliettes le principe de précaution ?

Mettre en danger ta santé, celle de ta famille, de tes enfants pour juste avoir la possibilité de prendre un avion ou d’aller voir un match de tennis à Roland Garros ?

Car je te le redis encore, le Sars-cov2 était jusqu’à présent inoffensif pour les personnes en bonne santé, mais plus il y aura de vaccinés comme toi et plus il risque de muter et de devenir dangereux !

Tandis que les victimes manipulées comme toi se sentent rassurées par une injection expérimentale pour se protéger d’un gentil virus diabolisé par une industrie toute puissante…

… Moi je bascule petit à petit dans le camp de l’angoisse.

Le nombre de données s’accumule pour dire que te fréquenter, toi et les autres vaccinés, peut potentiellement me mettre en danger, moi et les miens…

Je voudrais m’en garder, je voudrais me raisonner, me dire que tout ceci est bien anodin… mais plus les jours passent, plus les informations scientifiques sortent, plus je vois les drames qui se jouent, plus je pense que cette menace n’est plus du délire mais bien réelle.

Moi qui n’ait jamais porté de masque, moi qui n’ait jamais respecté de gestes barrières suis désormais mal à l’aise en présence d’une personne vaccinée et d’autant plus que je sais que toutes ces précautions relèvent de la patte de lapin.

Fasse que tu ne prennes jamais la 2e dose, fasse que tu épargnes les autres membres de ta famille et tes enfants en te rappelant ce qu’est le principe de précaution.

Je reste évidemment à ta disposition pour t’éclairer et te fournir toutes les informations dont je dispose…

Alain

18 mai 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210518-un-vaccin-anodin-comme-les-autres.pdf


[Mise à jour : le texte a été repris dans la vidéo suivante sur le site tvs24.ru :]






Connerie transcendantale ou volonté de camoufler la totale inefficacité des « vaccins » ? La recherche d’anticorps n’a aucune valeur pour les autorités… sauf pour Macron qui en fait régulièrement…

[Source et auteur : PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)]

Un de mes amis dopé au zinc  et pressé par son entourage  de se faire vacciner a obtenu une ordonnance pour un test sérologique. Surprise : une bonne dose d’anticorps, il avait attrapé la covid sans s’en rendre compte… Il ne pourra pas avoir de pass sanitaire…

Les vaccinés ne doivent pas savoir s’ils ont des anticorps ! Avoir une sérologie négative après un vaccin serait absolument normal pour LCI, TF1… Bon là ils vous prennent pour des idiots…

La seule preuve de l’efficacité d’un vaccin consiste à mesurer les anticorps quelques semaines après la vaccination pour savoir si oui ou non le vacciné est protégé. Cela passe par un test sérologique fiable à 100%. Avec la piquouze génique, il faut se contenter de la présence ou non des anticorps dits « anti-spike ». Cette recherche est appliquée aujourd’hui par tous les labos ! J’ai vérifié.

Quand ça veut pas ça veut pas, beaucoup découvrent que leur vaccin ne sert à rien, après deux pfizer, zéro anticorps pour bon nombre des plus de 80 ans et pas beaucoup pour les autres… MACRON A RAISON , IL PREFERE SURVEILLER SES ANTICORPS PAS DE PIQUOUZE POUR LE PRESIDENT

« Un #vaccin digne de ce nom permet l’acquisition d’une immunité réelle durable. Prototype du vaccin évalué régulièrement, la rubéole dont taux d’anticorps sont suivis pendant les grossesses. Écarter la sérologie pour #COVID permet de camoufler l’inefficacité »

DR Guerin

Le gouvernement ne veut surtout pas que les Français vaccinés ou non fassent de tests sérologiques. Non seulement la seule preuve de protection n‘est pas remboursée par la sécu, mais en plus elle ne permettra pas d’obtenir le pass sanitaire.

Le texte de loi voté dans la nuit de mardi à mercredi par les députés de l’Assemblée nationale ne prévoit effectivement que trois types de certificats intégrés au pass sanitaire : un test PCR ou antigénique négatif, l’attestation de vaccination, mais aussi un mystérieux « certificat de rétablissement de la Covid-19 »

En fait, ce nouveau document prouvant qu’une personne a été atteinte du virus puis en a guéri, est venu remplacer la piste d’un test sérologique, solution finalement écartée. Pour l’obtenir, il ne faudra donc pas avoir réalisé une recherche d’anticorps. Mais simplement montrer un test PCR ou antigénique positif depuis « plus de quinze jours et de moins de deux mois », selon les récentes précisions de la Direction générale de la santé (DGS). Il aura ainsi la même valeur qu’un test négatif ou une vaccination complète.

Problème : aucun de ces documents ne peut garantir que la personne est protégée.

Seul le test sérologique mesurant les anticorps anti spikes peut vérifier de la réalité d’une protection. Les anticorps existent ou n’existent pas… S’il y en a pas le vaccin n’a servi a rien.

Le test sérologique permettrait d’éviter une vaccination inutile et dangereuse quand on a des anticorps, car les effets secondaires sont bien plus graves dans ces conditions. Il permettrait de connaitre enfin le niveau de protection naturelle  de la population.

Combien sont comme lui ? Selon les estimations de l’Institut Pasteur établies en février 2021, environ 15 à 20% des Français adultes auraient été infectés par le coronavirus Sars-CoV-2 et auraient ainsi a priori développé des anticorps. Plus de la moitié n’ont rien ressenti et n’ont pas été testé…

S’ils se font vacciner, ils prendront le risque d’effet secondaires plus graves (six fois plus de risque de fièvre, de frissons, de douleurs musculaires), mais au moins, grâce à eux, on pourra croire que le vaccin est efficace…

Vous êtes vaccinés ? Vous voulez savoir ? Faites comme macron : une bonne sérologie, pour 31 euros vous saurez enfin… avant les variants…




Le tableau de bord de CoVaxx-19 : Saignements, caillots sanguins et tout le reste

[Source : reseauinternational.net]

par Mike Whitney.

« Nous avons maintenant suffisamment de preuves pour établir une corrélation claire entre l’augmentation des décès dus au Covid et les campagnes de vaccination. Il ne s’agit pas d’une coïncidence. C’est un effet malheureux et involontaire des vaccins. Nous ne devons pas fermer les yeux et prétendre que cela ne se produit pas. Nous devons cesser immédiatement toute administration de vaccins Covid, avant de créer une véritable pandémie que nous ne pourrons pas maîtriser… »

Dr. Janci Lindsay, Ph.D.

Pourquoi quelqu’un se laisserait-il injecter une substance dont les effets indésirables à long terme sont totalement inconnus ?

C’est extrêmement dangereux. Et pourtant, des millions de personnes dans le monde ont déjà été inoculées avec une concoction hybride qui n’a pas été approuvée par la FDA, qui n’a pas respecté les mêmes normes rigoureuses de sécurité que les vaccins précédents, et qui est largement plus mortelle que n’importe quel vaccin des temps modernes.

Pourquoi ? Pourquoi tant de personnes se soumettent-elles à cette expérience ?

C’est un mystère, n’est-ce pas ?

La génération actuelle de vaccins Covid-19 n’a pas été testée de manière adéquate, n’a pas terminé les essais de phase 3 et n’est pas sûre. Et nous ne parlons pas ici des effets à « court terme » non plus. Aussi tragiques que soient les récents décès et blessures, ils ne sont rien en comparaison de la montagne de carnage à laquelle nous pourrions assister dans un avenir proche, lorsque les victimes du vaccin découvriront que leur système immunitaire compromis n’est plus capable de combattre de nouvelles infections ou des souches sauvages du virus. Ce même phénomène est apparu il y a des années lors d’essais sur des animaux où l’on a injecté à des furets un sérum expérimental qui les aidait à développer une « réponse anticorps durable » à l’infection. Malheureusement, lorsque les furets ont été exposés au virus sauvage un peu plus tard, ils sont tous morts. Chacun d’entre eux est mort.

Est-ce là notre avenir ? Est-ce à cela que nous devons nous attendre dans quelques années, lorsque les infections respiratoires de routine et la grippe saisonnière balayeront le pays, laissant des millions de personnes gravement malades ou mortes ?

Certes, les vaccins semblent procurer une certaine immunité temporaire, mais à quel prix ? Avez-vous parcouru les rapports sur les effets indésirables ou réfléchi à la possibilité que ces injections puissent causer des ravages à long terme sur votre système vasculaire, votre cœur ou vos capacités cognitives ? Les détracteurs des vaccins mettent généralement l’accent sur la longue liste des blessures et des décès liés aux vaccins, mais c’est une erreur. Ce ne sont pas les décès et les blessures qui ont déjà eu lieu, mais l’océan de morbidité auquel nous pourrions être confrontés à l’avenir, lorsque les maladies à incubation plus longue commenceront à émerger, submergeant le système de santé publique à bout de souffle et laissant de nombreuses personnes se débrouiller seules.

Un tel scénario est-il seulement possible ?

Oui, c’est possible, peut-être même probable.

Avez-vous la moindre idée de ce que font ces vaccins une fois qu’ils sont dans votre corps ? Réalisez-vous que la substance entre dans votre circulation sanguine et se propage partout, y compris dans votre cerveau ? Réalisez-vous les dangers que cela représente pour votre santé globale et votre survie ? Le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., a produit un certain nombre de vidéos qui expliquent la biologie de base de l’inoculation en relation avec ces nouvelles injections à base de gènes. Toute personne qui envisage de se faire vacciner devrait tenir compte de ce qu’il a à dire :

« Le vaccin entre dans votre système sanguin… Vous mettez un gène viral dans votre système sanguin et il va circuler… Or, votre système sanguin est un système fermé de tuyaux. Une fois que ces paquets sont dans la circulation sanguine, ces millions de paquets du gène, ne sortiront jamais, car ils sont piégés. Et les principales cellules dans lesquelles ils entreront, seront celles qui tapissent les vaisseaux sanguins… Ces cellules tapissent les vaisseaux sanguins de tout votre corps et de tous vos organes …

Ces cellules assimilent le gène et commencent à produire la protéine spike (qui va étendre sa pointe dans la circulation sanguine – illustration) En même temps, la protéine crée des déchets… Donc il y a maintenant la protéine spike et il y a des déchets. … La protéine spike a la capacité d’attirer les plaquettes qui créent la coagulation du sang. Dès que les plaquettes entrent en contact avec la protéine spike, elles sont activées et commencent à coaguler le sang …

Malheureusement, il existe un autre type de cellules qui viennent voir les ordures. Ces cellules sont les lymphocytes tueurs, et ces lymphocytes tueurs sont programmés pour voir les déchets des virus et tuer les cellules qui créent le virus et qui tapissent les parois de vos vaisseaux sanguins. Cela peut se produire n’importe où (dans le corps.) …

Nous allons découvrir lesquelles de vos cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins vont prendre ces paquets et les produire (protéines spike et déchets) afin qu’elles soient attaquées par votre propre système immunitaire et détruites …
.
(Alors) Quel est le premier symptôme que les gens présentent après la vaccination ? Des maux de tête, n’est-ce pas ? Maux de tête, nausées, vertiges, douleurs musculaires, perte de contrôle moteur etc… Je me suis demandé quel était le dénominateur commun entre tous ces symptômes ? …

Nous avions prédit qu’il y aurait des événements thrombotiques très graves… en particulier le mal de tête intense qui est le signe typique que le sang coagule dans les veines du cerveau. …Toute formation de caillot dans le cerveau est potentiellement mortelle. Et, si vous avez des caillots dans les jambes, ils deviennent des embolies pulmonaires qui peuvent également vous tuer …

Et lorsque ces facteurs de coagulation (plaquettes) sont épuisés, les gens peuvent saigner. Pourquoi les gens ne pensent-ils pas à cela ? »

« Interview avec le professeur Sucharit Bhakdi, M.D. sur le vaccin Covid », New American : Commencez à la minute 18.

Résumons : Le vaccin est inséré dans un muscle du bras, mais le liquide passe rapidement dans la circulation sanguine où il est piégé. Une fois dans la circulation sanguine, il est pris en charge (absorbé) par la fine couche de cellules qui tapisse les vaisseaux sanguins (endothéliales). Les cellules qui ont été pénétrées par la substance commencent à produire de la protéine spike et des déchets. La protéine spike active les plaquettes, ce qui déclenche la formation de caillots sanguins qui peuvent bloquer la circulation du sang vers les organes vitaux. En même temps, la surutilisation des plaquettes – qui aident à coaguler le sang – peut entraîner des hémorragies internes excessives. Ces conditions apparemment contradictoires – la coagulation et les saignements – ont attiré l’attention de plus en plus de chercheurs, comme le Dr Mike Williams, qui s’exprimait ainsi dans un article récent intitulé : « La coagulation et la “science” du vaccin Covid ». En voici un extrait :

« En fait, nous sommes confrontés à deux problèmes opposés : la thrombose, qui forme un caillot pouvant bloquer un vaisseau apportant du sang à un organe, et la thrombocytopénie, qui réduit le nombre de plaquettes nécessaires à la formation d’un caillot et provoque un saignement, c’est-à-dire une hémorragie. L’un ou l’autre de ces problèmes peut être très difficile à gérer et extrêmement dangereux, voire mortel pour le patient – mais avoir les deux en même temps ! …

La thrombose et la thrombocytopénie combinées liées à la vaccination Covid sont considérées comme quelque chose de nouveau et de très rare, et si la coagulation se produit dans un organe vital… eh bien, nous en voyons les résultats : des jeunes qui ne devraient pas mourir, meurent »

« Clotting and Covid Vaccine “Science” », UK Column

En effet, « des jeunes gens ne devraient pas mourir », mais ils meurent parce qu’on leur a injecté une substance qui les a probablement tués. Quelqu’un réfute-t-il cette affirmation ? Et les problèmes d’hémorragie et de coagulation ne sont que deux des problèmes liés à ces injections. Il y a aussi les « déchets » dont parle Bhakdi. Ces déchets attirent les lymphocytes tueurs, des globules blancs qui sont aussi l’un des principaux types de cellules immunitaires de l’organisme. Ces lymphocytes attaquent les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins, ce qui endommage le système vasculaire et les organes vitaux. Par définition, c’est le signe d’une maladie auto-immune dans laquelle un système immunitaire hyper-stimulé et hyper-agressif attaque votre propre corps. Voici d’autres extraits de l’article du Dr Williams :

« Si nous devions nous fier aux nouvelles grand public et aux rapports gouvernementaux, nous pourrions être amenés à croire que les problèmes de coagulation avec les vaccins Covid étaient tout à fait inattendus et rares. Pourtant, les premières mises en garde contre le trouble de la coagulation d’Astrazeneca ont été lancées… Bien plus d’une décennie auparavant, pour être précis… En 2007, un document de recherche l’a exposé très clairement :

Des cas de thrombocytopénie ont été régulièrement signalés après l’administration de vecteurs adénoviraux de transfert de gènes… On savait en 2007 que le même vecteur utilisé pour de nombreux vaccins Covid provoquait systématiquement des cas de thrombocytopénie. En septembre 2020, un autre article a été publié « SARS-CoV-2 binds platelet ACE2 to enhance thrombosis in COVID-19 » (Le SARS-CoV-2 se lie à l’ACE2 des plaquettes pour favoriser la thrombose dans le COVID-19), qui soulignait un problème avec le SARS-CoV-2(([1] En d’autres termes, les compagnies pharmaceutiques sont au courant des problèmes de coagulation et de saignement depuis 2007)):

“Le SRAS-CoV-2 et sa protéine Spike ont directement stimulé les plaquettes pour faciliter la libération de facteurs de coagulation, la sécrétion de facteurs inflammatoires et la formation d’agrégats leucocytes-plaquettes” …

Cet article identifie une protéine spike comme facteur causal de la coagulation. Et, bien sûr, c’est une protéine spike qui est produite par la plupart des vaccins Covid. Les régulateurs auraient dû tirer la sonnette d’alarme, mais rien n’a été fait… Ils ont brillamment démontré que dans les petits vaisseaux sanguins, la protéine spike, à elle seule, peut induire la coagulation en se fixant dans divers tissus …

L’élément clé de cet article concernant les vaccins Covid est que la protéine spike, dépourvue d’ARN viral, se déplace jusqu’au cerveau et provoque la coagulation. Encore une fois, au cas où vous auriez besoin de le rappeler : les vaccins Covid produisent cette protéine spike …

Un autre article de Nuovo et al, intitulé « Endothelial cell damage is the central part of COVID-19 » (L’endommagement des cellules endothéliales est la partie centrale du COVID-19) …

En d’autres termes, il existe des preuves accablantes que la protéine spike du SRAS-CoV-2 (qui est également produite synthétiquement par les vaccins Covid) est un élément central des mécanismes de morbidité et de mortalité du SRAS-CoV-2, et constitue donc également un risque du vaccin. En ce qui concerne la coagulation, ce risque est plus important si vous recevez un vaccin …

Les données démontrent clairement que la dernière chose à faire est de fabriquer un vaccin qui produit une protéine spike. Comme la littérature l’a clairement montré, cela causerait des dommages importants, notamment des caillots cérébraux et la mort. Et cette littérature, pour la plupart, était disponible avant la diffusion des vaccins Covid au public »

« Clotting and Covid Vaccine “Science” », Dr Mike Williams, UK Column

Vous voyez le tableau ?

En d’autres termes, les chercheurs savent depuis longtemps que ces types de protéines produisent des problèmes de coagulation, de saignement et d’auto-immunité, qui sont précisément les problèmes que nous observons actuellement. C’est pourquoi nous pensons que notre principal sujet de préoccupation ne devrait pas être les effets indésirables et les blessures à court terme, mais le profil de sécurité à long terme. En bref, quelle est la probabilité que les millions de personnes qui ont reçu ces injections soient gravement atteintes par ces pathologies à l’avenir ? Nous devons le savoir.

Maintenant, regardez cet extrait d’une lettre ouverte de Doctors for Covid Ethics à l’Agence européenne des Médicaments (EMA) datée du 1er avril 2021 :

« Nos préoccupations découlent de multiples sources de preuves, notamment le fait que la « protéine spike » du SRAS-CoV-2 n’est pas une protéine d’arrimage passive, mais que sa production est susceptible d’initier la coagulation sanguine par de multiples mécanismes… la thrombose veineuse cérébrale, est toujours une condition qui met la vie en danger et qui exige une attention médicale immédiate. Le nombre de cas que vous avez concédé s’être produits peut ne représenter que la partie émergée d’un énorme iceberg. Comme vous devez le savoir, les symptômes les plus courants de la thrombose veineuse cérébrale sont des maux de tête aigus, une vision floue, des nausées et des vomissements. Dans les cas graves, des symptômes semblables à ceux d’un accident vasculaire cérébral apparaissent, notamment des troubles de la parole, de la vision et de l’audition, un engourdissement du corps, une faiblesse, une baisse de la vigilance et une perte de contrôle moteur. Vous n’êtes certainement pas sans savoir que d’innombrables personnes ont souffert précisément de ces symptômes directement après avoir été « vaccinées » avec tous les agents expérimentaux à base de gènes » …

La formation de caillots dans les veines profondes des jambes peut entraîner des embolies pulmonaires mortelles. Vous devez certainement savoir que des thromboses veineuses périphériques ont été signalées à plusieurs reprises après des « vaccinations » avec tous les agents expérimentaux à base de gènes …

Étant donné qu’il existe une explication mécaniquement plausible pour ces effets indésirables thromboemboliques, à savoir que les produits à base de gènes incitent les cellules humaines à fabriquer une protéine spike potentiellement pro-thrombotique, l’hypothèse raisonnée et responsable doit maintenant être que cela peut être un effet de classe. En d’autres termes, les dangers doivent être écartés pour tous les vaccins à base de gènes autorisés en urgence, et pas seulement pour le produit AZ »

« Open Letter to the EMA from Doctors for Covid Ethics », Doctors for Covid Ethics

En résumé : La coagulation du sang, les embolies pulmonaires, la destruction des plaquettes, la diathèse hémorragique et les saignements sont tous liés à la production de protéines spike, le même type de protéines que les vaccins entraînent vos cellules à produire. Naturellement, l’action responsable à ce stade serait de mettre fin immédiatement à la campagne de vaccination de masse jusqu’à ce que ces questions puissent être résolues et que la sécurité des patients puisse être garantie. Mais ne retenez pas votre souffle, car cela ne se produira pas.

La Dr Janci Chunn Lindsay, biologiste moléculaire et toxicologue, est arrivée à la même conclusion dans un commentaire public qu’elle a adressé au CDC. Voici un extrait de sa déclaration :

« Au milieu des années 1990, j’ai contribué au développement d’un vaccin contraceptif humain temporaire qui a fini par provoquer une destruction ovarienne auto-immune involontaire et la stérilité chez les modèles d’expérimentation animale. Malgré les efforts déployés pour éviter cela et les analyses de séquences qui ne le prévoyaient pas. Je suis fermement convaincu que tous les vaccins de thérapie génique doivent être arrêtés immédiatement en raison de problèmes de sécurité sur plusieurs fronts …

Premièrement, il y a une raison crédible de croire que les vaccins Covid auront une réaction croisée avec la syncytine et les protéines reproductrices dans le sperme, les ovules et le placenta, ce qui entraînera une altération de la fertilité et des résultats reproductifs et gestationnels …

Nous avons vu 100 pertes de grossesse signalées dans le VAERS en date du 9 avril. Et il y a eu des rapports sur l’altération de la spermatogenèse et des résultats placentaires à la fois dans les modèles animaux d’infection naturelle, de vaccination et de knock-out de la syncytine qui présentent une pathologie placentaire similaire, impliquant un rôle de médiation de la syncytine dans ces résultats… De plus, nous avons entendu parler de multiples rapports d’irrégularités des règles chez les personnes vaccinées. Ces cas doivent être étudiés …

Nous ne pouvons tout simplement pas administrer ces [vaccins] à nos enfants, qui présentent un risque de 0,002% de mortalité due au Covid, s’ils sont infectés, ou à toute autre personne en âge de procréer, sans mener une enquête approfondie sur cette question …

Si nous le faisons, nous pourrions potentiellement stériliser une génération entière. La spéculation selon laquelle cela ne se produira pas et quelques rapports anecdotiques de grossesses dans le cadre de l’essai ne sont pas une preuve suffisante que cela n’a pas d’impact à l’échelle de la population …

Deuxièmement, toutes les thérapies géniques [les vaccins Covid] provoquent des coagulopathies (coagulation). Ce n’est pas isolé à un fabricant. Et ce n’est pas isolé à un groupe d’âge. Nous constatons des décès par coagulopathie chez de jeunes adultes en bonne santé, sans comorbidité secondaire …

Il y a des principes mécanistes d’avant et d’arrière garde pour expliquer pourquoi cela se produit. L’infection naturelle est connue pour provoquer une coagulopathie due à la protéine spike. Tous les vaccins de thérapie génique incitent l’organisme à fabriquer la protéine spike …

La protéine spike incubée avec du sang humain in vitro a également provoqué le développement de caillots sanguins résistants à la fibrinolyse. La protéine spike provoque des événements thrombocytaires, qui ne peuvent être résolus par des moyens naturels. Et tous les vaccins doivent être arrêtés dans l’espoir qu’ils puissent être reformulés pour se prémunir contre cet effet indésirable …

Nous avons maintenant suffisamment de preuves pour établir une corrélation claire entre l’augmentation des décès dus au Covid et les campagnes de vaccination. Il ne s’agit pas d’une coïncidence. C’est un effet malheureux et involontaire des vaccins. Nous ne pouvons tout simplement pas fermer les yeux et prétendre que cela ne se produit pas. Nous devons arrêter immédiatement toute administration de vaccins Covid, avant de créer une véritable pandémie que nous ne pourrons pas maîtriser… »

« Halt Covid Vaccine, Prominent Scientist Tells CDC », jennifermargulis.ne

C’est un bon conseil, mais est-ce que quelqu’un l’écoute ?

