Une intervenante du Forum Économique Mondial vante une technologie qui va permettre à votre patron de lire dans vos pensées

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

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Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
https://www.medias-presse.info/controle-mental-a-distance-regardez-cette-experience-filmee-en-1964/169418/

Nita Farahany est intervenue jeudi lors de l’édition 2023 du Forum économique mondial (WEF) et a salué la « promesse extraordinaire » de l’utilisation d’appareils de lecture de pensées sur le lieu de travail tout en admettant qu’ils pourraient être « la technologie la plus oppressive » jamais utilisée à grande échelle dans la société.

Les appareils de lecture mentale portables ne sont pas un cauchemar du futur : ils sont déjà là, a affirmé Nita Farahany, éthicienne juridique et auteur de « The Battle for Your Brain », lors de son discours « Ready for Brain Transparency? » à la réunion annuelle 2023 du WEF à Davos.

Ces appareils portables grand public sont des bandeaux ou des chapeaux équipés de capteurs de votre activité d’ondes cérébrales, ainsi que d’écouteurs, minuscules, ​​que vous pouvez porter derrière votre oreille — grâce auxquels « nous pouvons capter des états émotionnels », comme le bonheur, la tristesse ou la colère, a déclaré Nita Farahany.

« Nous pouvons capter et décoder les images que vous voyez dans votre esprit, des formes simples, des chiffres, votre code PIN », a-t-elle expliqué, ajoutant qu’une telle technologie pourrait donc donner accès à « votre compte bancaire ».

Farahany a prédit que dans « un avenir à court terme », ces appareils deviendront « le principal moyen par lequel nous interagirons avec tout le reste de notre technologie », et a souligné que les grandes entreprises technologiques comme Meta, dirigée par Mark Zuckerberg, « recherchent des moyens de rendre ces appareils universellement applicables » au reste de notre technologie.

Ce à quoi cela ressemble dans la pratique, c’est d’avoir la possibilité, par exemple, de « glisser simplement avec votre esprit » au lieu d’utiliser une souris ou un clavier.

Comme il faut toujours que le Mal avance sous l’apparence d’un Bien, Nita Farahany s’est concentrée sur le potentiel de cette technologie pour résoudre différents problèmes sur le lieu de travail et a cité l’exemple dramatique des camionneurs qui s’endorment sur la route. Leurs employeurs pourraient empêcher les accidents, a affirmé Farahany, avec un « simple chapeau » qui, à l’aide d’« électro-capteurs intégrés », pourrait mesurer l’activité des ondes cérébrales et évaluer « le stade de vigilance » du chauffeur et s’il commence à s’endormir.

« En tant que société, nous devrions vouloir cela », a osé Farahany.

C’est pourquoi, a-t-elle poursuivi, « dans plus de 5 000 entreprises à travers le monde, les employés font déjà surveiller leur activité cérébrale pour tester leur niveau de fatigue », comme dans les chemins de fer Pékin-Shanghai, où « les conducteurs de train sont tenus de porter des chapeaux qui captent leur activité cérébrale », ou dans « les sociétés minières du monde entier ».

Nita Farahany assure que « bien faite, la neurotechnologie permet des promesses extraordinaires ». Elle a admis, cependant, que « mal utilisée, cela pourrait devenir la technologie la plus oppressive que nous ayons jamais introduite à grande échelle dans la société ».

Encore plus troublante pour les employés, a-t-elle reconnu, est la perspective d’appareils de lecture cérébrale capables de détecter « si une personne est attentive ou si son esprit vagabonde », et à quoi, plus précisément, elle prête attention.

Une telle technologie peut non seulement évaluer si quelqu’un fait attention, et à quoi, mais peut intervenir pour remettre l’esprit sur les rails. Farahany a partagé que le MIT Media Lab a déjà développé un « foulard haptique » qui « donne à une personne un petit buzz — littéralement — lorsque son esprit commence à vagabonder pour l’aider à se recentrer et à aiguiser son attention » !

Elle prédit que l’étendue de ce que les capteurs parviendront à recueillir du cerveau augmentera considérablement « dans les prochains jours à mesure que l’IA deviendra plus puissante, à mesure que les capteurs deviendront plus puissants ».

Pour éviter les atteintes à la vie privée à l’aide de cette technologie, il suffirait selon elle de « reconnaître de manière préventive un droit à la liberté cognitive, un droit à l’autodétermination sur nos cerveaux et nos expériences mentales », et a ajouté que « cela nécessite que nous mettions à jour les normes internationales existantes ».

Et de citer comme exemple que les employeurs ne devront pas surveiller les sentiments « amoureux » pour un collègue.

« En tant que PDG, je suis sûre que tous les PDG l’utiliseront de manière totalement responsable », a osé déclarer le modérateur et PDG de l’Atlantique, Nicholas Thompson, sous les rires de Nita Farahany et du public.

En plus des appareils portables de lecture mentale déjà existants, des implants capables de sonder encore plus profondément le cerveau humain sont actuellement développés et testés. L’année dernière, le premier Américain et la cinquième personne au monde s’est vu implanter une interface cerveau-ordinateur (BCI), assimilée à un « cerveau bluetooth », dans le cadre d’un essai de l’appareil. Le participant à l’essai a déjà été capable d’effectuer des tâches comme la navigation informatique en utilisant son seul esprit, avec l’aide du BCI.

En fait, les appareils de lecture des pensées sont un élément indispensable de l’agenda transhumaniste défendu par le WEF. Dans une interview accordée en 2016 au groupe de radiodiffusion suisse RTS, le fondateur et gourou du WEF, Klaus Schwab, a déclaré que les puces cérébrales seraient largement introduites « certainement dans les 10 prochaines années ».

Lors d’une émission de Joe Rogan en mai 2020, Elon Musk avait affirmé que l’utilisation de l’implant se développerait pour permettre à la population générale de communiquer « par télépathie » les uns avec les autres dans un délai de « cinq à 10 ans » si les progrès avancent au rythme prévu.

Bienvenue en enfer sur terre…




Christine Deviers-Joncour : « Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Son nom ne vous est pas inconnu, cette femme a défrayé la chronique de toute la presse française dans les années fin 90- début 2000.
Connue sous le sobriquet de « la putain de la République », Christine Deviers-Joncour réapparaît dans la lumière par le biais de l’écriture.
A l’occasion de la sortie de son dernier roman In silico, Christine, comme elle aime se faire appeler, nous a accordé un entretien sincère et émouvant laissant transparaître une femme forte, pleine de conviction et assoiffée de liberté. Une bouffée d’oxygène loin des médisances du passé !

[Voir aussi :
C. Deviers-Joncour : Aucune injustice ne peut durer pour l’éternité
Le pacte avec Satan : le pouvoir absolu sur l’humanité
Les mots de Christine Deviers Joncour sur Attali, le Covid et le plan de dépopulation
Lettre ouverte à Éric Zemmour
Nos bourreaux ne se cachent même plus !
La guerre du Bien contre le Mal
Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…]


« J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète » car, disaient-ils, le peuple pollue et pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». »

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Christine et merci d’avoir accepté l’invitation du Média en 4-4-2. Vous venez de publier votre dernier roman, In Silico, la cité des abysses, dont l’intrigue se déroule dans un monde de science-fiction pas si loin de la réalité…Votre héroïne, Elem, habite au 65e étage dans un 40 mètres carrés. Elle utilise sa carte de crédit et un lecteur d’empreintes pour y accéder. Dans son appartement, se trouve sur un mur « un orifice pour assurer sa protection et sa sécurité. » Il lui faut sa « carte magique » pour se doucher, utiliser sa cafetière. Cette carte fait également office de carte Vitale et lui est indispensable pour avoir « un toit, de l’eau et du confort ». Et pour couronner le tout, Elem a une puce implantée à son poignet pour avoir accès à son lieu de travail… On se croirait en plein 1984 de George Orwell ! Est-ce que, comme lui à son époque, vous voyez notre société plonger vers ce monde du tout-contrôle ? 

Christine Deviers-Joncour : Merci pour votre invitation. J’ai écrit ce livre en 2012. Et à cette époque je n’imaginais pas une seconde que nous allions vivre une période aussi sombre. Juste une précision : le terme in silico est un terme utilisé en informatique et bio-informatique. Je crois que c’est là mon vrai premier roman. Aucune référence à mon expérience personnelle passée, contrairement aux autres livres. Et c’est sans doute là que je me suis sentie le plus libre. Mais forte de mon expérience, de ce que j’ai vécu pendant quelques années si proche du pouvoir, il y avait des choses que je brûlais d’évoquer. Sous la forme de fiction ce fut plus facile et même assez grisant. Il est vrai qu’à une période de ma vie où j’ai dû côtoyer le pouvoir d’un peu trop près, j’assistais souvent à des discussions qui ne laissaient aucun doute sur leurs intentions. J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète », car, disaient-ils, le peuple pollue et, pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». Je ne pouvais imaginer à l’époque que cela deviendrait réalité. Mais je sentais bien que l’avenir s’assombrissait. Je n’avais pas lu 1984 de George Orwell à l’époque. J’ai depuis comblé cette lacune. Mais pour répondre à votre question : oui, il décrit ce monde du tout-contrôle dans sa fiction et en ce qui nous concerne ce n’est malheureusement plus de la fiction, mais une terrible réalité dans laquelle nous sommes en train de sombrer, si nous ne nous ne réagissons pas. Et il y a urgence !

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« Cette poignée de psychopathes inhumains, avides de pouvoir et de richesse s’effondrera tôt ou tard ! »

Le Média en 4-4-2 : Face à cette urgence, comment réagir ? Comment faire prendre conscience à nos concitoyens de cet immense danger ? Car, comme décrit dans votre roman, le pouvoir opère depuis très longtemps une manipulation de la masse, qui n’en est pas consciente.

Christine Deviers-Joncour : Oui, cette manipulation de masse a été sciemment mise en place depuis très longtemps. Au lieu de Grand Reset, je préfère Grand Réveil ! Peu à peu les gens s’informent et comprennent  que nous sommes sur un volcan. Nous n’avons plus besoin de livres d’Histoire. L’Histoire est un flux qui nous nourrit de vérités, de faussetés que nous trions comme d’antiques chercheurs d’or que les évènements rongent car, par tous les canaux, surtout par ceux d’une propagande excessive, ridicule, les réalités viennent à nous, jour après jour, comme autant de coups de boutoir, comme autant de vagues qui finissent par faire du sable des falaises les plus dures. Nous vivons comme les anciens dieux qui observaient les Grecs et les Troyens et intervenaient dans leurs combats. Nous aussi nous observons et nous intervenons. Le Net est un rugissement de révélations et de colères. Et il est difficile de gouverner en le négligeant. Cette poignée de psychopathes inhumains, avides de pouvoir et de richesse s’effondrera tôt ou tard ! Patience…. On dit que In silico est prophétique ! Alors lisez jusqu’au bout et vous verrez la fin de ce cauchemar dans la Cité des Abysses ! C’est la fin que je nous souhaite !

Le Média en 4-4-2 : Effectivement, c’est un roman plein d’espoir et nous n’allons pas dévoiler la fin inattendue de cette histoire. Mais vous qui avez été l’observatrice, l’objet voire la confidente de certains de ces psychopathes, ne pensez-vous pas que pour certains d’entre eux leur part d’humanité est tellement enfouie que c’est là la faille. Et qu’au lieu de s’en éloigner, il suffirait de rallumer cette flamme, comme pour Wendel !

Christine Deviers-Joncour : L’amour peut engendrer des miracles ! Rare, mais possible… (rires) ! Pour gagner l’estime et se battre dans l’arène, l’homme s’est détourné de sa vraie nature, de son essence profonde. En retrouvant cette essence, ses vraies richesses intérieures lui seraient révélées. Réconcilié avec lui-même, il y gagnerait une communication plus simple et plus humaine. Que chacun agisse en accord avec sa nature profonde, avec son âme et tout en restant soi-même, chacun danserait ainsi avec l’autre dans la créativité et dans un magnifique mouvement d’évolution. Malheureusement pour eux, ces gens de pouvoir sont infirmes, sans empathie, sans humanité et la frontière est fragile avec la criminalité. Cela devient flagrant ces dernières années Covid. Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis !

Le Média en 4-4-2 : Puisque nous évoquons la relation entre vos deux personnages principaux, pouvez-vous nous parler du choix de leurs prénoms ? Elem, prénom turc qui signifie Dieu, et Wendel, prénom allemand qui signifie « errer »…

Christine Deviers-Joncour : En ce qui concerne Elem, ce nom est tiré du dictionnaire elfique de Tolkien qui signifie : fine, délicate, élégante. Quant à Wendel, j’ai inventé ce prénom et je vous remercie de me donner son origine. Sans dévoiler qui est notre héros, « errer » lui convient parfaitement, mais je ne peux en dire davantage. Le lecteur comprendra ! Néanmoins, les prénoms n’avaient pas pour but de définir leurs caractères propres et leurs parcours. Mais en ce qui concerne Wendel, je suis très touchée par cette référence…

« Le peuple devient du bétail manipulé, sans bientôt plus aucun libre arbitre »

Le Média en 4-4-2 : Comme quoi, si le hasard existe, il fait bien les choses ! A la seconde lecture de votre roman, et en gardant en tête qui en est l’auteur, on se demande où est la frontière entre la fiction et la réalité, notamment en ce qui concerne le contrôle total de la population. On se doute que vous ne pouvez pas révéler tout ce que vous avez entendu en étant « si proche du pouvoir »… Avez-vous écrit une fiction pour être en quelque sorte « plus libre » ?

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Christine Deviers-Joncour : Probablement oui, on peut ainsi dire des vérités sans interdit, ni barrière ! Dans l’histoire, deux lieux se chevauchent : d’une part, une ville futuriste, inhumaine et expérimentale très cruelle pour les citoyens, non loin de ce que nous vivons depuis quelque temps, et de l’autre, le pays des rêves pour survivre pour inventer une autre vie possible dans une sorte de réel imaginaire. Effectivement, tout au long de l’histoire, on peut se demander où est le réel et où est l’imaginaire ? La plus parfaite illusion d’un monde vaut la réalité, mais à la condition d’en ignorer la nature. Voyez ce que nous sommes en train de vivre au quotidien : les libertés sont grignotées chaque jour davantage, notre constitution bafouée, les élections truquées, les interdictions en rafale. Le peuple devient du bétail manipulé, sans bientôt plus aucun libre arbitre. Covid et injections meurtrières, dépopulation, chômage et tout ce qui en découle ! Les angoisses et la tristesse, la peur du lendemain et d’un futur sombre, la peur pour nos enfants. Que nous reste-t-il ? Rêver ? Oui sans doute. Là on ne peut ni nous le prendre, ni le taxer, ni nous l’interdire ! Et c’est gratuit ! Chimère, utopie ? Gérard de Nerval disait : « Le rêve est une seconde vie …» Pourquoi pas ? Que risquons-nous ? Et souvent les rêves deviennent réalité. Dans tous les cas, c’est là quelque chose d’insondable qui imprègne toutes choses de sublime. Et quelquefois ce qui est de l’ordre du sublime devient visible.

« J’ai aujourd’hui gagné ma liberté et je suis fière du combat que j’ai mené »

Le Média en 4-4-2 : On sent dans vos réponses beaucoup de sagesse et de spiritualité, une Christine totalement éloignée de la Christine de la presse à scandale, « La putain de la République ». Pouvez-vous nous raconter l’histoire cachée de ce titre? Et comment passe-t-on de cette image publique peu flatteuse et lourde à porter à celle d’un écrivain plein de possibilités, libre si j’ose dire?

Christine Deviers-Joncour : Ce nom peu flatteur me fut donné par la juge Eva Joly des mois avant de me connaître ! A travers moi, elle voulait s’attaquer à Roland Dumas alors président du Conseil Constitutionnel, quatrième homme d’État. Grand bourgeois, grand érudit, et collectionneur il n’avait pas que des amis au sein du parti socialiste. Et de plus, on ne lui avait pas pardonné, du temps où il était au Quai-d’Orsay, sa politique pro-palestinienne, pro-russe, etc. Il savait tout cela et m’en parlait à l’époque. Et puis, ce fut le scandale de « l’affaire des frégates de Taïwan », baptisée JUDICIEUSEMENT : « Affaire Dumas-Deviers-Joncour ». Quatre milliards de francs de l’époque détournés sur un contrat d’État et une vingtaine de morts, malheureux témoins des détournements. Je fus le fusible désigné pour protéger cette corruption. Mais je n’ai pas baissé les bras et j’ai bataillé. J’ai appelé ça, ma « drôle de guerre à moi ». L’ennemi était de taille : politiques, presse, journalistes, juges, avocats véreux et la Justice … qui n’en avait que le nom ! Je fus la toute première en 2001 à oser dénoncer la corruption politique en France ! Prison, contrat sur ma vie, menaces. L’argent qui me fut reproché n’était pas pour moi… Je l’ai rendu en intégralité à la Justice. Je suis la dernière survivante de cette affaire que le juge Van Ruymbeke désigna comme le plus gros scandale de la 5e république en rétrocommissions et nombre de morts, malheureux témoins. Sachez que dans ces affaires, à ce niveau-là, il faut toujours des fusibles… je fus l’un d’eux. Ce malheureux titre dont on m’a affublée aurait dû être : « Putain de République » ! Trop compliqué et dangereux, je n’ai pas pu à l’époque pour de multiples raisons ! Mais le peuple commence enfin à ouvrir les yeux sur la corruption et les mensonges et manigances de leurs « élites » et ce, à tous les niveaux. Il était temps ! La vraie Christine est celle qui écrit. Et ce depuis toujours. Cela m’a aidée aussi à me défendre dans cette horrible période grâce à de nombreux essais. Libre ? Ô combien ! Quand vous avez passé cinq années dans Paris affublée d’un gilet pare-balles et sur un vélo en sens interdit pour me protéger… J’ai aujourd’hui gagné ma liberté et je suis fière du combat que j’ai mené. Libre oui ! Loin de tout… ce qui permet de les observer à la loupe bâtir d’improbables cathédrales sur des socles de poussière. Ils sont pathétiques. Alors j’ai continué à écrire et illustrer aussi… Et c’est dans l’écriture que j’ai trouvé mon second souffle, car écrire est une façon de hurler en silence et de chasser les démons.

Le Média en 4-4-2 : Et à quel prix ! Une liberté que vous avez arrachée du plus profond de vos tripes. Et en même temps, des décennies plus tard, lorsque vous évoquez Roland Dumas, on sent un profond respect, une admiration étouffée. Pour autant, il n’était pas un enfant de chœur, avocat reconnu, franc-maçon, membre du Grand Orient de France, sans compter son passé politique et il a été le bras droit de François Mitterrand. Êtes vous objective lorsqu’il s’agit de Roland Dumas ?

Christine Deviers-Joncour : Je garde de cet homme le meilleur : une immense et insatiable culture, l’esthète, le talentueux chanteur d’opéra ténor méconnu, le tribun hors norme, le passionné de musique et d’art, polyglotte, six langues et se mettait au persan, capable de parler par exemple l’allemand avec l’accent berlinois ou l’accent autrichien à Vienne. Intarissable sur l’Histoire de l’art ou de la littérature. Un des derniers meilleurs ministres des Affaires étrangères, et de loin ! Quand on voit ceux qui défilent sous les lambris du Quai-d’Orsay ces dernières années. Grandeur et décadence. Un personnage à multiples facettes. Pendant dix années j’ai côtoyé cet homme et tenté sans cesse de me mettre à niveau, consciente de mes lacunes. Il m’a appris et communiqué cet appétit de connaissance… dans tous les domaines. Et cela est précieux et je l’en remercie. Je fus aussi touchée par sa sensibilité extrême, mais troublée aussi par son implacable dureté. Un jour, il m’avoua que je fus la seule femme auprès de qui il n’avait ressenti ni ennui ni lassitude… Ce fut pour moi un magnifique compliment. Multiples facettes oui, ange et démon. Franc-maçon oui… comme tous ceux qui font carrière, ne soyons pas naïfs ! Et puis comme tout homme de pouvoir quand ils se sentent en danger, ils n’hésitent pas à pratiquer la politique de la terre brûlée pour se protéger. Il déclara sans vergogne qu’il ne me connaissait pas ou à peine. Brutal, injuste et douloureux. Il a 100 ans cette année. Laissons-le en paix. Dieu reconnaîtra les siens..

« Imaginez, juste un instant, les Russes installant des bases militaires aux frontières des États-Unis ! »

Le Média en 4-4-2 : En plus de l’écriture, vous vous engagez dans le milieu caritatif notamment auprès de Novopole, une association qui apporte son aide aux Russophones de la région du Donbass. Vous n’avez donc pas découvert il y a quelques mois les atrocités menées par le régime ukrainien dans cette région… Comment percevez-vous cette opération menée par Vladimir Poutine, notamment au niveau géopolitique ?

Christine Deviers-Joncour : En 2014 je fus mise en contact avec des gens qui se mobilisaient pour apporter une aide au peuple russophone de l’Est de l’Ukraine, le Donbass en particulier,  pilonné sans cesse par les ukro-nazis de Kiev. Touchée et émue par ce peuple en souffrance, je me suis approchée de tous ces gens de bonne volonté. N’ayant pas de moyens financiers, j’ai exécuté plusieurs illustrations sur ce drame qui furent mises aux enchères à Genève par une association ; les ventes ont permis de récolter un peu d’argent pour les aider. Vous pouvez les voir sur mon site internet. À cette époque, nous espérions en priant pour que la Russie vienne leur porter secours et stopper ce carnage aux portes de l’Europe. Les accords de Minsk n’étant pas respectés, nous étions très inquiets devant ces bombardements permanents, ces pilonnages et ces enfants massacrés et surtout ce silence radio assourdissant de tous les médias occidentaux ! Mais il a fallu du temps pour que cette aide tant espérée arrive enfin. En prévision de sanctions des États-Unis et de l’Union européenne inévitables, la Russie a dû s’y préparer durant ces huit années. Le 21 février 2022, trois jours avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le président de la fédération de Russie, Vladimir Poutine, déclarait lors d’une allocution télévisée : « L’Ukraine, ce n’est pas seulement notre voisin mais c’est également une partie de notre histoire, de notre espace culturel ». Avant d’ajouter que « l’Ukraine contemporaine a été entièrement et complètement créée par la Russie, plus exactement par la Russie communiste, bolchévique ». Imaginez, juste un instant, les Russes installant des bases militaires aux frontières des États-Unis ! Il y aurait fort à débattre mais je ne suis pas experte en géopolitique et ce n’est pas le propos ici !

« J’ai lourdement payé pour avoir vu de très près ! »

Le Média en 4-4-2 : En retraçant l’ensemble de votre parcours, avez-vous des regrets, des remords ? Auriez-vous fait des choses différemment ?

Christine Deviers-Joncour : Des regrets, oui, bien sûr. Qui n’en n’a pas… Des remords ? oui, d’avoir fait de mauvais choix : ainsi ma vie a été conduite pour l’amour de mes deux fils qui ont eu chacun des pères peu responsables et défaillants et qui eux aussi en ont souffert. J’ai dû alors prendre la relève. J’ai dû assumer les rôles de père et de mère. Je me suis donc battue. Seule. Donc mes regrets sont là : les mauvais choix quant à mes deux époux et pères de mes fils. Pour autant, j’ai eu une vie chaotique mais je ne regrette rien. Je me suis frottée à la vraie vie, aux combats, aux difficultés et j’ai réalisé depuis longtemps dans quel monde nous vivions avec ses injustices et ses dérives. Je suis  témoin de ce que sont vraiment nos gouvernants et du système qu’ils ont instauré. J’ai lourdement payé pour avoir vu de très près ! À refaire ? oui sans aucun doute. Pour le meilleur et pour le pire. Je ne suis pas ressortie de ce cauchemar indemne, c’est un fait, les cicatrices trop profondes ne se refermeront pas. Mais j’ai acquis une force qui me permet de regarder ce monde dans lequel nous vivons avec une grande lucidité et sans surprise, ni panique. Alors j’écris… Que mon expérience puisse aider les gens à ouvrir les yeux.

En fait, nous vivons deux apocalypses : tout d’abord celle de la fin d’un monde qui se détruit tout seul par ses excès, le fameux « hubris » qui est la faute fatale qui culbute les hommes qui s’y abandonnent, les empires qui s’étendent trop et deviennent ingérables. L’apocalypse où tombent les masques ! Et enfin l’apocalypse du renouveau que tous les enfants de ce siècle, qui part si mal, ont envie de créer ! « Les affaires, sont les affaires… », disent certains. L’harmonie universelle  leur est supérieure. Le choix est fait !

« Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, réagir pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés »

Le Média en 4-4-2 : Merci Christine pour le temps que vous nous avez consacré ! Merci pour cet émouvant et captivant entretien. Nous vous laissons le mot de la fin pour que vous puissiez par exemple nous dire ce qu’on peut vous souhaiter pour la suite.

Christine Deviers-Joncour : Mon souhait ? que les peuples retrouvent enfin un monde apaisé et la sérénité ! Que nos enfants soient protégés de ces satanistes qui opèrent et complotent depuis trop longtemps… Que justice soit faite contre ces criminels ! Quant à moi, que je puisse à travers l’écriture continuer ce combat avec tant d’autres qui se battent aussi. L’ordre mondial actuel ne peut plus se perpétuer de la sorte ! Il est un problème crucial pour l’humanité, un problème qui doit être impérativement et au plus vite résolu. Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, réagir pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés.




EctoLife, la première installation d’utérus artificiel au monde

[Source : dailygeekshow.com]

Actuellement, de plus en plus de personnes font appel à des mères porteuses pour avoir des enfants. L’entreprise EctoLife veut aller encore plus loin dans ce principe en introduisant le paramètre technologique dans l’équation. En effet, cette société veut créer la première usine à bébés au monde en utilisant des utérus artificiels.

La première usine à bébés au monde ?

La grossesse n’est pas évidente pour toutes les femmes, et c’est tout simplement impossible pour les hommes. En effet, de plus en plus de femmes choisissent de ne pas passer par la case de la grossesse pour avoir des enfants, et certains hommes choisissent également de passer par des mères porteuses pour avoir des enfants. Pour répondre à cette demande, le producteur, cinéaste et communicateur scientifique allemand Hashem Al-Ghaili a imaginé une solution à la fois innovante et dérangeante.

Sa réponse à cette demande a été nommée EctoLife, une entreprise qui possèdera la première installation d’utérus artificiels au monde. L’objectif principal de l’entreprise serait de permettre aux couples infertiles de concevoir un bébé en étant les parents biologiques de leur progéniture. Pour l’instant, il ne s’agit que d’un concept, mais l’idée a suscité beaucoup d’engouement sur la toile. En effet, la vidéo de présentation du projet a cumulé plus de 1,6 million de vues sur YouTube en moins d’un mois.

uterus artificiel
― SciePro / Shutterstock.com

Un concept farfelu et quelque peu malaisant

Généralement décrits comme dérangeants et terrifiants, la vidéo et le concept en soi ont ainsi été source de controverse. D’après la présentation du concept, EctoLife prévoit de « produire » 30 000 bébés en laboratoire par usine chaque année. La « production » des bébés se fera notamment par le biais d’utérus artificiels équipés de tous les équipements nécessaires pour assurer le bon développement physique, mental et émotionnel des bébés. EctoLife comprendra également un procédé génétique qui permettra de « paramétrer » les bébés selon le désir des parents.

En effet, il est affirmé dans la description qu’il sera possible de personnaliser la couleur des yeux, la couleur des cheveux, le teint de la peau, la force physique, la taille et le niveau d’intelligence des bébés. EctoLife se décrit également comme un moyen de garantir que la progéniture soit saine, dépourvue des maladies génétiques héréditaires qui font partie de l’historique familial des parents. Tout cela serait possible grâce à l’édition du gène CRISPR-Cas 9 chez les embryons.

Outre ces avantages « techniques », il est précisé dans la description d’EctoLife que son principal objectif est de soulager la souffrance humaine et réduire les risques de césarienne. « Avec EctoLife, les naissances prématurées et les césariennes appartiendront au passé », peut-on entendre dans la vidéo. Bref, EctoLife est un concept qui vise à produire des bébés parfaits sans passer par la case grossesse. Même s’il n’est pas totalement dépourvu d’intérêt, le concept est assez farfelu. Et même si Hashem Al-Ghaili affirme le contraire, le projet manque cruellement de base scientifique pour sa réalisation.




Quand Laurent Alexandre décrivait le projet d’Elon Musk de greffer des implants dans les cerveaux de nos enfants

[Source : medias-presse.info]

Ceux qui se laissent aujourd’hui subjuguer par Elon Musk sous prétexte qu’il semble avoir mis fin à la censure sur Twitter feraient bien d’écouter la description que faisait Laurent Alexandre du projet Neuralink d’Elon Musk. C’était au Global Positive Forum à Paris en 2017. Il y soulignait que, conformément aux plans d’Elon Musk, la plupart des gens finiront par accepter que l’on greffe des implants dans les cerveaux de nos enfants et petits-enfants.

[Voir aussi :
Le grand jeu : Elon Musk et Twitter]




Comment nous sommes manipulés, comment nous en protéger

[Source : covidhub.ch via Profession Gendarme]

Les deux scientifiques exposent les méthodes du « piratage » de l’être humain annoncé par Yuval Noah Harari. « Il faut les connaître avant de pouvoir les désactiver. »

Cette conférence-dialogue débute par l’extrait d’une déclaration limpide de Yuval Noah Harari, historien, auteur du best-seller Sapiens et maintenant conseiller de Klaus Schwab, le président du Forum économique mondial.

Harari affirme que l’humain serait «piratable», par l’insertion de puces «sous la peau»… Au vu des évènements de la crise covid, il est permis de se poser la question: les humains ont-ils été piratés? Quelles sont ces techniques de piratage et surtout comment s’en protéger ?

Bientôt tous connectables ?

Lucien Cerise (diplômé en philosophie et sciences humaines, spécialisé dans le langage et l’épistémologie) et Philippe Bobola (physicien, biologiste, anthropologue et psychanalyste, spécialisé notamment en nanotechnologies) ont exposé les mécanismes souvent ignorés qui nous transforment en objets connectables.

Ces outils permettent de manipuler et programmer les perceptions et les comportements, qu’ils soient individuels ou collectifs. S’y ajoutent les méthodes subtiles pour nous les faire accepter.

Désamorcer la programmation de l’esprit

La vérité libère, expliquent-ils. Ou du moins, elle rend possible de comprendre à qui et à quoi nous avons affaire, première étape nécessaire pour reprendre le contrôle de nos destinées.

C’est avec ces deux éminents spécialistes que nous naviguons dans les eaux troubles du contrôle mental et de la programmation de l’esprit. Ces méthodes qui, disent-ils, font partie des armes secrètes des États, doivent absolument être exposées à la connaissance du public pour pouvoir désactiver leur potentiel destructeur et rendre aux humains leur libre arbitre.

[Voir aussi :
Comment fonctionne le contrôle mental réel
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Le contrôle mental au temps du Covid
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Les 4 niveaux de contrôle comportemental autoritaire et la valeur de votre esprit unique
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
https://www.medias-presse.info/controle-mental-a-distance-regardez-cette-experience-filmee-en-1964/169418/]




À quel point les virus sont-ils morts ?

[Source : wissenschafftplus.de]

Quand bien même l’article date de 2020 (…), voici une interview de Stefan Lanka par un magazine allemand traitant de la Santé (de titre « Die Wurzel » c’est-à-dire « La Racine »), interview qui est, une fois de plus, très intéressante et permet de mieux intégrer des points fondamentaux sur l’arnaque virale.

Jean Bitterlin

[Traduction : Jean Bitterlin]

Dr. Stefan Lanka, Biologiste moléculaire et océane

Toutes les affirmations sur l’existence du virus sont réfutées

Le procès gagné du virus de la rougeole

Die Wurzel : Cher Stefan, tu es biologiste moléculaire, biologiste marin et scientifique et tu as gagné le procès du virus de la rougeole en démontrant scientifiquement qu’il n’y a pas de virus (de la rougeole) du tout. Quand était-ce ?

Stefan Lanka : J’ai initié le procès sur le virus de la rougeole fin 2011 afin d’empêcher l’introduction de la vaccination obligatoire contre la rougeole. Le procès a débuté en 2012 et a finalement duré jusqu’au début de l’année 2017. Le plaignant qui a perdu a laissé passer le délai pour faire appel de la décision de la Cour fédérale de justice (BGH) du 1er décembre 2016 auprès de la Cour constitutionnelle fédérale. Par cette décision, la BGH a rejeté le pourvoi du requérant contre l’arrêt de la Cour d’Appel (OLG) de Stuttgart du 16.02.2016.

Au détriment de la population…

Au détriment de la population, l’OLG de Stuttgart n’a pas pris en compte les preuves scientifiques issues d’expertises et d’expériences réalisées qui lui ont été présentées, preuves qui réfutaient toutes les affirmations sur l’existence du virus de la rougeole. L’OLG n’a pas non plus rejeté la plainte pour des raisons formelles, comme le prétend encore aujourd’hui le plaignant. Dans la motivation de son jugement, l’OLG s’est retranché derrière le fait que l’expert désigné par le tribunal a déclaré qu’aucune des six publications présentées ne contenait de preuve de l’existence d’un virus.

La virologie privée de sa raison d’être par voie judiciaire

Ce qui est particulièrement explosif ici, c’est que l’une des six publications présentées constitue la base exclusive aussi bien de la rougeole que de toute la virologie. Le jugement du tribunal régional supérieur de Stuttgart du 16 février 2016, confirmé par la Cour Fédérale de justice, prive l’ensemble de la virologie, y compris le battage Corona, de son fondement, car tous les virologues se réfèrent à cette seule publication, dont la jurisprudence allemande affirme qu’elle ne contient aucune preuve de virus. Il s’agit maintenant de mettre en pratique cette jurisprudence sur les virus.

Le tribunal régional supérieur de Stuttgart, afin de protéger l’expert désigné par le tribunal de poursuites pénales pour avoir fait par deux fois de fausses déclarations écrites dans ses expertises, a supprimé la déclaration consignée de l’expert concernant les six publications présentées.

Expert condamné par le juge en cas de faux témoignage

Sous la pression des questions claires d’une jeune juge, l’expert a reconnu son faux témoignage central : Contrairement à ses déclarations écrites, les six publications présentées par le plaignant ne contiennent pourtant aucun test de contrôle pour prouver si la méthode utilisée fonctionne, si le résultat est faussé ou si le résultat souhaité et obtenu est lui-même provoqué ! Les six publications présentées au procès sont donc du papier sans valeur, qui ne peut et ne doit pas être qualifié de scientifique. Car les règles du travail scientifique prescrivent impérativement la réalisation et la documentation exacte d’expériences de contrôle.

Le procès et le procès-verbal de la première instance ainsi que le jugement de la Cour d’Appel de Stuttgart ont doublement privé de fondement les affirmations de l’ensemble de la virologie. Je renvoie à ce sujet à mon article « Der Bundesgerichtshof lässt den Glauben an die Viren untergehen » (La Cour Fédérale de Justice fait disparaître la croyance dans les virus), paru dans le magazine WissenschafftPlus n° 2/2017 et également consultable en ligne sur le site wissenschafftplus.de.

[Voir Go Virus Go !
pour plus de détails]

Les virus sont un modèle purement intellectuel de « wirrologues »

(NdT : en Allemand « sich wirren » signifie s’embrouiller, s’emmêler les pinceaux. Lanka a fait un jeu de mots).

Erreur de raisonnement des virologues renommés

Die Wurzel : Partout dans les médias, surtout depuis Corona, on entend les virologues les plus renommés, comme le Dr Drosten de la Charité (NdT : La Charité est l’hôpital universitaire de Berlin, un des premiers centres hospitaliers universitaires au Monde) ou le professeur Streeck de Heinsberg, rendre un prétendu virus vivant responsable de toutes sortes de maladies. Pourquoi les virologues croient-ils aux virus alors qu’il n’en existe pas dans l’ensemble des tissus et des cellules vivantes ?

Stefan Lanka : Ces virologues et d’autres n’affirment pas que les virus sont vivants, mais que le brin de patrimoine génétique viral biochimiquement mort (c’est-à-dire le virus) est infectieux. Ils définissent, comme tous les virologues, qu’un virus ne dispose pas de son propre métabolisme et qu’il est biochimiquement mort. Tout au plus parlent-ils du fait que l’on trouve partout (et pas seulement sur les poignées de porte) des fragments de gènes de virus1 qui ne sont pas infectieux. À leurs yeux, seul l’ensemble du patrimoine génétique viral (le virus entier) est infectieux, mais une partie du virus (c’est-à-dire un fragment de gène) ne l’est pas. Ce faisant, ils passent sous silence leur plus grand secret professionnel, à savoir qu’ils n’ont jamais trouvé de brin de patrimoine génétique viral complet (c’est-à-dire de virus complet).

Les virologues confirment : Les virus sont biochimiquement morts !

Non seulement les virologues susmentionnés, mais tous les virologues définissent un virus comme n’ayant pas de métabolisme propre et étant biochimiquement mort.

Cependant, la question de savoir comment quelque chose de mort peut développer la force de pénétrer dans l’organisme à travers les peaux, les fascias (NdT : Les fascias sont des structures de tissu conjonctif qui enveloppent les muscles et les organes) et les cuirs des organes, les revêtements des vaisseaux et à l’encontre du flux de mucus des muqueuses, pour y traverser la masse visqueuse du tissu conjonctif (qui entoure toutes les cellules), n’est plus une question ouverte, mais un mythe réfuté qui s’est développé dans notre histoire.

La virologie s’était déjà réfutée en 1951

Ce que les virologues n’ont pas vu, c’est que la théorie2 sur laquelle repose toute la biologie et la médecine et à partir de laquelle se sont inévitablement développées les théories tout aussi erronées de l’infection, de l’immunité, de la génétique et du cancer, non seulement n’est pas correcte, mais elle est réfutée.

Ils ont également négligé le fait que la virologie médicale s’est autoréfutée en 1951. Et ils n’ont pas vu qu’une nouvelle idée de la virologie s’est développée à partir de 1952, l’idée du virus à brin génétique, qui repose toutefois sur une interprétation erronée chez les bactéries et ne peut pas être transposée à l’homme, à l’animal ou à la plante. Voir à ce sujet mon article « Fehldeutung Virus » dans le magazine WissenschafftPlus 1/2020 (couverture voir page 21).

Die Wurzel : Et jusqu’à quand croyais-tu toi aussi à l’hypothèse largement répandue des virus ?

Stefan Lanka : J’ai cru à cette idée jusqu’à ce que j’isole moi-même une structure marine et que je la caractérise biochimiquement, que j’ai alors mal interprétée comme étant un virus INOFFENSIF. J’ai ensuite appris qu’il ne fallait en aucun cas utiliser le terme « virus », car il signifiait quelque chose comme un poison provoquant une maladie (dans le cadre de la théorie cellulaire réfutée), que l’organisme produirait lui-même.

Aujourd’hui, les chercheurs curieux savent que la vie biologique naît de ces structures3, qui se forment par auto-organisation. Chez les bactéries, ces structures sont appelées phages4, mais elles n’apparaissent en laboratoire que lorsque les bactéries sont individualisées, ce qui appauvrit leur biochimie. À partir d’un certain moment (dans un processus ciblé de métamorphose), l’ensemble de la biomasse bactérienne se transforme en de nombreuses petites structures construites exactement de la même manière.

Ces petites structures ont pour fonction (comme les mini-spermatozoïdes) de mettre leur acide nucléique5 à la disposition des organismes qui en ont besoin. Ces processus ciblés et utiles ont été interprétés négativement à travers les lunettes du bien et du mal de la pathologie cellulaire et comme des poisons pathogènes (virus en latin).

Ces petites structures sont, dans le sens du terme « isolation », très faciles à isoler, à photographier et à étudier biochimiquement. À partir de 1952, de jeunes virologues ignorants (qui ne savaient pas et pourquoi l’ancienne virologie avait abandonné) ont CRU que les virus allégués chez l’homme et l’animal avaient l’apparence et la structure des « phages » (mini spermatozoïdes des bactéries).

Les tissus mourants ne se transforment pas en virus

En 1954, une technique a été proposée (l’une des six publications dans le cadre du procès sur le virus de la rougeole) pour prouver l’existence des virus présumés de l’homme, exactement de la même manière que les phages des bactéries ont été détectés. Ils pensaient que lorsque les tissus mouraient, ils se transformaient en virus, tout comme les bactéries se transformaient en phages. Avec la différence décisive que les phages ont été à chaque fois isolés et photographiés en grand nombre et sous forme pure, et que leur brin de patrimoine génétique, toujours de même longueur et toujours composé de la même manière, a été et est toujours représenté comme un tout. Or, cela n’est pas possible à ce jour pour les virus qui sont seulement hypothétiques.

Les « wirrologues » (NdT : voir plus haut) ne font que recomposer mentalement, à partir de courts fragments de tissus et de cellules décomposés, un modèle de virus qui n’existe pas en réalité (un examen plus détaillé est présenté plus loin).

Les tissus mourants ne se transforment pas en virus

Les virologues refusent les expériences de contrôle

Parce que ce type de virologues méprise encore aujourd’hui les règles fondamentales du travail scientifique et refuse de procéder à des essais de contrôle, ils n’ont pas remarqué que les tissus et les cellules meurent dans l’éprouvette non pas à cause d’un virus présumé, mais parce qu’ils (NdT : les tissus et cellules) sont involontairement affamés et empoisonnés dans la procédure qui précède toute « infection » apparente.

C’est pourquoi les tests génétiques viraux ne détectent que les séquences propres à l’organisme. Comme le test n’indique « positif » que s’il y a suffisamment d’extraits de gènes dans l’échantillon à tester, cela explique pourquoi il y a aussi des résultats de test négatifs. Il est pourtant évident que le corps libère plus de matériel tissulaire, et donc de fragments de gènes, surtout lors de processus inflammatoires que lorsqu’il est en bonne santé ou que le corps ne libère rien du tout à certains moments de la guérison. Il suffit d’augmenter la quantité d’échantillons6 pour que chaque personne, chaque animal et probablement même chaque plante soit testé positif. Dans mon article « Mauvaise interprétation du virus. Partie II » (voir WissenschafftPlus 2/2020), j’appelle à ce que des scientifiques, bio-informaticiens et laborantins honnêtes réalisent et publient enfin ces essais de contrôle qui n’ont jamais été effectués ni publiés. Les preuves ont été présentées au tribunal régional supérieur de Stuttgart dans le cadre du procès sur le virus de la rougeole, mais elles ont été ignorées.

De nombreux scientifiques travaillent de manière non scientifique !

Die Wurzel : Que signifie pour toi un travail scientifique honnête en plus de la réalisation d’essais de contrôle, ce qui fait défaut chez de nombreux scientifiques titulaires d’un doctorat qui travaillent pour l’industrie ?

Stefan Lanka : Le plus important est de vérifier en permanence ses propres hypothèses et celles des autres. Or, la grande majorité des gens ne le font pas, car sinon ils se licencieraient eux-mêmes. Le mécanisme à l’œuvre ici a été identifié et publié dès 1956 par le génie d’exception Eugen Rosenstock-Huessy. J’y fais référence et le cite constamment, entre autres dans la série d’articles n° 1 à 3/2019 du magazine WissenschafftPlus, qui t’ont tant enthousiasmé, cher Michael, et dont tu avais parlé dans ton article de Die Wurzel d’avril 2019.

Die Wurzel : On lit de plus en plus souvent que des scientifiques financés par l’industrie produisent des travaux scientifiques et des statistiques pour répondre aux attentes de leurs clients. Il en résulte constamment des statistiques faussées sur les décès dus aux virus de la rougeole/du coronavirus/de la grippe, etc.. Pourquoi n’existe-t-il pas d’instances de contrôle indépendantes pour surveiller les résultats des études et les méthodes de travail ?

Stefan Lanka : Faute de place, je ne peux pas répondre ici à cette question.

Contrôle citoyen sur la Science et la Politique

Juste une chose : du point de vue de l’idée démocratique, la politique et la science ne peuvent fonctionner que si le donneur d’ordre, c’est-à-dire chaque citoyen, est au courant de ce qui se passe, ce qui signifie qu’il contrôle les processus et les mandataires. Nous sommes très éloignés de cette idée et, pour l’instant, je pense que cela ne peut être réalisé que par une association de groupes qui s’organisent eux-mêmes.

Les seuls qui se sont organisés avec succès jusqu’à présent sont, premièrement, les groupements qui violent manifestement leurs objectifs prédéfinis et ne les réalisent pas. Et deuxièmement, les optimiseurs de profit organisés en entreprises et en associations qui s’attaquent de manière conséquente à leurs objectifs (publics et non publics) et les atteignent. Dans un sens positif, l’entreprise Geox semble l’avoir compris : Elle fonde une nouvelle entreprise chaque fois que l’ancienne a atteint le nombre de 500 collaborateurs. C’est manifestement le nombre de personnes pour lequel une vue d’ensemble, la confiance mutuelle et, sur cette base, un travail en symbiose sont encore possibles.

Transposé aux structures étatiques, le prince du Liechtenstein l’a reconnu et formulé dans son livre « Der Staat im dritten Jahrtausend » (l’État au 3e millénaire). Il réclame l’autogestion de tous les domaines de l’État (là où c’est possible) dans de petites structures, car les structures supérieures perdent toujours la vue d’ensemble et leur administration est inefficace et en même temps toujours trop coûteuse.

Die Wurzel : Selon toi, certains événements de l’histoire scientifique ont conduit à élever certaines spéculations « scientifiques » au rang de faits scientifiques, notamment la preuve de l’existence des virus, bien que rien n’ait été prouvé.

Stefan Lanka : Pour moi, il était et il est toujours important de reconnaître les grandes lignes de développement et les mécanismes qui expliquent comment et pourquoi les choses ont évolué. Je pense y être parvenu en ce qui concerne notre médecine « occidentale ». Voir mon article « Fehldeutung Virus » (Erreur d’interprétation sur les virus) dans le magazine WissenschafftPlus 1/2020 [Voir La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple, L’interprétation erronée du virus — 2e partie et La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2]. Et je renvoie dans ce contexte à un article sur Eugen Rosenstock-Huessy de Siegfried Mohr paru dans WissenschafftPlus 2/2020 sous le titre « Die Wissenschaft vom Zeitpunkt » (La science du moment), dans lequel l’importance de la reconnaissance des contextes historiques est clairement mise en évidence.

Die Wurzel : Tous les virologues et la science en général s’accordent à dire qu’un virus a pu être isolé, même si ce n’est pas le cas, comme nous l’avons vu plus haut. Peux-tu encore une fois approfondir ce point ?

Les virologues tuent des tissus en laboratoire sans s’en rendre compte

Stefan Lanka : Les virologues n’utilisent pas le mot « isolation » dans le sens de l’isolement et deviennent suspicieusement nerveux lorsqu’on leur en parle. Ils entendent par « isolement » la création d’un effet en laboratoire qu’ils considèrent en même temps comme :

  1. Une infection
  2. La preuve de la présence d’un virus
  3. La preuve de sa multiplication
  4. L’interprétation de la preuve de la puissance destructrice du virus supposé.

En réalité, ils tuent sans le savoir et sans s’en rendre compte des tissus et des cellules en laboratoire — en les affamant et en les empoisonnant, voir mon article « Fehldeutung Virus » (erreur d’interprétation sur les virus) dans le magazine WissenschafftPlus 1/2020.

Die Wurzel : Les virologues pensent que les tissus et les cellules qui meurent se transforment complètement en virus. C’est pourquoi ils qualifient également la mort des tissus et des cellules de multiplication des virus. Ai-je bien raison lorsque je comprends que toute mort de tissus et de cellules génère obligatoirement des prétendus virus, c’est-à-dire des déchets cellulaires, ce qui est dans la nature des processus de formation et de décomposition de l’organisme ?

Les virus ne peuvent pas se multiplier

Stefan Lanka : Pour expliquer cela, je dois d’abord parler des bactéries et des phages. La métamorphose, la transformation des bactéries en phages, ne peut pas être qualifiée de mort cellulaire, mais est un processus très ciblé et utile. Cette observation de la transformation des bactéries en phages a été faite en 1954 sur des tissus humains et animaux : on pensait que les tissus se transformaient en virus lorsqu’ils mouraient au cours d’une expérience d’infection. Tous les autres scientifiques, biologistes cellulaires et autres, ne partent pas du principe que les tissus ou les cellules qui meurent se transforment alors en virus. Au contraire, ils étudient la mort pour comprendre comment elle se produit dans le corps. Ils qualifient alors les mêmes processus que les virologues interprètent mal comme la formation de virus, de mort cellulaire coordonnée (= apoptose) ou d’autophagie (recyclage).

Chez l’homme et l’animal, la construction et la dégradation permanentes se font silencieusement, les tissus et les cellules étant décomposés sur place en petits éléments qui sont ensuite retraités dans les organes7 prévus à cet effet, comme par exemple le foie, pour une utilisation ultérieure.

Le terme « virus » ne doit plus être utilisé à l’avenir. Il est trompeur, chargé d’interprétations erronées et provient de la pensée réfutée du bien et du mal, dont se servent les personnes qui ne peuvent ou ne veulent pas interpréter la complexité autrement.

Die Wurzel : On attribue au virus, quel qu’il soit, une autonomie et une activité propre qui n’existent pas.

Des brins de patrimoine génétique viral construits de manière purement intellectuelle

Stefan Lanka : Oui, le concept entier est erroné et ne peut pas non plus être maintenu par des hypothèses de secours. Parce que les « virologues » croient depuis 1954 que les tissus mourants se transforment en matériel viral lors de ce que l’on appelle les « essais d’infection », ils interprètent également les courts morceaux d’acides nucléiques comme des composants de leurs supposés virus. À partir de ces petits morceaux d’acide nucléique8, ils construisent mentalement les brins de patrimoine génétique viral qui n’existent pas dans la réalité. Mais comme les analystes de séquences trouvent ces séquences prétendument virales à l’intérieur des séquences des chromosomes humains, ils affirment que plus de 50 % de nos chromosomes sont constitués de gènes viraux.

Propriétés meurtrières exagérées et inventées des « virus »

Die Wurzel : D’après ce que tu as dit jusqu’à présent, on comprend de mieux en mieux pourquoi l’industrie pharmaceutique, les médecins, les virologues, les politiciens et les autorités attribuent aux hypothétiques virus une dangereuse capacité de tuer qui n’existe pas, n’est-ce pas ?

Stefan Lanka : Oui, et ils le font aussi d’un côté parce qu’ils pensent devoir se donner de l’importance et justifier leur action. Et parce que la médecine est devenue une énorme entreprise économique, soumise à l’obligation de rentabilité, et que rien que pour cela, elle est obligée d’exagérer en permanence. Cette évolution et ce danger de l’obligation d’exagérer, qui finira par tuer tout et tous, ont été soulignés par Ivan Illich en 1976 dans son livre « La Némésis Médicale ». J’ai eu avec lui une rencontre très éclairante en 1995, dont j’ai rendu compte dans notre premier livre sur la vaccination et dans le magazine WissenschafftPlus. L’auteur Seamus O’Mahony, qui a écrit en 2019 l’important livre « La Médecine peut-elle être guérie ? », se réfère de manière tout à fait centrale à Ivan Illich et arrive à la conclusion que la médecine ne peut plus se guérir par ses propres moyens et qu’elle agit de manière de plus en plus destructrice. Il se base sur la médecine des substances qui suppriment les symptômes.

Il dit de l’autre « médecine9 » qu’elle n’a jamais eu la moindre chance d’être appliquée.

Die Wurzel : Comment penses-tu qu’il soit possible de mettre à la disposition du grand public la nouvelle compréhension de la science concernant les virus et les bactéries (ces dernières sont indépendantes), mais à une vitesse telle que cela ne prenne pas 100 ans ?

La crise Corona comme opportunité, comme catalyseur de changement

Stefan Lanka : La réponse est : faire ce qu’il faut au bon moment, voir l’article sur Rosenstock-Huessy dans le numéro actuel de WissenschafftPlus 2/2020 et mon article « La mauvaise interprétation du virus, partie II. Du début et de la fin de la crise des effets Corona » dans ce numéro. Cette contribution peut également être obtenue librement sur notre site wissenschafftplus.de. Cette contribution a le pouvoir (combiné à l’ampleur de la crise Corona, qui a secoué et mis en danger presque toute l’humanité) de provoquer un apprentissage rapide qui ne durera plus 100 ans. De ce point de vue, Corona est une chance pour tous les hommes et pour tous les domaines, et pas seulement dans les domaines des virus, de la médecine, de la politique et de l’économie. [Voir aussi : Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés]

Théorie du virus pour des raisons de débouchés

Die Wurzel : Je pense que l’industrie pharmaceutique veut maintenir la théorie des virus telle qu’elle est crue depuis toujours, sinon elle se priverait de milliards de dollars de chiffre d’affaires (pertes de ventes de médicaments/vaccins). Pour transmettre une nouvelle compréhension des virus, il faudrait dans un premier temps imprimer et appliquer de nouveaux manuels scolaires de biologie et de nouveaux contenus d’études pour les étudiants en médecine/biologie/pharmacie avec les nouvelles connaissances sur les « virus ».

Je pense que seule la majorité des gens comprendra, par l’expérience personnelle, que les virus n’existent pas au sens traditionnel du terme. Ce ne sont pas les virus, les bactéries ou les parasites qui sont responsables des maladies, car la maladie elle-même est l’effort d’autoguérison du système immunitaire ou l’activité de nettoyage de la maison d’un organisme qui a accumulé des scories pendant des décennies et qui n’a pas pu s’en débarrasser faute de jeûne thérapeutique, d’alimentation saine, d’exercice physique, d’ensoleillement, etc. Es-tu du même avis ?

Stefan Lanka : Avant Corona, je pensais aussi que le changement ne pouvait se faire que lentement et par le bas. Maintenant, la dynamique propre de Corona m’a obligé à étudier à nouveau tous les détails décisifs et à les rendre publics. Le résultat est l’article « Erreur d’interprétation des virus, partie II » (voir WissenschafftPlus 2/2020) qui, avec les actions qui s’y rattachent et qui en découlent, a effectivement le pouvoir de générer un bond en avant dans la connaissance plus rapide que je ne le pensais.

Ce qui caractérise les scientifiques c’est plutôt la modestie que l’arrogance

Entre panique et compréhension approfondie

L’Humanité n’est désormais plus confrontée qu’à l’alternative « autodestruction par la peur et la folie » ou « compréhension plus profonde en tenant compte des autres niveaux et connaissances des causes et des interactions refoulés par le matérialisme primitif » et action en conséquence. Je pense que la majorité des gens sentent qu’au sujet de Corona les fondamentaux de la médecine et de la politique ne vont pas. C’est pourquoi je demande aux lecteurs de vérifier à l’avenir les termes tels que « système immunitaire », etc., afin que l’ancienne pensée du bien et du mal ne soit pas emportée dans l’avenir : Je vois l’importance de l’alimentation, en particulier celle du jeûne — mais dans le cadre d’un système de connaissances psychosomatiques fondé et individuel, dont le Dr Hamer a posé la première pierre essentielle. Nous devons veiller à ne pas fonder un nouveau dogmatisme, car de nombreux aspects « spirituels » et « matériels » doivent encore être intégrés dans ce système de connaissance en développement, voir ton article dans Die Wurzel 04/19.

Le plus important, que j’ai appris d’un médecin10, est que nous devons toujours garder à l’esprit que nos idées peuvent être dépassées dès demain. C’est pourquoi je dis toujours dans mes conférences et mes séminaires que la meilleure réponse à une question viendra toujours dans le futur et que celle que nous avons donnée n’est que la deuxième meilleure. En tant qu’êtres humains, nous sommes des acteurs de la vie et c’est pourquoi il nous manque tout simplement une vue d’ensemble. L’humilité fait donc partie de la science, tout comme la remise en question permanente.

Les virus contenus dans les vaccins

Die Wurzel : Cher Stefan, revenons à la théorie des virus, qui est à la base de la vaccination. Les vaccins utilisés pour la rougeole, par exemple, sont appelés vaccins « vivants », bien qu’ils soient tout sauf constitués de virus vivants.

Comment les vaccins « vivants » sont-ils conçus et pourquoi doivent-ils simuler des virus alors qu’il n’existe pas de virus ayant une activité infectieuse autonome ?

Vaccins « vivants » et « morts »

Stefan Lanka : Je comprends maintenant comment tu en es venu à parler de virus « vivants ». Si, en laboratoire, les tissus meurent lors d’une « tentative d’infection » au cours d’une famine et d’un empoisonnement involontaires, les personnes impliquées pensent que ces tissus se sont transformés en virus ou qu’ils libèrent des virus. Comme les fabricants de vaccins (et leurs virologues) partent du principe que la masse de tissus morts (c’est-à-dire leurs prétendus virus) qu’ils utilisent comme vaccin est capable d’infecter, ils parlent de « vaccin vivant ». Ils pensent que le virus vaccinal est toujours infectieux mais qu’il est atténué.

En revanche, les composants de prétendus virus sont qualifiés de « vaccins morts » si, premièrement, ils ne sont pas infectieux ou si, deuxièmement, les tissus en décomposition lors d’une tentative d’infection sont protégés d’une nouvelle décomposition par des « conservateurs » tels que le formaldéhyde, pour être ensuite utilisés comme « vaccin mort », comme par exemple dans le cas de la polio.

Donc : l’idée de virus pathogènes est morte et celle de la vaccination aussi, c’est pourquoi la question « mort » ou « vivant » n’est pas seulement trompeuse, mais fausse comme tout le concept.

Die Wurzel : Et deuxièmement, nous savons qu’un tel virus vaccinal « vivant » ne peut pas exister dans la Nature et n’a donc absolument rien de comparable avec un agent pathogène sauvage, n’est-ce pas ?

Domestication des agents pathogènes sauvages

Stefan Lanka : L’idée d’un type sauvage n’est pas celle d’un virus particulièrement féroce, mais celle que le virus vient d’être recraché de l’enfer de la Nature et qu’il doit d’abord être domestiqué par « culture » en laboratoire pour être ainsi rendu accessible au système de vaccination — c’est de la science-fiction en somme. Il convient également de mentionner ici l’article particulièrement drôle mais profond de Jochen Schamal « Kleine Vampirkunde » (Petite science des vampires) dans le numéro actuel de WissenschafftPlus 2/2020.

Vaccins mortels minimisés

Die Wurzel : Un aveugle peut voir que la composition des vaccins est cruelle. Mais beaucoup ignorent qu’un tel vaccin signifie une mort certaine chez les enfants s’il est injecté par erreur dans une veine plutôt que dans un muscle. Alors pourquoi les autorités gouvernementales qualifient-elles les vaccins de sûrs et inoffensifs, alors que les autorités elles-mêmes ont soi-disant « testé » et approuvé les vaccins ?

Stefan Lanka : L’astuce utilisée par les intéressés pour se tirer d’affaire est très simple : ils définissent les nombreuses substances toxiques comme des substances auxiliaires (= adjuvants) de la substance médicale proprement dite — les prétendues protéines des prétendus virus. Rien qu’en raison de cet acte de définition insoutenable, ces poisons puissants ne sont pas soumis à la stricte législation sur les médicaments.

Les vaccins sans adjuvants sont inefficaces

L’affirmation des manuels selon laquelle les vaccins sont inefficaces sans leurs adjuvants montre à quel point cette affirmation de protection est infondée.

Die Wurzel : Dans toute la littérature « scientifique » aucun virus réel et complet n’apparaît. À quoi devrait ressembler à tes yeux un virus réel et complet, et avec quelles caractéristiques, pour être considéré comme un virus tueur ? Plutôt dans le sens d’une Borrelia qui cherche délibérément un hôte ?

Stefan Lanka : Pour qui a pris connaissance de la biologie, il est impensable d’imaginer un virus et encore moins un virus tueur. Les virologues ont pour modèle les phages (des bactéries) pour leurs virus supposés, mais ce sont des mini-spermatozoïdes avec leur propre alimentation en énergie, qui font activement quelque chose.

L’idée des virologues d’un brin de patrimoine génétique enveloppé ou non, générateur de maladies, repose sur un modèle fou et dangereux de la biologie et de la vie. Cette idée a été postulée en 1858 par Rudolf Virchow11 dans un acte de désespoir, notamment pour se débarrasser d’une énorme montagne de dettes et pour plaire à ses mécènes et mentors.

Il est très important pour moi de dire que toutes les affirmations concernant l’existence de bactéries pathogènes sont également fausses et dangereuses. Une de mes connaissances, sans m’en parler, s’est fait diagnostiquer une borréliose par un gourou de la scène alternative et s’est par la suite fait soigner par la peur et des antibiotiques à large spectre jusqu’à la limite de la viabilité. Avant que l’idée des virus ne soit inventée, les bactéries étaient les méchants universels.

Drosten fait de la bio-informatique au lieu de travailler en laboratoire !

Trouver un consensus sur le virus Corona en quelques clics de souris

Die Wurzel : Le processus de recherche d’un consensus sur ce qui appartient ou non au virus de la rougeole a duré des décennies. Comment se fait-il que pour le prétendu nouveau coronavirus Sars-CoV-2, ce processus de recherche de consensus n’ait duré que quelques clics de souris ? Et sur quelle base scientifique ?

Stefan Lanka : C’est le professeur Christian Drosten de la Charité (NdT : voir ci-dessus) qui a révolutionné la bio-informatique en virologie et l’a complètement détachée du travail de laboratoire. C’est ainsi qu’en 2003, lors de la panique provoquée par le SRAS qu’il a largement contribué à créer, il a été en mesure de proposer un test pour cette fiction deux jours seulement après avoir affirmé que le brin de patrimoine génétique du prétendu nouveau virus du SRAS avait été reconstitué. Il a joué un rôle essentiel dans la terreur de la grippe porcine et de ZIKA12 et n’a cessé d’aller plus vite, plus vite que son ombre…

… Drosten plus rapide que le service d’épidémiologie

Avant même que les virologues du service d’épidémiologie chinois ne se mettent d’accord sur la composition du brin de patrimoine génétique du virus (NdT : le SARS-CoV-2, le virus Covid-19), qui n’était jusqu’à présent que « supposé », Christian Drosten avait déjà développé son test et l’avait mis à disposition de l’OMS le 17 janvier 2020. Par son action, quelques clics de souris, il a mondialisé la panique de masse dangereuse, mais locale, déclenchée par un ophtalmologue à Wuhan. Voir mon article « Erreur d’interprétation des virus, partie II. Du début à la fin de la crise de la Corona » dans le magazine WissenschafftPlus 2/2020, également disponible gratuitement pour diffusion sur notre site wissenschafftplus.de.

Les bio-informaticiens se moquent de la source de la séquence génétique

Lors de la construction de l’idée des brins du patrimoine génétique des virus de la grippe, on blessait encore mécaniquement et on empoisonnait des embryons de poulets et on créait encore péniblement manuellement un modèle à partir des courtes séquences d’acide nucléique du tissu mourant. Aujourd’hui, ce sont des programmes informatiques appropriés qui s’en chargent, dans lesquels on introduit les séquences que les virologues présentent comme virales. Les bio-informaticiens qui créent les génomes des virus fictifs par « alignement » se fichent de savoir d’où proviennent ces séquences. Erwin Chargaff avait d’ailleurs déjà mis en garde contre cette évolution en 1976 dans un livre intitulé « Le feu d’Héraclite ».

Die Wurzel : La « mise au point » du virus Corona fait maintenant entrer en jeu la construction intellectuelle du « brin de patrimoine génétique viral ».

Stefan Lanka : Lors de la construction du virus Corona actuel (SARS-CoV-2), on a d’abord utilisé uniquement des séquences de gènes provenant d’un lavage de poumons. Après que les données de séquences de très courts morceaux aient été péniblement torturées par plusieurs programmes, un brin complet du patrimoine génétique d’un nouveau virus a été proposé sur la base de ces « données de séquences ». Cette proposition a ainsi été confirmée et élevée au rang de modèle général après que cette construction laborieuse ait été répétée avec les « séquences génétiques » provenant des poumons de trois autres personnes.

Un modèle de virus sans fondement avec séquences génétiques artificielles

Les participants définissent comme preuve réelle de l’existence d’un nouveau virus le fait que le « virus » puisse être « cultivé ».

Pour ce faire, des tissus sont tués en laboratoire en les affamant et en les empoisonnant (involontairement). Et comme un peu de matériel « infecté » est ajouté à ce processus, les participants pensent que les tissus se transforment en virus.

Bien sûr, ils ne se demandent pas pourquoi, contrairement aux phages, il n’est pas possible de voir des milliards de virus, de les isoler et d’isoler leur patrimoine génétique intact. Ils commencent donc à reconstruire le grand ensemble supposé « génome » du virus supposé à partir des courts morceaux de séquence génétique existants. À la différence près que cet acte de culture laisse de grandes lacunes dans la reconstruction du restant de l’ensemble du génome. Celles-ci sont laborieusement comblées en produisant des séquences génétiques artificielles pour combler les lacunes du modèle. C’est une auto-illusion au sein de l’auto-illusion « virologique ».

Die Wurzel : Pourquoi les scientifiques chinois affirment-ils que le Coronavirus -2019 de Chine provient de serpents venimeux ?

Des séquences génétiques Corona dans chaque être vivant

Stefan Lanka : Ils affirment cela parce qu’ils trouvent dans les serpents des séquences qui apparaissent également dans le modèle Corona. Mais ce qu’ils ne disent pas, c’est que dans chaque être vivant apparaissent les mêmes séquences, à partir desquelles on a construit Corona et tous les autres brins de patrimoine génétique viral de manière purement intellectuelle. Cela explique pourquoi les papayes sont également testées « positives ». C’est un message important de Corona : tout et n’importe quoi est positif !

Die Wurzel : Et qu’en est-il exactement des tests du virus ?

Stefan Lanka : Si, à partir de courtes séquences d’acides nucléiques qui sont présentes dans tout organisme, on construit quelque chose de plus long qui n’existe pas, il est évident que les soi-disant méthodes de détection génétique des virus (tests PCR), qui ne détectent que la présence de très courtes séquences, permettent de tester « positivement » tout et n’importe quoi, y compris l’arbre. Ce n’est rien d’autre que de la science-fiction dangereuse en action.

Les courtes séquences d’ADN sont présentes dans tout organisme, y compris dans un arbre ou une papaye. En fait, ces courtes séquences13 sont présentes partout. Mais un génome viral (prononcer virus) est défini comme quelque chose de plus long, composé de plusieurs « gènes ». Lors de la première construction d’un génome viral humain, les « wirrologues » se sont inspirés du génome des phages. Un « virus » a en effet besoin de plusieurs gènes pour former ses prétendues protéines d’enveloppe et ses enzymes. La méthode PCR ne permet de détecter que de petits morceaux, qui ne disent pas (si l’on part du principe que les virus existent) s’il n’y a que des fragments de virus (après une « attaque immunitaire »), que des virus défectueux ou des virus inoffensifs, ou si la quantité de virus est trop faible pour provoquer un massacre. Mais comme il n’y a pas de virus du tout, seulement un modèle, tout cela tombe à l’eau de toute façon.

Sérum fœtal frelaté et contaminé

Du sérum de fœtus humain pour la fabrication des vaccins ?

Die Wurzel : J’ai lu que les vaccins pouvaient contenir des sérums de fœtus humains avortés.

Stefan Lanka : Ce qui a réellement été fait ce sont des tentatives d’infection de tissu et de sérums (sang sans globules) issus de fœtus humains. Ce que je peux m’imaginer, c’est qu’un public aisé et complètement abruti demande — et obtient toujours — selon la devise « vous obtenez ce que vous payez », de tels tissus et sérums pour ses vaccins, mais aussi pour d’autres produits médicaux.

Sérum de fœtus animal dans les vaccins

En revanche, tous les vaccins de masse sont fabriqués à l’aide de sérums fœtaux de bovins et principalement de tissus rénaux de singes ou de tissus d’autres animaux.

Die Wurzel : Un tel sérum fœtal animal, s’il a été utilisé pour des vaccins, peut-il entraîner une quelconque réaction ?

Stefan Lanka : D’après mes connaissances actuelles, une substance ne provoque une allergie/maladie auto-immune que si l’acte de vaccination déclenche un « conflit biologique », c’est-à-dire représente un événement ressenti comme une menace existentielle qui ne peut pas être résolue en temps réel. Je recommande à ce sujet mon article sur les dommages causés par les vaccins et l’apparition de l’autisme dans le numéro 3/2016 de WissenschafftPlus.

Vaccins et virus cultivés en laboratoire

Die Wurzel : Je me rends de plus en plus compte que « virus » et vaccins sont identiques, qu’ils ont tous deux été créés en laboratoire, n’est-ce pas ?

Stefan Lanka : Oui, avec la remarque très importante que les « virus » sont des chimères et que les restes de tissus morts en éprouvette ne sont justement pas des « virus », mais des tissus en décomposition.

D’ailleurs, les tissus ne peuvent être empêchés de mourir et de se décomposer en laboratoire que pendant quelques jours et uniquement grâce à l’utilisation de sérum fœtal. Cela n’est pas possible avec du sérum humain ou animal adulte.

Pour plus de clarté :

Lorsque des organes sont prélevés sur un organisme, ils meurent rapidement et se décomposent, même si on les refroidit. Si l’on prélève d’un organe des tissus pour en étudier la « vie » en laboratoire ou pour « isoler », multiplier ou « cultiver » des virus en laboratoire, ces tissus meurent encore plus vite et se décomposent encore plus vite.

Tissus découpés par la force = cultures cellulaires

Pour travailler prétendument avec des cellules en laboratoire, les tissus, préalablement prélevés sur des organes (d’un fœtus par exemple), sont isolés de force (biochimiquement par des enzymes digestives et mécaniquement). Les personnes concernées pensent alors travailler avec des cellules et qualifient les tissus séparés de force de « cultures cellulaires ». Ils doivent constamment empêcher par la force ces « cellules » de se refondre en tissus. Sans les nombreuses substances contenues dans les tissus fœtaux, mais surtout sans la concentration élevée de « Pi-eau14 » qui s’y trouve, les tissus dans l’éprouvette et les tissus isolés mourraient encore plus rapidement.

Le sérum fœtal est maintenant retiré des « cellules » dans l’éprouvette, en tant que préparation de « l’expérience d’infection » suivante. En conséquence, ces unités de tissu tentent de s’unir encore plus rapidement que d’habitude, mais meurent en « confluant ».

La prétendue culture du virus

Cette confluence est appelée formation de cellules géantes et « effet cytopathique ». Ce résultat de nombreuses étapes violentes et insensées est interprété comme la preuve centrale de « la présence, l’isolement, la multiplication, etc. du virus supposé ». Les personnes concernées affirment alors avoir réussi à cultiver le virus.

Pour couvrir les besoins toujours croissants en sérum fœtal15, on ouvre chaque année 2 millions de vaches gestantes sans les anesthésier, on y ouvre le fœtus non anesthésié et on prélève son sang fœtal dans le cœur battant. Si l’on retirait le fœtus de la mère, on pourrait « récupérer » beaucoup moins de sérum. Si les mères et/ou les fœtus étaient anesthésiés, les anesthésiques dégraderaient rapidement le sérum fœtal, car les anesthésiques ne peuvent pas être retirés du sérum.

Le sérum fœtal est fabriqué à partir de ce type de sang. Il est évident que, pour optimiser les bénéfices, on procède ici à des falsifications, comme pour le vin. Pour économiser de l’argent, les laborantins achètent du sérum bon marché, dont ils savent tous qu’il est encore plus contaminé que le sérum onéreux.

Ce n’est qu’à l’aide de ces sérums fœtaux qu’il est possible de produire des vaccins. Les composants de ces sérums, qui ne peuvent jamais être stériles, nous sont implantés sous forme de vaccins. Je m’étonne depuis longtemps que ce fait bien connu ne soit pas abordé dans le milieu de l’alimentation crue ou Végan. L’alimentation crue et le véganisme excluent la vaccination, l’obtention de sérums fœtaux et les expériences de culture cellulaire.

Les processus de décomposition comme base de la biologie/médecine

Nous sommes dans une situation, non seulement dans le domaine de la vaccination, mais aussi dans l’ensemble de la biologie et de la médecine, où les processus de mort et de décomposition en éprouvette sont mal interprétés en tant que modèles de vie. Et ce n’est qu’un des nombreux points qui expliquent pourquoi, dans le système de l’opinion dominante de la pathologie cellulaire depuis 1858, les biologistes et les médecins ne sont pas en mesure de faire des déclarations raisonnables et utiles sur la vie, la santé, la maladie et la guérison.

Die Wurzel : En 1951/52, la virologie s’était complètement réfutée et abandonnée. Pour quelle raison ?

La virologie doublement réfutée

Stefan Lanka : Tout d’abord, des expériences de contrôle ont été menées, qui ont prouvé que ce qui était autrefois interprété comme des virus (des protéines prétendument dangereuses, comme on l’affirme encore aujourd’hui pour certaines bactéries, malgré une meilleure connaissance) est également libéré lors de la décomposition d’organismes tout à fait sains ou de leurs organes. Et que rien n’a été vu ni trouvé au microscope électronique.

Deuxièmement, parce que l’on a appris que les protéines ne peuvent pas se reproduire elles-mêmes. Avant 1952 encore, l’élément central de la virologie était que la dangereuse protéine virale (= virus, poison pathogène) pouvait soi-disant se reproduire elle-même. Mais en 1952, on s’est rendu compte que c’était l’acide nucléique qui était responsable de la multiplication des protéines. Dès lors, les jeunes chimistes ont considéré que les virus étaient de dangereux morceaux de substance génétique. Ces chimistes n’avaient aucune idée de la biologie, de la médecine et du fait que la virologie médicale avait été abandonnée.

Cette ignorance se prolonge jusqu’à aujourd’hui et a conduit à la crise de Corona. Les virologues d’aujourd’hui ne s’étonnent tout simplement pas de ne pas trouver de virus ni de génome viral. Ils ne s’étonnent pas non plus qu’ils assemblent constamment et toujours mentalement les génomes des virus (les brins de patrimoine génétique des virus) à partir de courts morceaux et les présentent ensuite comme la réalité.

Mettre fin à la crise de la Corona de manière démocratique

Nulle part ailleurs en biologie et en médecine, il n’est aussi clair qu’en virologie qu’une pure construction de l’esprit est présentée comme un fait existant. Lorsque la majorité de la population aura compris cela, la crise de Corona sera terminée de manière purement démocratique. Par conséquent, veuillez distribuer cette interview sur « Virus, sort de là ».

Die Wurzel : Il y a encore tellement de choses à aborder, y compris le modèle des bactéries et des bactériophages. Dans ton article « Mauvaise interprétation des virus », disponible au prix de 5 €, tu abordes tout cela en détail, ainsi que de nombreux autres sujets. Cette interview d’aujourd’hui n’est qu’un tout petit extrait de ton article « Mauvaise interprétation du virus ». C’est pourquoi je recommande à tous les lecteurs cet article, voire le numéro complet de WissenschafftPlus (voir ci-dessous) avec l’article qu’il contient.

Et avec les numéros suivants de WissenschafftPlus, vous restez, cher lecteur, au courant de ce qui s’est déjà passé dans la réflexion sur le virus dans la science en général, etc. Le mieux est de vous abonner à ce magazine trimestriel.

Sur ce, je te remercie, cher Stefan, pour cette interview. Que nous puissions tous travailler ensemble et réaliser de grandes choses dans un collectif positif.

Traduction Jean Bitterlin 6 janvier 2023


1. Extraits de gènes de virus = fragments de virus

2. La théorie de la pathologie des cellules datant de 1858.

3. Dont j’ai découvert, isolé et caractérisé l’un d’entre eux et que Günter Enderlein a prédit.

4. Les bactériophages

5. ADN (DNA) = La biomolécule centrale des chromosomes, sur lesquels se trouvent des modèles informatifs grossiers pour environ 10 % de nos protéines, que l’on appelait autrefois des gènes.

6. Quel que soit le type, frottis, sang, mucus, sperme, matériel de biopsie, etc.

7. S’il existe donc des organes dans lesquels sont concentrées des fonctions qui, sinon, se déroulent toutes en même temps et côte à côte dans les tissus ou les cellules d’organismes « simples », il existe pour cela de tout autres mécanismes de recyclage intracorporel ou intraorganique.

8. Les fragments de gènes de l’ADN.

9. Je préfère l’appeler une autre vision ou tout simplement une biologie que je m’efforce de diffuser, dans laquelle la santé résulte de l’harmonie en moi-même et avec mon environnement.

10. Elle a, en plus de son travail thérapeutique, une mission d’enseignement de la médecine chinoise.

11. Article « Virchow — Ein Stratege der Macht » (Virchow — Un Stratège du Pouvoir) voir WissenschafftPlus édition no 5/2015, le rapport peut être lu en ligne, voir wissenschafftplus.de/uploads/article/Wissenschafftplus_Mohr_Virchow.pdf

12. L’affirmation de l’existence des virus ZIKA remonte à 1947, lorsque les virus étaient définis différemment qu’après 1952. Il tire son nom d’une forêt d’Entebbe, en Ouganda, où des singes ont été torturés pour des « expériences d’infection ».

13. Les séquences d’une longueur inférieure à 22 nucléotides (éléments constitutifs de l’ADN/ARN) sont présentes chez tous les mammifères, ne sont pas spécifiques aux virus et sont néanmoins utilisées dans la construction des « génomes viraux ».

14. Alias substance originelle dont nous sommes constitués — voir mon article sur l’eau Pi voir weissschafftplus.de/uploads/article/MW_PI_Wasser_Lanka2.pdf et l’article de Michael Delias dans le WZ 04/19.

15. On cultive même déjà de la « viande » pour la consommation en laboratoire et on suggère que cela est possible sans animaux.




Le Tétralogue — Roman — Chapitre 24

[Voir :
Le Tétralogue — Roman — Prologue & Chapitre 1
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 2
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 3
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 4
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 5
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 6
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 7
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 8
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 9
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 10
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 11
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 12
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 13
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 14
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 15
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 16
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 17
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 18
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 19
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 20
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 21
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 22
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 23]

Par Joseph Stroberg

​24 — Le port

En raison de la présence massive de Matronix, de la taille de la planète et de sa grande masse océanique subséquente, les marées sur Veguil y revêtaient une ampleur relativement exceptionnelle dans la galaxie. Lorsque l’astre majestueux s’alignait avec Dévonia, la différence de hauteur entre la marée basse et la haute pouvait atteindre quelques centaines de pas sur les côtes les plus exposées. À cause de telles variations du niveau des mers, nul port classique tel qu’on pouvait en voir sur une portion non négligeable des autres planètes habitées n’avait pu être établi ici. En guise de port, d’énormes pieux métalliques avaient simplement été plantés profondément dans le sable de la vaste plage durant l’époque de la chute de l’Empire Zénovien. Ils se trouvaient au niveau des marées les plus hautes, à une distance d’un millier de pas des premières maisons. À l’aide d’une technologie aujourd’hui disparue, ils avaient été ancrés dans la roche présente sous le sable. Ainsi, ils ne se trouvaient jamais complètement couverts par l’eau et ne pouvaient en principe pas être emportés, même par un des très rares raz-de-marée. Leur partie supérieure était dotée de quatre gros demi-anneaux métalliques soudés qui servaient à accueillir les cordages des navires afin de maintenir ces derniers en place et de leur éviter d’être soumis aux courants et aux marées.

Les pieux se trouvaient alignés le long du littoral sur deux rangs parallèles séparés de deux centaines de pas et espacés d’une même distance. En fait de navires, les embarcations étaient des sortes de larges radeaux souples, de plus de 160 pas de large sur autant de long, dont la partie centrale était constituée d’un habitacle en forme approximative de sphère aplatie, et dont le sol était lisse et plat, mais le plafond bombé. La partie radeau était constituée par l’assemblage de longues branches d’une variété d’arbres géants trouvée sur le continent Gworni. Celles-ci étaient à la fois souples et hydrofuges, grâce à leur texture et à leur sève résineuse. L’habitacle était majoritairement construit à l’aide de très larges feuilles trouvées sur certains arbres du quatrième continent. Elles étaient également hydrofuges, en plus de leur grande résistance à la déchirure. On les collait les unes aux autres sur une poignée de couches avec une forte glu qui résistait à la corrosion marine. Une petite ouverture était maintenue dans la partie supérieure de l’habitacle un peu au-dessus du niveau du radeau, alors que la partie inférieure se trouvait partiellement plongée dans l’eau lorsque le navire flottait. L’habitacle était joint au radeau par des cordelettes de hiélix sur tout le pourtour horizontal, de manière suffisamment lâche et souple pour qu’une fois à l’eau il puisse flotter sans toutefois permettre à l’eau d’y pénétrer par l’ouverture.

Les navires étaient attachés chacun à quatre pieux, entre les deux rangées. Même si le port était long et occupait la moitié de la longueur de la ville sur la côte, le port — le plus grand de la planète — ne pouvait contenir au maximum qu’un millier de tels navires. En fait, il n’en accueillait généralement pas plus de deux ou trois centaines à la fois, car leur nombre total sur la planète n’excédait pas sept cents. Ceux-ci étaient principalement utilisés pour de rares échanges ou visites entre continents et n’avaient vocation ni commerciale ni touristique (ces deux notions étaient même pratiquement inconnues sur Veguil), et n’étaient pas non plus utilisées pour la pêche, puisque celle-ci se limitait à des techniques individuelles rudimentaires principalement sur les cours d’eau et les lacs et plus rarement sur le littoral marin.

Les navires étaient mis à libre disposition des Vélien qui pouvaient en avoir un réel besoin pour s’aventurer sur les océans ou rejoindre un autre continent. Ils étaient construits de temps en temps par l’un des rares constructeurs navals de la planète. Il n’existait plus que cinq d’entre ces derniers, car les navires se perdaient rarement en mer : leur usure était lente ; leur structure particulière et leur faible poids les rendaient pratiquement insubmersibles ; et par leur souplesse, ils épousaient la houle.

Lorsque les quatre compagnons arrivèrent en vue des pieux du port et des navires qui leur faisaient immédiatement face, ils s’interrogèrent sur la manière dont on devait les utiliser.

— Ouais, c’est bien beau de pouvoir prendre un navire pour rejoindre le continent du Sud, mais comment se déplacent-ils ? interrogea Gnomil sur un ton plaintif. Pour commencer, ils sont bien trop grands et donc lourds pour qu’à seulement nous quatre nous puissions les traîner jusqu’au rivage. Vous avez vu à quelle distance, celui-ci se trouve ?

— Oui, beaucoup trop loin, reconnut Tulvarn. Manifestement à plus de mille cinq cents pas ! Et combien même la mer serait-elle à nos pieds, comment se manient-ils ? Par enchantement magique ? Il n’y a même pas de rames ni de voiles !

— Bonnes questions, reconnurent Jiliern et Reevirn, alors que le quatuor se délesta chacun de son sac et qu’ils s’assirent sur le sol en attendant d’avoir l’idée ou la révélation d’une réponse. Attendraient-ils longtemps ?

Hormis les rares navigateurs et usagers récents et actuels de ces navires, la très grande majorité des Véliens ignoraient le plus souvent tout des navires, même s’ils en connaissaient l’existence par ouï-dire. Si les quatre compagnons voulaient se rendre à la Cité de cristal, il leur faudrait rapidement pallier leurs lacunes. Ils décidèrent donc de retourner dans la ville pour se renseigner.

(Suite : Le Tétralogue — Roman — Chapitre 25)




La 4e Dimension — L’HOMME OBSOLÈTE

[Source : NEWDIMENSION]

Rodney Woomsworth est un bibliothécaire qui « ne sert plus à rien » dans un État totalitariste futuriste dans lequel les livres et la religion sont jugés inutiles et pernicieux pour la société. Déclaré coupable d’obsolescence, il choisit, ayant le choix des modalités de son exécution, d’être tué dans son appartement par l’explosion d’une bombe à minuit précise…





C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !

[Source : viroliegy.com]

[*« Gain de Fiction » : jeu de mot avec « Gain de Fonction ».]

Par Mike Stone

Après le 11 septembre, les armes biologiques sont devenues une préoccupation majeure avec des histoires effrayantes sur la possibilité que des échantillons de variole soient diffusés par aérosol contre des citoyens américains, obligeant l’administration Bush à stocker des vaccins. Il y avait des histoires terrifiantes de chercheurs recréant avec succès le génome de la grippe espagnole grâce à l’ingénierie inverse, ce qui était considéré comme une certitude de tomber accidentellement entre de mauvaises mains. Des mémos secrets ont été dévoilés de scientifiques recherchant la possibilité qu’al-Qaida ou ISIS utilise d’une manière ou d’une autre Ebola pour le bioterrorisme. Des rapports de laboratoires bricolant et modifiant génétiquement certains « virus » afin de les rendre plus mortels ont commencé à remplir les ondes des médias grand public. Les gens étaient conditionnés à se recroqueviller à l’idée que le terroriste acharné sécurise d’une manière ou d’une autre une arme biologique « virale » et déchaîne un fléau contagieux sur le monde. Les mini épidémies se produisent presque tous les deux ans depuis l’introduction du SRAS en 2003, préparant stratégiquement les masses pour l’événement du siècle avec le « SRAS-COV-2 ». Des théories ont été brandies sur le fait que les coupables invisibles impliqués dans ces épidémies étaient des créations concoctées en laboratoire et lâchées sur la population sans méfiance. Ainsi, avec l’incertitude entourant l’origine animale du « SRAS-COV-2 », ce n’était qu’une question de temps avant que l’idée ne soit émise que ce n’était pas l’œuvre d’un « virus » naturel sautant d’un animal à l’autre et faisant des ravages à travers le monde avec une grippe légère. Ce « virus », associé à aucun nouveau symptôme de maladie, avait dû être créé de manière diabolique par des scientifiques fous dans les laboratoires de Wuhan.

Bien sûr, c’est un scénario qui est parfaitement logique pour les non informés, car l’Institut de virologie de Wuhan est en plein centre de Wuhan et ils ont une longue histoire d’expérimentation avec des « coronavirus » et des chauves-souris. Peu importe que les preuves du « SRAS-COV-2 » soient inexistantes, car dans ce scénario les virologues de Wuhan ont génétiquement conçu un tout nouveau « virus » à partir des restes d’autres « virus », conduisant ainsi à la « pandémie » même qui y est née. Ce « virus », créé grâce à des recherches secrètes sur le gain de fonction, avait dû s’échapper accidentellement du laboratoire ou être délibérément libéré à des fins néfastes. Cette intrigue de science-fiction conçue pour les films est défendue par ceux qui n’ont jamais remis en question le manque de preuves scientifiques de l’existence de « virus ». Cependant, pour ceux qui ont étudié ce sujet en profondeur, il est absolument clair que le récit du gain de fonction/de l’arme biologique/de la fuite de laboratoire est un appât basé sur la peur utilisé pour maintenir ceux qui remettent en question le scénario pharmaceutique officiel accrochés aux mensonges du complexe médico-industriel.

Cependant, ce scénario de « gain de fiction » prend de l’ampleur et est malheureusement fortement promu par des personnes influentes au sein de la communauté de la liberté de la santé. Ces personnes prêchent régulièrement les dangers des vaccins et des traitements pharmaceutiques toxiques ainsi que le piétinement de nos droits et libertés par des mesures draconiennes. Pourtant, malgré cela, elles avancent toujours l’idée qu’il existe des envahisseurs invisibles qui flottent et qui peuvent provoquer des maladies nécessitant ces mêmes mesures. Ils continuent de souscrire à ce récit malgré les preuves accablantes que ce n’est pas le cas. Il n’y a pas de « virus » et donc aucun des divers protocoles imposés au public pour contenir les agents pathogènes « mortels ». Cependant, si l’on devait défier ces « dirigeants » du mouvement sur le fait qu’il n’y a aucune preuve scientifique de l’existence d’un « virus », l’une des façons dont ils tentent de défendre leur croyance en ces entités est de pointer avec défi le génie génétique et les études de gain de fonction. Ils utilisent les affirmations des institutions de virologie selon lesquelles ce type de recherches expérimentales a lieu comme preuve que les « virus » existent bel et bien et que c’est ainsi que le « SRAS-COV-2 » a été créé, pas par la nature, mais par l’homme. Ils vendent cette histoire d’armes biologiques artificielles basée sur la peur à leur public sur la base des preuves les plus fragiles, dont aucune n’est scientifiquement valable.

Pour ceux qui ne sont peut-être pas familiers, les études de gain de fonction sont celles dont on dit qu’elles modifient génétiquement un « virus » ou un autre micro-organisme afin d’augmenter d’une manière ou d’une autre sa pathogénicité supposée. Les chercheurs prétendent manipuler ou combiner des « virus » pour les rendre plus mortels et plus infectieux. Cependant, il y a un léger problème, car pour manipuler un « virus », le « virus » en question doit d’abord être scientifiquement prouvé. Cela n’a jamais été fait en plus de 100 ans de virologie. En réalité, ce que cette recherche implique est de créer les mêmes concoctions toxiques cultivées sur des cellules utilisées dans les études de virologie régulières avec la mise en garde supplémentaire qu’ils utilisent plus d’additifs et d’ingrédients synthétiques, ce qui les rend plus mortels pour les animaux de laboratoire auxquels on injecte anormalement les soupes toxiques. Aucun « virus » n’est jamais correctement purifié, isolé et scientifiquement prouvé dans ces expériences par l’adhésion à la méthode scientifique. Ces entités sont simplement supposées exister dans l’échantillon au moyen de résultats de PCR frauduleux. Cependant, cela n’a pas empêché un certain groupe d’individus de prétendre que ces études prouvent l’existence de « virus » pathogènes et que ces recherches ont conduit à la création du « SARS-COV-2 ». Ils ont sauté sur l’occasion de promouvoir cette fiction fondée sur la peur sans la moindre validation scientifique crédible à l’appui. Voici quelques exemples des déclarations faites par les personnes en position d’influence qui mettent en avant ce récit de fuite d’arme biologique/laboratoire à leur public :

Leur conclusion : le SRAS-CoV-2 est sorti de la nature.

Ma conclusion : c’était définitivement une fuite de laboratoire.

Steve Kirsch 
https://stevekirsch.substack.com/p/the-wet-market-theory-re-emerges

La totalité des preuves disponibles aujourd’hui s’explique en effet mieux par l’hypothèse de l’origine du laboratoire.

Jeremy Hammond
https://www.jeremyrhammond.com/2021/06/18/interview-origin-of-sars-cov-2-lockdowns-covid-19-vaccines/

Cela a permis au Dr Fauci, au NIAID, au DTRA et au NIH d’ignorer l’interdiction de la recherche sur le gain de fonction et de poursuivre cette recherche. Comme nous le savons maintenant, c’est ainsi que le SRAS-CoV-2 a été créé puis accidentellement diffusé sur le peuple chinois. Au moins, nous espérons que c’était un accident.

Robert Malone
https://rwmalonemd.substack.com/p/ebola-this-is-not-over

La volonté des autorités américaines de dissimuler l’origine du SRAS-CoV-2 signifie que les pays peuvent désormais nous attaquer avec des armes biologiques indéfiniment, en toute impunité.

Dr. Joseph Mercola
https://childrenshealthdefense.org/defender/fauci-collins-evidence-covid-lab-leak/

Je suis maintenant convaincu qu’il s’agit d’un virus créé par l’homme.

Del Bigtree
https://www.podchaser.com/podcasts/the-highwire-with-del-bigtree-519460/episodes/is-covid-19-a-bio-weapon-91383003

Le monde a maintenant la preuve positive que le SRAS-CoV2 est une création de laboratoire d’ingénierie générée avec la technologie développée par Ralph Baric avec un financement du gouvernement américain.

