Et il faudrait les croire ?

Par Alain Tortosa

Qu’est-ce qui est vrai dans la parole gouvernementale que nous subissons depuis des mois ?

Le taux d’incidence est un FAUX qui n’est pas caché par le gouvernement.

D’une part parce qu’il est calculé par rapport à des positifs et non des malades. En effet quand le réseau sentinelle(([1] Réseau Sentinelle https://www.sentiweb.fr/document/5224)) indique 10 malades pour 100 000 habitants le gouvernement est capable d’annoncer 200 positifs pour 100 000 habitants.

D’autre part le PCR génère d’autant plus de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification est important…

Puis, plus on teste de personnes et évidemment plus on trouve de positifs.

Enfin parce que le PCR ne renseigne ni sur la charge virale, ni sur le fait qu’il a détecté le virus ou des traces de virus, ni si la personne est contagieuse ou pas et ni si une personne asymptomatique sera malade ou pas.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Le nombre de personnes hospitalisées est un FAUX.

Parce qu’une personne ayant un rendez-vous programmé à l’hôpital pour se faire enlever un ongle incarné, puis tester (parfois de force par chantage) positive, alors même qu’elle est 100% asymptomatique, sera comptabilisée dans les hospitalisations pour Covid de la journée !

Cette donnée n’est pas cachée par les autorités qui reconnaissent être dans l’incapacité de différencier les vraies et les fausses hospitalisations.

Cette tricherie est ainsi assumée dans un document officiel du gouvernement(([2] Parcours hospitalier des patients atteints de la Covid-19 lors de la première vague de l’épidémie https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/sites/default/files/2020-10/DD67.pdf)).

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Le pourcentage de personnes en réanimation est un FAUX.

Cette information est fournie sur le site du gouvernement

Pour la simple raison que le gouvernement nomme « nombre de personnes en réanimation » non pas les personnes en réa, mais la somme des personnes en réa + soin intensif + surveillance continue(([3] https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees)). Soit environ 19000 lits disponibles en France et non 5000 lits.

Au 6 mars, 3689 patients sont officiellement en (fausse) réanimation selon le gouvernement et il affiche 72,9% de taux d’occupation de (fausse) réanimation.

En réalité, ce n’est pas 3689 patients en réanimation, mais 3689 patients en soin critique.

De fait, le taux d’occupation réel de patients en soin critique au 6 mars (seule donnée connue) est donc de 20% (3689 / 19300 lits de soin critique en France).

Et oui, nous sommes à demi confinés, privés de liberté, obligés de porter une muselière, pour un taux d’occupation de 20% des lits de soin critique pour cause officielle de Covid !

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Le nombre de décès pour Covid est un FAUX.

Sont comptabilisés comme le demande officiellement l’OMS(([4] https://www.who.int/classifications/icd/Guidelines_Cause_of_Death_COVID-19-20200423_FR.pdf)), les personnes décédées qui sont ou étaient positives au Covid, quand bien même ils n’étaient pas malades ou pas décédés du Covid.

Toujours selon l’OMS une personne décédée d’un cancer en phase terminale et pour laquelle il n’y aurait qu’un soupçon de Covid, DOIT être comptabilisée comme décédée du Covid. D’autre part, comment Santé Publique France fait-elle pour comptabiliser 87 246 décès alors qu’elle n’a reçu que 37 680 certificats de décès ?

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les confinements qui seraient efficaces ?

Jamais, je dis bien JAMAIS, dans l’histoire du monde un confinement n’a permis de contrôler une épidémie dès lors qu’un virus circulait déjà da ns la zone à contrôler. Il suffisait d’un seul individu pour tout foutre en l’air !

Jamais dans l’histoire du monde on n’a placé en quarantaine dans un même lieu les personnes saines et les personnes contaminées.

L’usage voulait que l’on ne confine que les malades, pas les bien-portants.

À noter que les pays qui ont confiné ont plutôt les pires résultats en termes de mortalité. Les études publiées avant 2020 ne font pas apparaître la moindre efficacité de la mesure.

Et soudain au 21e siècle, par un miracle, les confinements deviendraient efficaces alors même que nous vivons désormais dans un monde global dans lequel il n’y a plus la moindre autosuffisance !

La présence de variants Sud-Africains à Nice n’est-elle pas une preuve de l’inefficacité totale des confinements ?

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les masques qui seraient efficaces pour prévenir les contaminations ?

Jamais dans l’histoire du monde les masques n’ont permis de contrôler une épidémie. Avant 2020, aucune étude n’a pu prouver l’efficacité de la mesure.

Avant 2020, comme pour un confinement, la moindre erreur dans le port du masque annihile totalement son efficacité et les études suggèrent que les groupes masqués seraient plus contaminés que les autres comme l’évoque l’OMS(([5] OMS — Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 
https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/332448/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf)).

Avant 2020, nous savions que les masques avaient pour objet de bloquer les bactéries, mais pas les virus. Et avec le « succès » tout relatif que nous connaissons au regard des millions d’infections nosocomiales dans les hôpitaux chaque année…

Le seul « masque » efficace est nos défenses immunitaires et le gouvernement a mis en œuvre une politique ne pouvant que conduire à leur amenuisement.

Ici encore, en 2020-2021, il n’est pas possible de montrer l’efficacité du port du masque en

comparant avec les pays qui n’ont pas rendu le masque obligatoire.

Enfin, c’est un virus aéroporté qui est expectoré par notre système respiratoire. De fait

Comment imaginer que des personnes asymptomatiques pourraient être contagieuses comme cela a été notamment prouvé par une étude chinoise sur des millions de personnes suivies ? Sans compter que les modes de transmission sont multiples, par gouttelettes, micro gouttelettes aéroportées qui peuvent rester des heures en suspension et bien sûr par contact d’objets contaminés.

Rappelons que filtrer un virus avec un masque est de même nature que de ramasser du sable fin avec une épuisette ayant des trous de 3 cm !

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les masques seraient inoffensifs?

Comment pourrait-on imaginer que le port 8 à 12 heures par jour d’un dispositif perturbant les échanges gazeux serait inoffensif ?

Comment peut-on croire que ce dispositif dont les humains ne sont pas pourvus à la naissance ne pourrait pas entraîner de contre-indications ?

Baisse de l’oxygénation, augmentation du rythme cardiaque, fatigue respiratoire pour compenser les effets du masque, augmentation du CO2 ne seraient que fakenews ?

Si ces effets n’existaient pas, ils seraient la preuve de l’inefficacité du masque dont l’objet est de filtrer.

Plus le masque est efficace et plus il est dangereux. Et si nous voulions nous protéger de TOUS les virus, il faudrait un masque 100% étanche !

Et passer ses journées à respirer les composés chimiques volatils des masques ne présenterait aussi aucun danger ?

Sans compter que le masque est une pouponnière à virus et bactéries.

Que fait-on de toutes les recommandations de l’OMS qui souligne les différentes contre- indications et dangerosité du port du masque dans une population générale ?

Que fait-on de l’étude allemande sur des milliers d’enfants qui soulignent les effets secondaires ?

Sans compter les effets délétères sur la communication et sur les apprentissages. Et bien sûr les effets catastrophiques sur la relation à autrui.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les vaccins Anti-Covid seraient efficaces contre le coronavirus ?

Les coronavirus mutent par nature.

Nous savons tous qu’il faut un nouveau vaccin contre la grippe tous les ans et que son efficacité est de moins de 50% et qu’il est d’autant moins efficace que nos défenses immunitaires sont défaillantes.

Et les vaccins Covid seraient « par miracle » efficaces contre les mutants ? Un vaccin n’injecte pas des anticorps, mais provoque une réponse immunitaire.

Comment les personnes à risque pourraient-elles être protégées par un vaccin dès lors que les personnes à risque sont « immuno-défaillantes » ?

Comment peut-on parler d’efficacité dès lors que rien ne prouve que ces vaccins bloquent les contaminations et la contagion ?

Comment peut-on aussi parler d’efficacité dès lors que le risque d’anticorps facilitant est d’autant plus important que les personnes sont vaccinées contre la souche du mois de mars ? De fait, les personnes vaccinées pourraient avoir des anticorps facilitants et feraient des formes beaucoup plus graves de la maladie que si elles n’avaient pas été vaccinées.

De plus aucune étude ne prouve que les vaccins Anti-Covid sont ou seraient efficaces pour diminuer la mortalité de personnes en fin de vie (cible ultra majoritaire du Covid) et d’autant plus versus des protocoles de protection ciblés uniquement sur les personnes à risque ou de renforcement du système immunitaire.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les vaccins seraient sans danger ?

Comment les autorités de santé pourraient-elles être certaines que les vaccins seraient sans danger alors que les personnes vaccinées sont des cobayes d’une phase III ?

Comment peut-on dire que les milliards injectés (offerts à l’industrie) seraient de nature à comprimer le temps ?

Une phase III dure au moins plusieurs années avant une commercialisation d’un vaccin. Comment peut-on vouloir vacciner des milliards de personnes avec une technologie expérimentale à ARN messager pratiquée par le passé uniquement sur des personnes avec un cancer et en fin de vie et JAMAIS déployée à grande échelle ?

Comment peut-on surveiller l’ampleur des effets secondaires dès lors que les autorités de santé ont décidé de ne surveiller QUE les effets secondaires qui n’étaient pas répertoriés dans les études de laboratoires publiées par le fabricant.(([6] « L’objectif du suivi de pharmacovigilance est de détecter des effets indésirables nouveaux et/ou graves non identifiés dans les essais cliniques. » https://www.ansm.sante.fr/Dossiers/COVID-19-Vaccins/Suivi-hebdomadaire-des-cas-d-effets-indesirables/))

Comment les autorités de santé peuvent-elles affirmer l’innocuité des vaccins sur les seules données et affirmations fournies par les laboratoires pharmaceutiques ?

D’autant plus lorsque l’on sait que Pfizer a préféré négocier 2,3 milliards d’amendes en 2009 pour publicité mensongère et corruption massive de médecins que de prendre le risque d’un procès.

Comment peut-on ignorer la dangerosité induite par la vaccination qui pourrait, en bloquant les virus proches de la souche du mois de mars, favoriser l’apparition de mutants plus résistants. Raison pour laquelle on ne vaccine JAMAIS une population pendant une épidémie !

Comment peut-on ignorer la dangerosité des anticorps facilitants ?

Comment peut-on espérer des études objectives dès lors que les laboratoires bénéficient d’un cadeau pour lequel c’est l’État qui indemniserait les victimes éventuelles et non le laboratoire ? L’État n’a pas vraiment intérêt à étudier les effets secondaires.

Comment peut-on espérer des données objectives dès lors que la pensée unique affirme que nous n’en sortirons que par la vaccination qui est de fait l’UNIQUE voie, mais aussi que tous les traitements possibles, HCQ ou Ivermectine, pour ne citer qu’eux, sont balayés ainsi que des produits préventifs comme la vitamine D ou le Zinc ?

Qui pourrait imaginer, alors que la décision de vacciner la population mondiale a été prise avant même la sortie de vaccins et avec le concours de la fondation Bill Gates, que l’on puisse faire marche arrière ?

Si d’aventure, ce qui semble le cas notamment en Israël, la mortalité augmentait du fait de la vaccination, les variants (facilités par la vaccination ?) seraient obligatoirement désignés comme les coupables et certainement pas la vaccination elle-même et d’autant plus que toutes les personnes impliquées dans cette promotion macabre pourraient être pénalement poursuivies.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Les vaccins auraient un rapport bénéfice/risque positif pour l’ensemble de la population générale ?

Le gouvernement communique-t-il sur le fait que seules 7 personnes en bonne santé de moins de 30 ans seraient mortes du Covid en France ?

Le gouvernement communique-t-il sur le fait que moins de 2000 personnes, a priori en bonne santé, de moins de 70 ans seraient décédées du Covid ?

Comment un vaccin pourrait avoir un rapport bénéfice vs risque positif pour les personnes en bonne santé alors même que le risque de décès de la maladie est statistiquement nul ? Savez-vous que si vous avez moins de 30 ans, vous avez 2 fois plus de risque de mourir frappé par la foudre que du Covid ?

Savez-vous que Pfizer affirme que sa vaccigénie permettrait aux personnes qui ne sont pas à risque de ne pas faire de formes graves de Covid alors même que les personnes en bonne santé ne font PAS de formes graves !

Comment un rapport bénéfice/risque serait positif pour les personnes en bonne santé alors même que le risque de faire une forme grave est quasi nul, le risque de décès statistiquement nul tandis que le vaccin pourrait provoquer des anticorps facilitants et des formes graves chez les personnes en bonne santé ?

Comment un rapport bénéfice/risque collectif pourrait être favorable dès lors que plus l’on vaccine, plus le risque d’apparition de variants plus résistants augmenterait ?

Comment un rapport bénéfice/risque collectif pourrait-il être favorable dès lors qu’aucune étude ne prouve que le vaccin serait de nature à diminuer la contagion et donc protéger les personnes à risque ?

Comment un rapport bénéfice/risque pourrait-il être favorable dès lors que la protéine spike a des ressemblances avec la syncytine et qu’il pourrait provoquer infertilité et fausses couches chez des populations jeunes en âge de procréer (raison pour laquelle les femmes enceintes ou sans contraception ont été totalement écartées des protocoles).

Comment un rapport bénéfice/risque pourrait-il être favorable dès lors que celui-ci n’a pas été étudié et d’autant plus que le coronavirus mute par nature et que plus il y a de mutations et plus le vaccin sera inefficace et à renouveler ?

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Il faudra vacciner 70% de la population pour retrouver ses libertés ?

Que dites-vous aux personnes âgées vaccinées en Ehpad qui, malgré leur vaccin, sont toujours prisonnières et à qui l’on dit que même vaccinées elles peuvent contaminer les non-vaccinés ?!

Que dites-vous aux millions d’Israéliens vaccinés qui doivent continuer à respecter les gestes barrières et porter le masque malgré leur vaccination ?

Que pensez-vous d’une liberté retrouvée qui vous obligera à présenter votre certificat de vaccination pour accéder à des activités de la vie courante comme aller au supermarché ? Savez-vous que votre vaccination ne sera valable que quelques mois et que non seulement vous devrez être vaccinés, mais vaccinés contre les derniers variants pour bénéficier du sésame ?

Vous avez déjà la preuve que votre vaccination ne redonne strictement aucune liberté à l’heure actuelle, qu’elle ne vous empêche pas de tomber malade, et vous croyez que si vos voisins sont vaccinés vous la retrouverez ?

Savez-vous qu’il est mathématiquement IMPOSSIBLE que 70% de la population soit immunisée quand bien même le vaccin serait efficace à 90%, car il faudrait vacciner TOUS les Français qui n’ont pas de contre-indication y compris les nouveau-nés, ce qui est IMPOSSIBLE donc..

Il n’y aura de fait JAMAIS 70% de la population immunisée permettant officiellement

d’éradiquer un virus qui mute tout le temps.

Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

Et vous, vous les croyez ?

Merci.

Alain Tortosa.
Auteur de « 7milliards d’esclaves, et demain ? » 10 mars de l’an II de la dictature sanitaire.
https://7milliards.fr/tortosa20210310-et-il-faudrait-les-croire.pdf





Sortir de l’instinct grégaire ?

Par Dr Nicole Delépine

« Ce n’est pas d’un vaccin pour s’immuniser contre les infections virales dont l’humanité a besoin, mais d’un vaccin contre la peur afin de s’immuniser contre la stratégie du choc et les manipulations politiques qui sont en train de l’asservir. »

Vincent Mathieu, Ph.D.

« L’instinct grégaire est animal. Il nous ravale au stade du mouton à quatre pattes, quand dans la crainte on s’aplatit, on s’agenouille comme cette petite chose qu’on tond allègrement depuis des siècles pour faire des vêtements nous réchauffant. Êtres frileux dans tous les sens du terme, que ces humains craintifs qui se cachent derrière le derrière de l’autre, collés les uns aux autres, formant une masse qui s’agglutine, tête en bas, au ras du sol, pour ignorer la clarté et la lumière que nous offre le ciel de nos propres idées. »

« Dociles, maladifs, médiocres » disait Nietzsche, parlant de ces personnes ayant gardé cet instinct bestial. Instinct nous poussant tous, plus ou moins, à courber l’échine, à redevenir des enfants marchant à quatre pattes et aussi obéissants qu’eux, par peur, « de manière aveugle et sans réflexion ». Ainsi le nazisme a pu voir le jour. Ainsi une foule a regardé une femme se faire abuser en pleine journée dans un métro bondé comme cela fut le cas à Lille récemment. C’est l’esprit d’égalité qui sous-tend probablement cet instinct primitif. Tous pareils, tous aussi poltrons et peureux, sans audace ni courage.(([1] Extrait de « à la recherche de la vérité, l’histoire de Clothilde » par Agnès Beaufeuil.))

Le plus fascinant dans la période que nous vivons est l’enthousiasme des foules et pas seulement françaises, pour se précipiter se faire tester, et pire se faire vacciner. Pourtant il faut vraiment vouloir ne pas savoir que le coronavirus de l’année 2019 est très peu mortel et en tous cas pas plus que la grippe qui n’a jamais entraîné un tel délire collectif.

Une hystérie mondiale qui continue malgré les preuves accumulées de la faible nocivité du virus, l’existence de traitements précoces efficaces, de la mascarade des tests PCR faux positifs à 97% quand ils sont utilisés en dépistage chez des gens sains, des doutes majeurs sur l’efficacité et la toxicité des vaccins dont l’expérimentation (phase 3) ne se terminera qu’en 2023.

Bizarre, bizarre, la ruée vers l’or (transformée en plomb) qui se poursuit malgré le défilé quotidien d’informations sur tel EHPAD allemand, puis norvégien ou espagnol dans lesquels un tiers des résidents autrefois bien portants sont morts très vite dans les jours ou semaines qui ont suivi l’injection vaccinale miraculeuse. Pour rejoindre le ciel plus vite ? Et bien sûr, sans recul suffisant, on ne sait que très peu de choses de ce qui pourrait se passer chez les vaccinés rencontrant le coronavirus d’ici quelques semaines. On peut être inquiet quand on connaît les expériences sur les animaux dans la tentative de vaccin contre les précédents coronavirus pathogènes, SRAS et le Mers et les décès des animaux vaccinés. Évidemment on aurait pu penser que cela rendrait prudents expérimentateurs apprentis sorciers, et citoyens cobayes, mais il n’en est rien. La puissance des médias répétant inlassablement les mêmes mensonges est fascinante et surtout inquiétante pour l’avenir de notre démocratie. Après les députés godillots (qui prolongent indéfiniment l’état d’urgence), de trop nombreux juges français qui valident sans examen réel tout ce qui vient de l’exécutif, les médias, dernier pilier de la démocratie se sont à leur tour agenouillés devant l’exécutif, empêchant le pluralisme de s’exprimer.

Pourtant les scientifiques et médecins réunis résument bien les éléments importants sur cette crise covid (suivre par exemple collectif ISOFIA sur Telegramm pour infos en temps réel).

Voici une petite synthèse.

1. Nous n’avons JAMAIS dans le passé, réussi à vacciner contre un coronavirus

Un vaccin efficace contre un coronavirus n’a jamais été mis au point. Les scientifiques ont essayé pendant des années de fabriquer un vaccin contre le SRAS et le MERS, toujours sans succès. En fait, certains des vaccins anti-SRAS ont causé une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement faire la maladie plus sévèrement que les souris non vaccinées.

2. ll faut habituellement de 5 à 10 ans pour qu’un vaccin soit entièrement mis au point, processus lent et ardu et de nombreuses années entre le développement et les essais jusqu’à l’approbation à l’usage public. Les différents vaccins pour Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. Bizarre ?

Aucun des vaccins n’a encore fait l’objet d’études appropriées. Beaucoup d’entre eux ont complètement sauté les premières études (animales en particulier), n’ont pas publié leurs données, et les études humaines tardives n’ont pas été évaluées par des pairs, ne se termineront pas avant 2023, ou ont été annulées après des « effets indésirables graves ».

3. Le « vaccin » Covid est basé sur une nouvelle technologie jamais approuvée pour utilisation sur l’homme. Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant l’organisme à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vaccins Covid sont des vaccins à ARNm.

Théoriquement, les vaccins contre l’ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent en injectant de l’ARNm viral dans l’organisme, où il se réplique dans les cellules et stimule l’organisme à reconnaître les protéines spike du virus et à produire des antigènes contre eux. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais aucun vaccin contre l’ARNm n’a jamais été approuvé avant 2020.

4. Si le vaccin entraîne des accidents ou tue, les compagnies pharmaceutiques ne peuvent pas être poursuivies. Dès le printemps 2020, de nombreux gouvernements du monde entier ont accordé aux fabricants de vaccins l’immunité contre la responsabilité civile en se référant aux lois existantes ou en rédigeant de nouvelles lois.

La Loi de préparation au public et de préparation aux situations d’urgence (PREP) des États-Unis accorde l’immunité au moins jusqu’en 2024.

La loi UE sur l’approbation des produits fait de même, et des clauses de responsabilité confidentielle ont été signalées dans les contrats conclus par l’UE avec les fabricants de vaccins.

Le Royaume-Uni est allé encore plus loin, donnant au gouvernement et à ses employés une indemnité juridique permanente pour tout préjudice causé par le traitement d’un patient pour Covid19 ou « covid19 présumé ».

Or rappelons que 99,8% des gens survivent à Covid19.

Le taux de mortalité par infection par le Sars-Cov-2 est certainement beaucoup plus faible que tous les modèles initiaux prévus. À l’origine, il était massivement excessif, l’OMS a supposé 3,4%. Des études ultérieures ont montré qu’il est beaucoup plus faible, dans certains cas même en dessous de 0,1%. Un rapport publié dans le propre bulletin de recherche de l’OMS en octobre a révélé un CFR de 0,23 %, « ou peut-être significativement inférieur »

Cela signifie que même selon l’OMS, au moins 99,77 % des personnes infectées par le virus survivront.

Pourquoi tant de hâte ?

Nous sommes enfermés de fait depuis onze mois et l’obsession de tout un chacun est de sortir de prison. L’emprise des mondialistes qui ont concocté et appliqué ce plan terrible explique probablement les réactions tout à fait extravagantes envers les tests PCR et surtout les vaccins auxquelles nous assistons.

Une grande partie de la planète a subi cet enfermement doublé de bourrage de crâne pluriquotidien, transformant des milliards d’individus en adeptes d’une « secte covid19 » dont il est terriblement difficile de s’extraire comme de toute secte. Il nous faudrait des psychiatres efficaces et compétents pour une immense thérapie de groupe.

Jusqu’où courberons-nous l’échine ?

« En tant que professionnel de la santé mentale, j’ai entendu maintes histoires de personnes qui se sont mises à genoux devant leur intimidateur en pensant retrouver la paix et la vie d’avant. La peur, la culpabilisation et l’emprise sont les armes des manipulateurs pervers. Elles mènent les gens à faire bien des courbettes et les ingénieurs sociaux le savent très bien.

Telle une personne abusée, la population se trouve-t-elle présentement tétanisée et soumise devant le harcèlement brutal du gouvernement ? »

(([2] Ces éduqués non cultivés. L’ère de la pensée unique : Menace autoritaire et gouvernement mondial | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Serions-nous atteints d’un syndrome de Stockholm ?(([3] Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique s’observant chez des otages qui vivent pendant une période prolongée avec leur(s) ravisseur(s). Le syndrome s’exprime par une sympathie et un sentiment de confiance grandissants de l’otage envers le ravisseur et une certaine hostilité ressentie à l’égard de ceux qui cherchent à combattre le ravisseur. Ce serait une manifestation inconsciente de l’instinct de survie permettant de se sentir hors de danger, mais aussi d’influer sur ses réelles chances de survie par cette fraternisation avec le ravisseur.)) Eric Fromm décrit un phénomène semblable dans son livre « la peur de la liberté ».

« Il élabore sur la façon dont le citoyen peut affectionner ou vénérer les figures autoritaires afin d’échapper à l’angoisse que provoquerait une remise en question ou une confrontation du régime politique. L’identification à la pensée dominante et l’idéalisation de ceux qui nous régentent deviennent les palliatifs à une réflexion complexe et rationnelle sur la situation sociale vécue ».

Un silence abyssal

On peut s’étonner et s’effarer de l’absence de réactions construites et raisonnées sur la gestion de cette pseudo-crise sanitaire construite depuis le début avec la mise sur le marché des tests PCR non spécifiques par le conseiller de Mme Merkel, C. Drosten actuellement poursuivi pour fausses déclarations médiatiques et conseils politiques inadaptés en Allemagne.

Les fausses prévisions des prophètes Ferguson en Angleterre et alter ego en Allemagne sur des modélisations mathématiques adaptées à la demande des politiques ont été dénoncées relativement tôt dans l’année 2020 et n’ont recueilli aucun écho ni des politiques de tous bords, ni des « intellectuels », artistes, universitaires en dehors de quelques exceptions dénommées curieusement lanceurs d’alerte.

Citons ici les révélations « colossales » de « Slobodan Despot, (8/02/2021 COVID-19)

Kolossale ! Les politiques dictaient les analyses « scientifiques » !

« La Welt-am-Sonntag du 7 février révèle qu’en mars 2020, un groupe de juristes du ministère fédéral de l’Intérieur allemand a pris contact avec diverses institutions scientifiques et médicales — dont le Robert-Koch-Institut de Berlin — et leur a demandé d’élaborer un modèle de propagation de l’épidémie sur la base de laquelle le ministère d’Horst Seehofer pourrait justifier les mesures les plus dures dans la lutte contre le coronavirus.

Dans les plus de 200 pages d’échanges par e-mail, on découvre par exemple que le secrétaire d’État Markus Kerber lui-même demande aux chercheurs de travailler à un modèle qui permette de justifier des « mesures préventives et répressives ». Selon ces échanges, les scientifiques ont rédigé, en étroite collaboration avec le ministère et en moins de quatre jours, un document astucieusement classifié « SECRET », que l’on a ensuite laissé filtrer dans la presse. La cerise sur le gâteau fut le scénario du pire prédisant un million de morts en Allemagne.

A Paris, comme à Berlin et ailleurs, pourtant, les politiques nous ont assuré qu’ils s’appuyaient sur les analyses des spécialistes — en particulier des médecins — pour prendre leurs décisions. Mais que faudra-t-il penser si l’on découvre que les analyses « scientifiques » ont été dictées — au sens propre — par les politiques eux-mêmes ? »

Idem au Québec :

« En date du 9 décembre 2020, le directeur de santé publique québécois, Dr Horacio Arruda, nous a confirmé que les directions de santé publique (DSP) au Québec n’ont pas recommandé la fermeture des lieux publics comme les restaurants et les cinémas. Ces décisions ont été totalement prises par le politique alors qu’on prétendait se baser sur des données scientifiques ».

Ces démonstrations de la tromperie monumentale changent-elles quelque chose ? Non, aujourd’hui circulent des pétitions afin que les vaccins soient accessibles à tous ! Mais ceux qui diffusent cette demande se rendent-ils compte qu’ils sont complètement captés par la « propagande vaccinale », comme pour n’importe quel objet commercial et font le jeu du gouvernement mondial qui veut nous soumettre, ne serait-ce que par le passeport vaccinal ?

« Nos intellectuels gradés semblent en effet vivre dans un monde désincarné du réel. Un monde où le simulacre est pris pour le vrai. C’est à croire qu’ils sont inconscients de l’impact des coteries oligarchiques sur la géopolitique internationale ».

(([4] Ibid. 2))

ET POURTANT il serait temps que les populations se réveillent de cette immense sidération organisée et discutent du but réel de cet abrutissement généralisé et organisé.

Ce n’est évidemment pas ce pauvre virus, mais bien le plan des milliardaires pour sortir de leur crise endémique depuis de nombreuses années et nous réduire en esclaves obéissants, pucés, dépossédés, sagement cloîtres dans des appartements loués (fin de la propriété individuelle) en échange du revenu universel minimal proposé par Hamon et cie.

« L’insécurité et l’impuissance propres à l’individu le mènent souvent à calquer sa pensée sur les idées dominantes. Sentir faire partie du groupe est parfois plus fort que le désir de trouver la vérité ».

La citation suivante de Bertrand Russell résume tout :

« Là où les enfants vont à l’école et que les écoles sont contrôlées par le gouvernement, les autorités peuvent fermer les esprits à tout ce qui est contraire à l’orthodoxie ». On leur apprend à parler et à penser pour ne blesser personne, utilisant un langage pauvre, non genré et carboneutre ».

Est-ce que le choc traumatique de la réalité va les réveiller alors que ce Grand Reset se met en place ?

Pour se remémorer le projet, écouter l’économiste Verhaeghe parler de son livre « le Grand Reset mythes et réalité ». Great Reset : mythes et réalités par Eric Verhaeghe (Vidéo) – Terre et Peuple – Résistance Identitaire Européenne

https://youtu.be/c2yfii_deGY

Petit résumé de la vidéo :

« Klaus Schwab a fondé le forum de Davos dans les années 1970 qui est une entreprise, initialement think tank de management. Thierry Malleret, le coauteur, est dans la sphère de la 2e gauche qui prétend vouloir une gauche libérale. (il cite Rocard).

Leur principe est que les grandes entreprises ont besoin de têtes pensantes. Le « soft power » est un pouvoir d’influence, ces gens n’imposent rien de fait. Ils font se rencontrer entre eux des gens qui ont besoin de se rencontrer, construisent un « mainstream » avec des personnes qui influencent les décisions des décideurs de façon feutrée.

Les idées du Great Reset : l’épidémie de coronavirus est l’occasion de mettre en place les idées qu’ils concoctaient et en particulier les idées de la quatrième révolution numérique. (voir livre de Schwab de 2017.)

On trouve dans le livre de Schwab et Malleret une compilation détaillée de toutes les technologies utilisées pour changer les comportements individuels. La surveillance généralisée, comme à Singapour, des promeneurs.

De façon explicite, les auteurs pensent que l’épidémie doit légitimer les outils de privation de la vie privée, traçage permanent savoir qui rencontre qui et en relation avec outils de reconnaissance faciale. Ce qui est prôné est Orwell 1984, la surveillance de l’individu au sens de la protection de la collectivité prioritaire sur l’individu.

Schwab prône la suppression de la propriété privée et veut imposer la location généralisée. L’économie circulaire est l’expropriation généralisée. Quelques grandes multinationales vont louer la TV, la machine à laver. Rien ne vous appartiendra plus. Outil de mort sociale, expropriation, collectivisation des biens.

Fascination de Schwab avec le dirigeant chinois invité à Davos en 2017 et cette année. Quelle est la relation d’intérêt entre KS et le président chinois ? Il faudrait investiguer dit Verhaeghe.

Néanmoins, les milliardaires et dirigeants à la tête du gouvernement mondial en gestation ne sont pas tous d’accord. Soros désapprouve les liens de KS avec le président chinois. Soros est pour la suppression des États-nations. Il finance les militants de décolonisation en France, mais reste très hostile au rapprochement avec la Chine et à l’inclination de l’Europe pour la stratégie chinoise.

Nous sommes dans une phase de décroissance du rendement du capital et donc il y a une dynamique économique du capitalisme à la suppression des frontières ; dans les syndicats des riches, il y a des divergences entre des puissants plus morcelés.

La Chine parie sur le multilatéralisme et certains pays pensent que les partenariats avec la Chine sont plus intéressants.

La question du Great Reset : où ferons-nous du profit demain ?

L’essentiel du profit est fondé sur la surconsommation, biens à obsolescence programmée et gaspillage. Cela ne pourra pas durer. Et donc, comment faire si on arrête de gaspiller ?

Chercher des substituts : transformer l’écologie en business. Ainsi, au lieu de les vendre, on va louer les biens aux gens, comme le font déjà Microsoft pour certains de ses programmes informatiques et de nombreux constructeurs de voitures. On va influencer par la pensée dominante l’économie circulaire, surveiller les gens. Œuvre d’une stratégie de faiblesse. Chant du cygne du capitalisme tel qu’on l’a connu. Ce n’est pas un modèle durable, car le totalitarisme des GAFAM est inacceptable pour les peuples.

En France, combat entre mondialistes et souverainistes ? Savoir si notre avenir passe par l’État-nation ou par une organisation comme l’UE.

Revenir à l’état nation, cela veut dire être compétitif. Il faudra 560 milliards d’euros dépensés pour le système de protection sociale en 2020. Il devrait être réduit à 400 milliards. Et pourtant ce qui a apporté la liberté est bien l’État-nation.

Ce qui est vraiment étonnant, c’est dans quelle mesure, nous, en tant que sociétés, permettons aux politiciens qui n’ont pas de qualifications en médecine de déployer des décrets draconiens.

Ces mesures sont vraiment l’intention de diviser la population pour prévenir les troubles civils parce que le système socialiste s’effondre et qu’ils avaient besoin d’une excuse pour jeter toutes les restrictions économiques par la fenêtre ».

Quand les gens se réveilleront-ils et se rendront-ils compte que tout cet ensemble de règlements, des masques(([5] Aucune preuve scientifique que les masques obligatoires pour tous diminuent les contagions et la seule étude prospective randomisée sur le sujet (pourtant réalisée par ses partisans) a été incapable de prouver qu’il servait à quelque chose !)) aux confinements(([6] Toutes les études dans le monde réel des résultats sanitaires des confinements, couvre-feux et autres restrictions concluent qu’ils n’empêchent guère la propagation des virus, n’évitent au total aucune mort virale, mais causent infiniment plus de victimes par défaut de soins, anxiété, suicide, famine…)), n’est vraiment qu’un moyen de suppression des libertés pour faire avancer le programme de l’oligarchie ?

Il ne s’agit pas de santé. Même le Washington Post, qui déteste le capitalisme, a dû admettre que les masques n’ont pas fonctionné pendant l’épidémie de grippe espagnole de 1918 où près de 3% de la population est morte(([7] Toutes les études sur les causes de mort de cette pandémie et, en particulier, celle d’Antony Fauci, ont prouvé que la « deuxième vague » n’était pas virale, mais bactérienne.)).

Voilà quelques mots extraits de la vidéo à écouter en totalité pour tous les détails. De plus en plus de personnes expriment des avis souvent différents sur le net et même parfois maintenant sur les radios et TV.

Diffusons-les en espérant faire sortir les covidiens de leur secte et pouvoir tous ensemble refaire société civilisée.


Notes




Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes

[Source : Sott.net]

Par Dr Joseph Mercola

En avril 2020, j’ai interviewé Judy Mikovits, médecin, sur le rôle potentiel que joue dans le Covid-19 les gamma-rétrovirus humains. Judy Mikovits est biologiste moléculaire[1] et chercheuse, et a été la directrice de recherche fondatrice du Whittemore Peterson Institute au Nevada.

Son livre, Plague of Corruption [« Le fléau de la corruption », non traduit en français, et (préfacé par Robert Jr. F. Kennedy – NdT], a fini par être en 2020 un best-seller dans les listes du New York Times, de USA Today et du Wall Street Journal. Son nouveau livre, Ending Plague: A Scholar’s Obligation in an Age of Corruption [« Mettre fin au fléau — Le devoir d’un universitaire à l’ère de la corruption », non traduit en français – NdT], sera, espérons-le, un grand succès aussi. Il est disponible en précommande sur Amazon.

Elle est peut-être à l’heure actuelle l’une des chercheuses les plus censurées de la planète, notamment en raison de sa large participation au documentaire Plandemic, qui a largement été diffusé (plandemicseries.com) [voir notre article avec la vidéo sous-titrée en anglais archivée par nos soins, et celui incluant Plandemic II — Indoctornation, avec la vidéo sous-titrée en français – NdT].

Cas concret : YouTube a suspendu notre compte pendant une semaine dès que nous avons mis en ligne l’interview d’aujourd’hui — même si la vidéo n’était ni encore RÉPERTORIÉE ni accessible au public. Pire encore, le troisième et dernier livre de Judy Mikovits, The Case Against Masks: Ten Reasons Why Mask Use Should Be Limited [« Le dossier contre les masques — Dix raisons pour lesquelles l’utilisation des masques devrait être limitée », non traduit en français – NdT], est si fortement censuré que personne ne peut l’acheter. Judy Mikovits a déclaré ce qui suit :

« Je n’ai même pas de copie. J’ai ici avec moi deux exemplaires des autres livres, mais je ne peux même pas l’acheter [le dernier – NdT]. Les vendeurs de livres, comme Amazon, les ont tous achetés à Skyhorse, l’éditeur, et ils en bloquent désormais l’expédition depuis l’entrepôt. »

Note du traducteur : Retrouvez l’interview complète sur Bitchute ICI et la transcription en anglais au format Pdf ICI.

Il est clair que Judy Mikovits est considérée comme une grave menace pour le statu quo technocratique, et une fois que vous aurez entendu ce qu’elle a à dire sur les « vaccins » Covid-19 — qui, comme vous le verrez, constitue une appellation complètement erronée — vous commencerez peut-être à comprendre pourquoi.

Les « vaccins » Covid-19 ne sont pas des vaccins

Le « vaccin » Covid-19 n’est pas vraiment un vaccin au sens médical du terme. Il n’améliore pas votre réponse immunitaire à l’infection, ni ne vous empêche de contracter l’infection. Il s’agit en fait d’une thérapie génique expérimentale qui pourrait tuer prématurément une grande partie de la population et entraîner une augmentation exponentielle du nombre d’invalidités. Judy Mikovits déclare ce qui suit :

« Je suis juste hors de moi, en colère contre cette « thérapie » génique synthétique, ce poison chimique, et ce qu’ils font dans le monde entier. Nous voyons déjà des décès dus à cette injection. C’est illégal. Cela ne devrait pas être fait. Il faut y mettre fin tout de suite. Elle n’aurait jamais dû être autorisée, et pourtant nous voyons qu’elle est imposée aux populations les plus à risque. »

En effet, les informations et les récits des médias sociaux suggèrent que les personnes qui ont reçu l’injection commencent à tomber comme des mouches. Beaucoup meurent de causes inconnues en quelques jours, parfois quelques heures après avoir reçu la première ou la deuxième injection.

La légende du baseball Hank Aaron est décédée deux semaines après avoir reçu le vaccin, mais cela n’a jamais été mentionné dans sa nécrologie du New York Times. S’il avait été testé positif pour le Sras-CoV-2, il aurait certainement été déclaré mort du Covid-19, que le virus ait eu un rapport avec sa mort ou pas.

Mais dès lors qu’il s’agit du « vaccin », la connexion qui devrait nous sauter aux yeux est considéré comme une coïncidence et sans importance. Maintenant, tout d’un coup, les personnes âgées qui meurent peu après la vaccination sont ignorées sous prétexte qu’elles sont vieilles et qu’elles auraient pu mourir n’importe quand. Il faut cependant tout faire et à n’importe quel prix pour empêcher les personnes âgées de mourir du Sras-CoV-2. Cette façon de voir les choses est plutôt singulière.

Le problème de l’ARN synthétique

L’ARN messager (ARNm) utilisé dans de nombreux « vaccins » Covid-19 n’est pas naturel. Ils sont synthétiques. Comme l’ARNm produit de manière naturelle se dégrade rapidement, des lipides ou des polymères doivent lui être ajoutés pour éviter que cette dégradation ne se produise. Les « vaccins » Covid-19 utilisent des nanoparticules lipidiques PEGylées, et le PEG est connu pour provoquer l’anaphylaxie[2]. Les nanoparticules lipidiques peuvent également causer d’autres problèmes.

En 2017, Stat News a évoqué les difficultés rencontrées par Moderna pour mettre au point un médicament à base d’ARNm pour le syndrome de Crigler-Najjar, une maladie qui peut entraîner la jaunisse, la dégénérescence musculaire et des lésions cérébrales[3] :

« Afin de protéger les molécules d’ARNm des défenses naturelles de l’organisme, les développeurs de médicaments doivent les envelopper dans une gaine protectrice. Pour Moderna, cela signifie intégrer sa thérapie Crigler-Najjar dans des nanoparticules faites de lipides.

Et pour ses chimistes, ces nanoparticules représentaient un défi de taille : dosez trop peu, et vous n’obtenez pas assez d’enzyme pour affecter la maladie ; dosez trop, et le médicament est trop toxique pour les patients.

Dès le début, les scientifiques de Moderna savaient que l’utilisation de l’ARNm pour stimuler la production de protéines serait une tâche difficile, ils ont donc parcouru la littérature médicale à la recherche de maladies qui pourraient être traitées avec seulement de petites quantités de protéines supplémentaires.

« Et cette liste de maladies est très, très courte », a déclaré l’ancien employé […] Crigler-Najjar constituait l’enjeu le moins complexe. Pourtant, Moderna n’a pas pu faire fonctionner sa thérapie […] Le dosage sans danger était trop faible, et des injections répétées d’une dose suffisamment forte pour être efficace ont eu des effets troublants sur le foie lors d’études sur des animaux. »

Note du traducteur : Un « vaccin » pour le syndrome de Crigler-Najjar, une maladie qui touche 1 personne sur 1 million de naissances :

« Cette maladie est due au déficit d’une enzyme du foie, qui doit normalement convertir la bilirubine en une forme pouvant être éliminée par le corps. Chez les personnes Crigler-Najjar cette enzyme ne fonctionne pas ou très peu.

La bilirubine s’accumule donc dans l’organisme, provoquant un ictère intense et chronique, marqué par la coloration jaune de la peau et du blanc des yeux. A un taux élevé, la bilirubine devient toxique et peut atteindre le cerveau et l’ endommager : c’est alors l’ictère nucléaire provoquant de graves troubles neurologiques, menant rapidement au décès. »

L’article susmentionné de Stat News publié en janvier 2017 se termine sur la déclaration suivante du P.D.G. de Moderna, le français Stéphane Bancel :

« Je suis sûr que dans cinq ans, nous considérerons 2017 comme le point d’inflexion où Moderna a pris son envol. Nous avons une chance de transformer la médecine, et nous n’abandonnerons pas tant que nous n’aurons pas fini et que nous n’aurons pas eu d’impact sur les patients. »

Les lecteurs apprécieront tout le sens qui peut être donné au mot « impact ». Stéphane Bancel a été nommé « Global Leader » par le Forum économique mondial en 2009, alors qu’il était directeur général délégué du laboratoire Mérieux. Il est par ailleurs dès le début du mois d’avril 2020 devenu milliardaire grâce aux montées en bourse de son entreprise dont il détient 9 pour cent, et ce dès l’annonce en mars des essais du « vaccin » à ARNm anti-Covid.

Cependant, en qualifiant leurs « médicaments » de « vaccins », ils peuvent contourner les études sur leur innocuité. S’attendent-ils à ce que nous croyions subitement que toutes les étapes permettant de prouver leur innocuité ont été réalisées avec succès ? La durée pendant laquelle l’ARNm reste stable dans votre système constitue un autre problème. Pour l’empêcher de se dégrader trop rapidement, il est encapsulé dans un nano-lipide ; mais que se passe-t-il si l’ARNm se dégrade trop lentement, ou pas du tout ?

Le concept derrière les vaccins à ARNm anti-Covid est le suivant : en incitant votre corps à créer la protéine Spike du Sras-CoV-2, votre système immunitaire produira alors des anticorps. Mais que se passe-t-il lorsque vous transformez votre corps en une usine à protéines virales, ce qui implique que la production d’anticorps sera en permanence activée sans aucun moyen de l’interrompre ?

En outre, votre corps considère ces particules synthétiques comme des corps étrangers et une grande partie de la réponse anticorps perpétuelle sera constituée d’auto-anticorps qui attaqueront vos propres tissus. Mikovits explique :

« Normalement, l’ARN messager ne circule pas librement dans votre corps, et s’il le fait, c’est un signal de danger. En tant que biologiste moléculaire, le dogme central de la biologie moléculaire stipule que notre code génétique, l’ADN, est transcrit, écrit, en ARN messager. Cet ARN messager est traduit en protéines ou utilisé à des fins de régulation […] pour réguler l’expression des gènes dans les cellules.

Ainsi, prendre un ARN messager synthétique et le rendre thermostable — ce qui l’empêche de se décomposer — [est problématique]. Nous possédons un grand nombre d’enzymes (ARNases [ribonucléases – NdT] et ADNases [désoxyribonucléases – NdT]) qui dégradent les ARN et ADN libres circulant [dans le plasma sanguin – NdT] car, là encore, ce sont des signaux de danger pour votre système immunitaire. Ils sont littéralement à l’origine de maladies inflammatoires.

Ensuite, il y a le PEG, le polyéthylène glycol et la PEGylation, et une nanoparticule lipidique qui lui permettra de pénétrer dans toutes les cellules du corps et de modifier la régulation de nos propres gènes par le biais de cet ARN synthétique, dont une partie correspond en fait au message du gène syncytine […]

La syncytine est l’enveloppe endogène du gamma-rétrovirus codée dans le génome humain […] Nous savons que si la syncytine […] est exprimée de manière aberrante dans le corps, par exemple dans le cerveau, dans lequel ces nanoparticules de lipides vont entrer, cela signifie que vous avez la sclérose en plaques.

L’expression de ce seul gène suractive la microglie, ce qui littéralement enflamme et dérègle la communication entre les cellules microgliales cérébrales, qui sont essentielles à l’élimination des toxines et des agents pathogènes présents dans le cerveau, et à la communication avec les astrocytes.

Elle dérègle non seulement le système immunitaire, mais aussi le système endocannabinoïde, qui est le variateur d’intensité de l’inflammation. Nous avons déjà vu d’après les essais cliniques que la sclérose en plaques constitue un effet indésirable, et on nous ment lorsqu’on nous dit : « Oh, ces gens avaient [déjà] cette maladie. » Non, ils ne l’avaient pas.

Il y a aussi l’encéphalomyélite myalgique. L’inflammation du cerveau et de la moelle épinière, qui est [associée aux] gamma-rétrovirus exogènes, les XMRVs. »

Notes du traducteur : Pour ce qui concerne le PEG (ou polyéthylène glycol) et la syncytine (présente dans le placenta mais aussi dans le sperme), nous renvoyons le lecteur à notre Focus « Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses ».

La microglie est une population de cellules gliales — population qualitativement hétérogène et quantitativement importante du système nerveux central — qui comprennent notamment les astrocytes et les oligodendrocytes. On les appelle aussi cellules de Hortega, du nom du chercheur qui les a découvertes en 1920. Ces cellules gliales jouent un rôle important dans l’homéostasie cérébrale, notamment en assurant une fonction réparatrice lors de lésions ou d’infections. Ce sont des macrophages qui orchestrent les réactions inflammatoires consécutives à des lésions du système nerveux central ou à certaines maladies neurodégénératives et influencent l’issue de ces pathologies. Source

Le système endocannabinoïde (ECS) est un système biologique composé d’endocannabinoïdes, qui sont des neurotransmetteurs rétrogrades à base de lipides endogènes qui se lient aux récepteurs cannabinoïdes (CBR), et de protéines de récepteurs cannabinoïdes qui sont exprimées dans tout le système nerveux central des vertébrés (y compris le cerveau) et le système nerveux périphérique. Le système endocannabinoïde fait encore l’objet de recherches préliminaires, mais pourrait être impliqué dans la régulation des processus physiologiques et cognitifs, y compris la fertilité, la grossesse, le développement pré et postnatal, diverses activités du système immunitaire, l’appétit, la sensation de douleur, l’humeur et la mémoire, et dans la médiation des effets pharmacologiques du cannabis. Source

L’encéphalomyélite myalgique est peut-être plus connue du lecteur sous le nom de Syndrome de fatigue chronique. Plus d’informations ICI.

L’XMRV est un virus apparenté au virus xénotropique de la leucémie murine qui dériverait de deux rétrovirus endogènes murins non décrits auparavant, les PreXMRV-1 and PreXMRV-2. Ces deux derniers ont également été séquencés [source], et c’est certainement la raison pour laquelle Judy Mikovits en parle au pluriel, les XMRVs.

Ces groupes à haut risque devraient éviter le « vaccin » Covid-19

Selon Judy Mikovits, des recherches montrent que depuis plus de trois décennies, 4 à 6 % des Étasuniens ont déjà été infectés par des gamma-rétrovirus XMRV par le biais de vaccins et de réserves de sang contaminés, ce qui favorise un certain nombre de maladies chroniques. Aujourd’hui, en déclenchant l’encéphalomyélite myalgique, ces thérapies géniques synthétiques (les « vaccins » dits anti-Covid-19) vont aggraver encore davantage le problème des maladies chroniques.

Pire encore, l’ARNm synthétique contient également une enveloppe du VIH, ce qui peut provoquer un dérèglement du système immunitaire. Judy Mikovits déclare que « C’est un cauchemar. Je suis en colère, car cela ne devrait jamais être permis. »

Comme nous l’avons mentionné lors de précédentes interviews, le Sras-CoV-2 a été mis au point en laboratoire avec une recherche de gain de fonction qui comprenait l’introduction de l’enveloppe du VIH dans la protéine Spike.

Note du traducteur : Un gain de fonction est un processus qui consiste à ajouter une fonction spécifique à une cellule via une mutation de la structure moléculaire. Il est bien entendu que ce gain de fonction — forcément créé par l’homme — peut être soit bénéfique, soit néfaste. Dans le cadre du Sras-CoV-2, ce gain de fonction fournirait à ce « virus Frankenstein », comme l’a appelé le professeur Luc Montagnier, une propagation efficace dans la population humaine. Rappelons que ce gain de fonction n’est pas le seul élément à avoir été ajouté :

« L’adjonction artificielle de séquences de VIH et de paludisme, la création d’un site de clivage de type furine, l’introduction de quatre acides aminés supplémentaires, la modification d’un centre de contrôle, une adaptation extraordinaire à l’être humain… Tous ces éléments prouvent qu’il s’agit d’un virus conçu par des êtres humains. Et n’oubliez pas qu’il ne s’agit là que des preuves présentées par les rares scientifiques qui ont osé s’exprimer. »

Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

L’hypothèse de Judy Mikovits veut que les personnes les plus sensibles aux effets secondaires neurologiques graves et au décès dus aux « vaccins » Covid-19 soient celles-là mêmes qui ont déjà reçu des injections de XMRV, borreliababesiamycoplasma, par le biais de vaccins contaminés, entraînant une maladie chronique (son livre, Plague of Corruption dont la lecture est fascinante, détaille la science et l’histoire des XMRV) :

« Oui, absolument. Il s’agit de l’une de nos hypothèses. Mais aussi, toute personne souffrant d’une maladie inflammatoire comme l’arthrite rhumatoïde, la maladie de Parkinson, la maladie chronique de Lyme, ou encore quiconque présente une déficience immunitaire acquise due à des agents pathogènes et à des toxines environnementales.

Ce sont ces mêmes personnes qui seront tuées, assassinées, par ce vaccin, et Anthony Fauci le sait […] Je ne peux même pas dormir [à cause] de la gravité de la situation. C’est tellement mortel, je ne le dirais jamais assez. »

Le tableau ci-dessous énumère 35 maladies associées à l’infection par le XMRV. Si vous êtes atteint de l’une de ces maladies, vous devriez réfléchir longuement avant de faire la queue pour recevoir un « vaccin » Covid-19 à ARNm, car vos risques d’effets secondaires graves ou de décès sont probablement beaucoup plus élevés que chez une personne qui n’est atteinte d’aucune de ces maladies.

Les 35 maladies associées à l’infection par le XMRV

Note du traducteur : De gauche à droite et de haut en bas :

Cancer de la prostate — Cancer du sein — Myélome multiple — Lymphome non hodgkinien — Leucémie lymphocytaire chronique — Lymphome à cellules du manteau — Leucémie à cellules chevelues — Cancer de la vessie — Cancer colorectal — Cancer du rein — Cancer de l’ovaire — Maladie de Crohn — Thyroïdite de Hashimoto — Polymyosite — Syndrome de Gougerot Sjögren — Maladie de Behçet — Cirrhose biliaire primitive — Maladies inflammatoires de l’intestin — Psoriasis et dermatites — Diabètes — Maladie cardiovasculaire — Encéphalomyélite myalgique/Syndrome de fatigue chronique — Lupus — Syndrome de la guerre du Golfe — Autisme — Sclérose en plaques — Maladie de Parkinson — Sclérose latérale amyotrophique — Fibromyalgie — Maladie de Lyme — Trouble obsessionnel compulsif — Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité — Syndrome de stress post traumatique — Psychoses — Arthrite rhumatoïde

Cette liste n’est pas exhaustive. Il peut exister de nombreuses autres conditions qui peuvent vous placer dans une catégorie à haut risque. Un exemple est la thrombocytopénie idiopathique, un trouble hémorragique mortel. Selon Judy Mikovits, ses travaux montrent que 30 pour cent de toutes les thrombocytopénies idiopathiques sont associées aux XMRV.

Notons qu’un exemple existe avec celui du médecin de Floride de 58 ans qui a récemment reçu le « vaccin » Covid-19 et qui est mort deux semaines plus tard des suites d’une apparition soudaine d’une thrombocytopénie idiopathique. Le Dr Jerry L. Spivak, expert en troubles sanguins à l’université Johns Hopkins, a déclaré au New York Times qu’« il est médicalement certain » que le « vaccin » Covid-19 de Pfizer a causé la mort de cet homme[4] [5]. Pfizer a, bien sûr, démenti toute connexion.

Les altérations génétiques peuvent durer toute la vie

Alors, combien de temps l’ARN synthétique des « vaccins » Covid-19 qui provoque la production par vos cellules de cette protéine aberrante restera-t-il dans votre corps ? Judy Mikovits pense qu’il échappera à la dégradation pendant des mois, des années, voire dans certains cas, à vie.

Tout ceci évoque de manière sinistre les précédentes tentatives de créer un vaccin contre les coronavirus, tentatives qui ont toutes échoué parce que les vaccins provoquaient des réactions immunitaires paradoxales, ou une facilitation de l’infection par des anticorps. Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu’ils ont été exposés au coronavirus naturel. Judy Mikovits poursuit :

« J’ai une belle-fille de 41 ans qui a un cancer du côlon très agressif. Nous assistons à une explosion de maladies chroniques et ces patients ne sont pas découragés de se faire vacciner. En fait, les médecins leur font peur pour qu’ils se fassent vacciner.

Comment réveiller les gens ? Faudra-t-il que des millions d’Américains et de personnes dans le monde entier meurent ? La mort de Hank Aaron aidera-t-elle la communauté noire ? […] Nous connaissons les mécanismes. Nous savons que les Noirs et les Hispaniques ne peuvent pas dégrader les virus à ARN aussi rapidement que les Caucasiens. Nous le savons grâce à des études qui remontent jusqu’au ROR. Le vaccin ROR est associé à la thrombocytopénie idiopathique. C’est indiqué sur la notice d’utilisation.

Si vous présentez un polymorphisme nucléotidique unique dans une de ces ARNases appelée ARNase-L, vous êtes plus susceptible de contracter des cancers du sein agressifs, des cancers de la prostate et d’autres cancers dus à une infection par le XMRV (alors pourquoi injecter de l’ARNm de syncytine, une enveloppe de gamma-rétrovirus ?) »

Note du traducteur : Hank Aaron était un joueur de base-ball étasunien, un des trois plus grands de l’histoire des États-Unis. Il est décédé ce 22 janvier à l’âge de 86 ans, deux semaines après avoir reçu le vaccin Moderna. Comme souvent, les fact-checkers s’en donnent à cœur joie pour nier tout lien possible entre l’injection et son décès.

L’ARNase ou RNase est une ribonucléase dont le rôle est de dégrader l’ARN lorsqu’il n’est plus nécessaire. Il en existe différentes classes au sein de tous les organismes, ce qui montre que la dégradation de l’ARN est un processus très ancien et important.

À propos de la syncytine, rappelons aussi ce qui suit :

« L’infertilité sera probablement un autre effet secondaire « inattendu » à long terme puisque la protéine Spike ciblée est très similaire à la syncytine, une protéine impliquée dans le développement du placenta [la syncytine est également présente dans le sperme – NdT]. Lorsque Pfizer a testé ses « vaccins » sur des rats, il a constaté une baisse de 50 pour cent du comportement reproductif par rapport aux rats non vaccinés. C’est probablement pour cacher cet effet secondaire que Pfizer a exclu les femmes enceintes de son essai. »

L’ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19

Une avancée de la génomique pourrait sauver des millions de vies

Selon Judy Mikovits, une solution consiste à utiliser des technologies de génomique fonctionnelle comme le fait Breakthrough Genomics, une entreprise qui utilise l’apprentissage automatique [de l’anglais « machine learning », encore appelé apprentissage artificiel ou apprentissage statistique – NdT] pour examiner les séquences complètes du génome afin de déterminer quels polymorphismes de nucléotides uniques dans les récepteurs ACE2, les voies antivirales comme RNaseL et les interférons peuvent prédisposer une personne à subir les dommages de ces « vaccins » à thérapie génique :

« Nous possédons la technologie pour déterminer qui est susceptible de subir des effets graves. Il s’agira d’une grande partie de la population »

Bien qu’il soit évident qu’une stratégie de vaccination ne puisse pas être universelle, imposer une thérapie génique à toute une population alors que l’on peut prévoir que des millions de personnes mourront et développeront des maladies mortelles comme la thrombocytopénie idiopathique est tout simplement inadmissible. Pourtant, toute personne qui ose en parler, comme le sait Judy Mikovits, risque de voir sa carrière et sa vie détruites.

Symptômes des dommages causés par le « vaccin » Covid-19

De nombreux symptômes actuellement signalés suggèrent des dommages neurologiques. Ils présentent une dyskinésie grave (altération des mouvements volontaires), une ataxie (manque de contrôle musculaire) et des crises intermittentes ou chroniques. De nombreux cas détaillés dans des vidéos personnelles sur les médias sociaux sont assez choquants.

Tout aussi choquant est le fait que ces vidéos sont rapidement retirées par les plateformes de médias sociaux, soi-disant pour violation d’une des conditions d’utilisation [qui changent tout le temps – NdT]. Il est difficile de comprendre comment une expérience personnelle peut être considérée comme une « fausse information ». Judy Mikovits explique ces dommages neurologiques de la façon suivante :

« C’est la neuroinflammation qui en est la cause. C’est le cerveau en feu. On verra des tics, on verra la maladie de Parkinson, on verra des scléroses latérales amyotrophiques, des choses comme celles-ci vont se développer à un rythme extrêmement rapide, et elles sont toutes en lien avec l’inflammation du cerveau. »

Les effets secondaires suggèrent également un dérèglement de la réponse immunitaire innée et une perturbation du système endocannabinoïde, qui agit comme un variateur d’intensité sur votre système immunitaire.

Note du traducteur : Le système endocannabinoïde — souvent abrégé en SEC — est un acteur majeur de l’homéostasie cellulaire qui fut découvert il y a trente ans, et tous les processus physiologiques de notre corps peuvent a priori impliquer son intervention. Il constitue un système de communication du corps parmi les plus importants et les plus complexes, et sa fonction principale est de réagir à des stress pour permettre au milieu interne de conserver son homéostasie. L’altération de son fonctionnement et des niveaux de ses médiateurs lipidiques (endocannabinoïdes) dans certains tissus, peut contribuer à l’installation ainsi qu’à la progression de différentes pathologies.

Judy Mikovits ajoute ce qui suit :

« Nous voyons des syndromes d’activation mastocytaire. Les symptômes cliniques seront ceux des maladies inflammatoires. On entend tout le monde les qualifier de « persistance du Covid » — la fatigue extrême, profonde et invalidante, l’incapacité à produire de l’énergie à partir des mitochondries.

Il ne s’agit pas d’un Covid persistant. C’est exactement ce qu’il en a toujours été : l’encéphalomyélite myalgique, l’inflammation du cerveau et de la moelle épinière. Ce qu’ils sont intentionnellement en train de faire, c’est de tuer [certaines] populations, celles à qui ils ont déjà fait du tort. »

Selon ce que l’on peut observer, les réactions allergiques, y compris le choc anaphylactique, constituent un autre effet secondaire courant du « vaccin ». Le PEG, auquel environ 70 % des Étasuniens sont allergiques, est probablement responsable de ces réactions. Selon Judy Mikovits,

« Ces effets immédiats sont presque certainement causés par le PEG [polyéthylène glycol – NdT] et cette nanoparticule lipidique, la particule toxique même qui est injectée. »

À plus long terme, elle pense que nous assisterons à une augmentation significative des migraines, des tics, de la maladie de Parkinson, des troubles microvasculaires, de différents cancers, dont le cancer de la prostate, des syndromes de douleur sévère comme la fibromyalgie et l’arthrite rhumatoïde, des problèmes de vessie, des maladies rénales, des psychoses, des maladies neurodégénératives comme la maladie de Lou Gehrig (SLA) et des troubles du sommeil, dont la narcolepsie. Elle pense aussi que des symptômes semblables à ceux de l’autisme sont également susceptibles de se développer chez les jeunes enfants.

Nous finirons par tuer les plus à risque

Outre les maladies chroniques énumérées plus haut, d’autres personnes sont très exposées à ces « thérapies » géniques anti-Covid-19, notamment celles qui ont reçu le vaccin contre la grippe saisonnière, les Noirs et les Hispaniques. Ces derniers sont particulièrement prédisposés au risque de facilitation de l’infection par des anticorps, notamment en raison de la génétique. Tragiquement, sous couvert d’une justice raciale et sociale, ces vaccins sont administrés aux personnes qui sont les plus à risque. Judy Mikovits ajoute :

« Ce programme pour vacciner en premier lieu les minorités ethniques et les handicapés mentaux a été présenté par Johns Hopkins il y a quelques mois. Si votre cerveau est déjà en feu, si vous souffrez déjà d’une maladie inflammatoire neurale, pourquoi diable injecteriez-vous cette toxine inflammatoire neurale ? Cela revient à tuer les personnes qui sont les plus à risque. »

Les femmes en âge de procréer peuvent également être exposées à un risque de stérilité, car la syncytine (l’enveloppe du gamma-rétrovirus codée dans le génome humain dont l’expression peut être dérégulée par l’ARN synthétique de la syncytine présente dans le vaccin) est nécessaire à la bonne fusion du placenta dans l’utérus et à l’implantation de l’ovule. En effet, l’Organisation mondiale de la santé affirme aujourd’hui que les femmes enceintes ne devraient pas recevoir les « vaccins » Moderna ou Pfizer en raison de signalements faisant état de fausses couches tardives[6].

Que faire si vous avez reçu le vaccin et que vous avez des problèmes ?

La principale raison pour laquelle je voulais interviewer Judy Mikovits était de connaître ses recommandations pour ceux qui ont choisi de se faire vacciner et qui le regrettent aujourd’hui. Il est intéressant de noter que j’ai appris que les stratégies sont les mêmes que celles que vous utiliseriez pour traiter l’infection par le Sras-CoV-2.

J’ai écrit de nombreux articles au cours de l’année dernière, détaillant des stratégies simples pour améliorer votre système immunitaire. Avec un système immunitaire sain, vous vous en sortirez sans incident, même si vous tombez malade. Je vais résumer ci-dessous certaines des stratégies que vous pouvez utiliser pour prévenir le Covid-19 et traiter les effets secondaires que vous pourriez rencontrer avec le vaccin.

Tout d’abord, vous voudrez avoir une alimentation « saine », idéalement biologique. Évitez les aliments transformés de toutes sortes, car ils sont chargés d’acide linoléique oméga-6 nuisible qui détruit votre fonction mitochondriale. Pensez également à la cétose nutritionnelle et à une alimentation limitée dans le temps, qui vous aideront à optimiser votre machinerie métabolique et la fonction mitochondriale. Comme l’a noté Judy Mikovits :

« Nous devons penser à se détoxifier des métaux, nous devons penser au glyphosate […] Nous devons prévenir l’inflammation dans tous les sites tissulaires et nous devons maintenir notre système immunitaire en bonne santé […] Pour lutter contre la neuroinflammation, il faut brûler des cétones plutôt que du sucre [des glucides – NdT], donc il faut pratiquer un régime cétogène et enlever le stress de la voie mTOR [affaiblir sa probable stimulation – NdT]. »

Note du traducteur : L’alimentation limitée dans le temps consiste à réduire l’espace entre les repas, de façon à les ramener sur une plage d’environ 8 heures, de 10h00 et 18h00, par exemple. Le jeûne intermittent constitue aussi une pièce maîtresse de ces stratégies.

Voir aussi notre Focus Covid-19 et vaccination expérimentale massive — Protégez-vous du pire grâce à ce protocole sanitaire et la liste suivante d’articles sur le régime cétogène et une alimentation pauvre (voire nulle) en sucre/glucide :

En ce qui concerne le glyphosate, un moyen simple d’en bloquer son absorption est de prendre de la glycine. Environ 3 grammes, soit une demi-cuillère à café, quelques fois par jour, devraient suffire, en plus d’une alimentation biologique, afin de ne pas ajouter plus de glyphosate à chaque repas.

Pour améliorer la désintoxication, je vous recommande d’activer votre production naturelle de glutathion avec des comprimés d’hydrogène moléculaire. Toutes ces stratégies devraient vous aider à améliorer votre résistance contre le Sras-CoV-2, et pourraient même aider votre corps à se désintoxiquer si vous avez fait l’erreur de suivre cette « thérapie » génique expérimentale.

Une autre stratégie utile consiste à maintenir un pH neutre [communément appelé équilibre acido-basique – NdT]. Votre pH doit se situer autour de 7 et vous pouvez le mesurer avec une bandelette urinaire peu coûteuse. Plus votre pH est bas, plus vous êtes acide.

Un moyen simple d’augmenter votre pH s’il est trop acide (et c’est le cas pour la plupart des gens) est de prendre un quart de cuillère à café de bicarbonate de sodium (bicarbonate de soude) ou de potassium dilué dans l’eau plusieurs fois par jour. L’amélioration de votre pH renforcera la résistance de votre système immunitaire et réduira la perte de minéraux de vos os, diminuant ainsi votre risque d’ostéoporose.

Compléments alimentaires bénéfiques

Une supplémentation nutritionnelle peut également se révéler précieuse. Parmi les plus importantes, on peut citer :

  • Vitamine D — Les suppléments de vitamine D sont facilement disponibles et sont parmi les moins chers du marché. Tout bien considéré, l’optimisation de la vitamine D est probablement la stratégie la plus facile et la plus bénéfique que chacun puisse adopter pour minimiser son risque Covid-19 tout comme celui d’autres infections, et peut en quelques semaines renforcer votre système immunitaire.
  • N-acétylcystéine (NAC) — La NAC est un précurseur de la réduction du glutathion, qui semble jouer un rôle crucial dans le Covid-19. Selon une analyse de la littérature[7], la carence en glutathion pourrait en fait être associée à la gravité du Covid-19, ce qui amène l’auteur à conclure que la NAC pourrait être utile à la fois pour sa prévention et son traitement.
  • Zinc — Le zinc joue un rôle très important dans la capacité de votre système immunitaire à repousser les infections virales. Comme la vitamine D, le zinc aide à réguler votre fonction immunitaire[8] — et il a été démontré en 2010 qu’une combinaison de zinc avec un ionophore de zinc, comme l’hydroxychloroquine ou la quercétine, inhibe in vitro le coronavirus du Sras. En culture cellulaire, elle a également bloqué la réplication virale en quelques minutes[9]. Il est important de noter qu’il a été démontré que la carence en zinc altère la fonction immunitaire[10].
  • Mélatonine — Elle stimule la fonction immunitaire de diverses manières et aide à réprimer l’inflammation. La mélatonine peut également prévenir l’infection par le Sras-CoV-2 en rechargeant le glutathion[11] et en améliorant la synthèse de la vitamine D, entre autres choses.
  • Vitamine C — Un certain nombre d’études ont montré que la vitamine C peut être très utile dans le traitement des maladies virales, de la septicémie et du syndrome de détresse respiratoire aiguë[12] , toutes ces maladies étant applicables au Covid-19. Ses propriétés de base comprennent des propriétés anti-inflammatoires, immunomodulatrices, antioxydantes, antithrombotiques et antivirales. À fortes doses, elle agit en fait comme un médicament antiviral, en inactivant activement les virus. La vitamine C agit également en synergie avec la quercétine[13].
  • Quercétine — Puissant stimulant immunitaire et antiviral à large spectre, la quercétine a d’abord été considérée comme offrant une protection à large spectre contre le coronavirus du Sras à la suite de l’épidémie de Sras de 2003[14] [15] [16], et des éléments indiquent qu’elle pourrait également être utile pour la prévention et le traitement du Sras-CoV-2.
  • Les vitamines B — Les vitamines B peuvent également influencer plusieurs processus pathologiques spécifiques au Covid-19, notamment[17] la réplication et l’invasion virales, l’induction de tempêtes de cytokines, l’immunité adaptative et l’hypercoagulabilité.

Judy Mikovits recommande également les interférons de type 1.

« L'[interféron] de type 1 — la source primaire d’interféron, alpha et bêta — est la cellule dendritique plasmacytoïde. Nous savons qu’elle est dérégulée chez les personnes atteintes du VIH, d’XMRVs, ou d’une expression rétrovirale aberrante. Ces personnes ne peuvent pas produire d’interféron.

Les interférons de type 1 peuvent être fournis dans un spray que vous pouvez vaporiser directement dans votre gorge, votre nez, et qui vous donnera la protection dont vous avez besoin pour que le virus ne se [réplique] pas. Il sera immédiatement dégradé […] Si vous avez de la toux, de la fièvre ou des maux de tête, augmentez immédiatement votre taux d’interféron de type 1. Deux pulvérisations par jour de cet interféron à titre prophylactique réduiront la charge virale.

Nous savons que le [Sras-CoV-2] n’est pas un virus naturel, nous savons qu’il a été créé en laboratoire, mais [l’interféron en] calmera l’expression, il dégradera l’ARN pour ceux qui ne peuvent pas le faire, et c’est son travail — faire en sorte que vos macrophages soient ces petits Pac-Man qui dégradent simplement l’ARNm viral. »

Note du traducteur : Voir aussi notre Focus Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

Peroxyde nébulisé — Mon choix thérapeutique préféré



Mon choix personnel pour le traitement des symptômes du Covid-19 est le peroxyde nébulisé. C’est un remède maison que tout le monde devrait selon moi connaître, car dans de nombreux cas, il peut améliorer les symptômes en quelques heures seulement. Vous pouvez également l’utiliser comme stratégie préventive si vous savez que vous avez été exposé à une personne malade.

La nébulisation de peroxyde d’hydrogène dans les sinus, la gorge et les poumons est un moyen simple et direct d’augmenter l’expression naturelle du peroxyde d’hydrogène dans votre corps pour combattre les infections et elle peut être utilisée à la fois en prophylaxie après une exposition connue au Covid-19 et comme traitement pour les maladies légères, modérées et même graves.

Le Dr David Brownstein, qui a traité avec succès plus de 100 patients Covid-19 avec du peroxyde nébulisé, a publié un article de cas[18] sur ce traitement dans le numéro de juillet 2020 de Science, Public Health Policy and The Law. Il examine également ses avantages dans « Comment le peroxyde en nébulisation aide à lutter contre les infections respiratoires » [en anglais – NdT].

Le peroxyde d’hydrogène nébulisé est extrêmement fiable, et tout ce dont vous avez besoin est d’un nébuliseur individuel et du peroxyde d’hydrogène de qualité alimentaire, que vous devrez diluer avec une solution saline à 0,1 pour cent. Je vous recommande d’acheter ces articles à l’avance afin que vous ayez tout ce dont vous avez besoin et que vous puissiez commencer le traitement à la maison dès les premiers signes d’une infection respiratoire.

Recette de peroxyde d'hydrogène nébulisé

Dans la vidéo ci-dessus, je passe en revue les bases de ce traitement. Il est préférable d’acheter un nébuliseur qui se branche sur une prise électrique, car les nébuliseurs à piles sont trop faibles pour être vraiment efficaces. Assurez-vous également que votre nébuliseur est équipé d’un masque facial, et pas seulement d’un embout buccal. S’il n’est pas fourni avec un masque facial, vous pouvez en acheter un séparément. Il vous suffit de chercher sur Amazon « masque de nébulisation pour adultes » [cherchez les produits accessoires – NdT].

Note du traducteur : Voir aussi l’article en français sur le site French Mercola Le protocole au peroxyde d’hydrogène contre le coronavirus :

« Le peroxyde de qualité alimentaire est généralement disponible à des concentrations de 12 %. Vous devrez donc le diluer à 1 % pour l’utiliser comme je le décris dans la vidéo et le tableau [ci-dessus].

Les virus ne sont pas « vivants » en soi. Ils ont besoin d’un hôte vivant dans lequel ils peuvent infecter des cellules vivantes qui répliquent ensuite l’ADN et l’ARN viraux. Une fois qu’une cellule est infectée, les virus nouvellement répliqués quittent la cellule et passent à la cellule suivante pour dupliquer le processus.

Donc, quand on parle de « tuer » un virus, il est vraiment question de l’inactiver en brisant sa structure. C’est pourquoi le savon fonctionne si bien. Les coronavirus sont consolidés par un revêtement lipidique (gras). Le savon, étant amphipathique (ce qui signifie qu’il peut dissoudre la plupart des molécules), il dissout cette membrane graisseuse, ce qui fait que le virus se désagrège et devient inoffensif.

Plus spécifiquement, les substances grasses du savon sont structurellement similaires aux lipides trouvés dans la membrane virale, de sorte que les molécules de savon rivalisent avec et remplacent les graisses de la membrane. Ce faisant, la « colle grasse » qui consolide le virus se dissout.

Le peroxyde d’hydrogène fonctionne de manière similaire.
[…]
Vos cellules immunitaires produisent en fait du peroxyde d’hydrogène. C’est en partie ainsi que le système immunitaire tue les cellules infectées par un virus. En tuant la cellule infectée, la reproduction virale est arrêtée. Ainsi, la thérapie au peroxyde d’hydrogène aide essentiellement les cellules immunitaires à remplir plus efficacement leur fonction naturelle. »

Informations additionnelles

Nous espérons avoir fourni suffisamment d’informations pour vous faire reconsidérer le « vaccin » à « thérapie » génique Covid-19. Au minimum, faites des recherches supplémentaires avant de prendre votre décision. La simple vérité est que vous n’en avez pas besoin, et qu’il s’agit donc d’un risque inutile.

Pour en savoir plus, n’oubliez pas de commander à l’avance un exemplaire de Ending Plague: A Scholar’s Obligation in an Age of Corruption [« Mettre fin au fléau — Le devoir d’un universitaire à l’ère de la corruption », non traduit en français – NdT]. À bien des égards, nous traversons une crise et il est absolument essentiel de s’instruire, puis d’éduquer les autres. La vie de millions de personnes est en jeu. Alors, s’il vous plaît, prenez le temps d’assimiler ces informations, de les comprendre et de les partager avec ceux que vous aimez.

Note du traducteur : Pour les lecteurs qui seraient intéressés, ce livre en anglais de Judy Mikovits est, sur Amazon, en rupture de stock au format papier au moment où nous publions. Il est par contre disponible au format Kindle.

Une des vidéos les plus puissantes que j’ai jamais vues

La vidéo suivante de Barbara Loe Fisher est l’une des plus puissantes que j’ai jamais vues. J’espère que le fait de la regarder vous incitera à vous engager et à vous joindre à la lutte pour la liberté et l’indépendance en matière de vaccins.

Il existe une guerre culturelle et une collusion entre de nombreuses industries et les agences de régulation fédérales qui ont pour conséquence la suppression de la vérité sur des questions de santé vitales et importantes. Si cette suppression se poursuit, nous éroderons graduellement et progressivement nos droits individuels privés pour lesquels nos ancêtres se sont battus si durement. Veuillez prendre quelques minutes pour regarder cette vidéo.

https://youtu.be/xEcYQydhY9E

Protégez votre droit au consentement éclairé et défendez les exemptions de vaccin

Avec toutes les incertitudes qui entourent l’innocuité et l’efficacité des vaccins, il est essentiel de protéger votre droit à faire des choix de santé indépendants et d’exercer un consentement volontaire et éclairé à la vaccination. Il est urgent que tout le monde aux États-Unis se lève et se batte pour protéger et étendre les protections du consentement éclairé à la vaccination dans les lois des États en matière de santé publique et d’emploi. La meilleure façon d’y parvenir est de s’impliquer personnellement auprès des législateurs de votre État et d’éduquer les dirigeants de votre communauté.

Penser globalement, agir localement

Les recommandations en matière de politique nationale sur les vaccins sont faites au niveau fédéral, mais les lois sur les vaccins sont faites au niveau des États. C’est au niveau des États que votre action visant à protéger vos droits en matière de choix de vaccins peut avoir le plus grand impact.