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International




Sous nos yeux, le suicide de l’Union Européenne, des institutions, et de tous les politiques qui prônent la vaccination anti-covid

Par Alain Nicolaï

« Celui qui ne fait pas la différence entre le bien et le mal
n’est pas un homme »
*

Combien de temps faut-il pour élaborer un vaccin?

Photo: Données: Potkins’s Vaccines et FDA

Dans le contexte actuel, le développement suit un paradigme complètement différent. D’abord, les phases d’essais cliniques s’enchaînent à une vitesse inédite. Ensuite, les compagnies pharmaceutiques consacrent tous leurs efforts pour trouver un vaccin contre la COVID-19, tandis qu’elles se penchent habituellement sur plusieurs maladies en parallèle. Des usines sont préparées pour la production industrielle des milliards de doses nécessaires, même si on ne sait pas encore quel type de vaccin va fonctionner. Du côté de la recherche universitaire, les cordons de la bourse des subventions se sont déliés et permettent aux scientifiques d’engager plus d’assistants et d’acheter du meilleur matériel. Pour sa part, Santé Canada a déjà indiqué qu’il s’efforçait d’accélérer les demandes d’essais cliniques pour les vaccins candidats contre la COVID-19. On peut également parier que les organismes régulateurs vont tout faire pour rapidement boucler l’homologation finale. En temps normal, cette étape peut parfois être très longue: il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle, aux États-Unis.

Vaccin contre le coronavirus : sprinter un marathon

PAR ALEXIS RIOPEL ET ANTOINE BÉLAND

Le coup de départ a été donné le 10 janvier, quand des chercheurs chinois et australiens ont publié en ligne le génome du mystérieux virus surgissant à Wuhan. Le fil d’arrivée, c’est le début de la distribution à grande échelle d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2. D’ici là, tous espèrent voir une équipe courir ce marathon à la vitesse d’un sprinteur. Le Devoir vous propose un aperçu visuel de cette course historique.

L’élaboration d’un vaccin s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans. Le vaccin développé le plus rapidement, celui contre Ebola, a exigé cinq ans d’efforts. Pour mettre un terme à la pandémie de COVID-19, un échéancier encore plus rapide, de l’ordre de 18 mois, est envisagé.

Voyons d’abord quelles sont les étapes du développement traditionnel d’un vaccin. Les durées indiquées le sont à titre indicatif seulement.

Recherche universitaire et études précliniques

D’abord, les scientifiques déterminent la séquence génétique du virus. Ils tentent de comprendre quels anticorps sont efficaces pour s’en prémunir. Ils conçoivent une ébauche de vaccin, qu’ils testent sur des animaux.

Études cliniques

Ensuite, les chercheurs passent aux essais cliniques sur des humains.

Phase I / On administre le vaccin candidat à quelques dizaines de volontaires en bonne santé afin de s’assurer qu’il n’est pas dangereux. On détermine la dose idéale, qui déclenche une bonne réaction immunitaire sans produire d’effets secondaires.

Phase II / On tente de confirmer la sécurité du vaccin en le donnant à quelques centaines de volontaires représentatifs de la population qu’on veut protéger. Les volontaires appartiennent à différents groupes d’âge et leur état de santé varie.

Phase III / On évalue finalement l’efficacité du vaccin pour protéger de la maladie infectieuse en l’administrant à des milliers de personnes. Cette phase se déroule dans le contexte « naturel » de la maladie.

Fabrication

En parallèle au développement, la compagnie doit préparer une usine pour le vaccin. Puisque ces installations coûtent des centaines de millions de dollars, les investisseurs attendent habituellement que les essais cliniques soient bien avancés avant d’accorder leur financement.

Homologation

Finalement, les organismes régulateurs, comme Santé Canada ou la FDA aux États-Unis, révisent les études avant d’homologuer le vaccin. Ils peuvent demander des travaux supplémentaires en cas de doutes. Le processus peut être long : il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle.

Réaliste ?

Ainsi, la durée de 18 mois souvent évoquée par les gouvernements apparaît assez audacieuse.

« Quand on parle d’un à deux ans, il faut savoir que c’est extrêmement rapide pour le développement d’un vaccin », souligne le virologue Alain Lamarre, de l’Institut national de la recherche scientifique.

Durée variable

Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte lorsqu’il s’agit de développer un vaccin : le financement, bien sûr, ainsi que l’évolution des connaissances scientifiques, mais aussi le type de maladie et ses répercussions à court et long terme sur la santé publique.

Certains virus sont toujours orphelins de vaccins, même des décennies après qu’ils aient été identifiés. L’absence d’un vaccin contre le VIH est un des exemples les plus utilisés pour illustrer les difficulté de la démarche.Recherche universitaire2 ansÉtudes précliniques2,5 ansÉtudes cliniques de phase I6 moisÉtudes cliniques de phase II2 ansÉtudes cliniques de phase III1 anFabrication6 ansHomologation1 an015 ans18 moisObjectif de la créationd’un vaccin contre la COVID-1915 ansVaricelle30 ansInfluenza30 ansVirus du papillome humain16 ansRotavirus16 ansVaccins pédiatriques combinés12 ansEbola5 ansVaccin contre la COVID-1918 mois

Textes par Alexis Riopel. Visualisations de données et développement par Antoine Béland. Design par Cédric Gagnon.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède il est très facile de constater que l’élaboration des vaccins anti covid19, faite ici en 18 mois, a battu tous les records de vitesse de l’histoire. Très étrange, non ?!


Les vaccins sont expérimentaux

Par Dr Gérard Delépine

Dans une « fast check » [Note : non pas “fact check” qui signifierait “vérification de faits”, mais “fast check” pour “vérification rapide” ou hâtive.] du 11 mars 2021, Juliette Mansour et l’AFP nous accusent de diffuser de fausses informations. Cet article trompeur se contente d’affirmer les croyances de la pensée unique du politiquement correct, sans rapporter les faits établis, car ils confirmeraient nos dires. Nous fournissons ici les preuves de leurs erreurs.

Non, les essais phase trois des vaccins ne sont pas terminés ! Il suffit de consulter le site « clinical trials.gov » pour le vérifier

Juliette Mansour et l’AFP prétendent que « cette dernière phase [phase 3] avant la mise sur le marché, qui se déroule sur des milliers de volontaires, est bien terminée pour les quatre vaccins homologués. » Cette affirmation est totalement fausse !

Pour connaître l’état d’avancement d’un essai, il suffit de se référer au site américain officiel « clinical trials.gov[1] » chargé de les lister. En l’interrogeant par Internet (vous pouvez le faire en français) vous obtiendrez les mentions : aucune étude phase 3 terminée.

En poursuivant la lecture de ce site, vous pourrez lire que la phase 3 du vaccin Pfizer, essai plus avancé que ceux de ses concurrents, se poursuit selon le schéma prévu avec une première analyse provisoire prévue en août 2021, et la fin de l’essai espérée en janvier 2023, soit dans à peu près deux ans.

L’essai phase 3 de Pfizer est donc loin d’être terminé ! Et il en est de même avec tous autres vaccins covid actuels.

Pour le vaccin Astra Zeneca, second dans l’avancement des essais phase 3, la fin de l’essai phase 3 est prévue en février 2023 :

Pour le Janssen, l’essai ne se terminera pas avant 2024 :

Malheureusement la journaliste de l’Agence France presse n’a pas pris le temps de vérifier ces faits indiscutables, avant de prétendre que les essais phase 3 étaient terminés ! Les écoles actuelles de journalistes ne leur apprendraient-elles plus à enquêter ?

Les publications des résultats cliniques définitifs des phase 3 n’existent pas

Juliette Mansour aurait pu aussi s’étonner de l’absence de publications détaillant les résultats cliniques définitifs des essais phase 3 chez l‘homme en les recherchant dans cette même base bibliographique « clinical trials.gov » dans chaque essai, ou dans « PubMed »[2] qui recensent les articles médicaux publiés dans la littérature internationale.

Interrogée le 14/3/2021 avec les mots clefs « Covid vaccine trials Results ». PubMed listait 26 articles dont aucun ne rapporte de résultats définitifs d’un quelconque essai phase 3 de vaccin Covid. La vérification est facile pour tous, l’accès PubMed étant libre et possible en français. Alors pourquoi Juliette Mansour n’en a pas pris le temps ?

Avant de publier sa tribune mensongère, nocive pour les citoyens crédules, elle aurait aussi pu nous interroger sur nos sources et nous demander ces preuves que nous lui aurions volontiers fournies. Mais au lieu de confronter les opinions dans un débat contradictoire honnête, elle a choisi le camp des corona terroristes trahissant ainsi l’éthique des journalistes qui doivent se comporter en observateurs impartiaux.

Mais où sont passés les journalismes d’investigation d’antan ?

Nous réaffirmons que les essais n’ont pas été conduits correctement et surtout ne sont pas terminés

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, avant d’arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations nécessaires à la conception de la suivante.

Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés, car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours habituel qui nécessitait de 9 à 12 ans (en moyenne 10) cette lenteur étant indispensable à la sécurité.

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme, mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats[3], le développement très rapide de plusieurs vaccins anticovid n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

La presse anglo-saxonne l’a souvent dénoncé en titrant que les protocoles de certains essais “sautaient” cette phase, sans que l’AFP ni les médias hexagonaux les relaient. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectués simultanément, voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

 Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de cette complication. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps, mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus et sont peut-être aussi responsables de l’accroissement de mortalité constatée juste après le début des campagnes de vaccination dans les pays qui se sont érigés en champions de celle-ci.

Les essais cliniques humains bien faits sont indispensables à la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives, les conclusions de chaque phase permettant d’optimiser la suivante.

La phase I porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II nécessite quelques centaines de malades et dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance et innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire), mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration le plus efficace, de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est tout à fait insuffisante et les sous-déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins anticovid menacent la sécurité sanitaire

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux

Regroupement des phases, I et II ou II et III, ne permettant pas d’utiliser les résultats de la phase précédente pour concevoir convenablement la phase suivante.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante (en moyenne 2-3 mois lors des évaluations intermédiaires présentées aux agences), ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse, ni sur la durée de l’immunité éventuelle, ni sur les éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins antigrippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché transitoire « conditionnelle accordée alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni obtenus, ni publiés, et que la durée insuffisante de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme.

Personnes âgées à forte comorbidité trop peu représentées dans les essais alors qu’elles constitueraient l’indication préférentielle d’un vaccin qui serait efficace et sûr.

Critères de jugement non pertinents

 Le but d’un vaccin est de diminuer la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or le critère de mortalité a été négligé par les firmes et le critère de contamination souvent réduit à la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement (être positif au test PCR ne signifie pas être porteur du virus entier, ni malade, ni contagieux)

Aussi, lorsque l’Agence nationale du médicament prétend que : “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients“, elle nous rappelle tristement les affirmations de l’agence de sécurité nucléaire sur le nuage de Tchernobyl ou ses dénégations répétées dans l’affaire du médiator (entre autres …).

Présentation biaisée des résultats provisoires

Un avis du BMJ[4] souligne que Pfizer / BioNTech et Moderna ont signalé la réduction du risque relatif de leurs vaccins en donnant des chiffres supérieurs à 90%, mais les fabricants n’ont pas signalé de réduction du risque absolu correspondante, qui « semble être inférieure à 1% ».

L’insuffisance des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques totalement nouvelles

Les vaccins conçus par Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisants spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les coûts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto-immunes est fortement suspecté, mais ils restent des vaccins au sens pasteurien.

Les produits Pfizer, Moderna et Astra Zeneca et Janssen qui sont des médicaments nouveaux, ne contiennent pas d’antigènes, mais des produits génétiques (ARN messager, virus vecteurs pour Astra Zeneca) destinés à en faire fabriquer par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

OUI, les vaccins ARN messagers exposent au risque de modifier notre ADN

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique est d’origine virale.  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de mécanismes différents pour l’instant inconnus.

Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dont la technique n’a jamais été utilisée auparavant pour un vaccin exposent donc à des risques non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution.

Nos contradicteurscités par l’AFP ont oublié de citer leurs liens d’intérêts avec les firmes vaccinales. Certaines de leurs affirmations telles que « le vaccin à ARN reste localement, il ne va pas se promener partout dans vos testicules, qui sont un sanctuaire immunologique et on n’a jamais vacciné quelqu’un dans les testicules » frisent le ridicule, car personne ne peut un instant croire qu’un médicament à ARN injecté dans l’organisme ne va pas circuler dans l’ensemble du corps qu’il est censé protéger. Par la circulation sanguine, il se répand partout comme les antibiotiques, les hormones, l’oxygène, le glucose…et ce médicament ne serait pas véhiculé par le sang jusqu’aux testicules ?

Oui : les vaccins mis actuellement sur le marché sont expérimentaux

Tant que les résultats définitifs et complets des essais phase III n’ont pas été analysés et publiés, l’utilisation d’un vaccin ou d’un médicament est expérimentale.

Les campagnes de vaccination en cours dans le monde constituent des essais phase III, simultanés de la phase IV qui a été instaurée par l’attribution d’AMM conditionnelle, en totale contradiction avec le schéma traditionnel des essais qui doivent respecter la hiérarchie des phases.

Le caractère expérimental de la vaccination actuelle se reflète d’ailleurs dans la fréquence très inhabituelle des complications observées après vaccination entraînant des alertes des agences sanitaires et la suspension de la vaccination dans de très nombreux pays.

Alerte de l’agence norvégienne après 28 morts post vaccinales chez des vieillards, abandon du vaccin Astra Zeneca par l’Afrique du Sud pour inefficacité, arrêt de l’utilisation de ce même vaccin par l’Autriche, abandon de ce même vaccin pour les plus de 65 ans en France et en Allemagne, puis suspension de l’utilisation de ce même vaccin dans la majorité pays européens après plusieurs décès post vaccinaux par phlébites et embolie.

Même chez les jeunes adultes qui ne risquent guère du Covid19, les vaccins sont suivis de complications comme le confirme l’alerte de l’agence française du médicament demandant ne pas vacciner en même temps les soignants d’une même équipe hospitalière pour éviter que de trop nombreux arrêts de travail empêchent la poursuite des activités[5] [6] [7], la suspension de la vaccination des pompiers dans les bouches du Rhône[8] après un arrêt cardiaque survenu 48 heures après vaccination…

OUI la vaccination est suivie de nombreux morts et incidents majeurs

Ne pouvant pas contester les chiffres d’Eudravigilance de 2500 morts survenues après vaccination, l’AFP avance l’absence de preuve de liens de causalité.

Pourtant lorsqu’une personne entre à l’hôpital pour une maladie cardiaque ou un cancer en phase critique et qu’elle meurt après un test PCR de dépistage positif, la cause de la mort est systématiquement étiquetée Cocid19 même si aucun signe clinque ou autopsique ne le suggère. Présomption de culpabilité en cas de test Covid19 positif.

Mais si un décès succède à une vaccination, il est systématiquement attribué à autre chose par les Agences. Présomption d’innocence en cas de vaccination anti covid.

Dans un jugement du 26 juin 2017, le tribunal européen de Luxembourg[9] a statué :

en cas de complication post vaccinale grave

« même en l’absence de consensus scientifique, les juges nationaux peuvent s’appuyer sur certains éléments de fait invoqués par le demandeur »

et ces éléments, s’ils constituent des « indices graves, précis et concordants » peuvent permettre « de conclure à l’existence d’un défaut du vaccin et à celle d’un lien de causalité entre ce défaut et ladite maladie ».

Les attendus de ce jugement paraissent ignorer des membres des agences. Ce refus systématique de la responsabilité de la vaccination représente un frein considérable à l’analyse objective des liens éventuels de causalité et à la recherche de cofacteurs qui pourraient éventuellement constituer des contre-indications et constitue la cause principale de la perte de confiance envers la parole publique et de la méfiance croissante envers les vaccinations.

Si les essais avaient été convenablement conçus en incluant un grand nombre de personnes âgées à forte comorbidité et si les témoins avaient reçu de vrais placebos totalement inactifs, les complications des vaccins auraient pu être reconnues et le lien de causalité analysé.

Mais les agences ont accepté des essais biaisés et bâclés, et autorisé l’injection de vaccin à des groupes de personnes pour lesquelles elles ne disposent d’aucune donnée de tolérance. Nous en payons actuellement le prix.

OUI la vaccination a partout été suivie d’une augmentation de la mortalité

Qu’il s’agisse des Émirats Arabes Unis :

D’Israël :

Ou en Grande-Bretagne :

La vaccination, comme tout traitement actif expose à des complications. Celles -ci sont d’autant plus graves qu’elles des touchent des personnes saines et non pas des malades et que pour elle le bénéfice éventuel n’est qu’incertain.

Seule une totale transparence peut rétablir la confiance. Les mensonges et les volte-face répétés du gouvernement et des médias, les mesures inutiles et parfois ridicules, voire grotesques, qu’on nous impose et la censure des opposants ne font qu’aggraver la méfiance.

Si on veut rassembler le pays, il faut changer de politique et arrêter de mentir et cesser la propagande mensongère qu’illustre la tribune de Juliette Mansour et de l’AFP.

Le ministre des Affaires étrangères de Taiwan, Wu avait proclamé fin février[10] :

« la véracité totale des informations sur la maladie et la transparence des motivations des décisions sanitaires sont les meilleures armes dans la lutte contre le Covid19 ».

Pourquoi nos gouvernants et nos médias ne l’ont-ils pas écouté au lieu de suivre l’exemple totalitaire chinois ?


[1] La base de données sur les résultats du ClinicalTrials.gov a été créée en septembre 2008 pour mettre en œuvre l’article 801 de la Food and Drug Administration Amendments Act of 2007 (FDAAA) (PDF), qui exige la présentation de « résultats de base » pour certains essais cliniques, généralement au plus tard un an après leur date d’achèvement (voir date d’achèvement primaire le ClinicalTrials.gov).

[2] Principal moteur de recherche de données bibliographiques de la biologie et de la médecine. PubMed est gratuit et donne accès à la base de données bibliographique MEDLINE.

[3] « Nous ne trouvons plus de macaques rhésus. Ils ont complètement disparu », témoigne ainsi Mark Lewis, PDG de Bioqual, sur le site américain the Atlantic.

[4] Ronald B. Brown Biais de déclaration des résultats dans les essais cliniques sur le vaccin à ARNm COVID-19 – Medicina 2021, 57 (3), 199 ;
https://doi.org/10.3390/medicina57030199

[5] France Info Vaccins Astra Zeneca : 149 soignants vaccinés ont présenté des “syndromes grippaux de forte intensité” après leur injection d’après l’ANSM 5/2/2021
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccins-astrazeneca-149-soignants-vaccines-ont-presente-des-syndromes-grippaux-de-forte-intensite-apres-leur-injection-ansm_4293231.html[]

[6] FR3 Normandie Pourquoi l’hôpital de Saint-Lô a-t-il suspendu la vaccination des soignants par le vaccin Astra Zeneca ? 12/2/2021

[7] FR3 Normandie Vaccin Astra Zeneca : près de Rouen, des soignants inquiets après leur première injection Sur les 20 soignants de l’établissement hospitalier vaccinés durant la semaine, sept ont présenté d’importants effets secondaires qui ont mené à des arrêts maladie. Cela représente 30% du nombre de personnes ayant reçu une dose du sérum Astra Zeneca.

[8] par le Colonel Grégory Allione, Président de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France[]

[9] https://www.village-justice.com/articles/cjue-tranche-question-admission-preuve-par-presomption-defaut-vaccin-son-lien,26650.html

[10] Victor (Lin) Pu L’épidémie de coronavirus : comment Taiwan démocratique a surpassé la Chine autoritaire
le Diplomat 27 février 2020


Texte Dr Gérard Delepine.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède, il est très facile de constater que les vaccins actuellement disponibles en Europe sont incontestablement en phase III, la phase d’expérimentation sur des cobayes.


Question

À la suite, nous pourrions continuer en présentant de très nombreuses études faites récemment par des scientifiques reconnus, démontrant la nocivité de ces soi-disant vaccins, mais nous préférons dans cet article nous arrêter sur un point précis en posant une question très simple.

Avant la « vaccination » anticovid, il avait fallu cinq ans pour élaborer et tester le vaccin contre le virus Ebola dont la mise sur le marché a été la plus rapide. Cinq ans, notamment pour avoir le temps d’effectuer les essais sur les animaux et les tests cliniques qui sont indispensables.

Comment peut-on donc définir, en étant sûr de ne pas se tromper, les personnes qui ne savent pas qu’un vaccin ne s’élabore pas en moins d’un an, mais en plusieurs années ?

Ce sont des ignorants.


Conclusion

Il n’est pas nécessaire d’être un grand clerc pour comprendre que cette crise a fait ressortir au grand jour – au minimum – la nullité crasse de ceux qui poussent aujourd’hui à la vaccination, qu’ils soient des politiques ou non.

Il en résulte que, issues du monde politique, des médias, ou de la santé, tous ceux qui incitent les gens à se faire vacciner sont désormais complètement discrédités. Ils ne méritent plus du tout notre confiance, définitivement plus !!!!