Robert Kennedy Jr.
https://childrenshealthdefense.org/defender/covid-pandemic-nih-unc-fauci-baric/

Comme on peut le voir, de Kirsch à Kennedy, les histoires de science-fiction de gain de fonction est la conclusion la plus « logique » quant à la façon dont les gens ont contracté les mêmes symptômes de maladie que ceux que nous observons chaque année. Dans ce récit, Anthony Fauci a ignoré l’interdiction gouvernementale des recherches sur les gains de fonction et travaillait secrètement avec des laboratoires en Chine pour transformer le « coronavirus » plutôt inoffensif, associé au rhume, en un cas de grippe bénigne avec une survie évaluée à 99 %. Cette entité « renforcée » a été soit délibérément libérée par Fauci et compagnie, soit elle s’est échappée accidentellement du laboratoire de Wuhan en Chine. Dans les deux scénarios, nous devons croire que Fauci est un agent voyou finançant des expériences scientifiques folles créant et combinant des « virus » afin de les transformer en armes biologiques. Les courriels « fuités » de Fauci sur le gain de fonction sont souvent cités comme preuve de ce récit.

RKF Jr. et Del Bigtree s’en souviennent.

Voici un exemple de l’un des e-mails obtenus que certains ont pris comme preuve de l’origine de la fuite de laboratoire/arme biologique du « SARS-COV-2 » :

Pistolet fumant ? Non.

Fait intéressant, les informations énumérées ci-dessus sur la création du « virus » de l’arme biologique proviennent d’une étude publiée en août 2005 qui examinait le processus d’entrée théorique de la « protéine S du SRAS-CoV » dont l’existence n’a jamais été prouvée et les inhibiteurs de ce processus :

Les inhibiteurs de la cathepsine L empêchent l’entrée du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère

« Intervirion Fusion. HIV-luc(ACE2) (500 ng de p24) a été mélangé avec 1 000 ng de p24 de particules HIV-gfp incorporant l’enveloppe de l’ASLV-A, la protéine S du SARS-CoV, ou les deux enveloppes dans du PBS à 4°C pendant 30 min pour permettre la liaison. Les échantillons ont été portés à 37°C pendant 15 minutes pour permettre des réarrangements conformationnels. Les virus ont été ajustés au pH souhaité avec de l’acide citrique 0,1M. La PBS, la TPCK-trypsine (concentration finale 10 μg/ml), la CTSL, la cathepsine B (CTSB) (concentrations finales 2 μg/ml) ou le tampon CTSL seul ont ensuite été ajoutés. La CTSL recombinante (R & D Systems) a été préactivée par incubation pendant 15 min à 10 μg/ml dans 50 mM Mes, pH 6,0, sur glace. La CTSB recombinante (R & D Systems) a été préactivée dans 25 mM Mes, 5 mM DTT, pH 5.0, pendant 30 min à 25°C. Après une incubation de 10 min à 25°C, la protéolyse a été arrêtée par l’ajout de 300 μl de DMEM10 contenant de la leupeptine (25 μg/ml) et de l’ITS (75 μg/ml). Les virions ont ensuite été incubés à 37°C pendant 30 min pour permettre la fusion membranaire. 100 μl du mélange de virions ont été ajoutés en quadruplicat à des cellules HeLa-Tva prétraitées pendant 1 h avec de la leupeptine (20 μg/ml). Les cellules ont été infectées par centrifugation et incubées à 37 °C pendant 5 h. Le milieu a été remplacé par du DMEM10 frais et les cellules ont été testées pour l’activité luciférase 40 h plus tard. »

https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.0505577102

Le fait que Fauci ait eu besoin de quelqu’un pour fournir la section « méthodes » d’une étude de 2005 contenant l’« origine » du « SRAS-COV-2 », laissant ainsi une trace de courrier électronique avec le titre « Méthode de production d’une arme biologique à base de coronavirus » alors qu’il aurait pu tout aussi facilement consulter l’étude lui-même, n’a pas beaucoup de sens logique. La découverte de ce copier-coller dans la section des méthodes d’une étude de 2005 m’a en fait laissé croire que ces e-mails étaient trafiqués et/ou faux lorsque j’ai initialement examiné cette histoire. Cependant, cet e-mail particulier peut être trouvé parmi le trésor des e-mails Fauci stratégiquement « divulgués » (ils ont en fait été publiés en raison d’une demande FOIA par ICAN et Buzzfeed), vus à la page 2286 dans ce lien. Ce qui est encore plus intéressant, c’est que cet e-mail a été envoyé à Fauci par une personne nommée Adam Gaertner, une personne totalement indépendante de l’étude de 2005 qui semble être un chercheur indépendant faisant pression pour l’ivermectine comme traitement du « Covid-19 ». D’une manière ou d’une autre, les personnes qui font avancer ce récit d’armes biologiques semblent toujours avoir des thérapies pharmaceutiques alternatives qu’elles promeuvent comme un remède. À un moment donné, Gaertner avait un compte Twitter appelé « veryvirology » qui semble maintenant être suspendu. Il avait également un site Web connu sous le nom de covidcandy.net qui semble ne plus être utilisé, la dernière entrée trouvée sur la Wayback Machine étant répertoriée le 19 mai 2022. Il semble que cette personne ait contacté Fauci de manière non sollicitée avec la section des méthodes tirée d’une ancienne étude affirmant que c’était ainsi que le « SRAS-COV-2 » avait été créé. En d’autres termes, ce n’est pas une preuve très crédible d’un point de vue fuite de laboratoire/arme biologique.

Joseph Mercola a couvert l’histoire de l’arme biologique de Fauci/EcoHealth.

Un autre exemple qui est utilisé comme preuve d’une origine de fuite de laboratoire/d’arme biologique pour le « SRAS-COV-2 » est une proposition de subvention non publiée qu’EcoHealth Alliance a déposée auprès de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses de Fauci :

https://www.google.com/amp/s/nypost.com/2021/09/07/wuhan-lab-documents-show-fauci-untruthful-about-research-critics/amp/

Apparemment, obtenir du financement pour la recherche est maintenant considéré comme une preuve que la recherche est valide, que les chercheurs peuvent faire ce qu’ils prétendent et que la recherche a effectivement été effectuée. Le problème ? Au-delà des e-mails et des subventions, il n’y a aucune publication scientifique montrant que des expériences GOF [Gain Of Fonction : Gain de fonction] aient jamais eu lieu ni abouti au « SRAS-COV-2 ». Les études publiées qui ont découlé de cette subvention, intitulées « Comprendre le risque d’émergence du coronavirus de la chauve-souris », ne répondent pas à la définition de ce qui est considéré comme de la recherche GOF. En fait, il y avait une lettre soumise par le NIH aux membres du Congrès enquêtant sur cette affaire qui a finalement été utilisée comme un aveu qu’EcoHealth Alliance avait effectué et réalisé des études GOF à Wuhan. Cependant, le directeur adjoint principal Lawrence Tabak a spécifiquement déclaré dans la lettre que la recherche menée ne répondait pas à la définition de GOF et que les expériences n’auraient pas pu aboutir à un « SRAS-COV-2 » en raison des génomes non apparentés des « virus » en question.

C’est peut-être le pistolet fumant… ?

Si l’on soumet cela comme la preuve d’une origine de fuite de laboratoire, la conclusion devrait être que le « SRAS-COV-2 » n’a pas été créé dans un laboratoire à moins que ceux qui le prétendent ne soient en mesure de présenter l’étude réelle décrite dans le courriel détaillant les méthodes et montrant les données tirées de l’étude. Cependant, pour autant que je sache, il n’y a pas une telle publication. En fin de compte, tout ce que nous avons pour poursuivre, en ce qui concerne les preuves, est cette lettre affirmant que certaines expériences ont été réalisées et qu’un résultat inattendu s’est produit. Ce n’est pas une preuve scientifique. Si la lettre est tout ce dont nous disposons, nous devons alors conclure que les expériences, si elles ont été réalisées, ne répondaient pas à la définition du GOF et n’ont pas donné lieu à un « SARS-COV-2 » créé en laboratoire. Par conséquent, quiconque utilise ce document comme preuve de l’origine du gain de fonction du « SARS-COV-2 » le fait en dépit des informations fournies dans la lettre et fonde son hypothèse non pas sur des preuves scientifiques réelles, mais sur de pures spéculations. Même si les preuves avaient pointé dans la direction que le « SRAS-COV-2 » a été créé dans les expériences GOF, cela ne remplacerait toujours pas le fait que, pour que ces expériences GOF aient une quelconque légitimité, les « virus » étudiés et soi-disant manipulés doivent d’abord voir leur existence scientifiquement prouvée. Cela n’a jamais été démontré pour le « SARS-COV-2 » ni pour aucun autre « virus », ce qui n’est qu’un des nombreux problèmes liés aux études considérées comme GOF. Celles correspondant réellement à la définition GOF qui finissent par voir le jour sont extrêmement défectueuses, comme le montrera la dernière publication dite GOF un peu plus loin dans cet article. Dans tous les cas, les e-mails « divulgués » de Fauci, les propositions de subventions non publiées et les lettres au Congrès ne répondent pas aux preuves scientifiques de base requises pour prouver l’existence d’un « SARS-COV-2 » créé en laboratoire.

Maintenant, cela ne veut pas dire que Fauci soit propre de quelque manière que ce soit. Bien sûr, il est indéniable que Fauci est un monstre qui est fortement impliqué dans l’arnaque qu’est le « SARS-COV-2 ». Il a également été un acteur clé dans le canular du VIH/SIDA. Ainsi, il est facile de simplement accepter cette narration de gain de fonction et de se détourner de toute question quant à savoir si des « virus » existent ou non. Si les « virus » n’existent pas, comment Fauci aurait-il pu fabriquer son « virus » Frankenstein de grippe bénigne ? Que se passe-t-il dans ces laboratoires sinon la fabrication de « virus » plus meurtriers ? À quoi servent tous nos dollars durement gagnés par les contribuables si ce n’est dans le seul but de bricoler ces entités invisibles ? C’est ce à quoi les personnes au sommet du mouvement pour la liberté de la santé veulent apparemment que vous croyiez si vous vous retrouvez à remettre en question le paradigme « viral » répandu. Si vous ne me croyez pas, jetons un coup d’œil à Robert Kennedy Jr., sans doute le leader le plus connu du mouvement pour la liberté en matière de santé, et à son dernier roman de science-fiction pour voir ce que cela implique :

« The Wuhan Cover-Up lève le voile sur la manière dont l’augmentation des dépenses du gouvernement américain en matière de biosécurité après les attentats terroristes de 2001 — facilitée par le Dr Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) — a déclenché un plan visant à transformer le NIAID en une agence de facto du ministère de la Défense.

Alors que le Dr Fauci finançait et poursuivait avec zèle la recherche sur le gain de fonction, certains scientifiques et responsables gouvernementaux s’inquiétaient de la possibilité d’une libération accidentelle ou délibérée de virus militarisés par des laboratoires qui pourraient déclencher des pandémies mondiales. Un moratoire a été mis sur cette recherche, mais fidèle à lui-même, le Dr Fauci a trouvé des moyens de continuer sans être perturbé — externalisant certaines des expériences les plus controversées à l’étranger en Chine et fournissant un financement fédéral aux principaux chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) pour des études de gain de fonction en partenariat avec l’armée chinoise et le Parti communiste chinois.

Robert F. Kennedy Jr. dont l’analyse, méticuleusement documentée et rigoureusement sourcée, entraîne les lecteurs dans un voyage stupéfiant pour découvrir :
• les principaux facilitateurs et sbires qui poussent à la recherche sur les gains de fonction ;
• les motifs économiques qui sous-tendent la recherche par gain de fonction ;
• les “virus chimériques” conçus avec succès et capables d’infecter et de tuer des humains ;
• l’effort coordonné pour faire taire les spéculations sur la genèse du COVID-19 en laboratoire ;
• la complicité des revues scientifiques pour cacher les origines du COVID-19 ;
• le rôle de l’Institut de virologie de Wuhan dans le programme de guerre biologique et de biodéfense de la Chine ;
• les relations entre les bureaucraties et les scientifiques américains de la santé, de l’armée et du renseignement et leurs homologues chinois ;
• les rôles de Bill Gates et de Sir Jeremy Farrar dans l’orchestration de la dissimulation mondiale de la Chine.
The Wuhan Cover-Up dévoile une conspiration mondiale aux proportions épiques et aux conséquences mortelles. »

https://www.simonandschuster.com/books/The-Wuhan-Cover-Up/Robert-F-Kennedy/Children-s-Health-Defense/9781510773998

Selon l’enquête de Kennedy, Anthony Fauci a dirigé la transition du NIH en un DOD [Departement Of Defense: Département de la Défense] de facto après le 11 septembre. Fauci a fait du « zèle » pour financer les expériences de science folle sur le gain de fonction à gauche et à droite jusqu’à ce qu’il soit stoppé par le gouvernement. Cependant, Fauci avait d’autres plans et a trouvé des moyens de contourner le système en poursuivant son escapade dans la ville des fous. Qui aurait cru que le journaliste d’investigation de renommée mondiale Robert Kennedy Jr. était capable de découvrir un vaste complot mondial impliquant Anthony Fauci et l’ingénierie du « SARS-COV-2 » à Wuhan ? Bien sûr, il serait facile de croire RFK Jr., car il a été du bon côté de ce débat en dénonçant constamment les dangers des vaccins. Eh bien… tant que vous ne tenez pas compte du fait qu’il ne se considère pas comme un anti-vax et qu’il préconise en fait des vaccins « plus sûrs » plutôt que d’éliminer complètement la vaccination en tant que pratique :

Nous voulons des vaccins sûrs, une science solide et transparente et une agence de réglementation honnête et indépendante axée étroitement sur la santé publique plutôt que sur le profit de l’industrie.

Robert Kennedy Jr.
https://childrenshealthdefense.org/about-us/mercury-vaccines-cdcs-worst-nightmare/

À son crédit, Kennedy a régulièrement fustigé Anthony Fauci et a récemment exposé les actes pervers de cet homme à la vue de tous dans son best-seller de novembre 2021 The Real Anthony Fauci :

En tant que directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), le Dr Anthony Fauci a distribué 6,1 milliards de dollars de fonds annuels fournis par les contribuables pour des recherches scientifiques truquées, ce qui lui a permis de dicter le sujet, le contenu et les résultats de la recherche scientifique sur la santé dans le monde entier — un véritable programme sombre. Fauci utilise l’influence financière dont il dispose, de manière détournée, pour exercer une influence extraordinaire sur les hôpitaux, les universités, les revues et des milliers de médecins et de scientifiques influents — il a le pouvoir de ruiner, de faire progresser ou de récompenser les carrières et les institutions de manière autoritaire.

Pendant plus d’un an de recherches minutieuses et méticuleuses sur son ordinateur portable et par le biais d’interviews, Robert F. Kennedy Jr. a déterré une histoire choquante qui réduit à néant la manipulation des médias sur le Dr Fauci… et qui alertera tous les Américains — démocrates ou républicains — qui se soucient de la démocratie, de notre Constitution et de l’avenir de la santé de nos enfants.

Le vrai Anthony Fauci révèle comment « America’s Doctor » a lancé sa carrière au début de la crise du sida en s’associant à des sociétés pharmaceutiques pour saboter des traitements thérapeutiques sûrs et efficaces non brevetés contre le sida. Fauci a orchestré des études frauduleuses ne donnant rien, puis a fait pression sur les régulateurs de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour qu’ils approuvent un traitement de chimiothérapie mortel qu’il avait de bonnes raisons de savoir sans valeur contre le sida. Fauci a fait l’impensable et a violé à plusieurs reprises les lois fédérales pour permettre à ses partenaires pharmaceutiques d’utiliser des enfants pauvres et à la peau foncée comme rats de laboratoire dans des expériences mortelles sur le SIDA et les chimiothérapies anticancéreuses.

Au début de 2000, Fauci a serré la main de Bill Gates dans la bibliothèque du manoir Gates de 147 millions de dollars à Seattle, cimentant un partenariat qui viserait à contrôler une entreprise mondiale de vaccins de plus en plus rentable de 60 milliards de dollars avec un potentiel de croissance illimité. Grâce à un effet de levier financier et à des relations personnelles soigneusement entretenues avec les chefs d’État et les principaux médias et institutions de médias sociaux, l’alliance Pharma-Fauci-Gates exerce une domination sur la politique de santé mondiale et sur notre beau pays.

https://www.simonandschuster.com/books/The-Real-Anthony-Fauci/Robert-F-Kennedy/Children-s-Health-Defense/9781510766808

Il est plutôt étrange que Kennedy Jr. ait découvert que Fauci finançait des « études frauduleuses ne donnant rien » en ce qui concerne le VIH dans les années 1980, mais qu’il avance le récit selon lequel Fauci finance actuellement des études GOF qui ne sont soi-disant pas des études frauduleuses ne donnant rien. Si nous nous basons sur le passé de Fauci pour juger de ses actions dans le présent, il serait beaucoup plus logique de conclure qu’il a l’habitude de financer des études frauduleuses ne donnant rien et que la piste GOF n’est rien de plus qu’une émanation de ce comportement. Cette prémisse est facile à voir quand on comprend que toute l’histoire des études sous l’égide de la virologie repose sur une fondation frauduleuse vieille d’un siècle. Pistes d’argent, e-mails « fuités », subventions non publiées, et les lettres au Congrès ne sont rien de plus que des distractions indirectes inutiles qui nous éloignent du manque sous-jacent de validation scientifique de la virologie. Le récit GOF/armes biologiques est un faux-fuyant conçu pour maintenir les gens dans un état chronique de peur d’une attaque terroriste biologique potentielle dans la même veine que les Russes avec des armes nucléaires pendant la guerre froide ou que Sadam Hussein et ses « armes de destruction massive ». C’est un écran de fumée pour les non informés afin de les empêcher de creuser encore plus profondément.

En ce qui concerne la poursuite continuelle par Kennedy Jr. de quelqu’un dont il a montré qu’il a des antécédents de fraude avérée, il est tout à fait clair qu’il n’y a pas d’amour éperdu entre ces deux hommes influents. Une grande partie des informations que Kennedy a « découvertes » dans son livre sur Anthony Fauci étaient déjà bien connues de tous ceux qui avaient prêté une attention particulière au canular du VIH/SIDA. En fait, il est facile de voir qu’une grande partie de l’escroquerie « Covid » suit exactement le même scénario que celui mis en place par Fauci et compagnie dans les années 1980. Kennedy a raison pour beaucoup d’informations sur les activités néfastes de Fauci. Cependant, il ignore la question la plus importante au cœur des stratagèmes frauduleux de Fauci : les « virus » existent-ils vraiment ? Ces escroqueries pourraient-elles être commises avec succès sur la seule base d’une propagande de peur efficace et de tests inexacts ? Malheureusement, il semble que Kennedy Jr. ne soit même pas prêt à envisager sérieusement de telles pensées, comme le montre son échange avec le véritable journaliste d’investigation Eric Coppolino en avril 2022 :

« Ouais, je ne suis vraiment pas qualifié pour commenter, mais je… mon penchant s’il y a des gens qui disent que les virus n’existent pas, qu’il n’y a pas de virus… je ne, vous savez, mon penchant est que, euh, c’est simplement n’est pas, vous savez, ce n’est pas vrai.

« Et je suis un peu amusé à lire les échanges et mon penchant est que les virus existent et qu’ils rendent les gens malades. Je peux me tromper. Tout cela pourrait être un gros canular, mais pour moi, tout semble comme, vous savez, les virus sont réels, et euh, écoutez, j’aurais dû me taire dès le début et dire que je ne vais pas répondre à cette question. »

« Encore une fois, je ne suis pas un bon un bon par… — je ne suis pas un scientifique. Je ne prétends pas l’être. Je trouve ces arguments intéressants.

Robert Kennedy Jr.
https://chironreturn.org/rfk-jr-acknowledges-controversy-over-existence-of-sars-cov-2-and-of-all-viruses/

Kennedy Jr. a affirmé qu’il n’était pas qualifié pour parler de l’existence de « virus », car il n’était pas un scientifique. Pourtant, il a quand même conclu que ces entités fictives existent telles qu’elles sont vendues sans faire aucune enquête indépendante de sa part. D’une manière ou d’une autre, il s’est jugé suffisamment qualifié pour comprendre la « science » derrière les études de gain de fonction afin de vendre le récit du mégalomane Fauci créant des « virus » améliorés à Wuhan. Cependant, ne lui demandez pas si ces entités existent réellement, car c’est un peu trop au-dessus de son niveau de rémunération. C’est parfaitement logique, non ?

Je tiens à préciser que cet article n’a pas pour but d’attaquer RFK Jr. Lui et les autres personnes citées ici ont fourni des informations qui ont aidé beaucoup de gens à voir les dangers des mesures utilisées contre nous pendant cette « pandémie ». Cependant, il est très clair qu’il y a un effort concentré de la part de ceux qui sont en position d’influence pour amener toute personne qui remet en question le paradigme « viral » à faire un détour par le récit de l’arme biologique et du gain de fonction, malgré l’absence de toute preuve scientifique crédible à l’appui. Ceux d’entre nous qui contestent l’absence de preuves scientifiques de l’existence des « virus » font l’objet d’une forte répression. Nous devons nous demander pourquoi ces personnes réellement intelligentes sont prêtes à remettre en question l’origine naturelle d’un « virus », mais ne sont pas disposées à remettre en question les preuves fondamentales qui étayent l’existence de ce concept fictif [NDLR En d’autres termes, il n’existe aucune preuve scientifique réelle de l’existence de virus pathogènes pouvant provoquer des maladies. Mais les preuves établies tendent au contraire à démontrer que ce que la virologie a pris pour de tels virus ne correspond en réalité qu’à des composants cellulaires (éventuellement dégradés)]. Pourquoi sont-ils prêts à promouvoir un récit d’armes biologiques fondé sur la peur, alors que les seules preuves qui l’étayent proviennent de courriels « fuités », de subventions non publiées et de lettres adressées au Congrès, sans aucune preuve scientifique crédible à l’appui ?

Serait-ce dû à des intérêts particuliers ?

Steve Kirsh

« Steve est un entrepreneur et philanthrope de la Silicon Valley qui a fondé le COVID-19 Early Treatment Fund (CETF) au début de la pandémie. Steve et le CETF ont financé la recherche qui a montré des résultats prometteurs de la fluvoxamine comme traitement précoce du COVID-19. »

https://www.vacsafety.org/about

« L’équipe du COVID-19 Early Treatment Fund est composée d’experts issus d’un large éventail de domaines, notamment la médecine, la technologie, la philanthropie et les affaires. Ensemble, nous sommes rapidement devenus le premier fonds mondial axé sur les traitements précoces du COVID-19 qui tirent parti des médicaments réutilisés. »

https://www.treatearly.org/our-team

Robert Malone

« Le Dr. Malone détient de nombreux brevets nationaux et étrangers fondamentaux dans les domaines de la délivrance de gènes, des formulations de délivrance, des vaccins à ADN et des vaccins à ARNm. »

« Depuis janvier 2020, le Dr Malone dirige une grande équipe axée sur la conception de la recherche clinique, le développement de médicaments, la modélisation informatique et les mécanismes d’action des médicaments réutilisés pour le traitement du COVID-19. »

https://www.vacsafety.org/about

Peut-être vendent-ils des suppléments censés traiter la maladie ?

Jérémy Hammond

L’oxyde nitrique, la N-acétyl-L-cystéine, la quercétine avec du zinc et la vitamine D3 ont tous été proposés comme traitements pour « Covid ».
https://www.jeremyrhammond.com/shop/

Dr Joseph Mercola

Mercola a sa propre marque vendant des produits similaires.
https://drjosephmercola.com/market/

Ou peut-être ont-ils de puissants partenaires financiers à qui ils doivent rendre compte :

Del Bigtree

« Selon le Washington Post, la Fondation Selz fournit environ 75 % du financement de l’Informed Consent Action Network, une organisation caritative dont Lisa Selz est la présidente et dont la mission est décrite comme « la promotion de la sécurité des médicaments et des vaccins et du choix des parents dans les décisions relatives aux vaccins ». »

https://www.google.com/amp/s/www.vanityfair.com/news/2019/06/bernard-selz-lisa-selz-vaccines/amp

Quoi qu’il en soit, la remise en question de l’absence de preuves scientifiques de l’existence de « virus » se heurte soit à des attaques furieuses (comme celles de Kirsch et Hammond), soit à des excuses telles que le public n’est pas prêt à s’engager dans cette voie (comme proposé par Del Bigtree), soit à des tentatives de convaincre les lecteurs que la remise en question de l’existence de « virus » entravera le mouvement de la « vérité » (comme le suggère Mercola), soit encore à l’ignorance feinte et au manque de références nécessaires comme on le voit dans le cas de la réponse de Kennedy Jr. à Eric Coppolino. D’une manière ou d’une autre, les personnes ayant le plus grand impact et les voix les plus fortes ont sauté à la conclusion, sur la base des e-mails « divulgués » de Fauci, que le « SRAS-COV-2 » a été créé dans un laboratoire. Ils sont complètement vendus sous la menace d’une arme biologique « virale » sans aucune preuve scientifique crédible qu’une arme biologique « virale » ait jamais été fabriquée. Ils écriront des articles et des livres pour alerter le public sur la menace de ces études de gain de fonction, mais ils n’examineront pas les preuves fondamentales quant à savoir si l’existence de ces « virus » a déjà été scientifiquement prouvée. En réalité, ils sont tellement sûrs que les études du GOF sont des expériences scientifiques légitimes qu’ils vont promouvoir auprès de leur public les résultats d’une étude préimprimée non évaluée par des pairs datant d’octobre 2022, comme si cet article contenait des preuves scientifiques réelles soutenant leur position sur les armes biologiques :

L’Université de Boston crée une nouvelle souche SARS-CoV-2 mortelle à 80 %

« Vraisemblablement, il y a un avantage à créer une nouvelle souche de SARS-CoV-2 qui a un taux de létalité (CFR) de 80 % (contre le CFR moyen de 0,2 % pour les variantes actuelles) et qui est très contagieuse.
Je suis perplexe quant à ce que c’est. »

« Le travail a été soutenu par une subvention du NIH, en particulier du NIAID, l’organisation dirigée par Anthony Fauci. »

https://stevekirsch.substack.com/p/bu-creates-new-sars-cov-2-strain

« Insensé » : des chercheurs de Boston créent une souche « plus mortelle » de COVID, incitant à des appels pour arrêter la recherche risquée sur le gain de fonction

« Une équipe de 14 scientifiques des Laboratoires nationaux des maladies infectieuses émergentes (NEIDL) de l’Université de Boston a développé une nouvelle souche de COVID-19 qui a tué 80 % des souris infectées par le virus en laboratoire, selon une étude préimprimée publiée le 14 octobre. Suite à l’annonce, de nombreux reportages sur les résultats de l’étude se sont concentrés sur le taux de mortalité observé chez les souris de laboratoire utilisées dans l’étude.

Cependant, derrière les gros titres, certains scientifiques et d’autres ont soulevé des inquiétudes quant à la nature de la recherche et au fait qu’elle était partiellement financée par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par le Dr Anthony Fauci.

La recherche a été menée en utilisant ce que certains scientifiques ont appelé la recherche de “gain de fonction”, soulevant des inquiétudes quant au fait que ce type de recherche — qui, selon certains, a conduit à la création et à la fuite de la souche originale de Wuhan de COVID-19 — est toujours en cours, malgré les inquiétudes que cela pourrait conduire à plus d’évasions de laboratoire et à plus de pandémies. »

https://childrenshealthdefense.org/defender/new-covid-strain-risky-gain-of-function-research/

Boston U tente de reculer les rapports d’expériences dangereuses

« Quelques jours seulement après l’annonce de la nouvelle selon laquelle l’Université de Boston avait créé une souche mortelle de SRAS-CoV-2 dans ses laboratoires, l’institution essaie de colporter son annonce, affirmant que les médias d’information se sont non seulement trompés, mais qu’ils interprètent mal ce que l’institution a vraiment fait. Mais est-ce vrai ? Selon l’épidémiologiste et microbiologiste des maladies infectieuses Marc Lipsitch, l’université peut déformer les rapports de leurs découvertes comme elle le souhaite, mais ce qu’elle a fait est toujours un gain de fonction… »

https://blogs.mercola.com/sites/vitalvotes/archive/2022/10/19/boston-u-tries-to-back-peddle-out-of-dangerous-experiment-reports.aspx

Qu’est-ce qui pourrait être plus insensé que le fait que Fauci finance davantage d’expériences sur le gain de fonction afin d’évaluer la létalité d’un coronavirus au milieu d’une pandémie causée par un coronavirus amélioré qui a tué des millions de personnes ?

Pour un bon aperçu de la façon dont des études telles que celle réalisée par Boston U sont rapportées comme étant la vérité avec l’utilisation de tactiques alarmistes, le battage médiatique et le sensationnalisme, n’hésitez pas à regarder le clip de près de 10 minutes (aimablement édité par Bill Houston) du dernier The Highwire de Del Bigtrees épisode présenté ci-dessous. Il est clair que Del et l’invité Jefferey Jaxen n’ont pas lu l’étude et n’ont pas réfléchi de manière critique à la question de savoir si les résultats et les conclusions de cette étude préimprimée et non évaluée par des pairs sont même scientifiquement valides. Ils déclarent simplement que c’est vrai et utilisent les conclusions pour renforcer leur message basé sur la peur des menace d’armes biologiques. Del termine même le segment avec le remorqueur approprié sur les vieilles cordes de peur en déclarant « Au centre-ville de Boston, nous pourrions avoir la même fuite parce que les gens ne respectent pas les règles. » Fait de main de maître par les médias « alternatifs ».



RFK Jr. a également publié un article quelques jours après la publication de l’étude de Boston U faisant la promotion d’une autre étude préimprimée et non évaluée par des pairs comme preuve que le « SRAS-COV-2 » était un « virus » créé en laboratoire :

Cette étude, intitulée « L’empreinte digitale de l’endonucléase indique une origine synthétique du SRAS-CoV2 » a été publiée sur le serveur de préimpression bioRxiv et ne consiste en rien d’autre que des comparaisons de données génomiques. Il n’y a aucun « virus » impliqué dans l’étude autre que les A, C, T, G [NDT Les quatre nucléotides composant l’ADN :  adénine (A), cytosine (C), guanine (G) ou thymine (T).] aléatoires présentés sur un écran d’ordinateur comme remplaçants. Il n’y a aucune description de la manière dont ont été obtenus les génomes utilisés dans la comparaison. Essentiellement, les chercheurs ne font que regarder des données informatiques. Rien de physique n’existe, juste les données. Malheureusement pour RFK Jr., l’accumulation et l’analyse de données ne relèvent pas de la science. Cela n’a cependant pas empêché RFK Jr. de déclarer que « le monde a maintenant la preuve positive que le SRAS-CoV2 est une création de laboratoire d’ingénierie générée avec la technologie développée par Ralph Baric avec un financement du gouvernement américain ». Fait intéressant, quelques paragraphes plus loin, il déclare ceci :

La responsabilité de l’UNC et du NIAID est maintenant claire. Mais avons-nous des preuves positives que le laboratoire de Wuhan a créé la monstruosité qui a causé le COVID-19 ?

Les preuves cumulatives suggèrent fortement que le laboratoire de Wuhan a utilisé les méthodologies de Baric pour bricoler le virus chimérique qui a causé la pandémie de COVID-19. Mais quelques pièces de puzzle manquantes nous empêchent encore de prouver définitivement que ce projet de construction dangereux a eu lieu au laboratoire de Wuhan.

Robert Kennedy Jr.

Le dernier que j’ai vérifié, « suggère fortement », « pièces de puzzle manquantes » et « nous empêche de prouver définitivement » ne ressemble pas à une « preuve positive » que « SARS-COV-2 » était une création de laboratoire d’ingénierie. Ainsi, cette preuve que Kennedy Jr. jette là-bas s’apparente à ceci est la façon dont ils l’ont fait, mais nous ne savons pas encore s’ils l’ont fait. C’est comme être excité à l’idée d’acheter la guitare à air [NDT Un instrument de musique rare ?] de quelqu’un sur eBay. Bien sûr, la transaction peut être là, mais rien de physique n’existe réellement. Néanmoins, dans sa hâte de diffuser le dernier élément de preuve indirecte pour promouvoir un programme fondé sur la peur, RFK Jr. a négligé d’attendre la confirmation par une reproduction indépendante des résultats et, plus important encore, d’avoir des preuves de particules de « virus » correctement purifiées et isolées au lieu de A, C, T, G aléatoires dans une base de données informatique. À la place, il a rapidement rédigé un article vendant cette comparaison préimprimée de génomes générés par ordinateur comme une « preuve » supplémentaire de l’existence d’une arme biologique à gain de fonction.

Si RFK Jr. et ses amis prenaient le temps de lire réellement ces études sur le « gain de fonction », ils constateraient qu’il n’y a aucune science réelle dans aucune d’entre elles. Dans le cas de la dernière tentative de GOF alarmiste de Boston U, ceux qui mettent en avant ce récit découvriraient qu’aucun « virus » purifié et isolé n’a jamais été utilisé à aucun moment et que les résultats derrière les conclusions sont très discutables. Tout ce qui serait nécessaire pour voir cela est que RFK Jr. et ses amis lisent la section des méthodes qui démontre facilement que l’article n’implique rien d’autre qu’une expérimentation chimique grandiose impliquant de nombreux produits chimiques et substances étrangères combinés et cultivés ensemble qui ont été utilisés pour justifier la mise à mort des animaux expérimentés.

Par exemple, les auteurs ont affirmé avoir créé une version recombinante chimérique du « SARS-COV-2 ». Selon Merriam-Webster, chimérique signifie que la substance contient du tissu avec deux ou plusieurs populations de cellules génétiquement distinctes, tandis que recombinant concerne le fait de contenir de l’ADN génétiquement modifié. Essentiellement, les chercheurs ont mélangé de nombreuses sources de matériel génétique avec des produits chimiques synthétiques ajoutés dans une boîte de Petri et ont affirmé qu’un nouveau « virus » modifié existait dans la soupe de culture cellulaire. Pour ce faire, ils ont utilisé :

  • Cellules HEK293T de rein embryonnaire humain

    • Une lignée cellulaire immortalisée prélevée sur des fœtus avortés dans les années 1970.

  • Cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549

    • Cellules dérivées d’une tumeur pulmonaire primaire d’un homme de 58 ans en 1972.

  • Adénocarcinome colorectal humain Cellules Caco-2

    • Cellules dérivées du tissu cancéreux du côlon d’un homme de 72 ans en 1977.

  • Cellules Vero E6 de rein de singe vert d’Afrique

    • Comme son nom l’indique, les cellules de reins de singe qui sont la lignée cellulaire la plus couramment utilisée pour la culture.

De nombreux produits chimiques et substances ont été ajoutés à des fins de culture, tels que :

  • Milieu d’aigle modifié de Dulbecco

    • Contient divers ingrédients, notamment des acides aminés, des vitamines, du glucose, du sodium, de la glycine, de la sérine, du nitrate ferrique, du pyruvate et du bicarbonate de sodium.

  • Sérum bovin fœtal

    • Le sang prélevé du cœur d’un veau à naître.

  • Acides aminés non essentiels

    • Cela peut inclure la L-alanine, la L-asparagine, l’acide L-aspartique, la L-glycine, la L-sérine, la L-proline et l’acide L-glutamique.

  • Avicel

    • Selon le fabricant DuPont, il s’agit d’un excipient d’alphacellulose purifiée, partiellement dépolymérisée, fabriquée par hydrolyse acide de pâte de bois spécialisée, qui produit rapidement des granules robustes qui restent stables dans des environnements à fort cisaillement.

Il existe divers autres additifs synthétiques utilisés tout au long de ce processus, tels que le chromosome artificiel bactérien (BAC), l’ADN polymérase PrimeStar GXL, le volume de réaction CPER avec 250 µl d’Opti-MEM et le système de distribution dynamique TransIT-X2. Ce qui s’est passé au cours de cette expérience (et d’expériences similaires) n’était rien de plus que la création d’une recette qui a abouti à une soupe toxique. Cette soupe a ensuite été injectée de force dans les voies nasales de bébés souris sous anesthésie à l’isoflurane. Les souris ont été contrôlées régulièrement pour voir si elles présentaient des signes des symptômes que les chercheurs voulaient voir, tels qu’une perte de poids de 10 à 19 %, une fourrure ébouriffée et/ou une posture voûtée, une insensibilité faible à modérée et des tremblements, c’est-à-dire les signes classiques associés à la « Covid-19 » chez l’homme (notez le sarcasme). Il n’a jamais été considéré si le mode d’injection et/ou l’utilisation de l’anesthésie à l’isoflurane avaient pu ou non entraîner des symptômes. Il n’a jamais été considéré si le stress de l’expérimentation ou les conditions de vie artificielles affectaient la santé des souris. Tous les signes et symptômes étaient supposés être causés par un « virus » invisible dont l’existence n’a jamais été directement démontrée. Dans les cas où une perte de poids supérieure ou égale à 20 % survenait ou si les souris recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs, les souris étaient alors considérées comme moribondes et euthanasiées.

En d’autres termes, les chercheurs ont recherché des signes subjectifs de maladie, ont affirmé qu’elle était due à un « virus », puis ont tué les animaux s’ils atteignaient un certain seuil subjectif. C’est ainsi que le taux de mortalité de 80 % a été évoqué. Tout cela peut être vu à partir de quelques faits saillants tirés de cette étude :

Rôle de [la protéine] spike dans le comportement pathogène et antigénique du SARS-CoV-2 BA.1 Omicron

« Le variant SARS-CoV-2 Omicron (BA.1) récemment identifié et prédominant dans le monde est hautement transmissible, même chez les individus entièrement vaccinés, et provoque une maladie atténuée par rapport aux autres variants viraux majeurs reconnus à ce jour. La protéine Omicron spike (S), avec un nombre inhabituellement élevé de mutations, est considérée comme le principal moteur de ces phénotypes. Nous avons généré un SARS-CoV-2 recombinant chimérique codant pour le gène S d’Omicron dans le squelette d’un isolat ancestral de SARS-CoV-2 et avons comparé ce virus avec le variant Omicron circulant naturellement. Le virus porteur d’Omicron S échappe de manière robuste à l’immunité humorale induite par le vaccin, principalement en raison de mutations dans le motif de liaison au récepteur (RBM), mais contrairement à l’Omicron naturel, il se réplique efficacement dans les lignées cellulaires et les cellules pulmonaires distales de type primaire. Chez les souris K18-hACE2, alors qu’Omicron provoque une infection bénigne et non mortelle, le virus porteur d’Omicron S inflige une maladie grave avec un taux de mortalité de 80 %. Cela indique que si l’évasion vaccinale d’Omicron est définie par des mutations dans S, les principaux déterminants de la pathogénicité virale résident en dehors de S. »

MATÉRIAUX ET MÉTHODES

Cellules, anticorps et plasmides

« Les lignées cellulaires ont été incubées à 37 °C et 5 % de CO2 dans un incubateur humidifié. Des cellules HEK293T de rein embryonnaire humain (ATCC ; CRL-3216), des cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549 (ATCC ; CCL—185), des cellules d’adénocarcinome colorectal humain Caco-2 (ATCC ; HTB-37) et des cellules Vero E6 de rein de singe vert d’Afrique ont été maintenues dans du DMEM (Gibco ; #11995-065) contenant 10 % de FBS et 1X acides aminés non essentiels. Le système de délivrance lentiviral a été utilisé pour générer des cellules exprimant de manière stable l’ACE2 et le TMPRSS2 humains. Le statut négatif pour les mycoplasmes de toutes les lignées cellulaires a été confirmé.

Un anticorps anti-protéine de la nucléocapside (N) du SARS-CoV (Rockland; #200-401-A50) a été utilisé pour la détection de la protéine SARS-CoV-2 N par IF. Le plasmide d’expression codant pour la protéine de pointe de l’isolat SARS-CoV-2 Wuhan, pCSII-SARS-CoV-2 F8, était un cadeau aimable de Yoshiharu Matsuura. Nous avons remplacé la pointe de Wuhan dans ce plasmide par une version synthétisée chimiquement de la pointe d’Omicron et avons appelé le plasmide résultant pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron. Les vecteurs lentiviraux, pLOC_hACE2_PuroR et pLOC_hTMPRSS2_BlastR, contenant respectivement l’ACE2 humain et le TMPRSS2, ont été décrits précédemment.

Préparation et titrage du stock Omicron

Le stock de virus SARS-CoV-2 BA.1 Omicron a été généré dans des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2. En bref, 5 x 105 cellules, cultivées pendant la nuit dans DMEM/10 % FBS/1X NEAA dans un puits d’une plaque à 6 puits, ont été inoculées avec le milieu de collecte dans lequel l’écouvillon nasal d’un patient SARS-CoV-2 a été immergé. Le matériel de l’écouvillon a été obtenu auprès du Département de la santé publique du Massachusetts et il contenait le virus Omicron dont la séquence a été vérifiée (numéro d’accès NCBI : OL719310). Vingt-quatre heures après l’infection des cellules, le milieu de culture a été remplacé par 2 ml de DMEM/2 % FBS/1X NEAA et les cellules ont été incubées pendant 72 h supplémentaires, moment auquel le CPE est devenu visible. Le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et conservé à -80 °C en tant que stock de virus P0. Pour générer un stock P1, nous avons infecté 1 x 107 cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2, ensemencées la veille dans un flacon T175, avec le virus P0 à un MOI de 0,01. Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par 25 ml de milieu contenant 2 % de FBS. Trois jours plus tard, lorsque les cellules présentaient un CPE excessif, le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et stocké à -80 °C en tant que stock P1.

Pour titrer le stock de virus, nous avons ensemencé des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2 dans une plaque à 12 puits à une densité de 2 x 105 cellules par puits. Le lendemain, les cellules ont été incubées avec des dilutions en série de 10 fois du stock de virus (volume de 250 µl par puits) pendant 1 h à 37 °C, recouvertes de 1 ml par puits de milieu contenant un mélange 1 : 1 de 2X DMEM/4 % FBS et 1,2 % d’Avicel (DuPont; RC-581), et incubés à 37 °C pendant trois jours supplémentaires. »

Génération SARS-CoV-2 recombinante par CPER

« Les virus recombinants SARS-CoV-2 ont été générés en utilisant une forme modifiée du protocole CPER récemment publié. L’ADNc complet du SARS-CoV-2 cloné sur un chromosome artificiel bactérien (BAC) a été utilisé comme matrice pour amplifier le génome viral en huit fragments qui se chevauchent (F1, F2, F3, F4, F5, F6, F7 et F9). Les plasmides pCSII-SARS-CoV-2 F8 et pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron, qui ont été utilisés pour générer des mutants de Spike, ont servi de matrices pour l’amplification du fragment 8 (F8). Un lieur UTR contenant un ribozyme du virus de l’hépatite delta (HDVr), la séquence signal de polyadénylation de l’hormone de croissance bovine (BGH-polyA) et un promoteur du cytomégalovirus (CMV) a été cloné sur un vecteur pUC19 et utilisé comme matrice pour amplifier la séquence de liaison. Les extrémités 5′ des dix fragments d’ADN (F1-F9 et le lieur) ont été phosphorylées en utilisant T4 PNK (NEB; #M0201), et les quantités équimolaires (0,05 pmol chacune) des fragments résultants ont été soumises à une réaction CPER dans un volume de 50 µl en utilisant 2 µl d’ADN polymérase PrimeStar GXL (Takara Bio ; #R050A). Les conditions de cycle suivantes ont été utilisées pour la CPER : une dénaturation initiale à 98 °C pendant 2 min ; 35 cycles de dénaturation à 98 °C pendant 10 s, annelage à 55 °C pendant 15 s et extension à 68 °C pendant 15 min ; et une extension finale à 68 °C pendant 15 min. Les entailles dans le produit circulaire ont été scellées en utilisant de l’ADN ligase.

Pour transfecter des cellules avec le produit CPER, nous avons ensemencé des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2 dans une plaque à 6 puits à une densité de 5 x 105 cellules par puits. Le mélange de transfection a été préparé en mélangeant 26 µl du volume de réaction CPER original de 52 µl avec 250 µl d’Opti-MEM (Thermo Fisher Scientific; # 31985070) et 6 µl de TransIT-X2 Dynamic Delivery System (Mirus Bio ; #MIR 6000). Après incubation à température ambiante pendant 25 minutes, le mélange de transfection a été ajouté aux cellules. Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par du DMEM frais contenant 2 % de FBS. Le CPE est devenu visible en 3-4 jours, moment auquel le milieu de culture a été collecté et stocké en tant que stock de virus P0. Le stock P0 a été utilisé pour les expériences décrites dans ce manuscrit. La région de Spike de tous les virus générés par CPER a été séquencée soit par séquençage Sanger, soit par séquençage de nouvelle génération pour confirmer la présence des modifications souhaitées et l’absence de modifications accidentelles.

Des souris K18-hACE2 mâles et femelles âgées de douze à vingt semaines ont été inoculées par voie intranasale avec 104 PFU de SARS-CoV-2 dans 50 µl de PBS 1X stérile. Les inoculations ont été réalisées sous anesthésie à 1-3 % d’isoflurane.

Le score de 1 a été attribué pour chacune des situations suivantes : poids corporel, perte de 10 à 19 % ; respiration, rapide et peu profonde avec un effort accru ; apparence, fourrure ébouriffée et/ou posture voûtée ; réactivité, insensibilité faible à modérée ; et signes neurologiques, tremblements. La somme de ces scores individuels constituait le score clinique final. Les animaux étaient considérés comme moribonds et humainement euthanasiés en cas de perte de poids supérieure ou égale à 20 %, ou s’ils recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs. Le poids corporel et le score clinique ont été enregistrés une fois par jour pendant toute la durée de l’étude. Pour les besoins des courbes de survie, les animaux euthanasiés un jour donné ont été comptés morts le lendemain. Les animaux trouvés morts en cage ont été comptés morts le même jour. Pour l’euthanasie, une surdose de kétamine a été administrée suivie d’une méthode secondaire d’euthanasie. »

Cliquez pour accéder à 2022.10.13.512134v1.full.pdf

Le cercle de la science-fiction.

Il aurait été douloureusement évident pour RFK Jr. et ses amis, s’ils avaient été intellectuellement honnêtes, qu’à aucun moment cette étude préimprimée non évaluée par des pairs n’a démontré l’ingénierie d’une nouvelle souche de « SARS-COV-2. » Pourtant, d’une manière ou d’une autre, ils s’accrochent à des études comme celle-ci pour montrer que non seulement les « virus » existent, mais qu’ils sont génétiquement modifiés par Anthony Fauci et sa joyeuse bande de cohortes qui libèrent ces entités invisibles sur le monde. Alors que RFK Jr. et ses amis dénoncent les vaccins et les mesures draconiennes mises en place durant cette pandémie, leur croyance en ces entités fictives génétiquement modifiées leur permet de justifier leurs quêtes continues pour trouver des vaccins « plus sûrs » et vendre des traitements pharmaceutiques alternatifs alors qu’aucun traitement n’est nécessaire ni une alternative « plus sûre », car pour commencer il n’y a pas de « virus » causant une nouvelle maladie. Leur promotion de ce concept frauduleux maintient le train de la propagande basée sur la peur et ramène dans la toile des mensonges quiconque cherche à se libérer du récit de la théorie des germes élaborée par la pharmacie. Intentionnellement ou non, RFK Jr. et ses amis sont les joueurs de flûte de l’industrie pharmaceutique qui ramènent les souris errantes dans le giron.

Cependant, s’ils épluchaient un peu plus l’oignon et regardaient l’origine des « coronavirus » (comme je l’ai fait ici), ainsi que les preuves fondamentales pseudoscientifiques de tous les « virus », ils verraient à quel point leur position est vraiment illogique. Pour que la recherche sur le gain de fonction soit légitime, il faut d’abord prouver scientifiquement l’existence du ou des « virus » prétendument manipulés et fabriqués. Cela nécessite l’adhésion à la méthode scientifique et l’établissement d’une variable indépendante valide qui serait des particules correctement purifiées et isolées supposées être des « virus » trouvés directement dans les fluides d’un hôte malade. Une fois obtenues en étant séparées de tous les autres contaminants et microbes potentiels, il faudrait ensuite démontrer que ces particules provoquent la maladie en question de manière naturelle, c’est-à-dire en respirant les particules diffusées par aérosol plutôt qu’en utilisant des fluides toxiques issus de cultures cellulaires versés directement dans les narines ou injectés d’une manière ou d’une autre.

Des Expériences de contrôle appropriées utilisant des fluides provenant d’hôtes sains ou de personnes présentant des symptômes similaires, mais déclarés ne pas avoir le « virus » doit également être effectuée. Ce processus devrait être répété à grande échelle et démontré comme reproductible et réplicable par divers chercheurs indépendants. Ce n’est qu’une fois que le « virus  aura été soumis à un processus aussi rigoureux et que son existence aura été scientifiquement prouvée qu’il sera possible de déterminer comment « cultiver » cette entité et comment la modifier génétiquement d’une manière ou d’une autre afin de la rendre plus mortelle. Ce n’est qu’alors que des études de gain de fonction et une origine d’arme biologique ou de fuite de laboratoire pour tout « virus  seraient hypothétiquement possibles. Cependant, ce processus scientifique n’a jamais été réalisé au cours des plus de 100 ans d’existence de la virologie. Il faut d’abord prouver l’existence des particules « virales ». On ne peut pas [seulement] supposer qu’elles existent.

Robert F. Kennedy Jr. et les joueurs de flûte

avec June Hutton

Équipe de rêve

En résumé :

  • De nombreux dirigeants de la communauté de la liberté de la santé préfèrent s’accrocher à des études pseudoscientifiques sur le gain de fonction comme preuve de l’existence de « virus » plutôt que d’examiner si un « virus » a déjà été scientifiquement prouvé en adhérant à la méthode scientifique.
  • Ils avancent un récit, basé sur des e-mails, des demandes de subvention et des lettres au Congrès officiellement publiés, selon lesquels Anthony Fauci finance secrètement des études GOF en Chine qui ont abouti à l’origine du « SARS-COV-2 ».
  • Robert Kennedy Jr. a écrit un nouveau livre, The Wuhan Cover-up, avançant cette spéculation sur les fuites d’armes biologiques/laboratoires GOF.
  • Il a également détaillé les activités néfastes de Fauci dans son livre The Real Anthony Fauci, y compris le financement d’études frauduleuse « ne donnant rien » à l’ère du VIH/sida. (Ceci semble être un modèle dans lequel les études du GOF s’inscrivent).
  • Kennedy Jr. et ses amis mettent également en avant une nouvelle étude préimprimée non évaluée par des pairs de l’Université de Boston, affirmant que c’est la preuve que Fauci finance la recherche GOF et le « SARS-COV-2 » génétiquement modifié.
  • Cependant, s’ils lisaient au moins la section des méthodes de cette étude, il serait évident pour eux que ce n’est pas du tout le cas.

  • Les auteurs ont affirmé avoir généré un recombinant chimère « SARS-CoV-2 » codant pour le gène S d’Omicron dans le squelette d’un isolat ancestral « SARS-CoV-2 » et ont comparé ce « virus » avec le variant d’Omicron circulant naturellement.
  • Chez les souris K18-hACE2, alors qu’Omicron provoque une infection bénigne et non mortelle, le « virus » porteur d’Omicron S a infligé une maladie grave avec un taux de mortalité de 80 %.
  • Les chercheurs ont utilisé des souris génétiquement modifiées pour des expériences sans mentionner les procédures qui ont été suivies pour les modifier génétiquement.
  • Des cellules rénales embryonnaires humaines HEK293T, des cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549, des cellules d’adénocarcinome colorectal humain Caco-2 et des cellules Vero E6 de rein de singe vert africain ont été maintenues dans du DMEM contenant 10 % de FBS et 1X acides aminés non essentiels.
  • Le système de livraison « lentiviral » a été utilisé pour générer des cellules exprimant de manière stable l’ACE2 humain et le TMPRSS2.
  • L’anticorps anti-protéine de la nucléocapside (N) « Anti-SARS-CoV » a été utilisé pour la détection de la protéine N « SARS-CoV-2 » par IF.
  • En d’autres termes, ils ont utilisé des anticorps invisibles non spécifiques jamais correctement purifiés/isolés pour détecter une protéine pour un « virus » jamais correctement purifié/isolé, utilisant ainsi une création fictive pour déterminer l’existence d’une autre.
  • Le plasmide d’expression codant pour la protéine de pointe de l’isolat de Wuhan « SARS-CoV-2 », « pCSII-SARS-CoV-2 F8 », était un aimable cadeau de Yoshiharu Matsuura.
  • Les chercheurs ont affirmé avoir remplacé la Spike de Wuhan dans ce plasmide par une version synthétisée chimiquement de celle d’Omicron et ont appelé le plasmide résultant « pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron ».
  • Le stock « SARS-CoV-2 » BA.1 Omicron « virus » a été généré dans des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2
  • En bref, 5 x 105 cellules, cultivées pendant une nuit dans du DMEM/10 % FBS/1X NEAA dans un puits d’une plaque à 6 puits, ont été inoculées avec le milieu de collecte dans lequel l’écouvillon nasal d’un patient « SRAS-CoV-2 » a été immergé.
  • vingt-quatre heures après l’infection des cellules, le milieu de culture a été remplacé par 2 ml de DMEM/2 % FBS/1X NEAA et les cellules ont été incubées pendant 72 h supplémentaires, moment auquel le CPE est devenu visible.
  • Le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et conservé à -80 °C en tant que stock de « virus » P0.
  • Comme on peut le voir, il s’agit de la soupe de culture cellulaire non purifiée habituelle qui est censée avoir un « virus » en raison de l’apparition de l’effet cytopathogène qui peut être causé par de nombreuses choses autres qu’un « virus ».
  • Pour générer un stock P1, ils ont infecté 1 x 107 cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2, ensemencées la veille dans un flacon T175, avec le « virus » P0 à un MOI de 0,01.
  • Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par 25 ml de milieu contenant 2 % de FBS et trois jours plus tard, lorsque les cellules présentaient un CPE excessif, le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et stocké à -80 °C sous une action P1.
  • Passé à travers un filtre signifie qu’il a été minimalement « purifié », car la filtration est connue pour ne pas être en mesure de séparer tous les contaminants/microbes.
  • Les cellules ont été incubées avec des dilutions en série de 10 fois du stock de « virus » (volume de 250 µl par puits) pendant 1 h à 37 °C, recouvertes de 1 ml par puits de milieu contenant un mélange 1 : 1 de 2X DMEM/4 % de FBS et 1,2 % Avicel, et incubé à 37 °C pendant encore trois jours.
  • Des « virus recombinants SARS-CoV-2 » ont été générés en utilisant une forme modifiée du protocole CPER récemment publié.
  • L’ADNc complet du « SARS-CoV-2 » cloné sur un chromosome artificiel bactérien (BAC) a été utilisé comme matrice pour amplifier le génome viral en huit fragments qui se chevauchent.
  • Un lieur UTR contenant un ribozyme du « virus » de l’hépatite delta (HDVr), la séquence signal de polyadénylation de l’hormone de croissance bovine (BGH-polyA) et un promoteur du cytomégalovirus (CMV) a été cloné sur un vecteur pUC19 et utilisé comme matrice pour amplifier le lieur séquence.
  • Le mélange de transfection a été préparé en mélangeant 26 µl du volume de réaction CPER original de 52 µl avec 250 µl d’Opti-MEM et 6 µl de TransIT-X2 Dynamic Delivery System.
  • Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par du DMEM frais contenant 2 % de FBS.
  • Chaque étape de ce processus est un mélange de produits humains et animaux étrangers avec des produits chimiques synthétiques afin de produire la réaction souhaitée afin de prétendre qu’un « virus » est présent.
  • Des souris K18-hACE2 mâles et femelles âgées de douze à vingt semaines ont été inoculées par voie intranasale avec 10 4 PFU de « SARS-CoV-2 » dans 50 µl de PBS 1X stérile et les inoculations ont été réalisées sous anesthésie à 1-3 % d’isoflurane.
  • La note de 1 a été attribuée pour chacune des situations suivantes :

    • Poids corporel : perte de 10 à 19 % ;
    • Respiration : rapide et peu profonde avec un effort accru ;
    • Apparence : fourrure ébouriffée et/ou posture voûtée ;
    • Réactivité : absence de réponse faible à modérée ;
    • Signes neurologiques : tremblements.

  • La somme de ces scores individuels constituait le score clinique final et les animaux étaient considérés comme moribonds et humainement euthanasiés en cas de perte de poids supérieure ou égale à 20 %, ou s’ils recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs.
  • En d’autres termes, le taux de mortalité de 80 % était une considération subjective basée sur un système de notation arbitraire conduisant à l’euthanasie inutile des animaux et à la responsabilité du « virus ».
« Le Virus
Pandémie post-apocalyptique de science-fiction »

Idée de prochain livre ?

Lorsque nous tentons de déterminer la vérité sur quelque chose, nous devons retracer les preuves aussi loin que possible pour vérifier l’exactitude des informations présentées. Si nous ne le faisons pas, nous parlons d’un sujet du point de vue de l’ignorance. En ce qui concerne les « virus », cela signifie parcourir plus de 100 ans de recherche afin de savoir si l’existence des particules invisibles supposées causer la maladie a déjà satisfait à la charge de la preuve scientifique en accomplissant les étapes requises de la méthode scientifique. Quiconque examine la virologie ouvertement et honnêtement arrivera à la conclusion que cette tâche indispensable n’a jamais été assumée pour aucun « virus ». Tout ce que l’on a à faire est de choisir un « virus » et de regarder les preuves du document fondamental présenté pour voir si c’est le cas ou non. J’ai fait ce travail pendant les 5 dernières années. J’ai lu les études originales pour voir si jamais les chercheurs ont rempli les exigences scientifiques. Beaucoup de mes pairs ont fait de même. Pour cette raison, nous sommes tous arrivés à la même conclusion que la preuve scientifique de l’existence d’un « virus » n’existe tout simplement pas. Ainsi, nous parlons sur ce sujet non par ignorance, mais par connaissance.

Lorsque Robert Kennedy Jr. a été interrogé sur l’existence de « virus », il a raté le passage de relais et a précipitamment renvoyé la balle. Il a affirmé qu’il n’était pas un scientifique et qu’il n’était pas qualifié pour s’exprimer sur le sujet. Pourtant, RFK a écrit un livre sur l’existence et les origines d’un « virus » dont il a lui-même admis ne pas être qualifié pour discuter ni déterminer. Comment Kennedy Jr. s’est-il soudainement qualifié pour pouvoir écrire un livre entier et de nombreux articles sur le sujet ? Cela ne peut certainement pas provenir de la science, car RFK Jr. a admis ne pas avoir examiné l’histoire des preuves « scientifiques » derrière les « virus ». S’il l’avait fait, il se rendrait compte qu’il n’y a pas de science à trouver, seulement de la pseudoscience. Il ne pourrait provenir d’aucune étude prétendant montrer le génie génétique d’un « SARS-COV-2 », car aucune étude de ce type n’existe. Apparemment, il suffit d’une « fuite » d’e-mails et de pures spéculations pour être qualifié pour parler de la mystérieuse origine artificielle d’un « virus ».

Malheureusement, cela ne se limite pas à RFK Jr. Aucun de ceux mentionnés précédemment dans cet article (et beaucoup d’autres non inclus) n’est disposé à examiner l’existence de « virus » ouvertement et honnêtement, ni avec une pensée et une logique critiques. On se heurte régulièrement à des excuses liées au gain de fonction et à la génomique, des « avancées » récentes qui ne pourraient avoir de légitimité que si l’existence du « virus » en question avait été scientifiquement prouvée au préalable. Certains essaient même de justifier l’abâtardissement du mot « isolement » par la virologie. Le plus souvent, on nous dit que les « virus » ne peuvent pas être trouvés directement dans les fluides humains, car il n’y en a pas assez (pourtant il y a suffisamment de « virions » pour provoquer des symptômes) et que les « virus » ont besoin d’une cellule hôte (pour une raison pour laquelle l’hôte malade réel ne compte pas) afin de se répliquer. En quelque sorte, la logique échappe à ces personnes que ces informations sur la façon dont les « virus » fonctionnent et se développent ne pourraient pas être obtenues sans avoir trouvé le « virus » dans la nature et/ou dans les fluides d’un humain malade d’abord afin qu’« il » soit étudié. Évoquer une soupe de culture cellulaire dans un laboratoire et prétendre que les effets prouvent une cause n’est pas la façon dont la science fonctionne. C’est cependant ainsi que fonctionne la pseudoscience et ces personnes feraient bien d’apprendre la différence.

Il n’y a pas que le « virus » qui manque ici…

Si RFK Jr. et ses amis arrêtaient de chasser et de promouvoir la science-fiction et apprenaient à comprendre les sciences naturelles, ils se rendraient compte que la vérité sur le manque de preuves scientifiques des « virus » n’entrave pas ce mouvement de liberté de la santé, mais le renforce plutôt énormément. Une fois qu’ils auront réalisé que les « virus » n’existent pas et ne peuvent donc pas être fabriqués comme des armes biologiques, ils peuvent arrêter de se battre pour des vaccins « plus sûrs », car ils comprendront qu’il n’y a aucune nécessité pour la pratique toxique. Ils verront qu’il n’y a pas de traitements pharmaceutiques alternatifs nécessaires, car ces produits ne font que favoriser une toxicité supplémentaire à laquelle le corps doit alors faire face. Ils pourront avoir un message beaucoup plus puissant contre les confinements, les quarantaines, la distanciation sociale, le masquage, etc. une fois qu’ils concluent que les infections contagieuses ne se produisent pas, ces mesures sont complètement illogiques et totalement inutiles. Ils argumenteront à partir d’une position de connaissance et de force, car il incombera à ceux qui font les affirmations positives de prouver qu’elles sont correctes conformément à la méthode scientifique. RFK Jr. et ses amis seront libres de sortir du paradigme pharmaceutique et de le considérer comme le système de cycle de maladie basé sur la peur pour lequel il a été conçu.

Cependant, cela ne se produit que s’ils sont prêts à être intellectuellement honnêtes. Pour ceux qui sont prêts à admettre qu’ils ne sont peut-être pas qualifiés pour parler de l’existence de « virus », nous sommes nombreux à vouloir les aider à les éduquer ou à les orienter dans la bonne direction afin qu’ils puissent se faire une opinion éclairée. Pour ceux qui ne veulent pas faire une telle reconnaissance et qui veulent continuer à promouvoir la pseudoscience comme s’il s’agissait de preuves scientifiques légitimes, nous avons une mesure conçue pour résoudre ce problème tout en respectant le plus possible la méthode scientifique. S’ils sont vraiment intéressés par la validation scientifique réelle, il n’y a aucune raison de ne pas la soutenir. Le temps est venu d’abandonner le livre de science-fiction, d’arrêter de raconter des histoires effrayantes au public et d’exiger que la vraie science soit réalisée.




Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous

[Source : Aube Digitale]

Par Marie D. Jones

Le monde des armes non létales a ouvert la porte à des technologies qui permettent de contrôler l’esprit, les pensées, les actions et les comportements d’une personne par le biais d’émissions de micro-ondes pulsées à haute fréquence, de transmissions électriques et d’ondes thermiques et sonores dirigées.

[Voir aussi :
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Optogénétique – la voie planifiée vers un contrôle sans faille de nos cerveaux ?
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction]

Ces dispositifs peuvent contourner nos inhibiteurs habituels et pénétrer dans le corps et le cerveau humains à l’insu de la personne ciblée, jusqu’à ce qu’elle en subisse les conséquences.

Ces techniques sont utilisées depuis des décennies, non seulement à des fins de guerre, mais aussi pour mettre un terme aux manifestations et aux émeutes, réduire au silence et neutraliser les dissidents, et maîtriser les foules indisciplinées.

Le LRAD

Depuis des années, les forces de l’ordre utilisent des armes non létales, notamment le LRAD — Long-Range Acoustic Device — qui émet des ondes sonores pour mettre fin aux comportements en désorientant temporairement les victimes visées. Mais si ces dispositifs servent des objectifs pratiques et facilement identifiables pour les militaires et les forces de l’ordre, il existe une utilisation plus insidieuse de ce type de technologie.

En février 2022, les médias alternatifs ont fait état de l’utilisation du LRAD lors de manifestations contre l’obligation de vaccination à Canberra. La police fédérale australienne a admis avoir utilisé l’appareil lors d’un rassemblement du Convoi pour la liberté de Canberra devant le Parlement.

Un certain nombre de vidéos et d’images ont fait le tour des médias sociaux, montrant des personnes souffrant de diverses blessures, telles que des brûlures dues à la chaleur, des éruptions cutanées et ce qui ressemblait à des lésions provoquées par des allergies. Il a également été fait état de coups de soleil et de symptômes d’insolation, de faiblesse et de lésions auditives temporaires ou permanentes.

Au Sénat fédéral australien, le sénateur Alex Antic a soulevé la question de l’utilisation du LRAD par la police lors de la manifestation de Canberra contre les obligations relatives aux vaccins

Le sénateur One Nation Malcolm Roberts et le sénateur libéral Alex Antic ont porté la question devant le Sénat après que le bureau de Roberts ait été inondé de plaintes de manifestants qui avaient assisté à la manifestation. Le sénateur Antic a montré des photos d’un LRAD déployé aux côtés de membres des forces de police.

Les manifestants ont pris des photos de haut-parleurs LRAD sur des voitures près des sites de rassemblement, mais la réponse a été typique. On leur a répondu que le LRAD n’était utilisé que pour diffuser des communications à la foule.

Malgré le nombre important de victimes, la plupart des réponses aux allégations selon lesquelles le LRAD était utilisé pour affaiblir la foule étaient empreintes de dérision. The Conversation a rapporté le 20 février 2022 que les armes soniques telles que le LRAD étaient utilisées pour « le contrôle de la foule et la communication » et que les rapports de blessures étaient « incompatibles avec ce qu’un LRAD peut réellement faire ». Le LRAD a également été employé lors d’une manifestation Black Lives Matter en Nouvelle-Galles du Sud. La police de Nouvelle-Galles du Sud a répondu aux inquiétudes en déclarant lors d’une conférence de presse qu’« il s’agissait d’un haut-parleur normal ».

La première application officielle du LRAD a eu lieu en 2000 sur le destroyer américain à missiles guidés USS Cole, lorsqu’il a été bombardé par un petit bateau lors d’une attaque terroriste. Le personnel naval à bord du Cole a utilisé le LRAD pour héler le bateau, mais sans succès. Depuis lors, le LRAD est devenu une arme de choix pour faire face aux émeutes et aux manifestations. Des unités de LRAD portables ont été photographiées avec la police lors des manifestations du Convoi canadien pour la liberté à Ottawa, au Canada, en février 2022.

Le LRAD est souvent utilisé en mode haut-parleur pour communiquer avec la foule, mais il peut également être activé en mode infrasons et ultrasons pour causer différentes blessures et rendre malades et débilitants les émeutiers ou les manifestants. Comme nous ne pouvons pas entendre les infrasons ou les ultrasons, nous n’avons aucune idée que l’arme est utilisée sur nous jusqu’à ce qu’il soit trop tard.

L’utilisation d’un dispositif acoustique à longue portée pour diriger le son a suscité l’inquiétude des groupes de défense des droits de l’homme en raison des volumes sonores supérieurs à 90 décibels, qui peuvent endommager l’ouïe d’une personne. Comme le faisceau du LRAD ne fait pas de discrimination, toute personne se trouvant sur son chemin sera blessée, y compris des passants innocents et des enfants.

Dans un article intitulé « La police a-t-elle utilisé des armes soniques contre des Australiens qui protestaient pacifiquement contre la tyrannie du Covid ? », Reignite Democracy Australia a averti que l’utilisation du LRAD était « un autre pas vers la suppression militarisée des protestations légales en Australie ».

Ils ont déclaré qu’il s’agissait d’une attaque scandaleuse du gouvernement contre son peuple. Les médias, comme prévu, ont fait de la propagande pour étouffer l’affaire, mais les manifestants de Canberra ont utilisé tous les médias sociaux pour montrer ce qui se passait sur le terrain et, pour eux, à quel point la démocratie en Australie était tombée.

Un coup de chaud

En septembre 2020, le journaliste Matt Novak de Gizmodo a écrit un article intitulé « Les troupes américaines se sont renseignées sur l’utilisation d’une arme à rayon thermique contre les manifestants, selon un lanceur d’alerte ». Selon le témoignage sous serment dudit lanceur d’alerte, les troupes fédérales à Washington, D.C. ont envisagé d’utiliser des canons sonores et des rayons thermiques de haute technologie contre les manifestants devant la Maison-Blanche en juin de cette année-là.

Les armes thermiques n’étaient pas nouvelles en 2020. Le système de déni actif (ADS) est le nom fantaisiste de l’utilisation de faisceaux de micro-ondes invisibles qui provoquent une douleur incroyable en brûlant la peau des gens, même à distance. Les troupes américaines ont utilisé l’ADS pour la première fois en Irak après l’invasion en 2003. Certains pensent que le gouvernement américain les utilise sur son propre sol.

L’ADS produit une chaleur brûlante qui n’est pas conçue pour tuer, mais pour blesser. Comme les armes sonores, les armes thermiques sont considérées comme non létales et destinées à provoquer la douleur pour disperser une émeute ou une grande foule.

Mis au point par l’armée de l’air américaine et construit par Raytheon Technologies, l’ADS peut produire des rafales d’énergie d’une longueur d’onde de l’ordre du millimètre capables de pénétrer de 1 cm dans la peau humaine. Cela suffit à agiter les molécules d’eau dans le derme et à produire une sensation de brûlure suffisamment forte pour empêcher une personne de faire ce qu’elle fait.

L’ADS a une portée de plusieurs centaines de mètres et peut être orienté comme un projecteur. Des tests approfondis ont montré qu’aucun humain ne peut résister au faisceau pendant plus de quelques secondes.

Armes à énergie dirigée

Les armes à énergie dirigée comprennent tout type d’énergie dirigée, que ce soit sous forme de lumière, de son, de chaleur, d’électricité ou d’énergie cinétique, vers une cible ou une personne spécifique. Ces types de dispositifs ne sont pas nouveaux.

La machine russe LIDA, qui utilise des impulsions électromagnétiques pour épuiser une cible ou la priver de sommeil, est utilisée depuis avant les années 1980. La chaîne d’information CNN a diffusé un reportage spécial sur les travaux du Dr Ross Adey, qui a étudié la LIDA Machine et est apparu avec une de ces machines dans l’émission.

Le LIDA peut émettre des impulsions sonores, lumineuses et de chaleur radiante, mais généralement uniquement vers une personne se trouvant à proximité. À cette époque, Adey et son collègue, le Dr Eldon Byrd, étudiaient le LIDA comme une arme potentielle.

Certains des symptômes ou indicateurs d’une attaque par arme à énergie dirigée seraient les suivants :

  • – Réveil soudain à la même heure la nuit, comme s’il était provoqué par une force extérieure
  • – Sensations de piqûres ou d’aiguilles chaudes au plus profond de la chair, en particulier alors que l’on essaie de dormir
  • – Vibration des muscles et des parties du corps ou d’objets immobiles à proximité
  • – Battements de cœur rapides et violents et sifflements dans les oreilles
  • – Chaleur corporelle très élevée malgré un environnement frais et l’absence de fièvre réelle
  • – Fatigue soudaine et extrême

Les « armes à faisceau » à énergie dirigée utilisent la lumière et les ondes radio comme munitions. L’armée américaine étudie ces armes à énergie pulsée depuis des décennies. Un article paru en 2005 sur le site Web de MSNBC, intitulé « Malgré les promesses, les armes à faisceau d’énergie manquent toujours à l’appel », affirme que ces impulsions, qui se comportent un peu comme les phaseurs de Star Trek, peuvent constituer une forme de puissance de feu précise, instantanée et inépuisable sur les futurs champs de bataille — si la technologie est un jour réalisée sur le plan logistique.

Il semblerait que le moment soit venu de concrétiser ce potentiel. Au début de l’année 2022, le Naval Surface Warfare Center de la marine américaine a créé une nouvelle division qui se concentre sur la recherche et le développement d’armes à énergie dirigée à micro-ondes de haute puissance (HPM).

Au cours des cinq dernières années, les armes à énergie dirigée ont constitué une priorité de haut niveau pour le bureau du secrétaire américain à la défense, le financement de la recherche et du développement ayant à peu près doublé au cours de cette période.

D’autres pays admettent qu’ils développent également des armes à micro-ondes et des lasers à haute énergie.

Les projets de lasers à haute énergie et de HPM nécessitent des coûts de développement importants, mais le coût par tir est extrêmement faible comparé au coût de plusieurs millions de dollars d’un missile.

Selon les rapports de presse de la défense, le HPM peut brouiller des dispositifs et détruire physiquement des systèmes électriques. Ces rapports ne révèlent pas ce qu’il fait à un corps humain.

En 2022, on a également annoncé que des systèmes d’armes à micro-ondes à énergie dirigée pourraient être placés sur des drones de transport lourd pour abattre des essaims de drones.

Le syndrome de La Havane

Les armes à énergie dirigée sont peut-être l’étoffe des futures stratégies de champ de bataille, mais pour de nombreux « individus ciblés », qui déclarent avoir été les destinataires de cette guerre invisible, ces technologies sont déjà utilisées pour contrôler, manipuler, terroriser et harceler en dehors du champ de bataille.

En décembre 2016, des diplomates et des agents de la CIA de l’ambassade des États-Unis à La Havane, à Cuba, ont signalé des symptômes mystérieux qui sont apparus sans prévenir. Il s’agissait de maux de tête, de fatigue, de troubles cognitifs, de perte de vision, de perte d’audition, de vertiges, d’acouphènes et de perte de contrôle moteur.

Plus de 200 autres diplomates ont ensuite déclaré avoir ressenti tout ou partie de ces symptômes, ainsi que des responsables américains en Asie, en Europe, en Australie et aux États-Unis.

Selon Nicholas Davis, qui écrit dans « Qu’est-ce que le syndrome de La Havane ? » pour l’American University de Washington, D.C., en juillet 2021, les victimes ont décrit des vagues de pression à l’intérieur de leur tête, des murs de son, des bruits immenses qui ressemblaient à des essaims de cigales dans leur cerveau.

Dans les années qui ont suivi, plusieurs théories et études ont été élaborées par les agences de renseignement américaines, la Maison-Blanche et des experts médicaux travaillant pour ou en dehors du gouvernement. Le consensus était qu’il s’agissait probablement d’attaques par micro-ondes pulsées qui pouvaient expliquer les symptômes (une autre théorie bizarre était l’exposition aux pesticides).

Même 60 Minutes et New York Magazine ont présenté des reportages, tout comme de nombreuses agences de presse internationales, mais tous ont suggéré que le problème crucial était d’analyser les données pour trouver la cause profonde.

Par exemple, 60 Minutes a évoqué un rapport de l’université de Stanford qui a examiné la nature des lésions cérébrales subies par de nombreuses victimes. Le Dr David Relman, professeur de médecine à l’université de Stanford, a contribué à diriger deux groupes d’experts parrainés par le gouvernement pour enquêter sur les blessures.

« Ce que nous avons trouvé était, selon nous, la preuve évidente d’une lésion du système auditif et vestibulaire du cerveau », a déclaré Relman. « Tout, à commencer par l’oreille interne où les humains perçoivent les sons et perçoivent l’équilibre, puis traduisent ces perceptions en signaux électriques cérébraux. »

L’une des victimes était l’ancien chef de cabinet de la sécurité intérieure américaine, Miles Taylor, qui a déclaré à 60 Minutes qu’il avait été ciblé deux fois dans sa maison de Washington, ce qui sent les histoires des nombreuses personnes ciblées qui éprouvent des symptômes débilitants dans leurs propres maisons ou lieux de travail.

En ce qui concerne les plus de 1 000 rapports sur le syndrome de La Havane, le ministère américain de la Défense et les services de renseignement ont fini par admettre qu’ils ne pouvaient pas identifier « un acteur étatique étranger ou un dispositif ou mécanisme externe à l’un de ces cas ».

S’agit-il d’un groupe terroriste ou d’un acteur étatique, ou du fait que les États-Unis testent leur propre technologie d’armement ? Ce qui est effrayant, c’est que cette technologie permet à ceux qui la possèdent de cibler n’importe qui, qu’il s’agisse d’ennemis de l’État ou de personnes qui s’expriment pour protester contre le gouvernement ou les récits qu’il a choisis.

De plus, comme ces armes à énergie dirigée peuvent être activées par télécommande à une source éloignée de la victime visée, il devient très difficile de capturer les auteurs de ces attaques.

Les Tours 5G

Au cours des premiers confinements mondiaux relatifs au COVID-19 au début de 2020, de nombreux pays ont autorisé la pose de tours 5G en dépit des restrictions, les premières tours ayant été érigées à Wuhan, en Chine, près du laboratoire considéré aujourd’hui comme le berceau du virus, ainsi que dans les villes d’Italie qui ont signalé les premiers cas de COVID, puis dans l’ensemble des États-Unis et d’autres nations.

On peut se demander s’il s’agissait de l’industrie des télécommunications qui profitait de l’occasion pour installer des tours près des écoles, des hôpitaux et des maisons sans trop de contrepartie communautaire, ou d’un plan plus sinistre visant à ériger un réseau mortel de micro-ondes qui serait un jour bien plus insidieux qu’un virus.

L’auteur, chercheur et scientifique clinique Robert O. Young affirme que :

« le RADAR mural, “la méthode Havana” ou “l’effet Havana”, est un dispositif de fréquence électromagnétique [EMF] d’intimidation et d’intimidation sur des stéroïdes pour modifier le comportement humain et forcer la conformité en terrorisant une personne par la douleur et la blessure avec l’intention d’inciter, de provoquer et d’aggraver, et conçu pour humilier, faire honte et même tuer ».

Young détaille ensuite l’étendue et la puissance de cette technologie : « Lorsqu’ils sont pulsés à 2,4 GHz (micro-ondes) et à des fréquences plus élevées, sur des ambassades, des bureaux, des maisons et même des humains contenant de l’OG [oxyde de graphite], ils peuvent alors être spécifiquement utilisés pour des dispositifs d’espionnage d’écoute.

Il n’est pas nécessaire d’entrer par effraction pour placer un microphone dissimulé ; l’écoute peut facilement être réalisée en envoyant un signal de radiofréquence à micro-ondes (MWRF) dans un bâtiment, à travers les murs, en direction d’un humain inoculé de GO, avec ou sans ligne de vue directe. L’appareil peut capter n’importe quelle conversation et localiser n’importe qui, n’importe où dans le monde, à partir de n’importe quelle tour cellulaire DEW [arme à énergie dirigée] sur terre ou de plus de 20 000 satellites DEW depuis l’espace. »

En 1975, l’Assemblée générale des Nations Unies a examiné un projet proposé par l’Union soviétique, intitulé « Interdiction de la mise au point et de la fabrication de nouveaux types d’armes de destruction massive et de nouveaux systèmes de telles armes ». Parmi les derniers systèmes d’armes énumérés figuraient :

  • – Des armes radiologiques qui pourraient produire des effets similaires à ceux d’une explosion nucléaire
  • – Des armes à faisceau de particules utilisant des particules chargées ou neutres pour atteindre des cibles biologiques
  • – Des armes à rayonnement acoustique infrasonique
  • – Des armes électromagnétiques fonctionnant à certaines radiofréquences qui auraient des effets néfastes sur les organes humains.

Malheureusement, les nations occidentales n’ont pas réagi.

D’autres traités, tels que l’interdiction des armes biologiques et chimiques (tant sur le champ de bataille que dans les rues civiles), ont été créés et modifiés, mais apparemment aucun ne met fin à l’invasion de l’esprit humain ou à l’utilisation de moyens tels que les DEW pour le harcèlement et le contrôle du comportement des individus et des groupes. Comme ces armes utilisent les forces invisibles du son, de la chaleur et de la fréquence pour créer un nouveau type d’arme de guerre utilisée à distance, il est beaucoup plus facile pour ceux qui ont des intentions sinistres non seulement de s’en tirer, mais aussi de défier les traités ou les lois.

Judy Wall, rédactrice et éditrice du bulletin d’information Resonance des années 1990, dans un article intitulé « Utilisation militaire du son silencieux : Les armes de contrôle de l’esprit », affirme que des armes d’opérations psychologiques (psyops) ont été utilisées pendant la guerre du Golfe. Il s’agissait d’une « technologie subliminale altérant l’esprit… transmise par des émissions de radiofréquence standard ».

Les bulletins d’information de mars 1991 admettaient que les opérations psychologiques avaient été déployées après la destruction du système de commandement et de contrôle militaire de Saddam Hussein. Un article intitulé « La guerre psychologique de haute technologie arrive au Moyen-Orient » décrit une opération psychologique contre les troupes irakiennes pendant l’opération Tempête du désert, au cours de laquelle des émetteurs américains ont neutralisé les stations irakiennes locales et diffusé de la musique patriotique et religieuse ainsi que des « ordres et informations militaires vagues, confus et contradictoires ».

Wall écrit qu’il est possible qu’une technologie subliminale plus puissante soit également à l’œuvre, utilisant :

« Un système électronique sophistiqué pour “parler” directement à l’esprit de l’auditeur, modifier et entraîner ses ondes cérébrales, manipuler l’électroencéphalographe de son cerveau, c’est-à-dire les schémas EEG, et implanter artificiellement des états émotionnels négatifs — des sentiments de peur, d’anxiété, de désespoir et d’impuissance ».

C’est peut-être la raison pour laquelle, comme le fait remarquer Wall, les troupes irakiennes se sont ensuite rendues en masse, y compris des majors et des commandants de brigade qui ont abandonné leurs unités entières. Quels messages ont pu circuler dans le cerveau de ces soldats qui, à un moment donné, se battaient pour leur cause et ont soudainement abandonné ?

L’autrice et chercheuse indépendante Elana Freeland, dans son essai « Cette ère électromagnétique secrète : Les armes à énergie dirigée (DEW) pour le contrôle politique », décrit la longue histoire et les préoccupations actuelles concernant cette technologie, et la façon dont elle est utilisée sur nous de manière secrète, sans aucun rapport avec la lutte contre le terrorisme.

Elle met en garde : il n’est pas nécessaire d’avoir un diplôme en science de la fusée pour comprendre que le suivi par satellite et les technologies de surveillance à distance ne concernent pas seulement les « terroristes ». La torture et les interrogatoires à distance, les souvenirs déclenchés par les questions sur les neurophones et les analyseurs d’ondes cérébrales permettant des « conversations forcées » et des programmations visent à établir des camps de concentration de prisonniers de guerre électroniques dans nos foyers et sur nos lieux de travail. Il s’agit de viols mentaux et de vol de propriété intellectuelle dans nos pensées…

« Les ensembles préparatoires à la radiodiffusion codés sur des faisceaux de micro-ondes produisent des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des paralysies, etc. Des maladies comme la grippe sont tirées sur des cibles. Les bâtiments où se réunissent des groupes dissidents sont transformés en points chauds instantanés. Les enlèvements gouvernementaux sont déguisés en enlèvements extraterrestres avec des faisceaux de paralysie suivis de l’effacement des mémoires à court terme et de l’implantation de faux souvenirs… »

Nous pourrions tous être des cobayes potentiels.


À propos de l’auteur

Marie D. Jones est l’auteur de nombreux ouvrages non fictionnels, dont les plus récents pour Visible Ink Press, notamment Disinformation and You : Identify Propaganda and Manipulation. Elle a contribué à des dizaines de magazines et est apparue sur la chaîne History Channel et dans plus de 2 000 émissions de radio dans le monde entier. Son site Web est www.mariedjones.com.




Un mythe contagieux

[Source : miriaf.co.uk via RI]

[Traduction : Marie Claire Tellier]

Par Miri

[Note de Joseph : une argumentation profane pleine de bon sens et que l’on peut étayer par des articles sourcés et plus spécialisés présents dans le dossier Vaccins et virus, comme :
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Go Virus Go !
et concernant la 5G par des articles du dossier 5G et ondes pulsées comme :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
et Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

« Nous n’attrapons pas les maladies. Nous les construisons. »

Antoine Bechamp

Chaque fois que j’opine sur le sujet de la prétendue pandémie — que tout a été mis en scène, que les tests sont faux, les chiffres truqués —, sans faute, j’obtiens toujours le refrain d’un certain nombre d’individus : « Je suis d’accord que la menace était exagérée et que les restrictions étaient absurdes, mais il y avait bien un virus. J’étais vraiment malade ».

Nous devons donc examiner ces affirmations un peu plus en détail, car si vous êtes conscient de la nature frauduleuse des tests, des chiffres et du vaccin, mais que vous n’avez pas encore vu la fraude épique et la fabrication derrière l’idée du « virus » (et, en fait, des virus en général), vous manquez une partie cruciale du tableau. Peut-être la partie la plus importante, en fait, car si vous continuez à croire qu’« il y avait un virus » et qu’il était responsable de la mauvaise santé des gens, alors vous êtes, en fin de compte, vulnérable pour tomber dans ce genre de canulars à nouveau.

Je vais donc faire un certain nombre d’affirmations plutôt audacieuses, et je vais les étayer.

  1. Il n’y avait, et il n’y a, aucun nouveau virus respiratoire appelé « Covid ».
  2. Comme il n’y avait pas de Covid, il ne causait pas de maladie, non seulement parce que ce virus particulier n’existe pas, mais parce que :
  3. Les virus ne causent pas de maladie.

Ces affirmations sont toutes vraies et relativement faciles à prouver, mais la raison pour laquelle les gens réagissent avec tant de force contre elles n’est pas parce qu’ils ont des preuves solides, crédibles et reproductibles du contraire (ils n’en ont pas, car il n’y en a pas), mais parce que l’idée que les virus causent des maladies est un principe fondamental de la société moderne et quelque chose qui nous est inculqué pratiquement dès la naissance, étant donné que l’une des toutes premières choses que l’on dit aux nouveaux parents est de vacciner leur bébé pour le protéger contre les virus.

Il convient de noter que le système immunitaire d’un nourrisson est généralement trop immature pour produire la réponse en anticorps que les vaccins sont censés produire et, traditionnellement, les nourrissons n’étaient pas vaccinés avant l’âge de deux ans pour cette raison. La raison pour laquelle on les injecte aujourd’hui dès la naissance est, de l’aveu des tsars de la vaccination, de « former les parents » — par exemple, si votre bébé a parfaitement survécu jusqu’à l’âge de deux ans sans aucun vaccin, vous pourriez très bien en conclure qu’il est très bien sans eux. On ne peut pas accepter cela, alors le régime d’injections commence tout de suite, pour faire croire aux parents que leur enfant n’a survécu à la petite enfance que grâce à toutes les injections.

Cette propagande — selon laquelle les virus sont dangereux et nous devons nous en protéger — est ensuite répétée tout au long de notre enfance, lorsqu’on nous dit d’éviter les amis malades au cas où nous « attraperions » quelque chose d’eux, qu’on nous demande de rester à la maison lorsque nous sommes malades afin de ne pas « répandre nos microbes », etc., et qu’on nous endoctrine encore davantage à l’école, non seulement par le biais des cours de biologie et d’histoire où l’on nous apprend à vénérer Edward Jenner, mais aussi par la vaccination qui a désormais lieu dans les locaux scolaires.

Les écoles ne sont pas des environnements cliniques et sont donc des lieux totalement inadaptés à l’application de puissantes interventions médicales, mais elles procèdent quand même à la vaccination : de manière rituelle et dans le cadre du programme contraignant de modification du comportement et de la pensée — en nous convainquant que nous ne parvenons à survivre jusqu’à l’âge adulte que grâce à toutes ces injections.

Inutile de dire que si on vous fait de la propagande, littéralement du jour de votre naissance jusqu’à l’âge adulte, avec l’idée que les virus sont contagieux et causent des maladies, vous allez y croire. C’est aussi mon cas. Pourtant, je peux vous assurer que ce n’est pas vrai et que, comme la plupart de ce qui est enseigné dans les écoles publiques (y compris les écoles de médecine), c’est une propagande sournoise conçue par les classes dirigeantes pour maintenir la plèbe à sa place.

La peur des virus contagieux est une arme tellement épique pour les classes dirigeantes qu’il s’agit vraiment de l’un de leurs plus grands et plus diaboliques coups de maître, qui leur permet de tout faire, de la stérilisation des jeunes (voir les vaccins contre le VPH) à l’euthanasie des personnes âgées (voir les vaccins contre la grippe), en passant par l’imposition d’une tyrannie anti-humaine à la population quand bon leur semble, simplement en déclenchant la peur de la population qu’ils ont créée à propos des « virus mortels ». Rappelez-vous qu’une interprétation du mot PEUR est une fausse preuve qui semble réelle.

Ainsi, pour démonter le canular des « virus mortels » (et c’est un canular), nous devons d’abord examiner comment la théorie conventionnelle des modèles de maladie caractérise les virus. Ils sont dépeints presque comme des méchants de dessins animés, des mercenaires microscopiques capables de sauter dans l’air d’une personne à l’autre, de prendre d’assaut la myriade de défenses complexes de votre corps, puis de commencer à faire des choses ignobles à l’intérieur de vous qui provoquent des maladies redoutables.

Pourtant, un virus n’est pas un être vivant comme l’est, par exemple, un parasite. Un parasite peut en effet vous être transmis par une personne infectée et provoquer toutes sortes de symptômes désagréables, car les parasites sont vivants et ont donc la capacité de se nourrir — d’absorber de l’énergie — ce qui leur donne la possibilité de faire des ravages sur leurs hôtes. La clé pour se débarrasser d’un parasite est donc de l’affamer (les parasites, comme la plupart des entités pathogènes, y compris le cancer, aiment le sucre).

Un virus, en revanche, n’a pas la capacité de se nourrir. Il ne peut pas respirer. Il n’a pas de cerveau ou de système nerveux. Il n’est pas « vivant », quelle que soit la définition raisonnable que l’on donne à ce terme. Dans ce cas, un défenseur de la contagion virale peut-il expliquer comment une entité non vivante, qui ne peut absorber d’énergie pour se nourrir, est néanmoins capable de parcourir d’énormes distances, de vaincre les membranes puissamment protectrices de notre peau, de nos yeux, de notre nez et de notre bouche, de notre système digestif, puis d’avoir ENCORE l’énergie (qu’elle n’avait pas au départ) pour commencer à provoquer de graves symptômes de maladie ?

Pas étonnant qu’ils doivent commencer à nous faire de la propagande avec ce genre de choses à l’âge de cinq ans, sinon personne n’y croirait jamais.

Quelque chose qui n’est pas vivant et qui n’a pas d’alimentation en énergie ne peut pas se comporter de la manière dont la théorie de la « contagion virale » dit que les virus le font. J’ai déjà écrit que l’ensemble du domaine de la vaccinologie est essentiellement une escroquerie, fondée sur une pseudo-science et un charlatanisme dépassés depuis longtemps — tout comme le domaine de la virologie conventionnelle. C’est de la science-fiction, pas un fait fondé sur des preuves. Personne n’a pu prouver — jamais — que les virus volent dans l’air, s’insèrent dans les gens et commencent à causer des maladies.

Tout ce que l’on a pu prouver, c’est que lorsque les gens sont malades, ils sont testés positifs pour certains virus. Si le test est fiable (et c’est un grand « si » — il ne l’est certainement pas s’il s’agit de la PCR), alors tout ce que cela prouve, c’est qu’un virus est présent dans le corps d’une personne au moment où elle est malade. Cela ne prouve pas que le virus est responsable de la maladie ni que la personne a attrapé le virus d’une autre personne.

Donc, revenons aux personnes qui disent « il y avait définitivement un virus. J’étais vraiment malade. »

Le fait que vous étiez malade ne prouve pas qu’il y avait un virus. Cela prouve seulement que vous étiez malade. Même si vous avez été testé positif au test Covid — et même si ce test était fiable (ce qui n’est pas le cas) — cela ne prouve pas qu’un virus est responsable de vos symptômes. Cela montre simplement qu’il est présent lorsque vous êtes malade. C’est un peu comme si vous disiez : « Des déchets ont été jetés dans mon jardin, puis des rats sont apparus. Il est donc clair que les rats sont la cause des ordures dans les jardins. »

La principale raison pour laquelle les gens semblent avoir du mal avec cela — avec l’idée qu’il n’y a pas de Covid et que les virus en général ne causent pas de maladie — est qu’ils sont catégoriques : la maladie qu’ils ont connue en 2020 était « différente de toutes celles que j’ai eues auparavant ».