Il est essentiel que TOUT LE MONDE s’implique dès maintenant pour défendre le droit légal de choisir volontairement un vaccin aux États-Unis, car ces choix sont menacés par les lobbyistes représentant les sociétés pharmaceutiques, les associations professionnelles médicales et les responsables de la santé publique, qui tentent de persuader les législateurs de supprimer toutes les exemptions relatives aux vaccins des lois sur la santé publique.

En vous inscrivant sur le portail gratuit du NVIC sur la défense des droits, à l’adresse www.NVICAdvocacy.org, vous aurez un accès immédiat et facile aux législateurs de votre État sur votre smartphone ou votre ordinateur, ce qui vous permettra de faire entendre votre voix. Vous serez tenu au courant des derniers projets de loi de l’État qui menacent votre droit de choisir un vaccin et vous obtiendrez des informations pratiques et utiles pour vous aider à devenir un défenseur efficace du choix des vaccins dans votre propre communauté.

En outre, lorsque des questions relatives aux vaccins nationaux se poseront, vous aurez à portée de main les informations actualisées et les éléments d’appel à l’action dont vous avez besoin. Dans un premier temps, veuillez donc vous inscrire sur le portail de sensibilisation du NVIC.

Note du traducteur : Bien que ce qui précède (tout comme le dernier point ci-dessous) concerne les États-Unis, l’information pourrait bénéficier à des francophones sur ce territoire. Les lois outre-Atlantique ne sont pas les mêmes que dans les pays francophones, mais il y est tout aussi essentiel de protéger votre droit à faire des choix de santé indépendants et d’exercer un consentement volontaire et éclairé à la vaccination, notamment en vertu du Code de Nuremberg : Covid-19 — La campagne vaccinale expérimentale à venir constitue un viol du Code de Nuremberg et une atteinte à l’intégrité d’autrui

Partagez votre histoire avec les médias et les personnes que vous connaissez

Si vous ou un membre de votre famille avez subi une réaction grave à un vaccin, des dommages ou un décès, vous devriez en parler. Si nous ne partageons pas les informations et les expériences entre nous, tout le monde se sent seul et a peur de parler. Écrivez une lettre au rédacteur en chef si vous avez un point de vue différent sur une histoire de vaccin qui paraît dans votre journal local. Appelez une émission de radio qui ne présente qu’un seul aspect de l’histoire du vaccin.

Je dois être franc avec vous : il vous faudra être courageux car vous pourriez être fortement critiqué pour avoir osé parler de « l’autre facette » de l’histoire du vaccin. Préparez-vous à cela et ayez le courage de ne pas reculer. Ce n’est qu’en partageant notre point de vue et ce que nous savons être vrai au sujet de la vaccination que la conversation publique sur la vaccination s’ouvrira si bien que les gens n’auront pas peur d’en parler.

Nous ne pouvons pas permettre que les entreprises pharmaceutiques et les associations commerciales médicales financées par les entreprises pharmaceutiques ou les responsables de la santé publique qui encouragent l’utilisation forcée d’une liste croissante de vaccins dominent la conversation sur la vaccination.

Une personne affectée par un vaccin ne peut pas être balayée sous le tapis et traitée comme rien d’autre qu’un « dommage collatéral statistiquement acceptable » des politiques nationales de vaccination obligatoire universelles qui mettent beaucoup trop de gens en danger d’en être victimes et de mourir. Nous devrions traiter les gens comme des êtres humains et non pas comme des cobayes.

Ressources Internet où vous pouvez en apprendre davantage

Je vous encourage à visiter le site web de l’organisation caritative à but non lucratif, le National Vaccine Information Center (NVIC), à l’adresse www.NVIC.org :

  • Exigences et exemptions en matière de vaccins par État — Les lois sur les vaccins varient aux États-Unis d’un État à l’autre. En connaissant les politiques spécifiques de votre État, vous apprendrez comment obtenir des exemptions et mieux protéger votre droit à faire des choix éclairés en matière de vaccins.
  • NVIC Mémorial des victimes de vaccins — Consultez les descriptions et les photos d’enfants et d’adultes qui ont subi des réactions aux vaccins, des blessures et des décès. Si vous ou votre enfant êtes victime d’un effet indésirable d’un vaccin, pensez à poster et à partager votre histoire ici.
  • Si vous vous faites vacciner, posez 8 questions — Apprenez à reconnaître les symptômes des réactions aux vaccins et à prévenir les blessures dues aux vaccins.
  • Mur de la liberté vaccinale — Consultez ou affichez des descriptions de harcèlement et de sanctions par des médecins, des employeurs et des responsables scolaires et sanitaires pour avoir choisi un vaccin de manière indépendante.
  • Mur de l’échec vaccinal — Consultez ou affichez des descriptions de vaccins qui n’ont pas fonctionné et qui protègent les personnes vaccinées contre la maladie.

Sources et références

[1] MJforMDs.org Judy Mikovits Bio

[2] Bioregulatory Medicine Institute December 28, 2020

[3] Stat News January 10, 2017

[4] New York Times January 12, 2021

[5] The Defender January 13, 2021

[6] Wall Street Journal January 27, 2021

[7] A Hypothesis Based on Literature Data and Own Observations, preprint

[8] « COVID-19: Poor Outcomes in Patients with Zinc Deficiency, » International Journal of Infectious Disease 100 (November 2020): 343-49

[9] te Velthuis AJ, van den Worm SH, Sims AC, et. al . PLoS Pathog. 2010 Nov 4;6(11):e1001176. doi: 10.1371/journal.ppat.1001176

[10] « Zinc Fact Sheet for Health Professionals, » U.S. Department of Health & Human Services, National Institutes of Health, updated July 15, 2020

[11] Grazyna Swiderska-Kołacz, Jolanta Klusek, and Adam Kołataj, Neuro Endocrinology Letters 27, no. 3 (June 2006): 365-8

[12] JAMA 2019 Oct 1; 322(13): 1261-1270

[13] Frontiers in Immunology June 19, 2020 DOI: 10.3389/fimmu.2020.01451

[14] Journal of Virology Sep 2004, 78 (20) 11334-11339, Antiviral activity of an analog of luteolin

[15] Bioorg Med Chem. 2006 Dec 15;14(24):8295-306

[16] Maclean’s February 24, 2020

[17] Maturitas August 15, 2020 DOI: 10.1016/j.maturitas.2020.08.007 [Epub ahead of print]

[18] Science, Public Health Policy and The Law July 2020; 1: 4-22 (PDF)


Source de l’article initialement publié en anglais le 31 janvier 2021 : 
Mercola.com
Traduction : Sott.net




La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19

[Source : Mondialisation.ca]

« Entre dépeuplement planifié et cynisme financier, l’humanité doit se réveiller »

Nous sommes-nous trompés ?

La vaccination contre le SARS-CoV-2, le virus responsable de la maladie COVID-19, a été lancée dans le monde alors que les essais cliniques ne sont ni complets ni terminés.

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des produits qui sont toujours en phase d’évaluation des effets secondaires et de l’efficacité sont injectés à des êtres humains sans que ceux-ci ne soient correctement informés et sans obtenir leur consentement éclairé, sous couvert d’urgence et de déclarations des autorités sanitaires influencées par des firmes pharmaceutiques comme en témoigne ce document de l’Agence Européenne du Médicament (EMA-AEM) [1].

Même la revue Prescrire, après son article partial et critique en défaveur de l’ivermectine [2] -voir la réponse du docteur Gérard Maudrux [3], sur le vaccin ADN d’Astra Zeneca et Oxford le souligne :

  • Le niveau de preuves des données est globalement faible, entre autres parce que les essais ne se sont pas déroulés comme prévu, et que les données d’efficacité clinique rendues publiques ne portent que sur environ la moitié des participants aux essais.
  • Dans les essais, la diminution relative du risque d’être atteint d’une maladie covid-19 a été d’environ 70 % dans les groupes vaccin ChAdOx1 nCoV19, avec une incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité plus grande qu’avec les deux vaccins à ARNm déjà autorisés. Une réduction de la fréquence de covid-19 grave est vraisemblable mais non démontrée.
  • 36 % des participants avaient au moins un facteur de risque de covid-19 grave autre que l’âge, mais l’incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité chez eux est encore plus grande que pour l’ensemble des participants. Seulement 6 % environ des participants étaient âgés de 65 ans ou plus.
  • Les effets indésirables connus du vaccin ChAdOx1 nCoV19 sont surtout des réactions locales et systémiques très fréquentes. Il existe encore de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation, notamment de ce vecteur viral chez les êtres humains.

Des niveaux de preuve globalement faibles, de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation.

Toute mise sur le marché d’un produit, d’un médicament, à fortiori d’un vaccin destiné à des personnes non malades, nécessite plusieurs phases d’évaluation, étalées sur plusieurs années, principe de précaution court-circuité dans cette crise avec tous les dangers que cette précipitation peut engendrer.

Le principe de précaution violé

Quoi qu’en disent, sans preuves, les firmes productrices des vaccins nouvelle génération (ARNm ou ADN avec vecteur viral modifié génétiquement), l’introduction d’ARNm ou d’ADN avec vecteur viral dans nos cellules comporte le risque potentiel de modifier notre ADN. La sécurité génétique de cette technique n’a pas pu être évaluée puisque plusieurs décennies seraient nécessaires pour le faire.

Ces « vaccins géniques » au mécanisme d’action très particulier exposent l’humanité à des risques inconnus, non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution pourtant si cher à nos autorités sanitaires.

Le principe de précaution est à la base de la plupart des mesures liberticides imposées par nos gouvernements : port du masque obligatoire même en rue, distances sociales, fermeture des lieux publics tels que restaurants ou bars, interdiction de se rassembler ou de manifester, fermeture des cinémas, des piscines et des parcs de loisirs.

Pour les vaccins, le principe de précaution est violé, bafoué.

Délai normal de mise sur le marché d’un vaccin

Ce qui suit est encore plus vrai avec les coronavirus comme le SARS-CoV-2.

La journaliste Céline Deluzarche, dans un article sur Futura Sciences (Futura Santé) du 19 mars 2020 revu le 15 juin, le dit :

« Coronavirus : les dangers d’un vaccin élaboré à la hâte.

Face à l’urgence, les scientifiques appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux. Une stratégie louable mais qui pourrait s’avérer au mieux, contre-productive, au pire causer des morts.

Normalement, obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin  chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle. » [4]

« Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, (de 9 à 12 ans, en moyenne 10) pour arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations complémentaires. Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le SIDA où deux candidats ont été éliminés car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). » [5]

Pour avoir l’autorisation de mise sur le marché d’un médicament ou d’un vaccin, les essais doivent franchir plusieurs étapes ou phases. 

Ces étapes et ce délai sont la clé de la sécurité du produit.

La phase préclinique consiste à faire des tests sur animaux : cette étape préclinique animalière est très importante pour la sécurité.

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Les vaccins produits en laboratoire sont donc d’abord testés chez l’animal. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir.

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de l’aggravation de la maladie par la vaccination, ce risque est connu depuis 30 ans [6-7].

Ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV-1, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du MERS, les lapins ont développé des anticorps mais leur pathologie pulmonaire s’est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus. [8]

Cette complication est appelée VAED.

Avec les vaccins, « le plus gros problème est la crainte d’un ADE (Antibody-Dependant Enhancement, facilitation de l’infection par le vaccin, médiée par les anticorps induits par la vaccination) : facilitation de la pénétration du virus dans les cellules par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines » [9-10]

Le 5 mars 2020, devant le congrès états-unien, Peter Hotez (expert vaccinal – Peter Hotez, Wikipédia) met en garde contre la facilitation de l’infection par les anticorps, et sa relation avec la vaccination :

« Il faut être très prudent et aller doucement avec les essais cliniques, les essais sur animaux ont montré la facilitation » !

Peter Hotez nous conseille la plus grande prudence :

« Un vaccin n’est pas anodin : il s’agit le plus souvent d’un virus désactivé ou affaibli, et peut dans certains cas aggraver la maladie qu’il est censé prévenir. Peter Hotez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de SRAS en 2003, a ainsi constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. C’est ce que l’on appelle une « facilitation de l’infection par des anticorps » (Antibody-Dependent Enhancement ou «ADE en anglais) » 

Vaccination COVID et VAED

Pour le VIDAL, organe de référence médical français, la question est posée :

Vaccins contre la COVID-19 : doit-on s’inquiéter du risque de maladie aggravée chez les personnes vaccinées ? [11]

Malgré 30 ans d’efforts, aucun vaccin efficace n’a jamais été mis au point pour aucune des nombreuses souches de coronavirus.

« À ce jour, il n’y jamais eu de vaccin efficace contre les coronavirus, en raison de la nature de ces virus. En plus, les tentatives passées de créer un vaccin anti-coronavirus ont eu comme seul résultat des personnes vaccinées avec un plus grand risque de maladie sévère et de décès une fois à nouveau exposées à une autre souche du virus. » [12-13]

La phase pré-clinique, animale, a été laissée de côté par les firmes et la vaccination, lancée sans s’assurer de l’absence de VAED.

Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats, le développement très rapide de plusieurs vaccins n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

Les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des centaines de sujets humains.

Après la phase pré-clinique sur les animaux, le produit doit traverser la phase I (évaluation de la toxicité à court terme chez l’humain et du taux d’anticorps produits), la phase II (en moyenne 4 ans) qui doit confirmer l’absence de danger, l’efficacité et déterminer la dose optimale et le schéma d’administration, et enfin la phase III (durée 3 à 5 ans) sur un groupe représentatif de la population cible, comportant des milliers de personnes. Le succès de la phase III fournit le dossier indispensable à l’autorisation de mise sur le marché, analysé par des experts indépendants des firmes pour le compte de l’Agence du médicament.

Tout ceci explique pourquoi cette mise sur le marché prend normalement plusieurs années, dans l’intérêt de la population qui va recevoir ce médicament ou ce vaccin.

Il faut être sûr de l’efficacité ET d’un danger acceptable au regard des risques de la maladie ciblée.

Cela permet surtout de pouvoir informer correctement la population afin qu’elle fournisse un consentement éclairé au traitement ou à la vaccination.

La mise sur le marché en moins d’un an des vaccins COVID n’a été obtenue qu’au prix de la diminution de la sécurité par suppression ou allègement de nombreuses étapes des essais, et non des moindre, les essais sur les animaux.

Ceci est d’autant plus vrai en matière de vaccins contre les coronavirus, comme l’ont montré les tentatives désastreuses de vaccination contre le SRAS-CoV-1 et le MERS.

En matière de vaccination contre le COVID, les firmes PFIZER-BioNTech, Astra Zeneca, Moderna ont court-circuité ou bâclé toutes les étapes qui permettent de s’assurer de la sécurité :

  • Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux.
  • Regroupement des phases II et III ne permettant pas d’utiliser les résultats des phases II pour concevoir convenablement les phase III.
  • Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante, ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse de la durée de l’immunité éventuelle et des éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins anti grippe H1N1 de 2009 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).
  • Autorisation de mise sur le marché alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni publiés, ni obtenus et que la durée moyenne de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme, ni leurs effets chez les personnes âgées à forte comorbidité qui sont trop peu représentées. [14]
  • La phase 3 (hors essai officiel) se déroule donc actuellement, comme le détaille Pfizer, dans sa publication sur clinicaltrials.gov : première analyse en aout 2021 et fin de l’essai en janvier 2023.

« Le miracle de la commercialisation en moins d’un an de prétendus vaccins, salué unanimement par les médias, ne consacre en fait que l’abandon quasi-total des mesures de sécurité élaborées depuis 70 ans pour nous protéger des catastrophes médicamenteuses.

L’allègement des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques nouvelles. » [15]

Le but d’un vaccin est de diminuer (au mieux de supprimer) la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or ces critères ont été négligés par les firmes dans leur conception des essais au profit d’une négativation de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement [16].

De toute façon, la capacité d’interrompre la transmission du virus par les vaccins (immunité stérilisante) n’est pas étudiée dans les essais cliniques, comme le dit l’éditorialiste du British Medical Journal Peter Doshi [17] :

Le monde a parié sur la production de vaccins comme solution à la pandémie, mais les essais ne visent pas à répondre aux questions que beaucoup pourraient se poser.

Peter Doshi a montré que les essais cliniques « randomisés » ne montreront pas si les vaccins sont capables d’éviter les formes graves chez les personnes fragiles ni s’ils auront un effet sur la mortalité globale.

Les essais cliniques sont conçus pour déterminer si les futurs vaccins seront capables d’éviter une maladie bénigne ou même asymptomatique, pas pour éviter une maladie grave ou le décès par COVID-19. Les essais ne montreront pas que les vaccins peuvent éviter la transmission interhumaine.

Précautions bafouées par les médecins vaccinateurs

Le font-ils exprès ? Savent-ils ce qu’ils font ?

La vaccination n’est pas un traitement, mais une prévention dont l’efficacité dépend de la bonne santé du système immunitaire de la personne vaccinée. Si ce système immunitaire (immunités spécifiques à mémoire via les lymphocytes B producteurs d’anticorps et les lymphocytes T) est compromis, non seulement la vaccination sera inutile, mais aussi potentiellement dangereuse, pouvant provoquer la maladie qu’elle est censée prévenir !

Avant de vacciner, il est conseillé d’évaluer le statut immunitaire de la personne : sérologies anticorps, mesure des taux de lymphocytes par un laboratoire spécialisé.

Les médecins ou autres personnes qui vaccinent sont-ils en mesure d’informer correctement leurs patients en droit d’être informés avant de donner leur consentement éclairé à tout traitement, toute prévention ?

Ces vaccinateurs connaissent-ils les études sur les effets toxiques des adjuvants, aluminium, nanoparticules, poly-éthylènes glycols (PEG) ou autres ?

« Des vaccins sont à l’étude pour les effets secondaires possibles qu’ils peuvent provoquer. Afin de fournir de nouvelles informations, une méthode d’investigation par microscopie électronique a été appliquée à l’étude des vaccins, visant à vérifier la présence de contaminants solides au moyen d’un microscope électronique à balayage environnemental équipé d’une microsonde à rayons X. Les résultats de cette nouvelle enquête montrent la présence de particules micro et nanométriques composées d’éléments inorganiques dans les échantillons de vaccins qui ne sont pas déclarées parmi les composants et dont la présence indûment est, pour le moment, inexplicable. Une partie considérable de ces contaminants particulaires a déjà été vérifiée dans d’autres matrices et signalée dans la littérature comme non biodégradable et non biocompatible. » [18]

Les nanoparticules traversent le placenta [19].

Les nanotubes pénètrent dans les poumons [20].

Les nanoparticules bouchent les vaisseaux sanguins et capillaires [21].

Les nanoparticules endommagent l’ADN [22].

Il y a des risques d’allergies graves et de maladies auto-immunes liées à la présence de PEG (polyéthylène glycol) utilisés dans les nanoparticules vectrices des vaccins à ARNm [23].

Il existe des anticorps contre les PEG chez 72% des Américains [24]. Cet adjuvant peut provoquer des maladies auto-immunes et c’est une molécule très toxique [25].

Le risque de maladies auto-immunes notamment neuronales est très sérieux du fait notamment du mimétisme entre épitopes de la protéine Spike et certaines protéines neuronales humaines [26].

Les médecins vaccinateurs connaissent-ils la recombinaison ?

Ce risque est indépendant du vecteur utilisé, plasmides, nanoparticules ou virus génétiquement modifié.

Les VIRUS oint une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès que les génomes des virus sont de même nature, ADN ou ARN, et qu’ils partagent des séquences de gènes qui se ressemblent.

Ces virus recombinants peuvent être beaucoup plus virulents que le virus d’origine et peuvent donc aggraver la situation.

Le phénomène de recombinaison a été démontré chez des plantes transgéniques dans le génome desquelles un gène viral avait été volontairement introduit.

Exemple de virus recombinant : H1N1, recombinant 3 souches de virus de la grippe, porcine, humaine et aviaire.

Les médecins vaccinateurs connaissent-ils le risque de cette vaccination COVID avec la grippe ou du COVID avec la vaccination antigrippale ?

La vaccination antigrippale est fortement suspectée de favoriser les infections à coronavirus chez l’adulte ! [27]

Cela a été montré également chez l’enfant [28]. 

Et le risque de maladie déclenchée par la vaccination (VAED) a également été documenté pour le vaccin antigrippal [29].

Effets secondaires graves voire décès déjà documentés

La FDA (USA) a signalé à la suite de la vaccination COVID la survenue d’effets secondaires, indésirables graves appelés effets systémiques de grade III, c’est-à-dire empêchant l’activité quotidienne et nécessitant une intervention médicale [30].

Le CDC (haute autorité de santé aux USA) a rassemblé les réactions indésirables au vaccin Pfizer entre le 14 et le 18 décembre 2020 au Royaume-Uni et a recensé presque 3% d’effets secondaires graves. 3%  :  c’est énorme ! Pour contrer une maladie qui a un taux de mortalité de seulement 0,23%, pour l’ensemble de la population ! [31]

L’Agence norvégienne du médicament établit un lien entre plusieurs décès et les effets secondaires du vaccin ARNm.

Selon le médecin en chef de l’autorité sanitaire, « les effets secondaires courants des vaccins à ARNm, tels que la fièvre et les nausées, ont pu entraîner la mort de certains patients fragiles ». Le gouvernement norvégien est préoccupé par le décès de 29 personnes âgées qui ont été soumises au vaccin COVID-19 de Pfizer.

La Norvège a émis le 15 janvier 2021 une alerte après la constatation de 29 décès après vaccin Pfizer chez des personnes âgées en Ehpad. Selon l’Institut norvégien de santé publique :

« Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves. »

« Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

L’Institut norvégien de santé publique a ajouté depuis de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

Des experts en santé de Wuhan, en Chine, ont notamment appelé la Norvège et d’autres pays à suspendre l’utilisation des vaccins COVID-19 à base d’ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer, en particulier chez les personnes âgées.

L’Administration australienne des produits thérapeutiques recherchera « des informations supplémentaires, à la fois auprès de la société, mais aussi auprès du régulateur médical norvégien », a déclaré Hunt. Le ministère australien des Affaires étrangères contactera également son homologue norvégien à ce sujet [32-33].

En Espagne, après « vaccination génétique », 7 morts et 100% des résidents infectés dans une maison de retraite espagnole avec le « vaccin » expérimental à ARNm de Pfizer [34].

De très nombreux témoignages apparaissent de soignants dans différents pays (USA, Suisse, France, Pays -Bas, Italie) qui s’étonnent de l’augmentation brutale de la mortalité des résidents d’Ehpad après vaccination.

24 morts dans une maison de retraite aux USA suite à la vaccination en pleine flambée épidémique : les décès ont commencé à se produire 7 jours après le début de la campagne de vaccination (80% des résidents et 50% du personnel a été vacciné). Il n’y avait pourtant eu aucun décès dû au Covid dans les maisons de retraite de la région ! [35]

Comme souligné et prouvé dans les points précédents, vacciner en pleine période épidémique comporte les risques de recombinaison virale avec virus recombinants plus virulents (variants) comme nous le verrons plus loin avec les cas d’Israël ou de la Grande-Bretagne, d’interférence virale et de VAED (aggravation de l’infection par la vaccination).

Malgré ces données, les pays continuent à vacciner à tour de bras !

Floride, décès d’un médecin, attribué au vaccin par un expert [36].

Les responsables de la santé publique et les porte-parole de l’industrie aiment à dire que les risques de blessures graves liés à la vaccination sont de « un sur un million ».

Le ministère de la santé a prétendu, en 2010, que le VAERS (Vaccination Adverse Effects Reporting System) avait recueilli « moins de 1% des effets graves » dus aux vaccins.  Les taux réels de blessures dues aux vaccins obligatoires étaient en réalité plus de 100 fois supérieurs à ce que le ministère de la santé avait dit au public ! [37]

Dans la vaccination anti-COVID, au cours de la première semaine de distribution des vaccins, les Américains ont pris 200 000 doses de vaccins COVID et ont signalé 5 000 effets « graves » (c’est-à-dire des journées de travail manquées ou une intervention médicale nécessaire).

Cela représente un taux de blessure de 1 sur 40 piqûres. 

Cela signifie que les 150 piqûres nécessaires pour éviter un cas bénin de COVID causeront des blessures graves à au moins trois personnes. 

L’analyse de l’étude de 2010 du HHS a révélé que le risque réel d’événements indésirables graves était de 26/1000, soit un sur 37 [38].

Déjà 132 décès déclarés dans Eudravigilance seulement 26 jours après l’autorisation de mise sur le marché du vaccin Pfizer [39].

Les autorités masquent la vérité.

Réactions allergiques graves documentées

Des allergies sévères sont causées par les vaccins ARNm [40-41].

Que se passe-t-il en Israël, en Grande Bretagne et à Gibraltar, champions de la vaccination génétique ?

Les médias glorifient Israël, le champion de la lutte anti-COVID-19 par le vaccin Pfizer.

La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien (francesoir.fr)

Depuis le 20 décembre, en un peu plus d’un mois, près de 30% de la population (plus de 3 millions de personnes) auraient été vaccinées. Mais le succès d’une vaccination ne se juge pas d’après le nombre de vaccinés mais uniquement d’après l’évolution de l’épidémie qu’elle est censée prévenir. Or depuis cette date, les nombres quotidiens de morts attribuées au COVID-19 explosent passant d’une moyenne de 15 pendant la semaine précédant la vaccination à 56 cette dernière semaine de janvier 2021, suggérant ainsi que la première injection du vaccin serait susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie (VAED).à

Vaccination en Grande-Bretagne

La Grande-Bretagne a choisi principalement le vaccin d’Astra Zeneca peu testé également et a réussi à vacciner plus de 6 millions de personnes. Mais après 58 jours de vaccination, la mortalité quotidienne moyenne lissée sur 7 jours a doublé, passant d’un peu moins que 500 durant la semaine précédant la vaccination à 1070 dans la dernière semaine de janvier.

La Grande-Bretagne a commencé la vaccination dans la première semaine de décembre 2020 en vaccinant prioritairement les personnes les plus âgées et aurait atteint dans ce groupe d’âge une couverture vaccinale de plus de 75%. 

Depuis, la mortalité quotidienne des britanniques de plus de 80 ans a considérablement augmenté et dépasse maintenant celle de mars.

Après presque un an d’épidémie, Gibraltar ne comptait que 15 décès attribués au COVID-19. En 3 semaines de vaccination, le nombre total de morts a été multiplié par 5 !

Immunité juridique pour les fabricants de vaccins

Les commandes de vaccins engendrent des bénéfices pour les actionnaires de l’entreprise et un coût pour le public. Mais le plus grave est la mise en danger des populations qui paient pour cela !

Les fabricants de vaccin ont exigé et obtenu de ne pas pouvoir être poursuivis pour complications vaccinales même en cas de défectuosité de leurs produits.

Aux USA, les fabricants de vaccins sont protégés de toute poursuite légale en cas de dommages causés par les vaccins, ce coût sera supporté par l’état, donc ses contribuables [42].

En Europe, les fabricants de vaccins font pression sur l’UE pour obtenir une protection juridique [43].

Astra Zeneca organise son exemption juridique [44].

L’Union Européenne (UE) indemnisera les laboratoires en cas d’effets secondaires inattendus [45].

Vaccins obligatoires ?

D’après l’OMS et le Conseil de l’Europe, les vaccins ne devraient pas être obligatoires, et dans le même temps, des gouvernements parlent ouvertement d’imposer un passeport vaccinal avec discrimination certaine des non-vaccinés :

Le courrier du soir Covid-19 : le vaccin sera obligatoire pour obtenir un travail, voyager, aller au resto ou assister à un événement, 20 aouts 2020 [46].

Pourtant, d’autres gouvernements plus avisés et qui protègent vraiment leurs populations ont décidé de faire un moratoire sur ces vaccinations aux effets inconnus, grevées d’effets secondaires et décès de par le monde, dont on nous dit qu’elles ne sont pas destinées à nous protéger des formes graves ni de la contagion et pour lesquelles toutes les étapes de sécurité ont été court-circuitées, foulant au sol le principe de précaution le plus élémentaire.

Le Premier ministre thaïlandais déclare qu’il n’y aura pas de vaccination pour les Thaïlandais

Le premier ministre thaïlandais a déclaré dimanche qu’il ne permettrait pas aux Thaïlandais d’être utilisés comme cobayes pour tester l’efficacité des vaccins Covid-19. Tous les vaccins déployés en Thaïlande doivent être sans danger [47].

De même, Madagascar et les Suédois refusent ces vaccins [48-49].

Y avait-il vraiment urgence ?

L’urgence est pourtant toute relative, avec un taux de mortalité (IFR-Infection Fatality Rate) dans toute la population mondiale, selon l’OMS, de 0,23%, soit un taux de survie au COVID-19 de 99,77% ! [50]

L’argument pour justifier une mise sur le marché à la hâte d’un vaccin anti-COVID est l’ampleur de la pandémie COVID-19 ayant imposé l’arrêt de toute l’économie jusqu’à ce qu’un vaccin soit disponible.

Pourtant, toutes les prévisions catastrophiques ont été revues à la baisse [51].

Les projections de décès faites par l’Imperial College de Londres (Neil Fergusson) en l’absence de confinement étaient très exagérées [52].

Les chercheurs qui ont écrit dans le UK Telegraph le 16 mai dernier l’ont qualifié de « l’erreur logicielle la plus dévastatrice de tous les temps ». Ils ont écrit que « nous virerions n’importe qui pour avoir développé un code comme celui-ci » et que la question était « pourquoi notre gouvernement n’a pas obtenu un second avis avant d’avaler la prescription d’Imperial » [53].

N’y avait-t-il rien d’autre à faire ?

D’autres solutions plus naturelles, moins dangereuses, pour lesquelles nous disposons de dizaines d’années de recul sur les éventuels effets secondaires, existent, rendant encore plus relative cette notion d’urgence vaccinale avec des produits expérimentaux, dont les phases d’évaluation (efficacité et dangers) ne sont pas terminées, vaccinations grevée de dangers graves pour la santé humaine, en particulier en matière de coronavirus !

Beaucoup de médecins soutiennent ces solutions alternatives :

  • Ivermectine [54] associée à un antibiotique
  • Antibiotique (Azithromycine) [55]
  • Hydroxychloroquine [56] associée à un antibiotique [57]
  • Vitamine D3 [58]
  • Vitamine C [59]
  • ZINC [60] 
  • Sélénium [61]
  • Artemisia Annua [62]
  • Mélatonine [63]
  • Colchicine [64]

Pour certains de ces produits, le nombre de références et de preuves d’efficacité et surtout de sécurité est impressionnant, et les tentatives des autorités pro-vaccinales et des médias écrits et parlés qui répètent leurs mantras comme des perroquets sont de plus en plus ridicules. Cela ne serait que risible, si ces dénis et mensonges n’entraînaient pas autant de morts et de maladies évitables.

Épilogue

L’humanité est l’objet d’une expérimentation à grande échelle.

Tout cet article, références à l’appui, montre que :

  • L’urgence sanitaire utilisée comme prétexte à une telle prise de risque avec nos santés, nos libertés et nos patrimoines génétiques ne tient pas la route, avec un taux de survie spontanée au COVID-19 (en ne faisant rien) de 99,77 % pour toute la population. Le taux de survie et la qualité de survie seraient encore plus élevés en permettant aux médecins de prescrire les traitements efficaces dont l’ivermectine.
  • Les vaccins, surtout les formes génétiques, ADN et ARNm, préparées en moins d’un an en court-circuitant toutes les étapes de sécurité habituelles dont les essais sur animaux, et sans attendre un recul indispensable, sont de petites bombes à retardement dans nos cellules, et les effets secondaires graves, les décès déjà rapportés montrent que le remède est pire que le problème.
  • Des solutions alternatives, efficaces et surtout plus sûres, existent. Seulement elles ne rapportent rien aux firmes pharmaceutiques qui ont déjà empoché des milliards de dollars et d’euros, et ce n’est rien à côté des milliards de dollars que les maladies auto-immunes et autres fléaux engendrés par ces vaccins préparés à la hâte leur promettent, tout en ayant fait attention à échapper à toute poursuite pénale pour tous les dommages que leurs vaccins ne manqueront pas de causer. C’est déjà commencé.

Humanité ! Est-ce vraiment ce que tu veux ?

Sinon, il faut se réveiller.

Dr Pascal Sacré


Notes (sources) :

[1] Ce que disent les documents sur les vaccins anti-Covid-19 volés à l’Agence européenne des médicaments : 
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html

[2] https://www.prescrire.org/Fr/203/1845/60820/0/PositionDetails.aspx 

[3] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/livermectine-victime-dattaques-malhonnetes 

[4] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-coronavirus-dangers-vaccin-elabore-hate-80089/

[5] https://www.mondialisation.ca/insuffisances-methodologiques-des-essais-des-vaccins-anti-covid-19/5653363 

[6] Vennema, H. et al. Early death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

[7] Hohdatsu, T & al, A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

[8] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3335060/ , 2012, PloS One
Immunization with SARS Coronavirus Vaccines Leads to Pulmonary Immunopathology on Challenge with the SARS Virus

[9] Molecular Mechanism for Antibody-Dependent Enhancement of Coronavirus Entry, Journal of Virology

[10] SARS vaccines : where are we ?, Expert Rev Vaccines 2009 Jul ; 8(7) :887-98. Doi : 10.1586/erv.09.43.

[11] https://www.vidal.fr/actualites/26105/vaccins_contre_la_covid_19_doit_on_s_inquieter_du_risque_de_maladie_aggravee_chez_les_personnes_vaccinees/

[12] https://fort-russ.com/2020/05/were-conspiracy-theorists-right-bill-gates-supported-moderna-inc-prepares-mid-stage-trials-for-covid-19-vaccine/ , 8 mai 2020

[13] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31607599/ , Vaccine, 10 janvier 2020, Influenza vaccination and respiratory virus interference among Department of Defense personnel during the 2017-2018 influenza season.

[14] https://blogs.bmj.com/bmj/2021/01/04/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-we-need-more-details-and-the-raw-data/ 

[15] https://www.mondialisation.ca/insuffisances-methodologiques-des-essais-des-vaccins-anti-covid-19/5653363

[16] PCR : Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com). Texte intégral du jugement en portugais publié : sur :
http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30
http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

[17] Will covid-19 vaccines save lives ? Current trials aren’t designed to tell us  
BMJ  2020
https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4037

[18] https://medcraveonline.com/IJVV/new-quality-control-investigations-on-vaccines-micro–and-nanocontamination.html  New Quality-Control Investigations on Vaccines : Micro- and Nanocontamination, par Antonietta M Gatti et Stefano Montanari, 23 janvier 2017

[19] https://www.santelog.com/actualites/grossesse-et-pollution-les-microparticules-traversent-le-placenta :  GROSSESSE et POLLUTION : Les microparticules traversent le placenta

[20] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/enfant-nanotubes-carbone-trouves-poumons-petits-parisiens-60199/ : Des chercheurs de l’université de Paris-Saclay ont trouvé des nanotubes de carbone dans les cellules des voies respiratoires d’enfants asthmatiques vivant en région parisienne. Ces nanotubes pourraient provenir d’émissions de gaz d’échappement et entrer dans les poumons de chacun d’entre nous.

[21] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-pollution-air-fait-mal-coeur-26390/#xtor=RSS-8 : La pollution de l’air modifie le diamètre des microvaisseaux et augmente ainsi les risques de maladies cardiovasculaires.

[22] https://changera.blogspot.com/2014/04/les-nano-particules-endommagent-ladn.html : Les nanoparticules dans les produits de consommation courante et leurs actions sur l’ADN pouvant mener au cancer !

[23] https://www.sciencemag.org/news/2020/11/fever-aches-pfizer-moderna-jabs-aren-t-dangerous-may-be-intense-some

[24] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27804292/

[25] Szabó, G., Jr., Kiss, A. and Trón, L. (1982), Permeabilization of lymphocytes with polyethylene glycol 1000. Discrimination of permeabilized cells by flow cytometry. Cytometry, 3 : 59-63. 
https://doi.org/10.1002/cyto.990030113,Shiraishi K, Yokoyama M. Toxicity and immunogenicity concerns related to PEGylated-micelle carrier systems : a review. Sci Technol Adv Mater. 2019 ;20(1):324-336. Published 2019 Apr 15. Doi :10.1080/14686996.2019.1590126

[26] Lucchese G, Flöel A. Molecular mimicry between SARS-CoV-2 and respiratory pacemaker neurons. Rev. 2020 ;19(7) :102556. Doi : 10.1016/j.autrev.2020.102556
Lucchese, G., Flöel, A. SARS-CoV-2 and Guillain-Barré syndrome : Molecular mimicry with human heat shock proteins as potential pathogenic mechanism. Cell Stress and Chaperones 25, 731–735 (2020). 
https://doi.org/10.1007/s12192-020-01145-6

[27] https://peerj.com/articles/10112/ : Positive association between COVID-19 deaths and influenza vaccination rates in elderly people worldwide
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31607599 : Influenza vaccination and respiratory virus interference among Department of Defense personnel during the 2017-2018 influenza season

[28] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22423139 : Increased risk of non influenza respiratory virus infections associated with receipt of inactivated influenza vaccine Benjamin J. Cowling & al.

[29] https://www.aimsib.org/2020/09/27/vaccin-anti-grippal-et-facilitation-de-linfection-par-les-anticorps/

[30] Toxicity Grading Scale for Healthy Adult and Adolescent Volunteers Enrolled in Preventive Vaccine Clinical Trials : 
https://www.fda.gov/media/73679/download 

[31] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-12/slides-12-19/05-COVID-CLARK.pdf

[32] https://lesakerfrancophone.fr/effets-secondaires-du-vaccin-pfizer

[33] https://www.mondialisation.ca/de-plus-en-plus-de-deces-decoulent-de-la-reussite-du-vaccin-pfizer/5653321

[34] https://twitter.com/pacharlotte3/status/1356609473054453760

[35] https://www.syracuse.com/coronavirus/2021/01/covid-19-outbreak-at-auburn-nursing-home-infects-137-residents-kills-24.html

[36] https://www.nytimes.com/2021/01/12/health/covid-vaccine-death.html

[37] https://childrenshealthdefense.org/defender/death-by-coincidence/
Comment les nombreux effets secondaires graves et les décès suite au vaccin sont masqués malgré les rapports dans les fichiers de recueil
Par Robert F Kennedy Jr

[38] https://childrenshealthdefense.org/defender/thousands-covid-vaccine-injuries-13-deaths-reported-december/

[39] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-ndeg48-deja-132-deces-declares-dans-eudravigilance-seulement-26-jours 

[40] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2775646
Allergic Reactions Including Anaphylaxis After Receipt of the First Dose of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine, 21 janvier 2021, Tom Shimabukuro & al.

[41] Allergic Reactions Including Anaphylaxis After Receipt of the First Dose of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine — United States, December 14–23, 2020 : 
https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7002e1.htm 
PDF à télécharger : 
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-12/slides-12-19/05-COVID-CLARK.pdf 

[42] https://www.hrsa.gov/vaccine-compensation/index.html, The National Vaccine Injury Compensation Program (VICP) is a no-fault alternative to the traditional legal system for resolving vaccine injury petitions.
https://www.bclplaw.com/en-US/insights/immunity-from-liability-under-the-us-prep-act-for-medical-countermeasures-during-the-sars-cov-2covid-19-pandemic.html , 22 mai 2020
Key Points

  • HHS Declaration Provides Immunity : During a public health emergency, the Secretary of HHS can issue a Declaration providing broad tort immunity for “Covered Persons” engaging in “Recommended Activities” with “Covered Countermeasures.”
  • Covered Persons : The entities covered include, among others, manufacturers and distributors.

[43] 26 août 2020 https://www.ft.com/content/12f7da5b-92c8-4050-bcea-e726b75eef4d

[44] 30 juillet 2020 https://uk.reuters.com/article/us-astrazeneca-results-vaccine-liability/astrazeneca-to-be-exempt-from-coronavirus-vaccine-liability-claims-in-most-countries-idUKKCN24V2EN

[45] 29 aouts 2020 https://www.capital.fr/entreprises-marches/vaccins-contre-la-covid-lue-indemnisera-les-laboratoires-en-cas-deffets-secondaires-inattendus-1379072

[46] https://lecourrier-du-soir.com/covid-19-le-vaccin-sera-obligatoire-pour-obtenir-un-emploi-voyager-aller-au-resto-ou-assister-a-un-evenement-sportif-ou-culturel/ 

[47] Le Premier ministre thaïlandais déclare qu’il n’y aura pas de vaccination pour les Thaïlandais

[48] https://www.rfi.fr/fr/afrique/20201127-covid-19-%C3%A0-madagascar-le-gouvernement-refuse-les-vaccins-et-pr%C3%A9f%C3%A8re-les-rem%C3%A8des-locaux

[49] https://www.lematin.ch/story/echaudes-les-suedois-refusent-le-vaccin-du-covid-371594447544?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR0IHlw8J-voxhA3TdwD4dYlYaDix21nnF43Uh2RTcFEL4sX3zAyUO9Gk-s#Echobox=1606467567

[50] https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf

[51] https://www.newswire.ca/news-releases/new-cdc-data-on-covid-19-828847530.html

[52] https://www.nytimes.com/2020/03/17/world/europe/coronavirus-imperial-college-johnson.html : It wasn’t so much the numbers themselves, frightening though they were, as who reported them : Imperial College London. The report, which warned that an uncontrolled spread of the disease could cause as many as 510,000 deaths in Britain, triggered a sudden shift in the government’s comparatively relaxed response to the virus. American officials said the report, which projected up to 2.2 million deaths in the United States from such a spread, also influenced the White House to strengthen its measures to isolate members of the public.

[53] Neil Ferguson’s Imperial model could be the most devastating software mistake of all time (telegraph.co.uk) 

[54] IVERMECTINE

1- FLCCC Front Line Covid-19 Critical Care Alliance
https://covid19criticalcare.com/flccc-ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-covid-19/

https://covid19criticalcare.com/i-mask-prophylaxis-treatment-protocol/faq-on-ivermectin/
https://www.youtube.com/watch?v=MEk-VOufVGQ

https://youtu.be/n2MlliaLC0Ahttps://www.youtube.com/watch?v=blpV5QDJrn4                                        
Dr Pierre Kory :  » Nous avons un traitement qui marche ! « 

2- Dr Tess Lawrie  

https://www.researchgate.net/profile/Theresa_Lawrie

https://www.e-bmc.co.uk/

Ivermectin reduces the risk of death from COVID-19 – a rapid review and meta-analysis in support of the recommendation of the Front Line COVID-19 Critical Care Alliance.

PDF : https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_1b1399cb64514dc4bdcbef0cd15f7878.pdf 

Ivermectin is an essential drug to reduce morbidity and mortality from COVID-19 infection.  Placebo-controlled trials of ivermectin treatment among people with COVID-19 infection are no longer ethical and active placebo-controlled trials should be closed.

Baisse de 83% de la mortalité
Une médecin et chercheuse britannique, la Doctoresse Tess Lawrie, qui dirige une entreprise spécialisée dans l’évaluation indépendante de données médicales et qui est régulièrement mandatée par l’OMS, a repris et vérifié consciencieusement toutes les études présentées dans le rapport de la FLCCC pour publier sa propre méta-analyse, disponible sur son site (rapport) (EtD Framework).  

Elle arrive exactement aux mêmes conclusions : “Nous avons maintenant des preuves solides de l’existence d’un traitement efficace de la covid-19”.

3- Swiss Policy Research

Covid-19 : WHO-sponsored preliminary review indicates Ivermectin effectiveness

4 – https://www.youtube.com/watch?v=eu61dtsSLrk 

Dr. Andrew Hill’s Ivermectin meta-analysis, from University of Liverpool, England
https://www.researchgate.net/publication/348610643_Meta-analysis_of_randomized_trials_of_ivermectin_to_treat_SARS-CoV-2_infection

5- https://c19ivermectin.com/

6-  https://ivermectine-covid.ch/quattend-on-pour-utiliser-livermectine-en-suisse-romande/

Un traitement efficace contre le Covid existe, selon un nombre croissant d’experts. Il réduit la mortalité de près de 80%, est bon marché et sans danger.

7-https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/un-traitement-efficace-existe-mais-il-est-ignore

8- https://nouvelle-page-sante.com/ne-renoncez-pas-trop-vite-a-livermectine/

9- https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/10428194.2020.1786559

Continuous high-dose ivermectin appears to be safe in patients with acute myelogenous leukemia and could inform clinical repurposing for COVID-19 infection

Le Dr Kory et son collectif (FLCCC) ne sont pas les seuls à penser que l’ivermectine peut jouer un rôle déterminant dans la lutte contre la covid-19. Le Dr Thomas Borody, inventeur de la trithérapie contre le H. Pylori, la bactérie responsable des ulcères, l’affirmait également cet été à tous les médias qui voulaient bien l’écouter (c’est-à-dire quelques-uns seulement): l’ivermectine est une “vraie tueuse de coronavirus”.

Médicament sûr :

Kircik, LH, Del Rosso, JQ, Layton AM, Schauber J. Over 25 Years of Clinical Experience With Ivermectin : An Overview of Safety for an Increasing Number of Indications. J Drugs Derm 2016 ; 15 :325-332. 

Médicament essentiel :

World Health Organization. 21st Model List of Essential Medicines. Geneva, Switzerland. 2019. 
https://www.who.int/publications/i/item/WHOMVPEMPIAU2019.06.  Accessed 29 December 2020.

[55] ANTIBIOTIQUE – AZITHROMYCINE

https://papers.ssrn.com/sol3/Delivery.cfm/SSRN_ID3712423_code4425108.pdf?abstractid=3712423&mirid=1, PDF : The Role of Macrolide Antibiotics in the Prevention of Severe COVID-19 Disease Progression Via the Disruption of Bacteria/virus Co-Operation. The use of Azithromycin (ATM) to prevent the adverse effects of the COVID-19 represents a potential avenue for further research. This article reviewed the clinical evidence and specialised molecular research to describe the dual antiviral and antibacterial role of ATM, and the potential co-operation between mycoplasmas and SARS-CoV-2.

[56] HYDROXYCHLOROQUINE HCQ :

IN VITRO – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32150618/   28 juillet 2020

In Vitro Antiviral Activity and Projection of Optimized Dosing Design of Hydroxychloroquine for the Treatment of Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 (SARS-CoV-2)

Clinique :

Prof. Harvey Risch, Yale University : 
Early Outpatient Treatment of Symptomatic, High-Risk COVID-19 Patients That Should Be Ramped Up Immediately as Key to the Pandemic Crisis – PubMed (nih.gov)

The American Journal of Medicine : 
Pathophysiological Basis and Rationale for Early Outpatient Treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection – The American Journal of Medicine (amjmed.com)

Un professeur d’épidémiologie de Yale recommande la généralisation du traitement Raoult aux Etats-Unis (covexit.com)

HCQ for COVID-19 : real-time analysis of all 248 studies (c19study.com) 

Covid-19 : Quel est le traitement standard ? Inclut-il l’hydroxychloroquine ? MAJ le 4/08/2020 (francesoir.fr)

Le petit livre blanc au sujet de l’hydroxychloroquine (francesoir.fr)

L’hydroxychloroquine, du rationnel scientifique au traitement des patients – YouTube 

Use of hydroxychloroquine in hospitalised COVID-19 patients is associated with reduced mortality : Findings from the observational multicentre Italian CORIST study – European Journal of Internal Medicine (ejinme.com) : European journal of internal medicine 25 août 2020, use of hydroxychloroquine in hospitalised COVID-19 patients is associated with reduced mortality : Findings from the observational multicentre Italia. HCQ use was associated with a 30% lower risk of death in COVID-19 hospitalized patients. Within the limits of an observational study and awaiting results from randomized controlled trials, these data do not discourage the use of HCQ in inpatients with COVID-19.  33 hôpitaux italiens rapportent une réduction de mortalité de 30% avec l’hydroxychloroquine dans une grande étude rétrospective bien menée.

Risk of hydroxychloroquine alone and in combination with azithromycin in the treatment of rheumatoid arthritis : a multinational, retrospective study – The Lancet Rheumatology : 1 million de patients traités à l’HCQ, pas d’effets secondaires cardiaques en usage de moins de 30 jours. En parallèle, le Lancet rapporte que l’HCQ n’accroît pas le risque cardiaque quand elle est prescrite pour moins de 30 jours, donc, il ne devrait plus y avoir de problème pour l’administrer en médecine de ville…pour les médecins qui y voient un bénéfice pour leurs patients.

Un argument pour l’utilisation de l’hydroxychloroquine pour la prophylaxie du SRAS-CoV-2 : 
Hydroxychloroquine : stop mensonges ! – Anthropo-logiques (tdg.ch)

Meta-analysis on chloroquine derivatives and COVID-19 mortality – October, 20, 2020 Update – IHU (mediterranee-infection.com) : META-ANALYSIS ON CHLOROQUINE DERIVATIVES AND COVID-19 MORTALITY – OCTOBER, 20, 2020 UPDATE.

En cas de conflit d’intérêts avec Gilead, 73 pour cent des articles affirment que l’hydroxychloroquinene fonctionne pas, et s’il n’y a pas de conflit d’intérêts, 83 pour cent des articles concluent que l’hydroxychloroquinefonctionne.

Influence of conflicts of interest on public positions in the COVID-19 era, the case of Gilead : 
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2052297520300627?via%3Dihub 

Étude frauduleuse du Lancet : 
Hydroxychloroquine : les auteurs de l’étude publiée par le Lancet ont tous un conflit d’intérêt… (entelekheia.fr)

Coronavirus : Pays où l’hydroxychloroquine est recommandée – IHU (mediterranee-infection.com), avec tous leurs protocoles de traitement

Résultats de terrain : 
Lorraine | Coronavirus. Chloroquine : le bilan très positif d’un praticien lorrain (estrepublicain.fr)

[57] HYDROXYCHLOROQUINE + ANTIBIOTIQUE

Azithromycin and Hydroxychloroquine Accelerate Recovery of Outpatients with Mild/Moderate COVID-19

PDF : https://www.journalajmah.com/index.php/AJMAH/article/view/30224/56706

https://fortunejournals.com/articles/revisiting-a-metaanalysis-shows-that-hydroxychloroquine-with-azithromycin-may-be-efficient-in-covid19-patients.html : Revisiting a Meta-analysis Shows that Hydroxychloroquine with Azithromycin may be Efficient in Covid-19 patients

[58] VITAMINE D3

In patients hospitalized with COVID-19, calcifediol treatment at the time of hospitalization significantly reduced ICU admission and mortality : 
https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3771318# 

“Effect of calcifediol treatment and best available therapy versus best available therapy on intensive care unit admission and mortality among patients hospitalized for COVID-19 : A pilot randomized clinical study” – ScienceDirect

Vitamin D for COVID-19 : real-time analysis of all 65 studies (c19vitamind.com)

The role of vitamin D in the prevention of coronavirus disease 2019 infection and mortality : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7202265/

Vitamin D and Inflammation : Potential Implications for Severity of Covid-19 : 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32603576/

COVID-19 severity and mortality appear related to vitamin D deficiency : 
COVID-19 ’ICU’ risk – 20-fold greater in the Vitamin D Deficient. BAME, African Americans, the Older, Institutionalised and Obese, are at greatest risk. Sun and ‘D’-supplementation – Game-changers ? Research urgently required. | The BMJ

Coronavirus : le taux de vitamine D influerait sur les risques d’infection et de décès : 
Coronavirus : le taux de vitamine D influerait sur les risques d’infection et de décès (trustmyscience.com)

Vitamin D deficiency and co-morbidities in COVID-19 patients – A fatal relationship ? : 
Vitamin D deficiency and co-morbidities in COVID-19 patients – A fatal relationship ? (Nih.gov)

The mortality of COVID-19 (cases/ million population) shows a clear dependence on latitude. Below latitude 35, mortality decreases markedly. 

These comorbidities, together with the often concomitant vitamin D deficiency, increase the risk of severe COVID-19 events. Much more attention should be paid to the importance of vitamin D status for the development and course of the disease. Particularly in the methods used to control the pandemic (lockdown), the skin’s natural vitamin D synthesis is reduced when people have few opportunities to be exposed to the sun. The short half-lives of the vitamin therefore make an increasing vitamin D deficiency more likely. Specific dietary advice, moderate supplementation or fortified foods can help prevent this deficiency. In the event of hospitalisation, the status should be urgently reviewed and, if possible, improved : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7276229/pdf/main.pdf

Vitamin D deficiency and the COVID-19 pandemic : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7256612/

Analysis of vitamin D level among asymptomatic and critically ill COVID-19 patients and its correlation with inflammatory markers : 
https://www.nature.com/articles/s41598-020-77093-z 

Vitamin D insufficiency is prevalent in severe COVID-19 : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20075838v1

Evidence that Vitamin D Supplementation Could Reduce Risk of Influenza and COVID-19 Infections and Deaths : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7231123/#B93-nutrients-12-00988

Vitamin D Supplementation Associated to Better Survival in Hospitalized Frail Elderly COVID-19 Patients : The GERIA-COVID Quasi-Experimental Study : 
https://www.mdpi.com/2072-6643/12/11/3377

[59] VITAMINE C 

La carence en vitamine C est fréquente dans les populations à risque (hommes seuls, personnes âgées, sans domicile fixe, troubles psychiatriques…) et sous-évaluée dans la population générale. : 
Carences en vitamine C – EM consulte (em-consulte.com) 

Vitamin C for COVID-19 : real-time analysis of all 4 studies (c19vitaminc.com) 

https://www.evms.edu/media/evms_public/departments/internal_medicine/EVMS_Critical_Care_COVID-19_Protocol.pdf

Virologiste Anne-Mieke Vandamme KUL : fortes doses de vitamine C

La vitamine C aide-t-elle à résister au coronavirus COVID-19 ? : 
https://frankdelsaert.wordpress.com/2020/03/14/helpt-vitamine-c-weerstand-tegen-covid-19-coronavirus/ 

https://efsa.onlinelibrary.wiley.com/doi/pdfdirect/10.2903/j.efsa.2009.1226

De la Vitamine C hautement dosée pour prévenir et traiter le COVID-19 ? (Pressenza.com)

Quercetin and Vitamin C : An Experimental, Synergistic Therapy for the Prevention and Treatment of SARS-CoV-2 Related Disease (COVID-19) : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7318306/ 

[60] ZINC

Rôles du zinc dans l’immunité

The immune system and the impact of zinc during aging – PubMed (nih.gov)

Oral zinc supplementation demonstrates the potential to improve immunity and efficiently downregulates chronic inflammatory responses in the elderly. These data indicate that a wide prevalence of marginal zinc deficiency in elderly people may contribute to immunosenescence.

https://academic.oup.com/advances/article/10/4/696/5476413 , dans cet article paru le 22 avril 2019, dans la revue internationale « Advances in Nutrition », intitulé « The Role of Zinc in Antiviral Immunity », il y est dit que le Zinc joue un rôle essentiel dans la santé humaine : « The role of zinc as an antiviral can be separated into 2 categories : 1) zinc supplementation implemented to improve the antiviral response and systemic immunity in patients with zinc deficiency, and 2) zinc treatment performed to specifically inhibit viral replication or infection-related symptoms. »

Traduction : « Le rôle antiviral du Zinc peut être séparé en deux catégories : 1) Le Zinc comme prévention : une supplémentation en Zinc pour améliorer la réponse antivirale et l’immunité systémique chez les patients déficitaires en zinc, et 2) Le Zinc comme traitement spécifique pour inhiber la réplication virale ou les symptômes liés à l’infection. » 

Carences en ZINC :

OLIGO-ELEMENTS – IBC – ULB % (ulb-ibc.be) PDF à télécharger. Page 3/6 :

➢ Déficits en zinc et sélénium liés aux habitudes alimentaires (aliments à densité calorique élevée pauvres en micronutriments) et à l’augmentation des besoins liée au stress oxydant et à l’inflammation.

➢ Si le déficit en zinc est important et si la couverture des besoins est difficile, le recours à des formes orales de zinc est parfois justifié.

➢ Déficit en zinc plus fréquent chez les personnes institutionnalisées : apports alimentaires insuffisants, polymédication fréquente (IEC/ARA II). Associé à une incidence accrue d’infections, un défaut de cicatrisation des plaies (escarres) et une dysfonction du système immunitaire.

The immune system and the impact of zinc during aging – PubMed (nih.gov) Immun Ageing. 2009 Jun 12 ;6 :9. Doi : 10.1186/1742-4933-6-9 : The immune system and the impact of zinc during aging.

 “The trace element zinc is essential for the immune system, and zinc deficiency affects multiple aspects of innate and adaptive immunity.

Many studies confirm a decline of zinc levels with age.

Even marginal zinc deprivation can affect immune function.

Consequently, oral zinc supplementation demonstrates the potential to improve immunity and efficiently downregulates chronic inflammatory responses in the elderly. These data indicate that a wide prevalence of marginal zinc deficiency in elderly people may contribute to immunosenescence.”

Zinc et infections respiratoires :

OMS | Supplémentation en zinc visant à améliorer les effets du traitement chez les enfants atteints d’infections respiratoires (who.int), 2011

Zinc contre infections virales (in vitro) :

Zn2+ Inhibits Coronavirus and Arterivirus RNA Polymerase Activity In Vitro and Zinc Ionophores Block the Replication of These Viruses in Cell Culture (nih.gov) Une expérience conduite in vitro indique que lorsque les limitations à la pénétration intracellulaire du Zn2+ étaient levées, celui-ci inhibe efficacement, à des doses équivalentes à 2.0 μmol/L, l’activité de synthèse de l’ARN viral par le complexe de réplication et de transcription multiprotéique du SARS-CoV, poussant certains auteurs à considérer le zinc comme une option thérapeutique chez les patients atteint par le SARS-CoV-2

Zinc contre COVID-19 :

Zinc for COVID-19 : real-time analysis of all 9 studies (c19zinc.com)

Zinc for the prevention and treatment of SARS-CoV-2 and other acute viral respiratory infections : a rapid review (nih.gov)

[61] SELENIUM

An exploratory study of selenium status in healthy individuals and in patients with COVID-19 in a south Indian population : The case for adequate selenium status : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7657009/ 
Selenium Deficiency Is Associated with Mortality Risk from COVID-19 : 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32708526/ 
Early Nutritional Interventions with Zinc, Selenium and Vitamin D for Raising Anti-Viral Resistance Against Progressive COVID-19 : 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32784601/ 
Selenium and selenoproteins in viral infection with potential relevance to COVID-19 :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32992282/
Coronavirus : mise en évidence d’un lien entre les niveaux de sélénium et l’évolution de l’infection (trustmyscience.com) 
What about incorporating selenium in the therapeutic regimen of SARS-CoV-2 ? : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7744964/ 

[62] ARTEMISIA ANNUA :

L’ArtemisiaAnnua (armoise annuelle) est un antipaludéen de la pharmacopée traditionnelle africaine et chinoise ayant une action contre le COVID.
Covid-19 : Quel sort pour l’Artemisia ? – Entelekheia.fr
Pas assez chère ? L’Artemisia, mal aimée de la lutte contre la malaria (entelekheia.fr)

Artemisia annua L. extracts prevent in vitro replication of SARS-CoV-2 : 
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.01.08.425825v1 

Artemisia annua : Trials are needed for COVID‐19 : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7276816/

Artemisia Spp. Derivatives for COVID-19 Treatment : Anecdotal Use, Political Hype, Treatment Potential, Challenges, and Road Map to Randomized Clinical Trials : 
https://www.ajtmh.org/view/journals/tpmd/103/3/article-p960.xml?tab_body=fulltext 

Artemisia Annua Could Be Promising Treatment for COVID-19 : 
https://med.uky.edu/news/artemisia-annua-could-be-promising-treatment-covid-19 

Recent lab studies by chemists at the Max Planck Institute of Colloids and Interfaces (Potsdam, Germany) in close collaboration with virologists at Freie Universität Berlin have shown that extract from the medicinal plant Artemisia annua, also known as Sweet Wormwood, is active against SARS-CoV-2

[63] MELATONINE :

Melatonin is significantly associated with survival of intubated COVID-19 patients : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1.full.pdf 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7574268/

Melatonin is significantly associated with survival of intubated COVID-19 patients, 18 octobre 2020 Preprint medRixv, Vijendra Ramlall & al
Complete version : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1 

PDF : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1.full.pdf 

Melatonin exposure after intubation is significantly associated with a positive outcome in COVID-19 and non-COVID-19 patients. Additionally, melatonin exposure after intubation is significantly associated with a positive outcome in COVID-19 patients requiring mechanical ventilation.
COVID-19 : La mélatonine est également incorporée dans les protocoles préventifs et thérapeutiques de la FLCCC Alliance et du professeur Paul Marik, aux USA.

I-MASK + : 
https://covid19criticalcare.com/i-mask-prophylaxis-treatment-protocol/i-mask-protocol-translations/ 

I-MATH + : 
https://covid19criticalcare.com/math-hospital-treatment/pdf-translations/ 
https://www.youtube.com/watch?v=bJZcDBTEGio  

A master-class comprehensive review by Dr. Paul E. Marik (FLCCC Alliance) of the most current scientific insights into the origin, replication, transmission, infectivity, pathophysiology, and treatment of COVID-19.

[64] COLCHICINE :

https://www.icm-mhi.org/fr/salle-presse/nouvelles/linstitut-cardiologie-montreal-icm-annonce-que-letude-clinique-colcorona-patients-atteints-covid-19

Étude COLCORONA
La colchicine, un médicament connu pour traiter la goutte, est évaluée comme traitement potentiel dans la lutte au coronavirus

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021




Simulations de pandémies depuis 2010 : ce qu’elles nous apprennent de très déplaisant sur la Covid-19

[Source : AIM SIB]

Quand a débuté la maladie Covid-19, vraiment? D’où vient ce virus? Et ces mesures de restrictions de liberté, de confinements, la ruine des petits commerces, la mise à l’arrêt des transports internationaux, la traque systématique de toute information qui ne cadre pas avec la communication mainstream, toutes décidées en un bel ensemble mondial, un hasard? Et cette efflorescence de vaccins anti-Covid qui sont commercialisés dans le monde entier en moins d’un an, heureux hasard, ou plutôt… Belle préparation? Emma Kahn signe probablement ici son article le plus polémique, le plus dérangeant et le plus utile. De la théorie à la possible pratique des pandémies sur ordonnance, bonne lecture…

Introduction

Après la pandémie de grippe H1N1 en 2009 et à l’occasion du centenaire de la grippe espagnole de 1918 des scénarios de pandémie ont été publiés par les grands organismes supra-nationaux tels le Forum Economique Mondial (WEF en anglais) ou de grands instituts de recherche comme le John Hopkins Institute. Ces scénarios ont été publiés dans le contexte de la crise économique et bancaire de 2007-2008 ou crise des « subprimes » : Les brèches ont été colmatées mais la crise n’a pas été résolue.

Je n’aborderai pas les aspects économiques ou technologiques car je n’en ai pas les moyens. Je me limiterai aux aspects politico-sanitaires. En 2009 est déclarée la pandémie de grippe H1N1 qui s’avère beaucoup moins sévère qu’escompté et qui fait surtout des dégâts parmi les obèses: 477 décès aux USA entre avril et août 2009. (1)
C’est l’occasion pour le CDC (Center of Diseases Control, USA) d’affiner ses méthodes de surveillance des pandémies. Un vaccin classique spécifique de la souche pandémique est élaboré et fabriqué rapidement, il est disponible début 2010.

Sans vouloir donner la moindre prise aux complotistes qui interprètent ces scénarios comme des preuves que la pandémie à SARS-CoV-2 a été programmée par ces organismes, il est quand même intéressant de se pencher sur la chronologie de ces tentatives de préparation. Il ne faut pas confondre anticipation (l’objet de ces scénarios) et programmation d’une pandémie (ce qui est clairement complotiste).

Extrait de « The Great Reset » de K. Schwab et T. Malleret, Forum Economique Mondial, juillet 2020:
-« De nombreux experts ont assimilé à tort la pandémie de COVID-19 à un évènement de type « cygne noir » simplement parce qu’elle présente toutes les caractéristiques d’un système adaptatif complexe. Mais en réalité, il s’agit d’un évènement de type « cygne blanc » quelque chose d’explicitement présenté comme tel par Nassim Taleb dans Le Cygne noir publié en 2007 : quelque chose qui se produirait finalement avec beaucoup de certitude. En effet ! Depuis des années, des organisations internationales comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), des institutions comme le Forum Économique Mondial et la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI – lancée lors de la réunion annuelle de 2017 à Davos), et des personnes comme Bill Gates nous avertissent du risque de pandémie à venir, en précisant même qu’elle 1) émergerait dans un endroit très peuplé où le développement économique force les gens et la faune à cohabiter 2) se répandrait rapidement et silencieusement en exploitant les réseaux de voyage et de commerce humains 3) atteindrait plusieurs pays en déjouant les mesures d’endiguement. » (2)

Les cinq simulations connues depuis 2010

Première simulation, 2010 : The Rockfeller Fundation

Global Business Network, Scenarios for the future of technology and International Developpement (3)
Cette simulation insiste sur les aspects technologiques selon quatre scénarios dont le premier commence par une pandémie en 2012. Cette pandémie est décrite comme très mortelle (8 millions de morts en qq mois). Les pays pauvres sont plus touchés que les riches. Les confinements et mesures autoritaires sont appliquées partout. Les peuples abandonnent facilement beaucoup de leurs libertés mais commencent à se rebeller ensuite. Cette simulation n’est pas axée uniquement sur la pandémie mais évalue tous les enjeux technologiques futurs.

Seconde simulation, 2017 : The Spars pandemic

Center for Health Security : John Hopkins Bloomberg School of Public Health (4)
Ce scénario insiste beaucoup sur les erreurs de communication à ne pas commettre et sur les moyens de contrer les fake-news sur l’inefficacité et la toxicité du traitement. Il s’agit d’une pandémie à coronavirus originaire d’Asie qui est identifié grâce à des RT-PCR (tests diagnostiques par polymerase chain reaction avec reverse transcriptase). Les malades sont infectieux avant la déclaration des symptômes rendant leur isolement difficile et facilitant la diffusion de la maladie. Les enfants sont plus atteints que les adultes et la mortalité est plus élevée chez eux.
Un antiviral développé contre le SARS de 2003 (responsable de la première pandémie à coronavirus connue) est approuvé comme traitement bien que non dénué d’effets secondaires. Il est bientôt prouvé que ce médicament ne réduit pas la transmission, la communication officielle est remplie de contradictions sur l’efficacité de l’antiviral. La pandémie fait surtout des ravages dans les pays pauvres où les systèmes de santé sont défaillants.

Le CDC reconnaît que la létalité est beaucoup plus faible qu’annoncée. Le public commence à se désintéresser de la maladie. Les agences de santé préparent une campagne mondiale de communication pour contrer ce désintérêt en attendant l’arrivée du vaccin : des célébrités et des scientifiques participent à cette campagne.

Peu après la FDA (Food and Drug Administration, USA) publie les résultats d’une étude clinique montrant que les antiviraux sont finalement peu efficaces sur le virus.
Le vaccin est censé arriver bientôt et les gouvernements ne doivent pas rater aussi leur communication à ce sujet. Les premiers vaccins seront rares et il faut donc désigner des personnes prioritaires (enfants adolescents et femmes enceintes).
Le rapport décrit comment des effets secondaires indésirables ont commencé à apparaître à mesure que de plus en plus d’Américains recevaient le vaccin. Les parents ont affirmé que leurs enfants présentaient des symptômes neurologiques.

En mai 2027, les parents ont commencé à intenter des poursuites et à exiger la suppression de la responsabilité protégeant les sociétés pharmaceutiques qui ont développé le vaccin « Corovax ».

La simulation indique que « les théories du complot ont également proliféré sur les réseaux sociaux, suggérant que le virus avait été créé et introduit à dessein dans la population par des sociétés pharmaceutiques ou qu’il s’était échappé d’un laboratoire gouvernemental testant secrètement des armes biologiques« .

Troisième simulation, « Un monde en danger », par l’OMS

Septembre 2019;Conseil de surveillance de la préparation mondiale: (5)
Il s’agit d’une simulation de pandémie à virus respiratoire qui aurait pu être fabriqué en laboratoire et être plus dangereux qu’un virus naturel.

Extraits:
– » Le monde est insuffisamment préparé particulièrement en ce qui concerne la mise au point et la fabrication de vaccins innovants, d’antiviraux à large spectre, d’interventions non pharmaceutiques appropriées (comme le port du masque, les confinements,…), de thérapies ciblées (y compris les anticorps monoclonaux), de systèmes de partage des séquences de tout nouvel agent pathogène et de moyens pour partager équitablement des contre-mesures médicales limitées entre les pays. De nouvelles thérapies et des antiviraux à large spectre sont largement disponibles pour traiter et réduire la mortalité due à une série de virus ; les nouveaux agents pathogènes sont systématiquement identifiés et séquencés, et les séquences sont partagées sur un site web accessible dans le monde entier (c’est ce qui s’est réellement passé avec la création du GISAID qui recense les séquences du virus déposées par les scientifiques). La fabrication décentralisée de vaccins, y compris les types de vaccins à acides nucléiques commence dans les jours qui suivent l’obtention des nouvelles séquences et les vaccins efficaces sont pré-testés et leur utilisation est approuvée dans les semaines qui suivent (c’est ce qui s’est passé avec le début de fabrication en janvier et février 2020 pour Pfizer et Moderna). Il est nécessaire de coordonner la réponse au niveau planétaire avec une direction bien identifiée. Outre le risque accru de pandémie dû aux agents pathogènes naturels, les progrès scientifiques permettent de concevoir ou de recréer en laboratoire des micro-organismes pathogènes. Si des pays, des groupes terroristes ou des individus scientifiquement avancés créent ou obtiennent puis utilisent des armes biologiques présentant les caractéristiques d’un nouvel agent pathogène respiratoire à fort impact, les conséquences pourraient être aussi graves, voire plus graves, que celles d’une épidémie naturelle, tout comme une libération accidentelle de micro-organismes susceptibles de provoquer une épidémie. »

Quatrième simulation : « Event 201 » par John Hopkins

Center for Health Security : John Hopkins Bloomberg School of Public Health, -Bill et Melinda Gates Fundation-WEF (Forum Economique Mondial), Octobre 2019: (6)
L’événement 201 simule une épidémie d’un nouveau coronavirus transmis de la chauve-souris au porc et à l’homme, entraînant une grave pandémie. L’agent pathogène et la maladie qu’il provoque sont largement inspirés du SRAS de 2003, mais il est plus transmissible dans le cadre communautaire par des personnes présentant des symptômes bénins. Pas de vaccin disponible au cours de la première année. Il existe un médicament antiviral fictif (sic!) qui peut aider les malades, mais qui ne limite pas de manière significative la propagation de la maladie.
À mesure que les cas et les décès s’accumulent, les conséquences économiques et sociétales deviennent de plus en plus graves.
Le scénario se termine au bout de 18 mois, avec 65 millions de décès. La pandémie commence à ralentir en raison de la diminution du nombre de personnes sensibles. La pandémie continuera à un certain rythme jusqu’à ce qu’un vaccin efficace soit disponible ou que 80 à 90 % de la population mondiale ait été exposée. À partir de ce moment, il est probable qu’il s’agisse d’une maladie infantile endémique.

Recommandations:
-Renforcer les stocks de contre-mesures médicales (masques, gants, surblouses, etc…)
-Soutenir le développement et à la fabrication accélérée de vaccins, de produits thérapeutiques et de diagnostics.
-Donner la priorité à la réduction des impacts économiques des épidémies et des pandémies.
-Lutter contre la désinformation.

Cinquième simulation : Forum Economique Mondial

19 novembre 2019, Global Health Security: Epidemics Readiness Accelerator: (7)
Liste des partenaires sur le site. Le WEF a été chargé de gérer les risques associées aux pandémies.

Extrait:
– » Faire face aux risques biologiques émergents: L’avènement de puissantes biotechnologies et l’accessibilité croissante de l’information augmentent la possibilité que les biosciences soient utilisées à mauvais escient, intentionnellement ou non. Pour se prémunir contre ce risque, certains gouvernements et entreprises ont mis l’accent sur le dépistage des commandes et des clients de la synthèse d’ADN en vue d’une éventuelle utilisation illicite. Mais les normes sont encore suffisantes. La récente synthèse du virus de la variole chevaline par des scientifiques canadiens, avec un financement rapporté (d’une société privée de biotechnologie américaine) de seulement 100 000 dollars, a soulevé de nouvelles questions de la part des décideurs politiques, du public et de la communauté des chercheurs sur l’avenir de la synthèse de l’ADN ainsi que sur la force des mécanismes mondiaux existants pour filtrer les commandes et les clients. Pour préserver un accès sûr et sécurisé aux outils de synthèse de l’ADN qui alimentent la révolution biotechnologique, il est devenu essentiel de revoir et d’améliorer le filtrage des commandes de synthèse de gènes contre les abus. Le Forum cherche à contribuer à empêcher que les technologies de synthèse de l’ADN ne soient utilisées pour fabriquer des agents biologiques dangereux.  »

Comment interpréter ces simulations

Ces travaux deviennent au fil du temps de plus en plus précis concernant une pandémie à coronavirus, alors qu’en 2010 la première concernait tous les aspects économiques et technologiques du futur. C’est peut-être le reflet de l’emprise de plus en plus forte sur ces organismes supra-nationaux du complexe des entreprises impliquées dans la santé et les nouvelles technologies (agro-alimentaire, pharmacie, GAFAM, …) : celles-ci dominent les autres secteurs économiques.

En 2019 il devient question clairement d’une pandémie à coronavirus et les risques liés à la synthèse devenue récemment possible de virus à partir de séquences d’ADN sont soulignés.

En ce début 2021, il est maintenant assez probable pour les virologistes qualifiés que le SARS-CoV-2 ait été fabriqué lors d’expériences de gain de fonction dans un laboratoire chinois en collaboration avec des scientifiques et des financements américains.

Il est beaucoup question dans les médias du laboratoire P4 (P4 = le plus haut niveau sécurité) de Wuhan. Mais il est très probable que ce laboratoire n’y soit pour rien : Les principales fonctions potentiellement dangereuses sur les CoV ont dû être ajoutées en P2 ou P3. Ceci servant actuellement beaucoup les Chinois, pour disqualifier l’hypothèse de fuite du labo, car effectivement, la fuite du P4 est très difficile et peu probable, contrairement a une fuite d’autre labos non-sécurisés.

Le fait que dans sa description de la séquence du SARS-CoV-2 de mars 2020 dans Nature (8)Shi Zhengli s’arrête juste avant le site furine en comparant la séquence du SARS-CoV-2 avec celle du RaTG13 dont il est censé avoir dérivé naturellement est une sorte d’aveu qui n’a pas échappé aux coronavirologistes, la description s’arrête à l’aminoacide 675 alors que le site furine se trouve à la position 680… (9)

C’est ce site polybasique qui permet au virus d’utiliser les furines, enzymes ubiquitaires, pour cliver la protéine spike. Cela lui permet d’entrer dans de nombreux types cellulaires, lui permet d’infecter l’homme et lui confère sa contagiosité. (10)
Des essais d’insertion de site furine (gains de fonction) étaient en cours depuis quelques années sur les coronavirus et ceci en collaboration avec les américains, Ralph Baric travaille depuis longtemps avec Madame Shi et le labo P4 de Wuhan.

D’après Etienne Decroly, la question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement :
-« Reste la 4e insertion qui fait apparaître un site de protéolyse furine chez le SARS-CoV-2 absente dans le reste de la famille des SARS-CoV. On ne peut donc pas exclure que cette insertion résulte d’expériences visant à permettre à un virus animal de passer la barrière d’espèce vers l’humain dans la mesure où il est bien connu que ce type d’insertion joue un rôle clé dans la propagation de nombreux virus dans l’espèce humaine. » (11)

À nouveau, Etienne Decroly et Jacques Van Helden ne rejettent pas du tout l’hypothèse d’une origine artificielle du virus, ainsi dans un article de début 2021 ils mentionnent en conclusion: (12)
– » En conclusion, les arguments en faveur de l’origine proximale naturelle ne sont pas encore concluants et, bien que cette hypothèse ait été largement soutenue par la communauté scientifique, d’autres hypothèses sur une possible origine en laboratoire ne peuvent être formellement écartées. Cette question devrait donc être rouverte, et toutes les hypothèses devraient être évaluées et pondérées en fonction des différents éléments d’information dont nous disposons. »

De plus, les études qui tentent de prouver l’origine naturelle du SARS-CoV-2 manquent de données fiables. (13)

Conclusions

On peut donc penser que ces instances internationales savaient que le virus existait et qu’il s’était déjà échappé du laboratoire en 2019 puisque beaucoup d’indices laissent penser que la pandémie a commencé en Chine dès l’été 2019 et dès octobre 2019 en Europe.