C’est la première fois dans l’histoire, que d’une manière aussi flagrante et massive, se dévoile aux yeux des gens sensés un tel degré d’ineptie.

En conséquence, déjà en ce qui concerne plus particulièrement les politiques, il est grand temps de se débarrasser rapidement de tous ces individus qui ont montré leurs limites, atteint et révélé – pour le moins – leur niveau d’incompétence à l’occasion de la crise sanitaire.

C’est à tout cela que nous songerons, quand nous mettrons notre bulletin de vote en papier dans une urne classique lors des prochaines élections.

Il est en effet hors de question, après ce qui s’est passé aux USA, de nous faire voter par l’intermédiaire de machines électroniques. Pour défendre les valeurs démocratiques, s’ils osent cependant nous les proposer, nous préférons les brûler.

Il est maintenant grand temps, pour les êtres éclairés, de passer à l’action et d’envisager sérieusement à reprendre légitimement les pouvoirs que des individus dominateurs et sans conscience ne méritent pas de détenir.

Un magnifique exemple à suivre étant celui de la doctoresse et députée Martine Wonner, puisse-t-elle faire de très nombreux enfants…


La convergence des vices cachés de l’Union Européenne va la couler définitivement

Pour ne pas lasser le lecteur nous nous limiterons à six.


L’Union Européenne coulée par l’objectivité




Doit-on avoir peur des personnes vaccinées contre le Covid ? Les non-vaccinés sont-ils menacés ou en danger ?

Par Alain Tortosa

Voilà une question qui doit sembler hautement complotiste pour les paniqués vaccinés adorateurs de l’Église du Coronavirus…

Si notre monde n’avait pas finalisé sa bascule dans une 4e dimension alors je serais peut-être en train de vous parler de la dangerosité potentielle des non-vaccinés.

Encore que la notion de « vaccin solidaire » a toujours fait des bulles dans ma tête au même titre que le « masque solidaire ».

Si un vaccin ou un port du masque est efficace alors le vacciné ou le masqué n’a pas besoin de ma vaccination ou de mon masque pour se protéger.

Et s’il en a besoin, c’est une preuve de leur inefficacité et pourquoi donc devrais-je le protéger en utilisant des moyens inefficaces ?

Enfin je pense que c’est à la médecine de trouver des stratégies à même de protéger les personnes à risque qui ne peuvent pas bénéficier d’un vaccin.

Ici encore il est étrange de mettre au point des thérapeutiques qui ne seraient efficaces que pour les personnes qui n’en ont pas besoin et je demeure définitivement allergique à la notion de délit de bonne santé…

Revenons à ma question et surtout :

Existe-t-il une réponse scientifique autour de la dangerosité potentielle des vaccinés qui ferait « consensus » ou tout du moins une quasi-unanimité ? (Que la réponse soit « oui » ou « non ».)

Tout est fait pour nier la dangerosité des thérapies vaccinales.

Tout est fait pour ignorer l’explosion des cas et des décès dans de nombreux pays qui pratiquent une vaccination massive.

Et surtout une augmentation des cas dans des populations jeunes non concernées par le Covid.

Une modélisation au Royaume-Uni(([1] https://dailyexpose.co.uk/2021/04/11/uk-government-model-states-the-fully-vaccinated-will-dominate-deaths-in-3rd-wave-and-they-will-blame-children-and-unvaccinated-for-it/)) a fait état que 60 à 70% des décès de la future 3e vague seraient des personnes vaccinées.

Comme de bien entendu, la faute en serait imputée aux non-vaccinés et aux enfants comme c’est le cas actuellement dans tous les pays qui pratiquent la vaccination et qui ont une recrudescence de Covid.

Pour en revenir à cette prévision, une fois n’est pas coutume, les médias et les pseudo-scientifiques incompétents ou corrompus n’ont pas manqué de souligner que ceci n’était qu’hypothèse.

Alors quand les modélisations prévoient des centaines de milliers de morts du Covid au Royaume-Uni, c’est évidemment digne d’intérêt, mais une modélisation qui annoncerait plus de décès chez les vaccinés est bien sûr sans valeur aux yeux des médias, même si les auteurs sont les mêmes.

Il demeure néanmoins intéressant de noter, quand bien même les prévisions seraient délirantes, que l’hypothèse d’un surcroît de décès chez les vaccinées est considérée comme plausible dans les milieux « non-complotistes ».

Dans le monde d’avant le Covid, le principe de précaution voulait que l’on s’abstienne en cas de risque ou de doute… mais c’était avant !

Quelles sont les hypothèses sur la dangerosité potentielle des vaccinés pour les non-vaccinés ?

Le sentiment erroné de confiance ?

Les personnes vaccinées peuvent croire, à tort, qu’elles protègent les personnes à risque et il serait d’autant plus possible qu’elles le pensent que la propagande fait croire que cette vaccination est « solidaire »… (ce qui est indispensable pour le business plan).

Une vaccination qui serait à la fois « solidaire », mais qui ne protégerait pas autrui est certainement difficile à appréhender pour un public qui croit ce qu’on lui dit.

Quand bien même les gestes barrières relèvent plus de la patte de lapin que de la science, cette confiance, cette « libération », pourrait se traduire par un certain relâchement qui pourrait donc potentiellement mettre en danger des non-vaccinés.

Il est intéressant de constater que le gouvernement et le Ministre de la Santé sont totalement informés de l’absence d’efficacité des produits appelés « vaccins ».

Ils redoutent de fait le comportement futur des vaccinés qui auraient pu croire les mensonges du gouvernement.

Raisons pour lesquelles vaccinés et non vaccinés ont obligation de respecter les confinements, couvre-feux, port du masque et autres gestes barrières jusqu’à ce que mort nous sépare.

Nous entendons de plus en plus de médias mainstream nous dire que l’immunité de masse sera soit impossible à atteindre, soit ne sera pas de nature à éradiquer notre brave virus dont le métier est de muter pour survivre.

Les variants ?

Il y a d’un côté une réalité observationnelle…

Les variants qui nous « menacent » sont apparus dans des pays qui ont fortement vacciné leur population ou les pays dans lesquels ont été testés les « vaccins ».

Citons par exemple le Royaume-Uni, le Brésil, l’Inde, l’Afrique du Sud,…

Et de l’autre des théories.

Dès lors que l’on vaccine une population, le vaccin sera plus à même de combattre la souche d’origine, d’autant plus que ces faux vaccins ne ciblent que la protéine Spike du virus et non d’autres éléments constitutionnels.

Ce qui les rend extrêmement peu performants et peu « adaptatifs » à la différence de vaccins classiques ou de notre système immunitaire qui est capable de combattre l’infection sur plusieurs fronts et de demeurer efficace pour des variants.

De fait plus vous aurez de mutations sur la protéine Spike et moins la thérapie vaccinale sera efficace.

Les personnes injectées agissent donc comme des filtres à souche initiale et des passoires à mutants.

C’est une des raisons pour lesquelles il est d’usage de ne pas vacciner pas pendant une épidémie.

Des faux vaccins ?

Ces « vaccins », comme ils sont appelés, ne sont pas des vaccins. Vous ne trouverez aucune publication scientifique, aucun médecin qui écriront qu’ils empêchent les personnes à risque de tomber malade, qu’ils préviennent la mortalité et qu’ils vous empêchent d’être contagieux.

Le Conseil d’État(([2] https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees)) a confirmé grâce aux informations fournies par le Ministre de la Santé, Olivier Véran que les personnes vaccinées étaient potentiellement contagieuses, qu’elles pouvaient attraper le virus et donc qu’elles devaient continuer à porter le masque.

« Bien que la vaccination assure une protection efficace, le juge des référés relève que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion dans des proportions qui ne sont aujourd’hui pas connues. La levée des restrictions de déplacement pourrait dès lors aggraver le risque de contamination, notamment pour les personnes vulnérables qui sont majoritairement non vaccinées. »

On ne peut être plus clair…

Cela confirme que les personnes vaccinées peuvent (ou sont ?) être génératrices et propagateurs de nouveaux variants.

Ces variants pouvant être potentiellement plus dangereux que le coronavirus d’origine qui n’est pas bien méchant et ne tue que les personnes en fin de vie, avec de fortes comorbidités (et sans traitements), mais laisse tranquille les personnes jeunes et en bonne santé.

Les transfusions sanguines ?

En premier lieu les médias ne se privent pas de dire que les ARNm de la vaccigénie Pfizer BioNTech disparaissent du sang en quelques minutes, qu’ils ne se propagent pas dans d’autres organes et qu’ils sont détériorés par nos défenses immunitaires.

À les écouter, c’est tellement rapide que l’on se demande comment il peut pénétrer les cellules pour faire fabriquer la protéine Spike.

Pour autant on peut le trouver plusieurs jours après l’injection dans nos organes.

Et l’ARN pourrait demeurer dans le sang entre 1 et 3 jours.

Donc il serait totalement possible d’être vacciné sans son consentement en recevant une transfusion sanguine d’une personne vaccinée il y a moins de trois jours.

Quid des anticorps ?

Leur durée de vie est d’environ un mois ce qui signifie qu’une personne transfusée peut avoir les anticorps anti-spike du vacciné. Elle peut donc être considérée positive.

Si d’aventure vous croisez le virus durant cette période, il n’est pas impossible que votre corps considère que vous faites un 2e Covid et vous n’êtes peut-être pas à l’abri d’un Covid grave du fait d’anticorps facilitant…

D’autre part, il a été prouvé que les personnes qui avaient développé une thrombose suite à une injection d’AstraZeneca avaient des anticorps anti-pf4(([3] http://www.slate.fr/story/207491/thromboses-vaccination-covid-19-auto-immunite-anticorps-astrazeneca)) à l’origine des thromboses.

« La vaccination avec ChAdOx1 nCov-19 peut entraîner le développement rare d’une thrombopénie thrombotique immunitaire médiée par des anticorps activateurs de plaquettes dirigés contre le PF4, qui imite cliniquement la thrombopénie auto-immune induite par l’héparine. »

(([4] https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2104840))

Si vous êtes transfusé d’une personne ayant ces anticorps vous risquez de faire vous-même une thrombose alors même que vous n’êtes ni vacciné, ni à risque.

Si de plus vous êtes enceinte, vous risquez de les transmettre à votre enfant et si vous allaitez votre bébé, il y a aussi un risque de transmission de ces anticorps et donc de thrombopénie auto-immune.

Mais que nous dit l’Établissement Français du Sang(([5] https://dondesang.efs.sante.fr/don-de-sang-et-covid-19)) à propos du don du sang ?

« Puis-je donner mon sang si je suis vacciné contre la Covid-19 ? »

« Dans la grande majorité des cas, il est possible de donner son sang après une injection de vaccin contre la Covid-19, sans aucun délai d’ajournement à respecter. »

Donc aucun délai n’est nécessaire pas même 24 heures !

En revanche la Croix-Rouge japonaise(([6] https://www.jrc.or.jp/donation/blood/news/210222_006549.html)) est plus prudente

En février dernier elle publiait le texte suivant :

« En ce qui concerne les critères d’acceptation du don de sang pour ceux qui ont été vaccinés contre le Covid, nous sommes en train de l’examiner dans le pays, alors comprenez bien que nous nous abstiendrons de donner du sang tant que les critères ne seront pas définis. »

Le 29 avril un journal indien titrait quant à lui :

« La campagne de vaccination pour toutes les personnes de plus de 18 ans débutera le 1er mai. Une personne vaccinée ne pourrait pas donner de sang pendant au moins 60 jours, selon la réglementation. La majorité des donneurs de sang volontaires étant âgés de 18 à 45 ans, cela pourrait entraîner une pénurie importante de banques de sang.
Les banques de sang et les médecins ont exhorté les personnes qui donnent du sang à le faire avant de se faire vacciner »

Il semblerait donc, comme le nuage de Tchernobyl, que le risque engendré par le don du sang de personnes vaccinées ne concerne pas la France.

Une fois encore, nous voyons que le principe de précaution est jeté aux oubliettes alors même qu’il serait raisonnable de l’interdire et de faire des études.

Je ne saurais conseiller aux personnes qui ont une intervention chirurgicale programmée de faire appel à l’autotransfusion, ce que l’on appelle la transfusion autologue programmée.

La vaccination « contagieuse(([7] Merci à C pour son aide…)) » ?

Une théorie qui circule sur les réseaux sociaux voudrait que les personnes vaccinées pourraient être en capacité de vacciner les non-vaccinés « automatiquement » sans la moindre injection.

Quelques éléments de réflexion qui vont à l’encontre de cette théorie :

  • Aucun intérêt d’un point de vue économique, le vaccin devient gratuit.
  • Aucune obligation de faire des campagnes de vaccination délirantes étant donné que la contamination vaccinale sera automatique.
  • La thèse des industriels « bons » ou des gouvernements « bons » ne peut que faire rire.
  • La thèse du vaccin contagieux éradicateur de la population ne tient pas non plus la route, car tôt ou tard les instigateurs finiraient par être aussi contaminés et donc tués par leur propre arme et s’ils attendaient l’extinction de l’espèce humaine dans un abri antiatomique, rien ne dit que le virus vaccin ne se répandrait pas aussi chez les animaux…

Quand bien même, cela serait-il totalement impossible d’un point de vue théorique ?

Prenons par exemple l’AstraZeneca et son adénovirus.

Celui-ci est rendu « stérile » pour justement éviter le problème.

Mais si d’aventure une personne était contaminée en même temps par un adénovirus anodin et par l’adénovirus de l’AstraZeneca, une recombinaison de ces adénovirus pourrait rendre sa capacité « reproductive » au « vaccin » et ainsi une personne qui serait contaminée par ce nouveau virus recombiné serait ainsi vaccinée en attrapant le virus qui pourrait se répandre librement.

Pas évident, difficilement, voire totalement incontrôlable, économiquement débile, extrêmement dangereux, mais pas totalement délirant d’un point de vue théorique.

Conclusion :

Alors est-ce que les vaccinés sont dangereux pour les non-vaccinés ?

La réponse est sans hésiter « oui », mais nous ignorons dans quelle mesure.

Non seulement les vaccinés sont probablement plus en danger que les non-vaccinés, car ils risquent de développer des Covid graves du fait des anticorps facilitants qui sont « aidés » par ces faux vaccins qui ne ciblent que la protéine spike et en plus de façon imparfaite…

Mais ils sont aussi réellement dangereux pour les non-vaccinés du fait de la prolifération des variants qu’ils favorisent.

Il est aussi totalement évident que les dons du sang devraient être à minima interdits dans les 30 jours suivant une vaccination.

Je terminerai en rappelant que le principe de précaution est bafoué depuis des mois…

Mais alors que j’étais choqué des projets d’étoiles jaunes pour les non-vaccinés ou d’apartheid, je dois vous dire que l’idée me séduit de plus en plus de me retrouver en sécurité et libre de vie avec des non vaccinés… loin des vaccinés potentiellement dangereux.

Si une majorité du peuple accepte ou demande d’être prisonnier, piqué, pucé, obligé de respecter des gestes barrières et des masques ad vitam æternam (un coup oui, un coup non), je préfère de loin fabriquer mon petit monde où nous serions libres de nous réunir, de vivre, de nous serrer dans les bras ou d’aller au restaurant sans gestes barrières ou muselières.

Merci.

Alain Tortosa.

Le 10 mai 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210510-avoir-peur-des-personnes-vaccinees.pdf





La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?

[Source : Cogiito]

[Ndlr : l’utilisation du mot « thé » dans la traduction originale a été remplacée ici par le terme plus approprié de « tisane ».]


par Mike Adams
https://www.afinalwarning.com/517717.html

La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ? Découvrez la suramine, l’acide shikimique et comment fabriquer vos propres extraits

Avis de non-responsabilité : les informations présentées dans cet article et ce podcast sont uniquement destinées à des fins d’information.

Rien de ce qui est présenté ici n’est destiné à diagnostiquer ou à traiter une quelconque maladie, et aucun supplément ou produit n’est proposé à la vente en relation avec ces informations.

Il semblerait que la tisane aux aiguilles de pin pourrait offrir une solution contre l’« excrétion » ou la transmission du vaccin contre le covid, qui semble être un phénomène où les personnes vaccinées propagent des particules ou des substances nocives à leur entourage.

https://www.naturalnews.com/2021-05-07-salk-institute-reveals-the-covid-spike-protein-causing-deadly-blood-clots.html

Voir cet article d’un site de blog WordPress appelé « Ambassador Love » :
PINE TEA: Possible Antidote for Spike Protein Transmission

Cet article déclare :

Il existe un antidote potentiel à la contagion actuelle de la protéine Spike qui s’appelle Suramin. On la trouve dans de nombreuses forêts du monde, dans les aiguilles de pin.

La suramine a des effets inhibiteurs sur les composants provoquant la cascade de coagulation et sur la réplication et la modification inappropriées de l’ARN et de l’ADN. Une coagulation excessive provoque des caillots sanguins, des mini-caillots, des accidents vasculaires cérébraux et des cycles menstruels anormalement lourds.

La tisane aux aiguilles de pin est l’un des antioxydants les plus puissants qui soient et elle est connue pour traiter le cancer, les inflammations, le stress et la dépression, la douleur et les infections respiratoires. La tisane aux aiguilles de pin tue également les parasites.

Vous trouverez ci-dessous un podcast et une vidéo complets qui révèlent deux méthodes d’extraction, qui sont toutes deux des méthodes simples, de faible technicité et peu coûteuses, pouvant être utilisées presque partout.

Les aiguilles de pin fraîches provenant d’arbres appropriés sont utilisées depuis des siècles comme sources de vitamine C et d’autres substances phytochimiques que les Amérindiens utilisaient pour traiter les infections respiratoires et d’autres affections. La vitamine C est un remède connu contre le scorbut, puisque le scorbut est une maladie due à une carence en vitamine C.

Les aiguilles de pin contiennent de nombreuses autres substances qui semblent réduire l’agrégation des plaquettes dans le sang, prévenant ainsi potentiellement la formation de caillots sanguins à l’origine des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et des embolies pulmonaires. (Voir les sources scientifiques publiées ci-dessous).

Les aiguilles de pin sont utilisées par les populations indigènes du monde entier comme aliment et comme médicament depuis des milliers d’années. Nombreux sont ceux qui pensent aujourd’hui que les aiguilles de pin peuvent offrir une protection contre les protéines Spike du covid – qui sont des armes biologiques artificielles présentes dans les vaccins contre le covid – ainsi que contre les particules d’excrétion du vaccin contre le covid, qui semblent également être des armes biologiques conçues pour parvenir à une dépopulation mondiale.

Le Dr Judy Mikovits affirme que les mondialistes savent parfaitement que la tisane d’aiguilles de pin est la réponse aux armes de dépeuplement covidien, et ils utilisent secrètement la tisane d’aiguilles de pin pour se protéger du fléau qu’ils ont lâché sur le monde, explique Mikovitz.

Fouiller dans la science derrière les aiguilles de pin et les covidés

En tant que scientifique de laboratoire, j’ai décidé de creuser cette question à l’aide de mes connaissances et de mon expérience en laboratoire. Faire bouillir des aiguilles de pin fraîches pour en faire une tisane [ou infusion] est une méthode d’extraction couramment utilisée en science alimentaire et en médecine traditionnelle chinoise (MTC).

L’eau agit comme un solvant et, grâce à la chaleur et au temps, certains composés phytochimiques des aiguilles de pin sont extraits dans l’eau, ce qui donne une tisane aux aiguilles de pin. (C’est ainsi que toutes les infusions sont fabriquées).

En parcourant les recherches scientifiques publiées sur ce sujet, je me suis posé deux questions principales :

1) Quelles sont les molécules que l’on trouve dans les aiguilles de pin, et quelles sont leurs fonctions en ce qui concerne l’arrêt de la formation de caillots sanguins ou la protection des personnes non vaccinées contre l’excrétion du vaccin covid ?

2) Quelle est la meilleure méthode d’extraction pour extraire ces molécules des aiguilles de pin ? Existe-t-il une méthode d’extraction à faible technicité que presque tout le monde peut utiliser, sans avoir besoin d’un laboratoire ?

Grâce à mes recherches, j’ai découvert que les aiguilles de pin contiennent non seulement de la suramine, une grosse molécule à laquelle on attribue divers effets médicinaux, mais aussi de l’acide shikimique.

L’acide shikimique est à la base du Tamiflu, et c’est la molécule que l’on trouve dans l’anis étoilé, une herbe de la médecine chinoise, qui guérit les pestes.

Imaginez ma surprise lorsque j’ai découvert que les aiguilles de pin contiennent de l’acide shikimique, la même molécule que l’on trouve dans l’anis étoilé utilisé en médecine traditionnelle chinoise pour traiter les pestes et les maladies respiratoires.

En 2010, le Boston Herald a publié un article révélant que des chercheurs étudiaient les techniques d’extraction de l’acide shikimique des aiguilles de pin afin de fournir cette matière première à l’industrie pharmaceutique pour la fabrication de médicaments antiviraux, antigrippaux et antipandémiques.

http://archive.boston.com/news/local/massachusetts/articles/2010/11/07/maine_pine_needles_yield_valuable_tamiflu_material/

Extrait de cette histoire :

Des chercheurs de l’université du Maine à Orono affirment avoir trouvé une nouvelle méthode relativement facile pour extraire l’acide shikimique – un ingrédient clé du médicament Tamiflu – des aiguilles de pin.

L’acide shikimique peut être extrait des aiguilles de pin blanc, de pin rouge et d’autres conifères simplement en faisant bouillir les aiguilles dans l’eau, a déclaré le professeur de chimie Ray Fort Jr.

Mais l’acide extrait pourrait être précieux car, le Tamiflu est le médicament antiviral le plus utilisé au monde pour traiter la grippe porcine, la grippe aviaire et la grippe saisonnière. La principale source d’acide shikimique est actuellement l’anis étoilé, un fruit inhabituel en forme d’étoile qui pousse sur de petits arbres originaires de Chine.

Les recherches ont été financées par diverses sources, dont le Maine Technology Institute, le ministère américain de l’agriculture, la National Science Foundation et le département de chimie de l’université.

Une étude publiée dans ResearchGate confirme que l’acide shikimique présente une activité antiagrégante plaquettaire, ce qui signifie qu’il aide à stopper la formation de caillots sanguins : Analyse du contenu de l’acide shikimique dans les aiguilles de pin de Masson et activité antiagrégante plaquettaire.