Écoutez : je n’essaie pas de dévaloriser l’expérience de quiconque en disant cela, mais, sérieusement — j’entends cela CHAQUE année. Chaque année, sans exception, les gens disent qu’ils ont été très malades et qu’ils n’ont jamais été aussi malades de leur vie. Dans certains cas, bien sûr, ils ont raison — à un moment donné, nous sommes plus malades que nous ne l’avons jamais été — mais souvent, les gens oublient à quel point les maladies « normales » peuvent vous faire sentir mal. Un « simple » rhume peut vous faire rester au lit pendant des jours, vous sentir absolument mal et ne pas être en mesure d’accomplir les tâches quotidiennes les plus élémentaires. Nous disons que les rhumes ne sont pas graves, non pas parce qu’ils ne vous font pas sentir sérieusement mal, mais parce qu’ils ne durent pas longtemps et n’ont pas d’effets secondaires graves.

La grippe, quant à elle, n’est certainement pas anodine et peut vous donner l’impression d’être aux portes de la mort — et elle peut entraîner des hospitalisations, en particulier pour les personnes présentant des comorbidités. Il est donc faux de dire « ce n’était pas un rhume ou une grippe normale parce que je me suis sentie très mal ». Les rhumes normaux, et surtout les grippes, peuvent vous rendre très malade.

Il est cependant théoriquement possible que vous ayez vécu quelque chose de différent en 2020, car il est théoriquement possible que les classes dirigeantes aient manipulé l’environnement d’une manière ou d’une autre pour augmenter les symptômes de mauvaise santé, par exemple en augmentant les champs électromagnétiques (lorsque nous sommes allés dans une zone 5G fortement saturée, mon mari a rapidement saigné du nez, le premier et le dernier qu’il ait jamais eu depuis que je le connais), ou en mettant plus de poisons que d’habitude dans l’eau du robinet, comme ils l’ont fait dans le célèbre scandale de l’empoisonnement à l’aluminium de Camelford.

Il est possible qu’ils aient fait cela. Mais — et c’est là le point essentiel, alors pardonnez-moi si je le répète plusieurs fois — il n’est pas possible qu’ils aient libéré un virus qui ait causé des problèmes de santé, car ce n’est pas quelque chose que les virus sont capables de faire.

Si, comme le veut la théorie du complot soutenue par l’establishment, « Covid a été produit dans un laboratoire et libéré », savez-vous ce qui se passerait ? Rien. Si un virus était fabriqué dans un laboratoire et pulvérisé partout, il tomberait par terre et ne ferait rien, et l’histoire s’arrêterait là.

Donc, aucun virus n’a rendu qui que ce soit malade, et personnellement, je doute même qu’il y ait eu une tentative coordonnée ou nationale d’augmenter la maladie par d’autres moyens, parce que ce n’était tout simplement pas nécessaire. La télévision a créé toute la peur, l’hystérie et la conformité nécessaires, chez des personnes en parfaite santé. Ils n’avaient pas besoin d’être rendus malades pour croire à la pandémie et se conformer à la tyrannie.

Cependant, je vais le répéter encore une fois parce que c’est tellement vrai — le pouvoir de l’esprit est exceptionnellement fort. Si vous croyez qu’il existe un virus dangereux et que vous pouvez l’« attraper », vous êtes beaucoup plus susceptible de développer les symptômes de ce prétendu virus que les personnes qui ne croient pas en son existence.

Nous savons tous à quel point l’esprit peut être rusé dans ce domaine. Par exemple, si vous tapez « mal de tête » sur Google, en cinq minutes, vous vous serez convaincu que votre mal de tête bénin dû à la déshydratation est en fait une tumeur cérébrale, car vous avez certainement tous les autres symptômes d’une tumeur cérébrale… C’est tout simplement la vérité que lorsque nous avons certaines croyances sur notre santé, notre corps commence à manifester ces symptômes. Si vous avez cru à l’existence de Covid — même si vous avez vu à travers d’autres parties de la pandémie — que vous étiez simplement plus susceptibles de développer les symptômes que l’on nous a indiqués Covid.

Il est également crucial de noter que rien ne prouve qu’il y ait eu plus de maladies graves en 2020 qu’au cours des autres années. Lorsque je dis « il n’y a pas de Covid », cela est souvent interprété à tort comme si je disais « il n’y a pas de maladies graves et de décès ». Bien sûr qu’il y en a, et bien sûr qu’il y en a toujours eu – des millions de personnes ont été malades en 2020, dont certaines gravement, comme toutes les autres années. Des dizaines de milliers de personnes sont mortes, comme chaque année. Mais, lorsque vous retirez de l’équation les décès institutionnels induits par les médicaments et les ventilateurs (par exemple, les maisons de soins et les hôpitaux qui tuent des patients qui, avec les traitements appropriés, auraient pu guérir), vous pouvez constater que les taux de maladie et de décès en 2020 n’étaient en rien exceptionnels ou inhabituels.

Pour être clair, il n’y a pas eu plus de patients souffrant de maladies respiratoires graves en 2020 que les années précédentes, c’est juste que les années précédentes, ces patients étaient diagnostiqués avec la grippe et la pneumonie et en 2020, ils étaient diagnostiqués avec le Covid. Alors bien sûr, vous avez pu être malade en 2020, voire très malade. Mais rien ne prouve que vous étiez plus susceptible d’être malade en 2020 qu’en 2019, 2018 ou 2017.

De plus, et c’est un point crucial que l’establishment voulait absolument supprimer au plus fort de la fausse peste, en étant très sévère avec ceux qui l’exposaient, les hôpitaux étaient plus vides qu’ils ne l’avaient jamais été dans l’histoire. Si toutes ces personnes étaient frappées par une nouvelle maladie mystérieuse et grave, où étaient-elles ? Pourquoi les hôpitaux n’étaient-ils pas « débordés », comme on nous l’avait dit ? Pourquoi les débordements d’urgence de Nightingale n’ont-ils jamais été utilisés ?

C’est parce que la grande majorité des personnes malades n’avaient que des maladies saisonnières ordinaires et n’étaient pas assez malades pour aller à l’hôpital — comme chaque année. C’est pourquoi, et c’est un fait incontestable, s’il y avait eu une nouvelle maladie grave, les hôpitaux auraient été pleins à craquer. Ils ne l’étaient pas.

En outre, rappelez-vous tous les ministres « hypocrites » qui enfreignaient toutes les règles, organisaient des fêtes et avaient des liaisons, etc. Demandez-vous si ces célèbres politiciens égoïstes auraient agi de la sorte s’ils avaient cru qu’il y avait le moindre risque qu’ils attrapent « un virus dangereux ».

Boris Johnson lui-même a fait la fête avec les meilleurs d’entre eux, bien qu’il soit censé être « un survivant du Covid » avec un nouveau bébé vulnérable à la maison ! Pensez-vous qu’il s’exposerait, lui et sa famille, à des risques sérieux en se rendant à des événements « super-propagateurs » comme les fêtes s’il existait réellement un virus qu’il pourrait attraper et propager ? Bien sûr que non. Il n’a jamais eu de « Covid », c’était encore une fois du théâtre politique mal joué. Boris et ses coéquipiers savaient tous qu’ils ne couraient aucun risque pour leur santé en faisant la fête et en s’adonnant à la drague, car ils savaient qu’il n’y avait pas de virus. Rien ne se « propageait ». Rien n’avait été « libéré d’un laboratoire ». Tout cela n’était que de la propagande sans fondement destinée à effrayer les gens pour qu’ils se conforment à la loi, car, si c’était vrai, les ministres se seraient recroquevillés dans des combinaisons de protection à l’intérieur de leurs demeures, en pulvérisant du désinfectant sur le facteur — et non en faisant la fête.

Ces députés ont été cloués au pilori dans la presse et par le public pour leur « hypocrisie », mais ils n’étaient pas hypocrites — ils étaient menteurs. Ils ont fait de la propagande en utilisant des techniques de modification du comportement basées sur la peur, pour faire croire à une menace mortelle qu’ils savaient eux-mêmes ne pas exister.

Et c’est parce que c’est tout ce dont l’élite avait besoin. De la peur. Ils n’avaient pas besoin d’un véritable virus, car ils savaient que le simple fait de dire aux gens qu’il y en avait un suffirait : c’est ainsi que fonctionne la psychologie humaine et c’est le message précis de la fable Les nouveaux habits de l’empereur. Les conspiraquats fous comme moi sont l’équivalent du petit garçon impudent qui saute en l’air sur les lignes de touche en criant « mais l’Empereur est nu ! ». Si vous regardez ce qui est réellement là, plutôt que ce que l’État vous dit de voir, il est évident qu’il l’est. Toutes les preuves réelles montrent qu’il l’est. Mais vous n’avez pas le droit de le dire.

Je sais qu’il est très difficile de se faire à l’idée que les classes dirigeantes puissent nous tromper à une échelle aussi colossale, laissant plus d’une personne perplexe demander, mais POURQUOI, je ne comprends pas POURQUOI ils feraient cela.

Pour répondre à cette question, il faut comprendre que nos classes dirigeantes ont un complexe de Dieu pathologique et croient qu’elles peuvent plier la réalité à leur volonté en remplaçant la réalité objective par leurs mirages, leurs illusions et leurs mensonges. Si je disais à un membre de l’élite dirigeante « les virus ne causent pas de maladies », il me répondrait « c’est vrai, mais parce que maintenant le monde entier croit qu’ils le font et se comporte comme s’ils le faisaient, c’est maintenant la réalité. Nous avons créé cette réalité par le pouvoir même de notre propre volonté ».

On peut penser que les élites dirigeantes sont comme le personnage « Christoff » du film The Truman Show — des obsédés du contrôle impitoyables qui croient avoir le pouvoir et le droit de créer des mondes entiers fabriqués autour des gens, de leur mentir sans relâche et de faire des efforts extraordinaires pour obscurcir la vérité — car lorsque vous pouvez persuader les gens d’investir si profondément dans un mensonge, vous avez un contrôle total sur eux. « Ceux qui peuvent vous faire croire des absurdités peuvent vous faire commettre des atrocités. » – Voltaire. Quelqu’un aurait-il imposé une partie de la tyrannie de Covid, y compris administrer et recevoir des injections mortelles, s’il ne croyait pas aux « virus mortels » ? De toute évidence, non, et c’est donc le pouvoir que les classes dirigeantes exercent aujourd’hui en ayant inventé ce canular vieux de plusieurs siècles.

Si vous réfléchissez à la théorie des virus en termes simples, vous pouvez commencer à voir qu’elle ne résiste à aucun examen, car il y a 7 milliards de personnes dans le monde, dont beaucoup sont très mobiles, et qui contiennent toutes sortes de virus (on estime que la personne moyenne en contient au moins cinq). Alors pourquoi tout le monde n’est-il pas constamment malade ? Pourquoi ne sommes-nous pas constamment infectés et réinfectés à chaque fois que nous interagissons avec d’autres personnes ? Pourquoi la personne moyenne n’est-elle malade qu’une ou deux fois par an, même les personnes qui ont une vie très mobile et centrée sur les gens, comme celles qui travaillent dans des pubs et entrent en contact avec des centaines d’inconnus potentiellement « porteurs de maladies » chaque semaine ? Plus précisément, pourquoi les infirmières et les médecins ne sont-ils pas constamment atteints de maladies virales, étant donné qu’ils sont constamment en contact avec des personnes malades qui en sont atteintes ?

C’est parce que l’on n’attrape pas les maladies. Comme Antoine Bechamp nous l’a dit, on les construit.

Vous tombez malade lorsque la toxicité de votre corps (due aux toxines présentes dans la nourriture et les boissons, dans l’air, aux CEM, au stress émotionnel, etc.) atteint un point critique et que votre corps a besoin de l’évacuer. C’est ce qu’est un rhume ou une grippe. Une désintoxication de tout le corps qui expulse toutes les toxines (par la toux, les éternuements, la fièvre, etc.). À ce stade, vos cellules produisent des virus pour faciliter la désintoxication et le nettoyage interne. Vous pouvez considérer les virus comme une sorte de savon, et la terrible ironie est qu’ils ne sont pas des ennemis dangereux et malveillants qui essaient de contrecarrer votre bonne santé, bien au contraire. Ils essaient de vous aider, car (et toute l’industrie pharmaceutique est absolument terrifiée par le jour où les gens réaliseront ce fait ineffable) votre corps n’essaie pas réellement de vous tuer. Au contraire, chaque cellule de votre corps se consacre à vous maintenir en vie, et votre corps possède un large éventail de capacités magistrales exclusivement consacrées à vous protéger et à vous préserver.

Les gens tombent souvent malades au même moment parce que a) les personnes qui vivent ou travaillent ensemble sont exposées aux mêmes toxines, et b) nos corps sont synchronisés et communiquent — voir la synchronisation menstruelle — et un corps qui fait une cure de désintoxication peut envoyer des signaux puissants aux corps voisins pour leur dire que cet environnement est un peu toxique et qu’une cure de désintoxication ne serait pas de refus.

Cela ne signifie pas que quelqu’un a « attrapé » quelque chose d’un autre (je le demande à nouveau : pourquoi les médecins et les infirmières ne sont-ils pas constamment malades ? Après tout, ils sont constamment entourés de personnes malades et, à moins qu’ils ne travaillent en combinaison de protection, ils ne peuvent éviter les contacts étroits).

Si la théorie virale et les modèles de contagion étaient un tant soit peu vrais, alors tout le monde, à part les ermites, serait constamment malade, y compris et surtout les personnes qui ont beaucoup de contacts avec les autres. Et pourtant, il n’existe aucune preuve scientifique montrant que quelqu’un qui travaille dans un pub – rencontrant des centaines de nouvelles personnes par semaine — est plus susceptible de tomber malade que quelqu’un qui travaille dans un bureau — voyant la même petite sélection de personnes chaque jour. Si la théorie virale était vraie, non seulement les emplois en contact avec le public seraient trop dangereux et il serait impossible de retenir les employés (parce qu’ils seraient constamment en arrêt maladie), mais la race humaine n’existerait pas, ayant été éliminée par des contagions virales il y a des lustres. En effet, si la théorie virale était vraie, il n’y aurait plus personne en vie pour y croire.

Soyons clairs, il existe divers poisons dans l’environnement et notre monde est plus toxique qu’il ne l’a jamais été. Alors, bien sûr, les gens tombent malades. Si vous empoisonnez un organisme vivant suffisamment souvent, même avec une faible dose de poison, il finit par tomber malade. Mais cela ne signifie pas qu’il y a, qu’il y a eu ou qu’il pourrait y avoir une épidémie virale. Ce n’est pas une chose qui peut arriver, et la raison pour laquelle l’establishment a investi tant d’argent dans les films de « peste » au cours des dernières décennies (Contagion, Outbreak, World War Z, etc.) est de manucurer l’esprit des gens pour qu’ils y croient. Mais l’idée d’une peste virale contagieuse est tout aussi fictive que n’importe lequel des films susmentionnés, et l’établissement vous le dit assez explicitement.

Lorsque j’ai regardé Contagion en 2019, environ un an avant que Covid ne fasse ses débuts, j’ai immédiatement su ce qu’ils nous disaient et j’ai fait un post prédisant une fausse peste, mise en scène pour contraindre les gens à prendre un vaccin dangereux. Non seulement les réalisateurs de Contagion nous ont dit que cela allait arriver (dans les suppléments du DVD, ils déclarent « Contagion n’est pas une œuvre de fiction, cela va se produire pour de vrai, c’est une question de quand, pas de si »), mais Matt Hancock lui-même a confirmé que le Royaume-Uni a basé sa réponse à la pandémie sur le film.

Les scénaristes de la fausse peste ont ensuite donné le premier vaccin à « William Shakespeare », dont la citation la plus célèbre est « all the world’s a stage » — et en rapportant cette sombre petite blague, Matt Hancock n’a littéralement pas pu garder son sérieux.

Donc, vous l’avez. Les producteurs et réalisateurs derrière « Covid ! The Plague Blockbuster » vous ont dit très clairement et dès le début que ce n’est pas réel, que c’est une mise en scène, un scénario et que cela ressemble à un film — et je ne fais donc que répéter leur révélation (parce qu’ils nous disent toujours ce qu’ils font, un phénomène connu sous le nom de « révélation de la méthode », si vous apprenez simplement à interpréter ce qu’ils disent. Par exemple, ils déclarent que le vaccin est « sûr et efficace ». Mais ils ne disent pas pour qui et de quelle manière. Est-il « sûr » parce qu’ils sont immunisés contre les poursuites judiciaires, et « efficace » parce qu’il fait exactement ce qu’ils voulaient qu’il fasse) ?

Pour reprendre notre véritable pouvoir à ces sorciers sombres et maléfiques (remarque : Hollywood porte le nom du bois de l’arbre Holly, traditionnellement utilisé par les sorciers pour fabriquer des baguettes), il est essentiel que nous voyions à travers leurs illusions et que nous n’investissions en aucune façon dans leurs envoûtements et leur magie noire.

L’idée de « virus mortels contagieux » est un canular. Personne n’a jamais pu prouver que les virus sont directement transmissibles ni qu’ils sont à l’origine des symptômes des maladies, et ils ne pourront jamais le prouver, car ce n’est pas vrai.

Il s’agit d’une introduction relativement brève sur le sujet, et il existe une multitude d’informations complémentaires étonnantes, comme le livre Virus Mania et la série documentaire The Viral Delusion (parce que je sais que les gens répondront à ce commentaire par « mais qu’en est-il d’Ebola ? Et la polio ? » — vous trouverez toutes les réponses que vous cherchez dans ces documents, et bien d’autres encore).

Pour conclure, je voudrais simplement répéter ce qu’Antoine Bechamp nous a dit, il y a des centaines d’années, sur la véritable nature de la maladie — parce qu’en fait, cela aurait pu remplacer tout l’essai — « nous n’attrapons pas les maladies. Nous les construisons. »




Nanotechnologie et « vaccins »

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

Nanotechnologie et « vaccins » : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés !

Adresse MAC

Nous avons examiné, dans un article précédent, ce que voulait dire l’adresse MAC. MAC = Media Access Control. C’est un code de 48 bits, permettant d’identifier un appareil qui se connecte à un réseau IG local ou à Internet. Ce code est divisé en 6 blocs de 2 caractères décimaux d’accès. Les trois premiers sont connus sous le nom de O.U.I. (Organisation Unique Identifiée)

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X]

Les trois suivants sont appelés NICS (Network Interface Controller Specific). Tout cela constitue le numéro de série ou l’identifiant de l’appareil lui-même. Dans le contexte des « vaccins anti Covid », le code MAC signifie le code qui valide des adresses MAC sur un réseau sans fil Bluetooth.

Ces adresses MAC, contrairement à celles d’un appareil normal, se caractérisent par l’absence d’identifiant connu du fabricant. En d’autres termes, ils sont inconnus. Cela peut être vérifié en consultant toutes les bases de données des fabricants d’appareils électroniques. Ces adresses MAC n’existent donc chez aucun des fabricants.

En activant la fonction Bluetooth de votre téléphone portable, vous pouvez constater qu’apparaissent des codes MAC des appareils qui se trouvent dans votre environnement, des appareils connus et aussi des inconnus… On retrouve donc éventuellement son imprimante, son casque, une enceinte acoustique, d’autres téléphones… Quant aux adresses MAC inconnues, elles sont dynamiques ou variables. Leur période de diffusion est également variable. Des spécialistes de ces questions, comme Germàn Sarlangue, Julien Devilleger et d’autres, ont observé que ces codes étaient à mettre en lien avec les injections d’ARNm de Pfizer et Cie… Ils ont également remarqué que ce phénomène MAC n’existait pas lorsqu’il était recherché sur les personnes non « vaccinées ».

Il est à remarquer que les dernières mises à jour d’Androïde, désactivent dans certains cas, cette fonction sur le téléphone. Pour inverser ce phénomène, vous devez désactiver les options de développement du téléphone et vérifier en revanche que les options liées à Bluetooth ne sont pas désactivées, en particulier l’option d’affichage MAC sans nom. Sur les téléphones Apple, vous pouvez également vérifier si les applications du scanner BLI sont installées.

Maintenant, faites cette expérience : recherchez un tronçon de route à faible trafic et à faible vitesse et où il n’y a pas de circulation piétonne dans la zone.

Activez la fonction Bluetooth de votre téléphone en bordure de cette route. Vous allez découvrir qu’une adresse MAC va apparaître sur l’écran de votre téléphone, lorsque la personne présente dans son véhicule a été « vaccinée » ; puis, cette adresse va progressivement disparaître avec l’éloignement de son véhicule. Si, dans certains cas, l’adresse MAC n’apparaît pas, c’est que la personne présente dans son véhicule n’a pas été « vaccinée » ou que la dose d’oxyde de graphène n’a pas encore été suffisante pour déclencher l’autofabrication du système intracorporel de nanocommunication…

En 2021, un ami était convié aux obsèques d’une personne que l’on enterrait suite à une mort brutale par AVC. Arrivé au cimetière où avait lieu la cérémonie, il recevait une alerte sur son téléphone portable lui indiquant la détection d’adresses MAC : il y en avait cinq ! Il conservait une sauvegarde de cette preuve pour un article qu’il devait publier lui aussi sur un média indépendant. Vaccinés, même si vous êtes morts et enterrés, le code MAC continue d’émettre ses chiffres jusqu’au moment où le graphène sera dégradé par le temps, les substances environnementales, ou le feu d’une crémation future !

Comme la plupart des lecteurs, je me suis interrogé sur la réelle capacité des nanotechnologies à pouvoir constituer un véritable réseau fonctionnel et suffisamment indépendant en énergie pour fonctionner. Les découvertes dans le domaine de l’infiniment petit et l’alimentation électromagnétique à partir d’ions et non plus d’électrons — comme pour notre cerveau qui consomme très peu d’énergie — nous font entrer dans un monde que peu de personnes soupçonnent. L’ignorance est la première force de ceux qui ont fomenté ce plan machiavélique. 

Outre l’oxyde de graphène qui a été observé dans les 4 vaccins mentionnés, le Dr Campra a identifié, dans ces produits expérimentaux à ARNm, environ 110 éléments différents par l’observation microscopique et la spectrométrie des sérums.  

Des nanorouteurs ou nanosenseurs 

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]

Définition : Le routeur est un appareil permettant la communication entre un objet connecté et Internet. Dans ce cas qui nous intéresse ici, l’objet connecté n’est autre que la personne inoculée puisque le routeur a été introduit dans son corps par la « vaccination ». On dit « Nano », parce qu’il s’agit d’un objet miniaturisé capable de passer par l’aiguille d’une seringue.

Les routeurs observés dans les sérums fonctionnent sans fil et peuvent être connectés à des appareils compatibles. Les routeurs sans fil font office d’interrupteurs réseau permettant aux appareils de communiquer entre eux et d’échanger des informations. 

Ils émettent des adresses MAC qui peuvent être enregistrées via des technologies sans fil Bluetooth sur des téléphones portables et à l’aide d’une application, comme on l’a vu. L’adresse MAC permet d’identifier l’objet — ici la personne — qui est porteuse du nanorouteur. À partir d’expertises contrôlées, Maître Brusa confirme que les personnes vaccinées sont porteuses d’une adresse MAC évolutive. Le lecteur pourra également visionner le film produit par Pierre Barnérias, Hold On, qui met en exergue une expérience montrant la présence de nanorouteurs chez les personnes vaccinées. 

[Voir :
Maître Brusa a fait confirmer par constat d’huissier la présence de code alphanumérique chez les vaccinés]

Le Dr Campra nous a donné une collection d’images de nanorouteurs/nano senseurs capturés à partir de son travail sur les vaccins Pfizer et Cie… et datées de novembre 2021. 

Pourquoi les personnes non injectées, mais testées ont-elles fait également l’objet de cette étude ? Parce que la suspicion de présence de nanotechnologies dans les écouvillons destinés au prélèvement nasal pour effectuer un test PCR Covid était importante. Les tests réalisés sur certaines personnes non vaccinées, mais prélevées pour un test PCR ont émis également un code MAC, mais il faut noter que tout dépend de la façon dont ont été réalisés ces tests. Dans tous les cas, les signaux alphanumériques ne se sont pas révélés comme constants dans le temps et leur apparition s’est avérée brève. 

Comme à chaque fois, les médias subventionnés dénigrent ces informations, sans enquêter, sans aucune expérimentation, mais seulement sur la base de ce qui est officiellement déclaré par les laboratoires, fabricants, commerçants et indirectement décisionnaires publics sur les AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) à travers les ex-employés qui sont disponibles dans les agences de régulation sanitaire partout dans le monde (pantouflage). 

Des nanoantennes et des nanoantennes plasmoniques 

Définition : Les nanoantennes permettent notamment de détecter des biomolécules avec une sensibilité exaltée, de contrôler les processus d’émission moléculaire, d’induire des élévations locales de température ou de piéger des micro-organismes vivants. 

Les points quantiques, utilisés dans l’industrie pharmaceutique « aussi appelés boîtes quantiques », sont des nanocristaux semiconducteurs, faisant généralement de 2 à 10 nanomètres de diamètre (10-50 atomes), qui sont capables de convertir un spectre de lumière entrant en une fréquence d’énergie différente. 

« Ces cristaux artificiels sont fabriqués à une échelle suffisamment petite pour faire émerger des effets de mécanique quantique. Les points quantiques ont des propriétés électroniques et optoélectroniques uniques qui permettent d’ajuster leurs niveaux d’énergie avec leur longueur d’onde ou leur couleur ». 

Les antennes plasmoniques/optiques permettent une localisation de l’énergie électromagnétique à l’échelle du nanomètre, bien en dessous de la limite de diffraction. Cette propriété ouvre de nouvelles voies pour la manipulation de la lumière aux échelles nanométriques, et porte de nombreuses promesses pour exalter les efficacités d’émission optique et de photodétection, notamment pour les applications de l’optique vers la biologie : la biophotonique. 

Les nanoantennes servent à la fois de capteur et sont aussi destinées à amplifier les signaux de communication pour transmission de données à un serveur extérieur, celui qui est précisément contrôlé par ceux qui ont introduit ces biotechnologies dans les sérums. 

« Les nanoantennes de large bande jouent un rôle potentiel dans le champ nanophotonique. Récemment, les nanoantennes optiques plasmodiques fabriquées à l’aide de nouvelles nanoparticules métalliques ont engendré un grand intérêt, pour la recherche, eu égard à leur capacité de positionner et d’améliorer, drastiquement, les champs électromagnétiques à leur surface ».

On peut en déduire que ce sont des antennes conçues spécifiquement pour le contexte des réseaux de nanocommunications intracorporelles et qui corroborent parfaitement les découvertes antérieures portant sur les nanorouteurs et le domaine des biosenseurs (Cf. : Haes, AJ, Van Duyne RP, 2002). 

Les vaccins permettraient donc d’injecter un nanopuzzle de nanotechnologies pouvant servir d’interface pour un réseau de nanocommunications introduit dans le corps humain. 

Il est techniquement possible aujourd’hui d’absorber et d’utiliser des ondes électromagnétiques produites par le corps humain.

Ces antennes peuvent également agir comme ponts rectificateurs du courant alternatif/continu et impliqueraient un autoassemblage pour interagir avec d’autres nanotechnologies présentes dans les sérums vaccinaux. 

Il est également possible de fabriquer un hydrogel pour nanotechnologies, à savoir une solution aqueuse qui permet de protéger les nanotechnologies contre une dégradation trop rapide par le système immunitaire. Il offre potentiellement un second avantage, celui de créer un environnement favorable pour faciliter la communication entre les différents éléments (nanotechnologies) contenus dans les « vaccins ».

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

Les codecs – codeurs-décodeurs et les portes logiques

Dans le cas d’un nanoréseau intracorporel, les nanocodecs ont pour fonction de communiquer avec le nanoréseau de l’extérieur, c’est-à-dire au travers d’une plateforme où sont transmises les informations dans un réseau sans fil. 

Les (nano) portes logiques sont généralement des composants élémentaires d’un circuit numérique. Il existe usuellement sept portes logiques de base (AND, OR, XOR, NOT, NAND, NOR et XNOR) qui fonctionnent sur une base binaire (0 ou 1) et qui peuvent permettre, dans le cas qui nous intéresse, de crypter les nanocommunications entre les nanotechnologies inoculées aux personnes et un serveur à distance. Elles fonctionnent donc en réseau avec les codecs.

Oxyde de graphène 

L’oxyde de graphène supplante le silicium utilisé dans les semi-conducteurs, car sa capacité de conduire le courant électrique et sa capacité à capter ou à émettre un rayonnement électromagnétique focalisent les recherches et placent le graphène au cœur de la 4e révolution industrielle. Il représente le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme humain, vont permettre de mesurer des critères biologiques préprogrammés et transmettre le résultat sans connexion filaire. 

Comme le rappelle le docteur en physique Gabriel Baumgartner, voici quelques caractéristiques des nanoparticules de graphène : 

Très grande résistance mécanique et grande capacité à conduire le courant (100 fois plus conducteur que le cuivre) et l’énergie thermique.

La nanoparticule de graphène monocouche peut franchir n’importe quelle barrière (hématoencéphalique, placentaire…) du fait de son épaisseur infinitésimale et s’intercaler dans n’importe quel tissu biologique.

Ses particules ont la capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique. Cette propriété permet de comprendre pourquoi le graphène constitue le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer des paramètres biologiques et transmettre le résultat sans connexion filaire.

La matière première pour élaborer ces complexes microstructurés que l’on retrouve dans les vaccins contre Covid est l’oxyde de graphène dont la présence est essentielle pour l’autoassemblage de ces complexes, mais également pour la communication sans fil avec un serveur externe. 

Les corps flagellaires

À l’occasion de ces travaux de recherche pour comprendre la présence de ces substances non déclarées dans les « vaccins » antiCovid, on a également observé des corps flagellaires composés de perles, des petites sphères de taille similaire, surmontées d’une sphère plus grande. La forme de ces corps flagellaires rappelle celle d’une bactérie de type « Streptococcus », cependant, après avoir comparé toutes les espèces du genre, aucune ressemblance concluante n’a été trouvée. C’est en réalité des nanorobots autonomes autopropulsés, plus précisément il s’agit de « nageurs de rotors colloïdaux anisotropes » liés à l’ADN, composés de particules colloïdales paramagnétiques de taille différente ou similaire, comme indiqué dès 2008 par Tierno, P et al. dans leur publication Magneticly Actuated Colloidal Microswimmers ou encore en 2010 dans Controlled Swimming in Confined Fluids of Magnetically Actuated Colloidal Rotors. La littérature scientifique abondante ne manque pas sur ces sujets qui sont pourtant globalement ignorés du grand public. 

Les nanopoulpes de graphène ou hydres 

Les Docteurs Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux États-Unis ont tous deux observé dans les vaccins à ARNm un organisme qui s’apparente à un parasite, surnommé respectivement « La chose » et « Hydra Vulgaris ».

Dr Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux USA ont…


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Ces chercheurs ont finalement compris qu’il s’agissait d’un autoassemblage de nanotubes de carbones via un phénomène appelé la teslaphorèse, à savoir un assemblage réalisé à partir d’ondes électromagnétiques (comme par exemple celles de la téléphonie mobile). 

Ces formes de vie artificielle ne sont pas uniquement composées de graphène (carbone), mais s’apparentent à une forme de vie hybride qui fait intervenir une structure ADN. 

En 2013, Dasgupta, K. et coll. expliquaient qu’au cours de leurs travaux cherchant à mettre au point une méthode économique de production de nanotubes de carbone (NTC) à partir de carbone, ils avaient observé que dans leur synthèse en « lit fluidisé », le graphène se « transformait en structures de type pieuvre de carbone »…

Il est donc probable que l’utilité de ces nanopoulpes dans les vaccins consiste à fournir des relais électromagnétiques de communication. Il est également possible qu’ils aient d’autres fonctions qui restent à découvrir, notamment si leur composition est hybride à base de carbone et d’ADN. 

Les particularités de la bio-informatique, qui nous intéressent pour ce dossier, relèvent de la capacité à programmer des cellules pour une fonction particulière. L’utilisation d’une puce à ADN ou biopuce est en plein développement comme le disait Baptiste Waldner dans son ouvrage « Nano-informatique et Intelligence Ambiante : Inventer l’Ordinateur du XXIe Siècle ». Le principe d’une telle puce repose sur la particularité de reformer spontanément la double hélice de l’acide désoxyribonucléique (ADN) face au brin complémentaire. Les quatre molécules de base de l’ADN ont en effet la particularité de s’unir deux à deux. Si un patient est porteur d’une maladie, les brins extraits de l’ADN d’un patient, vont hybrider avec les brins d’ADN synthétiques représentatifs de la maladie. 

Mais, il faut le souligner ici, cette biotechnologie utilisée pour le traitement de pathologies graves, peut également être détournée pour pirater le programme de la vie. Et c’est bien de cela dont il est question avec la « vaccination » de masse. 

Le média Technocracy News publiait il y a un an une information retrouvée dans un Talk Show (Ted Talk) daté de 2017 où le Dr Zaks — médecin chef de Moderna — expliquait la nécessité de « pirater le logiciel de la vie » en modifiant le code génétique des êtres humains. Cette logique transhumaniste qui paraît si claire à ceux qui, unilatéralement, ont décidé de la promouvoir et de l’imposer aux autres choque les esprits conscients et responsables. 

Un serveur relié à un superordinateur quantique du type D-Wave, récemment acquis par la Commission Européenne ou encore par Google, est en mesure de suivre 7 milliards d’individus injectés et ayant embarqué des nanotechnologies via la « vaccination » pour créer un WBAN. 

Les nanobatteries injectées dans le corps évoluent dans les fluides corporels et utilisent les ions disponibles dans le corps humain. 

Mais les nanobatteries au graphène peuvent fonctionner de manière différente notamment grâce aux ondes électromagnétiques que l’on retrouve partout dans notre environnement, particulièrement celles produites par les réseaux téléphoniques sans fil. Un corps biologique situé dans un environnement électromagnétique va voir apparaître en son sein des courants induits correspondants aux fréquences de cet environnement. Certaines personnes y sont par ailleurs très sensibles, nous le savons. 

Si l’oxyde de graphène offre une bonne capacité d’absorption des ondes 5G, comme l’a prouvé Mik Andersen, il s’appuie sur les travaux de Ameer et Gul (2016) intitulés « Influence of Reduced Graphene Oxide on Effective Absorption Bandwidth Shift of Hybrid Absorbers », pour conclure également d’une bonne absorption des ondes 2G, 3G et 4G. 

Il existe une abondante littérature scientifique qui démontre l’implication directe de l’ADN autoassemblé pour créer des systèmes informatiques et nanotechnologiques, également à travers des cristaux d’ADN. Jackson T et coll. expliquent qu’il est permis de construire de nouvelles nanoparticules qui jouent des rôles intermédiaires entre les ordinateurs électroniques et les systèmes biologiques. 

Des dispositifs nanoélectroniques basés sur l’ADN synthétique sont bien embarqués dans les vaccins Pfizer et Cie… Bien que non mentionnés dans la composition du vaccin, en raison d’un vide juridique probablement entretenu (La législation n’a pas évolué depuis 20 ans), ces dispositifs sont inoculés à l’insu des personnes « vaccinées ». 

Nanotechnologie et « vaccins » : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés : transhumanisation et nanoréseaux…

Il existe une connivence évidente entre les fabricants qui ont bénéficié des autorisations de mise sur le marché pour leurs produits, et un projet mondialiste piloté par un petit nombre de personnes influentes qui mettent en œuvre un projet longuement préparé et sans limites de moyens.

Composants du nanoréseau au plan intracorporel

  1. Nanotubes de carbone (CNT) et dérivés (SWCNT, MWCNT) 
  2. Points quantiques de graphène (GQD) 
  3. Nageurs hydrogels 
  4. Nanoantennes fractales en graphène 
  5. Nanorouteurs ou nanocontrôleurs 
  6. CODEC ou Nanointerface 

Topologie de nanoréseau 

  1. Nanonodes (GQD, Hydrogel nageurs, Nanotubes, Fibres) 
  2. Nanocapteurs (circuits de nanotubes, nanofeuillets de graphène) 
  3. Nanocontrôleurs (circuits de nanorouteurs QCA) 
  4. Nanointerface (circuits QCA nanoCODEC) 

Les GQD (points quantiques de graphène) 

« Les points quantiques de graphène sont des morceaux de graphène ou d’oxyde de graphène à l’échelle micro-nanométrique avec des formes circulaires, hexagonales, triangulaires qui résultent de la décomposition ou de l’oxydation de nanofeuillets de graphène. Loin d’être un défaut du réseau, ils jouent un rôle fondamental, puisque leur taille leur permet de fonctionner ou d’opérer comme des nanoantennes. De plus, ils circulent à travers le système sanguin, les artères, les veines, capillaires, servant de marqueurs électriques, mais aussi biologiques, car ils absorbent les protéines et autres composants présents dans le sang. » 

(source : lilianeheldkhawam.files.wordpress.com)

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg

L’interface humain-machine avec transmission de données est une nano-interface dotée d’un circuit QCA (quantum-dot cellular automata) plus complexe, qui contient une nanoantenne pour émettre et recevoir des signaux TS-OOK (On Off Keying). Avec une forte probabilité, ils disposent d’un codec pour crypter les paquets de données et les retransmettre à l’extérieur grâce aux nanocapteurs et nanorouteurs. 

Le nanorouteur n’a pas besoin de processeur pour fonctionner, car l’architecture QCA (points quantiques) lui permet de fonctionner à une fréquence d’horloge tout comme le ferait un processeur d’ordinateur. De cette façon, les signaux sont transmis au nanorouteur le plus proche afin d’optimiser le nanoréseau et d’éviter la saturation du signal. Pour cette raison, plusieurs de ces composants sont protégés grâce à l’hydrogel qui se trouve dans les sérums.

 Du point de vue fonctionnel, les propriétés semi-conductrices, des points quantiques de graphène, leur permettent d’élaborer un réseau sans fil au travers duquel ils peuvent moduler et, encore plus, réussir à neuro-moduler — tels des nanotransducteurs — avec une plus grande efficacité que les feuilles d’oxyde de graphène, les schémas de comportements humains. 

Selon Andersen, les photographies obtenues, à partir des analyses de sang, démontrent la présence de nanoantennes fractales de graphène cristallisé, de nanonageurs en forme de rubans d’hydrogel, l’oxyde de graphène, et finalement, de points quantiques de graphène. Conformément à toutes les preuves produites et à tous les faits déclinés, il peut être affirmé que cet écosystème de graphène, dans le corps humain, est conçu pour la réception de signaux électromagnétiques au travers des nanoantennes fractales de graphène et de leur propagation au travers des points quantiques de graphène avec un double objectif. 

Le premier : l’administration potentielle de substances étrangères et leur libération en fonction de cibles biologiques — à savoir, des organes déterminés du corps humain. 

Le second : la modulation des neurones et d’autres tissus du corps humain sont ciblés afin qu’ils puissent être télécontrôlés au moyen de micro-ondes et d’émissions d’ondes (5G). 

Finalement, les nageurs, en forme de rubans d’hydrogel, possèdent une fonction motrice reconnue qui opère en couplage avec des ondes électromagnétiques ou des champs électromagnétiques — afin de libérer leur charge pharmacologique ou pharmacogénétique. 

En d’autres termes, les dominants léo Straussiens du NOM, cherchent à prendre le contrôle totalitaire de chaque personne, en utilisant des biotechnologies totalement inconnues du public. Puisque la plupart de ces éléments se dégradent dans la durée, notamment sous l’effet du système défensif de l’organisme, les promoteurs du transhumanisme ont donc prévu des « vaccinations » à répétition, sous prétexte sanitaire, invoquant l’arrivée de nouveaux variants toujours plus dangereux et menaçants les uns que les autres ! 

La solution radicale au problème consiste donc à refuser la « vaccination ». Bien entendu, vous êtes « libre » de choisir de rester un esclave lié à sa chaîne numérisée, intracorporelle.

« Ils cherchent à prendre le contrôle de chaque personne en utilisant des biotechnologies inconnues du public » 

Ceux qui pensent que les épisodes de Covid ou d’une autre épidémie relèvent du passé, vont être surpris dans les semaines et mois à venir. Bill Gates qui fait partie des instigateurs de ce projet, annonce de nouvelles épidémies, non parce qu’il prophétise, mais parce qu’il en est assurément l’un des instigateurs. 

Ces faits étant inavouables, les maîtres du jeu devaient s’appuyer sur la manipulation de l’opinion publique. Beaucoup se sont longtemps demandé pourquoi Bill Gates qui n’a aucune compétence en matière de santé avait investi à ce point, comme on l’a vu dans un autre article, dans les vaccins. Décidément, on comprend mieux le lien entre biologie et informatique — dont il est professionnel — lorsqu’on sait ce que contiennent les vaccins. 

Communication avec l’extérieur et utilisation du protocole OS TOOK 

Toujours à partir des travaux de Mik Andersen dont une traduction est proposée sur le site de Xochipelli dans la section intitulée « Réseaux de nano-communications sans fil pour les nanotechnologies dans le corps humain », nous proposons quelques explications. 

Akyildiz, I.F. ; Jornet, J.M. ; Pierobon, M. (2010) ont montré que les points quantiques de graphène servent à propager des communications sans fil dans le corps humain et à moduler le système nerveux central. Ils affirment que :

« Réduire l’antenne d’un dispositif sans fil classique à quelques centaines de nanomètres nécessitait l’utilisation de fréquences de fonctionnement extrêmement élevées, ce qui compromettrait la faisabilité de la communication électromagnétique sans fil entre nanodispositifs. C’est pour cette raison que fut adoptée l’utilisation du graphène afin de fabriquer des nanoantennes capables de surmonter cette limitation ». 

Cela confirmait dès 2010 que le graphène était le bon matériau pour propager des signaux dans ce contexte de la communication sans fil à l’intérieur du corps humain. De plus, les basses fréquences sont moins nocives que les hautes fréquences pour l’organisme et le métabolisme. Aussi, les nanoantennes en graphène fractal observées dans les échantillons de sang permettent la réception et la transmission des signaux de communication avec le réseau de points quantiques GQD en graphène, dispersés dans le corps via la circulation sanguine. 

La propagation des réseaux de nanocommunication sans fil, des nanoantennes et des nanocapteurs requiert des protocoles de routage pour les réseaux de nanocapteurs sans fil dans l’IoNT (The Internet of Nano Things) ou l’internet des nano-objets.

Le schéma de routage IoNT (Internet of Nanothings) assure la livraison des paquets de données à la nano-interface de la passerelle, qui est chargée de transmettre/répéter les informations à l’extérieur du corps, en incluant dans son en-tête l’identification MAC, nécessaire pour différencier l’origine des données. La traçabilité de chaque individu était donc possible, de même que l’action sur un dispositif individuel, c’est-à-dire que ce qui survient chez un individu peut ne pas survenir chez un autre équipé du même dispositif. Nous connaissons encore peu ce qu’il est possible de réaliser avec ces dispositifs, mais rendre les gens malades de manière ciblée et différente (cœur, cerveau, foie, système immunitaire…) est techniquement possible, ce qui permet de mieux dissimuler des actes illicites, immoraux et meurtriers. Mais lorsqu’on en vient à considérer la vie comme un simple matériau, la suppression de la vie n’est alors plus considérée comme immorale par ceux-là mêmes qui tiennent les commandes numériques d’un tel système !

Le graphène peut être programmé et contrôlé comme s’il s’agissait d’un logiciel.

Sources : Abadal, S. ; Liaskos, C. ; Tsioliaridou, A. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. ; Solé-Pareta, J. ; Alarcon E. ; Cabellos-Aparicio, A., 2017 

Puisque la vaccination ne pouvait être rendue obligatoire, il était donc prévu de la coupler à un pass identitaire et à la suppression de la monnaie scripturale envisagée pour la fin 2022. Enfin, coupler le pass à un moyen unique de paiement numérique via un dispositif intracorporel (micropuce/Tag) supprimerait toute possibilité d’achat ou de vente à ceux qui refuseraient la « vaccination ». Le marquage du bétail humain est un système qui contrôle infailliblement la vie de l’esclave soumis et la mort de celui qui veut passer dans le « camp » des rebelles ! 

Explication de la neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain 

Qu’entend-on par neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain. Les nanotubes de carbone et l’oxyde de graphène traversent la barrière hématoencéphalique et contribuent à modifier les synapses ainsi que la croissance des cellules neuronales. L’oxyde de graphène a une affinité avec les cellules du cerveau et avec le cœur, car ces deux organes, de par leur activité, génèrent un faible champ électromagnétique. Ces champs méritent encore d’être explorés, de même que la toxicité de ces nanotechnologies sur le cerveau humain. 

Mik Andersen nous explique que la neuromodulation et la neurostimulation sont possibles grâce aux nanotubes de carbone (graphène sous forme tubulaire), qui agissent comme des électrodes activant des régions spécifiques du cerveau ; ils peuvent également être utilisés comme une interface neuronale capable de se connecter à des réseaux de nanocommunication sans fil inoculés, dont les points quantiques de graphène (GQD), les nanoantennes en graphène et tout un réseau pour lequel il existe un logiciel de simulation, des protocoles de routage, des protocoles MAC. Les WBAN utilisent déjà ces technologies et il existe une littérature abondante sur le sujet.

La communication moléculaire intégrée avec des nanotubes de carbone ayant la capacité d’interagir dans des nanoréseaux sans fil de capteurs neuronaux est une réalité scientifique comme le montrent notamment les travaux de Abd-El-atty, SM et coll. en 2018 : « la communication moléculaire (CM) est considérée comme une approche prometteuse pour transmettre des informations dans le nanoréseau intracorporel. Dans ce contexte, l’utilisation de nanomachines dans le nanoréseau facilite les opérations de traitement, d’actionnement de logique et de détection. En outre, les nanomachines ont la capacité d’échanger des informations lorsqu’elles sont interconnectées par le biais du nanoréseau. Un simple nanoréseau intracorporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain, telles que le diagnostic et les traitements biomédicaux, ou la transduction des signaux neuronaux et le contrôle neuronal… Les nanotubes de carbone facilitent l’interaction moléculaire entre les cellules vivantes, y compris les neurones, par une interconnexion basée sur des commutateurs stables pour l’amarrage des molécules… Les nanotubes de carbone (NTC) ont la capacité de reconnaître la libération de molécules de neurotransmetteurs dans le système nerveux du nanoréseau. »

« Un simple nanoréseau intracorporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain. » 

La seule communication électromagnétique pour la surveillance du système nerveux central et particulièrement du tissu neuronal n’est pas suffisante. Pour le bon fonctionnement du réseau intracorporel et de cette surveillance de l’activité neuronale, il faut lier la communication moléculaire et électromagnétique dans une approche hybride. 

En 2004, Roman C et coll. expliquaient :

« Nous proposons et simulons un capteur à nanotube de carbone très sensible, capable de transposer la liaison protéine-ligand, ou plus généralement la reconnaissance macromoléculaire, à une variation de fréquence d’un courant électrique ».

Il s’agit de la base sur laquelle est construit le modèle hybride de communication moléculaire-électromagnétique, démontrant que leur interaction, leur transduction ou, si vous préférez, la traduction des signaux moléculaires en fréquences et en impulsions de courant électrique est possible. 

Andersen conclut que « cela permet de déduire que le but ultime d’une partie importante des recherches sur les nanotubes de carbone et leurs dérivés est la neurostimulation/neuromodulation. Autrement dit ces technologies présentes, mais non déclarées dans les pseudos vaccins contre la Covid, ont pour but de contrôler — au moins partiellement — le fonctionnement du cerveau des personnes inoculées. Il ne s’agit en rien, ni de santé, ni de science-fiction, mais d’une réalité technologique bien réelle. »

Avec la découverte des nanotechnologies dans les « vaccins anti Covid » (à ARNm et à adénovirus), on peut affirmer que la « vaccination » de masse contre la Covid n’était qu’un prétexte et un moyen de contourner le consentement libre et éclairé des personnes. Le contenu des produits injectés aux populations représente un viol de la personne, une menace contre l’intégrité physique et psychologique et contre la liberté de penser et d’agir. 

Conclusion 

A la lecture de ce dossier, on comprend que l’épidémie de SARS-COV-2 n’était pas un accident, mais un événement volontairement provoqué, pour l’introduction de ces biotechnologies dans les « vaccins » disponibles en Occident. Cela requerrait, en effet, des années de recherche et de minutieuse préparation. L’épidémie (et non la « pandémie »), a été créée de mains d’hommes et propagée de manière volontaire dans le seul but de faire « vacciner » la population mondiale. 

Il s’agit d’une arme biotechnologique qui a deux fonctions majeures : 

La première était certainement, de tuer aléatoirement, par l’incompatibilité naturelle des organismes qui réagiraient aux contenus des « vaccins ». Ces personnes seraient tout bonnement jugées indésirables, voire, opposantes au système, selon des critères, eux aussi aléatoires, définis par ceux-là même qui ont mis en place cette horreur. Dans ce lot, les plus fragiles seraient également menacés, à savoir les personnes âgées, les personnes malades et les enfants, en un mot : les « inutiles » ou les « substituables ». 

La seconde fonction consistait à prendre le contrôle des survivants en faisant d’eux les « transhumains », une nouvelle génération d’esclaves, par la prise de contrôle de leur cerveau, en manipulant leurs pensées et leurs émotions. Il ne s’agit pas d’un scénario de science-fiction, mais bien d’une réalité technologique financée par la troïka dominante, riche, puissante et assoiffée de domination sur ses congénères. 

En couplant la « vaccination » au mode de paiement numérique, qui deviendra le seul mode de paiement théoriquement prévu à la fin 2022, ils rendront obligatoire de manière indirecte, la « vaccination » et l’empoisonnement des personnes.

Tout cela n’aurait pas été possible si les individus libres et conscients, refusant d’être les jouets de la manipulation par la peur, avaient d’emblée contesté cette stratégie : tout le système de santé, les écoles, les administrations, les entreprises, l’armée, la police ont collaboré comme un seul homme, à ce plan machiavélique ! Les acteurs du monde médical intervenant dans les médias inféodés pour les besoins de la propagande, seraient grassement payés par l’immense fortune des maîtres qui engageaient ce plan de mise au pas de toute l’humanité ainsi dressée à sa complète soumission… Certains d’entre eux seraient même décorés de la Légion d’honneur ! Plus qu’aucune guerre, ce plan était fait pour répandre la mort déclinée en plusieurs versions (santé, économie, répression) et ferait un nombre de victimes qui allait se chiffrer par des millions d’individus.

L’instauration d’une dictature mondiale reste la finalité d’une humanité dénaturée et sous contrôle technologique. Humainement parlant, les chances de sortir de ce piège sont infimes, car elles reposent sur le réveil des populations qui n’a pas encore eu lieu massivement. L’humanité n’a jamais été autant menacée que par elle-même…

Ceux qui ont entrepris cela ont profité de l’ignorance et d’une énorme méconnaissance de la part de la communauté médicale et sanitaire en matière de bio-informatique, de nanotechnologies et de chimie quantique pour mettre en œuvre l’agenda 2030. 

Cependant, nous disposons de suffisamment d’éléments dans ce dossier pour comprendre ce qui se trame. Il reste pourtant difficile au plus grand nombre d’admettre qu’une telle entreprise soit possible et c’est de cela que nos oppresseurs tirent un énorme avantage. J. Edgar Hoover, directeur du FBI de 1924 à 1972, affirmait : « L’individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut croire qu’elle existe ». C’est précisément sur la base de ce constat qu’ils comptent réussir l’imposition de la « vaccination » mondiale et ses conséquences funestes. La dissimulation, le mensonge et la technologie sont au cœur de cette manipulation sans précédent dans l’Histoire. 

Si l’on souhaite vraiment connaître le fond de la pensée de nos « nouveaux maîtres », il est impératif d’examiner celle, toxique, de l’historien Yuval Noah Hariri, un des acteurs et grand partisan du « Great Reset » mis en avant sur la scène internationale — qui justifie « la surveillance biométrique de l’être humain » et affirme avoir « besoin de réécrire le code du vivant » ou encore que « les humains sont des animaux que l’on peut pirater ». De l’eugénisme aux thèses totalitaires, il n’y a qu’un pas très vite franchi !

Avec l’Hybridation de l’ADN synthétique et du graphène dans le corps humain, des preuves commencent à pointer et nous espérons qu’elles inciteront les citoyens à ne pas se faire « vacciner ». Car une chose est certaine — alors que nous ne sommes plus en phase épidémique — c’est que la « vaccination » de masse va repartir de plus belle en France et partout ailleurs et qu’elle prendra une forme indirecte obligatoire, car ce rituel de « vaccination » est destiné à devenir permanent, définitif. Sachons-le une bonne fois pour toutes : la « vaccination » sera finalement obligatoire, répétitive et permanente, faute de quoi, le système immunitaire naturel pourrait à tout moment compromettre ce marquage du « bétail humain ».

C’est la raison pour laquelle une guerre civile sera, elle aussi, obligatoire, inévitable : on ne peut pas obliger quelqu’un à mourir ou à porter dans son corps une chaîne invisible le maintenant dans un esclavage irréversible, sans s’attendre à ce qu’il cherche à défendre sa vie et sa liberté ! Tous ces criminels qui ont pensé une telle horreur sont de parfaits inconscients : ils s’imaginent qu’ils vont triompher sans problèmes alors qu’ils vont entraîner dans leur délire une destruction totale de leur monde pervers ! Que ce moment vienne sans tarder afin de retrouver la liberté sacrée de la vie qui est une manifestation de la conscience intériorisée.

[Voir aussi :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène ?
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de « neuromodulation » à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G]

Sources : Se reporter pour plus de détails et pour les photos au « Dossier N°4, Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés », de Laurent Aventin, Santé publique, PhD Mai 2022.

DOSSIER n°4 — Kaya Team Universe

Voir également : « Les implications de l’adresse MAC des injectés aux vaccins covid », 10 octobre 2022 : Mik Andersen, auteur de Corona2Inspect.net

www.bitchute.com

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




Entre science-fiction et réalité, quand l’Homme joue à Dieu et à l’apprenti sorcier

DES ESSAIMS À DESSEINS

[Source : @Pigeon_Pige-TouT_Traduction]

Toutes les sources :

https://drive.google.com/file/d/11h971-kpDKHwuYMX4sTIGCwUf9UtPisR/view?usp=sharing

Toutes les microscopies des vaccins covid :

https://drive.google.com/file/d/1RBHni2ZuTfC-eXocznlMyjTBBL4gCHV3/view?usp=sharing
[Plus de 17 Go de données comprimées.]

[Contenu de la vidéo]

[Voir aussi :
Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?]






Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Laurent Aventin

Deux annonces ont circulé dans les derniers jours de ce mois d’août qui faisaient encore réagir la presse subventionnée il y a quelques mois seulement : l’Agence Européenne du Médicament (AEM) a annoncé examiner un nouveau vaccin anti-Covid faisant intervenir des nanotechnologies. D’autre part, l’un des représentants du Forum Économique de Davos a exprimé l’idée « qu’il existe des raisons solides et rationnelles de micropucer les enfants ». À leurs yeux, la population semble être prête à accepter l’inacceptable et c’est ce qui ferait la force de la troïka du Forum Économique Mondial (FEM) et de ses ambassadeurs. Récapitulatif d’une manipulation basée sur un agenda bien huilé.

L’Agence européenne du Médicament (AEM) examine un « vaccin » antiCovid à base de nanotechnologies

Un nouveau « vaccin » anti-covid, nommé Skycovion, conçu par le laboratoire pharmaceutique britannique GSK et le sud-coréen SK Bioscience (SK Chemicals selon les sources) est actuellement soumis à l’examen de l’AEM. L’information serait banale si le fabricant n’avait pas annoncé l’utilisation — et donc l’injection — de nanotechnologies introduites dans son produit.

La presse évoque plutôt l’utilisation de nanoparticules, mais il y a souvent une confusion entre nanotechnologies et nanoparticules. Ces dernières sont déjà utilisées dans les injections actuellement commercialisées comme les liposomes (enveloppe lipidique) qui protègent le matériel injecté et c’est admis par la presse grand public. Ce qui ne l’est pas – pas davantage par les fabricants de l’industrie pharmaceutique et les autorités de régulation sanitaire – c’est la présence d’oxyde de graphène auquel nous avons consacré un dossier, mais aussi de nanotechnologies destinées à créer un nanoréseau intracorporel, ce qu’on appelle un « wireless body area network » déjà utilisé en médecine de pointe.

Pour l’instant, aucune information n’est vraiment disponible sur le contenu de ce produit et il ne faut pas s’attendre à une réelle transparence tant sur la nature des nano éléments que sur leur programmation (cf. ci-dessous nanoparticules auto-assemblées) ou sur l’adjuvant utilisé. L’EMA donne pour l’instant une information à minima : 

Skycovion est un vaccin à nanoparticules autoassemblées ciblant le domaine de liaison au récepteur de la protéine de pointe du Sars-Cov 2 […], développé conjointement avec l’Institut de Conception de Protéines de l’Ecole de médecine de l’université de Washington, en combinaison avec l’adjuvant de GSK.

On sait en revanche que le vaccin a été co-financé par la Fondation Bill et Melinda Gates et la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies — (CEPI). On peut donc déjà prévoir une issue positive, car ce produit passe par Les Fourches caudines de ces deux grandes institutions incontournables pour l’obtention d’une autorisation de mise sur le marché. GSK fait par ailleurs partie de l’opération Warp Speed, il ne devrait donc pas être débouté.

Ce n’est pas la présence de nanoparticules en soi qui pose problème, mais la nature de ces particules (l’oxyde de graphène est particulièrement toxique, on pourrait le retrouver « officiellement dans ce vaccin ; l’EMA ne donne cependant aucune indication) ainsi que l’utilisation de nanotechnologies.

 L’usage de micropuces sous-cutanées couplé à la vaccination avait en revanche été démenti par la presse à un moment où il y avait confusion auprès de l’opinion publique sur ces deux technologies.

Mais voilà le Forum Économique Mondial « sort du bois » et annonce ouvertement l’utilité de la micropuce ; en réalité il prépare depuis longtemps son introduction auprès des populations avec la collaboration des autorités publiques.

Le FEM annonce la justification du micropuçage des enfants

C’est dans un article du FEM daté du 16 août 2022 qui fait l’éloge du transhumanisme et de la réalité augmentée que l’on peut lire la promotion du micropuçage présenté comme une évolution naturelle :  

Aussi effrayants que puissent paraître les implants de puces, ils font partie d’une évolution naturelle qu’ont connue autrefois les articles à porter. Les prothèses auditives ou les lunettes qui ne sont plus stigmatisées.

Bien sûr les intentions cachées restent cachées et il ne sera pas expliqué aux populations que les nanotechnologies qui ont déjà été injectées aux populations via les « vaccins » anti-Covid couplés à une micropuce sous-cutanée permettront d’influencer et de diriger leur comportement. Les progrès de la bio-informatique permettent de pirater l’esprit d’une personne, ce que la très grande majorité des citoyens considère comme de la science-fiction. Et pourtant.

Relayé par Aube digitale, le contenu de l’article du FEM précise également que la micropuce sera relayée par les influenceurs.

Cette technologie a besoin « d’un soutien, d’une vision et d’une audace appropriés », qui seront bien sûr fournis par vos suzerains technocrates, les mêmes personnes qui tentent désespérément de censurer l’internet pour ne pas être critiquées.

« La technologie d’augmentation sera utile à toutes les étapes de la vie : les enfants dans un environnement d’apprentissage, les professionnels au travail et les personnes âgées ambitieuses. Les possibilités sont multiples », écrit Philips.

« Devriez-vous implanter une puce de suivi à votre enfant ? », demande le scientifique, qui ajoute : « Il existe des raisons solides et rationnelles à cela, comme la sécurité. »

Tout est dit. Leur objectif est de prendre le contrôle des enfants. Les personnes âgées sont formatées et elles ont peu d’intérêt selon les déclarations de la caste dans le Nouvel Ordre des Barbares, la « vaccination » permet de justifier l’accès aux enfants, aux nouvelles générations, à ceux qui vont faire le monde de demain… mais comme esclaves des nouveaux maîtres.

Un agenda bien huilé dans le but de diriger la population mondiale comme du bétail

Quelle est la méthode du FEM et de ses seigneurs ?

Ils ont observé les annonces faites par les personnes éveillées dénonçant leurs activités et leur agenda au cours de la campagne de vaccination mondiale tout en dénonçant des propos complotistes. Et cela a fonctionné, leur politique mortifère a été suivie par la grès grande majorité de la population mondiale qui a reçu ces injections qui tuent et vont continuer de tuer. L’essentiel pour la Caste consiste à ne pas perdre la guerre de la communication, de l’information et donc de la manipulation des masses.

Puisque les populations ont accepté les injections — parfois sous la contrainte, mais finalement de manière aisée (69 % de la population européenne a reçu au moins une injection contre Covid au 22 août 2022, et 81 % de la population française — source The world in data), ils peuvent se permettre d’avancer en annonçant ce qui finalement ne semble pas choquer les populations : l’injection de nanotechnologies ou l’utilisation de micropuces. Le message est assez clair, « vous êtes du bétail et nous vous traitons comme des animaux d’élevage ».

En avril 2022, Le directeur général de GAVI (L’alliance mondiale du vaccin), Seth Berkley, explique que :

« la vaccination a besoin d’un coup de pouce technologique par des systèmes d’identification numériques sécurisés pouvant stocker les antécédents médicaux d’un enfant ».

Il fallait bien que ce soit le copain de Bill Gates qui l’annonce sinon cela aurait pu susciter des soupçons. Voici comment l’élite mondialiste prévoit de conduire les populations au marquage numérique grâce à l’épidémie de Covid et la vaccination.




Totalitarisme occulte

[Source : off-guardian.org]

[Sur la photo : Klaus Schwab (au centre gauche) lors de la réunion fondatrice du WEF.]

Par Todd Hayen

Occulte (adjectif) : 1. surnaturel ou magique, 2. non compréhensible, 3. secret, 4. caché, 5. difficile à voir.

Ces cinq définitions pourraient toutes décrire le totalitarisme dont il est question dans cet article, mais je pensais que les définitions 4 et 5 étaient les plus précises… et peut-être un peu la 3, étant donné que l’une des caractéristiques de l’effort mondial massif en faveur d’un gouvernement central est le secret, car personne à la tête de cet effort n’admettra jamais qu’il s’agit d’un mouvement totalitaire.

Sa véritable intention est en effet cachée, et peut-être, pour la plupart, difficile à voir. Mais l’une des choses les plus étranges dans tout cela, c’est que si vous aviez ne serait-ce qu’un minimum d’intelligence, vous comprendriez très clairement ce qui se passe et quelles sont leurs intentions.

Je dois admettre qu’avant le fiasco du 11 septembre, je faisais partie de ceux dont le cerveau était très endormi. J’ai donc une certaine empathie pour les personnes qui ont passé la majeure partie de leur vie à dormir.

Les choses sont différentes maintenant ; il n’y a rien de plus évident que les efforts de ces gens pour s’emparer du monde, et il n’y a aucune excuse pour rester endormi. Sans blague.

Dans le passé, une prise de pouvoir totalitaire était tout sauf cachée. En général, il fallait qu’un tyran à la grande gueule comme Lénine, Staline ou Hitler se mette à débiter comment lui et sa vision idéologique allaient rendre le pays qu’il avait ciblé et tous ses habitants beaucoup, beaucoup mieux. « Suivez-moi, écoutez-moi, faites ce que je dis, haïssez ceux que je dis de haïr, croyez ce que je dis de croire… » – et ainsi de suite – très bruyamment et avec beaucoup d’insistance.

Alors, en quoi est-ce différent maintenant ?

Pas vraiment de différence, sauf peut-être dans le nom qu’ils lui donnent. Ils ne l’appellent pas une dictature, ou un état fasciste (enfin, ils n’utilisaient pas exactement ces mots à l’époque non plus). Maintenant, ils l’appellent généralement une démocratie, mais ce n’est que de nom. La partie « occulte » est démontrée en ne disant jamais aux gens que les restrictions qu’ils subissent et la perte de leurs libertés sont au profit de l’État ou de l’idéologie, mais plutôt au profit du peuple – pour la communauté, pour les autres.

La conformité est créée par des mensonges et des subterfuges.

Bien sûr, Hitler, Lénine et les autres ont dit des choses similaires au début, et peut-être qu’après un certain temps, nos « dirigeants » commenceront à adopter les mêmes tactiques que ces criminels de renommée mondiale à travers l’Histoire, mais je crois que le chemin actuel vers le pouvoir totalitaire n’est pas aussi évident et manifeste qu’il l’a été dans le passé. Il est plus subtil maintenant, plus déguisé pour la plupart des gens, comme la grenouille bouillante dont j’ai parlé sans cesse.

Voici ce que CJ Hopkins a à dire sur cette version moderne du régime totalitaire ; il l’appelle GlobalCap, consultez son livre étonnant, The Rise of the New Normal Reich [La montée du nouveau Reich de la normalité] :

Il n’y avait plus de doute à ce moment-là. GloboCap avait fini de jouer à l’attrape-couillons. Ils ne faisaient pas que réprimer une rébellion « populiste ». Ils devenaient totalitaires avec nous… et aussi totalitaires que le capitalisme mondial peut l’être. Il [GloboCap] ne peut pas devenir totalitaire comme au 20e siècle et commencer à se pavaner dans des uniformes militaires ridicules en criant victoire et en chantant des hymnes mondialistes, car (a) il n’a pas d’idéologie, ou plutôt, son idéologie est la « réalité », et (b) il doit maintenir la simulation de la démocratie, ou du moins un semblant de démocratie. Il nous fait donc le coup du pathologisme-totalitarisme ».

Comme Hopkins le cite dans cette citation, cette prise de pouvoir est mondiale et n’est pas centrée sur la nation ; elle est centrée sur le monde. Ce fait est tout à fait unique dans l’histoire et c’est ce qui se rapproche le plus d’une source de pouvoir central d’un groupe de fonctionnaires non élus dans diverses organisations mondiales telles que le WEF, l’OMS et même les Nations unies.

Ce qui se rapproche le plus du tyran à grande gueule des temps anciens, c’est Klaus Schwab du WEF, et il n’est pas du genre Hitler ou Staline, bien qu’il corresponde certainement à l’image personnelle et visuelle d’un méchant de James Bond avec ses étranges vêtements de science-fiction, ses étranges sbires qui l’entourent, et son accent et son style de discours plutôt déroutants.

Est-il le véritable leader de la secte qui tente de s’emparer du monde ?

Ou, comme certains l’ont suggéré, ce Grand Poobah est-il Satan lui-même ? (C’est ici que le mot descriptif « occulte » et sa première définition dans le dictionnaire, « surnaturel », peuvent être la description la plus appropriée de notre totalitarisme actuel).

Les tyrans de la littérature avaient de la concurrence – c’est un autre facteur de distinction entre aujourd’hui et alors, et c’est probablement la raison la plus convaincante pour laquelle la tentative actuelle de prise de contrôle du monde pourrait réussir – maintenant il n’y a aucune force opposée autre qu’une poignée de mégères en haillons, nous. Dans le passé, les forces des mégères étaient beaucoup plus convaincantes, comptant généralement des millions de personnes engagées avec une puissance militaire plutôt redoutable.

Qui sait ce qui se serait passé si les alliés n’avaient pas vaincu Hitler en 1945 (consultez le livre fascinant Fatherland pour des spéculations divertissantes, mais effrayantes, sur ce sujet). Cette « Grande Réinitialisation » actuelle peut suivre son cours sans entraves jusqu’à ce que les individus, en masse, se réveillent et l’arrêtent.

L’Union soviétique, depuis la révolution de 1917, s’est acharnée à convertir le reste du monde au marxisme. Elle s’est concentrée sur les syndicats du monde entier où elle pensait avoir le plus de chances d’amener une unification des travailleurs à l’échelle mondiale.

Ils ont eu quelques succès en cours de route, mais finalement l’histoire d’amour du monde avec la richesse personnelle et le consumérisme a vaincu l’idéologie « ouvrière » des communistes, qui était l’égalité et les salaires équitables sur le lieu de travail – vous savez : « de chacun selon ses capacités, pour chacun selon ses besoins ».

De toute évidence, la violence et l’agression militaire ont toujours été le courant dominant de l’impérialisme dans le monde entier. Bien que les Soviétiques aient eu leur part de prise de pouvoir par la force, ils se sont davantage appuyés sur le renversement des gouvernements et les changements de régime, ce qui a également été une méthode favorite de la CIA américaine.

Nous savons tous que les stratégies d’Hitler et des national-socialistes étaient essentiellement militaristes – les coups de pied arrêtés sur le terrain étaient les plus efficaces pour eux. Nous n’allons pas voir beaucoup de cette tactique dans cette prise de pouvoir particulière (derniers mots célèbres).

Comme nous l’avons déjà dit, la prise de pouvoir sera relativement subtile, bien qu’il y aura un moment, vers la « fin du jeu » (ou peut-être quelques incidents contemporains dispersés ici et là) où les dissidents pourront être tués à la manière de Staline – secrètement et discrètement (le fameux « acte de disparition ») ou emmenés dans des camps de concentration pour « endoctrinement » (la mort mystérieuse de Kary Mullis vous dit quelque chose ?).

Il faut leur reconnaître qu’ils ont été très malins avec cette histoire de virus et tout ce qui se passe autour. Les gens n’ont aucune idée de qui est le véritable ennemi. Leurs tactiques sont beaucoup plus psychologiques que même politiques ou idéologiques.

Bien que nous voyions l’idéologie s’insinuer avec ces changements majeurs dans la morale, les valeurs familiales, « ce que signifie être une bonne personne », la Cancel Culture, la Critical Race Theory [Théorie critique des races], BLM, la transphobie, etc. Ne vous y trompez pas, tout cela fait partie de l’agenda pour nous rendre tous fous, étourdis et confus, et ça marche.

Évidemment, je ne fais qu’effleurer la surface ici. Asseyez-vous et profitez du voyage si vous êtes trop vieux et fatigué pour prendre la fourche et descendre dans la rue.

Le Dr Frankenstein est en train de créer un nouveau monstre sur la colline, juste sous notre nez, et « nous, le peuple », sommes les seuls à pouvoir l’arrêter avant que le monstre ne nous arrête définitivement.

Todd Hayen est un psychothérapeute agréé exerçant à Toronto, Ontario, Canada. Il est titulaire d’un doctorat en psychothérapie des profondeurs et d’une maîtrise en études de la conscience. Il est spécialisé dans la psychologie jungienne et archétypale. Todd écrit également pour sa propre plateforme en ligne, que vous pouvez lire ici.




L’Humanité devient plus bête

[Source : FranceSoir]

[Ilustration :  PIXOLOGICSTUDIO / SCIENCE PHOTO LI / SKE / SCIENCE PHOTO LIBRARY / AFP]

Toutes les études psychométriques dans le monde démontrent une baisse du coefficient intellectuel depuis l’an 2000.

Imbécilisation de l’espèce, le passage à l’Idiocène

Par Teresita Dussart

CHRONIQUE — Entre toutes les menaces existentielles, il en est une absente de tous les agendas. Et pourtant elle détermine le futur de notre espèce. Il s’agit du déclin global du coefficient intellectuel (QI). De lui dépend le devenir de la science, de la culture, de la capacité à comprendre le monde. Le consensus sur ce déclin est désormais inéquivoque. Toutes les études psychométriques dans le monde démontrent une baisse du coefficient intellectuel depuis 2000. Plus le niveau du QI national est haut, plus la chute est importante. Indépendamment des études psychométriques, l’empirisme le démontre également. Un adolescent de 14 ans comprend en moyenne ce qu’aurait compris un enfant de 10 ans né avant 1975. Un des symptômes de cette régression est la déperdition de vocabulaire, signalée par de nombreuses études depuis 2017. Le vrai drame que révèle cet appauvrissement est celui de la difficulté à mémoriser pour les générations qui montent.

Le film Idiocracy (Mike Judge, 2007) constitue de ce point de vue une parabole prophétique. Le script raconte l’histoire d’un couple enregistrant un QI remarquable de 130 chacun, lequel attend pour se reproduire d’avoir concrétisé tous ses objectifs professionnels et matériels. Ce n’est jamais le moment. Jusqu’au jour où ils décident finalement de franchir le pas. Mais ils doivent alors faire face à l’horloge biologique de l’un et la démission de la libido de l’autre. L’ingénierie de fertilité assistée arrive trop tard pour eux. Pendant ce temps, les cas sociaux se reproduisent exponentiellement et finissent par conformer une combinaison de tares héréditaires. Tous inaptes à régler les questions les plus élémentaires à la survie de l’espèce, comme la gestion de la collection des résidus. Dans cette société idiotisée, l’obésité est devenue la norme, les gens ne buvant que des boissons sucrées. L’État est incapable de résoudre des questions simples, telles que l’irrigation des terres ou la gestion des résidus. La pornographie a rang de culture et les locaux de sexe rapide succèdent aux locaux de nourriture rapide. Les élites sont constituées par des contre-élites. Un peu comme dans le système scolaire actuel, où les premiers de classe sont perçus comme des perdants. Les décisions politiques sont toutes plus funestes et contre-productives les unes que les autres.

Les coïncidences avec notre réalité sont troublantes, quoique l’hyper fertilité de pauvres est un cliché du XXe siècle. La baisse de la fertilité dans les pays riches atteint désormais toutes les classes sociales. À cela, il convient d’ajouter que les classes socio-économiques ne sont que partiellement corrélées au niveau socioacadémique. Mais l’association pauvreté-fertilité repose sur un ressort anthropologique qui a eu sa raison d’être. Dans une famille pauvre et/ou traditionnelle, la principale ressource est humaine, en tant que source de travail, de pouvoir, d’identité. C’est encore le cas dans nombre de pays émergents, même si le déclin de la fertilité s’observe partout. 

Certains spécialistes proches des thèses eugénistes qualifient de fertilité dysgénique l’hyper reproduction entre « pauvres ». L’existence d’un marqueur de différence génotypique (intelligence héritée) n’a pourtant pas été définitivement démontrée. En revanche, l’intelligence phénotypique ou intelligence acquise est, elle, mesurable. Et c’est celle-là qui a explosé avec les notables améliorations de la qualité de vie, à partir de la révolution industrielle.

Ce saut qualitatif du sapiens se doit à l’effet Flynn, du nom de l’économiste néo-zélandais, James Flynn. Il s’agit d’une augmentation continue du coefficient intellectuel grâce à la conjonction de la sécurité alimentaire, de l’accès à l’instruction et, en général, d’un climat propice au développement cognitif. L’entrée dans le XXIe siècle marque un coup d’arrêt pour le développement de l’intelligence humaine. Au Danemark, où le QI des conscrits est enregistré depuis 1959, il a été observé qu’entre 1959 et 1989 celui-ci augmentait de 3 points par décennie. Cependant, entre 1989 et 1998, ce même QI marque une première régression divisant pratiquement par deux sa progression à + 1,6 point. À partir de 1998, le déclin est de – 2,7 par décennie. Cette étude et d’autres convergent vers le fait que l’effet Flynn est en panne. Les sociétés prospères ont cédé en très peu de temps le pas à une dynamique involutive.

L’imbécilisation serait multifactorielle. Le rôle des disrupteurs endocrinologiques provoque des effets neurologiques. Cela est prouvé. La massivité des métaux lourds dans l’alimentation y compris l’alimentation bio, l’air respiré provoqueraient des maladies du cerveau. Il y aurait aussi dans les sociétés riches, des matrices de conduite installées, telles que le retard de l’entrée dans la vie adulte par la disparition des rites de passage et toute une série de prescriptions psychologisantes consistant en l’allongement du temps de l’enfance. En bref, toute une forme d’éduquer tournée vers la régression produisant une forme structurelle de retard maturatif, donc intellectuel.

Et puis, il y a la coïncidence de la baisse de l’intelligence humaine concomitante au transfert de ses compétences vers l’intelligence de la machine. Le confinement de l’humain en 2020 aura marqué le déconfinement de l’intelligence artificielle. Ce qui restait d’opérations mentales encore à charge des humains lui ont été retirées. Une fonction parmi d’autres, fondamentale, la spatialisation est morte. Le GPS « éteint des parties du cerveau », décrit une étude de l’University College of London (UCL) publiée par Nature Communications le 21 mars 2017. Nicholas Carr, expert en technologie de l’information, prétend dresser dans son livre la liste de « tout ce qu’Internet fait à votre cerveau » (The Shallows: what the Internet is doing to our brains, Éditions Norton & Company, 2020). À cela, il faut ajouter l’effet hypnotique des outils addictifs comme celui des chaînes de streaming, la confusion entre fiction et réalité, la baisse de la capacité de concentration en lecture, etc. Il serait très ingénu de penser que tout cela n’engendre pas de cicatrices évolutives.

Face à un tel pilonnage du cerveau humain, l’école devrait être une forteresse. Mais c’était sans compter sur l’imposition de deux années de désertion ou semi-désertion scolaire pour cause de confinement. Il aurait été permis d’espérer que les enfants des pays émergents, moins exposés à la consommation d’outils technologiques, représentent un réservoir de cerveaux non abîmés. Mais la politique de paupérisation est passée par là. En février 2021, un rapport de la Banque mondiale diagnostiquait : « La crise du covid exacerbe l’augmentation des prix de la nutrition pour les populations les plus pauvres du monde ». « Tout au long de l’année dernière, le Covid-19 a désarmé la sécurité économique, sanitaire, et alimentaire, poussant 150 millions de personnes vers l’extrême pauvreté », peut-on lire. Par Covid-19, il faut comprendre non pas le virus en tant que tel, mais les mesures irresponsables dont il a servi de prétexte à la mise en œuvre.   

Un mois avant, un rapport du même organisme chiffrait le coût de l’abandon scolaire en part du PIB pour les pays pauvres. Rapport, qui n’a pas davantage prospéré en termes de conscientisation : « Dû aux processus d’apprentissage et à l’augmentation de l’abandon scolaire, cette génération d’étudiants va perdre un milliard d’euros de revenus, plus ou moins 10 % du PIB global, et les pays chuteront, sans possibilités de rattrapage, au regard de leur objectif de réduction du Learning Poverty, au risque d’augmenter potentiellement de 63 % la pauvreté. ». Learning Poverty est un outil statistique mis au point par l’UNESCO pour mesurer les niveaux d’analphabétisme dans les pays de moyen à bas revenus. Et les nouvelles ne sont pas bonnes. Carlos Felipe Jaramillo, vice-président de la Banque mondiale pour l’Amérique latine, estimait le 3 juin dernier que la crise éducative en Amérique latine est sans précédent : la prochaine génération « sera moins productive et aura moins d’opportunités ». En moyenne en Amérique latine, les enfants ont perdu 1,8 an de scolarité selon l’UNESCO. Dans certains pays comme le Panama, où l’école a été fermée de mars 2020 à 2022, plus de 20 % des élèves ont abandonné définitivement les bancs. Ça fait des centaines de millions de nouveaux pauvres, avec effet épigénétique en prime.

Les chimères de ces deux dernières décennies se caractérisent avant par le déni de la malléabilité évolutive de l’espèce humaine, comme pour toute autre espèce animale. À titre d’exemple, des hormones sont légalement administrées à des enfants pubères ou prés pubères pour normaliser une éventuelle dysphorie de genre dans un contexte où les effets causés par les disrupteurs endocrinologiques font l’objet d’une abondante littérature scientifique. Dans le même esprit, plongé dans l’idée que l’identité est liée à l’autoperception, il est impossible de se poser la question du rôle de ces disrupteurs endocrinologiques dans lesquels nous baignons depuis des décennies, face au syndrome grandissant d’indifférenciation sexuelle. 

À tous ces facteurs s’ajoute la normalisation de la consommation du cannabis. Or toutes les études sur le Tétrahydrocannabinol (THC) démontrent les dommages irréversibles sur le cerveau, en plus de favoriser certaines maladies psychiatriques, dont la schizophrénie. Sa légalisation et la campagne de légitimation sociale qui l’accompagne sont d’autant plus inquiétantes.

Cette association de bêtise et folie est la marque de l’idiocratie, la cruauté et la méchanceté ne souffrant d’aucune sanction morale. Au contraire. Elles sont encouragées. Un peu comme ces vidéos amateurs qui circulent sur les réseaux sociaux dans le cadre desquels des adolescents passent à tabac un de leur camarade, et loin d’avoir honte de l’acte couard, le postent sur leurs réseaux sociaux. La cancel culture, l’humiliation des penseurs divergents, est du même ordre de violence. 

La citoyenneté se meut dans un univers de signifiant très pauvre, qui touche strictement à sa fonction excitatrice de plaisir. Par exemple, au Liban en 2019, avant le confinement, des millions de jeunes se sont jetés à la rue, pour protester contre le gouvernement parce que l’État voulait imposer un paiement de 20 centimes pour l’usage de WhatsApp. De toute l’histoire de corruption du Liban, jamais de telles manifestations n’avaient eu lieu.

Le signifiant et les mots pour le dire. En Espagne en 2019, le prix national du ministère de la Culture et des Sports était attribué à un auteur, Cristina Morales, pour son livre Lecture Facile. En occident, les principaux journaux ont opté, dès les années 90, pour l’écriture en « facile ». Pas de mots « compliqués », la nuance est jugée ampoulée. La réalité ne s’accompagne pas de gris. La complexité du monde cède face à un narratif installé. Les phrases courtes sont de rigueur. C’est le règne de la démagogie intellectuelle.

L’imbécilisation constitue une menace pour la démocratie. L’installation de sophisme est déjà observable dans la gestion des crises, crises créées elles-mêmes par un personnel politique d’une désastreuse qualité. D’ici 2050, le coefficient intellectuel global moyen tournera autour de 80. Il ne faudra pas attendre comme dans le film Idiocracy de Mike Judge l’année 2505 pour faire de cette science-fiction une réalité. Reporté au XXe siècle, 80 de QI, ce serait une forme légère de retard mental. Un scénario que ni Darwin, ni Alexis de Tocqueville n’auraient pu prévoir.




LE GRAND JURY révèle l’agenda pour la domination mondiale

NOTE DE COPYRIGHT

Ce document [PDF. Voir plus bas] contient une sélection des informations les plus importantes présentées au cours de la deuxième journée de la procédure modèle du Grand Jury, dirigée par le comité d’enquête Corona de l’avocat, le Dr Reiner Fuellmich.

Il n’y a aucun droit d’auteur sur ces informations et, en fait, chaque lecteur est encouragé à diffuser ces informations à grande échelle sous la stricte condition qu’elles ne soient pas vendues à des fins lucratives.

Des copies imprimées de ce document peuvent être obtenues sur le site Web suivant :
StopWorldControl.com/jury

Ce document fait partie de la première des cinq sessions du grand jury.

Les autres sessions seront également disponibles en format imprimable.

Traduction française par Dawid E.R. et google translate, pour cogiito.com

CONTENU

GRAND JURY
Présentation des preuves pour crimes contre l’humanité
PAGE 3

LA CITY DE LONDRES
L’élite Britannique et leur agenda pour la domination mondiale
PAGE 6

MANIPULATION PSYCHOLOGIQUE
Contrôler les esprits de la population pour changer leur comportement
PAGE 33

ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ
L’OMS a été mis en place pour fonctionner comme un gouvernement mondial unique
PAGE 54

CONCLUSION
Entités privées s’emparent du monde
PAGE 81

RESOURCES
More information about the criminal elite
PAGE 86

[Traduction de la page 86 :

Assurez-vous de consulter les ressources critiques suivantes qui en révèlent beaucoup plus sur les entités criminelles qui prévoient de réduire l’humanité en esclavage. Ces ressources fournissent plus d’informations, ce qui vous permet de résister à leurs plans et d’aider à construire un monde meilleur de liberté, de bonté et de vérité.

MONOPOLY

Le documentaire MONOPOLY – Who Owns the World (MONOPOLY – Qui possède le monde ?) est un documentaire brillant et éblouissant que tout le monde devrait regarder dans ce contexte. Ce film montre toutes les preuves de la façon dont pratiquement tout ce qui existe dans notre monde est détenu par un très petit groupe de personnes super riches. Nombreux sont ceux qui ont fait l’éloge de ce documentaire, le qualifiant d’incontournable pour toute l’humanité et d’un des meilleurs documentaires de tous les temps. Monopoly peut être visionné ici :
StopWorldControl.com/monopoly
[Version française :
Qui possède le monde ?]

LA CHUTE DE LA CABALE

Il s’agit de la meilleure ressource au monde pour en savoir plus sur l’identité de ces oligarques criminels et sur le type de crimes qu’ils commettent depuis des siècles. Il existe deux séries : la série originale Fall of the Cabal [La chute de la Cabale], qui expose les horreurs indicibles infligées à l’humanité – et en particulier aux enfants. La suite continue avec plus d’informations sur qui ils sont, quel genre d’organisations ils dirigent, et ainsi de suite. Ces séries changent la vie et doivent être vues par tous ceux qui veulent aider à mettre fin à ces crimes cruels et à construire un monde d’espoir pour nos enfants. Regardez The Fall of the Cabal ici :
StopWorldControl.com/cabal

RONALD BERNARD

Le témoignage de ce courageux dénonciateur est l’un des plus choquants et des plus révélateurs de tous les temps. Une fois que Ronald a accédé aux plus hauts niveaux du monde financier, il a été invité à participer au sacrifice d’enfants. Il a découvert que la plupart de ceux qui opèrent aux plus hauts niveaux, sont impliqués dans une religion appelée Luciférianisme. Ronald n’a pas pu le faire et s’en est éloigné. En conséquence, il a été physiquement torturé pour s’assurer qu’il ne révélerait aucun de leurs noms au monde. Dans la vidéo suivante, il confirme une grande partie de ce qui est dit par les dénonciateurs dans le résumé du Grand Jury. À voir absolument pour tous ceux qui veulent construire un monde meilleur.

Regardez Ronald Bernard ici :
StopWorldControl.com/bernard

RAPPORT SUR LA MORT PAR LES VACCINS

Le Vaccine Death Report est le rapport le plus complet et le plus détaillé au monde sur les destructions innommables causées par la thérapie génique expérimentale, faussement commercialisée sous forme de vaccins. Des millions de personnes sont déjà mortes, et des centaines de millions sont handicapées à vie. Et ce n’est que la première vague de dévastation à court terme. À long terme, les effets dépasseront toute imagination. Il s’agit véritablement de la pire attaque contre la race humaine de tous les temps. Téléchargez le rapport sur les décès dus aux vaccins ici :
StopWorldControl.com/report
[Version française :
Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français !]

L’ÂGE DES CYBORGS

L’une des réalités les plus inquiétantes révélées au cours de ce Grand Jury est la manière dont les oligarques prévoient de soumettre l’ensemble de l’humanité à un système sans précédent de contrôle total de nos esprits et de nos émotions. Nous préparons un documentaire qui montrera des dizaines de ces criminels parlant ouvertement de ce programme d’éradication complète du libre arbitre, de la libre pensée et de la libre émotion. Il s’agira du plus important cri d’alarme de l’humanité, de notre époque. Si ces psychopathes parviennent à réaliser leur projet fou, tout le monde sera un esclave contrôlé, dans son esprit, son âme et son corps. La 5G joue un rôle clé à cet égard, ainsi que l’oxyde de graphène, qui est ajouté aux vaccins, à l’eau potable, aux chemtrails, à la nourriture, aux compléments alimentaires, aux produits pour femmes, aux couches, etc. Une fois que le public sera suffisamment saturé d’oxyde de graphène, il pourra être contrôlé par la 5G. Inscrivez-vous à nos courriels gratuits pour rester informé de ce documentaire à venir, et pour recevoir d’autres informations critiques qui vous aideront à défendre votre vie.

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[Voir aussi les 8 vidéos du Grand Jury :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]




Y a-t-il un cinéaste dans la salle ?

Une fois n’est pas coutume, je fais ici une demande aux visiteurs du site.

L’un d’entre vous connaît-il un réalisateur de films qui est en recherche de scénarios originaux ?
Plusieurs personnes et moi-même trouvons que les romans du triptyque Les couloirs du temps (à savoir dans l’ordre chronologique : Résurrection en terre étrangère, Projet Vulcain et La voie du Rinn’dual) donneraient bien en films. Étant donné leur potentiel, ils pourraient aussi faire l’objet de séries.

Le quatrième roman (en lecture libre sur le site), Le Tétralogue, se prêterait également très bien à une forme filmée.

Merci d’avance si vous êtes en mesure de lui signaler alors leur existence.

Joseph Stroberg




Youssef Hindi : « Cette guerre spirituelle, cette lutte culturelle, nous sommes en train de la remporter »

[Source : lemediaen442.fr]

Youssef Hindi est écrivain, conférencier, historien des religions et géopolitologue, mais aussi spécialiste du messianisme et de ses implications historiques. Il vient de publier « Covidisme et messianisme » où, comme son nom l’indique, il fait apparaître les liens intimes qui existent entre cette pandémie de covid-19 et le messianisme actif. Il est un des mieux placés pour comprendre et expliquer les tenants et les aboutissants de ce tournant historique de l’histoire de l’Humanité qui se déroule sous nos yeux. Un livre à lire d’urgence, et une interview qui en donne un avant-goût.

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Youssef, et bienvenue sur Le Média en 4-4-2. Un jour, en réunion, Marcel nous a dit : « Quand vous avez lu un livre de Youssef Hindi, vous savez où vous habitez ! » Nous sommes donc ravis de vous accueillir pour parler avec vous de votre dernier livre « Covidisme et messianisme », afin de mieux cerner la crise que nous traversons.

Le messianisme se fonde, entre autres, sur la croyance que « la rédemption du peuple juif et les temps messianiques doivent être précédés de grandes catastrophes et de bouleversements majeurs » (page 25) ; le messianisme actif consiste, lui, à conduire le monde au plus bas pour hâter la venue du Messie. Vous étudiez ces thématiques depuis plusieurs années. Qu’est-ce qui vous a fait dire en avril 2020 que le Covid n’était pas un simple virus provenant du marché de Wuhan  ?

Youssef Hindi : Il y a plusieurs indices qui m’ont mis la puce à l’oreille. Et surtout, je n’avais pas oublié le précédent : la pandémie de H1N1 en 2009 qui ressemblait, avec le recul, à une grande répétition du covid-19. Étant donné que les peuples ont la mémoire courte, il faut rappeler certains faits.
Tentant de provoquer une panique générale, les médias et les dirigeants nous ont présenté le H1N1 comme une pandémie dangereuse. Souvenez-vous aussi qu’AstraZeneca avait produit en un temps record un vaccin que le gouvernement de l’époque a tenté, en vain, d’imposer à la population qui n’avait pas été prise de panique. Rappelez-vous aussi de la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, qui a acheté avec l’argent du contribuable pour 712 millions d’euros de doses de vaccins AstraZeneca, laboratoire dont Mme Bachelot avait été salariée.
L’on entendait marteler une rhétorique similaire à celle qu’on nous assène depuis le début du covid-19. Le H1N1 était, dans la bouche de Bachelot, cette ancienne déléguée à l’information médicale chez AstraZeneca, un virus mortel. Elle disait, alors qu’elle était ministre de la Santé, que « cette grippe (H1N1) a tué dix-huit personnes ce week-end, en particulier des personnes qui n’avaient aucun facteur de risque » et elle appelait à « ne pas relâcher la garde sur la vaccination », précisant que « la semaine prochaine, les médecins généralistes volontaires pourront vacciner dans leur cabinet ».

À la fin de l’épidémie H1N1, en 2010, le virologue Bruno Lina a reconnu « on en a fait beaucoup plus que ce qui était nécessaire » contre la grippe A (H1N1), et d’ajouter que « le virus n’était pas aussi dangereux qu’on l’avait cru ».

C’est ce qui me conduit à qualifier le Covid-19 de remake du H1N1.

En outre, les idéologues messianistes nous ont servi, à l’occasion du covid-19, le même discours qu’à l’époque du H1N1. À chacune de ces « pandémies », Jacques Attali et d’autres personnages éminents de l’oligarchie occidentale (Henry Kissinger, Gordon Brown) nous ont tenu et nous tiennent un discours quant à la nécessité de mettre sur pied un « gouvernement mondial » pour lutter contre le virus.