Il est même possible que le virus ait déjà été présent dès 2017 puisque la simulation de la pandémie « SPARS » évoque la possibilité d’un virus échappé d’un laboratoire. Les autorités auraient pu être au courant de ce risque imminent.

Elles ont donc tenté de préparer les Etats à cette pandémie du point de vue économique et sanitaire.

Entre autres, Pfizer a signé un accord avec la B&M Gates Fundation en septembre 2019, le développement du vaccin a commencé le 10 janvier 2020 (14), le vaccin Moderna a commencé à être développé début février 2020 (15), on rappelle que la déclaration d’état de pandémie n’a été proclamée par l’OMS que le 11 mars 2020. Il est difficile de soutenir, comme c’est encore le cas actuellement, que les gouvernements ont été confrontés par surprise à cette pandémie !

L’OMS semble bien à la peine dans la prise de décisions et la gestion de la crise avec la visite seulement en janvier-février 2021 du laboratoire de Wuhan : La mission arrive un an après le début de la pandémie avec une commission pétrie de conflits d’interêt, dont le principal expert officiel chinois des coronavirus (16).  Le résultat officiel de cette mission semble exclure l’hypothèse du virus sorti d’un laboratoire cependant à la lecture de l’interview de Peter Ben Embarek (), chef de la mission d’enquête de l’OMS à Wuhan sur l’origine du virus on comprend que contrairement à ce qui est annoncé cette enquête a permis de ne plus exclure une origine articifielle du virus, bien que cette hypothèse soit qualifiée de « très peu probable » : il est dit qu’avant cette mission cette hypothèse était inenvisageable. (17)

On comprend aussi que l’émergence du virus bien avant décembre 2019 n’est pas exclue : les Chinois ont recueilli 72 000 cas de syndrômes grippaux apparus au cours de 2019 et qui auraient pu être dus à la Covid-19, mais seuls 92 cas ont été retenus pour être contrôlés au niveau sérologique et seuls 67 cas ont été testés négatifs pour le SARS-CoV-2. On ne sait pas assez précisément comment les Chinois sont passés de 72 000 à 92 et sur quels critères : il faudrait réexaminer ces 72 000 cas de Covid suspects.

En bref, rien n’est exclu !

Les prévisions anticipent une pandémie plus sévère que celle que nous connaissons avec 65 millions de décès pour « Event 201 ». Elles ne prévoient pas que les pays développés seraient plus touchés que les pays émergents et n’anticipent pas le principal problème qu’est le délabrement des systèmes de santé de ces pays riches. Ceci montre que des zones d’ombres persistent toujours dans ces simulations : Les prévisionnistes ne prennent pas en compte l’état général sanitaire d’une population face à une agression virale ; ils n’imaginent pas que le mode de vie des pays riches puisse être délétère et rende une certaine partie de la population plus sensible à un virus respiratoire (et pourtant la pandémie de 2009 à grippe H1N1 avait touché plutôt les enfants et adultes jeunes mais avait été particulièrement grave pour les obèses).

Concernant la prévision de 2017 « Spars pandemic », il est anticipé une compétition entre différents pays pour placer leurs antiviraux malgré leur faible efficacité. Ce qui s’est passé réellement est plutôt une tentative de la part de la Société Gilead de placer son antiviral (Remdesivir) en bonne position sur toute la planète malgré sa toxicité (18) et son absence d’efficacité connues (19).

Il était anticipé aussi que la létalité de la pandémie serait surévaluée au départ ; quand cela devient assez évident le public commence à se désintéresser de la maladie et la communication officielle doit combattre ce désintérêt jusqu’à l’arrivée du vaccin.

Sans donner de grain à moudre aux complotistes, la leçon a été retenue et l’intérêt pour la Covid-19 n’a pas faibli : les mesures restrictives sous forme de stop-and-go et la communication ininterrompue sur la gravité de la maladie ont maintenu la peur et l’attente du vaccin.

Conformément à ce qui était anticipé dans l’Event 201Melinda Gates a récemment affirmé que la vie « normale » ne pourrait pas reprendre tant que toute la population mondiale n’aura pas été vaccinée. (20)

Emma Kahn
Février 2021

Notes et sources

(1) https://www.cdc.gov/h1n1flu/cdcresponse.htm
(2) Extrait de « La Grande Réinitialisation« , point 1.1.3., complexité du monde actuel, 4° paragraphe.
(3) https://www.fichier-pdf.fr/2020/04/13/rockefeller/
(4) https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/pubs_archive/pubs-pdfs/2017/spars-pandemic-scenario.pdf
(5) https://apps.who.int/gpmb/assets/annual_report/GPMB_annualreport_2019.pdf
(6) https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/scenario.html
(7) https://www.weforum.org/projects/managing-the-risk-and-impact-of-future-epidemics
(8) Zhou, P., Yang, XL., Wang, XG. et al. A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin. Nature579, 270–273 (2020). https://doi.org/10.1038/s41586-020-2012-7
(9) https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7/figures/6
(10)  The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade , B. Coutard, C. Valle, X. de Lamballerie, B. Canard, N.G. Seidah, E. Decroly, 10 février 2020 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/32057769
(11) https://lejournal.cnrs.fr/articles/la-question-de-lorigine-du-sars-cov-2-se-pose-serieusement
(12) Sallard, E., Halloy, J., Casane, D. et al. Tracing the origins of SARS-COV-2 in coronavirus phylogenies: a review. Environ Chem Lett (2021). https://doi.org/10.1007/s10311-020-01151-1
(13) https://childrenshealthdefense.org/defender/flawed-studies-covid-origin/
(14) https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2034577
(15) https://investors.modernatx.com/node/10841/pdf
(16) https://www.who.int/multi-media/details/who-media-briefing-from-wuhan-on-covid-19-mission—9-february-2021
(17) https://www.sciencemag.org/news/2021/02/politics-was-always-room-who-mission-chief-reflects-china-trip-seeking-covid-19-s
(18) https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-remdesivir-gilead-idUSKBN27T13W
(19) https://www.nejm.org/doi/10.1056/NEJMoa2023184
(20) https://www.lejdd.fr/International/exclusif-melinda-gates-pas-de-vie-normale-tant-que-le-monde-entier-ne-sera-pas-vaccine-4021956

Auteur de l’article : Emma Kahn




« Vaccin » Covid : marchands de tapis ou médecins ?

[Source : Jean-Dominique Michel]

[Titre sur la photo : « Test de détecteur de mensonge »]

La marche en avant de l’agenda vaccinal se poursuit inéluctablement. Avec un motif désormais familier : peu importe la science, peu importe l’éthique et même peu importe le droit !

On a beau avoir compris ce dans quoi nous nous trouvons, chaque nouvelle étape estomaque malgré tout.

Sur un plan personnel, une personne de ma famille, âgée de 83 ans, vient d’accepter de se faire vacciner sur pression de son médecin généraliste. Celui-ci, un homme expérimenté, dévoué et compétent, l’a en effet persuadée que c’était important pour éviter le risque de développer une forme grave en cas d’infection. L’argument s’est révélé imparable.

Avec toutefois un blème : l’argument en question est rien moins que mensonger à ce stade. C’est l’espoir des autorités de santé, mais comme nous l’avons montré dans un récent article, rien actuellement ne documente de quelque manière que ce soit un tel effet, en particulier sur les personnes âgées !

Dans la Tribune de Genève de ce jour, la Pre Anne-Claire Siegrist (qui fait autorité dans le domaine) affirme que « la deuxième dose est donc indispensable pour augmenter l’efficacité à 95% – en augmentant les taux d’anticorps et les réponses cellulaires. »

BIG BIG BLÈME AGAIN : l’efficacité du « vaccin » n’est absolument pas de l’ordre de 95% actuellement, hormis dans la publicité -mensongère- du laboratoire Pfizer et les conclusions -erronées- de l’article de Polack et al., publiée dans le NEJM, dont nous avons montré les failles.

Nous avons ainsi mis en lumière comment leur étude avait modifié rétrospectivement le protocole de recherche  pour pouvoir arriver -de manière forcée- à un tel résultat. Si on corrige ce bidouillage, on trouve au mieux 75%.

En tenant compte d’une second bidouillage majeur (également décrit dans notre précédent article), l’efficacité probable du « vaccin » chute pour se retrouver même très en-dessous du seuil nécessaire à sa mise sur le marché, comme le révèle Peter Doshi, professeur en pharmacologie clinique à l’Université du Maryland et rédacteur associé au British Medical Journal. Selon lui, l’estimation approximative de l’efficacité du vaccin montrerait en réalité :

(…) une réduction du risque relatif de 19% – bien en dessous du seuil d’efficacité de 50% pour l’autorisation fixé par les régulateurs. Même après avoir éliminé les cas survenant dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sur le vaccin de Pfizer contre 287 sur le placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réacto-génicité à court terme du vaccin, l’efficacité du vaccin reste faible : 29%.

L’efficacité de la prévention des formes graves du Covid (argument publicitaire majeur) n’a simplement pas pu être évaluée dans cette étude portant pourtant sur 44’000 personnes ! Aucune conclusion n’en est sortie et avancer cet argument comme une réalité démontrée est ni plus ni moins que trompeur et mensonger.

Les conclusions auxquelles ne peut qu’arriver tout lecteur honnête et averti de l’étude Polack sont :

1. Il est impossible à ce stade de connaître l’efficacité réelle du vaccin Pfizer. Sur une population de moins de 65 ans, elle peut être, au mieux, de 75% mais se situe probablement entre 20% et 50%.

2. Il est absolument impossible d’inférer une quelconque efficacité du vaccin pour les personnes âgées de plus de 65 ans.

3. Il est impossible de connaître l’eficcacité du vaccin sur la prévention des formes graves, dans aucun groupe d’âge !

4. La sécurité du vaccin pour les personnes de plus de 65 ans est inconnue. Le seul groupe évalué à cette fin était composé de 39 personnes (contre 44’000 dans l’étude complète), avec l’observation d’un taux inhabituellement élevé d’effets indésirables.

5. Il n’est pas possible à ce stade d’exclure -comme le risque en existe- que le vaccin puisse avoir pour effet de multiplier le nombre de cas graves dans la population des vaccinés (surtout âgés) en vertu du phénomène suivant :

Les vaccins COVID-19 conçus pour provoquer des anticorps neutralisants peuvent sensibiliser les personnes vaccinées à une maladie plus grave que si elles n’étaient pas vaccinées. Les vaccins contre le SRAS, le MERS et le VRS n’ont jamais été approuvés, et les données générées lors du développement et des essais de ces vaccins laissent entrevoir un grave problème mécanique : les vaccins conçus de manière empirique selon l’approche traditionnelle (consistant en un pic viral de coronavirus non modifié ou minimalement modifié pour provoquer des anticorps neutralisants), qu’ils soient composés de protéines, de vecteurs viraux, d’ADN ou d’ARN et quel que soit leur mode d’administration, peuvent aggraver la maladie COVID-19 par un renforcement dépendant des anticorps (Antibody Dependent Enhancement).

6. Nous sommes totalement incapables à ce stade d’évaluer (et donc d’exclure) le risque d’effets secondaires graves dans la durée, incluant des altérations transmissibles du génome humain, résultant de l’expérimentation génique que constitue le « vaccin » à ARN messager.

Résumons : en l’absence de toute donnée scientifique solide, nous avons des médecins qui font pression sur leurs patients pour qu’ils se vaccinent avec des arguments qui sont, à ce stade, simplement fallacieux. Pendant que la « papesse » des vaccinations en Suisse ment dans la presse en mentionnant des chiffres qui sont simplement faux.

Ce qui pose bien sûr une série de questions.

Lorsqu’elle affirme faussement que l’efficacité du « vaccin » contre le Covid est de 95%, la Pre Siegrist : 

  1. Est-elle incapable de lire un article scientifique de manière critique et d’en repérer les inexactitudes sinon les falsifications ?
  2. Évite-t-elle de prendre en considération toute publication, même autorisée, qui apporterait des arguments ou des conclusions divergentes ?
  3. Sa perception est-elle biaisée par exemple du fait de conflits d’intérêts au point de la conduire à adhérer aveuglément, fût-ce de bonne foi, à des conclusions erronées ?

Le Dr Louis Fouché, poursuivant avec une véritable étoffe des héros son œuvre de ré-information autour du Covid, a lâché récemment que les autorités sanitaires et autres conseils scientifiques étaient dans la situation actuelle (je cite) « pourris de conflits d’intérêts » à un point qui est « du jamais-vu dans l’histoire de la médecine« .

Au premier rang de ces conflits, l’influence omniprésente de la fondation Bill et Melinda Gates, qui a pour but la promotion de l’idéologie vaccinale à l’échelle mondiale. Que les Gates poursuivent ce but, pourquoi pas, qu’ils financent certains programmes, pourquoi pas, mais ce qui pose évidemment problème est que l’influence qu’ils ont acquise à coups de chèques grassouillets modèle de manière totalitaire (et donc malhonnête) les réponses de santé.

Sachant que -contrairement au fantasmes des naïfs (dont nombre de socialistes suisses !)- la philanthropie de ces ardents défenseurs de l’agriculture intensive, des OGM et du transhumanisme est plus que douteuse.

La Pre Siegrist a touché au cours des ans des millions de francs suisses de la fondation Gates. Certes comme beaucoup de ses collègues, comme nombre d’universités en Suisse comme partout dans le monde, comme Swissmedics (?), pendant que le Conseil fédéral accordait un statut légal d’exception, farci de privilèges, à la dite-fondation, domiciliée en Suisse.

Est-ce pour cette raison que la Pre Siegrist désinforme la population au sujet de l’efficacité du vaccin de Pfizer ? Est-ce pour cette raison qu’Alain Berset et Mauro Poggia mentent eux aussi à la population, qu’ils ont pourtant bien sûr la responsabilité et le devoir de servir et de protéger ?

Le résultat des courses est que l’on impose à marche forcée et à coups d’informations mensongères une véritable expérimentation génique à large échelle (selon la judicieuse expression d’Alexandra Henrion Caude), hasardeuse et à hauts risques, dont le principe est rigoureusement prohibé par le droit et l’éthique.

Alexandra.jpg

Las ! Tout comme Mmes et MM. Siegrist, Tardin, Ruiz, Berset et Poggia s’en contrefichent de mentir à la population, on s’en fiche aujourd’hui royalement urbi et orbi de violer la déontologie et le droit.

En imposant un cortège de mesures inutiles et destructrices, sans la moindre justification scientifique sérieuse. En foulant aux pieds les droits constitutionnels et fondamentaux. En truquant au passage la recherche et la science et en les prostituant à coups de double-standards d’une malhonnêteté renversante !

Et en détruisant hélas au passage sans vergogne la vie des honnêtes gens tout en leur faisant courir désormais des risques insensés.

Car oui, l’expérimentation génique en cours est bel et bien extrêmement risquée !

Expérimentation génique : sans risques ?!

Vous souvient-il comment tant le Pr Alain Fischer (en France) que la Pre Siegrist (en Suisse) ont dans un premier temps exprimé d’honnêtes réserves face à la nouvelle technologie « vaccinale » à ARN messager ? Eh bien il semble que les scrupules ne durent pas longtemps dans ce monde-là : il aura suffi que Pfizer fasse publier une étude bidouillée dans le NEJM pour que ces deux personnalités se ravisent bien opportunément.

Pour bien montrer l’aberration de ce dangereux parti-pris, je reproduis pour terminer les réponses faites par le Pr Christian Vélot aux interpellations que lui a adressées ce même Alain Fischer suite aux différentes mises en garde publiées par le premier, président du CRIIGEN (Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique) et professeur de génétique moléculaire à l’Université de Paris-Saclay. 

La malhonnêteté et la corruption sont bien sûr les deux pires ennemis de la science. Mais pas (bien au contraire) du scientisme ni du business maffieux !

Tout ceci conduit aujourd’hui le corps médical à devenir complice d’une magouille d’une envergure sans précédent. Le brave docteur qui a convaincu cette personne de ma famille de se vacciner a-t-il conscience d’être devenu un marchand de tapis plutôt qu’un médecin ? A-t-il conscience (comme le relevait ce médecin-chercheur qui m’a signalé les trucages de l’article de Polack et al.) qu’il commet un délit pénal  en se défaussant de son « devoir d’information pour obtenir le « consentement éclairé » » ?

« Ce consentement, avec ce nouveau vaccin, ne peut tout simplement pas être obtenu, puisque personne ne sait ce qui se passe, ni en termes d’efficacité ni de dangerosité.

C’est au fond très simple, les praticiens préconisant ce vaccin sont donc, tous, hors la loi en le recommandant. »

Les autorités ont-elles conscience de jouer à la roulette russe avec une population qu’elles ont pris en otage au moyen de mesures iniques et indéfendables, pour leur faire miroiter de manière irrésistible (mais mensongère) que l’expérimentation génique était la seule voie (les ignorants bien sûr y croient) pour « revenir à la vie d’avant » ?

Franchement ? Tout ceci sent très mauvais.

Conclusion ? Nous avons besoin de science, de responsabilité et d’honnêteté !

Ce qui veut dire qu’avec les individus qui sont actuellement aux commandes dans les gouvernements et  les « autorités de santé », nous sommes (pour celles et ceux à qui cela aurait échappé…) fort mal barrés.


Rapport d’expertise sur les vaccins Covid-19 : réponses aux allégations du Pr Fischer suite à l’expertise du Dr Vélot concernant les risques sur les vaccins de nouvelle génération contre la Covid19 — à télécharger ici.

  1. « Il y a confusion entre les évènements de recombinaison telle qu’observés dans la nature et ce qui pourrait se passer chez un sujet vacciné. L’ARN vaccinal a une demi-vie très courte, il est principalement capté par les cellules du système immunitaire et induit ainsi la réponse immune. »

Tout d’abord les cellules qui reçoivent le matériel vaccinant sont essentiellement des cellules musculaires (injection intramusculaire), voire des cellules dermiques ou des cellules du tissu conjonctif (tissu qui enveloppe nos organes et notamment nos faisceaux musculaires), mais certainement pas nos cellules immunitaires. Ce sont donc les cellules précitées qui vont prendre en charge le matériel génétique viral injecté et fabriquer la protéine Spike (protéine de surface du virus Sars-Cov2), et c’est cette production de protéine virale (antigène) par les cellules musculaires notamment qui va engendrer la réponse immunitaire. Et heureusement d’ailleurs que ce ne sont pas les cellules immunitaires qui captent le matériel génétique viral pour produire elles-mêmes la protéine Spike, car cela conduirait sans aucun doute à une maladie auto-immune. Les cellules immunitaires fabriquent les anticorps dirigés contre les antigènes, mais bien sûr pas les antigènes eux-mêmes. Concernant la demi-vie de l’ARN vaccinal, si elle était à ce point courte que cet ARN ne puisse recombiner avec un éventuel autre ARN viral infectant, cela signifierait qu’il n’aurait même pas le temps d’être traduit en protéine Spike. La demi-vie d’un ARN messager humain (temps nécessaire pour que 50% de cet ARN disparaisse) varie entre 30 min et 24H. Pour un ARN de virus humain, on se situe plutôt vers le haut de la fourchette. En effet, la stabilité d’un ARN va dépendre de son taux de traduction car les machineries de traduction (les ribosomes), en lisant l’ARN (pour le traduire), le protègent. Or un ARN viral a vocation à être beaucoup traduit.

  1. « Cet ARN ne peut être rétro-transcrit en ADN pour donner lieu à événement de recombinaison/insertion ».

La recombinaison virale existe aussi bien entre ADN viraux d’une part qu’entre ARN viraux d’autre part. Et dans ce dernier cas, cela ne nécessite nullement une rétro-transcription — c’est à dire une conversion de l’ARN viral en ADN. Les ARN viraux recombinent directement. Comment le Pr. Fischer peut-il ignorer cela alors que c’est connu depuis les années 1990 ? Pour en attester, voir ci-dessous un article scientifique de 1992, publié dans une grande revue scientifique internationale à comité de lecture — Microbiological Reviews —, et intitulé « RNA recombination in animal and plant viruses ». (Version en ligne)

  1. « La probabilité d’infection virale d’une cellule porteuse de l’ARNm vaccinal est très faible compte tenu de la 1/2 vie de cet ARNm (et des autres virus cités). De plus la capacité de recombinaison devrait parvenir du virus infectant selon un mécanisme hypothétique »

Concernant la demi-vie de l’ARNm viral, j’ai déjà répondu au point 1. J’ajoute que la rencontre entre le matériel génétique viral vaccinant d’une part, et celui d’un virus infectant d’autre part, n’est pas restreinte au seul cas où l’infection par un autre virus surviendrait strictement dans le créneau où l’ARN viral vaccinant est présent dans nos cellules. C’est également vrai dans le cas d’une infection qui précède la vaccination (et qui bien sûr est encore présente au moment de la vaccination). Certes, cela restreint la probabilité de rencontre entre les deux matériels génétiques viraux. Mais, une fois de plus, ne perdons pas de vue qu’il s’agit de vaccination massive, c’est-à-dire concernant des effectifs colossaux. La probabilité que de tels évènements se produisent n’est donc pas nulle. Et on ne peut en faire l’économie dès lors que les conséquences ne seraient pas que pour la personne vaccinée chez laquelle émergerait un tel virus recombinant plus virulent ou plus contagieux : ce risque doit être apprécié à l’échelle de la population. Quant à « la capacité de recombinaison qui devrait parvenir du virus infectant selon un mécanisme hypothétique », de quoi parle le Pr. Fischer ? Quel mécanisme hypothétique ? On n’est pas dans la science-fiction : encore une fois, ces mécanismes sont connus depuis les années 1990 !

  1. « À noter que l’ARN a déjà été utilisé chez l’homme dans des essais de vaccination anti-cancer et sous formes d’oligonucléotides anti sens et siRNA et ce à des doses beaucoup plus élevées et répétées, sans que de tels évènements aient été observés. Par ailleurs de tels événements n’ont été reportés, ni lors de l’utilisation de virus inactivés (qui contiennent ARN et ADN !) ni atténués et ce depuis des dizaines d’années alors qu’ils pourraient avoir été injectés dans des cellules porteuses d’un virus… »

Tout d’abord, de tels évènements ne peuvent évidemment pas se produire avec des vaccins utilisant des virus inactivés ou atténués puisque dans ces cas, le matériel génétique viral n’est pas délivré dans nos cellules. C’est justement l’originalité des vaccins nouvelle génération dits « vaccins génétiques », que de délivrer le matériel génétique viral dans nos cellules pour leur faire fabriquer elles-mêmes l’antigène. Quant aux stratégies cliniques antérieures consistant à délivrer du matériel génétique dans nos cellules, et dont parle le Pr. Fischer — à savoir les essais cliniques d’immunothérapie, — il s’agit de traitements s’adressant à des patients atteints de cancers. Le but est d’essayer de leur faire développer des anticorps dirigés spécifiquement contre des protéines humaines présentes à la surface de leurs cellules cancéreuses (dans le but de détruire celles-ci). Le Pr Fischer parle abusivement de « vaccination anti-cancers ». Ce terme est totalement inapproprié et crée la confusion. Il ne s’agit en rien d’une vaccination, d’une part car ce n’est pas une démarche préventive mais curative, et d’autre part car il ne s’agit pas de lutter contre un agent infectieux mais contre certaines de nos propres cellules (devenues cancéreuses). Non seulement ces patients sont bien sûr prêts à accepter des effets secondaires – même importants – dès lors que le rapport bénéfices/risques reste favorable, mais il s’agit d’effectifs extrêmement réduits. Ces essais n’ont donc rien à voir avec une véritable campagne de vaccination qui s’adresse à des personnes en bonne santé et en très grand nombre, en particulier dans le cas de la Covid qui concerne la population mondiale.




Le compte à rebours de la mort est lancé ! Des données top-secret… ACCESSIBLES À TOUS ! – par Ivo Sasek

[Source : Kla.tv]

Il n’y a donc pas que l’Espagne qui a commencé à vacciner sa population contre le coronavirus avec des vaccins, exactement du type de ceux contre lesquels des associations entières de scientifiques ont mis en garde en vain pendant des mois.

Pendant ce temps, nos médias subventionnés, qui sont payés très cher, ont refusé de manière évidente leur obligation légale de rendre compte des avertisseurs et des contre voix expertes ; non seulement cela, mais ils les ont également supprimés de manière dangereuse et bien qu’ils le sachent.

Il s’agit ici de témoignages censurés de milliers de scientifiques, médecins, virologues, biologistes, etc. de renom. Toutes ces personnes et bien d’autres encore, au lieu d’être entendues, ont même été insultées, incriminées et stigmatisées publiquement par le mainstream. Au lieu de stimuler le débat public exigé par la Constitution sur tous les dangers qui ont été découverts, les grands médias ont systématiquement bloqué tous les témoins experts qui faisaient encore preuve d’un certain courage civil et les ont « roulés dans la farine ». Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont même fait en sorte que tous ceux qui ont donné une audience à ces experts de haut niveau soient stigmatisés comme étant des « covidiots », des négateurs du coronavirus, des tueurs d’hommes, et d’autres choses de ce genre.

Et ce n’est pas seulement la population espagnole qui est maintenant vaccinée avec précisément ces vaccins non testés contre lesquels les virologues et les médecins s’élèvent, avertissant qu’ils pourraient eux-mêmes causer les véritables grands dommages. Que ce soit le cas ou non, les peuples, rabaissés au rôle de cobayes, ne peuvent pas le savoir sans ces experts qui sont complètement indépendants économiquement. Et c’est précisément la raison pour laquelle une vaccination aussi hâtive de la population mondiale ne doit en aucun cas avoir lieu sans une enquête approfondie et un débat public. Ce qu’il faut ici, c’est un moratoire, c’est-à-dire une suspension immédiate contraignante, dans le but d’une enquête publique approfondie, concernant tous les points signalés comme problématiques.

L’ensemble de la campagne de vaccination elle-même est déjà suffisamment anticonstitutionnelle. Les voix des experts en matière d’alerte devraient être examinées d’urgence, d’abord par des comités d’experts totalement indépendants, puis débattues en public. Et par indépendants, j’entends non seulement libres de tout conflit d’intérêts, mais aussi hors de portée de toutes les sociétés secrètes maçonniques, qui pourtant, à plusieurs reprises déjà, ont été mises en cause pour de telles actions.

Mais malheureusement, jusqu’à présent, toutes les déclarations et les avertissements d’experts véritablement indépendants, comme je l’ai dit, ont été censurés de la manière la plus criminelle par les médias du mainstream et donc cachés aux peuples menacés. Mais aussi de plus en plus de plateformes de médias sociaux comme YouTube, Facebook, Vimeo etc. font la même chose de manière irresponsable. Des milliers de censeurs à temps plein, on ne peut pas les appeler autrement, et des pirates informatiques à temps plein s’assurent depuis des mois que toute contre voix vraiment importante soit bannie d’Internet. Qui diable paie réellement toutes ces légions ?

Vous êtes-vous déjà posé cette question ? … Avec quel argent ? Il doit y avoir des milliards de pots-de-vin. Je dis ici ouvertement ce qu’il en est : Si ce qui fait rage ici est vraiment une guerre hybride, comme l’ont maintenant révélé de façon concluante la plupart des lanceurs d’alerte, Kla.TV compris, alors tous ces censeurs ne sont rien de moins que de dangereux criminels de guerre, qui ne font que participer à un nouveau génocide. Rien que les expériences sur les animaux, qui ont été étouffées par le mainstream, ont montré dans la clarté la plus effrayante comment justement des vaccins Covid-19 produits aussi hâtivement ont conduit à des choses encore pires que le virus lui-même. Mais maintenant, malheureusement, la situation est bien pire.
Pas plus tard qu’hier, les médias ont rapporté que le gouvernement espagnol tenait déjà une liste de tous ceux qui ne se faisaient pas vacciner volontairement. Et ce qui est arrivé ensuite dans un seul et même bulletin d’information ne fait que déclencher la question de savoir à quel point ils nous prennent pour des idiots, peut-être même des abrutis. Ou du moins, à quel point devrions-nous nous nous comporter comme tels ? Car en même temps que cette nouvelle, nos médias subventionnés nous ont assuré que la protection des données resterait bien sûr garantie pour tous ceux qui figureraient sur la liste de ces non-vaccinés – bien que le gouvernement espagnol ait promis dans une seule et même phrase de transmettre toutes ces données à tous les pays voisins qui voudraient savoir qui viendrait dans leur pays sans être vacciné…

Super, quelle protection des données ! Où en sommes-nous arrivés ? Ainsi, les données top secret des personnes qui refusent la vaccination en Espagne ne seront transmises qu’à toutes les autorités qui ont effectivement le pouvoir d’interdire l’accès à tout ce que la vie publique a à offrir, comme le droit d’entrer, de prendre l’avion, d’aller en vacances, d’acheter, de prier, et je ne sais pas quoi énumérer d’autre – simplement tout ce qui vaut la peine de vivre. En d’autres termes, les seules personnes contre qui les données sont réellement protégées sont donc les personnes qui ne pourraient rien en faire et qui n’ont ni l’intérêt ni le pouvoir de nuire à ceux qui ont refusé la vaccination en Espagne. Mais les données seront également protégées contre ceux qui pourraient peut-être soutenir les personnes qui refusent la vaccination. Comprenez-vous cela ?

Bien sûr, cette nouvelle d’horreur fait d’abord céder toutes les poules mouillées de la société. C’est clair ! Ils se réconcilieront immédiatement avec eux-mêmes en disant que ce prix est beaucoup trop élevé pour eux. Après tout, ils ne veulent pas être exclus de la société, les pauvres. Ils suivent donc immédiatement l’offre d’encouragement psychologique du ministre allemand de la santé, M. Spahn, et préfèrent se battre pour la 1ère injection plutôt que de résister. Mais tout le monde ne réagit pas de la même manière. Lorsque l’Espagne, pas plus tard qu’hier, a propagé ses listes anti-vaccination, M. Spahn a en même temps fait la une des journaux en déclarant qu’il ne devrait y avoir « aucun droit spécial pour les personnes vaccinées ».

Celui qui connaît le langage de la déformation maçonnique du sens, sait donc déjà avec certitude que bientôt ce sera tout le contraire qui sera réalité. Cela signifie que tous les Allemands et autres personnes refusant la vaccination figureront bientôt sur ces listes. Il est important de le comprendre. L’Espagne n’est ici qu’un ballon d’essai.

La seule réaction logique à de telles listes cachées et dissimulées pour les personnes non vaccinées doit donc être des listes officielles, pour toutes les personnes ayant subi des dommages suite à la vaccination ! Vetopedia offre ici à toutes les personnes lésées par la vaccination la possibilité de s’inscrire officiellement afin de rendre publics leurs dommages liés à la vaccination. L’humanité doit enfin connaître les conséquences dévastatrices des vaccinations passées. Tout comme l’État surveille tous les non-vaccinés d’une part, la population doit d’autre part garder un œil bienveillant sur tous ceux qui ont été vaccinés afin de mettre en lumière tous les dommages possibles de la vaccination.

Par conséquent, divulguez vos données sans hésitation à ce public, qui, au final, va supporter tout seul vos dommages, non ? C’est votre seule protection ! Vous savez que ni les grandes entreprises pharmaceutiques ni les médecins ne peuvent être poursuivis pour des dommages causés par la vaccination, quelle que soit l’importance de ces dommages. Alors pourquoi les données des victimes de la vaccination ne devraient-elles rester que chez ceux qui protègent ceux qui leur ont nui ?

Vetopedia rend visibles les dommages causés par la vaccination. C’est pourquoi : inscrivez-vous ! Ça fonctionne ainsi : Si ce contre quoi des milliers de médecins, professeurs et virologues indépendants ont mis en garde devait se produire, cela deviendrait alors visible à cet endroit-là.

La population doit veiller maintenant à ce que l’ensemble de l’industrie pharmaceutique et de la vaccination puisse pour la première fois, être tenue pour entièrement responsable des dommages causés par la vaccination, au lieu d’être doublement protégée par la loi contre les demandes de dommages et intérêts.

Ces vaccinations, décrites par des experts véritablement indépendants comme étant extrêmement dangereuses, sont administrées sans hésitation et les médias se taisent tout simplement sur les millions de dégâts graves causés par la vaccination, les stérilisations dissimulées et bien d’autres choses qui ont déjà été révélées en masse par Kla.TV. Ainsi, à l’avenir avec Vetopedia et les lanceurs d’alerte, ce qui arrive à toutes les personnes vaccinées contre la Covid devrait être révélé.

Comme cela a déjà été demandé de manière urgente, les comités d’experts indépendants, les virologues, les biologistes, les chimistes, etc. doivent maintenant parler publiquement et actionner les leviers encore disponibles, afin qu’ils exposent de manière publique et professionnelle, les informations sur les tests PCR et les nouveaux vaccins anti Covid et qu’ils présentent les preuves de leurs enquêtes, etc.

En ce qui concerne le test PCR, une spécialiste a déclaré ces jours-ci qu’elle avait soumis à analyse plusieurs de ces tests absolument intacts et que les résultats sont revenus positifs. Elle n’avait rien fait avec ces tests. On soupçonne que ces tests PCR propagent eux-mêmes la maladie. Si c’est effectivement le cas, cela signifierait que la véritable propagation du virus Covid-19 n’a réellement commencé qu’à travers les tests PCR… et combien plus alors par le vaccin lui-même, qui a été qualifié de folie totale ? Aujourd’hui, le 30 décembre, les mass-médias parlent d’une nouvelle forme du coronavirus, encore bien pire. Il est donc nécessaire d’enquêter publiquement, et immédiatement, pour savoir si ce n’est pas précisément la réalisation du soupçon susmentionné ! Que la propagation beaucoup plus rapide n’est pas due à un nouveau type de virus, mais aux tests et aux vaccinations qui ont maintenant été lancés. Il a été démontré à plusieurs reprises que la communauté mondiale se trouve principalement, je dis bien principalement, au milieu d’une guerre financière hybride. Il y a donc de forts soupçons que l’ensemble du scénario Covid-19 ne soit qu’un dispositif de guerre biologique conçu pour dissimuler des intentions bien plus supérieures.

Quelles sont les intentions supérieures qui pourraient être dissimulées ? Par exemple, le processus continu d’endettement total de tous les États. Si la dépossession et l’asservissement de tous les pays étaient une intention plus profonde des agresseurs hybrides, alors ils auraient besoin d’un bouc émissaire, c’est clair ! Et ce, afin de pouvoir imputer une crise financière délibérément mise en scène à un coup du sort, à une pandémie, et cela dans un but d’enrichissement personnel,… quoi de plus idéal ? Une pandémie volontairement dirigée rendrait tout possible, elle justifierait tous les moyens de surveillance et de pouvoir et en même temps elle dissimulerait parfaitement le processus de pillage mondial en cours. Il faut donc enquêter publiquement et déterminer si cette prétendue pandémie n’a pas été créée délibérément dans le but de dissimuler le plus grand scandale et crime financier de tous les temps.

Il a déjà été prouvé noir sur blanc que des brevets sur les virus Covid ont été créés ! Quelle est cette folie ! Kla.TV en a déjà parlé. Et maintenant ? Seuls des experts totalement indépendants peuvent enquêter et déterminer si les tests PCR et désormais aussi les vaccins Covid-19 conduisent à la propagation réellement mortelle de la Covid-19. Toutes les listes de décès dans le monde à ce jour prouvent que jusqu’au 30 décembre 2020, le taux de mortalité n’a pas été plus élevé que lors des années normales de grippe, plutôt plus bas que cela, pour autant que je sache.

Dans son entretien sur Kla.TV, le Dr Madej a démontré de manière évidente et instructive à la population mondiale à quel point les satanistes déclarés sont à la tête de l’industrie des vaccins. Sans scrupules, pareil à des fous, ils ont fait enregistrer leurs brevets de vaccins Covid-19, développés à la hâte et sans aucune vérification, avec le numéro 060606. Étonnant n’est-ce pas ? Et par le biais des médias du mainstream, ils ont fièrement proclamé qu’ils voulaient vacciner sept milliards de personnes avec leur cocktail de poison 666. Le fait qu’ils ne puissent être tenus pour responsables d’aucuns dommages liés à la vaccination, est garanti par la nouvelle loi spécifiquement introduite avec le numéro d’enregistrement, là encore, 6666 – ce qui n’est manifestement pas une théorie de conspiration, mais un fait réel. Maintenant, au plus tard, il devrait enfin être clair, même pour celui qui doute le plus, quelle espèce d’être humain est en train d’écrire l’histoire du monde. Même si la politique et les médias s’y opposent et font remarquer qu’on ne sait pas encore quels vaccins seront achetés par qui, il faut néanmoins faire comprendre à la communauté mondiale qu’il ne peut y avoir une seule offre sérieuse, selon des experts indépendants, car une telle chose n’est tout simplement pas possible en si peu de temps. Je ne répéterais pas toutes les émissions ! Et qui va maintenant donner à l’humanité la pleine assurance que les fournisseurs des vaccins actuels sont en fait d’autres personnes que ceux dont nous venons de parler et qui sont prédéterminés par l’élite dominante ? En bref : qui va prouver maintenant et par quels moyens, que les vaccins administrés actuellement ne sont pas issus de ce club des 666 ? À notre connaissance, les principaux dirigeants mondiaux ont accumulé beaucoup trop de pouvoir pendant notre période de somnolence pour que des homologues sérieux, libres et indépendants, puissent même s’affirmer dans ce commerce.

Si vous étudiez les sources à la fin de l’émission, vous vous demanderez comment diable des gens comme Bill Gates, complètement ignorant de la virologie, de la pharmacie et de la médecine, en sont venus à annoncer ouvertement et en toute impunité devant des caméras qu’ils veulent non seulement vacciner la population mondiale avec des substances modifiant l’ADN, mais qu’ainsi ils voudraient aussi réellement la réduire.

Je dis les choses telles qu’elles sont : Seules les personnes qui appartiennent à une élite contrôlant tout et dont la religion est de toute évidence le satanisme, peuvent le faire. Aucun simple mortel ne pourrait jamais mettre la main sur un brevet controversé de vaccin numéro 666, où que ce soit dans le monde. Vous voyez ce que je veux dire ? Et il ne pourrait certainement pas utiliser une loi pour se protéger doublement de toute responsabilité qui porte le numéro d’enregistrement 6666. Comprenez-vous ce qui se passe ici ? Il existe des groupes de personnes qui ont le courage d’imposer leurs cocktails empoisonnés, leurs technologies et leurs signes au monde entier, ce contre quoi même la Bible nous met fortement en garde depuis 2 000 ans. Il est temps de se réveiller, mes chers !

Une seule chose est claire jusqu’à présent : notre communauté mondiale est contrainte à la ruine totale par ceux qui détiennent le pouvoir, à savoir par des personnes qui court-circuitent complètement le peuple, sans être reconnues, pour ainsi dire, et qui agissent comme les quatrième et cinquième puissances de l’État. Ils forment un règne de terreur pure et je le dis devant Dieu : ce genre d’humain n’ont pas du tout de bonne intentions envers nous ! Et ils sont capables de tout ce qu’un mortel normal considérerait comme tout simplement impossible. Avec cette crise économique mondiale parallèle forcée, les « protocoles des sages de Sion » se réalisent une fois de plus à la lettre. Et non ! Il ne s’agit pas du tout des Juifs, du moins pas de vrais Juifs, comme cela y est écrit quasiment toutes les 10 lignes. Les auteurs de ces écrits sont de réels satanistes qui détestent les Juifs plus que tous les autres, et qui veulent reporter leurs crimes planifiés sur les Juifs afin qu’ils soient persécutés pour cela, et non pas eux-mêmes, quand ça explosera ! J’ai longuement abordé ce sujet dans ma conférence AZK « Contre le racisme et la conspiration ». Ce ne sont donc pas les Juifs qui ont écrit ces Protocoles de conspiration mondiale, donc ne les poursuivez pas pour cela. Je refuse de reconnaître que c’était les Juifs. Selon la Bible, ce sont ceux qui se disent juifs mais ne le sont pas, mais qui appartiennent à la synagogue de Satan. C’est ainsi que c’est écrit. Les auteurs de ces lignes sont des satanistes classiques qui utilisent les Juifs comme bouclier, afin de les soumettre une fois de plus à la persécution et de les accuser de leurs crimes sataniques. Je rappelle cependant que cet écrit est un écrit interdit. Il est donc interdit de le distribuer. On peut à peine le mentionner. Mais aucun pouvoir, je vous le dis, sous le ciel ne peut m’empêcher d’assumer ma responsabilité envers une population mondiale menacée et de témoigner que cet écrit de conspiration s’accomplit à la lettre une fois de plus à notre époque. Et cela justement à travers ces pouvoirs qui en 1ère ligne nous contraignent au confinement.

La ruine ou l’endettement extrême de tous les États et de la communauté mondiale est au cœur de leur intérêt principal, selon cet écrit de conspiration. Comprenez-vous ? Ce qui y est écrit, se réalise exactement, bien exactement maintenant, en ces jours ! La pandémie n’est utilisée que comme un bouc émissaire pour cacher la dette nationale insidieuse prévue. Presque tous les biens matériels, les ressources minérales et les richesses de la terre tombent actuellement entre les mains des conspirateurs. Ils gagnent leur vie comme jamais auparavant ! Mais leur objectif final caché n’est même pas cela, mais une domination du monde à la main de fer, où tous nos plaisirs et conforts passés prendront une fin abrupte et définitive.

Parce que trop de preuves indiquent maintenant clairement que toute l’histoire de la Covid est une pandémie provoquée délibérément par cette secte dévastatrice de domination mondiale, il est impératif que la communauté mondiale sache à qui elle a affaire. Parce qu’ils se sont mis arbitrairement aux commandes de l’humanité. Et ces gens sont vraiment nuisibles. Les satanistes ne tolèrent aucune autre religion que celle de Satan. Ils ne tolèrent pas les intérêts nationaux ou les cultures acquises. Pour eux, seuls les intérêts du diable vivant sont valables. Ils n’en ont jamais assez, par exemple d’argent ou de pouvoir. Avec leurs sociétés secrètes, ils ont, depuis des siècles déjà, accaparé injustement tout pouvoir possible au moyen de nos flux monétaires et des décisions politiques. Mais le commun des mortels se demande maintenant ce qui, au-delà de cela, pourrait les intéresser. Puisqu’ils ont déjà obtenu tout le pouvoir et la richesse, que leur manque-t-il encore ?

Et c’est là que je dis : Attachez vos ceintures. Ce que je vais dire, je souhaiterais que ce soit juste de la science-fiction. J’aimerais bien me tromper sur ce point. Ce culte se nourrit de la perte et des souffrances des humains. Ils sont fondamentalement hostiles à la communauté mondiale. Ils nous considèrent tous comme des mouches parasites, comme de la vermine à exterminer. Ils se considèrent, en revanche, comme les propriétaires légitimes de ce monde. Ils n’ont aucun scrupule. Ils ne sourcillent pas quand leurs cocktails de poison endommagent, mutilent ou tuent des millions d’enfants innocents, ou quand des dizaines de millions de femmes sont stérilisées ou ont des séquelles à cause de leurs vaccinations forcées, etc. Toutes ces choses leur donnent le plaisir désiré, vous devez tout d’abord comprendre que de telles choses les excitent véritablement, oui ! Ils sont pires que les pires prédateurs que vous pouvez imaginer. Ce n’est que lorsqu’ils peuvent torturer et tourmenter les humains, détruire les animaux et les plantes, qu’ils se sentent vraiment dans leur élément. Ils sont obligés de mentir et de tromper tout le temps. C’est leur nature ! Ils n’ont aucun rapport avec une quelconque race humaine, aucune, ni avec une quelconque nationalité ou culture. Et comme je l’ai dit, avec aucune religion non plus, sauf leur culte du diable. C’est ainsi. Ils ont mis en place des réseaux entiers de cercles de pédophiles sur toute la terre, où des enfants enlevés ou spécialement conçus pour cela sont abusés, torturés et cruellement sacrifiés pour des rites. Mais ils satisfont aussi leurs désirs pervers avec la traite des femmes, le commerce de la drogue et bien d’autres choses encore. Avec leurs énormes transactions monétaires et leurs spéculations, ils dirigent à volonté l’ensemble de l’économie mondiale.

En ce moment même, un de leurs anciens plans se réalise, où il est écrit comment ils vont conduire l’ensemble de la population mondiale à une faillite financière ciblée et l’obliger à se soumettre directement à leur plein pouvoir. Ce qui ressemble malheureusement ici à de la science-fiction bon marché, est une réalité amère. Mieux vaut le croire ! Toutes ces choses sont restées cachées au public mondial parce que ce sont exactement les mêmes cercles qui ont obtenu la suprématie sur les grands médias. Leur pouvoir monétaire, combiné au pouvoir médiatique, forment ainsi le quatrième et le cinquième pouvoir invisible dans tous les États du monde. C’est la vérité ! Presque rien n’a échappé à leurs griffes sournoises.

La plupart des politiciens de ce monde, cependant, n’ont pas la moindre idée de ces choses, car ce sont simplement des marionnettes achetées ou du moins trompées. On les a soit habilement fait chanter, soit on les a en quelque sorte achetés ou soudoyés avec des pots-de-vin de toutes sortes, comme ils le font de nouveau en ce moment avec les pasteurs, les restaurateurs, les hôteliers, les médecins et les hôpitaux, etc. En effet, les derniers sont payés pour déclarer leurs patients victimes de la Covid, et les premiers sont payés pour fermer leurs portes, abandonner leurs troupeaux, etc. Conclusion : On peut fortement soupçonner que le monde a affaire à un réseau satanique de sociétés secrètes de haut rang qui viennent de commencer à poignarder au sens propre du terme cette population mondiale.

Kla.TV a donc mis à la disposition de tous ses spectateurs un dossier de sensibilisation à télécharger. Veuillez télécharger ce dossier de témoignage sous cette émission et informer les gens, d’abord de la classe moyenne, donc tous les propriétaires d’entreprises etc., et ensuite aussi ceux de la base. Vous devez absolument avoir le témoignage de scientifiques de haut rang pour connaître le véritable fond de cette incroyable histoire. Si nous ne le faisons pas et si nous ne parvenons pas à prendre le dessus de cette manière, je pense que nous le paierons de notre propre sang et de nos propres vies ! J’en suis convaincu. Par conséquent, ne diffusez pas ces dossiers de sensibilisation aux plus hautes autorités, car elles n’ont pas levé le petit doigt jusqu’à présent et ne le feront probablement jamais. Pour la même raison, ne vous adressez pas aux recteurs d’académie ou aux directeurs d’école, mais plutôt aux enseignants qui en dépendent, individuellement. Sensibilisez-les ! Là où les chefs d’entreprise ne réagissent pas à cette déclaration d’urgence et de sensibilisation, transmettez-la à leur personnel. Descendez ! Évitez aussi les directeurs de banque, informez plutôt les employés de banque. De cette façon, les employés de banque pourront tous voir ce que fait leur patron, là-haut. De plus ne passez plus du tout par l’étape des rédacteurs en chef, de la presse, de la radio, de la télévision. Ils ont prouvé qu’ils ne faisaient rien. Mais cherchez plutôt les nombreux journalistes qui vous entourent. Chacun devrait prendre ses responsabilités dans un rayon de peut-être un kilomètre autour de chez lui et sensibiliser tous ceux qui peuvent l’être avec ce dossier de sensibilisation. De même, n’allez pas voir les directions des hôpitaux ou des cliniques, etc. mais équipez plutôt leur personnel de nos meilleures émissions. Le grand public doit ainsi savoir tout ça, car toute discussion publique jusqu’à présent est attaquée, sabotée et bloquée par les magnats des médias, les rédacteurs en chef et autres dans le cadre d’un travail de sensibilisation stratégique ciblé. Il faut forcer la discussion publique entre tous les spécialistes utiles ! C’est de cela qu’il s’agit maintenant ! Ne laissez donc personne vous empêcher de parler.
Je vais maintenant résumer une fois de plus le pic de danger : Selon de très nombreux spécialistes témoins, il y a une très forte suspicion que l’épidémie de Covid 19 vient seulement d’être déclenchée par les tests PCR et maintenant aussi par la vaccination non sécurisée contre la Covid.

En 2020, toutes les listes de décès du monde ont prouvé que, malgré les discours alarmistes constants, le nombre de morts n’était pas plus élevé, mais plutôt moins élevé que la moyenne des dernières décennies. Il n’y avait donc pas une seule raison justifiable pour ruiner, paralyser et détruire l’ensemble de l’économie mondiale de cette manière. Conclusion : en ce moment des tireurs de ficelles non identifiés trompent, manipulent l’humanité entière et lui nuisent. Et leur tromperie ne cessera probablement pas car il s’agit manifestement de psychopathes sataniques, qui veulent dominer toute la politique mondiale, toute l’économie mondiale et la population mondiale, et qui veulent aussi la réduire fortement et la conduire vers le transhumanisme. Nous ne devons pas leur permettre de continuer à avoir ce pouvoir ! Par conséquent, comme je l’ai dit, téléchargez le dossier de sensibilisation avec les sept émissions les plus importantes et les plus fondées et transmettez-les aussi à tous les pasteurs, prédicateurs, évangélistes et diacres. Commandez-leur de diffuser ces voix d’experts parmi leurs paroissiens. Mais faites-leur aussi prendre conscience de leur entière responsabilité s’ils ne transmettent pas et refusent à leurs communautés ces voix d’experts. Celui qui érige aujourd’hui des blocages qui provoquent la censure et ne contribue pas à prévenir ce dommage mondial imminent, porte aussi la responsabilité de la catastrophe à venir. Comprenez-vous ce dont témoignent ici d’innombrables experts ? L’histoire s‘écrit à travers ce que nous percevons comme notre quotidien habituel. Une guerre hybride fait rage contre toute l’humanité et tous ces experts en témoignent.

Et on peut fortement soupçonner que tout ce qui nous est présenté comme des mesures douces et salvatrices pour l’humanité produiront exactement le contraire. Cela se passe exactement comme l’information mentionnée au début, où on fait croire aux Espagnols qui refusent la vaccination que leurs noms seront inscrits sur une liste, mais que leurs données resteront totalement protégées… alors qu’on déclare dans la même phrase que leurs données seront transmises à tous les pays voisins, de sorte que ceux-ci sauront immédiatement si une personne non vaccinée s’approche d’eux. Reconnaissez par là le genre de mensonges et de distorsions qui se produisent partout dans le monde. Mais reconnaissez aussi par là même l’heure qui a sonné !

Et maintenant, une dernière chose : il faut encore une fois souligner que la réduction totale de la population mondiale n’est qu’une facette du désir qui anime les misanthropes nommés. L’autre côté de leur plaisir est d’avoir un reste d’esclaves serviteurs qu’ils aimeraient transformer en une sorte d’humain-robot. Mais entièrement à leur seul service, manipulable en tout. Leur rêve est un monde presque dépeuplé qui est tout à eux – à eux seuls – même pas à leur personnel. Celui-ci doit alors fonctionner inconditionnellement comme des machines, juste beaucoup plus capables et plus matures. Oui, et je sais que tout cela ressemble maintenant à de la science-fiction, mais je le dis devant Dieu :

C’est la réalité ; c’est comme ça que ça se passe, et pas autrement. Alors allez-y, agissez tant que vous le pouvez encore !

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 43 ans.


Sources / Liens :

SRF1, 8h Nouvelles du 29.12.2020

Concernant la VACCINATION COVID :
www.kla.tv/17640

Humanité 2.0 : Un médecin met en garde contre les nouvelles technologies utilisées dans les vaccins – Interview avec Dr. Carrie Madej
www.kla.tv/17038

Le vaccin contre le coronavirus : une menace plus grande pour la santé que la maladie elle-même ? Article de Dörte Donker: « Recherche sur les armes biologiques illégales aux États-Unis » publié dans une version plus longue le 21 juin 2020 à l’adresse :
https://offenkundiges.de/illegale-biowaffenforschung-in-den-usa/

[1] L’Inde veut commencer la vaccination contre le coronavirus en août :
www.faz.net/aktuell/wirtschaft/indien-will-im-august-mit-corona-impfung-beginnen-16846800.html

[2] Des réactions excessives dangereuses et des conséquences mortelles : An Evidence Based Perspective on mRNA-SARS-CoV-2 Vaccine Development
https://www.medscimonit.com/abstract/index/idArt/924700

The spike protein of SARS-CoV — a target for vaccine and therapeutic development

[3] Drosten : « Nous avons besoin de raccourcis dans l’approbation des vaccins »
https://www.apotheke-adhoc.de/nc/mediathek/detail/christian-drosten-wir-brauchen-abkuerzungen-bei-der-impfstoffzulassung-corona-virus-update/

[4] Citation de Gabor Steingart : Le podcast du 14 avril 2020 « Les démocraties tiennent bon ». – 00:22:45 Interview avec le Pr. Thomas Kamradt
https://www.gaborsteingart.com/podcast/https-dasmorningbriefing-podigee-io-468-neue-episode/?wp-nocache=true

[5] VAERD

[6] ADE (Antibody Dependent Enhancement)
https://www.nature.com/articles/d41587-020-00016-w

[7] Le Japon arrête les vaccins Pfizer et Sanofi :
https://www.deutsche-apotheker-zeitung.de/news/artikel/2011/03/07/japan-stoppt-impfstoffe-von-pfizer-und-sanofi

Les infections à rotavirus : Le vaccin est maintenant retiré du marché
https://www.aerzteblatt.de/archiv/20437/Rotavirusinfektionen-Impfstoff-jetzt-vom-Markt-genommen

[8] mRNA Vaccines: Possible Tools to Combat SARS-CoV-2
https://link.springer.com/article/10.1007/s12250-020-00243-0

[9] COVID-19 Vaccines: A Race Against Time in the Middle of Death and Devastation!
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7286271/

mRNA vaccines — a new era in vaccinology
https://www.nature.com/articles/nrd.2017.243

mRNA vaccines — a new era in vaccinology
https://www.nature.com/articles/nrd.2017.243

[10] Mouvement Leipzig : Corona News – qui ne sont pas si faciles à trouver – Marché de Leipzig
https://www.youtube.com/watch?v=1apZFCOBwhA

Coronavirus vaccine developers wary of errant antibodies

Appel urgent à la vigilance : la vaccination anti-coronavirus intervient dans l’ADN ! Obligations de vaccination :

Bill Gates prédit 700 000 victimes de la vaccination contre le coronavirus

Cas de dommages causés par le vaccin contre la grippe porcine :

Dr. Wolfgang Wodarg:

Pr. Hockerts
https://de.wikipedia.org/wiki/Stefan_Hockertz

(Min. 33:15) Obligation des participants aux essais cliniques
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04283461?term=vaccine&cond=covid-19&draw=2

Loi sur le génie génétique :
https://www.gesetze-im-internet.de/gentg/BJNR110800990.html

Responsabilité pour les dommages causés par la vaccination :

La vaccination contre le Covid-19 est-elle utile et nécessaire ? Déclaration du Pr. Bhakdi Immunité et vaccination :
https://www.mwgfd.de/2020/08/covid-19-immunitaet-und-impfung-prof-dr-med-sucharit-bhakdi/

GUERRE HYBRIDE
www.kla.tv/16287

Guerre secrète et possession diabolique EXPÉRIENCES SUR LES ANIMAUX AVEC LE VACCIN COVID
www.kla.tv/17640

Humanité 2.0 : Un médecin met en garde contre les nouvelles technologies utilisées dans les vaccins – Interview avec Dr. Carrie Madej PAS DE DROITS SPÉCIAUX POUR LES PERSONNES VACCINÉES (Jens SPAHN)
https://www.dw.com/de/spahn-keine-sonderrechte-f%C3%BCr-geimpfte/a-56074315

VETOPEDIA : DOMMAGES CAUSÉS PAR LES VACCINS
www.vetopedia.org/impfschaden

DOMMAGES CAUSÉS PAR LES VACCINS ET STÉRILISATIONS
www.kla.tv/16418

Robert F. Kennedy Jr. : « Le programme de vaccination globaliste et dictatorial de Bill Gates »
https://childrenshealthdefense.org/news/government-corruption/gates-globalist-vaccine-agenda-a-win-win-for-pharma-and-mandatory-vaccination/

„© [Gates’ Globalist Vaccine Agenda: A Win-Win for Pharma and Mandatory Vaccination, 10.04.2020] Children’s Health Defense, Inc. This work is reproduced and distributed with the permission of Children’s Health Defense, Inc. Want to learn more from Children’s Health Defense? Sign up for free news and updates from Robert F. Kennedy, Jr. and the Children’s Health Defense. Your donation will help to support us in our efforts.” Mogensen et.al. 2017:

VAXXED – La vérité choquante !?
www.kla.tv/14174

L’obligation vaccinale entraîne-t-elle une augmentation des troubles autistiques ?

PROBLEME DES TESTS CORONAVIRUS NON UTILISÉS

Témoignage d’une infirmière dans une maison de retraite, Suisse LA DÉPOSSESSION ET L’ENDETTEMENT TOTAL DE TOUS LES ÉTATS AU MOYEN DE LA PANDÉMIE DE CORONAVIRUS
www.kla.tv/17767

Ernst Wolff : « Pandémie du coronavirus. Objectif final : le fascisme financier numérique »

Coronavirus : à qui profite la crise économique mondiale ? Intro

Banques sauvées au détriment des hôpitaux :

Coronavirus – la plus grande crise de l’histoire économique mondiale

Coronavirus, le parfait bouc émissaire !

Crise du coronavirus – qui paie la facture ?

Enrichissement excessif dans la crise du coronavirus

Les activités sournoises des fonds spéculatifs

Conflits d’intérêts de l’OMS

La troisième vague – Le tsunami financier est là (avec Ernst Wolff)
https://www.youtube.com/watch?v=aYZ2gVs9U7o

SURVEILLANCE AU MOYEN DE LA PANDÉMIE DU CORONAVIRUS
www.kla.tv/17579

Coronavirus : Ce que le Bundestag nous cache – un initié le révèle ! Lettre de Sebastian Friebel:
https://wie-soll-es-weitergehen.de/

Citation de Wolfgang Schäuble:
http://www.wolfgang-schaeuble.de/die-pandemie-ist-eine-grosse-chance/

Citation de David Rockefeller:

: Sûr et sécurisé dans une surveillance totale ?

Discours de Robert F. Kennedy Jr. sur la manif à Berlin le 29.8.2020 Enregistrement de Querdenken du 29.8.20 :

La crise du coronavirus : un prétexte pour la surveillance et le contrôle
https://www.youtube.com/watch?v=rma9Hg4GUbk

LES BREVETS SUR LES CORONAVIRUS
www.kla.tv/16961

Fortement censuré : Plandémie II : Endoctrinement
https://plandemicseries.com/

TAUX DE MORTALITÉ PAR LE CORONAVIRUS
www.kla.tv/17494

Avis d’experts : Dans quelle mesure la maladie COVID-19 est-elle dangereuse ? Réseau allemand pour la médecine factuelle (Association).
https://www.ebm-netzwerk.de/de/veroeffentlichungen/covid-19

Wikipédia sur la médecine factuelle
https://de.wikipedia.org/wiki/Evidenzbasierte_Medizin

Lettre ouverte des médecins et des professionnels de santé à toutes les autorités belges et à tous les médias belges
https://docs4opendebate.be/de/offener-brief/

Uncut-News
https://uncut-news.ch/2020/09/16/1400-belgische-aerzte-und-medizinisches-fachpersonal-schlagen-alarm-es-gibt-keinen-killervirus/

ALETHEIA – La médecine et la science au service de la proportionnalité

Ex-vice-président de Pfizer au coronavirus : les faits n’ont plus d’importance ! Vidéo «Dr. Michael Yeadon, Ex Vizepräsident von Pfizer / Es gibt keine 2. Welle»:
https://open.lbry.com/@TranslatedPressDE:b/Dr-Michael-Yeadon-Ex-Vizepräsident-von-Pfizer-Es-gibt-keine-2-Welle:0?r=9hLdPZ6yr1XtmPHDypTVWVWXnosP4c7A

Article: L’ex-vice-président de Pfizer considère que la 2e vague est un faux

Jamais de coronavirus mortel en Suisse ? (par Richard Koller) Mouvement de la liberté Suisse (MLS)
https://www.fbschweiz.ch/index.php/de/

STATUTS du Mouvement de liberté Suisse (MLS) https://www.fbschweiz.ch/index.php/de/wir-die-bewegung-de/statuten-de

Original : Les dés sont jetés – Alea jacta est

Panique-Coronavirus : Que disent les chiffres ? Base d’évaluation : Population de l’Allemagne 2018 : 83 020 000
https://de.statista.com/statistik/daten/studie/2861/umfrage/entwicklung-der-gesamtbevoelkerung-deutschlands/

Décès en Allemagne en 2018 : 954 874
https://de.statista.com/statistik/daten/studie/156902/umfrage/sterbefaelle-in-deutschland/

Nombre de décès en Allemagne 2018 par jour : 2 616 (954 874 décès / 365 jours) Personnes infectées par le coronavirus et qui sont décédées :
https://coronavirus.jhu.edu/map.html

Surmortalité due à la grippe :
https://de.statista.com/statistik/daten/studie/405363/umfrage/influenza-assoziierte-uebersterblichkeit-exzess-mortalitaet-in-deutschland/

Décès dus à la grippe en Allemagne en 2020 :

Comité d’enquête sur le coronavirus : Les citoyens prennent leurs responsabilités face à une politique qui a déraillé
https://www.youtube.com/watch?v=kplSgkaLoGA&feature=youtu.be

Sources d’images :
https://www.youtube.com/watch?v=kplSgkaLoGA&feature=youtu.be

NUMÉRO D’ENREGISTREMENT : 6666
www.kla.tv/17640

Humanité 2.0 : Un médecin met en garde contre les nouvelles technologies utilisées dans les vaccins – Interview avec Dr. Carrie Madej UN DÉLAI TROP COURT POUR LA PRODUCTION DE VACCINS (CORONAVIRUS)
www.kla.tv/17640

Humanité 2.0 : Un médecin met en garde contre les nouvelles technologies utilisées dans les vaccins – Interview avec Dr. Carrie Madej
www.kla.tv/17826

Attention !! Mise en garde contre la propagande insidieuse en faveur du vaccin Covid19 Les avertissements des experts en vaccination et la propagande de l’OMS, de la politique et des médias en faveur de la vaccination

: La politique du coronavirus manque de science ! Entretien avec le professeur Stefan Hockertz, immunologiste Vidéo: « Un vaccin modifie notre génome »
https://clubderklarenworte.de/impfstoff-veraendert-unser-genom/

Texte de la vidéo:
https://clubderklarenworte.de/wp-content/uploads/2020/07/Neue-Impfstrategie-Transkript-.pdf

Prof.Stefan Hockertz
https://de.wikipedia.org/wiki/Stefan_Hockertz

RÉDUIRE LA POPULATION MONDIALE (BILL GATES)
www.kla.tv/16547

Thorsten Schulte : Bill Gates philanthrope ou misanthrope ? Vidéo de Thorsten Schulte:
https://www.youtube.com/watch?v=k1a2EuQWVR0

1/4/2020 Bill Gates demande une production de masse pour le vaccin :
https://www.faz.net/aktuell/gesellschaft/gesundheit/coronavirus/bill-gates-massenproduktion-von-corona-impfstoff-16706825.html

Entretien de Tagesschau Bill Gates à partir de min. 3:07 :
https://www.youtube.com/watch?v=083VjebhzgI

Pas de retour à la normale sans un programme de vaccination :

Bill Gates et le réseau de contrôle de la population (partie 3/4)

: Robert F. Kennedy Jr. : « Le programme de vaccination globaliste et dictatorial de Bill Gates »
https://childrenshealthdefense.org/news/government-corruption/gates-globalist-vaccine-agenda-a-win-win-for-pharma-and-mandatory-vaccination/

„© [Gates’ Globalist Vaccine Agenda: A Win-Win for Pharma and Mandatory Vaccination, 10.04.2020] Children’s Health Defense, Inc. This work is reproduced and distributed with the permission of Children’s Health Defense, Inc. Want to learn more from Children’s Health Defense? Sign up for free news and updates from Robert F. Kennedy, Jr. and the Children’s Health Defense. Your donation will help to support us in our efforts.” Mogensen et.al. 2017:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5360569/

LA BIBLE MET EN GARDE CONTRE LA MARQUE 666
www.kla.tv/17622

Programme d’assassinat dévoilé, Sasek désamorce le piège des textes originaux – devant la chaîne 3sat ! Vidéos liées : 11 710 émissions de Kla.TV piratées et supprimées ! -Le BR est-il derrière tout cela ?
https://www.kla.tv/15647

Sasek choque le Landtag – L’OCG révèle la redoutable liste « ami-ennemi ».
https://www.kla.tv/15731

Kla.TV dans le piège de Tamedia ?
https://www.kla.tv/16081

Kla.TV – Un ennemi de l’État ? Lettre ouverte du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, à Blick et autres médias de masse
https://www.kla.tv/16019

Vol de données XXL – Sasek répond au BR avec la formule 1 contre 65 milliards
https://www.kla.tv/16262

NDR-Zapp contre Sasek : « Qui laisse gigoter qui ? »
https://www.kla.tv/16480

L’aube du Nouveau Monde – et ses phénomènes

: Sept sermons – par Ivo Sasek Voir sermon 7 CONTRE LE RACISME ET LA CONSPIRATION
http://www.anti-zensur.info/azk11/widerrassismusundverschwoerung

: « Contre le racisme et la conspiration » SATANISTES – ABUS RITUELS D’ENFANTS
www.kla.tv/10795

Un initié de l’élite financière confirme le témoignage des victimes d’abus

L’affaire Dutroux : auteur isolé ou réseau pédophile-sataniste ? Dépêche « Savoir plus – vivre mieux » n° 02-03 du 29.1.2013 aux pages 5-8, 12, 14, 16.

« Lolita Express » – Compromission des politiciens américains par Israël

La dissimulation mondiale de la violence satanique rituelle par le Mind Control – Entretien avec le Dr Marcel Polte
www.kla.tv/16988

Adrénochrome : le sang humain comme drogue et agent de rajeunissement Déclaration de Xavier Naidoo sur l’adrénochrome, 2 avril 2020
https://www.youtube.com/watch?v=MTT8AzaV59g

Wikipédia « Adrénochrome »
https://de.wikipedia.org/wiki/Adrenochrom

: officier des services secrets CIA Robert David Steele

Le boxeur poids lourd américain David Rodriguez
https://www.youtube.com/watch?v=QMz6cWt3vHc&feature=youtu.be

Film « Fear and Loathing in Las Vegas », 1998

Wikipédia « Alice au pays des merveilles »
https://de.wikipedia.org/wiki/Alice_im_Wunderland

Film « Matrix », 1999

Symbolisme des stars américaines du cinéma et de la musique
https://www.youtube.com/watch?v=1Iz6aJ2H57Y

Hillary Clinton
https://www.youtube.com/watch?v=LAouGjeo1tg&list=PLMvv5RXuyS4nIZdByOsPi01oAU3qG7Nk0

Europol : 10 000 enfants disparus sans laisser de traces
https://orf.at/v2/stories/2322041/2322042

Pizzagate et Jeffrey Epstein – le film « Out of Shadows », 2020
https://www.youtube.com/watch?v=Wu46gi9wDZI

Le cas du siècle Marc Dutroux
https://www.andreas-goessling.de/b/81/68/der-jahrhundertfall-marc-dutroux

Affaire d’État Natascha Kampusch
https://www.youtube.com/watch?v=wtOBAZgUJjU

Déclaration vidéo de Xavier Naidoo, 10 avril 2020
https://t.me/Xavier_Naidoo/125

LES MAGNATS DES MÉDIAS BLOQUENT LE DÉBAT PUBLIC SUR LE CORONAVIRUS
www.kla.tv/17164

Complices de la terreur – Génocides couverts par les médias Nombreuses infections dues à de nombreux tests ? 15.03.2020 Coronavirus : danger ou pandémie de tests de laboratoire ?
www.kla.tv/15897

Est-ce que les tests sont fiables ? 16.03.2020 Test du coronavirus – un jeu de hasard pseudoscientifique ?
www.kla.tv/15905

Qu’en est-il des vaccinations ? 17.06.2020 Grippe espagnole : des morts en masse dues aux vaccinations de masse ?
www.kla.tv/16731

19.04.2020 « Vaccin contre le coronavirus : des milliards de dollars de bénéfices pharmaceutiques malgré les risques sanitaires ? » – Entretien avec Del Bigtree
www.kla.tv/16174

28.05.2020 L’OMS dissimule les effets secondaires dangereux ou mortels de la vaccination !
www.kla.tv/16483

22.04.2020 Robert F. Kennedy Jr. : « Le programme de vaccination globaliste et dictatorial de Bill Gates »
www.kla.tv/16418

Proportionnalité/base juridique 15.05.2020 Coronavirus : Base juridique pour la proportionnalité des mesures
www.kla.tv/16408

14.05.2020 La crise du coronavirus conduit-elle à l’introduction d’une vaccination obligatoire « volontaire » ?
www.kla.tv/16665

Avis d’experts 31.03.2020 Scénario du coronavirus : d’éminents spécialistes demandent la parole
www.kla.tv/16116

03.04.2020 Crise du coronavirus : lettre ouverte à la chancelière allemande du Pr. Sucharit Bhakdi
www.kla.tv/16056

03.05.2020 Pandémie du coronavirus : exemple de propagande et d’alarmisme par les médias grand public ?
www.kla.tv/16295

TRANSHUMANISME
www.kla.tv/17123

« Ils nous haïssent »

(LAAS: light as a Service)

(CRISPR-3Min)
www.kla.tv/16787

Le genre humain remplacé ? Les projets des technocrates pour l’humanité Le Forum économique mondial de Davos promet une amélioration mondiale, mais les crises politiques, sociales et économiques augmentent
https://scilogs.spektrum.de/beobachtungen-der-wissenschaft/globalisierung-4-0-das-weltwirtschaftsforum-zwischen-diskussion-ueber-unsere-technologische-zukunft-und-der-immer-unertraeglicher-werdenden-eitelkeit-einer-stumpfen-globalen-finanzelite/

L’Allemagne a besoin de plus de personnel qualifié dans les maisons de retraite
https://aerzteblatt.de/nachrichten/sw/Pflegenotstand?nid=109633

Essai dans une maison de retraite : des robots de divertissement au lieu de l’humanité
https://youtube.com/watch?v=ZiUxr6R41xM

L’avenir de l’intelligence machine-homme
http://singularity.com/KurzweilFuturist.pdf

Les scientifiques continuent à travailler sur le rêve de l’homme-machine
www.sein.de/transhumanismus-die-groesste-gefahr-fuer-die-menschheit/

Le « cyborg »est toujours un rêve d’avenir
https://mdr.de/wissen/faszination-technik/wenn-mensch-und-technik-verschmelzen-100.html

Jeffrey Epstein : Pédophile et mondialement connu
https://de.wikipedia.org/wiki/Jeffrey_Epstein

Fondation Jeffrey Epstein VI : Promotion de l’innovation dans les sciences et l’éducation
http://jeffreyepstein.org/Jeffrey_Epstein.html

Les fantasmes transhumanistes bizarres de Jeffrey Epstein

Prétendues jumelles génétiquement modifiées nées en Chine
https://spiegel.de/gesundheit/diagnose/china-angeblichgenmanipulierte-zwillinge-geboren-a-1240404.html

Litige sur le brevet de CRISPR, une technique de modification du matériel génétique




Le complot des multi-milliardaires

[Source : Entre la Plume et l’Enclume]

Par Israel Shamir

Les millionnaires veulent faire de l’argent. Les milliardaires veulent faire l’histoire. Nous pouvons ajouter que les multi-milliardaires vont plus loin : ils veulent que l’humanité s’adapte à leurs besoins et à leurs souhaits. Quant aux personnes qui contrôlent des milliards, eh bien, elles se soucient de nos souhaits autant que nous nous soucions des fourmis en balayant le jardin. Nous n’employons pas de fourmicide tant que les fourmilières n’empiètent pas sur nos plates-bandes, mais nous n’hésitons pas à le faire si nous le jugeons nécessaire. L’humanité a croisé de nombreux mégalomanes. Certains d’entre eux avaient beaucoup de pouvoir. Gengis Khan en était un. Cependant, ils étaient toujours limités territorialement. Le puissant Gengis pouvait faire trembler la terre jusqu’à Rome, mais les Anglais et les Français n’avaient pas à se soucier de la montée de l’empire mongol. Les nouveaux super-tycoons n’ont pas de telles limites. La mondialisation leur a permis de sortir des sentiers battus. Leurs mouvements avaient été depuis longtemps anticipés par le cinéma, le monde des rêves. Comme les rêves permettent à un psychologue de se pencher sur les désirs et les craintes de l’homme, le cinéma offre des aperçus sur l’ego collectif de l’humanité. Que craignions-nous dans les années 70, relativement libres ?

Le méchant classique des années 70 et 80 était le magnat du mal. James Bond s’attaquait à certains d’entre eux. Retrouvez Hugo Drax de Moonraker, ou Karl Stromberg de L’espion qui m’aimait ; ces types étaient prêts à détruire l’humanité pour la remplacer par une meilleure version. Stromberg prévoyait de déclencher une guerre nucléaire mondiale et d’y survivre sous l’eau. Drax avait l’intention d’empoisonner l’humanité avec son gaz mortel et de repeupler le monde avec ses nouveaux élus. Encore un, Wynter, le super-vilain des Avengers, joué par Sean Connery. Il contrôlait la météo mondiale et pouvait nous éliminer tous par des ouragans et des tsunamis.

Avant les magnats, lorsque la guerre froide faisait rage, le méchant était un agent du KGB ou un agent chinois. Lorsque la détente a apaisé les relations entre les blocs, les agents se sont démodés ; plus tard, ce sont les fantastiques méchants de Marvel qui sont devenus à la mode. Mais ces méchants magnats étaient désagréablement proches de la réalité ; et les voilà passés du monde cinématographique à notre réalité.

Le monde dans lequel nous vivons est le monde formaté par les méchants magnats. Ce sont les démiurges modernes, les créateurs maléfiques  selon les gnostiques, une secte primitive qui avait affronté l’Église. Comme les démiurges, ils sont pratiquement omnipotents ; plus forts que l’État. Le gouvernement a besoin de beaucoup de permissions et d’autorisations pour dépenser le moindre centime. Si un centime a été mal dépensé, on entend résonner le terme glauque de « corruption ». La « corruption » est un concept stupide ; en l’appliquant à qui ils veulent, les oligarques ont éliminé la concurrence de l’État, car ils peuvent payer ce qu’ils veulent à qui ils veulent. L’État doit respecter des règles complexes et obscures, alors que les magnats ne connaissent pas de barrières. En conséquence, ils façonnent nos esprits et nos vies, faisant de l’État un pauvre roi légitime parmi des barons autrement riches et puissants.

La crise du Corona est le résultat de leurs manigances. Aujourd’hui, un groupe de scientifiques de l’OMS vient de clore sa tournée d’inspection de quatre semaines à Wuhan pour tenter de découvrir comment le virus s’est retrouvé chez les humains ; certains d’entre eux pensent (comme le président Trump) que le virus s’est échappé du laboratoire de Wuhan. Matt Ridley, du Daily Telegraphconclut son article en analysant leurs découvertes : « Un nombre croissant d’experts de haut niveau [il en fournit la liste] disent qu’une fuite du laboratoire reste une hypothèse scientifique plausible, à examiner ». C’est plutôt improbable, a déclaré l’OMS, mais d’autres explications (pangolins, etc.) frôlent également l’improbable. On peut comprendre que les Chinois soient indignés. Hua Chunying, la porte-parole du ministère des affaires étrangères (l’homologue chinois de Ned Price du département d’État) a rejeté l’idée en disant : « Les États-Unis devraient ouvrir le laboratoire biologique de Fort Detrick et inviter les experts de l’OMS à y effectuer des recherches sur l’origine de la chose aux États-Unis ». Le rapport du Guardian a déclaré qu’elle défendait « une théorie  conspirationniste selon laquelle cela proviendrait d’un laboratoire de l’armée américaine » ; tandis que Mme Hua accusait les États-Unis de répandre « des théories complotistes et des mensonges » en remontant jusqu’à Wuhan. Tout ce que nous disons est le résultat d’une recherche diligente basée sur des faits ; tout ce que vous dites est une théorie complotiste: les représentants des États-Unis et de la Chine souscrivent également à ce mantra.