Extrait de l’étude :

L’acide shikimique, lorsqu’il est séparé par HPLC, présente un effet inhibiteur dose-dépendant sur l’agrégation plaquettaire induite par l’adénosine diphosphate et le collagène chez les lapins. En raison de la teneur relativement élevée et de la bonne activité antiagrégante plaquettaire de l’acide shikimique, les aiguilles de pin de Masson peuvent être utilisées comme source potentielle d’acide shikimique.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ceat.200700413

(…)ont obtenu un rendement d’environ 6% d’acide shikimique à partir d’aiguilles de pin Masson, ce qui est probablement le rendement le plus élevé extrait de toute espèce de pin jusqu’à présent (Chen et al. 2014). Puisque les aiguilles de pin sont peu coûteuses et facilement disponibles en Asie du Nord, en Amérique du Nord et en Europe, il est fort possible de les utiliser pour fabriquer des médicaments contre les espèces d’anis étoilé moins disponibles.

Cette étude a révélé que les aiguilles de pin fournissent environ deux tiers de l’acide shikimique de l’herbe d’anis étoilé :

Aiguilles de pin de Masson = 5,71% d’acide shikimique
Anis étoilé = 8,95% d’acide shikimique

Nous savons donc que les aiguilles de pin, qui sont extrêmement répandues en Amérique du Nord, en Chine et en Europe, fournissent de l’acide shikimique, une sorte de molécule « miracle » qui pourrait s’avérer incroyablement utile pour arrêter la formation de caillots sanguins et défendre les personnes contre les infections respiratoires.

Des recherches plus approfondies m’ont conduit à une étude qui a utilisé la recherche sur les réseaux neuronaux pour optimiser les conditions d’extraction afin de réaliser un extrait très efficace des aiguilles de pin : 17 Optimization of Extraction Conditions of Shikimic Acid in Pine Needles Based on Artificial Neural Network.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ceat.200700413

Cette étude propose la recette suivante pour optimiser l’extraction :

Utiliser environ 75 % d’alcool (comme la vodka) et 25 % d’eau.
Utilisez une machine à ultrasons avec un récipient en acier inoxydable.
Réglez la température à 65 degrés C.
Utilisez 280 ml de solution d’extraction pour 10 grammes d’aiguilles de pin.
Utilisez une durée de 25 minutes pour l’extraction par ultrasons.
Cette infusion terminée doit être filtrée à travers un filtre à café ou un autre filtre en papier afin d’éliminer les grosses particules. Le liquide obtenu contiendra de l’acide shikimique, de la suramine, des pigments et divers terpènes, et présentera généralement une certaine coloration et un goût plutôt piquant.

Regardez cette vidéo pour voir comment j’ai utilisé un appareil de nettoyage à ultrasons pour créer un extrait aqueux d’herbe de romarin :



Comment extraire l’acide shikimique à l’aide d’une machine à expresso ordinaire ?

Le résultat le plus intéressant de cette recherche a été la découverte d’un article scientifique publié qui décrit l’utilisation d’une machine à expresso ordinaire pour effectuer une extraction très efficace de l’acide shikimique de l’anis étoilé.

Cet article est publié dans Science Direct :

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S2352554116300493

Quantification totale et extraction de l’acide shikimique de l’anis étoilé (llicium verum) en utilisant la RMN à l’état solide et des solutions aqueuses d’hydroxyde dissolvant la cellulose.

L’article a été publié dans Organic Letters en 2015, et apparaît également sous forme de PDF sur le site de l’université de l’Oregon. (Ce lien peut poser problème dans certains navigateurs car il contient des espaces dans l’URL).

Extrait du résumé de cette étude :

RÉSUMÉ :

Un nouveau processus pratique, rapide et à haut rendement pour l’extraction à l’eau chaude sous pression (PHWE) de quantités de plusieurs grammes d’acide shikimique à partir d’une plante.

L’acide shikimique de l’anis étoilé (Illicium verum) à l’aide d’une machine à expresso domestique non modifiée. Cette méthode, simple et peu coûteuse, permet d’isoler de manière efficace et directe l’acide shikimique et de préparer facilement une série de dérivés synthétiques.

Préparation facile d’une série de ses dérivés synthétiques :

En d’autres termes, ils profitent de la chambre pressurisée d’une machine à expresso pour effectuer une extraction chaleur + pression de l’acide shikimique de l’anis étoilé.

D’après mon expérience, on peut remplacer l’anis étoilé par des aiguilles de pin fraîches moulues (vertes, pas brunes) pour obtenir un résultat similaire, en extrayant l’acide shikimique des aiguilles de pin. Pour une extraction efficace, il est conseillé de broyer d’abord les aiguilles de pin, en utilisant un broyeur à herbes bon marché.

J’ai l’intention de reproduire ce résultat dans mon propre laboratoire, mais j’ai pensé que je devais le partager publiquement dès que possible en raison de la menace mortelle que représentent actuellement pour l’humanité les vaccins covidés armés.

Les auteurs de l’étude confirment également que l’acide shikimique est une molécule antivirale efficace qui inhibe également la réplication virale dans l’organisme :

Il a également été démontré que les dérivés de l’acide shikimique présentent une activité biologique utile. Plus particulièrement, le célèbre médicament antiviral oseltamivir (Tamiflu), qui agit comme un inhibiteur de la neuraminidase virale, est utilisé pour traiter la grippe saisonnière et a été déployé pendant les épidémies de grippe H1N1.

En outre, il a été démontré que les analogues fluorés du shikimate inhibent P. falciparum et ont été testés comme médicaments antipaludiques. En outre, la zeylénone (3) dérivée de l’acide shikimique présente un comportement anticancéreux, antiviral et antibiotique, et l’acide triacétylshikimique présente des propriétés anticoagulantes et antithromiques.

Une activité anticoagulante et antithrombotique

Remarquez le terme clé « anticoagulant » dans la phrase ci-dessus.

L’étude, qui a été réalisée en Tasmanie, en Australie, a délibérément cherché une méthode peu coûteuse et peu technologique pour extraire l’acide shikimique de plantes communes (aiguilles de pin) :

Cette méthode est une extraction rapide et peu coûteuse à l’eau chaude sous pression (PHWE)… le premier exemple de l’utilisation en laboratoire d’une simple machine à expresso pour faciliter l’extraction de l’acide shikimique.
premier exemple de l’utilisation en laboratoire d’une simple machine à expresso pour faciliter l’extraction de produits naturels (autres que la caféine) à partir de matériel végétal.

Nous avons cherché à utiliser spécifiquement un équipement relativement bon marché, peu sophistiqué et disponible dans le commerce pour réaliser l’extraction de quantités de plusieurs grammes d’anis étoilé.21 Par conséquent, étant donné que la pompe d’une machine à expresso permet l’écoulement continu d’eau à des températures allant jusqu’à 96 °C et à des pressions de 9 bars, nous avons pensé qu’un tel système serait adapté à nos besoins.

En effet, cette idée est purement géniale dans sa simplicité. Et les auteurs de l’étude ont réussi à extraire puis à purifier les cristaux d’acide shikimique par un procédé relativement simple.

Cela pourrait signifier que le « remède » contre le covid est disponible gratuitement et se développe sur de nombreux continents.

Le résultat de tout ceci est qu’un éventuel « remède » contre le covid – ou du moins une défense contre l’excrétion/la transmission du covid – semble être déjà fourni par Mère Nature et est facilement disponible sur plusieurs continents.

Sans avoir à compter sur des produits pharmaceutiques brevetés, contrôlés et des vaccins armés qui sont clairement conçus pour répandre la maladie et atteindre une dépopulation mondiale par la mort de masse, les personnes qui veulent survivre à l’holocauste du vaccin contre le covid peuvent simplement récolter et traiter les aiguilles de pin en utilisant des machines à expresso, et ils peuvent potentiellement fabriquer leur propre médicament anti-peste.

Naturellement, nous aimerions voir plus de recherches sur tout cela – et s’il vous plaît tenez compte des précautions de sécurité ci-dessous – mais il est clair que l’establishment de la science et de la médecine a perdu toute crédibilité ou intérêt à protéger l’humanité et travaille maintenant délibérément à exterminer des milliards d’êtres humains.

Par conséquent, attendre que cette industrie étudie les plantes médicinales communes est une course folle. Il n’y aura jamais de financement disponible pour de telles recherches, car ces découvertes n’augmentent pas les profits de Big Pharma en matière de vaccins et de médicaments.

Pourtant, pour ceux qui sont en mesure d’accéder aux bons types d’aiguilles de pin – et qui ne sont pas enceintes ou ne prévoient pas de l’être, voir ci-dessous – ce remède simple et naturel pourrait finalement s’avérer être un traitement « miracle » qui sauve des vies contre les vaccins contre le covid et le covid.

Pour information, nous ne vendons pas d’aiguilles de pin ou d’extraits d’aiguilles de pin, donc les régulateurs qui cherchent à interdire cet article devront aller harceler quelqu’un d’autre. Nous offrons ces informations telles quelles, sans garantie, dans un souci de « publication d’autorisation d’urgence » pour le bien de l’humanité et dans l’intention de sauver des vies de ce vaccin mortel.

Écoutez mon podcast complet ici pour en savoir encore plus sur ce sujet passionnant et sur le remède possible contre les vaccins covidés [en anglais] :



https://www.brighteon.com/7c129e86-7e2b-47a7-bc74-dd19621e4042

Précautions à prendre lors de l’utilisation d’aiguilles de pin

Avant de consommer une tisane ou un extrait fabriqué à partir de plantes, assurez-vous de savoir quelles plantes vous utilisez. Tous les pins ne conviennent pas, et certains conifères – comme l’if – sont toxiques.

Le bétail est connu pour avoir subi des avortements spontanés après avoir consommé des aiguilles de pin fraîches comme source de nourriture. Par conséquent, toute personne qui prévoit une grossesse (ou qui est déjà enceinte) devrait évidemment éviter de consommer de la tisane aux aiguilles de pin, par simple précaution.

Tous les crétins de la science « réveillée » en Amérique et dans le monde ont oublié que seules les femmes peuvent tomber enceintes, donc cette précaution particulière ne s’applique évidemment pas aux hommes. Si vous pensez que les hommes peuvent tomber enceintes, vous avez peut-être déjà subi des dommages cognitifs dus aux vaccins covidés et vous devriez consulter immédiatement un médecin.

Le pin de l’île de Norfolk et le pin ponderosa sont également soupçonnés de provoquer des avortements spontanés et devraient probablement être évités.

Nous ne connaissons pas la composition complète des diverses espèces de pins, et nous ne pouvons donc pas, en toute conscience, dire à qui que ce soit de boire de la tisane faite à partir d’aiguilles de pin. Si vous décidez de le faire, faites preuve de bon sens et prenez toutes les précautions nécessaires, et travaillez avec un naturopathe qualifié pour élaborer une stratégie à base de plantes compatible avec votre propre biologie et vos objectifs de santé particuliers.

Sachez également que la tisane d’aiguilles de pin peut interagir de manière inattendue avec des médicaments sur ordonnance, dont la plupart sont toxiques en soi.

Nous allons confirmer ce processus d’extraction à l’aide d’une machine à expresso et d’un instrument de spectrométrie de masse quadruple à CWC Labs.

La bonne nouvelle dans tout cela, c’est qu’il semble que les gens ordinaires peuvent récolter l’acide shikimique à partir des aiguilles de pin en utilisant une machine à expresso ordinaire.

Ou, pour une extraction plus approfondie d’un large spectre de terpènes, les gens peuvent utiliser un appareil à ultrasons pour réaliser de telles extractions (voir ma vidéo ci-dessus).

En tant que service public, je suis en train de lancer un projet de laboratoire dans mon laboratoire privé pour reproduire cette méthode d’extraction de l’acide shikimique, mais en utilisant des aiguilles de pin au lieu de l’anis étoilé :

Nous achetons des standards d’acide shikimique et recherchons une méthode HPLC / Mass spec pour la quantification de l’acide shikimique.
Nous sommes en train d’acheter un simple moulin à herbe et une machine à expresso neuve et propre pour tester l’extraction.
Une fois terminé, nous prévoyons de diffuser une vidéo de notre laboratoire, vous montrant les résultats de nos tentatives d’extraction.
Nous allons probablement utiliser des aiguilles de pin loblobby, car c’est ce qui est commun dans la région centrale du Texas. Je ne connais pas la teneur en acide shikimique des pins loblobby.

Restez à l’écoute de NaturalNews.com et de ma chaîne Brighteon.com pour d’autres mises à jour sur ce sujet extrêmement important pour l’humanité :

https://www.brighteon.com/channels/hrreport




57 scientifiques et médecins demandent l’arrêt immédiat de toutes les « vaccinations » Covid-19

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Un groupe de 57 scientifiques, médecins et experts politiques de premier plan a publié un rapport appelant à remettre en question la sécurité et l’efficacité des « vaccins » COVID-19 actuels et réclame maintenant la fin immédiate de tous les programmes de vaccination – parmi eux la généticienne Alexandra Henrion-Caude.

Les thérapies utilisées appelés « vaccins » ne répondent pas à la définition du mot vaccin et il serait plus approprié de les nommer thérapies géniques ou thérapies à vecteurs vaccinaux.

Il existe deux certitudes concernant la distribution mondiale de ces thérapies Covid-19 :

  • La première est que les gouvernements et la grande majorité des médias grand public mettent toutes leurs forces pour que ces médicaments expérimentaux s’adressent au plus grand nombre de personnes possible. 
  • La deuxième est que ceux qui sont prêts à affronter le mépris qui accompagne le fait de poser des questions sérieuses sur les vaccins sont des acteurs essentiels dans nos efforts continus pour répandre la vérité.

Vous pouvez lire ce manuscrit en pré-impression ci-dessous. Il a été préparé par près de soixante médecins, scientifiques et experts en politiques publiques du monde entier pour être envoyé de toute urgence aux dirigeants mondiaux ainsi qu’à tous ceux qui sont associés à la production et à la distribution des différents vaccins Covid-19 en circulation.

Il y a encore beaucoup trop de questions sans réponse concernant l’innocuitél’efficacité et la nécessité de ces thérapies Covid-19. 

Cette étude est une bombe qui devrait être lue par tout le monde, quel que soit son point de vue sur les thérapies géniques ou vaccins. Il n’y a pas assez de citoyens qui posent des questions. La plupart des gens suivent simplement les ordres des gouvernements mondiaux, comme s’ils avaient gagné notre entière confiance. Ce n’est pas le cas. Ce manuscrit est un pas en avant en termes de responsabilité et de libre circulation de l’information sur ce sujet crucial. Veuillez prendre le temps de le lire et de le partager largement.
 


Vaccination de masse contre le SRAS-CoV-2: questions urgentes sur la sécurité des vaccins qui exigent des réponses des agences internationales de santé, des autorités réglementaires, des gouvernements et des développeurs de vaccins

Auteurs : Roxana Bruno 1 , Peter McCullough 2 , Teresa Forcades i Vila 3 , Alexandra Henrion-Caude 4 , Teresa García-Gasca 5 , Galina P. Zaitzeva 6 , Sally Priester 7 , María J.Martínez Albarracín 8 , Alejandro Sousa-Escandon 9 , Fernando López Mirones 10 , Bartomeu Payeras Cifre 11 , Almudena Zaragoza Velilla 10 , Leopoldo M. Borini 1 , Mario Mas 1 , Ramiro Salazar 1 , Edgardo Schinder 1 , Eduardo A Yahbes 1 , Marcela Witt 1, Mariana Salmeron 1 , Patricia Fernández 1 , Miriam M. Marchesini 1 , Alberto J. Kajihara 1 , Marisol V. de la Riva 1 , Patricia J. Chimeno 1 , Paola A. Grellet 1 , Matelda Lisdero 1 , Pamela Mas 1 , Abelardo J. Gatica Baudo 12 , Elisabeth Retamoza 12 , Oscar Botta 13 , Chinda C. Brandolino 13 , Javier Sciuto 14 , Mario Cabrera Avivar 14 , Mauricio Castillo 15 , Patricio Villarroel 15 , Emilia P. Poblete Rojas 15, Bárbara Aguayo 15 , Dan I. Macías Flores 15 , Jose V. Rossell 16 , Julio C. Sarmiento 17 , Victor Andrade-Sotomayor 17 , Wilfredo R. Stokes Baltazar 18 , Virna Cedeño Escobar 19 , Ulises Arrúa 20 , Atilio Farina del Río 21 , Tatiana Campos Esquivel 22 , Patricia Callisperis 23 , María Eugenia Barrientos 24 , Karina Acevedo-Whitehouse 5 ,

Résumé

Depuis le début de l’épidémie de COVID-19, la course au test de nouvelles plates-formes conçues pour conférer une immunité contre le SRAS-CoV-2, a été endémique et sans précédent, conduisant à l’autorisation d’urgence de divers vaccins. Malgré les progrès de la polychimiothérapie précoce pour les patients atteints de COVID-19, le mandat actuel est de vacciner la population mondiale le plus rapidement possible. Le manque de tests approfondis sur les animaux avant les essais cliniques et l’autorisation basée sur les données de sécurité générées lors des essais qui ont duré moins de 3,5 mois, soulèvent des questions concernant la sécurité de ces vaccins. Le rôle récemment identifié du pic de glycoprotéine du SRAS-CoV-2 qui peut induire des lésions endothéliales caractéristiques du COVID-19, même en l’absence d’infection, est extrêmement pertinent étant donné que la plupart des vaccins autorisés induisent la production de glycoprotéine Spike chez les receveurs. Compte tenu du taux élevé d’occurrence des effets indésirables et du large éventail de types d’effets indésirables signalés à ce jour, ainsi que du potentiel d’amélioration de la maladie due au vaccin, de l’immunopathologie Th2, de l’auto-immunité et de l’évasion immunitaire, il y a la nécessité d’une meilleure compréhension des bénéfices et des risques de la vaccination de masse, en particulier dans les groupes exclus des essais cliniques. Malgré les appels à la prudence, les risques de vaccination contre le SRAS-CoV-2 ont été minimisés ou ignorés par les organisations de santé et les autorités gouvernementales. Nous appelons à la nécessité d’un dialogue pluraliste dans le cadre des politiques de santé.

Introduction

Depuis que la déclaration de la pandémie Covid-19 en mars 2020, plus de 150 millions de cas et 3 millions de décès ont été rapportés dans le monde. Malgré les progrès de la polychimiothérapie ambulatoire précoce pour les patients à haut risque, entraînant une réduction de 85% des hospitalisations et des décès liés au COVID-19 [1], le paradigme actuel de contrôle est la vaccination de masse. Bien que nous reconnaissions l’effort impliqué dans le développement, la production et l’autorisation d’urgence des vaccins contre le SRAS-CoV-2, nous sommes préoccupés par le fait que les risques ont été minimisés ou ignorés par les organisations de santé et les autorités gouvernementales, malgré les appels à la prudence [2-8].

Les vaccins contre d’autres coronavirus n’ont jamais été approuvés pour l’homme, et les données générées dans le développement de vaccins contre les coronavirus conçus pour susciter des anticorps neutralisants montrent qu’ils peuvent aggraver la maladie COVID-19 via une amélioration dépendante des anticorps (ADE) et l’immunopathologie Th2, quel que soit le vaccin. plate-forme et méthode de livraison [9-11]. On sait que l’augmentation de la maladie d’origine vaccinale chez les animaux vaccinés contre le SRAS-CoV et le MERS-CoV se produit à la suite d’une provocation virale et a été attribuée à des complexes immuns et à la capture virale médiée par Fc par les macrophages, qui augmentent l’activation et l’inflammation des lymphocytes T [11 -13].

En mars 2020, des immunologistes vaccinaux et des experts en coronavirus ont évalué les risques du vaccin contre le SRAS-CoV-2 sur la base d’essais de vaccins contre le SRAS-CoV sur des modèles animaux. Le groupe d’experts a conclu que l’EIM et l’immunopathologie constituaient une réelle préoccupation, mais a déclaré que leur risque était insuffisant pour retarder les essais cliniques, même si une surveillance continue serait nécessaire [14]. Bien qu’il n’y ait aucune preuve claire de la survenue d’EIM et d’immunopathologie liée au vaccin chez des volontaires immunisés avec des vaccins contre le SRAS-CoV-2 [15], les essais de sécurité à ce jour n’ont pas spécifiquement abordé ces effets indésirables graves (EIG). Étant donné que le suivi des volontaires n’a pas dépassé 2-3,5 mois après la deuxième dose [16-19], il est peu probable qu’un tel EIG ait été observé. Malgré 92 erreurs de déclaration, on ne peut ignorer que même en tenant compte du nombre de vaccins administrés, selon le système américain de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS), le nombre de décès par million de doses de vaccin administrées a été multiplié par plus de 10. Nous pensons qu’il y a un besoin urgent d’un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins dans le contexte de la vaccination à grande échelle. 

Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d’exclusion des essais de phase 3 et discutons de l’ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d’enregistrement des effets indésirables. Nous soulignons les questions sans réponse et attirons l’attention sur la nécessité d’une approche plus prudente de la vaccination de masse. Nous pensons qu’il y a un besoin urgent d’un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins dans le contexte de la vaccination à grande échelle. Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d’exclusion des essais de phase 3 et discutons de l’ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d’enregistrement des effets indésirables. Nous soulignons les questions sans réponse et attirons l’attention sur la nécessité d’une approche plus prudente de la vaccination de masse. Nous pensons qu’il y a un besoin urgent d’un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins dans le contexte de la vaccination à grande échelle. Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d’exclusion des essais de phase 3 et discutons de l’ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d’enregistrement des effets indésirables. Nous soulignons les questions sans réponse et attirons l’attention sur la nécessité d’une approche plus prudente de la vaccination de masse.

Critères d’exclusion de l’essai de phase 3 du SRAS-CoV-2

À quelques exceptions près, les essais vaccinaux contre le SRAS-CoV-2 ont exclu les personnes âgées [16-19], ce qui a rendu impossible l’identification de la survenue d’une éosinophilie post-vaccination et d’une inflammation accrue chez les personnes âgées. Des études sur les vaccins contre le SRAS-CoV ont montré que les souris âgées immunisées couraient un risque particulièrement élevé d’immunopathologie Th2 potentiellement mortelle [9,20]. Malgré ces preuves et les données extrêmement limitées sur l’innocuité et l’efficacité des vaccins contre le SRAS-CoV-2 chez les personnes âgées, les campagnes de vaccination de masse se sont concentrées dès le début sur cette tranche d’âge. La plupart des essais ont également exclu les volontaires enceintes et allaitantes, ainsi que celles souffrant d’affections chroniques et graves telles que la tuberculose, l’hépatite C, l’auto-immunité, les coagulopathies, le cancer et l’immunosuppression [16-29], bien que ces receveurs se voient désormais proposer le vaccin sous la prémisse de la sécurité.