Dans mon ouvrage, Covidisme et messianisme, je remonte aux origines de cette obsession messianique dont les pandémies, les guerres et les révolutions sont perçues par une certaine élite comme des occasions d’opérer un saut qualitatif vers le gouvernement mondial.

Cela fait plusieurs années que j’étudie l’histoire et les différentes formes du messianisme, et j’y ai consacré plusieurs ouvrages. Dans une conférence récente, le célèbre philosophe et historien Marcel Gauchet ne dit pas autre chose que moi lorsqu’il affirme que « le messianisme juif est un impérialisme mystique ».

Youssef Hindi

« Le covid-19 est considéré par les messianistes, laïcs ou religieux, comme l’une de ces catastrophes précédant les temps messianiques attendus fiévreusement »

Le Média en 4-4-2 : Vous expliquez en effet que ce messianisme actif a su, au cours de l’histoire, « révéler, accompagner ou prolonger certains événements et catastrophes historiques majeurs, à l’instar de la révolution de 1789, la révolution bolchevique, la Seconde Guerre mondiale, la chute du mur de Berlin et, aujourd’hui, la “pandémie” de covid-19 » (page 51) pour nous amener vers le gouvernement mondial tant désiré par cette élite. Sont-ils en train de pousser la dernière pièce d’un plan préparé depuis plusieurs siècles ? Sommes-nous proches de l’échec et mat, si nous ne faisons rien ?

Youssef Hindi : Je ne parle jamais de « plan préparé depuis des siècles ». Le messianisme n’est pas un plan, c’est une promesse eschatologique que l’on trouve inscrite dans la Bible hébraïque, c’est un mouvement, une espérance, une méthode de domination dans une certaine mesure. C’est un « impérialisme mystique ».

Tout au long de l’Histoire les messianistes ont cru voir dans certains événements les signes de la rédemption, de la venue du Messie ; et parfois ils ont suivi des personnages qui ont prétendu être « le Messie ».

Le Covid-19 est considéré par les messianistes, laïcs ou religieux, comme l’une de ces catastrophes précédant les temps messianiques attendus fiévreusement. Mais il ne s’agit pas de leur dernière pièce ni de la dernière catastrophe qui sera utilisée comme levier pour accéder à l’utopique gouvernement mondial.

Le 20 juillet 2020, le président du Forum économique mondial, Klaus Schwab, déclarait que l’on « ne prête pas suffisamment attention à l’effrayant scénario d’une cyberattaque globale qui occasionnerait un arrêt complet de l’approvisionnement en électricité, des transports, des services hospitaliers, de notre société dans son entièreté. « La crise du Covid-19 sera perçue, à cet égard, comme une petite perturbation en comparaison à une cyberattaque majeure ».

Demeure également le risque d’une guerre mondiale, une confrontation entre le bloc otanesque, d’un côté, et la Russie ainsi que la Chine, de l’autre.

Sans oublier les catastrophes écologiques. L’écologisme étant un volet important du globalisme. Je traite de cet aspect dans Covidisme et messianisme. De même que mon collègue et cofondateur de Strategika, Pierre-Antoine Plaquevent, qui a produit des dossiers extrêmement pointus sur la vaccination, la dépopulation et l’urgence climatique, pour notre site Strategika.fr.

Chacun de ces événements « apocalyptiques » sera l’occasion et le prétexte de tenter d’imposer aux peuples de l’Occident et de sa périphérie une gouvernance dite mondiale, tyrannique, sanitaire, numérique et policière.

L’Histoire ne connaît pas d’échec et mat, du moins tant qu’elle n’est pas terminée. Pour les chrétiens et les musulmans, l’Histoire se conclut par l’imposition de l’ordre divin, le retour du Christ et la défaite des forces antichristiques. D’ici là, le combat continue, la guerre se poursuit, et celle-ci est pavée de batailles gagnées et perdues.

Donc il ne faut en aucun cas désespérer ni s’affliger, car ces choses doivent arriver, et ceux qui persévéreront dans la Vérité seront sauvés. La Vérité quant à elle perdurera jusqu’à la dernière Heure n’en déplaise à nos ennemis.

Le Média en 4-4-2 : A plusieurs endroits de votre ouvrage, vous employez le qualificatif « utopique » pour qualifier le projet de mise en place d’une gouvernance mondiale. Pourtant de nombreux dirigeants mondialistes l’appellent de leurs vœux et tous les éléments semblent se mettre en place pour que cela se réalise. Qu’est-ce qui vous fait dire que ce projet n’est pas réalisable ?

Youssef Hindi : Le terme « utopia » désigne un monde idéal, une société parfaite qui n’existe pas, qui n’a jamais existé. Du point de vue de certains messianistes, le gouvernement mondial – comme la dictature du prolétariat rêvée par les communistes –, cette utopie, cette société parfaite, est un objectif à atteindre. Dans le messianisme traditionnel, l’utopie correspond au paradis terrestre, au jardin d’Eden que la Torah (dans le livre de la Genèse) situe sur Terre, en Mésopotamie, et qu’il s’agit de restaurer. Mais cette restauration s’accompagne d’éléments utopiques. Le monde post-historique, l’ère messianique, est une synthèse de restauration et d’utopie.

Ce projet de gouvernement mondial est irréalisable pour la simple raison que les pays où vit l’écrasante majorité des habitants de la Terre ont à leurs têtes des dirigeants qui n’entendent pas dissoudre leur État dans le moule globaliste. La Chine, l’Inde, la Russie, le Brésil et nombre de pays qui ne sont pas sous domination occidentale préservent, et parfois renforcent, leur souveraineté nationale.

[Ndlr : il est cependant à noter que tous les pays du monde — Chine, Inde, Russie et Brésil inclus — à l’exception d’une poignée font partie des l’ONU, de l’OMS, de l’OMC et d’autres organisations internationales.]

Seuls les États occidentaux, avec des nuances, suivent la voie du transfert de souveraineté vers des institutions supranationales comme l’Union européenne et acceptent d’abandonner leurs prérogatives régaliennes, à l’instar du contrôle monétaire. Il faudrait donc plutôt parler d’un gouvernement occidental, européen plus précisément. Mais il n’est pas certain que les peuples européens se laissent gouverner par un président de l’Union européenne prenant ses ordres à Washington sans heurts ni révoltes.

« La violence politique peut provoquer en retour des révoltes d’une intensité telle qu’ils regretteront les Gilets Jaunes »

Le Média en 4-4-2 : En parlant de vagues de révoltes, vous expliquez (page 87) que les élites ont précipité leur agenda avec le covid suite aux menaces qu’ont constitué le Brexit, l’élection de Trump en 2016 et les Gilets Jaunes. A se précipiter, ont-ils commis des erreurs qui pourraient jouer contre eux ? Et quel regard portez-vous sur les mouvements de contestation actuels ?

Youssef Hindi : La politique économique, depuis les années 80, consiste à détruire le monde ouvrier dans un premier temps et les classes moyennes dans un second. Les tenants du capitalisme financier qui dirigent l’économie occidentale prennent aujourd’hui un pari risqué : accélérer la destruction des classes moyennes tout en instaurant une tyrannie policière, numérique et sanitaire pour juguler et conjurer la révolte des peuples qui a commencé et qui risque de s’accentuer à cause de cette destruction socio-économique.

Cette stratégie est dangereuse pour l’oligarchie et le personnel politique, car la violence politique peut provoquer en retour des révoltes d’une intensité telle qu’ils regretteront les Gilets Jaunes.

Ce qui m’amène aux mouvements de contestations actuels. Je vais répéter ce que j’écris maintenant depuis plusieurs années. La destruction de l’économie et du Code du travail à la faveur du covid-19 conduit à une accélération de la paupérisation de la classe moyenne ; processus qui entraînera une révolte d’ampleur plus large que celle des Gilets Jaunes, par la jonction de la France périphérique (que représentent les Gilets Jaunes) et des catégories socio-professionnelles composant la classe moyenne.

Mais nous n’y sommes pas encore tout-à-fait, car les manifestations qui ont démarré cet été n’ont pas pour cause première l’appauvrissement de masse, lequel est provoqué sciemment par le pouvoir. Il s’agit de manifestations contre le pass sanitaire, contre la société discriminant les non-vaccinés, contre la tyrannie numérique et policière, en somme pour la liberté et l’égalité des droits. Les Gilets Jaunes manifestaient, quant à eux, pour leur survie, là est toute la différence. C’est d’ailleurs ce qui explique pourquoi les manifestations contre le pass sanitaire n’ont pas le caractère « violent » qu’avaient celles des Gilets jaunes.

D’après Stéphane Sirot, spécialiste des grèves et du syndicalisme, les manifestants contre le pass sanitaire « sont assez diplômés et font partie, pour un certain nombre d’entre eux, de ce qu’on appelle communément classes moyennes ».

Les manifestations anti-pass sanitaire amorcent l’entrée des catégories supérieures (aux Gilets Jaunes dont les revenus oscillent entre 1 000 et 1 500 euros net mensuels) dans le mouvement de révolte.

Cette dimension sociologique inquiète le pouvoir et l’intelligentsia aux ordres, car l’implication des éduqués supérieurs dans un mouvement de révolte, qui pourrait fusionner avec la France périphérique, augmente considérablement la possibilité d’une révolution future. C’est-à-dire la naissance d’un mouvement structuré intellectuellement, mettant hors jeu les syndicats et les organisations de gauche.

Ces manifestations ne sont pas violentes, mais elles sont massives et sociologiquement plus diverses que celles des Gilets Jaunes. La radicalisation de la révolte n’adviendra toutefois que lorsque l’appauvrissement des classes moyennes, des patrons de PME et des professions intermédiaires, sera insoutenable.

C’est une question de mois ou d’années.

Youssef Hindi à la Librairie Vincent le 13 mars 2021

« C’est une combinaison du néo-capitalisme et de l’écologisme qui visent le même objectif : la réduction de la population mondiale »

Le Média en 4-4-2: Cette attaque de la finance internationale contre les classes moyennes entre dans la stratégie du « great reset ». Cette destruction économique est accompagnée d’une spoliation ; le coupable désigné étant bien entendu le covid-19 (page 88)… Quelle va être selon vous la prochaine étape de l’oligarchie mondiale pour la mise en place de la « grande réinitialisation » voulue, entre autres, par le Forum Économique de Davos de Klaus Schwab ?

Youssef Hindi : J’ai évoqué plus haut la cyber-pandémie annoncée par Klaus Schwab comme éventuelle future catastrophe pour passer à l’étape supérieure de l’agenda oligarchique. Dans mon ouvrage, je traite également de ce qui nous est présenté comme le danger écologique imminent qui succédera, ou plutôt se combinera au covidisme.

C’est une combinaison du néo-capitalisme et de l’écologisme qui visent le même objectif : la réduction de la population mondiale. L’on est passé de la société de consommation, promue par le capitalisme industriel et productiviste, à ce que j’appelle « la société de consumation ». La consumation d’une énergie excédentaire, d’êtres humains surnuméraires, une main-d’œuvre devenue « inutile » et surtout dangereuse du point de vue du pouvoir occidental.

D’où le projet d’automatisation de nombre d’emplois (pour maintenir la distanciation sous couvert de lutte contre le virus), rédigé noir sur blanc dans le livre de Klaus Schwab que je cite dans mon dernier ouvrage. Schwab se réfère notamment à deux universitaires de l’université d’Oxford qui « en 2016, sont arrivés à la conclusion que jusqu’à 86 % des emplois dans les restaurants, 75 % des emplois dans le commerce de détail et 59 % des emplois dans le secteur du divertissement pourraient être automatisés d’ici 2035 ».

Et le président du Forum Économique de Davos d’ajouter que « la pandémie va accélérer l’adoption de l’automatisation sur le lieu de travail et l’introduction de plus de robots dans notre vie personnelle et professionnelle. Dès le début des confinements, ajoute Klaus Schwab, il est apparu que les robots et l’IA (intelligence artificielle) constituaient une alternative “naturelle” lorsque la main-d’œuvre humaine n’était pas disponible ».

Cela dans le but de « réduire les risques pour la santé des employés », ajoute-t-il.

L’on justifie là la suppression des emplois sous couvert de protection sanitaire. Vous serez au chômage, mais en bonne santé… Le système capitaliste passe de la croissance à l’a-croissance ; une destruction des emplois, des catégories populaires, des classes moyennes, et donc des hommes. Il s’agit d’un sacrifice économique pour sauver l’oligarchie.

Le discours écologique apporte à ce projet néo-capitaliste le mythe justificateur, le storytelling, qui se résume ainsi : « il faut réduire la population mondiale pour sauver la planète ». C’est la mise en place d’une politique de dépopulation pour combattre le réchauffement climatique.

Je rapporte dans mon livre des études mettant en évidence que les vaccins contre le covid-19 ont provoqué des troubles du cycle menstruel chez les femmes. Dans les prochaines années nous verrons si oui ou non ces vaccins ont conduit à une chute de la natalité.

Dénatalité, consumation économique, sacrifice écologique sont les différents volets du Covidisme.

Le Média en 4-4-2 : Dans votre ouvrage, vous évoquez aussi le rôle des GAFAM, qui « offrent aux États policiers les moyens technologiques pour maintenir en rang les populations spoliées » (page 103). En prenant du recul, on peut se rendre compte que tout a été fait au fil des décennies pour que la population s’accapare ces nouvelles technologies et en devienne dépendante pour qu’au final, elles puissent être utilisées contre elle par les élites. Comment pouvons-nous lutter au quotidien contre ces technologies ? Avons-nous encore les moyens de nous en défaire ?

Youssef Hindi : Ce n’est pas mon domaine de spécialisation. Je dirais que le meilleur moyen de combattre ces technologies et les tyrannies numériques est de s’en défaire. Or, aujourd’hui, quand vous faites vos courses, vous les payez à une caisse automatique, vous achetez vos billets de train et d’avion sur internet, et certaines démarches administratives ne se font plus que sur le web. Il devient rare, voire impossible, d’avoir un rendez-vous ou un fonctionnaire au bout du fil. Nous avons affaire, la plupart du temps, à des machines qui nous envoient des réponses automatiques.

L’automatisation et la numérisation de la vie sociale conduira peut-être de plus en plus de gens à fuir les villes pour créer des communautés dans les campagnes et retrouver une vie saine. Ceux-là qui ne supporteront plus la tyrannie sanitaire et policière, seront qualifiés de « sécessionnistes », de « survivalistes », voire de « terroristes ».

« Le troisième poste de dépense de l’État est le remboursement des intérêts de la dette, une dette illégitime. Les banquiers prennent en otage les États qui rackettent les peuples pour engraisser ces financiers »

Le Média en 4-4-2 : Vous expliquez que « l’État français cherche à mettre la main sur l’épargne du peuple », argent qui nous appartient, « tandis que le gouvernement détruit sciemment l’économie et les emplois » (page 99). Le covid étant « le moyen de spolier la bourgeoisie » qui s’imagine à l’abri (page 101). Comment vont-ils s’y prendre pour y arriver ?

Youssef Hindi : Les Français doivent savoir avant tout à quoi servent leurs impôts directs et indirects. Le troisième poste de dépense de l’État est le remboursement des intérêts de la dette, une dette illégitime. Depuis la loi n°73-7 du 3 janvier 1973 appelée Loi Pompidou-Giscard ou Loi Pompidou-Giscard-Rothschild, les emprunts de l’État ne se font plus auprès de la Banque de France à bas taux, mais auprès de banques privées. Depuis, la dette publique a explosé (2 762 milliards d’euros au deuxième trimestre 2021).

En langage clair, nos impôts vont dans la poche des banquiers. C’est un système que Karl Marx avait parfaitement décrit et qu’il appelait le « rançonnage de l’État » par la dette. Les banquiers prennent en otage les États qui rackettent les peuples pour engraisser ces financiers.

Aujourd’hui, l’État français cherche à mettre la main sur l’épargne des Français (qui a augmenté depuis le premier confinement) pour le compte des banques. Et il y a eu des précédents, en Italie, à Chypre. Et cela a été fait et se fera pour « résorber la dette ». Les confinements, semi-confinements, couvre-feux et autres restrictions contractent l’économie et augmentent la dette publique. Et le discours du pouvoir en place consiste à culpabiliser les épargnants qui ont mis de l’argent de côté pour faire face à cette destruction économique. Ainsi, l’État cherche une justification pour ponctionner une partie de votre épargne (10 % ou plus) pour participer à « l’effort de guerre anti-covid ».

« Ils pourront éventuellement conditionner l’octroi d’aides sociales (futur revenu universel, RSA, allocations familiales) à la vaccination, vous bannir de la société et vous réduire à la clochardisation instantanément »

Le Média en 4-4-2 : Parallèlement à cette spoliation, l’objectif des élites est aussi d’arriver au passeport numérique. « Les chercheurs travaillent également à augmenter la quantité de données pouvant être encodées, afin d’inclure des informations telles que la date d’administration et le numéro de lot du vaccin. Et pourquoi pas la pièce d’identité, le passeport, la carte bleue et le numéro de sécurité sociale ? » (page 111). Et pourquoi ne pas lier le futur revenu universel (qui remplacera toutes les autres aides de l’État) à la vaccination pour la rendre encore plus obligatoire ?

Youssef Hindi : Vous faites référence au chapitre de mon livre sur la surveillance numérique. Le passage que vous citez concerne une technologie en cours de développement par le Massachussetts Institute of Technology (MIT) et financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. Un vaccin au carnet de santé intégré sous forme de nanoparticules injectables sous-cutanées et lisibles par un Smartphone permettant de confirmer qu’une personne a bien été vaccinée. Cette étude du MIT a été publiée le 18 décembre 2019 dans Science Translational Medicine, alors que la pandémie de covid-19 démarrait.

La techno-tyrannie n’est plus du strict domaine de la science-fiction, c’est notre présent et notre avenir. Avec ce type de technologie tout devient possible. Ils pourront éventuellement conditionner l’octroi d’aides sociales (futur revenu universel, RSA, allocations familiales) à la vaccination, vous bannir de la société et vous réduire à la clochardisation instantanément.

« Je suis arrivé à la conclusion vertigineuse que nous étions face au plus grand sacrifice de l’histoire de l’humanité »

Le Média en 4-4-2 : Dans la troisième et dernière partie de votre livre, vous nous permettez de saisir les soubassements religieux et anthropologiques de cette révolution majeure que traverse l’Occident. Quand nous exposons cette vision de la pandémie d’un point de vue « messianique » à des proches, beaucoup utilisent Israël qui est à la pointe de la « vaccination » en nous rétorquant qu’ils ne pourraient pas « vacciner » de la sorte si leur « vaccin » n’était pas sûr. Pourtant, le peuple juif a souvent été sacrifié par ses maîtres, et vous nous donnez de nombreux exemples. Comprenez-vous que cela soit difficilement imaginable que de telles choses se reproduisent ?

Youssef Hindi : En Occident, les peuples vivent encore mentalement, mais de moins en moins, dans l’idée qu’ils sont gouvernés par des systèmes « démocratiques » et « libéraux », et conçoivent très difficilement que leurs dirigeants puissent mener des politiques volontairement mortifères. Des politiques économiques, sociales, sanitaires que les analystes et autres opposants expliquaient par l’incompétence de la caste dirigeante. Ils commettraient simplement des erreurs.

Mais à l’occasion de la gestion covidienne — qui permit de voir au grand jour l’emprise des laboratoires pharmaceutiques sur les gouvernements, et leur collusion capitalistique avec les grands média et les banques — de plus en plus de voix s’élèvent, notamment dans le monde scientifique, pour dénoncer une guerre menée contre les peuples.

Outre les techniques d’ingénierie psychosociale que j’ai analysées dans un récent article publié sur strategika.fr, j’ai expliqué dans mon livre Covidisme et messianisme comment et pourquoi les dirigeants israélo-occidentaux ont utilisé Israël comme laboratoire et modèle pour l’Occident.

Il y a là un non-dit religieux : le peuple juif, considéré par lui-même comme élu, a joué malgré lui dans cette affaire d’injection d’un produit expérimental son rôle de « guide », de « phare de l’humanité », de Messie collectif.

Il y a un autre non-dit sur lequel ont joué les dirigeants et les médias qui ont été les acteurs de la propagande du gouvernement israélien allié à Pfizer, qui ont fait d’Israël le laboratoire de la vaccination, du pass sanitaire et de la citoyenneté à deux vitesses (un modèle de société qui exclut les non-vaccinés) imposés en France et dans nombre de pays occidentaux.

Ce non-dit se fonde sur le stéréotype d’une unité du monde juif, une unité entre élites juives et peuple juif. Les dirigeants juifs protégeraient coûte que coûte leur communauté. Or, rien n’est plus faux et j’ai apporté les exemples historiques pour le démontrer aux lecteurs.

J’ai aussi analysé dans mon livre cette vaccination de masse sous l’angle anthropologique, et je suis arrivé à la conclusion vertigineuse que nous étions face au plus grand sacrifice de l’histoire de l’humanité. Un sacrifice silencieux, qui ne dit pas son nom, et qui en est plus difficile à identifier.

Pour faire accepter ce sacrifice déguisé en vaccination, l’on a commencé par le sacrifice du peuple juif, « peuple messie ». Un sacrifice rémunératoire qui a d’autant plus de valeur qu’il s’agit du « peuple élu ». Car l’on ne sacrifie, par définition, que ce qui nous est cher, ce qui a une valeur symbolique lourde. Ce sacrifice à grande échelle est directement corrélé au messianisme, et je pense que mon ouvrage le prouve.

Je ne vais pas développer plus en avant ici cette thèse, mais depuis que je l’ai avancée publiquement, sur strategika.fr en juin 2021, elle a fait son chemin et elle a été reprise notamment par l’ancien haut fonctionnaire Éric Verhaeghe dans un article du 30 septembre 2021, et par l’historien des religions, spécialiste du sacrifice, Christophe Lemardelé dans un texte publié le 26 octobre 2021 titré Vaccination : la logique du sacrifice.

COVIDISME ET MESSIANISME – Tyrannie sanitaire, crise religieuse et sacrifice de Hindi Youssef

« On demande aux peuples de se suicider, en utilisant la culpabilité »

Le Média en 4-4-2 : Votre comparaison entre les sacrifices des Aztèques et le « sacrifice silencieux » que nous observons actuellement est d’ailleurs très frappant. Vous avancez le chiffre de 3 milliards de personnes à éliminer pour sauver la planète, d’après, entre autres, un article du Monde de 2010. Quel est votre point de vue sur le réchauffement climatique ? Que se cache-t-il derrière les accusations « écologiques » de l’élite faites aux citoyens ?

Youssef Hindi : Pour être précis, je compare le sacrifice aztèque au sacrifice économique. J’aborde dans mon livre différents types de sacrifices. Votre question porte sur le sacrifice écologique. Comme je l’ai expliqué, ces différents types de sacrifices suivent une logique générale cohérente.

Et les chiffres délirants de réduction de la population mondiale ne sont pas issus de mon imagination. Tout ce que j’écris est parfaitement sourcé et officiel :

« Le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) a affirmé dans son rapport de 2009 sur l’état de la population mondiale, présenté lors de la conférence de Copenhague le 18 novembre 2009, que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale.

Quasiment au même moment, un rapport, élaboré par la London School of Economics (LSE) à la demande de l’Optimum Population Trust (OPT) — une ONG britannique militant pour réduire la population mondiale — estimait que le moyen le moins coûteux de résoudre le problème du réchauffement planétaire serait de réduire la population mondiale de 500 millions d’individus d’ici 2050. Or, comme la majorité des projections prévoient que la population totale devrait s’élever à plus de 9 milliards d’ici là, la proposition de réduire la population mondiale à seulement 6 milliards implique l’élimination de 3 milliards de personnes… »

N’étant pas scientifique, je n’ai pas d’avis tranché sur le réchauffement climatique. Je constate simplement que c’est un argument qui est utilisé pour faire culpabiliser les peuples. Le discours écologique consiste à dire que chaque bébé qui naît est « responsable de l’émission de x quantité de CO2 » conduisant au réchauffement climatique. Tout comme l’on fait porter la charge de la culpabilité sur les non-vaccinés qui seraient responsables de la diffusion du covid-19 (ce qui est scientifiquement erroné).

La solution est donc la réduction de la population mondiale par la diminution drastique du taux de natalité. On demande aux peuples de se suicider, en utilisant la culpabilité.
Là encore, l’anthropologie nous est d’un grand secours pour comprendre ce discours culpabilisant.

La culpabilité et le sacrifice sont intimement liés. Dans toutes les langues indo-européennes, les mots qui signifient « dette » sont synonymes de ceux qui signifient « péché » ou « culpabilité » (Geoffrey Ingham, The Nature of Money, 2004, p. 90). Le remboursement de la dette religieuse se faisait, dans quasiment toutes les cultures et traditions religieuses (hormis les religions monothéistes qui ont aboli le sacrifice expiatoire et rémunérateur), par le sacrifice d’un animal ou d’un être humain.

Cette dette-culpabilité était donc quantifiée, de la même façon que quantifient aujourd’hui les écologistes notre dette-culpabilité envers la Terre (qui redevient implicitement la déesse Gaïa pour qui il fallait sacrifier des animaux) : un bébé, nous dit une étude de l’université de l’Oregon sur laquelle s’appuient les écologistes malthusiens, est responsable de l’émission de 18 à 1 644 tonnes de CO2.

La solution, pour rembourser cette dette en CO2 est le renoncement à la procréation, l’avortement, un sacrifice d’enfants qui ne dit pas son nom. L’on peut se demander aujourd’hui pourquoi les laboratoires pharmaceutiques et certains États souhaitent vacciner les enfants, alors que ceux-là ne sont pas mis en danger par le covid-19…

Le Média en 4-4-2 : Merci Youssef pour le temps que vous avez consacré à cet entretien. Vu le contexte actuel, nul doute que vos propos vont inciter nos lecteurs à aller approfondir notre discussion en se procurant Covidisme et messianisme (KA Editions, Strategika). Nous vous laissons le mot de la fin si vous souhaitez aborder une dernière thématique.

Youssef Hindi : Je laisse aux lecteurs le soin de découvrir les autres thématiques que j’aborde dans mon ouvrage, mais je souhaite apporter une touche d’optimisme à ce tableau extrêmement sombre.

Tout ce travail analytique qui contraint les chercheurs comme moi à plonger au plus profond du mal vise à permettre à ceux qui nous lisent et nous écoutent à y voir clair dans les ténèbres, à identifier l’ennemi, sa nature, ses contours et le combattre de façon appropriée.

C’est le combat de l’esprit qui précède et guide le combat politique. Et cette guerre spirituelle, cette lutte culturelle, nous sommes en train de la remporter. Alors n’ayez pas peur et préservez d’ici là votre intégrité physique, mentale et spirituelle, quoi qu’il en coûte.

Pour aller plus loin :
– se procurer Covidisme et messianisme
– retrouver ses articles sur le site de Strategika
– son compte Twitter
– son canal Telegram


Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2




Le combat pour l’humanité

[Source : Kla.tv]

« Le combat pour l’humanité » avec le Dr. Carrie Madej et David Sorensen

La bataille fait rage pour l’humanité. Le Dr Carrie Madej révèle comment Big Tech collabore avec Big Pharma pour introduire de nouvelles technologies dans les vaccins à venir qui vont modifier notre ADN et nous transformer en hybrides. Cela signifiera la fin de l’humanité telle que nous la connaissons et déclenchera le processus de transhumanisme : HUMAN 2.0. Les plans prévoient d’utiliser des vaccins pour injecter la nanotechnologie dans notre corps et nous connecter au cloud et à l’intelligence artificielle. Cela permettra aux gouvernements corrompus et aux géants de la technologie de nous contrôler sans que nous en soyons conscients. Cela peut paraître cool pour ceux qui ont vu trop de films de science-fiction, mais en réalité, cela mettrait fin à notre autonomie et nous rendrait esclaves d’entreprises technologiques mondialistes qui pourraient alors nous contrôler sans que nous nous en rendions compte.

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Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]



Transcription

David Sorensen : Pourquoi des milliers de médecins et de scientifiques sont-ils censurés dans le monde entier ? Pourquoi les experts médicaux ne sont-ils pas autorisés à s’exprimer sur le vaccin Covid-19, et sur les traitements efficaces contre le Covid-19 ? Nous sommes dans une ère de censure sans précédent. La liberté d’expression a complètement disparu de la planète Terre. Des milliers et des milliers de documentaires, d’interviews, d’émissions de médecins et de scientifiques sont retirés d’Internet, c’est une réalité. Leurs sites web sont fermés, sans aucun avertissement. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi y a-t-il une pression si agressive avec le vaccin Covid-19 ? Pourquoi tous les traitements qui réussissent contre le Covid-19 sont-ils littéralement bannis de tant de pays ? Il se passe quelque chose.

Bonjour, je suis David Sorensen. Aujourd’hui, j’accueille le Dr Carrie Madej dans notre studio. C’est une experte médicale qui fait des recherches depuis des décennies. Et elle a découvert des choses extrêmement inquiétantes sur le vaccin Covid-19.

Le Dr Carrie Madej a été la directrice médicale de deux grandes cliniques. Elle a une énorme expérience médicale et c’est un honneur pour nous de l’avoir parmi nous. Chers spectateurs, je vous encourage à regarder la vidéo jusqu’au bout et à l’écouter. Il s’agit peut-être de la vidéo la plus importante que vous verrez jamais dans votre vie.

Dr Carrie Madej : Je suis très heureuse d’être ici. Et je sens qu’il est très urgent que nous partagions cette information. J’ai commencé à faire des recherches sur les vaccins quand j’avais à peine une vingtaine d’années. Mais je n’avais jamais vu la technologie utilisée pour ce vaccin Covid-19 envisagée auparavant. Tout d’abord, ce vaccin utilisera un ARN modifié ou un ADN modifié dans le vaccin. Alors pourquoi est-ce important ? C’est important de le savoir parce que ça pourrait potentiellement modifier notre ADN, notre génome. Et pourquoi l’ADN ou l’ARN et notre génome sont-ils si importants ? Le génome est ce qui nous rend humains, ce qui nous distingue du reste des animaux et des plantes. C’est le plan de ce qui nous constitue, de la façon dont nous nous reproduisons, nous fonctionnons, nous nous réparons et nous développons. Une petite modification, une petite protéine qu’on ajoute ou qu’on enlève peut en fait créer un défaut congénital ou un trouble héréditaire. Donc quelque chose qui peut vraiment avoir un double effet sur nous, sur l’être humain. D’accord ? Ils proposent d’utiliser la technologie, et une partie de cette technologie s’appelle la transfection.

La transfection est la même technologie que celle utilisée pour produire un organisme génétiquement modifié, comme une tomate ou du maïs du supermarché. Et nous savons tous que Monsanto est assez connu pour produire des organismes génétiquement modifiés. Et ceux-ci ne sont pas aussi sains que le type organique et sauvage qu’on voit dehors dans la nature. Alors, si la même technologie est utilisée pour les plantes, que se passe-t-il pour nous, les humains ? Il est possible que nous ne soyons pas aussi sains. Et je voudrais rappeler à tout le monde que c’est la première fois que cette technologie est utilisée à grande échelle chez les humains. Nous serions l’expérience, nous serions les rats de laboratoire. Nous n’avons pas d’études à long terme, donc c’est très important de le savoir. Je vais vous montrer l’un des précurseurs de ce vaccin. Il s’agit de Moderna. Moderna a reçu environ un demi-milliard de dollars du gouvernement américain pour la recherche et le développement. Il est soutenu par la fondation Bill & Melinda Gates. Ils ont donc donné beaucoup d’argent pour ça. Je voudrais vous faire remarquer que chez Moderna, ils sont novices dans ce domaine. Ça ne fait pas si longtemps qu’ils sont là. Ils n’ont encore jamais développé de vaccin ou de médicament pour les humains. C’est leur première tentative. Et juste pour que vous le sachiez, ils ont des années-lumière d’avance sur un vaccin à fabrication rapide D’accord. Donc, ils sont passés de l’expérience en laboratoire à la phase 2 avec seulement 45 volontaires humains en 63 jours ! Deux mois ! C’est fou ! Ça aurait dû prendre des années.

Et je vous rappelle que c’est le délai le plus court jamais enregistré pour le développement d’un vaccin. Voici ce que leurs premières études ont montré, appliquées en phase 2, testées sur 45 personnes : 100% des personnes ayant reçu des doses élevées ont eu des effets secondaires systémiques après avoir eu ce vaccin à haute dose. Dans le groupe de vaccins Lotus, 80% des personnes ont eu des effets secondaires systémiques. Ici, nous voyons déjà les effets secondaires initiaux. À long terme, nous ne le savons pas du tout.

Donc, pour Moderna, une possibilité d’application pourrait être un patch, également appelé patch à micro-aiguilles. Vous pouvez donc obtenir des patchs à micro-aiguilles par la poste, Amazon ou UPS. L’avantage : vous pourriez vous-même l’appliquer sur votre peau. Vous retirez le film et voilà, vous êtes vacciné. Vous le faites vous-même. Alors, comment faites-vous ? Le patch a de minuscules micro-aiguilles dessus. Il est conçu à la manière d’une dent de serpent ou d’un museau de vipère. Donc, c’est comme la morsure d’un serpent, mais de plusieurs. Ils disent que vous ne le sentirez pas, mais ça va dans votre peau. Et les petites micro-aiguilles minuscules injectent la substance dans votre corps. Qu’est-ce qu’il y a dans une micro-aiguille ? Ce sera soit l’ADN, soit le vaccin ARN ! Numéro deux : ce sera quelque chose qui s’appelle la luciférase.

Eh bien, c’est très important à savoir. Ils ont breveté une enzyme qui s’appelle la luciférase. D’accord ? Lucifer, porteur de lumière, parce que c’est de la bioluminescence. Une lumière. Et c’est quelque chose que vous ne pouvez pas voir ou sentir. Si vous avez un appareil comme une application pour smartphone, vous pouvez le scanner et il s’allume. Cela montre un motif, un code numérique, un code-barres, un tatouage. Nous sommes marqués au fer rouge. Chaque personne a alors sa propre carte d’identité. Vous savez, cela me rappelle la Seconde Guerre mondiale. Vous devriez penser à être marqué comme un produit en magasin.

Ce sera donc là-dedans, comme preuve que vous avez été vacciné. Ils veulent pouvoir vous scanner pour vérifier que vous avez bien le vaccin. Donc, nous serons marqués. À quoi cela pourrait-il servir ? Il existe de nombreuses technologies, mais c’est quelque chose dont nous devons nous préoccuper.

Il y a donc deux choses : Nous avons un tout nouveau vaccin expérimental à base d’ADN, d’ARN, qui pourrait potentiellement modifier notre génome, et deuxièmement, nous serons tatoués ou marqués d’une ID. Et troisièmement, tout ça sera dans un hydrogel. Donc, l’hydrogel est une technologie développée par la DARPA, (agence du ministère de la Défense des États-Unis). C’est une petite partie du Pentagone, le ministère de la Défense. Ils font les inventions de science-fiction dont vous entendez peut-être parler. Il s’agit donc d’une de leurs inventions. Vous pouvez chercher sur YouTube « Hydrogel », la société « Profusa » et « DARPA » et regarder quelques clips, certaines de ces technologies. Il s’agit donc d’une technologie particulière. Elle s’insère sous la peau, à condition que le corps ne la rejette pas. Et c’est une nanotechnologie, des organismes robotiques microscopiques. Donc, ces organismes microscopiques, ces petits robots, seront dans votre corps. D’accord ? Ils peuvent se réunir, se séparer et se réunir à nouveau, et faire d’innombrables choses dans votre corps. L’idée est donc de recueillir des informations de votre corps. Vous pourriez mesurer votre tension artérielle, votre glycémie, votre rythme cardiaque, ce qui semble bien. Donc ils collectent ces informations. Mais ça peut aussi faire d’autres choses. Il peut compter le nombre de pas que vous avez faits, si vous tombez, si vous marchez, si vous avez vos règles et comment se déroule votre cycle menstruel, si vous avez des relations sexuelles ou si vous dormez. Il peut en fait détecter vos émotions. D’accord ? Toutes ces données, 24 heures par jour, 7 jours par semaine, 365 jours par an, sont collectées. Et où cela va-t-il ? Eh bien, ils prétendent que ça va vers une application intelligente, vers le cloud ou vers tout autre appareil. Mais qui reçoit ces informations ? Qui les utilise ? Dans quel but les utilisent-ils ? Il n’y a pas de réponse à cette question. L’autre chose importante à savoir est donc ceci : où sont collectées toutes ces informations nous concernant ? Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle. Il faut le savoir : Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Vous devez le savoir: Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Donc, vous avez votre smartphone. Vous pouvez envoyer un SMS ou un e-mail, mais le téléphone ou quelqu’un d’autre peut aussi vous envoyer quelque chose, à votre appareil. Ça signifie que quelque chose peut renvoyer quelque chose à notre corps. Des messages et des informations. Que peut-il se passer ? J’imagine que votre humeur serait affectée, ou votre comportement, ou votre mémoire. Cela pourrait vraiment causer beaucoup de problèmes. Et qui est responsable de cela ? Le ministère de la Défense ? Bill et Melinda Gates ? Qui s’en occupe ? Nous n’avons pas encore de réponses, mais c’est quelque chose qu’il faut vraiment savoir, parce que c’est à l’ordre du jour !

Et je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler d’ID 2020. C’est l’idée que tout le monde doit avoir une identification unique ! Et avec cette identification, tout sera réglé. Plus besoin de carte de crédit, plus besoin d’argent liquide ! Ce tatouage, ce n’est que le début de l’identification univoque ! Cela signifie la fin de l’argent liquide, la fin des cartes de crédit et ce n’est que le début de tout ! D’accord ? La perte d’autonomie, la perte d’indépendance, la perte de la vie privée. Nous devons vraiment savoir ce que ces personnes ont l’intention de faire !

Parlons maintenant de l’hydrogel. Les entreprises prétendent que l’hydrogel a le potentiel d’être un « système d’administration immédiate de médicaments à la demande ». Et je ne dis pas qu’on le met dans ce vaccin, mais je dis que c’est la même technologie. Vous devez le savoir ! C’est donc une « administration immédiate de médicaments à la demande ». Ça signifie que par une application de lumière, un médicament serait délivré directement dans votre corps. C’est inquiétant, parce que normalement, quand je veux prendre un médicament, j’ai un emballage avec une étiquette, je vois le comprimé, il est marqué, et je le prends quand je veux. J’ai le contrôle ! Mais qu’en est-il lorsque quelque chose est livré par la lumière ? Et je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu’ils sous-entendent par là mais c’est de cela qu’ils parlent. Est-ce que quelque chose dans votre corps peut être activé de l’extérieur ? Est-ce que vous saurez qu’il a été activé ? Et s’il y a un problème avec ça, alors quoi ? Je veux dire, pouvez-vous imaginer l’impact de cela ? Que se passerait-il si un groupe de personnes devenait incontrôlable ? Quelque chose en vous pourrait-il être stimulé pour vous calmer ? J’imagine que dans de mauvaises mains, ce serait très dangereux. Est-ce une des raisons pour lesquelles notre armée est impliquée ? Je vous donne juste quelques idées pour réfléchir de manière critique, pour faire vous-même des recherches sur ces choses, sur ce qui serait possible avec ces vaccins. Vous devez vraiment savoir qu’ils ne nous donnent pas seulement un vaccin ! Ils manipulent notre ADN, notre génome ! Et ils disent : Ce n’est que temporaire, mais je vous dis qu’il est possible de manipuler le génome de façon permanente avec la transfection, et nous ne le remarquerons pas tant qu’ils ne l’auront pas fait avec nous tous ! Voulez-vous prendre ce risque ?

David Sorensen : Un autre point qui est extrêmement préoccupant, c’est que c’est le numéro 1 des distributeurs de vaccins qui fait avancer le projet. Il s’agit de Bill Gates. C’est un homme qui n’a réellement aucune formation médicale.

J’aimerais vous poser une question. Quand vous êtes malade, vous allez voir un médecin. Vous allez voir quelqu’un qui a été formé pour bien vous soigner, quelqu’un qui peut poser un diagnostic précis et qui peut proposer les meilleurs traitements pour vous guérir. Iriez-vous chez une personne qui n’a absolument aucune formation médicale ? Aucun d’entre nous ne le ferait. Bill Gates, cependant, est le numéro 1 mondial. Il contrôle les gouvernements et les organisations de santé dans de nombreux pays. Il est le numéro 1, le financier de l’Organisation mondiale de la santé. Il dicte ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas. C’est un homme qui n’a littéralement aucune formation médicale, et pourtant il est la voix principale dans le monde, qui oriente l’humanité dans son ensemble vers des décisions médicales extrêmement dangereuses, une direction médicale. C’est lui qui finance les entreprises de vaccins. C’est lui qui a parlé au président Trump. Vous pouvez écouter ce clip, il ne s’agit que de quelques secondes, où il dit mot pour mot au président Trump : « Nous ne devrions pas étudier les risques et les dommages des vaccins ».

Bill Gates : La deuxième fois que je l’ai vu, c’était après, en mars 2017, à la Maison Blanche. Lors de ces deux rencontres, il m’a demandé si les vaccins n’étaient pas malgré tout une mauvaise idée. Il a envisagé de créer une commission chargée d’étudier les effets nocifs des vaccins. Robert F. Kennedy Junior a en effet déclaré que les vaccins étaient nocifs. Et j’ai dit : Non, c’est une impasse, ce n’est pas une bonne idée. Ne le fais pas.

David Sorensen : Bill Gates est connu pour les ravages qu’il a causés dans le monde entier avec ses vaccins. Robert F. Kennedy Junior est un proche parent de feu John F. Kennedy, qui a été assassiné parce qu’il enquêtait sur la corruption de la CIA. Robert Kennedy a la même passion pour la vérité et la lutte contre la corruption. Il a enquêté sur l’industrie des vaccins de Bill Gates et il a rédigé un rapport montrant comment il a rendu des millions de femmes stériles sans qu’elles le sachent. Il a provoqué la paralysie, l’autisme, la mort de centaines de milliers d’enfants. Il a été expulsé d’Inde pour cela. Il y a une pétition à la Maison Blanche avec plus de 600 000 signatures de personnes qui demandent une enquête sur Bill Gates pour crimes contre l’humanité. Voilà l’homme… zéro formation médicale. Il ne sait rien sur la manière de soigner les gens malades, et pourtant il est le numéro 1 des fabricants de vaccins. Pourquoi fait-il cela ?

Il a dit que son entrée dans le secteur de la vaccination était le meilleur investissement commercial qu’il ait fait. En faisant du commerce avec les vaccins il a multiplié sa fortune qui est passée de 15 milliards à 100 milliards de dollars.

Pour cela, il possède la plupart des médias ou les soudoie. Le célèbre journaliste allemand Udo Ulfkotte qui a été rédacteur pour l’un des plus grands journaux d’Europe, a fait des aveux choquants il y a quelques années,

Il a dit : « J’ai été journaliste pendant 25 ans. Pendant toutes ces années, on m’a appris à mentir, à tricher et à ne jamais dire la vérité au public ». Et il ajoute : « J’ai été corrompu par des milliardaires américains, par la CIA, par des sociétés secrètes et par les services secrets allemands. »

Udo Ulfkotte : Je suis journaliste depuis 25 ans. J’ai été éduqué à mentir et à tricher, à ne pas dire la vérité. C’est mal ce que j’ai fait dans le passé, manipuler les gens, faire de la propagande. Et ce n’est pas bien ce que nous avons fait, mes collègues et moi, parce que nous avons été soudoyés pour tromper les lecteurs, pas seulement en Allemagne, mais dans toute l’Europe. Nous vivons dans une république bananière, pas dans un pays démocratique où nous aurions la liberté de la presse et les droits de l’homme. J’ai été soutenu par le service central de renseignement, par la CIA. J’en ai assez, je ne veux plus de ça. Alors j’ai écrit un livre. Pas pour gagner de l’argent, non, je vais avoir beaucoup de problèmes. Je veux montrer aux gens en Allemagne, en Europe et dans le monde entier ce qui se passe derrière les portes fermées.

David Sorensen : Pourquoi est-ce important dans le contexte des vaccins ? Récemment, une réunion secrète des experts en sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé a eu lieu à Genève, en Suisse. La réunion était secrète. Elle ne devait pas être divulguée. Quelqu’un de consciencieux a fait fuiter les informations de la réunion, car ces experts de haut niveau en matière de sécurité des vaccins, venus du monde entier, ont reconnu mutuellement qu’il existait de graves problèmes de sécurité. Nous sommes profondément préoccupés par les nombreux problèmes de santé à long terme causés par les vaccins et les nombreux décès qu’ils entraînent. Un des principaux scientifiques de l’Organisation mondiale de la santé a déclaré littéralement : « Dans de nombreux pays, nous n’avons pas de bons systèmes de sécurité et nous ne pouvons pas répondre aux questions des gens sur les décès dus aux vaccins. »

Dr Soumya Swaminathan, OMS : Nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus à cause d’un vaccin particulier.

Dr Stephen Evans, OMS : Et c’est pourquoi il ne me semble pas incorrect de dire qu’il y a de plus en plus d’incidents indésirables liés à l’antigène, mais qui n’ont peut-être pas été identifiés en raison du manque de statistiques dans les études initiales.

Dr Martin Friede, OMS : Vous avez raison : le plus grand souci de santé publique que nous voyons, ce sont les accusations d’effets à long terme.

Dr Heidi Larson, OMS : Nous avons des professionnels de la santé critiques qui commencent à remettre en question les vaccins et la sécurité des vaccins. Avec un peu de chance, on a une demi-journée consacrée aux vaccins pendant les études. Ensuite, il faut se tenir au courant soi-même.

David Sorensen : Il est bien connu que les vaccins classiques sont très dangereux et ont de graves effets secondaires. Les médias cachent cela à tout prix au public. Le gouvernement américain a récemment organisé une audition avec Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook. Un sénateur a attiré l’attention sur ce point : Le gouvernement amér-icain a récemment versé plus de 4 milliards de dollars à des personnes dont la vie a été détruite par des vaccins. Alors pourquoi Facebook cache-t-il à ses utilisateurs des informations sur les dommages causés par les vaccins ?

Bill Posey : En avril, je vous ai écrit que j’étais déçu que Facebook restreigne la liberté d’expression et que j’envisageais d’aborder le risque de vaccination. Reconnaissant les incertitudes et les risques des vaccins, le gouvernement fédéral a créé un fonds fiduciaire. Ce fonds a versé plus de quatre milliards de dollars pour indemniser les personnes qui ont subi des dommages suite à la vaccination. Il n’y a pas de message plus clair sur le risque vaccinal que l’existence et les paiements de ce fonds. De temps en temps, la recherche médicale a identifié des cas de risques spécifiques liés aux vaccins. Quelqu’un ne devrait-il pas avoir la possibilité d’exprimer une opinion différente de la vôtre ? Je veux dire, plus de quatre milliards de dollars ont été versés par le fonds, à plus de quatre mille personnes. Ne pensez-vous pas que les gens devraient avoir des informations pour pouvoir prendre une décision plus fondée ?

Mark Zuckerberg : Membres du Congrès, c’est ce que je fais, et c’est pourquoi nous n’empêchons pas les gens de publier sur leur page quelque chose qui est faux. Quelqu’un tape dans le champ de recherche quelque chose qui pourrait conduire à des contenus anti-vaccins… nous ne leur recommandons pas de résultats de recherche anti-vaccination.

Bill Posey : Les gens qui sont lésés par cette politique sont en effet des parents d’enfants handicapés, et je ne pense pas que nous devrions, ou que vous devriez, leur tourner le dos si vite, si vous regardez les statistiques terribles. Je pense que vous faites une grave erreur.

David Sorensen : Une forme sévère d’autisme fait que les gens ne sont plus capables de penser clairement, ils ne peuvent pas parler correctement, ils ne peuvent pas se comporter correctement, ils sont handicapés mentaux. Une étude a été menée par le CDC pour examiner le lien entre les vaccins et l’autisme sévère. Ils ont en effet découvert que les vaccins provoquent l’autisme. Cependant, ils ont jeté toutes les preuves dans une poubelle qu’ils ont placée au milieu de la pièce. Ils ont détruit les preuves et ils ont publié un document scientifique dans la prestigieuse revue PEDIATRICS en disant que non, les vaccins ne causent pas l’autisme. Le scientifique principal de cette enquête, de cette étude, William Thompson, est sorti et a dit « Je suis coupable, nous avons caché la vérité au public ».

Conversation téléphonique de William Thompson avec Brian Hooker :

Vous et moi nous nous connaissons à peine, mais vous avez un fils autiste et moi une grande honte.

Journaliste Del Bigtree : Il y a un lanceur d’alerte du CDC qui annonce que le CDC a commis une fraude dans l’étude ROR et qu’ils savaient que les vaccins provoquaient effectivement l’autisme.

Parents d’enfants handicapés dus à la vaccination :

  • Avant la vaccination, mon fils aîné pouvait marcher, mais plus après !
  • J’ai donc appelé la clinique et j’ai dit que je pensais que mon enfant avait un effet secondaire.
  • Et puis il a commencé à se cogner la tête sans arrêt, il tapait contre tout ce qu’il pouvait trouver.

Enregistrement de William Thompson : Je suis assis au bon endroit en ce moment pour vous donner plein d’informations :

(Insertion vidéo : Le risque relatif de recevoir un diagnostic d’autisme était gigantesque.)

Udo Ulfkotte : Wow ! Le CDC était au courant du risque d’autisme dû au vaccin ROR depuis le début !

Dr Coleen Boyle : Et le verdict du CDC : la meilleure politique publique est tout simplement de continuer à vacciner.

Dan Burton : Vous dirigez nos autorités sanitaires et vous avez l’obligation de veiller à ce que ces études soient complètes, afin que nous connaissions tous les faits.

Enregistrement de William Thompson : Oh mon Dieu ! Je ne peux pas le croire… nous l’avons fait !

Journaliste Del Bigtree : …détruit des données, induit le Congrès en erreur, causé de graves dommages à des enfants innocents

Jim Sears (pédiatre) : Tout ce que j’ai dit à mes patients au cours des dix dernières années est basé sur des mensonges et des dissimulations.

Bill Posey : Vous devriez pouvoir compter sur les autorités fédérales pour vous dire la vérité…

Doreen Granpeesheh : En 1978, la prévalence de l’autisme était d’un enfant sur 15 000.

Stephanie Seneff : Au rythme actuel, nous pouvons prédire que d’ici 2032, 80 % des garçons qui naîtront finiront dans le spectre de l’autisme. 80 % des garçons !

Doreen Granpeesheh : Ce nombre énorme d’enfants qui sont diagnostiqués autistes chaque jour…

Stephanie Seneff : … ce sera une catastrophe totale ! Vous laissez cela arriver.

David Sorensen : C’est un crime de l’organisation de la santé au plus haut niveau de nous cacher cette information. Les médias cachent cette information.

Le documentaire VAXX montre en effet l’immense destruction causée par les vaccins dans le monde entier. Les gens expriment l’indicible souffrance du cœur que les vaccins ont causée à leurs enfants, qui ne peuvent plus marcher, plus parler, plus penser. Ce documentaire a été interdit, réprimé et censuré de toutes les manières possibles. C’est pourquoi j’ai invité le Dr. Carrie Madej à parler des vaccins, car le vaccin Covid-19 présente tous les dangers des vaccins classiques, plus tous les risques inhérents aux nouvelles technologies introduites sans tests de sécurité.

Bill Gates dit littéralement dans une interview avec la BBC qu’ils sautent les tests de sécurité habituels parce qu’ils n’ont pas le temps. Comment ça, pas le temps ?

C’est absolument fou ! Et il a aussi dit qu’au moins sept cent mille personnes vont souffrir d’effets secondaires. Et ces effets secondaires incluent le cancer, les maladies auto-immunes, la paralysie, la mort, toutes sortes d’effets secondaires graves. Je vais passer le clip dans lequel vous pouvez entendre Bill Gates parler de l’omission des tests de sécurité.

Bill Gates : Et le moyen de nous ramener au monde d’avant le Covid consiste à vacciner les sept milliards de personnes. L’efficacité chez les personnes âgées, dont le système immunitaire est affaibli, est un grand défi. Pour y parvenir, si on utilise vraiment le vaccin, on risque de se heurter à des problèmes de sécurité. Il faudrait donc terminer en dix-huit mois quelque chose qui prend normalement cinq ou six ans. Mais il y aura un compromis : moins de tests de sécurité que ce que nous avons normalement.

Intervenant du studio : Si je comprends bien, il peut y avoir des compromis sur les mesures de sécurité auxquelles on s’attendrait normalement, parce que le temps est tellement compté ?

Bill Gates : Eh bien, si vous voulez attendre pour voir si un effet secondaire apparaît deux ans plus tard, cela prend deux ans.

David Sorensen : Dans le clip suivant, on entend Bill Gates dire qu’il injecte des organismes génétiquement modifiés, directement dans les veines de jeunes enfants.

Bill Gates : Les effets secondaires isolés sont un peu préoccupants. Avons-nous besoin de tests de sécurité ? Nous utilisons des organismes génétiquement modifiés, et nous les injectons dans les bras de petits enfants, nous les injectons directement dans la veine. On utilise des organismes génétiquement modifiés et on les injecte directement dans le bras. On les injecte directement dans la veine. Donc oui, je pense que nous devrions peut-être avoir un système de sécurité où nous ferions des essais et des tests.

David Sorensen : Regardez l’expression de son visage. Comme il aime ça, il regarde sur le côté et sourit … « des organismes génétiquement modifiés et on les injecte dans les petits bras des enfants, on les injecte directement dans la veine… »

Donc oui, peut-être qu’on devrait avoir des tests de sécurité, ce qui veut dire qu’ils ne l’avaient pas encore au moment où il l’a dit. Ça veut dire qu’ils ont injecté des organismes génétiquement modifiés à des millions de personnes depuis des décennies. Ça peut modifier leur ADN, ce qui provoque une énorme destruction de leur corps. Et il dit simplement : « Oui, peut-être que nous devrions avoir un système de sécurité » !

Extraits (citations) :

« … parce que nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus en raison d’un vaccin particulier. »

« De grandes préoccupations sanitaires que nous avons vues, accusations d’incidents à long terme et de longue durée. »

« Nous avons de très nombreux professionnels de la santé en première ligne qui commencent à remettre en question les vaccins et aussi la sécurité des vaccins. »

« Ce serait la catastrophe totale si ça continuait comme ça. »

David Sorensen : Il se passe autre chose, c’est extrêmement dangereux. Mike Adams de Natural News est un scientifique qui étudie cela depuis de nombreuses années. Il a fait une vidéo il y a des années dans laquelle il disait textuellement : ils vont créer une pandémie de Covid et ensuite introduire un vaccin qui va tuer des millions de personnes parce qu’ils veulent réduire la population mondiale.

Mike Adams : Ils sont appelés à participer à un programme d’inoculation-meurtrier. Ça pourrait se passer de la façon suivante : D’abord, il y a une épidémie planifiée, la libération d’armes biologiques manipulées. Nous avons vu le coup d’essai, l’épidémie de rougeole à Disney World, pour promouvoir le mandat de vaccination SPE 277 en Californie. Ça se fait au niveau global. Une arme biologique est libérée. Ça entraîne des appels au financement massif de l’industrie des vaccins par l’Etat. Et comme par miracle, le vaccin sera ensuite développé en un temps record. Tout le monde sera obligé de se faire vacciner, mais le vaccin sera tel qu’il tuera les gens. Le kill-switch pour l’humanité, la grande mort. De nouvelles lois exigeront que tout le monde se fasse vacciner. Les personnes non vaccinées ne pourront plus utiliser les transports en commun. Ils ne pourront pas prendre l’avion, ils se verront refuser un compte en banque.

Et dans ce vaccin, ils introduiront bien sûr d’autres armes fabriquées par biotechnologie. Il s’agira de souches virales à longue latence, qui ne seront peut-être actives que des mois plus tard. Dès que l’effet commencera à se faire sentir, ils verront des gens mourir dans les rues, dans toutes les villes, dans le monde entier. Lorsque cela commencera, les médias encourageront un deuxième tour de vaccination. Ce deuxième tour sera un kill-switch plus court, qui tuera les gens en quelques semaines, pas en quelques mois, peut-être en quelques jours dans certains cas.

Si tu fais la queue pour te faire vacciner, tu seras probablement mort en peu de temps. Et c’est le cas, les vaccins sont devenus une arme. Ils sont un facteur de mort pour l’humanité. Rappelle-toi que les mondialistes ne veulent pas des humains, du moins pas de la plupart d’entre nous. Ils veulent dépeupler la planète de 90%. Les vaccins sont devenus de plus en plus des armes biologiques.

David Sorensen : Mike Adams a-t-il perdu la tête, est-il fou ? Pourquoi dit-il cela ? Je reviens au Dr Carrie. Elle va expliquer quelques choses sur le passé de Bill Gates, sa mission et l’agenda général de dépopulation du monde.

Revenons à vous, Carrie.

Dr Carrie Madej : Alors, vous vous demandez peut-être pourquoi, pourquoi cela arrive avec ce nouveau vaccin ? Pourquoi ces nouvelles technologies ? Eh bien, chaque fois que je ne suis pas sûre de quelque chose, je me dis de suivre l’argent. Et si vous regardez le contexte, les bailleurs de fonds qui essaient d’être les précurseurs de la fabrication des vaccins, si vous regardez la recherche et le développement, si vous regardez ce qu’il y a derrière les grandes organisations de santé comme l’OMS, l’Institut national de la santé, le Centre de surveillance des maladies du CDC, vous trouvez les mêmes noms. L’un des plus grands donateurs est la Fondation Bill & Melinda Gates. Un autre que vous n’avez pas souvent remarqué, c’est notre armée, le ministère de la Défense et la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), qui est une autre branche du Pentagone. Donc, vous voyez ça tout le temps. Ok, donc nous savons qu’il y a des entités, l’armée.

Mais regardons ces personnes, Bill et Melinda Gates, qui parlent si brutalement. Pourquoi s’intéressent-ils aux vaccins ? Parce qu’ils font partie de la technologie informatique. Ce sont des gens de la technologie. Ils n’ont pas de formation en santé, en science ou en épidémiologie. C’est eux qui mettent des millions et des millions de dollars dans ces entreprises et qui les financent, donc ils ont aussi un intérêt personnel à gagner de l’argent avec ça, parce qu’on peut gagner de l’argent avec les vaccins.

Et si on regarde l’histoire de la famille, on voit que la famille Gates a été très impliquée dans l’eugénisme. L’eugénisme, c’est le contrôle mondial de la population ! Tous deux pensent qu’il y a trop de gens dans le monde, et que pour créer un monde sain, il faut le dépeupler. Comment peut-il décider qui reste et qui part ? Dans la vidéo, il dit que grâce à la nouvelle technologie des vaccins, nous pouvons dépeupler la population. Il pense de 10 à 15 %.

Citation de Bill Gates :

« Il y a aujourd’hui 6,8 milliards d’êtres humains, il y en aura 9 milliards dans peu de temps. Si nous faisons vraiment un super boulot maintenant, avec de nouveaux vaccins et des soins de santé reproductive, nous pourrons peut-être réduire la population de 10 à 15%. »

Dr Carrie Madej : Qui est-il pour décider qui reste et qui part ? C’est quand même très inquiétant. Il faut regarder la motivation de celui qui nous pousse à le faire. Est-ce que c’est sa motivation ? Il y a encore une chose à savoir : La fondation Bill & Melinda Gates et le Pentagone DARPA ont effectivement financé quelque chose qui s’appelle Gene Drive Research ou technologie de modification des gènes. C’est exactement ce qu’ils pensent peut-être. Il s’agit d’extinction, d’extermination d’espèces. Ils proposent de l’utiliser et ont dépensé des millions de dollars pour éradiquer des espèces de la planète. Ils veulent le faire avec les moustiques et les plantes en Afrique. Encore une fois, est-ce que quelqu’un en a parlé ? Donc, s’ils parviennent à éradiquer une espèce sur la planète, ça pourrait s’appliquer à l’homme. Et s’il y a une espèce, une race qu’ils n’aiment pas ? Il y a là un potentiel. Et comment font-ils ? Ils le font par mutagenèse. Ils mutent un gène. Encore une fois, ce mot s’appelle transfection. C’est un moyen de manipuler l’ADN, de faire muter un gène. C’est la même technologie qu’ils utilisent dans ce nouveau vaccin contre le Covid-19. Mais nous devons voir la motivation derrière tout cela ! Pourquoi sont-ils si pressés ? Et vous savez, si le vaccin nous endommage, si des gens ont un cancer, sont paralysés, meurent, personne n’a de droits de recours. Nous ne pouvons pas porter plainte ! Nous n’avons pas de voix parce qu’aux États-Unis, ils ont voté deux mandats pour dégager les fabricants de vaccins et tous ceux qui les administrent, de toute responsabilité, de toute responsabilité ! D’abord en 1986 ! Si on regarde la loi sur les vaccins, on voit qu’ils sont déjà exonérés de toute responsabilité. Puis, pour vraiment brouiller les pistes, en février 2020, les États-Unis ont pris les devants en adoptant une loi de précaution d’urgence qui implique une responsabilité zéro complète pour tous les fabricants de vaccins. Encore une fois, il y a deux mandats, et même avec cette loi préventive d’urgence, ils peuvent imposer des vaccins à la population, c’est-à-dire lorsqu’il n’y a pas de traitement connu pour l’infection. Ça nous amène au point suivant. Il y a un traitement ! Des médecins nous ont contactés. Nous connaissons différents traitements, en effet. Vous avez peut-être déjà entendu parler de l’hydroxychloroquine. Elle a été bannie de certains protocoles. Même dans mon État, la Géorgie, où je suis autorisé à exercer, les pharmacies peuvent désormais refuser à leur gré la prescription d’hydroxychloroquine. Nous n’avons jamais eu cela auparavant. Pourquoi empêche-t-on les médecins de prescrire un traitement dont nous savons qu’il est efficace contre ce virus – et même qu’il le prévient !? Je ne sais pas. Je pense que c’est peut-être l’argent, peut-être est-ce un programme pour les fabricants de vaccins ? Qu’est-ce que ça peut être d’autre ? Des médecins américains en première ligne parlent de leur expérience. Ils ont eu des expériences et des succès avec l’hydroxychloroquine. Ils ont eu une audience publique. Puis ils ont été réduits au silence. Leur site web est devenu introuvable, un médecin a été licencié, un autre calomnié. Voilà les conséquences de leur témoignage.

The Frontline Doctors des États-Unis :

« Hier, il y a eu plus de 20 millions de clics sur YouTube, Google, Facebook et Twitter. Puis ils nous ont supprimés. J’en ai assez de voir des gens mourir sous nos yeux. Nous étions encore plus consternés par ce filet de peur dans lequel les gens ont été enveloppés. Quand il y avait un traitement, ils étaient guéris. Il y a un traitement. Les gens ont peur de le dire. S’ils donnent le remède à temps, il stoppe le processus de la maladie ! La maladie s’arrête. Nous te suivons de près, Big Tech ! C’est ce que nous faisons ! Nous ne nous tairons pas ! La première demande n’est pas la dernière ! Bon, vous ne vous reposerez pas quand nous reviendrons. Nous viendrons. Nous sommes des milliers ! Et d’ailleurs, le flot de preuves concernant l’hydroxychloroquine est sauvegardé et c’est la solution pour l’Amérique. C’est un tsunami ! »

« Le produit était autrefois utilisé tout le temps. Il n’y a pas de Covid, presque zéro ! Le Dr Raoult est le n°1 mondial des infections et l’a approuvé. Il a traité 4 000 personnes avec ce produit. Avec un résultat formidable ! L’hydroxychloroquine est efficace ! Ne pas le donner aux malades, c’est honteux ! Nous vous apportons cette nouvelle : l’hydroxychloroquine fonctionne ! »

« Je suis le Dr Stella Immanuel. Je suis pédiatre et médecin urgentiste ici au Texas. Je suis originaire du Cameroun et j’ai étudié la médecine au Nigeria. Nous utilisons l’hydroxychloroquine et aussi la camoquine, la flavoquine et toutes ces substances actives. Je suis donc habituée à ces médicaments. Alors quand ils ont commencé à dire que ça ne marchait pas et que c’était dangereux, j’ai pensé : Quoi ? On en donne aux bébés, aux femmes enceintes, aux personnes âgées, tout le monde en prend. L’hydroxychloroquine est efficace ! J’ai traité plus de 350 patients : asthmatiques, diabétiques, personnes âgées, peu importe. Et pas un seul décès ! Républicains, n’ayez pas peur ! Le Covid a un remède, on peut aussi prévenir le Covid ! »

« Il est important de reconnaître qu’il y a un effort concerté pour tenir à l’écart du peuple l’innocuité et l’efficacité de l’hydroxychloroquine, et nous devons tous nous faire entendre. Merci. »

« La seule façon d’obtenir cette ressource est la suivante : vous devez la réclamer ! Ecrivez aux membres du Congrès, aux gouverneurs, tweetez au président Trump. Si vous le réclamez, vous l’obtiendrez et vous pourrez sauver votre vie et celle de beaucoup d’autres. Faites-le ! »

« Je vous remercie beaucoup. Oui, faisons-le ! Exigeons tous de l’hydroxychloroquine ! Quel est notre hashtag ? #hydroxychloroquinewirkt. Directement au président ! »

David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a plus de 1 700 professionnels de la santé – imaginez ce chiffre un instant – soutenus par des dizaines de milliers de personnes ordinaires qui ont écrit une lettre au gouvernement avec deux messages.

Premièrement, ils disent :

« Il est extrêmement inquiétant que les médecins et les scientifiques soient réduits au silence, et blâmés lorsqu’ils s’expriment sur les traitements existants efficaces contre le Covid-19, sûrs, bon marché et largement disponibles. »

Et deuxièmement :

« Pourquoi les gouvernements interdisent-ils ces traitements efficaces, peu coûteux et sûrs, alors qu’ils mettent en avant un vaccin non testé et peu sûr ? »

Les gouvernements versent déjà des milliards de dollars à ces développeurs de vaccins. Ces montants sont fous. C’est votre argent ! Avec cela, vous êtes contrôlés, réprimés et même tués !!! En Espagne, 600 médecins se sont avancés et ont déclaré lors d’une conférence de presse nationale : La pandémie de Covid est un plan politique unique. Il a été élaboré dans un but politique. En Allemagne, plus de 1 500 médecins et scientifiques ont déclaré ce qui suit lors d’une conférence de presse nationale :

Dr Heiko Schoning : « Nous doutons de la véracité de l’histoire officielle de Covid ! Nous avons des tas de preuves, c’est une histoire fabriquée au niveau mondial. C’est évident ! Je parle à tous mes collègues médecins, car nous avons les preuves médicales : C’est une fraude !!! Ce n’est pas vrai ! Tout simplement pas vrai !

Nous devons nous demander : Pourquoi ? Pourquoi ? Ok, et nous devons nous demander : A qui cela profite-t-il ? Si vous regardez derrière les coulisses, vous voyez, cette histoire avec le Covid-19, nous avons les faits médicaux, c’est une fraude ! C’est faux ! Alors nous nous demandons : Qui en tire profit ? Et qui a le pouvoir de créer ces faits ? Et qui a le pouvoir de créer ces choses fausses ? Eh bien, la cible, c’est vous ! Les citoyens ! Vous et l’économie. C’est l’économie qui est visée ! Donc le Covid-19 semble n’être que la couverture.

48mn30 – David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a un médecin qui s’appelle Rob Elens, un médecin généraliste. Il a vu guérir en quatre jours tous ses patients traités avec de l’hydroxychloroquine combinée à du zinc. Il a dû arrêter de soigner sans délai, sinon il perdait sa licence. Il a ensuite réalisé une vidéo dans laquelle il a fait une liste de tous les traitements efficaces existants pour le Covid-19. Elle a été vue 10 000 fois en quelques heures seulement. YouTube l’a supprimée.

Ils ne veulent pas que tu saches que l’humanité sait qu’il existe en fait un traitement sûr et efficace pour le Covid-19.

Le Dr David Brouncen, du Michigan, a traité plus de 120 patients atteints du Covid. Certains étaient en train de mourir, d’autres étaient proches de la mort.

Dr David Brouncen : Un de nos patients ne pouvait pas respirer. Il était couché et ne pouvait pas tenir un verre d’eau, tellement il était faible. Dès qu’il a commencé à inhaler de l’hydroxychloroquine et de l’iode, il s’est rétabli de manière spectaculaire.

David Sorensen : Le Dr Richard Bradley, du Texas, a été responsable de la mise en place de soins de santé de haute qualité pour l’ensemble du Texas. En tant que professionnel de la santé, il est connu pour sa qualité. Depuis le début de la pandémie, il a traité plus de 500 patients atteints du Covid avec un médicament contre l’asthme très bon marché et très simple, qui existe depuis des décennies.

Dr Richard Bradley : Je vais vous dire ce que j’ai entendu de la part des patients lorsque j’ai commencé à utiliser cela. Ils m’ont dit : « Je me sens mieux dès le premier traitement. » Leur douleur thoracique, leur essoufflement disparaissent, leur fièvre baisse.

Je vais vous donner un exemple. J’ai une patiente qui a deux types de cancer. Elle m’appelle après être restée cinq jours à plat sur le dos, elle ne peut pas se lever. Elle a de la fièvre depuis cinq jours et me dit : « Je vous ai entendu à la radio, pourriez-vous m’aider ? » C’est un vendredi et elle me dit : « Ma petite-fille a été testée positive aujourd’hui et je pense que je l’ai aussi. »

Et j’étais sûre qu’elle l’avait avec tous les symptômes qu’elle décrivait. Elle se bat actuellement contre deux formes de lymphomes, elle fait de la chimiothérapie et a eu une radiothérapie pour son lymphome il y a un mois. Après tout ce qu’on entendait de la part du CDC et de l’OMS, elle aurait dû mourir, mais je lui ai donné le premier traitement dans la nuit. Le lundi, sa fièvre était tombée et elle a bien dormi pour la première fois. Pendant le week-end, elle se remet et le lundi, elle fait une journée de travail de huit heures. Elle ne présente plus de symptômes. Deux tests négatifs, c’est une guérison !!!

Présentatrice : Ok, pouvez-vous répéter le nom du produit ?

Dr Richard Bradley : Budésonide

Présentatrice : Il est inhalé ? Par inhalation ?

Dr Richard Bradley : Avec un inhalateur.

David Sorensen : Ce ne sont que quelques exemples. Il y a des traitements, il y a des guérisons, mais ils sont réprimés et ils vous sont cachés. Les médias travaillent ensemble comme un seul homme pour mentir à toute l’humanité, car ils ne veulent tous qu’une chose : vacciner toute l’humanité !!!

Ce sera catastrophique ! Il est impossible de l’exprimer avec des mots !

La Dr Carrie Madej a soulevé quelques points. À la fin de cette vidéo, elle dira un dernier mot d’avertissement. Je vous encourage à vous inscrire sur le site stopworldcontrol.com, parce que vous aurez beaucoup plus d’infos et de révélations, beaucoup plus de vérité fortifiante, plus de vie pour défendre votre famille, votre nation…

Nous nous trouvons à un moment critique de l’histoire. Ce qui se passe actuellement est sans précédent. Sur le site Stopworldcontrol, vous pouvez trouver un article avec des dizaines de faits qui montrent sans l’ombre d’un doute que cette pandémie a été planifiée. Elle a été organisée et orchestrée. Des événements ont été organisés pour la répéter. Des scénarios ont été mis en œuvre, c’est fou ! Vous pouvez le voir de vos propres yeux sur stopworldcontrol.com.

Je vous encourage à devenir une voix de la liberté, une voix de la vérité. Beaucoup de gens découvrent cette vérité, puis s’assoient simplement et se découragent, ou ont peur, ou sont en colère, ou choisissent de dénigrer.

Mais ça n’aide personne. Vous avez le pouvoir de changer votre monde. Si nous nous levons comme UN SEUL homme et commençons à arrêter le contrôle du monde et à partager cette vérité, cette vidéo et ces pages web, à partager toute source fiable qui peut réveiller l’humanité, alors nous deviendrons un rugissement furieux que rien ne pourra arrêter !!!

Et aucun milliardaire ne peut lutter contre l’humanité entière si elle s’élève dans la plénitude de ce qu’elle est vraiment.

Alors, je vous encourage : allez sur le site stopworldcontrol, il y a un lien de téléchargement où vous pouvez télécharger des flyers et des affiches pour que vous puissiez aider à partager ce site.

Dr Carrie Madej : Alors, s’il vous plaît, écoutez nos paroles et entendez le message. En ce moment même, nous sommes confrontés à quelque chose qui pourrait changer l’humanité. Nous passons de l’humanité 1.0 à l’humanité 2.0. Et cela peut paraître très sympathique de recevoir peut-être quelques capacités – des capacités surhumaines – si nous nous connectons à ce 2.0 – cette intelligence artificielle. Mais je suis ici pour vous dire que je ne pense pas que ce sera comme vous le voyez dans les films de science-fiction. Je pense que notre autonomie, nos libertés, nos capacités à être des âmes souveraines nous seront retirées.

Alors s’il vous plaît, réfléchissez et faites des recherches critiques avec votre propre pensée, et ensuite nous devons unir nos voix dans le monde entier. Et nous devons défendre nos droits, nos droits de l’homme. Ensemble, nous avons le pouvoir ! Les personnes qui sont actuellement responsables de notre santé n’agissent pas dans notre intérêt, n’agissent pas selon une méthodologie scientifique, une bonne science solide.

Pourquoi en est-il ainsi ? Pourquoi introduisent-ils des technologies dont ils ne parlent pas dans les grands médias ? Qu’est-ce qu’ils cachent ? Nous devons donc nous unir et avoir une seule voix !




La fabrication des perceptions

[Voir aussi sur Dogma #19]

Par Joseph Stroberg

La perception de la réalité par les êtres humains représente un processus relativement complexe initié lors de la réception d’informations par les organes et les dispositifs sensoriels du corps. Elle présente au moins deux points de vulnérabilité qui offrent à des êtres malintentionnés des possibilités de manipulation de la perception : le premier est sa fragilité proportionnelle à sa complexité, de la même manière qu’une chaîne se brise d’autant plus facilement — par son maillon le plus faible — qu’elle est longue ; et le second provient de son caractère partiel et subjectif. Et si l’on cherche à pallier l’insuffisance, l’incomplétude et la subjectivité perceptive par des artifices technologiques, on ne fait souvent qu’accroître le degré de complexité et donc proportionnellement celui de fragilité, rendant l’individu encore plus vulnérable à la manipulation de ses perceptions par différents moyens. Or, il existe des individus ou des entités qui semblent avoir développé une spécialité : celle de remplacer la perception naturelle du réel par un récit artificiel, fallacieux ou factice qui peut au contraire s’en écarter plus ou moins drastiquement et dramatiquement.

Les moyens de perception offerts aux êtres humains sont actuellement de deux ordres : les naturels et les artificiels. Les premiers proviennent de son système sensoriel et les seconds ont été inventés à différentes époques comme autant d’instruments purement mécaniques dans certains cas, ou chargés d’électronique dans d’autres, généralement plus récents.

Parallèlement aux cinq sens classiques et bien connus, l’être humain dispose aussi de sens qui lui permettent de s’orienter dans l’espace, de trouver son équilibre, de ressentir les émotions (voire les pensées) d’autres individus à distance, d’anticiper des événements, etc. Par différents capteurs plus ou moins efficaces, précis, sélectifs…, ayant une plus ou moins longue portée et large couverture, il peut ainsi percevoir la position et le mouvement d’un objet ou d’un sujet d’observation, et d’autres caractéristiques perçues conventionnellement comme étant sa couleur, sa forme, sa texture, sa matière, etc., mais que la science a tendance de nos jours à considérer comme des assemblages dynamiques d’atomes ou de molécules. Cependant, ses capteurs et organes sensoriels ne représentent que la première étape du dispositif de perception des informations relatives aussi bien à lui-même qu’aux autres entités de l’Univers. Ces dernières sont ensuite transmises au cerveau, par le biais du système nerveux.

Le cerveau joue un rôle capital dans le traitement des perceptions, en les rendant intelligibles. Il renverse notamment l’image reçue du dehors par l’œil sur la rétine. Il transforme en couleurs les signaux reçus par les trois types de capteurs rétiniens. Il transforme en bruits, cris ou paroles les vibrations sonores captées au niveau de l’oreille. Il traduit en saveurs les substances chimiques perçues par les papilles gustatives. Il interprète sans cesse l’information reçue sous différentes formes et par de multiples capteurs sensoriels, tendant plus ou moins automatiquement à écarter ce qui ne cadre pas avec l’image du monde qu’il s’est déjà fabriquée grâce non seulement à ses sens naturels, mais aussi à ses moyens artificiels de perception.

Pour pallier ses handicaps sensoriels naturels ou accidentels ainsi que la limitation de ses sens de manière générale, par exemple par rapport à certains animaux, l’être humain a inventé au cours des âges divers moyens. Les plus anciens instruments qu’il a pu ainsi fabriquer à de telles fins sont probablement le monocle et la paire de lunettes. L’équivalent pour l’ouïe a pris d’abord la forme d’un cornet acoustique, puis plus récemment de prothèses auditives. De multiples dispositifs ont été créés pour nous permettre d’augmenter nos moyens de perception. Le microscope, le télescope optique, le radiotélescope, mais aussi le télégraphe, la radio, la télévision, les satellites de communication ou d’espionnage, et Internet font partie de ceux-ci. Nous percevons en effet le monde à travers eux.

Avec ou sans moyens artificiels pour augmenter ses sens ou pallier leur manque ou leurs limitations, les perceptions qui en découlent sont plus ou moins fortement tributaires du travail effectué au niveau du cerveau pour traiter les informations reçues. La grande majorité des individus, neurotypiques, tendent à ainsi à la « dissonance cognitive » quand de nouvelles données ne cadrent pas avec l’image du monde, la représentation interne qu’ils s’en fabriquent au fur et à mesure de leur évolution depuis le plus jeune âge. Ils le font d’autant plus que les réactions émotionnelles induites par ces données perçues sont négatives (par exemple sous forme de peur, de colère ou de haine). Dans un tel cas, la dissonance avec l’acquis est trop forte et ces dernières sont alors simplement rejetées. Lorsque les données plaisent ou laissent émotionnellement indifférent, mais sont en contradiction avec le schéma déjà construit, elles sont déformées par le cerveau pour pouvoir s’y intégrer.

L’image du monde que se fabrique un individu donné peut être plus ou moins déformée ou faussée par rapport à la réalité objective selon son fonctionnement neuronal (découlant notamment de ses habitudes de pensées) et selon ses capacités mentales d’analyse et de logique, mais aussi selon son degré d’humilité (ou au contraire d’orgueil) face aux champs de connaissance, ceux qu’il pense déjà connaître ou avoir suffisamment explorés, comme ceux qu’il ignore encore plus ou moins totalement. La vanité et la suffisance engendrées par un savoir acquis acceptent en effet mal la remise en question de ce dernier lorsque de nouvelles données tendraient à en détruire les fondations.

Une bonne maîtrise de la logique est pratiquement indispensable pour effectuer une analyse cohérente et relativement impartiale non seulement de la représentation du monde déjà élaborée (incluant théories et croyances diverses) que des nouvelles observations toujours susceptibles, d’ailleurs, d’entrer en contradiction avec celle-ci. La logique permet de séparer plus facilement la vérité de la fausseté et du mensonge.

Une bonne dose de réelle humilité est également indispensable, cette fois pour être capable d’accepter les erreurs, invraisemblances et incohérences du modèle du monde déjà construit en interne face aux nouvelles perceptions ou à un afflux de « lumière » qui les mettent en évidence. Quand nous avons basé notre vie sur une erreur (comme l’est par exemple assez probablement la théorie virale), l’orgueil favorisé par la notoriété (individuelle aussi bien que collective), le consensus (voire l’unanimité) et l’intelligence représente un puissant obstacle à la remise en question des connaissances acquises, combien même celles-ci seraient plus ou moins complètement fausses et frauduleuses.

D’autres obstacles à la remise en question de l’acquis s’avèrent de nos jours être l’intérêt financier, la volonté de contrôle social ou politique, et la peur de l’inconnu. Des individus ou des groupes principalement motivés par le maintien ou l’augmentation de leurs privilèges ont ainsi tout bénéfice et intérêt à maintenir l’Humanité dans l’état qui leur a permis d’arriver où ils en sont. À cette fin, ils peuvent jouer sur l’orgueil des « experts », l’abrutissement des masses par une éducation déficiente leur interdisant tout sens véritable de logique et esprit d’analyse élaboré, le contrôle de ces mêmes masses par l’émotionnel en lui offrant des loisirs stimulant ce dernier au détriment du mental et en la plongeant dans un état quasi perpétuel de peur (par une stimulation médiatique appropriée). Connaissant la psychologie humaine et la manière dont l’individu perçoit et imagine le monde, ils peuvent alors dicter à la masse humaine la manière dont elle doit désormais percevoir le réel. Ils obtiennent des résultats d’autant plus rapides et spectaculaires qu’ils interviennent à tous les stades du mécanisme perceptif.

En offrant à l’Humanité des capteurs et instruments d’analyse de plus en plus sophistiqués et démultipliés, si possible sur un seul support (comme le « smartphone »), on la détourne de l’usage de ses propres ressources naturelles. L’individu assujetti aux téléphones et autres instruments prétendument « intelligents » leur remet ses propres capacités d’observation, de mémorisation, d’analyse et de réflexion. Il abandonne son naturel pour l’artificiel et devient dépendant de la technologie pour assurer une partie croissante de ses besoins journaliers. Sans ces artifices, il est perdu, en état de manque, voire en véritable panique. Il ne sait plus mémoriser, calculer, réfléchir… analyser par lui-même. Il existe ainsi une différence fondamentale entre par exemple une simple paire de lunettes et un téléphone dit intelligent. Là où la première se contente de rectifier le trajet de la lumière reçue pour améliorer la vision, le second court-circuite le processus perceptif et l’empêche donc de fonctionner normalement en prétendant offrir mieux à l’individu. Or, un organe ou une fonction qui ne sont pas utilisés périclitent.

Après la phase de réception initiale de l’information, les individus mal intentionnés peuvent intervenir de nos jours au niveau cérébral lui-même, et ceci en de multiples zones ou phases du traitement de l’information. En particulier, par l’utilisation d’ondes sonores ou d’ondes électromagnétiques, selon la technologie utilisée, on peut maintenant créer des pensées artificielles, faire entendre des voix dans la tête, induire des émotions, du stress « flottant » (d’origine indéfinissable par l’individu), produire des hallucinations sensorielles, etc.. Dans le cas d’ondes électromagnétiques pulsées (4G, 5G, Wi-Fi, etc.), ces altérations de la perception et des fonctions cérébrales s’accompagnent de symptômes divers, variables selon les individus, mais dont la cause électromagnétique est alors assez rarement reconnue par la médecine et les médecins.

Cependant, il existe aussi et depuis plus longtemps des techniques plus douces et/ou « naturelles » (dans le sens de non technologiques), mais relativement efficaces qui relèvent davantage de la psychologie elle-même : hypnose, induction de « psychose de formation de masse », messages subliminaux auditifs ou visuels, manipulation, propagande et désinformation, conditionnement psychologique, bien que dans ce dernier cas, elles puissent être plus violentes lorsqu’elles s’accompagnent de privations, de stress, voire de torture physique ou psychologique, jusqu’à engendrer ce que l’on appelle classiquement un « lavage de cerveau » ou encore une dissociation de personnalité suite à des traumatismes multiples.

Plus leur connaissance relative aux êtres humains est poussée, plus des êtres mal intentionnés peuvent en tirer profit pour manipuler ces derniers et leur faire réaliser, dire ou être n’importe quoi, jusqu’à des actions, paroles et états qui sont pourtant contre nature. Et plus ils maintiendront l’Humanité dans les sphères de conscience matérielle et émotionnelle au détriment des sphères mentales, intuitives, psychiques et spirituelles, spécialement en stimulant les instincts animaux (de survie, de reproduction…) et l’émotionnel (en jouant par exemple sur la peur ou en utilisant la loi d’attraction et de répulsion), plus il leur sera facile de l’asservir et de lui imposer une fausse réalité. Les instincts et les émotions représentent la porte de la manipulation et du contrôle sur les individus lorsque ces derniers y sont déjà, par nature ou habitude, assujettis au détriment des sphères plus élevées. Et ce n’est pas pour rien notamment que les gourous de sectes tendent presque systématiquement à dénigrer le « mental » comme leur ennemi ou plutôt comme celui que leurs ouailles doivent combattre ou fuir. La raison et le discernement représentent en effet des obstacles à une bonne manipulation, alors que celle-ci gagnera à jouer sur la peur et l’instinct de survie pour placer le corps et le cerveau en mode approprié, celui du « fuis ou combat, mais surtout ne prends pas le temps de réfléchir à ce que tu fais ni à ce que tu perçois ».

Une lumière d’alerte ou de vigilance devrait s’allumer en chaque individu qui se voit proposer de rejeter son mental, son cerveau, la raison ou la logique, de revenir aux instincts primordiaux, de miser ou compter seulement sur ses sensations, d’assouvir ses envies, désirs ou passions sans retenue (et sans se préoccuper des conséquences pour soi et pour les autres)… Elle devrait aussi s’allumer lorsqu’on lui indique des ennemis à combattre, réels ou imaginaires, matériels ou idéologiques, visibles ou invisibles (comme des virus)… Dans une perspective évolutive ou spirituelle, le seul véritable combat à mener réside en soi-même, contre ses propres démons, ses propres illusions, ses fantasmes qui se font passer pour réels, ses mensonges sur soi-même, son orgueil, son étroitesse de vue, d’esprit et de cœur…

Plus nous saurons élever et maintenir notre conscience dans les sphères mentales, intuitives, psychiques et spirituelles, plus notre discernement, nos intuitions, notre âme et notre esprit nous permettrons de déceler les tentatives d’altérer notre perception libre et naturelle du monde, des autres et de nous-mêmes, quitte à nous tromper et à nous fabriquer notre propre perception ou image illusoire de la réalité. Nous gagnons à demeurer libres de nous tromper, de choisir notre voie, même si celle-ci se révélait temporairement sans issue (les demi-tours existent pour ceux qui ont l’humilité de les effectuer). Les conflits naissent dès que l’un de nous cherche à imposer sa propre perception ou vision du monde aux autres, d’autant plus facilement que cette perception prosélyte provient elle-même d’une manipulation. Face à la complexité et l’immensité infinie de l’Univers, en comparaison de moyens sensoriels limités, l’ultime Vérité ne peut provenir que du partage des multiples perceptions individuelles combinées (communément considérées comme des « vérités »), quand ainsi les multiples angles de vue et perspectives finissent par se chevaucher de proche en proche et par faire le tour de l’horizon, puis de la voûte céleste aussi bien que celle de l’inframonde.




Obi-Wan Kenobi, économiste des choix publics

[Source : contrepoints.org]

Par Byron B. Carson.
Un article de l’American Institute for Economic Research

Star Wars peut-il être une passerelle intergalactique pour mieux comprendre la théorie du choix public ? Obi-Wan Kenobi, qui aura bientôt sa propre série, n’est pas seulement l’un des plus grands maîtres Jedi de l’univers et un maître rhétoricien, mais il est aussi un important professeur d’économie politique.

L’avertissement d’Obi-Wan

En protégeant la sénatrice Padmé Amidala de la menace d’un assassinat dans L’Attaque des clones, Anakin Skywalker et Obi-Wan discutent des plans de sécurité, du désespoir d’Anakin concernant sa mère et de l’affection croissante d’Anakin pour Amidala. En conseillant Anakin au sujet d’Amidala, Obi-Wan rappelle à Anakin qu’Amidala est une politicienne. Obi-Wan déclare : « … n’oublie pas qu’elle est une politicienne, et qu’il ne faut pas leur faire confiance. »

L’Attaque des clones (2002) est ouvertement politique, comme le note Anne Lancashire – et comme le note Cass Sunstein pour l’ensemble de la saga – mais le commentaire d’Obi-Wan s’oriente vers l’économie du choix public. Pour un contexte supplémentaire, Lancashire déclare :

… le film soulève et commente aussi délibérément un certain nombre de questions politiques contemporaines (et intemporelles), et plus particulièrement la condamnation cinglante de la combinaison toxique de la cupidité et de l’ambition politique qui – avec un timing extraordinaire, étant donné que la production du film a commencé il y a trois ans – a apporté à l’Amérique, au cours de l’année dernière environ, les scandales d’entreprise de tous les Enron, Arthur Andersen, Tyco, WorldCom, et plus encore, et le débat économique et politique entourant toute la dernière élection présidentielle américaine (juste ou manœuvrée ?), la réponse du président et d’autres autorités à la mauvaise conduite des entreprises (protection des citoyens ou protection des entreprises ?), et la guerre actuelle contre le terrorisme (nécessaire ou politiquement motivée ?).

Les commentaires d’Obi-Wan ne sont pas nihilistes, et ils n’indiquent pas que nous ne devrions pas avoir de politiciens. Il fait référence à leur position dans le système gouvernemental pertinent de Star Wars, c’est-à-dire le Sénat galactique. Étant donné les incitations auxquelles les politiciens sont confrontées dans la république pour financer les campagnes et se faire réélire, toute personne – de n’importe quelle espèce – qui occupe ce poste est confrontée à ces incitations. Celles-ci ont tendance à aller à l’encontre d’autres objectifs, même si ces derniers visent à améliorer l’intérêt public galactique.

La tromperie d’Anakin

Répondant à la mise en garde d’Obi-Wan, Anakin dépeint un romantisme pour les politiciens, ainsi que ses sentiments pour Amidala. Anakin déclare : « Elle n’est pas comme les autres membres du Sénat... » Cette réponse est familière dans la mesure où il s’agit d’une vanité – une notion fantaisiste – partagée par de nombreuses personnes qui croient en l’infaillibilité des politiciens, des élus et des États, ou du moins qui accordent à ces acteurs le bénéfice du doute.

Obi-Wan rejette habilement la réplique d’Anakin et développe son avertissement : « D’après mon expérience, les sénateurs ne cherchent qu’à faire plaisir à ceux qui financent leur campagne. » Obi-Wan exhorte Anakin à se concentrer sur les incitations, et non sur des personnes en particulier ou leurs motivations. C’est l’erreur d’Anakin. Obi-Wan n’attribue pas de mauvaises ou pernicieuses motivations aux acteurs politiques, car cela reviendrait à se tromper sur la logique essentielle du choix public. Indépendamment des motivations de chacun – que les gens soient des anges ou des valets, des Jedi ou des Sith – les incitations ont la priorité pour expliquer leur comportement. Peu importe que nous parlions d’Amidala, de Maître Yoda, de Shmi Skywalker, de Jar Jar Binx, de Dark Vador ou de l’empereur Palpatine ; les incitations influencent le comportement, que les acteurs se trouvent sur des marchés ou dans des contextes politiques. C’est l’essence même de l’économie du choix public, ou de la politique sans romance.

Obi-Wan poursuit : « Et ils n’ont nullement peur d’oublier les subtilités de la démocratie pour obtenir ces fonds. » Les sénateurs peuvent très bien apprécier la démocratie, mais ils sont incités à ne pas tenir compte de ces valeurs et, peut-être, à les déformer. Avec un air de frustration adolescente, Anakin rejette entièrement l’argument d’Obi-Wan en disant : « Pas un autre cours, du moins pas sur l’économie de la politique. »

Plus tard dans cette scène, Anakin déclare :  » ... et d’ailleurs vous généralisez, le chancelier ne semble pas être corrompu.  » Obi-Wan défend sa logique de choix public et répond : « Palpatine est un politicien, j’ai observé qu’il est très habile pour observer les passions et les préjugés des sénateurs. » Autrement dit, Palpatine utilise les autres non pas pour le bien de la république, mais pour ses propres fins. Cependant, quelques instants avant qu’ils ne sauvent Amidala des mille-pattes venimeux, Anakin affiche pleinement son romantisme lorsqu’il déclare : « Je pense que [Palpatine] est un homme bon. »

De telles motivations sont en dehors du propos d’Obi-Wan et de la logique du choix public. Les gens réagissent aux incitations, même les sénateurs et les chanceliers du Sénat galactique. Peut-être que si Anakin avait écouté, il aurait pu repousser les avances de Palpatine et réaliser son lien avec le côté obscur.