Notre propre Ron Unz avait fait une excellente analyse de ces accusations et contre-accusations dans son article d’avril 2020. Il faisait remarquer que l’attaque du virus à Wuhan a eu lieu au pire moment et au pire endroit possible pour les Chinois ; par conséquent, une libération accidentelle (ou intentionnelle par les Chinois) est extrêmement improbable. Ron Unz suggèrait qu’il pouvait s’agir d’une attaque d’armes biologiques américaine contre la Chine. Mais les Américains n’ont-ils pas souffert de la maladie ? Si, mais c’est parce que le gouvernement américain est « grotesquement et manifestement incompétent » et qu’il s’attendait probablement à ce qu’une « épidémie massive de coronavirus en Chine ne se propage jamais en Amérique ».

Peut-être, mais il y a une meilleure explication: c’est que certain(s) magnat(s) maléfique(s) ont joué le rôle de Karl Stromberg, celui qui avait l’intention d’atomiser à la fois Moscou et New York, tout en provoquant la guerre et la dévastation du monde entier, comme dans le film de James Bond. Il pourrait s’agir de quelqu’un comme Bill Gates, qui est un important investisseur dans le laboratoire de Wuhan. Un site de vérification des faits avec son langage de fouine a admis que le Labo « avait reçu des fonds de la Fondation Bill & Melinda Gates, mais Bill Gates peut difficilement être appelé un ‘partenaire’ du laboratoire ». Bien sûr, ce n’est pas un partenaire. Juste un investisseur, mais… c’est plus important qu’un partenariat. Et il n’est pas le seul ; d’autres multimilliardaires sont également impliqués dans la recherche biologique, dans la fabrication de vaccins, dans les grandes entreprises pharmaceutiques. « Glaxo, BlackRock et Bill Gates sont tous partenaires, mais pas propriétaires de Pfizer », déclare un autre enquêteur. « En 2015, Anthony Fauci avait effectivement accordé une subvention de 3,7 millions de dollars à l’Institut de virologie de Wuhan, mais pas pour « créer le coronavirus », ajoute un autre site de vérification des faits. Vous n’alliez quand même pas vous attendre à ce que Fauci formule l’objet de sa subvention de manière aussi directe ?

C’est peut-être un travail trop colossal, même pour un magnat diabolique comme Gates. Un complot de plusieurs magnats malfaisants est plus probable. Ensemble, ils pourraient essayer de changer le monde et l’humanité à leur convenance.

Les méchants tycoons auraient pu empoisonner la Chine pendant ses vacances du Nouvel An et faire baisser leur sentiment de supériorité d’un cran ou deux. Ils pourraient avoir importé le virus aux États-Unis pour saper et éliminer Trump, qu’ils détestaient. Ils pourraient avoir empoisonné l’Europe pour l’affaiblir et la rendre plus docile et obéissante à leurs exigences – et pour acheter leurs richesses à bas prix. Le Corona et le confinement ne leur ont pas fait de mal du tout, car ils sont tout naturellement à l’écart des tracas quotidiens de l’homme de la rue.

Les milliardaires contrôlent les médias, nous le savons, et le rôle que les médias ont joué dans la crise de Corona a été énorme. La couverture médiatique de la crise a un énorme coût caché. Essayez donc de publier les informations que vous jugez importantes en première page d’un journal. Cela vous coûtera fort cher. Pourtant, tous les journaux appartenant au bloc des médias des milliardaires, à commencer par le New York Times et en terminant par Haaretz, ont donné au moins un tiers de leur première page aux Corona News chaque jour. Le coût de cette publicité se chiffre en milliards. Saurons-nous un jour qui a payé pour cela ?

Le film de Steven Soderbergh (2011) Contagion prédisait de nombreuses caractéristiques du Covid-19, notamment l’origine du virus. Dans le film, la maladie provient de chauves-souris en Chine et se propage sur les marchés où de la viande de porc contaminée est vendue. Comment Soderbergh (ou son scénariste Scott Z. Burns) pouvait-il savoir huit ans avant l’événement que la contagion devait provenir des chauves-souris chinoises ? Qui le lui avait dit ? Ne peut-on pas supposer qu’il savait quelque chose? Burns a été instruit par des experts de l’OMS, explique le site de CNN. N’est-il pas intéressant que ce même Bill Gates soit un des principaux donateurs de l’OMS ? Est-il totalement impossible que déjà en 2011, des agents de Gates aient commencé à divulguer à Hollywood certains détails du futur virus par l’intermédiaire de leur propre OMS ?

Nos magnats pouvaient forcer un État faible à suivre leurs instructions. Les scientifiques obéissent aux ordres : sinon, pas de subventions, pas de positions. En avril 2020, les scientifiques allemands ont reçu l’ordre « d’instiller la peur du Corona ». Et ils l’ont fait, comme nous l’avons appris cette semaine, en produisant des nombres de morts à la demande.

Il semble que nos tycoons ont tiré le plus grand profit de la crise du Corona. Leurs avoirs ont augmenté de plusieurs milliards, tandis que ceux des classes moyennes ont diminué dans les mêmes proportions. Plus important encore, tous les États ont souffert de la crise ; ils ont contracté des emprunts et des crédits, car ils étaient responsables de la santé de leurs citoyens, tandis que les milliardaires se sont juste bien amusés et ont profité de la situation. C’est pourquoi j’ai tendance à rejeter les poursuites contre les États, qu’il s’agisse des États-Unis ou de la Chine, alors que certains  milliardaires me semblent être les seuls méchants possibles.

Ces milliardaires sont capables d’influencer les gens bien mieux que l’État. Prenons l’exemple de Pierre Omidyar. En plus d’être le propriétaire d’eBay, il est la force derrière des centaines d’ONG. Ses organisations bricolent l’agenda « progressiste » et forment les fantassins du Green Deal, la mouvance écolo officielle. Roslyn Fuller, de Spiked-online, a vérifié la pléthore d’ONG qu’il emploie, et voici le diagramme:

Selon elle, ses ONG et ses organisations caritatives sont « engagées dans l’ingénierie sociale », c’est-à-dire qu’elles utilisent leurs ressources pour modifier artificiellement la structure de la société, afin de la faire correspondre à leurs attentes. En cas de succès, cela équivaudrait à un contournement extrême de la démocratie, par l’utilisation de l’argent non seulement pour gagner des élections, mais aussi pour substituer un contenu payant ou subventionné à un soutien réel, et ainsi faire basculer toute une culture politique dans un sens différent, en amplifiant certaines voix et en en noyant d’autres ».

Pierre Omidyar n’est que l’un des Maîtres du discours, aux côtés du tristement célèbre George Soros. Facebook, Google, Twitter et Amazon sont encore plus puissants. Les milliardaires ont un pouvoir immense et ils décident de ce que nous pouvons ou ne pouvons pas dire et écrire. Pas plus tard que la semaine dernière, Amazon a interdit mon livre Cabbala of Power (La Bataille du Discours), un livre qu’ils vendaient depuis une dizaine d’années. L’inestimable The Unz Review  est interdit sur Facebook et relégué dans l’ombre sur Google. Twitter a débranché le président Trump, montrant ce faisant qui est le vrai patron des États-Unis. Il est probable que presque tous les mouvements décrits comme « gauchistes » de nos jours sont créés par des magnats comme Omidyar ou Soros. La vraie gauche a été laissée pour morte sur le champ de bataille des idées.

Les super-magnats sont directement impliqués dans la crise du Corona, car ses résultats sont bons pour eux. Et cela signifie qu’ils font de nous ce qu’ils veulent et qu’ils ne nous laisseront pas leur échapper. Nous voilà niés, néantisés jusqu’à ce que nous reprenions les rênes, et que nous les réduisions à néant.

Le SAGE, comme l’équipe britannique de gestion de la crise de la Corona s’est nommée de manière plutôt présomptueuse (elle a agréé le chiffre ridicule de Neil Ferguson, celui qui annonçait des millions de morts), a déjà déclaré que les confinements feront partie de la vie des Britanniques pendant des années, vaccin ou pas vaccin. Le Guardian, la Voix des oligarques, se sont gentiment esclaffés, car il n’est pas bon de déclarer ce qui doit arriver tout de suite. Laissez les gens avoir un peu d’espoir, pour qu’ils courent se faire vacciner, et ce n’est qu’après que l’on pourra révéler que, désolés, cela ne sert à rien, il va falloir encore porter un masque et observer la distanciation sociale et, oui, subir encore des confinements: « Il est beaucoup plus facile de suivre les règles si on les considère comme des contraintes temporaires ».

Les plans des comploteurs ne sont pas secrets ; ils ont été décrits par Klaus Schwab dans son livre Le grand Reset. Schwab n’est pas un grand penseur, ce n’est qu’un scientifique médiocre avec seulement quelques publications, et ce n’est même un bon écrivain. Il a dû collaborer avec un journaliste, Thierry Malleret, pour réaliser ce livre. Ce n’est qu’un porte-voix pour les magnats. Mais la question est de savoir s’ils obtiendront ce qu’ils veulent.

Ma réponse préliminaire est non. Nous avons récemment eu un événement important, Davos-2021, le rassemblement en ligne des magnats et de leurs sbires intellectuels. Pour la première fois depuis de nombreuses années, ils ont invité Vladimir Poutine. Le président Xi a prononcé le premier discours. L’idée était de prouver que la Russie et la Chine sont d’accord avec leurs plans. J’étais très inquiet, je dois l’admettre, et le discours du Chinois ne m’a pas calmé (contrairement à notre ami Pepe Escobar qui a fêté son apparition). Oui, Xi a dit que la Chine avancerait à son propre rythme et selon sa propre voie, mais vers les mêmes objectifs. Durable, inclusif, tous les mots utilisés pour nous rappeler à l’ordre étaient là. Je m’attendais à un discours encore pire de la part de Poutine. Pendant des années, il a voulu être invité et coopté par les décideurs occidentaux, et c’était une belle occasion pour lui de sauter dans leur train.

Poutine m’a surpris. Il a catégoriquement refusé l’offre de Schwab et de ses semblables. Il a condamné la manière dont la croissance pré-Covid était générée ces derniers temps, car toute la croissance est allée dans quelques poches profondes. De plus, il a fait remarquer que les magnats du numérique sont dangereux pour le monde. Selon ses propres termes, « les géants technologiques modernes, en particulier les entreprises numériques, sont de facto en concurrence avec les États. De l’avis de ces entreprises, leur monopole est optimal. Peut-être, mais la société se demande si ce monopole répond aux intérêts publics ».

Les magnats ont probablement été stupéfaits. En 2007, à Munich, ils s’étaient moqués de lui. Max Boot, un émigré juif russe, appelait Poutine « le pou qui rugit » et il ajoutait : « dans la rhétorique sinistre et absurde de Poutine, on peut entendre un empire qui se meurt ». Mad Max ne savait pas encore quel était l’empire qui se mourait.

Poutine était censé avoir été amolli par les manifestations pro-Navalny du 23 janvier (le discours de Davos, c’était le 27 janvier), mais il ne l’a pas été. Bien au contraire. Le président russe n’aime pas qu’on le pousse. La manifestation du 31 janvier a été accueillie avec force ; les personnes détenues ont été condamnées à de lourdes amendes (selon les normes russes). Trois diplomates européens ont été expulsés de Russie pour avoir participé à une manifestation. Josep Borrell, un diplomate espagnol et représentant de l’UE, s’est rendu à Moscou et a été durement traité. Lors de la conférence de presse finale, le ministre russe des affaires étrangères, Sergey Lavrov, a déclaré à la presse que la Russie ne considère pas (je répète, pas) l’UE comme un « partenaire fiable ». Les expulsions ont été effectuées en même temps. En outre, Poutine a averti l’Occident que les « sanctions » (actes de guerre économique) pourraient amener la Russie à utiliser la force militaire directe. C’était probablement le premier avertissement de ce type depuis 1968.

Dans le même temps, la Russie a pratiquement mis fin aux restrictions autour du Corona. Des bars et des restaurants sont ouverts pour les fêtards ; les manifestations sportives sont revenues ; les écoles sont ouvertes ; dans certaines régions de Russie, les masques sont devenus « recommandés » au lieu d' »obligatoires ». Les Russes sont désormais autorisés à voyager et à rentrer librement de nombreux pays. Les Russes ont un accès facile à leur vaccin Sputnik-V qui a été jugé par The Lancet comme le meilleur de tous les vaccins Corona existants. Il s’agit d’un coup comparable au premier Spoutnik lancé en 1957, ont déclaré les experts occidentaux. La Russie a donc fait dérailler le Grand Reset.

Cette évolution a provoqué un énorme changement de conscience en Russie. Si jusqu’à présent (du moins depuis 1970), les classes instruites russes avaient tendance à se sentir inférieures à l’Occident, les terres prospères de la liberté, cela a maintenant bien changé. L’un des principaux directeurs de théâtre russes, Constantine Bogomolov, a déclaré que l’Occident est désormais défait. Le politiquement correct obligatoire de l’Occident, son annulation de la culture, son agenouillement et son léchage de bottes de BLM, son culte des transsexuels, sa peur du « harcèlement » et du sexe, son sourire obligatoire, son engouement « Woke », sa peur de la mort (et de la vie !), sont comparables au comportement d’Alex, la victime de la thérapie dans Orange mécanique, a déclaré Bogomolov:

Le jeune homme [Alex] ne se débarrasse pas seulement de son agressivité – il est malade de la musique, il ne peut pas voir une femme nue, le sexe le dégoûte. Et en réponse aux coups, il lèche la botte de l’attaquant. L’Occident moderne est un criminel de ce genre, qui a subi une castration chimique et une lobotomie. D’où ce faux sourire de bonne volonté et d’acceptation totale, figé sur un visage o Occidental. Ce n’est pas le sourire de la Culture. C’est un sourire de dégénérescence.

Et il conclut : L’Occident nous dit : La Russie est à la traîne du progrès. C’est faux. Par hasard, nous nous sommes retrouvés à la remorque d’un train courant à sa perte, nous précipitant tête baissée dans l’enfer de Jérôme Bosch, où nous serons accueillis par des diables souriants, multiculturels et neutres. Il faut maintenant dételer notre wagon du train, faire un signe de croix et commencer à reconstruire notre bonne vieille Europe, l’Europe dont nous avons rêvé. L’Europe qu’ils ont perdue.

Prenez note de son appel à « faire le signe de croix ». À l’Ouest, les églises ont été interdites d’accès, le service interrompu. L’Église anglicane est à l’agonie, l’archevêque de Canterbury célèbre BLM, enlève les statues des églises, accepte tous les édits du SAGE en fermant les églises. Pendant ce temps, les églises russes sont toutes ouvertes et les fidèles se déversent dans leurs cathédrales à chaque fête et chaque dimanche.

Les garçons et les filles russes flirtent les uns avec les autres, sans crainte de MeToo et des accusations de harcèlement. Les cafés russes sont ouverts. Ceux qui le veulent peuvent se battre contre le Covid, ou l’ignorer.

Pour la première fois depuis de nombreuses années, la Russie montre la voie à l’Occident. C’est une bonne chose. Peut-être que l’Occident, après une correction nécessaire depuis longtemps, pourra à nouveau reprendre le pas sur la Russie. Car, même si la Russie avait montré la voie du socialisme à l’Europe, les meilleurs résultats du socialisme ont été obtenus ailleurs, dans le nord de l’Europe. La bonne vieille Europe (et les États-Unis, sa ramification d’outre-mer) sont encore capables de répéter cet exploit et de se débarrasser des magnats comploteurs et de leurs prédications d’amour obligatoire. En ces circonstances, peut-être que l’interdiction de tous les magnats est une bonne idée. Dans le monde meilleur d’avant leur ascension, il n’y avait pas de multimilliardaires. L’histoire n’est pas terminée ; nous entrons dans la partie la plus intéressante de celle-ci. Soyez de bonne humeur !

Joindre Israel Shamir: adam@israelshamir.net

Traduction : Maria Poumier

Original : The Tycoon Plot, by Israel Shamir – The Unz Review




Insuffisances méthodologiques des essais des vaccins anti-COVID-19

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur Mondialisation.ca]

Une publicité mensongère pour les vaccins anti-COVID-19 vantant leur « efficacité et leur sécurité prouvées par leurs essais » mobilise sans relâche les médias et les représentants du gouvernement, assortie du chantage « vacciné ou enfermé, ou socialement mort [1]».

Cette propagande vaccinale élaborée par le gouvernement prétend en autre que la commercialisation accélérée ne s’est pas faite aux dépens de la sécurité sanitaire. Compte tenu des techniques de fabrication toute nouvelle utilisées (ARNm, virus vecteur) et de l’extrême rapidité de la commercialisation, cela est impossible. 

Le schéma classique des essais de vaccins avant commercialisation

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, (de 9 à 12 ans, en moyenne 10) pour arriver à la commercialisation. Il comprenant de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations complémentaires. Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours normal.[3]

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Les vaccins produits en laboratoire sont donc d’abord testés chez l’animal. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. 

Phase d’essais sur l’animal enjambée

Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquat [4, 5] , le développement très rapide de plusieurs vaccins n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

 La presse anglo-saxonne s’en est fait souvent l’écho en titrant que les protocoles de validation essais “sautaient” fréquemment cette phase normalement préalable aux essais cliniques, mais les médias hexagonaux n’en ont pas parlé. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectuées simultanément voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des centaines de sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS. 

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline [6, 7] a été abandonné à cause de cette complication   Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus.

Les essais cliniques bien faits sont la clef de la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives. 

La phase I qui porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance l’innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire) mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration de vaccin le plus efficace.

Cette phase II nécessite un nombre plus élevé de volontaires et a pour objectif de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document, (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

Tant que les résultats complets des essais phase III n’ont pas été publiés l’utilisation du vaccin ou du médicament est expérimentale. C’est cette phase qui est en cours dans le monde pour les vaccins anticovid actuellement utilisés et non une phase IV comme on le voit trop souvent écrit car les gens ne comprennent pas qu’on puisse à la fois être en phase 3 et commercialisé contre paiement au laboratoire.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence habituellement avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est considérablement insuffisante et les sous déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins Covid

La mise sur le marché en moins d’un an n’a été obtenue qu’au prix de la diminution de la sécurité par suppression ou allègement de nombreuses étapes des essais.

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux.

Regroupement des phases II et III ne permettant pas d’utiliser les résultats des phases II pour concevoir convenablement les phase III.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante, ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse de la durée de l’immunité éventuelle et des éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins anti grippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni publiés, ni obtenus et que la durée moyenne de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme, ni leurs effets chez les personnes âgées à forte comorbidité qui sont trop peu représentées.

 La phase 3 (hors essai officiel) se déroule donc actuellement de fait comme le détaille de l’essai Pfizer par exemple dans sa publication sur clinicaltrials.gov le montre : première analyse en aout 2021, et fin de l’essai janvier 23.[8] Néanmoins le profil de l’essai ne devait concerner que des bien portants d’âge inférieur à 85 ans. 

Critères de jugement non pertinents. 

Le but d’un vaccin est de diminuer (au mieux de supprimer) la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or ces critères ont été négligés par les firmes dans leur conception des essais au profit de la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement [9].

Le « miracle » de la commercialisation en moins d’un an de prétendus vaccins, salué unanimement par les médias, ne consacre en fait que l’abandon quasi-total des mesures de sécurité élaborées depuis 70 ans pour nous protéger des catastrophes médicamenteuses. 

L’allègement des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques nouvelles

Les vaccins de Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisant spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les couts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto immunes est fortement suspecté. Mais ils restent des vaccins au sens pasteurien, contrairement aux produits Pfizer et Astra Zeneca qui sont des médicaments nouveaux de type thérapie génique, ne contenant pas d’antigènes mais des produits (Arn messager, virus) destinés à faire fabriquer des anticorps par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique d nous est étranger et est d’origine virale [10].  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de virus autre. . Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dits souvent vaccins géniques ou vaccins OGM, dont la technique n’a jamais été utilisée pour un vaccin auparavant exposent donc à des risques non maitrisés en opposition totale avec le principe de précaution. 

Une absence totale de transparence des contrats d’achat de vaccins

Dans un pays démocratique, les décisions importantes pour les populations doivent être décidées en toute transparences par nos représentants élus. Pour les vaccins anti covid, les contrats ont été passés en catimini entre les dirigeants et les entreprises et comportent des clauses inacceptables comme la clause de confidentialité et d’immunité juridique. 

Le communiqué de presse [12] de la député Michèle Rivasi est explicite :

« La Commission nous a confirmé que nous n’avons toujours pas accès aux contrats en cours de négociation. Nous n’avons pas accès au nom des négociateurs. Nous n’avons pas accès aux données brutes des essais cliniques, la Commission précisant que cette législation n’entrera en vigueur qu’en 2021. »

 « Nous sommes face à une situation très dangereuse, prévient l’Eurodéputée Michele Rivasi. Ne nous laissons pas faire, ni instrumentaliser par la peur ou l’urgence brandies comme alibi pour justifier des décisions contraires à la santé publique et sources de risques inacceptables. » 

« Nous avons besoin d’une transparence absolue. C’est l’unique condition permettant de restaurer la confiance dans les vaccins, et l’unique moyen de s’assurer que les vaccins sont réellement sûrs et efficaces. Cela concerne autant les conditions opaques dans lesquelles les contrats de préachat ont été négociés que les données des essais cliniques. Nous avons besoin de savoir comment les vaccins OGM ont été testés, les effets indésirables qui ont été observés, et les évaluations manquantes ou incomplètes. »

Il n’y a aucun risque pour les firmes qui ont exigé et obtenu l’immunité juridique

Si vous vendez un produit défectueux qui cause des complications vous risquez d’être poursuivi et condamné. Mais pas les fabricants de vaccin qui ont exigé et obtenu de ne pas pouvoir être poursuivis pour complications vaccinales même en cas de défectuosité de leurs produits[13, 14, 15]  Cette exigence confirme que les entreprises n’ont pas confiance en leur vaccin. Alors que tous les médias et les agences sanitaires prétendent que les vaccins sont sûrs …

Le piratage des documents de la commission européenne, seul moyen d’obtenir un peu de transparence montre pourtant que la commission sait que certains vaccins sont défectueux.[16]

« Les vaccins commercialisés possèdent moins d’ARN « intègre » (séquence entière permettant de fabriquer la protéine Spike) que ceux utilisés dans les essais : 51% à 59% pour les vaccins commercialisés contre 69% à 82% pour les vaccins utilisés lors des essais cliniques. Ceci pourrait non seulement impacter l’efficacité de la vaccination mais aussi sa sécurité : ces ARN tronqués ne peuvent plus être traduits en protéine Spike. »

Des résultats actuels très inquiétants

Les médias glorifient Israël, le champion de la lutte anti-COVID-19 par le vaccin Pfizer.[17] 

Depuis le 20 décembre, en un peu plus d’un mois, près de 30% de la population (plus de 3 millions de personnes) auraient été vaccinées. Mais le succès d’une vaccination ne se juge pas d’après le nombre de vaccinés mais uniquement d’après l’évolution de l’épidémie qu’elle est censée prévenir. Or depuis cette date, les nombres quotidiens de morts attribuées au COVID-19 explosent passant d’une moyenne de 15 pendant la semaine précédant la vaccination à 56 cette dernière semaine de janvier 2021, suggérant ainsi que la première injection du vaccin serait susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie.

La Grande-Bretagne a choisi principalement le vaccin d’Astra Zeneca peu testé également et a réussi à vacciner plus de 6 millions de personnes. Mais après 58 jours de vaccination, la mortalité quotidienne moyenne lissée sur 7 jours a doublé, passant d’un peu moins que 500 durant la semaine précédant la vaccination à 1070 dans la dernière semaine de janvier

Gibraltar avait été presque épargné par le COVID-19 et après presque un an d’épidémie ne comptait que 15 décès avant la vaccination commencé le 9 janvier. En 3 semaines post vaccinale le nombre total des morts a été multiplié par 5 et atteint maintenant 73. 

Bien entendu, les agences sanitaires qui ont recommandé les campagnes de vaccination nient qu’il puisse y avoir un lien de causalité entre les vaccins et la hausse de la mortalité car cela reviendrait à admettre leurs responsabilités. « Il ne s’agit que de coincidence temporelle,  la mortalité augmentait avant la vaccination, il n’y a pa de preuve que le vaccin soit responsable… ». Mais ce lien de causalité  possible devrait conduire au minimum à un moratoire en l’attente de résultats plus complets. Il serait important que les essais et les résultats des vaccinations soient précis, car si les anglais décident vraiment de multiplier les mélanges de vaccins, nous aurons du mal à analyser les conséquences  positives ou négatives de la vaccination.

Ces campagnes de vaccination expérimentales chez les personnes fragiles sont dangereuses

Le vieillissement s’accompagne d’une baisse d’efficacité du système immunitaire rendant les vaccins moins efficaces. Dans l’essai mené par Pfizer, l’efficacité était comparable chez les plus de 55 ans et chez les moins de 55 ans. Mais au-delà de 75 ans, le nombre de personnes participant à l’essai était trop faible pour juger du niveau d’efficacité.

 La vaccination de ces personnes est donc actuellement purement expérimentale. La Haute autorité de santé (HAS) recommande d’ailleurs que des études complémentaires soient menées dans cette sous-population. Ainsi que le constatait récemment l’éditorial du Lancet [18] :

« Peu de données sur la sécurité sont disponibles. La façon dont les vaccins fonctionnent chez les personnes âgées ou celles qui ont des conditions sous-jacentes et leur efficacité dans la prévention des maladies graves ne sont toujours pas claires. »

LAllemagne a suspendu la vaccination des pensionnaires d’Ehpad par le vaccin Astra-Zeneca pour trop faible efficacité.

La Norvège a émis le 15/1/2021 une alerte après la constatation de 23 décès après vaccin Pfizer chez des personnes âgées en Ehpad [19, 20]. Selon l’Institut norvégien de santé publique :

« pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves.

 Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

L’Institut norvégien de santé publique a ajouté depuis de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

La Grande-Bretagne a commencé la vaccination dans la première semaine de décembre 2020 en vaccinant prioritairement les personnes les plus âgées et aurait atteint dans ce groupe d’âge une couverture vaccinale de plus de 75%. Depuis la mortalité quotidienne des britanniques de plus de 80 ans a considérablement augmenté et dépasse maintenant celle de mars.

Des experts en santé de Wuhan, en Chine, ont notamment appelé la Norvège et d’autres pays à suspendre l’utilisation des vaccins COVID-19 à base d’ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer, en particulier chez les personnes âgées.

L’Administration australienne des produits thérapeutiques recherchera « des informations supplémentaires, à la fois auprès de la société, mais aussi auprès du régulateur médical norvégien », a déclaré Hunt. Le ministère australien des Affaires étrangères contactera également son homologue norvégien à ce sujet.

Malgré la censure qui règne sur les réseaux sociaux, de très nombreux témoignages apparaissent de soignants dans différents pays (USA, Suisse, France, Pays -Bas, Italie) qui s’étonnent de l’augmentation brutale de la mortalité des résidents d ‘Ehpad après vaccination.

Il parait donc actuellement prudent de suivre les conseils des agences, norvégienne et allemande et de surseoir à cette vaccination chez les personnes âgées fragiles, tant qu’on ne disposera pas de résultats de mortalité complets.

La mise sur le marché express de vaccins sans respecter le schéma classique des essais risque d’aboutir une catastrophe vaccinale et de nuire à la vaccination. 

Cette hâte incroyable n’était pourtant pas justifiée par la gravité intrinsèque de la maladie qui se comporte au niveau mondial comme une mauvaise grippe seulement aggravée par des mesures autoritaires sans fondements scientifiques autres que des simulations grossièrement fausses.

Dr Gérard Delépine


Notes :

1 Le courrier du soir Covid-19 : le vaccin sera obligatoire pour obtenir un travail, voyager, aller au resto ou assister à un événement, 20 aouts 2020

2 Le 9 juillet le comité scientifique dans VACCINS CONTRE LE SARS-CoV-2UNE STRATEGIE DE VACCINATION CARE se préoccupait surtout de la stratégie de la propagande « Vaccination contre la COVID-19 : une adhésion à construire « La communication devra explicitement préciser que l’accélération de la vitesse de développement des nouveaux vaccins ne concerne pas les étapes de sécurité, qui seront maintenues, mais les modes de développement et de production »

3 Rappelé dans Ile de France prévention santé https://www.lecrips-idf.net/professionnels/dossiers-thematiques/dossier-VIH-vaccin/VIH-vaccin-essai.htm 

4 Par exemple la souris adaptée à la recherche contre le Covid-19, est un animal génétiquement modifié, appelé ACE2, s’est trouvée en nombre insuffisant montrant ainsi la dépendance de la recherche envers les producteurs d’animaux de laboratoire.

5 Leila Marchand Coronavirus : les Etats-Unis manquent de singes pour leurs essais de vaccin, les échos 1/9/2020

6  Vennema, H. et al. Early death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

7   Hohdatsu, T., Nakamura, M., Ishizuka, Y., Yamada, H. & Koyama, H. A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

8 Interventional (Clinical Trial) Study to Describe the Safety, Tolerability, Immunogenicity, and Efficacy of RNA Vaccine Candidates Against COVID-19 in Healthy Individuals

Estimated Enrollment : 43998 participants
Allocation : Randomized
Intervention Model : Parallel Assignment
Masking : Triple (Participant, Care Provider, Investigator)
Primary Purpose : Prevention

Official Title : A PHASE 1/2/3, PLACEBO-CONTROLLED, RANDOMIZED, OBSERVER-BLIND, DOSE-FINDING STUDY TO EVALUATE THE SAFETY, TOLERABILITY, IMMUNOGENICITY, AND EFFICACY OF SARS-COV-2 RNA VACCINE CANDIDATES AGAINST COVID-19 IN HEALTHY INDIVIDUALS

Actual Study Start Date : April 29, 2020
Estimated Primary Completion August 3, 2021
Estimated Study Completion Date : January 31, 2023

9 Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com). Texte intégral du jugement en portugais publié : sur :http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30 

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

10 https://www.jle.com/en/revues/vir/e-docs/virus_et_genes_viraux_endogenes_evolution_et_impact_307413/article.phtml 

11 Ce fait suggère l’existence d’une activité de rétrotranscription naturelle, au sein des cellules de l’hôte, en l’absence de rétrotranscriptase identifiée et démontre que le risque d’une rétrotranscription de l’ARNm vaccinal, vectorisé, n’est pas impossible

12  Michèle Rivasi Communiqué de presse Bruxelles, 7 septembre 2020

13 Les fabricants de vaccins Covid-19 font pression sur l’UE pour obtenir une protection juridique, 26 août, 2020 https://www.ft.com/content/12f7da5b-92c8-4050-bcea-e726b75eef4d 

14 Astra Zeneca organise son exemption juridique, 30 juillet 2020 https://uk.reuters.com/article/us-astrazeneca-results-vaccine-liability/astrazeneca-to-be-exempt-from-coronavirus-vaccine-liability-claims-in-most-countries-idUKKCN24V2EN 

15 L’UE indemnisera les laboratoires en cas d’effets secondaires inattendus, 29 aouts 2020 https://www.capital.fr/entreprises-marches/vaccins-contre-la-covid-lue-indemnisera-les-laboratoires-en-cas-deffets-secondaires-inattendus-1379072 

16 Lise Barnéoud Ce que disent les documents sur les vaccins anti-Covid-19 volés à l’Agence européenne des médicaments Le monde 10 janvier2021  https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html 

17 La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien (francesoir.fr)

18 ÉDITORIAL Vaccins COVID-19 : pas le temps de la complaisance The Lancet VOLUME 396, NUMÉRO 10263, 21 NOVEMBRE 2020 https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)32472-7/fulltext 

19 Norway warns of side effects of Covid-19 vaccine on elderly …www.thelocal.no › Norway-warns-of…

20 Lars Erik Taralds La Norvège s’inquiète des vaccins pour les personnes âgées Bloomberg 16 janvier 2021 La source originale de cet article est Mondialisation.caCopyright © Gérard Delépine, Mondialisation.ca, 2021




L’ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19

[Source : Sott.net]

Par Pierre Lescaudron

Le présent article fait suite à celui intitulé « Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 », publié en juin 2020 [le 1er juillet pour la traduction française – NdT], que nous vous invitons à lire d’abord. La conclusion en était en partie la suivante :

« Il est probable qu’une épidémie de grippe apparaîtra d’ici la fin de l’année 2020, comme chaque année. Ce virus sera, comme par hasard, considéré comme un proche parent du Sras-Cov-2, qui présentera peut-être des « caractéristiques supplémentaires terrifiantes ».

Nul besoin toutefois de désespérer, car à ce moment-là, les pouvoirs publics auront préparé un vaccin. C’est l’une des raisons pour lesquelles l’hydroxycholoroquine a été interdite. Si un traitement sûr et efficace existe déjà, qui acceptera un vaccin précipité et inconnu ? Un vaccin qui protégera prétendument les gens contre le Covid-20, mais qui sera en réalité conçu pour « annuler » les changements bénéfiques induits par la souche mutée du Sras-Cov-2.
[…]
Il est probable que la vaccination ne sera pas obligatoire. N’oubliez pas que les pouvoirs publics sont devenus pour le moment « plus affables et plus dociles ». Au lieu de recourir à la force brute, ces autorités publiques sont plus susceptibles d’exercer un chantage moral : « Faites-vous vacciner pour protéger les autres ! », combiné à un chantage social : « Pas de vaccin = pas de travail, pas de shopping, pas de voyage, pas de socialisation ! ». En gros, vous êtes libre de choisir entre le passeport d’immunité ou une peine de prison à vie dans une cellule isolée. »

© Sott.net
Citation de Denis Rancourt

Nous voici 7 mois plus tard. Comme on pouvait s’y attendre, de nouveaux variants sont apparus, les décès dus au Covid-19 d’origine humaine s’accumulent, le passeport vaccinal a déjà été adopté par plusieurs pays et les vaccinations ont commencé partout dans le monde.

En théorie, les médicaments, vaccins compris, sont approuvés et utilisés parce que leurs bénéfices dépassent de loin leurs risques. En ce sens, le médicament idéal présenterait un risque zéro et une efficacité totale contre une maladie incurable et mortelle. Nous verrons dans le présent article que les « vaccins » Covid-19, en particulier celui de Pfizer, sont quasiment à l’opposé du médicament idéal. Ils sont dangereux, inefficaces et ciblent une maladie bénigne pour laquelle des traitements efficaces et sûrs sont déjà connus.

Où est la pandémie ?

Le taux de létalité

Selon l’OMS, en octobre 2020, environ 750 millions de personnes, soit environ 10 pour cent de la population mondiale, avaient été infectées par le Sras-CoV-2 et un million de personnes étaient mortes du Covid-19. Ces chiffres conduisent à un taux de létalité de 0,13 pour cent, qui correspond au taux typique de la grippe saisonnière. Lorsqu’il est traité correctement, comme à Marseille où le protocole de l’hydroxychloroquine et le diagnostic clinique précoce sont utilisés, le taux de létalité tombe à 0,05 pour cent.

À Singapour, où l’utilisation de l’hydroxichloroquine est très répandue et où aucun confinement national n’a jamais été imposé, le taux de létalité du Covid-19 est le même que celui de Marseille, soit 0,05 pour cent seulement (29 décès sur 59 000 cas).

Quel type de pandémie présente un taux de létalité égal ou inférieur à celui de la grippe saisonnière ?

Les véritables décès du Covid

Les chiffres ci-dessus sont basés sur les données officielles publiées par l’OMS. Ces chiffres, en particulier le nombre total de décès par Covid, sont largement exagérés grâce à diverses supercheries :

1/ Comorbidité

94 pour cent des personnes qui sont mortes du Covid-19 présentaient des facteurs de comorbidité. La majorité d’entre elles présentaient non pas un mais plusieurs facteurs de comorbidité, notamment l’hypertension, l’obésité, les maladies pulmonaires chroniques, le diabète et les maladies cardiovasculaires. Par exemple, un patient britannique atteint d’un cancer avancé, d’une insuffisance rénale et d’un diabète, et dont le test s’est révélé positif dans les 60 jours précédant son décès, verra sa mort automatiquement attribuée au Covid-19. Au Royaume-Uni, au moins 30 pour cent des décès attribués au Covid-19 sont en fait dus à une comorbidité.

2/ Faux positifs

De nombreux décès ont été attribués au Covid-19 uniquement sur la base d’un test PCR positif. Selon les mots de son inventeur Kary Mullis, prix Nobel de chimie 1993 :

« [les tests PCR] ne peuvent pas du tout détecter les virus infectieux en circulation […] Les tests peuvent détecter des séquences génétiques de virus, mais pas les virus eux-mêmes »

Par conséquent, les questions évidentes sont les suivantes : combien d’autres virus affichent des séquences virales similaires à celles du Sras-CoV-2 et sont ensuite détectés et sont étiquetés à tort comme étant des Sras-CoV-2 ? Combien de séquences virales non pathogènes et non transmissibles du Sras-CoV-2 conduisent à un test PCR « positif » ?

Pour couronner le tout, le nombre de cycles d’amplification de la PCR pose un sérieux problème. Selon le CDC, il est pratiquement impossible de détecter un virus vivant au-delà d’un seuil de 33 cycles. Cependant, de nombreux États effectuent 4045 voire 50 cycles d’amplification. Par exemple, un test positif obtenu à 40 cycles a environ 43 pour cent de chances de ne plus être positif avec un seuil de 35, et 85 pour cent de chances avec un seuil de 30.

Le test antigène est encore pire que le test PCR, puisqu’il entraîne 63 pour cent de faux positifs en plus ! Ces tests sont si peu fiables que même l’OMS en déconseille l’utilisation.

3/ Interdiction des traitements efficaces

À Marseille, en France, où un diagnostic précoce est établi et suivi d’un traitement approprié, notamment l’hydroxychloroquine combinée à l’azythromycine, le taux brut de mortalité est de 0,01 pour cent. À environ 700 kilomètres de là, à Paris, où le diagnostic est tardif et où l’interdiction de ces deux médicaments est appliquée, le taux de mortalité global grimpe à 0,075 pour cent. Cela représente une augmentation d’un facteur de 7,5.

Comme à Marseille, le Belarus et l’Islande ont effectué un diagnostic précoce et/ont administré des soins appropriés et ils figurent parmi les pays où le nombre de décès par Covid-19 est le plus faible, avec respectivement 1 560 (taux de mortalité brut de 0,016 pour cent) et 29 (taux de mortalité brut de 0,008 pour cent) à la mi-janvier 2021. Dans la même veine, le Vietnam qui utilise le diagnostic précocel’hydroxichloroquine et n’a pas mis en place de confinement national, la mortalité brute due au Covid-19 est de 0,000036 pour cent (35 décès pour 96 millions d’habitants)

4/ Transfert du nombre de victimes de la grippe

L’hémisphère sud semble avoir purement et simplement échappé à la grippe saisonnière de l’hiver 2020, où les décès dus à la grippe ont diminué de 90 pour cent par rapport aux années précédentes. Selon les principaux médias, cette baisse des décès dus à la grippe est imputable au confinement. Si c’est le cas, comment expliquer que la France ait enregistré un nombre étonnamment bas de décès dus à la grippe pendant la saison 2019-2020 qui s’est terminée avant l’imposition du confinement le 17 mars ? En effet, seuls 3 680 décès dus à la grippe ont été enregistrés durant l’hiver 2019-2020. Cela représente une baisse de 70 pour cent par rapport à la moyenne des dix dernières années.

Un autre récit classique explique cette baisse brutale et inattendue du nombre de victimes de la grippe par le fait que le coronavirus empêche l’activité d’autres virus. Mais les virus n’ont aucune difficulté à cohabiter. Par exemple, rien qu’en Europe, pendant la saison de la grippe 2019/2020, au moins six souches actives de grippe ont été détectées : type A A(H1N1)pdm09, A(H3N2)) A(Inconnu), B/Victoria, B/Yamagata et B/Unknown, et nous savons que le Sras-CoV-2 était sur le continent depuis au moins le 2 décembre 2019.

Dans l’hémisphère nord, la France n’est pas le seul pays à avoir enregistré la disparition de la grippe saisonnière. Les États-Unis et le Royaume-Uni ont respectivement fait état d’une diminution stupéfiante de 98 pour cent et 90 pour cent des décès qui lui sont attribués.

En se basant sur le nombre hyper exagéré de décès par Covid de l’OMS, qui est de 1,7 million en janvier 2021, on peut déduire les chiffres suivants :

  • Les décès faussement positifs, c’est-à-dire les patients qui n’ont même pas eu le Covid, représentent au moins 33 pour cent du nombre total de décès attribués au Covid-19. Cela représente 700 000 sur 1,7 million ;
  • Les décès dus à des comorbidités représentent 30 pour cent du nombre total de décès attribués au Covid, soit 500 000 sur 1,7 million ;
  • Environ 90 pour cent du nombre de décès dus généralement à la grippe a été imputé au Covid, soit 300 000 décès sur 1,7 million.

En fonction des chevauchements entre ces trois types de décès non liés au Covid-19, le nombre réel de décès liés au Covid-19 peut être estimé entre 300 000 et 1,1 million.

Cette fourchette ne tient même pas compte de la réduction par 7 de la mortalité liée à un diagnostic précoce approprié et à un traitement adéquat. En tenant compte de ce paramètre, la mortalité totale due au Covid-19 avec un diagnostic précoce et des soins appropriés diminuerait de 40 000 à 140 000 victimes dans le monde. Notez que les estimations ci-dessus sont très prudentes, nous sommes donc amenés à nous demander si le Sras-CoV-2 a véritablement causé de façon directe un nombre important de décès.

Quel type de pandémie provoque bien moins de décès que la grippe saisonnière ?

Excès de mortalité

La surmortalité comprend les décès attribués au Covid-19 ainsi que les nombreux décès dus au confinement. Comme nous le verrons, il est probable que ces derniers ont provoqué beaucoup plus de décès que le Covid-19 lui-même.

1/ Retards dans les traitements et les diagnostics

En Angleterre et au Pays de Galles, seul un tiers de la surmortalité observée dans les maisons de retraite médicalisées et les résidences privées peut s’expliquer par le Covid-19, les deux tiers restants sont dus à des citoyens âgés qui se sont vu refuser les soins primaires et « qui auraient pu vivre plus longtemps s’ils avaient pu se rendre à l’hôpital ». Ce problème est particulièrement vrai pour les patients atteints de cancer. Au Royaume-Uni, le fait d’en avoir empêché le diagnostic et le traitement médical pourrait entraîner la mort de 18 000 patients supplémentaires.

2/ Conditions psychiatriques

Une méta-analyse de la santé mentale de la population générale a été publiée en décembre 2020. Comme prévu, la « pandémie » a considérablement aggravé le problème :

« Des taux relativement élevés de symptômes d’anxiété (6,33 pour cent à 50,9 pour cent), de dépression (14,6 pour cent à 48,3 pour cent), de stress post-traumatique (7 pour cent à 53,8 pour cent), de détresse psychologique (34,43 pour cent à 38 pour cent) et de stress (8,1 pour cent à 81,9 pour cent) ont été signalés pendant la pandémie de Covid-19 au sein des populations en Chine, en Espagne, en Italie, en Iran, aux États-Unis, en Turquie, au Népal et au Danemark […] La pandémie de Covid-19 est associée à des niveaux très élevés de détresse psychologique qui, dans de nombreux cas, atteindraient le seuil de gravité clinique. »

Source

Il convient de noter que l’espérance de vie des personnes souffrant de maladies mentales est inférieure d’environ 8 ans à celle de la population générale.

3/ Suicide

Les chiffres définitifs concernant les décès en 2020 n’ont pas encore été compilés. Cependant, la tendance est déjà claire. Selon certaines études, le suicide a augmenté de 145 pour cent. En toute logique, les tendances suicidaires ont augmenté parallèlement aux suicides avérés, l’Inde, par exemple, enregistrant une hausse de 67,7 pour cent des signalements de comportements suicidaires pendant le confinement. De même, en Chine, l’apparition de très fréquentes pensées suicidaires a été constatée tandis qu’au Canada, on prévoit une augmentation de 500 pour cent des suicides.

4/ Alcoolisme et toxicomanie

L’abus d’alcool a fortement augmenté pendant la « pandémie ». Au Royaume-Uni, le nombre d’appels à la ligne d’assistance du British Liver Trust a augmenté de 500 pour cent depuis le début du confinement en mars. De même, Alcohol Change a pendant le confinement enregistré une augmentation de 242 pour cent des visites sur les pages de conseil et de soutien de son site Web. Les enquêtes sur la consommation d’alcool révèlent une situation similaire, avec 21 pour cent des personnes déclarant qu’elles buvaient plus souvent pendant le confinement. Les gros buveurs sont les plus touchés : 38 pour cent de ceux qui buvaient beaucoup avant le confinement ont déclaré qu’ils buvaient encore plus pendant le confinement. Aux États-Unis, une augmentation de 54 pour cent des ventes nationales d’alcool a été enregistrée pour la semaine se terminant le 21 mars 2020, par rapport à l’année précédente.

De même, les surdoses de drogues ont fortement augmenté en 2020. Par exemple, aux États-Unis, les surdoses ont tué le nombre stupéfiant de 81 000 personnes, soit une augmentation de 38 pour cent des surdoses mortelles par rapport à 2019.

5/ Pauvreté

Selon la Banque mondiale, la « pandémie » pourrait plonger environ 100 millions de personnes supplémentaires dans l’extrême pauvreté. La différence d’espérance de vie entre un individu en situation d’extrême pauvreté et un individu riche est d’au moins 20 ans. Il faut toutefois préciser que la plupart des décès provoqués par la montée de l’extrême pauvreté ne se produiront pas immédiatement mais dans les années, voire les décennies, qui suivront cette crise économique mondiale fabriquée de toutes pièces.

En dépit du nombre de décès dus au confinement et à ses conséquences plutôt qu’au Covid-19, de nombreux pays n’ont même pas enregistré d’augmentation de la surmortalité pendant la pandémie. C’est le cas de l’Allemagne où l’hydroxychloroquine a été utilisée et où de nombreux diagnostics précoces ont été effectués. Mieux que cela, l’Islande — qui a mis en œuvre l’une des approches de diagnostic précoce les plus efficaces au monde — affiche un taux de mortalité en 2020 inférieur à sa mortalité annuelle moyenne. Mais la cerise sur le gâteau est la Chine, où environ 55 tonnes d’hydroxychloroquine ont été consommées en 2020 et où aucun confinement national n’a été mis en place : en conséquence, la Chine n’a connu pratiquement aucun décès dû au Covid depuis avril 2020.

© ourworldindata.org
Les décès quotidiens du Covid-19 en Chine

Même la France, qui a interdit l’hydroxychloroquine et l’azythromycine et a mis en place des mesures de confinement et des couvre-feux prolongés, a connu un taux de mortalité au printemps 2020 inférieur à celui de la saison de la grippe de 2017, et depuis le 1er mai 2020, aucune augmentation de la mortalité n’a été constatée.

Quel type de pandémie n’entraîne pas un excès marqué de mortalité ?

Espérance de vie

En France, et avant même d’être testées positives pour le virus, 80 pour cent des victimes présumées du Covid-19 avaient une espérance de vie inférieure à un an en raison de comorbidités et d’un âge avancé. Dans l’ensemble, les victimes du Covid-19 avaient une espérance de vie d’à peine 3 ans et 82 pour cent des victimes avaient plus de 70 ans. L’âge moyen d’un décès Covid-19 est de 82 ans, soit quelques mois de moins que l’espérance de vie globale.

Dans plusieurs pays, l’âge moyen des décès attribués au Covid-19 est même supérieur à l’espérance de vie. Par exemple, au Royaume-Uni, l’âge moyen des décès attribués au Covid-19 est de 82,6 ans alors que l’espérance de vie moyenne y est de 81,2 ans. En Suède, l’âge moyen des personnes qui seraient mortes du Covid-19 est de 84 ans, soit deux ans de plus que l’âge moyen des décès qui y est de 82 ans.

En raison de l’âge très avancé des personnes qui seraient mortes du Covid-19, de nombreux pays n’ont pas connu de baisse de l’espérance de vie. C’est le cas de la Chine qui a enregistré 4 600 décès attribués au Covid-19 sur une population de 1,4 milliard d’habitants, ou de l’Islande et de ses 19 victimes du Covid sur 400 000 citoyens islandais.

Même en France, où beaucoup de personnes âgées ont été condamnées à mourir dans des maisons de retraite, où des mesures de confinement draconiennes ont été mises en place, où le diagnostic et les soins ont été retardés pour des affections graves et où des médicaments efficaces contre le Covid-19 ont été interdits et des médicaments toxiques comme le Rivotril ou le Remdesivir ont par contre été administrés, l’espérance de vie n’a diminué que de 5 mois.

Quel type de pandémie ne diminue pas sensiblement l’espérance de vie ?

En résumé, la victime type du Covid-19 est une personne octogénaire qui vit dans une maison de retraite et qui présente plusieurs comorbidités. En général, cette personne est morte à cause du désespoir de l’isolement social et du retard dans le diagnostic et le traitement de ses graves comorbidités. Dans de nombreux cas, le patient n’avait même pas le Covid-19. Toutefois, le Covid-19 l’a bien tué, non pas directement, mais par l’isolement et le refus de soins induits par la pandémie d’hystérie bien orchestrée.

Pour résumer, nous faisons l’expérience d’une « pandémie » assez particulière qui présente un taux de létalité inférieur à celui de la grippe saisonnière, qui tue moins que les maladies infectieuses habituelles, qui n’a pas provoqué de surmortalité marquée et qui n’a pas vraiment réduit l’espérance de vie.

Les traitements disponibles

Non seulement le Covid-19 est une maladie bénigne, mais elle peut être soignée par de nombreux traitements sûrs, efficaces et peu coûteux : l’artémisiala vitamine C à forte dose, la vitamine Dle cuivrele zincla doxycyclinela fluvoxaminela bromhexinela colchicinel’ivermectinel’azythromycine et, bien sûr, l’hydroxychloroquine. En outre, la combinaison de certains de ces médicaments a révélé des synergies bénéfiques, notamment un cocktailhydroxychloroquine + azythromycine + zinc. Notez également que l’efficacité des médicaments susmentionnés a été publiée dans des revues à comité de lecture il y a plusieurs mois.

Un bon exemple est l’hydroxychloroquine dont l’efficacité contre le Covid-19 a été testée dans pas moins de 195 articles publiés. La conclusion de la méta-analyse statistique de ces articles ne pourrait être plus claire :

« L’hydroxychloroquine est un traitement efficace contre le Covid-19. La probabilité qu’un traitement inefficace produise des résultats aussi positifs que les 166 études réalisées à ce jour est estimée à 1 sur 1 quadrillion (p = 0,00000000000000099). »

Source

Une autre façon de déterminer l’efficacité de l’hydroxychloroquine est simplement de vérifier si les articles scientifiques publiés ont reçu un financement de Gilead — la société américano-israélienne, bourrée de conflits d’intérêts — qui produit le désormais tristement célèbre Remdesivir.

En cas de conflit d’intérêts avec Gilead,73 pour centdes articles affirment que l’hydroxychloroquinene fonctionne pas, et s’il n’y a pas de conflit d’intérêts,83 pour centdes articles concluent que l’hydroxychloroquinefonctionne. C’est aussi simple que cela.

© IHUM
Chloroquine et mortalité du Covid-19

Malgré son efficacité testée à plusieurs reprises, l’hydroxychloroquine a été interdite dans un certain nombre de pays occidentaux. En revanche, il n’a fallu qu’un seul faux article scientifique (démystifié peu après) pour que les États achètent du Remdesivir pour des milliards de dollars avant d’administrer ce produit par ailleurs toxique en plus d’être inefficace.

La raison de la suppression des traitements connus est au moins double :

  • sociale : le refus de soigner pour augmenter délibérément le nombre de décès et donc la peur dans la population, ce qui conduit à l’acceptation peu enthousiaste des vaccins ;
  • juridique : l’approbation accélérée par la FDA d’un nouveau médicament n’est possible que lorsque la maladie ciblée « n’a pas de remède ». La suppression des remèdes connus a permis au « vaccin » Pfizer d’être approuvé après deux mois d’essais limités et un maigre rapport des tests, alors qu’une approbation correcte de la FDA nécessite environ 12 années d’essais approfondis et une demande d’homologation pour un nouveau médicament de plus de 100 000 pages.

Pour résumer, le Covid-19 est une maladie bénigne pour laquelle il existe de nombreux traitements sûrs et efficaces. Dans ce contexte, l’approche logique serait d’augmenter le diagnostic clinique précoce et de diffuser et d’améliorer les stratégies thérapeutiques existantes. Ce n’est pas ce que les élites ont décidé, surtout dans le monde occidental. Elles ont plutôt interdit les traitements efficaces et, parmi toutes sortes de vaccins douteux, ont imposé le pire, le « vaccin » à ARN de Pfizer sur lequel nous allons maintenant concentrer notre attention.

« Vaccin » à ARNm ou thérapie génique ?

En dépit de son nom, le « vaccin » de Pfizer s’apparente davantage à la thérapie génique, dont la définition est la suivante : « l’utilisation de l’apport thérapeutique d’acides nucléiques dans les cellules d’un patient ». Le « vaccin » de Pfizer est exactement cela, une séquence d’ARN artificielle délivrée par des nanolipides dans les cellules du patient, pour les pirater et les inciter à produire la protéine Spike que l’on trouve dans le Sras-CoV-2, ou au moins dans l’un de ses anciens variants. De là, l’hôte devrait réagir à cette protéine en produisant des anticorps. Si la quantité d’anticorps est trop importante, il se produit une tempête immunitaire [aussi appelé choc cytokinique ou encore tempête de cytokines – NdT] ; si la quantité d’anticorps est insuffisante, l’immunité induite est inutile.

Remarquez que la thérapie génique n’a jamais été utilisée à grande échelle. Elle n’a été utilisée que dans des protocoles expérimentaux anti-tumoraux de phase 1. Les médicaments étaient tellement toxiques que les essais de phase 2 n’ont jamais été réalisés. Les « vaccins » à ARN contre le Mers et le Sras ont suivi la même trajectoire conduisant à l’échec.

En 1999, le généticien Alain Fischer, a mené le premier essai clinique avec quelques rares résultats positifs dans le monde des thérapies géniques [pour les lecteurs francophones qui aimeraient en savoir plus sur Fischer dans le cadre des thérapies géniques qu’il a menés, lire cette interview menée par La Jaune et la Rouge en janvier 2002 – NdT]. Ce même Alain Fischer a été nommé expert en vaccins par les autorités françaises. Interrogé sur le « vaccin » Pfizer, Fischer a répondu avec prudence, soulignant que les effets de l’infectiosité et la durée de l’immunité étaient inconnus, que les effets secondaires étaient inévitables et que la crainte du vaccin était compréhensible. De toute évidence, l’analyse de Fischer ne correspondait pas au discours pro-vaccin, puisqu’il ne bénéficie plus [aujourd’hui – NdT] d’une exposition médiatique.

Un « vaccin » au mieux inutile, au pire nuisible ?

L’histoire des vaccins est pleine de scandales majeurs. En voici quelques exemples :

  1. Le vaccin de Salk contre la polio qui a provoqué la pire épidémie de polio de l’histoire en infectant 200 000 personnes avec un poliovirus vivant, dont 70 000 sont tombées malades ;
  2. La prévalence actuelle de la poliomyélite causée par les vaccins par rapport à la poliomyélite d’origine naturelle ;
  3. Le vaccin contre la dengue déclenchant la production d’anticorps qui ne sont pas nuisibles mais bénéfiques au virus de la dengue, ce qui entraîne des formes plus graves de la maladie ;
  4. Et n’oublions pas Bergame, en Italie, où la population a connu une forte prévalence de formes graves de Covid-19 parmi les personnes vaccinées. Il n’y a pas de mystère, car depuis des années, on sait que le vaccin anti-grippe favorise et aggrave les infections à coronavirus.

De même, les vaccins contre les proches parents du Sras-CoV-2 comme le Sras ou le Mers, qui comme le « vaccin » Pfizer ciblent la protéine Spike, ont également été testés mais rapidement abandonnés, l’un des principaux effets indésirables étant la création d’anticorps qui ne préviennent pas mais favorisent les infections virales.

Les vaccins contre la dengue, la grippe, le Sras et le Mers partagent le même défaut fondamental, bien connu des scientifiques sous le nom de renforcement dépendant des anticorps[ou facilitation de l’infection par des anticorps – NdT], causé par le vaccin qui, au lieu de fournir une immunité, augmente la vulnérabilité à et la gravité de la maladie qu’il cible. Dans ce contexte, il ne serait pas surprenant que les « vaccins » à ARN déclenchent des formes plus graves de Covid-19.

En outre, comme la plupart des rétrovirus, le Sras-CoV-2 est extrêmement enclin aux mutations. L’analyse de 10 000 de ses génomes a révélé un nombre élevé de modifications génétiques :

« 2 969 mutations faux-sens, 1 965 mutations silencieuses, 484 mutations dans les régions non codantes, 142 suppressions non codantes, 100 suppressions dans le cadre de lecture, 66 insertions non codantes, 36 variants à mutation ponctuelle, 11 suppressions de décalage du cadre de lecture et deux insertions dans le cadre de lecture. »

Source

Ce nombre important de variations génomiques a conduit à l’émergence d’au moins 14 variants distincts, dont le « variant anglais » qui présente 23 mutations détectables, dont 70 pour cent sont situées sur sa protéine Spike, qui est la cible même du « vaccin » Pfizer.

© Nextstrain
Variants Sras-CoV-2

Que ce soit une coïncidence ou pas, le Remdevisir mentionné ci-dessus a été testé sur des patients britanniques dans au moins 15 centres de santé différents et largement administré après sa pseudo-approbation. Il est désormais établi que le Remdevisir déclenche des mutations dans le Sras-CoV-2, en particulier dans sa protéine Spike. Étant donné sa propriété mutagène et son utilisation au Royaume-Uni, la question évidente est la suivante : « Le Remdesivir a-t-il joué un rôle dans l’apparition du variant anglais ? »

Quoi qu’il en soit, dans la seule ville de Marseille, pas moins de 33 patients sont tombés malades à deux reprises, du variant appelé Marseille 1, puis du variant Marseille 4. Pire encore, toujours à Marseille, un patient a été infecté trois fois par des variants du Sras-CoV-2 en seulement neuf mois.

La réinfection par le Sras-CoV-2 est suffisamment répandue pour que les scientifiques ne se demandent plus si elle se produit, mais comment elle se produit :

« la possibilité de réinfection par le Sras-CoV-2 n’est pas bien comprise […] une exposition antérieure au Sras-CoV-2 ne se traduit pas nécessairement par une immunité totale garantie. Les implications des réinfections pourraient être pertinentes pour le développement de vaccins […] L’analyse génomique du Sras-CoV-2 a montré des différences génétiquement significatives entre chaque variant associé à chaque cas d’infection. »

Source

Ces réinfections suggèrent que l’immunité naturelle contre le Covid-19 pourrait ne durer que quelques mois, l’une des raisons de cette courte immunité étant probablement les nombreuses mutations du Sras-CoV-2. Si l’immunité naturelle n’empêche pas une réinfection rapide, le « vaccin » Pfizer, qui, contrairement à l’immunité naturelle, ne cible qu’une petite partie du virus — à savoir sa protéine Spike, qui a considérablement changé depuis la conception du « vaccin » — devrait donner des résultats encore plus médiocres. En conclusion, il est peu probable que le « vaccin » Pfizer confère une immunité durable, si tant est qu’il en confère une tout court, en particulier contre les variants actuels et futurs.

Ce qui précède n’est pas seulement théorique. En Israël, par exemple, pas moins de 12 400 résidents ont été testés positifs au Sras-CoV-2 après avoir reçu le « vaccin » Pfizer, parmi lesquels 69 personnes qui avaient déjà reçu la deuxième dose.

La méthodologie du « vaccin » Pfizer

1/ Objectifs de procédure inappropriés

L’essai de Pfizer avait pour objectif principal d’évaluer, 28 jours après la première inoculation, la fréquence des formes légères à sévères du Covid-19. Le taux de mortalité, l’infectiosité, la durée de l’immunité (le cas échéant), ou même l’apparition de formes légères à sévères à long terme n’ont pas été étudiés. Mais, attendez une minute, toute la pandémie et l’hystérie vaccinale ont été construites sur ces mêmes craintes de mort et de contamination, nous avons entendu ad nauseam les injonctions des médias : « les gens meurent en masse », « faites-vous vacciner pour éviter d’infecter les autres », « faites-vous vacciner pour être immunisé contre le Covid-19 », « faites-vous vacciner pour éviter de mourir du Covid-19 », etc.

2/ Partialité du groupe testé

La sélection des essais, en particulier l’âge combiné à l’état de santé, constitue un autre préjugé frappant. Nous avons montré ci-dessus que les personnes fragiles et âgées sont de loin les plus susceptibles de souffrir du Covid-19. Mais seulement 2 pour cent de l’essai de Pfizer comprend des patients de plus de 75 ans et souffrant de maladies préexistantes. En outre, les sujets de tout âge présentant des comorbidités sont nettement sous-représentés :

« Au total, seule une personne sur cinq semble souffrir d’une affection sous-jacente, et pour les différentes affections sous-jacentes individuelles, le pourcentage de personnes qui en souffrent est souvent inférieur à 1 pour cent. »

Source

De plus, la taille limitée du groupe vaccinal (environ 20 000 participants) ne présente pas toutes les combinaisons âge – race – sexe – maladie – traitement – profil génétique rencontrées dans la population générale. Il n’existe aucune donnée de sécurité concernant les enfants, les personnes immunodéprimées ou les femmes enceintes, pour la bonne et simple raison qu’ils ont été exclus de l’essai.

Fondamentalement, Pfizer a sélectionné des sujets jeunes et sains pour tester un « vaccin » qui est maintenant administré en priorité aux personnes âgées et malades. Quel est l’intérêt d’étudier de jeunes individus en bonne santé, qui, vaccinés ou non, sont de toute façon à peine touchés par le Covid-19 ? Ce préjugé minimise-t-il les effets secondaires et maintient-il l’illusion d’un « vaccin » sûr ?

3/ Placebo au lieu de médicaments dont l’efficacité est connue

Un nouveau médicament est testé contre un placebo lorsque la maladie ciblée n’a pas de remède connu. Dans le cas du Covid-19, il existe plusieurs remèdes connus auxquels Pfizer aurait dû comparer son « vaccin ».

C’était le concept de l’essai clinique Discovery qui comparait le Remdesivir, l’hydroxychloroquine et d’autres médicaments. Lorsque les résultats préliminaires ont commencé à montrer que l’hydroxychloroquine était le plus efficace, elle a rapidement été retirée des essais. Pfizer n’a pas fait la même erreur en testant son nouveau médicament contre un médicament efficace. Au lieu de cela, ils ont testé leur « vaccin » contre un placebo.

4/ Conception et traitement unilatéral des données

Aucune partie tierce n’a été impliquée dans la conception de l’essai, son suivi et le traitement des résultats. Toute l’étude a été conçue, menée, analysée, publiée et payée par l’entreprise Pfizer elle-même.

Comme l’a déclaré le neurologue néerlandais Jan B. Hommel :

« Le fait qu’un comité indépendant sur les données et la sécurité ait pu voir les données ne change rien à cela, pour la simple raison qu’il n’était pas inclus ni n’a rien eu à dire dans la conception de la recherche, la sélection des participants, les statistiques utilisées ou la publication. […] Je n’ai pas besoin d’expliquer ici comment une telle façon de faire peut conduire à des résultats biaisés de la recherche scientifique, parce que cette question a fait l’objet de recherches et de publications approfondies au cours des vingt dernières années. »

Bénéfices

Le principal argument marketing du « vaccin » de Pfizer est son efficacité supposée de 95 pour cent. Ce chiffre est la seule affirmation de Pfizer et il doit être pris avec des pincettes en raison de nombreux facteurs :

1/ Les précédents de Pfizer

Nous devons d’abord comprendre le contexte de l’entreprise à laquelle nous avons affaire ici. Pfizer est la plus grande entreprise pharmaceutique au monde et c’est également l’entreprise qui a été condamnée à la deuxième plus grosse amende pénale de l’histoire des États-Unis pour avoir menti sur l’un de ses médicaments et avoir soudoyé des médecins. Cette amende record n’est qu’un exemple parmi d’autres. Pfizer a été condamné à de nombreuses reprises pour avoir dissimulé les principaux effets secondaires du Protonix, caché les propriétés cancérigènes du Prempro, menti sur le comportement suicidaire provoqué par le Chantix, fait la promotion de la Depo-Testosterone comme étant efficace et sûre alors qu’elle est inefficace et induiit des effets secondaires importants, et mené des essais cliniques illégaux pour le Trovan au Nigeria, qui a causé la mort de 11 enfants. La liste des crimes commis par Pfizer ne cesse d’augmenter.

N’oublions pas non plus que grâce à la vente mondiale de son « vaccin » à ARN, Pfizer encaissera 14 milliards de dollars par an — soit plus que le PIB du Nicaragua.

2/ Efficacité relative versus efficacité absolue

Au cours de l’essai clinique de Pfizer, 8 cas de Covid-19 ont été trouvés dans le groupe des 20 000 personnes vaccinées et 86 cas dans le groupe placebo de 20 000 personnes. Cela signifie que le taux de contamination au Covid-19 est de 0,0004 dans le groupe du vaccin et de 0,0043 dans le groupe placebo. Par conséquent, la réduction absolue du risque pour un individu n’est que d’environ 0,4 pour cent (0,0043 – 0,0004 x 100).

Le « nombre de personnes qui a besoin d’être vacciné (NNTV) » est égal à 256 (1 / 0,0039), ce qui signifie que pour prévenir un seul cas de Covid-19, 256 personnes doivent recevoir le « vaccin » ; les 255 autres personnes ne retirent aucun bénéfice, mais sont soumises à ses nombreux effets indésirables [le NNTV est une métrique utilisée dans l’évaluation des vaccins et dans la détermination de la politique de vaccination. Il s’agit d’une application spécifique du nombre nécessaire pour traiter la métrique qui intègre les implications de l’immunité collective – NdT].

3/ Exclusion des cas suspects

L’efficacité (relative) revendiquée de 95 pour cent a été obtenue en excluant un total de 3 410 cas Covid-19 suspectés, mais non confirmés (probablement en raison de faux négatifs). Lorsque ces 3 410 cas suspects sont réintégrés, l’efficacité relative tombe à 19 pour cent (ce qui est bien inférieur au seuil d’efficacité de 50 pour cent fixé par les autorités de réglementation) et la réduction absolue du risque tombe à un ridicule 0,08 pour cent.

4/ Résultats non reproduits

La pierre angulaire de tout travail scientifique est sa reproductibilité. Les résultats de l’essai clinique ont été publiés dans une revue à la fin de 2020, mais les essais cliniques n’ont pas été reproduits et il est peu probable qu’ils le soient, car aucune entreprise pharmaceutique ne réalisera d’essais cliniques coûteux pour une molécule brevetée par un concurrent. Nous n’avons donc que la parole de Pfizer, qui est également un criminel récidiviste.

En résumé, selon Pfizer, l’avantage de son « vaccin » repose sur une réduction des symptômes de la grippe chez les jeunes en bonne santé. Ils ne savent pas, ou plutôt, ils ne veulent pas que nous sachions, ce qui importe vraiment : les symptômes chez les personnes fragiles et âgées, la mortalité, l’infectiosité ou la durée de l’immunité. Nous commençons à en avoir une idée.

L’ironie est que le « vaccin » n’a même pas atteint son objectif principal (et non pertinent) qui était la réduction de la forme grave du Covid-19. On peut lire dans l’éditorial du New England Journal of Medicine où ont été publiés les résultats de l’essai clinique de Pfizer :

« Le nombre de cas graves de Covid-19 (un dans le groupe du vaccin et neuf dans le groupe placebo) est trop faible pour que l’on puisse tirer des conclusions quant à savoir si les rares cas qui surviennent chez les personnes vaccinées sont réellement plus graves. »

Les risques du vaccin Pfizer

On sait peu de choses sur les bénéfices du « vaccin » de Pfizer et le peu qui est revendiqué n’est pas pertinent. Mais les informations sur les risques arrivent lentement, et les résultats ne sont pas très reluisants.

1/ Les effets indésirables du « vaccin»

Selon la FDA, le « vaccin » Pfizer peut provoquer de nombreux « effets indésirables » graves, et ce ne sont que les effets indésirables connus induits par les vaccins « traditionnels » et leurs adjuvants habituels :

© FDA
Les effets indésirables du « vaccin » Pfizer

Note du traducteur : La FDA a émis dans sa Présentation de la réunion de la commission du 22 octobre 2020, un avis sur les vaccins et produits biologiques connexes, ***Sous réserve de modifications***. Pour ce qui concerne la surveillance de l’innocuité des vaccins Covid-19, le rapport de la FDA liste — dans une ébauche — la survenue possible d’effets indésirables, dont la mort ; cette liste se trouve à la page 16 dudit rapport, d’où est tiré l’image ci-dessus :

  • Syndrome de Guillain-Barré ;
  • Encéphalomyélite aiguë disséminée ;
  • Myélite transverse ;
  • Encéphalite / Myélite / Encéphalomyélite / Méningo-encéphalite / Méningite / Encéphalopathie ;
  • Convulsions / Crises ;
  • AVC ;
  • Narcolepsie et cataplexie ;
  • Anaphylaxie ;
  • Infarctus aigu du myocarde ;
  • Myocardite / Péricardite ;
  • Maladie auto-immune ;
  • Décès ;
  • Fausse couche ;
  • Autres maladies démyélinisantes aiguës ;
  • Réactions allergiques non anaphylactiques ;
  • Thrombocytopénie ;
  • Coagulation intra-vasculaire disséminée ;
  • Thrombo-embolie veineuse ;
  • Arthrite et arthralgie / Douleurs articulaires ;
  • Maladie de Kawasaki ;
  • Syndrome inflammatoire multi-systémique chez les enfants ;
  • Maladie renforcée par le vaccin.

Les effets à long terme des vaccins sont connus pour être parmi les plus dévastateurs. Ainsi, en plus de la liste ci-dessus, il est très probable que de nombreux autres effets indésirables graves induits par les « vaccins » à ARN seront progressivement identifiés, comme la maladie de Lou Gehrig, la maladie d’Alzheimer, le cancer et la sclérose en plaques, comme le suggère Judy Mikovitz [Voir un extrait de cet échange vidéo traduit en français dans cet article – NdT].

L’infertilité sera probablement un autre effet secondaire « inattendu » à long terme puisque la protéine Spike ciblée est très similaire à la syncytine, une protéine impliquée dans le développement du placenta [la syncytine est également présente dans le sperme – NdT]. Lorsque Pfizer a testé ses « vaccins » sur des rats, il a constaté une baisse de 50 pour cent du comportement reproductif par rapport aux rats non vaccinés. C’est probablement pour cacher cet effet secondaire que Pfizer a exclu les femmes enceintes de son essai.

Les effets indésirables des vaccins énumérés ci-dessus sont de plus en plus considérés par les autorités comme une conséquence du Covid-19. C’est le cas du syndrome de Guillain-Barré qui, depuis décembre 2020 et peu après le début de la campagne de vaccination, serait causé par le Covid-19. Jusqu’alors, aucune causalité entre les deux n’était revendiquée, si ce n’est une aggravation des symptômes du Covid-19 chez les patients atteints du syndrome de Guillain-Barré. Il en va de même pour le syndrome inflammatoire multi-systèmes chez les enfants, qui est maintenant considéré comme étant causé par le Sras-CoV-2, et pour le syndrome de Kawasaki, une réaction vaccinale avérée qui est maintenant imputée au Covid-19.

Pour minimiser encore les effets potentiellement dévastateurs du « vaccin » Pfizer, un rapport des CDC indique que l’anaphylaxie est à l’origine d’un nombre croissant d’effets indésirables.

Tout serait parfait, sauf que lorsque l’on calcule le pourcentage d’incidence de ces événements, on obtient les chiffres suivants :

  • 14 décembre : 3 / 679 = 0,4 pour cent ;
  • 15 décembre : 50 / 6 090 = 0,8 pour cent ;
  • 16 décembre : 373 / 27 823 = 1,3 pour cent ;
  • 17 décembre : 1 476 / 67 963 = 2,2 pour cent ;
  • 18 décembre : 3 150 / 112 807 = 2,8 pour cent.

Comme vous pouvez le constater, le taux d’incidence de l’« anaphylaxie » ne cesse d’augmenter. Il a été multiplié par sept, passant de 0,4 à 2,8 pour cent en cinq jours seulement, ce qui laisse supposer que le vaccin a des effets indésirables retardés qui peuvent mettre des jours à se manifester. Le problème est que l’anaphylaxie est connue pour se manifester presque immédiatement après l’exposition à l’agent allergène :

« Les symptômes peuvent commencer quelques secondes ou minutes après l’exposition à l’aliment ou à la substance à laquelle vous êtes allergique et, en général, ils progressent rapidement. Dans de rares cas, il peut y avoir un retard de quelques heures dans l’apparition des symptômes. »

Source

Cela signifie que d’autres effets indésirables (retardés) se produiront probablement parallèlement à l’anaphylaxie (immédiate).

2/ Les réactions négatives au « vaccin »

À ces effets négatifs, il faut en outre ajouter les réactions négatives. Le tableau ci-dessous récapitule les réactions au « vaccin Pfizer » (selon Pfizer) lors de la deuxième inoculation :

© Vox
Réactions secondaires signalées du « vaccin » Pfizer

Note du traducteur : Colonne de gauche : Douleurs – Rougeurs – Gonflements – Fatigue – Fièvre – Maux de tête – Frissons – Vomissements – Diarrhées – Douleurs musculaires – Douleurs articulaires
Deuxième colonne : Toute réaction – Troisième colonne : réactions moyennes – Quatrième colonne : Réactions modérées – Cinquième colonne : Réactions graves

Toutefois, une réserve s’impose. Ce tableau se concentre uniquement sur le sous-groupe des 18-55 ans, essentiellement les jeunes et les personnes en bonne santé, qui développent rarement une forme grave de Covid-19 et en meurent encore plus rarement.

La fréquence des réactions secondaires est élevée : 59 pour cent éprouvent de la fatigue, 52 pour cent des maux de tête, 37 pour cent des douleurs musculaires. Presque tous les patients ont ressenti des réactions secondaires. La gravité des symptômes est également assez effrayante. Par exemple, 38 pour cent des sujets jeunes et en bonne santé ont éprouvé une fatigue modérée à forte et 26 pour cent des maux de tête modérés à forts. « modéré » signifie interférer avec l’activité et « grave » signifie empêcher l’activité quotidienne.

En revanche, la population générale a une probabilité de plus de 60 pour cent de ne pas avoir de symptômes après avoir contracté le Sras-CoV-2. La sous-population relativement jeune et saine sélectionnéepar Pfizer a environ 80 pour cent de probabilité d’être asymptomatique. Ainsi, d’un côté, nous avons le « vaccin » Pfizer avec ses réactions secondaires garanties à 100 pour cent, et de l’autre, nous avons le Sras-CoV-2 à 80 pour cent asymptomatique.

Ce « vaccin » cause-t-il plus de symptômes que la maladie qu’il est censé guérir ?

Notez dans le tableau ci-dessus que, tout comme le tableau des effets indésirables des vaccins, seules les réactions négatives peu après l’inoculation sont enregistrées. Les réactions négatives survenues plus de deux mois après la première inoculation n’ont tout simplement pas été évaluées.

Cela signifie que nous n’avons aucune idée des risques à moyen et long terme du « vaccin ».

3/ Les décès dus aux vaccins

La mort figurait sur la liste des effets indésirables de la FDA, et la FDA avait raison. Plusieurs décès sont survenus peu après la vaccination. Au début, les cas semblaient sporadiques. Un décès, puis un second sont survenus en Israël peu après l’inoculation. À peu près au même moment, un décès similaire est survenu en Suisse. Puis un médecin de Floride est mort peu après avoir reçu le « vaccin » Pfizer.