Un autre critère d’exclusion de presque tous les essais était l’exposition antérieure au SRAS-CoV-2. Ceci est regrettable car cela a nié la possibilité d’obtenir des informations extrêmement pertinentes concernant les effets indésirables post-vaccinaux chez les personnes qui ont déjà des anticorps anti-SRAS-Cov-2. Au meilleur de nos connaissances, les EAD ne sont pas systématiquement surveillées pour tout âge ou groupe de conditions médicales actuellement administré le vaccin. De plus, malgré une proportion substantielle de la population ayant déjà des anticorps [21], des tests pour déterminer le statut des anticorps anti-SRAS-CoV-2 avant l’administration du vaccin ne sont pas effectués en routine.

Les effets indésirables graves des vaccins contre le SRAS-CoV-2 passeront-ils inaperçus?

Le COVID-19 englobe un large spectre clinique, allant de la pathologie pulmonaire très légère à sévère et de la maladie multi-organique mortelle avec dérégulation inflammatoire, cardiovasculaire et de la coagulation sanguine [22-24]. En ce sens, les cas d’EIM ou d’immunopathologie liés au vaccin seraient cliniquement indiscernables d’un COVID-19 sévère [25]. De plus, même en l’absence de virus SRAS-CoV-2, la glycoprotéine de Spike seule provoque des lésions endothéliales et une hypertension in vitro et in vivo chez les hamsters syriens en régulant à la baisse l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) et en altérant la fonction mitochondriale [26]. Bien que ces résultats doivent être confirmés chez l’homme, les implications de cette découverte sont stupéfiantes, car tous les vaccins autorisés pour une utilisation d’urgence sont basés sur l’administration ou l’induction de la synthèse de glycoprotéines Spike. Dans le cas des vaccins à ARNm et des vaccins vectorisés par adénovirus, aucune étude n’a examiné la durée de la production de Spike chez l’homme après la vaccination. Selon le principe de prudence, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être à tort comptée comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. aucune étude n’a examiné la durée de la production de Spike chez l’homme après la vaccination. Selon le principe de prudence, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être à tort comptée comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. aucune étude n’a examiné la durée de la production de Spike chez l’homme après la vaccination. Selon le principe de prudence, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être à tort comptée comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être comptabilisée à tort comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être comptabilisée à tort comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. les véritables effets indésirables de la stratégie mondiale actuelle de vaccination ne seront peut-être jamais reconnus à moins que des études examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. les véritables effets indésirables de la stratégie mondiale actuelle de vaccination ne seront peut-être jamais reconnus à moins que des études examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination.

Réactions indésirables imprévues aux vaccins contre le SRAS-CoV-2

L’auto-immunité est un autre problème critique à prendre en compte compte tenu de l’échelle mondiale de la vaccination contre le SRAS-CoV-2. Le SRAS-CoV-2 possède de nombreuses protéines immunogènes et tous ses épitopes immunogènes sauf un ont des similitudes avec les protéines humaines [27]. Ceux-ci peuvent agir comme une source d’antigènes, conduisant à une auto-immunité [28]. S’il est vrai que les mêmes effets pourraient être observés lors d’une infection naturelle par le SRAS-CoV-2, la vaccination est destinée à la plupart de la population mondiale, alors que l’on estime que seulement 10% de la population mondiale a été infectée par le SRAS-CoV -2, selon le Dr Michael Ryan, responsable des urgences à l’Organisation mondiale de la santé. Nous n’avons pas pu trouver de preuve que l’un quelconque des vaccins actuellement autorisés a criblé et exclu les épitopes immunogènes homologues pour éviter une auto-immunité potentielle due à un amorçage pathogène.

Certains effets indésirables, notamment des troubles de la coagulation sanguine, ont déjà été rapportés chez des personnes vaccinées en bonne santé et jeunes. Ces cas ont conduit à la suspension ou à l’annulation de l’utilisation des vaccins adénoviraux vectorisés ChAdOx1-nCov-19 et Janssen dans certains pays. Il a maintenant été proposé que la vaccination avec ChAdOx1-nCov-19 puisse entraîner une thrombopénie thrombotique immunitaire (VITT) médiée par des anticorps activant les plaquettes contre le facteur plaquettaire-4, qui imite cliniquement la thrombocytopénie auto-immune induite par l’héparine [29]. Malheureusement, le risque a été négligé lors de l’autorisation de ces vaccins, bien que la thrombocytopénie induite par les adénovirus soit connue depuis plus d’une décennie et ait été un événement constant avec les vecteurs adénoviraux [30]. Le risque de VITT serait vraisemblablement plus élevé chez les personnes déjà à risque de caillots sanguins,

Au niveau de la population, il pourrait également y avoir des impacts liés aux vaccins. Le SARS-CoV-2 est un virus à ARN à évolution rapide qui a jusqu’à présent produit plus de 40 000 variants [32,33] dont certains affectent le domaine antigénique de la glycoprotéine de Spike [34,35]. Compte tenu des taux de mutation élevés, la synthèse induite par le vaccin de niveaux élevés d’anticorps anti-SRAS-CoV-2-Spike pourrait théoriquement conduire à des réponses sous-optimales contre les infections ultérieures par d’autres variants chez les individus vaccinés [36], un phénomène connu sous le nom de « sin »[37] ou amorçage antigénique [38]. On ne sait pas dans quelle mesure les mutations qui affectent l’antigénicité du SRAS-CoV-2 se fixeront au cours de l’évolution virale [39], mais les vaccins pourraient vraisemblablement agir comme des forces sélectives entraînant des variantes avec une infectivité ou une transmissibilité plus élevée. Compte tenu de la forte similitude entre les variantes connues du SRAS-CoV-2, ce scénario est peu probable [32,34] mais si les variantes futures devaient différer davantage dans les épitopes clés, la stratégie de vaccination mondiale aurait pu contribuer à façonner un virus encore plus dangereux. Ce risque a été récemment porté à l’attention de l’OMS sous forme de lettre ouverte [40].

Discussion

Les risques décrits ici constituent un obstacle majeur à la poursuite de la vaccination mondiale contre le SRAS-CoV-2. Des preuves de l’innocuité de tous les vaccins contre le SRAS-CoV-2 sont nécessaires avant d’exposer davantage de personnes au risque 184 de ces expériences, car la libération d’un vaccin candidat sans le temps de bien comprendre l’impact qui en résulterait sur la santé pourrait conduire à une exacerbation de la crise mondiale actuelle. [41]. La stratification des risques des vaccinés est essentielle. Selon le gouvernement britannique, les personnes de moins de 60 ans ont un risque extrêmement faible de mourir du COVID-191 187. Cependant, selon Eudravigillance, la plupart des effets indésirables graves consécutifs à la vaccination contre le SRAS-CoV-2 surviennent chez des personnes âgées de 18 à 64 ans. Le calendrier de vaccination prévu pour les enfants âgés de 6 ans et plus aux États-Unis et au Royaume-Uni est particulièrement préoccupant. Dr. Anthony Fauci a récemment prévu que les adolescents de tout le pays seront vaccinés à l’automne et les plus jeunes au début de 2022, et le Royaume-Uni attend les résultats des essais pour commencer la vaccination de 11 millions d’enfants de moins de 18 ans. aux vaccins expérimentaux, étant donné que les Centers for Disease Control and Prevention estime qu’ils ont un taux de survie de 99,997% s’ils sont infectés par le SRAS-CoV-2. Non seulement le COVID-19 n’est pas pertinent en tant que menace pour ce groupe d’âge, mais il n’existe aucune preuve fiable pour étayer l’efficacité ou l’efficacité du vaccin dans cette population ou pour écarter les effets secondaires nocifs de ces vaccins expérimentaux. En ce sens, lorsque les médecins conseillent les patients sur l’administration élective de la vaccination COVID-19,

En conclusion, dans le contexte de l’autorisation d’urgence d’utilisation précipitée des vaccins contre le SRAS-CoV-2 et des lacunes actuelles dans notre compréhension de leur innocuité, les questions suivantes doivent être soulevées:

Est-ce que l’on sait si les anticorps à réaction croisée provenant d’infections antérieures à coronavirus ou les anticorps induits par le vaccin 206 peuvent influencer le risque de pathogenèse involontaire après la vaccination avec COVID-19?

Le risque spécifique d’EIM, d’immunopathologie, d’auto-immunité et de réactions indésirables graves a-t-il été clairement divulgué aux receveurs de vaccins afin de répondre à la norme d’éthique médicale de compréhension du patient pour le consentement éclairé? Sinon, quelles en sont les raisons et comment pourrait-il être mis en œuvre?

Quelle est la justification de l’administration du vaccin à chaque individu lorsque le risque de mourir du COVID-19 n’est pas égal entre les groupes d’âge et les conditions cliniques et lorsque les essais de phase 3 ont exclu les personnes âgées, les enfants et les affections spécifiques fréquentes?

Quels sont les droits légaux des patients s’ils sont lésés par un vaccin contre le SRAS-CoV-2? Qui couvrira les frais de traitement médical? Si les réclamations devaient être réglées avec des fonds publics, le public a-t-il été informé que les fabricants de vaccins ont obtenu l’immunité et que leur responsabilité d’indemniser les personnes lésées par le vaccin a été transférée aux contribuables?

Dans le contexte de ces préoccupations, nous proposons de mettre un terme à la vaccination de masse et d’ouvrir un dialogue urgent pluraliste, critique et scientifiquement fondé sur la vaccination contre le SRAS-CoV-2 entre les scientifiques, les médecins, les agences internationales de santé, les autorités réglementaires, les gouvernements et les vaccins. développeurs. C’est le seul moyen de combler le fossé actuel entre les preuves scientifiques et la politique de santé publique concernant les vaccins contre le SRAS-CoV-2. Nous sommes convaincus que l’humanité mérite une compréhension plus profonde des risques que ce qui est actuellement présenté comme la position officielle. Un dialogue scientifique ouvert est urgent et indispensable pour éviter l’érosion de la confiance du public dans la science et la santé publique et pour garantir que l’OMS et les autorités sanitaires nationales protègent les intérêts de l’humanité pendant la pandémie actuelle. Il est urgent de ramener la politique de santé publique à la médecine factuelle, en s’appuyant sur une évaluation minutieuse de la recherche scientifique pertinente. Il est impératif de suivre la science.

[1]  https://www.gov.uk/government/publications/covid-19-reported-sars-cov-2-deaths-in-england/covid-19-confirmed-deaths-in-england-report

Déclaration de conflit d’intérêts

Les auteurs déclarent que la recherche a été menée en l’absence de toute relation commerciale ou financière pouvant être interprétée comme un conflit d’intérêts potentiel.

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Légendes de la figure

Figure 1. Nombre de nouveaux décès dus au COVID-19 par rapport au nombre de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin pour certains pays. Le graphique montre les données du début de la vaccination au 3 mai 365, 2021. A) Inde (9,25% de la population vaccinée), B) Thaïlande (1,58% de la population vaccinée), C) Colombie (6,79% de la population vaccinée), D) Mongolie (31,65% de la population vaccinée), E) Israël (62,47% de la population vaccinée), F) Monde entier (7,81% de la population vaccinée). Les graphiques ont été construits à l’aide des données de Our World in Data (consulté le 4 mai 2021) 
https : // github . com / owid / covid – 19 – données / arbre / maître /public / données / vaccinations

Affiliations

1 Epidemiólogos Argentinos Metadisciplinarios. República Argentina.
2 Centre médical de l’Université Baylor. Dallas, Texas, États-Unis.
3 Monestir de Sant Benet de Montserrat, Montserrat, Espagne
4 INSERM U781 Hôpital Necker-Enfants Malades, Université Paris Descartes-Sorbonne Cité, Institut Imagine, Paris, France.
5 École des sciences naturelles. Université autonome de Querétaro, Querétaro, Mexique.
6 Professeur retraité d’immunologie médicale. Universidad de Guadalajara, Jalisco, Mexique.
7 Médicos por la Verdad Puerto Rico. Centre médical d’Ashford. San Juan, Porto Rico.
8 Professeur retraité de processus de diagnostic clinique. Université de Murcie, Murcie, Espagne
9Urologue Hôpital Comarcal de Monforte, Université de Saint-Jacques-de-Compostelle, Espagne.
10 Biólogos por la Verdad, Espagne.
11 Biologiste à la retraite. Université de Barcelone. Spécialisé en microbiologie. Barcelone, Espagne.
12 Centre de médecine intégrative MICAEL (Medicina Integrativa Centro Antroposófico Educando en Libertad). Mendoza, République argentine.
13 Médicos por la Verdad Argentina. República Argentina. ´
14 Médicos por la Verdad Uruguay. República Oriental del Uruguay.
15 Médicos por la Libertad Chili. República de Chile.
16 Médecin, orthopédiste. República de Chile.
17 Médicos por la Verdad Perú. República del Perú.
18Médicos por la Verdad Guatemala. República de Guatemala.
19 Concepto Azul SA Équateur.
20 Médicos por la Verdad Brasil. Brésil.
21 Médicos por la Verdad Paraguay.
22 Médicos par Costa Rica.
23 Médicos por la Verdad Bolivie.
24 Médicos por la Verdad El Salvador.
* Correspondance: Karina Acevedo-Whitehouse,  karina.acevedo.whitehouse@uaq.mx

Auteur(s): FranceSoir




Troubles menstruels méconnus post-vaccin covid-19

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Les « vaccins » anti-covid font parler, au moins sur les réseaux sociaux, des accidents graves et même de décès liés à leur injection, et globalement d’incidents considérés comme potentiellement liés au vaccin, c’est-à-dire survenus dans les quatre semaines suivant l’injection (en particulier, accidents vasculaires et neurologiques).

Même si les signalements sont certainement très sous-estimés (de l’ordre de 1 % de la réalité) il est tout de même très impressionnant de constater en Union européenne (par exemple) près de 8 800 décès directement reconnus comme probablement en rapport avec un des 4 vaccins anti-covid par l’agence européenne.

Il est étonnant que ce chiffre énorme, (même si relativement faible par rapport aux millions de personnes vaccinées), ne perturbe pas plus les futurs vaccinés que les agences chargées de la sécurité. Rappelons qu’un vaccin devrait être préventif, s’adresser aux personnes à risque et en aucun cas à des jeunes qui présentent un risque zéro de l’infection visée, ici le covid-19.

Le rapport bénéfice/risque ne peut être que négatif dans les populations à risque zéro comme les enfants actuellement menacés par les politiciens dont certains corrompus.(([1] Comme la ministre chypriote Albert Coroz : Stella Kirikiades qui aurait touché 4 millions d’euros après avoir signé les contrats d’achat de vaccins https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/ ))

La « tolérance » actuelle sur les décès entraînés par ces molécules en essai thérapeutique n’a de parallèle que l’immonde propagande qui inonde tous les médias dans le monde depuis plus d’un an pour cette sinistre mise en scène du coronacircus.

Dans l’émission « Tucker Carlson Tonight », sur Fox News, Carlson, célèbre présentateur américain habituellement pro-vaccin, a cité des statistiques gouvernementales montrant que plus d’Américains sont morts après avoir pris le vaccin covid en quatre mois qu’à la suite de tous les autres vaccins combinés en plus d’une décennie et demie.

Les données officielles du  gouvernement américain sur «  vaccine adverse event reporting system » (VAERS) montrent que 3 362 Américains – ou 30 personnes par jour – sont  morts du vaccin Covid entre décembre 2020 et le mois dernier.

« Plus de personnes, selon VAERS, sont mortes après avoir reçu le vaccin en quatre mois au cours d’une seule campagne de vaccination que de tous les autres vaccins combinés sur plus d’une décennie et demie », a déclaré Carlson.

Le nombre de décès est probablement beaucoup plus élevé que ce que VAERS rapporte, a déclaré Carlson, citant des rapports soumis au ministère de la Santé et des Services sociaux en 2010 qui ont révélé que « moins de 1 % des effets indésirables du vaccin sont signalés par le système VAERS ».

Carlson a également mentionné dans son émission les informations majeures suivantes :

« De tous les vaccins MENVEO administrés pour prévenir la méningite bactérienne, une seule personne est décédée du vaccin entre 2010 et 2015. En 1976, 45 millions d’Américains ont été vaccinés contre la grippe H1N1. Au total, 53 personnes sont mortes du vaccin. Le gouvernement américain a mis fin au programme de vaccination parce que les autorités ont décidé qu’il était trop risqué. »

Les vaccins Covid ont contribué à 8 000 hospitalisations aux États-Unis, selon VAERS ».(([2] Tucker Carlson : How Many Americans Have Died After Taking COVID Vaccines ? • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Cette indication est capitale, car chacun se demande à partir de combien de décès une agence de l’État suspend-elle la pratique d’un vaccin. La réponse précise sur le vaccin H1N1 dont Mme Bachelot a dû jeter des millions de doses achetées trop rapidement nous informe sur les réactions de l’époque dans des situations similaires.  Près de 9 000 décès reconnus en UE en ce début du joli mois de mai depuis le début des vaccinations anti-covid et répartis parmi les quatre produits injectés. Ne serait-ce pas temps de cesser ce sinistre scénario ?

Où sont passées les féministes ?

Le corps de la femme une nouvelle fois maltraité n’intéresse-t-il que le docteur Marc Girard ?(([3] D’Hippocrate au “crime organisé” : comment la médicalisation de la femme a fait tomber les barrières de la moralité – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) ))(([4] La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) ))

Les effets indésirables moins spectaculaires que les décès sont complètement invisibilisés mais gâchent la vie courante de nombreuses citoyennes devenues patientes après une vaccination sous prétexte d’un virus si peu méchant chez les femmes encore réglées sans comorbidité.

La protéine SPIKE dans le collimateur des vaccins anti-covid

Certes ceux qui s’intéressent aux vaccins savent maintenant qu’ils visent tous la fameuse protéine spike et qu’ils pourraient entraîner des troubles de la reproduction. Chacun a entendu la multiplication des avortements en Grande-Bretagne dans les premières semaines de la vaccination intensive et la mort d’un enfant allaité par une mère vaccinée deux jours plutôt.

Mais ces faits lourds ne doivent pas masquer le quotidien plus banal mais inacceptable de nombreuses femmes « pour une prévention d’une maladie à létalité mineure (moins de 0,01 % de décès liés au covid19) » ?

Alors qu’apprend-on sur le vécu des femmes vaccinées ?

De nombreuses femmes disent que les effets secondaires du vaccin Covid ont un impact sur leurs règles, alors pourquoi les médecins ne s’en soucient-ils pas ?(([5] Women say COVID vaccine side effects impact their periods, so why don’t doctors care ? – Israel News – Haaretz.com))

Nous rapportons ici les réflexions d’un journal israélien dans un pays fort largement vacciné en très peu de temps, et où les effets sur les contaminations et les décès post vaccinaux ont été déjà relayés.(([6] Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

N’importe quel vaccin peut perturber les menstruations, mais la façon dont l’établissement médical a réagi aux descriptions de cet effet secondaire possible du vaccin coronavirus reflète un problème plus général.

Quelques exemples de l’article cité concernant l’expérience israélienne sont relatés ici.

Une femme de 36 ans s’est rendue chez le médecin après avoir subi des saignements vaginaux deux jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin contre le coronavirus. Son gynécologue a effectué un examen et l’a envoyée pour des analyses sanguines. « L’hémorragie a duré 10 jours, et le médecin m’a dit qu’il semble que mes règles sont arrivées tôt. « Je lui ai dit : bizarre, parce que mes règles ont été très régulières au cours de la dernière année. » « Cela arrive », a rétorqué le docteur de façon désinvolte que cela peut être un signe de ménopause précoce. « C’était comme un coup de poing à l’intestin », dit-elle.

« Il n’est pas nécessaire d’expliquer à quel point il est difficile pour une femme de mon âge de recevoir des nouvelles comme celle-là de son médecin. Pendant quelques semaines, j’étais vraiment en deuil de la fertilité que j’avais apparemment perdue ».

« Ce n’est que lorsqu’un ami, après que je lui ai parlé de mon état déplorable, a suggéré qu’il est peut-être vraiment lié au vaccin – que je l’ai googolé et découvert, à ma grande surprise, qu’un grand nombre de femmes ont signalé des saignements vaginaux et des périodes irrégulières après avoir été vaccinées.

J’étais en état de choc. Pourquoi ne m’ont-ils pas avertie que cela pourrait être l’un des effets secondaires du vaccin, comme ils m’ont mis en garde contre une faible fièvre et des douleurs au bras ? Pourquoi mon médecin n’a-t-il pas dit un mot à ce sujet ?

« Une histoire parmi un nombre infini sur les effets du vaccin sur les cycles menstruels. Une période précoce ou tardive, plus lourde que jamais ou plus douloureuse que d’habitude – les témoignages des femmes s’accumulent. Et comment l’établissement médical les traite-t- il ? »

C’est pourquoi nous pensons utile de vous informer, car le consentement éclairé est la base de la médecine d’Hippocrate, particulièrement en ce qui concerne l’expérimentation au cours des essais thérapeutiques comme le sont actuellement les vaccins anti-covid-19 dont aucun essai phase 3 n’est terminé.

Bien sûr le stress émotionnel lié au contexte actuel depuis un an et la campagne au grand galop de vaccinations en Israël peuvent favoriser les troubles des règles. Les stress physiques liés aux changements de vie sont aussi des facteurs connus de dérèglement du cycle menstruel.

« On sait que l’acte d’inoculation lui-même peut susciter un certain stress physique, et en particulier le vaccin contre le coronavirus, qui a également causé un stress émotionnel pour beaucoup de gens. Une réponse inflammatoire est une réaction immunitaire normale aux vaccins, ce qui affecte également les saignements vaginaux. Dr. Lior Shahar in Tel Aviv donne un exemple : on sait que le fait de se faire vacciner contre le papillomavirus (Gardasil) perturbe les périodes des femmes et des jeunes filles.

Les effets du vaccin sur les menstruations n’ont pas été étudiés à l’avance par les entreprises qui fabriquent les vaccins. »

Comment les ressentis des femmes ont-ils été reçus par les institutions médicales ?