Un choix public pour toutes les galaxies

La logique du choix public reste pertinente dans le monde réel, même pour nos controverses politiques les plus pressantes.

Quoi que fassent les politiciens – qu’il s’agisse de dépenser l’argent rare des contribuables pour les infrastructures ou le conflit en Ukraine, de gonfler les devises, d’imposer des réglementations et des droits de douane sur le lait maternisé ou les tests Covid-19, ou de prolonger les fermetures d’écoles – ils répondent aux incitations auxquelles ils sont confrontés. De tels comportements ne sont pas nécessairement liés au fait d’être républicain ou démocrate – il n’y a pas de côté lumineux ou obscur dans le monde réel – et ils ne sont pas non plus liés à des personnes particulières en poste. Il s’agit toutefois de personnes qui font des choix en réponse aux incitations auxquelles elles sont confrontées, à savoir attirer des votes, le financement d’une campagne, le prestige, un personnel plus important, etc.

[Note de Joseph : l’auteur passe sous silence une influence pourtant potentiellement déterminante derrière les actions et les choix des individus, quel que soit le domaine considéré. Il s’agit de la Conscience. On peut toujours la considérer comme étant une incitation de plus, mais alors celle-ci n’est plus d’ordre matériel. Elle est d’ordre spirituel ou subtil. Invisible pour la science économique comme pour la science actuelle en général, elle ne fait jamais partie des équations envisagées, alors qu’elle est fondamentalement ce qui explique la différence d’approche entre un Obi-Wan Kenobi et un Palpatine. Le premier est relié à sa dimension psychique et spirituelle, à son essence, ce qui explique en passant sa sagesse, alors que le second, bien trop attiré par le pouvoir sur la matière et sur la Forme, s’en est coupé.]

Peut-être devrions-nous prêter davantage attention à Obi-Wan, à sa logique de choix public et aux questions d’économie politique plus larges que la franchise Star Wars dépeint ingénieusement. Nous pourrions développer une saine méfiance à l’égard des politiciens, des chanceliers, des hommes et femmes que nous élisons, et nous pourrions prêter davantage attention aux règles – ou à l’absence de règles – auxquelles les politiciens sont confrontés pour limiter les abus perçus.

[Source :] Sur le web




Une expérience génétique tourne mal : ces hamsters se transforment en mutants ultra-agressifs

[Source : maxisciences.com]

Par Aymeric RAMANAKASINA

Aux États-Unis, une expérience sur des hamsters a mal tourné. Les animaux, dont les gènes ont été modifiés, ont soudainement adopté un comportement très agressif.

Ce qu’il s’est passé récemment dans un laboratoire de l’Illinois, aux États-Unis, est digne d’un mauvais film de science-fiction. Alors que des scientifiques faisaient des expériences sur des hamsters, les animaux se sont mis à devenir particulièrement agressifs.

Des hamsters de laboratoire

Le hamster syrien, ou hamster doré, fait régulièrement l’objet d’expériences en laboratoire, en raison de diverses particularités physiologiques, anatomiques et comportementales. Leur exploitation pour ce type d’expérience est cependant controversée, et on note une baisse de la présence de “hamsters de laboratoire”.

Des scientifiques de l’université de Northwestern, aux États-Unis, se sont néanmoins penchés sur la façon dont ces animaux se comportent auprès de leurs semblables. Ils se sont particulièrement intéressés à une hormone qu’ils produisent, la vasopressine et à son récepteur, le Avpr1a, en le retirant grâce à la méthode CRISPR. Comme le rapporte Nature World News :

Pour tenter d’améliorer leur comportement sociable, l’équipe de recherche a essayé de supprimer l’Avpr1a, qui serait responsable de la régulation de comportements tels que le travail d’équipe, l’amitié, la dominance et les liens affectifs.”

Mais tout ne s’est pas passé comme prévu

Des mutants au comportement violent

Les chercheurs s’attendaient à ce que les hamsters deviennent plus sociaux mais ce n’est pas vraiment ce qu’il s’est passé. Dans leur étude, ils expliquent :

Contrairement à ce qui était prévu, les hamsters [dont le récepteur Avpr1a a été neutralisé] ont présenté des niveaux de communication sociale conspécifique (c’est-à-dire le marquage des flancs stimulé par l’odeur) beaucoup plus élevés que leurs congénères de type sauvage”.

De même, les hamsters mutants présentaient des niveaux d’agressivité (morsures, bousculades, etc.) plus hauts que la moyenne. Surpris, les chercheurs ont indiqué que ces résultats prouvent que nous ne savons pas grand-chose sur la vasopressine et son rôle sur le comportement.

Pourvu que cela ne donne pas de mauvaises idées à un scientifique fou souhaitant reproduire l’expérience sur des humains !




Quatre remèdes à la variole-phobie

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Quel exploit ! En une semaine, la variole du singe a réussi à chasser de la une des journaux la guerre en Ukraine, la grippe covid et l’effondrement économique en cours. Parce que l’alerte est sérieuse et qu’il faut s’inquiéter de cette nouvelle menace infectieuse ? Je suis évidemment d’un avis contraire : comme tous ses prédécesseurs, ce nouveau péril viral est une baudruche appelée à se dégonfler quand les virocrates paniquards et les médias de grand chemin auront fini de se faire mousser. Voici quatre raisons de roupiller sur ses deux oreilles et d’observer tranquillement ce numéro de singeries du coin de l’œil.

1. C’était prévu, donc prévisible

Je présume que vous êtes au parfum : ce nouvel épisode de la série « Apocalypse virale » était déjà scénarisé et une première répétition des acteurs a eu lieu l’année dernière. En mars 2021, le Nuclear Threat Initiative (NTI), en partenariat avec la Conférence sur la sécurité de Munich, a en effet procédé à une simulation de pandémie de variole du singe. L’exercice prenait comme base qu’un pays africain fictif était le théâtre d’une flambée de « monkeypox » d’origine terroriste et que celle-ci s’étendait aux pays voisins avant de déferler dans le monde entier en faisant 270 millions de morts. Une variole fabriquée en laboratoire et utilisée comme arme, c’est aussi le scénario d’épouvante que Bill Gates redoute depuis des années et qui a été pris au sérieux aux États-Unis puisque ce pays a constitué un stock de 100 millions de vaccins antivarioliques. Et bien avant encore, en 2012, la Commission Européenne a financé l’édition de la bande dessinée « Infected » qui préfigurait la « crise sanitaire » de 2020, mais dont l’intrigue démarrait avec l’apparition d’un redoutable virus simien infectant les humains. Comble de tous ces hasards, l’exercice du NTI prévoyait que l’attaque bioterroriste commencerait le 15 mai 2022 et se mondialiserait avant début juin. Or justement, il y a maintenant plus de 100 cas de variole du singe rapportés par l’OMS dans une douzaine de pays occidentaux, où la maladie n’est pourtant pas endémique. Il n’en fallait évidemment pas plus pour mettre le feu à la complosphère et enflammer des lanceurs d’alerte hurlant que les « élites globalistes » sont passées à la deuxième étape d’un programme génocidaire, avec comme instrument de ce crime de masse une particule virale tripatouillée dans des labos militaires. Fantasme ou réalité ? Vous connaissez ma réticence à souscrire à ce genre d’hypothèse. Pour moi, ce qui est prévu et planifié n’est pas forcément provoqué. Les plandémistes mondialistes guettent le moindre départ de feu pour en tirer les marrons et faire avancer leur agenda de « great reset », mais ce ne sont pas nécessairement eux qui allument les incendies. Et jusqu’à preuve certaine du contraire, aucun virus artificiel n’a jamais pu être créé ni utilisé à des fins bioterroristes ailleurs que dans des films ou des BD de science-fiction. Ce qui me paraît plus probable, c’est que les tireurs de ficelle ont accès à des outils de prévision et d’anticipation que nous ignorons. Ainsi, fin 2019, ils ont pu lancer la « psy op’ » covidienne en tablant que la saison grippale serait légèrement atypique et que l’hystérie médiatique suffirait à déclencher la panique. Et en 2022, ils pouvaient s’attendre à ce que le monkeypox s’évade d’Afrique pour s’aventurer plus au Nord. Comment font-ils pour deviner ? Je ne sais pas, moi : les éruptions solaires ? Une conjonction astrale particulière ? L’effet connu et attendu d’une pollution chimique ou de l’adjonction d’un adjuvant dans les vaccins ? Comme vous le savez aussi, Néosanté privilégie cette dernière explication possible. L’émergence de la grippe covid est clairement liée à la commercialisation de nouveaux vaccins antigrippaux et celle de la variole du singe pourrait fort bien découler de la vaccination anticovid. Sur le net, on peut trouver des images d’effets secondaires cutanés des injections expérimentales qui font furieusement penser aux pustules varioliques. Et leur surgissement dans les pays les plus vaccinés mériterait à mon sens qu’on s’interroge sur cette étrange coïncidence. Quand une prophétie épidémique se réalise, il faudrait toujours suivre la piste toxique au lieu de s’emballer pour des machinations diaboliques et des manipulations biologiques hypothétiques.

2. L’épouvantail n’a rien d’épouvantable

Y a-t-il spectre plus effrayant que la variole ? Rien qu’au siècle dernier, cette maladie horrible a fait 300 millions de victimes, son taux de létalité étant estimé à 30 %. Un cadavre pour trois cas avérés, c’est autre chose que le gros rhume qui a fauché mille fois moins. Certes, la version supposément transmise par le singe est moins agressive que la forme humaine. Son pouvoir létal culminerait néanmoins à 10 % et avoisinerait 1 % pour la variante africaine qui semble avoir pris souche en Occident. Mais ça, cette mortalité-là, c’est en Afrique ! Ici, à l’image d’Ebola, ce poxvirus n’a jamais tué personne et d’après les premiers échos, il n’est pas près de le faire. Contrairement à ce qu’a tweeté le virocrate belge Emmanuel André, il existe un traitement efficace et même sans traitement, l’affection évolue naturellement vers la guérison. Les symptômes ? Fièvre, fatigue, maux de tête et douleurs articulaires, rien de bien grave s’il n’y avait ces éruptions de boutons qui disparaissent aussi spontanément. Il n’empêche : les images de pustules purulentes impressionnent et font croire que nous avons affaire au fléau d’antan qui tuait massivement et grêlait la peau des survivants. L’épouvantail va encore effrayer les pigeons qui seront prêts à obéir à tout pour se protéger du nouvel ennemi invisible. En guise d’antidote à l’hystérie potentielle, je préconise la lecture de deux livres récemment parus en français. Dans « Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ? », le chapitre consacré à la variole raconte notamment comment deux villes anglaises ont vaincu le mal au XIXe siècle, en assainissant les quartiers les plus miséreux et en supprimant… la vaccination. Alors que la maladie tuait de moins en moins en moins, ce sont en effet les campagnes d’inoculations qui ont réveillé l’épidémie et suscité des vagues dévastatrices. Je vous conseille surtout de vous procurer « Vaccination, la grande désillusion », ouvrage dans lequel le Dr Suzanne Humphries révèle que l’incidence de la variole a toujours épousé celle de la scarlatine, cette dernière étant même plus meurtrière que sa jumelle synchronique. Les courbes épidémiques sont identiques, or il n’y a jamais eu de vaccin pour la scarlatine qui a pourtant disparu sans être médicalement éradiquée. Ce simple fait historique devrait faire prendre conscience que les vaccins ne servent à rien et que les grands fléaux de jadis se sont évaporés dès que les conditions de vie et d’hygiène se sont améliorées. En Europe et en Amérique contemporaines, la variole du singe n’aura certainement pas le même impact qu’en Afrique.

3. Le terrain est très étroit

Encore plus spectaculairement que le covid, le monkeypox « occidental » démontre d’ailleurs le monopole pathogène du terrain. Il s’avère qu’une grande majorité, si pas la totalité des personnes contaminées, sont des homosexuels de sexe masculin. Ici en Belgique, c’est même une sous-catégorie très particulière d’homos qui est touchée : les 4 infectés avaient participé au festival fétichiste Darklands qui a eu lieu du 4 au 9 mai à Anvers. Si vous avez plus de 18 ans et que vous n’êtes pas vite choqué, je vous invite à visiter le site de cet événement hallucinant. Parmi les activités proposées, il y avait notamment une excursion en car à travers la cité portuaire, non pour en admirer les sites culturels, mais pour assister au spectacle d’un homme déguisé en chien et urinant sur des murs ou des réverbères. Authentique ! Ce n’est bien sûr pas l’orientation sexuelle des festivaliers que je soupçonne d’être causale, ni même leurs outrances pornographiques témoignant d’une grande souffrance intérieure. Les fantasmes pervers sont des fantômes cruels forgeant leurs chaînes dans la prime enfance et les traumatismes transgénérationnels. Mais je suis ahuri par ce que l’OMS a écrit sur son site et qui a été dupliqué dans le journal Le Soir : pour l’Organisation Mondiale de la Santé, qui met en garde contre la discrimination et la stigmatisation, le tropisme de la variole « pour les communautés d’hommes ayant des rapports avec des hommes » serait seulement dû « au comportement positif de recherche de santé dans ce groupe démographique ». Autrement dit, il n’y a pas de cas dans la population générale parce que les homos mâles, eux, se soignent et se dépistent mieux ! Plus délirant que ça, je ne vois pas. Et bien sûr, l’organisme onusien nous prévient que les clusters gay vont s’égayer dans la nature et que tout hétéro en contact étroit avec un autre, même les enfants, sont à risque de contracter le virus baladeur. Manifestement, ils nous refont le coup du sida et leur prisme idéologique les empêche de voir que la maladie est manifestement le lot des homophiles s’adonnant à une sexualité hors-norme. Est-ce vraiment un hasard si, paraît-il, les cloques varioliques fleurissent sur les zones génitales ? Selon les experts, cette localisation est fort peu ordinaire. Le sexe débridé n’est cependant qu’un cofacteur tandis que la vraie cause se cache ailleurs. Concernant le syndrome d’immunodéficience acquise, l’hypothèse toxique du Pr Duesberg penche pour le recours aux poppers et autres drogues « récréatives » par des individus qui sont aussi des noctambules invétérés et de gros consommateurs d’antibiotiques. Et pour la variole du singe ? Les mêmes causes pouvant donner des effets différents, l’anamnèse donnerait probablement des résultats semblables. Mais il doit forcément y avoir une influence comportementale ou environnementale qui passe encore inaperçue. Et si c’était le vaccin covid ? Je serais très curieux de voir s’il y a un seul non-vaxxé parmi les variolés. Si tous ont reçu la piqûre, on tiendrait là la pièce qui manque au puzzle. Ce qui est sûr, c’est que la pathologie n’émerge visiblement pas sur n’importe quel terrain et que celui-ci est très étroit, c’est-à-dire peu fréquent et certainement pas arpenté par le tout-venant. Ce dernier peut aimer, masser et caresser en toute insouciance.

4. Le confinement, ça va marcher

L’arrivée de la variole permet aux mêmes marioles de revenir sur les plateaux télé. En Belgique, c’est l’inénarrable Marc van Ranst qui tient le premier rôle. Vous savez, c’est ce virologue qui a involontairement fait le buzz avec une vidéo où on le voit expliquer comment manipuler les médias et terroriser les gens en début d’épidémie. Il avait réussi son coup en 2009 avec la grippe H1N1, il a récidivé avec succès avec la grippe covid, et il met encore la presse dans sa poche avec la même recette ! Cette fois, toutefois, il ne préconise plus de masquer et de confiner tout le monde et se contente de conseiller un isolement hospitalier des malades et de leurs contacts, pendant 21 jours, car c’est la durée d’incubation du virus. C’est une très bonne chose, la quarantaine des seuls infectés et de leurs proches, car la méthode a déjà fait ses preuves… contre la variole ! Si vous l’ignorez, la légende selon laquelle cette maladie a été éradiquée par la vaccination de masse est erronée. Comme c’est écrit en toutes lettres dans le rapport final de l’OMS et comme le raconte le biologiste Michel Georget dans son livre « L’apport des vaccinations à la santé publique : la réalité derrière le mythe », c’est en effet la stratégie de « surveillance-endiguement » qui a permis de mettre fin au fléau alors que les campagnes vaccinales échouaient lamentablement. Les instances sanitaires ont aussi « vacciné en anneau » l’entourage des contaminés, mais il est notoire que celui-ci était rarement atteint. C’est donc bien la quarantaine systématique des malades qui a donné le coup de grâce à la variole humaine dans les années 60-70. Dans la vision pasteurienne, la victoire provient bien sûr du confinement du virus et de ses porteurs. La maladie « extrêmement contagieuse » se serait éteinte parce que l’agent infectieux ne circulait plus. Dans une autre perspective, il est beaucoup plus évident qu’un feu s’éteint quand on ne l’alimente plus en combustible. La variole s’est fait la malle parce que les derniers malades ont été coupés de leurs lieux de vie misérables et pris en charge médicalement, la médecine ne se résumant heureusement pas à l’administration de médicaments. À terrain qui progresse, épidémie qui régresse. Et à mon avis, c’est ce qui va se passer avec le monkeypox : les homos déjantés vont être plongés dans un contexte bien plus favorable à la santé et seront nécessairement sevrés de leurs assuétudes malsaines, ce qui va coïncider avec le recul des « infections ». En plaidoyer pour ma chapelle antipasteurienne, je signale ce que j’ai maintes fois souligné dans le dossier covid : il n’y a pas non plus de « patients zéro » trouvés et de chaînes de transmission identifiées pour la variole du singe, et ce dans aucun pays, ce qui est une faille colossale dans la théorie virale et une illustration claire qu’il n’y a pas de contagion, du moins pas au sens classique du terme. Quelle que soit la bonne explication, il est en tout cas très probable que la technique de « surveillance-endiguement » soit suffisante pour étouffer dans l’œuf l’épidémie. Maintenant, il ne faudrait pas que les injecteurs fous entrent dans la danse. Aux États-Unis et en France, les autorités songent déjà à vacciner à tour de bras. L’Espagne et la Grande-Bretagne ont déjà commandé leurs doses. Or même des disciples de Pasteur décommandent formellement de vacciner lors des flambées épidémiques, et contre la variole en particulier. Si vous lisez cet article récemment publié par le Dr Vincent Reliquet, vous aurez froid dans le dos et penserez sans doute, comme moi, qu’un nouveau désastre vaccinal n’est pas exclu. Ce qui est peut-être le but…




Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Certains le connaissent, d’autres pas. Pourtant, son rôle est majeur au sein du Forum économique mondial, puisqu’il en est le conseiller principal. Yuval Noah Harari est un écrivain et historien israélien, auteur du best-seller « Sapiens », ouvrage qui ajoute la science à l’histoire de notre humanité entière. En 2018 déjà, avant la pandémie mondiale, il évoquait les concepts de l’homme numérique de demain. Cet homme serait celui que l’on pourrait « pirater », pour lequel la vie n’aurait plus de sens réel. Les dirigeants devraient alors tout mettre en œuvre pour remédier à cela, notamment grâce aux jeux vidéos et aux médicaments. Le bras droit de Klaus Schwab s’est également fait connaître avec son second tome : « Homo Deus ».

[Voir aussi :
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
L’eugénisme, l’inavouable projet « scientiste » des philanthropes de la finance
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le futurisme illusoire des universitaires de l’ordre global libéral]



L’Homme : Homo sapiens ou une créature divine ?

Considéré comme l’un des livres fétiches de Barack Obama, l’ancien président des États-Unis, « Sapiens » (une brève histoire de l’humanité) est un ouvrage publié par Yuval Harari, en France, en 2015. Dans cet ouvrage, il retrace l’évolution de l’espèce humaine à travers la révolution cognitive, agricole et scientifique. La quatrième partie du livre, qui concerne la révolution scientifique (débutant au XVIᵉ siècle selon lui), est particulièrement intrigante. Elle permet de comprendre les avancées technologiques et scientifiques qui permettraient à l’homme de devenir un quasi-Dieu. 

« Les humains sont en train de développer des pouvoirs encore plus grands que jamais auparavant, nous sommes réellement en train de quérir des pouvoirs divins de construction et de destruction, nous sommes vraiment en train d’améliorer les humains en Dieu », écrit-il.

Interrogé chez France Soir lors d’un « Défi de la vérité », Laurent Alexandre exposait lui-même son point de vue quant à ces prouesses. Il utilisait le terme de « coup d’État numérique » pour évoquer le pouvoir détenu par les géants de la technologie. Un pouvoir immense, affirmait-il, mêlant à la fois la technologie, la science et la politique.

Vers un système de gouvernance mondiale par la surveillance de masse ?

Si les notions de « Grande réinitialisation » ou de « système de gouvernance mondiale » promues par le Forum de Davos sont encore souvent qualifiées de « thèses conspirationnistes », elles ont un objectif commun : transformer notre société en un monde meilleur. Mais quels sont les enjeux de ces aspirations ?

La surveillance semble être une clef de voute du projet. À ce sujet, Yuval Harari, le bras droit de Klaus Schwab, énonçait avec vigueur : « Nous voyons maintenant des systèmes de surveillance de masse, même dans les pays démocratiques qui, jusque-là, les avaient rejetés […]. Avant la surveillance était hors de notre corps, maintenant elle rentre dans notre corps. » Peu importe que l’on aime ou non la science-fiction, des questions se posent. D’autant plus que l’instauration du passe vaccinal et la démocratisation des QR codes ont été au cœur de l’actualité internationale pendant deux ans.

Il allait jusqu’à déclarer que « Les humains sont désormais des animaux que l’on peut pirater. » Il explique que pour pirater un être humain, deux choses suffisent : « Beaucoup de puissance de calcul et beaucoup de données, plus particulièrement, des données biométriques. » Rappelons que la Commission européenne prévoit d’instaurer un système de reconnaissance faciale internationale, qui remplira justement une gigantesque base de données. Pour l’instant, seuls les citoyens ayant commis une infraction pénale seraient concernés.

Par ailleurs, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a de profondes ambitions, depuis 2021, pour développer le plus rapidement une identité numérique européenne. Le projet consiste à rendre numériques tous les documents administratifs pour les conserver en ligne. Il serait possible d’y accéder de manière « sûre » et « transparente », selon l’Union européenne.

Voir aussi : L’UE dévoile un plan pour un nouveau portefeuille d’identité numérique

En France, Emmanuel Macron s’intéresse de près au « métaverse européen », un nouvel univers numérique (et futuriste) dont la société pourrait profiter. Rien d’étonnant étant donné qu’il était reconnu comme « habitué de Davos » par Klaus Schwab lui-même, le 24 janvier 2018.

Lire aussi : Pourquoi Emmanuel Macron fait-il du « métaverse européen » un point essentiel de son programme?

Peut-on tuer le mensonge ?

Au cours des réunions annuelles du Forum de Davos, Yuval Harari répétait à l’envi combien il est simple de faire croire aux mensonges : « Si vous répétez un mensonge assez souvent, les gens penseront que c’est la vérité et plus le mensonge est gros, mieux c’est », martelait-il lors d’une interview de l’émission TED, en février 2017. Les mensonges, il a même appris à vivre avec : « Les fake news nous entourent depuis des milliers d’années : prenez la Bible, par exemple ».

Pour résoudre ce problème, « la prochaine étape, c’est la surveillance qui va entrer dans notre corps », relate-t-il, un regard plein d’entrain. Et pour cela, l’épidémie de Covid-19 semble avoir ouvert une brèche. Si bien que Yuval Harari affirme que l’argument sanitaire « convainc les gens d’accepter, c’est ce qui est légitime : la surveillance biométrique totale ».

Rappelons que toutes les vidéos sont disponibles sur le site officiel du FEM.




Le gouvernement du Canada s’est associé au Forum économique mondial pour imposer un système de type crédit social pour voyager

[Source : guyboulianne.com]

Par Guy Boulianne

Vous vous demandez pourquoi votre gouvernement vous empêche de voyager à l’intérieur ou à l’extérieur du Canada si vous n’êtes pas pleinement vacciné ? C’est qu’il vous trahit au plus haut niveau et qu’il vous enc*le tout aussi profondément. Entre un Justin Trudeau qui vient d’être nommé par António Guterres pour promouvoir le « développement durable » dans le monde par l’ONU et une Chrystia Freeland qui siège au conseil d’administration du Forum économique mondial (FEM) où elle côtoie sur une base régulière son fondateur Klaus Schwab, les Canadiens sont les pauvres victimes d’un complot de haute trahison en vertu du Code criminel canadien (L.R.C. (1985), ch. C-46(2)b). Oui, les gouvernements complotent contre vous. Cela ne veut pas dire que le secret soit nécessaire pour eux puisque, selon le dictionnaire Larousse, comploter équivaut à « avoir un comportement qui prête à penser qu’on prépare une action dirigée contre quelqu’un, quelque chose ; manigancer ». Les comploteurs n’ont plus besoin de se cacher comme autrefois car ils sont désormais rendus à l’étape de l’exécution de leurs plans machiavéliques pour vous asservir tous. On vous empêche de voyager car vous êtes des prisonniers à l’intérieur de votre propre pays jusqu’à ce que leur système de contrôle social numérique « à la chinoise » soit dûment implanté sur le sol canadien.

Sachez que les politiciens véreux n’en ont rien à foutre de vous. Ils n’en ont rien à foutre de la Constitution de votre pays. Ils n’en ont rien à foutre de votre vie ou de votre mort. Tout ce qu’ils veulent est de servir la Bête de l’événement et ainsi acquérir une miette de pouvoir. Mais ils s’apercevront que cette miette de pouvoir se délaiera rapidement et qu’il ne leur restera que le vide d’une coque sans âme.

En effet, le gouvernement du Canada, Air Canada et deux grands aéroports canadiens se sont associés au Forum économique mondial (FEM) sur un projet d’identification numérique qui pourrait nécessiter un système de type crédit social pour voyager. Ce projet est connu sous le nom “Known Traveler Digital Identity” (Identité numérique du voyageur connu). « Le groupe pilote, convoqué par le Forum économique mondial, est composé du gouvernement du Canada et des Pays-Bas, d’Air Canada, de KLM Royal Dutch Airlines, de l’aéroport international Montréal-Trudeau, de l’aéroport international Pearson de Toronto et de l’aéroport d’Amsterdam Schiphol », écrit le FEM. Le KTDI est considéré comme un moyen de « promouvoir des voyages de passagers sûrs et fluides en prévision de l’évolution des comportements et des attentes des voyageurs, du besoin critique de renforcer la sécurité transfrontalière et de l’augmentation du nombre de passagers attendue au cours de la prochaine décennie ». Le site Web affirme qu’il est basé sur une « identité numérique décentralisée » qui permettra aux gouvernements de confirmer la preuve de citoyenneté et d’autres aspects de l’identité. Chaque fois qu’un gouvernement vérifie l’identité numérique (digital ID) d’une personne, elle est ajoutée à son dossier, ce qui peut affecter son statut.

Known Traveler Digital Identity (KTDI) est une vision de « surveillance par conception » pour le suivi et le contrôle des voyageurs plus dystopique que tout ce que nous avons vu auparavant. KTDI utiliserait un registre distribué basé sur une chaîne de blocs pour relier, via une application sur l’appareil mobile d’un voyageur, toutes les données suivantes :

  • Biométrie (initialement des images faciales, éventuellement aussi des empreintes digitales, etc.) ;
  • Pièces d’identité émises par le gouvernement (numéro de passeport, etc.) ;
  • Historique des voyages, y compris les journaux des passages frontaliers, des séjours à l’hôtel et éventuellement des locations de voitures et/ou d’autres événements ;
  • Journaux d’achat et éventuellement informations sur les comptes bancaires et/ou autres enregistrements financiers et de transaction ;
  • « Évaluation des risques » prédictifs et scores de profilage générés à chaque point « d’intervention » avant et pendant chaque voyage ou transaction.

Chaque séjour à l’hôtel, achat ou autre transaction deviendrait comme un passage frontalier estampillé de manière permanente dans votre passeport dans le cadre d’un « laissez-passer de voyage » numérique soumis à une inspection sur demande par les autorités aux points d’« intervention » ultérieurs. Toutes ces données sont destinées à être utilisées pour discriminer les voyageurs dont les profils pré-criminels liés à l’identité sont classés comme « à haut risque » ou « à faible risque » :

L’accès à un historique de voyage et à des journaux de transactions plus complets est un objectif de longue date des agences gouvernementales de surveillance et de contrôle des voyages. Conformément aux normes établies par l’OACI, un espace est réservé sur la puce RFID de chaque passeport électronique pour les données d’historique de voyage. Mais cela était destiné, pour autant que nous puissions en juger, uniquement aux données de passage des frontières ou d’entrée / sortie, et non aux journaux de séjours à l’hôtel ou à d’autres transactions. À notre connaissance, peu de pays ont enregistré des données d’historique de voyage sur des puces RFID de passeport, probablement en raison de l’espace limité réservé dans la structure des données et des complications liées à la modification ou à l’ajout en toute sécurité des données sur la puce une fois qu’elle est écrite pour la première fois et signé numériquement par le gouvernement émetteur.

Lors d’une présentation à la conférence Hotel Electronic Distribution Network Association (HEDNA), des représentants d’Accenture (le maître d’œuvre du FEM pour le projet KTDI) et Marriott se sont vantés de la façon dont, sur la base des données KTDI, un individu pouvait être choisi parmi une foule pour « liste noire » utilisant la reconnaissance faciale automatisée, « sans arrêter ni reconnaître la caméra ». Il peut donc être utilisé pour une surveillance de masse subreptice et non consensuelle.

Les partenaires du projet KTDI incluent des agences gouvernementales (DHS, OACI, INTERPOL, etc.) et les industries aériennes et informatiques des compagnies aériennes (IATA, Amadeus, etc.). Mais ce n’est pas tout. Parmi les autres partenaires du projet KTDI figurent Google (Google a acquis un fournisseur de système de réservation informatisé en 2010, mais on ne sait pas à quel titre Google participe au projet KTDI), les chaînes hôtelières Marriott and Hilton (basées aux États-Unis) et Accor (basées en France), et la société de traitement des paiements et des cartes de crédit Visa.https://www.youtube.com/embed/hyFLmnb2xHM?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent

La dystopie totalitaire du Forum économique mondial devient réalité

En janvier 2018, un projet pilote de surveillance des voyageurs aériens, commandé par le Forum économique mondial, a été approuvé à Davos.

A l’époque, l’économiste Norbert Häring présentait le projet Known Traveler Digital Identity (KTDI) comme une « dystopie totalitaire ». Un rapport de suivi montre que les multinationales associent avec succès les gouvernements et l’UE à leurs plans. Le Covid-19 accélère considérablement la mise en œuvre et Bill Gates nous fait savoir par inadvertance comment.

À l’instar du rapport de 2018 intitulé “The Known Traveller: Unlocking the potential of digital identity for secure and seamless travel” (Le voyageur connu : Libérer le potentiel de l’identité numérique pour un voyage sécurisé et fluide), ce livre blanc plus technique de KTDI intitulé “Known Traveler Digital Identity Specifications Guidance” (Guide des spécifications d’identité numérique des voyageurs connus) a été publié sans fanfare sur Internet, en mars 2020. Ces rapports, préparés par le cabinet de conseil Accenture, sont destinés à être lus uniquement par des personnes du secteur de la surveillance et de la sécurité numériques. Pour des raisons compréhensibles, ces personnes préfèrent parler d’identité numérique plutôt que de contrôle ou de surveillance numérique.

Voici comment le schéma KTDI est censé fonctionner : nous téléchargeons des informations nous concernant dans une base de données — ou autorisons d’autres à le faire. Tout d’abord, cela devrait être une preuve d’identité des autorités, mais aussi nos antécédents de voyage, les données bancaires, les chambres d’hôtel, les réservations de voitures de location, les documents des universités, des bureaux gouvernementaux et bien plus encore. Si nous voulons franchir une frontière, nous donnons préalablement aux autorités accès à cette base de données, afin qu’elles puissent voir à l’avance que nous sommes inoffensifs. Grâce à la reconnaissance faciale et à notre smartphone (idéalement) biométriquement lié, ils peuvent nous reconnaître au passage de la frontière. Si nous avons été suffisamment diligents dans la fourniture de données, nous serons autorisés à contourner les files d’attente des autres voyageurs, bénéficiant d’un traitement préférentiel et de contrôles minimaux. Toutefois, comme il est indiqué dans le premier rapport KTDI, en cas de doute sur les intentions d’un voyageur, l’agent des frontières peut, sur la base des informations fournies à l’avance, poser à la personne concernée des questions plus approfondies, par exemple « pour mieux comprendre ses activités récentes ».

On peut facilement imaginer à quel point cette diffusion des données sera « volontaire » une fois le système mis en place. Ce sera du genre : vous pouvez librement choisir si vous voulez entrer dans le pays et remettre la clé de vos données, ou si vous préférez rester à l’extérieur. Un essai est déjà en cours par les autorités frontalières du Canada et des Pays-Bas, avec les compagnies aériennes KLM et Air Canada dans les aéroports d’Amsterdam, de Toronto et de Montréal.

Les entreprises participantes, telles que Visa et Google, ne développent pas un tel système pour les autorités policières à leurs propres frais uniquement par sens du devoir cosmopolite. Le rapport KTDI 2018, ainsi que le livre blanc actuel, indiquent tous deux que l’autosurveillance à la frontière sert à créer une masse critique de participants à la norme de partage de données interopérable à l’échelle mondiale qui doit être introduite.

Les autorités frontalières sont simplement le catalyseur idéal d’un système mondial de surveillance de masse assistée par les citoyens et de partage de données, impliquant progressivement tous les gouvernements du monde. Une fois que les États-Unis et quelques autres grands pays auront pris part à ce programme, les citoyens d’un pays dont le gouvernement refuse de participer auront de grandes difficultés à voyager à l’étranger.

Une fois que tous les gouvernements auront adhéré à cette norme pour l’échange volontaire forcé de données avec les citoyens, il est prévu que nous serons également autorisés à transmettre nos données dans les interactions quotidiennes avec les entreprises et les autorités. Dans les deux rapports, la santé, l’éducation, la banque, l’aide humanitaire et les élections sont les domaines mentionnés.https://www.youtube.com/embed/cnUAQKKnEAU?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent

Un système global et totalitaire

Le livre blanc de KTDI précise la grande ambition du projet dans ses conclusions :

« Ce document décrit l’ambition de KTDI de fournir les bases d’un écosystème d’identité décentralisé accepté à l’échelle mondiale. Un développement plus poussé et une adoption plus large dépendent de la maximisation de l’interopérabilité des échanges de données et de la confiance fédérée. Le succès reposera sur la coopération entre les gouvernements mondiaux, les régulateurs, l’industrie aéronautique, les fournisseurs de technologie et d’autres acteurs pour établir des normes et des spécifications mondiales pour la conformité de toutes les parties prenantes. »

Les conditions d’application de cette norme mondiale de surveillance sont excellentes. Le projet Known Traveler utilise des normes techniques pour les informations d’identification vérifiables et les identifiants décentralisés tels qu’ils sont actuellement développés par le World Wide Web Consortium (W3C). Le W3C est l’organisme de normalisation le plus important pour l’Internet et est dominé par les entreprises américaines d’Internet et de télécommunications.

Les membres du W3C recoupent fortement ceux de la Decentralized Identity Foundation, que des multinationales telles que Microsoft et de nombreuses petites entreprises du secteur de la sécurité numérique ont fondée pour faire progresser les normes mondiales de contrôle d’identité. Les entreprises qui composent ce groupe ont souvent des liens très étroits avec la communauté du renseignement. US Homeland Security a été impliqué dans le projet Know Traveler depuis le début. Lors des forums d’identité numérique pertinents, des représentants d’entreprises des industries de l’identité et de la sécurité numériques se mêlent aux représentants de toutes les agences de sécurité et de renseignement concernées.

Volontariat forcé

L’astuce est la fiction du volontariat, le consentement explicite, s’il est extorqué, à l’utilisation des données, que vous devez donner chaque fois que vous souhaitez recevoir un service gouvernemental dans ce système ou si vous souhaitez simplement payer quoi que ce soit par voie numérique. Ceci est similaire à ce qui vous arrive si vous vous déplacez sur le World Wide Web aujourd’hui. Vous devez constamment accepter volontairement de surveiller les demandes des opérateurs du site Web ou simplement choisir de rester à l’écart.

Le système mondial envisagé a un aspect particulièrement pernicieux, qui tourne en dérision l’autonomie et le contrôle souvent annoncés de ceux qui sont supposés posséder leurs données :

« Les attributs d’identité sont attestés et fournis par les autorités émettrices (c’est-à-dire le numéro de passeport, les coordonnées bancaires). Une autorité émettrice peut également révoquer un VC (identifiant virtuel) qu’elle avait précédemment émis en mettant à jour l’accumulateur cryptographique basé sur la blockchain en conséquence. »

Imaginez à quoi cela ressemblera lorsque ce système sera mis en place comme prévu dans le monde entier, dans tous les pays, aussi répressifs soient-ils. Supposons que l’abolition de l’argent liquide – qui est menée en parallèle par plus ou moins le même groupe d’entreprises et d’agences – soit menée à bien. Pour tout ce que vous voulez faire ou payer, vous dépendez de la présence d’une coche aux bons endroits dans la base de données sur vous. Si vous tombez en disgrâce auprès de votre propre gouvernement, il pourrait supprimer la coche de vos informations d’identité et vous visser, même si vous n’êtes pas dans le pays. Votre banque peut faire de même.

Si cela vous arrive, vous pouvez essayer de continuer pendant un certain temps. Mais finalement, vous devrez peut-être faire ce que le héros de la science-fiction “Soleil à crédit” de Michel Grimaud (1975) a dû faire. Lorsque sa carte électronique, dont tout le monde avait besoin pour se déplacer et se nourrir, a été confisquée par l’un des guichets automatiques, il s’est volontairement présenté aux portes de la prison et est resté volontairement en prison jusqu’à sa libération, car sinon il serait mort de faim.

Si le gouvernement américain ou les algorithmes contrôlés par ses agences ont quelqu’un dans le monde en vue, ils peuvent faire la même chose. Soit ils demandent au gouvernement ou aux banques respectifs d’invalider tous les documents numériques de la personne cible, soit les sociétés Internet américaines qui contrôlent le système peuvent le faire, soit les agences privées américaines de notation de crédit réduisent la cote de crédit.

Une grande partie de cela est déjà possible aujourd’hui et se fait, mais pas souvent à des particuliers. Mais le système ne sera complet et parfait que s’il existe une norme technique mondialement acceptée qui permet d’accéder à toutes ces données et documents de n’importe où. Ce n’est qu’alors que Washington (ou plutôt Fort Meade et Langley) pourront contrôler à partir de leurs ordinateurs personnels tout le monde dans tous les coins participants du monde. Dans le même temps, les gouvernements nationaux autoritaires pourront contrôler tout le monde dans leur propre sphère d’influence, qu’ils soient chez eux ou à l’étranger.

C’est l’agenda derrière le travail intense que l’USAID, Gates et le Forum économique mondial font, avec l’aide d’une ONU dépendante, pour créer des identités numériques pour chaque personne sur le globe. Ils travaillent à travers ID4Africa, ID2020 et une douzaine d’autres initiatives et consortiums similaires avec ID dans leurs noms.

Rapport minoritaire rechargé

Tout le monde peut alors être guidé par un anneau nasal normalement imperceptible. Cependant, cela pourrait être brutalement tiré, même si vous n’avez rien fait du tout, simplement parce qu’un algorithme conclut que vous êtes un type qui, statistiquement, pourrait bientôt causer des problèmes, comme dans le film “Minority Report”. L’ambition d’y arriver est documentée dans le premier rapport KTDI du Forum économique mondial avec une citation en surbrillance du directeur de Google, Rob Torres :

« Les entreprises technologiques ont fait des progrès majeurs dans l’exploration de données, l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle permettant une analyse prédictive améliorée. En combinaison avec les informations fournies par les passagers, ces technologies peuvent être utilisées par les gouvernements pour… analyser des modèles complexes de mégadonnées dans le but de prévoir les risques de sécurité aux frontières. »

La citation indique clairement que l’identité numérique ne consiste pas simplement à donner à chacun un moyen facile de prouver qui vous êtes au moyen d’un certificat de naissance numérique ou d’une carte d’identité numérique, comme ils essaient de nous le faire croire. Si vous n’êtes pas encore convaincu, voici une autre citation, extraite du “EU blockchain observatory report on digital identity and blockchain” (Rapport de l’observatoire de la blockchain de l’UE sur l’identité numérique et la blockchain) :

« Lorsque nous parlons d’identité numérique, nous devons la comprendre comme la somme de tous les attributs qui existent à notre sujet dans le monde numérique, une collection de points de données en croissance et en évolution constantes. »

Ainsi, l’identité numérique signifie tout ce qui peut être stocké numériquement et qu’il y a à savoir sur nous, nos actions et nos préférences. Il s’agit d’introduire tout ce que l’on sait sur une personne dans une base de données qui peut être exploitée par toutes les entreprises et tous les gouvernements participants et manipulée par eux à tout moment. De sorte que les entreprises peuvent nous diriger en tant que bétail de consommation dans le bon corral et nous tondre chacun de nous individuellement et de manière optimale, et nous avoir comme des bêtes de somme peu exigeantes et obéissantes. Il s’agit pour les gouvernements et les entreprises d’être en mesure de détecter très tôt toute personne qui pourrait vouloir sortir du système ou casser le système.

Remarquablement, le Forum économique mondial affirme qu’il n’a pas encore proposé de concept pour la gouvernance de cette infrastructure de contrôle totalitaire mondiale, c’est-à-dire qui devrait être aux commandes de ce système. Le Livre blanc dit :

« Les travaux sur la définition et le développement d’un cadre de gouvernance approprié pour le concept KTDI se poursuivent et seront abordés dans un prochain rapport. »

En d’autres termes, les gouvernements sont censés s’engager dans ce concept sans que l’on sache qui tirera les ficelles. En réalité, bien sûr, c’est assez clair. C’est Washington et les grandes entreprises américaines, directement ou par l’intermédiaire d’organismes internationaux tels que le Forum économique mondial, le W3C, le GAFI et bien d’autres, qu’ils dominent.

Les gouvernements et l’ONU se sont alignés

Néanmoins, les gouvernements et une ONU dépendante de l’argent des entreprises semblent très désireux de participer à ce système de surveillance mondial développé par les multinationales et la US Homeland Security. Il est commercialisé par les entreprises participantes de l’industrie de la sécurité et de l’identité sous le nom euphémique d’identité auto-souveraine (SSI).

A Bruxelles, ce terme, SSI, s’impose. Le Comité économique et social européen, un organe de l’UE au sein duquel les associations d’employeurs, les syndicats et d’autres groupes d’intérêt sont censés représenter la « société civile organisée », a élaboré un cadre européen d’identité souveraine (eSSIF). C’est presque un contre un la dystopie décrite dans les rapports du Forum économique mondial.

Les gouvernements de 21 pays, dont l’Allemagne, ont formé un “partenariat européen de la blockchain” trois mois seulement après la réunion du Forum économique mondial de 2018 au cours de laquelle le concept de voyageur connu a été présenté. Ce partenariat semble viser à faire progresser le concept de surveillance du Forum économique mondial dans son incarnation européenne eSSIF. L’un des objectifs de travail de ce partenariat, comme indiqué dans la présentation du Comité économique et social en lien ci-dessus, est de savoir comment préserver les valeurs démocratiques européennes dans la mise en œuvre des SSI. Bonne chance avec ça !

Il existe plusieurs autres groupes et partenariats au niveau européen pour la mise en œuvre du SSID et il existe divers groupes associés aux Nations Unies au niveau mondial. Il devrait déjà être clair que KTDI et SSI ne sont pas des idéaux irréalistes de Washington et des entreprises technologiques, mais un plan réaliste qui est déjà mis en œuvre à l’échelle mondiale.

Le Covid-19 accélère beaucoup les choses

Les réactions des gouvernements à la Covid-19 en Corée du Sud et en particulier à Wuhan, en Chine, et des programmes similaires qui devraient bientôt être mis en œuvre en Occident, accélèrent le glissement mondial vers un contrôle algorithmique total de la population. À Wuhan, si vous ne pouvez pas afficher un bouton vert sur votre smartphone de surveillance qui signale que vous n’êtes probablement pas infecté, vous êtes interdit d’accès à la plupart ou à toutes les formes de transport en commun et vous n’êtes pas autorisé à entrer dans les restaurants ou à vous enregistrer dans les hôtels. En Corée du Sud, les enregistrements des caméras de surveillance, les données des cartes de crédit et les données GPS sont évalués pour identifier et suivre les porteurs potentiels de virus.

Dans une entrevue vidéo du 24 mars 2020, le deuxième homme le plus riche et probablement le plus puissant du monde est interviewé par le modérateur de TED Chris Anderson à propos de la stratégie corona américaine. Dans sa pose de pouvoir décontractée habituelle, Bill Gates parle comme s’il était président des États-Unis ou chef de l’ONU. L’interview devient particulièrement intéressante lorsque Gates en vient à l’immunité présumée des personnes qui se sont déjà remises d’une infection. Gates relie cela à la question de savoir comment et quand les restrictions de voyage peuvent être assouplies :

« Finalement, nous devrons avoir un certificat indiquant qui est une personne récupérée, qui est une personne vaccinée, parce que vous ne voulez pas que des gens se déplacent dans le monde où vous avez certains pays, qui ne le contrôleront pas, malheureusement. Vous ne voulez pas bloquer complètement la capacité de ces personnes à aller et revenir et à se déplacer. »

Et puis vient la phrase doublement intéressante :

« Il y aura donc éventuellement ce type de preuve d’immunité numérique, qui facilitera la réouverture mondiale. »

Cette dernière phrase est doublement intéressante à cause du mot « numérique » et parce que la phrase n’est contenue que dans une version légèrement plus longue de la vidéo que quelqu’un a téléchargée pour la préserver. Dans la vidéo officielle de TED, cette phrase a été coupée (à la minute 34:27). Selon les commentaires sous la vidéo plus longue, cela s’est produit dans l’après-midi du 31 mars. C’est étonnant, car la seconde moitié de la phrase sur la réouverture des frontières est en fait une très bonne conclusion sur ce sujet, avant que l’intervieweur ne pose la question suivante. On ne le couperait pas pour des raisons journalistiques. La couper par souci de brièveté n’aurait pas beaucoup de sens, car elle ne dure que deux ou trois secondes et la coupure est perceptible.

C’était vraisemblablement le mot « numérique » qui devait être supprimé. Car cela invite à des questions qui mènent finalement à tout ce qui constitue le programme Known Traveler. Dans ce qui reste de la vidéo officielle, Gates ne parle que d’un certificat. Cela invite à comprendre ce dont il parle : seuls ceux qui ont un certificat d’immunité délivré par une autorité sanitaire peuvent réserver un vol, et seuls ceux qui peuvent le produire peuvent monter à bord d’un avion et passer l’immigration. Ce serait assez facile à mettre en œuvre et relativement sans problème.

Avoir le certificat en version numérique semble plus pratique, car ce serait plus rapide et plus facile. Mais si une preuve d’immunité numérique pour les voyages internationaux doit être (machine-)utilisable à l’échelle mondiale, elle a besoin d’une norme mondiale pour le certificat, d’un emplacement de stockage pour les certificats considéré comme sûr et généralement accessible, d’une norme d’échange de données qui fonctionne partout, et une norme mondiale pour certifier l’authenticité d’une preuve numérique. Le Known Traveler Program, piloté par la US Homeland Security et le Forum économique mondial, veut développer et mettre en œuvre tout cela. Bill Gates est l’un des membres les plus influents du Forum économique mondial, sinon le plus influent.

Google et Apple viennent à la rescousse

Le 10 avril 2020, Google et Apple ont annoncé qu’ils coopéreraient afin de permettre aux applications de suivi des contacts d’être interopérables sur les systèmes d’exploitation Adroid et iOS à partir du mois de mai suivant et de programmer la capacité de suivi dans leurs propres systèmes d’exploitation peu après. La recherche des contacts nécessite que les autorités sanitaires puissent alimenter le système, dont le numéro de téléphone est connecté à une personne testée positivement. Celui-ci peut facilement être complété en cochant la case convalescence ou vaccination. Et voila, le programme Known Traveler est prêt dans une première application.

Et comme il se doit, le volontariat, la souveraineté sur ses propres données (Self-Sovereign Identity) est totalement préservée. Chacun peut décider par lui-même s’il veut voyager et utiliser l’application de suivi ou s’il préfère rester à la maison.

Étant donné que Google et Apple travaillent de toute façon en étroite collaboration et en toute confiance avec les autorités de sécurité et les services secrets, il ne sera pas difficile d’ajouter d’autres domaines d’application. Tout d’abord, les autorités de sécurité peuvent cocher la case « ne peut pas voyager » ou « à surveiller » si nécessaire. Encore plus intéressant, la fonction de suivi des contacts peut être utilisée pour établir un réseau de contacts de personnes à surveiller et pour ajouter ces contacts à la liste. Au-delà de cela, le système pourrait être affiné davantage selon les besoins dans le sens de ce qui est décrit dans les rapports Known Traveler qu’Accenture a produits pour le FEM.

Grâce à la Covid-19, le Brave New World prend forme bien plus rapidement qu’on ne l’aurait cru. Et grâce à la Covid-19, beaucoup ou même la plupart des gens trouveraient actuellement un tel pouvoir totalitaire souhaitable. La Covid-19 est un cadeau du ciel pour les plans du Forum économique mondial.https://www.youtube.com/embed/y_GFx1uXdhk?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent


TÉLÉCHARGEMENT DES RAPPORTS DU KNOWN TRAVELER DIGITAL IDENTITY :
SOURCES ET RÉFÉRENCES :



La voie du Rinn’dual

Par Joseph Stroberg

Troisième volet du triptyque de science-fiction Les couloirs du temps après Résurrection en terre étrangère
et Projet Vulcain.

Les trois romans peuvent se lire séparément et même dans le désordre, bien qu’ils gagnent à être lus dans l’ordre, les histoires se déroulant à des époques différentes.

Pour se procurer le livre, voir le site de l’éditeur :

https://dedicaces.ca/2022/04/04/la-voie-du-rinndual-par-joseph-stroberg/

Quand le jeune Dael est capturé par des Dévians puis revendu comme esclave aux Charlogs, son père Pastor se lance à sa recherche dans la galaxie. Ce dernier est aidé par une Vijnienne et son vaisseau. Sur Terre, cent mille ans après les âges sombres, l’Humanité a suivi la voie du Rinn’dual et ainsi abandonné toute technologie, préférant développer des dons tels que la télépathie et la télékinésie.

Pendant ce temps, les derniers Reptiliens sortent de leurs cavernes, l’Empire zénovien tente de se reformer et une menace extrême provient d’une autre galaxie. Les divers protagonistes finissent par interagir d’une manière ou d’une autre, par retrouver Dael, redonner vie à une planète reptilienne en ruine, accueillir quelques milliards d’extragalactiques et se lancer dans une course galactique contre les agents zénoviens.

Si vous voulez aider l’auteur ou le site Nouveau Monde, procurez-vous ces romans ou bien faites un don en cliquant sur le bouton suivant :


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Dr Zelenko : « C’est l’heure du choix. »

[Source : @ExcaliburTraduction]






Grand Jury – Session 2

[Sources : la-verite-vous-rendra-libres.org et @JeanneTraduction]

Aperçu

Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19e siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian Gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covid-19 n’est qu’une continuité, nous dit-il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendue de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées.
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.



Transcription

0:14 Reiner Fullmich :

Bonsoir ou bonjour, où que vous soyez. C’est le deuxième jour de l’enquête du grand jury. Il s’agit d’une procédure modèle qui va examiner de très près l’ensemble de la pandémie du Coronavirus, comment elle a commencé, les détails des tests PCR. Mais nous allons commencer aujourd’hui par un examen plus approfondi du contexte historique et géopolitique. Commençons donc par notre premier expert. Et c’est Matthew. Ce n’est pas vous. C’est Alex, Alex Thompson. Alex, s’il vous plaît, présentez-vous et ensuite nous allons passer directement in medias res [au cœur du sujet] comme le disent les latinistes. Votre micro est éteint.

1:10 Alex Thomson :

Merci beaucoup. Reiner. Je suis Alex Thomson. Pendant huit ans, j’ai fait partie de l’agence britannique de renseignement GCHQ, l’agence partenaire de la NSA. Ensuite, j’ai été un officier responsable pour l’ancienne Union Soviétique. Et un transcripteur en plusieurs langues, y compris le russe et l’allemand, de matériel intercepté. Dans la seconde moitié de cette période, j’ai également été membre de l’équipe interdisciplinaire du GCHQ pour les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires, la CBRN. En cette qualité, j’ai appris à connaître la façon dont les services de renseignement et l’establishment militaire anglo-américains considèrent leur état de domination en toute connaissance de cause, pour tout ce qui peut affecter la santé à grande échelle, et le potentiel de militarisation de ces agents. Mais vous m’avez demandé de faire un résumé d’environ 20 minutes de la situation géopolitique telle qu’elle se présentait dans le monde au cours de la période charnière qui a précédé l’après-Seconde Guerre mondiale, car la majeure partie des témoignages de ce soir et des sessions suivantes du grand jury se concentreront sur le monde d’après-1945. Et c’est à cette époque que de nombreux plans pour unifier les gouvernements mondiaux ont commencé à se mettre en place en théorie, dont les questions de santé qui vous préoccupent. Et je soutiens que la puissance dominante dans le monde, à savoir la City de Londres, le cœur financier de l’Empire britannique, s’est préparée à cette situation, à partir de 1870 environ. Dans le monde moderne, la monopolisation, la cartellisation du monde commence en théorie à cette époque. Tout ce que nous faisons, et par « nous », j’entends la chaîne UK Column news, car je suis également rejoint ce soir par Brian Gerrish, le co-rédacteur en chef, qui témoignera plus tard… Toutes nos enquêtes sur la corruption émanant des monopoles de la Couronne britannique et de l’argent de la City de Londres semblent remonter à cette période autour de 1870, au cours de laquelle, en résumé, plusieurs révolutions ont été menées par l’élite britannique, et toutes visaient à contenir la productivité et à empêcher la croissance de l’intelligence et de la propriété intellectuelle parmi les peuples autochtones de l’Empire britannique et des nations concurrentes. Il y a donc eu une révolution dans ce que vous pourriez appeler l’espace mental, qui depuis 2010, est un terme explicitement utilisé par le département central du gouvernement britannique, le Cabinet Office. Une révolution dans la qualité de l’éducation offerte aux écoliers britanniques et plus tard aux autres écoliers occidentaux, une révolution dans le vol de la propriété intellectuelle par l’élite. Une révolution dans le modèle des soins de santé et de leur libre accès, et chez nous, une révolution constitutionnelle, du modèle classique de démocratie libérale britannique, dont je sais qu’il a été explicitement copié sur la Grande-Bretagne par le continent européen et ses écoles de droit, à un modèle qui contrôle rigoureusement ce qui se passe au Parlement et dans les agences dirigées par les gouvernements utilisant le système des instructions de vote des partis. Tout cela s’est produit, comme je l’ai dit, autour de 1870 et, chez nous, en Grande-Bretagne, cela a été en grande partie achevé par l’année charnière entre 1947 et 1948, lorsque la Grande-Bretagne avait un service national de santé unique, autre que le Canada, qu’elle ouvrait la voie à l’unification militaire du continent européen et de l’ensemble de l’OTAN et que, de bien d’autres façons, y compris à travers la planification du droit et de la citoyenneté, elle menait le monde en réinventant la façon dont elle gérait sa population. Le nœud central ici est la ville de Londres, c’est-à-dire la City au cœur même de ce qu’on appelle aujourd’hui le Grand Londres. Ce point est important parce que la City de Londres et l’Église d’Angleterre sont les seules institutions qui ont survécu à toutes les révolutions constitutionnelles dans les îles britanniques, en gardant leurs privilèges et leur immense richesse intacts. La City de Londres se distingue des autres mégapoles mondiales en ce qu’elle a choisi de rester géographiquement petite alors que la zone urbaine qui l’entoure se développait. La City de Londres a toujours un statut juridique distinct des 32 autres arrondissements londoniens, et ne fait pas vraiment partie du Grand Londres en tant que tel, ses privilèges ayant été consacrés dès la Magna Carta de 1215. Son gouvernement autonome n’a jamais été remis en question. À plusieurs reprises au cours de son histoire, elle a exercé un pouvoir sur la couronne britannique et donc, sur une grande partie de la planète pendant l’Empire britannique, notamment pendant les guerres civiles du milieu du 17e siècle, lorsque la City de Londres est restée une puissance financière rivale de la couronne et a même, d’une certaine manière, aboli cette dernière pendant plus d’une décennie. Et après la restauration des couronnes et finalement la révolution anglaise. Six ans seulement après, avec l’arrivée du roi hollandais Guillaume III sur le trône de Grande-Bretagne, la Banque d’Angleterre a été créée en 1694 avec une injection de 12,5 millions de livres sterling de liquidités dans la couronne par ces actionnaires privés, dont on nous dit avec certitude qu’elles forment la base de toutes les dettes engendrées depuis lors jusqu’à ce jour, et les descendants actuels de ces actionnaires et autres personnes ayant droit à des parts de la Banque d’Angleterre sont tenus secrets. La City de Londres exerce également un pouvoir et un contrôle sur ce que l’on appelle la « mère des parlements », le parlement de Westminster, notamment sous la forme d’un fonctionnaire de la City de Londres, connu sous le nom de « remembrancer », qui siège à la Chambre des communes, où même le monarque n’est pas autorisé à entrer et qui enregistre les propos tenus au sujet des intérêts financiers. Il est trop compliqué de donner une définition de la Couronne selon le modèle britannique. Mais ce qui est important, c’est que le Cabinet Office et ministère qui a été créé au début du 20e siècle est le dépositaire effectif des prérogatives de la Couronne. Ainsi, lorsque des personnes extérieures au Royaume-Uni pensent à la Couronne, elles pensent souvent de manière excessive à l’ancienne situation où le monarque prêtait serment lors de son couronnement et était responsable devant le peuple. Dans la pratique, à partir de 1870 environ, la révolution constitutionnelle a fait en sorte que les financiers qui contrôlaient les partis politiques tirent en fait les leviers des prérogatives de la Couronne. Dans les coulisses, le modèle de gouvernement que la Grande-Bretagne possède encore et qu’elle a exporté dans le Commonwealth et dans le monde entier est celui d’un sanctuaire intérieur, le Conseil privé, qui gouverne en fait au nom de la Couronne, et ce n’est qu’en apparence, comme l’ont admis les principaux auteurs constitutionnels depuis les années 1870, c’est seulement pour le spectacle que le Parlement et les ministères sont consultés, comme s’il existait une séparation entre le pouvoir législatif exécutif et le pouvoir judiciaire au niveau du Conseil privé. Or, ce n’est pas le cas. Durant cette période cruciale dont nous parlons, l’éminent constitutionnaliste anglais Walter Bagehot, l’a admis au 17e siècle. Dans la deuxième édition de son livre, « La constitution anglaise », écrit en 1873, juste au moment où les instructions de vote des partis modernes ainsi que le think tank se mettaient en place pour établir la volonté du monopoleur dans la City de Londres, Walter Bagehot a écrit dans un paragraphe qu’il y avait une distinction entre, je cite, « les parties prestigieuses du gouvernement », c’est-à-dire les parties qui sont là pour le spectacle, et plus personnellement la Couronne et, je cite, « les parties efficaces dans le sens des parties fonctionnelles de la machine ». Et il admet que les parties attrayantes ont un but, mais servent seulement à attirer la force du soutien national vers les parties qui travaillent vraiment dans les coulisses. Maintenant, pour simplifier au maximum, je pense qu’il est important de souligner que l’universitaire en histoire de l’université de Georgetown, Carroll Quigley, ça s’épelle CARROLL Quigley, qui était le tuteur de Bill Clinton, entre autres, a écrit très franchement dans son livre, « Tragédie et Espoir », l’histoire du monde à cette époque, qu’il y a eu quatre révolutions industrielles. Oui, ce langage familier venant du Forum économique mondial a déjà été utilisé dans les années 1960 par Quigley et nous ne comprendrons pas cela à moins de voir que le point de vue adopté ici est celui de qui possède la population, d’abord en Grande-Bretagne et ensuite dans l’Empire britannique. Lors de la première révolution, la propriété de la terre et des moyens agricoles fournit la richesse, puis il y a une révolution industrielle mécanique, une deuxième révolution, puis une autre au cours de laquelle le capital financier domine le monde. Et c’est à partir de cette période, vers 1870, que la réserve d’argent de la City de Londres se rend compte que même cette bulle va éclater. Et que la meilleure façon de dominer le monde à l’avenir sera de posséder les esprits, la productivité et les pensées de ceux qui sont dans le modèle pour les empêcher de s’enfuir et de devenir un surproduit de leurs patrons. Ainsi, l’ère moderne de la capitalisation à la fois dans l’industrie et la géopolitique a commencé autour de l’année 1870. En l’espace de quelques années à peine, le monde est passé d’une situation dans laquelle la City de Londres et l’Empire britannique n’avaient aucune concurrence sérieuse à un monde dans lequel plusieurs économies industrialisées ont été capables de concurrencer la Grande-Bretagne. L’Empire britannique et son centre financier, la City de Londres, s’étaient massivement étendus en Asie au cours de la génération précédente, notamment avec les guerres afghanes et les guerres de l’opium dans les années 1840, les guerres de Crimée et la mutinerie indienne des années 1850. L’une des banques les plus puissantes de la City de Londres, la HSBC, date en fait de l’époque du commerce de l’opium chinois : la criminalité imprègne donc les banques de la City de Londres dès le départ. En Europe, l’ordre post-napoléonien imposé par la Grande-Bretagne lors du Congrès de Vienne en 1815 a commencé à s’effriter avec la réussite et l’échec des révolutions socialistes de 1848. La Russie et l’Autriche-Hongrie ainsi que les pays d’Europe de l’Est disposaient des armées terrestres les plus puissantes de l’époque, et ce sont eux qui ont sauvegardé l’Europe en restaurant les têtes couronnées. Par conséquent, l’obsession de la politique étrangère britannique depuis le milieu du 19e siècle — et c’est quelque chose que j’ai vu lorsque j’ai assisté aux réunions de Chatham House, le groupe de réflexion géopolitique suprême du monde à bien des égards, qui dit au Ministère des affaires étrangères ce qu’il doit faire — l’obsession de la politique étrangère britannique à partir du milieu du 19e siècle était une nouvelle stratégie, à savoir s’allier avec les grands rivaux du passé, la France et jusqu’à l’Empire ottoman, contre les alliés historiques de la Grande-Bretagne en Europe du Nord et en Europe centrale, afin d’empêcher toute future alliance russo-allemande qui pourrait devenir le bloc dominant du monde. Une seconde stratégie consistait à empêcher la montée fulgurante de la productivité intellectuelle américaine et la démocratisation de l’invention, et à essayer de capturer cela. Dès 1812, les troupes britanniques envahissant Washington DC ont notamment épargné l’office des brevets parce qu’elles savaient qu’en le brûlant, elles se tireraient une balle dans le pied et ne pourraient plus dominer les inventions américaines après la Révolution américaine. Vers 1860, sous l’impulsion de Bismarck, Garibaldi et du tsar Nicolas 1er, les trois plus grandes nations européennes, qui n’étaient auparavant grandes qu’en termes de culture, sont soudain devenues des États politiquement unifiés et économiquement modernes. Avec le débat de la grande et de la petite Allemagne, des signes sérieux indiquaient que l’Allemagne pourrait s’allier à l’Autriche pour former un seul État germanophone, et il était évident pour l’élite britannique qu’en l’espace d’une génération ou deux, ces trois pays, l’Allemagne, l’Italie et la Russie, deviendraient de grandes puissances, à peu près au même niveau que la Grande-Bretagne et la France. Les États-Unis sont sortis de la guerre civile en 1865 et ont entamé une ascension fulgurante vers la suprématie industrielle. L’élite britannique a correctement prévu que vers 1900, ces quatre nouvelles puissances commenceraient à avoir des forces navales aussi fortes que celles de la France ou de la Grande-Bretagne, et a prévu que les armées terrestres de ces puissances européennes seraient beaucoup plus fortes que celle de la Grande-Bretagne, de sorte que seule une alliance franco-britannique au nom des droits de l’homme et de la diffusion de la démocratie libérale, auparavant impensable, aurait pu tenir ces puissances en échec. En 1880, ce que l’on appelle la ruée vers l’Afrique battait son plein, ce qui a permis même à des nations européennes mineures sur le plan territorial, comme la Belgique et le Portugal, d’acquérir des ressources substantielles grâce à la colonisation de l’intérieur de l’Afrique, et de devenir de sérieux rivaux pour l’industrie et le commerce britanniques. Cela a mis la City de Londres dans un sérieux embarras, car, par exemple, le Portugal était le plus ancien allié de la Grande-Bretagne et la Belgique était un État qui devait son existence même à la négociation britannique de 1815. Des historiens ont avancé de sérieux arguments indiquant que la vague d’assassinats de l’ère édouardienne, notamment l’assassinat de la famille royale portugaise en 1908, et celui de l’archiduc François-Ferdinand en 1914, a été fomentée avec la connivence secrète de la City de Londres. Un pays asiatique est également devenu une grande puissance industrielle et militaire à la fin du 19e siècle, le Japon, et, à la grande surprise du monde entier, il a battu la Russie en 1905, donnant ainsi à de nombreuses populations coloniales d’Afrique et d’Asie l’idée qu’il n’y avait aucune raison pour qu’elles ne puissent pas elles aussi s’affirmer face à la domination européenne, comme l’avaient déjà fait les républiques d’Amérique latine contre l’Espagne. L’année suivante, 1906, fut celle de la course navale, de la crise du Dreadnought, qui a peut-être inévitablement déclenché le compte à rebours vers la Grande Guerre, la Première Guerre mondiale, car l’élite britannique et l’élite allemande étaient désormais déterminées à obtenir la weltherrschaft ou domination mondiale. Les deux pays se méfiaient à juste titre des motivations de l’autre. Ils étaient tous deux techniquement capables de dominer le monde, tant sur le plan industriel que dans l’espace mental, et disposaient tous deux pour la première fois de puissants blocs alliés. En résumé, le changement provoqué par la crise existentielle du milieu à la fin du 19e siècle a été le modèle commercial de la City de Londres tel que décrit par Quigley, les vagues successives de monopoles. Ce modèle en est venu à souligner l’importance de contrôler non plus seulement la force militaire ou les ressources matérielles, mais l’esprit des personnes désormais connues sous le nom de ressources humaines dans l’Empire britannique, et au-delà, et c’est pourquoi la science-fiction commence à parler de la propriété du patrimoine génétique de l’homme à partir de cette époque, afin que la City de Londres puisse vendre des biens et de plus en plus de services au reste du monde, qui ne pourrait jamais rattraper son retard dans l’espace mental. Le UK Column, les chercheurs et les commentateurs alliés constatent régulièrement que la City de Londres et les très riches institutions de pouvoir d’influence de la Grande-Bretagne, celles que Tony Blair, ce mois-ci encore, nous a dit que nous devions continuer à bien utiliser, mais en les dominant, comme le British Council, la BBC, les universités britanniques et l’Église d’Angleterre, que ces institutions continuent de considérer cette bataille pour l’esprit comme leur priorité absolue pour la domination du monde, et qu’elles considèrent la santé comme un sous-secteur de cette bataille. Nous sommes également pleinement convaincus, grâce à des découvertes répétées, que l’élite britannique se considère, à juste titre, comme la première puissance mondiale dans l’espace mental. En d’autres termes, la City de Londres fait faire aux autres nations le sale boulot pour elle. Et elle le fait surtout en réussissant le tour de force de faire en sorte que sa propre population, la Grande-Bretagne, le Commonwealth et les élites des autres nations adhèrent à sa perspective et à son récit, plutôt qu’à leurs propres perspectives et récits. C’est la vision que j’ai reçue lors de mon éducation d’élite britannique. Et c’est la vision que les agences de renseignement britanniques ont reçue pendant les deux guerres mondiales et la guerre froide. Ce n’est pas une stratégie officielle qui est enseignée dans les internats, les universités, les agences de renseignement ou lors de la formation des agents. Mais c’est en grande partie le credo des soi-disant lignées de familles d’élite qui dirigent la City de Londres. Et c’est le modus operandi des fondations anglo-américaines exonérées d’impôts, et des groupes de réflexion tels que Chatham House, une bulle qui a imposé les agendas de ces lignées aux gouvernements occidentaux. Une figure clé de l’année 1870 est celle de John Ruskin, apparemment inoffensif car il était le premier professeur d’art à Oxford. Mais il a apporté la doctrine selon laquelle l’élite britannique se devait d’exporter sa propre vision du monde au reste de la planète en termes très généraux. Et parmi les principaux étudiants qu’il influença, il y avait Cecil Rhodes, qui, bien sûr, est devenu fabuleusement riche en Afrique australe. Cecil Rhodes, et tout cela est documenté par de très nombreux historiens, a écrit des journaux secrets et formé des sociétés secrètes en 1891. Après 16 ans de planification, sa principale société secrète a été fondée. Les bourses Rhodes font partie de cette société. Les membres d’Oxford du réseau de Rhodes étaient des gens comme Lord Toynbee et Lord Milner, des géostratégistes bien connus. À Cambridge, il y avait le futur ministre des Affaires étrangères Lord Gray, et Lord Isha [orthographe incertaine]. À Londres, il y avait le journaliste de premier plan de l’époque, WT Stead, ainsi que des initiés et des membres du comité exécutif de Cecil Rhodes, parmi lesquels les hommes susmentionnés, plus Lord Rothschild. Après la mort de Rhodes en 1902, d’autres lignées anglaises de premier plan qui ont à plusieurs reprises entaché l’histoire de la City de Londres, comme les Astor, sont entrées dans ce cercle. Le cercle extérieur visant à réaliser la volonté de Cecil Rhodes — cette vision apparemment bénigne de la Grande-Bretagne forçant le monde à accepter sa démocratie libérale et à accepter cette façon de voir le monde — le cercle extérieur est devenu connu sous le nom de groupes de la Table ronde, qui sont toujours actifs aux États-Unis et dans sept autres pays et ont été mis en place à partir de 1909. Ce groupe considérait le succès de la Fédération canadienne de 1867 comme sa principale étude de cas, vous en entendrez parler plus tard par Matthew Ehret. Le Canada a été effectivement unifié politiquement et plus tard les autres colonies blanchies, les territoires blancs. Afin d’éviter la propagation de points de vue différents et de démocraties anglophones différentes dans le monde, ils devaient tous être rattachés au contrôle de la City de Londres. Ceci est également très contemporain, car parmi les nombreux boursiers de Rhodes qui dominent la politique mondiale et poussent le monde vers la globalisation, on trouve Bill Clinton, déjà mentionné, et au Forum Économique Mondial, la Professeur néo-zélandaise Ngaire Woods, qui s’est fait connaître cette année pour avoir déclaré au FEM que l’élite pouvait faire de grandes choses si elle s’unissait et si les gens du monde acceptaient simplement qu’elle était à leur tête. Rhodes a écrit dans l’un de ses journaux secrets, je cite, « pourquoi ne devrions-nous pas former de société secrète, avec un objectif », c’est-à-dire avec un seul objectif, « la promotion de l’Empire britannique, et la mise sous tutelle britannique de l’ensemble du monde non civilisé pour le rétablissement », à savoir le rétablissement de la Grande-Bretagne, « des États-Unis, et pour faire de la race anglo-saxonne un seul et unique empire ».

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Il a également écrit : « Formons le même genre de société, une église pour l’extension de l’Empire britannique ». On parle ici d’espace mental. Rhodes continue « une société qui devrait disposer de ses membres dans chaque partie de l’Empire britannique, œuvrant pour un objectif et une idée. Nous devrions placer ses membres dans nos universités et nos écoles, et nous devrions regarder la jeunesse anglaise passer entre leurs mains. Un seul peut-être sur 1000 aurait l’esprit et les sentiments adaptés à un tel objectif ». C’est à cela que servent les bourses Rhodes. « Il devrait être jugé de toutes les manières, il devrait être testé, pour voir s’il est endurant, doté d’éloquence, indifférent aux détails insignifiants de la vie, et s’il s’avère qu’il est ainsi », en d’autres termes, c’est un test psychologique, « alors il devrait être élu et prêter serment, ou jurer de garder le secret, pour servir durant le reste de sa vie son pays. Il devrait ensuite être soutenu, s’il n’en a pas les moyens, par la société et envoyé dans la partie de l’empire qui juge sa présence utile ». Et dans cette vision, bien sûr, les États-Unis font partie de l’empire. Dans un autre de ses testaments, Rhodes décrit plus en détail son intention, je cite : « pour l’établissement, la promotion et le développement d’une société secrète. Le véritable but et objet de cette société sera l’extension de la domination britannique à travers le monde. La colonisation par des sujets britanniques de toutes les terres où les moyens de subsistance sont accessibles par l’énergie, le travail et l’entreprise, et en particulier l’occupation par les colons britanniques de tout le continent africain, de la Terre Sainte, de la vallée de l’Euphrate », à savoir l’Irak moderne, « des îles de Chypre, et de l’île de Candie », à savoir la Crète, « de l’ensemble de – Pas sûr de l’ortographe du nom – l’Amérique du Sud, des îles du Pacifique n’étant pas jusqu’ici détenues par la Grande-Bretagne, de l’ensemble de l’archipel malais, de ceux longeant la Chine et le Japon », à savoir au large de la Chine et du Japon, « et le rétablissement final des États-Unis d’Amérique comme partie intégrante de l’Empire britannique ». Cette vision n’est pas l’apanage d’un Anglais particulièrement riche, mais elle s’est imposée aux États-Unis, dans ce qu’on appelle l’establishment de l’Est, la côte orientale, au moment où les États-Unis devenaient la puissance dominante du monde. Le témoignage clé à ce sujet est celui de Norman Dodd, DODD, donné peu avant sa mort en 1982 à G. Edward Griffin, que l’on trouve facilement en ligne en tapant Norman Dodd et fondations exonérées d’impôts. Dodd était le principal collaborateur de Reese, le membre du Congrès de l’est du Tennessee ou EECE, qui, dans les années 1950, a mené une enquête au nom du Congrès sur l’effet de ces fondations exonérées d’impôts aux États-Unis, lesquelles ont adopté la vision de la City de Londres et de Cecil Rhodes afin de dominer la richesse.

23:30

Maintenant, je vais lire ce que Dodd a dit dans cette interview. Il indique avoir embauché une avocate sceptique à Washington. C’était dans les années 1950 et il l’a envoyée à la bibliothèque de la Fondation Carnegie, l’une des principales fondations exonérées d’impôts, à laquelle elle a eu accès avec une ceinture de dictaphone, la technologie de l’époque pour enregistrer efficacement ce qu’elle lisait, afin de scanner la bibliothèque et de voir ce qui se disait à partir des années 1906 dont j’ai parlé plus tôt, et cette femme initialement sceptique je cite, indifférente aux objectifs du comité des risques, a découvert cela, ce qui l’a horrifiée. Elle a dicté dans sa ceinture, selon Dodd, « nous sommes maintenant en 1908, l’année où la Fondation Carnegie a commencé ses opérations. Et cette année-là », lit-elle tandis qu’elle se trouve dans la bibliothèque de la Fondation Carnegie, « la réunion des fiduciaires a pour la première fois soulevé une question précise dont ils ont discuté pendant tout le reste de l’année d’une manière très savante. Et la question est la suivante : existe-t-il un moyen connu, plus efficace que la guerre, en supposant que vous souhaitiez modifier la vie d’un peuple entier ? », et ils concluent que non, « aucun moyen plus efficace que la guerre, à cette fin, n’est connu de l’humanité ». La Fondation Carnegie a soulevé la deuxième question et en a discuté, à savoir, « comment impliquer les États-Unis dans une guerre » ? Je pourrais continuer sur cette lancée mais je n’ai pas le temps. Mais je pense que cela suffit en soi à donner les grandes lignes aux gens. Il ne suffit pas d’être de loin la plus grande puissance militaire et économique au monde, comme l’ont été les États-Unis avant et après la Première Guerre mondiale si votre espace mental est toujours contrôlé par l’idée selon laquelle le modèle démocratique libéral anglo -saxon est la seule possibilité. S’il est toujours contrôlé par l’hypothèse non vérifiée que tout le monde au sommet de ce modèle est payé pour la liberté, alors vous allez toujours trouver qu’un club d’intérêt personnel va diriger le monde. Et même dans des domaines tels que les soins de santé, que la Grande-Bretagne a été le premier pays au monde à nationaliser en 1948, vous allez découvrir que les gens supposent à tort et aveuglément que leurs meilleurs intérêts sont gardés à cœur. Dans deux minutes peut-être, j’aborderai l’autre point que je souhaite soulever, à savoir le financement des deux axes lors des deux guerres mondiales par la City de Londres et ses ramifications à Manhattan, Wall Street. Maintenant, ce n’est pas, encore une fois, une revendication sortie de nulle part. Des universitaires sérieux comme Anthony Sutton, qui travaillait à l’Institut Hoover de l’Université de Stanford en Californie, ont écrit des livres entiers à ce sujet, intitulés « Wall Street et la révolution bolchévique », et « Wall Street et l’ascension d’Hitler ». Tout cela est bien connu de ceux qui prennent la peine de s’informer à ce sujet. Il y avait toute une série de documents, qui ont été récupérés par Anthony Sutton : cela lui a coûté sa titularisation à Stanford. Il a mis tout ça dans ses livres. Et ce qu’il a découvert, c’est que, pour résumer, l’Union soviétique et le Troisième Reich ont été créés dans l’intérêt de la City de Londres et plus particulièrement de sa ramification à Wall Street. Et donc, si vous pouvez faire apparaître brièvement la première diapositive, que je vous ai demandé de mettre à l’écran, vous verrez un résultat de cela, à savoir qu’IBM avait une filiale monopolistique en Allemagne, dénommée Hollerith. Hollerit était le nom du propriétaire allemand. Pouvez-vous confirmer que cela est à l’écran en ce moment ? On va attendre un peu. Merci. Oui. Vous pouvez donc voir ici que Hollerith, le propriétaire allemand nominal de cette filiale d’IBM, propose au Troisième Reich Übersicht, ou une surveillance, en utilisant des cartes perforées, une technologie américaine concédée au Troisième Reich. En bas, vous pouvez lire Übersicht mit Hollerith Lochkarten, la connaissance totale de l’information par le biais des cartes perforées Hollerith. Et le nom de la société en bas est Deutsche Hollerith Maschinen Gesellschaft MBH, qui était à Berlin Lichterfelde.

28:01

La deuxième diapositive, que j’ai là, n’est qu’un exemple de l’étendue globale des services de renseignements britanniques dans des domaines que la constitution ne permet pas d’avoir. Vous pouvez voir ici un symbole d’arbre de Noël, indiquant que le MI5, même avant la Seconde Guerre mondiale, contrôlait qui accédait aux ondes de la BBC, qui était promu et qui était transféré. Tout cela se faisait donc sous le contrôle du MI5, les renseignements britanniques, qui sont théoriquement là pour la nation, mais qui ont en réalité été mis en place par les lignées dont je parle pour servir leurs objectifs privés. C’est en tout cas ainsi qu’ils considèrent la gestion du renseignement britannique. La troisième de mes quatre diapositives montre comment cela émerge en 2010, lorsque le Cabinet Office britannique, en collaboration avec un groupe de réflexion, l’Institute for Government, parle ouvertement de contrôler la pensée du monde et la pensée du peuple britannique. Ils étiquettent les parties du cerveau sous l’étiquette d’espace mental. Et sur la droite, je peux voir que vous avez mis le texte clé des pages 66 et 67 de ce document de 2010. Il est dit « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental » — c’est-à-dire en faisant pression pour que les gens se comportent comme le souhaitent les lignées plutôt que de mandater leurs gouvernements pour agir en leur nom — « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental, ils peuvent s’opposer aux moyens servant à l’atteindre. Les différents effets de l’espace mental entraîneront différents niveaux de controverse. Il existe plusieurs facteurs qui déterminent la controverse ». En d’autres termes, ils prévoient qu’on leur dira qu’il s’agit d’un renversement des objectifs du gouvernement, y compris dans le domaine des soins de santé, bien sûr. Ils poursuivent « Comme indiqué, les effets de l’espace mental dépendent au moins en partie du système automatique. Cela signifie que les citoyens peuvent ne pas réaliser pleinement que leur comportement est modifié, ou du moins de quelle manière il l’est. Il est clair que cela expose le gouvernement à des accusations de manipulation. Les gens ont tendance à penser que les tentatives visant à modifier leur comportement seront efficaces si on leur fournit simplement des informations de manière transparente. Cette aversion a un fondement psychologique, mais c’est essentiellement une question de confiance dans le gouvernement. L’absence de contrôle conscient a également des répercussions sur le consentement et la liberté de choix. Tout d’abord, il crée un besoin plus important pour les citoyens d’approuver l’utilisation du changement de comportement, peut-être en utilisant de nouvelles formes d’engagement démocratique ». On voit que dans ce modèle, la démocratie est le bien le plus élevé qui soit vendu, mais les leviers de manipulation de la démocratie sont entre les mains du cartel. « Deuxièmement, si l’effet fonctionne automatiquement, il offre peu de possibilités aux citoyens de se retirer ou de faire d’autres choix ; le concept d’architecture de choix est moins utile ici. Toute action susceptible de réduire le droit à l’erreur », le droit de refuser un traitement, par exemple, « sera très controversée. Bien sûr, certaines tentatives traditionnelles de changement de comportement ne sont pas explicites et elles ont suscité la controverse. Mais elles sont rarement accusées de manipulation, parce qu’elles sont fondées sur des actions conscientes visant à fournir et à enregistrer des informations, plutôt que sur des réactions inconscientes ». Je pense que cela établit assez bien le principe selon lequel nous sommes formés dans ce monde moderne dominé par la City de Londres et ses institutions dotées d’un pouvoir d’influence à penser que nous avons notre destin en main, parce que la démocratie libérale est souvent présentée comme étant le bon modèle face auquel tous les autres systèmes sont plus tyranniques et moins souhaitables. Mais toute la force du modèle de la City de Londres est qu’il peut même opérer à distance à travers d’autres pays comme les États-Unis et l’Allemagne, comme cela a été démontré ici, pour persuader les gens que ce qu’ils voulaient avant n’est pas vraiment ce qu’ils veulent maintenant. Et c’est le remplissage de l’espace mental, qui est, je pense, l’arme la plus puissante. C’est ce qui est disponible ici. Maintenant, je vois que j’ai dépassé le temps imparti. Je vais donc laisser le reste des détails, je n’aurais jamais pu espérer être exhaustif. Mais j’espère avoir donné aux gens un petit aperçu de la longue série de recherches historiques solides menées par des personnes connaissant bien l’establishment britannique afin d’établir que l’establishment britannique ne s’est pas battu loyalement depuis environ 1870. Et que la plupart des révolutions qu’il souhaitait provoquer, le contrôle de la démocratie par les instructions de vote des partis, le contrôle des soins de santé par les États obligatoires, les soins de santé fournis dans le modèle britannique et canadien, étaient tous en place dans la période d’après-guerre, qui est la période que Matthew Ehret va traiter d’après ce que j’ai compris pour nous amener dans l’ère d’après-1945.

32:56 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex, c’est une parfaite vue d’ensemble qui explique comment nous en sommes arrivés là. Si vous le permettez, j’aimerais juste poser quelques questions. Bien sûr, mes confrères feront de même. Mais est-il exact que la City de Londres est le véritable centre névralgique du Royaume-Uni ?

33:22 Alex Thomson :

Sans l’ombre d’un doute. Si vous avez eu mon parcours, c’est quelque chose que vous apprenez à l’internat, sans parler de l’université, dans le cadre du rugby et de Cambridge pour moi, et au moment où vous entrez dans la fonction publique, on vous regarde bizarrement si vous suggérez que le peuple de Grande-Bretagne ou de tout autre pays du Commonwealth est doté d’autodétermination. Non, il est entendu que la City de Londres possède le corps, l’âme et l’esprit du peuple.

33:49 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, cela semble avoir commencé assez tôt. Je ne sais plus si ça a commencé en 1870 ou au début des années 1900, mais c’est le contrôle de l’esprit des gens que la City de Londres a voulu atteindre pour réaliser son objectif de domination mondiale, est-ce exact ?

34:13 Alex Thomson :

Oui, et ce n’est plus un problème spécifiquement anglo- saxon. Cela concerne aussi des pays du continent européen, l’Allemagne est l’un d’entre eux depuis 1949, la république fédérale bien sûr, la Belgique en est un autre qui, comme je l’ai dit dans ma présentation, a été créé par l’insistance britannique en 1815. Je traduis à un très haut niveau des communications gouvernementales issues des soi-disant agences nationales de santé de ces pays et destinées à leurs citoyens. Je les traduis en anglais pour les expatriés de ces pays, et les gouvernements belge et allemand, pour ne citer que ces deux exemples, suivent explicitement le point de vue de la City de Londres. Ils écrivent à la population en termes de gestion de la santé, en leur disant que leur mode de vie n’est pas assez bon ; leur corps, leur esprit, leur génétique, leur intelligence n’ont pas été optimisés. Et donc, ce bétail, cette population, n’est pas compétitive comme elle devrait l’être dans le monde. Il s’agit donc d’une extension du modèle de la City de Londres au continent européen, où il a su, à bien des égards, s’adapter aussi bien aux juridictions de droit civil codifié, très respectueuses de l’état de droit, qu’aux juridictions de common law.

35:22 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce que nous voyons, c’est une institution très puissante financièrement, la City de Londres, qui s’étend sur l’Atlantique comme une cinquième colonne, comme certains le prétendent, car ils ont Wall Street. Ces deux puissances unies étaient ou sont encore le centre du pouvoir dans ce monde ?

35:52 Alex Thomson :

Oui, il y a eu de nombreux rebondissements, surtout au milieu du 20ème siècle, mais ce que vous avez dit est un résumé utile de l’ensemble du 20ème siècle, au cours duquel il y a eu des luttes. Pendant longtemps, il y a eu une guerre froide tout à fait exceptionnelle, avec des branches de l’aristocratie de la City de Londres qui étaient à la fois pro et anti Union soviétique. Je pourrais parler de cela pendant des heures, mais c’est secondaire par rapport au fait qu’il ne doit y avoir qu’un bloc allemand et qu’un bloc russe en Eurasie, et que ces deux blocs doivent être contrôlés et entravés par la puissance maritime britannique ou anglo-américaine et le pouvoir d’influence anglo-américain, qui établissent les modèles pour eux.

36:33 Reiner Fuellmich :

Je voulais clarifier une autre chose : vous avez mentionné que ce sont juste quelques familles qui dirigent vraiment la City de Londres. Vous avez donné les noms de Rothschild, Rhodes et Astor. Est-il vrai que seules quelques familles essaient de dominer le monde à travers la City de Londres ?

36:57 Alex Thomson :

Oui, je n’ai jamais trouvé meilleur matériel que celui d’un duo d’écrivains, qui est néerlandais et germano-américain. Le Hollandais s’appelle Robin de Ruiter, RUITER. Le co-auteur, le germano -américain de Caroline du Sud, s’appelle Fritz Springmeier. Leur livre porte le titre plutôt choquant de « Les lignées Illuminati », mais leur travail est solide. Et ils montrent systématiquement que la City de Londres, Manhattan et le continent européen sont très largement dominés par un petit nombre de familles. Souvent, on nous parle de 13 familles super puissantes. Mais il y a des niveaux au-dessous. Les Français, par exemple, parlent souvent des 200 familles qui dirigent l’État profond, mais les plus anciennes terrorisent les plus jeunes dans ce modèle, et le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre avant de sombrer dans des affirmations nébuleuses selon lesquelles Satan dirigerait le monde — ce que je crois en fin de compte — le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre est un niveau auquel les lignées germaniques d’Europe centrale font difficilement la trêve avec les lignées des îles britanniques, dont la plupart sont maintenant basées aux États-Unis. C’est le modèle le plus important et toutes les frustrations géopolitiques du 20e siècle sont en fin de compte liées à l’un ou l’autre de ces camps qui tentent de prendre l’ascendant : devons-nous suivre la City ou la renverser ? Et cela a à voir avec la frustration des superpuissances émergentes, notamment les Russes qui essaient de jouer à armes égales avec ce cartel de lignées, et qui échouent.

38:27 Reiner Fuellmich :

Et l’un des principaux moyens par lesquels ces quelques familles tentent de dominer le reste du monde semble être à travers l’espace mental, ce qui ressemble un peu au contrôle mental : est-ce que cela implique des opérations psychologiques ?

38:48 Alex Thomson :

Tout à fait. Aucune nation n’est entrée dans le jeu des opérations psychologiques avant la Grande-Bretagne. Dès qu’il y a eu des agences de renseignement officielles en Grande-Bretagne, à l’époque édouardienne, juste avant la Première Guerre mondiale, cela est devenu un point clé. Mais ils ont emprunté beaucoup de leurs idées à Vienne et à l’Allemagne, qui étaient à l’avant-garde dans le domaine de la psychologie à l’époque. Il s’agit donc d’un intérêt transnational des zones anglophones et germaniques pour dominer le monde de l’époque en utilisant les astuces de l’espace mental, qui ont été largement perfectionnées lorsque l’Amérique a acquis une hégémonie incontestée après 1945. Comme dans tant d’autres domaines, tels que l’opération Paperclip pour les domaines techniques, on a utilisé beaucoup d’esprits du Troisième Reich et de l’Union soviétique transférés aux États-Unis de manière clandestine. Cela a été considéré, depuis l’époque d’Edward Bernays et de Freud, comme le moyen le plus puissant de contrôler l’action dans le monde réel. Parce que si vous ne pouvez pas percevoir qu’il existe une autre façon de faire les choses que celle que l’on vous dit être la bonne, alors c’est évidemment le pouvoir suprême que vous pouvez avoir. Si vous avez ce pouvoir, vous contrôlez des gens qui sont plus nombreux, plus intelligents et plus forts que vous.

40:01 Reiner Fuellmich :

Ai-je bien entendu : vous avez utilisé le terme « bétail » ? Est-ce vraiment la vision que ces gens ont du reste du monde ?

40:10 Alex Thomson :

Dans les années 1990, lorsque j’étais dans un pensionnat britannique supérieur, ce terme était utilisé ouvertement par les petits-fils de personnes haut-placées à la City de Londres pour décrire la population britannique qui passait sous leurs propres fenêtres et se rendait en cours ou au travail en ville. Les termes qui étaient utilisés à leur sujet tournaient autour de l’idée qu’ils étaient du bétail, et ne méritaient pas une place dans le monde autre que sous la direction de l’élite britannique.

40:44 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex. Je ne veux pas empêcher mes confrères de poser des questions.

Alors s’il vous plaît, à votre tour.

40:56 Dexter L-J Ryneveldt :

Bonjour, M. Thomson, merci beaucoup pour votre témoignage. Vous m’entendez bien ?

Alex Thomson :

Très bien, merci.

Dexter L-J Ryneveldt :

Excellent. M. Thomson, je voudrais savoir, et vous avez en fait abordé le continent africain et plus précisément, vous avez mentionné Cecil John Roberts, j’aimerais que vous me disiez quel rôle joue actuellement la City de Londres sur le continent africain ? Pouvez-vous, s’il vous plaît, développer ce point ?