Le cas de la Norvège est plus singulier avec 2 décès dus au vaccin début janvier, suivis de 23 décès dans une maison de retraite. Cela fait un total de 25 décès dus au vaccin alors qu’environ 20 000 doses y ont été administrées dans les semaines précédant les « incidents ». Ainsi, le taux de mortalité lié au « vaccin » est d’environ 0,125 pour cent, ce qui est comparable au taux de létalité du Covid-19 mentionné plus haut. Et ces décès induits par le « vaccin » ne sont que les premiers et ils sont consécutifs à une seule inoculation.

Plus choquant encore est le cas des maisons de retraite de Nice, avec 50 décès en surnombre le 15 janvier, soit seulement 4 jours après le début des vaccinations. Au cours de ces quatre jours, environ 16 000 doses du « vaccin » Pfizer y ont été administrées. Cela donne un taux de mortalité préliminaire par vaccin supérieur à 0,3 pour cent, soit plus du double du taux de létalité du Covid-19 et, là encore, ce nombre de décès est limité à quelques jours après la toute première inoculation.

La Norvège et Nice ne sont pas des cas isolés. Après la première inoculation du « vaccin » Pfizer à 5 847 patients de Gibraltar, 53 d’entre eux sont morts en quelques jours. Cela représente un taux de mortalité lié au vaccin de 0,9 pour cent. Une maison de retraite de New York qui n’avait connu aucun décès dû au Covid-19 avant la vaccination, a signalé 24 décès juste après la vaccination de 193 résidents. Cela représente un taux de mortalité vaccinale de 12 pour cent. La liste des victimes du vaccin se poursuit, et ce juste après la première dose.

Le « médicament » est-il plus mortel que la maladie qu’il est censé guérir ?

Bien entendu, les autorités nient tout lien entre les vaccinations et ces décès. Elles accusent les comorbidités. Quand un individu vacciné avec des comorbidités meurt, c’est à cause des comorbidités. Lorsqu’un individu présumé positif au Sras-CoV-2 et présentant des comorbidités meurt, c’est à cause du Sras-CoV-2. Tout cela a-t-il un sens ?

Conclusion

Le Covid-19 est une maladie bénigne pour laquelle il existe des traitements sûrs et efficaces. Mais ces traitements sont interdits ou supprimés alors qu’un dangereux et inefficace « vaccin » à ARN nous est imposé par chantage : pas de vaccin = pas de liberté. Des dizaines de millions de personnes ont déjà été vaccinées, alors, si vous devez vous faire injecter le « vaccin », voici un article décrivant les approches thérapeutiques et nutritionnelles pour atténuer ses effets secondaires.

Les élites ne veulent pas nous protéger, elles veulent nous contrôler. Ces créateurs de réalité autoproclamés ont fabriqué un vaccin [pour diffuser le virus] de l’« obéissance » qui s’est royalement retourné contre eux et s’est transformé en un [virus] mutant [diffusant la] « désobéissance ». Ils ont donc créé de toutes pièces une fausse pandémie afin d’imposer un vaccin qui, je crois, est conçu pour annuler les effets bénéfiques du mutant « désobéissance ». En outre, ce vaccin est plus mortel et plus nocif que la maladie mineure qu’il est censé guérir.

Mais comme nous le verrons dans le prochain épisode, au lieu de faire semblant de prévenir une fausse pandémie, le « vaccin » à ARN pourrait très bien se recombiner avec des endo-rétrovirus dormants et déclencher une véritable pandémie lors d’une seconde épopée. Si cela devait se produire, cela montrerait une fois de plus que l’histoire a un sens de l’ironie superbe.


Notes : 

Certains des liens de cet article mènent à des vidéos en français de chercheurs du laboratoire de l’IHU comme Didier Raoult, Louis Fouché, Michel Drancourt ou Philippe Parola. En dehors de la Chine, le laboratoire IHU a publié le plus grand nombre d’articles sur le SARS-COV-2 à ce jour. Ces chercheurs ont donc une connaissance unique de la « pandémie », malheureusement [sauf pour les francophones – NdT] leurs présentations vidéo sont pour la plupart en français.

Cet article a initialement été publié en anglais le 27 janvier 2021 : Sott.net

Pierre Lescaudron 

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Après une formation d’Ingénieur et l’obtention d’un MBA, Pierre a occupé des fonctions de direction générale, de consultant et d’enseignant en 3e cycle. Pierre a rejoint Sott.net pour qui il écrit des articles et mène des traductions, satisfaisant ainsi sa soif de découverte en particulier dans les domaines des sciences, des technologies, de la santé et de l’histoire.

Pierre est également instructeur certifié du programme Eiriu Eolas et pendant son temps libre, il aime fabriquer ou construire toute sorte de choses.




Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?

[Source : Sott.net]

Par M.K. Scarlett

S’interroger sur le fait de savoir si le Sras-CoV-2 a été ou pas vraiment « isolé » peut sembler pertinent, d’autant que la généticienne Alexandra Henrion-Caude se pose la même question.

Covid-19 - Les preuves d'une fraude globale

L’article qui suit et les informations qu’il contient rend compte de certains faits qui posent question et qui sont par ailleurs peu débattus. Ces éléments ne suffiront sans doute pas à trancher la question, mais ils offrent, considérés dans leur ensemble, des éléments de réponses possibles, qui ouvrent eux-mêmes sur d’autres questionnements. Le tout étant par ailleurs parfois un peu technique, des explications supplémentaires portant sur des détails particuliers seront apportées au lecteur.

Toutefois, et pour mettre les choses en perspective dans le contexte qui est le nôtre aujourd’hui, à savoir que nous avons affaire à des psychopathes — et à des suiveurs autoritaristes souvent corrompus, au rang desquels se trouvent des scientifiques — qui usent de sophisme pour nous raconter une histoire (celle de leur pseudo-réalité), voici un extrait de l’ouvrage de Josef Pieper, Abus de langage, Abus de pouvoir :

« [les sophistes sont des] maîtres dans l’art de déformer les mots, grassement payés et acclamés par les foules […] capables de faire l’éloge d’une chose mauvaise en la faisant apparaître comme bonne et qui [savent] avec maestria transformer le blanc en noir. [la sophistique est] un danger et une menace qui frappent la vie de l’esprit et celle de la société à toutes les époques. […] les sophistes, doués d’une énorme sensibilité pour les nuances du langage et d’une dose extrême d’intelligence formelle, cultivent le mot, érigent et parfaissent l’usage du mot en art — et […] ce faisant, ils corrompent en même temps le sens et la dignité du mot. [Il est essentiel] de reconnaître que quelque chose peut être magnifiquement fait, représenté, mis en scène, filmé brillamment et cependant être en même temps fondamentalement et essentiellement faux, et pas seulement faux, mais aussi mauvais, inférieur, lamentable, honteux, funeste, vil — et pourtant magnifiquement réalisé ! […] la difficulté à reconnaître les sophistes fait partie du succès de ces derniers. »

On retrouve cet abus de langage au sein d’une mauvaise science devenue religieusement universelle dans laquelle il existe

« un phénomène de « corruption systémique », une entreprise de manipulation généralisée permettant de ne pas avoir besoin de soudoyer un grand nombre de personnes. La manipulation globale permet que des foules d’acteurs de bonne foi y participent en toute ignorance de cause. »

Voici donc la traduction de l’article écrit par Iain Davis sur son site Web In This Together.


Le Covid-19, et les réponses gouvernementales qui ont suivi, semblent faire partie d’une conspiration internationale visant à commettre des fraudes. Il semble qu’aucune preuve n’existe pour démontrer qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Parfois, il faut suivre son instinct. Je ne suis pas un expert en génétique et, comme toujours, je suis prêt à être corrigé. Cependant, mon attention a été attirée par certaines recherches publiées par la revue médicale espagnole D-Salud-Discovery. Leur comité consultatif composé de médecins et de scientifiques éminemment qualifiés confère une crédibilité supplémentaire à leurs recherches. Leur affirmation est stupéfiante.

Les sondes et les amorces génétiques utilisées dans les tests RT-PCR pour identifier le Sras-CoV-2 ne ciblent rien de spécifique. J’ai suivi les techniques de recherche décrites dans cette traduction anglaise de leur rapport et je peux corroborer l’exactitude de leurs affirmations concernant les séquences de nucléotides énumérées dans les protocoles de l’Organisation mondiale de la santé. Vous pouvez faire de même.

D-Salud-Discovery indique qu’il n’existe aucun test capable d’identifier le Sras-CoV-2. Par conséquent, toutes les allégations concernant l’impact présumé du Covid-19 sur la santé de la population sont sans fondement.

L’ensemble du récit officiel du Covid-19 est une supercherie. De toute évidence, il n’existe aucun fondement scientifique dans aucune des parties de ce récit.

Si ces affirmations sont exactes, nous pouvons déclarer qu’il n’existe pas de preuve de pandémie, mais seulement l’illusion d’une pandémie. Nous avons subi des pertes incalculables sans raison évidente, si ce n’est celles des ambitions de despotes sans scrupules qui souhaitent transformer l’économie mondiale et notre société en fonction de leurs objectifs.

Ce faisant, cette « classe de parasites » a potentiellement commis d’innombrables crimes. Ces crimes peuvent et doivent faire l’objet d’une enquête et de poursuites devant un tribunal.

Note de MKS : Puisque l’auteur parle de parasites, voici quatre articles qui pourraient permettre au lecteur de creuser un peu plus :

The Great Reset

Qu’ont-ils identifié exactement ?

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classifié la maladie Covid-19 (COronaVIrus Disease 2019). Elle a déclaré une pandémie mondiale de Covid- 19 le 11 mars 2020.

Le guide de l’OMS sur les essais en laboratoire stipule ce qui suit :

« L’agent étiologique [causalité de la maladie] responsable du groupe de cas de pneumonie à Wuhan a été identifié comme un nouveau betacoronavirus (de la même famille que le Sras-CoV et le Mers-CoV) par un séquençage de nouvelle génération à partir de virus cultivés ou directement à partir d’échantillons reçus de plusieurs patients atteints de pneumonie. »

L’OMS affirme que le virus du Sras-CoV-2 est à l’origine du Covid-19. Ils affirment également que ce virus a été clairement identifié par des chercheurs de Wuhan.

Dans le rapport de l’OMS intitulé « Nouveau coronavirus 2019-nCov — Rapport de situation n° 1 », ils déclarent que :

« Les autorités chinoises ont identifié un nouveau type de coronavirus, qui a été isolé le 7 janvier 2020 […] Le 12 janvier 2020, la Chine a partagé la séquence génétique du nouveau coronavirus pour que les pays puissent l’utiliser dans le développement de kits de diagnostic spécifiques. »

Ces deux déclarations de l’OMS suggèrent clairement que le virus Sras-CoV-2 a été isolé (c’est-à-dire purifié pour être étudié) et que des séquences génétiques ont ensuite été identifiées à partir de l’échantillon isolé. À partir de là, des kits de diagnostic ont été mis au point et distribués dans le monde entier pour tester le virus dans les villes et les villages aux quatre coins du globe. Selon l’OMS et les chercheurs chinois, ces tests permettront de trouver le virus qui cause le Covid-19.

Pourtant, l’OMS affirme également :

« Travaillant directement à partir des informations sur les séquences, l’équipe a mis au point une série de tests d’amplification génétique (PCR) utilisés par les laboratoires. »

Les scientifiques de Wuhan ont développé leurs tests d’amplification génétique à partir d’« informations sur les séquences » parce qu’il n’y avait pas d’échantillon isolé et purifié du virus dit Sras-CoV-2. Ils ont également montré des images au microscope électronique des virions nouvellement découverts (la boule de protéines en épi [ou protéine Spike – NdT] contenant l’ARN viral).

Toutefois, ces structures protéiques ne sont pas uniques. Elles ressemblent à d’autres vésicules rondes, telles que les vésicules endocytiques et les exosomes.

structures protéiques

Des virologues affirment qu’il n’est pas possible d’«isoler» un virus parce qu’il ne se réplique qu’à l’intérieur des cellules hôtes [et donc in vivo, et non in vitro dans lequel il est sorti de son environnement et ne peut par conséquent pas se comporter de la même manière – NdT]. Ils ajoutent que les postulats de Koch ne s’appliquent pas parce qu’ils concernent les bactéries — qui sont des organismes vivants. Par contre, ce que les virologues observent dans des cultures cellulaires, ce sont les effets cytopathogènes du virus qui provoquent la mutation et la dégradation des cellules.

[NdNM : pour les virus, les postulats de Koch sont remplacés par ceux de Rivers, mais ceux-ci ne sont apparemment pas respectés par les épidémies virales (autrement dit, cela tend à démontrer que les virus ne sont pas les véritables causes des épidémies virales). Voir Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies. De plus, le Docteur Stefan Lanka a démontré que les cellules se dégradent aussi naturellement sans la présence des virus incriminés, du fait qu’elles ne sont plus alimentées et qu’elles subissent l’effet toxique des préparations destinées à analyser les tissus cellulaires infectés. Autrement dit, ces effets cytopathogènes interviennent aussi sans la présence de virus censés produire la maladie virale en question. Voir Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus.]

Lorsque les chercheurs chinois ont au départ séquencé le génome complet du Sras-CoV-2, ils ont observé un effet cytopathogène dans les cellules Vero E6 et Huh7. Les Vero E6 sont une lignée cellulaire simienne immortalisée et les Huh7 sont des cellules cancéreuses (tumorigènes) immortalisées. Cela signifie qu’elles ont été maintenues in vitro (dans des cultures en boîte de Pétri) pendant de nombreuses années.

Note de MKS : Une lignée cellulaire immortalisée est une lignée qui a échappé à la senescence cellulaire (par un procédé chimique) et qui peut donc se diviser indéfiniment in vitro. Les cellules Vero sont une lignée cellulaire utilisée pour les cultures cellulaires. Les cellules Vero E6 sont un clone de la souche 76, elle-même découverte en 1968. La lignée de cellules Vero a été isolée et établie à partir de rein de singe vert adulte d’Afrique (Certopithecus aethiops) en mars 1962 par Y. Yasumura et Y. Kawakita à l’université de Chiba au Japon. Source

Au cœur de l’histoire officielle du Sras-CoV-2 se trouve l’idée qu’il s’agit d’un virus zoonotique, [qui serait – NdT] capable de combler le fossé entre les espèces, des animaux aux humains. Lorsque des scientifiques du CDC aux États-Unis ont « infecté » diverses cellules avec le nouveau virus, ils ont constaté ce qui suit :

« Nous avons examiné la capacité du Sras-CoV-2 à infecter et à se répliquer dans plusieurs lignées cellulaires communes de primates et d’humains, y compris les cellules d’adénocarcinome humain (A549) [celles des poumons], les cellules de foie humain (HUH7. 0), et des cellules rénales embryonnaires humaines (HEK-293T), en plus des cellules Vero E6 et Vero CCL81 [cellules simiennes]… Aucun effet cytopathogène n’a été observé dans aucune des lignées cellulaires, sauf dans les cellules Vero [cellules simiennes] … Les cellules HUH7.0 et 293T n’ont montré qu’une réplication virale modeste et les cellules A549 [cellules de tissu pulmonaire humain] étaient incompatibles avec l’infection par le Sras-CoV-2. »

Le CDC n’a observé aucun effet cytopathogène dans les cellules humaines. Ils n’ont trouvé aucune preuve que ce prétendu virus ait causé une quelconque maladie humaine. Ce supposé virus humain n’a pas non plus montré de réplication notable dans les cellules humaines, ce qui suggère qu’une infection d’homme à homme serait impossible.

Que le Sras-CoV-2 soit un virus humain capable de provoquer une maladie généralisée est loin d’être évident. Il se peut même qu’il n’existe pas physiquement. Ne serait-ce alors rien d’autre qu’un concept basé sur des séquences génétiques prédictives ?

Note de MKS : Notez que le Sras-CoV-2 imagé ci-dessus posséderait une protéine de surface (Spike) présentant une différence notable par rapport à d’autres coronavirus génétiquement proches. Ou plus exactement, le site de clivage de la protéine Spike du Sras-CoV-2 posséderait un insert (un fragment de peptide en plus) de quatre acides aminées, absent des protéines Spike de Sras-CoV. Source

À propos de l’origine soi-disant zoonotique, Judy Mikovits a déclaré ce qui suit : […] Il n’a pas pu apparaître de façon naturelle. Le virus n’a pas pu passer directement à l’homme depuis une chauve-souris achetée au marché par un individu. Ça ne fonctionne pas ainsi. Il s’agit d’une évolution virale accélérée. S’il s’agissait d’un phénomène naturel, il faudrait jusqu’à 800 ans pour que le virus évolue de cette manière.

Rappelons aussi que le Dr Pekova suggérait dès avril dernier que le séquençage du Sras-CoV-2 « semble plutôt anormal, et qu’une restructuration aussi importante a peu de chances de se produire dans la nature, sans intervention humaine ».

Voyage de découverte

Le Centre de contrôle et de prévention des maladies de Wuhan et le Centre clinique de santé publique de Shanghai ont publié le premier génome complet du Sras-CoV-2 (MN908947.1). Ce séquençage a été mis à jour à de nombreuses reprises. Toutefois, MN908947.1 fut le premier à avoir décrit le prétendu agent étiologique du Sras-Cov-2, à savoir le Covid-19.

Toutes les revendications, les tests, les traitements, les statistiques, le développement de vaccins et les politiques qui en découlent sont basés sur ce séquençage. Si les tests de ce nouveau virus n’identifient rien qui puisse causer une maladie chez les êtres humains, tout le récit du Covid-19 n’est qu’une mascarade.

Les chercheurs de Wuhan ont déclaré qu’ils avaient efficacement reconstitué la séquence génétique du Sras-CoV-2 en faisant correspondre desfragmentstrouvés dans les échantillons avec d’autres séquences génétiques découvertes précédemment. À partir du matériel recueilli, ils ont trouvé une correspondance de 87,1 % avec les coronavirus Sras (Sras-Cov). Ils ont utilisé l’assemblagede novo et la PCR ciblée, et ont trouvé 29 891 paires de bases qui partageaient une séquence correspondant à 79,6 % au Sras-CoV.

Ils ont dû utiliser un assemblage de novo parce qu’ils n’avaient aucune connaissance préalable de la séquence ou de l’ordre corrects de ces fragments. En clair, la déclaration de l’OMS selon laquelle les chercheurs chinois ont isolé le virus le 7 janvier est fausse.

Note de MKS : L’assemblage de novo est une technique de séquençage d’un génome inconnu. Il nécessite l’assemblage d’un très grand nombre de petites séquences de ce même génome. Il nécessite aussi un génome de référence (s’il en existe un) afin de positionner (par comparaison) les séquences obtenues. L’assemblage de novo nécessite pour reconstituer un génome complet des programmes bioinformatiques de pointe. Source

Avant de poursuivre, il est nécessaire de comprendre le principe du test PCR et l’usage qui en est fait dans le cadre de la « crise-Covid-19 ».

Il s’agit en tout premier lieu d’un procédé d’amplification moléculaire qui mime le processus naturel de synthèse de l’ADN.

La PCR ciblée est une technique de réplication ciblée in vitro — ou encore ACP pour « amplification en chaîne par polymérase ». Le principe consiste à obtenir, à partir d’un échantillon complexe et peu abondant, d’importantes quantités d’un fragment d’ADN spécifique et de longueur définie, dont l’ordre de grandeur à retenir est celui du million de copies en quelques heures, ce qui est généralement suffisant pour une utilisation ultérieure. Source

Pour Kary Mullis, l’inventeur de la technique PCR qui lui a permis de gagner le prix Nobel de chimie en 1993, cet examen était avant tout qualitatif et destiné à répondre à la question : l’élément est là, oui ou non, mais il n’était pas du tout destiné à le quantifier, et donc, certainement pas conçu pour poser un diagnostic :

« C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Voir aussi l’avis d’Alexandra-Henrion Caude sur le sujet : « Covid-19, gestion sanitaire, tests PCR, vaccins ARN, stress — Interview avec Alexandra Henrion-Caude ».

Ces cycles d’amplification successifs, peuvent aller, voire dépassent 40. Plus on augmente le nombre de cycles, plus on sera certain de trouver plus de quelque chose, et même une très faible charge virale donnera un résultat positif — à quelque chose qui ressemble à un coronavirus, puisque ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, mais PAS le virus en entier. Selon Bernard La Scola dans une étude publiée dans la revue European Journal of Clinical Microbiology & Infectious Diseases, « il n’est plus possible de cultiver du virus in vitro lorsque le cycle d’amplification dépasse 34 ». Multiplier ces cycles nécessitent en outre de nombreuses étapes complexes et sujettes à des erreurs, des fautes de stérilité et des contaminations.

Un article pré-publié sur le site medRxiv en juillet 2020 en fait la synthèse :

« Aucune culture virale n’a été obtenue à partir d’échantillons […] avec des cycles d’amplification supérieurs à 24 ou 34, indiquent les chercheurs. La possibilité de cultiver du virus décroit lorsque les cycles d’amplification augmentent. »

Par ailleurs, et histoire de rajouter à la confusion, le nombre de cycles n’est pas le même d’un pays l’autre, voire d’un laboratoire à l’autre au sein d’un même pays…L’équipe de Wuhan a utilisé 40 cycles d’amplification RT-qPCR pour faire correspondre des fragments d’ADNc (ADN complémentaire construit à partir de fragments d’ARN échantillonnésavec le génome déjà connu et publié du coronavirus du Sras (Sras-CoV). Malheureusement, la précision du génome original du coronavirus du Sras n’est pas claire non plus.

En 2003, une équipe de chercheurs de Hong Kong a étudié cinquante patients atteints du syndrome respiratoire aigu sévère (Sras). Ils ont prélevé des échantillons sur deux de ces patients et ont développé une culture dans des cellules de foie de singe fœtal.

À partir du matériel génétique trouvé, ils ont créé trente clones. Tandis qu’ils n’ont pu trouver aucune preuve d’un autre virus connu, ils ont toutefois trouvé dans un seul de ces échantillons clonés des séquences génétiques d’« origine inconnue ».

E Gene target sequence

En examinant ces séquences d’ARN inconnues, ils ont trouvé 57 % de correspondance avec le coronavirus bovin et le virus de l’hépatite murine et en ont déduit qu’il était de la famille des Coronaviridae. Considérant que ces séquences suggéraient la découverte d’un nouveau virus du Sras-CoV (toute nouvelle découverte étant par ailleurs considérée par les scientifiques comme une ambroisie), ils ont conçu des amorces RT-PCR pour tester ce nouveau virus. Les chercheurs ont déclaré :

« Les amorces pour détecter le nouveau virus ont été conçues pour la détection par RT-PCR du génome de ce coronavirus associé à la pneumonie humaine dans des échantillons cliniques. Sur les 44 échantillons nasopharyngés disponibles provenant des 50 patients atteints du Sras, 22 présentaient des traces d’ARN de coronavirus humain associé à la pneumonie. »

Note de MKS : Bien que l’auteur l’aborde partiellement plus loin, il est utile d’expliquer rapidement ce qu’est une « amorce » (et une sonde) dans le langage de la recherche génétique, voyons les quatre étapes du test PCR (après le prélèvement).

  • La première étape est celle de la dénaturation réalisée à une température de 95°C, l’ADN double-brin est séparé en ses deux brins d’ADN constitutifs ;
  • La deuxième étape est celle de l’hybridation lors de laquelle un oligonucléotide (la sonde) s’apparie à la séquence d’ADN qui lui est complémentaire ;
  • La troisième étape est celle de la polymérisation dans laquelle un deuxième oligonucléotide, l’amorce, s’hybride en amont, à quelques paires de bases de distance de la sonde ;
  • La quatrième étape est celle de l’émission de fluorescence qui permet d’éventuellement détecter et quantifier un signal fluorescent à même de prouver la présence de ce qui est recherché.

Pour plus de détails, consultez cet article assez simplifié d’où j’ai tiré ce qui précède, ou celui-ci, bien plus fourni. Selon eurofins, les étapes 1 à 4 sont répétées de 35 à 50 fois. Un must !La moitié des patients testés, qui présentaient tous les mêmes symptômes, se sont révélés positifs à ce nouveau virus présumé. Personne ne sait pourquoi l’autre moitié a été testée négative pour ce nouveau virus Sras-CoV. La question n’a pas été posée.

Ce supposé virus ne présentait qu’une correspondance de séquence de 57 % avec un coronavirus prétendument connu. Les 43 % restants étaient juste «  ». Les données séquencées ont été produites et enregistrées en tant que nouveau génome auprès de la GenBank sous le numéro d’accès AY274119.

Les chercheurs de Wuhan ont ensuite trouvé une séquence correspondant à 79,6 % à AY274119 et l’ont donc qualifiée de nouvelle souche de Sras-CoV (2019-nCoV — finalement rebaptisée Sras-CoV-2). Personne n’avait, à aucun moment de ce processus, produit d’échantillon isolé et purifié d’un quelconque virus. Tout ce qu’ils avaient, c’était des pourcentages de concordance de séquences avec d’autres pourcentages de concordance de séquences.

Ils n’ont rien isolé

Les scientifiques sont très agacés parce qu’ils n’arrêtent pas de dire que le virus a été isolé mais que personne ne les croit. La raison en est que, jusqu’à présent, personne n’a fourni un seul échantillon purifié du virus Sras-CoV-2. Ce dont nous disposons, en revanche, c’est d’un génome complet et, comme nous sommes sur le point de le découvrir, celui-ci n’est pas particulièrement convaincant.

Les journalistes d’investigation Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter ont demandé à certains des scientifiques qui ont déclaré avoir des images des virions du Sras-CoV-2 de confirmer qu’il s’agissait bien d’images d’un virus isolé et purifié. Aucun d’entre eux n’a pu le faire.

Note de MKS : En préambule des réponses retranscrites ci-dessous, les auteurs de l’article stipule ce qui suit :

« Et comme les tests PCR sont calibrés pour les séquences de gènes (dans ce cas-ci les séquences d’ARN car on pense que le Sras-CoV-2 est un virus à ARN), nous devons savoir que ces extraits de gènes font partie du virus recherché. Et pour le savoir, il faut procéder à une isolation et une purification correctes du virus présumé.

C’est pourquoi nous avons demandé aux équipes scientifiques [auteurs] des documents pertinents auxquels il est fait référence dans le contexte du Sras-CoV-2 de prouver si les clichés au microscope électronique présentés dans leurs expériences in vitro montrent des virus purifiés. »

Voici les réponses de ces scientifiques :

  • Study 1: Leo L. M. Poon; Malik Peiris. « Emergence of a novel human coronavirus threatening human health » Nature Medicine, March 2020
    Replying Author: Malik Peiris
    Date: May 12, 2020
    Answer: « The image is the virus budding from an infected cell. It is not purified virus. » [L’image est le virus bourgeonnant d’une cellule infectée. Ce n’est pas un virus purifié.]
  • Study 2: Myung-Guk Han et al. « Identification of Coronavirus Isolated from a Patient in Korea with COVID-19 », Osong Public Health and Research Perspectives, February 2020
    Replying Author: Myung-Guk Han
    Date: May 6, 2020
    Answer: « We could not estimate the degree of purification because we do not purify and concentrate the virus cultured in cells. » [Nous n’avons pas pu estimer le degré de purification car nous ne purifions pas et ne concentrons pas le virus cultivé dans les cellules.]
  • Study 3: Wan Beom Park et al. « Virus Isolation from the First Patient with SARS-CoV-2 in Korea », Journal of Korean Medical Science, February 24, 2020
    Replying Author: Wan Beom Park
    Date: March 19, 2020
    Answer: « We did not obtain an electron micrograph showing the degree of purification. » [Nous n’avons pas obtenu de micrographie électronique montrant le degré de purification.]
  • Study 4: Na Zhu et al., « A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China », 2019, New England Journal of Medicine, February 20, 2020
    Replying Author: Wenjie Tan
    Date: March 18, 2020
    Answer: « [We show] an image of sedimented virus particles, not purified ones. » [[Nous montrons] une image de particules de virus sédimentées, et non pas purifiées.]En Australie, des scientifiques de l’Institut Doherty ont annoncé qu’ils avaient isolé le virus Sras-CoV-2. Lorsqu’on leur a demandé de préciser, les scientifiques ont déclaré [le 29 janvier 2020]:

« Nous avons de courtes séquences (ARN) provenant du test de diagnostic qui peuvent être utilisées dans les tests de diagnostic. »

Ceci explique pourquoi le gouvernement australien a déclaré [le 4 décembre 2020] :

« La fiabilité des tests Covid-19 est incertaine en raison de la base de preuves limitée… Il existe peu de preuves disponibles pour évaluer la précision et l’utilité clinique des tests Covid-19 disponibles. »

Au Royaume-Uni, en juillet, un groupe d’universitaires inquiets a écrit une lettre au Premier ministre britannique Boris Johnson dans laquelle ils lui demandent de :

« Produire des preuves scientifiques indépendantes, examinées par des pairs, prouvant que le virus Covid-19 a été isolé. »

Ils n’ont, à ce jour, pas reçu de réponse.

De même, le chercheur britannique Andrew Johnson a présenté aux autorités nationales en charge de la santé publique en Angleterre [PHE en anglais – NdT] une requête en vertu de la loi sur la liberté de l’information. Il leur a demandé de lui fournir leurs dossiers décrivant la façon dont le virus du Sras-COV-2 avait été isolé. Ce à quoi ils ont répondu :

« PHE peut confirmer qu’il ne détient pas d’informations de la manière suggérée par votre demande. »

La chercheuse canadienne Christine Massey a fait une demande d’accès à l’information similaire, demandant la même chose au gouvernement canadien. Ce à quoi le gouvernement canadien a répondu :

« Après avoir effectué une recherche approfondie, nous avons le regret de vous informer que nous n’avons pu trouver aucun document répondant à votre demande. »

Aux États-Unis, le Panel de diagnostic RT-PCR du Centre de contrôle des maladies (CDC) indique ce qui suit :

« […] Aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’est actuellement disponible […] La détection de l’ARN viral pourrait ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent responsable des symptômes cliniques. »

Dans leur dernière mise à jour du 13 juillet 2020, les CDC n’ont pas encore obtenu d’échantillon viral pur d’un patient dit atteint de la maladie de Covid-19. Ils admettent ouvertement que leurs tests ne montrent pas nécessairement si le Sras-CoV-2 est présent ou cause le Covid-19.

On nous dit que rien de tout cela n’a d’importance. Que nous sommes ignorants et que nous ne comprenons tout simplement pas la virologie. Par conséquent, nous devons nous contenter d’images de choses dont nous savons qu’elles pourraient être autre chose et de séquences génétiques (qui pourraient être n’importe quoi d’autrecomme autant de preuves concluantes que ce virus, et la maladie qu’il est censé causer, sont réels.

Orf1 Gene Human Chromosome Match

Tester en vain

L’OMS, ainsi que tous les gouvernements, les think-thank, les comités directeurs, les conseillers scientifiques gouvernementaux, les institutions supranationales et autres qui font la promotion de l’exposé officiel du Covid-19, affirment que le Sras-CoV-2 provoque le Covid-19. Alors que personne n’a jamais produit d’échantillon de ce supposé virus, le prétendu génome du Sras-CoV-2 a été publié. Il relève du domaine public.

Au sein du génome du Sras-CoV-2, des séquences génétiques clés auraient des fonctions spécifiques. Ce sont les protéines cibles que les scientifiques testent pour identifier la présence du « virus ». Il s’agit notamment des quatre suivantes :

  • Le gène de l’ARN polymérase ARN-dépendante (Rd-Rp) — Il permet à l’ARN du Sras-CoV-2 de se répliquer à l’intérieur du cytoplasme des cellules épithéliales malades du Covid-19 ;
  • Le gène S (ORF2) — Cette glycoprotéine forme le pic [Spike – NdT] à la surface du virion du Sras-CoV-2 qui est censé faciliter la liaison du Sras-CoV-2 aux récepteurs ACE2 des cellules, permettant à l’ARN à l’intérieur de l’enveloppe protéique du virion (capside) de passer dans la cellule désormais infectée ;
  • Le gène E (ORF1ab) — C’est une petite protéine membranaire utilisée dans l’assemblage du virus ;
  • Le gène N (ORF9a) — Il s’agit du gène de la nucléocapside qui se lie à l’ARN lors de la formation de la capside.

L’OMS tient un registre accessible au public des amorces et des sondes RT-PCR utilisées pour tester le Sras-CoV-2. Les amorces sont des séquences de nucléotides spécifiques qui se lient (s’annulent) aux brins anti-sens et sensoriels de l’ADNc synthétisé (appelées respectivement amorces avant et arrière).

Les brins d’ADNc (ADN complémentaire construit à partir de fragments d’ARN échantillonnés) se séparent lorsqu’ils sont chauffés et se reforment lorsqu’ils sont refroidis. Avant le refroidissement, des séquences de nucléotides appelées sondes sont introduites pour s’hybrider à des régions cibles spécifiques du génome viral présumé. Au cours de l’amplification, alors que les régions entre les amorces s’allongent, lorsqu’une amorce frappe une sonde, celle-ci se désintègre en libérant un fluorescent ou un colorant qui peut alors être lu par les chercheurs.

C’est de l’identification de ces marqueurs que les scientifiques prétendent prouver la présence du Sras-CoV-2 dans un échantillon.

Un autre outil accessible au public est le Basic Local Alignment Search Tool (BLAST) [il s’agit d’une méthode de recherche heuristique utilisée en bioinformatique. Le BLAST permet de trouver les régions similaires entre deux ou plusieurs séquences de nucléotides ou d’acides aminés, et de réaliser un alignement de ces régions homologues – NdT]. Il permet à quiconque de comparer les séquences de nucléotides publiées avec toutes celles stockées par la base de données génétiques des National Institutes of Health (NIH) américains appelée GenBank. Nous pouvons donc « BLASTER » [rechercher] les amorces, les sondes et les séquences de gènes cibles qui ont été déclarées dans la recherche du Sras-CoV-2.

BLAST - Basic Local Alignment Search Tool Sras Cov2

Les amorces et les protocoles de sonde de l’OMS pour le génome viral présumé du Sras-CoV-2 sont basés sur les profils des gènes Rd-Rp, ORF1, N et E. N’importe qui peut les soumettre à l’analyse de BLAST et découvrir les résultats.

La séquence nucléotidique vitale Rd-RP, utilisée comme amorce avant, est — ATGAGCTTAGTCCTGTTG. Si nous lançons une recherche nucléotidique sur BLAST, celle-ci est enregistrée comme correspondant à l’isolation complète du Sras-CoV-2 avec une identité de séquence identique à 100 %. De même, la séquence d’amorce du gène E inverse — ATATTGCAGCAGTACGCACACA — révèle la présence de la séquence ORF1ab qui identifie également le Sras-CoV-2.

Cependant, BLAST nous permet également de rechercher les séquences de nucléotides des génomes microbiens et humains. Si nous recherchons la séquence Rd-Rp du Sras-CoV-2, elle révèle 99 chromosomes humains avec une identité de séquence de 100 %. La recherche sur le ORF1ab (gène E) en trouve 90 avec une identité de séquence de 100 % avec les chromosomes humains.

En faisant de même pour ces séquences avec une recherche microbienne, on trouve 92 microbes dont la séquence correspond à 100 % au gène du Sras-CoV-2 E, et 100 microbes dont la séquence correspond à 100 % au gène vital Rd-Rp du Sras-CoV-2 .

Chaque fois que nous vérifions les soi-disant marqueurs génétiques uniques au Sras-CoV-2 qui sont enregistrés dans les protocoles de l’OMS, nous trouvons des correspondances complètes ou à pourcentage élevé avec divers fragments du génome humain. Cela suggère que les séquences génétiques, qui sont censées identifier le Sras-CoV-2,ne sont pas uniques. Elles pourraient être n’importe quoi, depuis des séquences microbiennes jusqu’à des fragments de chromosomes humains.

Les soi-disant vérificateurs-de-faits (fact-checkers), comme le projet Health Feedback de Reuters, se sont empressés de rejeter les revendications de ceux qui ont remarquéle manque apparent de spécificité du supposé génome du Sras-CoV-2. Ils utilisent une ribambelle d’arguments bidons comme « cette affirmation suggère que chaque test devrait être positif » (ce qui n’est pas le cas), ce qui fait que leur tentative de démystificationaboutit à quelque chose comme ça :

« Les amorces sont conçues pour se lier à des séquences de nucléotides spécifiques qui sont uniques au virus. L’amorce avant peut se lier à un chromosome particulier, mais l’amorce arrière ne se lie pas au même chromosome et le chromosome n’est donc pas présent dans le virus Sras-CoV-2. De plus, comme les amorces avant et arrière enveloppent la séquence à amplifier, la séquence d’ADNc entre les amorces est unique au virus. »

Cette façon de faire semble déformer de manière délibérée la portée des observations émises en amont en avançant un argument que personne, à part les vérificateurs-de-faits eux-mêmes, ne fait valoir. Les recherches effectuées sur BLAST montrent que ces séquences cibles ne sont pas uniques au Sras-CoV-2. Pas plus qu’il n’est nécessaire de trouver toutes les cibles pour qu’un résultat soit jugé positif.
© InconnuDes chercheurs marocains ont enquêté sur l’épidémiologie des cas marocains présumés du Sras-CoV-2. Neuf pour cent étaient positifs pour trois gènes, dix-huit pour cent étaient positifs pour deux gènes et soixante-treize pour cent pour un seul. Comme nous venons de l’évoquer, beaucoup d’entre eux n’étaient peut-être positifs à aucun.

Ceci est tout à fait conforme aux directives de l’OMS en matière de tests. Elles stipulent que

« Un diagnostic optimal consiste en un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) avec au moins deux cibles indépendantes du génome du Sras-CoV-2 ; cependant, dans les zones où la transmission est répandue, un simple algorithme à cible unique peut être utilisé […] Un ou plusieurs résultats négatifs n’excluent pas nécessairement une infection par le Sras-CoV-2. »

Indépendamment des arguments fallacieux des vérificateurs-de-faits grassement rémunérés, si les amorces avant et arrière identifient des débris, l’une identifiant peut-être le fragment d’un chromosome et l’autre une séquence microbienne, alors la région amplifiée située entre elles est probablement aussi un débris.

L’argument selon lequel la RT-PCR ne trouve que de l’ARN est spécieux. La transcription naturelle (la séparation des brins d’ADN) se produit pendant l’expression des gènes. Personne ne dit que dans le prétendu génome du Sras-CoV-2 l’entièreté des chromosomes ou des microbes sont séquencés. Même s’il est possible que ce soit effectivement le cas, pour ce que l’on en sait. Ce qui est avancé [par ceux qui interroge les méthodes de dépistage – NdT], c’est que les prétendus marqueurs utilisés pour tester ce supposé virus ne sont pas adaptés à l’objectif.

Séquençage Sras Cov2

Les tests RT-PCR ne séquencent pas l’intégralité du génome. Ils recherchent des occurrences de fluorescence de sondes spécifiques pour indiquer la présence de séquences supposées exister. Ces séquences sont définies par MN908947.1 et les mises à jour ultérieures. Ces amorces et ces sondes ne peuvent révéler que des correspondances d’ARN extraites d’ADN non codant, parfois appelé « poubelle » (ADNc).

Note de MKS : À propos de l’ADN « poubelle », voir cet article du Dr Gaby : « L’ADN « poubelle » viral, le régime cétogène qui améliore l’ADN et les effets cométaires ».

Par exemple, le gène S du Sras-CoV-2 est censé être hautement spécifique au génome du virus du Sras-CoV-2. La séquence cible est — TTGGCAAAATTCAAGACTCACTTTC. Une recherche microbienne BLAST renvoie 97 correspondances microbiennes avec une correspondance de séquence d’identité de 100 %. Le pourcentage de concordance le plus faible, parmi les 100 premiers, est de 95 %. Une recherche BLAST sur le génome humain trouve également une correspondance de séquence de 100 % avec 86 fragments de chromosomes humains.

Quel que soit l’endroit où l’on regarde dans le supposé génome du Sras-CoV-2, rien dans les protocoles de test de l’OMS ne permet d’identifier clairement de quoi il s’agit. L’ensemble du génome pourrait être faux. Les tests ne prouvent pas l’existence du Sras-CoV-2. Tout ce qu’ils révèlent, c’est une soupe de matériel génétique non spécifié.

Si tel est le cas — et puisqu’il n’y a pas d’isolats ou d’échantillons purifiés du virus — aucune preuve de l’existence du Sras-CoV-2 sans test viable ne peut exister. Par conséquent, il n’existe pas non plus de preuve de l’existence d’une maladie appelée Covid-19.

Cela signifie qu’il n’y a pas de base scientifique pour toute affirmation concernant le nombre de cas de Covid-19, les admissions à l’hôpital ou les chiffres de mortalité. Toutes les mesures prises pour lutter contre ce virus mortel ne sont probablement fondées sur rien.

Note de MKS : Sur rien de « scientifique », mais sur une nécessité psychopathique servie par une certaine science, sans aucun doute.

Fraude et conspiration

La fraude est un acte criminel. La définition légale de la fraude est la suivante :

« Une pratique trompeuse ou une manœuvre délibérée, à laquelle on a recours dans l’intention de priver un tiers de son droit, ou de lui causer un préjudice d’une manière ou d’une autre. »

La définition juridique d’une conspiration est la suivante

« Une combinaison ou une confédération entre deux ou plusieurs personnes formée dans le but de commettre, par leurs efforts conjoints, un acte illégal ou criminel. »

Il semblerait que ceux qui prétendent que nous sommes confrontés à une pandémie n’aient fourni aucune preuve montrant qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Toutes les informations suggérant fortement qu’une telle probabilité existe sont facilement accessibles dans le domaine public. Tout le monde peut les lire.

Pour qu’il y ait fraude, la tromperie doit être délibérée. L’intention doit être de priver délibérément d’autres personnes de leurs droits ou de leur porter préjudice d’une manière ou d’une autre. S’il existe des preuves de collusion entre des individus et/ou des organisations à des fins frauduleuses, il s’agit alors d’une conspiration (dans les pays qui appliquent la Common law [Loi commune]) ou d’une entreprise criminelle commune en vertu du Droit international.

Note de MKS : La Common law est système juridique anglo-saxon dont les règles sont principalement édictées par les tribunaux au fur et à mesure des décisions individuelles, et non sur le Droit civil comme en France qui s’appuie sur le Droit codifié — encore que la France fait de plus en plus souvent fi du Droit codifié pour le remplacer par la Common law, dont la jurisprudence a toujours été l’élément fondamental. Généralement, les pays sous la Common law sont les anciennes colonies ou les anciens protectorats britanniques y compris les Etats-Unis (à la seule exception de la Louisiane où s’applique un droit codifié.)

Il semble que le Covid-19 ait été délibérément utilisé comme casus belli pour mener une guerre contre l’humanité. Nous avons été emprisonnés dans nos propres maisons, notre liberté de flâner a été restreinte, la liberté de parole et d’expression a été érodée, les droits de manifester ont été réduits, nous avons été séparés de nos proches, et nos sociétés ont été détruites, soumises à des assauts psychologiques, muselées et terrorisées.

Le Prince Charles nous demande d’accueillir la Grande réinitialisation à bras ouverts

Pire encore, alors qu’il n’existe pas de preuve d’une mortalité sans précédent toutes causes confondues, on a enregistré des pics de mortalité anormaux. Ces pics correspondent précisément aux mesures de « confinement » qui ont entraîné une interruption des soins de santé primaires et une réorientation des services de santé publique financés par nos impôts pour traiter à l’exclusion de toutes les autres une prétendue maladie.

En outre, ceux qui ont présenté et fait circuler le récit Covid-19 proposent que cette prétendue maladie justifie la restructuration complète de l’économie mondiale, de nos systèmes politiques, de nos sociétés, de nos cultures et de l’humanité elle-même.

Pour être autorisés à participer à leur soi-disant « nouvelle normalité » [ou nouvelle réalité, soit leur pseudo-réalité – NdT], à savoir la transformation complète sans notre consentement de toute notre société, ils exigent que nous nous soumettions à leurs conditions.

Ces mesures comprennent, sans s’y limiter, une surveillance biométrique de chacun, un contrôle et un suivi centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives, jusqu’à celle qui exige clairement que nous renoncions à toute forme de souveraineté sur nos propres corps. Toutes ces mesures constituent les conditions qui prévalent dans l’esclavage.

Il ne fait aucun doute que nos droits ont été bafoués et que nous en avons été dépouillés. Dans les pays qui exercent la Common law, l’innocence est présumée, mais il n’empêche que les preuves d’un préjudice délibérément causé par une conspiration internationale sont accablantes. Les politiques destructrices, adoptées par les gouvernements du monde entier, émanent clairement de think tanks mondialistes et d’institutions supranationales, et ont été élaborées bien avant l’émergence de cette soi-disant pandémie.

Dans les pays soumis au Code Napoléon, la culpabilité est présumée. Pour que les conspirateurs accusés puissent prouver leur innocence, ils faudrait qu’ils puissent prouver que, en dépit de leurs ressources incommensurables, ils ont été collectivement incapables d’accéder ou de comprendre l’une des preuves librement disponibles suggérant que le Covid-19 est un mythe.

Note de MKS : Le Code Napoléon est aussi appelé Code civil, et la présomption d’innocence est le principe selon lequel toute personne, qui se voit reprocher une infraction, est réputée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement démontrée. La plupart des pays d’Europe reconnaissent et utilisent le principe de la présomption d’innocence selon l’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme. Toutefois, il est des cas, tout du moins en France, où la présomption de culpabilité existe en vertu des exceptions au droit à la présomption d’innocence. Ces exceptions sont légales et la charge de la preuve de la non-culpabilité repose alors sur le prévenu.

Les responsables du crime de conspiration en vue de commettre une fraude mondiale doivent être jugés. S’ils sont reconnus coupables, ils devraient être emprisonnés pendant que le reste d’entre nous s’efforce de réparer les dommages qu’ils ont déjà causés.

Source de l’article initialement publié en anglais le 16 novembre 2020 : In This Together
Traduction : Sott.net


Alors, fraude totale ou partielle ?

Si l’on part du principe, comme postulé ici, que le Sras-Cov-2 est d’origine humaine, et qu’il est donc « réel », faut-il donc en déduire que le séquençage qui en a été fait est faux, bidouillé, falsifié, suffisamment pour en cacher certains éléments, parmi ceux qui pourraient servir les psychopathes au pouvoir, mais pas assez pour en révéler certains aspects? Encore que les éléments de preuve développés dans « Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 » proposent justement d’y répondre :

« Nous avons tout au long de cet article examiné les preuves suggérant que le Sras-Cov-2 a été fabriqué à Fort Detrick et qu’il a été incorporé dans un vaccin dans le but explicite de se propager à grande échelle et d’affecter les fonctions neurologiques associées à l’obéissance.

Il semble que ce projet ait toutefois échoué, d’abord parce que le « virus de l’obéissance » a muté en un « virus de la désobéissance », ce qui a contraint les pouvoirs publics à prendre — à tout prix — des mesures hâtives en vue de limiter la propagation du mutant bénéfique.

Le confinement général fut une tentative désespérée de minimiser la propagation des effets potentiellement bénéfiques de la mutation du Sras-Cov-2. »

Au départ, il y a une fabrication. Puis s’en est suivi une mutation. Le séquençage « officiel » du Sras-Cov-2 correspond-il au virus initial ou à sa mutation ? Ou à un autre « état » intermédiaire ?

Quoiqu’il en soit, c’est une question à laquelle il est pour le moment difficile de répondre, et il est possible que nous n’en saurons jamais rien. Nous avons plus que certainement des lacunes tant techniques que factuelles pour comprendre les tenants (mais pas les aboutissants) de tout ceci. Tout ce que nous savons, à ce stade, c’est que ce virus est utilisé pour tenter d’imposer aux populations terrorisées un monde dystopique — par le biais notamment d’un programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer des conjectures et des théories malsaines sur ce à quoi le monde post-soi-disant-pandémique devrait ressembler.

« Faites-vous vacciner pour protéger les autres ! » « Pas de vaccin = pas de travail, pas de shopping, pas de voyage, pas de socialisation ! ». En gros, vous êtes libre de choisir entre le passeport d’immunité ou une peine de prison à vie dans une cellule isolée.

Pour conclure, qu’est-ce que la « science » ? Selon Nissim Amzallag :

« La science ne distille pas forcément le vrai, cela nous le savons depuis le début du XXe siècle. Et pourtant, une aura d’objectivité continue de protéger la science de toute critique non seulement sur ses fondements, mais encore sur la manière dont elle s’impose pour façonner la société. »

L’auteur dans son ouvrage La réforme du vrai — Enquête sur les sources de la modernité, publié en 2010 aux Éditions Charles Léopold Mayer, « explore les fondements sur lesquels s’est appuyée la révolution scientifique et les métamorphoses qu’elle a induites dans la société. » Nissim Amzallag plonge dans des considérations historiques pour essayer de comprendre si la science naissante, dite moderne depuis la pomme de Newton (mythe fondateur, s’il en est), « fut réellement motivée par un désir sincère d’intelligence du réel ». C’est loin d’être le cas :

« les innovations les plus importantes, conceptuelles comme pratiques, dérivent de parti pris étrangers à toute exigence du réel ».

Son livre s’adresse à tous ceux qui souhaitent s’émanciper « de l’autorité d’une idéologie maquillée en savoir » en prenant conscience de l’existence d’une réforme du vrai. Ou devrait-on l’appeler « réforme du réel » ? En effet, il est difficile, quand on les connaît toutes les deux, de ne pas faire le lien entre l’existence des pseudo-réalités psychopathiques et la réforme du vrai de l’auteur, une réforme qui permet justement la mise en place de la dite pseudo-réalité. Dans son ouvrage, il en aborde en 2010 toutes les étapes sauf celle, finale, mais vouée à l’échec de par sa nature utopique, que nous expérimentons aujourd’hui.

M.K. Scarlett 

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Autodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l’équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n’enlèvent en rien l’intérêt qu’elle porte aux autres. Quand elle n’a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.




La vaccination de masse anti Covid-19 prépare-telle une catastrophe sanitaire mondiale ?

Par Dr Gérard Delépine

Voir aussi sur mondialisation.ca.

Les communiqués de victoire des fabricants de vaccin à ARN messager proclamant 95% d’efficacité a été très efficace sur leurs cours de bourse, mais a mal caché l’absence de données sur la mortalité et en particulier sur la seule cible éventuelle des vaccins : les personnes très âgées avec comorbidités multiples.

En l’absence de données probantes publiées, les campagnes massives de vaccination en Israël et en Grande-Bretagne constituent des essais thérapeutiques phase 3 sur des populations mal informées. Leurs résultats constatés du premier mois font craindre qu’elles se transforment bientôt en catastrophe/scandale sanitaire.

Signal d’alerte fort venant d’Israël

Les médias sacrent Israël, le champion de la lutte anti covid19 par le vaccin Pfizer. Superbe opération financière pour Pfizer qui a obtenu un bonus de prix de 40% pour cette priorité accordée à Israël. Depuis le 20 décembre, en un mois, près de 25% de la population (plus de 2 millions de personnes) auraient été vaccinées.

Mais depuis cette date, selon les chiffres de l’OMS, les nombres quotidiens de contaminations et de morts attribuées au Covid19 explosent.

Les contaminations quotidiennes sont ainsi passées de 1886 cas le 21/12 à 5674 cas le 20 janvier 21.[1]

Le Dr Sharon Elrai-Price,[2] des services de santé publique au ministère israélien a averti le 12/1/2021 qu’une seule dose du vaccin contre le coronavirus n’offrait pas une protection suffisante contre l’infection par le virus.

Elle a ajouté que « 17% des patients gravement malades actuellement hospitalisés sont des patients qui ont reçu une première dose du vaccin avant leur hospitalisation ». Les données montrent qu’à cette date, 4.500 personnes ont été diagnostiquées positives au coronavirus après avoir reçu la première dose de vaccin.

« Le nombre de cas confirmés a atteint un nouveau sommet, nous avons passé la barre des 9.000 tests positifs. Il n’y a jamais eu un tel chiffre » et la mortalité journalière a été multipliée par 3 passant de 18 le 20 décembre à 50 le 19 janvier 2021, et conduisant le gouvernement à prolonger le 3ème confinement du pays pour une durée indéterminée.

Forte inquiétude en Grande-Bretagne depuis la vaccination

La Grande-Bretagne est le second pays dans la course à la vaccination qui a débuté le 4 décembre avec le vaccin développé par Pfizer et BioNTech.

Depuis cette date, le nombre de contaminations quotidiennes a explosé passant de 14898 le 4/12/2020 à 33355 le 20/1/2021 (après un pic de 68063 le 9 janvier 2021.

Et malheureusement la mortalité Covid19 aussi, qui après une augmentation de près de 300% (414 le 4/12 à 1610 le 20/1/2021) dépasse de 30% celle observée en mars-avril 2020 (pic maximal 1224 le 22 avril 2020) 

Dans ces deux pays les vaccins, présentés comme le moyen de sortir des confinements mortifères, aboutissent en fait à les prolonger !

Inquiétudes aux USA

Depuis le début de la vaccination, la mortalité Covid19 a augmenté de près de 200% (1296 le 28/12 à 3557 le 17/2021) et dépasse la moyenne des décès quotidiens observés en mars-avril 2020.

Ces augmentations considérables et simultanées des incidences journalières des contaminations et des décès après la première dose de vaccin Pfizer dans les trois pays à la couverture vaccinale les plus élevées sont très inquiétantes et constituent des signes d’alarme forts.

Alerte en Norvège pour les personnes fragiles

La Norvège a émis le 15/1/2021 une alerte après la constatation de 23 décès liés au vaccin Pfizer[3] [4]chez des personnes âgées en Ehpad. Parmi ces décès, 13 ont été autopsiés, les résultats suggérant que les effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées fragiles. Selon l’Institut norvégien de santé publique : « pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences gravesPour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents » et l’Institut national de santé publique a modifié le guide de vaccination contre le coronavirus, y ajoutant de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

Évolution en France non vaccinée pendant cette période

En France, tant le nombre de nouveaux cas que le nombre de morts quotidiennes ont diminué lentement durant cette période à un niveau beaucoup plus faible (par million) que dans les pays champions de la vaccination.

On est donc frappé par les différences évolutives de l’épidémie Covid19 entre les pays gagnants de la course à la vaccination et la France plus lente à vacciner.

Cet éloge de la lenteur rappelle qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccin sans risque et qu’ils peuvent paradoxalement augmenter la gravité de la maladie qu’ils sont censés combattre.

Vaccins anticancer à risque et vaccin contre le SIDA et la dengue

Cela a été constaté avec les vaccins prétendument anticancer (les vaccins anti-hépatite B censés prévenir le cancer du foie[5] et les vaccins anti-papillomavirus prétendument anticancer du col de l’utérus)[6], quelques candidats vaccins contre le Sida et plus récemment avec le scandale du vaccin contre la dengue aux Philippines qui a entraîné plusieurs centaines de morts. 

Mais les leçons de la catastrophe du Dengvaxia n’ont pas été tirées et la propagande provaccin actuelle, en l’absence d’essais suffisants, met en danger ceux qui se font vacciner contre le Covid19.

Peter Doshi, un associé de l’Université du Maryland chargé de recherche sur les services de santé pharmaceutiques a prévenu dès novembre 2020 : « attendons de disposer des données complètes des essais » car les communiqués de victoire de l’industrie sont imprécis et incomplets. Il a rappelé aussi que les essais n’étudiaient pas le seul critère pertinent, la mortalité[7] seulement le nombre de cas basé sur des tests souvent faux[8] « le monde a tout parié sur les vaccins pour apporter la solution à la pandémie, mais les essais ne sont pas centrés sur la démonstration qu’ils le seront ».

Après examen du dossier remis à la FDA, il estime : « l’efficacité réelle beaucoup plus faible que celle affirmée jusqu’à présent : “bien en dessous du seuil d’efficacité de 50 % fixé par les autorités réglementaires pour l’approbation ». Ce chiffre ne serait donc pas de 95% mais bien en dessous, entre 19% et 29%. Si ces données avaient été présentées et analysées, il n’y aurait pas été possible d’obtenir d’autorisation de diffusion de ces vaccins par les autorités compétentes.

Les anticorps facilitateurs sont-ils responsables de cette catastrophe annoncée ?

Après vaccination, les anticorps peuvent entraîner une aggravation paradoxale de la maladie. Ce phénomène immunologique particulier est appelé anticorps facilitateur (en anglais Antibody-dependent enhancement[9]).

Chez l’homme, un tel phénomène a été observé dans les essais de vaccins contre le virus respiratoire syncytial[10](VRS) et lors de la campagne de vaccination contre la dengue[11] entraînant plusieurs centaines de morts aux Philippines en 2017, l’arrêt de la vaccination et une cascade de procès en attente de jugement.

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline  a été abandonné à cause de ce mécanisme[12]. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccin contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps mais leur pathologie pulmonaire est aggravée.

Dans un communiqué récent l’Académie de médecine[14]  avertit :

« sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constitue un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination »

Ni pro ni antivaccin, je suis fermement opposé pour l’instant à la généralisation d’un vaccin insuffisamment évalué et dont les premiers résultats en population réelle sont catastrophiques.

Contrairement à ce que prétendent les décodeurs/déconneurs liés à l’industrie pharmaceutique, je ne suis pas contre la vaccination. Je suis pro-vaccin lorsqu’un vaccin est efficace, sans danger et qu’il permet d’éviter une maladie grave.  Je suis contre un vaccin lorsqu’il est inutile, comme pour les maladies transmises uniquement par l’eau (polio, typhoïde, choléra) dans les pays à l’hygiène publique disposant d’eau potable et de traitement des eaux usées ou lorsqu’il n’a pas été correctement étudié et évalué : vaccin contre la dengue (qui a causé des centaines de morts), vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer du col).

L’indication de n’importe quel traitement ou vaccin doit reposer sur l’évaluation de sa balance avantages/ risques.

On ne peut espérer aucun avantage individuel à vacciner contre le Covid les moins de 65 ans, puisque la maladie est chez eux plus bénigne que la grippe ; cette population ne peut donc rien espérer des vaccins anticovid si ce n’est des complications.

Et l’argument sociétal (on se vaccine pour protéger les autres) n’est pas non plus pertinent puisqu’il n’est pas démontré que le vaccin soit capable d’empêcher ou de ralentir les transmissions virales.

En l’état actuel des connaissances, la vaccination des plus âgés présentant des facteurs de risques (population où un vaccin efficace et sans danger pourrait être utile) n’a pas été correctement évaluée, car les essais refusent d’inclure cette population à risques.

Le principe de précaution soulevé par l’alerte norvégienne justifie de ne pas les vacciner systématiquement, tant qu’on ne disposera pas de données transparentes en nombre suffisant affirmant l’efficacité et l’absence de toxicité en population réelle.

En conclusion

Il faut se réjouir paradoxalement de la lenteur que met le gouvernement à généraliser la vaccination anti Covid19. Les résultats actuels du vaccin génique dans les populations israélienne et britannique laissent en effet craindre un possible catastrophe sanitaire vaccinale.

Dr  Gérard Delépine chirurgien, statisticien 


Notes

[1] T Zrihen Dvir Israël : plus ils nous vaccinent, plus la pandémie progresse Riposte Laique 20 janvier 2021 

[2]i24NEWS Israël/Covid-19 : 4.500 personnes infectées après avoir reçu la première dose de vaccin janvier 2021

[3] La Norvège lance une alerte après la découverte de 23 décès liés au vaccin Pfizer Businessman 15/1/2021 https://fr.businessam.be/la-norvege-lance-une-alerte-apres-23-deces-possiblement-lies-au-vaccin-pfizer/

[4] Norway Warns of Vaccination Risks for Sick Patients Over 80 https://www.infobae.com/en/2021/01/15/norway-warns-of-vaccination-risks-for-sick-patients-over-80/

[5] https://docteur.nicoledelepine.fr

[6] Hystérie vaccinale, N et G Delépine éditions Michalon 2018

[7] Peter Doshi : Pfizer and Moderna’s “95% effective” vaccines—let’s be cautious and first see the full data November 26, 2020 https://blogs.bmj.com/bmj/2020/11/26/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-lets-be-cautious-and-first-see-the-full-data/

[8] Peter Doshi associate editor Will covid-19 vaccines save lives ? BMJ 27 10 2020 Current trials aren’t designed to tell us : BMJ 2020 ;371 :m4037 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.m403.

[9] Dejnirattisai, W. et al. Cross-reacting antibodies enhance dengue virus infection in humans. Science 328, 745–748 (2010).

[10] Polack, F. P. Atypical measles and enhanced respiratory syncytial virus disease (ERD) made simple. Pediatr. Res. 62, 111–115 (2007).

[11] Sridhar, S. et al. Effects of dengue serostatus on dengue vaccine safety and efficacy. N. Engl. J. Med. 379, 327–340 (2018

[12] Vennema, H. et al. Early Death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

[13] Hohdatsu, T., Nakamura, M., Ishizuka, Y., Yamada, H. & Koyama, H. A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

[14] Communiqué de l’Académie du 11 janvier 2021 : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?




Et si le vaccin Pfizer augmentait la mortalité du Covid ?

[Source : Riposte laïque]

Par Gérard Delépine

i24NEWS 12 janvier 2021. Israël : 4.500 personnes infectées au covid 19 après avoir reçu la première dose de vaccin

Signal d’alerte fort venant d’Israël

Les médias sacrent Israël, le champion de la lutte anti covid19 par le vaccin Pfizer. Superbe opération financière pour Pfizer qui a obtenu un bonus de prix de 40% pour cette priorité accordée à Israël. Depuis le 20 décembre, en 24 jours, plus de 20% des Israéliens (deux millions de personnes) ont été vaccinés.

Mais depuis cette date, selon les chiffres de l’OMS, les nombres quotidiens de contaminations et de morts attribuées au Covid19 explosent. Les contaminations quotidiennes sont ainsi passées de 1886 cas le 21/12 à 9416 cas le 12 janvier21. Le Dr Sharon Elrai-Price, responsable des services de santé publique au ministère israélien a averti le 12/1/2021 qu’une seule dose du vaccin contre le coronavirus n’offrait pas une protection suffisante contre l’infection par le virus.[1] Elle a ajouté que 17% des patients gravement malades qui sont actuellement hospitalisés sont des patients qui ont reçu une première dose du vaccin avant leur hospitalisation. Les données montrent qu’à cette date, 4.500 personnes ont été diagnostiquées positives au coronavirus après avoir reçu la première dose de vaccin, dont 375 ont été hospitalisées en raison de la maladie. Parmi les personnes hospitalisées, 244 l’ont été dans la première semaine suivant leur vaccination, 124 au cours de la deuxième semaine, et 7 plus de 15 jours après avoir reçu le vaccin.

Le nombre de cas confirmés a atteint un nouveau sommet, nous avons passé la barre des 9.000 tests positifs. Il n’y a jamais eu un tel chiffre

Et la mortalité journalière est passée de 18 le 20 décembre à 50 le 17 janvier conduisant le gouvernement à prolonger le 3ème confinement du pays pour une durée indéterminée.

Signal d’alerte fort en Grande-Bretagne depuis la vaccination

La Grande-Bretagne est le second pays dans la course à la vaccination qui a débuté le 4 décembre avec le vaccin développé par Pfizer et BioNTech.

Depuis cette date, le nombre de contaminations quotidiennes a explosé de 14898 le 4/12/2020 à 68063 le 9 janvier 2021.

Et malheureusement aussi la mortalité Covid19, qui après une augmentation de près de 300% (414 le 4/12 à 1564 le 14/2021) dépasse de 27% celle observée en mars-avril 2020 (pic maximal 1224 le 22 avril 2020).

Inquiétudes aux USA

Depuis cette date, la mortalité Covid19 a augmenté de près de 200% (1296 le 28/12 à 3557 le 17/2021)  et dépasse la moyenne des décès quotidiens observés en mars-avril 2020.

Ces augmentations considérables et simultanées des incidences journalières des contaminations et des décès après la première dose de vaccin Pfizer dans les trois pays à la couverture vaccinale les plus élevées sont très inquiétantes et constituent des signes d’alarme forts.

Alerte en Norvège pour les personnes fragiles

La Norvège, vient d’émettre le 15/1/2021 une alerte après la constatation de 23 décès liés au vaccin Pfizer[2] [3] chez des personnes âgées en Ehpad. Parmi ces décès, 13 ont été autopsiés, les résultats suggérant que les effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées fragiles. Selon l’Institut norvégien de santé publique « Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences gravesPour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents » et l’Institut national de santé publique a modifié le guide de vaccination contre le coronavirus, y ajoutant de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

Évolution en France non vaccinée pendant cette période

En France, tant le nombre de nouveaux cas que le nombre de morts quotidiennes ont diminué lentement durant cette période à un niveau beaucoup plus faible (par million) que dans les pays champions de la vaccination.

On est donc frappé par les différences évolutives de l’épidémie Covid19 entre les pays, gagnants de la course à la vaccination et la France plus lente à vacciner.

Cet éloge de la lenteur rappelle qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccin sans risque et qu’ils peuvent paradoxalement augmenter la gravité de la maladie qu’ils sont censés combattre.

Cela a été constaté avec les vaccins prétendument anti-cancers (les vaccins anti-hépatite B censés prévenir le cancer du foie[4] et les vaccins anti-papillomavirus prétendument anticancer du col de l’utérus[5]), quelques candidats vaccins contre le Sida qui ont été abandonnés et plus récemment avec le scandale sanitaire du vaccin contre la dengue aux philippines qui a entraîné plusieurs centaines de morts. Mais les leçons de la catastrophe du Dengvaxia n’ont pas été tirées et la propagande pro vaccin actuelle met en danger ceux qui se font vacciner contre le Covid19.

Peter Doshi[6] avait prévenu dès novembre « attendons de disposer des données complètes des essais » car les communiqués de victoire de l’industrie sont imprécis et incomplets. Il rappelait aussi que les essais n’étudiaient pas le seul critère pertinent, la mortalité[7] mais seulement le nombre de cas basé sur des tests souvent faux : « le monde a tout parié sur les vaccins pour apporter la solution à la pandémie, mais les essais ne sont pas centrés sur la démonstration qu’ils le seront »

La cause de ces résultats paradoxaux : les anticorps facilitateurs ?

Après vaccination les anticorps peuvent entraîner une aggravation paradoxale de la maladie. Ce phénomène immunologique particulier est appelé anticorps facilitateurs (en anglais Antibody-dependent enhancement ADE).

Chez l’homme un tel phénomène a été observé dans les essais de vaccins contre le virus respiratoire syncytial[8] (VRS) et lors de la campagne de vaccination contre la dengue[9] [10] entraînant plusieurs centaines de morts aux Philippines en 2017, l’arrêt de la vaccination et une cascade de procès en attente de jugement.

Chez le chat le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline[11] a été abandonné à cause de ce mécanisme [12] Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essai de vaccin contre le coronavirus du Mers les lapins développent des anticorps mais leur pathologie pulmonaire est aggravée.

L’apparition de tels anticorps facilitateurs est favorisée par la persistance d’un taux d’immunité insuffisante. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants[13]

Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constitue un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination

Je ne suis ni pro ni anti-vaccin, mais fermement opposé pour l’instant à la généralisation d’un vaccin insuffisamment évalué.

Contrairement à ce que prétendent les décodeurs /déconneurs liés à l’industrie pharmaceutique, je ne suis pas contre la vaccination. Je suis pro-vaccin lorsqu’un vaccin est efficace, sans danger et qu’il permet d’éviter une maladie grave.  Je suis contre un vaccin lorsqu’il est inutile comme pour les maladies transmises uniquement par l’eau (polio, typhoïde, choléra) dans les pays à l’hygiène publique disposant d’eau potable et de traitement des eaux usées ou lorsqu’il n’a pas été correctement étudié et évalué : vaccin contre la dengue (qui a causé des centaines de morts), vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer du col).

L’indication de n’importe quel traitement ou vaccin doit reposer sur l’évaluation de sa balance avantages/ risques.

On ne peut espérer aucun avantage individuel à vacciner contre le covid les moins de 65 ans, puisque la maladie est chez eux plus bénigne que la grippe ; cette population ne peut donc rien espérer des vaccins anti-covid si ce n’est des complications. Et l’argument sociétal (on se vaccine pour protéger les autres) n’est pas non plus pertinent puisqu’il n’est pas démontré que le vaccin soit capable d’empêcher ou de ralentir les transmissions virales.

En l’état actuel des connaissances, la vaccination des plus âgés présentant des facteurs de risques (population où un vaccin efficace et sans danger pourrait être utile) n’a pas été correctement évaluée, car les essais refusent d’inclure cette population à risques.

Le principe de précaution soulevé par l’alerte norvégienne justifie de ne pas les vacciner systématiquement, tant qu’on ne disposera pas de données transparentes en nombre suffisant affirmant l’efficacité et l’absence de toxicité en population réelle.

En conclusion :

Il faut féliciter le gouvernement de la lenteur qu’il met à généraliser la vaccination anti covid. Les résultats actuels du vaccin Pfizer dans les populations israélienne et britannique laissent en effet craindre un possible catastrophe sanitaire vaccinale.

Remercions par avance les Français volontaires pour se faire vacciner : ils constituent les cobayes de l’essai phase 3 que le laboratoire n’a pas pris le temps de faire. Grâce à eux et aux risques qu’ils prennent, nous pourrons dans quelques mois avoir une plus juste idée des avantages et des inconvénients en population réelle.

Gérard Delépine


[Notes]

[1] Israël/Covid-19 : 4.500 personnes infectées après avoir reçu la première dose de vaccin i24NEWS12 janvier 2021

[2] La Norvège lance une alerte après la découverte de 23 décès liés au vaccin Pfizer Businessman 15/1/2021 https://fr.businessam.be/la-norvege-lance-une-alerte-apres-23-deces-possiblement-lies-au-vaccin-pfizer/

[3] Norway Warns of Vaccination Risks for Sick Patients Over 80 https://www.infobae.com/en/2021/01/15/norway-warns-of-vaccination-risks-for-sick-patients-over-80/

[4] La vaccination anti hépatique B a été suivi en occident par une multiplication de 2 à 4 de l’incidence des cancers du foie ;

[5] les vaccins anti HPV ont été suivi d’une augmentation de 30 à 200% de l’incidence des cancers invasifs dans les groupes d’âge les plus vaccinés.

[6] Peter Doshi : Pfizer and Moderna’s “95% effective” vaccines—let’s be cautious and first see the full data November 26, 2020  https://blogs.bmj.com/bmj/2020/11/26/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-lets-be-cautious-and-first-see-the-full-data/

[7] Peter Doshi associate editor Will covid-19 vaccines save lives ? BMJ 27 10 2020 Current trials aren’t designed to tell us : BMJ 2020 ;371 :m4037 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.m403 .

[8] . Polack, F. P. Atypical measles and enhanced respiratory syncytial virus disease (ERD) made simple. Pediatr. Res. 62, 111–115 (2007).

[9] Dejnirattisai, W. et al. Cross-reacting antibodies enhance dengue virus infection in humans. Science 328, 745–748 (2010).

[10] Sridhar, S. et al. Effects of dengue serostatus on dengue vaccine safety and efficacy. N. Engl. J. Med. 379, 327–340 (2018)

[11] Vennema, H. et al. Early Death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

[12] Hohdatsu, T., Nakamura, M., Ishizuka, Y., Yamada, H. & Koyama, H. A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

[13] Académie de médecine Communiqué de l’Académie du 11 janvier 2021 : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?




Analyse et résumé des éléments exposés par Jean-Bernard Fourtillan

[Source : Recherches Covid-19]

Le professeur Fourtillan avait publié le 20 août un document mettant en cause l’institut Pasteur pour la fabrication du virus responsable de la crise sanitaire actuelle, le 4 décembre il déposait une plainte contre ce même institut.

Revoyons et analysons plus en détail les documents fournis sur le site verite-covid19.fr

Les allégations du professeur Fourtillan reposent principalement sur trois brevets

– du brevet Européen de 2003 EP 1694 829 B1 (Pièce 2) à la page 3 :

[0001] La présente invention est relative à une nouvelle souche de coronavirus associé au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), issue d’un prélèvement répertorié sous le n° 031589 et prélevé à Hanoi (Vietnam), à des molécules d’acide nucléique issues de son génome, aux protéines et peptides codés par lesdites molécules d’acide nucléique ainsi qu’à leurs applications, notamment en tant que réactifs de diagnostic et/ou comme vaccin.

– du brevet Américain de 2003 US 012.8224 A1(Pièce 3) à la première page :

(57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.

– du brevet Américain de 2011 US 8,243,718 B2 (Pièce 4) à la première page : (57) (57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.

Ces brevets proviennent bien de l’institut pasteur, qui a étudié des virus émergents dans le but de produire des méthodes de test et des vaccins pour ces virus potentiellement contagieux et mortels, et donc de breveter ces méthodes.

Mais que s’est-il passé entre 2011 et 2019 ? Le Pr. Fourtillan explique que des séquences du virus du SIDA, le VIH ont été insérées dans le virus du deuxième brevet américain entre 2011 et 2015.

http://d.p.h.free.fr/covid19/docs/Verite_sur_Covid-19_et_les_Vaccins_anti_Covid-19.pdf (Page 5)

À ce stade ces ajouts sont plus des suppositions reposant sur l’analyse du génome de différents chercheurs à travers le monde ayant fait état d’insertions de fragments du VIH dans les premiers séquençages du matériel génétique mis en cause dans l’épidémie de Covid-19.
La possibilité d’un ajout de fragments de VIH est une thèse relayée par de nombreux scientifiques à travers le monde.
Le nouveau coronavirus chinois est-il un avatar d’un coronavirus génétiquement modifié pour fabriquer un vaccin curatif du SIDA ?
L’étude indienne ayant initié cette thèse : Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag
Luc Montagnier : il y a du VIH dans le Covid-19

Si cette hypothèse fut contestée sous prétexte que la nature est capable de faire des choses qu’on ne comprend pas, l’origine du virus, avec ou sans VIH est discutée plus ouvertement aujourd’hui qu’au début de la crise sanitaire comme dans cet article du CNRS paru le 27 octobre 2020 « La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement ».

Le Pr. Fourtillan n’a pas la preuve irréfutable que l’institut Pasteur a créé le virus responsable de la situation actuelle, mais a de fortes suspicions de la possible implication de cet institut de recherche.

De plus, ce ne serait pas la première fois que cet institut trafique des coronavirus dans le cadre de recherches opaques : l’Institut Pasteur a ramené illégalement des fioles de Mers Coronavirus en 2015

Les allégations du professeur s’appuient sur un deuxième point

En Février 2017, une délégation du gouvernement français et de l’Institut Pasteur s’est rendue à Wuhan afin d’inaugurer le nouveau laboratoire P4 de Wuhan dans le cadre d’une collaboration entre la France et la Chine. Sur la photo suivante on reconnaît Elizabeth Guigou, Marisol Touraine, alors ministre de la Santé, Yves Lévy, l’époux d’Agnès Buzyn, qui était directeur de l’INSERM, à cette époque, Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur, et un directeur de l’Institut Pasteur.
On ajoutera aussi qu’Agnès Buzyn, qui était ministre de la santé en France lorsque la crise du COVID-19 a éclaté est également à l’origine de la signature du décret qui a interdit la vente libre d’hydroxychloroquine en France le 13 janvier 2020, 8 jours avant l’annonce officielle du début de l’épidémie.

L’institut Pasteur avait donc les moyens et la possibilité d’étudier des virus à Wuhan, ville dans laquelle le virus a été observé pour la première fois.

Troisième point

Le professeur fait aussi mention d’un article d’une revue spécialisée publié en 2005 dans VIRAL IMMUNOLOGY (voir p.50) dans lequel le docteur Frédéric Tangy mentionne la possibilité de développer un vaccin à ARN atténué ayant des applications sur le VIH et le virus du Nil occidental.

Des internautes ont par la suite fait le liens entre les déclarations de Fourtillan et le fait que des Australiens aient été testés faux-positifs au VIH après s’être fait vacciner contre le Covid-19.


Suivant ce cheminement, il est possible que l’institut Pasteur ait une responsabilité dans la crise sanitaire actuelle bien qu’il n’existe pas de preuves formelles mais des suspicions.
C’est pourquoi Fourtillan avait déposé une plainte pour investiguer plus largement le rôle potentiel de l’institut, délibéré ou accidentel.