« L’établissement médical a traité la question avec dérision. En ce qui le concerne, l’apparition de saignements vaginaux ou de perturbations dans les menstruations sont des phénomènes de routine qui se produisent de temps en temps, il n’y a donc aucune raison de les traiter comme un effet secondaire. »

« Quand j’ai demandé dans les groupes de médecins, et aux médecins individuellement – médecins de famille et gynécologues, hommes et femmes – j’ai entendu : « il y a des rapports, mais ils sont sans fondement », « J’ai entendu des patients dire que cela arrive, mais je n’ai pas vérifié la littérature », « je ne connais aucune référence médicale à cela », et ainsi de suite.

Certains de ces médecins pratiquent également la médecine fondée sur le genre.

Le mois dernier, des personnes ont été testées pour le coronavirus dans un complexe de la ville arabe de Tayibe, dans le centre d’Israël. Il semble que les patientes signalent fréquemment ces troubles gynécologiques, mais l’établissement n’en tient pas compte.

Qu’est-ce que cette histoire nous dit sur la façon dont l’établissement médical considère les phénomènes qui n’affectent que les femmes ?

« Il y a une discrimination évidente ici ». Bien sûr, cela rappelle les déclarations terrifiantes que le professeur Galia Rahav, chef de l’unité des maladies infectieuses au Centre médical Shaba, Tel Hashomer, a déclaré à l’époque sur la paralysie du nerf facial comme un effet secondaire du vaccin :

« Au début, ils ont dit que ce sont des femmes hystériques, mais apparemment pas, parce que nous voyons les effets chez les hommes aussi, et je crois que c’est réel.

« Ce n’est pas la partie choquante. La paralysie faciale, comme le saignement vaginal, n’est pas un événement rare. Mais lorsqu’il y a soudainement une multiplicité d’incidents en conjonction avec le vaccin, cela soulève des questions.

Bien sûr, cela comprend la question de savoir s’il s’agit d’une distorsion résultant de la surdéclaration, mais aussi de savoir s’il s’agit d’un effet secondaire.

Dans les groupes de médecins dont je suis membre, il y a eu d’innombrables discussions sur le sujet de la paralysie du nerf facial, mais aucune discussion sur les saignements chez les femmes. Il est scandaleux de découvrir que lorsque ces rapports sont des femmes, cela ne soulève pas de questions ou de discussions.

Je suppose que nous avons fait des progrès dans ce domaine depuis que nous avons découvert la différence dans la façon dont les hommes et les femmes éprouvent des crises cardiaques, par exemple. Dans quelle mesure la médecine fondée sur le genre a-t-elle progressé et comment ces progrès sont-ils exprimés ?

« Il y a certainement eu des progrès dans la médecine fondée sur le genre. Par exemple, la FDA interdit maintenant d’approuver un médicament sans le tester sur les femmes aussi, et d’examiner la différence dans ses effets sur les femmes et les hommes. Aujourd’hui, il y a des médicaments qui sont approuvés à l’avance juste pour les femmes ou tout simplement pour les hommes. Mais dans les facultés de médecine, ils n’apprennent toujours pas ces différences d’une manière organisée, et la plupart des professionnels de la santé ne connaissent pas du tout les fondements de la médecine fondée sur le genre.

« Mais la médecine fondée sur le genre n’est qu’une partie du problème, et il y a le vrai problème. La médecine fondée sur le genre ne traite que des différences biologiques entre les hommes et les femmes et ne tient pas compte des problèmes liés aux déséquilibres de pouvoir, à la discrimination, aux stéréotypes, au silence, à la violence ouverte ou cachée, à la minimisation des femmes dans l’espace public, à l’accessibilité aux services de santé – autant de choses qui contribuent tant à l’inégalité entre les sexes en matière de santé. C’est certainement vrai pour les femmes qui sont marginalisées de plusieurs façons – les femmes qui sont mizrahi, arabes, lesbiennes, âgées, en surpoids, handicapées et ainsi de suite. »

« C’est pourquoi la médecine fondée sur le genre ne suffit pas. Il y a un besoin de médecine féministe. C’est la véritable médecine égale, qui donne une voix aux femmes, qui comprend qu’une femme n’est pas seulement un corps, mais une totalité des expériences et des rôles sociaux, des codes, des attentes et du harcèlement sexuel, et le lien entre elles et son état médical physique et psychologique ne peut être rompu.

Tant qu’il n’y aura pas une compréhension profonde de ce lien, il n’y aura pas de bonne médecine égale pour les femmes, ni pour aucun groupe défavorisé dans la société ».

Une façon originale de voir la médecine à laquelle il faut réfléchir, mais en attendant écouter les femmes qui subissent des troubles menstruels à la suite du vaccin serait une première étape.

Des témoignages dans d’autres régions du monde

Emma Kahn dans sa lettre mensuelle sur le site de l’AIMSIB(([7] Lettre d’infos du 5 mai 2021 – AIMSIB)) signale aussi le fait que de nombreuses femmes se plaignent de saignements irréguliers à la suite du vaccin Pfizer, cela pourrait être dû à des ménopauses précoces selon la publication de health.com.(([8] https://www.health.com/condition/infectious-diseases/coronavirus/can-covid-vaccine-affect-my-period))
Dans un long fil de discussion sur Twitter, Kate Clancy, PhD, professeur associé à l’université de l’Illinois, rapporte : « une collègue avait entendu d’autres personnes dire que leurs règles étaient abondantes après la vaccination. Je suis curieuse de savoir si d’autres femmes ayant leurs règles ont également remarqué des changements ? J’ai reçu la première dose de Moderna il y a une semaine et demie, j’ai eu mes règles un jour ou deux plus tôt et j’ai l’impression d’avoir à nouveau 20 ans. »
D’autres ont raconté leur propre histoire. « Je suis exactement une semaine après ma deuxième injection de Moderna et j’ai commencé un cycle très dur pour moi, et j’ai environ 2,5 semaines d’avance », a écrit l’une d’elles.

« J’ai reçu le Moderna le dernier jour de mes règles. Neuf (!!!!) jours plus tard, une autre période est apparue et cela a été un cauchemar », a commenté une autre.

Les histoires personnelles se multiplient : « je suis à trois semaines de ma première piqûre de Moderna et j’ai commencé mes règles au milieu d’une plaquette de contraceptifs ». « Cela ne m’est jamais arrivé en 12 ans de prise de la pilule. Je n’ai même jamais de taches entre les périodes. »

Les changements de règles sont-ils donc un effet secondaire légitime du vaccin ?

Existe-t-il des recherches sur les vaccins Covid-19 et les cycles menstruels ?
Pas vraiment. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) disposent d’un Vaccine Adverse Event Reporting System (système de notification des effets indésirables des vaccins), programme de surveillance dans lequel chacun peut signaler les effets secondaires qu’il a ressentis après avoir reçu le vaccin.

Plusieurs dizaines de femmes ont déclaré avoir eu des règles plus abondantes que d’habitude, des crampes douloureuses et des cycles menstruels inhabituels après avoir été vaccinées. Mais étant donné que n’importe qui peut soumettre n’importe quoi au système, tout cela est considéré comme anecdotique à ce stade.
Pour les femmes qui signalent des douleurs plus importantes que d’habitude, « il se peut que les douleurs post-vaccinales s’ajoutent aux douleurs menstruelles normales », explique à Health l’expert en maladies infectieuses Amesh A. Adalja, MD, chercheur principal au Johns Hopkins Center for Health Security dans le Maryland.

Le flux plus abondant est un peu plus difficile à expliquer. Une petite étude portant sur 233 femmes en âge de procréer présentant un diagnostic clinique de Covid-19 a fait état de certains changements menstruels. Sur les 177 patientes ayant des données sur leurs règles, 25 % avaient des « changements de volume menstruel », 20 % avaient des règles plus légères que d’habitude et 19 % avaient un cycle plus long que d’habitude, selon l’étude, publiée en janvier dans la revue Reproductive BioMedicine Online.

Il est possible que le vaccin Covid-19 ait un effet similaire, mais on ne le sait pas pour l’instant.

À l’heure actuelle, ces données sur la vie quotidienne des femmes restent peu connues et il importe que des médecins cliniciens s’y intéressent. La médecine n’est pas que celle des épidémiologistes, des simulations.

Les chiffres ne doivent pas faire oublier les êtres humains soumis à des interventions extérieures pas nécessairement justifiées. Elles devraient être informées des conséquences graves possibles, y compris les décès, liées aux vaccins expérimentaux mais aussi aux troubles de la vie quotidienne à même parfois de leur gâcher la vie.

Les doutes sur les perturbations de la fertilité à court et plus long terme devraient être élucidés avant une généralisation des pseudo-vaccins anti-covid contre une maladie non létale dans l’extrême majorité des cas. Pourquoi tant de hâte à vacciner des femmes réglées qui, du fait de leur sexe et de leur âge, ne risquent rien ?

Nicole Delépine





Un nouveau rapport fait la lumière sur le culte apocalyptique des vaccins

[Source : reseauinternational.net]

« Le calcul bénéfice-risque est donc clair : les vaccins expérimentaux sont inutiles, inefficaces et dangereux. Les acteurs qui autorisent, contraignent ou administrent la vaccination expérimentale contre le Covid-19 exposent les populations et les patients à des risques médicaux graves, inutiles et injustifiés »

Doctors for Covid Ethics (Médecins pour l’Éthique du Covid), 29 avril 2021

Une nouvelle étude explosive menée par des chercheurs du prestigieux Salk Institute jette le doute sur la génération actuelle de vaccins qui pourraient présenter un risque grave pour la santé publique. L’article, intitulé « The novel coronavirus’ spike protein plays additional key role in illness » (La protéine spike du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire dans la maladie), montre que la « protéine “spike” distinctive » du SRAS-CoV-2… « endommage les cellules, confirmant que le Covid-19 est une maladie essentiellement vasculaire ». Bien que l’article se concentre strictement sur les problèmes liés au Covid-19, il soulève inévitablement des questions sur les nouveaux vaccins qui contiennent des milliards de protéines spike qui pourraient augmenter considérablement les risques de maladie grave ou de décès. Voici un extrait de l’article daté du 30 avril 2021 :

« Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré de la couronne classique de protéines spike du SRAS-CoV-2, mais qui ne contenait aucun virus réel. L’exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères d’un modèle animal, ce qui prouve que la protéine spike suffit à elle seule à provoquer la maladie. Des échantillons de tissus ont révélé une inflammation des cellules endothéliales qui tapissent les parois des artères pulmonaires. » (Note : « Les cellules endothéliales vasculaires tapissent l’ensemble du système circulatoire, du cœur aux plus petits capillaires ») …

L’équipe a ensuite reproduit ce processus en laboratoire, en exposant des cellules endothéliales saines (qui tapissent les artères) à la protéine spike. Ils ont montré que la protéine spike endommageait les cellules en se liant à l’ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2). Cette liaison a perturbé la signalisation moléculaire de l’ACE2 aux mitochondries (organites qui produisent de l’énergie pour les cellules), ce qui a endommagé et fragmenté les mitochondries …

Des études antérieures ont montré un effet similaire lorsque les cellules étaient exposées au virus SRAS-CoV-2, mais il s’agit de la première étude à montrer que les dommages se produisent lorsque les cellules sont exposées à la protéine spike seule »

« La protéine spike du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire dans la maladie », Salk.edu

Ce nouveau document de recherche est l’équivalent d’une bombe à hydrogène. Il change tout en confirmant ce que les détracteurs des vaccins ont théorisé pendant des mois sans pouvoir le prouver.

Il existe maintenant des preuves solides que :

  • Le Covid-19 est principalement une maladie du système vasculaire (le système vasculaire, également appelé système circulatoire, est constitué des vaisseaux qui transportent le sang et la lymphe dans le corps) et non du système respiratoire.
  • Le principal coupable est la protéine spike. (Protéine spike – « une glycoprotéine qui fait saillie de l’enveloppe de certains virus », Merriam-Webster – « Comme une clé dans une serrure, ces protéines spike fusionnent avec des récepteurs à la surface des cellules, permettant au code génétique du virus d’envahir la cellule hôte, de prendre le contrôle de sa machinerie et de se répliquer » ~ Bruce Lieberman)

[Ndlr : les coronavirus et autres composants viraux naturellement présents dans le corps humain par centaines de milliers de milliards et constituant ce qui a été nommé assez récemment le « virome » sont souvent aussi dotés de telles protéines qui leur permettent de franchir la paroi cellulaire afin d’accomplir diverses fonctions biologiques. Pour autant, ces protéines n’endommagent habituellement pas les vaisseaux sanguins ni les parois d’autres composants ou tissus du corps. Par contre, si le SRAS-CoV-2 est bien d’origine artificielle, par altération génétique d’un virus comme le suspectent différents chercheurs du domaine médical (notamment les professeurs Fourtillan et Montagnier), alors ses protéines Spike peuvent avoir été intentionnellement transformées de manière similaire à celles des « vaccins » anticovid. Des protéines Spike ainsi altérées ont de fortes chances d’agresser les cellules humaines et de provoquer alors des inflammations et des lésions diverses. Selon l’endroit du corps exposé à ces pseudo virus (puisqu’artificiels), ce sont différents organes qui pourront ainsi se trouver plus ou moins gravement touchés. En cas par exemple de dispersion d’une telle arme biologique par aérosols dans des milieux confinés, alors les poumons se trouveront prioritairement affectés et en l’occurrence subiront inflammation des parois pulmonaires et lésions des vaisseaux capillaires. Ceci a été observé dans plusieurs cas de supposés malades de la Covid-19 (qui seraient en fait des victimes de cette arme biologique artificielle. Car dans un tel cas, on ne peut plus guère parler de « maladie », mais d’une forme d’empoisonnement). Toutefois et fort heureusement, des traitements relativement simples existent et permettent visiblement de contrecarrer d’une manière ou d’une autre les effets délétères de ces protéines Spike modifiées. Il est même possible qu’un antidote existe, surtout si les inventeurs d’une telle arme ne sont pas totalement stupides.]

En d’autres termes, si le Covid-19 est avant tout une maladie vasculaire et si le principal instrument des dommages physiques est la protéine spike, alors pourquoi injectons-nous aux gens des milliards de protéines spike ?

Voici comment l’architecte et auteur, Robin Monotti Graziadei, a résumé ces développements sur YouTube :

« Donc, on nous a dit depuis l’année dernière, que le seul rôle que la protéine spike était censée jouer était de pénétrer dans les cellules humaines. (Mais) il est clair que ce n’est pas ce qu’elle fait, (puisqu’) elle vous donne une maladie, une maladie vasculaire. Une maladie vasculaire peut avoir de nombreuses manifestations. Il peut s’agir de thromboses des veines sinusales, de caillots sanguins, d’hématomes et d’affections à plus long terme. Pensez-vous que c’est une bonne idée de contourner les premières (défenses) de votre système immunitaire, … et d’injecter… des milliards de protéines spike dans vos cellules compte tenu des informations qui viennent d’être publiées par le Salk Institute ? Pensez-y …

Les chercheurs du Salk Institute nous ont dit – sans aucune ambiguïté – que la protéine spike est un élément fondamental de la maladie Covid-19. Oui, il est vrai que la protéine spike avec la protéine N, ne se réplique pas. Cependant, des milliards (de ces protéines) induites par l’injection du vaccin ont la capacité de créer des dommages dans votre système vasculaire. C’est ce que dit l’étude et ce qui a été publié par un centre d’études biologiques extrêmement important. Il ne s’agit pas d’une théorie de la conspiration. Je pense qu’à ce stade, il y a suffisamment d’informations pour se demander si l’on nous dira la vérité dans les prochains jours, car ces informations devraient faire la couverture de tous les journaux et être à la une de toutes les chaînes d’information. Et ce qu’ils devraient dire est ceci : « La base fondamentale et technologique – sur laquelle reposent tous les vaccins qui ont été distribués en Occident – est défectueuse. Nous pensions que la protéine spike n’entrerait dans les cellules que pour créer des anticorps, de sorte que si vous étiez confronté au virus sauvage, il ne s’accrocherait pas à vos cellules, mais nous avions tort. Nous avions tort car la protéine spike en elle-même, crée la maladie, et si vous en injectez des milliards dans un corps humain, il y aura des manifestations de maladie dans de nombreux cas » …

Il n’est pas sûr d’injecter des milliards de protéines spike dans un muscle, car cela contourne les couches de votre système immunitaire qui auraient pu potentiellement neutraliser le virus… En franchissant le seuil du corps humain par l’injection de ces composés, vous ne donnez pas à votre système immunitaire la chance de monter une réponse suffisamment forte à la protéine spike pour la neutraliser. Si vous acceptez (de prendre) l’un de ces vaccins, (le vaccin) contiendra cette protéine spike génératrice de maladie. … C’est maintenant à nous d’essayer de réparer l’erreur qu’ils ont commise »

Robin Monotti Graziadei sur le nouveau document de recherche du Salk Institute, YouTube – voir avant que la vidéo ne soit supprimée.

Parfaitement énoncé et en plein dans le mille. Graziadei extrapole le sens caché du rapport Salk et clarifie sa signification. Comment les responsables de la santé publique, les politiciens, les médias et le reste du camp pro-Vaxx anti-covid vont-ils réagir à ces révélations, surtout avec l’imprimatur du Salk Institute apposé au recto du rapport ? Vont-ils essayer de balayer l’affaire sous le tapis ou de détourner l’attention du public vers les légendaires « variants » ? Ou bien tenteront-ils quelque chose d’entièrement différent, comme prétendre qu’une catégorie de protéines spike est bonne pour la santé alors que d’autres entraînent des maladies prolongées et la mort ? Que vont-ils faire ?

Le docteur Vladimir Zelenko, qui a été proposé pour le prix Nobel de la paix pour son utilisation de l’hydroxychloroquine dans le traitement des patients atteints du Covid-19, a déclaré ceci :

« Comprenez-vous ce que cela signifie ? Nous injectons le code génétique viral de la protéine spike à des personnes innocentes et elle s’introduit dans presque toutes les cellules du corps ».

(Candidat au prix Nobel, Zelenko a également été banni de Twitter).

En effet, c’est précisément ce qu’ils ont fait. Et, n’oublions pas, les fabricants de vaccins bénéficient d’une immunité juridique totale pour les blessures qu’ils produisent. L’immunité légale signifie l’impunité morale.

Alors, quel effet ces protéines spike auront-elles sur les personnes qui se sont fait vacciner ?

Voici ce que les Doctors for Covid Ethics ont à dire dans leur dernier article publié cette semaine :

« Les vaccins sont dangereux tant pour les personnes en bonne santé que pour celles souffrant de maladies chroniques préexistantes, pour les raisons suivantes : risque de perturbations létales et non létales de la coagulation sanguine, notamment troubles de la coagulation, thrombose cérébrale, accident vasculaire cérébral et crise cardiaque ; réactions auto-immunes et allergiques ; renforcement de la maladie par les anticorps ; impuretés des vaccins dues à une fabrication précipitée et à des normes de production non réglementées… on peut s’attendre à ce que tous les vaccins à ARNm provoquent des troubles de la coagulation du sang et des saignements… Les vaccins ne sont pas sûrs »

« Vaccins anti-covid : Nécessité, Efficacité et Sécurité », Doctors for Covid Ethics

C’est écrit noir sur blanc : « Les vaccins ne sont pas sûrs ». Voici un autre extrait d’un article de Children’s Health Defense sur le professeur Yehuda Shoenfeld, l’immunologiste clinique israélien qui est largement considéré comme le « père de l’auto-immunité ». Shoenfeld aborde la question sous un angle entièrement différent. Jetez-y un coup d’œil :

« La principale préoccupation de Shoenfeld se résume à ce que l’on appelle le mimétisme moléculaire. Il y a un certain nombre de séquences génétiques qui sont identiques dans le génome humain et dans celui du SRAS-CoV-2 …

Les immunologistes attirent particulièrement l’attention sur les séquences identiques dans un groupe spécifique de protéines que l’on trouve dans les poumons (le site de la pneumonie SDRA/Covid)… C’est une préoccupation de Shoenfeld …

C’est la raison pour laquelle Shoenfeld et ses collègues ont insisté l’an dernier, pendant la phase de développement du vaccin, pour que les séquences peptidiques utilisées dans les nouveaux vaccins soient uniques et non communes à celles que l’on trouve dans l’organisme …

Pour une personne prédisposée, une réaction indésirable au vaccin, selon Shoenfeld et ses collègues, pourrait suffire à la faire basculer dans une maladie auto-immune. L’un des signes les plus évidents de prédisposition est d’être déjà atteint de l’une des plus de 100 maladies auto-immunes qui sévissent dans les sociétés industrialisées. Pourtant, alors que le père de l’auto-immunité tire la sonnette d’alarme sur les risques auto-immuns, les gouvernements qui mettent en place des programmes de vaccination de masse n’émettent pas un seul mot d’avertissement. Honte à eux ! »

« Sommes-nous à la veille d’une “super-épidémie” de maladies auto-immunes ? », Children’s Health Defense

Ma compréhension limitée du « mimétisme moléculaire » est la suivante : En injectant dans l’organisme des protéines si semblables aux protéines du Covid qui font des ravages dans le système vasculaire, nous pourrions déclencher une situation dans laquelle le système immunitaire de l’organisme attaque ses propres organes ou son système vasculaire. C’est pourquoi l’auteur s’interroge : Sommes-nous à la veille d’une « super-épidémie » de maladies auto-immunes ?

Dans des articles précédents, nous avons présenté les points de vue de scientifiques et de professionnels de la santé qui ont anticipé les questions qui se posent actuellement à propos de la protéine spike. Par exemple, voici un extrait d’un article sur le rhumatologue pédiatrique, le Dr J. Patrick Whelan, qui a déclaré ce qui suit dans une lettre adressée à la FDA :

« Je suis préoccupé par la possibilité que les nouveaux vaccins visant à créer une immunité contre la protéine spike du SRAS-CoV-2 puissent causer des lésions microvasculaires au cerveau, au cœur, au foie et aux reins d’une manière qui ne semble pas avoir été évaluée actuellement dans les essais de sécurité de ces traitements potentiels …

Avant que l’un de ces vaccins ne soit approuvé pour une utilisation généralisée chez l’homme, il est important d’évaluer chez les sujets vaccinés les effets de la vaccination sur le cœur. Aussi important qu’il soit d’arrêter rapidement la propagation du virus en immunisant la population, il serait bien pire que des centaines de millions de personnes subissent des dommages durables, voire permanents, à la microvasculature de leur cerveau ou de leur cœur, parce qu’on n’a pas su apprécier à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéine spike sur ces autres organes ».