41:28 Alex Thomson :

Le rôle qu’elle joue est très sombre et complexe, et on le voit surtout lorsque des coups d’État et des révolutions se produisent dans les anciennes colonies britanniques. Bien sûr, il y a tout un groupe de pays anciennement colorés en rose sur la carte, allant du Caire jusqu’au Cap, où la Grande-Bretagne a presque installé un chemin de fer et une unique colonie. Et c’est dans ces pays qu’on le voit le plus clairement. Le fils de Mme Thatcher a été impliqué dans une tentative de coup d’État ratée dans un pays africain non anglophone, la Guinée équatoriale. Ce n’est qu’un exemple de tentative ratée, et les sponsors de la City de Londres ont laissé Margaret Thatcher nettoyer ça toute seule pour ainsi dire, lorsque cela a échoué. Je pense que ce que nous voyons plus particulièrement dans l’ancienne Rhodésie, maintenant la Zambie et le Zimbabwe, c’est qu’il y a eu un nœud où la City de Londres a engagé des personnes financièrement corrompues et puissantes et les contingents locaux des SAS de l’ère du pouvoir blanc, qui ont fait une grande partie du sale boulot, y compris à Londres dans la période d’après-guerre. Cela s’est fait sur la base de la possession, sur papier, de riches actifs miniers en Afrique australe. Voilà ce que je peux en dire en gros. Il y a même des morts suspectes jusqu’à la Chambre des tribunaux de Lancaster en 1979, ouvrant la voie au ZANU-PF pour prendre le relais du gouvernement Smith en Rhodésie, devenu par la suite le Zimbabwe, avec des avocats tombant, soi-disant, morts par la fenêtre. C’est un tableau extrêmement sombre. Et plus vous regardez certaines des entreprises impliquées, Kroll Security en est une qui me vient à l’esprit, plus vous voyez qu’il y a un lien entre le MI6, les SAS et la City de Londres. Et cela concerne l’Afrique du Sud, en particulier, comme principal atout.

43:17 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup. Êtes-vous donc d’accord avec moi, M. Thomson, pour dire qu’en ce qui concerne la domination financière, on voit que la dette est au cœur du COVID-19 ? Donc êtes-vous d’accord pour dire que la domination financière est au cœur de la pandémie de COVID-19 ?

43:36 Alex Thomson :

Oui, je le suis. Et je le nuancerais très légèrement en vous rappelant que, dans le résumé de Carroll Quigley sur la vision du monde de l’establishment de l’élite anglo-américaine, il souligne que la propriété des actifs financiers est déjà dépassée dans les années 1960. Et il sait que les grands esprits, pas nécessairement les bons, un siècle avant lui, l’avaient déjà vu venir. Ils considéraient que la vraie richesse était l’esprit humain, la santé humaine et la capacité de modifier et de transformer l’être humain en un nouveau modèle qui se comporterait comme prévu. C’est la grande richesse du monde. Mais avec cette réserve, si nous appelons ça la richesse, et par extension, nous pouvons l’appeler la richesse financière, alors oui, c’est le prix le plus élevé qui soit. Le problème de la City de Londres, c’est que si vous êtes quelque peu doué intellectuellement, et que vous venez d’un milieu britannique privilégié d’Oxford et de Cambridge, vous n’avez véritablement le choix qu’entre gagner de l’argent dans la City de Londres, ou vous engager dans une branche du service national, comme les services secrets ou l’armée. Et la différence que j’ai constatée à maintes reprises entre moi et ceux qui ont suivi l’autre voie dans ma cohorte était le principe qu’aucun des deux groupes ne doutait du fait que le véritable pouvoir dans le monde était de posséder le capital. Il s’agit juste de savoir si vous souhaitez être un agent du renseignement qui informe la City de Londres, ou si vous souhaitez faire partie du processus qui génère de l’argent. Il n’y a pas d’idéal plus élevé que cela dans le modèle américain.

45:08 Reiner Fuellmich :

D’accord, merci beaucoup. Je n’ai pas d’autres questions. Merci. Des questions de la part d’Ana ou de Virginie ? Ou Dipali ?

45:22 Ana Garner :

Oh, non, je pense que c’était vraiment excellent. La seule question que je voudrais poser est la suivante : comment expliquez-vous cela ? Vous avez mentionné plusieurs choses comme le copywriting, le copywriting de l’esprit humain, peut-être même de la génétique. Pensez-vous qu’il y ait un lien entre les vaccins actuels, les soi-disant vaccins de Pfizer, Moderna, Janssen et AstraZeneca : pensez-vous qu’il y ait une relation entre eux et cet objectif de copywriter les humains ?

45:53 Alex Thomson :

Je crois fermement que je ne suis pas qualifié d’un point de vue médical ou biotechnologique pour expliquer la part de vérité qu’il peut y avoir dans tout cela. Mais j’ai vu à maintes reprises que lorsqu’il y a de la hauteur, et lorsqu’il y a une croyance pseudo théologique parmi l’élite en Grande-Bretagne et en Amérique, on peut atteindre un certain objectif en faisant un certain tour, par exemple en modifiant un gène et en apposant un copyright sur le corps humain, c’est une motivation suffisante en soi pour alimenter une sérieuse tentative d’aller dans ce sens. Et je sais que lorsque Debi Evans interviendra dans le créneau de Brian Gerrish, plus tard dans la soirée, elle parlera de l’idée que l’édition génétique permettra de facto de copier sournoisement le nombre d’âmes et de corps de l’humanité qui sont concernés, de sorte qu’ils ne seront plus sous la protection du Créateur.

Ana Garner :

Merci. Merci.

46:48 Reiner Fullmich :

Ok, cela conclut le témoignage d’Alex Thomson. Nous allons maintenant écouter Matthew Ehret.

47:00 Matthew Ehret :

Merci, je dois dire que cette présentation a dépassé mes attentes. Et je pense qu’elle donne très bien le ton pour que je puisse reprendre le flambeau. Je voudrais juste revenir sur un seul point, qui est que peu importe ce que l’oligarchie peut souhaiter, légalement ou officiellement, la revendication de posséder l’âme ou le corps et la liberté des gens n’a aucun rapport avec la réalité. Il y a une loi naturelle qui est supérieure à la loi qu’ils souhaitent imposer à l’univers. Et c’est une partie du problème avec les penseurs de la tour d’ivoire. Ils veulent toujours que l’univers obéisse à leurs modèles mathématiques. Et ils piquent des crises de rage lorsqu’ils découvrent que l’univers est beaucoup plus créatif et bien moins linéaire qu’ils ne le souhaitent. Il s’agit donc d’une sorte de complexe de Dieu, qui signe finalement la chute des empires dans l’histoire, à chaque fois que vous voyez l’oligarchie s’auto-cannibaliser et s’effondrer sous ses propres contradictions. C’est quelque chose de naturel, ça doit se produire ainsi. La question est de savoir si nous sommes prêts à tolérer ce niveau de folie et d’immoralité, au point de sombrer avec ? Et c’est le même défi pour chaque génération. Ce n’est pas nouveau. Et à l’évidence, nous sommes au bout du système.

Je vais faire quelque chose d’un peu différent. Au départ, j’avais l’intention de parler davantage d’eugénisme. Mais à présent, je comprends que le 26 février, nous allons nous concentrer beaucoup plus sur l’eugénisme. Je ne le ferai donc pas. Je poursuivrai le thème qu’Alex a soulevé, mais je le ferai en traitant d’abord de la situation actuelle pendant environ huit minutes juste pour faire comprendre ce qu’est la mainmise britannique dans les affaires mondiales actuelles. Entrons dans les détails, à l’aide d’une petite vidéo d’une minute de Justin Trudeau, ici au Canada, où on voit cette ombre, une ombre qui a été imposée au peuple pour mener une politique qui ne vient pas vraiment de lui. Je pense que tout le monde reconnaît qu’il n’est pas vraiment aux manettes. C’est un peu une jeune version de Biden. Toute sa vie a été en quelque sorte manipulée. Mais la question qui se pose est la suivante : si ce type ressemble trop à une poupée Ken, sans cerveau ni âme pour prendre des décisions, quel est alors le pouvoir derrière le pseudo trône ? Je vais donc commencer par une vidéo. Ensuite, je reviendrai en arrière au 19ème siècle, en me focalisant un peu plus sur le Canada. Juste parce que c’est quelque chose d’actuel vu ce qui se passe en ce moment à Ottawa. Et nous continuerons ensuite jusqu’aux batailles de l’après -guerre pour voir comment cette chose s’est métamorphosée et recalibrée après la Seconde Guerre mondiale. Donc, nous allons faire cela de façon sommaire. Je vais essayer de ne pas trop simplifier, mais évidemment, c’est une question complexe, et je vais essayer de restituer ce qui doit être compris en étant rigoureux. La première chose, c’est la vidéo que j’ai promise, que je vais lancer maintenant. Elle dure environ une minute et demie. Est-ce que ça va le son ? J’espère que vous entendez. Ce n’est pas la vidéo. Je suis vraiment désolé. Je réessaie. Ok. Vous arrivez à voir « Canadian Press » ?

Reiner Fullmich :

Je la vois.

50:21 Matthew Ehret :

« Moi, Justin PJ. Trudeau, jure d’être fidèle et de porter une véritable allégeance à Sa Majesté la reine Elizabeth II, reine du Canada, à ses héritiers et successeurs, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin PJ. Trudeau, jure solennellement et sincèrement d’être un serviteur fidèle et loyal de Sa Majesté la reine Elizabeth II, en tant que membre du Conseil privé de Sa Majesté pour le Canada. Je déclarerai fidèlement, honnêtement et véritablement ma pensée et mon opinion sur toutes les questions à traiter, à débattre et à résoudre au Conseil privé. Je garderai secrètes toutes les affaires qui me seront confiées et révélées en cette qualité, ou qui seront traitées secrètement en conseil. D’une manière générale, je ferai en toutes choses ce qu’un fidèle et véritable serviteur doit faire pour Sa Majesté, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin P. J. Trudeau, je promets et jure solennellement et sincèrement que j’exercerai véritablement et fidèlement, au mieux de mes compétences et de mes connaissances, les pouvoirs et la confiance qui me sont conférés en tant que Premier ministre, avec l’aide de Dieu. »

C’est assez déroutant pour les personnes qui ont vu cela en 2017. Ce n’est pas le genre de chose que l’on attendrait d’un chef d’État prétendument démocrate lorsqu’il prononce son serment après une élection. Mais là encore, Trudeau n’est pas vraiment le chef de l’État, comme nous avons pu le constater. Il est à la fois membre du Conseil privé, ce qui est indispensable pour occuper un poste ministériel, au gouvernement ou dans l’opposition. Et le véritable chef d’État est le gouverneur général, cet homme plus âgé qui se tient à côté de lui et qui est la personne nommée pour exécuter les pouvoirs et l’autorité de la Couronne afin de donner la sanction royale à tout texte de loi qui devient loi au Canada.

Vous avez des lieutenants-gouverneurs, positionnés dans chaque province. Vous avez un bureau du Conseil privé. Vous avez toute cette structure byzantine étrange au-dessus de l’aspect public apparent de notre prétendue démocratie dans cette monarchie du Nord, qui est, encore une fois, très déroutante pour beaucoup de gens.

Nous allons approfondir un peu plus ce dont il s’agit. Quelle est cette anomalie et de quoi fait-elle partie au niveau international ? Comment a-t-elle vu le jour ?

J’ai donc préparé une série de diapositives. Il faut simplement retenir que le Canada fait, après tout, partie du Commonwealth, le Commonwealth britannique. C’est quelque chose qui a été créé à la fin des années 1930 afin de préparer, pour ainsi dire, la transformation de l’image extérieure de l’Empire britannique.

Aujourd’hui, il y a environ 54 pays dans le Commonwealth britannique, dont le centre est le Royaume-Uni. La reine d’Angleterre en est le chef. Cette entité occupe un territoire d’environ 12,2 millions de miles carrés, 2,4 milliards de personnes sont représentées sur ce territoire, soit 21 % de la superficie mondiale.

Et les gens célèbrent cette chose comme si c’était une institution démocratique. Et c’est quelque peu étrange. Quelle est cette chose ? En outre, si vous regardez beaucoup de ces territoires, une grande partie se trouve dans les Caraïbes, les zones d’Amérique latine ne sont pas vraiment concernées, mais une grande partie des Caraïbes l’est. Une grande partie de l’Afrique : il y a 19 nations africaines d’Afrique sub-saharienne. Il y a huit nations asiatiques, l’Inde étant la plus importante. Le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, évidemment, les Five Eyes moins les États-Unis.

Mais comparons cela à l’ancien Empire britannique. C’est une capture d’écran de la carte de 1920. C’est assez similaire, n’est-ce pas ?

Et les gens pensent : « L’empire britannique a tout bonnement disparu après la seconde guerre mondiale. Il a laissé ses territoires libres. Et maintenant l’Empire est le grand méchant empire américain. » C’est la mythologie qui nous a été transmise. Et c’est une mythologie. Comme Alex l’a expliqué, de manière très concise, le véritable pouvoir qui contrôle la cinquième colonne à l’intérieur des États-Unis, qui a toujours été là depuis 1776, a toujours été centralisé à Londres. Nous allons développer un peu plus ce point. Mais il n’a jamais disparu. Aucun empire de ce genre ne donne jamais volontairement la liberté. La liberté est quelque chose pour laquelle on se bat. En quelques mots, la question des intérêts miniers actuels, ce n’est pas quelque chose qui s’est produit dans les années 1880-1890 avec l’accaparement des terres en Afrique et la création par Cecil Rhodes de De Beers et Lonrho et d’autres intérêts miniers.

Il s’agit d’un rapport de 2016. C’est un rapport incroyable rédigé par une organisation à but non lucratif qui a réalisé des audits sur les intérêts britanniques. Ces intérêts qui contrôlent l’exploitation minière en Afrique, avec des sièges sociaux soit au Royaume-Uni, soit dans les territoires du Commonwealth, cotés à la Bourse de Londres. Et j’ai ajouté une petite citation ici, c’est un nouveau colonialisme britannique qui se bat pour les ressources énergétiques et minières africaines. Il est dit que : « 101 sociétés cotées à la Bourse de Londres — la plupart d’entre elles britanniques — possèdent des exploitations minières dans 37 pays d’Afrique subsaharienne. Ensemble, elles contrôlent plus de 1 000 milliards de dollars des ressources les plus précieuses de l’Afrique. Le gouvernement britannique a utilisé son pouvoir et son influence pour faire en sorte que les sociétés minières britanniques aient accès aux matières premières de l’Afrique. C’était le cas pendant la période coloniale, et c’est encore le cas aujourd’hui. » Ce rapport est disponible gratuitement en ligne au format PDF. Je ne vais pas entrer dans les détails. Il s’agit de plus de 70 % des intérêts miniers, qui comprennent également le raffinage des matériaux par des entreprises qui se trouvent dans les territoires sous contrôle britannique. Quelle est l’infrastructure qui permet cela ? Il y a quelque chose que beaucoup de gens ne savent pas. Il s’agit d’une organisation affiliée à la Fondation Bill & Melinda Gates ainsi qu’à la Banque mondiale, appelée Crown Agents [Agents de la Couronne]. Elle a été créée en 1833, selon son auto-description officielle, comme une émanation de la Couronne. Elle ne fait pas partie du gouvernement, mais son autorité provient de la source de tous les honneurs, la Couronne elle-même, c’est ainsi qu’est formée cette sorte de structure byzantine — de gouvernement fantôme. Il y a une sorte de hiérarchie de l’autorité. Elle ne vient pas du consentement des gouvernés. Elle vient du souverain singulier, la Couronne, qui que ce soit, en tant qu’institution héréditaire. Donc, cette organisation a été créée en 1833 en tant que filiale du Bureau des colonies britanniques pour gérer l’infrastructure matérielle, entre autres, des colonies internationales de l’Empire. Elle a changé plusieurs fois de nom au fil des ans et, en 1996, elle a été rebaptisée « Agents de la Couronne pour l’administration des gouvernements étrangers », et elle gère également l’infrastructure sanitaire, y compris les protocoles Covid de l’Europe de l’Est, en particulier de l’Ukraine. Elle gère de nombreux pays africains, le Sud-Soudan, la Birmanie. Et elle s’occupe de la gouvernance. Elle aide ces pays à adapter leurs mécanismes de gouvernance en fonction des normes de la Banque mondiale et du FMI. Elle est présente et fait cela depuis très longtemps, ce qui est très étrange. Et encore une fois, ils se nomment eux-mêmes agents de la Couronne ; ce n’est pas moi qui les calomnie ou les qualifie ainsi. Et cela existe, comme je l’ai dit, depuis très, très longtemps. C’est donc un aspect de cette chose en termes de maintien de l’Empire de l’ombre.

En ce qui concerne ce système géré par le Commonwealth et la City de Londres, les îles Caïmans et les banques offshore en sont le centre. Il existe un merveilleux documentaire que les gens peuvent regarder, intitulé The Spider’s Web : Britain’s Second Empire, qui est même disponible sur YouTube. Il aborde le sujet de manière plaisante, mais il montre clairement qu’à l’échelle internationale, 24 % des services financiers transitent par un grand nombre de paradis fiscaux des îles Caïmans, des Caraïbes et d’autres paradis fiscaux offshore contrôlés par les Britanniques.

Mais c’est aussi là que se trouve le centre mondial du blanchiment d’argent de la drogue et du financement du terrorisme. Les gens se disent : « La drogue, c’est juste un fléau naturel de notre société. Le terrorisme. C’est juste une chose naturelle qui est survenue. » Mais en réalité ce n’est pas le cas, c’est très artificiel. Ce n’est pas comme ça que la société humaine produit ces fléaux sociologiques. Ce sont des maladies créées qui sont de nature géopolitique, pas même de nature religieuse, qui sont cultivées depuis le sommet.

Il s’agit d’un rapport sénatorial de 2012 mené sur une longue période par le sénateur Carl Levin, récemment décédé, qui s’appelle « Vulnérabilités des États-Unis en matière de blanchiment d’argent, de drogue et de financement du terrorisme — l’affaire HSBC » dans le cadre duquel il a été révélé que HSBC était la première banque offshore au monde en matière de blanchiment d’argent. Comme Alex l’a souligné, la HSBC a été créée en 1865 afin de mettre en œuvre ou de gérer le commerce de l’opium, pour détruire la Chine — cela n’a jamais cessé. Ils ont été reconnus coupables. Ils se sont fait taper sur les doigts avec une amende de 1,9 milliards de dollars. Puis ils ont été autorisés à nommer leur propre commissaire aux comptes, qui a siégé pendant cinq ans. Et pour autant que je sache, ils continuent à faire ce qu’ils ont toujours fait. Ils possèdent également une énorme participation dans Air Canada. Toute personne qui prend un avion Air Canada verra des panneaux HSBC partout. Il s’agit d’un énorme élément d’infrastructure dans le cadre du triangle d’argent qui a été mis en place tout au long du 20e siècle. Vous avez la photo de la Reine à côté de Coutts. C’est la banque personnelle de la Reine, qui a également été reconnue coupable en 2012 de blanchiment d’argent de la drogue. Elle a payé sa petite amende de 10 millions de dollars, je crois, et la mauvaise publicité a fait que les comptes offshore responsables de la faillite qui effectuaient le blanchiment ont été vendus à la Banque Royale du Canada, qui effectue actuellement les mêmes opérations. Et c’est tout.

L’Afrique, en plus des 177 milliards de dollars de dettes qui la tiennent en otage, a environ 944 milliards de dollars de revenus provenant de l’extraction de richesses, qui se trouvent sur des comptes offshores britanniques. Il ne s’agit donc pas d’une nation débitrice, mais d’une nation créditrice en masse. C’est toute une histoire en soi.

La City de Londres, comme Alex l’a souligné, est une entité distincte. Même le gouvernement britannique ne peut pas vraiment faire grand-chose légalement pour l’arrêter. Ils ont leurs propres tribunaux, leur propre police. C’est une structure bizarre.

Et je voulais juste ajouter ceci. Et je n’ai même pas parlé de la guerre en Irak, des dossiers douteux créés par les services de renseignements britanniques qui ont permis de justifier les bombardements de l’Irak, de la Libye aussi — c’était plutôt des renseignements du MI6 — je n’ai pas parlé de ça. Je n’ai pas parlé des dossiers douteux sur les armes chimiques en Syrie, dont l’utilisation par Assad n’a jamais été prouvée, mais qui ont été utilisés pour justifier les sanctions et le changement de régime qu’ils tentent d’imposer depuis sept ans. Je n’ai pas parlé de cela. Mais tout ce que j’ai à dire, c’est que c’est omniprésent. La main britannique est partout, dès que vous creusez un peu. Même au niveau des dossiers douteux pour essayer de faire passer Poutine pour le grand ennemi qui contrôlerait Trump. Ces dossiers douteux nous ont été apportés par des gens comme Sir Richard Dearlove, l’homme qui à qui on doit l’affaire du Yellowcake [uranium] de la guerre en Irak. Cela a toujours été un mensonge et le rapport de la Commission Chilcot l’a prouvé. Et aussi, la question des boursiers Rhodes, des gens comme Strobe Talbott, qui est un boursier Rhodes, qui est arrivé avec Clinton et qui dirige Brookings depuis très longtemps. Il a également été derrière le Russiagate avec de nombreux autres boursiers Rhodes qui gèrent actuellement l’administration Biden, comme Jake Sullivan, Susan Rice, Eric Lander. Les Sciences sont des boursiers de Rhodes. Ils sont juste partout. Et je ne vais pas m’étendre là-dessus.

À présent, un peu de contexte historique. Je suis canadien. Donc, la question de Justin Trudeau, j’espère que c’est encore imprimé dans l’esprit des gens : qu’est-ce que c’est que ça ?

Donc, le Bureau du Conseil privé… contrairement à la Constitution ou à la Déclaration des États-Unis, le Canada a été fondé en 1867. La conférence originale avec nos Pères Fondateurs ne résultait pas d’une lutte pour la liberté, contrairement aux États-Unis, mais d’un rassemblement de loyalistes britanniques, des anti-républicains, qui étaient tous comme notre Père Fondateur, qui se trouve là dans le tableau. Johnny McDonald était un patriote de race aryenne, qui voulait un Canada aryen et qui disait : « Je suis né britannique et je mourrai britannique ». C’était une ordure immorale et répugnante. Et ce sont ces gens-là qui sont célébrés comme nos vaches sacrées que nous sommes censés honorer au Canada. Or, contrairement aux États-Unis — qui consacrent le droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur dans la Déclaration d’indépendance, ainsi que l’idée du principe du bien-être général, aujourd’hui et pour la postérité, dans la Constitution — le document fondateur canadien dit littéralement : « Attendu que les Provinces du Canada… », au nombre de quatre à l’époque « … ont exprimé leur désir d’être unies au niveau fédéral en un seul Dominion sous la Couronne du Royaume — Uni et de la Grande-Bretagne et de l’Irlande, avec une constitution similaire en principe à celle du Royaume-Uni. » — ce qui est en soi dans une certaine mesure une escroquerie puisque le Royaume-Uni n’a pas vraiment de constitution et qu’il s’agit donc d’une sorte de miroir de l’ombre. Et : « Considérant qu’une telle union contribuerait à la prospérité de ces provinces et favoriserait les intérêts de l’Empire britannique. » Donc notre fameux préambule est de promouvoir les intérêts de l’Empire britannique. C’est pour cela que nous avons été créés. Nous avons également été créés par cette conférence qui s’est tenue trois ans plus tôt, en 1864, alors que la guerre de Sécession touchait à sa fin, mais qu’elle était toujours en cours. Les Britanniques avaient consacré beaucoup de ressources à l’éclatement de l’Union, comme je l’ai expliqué dans des présentations précédentes. J’en ai également parlé dans mes livres Clash of the Two Americas et The Untold History of Canada.

Ce qui effrayait les Britanniques, comme je le démontre, c’est que le Canada comptait des hommes d’État pro -Lincoln à des postes de direction qui se battaient pour créer un pays indépendant à cette époque. Il y avait aussi des gens qui travaillaient à la création d’un Zollverein américain avec le Canada et les États-Unis réunis dans une union douanière basée sur le développement industriel, avec un type de politique, non pas comme l’Amérique d’aujourd’hui, mais une politique différente de l’orientation Lincoln-McKinley basée sur une véritable pensée à long terme où les êtres humains étaient considérés comme une créature que l’argent devait servir en investissant dans des infrastructures à grande échelle, dans la science et la technologie, mais aussi en travaillant à l’étranger avec l’Allemagne, qui faisait la même chose sous Otto von Bismarck, avec la Russie qui venait de vendre le territoire de l’Alaska aux États-Unis dans l’intention de construire un chemin de fer à travers le continent jusqu’en Eurasie. On considérait donc qu’il s’agissait d’un territoire vital qui devait rester sous le contrôle du ministère britannique des Affaires étrangères. Et cette Constitution a alors été rédigée. Les alliés de Lincoln ont été évincés du pouvoir et la Constitution a été gardée comme un rempart contre le danger d’une collaboration entre les États-Unis et la Russie. Sauf qu’un admirateur de Lincoln est devenu Premier ministre à un certain moment, Wilfrid Laurier, et il a organisé en 1911 la création d’une union douanière, et tous les projets de loi ont été adoptés et ils étaient enfin sur le point d’entrer en vigueur. Et malheureusement, il a été évincé lors d’un coup d’état orchestré par la Table ronde et certains francs-maçons orangistes qui ont la Reine et la Couronne, à la tête de ces différentes formations maçonniques libres. J’ai rédigé un article que j’ai publié sur le site de Canadian Patriot et qui reprend ces détails. A peine deux ans plus tard, Wilfrid Laurier écrit à son proche allié Oscar Douglas Skelton que : « Le Canada est maintenant gouverné par une junte siégeant à Londres, connue sous le nom de “Table ronde”, avec des ramifications à Toronto, à Winnipeg, à Victoria, les Tories (les conservateurs) et les Grits (les libéraux) recevant leurs idées de Londres et les imposant insidieusement à leurs partis respectifs. » C’était donc un aveu direct de l’homme lui-même. Il avait pour projet de faire du Canada, en l’espace d’une génération, une nation à l’image de Lincoln avec une population de 60 millions d’habitants, basée sur l’électrification et l’industrialisation à grande échelle — tout cela a été évincé, terminé, et la Table Ronde a repris le contrôle. Robert Borden, son remplaçant, était un membre de la Table Ronde qui a fini par contrôler la Chatham House du Canada dès sa création en tant que premier président. En 1918, la Table Ronde avait déjà initié une prise de contrôle du gouvernement britannique. Ils avaient évincé Herbert Asquith du gouvernement travailliste en 1916, non pas qu’il soit un type formidable, mais ils voulaient vraiment avoir un contrôle total sur les termes du Traité de Versailles et la fin de la Première Guerre mondiale. L’un des problèmes était qu’ils avaient besoin des États-Unis, ils avaient vraiment besoin de la puissance des États-Unis derrière eux et cela a toujours été l’objectif de la conception de Cecil Rhodes. Lord Lothian, qui était un membre éminent de la Table Ronde à l’époque et ambassadeur aux États-Unis, avait écrit — son autre nom était Philip Kerr, ils ont toujours des noms qui ressemblent aux méchants de Star Wars — il a écrit que le problème de la psyché américaine qui devait être traité était le suivant : « Il y a un concept fondamentalement différent en ce qui concerne la question entre la Grande-Bretagne et les États-Unis quant à la nécessité d’un contrôle civilisé sur des peuples politiquement arriérés… Les habitants de l’Afrique et de certaines parties de l’Asie se sont révélés incapables de se gouverner eux-mêmes… Pourtant, l’Amérique n’a non seulement aucune notion de cet aspect du problème, mais a été amenée à croire que le fait d’assumer ce type de responsabilité relève de…», je n’arrive pas à dire ce mot, « … d’un impérialisme inique. » Donc, c’est un problème, non ? Les Américains auraient ce problème qu’ils ne comprennent pas qu’il y a une responsabilité qui incombe à l’homme blanc, qu’ils doivent imposer parce qu’ils sont tout simplement scientifiquement meilleurs que les personnes à la peau plus foncée. Ils doivent imposer moralement et scientifiquement un contrôle anglo-américain sur les peuples arriérés et ils ne le comprennent pas. Et c’était un problème. Non pas qu’il n’y ait pas eu d’Américains qui l’aient compris — et cela fait à nouveau partie du problème de l’État profond américain que j’ai mentionné, qu’Alex a un peu évoqué, mais que s’est-il passé ?

Il y a donc eu plusieurs tentatives de nouveaux ordres mondiaux. Ce que nous voyons aujourd’hui n’est pas nouveau. J’y ai fait allusion dans des présentations précédentes, mais en 1919, vous avez eu la création de la Chatham House, vous avez eu la création de Versailles, la Société des Nations, le tout orchestré par Lord Milner qui, à cette époque, était une figure de proue contrôlant la politique étrangère britannique avec beaucoup d’autres membres de la Table Ronde. L’idée de la Société des Nations était de créer un pacte de sécurité collective, l’article 10, de se débarrasser de la souveraineté nationale sur l’économie et les affaires militaires et de créer effectivement un gouvernement mondial unique. Une partie de cela faisait également partie de la Fédération impériale, un peu comme l’Union européenne, c’est ce qu’ils voulaient pour, en résumé, pour le monde. Pourquoi cela a-t-il échoué ? Parce qu’il y a eu des gens au Canada, les libéraux avaient fait un retour aux années 1920 et ils ont résisté, les mouvements de l’État libre d’Irlande ont résisté, des gens comme Warren Harding, qui a été assassiné — je dis assassiné, je n’ai jamais vu de preuve du contraire, le président américain est mort après avoir mangé des huîtres empoisonnées. Mais le fait est que des nationalistes ont résisté et n’ont pas succombé à cette pression à l’époque. Donc, ça s’est essoufflé mais ils ont réessayé. En 1933, il y a eu la Conférence Internationale des Banquiers à Londres, centrée sur la Banque des Règlements Internationaux, la Banque d’Angleterre, et 66 nations y ont participé. L’idée était que la Grande Dépression serait résolue en transférant la souveraineté économique des États-nations vers une codification bancaire officiellement essentielle sous l’égide de la Banque d’Angleterre. Et la seule raison pour laquelle, après six mois, cela a échoué est que Franklin Roosevelt a retiré les délégations américaines de toute participation et que tout s’est écroulé. J’en ai parlé en détail dans le chapitre sept de mon livre Clash of the Two Americas. Puis il y a eu une autre tentative en 1944. Là encore, Roosevelt n’était pas encore décédé. John Maynard Keynes a été désigné cette fois-ci pour représenter l’Empire britannique à la conférence de Bretton Woods avec l’idée d’une monnaie mondiale unique gérée par la banque d’Angleterre appelée le « bancor », un taux de change international qui serait à nouveau effectivement une monnaie mondiale unique, en imaginant que les Américains, qui étaient sortis de la Seconde Guerre mondiale comme le seul pays intact, seraient le moteur ou les exécutants d’une reconquête anglo-américaine des nations du monde, dont beaucoup avaient combattu pendant la guerre et dont beaucoup avaient des idées d’indépendance et de liberté bien vivantes dans leur cœur. Ce n’était pas acceptable. J’ai une petite citation de Franklin Roosevelt, que j’aime beaucoup, dans laquelle il dit que « Ceux qui cherchent à établir des systèmes de gouvernement basés sur l’enrégimentement de tous les êtres humains par une poignée de dirigeants individuels appellent cela un nouvel ordre. Ce n’est pas nouveau et ce n’est pas un ordre. » C’était une citation très forte.

Donc, pour reprendre un peu là où Alex s’est arrêté, il y a un livre intitulé As He Saw It, écrit en 1946 par le fils de Roosevelt et son assistant, son assistant personnel, Elliot Roosevelt. Et il y retrace une grande partie des luttes entre Roosevelt et le gang de Churchill qui essayait toujours d’entraîner les États-Unis dans une confrérie de contrôle, à la Cecil Rhodes, à la Five Eyes, ce qui était déjà en train de se produire depuis la transformation de la Black Chamber en NSA en 1930, qui s’est intégrée de plus en plus dans le système britannique des Five Eyes, ce qui a toujours été la volonté de Cecil Rhodes. Mais dans ce livre… C’est un excellent livre. Les gens peuvent le trouver en ligne ; ils pourraient l’acheter ; ils devraient l’acheter. Il est sur archive.org. Je l’utilise beaucoup. Mais en 1944 après un conflit avec Churchill, à la conférence de Téhéran il me semble, je ne suis pas trop sûr de quelle conférence, mais il s’adresse à Elliot en disant : « Tu sais, à de nombreuses reprises, les hommes du Département d’État ont essayé de me cacher des messages, de les retarder, de les retenir d’une manière ou d’une autre, juste parce que certains de ces diplomates de carrière ne sont pas en accord avec ce qu’ils savent, je pense. Ils devraient travailler pour Winston. En fait, la plupart du temps, ils travaillent [pour Churchill]. Quand on y pense, un certain nombre d’entre eux sont convaincus que la façon dont l’Amérique doit mener sa politique étrangère est de découvrir ce que font les Britanniques et de le copier ! On m’a dit… il y a six ans, de nettoyer le Département d’État. C’est comme le bureau des affaires étrangères britannique. » Ainsi, le Bureau des services stratégiques, l’OSS [Office of Strategic Services] n’avait pas été nettoyé et l’OSS avait beaucoup de problèmes, mais il y avait encore beaucoup de patriotes et de nationalistes intégrés dans les services de renseignement américains au sein de l’OSS qui posaient problème à ceux qui essayaient de prendre le contrôle, qui occupaient déjà la plupart du Département d’État à cette époque.

Dans le livre d’Elliott, il y a une autre conflit fascinant entre lui et Churchill qui a été mise en évidence sur ce que serait l’après- guerre, quel type de principes de fonctionnement la gouvernerait, où la vision de Roosevelt pour le verdissement des déserts africains, l’extension de la Tennessee Valley Authority, les projets d’électrification rurale qui sortiraient les gens de la pauvreté et de la marginalisation aux États-Unis, qui seraient étendus grâce à des prêts à grande échelle au niveau international pour aider d’autres pays à avoir leurs propres programmes industriels, leurs propres autorités de la Tennessee Valley, et pour étendre véritablement le principe des quatre libertés au monde entier, à savoir que nous ne sommes pas censés nous contenter de belles paroles, mais que nous devons être réellement actifs. C’est pourquoi Bretton Woods, l’équipe keynésienne, a perdu. Et Harry Dexter White, qui est devenu le premier directeur du FMI — lui aussi mort dans des circonstances mystérieuses — la délégation américaine sous sa direction avait gagné et s’était assurée que même la Chine, l’Inde, l’Afrique, l’Amérique du Sud, la Russie participeraient toutes à la réception des projets de la Tennessee Valley Authority, tous approuvés par la délégation américaine. La délégation britannique s’est opposée à tous ces projets. Et même à cette époque, alors que Roosevelt avait pour socle une alliance Russie-Chine-États-Unis, la Russie a souscrit à hauteur d’un milliard de dollars au FMI à l’origine, avant que le rideau de fer ne l’oblige à en sortir. Tout cela pour dire que je radote, mais dans ce petit extrait que j’ai sélectionné, il décrit la soirée, en parlant avec Elliot après s’être confronté à Churchill, en disant : « Je parle d’une autre guerre. Je parle de ce qui arrivera à notre monde si, après cette guerre, nous permettons à des millions de gens de retomber dans le même semi-esclavage ! Ne pense pas un instant, Elliott, que les Américains seraient en train de mourir dans le Pacifique ce soir, s’il n’y avait pas eu la cupidité à courte vue des Français, des Britanniques et des Hollandais. Devrions-nous les laisser faire, encore une fois ? Ton fils aura à peu près le bon âge, dans quinze ou vingt ans. Une phrase, Elliot. Ensuite, je te flanquerai dehors. Je suis fatigué. C’est cette phrase : Quand nous aurons gagné la guerre, je ferai tout mon possible pour que les États-Unis ne soient pas forcés d’accepter un plan qui servira les ambitions impérialistes de la France, ou qui aidera ou soutiendra l’Empire britannique dans ses ambitions impériales. »

Puis, c’est le moment où se produit la tragédie. Wallace, c’est une longue histoire, mais Wallace est remplacé par Harry Truman, qui est une sorte de prototype de George Bush, le jeune anglophile des banquiers. Et il est nommé nouveau vice-président. Donc, Wallace était le Vice-président qui était complètement en phase avec la vision de Roosevelt. Roosevelt meurt le 12 avril ; aucune autopsie n’est jamais réalisée. Et immédiatement au cours du mois, des bombes nucléaires sont larguées sur un Japon vaincu par Truman. Le 20 septembre, l’OSS, l’agence de renseignement américaine, est dissoute. Et une purge, une purge massive commence. Si quelqu’un qui avait connaissance des financiers de Wall Street et de Londres à l’origine de la montée du fascisme et de l’eugénisme, il y a eu de nombreux rapports à ce sujet, ils ont tous été bannis dans l’année qui a suivi. Et à ce moment-là, le discours sur le rideau de fer est lancé et les gens se disent : « Ce sont les Américains qui ont créé le rideau de fer, qui a fait de la Russie et de la Chine leurs ennemis ». Non. C’est Winston Churchill qui est venu aux États-Unis, a séjourné à la Maison Blanche pendant une période prolongée, et a prononcé son discours où il a déclaré : « Ni la prévention de la guerre sur le rivage, ni l’essor continu de l’organisation mondiale ne seront gagnés sans ce que j’ai appelé l’Association fraternelle des peuples de langue anglaise. Cela signifie une relation spéciale entre le Commonwealth et l’Empire britannique et les États-Unis. » Henry Wallace, juste avant d’être limogé, était secrétaire au commerce et se battait contre cette folie qui lavait le cerveau des Américains pour en faire des foules paranoïaques, effrayées par l’infiltration et la conspiration. Tout le maccarthysme était une véritable atrocité dirigée par le FBI comme une dictature, ce qui était le cas, les États-Unis étaient devenus une dictature sous le FBI, dit : « Le fascisme [prévient-il] dans l’après-guerre poussera inévitablement à l’impérialisme anglo- saxon et finalement à la guerre avec la Russie. Déjà, les fascistes américains discutent et écrivent sur ce conflit et l’utilisent comme excuse pour leurs haines internes et leurs intolérances envers certaines races, croyances et classes. »

Évidemment, il y a un retour de bâton raciste total, encore une fois, sous l’égide de J. Edgar Hoover — un autre franc-maçon du 33e degré qui a dirigé le FBI pendant sept présidences américaines — qui soutenait la montée du racisme, le démantèlement des libertés civiles pour les Afro -Américains entre autres, mais aussi la coordination avec la CIA qui est bientôt reconstituée pour créer un nouveau système de gestion beaucoup plus conforme à la politique étrangère britannique. Des activités comme MK Ultra qui, à l’origine, utilisait une science élaborée par Tavistock, la branche des services secrets britanniques chargée de la guerre psychologique, l’infiltration Cointelpro qui reflétait aussi l’opération Gladio en Europe. Toutes ces choses ont été déployées et justifiées par les termes et conditions de l’ère de la « destruction mutuelle assurée ».

Donc, ça continue. Wallace est renvoyé après avoir prononcé son discours. La doctrine Truman est annoncée, une fois de plus. Qui est le principal organisateur de la Doctrine Truman ? L’un des principaux est George McGee, un boursier de Rhodes. La CIA centrale est créée en septembre 1918. C’est alors une sorte de nouvelle agence de renseignement reconstituée et nettoyée. Harry Dexter White meurt. Le FMI est détourné, car lui faisait partie de l’équipe de Roosevelt qui, à ce moment-là en 1948, se battait pour faire élire Wallace sous la direction du Parti progressiste aux élections de 48. Vous trouverez de nombreux grands patriotes des États-Unis qui sont morts ou ont vu leur carrière anéantie au sein de ce réseau. Et puis, il y a ce fameux mémorandum du Conseil de sécurité nationale (NSC) de juillet 1950 pour « sauver l’Empire britannique ». Je ne plaisante pas. Il s’agit littéralement d’un protocole émis en vertu de la logique selon laquelle si les Britanniques affaiblissent leurs intérêts économiques impériaux, alors les Soviétiques prendront et rempliront cet espace. Donc, l’intérêt de la politique étrangère américaine doit être de préserver les intérêts britanniques à l’étranger. Et c’est là que le FMI et la Banque mondiale ont été de plus en plus remaniés pour utiliser le colonialisme économique partout où cela était nécessaire. Si vous ne pouvez pas empêcher l’indépendance politique d’une nation, sabotez au moins son indépendance économique.

Une figure intéressante est celle de Clément Atlee, Premier ministre de l’après-Seconde Guerre mondiale, qui affirme avec force :

« Nous avons vu à maintes reprises qu’il existe un autre pouvoir que celui qui a son siège à Westminster. La City de Londres, un terme commode pour désigner un ensemble d’intérêts financiers, est en mesure de s’opposer au gouvernement du pays. Ceux qui contrôlent l’argent peuvent mener une politique intérieure et extérieure contraire à celle décidée par le peuple »

Encore une fois, vous avez même des Britanniques… donc ce n’est pas le gouvernement britannique, le peuple britannique est également victime, ainsi que de nombreuses personnalités au sein du gouvernement britannique, de ce pouvoir au-dessus des branches officielles visibles du gouvernement.

Tout au long de la guerre froide, et encore une fois, si vous ne pouvez pas comprendre l’architecture de la guerre froide, la question de la destruction mutuelle, de la guerre asymétrique, de la doctrine de la théorie des jeux, de l’application de l’analyse des systèmes pour gérer les renversements géopolitiques de gouvernements, des choses comme la guerre du Vietnam… Si vous ne prenez pas en compte des gens comme Dean Rusk, boursier de Rhodes, Walt Whitman Rostow, qui a dirigé la NSA pendant trois ans, qui était un boursier Rhodes de Balliol, Escott Reid, qui a été l’architecte de l’OTAN pour priver la Russie de toute influence sur les affaires militaires au Conseil de sécurité. L’OTAN, c’était Escott Reid, boursier de Rhodes, William Fulbright, boursier de Rhodes. Il y a tellement de choses qui se chevauchent. Donc, encore une fois, vous ne pouvez pas vraiment comprendre quelle est cette chose que JFK repoussait et essayait de combattre… Quelle était la chose contre laquelle Eisenhower mettait en garde dans son discours sur le complexe militaro-industriel ? Vous ne pouvez pas comprendre cela si vous ne regardez pas ces idéologues qui ont été infiltrés pendant des décennies. Il y en a eu 3 000 jusqu’ici au 20ème siècle qui ont été formés dans les couloirs d’Oxford. Non pas qu’ils soient tous mauvais. Je pense que Kristoffer Kristofferson est un acteur correct et peut-être que ses choix de films ne sont pas si bons parfois, mais je ne pense pas qu’il soit une mauvaise personne. Bien qu’il soit un boursier de Rhodes. Vous constaterez donc que vous ne pouvez pas être coupable par association, mais que vous ne pouvez rien comprendre si vous ne comprenez pas cette ruche très contrôlée et centralisée. Cela se coordonne également avec le mouvement de la Table Ronde américaine, qui est le Council on Foreign Relations [Conseil des relations étrangères]. Ce que Hillary Clinton a appelé « le vaisseau-mère » dans un discours de 2011, c’est le cas depuis 1921, la table ronde britannique en Amérique. Et même des gens que vous considérez comme des grands concepteurs géopolitiques américains comme Kissinger, Zbigniew Brzezinski, Samuel P. Huntington, le Choc des civilisations… un Canadien, Pierre Trudeau, qui a instauré sa propre loi martiale en 1970 et a vraiment réorganisé l’ensemble du gouvernement en un système cybernétique technocratique. Ils ont tous été formés par William Yandell Elliott à Harvard, qui dirigeait une structure que certains ont appelé la Chatham House de Harvard. William Yandell Elliott faisait partie de ces gens qui aimaient avoir de jeunes garçons sociopathes talentueux autour de lui, et il a formé des générations de ces géopoliticiens qui sont préparés. C’est comme une recherche de talents, comme Rhodes le décrit, c’est exactement ce qu’ils ont fait, et ensuite ils ont été placés à des postes d’autorité idéologique pour mener à bien une politique dont ils n’étaient pas à l’origine en soi, mais ils ont été mis en position de la réaliser.

Il y a eu des objections, et je souhaite juste rappeler les voix dissidentes, car ce n’est pas comme s’il s’agissait de créatures divines, n’est-ce pas ? Il y avait de vrais êtres humains, de vrais hommes d’État, surtout dans les années 1960. Vous avez Enrico Mattei, l’industriel italien. Vous avez Dag Hammarskjöld, le secrétaire général de l’ONU, qui avait un grand programme pour mettre fin à l’impérialisme et promouvoir le développement industriel dans divers pays, notamment en Afrique du Sud. Charles de Gaulle avait évité 30 tentatives d’assassinat. John F. Kennedy, évidemment. Patrice Lumumba. Je n’ai pas cité ici tous ceux qui ont été assassinés ou renversés par des coups d’État dirigés par la CIA et le MI6. Mais tout cela pour dire que c’était une période de potentiel majeur où le thème commun était la coopération et la rupture avec les méthodes mathématiques de gouvernance, l’introduction de nouvelles technologies, de nouvelles découvertes qui n’étaient pas monopolisées, et le faire en recherchant une coopération gagnant-gagnant, des points d’intérêt commun. C’est pourquoi JFK a offert aux Russes la possibilité de travailler avec les États-Unis sur un programme spatial commun. Cela permettrait de rompre avec ce mode de gouvernance basé sur l’équilibre mathématique de la terreur et de nous en libérer.

Je termine là-dessus, je pense qu’il me reste encore trois ou quatre minutes.

Donc, après l’ère des assassinats, dans les années 60, encore une fois très parallèle à ce qui s’est passé après les années 1890 jusqu’à la Première Guerre mondiale, l’ère des assassinats totaux et des coups d’État révolutionnaires colorés, la scène était désormais prête pour une recolonisation économique complète des États-Unis, en particulier. L’objectif a toujours été de reprendre le contrôle des États-Unis. Plusieurs choses se produisent. Et Kissinger est un personnage clé dans la plupart de ces événements. Vous avez la création en janvier 1971 du Groupe Inter-Alpha, créé selon le plan de Lord Jacob Rothschild, qui dirigeait N M Rothschild & Sons, mais qui a également constitué un intérêt financier bancaire majeur en tant que membre d’une dynastie de mercenaires depuis les années 1700. Ainsi, le Groupe Inter-Alpha des banques était une coterie, il y a une photo ici, des banques membres avec les principales banques mises en place dans chacun des pays européens ciblés pour promouvoir une nouvelle doctrine de déréglementation, de centralisation du pouvoir à l’écart des États-nations, en particulier en Europe, et son transfert vers la coterie supranationale privée des intérêts corporatifs et financiers au-dessus des autorités nationales. Je n’ai pas le temps d’entrer dans les détails, mais c’est en 1971 que ce groupe a été fondé. Il a depuis évolué en nombre depuis ses six fondateurs initiaux. Beaucoup de ces banques étaient toutes liées à des activités financières soutenant la montée du fascisme, que ce soit Franco, Mussolini ou Hitler, et plus récemment, à du blanchiment. Puis, le même mois, le Forum économique mondial est fondé par l’un des prodiges de Kissinger, que nous connaissons et méprisons tous, Klaus Schwab. En outre, l’un des cofondateurs était Maurice Strong — un oligarque canadien qui a été recruté par les Rockefeller et a été cofondateur du Club de Rome canadien, acteur majeur avec le Prince Philip, qui est celui qui souhaitait être réincarné en virus mortel — qui a dirigé le Forum économique mondial. Dans ma présentation du 26 février, nous entrerons en détail dans ce sujet [ ]. Donc, Maurice Strong, une autre figure qui est un cofondateur et un inspirateur de Klaus Schwab.

Puis vous avez la grande affaire du 15 août 1971, lorsque le dollar américain est devenu flottant. Kissinger et Schultz, à la tête de l’administration Nixon, orchestrent le retrait du dollar de la réserve d’or, le système d’échange d’or ou le système de taux de change fixe, qui empêchait la spéculation sur les devises et les matières premières. Tant qu’il n’y avait pas de spéculation, il était difficile de mener le genre de guerre économique contre les nations qui essayaient de développer leurs infrastructures et leur base industrielle, ce qui a toujours été, même en remontant au 19ème siècle, un outil utilisé par l’Empire pour maintenir les nations déstabilisées, cette guerre économique. Donc, le taux de change fixe devait disparaître. Il garantissait trop de stabilité. Vous pouviez penser à des projets à long terme, sur 5 ou 20 ans, lorsque vous aviez une stabilité relative des monnaies. Et cela s’est répercuté sur les marchés flottants. Ainsi, tout d’un coup, les marchés sont devenus le facteur déterminant de la valeur du dollar, qui est devenu de plus en plus lié, toujours sous l’impulsion de Kissinger, au prix du pétrole sur les marchés au comptant. Donc, tout d’un coup, un certain chaos a été créé. Vous ne pouviez plus vraiment construire, maintenir ou améliorer votre infrastructure, c’est cette partie de votre économie à forte intensité de capital que vous devriez toujours avoir comme base de votre valeur économique dans le système, qui s’est atrophiée. Et de plus en plus, l’ère de la dérégulation et de la spéculation s’est ancrée. J’ai mentionné ici, pour faire bonne mesure, la Commission Trilatérale, fondée en 1973 par Brzezinski, Kissinger et David Rockefeller. Là encore, l’influence du Council on Foreign Relations, qui est à nouveau le mouvement de la Table ronde, est toujours là, de même que le groupe Bilderberg, qui est toujours là. Beaucoup de ces figures se recoupent avec cette autre entité dont je parlerai plus en détail le 26 février. Donc, voici ce qui prend le dessus sous Carter, la Commission Trilatérale. Presque tous les membres du cabinet de Carter sont membres de la Commission Trilatérale. Des gens comme Paul Volcker, qui devient le président de la Fed, appelle à une désintégration contrôlée de l’économie américaine en 1979, c’est-à-dire que les taux d’intérêt sont portés à 20 % ou plus pendant deux ans, détruisant les petites et moyennes entreprises et ne laissant que ces mastodontes de multinationales capables de survivre et de prospérer et de se faire engloutir par des fusions et acquisitions.

Henry Kissinger prononce, à ce moment-là, un discours à la Chatham House au Royaume-Uni, décrivant la différence entre les points de vue de Churchill et de Roosevelt sur l’après-guerre et décrivant, et les gens peuvent le lire, le discours complet est en annexe de mon deuxième volume. Il décrit comment il préférait la manière de concevoir la géopolitique de Churchill à celle de Roosevelt, qu’il considérait comme obsolète et incompatible avec la réalité. Mais il y décrit aussi l’époque où il était secrétaire d’État sous Nixon, où il dit : « Les Britanniques ont été en réalité tellement utiles qu’ils sont devenus un participant des délibérations internes américaines, à un degré probablement jamais pratiqué entre nations souveraines… », « Au cours de mes fonctions à la Maison Blanche, je tenais alors le bureau des affaires étrangères britannique mieux informé et plus étroitement engagé que le département d’État américain… C’était symptomatique. » Un aveu total. Ils ne cachent même pas ça en disant « non, ce n’est pas exactement ça ». Non, ils l’admettent tout simplement. Ils supposent juste que nous sommes trop bêtes pour mettre en relation les mots et les actions. Lord Jacob Rothschild en 1983 a prononcé un discours disant que : « Deux grands types d’institutions géantes, la société de services financiers mondiale et la banque commerciale internationale avec une compétence commerciale mondiale, peuvent converger pour former le conglomérat financier ultime, tout-puissant et à plusieurs têtes. » Il fait référence à l’effondrement de la division des activités bancaires : commerce, investissement, fiducie, assurance. Toutes ces activités avaient auparavant, sous Roosevelt, été conçues dans des compartiments séparés afin que vous ne puissiez pas spéculer avec l’épargne des gens. Vous ne pouviez pas le faire légalement. Il parlait de supprimer ces compartiments afin de pouvoir créer un nouveau type de banque universelle qui fait tout, ce que nous pourrions appeler aujourd’hui « too big to fail » [trop gros pour faire faillite]. C’est ce qui a été fait à l’origine en Grande-Bretagne sous le Big Bang de Margaret Thatcher, où la première vague de banque universelle a été créée à Londres, ce qui lui a permis de reprendre encore plus de contrôle qu’auparavant. On assiste à l’effondrement quasi total d’une bulle spéculative qui entraîne l’effondrement de 25 % de la bourse de New York. Pour éviter l’effondrement, Alan Greenspan est appelé à la rescousse et normalise immédiatement les instruments financiers créatifs, autrement appelés dérivés, qui étaient auparavant illégaux pour la plupart. Ces instruments étaient connus sous le nom de « junk bonds », des dettes titrisées qui n’avaient aucune valeur mais qui étaient tout de même titrisées, puis investies dans des assurances qui étaient également titrisées afin que les gens puissent… — c’est complexe, mais c’est fou. Ce n’est pas une façon de créer de la valeur. Et c’est devenu une sorte de tumeur cancéreuse qui s’est développée dans l’économie au point qu’en 1992, lorsque le traité de Maastricht a été signé — créant l’Union européenne comme une nouvelle consolidation pour se débarrasser des États-nations et du droit des nations à émettre leur propre crédit et à le contrôler en Europe – il y avait environ 2 000 milliards de dollars de produits dérivés. La même année, l’Union soviétique s’est dissoute. On célèbre la fin de l’histoire. George Bush dit en 1990 à l’ouverture de la guerre du Koweït que : « Nous avons devant nous l’opportunité de forger pour nous-mêmes et pour les générations futures un nouvel ordre mondial — lorsque nous réussirons — et nous réussirons — nous avons une véritable opportunité avec ce nouvel ordre mondial. » C’est donc à ce moment-là que Margaret Thatcher se vante d’avoir durci la position de Bush, qui hésitait sur la question de l’opération « Tempête du désert ». Mais encore une fois, l’idée était toujours la fin du système de l’État-nation. Finalement, à la fin de la guerre froide, c’est une ère unipolaire de ce qu’on pourrait appeler aujourd’hui l’ordre mondial néolibéral. L’Union soviétique est totalement privatisée, détruite, ciblée pour une destruction supervisée par Strobe Talbott, qui est l’homme de pointe sur le terrain, boursier de Rhodes, travaillant étroitement avec le FMI. L’ALENA est signé afin de se débarrasser à nouveau des pouvoirs des États-nations en Amérique du Nord et de faire passer les pouvoirs dans les mains des sociétés privées avant les nations. L’Organisation mondiale du commerce et ensuite le Glass Steagall : la séparation entre le commerce bancaire américain et la spéculation est brisée par Clinton, boursier de Rhodes, lors de son dernier mandat.

À partir de ce moment-là, on assiste à l’apparition du plus grand cancer des produits dérivés, qui passe de 2 000 milliards en 1992 à 70 000 milliards en 1999, ce qui correspond au PIB mondial des États-Unis. Au point que seulement dix ans plus tard, on assiste à la déréglementation complète des produits dérivés négociés de gré à gré, car le Glass Steagall a disparu, trop gros pour faire faillite, pour devenir plus grand que Dieu, ou c’est ce qu’ils veulent nous faire croire, alors nous devons les renflouer. En cas de faillite, c’est comme un pistolet sur la tempe. Et en 2007, lorsque survient effondrement suivant, 708 000 milliards de dollars de produits dérivés pèsent sur le système, dépassant de loin les 15 000 milliards de dollars du PIB américain.

Strobe Talbott en 1992 a déclaré dans son manifeste : « Tous les pays sont fondamentalement des arrangements sociaux… Peu importe à quel point ils peuvent sembler permanents ou même sacrés à un moment donné, en réalité, ils sont tous artificiels et temporaires… Peut-être que la souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout… Mais il a fallu les événements de notre propre siècle, merveilleux et terrible, pour plaider en faveur d’un gouvernement mondial. » C’est tiré de Birth of a Global Nation.

Deux dernières diapositives et je termine.

Pour être clair, la prise de contrôle des services financiers et l’effondrement de l’économie réelle : la partie réelle qui a de la valeur, qui maintient la vie est désormais la tendance. Vous avez le croisement de ce que vous avez ici, la location immobilière, le crédit-bail, la spéculation financière qui se chevauchent en 1987 avec la base manufacturière physique. Ce n’est qu’un des nombreux graphiques mis en avant. Une économie réelle ne fonctionne que si le côté financier est toujours au service de l’amélioration du côté réel : fabrication, infrastructure, science. Si le côté financier n’assure pas ce service, c’est du faux, c’est une bulle et la bulle éclatera. Et c’est pourquoi la bulle qui a été créée aujourd’hui, et qui éclate, était une désintégration planifiée, qui a toujours été prévue, depuis 1971.

La question est de savoir quand aura lieu la rupture ? La rupture a eu lieu. La question est de savoir pourquoi la Chine et la Russie sont encerclées par l’armée américaine et britannique. Pourquoi y a-t-il toutes ces opérations psychologiques ? Pourquoi y a-t-il tant de types différents d’opérations liées à la CIA pour détruire et déstabiliser l’Eurasie en ce moment ? J’en ai parlé dans ma dernière présentation, et c’est bien documenté. Que se passe-t-il ? De quoi ont-ils peur ?

Je vais terminer par cette dernière citation de Poutine. Les gens peuvent ressentir un sentiment de rage lorsqu’ils voient le visage de Poutine parce qu’ils ont été nourris de beaucoup de propagande dans les médias, ça m’est égal. Mais dans un récent discours, Poutine a déclaré :

« Seuls les États souverains peuvent répondre efficacement aux défis de l’époque et aux demandes des citoyens. Par conséquent, tout ordre international efficace devrait prendre en compte les intérêts et les capacités de l’État et procéder sur cette base, et non essayer de prouver qu’ils ne devraient pas exister. En outre, il est impossible d’imposer quoi que ce soit à quiconque, qu’il s’agisse des principes qui sous-tendent la structure sociopolitique ou des valeurs que quelqu’un, pour des raisons qui lui sont propres, a qualifiées d’universelles. Après tout, il est clair que lorsqu’une véritable crise survient, il ne reste qu’une seule valeur universelle, à savoir la vie humaine, que chaque État décide lui-même de protéger au mieux en fonction de ses capacités, de sa culture et de ses traditions. »

J’ai dépassé mon temps de parole. Je suis vraiment désolé, mais je tenais à présenter quelques enseignements clés de l’histoire mondiale. Et s’il y a des questions, s’il y a du temps pour cela, je serais heureux de répondre.

1:36:12 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. Permettez-moi de vérifier que je vous ai bien compris. Le point principal est que l’Empire britannique n’a jamais cessé d’exister. Il est toujours là. Le colonialisme existe toujours, sauf qu’il existe sous un autre nom. Il n’a jamais cessé d’essayer de tirer les États-Unis en arrière, mais pour une raison qui nous échappe, il n’a pas vraiment réussi. Est-ce le résultat de tout cela, est-ce ce que nous voyons avec l’idée de l’État profond ? Est-ce que l’État profond est cette partie du pays qui essaie en résumé de réintroduire les États-Unis dans le système anglo-américain et dans la City de Londres ?

1:37:11 Matthew Ehret :

Je n’ai aucun problème avec ce que vous venez de dire. Oui, je n’ai aucun problème avec ça.

1:37:18 Reiner Fuellmich :

Pour autant que je sache, d’après ce que vous nous dites, cela n’a pas échoué au Canada. Leur tentative de garder le Canada sous contrôle a été très réussie. Je veux dire, rien qu’en écoutant comment Justin Trudeau a prêté son serment, il a juré allégeance à la Couronne britannique, à la Reine d’Angleterre. Cela ne dérange-t-il pas les Canadiens ?

1:37:49 Matthew Ehret :

Pour ceux qui le savent, c’est un changement de paradigme, mais il y a une grande dissonance cognitive qui a été mise en place par des années et des générations de conditionnement. Voici ce qu’il en est. Dans un des chapitres que je traite, la création d’un nationalisme synthétique au Canada a été organisée par nul autre que Lord Milner lui-même, qui a dirigé le Rhodes Trust en 1909 et est venu au Canada avec McIntyre, qui est le fondateur de la géopolitique dans sa forme moderne, mais à l’époque il était le directeur de la London School of Economics de la Fabian Society. Il a démissionné de son poste de directeur de la London School, suite à une offre faite par Lord Milner, qui fait partie de la Table Ronde, ce qui passe donc par Oxford. Donc, vous avez la LSC et ensuite Oxford. Il a donc démissionné de son poste pour venir au Canada avec Milner afin de formuler une grande stratégie visant à déterminer comment maintenir le Canada comme un rempart entre la Russie et les États-Unis et aussi avec l’Allemagne, car à l’époque, l’Allemagne n’était pas du tout un État fasciste. Il y avait encore beaucoup d’impulsions anticoloniales et antifascistes à des postes de pouvoir très élevés, autour de la Société Friedrich List et d’autres. Donc, il y a justement une citation où Milner a dit : « Parmi les trois plus grands dangers pour l’Empire britannique, ce que l’on préfère est une plus grande cohésion ». Donc, les trois principaux scénarios pour l’avenir du Canada sont : le premier, une plus grande cohésion et une intégration à la Fédération britannique. Cela ne va probablement pas se produire. Vous avez toujours Wilfrid Laurier, un admirateur de Lincoln, et d’autres, vous vous souvenez ? Donc, ça n’arrivera pas. Il a dit : le plus grand danger est une plus grande coopération avec les États-Unis, des États de 1909, c’est la plus grande menace pour l’Empire britannique. Le juste milieu est la croissance d’un nationalisme canadien. Et il rajoute : « Les Canadiens sont si merveilleusement ignorants des forces plus vastes de l’histoire, et ils se sentent supérieurs aux Américains dans presque tous les domaines. C’est facétieux et c’est fantastique. » Ce sont ses mots : « C’est juste fantastique à quel point ils sont ignorants ». « Et nous devrions suivre cette perspective et leur créer véritablement un nouveau nationalisme. » Et c’est exactement ce qui est devenu toute la tendance du 20ème siècle, aboutissant à la création artificielle du drapeau canadien avec une feuille d’érable qui ne veut rien dire. Contrairement aux autres pays qui ont des drapeaux qui signifient quelque chose, c’est littéralement juste une feuille d’érable. C’est ce qu’elle signifie. Et des gens comme Vincent Massey, qui était son prodige, est devenu notre premier gouverneur général canadien, qui a dirigé et géré une grande partie de tout cela. C’étaient tous des eugénistes. Ils ont également créé la Canadian Fabian Society, qui est toute une histoire dirigée par cinq boursiers de Rhodes en 1931.

Mais oui, au Canada, il y a une grande dissonance cognitive et beaucoup de mythes qui ont été créés et qui sont des vaches sacrées auxquelles nos esprits ont peur de se frotter. Mais maintenant que nous voyons le système démontrer sa véritable nature tyrannique, qu’il a toujours eue, mais comme nous n’y résistions pas, nous ne la ressentions pas. Mais à présent, dès que vous demandez quelque chose d’humain comme la liberté, vous voyez le masque tomber. Désormais, je pense que les gens sont beaucoup plus réceptifs à l’idée de se demander « Mais qu’est-ce qui se passe vraiment ? Qu’est-ce que cette chose appelée Canada ? » Et je pense que dans l’ensemble, les leçons des grands patriotes qui ont été évincés dans l’histoire du Canada… par exemple, nous avons eu notre dernier gouvernement national en 1963 qui a été renversé par un coup d’État dirigé par un boursier de Rhodes. En 1963, c’était notre dernier gouvernement national.

Il y a donc une soif de comprendre et je pense que plus les gens voient et réfléchissent à ce que Justin Trudeau a dit en 2017 et qu’ils observent ce qui s’est passé, plus ils arrivent à relier les choses entre elles. Ce qui est très important, c’est de se demander ce que devrait être une véritable nation souveraine. Nous savons ce qu’elle n’est pas maintenant, mais que devrait-elle faire ? Parce que nous avons de sérieux objectifs en matière de prix, la répartition de la production alimentaire, des chaînes d’approvisionnement et des infrastructures. Comment gérer cela de manière cohérente pour s’assurer que nos enfants, non seulement ne deviennent pas des esclaves dans ce système dystopique, mais qu’ils aient une vie dans laquelle ils puissent s’épanouir, où nous puissions investir dans une banque nationale qui serve les intérêts du peuple, avec d’autres nations qui s’organisent de manière commune. C’est toute une discussion qui doit vraiment avoir lieu. Et je pense que les manifestations actuelles à Ottawa sont une bonne étincelle. Il y a une aspiration à présent, comme je n’en ai jamais vu, pour ces grandes idées.

1:42:12 Reiner Fuellmich :

C’est le nationalisme canadien,…. nationalisme s’affirmant plutôt contre la couronne britannique, en substance, non ?

Matthew Ehret :

En substance. C’est basé sur un principe qui n’est pas artificiel. C’est vraiment basé sur le droit de nourrir nos familles, de travailler, d’avoir une vie. Les choses absolument fonda-mentales.

1:42:33 Reiner Fuellmich :

Une dernière question. Le pouvoir de la City de Londres combiné à la cinquième colonne de Wall Street, est-ce bien le cas ? Ai-je bien compris ? Que tout cet argent, tout ce pou-voir, était en mesure de déclencher deux guerres mondiales ? La première et la deuxième guerre mondiale, avec ces mastodontes financiers finançant les deux camps ?

1:43:04 Matthew Ehret :

Oh, oui. Absolument. J’ai l’impression d’avoir utilisé beaucoup de temps. Mais oui.

1:43:11 Reiner Fuellmich :

Ok. Je voulais juste m’assurer que je ne vous avais pas mal compris. Et enfin, les deux guerres mondiales, quiconque peut commencer deux guerres mondiales, n’a probable-ment aucun problème, parce que je l’ai noté quand vous l’avez dit, pour créer des mala-dies comme le terrorisme et le commerce de la drogue. Donc, en substance, cela a aussi eté créé, ou a été mise en place par ces mastodontes financiers que sont la City de Londres et Wall Street.

1:43:44 Matthew Ehret :

Oui, et je voudrais juste ajouter une petite chose à ce sujet, c’est que les Britanniques, et j’ai réalisé une interview avec Alex Craner basée sur une merveilleuse trilogie qu’il a écrite sur le projet britannique initial du Nouvel Ordre Mondial sous la direction de personnes comme Lord Halifax, les conciliateurs de la Grande-Bretagne qui étaient des gens comme Neville Chamberlain, qui faisaient partie d’une opération qui, jusqu’en 1939-1940, voulait toujours avoir des alliances fascistes anglo- américaines avec Hitler, et Mussolini et d’autres… pour gérer le monde dans le cadre d’un Nouvel Ordre Mondial et appliquer la po-litique eugéniste de contrôle de la population dans le cadre d’une société gérée de ma-nière scientifique depuis le plus haut niveau. C’était un projet, jusqu’à l’éviction de Neville Chamberlain, lorsque Hitler est devenu un monstre à la Frankenstein qui ne se conformait plus aux ordres et qu’il avait de plus grandes ambitions pour être à la tête du monde — au lieu d’être un exécutant secondaire de la volonté d’une classe bancaire. C’est alors qu’ils ont dû changer de stratégie et abandonner ce plan. Il y a toute une histoire là-dessus, mais oui, l’oligarchie… la leçon que j’en tire et que je souhaite que tout le monde puisse ti-rer de ça, c’est que les oligarchies se plantent beaucoup. Elles ne sont pas aussi puis-santes qu’elles veulent nous le faire croire, ce qui est, vous savez, une intimidation de l’es-prit. Chaque fois que vous regardez ce qu’ils essaient de faire… ce qu’ils essaient de faire aujourd’hui n’est pas nouveau, ils ont essayé de nombreuses fois, et généralement ça leur explose à la figure. Et cela leur porte préjudice aussi. Alors ils doivent se réorganiser et es-sayer quelque chose de nouveau.

1:45:13 Reiner Fuellmich :

Je comprends maintenant, cependant, que Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, dit qu’elle ne peut pas croire qu’elle combat les mêmes personnes, les mêmes structures, à nouveau, qu’elle a combattu il y a 75 ans, parce qu’il semble que ce qui s’est passé alors se reproduit. Matthew, je ne veux pas priver mes estimés collègues de poser des ques-tions. Alors, s’il vous plaît, allez-y, posez vos questions.

1:45:43 Dexter Ryneveldt :

Je vous remercie beaucoup pour votre témoignage. Matthiew, le sens même de votre dé-claration, le témoignage que vous avez donné, vous parlez de la nature et du droit. Comme nous le savons tous, le droit substantiel que nous utilisons dans ce grand jury est le droit naturel. J’aimerais donc que vous me disiez, sur la base de toutes les recherches que vous avez effectuées, quelle est l’importance du droit naturel pour la survie de l’huma-nité ? Et plus important encore, comment est-il lié au droit constitutionnel ? Merci.

Matthew Ehret :

Dexter, c’est une question formidable. C’est une très bonne question. D’après moi, toute l’histoire du monde a été façonnée par une bataille entre la loi artificielle — je veux dire, l’humanité est la seule espèce que nous connaissons qui crée et améliore les lois des sys-tèmes autour desquels nous nous organisons. Les autres animaux sont régis par leur géné-tique, leur environnement et leur nature pour être ce qu’ils sont, et c’est très bien ainsi. Mais les êtres humains sont les seuls à pouvoir élaborer des conceptions et à les appliquer pour gérer, volontairement, leur propre existence. Et puis, encore une fois, à pouvoir iden-tifier les problèmes de la pseudo machine métaphysique invisible de l’État et les améliorer. Mais sur quelle base devons-nous nous améliorer ? Selon quelle norme jugeons-nous les lois que nous créons nous-mêmes pour dire « Celle-ci est conforme à ce qui a été conçu par Dieu ». Et quelles sont celles qui sont déséquilibrées, qui ne sont pas en harmonie, que nous de-vons corriger, qui sont illégitimes ou, comme Thomas d’Aquin le dirait, qui constituent des formes de violence. Donc, si une loi peut effectivement détruire, vous priver de votre ca-pacité innée à exprimer votre vie, votre liberté, votre bonheur, vos pouvoirs créatifs… si c’est ce qu’une loi fait, ce n’est pas une loi, c’est une forme de violence. Elle n’a pas à être respectée. Et c’est ce que les pères fondateurs… si vous lisez les écrits de Benjamin Frank-lin, de Thomas Paine, ils étaient très sensibles au fait qu’il existe une loi supérieure. Elle n’est même pas séparée de la loi scientifique. C’est pourquoi Benjamin Franklin était à la fois un scientifique qui a découvert des principes d’électricité qu’il partageait. Mais dans son esprit, ses découvertes des lois de l’électricité n’étaient pas séparées des lois morales métaphysiques qui sont devenues le fondement de l’effort de sa vie pour créer une Répu-blique d’autogouvernance, fondée sur les droits inaliénables de l’individu et non sur les institutions héréditaires qui avaient gouverné la société pendant des milliers d’années. C’était la première fois que cela se faisait. Encore une fois, dans son esprit, il s’agissait de deux faces d’une même chose. La vraie science ne constitue pas une description mathé-matique ou une tentative d’imposer une formule à l’univers et d’attendre que l’univers s’y conforme. Il s’agit d’accorder notre propre raison créative en harmonie avec cet univers, qui sera alors toujours plus facile à découvrir. Et chaque fois que nous transmettons ces nouvelles découvertes dans n’importe quel domaine à nos semblables et que nous les ap-pliquons au processus de production, l’univers réagit en nous donnant des niveaux de vie plus élevés. Nous pouvons faire vivre un plus grand nombre de personnes à un niveau de vie supérieur à celui que nous aurions pu avoir si nous n’avions pas l’électricité, si nous n’avions pas la connaissance du feu, où nous vivions, par exemple, comme des bestiaux dans des grottes.

Mais cette nature réciproque de l’univers ayant cette qualité, que l’humanité a créée à l’image de cet univers sous certaines conditions, si nous respectons certains de ces prin-cipes, comme Benjamin Franklin et d’autres l’ont compris, nous en tirerons une plus grande émancipation. L’Empire, le système oligarchique d’une élite héréditaire, perdra les appuis où planter ses griffes, comme le parasite qu’il est, dans l’hôte. Il n’aura plus grand-chose à quoi s’accrocher, il perdra son pouvoir et implosera de lui-même, comme je pense que nous le voyons en ce moment.

1:49:19 Alex Thomson :

Puis-je ajouter quelque chose très brièvement, ce que nous voyons maintenant dans les ju-ridictions du Royaume-Uni, il y a la juridiction d’Angleterre et du Pays de Galles, la juridic-tion d’Irlande du Nord, la juridiction d’Ecosse. Les systèmes judiciaires de tous ces pays, qui relèvent essentiellement de la common law, commencent à s’attribuer, au niveau judi-ciaire, le pouvoir de décider de la « Mens Rea » ou ils sont plus avancés que n’importe quelle juridiction de common law ou de droit civil, comme nous l’avons constaté à plu-sieurs reprises, en affirmant que même si un jury est là pour la forme, et ils semblent es-sayer de s’en débarrasser maintenant sous la prétention fallacieuse que les exigences des traités internationaux les obligent à réduire l’utilisation des jurys, même si un jury est là pour la forme, ils se réservent le droit de déterminer ce qui était dans l’esprit de l’auteur du crime. Et très souvent maintenant, c’est une rédaction qui vient des fondations exo-nérées d’impôts telles que la Fondation Carnegie dont j’ai parlé plus tôt, via la bibliothèque de la Chambre des Communes, qui dit aux législateurs de Grande-Bretagne, qui ensuite entraînera d’autres pays sur la même voie, et que les législateurs sont informés qu’il existe une version terrestre du bien public ou du bien-être public, maintenant appelée bien-être collectif. C’est ce que les fondations ont fait tout au long du 20ème siècle, en créant des ennemis dans ce but précis. Et maintenant les tribunaux disent, si vous avez offensé la société, alors il n’y a pas de réparation, vous êtes coupable. Et c’est le plus grand pas en avant vers l’élimination du droit naturel que j’aie jamais vu. C’est allé plus loin que n’importe quel État totalitaire européen, que n’importe quelle cour internationale, c’est maintenant au niveau national britannique, par le biais de la législation et finalement des groupes de réflexion, que l’on abolit le concept selon lequel la loi naturelle décide si vous êtes coupable ou non.

1:51:04 Viviane Fischer :

Merci pour votre opinion, parce que nous voyons que ce n’est pas une constellation de pays fermés à 100 %. En ce moment, nous avons des réglementations encore très strictes en Australie et au Canada et ailleurs, mais vous dites qu’en Angleterre, c’est comme s’ils planifiaient ça sous un angle différent. C’est donc apparemment plus détendu pour le mo-mene, mais je veux dire qu’ils se préparent à finaliser sous un angle différent, en disant… sous un angle différent, comme créer une pénurie alimentaire en fait.

1:51:41 Alex Thomson :

Oui, j’en suis absolument convaincu, le Royaume-Uni est en tête, l’Anglo Commonwealth en second, et la résistance à cette idée sera en fait largement le fait des pays d’Europe centrale, parce qu’ils accordent plus de poids à l’état de droit et aux institutions des tribu-naux qu’aux jurés, par exemple, ils montreront une plus grande résistance, une résistance bienvenue pour ce cas. C’est certainement la Grande-Bretagne ou les groupes de réflexion basés en Grande-Bretagne qui poussent nos législateurs plus que partout ailleurs dans le monde, cette idée que si quelqu’un répond aux exigences d’un texte, il est convaincu qu’il est condamné sans aucune défense possible. C’est donc cette idée fallacieuse qui se cache derrière : « vous voulez offensé les intérêts du bien commun ? »C’est ce que je crains, et c’est ce qu’on peut comprendre, d’après ce que Matt a dit, mais je pense qu’en fait, ceux qui disent ça, c’est qu’ils ont peur, et qu’ils ne veulent aucune menace à leur narratif.

1:52:41 Reiner Fuellmich :

D’autres questions d’Ana, de Dipali, de Dexter ou de Virginie ? J’ai une question. Est-il possible que non seulement en Europe, mais aussi aux États-Unis, il y ait un mouvement qui, ayant compris ce qui se passe, essaie de prendre ses distances. Je parle des États-Unis qui essaient de prendre leurs distances par rapport aux Européens, et en particulier par rap-port à la City de Londres, parce que nous sommes tout simplement ensevelis sous les dettes, et que nous portons trop de poids mort avec nous. Je dis ça en termes courants. Qu’en pensez-vous, Alex ? Et Matthew ?

1:53:34 Alex Thomson :

Pour ma part, absolument. Et puis le récent témoignage que je vous ai donné, j’ai parlé de ça, qu’il y a une grande partie de l’Amérique centrale qui s’est réveillée et qui voit mainte-nant ce qu’ils considèrent comme un problème anglo ou anglo- européen les diriger, et je pense qu’ils commencent à en avoir marre de tout ça, à cause de la quantité de trahison impliquée et juste comme codicille au témoignage de Matt sur 1971, quand le coup finan-cier a été réalisé, une des indications que les Américains ont été utilisés comme des pions malheureux est que cette même année, Kissinger aurait dit que les militaires, et par là il entendait surtout les militaires américains, étaient des bêtes brutes et stupides qui fai-saient ce que d’autres leur demandaient et cette même année, étant le nouveau Secré-taire d’État sous l’administration Nixon. Il a obtenu d’un fabricant du Massachusetts, le seul fabricant au monde capable de produire des roulements à billes de précision, Brian Chucking Grinder, qu’il fournisse des roulements à billes à l’Union soviétique, afin de leur permettre de développer de multiples ogives pour « véhicules de rentrée indépendant », ce qui, je le sais, fait l’objet d’un de nos témoignages supplémentaires ce soir de la part de Jim Bush, alors qu’il était personnellement impliqué dans la partie américaine de cette af-faire, La quantité de trahison impliquée est telle que là où les États-Unis avaient une avance militaire ou économique, la cabale dont nous parlons l’a délibérément abolie et j’ai le sentiment très fort, grâce à mes contacts prolongés avec les États-Unis, qu’une grande partie des Américains ne souhaitent pas abolir leur héritage anglo-saxon, leur héritage de common law, mais ils en ont complètement assez du leadership intellectuel britannique et européen.

1:55:14 Reiner Fuellmich :

C’est parfaitement logique.

1:55:16 Matthew Ehret :

Je ne voudrais pas trop parler, parce que je sais que nous sommes en train de dépasser le temps imparti ici. Mais juste rapidement : il y a des cinquièmes colonnes en Russie, chaque pays a ses propres colonnes, ils ont leurs propres batailles entre les forces légi-times qui représentent leurs cultures contre ces autres infiltrations parasitaires. Je dirais qu’en Eurasie, vous avez eu un sérieux… un repli plus sérieux au point qu’il y a une véritable… Je ne pense pas que ce soit un jeu, je pense qu’il y a une véritable stratégie alterna-tive qui a été déployée en dehors du cadre de la prison de l’OTAN qui est en train d’imploser. Et qui n’est pas toujours… qui a toujours été conçue pour imploser. Et je pense qu’il y a des forces aux Etats-Unis, je le vois plus actuellement au niveau des Etats, qui ne veulent pas sombrer avec le bateau qui coule, il y a des forces partout en Europe. Malheu-reusement, les pouvoirs exécutifs fédéraux de la plupart des gouvernements transatlan-tiques ont été en grande partie récupérés, pas toujours entièrement, mais à un niveau dé-primant. Donc je n’ai pas… je ne suis pas un expert en planification géopolitique. Et j’espère que les forces créatives seront capables d’utiliser les auto-contradictions et la folie de l’empire à leur avantage, puisqu’encore une fois, cet empire est… il ne peut qu’une fois… il ne peut réussir qu’à se détruire. Et je vois qu’il y a des gens qui veulent avoir un futur, qui veulent survivre, et qui s’organisent naturellement. Et je pense juste qu’ils doivent affiner leur plan stratégique, en termes de ce qu’ils comprennent du monde, car beaucoup de gens pensent encore, surtout en Amérique… Beaucoup de patriotes qui n’aiment pas la grande réinitialisation ont tendance à tomber dans certains pièges qui sont tendus du récit de la guerre froide, que le vrai ennemi derrière tout n’est pas l’empire britannique, ce n’est pas l’oligarchie, ce n’est pas ça, ce seraient les communistes chinois qui voudraient dé-truire vos libertés, c’est ce qui serait derrière tout cela. Et vous savez, beaucoup de gens tombent dans ce piège. Et je crois que dans la mesure où ils s’accrochent à ces récits de Guerre Froide, ils vont auto- saboter leurs désirs communs de gagner la bataille contre cette menace oligarchique. Voilà, c’est ce que je tenais à dire.

1:57:31 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. D’autres questions d’Ana ou de Dexter ? Ou Virginie ? Ou Dipali ?

1:57:39 Dexter Ryneveldt :

Pas d’autres questions pour ma part.

1:57:43 Ana Garner :

Aucune pour moi. Merci. Quelle belle présentation.

1:57:46 Reiner Fuellmich :

Oui, merci, Matthew. S’il n’y a pas d’autres questions, votre témoignage est terminé. Mat-thew, merci beaucoup. Nous allons maintenant nous tourner vers Brian Gerrish et Debbie Evans, pour leur présentation.

1:58:04 Brian Gerrish :

Merci beaucoup de m’avoir invité à participer. Vous m’avez demandé de me présenter. Je vais donc dire que ma première carrière a été celle d’un officier de la Royal Navy britannique. J’étais spécialisé dans la guerre anti-sous-marine. J’ai donc passé une grande partie de mon temps à traquer les sous-marins nucléaires russes, au plus fort de la guerre froide. Et bien sûr, je dirai qu’avec le temps, en vieillissant et en devenant plus sage, je me suis rendu compte que beaucoup de ce que je croyais à l’époque était incorrect. Mais pour vous donner une partie de mon expérience, j’étais très impliqué dans le système militaire à l’époque de la guerre froide. Et quand j’ai quitté la marine en 1993, j’ai découvert que tout n’était pas comme il semblait, dans la société et au Royaume-Uni. Et à force de traquer, principalement la fraude et la corruption dans ma propre ville, et d’entrer en contact avec des personnes qui voyaient la fraude et la corruption dans d’autres grandes villes britanniques, j’ai commencé à m’intéresser aux organisations qui, je le voyais, contrôlaient les événements, mais ces organisations n’étaient pas bien connues du public. Et où cela m’a mené, j’ai finalement rencontré un groupe de personnes formidables. Et maintenant, nous gérons UK Column en produisant des nouvelles trois fois par semaine. Auparavant, nous produisions un journal écrit, mais nous analysons constamment ce qui se passe.

C’est donc sur la base de mon expérience militaire antérieure, de mon expérience dans le monde civil, y compris les analyses à travers UK Column que je peux vous apporter mon témoignage ce soir. Et j’ajouterai que je suis ravi d’être accompagné d’une dame appelée Debbie Evans, qui a fait des recherches très approfondies avec nous, et j’ai pensé qu’il était tout à fait approprié qu’elle puisse donner une information de grand intérêt qu’elle a trouvé.

Maintenant, je n’ai que 30 minutes. Je vais donc essayer d’aller très vite. Et la première chose que j’aimerais faire est d’essayer d’élargir la portée de ce que nos intervenants initiaux avaient à dire dans leur témoignage. Et je crois que l’analyse démontre qu’ils ont créé des fondations, des start up et développé des organisations de gangsters. Et nous avons suivi leur histoire, nous avons appris bien des choses sur ces gens, leurs réseaux, leur mode d’opération, nous avons quelques preuves d’événements mondiaux qui nous montrent que ces groupes opèrent.

Si nous regardons comment les gangsters ont été traités et éliminés avec succès dans le passé, si nous nous intéressons à Al Capone ou d’autres gangsters, l’Amérique est probablement le bon endroit pour ce genre d’analogie.

On les a fait tomber en enquêtant sur les crimes qu’ils ont commis et en recueillant les preuves réelles de ces crimes, qu’il s’agisse de meurtres, de trafic de drogue ou de prostitution, il fallait les preuves réelles du crime, il fallait prouver l’intention. Il devait y avoir les personnes nommées qui étaient impliquées dans ces crimes.

Et ce n’est que lorsque les preuves ont été apportées qu’ils ont pu être traduits en justice et déclarés coupables, ou du moins traduits devant la loi, et finalement purger leur peine. Je vais donc dire que pour notre jury, qui est un public mondial, les deux premiers intervenants ont fait un excellent travail en disant qu’il y a une conspiration, un groupe de gangsters qui opèrent, ils ont un pouvoir et une richesse énormes.

Qu’est-ce que ces gangsters essaient de faire ? Je pense que l’objectif de ces gangsters est la domination du monde. Ils veulent tout contrôler, la société, les matières premières, les méthodes de production, les gens, la politique, tout doit passer sous leur contrôle. Et finalement, nous disons alors, quels sont les crimes ? Eh bien, le gardien des crimes les notait pendant que j’écoutais les orateurs. Nous regardons l’oppression, nous regardons l’esclavage. Nous parlons de la pauvreté, de la faim, de la traite des êtres humains. Et finalement, nous parlons de la mort. Et à ce stade, je crois que nous avons maintenant un événement mondial majeur très important qui se produit. Il s’agit de la pandémie de COVID 19, suivie d’un programme de vaccination, parce que, selon moi, les preuves irréfutables montrent que ces gangsters tuent des gens. Nous sommes donc ici pour, un recours à la loi pour parler de crime.

Quel est le crime, à mon avis, le crime est de perpétrer la mort. Les années précédentes, nous avons vu des gens mourir à cause des guerres qu’ils avaient créées. Mais plus récemment, nous voyons des gens mourir à cause de l’introduction d’une pandémie, et de la façon dont cette pandémie a été traitée, et de la façon dont elle est traitée entre guillemets avec un programme de vaccination. Maintenant, les deux intervenants ont mentionné quelque chose, qui je pense est très important. Alex a dit qu’ils veulent contrôler les esprits, et qu’ils veulent « un contrôle civil sur des personnes politiquement attardées ».. Et cette dernière citation montre absolument l’arrogance de ces individus, de ces gangsters, parce qu’ils croient que toute opinion qu’ils ont est l’opinion correcte, la valeur correcte. Et toute personne qui les conteste est un vaurien, qu’ils veulent en fin de compte éliminer de leur champ d’action, et qu’est-ce que cela signifie ? En fin de compte, ils voudraient que ces gens disparaissent et meurent.

Alors rappelons-nous et faisons le lien avec le fait que nous avons dit que c’est une bataille pour nos esprits, et c’est très vrai en ce moment lorsque je vous livre mes premières pensées sur ce qui se passe. Mais nous devons être conscients qu’à côté de la pandémie de COVID 19 et du programme de vaccination qui en découle, nous devons être conscients qu’il y a une bataille contre nos esprits avec une attaque psychologique politique appliquée. Donc, il se trouve que j’ai deux documents avec moi, le premier est intitulé santé mentale. Le sous -titre est planification stratégique pour la santé mentale, il a été rédigé par un certain JL Reese.

Il est intéressant de noter que la date figurant sur ce document que je détiens est octobre 1940. Donc, au milieu de la Seconde Guerre mondiale, au début de la Seconde Guerre mondiale, je devrais dire, nous avions un groupe de personnes qui allaient plus tard devenir très puissantes au sein du système de l’Organisation mondiale de la santé, qui discutaient de la manière dont ils allaient mettre en œuvre ce qu’ils appelaient l’hygiène mentale dans la nouvelle société.

Et ils ne se sont pas gênés parce qu’ils ont dit qu’en faisant cela, ils allaient infiltrer les organisations sociales, ils allaient attaquer les professions, ils allaient infiltrer les activités sociales, et les sociétés professionnelles, et qu’ils allaient déclencher un plan et une propagande à long terme. Et je vais appuyer ce document de 1940 en disant très rapidement, j’en ai un autre entre mes mains, que je suis bien sûr heureux de partager ceci en tant que preuve. Il s’intitule Psychiatrie, il fait partie du « Journal of the biology and pathology of interpersonal relations », il est daté de février 1946.

Et il parle du rétablissement de la société en temps de paix, et l’auteur est un certain G.B Chiesel2. Et si les gens font des recherches sur ce nom, ils trouveront un autre personnage qui est profondément lié au type de sociétés que les sujets nous présentent de manière très concise. Pourquoi devrions-nous y prêter attention aujourd’hui ? Parce qu’il parle de l’utilisation du système psychiatrique, afin de mettre en œuvre ce programme d’hygiène mentale. Et si notre jury souhaite savoir ce que signifie « l’hygiène mentale », et bien cela signifie essentiellement que vous n’êtes pas apte à être un être humain, à moins que vous n’adoptiez les vues, les valeurs et les opinions des gangsters qui, nous l’avons déjà identifié, ont un plan de domination.

Je voudrais dire que lorsque j’ai commencé à faire des recherches sur ce qui se passait au Royaume-Uni du point de vue de la criminalité et de la fraude, des menaces et des brimades au niveau local, j’ai rapidement établi, à mon grand étonnement, qu’il existait une organisation caritative, appelée « Common Purpose », qui agissait de manière très politique en créant de futurs leaders. Et j’ai été fasciné par le fait que ces personnes s’installaient dans les villes britanniques et manipulaient de manière efficace en prenant le contrôle, pourrait-on dire, de la politique dans ces villes.

Donc, il y avait un groupe de personnes qui recrutaient des gens, qu’ils pouvaient considérer comme de futurs leaders, et qui commençaient à prendre le contrôle de villes au Royaume-Uni. Eh bien, si j’élargis le propos, en quelques années, cette organisation a opéré à l’étranger, dans des pays comme l’Allemagne, la Hollande, l’Inde, l’Australie, où ils recrutent des gens dans ces pays, afin de les intégrer dans un programme « d’agents du changement » pour changer notre façon de penser et de faire des affaires dans la société. Et si nous demandons d’où vient cette organisation, elle a été créée en 1985 environ, à la suite du retour d’une femme en particulier, la directrice générale de l’époque, Julia Middleton, de Chicago, me semble t’il, mais en tout cas, elle disait avoir appris des choses étonnantes sur la façon de changer la société. Et le point intéressant était qu’une grande somme d’argent a été collectée auprès d’un certain nombre de banques. Et rappelez-vous, le pouvoir monétaire a été au centre du dialogue des deux premiers intervenants, mais « Common Purpose » a pu se lancer grâce à des fonds provenant de grandes banques qui n’ont jamais été divulgués. Cependant, je peux dire avec une grande certitude que la Deutsche Bank était l’une des principales banques travaillant avec cette organisation.

Maintenant, pourquoi est ce que je parle de « Common Purpose » ? Eh bien, « Common Purpose » était un exemple clé d’une organisation que vous pouviez suivre, vous pouviez consulter les documents, vous ne pouviez pas voir les gens. Et vous pouviez constater qu’elle mettait en place un plan pour changer notre société sans que le citoyen moyen ne le réalise.

Alors où voulons-nous en venir maintenant ? Je pense que nous devons faire un petit récapitulatif de ce qu’Alex a mentionné, parce que j’aimerais vous ramener au document sur le concept mental, qui est ma première diapositive, si nous pouvons l’afficher à l’écran. – Introuvable sur internet, retranscription phonétique du nom énoncé à l’oral. Et ce document produit par le « Cabinet Office Britannique », est un document dans lequel ils ont travaillé avec des psychologues pendant longtemps, pour apprendre comment changer la façon dont les gens pensent et se comportent, sans que les gens comprennent ce qui se passe.

Ce n’est pas une simple opinion de ma part, car si nous passons à la deuxième diapositive, j’espère qu’elle s’affiche à l’écran. Si vous lisez le texte à l’écran, il est dit que le gouvernement, le gouvernement britannique, serait capable de contrôler les pensées des gens, la façon dont ils pensent et les comportements qu’ils adoptent. Et les gens ne se rendent pas nécessairement compte que cela s’est produit, il n’auraient pas conscience, que leur comportement, leurs pensées auraient changé, ils ne le sauraient pas. Mais le document précise encore que si les gens se rendaient compte que leur comportement avait changé, ils ne sauraient pas nécessairement comment cela aurait été fait.

Maintenant, laissez-moi relier cela, plus ou moins à ce jour avec la pandémie de COVID 19, parce que si nous amenons la diapositive trois, sur votre écran, ce sont les rapports de « Spy B », comme on l’appelle, c’est une section des scientifiques experts du gouvernement britannique, des groupes d’experts, qui faisaient des commentaires sur la façon dont nous devrions, je cite, combattre le COVID. Mais « Spy B » était une équipe de spécialistes, y compris des spécialistes du comportement, qui ont utilisé la psychologie appliquée pour amener les gens à adhérer à la politique du gouvernement britannique sur le COVID-19. Et c’est pourquoi j’attire l’attention des gens sur deux paragraphes : l’un se trouve en bas de la page de gauche, où il est dit que le niveau perçu de menace personnelle doit être augmenté chez les personnes confiantes, en utilisant des messages émotionnels percutants.