La stratégie agressive du professeur à sûrement participé à la diffusion de ses thèses, ce qui mènera nous l’espérons à un travail plus approfondi et a une enquête si la plainte émise est jugée recevable.

Il est aussi fait mention du brevet WO2020060606A1 CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA dans les recherches de Fourtillan.
Une hypothèse selon laquelle les nanoparticules des vaccins pourraient être utilisées comme systèmes d’identification et de traçage des individus est émise, mais il n’y a pas de mention de l’utilisation de nano-particules ou d’injections d’une quelconque technologie dans le corps humain dans ce brevet (?). Les systèmes d’identification élaborés seraient plus sur la forme d’une montre connectée voir d’un implant cérébral permettant de scanner les fonctions corporelles et ondes cérébrales (voir page 22 chapitre 25).

Il existe des recherches sur l’utilisation de nano-particules pour pouvoir imprimer des puces RFID à bas coût et les intégrer dans un plus large panel d’objets ou de les intégrer à des produits pour prévenir la contrefaçon (par exemple). Si l’utilisation de nano-particules injectées dans le corps humain pourrait théoriquement créer une sorte de puce RFID en fonction des méthodes d’excrétion de ces composants, rien ne montre que cela est possible à large échelle aujourd’hui.


Son internement récent avait suscité l’indignation aussi bien en France qu’à l’international. Libéré, il a répondu à l’invitation de FranceSoir pour une interview au micro de Richard Boutry, qui lui offre l’occasion de raconter ce qu’il lui est arrivé et de s’exprimer.

Le professeur de pharmacologie, après l’émoi causé par son internement forcé, répond aux questions de Richard Boutry.

https://youtu.be/J6DE0yREIFc

Retrouvez ici la Plainte du Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN contre l’Institut Pasteur.
Ainsi que sa présentation sur ses recherches Toute la Vérité sur Covid-19 et les vaccins anti Covid-19.
http://d.p.h.free.fr/covid19/




Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique

[Source : France Soir]

Auteurs : Dr Gerard Delépine chirurgien oncologue et statisticien et Xavier Azalbert

ANALYSE : Le communiqué du 2 juin du conseil scientifique se décerne un satisfécit sans regarder les faits et tente par des scénarios improbables (issues de modélisation erronées) de faire perdurer la peur qui paralyse la population et l’empêche de défendre ses libertés.  Ainsi il prétend sans avoir étudié cette cinétique :  

« La période du confinement a permis de ralentir la dynamique de l’épidémie de façon marquée »

L’utilisation des analyses de rupture de tendance lui aurait permis de constater que le confinement aveugle et policier à la française n’a été suivi du moindre ralentissement des contaminations dans aucun des pays qui l’a pratiqué et que la baisse des contaminations a été observée bien plus tard (5 semaines) et naturellement de la même manière dans les pays confinés ou pas.

La comparaison entre la Belgique et les Pays bas permet de suggérer même que le confinement strict accélère les contaminations.

Epidémie terminée et « en même temps » confinement relatif poursuivi 

Les conséquences du confinement sont désastreuses et vont nous faire souffrir plusieurs années. Alors que ces deux mois et demi furent délétères pour la France, les limites lourdes à la liberté imposées par le gouvernement empêcheraient-elles la vie de reprendre normalement, tant sur le plan psychique que médical, scolaire, social, économique?

Pourtant nous sommes en fin d’épidémie et les quelques cas encore décelables ne justifient en aucun cas de bloquer 67 millions d’habitants. En revanche, ils justifieraient d’un traitement efficace, utilisé dans le monde entier.

Pourquoi les en priver et en conduire certains à une maladie éventuellement longue sur plusieurs semaines ?

Un but subliminal : poursuivre la terreur ?

Ceci nous conditionnerait à accepter des vaccins (qui ne verront sûrement jamais le jour), ou au moins une drogue chère comme le Remdesivir de Gilead. Il suffit de jetter un rapide coup d’œil aux cours en Bourse de Gilead et de laboratoires tonitruants sur un éventuel vaccin, pour voir que les acrobaties médiatiques du genre Lancet ne sont pas gratuites. Elles permettent, en quelques jours, de doper le cours de l’action boursière et pour les initiés de gagner beaucoup d’argent.

Depuis le desserrement du confinement policier mortifère qui nous a été imposé inutilement, le lobby de la peur essaie d’entretenir la panique créée par les médias et le gouvernement, afin de maintenir notre soumission et l’abandon de notre bien le plus précieux, notre liberté.

En témoignent de nombreux articles mensongers qui prétendent que le confinement aurait « sauvé des vies », qu’il faut « craindre une deuxième vague » d’épidémie parce que « l’immunité collective serait insuffisante » (note 1,2,3), que « l’application stop Covid serait utile ». Même le syndicat des avocats a dénoncé cette application à éviter absolument et à désinstaller, si elle a été installée silencieusement lors d’une mise à jour de votre portable (Note 4).

En réalité, l’épidémie se termine en France comme partout en Europe. Il n’y aura pas de vraie deuxième vague de Covid19, car cela n’est jamais observé dans les maladies virales (Note 5). Et il ne faut pas se préoccuper de la faible prévalence de la maladie dans la population, car l’observation des épidémies précédentes montre que l’immunité collective ne détermine presque jamais leur évolution. L’enthousiasme pour les tests, toujours peu au point, et non spécifiques, ne repose que sur l’envie du gouvernement de perpétuer la peur, et de nous maintenir dans l’angoisse de nouvelles contaminations. Ils n’ont pas d’intérêt alors que l’épidémie est terminée.

Ne cédez pas à la pression des médias et des autorités pour vous faire ficher ; l’usage du test est devenu une arme politique pour faire croire qu’on s’occupe de son peuple, de sa ville. Il n’a plus aucun intérêt à ce stade de disparition de cette virose. 

Le confinement aveugle et policier n’a ni diminué, ni ralenti l’épidémie

Contrairement aux prédictions issues des simulations qui l’ont motivé (Note 6), le confinement policier n’a ni ralenti, ni diminué la propagation de l’épidémie. Plutôt que de croire aux annonces de propagande basées sur les succès virtuels de modélisations biaisées (Note 7) qui encensent cette technique moyenâgeuse et inefficace (Note 8), ou de ceux qui veulent à tout prix se consoler d’avoir été emprisonné sans faute, il faut regarder les faits réels, les faits observés, les faits constatés.

Résultats comparatifs des pays confinés ou non, d’après les chiffres OMS

Les données publiées par l’OMS prouvent que la propagation de l’épidémie n’a été ni retardée, ni amoindrie par le confinement aveugle dans aucun des pays qui l’ont imposé à leur population.

Dans les pays confinés, les évolutions du nombre de contaminations quotidiennes avant et après le verrouillage, ne montrent en effet aucun signe de discontinuité (Note 9), ni dans leurs taux de croissance, ni dans leurs temps de doublement. Cette remarque a été le sujet d’un article bien documenté (Note 10). Ceux qui prétendent que le confinement aurait évité l’accélération, protégeant de fait d’une surcharge des hôpitaux, sont démentis par les faits que démontrent les résultats comparés entre pays voisins de même culture.

Résultats comparatif par pays sur le confinement – FranceSoir

Résultats comparatif par pays sur le confinement - FranceSoir

Infections cumulées Belgique versus Pays-Bas

Et si on compare la propagation de l’épidémie dans les pays adeptes du confinement autoritaire à la française à celle observée dans les autres pays, on s’aperçoit que le confinement aveugle a été délétère. A titre d’exemple, la comparaison des courbes d’infections cumulées entre la Belgique (confinée) et les Pays-Bas (non confinés), pays proches, suggère que le confinement policier aurait même pu accélérer l’épidémie. En effet c’est dix à quinze jours après le début du confinement belge que la propagation de l’épidémie s’accélère dans ce pays, alors qu’elle reste stable aux Pays-Bas non confinés.

Le confinement aveugle augmente le risque d’infection – FranceSoir

Le confinement aveugle augmente le risque d'infection - FranceSoir

Le bilan médical actuel du confinement aveugle franco-italien appliqué aussi en Belgique et en Espagne est catastrophique

Pour évaluer la balance avantages/risques du confinement, il ne faut pas se baser sur les résultats des simulations (Note 10) qui inventent des morts virtuels, théoriques, mais se baser uniquement sur les faits réels, avérés et publiés.

Mortalités comparées

D’après les données publiées par l’OMS le 30 mai 2020 (note 11), la mortalité directe du Covid19 est beaucoup plus élevée dans les pays qui ont pratiqué le confinement aveugle (sans séparer les porteurs de virus des autres) et autoritaire (avec contrôle policier), que dans ceux qui ont pratiqué la quarantaine ciblée (réservée aux seuls porteurs de virus) et fait confiance à leurs citoyens (conseillés et non astreints à domicile).

Au 29 mai 2020, exprimée par million d’habitants, la mortalité officielle directement liée au Covid19 atteint 810 en Belgique, 621 en Espagne, 548 en Italie et 459 en France, pays adeptes du confinement aveugle et policier, contre 100 en Allemagne, 98 au Danemark et 4 à 7 dans les pays asiatiques démocratiques qui n’ont pas confiné leur population.

En adoptant les mesures sanitaires de l’Allemagne, nous aurions probablement 23 000 morts de Covid19, en moins à déplorer. Et sans aucune mesure sanitaire, à l’instar des Pays-Bas, nous pourrions avoir eu 6100 morts directes du Covid19 en moins.

Mortalités comparées par méthode de confinement – FranceSoir

Mortalités comparées par méthode de confinement - FranceSoir

Morts de Covid19 ou suspectés, et morts « politiques « liées aux conséquences d’une mesure politique et non sanitaire (note 12)

A ce surplus de mortalité directe lié au confinement aveugle, il convient d’ajouter les victimes collatérales et en particulier les malades souffrant de pathologies chroniques (cancéreux, cardiaques, déprimés) qui ont subi l’arrêt des traitements prévus, arrêt imposé par le plan Blanc (note 13) et les nouveaux malades qui n’ont pas pu être diagnostiqués, ni traités du fait de l’interdiction d’opérer les malades non reconnus urgents par les agences régionales de santé.

Les morts pendant le confinement, et les décès anticipés, non dus au Covid19 mais au retard de soins (note 14)

Depuis le début du confinement, 75000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer. Même l’académie de chirurgie s’en inquiète dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

Plus d’un million d’interventions auraient été déprogrammées, remises aux calendes grecques, puisqu’on ne sait toujours pas quand le véritable déconfinement aura lieu, et que les mesures déjà discutables au début de l’épidémie sont maintenant imposées alors qu’elles sont aujourd’hui devenues complètement inutiles.

De combien de morts supplémentaires ces retards aux traitements seront-ils responsables ? Et cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie (infarctus dont seulement la moitié des malades attendus se sont présentés en consultation), de neurologie (là aussi moitié moins d’accidents vasculaires constatés à l’hôpital), d’endocrinologie, rhumatologie etc. (note 15)

Alors que l’épidémie se termine et que les hôpitaux sont aux trois quarts vides, le plan blanc a interdit jusque récemment aux chirurgiens d’opérer (note 16), blocage maintenu par les agences régionales de santé pour une durée indéterminée et un nombre croissant de victimes supplémentaires. (note 17). L’étau semble se desserrer, mais les cliniques craignent de manquer de produits anesthésiques, alors que les besoins en réanimation sont en grande baisse.

Le bilan médical du confinement devra aussi prendre en compte les complications psychologiques et en particulier les suicides liés à l’astreinte à domicile, aux pertes de salaires et au chômage que constate déjà la presse australienne (note 18, 19 20)et qui pourrait atteindre jusqu’à 150000 victimes aux USA si le déconfinement est trop lent (note 21). Ce bilan n’est pas près d’être terminé.

Les raisons du dramatique échec médical du confinement à la française

Les simulations des prophètes de l’OMS qui ont convaincu de nombreux gouvernements de confiner aveuglément leurs populations ont très largement surestimé le risque réel de la maladie virale et oublié les autres pathologies, le gain espéré de leur mesure et refusé de prendre en compte les complications médicales, sociétales et économiques qui s’annoncent catastrophiques. Nos gouvernants, plutôt que de croire ces prophètes de malheur auraient dû suivre l’exemple des pays asiatiques démocratiques qui ont protégé leurs populations du covid19 et des complications du confinement policier aveugle à la française.

Dans toute l’histoire de l’humanité la lutte contre les épidémies repose sur l’hygiène, la compréhension des modes de propagation des maladies infectieuses, la mise en place de mesures efficaces de désinfection et la séparation des porteurs de germes de la population saine.  Ainsi, actuellement le règlement sanitaire international prévoit en cas de peste, l’isolement de tout le groupe de voyageurs, même si une seule personne est touchée, tandis qu’en cas de fièvre jaune ou de choléra, seul l’isolement de la personne atteinte est obligatoire.

Le confinement aveugle de toute une population tel qu’il nous a été imposé est une mesure connue pour être inefficace. En France, elle avait été utilisée pour la dernière fois lors de la peste de Marseille entraînant la mort de la moitié de la population de la ville, sans empêcher la diffusion de la maladie à toute la Provence avec 70 000 victimes supplémentaires. Cette méthode du passé, remise à la mode par la dictature chinoise, a été présentée par le mathématicien -prophète de l’OMS, N Ferguson comme la méthode la plus efficace (note 23 24) de lutte contre l’épidémie.

Mais la simulation de l’Imperial College n’avait apparemment pas envisagé que le confinement d’un adulte malade à la maison (avec seulement du doliprane) constituait le meilleur moyen de contaminer toute la famille, voire les voisins.

Un confinement aveugle sans réflexion

Il eut fallu réfléchir à l’illogisme d’enfermer soignants, policiers ou agents de transport RATP, bus, etc. exposés à de fortes charges virales qui vont et viennent avec leurs familles bloquées à domicile, en milieu clos peu aéré (en raison de la peur transmise sur les médias du vol de virus à travers l’air extérieur, « au-dessus d’un nid de coucous »).

Même si les autorités n’y avaient pas pensé, rien ne les empêchait de rajuster la mise lorsqu’il apparut au début de l’épidémie et la virulence du coronavirus que les soignants étaient les plus rapidement et fortement touchés. D’ailleurs soulignons que les autorités nous ont vanté, tout au long de cet enfermement liberticide accompagné de mesures humiliantes, le modèle de Wuhan. Mais les Chinois, eux, recherchaient avec opiniâtreté les citoyens fiévreux dans les appartements et extrayaient les personnes suspectes pour les isoler rapidement de leur famille.

Nous n’avons retenu que l’autoritarisme chinois, mais moins la logique sanitaire.

Incompétence ou malveillance des ARS ?

Les directions des Agences Régionales de Santé ont imposé aux responsables d’EHPAD de garder les infectés de retour des urgences, y compris après un séjour à l’hôpital où ils avaient été étiquetés Covid19. Ils revinrent sans traitement autre que le doliprane et donc rien ne permettant de faire baisser la charge virale. Ils rejoignirent les autres résidents au moins dans les premières semaines et personne ne s’étonna de la forte contamination chez les ainés, de plus fragiles. N’auraient-ils pas dû comprendre qu’ils favorisaient ainsi la contamination de tous les pensionnaires pourtant les plus fragiles d’entre nous, ceux qu’ils devaient protéger ?

Au-delà du 20 Mars et la circulaire précédent le décret Rivotril du 26 mars (note 24) interdisant le traitement actif des ainés et autorisant l’injection de Rivotril en cas d’insuffisance respiratoire possiblement Covid, les patients ne furent même plus envoyés aux urgences pour préciser le diagnostic. Les habituels infarctus, embolies pulmonaires ou pneumonie bactérienne furent laissés de côté et le résident atteint bientôt euthanasié et étiqueté Covid19.

Que penser du ministre dont les décrets ont interdit la chloroquine soi-disant dangereuse pour prôner le Rivotril à coup sûr mortel en cas de complications respiratoires !

Curieusement, les simulations n’imaginèrent pas non plus que les soignants (qui ne disposaient pourtant pas de protection lors du premier mois de l’épidémie) puissent contaminer leurs malades venus consulter ou leurs voisins dans les transports publics.

Ni que les employés des transports publics et les policiers puissent être contaminés et contaminants parce que non protégés (même interdits de l’être par leur ministre). On entendit ainsi un haut responsable de la santé déclaré à la télévision que les soignants malades s’étaient infectés chez eux !

La sommation de ces erreurs explique que les pays adeptes du confinement strict, mais sans isolement des malades ou des personnes à risque, comme les soignants, comptent davantage de morts que ceux qui ont pratiqué les méthodes médicales éprouvées de l’endiguement (quarantaine) et même que ceux qui n’ont presque rien imposé à leurs populations (Pays-Bas, Suède, Islande).

Le rôle et la responsabilité de l’OMS, ainsi que de Neil Ferguson de l’Imperial College seront à évoquer en détail lors d’une enquête sur le devenir et l’efficacité de nos contributions à cette organisation ainsi qu’à ses publications.  La confiance n’excluant pas le contrôle, il sera d’autant plus important de conduire un audit approfondi des recommandations faites par l’OMS qui a ce jour donne plus le sentiment de se comporter comme la FIFA jadis.  Verra-t-on le prochain scandale venir des modes opératoires de l’OMS ? FIFA gate, OMS gate ?

Il faudra aussi auditer les décisions publiques autoritaires qui ont été prises en France ont été particulièrement nocives et justifient des enquêtes approfondies (note 25) pour éviter que cela ne puisse se reproduire.  Un regard sur la politique italienne de réduction de la mortalité journalière est parlant.

Italie tendance avant et après hydroxychloroquine FranceSoir

Italie tendance avant et après hydroxychloroquine FranceSoir

Heureusement, l’épidémie se termine en France comme dans les autres pays d’Europe

Les données publiées par l’OMS montrent que l’épidémie se termine en Europe continentale et en Méditerranée orientale. Depuis la seconde semaine d’avril, le nombre moyen quotidien de nouvelles contaminations a régulièrement diminué ; ce recul atteint 92% en France et dépasse les 85% chez la plupart de nos voisins, même ceux qui présentaient les plus gros chiffres de contaminations depuis le confinement.

L’épidemie recule dans les pays voisins FranceSoir

L'épidemie recule dans les pays voisins FranceSoir

La comparaison de l’évolution de l’épidémie en Belgique et aux Pays-Bas, proches par leur situation géographique et leurs modes de vie, est particulièrement frappante et questionne une fois de plus sur l’utilité même du confinement. En effet, les Pays-Bas, qui n’ont pas restreint les libertés publiques, bénéficient de la même régression (83%) de l’épidémie et dans les mêmes délais que la Belgique confinée policièrement après avoir pleuré au total 344 décès par million d’habitants contre 810/1000000 en Belgique.

Il n’y aura pas de deuxième vague (note 26) ou se sera une vaguelette comme pour les autres épidémies

Lors des épidémies virales il n’existe pratiquement jamais de deuxième vague du même virus. Il y a eu précédemment deux épidémies comparables : le SRAS et le Mers et aucune ne s’est exprimée en plusieurs vagues.

Après quelques mois et sans qu’on ne sache pourquoi, l’épidémie s’éteint même si au total peu de personnes ont été immunisées. Contrairement à ce que prétendent les simulations et en particulier celle de Ferguson ou de ses élèves de l’institut Pasteur parisien, ce n’est pas le pourcentage de personnes immunisées qui explique l’arrêt des contaminations.

Le professeur Jean-François Toussaint, lors d’un entretien à la Charente Libre, précise que l’hypothèse d’une deuxième vague est très peu crédible « sur l’analyse dans les 188 pays qui ont déclaré des cas et sur la dynamique évolutive de la maladie ».

Mais certaines épidémies, comme la grippe dont le virus ne dure le plus souvent qu’une saison, reviennent chaque année.

Et jusqu’ici, nous surmontions ces épreuves sans imposer à la population des mesures autoritaires injustifiées et souvent ubuesques qui ont aggravé la situation sanitaire immédiate et impacté l’économie pour plusieurs années.

Le tsunami économique qui nous attend sera pire que celui de 1930

Selon l’Observatoire Français des Conjonctures Economiques (Note 27), les huit semaines de confinement ont déjà diminué le PIB 2020 de 120 milliards d’euros (soit 5 points de PIB). Les secteurs les plus durement touchés sont ceux des transports, de l’hébergement et de la restauration, la construction et les activités de loisirs et le commerce de détail. En tenant compte du rétablissement ralenti par la persistance incongrue des mesures de déconfinement, l’impact global pour 2020 serait de -10 points de PIB.

D’après l’INSEE, le PIB français diminuerait d’environ 20 % au deuxième trimestre 2020 (après –5,8 % au premier). Ce serait la plus forte récession depuis la création des comptes nationaux français en 1948. Même si l’activité économique revenait intégralement à son niveau d’avant crise dès le mois de juillet, le PIB français diminuerait de 8 % sur l’année 2020, or un retour aussi rapide à la normale semble peu réaliste. L’impact global de la crise sanitaire en 2020 sera donc certainement supérieur à ce chiffre.

L’Organisation Internationale du Travail alerte sur les ravages sanitaires et sociaux de la crise qualifiant l’impact sur l’emploi de profond, d’une grande portée et sans équivalent. 1,25 milliard de travailleurs sont exposés à des licenciements, pertes d’activité et de revenus, du fait du confinement dans le monde.

Comme toutes les grandes crises économiques, celle de 2020 a été baptisée :  celle du « Grand Confinement » par Gita Gopinath.  Selon les prédictions du FMI, l’économie mondiale va connaître « sa pire récession depuis la Grande Dépression ».

Et lorsqu’on constate que l’étendue (5 817 385 infectés) et la mortalité mondiale (362 705) du Covid19 au 30 mai, se situent dans la fourchette basse des grippes saisonnières (environ 20 millions d’infectés et 290 000 à 550 000 morts), on peut déplorer que les mesures injustifiées pour lutter contre une fausse pandémie aient créé une vraie misère.

En urgence, lever les mesures liberticides inutiles et toxiques

Ces constatations conduisent à demander en urgence aux décideurs de lever les mesures coercitives de confinement encore imposées : 

Reprendre les activités scolaires partout, à tous les âges et sans mesure de distanciation ni masques, particulièrement chez les petits très traumatisés par ce théâtre tragique.

Libérer les « EHPAD » dans lesquels nos ainés sont devenus des bêtes de zoo, dans leurs prisons même pas dorées. (Note 28) Signez les pétitions pour accélérer leurs sorties de prison, alors que leur seule faute est le grand âge et/ou la dépendance.

Libérez l’activité économique, dans les cafés, restaurants etc. Ces mesures de distanciation imposées sont grotesques, alors que l’épidémie se termine et bloquent de fait la reprise économique dont le pays a tellement besoin.

Impérativement rendre aux médecins de ville et d’hôpital leur liberté de soigner, en particulier libérer la prescription de chloroquine après le triste feuilleton de l’étude biaisée ou inventée du Lancet et la décision brutale du ministre d’aggraver encore le décret mortifère du 26 Mars.

Abroger les décrets liberticides du 26 mars et sa prolongation injustifiée.

Faire stopper complètement le plan blanc, afin que les chirurgiens puissent reprogrammer leurs patients, les rassurer et finalement les soigner. Le bilan spécifique du plan blanc devra être passé à la loupe, car complètement inutile et extrêmement toxique pour les patients et leurs équipes chirurgicales. 

Selon Frédéric Bizard, « l’impact sur le volume de la crise Covid19 a été estimé en chirurgie avec une baisse comprise entre 1,7 million et 2 millions d’actes chirurgicaux, soit une chute du volume comprise entre 25% et 29% selon la date de levée du plan blanc. L’évolution des tarifs a été estimée selon les engagements gouvernementaux de 2019 pour les années 2020 à 2022 en chirurgie.  L’impact économique global est compris entre 4,2 milliards d’euros et 5 milliards d’euros de baisse des dépenses de chirurgie pour l’assurance maladie en 2020 ». (Note 29)

Activités médicales interdites pour RIEN ! Tout Covid, rien que Covid

Les lits libérés restèrent vides tant en privé qu’en public, et la surcharge en réanimation jamais soulagée par cette privation générale d’activité, les ARS, encore elles, ayant refusé de transférer les malades dans les lits privés (sauf en IDF dans quelques établissements), préférant jouer à la guéguerre à coups d’hélicoptères, et de TGV avec transferts en France ou à l’étranger.  En public, ce fut la même chanson, pas d’autres malades que covid19 sauf urgence extrême. Les internes se sont beaucoup ennuyés pendant deux mois et racontent avec beaucoup d’émotion les pertes de chance de leurs patients « habituels ».

Quant au Ségur (Note 30), il est certain que si l’on en espère quelque chose, il serait impératif qu’il se déroule avec une équipe neuve, sous la houlette d’un ministre non responsable des erreurs récentes avant et pendant la crise sanitaire, et surtout après la prise de position ahurissante du ministre de la santé interdisant la chloroquine sur la foi d’un article complètement caviardé, qu’il ne peut avoir lu, et qui fait de nous la risée du monde entier.

Bien curieux film que la gestion de ce Covid19 qu’aucun scénariste n’aurait osé écrire. Pas crédible !


[Notes]

Note 1 : Jean-François Delfraissy, le Président du conseil scientifique, a annoncé que « le taux d’immunité de la population française face au coronavirus est plus faible que prévu ».

Note 2 : Simon Cauchemez dans Le Monde « dans tous les cas, on sera très loin des 70 % dont on aurait besoin pour pouvoir faire une sortie du confinement sans problème »

Note 3 : Toute cette propagande de la terreur repose sur des simulations mathématiques dont « l’étude de Pasteur qui a utilisé l’un des meilleurs modèles qui existe actuellement » ; ce modèle prédisait 70000 morts en Suède si elle refusait de confiner. La Suède n’a pas restreint les libertés et ne comptait au 30 mai que 4266 morts soit quatorze fois moins qu’annoncé.

Note 4 : Allez sur réglages, confidentialité, puis santé avec un cœur rouge et là si installée, désinstaller et vérifier régulièrement, sauf si vous souhaitez cette application, mais ce doit être un choix et non pas une manœuvre cachée.

Note 5 : La soi-disant « deuxième vague » de la grippe espagnole était en fait une poussée d’infections bactériennes favorisées par la malnutrition et l’épuisement de la population après l’épidémie de grippe ; une telle complication ne peut plus se reproduire depuis l’arrivée des antibiotiques (sauf si on refusait d’en donner aux patients comme cela s’est passé avec l’injonction Rivotril et rien d’autre, imposée en début d’épidémie de Covid, mais les français se seront réveillés.

Note 6 :  http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 7 https://ripostelaique.com/le-confinement-na-pas-sauve-61-000-vies-mais-i…

Note 8 La dernière fois que cette technique a été utilisée en France au 18ème siècle, elle a abouti à la mort de 50% de la population marseillaise sans empêcher l’extension de l’épidémie à la Provence (70000 morts supplémentaires) et à l’Italie.

Note 9 : Analyse de recherche de changement de tendance (break point analysis) négative = aucune différence sur la vitesse de propagation du virus n’est apparue entre la période d’avant le confinement et pendant le confinement. Le confinement n’a pas ralenti l’épidémie contrairement à trop de racontars sur les TV. Seuls les chiffres font foi.

Note 14 : http://www.academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/6ef75…

Note 15 : http://academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/449c6ce34…

Note 16 : www.economiematin.fr/news-ouverture-bloc-operatoire-danger-malades-confi… ?

Note 17 : https://youtu.be/eay-Txlr-GQ

Hôpitaux & Cliniques : Interdiction d’opérer » Dr Nicole DELÉPINE 16 MAI 2020

Note 18 : https://www.telegraph.co.uk/news/2020/05/07/australia-fears-suicide-spike-due-virus-shutdown/

Note 19 : https://www.breitbart.com/health/2020/05/07/report-suicide-rise-from-lockdowns-to-kill-more-than-coronavirus-in-australia/

Note 20 : https://www.sbs.com.au/news/australia-s-suicide-rate-could-surge-due-to-economic-fallout-of-coronavirus

Note 21 : Petterson, Steve et al. “Projected Deaths of Despair During the Coronavirus Recession,” Well Being Trust. May 8, 2020. WellBeingTrust.org

Note 22 : Présentée comme le technique ‘extinction’ de la maladie dans la simulation du rapport 9 d l’Impérial College

Note 23 : http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 24 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion…

Note 25 : Car il s’agit de récidivistes ; les précédentes simulations de Ferguson sur le Sida, la grippe H1N1, la maladie de la vache folle, l’Ebola ont été toutes aussi fausses, exagérant à chaque fois considérablement les risques

Note 26 : http://docteur.nicoledelepine.fr/covid19-genese-et-consequences-dune-hys…

Note 27 : Evaluation au 20 avril 2020 de l’impact économique de la pandémie de COVID-19 et des mesures de confinement en France”,

Note 28 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/epidemie-terminee-mesures-224795

Note 29 : Et combien d’autres professions impactées : « l’activité chirurgicale génère en amont du geste opératoire de l’activité pour d’autres secteurs (secrétariats médicaux, analyses biologiques, prothèses, masques, produits d’hygiène, activités de recherche…) ainsi qu’en aval (infirmières, aide soignantes, kinésithérapeutes en ville, soins de suite, ambulances, taxis, laboratoires d’anatomopathologies…). »

Note 30 : http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-contes-de-segur-revus-et-…

Auteur(s): Dr Gerard Delépine chirurgien oncologue et statisticien et Xavier Azalbert pour FranceSoir




Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?

[Source : Sott.net]

[Image : © Chris Gash – New York Times]

[Auteur :] Mike Whitney — Unz Review

Les nouveaux vaccins contre le Covid vont rapporter des milliards de dollars aux grandes entreprises pharmaceutiques, mais voici ce qu’ils ne feront pas :

  • Les vaccins ne guériront pas le Covid ;
  • Les vaccins n’empêcheront pas les gens de contracter le Covid ;
  • Les vaccins n’empêcheront pas les hospitalisations liées au Covid ;
  • Les vaccins n’empêcheront pas les décès dus au Covid.

« Le monde a misé sur les vaccins comme solution à la pandémie, mais les phases de test ne visent pas à répondre aux questions soulevées par beaucoup quant à ce qu’ils sont exactement. »

Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint du British Medical Journal et professeur adjoint de recherche sur les services de santé pharmaceutiques à l’école de pharmacie de l’université du Maryland

« La différence entre le génie et la stupidité, c’est que le génie a ses limites. »

Albert Einstein

Maintenant, je sais ce que vous pensez. Vous vous dites : « Si le vaccin ne m’empêche pas d’attraper le Covid, ou de mourir du Covid, alors pourquoi devrais-je me le faire injecter ? »

Et la réponse est : Vous ne devriez pas. Cela n’a aucun sens, surtout si l’on considère que les nouveaux vaccins présentent des risques considérables pour la santé et le bien-être de chacun.

Et vous vous dites : « Des risques ? Personne n’a parlé de risques. Je pensais que ce merveilleux nouveau remède anti-Covid était entièrement sans risque ; il suffit de se le faire injecter et — illico presto — la vie redevient normale. »

Faux. Les risques existent, des risques importants, que les médias et l’establishment médical ont dissimulés avec leurs ridicules discours enthousiastes sur les vaccins « miracles ». Mais tout cela n’est qu’un battage publicitaire destiné à tromper les populations pour qu’elles se fassent injecter une substance douteuse qui ne fait PAS ce qu’elle est censée faire et qui présente de graves risques à long terme pour la santé.

Alors, creusons un peu plus cette question des risques et voyons ce que disent les experts. Voici un extrait d’une « Lettre ouverte de : UK Medical Freedom Alliance à : Le Comité mixte sur la vaccination et l’immunisation… pour le Covid-19 au Royaume-Uni » :

« Il est inquiétant de constater que les récents débats parlementaires semblent ne pas accorder suffisamment d’importance à toutes les préoccupations concernant les risques des vaccins et le droit au consentement éclairé, tout en se concentrant uniquement sur les stratégies visant à accroître l’utilisation des vaccins dans la population générale.

Évaluation inadéquate du risque pour la santé publique d’un vaccin Covid

Dans une récente lettre au British Medical Journalle médecin Arvind Joshi a mis en garde contre le désastre qui pourrait résulter de cette politique malavisée et a souligné les risques graves encourus par le public et les autres conséquences désastreuses qui pourraient découler de l’utilisation précipitée d’un vaccin contre le Covid sans que des tests approfondis et adéquats aient été effectués quant à leur innocuité et leur efficacité :

« Des effets indésirables tels que la panencéphalite sclérosante subaiguë, la polynévrite ascendante, les myopathies, les maladies auto-immunes et la possibilité plus rare de déclencher le développement de malignités sont les possibilités les plus redoutées. […] La ruée vers les vaccins ne devrait pas conduire au désastre. »

Note : une liste plus complète des potentielles « conséquences désastreuses » est disponible dans le lien de l’article en anglais ci-dessus.

« Les vaccins à base de vecteurs viraux et les vaccins génétiquement modifiés pourraient subir une recombinaison ou une hybridation avec des résultats imprévisibles… Les tentatives précédentes de développer des vaccins contre les coronavirus et d’autres vaccins, par exemple le VRS [virus respiratoire syncytial – NdT] et la dengue, ont été entravées par le problème de « l’immunité renforcée liée aux anticorps », qui a conduit à des maladies graves et à des décès chez les animaux et les sujets humains participant aux essais[28]. Ce phénomène n’apparaît qu’après la vaccination, lorsque le sujet est exposé au virus naturel à un moment donné dans le futur. Il est inquiétant de constater que les essais du vaccin anti-Covid n’ont pas été menés de manière à exclure la possibilité que cette grave séquelle se produise des mois ou des années après la vaccination…

Les effets indésirables tardifs du vaccin, tels que la panencéphalite sclérosante subaiguë, la polynévrite ascendante, les myopathies, les maladies auto-immunes, la stérilité et les cancers, ne peuvent être exclus des essais de courte durée. »

Tout cela est très technique, mais la vérité est évidente : se faire injecter le vaccin anti-Covid comporte de sérieux risques. La plupart des personnes vaccinées ne ressentiront que des douleurs mineures, mais certaines seront sans aucun doute très malades et leur santé en souffrira de façon permanente. Personne n’en est vraiment sûr, car il n’y a pas eu d’essais à long terme. Le vaccin anti-Covid a fait l’objet, dès le premier jour, d’une procédure accélérée. La question est donc la suivante : « Les avantages l’emportent-ils sur les risques ? » Il se trouve que, dans le cas présent, ce n’est clairement pas le cas. Les risques de tomber gravement malade ou de mourir à cause du Covid sont très faibles — le taux de survie est de 1 sur 400 — alors que les effets indésirables — potentiels — du vaccin sont eux décrits ci-dessus. Pourquoi devrait-on jouer à la roulette russe avec un vaccin qui n’empêche pas de contracter le Covid, ne protège pas contre l’hospitalisation et n’empêche pas de mourir ? Ce n’est tout simplement pas un bon compromis. Voici d’autres extraits d’un article paru dans le magazine Forbes :

« La prévention de l’infection devrait constituer le but primordial… Mais la prévention de l’infection n’est un critère de succès pour aucun de ces vaccins. En fait, leurs buts à tous requièrent des infections préalablement confirmées… puisque leurs vaccins ne sont pas censés prévenir l’infection, mais seulement modifier les symptômes des personnes infectées.

En cas d’infection, nous attendons tous d’un vaccin efficace qu’il protège d’une maladie grave. Trois des protocoles de vaccination [Moderna, Pfizer et AstraZeneca – NdT] n’exigent pas de leur vaccin qu’il protège d’une maladie grave, mais seulement qu’il empêche des symptômes modérés pouvant être aussi bénins que la toux ou les maux de tête… »

Note du traducteur : nous avons déjà partiellement traduit ce passage de Forbes — ainsi que celui qui suit — dans notre Focus qui y fait également référence : « Les critères de référence des tests des vaccins anti-Covid sont truqués et les effets secondaires sont désastreux ».

Comprenez-vous ce qui se passe ? La « prévention » n’est même pas un objectif premier. La norme de réussite dans ces essais est de savoir si le vaccin atténue les symptômes du Covid chez les personnes qui sont testées positives. Mais qui se soucie des symptômes ? Ce qui intéresse les gens, c’est la mort. C’est la raison pour laquelle [une partie] du public est si désireuse de se faire vacciner, dans l’espoir d’échapper à la mort.

C’est un point critique, et l’un de ceux qui mérite que l’on y réfléchisse sérieusement.

Pourquoi ?

Parce qu’il permet d’illustrer à quel point la campagne de vaccination est construite sur une base de mensonges et de tromperie. Par exemple, lorsque les sociétés pharmaceutiques se vantent que leur produit est « efficace à 95 % », cela ne signifie PAS que — si vous vous faites vacciner — vous serez immunisé contre le Covid. Cela ne signifie même pas que vous ne tomberez pas gravement malade et que vous ne mourrez pas. Cela signifie simplement que le vaccin a réduit les symptômes de certaines des personnes testées positives.

Le saviez-vous ?

Bien sûr, vous ne le saviez pas. Vous pensiez qu’en vous faisant vacciner vous seriez protégé contre le Covid, parce que c’est l’hypothèse logique que tout le monde ferait. La plupart des gens assimilent les vaccins à l’immunité. Les compagnies pharmaceutiques le savent, c’est pourquoi elles exploitent leur ignorance et obscurcissent délibérément la vérité. Elles veulent que les populations continuent à croire que la vaccination constitue un bouclier protecteur qui les sauvera de la maladie et de la mort. Mais ce n’est pas le cas. C’est un ramassis de balivernes.

En fin de compte, l’« efficacité » d’un vaccin ne se mesure pas en termes de « prévention de l’infection ». Elle est liée à l’impact du vaccin sur les symptômes. Voici d’autres informations issues de l’article paru dans le magazine Forbes :

« L’une des questions les plus immédiates auxquelles un essai doit répondre est de savoir si un vaccin prévient l’infection. Si une personne prend ce vaccin, a-t-elle beaucoup moins de chances d’être infectée par le virus ? Ces essais sont tous clairement axés sur l’élimination des symptômes du Covid-19, et non sur les infections elles-mêmes…

Il s’avère que toutes les entreprises pharmaceutiques partent du principe que le vaccin n’empêchera jamais l’infection. Leur critère d’approbation est la différence de symptômes entre un groupe contrôle [ou témoin – NdT] infecté et un groupe infecté qui reçoit le vaccin.

Pour les millions de personnes âgées et celles souffrant de maladies préexistantes, la question est de savoir si ces essais testent la capacité du vaccin à prévenir les maladies graves et la mort. Une fois de plus, nous constatons que dans ces tests, la maladie grave et la mort ne sont que des objectifs secondaires. Aucun d’entre eux ne mentionne la prévention des décès et des hospitalisations comme un obstacle d’une importance capitale…

Ces protocoles ne mettent pas l’accent sur les ramifications les plus importantes du Covid-19 dont les personnes cherchent le plus à se prémunir : l’infection globale, l’hospitalisation et la mort. Cela dépasse l’entendement et défie le bon sens que le National Institute of Health, le Center for Disease Control, le National Institute of Allergy and Infectious Disease et les autres organismes envisagent l’approbation d’un vaccin qui serait distribué à des centaines de millions de personnes sur des bases aussi minces.

Il s’avère que ces essais sont intentionnellement conçus pour être couronnés de succès. »

L’auteur a raison, n’est-ce pas ? Si le vaccin n’empêche pas l’infection, il ne sert à rien. Point final. Et pourtant, toutes ces institutions grandiloquentes sont d’accord avec cette farce. C’est une honte. Nous ne parlons même pas de « faible seuil » en matière de réussite vaccinale. Il n’y a « pas de seuil du tout ». Si les gens sont préoccupés par les symptômes, ils feraient mieux de prendre une aspirine [de la Vitamine C – NdT] et d’en rester là. Il n’est pas nécessaire de se faire injecter un cocktail hybride dont personne n’a la moindre idée des effets à long terme. Ce serait tout simplement très imprudent.

Comme nous l’avons dit plus tôt, les vrais problèmes sont habilement dissimulés par ceux qui, pour inciter les populations à coopérer, font miroiter l’absurdité d’une « efficacité à 95 % ». C’est d’une malhonnêteté flagrante.

Et voici une autre chose à laquelle il faut réfléchir : Que savons-nous vraiment de ces vaccins miraculeux qui sont censés nous sortir de notre « crise de santé publique » ?

Pas grand chose. Nous savons qu’ils sont lancés sur le marché à toute vitesse. Nous savons qu’ils ont été retardés pour des raisons politiques. Nous savons que la science est façonnée par la politique. Nous savons que le développement de vaccins prend généralement dix ans, que le développement « précipité » de vaccins prend trois ans, et que le prochain lot de vaccins douteux aura pris environ huit mois.

Huit mois !

Trouvez-vous cela rassurant ? Cela vous donne-t-il envie de vous frayer un chemin jusqu’au premier rang de la file d’attente en retroussant votre manche quand la « Journée vaccinale » viendra ? Et êtes-vous surpris qu’un grand nombre de professionnels de la santé aient décidé de ne pas se faire vacciner avant au moins un an ?

Et voici une autre chose : les géants pharmaceutiques ne savent même pas si leurs vaccins vont arrêter la transmission ou non. Je ne plaisante pas, ils ne le savent vraiment pas. Par conséquent, outre le fait que le vaccin ne confère pas d’immunité, il n’arrêtera pas la propagation de l’infection, ce qui signifie que la pandémie va se poursuivre.

Note du traducteur : Et il y aura plus de malades — certains induits par ces vaccins anti-Covid — et donc plus de confinements, plus de distanciation sociale, plus de fermetures de commerces et d'entreprises, plus de faillites, plus de morts, plus de suicides, plus de violence, plus de contrôle super-étatique, plus de Hold-Up sur nos vies et nos libertés, plus de passeport d'immunité pour voyager, travailler, vivre, voire des internements forcés dans des camps, etc. Bienvenue dans 1984Le meilleur des mondes et Le Travailleur, tout ça mélangé à la sauce Nouvel Ordre mondial.

Ne pensez-vous pas que le public a le droit de savoir cela ?

Et n’oublions pas que ces soi-disant « vaccins » ne correspondent pas du tout à la définition traditionnelle du vaccin. Le CDC définit un vaccin comme suit :

« Un produit qui stimule le système immunitaire d’une personne afin qu’il produise une immunité contre une maladie spécifique, protégeant ainsi la personne contre cette maladie. »

Et le CDC définit l’« immunisation » comme suit :

« Un processus par lequel une personne devient protégée contre une maladie par la vaccination. Ce terme est souvent utilisé de manière interchangeable avec la vaccination ou l’inoculation. »

Il se trouve que nous avons déjà montré que les nouveaux vaccins ne procurent pas nécessairement une immunité. La question est donc de savoir s’ils « stimulent réellement le système immunitaire » d’une personneou si le surnom de « vaccin » a simplement été conservé comme outil marketing pour tromper le public. Voici quelques éléments de contexte tirés d’un article paru sur RT :

« Le type de vaccin développé contre le Covid-19 n’a jamais été utilisé auparavant, en dehors d’Ebola. Certaines personnes estiment qu’il ne faut pas vraiment les appeler des vaccins, car ils sont complètement différents de tout ce qui a été fait auparavant.

Jusqu’à présent, la vaccination consistait à injecter un virus mort — ou une bactérie — , ou un virus affaibli qui ne peut se répliquer que difficilement, ou des parties d’un virus, ou d’autres éléments similaires. Une fois à l’intérieur du corps, le système immunitaire repère cette entité étrangère et y réagit en créant une réponse qui, avec un peu de chance, sera mémorisée pour des années. Lors de l’apparition suivante du virus dangereux, le corps utilisera la mémoire immunitaire d’une substance très similaire à même d’éliminer le virus — ou la bactérie — et de le faire suffisamment rapidement pour lui ôter toute possibilité de provoquer des dommages.

Nous disposons à présent d’une chose appelée vaccin à ARN messager (ARNm). L’ARN est, en fait, un simple brin d’ADN — la double hélice qui se trouve à l’intérieur de nos cellules et qui constitue notre code génétique. De nombreux virus sont constitués d’un seul brin d’ARN, entouré d’une sphère protéique. Ils entrent dans la cellule, prennent le contrôle des systèmes de réplication, font des milliers de copies d’eux-mêmes, puis sortent de la cellule. Parfois ils tuent la cellule au fur et à mesure, parfois ils en sortent plus doucement. Le Sras-Cov2 du Covid-19 est un virus à ARN.

Plutôt que d’essayer de créer un virus affaibli, ce qui peut prendre des années, ou de briser le virus en morceaux, les chercheurs ont en toute connaissance de ce qui précède décidé d’utiliser l’ARN du Sras-Cov2 contre lui-même. Pour ce faire, ils ont isolé la section de l’ARN qui code pour la protéine « Spike » — la « clé » utilisée par le virus pour entrer dans les cellules…

Ces protéines « Spike » quittent ensuite la cellule — d’une manière ou d’une autre, ce point n’est pas clair. Le système immunitaire les rencontre, les reconnaît comme entités étrangères et lance l’offensive. Ce faisant, des anticorps sont créés et la mémoire du système de immunitaire entre en action. Si, plus tard, un virus de type Sras-Cov2 pénètre dans l’organisme, le système immunitaire s’active et lance l’offensive contre la protéine « Spike » qu’il a mémorisée. Avec un peu de chance, il tuera le virus dans sa totalité. »

Tout cela est très compliqué et avant-gardiste, mais ce qui est clair, c’est que l’« ARN messager » et la « protéine Spike » sont très éloignés du traditionnel virus mort [ou « inactivé » – NdT] utilisé depuis des décennies.

Il est difficile de comprendre pourquoi les compagnies pharmaceutiques ont décidé de réinventer la roue en essayant de trouver un antidote au Covid. Comme l’ont souligné dans leur lettre les chercheurs de la Medical Freedom Alliance, cette nouvelle technologie de pointe présente néanmoins des inconvénients. Voici ce qu’ils en ont dit dans leur Lettre ouverte de : UK Medical Freedom Alliance à : Le Comité mixte sur la vaccination et l’immunisation… pour le Covid-19 au Royaume-Uni :

« Plusieurs vaccins anti-Covid impliquent l’utilisation d’une technologie totalement nouvelle — la vaccination par ARNm — dont l’utilisation à grande échelle chez des sujets humains sains est sans précédent et dont les effets à long terme sont inconnus. L’ARNm exogène est intrinsèquement immunostimulateur, et cette caractéristique de l’ARNm pourrait être bénéfique ou nuisible. En outre, une étude a mis en évidence des preuves de mimétisme moléculaire…

Note du traducteur : L'auteur inclut à nouveau un des paragraphes déjà présents plus haut :

« Les vaccins à base de vecteurs viraux et les vaccins génétiquement modifiés pourraient subir une recombinaison ou une hybridation avec des résultats imprévisibles… Les tentatives précédentes de développer des vaccins contre les coronavirus et d’autres vaccins, par exemple le VRS [virus respiratoire syncytial – NdT] et la dengue, ont été entravées par le problème de « l’immunité renforcée liée aux anticorps », qui a conduit à des maladies graves et à des décès chez les animaux et les sujets humains participant aux essais[28]. Ce phénomène n’apparaît qu’après la vaccination, lorsque le sujet est exposé au virus naturel à un moment donné dans le futur. Il est inquiétant de constater que les essais du vaccin anti-Covid n’ont pas été menés de manière à exclure la possibilité que cette grave séquelle se produise des mois ou des années après la vaccination… »

Le fait est que les effets de l’injection d’une concoction hybride dans le corps d’une personne peuvent être très graves. Nous ne savons tout simplement pas quels seront les effets à long terme, et nous ne le saurons probablement pas parce que le vaccin va être rapidement distribué avant que ces essais puissent être effectués. S’il s’agit de lutter contre le virus ce n’est pas une stratégie judicieuse. Elle est inutilement risquée, voire mortelle. Voici un extrait issu d’un article intitulé « Les vaccins anti-Covid-19 à ARNm pourraient-ils être à long terme dangereux ? » paru dans le Jerusalem Post, dans lequel Tal Brosh, chef de l’unité des maladies infectieuses à l’hôpital Samson Assuta Ashdo, déclare :

« Une course à la vaccination du public est en cours, nous sommes donc prêts à prendre plus de risques. Nous ne disposerons d’un profil connu d’innocuité que pour un certain nombre de mois, donc si un effet à long terme existe après deux ans, nous ne pouvons pas le savoir. Nous pourrions attendre deux ans pour les découvrir, mais alors nous aurions à faire face au coronavirus pour deux années supplémentaires. »

L’article précise que

Brosh a reconnu qu’il existe des risques uniques et inconnus pour les vaccins à ARN messager, notamment des réactions inflammatoires locales et systémiques qui pourraient conduire à des maladies auto-immunes… Un article publié par le National Center for Biotechnology Information, une division des National Institutes of Health, a déclaré que les autres risques comprennent la biodistribution et la persistance de l’expression immunogène induite ; le développement possible d’anticorps auto-réactifs ; et les effets toxiques de tout nucléotide non natif et des composants du dispositif d’administration…

Michal Linial, professeur de chimie biologique à l’université hébraïque de Jérusalem, a exprimé des sentiments similaires :

« Les vaccins classiques ont été conçus pour être développés en 10 ans. Je ne pense pas que le monde puisse attendre un vaccin classique. »

[…] Mais lorsqu’on lui a demandé si elle accepterait de prendre le vaccin tout de suite, elle a répondu :

« Je ne le prendrai pas immédiatement — probablement pas avant au moins l’année prochaine. Nous devons attendre et voir si cela fonctionne vraiment. »

Super ! Donc le « professeur de chimie biologique » ne se fera pas injecter le vaccin, mais les gens ordinaires comme vous et moi devrions le faire ?

Un peu de sérieux. La réticence du professeur Linial est un aveu tacite que le vaccin n’est pas sans danger. Qu’est-ce que cela pourrait signifier d’autre ? Voici d’autres informations tirées du même article :

« Pour obtenir l’approbation de la FDA, les fabricants devront prouver que l’injection de ces vaccins n’a pas d’effets négatifs sur la santé, immédiats ou à court terme. Mais lorsque le monde commencera à recevoir ces vaccins totalement nouveaux et révolutionnaires, il ne saura pratiquement rien de leurs effets à long terme. »

Eh bien, c’est tout simplement génial. Nous savons que les vaccins n’empêcheront pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort. Nous savons également qu’ils sont « complètement différents de tout ce qui a été fait auparavant ». Nous savons aussi qu’ils n’arrêteront pas la transmission et que leur innocuité à long terme est très douteuse. Malgré cela, nos dirigeants — qui nous mentent sur pratiquement tout — nous veulent au garde-à-vous et soumis à une injection vaccinale qu’on la veuille ou pas.

À mon avis, les risques de la vaccination dépassent de loin les avantages. Je préfère faire confiance à mon propre système auto-immunitaire — et aux nouveaux traitements, médicaments et thérapies — plutôt que d’être le cobaye de la sinistre expérience de laboratoire [« grandeur nature » – NdT] de Big Pharma.

« Merci, mais non merci. »

Source de l'article initialement publié en anglais le 28 novembre 2020 : TheUnz Review
Traduction : Sott.net

Alors, à quoi ce vaccin sert-il ?

Quelques articles pour un début de réponse :

Par ailleurs, la FDA a émis dans sa Présentation de la réunion de la commission du 22 octobre 2020, un avis sur les vaccins et produits biologiques connexes, ***Sous réserve de modifications***. Pour ce qui concerne la surveillance de l’innocuité des vaccins Covid-19, le rapport de la FDA liste — dans une ébauche — la survenue possible d’effets indésirables, dont la mort ; cette liste se trouve à la page 16 dudit rapport :

  • Syndrome de Guillain-Barré ;
  • Encéphalomyélite aiguë disséminée ;
  • Myélite transverse ;
  • Encéphalite / Myélite / Encéphalomyélite / Méningo-encéphalite / Méningite / Encéphalopathie ;
  • Convulsions / Crises ;
  • AVC ;
  • Narcolepsie et cataplexie ;
  • Anaphylaxie ;
  • Infarctus aigu du myocarde ;
  • Myocardite / Péricardite ;
  • Maladie auto-immune ;
  • Décès ;
  • Fausse couche ;
  • Autres maladies démyélinisantes aiguës ;
  • Réactions allergiques non anaphylactiques ;
  • Thrombocytopénie ;
  • Coagulation intra-vasculaire disséminée ;
  • Thrombo-embolie veineuse ;
  • Arthrite et arthralgie / Douleurs articulaires ;
  • Maladie de Kawasaki ;
  • Syndrome inflammatoire multi-systémique chez les enfants ;
  • Maladie renforcée par le vaccin.
© FDA

Voir aussi la mise en garde du Professeur Perronne :

« Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN.

Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.


[Voir aussi :




Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses

[Source : Sott.net]

[Auteur : M.K. Scarlett ]

Le 1er décembre 2020, l’ancien directeur de la recherche en pneumologie de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, et le pneumologue et ancien directeur du département de santé publique, le Dr Wolfgang Wodarg, ont déposé une demande auprès de l’Agence européenne des médicaments — responsable de l’approbation des médicaments à l’échelle de l’Union européenne — pour la suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin Sras-CoV-2, et en particulier l’étude BioNtech/Pfizer sur le BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42).

Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent que les études — pour protéger la vie et la santé des personnes testées [voire vaccinées, puisque c’est initié dans certains pays dès la semaine prochaine – NdT] — ne soient pas poursuivies jusqu’à ce que l’on dispose d’un protocole d’étude adapté pour répondre aux importantes préoccupations en matière d’innocuité, préoccupations exprimées par un nombre croissant de scientifiques de renom à l’encontre du vaccin et du protocole d’étude.

Les pétitionnaires demandent d’une part qu’un séquençage dit de Sanger soit utilisé en raison du manque patent d’études sérieuses quant au test PCR. C’est la seule façon de faire des déclarations fiables sur l’efficacité d’un vaccin anti-Covid-19. Sur la base des nombreux tests PCR de qualité très variable, ni le risque de maladie ni l’éventuel bénéfice d’un vaccin ne peuvent être déterminés avec une certitude suffisante, et c’est la raison pour laquelle les tests du vaccin sur des humains sont en soi contraires à l’éthique.

En outre, ils exigent qu’il soit exclu, par exemple au moyen d’expérimentations animales, que des risques déjà connus par des études antérieures — qui proviennent en partie de la nature des coronavirus — puissent se concrétiser. Les préoccupations portent en particulier sur les points suivants :

  • La formation d’anticorps dits « non neutralisants » peut entraîner une réaction immunitaire exagérée, surtout lorsque la personne testée est confrontée après la vaccination au vrai virus « naturel ». Cette amplification dite aggravation dépendante des anticorps, l’ADE, est depuis longtemps connue grâce à des expériences avec des vaccins anti-coronavirus chez les chats, par exemple. Au cours de ces études, tous les chats qui avaient initialement bien toléré la vaccination sont morts après avoir attrapé le virus « naturel ».
  • On s’attend à ce que les vaccins produisent des anticorps contre les protéines Spike du Sras-CoV-2. Cependant, ces protéines Spike contiennent également des protéines analogues à la syncytine, qui sont essentielles pour la formation du placenta chez les mammifères tels que l’homme. Il faut absolument exclure qu’un vaccin contre le Sras-CoV-2 puisse déclencher une réaction immunitaire contre la syncytine-1, sous peine de provoquer une stérilité de durée indéterminée chez les femmes vaccinées.
  • Les vaccins à ARNm de BioNTech/Pfizer contiennent du polyéthylène glycol (PEG). Il se trouve que 70 % des personnes développent des anticorps contre cette substance — cela signifie que de nombreuses personnes peuvent, suite à cette vaccination, développer des réactions allergiques, potentiellement mortelles.
  • La durée beaucoup trop courte de l’étude ne permet pas une estimation réaliste des effets sur le long terme. Comme dans les cas de narcolepsie après la vaccination contre la grippe porcine, des millions de personnes en bonne santé seraient exposées à un risque inacceptable si une autorisation d’urgence était accordée et que la possibilité d’observer les effets sur le long terme de la vaccination ne devait qu’advenir ensuite. Néanmoins, BioNTech/Pfizer a apparemment soumis une demande d’approbation d’urgence le 1er décembre 2020.

APPEL À L’AIDE : Wodarg et Yeadon demandent au plus grand nombre possible de citoyens européens de cosigner leur pétition en envoyant à l’Agence européenne des médicaments le mail préparé ICI.

Source de l’article initialement publié en anglais le 1er décembre2020 : 2020news.de
Traduction : Sott.net


Considérons la possibilité que ce « vaccin » anti-Covid — notamment celui de BioNTech/Pfizer, mais ce n’est peut-être pas le seul, les données sont à ce jour trop partielles — cache une volonté de dépopulation…

Tout d’abord, après quelques recherches, il s’avère que, selon cette étude publiée en avril 2014 sur le Journal of Assisted Reproduction and Genetics,la syncytine-1 est également présente dans le sperme. Ce ne serait donc pas seulement les femmes qui seraient stérilisées, mais aussi les hommes.

EN PLUS de supprimer toute responsabilité qui pourraient incomber aux fabricants de vaccins, il est fait usage de tests PCR largement considérés comme inadéquats. En outre, ils exercent une forte pression sur les populations pour les inciter à se faire vacciner.

Pourquoi ?

S’agirait-il — sous couvert de lutter contre un coronavirus — de concrétiser ce qui est gravé sur les Guidestones en Géorgie ?

Il n’existe à ce jour aucune données sur l’efficacité du vaccin chez les enfants et les femmes enceintes. Et pour cause, ces deux catégories n’ont pas participé aux essais. Pas encore… Le 2 décembre, Selon l’article de Nature du 3 décembre, Moderna a dévoilé ses plans pour tester son vaccin chez les enfants.

La Grande-Bretagne est le premier pays à avoir autorisé l’usage du vaccin contre le Covid-19 mis au point par Pfizer et BioNtech, et son gouvernement précise que ce vaccin n’est pas destiné aux femmes enceintes ou aux femmes « qui prévoient de tomber enceintes » :

« Il n’existe pas encore de données sur l’innocuité des vaccins Covid-19 pendant la grossesse, qu’elles proviennent d’études sur l’homme ou sur l’animal. Étant donné le manque de preuves, la JCVI privilégie une approche de précaution et ne conseille pas actuellement la vaccination Covid-19 pendant la grossesse.

Il convient de conseiller aux femmes de ne pas se présenter pour la vaccination si elles sont enceintes ou prévoient de l’être dans les trois mois suivant la première dose.

Des données sont attendues qui alimenteront les discussions sur la vaccination pendant la grossesse. Le JCVI les examinera dès qu’elles seront disponibles. »

Donc, et selon Wodarg et Yeadon, dans le cadre d’une grossesse existante, le vaccin composé de syncytine-1 attaquerait le placenta et provoquerait rapidement une fausse couche. Des vaccins de l’OMS/Gates ont déjà produit ces effets aux femmes d’Amérique latine : « Quand Bill Gates stérilisait des millions de femmes à coups de seringue ».

Pourquoi ne veulent-ils pas — à ce stade — que les femmes enceintes soient vaccinées ? Il peut bien sûr exister tout un tas de bonnes raisons de ne pas le faire, et d’ailleurs, les femmes enceintes ne font en général pas partie des essais vaccinaux. Toutefois, est-il possible que ce soit parce que les fausses couches se produiraient tellement rapidement qu’il pourrait devenir par trop évident que le « vaccin » en serait la cause ? Le fait de ne pas vouloir — au début — inclure dans leurs programmes de vaccination des femmes qui sont enceintes ou veulent tomber enceintes leur permettrait-il d’enterrer la vérité sur les effets réels du vaccin, suffisamment longtemps pour que la majorité de la population l’accepte?

Beaucoup de questions, mais peu de réponses. À ce stade, on ne peut que conjecturer en prenant en compte notre connaissance des desiderata d’une élite mondialiste psychopathe.

Voir aussi les Focus suivants :

[À propos de l’auteur]

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M.K. Scarlett 

Autodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l’équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n’enlèvent en rien l’intérêt qu’elle porte aux autres. Quand elle n’a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.




Les tests de coronavirus positifs ne sont pas des «cas»: les experts de la santé démystifient le faux récit des médias mainstream sur la COVID-19

[Source : Mirast News]

Les médias traditionnels affirment que le coronavirus (COVID-19) continue de se propager à travers le pays, mais est-ce que quelqu’un sait vraiment combien de cas il y a ? Selon le Dr Tim O’Shea, le nombre de cas de COVID-19 aux États-Unis d’Amérique peut être radicalement différent des tests positifs, qui, selon les médias, sont les mêmes lorsqu’il s’agit de deux choses différentes.

Dans le podcast thedoctorwithin du podcast d’O’Shea, il a expliqué aux auditeurs que les verrouillages de coronavirus en Amérique n’avaient «jamais été basés sur la science», mais plutôt sur la politique extrême.

Définition des termes populaires dans la «nouvelle normalité»

Pour bien comprendre et disséquer le faux récit de «résurgence» répandu par les médias grand public, vous devez d’abord apprendre les termes ci-dessous:

  •     Spike – Une augmentation soudaine des tests positifs.
  •     Tests – Procédures de diagnostic qui identifient une maladie.
  •     Cas – Individus qui tombent malades d’une maladie.
  •     Épidémie – Quand de nombreuses personnes au même endroit tombent soudainement malades.

Malheureusement, les médias traditionnels ont déformé ces définitions pour atteindre une conformité maximale, tout en craignant que les gens ne jettent un second regard pour découvrir la vérité.https://c0.pubmine.com/sf/0.0.3/html/safeframe.htmlREPORT THIS ADhttps://c0.pubmine.com/sf/0.0.3/html/safeframe.htmlREPORT THIS AD

Alors, est-il vrai qu’il y a eu «une forte augmentation soudaine des tests positifs?» Oui, mais c’est parce qu’en deux mois, le pays est passé de moins de 25 000 tests par jour à près de 600 000 tests par jour. Cela a ensuite abouti à l’énorme augmentation des points positifs dans chaque État.

Mais rappelez-vous, un cas, c’est quand quelqu’un tombe malade d’une maladie, ce qui n’est pas un test positif! Ces deux termes ne sont pas synonymes comme le prétendent les médias.

Science légitime et COVID-19

Plus tôt en mai, Tony Robbins, auteur renommé, entrepreneur et stratège d’entreprise, a interviewé plusieurs experts de la santé dans le podcast Tony Robbins qui ne sont pas d’accord avec le récit quotidien.

Le premier était le Dr Michael Levitt, lauréat du prix Nobel de chimie et professeur de biologie structurale à l’Université de Stanford, qui a expliqué que les décisions d’arrêt de masse étaient prises à partir d’une dynamique anti-scientifique. Les épidémiologistes exagéreront toujours les chiffres afin que personne ne puisse les accuser d’atténuer une nouvelle menace.

Normalement, les maladies se frayent un chemin à travers une population jusqu’à atteindre un point de saturation, généralement à environ un décès pour mille, comme dans toute saison grippale typique. C’est une véritable immunité collective.

Mais COVID-19 est marqué comme quelque chose d’unique dans l’histoire en utilisant la roulette des nombres. Si toute personne qui entre dans une clinique avec de la fièvre ou un mal de tête est considérée comme un cas sans test, alors les nombres de COVID-19 vont évidemment monter en flèche.

Robbins a également interviewé le sénateur d’État Scott Jensen, un médecin du Minnesota. Jensen avait un mot pour décrire le diagnostic du COVID-19 en l’absence de preuves: incité.

Jensen a partagé qu’il avait reçu une note du ministère de la Santé du Minnesota informant les médecins sur la façon de remplir un certificat de décès. Ils ont été entraînés à indiquer la COVID-19 comme cause de décès, même s’il s’agissait en fait du troisième ou du quatrième diagnostic. Il en va de même pour la comorbidité COVID-19, ou lorsque la maladie est suspectée mais non testée avec une autre condition.https://c0.pubmine.com/sf/0.0.3/html/safeframe.htmlREPORT THIS AD

Si un patient meurt en raison d’une maladie cardiaque congestive ou d’un emphysème à l’ICU, il peut être testé positif au COVID-19 une semaine avant de mourir. La cause du décès sera alors répertoriée comme COVID.

C’est la politique courante depuis mars de cette année. Cela ne s’arrête pas là. Il existe également des incitations financières pour les nombres COVID-19 gonflés, a révélé Jensen. Il a partagé que Medicare paierait automatiquement 4 600 $ à 5 000 $ pour un diagnostic de pneumonie.

Les administrateurs d’hôpitaux pourraient recevoir 13 000 $ pour la pneumonie au COVID-19, mais le montant grimpe à 39 000 $ si le même patient atteint de la pneumonie au COVID-19 a besoin d’un ventilateur. Cela suggère que les médecins des hôpitaux sont incités à diagnostiquer autant de cas de COVID-19 que possible.

Nouveaux cas ou tests positifs?

Dans une autre interview, Robbins s’est entretenu avec le Dr Alan Preston, ancien professeur d’épidémiologie et de biostatistique à la Texas A&M University.

Preston a expliqué comment le taux de létalité était constamment surestimé depuis le premier jour. Cela a commencé en mars avec la prédiction de 2 millions de morts aux États-Unis d’Amérique. Les gens semblent oublier que la COVID-19 est une maladie bénigne pour 99% des patients infectés qui ne nécessitent aucun traitement et finissent par se rétablir en une semaine à 10 jours.

Preston a noté que les chiffres avaient soudainement atteint un sommet à la mi-mars de manière «impossible». Un jour, il y a eu un pic exponentiel dans les tests, suivi d’un pic dans les cas, même si les tests n’étaient pas nécessaires.

Robbins lui-même a déclaré qu’en avril, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont annoncé que les tests n’étaient plus nécessaires pour poser un diagnostic de COVID-19. En l’absence de preuve de diagnostic, les médias de masse peuvent revendiquer le nombre de leur choix, ce qu’ils font depuis le début.

Preston a également exprimé ses doutes sur le prochain vaccin, d’autant plus que les experts travaillent sur le vaccin contre le SRAS depuis 10 ans. Les résultats des 15 ans de travail sur le vaccin antigrippal ne sont pas aussi optimistes, et il en va de même pour les 30 ans de travail sur le vaccin contre le sida. Il a averti qu’un vaccin COVID-19 précipité serait probablement tout aussi inefficace.

Le Dr Anthony Fauci, médecin et immunologiste qui détient la moitié du brevet du nouveau vaccin COVID-19, affirme que l’Amérique ne peut pas revenir à la normale sans vaccin. Cette notion populaire alimente également le verrouillage prolongé du pays. [Il a tout simplement repris la chanson de Bill Gates – MIRASTNEWS].

Mais si les experts ne peuvent pas trouver un remède contre le sida ou le rhume, y a-t-il même un espoir pour un vaccin COVID-19? Preston a averti que le verrouillage du COVID-19 peut faire plus de mal que de bien. Cela peut supprimer votre système immunitaire.

Les verrouillages favorisent également la saturation normale d’une nouvelle maladie essayant d’atteindre l’immunité collective puisque les gens sont isolés des interactions et des contacts normaux. (En relation: le site Web des médecins de première ligne des Etats-Unis d’Amérique expose la campagne «criminelle» des géants de la technologie et des agences gouvernementales pour bloquer la guérison du COVID.) [Ces derniers font tellement de profits pendant cette période – MIRASTNEWS].

À New York, 86% des nouvelles infections provenaient de personnes qui restaient à la maison tout le temps. La même chose est vraie pour les autres pays.

Un système immunitaire fort doit être constamment mis au défi par une stimulation douce et régulière provenant d’une interaction humaine normale. Malgré les faux récits quotidiens des médias pop, les hôpitaux sont vides depuis trois mois.

COVID est-il une menace permanente?

Les écrans en plexiglas seront-ils un élément permanent dans les magasins et les restaurants? Avez-vous besoin de porter des masques et des écrans faciaux pour toujours?

Où est la preuve que la COVID-19 est la «première maladie permanente de l’histoire?» Preston a conclu qu’il n’était pas logique de «tanker l’économie» pour protéger le pays contre une maladie normale.

Robbins a également interviewé le Dr Michael Roizen, responsable du bien-être à la Cleveland Clinic.

Roizen a critiqué les conséquences du verrouillage de masse en raison des chiffres suivants:

  •     Au moins 46% de tous les cas de COVID-19 dans le pays provenaient de seulement deux États: New York et New Jersey.
  •     Plus de 50 pour cent des cas ont été enregistrés dans des maisons de retraite.
  •     Au moins 97% des décès dus à la COVID-19 étaient des personnes âgées de plus de 65 ans.
  •     Chez les enfants de moins de 18 ans, la COVID-19 était pratiquement inexistant.

Roizen a proposé des mesures de verrouillage dans le pays. Au lieu d’empêcher tout le monde de sortir, seuls les plus de 70 ans devraient être mis en quarantaine car ils sont à risque. Les personnes infectées devraient également être mises en quarantaine, ainsi que les autres personnes en mauvaise santé.

Roizen pense que le verrouillage n’aurait pas été nécessaire si des décisions importantes avaient été prises par des médecins plutôt que par des bureaucrates.

«Morts de désespoir»

Il y a également eu des rapports de «morts par désespoir» en raison de la catastrophe économique causée par les verrouillages de la COVID-19.

Les données ont montré que:

  •     Les suicides ont augmenté.
  •     La consommation d’alcool a augmenté de 67%.
  •     L’utilisation de la méthamphétamine a augmenté de 300%.
  •     La maltraitance des enfants a augmenté de 35%.
  •     Le chômage a augmenté de 14 pour cent.
  •     Au moins 57% des restaurants ont fermé définitivement, ce qui contribue au taux de chômage.

Cela prouve que les dommages collatéraux causés par les verrouillages sont pires que la COVID-19 elle-même.

Mesures de conformité

Malgré les preuves du contraire, les responsables utilisent des masques et des verrouillages comme mesures de conformité.

Le gouvernement se mêle de la vie quotidienne des Américains ordinaires, mais les gens n’ont pas besoin de savoir comment protéger leur propre santé ou comment pratiquer la liberté médicale. Les citoyens ne sont pas également informés des médicaments ou vaccins à injecter dans leur corps, ce qui vous prive de votre droit d’être en sécurité avec vous-même.

O’Shea a conclu que les Américains en bonne santé n’ont pas besoin d’être mis en quarantaine à cause du faux récit des médias pop et que le gouvernement a oublié un fait important: ils travaillent pour vous et non l’inverse.

Assurez-vous que cela ne se reproduira plus lors des prochaines élections.

Pour empêcher les bureaucrates d’abuser de leur pouvoir, ne votez pas pour quiconque soutient la fausse épidémie et fait couler l’économie, arrêtez d’écouter la propagande des entreprises des médias de masse et prêtez attention aux sources de confiance ayant des opinions non propagandistes.

Restez informés et méfiez-vous des faux récits des médias grand public.

REGARDEZ:         

https://www.brighteon.com/7a0cac08-70f4-43c7-af42-6a3609110224



Sources :

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Natural News




Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement

[Source : Le Saker Francophone]

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Par Denis G. Rancourt – Source Research Gate

Les dernières données sur la mortalité toutes causes confondues par semaine ne montrent pas une charge hivernale de mortalité statistiquement plus importante que pour les hivers précédents. Il n’y a pas eu de peste. Cependant, un « pic COVID » étroit est présent dans les données, pour plusieurs juridictions en Europe et aux États-Unis.

Ce « pic COVID » de mortalité, toutes causes confondues, présente des caractéristiques uniques :

  • Sa netteté, avec une largeur à mi-hauteur maximale de seulement 4 semaines environ ;
  • Son retard dans le cycle de la saison infectieuse, avec une augmentation subite après la semaine 11 de 2020, ce qui est sans précédent pour tout pic aigu ;
  • La synchronisation du début de sa poussée, sur tous les continents, immédiatement après la déclaration de la pandémie par l’OMS ; et
  • Son absence ou sa présence d’un état à l’autre des États-Unis pour la même écologie virale sur le même territoire, étant corrélée aux événements des maisons de retraite et aux actions du gouvernement plutôt qu’à un quelconque discernement de la souche virale connue.

Ces caractéristiques du « pic COVID », ainsi qu’un examen de l’histoire épidémiologique et des connaissances pertinentes sur les maladies respiratoires virales, m’amènent à postuler que le « pic COVID » résulte d’un homicide de masse accéléré de personnes immunovulnérables et de personnes rendues plus immunovulnérables par des actions gouvernementales et institutionnelles, plutôt que d’être la signature épidémiologique d’un nouveau virus, quel que soit le degré de nouveauté du virus du point de vue de la spéciation virale.

Les données sur les causes de décès sont intrinsèquement peu fiables

L’attribution de la cause de la mort, avec les maladies infectieuses et la comorbidité, est non seulement techniquement difficile (par exemple, Simonsen et al., 1997 ; Marti-Soler et al., 2014) mais aussi contaminée par les préjugés des médecins, la politique et les médias.

Cela est connu depuis que l’épidémiologie moderne a été pratiquée pour la première fois. Voici Langmuir (1976) qui cite le célèbre pionnier William Farr, à propos de l’épidémie de grippe de 1847 :

Farr utilise cette épidémie pour réprimander légèrement les médecins sur leurs vues étroites en soulignant que de fortes augmentations ont été observées non seulement avec la grippe elle-même, mais aussi la bronchite, la pneumonie et l’asthme et de nombreuses autres causes non respiratoires, déclare-t-il : … il existe une forte disposition chez certains praticiens anglais non seulement à localiser la maladie, mais aussi à ne voir que la maladie locale. Par conséquent, bien qu’il soit certain que la mortalité élevée enregistrée soit le résultat immédiat de l’épidémie de grippe, les décès évoqués pour cette cause ne sont que de 1 157.

Et, ce biais est généralement reconnu par les principaux épidémiologistes (Lui et Kendal, 1987) :

… la décision de classer les décès en « pneumonie et grippe » est subjective et potentiellement incohérente. D’une part, l’effet de la grippe ou de la pneumonie liée à la grippe peut être sous-estimé car les maladies chroniques sous-jacentes, en particulier chez les personnes âgées, sont généralement mentionnées comme cause de décès sur le certificat de décès. D’autre part, après que l’activité grippale a été publiquement déclarée, il peut y avoir une tendance accrue à classer les décès comme étant dus à « la pneumonie et la grippe », ce qui amplifie le taux d’augmentation des décès liés aux 2 ou, lorsqu’une baisse de l’activité grippale est déclarée, il peut en résulter un biais vers la diminution de la classification des décès liés à « la pneumonie et la grippe ». Aucune enquête n’a été réalisée pour évaluer ces possibilités.

On peut raisonnablement s’attendre à ce que dans le monde actuel des médias sociaux, avec une « pandémie » déclarée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ce biais ne soit que plus important par rapport à sa présence lors d’épidémies passées de maladies respiratoires virales.

Par exemple, il est difficile d’interpréter la synchronicité de la déclaration du COVID-19 par l’OMS comme une pandémie et le début de l’augmentation observée des cas et des décès de COVID-19 comme étant le produit d’une coïncidence ou de la capacité de prévision extraordinaire du système mondial de surveillance de la santé :

Figure 1 : Nombre de cas COVID-19 signalés dans le monde et nombre de décès attribués à la COVID-19 signalés, par jour. Les données de l’OMS ont été consultées le 30 mai 2020. Les lignes verticales au crayon indiquent la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie.
Figure 2 : Nouveaux cas de COVID-19 signalés dans le monde, par jour, en distinguant les continents. Les données de l’OMS ont été consultées le 30 mai 2020. La ligne verticale au crayon indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie.

Au contraire, à la lumière des épidémies passées, il est plus probable que ce remarquable phénomène de synchronicité résulte d’attributions biaisées, dans le contexte souple de l’utilisation de tests de laboratoire fabriqués en urgence et non validés, d’évaluations cliniques d’un ensemble générique de symptômes et d’une attribution incertaine de la cause du décès dans des circonstances de comorbidité complexes.

C’est pourquoi les études épidémiologiques rigoureuses s’appuient plutôt sur des données de mortalité toutes causes confondues, qui ne peuvent être modifiées par un biais d’observation ou de déclaration (comme l’indiquent Simonsen et al., 1997 ; et voir Marti-Soler et al., 2014). Un décès est un décès définitif.