« Des scientifiques interpellent les responsables de la santé sur la vaccination des personnes qui ont déjà eu le COVID », Global Research

Nous avons également souligné que « les vaccins à ARNm libèrent une protéine spike qui se répand dans tout le corps, se retrouve piégée dans la circulation sanguine et s’accumule dans la couche de cellules (cellules endothéliales) qui recouvre les vaisseaux sanguins ». Nous pensons que les nouvelles recherches du Salk Institute confirment cette théorie générale.

En outre, selon le Dr Hyung Chun, cardiologue à Yale, les cellules « libèrent des cytokines inflammatoires qui exacerbent encore la réponse inflammatoire de l’organisme et conduisent à la formation de caillots sanguins ». Chun a déclaré : « L’endothélium “enflammé” contribue probablement non seulement à l’aggravation du résultat dans le cas du Covid-19, mais est également considéré comme un facteur important contribuant au risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral ».

Cela semble suggérer que la protéine spike du vaccin peut avoir le même effet que la protéine spike de l’infection. Voici d’autres informations :

« Les personnes atteintes du Covid-19 présentent un grand nombre de symptômes neurologiques, tels que des maux de tête, une ataxie, des troubles de la conscience, des hallucinations, des accidents vasculaires cérébraux et des hémorragies cérébrales. Mais les études d’autopsie n’ont pas encore trouvé de preuves claires d’une invasion virale destructrice dans le cerveau des patients, ce qui pousse les chercheurs à envisager d’autres explications de la manière dont le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes neurologiques …

Si ce n’est pas une infection virale, qu’est-ce qui pourrait causer des lésions aux organes distants associées au Covid-19 ? …

Le coupable le plus probable qui a été identifié est la protéine spike du Covid-19 libérée par l’enveloppe externe du virus dans la circulation. Les recherches citées ci-dessous ont montré que la protéine spike virale est capable d’initier une cascade d’événements qui déclenchent des lésions d’organes distants chez les patients atteints de Covid-19 …

Il est inquiétant de constater que plusieurs études ont montré que les protéines spike ont à elles seules la capacité de provoquer des lésions étendues dans tout le corps, sans aucune trace de virus …

Ce qui rend cette découverte si inquiétante, c’est que les vaccins à ARNm COVID-19 fabriqués par Moderna et Pfizer et actuellement administrés dans tous les États-Unis programment nos cellules pour qu’elles fabriquent cette même protéine spike du coronavirus afin d’inciter notre corps à produire des anticorps contre le virus »

« La protéine de pointe des vaccins Moderna et Pfizer pourrait-elle provoquer des caillots sanguins, une inflammation cérébrale et des crises cardiaques ? », Global Research

La citation ci-dessus est essentielle pour comprendre ce qu’est réellement le Covid et pourquoi les nouveaux vaccins menacent d’exacerber considérablement le problème. Comme le dit Chun :

« … Les études d’autopsie n’ont pas encore trouvé de preuves claires d’une invasion virale destructrice dans le cerveau des patients, ce qui pousse les chercheurs à envisager d’autres explications sur la façon dont le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes neurologiques… »

Cette observation est correcte. Les recherches n’indiquent pas une « invasion virale dans le cerveau des patients ».

Pourquoi ? Parce que – comme l’indique le rapport Salk, « ce n’est pas l’infection virale qui pénètre dans le cerveau, mais la protéine spike qui a franchi la barrière hémato-encéphalique via le système vasculaire ».

Voici encore le Dr Chun : « Quoi d’autre pourrait causer des lésions aux organes distants associées au Covid-19 ? »

Une fois de plus, ce n’est pas le virus mais la protéine spike et la réponse auto-immune.

Enfin, Chun reconnaît que les nouveaux vaccins « programment nos cellules pour qu’elles fabriquent cette même protéine spike du coronavirus afin de déclencher la production d’anticorps contre le virus par notre organisme ».

La production et la distribution de ces injections potentiellement mortelles vont bien au-delà de la simple imprudence. Il s’agit d’une catastrophe mondiale sans précédent qui pourrait entraîner la mort de millions de personnes. Combien de temps cette folie va-t-elle durer ?

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International




Cauchemar ou manipulation en Inde ? Les Indiens sont-ils victimes de fêtes religieuses, de variants ou de la vaccination ?

Par Alain Tortosa

Les journaux français tournent en boucle et nous alertent sur une situation devenue incontrôlable. Le «journal» Le Monde(([1] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/19/c-est-un-cauchemar-en-inde-new-dehli-reconfinee-face-a-la-flambee-de-l-epidemie-de-covid-19_6077269_3244.html)) titrait le 19 avril :

« C’est un cauchemar : en Inde, New Delhi reconfiné face à la flambée de l’épidémie de Covid-19. »

Analysons les données du gouvernement indien à Delhi…(([2] https://www.covid19india.org/state/DL))

La ville compte un peu moins de 20 millions d’habitants.

Il y a eu officiellement 900 000 positifs en ville depuis le début de la crise, soit 4,6% de la population qui a croisé le virus.

À titre de comparaison, la France comptait au 21 avril un cumul de 8% de positifs(([3] https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees)) soit presque deux fois plus qu’à Delhi, la fameuse ville au bord du gouffre !

Cela s’est traduit par un total de 12 638 décès à Delhi sur 2 saisons, soit 638 décès par million d’habitants.

Manipulation numéro 1

Le taux de mortalité à Delhi du Covid est de 638. Il est de 132 pour l’ensemble de l’Inde(([4] https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&pickerSort=asc&pickerMetric=location&hideControls=true&Metric=Confirmed+deaths&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=true&Align+outbreaks=false&country=FRA~IND))

Et de 1487 en France !

Il y a donc plus deux fois plus de décès en France par habitant qu’à Delhi et dix fois plus de décès en France qu’en Inde…

À nombre de morts par habitant équivalant, la France devrait compter aujourd’hui plus d’un million de décès du Covid !

Les «vrais» malades

Les autorités sanitaires indiennes font la différence entre les personnes positives et les cas « actifs », les malades actuels, j’imagine.

Si l’on se réfère à cette donnée, il y avait au 20 avril, 85 575 Covid « active » à Delhi soit 0,43% de la population !

Autre donnée intéressante, le taux de patients « actifs» ramené au nombre cumulé de personnes positives qui est de 9,5%… donc sur 100 positifs, 9 sont actuellement infectés !

Mais hier sur 86 000 tests effectués, 28 395 se sont révélés positifs !

Manipulation numéro 2

Cela correspond à un taux de positivité de 32,82% pour un échantillon de 0,44% de la population.

Ce qui a permis à un «journaliste »de Cnews de déclarer le 21 avril à 11h10 :

« À New Delhi, un habitant sur trois est positif ! ».

Cette affirmation est mathématiquement vraie, mais relève d’une totale manipulation.

En premier lieu, 28 395 positifs correspondent à 0,14% de la population !

Enfin, si l’on se réfère à la seule donnée intéressante, soit le nombre total de cas actifs, il n’y a que 0,43% de la population qui serait malade actuellement à Delhi !

Ce taux de positivité de 33% ne reflète absolument pas la situation de Delhi qui, je le répète, ne compte que 0,43% de malades !

Les décès à Delhi

Comme indiqué en début de document, le nombre de décès à Delhi et en Inde est faible, voir ridiculement faible par rapport à la France.

Mais il y a néanmoins une hausse exponentielle du nombre de décès journaliers qu’il est possible de visualiser sur la courbe suivante :

Entre le 6 février et le 21 mars 2021, l’épidémie avait totalement disparu de Delhi pour prendre depuis une forme visiblement exponentielle à partir du 10 avril.

Pourquoi cette augmentation ?

Les médias ne manquent pas de parler de variants et même désormais de «variantsdoublementmutants»et bien sûr du relâchement de la population pour expliquer le phénomène !

Je vous rappelle une règle d’or édictée par la Sainte Église du Coronavirus qui dit que :

« Lorsque l’épidémie de Covid empire c’est toujours la faute à la population et que lorsque celas’améliore, c’est grâce aux mesures gouvernementales. »

Pour illustrer la culpabilité du public, un article extraordinaire a même été publié dans le BMJ(([5] https://www.bmj.com/content/372/bmj.n854))

Cet article s’étonnait de l’augmentation des cas malgré la campagne de vaccination… question pour le moins pertinente.

Et voici quelles étaient les conclusions :

Le coupable désigné est le Kumbh Mela.(([6] https://www.tourmyindia.com/kumbhmela/bathing-dates.html))

Cette fête religieuse réunit des millions de fidèles qui se purifient dans le Gange. Voici les dates en 2021 ;

Covid-19: India sees new spike in cases despite vaccine rollout

Le début des festivités a eu lieu le 14 janvier alors même que les décès à Delhi n’ont repris que le 22 mars pour devenir réellement importants à partir du 10 avril soit plus de 3 mois après.

Je vous rappelle que lors de la vraie épidémie en France en mars 2020 le délai médian entre la contamination et le décès était d’environ 20 jours.

Manipulation numéro 3

Le nombre de décès à Delhi ne peut s’expliquer par les fêtes religieuses, car ils se produisent 60 jours après le début des fêtes et deviennent importants 90 jours après.

En 2020, la première vague de Covid a eu lieu à Delhi le 11 mai, rien entre janvier et mai. Bref l’hypothèse des fêtes est totalement ridicule et d’autant plus que j’ai du mal à imaginer les gestes barrières et le changement de masque tous les 4 heures dans une ville surpeuplée de 20 millions d’habitants.

Raison garder

Le «cauchemar»à Delhi rapporté par les «journalistes».

Une étude de 2015 estime que 80 personnes meurent chaque jour, soit 29 000 par an à Delhi, de la pollution.(([7] https://www.downtoearth.org.in/news/delhi-loses-80-lives-to-air-pollution-every-day-says-study-50222))

Si l’on compare cette donnée aux 10 536 décès du Covid en 2020 à Delhi, on constate que le Covid représenterait un tiers des décès dus à la pollution (36%)!

Le taux de mortalité8 en 2019 est de 7,29 décès pour 1 000 habitants à Delhi, soit 144 400 morts. 10% des décès soit 14 400 morts sont par septicémie selon les dernières données officielles (cequirenseigneassezbiensurl’hypothèseridiculedesgestesbarrièresàDelhi). 1,4 fois plus de morts par septicémie que du Covid !

Manipulation numéro 4

L’augmentation du nombre de décès à Delhi ne peut s’expliquer par un relâchement des gestes barrières dès lors qu’il y a plus de décès par septicémie en temps normal que par Covid ! La notion de gestes barrières en Inde est totalement ridicule !

La vaccination

Big Pharma fait tout pour empêcher médias et scientifiques corrompus de poser, ne serait-ce que l’hypothèse, que l’augmentation des décès pourrait être causée par la vaccination.

Pour autant, dès lors que les «vaccins» seraient efficaces contre la souche du mois de mars 2020, il serait logique qu’ils bloquent principalement le virus d’origine et qu’ils soient moins performants

(([8] http://des.delhigovt.nic.in/wps/wcm/connect/4ac53080409a01a58f3ebfa50c073453/vital_annual_19.pdf?MOD=AJPERES&lmod=-108668931&CACHEID=4ac53080409a01a58f3ebfa50c073453&Annual%20Report%20of%20Registration%20of%20Births%20and%20Deaths%20in%20Delhi%202019))

pour les variants…

La vaccination ne peut donc QUE favoriser l’émergence de variants… Regardons la courbe des vaccinations journalières à Delhi.

La vaccination à Delhi débute à la mi-janvier pour atteindre 5% de vaccinés vers le 20 mars, période qui correspond au début de la recrudescence des décès.

Le 10 avril, alors que la courbe de décès journaliers devient exponentielle, nous assistons au pic du nombre de doses journalières administrées soit 105 918 doses.

À cette date, 10% des habitants sont vaccinés.

Autre point intéressant :

Le nombre de vaccinations journalières n’a cessé de diminuer depuis, aussi bien à Delhi que dans toute l’Inde.

Sommes-nous dans l’hypothèse d’une pénurie de vaccins (alors même que l’Inde produit son proprevaccin et que la situation devient « dramatique ») ou les autorités auraient-elles pris conscience d’une dangerosité potentielle de son vaccin qui au lieu de sauver des vies, provoquerait des variants et des morts ?

Que conclure provisoirement sur la situation en Inde ?

  • L’hypothèse des célébrations religieuses ou du relâchement des gestes barrières est totalement honteuse et ridicule.
  • L’augmentation des cas et des décès est parfaitement corrélée avec la montée en puissance de la vaccination et l’arrivée d’un nouveau variant indien.
  • Les autorités ont étrangement ralenti la campagne de vaccination.

Quid d’autres pays à forte vaccination ?

  • La Hongrie a connu une explosion de son taux de mortalité dès lors que 6% de la population a été vaccinée par le vaccin chinois (vaccin classique). Son taux de mortalité a doublé depuis la vaccination massive.
  • Le Brésil voit apparaître une explosion de son taux de mortalité le 3 mars quand le pourcentage de vaccinés dépasse les 4,36% de la population. Le vaccin est aussi un dérivé du vaccin chinois.
  • L’Inde a ce même problème avec son propre vaccin qui est aussi un vaccin classique.

Il est donc intéressant de constater que dans ces 3 cas nous avons affaire à des vaccins classiques.

Dangerosité ou innocuité des thérapies géniques expérimentales ?

Nous ne constatons pas de liens entre la vaccination et la mortalité en France, pays dans lequel les « vaccins» administrés sont ARN messager ou adénovirus OGM.

« Est-ce à dire que les thérapies géniques à ARN messager seraient à court terme moins létales ? »

Il est extrêmement difficile de répondre à cette question :

  • Nous voyons par exemple qu’Israël truque ses données de mortalité sur le site Euromomo.
  • La France a fait le choix de vacciner plutôt des personnes à risque, et donc à espérance de vie réduite, avec de l’ARN messager et il n’y a pas encore une vaccination de masse pour les personnes jeunes et en bonne santé dont, je le rappelle, le risque de décès du Covid est NUL ! À la différence de l’Inde où la population est jeune, âge médian 26 ans.
  • 90% des morts du Covid en France sont des faux morts, des personnes décédées positives au Covid ou même avec un soupçon de Covid.

Partons de l’hypothèse de 300 morts officiels par jour.

Nous pouvons déduire que 30 personnes (et même moins) sont réellement décédées du Covid par jour.

Doublons la mortalité du fait de thérapies géniques massives dans une population jeune…

Il n’y aurait que 60 décès au total… et cette augmentation, si elle était répercutée, se traduirait par 10% de plus de décès journaliers (300+30=330parjour).

Avec la fluctuation des faux morts, il est très possible qu’elle soit alors totalement statistiquement invisible.

Mais dès lors que la vaccination passera à une vaccination de masse pour une population en bonne santé, rien ne dit que le drame ne se produira pas. Nous constatons que le nombre de morts des 20 à 29 ans a doublé en France depuis début janvier.

Pour résumer la situation indienne:

  • Il y a une augmentation réelle de la mortalité.
  • Pour autant, l’Inde déplore officiellement deux fois moins de décès que la France.
  • Cette augmentation ne peut PAS s’expliquer par les fêtes religieuses ou une diminution des gestes barrières
  • L’accroissement du nombre de morts coïncide parfaitement avec la montée en puissance de la vaccination.
  • Étrangement, l’Inde a fortement diminué sa campagne de vaccination depuis 10 jours.
  • Des pays qui vaccinent avec des vaccins classiques comme le Brésil ou la Hongrie subissent ce même «hasard»de calendrier.
  • Les pays qui ont fait le choix de l’ARN messager ne semblent pas subir le problème. Soit parce que les thérapies géniques seraient moins dangereuses.

Soit parce qu’ils vaccinent essentiellement des personnes âgées à risque. Soit parce que les effets dévastateurs apparaîtront à plus long terme.

Soit parce que les autorités des pays concernés manipulent les données et camouflent les décès.

Alors que nous pouvions imaginer le contraire, se vacciner aujourd’hui avec un produit plus

« classique » semble pour le moins totalement déraisonnable.

Je vous rappelle qu’aucun vaccin contre des coronavirus n’a jamais fonctionné et que les essais de vaccins contre les coronavirus sur les animaux ont été dévastateurs.

Merci.

Alain Tortosa.

21 avril 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210421-inde-cauchemar-ou-manipulation.pdf





L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Mordechai Sones – Le 25 mars 2021

America’s Frontline Doctors (AFLDS) s’est entretenu avec l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, pour connaître son point de vue sur le vaccin COVID-19, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, les autorités de réglementation, etc.

D’emblée, le Dr Yeadon a déclaré :

« Je suis bien conscient des crimes contre l’humanité perpétrés contre une grande partie de la population mondiale.

Je ressens une grande peur, mais je ne suis pas dissuadé de donner un témoignage d’expert à de multiples groupes d’avocats compétents comme Rocco Galati au Canada et Reiner Fuellmich en Allemagne.

Je n’ai absolument aucun doute sur le fait que nous sommes en présence de produits maléfiques (ce n’est pas une décision que j’ai déjà prise en 40 ans de carrière de chercheur) et dangereux.

Au Royaume-Uni, il est tout à fait clair que les autorités sont déterminées à administrer des « vaccins » au plus grand nombre possible de personnes. C’est de la folie, car même si ces agents étaient légitimes, la protection n’est nécessaire que pour les personnes présentant un risque particulièrement élevé de mourir du virus. Chez ces personnes, on pourrait même argumenter que les risques valent la peine d’être supportés. Et il y a certainement des risques qui sont ce que j’appelle « mécanistes », c’est-à-dire intégrés dans la façon dont ils fonctionnent.

Mais toutes les autres personnes, celles en bonne santé et âgées de moins de 60 ans, peut-être un peu plus, ne meurent pas du virus. Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas déterminé.

Il ne serait sage à aucun moment de faire ce qu’ils ont déclaré avoir l’intention de réaliser.

Puisque je le sais avec certitude, et que je sais que ceux qui le dirigent le savent aussi, nous devons nous interroger : Quel est leur motif ?

Bien que je ne le sache pas, j’ai de fortes réponses théoriques, dont une seule est liée à l’argent et ce motif ne fonctionne pas, car on peut arriver au même quantum en doublant le coût unitaire et en donnant l’agent à deux fois moins de personnes. Dilemme résolu. Donc c’est autre chose.

Sachant que, par population entière, il est également prévu que les enfants mineurs et éventuellement les bébés soient inclus dans le filet, et c’est ce que j’interprète comme un acte maléfique.

Il n’y a aucune justification médicale à cela. Sachant comme je le sais que la conception de ces « vaccins » aboutit, dans le corps des destinataires, à l’expression de la protéine spike, qui a des effets biologiques indésirables propres qui, chez certaines personnes, sont nocifs (déclenchement de la coagulation du sang et activation du « système de complément » immunitaire), je suis déterminé à souligner que ceux qui ne sont pas à risque de ce virus ne devraient pas être exposés au risque d’effets indésirables de ces agents. »

AFLDS : La décision de la Cour suprême d’Israël de la semaine dernière annulant les restrictions de vol du COVID disait : « À l’avenir, toute nouvelle restriction sur les voyages à destination ou en provenance d’Israël doit, en termes juridiques, reposer sur une base complète, factuelle et fondée sur des données. »

Dans une conférence que vous avez donnée il y a quatre mois, vous avez dit que

« La durée la plus probable de l’immunité contre un virus respiratoire comme le SRAS-CoV-2 est de plusieurs années. Pourquoi est-ce que je dis cela ? Nous disposons en fait des données relatives à un virus qui a balayé certaines parties du monde il y a dix-sept ans, le SRAS, et souvenez-vous que le CoV-2 du SRAS est similaire à 80 % au SRAS, donc je pense que c’est la meilleure comparaison que l’on puisse fournir.

Les preuves sont claires : ces immunologistes cellulaires très intelligents ont étudié toutes les personnes qui avaient survécu au SRAS il y a 17 ans et sur lesquelles ils ont pu mettre la main. Ils ont prélevé un échantillon de sang et ont vérifié s’ils réagissaient ou non au SRAS original, et ils l’ont tous fait ; ils avaient tous une mémoire cellulaire T robuste et parfaitement normale. En fait, ils étaient également protégés contre le CoV-2 du SRAS, car ils sont très similaires ; c’est une immunité croisée.

Je dirais donc que les meilleures données existantes indiquent que l’immunité devrait être robuste pendant au moins 17 ans. Je pense qu’il est tout à fait possible qu’elle dure toute la vie. Le style des réponses des cellules T de ces personnes était le même que si vous aviez été vacciné et vous revenez des années plus tard pour voir si cette immunité s’est maintenue. Je pense donc que la preuve est vraiment forte que la durée de l’immunité sera de plusieurs années, voire de toute une vie. »

En d’autres termes, une exposition antérieure au SRAS – c’est-à-dire à une variante similaire au CoV-2 du SRAS – confère une immunité au CoV-2 du SRAS.

Le gouvernement israélien invoque de nouveaux variants pour justifier les confinements, les annulations de vols, les restrictions et la délivrance de passeports verts. Compte tenu du verdict de la Cour suprême, pensez-vous qu’il soit possible de prévenir les futures mesures gouvernementales en fournissant des informations précises sur les variants, l’immunité, l’immunité collective, etc. aux avocats qui contesteront ces futures mesures ?

Yeadon :

« Ce que j’ai décrit en ce qui concerne l’immunité contre le SRAS est précisément ce que nous observons avec le SRAS-CoV-2. L’étude provient de l’un des meilleurs laboratoires dans son domaine.

Donc, en théorie, les gens pourraient tester leur immunité aux cellules T en mesurant les réponses des cellules dans un petit échantillon de leur sang. De tels tests existent, ils ne sont pas « à haut débit » et ils sont susceptibles de coûter quelques centaines de dollars chacun à grande échelle. Mais pas des milliers. Le test dont j’ai connaissance n’est pas encore disponible dans le commerce, mais fait l’objet de recherches uniquement au Royaume-Uni.

Cependant, je pense que l’entreprise pourrait être incitée à fournir des kits de test « pour la recherche » à grande échelle, sous réserve d’un accord. Si vous deviez vous arranger pour tester quelques milliers d’Israéliens non vaccinés, cela pourrait être une arme à double tranchant. D’après l’expérience d’autres pays, 30 à 50 % des gens étaient déjà immunisés et environ 25 % ont été infectés et sont maintenant immunisés.