C’était donc une équipe gouvernementale qui préconisait l’utilisation de la psychologie appliquée pour rendre les gens craintifs. Et je dirais qu’il n’est pas étonnant que nous ayons maintenant des psychologues et des psychiatres qualifiés qui soulignent le danger de rendre les gens peureux, en particulier si vous utilisez des techniques qui impliquent qu’ils n’ont aucun moyen de savoir d’où vient cette peur. Ce n’est pas mon jugement, je cite directement les propos de l’homme du gouvernement britannique. Et ce qui est tout aussi inquiétant, c’est qu’un paragraphe ultérieur, le paragraphe sept, parle de coercition, dans lequel il est dit que l’on devrait envisager l’utilisation de la désapprobation sociale. Mais avec une forte mise en garde concernant les conséquences négatives indésirables. Ce dont ils parlent, c’est d’utiliser les gens pour faire la police entre eux, pour dire, je porte un masque, vous ne portez pas de masque, vous êtes une mauvaise personne, sortez de mon chemin. Mais la mise en garde qu’ils ont introduite à ce sujet est qu’ils reconnaissent que cette technologie psychologique pourrait déclencher la violence dans les communautés.

Maintenant, je passe rapidement dans cette présentation sur la façon dont ils parlent dans le domaine du contrôle des populations où nous voyons le gouvernement britannique en 2009 en 2010, figurant sur ce document original, mais jusqu’à aujourd’hui aussi, se vanter du fait qu’il pourrait utiliser la psychologie appliquée pour changer la façon dont les gens pensent et la façon dont les gens se comportent.

Qu’ont-ils fait de cette méthodologie ? Cette psychologie a été en fait vendue initialement aux États-Unis et à l’Australie… regardez ce qui se passe en Australie avec le verrouillage COVID en ce moment, mais finalement, ces technologies psychologiques, comme Debbie va en parler dans quelques instants, ont été vendues dans le monde entier.

Nous avons donc maintenant des gouvernements du monde entier capables d’utiliser cette psychologie comportementale appliquée pour changer les opinions, les valeurs et le comportement des gens qui ne savent tout simplement pas que cela a été utilisé contre eux. Et pour renforcer ce point, si on peut faire apparaître à l’écran la quatrième diapositive, voici un document que je n’ai trouvé que très récemment, mais qui s’intitule « Behavioural Insights applied to policy, Germany country overview », c’est un document de l’UE, qui vante effectivement exactement la même chose, à savoir comment la psychologie comportementale appliquée peut être utilisée pour changer l’opinion publique communautaire. Et il donne toute une liste d’organisations allemandes, dont je suis sûr qu’elles seront, pardon, je suis sûr qu’elles seront beaucoup plus significatives pour le jury que pour moi, mais beaucoup d’entre elles sont des universités et des organismes de recherche.

Ce document est la preuve vraiment évidente que ces techniques de psychologie politique ont certainement été répandues dans toute l’Europe.

Je vais donc suggérer qu’il est très clair que nous avons une équipe de gangsters au pouvoir, qu’il s’agisse du Royaume-Uni, de l’Union européenne ou des États-Unis, et qu’entre les mains de ces gangsters, il y a une méthode de psychologie comportementale très dangereuse.

Permettez-moi maintenant de passer au sujet du COVID-19, et en particulier aux effets des vaccins.

Au Royaume-Uni, nous avons la « Medicine and Health Products Regulatory organization », la MHRA, qui est censée assurer la sécurité du public en ce qui concerne les produits pharmaceutiques et les vaccins. Et dans le cadre du programme de vaccination au Royaume-Uni, ils ont recueilli des données sur les effets indésirables des vaccins, excusez-moi… qu’ils appellent les « Yellow Cards ». Et à ce jour, si je peux trouver les chiffres, parce que je les ai notés, aujourd’hui… leurs propres statistiques disent qu’il y a eu près un million et demi d’effets indésirables des vaccins, et qu’il y a eu près 2000 décès, avec une mise en garde qu’ils ont faite eux-mêmes pour dire qu’ils pensent qu’il est probable que seulement 10 % des effets indésirables des vaccins qui se sont réellement produits ont été enregistrés. Bien entendu, cela fait passer le nombre de décès de 2000 à 20 000.

Ce qui est intéressant, c’est que nous commençons à voir les décès dus aux vaccins dépasser les dommages causés par le COVID-19. Mais nous devons nous rappeler que la MHRA est un département gouvernemental parfaitement prêt à utiliser les mêmes compétences en psychologie appliquée, que le gouvernement britannique s’est vanté de pouvoir utiliser, pour tromper le public et changer son comportement.

Ainsi, lorsque nous nous sommes adressés à la MHRA et que nous leur avons posé une question simple : où est votre évaluation quantitative des risques pour montrer que les effets indésirables des vaccins ne sont pas le résultat des vaccinations elles-mêmes ? La MHRA s’abstient de répondre et produit des réponses très confuses. Mais le fait est que cette organisation clé, la MHRA, n’a pas mené d’évaluation quantitative des risques concernant les effets indésirables des vaccinations.

Et je veux dire au jury, nous sommes dans un tribunal, la MHRA a le devoir de protéger le public des produits pharmaceutiques dangereux. Elle sait que des gens meurent à cause de la campagne de vaccination. Et je voudrais ajouter que le gouvernement britannique le sait certainement. Mais il est prêt à utiliser la psychologie dans tous les domaines, écrits et médiatiques, autour des dangers du COVID dans la politique de vaccination.

Avant de céder la parole à Debbie pour qu’elle explique le fonctionnement du système. Je voulais juste souligner que, bien sûr, l’ensemble du contrôle de la politique du COVID-19, et la soi-disant politique de soins de santé autour des vaccinations COVID-19 a été effectué par le Cabinet Office britannique qui a une équipe de psychologie comportementale appliquée intégrée. Nous savons donc de quoi ils sont capables, ils s’en vantent dans leur propre document. Et finalement, nous voyons la preuve réelle que des gens souffrent et meurent.

Mais j’aimerais passer la parole à Debbie, parce que si nous suivons cette piste, nous arrivons à la façon dont le système fonctionne au Royaume-Uni, où du moins, nous assistons à une forme de fascisme médical, entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique mondiale, travaillant aux côtés des universités et des organisations caritatives dans ce qui a été appelé le Triangle d’or au Royaume-Uni. Donc permettez moi de passer la parole à Debbie, pour utiliser les 15 dernières minutes.

2:21:23 Debi Evans

Merci, Brian. Bonsoir à tous. Mon nom est Debbie Evans. Je suis une infirmière diplômée d’État à la retraite. J’ai été formée au Royal Free Hospital de Londres, où, par coïncidence, on soigne la fièvre de Lassa depuis aujourd’hui au Royaume-Uni. Et j’ai suivi une formation postuniversitaire à l’hôpital St. Bartholomew dans la ville de Londres. Et j’ai été conseiller au ministère de la santé pour le gouvernement britannique pendant cinq ans et je suis un chercheur médical et Brian nous a amené là dans ce que nous appelons au Royaume – Uni le triangle des hôpitaux ou les université d’or, le triangle d’or des universités, et il y a une capture d’écran d’une carte du Royaume-Uni, si vous pouvez l’afficher juste pour montrer les emplacements d’Oxford, Cambridge et Londres, dans ce triangle, je ne sais pas si vous pouvez le voir ou non. Vous pouvez le voir fabuleux.

Cambridge est le plus grand centre de technologie numérique du Royaume-Uni. Elle est classée 12e dans l’indice numérique européen, et elle est en fait connue sous le nom de Silicon Fen. Il y a un énorme campus biomédical sur le site, il y a une capture d’écran du campus biomédical, qui vous indiquera ce qu’il y a sur le puissant campus biomédical et ce qu’on y trouve, entre autres l’hôpital Papworth, qui a été déplacé sur le campus biomédical et qui est spécialisé dans le cœur et les poumons. Nous avons également l’hôpital d’Addenbrooke, spécialisé dans les dons d’organes et les transplantations. Boris Johnson, notre Premier ministre, nous a également annoncé qu’un hôpital de recherche sur le can-cer serait également érigé sur ce campus, ce qui représente un coût énorme malgré le fait que les taux de cancer au Royaume-Uni sont en baisse, le Medical Research Council Can-cer Research UK, sur lequel je reviendrai dans une minute, le laboratoire régénératif McLa-ren et le centre de transfusion sanguine du NHS. Donc tout cela est entre autres, à Cam-bridge et AstraZeneca a son siège avec GlaxoSmithKline aussi, ce qui est intéressant à propos de Cambridge, c’est que Cancer Research UK, qui est censé être une organisation caritative, mais semble ne pas l’être du tout.

Le professeur Robert West est consultant pour Cancer Research UK. Et il fait également partie de l’équipe B, l’équipe comportementale dont Brian vient de parler à propos de « Sage ». La femme du professeur Robert West, le professeur Susan Michie, est à la tête de l’équipe Behavioural Insights au cabinet ministériel. C’est une communiste de longue date, qui a conçu la méthode de changement de comportement et l’a déployée dans de nombreux pays. Le Behavioural Insights Team semble être devenu mondial.

En ce qui concerne le triangle d’or d’Oxford, nous avons l’une des économies de technolo-gie numérique les plus dynamiques du Royaume-Uni, avec un grand campus, Oxford Nano-pore, de très haute technologie, et un campus médical. Nous avons aussi Milton Keynes, qui est mentionnée dans ce triangle d’or parce que c’est la première ville intelligente du Royaume-Uni qui utilise des capteurs, et je reviendrai sur l’innovation technologique.

Donc, en arrivant à Londres, il y a une autre diapositive, Med city. Si vous pouvez la voir, qui est une ville économique de la connaissance, elle est censée être la capitale numé-rique de l’Europe. Et elle a été nommée par Tech Nation, attirant 2,1 milliards de milliards d’investissements. Donc le Triangle d’Or au Royaume-Uni est l’endroit où toute l’attention semble être concentrée. Le gouvernement britannique vient d’ailleurs de l’annoncer, en in-vestissant 5,5 milliards dans les infrastructures autour du Triangle d’Or, parfois connu sous le nom de « Lox Bridge Triangle » et de « The Brain Curve », je crois qu’on l’appelle aussi ainsi. Ainsi, lorsque nous examinons le Triangle d’Or, et que les universités sont mieux impli-quées, nous pouvons voir que les « Universités d’Or » Oxford et Cambridge, j’y ai également rattaché le Russell Group, qui sont 24 universités au sein du Russell Group, qui travaillent très étroitement avec les universités du Triangle d’Or et reçoivent beaucoup de fonds.

Ce que je vois, c’est que deux choses se profilent à l’horizon. La première est que la MHRA, au Royaume-Uni, souhaite devenir l’organisme de réglementation mondial. Raj Long, qui est directrice adjointe de la Fondation Bill et Melinda Gates, siège à son conseil d’adminis-tration. Elle est spécialisée dans la sécurité et la pharmacovigilance et est également le scientifique en chef de Microsoft. Nous voyons donc d’énormes conflits d’intérêts ici. Nous constatons également des conflits d’intérêts entre le gouvernement britannique et les mi-nistres. Certains ministres ont des intérêts dans les quatre grandes sociétés d’audit, KPMG et Microsoft, ainsi que dans Deloitte, AstraZeneca, Goldman Sachs et la Banque euro-péenne d’investissement. Donc beaucoup de nos ministres ont des conflits d’intérêts dans ces… dans ces domaines.

Ce que nous pouvons voir, c’est que Deloitte en particulier, en se concentrant sur Deloitte pour une minute, parce que Deloitte & Ernst, KPMG, et Price Waterhouse Coopers repré-sentent 67 % de la gestion comptable mondiale, soit quatre sociétés basées à Londres.

Deloitte a été central dans le « test and trace »

Lord Bethel, qui a maintenant démissionné, avait une société qui ne faisait que du lob-bying au nom de Deloitte, pour des appels d’offres. Et c’est très inquiétant de voir que lorsque vous voyez toutes ces sociétés imbriquées les unes dans les autres, ce qui pourrait se passer à l’avenir, et je veux juste revenir très rapidement sur la façon dont les orga-nismes de bienfaisance semblent être impliqués dans cette affaire ainsi que les organisa-tions gouvernementales et ce que j’appellerais en fait le cancer du Royaume Unis. Je cherche mes notes. Je suis vraiment désolé. J’ai un carnet de notes pour essayer d’être très rapide, parce que je sais que nous n’avons pas beaucoup de temps.

On ne peut pas dire que le Royaume-Uni soit financé par de nombreuses sociétés pharma-ceutiques. En fait, je dirais que c’est le centre de recherche et de développement des so-ciétés pharmaceutiques, AstraZeneca GlaxoSmithKline, Bill et Melinda Gates, mais aussi le professeur Robert West, le mari du professeur Susan Michies, qui conseille la recherche sur le cancer, une équipe d’analyse comportementale, financée par Pfizer et par Cancer Research UK, qui se trouve également au milieu du campus biomédical de Cambridge. En outre, en ce qui concerne le gouvernement britannique, il a publié un guide sur l’hésitation à se faire vacciner avec des mesures d’intervention le 27 septembre 2019, bien avant que Wuhan ne soit mentionné. Ils se penchent également sur la résistance aux antibiotiques, qui me préoccupe beaucoup.

Le gouvernement britannique a son propre représentant, Sally Davis, qui a été notre chef du département de la santé, et qui est la représentante du Royaume-Uni pour la résistance anti-microbienne. Et ce que je vois venir, c’est que les gens sont testés pour le VIH, mais selon Forbes, la prochaine pandémie devrait être la tuberculose. Je sais que le professeur Montagnier, — j’aimerais envoyer mes sincères condoléances à sa famille et à tous ceux qui le connaissent, c’est extrêmement triste qu’il soit décédé récemment. Mais le Professeur Montagnier faisait allusion à l’un de ses collègues à propos du vaccin BCG. Et il semblerait que le professeur Chris Whitty, notre médecin en chef, ait fait une présentation à la maison Gresham il y a trois nuits, et qu’il ait également fait le lien entre la tuberculose et le VIH. Et l’Organisation Mondiale de la Santé est très désireuse d’éradiquer la résistance aux antimicrobiens. Et la tuberculose, — nous avons le BCG pour la tuberculose, depuis très longtemps, et on pense que les taux de tuberculose augmentent de façon exponentielle, y compris ici au Royaume-Uni. Et nous assistons maintenant au développement de nouveaux vaccins contre la tuberculose et de nouvelles installations de dépistage de la tuberculose.

Je regarde donc l’ensemble et je vois des références à la tuberculose. Je m’intéresse également au cancer et à la démence, car il semblerait qu’ils soient également en augmentation. En particulier, en ce qui concerne le cancer, nous ne connaissons évidemment pas les effets secondaires à long terme des vaccins, ni s’ils peuvent être cancérigènes, mais il est certain que l’un des antiviraux qu’ils utilisent ici au Royaume-Uni et au Royaume-Uni seul, le Molnupinavir, semblerait être cancérigène, tératogène et mutagène. Nous l’utilisons ici dans le cadre d’un essai clinique avec le panoramique, de sorte que les patients qui le reçoivent sont immédiatement connectés à l’essai.

Toutes ces choses que nous voyons maintenant se dérouler, je ne sais pas si vous êtes au courant de la pandémie SPARS de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste. Je pense que Brian pourrait probablement vous en montrer une copie. Je pense qu’il en a une à portée de main. Pandémie SPARS, de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste du Centre John Hopkins sur ce qui se passerait si un coronavirus infectait le monde. Cela vous liste les événements mois par mois : ce à quoi vous pouvez vous attendre de la part des médias, des entreprises pharmaceutiques, des gouvernements, en ce qui concerne les confinements, les tests, les antibiotiques et la résistance aux antibiotiques. La résistance aux antibiotiques est un sujet très, très important, sur lequel tout le monde se penche, la Banque Mondiale, le Forum Economique Mondial, le gouvernement britannique, presque tous les gouvernements du monde s’intéressent à la résistance aux antibiotiques. Je me dis donc que nous pourrions peut-être nous intéresser aux superbactéries à l’avenir.

En ce qui concerne le retour aux Big 4, mais il semblerait que nous ayons également des conflits d’intérêts en ce qui concerne le PDG de Deloitte, qui a quitté Deloitte pour prendre sa retraite, mais qui fait maintenant partie du conseil d’administration de Pfizer.

Nous avons également le gouvernement britannique, le Hansard du gouvernement britannique. En mai 2014, il devait y avoir une fusion entre Pfizer et AstraZeneca. Mais le gouvernement britannique était très indécis à ce sujet. Il y a donc une référence dans l’Hansard au volume 753, elle a été débattue le 6 mai 2014, et encore dans la colonne 161 le 7 mai 2014, avec l’ancien secrétaire d’État Matt Hancock qui parle.

Notre gouvernement britannique est impliqué jusqu’au cou, je crois, en ce qui concerne les produits pharmaceutiques, nous semblons nous diriger vers une superpuissance mondiale des sciences de la vie, depuis que nous avons eu le Brexit, la plupart de l’agenda concerne les sciences de la vie et comment nous pouvons être le partenaire mondial des sciences de la vie.

Cancer Research UK et l’organisation Francis Crick travaillent ensemble et sont financés en grande partie par des dons publics, mais aussi par les grandes entreprises pharmaceutiques. Il y a aussi des publicités dans les médias grand public pour une société appelée Omaze, et c’est un concours où vous pouvez gagner une maison de 3 millions de livres, mais les dons et les recettes vont au Cancer Research UK. Certains des bailleurs de fonds de Cancer Research UK, qui sont basés sur le campus biomédical de Cambridge, sont la Fondation Bill et Melinda Gates, Google, le Forum Economique Mondial, Imperial College, Cambridge, UKRI3, la Banque d’Angleterre AstraZeneca, le Crick Institute, CQC, et la BBC. Ils sont donc très, très lourdement financés. Et je ne pense pas que le public le sache lorsqu’il saute d’un avion pour essayer de collecter des fonds pour la recherche sur le cancer.

Le Pr. Witthey et que tous nos experts nous disent que les taux de cancer sont en baisse. Cependant, nous semblons tester des personnes en bonne santé au Royaume-Uni pour le cancer en utilisant une société de Bill Gates, Grail, qui était une coentreprise avec Jeff Bezos, elle a maintenant été contractée pour travailler au sein du National Health Service, afin de séquencer le génome en utilisant le cancer, nous testons des personnes en bonne santé. Et je voudrais demander pourquoi nous testons des personnes en bonne santé. La raison invoquée par les gouvernements est que le fardeau et le coût du cancer, du vieillissement et de la démence sont si élevés que nous devons accélérer rapidement le diagnostic et le traitement. En fait, la sécurité passe à peu près à la trappe, comme c’est le cas pour le développement des vaccins, qui va maintenant être confié à Bill et Melinda Gates et à Patrick Balance, dans le cadre de la « 100 Days Mission ». Ainsi, pour toute autre pandémie qui pourrait survenir, vous pouvez garantir que vous disposerez d’un vaccin dans les 100 jours, conformément à la « 100 Days Mission ». Mais je ne sais pas si quelqu’un veut poser des questions, je suis très consciente que je suis en train de dépasser le temps. Donc je ne veux pas prendre trop de place.

2:37:31 Ana Garner :

Je voudrais poser des questions à chacun d’entre vous, s’il vous plaît, concernant la manipulation psychologique qui a eu lieu. Je m’appelle Ana Garner et je viens du Nouveau Mexique, aux États-Unis. Mlle Evans, vous avez mentionné que vous aviez été conseillère du gouvernement au ministère de la Santé. Et c’est très pertinent ici. Parce que j’ai l’impression que cela s’est passé aux États-Unis de manière extensive. En tant que conseiller du département de la santé publique. Savez-vous qu’ils utilisent les techniques psychologiques et comportementales dont M. Gerrish a parlé, comme un moyen d’appliquer leur programme de coercition et d’isolement social, la coercition des personnes subissant des interventions médicales expérimentales, avez-vous remarqué que cela fait partie de leur modus operandi, dirons-nous ?

2:38:29 Debi Evans :

Lorsque j’étais conseillère au ministère de la Santé, ce qui devenait flagrant, c’est que tout conseiller était vraiment là pour la forme, et que nous n’étions pas vraiment écoutés. Beaucoup d’entre nous étaient ignorés. Je ne dirais pas que nous avons été contraints. Je n’ai certainement pas l’impression d’avoir été forcée à dire ou à faire quoi que ce soit. Je suis assez forte. Alors je les ai défié, probablement que le fait que je défie les gens causait plus d’ennuis parce que je ne me conformais pas. Mais c’était purement symbolique. Pour la coercition, oui, je pouvais voir d’énormes problèmes au sein de la fonction publique, beaucoup de problèmes personnels, beaucoup d’intimidation. J’étais très proche de l’un — A prononcer U-K-R-I — des hauts fonctionnaires de notre conseil d’administration, dirigé par Norman Lamb, le secrétaire d’État de l’époque, et il y avait beaucoup d’intimidation. Il y avait beaucoup de compétition au sein de la fonction publique, nous l’avons remarqué, mais en tant que conseiller, je ne faisais pas partie de la fonction publique. Donc c’était juste mes observations.

2:39:40 Ana Garner :

Je ne veux pas vous interrompre ou quoi que ce soit, mais ce à quoi je faisais référence sont les techniques psychologiques pour contraindre les gens, par opposition aux personnes impliquées dans le conseil, plutôt le public.

2:39:56 Brian Gerrish :

Puis-je intervenir ?

2:39:59 Ana Garner :

Oui.

2:40:00 Brian Gerrish :

Je vais répondre. Dans le cadre des recherches avec UK Column, nous l’avons fait par le biais de UK Column. L’un des domaines qui nous intéressait le plus était la formation au sein de notre service national de santé par cette organisation caritative, qui sélectionnait les futurs dirigeants. C’était donc Common Purpose. Nous avons donc vu la manipulation des gens et de leurs valeurs par cette organisation particulière. Et cela s’est transformé en un secteur spécifique du NHS, appelé NHS leaders. Il s’agissait soi-disant de personnes à la carrière accélérée qui allaient mener le NHS vers des soins de santé encore meilleurs. Mais ce que nous constatons, c’est qu’au fur et à mesure que ces leaders, avec leurs valeurs nouvellement acquises, se sont révélés, le style de gestion du NHS est devenu de plus en plus dominateur et intimidant. Et les idées sont devenues de moins en moins axées sur les soins et le traitement des personnes malades ou blessées. Et ça s’est plus axé sur l’importance des profits et de l’argent au sein du NHS. Il était évident que la psychologie des gens était manipulée. Nous avons mis en ligne sur le site UK Column un article intitulé « Vers un million d’agents de changement ». Et ce n’était pas notre titre. C’est le titre d’unarticle écrit par un membre du NHS, formé par Common Purpose, qui a dit que le NHS, afin d’atteindre, selon mes mots « une future utopie », allait avoir besoin d’un million d’agents de changement. Et qu’est-ce qu’ils entendent par là ? Des personnes qui allaient perturber les performances du NHS, afin d’assurer sa transition vers ce qui était censé être une prestation de classe mondiale. Je peux donc vous donner un exemple spécifique où nous avons examiné comment la gestion et le leadership au sein du NHS et de la présidence ont changé.

Je vais vous donner un exemple très simple sur la psychologie appliquée dans le NHS pendant la crise du COVID. Parce que des mantras ont été introduits, au lieu de décisions médicales, les infirmières et les médecins ont commencé à suivre des mantras. Et l’un de ceux qui nous a été dit par un médecin pleinement qualifié ou hautement qualifié au cours des derniers jours, et par les proches de quelqu’un qui avait souffert était que le mantra était « Non vacciné, mort assurée », « Non vacciné, mort assurée ».

C’est simplement que si la personne était considérée ou étiquetée comme ayant le COVID, s’il a été déterminé qu’elle n’était pas vaccinée, le seul résultat de leur traitement médical était la voie de la mort. Et il ne fait aucun doute que ces mantras de trois mots que nous avons vus utilisés par le gouvernement en particulier ont été transmis au NHS, à tel point, que des médecins qualifiés nous ont dit qu’ils étaient stupéfaits de ne pas pouvoir discuter des chiffres authentiques du gouvernement sur, par exemple, les effets indésirables des vaccins, parce que la personne se détourne simplement d’eux, refuse de leur parler ou devient très agressive. Et le fait psychologique sur lequel nous pouvons nous appuyer en ce moment dans le témoignage est la disonnance cognitive chez les individus qui résulte du changement de leurs valeurs mentales. Je pourrais en parler pendant longtemps, mais je vais dire que oui, nous constatons certainement qu’il y a une application de la psychologie dans de nombreux domaines du NHS, et son effet global est une dégradation du traitement des soins de santé. Dans la mesure où des personnes sont tuées alors qu’elles auraient pu survivre sans problème si elles avaient reçu le bon traitement.

2:44:44 Ana Garner :

Oui, merci pour cette clarification. Et j’avais aussi une question complémentaire pour vous, M. Gerrish, qui est la suivante. Cette opération psychologique par définition semble être très subtile et la plupart des gens n’ont pas conscience d’être manipulés. Si c’est le cas, avez-vous une opinion sur la façon dont on peut atteindre ces personnes de manière à les réveiller ? J’ai entendu parler de la dissonance psychologique et de ce genre de choses, la dissonance cognitive, y a-t-il un moyen d’encourager ces personnes à voir ce qui se passe réellement, qu’elles sont manipulées de cette façon ?

2:45:27 Brian Gerrish :

C’est bien sûr une question très importante, et la réponse, et je parle en mon nom ici, parce que je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie. Mais à la suite de mon travail et de mes enquêtes depuis de nombreuses années, et des conseils que j’ai reçus de personnes pleinement qualifiées, je vais emettre un commentaire personnel, mais je crois que c’est très approprié. Si vous appliquez une forme d’hypnose aux gens, l’effet sur un public ciblé forme généralement une courbe en cloche.

Vous trouverez que certaines personnes peuvent être complètement hypnotisées, j’ai fait des mises en scène pour démontrer comment les gens feraient des choses qu’ils ne feraient pas normalement devant un public parce qu’ils sont dans un état de transe. Mais si nous utilisons plus de formes de manipulation, l’effet sur le public cible est une courbe en cloche. Certaines personnes sont très absorbées par le message qui a été transmis, mais ca tombe d’un côté ou de l’autre pour certaines personnes sur qui ça ne prend pas.

Les indications que nous avons eues jusqu’à présent, et qui ont été confirmées par des psychologues qualifiés, sont les suivantes : en premier lieu, nous devons nous concentrer sur les personnes qui ne sont manifestement pas affectées afin de diffuser le message d’avertissement sur ce qui se passe. Nous devons clairement cibler les professionnels de la psychologie et de la psychiatrie pour dire qu’il s’agit d’un abus de ces professions particulières, en particulier les psychologues cliniques et les psychiatres, qui peuvent dire qu’il y a un résultat bénéfique pour la santé. Et aussi de se rendre compte que les gens qui ont été soumis à cette forme de recadrage ou de manipulation mentale sont des victimes, et donc il faut les traiter de manière très douce et rassurante. Pourquoi ? Parce que si nous les abordons d’une manière très brutale, d’une manière noire et blanche pour essayer de leur faire voir la vérité, le résultat est que soit ils vont devenir très hostiles, le résultat sera une dissonance cognitive, ou peut-être qu’ils vont devenir malades mentalement en raison de l’immense attaque contre leur système de valeurs.

Je voudrais juste vous dire qu’il est très significatif que dans toute la documentation sur l’utilisation de la psychologie appliquée par le gouvernement britannique pour faire passer son agenda politique, il n’y a absolument aucune évaluation des effets négatifs de la psychologie de recherche, sur les personnes qui ont peut-être des problèmes sous-jacents de santé mentale, d’anxiété ou de dépression. Et en effet, lorsque les gens ont des problèmes de santé mentale non diagnostiqués, ils ne sont même pas conscients qu’ils ont un problème. Si quelqu’un utilise cette psychologie sur eux, il peut faire d’immenses dégâts. Et je crois que c’est nouveau, excusez-moi, ce n’est pas une coïncidence que les statistiques officielles au Royaume-Uni montrent maintenant que la politique de confinement a provoqué une énorme poussée de suicides, et de maladies mentales, en particulier chez les jeunes personnes tragiquement.

Mais encore une fois, nous pouvons démontrer que le gouvernement britannique cache ou manipule, les ensembles de données qui le montrent, ou qu’il utilise la psychologie appliquée dans la façon dont il présente ces ensembles de données au public, afin d’induire le public en erreur. C’est la nature de la bête. Une fois que vous comprenez que vous avez ce que je vais appeler un système politique criminel, qui a la capacité d’utiliser la psychologie appliquée, pour changer la façon dont le public pense, nous avons une arme très, très dangereuse dans les mains de ces élitistes, et cela est facilement prouvé par un document clé où ils se vantaient que nous devons rendre les gens plus craintifs, plus anxieux. Et il y a beaucoup d’autres documents qui ont également démontré, — au bénéfice des Allemands parmi le public et dans l’équipe, que la psychologie comportementale appliquée a maintenant été lâchée en Allemagne, certainement en France, parce que l’un des membres de l’équipe personnelle de Sarkozy, un monsieur appelé Ivor Williams4, a eu des réunions au Royaume-Uni, facilitées par le conseil franco-britannique en 2010, pour discuter de la façon dont les experts français, neurologiques et psychologiques vont travailler avec les Britanniques, afin de développer ces techniques psychologiques appliquées. Les preuves sont là. Quand vous savez ce que vous cherchez c’est évident. Mais mon Dieu, c’est la chose la plus dangereuse que nous ayons jamais vue.

Si vous aviez de la propagande et de la manipulation politique au sein de l’Allemagne nazie, de bien des façons, on peut voir les parades, les bannières, les lumières, la rhétorique, les affiches, mais ce que nous avons déclenché sur nous maintenant est une attaque subliminale sur nos esprits. Et tant que nous n’aurons pas fait toute la lumière sur cette affaire, il sera très, très difficile pour nous d’enlever le couvercle de ce que ces gens font par le biais de leur COVID et de leur attaque de vaccination sur les gens. Chacune des compagnies pharmaceutiques a accès à ces armes psychologiques, chacune des sociétés juridiques…

Donc partout où nous voyons des organisations caritatives, des industries, des organismes publics travaillant avec le gouvernement britannique, nous savons que l’utilisation de la psychologie est répartie entre eux. Donc nous devons commencer à parler de ça de manière très importante. Et nous devons tout d’abord nous occuper des personnes qui ne sont pas affectées, qui réalisent que quelque chose ne va pas, mais qui ne savent pas ce que c’est. Et puis dans le public, il pourrait y avoir des professionnels très intelligents et hautement qualifiés. Et je vais vous laisser réfléchir à ce qu’un psychologue hautement qualifié m’a dit, c’est un ouï-dire, mais je vais répéter ce qu’il m’a dit, « Brian, la chose à retenir, est que les gens qui sont intelligents et ont un esprit très interrogatif, peuvent être plus sensibles à l’utilisation de l’hypnose, au recadrage de la psychologie appliquée que quelqu’un qui est moins intelligent, et qui a un esprit moins interrogatif. » Donc c’est très faux. Si quelqu’un pense : « Je suis une personne brillante, je suis intelligent, je suis hautement qualifié, cela ne m’affectera pas. » Au contraire, vous serez peut-être plus vulnérable.

2:53:36 Debi Evans :

C’est une cascade d’informations. Les professionnels du NSH auxquels je parle, tous ceux à qui je parle, sont très confus. Il y a une cascade d’informations chaque jour, les choses changent. Je vois des professionnels du NHS faire des choses qui leur seraient complètement étrangères, donner des dépresseurs respiratoires à des patients souffrant de troubles respiratoires. C’est tout simplement étranger à ce qu’on nous a appris. Les gens sont donc effrayés. Et je me fais l’écho de ce que Brian a dit, quand les gens commencent à se réveiller, ils ont peur. Ils ne savent pas ce qui se passe. Ils ont besoin que nous les rassurions parce qu’en ce moment, l’ordre du jour est la confusion, le chaos et la crise.

Pour en revenir à ce que Brian vient de dire, à propos de Deloitte et des Big 4, — pour ceux qui ne connaissent pas Deloitte, ils ont écrit des articles sur l’avenir de la ville de Londres, les essais cliniques, leur ancien PDG est maintenant membre du conseil d’administration de Pfizer, ils sont impliqués dans le NHS, ils sont impliqués dans l’intelligence corporative, comme les trois autres. Et clairement, lorsque Brian mentionnait la SPARS pandémie qui va de pair, avec l’opération Clade X et Crimson Contagion. Clade X a été tenu par l’Université Johns Hopkins, en 2018 je pense, simulant 900 millions de morts, et Crimson Contagion, un autre exercice aussi, qui a été fait pendant le règne de Trump pour la réponse à une pandémie, une pandémie de grippe en cours. Donc, tout cela a été bien documenté, et bien documenté dans le brevet pour le test COVID par les Rothschild. Encore une fois, tout ce que nous pouvons voir dans ce brevet dans le document principal, nous le voyons être déployé maintenant, y compris les biocapteurs. Beaucoup de gens ont parlé des puces RFID, mais peu de gens parlent de l’avènement des biocapteurs, et du fait que les biocapteurs n’ont pas besoin d’Internet. Ils peuvent se trouver dans vos vêtements, sur la — À vérifier — semelle de vos chaussures ou dans votre nourriture. Et les biocapteurs semblent être la voie à suivre, au point qu’il existe un institut de biocapteurs ici au Royaume-Uni, à Bristol, et que la MHRA a approuvé l’un des biocapteurs, car les gens auront des biocapteurs dans leur voiture, sur leur ordinateur portable, et leurs données biométriques seront renvoyées, de sorte que toutes vos données biométriques indiquent si vous êtes apte à conduire un train, apte à conduire un car, apte à faire quoi que ce soit. Vos données biométriques seront stockées, et ça se passe en ce moment.

2:56:38 Brian Gerrish :

Donc, si je résume un peu. Ce que nous voyons, c’est un système politique intégré avec des sociétés commerciales mondiales, des sociétés pharmaceutiques, qui mettent en place un programme, qui consiste à tester des vaccins sur une population sans se soucier des dommages et des morts. Où vont-ils ? Ils vont manipuler nos gènes, il n’y a aucun doute là-dessus. Toutes les données que nous voyons en ce moment disent que c’est le Royaume-Uni qui dit qu’il va prendre la tête du monde dans la mise en place de ce programme. Le Royaume-Uni, et je vais nuancer cela et dire que je crois que cela sera finalement dirigé par la City de Londres. Mais tous les documents britanniques disent « nous allons prendre la tête du monde ». Et c’est le même Royaume-Uni qui a libéré cette psychologie appliquée malveillante pour changer la façon dont les processus cognitifs fonctionnent. C’est une combinaison très, très dangereuse.

2:57:55 Debi Evans :

Et peut-être que nous pourrions souligner — pardon, mon dernier point Alex, c’est que l’argument de vente unique du Royaume-Uni est le National Health Service, il n’y a aucun moyen d’y renoncer. Donc dès le moment où vous êtes conçu, que les mères enceintes ont eu un écographie, il y a des données sur cet être humain particulier jusqu’au jour de notre mort, il n’y a aucun moyen de se retirer du NHS. Donc les données du NHS sont très, très précieuses. Et c’est complètement unique au reste du monde.

2:58:31 Alex Thomson :

Si nous pouvions illustrer succinctement cela avec la diapositive que je n’ai pas montrée, je pense qu’elle résume en fait ce que Brian et Debi viennent de dire, si Paul peut la trouver en quelques secondes. C’est une diapositive que UK Column a beaucoup utilisé, un organigramme de l’agence dirigeante du gouvernement britannique, le Cabinet Office avec un nouveau groupe, nouveau depuis que j’ai quitté le renseignement britannique appelé le Conseil National de Sécurité, comme l’exemple américain, de l’ère FDR, il n’est pas original et pas constitutionnel. Et tous les organes qui se détachent du cabinet et qui sont sous son contrôle dans le cadre de cet organigramme ont pour but de contrôler l’agenda. Et pour répondre à la question qui a été posée ici, pour nous empêcher de montrer à plus de gens quel est le paradigme, c’est pour les empêcher d’être effrayés par la psychologie appliquée qui leur est enseignée.

L’armée est impliquée en tant que 77e régiment, 13e brigade des transmissions, il y a une toute nouvelle agence de sécurité du gouvernement britannique, la soi-disant Agence de sécurité sanitaire, le Centre conjoint de biosécurité, toutes ces agences ont été créées depuis mon époque et la responsabilité incombe à ce cabinet. Et toutes les bonnes études sur le Cabinet Office vous montreront que les comités de direction ont une ligne directe avec la City de Londres, qu’ils représentent une volonté d’élite, qu’il n’y a aucun contrôle démocratique et que même la couronne personnelle du monarque n’est pas impliquée. Je ne sais pas si cela a été montré à l’écran il y a un instant ou non, mais les gens peuvent aussi facilement le trouver comme l’un des principaux graphiques de UK Column, « Cabinet Office Censorship Network », je crois que nous l’avons nommé ainsi dans une version.

3:00:07 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce à quoi nous avons affaire est un système britannique de manipulation psychiatrique, qui a été vendu dans le monde entier, plus ou moins. Nous avons la City de Londres, encore une fois, qui vise le contrôle mondial. Est-ce que c’est pour cela que les gens de Common Purpose créent leurs propres futurs leaders, est-ce que c’est une position spéciale, distincte du programme Young Global Leaders ?

3:00:44 Brian Gerrish :

Eh bien, l’attaque vient d’actions parallèles. Je pense fortement que beaucoup de gens qui sont à common Purpose n’ont aucune idée de ce qu’est l’objectif général, ils sont recrutés. A l’époque où j’ai fait des recherches approfondies, quelqu’un était recruté localement et on lui demandait de nous rejoindre, ce n’était pas comme si les gens allaient à Common Purpose pour rejoindre le réseau, Common Purpose cherchait les personnes qu’il voulait. Et l’agenda était clairement de former ce futur leader à travailler avec d’autres futurs leaders de Common Purpose. Et c’est pourquoi il est si significatif de voir que Common Purpose fonctionne maintenant, par exemple, très fortement en Inde, et l’ancien Premier ministre David Cameron faisait partie de l’équipe qui a promu Common Purpose en Inde. Common Purpose est donc l’une des voies par lesquelles les gens sont recrutés et recadrés.

Le Forum Economique Mondial, Young Global Leaders seraient une autre voie par laquelle des personnes probablement plus puissantes sont recrutées, recadrées pour les mettre en phase avec leur nouveau rôle. Ainsi, Common Purpose fonctionne particulièrement avec le niveau public de bas niveau dans un premier temps. Mais au fur et à mesure que le temps passait, à partir de 1985, il était clair de voir qu’ils s’impliquaient avec les entreprises, les grandes multionationnales beaucoup plus fortement. Et puis à partir de là, ils ont atteint leur statut de mondial. Mais qu’est-ce qu’on fait ? On sélectionne des gens, on caresse leur ego, parce que quelqu’un suggère qu’ils vont devenir un futur leader très important. Le Forum Economique Mondial les appelle des leaders mondiaux. Et puis ces personnes sont rassemblées pour changer le monde. C’est ça l’objectif.

3:03:52 Reiner Fuellmich :

Eh bien, merci beaucoup. Je pense que notre prochain témoin, Whitney Webb, est un peu stressée. Je déteste vous interrompre, mais c’est pourquoi je pense que nous devons lui donner une chance de combler les lacunes, ce que nous allons essayer de faire en posant des questions. À moins que mes estimés collègues n’aient d’autres questions, nous aimerions vous remercier tous les trois pour vos excellentes présentations. Et ensuite, nous allons passer à Whitney, est-ce que cela vous convient ?

Eh bien, merci beaucoup, Brian, Alex et Debbie. C’est très important. En ce qui concerne le contexte géopolitique et historique de ce dont nous sommes témoins, et Matthew bien sûr. Whitney, l’une des questions que je continue à me poser est de savoir quel est le rôle de la Chine dans tout cela ? Si vous regardez cela comme un jeu dominé par les Anglo-Américains ou la City de Londres, quel est vraiment le rôle de la Chine dans tout cela ?

3:04:29 Whitney Webb :

Bonjour, vous m’entendez bien ?

3:04:30 Reiner Fuellmich :

Oui, nous pouvons vous entendre.

3:04:31 Withney Webb :

Ok, super. Alors, je ne suis pas vraiment une experte de la Chine, mais j’ai fait quelques travaux sur les réseaux transnationaux de capital et d’influence, pour ainsi dire, ce nœud en quelques sortes, dont les gens ont parlé jusqu’à présent aujourd’hui. La City de Londres, Wall Street, et comment ils sont très influents en Chine. L’exemple le plus accessible est sans doute celui de Steve Schwarzman, un capital de Blackstone, qui finance le programme d’une université chinoise, je ne sais plus laquelle exactement, mais elle est très prestigieuse. Et c’est un peu sa version personnelle du programme des Young Global Leaders du WEF. Le Blackstone Group est intimement lié à BlackRock, étant issu de la même sphère à Wall Street. Il est considéré comme l’un des chuchoteurs américains de la Chine, tout comme, bien sûr, la figure originale de la politique américaine qui a porté ce genre de titre : Henry Kissinger.

En outre, vous avez quelqu’un comme Henry Paulson, qui a été secrétaire au Trésor sous George W. Bush, et qui travaillait auparavant pour Goldman Sachs. Il est également très impliqué en Chine et possède une fondation philanthropique axée sur la Chine. Mike Bloomberg est un autre individu qui a ressuscité un événement qui était organisé par le Forum Economique Mondial en Chine, je crois qu’il s’appelait la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui a cessé en 2018. Depuis 2018, il s’agit du Bloomberg New Economy Forum, qui est essentiellement axé sur les relations entre les États-Unis et la Chine, et que s’y passe-t-il ? Les décisions prises lors de cette réunion sont là pour faciliter la création de ce système particulier dont les gens ont parlé, cette sorte de grille de contrôle technocratique, qui a été construite conjointement par les dirigeants américains et chinois. Et il y a une autre chose sur laquelle j’ai écrit il y a quelques années, c’est cette organisation appelée la « Commission de sécurité nationale sur l’intelligence artificielle », qui était dirigée par Eric Schmidt, l’ancien PDG de Google. Dans cette commission, c’était principalement la Silicon Valley, l’armée américaine et la communauté du renseignement américaine qui étaient représentées. Et en 2019, avant le COVID, ils ont parlé de la nécessité de battre la Chine dans la course à l’armement de l’IA, ou de travailler ensemble avec la Chine dans la construction de cette sorte de grille de contrôle technocratique pilotée par l’IA, comme un moyen d’éviter une guerre mondiale.

C’était une idée défendue par Henry Kissinger, dans l’un des événements de cette commission particulière, et Eric Schmidt l’a également soulignée. Et donc, dans un sens, cela est lié au Great Reset, comme on l’appelle souvent, qui se déroule dans le monde entier. Mais aux États-Unis, en particulier, dans ce contexte, il y a un effort pour numériser complètement chaque secteur de l’économie et de la société afin d’amasser des données pour les utiliser pour former des algorithmes d’IA. Fondamentalement, cette commission, et les forces représentées là-bas considèrent qu’il est nécessaire pour les États-Unis de maintenir leur hégémonie militaire et économique actuelle, d’avoir les meilleurs algorithmes d’IA, ils ont besoin d’avoir les plus grandes réserves de données. Ils reconnaissent que la Chine, en raison de sa grande population, et plus de systèmes de contrôle technologique déjà en place est loin devant les États-Unis en termes d’amasser ce type de données.

Et donc les Etats-Unis, cette organisation, avant le COVID, parlaient de la nécessité de forcer de toute urgence les gens à tout faire en ligne, du shopping au télétravail et toutes ces choses, à la télémédecine, et bien sûr, il y a eu une énorme poussée pour cela, pendant le COVID-19. Et lorsqu’ils ont envisagé cet espèce de contexte de nouvelle guerre froide, ils ont déclaré dans leurs propres documents qu’il était nécessaire de le faire avec la Chine, en créant essentiellement le même système de manière parallèle et en collaboration, afin d’éviter une guerre mondiale, et c’est essentiellement ce qui se passe lors d’événements comme le Bloomberg New Economy Forum et d’autres choses de ce genre. Je ne sais pas si vous voulez que j’aille plus loin parce que je sais qu’il y a une limite de temps et que je dois partir dans 30 minutes.

3:09:03 Reiner Fuellmich :

Le système de crédit social, c’est une invention de qui ? Est-ce vraiment les Chinois ? Et quand je dis les Chinois, je veux dire, les dirigeants chinois, pas le peuple chinois. A-t-il été inventé par les dirigeants chinois, ou cela a été inventé en coopération avec la City de Londres et les intérêts financiers anglo -américains ?

3:09:28 Withney Webb :

Je n’ai jamais vraiment écrit sur l’origine de ce système. Donc je ne pense pas être la bonne personne pour parler de ça spécifiquement. Mais d’après ce que je comprends, il y a manifestement une sorte de système technocratique biométrique qui existe en Chine. Et évidemment, il a été développé par les dirigeants chinois, ou du moins avec leur bénédiction, et mis en œuvre par le gouvernement là-bas. Mais il convient de souligner également que depuis l’ouverture de la Chine, pendant l’ère Nixon, — qui a bien sûr impliqué Kissinger de manière assez intime, il y a eu beaucoup d’échanges entre les dirigeants chinois, bien qu’ils soient publiquement étiquetés communistes, avec les mêmes réseaux transnationaux de capitaux occidentaux. Et aussi, des négociations avec les dirigeants occidentaux qui, en fin de compte, ont leurs gouvernements essentiellement co -optés par ce même réseau transnational de capital.

3:10:29 Viviane Fischer :

Nous voyons quelqu’un comme Henry Kissinger surgir, encore et encore. Cela a-t-il changé entre -temps ? Il ne s’agit plus tellement de figures individuelles, mais plutôt d’un réseau de personnes qui se connectent entre ces différents domaines d’intérêt ?

3:10:50 Withney Webb :

Bien sûr, je pense que Kissinger est définitivement en voie de disparition, à cause de son âge, et ce depuis un certain temps. Il y a donc beaucoup de personnes qu’il a encadrées, en particulier lorsqu’il enseignait à Harvard, qui sont devenues la nouvelle génération de Kissinger, avec Klaus Schwab, qui en est fièrement l’exemple principal.

Je vois que Matthew a commenté, et il est probablement plus qualifié pour parler de certaines de ces choses que moi, car j’avais l’impression qu’il allait parler de Dark Winter et de l’Anthrax, mais je peux continuer à parler de cela si vous préférez.

3:11:32 Matthew Ehret :

Si vous voulez parler de Dark Winter et de l’Anthrax, vous devriez le faire. Je pensais que la présentation était terminée.

3:11:38 Reiner Fuellmich :

Non, non, non. Avez-vous une réponse à cette question : quel est le rôle de la Chine dans tout cela, Matthew ?

3:11:48 Matthew Ehret :

Oui j’en ai une, mais c’est assez long. J’allais juste demander, est-ce que vous êtes au courant que Soros s’est fait virer en 89 lors de l’éviction de Zhao Ziyang ? Et le Club de Rome en Chine ?

3:12:00 Reiner Fuellmich :

Non je ne le savais pas.

3:12:04 Matthew Ehret :

Zhao Ziyang… Je peux peut-être intervenir une minute, mais je ne veux pas du tout empiéter sur le temps de Whitney, Zhao Ziyang est l’homme de Soros en Chine, il était surnommé « le Gorbatchev de la Chine ». Il a dirigé le parti communiste chinois pendant deux ans en 87 -88 et 89, et il a d’ailleurs dirigé un groupe de réflexion avec Soros. Il a fait venir Alvin Toffler, le transhumaniste, il a appelé à la quatrième révolution industrielle et a fait venir le Club de Rome et ses modèles informatiques pour gérer la politique de l’enfant unique en 79 et 80. C’était l’un de ses principaux collaborateurs. Et durant toutes les années 80, un effort a été engagé pour obtenir un processus de perestroïka à la Eltsine en Chine, ce qui se passait en Russie pour privatiser tout leur système bancaire et apporter les technocrates, Milton Friedman et tout le reste. Mais il a été évincé parce qu’il y a eu un coup d’état en 89 qu’il était censé diriger. La CIA et le MI6 ont publié un article à ce sujet, mais il est utile de se pencher sur ces anomalies, par exemple pourquoi Soros n’a-t-il pas été autorisé à opérer en Chine au cours des 30 dernières années, alors qu’il dirige l’Occident ?

3:12:58 Reiner Fuellmich :

Oui, pourquoi cela ?

3:13:01 Matthew Ehret :

Oui, c’est toute une histoire. Je pourrais en parler plus tard. Whitney est brillante, je ne veux pas rendre sa place.

3:13:07 Reiner Fuellmich :

Essayez de nous donner les bases de tout cela.

3:13:11 Matthew Ehret :

Très bien, pour l’essentiel je pense que c’est très lié à ce contre quoi Gutierrez a mis en garde quand il a dit que deux paradigmes opposés différents émergent autour de la géopolitique de l’IA, l’année dernière, ou même pas, c’était en novembre dernier. Mais jusqu’en 2010-2011, Soros disait encore que la Chine était le modèle à suivre parce qu’ils aiment le crédit social, ils aiment les contrôles technocratiques, les contrôles centralisés, ils aiment ces choses, les transhumanistes « Borgs » de l’Occident, ils adorent ça. Ils n’aiment pas l’utilisation réelle du crédit national, car la Chine n’a jamais privatisé sa banque centrale. Et ils n’aiment pas non plus le développement d’infrastructures à grande échelle, le train à grande vitesse, toutes ces choses qui ont sorti les gens de la pauvreté, environ un milliard de personnes, en à peine 20 ans. Ils détestent l’idée qu’un État-nation détermine leur destin économique. Donc il y a une opposition sur le fait que l’IA ne disparaîtra pas, beaucoup de ces choses ne disparaîtront pas. Et la Chine a été pénétrée par des colonnes de l’État profond, comme des cinquièmes colonnes, pendant longtemps, qu’elle a essayé d’éliminer. Jack Ma est un excellent exemple. C’est un administrateur du Forum Economique Mondial, qui a appelé au renversement, en résumé, à un changement de régime économique en Chine l’année dernière. Et il a plus ou moins été évincé, c’est comme s’il avait été totalement dépouillé de son pouvoir. Vous avez donc la preuve de ces luttes, en particulier avec la clique de milliardaires de Shanghai qui s’est alliée aux listes libérales occidentales. La Russie fait de même. Ils ont leurs propres cinquièmes colonnes autour de leur banque centrale libérale, privatisée et en lien avec l’Occident, qui est liée à beaucoup de ces réseaux pharmaceutiques à l’intérieur de la Russie. Donc il y a des combats qui se déroulent un peu partout. Mais je pense que l’encerclement militaire de la Chine et de la Russie est une question sérieuse à laquelle les gens devraient réfléchir. C’est comme s’il y avait quelque chose qui effrayait l’oligarchie au point qu’ils étaient… je ne sais pas ce que vous pensez de ça, comme pourquoi mettraient-ils tant d’efforts pour procéder à cet endiguement total, cette domination totale de la Chine et de la Russie ?

3:15:09 Reiner Fuellmich :

Whitney, James Bush est avec nous et il va nous donner les détails de l’opération Dark Winter, l’opération Lockstep des Rockefeller et l’Event 201. Mais si vous pouviez nous présenter cela, ce sera probablement très utile.

3:15:28 Withney Webb :

Eh bien, j’allais parler de quelque chose qui est probablement un peu différent, plus de l’importance de Dark Winter, certains des parallèles entre 2001 et certaines des figures qui étaient derrière le COVID et l’Anthrax, ont en commun des choses comme ça. Je vais donc être assez brève.

Je vais le laisser, puisqu’il est là, parler de Dark Winter en détail. Mais pour ceux qui ne le savent pas, il s’agissait d’une simulation d’une épidémie de variole, mais elle incluait également la menace potentielle d’une attaque à l’Anthrax, elle prévoyait des parties importantes de ce qui deviendrait le récit du 11 septembre 2001, les personnes qui ont participé à cet exercice immédiatement après le 11 septembre ont montré une apparente prescience de ces attaques, les attaques à l’Anthrax qui ont suivi peu après. Nous avons donc, bien sûr, la simulation précédant l’Event 201, nous l’avons aussi. Il y a aussi Crimson Contagion, que Debbie a mentionnée, il y a quelques instants.

Et c’est significatif parce que la personne qui a prononcé le nom de Dark Winter dans l’exercice, Robert Kadlec, le secrétaire adjoint du HHS pour la préparation et la réponse sous l’administration Trump, il a dirigé cet exercice Crimson Contagion en 2019. Après les attaques à l’Anthrax de 2001, il a assumé beaucoup de pouvoir et a essentiellement construit ce poste de secrétaire adjoint pendant un peu moins de 20 ans, et puis il l’a occupé juste au moment où le COVID a eu lieu. Quelle coïncidence. Mais Crimson Contagion est importante car elle n’a pas duré que quelques jours, comme l’Event 201 ou Dark Winter, cela a duré de janvier 2019 à août 2019. Et elle a impliqué une coopération public-privé, elle s’est produite au niveau fédéral, au niveau régional, au niveau local, au niveau municipal, c’était très étendu. Et aussi, on pourrait dire, dans un sens, que c’est un peu plus prédictif que ce qui est arrivé plus tard comme l’Event 201, dans le sens où il se concentrait sur l’apparition d’une pandémie de grippe en Chine, alors que l’Event 201 avait lieu en Amérique du Sud.

Mais l’Event 201 et Dark Winter ont des liens très importants. Principalement, les personnes impliquées dans ces deux événements, comme Thomas Inglesby, avaient des liens avec des organisations comme l’Institute for Homeland Security, créé à la fin des années 90, qui était intimement lié à la CIA, et d’autres institutions qui avaient également des liens avec les services de renseignement.

Au-delà des points communs entre ces deux simulations, entre les attaques à l’Anthrax et le COVID, il y a le spectre de la recherche sur les gains de fonction qui est très présent. Ainsi, dans le cas de l’Anthrax, en 1997, le Pentagone a élaboré des plans pour créer génétiquement une variété plus puissante d’Anthrax, soit-disant parce qu’un scientifique russe avait prétendu avoir créé une souche d’Anthrax résistante au vaccin standard contre l’Anthrax et aux études sur les animaux, mais pas nécessairement dans un but de guerre biologique ou de défense biologique, mais le Pentagone s’en est servi pour justifier ces expériences de gain de fonction.

À la même époque, en 1997, la CIA a également commencé à mener des expériences de gain de fonction sur l’Anthrax. Et ces expériences se déroulaient dans une installation appelée Battelle, située à West Jefferson, dans l’Ohio, qui a actuellement des liens avec la fondation Leslie Wexner pour les personnes qui connaissant son rôle dans le réseau Epstein, mais qui est aussi un sous -traitant de la CIA et de l’armée. Je ne vais pas entrer dans les détails extrêmes sur ce sujet. Mais essentiellement un atout de la CIA à l’époque, un transfuge du programme d’armes biologiques et de défense biologique de l’Union soviétique, Ken Alibek, était le directeur de programme pour ces études de gain de fonction à Battelle, et lui et un autre personnage du nom de William Patrick, qui n’était pas initialement suspecté des attaques mais qui a ensuite été ajouté à l’enquête, il a couvert ces attaques, ils étaient essentiellement les personnes dirigeant ce gain de fonction. Et la plupart des gens qui se penchent sur les attaques à l’Anthrax et qui savent que Bruce Ivens n’était pas un loup solitaire et sont conscients de l’inexactitude de la narration, y compris plusieurs procureurs américains qu’a eu Ivens à l’époque, qui se sont suicidés très prématurément, croient que Battelle était responsable et tous les chercheurs sérieux sur l’Anthrax de 2001 que je connais, pensent que Battelle était le site de l’Anthrax qui a été utilisé dans les attaques.

Passons à un autre parallèle : les solutions de biosurveillance. C’est sans doute l’une des plus importantes dans le contexte de ce dont nous avons parlé aujourd’hui.

Donc, après les attaques à l’Anthrax, et aussi le 11 septembre, il y a eu une poussée pour créer un système au sein de la DARPA, appelé « la conscience totale de l’information ». L’un de ces programmes s’appelait le programme de biosurveillance, qui visait à développer, je cite « les technologies de l’information nécessaires et les prototypes qui en résultent, capables de détecter automatiquement la libération couverte d’un agent pathogène biologique ». Et cela serait accompli par la surveillance de sources de données non traditionnelles, de données médicales pré-diagnostiques et d’indicateurs comportementaux obtenus à partir de données civiles, essentiellement. Même s’ils prétendaient se concentrer sur les attaques bioterroristes, ils voulaient acquérir des capacités de détection précoce pour toute sorte d’épidémie normale, qui seraient ensuite automatisées, avec certains, je suppose les précurseurs des algorithmes d’intelligence artificielle d’aujourd’hui. Et ils voulaient en gros un programme d’exploration massive de données. C’était essentiellement le but de cela.

3:21:36

« La connaissance totale de l’information » a été rejetée par le Congrès parce qu’il a été souligné avec précision qu’elle éliminerait entièrement les libertés civiles pour les Américains, et que le droit à la vie privée n’existerait plus, donc il a été mis au rebut. Mais les architectes de « la connaissance totale de l’information », y compris la figure néoconservatrice Richard Perle, ont travaillé main dans la main avec Peter Thiel et Alex Karp pour créer Palantir, qui est le successeur privé de « la connaissance totale de l’information », « la connaissance totale de l’information » ayant été un partenariat public-privé avec l’armée américaine. Mais Palantir n’était pas tellement impliqué avec les militaires après sa création, il était plus intimement impliqué avec la CIA, la CIA pouvait les aider à créer leur produit et la CIA était leur seul client de 2005 à 2008.

Certains aspects du Programme de « connaissance totale de l’information », qui a été supprimé, comme le programme de biosurveillance, ont été ressuscités à l’époque du COVID sous la direction de personnes comme Robert Kadlec, comme la surveillance des systèmes d’eaux usées, pour détecter les épidémies, tout cela avait été planifié à cette époque. Et ce n’est pas une coïncidence si toutes ces données, de nos jours, dans cette ère COVID particulière, — si vous voulez l’appeler ainsi, sont introduites dans une base de données gérée par Palantir. Et le Royaume-Uni, le NHS, les données COVID sont gérées par Palantir aussi. C’est donc une sorte de grille de contrôle anglo-américaine de la connaissance totale de l’information, qui est apparue dans Palantir et qui ne reçoit certainement pas l’attention qu’elle mérite, mais ses origines remontent à cette période particulière en 2001, chez ceux qui l’ont mis en place il y a de nombreux acteurs qui reviennent. Il faut aussi souligner que Peter Thiel est un important bailleur de fonds des médias de droite, y compris dans la sphère des médias alternatifs. — Je vais laisser cela de côté, car c’est pour une autre fois. —La dernière chose que je veux souligner, c’est que la situation de l’Anthrax et ce qui se passe avec le COVID-19 est le sauvetage fortuit de sociétés de vaccins en péril ayant des liens profonds avec l’armée américaine.

Donc le premier serait Bioport, qui est aujourd’hui Emergent Biosolutions. Ils ont changé son nom en 2004 à cause de la controverse autour de leur vaccin contre l’Anthrax, sur lequel ils avaient le monopole de la production et de la vente dans l’armée américaine, ce même réseau responsable des attaques à l’Anthrax a mandaté l’utilisation du vaccin contre l’Anthrax pour les troupes américaines.

Il a fini par provoquer ce que l’on appelle souvent le syndrome de la guerre du Golfe et toute une série d’effets indésirables. Et ils ont été renfloués par le Pentagone plusieurs fois parce que leurs usines ont été fermées à plusieurs reprises en raison de violations des règles de sécurité et de santé, entre autres choses, et ils n’ont pas utilisé l’argent pour réparer ces usines. Ils utilisaient les primes pour les cadres et les réaménagements des bureaux des cadres, entre autres choses, ce qui est tout à fait typique dans ces milieux, semble-t-il.

3:24:45

Mais quoi qu’il en soit, ils se sont associés à Battelle à la fin de l’année 2000. Comme je l’ai mentionné, Battelle effectuait ce gain de fonction pour le Pentagone et la CIA à l’époque, et ces recherches sont entrées dans une nouvelle phase lorsque ce partenariat a commencé, car elles concernaient directement le vaccin contre l’anthrax.

En septembre 2001, le Pentagone allait publier un rapport sur la manière de poursuivre son programme de vaccination obligatoire contre l’Anthrax sans cette société, et le 11 septembre 2001 a fait dérailler ce projet, car l’aile administrative qui travaillait sur ce rapport a été frappée par un avion le 11 septembre 2001, alors qu’elle menait cette enquête, et Donald Rumsfeld a décidé de sauver ce programme.

Et les préoccupations qui ont été entendues au Congrès et dans tout le système politique américain, au niveau national à l’époque au sujet de ce produit vaccinal particulier ont disparu dans la panique des attaques à l’Anthrax, et elles ont été remplacées par des appels non seulement à rendre la campagne de vaccination obligatoire pour l’armée, mais aussi pour les services de secours, pour les enseignants, les pompiers, les policiers, et ainsi de suite.

Et, bien sûr, aujourd’hui le point commun de ce genre d’entrepris est Moderna. Ils ont même admis maintenant qu’ils étaient sur le point de s’effondrer, s’il n’y avait pas eu l’arrivée du COVID-19 au moment précis où il est arrivé.

Je tiens à souligner que un mois ou deux de différence et ils auraient totalement fait faillite. Et bien sûr, Moderna a des liens très étroits avec l’armée américaine, plus précisément avec la DARPA, qui les finance depuis 2012, je crois. Pour plus d’informations sur ces choses là, vous pouvez aller sur mon site web, unlimitedhangout.com et regarder la série d’enquêtes, « l’Ingénierie de la contagion » sur la question de l’Anthrax. Et puis j’en ai une appelée Moderna, sur Moderna. J’ai oublié le nom exact de la série, je crois qu’elle s’appelle « Moderna obtient son miracle » ou quelque chose comme ça pour le COVID-19.

Je vais m’arrêter là, car il me reste 10 minutes au cas où vous voudriez poser des questions sur un autre sujet.

3:26:53 Viviane Fischer :

Une petite question sur Emergent Biosolutions, ils sont impliqués dans la production des vaccins maintenant, est-ce exact ?

3:27:02 Whitney Webb :

Oui, eh bien, à l’origine, ils étaient, je pense qu’après avoir produit, je crois six… un nombre très important de doses pour le vaccin Johnson & Johnson qui ont été jugées contaminées et inutilisables, je pense qu’ils sont passés à la trappe. Mais il est intéressant de souligner que Robert Kadlec, que j’ai mentionné plus tôt, a des liens profonds et de longue date avec cette société et a en fait fondé une société distincte avec le fondateur d’Emergent Biosolutions. Et même le Washington Post, a été forcé d’admettre qu’il a fait preuve de favoritisme dans l’attribution des contrats pour le COVID-19.

Donc, malgré leurs antécédents vraiment épouvantables, et même des plaintes au sein du système, ils ont obtenu des contrats pour produire des vaccins. Je ne me souviens plus exactement quelles étaient les entreprises concernées, mais le vaccin de Johnson & Johnson en faisait partie, et ils ont été très critiquées.

Donc je ne suis pas sûre qu’ils en fabriquent encore. Mais je dirais que certaines de ces entreprises d’ARNm, en particulier Moderna, ont maintenant décidé d’utiliser une nouvelle entreprise créée à l’époque du COVID, appelée « Resilience », pour produire leur ARN spécifiquement pour leur vaccin. Il y a des personnes de la Fondation Bill et Melinda Gates, de la FDA, du conseil d’administration de Pfizer, un membre de la Commission du 11 septembre, le directeur d’In-Q-Tel, la société de capital-risque de la CIA, entre autres groupes, qui fabriquent leurs produits, et cette entreprise a été créée en novembre 2020. Et ils espèrent produire de l’ARNm pour les États-Unis et au Canada.

3:28:45 Viviane Fischer :

Il semble qu’il y ait des luttes internes, mais tous ces intérêts différents tirent dans la même direction. Mais il n’est pas clair qui va faire le, qui va être le leader de la meute.

3:29:00 Whitney Webb :

Oui. Je pense que les querelles internes sont plus liées au processus qu’à l’agenda général.

3:29:16 Reiner Fuellmich :

Les deux sociétés d’ARNm, Moderna et BioN’Tech, qui sont utilisées par Pfizer, ont toutes deux été soumises à une forte pression récemment. Le prix de leurs actions s’est plus ou moins effondré. Cela est dû au fait qu’une décision prise aux États-Unis, oblige Pfizer à déclassifier plus ou moins les documents qu’elle voulait cacher au public, et que, tout d’un coup, — il y a une interview récente d’un banquier d’affaires du nom d’Ed Dowd l’explique en détail, tout d’un coup lorsque les gens voient ce qui se passe réellement, ils décident de vendre leurs actions. Le sauvetage semble donc ne pas avoir vraiment fonctionné. Mais c’est seulement parce que d’autres personnes ont exposé ce qui se passe réellement.

3:30:14 Whitney Webb :

Exact, et je ne pense pas qu’ils l’aient vraiment prévu…

3:30:21 Reiner Fuellmich :

Cela prouve le point de Matthews, ils n’ont pas vraiment tout sous contrôle.

3:30:25 Whitney Webb :

Oui, je suis d’accord avec ça aussi. Et je pense que c’est la raison pour laquelle nous les voyons, par exemple, dans divers pays, en particulier les pays occidentaux, lever les restrictions pour le moment, comme l’a dit Leana Wen, l’experte médicale de CNN, afin que la confiance du public puisse être restaurée. Nous pouvons donc utiliser ces mesures, encore une fois, à l’avenir, pour une « deuxième pandémie », ou une sorte d’événement dans cet genre.

Et si vous regardez le Forum Economique Mondial depuis l’année dernière, leur thème principal pour l’année dernière était de rétablir la confiance avec le public. C’est donc quelque chose qui les préoccupe vraiment, le manque de confiance du public envers les élites. Mais je pense qu’ils sont encore dans cet état d’esprit, « eh bien, même s’ils commencent à ne plus nous faire confiance en masse, qu’allons-nous faire à ce sujet ? »

Je pense que c’est essentiellement de ça qu’il s’agit, mais je pense qu’ils prévoient aussi d’essayer d’intensifier différentes choses qui ne sont pas forcément le COVID au fur et à mesure que ce récit particulier s’effrite, pour essayer de garder les gens divisés, distraits et confus par la masse d’informations qui sortent tout le temps. Ce qui est, comme je l’ai déjà expliqué, une sorte de PsyOp, c’est le côté opération psychologique de ce qui se passe.

3:31:47 Reiner Fuellmich :

Ok, bon, y a-t-il d’autres questions de votre part, Virginie, ou Dexter, ou Ana ? Ou Dipali ?

3:32:00 Dexter Ryneveldt :

Pas de questions de ma part. Merci beaucoup. Mrs. Webb

3:32:05 Reiner Fuellmich :

Oui, merci beaucoup. Merci beaucoup. Et nous allons maintenant… Allez-y s’il vous plaît.

3:32:12 Viviane Fischer :

Oui, nous allons maintenant insérer quelques témoins, parce que, vous savez, nous le devons, — pour les archives, et pour que le public voit que nous savons ce qui se passe vraiment. Et c’est tellement fou, ce que nous avons vécu au cours de ces deux années que nous semblons parfois oublier, ce que nous avions, ce que nous pensions être la façon normale dont les choses seraient traitées, que vous pouviez choisir sans être trompés, si vous vouliez avoir un traitement médical, ou si vous vouliez protester contre quelque chose comme, sans avoir affaire à la police et ainsi de suite.

Et donc nous avons préparé, je pense que c’est deux vidéos. Et nous avons deux témoins, un en direct ici avec nous, et un autre dans le zoom. Et je voudrais commencer à vous montrer ce que nous avons vécu, lorsque nous avons appris par un lanceur d’alerte que dans une maison de retraite ici à Berlin, qu’une certaine vaccination allait avoir lieu, je pense que c’était un dimanche, et les flacons étaient fournis, ou du moins amenés par des soldats.

Et donc lorsque les personnes âgées ont été confrontées à des soldats, quand ils ont travaillé avec les médecins pour faire le vaccin, et certains, une personne n’était pas vraiment volontaire pour l’accepter. Je veux dire, — c’était dans la « section démence » de cette maison de retraite, et certains d’entre eux n’étaient manifestement pas en mesure de signer les papiers eux-mêmes. Mais il faut quand même respecter une sorte de volonté naturelle, ils doivent exprimer s’ils veulent être traités ou non.

Nous allons donc voir cela. Nous avons donc eu un dénonciateur qui nous a parlé de cet incident, et ce qui s’est passé ensuite, c’est que sur ces 31 personnes qui ont été vaccinées, huit sont décédées assez rapidement après la vaccination, dans les quelques semainesqui ont suivi, et je pense que la dernière personne qui est morte, c’était deux ou trois mois plus tard, et ils étaient vraiment en bonne forme, c’était…

3:34:47 Reiner Fuellmich :

Avant le vaccin.

3:34:50 Viviane Fischer :

Avant la vaccination, c’était la section où ils pouvaient se promener librement, et certains faisaient du jogging tous les jours, quelqu’un jouait du piano. Et donc, ils chantaient des chansons la nuit précédente. Et puis déjà le soir, certains d’entre eux avaient de sérieux problèmes.

Et ce qui est également intéressant à ce sujet, c’est que plus tard, nous avons pris contact avec la police, et j’ai personnellement désposé une accusation criminelle, une plainte, et je leur ai demandé, — parce que des deux personnes qui sont décédées, les dernières, les corps étaient encore aux pompes funèbres. Donc, nous avons informé la police et ous leur avons qu’ils devraient enquêter à ce sujet avec le procureur de district. Et ils nous ont envoyé une lettre disant qu’ils ne voyaient rien de suspect, et qu’ils ne pouvaient pas commencer à enquêter. Vous savez, je pense que c’est particulier. Et donc après que nous ayons fait l’interview du lanceur d’alerte, un deuxième lanceur d’alerte, s’est présenté et a fourni quelques images que vous pouvez voir maintenant.

3:36:09 Reiner Fuellmich :

C’est pour illustrer ce dont nous parlons vraiment. Parce qu’aujourd’hui, ce soir, nous avons parlé de la préparation de ce qui se passe réellement, et maintenant nous examinons les conséquences. Parce que je pense qu’il est important pour nous et pour le jury de comprendre que nous ne parlons pas seulement de jeux non pertinents qui sont joués, de jeux de pouvoir, mais que ces jeux ont des conséquences très graves. Et c’est ce que ce clip vidéo illustre très clairement.

3:36:45 Vidéo #1 — Sous-titrage

De l’armée. Le médecin de la maison est toujours présent… et des aides-soignants. Donc un groupe de trois : un soignant, un médecin et un soldat. Quel rôle jouent les soldats ? Personne qui travaille dans les soins infirmiers… avec les malades mentaux ou physiques, ou la démence ne peut me dire… que la force n’est pas utilisée … à la fois mentalement et physiquement… Non, personne n’a rien dit, mais mon impression était… que les soldats… étaient là pour garder le vaccin. Et après, il était très clair pour moi… que c’était pour envoyer une « déclaration » aux personnes âgées. Parce que vous pouviez sentir… l’atmosphère d’intimidation. On ne reconnaissait pas nos résidents. Ce n’étaient pas les mêmes vieux résidents… qui faisaient librement… ce qu’ils font instinctivement. mais assis… et étaient complètement silencieux et immobiles. Comment ont-ils montré cette peur ? Pouvaient-ils la verbaliser ? Vous pouviez le voir… à partir de leur comportement différent. Ils étaient très intimidés, très calmes, très renfermés, ils ne sont pas encore prêts à mourir. Leurs yeux sont ouverts. Ils sont agités. Ce fort tremblement… modifie leur respiration. La pâleur de leur visage est très différente. Ils sont très déstabilisés, avec cette secousse. Et cette fois, comme dit : Ce tremblement constant du haut du corps… ce tremblement, avec lequel je ne suis pas familier… dans cette situation non plus… qui s’est produit avec beaucoup… C’est la force physique et psychologique, également pour le test PCR. C’est une violence appliquée qui est utilisée… pour faire ces procédures. Aussi cette vaccination… c’est de la violence, violence physique et mentale. Ils passent tout simplement à travers. Et pour les résidents ? Exactement la même chose. Intimidation totale. Je crois que c’était aussi cette dynamique de groupe. Ces quatre personnes au même endroit… et soudain, voyant ces sauvages étrangers… Ils étaient tous intimidés… Une résidente, elle avait montré des signes de résistance… comme nous le savons déjà d’elle. Quand il n’y avait que trois personnes dans la pièce, on remarque immédiatement que la situation est différente. Clairement, ils viennent vous voir dans votre lit. Mais vous pouvez dire…

3:38:55 Reiner Fuellmich :

Donc ça montre que… ce que vous avez dit Brian, ils tuent des gens. Ils ne tuent pas des gens en théorie, ils tuent des gens dans la vie réelle. Une des personnes que nous avons vu dans cette vidéo, qui a été filmée avec une caméra cachée est morte, le vieil homme en pyjama est mort.

C’est donc de cela qu’il s’agit. Il y a des conséquences réelles. En conséquence de ces soi-disant jeux de pouvoir, il s’agit en fait de contrôle. Et il s’agit en fait de réduire la population. Comme l’illustre clairement ce court clip vidéo, et ce n’est qu’un exemple. Il existe de nombreux autres exemples de ce type. Nous avons obtenu de nombreuses informations de maisons de retraite similaires où la même chose s’est produite.

Cet exemple est particulièrement impressionnant pour nous, car il se déroule ici même à Berlin. 31 personnes ont été vaccinées et en l’espace de deux semaines environ, huit d’entre elles étaient décédées, 11 autres avaient développé des symptômes très graves. Nous ne savons pas ce qui leur est arrivé, mais ces huit personnes décédées, l’une d’entre elles, comme l’a mentionné Viviane, jouait du piano la veille de sa vaccination, une autre était un coureur et il courait la veille de son injection. C’est de cela qu’il s’agit vraiment.

3:40:34 Viviane Fischer :

Oui, alors maintenant, nous avons un autre clip vidéo que nous allons voir. Il s’agit d’une petite manifestation, comme une veillée, qui a eu lieu pendant, — je pense que le témoin va nous le dire dans une seconde, plusieurs jours, 60 -62 jours, et c’était le dernier jour où il y avait soi-disant une petite réunion. Mais c’était un petit événement et vous serez surpris par le nombre de policiers par rapport à la taille de l’événement que vous allez voir et par la dureté avec laquelle ils y ont mis fin. Je pense que nous allons d’abord montrer le clip et ensuite nous allons parler à Roman Mironov.

Vidéo #2 —En allemand

3:41:28

3:41:41 : — Nos enfants vaccinés n’ont pas    de protection

3:41:48 : Nos enfants n’ont que nous et…

3:41:54 : — Attention, Attention, la Police vous parle, s’il vous plaît, pour votre compréhension

3:42:03 : — Je dois parler

Chers messieurs, laissez tomber votre vieille culpabilité, laissez tomber votre matérialisme

3:42:10 : laisser tomber et donne-leur de voir leur foyer

3:42:17 : — Cela signifie que votre manifestation doit s’arrêter, vous devez vous diriger direction Gare Centrale

3:42:23 : Je répète, en raison du non-respect des mesures sanitaires…

3:42:38 Viviane Fischer :

Vous pouvez voir à quel point c’est disproportionné par rapport à ce qui se passe, il n’y avait même pas de « normes sanitaires » qui sont enfreintes. Et à une époque antérieure, nous aurions pensé que c’était un événement normal. Mais peut-être que nous allons juste parler à Roman Mironov.

Reiner Fuellmich :

Roman, que s’est-il passé ?

3:43:07 Roman Mironov :

Je ne parle pas très bien anglais, alors je vais devoir parler en allemand.

3:43:15 Viviane Fischer  :

En quelques mots, pouvez-vous nous expliquer que vous aviez fait cette démonstration 60 fois et pourquoi elle s’est terminée de cette façon.

3:43:30 Roman Mironov :

Exactement, j’avais organisé une veillée devant le bureau du chancelier parce que les manifestations n’étaient plus possibles à Berlin, parce que ça a toujours dégénéré en violence policière, et donc j’ai organisé une veillée parce qu’avec quelques personnes juste devant le bureau du chancelier, la police ne peut pas déborder aussi facilement et nous avons fait ça sur une période de plus de deux mois. Et très fréquemment il y avait des médias avec nous et ils nous écrivaient, et ils n’ont jamais fait de reportage sur nous, ils étaient juste là parce qu’il se passait quelque chose au bureau du chancelier. L’un d’entre nous s’était inscrit au bureau du Chancelier et le dernier jour, le 1er juin, était la Journée mondiale de l’enfance. Nous avons résisté là-bas. Nous n’avons pas mis de masque, c’est le moindre niveau de résistance que l’on puisse offrir, et bien sûr, ça a dégénéré et notre assemblée a été dissoute.

3:44:30 Viviane Fischer :

Nous allons avoir d’autres exemples mais je résume rapidement, deux mois après la Malwacher, à un moment où, de toute façon, il ne devait pas se tenir de manifestation importante, c’était une manifestation qui était directement liée aux enfants.

Et en fait, il y avait beaucoup de médias habituellement là et mais ils n’ont jamais parlé de cette manifestation parce qu’ils voulaient la garder sous le tapis, ne pas en parler. La seule chose qui n’a pas été respectée, c’est qu’à l’extérieur, il fallait porter des masques, même si les gens gardaient leurs distances. Et donc vous pouvez voir que la police a immédiatement décidé de tuer cette petite manifestation ou cette petite protestation à ce moment-là.

Donc Roman, merci beaucoup pour votre déclaration et pour avoir partagé cette expérience avec nous. Oui, maintenant nous avons…

3:46:05 Reiner Fuellmich

C’est maintenant à James Bush.

3:46:12 Viviane Fischer :

Puis nous continuerons avec d’autres exemples à l’avenir.

3:46:17 Reiner Fuellmich :

Oui. Maintenant, James, vous avez attendu pendant un certain temps, mais nous sommes très intéressés à entendre parler de l’opération Dark Winter, la simulation Lockstep des Rockefeller et l’Event 201.

3:46:45 James Bush :

Ok. Je suis absolument sidéré par tout ce que j’ai entendu aujourd’hui, et par l’intelligence et l’expérience de l’équipe qui produit ceci, alors je voulais tous vous remercier.

Mon passif est très simple. J’ai pris ma retraite après 20 ans dans le Corps des Marines des États-Unis en tant que Lieutenant Colonel. J’étais un officier d’infanterie, un officier de reconnaissance des forces. Puis je suis devenu ingénieur et j’ai travaillé pour la société Honeywell en tant qu’ingénieur de guidage de lancement pour le programme Shuttle. Puis je suis devenu ingénieur des opérations spéciales pour les environnements spéciaux et les systèmes mécaniques. J’étais le responsable de l’ingénierie et le gestionnaire du North Colorado Medical Center pour le Centre de recherche sur les maladies infectieuses de l’Université d’État du Colorado. Et pour le centre de recherche sur les vecteurs du Centre de contrôle des maladies du Colorado, Fort Collins. Mon intérêt pour ce sujet a été éveillé bien avant que je ne sois au courant de ce qui se passe aujourd’hui, je travaillais pour Hewlett Packard. Dans le cadre de mes fonctions d’ingénieur, j’étais le responsable de la biosécurité pour les Rocheuses de l’Ouest et j’ai été invité à participer à un programme appelé Dark Winter à Oklahoma City en juin 2001. Et à ce stade, je ne suis pas sûr de savoir comment… je vais partager mon écran et je vais afficher une présentation assez rapide et je suis sincère, c’est plus rapide que les autres.

C’est le résumé de qui je suis, je l’ai déjà parcouru avec vous. J’ai un Master en ingénierie mécanique, un Bachelor en épidémiologie.

Voici Dark Winter, vous en avez entendu parler et vous le savez peut-être déjà, mais c’était ostensiblement un programme soutenu par le gouvernement et des organisations privées les 22 et 23 juin 2001 à la base aérienne d’Andrews à Oklahoma City.

Vous trouvez également ANSER Homeland Security et CSIS. L’Oklahoma National Memorial Center pour la biodéfense civile, ce sont des organisations qui ont été les précurseurs de tous les éléments nécessaires à la création d’un système d’armes biologiques aux États-Unis.

Donc Dark Winter, ces diapositives que vous allez voir ne sont qu’une très, très petite partie d’un jeu de diapositives qui a été généré pendant cette présentation. Et ce n’était pas une présentation. Ce n’était pas une véritable étude, ils nous ont appelé pour étudier cela. Mais en fait, quand nous sommes arrivés, ils ont dit : « Ok, voici ce que nous faisons, asseyez-vous et regardez et voici les conclusions auxquelles nous sommes parvenus. S’il vous plaît, ramenez ceci dans vos entreprises, dans vos organisations et partagez le avec elles. » Parce que le gouvernement contrôlait totalement la procédure.

Il s’agissait d’un exercice conçu pour simuler la réaction possible à une introduction délibérée de la variole dans trois États en 2002.

Dark Winter a été développé en tant que programme par les Centers for Strategic and International Studies, et le Johns Hopkins Center et l’ANSER pour la sécurité intérieure, et je crois que vous avez tous déjà entendu ces noms, vous allez continuer à les entendre au cours de ce processus d’analyse de ce qui arrive à notre pays.

L’ANSER Institute for Homeland Security a finalement été converti en un cabinet ministériel financé au niveau national, appelé Homeland Security.

Les participants clés, nous allons vous montrer qui ils sont, quels sont les objectifs. A l’origine c’était un scénario. Donc notre gouvernement, comme vous le savez, et beaucoup de gouvernements aiment vraiment les scénarios, ils aiment bien, « Et si on faisait ça ? Et si ça arrivait ? Quelles seraient les prochaines étapes ? »

C’était censé être une étude de scénario, mais il faut connaître les personnages qui jouent ce rôle. Nous sommes en 2001, et certaines des personnes les plus importantes du gouvernement et de la défense des États-Unis d’Amérique ont pris leur congé pour aller à Oklahoma City, et ont posé la question, que se passe-t-il si on est frappé par la variole ? Et la variole est clairement définie par toutes les organisations, l’Organisation Mondiale de la Santé, le CDC, la FEMA, tout le monde dit que c’est une maladie pandémique parce qu’elle a un taux de mortalité d’environ 32 à 33 %.

3:52:21

Par opposition au coronavirus, qui, selon la personne à laquelle on s’adresse aujourd’hui, représente peut-être 0,01 % ou 0,02 %. Ils ont donc utilisé une véritable maladie pandémique pour voir ce qui se passerait, mais les personnes qui sont venues étaient Sam Nunn, le sénateur américain, Frank Keating, il était le gouverneur de l’Oklahoma, le conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, le directeur de la CIA des États-Unis, le secrétaire à la Défense John White, le président de l’armée américaine, le chef d’état-major, le général John Tilelli, le secrétaire d’État des États-Unis Frank Wisner, la secrétaire à la santé et aux services sociaux Margaret Hamburg, le procureur général George Terwilliger, le directeur de la FEMA, Jerry Hauer, et le directeur du FBI.

Maintenant, et je suis sûr que ce type d’assemblage de personnes a été formé auparavant. Mais je ne pense pas que dans l’histoire des États-Unis, ils soient jamais venus à une réunion comme celle-ci, ont créé un document, ont créé un scénario et ont ensuite disparu, parce que dans les deux ou trois jours suivant la fin de ce programme, certains d’entre nous ont obtenu des copies réelles des diapositives. Et partout ailleurs ça a disparu, c’était sur internet pendant un moment, mais si vous vous souvenez, en 2001, internet n’était pas ce qu’il est aujourd’hui. Et il m’a fallu plusieurs années pour trouver cela sur Internet. En attendant, j’en avais une copie sur mon ordinateur. Et plus tard, lorsque je travaillais pour le centre de contrôle des maladies, le CDC, j’en parlais à divers chercheurs et leur demandais ce qu’ils en pensaient et ils ont tous en quelque sorte tourné le dos et sont partis. Ils ne voulaient pas parler de ce dont il s’agissait.

La question est donc de savoir ce qui se passerait si une attaque locale d’armes biologiques devait frapper l’Amérique avec un agent pathogène contagieux qui pourrait paralyser le pays, la réponse du gouvernement posera un énorme défi aux libertés civiles, le moins nous sommes préparés aux plus grandes menaces, plus il y aura de menaces sur les libertés civiles.

Donc, dans la documentation de départ, les premiers mots sont sur nos libertés civiles qu’ils vont prendre au cours de cet événement. Je vais donc rester sur cette page un moment et vous dire que pendant cette étude, qui a duré deux jours, nous sommes sortis tôt, parce que cette étude, quand nous sommes arrivés, ils avaient toutes sortes de diapositives, et je serai heureux de montrer ces diapositives à tous ceux qui veulent les voir. Mais les diapositives montrent vraiment le processus de réflexion, l’initiation d’un agenda, par lequel ils voulaient partager avec les gens dans la salle, et les gens dans la salle étaient des personnes issues de la science, de l’industrie et des affaires. Et ils nous disaient, comment cela va-t-il vous affecter ? Ils ont montré ce qui s’est passé après un jour, après six jours, après trois jours, combien de personnes sont malades, combien de personnes ont été blessées, combien de personnes sont mortes, et comment cela progresse.

Ce document a été fourni comme un moyen de créer deux ou trois choses. La première est un tutoriel sur la façon d’initier et d’obtenir les résultats que nous voulons d’une maladie pandémique. L’autre serait de savoir comment contrôler, quels seraient les résultats. Combien de personnes mourraient ? Comment s’occuper des inoculations ?

Il s’agissait d’une maladie connue, qui avait un taux de mortalité extraordinairement élevé. Et ils ont traduit cela dans la réalité et cela leur a donné l’opportunité de créer une ébauche, une amorce, un document qu’ils peuvent utiliser, lorsqu’il s’agit de créer une arme biologique, un événement pandémique de sécurité nationale.

C’est ce qu’ils ont fait. Et comme je l’ai dit, je serai heureux de partager le reste de ces documents. Ma présentation actuelle sur Dark Winter dure environ 2h30, parce que j’entre dans tous les détails de ce qu’est une installation de niveau de biosécurité 1, 2, 3 et 4, où elles se trouvent, comment elles sont utilisées et comment notre gouvernement et nos universités étudient cela. Mais il y a une richesse d’informations que ce diaporama et Reiner m’a demandé de rester relativement court.

Donc c’est le début. C’est la première étape, où notre gouvernement a engagé certaines des personnes les plus puissantes de notre administration pour mettre en avant ce concept. La suivante était l’opération Lockstep et l’opération Lockstep était ostensiblement faite par Ralph Emerson. Il n’arrêtait pas de faire référence à John D. Rockefeller.

Il était prétendu que c’était une approche en trois étapes pour un confinement permanent résultant en une dépopulation massive. J’ai fait d’importantes recherches sur ce sujet. Et l’Operation Lockstep était en fait un concept créé par des personnes faisant des recherches. Non seulement l’Operation Lockstep, mais aussi sur le livre de 54 pages de Ralph Emerson… Excusez-moi, Ralph Emerson a écrit le livre, The New World Order et il faisait 320 pages. Et l’information principale de toute cette Operation Lockstep vient de la page 18 de ce livre.

Il y avait deux éléments, l’Operation Lockstep a été créée par des informations provenant de l’agenda du New World Order, et un autre programme qui est sorti de l’institution Rockefeller. Donc ma question est, qu’est-ce que c’est vraiment ? Donc le document publié est essentiellement, des gens se sont réunis et ont dit, « Ok, basé sur la lecture des informations du nouvel ordre mondial, voici ce que nous voyons se passer » et cela correspond parfaitement à ce qui est dans le document de 320 pages du New World Order.

Et c’est un modèle très clair de ce qui s’est réellement passé. Et la raison pour cela, c’est que l’Operation Lockstep est sortie à la mi-juin ou juillet de l’année dernière, beaucoup de gens ont essayé de la réfuter, mais il n’y avait personne qui…

3:59:47 Reiner Fuellmich

Que s’est-il passé ?

3:59:50 James Bush :

… créé selon les documents, en 1989. Donc vous avez 2001, Dark Winter, vous avez 1989 quand l’Opération Lockstep et les premiers documents ont été créés pour cela, et puis nous avançons au fur et à mesure de l’histoire de notre nation. Vous voyez le New World Order de Ralph Emerson, vous voyez la Fondation Rockefeller et la Global Trading Organization qui ont contribué au New World Order, Rockefeller a contribué au livre suivant, qui est un livre d’environ 54 pages appelé « scénarios pour le futur de la technologie et du développement international ».

Cela a été fait par la Fondation Rockefeller. Et sur Internet, vous trouvez qu’il fait constamment référence à ce que vous voyez sur le côté droit de la page, c’est-à-dire la première phase, la deuxième phase, la troisième phase En 1989, personne ne savait rien des radiations 5G. Personne ne savait rien de précis sur le Coronavirus.

Donc, quelque part cette information est sortie, mais c’était vraiment une combinaison de données créées dans le New World Order et je ne sais pas combien de personnes ont lu le New World Order, mais c’est un livre d’instruction malveillant et dégoûtant sur la façon de détruire la civilisation occidentale. Et il cite George Bush et toute la litanie de personnes dont nous parlons souvent.

4:01:40 Reiner Fuellmich :

James, pouvez-vous nous faire une faveur et lire ces trois paragraphes ? Parce que je pense que c’est extrêmement important pour que les gens comprennent ce qui s’est passé en 1989.

4:01:52 James Bush :

Je serai heureux de le faire.

Première phase : rhume, grippe, symptômes bénins, tout au plus une approbation médiatique de la paranoïa et de la peur de masse, des systèmes de test défectueux, qui détectent tout matériel génétique dans le corps et déclenche un résultat positif. Le nombre de cas de COVID est gonflé par la modification des certificats de décès, qui comptent double et classent tous les décès, y compris les autres maladies et les causes naturelles, dans la catégorie COVID-19. Le confinement nous conditionnera à vivre sous des lois draconiennes, empêchera les protestations et identifiera la résistance publique. C’est la première étape.

La deuxième phase. La première phase conduira à la compromission et à la fragilité du système immunitaire par le manque de nourriture, l’éloignement social, le port du masque et le manque de contact avec la lumière du soleil et les bactéries saines. L’exposition aux radiations de 5G attaquera encore plus le système immunitaire. Ainsi, lorsque les gens réapparaîtront dans la société, davantage de personnes tomberont malades. On en attribuera la responsabilité au COVID-19. Tout cela se produira avant que la vaccination ne soit prête, afin de la justifier. Un confinement plus long et plus puissant suivra jusqu’à ce que tout le monde prenne le vaccin. — C’est leur intention. —

Troisième phase. Si une majorité de la population résiste au vaccin, un virus SRAS VIH MERS militarisé sera libéré. Beaucoup de gens en mourront. Il y aura des survivants, ce sera la survie du plus fort. Ce sera aussi l’ultime poussée pour que tout le monde se fasse vacciner afin de revenir à la normale. Ceux qui se seront fait vacciner seront en guerre contre ceux qui ne l’auront pas fait. Ce sera l’anarchie.

L’extrait provient de la page 18. Et l’autre document, qui est « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international ». Donc tout cela est lié. Et cela a étédivulgué, et il a été conçu comme un document pour faire deux choses. Dire aux gens où ils vont. Et si vous dites à quelqu’un que ça va arriver et que vous continuez à le lire, les gens finissent par accepter que ça arrive. Nous avons entendu ça tous les jours.