La mortalité dans la charge hivernale d’une année sur l’autre dans les pays des latitudes moyennes est très régulière

La mortalité humaine moderne dans les régions à climat tempéré des latitudes moyennes est fortement saisonnière. Les graphiques du nombre de décès toutes causes confondues par unité de temps (mois, semaine, jour), dans des régions données, présentent un schéma annuel, avec une amplitude de pic à creux de 10 à 30 % de la valeur de base du creux, en grande partie indépendamment des agents pathogènes spécifiques qui peuplent les saisons spécifiques. Une forte mortalité se produit en hiver, et est donc inversée dans les hémisphères nord et sud (par exemple, Marti-Soler et al., 2014).

Pour les États-Unis, le phénomène est bien illustré dans cette figure de Simonsen et al. (1997) :

Figure 3 : Mortalité toutes causes confondues, par semaine, pour les États-Unis, 1972 à 1993 (Simonsen et al., 1997 ; d’après leur Fig. 1).

Dans un tel graphique, la zone située sous un pic, par rapport à son niveau de référence minimal, est le nombre total de décès annuels l’hiver, au-dessus du niveau de référence minimal. Le nombre « excédentaire » de décès annuel ainsi calculé, ici (dans la période 1972-1993), est toujours d’environ 8 à 11 % du total des décès annuels au niveau de référence minimal, ainsi que d’environ 8 à 11 % de la mortalité annuelle toutes causes confondues.

Cette « surmortalité » régulière et saisonnière, ou charge hivernale, a été un défi épidémiologique à comprendre, même si, à commencer par Farr, de nombreux épidémiologistes l’ont initialement attribuée presque entièrement aux maladies respiratoires virales de type grippe saisonnière.

Néanmoins, l’angoissante difficulté à comprendre la ou les causes de ce schéma remarquablement régulier et global (les deux hémisphères, mais inversé) persiste, comme l’illustrent les propos de Marti-Soler et al. (2014) (références omises) :

Étant donné que la mortalité due au cancer ne présente pratiquement pas de schéma de saisonnalité, la saisonnalité de la mortalité globale est principalement due à la saisonnalité de la mortalité due aux MCV [maladies cardiovasculaires] et à la mortalité non due aux MCV et non due au cancer. Pour ces conditions, et en particulier pour les MCV, l’exposition au froid est une explication plausible de la saisonnalité observée, étant donné la relation entre le climat froid et la latitude. Plusieurs études longitudinales ont démontré qu’une baisse de la température extérieure était associée à une augmentation de la mortalité toutes causes confondues. Cependant, d’autres facteurs dépendant de la latitude, tels que les habitudes alimentaires, l’exposition au soleil (taux de vitamine D) et les agents parasitaires et infectieux humains pourraient également jouer un rôle. L’ampleur du schéma saisonnier de la mortalité due aux MCV était plus élevée que celle de la mortalité toutes causes confondues. Le caractère saisonnier de la mortalité due aux MCV pourrait être dû en partie à la saisonnalité conjointe de plusieurs facteurs de risque connus de MCV, comme décrit précédemment. De même, les facteurs liés au mode de vie, tels que l’alimentation et l’activité physique, ont également tendance à différer pendant les mois d’été et d’hiver. De plus, l’exposition au froid augmente la dépense énergétique, la vasoconstriction périphérique et la post-charge cardiaque, ce qui peut déclencher une ischémie myocardique et un accident vasculaire cérébral. Enfin, l’infection grippale à tendance hivernale peut également être un déclencheur de décès dus à des maladies cardio-vasculaires en exacerbant les conditions de ces maladies ou en raison de complications secondaires. C’est probablement le cas de la concentration des polluants atmosphériques.

La saisonnalité de la mortalité non liée aux MCV et non liée au cancer peut être liée au fait que les maladies pulmonaires obstructives chroniques et la pneumonie sont des maladies fréquentes dans cette catégorie et que ces maladies sont exacerbées par la grippe, d’autres infections de type grippal et les concentrations de polluants atmosphériques, qui sont toutes plus fréquentes en hiver. Quelques autres maladies de la catégorie des maladies non dues aux MCV et non dues au cancer présentent également un schéma saisonnier, par exemple la dépression, le suicide et les hémorragies variqueuses de l’œsophage.

Pourquoi la mortalité dans sa charge hivernale est-elle si régulière et persistante ?

Même la saisonnalité de la partie « pneumonie et grippe » (P&G) qui représente une grande partie de ce que Marti-Soler et al. quantifient comme « mortalité non due aux MCV et non due au cancer » n’a été comprise qu’il y a dix ans. Jusqu’à récemment, on se demandait si le schéma annuel des P&G était principalement dû aux changements saisonniers de la virulence des agents pathogènes ou aux changements saisonniers de la sensibilité de l’hôte (par exemple, l’air sec provoquant une irritation des tissus, ou la diminution de la lumière du jour entraînant une carence en vitamines ou un stress hormonal). Voir, par exemple, Dowell (2001). Dans un sens, la réponse est « ni l’un ni l’autre ».

Dans une étude qui fait date, Shaman et al. (2010) ont montré que le schéma saisonnier de surmortalité des maladies respiratoires (P&G) peut être expliqué quantitativement sur la seule base de l’humidité absolue, et son impact direct sur la transmission des pathogènes aéroportés.

Lowen et ses collègues (2007) ont démontré que le phénomène de contagiosité des virus aériens dépend de l’humidité dans la transmission réelle de maladies entre cobayes, et ont examiné les mécanismes sous-jacents potentiels de l’effet de contrôle mesuré de l’humidité.

Le mécanisme sous-jacent est que les particules ou les gouttelettes de la taille d’un aérosol chargées d’agents pathogènes sont neutralisées à une demi-vie et diminuent de manière linéaire et significative avec l’augmentation de l’humidité absolue ambiante. Ce mécanisme est basé sur les travaux fondateurs de Harper (1961). Harper a montré expérimentalement que les gouttelettes porteuses de virus et d’agents pathogènes étaient inactivées dans des délais de plus en plus courts, à mesure que l’humidité absolue ambiante augmentait.

Harper a soutenu que les virus eux-mêmes étaient rendus inopérants par l’humidité (« décomposition viable »), mais il a admis que l’effet pouvait être dû à l’élimination physique ou à la sédimentation gravitationnelle des gouttelettes (« perte physique ») : « Les viabilités des aérosols rapportées dans cet article sont basées sur le rapport entre la charge virale et la numération radioactive dans les échantillons de suspension et de nuages, et peuvent être critiquées au motif que les matériaux de test et de traçage n’étaient pas physiquement identiques ».

Cette dernière (« perte physique ») me semble plus plausible, puisque l’humidité absolue aurait pour effet physique universel de provoquer la croissance par condensation et la sédimentation gravitationnelle des particules/gouttelettes (et, inversement, la perte par évaporation et aérosolisation), et que tous les agents pathogènes viraux testés ont essentiellement la même « décomposition » due à l’humidité. En outre, il est difficile de comprendre comment un virion (de n’importe quel type de virus) dans une gouttelette serait attaqué ou endommagé au niveau moléculaire ou structurel par une augmentation de l’humidité ambiante. Un « virion » est la forme complète et infectieuse d’un virus en dehors d’une cellule hôte, avec un noyau d’ARN ou d’ADN et une capside. Aucun mécanisme moléculaire réel ou autre de la « décomposition viable » d’un virion par l’humidité à l’intérieur d’une gouttelette, postulée par Harper (1961), n’a, à ce jour, été expliqué ou étudié, alors que la sédimentation gravitationnelle (« perte physique ») est bien comprise.

Quoi qu’il en soit, l’explication et le modèle de Shaman et al. (2010) ne dépendent pas du mécanisme particulier de la décomposition des virions en aérosol/gouttelettes induite par l’humidité absolue. Le modèle d’épidémiologie virale régionale saisonnière quantitativement démontré par Shaman est valable pour l’un ou l’autre mécanisme (ou combinaison de mécanismes), que ce soit la « décomposition viable » ou la « perte physique ».

La percée réalisée par Shaman et al. n’est pas seulement un sujet académique. Elle a de profondes implications en matière de politique de santé, qui ont été entièrement ignorées ou négligées dans la pandémie actuelle de coronavirus :

  • Cela signifie que le caractère saisonnier de la mortalité des P&G est directement lié à la contagiosité des maladies respiratoires virales contrôlée par l’humidité absolue.

Si mon point de vue sur le mécanisme est correct (c’est-à-dire « perte physique » plutôt que « décomposition viable »), alors :

  • Cela implique en outre que le vecteur de transmission doit être de petites particules d’aérosol en suspension dans l’air, respirées profondément dans les poumons, à l’intérieur ; et non des voies de transmission hypothétiques comme un contact réel avec un fluide ou un fomite, et non de grosses gouttelettes et de la salive (qui sont rapidement éliminées de l’air par gravitation, ou capturées dans la bouche et le système digestif).
  • Et cela signifie que la distanciation sociale, les masques et le lavage des mains peuvent avoir peu d’effet sur la propagation réelle de l’épidémie pendant la saison hivernale (voir : Rancourt, 2020).

En ce qui concerne la modélisation épidémiologique, les travaux de Shaman impliquent que, plutôt que d’être un nombre fixe (dépendant uniquement de la structure spatio-temporelle des interactions sociales dans une population complètement et variablement sensible, et de la souche virale), le nombre de reproduction de base de l’épidémie (R0) dépend principalement de l’humidité absolue ambiante. Pour une définition du R0, voir HealthKnowlege-UK (2020) : R0 est « le nombre moyen d’infections secondaires produites par un cas typique d’infection dans une population où tout le monde est sensible ».

Shaman et al. ont montré que le R0 doit être compris comme variant selon les saisons entre des valeurs d’été humide légèrement supérieures à « 1 » et des valeurs d’hiver sec généralement aussi élevées que « 4 » (voir par exemple leur tableau 2). En d’autres termes, les maladies respiratoires virales infectieuses saisonnières qui sévissent chaque année dans les régions à climat tempéré passent d’une contagion intrinsèquement légère à une contagion virulente, simplement en raison du mode de transmission biophysique contrôlé par l’humidité absolue de l’air, largement indépendamment de toute autre considération.

En outre, il a été démontré que les concentrations de virus dans l’air intérieur (dans les garderies, les centres de santé et à bord des avions) existent principalement sous forme de particules d’aérosol de diamètre inférieur à 2,5 μm, comme le montrent les travaux de Yang et al. (2011) :

La moitié des 16 échantillons étaient positifs, et leurs concentrations totales en virus variaient de 5 800 à 37 000 copies du génome m-3. En moyenne, 64 % des copies du génome viral étaient associées à des particules fines de diamètre inférieur à 2,5 μm, qui peuvent rester en suspension pendant des heures. La modélisation des concentrations de virus à l’intérieur a suggéré une force de source de 1,6 ± 1,2 × 105 copies du génome m-3 dans l’air h-1 et un flux de dépôt sur les surfaces de 13 ± 7 copies du génome m-2 h-1 par mouvement brownien. Sur une heure, la dose d’inhalation a été estimée à 30 ± 18 dose infectieuse médiane en culture tissulaire (TCID50), suffisante pour induire l’infection. Ces résultats apportent un soutien quantitatif à l’idée que la voie aérosol pourrait être un mode important de transmission de la grippe.

Note de l'auteur
"h-1" signifie "par heure".
"m-3" signifie "par mètre cube" et indique un volume. "m-2" signifie "par mètre carré" et indique une surface.
"m-3 h-1" signifie donc "par mètre cube par heure".

Ces petites particules (inférieures à 2,5 μm) font partie de la fluidité de l’air, ne sont pas soumises à la sédimentation gravitationnelle et peuvent donc être respirées profondément dans les poumons.

La question suivante est la suivante : combien de particules chargées d’agents pathogènes de ce type sont nécessaires pour provoquer une infection chez une personne ayant une capacité moyenne de réponse immunitaire ?

Yezli et Otter (2011), dans leur examen de la dose infectieuse minimale (DIM), soulignent les caractéristiques pertinentes :

  • la plupart des virus respiratoires sont aussi infectieux chez l’homme que dans les cultures de tissus ayant une sensibilité optimale en laboratoire
  • la MID à 50 % de probabilité (« TCID50 ») se situe, de manière variable, entre 100 et 1000 virions
  • il y a généralement 103-107 virions par gouttelette de grippe aérosol de 1 μm à 10 μm de diamètre
  • la MID à 50 % de probabilité s’insère facilement dans une seule gouttelette aérosolisée

Pour en savoir plus :

  • Haas (1993) fournit une description classique de l’évaluation dose-réponse.
  • Zwart et al. (2009) ont fourni la première preuve en laboratoire, dans un système virus-insecte, que l’action d’un seul virion peut être suffisante pour provoquer une maladie.
  • Baccam et al. (2006) ont calculé, à partir de données empiriques, qu’avec la grippe A chez l’homme, « nous estimons qu’après un délai de ~6 h, les cellules infectées commencent à produire le virus de la grippe et continuent à le faire pendant ~5 h. La durée de vie moyenne des cellules infectées est de ~11 h, et la demi-vie du virus infectieux libre est de ~3 h. Nous avons calculé le nombre de reproduction de base [dans le corps], R0, qui indique qu’une seule cellule infectée peut produire ~22 nouvelles infections productives ».
  • Brooke et al. (2013) ont montré que, contrairement aux hypothèses de modélisation précédentes, bien que toutes les cellules infectées par le virus de la grippe A dans le corps humain ne produisent pas une progéniture infectieuse (virions), néanmoins, 90 % des cellules infectées sont significativement affectées.

L’examen ci-dessus signifie que toutes les maladies respiratoires virales qui frappent chaque année les populations des régions tempérées sont extrêmement contagieuses pour deux raisons : (1) elles sont transmises par de petites particules d’aérosol qui font partie de l’air fluide et remplissent pratiquement tous les espaces d’air clos occupés par les humains, et (2) une seule de ces particules d’aérosol porte la dose infectieuse minimale (DIM) suffisante pour provoquer une infection chez une personne, si elle est inhalée dans les poumons, où l’infection est initiée.

C’est pourquoi le schéma de mortalité toutes causes confondues est si solidement stable et réparti dans le monde entier, si l’on admet que la majorité de la charge est induite par des maladies respiratoires virales, tout en étant relativement insensible à l’écologie virale saisonnière particulière pour cette classe opérationnelle de virus. Cela explique également pourquoi le schéma est inversé entre l’hémisphère nord et l’hémisphère sud, indépendamment des voyages aériens touristiques et d’affaires et ainsi de suite.

Les virologues et les généticiens voient les souches, les mutations et les espèces virales (Alimpiev, 2019), comme un homme avec un marteau voit des clous. De même, il existe des récompenses professionnelles pour l’identification de nouveaux agents pathogènes viraux et la description de nouvelles maladies. Pour ces raisons, les scientifiques n’ont pas vu la forêt mais les arbres.

Mais les données montrent qu’il existe un schéma persistant et régulier de mortalité dans la charge hivernale, indépendamment des détails, et que la répartition du nombre de décès excédentaires d’une année sur l’autre est bien limitée (environ 8 à 11 % de la mortalité annuelle totale, aux États-Unis, de 1972 à 1993). Malgré tout ce qu’on dit sur les épidémies, les pandémies et les nouveaux virus, le schéma est résolument constant.

Une anomalie digne de panique, et d’une ingénierie socio-économique mondiale nocives, devrait consister en une mortalité de charge hivernale annuelle d’origine naturelle statistiquement supérieure à la norme. Cela ne s’est pas produit depuis l’unique pandémie de grippe de 1918 (Hsieh et al., 2006).

Les trois épidémies récentes qualifiées de pandémies, à savoir la pandémie H2N2 de 1957, la pandémie H3N2 de 1968 et la pandémie H1N1 de 2009, n’ont pas été plus virulentes (en termes de mortalité annuelle dans la charge hivernale) que les épidémies saisonnières régulières (Viboud et al., 2010 ; Viboud et al., 2006 ; Viboud et al., 2005). En fait, l’épidémie de 1951 a été jugée plus meurtrière, sur la base des données de P&G, en Angleterre, au Pays de Galles et au Canada, que les pandémies de 1957 et 1968 (Viboud et al., 2006).

Un modèle simple de virulence de facto des maladies respiratoires virales

Face à la persistance et à la régularité de la charge hivernale de la mortalité, on est tenté de proposer que les propriétés spécifiques (structurelles, moléculaires et de liaison) de l’agent pathogène viral d’une maladie respiratoire particulière ne sont pas aussi déterminantes pour la mortalité que les virologues le suggèrent. Au contraire, il est possible que la mortalité, dans une population donnée exposée à ces agents pathogènes viraux hautement contagieux qui envahissent les poumons, soit principalement contrôlée par la répartition de la population en terme de capacité et de préparation du système immunitaire.

Une charge virale pénètre dans les poumons. Une fois que l’antigène viral est reconnu, une réponse immunitaire se met en place1. Une « guerre » dynamique s’ensuit entre le virus qui se reproduit et se propage en infectant les cellules de la paroi des poumons, et le système immunitaire qui fait tout ce qu’il peut pour identifier, localiser et détruire les cellules infectées avant que lesdites cellules infectées ne puissent être productives du virus.

La réponse immunitaire est extraordinairement exigeante pour les ressources énergétiques métaboliques de l’organisme (c’est pourquoi il faut « nourrir un rhume », « se reposer » et « rester au chaud »). La demande en énergie métabolique est prioritaire et peut concurrencer les demandes des fonctions corporelles essentielles et les réponses immunitaires à d’autres agents pathogènes. C’est pourquoi les personnes souffrant de maladies « liées à l’âge » et de comorbidité sont particulièrement exposées : leur taux d’apport d’énergie métabolique au système immunitaire est limité par leurs co-conditions, et la demande n’est pas satisfaite à un rythme suffisamment élevé pour gagner la « guerre ». Voir : Straub (2017) ; Bajgar et al. (2015).

Dans une vue simple de l’infection (que je propose pour illustration), un individu donné, ayant un état de santé donné, ne peut fournir de l’énergie métabolique au système immunitaire que jusqu’à un certain taux maximum de fourniture, pendant la phase cruciale de la « guerre ». C’est ce que l’on appelle le « taux d’apport énergétique pour la réponse immunitaire » : RS. Le RS est exprimé en unités d’énergie par unité de temps, J/s, ou en calories par seconde. Si le RS est suffisant pour « gagner la guerre » et est maintenu suffisamment longtemps, alors l’individu se remet de l’infection et le système immunitaire stocke une mémoire moléculaire de l’antigène viral, ce qui réduit considérablement la demande en énergie pour les futures réponses immunitaires aux attaques du même virus ou d’un virus suffisamment similaire. Si la réponse immunitaire est insuffisante, l’individu succombe au virus et meurt.

Par conséquent, le virus saisonnier peut être caractérisé comme ayant une valeur de RS spécifique au virus, dites RSv, qui est le seuil de RS pour la survie de la personne infectée. Si RS > RSv, alors la personne se rétablit. Si RS < RSv, alors la personne meurt. Plus le RSv est élevé, plus le virus est virulent, et vice versa.

Une population humaine donnée (nationale ou régionale) aura une distribution donnée des valeurs de RS associée aux différents membres de la population.

Mathématiquement, cette distribution peut être représentée comme une densité de probabilité des valeurs de RS. Une valeur de densité de probabilité comporte des unités de nombre de personnes par unité d’intervalle de RS. La surface totale sous la courbe de densité de probabilité est la population, de la nation ou de la région.

La figure 4 illustre trois distributions hypothétiques des valeurs de RS, dans trois populations différentes de taille égale. Ici : « Allemagne/Germany » (ligne bleue continue) correspond à une population occidentale actuelle, qui ne compte pas une population âgée particulièrement nombreuse ; « Italie » (ligne bleue pointillée) correspond à une population occidentale actuelle qui compte une population âgée nombreuse ; et « Stressed » (ligne rouge continue) correspond à une population d’individus soumis à un stress métabolique (ou sanitaire) élevé, comme cela a pu être le cas en Angleterre en 1918.

Un tel stress pour la santé peut être dû à une carence nutritionnelle, à un manque de nutriments essentiels ou de vitamines, à des niveaux élevés d’agents stressants environnementaux, de toxines ou d’agents pathogènes, à une pénurie de logements [ou de la capacité à le chauffer, NdSF](« fuel poverty« ), à des conditions de travail oppressives, à l’oppression de la domination sociale, à l’abus de substances provoquant des lésions organiques, etc. Il existe une vaste littérature sur ces facteurs. Comme point d’ancrage, voir : Sapolsky (2015) ; Sapolsky (2005).

Figure 4 : Densités de probabilité des valeurs de RS, pour trois populations de taille égale mais différant par leur niveau de stress et leur vulnérabilité en matière de santé, comme expliqué dans le texte. Les trois lignes verticales, tracées au crayon et intitulées « 1 », « 2 » et « 3 », montrent trois valeurs de RSv différentes, spécifiques à chaque virus, comme expliqué dans le texte. Les zones hachurées sont les fractions (de la surface totale) représentant les fractions de mortalité pour le virus le moins virulent ayant la valeur RSv étiquetée « 1 ».

Dans ce modèle, la mortalité comparative entre les populations, pour un agent pathogène viral donné, est donc déterminée par les différents états de santé (distributions des valeurs de RS des individus) des populations infectées comparées.

Cela concerne le cycle complet de l’infection et de la guérison. Il en dit peu sur les taux de mortalité quotidiens et les distributions par âge, qui dépendent de la propagation naturelle ou forcée de l’infection, qui à son tour n’est pas nécessairement uniforme dans le temps et l’espace mais peut plutôt cibler des segments particuliers de la population, comme les personnes confinées dans des institutions.

En outre, la distribution des valeurs de RS pour une population donnée peut changer de manière significative au cours d’une épidémie, si les segments vulnérables sont soumis à des facteurs de stress supplémentaires en matière de santé, par exemple.

Analyse de la mortalité toutes causes confondues de COVID-19 et les modélisations de déconvolutions

À la lumière du contexte et des outils conceptuels ci-dessus, nous pouvons maintenant examiner les données liées au COVID-19, à ce jour. Pour de bonnes raisons (voir ci-dessus), nous ignorons les données relatives aux décès et les modélisations de déconvolutions des décès P&G par rapport à d’autres décès jugés saisonniers pour des raisons non liées aux agents pathogènes viraux saisonniers. Nous nous concentrons sur la mortalité toutes causes confondues, par semaine.

La mortalité toutes causes confondues n’est pas susceptible de biais et est actuellement disponible pour plusieurs juridictions. Nous utilisons les données brutes sans aucune manipulation, et nous ne modifions pas les données pour les « corriger » en fonction des changements de la population totale ou de la structure d’âge d’une population.

Pour les données, nous nous appuyons sur le CDC (USA), les données des instituts nationaux pour l’Angleterre et le Pays de Galles, et les compilations graphiques du centre EuroMOMO. Nous n’utilisons que les dernières semaines qui sont déclarées complètes (« >100% », CDC) ou jugées de qualité suffisante pour être publiées. Malheureusement, certaines juridictions telles que le Canada peuvent être caractérisées comme lentes et réfractaires aux demandes.

La figure 5 montre la mortalité toutes causes confondues par semaine pour l’Angleterre et le Pays de Galles, à partir de 2010. Les baisses soudaines sur une semaine sont des incohérences dans la comptabilité et dans les délais de certification des décès, qui sont comptées dans la ou les semaines suivantes. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie.

En déclarant la pandémie, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom, a notamment déclaré2 :

[…] Dans les jours et les semaines à venir, nous nous attendons à voir le nombre de cas, le nombre de décès et le nombre de pays touchés augmenter encore plus. […] Et nous avons appelé chaque jour les pays à prendre des mesures urgentes et énergiques. Nous avons tiré la sonnette d’alarme haut et fort. […]

Il ne s’agit pas seulement d’une crise de santé publique, mais d’une crise qui touchera tous les secteurs – chaque secteur et chaque individu doit donc être impliqué dans la lutte.

J’ai dit dès le début que les pays doivent adopter une approche pan-gouvernementale et sociétale, construite autour d’une stratégie globale pour prévenir les infections, sauver des vies et minimiser l’impact. […]

Je rappelle à tous les pays que nous vous demandons d’activer et de renforcer vos mécanismes d’intervention d’urgence ; de communiquer avec votre population sur les risques et la manière dont elle peut se protéger – c’est l’affaire de tous ; de trouver, isoler, tester et traiter chaque cas et de retracer chaque contact ; de préparer vos hôpitaux ; [C’est moi qui souligne, NdA].

Les propos d’Adhanom ont soit constitué la prévision de santé publique la plus remarquable jamais faite pour l’Angleterre et le Pays de Galles (et de nombreuses juridictions dans le monde, voir ci-dessous), soit quelque chose d’autre pourrait expliquer le pic de mortalité toutes causes confondues qui a immédiatement suivi sa déclaration.

Figure 5 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour l’Angleterre et le Pays de Galles, à partir de 2010. Les baisses soudaines d’une semaine sont des incohérences dans la comptabilité et dans le délai de certification des décès, qui sont comptées dans la ou les semaines suivantes. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie COVID-19.

Il est important de noter que le nombre total de décès « excédentaires », toutes causes confondues, la charge hivernale pour la saison se terminant en 2020 (zone au-dessus de la ligne de base de l’été), n’est pas statistiquement plus élevé que pour les années passées, et il reste à voir jusqu’à quel point le creux de l’été 2020 sera bas.

Ce que l’on peut appeler le « pic COVID » est une caractéristique étroite (figure 5). Par rapport à la ligne de base estivale, la largeur totale à mi-hauteur du pic est d’environ 5 semaines. Il se distingue par le fait qu’il se situe à la fin de la saison infectieuse et qu’il s’élève bien au-dessus de la bosse plus large de la charge hivernale.

Ce « pic COVID » est un événement unique dans l’histoire épidémiologique de l’Angleterre et du Pays de Galles. Cette caractéristique unique est-elle due à un agent pathogène viral inhabituellement nouveau, ou à la réponse unique, sans précédent et massive du gouvernement à la déclaration de pandémie de l’OMS ?

Notez qu’un tel « pic COVID » n’implique pas une virulence intrinsèque du virus. Cela signifie seulement que les décès de personnes vulnérables, ou de personnes rendues vulnérables, sont survenus dans un court laps de temps. Par exemple, les personnes qui seraient mortes dans les semaines ou les mois suivants peuvent voir leur décès accéléré par l’intervention humaine, ou celles qui se remettent encore d’une infection virale peuvent être poussées dans des conditions de vie plus précaires et plus stressantes.

Un « pic COVID » analogue s’est produit dans les données du centre EuroMOMO pour l’Europe (figure 6). Là encore, le nombre total de décès excessifs, toutes causes confondues, de la charge hivernale pour la saison se terminant en 2020 (zone au-dessus de la ligne de base estivale) n’est pas statistiquement plus élevé que pour les années passées, et la date de déclaration de la pandémie est indiquée par une ligne rouge verticale.

Figure 6 : Mortalité toutes causes confondues par semaine. Données du centre EuroMOMO pour l’Europe, consultées le 1er juin 2020. La date de déclaration de la pandémie est indiquée par une ligne verticale rouge.

Ce qui ressemblait à une saison 2020 « douce » et concluante s’est transformé en « pic COVID » immédiatement après la déclaration de la pandémie par l’OMS.

Passons maintenant aux États-Unis, où les données actuelles sont facilement accessibles, tant au niveau national qu’au niveau de chaque État, grâce au CDC.

La figure 7 montre la mortalité toutes causes confondues par semaine pour les États-Unis, à partir de 2014. Ici, la base de référence pour l’été est d’environ de 46 000 à 52 000 décès par semaine, qui augmentent avec l’augmentation de la population totale. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie de COVID-19.

Figure 7 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour les États-Unis, à partir de 2014. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie COVID-19. Les zones hachurées ou grisées représentent les décès toutes causes confondues de la charge hivernale pour chaque année.

Ici encore, nous constatons que le nombre total de décès toutes causes confondues de la charge hivernale pour la saison se terminant en 2020 (zone au-dessus de la ligne de base estivale) n’est pas statistiquement plus élevé que pour les dernières années. Il n’y a aucune preuve, uniquement en termes de nombre de décès saisonniers, qui suggère un événement catastrophique ou un agent pathogène exceptionnellement virulent. Il n’y a pas eu de « fléau ». La charge hivernale, au cours de ces années, se situe constamment dans une fourchette d’environ 6 à 9 % de la mortalité annuelle totale toutes causes confondues, et les variations d’une année sur l’autre sont typiques des variations historiques.

D’autre part, il existe à nouveau un « pic COVID », qui présente les caractéristiques uniques suivantes :

  • Il est remarquablement net ou étroit, sa largeur à mi-hauteur du pic, par rapport à la ligne de base de l’été, n’étant que de 4 semaines environ. En comparaison, les pics importants des saisons infectieuses se terminant en 2015 et 2018 ont une largeur maximale de 14 et 9 semaines, respectivement.
  • Il se produit plus tard dans la saison infectieuse que tout autre pic important jamais observé aux États-Unis, et il augmente après la semaine 11 de 2020.
  • Sa montée survient immédiatement après la déclaration de la pandémie par l’OMS, en parfaite synchronisation, comme on peut le voir en Europe, en Angleterre et au Pays de Galles, qui sont séparés des États-Unis par un océan.

Le « pic COVID » dans les données américaines provient de « points chauds », comme la ville de New York (NYC). La figure 8 montre la mortalité toutes causes confondues par semaine pour NYC, à partir de 2013. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie COVID-19.

Figure 8 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour NYC, à partir de 2013, en noir. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie de COVID-19. La ligne grise représente simplement les mêmes données sur une échelle verticalement élargie et décalée, à des fins de visualisation. (156 correspond à 2016)

Les données de NYC n’ont aucun sens épidémiologique. Le « pic COVID » ici, à première vue, ne peut pas être interprété comme un processus normal de maladie respiratoire virale dans une population sensible. Des effets locaux, tels que l’importation de patients d’autres juridictions ou de fortes densités de personnes vulnérables institutionnalisées ou hébergées, doivent au moins être en jeu.

Ce qui est également frappant, c’est que certains des États américains les plus peuplés, qui comptent un grand nombre de cas mesurés et signalés, et un grand nombre de personnes présentant les anticorps, ne présentent pas de « pic de COVID ». (Les anticorps caractéristiques sont produits et présents dans le corps des individus qui ont été infectés et récupérés suite à leurs réponses immunitaires. Par exemple, voir l’étude de terrain sur les anticorps pour la Californie réalisée par Bendavid et al, 2020).

Ceci est illustré pour la Californie à la figure 9 et pour le Texas à la figure 10.

Figure 9 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour la Californie, à partir de 2013. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie de COVID-19. Les zones hachurées ou grisées représentent les décès toutes causes confondues dans la charge hivernale pour chaque année.
Figure 10 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour le Texas, à partir de 2013. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie COVID-19. Les zones hachurées ou grisées représentent les décès toutes causes confondues dans la charge hivernale pour chaque année.

De plus, aucun des sept États qui n’ont pas imposé de confinement (Iowa, Nebraska, Dakota du Nord, Dakota du Sud, Utah, Wyoming et Arkansas) n’a de « pic COVID ».

La présence d’un « pic COVID » est positivement corrélée avec la part des décès attribués selon COVID-19 survenant dans les maisons de retraite et les centres de vie assistée, selon cette carte :

Interprétation du « pic COVID » dans la mortalité toutes causes confondues

Étant donné le caractère unique du « pic COVID » de la mortalité toutes causes confondues :

  • Sa netteté, avec une largeur à mi-hauteur maximale de seulement 4 semaines environ ;
  • Son retard dans le cycle de la saison infectieuse, qui augmente après la semaine 11 de 2020, ce qui est sans précédent pour toute caractéristique de pic aigu ;
  • La synchronisation du début de sa poussée, sur tous les continents, et immédiatement après la déclaration de la pandémie par l’OMS ; et
  • Son absence ou sa présence d’un état à l’autre des États-Unis pour la même écologie virale sur le même territoire, est corrélée aux événements dans les maisons de retraite et aux actions du gouvernement plutôt qu’à un quelconque discernement de la souche virale connue.

Compte tenu de l’examen ci-dessus des connaissances sur les maladies respiratoires virales saisonnières :

  • Les schémas de mortalité toutes causes confondues, robustes, persistants et réguliers de la charge hivernale, à travers l’ère moderne de l’épidémiologie et entre les nations de deux hémisphères ;
  • La nouvelle compréhension (2010) que la transmissivité est contrôlée par l’humidité absolue, et que le vecteur de transmission est constitué de petites particules d’aérosol qui pénètrent profondément dans les poumons ;
  • La reconnaissance croissante de la budgétisation de l’énergie métabolique comme paradigme pour comprendre la mort par maladies infectieuses avec des conditions de comorbidité, tout en reconnaissant que le système immunitaire a un contrôle hiérarchique sur la budgétisation de l’énergie métabolique, en second lieu après la connaissance d’un danger externe imminent ; et
  • La compréhension croissante du rôle dominant du stress métabolique (y compris la cognition du stress, le stress perçu) dans la diminution de la capacité de réponse du système immunitaire.

Je postule que le « pic COVID » représente un homicide de masse accéléré de personnes immunovulnérables, et de personnes rendues plus immunovulnérables, par des actions gouvernementales et institutionnelles, plutôt qu’une signature épidémiologique d’un nouveau virus, indépendamment du degré de nouveauté du virus du point de vue de la spéciation virale.

Enfin, mon interprétation du « pic COVID » comme étant la signature d’un homicide de masse par la réaction du gouvernement est étayée par plusieurs documents institutionnels, rapports de médias et articles scientifiques, comme les exemples suivants.

Deux articles scientifiques abordent ce sujet :

  • Hawryluck et autres (2004), sur le syndrome de stress post-traumatique (SSPT) résultant d’une quarantaine médicale.
  • Richardson et al. (2020), sur la preuve statistique que les ventilateurs mécaniques ont tué des patients atteints de COVID-19 critique.

Parmi les articles de presse et les mémos institutionnels, on peut citer

  • « Une nouvelle étude révèle que presque tous les patients atteints de coronavirus mis sous respirateur sont morts« , News Break | The Hill 04-23, 23 avril 2020.
    « De nouvelles données sur les soins de santé suggèrent que près de la moitié des patients atteints de coronavirus placés sous respirateur meurent, selon le premier rapport de CNN. Les données ont été recueillies à Northwell Health, le plus grand système hospitalier de l’État de New York. Elles ont révélé qu’environ 20% des patients atteints de COVID-19 sont décédés, et que 88 % des patients placés sous respirateur sont morts ».
  • « La fille blâme le ‘chaos’ de la pandémie de COVID-19 pour le déclin rapide de sa mère« , par Arthur White-Crummey, Regina Leader-Post, 29 mai 2020.
    « La mère de Sue Nimegeers n’a jamais eu le COVID-19, mais elle la compte toujours parmi les victimes de la maladie. Elle n’a jamais été testée positive, mais le chaos de la pandémie elle-même autour de nous, nous le pensons, nous l’a prise beaucoup trop tôt », a déclaré Nimegeers au conseil d’administration de l’Autorité sanitaire du Saskatchewan (SHA) vendredi.
  • « Un rapport « profondément inquiétant » sur les foyers de soins de l’Ontario a été publié« , BBC, 27 mai 2020.
    « M. Ford a déclaré qu’une enquête complète a été lancée sur les allégations selon lesquelles les installations sentaient la nourriture pourrie, infestée de cafards et de mouches, et que des personnes âgées étaient laissées pendant des heures criant au secours alors que le personnel ne répondait pas ».
  • « Rien ne peut justifier cette destruction de vies humaines« , Yoram Lass, ancien directeur du ministère de la santé israélien, sur l’hystérie autour de Covid-19, spiked-online, 22 mai 2020.
    « Yoram Lass : C’est la première épidémie de l’histoire qui s’accompagne d’une autre épidémie – le virus des réseaux sociaux. Ces nouveaux médias ont entraîné un lavage de cerveau de populations entières. Ce que vous obtenez, c’est de la peur et de l’anxiété, et une incapacité à regarder les vraies données. Et donc, vous avez tous les ingrédients pour une hystérie monstrueuse. C’est ce qu’on appelle en science un feedback positif ou un effet boule de neige. Le gouvernement a peur de ses électeurs. C’est pourquoi il met en œuvre des mesures draconiennes. Les électeurs regardent les mesures draconiennes et deviennent encore plus hystériques ».
    – Cuomo minimise les appels à une enquête fédérale sur les décès dus aux coronavirus dans les maisons de retraite : « Demandez au président Trump« , par Andrew O’Reilly | Fox News, 20 mai 2020.
    « Le gouverneur new-yorkais Andrew Cuomo a rejeté mercredi les appels au ministère de la justice pour qu’il ouvre une enquête sur le nombre massif de décès dans les maisons de retraite de l’État lors de la pandémie de coronavirus – affirmant qu’il ne faisait que suivre les directives de l’administration Trump et des Centers for Disease Control and Prevention. Bien qu’aucune enquête officielle n’ait été annoncée, cette spéculation intervient alors que sa directive du 25 mars dernier, qui exigeait que les maisons de retraite accueillent de nouveaux patients infectés par le COVID-19, est passée au crible ».
  • DATE : 25 mars 2020
    A : Administrateurs de maisons de soins infirmiers, directeurs de soins infirmiers et planificateurs de sorties d’hôpital
    DE : Département de la santé de l’État de New York
    Conseil : sorties d’hôpital et admissions dans les maisons de soins
    (Supprimé de : coronavirus.health.ny.gov)
    « Pendant cette urgence sanitaire mondiale, toutes les maisons de retraite doivent se conformer à la réception accélérée des résidents qui reviennent des hôpitaux. Les résidents sont jugés aptes à retourner dans un établissement de soins de santé lorsque le médecin de l’hôpital ou son représentant détermine que le résident est médicalement stable pour le retour. […] Aucun résident ne peut se voir refuser sa réadmission uniquement sur la base d’un diagnostic confiné ou suspecté de COVID-19. Il est interdit aux maisons de retraite d’exiger d’un résident hospitalisé qui est déterminé comme étant médicalement stable qu’il subisse un test de COVID-19 avant son admission ou sa réadmission ».
  • « Les foyers de soins et les centres de vie assistée représentent 42 % des décès par COVID-19 : Une statistique surprenante qui a de profondes implications sur la façon dont nous avons géré la pandémie de coronavirus », par Gregg Girvan, FREOPP, 7 mai 2020.
    « Sur la base d’une nouvelle analyse des rapports de décès COVID-19 par État, il est clair que l’aspect le plus sous-estimé de la nouvelle pandémie de coronavirus est son effet sur une population spécifique d’Américains : ceux qui vivent dans des maisons de soins infirmiers et des centres d’assistance ».
  • « Coupable – de respirer« , par Tony Heller, Tony Heller YouTube Channel, 24 mai 2020.
    « Les confinements ont été vendus il y a des mois dans l’idée d’ »aplatir la courbe ». Dans la plupart des endroits, il n’y a jamais eu beaucoup de courbe à aplatir, mais les dispositifs de confinement sont toujours en place. Des dizaines de millions de personnes voient aujourd’hui leur vie détruite – pour crime de respiration ».
  • « Le « massacre » des résidents des maisons de retraite en Italie : Les patients atteints de Covid-19 dans l’épicentre du virus en Italie, en Lombardie, ont été transférés dans des maisons de retraite par une résolution officielle aux conséquences catastrophiques », par Maria Tavernini et Alessandro Di Rienzo, TRT World, 20 avril 2020.
    « Accueillir des patients du Covid-19 dans des maisons de retraite, c’était comme allumer une allumette dans une botte de foin. »
  • « Mise à jour Coronavirus : Comment le renforcement des hôpitaux pour le COVID-19 a contribué à la crise des soins de longue durée au Canada« , par Jessie Willms et Hailey Montgomery, Globe & Mail, 20 mai 2020.
    « La plupart des résidents des maisons de retraite et de soins qui ont succombé au COVID-19 au Canada sont morts dans des établissements frappés par le virus et manquant de personnel, les lits d’hôpitaux étant vides ».
  • « Il n’y a pas de preuve que les confinements ont sauvé des vies. Il est incontestable qu’ils ont causé un grand préjudice« , par Briggs, wmbriggs.com, 14 mai 2020.
    « En fin de compte, cela ne se résume pas à des statistiques au niveau du pays ou même de la ville. C’est une question de personnes. Chaque individu attrape le virus ou non, vit ou meurt. Pas à cause de son pays, mais à cause de lui-même, de sa santé, de sa situation. Tout individu peut avoir bénéficié d’une mise en quarantaine et d’une perte d’emploi. Tout comme n’importe quel individu peut avoir connu une mauvaise fin après un confinement ».
  • « Les hôpitaux sont mieux payés pour inscrire leurs patients sur la liste COVID-19« , par Tom Kertscher, POLITIFACT, 21 avril 2020.
    « La norme veut que l’assurance maladie paie à l’hôpital environ trois fois plus pour un patient qui utilise un respirateur que pour un autre. L’assurance-maladie ajoute 20 % à ses paiements réguliers aux hôpitaux pour le traitement des victimes du COVID-19. C’est le résultat d’une loi fédérale de relance ».
  • « CDC : 80 000 personnes sont mortes de la grippe l’hiver dernier aux États-Unis, le plus grand nombre de décès en 40 ans« , par Associated Press, STAT News, 26 septembre 2018.
    « On estime que 80 000 Américains sont morts de la grippe et de ses complications l’hiver dernier – le plus grand nombre de décès dus à cette maladie depuis au moins quatre décennies. Le directeur des Centers for Disease Control and Prevention, le Dr Robert Redfield, a révélé ce total dans une interview accordée mardi soir à The Associated Press ».

Denis G. Rancourt

Chercheur, Association des libertés civiles de l’Ontario (ocla.ca)



Références scientifiques

Notes

  1. Voir : « Le système immunitaire : Cellules, tissus, fonction et maladie« , revue médicale par Daniel Murrell, MD le 11 janvier 2018 – Rédigée par Tim Newman, sur medicalnewstoday.com, consulté le 1er juin 2020
  2. « Discours d’ouverture du directeur général de l’OMS lors du point de presse sur COVID-19«  – 11 mars 2020



Critique en 16 points majeurs de la raison « impure » du confinement — Comment en sommes-nous arrivés là ?

[Source : Sott.net]

[Auteur :] J.B. Handley – JBH Blog

Note du traducteur : Bien qu'en grande partie vus d'un point situé aux États-Unis, tous les éléments contenus dans cet article s'appliquent à la plupart des pays occidentaux et notamment à la France. Seize faits imparables à l'aune des publications scientifiques censurées par les médias aux ordres du Mondialisme délétère et impur au sens « entaché d'éléments incontrôlés, indésirables », un esprit du mal qui souille la morale, le social et le religieux par lequel l'âme des humains est attachée à un totalitarisme qui véhicule ses idées psychopathiques. Comme indiqué en fin d'article, l'original en anglais a été publié le 30 mai 2020 et a fait l'objet de mises à jour jusqu'au 8 juin.

Pour qui veut bien regarder, il y a tant de faits qui racontent la vérité, et cette vérité ressemble à cela :

« Compte tenu de ce que nous savons aujourd’hui du taux de mortalité par infection du Covid-19, de l’impact asymétrique selon l’âge et l’état de santé, de la non-transmissibilité par des personnes asymptomatiques et dans des environnements extérieurs, du taux de mortalité quasi nul pour les enfants et de la compréhension de base des virus par la loi de Farr, le confinement de la société fut une stupide décision politique à ce point dévastatrice pour la société que les historiens pourraient la juger comme la pire décision jamais prise. Pire encore, bien que ces dommages soient maintenant reconnus et en dépit du fait que chaque heure passée dans une phase de confinement produit un effet domino dévastateur sur la société, de nombreux décideurs politiques n’ont toujours pas changé d’avis. Pendant ce temps, les médias — à quelques exceptions notables près — sont étrangement silencieux quant aux informations positives. Heureusement, et malgré les critiques extrêmes et la censure d’une foule en colère, désespérée de continuer à mener une guerre imaginaire, un groupe inattendu de héros à travers le paysage politique — dont beaucoup de médecins et de scientifiques — se sont manifestés pour dire la vérité. »

© Inconnu

Mon but est de m’engager dans des faits connus. Vous, le lecteur, pouvez décider si tous ces faits, lorsque vous les rassemblez, correspondent à l’histoire ci-dessus.

Fait n° 1 — Le taux de mortalité par infection du Covid-19 se situe entre 0,07 et 0,20 %, ce qui correspond à la grippe saisonnière

Le taux de mortalité par infection de tout nouveau virus diminue TOUJOURS au fil du temps, à mesure que de nouvelles données sont disponibles, comme pourrait vous le dire n’importe quel virologue. Dans les premiers temps du Covid-19, où nous ne disposions que de données provenant de Chine, on craignait que le taux de mortalité infectieuse puisse atteindre 3,4 pour cent, ce qui eut effectivement été cataclysmique. Le 17 avril, la première étude fut publiée par des scientifiques de Stanford et elle aurait dû mettre immédiatement fin à tous les confinements, les scientifiques ayant indiqué que leurs recherches « impliquent que l’infection est bien plus répandue que ce qu’indique le nombre de cas confirmés » et avaient fixé le taux de mortalité lié à l’infection entre 0,12 et 0,2 pour cent. Ils avaient également spéculé, à mesure que de nouvelles données émergeaient, que le taux final de mortalité lié à l’infection serait probablement « inférieur ». Pour situer le contexte, la grippe saisonnière a un taux de mortalité lié à l’infection de 0,1 pour cent. La variole ? 30 pour cent.

L’étude de Stanford fut la première étude à établir le taux de mortalité par infection du Covid-19, et elle fit alors l’objet de critiques sévères, ce qui a incité le chercheur principal, le Dr John Ioannidis, à souligner ce qui suit :

« On notera la manifestation ici d’une sorte de pensée de groupe qui insiste sur le fait que c’est la fin du monde et que le ciel est en train de nous tomber sur la tête. Elle attaque les études avec des données basées sur la spéculation et la science-fiction. Mais il est ahurissant d’écarter les données réelles en faveur d’une spéculation mathématique. »

Comme toute bonne science, les données de Stanford sur le taux de mortalité par infection ont été reproduites tellement de fois que nos propres Centres de contrôle des maladies ont annoncé cette semaine que leur « meilleure estimation » indiquait un taux de mortalité par infection inférieur à 0,3 pour cent. Dans cet article sur les nouvelles données du CDC, ils ont également souligné comment les baisses en cascade du taux de mortalité par infection ont fait disparaître toutes les craintes apocalyptiques :

« Ce scénario d’« estimation au plus juste » suppose également que 35 pour cent des infections sont asymptomatiques, ce qui signifie que le nombre total d’infections est supérieur de plus de 50 pour cent au nombre de cas symptomatiques. Il implique donc que le taux de mortalité par infection se situe entre 0,2 pour cent et 0,3 pour cent. En revanche, les projections effectuées en mars par le CDC — qui prévoyaient que jusqu’à 1,7 million d’Américains pourraient, sans intervention, mourir du Covid-19 — supposaient un taux de mortalité par infection de 0,8 pour cent. À peu près au même moment, des scientifiques de l’Imperial College avaient élaboré un scénario catastrophe dans lequel 2,2 millions d’Américains mourraient, sur la base d’un taux de mortalité par infection de 0,9 pour cent. »

Si vous n’êtes toujours pas convaincu que le taux de mortalité par infection du Covid-19 correspond à peu près à une mauvaise saison de grippe, l’analyse la plus complète qu’il m’ait été donné de lire provient de l’université d’Oxford, qui a récemment déclaré :

« En tenant compte de l’expérience historique, des tendances des données, du nombre accru d’infections dans la population au sens large et de l’impact potentiel d’une mauvaise classification des décès, on obtient une estimation présumée du taux de mortalité par infection du Covid-19 qui se situe entre 0,1 pour cent et 0,41 pour cent. »

Grâce au nombre important d’études du taux de mortalité par infection qui ont été réalisées dans le monde entier en avril et début mai, le Dr Ioannidis de Stanford a finalement publié la semaine dernière une méta-analyse dans laquelle il a examiné DOUZE études distinctes du taux de mortalité par infection et sa conclusion est à ce point excellente que je vous laisse la découvrir :

« Le taux de mortalité par infection (IFR), c’est-à-dire la probabilité pour une personne infectée de mourir, est l’une des caractéristiques les plus critiques et les plus contestées de la pandémie de maladie à coronavirus 2019 (Covid-19). La charge de mortalité totale attendue pour le Covid-19 est directement liée à l’IFR. En outre, la justification de diverses interventions de santé publique non pharmacologiques dépend de manière cruciale de cet IFR. Certaines interventions agressives susceptibles d’induire également des dommages collatéraux plus prononcés peuvent être considérées comme appropriées, si l’IFR est élevé. À l’inverse, les mêmes mesures peuvent ne pas atteindre les seuils de risque et de bénéfice acceptables si l’IFR est faible… Il est intéressant de noter qu’en dépit de leurs différences de conception, d’exécution et d’analyse, la plupart des études fournissent des estimations d’IFR ponctuelles qui se situent dans une fourchette relativement étroite. Sept des douze IFR estimés se situent dans une fourchette de 0,07 à 0,20 (IFR corrigé de 0,06 à 0,16), ce qui est similaire aux valeurs IFR de la grippe saisonnière. Trois valeurs sont légèrement supérieures (IFR corrigé de 0,25-0,40 à Gangelt, Genève et Wuhan) et deux sont légèrement inférieures à cette fourchette (IFR corrigé de 0,02-0,03 à Kobe et dans l’Oise). »

Avis n°1 — Dr. Scott Atlas

Dr. Scott Atlas
© Inconnu

Le Dr Scott Atlas de Stanford a — peu après la publication des données de l’étude de Stanford dont il n’était pas auteur — publié un article d’opinion dans le journal The Hill avec le titre « Les données sont là — arrêtez la panique et mettez fin à l’isolement total ». Il a écrit :

« La récente étude de l’université de Stanford sur les anticorps estime maintenant que le taux de mortalité en cas d’infection est probablement de 0,1 à 0,2 pour cent, ce qui constitue un risque bien inférieur aux précédentes estimations de l’Organisation mondiale de la santé qui étaient 20 à 30 fois plus élevées et qui motivaient les politiques d’isolement… Arrêtons de sous-estimer les preuves empiriques et doublons plutôt les modèles hypothétiques. Les faits sont importants. »

Les faits sont importants, mais personne n’a écouté. L’article du Dr Atlas sert également de cadre de référence au Fait n°2.

Fait n° 2 — Le risque de mourir du Covid-19 est bien plus élevé que l’IFR moyen pour les personnes âgées et celles souffrant de comorbidité, bien plus faible que l’IFR moyen pour les jeunes personnes en bonne santé, et proche de zéro pour les enfants

En janvier 2020, Los Angeles a connu une épidémie de grippe qui a causé la mort de plusieurs enfants ; le Los Angeles Times notait qu’« une souche improbable de grippe a rendu malade et tué en cette saison de grippale un nombre inhabituellement élevé de jeunes en Californie ». Le Covid-19 est à l’opposé de cela. Le Dr Ioannidis, de Stanford, a déclaré : « Comparé à presque toutes les autres causes de maladie auxquelles je peux penser, [le Covid] épargne vraiment les jeunes. »

Le rapport du CDC sur les décès par Covid selon l’âge — Du 1er février au 16 mai

L’Italie a indiqué il y a trois jours que 96 pour cent des Italiens qui sont morts du Covid-19 souffraient déjà « d’autres maladies » et étaient en moyenne âgés de 80 ans. Selon Bloomberg, le chef de l’ISS [Institut supérieur de Santé en Italie – NdT], Silvio Brusaferro, a déclaré lors d’une conférence de presse vendredi :

« Les derniers chiffres montrent que les nouveaux cas et les décès ont un profil commun : ce sont principalement des personnes âgées souffrant d’autres maladies. »

Les meilleures données sur la répartition de l’âge des populations atteintes qu’il m’ait été donné de lire proviennent de Worldometers.info. Voici leur graphique d’estimation du taux de mortalité par groupe d’âge. Veuillez noter que le taux de mortalité est BIEN plus élevé que le taux de mortalité en cas d’infection parce que le taux de mortalité utilise les cas confirmés de Covid-19 comme dénominateur, mais il indique à quel point les taux de mortalité sont différents selon l’âge.

© Worldometers.com
TRADUCTION — Taux de mortalité = (nombre de décès / nombre de cas) = probabilité de décès en cas d'infection par le virus (%). Cette probabilité diffère selon le groupe d'âge. Les pourcentages indiqués ci-dessous ne doivent pas nécessairement totaliser 100 pour cent , car ils ne représentent PAS la part des décès par groupe d'âge. Ils représentent plutôt, pour une personne d'un groupe d'âge donné, le risque de mourir si elle est infectée par le Covid-19.

Bien que ces données soient « brutes », on peut extrapoler sans risque qu’une personne de plus de 80 ans risque sérieusement de mourir du Covid-19 alors qu’un enfant ne court pratiquement aucun risque. Ce fait devrait orienter les politiques, comme l’explique le Dr Atlas :

« Dans l’État de New York, les deux tiers des cas mortels concernaient des patients de plus de 70 ans, plus de 95 pour cent avaient plus de 50 ans et environ 90 pour cent de tous les cas mortels souffraient déjà d’une autre maladie. Sur les 6 570 décès par Covid-19 confirmés et ayant fait l’objet d’une enquête approfondie pour déterminer à ce jour la présence d’une comorbidité, 6 520, soit 99,2 pour cent, souffraient d’une maladie sous-jacente. Si vous ne souffrez pas à la base d’une maladie chronique, vos chances de mourir sont faibles, quel que soit votre âge. Et les jeunes adultes et les enfants en bonne santé ne courent pratiquement aucun risque de contracter une maladie grave à cause du Covid-19. »

Considérez cet excellent article du British Medical Journal, intitulé « La protection contre le Covid-19 doit être répartie en fonction du risque », écrit par des professeurs de l’université de Cambridge :

« Protéger les personnes qui risquent le plus de mourir du Covid-19 tout en assouplissant les restrictions imposées aux autres permet de progresser dans l’épidémie de SRAS-CoV-2, étant donné que le virus a peu de chances de disparaître dans un avenir prévisible. De telles approches ciblées nécessiteraient toutefois de s’éloigner de l’idée que nous sommes tous gravement menacés par la maladie, ce qui a conduit à des niveaux de panique individuelle étonnamment inadaptés au risque concret de décès. L’objectif devrait plutôt être de communiquer des niveaux de risque réalistes tels qu’ils s’appliquent à différents groupes, non pas pour rassurer ou effrayer, mais pour permettre des décisions individuelles éclairées dans un contexte d’incertitude inévitable. »

Un exemple simple : fermer les écoles n’a pratiquement aucun sens compte tenu de ce que nous savons du Covid-19 ; les laisser ouvertes et protéger les enseignants de plus de 60 ans — pour choisir une limite d’âge quelque peu défendable — pourrait s’avérer bien plus sensé. C’est pourquoi tant de pays apparemment désireux de respecter davantage les données que nous ne le faisons ici aux États-Unis ont déjà rouvert leurs écoles. En fait, les écoles du Danemark sont ouvertes depuis la mi-avril ! Et, pour ceux qui tiennent les comptes,Reuters a déclaré juste hierque «la réouverture des écoles au Danemark n’a pas aggravé l’épidémie, comme le montrent les données». Voici une citation :

« Peter Andersen, docteur en épidémiologie et prévention des maladies infectieuses à l’Institut danois du sérum a déclaré jeudi à Reuters qu’« On ne voit aucun effet négatif lié à la réouverture des écoles ». En Finlande, un haut fonctionnaire a annoncé mercredi des résultats similaires, en précisant que rien jusqu’ici ne suggérait que le coronavirus s’était propagé plus rapidement depuis la réouverture des écoles à la mi-mai. »

Voici un autre excellent article sur les écoles, intitulé « C’est la peur — et non la science — qui empêche nos enfants d’être éduqués », paru la semaine dernière dans le journal The Telegraph :

« Il y a peu de choses dont nous pouvons être absolument certains à propos du coronavirus — c’est une maladie toute nouvelle et nos connaissances s’enrichissent de jour en jour — mais la plupart des preuves disponibles jusqu’à présent suggèrent fortement que les enfants ne souffrent pas du coronavirus et ne le propagent pas. Des études menées en Corée du Sud, en Islande, en Italie, au Japon, en France, en Chine, aux Pays-Bas et en Australie s’accordent toutes à dire que les jeunes ne sont « pas impliqués de manière significative dans la transmission du Covid », pas même à leurs parents et à leurs frères et sœurs.

La paranoïa des adultes, alimentée par des messages gouvernementaux exagérés, l’intransigeance des syndicats et les connivences avec les médias, est maintenant infligée aux plus jeunes membres de notre société pour lesquels le virus représente une menace que de si rares scientifiques qualifient de « statistiquement non pertinente ». Au lieu de comptines, les jeunes enfants pourraient bientôt être invités à chanter une sorte de ritournelle intitulée La chanson des deux mètres en tendant les bras pour tenir leurs amis à distance. »

Une toute nouvelle étude scientifique publiée le 28 mai en Irlande du Nord montre clairement que les écoliers ne sont PAS vecteurs du Covid-19. Intitulée « Aucune preuve de transmission secondaire du Covid-19 par des enfants scolarisés en Irlande, 2020 », l’étude ne pourrait pas être plus claire :

« Ces résultats suggèrent que les écoles ne sont pas un lieu à haut risque pour la transmission du Covid-19 entre élèves ou entre le personnel et les élèves. Compte tenu du caractère problématique de la fermeture des écoles décrit par Bayhem [4] et Van Lanker [5], leurs réouvertures devraient être considérées comme une mesure à prendre de façon précoce plutôt que tardive. »

Enfin, le Dr Scott Atlas a abordé le thème des écoles dans cette récente interview :

« Il n’y a aucune raison scientifique de fermer les écoles de la maternelle à la terminale, d’imposer des masques ou une distanciation sociale aux enfants, ni de suspendre les activités estivales. Nous savons maintenant que le risque de décès et le risque de maladie, même grave, sont presque nuls chez les moins de 18 ans.»

Mise à jour rapide — Après que j’aie rédigé ceci, le Wall Street Journal a publié un article intitulé « La réouverture des écoles est-elle sans danger ? ». Ces pays disent oui. Pour moi, il s’agit d’une sorte de test décisif destiné aux pays dont les responsables de la santé publique sont indépendants et s’appuient sur des données objectives pour mener leurs actions, et je donne un « F » aux États-Unis pour son approche actuelle :

« Mais le Danemark, l’Autriche, la Norvège, la Finlande, Singapour, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et la plupart des autres pays qui ont rouvert les établissements scolaires et les jardins d’enfants n’ont enregistré aucune épidémie… « Au Danemark, l’ouverture des écoles n’a pas eu d’impact sur la progression de l’épidémie », a déclaré Tyra Grove Krause, un haut fonctionnaire de l’Institut national du sérum, l’agence de contrôle des maladies du pays… « Depuis la réouverture des écoles et des jardins d’enfants en Autriche le 18 mai, aucune augmentation des infections n’y a été observée », a déclaré un porte-parole du gouvernement… En Norvège, le gouvernement « ne refermera pas les écoles même si le nombre de cas se mettait à augmenter, car la réouverture des écoles le 20 avril n’a eu de aucune incidence négative », a déclaré le ministre de l’éducation Guri Melby. »

Combien d’autres pays doivent rouvrir leurs écoles avant que les États-Unis ne suivent ? Sérieusement, c’est un peu gênant d’être américain… à mon avis, on a l’air d’abrutis.

Mise à jour n°2 — Le Dr Scott Atlas a doublé la mise le 1er juin avec cet excellent opus en regard de la page éditoriale, une fois de plus dans The Hill, intitulé « La Science dit qu’il faut ouvrir les écoles ». Comme d’habitude, il est incroyablement éloquent, en voici un extrait, bien qu’en lire chaque mot en vaille la peine, ça déchire tout simplement :

« Tout cela frise l’absurde, alors que nous savons maintenant que la distanciation sociale et l’application d’un masque sur le visage des enfants sont totalement inutiles.

Jamais les écoles n’ont soumis les enfants à un environnement aussi malsain, inconfortable et anti-éducatif, de sorte que la science n’est pas capable de définir précisément le préjudice total qui en résultera. Mais la science nous dit que les risques liés au Covid-19 sont trop minimes pour sacrifier le bien-être éducatif, social, émotionnel et physique — sans parler de la santé même — de nos jeunes. »

Note spéciale — Il existe un nouveau croque-mitaine, la maladie de Kawasaki, que certains essaient de relier au Covid-19. Voici un excellent article à ce sujet, ou consultez le site web de la Fondation britannique pour la maladie de Kawasaki, où il est question de la « mauvaise gestion des informations » concernant cette même maladie. Le dernier article du Dr Atlas aborde également ce sujet :

« Qu’en est-il de cette nouvelle menace assimilée à la maladie de Kawasaki, récemment montée en épingle en l’associant au Covid-19 ? En fait, l’association est extrêmement faible, et l’incidence de la maladie est elle-même rare, ne touchant que 3 000 à 5 000 enfants aux États-Unis chaque année. Il est important de noter que le syndrome est typiquement traitable et n’a jamais été considéré auparavant comme un risque grave au point que les écoles doivent être fermées. »

Fait n° 3 — Les personnes infectées par le Covid-19 qui sont asymptomatiques (c’est-à-dire la plupart d’entre elles) ne propagent PAS le Covid-19

Le 13 janvier 2020, une femme de 22 ans ayant des antécédents de cardiopathie congénitale s’est rendue aux urgences de l’hôpital populaire de la province de Guangdong, se plaignant de divers symptômes communs aux personnes atteintes de son affection, notamment l’hypertension pulmonaire et l’essoufflement dû à une déformation inter-auriculaire — un trou dans le cœur. Elle était loin de se douter que son cas déclencherait une cascade d’événements qui a donné lieu à un article récemment publié qui aurait dû mettre fin simultanément à tous les confinements dans le monde. Après trois jours d’hospitalisation, son état s’améliorait. Des tests de routine ont été effectués et, à la surprise des cliniciens, elle a été testée positive au Covid-19. Comme l’ont noté les médecins, « la patiente n’a jamais eu de fièvre, de mal de gorge, de myalgie ou d’autres symptômes associés à une infection virale ». Autrement dit, elle était totalement asymptomatique au Covid-19.

Hôpital populaire de la province de Guangdong
© nandu.com

Trouver des personnes infectées par le Covid-19 qui sont asymptomatiques est laborieux, dans la mesure elles ne cherchent pas à se faire soigner. Ici, dans l’Oregon où je vis, effectuer le test du Covid-19 n’est même pas possible à moins d’avoir des symptômes. Les astres se sont donc alignés pour placer cette femme dans un hôpital avec des scientifiques étudiant le Covid-19, et elle a fait l’objet d’une vaste étude de contact relationnel publiée le 13 mai dans Respiratory Medicine, intitulée « Une étude sur l’infectiosité des porteurs asymptomatiques du SRAS-CoV-2 ».

Les chercheurs voulaient savoir si cette femme, infectée par le Covid-19 mais ne présentant aucun symptôme, avait infecté quelqu’un d’autre. Ils ont donc choisi d’examiner chacun de ses contacts qu’ils ont pu identifier au cours des cinq jours précédant son test positif. Combien de personnes ont-ils dû dépister ? 455. Ce n’est pas un petit nombre, comme l’expliquent les chercheurs :

« 455 contacts exposés au porteur asymptomatique du virus Covid-19 ont fait l’objet de nos recherches. Ils ont été répartis en trois groupes : 35 patients, 196 membres de la famille et 224 membres du personnel hospitalier. Nous avons extrait leurs informations épidémiologiques, leurs dossiers cliniques, leurs résultats d’examens auxiliaires et leurs historiques thérapeutiques. »

Comme vous pouvez le voir, l’hospitalisation de cette femme fut à l’origine de la plupart des contacts qu’elle a pu avoir, tant avec d’autres patients qu’avec de nombreux membres du personnel de l’hôpital. De façon notable, tous ces contacts ont eu lieu dans un cadre intérieur et on peut dire que beaucoup d’entre eux — du moins avec le personnel hospitalier — auraient impliqué des contacts relativement intimes. Parmi les patients, la moyenne d’âge était de 62 ans, ce qui les rendait sans doute plus à risque, et beaucoup de ces patients étaient immunodéprimés pour diverses raisons, notamment des chimiothérapies et des maladies cardiovasculaires. Donc, sur les 455 personnes, combien ont été infectées par la femme asymptomatique de 22 ans ?

« En résumé, les 455 contacts ont été exclus de l’infection par le SRAS-CoV-2… »

Autrement dit, aucune personne n’a été infectée. Les scientifiques, en en minimisant l’importance de façon typique, commentent la question que, j’espère, vous vous posez en ce moment — à savoir, pourquoi sommes-nous tous confinés si les personnes asymptomatiques atteintes du Covid-19 ne peuvent pas propager l’infection — en déclarant : « le résultat de cette étude pourrait atténuer une partie des inquiétudes du public concernant les personnes infectées asymptomatiques. »

Si cette étude avait été publiée au début du mois de mars, les probabilités que le monde soit confiné auraient été très, très faibles. Pourtant, cette étude, publiée il y a seulement deux semaines, n’est mentionnée nulle part dans les médias pas plus qu’elle ne l’est par les décideurs politiques. Elle existe simplement, et communique la vérité à quiconque veut bien y prêter attention.

Mise à jour rapide sur le fait n°3 — De tous les faits présentés, ce dernier a reçu le plus de commentaires négatifs de la part des sceptiques qui affirment qu’il est basé sur une seule étude publiée. Bien sûr, la science se construit dans le temps, donc la critique est légitime, c’est pourquoi cette annonce de l’Organisation mondiale de la santé aujourd’hui — 8 juin — constitue un coup de griffe pour quiconque prétend encore que des personnes asymptomatiques peuvent propager le Covid-19 :

Déclaration de l’OMS le 8 juin 2020 – Le coronavirus propagé par des personnes ne présentant aucun symptôme « semble être rare », selon un responsable de l’OMS
© CNN

Contrairement à moi, l’Organisation mondiale de la santé est au courant des nouvelles données provenant des études menées dans le monde entier. C’est pourquoi cette citation de Maria Van Kerkhove, responsable technique de l’OMS pour la lutte contre le coronavirus, est si importante :

« D’après les données dont nous disposons, il semble toujours aussi rare qu’une personne asymptomatique transmette effectivement à un individu secondaire. Nous disposons d’un certain nombre de rapports émanant de plusieurs pays effectuant des recherches très détaillées sur les contacts. Ils suivent les cas asymptomatiques, ils suivent les contacts et ils ne trouvent aucune transmission secondaire ultérieure. C’est très rare — et une grande partie de ces faits n’est pas publié dans la littérature [scientifique – NdT]. Nous examinons constamment ces données et nous essayons d’obtenir plus d’informations issus des différents pays pour répondre vraiment à cette question. Qu’un individu asymptomatique transmette ultérieurement la maladie de façon effective semble toujours aussi rare. »

Pendant ce temps, tant de règles absurdes ont été élaborées que l’on présume que les personnes asymptomatiques PEUVENT répandre le Covid-19. En fait, j’ai également lu aujourd’hui que le surintendant de Californie a publié des directives pour l’ouverture des écoles à l’automne, qui incluront probablement le port du masque pour tous les élèves… c’est tout simplement incroyable à quel point les fonctionnaires semblent diverger de ce que les FAITS nous disent ! Savoir que le Covid-19 n’est pas transmis par les personnes asymptomatiques fait que 99 pour cent des mesures prises contre le Covid-19 sont complètement inutiles et que les conseils de santé publique devraient devenir également extrêmement simples : si vous êtes malade, restez chez vous. Tous les autres ? Continuez à vivre normalement. À quel moment les faits observés sur le terrain et l’imposition absurde de règles aléatoires vont-ils se confronter d’une manière ou d’une autre ? Bientôt, je l’espère, et je m’appuie sur les faits.

Fait n° 4 — La science émergente ne montre aucune propagation du Covid-19 dans les espaces collectifs (magasins, restaurants, coiffeurs, etc.)

« Il n’existe pas de risque significatif de contracter la maladie en faisant ses courses. Les cas graves d’infection ont toujours été le résultat d’un contact rapproché entre des individus pendant une longue période… »

~ Professeur Hendrick Streek, Université de Bonn

Nous venons d’apprendre que les personnes asymptomatiques infectées par le Covid-19 ont très peu de chances de pouvoir transmettre l’infection à d’autres individus. Des études scientifiques récentes ont été publiées et elles montrent que la transmission du Covid-19 dans les établissements de vente au détail estextrêmement improbable. Le professeur Hendrik Streeck de l’université de Bonn dirige une étude en

Dr. Hendrick Streek
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Allemagne concernant la région durement touchée de Heinsberg et ses conclusions, issues de travaux de laboratoire déjà réalisés, sont très claires :

« Il n’existe pas de risque significatif de contracter la maladie en faisant ses courses. Les cas graves d’infection ont toujours été le résultat d’un contact rapproché entre des individus pendant une longue période.

Lorsque nous avons prélevé des échantillons sur les poignées de porte, les téléphones ou les toilettes, il n’a pas été possible — sur la base de ces prélèvements — de cultiver le virus en laboratoire… »

Houlà ! Voulez-vous dire que fermer les parcs, fermer les magasins, porter des gants et des masques à l’épicerie, fumiger nos courses, et que faire preuve d’une paranoïa générale n’était pas nécessaire ? Comme le confirme le Dr. Streeck :

« Il est important d’obtenir ces données afin de s’assurer que les décisions sont prises sur la base de faits plutôt que d’hypothèses. Les données doivent servir de base d’information pour le gouvernement afin qu’il puisse ensuite réfléchir à la suite de ses actions. »

Et il continue :

« Les gens pourraient perdre leur emploi. Ils pourraient ne plus être en mesure de payer leur loyer et rester plus longtemps confiné peut entraîner un affaiblissement de notre système immunitaire.

L’objectif n’est pas d’endiguer complètement le virus. Nous devons savoir où se situent les limites de capacité réelles de nos hôpitaux. À partir de combien d’infections estime-t-on qu’il y en a trop ? Que disent les médecins des soins intensifs ? »

Pour finir avec :

« Il est important de commencer à réfléchir à une stratégie de « retour en arrière » et l’espoir qu’elle porte consiste à fournir les faits pertinents afin que les décisions soient prises sur une bonne base. »

Fait n° 5 — Les publications scientifiques montrent que le Covid-19 ne se propage PAS dans les espaces extérieurs

Non. Ne faites pas ça.
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Dans une étude intitulée « Transmission du SRAS-CoV-2 dans les espaces intérieurs » et publiée le 2 avril 2020, des scientifiques ont étudié des potentielles épidémies issues de trois personnes ou plus dans 320 villes différentes en Chine sur une période de cinq semaines à partir de janvier 2020 en essayant de déterminer OÙ les épidémies ont commencé : à la maison, sur le lieu de travail, à l’extérieur, etc. Qu’ont-ils découvert ? Près de 80 pour cent des épidémies se sont produites dans l’environnement domestique. Le reste s’est produit dans des bus et des trains bondés. Mais qu’en est-il de l’extérieur ? Les scientifiques ont écrit :

« Tous les foyers identifiés de trois cas ou plus se sont produits dans un environnement intérieur, ce qui confirme que le partage d’un espace intérieur est un risque majeur d’infection par le SRAS-CoV-2. »

Autrement dit, il n’existe pas vraiment de données scientifiques pour étayer toutes les interdictions d’activités extérieures que mon État d’origine, l’Oregon, et tant d’autres États ont mises en place. Je vous laisse sur ma citation préférée de l’étude parce qu’il est vraiment exaspérant de la lire quand on considère certaines des façons dont les gouverneurs ici aux États-Unis [et ailleurs – NdT] se sont comportés — et certains le font encore — en interdisant toutes sortes d’activités de plein air, en arrêtant les pagayeurs sur l’eau, etc. :

« La transmission d’infections respiratoires telles que le SRAS-CoV-2 des personnes infectées aux personnes sensibles est un phénomène propre aux espaces intérieurs. »

Mise à jour rapide — Apparemment, le ministre de la santé de la Colombie britannique au Canada est entré en possession de cette information comme le montre cet article paru le 1er juin :

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L’article dit ceci :

« L’un des principaux responsables de la santé en Colombie-Britannique, cependant, affirme que les professionnels de la santé ont une idée assez précise de la façon dont le virus est transmis. Il n’y a absolument aucune preuve que cette maladie est aéroportée, et nous savons que si elle l’était, alors les mesures que nous avons prises pour contrôler le Covid-19 n’auraient pas fonctionné », a déclaré le Dr Reka Gustafson, l’agent sanitaire provincial adjoint de la Colombie-Britannique, à CTV Morning Live Monday. « La grande majorité des transmissions du Covid-19 se fait par contact étroit et prolongé, et ce n’est pas le mode de transmission que nous observons pour les maladies transmises de façon aéroportée », a-t-elle ajouté. »

J’espère vraiment que la Major League Baseball, la National Football League et le Championnat NCAA de basket-ball y prêtent attention… sans parler de tous les habitants de Portland qui continuent à faire du vélo et à courir avec des masques sur le visage.

Fait n°6 — La science montre que les masques sont inefficaces pour stopper la propagation du Covid-19, et l’OMS recommande qu’ils ne soient portés que par des personnes en bonne santé si elles traitent ou vivent avec une personne infectée par le Covid-19

Aujourd’hui même, l’Organisation mondiale de la santé a annoncé que les masques ne devraient être portés par les personnes en bonne santé que si elles prennent soin d’une personne infectée par le Covid-19 :

« Si vous n’avez pas de symptômes respiratoires tels que fièvre, toux ou écoulement nasal, vous n’avez pas besoin de porter un masque », déclare le Dr April Baller, spécialiste de la santé publique à l’OMS, dans une vidéo publiée en mars sur le site web de l’Organisation mondiale de la santé. « Les masques ne doivent être utilisés que par les professionnels de santé, les soignants ou les personnes qui présentent des symptômes de fièvre et de toux. »

Juste avant la folie du Covid-19, des chercheurs de Hong Kong ont soumis une étude pour publication sous le titre « Mesures non pharmaceutiques pour une pandémie de grippe dans des environnements non médicaux — Mesures de protection personnelle et environnementale ». Curieusement, l’étude, qui vient d’être publiée ce mois-ci, est en fait hébergée sur le propre site web du CDC, et contredit directement les récents conseils du CDC concernant le port d’un masque. En effet, l’étude déclare :

« Dans notre étude méthodique, nous avons identifié dix essais randomisés contrôlés qui ont rapporté des estimations de l’efficacité, confirmées en laboratoire, de l’utilisation des masques faciaux dans la réduction des infections par le virus de la grippe au sein de la communauté et à partir de la littérature publiée entre 1946 et le 27 juillet 2018… Dans l’analyse regroupée, nous n’avons trouvé aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux… Notre étude méthodique n’a trouvé aucun effet significatif, confirmé en laboratoire, dans le port des masques faciaux sur la transmission de la grippe… L’utilisation correcte des masques faciaux est essentielle car une mauvaise utilisation pourrait augmenter le risque de transmission. »

En clair : rien ne prouve que le port de masques réduit la transmission des maladies respiratoires et, si les masques sont portés de manière inappropriée — comme lorsque les gens réutilisent des masques en tissu — la transmission pourrait en fait AUGMENTER. De plus, cette étude était une méta-analyse, ce qui signifie qu’elle a creusé profondément dans les archives de la science — jusqu’en 1946 ! — pour arriver à ses conclusions. En d’autres termes, il s’agit d’une étude aussi complète que possible, et ses conclusions sont très claires : le port des masques dans la population générale ne montrent aucun signe d’efficacité dans le ralentissement de la propagation des virus respiratoires ou dans la protection des individus.