Personnellement, je ne voudrais pas avoir affaire aux autorités selon leurs propres termes : vous êtes soupçonné d’être une source d’infection jusqu’à preuve du contraire. Vous ne devriez pas avoir à prouver que vous ne représentez pas un risque pour la santé des autres. Ceux qui ne présentent pas de symptômes ne sont jamais une menace pour la santé des autres. Et dans tous les cas, une fois que ceux qui se sentent concernés par le virus sont vaccinés, il n’y a tout simplement aucun argument pour que quelqu’un d’autre ait besoin d’être vacciné. »

[AFLDS :] Ma compréhension d’un « vaccin fuyant » est qu’il ne fait qu’atténuer les symptômes chez les vaccinés, mais n’arrête pas la transmission ; il permet donc la propagation de ce qui devient alors un virus plus mortel.

Par exemple, en Chine, on utilise délibérément des vaccins non étanches contre la grippe aviaire pour éliminer rapidement les troupeaux de poulets, car les personnes non vaccinées meurent en trois jours. Dans le cas de la maladie de Marek, dont ils devaient sauver tous les poulets, la seule solution était de vacciner 100 % du troupeau, car tous les non-vaccinés couraient un risque élevé de mourir. L’utilisation d’une fuite de vaccin est donc dictée par l’intention, c’est-à-dire qu’il est possible que l’intention soit de causer un grand tort aux personnes non vaccinées.

Les souches les plus fortes ne se propagent généralement pas dans une population car elles tuent l’hôte trop rapidement, mais si les personnes vaccinées ne sont atteintes que de maladies moins graves, elles transmettent ces souches aux personnes non vaccinées qui contractent des maladies graves et meurent.

Êtes-vous d’accord avec cette évaluation ? De plus, êtes-vous d’accord avec le fait que si les non-vaccinés deviennent les personnes sensibles, la seule solution est une prophylaxie par HCQ [Hydroxychloroquine] pour ceux qui n’ont pas déjà eu le COVID-19 ?

Le protocole Zelenko fonctionnerait-il contre ces souches plus fortes si c’est le cas ?

Et si beaucoup de personnes ont déjà l’ancienne « immunité de 17 ans contre le SRAS » mentionnée plus haut, cela ne les protégerait-il pas contre un super-variant ?

[Yeadon :]

« Je pense que l’histoire de Gerrt Vanden Bossche est très suspecte. Il n’y a aucune preuve que la vaccination conduise ou conduira à des ‘variants dangereux’. Je crains qu’il ne s’agisse d’une sorte de ruse.

En règle générale, les variants se forment très souvent, régulièrement, et ont tendance à devenir moins dangereux et plus infectieux avec le temps, à mesure qu’ils s’équilibrent avec leur hôte humain. Les variants ne deviennent généralement pas plus dangereux.

Aucun variant ne diffère de la séquence originale de plus de 0,3 %. En d’autres termes, tous les variants sont identiques à 99,7 % au moins à la séquence de Wuhan.

C’est une fiction, et une fiction diabolique, que les variants soient susceptibles d' »échapper à l’immunité ».

Non seulement c’est intrinsèquement improbable — car ce degré de similitude entre les variants signifie qu’il n’y a aucune chance qu’une personne immunisée (que ce soit par une infection naturelle ou par la vaccination) soit rendue malade par un variant — mais c’est également soutenu empiriquement par des recherches de grande qualité.

Les recherches auxquelles je fais référence montrent que les personnes qui se remettent d’une infection ou qui ont été vaccinées possèdent TOUTES un large éventail de cellules immunitaires qui reconnaissent TOUS les variants.

Cet article montre que la reconnaissance moléculaire étendue par le système immunitaire rend les minuscules changements dans les variants non pertinents.

Je ne saurais trop insister : Les histoires autour des variants et du besoin de vaccins complémentaires sont FAUSSES. Je crains qu’il y ait une raison très maligne derrière tout cela. Elle n’est certainement pas étayée par les meilleures méthodes d’étude de l’immunité. Les affirmations manquent toujours de substance lorsqu’on les examine, et utilisent diverses astuces, comme la manipulation des conditions pour tester l’efficacité des anticorps. Les anticorps sont probablement assez peu importants dans la protection de l’hôte contre ce virus. Quelques « expériences naturelles » ont été réalisées sur des personnes qui ne peuvent malheureusement pas produire d’anticorps, mais qui parviennent à repousser le virus avec succès. Il est certain qu’elles se portent mieux avec des anticorps que sans. Je mentionne ces rares patients parce qu’ils montrent que les anticorps ne sont pas essentiels à l’immunité de l’hôte, de sorte qu’un test inventé dans un laboratoire sur les anticorps et les variants de virus modifiés ne justifie PAS le besoin de vaccins complémentaires.

Les seules personnes qui pourraient rester vulnérables et avoir besoin d’une prophylaxie ou d’un traitement sont celles qui sont âgées et/ou malades et qui ne souhaitent pas recevoir de vaccin (ce qui est leur droit).

La bonne nouvelle est qu’il existe de multiples choix possibles : l’hydroxychloroquine, l’Ivermectine, le budésonide (stéroïde inhalé utilisé chez les asthmatiques), et bien sûr la vitamine D orale, le zinc, l’azithromycine, etc. Ces traitements réduisent la gravité à tel point que ce virus n’aurait pas eu besoin de devenir une crise de santé publique. »

[AFLDS :] Pensez-vous que la FDA fait un bon travail de régulation des grandes entreprises pharmaceutiques ? De quelle manière les grandes entreprises pharmaceutiques contournent-elles l’autorité de réglementation ? Pensez-vous qu’elles l’ont fait pour l’injection d’ARNm ?

[Yeadon :]

« Jusqu’à récemment, j’avais une grande estime pour les régulateurs mondiaux des médicaments. Lorsque j’étais chez Pfizer, et plus tard PDG d’une biotech que j’ai fondée (Ziarco, rachetée plus tard par Novartis), nous avons eu des échanges respectueux avec la FDA, l’EMA et la MHRA du Royaume-Uni.

Des interactions toujours de bonne qualité.

Récemment, j’ai remarqué que la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) avait accordé une subvention à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) ! Est-ce que cela peut être approprié ? L’agence est financée par des fonds publics. Ils ne devraient jamais accepter de l’argent d’un organisme privé.

Voici donc un exemple où le régulateur britannique est en conflit d’intérêts.

L’Agence européenne des médicaments n’a pas exigé certaines choses, comme l’a révélé le « piratage » de ses dossiers lors de l’examen du vaccin Pfizer.

Vous pouvez trouver des exemples sur le « Comité Corona » de Reiner Fuellmich en ligne.

Je ne crois donc plus que les régulateurs soient capables de nous protéger. L »approbation’ n’a donc aucun sens.

Le Dr Wolfgang Wodarg et moi-même avons adressé une pétition à l’EMA le 1er décembre 2020 sur les vaccins génétiques. Ils nous ont ignorés.

Récemment, nous leur avons écrit en privé, les mettant en garde contre les caillots sanguins, ils nous ont ignorés. Lorsque nous avons rendu publique notre lettre, nous avons été complètement censurés. Quelques jours plus tard, plus de dix pays ont interrompu l’utilisation d’un vaccin en invoquant des caillots sanguins.

Je pense que les grosses sommes d’argent de l’industrie pharmaceutique et de la BMGF créent un environnement où dire non n’est pas une option pour l’organisme de réglementation.

Je dois revenir sur la question des « vaccins complémentaires » (piqûres de rappel) et je crains que tout ce récit ne soit exploité et utilisé pour acquérir un pouvoir inégalé sur nous.

S’IL VOUS PLAÎT, avertissez chaque personne de ne pas s’approcher des vaccins complémentaires. Ils ne sont absolument pas nécessaires.

Comme ils ne sont pas nécessaires, mais qu’ils sont fabriqués par des entreprises pharmaceutiques et que les autorités de réglementation se sont tenues à l’écart (pas de tests de sécurité), je ne peux que déduire qu’ils seront utilisés à des fins néfastes.

Par exemple, si quelqu’un souhaite blesser ou tuer une proportion importante de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettront.

Je pense qu’il est tout à fait possible que ces systèmes soient utilisés pour une dépopulation à grande échelle. »

https://www.americasfrontlinedoctors.com/exclusive-former-pfizer-vp-to-aflds-entirely-possible-this-will-be-used-for-massive-scale-depopulation/



Oui, les vaccins sont expérimentaux contrairement à ce que l’AFP et J. Mansour affirment dans leur « fast check »

Par Dr Gérard Delépine

Dans une « fast check » [Note : non pas « fact check » qui signifierait « vérification de faits », mais « fast check » pour « vérification rapide » ou hâtive.] du 11 mars 2021, Juliette Mansour et l’AFP nous accusent de diffuser de fausses informations. Cet article trompeur se contente d’affirmer les croyances de la pensée unique du politiquement correct, sans rapporter les faits établis, car ils confirmeraient nos dires. Nous fournissons ici les preuves de leurs erreurs.

Non, les essais phase trois des vaccins ne sont pas terminés ! Il suffit de consulter le site « clinical trials.gov » pour le vérifier

Juliette Mansour et l’AFP prétendent que « cette dernière phase [phase 3] avant la mise sur le marché, qui se déroule sur des milliers de volontaires, est bien terminée pour les quatre vaccins homologués. » Cette affirmation est totalement fausse !

Pour connaître l’état d’avancement d’un essai, il suffit de se référer au site américain officiel « clinical trials.gov(([1] La base de données sur les résultats du ClinicalTrials.gov a été créée en septembre 2008 pour mettre en œuvre l’article 801 de la Food and Drug Administration Amendments Act of 2007 (FDAAA) (PDF), qui exige la présentation de « résultats de base » pour certains essais cliniques, généralement au plus tard un an après leur date d’achèvement (voir date d’achèvement primaire le ClinicalTrials.gov).)) » chargé de les lister. En l’interrogeant par Internet (vous pouvez le faire en français) vous obtiendrez les mentions : aucune étude phase 3 terminée.

En poursuivant la lecture de ce site, vous pourrez lire que la phase 3 du vaccin Pfizer, essai plus avancé que ceux de ses concurrents, se poursuit selon le schéma prévu avec une première analyse provisoire prévue en août 2021, et la fin de l’essai espérée en janvier 2023, soit dans à peu près deux ans.

L’essai phase 3 de Pfizer est donc loin d’être terminé ! Et il en est de même avec tous autres vaccins covid actuels.

Pour le vaccin Astra Zeneca, second dans l’avancement des essais phase 3, la fin de l’essai phase 3 est prévue en février 2023 :

Pour le Janssen, l’essai ne se terminera pas avant 2024 :

Malheureusement la journaliste de l’Agence France presse n’a pas pris le temps de vérifier ces faits indiscutables, avant de prétendre que les essais phase 3 étaient terminés ! Les écoles actuelles de journalistes ne leur apprendraient-elles plus à enquêter ?

Les publications des résultats cliniques définitifs des phase 3 n’existent pas

Juliette Mansour aurait pu aussi s’étonner de l’absence de publications détaillant les résultats cliniques définitifs des essais phase 3 chez l‘homme en les recherchant dans cette même base bibliographique « clinical trials.gov » dans chaque essai, ou dans « PubMed »(([2] Principal moteur de recherche de données bibliographiques de la biologie et de la médecine. PubMed est gratuit et donne accès à la base de données bibliographique MEDLINE.)) qui recensent les articles médicaux publiés dans la littérature internationale.

Interrogée le 14/3/2021 avec les mots clefs « Covid vaccine trials Results ». PubMed listait 26 articles dont aucun ne rapporte de résultats définitifs d’un quelconque essai phase 3 de vaccin Covid. La vérification est facile pour tous, l’accès PubMed étant libre et possible en français. Alors pourquoi Juliette Mansour n’en a pas pris le temps ?

Avant de publier sa tribune mensongère, nocive pour les citoyens crédules, elle aurait aussi pu nous interroger sur nos sources et nous demander ces preuves que nous lui aurions volontiers fournies. Mais au lieu de confronter les opinions dans un débat contradictoire honnête, elle a choisi le camp des corona terroristes trahissant ainsi l’éthique des journalistes qui doivent se comporter en observateurs impartiaux.

Mais où sont passés les journalismes d’investigation d’antan ?

Nous réaffirmons que les essais n’ont pas été conduits correctement et surtout ne sont pas terminés

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, avant d’arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations nécessaires à la conception de la suivante.

Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés, car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours habituel qui nécessitait de 9 à 12 ans (en moyenne 10) cette lenteur étant indispensable à la sécurité.

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme, mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats(([3] « Nous ne trouvons plus de macaques rhésus. Ils ont complètement disparu », témoigne ainsi Mark Lewis, PDG de Bioqual, sur le site américain the Atlantic.)), le développement très rapide de plusieurs vaccins anticovid n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

La presse anglo-saxonne l’a souvent dénoncé en titrant que les protocoles de certains essais “sautaient” cette phase, sans que l’AFP ni les médias hexagonaux les relaient. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectués simultanément, voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

 Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de cette complication. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps, mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus et sont peut-être aussi responsables de l’accroissement de mortalité constatée juste après le début des campagnes de vaccination dans les pays qui se sont érigés en champions de celle-ci.

Les essais cliniques humains bien faits sont indispensables à la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives, les conclusions de chaque phase permettant d’optimiser la suivante.

La phase I porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II nécessite quelques centaines de malades et dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance et innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire), mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration le plus efficace, de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est tout à fait insuffisante et les sous-déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins anticovid menacent la sécurité sanitaire

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux

Regroupement des phases, I et II ou II et III, ne permettant pas d’utiliser les résultats de la phase précédente pour concevoir convenablement la phase suivante.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante (en moyenne 2-3 mois lors des évaluations intermédiaires présentées aux agences), ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse, ni sur la durée de l’immunité éventuelle, ni sur les éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins antigrippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché transitoire « conditionnelle accordée alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni obtenus, ni publiés, et que la durée insuffisante de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme.

Personnes âgées à forte comorbidité trop peu représentées dans les essais alors qu’elles constitueraient l’indication préférentielle d’un vaccin qui serait efficace et sûr.

Critères de jugement non pertinents

 Le but d’un vaccin est de diminuer la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or le critère de mortalité a été négligé par les firmes et le critère de contamination souvent réduit à la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement (être positif au test PCR ne signifie pas être porteur du virus entier, ni malade, ni contagieux)

Aussi, lorsque l’Agence nationale du médicament prétend que : « l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients« , elle nous rappelle tristement les affirmations de l’agence de sécurité nucléaire sur le nuage de Tchernobyl ou ses dénégations répétées dans l’affaire du médiator (entre autres …).

Présentation biaisée des résultats provisoires

Un avis du BMJ(([4] Ronald B. Brown Biais de déclaration des résultats dans les essais cliniques sur le vaccin à ARNm COVID-19 – Medicina 2021, 57 (3), 199 ;
https://doi.org/10.3390/medicina57030199)) souligne que Pfizer / BioNTech et Moderna ont signalé la réduction du risque relatif de leurs vaccins en donnant des chiffres supérieurs à 90%, mais les fabricants n’ont pas signalé de réduction du risque absolu correspondante, qui « semble être inférieure à 1% ».

L’insuffisance des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques totalement nouvelles

Les vaccins conçus par Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisants spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les coûts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto-immunes est fortement suspecté, mais ils restent des vaccins au sens pasteurien.

Les produits Pfizer, Moderna et Astra Zeneca et Janssen qui sont des médicaments nouveaux, ne contiennent pas d’antigènes, mais des produits génétiques (ARN messager, virus vecteurs pour Astra Zeneca) destinés à en faire fabriquer par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

OUI, les vaccins ARN messagers exposent au risque de modifier notre ADN

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique est d’origine virale.  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de mécanismes différents pour l’instant inconnus.

Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dont la technique n’a jamais été utilisée auparavant pour un vaccin exposent donc à des risques non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution.

Nos contradicteurscités par l’AFP ont oublié de citer leurs liens d’intérêts avec les firmes vaccinales. Certaines de leurs affirmations telles que « le vaccin à ARN reste localement, il ne va pas se promener partout dans vos testicules, qui sont un sanctuaire immunologique et on n’a jamais vacciné quelqu’un dans les testicules » frisent le ridicule, car personne ne peut un instant croire qu’un médicament à ARN injecté dans l’organisme ne va pas circuler dans l’ensemble du corps qu’il est censé protéger. Par la circulation sanguine, il se répand partout comme les antibiotiques, les hormones, l’oxygène, le glucose…et ce médicament ne serait pas véhiculé par le sang jusqu’aux testicules ?

Oui : les vaccins mis actuellement sur le marché sont expérimentaux

Tant que les résultats définitifs et complets des essais phase III n’ont pas été analysés et publiés, l’utilisation d’un vaccin ou d’un médicament est expérimentale.

Les campagnes de vaccination en cours dans le monde constituent des essais phase III, simultanés de la phase IV qui a été instaurée par l’attribution d’AMM conditionnelle, en totale contradiction avec le schéma traditionnel des essais qui doivent respecter la hiérarchie des phases.

Le caractère expérimental de la vaccination actuelle se reflète d’ailleurs dans la fréquence très inhabituelle des complications observées après vaccination entraînant des alertes des agences sanitaires et la suspension de la vaccination dans de très nombreux pays.

Alerte de l’agence norvégienne après 28 morts post vaccinales chez des vieillards, abandon du vaccin Astra Zeneca par l’Afrique du Sud pour inefficacité, arrêt de l’utilisation de ce même vaccin par l’Autriche, abandon de ce même vaccin pour les plus de 65 ans en France et en Allemagne, puis suspension de l’utilisation de ce même vaccin dans la majorité pays européens après plusieurs décès post vaccinaux par phlébites et embolie.

Même chez les jeunes adultes qui ne risquent guère du Covid19, les vaccins sont suivis de complications comme le confirme l’alerte de l’agence française du médicament demandant ne pas vacciner en même temps les soignants d’une même équipe hospitalière pour éviter que de trop nombreux arrêts de travail empêchent la poursuite des activités(([5] France Info Vaccins Astra Zeneca : 149 soignants vaccinés ont présenté des « syndromes grippaux de forte intensité » après leur injection d’après l’ANSM 5/2/2021
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccins-astrazeneca-149-soignants-vaccines-ont-presente-des-syndromes-grippaux-de-forte-intensite-apres-leur-injection-ansm_4293231.html)) (([6] FR3 Normandie Pourquoi l’hôpital de Saint-Lô a-t-il suspendu la vaccination des soignants par le vaccin Astra Zeneca ? 12/2/2021)) (([7] FR3 Normandie Vaccin Astra Zeneca : près de Rouen, des soignants inquiets après leur première injection Sur les 20 soignants de l’établissement hospitalier vaccinés durant la semaine, sept ont présenté d’importants effets secondaires qui ont mené à des arrêts maladie. Cela représente 30% du nombre de personnes ayant reçu une dose du sérum Astra Zeneca.)), la suspension de la vaccination des pompiers dans les bouches du Rhône(([8] par le Colonel Grégory Allione, Président de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France)) après un arrêt cardiaque survenu 48 heures après vaccination…

OUI la vaccination est suivie de nombreux morts et incidents majeurs

Ne pouvant pas contester les chiffres d’Eudravigilance de 2500 morts survenues après vaccination, l’AFP avance l’absence de preuve de liens de causalité.

Pourtant lorsqu’une personne entre à l’hôpital pour une maladie cardiaque ou un cancer en phase critique et qu’elle meurt après un test PCR de dépistage positif, la cause de la mort est systématiquement étiquetée Cocid19 même si aucun signe clinque ou autopsique ne le suggère. Présomption de culpabilité en cas de test Covid19 positif.

Mais si un décès succède à une vaccination, il est systématiquement attribué à autre chose par les Agences. Présomption d’innocence en cas de vaccination anti covid.

Dans un jugement du 26 juin 2017, le tribunal européen de Luxembourg(([9] https://www.village-justice.com/articles/cjue-tranche-question-admission-preuve-par-presomption-defaut-vaccin-son-lien,26650.html)) a statué :

en cas de complication post vaccinale grave

« même en l’absence de consensus scientifique, les juges nationaux peuvent s’appuyer sur certains éléments de fait invoqués par le demandeur »

et ces éléments, s’ils constituent des « indices graves, précis et concordants » peuvent permettre « de conclure à l’existence d’un défaut du vaccin et à celle d’un lien de causalité entre ce défaut et ladite maladie ».

Les attendus de ce jugement paraissent ignorer des membres des agences. Ce refus systématique de la responsabilité de la vaccination représente un frein considérable à l’analyse objective des liens éventuels de causalité et à la recherche de cofacteurs qui pourraient éventuellement constituer des contre-indications et constitue la cause principale de la perte de confiance envers la parole publique et de la méfiance croissante envers les vaccinations.

Si les essais avaient été convenablement conçus en incluant un grand nombre de personnes âgées à forte comorbidité et si les témoins avaient reçu de vrais placebos totalement inactifs, les complications des vaccins auraient pu être reconnues et le lien de causalité analysé.

Mais les agences ont accepté des essais biaisés et bâclés, et autorisé l’injection de vaccin à des groupes de personnes pour lesquelles elles ne disposent d’aucune donnée de tolérance. Nous en payons actuellement le prix.

OUI la vaccination a partout été suivie d’une augmentation de la mortalité

Qu’il s’agisse des Émirats Arabes Unis :

D’Israël :

Ou en Grande-Bretagne :

La vaccination, comme tout traitement actif expose à des complications. Celles -ci sont d’autant plus graves qu’elles des touchent des personnes saines et non pas des malades et que pour elle le bénéfice éventuel n’est qu’incertain.

Seule une totale transparence peut rétablir la confiance. Les mensonges et les volte-face répétés du gouvernement et des médias, les mesures inutiles et parfois ridicules, voire grotesques, qu’on nous impose et la censure des opposants ne font qu’aggraver la méfiance.

Si on veut rassembler le pays, il faut changer de politique et arrêter de mentir et cesser la propagande mensongère qu’illustre la tribune de Juliette Mansour et de l’AFP.

Le ministre des Affaires étrangères de Taiwan, Wu avait proclamé fin février(([10] Victor (Lin) Pu L’épidémie de coronavirus : comment Taiwan démocratique a surpassé la Chine autoritaire
le Diplomat 27 février 2020)) :

« la véracité totale des informations sur la maladie et la transparence des motivations des décisions sanitaires sont les meilleures armes dans la lutte contre le Covid19 ».

Pourquoi nos gouvernants et nos médias ne l’ont-ils pas écouté au lieu de suivre l’exemple totalitaire chinois ?