Soupirs…
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Cette étude est loin d’être la seule à parvenir à cette conclusion — ce qui rend d’autant plus incroyable le choix d’une chaîne d’épicerie comme ma chère « New Seasons » de rendre les masques obligatoires pour tous ses clients. Le but de la science est d’arbitrer ces questions épineuses et, bien que la science soit claire, l’hystérie continue. Il s’avère que l’efficacité des masques fait depuis longtemps l’objet de débats au sein de la communauté médicale, ce qui explique pourquoi tant de travaux scientifiques ont été réalisés sur le sujet. Je me contenterai de souligner quelques études avant que vous ne vous endormiez :

Mon article préféré est en fait une revue d’une grande partie de la science et c’est un excellent point de départ pour tous ceux qui aiment faire leurs propres recherches. Intitulé « Pourquoi les masques faciaux ne fonctionnent pas — Une étude révélatrice », il a été écrit pour contester la nécessité pour les dentistes de porter des masques, mais toutes les données scientifiques citées et les conclusions tirées s’appliquent aux agents pathogènes aéroportés dans n’importe quel contexte. Quelques-unes des meilleures citations :

« La science relative à la transmission des maladies infectieuses aéroportées est basée depuis des années sur ce qui est maintenant considéré comme « une recherche très dépassée et une interprétation trop simpliste des données ». Les études modernes utilisent des instruments sensibles et des techniques d’interprétation pour mieux comprendre la taille et la distribution des particules d’aérosols potentiellement infectieuses… La raison principale pour laquelle le port du masque facial est obligatoire est de protéger le personnel dentaire des agents pathogènes transmis par l’air. Cet examen a établi que les masques faciaux sont incapables d’assurer un tel niveau de protection. »

Et ma citation favorite :

« Il faut conclure de ces études et d’autres similaires que le matériau filtrant des masques faciaux ne retient ni ne filtre les virus ou autres particules sub-microniques. Si l’on ajoute à cette constatation la mauvaise adaptation des masques, on comprend aisément que ni la performance des filtres ni les caractéristiques d’adaptation des masques ne les qualifient de dispositifs de protection contre les infections respiratoires. »

Voici un article publié le mois dernier dans ResearchGate écrit par le célèbre physicien canadien D.G. Rancourt, directement en réponse à l’épidémie de Covid-19. Intitulé, « Les masques ne fonctionnent pas — Une revue de la science en rapport avec la politique sociale en réponse au Covid-19 » :

« Les masques et les respirateurs artificiels ne fonctionnent pas. Des études approfondies d’essais contrôlés randomisés (ECR) et des méta-analyses d’études d’ECR ont montré que les masques et les respirateurs artificiels ne fonctionnent pas dans la prévention des maladies respiratoires de type grippal, ou les maladies respiratoires que l’on pense être transmises par des gouttelettes et des particules d’aérosol. En outre, les données physiques et biologiques pertinentes que j’ai examinées sont telles que les masques et les respirateurs artificiels ne devraient pas fonctionner. Il serait paradoxal que les masques et les respirateurs artificiels fonctionnent, compte tenu de ce que nous savons sur les maladies respiratoires virales, à savoir que la principale voie de transmission est celle des particules d’aérosols qui séjournent sur une longue période (< 2,5 μm), celles qui sont trop fines pour être filtrées, et que la dose infectieuse minimale est inférieure à une particule d’aérosol. »

Pour le dire simplement : pour qu’un masque couvrant à la fois le nez et la bouche soit vraiment efficace, il faut que vous vous asphyxiez. Dès que le masque vous permet de respirer, il ne peut plus filtrer les microparticules qui vous rendent malade.

Enfin, je vois souvent cette étude de 2015 citée dans le British Medical Journal : « Un essai randomisé par groupe de masques en tissu comparés à des masques médicaux utilisés par les professionnels de santé », et elle mérite d’être citée à nouveau, car la PLUPART des masques que je vois actuellement qui sont portés dans la ville sont des masques en tissu. Non seulement ces masques sont inefficaces à 100 pour cent pour réduire la propagation du Covid-19, mais ils peuvent même vous nuire. Comme l’expliquent les scientifiques :

« Cette étude est le premier essai contrôlé randomisé (ECR) sur les masques en tissu, et les résultats mettent en garde contre leur utilisation. C’est une conclusion importante pour prévenir la santé et la sécurité au travail. La rétention d’humidité, la réutilisation des masques en tissu et une mauvaise filtrationpeuvent entraîner un risque accru d’infection. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour prévenir l’utilisation généralisée des masques en tissu dans le monde. »

Un risque accru d’infection ? Oui, c’est ce qui est écrit. D’autres études ont également examiné l’impact des masques sur votre niveau d’oxygène — puisque vous êtes obligé de respirer à nouveau votre propre CO2 — et le résultat de cet impact n’est pas bon. Les scientifiques ont examiné les niveaux d’oxygène des chirurgiens qui portent des masques lors d’une opération et ont constaté que « une diminution du taux de saturation en oxygène des pulsations artérielles (SpO2) et une légère augmentation de la fréquence des pulsations cardiaques par rapport aux valeurs préopératoires dans tous les groupes de chirurgiens ».

Pas plus tard que la semaine dernière, cet article est paru dans le New England Journal of Medicine, écrit par plusieurs médecins et responsables de la santé publique sous le titre « Le port du masque généralisé dans les hôpitaux à l’ère du Covid-19 », et cette déclaration semble parfaite pour conclure cette discussion sur les masques :

« Nous savons que le port d’un masque en dehors des établissements de santé n’offre que peu, voire aucune protection contre les infections. Les autorités de santé publique définissent une exposition significative au Covid-19 par un contact face à face dans un rayon d’un mètre avec un patient présentant un Covid-19 symptomatique, si ce contact persiste pendant au moins quelques minutes — et certains disent plus de 10 minutes ou même 30 minutes. La probabilité d’attraper le Covid-19 lors d’une interaction passagère dans un espace public est donc minime. Dans de nombreux cas, le désir de porter un masque de façon généralisée est une réaction instinctive à l’anxiété suscitée par la pandémie. »

Fait n° 7 — Aucune donnée scientifique ne vient étayer la magie d’une barrière induite par une distance de deux mètres

Selon cet article, l’Islande a déjà rendu la règle de distanciation à deux mètres facultative. La raison de cette recommandation de garder deux mètres de distance avec vos concitoyens pendant la pandémie remonte à 1930, comme expliquée ici par la BBC :

Heu… non.

« D’où vient la règle des deux mètres ? Il est surprenant de constater qu’elle remonte à des recherches menées dans les années 1930. À l’époque, les scientifiques ont établi que les gouttelettes de liquide libérées par la toux ou les éternuements s’évaporent rapidement dans l’air ou sont entraînées par la gravité jusqu’au sol. Et la majorité de ces gouttelettes, selon eux, atterriraient dans un rayon de un à deux mètres. C’est pourquoi on dit que les plus grands risques découlent du virus qui sera projeté par quelqu’un qui tousse près de vous ou lorsqu’il entre en contact avec une surface près de laquelle quelqu’un a toussé — et que vous touchez vous-mêmes cette surface pour ensuite toucher votre visage. Peut-on en être sûr ? »

Êtes-vous impressionné par cette science ? Moi non plus. Comme l’explique ce merveilleux article :

« Quelques études préliminaires suggèrent que les gouttelettes contaminées pourraient rester en suspension dans l’air pendant quelques heures et présenter un risque. Mais cette recherche s’accompagne d’une mise en garde : «Bien que cette recherche indique que les particules virales peuvent se propager par l’intermédiaire des bio-aérosols, les auteurs ont déclaré que la découverte de virus infectieux s’est avérée impossible et que des expériences sont en cours pour déterminer l’activité virale dans les échantillons collectés », a écrit le Dr Harvey Fineberg des National Academies of Science, Engineering, and Medicine au début de ce mois. »

Il va plus loin :

« Et la crainte répandue qu’un passant au hasard infecte un étranger ? Voici d’autres informations du CDC sur les écoles primaires : « On pense que le Covid-19 se propage principalement par contact étroit de personne à personne dans les gouttelettes respiratoires d’une personne infectée. Les personnes infectées présentent souvent des symptômes de maladie. Certaines personnes ne présentant pas de symptômes peuvent être capables de propager le virus », [ce que la science chinoise a prouvé être faux].

Non seulement ce genre de conclusion justifierait une note d’échec dans tout programme post-doctoral, mais je suis presque sûr que le professeur de sciences moyen de huitième année prendrait un gros stylo rouge pour ces passages : « On pense » « Certaines personnes ? » « Peuvent être capables ? » Gardez à l’esprit qu’il n’existe aucun lien avec des études ou des documents scientifiques que le commun des mortels qui pense ne serait-ce qu’un peu pourrait examiner pour décider si ces affirmations sont légitimes.

Le CDC ne peut pas non plus se prononcer sur la sécurité des grands rassemblements de l’ère du Covid. À la mi-mars, l’agence a demandé aux Américains de limiter les rassemblements de 250 personnes ou plus. Quelques semaines plus tard, la Maison Blanche, à la demande du CDC, a recommandé avec insistance aux Américains d’éviter les rassemblements de plus de 10 personnes. Cependant, aucune donnée scientifique ne permet d’étayer l’un ou l’autre de ces chiffres. (Qu’y a-t-il de si fatidique au chiffre de 250 personnes ? Pourquoi pas 175 ? Et pourquoi 10 personnes ? Pourquoi pas 16 ou 17) ? »

L’article s’en prend directement à tous ces gouverneurs qui appliquent aveuglément ces recommandations totalement insupportables :

« Même ces conseils flous ont été sali par le petit tyran qui se cache au sein de chaque grand gouverneur d’État, maire de petite ville et président de syndics de propriétaires. Ce week-end, le gouverneur du Michigan, Gretchen Whitmer, a interdit aux habitants de se rendre chez un voisin. « Tous les rassemblements publics et privés, quelle que soit leur taille, sont interdits », a annoncé Mme Whitmer. « Les citoyens peuvent toujours quitter leur maison pour des activités de plein air… les activités récréatives sont toujours autorisées tant qu’elles se déroulent à plus d’un mètre cinquante de toute autre personne »… Il y aura beaucoup de questions après la fin de la crise : celle de connaître les raisons scientifiques qui justifient le maintien d’une distance de deux mètres entre les personnes au moment où elles ont le plus besoin les unes des autres devrait être en tête de liste. »

Récemment, l’un des principaux conseillers scientifiques du Premier ministre Boris Johnson au Royaume-Uni a fait la même remarque. Ses déclarations ont été reprises dans le Daily Mail de la semaine dernière dans un article intitulé « Le conseiller scientifique du gouvernement déclare que la règle britannique des deux mètres de distance sociale est inutile et basée sur des preuves « très fragiles » ». Le professeur Robert Dingwall a déclaré :

« Je pense qu’il sera beaucoup plus difficile de faire respecter certaines des mesures qui n’ont pas vraiment de base factuelle. Je veux dire que la règle des deux mètres a été inventée de toutes pièces. »

Quand on digère tous les faits que nous connaissons maintenant sur le Covid-19, la recommandation politique la plus simple est en fait la plus logique à mon avis : si vous avez le Covid-19, restez chez vous. Si vous devez sortir, portez un masque. Tous les autres, lavez-vous les mains et continuez votre vie. Cela aurait dû être aussi simple que cela, mais nous avons choisi de cadenasser la société, une mesure sans précédent. Pourquoi ?

Oh, et c’est une vraie manchette. Que Dieu nous aide tous.

Les stormtroopers utilisés pour imposer la distanciation sociale à Disney World

En effet, pourquoi avons-nous cadenassé la société, et cela a-t-il fonctionné ? J’ai emprunté la phrase ci-dessus d’un article d’opinion du Wall Street Journal écrit par Holman W. Jenkins, Jr. membre du comité de rédaction, je crois qu’il a parfaitement saisi la chose :

« Nous avons commencé de manière sensée. « Les familles américaines ne devraient pas d’une manière générale s’inquiéter », a déclaré le Dr Nancy Messonnier du CDC à la mi-janvier. « C’est un risque très, très faible pour les États-Unis », déclarait une semaine plus tard le Dr Anthony Fauci. Bill de Blasio, maire de New York, a, dès le 11 mars, exhorté les habitants à poursuivre normalement leurs activités. Bien que ces déclarations puissent sembler insensibles, elles étaient à l’époque appropriées. Dans la rubrique « aplatir la courbe », il n’est pas nécessaire de modifier le comportement du public jusqu’à ce que cela le devienne. Réfléchissez un peu à ça. Mieux nous équiperons les hôpitaux locaux, moins nous aurons besoin de mettre en faillite les entreprises locales et leurs employés pour ralentir le virus dans son évolution au sein de la société. C’est avec cette idée que nous avons commencé. Même l’étude de l’Imperial College du Royaume-Uni, qui a tant alarmé les décideurs politiques du monde entier, n’a pas recommandé de tout verrouiller aveuglément ni de confiner tout le monde chez soi. Pour être honnêtes, nous avons dépassé les bornes en de nombreux endroits. Les lits sont vides. La pénurie de respirateurs artificiels ne s’est pas concrétisée. Nous avons échoué à mettre en place une capacité hospitalière suffisante pour traiter d’autres problèmes médicaux comme les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques. Cette situation provoque des pertes de vies humaines.

Que s’est-il passé ? De Bill Gates à votre éditorialiste local, une nouvelle priorité est apparue. Nous avons décidé que, quelle que soit la cause de la mort d’environ 8 000 Américains par jour, il ne fallait pas que ce soit du coronavirus.

Les accidents, oui — 6 pour cent des décès. Les maladies cardiaques, oui — 23 pour cent. La grippe et la pneumonie, oui — 2 pour cent.

Ces décès sont acceptables, mais pas ceux dus au coronavirus, même au prix de la ruine économique pour des millions de personnes. Bien sûr, les médias et le public sont libres de décider maintenant qu’ils ne voulaient pas aplatir la courbe ; ils voulaient être totalement épargnés par le virus. Mais il faudrait expliquer comment procéder pour y parvenir. Et expliquer pourquoi. Le magazine The Economist affirme que nous ne pouvons pas relancer l’économie sans un dépistage « sans précédent » d’un coût de 180 milliards de dollars. Sans précédent est un mot intéressant parce que la Chine, un pays de 1,4 milliard d’habitants avec huit villes plus grandes que New York, a dû soit développer un tel dispositif sans que personne ne s’en aperçoive soit ne l’a pas jugé nécessaire. »

Et d’abord, pourquoi le confinement a été mis en place ? Voici les faits.

Fait n° 8 — L’idée de cadenasser une société entière était inédite et ne repose sur aucun fondement scientifique, mais sur une simple modélisation théorique

En fait, l’idée de confiner tout le monde fut lancée pour la première fois en 2006, dans ce document intitulé « Stratégies ciblées de distanciation sociale en cas de pandémie de grippe ». Ce document décrivait en détail « comment concevoir un axe réseau-centré limitant les contacts sociaux » et modélisait — plus d’informations à ce sujet dans un instant ! — divers résultats en fonction du comportement des populations. À l’époque, des esprits plus calmes prévalaient et critiquaient les idées contenues dans le document, comme c’est le cas avec les objections soulevées par le Dr D.A. Henderson, l’homme qui a mené la campagne pour éradiquer la variole. D’après le New York Times :

« Le Dr Henderson était convaincu qu’il était illogique de contraindre les écoles à fermer ou d’interdire les rassemblements publics. Les adolescents s’échapperaient de chez eux pour aller traîner au centre commercial. Les programmes de repas scolaires fermeraient, et les enfants pauvres n’auraient pas assez à manger. Le personnel hospitalier aurait du mal à aller travailler si leurs enfants étaient à la maison.

Les mesures préconisées par les docteurs Mecher et Hatchett « entraîneraient une perturbation significative du fonctionnement social des communautés et pourraient provoquer de graves problèmes économiques », écrivait dans son propre article académique le Dr Henderson en réponse à leurs idées.

Il a insisté sur le fait que la réponse à donner était de tenir bon en laissant la pandémie se propager, soigner les personnes malades et travailler rapidement à la mise au point d’un vaccin pour éviter qu’elle ne revienne. »

Peu de temps après, le Dr Henderson et plusieurs autres collègues clairvoyants ont rédigé un important document résumant nombre de ces idées, intitulé « Mesures d’atténuation de la maladie dans la lutte contre la grippe pandémique », dont cette étonnante conclusion — compte tenu de ce qui vient de se produire :

« Il n’existe pas d’observations historiques ou d’études scientifiques qui soutiennent le confinement par quarantaine de groupes de personnes potentiellement infectées pendant des périodes prolongées afin de ralentir la propagation de la grippe. Un groupe de rédaction de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), après avoir examiné la littérature et pris en compte l’expérience internationale contemporaine, a conclu que «l’isolement forcé et la quarantaine sont inefficaces et peu pratiques». Malgré cette recommandation des experts, la quarantaine obligatoire à grande échelle continue d’être considérée comme une option par certaines autorités et certains responsables gouvernementaux.

L’intérêt pour la quarantaine reflète les opinions et les conditions qui prévalaient il y a plus de 50 ans, lorsque l’on en savait beaucoup moins sur l’épidémiologie des maladies infectieuses et que les voyages internationaux et nationaux étaient beaucoup moins nombreux dans un monde moins densément peuplé. Il est difficile d’identifier les circonstances dans lesquelles, au cours du dernier demi-siècle, la quarantaine à grande échelle a été utilisée efficacement pour lutter contre une quelconque maladie. »

Et ils ont conclu avec une phrase si importante que je vais utiliser une très grosse police de caractères :

« Les conséquences négatives d’une quarantaine à grande échelle sont si extrêmes — confinement forcé des personnes malades avec celles qui ne le sont pas ; restriction complète des mouvements de larges populations ; difficulté d’acheminer les fournitures essentielles, les médicaments et la nourriture aux personnes se trouvant dans la zone de quarantaine — que cette mesure d’atténuation devrait être exclue de toute considération sérieuse. »

Si vous souhaitez en savoir plus sur les origines de l’idée de confinement et sur la façon dont elle a continué à circuler dans les cercles de santé publique, consultez « 2006 — Les origines de l’idée de confinement ». Si vous souhaitez en savoir plus sur le Dr. D.A. Henderson, consultez « Comment une société libre fait face aux pandémies, selon Donald Henderson, le légendaire épidémiologiste qui a éradiqué la variole ». Ces deux articles sont géniaux et vous donneront envie de vomir quand vous réaliserez combien de bons scientifiques savaient qu’un confinement serait un désastre et coûterait plus de vies que ce qu’il pourrait sauver.

Vous êtes probablement tout aussi choqué de voir qu’en 2019, l’Organisation mondiale de la santé N’AVAIT MÊME PAS INSCRIT l’idée d’un confinement total dans son rapport intitulé «Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique». Voici leur tableau des 18 mesures non pharmaceutiques que les pays pourraient prendre en cas de pandémie. Notez toutes les choses énumérées dans la ligne « Non recommandé en aucune circonstance » qui se produisent maintenant tous les jours !

Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique
© OMS
TRADUCTION de la dernière ligne — Non recommandé en aucune circonstance :
Pandémie : Lumière UV ; Modification de l'humidité ; Traçage des contacts ; Quarantaine pour les individus exposés ; Contrôle d'entrée et de sortie ; Fermeture des frontières.
Épidémie : même liste à laquelle est ajouté : Restrictions dans les voyages intérieurs au pays.

Question évidente — S’il n’y avait pas de données scientifiques pour étayer un confinement et qu’aucun n’avait jamais été mis en place avant, et que de nombreux acteurs de la santé publique affirmaient que ce serait une idée épouvantable, pourquoi est-ce arrivé ? Il y a en fait deux réponses, pour autant que je sache. La première est que l’Organisation mondiale de la santé, au début de la pandémie, a choisi de faire l’éloge de la réaction chinoise qui a confiné la province du Hubei, ce qui a effectivement servi à légitimer la pratique, en dépit des énormes carences de données disponibles sur l’efficacité réelle du confinement chinois. Cet article aborde la question, et soulève le problème :

« Qu’est-ce qui a fait changer d’avis l’OMS et l’a incitée à applaudir la réponse des autorités chinoises dans la province de Hubei, qui comprenait une quasi incarcération de 60 millions de personnes ? C’est cette réaction, plus que toute autre chose, qui a persuadé les gouvernements du monde entier à confiner leurs citoyens. »

La deuxième réponse est que les récentes modélisations de la maladie ont littéralement fichu la frousse aux leaders mondiaux, et les modélisateurs étaient prêts à proposer une solution simple à leurs chiffres inventés : tout verrouiller, MAINTENANT !

Fait n° 9 — Les modèles épidémiques du Covid-19 se sont révélés faux et néfastes, et le passif de la modélisation est terrible tant dans sa pratique que dans son application

Si de nombreuses modélisations de maladies ont été utilisés pendant la pandémie de Covid-19, deux d’entre elles ont particulièrement influencé la politique publique de confinement : l’Imperial College (Royaume-Uni) et l’IHME (Washington, États-Unis) [Institute for Health Metrics and Evaluation, institut de statistique sur la santé publique, basé à Seattle sous la houlette de l’université de Washington, et financé notamment par la Fondation Bill & Melinda Gates – NdT]. Tous deux se sont révélés être des désastres monumentaux.

Imperial College — On peut dire sans risque de se tromper que la raison pour laquelle les États-Unis s’est confinée et la raison pour laquelle la Maison Blanche a prolongé ce confinement est presque exclusivement due aux modélisations créées par le professeur Neil Ferguson de l’Imperial College. Comme l’a expliqué le Washington Post :

« Les responsables ont déclaré que les 2,2 millions de décès prévus par l’Imperial College ont convaincu M. Trump de cesser de minimiser l’épidémie et de la prendre plus au sérieux. De même, les fonctionnaires ont déclaré que la nouvelle projection de 100 000 à 240 000 décès est ce qui a convaincu M. Trump de prolonger les restrictions pendant 30 jours et d’abandonner ses efforts pour déconfiner certaines parties du pays avant Pâques, ce qui, selon de nombreux experts de la santé, aurait pu aggraver l’épidémie. »

Curieusement, le professeur Ferguson est connu pour avoir massivement surestimé des pandémies, mais apparemment personne ne s’est donné la peine d’en tenir compte et tout le monde a suivi ses conseils. The Spectator a expliqué ses annonces incroyablement fausses concernant trois maladies émergentes précédentes — il a en fait effectué des annonces encore plus terribles, je n’en souligne que trois :

2002 — La maladie de la vache folle :

« En 2002, Ferguson a prédit qu’entre 50 et 50 000 personnes mourraient probablement d’une exposition à l’ESB [encéphalopathie spongiforme bovine – NdT] — présente dans la viande bovine. Il a également prédit que ce nombre pourrait atteindre 150 000 en cas d’épidémie affectant aussi les ovins. Au Royaume-Uni, il n’y a eu que 177 décès dus à l’ESB. »

2005 — Grippe aviaire :

« En 2005, Ferguson a déclaré que jusqu’à 200 millions de personnes pourraient mourir de la grippe aviaire. Il a déclaré à The Guardian qu’« environ 40 millions de personnes sont mortes lors de l’épidémie de grippe espagnole de 1918… Il y a six fois plus de personnes sur la planète aujourd’hui, donc on pourrait probablement atteindre 200 millions de personnes ». Au final, seules 282 personnes sont mortes de la maladie dans le monde entre 2003 et 2009. »

2009 — Grippe porcine :

« En 2009, Ferguson et son équipe impériale ont prédit que la grippe porcine avait un taux de létalité de 0,3 à 1,5 pour cent. Son estimation la plus probable était que le taux de mortalité était de 0,4 pour cent. Selon une estimation du gouvernement, basée sur les conseils de Ferguson, le « pire scénario raisonnable » était que la maladie entraînerait 65 000 décès au Royaume-Uni. En fin de compte, la grippe porcine a tué 457 personnes au Royaume-Uni et le taux de mortalité des personnes infectées n’était que de 0,026 pour cent. »

Je ne sais pas, ne pensez-vous pas que le passé aurait dû compter davantage avant que l’on s’appuie sur son modèle pour verrouiller tout notre pays ? En fait, c’est pire. D’après la National Review :

« Johan Giesecke, l’ancien responsable scientifique du Centre européen de contrôle et de prévention des maladies, a qualifié le modèle de Ferguson de « document scientifique le plus influent » jamais publié. Il a également déclaré que c’était, malheureusement, l’un des plus mauvais. »

Il y a plus :

« Jay Schnitzer, expert en biologie vasculaire et ancien directeur scientifique du Sidney Kimmel Cancer Center de San Diego, me dit : « Normalement, j’hésite à dire cela d’un scientifique, mais il est en passe de devenir un charlatan avide de notoriété ». »

Encore un autre scientifique
qui ne croit pas un mot de ce qu’il dit :
« moi ? confiné ? peu probable »

Un exemple simple qui montre à quel point la modélisation de l’Imperial College était mauvaise serait la Suède, voici les détails :

« En effet, la modélisation de Ferguson de l’Imperial College s’est avérée totalement inexacte. Pour ne citer qu’un exemple, la Suède paierait un lourd tribut à l’absence de confinement, avec 40 000 décès par Covid au 1er mai et 100 000 au mois de juin. La Suède compte maintenant 2 854 décès et a atteint son pic il y a deux semaines. Comme le fait remarquer Fraser Nelson, rédacteur en chef du journal britannique The Spectator : « La modélisation de l’Imperial College est démesurément erronée ». »

Et, enfin :

« En effet, Ferguson s’est trompé si souvent que certains de ses collègues modélistes l’appellent Le maître du désastre. »

Oh, et le professeur Ferguson a récemment démissionné de son poste parce qu’il a enfreint le confinement… pour coucher avec une femme mariée. Je terminerai par une citation de l’homme qui, je crois, deviendra le plus grand héros de tout ce gâchis, le Suédois Anders Tegnell, l’homme qui a choisi de ne pas confiner son pays :

« Anders Tegnell, l’épidémiologiste qui conseille le gouvernement suédois, est sceptique quant à la modélisation du professeur Ferguson. « Ce n’est pas un article évalué par des pairs », a-t-il déclaré, en se référant à l’article du 16 mars de l’Imperial College. « C’est peut-être vrai, mais c’est peut-être aussi terriblement faux. En Suède, nous sommes un peu surpris qu’il ait eu un tel impact ». »

IHME — IHME : Si la modélisation de l’Imperial College a réellement motivé le président Trump, Boris Johnson, puis de nombreux autres dirigeants mondiaux à mettre en place un confinement, les modèles de l’IHME ont presque toujours été la « science » que les gouverneurs des États citent pour démontrer combien de vies peuvent être sauvés grâce à leurs décisions de confiner. C’est un beau concert, vraiment. Trouvez une modélisation qui surestime massivement les décès dans votre État, confinez-le, puis demandez aux modélisateurs de vous montrer combien de vies vous avez sauvées. Heureusement, d’autres scientifiques ont suivi l’évolution de la situation, et la modélisation de l’IHME a reçu l’un des coups les plus féroces que j’ai jamais vus dans la littérature scientifique de la part de professeurs de l’université de Sydney, Northwestern et UTEP. Intitulée « Apprendre au fur et à mesure — Examen de l’exactitude statistique des prédictions Covid-19 sur le décompte quotidien des décès », et publiée la semaine dernière, l’étude indique effectivement que le modèle IHME est dangereusement inexact, mais il l’est de manière scientifique et quelque peu cordiale. Les auteurs écrivent :

« Plus précisément, le nombre réel de décès du lendemain est sorti des intervalles de prévision de l’IHME dans 76 pour cent des cas, contre 5 pour cent prévus. En ce qui concerne les modélisations mises à jour, nos analyses indiquent que celles d’avril montrent peu, voire aucune amélioration de la précision des prédictions des estimations ponctuelles. »

Et puis, ils font le grand saut :

« Notre analyse remet en question l’utilité des prévisions pour orienter l’élaboration des politiques et la répartition des ressources. »

Plus clairement : les modélisations IHME sont à ce point mauvaises en termes de prévisions qu’il ne faut s’y fier en aucune circonstance. Besoin de plus ? Andrew McCarthy, de la National Review, a été, dès le 9 avril, très éloquent en critiquant l’inexactitude et l’inutilité des modélisations de l’IMHE :

« La modélisation sur laquelle le gouvernement s’appuie n’est tout simplement pas fiable. Ce n’est pas que la distanciation sociale ait changé l’équation ; c’est que les hypothèses fondamentales de l’équation sont tellement fausses qu’elles ne peuvent pas rester raisonnablement stables ne serait-ce que 72 heures. Et n’oubliez pas que lorsque nous constatons que le gouvernement s’appuie sur les modélisations, nous entendons par là qu’il s’appuie sur les politiques, y compris la fermeture totale des entreprises américaines et la tentative de confiner les gens chez eux parce que, dit-on, aucune mesure plus modeste ne peut suffire. »

Et quel est l’avis de M. McCarthy, chercheur principal au National Review Institute, quant au fonctionnement de ces modélisations ?

« Décrire comme stupéfiant l’effondrement d’une modélisation clé utilisée par le gouvernement pour alarmer la nation sur la menace catastrophique du coronavirus serait par trop complaisant. »

Mon propre gouverneur ici dans l’Oregon, Kate Brown, aime à invoquer la phrase selon laquelle elle « suit la science ». Récemment, une Cour de circuit [nom donné à certaines Cours de justice dans les pays anglo-saxons – NdT] a annulé son ordonnance de confinement après qu’une action en justice ait été intentée par un certain nombre d’églises. Le gouverneur Brown a publié cette déclaration :

« Depuis le début de cette crise, j’ai travaillé dans les limites de mon autorité, en me servant de la science et des données comme guide, en tenant compte des conseils des experts médicaux. Cette stratégie a permis de sauver des vies et de protéger les Oregoniens du pire de la pandémie de Covid-19. »

Sur quelle « science » le gouverneur Brown s’appuie-t-elle ? La modélisation de l’IHME. Vous pensez toujours que c’est de la « science » ?

Enfin, Michael Fumento a écrit un excellent article affirmant que « Après des échecs répétés, il est temps de se débarrasser définitivement des modélisations d’épidémies ». Comme il l’explique :

« Les modélisations ont essentiellement trois objectifs : 1) satisfaire le besoin du public d’avoir des données chiffrées, n’importe lesquelles ; 2) attirer l’attention des médias sur le modélisateur ; et 3) effrayer les gens pour les amener à « faire ce qu’il faut ». Cela peut être défini comme un « aplatissement de la courbe » pour que les systèmes de santé ne soient pas surchargés, ou comme un encouragement donné à la population pour qu’elle adopte un comportement grégaire et accepte des restrictions de libertés qui n’ont jamais été imposées, même en temps de guerre. Comme Ferguson, tous les modélisateurs savent que, quelle que soit la limite inférieure, les gros titres refléteront toujours la limite supérieure. En supposant qu’il soit possible de modéliser une épidémie, tous les relais de la presse grand public auront été conçus pour promouvoir la panique. »

Avis n°2 — Roger Koppl, voyage dans la tête d’un modélisateur de maladies

J’ai trouvé que la description des prévisions des maladies écrite par le professeur de finances Roger Koppl de Syracuse était excellente d’un point de vue humain :

« Imaginez que ce soit vous. Vous êtes épidémiologiste et le Premier ministre vous appelle pour vous demander combien de personnes vont mourir si nous ne mettons pas de confinement en place. Que lui dites-vous ? Vous ne pouvez pas vous contenter de chercher le chiffre. La pandémie ne fait que commencer et votre connaissance de la situation est donc très limitée. C’est difficile à dire. Chaque chiffre est une supposition. Si vous donnez au Premier ministre un chiffre peu élevé, il n’y aura pas de confinement. Et s’il accepte votre chiffre plancher et que nous n’avons pas de confinement ? Peut-être que tout se passera bien. Mais il y aura peut-être beaucoup plus de morts que vous ne l’aviez prédit. Vous serez blâmé. Les gens vous traiteront de mauvais scientifique. Et, parce que vous êtes une personne bonne et décente, vous vous sentirez coupable. Le blâme, la honte et la culpabilité. C’est un mauvais résultat.

Si vous lui donnez un chiffre élevé, il y aura un confinement. Personne ne pourra jamais dire que votre estimation était trop élevée, parce que votre estimation supposait qu’il n’y aurait pas de confinement. Même si beaucoup de gens meurent pendant le confinement, vous pouvez dire : « Vous voyez ? Pensez à quel point la situation aurait été pire sans le confinement ». Ainsi, si vous donnez au Premier ministre un chiffre élevé, vous aurez le mérite d’avoir sauvé des vies. Vous pourrez être fier de votre excellente réputation en tant que scientifique. Et vous n’aurez pas à vous sentir coupable des vies perdues. L’éloge, la fierté et l’innocence. C’est un bon résultat. La logique de la situation est claire. Vous avez tout intérêt à prévoir le malheur et la sinistrose si aucun confinement n’est ordonné. »

C’est logique, et je pense que la plupart des gouverneurs américains qui ont confiné sont d’accord avec cela : la modélisation disait que nous aurions X nombre de morts. Maintenant, la modélisation dit que le confinement a permis de sauver une fraction de ces X morts — Je suis votre sauveur !

Fait n° 10 — Les données montrent que les mesures de confinement n’ont PAS eu d’impact sur l’évolution de la maladie

Ce qui suit constitue très certainement le fait le plus difficilement acceptable par les populations : qui veut croire que toutes ces souffrances et cet isolement n’avaient aucune raison d’être ? Mais, il y a plus qu’assez d’États et de pays qui n’ont pas confiné, ou qui ont confiné pendant une période bien plus courte, ou d’une manière très différente, pour fournir pléthore de données. L’explication la plus simple quant au pourquoi les confinements ont été inefficaces est peut-être la plus facile : le Covid-19 était en circulation bien PLUS TÔT que ne le pensaient les experts. Ce seul fait expliquerait pourquoi les confinements ont été si inefficaces, mais quelle que soit l’explication finale, voyons ce que disent les données.

Je vais commencer par une source que vous pourriez considérer comme inhabituelle, la banque mondiale JP Morgan. De tous les faits que j’ai couverts, celui-ci — sur l’inefficacité des confinements — est devenu le plus politisé, car il est utilisé pour commencer à distribuer les blâmes à droite et à gauche. JP Morgan, quant à elle, crée son analyse pour accomplir quelque chose d’apolitique : faire de l’argent. Leurs analystes examinent les données pour voir quelles économies sont susceptibles de redémarrer en premier, et vous ne devriez pas être surpris à ce stade de découvrir trois choses :

  1. Les économies les moins endommagées sont celles qui ont effectué les confinements les moins contraignants ;
  2. La levée des confinements n’a pas eu d’impact négatif sur les décès ou les hospitalisations ; et
  3. La levée des confinements n’a pas augmenté la transmission virale.

La lecture des conclusions de JP Morgan est profondément déprimante, car ici aux États-Unis, de nombreuses communautés sont TOUJOURS soumises à de nombreux mandats de confinement différents, malgré les preuves accablantes de leur inefficacité. Ce graphique de JP Morgan montre que « de nombreux pays ont vu leur taux d’infection baisser plutôt que de remonter lorsqu’ils ont mis fin à leurs mesures de confinement, ce qui suggère que le virus peut avoir sa propre « dynamique » qui n’a aucun lien avec les mesures d’urgence ».

© JP Morgan

Marko Kolanovic, stratège de JP Morgan et auteur de publications, est un autre de mes héros, parce que, eh bien, il dit tout ce que je souhaite que beaucoup d’autres personnes disent… Considérez cette citation :

« Contrairement aux tests rigoureux des nouveaux médicaments, les mesures de confinement ont été administrées sans tenir compte du fait qu’elles pouvaient non seulement causer une dévastation économique, mais aussi potentiellement plus de décès que le Covid-19 lui-même. »

Kolanovic et son équipe montrent également que la transmissibilité du virus a en fait DIMINUÉ après la levée des mesures de confinement dans les États américains, grâce à la mesure connue sous le nom de « R0 ». Comme l’explique le Daily Mail, « de nombreux États ont vu un taux de transmission (R) plus faible après la fin des mesures de confinement à grande échelle ».

© JP Morgan

T J Rogers, le fondateur de Cypress Semiconductor, et une équipe de ses ingénieurs ont également analysé les données et ont publié leurs résultats dans cet article du Wall Street Journal intitulé « Les confinements sauvent-ils de nombreuses vies ? Dans la plupart des endroits, les données disent que non ». Ils expliquent :

« Nous avons effectué une corrélation simple à une variable du nombre de décès par million et de jours avant le confinement, qui allait de moins 10 jours — certains États confinent avant tout signe de Covid-19 — à 35 jours pour le Dakota du Sud, l’un des sept États où le confinement est limitée ou inexistant. Le coefficient de corrélation était de 5,5 pour cent — si faible que les ingénieurs que j’employais l’auraient résumé par « aucune corrélation » et seraient allés plus loin pour trouver la véritable cause du problème. »

En clair: autre chose que le confinement doit expliquer le cheminement du virus [voir fait n°14]. Thomas A. J. Meunier du Woods Hole Oceanographic Institution a publié début mai ce rapport intitulé « Les politiques de confinement total dans les pays d’Europe occidentale n’ont pas d’impact évident sur l’épidémie de Covid-19 ». Comme le rapport de JP Morgan, sa conclusion est déprimante :

« Nos résultats montrent une tendance générale à la baisse des taux de croissance et du nombre de transmission de la maladie deux à trois semaines avant que les politiques de confinement complet ne produisent des effets visibles. La comparaison des observations avant et après le confinement révèle un ralentissement contre-intuitif de la décroissance de l’épidémie après la mise en place du confinement. »

Et, l’argument décisif :

« Les estimations du nombre de décès quotidiens et totaux en utilisant les tendances pré-confinement suggèrent qu’aucune vie n’a été sauvée par cette stratégie, en comparaison avec les politiques moins restrictives de distanciation sociale menées avant le confinement. »

Elain He et ses collègues de Bloomberg ont également analysé les données dans cet article intitulé « Les résultats de l’expérience du confinement en Europe sont disponibles ». Il est peu probable que leur conclusion vous surprenne :

« Mais, comme le montre notre prochain graphique, il y a peu de corrélation entre la gravité des restrictions d’une nation et le fait qu’elle ait réussi ou non à réduire le nombre excessif de décès — une mesure qui examine le nombre global de décès par rapport aux tendances normales. »

En parlant d’Europe, nous devrions tous remercier Dieu pour la Suède. En choisissant de ne pas confiner, les Suédois ont prouvé que la société peut survivre sans un confinement strict, et nous espérons que leurs résultats permettront d’éviter que des confinements ne se reproduisent. Si vous avez suivi cette histoire de près, vous savez que les opposants prédisaient le malheur pour la Suède — et pour la Floride et la Géorgie, nous en dirons plus dans un instant — et rien de tout cela ne s’est jamais produit. L’Organisation mondiale de la santé est passée des louanges adressées à la Chine pour sa réaction à Wuhan — qui a probablement déclenché la manie du confinement — aux éloges adressés à la Suède pour avoir été un modèle dans la lutte contre l’épidémie. [Lire : « Retourner le scénario : L’OMS loue le fait que la Suède à ignoré le confinement et dit que c’est un « modèle » pour les pays qui vont de l’avant » – NdT].

Fait n° 11 — La Floride a confiné tardivement et déconfiné précocement, et se porte bien en dépit des prédictions de malheur

Le meilleur article qu’il m’ait été donné de lire sur le gouverneur de Floride Ron DeSantis fut publié dans la National Review du 20 mai dernier. J’ai été agréablement surpris de découvrir à quel point le gouverneur Desantis fait preuve d’un intérêt rationnel pour l’Histoire, comme il l’explique :

« L’une des choses qui m’a le plus dérangé pendant tout ce temps, c’est que j’ai fait des recherches sur la pandémie de 1918, celles de 1957 et 1968, et que des efforts d’atténuation ont été menés en mai 1918, mais jamais ne serait-ce qu’une fois un accord de type « confinement national ». Il n’existait pas vraiment d’expérience d’observation sur les impacts négatifs de cette pandémie. »

Contrairement à beaucoup de ses pairs, le gouverneur Desantis a estimé que les modélisations apocalyptiques étaient peu utiles :

« L’équipe de DeSantis n’a pas non plus fait grand cas des projections catastrophiques. « Nous avons en quelque sorte perdu confiance très tôt dans les modélisations », déclare un responsable de la santé de Floride. « Nous les regardons de près, mais comment peut-on s’y fier quand il est dit que vous atteindrez le pic dans une semaine et que le lendemain vous l’avez déjà atteint ? » En lieu et place, « nous avons commencé à nous concentrer sur ce que nous observions ». »

Ils ont par contre adopté une approche ciblée des citoyens les plus à risque : les résidents des maisons de retraite, dont la Floride compte le plus grand nombre dans le pays :

« Des inspecteurs et des équipes d’évaluation ont visité les maisons de retraite. L’État s’est penché sur les établissements où, selon M. Mayhew, « nous avions historiquement mené un contrôle des infections ». Nous avons utilisé cela pour établir les priorités de nos visites dans ces établissements, sachant que les directives du CDC changeaient fréquemment. Notre objectif initial était donc de fournir une formation efficace à ces établissements afin de s’assurer qu’ils comprenaient comment demander à l’État de leur fournir des équipements de protection individuelle.

La Floride, note DeSantis, « exigeait que tout le personnel et tout travailleur qui entrait soit soumis à un dépistage du Covid-19 et à des contrôles de température. Toute personne présentant des symptômes ne serait tout simplement pas autorisée à entrer ». Et il exigeait que le personnel porte des équipement de protection individuelle. « Nous joignons le geste à la parole », poursuit-il. « Nous avons reconnu que beaucoup de ces établissements n’étaient pas préparés à faire face à une telle situation. Nous avons donc fini par envoyer un total de 10 millions de masques rien que dans nos établissements de soins de longue durée, un million de paires de gants et un demi-million d’écrans faciaux ».

La Floride a également renforcé les hôpitaux avec des équipement de protection individuelle, mais DeSantis a réalisé que cela ne servirait pas les hôpitaux si l’infection dans les maisons de retraite était incontrôlée : « Si je peux envoyer des équipement de protection individuelle dans les maisons de retraite, et qu’ils peuvent y prévenir une épidémie, cela fera plus pour réduire la charge des hôpitaux que de leur envoyer 500 000 masques N95 supplémentaires ».

Il est impossible de surestimer l’importance de cette perspective, et à quel point elle a conduit l’approche adoptée par la Floride, à l’encontre des politiques de New York et d’autres États. Le responsable de la santé de Floride déclare : « Je ne veux pas jeter l’opprobre sur les autres, mais je trouve incroyable et choquant que le gouverneur Cuomo [et d’autres] soient capables en quelque sorte d’éviter les vraies questionnements sur leurs politiques mises en place dès le début en envoyant des personnes [malades – NdT] dans les maisons de retraite, ce qui est complètement contraire aux données réelles. »

Ce qui nous amène à New York, l’État que tous les autres gouverneurs qui ont confiné leur peuple montrent du doigt et disent en substance « en confinant tôt, nous avons évité une situation à la New York ». Est-ce vraiment vrai ?

Remarque particulière — Il existe de nombreux autres États et pays dont les données sont similaires à celles de la Floride, notamment la Géorgie, le Texas, l’Arkansas, l’Utah, le Japon et, bien sûr, la Suède, pour n’en citer que quelques-uns. Dans TOUS les cas, les médias ont prédit le malheur, et même le président Trump a critiqué le déconfinement précoce de la Géorgie effectué par leur courageux gouverneur Brian Kemp, tandis que les chiffres de la Géorgie sont aujourd’hui excellents.

Fait n° 12 — Le taux de mortalité supérieur à la moyenne à New York semble être dû à une erreur politique fatale combinée à des intubations agressives

Forbes a récemment publié un article expliquant à quel point les décès par Covid-19 sont concentrés dans une seule population, article intitulé « La statistique la plus importante sur le coronavirus : 42 pour cent des décès aux États-Unis proviennent de 0,6 pour cent de la population » :

« 2,1 millions d’Américains, soit 0,62 pour cent de la population américaine, vivent dans des maisons de retraite et des établissements de vie assistée… Selon une analyse que Gregg Girvan et moi-même avons menée pour la Fondation pour la Recherche sur l’égalité des chances, au 22 mai, dans les 43 États qui rapportent actuellement de tels chiffres, un pourcentage étonnant de 42 pour cent de tous les décès par Covid-19 ont eu lieu dans des maisons de retraite et des établissements de vie assistée. »

Forbes souligne également que le risque que représentent les maladies de type coronavirus pour les populations des maisons de retraite n’est pas nouveau :

« Le drame est qu’il n’était pas nécessaire que cela se passe ainsi. Le 17 mars, alors que la pandémie commençait à peine à s’accélérer, l’épidémiologiste de Stanford John Ioannidis a signalé que « même certains coronavirus dits légers ou communs de type froid sont connus depuis des décennies pour avoir des taux de létalité allant jusqu’à 8 pour cent lorsqu’ils infectent les personnes dans les maisons de retraite ». Ioannidis a été ignoré. »

Dans sa récente méta-analyse sur le réel taux de mortalité par infection du Covid-19, le Dr Ioannidis a expliqué l’erreur des mesures politiques de New York qui a probablement contribué à des centaines de morts évitables :

« Les décès en masse de personnes âgées dans les maisons de retraite, les infections nosocomiales et les hôpitaux débordés peuvent également expliquer le taux de mortalité très élevé observé dans des endroits spécifiques du nord de l’Italie, et à New York et dans le New Jersey. Une décision très malheureuse des gouverneurs de New York et du New Jersey a été d’envoyer les patients atteints de Covid-19 dans des maisons de retraite. »

Le Dr Ioannidis mentionne également le choix du personnel médical de New York de mettre rapidement les patients sous respirateur artificiel, approche que les médecins considèrent aujourd’hui comme ayant été probablement plus nocive que bénéfique [Lire : «80 pour cent des patients atteints de coronavirus à New York qui sont mis sous respirateur artificiel finissent par mourir, et certains médecins essaient d’arrêter de les utiliser] :

« Le recours à une gestion inutilement agressive — par exemple, la ventilation mécanique — peut également avoir contribué à aggraver les résultats. »

Le New York Post s’est montré particulièrement sévère en critiquant la politique des maisons de retraite de New York :

« Le carnage a commencé en mars, lorsque les hôpitaux inondés de patients atteints du Covid-19 ont insisté pour évacuer les patients âgés, même s’ils étaient encore infectés, et les envoyer dans les maisons de retraite qui disposaient de lits vides. Pour y parvenir, ils ont dû se débarrasser d’un règlement de sécurité exigeant que les patients soient testés deux fois négatifs au Covid-19 avant d’être placés dans une maison de retraite. Le ministère de la santé de l’État s’est volontairement plié à cette exigence.

Le 25 mars, le ministère de la santé du gouvernement Cuomo a imposé aux maisons de retraite d’accepter les patients Covid et a interdit d’exiger des tests Covid pour l’admission. Des établissements comme Newfane devaient avancer à l’aveuglette, ne sachant pas quels patients arrivaient avec le Covid.

L’Association américaine des soins de santé a appelé cela une « recette pour un désastre ». Le Comité pour la réduction des décès dus aux infections a exhorté Cuomo à changer de cap… Résultat : 11 000 à 12 000 résidents de maisons de retraite et de résidences assistées sont morts du Covid-19, soit la moitié des décès dus au virus dans l’État… Ce terrible bilan n’avait pas à se produire. C’est six fois plus de décès dans les maisons de retraite qu’en Floride ou en Californie, deux États plus peuplés. »

Lorsque votre gouverneur essaie de vous dire que sa décision destructrice de confiner tout le monde vous a sauvé de vivre la même chose qu’à New York, souvenez-vous de la Floride et de la Suède. Oh, et n’oubliez pas le pays dont les tenants de l’apocalypse ne veulent même pas parler : le Japon :

« Le Japon a déclaré hier [25 mai] une victoire au moins temporaire dans sa bataille contre le Covid-19, et a triomphé en suivant ses propres règles. Il a fait baisser le nombre de nouveaux cas quotidiens à un niveau proche de l’objectif de 0,5 pour 100 000 personnes, en établissant une distanciation sociale volontaire et peu restrictive et sans effectuer de dépistage à grande échelle… La diminution du nombre de nouveaux cas a conduit le gouvernement à commencer à lever l’état d’urgence pour une grande partie du Japon le 14 mai, avant la date prévue du 31 mai. L’annonce d’hier a complété la levée de l’état d’urgence, soulageant ainsi Tokyo et quatre autres préfectures. »

Fait n°13 — Les responsables de la santé publique et les épidémiologistes ne tiennent PAS compte des autres conséquences sociales négatives du confinement

Si vous me demandiez si je connais un moyen pour perdre quelques kilos et que je vous répondais : « Arrêtez de manger ou de boire quoi que ce soit », suivriez-vous mon conseil ? Cela vous aiderait à atteindre vos objectifs, mais vous n’en apprécierez peut-être pas les effets secondaires. C’est en gros ce qui s’est passé ici. Plutôt que de participer à l’élaboration de la politique, les responsables de la santé publique ont reçu les clés de la décapotable sans avoir de permis, et ils sont partis à toute berzingue ! Voici ce que le Dr Anthony Fauci a déclaré au Congrès au début de ce mois :

« Je suis un scientifique, un médecin et un responsable de la santé publique. Je donne des conseils en fonction des meilleures preuves scientifiques. Il y a un certain nombre d’autres personnes qui interviennent et donnent des conseils qui sont plus en rapport avec les choses dont vous avez parlé, comme la nécessité de déconfiner le pays et l’économie. Je ne donne pas de conseils sur des questions économiques. Je ne donne des conseils que sur la santé publique. »

Le Wall Street Journal a activement critiqué cette pensée unidimensionnelle des responsables américains de la santé publique, notant que « le Dr Fauci est clair sur le fait que les Américains ne devraient pas compter sur lui pour effectuer une analyse coûts-avantages des politiques qu’il recommande ». Cette excellente critique du modèle de l’Imperial College va dans le même sens : « Le document de l’Imperial College est une analyse unilatérale. Il examine les avantages d’un confinement sans entrer dans les coûts ».

Alors, attendez, toutes ces modélisations qui prédisaient le malheur dû au Covid-19 ne tenaient pas compte des décès causés par le confinement avec les suicides, les rendez-vous médicaux supprimés et le chômage ? Alors qui devrait prendre ces complexes décisions politiques ? Au moins aux États-Unis, je tiens 51 personnes responsables : le président et 50 gouverneurs d’État. Et, si vous vous attendez à ce que l’un d’entre eux émette un mea culpa pour une décision terrible, ne retenez pas votre souffle, de la part du comité de rédaction de Issues & Insights :

« Ne vous attendez pas à ce que qui que ce soit admette qu’il a eu tort. La communauté de la santé publique — qui a colporté des prédictions de décès exagérées — ne le fera jamais. Les démocrates et la presse — qui sont attachés à l’idée que chaque décès aux États-Unis est la faute du président Donald Trump — ne le feront pas non plus. Trump ne le fera probablement pas non plus, puisqu’il a accepté de verrouiller l’économie après avoir commencé à suivre les conseils des alarmistes de la santé publique. »

Avis n°3 — Yoram Lass, ancien directeur général du ministère israélien de la santé

Dr Yoram Lass
© Inconnu

Contrairement aux responsables de la santé publique américaine, qui semblent être attachés à l’idée de prévenir le Covid-19 quel qu’en soit le coût, j’ai été rassuré de voir des responsables de la santé publique d’autres pays ayant une compréhension beaucoup plus complète du coût TOTAL pour la société que n’importe quelle cause de décision de santé publique. Et de tous les responsables de la santé publique internationaux qui parlent franchement, personne ne le dit plus directement que mon préféré : Yoram Lass d’Israël. Dans cette excellente interview avec Spiked Online — que vous devriez lire en entier — le Dr Lass nous offre la pépite suivante :

« C’est la première épidémie de l’histoire qui s’accompagne de l’ascension d’une autre épidémie — le virus des réseaux sociaux. Ces nouveaux médias ont entraîné un lavage de cerveau de populations entières. Il en résulte la peur et l’anxiété, et une incapacité à regarder les données réelles. Et donc vous avez tous les ingrédients d’une monstrueuse hystérie… Par rapport à cette ascension, les mesures draconiennes sont de proportions bibliques. Des centaines de millions de personnes souffrent. Dans les pays en développement, beaucoup mourront de faim.Dans les pays développés, beaucoup mourront du chômage. Le chômage, c’est la mortalité. Plus de personnes mourront à cause de ces mesures que du virus lui-même. Et les personnes qui meurent à cause des mesures sont les soutiens de famille. Ils sont plus jeunes. Parmi les personnes qui meurent du coronavirus, l’âge médian est souvent plus élevé que l’espérance de vie de la population. Ce qui a été fait n’est pas proportionné. Mais les gens ont peur. Les gens subissent un lavage de cerveau. Ils n’écoutent pas les données. Et cela inclut les gouvernements. »

Fait n° 14 — Il existe un modèle prédictif de l’arc viral du Covid-19, appelé loi de Farr et découvert il y a plus de 100 ans

Le Dr Lass, dans l’interview mentionnée ci-dessus, a également fait remarquer que nous savions déjà, bien avant le confinement, comment le Covid-19 allait probablement se comporter car, eh bien, nous avons affaire à de nouveaux virus depuis l’aube de l’humanité :

« Si vous regardez la vague de coronavirus sur un graphique, vous verrez qu’elle ressemble à un pic. Le coronavirus arrive très vite, mais il s’en va aussi très vite. La vague de grippe est courte puisqu’elle met trois mois à passer, mais le coronavirus met un mois. »

Le fait que TOUS les virus suivent une courbe en cloche naturelle, avec des pentes à peu près égales dans la montée et la descente, a été découvert par le Dr William Farr il y a plus de 100 ans, et c’est ce qu’on appelle la loi de Farr. Récemment, des scientifiques chinois et américains ont publié une étude pour voir si le Covid-19 se comporterait selon la loi de Farr, et voici le graphique de leur récent article :

© Jie Xu et al. 

Comme vous pouvez le voir, la trajectoire prévue du virus en Chine (ligne pointillée orange) et la trajectoire réelle du virus (ligne pointillée bleue) correspondent. Ce document, créé le 8 février dernier, aurait pu épargner bien des soucis aux décideurs politiques. Un scientifique israélien renommé a fait la même remarque sur l’arc naturel du virus il y a plus d’un mois, en plein milieu du confinement en Israël :

« Un éminent mathématicien, analyste et ancien général israélien affirme qu’une simple analyse statistique démontre que la propagation du Covid-19 atteint son maximum après environ 40 jours et qu’elle diminue pour atteindre presque zéro après 70 jours — peu importe où elle frappe et peu importe les mesures que les gouvernements imposent pour tenter de la contrecarrer.

Le professeur Isaac Ben-Israel, directeur du programme d’études de sécurité à l’université de Tel-Aviv et président du Conseil national pour la recherche et le développement, a déclaré lundi soir à la chaîne israélienne Channel 12 (en hébreu) que les recherches qu’il a menées avec un collègue professeur, analysant la croissance et le déclin des nouveaux cas dans les pays du monde entier, ont montré à plusieurs reprises qu’« il existe un schéma établi » et que « les chiffres parlent d’eux-mêmes ».

Bien qu’il se déclare favorable à la distanciation sociale, le blocage généralisé des économies dans le monde entier constitue une erreur démontrable à la lumière de ces statistiques. Il note que dans le cas d’Israël, environ 140 personnes meurent normalement chaque jour. Il ajoute qu’avoir bloqué une grande partie de l’économie à cause d’un virus qui tue une ou deux personnes par jour est une erreur radicale qui coûte inutilement à Israël 20 pour cent de son PIB. »

Le Dr Ben-Israel, pour votre information, est sans doute le scientifique le plus célèbre d’Israël, lisez son CV. J’ai appliqué le principe de la loi Farr à aux données locales que j’ai ici en Oregon, et ce que vous pouvez clairement voir, c’est que le Covid-19 suivait déjà un arc viral naturel et attendu AVANT que notre gouverneur Kate Brown n’impose un confinement.Note : L’ordre de confinement ayant été émis le 23 mars, il aurait fallu deux semaines pour voir un impact positif sur le nombre d’hospitalisations, mais le virus était déjà en déclin, tout comme le Dr Lass et le Dr Ben-Israel l’avaient prédit.

J’ai beaucoup apprécié cette explication de la loi de Farr par Michael Fumento :

« Le seul « modèle » qui ait un quelconque succès est en fait assez abouti et est apparu en 1840, à l’époque ou le boulier servait d’« ordinateur ». Il s’agit de la loi de Farr, qui est en fait plutôt une observation selon laquelle les épidémies croissent d’abord plus rapidement, puis ralentissent jusqu’à un pic, puis déclinent selon un schéma plus ou moins symétrique. Comme vous pouvez le deviner d’après la date, elle précède les services de santé publique et ne nécessite aucun confinement ni aucune intervention. Au contraire, la maladie s’empare des cibles les plus faciles — avec le Covid-19, il s’agit des personnes âgées souffrant de comorbidité — avant de peiner progressivement à faire davantage de victimes. »

Fait n° 15 — Les confinements causeront plus de morts et de destruction que le Covid-19 lui-même

Mon avant-dernier fait est le plus déprimant. Bien sûr, il est impossible aujourd’hui de trouver toutes les données permettant de montrer à quel point les confinements inutiles ont été destructeurs, mais beaucoup de gens essaient déjà. Sur le plan économique, les coûts pour les États-Unis se chiffreront en milliers de milliards. Il n’était pas nécessaire qu’il en soit ainsi, la Suède vient d’annoncer que son PIB a augmenté au cours de son premier trimestre !

Je vais mettre en avant un certain nombre de prises différentes pour que vous ayez une idée de base, et c’est vraiment moche. La semaine dernière, un groupe de professeurs de Stanford, Duke, de l’université de Chicago et de l’université hébraïque ont écrit un article dans The Hill qui donne à réfléchir, intitulé « Le confinement dû au Covid-19 coûtera des millions d’années de vie aux Américains » :

« Bien que bien intentionné, le confinement a été imposé sans tenir compte de ses conséquences au-delà de celles directement liées à la pandémie… Ces politiques ont créé la plus grande perturbation économique mondiale de l’histoire, avec desmilliers de milliards de dollars de perte de production économique. Ces pertes financières ont été faussement présentées comme étant purement économiques. Au contraire, en utilisant de nombreuses publications du National Institutes of Health Public Access, les données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et du Bureau of Labor Statistics, ainsi que divers tableaux actuariels, nous calculons que ces politiques auront des conséquences non économiques dévastatrices qui totaliseront des millions d’années de vie perdues aux États-Unis, bien au-delà de ce que le virus lui-même a causé… Si l’on considère uniquement les pertes de vie dues aux soins de santé annulés et au chômage dus uniquement à la politique de confinement, nous estimons de manière prudente que le confinement national est responsable d’au moins 700 000 années de vie perdues chaque mois, soit environ 1,5 millions à ce jour — dépassant déjà largement le total du Covid-19. »

L’un des principaux auteurs de l’étude, le Dr Scott Atlas, déjà mentionné, est allé sur Fox News pour expliquer plus en détail les résultats de leur analyse :

« Le CDC vient de publier les différents taux de mortalité et je pense qu’il s’agit là d’une chose qui, pour une raison ou une autre, ne fait pas le Une. Et voilà qu’ils vérifient ce que les gens disent depuis plus d’un mois maintenant, y compris mes collègues épidémiologistes de Stanford et tous ceux qui ont fait cette analyse dans le monde — à savoir que le taux de mortalité dû aux infections est inférieur à un dixième de l’estimation initiale. Ce sont les mesures politiques prises qui tuent des gens. Je veux dire, je pense que tout le monde a entendu parler des 650 000 personnes atteintes de cancer et suivies en chimio, dont la moitié n’est pas venue. Deux tiers des dépistages de cancer n’ont pas eu lieu. 40 pour cent des patients victimes d’un accident vasculaire cérébral nécessitant des soins urgents ne sont pas venus. »

Vous vous souvenez comment le confinement était censé maintenir les hôpitaux ouverts pour gérer un afflux de patients ? Eh bien, maintenant, le système de santé est confronté à un désastre. CNBC rapporte que « Les médecins doivent faire face à des réductions de salaire, des mises en congés et des pénuries d’approvisionnement alors que le coronavirus poussent les soins primaires au bord du précipice » :

« Il n’y a pas que les cabinets de médecins à New York — épicentre de l’épidémie de coronavirus aux États-Unis — qui connaissent des difficultés financières. Quelques 51 pour cent des prestataires de soins primaires sont incertains quant à leur avenir financier au cours des quatre prochaines semaines, et 42 pour cent ont licencié ou mis leur personnel en congé, selon une enquête menée auprès de 2 700 cabinets à travers les États-Unis par l’association à but non lucratif Primary Care Collaborative et le Larry A. Green Center. En outre, 13 pour cent prévoient la fermeture de ces cabinets au cours du mois prochain. »

Le Dr John Ioaniddis, de Stanford, a rédigé un excellent article pour le Boston Review, expliquant l’impact catastrophique du blocus sur les soins de santé :

« Dans le même temps, nous ne devons pas détourner notre regard des préjudices réels de nos interventions les plus radicales, qui touchent également de manière disproportionnée les personnes défavorisées. Nous savons que le confinement prolongé de l’ensemble de la population a retardé les traitements contre le cancer et a incité les personnes souffrant de maladies graves comme les crises cardiaques à ne pas se rendre à l’hôpital. Il conduit les systèmes hospitaliers à licencier et à mettre du personnel en congé, il dévaste la santé mentale, il augmente la violence domestique et la maltraitance des enfants, et il a ajouté au moins 36,5 millions de nouvelles personnes aux rangs des chômeurs rien qu’aux États-Unis. Beaucoup de ces personnes perdront leur assurance maladie, ce qui les exposera davantage au risque d’une détérioration de leur santé et à la détresse économique. On estime que le chômage prolongé entraînera 75 000 décès supplémentaires dus au désespoir rien qu’aux États-Unis au cours de la prochaine décennie. Au niveau mondial, les perturbations ont porté à plus d’un milliard le nombre de personnes menacées de famine, la suspension des campagnes de vaccination massives fait peser la menace d’une résurgence des maladies infectieuses qui tuent les enfants, les modélisations suggèrent un excès de 1,4 million de décès dus à la tuberculose d’ici 2025, et l’on s’attend à ce que le nombre de décès dus au paludisme double en 2020 par rapport à 2018. J’espère que ces prévisions modélisées se révéleront aussi fausses que celles de plusieurs effectuées pour le Covid-19, mais ce n’est peut-être pas le cas. Tous ces impacts sont également importants. Les décideurs politiques doivent prendre en compte les inconvénients des politiques restrictives, et pas seulement leurs avantages. »

Ouch… Selon Forbes, plus de 600 médecins ont récemment demandé au président Trump de lever les confinements.

Plus de 600 médecins du pays ont en effet envoyé cette semaine une lettre au président Trump, qualifiant les confinements dus au coronavirus d’« incident faisant un grand nombre de victimes » avec des « conséquences négatives sur la santé en croissance exponentielle » pour des millions de patients non atteints du Covid.

« Les effets sur la santé en aval… sont massivement sous-estimés et sous-signalés. C’est une erreur d’une magnitude considérable », selon la lettre initiée par Simone Gold, M.D., spécialiste en médecine d’urgence à Los Angeles.

Il n’est pas surprenant que les suicides soient en hausse dans les localités qui ont confiné, et que les prescriptions de médicaments pour le sommeil et contre l’anxiété aient grimpé en flèche. Et il vient d’être rapporté que « l’isolement social peut augmenter le risque de décès précoce d’une personne jusqu’à 50 pour cent, selon une nouvelle étude ». Même le Dr Fauci, sans doute le plus fervent défenseur de l’isolement, en est récemment devenu un adepte, comme l’a rapporté CNBC. Le conseiller en santé de la Maison Blanche a déclaré vendredi :

« Les commandements de rester-confiné-à-domicile destinés à freiner la propagation du coronavirus pourraient finir par causer des dommages irréparables s’ils sont imposés trop longtemps. »

Et lors d’une interview avec Meg Tirrell de CNBC dans l’émission « Halftime Report », Fauci a déclaré :

« Je ne veux pas que les gens pensent que l’un d’entre nous estime que rester enfermé pendant une période prolongée est la voie à suivre. »

Dr Fauci, vous êtes très, très en retard à la fête. En fait, l’un de mes plus grands problèmes avec tout ce bazar, c’est la façon dont le Dr Fauci et d’autres comme lui n’ont presque rien fait pour éduquer le public américain sur les nouvelles données scientifiques et les informations dont nous disposons maintenant sur le Covid-19, ce qui aurait non seulement réduit de façon significative la panique mais aurait peut-être aussi donné aux gouverneurs un plus grand soutien pour déconfiner plus rapidement…

Fait n° 16 — Tous ces déconfinements progressifs sont totalement absurdes et ne reposent sur aucune base scientifique, mais ils seront tous déclarés réussis

J’ai trouvé cet article du Wall Street Journal sur le gouverneur de Washington, Jay Inslee, particulièrement révélateur :

« Le Tableau de bord du Covid-19 de M. Inslee, qui est censé fournir une voie scientifique pour le rétablissement de Washington, est à peu près la même histoire. Le tableau de bord en ligne comprend des cadrans pour cinq variables de sécurité publique mais ne donne aucune indication sur la façon dont chacune est calculée ou sur l’emplacement des cadrans pour commencer les différentes phases du déconfinement. Quand les constructeurs seront-ils autorisés à commencer les nouvelles constructions ? Quand les petits magasins comme Home Depot pourront-ils ouvrir ? Le tableau de bord est conçu pour impliquer la science, mais il manque de données significatives. »

Oui, vous attendez toujours la phase 1 ou 2 de votre déconfinement ? Croyez-moi, celui qui a élaboré le plan propre à votre État invente littéralement les choses au fur et à mesure. Et, étant donné l’extrême diversité des plans en cours, même dans les comtés voisins, les chances qu’ils aient QUOI QUE CE SOIT à voir avec l’arc du virus sont exactement nulles, mais vous le saviez déjà si vous avez lu tout ce qui précède. La bonne nouvelle, c’est qu’ils réussiront TOUS, parce que le confinement n’était pas nécessaire pour commencer — MISSION ACCOMPLIE.

Il est intéressant de revenir début mai sur les gros titres où les responsables de la santé publique prédisaient un désastre pour la Floride dans le Miami Herald : « Le plan de déconfinement de la Floride est-il sans risque ? Les experts de la santé publique donnent une critique franche » — les autres gouverneurs vont-ils jamais penser par eux-mêmes comme Ron DeSantis l’a fait ?

Comment diable en sommes-nous arrivés là ?

Cette semaine, j’ai vraiment été frappé par ce titre de la Fondation pour l’éducation économique : [Voir aussi en français Confinement- « Ce n’est pas laSuèdequi mène une expérience de masse. Ce sont tous les autres pays » – NdT]

« Épidémiologiste : La réponse de la Suède au Covid n’est pas peu orthodoxe.
Le reste du monde l’est »

Si les nations semblent aujourd’hui à l’aise pour mettre en place des mesures massives de confinement afin d’empêcher la propagation d’un virus respiratoire mortel, cette pratique semble sans précédent.

« Comme l’a récemment expliqué le principal expert suédois en maladies infectieuses, l’approche de la Suède face à la pandémie est plus orthodoxe que l’approche actuelle de confinement, du moins par rapport aux normes historiques.

« Ceux qui bouclent complètement la société, ce qui n’a vraiment jamais été fait auparavant, sont-ils plus ou moins orthodoxes que la Suède ? », a demandé récemment Anders Tegnell. « La Suède fait] ce que nous faisons habituellement en matière de santé publique : accorder une large part de responsabilités à la population, essayer d’établir avec elle un bon dialogue, et avec cela obtenir de bons résultats. »

Le point soulevé par Tegnell mérite l’attention. Si les nations semblent aujourd’hui à l’aise pour mettre en place des mesures massives de confinement afin d’empêcher la propagation d’un virus respiratoire mortel, cette pratique semble sans précédent. »

Le Dr Scott Atlas de Stanford est, selon mon opinion, l’un des véritables héros de ce bourbier, et j’ai trouvé que son essai sur le manque de leadership des responsables américains de la santé publique pendant cette crise était l’un de ses meilleurs. Si ces mêmes responsables ont fait un excellent travail en effrayant les Américains, ils n’ont pas fait grand-chose pour les informer sur les nouvelles données scientifiques qui ont prouvé que nombre de nos craintes initiales n’étaient pas fondées sur la science. Il y a encore des MILLIONS d’Américains qui ont peur de quitter leur maison, et je pense que beaucoup pensent que le taux de mortalité par infection du Covid-19 est plus proche de la variole (30 pour cent) que de la grippe saisonnière. Comme l’a écrit le Dr Atlas le 3 mai dans The Hill :

« La base pour rassurer le public sur le déconfinement est de rappeler les données factuelles sur la menace et les personnes qu’elle vise. À l’heure actuelle, les études menées en Europe et aux États-Unis indiquent toutes que le taux global de mortalité est bien inférieur aux premières estimations. Et nous savons qui protéger, car cette maladie — d’après les preuves — est inégalement dangereuse au sein de la population. Dans le comté d’Oakland, dans le Michigan, 75 pour cent des décès concernent des personnes de plus de 70 ans ; 91 pour cent concernent des personnes de plus de 60 ans, ce qui est similaire à ce qui a été constaté à New York. Et les personnes plus jeunes et en meilleure santé ont un risque de décès pratiquement nul et un faible risque de maladie grave ; comme je l’ai déjà noté, moins d’un pour cent des hospitalisations à New York ont concerné des patients de moins de 18 ans, et moins d’un pour cent des décès à tout âge sont dus à l’absence de conditions sous-jacentes. »

J’ai encore du mal à comprendre comment nous en sommes arrivés là. Je pense que l’un des meilleurs essais que vous aurez jamais lu sur ce sujet est une série en deux parties écrite par la bio-ingénieur Yinon Weiss :

Partie 1 — Comment la peur et la pensée de groupe ont conduit à des confinements mondiaux inutiles.Extrait :

« Face à une nouvelle menace virale, la Chine a pris des mesures de répression contre ses citoyens. Les universitaires ont utilisé des informations erronées pour construire des modélisations défectueuses. Les dirigeants se sont appuyés sur ces modélisations défectueuses. Les opinions dissidentes ont été supprimées. Les médias ont attisé les craintes et le monde a paniqué. C’est l’histoire de ce qui pourrait bien être connu comme l’une des plus grandes gaffes médicales et économiques de tous les temps. L’échec collectif de toutes les nations occidentales, sauf une, à remettre en question la pensée de groupe sera certainement étudié par les économistes, les médecins et les psychologues pendant les décennies à venir. »

Partie 2 — Comment le sensationnalisme des médias, la partialité des grandes technologies ont prolongé les confinements. Extrait :

« Les épidémiologistes ont créé des modélisations de confinement défectueuses. Les médias ont encouragé la peur. Les politiciens ont imaginé les pires scénarios, et la technologie a supprimé les opinions divergentes. C’est ainsi que les craintes des populations sont devenues disproportionnées par rapport à la réalité et que des mesures de confinement en apparence provisoires se sont étendues sur plusieurs mois. »

Je conclurai ces réflexions par une dernière citation de l’israélien Yoram Lass qui a bien résumé ce qui vient de se passer — et se passe encore dans de nombreux lieux :

« C’est ce qu’on appelle en science un retour d’information positif ou un effet boule de neige. Le gouvernement a peur de ses électeurs. C’est pourquoi il met en œuvre des mesures draconiennes. Les électeurs regardent ces mesures draconiennes et deviennent encore plus hystériques. Ils se nourrissent les uns les autres et la boule de neige devient de plus en plus grande jusqu’à ce que vous atteigniez un seuil irrationnel. Si vous vous intéressez aux chiffres et aux données, ce n’est rien d’autre qu’une épidémie de grippe, mais les populations qui sont dans un état d’anxiété sont aveugles. Si je prenais les décisions, j’essaierais de leur donner les vrais chiffres. Et je ne détruirais jamais mon pays. »

Et maintenant ?

Selon mon opinion, ce qui devrait être fait est tellement simple, mais ce ne sera jamais fait, car trop de gens devraient admettre qu’ils ont tort. Mais, je vais quand même le dire. Ma recommandation politique : supprimer 100 pour cent des règles de confinement nouvellement créées, sécuriser les maisons de retraite en utilisant l’approche de la Floride, dire à toutes les personnes atteintes d’une infection active de Covid-19 de rester chez elles jusqu’à la disparition des symptômes ou de porter un masque si elles doivent sortir en public, et encourager tous les autres à se laver les mains. Marché conclu.

J’ai gardé pour la fin une de mes citations préférées de Johan Giesecke de l’Institut Karolinska — il est suédois, ce n’est pas étonnant — tirée d’un essai paru début mai dans The Lancet :

« Ces faits m’ont conduit aux conclusions suivantes. Tout le monde sera exposé au coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère, et la plupart des individus seront infectés. Le Covid-19 se répand comme une traînée de poudre dans tous les pays, mais nous ne le voyons pas — il se propage presque toujours des jeunes gens qui ne présentent pas de symptômes ou qui en présentent peu à d’autres qui en présenteront tout aussi peu. Il s’agit de la véritable pandémie, mais elle se poursuit discrètement et atteint probablement aujourd’hui son apogée dans de nombreux pays européens. Nous ne pouvons pas faire grand-chose pour empêcher cette propagation : un confinement pourrait retarder les cas graves pendant un certain temps, mais une fois les restrictions assouplies, les cas réapparaîtront. Je pense que lorsque dans un an nous compterons le nombre de décès dus au Covid-19 dans chaque pays, les chiffres seront similaires, quelles que soient les mesures prises.

Les mesures visant à aplatir la courbe pourraient avoir un effet, mais un confinement ne fait que repousser les cas graves à plus tard — il ne les empêchera pas. Certes, les pays ont réussi à ralentir la propagation pour ne pas surcharger les systèmes de santé et, oui, des médicaments efficaces qui sauvent des vies pourraient bientôt être mis au point, mais cette pandémie est rapide et ces médicaments doivent être développés, testés et commercialisés rapidement. On fonde beaucoup d’espoir sur les vaccins, mais il faudra du temps pour les mettre au point et, compte tenu du manque de clarté de la réponse immunologique protectrice face à l’infection, il n’est pas certain que les vaccins soient très efficaces.

En résumé, le Covid-19 est une maladie hautement infectieuse qui se propage rapidement dans la société. Elle est souvent asymptomatique et peut passer inaperçue, mais elle provoque également des maladies graves, voire la mort d’une partie de la population, et notre tâche la plus importante n’est pas d’arrêter la propagation, ce qui est pratiquement inutile, mais de nous concentrer sur la fourniture de soins optimaux aux malheureuses victimes. »

Si vous êtes arrivé jusqu’ici, merci. Vous partagez maintenant mon fardeau en connaissant les faits sur les raisons absurdes du confinement [« impures » en tant qu’« entachées d’éléments incontrôlés, indésirables » qui ont produit des décisions des plus mal avisées – NdT]. Et merci aux nombreux professionnels de la santé et scientifiques courageux qui prennent de sérieux risques pour leur carrière en disant publiquement la vérité. Si vous souhaitez vous tenir informés de ce sujet complexe, je vous recommande les fils Twitter d’Aaron Ginn et d’Alex Berenson qui représentent un répit bienvenu dans l’« attelage apocalyptique ».

Une dernière note personnelle — Par rapport au sujet sur lequel j’écris habituellement — le fait scientifique avéré que les vaccins peuvent déclencher l’autisme chez un sous-ensemble vulnérable d’enfants — écrire sur la folie du confinement constitue une promenade de santé, parce que de nombreuses personnes intelligentes sont arrivées à la même conclusion que moi. J’aimerais que beaucoup d’entre eux puissent voir les parallèles avec l’épidémie d’autisme : la bonne science est évitée ou censurée, les médias intimident les dissidents, les intérêts particuliers prévalent, les parents ne sont jamais écoutés et les médecins qui s’expriment sont qualifiés de « charlatans »… et l’épidémie d’autisme se poursuit sans relâche.


À propos de l’auteur

J.B. Handley est l’auteur du best-seller How to End the Autism Epidemic [« Comment mettre fin à l’épidémie d’autisme », ouvrage non traduit en français – NdT]. Il est diplômé avec mention de l’université de Stanford et est actuellement membre directeur de Bochi Investments, une société d’investissement privée. Il peut être contacté à l’adresse suivante : jbhandleyblog@gmail.com

Source de l’article initialement publié en anglais le 30 mai 2020 :
j.b.handley blog
Traduction: Sott.net


Commentaire : La plupart des hyperliens présents dans l'article sont en anglais et nous n'avons pas ajouté de commentaires pour ne pas alourdir l'article déjà très dense. Voici donc une liste d'articles qui vous permettront de relier les points sur les différents sujets abordés ici en élargissant le contexte aux vaccins, Bill Gates et autres philanthropes psychopathes :