Passons à la suivante. Lockstep est l’accomplissement des concepts et des objectifs exprimés et sollicités dans les philosophies du New World Order, et les scénarios pour le futur de la Technologie et du Développement International. Ces concepts et ces programmes ont été mis en œuvre pour la pandémie COVID-19. L’auteur réel des documents Lockstep est inconnu, mais il est clair que le Lockstep a été créé en 1989. Je suis désolé, le New World Order a été créé en 1989. Et les « Scénarios pour les Technologies Futures » ont été créés en 2010. Et c’est à ce moment que l’autre documentconnu sous le nom de Lockstep a été créé.

La page suivante, je ne sais pas si vous pouvez tous la lire, je vais essayer de ne pas trop m’y attarder. Mais c’est le concept du scénario. C’est le scénario Lockstep. C’est un scénario réalisé par notre gouvernement, qui étudie ce que devrait être le Lockstep.

« Un monde où le gouvernement exerce un contrôle plus strict et un leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une résistance croissante des citoyens. En 2012, la pandémie que le monde avait anticipée depuis des années a finalement frappé.

Contrairement à 2019, H1N1, cette nouvelle une souche de grippe provenant d’oies sauvages, — c’est une supposition —, était extrêmement virulente et mortelle. Même les nations les mieux préparées à une pandémie ont été rapidement dépassées par le virus qui s’est répandu dans le monde entier, infectant près de 20 % de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement 7 mois. La majorité d’entre eux étaient de jeunes adultes en bonne santé. La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies, la mobilité internationale et l’immobilisation des personnes et des biens, affaiblissant des industries comme le tourisme et brisant les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même au niveau local, des magasins et des bâtiments normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. La pandémie a touché la planète en dirigeant de manière disproportionnée l’Afrique, l’Asie du Sud-Est et l’Amérique du Sud, où le virus s’est répandu comme une traînée de poudre en l’absence de protocoles officiels de confinement. Mais même dans les pays développés, le confinement était un défi. La politique initiale des États-Unis consistant à « déconseiller fortement » aux citoyens de prendre l’avion s’est avérée mortelle dans son indulgence. »

— Je vais sauter la suite. —

Cependant, quelques pays s’en sont mieux sortis, la Chine en particulier. Le gouvernement chinois a mis rapidement en place une quarantaine obligatoire pour tous les citoyens ainsi que la fermeture quasi hermétique et immédiate des frontières, ce qui a sauvé des millions. »

Cette information a été écrite, c’est de là que vient le concept entier. Ils ont donc eu le Dark Winter, ils ont décidé qu’ils ne voulaient vraiment pas utiliser quelque chose comme la variole, et le développement et les modifications génétiques des maladies sont pratiquées dans le monde entier. Et ostensiblement, c’est utilisé pour le développement de médicaments et la médecine préventive. Mais en réalité, et je le dis pour avoir dirigé des laboratoires, j’ai travaillé sur 6 Coronavirus, j’ai travaillé sur 78 autres maladies de niveau de biosécurité 3 et 3+. La raison pour laquelle les universités, l’armée et le gouvernement font ces recherches est un programme d’armes biologiques, ils essaient de trouver des outils moins coûteux à utiliser contre un ennemi commun. Ils développent des outils dont ils peuvent contrôler l’’ensemble du développement du processus…

04:08:02

Là où j’ai travaillé, pour le CDC et le CSU….. Je n’ai jamais vu un vaccin sortir en moins de

six ans. Et ils ont essayé de nous dire, ils ont essayé de dire aux scientifiques qu’ils ont créé des vaccins qui sont sûrs. Qu’il y a quatre vaccins différents, qui font des choses différentes au corps humain. Et d’ailleurs ils l’ont fait en moins de neuf mois. Mesdames et Messieurs, je ne peux que vous dire que de mon point de vue, ce sont des mensonges, des mensonges et encore des mensonges. Enfin, le 18 octobre 2019, beaucoup d’entre vous savent déjà ce qui s’est passé, mais le Centre John Hopkins, le groupe Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial ; ici nous revenons à l’aspect financier de cette atrocité, le Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire en partenariat avec le Forum économique mondial et la fondation Bill et Melinda gates ont organisé l’événement 201. Un exercice de pandémie de haut niveau, le 18 octobre 2019 à New York, l’exercice a illustré les domaines où les partenariats public-privé seraient nécessaires en cas de réponse à une pandémie grave, afin de diminuer les conséquences économiques et sociales à grande échelle. Il y a eu des déclarations sur le nouveau Coronavirus, des exercices de pandémie.

Ces dernières années, le monde a connu un nombre croissant d’événements épidémiques : environ 200 événements par an. Ces événements sont en augmentation, et ainsi de suite. Les experts s’accordent à dire que ce n’est qu’une question de temps avant que les épidémies ne deviennent mondiales. Comment ont-ils pu organiser une réunion avec toutes les personnes les plus importantes de la côte Est à New York le 28 octobre, pour que tout à coup, moins d’un mois plus tard, nous ayons maintenant le coronavirus qui émerge, de la province de Wuhan ?

Je vais vous dire comment on gère un laboratoire. J’ai géré l’un des plus grands du pays, celui de l’Université d’État du Colorado. Les virus n’en sortent pas accidentellement. Vous pouviez les sortir vous-mêmes, du temps où j’y travaillais. Je peux en sortir n’importe quand avec le virus de la peste, avec le VIH, avec la tuberculose, avec toutes sortes de Corona ; D’ailleurs les Coronas n’étaient même pas utilisées dans les installations de niveau 3. C’était des niveau 2. Vous vous demandez pourquoi ? Voyez avec la CIA. Donc la question demeure : comment se fait-il que dans tous les médias, vous vous levez le matin, vous écoutez une station de radio, vous allez sur une chaîne de télévision, et ils disent tous exactement la même chose ? Connaissez-vous tous l’opération Mockingbird ? Mockingbird est un programme de la CIA qui a été créé après la seconde guerre mondiale et qui est toujours opérationnel aujourd’hui. C’est comme ça que la CIA crée un dialogue et travaille avec les six ou sept grands systèmes médiatiques du monde.

Et je peux dire ceci, parce que vous ne connaissez pas son nom : Ma fille est un officier de renseignement militaire dans l’armée américaine. Elle y est depuis 12 ans. Elle est major, sélectionnée pour être lieutenant-colonel. Je lui ai montré tout ça et elle a dit : « oui, c’est ce qu’ils font. Ils le font maintenant ». Donc la question… il y a beaucoup de questions sur le pourquoi. Et je pense que les bonnes questions sont celles que vous avez posées aujourd’hui. Mais il y a une information importante que je voulais partager avec vous. Lorsque j’ai commencé à gérer les centres de recherche sur les maladies infectieuses, tous deux à Fort Collins, il y a environ 14 ans, il y avait 25 à 27 laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde. Nous sommes maintenant en 2022, et ceci provient directement du site web du CDC, je l’ai comparé à d’autres sites web également : c’est la répartition des laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde et vous pouvez voir que l’Australie en a quatre, presque tous les autres pays en ont un ou deux, l’Allemagne en a trois, l’Inde en a trois. Le Royaume-Uni en a six. Les États-Unis en ont 15, et quand j’ai commencé cette activité, ils n’en avait que trois.

le niveau de biosécurité trois, ce sont ceux qui travaillent sur des maladies comme le coronavirus, la grippe, le VIH, des virus qui ne sont pas extraordinairement puissants. Ils en font des armes biologique. Mais le niveau 3 est le banc d’essai du niveau 4. Il y a plusieurs petits pays… plusieurs petits pays ont un ou deux niveau 3. Tous les pays sur la liste des niveaux 4 ont autant de niveau 3 que de niveau 4. Les États-Unis ont plus de 200 laboratoire de biosécurité niveau 3 sur le territoire américain. Donc, entre les niveaux de sécurité 3 et 4, les États-Unis d’Amérique ont 215 installations de recherche sur les armes biologiques, qu’ils appellent « recherches normales ». Mais je peux vous dire que ce n’est pas le cas.

04:14:59 Reiner Fuellmich :

Une question. Je dois vous poser ces deux questions, car après avoir regardé les documents que vous nous avez montrés de l’opération lockstep… je veux dire… vous avez cité ces trois paragraphes. ces termes étaient-ils vraiment inclus dans ce document ? Je veux dire, des termes comme « COVID-19 ». Et l’autre terme aussi : « 5G » ? Etaient-il vraiment inclus ?

04:15:28 Vivianne Fischer :

Cela vient d’un livre.

05:15:31 James Bush :

[Il s’embrouille dans les pages de son document]
Vous êtes observateur. Et c’est absolument… Hier, une question a été posée sur les documents utilisés dans l’opération lockstep. C’est exactement ce qu’ils sont. C’est le… je pensais que ce document était partout sur internet… J’ai dit que je ne pouvais pas trouver l’auteur de ce document en particulier. Il était dit que c’était à la page 18 dans toutes les références… au lieu de cela… Oui c’était page 18. Et la page 18 à laquelle il se référait était la page du scénario que j’avais trouvée. Je vais voir si je peux revenir en arrière.

04:16:07 Viviane Fischer :

Ok, mais en gros, c’est comme une inspiration qu’ils ont utilisé pour le scénario lockstep.

04:16:14 Reiner Fuellmich :

La question est de savoir si c’était vraiment inclus à l’époque, en 1989, ces deux termes ?

04:16:20 James Bush : [Toujours embrouillé dans ses notes]

Non, C’est donc qu’il y a, il y a le document… le document 2020 qui était sur internet. Et dans le scénario pour la technologie future et le développement international… je suis désolé, j’allais mettre la page 18. Attendez non ! C’EST la page 18, les scénarios lockstep ?

04:16:44 Reiner Fuellmich :

Non, l’autre, avec les trois paragraphes. On vient de le regarder. C’est la diapositive numéro 10. La numéro 10, c’est ça.

04:16:53 James Bush :

C’est celle-ci, sur laquelle on était.

Reiner Fuellmich :

C’est ça, la numéro 10

James Bush :

La 10.

Reiner Fuellmich :

Celle-là.

James Bush :

Cette, cette diapositive sur le côté droit ?

04:17:07 Reiner Fuellmich :

Oui. Est-ce que ça vient vraiment de ce livre écrit en 1989 ?

04:17:12 James Bush :

Non, ça ne vient pas de là. Ce que je veux dire, c’est que ce document et cette diapositive ont été créés par quelqu’un qui s’est référé à cette page, vous la voyez ? cela provient de l’opération lockstep qui a été créée par l’Institut Rockefeller. Ils ont pris ça et ils ont modifié les événements actuels, ils y ont ajouté les concepts de ce paragraphe, et ils ont… et le monde y a cru. Et ce qui est ironique, c’est que si vous regardez le contenu du paragraphe des scénarios pour le futur du document technologique, c’est de là qu’ils ont tiré cette information. Et la 5g et le COVID-19 ne sont pas dans ce paragraphe.

04:18:09 Reiner Fuellmich :

C’est ce que je pensais.

04:18:10 James Bush :

Oui. Mais ça relie quand même tout ça, parce que l’information était là en 1989, 2001, 2010. Et à présent pour l’événement 201, en 2019. Il y a donc une progression qui va de pair avec le dialogue historique que vos autres conférenciers et experts en histoire ont présenté. Et celui-ci partage vraiment l’information. Et de mon point de vue, le Dark Winter est un facteur critique pour montrer qu’ils ont la capacité et l’intention de faire quelque chose de similaire à l’evenement 20. L’evenement 201 est le second dark winter.

Voilà pour Dark Winter. C’est l’information que je peux partager avec vous sur l’opération Mockingbird, et l’opération lockstep. Pour l’opération lockstep, après que nous ayons commencé à faire plus de recherches, j’ai voulu faire exactement ce que vous avez dit, j’ai voulu trouver cette page particulière dans ce livre, Le Nouvel Ordre Mondial par Ralph Epperson. Je l’ai lu, mais il n’y avait rien, j’ai cherché les scénarios pour l’avenir de la technologie, il n’y avait rien. J’ai cherché toutes les informations que je pouvais sur Internet. Et clairement, quelqu’un a fait ce document particulier pour le faire correspondre. Et c’était une tentative de, de coordonner ça. Ca donne du crédit au Nouvel Ordre Mondial. Je ne sais pas combien de personnes dans le groupe, ici, ont lu le Nouvel Ordre Mondial ? Je dois essayer de m’en sortir.

04:20:22 Reiner Fuellmich :

Eh bien, le problème avec des documents comme celui-là, c’est qu’ils sont non seulement déroutants, mais ils nous font paraître mauvais.

04:20:35 James Bush :

C’est pourquoi je voulais vous le montrer. Parce que je ne suis pas sûr que nous puissions parler de l’opération lockstep, à moins de nous référer simplement au livre « le Nouvel Ordre Mondial » et aux scénarios. Ceux-là sont plus crédibles, mais pas lockstep.

04:20:56 Reiner Fuellmich :

Je comprends.

Eh bien, merci, James, cela nous mène tout droit au rôle probable de l’Organisation mondiale de la santé dans tout cela. Nous avons deux autres intervenants pour cela. Mais en attendant, y a-t-il des questions que Virginie, Dexter, Dipali, voulez poser ?

04:21:29 Dexter Ryneveldt :

M. Bush, merci pour le témoignage. Je voudrais juste que vous me disiez : vous avez mentionné que, d’après votre expérience, il faut environ au moins six ans avant qu’un vaccin soit mis sur le marché. J’aimerais faire un rapprochement avec l’operation ward speed. Comment ses informations sont-elles liées ? Parce que dans un sens, il semble qu’ils aient mis très rapidement des vaccins contre le covid-19 sur le marché. Ils se justifient en disant que c’est grâce à l’opération warpspeed. Pouvez-vous éclaircir ce point ?

04:22:14 James Bush :

La réponse à cette question est qu’ils ne font pas un vrai vaccin, ils créent un modificateur d’ADN qui n’a rien à voir avec le processus normal. Le processus de découvrir une maladie et d’apprendre à lutter contre elle au sein du corps humain, en appliquant les bons produits chimiques, en effectunt les bons tests, en faisant des tests sur l’homme, sur l’animal, et en développant un vrai vaccin.

Le matériel qu’ils injectent aux gens aujourd’hui, en ce qui me concerne… Et comme je l’ai dit, j’ai travaillé sur des vaccins pendant 12 ans dans des environnements où mon travail, dans ces installations, était de diriger le comité de biosécurité et d’empêcher la maladie de se propager. Pendant mon mandat, il y avait 6000 chercheurs dans ces installations, et personne n’est jamais tombé malade. Donc nous savions ce qui causait la maladie, nous avons pu l’arrêter. Mais il a également été intégré dans la compréhension de la connaissance que vous ne pouvez pas développer un vaccin avec précision en moins de six ans. Et donc quand j’ai commencé à entendre les gens dire que nous allions en avoir un cette année… Ils injectent des produits dont on ne sait pas ce qu’ils contiennent. Je ne suis pas chimiste, je ne suis pas médecin. Je ne suis pas un docteur de recherche, mais j’ai travaillé avec eux. Et je peux vous dire qu’il n’y aura jamais d’inoculation dans mes bras ou dans ceux de quelqu’un de ma famille. Parce que j’ai peur de ce qu’il y a là-dedans. Et c’est ce que certains de vos autres experts vont dire, également. Regardez les documents dont nous avons déjà parlé aujourd’hui, comment les gens réagissent, ils réagissent très rapidement, sûrement après avoir reçu l’inoculation, et cela ne serait pas le cas avec une vraie vaccination.

04:24:16 Dexter Ryneveldt :

Merci, Monsieur.

04:24:21 James Bush :

Et je veux juste répéter, pour le cas où il y aurait la moindre question, au sujet d’un virus qui se serait échappé de Wuhan. Le laboratoire de Wuhan est un la boratoire de niveau trois. Le virus sur lequel ils travaillaient en Chine était dans un niveau 3. Il ne répond donc pas aux exigences de soin, de considération et de sécurité extrêmes d’un niveau 4. Et quand je gérais les installations du Colorado, nous avons fait des tests pour savoir si les gens pouvaient sortir de notre bâtiment avec un agent selectif, c’est-a-dire un virus dangereux. Encore une fois, allez sur le site du CDC et cherchez « agent selectif ». Et ça vous dit en gros qu’un agent selectif peut être génétiquement modifié pour devenir une arme de destruction massive. C’est pour ça qu’on les appelle des agents sélectifs. Mais à l’époque, on a fait des tests, on a fait venir des gens du Corps des ingénieurs de l’Armée, du FBI, des pompiers locaux, de la police, et on a fait des tests pour savoir si quelqu’un pouvait sortir de notre installation. Il n’y avait aucun moyen de les arrêter. Si quelqu’un voulait sortir avec ce matériel, on ne pouvait pas l’arrêter. Donc là, dans ces laboratoires dont je viens de vous montrer les chiffres, il n’y a aucun moyen d’empêcher quiconque de sortir ces choses. Donc ce sur quoi ils travaillent dans ces laboratoires, c’est, en ce qui me concerne, un programme d’armes biologiques. Et ce sur quoi ils travaillent est essentiellement la capacité de modifier d’autres formes d’injections pour contrôler et tuer la population générale. Et c’est pour ça qu’ils le font au pas de course. C’est une chimère, vous connaissez tous le concept de chimère ?

04:26:28 Dexter Ryneveldt :

Vous pouvez expliquer le concept ?

04:26:33 James Bush :

Un vaccin chimérique consiste à développer un médicament et à l’injecter à un animal ou à une personne. Et cela prépare le corps à certaines réactions. Et puis vous revenez avec la deuxième partie de la chimère, vous l’injectez et cela provoque des changements extraordinairement grands, voire la mort. Donc je crois que les injections sont chimériques, et pour aller dans le sens de votre question sur les vaccins eux-mêmes : Comment est-il possible que vous ayez une maladie ? Il y a deux questions en fait : comment est-il possible d’avoir une maladie qui est en train d’être résolue grâce à un vaccin avec une efficacité de 95 à 100 %, avec quatre types différents d’injections qui ne se ressemblent même pas dans leur contenu, et qu’au-delà de ça, dans l’histoire de l’humanité, la science et la médecine n’ont jamais trouvé de remède pour le rhume et la grippe, qui sont tous deux des coronavirus.

04:27:53 Reiner Fuellmich :

Pardon, Dexter.

04:27:56 Dexter Ryneveldt :

Pas de souci. On peut passer à vous, Reiner ?

04:27:58 Reiner Fuellmich :

Je voulais juste mentionner que d’autres experts qui vont témoigner ont entre-temps clarifié la situation, du moins en ce qui concerne Pfizer biontech. Pfizer est concerné, il n’a pas une efficacité de 95 %. C’est moins de 1 %. Certaines personnes disent même qu’il n’a absolument aucune efficacité. C’est parce que nous voyons que les pays qui ont un taux de vaccination très élevé, ont également un taux de contamination très élevé, comme Israël, comme le Royaume-Uni. Ils ont également un taux très élevé de contamination. En d’autres termes, les vaccins ne semblent pas du tout fonctionner. Ca signifie vous avez probablement raison, Jim. Nous ne pouvons pas appeler ces injections des vaccins, mais d’autres experts nous en apprendront davantage à ce sujet.

04:28:51 James Bush :

Merci pour tout ce que vous faites, et si je peux aider davantage, je le ferai.

04:28:54 Reiner Fuellmich :

Jim, merci beaucoup. Merci beaucoup de nous avoir guidés à travers ces interventions. Bon, maintenant nous allons parler au Dr Astrid StuckelBerger et le Dr Sylvia Behrendt. Toutes deux travaillent pour l’Organisation Mondiale de la Santé. Qui commence ?

04:29:18 Sylvia Behrendt :

Je pense que c’est moi. Et ensuite Astrid va continuer.

Reiner Fuellmich :

Très bien.

04:29:24 Sylvia Behrendt :

Merci beaucoup. Mes références sont les suivantes : j’ai obtenu mon doctorat à l’Université de Saint-Gall, en Suisse, sur le thème du Règlement sanitaire international et de l’autorité exécutive de l’Organisation mondiale de la santé en cas d’urgence de santé publique de portée internationale, titre très long. Et ce n’est pas mon téléphone qui sonne. Et j’étais un chercheur invité à Georgetown Law, par le professeur Gaston, financé par le Fonds national suisse. Plus tard, j’ai collaboré avec le secrétariat du règlement sanitaire international à Genève, à l’Organisation mondiale de la santé, et j’ai effectué des missions dans les pays de l’O. M. S. dans le but de mettre en œuvre au niveau national le règlement sanitaire de l’Internet. Voilà.

Les autres experts qui ont fourni leur expertise, la dernière fois, nous avons entendu M. Bush, qui a parlé de l’engrenage financier, les questions politiques et de sécurité, en particulier sous le paradigme du bioterrorisme qui fournissent la preuve qu’il ya une dérive qui a conduit à la pandémie actuelle COVID 19. Je voudrais attirer l’attention sur le fait que nous ne sommes pas actuellement confrontés à la réponse médicale à une pandémie. La plupart des critiques formulées par les scientifiques et les médecins portaient sur le fait que, d’un point de vue purement médical, toutes les mesures sanitaires recommandées et exigées par les autorités sanitaires nationales sont en fait contraires aux connaissances épidémiologiques et médicales. Et ce, à dessein. Je l’affirme, parce que le concept sous-jacent utilisé pour COVID-19 ne suit pas les principes scientifiques établis, mais plutôt une idéologie différente, qualifiée de sécurité sanitaire mondiale, et censée traiter la santé comme une question de sécurité nationale, en instaurant partout des états d’urgence et d’exception pour y faire face. Par conséquent, je considère qu’il est crucial de fournir une brève analyse historique de ce concept. Afin de comprendre que la crise sanitaire mondiale actuelle à laquelle nous sommes confrontée ne concerne pas la science médicale, et la santé au sens commun, comme on pourrait l’espérer. Le remplacement progressif des objectifs médicaux par des objectifs politiques a commencé dans le contexte des maladies infectieuses émergentes au début des années 1990. Comme nous l’avons déjà entendu, ce sont les États-Unis qui, en peu de temps, ont institutionnalisé cette nouvelle approche, mais en créant rapidement une toute nouvelle division appelée « maladies infectieuses émergentes et informations ». Il est intéressant de noter qu’ils n’ont pas engagé le personnel du département de contrôle des maladies transmissibles à ce moment-là.

Cette politique a confirmé le nouveau changement de paradigme, qui consistait initialement à réduire l’incidence des maladies endémiques régionales, et qui consiste maintenant à se concentrer uniquement sur la prévention de la propagation internationale en temps réel, et de préférence dans un délai de 24 heures. Il était donc nécessaire de mettre en place un appareil technocratique de réseaux de surveillance capable de faire face à ces nouvelles menaces. Par conséquent, en 2001, l’Assemblée mondiale de la santé a adopté une résolution qui introduisait déjà ce nouveau concept et appelait pour la première fois à trouver une définition de l’urgence de santé publique de portée internationale, dans le but de réviser les lois sanitaires obsolètes, appelées Règlement sanitaire international, car personne ne s’intéressait aux lois sanitaires à cette époque. Le problème était qu’elles avaient un champ d’application très étroit et ne s’appliquaient qu’à la fièvre jaune, de couleur noire. Dans le même temps, en particulier dans le cadre de la planification de scénarios bioterroristes aux États-Unis, nous avons tous entendu beaucoup de choses au niveau militaire et universitaire, mais l’exercice le plus important,

nous avons tous entendu en ce moment beaucoup de choses, au niveau militaire et académique, mais l’evenement le plus important, comme Dark Winter,

a été organisé et, curieusement, tous ces événements ont été très brefs après cela. Mais ce qui est aussi très intéressant et que nous n’avons pas entendu, c’est que non seulement les exercices ont eu lieu, mais qu’ils se sont aussi transformés en réalité, la législation aux Etats-Unis a été préparée pour réduire les libertés civiles pour la lutte contre le bioterrorisme à partir de 1999. Cette entreprise a été lancée par le CDC et finalement finalisée par des professeurs de l’université de Georgetown comme le professeur Gostin, en collaboration avec l’université Johns Hopkins, et elle a été appelée la « loi modèle sur les pouvoirs sanitaires d’urgence des États ». Ce modèle de loi a été vivement critiqué à l’époque aux États-Unis pour avoir transformé la gouvernance en dictature, qui a fini par s’étendre à de nombreux États. Ainsi, l’étape la plus importante du processus de révision du Règlement sanitaire international, qui est un traité international, a été l’apparition du syndrome respiratoire aigu sévère, abrégé en SARS comme nous le savons tous, en 2002, qui s’est accompagnée d’une alerte médiatique sans commune mesure avec la menace de la maladie, qui était remarquablement faible. En outre, il y avait un quasi-consensus parmi les scientifiques sur le fait que la nouvelle épidémie de SARS aurait pu avoir un potentiel bioterroriste. Cet optique politique bioterroriste qui parlait d’explosion de cas, a conduit à l’accord de la communauté internationale sur le fait que les anciennes lois devaient être réécrites par l’OMS pour inclure le bioterrorisme, mais sans nommer officiellement cet objectif. Cela s’inscrivait dans le paradigme d’une approche ouverte de tous les risques, ce qui signifie que non seulement diverses sources de risques sont incluses, mais aussi que toute dissémination de virus intentionnelle relèverait du paradigme de l’OMS, et que les règles sanitaires internationales devait être révisées. Ainsi, la dimension juridique du concept de sécurité sanitaire mondiale a finalement été intégrée avec succès dans les règlements sanitaires internationaux en 2005. Et c’est le modèle américain des urgences de santé publique, qui a été exporté à la communauté internationale, et qui est maintenant fusionné aux constitutions internationales qui ont atteint le stade où nous n’avons jamais eu de telles dispositions constitutionnelles d’urgence. Ensuite, les dispositions internationales obsolètes de confinement des maladies ont été remplacées pour inclure les agents pathogènes, qui constituent une menace pour la sécurité nationale, et nécessitent un régime d’urgence qui permet cette inflation des normes juridiques, non seulement en termes de réglementation de la sécurité médicale, mais aussi en termes de normes fondamentales, de libertés et de droits civils. Selon ce nouveau paradigme, les maladies endémiques qui comptent pour le plus grand nombre de décès ne relèvent pas de l’attention de cet ensemble de règles mondiales, qui sont maintenant la procédure standard pour les pandémies, mais seulement les pathogènes nouvellement identifiés sans traitement médical, qui nécessitent donc une autorisation d’urgence car ces substances sont toutes non autorisées. En outre, l’importance des diagnostics est apparue dans le cadre de l’idéologie de la sécurité sanitaire mondiale comme une nouvelle question prioritaire car, selon cette idéologie, la menace doit être identifiée et combattue avant d’avoir des effets dévastateurs. Ainsi, la disponibilité des diagnostics est considérée comme une exigence nécessaire pour la préparation et la réponse à la pandémie. J’espère que vous pouvez suivre.

En outre, sous la menace du bioterrorisme, la construction de laboratoires a été stimulé dans le monde entier, comme M. Bush nous l’a déjà expliqué, parce que les armes biologiques sont définies comme des armes de destruction massive et constituent un crime en vertu du droit international, la seule voie légale pour entreprendre légalement des recherches et des traitements médicaux est appelée biodéfense, qui a lieu dans les laboratoires comme nous l’avons appris. Je voudrais rappeler que tous les coronavirus du SARS sont généralemnt classés dans la catégorie américaine C des agents potentiels de bioterrorisme, et également classé sous le régime d’experts de l’UE pour le double usage, qui se réfère au potentiel de l’utilisation civile et militaire. Cela aide maintenant à dépeindre l’image plus clairement. Certaines connaissances historiques sont nécessaires pour comprendre que L’OMS et la communauté mondiale ne combatent pas le covid-19 conformément à l’avancée de nos connaissances. Après avoir lutté contre le covid comme contre une menace pour la nation, de façon disproportionnée, avec une terminologie militaire au lieu de la terminologie médicale, on parle maintenant de contre-mesures médicales et non médicales. Et dans tous les ministères de la santé, de nouveaux départements sont créés, appelés départements de sécurité sanitaire nationale. C’était donc la première partie de mon expertise. Avez-vous des questions, parce que j’aimerais expliquer comment toutes ces maladies nouvellement identifiées sont arrivées à l’OMS. On avance ? Ok, Si vous n’avez pas de questions. Dans un deuxième temps, j’aimerais parler plus en détail du petit nombre de cas de pneumonie classique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, qui a été signalé à qui et s’est rapidement transformé en une urgence de santé publique de dimension internationale.

Dans un deuxième temps, je voudrais expliquer plus en détail pourquoi le petit nombre de cas de pneumonie d’un opposant typique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, ont été signalés à l’oms et ont rapidement abouti à une urgence de santé publique de portée internationale, et peu après à une pandémie. Tout cela est dû au Règlement sanitaire international et à sa révision. De plus, les règles sanitaires auxquels on fait référence incluent une approche tous risques. Certains agents pathogènes, comme toute nouvelle souche d’un sous-type de grippe ou tout coronavirus de service, sont toujours prioritaires et doivent être signalés dans un délai de 24 heures à l’OMS. L’identification de ce nouveau virus a été possible parce que la Chine a un régime de dépistage très strict pour les maladies respiratoires, depuis l’épidémie de SRAS en 2002. Donc il a été possible pour la Chine d’identifier ce nouveau pathogène. Le 1er Janvier déjà, l’OMS a demandé plus d’informations sur l’épidémie. Le 3 janvier, la Chine a notifié officiellement l’existence d’un groupe de 44 patients, dont 11 étaient gravement atteints de pneumonie d’étiologie inconnue.

04:40:09 Reiner Fuellmich :

Ca ne ressemble pas à une pandémie.

04:40:13 Sylvia Behrendt :

Oui, c’est vrai. L’OMS a demandé plus d’informations, et il y a eu la fermeture du marché de Wuhan. Donc cette politisation, et l’intérêt de l’OMS à ce stade très précoce au premier janvier, alors que seulement 44 personnes ont eu cette pneumonie atypique et que 11 personnes ont souffert gravement de cette pneumonie atypique est effectivement un aspect intéressant. Cela devrait conduire à certaines précautions, mais comment la crise a-t-elle commencé, sachant qu’aucun décès n’a été signalé ni aucun cas international, et que le potentiel de transmission interhumaine n’a pas été évalué à ce moment-là. Entre-temps, le nouveau virus a été identifié comme étant le SARS-Coronavirus. Cela signifie donc que l’identification de ce nouveau virus relève du Règlement sanitaire international. Cela nécessite un rapport officiel de l’OMS, et le directeur général est obligé de constituer un comité d’urgence en vertu des règles internationales. Une fois que cette notification officielle a été reçue, il est donc légalement obligé de constituer le comité d’urgence. Et là, ça devient intéressant. Dans le même temps, le professeur Drosten et d’autres personnes ont travaillé intensément au sein de la présidence pour fournir à l’oms un test de diagnostic, par exemple via la méthode PCR, pour ce nouveau virus. Le professeur Drosten a également été le chercheur le plus misen avant en 2003, lorsque le nouveau coronavirus du SRAS a été identifié, et depuis lors, il a été nommé expert de l’oms. son premier protocole a été officiellement remis à l’oms le 13 janvier 2020, ce qui implique qu’il avait bien sûr travaillé avant cette date de soumission, et l’oms a immédiatement recueilli ce premier protocole de cet essai. Plus tard, cet essai a été un peu révisé et finalement publié dans l’eurosurveillance tour le 23 Janvier. Il a également contribué à l’orientation provisoire de « loms qu’ils ont fait le 10 janvier, et cette orientation provisoire a été publiée. Vous pourrez avoir plus d’informations plus tard, si vous voulez, mais ça devient compliqué. Ce guide d’information a été publié dans le cadre d’un ensemble complet d’environ 10 documents d’orientation de l’OMS, a destination des pays, couvrant des sujets liés à la gestion d’une épidémie de la nouvelle souche de coronavirus. Donc, le 10 janvier, un ensemble complet de documents avait déjà été publié à ce moment-là, ce qui est intéressant

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Alors qu’il n’y avait littéralement aucun cas à l’exception des 44 cas.

04:43:03 Sylvia Behrendt :

Et ca a été publié officiellement, pourtant il faut beaucoup de temps pour que l’oms publie quelque chose parce que cela doit être approuvé. Il est important de noter que, comme toute demande liée au sars-coronavirus, ou notification officielle, le directeur général a dû convoquer un comité d’urgence COVID-19 comme une obligation légale. Vous pouvez trouver sur le site de l’OMS les experts qui sont dans ce comité, et lire leur CV. Ce comité d’urgence conseille le directeur général quand il déclare qu’une urgence de santé publique de portée internationale existe. C’est une autorité exécutive du directeur général en conformité avec les principes juridiques énoncés en vertu des règles internationales. La première réunion s’est tenue le 22 janvier et les experts ne sont pas tombés d’accord sur l’existence ou non d’une urgence de santé publique de portée internationale. Et ils ont convenu qu’il n’y avait pas de propagation internationale de l’épidémie du nouveau coronavirus. Il y avait alors 17 décès et 557 cas confirmés le 22 janvier. Ils ont donc décidé que 10 jours plus tard, ils se reuniraient à nouveau et se consulteraient pour évaluer la situation actuelle des nouveaux cas. C’est ce qu’ils ont fait le 30 janvier et, à ce moment-là, les cas sont passés de plus de 500 à 14 fois plus, soit 7711 cas confirmés et 12 167 cas suspects. Tout cela figure dans la déclaration du second comité d’urgence de l’OMS, dans les informations officielles, que vous pouvez consulter vous-même.

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Est-ce que les cas sont définis par des résultats de tests positifs ?

04:45:04 Sylvia Behrendt :

Eh bien, les cas sont définis ainsi selon l’essai du professeur Drosten, parce que c’était une publication officielle diffusée le 13 janvier. Et il a également été intégré dans le guide publié plus tard, intitulé « Tests de laboratoire pour les cas suspectés de coronavirus ». Ces documents sont toujours en ligne sur le site de l’OMS. Parfois on les supprime, mais ceux-là sont toujours en ligne et peuvent toujours être consultés. Et c’est toujours une référence à Drosten et à sa publication.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Quand a eu lieu la première réunion d’urgence et quand a eu lieu la seconde ?

04:45:49 Sylvia Behrendt :

La première a eu lieu le 22 janvier et ils se sont mis d’accord pour ne pas y assister. Ils n’avaient pas assez de cas parce qu’il n’y avait que 555 ou 557 cas. Et il n’y avait pas de propagation internationale et la propagation internationale est une condition préalable pour parler d’urgence sanitaire publique. Donc ils ont du attendre 10 jours, et à ce moment, les cas avaient été multipliés par 14. Le tout détecté par diagnostic rapide. Le comité a mentionné ces diagnostics rapides dans leurs déclarations et se sont satisfait de leur utilisation, qui a permis de diagnostiqué cette nouvelle menace appelé SARS-CoV-2.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Donc ce qu’il s’est passé, c’est que Drosten a livré son kit de test à l’Organisation mondiale de la santé et grâce à l’utilisation de son nouveau test, tout d’un coup, nous avions 14 fois le nombre de cas qui existaient avant qu’il utilise son test.

04:46:56 Sylvia Behrendt :

C’est ce que disent les documents

04:46:59 Vivianne Fischer :

Je voudrais faire une remarque à ce sujet, parce que nous avons également des informations provenant du Freedom of Information Act, que nous avons faite avec la Charité, et vous savez, il s’avère qu’en fait la société Tib Molbiol a produit et developpé le test avec Drosten. Ils ont été répertoriés comme tels, et ils s’occupaient essentiellement de la logistique dont la Charité a parlé. Quand quelq’un entrait en contact avec Drosten… les nouveaux pays savaient que Drosten était encharge et développaient ces tests, conformément au kit d’information émis par l’OMS.

04:47:53 Sylvia Behrendt :

Les essais de tests

04:47:55 Vivianne Fischer :

Les essais de tests

04:47:56 Sylvia Behrendt :

Envoyé par l’OMS aux états membres, car c’était alors une directive officielle

04:48:01 Vivianne Fischer :

Mais il y avait un échangé d’information entre Drosten et Tib Molbiol. Ils pouvaient échanger, puis Tib Molbiol pouvait expédier pour Drosten ou pourd’autres. Donc ils avaient les cartes en main et pouvaient expédier des tets dans le monde entier. Ca ne passait pas par l’OMS, à mon avis, mais par cette connexion, et cela leur donnait un avantage.

04:48:31 Reiner Fuellmich :

Ce que ça signifie, c’est que les cas de contaminations dont ils avaient besoin pour déclarer un état d’urgence sanitaire international, ces cas sont arivés à cause des tests, c’est exact ?

04:48:48 Sylvia Behrendt :

Ils leur fallait au moins des contaminations internationales et ils devaient les diagnostiquer. Et sans test de diagnostic, ce n’est pas possible. Or le seul qui a donné ces tests est désigné dans le document sous le nom Drosten, c’est ce que disent les documents.

04:49:05 Reiner Fuellmich :

Sans ces tests, l’OMS 10 jours plus tard aurait encore eu probablement 44 cas ou peut-être 500 cas, mais pas 15 fois plus.

04:49:19 Sylvia Behrendt :

S’il n’y a pas de test, vous ne pouvez pas parler de nouveau virus. C’est là le problème. La chose vraiment importante que tout le monde devrait savoir est la proclamation d’une urgence de santé publique de portée internationale. Parce que c’est lié à la fabrication de vaccins. C’est en fait la chose la plus importante que toute personne légale ou quiconque devrait savoir, ce n’est pas la pandémie, il n’y a aucune conséquence légale si l’OMS proclame ou définit une pandémie. C’est juste intéressant pour les médias. Mais l’urgence de santé publique est liée à la réglementation et à l’autorisation d’utilisation d’urgence.

04:50:03 Reiner Fuellmich :

Sans une urgence de santé publique de portée internationale, il ne peut y avoir aucune utilisation de médicaments non testés comme les vaccins.

04:50:12 Sylvia Behrendt :

C’est vrai, parce que toutes les lois secondaires comme celles de l’UE, de la FDA aux États-Unis, utilisent le concept d’urgence de santé publique, également proclamé par l’OMS

04:50:24 Reiner Fuellmich :

Ok, Virginie veut poser une question.

04:50:28 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, Mme Behrendt, Virginie de Araujo, avocate en France. Je voudrais confirmer avec vous que M. Bill Gates a fait pression sur l’OMS déclarer la pandémie et nous savons que la Charité, qui est lié à Drosten a développé ces tests, avec le financement de la Fondation Bill et Melinda Gates et Wellcome Trust. Je ne sais pas si vous pouvez confirmer cela.

04:51:00 Sylvia Behrendt :

Peut-être Astrid… je ne suis pas très au courant du financement. Je suis plutôt sur les questions de réglementation.

04:51:09 Astrid Stuckelberger :

C’est une bonne question. Ce que nous pouvons confirmer, et c’est ce que j’allais vous expliquer, c’est qu’il y a vraiment un plan depuis 2000, peut-être même avant, 1999, il y a un plan que vous pouvez voir chronologiquement avec les événements, qui consiste à monter l’organisation GAVI, l’Alliance pour les vaccins de l’UNICEF pour commencer à rejoindre les Nations Unies, pas seulement avec l’UNICEF, mais avec la Banque Mondiale et l’OMS par le biais d’un financement d’IFFM, l’International Financing Facility Immunization. Ils ont donc fait un trio, c’était en 2006. Ils ont commencé cela, et en même temps, GAVI est devenu une alliance globale en Suisse, en tant que fondation. Ils se sont donc enregistrés en 2006. Dans le même temps, ils ont formé un accord tripartite entre la banque mondiale, l’OMS et GAVI pour recevoir le financement des états membres. Vous pouvez trouver cela sur le web. Donc, c’était la première étape. Et comme vous le savez, en 2006, la réglementation sanitaire internationale a commencé à être dans la phase de mise en œuvre. Et ce que nous pouvons découvrir, c’est qu’en suivant ce qu’elle fait… je vais aller à l’essentiel. En 2009 elle s’est enregistrée en tant qu’organisation internationale en Suisse, d’un nouveau type, et nous avons un communiqué de presse du gouvernement suisse qui montre qu’elle a été créée spécifiquement pour M. Bill Gates.

Cette organisation internationale aurait une immunité totale, vous ne pouvez rien faire, vous ne pouvez même pas l’envoyer au tribunal, ils font leur propre tribunal s’ils ont un désaccord. Et à partir de là, ca a commencé, nous avons les documents de l’OMS, le logo, ils ont des conseils exécutifs, j’ai découvert récemment qu’on peut tout trouver sur le web, donc on peut trouver ça. Ils ont choisi la décennie 2010-2020 comme la décennie du vaccin. Et nous avons mis en œuvre des règlementations sanitaires, parce qu’il a fallu instruire et former les pays pour qu’ils soient prêts. Et nous avons terminé le premier cycle en 2012.

De 2009 à 2012, nous avons reçu l’Université de Georgetown, l’université de Pretoria, et j’étais avec l’Université de Genève. Et à ce moment-là, quand nous avons fini le cycle, nous avons reçu des fonds à nouveau du Japon, et soudain, ça s’est arrêté : ils ont dit qu’il n’y avait plus de fonds. Pourtant nous avions presque un contrat signé. J’ai découvert pourquoi : parce qu’en 2012, à l’Assemblée Mondiale de la Santé, ils ont désigné Bill Gates comme chef de file du plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Donc tout s’éclaire. A partir de ce moment il était aux commandes. Et c’est mentionné, ils savent que GAVI est le leader de tout ce qui concerne les vaccins. Et plus seulement pour les enfants comme avec l’UNICEF, pour le monde entier. Donc vous pouvez le voir, c’est une preuve suffisante qu’il y a au moins un plan.

Et ça continue, Bill Gates est dans le groupe de travail SAGE, le groupe consultatif des experts stratégiques, et ils ont même… c’est très drôle… Enfin non, ce n’est pas drôle, mais ils ont même fait en 2016, un rapport d’évaluation de ce plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Et en 2016, ils étaient très énervés parce qu’ils n’ont pas immunisé le monde entier. Pour eux, l’immunisation c’est la vaccination, ils prendraient n’importe quel prétexte pour vacciner. Et ne parlent pas d’expérimentation ou de validation, ils ne parlent que du vaccin, bien sûr, et en 2016, on voit vraiment qu’ils ne sont pas contents.

M. Gavi/Global dit que nous devons vraiment faire un effort. Donc ils ont fait un programme qui s’appelle « le programme accélérateur » pour les vaccins. Voilà, donc c’est au moins une partie des étapes que vous pouvez voir très clairement, tout est sur le web, sans parler du financement, dont je peux parler aussi…

04:55:53 Reiner Fuellmich :

Qu’est-ce qui s’est passé ? Qui a reçu l’immunité diplomatique en 2009 ? Était-ce GAVI ou la Fondation Bill et Melinda Gates ? Ou était-ce un Bill Gates personnellement, ou tous ces gens ?

04:56:07 Astrid Stuckelberger :

C’est vraiment GAVI Alliance, la fondation GAVI, mais ils ont enlevé le nom de Fondation. Et dans l’accord, c’est bien GAVI, l’Alliance globale pour la vaccination. Oui, je peux trouver le terme exact dans mon papier. Mais la Fondation Bill et Melinda Gates, d’après ce que je découvre de plus en plus, c’est plutôt le mécanisme financier, le financement, ou la réception des fonds pour les programmes. Et j’ai découvert encore une fois, que le gouvernement Suisse, la FDA de la Suisse, a signé un accord pour la période 2020-2023, pour fournir à la Bill et Melinda Gates Foundation 900 000 dollars en 3 ans, donc 300 000 chaque année pour son programme, son projet. Et vous ne pouvez pas voir ça dans le papier, vous devez aller chercher dans les projets. Je n’y suis pas allé, mais ça concerne le vaccin. Donc je suppose que lorsqu’on prend le modèle suisse, ou comme Sylvia l’a dit, la mécanique entre la réglementation nationale et internationale, on applique ce système comme un modèle partout dans le monde, et la loi sur les épidémies d’un pays est contrainte par les règlements de santé internationaux. Nous avons constaté qu’en Suisse, même la constitution suisse contient une petite ligne qu’ils ont ajoutée sans nous demander notre avis, qui dit que le droit international supplante le droit national en matière de santé. Et puis vous pouvez voir cela dans la loi sur les épidémies qui a été adoptée en 2016. Donc probablement dans tous les pays, il faudrait vérifier, j’en suis presque sûre, — on l’a vu au Canada, il y a une loi sur les épidémies ou une loi d’urgence qui dit aux pays, qu’ils doivent obéir au règlement sanitaire international. Et donc si une urgence de santé publique internationale est déclarée, chaque pays doit se mettre immédiatement à obéir.

Et c’est ce qui explique pourquoi le 16 ou le 17 mars, le monde entier s’est verrouillé, c’est une situation compréhensible, avec ce règlement sanitaire international. Avec le sars-cov-1, ça ne s’était pas passé comme ça, que soudainement le virus soit partout. Mais c’est ce qui se passe avec Omicron, ça commence en Afrique du Sud et le jour suivant, c’est dans le monde entier.

04:58:56 Reiner Fuellmich :

Oui… Mais est-ce qu’il y a, en ce qui concerne le Règlement sanitaire international, Sylvia et Astrid, est-ce qu’il y a une légitimité démocratique à ce Règlement sanitaire international ? Est-ce que ceux qui ont inventé ces règlements sanitaires internationales ont été élus à un poste quelconque ? Y a-t-il une quelconque légitimité démocratique à cela ? Ou s’agit-il simplement d’une entreprise privée dirigée par des personnes qui contrôlent l’Organisation Mondiale de la Santé ?

04:59:29 Astrid Stuckelberger :

Je peux répondre à votre première question et ensuite Sylvia pourra compléter. Quand nous enseignions et formions, au sujet du règlement sanitaire international, c’était la question qui revenait très souvent, comment se fait-il que cela soit contraignant pour les États membres ? Et c’était une réponse extraordinaire, qui vous expliquera à quel point il est important de regarder ce nouveau traité sur la pandémie. L’OMS, et j’ai vraiment fouillé et fouillée, est le seul programme spécialisée des Nations Unis, ou la seule Agence qui possède une Constitution. La Constitution de l’OMS. Pas convention, Constitution. Les article 21, 19, 21.1 et 21.2 engagent directement les états membres s’ils adoptent le règlement sanitaire international. Donc ils n’ont pas besoin de passer par toute la procédure du traité. C’est pour cela que c’est très dangereux, car cette constitution semble destinée à remplacer toutes les constitutions du monde, autrement pourquoi utiliser le mot Constitution ? Et donc la réponse des juristes de l’OMS a toujours été : « Oh, nous avons adopté ça à l’assemblée générale de 2005 sous la Constitution de l’OMS, article 21. A et article 2. »

5:00:58 Reiner Fuellmich :

Oui, mais ce qui est drôle, et ce n’est pas drôle du tout, c’est que ceux qui ont créé les règlements sanitaires internationaux n’ont pas été élus… ou ne possèdent aucune autorité ? Ou bien existe-t-il un lien entre le peuple des États membres, pas leurs gouvernements, le peuple des États membres et ces règlements sanitaires internationaux ? Ou bien n’y a-t-il que la constitution qu’ils ont eux-mêmes inventée ?

5:01:29 Astrid Stuckelberger :

Alors, permettez-moi d’expliquer les rouages des Nations Unies. Et c’est presque pareil pour toutes ces grandes agences comme le Bureau International du Travail, l’ITU télécommunication, pour les réfugiés ; chaque année, vous avez une assemblée mondiale, comme pour une ONG, une Assemblée Mondiale de la Santé se déroule chaque année aux Nations Unies à Genève, en mai, la troisième semaine de mai, tous les états membres ont leur petit siège et sont réunis. Ils ont un programme et décident ensemble de celui du monde. Normalement, s’il faut prendre une décision importante, ils ne sont que des représentants de l’Assemblée générale des Nations unies. Ils doivent donc s’adresser à l’Assemblée générale, et obtenir la bénédiction du Secrétaire général, le chef des Nations Unies, qui lui doit donner sa bénédiction à l’OMS. Je ne vois pas cela dans le cas de la réglementation internationale de la santé, si c’est une piste, euh, un indice.

5:02:40 Silvia Behrendt :

J’ajoute à cela les règlements internationaux en matière de santé, car nous avons commencé vers 18:15, il y a quelques heures. Et c’est un régime très intéressant parce que ce traité international remonte aux Conventions Sanitaires de 1850. C’est donc l’un des plus anciens régimes juridiques internationaux, qui a été repris par l’OMS et qui a été reconnu dans la constitution de l’OMS, parce qu’ils avaient déjà à l’esprit, et c’est très vrai, qu’ils voulaient instaurer un régime réglementaire de procédure accélérée. Ils ont donc mis en place un processus réglementaire qui stipule que, dans le cadre des règlements relatifs aux pertes sanitaires, qui sont à présent les pertes liées à une pandémie, auxquels vous pouvez vous référer, les États membres doivent choisir de ne pas participer, et non de participer. Ainsi, en vertu de la résolution adoptée, un traité international doit entrer en vigueur dans l’État membre, sinon celui-ci doit se retirer volontairement. C’est donc le processus inverse du droit international. Et c’est un élément très singulier. Et je pense qu’aucune autre organisation internationale, je n’ai trouvé aucune autre organisation internationale possédant cette capacité. Mais ce qu’ils ont réalisé est démocratique, car il s’agissait d’un processus de négociation intergouvernemental. Et ce qui est intéressant, c’est qu’uniquement à cause de l’émergence du SRAS, ils ont développé cette nouvelle idéologie adaptée de l’idée de sécurité sanitaire globale selon laquelle ce ne sont pas les maladies endémiques qui sont dévastatrices pour les populations, mais seulement les nouvelles maladies pour lesquelles il n’existe pas de traitement médical. Ils ont donc inséré ce nouveau concept dans les anciennes lois qui avaient toujours existé, l’OMS existait dans le monde. Ils ont donc adopté ce tout nouveau concept… Oui, une idéologie. Et c’est la situation extrêmement frappante que nous vivons maintenant. Et cela a été adopté sous forme de résolution. Et point intéressant, il s’agit d’un traité international et l’OMS n’en fait pas partie. Elle est seulement liée par la résolution de divers autres traités internationaux, comme la convention-cadre pour la lutte antitabac, dont l’OMS est signataire. C’est donc une loi internationale un peu délicate.

5:05:02 Reiner Fuellmich :

Je ne comprends toujours pas. Je ne vois pas de lien entre moi, mes compatriotes et ces règlements sanitaires internationaux.

05:05:12 Dr Silvia Behrendt :

C’est le problème du droit international.

05:05:20 Reiner Fuellmich :

Eh bien, pas vraiment, je pense que c’est assez unique.

05:05:23 Silvia Behrendt :

Parce que les États membres l’ont adopté, ils ont donné leur accord en 2005. Ils ont tous dit qu’ils souhaitaient ce nouveau type de règles en droit international. Et maintenant, ils sont obligés de l’appliquer au niveau national, ou depuis 2007. C’est entré en vigueur, et ils sont tenus de l’appliquer. Et par exemple, l’Autriche, je vis en Autriche, notre Constitution ne comporte pas de clause d’urgence. Et nous n’avons pas adopté de lois sanitaires, nos lois épidémiologiques, il n’y a pas de clause d’urgence et nous avons toujours le même système. C’est ce que je dis toujours, quel que soit le système juridique et la constitution des pays, évidemment le système peut avoir un impact sur n’importe quel pays et n’importe quel système constitutionnel et régime juridique, c’est possible avec ou sans clause d’urgence, ils appliquent des règles d’urgence. C’est ce que je vois, du moins c’est mon opinion.

05:06:24 Astrid Stuckelberger :

C’est comme pour les Objectifs de Développement du Millénaire, et les Objectifs de Développement Durable qui semblaient correspondre, vous savez, de 2000 à 2015, et 2015 à 2030. Avec les Objectifs de Développement Durable qu’ils ont créé, ils mettent en place tout un mécanisme là-autour, et cela devient de plus en plus obscur, et il est de plus en plus difficile de savoir à quel point nos citoyens décident vraiment, et nous ne décidons plus rien. Parce que ça devient tellement complexe et opaque.

05:06:54 Reiner Fuellmich :

Nous devons absolument reconquérir notre souveraineté. C’est la conclusion que j’en tire. Parce que même si l’UE veut proposer une nouvelle loi, par exemple, elle peut décider d’introduire ces lois, mais à moins que les États membres ne la ratifient dans leur propre pays, elle ne devient pas une loi dans leur pays. C’est donc assez surprenant pour moi. Et je pense à tous ces juristes qui devraient aussi être au courant de ces questions. C’est très inquiétant, je pense.

05:07:56 Silvia Behrendt :

Et l’UE a créé cette agence HERA, qui est similaire, mais probablement beaucoup plus coercitive, et c’est un énorme, énorme problème. Et ils ne possèdent aucune autorité en matière de santé, mais ils prétendent quand même l’avoir, ils créent les agences et nous donnent des instructions sans processus démocratique.

05:07:53 Reiner Fuellmich :

HERA est l’acronyme de Health Emergency Response Agency (Agence d’intervention d’urgence sanitaire). En effet. Et n’y a-t-il pas une rumeur selon laquelle si les gouvernements des États membres de l’UE s’effondrent, ils prendront le relais avec une sorte de mini gouvernement mondial sous la Commission européenne ? Est-ce que cela semble plausible ?

05:08:16 Dr Silvia Behrendt :

Je n’en ai aucune idée, mais je suis sûre qu’ils en seraient ravis.

05:08:20 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est l’idée de ce traité sur la pandémie. Parce que ce traité sur la pandémie contient des articles à la fin qui disent qu’avec la Constitution de l’OMS, nous n’avons pas besoin d’autres Constitutions en tant qu’États membres, et non seulement ils diminuent le pouvoir des États membres, — ce qui est la raison de l’existence des Nations Unies, mais ils ont invité tout un tas d’acteurs non étatiques, comme ils les appellent, les ONG, Gavi, les ONG intergouvernementales, les organisations internationales, parce que vous pouvez utiliser beaucoup de choses, Bill & Melinda Gates pourrait être une ONG et puis ils ont différentes activités, la Fondation Rockefeller, je les ai rencontrés à l’OMS, ils viennent, ils participent à des réunions, et ce sont des ONG, nous ne savons pas qui elles sont. Les acteurs non étatiques sont donc également invités à participer à ce nouveau traité, qui reprendrait littéralement, par le biais de la constitution de l’OMS, une constitution mondiale en cas de pandémie.

05:09:20 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, nous sommes en présence d’associations privées, voire de particuliers, qui prennent le contrôle de nos gouvernements nationaux par le biais de l’Organisation mondiale de la santé et qui utilisent la santé comme un levier pour faire ce qu’ils veulent.

05:09:40 Astrid Stuckelberger :

Oui, on pourrait dire cela parce que le partenariat public-privé a été utilisé, vous pouvez le voir à travers le financement, parce que GAVI et les partenaires privés ont commencé à envahir et à interférer dans l’ensemble des Nations Unies. En fait, je me suis penchée sur cette question lors de l’organisation des journées portes-ouvertes de l’adhésion de la Suisse aux Nations Unies, pendant deux jours, etc. J’ai donc découvert nombre d’organisations dont personne n’entend parler, et l’une d’entre elles est une entité privée appelée le Pacte Mondial des Nations unies. Ce Pacte mondial des Nations Unies ne concerne que le secteur privé. Et ils peuvent, par exemple, financer. Je veux dire, c’est ouvert aux partenariats.

05:10:33 Silvia Behrendt :

Oui. Et juste pour compléter cela, la mise en œuvre du Règlement sanitaire international, c’est très étrange, parce que c’est fait par des évaluations externes de Trump effectuées par le Global Health Security Agenda (Agenda de la sécurité sanitaire mondiale). Et si vous regardez leur page web, vous verrez qu’ils ont un consortium privé, et vous ne savez pas, vous n’avez aucune information, quel consortium privé fait ça. Mais vous savez que ces évaluateurs externes vont en Allemagne, vont dans tous les pays, cela figure même sur le site web du RKI. Et ils chantent à quel point c’est fantastique. Mais ils ne disent pas que c’est mis en œuvre par des entités privées, vous ne savez pas. Je ne veux donc pas de lois exécutées par des entités privées. C’est absolument contraire à la démocratie. Et ils en sont très fiers. Très fiers.

05:11:28 Reiner Fuellmich :

C’est bizarre.

05:11:31 Virginie de Araujo Recchia :

Si je comprends bien, il n’y a pas de conseillers privés qui travaillent aussi avec l’OMS comme McKinsey et Centure ? Ils sont aussi le bras de la Fondation Bill Gates ?

05:11:48 Astrid Stuckelberger :

Hum, oui, c’est une bonne question. En fait, j’ai cherché le lien entre McKinsey et l’OMS parce que nous savons qu’ils créent la communication. Et je pense qu’ils l’ont placée sous quelque chose qu’ils sont en train de mettre en place, un panel intergouvernemental, quel est le titre exact, panel intergouvernemental pour ce traité, pour négocier, réseau de négociation intergouvernemental, quelque chose comme ça. Donc, cela vient de se dérouler au conseil exécutif. C’est un peu inquiétant parce que je pense que toutes ces agences de communication sont noyées là-dedans. Il n’y en a pas qu’une.

05:12:34 Viviane Fischer :

Qu’est-ce que ce traité ajoute à la situation actuelle ?

05:12:39 Dr Silvia Behrendt :

Eh bien, le traité est vraiment mythique. Je viens d’entendre l’ancien conseiller juridique de l’OMS en parler, c’est disponible sur internet. Et c’est très politique, c’est probablement, le partisan le plus féroce est Charles Michel, il a suggéré ce traité à l’Union européenne, une fois que ce traité, les États-Unis sont une sorte de poster, ils ont proposé que les RH soient renforcées. Le problème sera donc un monde à double voie, car s’ils se précipitent sur un traité, seul un petit nombre de signataires le signeront, alors que les RH sont un outil universellement reconnu. Et nous n’avons pas mentionné qu’il contiendrait en fait de bons aspects, qui sont négligés et violés. Il comporte une clause de mise en œuvre des droits de l’homme qui n’est pas respectée, carrément violée. Il y a donc eu des compromis à la fin, lorsqu’ils ont adopté la résolution. Mais c’est juste qu’ils ne sont pas mentionnés, et personne ne le fait, aucun tribunal, vous savez, ne trouve une violation de ceci. Le problème est donc que ce qu’ils aimeraient mettre en place, c’est en amont et en aval de l’industrie pharmaceutique, probablement parce que le champ d’application du traité n’est même pas clair. La seule chose est que cela suscite beaucoup de communication. Le directeur général est un très grand partisan de ce traité, parce qu’il est très politique d’une certaine manière. Et c’est très, très étrange, le genre d’intentions qui se cachent là-derrière. Et on y fait appel pour la préparation et la réponse. Donc ce que nous savons, c’est qu’ils ont inventé une nouvelle procédure qui est aussi problématique. C’est ce qu’on appelle l’utilisation d’urgence de la récession par l’OMS, c’est une très grosse entreprise, Big Pharma peut s’adresser à l’OMS et dire : « Je suis en train d’inventer un nouveau produit pharmaceutique ou un nouvel ensemble de diagnostic pour ce type de maladie pour cette urgence de santé publique. Et nous aimerions que vous l’inscriviez sur notre liste », et ensuite, celui qui l’inscrit sur la liste ajoute une clause de non-responsabilité, indiquant qu’il n’y a aucune garantie et aucune approbation de l’OMS et que si quelqu’un meurt, ce n’est pas la faute de l’OMS, ce n’est qu’une liste. Et puis GAVI prend cette liste et dit : « Oh, nous pouvons l’exporter dans le monde entier, même sans autorités médicales rigoureuses et très compétentes. Nous avons cette liste de l’OMS, maintenant nous pouvons l’offrir au monde entier. » C’est ce qu’ils font. Dans les traités de Gavi et de l’Alliance pour les vaccins, ce centre Covax, comme on l’appelle. Le troisième pilote de cet accélérateur ACT (https://www.who.int/fr/initiatives/act-accelerator) (Dispositif pour accélérer l’accès aux outils de lutte contre la COVID-19). Donc, aujourd’hui, on aimerait probablement trouver de meilleurs moyens de réglementation pour que le fait que les grandes entreprises pharmaceutiques s’adressent à une organisation internationale devienne un processus normal. Mais il s’agit en fait, d’un traité de droit international privé, pas de droit international public. Parce que le problème du droit international coutumier n’est pas reconnu. Son cas d’utilisation ius cogens (loi impérieuse), ça veut dire que c’est une norme à laquelle vous ne pouvez pas déroger, qu’il n’existe aucun traitement médical quel qu’il soit, proprement sans votre consentement. Donc, oui, c’est un énorme problème.

05:16:13 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc appris ce soir de la part de tous les autres experts, y compris bien sûr des trois qui ont témoigné au début de cette session, que par exemple au Royaume-Uni, les soins de santé ont été largement privatisés, ils sont contrôlés par des groupes privés, voire des organisations caritatives privées. Nous avons appris que grâce à cette privatisation, même leur système psychiatrique a été privatisé. Des privés se trouvent derrière tout ça, et c’est comme ça qu’ils contrôlent tout. Ils créent même leurs propres futurs leaders, à l’instar du Forum économique mondial. Cela signifie qu’ils disposent de leurs propres membres à qui ils semblent dire ce qu’ils doivent faire à des postes de pouvoir au sein du gouvernement. Maintenant, si je regarde l’OMS, il y a un homme du nom de Tedros. C’est le directeur général. Qui est-il ? J’ai lu dans les journaux que dans son propre pays, les gens sont… et qu’une plainte pénale a été déposée contre lui pour génocide. Est-ce la marionnette typique, disons, que les entités privées qui dirigent le spectacle de la santé utilisent pour atteindre leurs objectifs ?

05:17:46 Astrid Stuckelberger :

Non, je dois dire que je n’ai jamais vu un tel directeur général. J’en ai connu beaucoup… Je sais aussi de l’intérieur que le personnel était très mécontent de lui. Et ils ont demandé sa démission et bien sûr, cela ne s’est jamais produit. Donc, oui.

Et un autre scoop, si je ne l’ai pas déjà dit, est que dans le conseil d’administration de la fondation GAVI, vous pouvez voir les noms des personnes qui ont fait partie de GAVI. Eh bien, Tedros a fait partie de GAVI avant d’être élu directeur général, conflit d’intérêts. Il a donc fait partie du conseil d’administration entre, je l’ai écrit ici, le 22 janvier 2009 et septembre 2011. C’est l’un d’entre eux. Et l’autre personne en conflit d’intérêt, la présidente de l’Irlande, qui était à la tête de la Commission des droits de l’homme. Je la connais mais je suis très surprise qu’elle ait été là avec le président, avec même la signature de GAVI, de novembre 2008 à septembre 2011. Je peux vous donner les papiers, pas de problème. Vous savez, c’est très précis, du 25 novembre 2008 au 14 septembre 2011.

Donc vous voyez, il y a beaucoup de noms que je ne connais pas. Et je suis sûre que vous y trouverez de nombreux noms que vous pouvez peut-être aussi trouver dans vos pays. Parce que des représentants de pays siègent à GAVI avant même d’être en poste. Il est donc clair qu’il était déjà lié à Bill Gates.

05:19:23 Reiner Fuellmich :

Donc, où que vous regardiez, vous voyez des conflits d’intérêts. Debi et Ana lèvent la main.

05:19:32 Ana Garner :

Oui, j’ai vérifié pour voir quels pays sont membres de l’OMS, et vous ? J’en vois beaucoup, beaucoup, beaucoup, en fait, je n’en vois aucun que je ne reconnais pas. Est-ce qu’il y a des pays ? 194 ? Y a-t-il des pays qui ne sont pas membres de l’OMS ?

05:19:53 Astrid Stuckelberger :

Pour le moment ? Je pense les Etats-Unis… ah non ils sont revenus. Non, le Vatican est un observateur aux Nations Unies, comme vous le savez peut-être ou pas. Et c’est aussi un sujet que je voulais aborder quand vous parlez des valeurs, de la religion, d’opérations psychologiques. Oui, donc ce sont des observateurs et ils sont partout. Les autres religions siègent en général au Conseil Mondial des Églises, juste en face du grand bâtiment que Bill Gates a construit avec notre argent suisse en trois ans. Je veux dire, vous devez le savoir.

Oh, non, c’était une question, alors j’ai répondu…

05:20:37 Ana Garner :

Il n’y a donc pas de pays qui ne soient pas membres. Le Vatican est peut-être un observateur, mais n’est pas un membre. Mais…

05:20:46 Astrid Stuckelberger :

Non, non. Je ne sais pas s’il y en a, Sylvia, que diriez-vous ? Même s’il y en avait 196 ? Votre son est coupé, Sylvia.

05:20:56 Silvia Behrendt :

Il y en a donc 196 dans le Règlement sanitaire international, parce que le Vatican et le Liechtenstein ne sont pas membres de l’OMS. Mais ils sont signataires du Règlement sanitaire international.

05:21:10 Reiner Fuellmich :

Debi a levé la main.

05:21:12 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter quelque chose qui pourrait être intéressant sur le plan juridique. Dans l’annexe, dans les notes à la fin de ce règlement sanitaire international de 2005, deux pays ont émis des réserves, disant qu’ils n’étaient pas entièrement d’accord avec ce règlement, parce qu’ils voulaient appliquer leur sécurité globale au niveau national, et vous devinez de qui il s’agit. Les États-Unis et l’Iran. Il est donc intéressant de voir que deux pays ont réussi à émettre une réserve à ce sujet. Comment se fait-il que les autres ne l’aient pas fait ?

05:21:48 Reiner Fuellmich :

C’est parce que leur peuple n’a pas encore parlé, mais il le fera. Debi ?

05:21:52 Debi Evans :

Oh, merci. Je voudrais juste mentionner très rapidement, lorsque vous avez parlé du Royaume-Uni, que nous avons également un sérieux problème ici avec les personnes non vaccinées, car toute personne admise à l’hôpital positive au COVID-19 semble ou semblerait être placée dans un programme de soins de fin de vie accéléré, et il semble que l’on administre aux patients du Midazolam et de la morphine. Et ce, sans leur consentement. Sans le consentement de leur famille. Ces décisions sont prises par les praticiens seuls. Et les familles et le patient n’ont rien à dire. Je voulais donc m’assurer d’inclure les victimes de ce désastre absolu qui ne sont pas vaccinées. Et aussi, juste pour attirer votre attention sur le Cepi. Il a été fondé en 2017. Et Cepi et GAVI ont travaillé en étroite collaboration, en fait, financièrement très proches. Et lorsque le Cepi a été lancé en 2017, Bill Gates, lors du lancement du Forum économique mondial, a déclaré qu’en gros, ils allaient supprimer la sécurité des essais cliniques, ce serait seulement, et il l’a dit sans détour, et en fait la colonne des nouvelles du Royaume-Uni l’a relaté. Mais Bill Gates a déclaré que les données relatives à la sécurité et à la fabrication seraient réduites, ce qui permettrait à la mission « 100 jours » d’aller de l’avant et de déployer les vaccins dans les 100 jours suivant la déclaration de pandémie par l’Organisation mondiale de la santé. Je tenais donc à le mentionner. Et aussi, concernant Whitney qui parlait plus tôt de la DARPA, nous avons notre propre DARPA en version diluée, si vous voulez, nous avons la nôtre, mais nous avons aussi Wellcome Leap sur lequel Whitney a obtenu beaucoup d’informations quand il s’agit d’acheter des armes et de fabriquer des produits biochimiques. Et je vais aussi juste revenir sur le brevet, parce que le brevet de Rothschild de 2015, si vous regardez le document complet, tout ce que nous voyons aujourd’hui fait partie de ce brevet qui a été approuvé en 2020. Mais on lui a donné la priorité en 2015. Il a donc été rédigé en 2015. Et ce que nous voyons aujourd’hui, c’est tout ce qui se trouve dans ce brevet, de sorte qu’avec la pandémie de SPARS et la pandémie de SPARS 2025 à 2028, il y avait un coronavirus, et certains des noms sont les mêmes que dans le scénario futuriste de John Hopkins, comme Corovax. Cela présente donc beaucoup de similitudes.

Et je sais que nous avons parlé, vous avez parlé de parallèle, mais je voudrais juste rappeler aux gens que SPARS pandémie 2025 à 28, donne une répartition mensuelle. Et si vous regardez quand nous avons commencé, en mars, quand nous avons eu le premier cas, dans notre pays en tout cas, ou en décembre à Wuhan, cela progresse littéralement mois par mois. La prédiction pour l’avenir semble donc être la résistance aux antimicrobiens, ce qui est déjà écrit dans le SPARS. Et nous constatons que de nombreuses personnes dans ce pays ne sont pas en mesure d’accéder à des antibiotiques et que les généralistes et les médecins ici ne veulent pas en prescrire. Je voulais juste ajouter ça. Merci.

05:25:35 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc de nombreuses raisons de nous inquiéter de notre souveraineté. L’une d’entre elles, et non la moindre, est le Règlement sanitaire international de l’Organisation mondiale de la santé. Cela semble être le thème principal. Il s’agit de la manière dont, par le biais de leur constitution et de la révision du Règlement sanitaire international, ils semblent essayer de prendre le contrôle du reste du monde, y compris, bien sûr, de l’ensemble des 196 États membres. Cette évaluation est-elle correcte ?

05:26:09 Silvia Behrendt :

Oui, du moins je le pense, car dans la première partie de mon expertise, j’ai souligné que cet agenda incluait les aspects militaires, mais ils n’avaient pas été nommés. C’est la raison pour laquelle nous avons maintenant une sorte de réponse à la pandémie non médicale, disproportionnée et politique. Et nous ne nous en rendons pas compte. Parce qu’ils ont inclus ce scénario bio- terroriste et ont adapté le langage à la sécurité sanitaire mondiale, c’est aussi ce centre de bio défense civile ou quelque chose comme ça. Au temps de Dark Winter, ça s’appelait Johns Hopkins Global Health Security Center, centre pour la bio défense civile, je crois que c’était le nom correct. Et ils avaient aussi un journal appelé Bio -terrorisme, ou Bio -défense et maintenant il s’appelle Global health security (Sécurité sanitaire mondiale). Nous ne devons donc pas oublier que le travail sur la bio-défense peut continuer du moins. C’est donc bien plus politique, comme en conviennent les politiciens eux-mêmes.

05:27:19 Astrid Stuckelberger :

J’ajouterai deux points : d’une part, nous devrions nous inquiéter de l’ensemble des Nations Unies, car les Objectifs de Développement Durable sont 17 objectifs et 169 cibles, c’est l’Agenda 2030. Et tout cela est imbriqué surtout avec le changement climatique par exemple, mais il faudrait examiner de nombreux autres mécanismes.

Le second, l’Alliance des Nations Unies pour le financement des SDG, de quoi s’agit-il ? Quand vous creusez, vous découvrez de nombreux éléments très mystérieux que nous devons comprendre. Mais l’autre point qui pourrait vous intéresser… rappelez-vous que la pandémie, ou l’urgence de santé publique de portée internationale comporte quatre typologies, je prenais en charge les études de cas, et il était très important de les distinguer. Et c’est ce que nous devrions faire avec ce qui se passe maintenant, parce que nous sommes tous concentrés sur le facteur biologique. Mais en fait, le premier est la biologie infectieuse. Le second est la biologie alimentaire. Et il y a toute une organisation là-derrière qui s’appelle Infostan. Le troisième est chimique, et le chimique c’est le mercure, peut être le métal, etc. Et j’invitais un expert Karsten Gutschmidt, un Allemand, il présentait toujours de très bons rapports, mais il était très difficile de trouver des experts là-bas. Et la quatrième, qui est très importante, vous allez voir pourquoi, c’est la radiation radionucléaire. Et c’est encore plus difficile de trouver des experts.

Et je m’en rends compte, parce que dans nos cours, nous avons invité des personnes qui s’occupent de cela. Il s’agit de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique basée à Vienne, des experts en matière de radionucléaire, Tchernobyl, Fukushima, ils sont les premiers concernés. Et ce qui m’a choquée lorsque nous faisions les études de cas de Fukushima, nous avions également demandé ce que l’OMS avait fait. Et ils ont dit non, l’OMS n’a pas été autorisée à accéder à Fukushima, le visa leur a été refusé. Parce que le premier à être présent est l’AIEA, l’Agence Internationale de l’Energie Atomique. Et ce qui est très étrange, c’est qu’ils ont un accord, ou en tout cas, une déclaration écrite qui leur donne le pouvoir sur l’OMS. Je suis donc allée voir ce qu’ils font avec le COVID aujourd’hui même. Je suis donc très heureuse ou très effrayée de vous annoncer qu’ils sont en charge du kit RT-PCR.

Et en fait, juste avant de dire comment ils ont présenté ça, si ils sont indépendants des Nations Unies, ils possèdent leur propre traité international. Et ils font chaque année un rapport à l’Assemblée générale des Nations Unies et au Conseil de Sécurité. C’est pour les menaces de bombe nucléaire qui pourraient tuer la planète entière. Donc, ils disent que l’AIEA a développé une technologie de diagnostic dérivée du nucléaire qui peut aider à détecter et identifier le COVID ou n’importe quoi d’autre chez nous, chez les humains et chez les animaux. Parce que les animaux sont traités par des vétérinaires et par la FAO, l’Organisation de l’Administration Alimentaire. Et ils ont développé ce test. Et ce test est très efficace, la RT-PCR, parce que c’est une réaction en chaîne par polymérase et un test rapide, ils pensent qu’ils sont les experts, en particulier pour Ebola, Zika, et le virus de la peste porcine africaine. Donc, j’ai lu ça juste aujourd’hui. Et pour moi, ça sonne l’alarme, parce qu’ils offrent maintenant le kit de test PCR, et leur laboratoire. Ils sont donc liés à des laboratoires. Et nous en parlions, c’est là où se trouve le pouvoir et où les choses doivent être, je pense, examinées de plus près, je ne sais pas ce que vous pensez, c’est un peu inquiétant.

05:31:53 Reiner Fuellmich :

Vous voulez dire que d’autres organisations privées ou semi-privées ou la plupart de ces organisations, dont nous avons parlé ce soir, presque toutes les organisations internationales sont plus ou moins contrôlées par des citoyens privés, par des groupes privés, des organisations caritatives, etc. Cela nous ramène au thème dont nous avons entendu parler aujourd’hui, à savoir que la City de Londres, la grande finance, contrôle tout, par l’intermédiaire de ses émissaires, de privés qui tentent de contrôler le reste du monde. Encore une fois, nous devons reprendre notre souveraineté, c’est tout ce que cela me dit en ce moment. Et nous devons également examiner de plus près les tests PCR, ce que nous ferons dans la séance de demain.

05:32:44 Astrid Stuckelberger :

Et peut-être aussi regarder toutes les ONG. Parce que l’OMS gère l’alliance mondiale des hôpitaux, l’alliance mondiale des alliances d’alliances. Beaucoup de Britanniques sont responsables. Et vous devez aussi savoir que de nombreux militaires sont là, car le CDC aux États-Unis, était autrefois militaire. Et je pense qu’il l’est toujours, d’ailleurs. Donc, je pense que nous devons démêler les ONG mondiales, ou les BINGO, les intérêts financiers des ONG, parce que ces mécanismes les rendent très difficile à trouver. Et elles ont beaucoup de pouvoir, plus que nous le pensons.

05:33:27 Reiner Fuellmich :

Les gens doivent apprendre qu’ils doivent se déconnecter et observer, regarder, démarrer la démocratie de base, regarder leurs régions et leurs communautés. Ce sont eux qui savent le mieux ce qui est bon pour eux. Il est déjà très tard. Je sais que Dipali a quelques heures d’avance sur nous, trois ou quatre heures, n’est-ce pas ? Dipali ?

05:33:52 Dipali Ojha :

Oui, quatre heures et demie.

05:33:54 Reiner Fuellmich :

Oh, mon Dieu ! La journée a été très longue. Et à moins qu’il y ait d’autres questions, je pense que nous devrions clore cette session pour ce soir. Oui, allez-y, Dexter, je vous en prie.

05:34:07 Dexter L-J Ryneveldt :

Oui, je veux juste parler au Dr Silvia, vous avez mentionné la sécurité sanitaire mondiale. Et j’aimerais peut-être juste la mettre en perspective par rapport aux changements de définition de l’Organisation Mondiale de la Santé en 2009.

05:34:25 Silvia Behrendt :

Eh bien, vous voulez dire que vous vous référez à ce troisième critère de pandémie ?

05:34:31 Dexter L-J Ryneveldt :

C’est exact. Oui.

05:34:34 Silvia Behrendt :

Mon opinion est qu’ils ont juste réalisé que l’OMS a compris qu’elle n’avait plus besoin d’une définition de pandémie. Parce que tout ce qui est nécessaire est un simulacre, une urgence de santé publique de portée internationale, parce qu’ils veulent fabriquer des vaccins. Et la façon dont la pandémie est définie dans les documents non juridiques n’a pas d’importance. Ils ont donc réduit le seuil très élevé, car ils ont réalisé qu’ils pouvaient, à tout moment, faire de l’urgence de santé publique une urgence de portée internationale. Tant qu’ils disposent de diagnostics. Ils n’ont donc pas prêté attention à ce thème, je pense. Et c’est notre problème. Et aussi pour les avocats qui cherchent toujours cette définition de pandémie. Mais il n’y a pas de conséquences juridiques liées à la définition d’une pandémie. Par contre, les conséquences juridiques sont énormes si vous proclamez, si le directeur général prend cette autorité et proclame une urgence de santé publique de portée internationale.

05:35:43 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup.

05:35:47 Virginie de Araujo Recchia :

Est-ce que ça explique peut-être pourquoi ils utilisent les modèles de Sir Ferguson pour augmenter la peur et expliquer qu’il y a une pandémie parce qu’avec les mathématiques épidémiologiques qu’ils ont utilisées là-dessus, ça ne sert à rien. C’est utilisé à tort pour étudier la propagation du virus, ils utilisent ces informations synthétiques à partir de ces modèles, peut-être, parce que ça paraît très étrange qu’ils utilisent les modèles de Sir Ferguson, et ça ne marche pas du tout. Et ces modèles ont été dupliqués dans d’autres pays, comme en France, par exemple. Et nous avons pris cela pour acquis. Ce n’est pas du tout basé sur l’expérience de la médecine, ce ne sont que des mathématiques. On ne peut pas du tout utiliser ça. Mais j’aimerais savoir si c’est pour cette raison que l’OMS a utilisé ces modèles, pour augmenter la peur de la pandémie et pour manipuler les masses.

05:37:12 Silvia Behrendt :

Je ne connais pas les détails, parce qu’en fait, ils avaient tout ce qu’il fallait pour proclamer une urgence de santé publique et les gouvernements nationaux avaient besoin de la population pour qu’elle accepte, je suppose. Ils en avaient donc besoin pour la population, car il y a aussi eu le premier simulacre déclaré en 2009, où des vaccins ont été fabriqués, mais personne n’a été menacé. En tout cas, je n’ai pas été menacée par cette simulation parce qu’il n’y avait pas de communiqués de presse qui nous menaçaient, mais maintenant ils avaient besoin que la population reste à la maison pendant les confinements et pour se faire vacciner à la fin, c’est mon explication personnelle, je ne sais pas.

05:37:53 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, d’après le modèle de Sir Ferguson, les vaccins étaient la seule solution, pas de traitement du tout, seulement des vaccins.

05:38:07 Astrid Stuckelberger :

Je pourrais juste ajouter, ils ont changé beaucoup de définitions, ou de définitions scientifiques, pas seulement la pandémie, ils ont changé la définition des professionnels de santé, c’est tout le monde, ils ont changé la confidentialité des données, il n’y a plus de confidentialité des données. Ils n’ont pas fait d’éthique, par exemple, dans la communication dans le cours de la mise en œuvre du règlement sanitaire international. On devrait en faire, c’est pour rassurer les gens, « on ne sait pas, on cherche quelque chose, vous allez être fixé vous allez savoir ce qui se passe ». Et petit à petit, on tient les gens informés. Et là, c’était la peur, tout de suite. Et non seulement c’était une opération psychologique qui vise à instiller cette peur, cette peur constante avec des cas, avec des images de mort qui n’étaient pas des morts, parce que nous savons aujourd’hui qu’il n’y a pas plus de mortalité en 2020, mais aussi avec des contradictions déjà mentionnées. C’est dans la psychologie de Melanie Klein, vous rendez les gens et les enfants psychotiques quand vous dites « je t’aime mais je te déteste » et vous faites pression ou vous dites je « t’aime et je te déteste » en même temps par votre comportement.

Ils ont donc fabriqué un délire de cohérence, pas de contrôle, pas de sentiment de contrôle. C’est aussi un autre concept en psychologie. Et ils ont totalement insécurisé les gens, ce qui diminue leur immunité, d’ailleurs, et psychologiquement, ils ont aussi supprimé toutes les religions et tous les systèmes de croyance. C’est quelque chose qui maintient les gens en vie et ils ont censuré la religion, ils ont censuré la mort. Ils ont interdit le rituel de la mort qui est l’un des plus importants si vous voulez bien faire votre deuil. Je veux dire, la cohérence et la guérison. Ils ont donc fait beaucoup de choses. Pas seulement cette manipulation… Je ne connais pas M. Ferguson, mais je pense que je pourrais en ajouter une, ils ont complètement inversé les valeurs. Et c’est un peu le syndrome psychotique de Melanie Klein, je l’appelle le syndrome d’Hansel et Gretel, « parce que je vous aime, je vais vous donner ça, je vais être éthique, nous allons bien vous traiter avec le vaccin », et ils les tuent. Et ils ont complètement abrogé les directives de recherche éthique, que nous avons élaborées entre 2006 et 2009. J’étais impliquée là-dedans. Donc, toutes les valeurs sont aussi une opération psychologique. Ils ont changé les valeurs et les définitions.

05:40:50 Reiner Fuellmich :

Il est certain qu’il ne s’agit pas de santé.

05:40:55 Debi Evans :

En ce qui concerne le Professeur Ferguson, si je peux juste clarifier le point de vue du Professeur en 2002. Il a modélisé la survenue de 50 000 décès au Royaume-Uni à cause de la maladie de la vache folle. Et il l’a modélisé de manière complètement incorrecte, alors nous avons incinéré tout notre bétail à cause de 150 décès. C’était donc très incorrect. Nous avons été très surpris au Royaume-Uni lorsque nous avons appris que Neil Ferguson était responsable de la modélisation de cette pandémie, car il s’était montré très imprécis lors de la précédente. Il a également fait la une des journaux à plusieurs reprises et a dû démissionner de son poste à SAGE parce qu’il a été pris en train d’enfreindre les règles de confinement. Je voulais juste ajouter cela à son propos.

05:41:38 Reiner Fuellmich :

La question est : comment se fait-il qu’il soit toujours en poste ?

05:41:41 Debi Evans :

C’est une très bonne question. Et je ne peux pas y répondre. Je crains que ce soit le cas. Il ne devrait pas…

05:41:47 Astrid Stuckelberger :

Conflit d’intérêt.

05:41:50 Debi Evans :

Absolument.

05:41:51 Astrid Stuckelberger :

Ou népotisme..

05:41:53 Debi Evans :

Il travaille aussi en étroite collaboration avec l’Arabie Saoudite. J’ai oublié de trouver le nom, je n’arrive ni à le lire ni à le prononcer. Mais il travaille à l’Imperial College qui a le plus grand nombre d’anciens élèves chinois. Quand le président Xi est venu en visite officielle, la seule université qu’il a visitée était l’Imperial qui a d’énormes liens avec la Chine. Et ils ont aussi racheté un certain nombre de nos hôpitaux, si bien que nous avons maintenant un NHS Trust impérial. Donc l’Imperial, je pourrais continuer pendant des heures sur l’Imperial et le professeur Alice Gast qui en est la présidente, elle a donné une conférence basée sur 1984, George Orwell, 1984. Beaucoup de choses se passent à l’Imperial et je pourrais en dire beaucoup plus, mais le professeur Ferguson a été discrédité en 2002 pour la maladie de la vache folle, et je voulais juste le mentionner. Merci.

05:42:55 Reiner Fuellmich :

C’est étonnant effectivement, le nombre de personnes qui sont totalement incompétentes dans leur domaine. L’une d’entre elles est la personne qui dirige la Commission européenne, elle a échoué à tous les postes qu’elle a occupés. C’est incroyable le nombre d’incompétents qui sont maintenus en poste, évidemment par ceux qui les y ont mis. Ces gens super riches, d’une manière ou d’une autre, semblent être alimentés et maintenus en vie par la City de Londres et ses cinquièmes colonnes qui semblent être partout dans le monde. Nous devrons examiner de plus près tous ces événements.

05:43:43 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter une chose, nous parlions de McKinsey, et le fils de Von der Leyen travaille pour McKinsey, et le fils de Fabius en France travaille pour McKinsey. Et vous connaissez le népotisme ? C’est un terme utilisé pour les Papes…

05:44:03 Virginie de Araujo Recchia :

Ursula von der Leyen a aussi eu un problème quand elle était ministre de la défense en Allemagne, je crois.

05:44:07 Reiner Fuellmich :

Et aussi quand elle était secrétaire aux familles, je crois, ou quelque chose comme ça. Elle a toujours eu des problèmes, mais elle a toujours été maintenue en poste.

05:44:17 Virginie de Araujo :

Et c’était déjà un problème avec les contrats de McKinsey.

05:44:21 Reiner Fuellmich :

C’est majeur. Je pense que McKinsey est une institution majeure et tout cela parce que nous avons appris par un autre expert que Bill Gates utilise McKinsey pour s’assurer que ses conseillers deviennent les conseillers de, par exemple, Ursula von der Leyen et de toutes les autres personnalités politiques majeures, par le biais de McKinsey et de leur réseau.

05:44:55 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est incroyable que nous ayons exactement les mêmes messages il y a deux ans dans les magasins et dans les aéroports, et maintenant. Vous savez, lavez-vous les mains, mettez votre masque, je veux dire, en Europe, du moins pour ceux qui ont ces mesures, et c’est la même voix. C’est comme une agence de marketing.

05:45:15 Reiner Fuellmich :

Tout à fait.

05:45:16 Astrid Stuckelberger :

Alors il faut aussi analyser ça, si c’est la même voix partout. Il y a quelque chose de bizarre.

05:45:22 Reiner Fuellmich :

Nous nous penchons également sur cette question. Mais ce soir, la journée a été très longue. Et je sais que Dipali a besoin de sommeil, comme nous tous. Donc, à moins qu’il n’y ait d’autres questions auxquelles il est urgent de répondre, je pense que nous devrions clore notre séance du jour. Et je tiens vraiment à remercier tout le monde, cela a été extrêmement précieux. Merci, Astrid. Merci, Virginie. Merci, Silvia. Merci, Dexter, Ana et Dipali. Et bien sûr, merci, Debi. Merci beaucoup, beaucoup. Un grand pas de fait. Merci.




Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg

Par Ron Unz — 29 décembre 2021

Le mois dernier j’ai lu le nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr Le vrai Anthony Fauci qui est presque immédiatement devenu le best-seller n° 1 d’Amazon.

J’ai été très impressionné par la grande quantité de matériel présenté, qui critiquait vivement notre industrie pharmaceutique et ses alliés proches dans la bureaucratie de la santé publique. Mais ce qui m’a vraiment choqué c’est que pratiquement la moitié du texte — environ 200 pages — était consacrée à la présentation et à la promotion de l’affirmation étonnante que tout ce qu’on nous avait raconté sur le VIH/SIDA depuis plus de 35 ans constituait probablement un canular. Cette dernière question est devenue le point central de ma propre révision.

[Voir aussi :
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du sida
SIDA : le doute — Film documentaire RTS, ARTE France, TVE, Histoire TV. 1997
Contestation du lien entre VIH et SIDA]

American Pravda : Vaccination, Anthony Fauci et le SIDA

Ron Unz — The Unz Review — 6 décembre 2021 – 6 100 mots

Pourtant, d’après les informations fournies dans le best-seller de Kennedy, n° 1 des ventes d’Amazon, cette image bien connue et solidement établie, que je n’avais jamais sérieusement remise en question, est presque entièrement fausse et frauduleuse, revenant essentiellement à un canular des médias médicaux. Au lieu d’être responsable du SIDA, le virus VIH est probablement inoffensif et n’avait rien à voir avec la maladie. Mais lorsque des personnes se sont révélées être infectées avec le VIH, elles ont été traitées par les premiers médicaments du SIDA extrêmement lucratifs, médicaments qui étaient en fait mortels et qui souvent les tuaient. Les premiers cas de SIDA avaient été causés principalement par une consommation élevée de certaines drogues illicites, et le virus VIH avait été diagnostiqué à tort comme étant responsable. Mais comme Fauci et les sociétés pharmaceutiques avides de profits ont rapidement construit d’énormes empires sur cette erreur de diagnostic, ils se sont farouchement battus pour la maintenir et la protéger, exerçant toute leur influence pour supprimer la vérité dans les médias tout en détruisant les carrières des chercheurs honnêtes qui contestaient cette fraude. Pendant ce temps le SIDA en Afrique était quelque chose de totalement différent, probablement causé principalement par la malnutrition et autres conditions locales.

J’ai trouvé le récit de Kennedy aussi choquant que tout ce que j’ai déjà rencontré.

Dans des circonstances normales, j’aurais été extrêmement réticent à faire miennes des affirmations apparemment aussi farfelues, mais la crédibilité de certains des partisans était difficile à ignorer.

Pourtant, le premier soutien sur la quatrième de couverture vient du Professeur Luc Montagnier, le chercheur en médecine qui a été lauréat du Prix Nobel pour avoir découvert le virus VIH en 1984, et il écrit : « Malheureusement pour l’Humanité, il y a de nombreuses, nombreuses contre-vérités émanant de Fauci et de ses sous-fifres. RFK Jr expose les décennies de mensonges ». De plus, on nous dit que dès la Conférence Internationale sur le SIDA de San Francisco de juin 1990, Montagnier avait publiquement déclaré « le virus VIH est inoffensif et passif, c’est un virus bénin ».

Il se peut que ce lauréat du Prix Nobel ait approuvé le livre pour d’autres raisons et peut-être que le sens de sa frappante déclaration de 1990 ait été mal interprété. Mais l’opinion d’un chercheur qui a remporté un Prix Nobel pour avoir découvert le virus VIH ne devrait certainement pas être totalement ignorée dans l’évaluation de son rôle possible.

Comme l’explique Kennedy, trois autres lauréats du Prix Nobel en sciences ont également exprimé un scepticisme public similaire pour le récit conventionnel VIH/SIDA, l’un d’entre eux étant Kary Mullis, le célèbre créateur du test PCR révolutionnaire (NdT : Kary Mullis a inventé la PCR, il n’a pas inventé le test PCR).

Malgré le formidable succès du livre, il a d’abord été ignoré par les médias grand public. Ce silence a finalement été brisé un mois après la publication lorsque l’Associated Press (Associated Press, une des plus importantes agences de presse du Monde — NdT) a publié un article de dénigrement de 4 000 mots qui attaquait durement l’auteur et son best-seller controversé.

How a Kennedy Built an Anti-Vaccine Juggernaut Amid COVID-19

(Comment un Kennedy a bâti un mastodonte Anti-Vaccin au milieu de la COVID-19) Michelle R. Smith et coll. – The Associated Press – 15 décembre 2021 – 4 000 mots

Cependant, comme je l’ai noté dans ma propre réponse, cette longue dénonciation avait entièrement évité le sujet VIH/SIDA, qui constituait certainement la partie la plus explosive du matériel de Kennedy. Six journalistes de l’AP et des chercheurs avaient passé au minimum dix jours à produire cet article, de sorte que leur silence total sur ce sujet m’est apparu extrêmement suspect. Si près de la moitié du livre de Kennedy soutenait que le VIH/SIDA était un canular médiatique médical et que ses critiques les plus sévères refusaient de le contester sur ce point, tout lecteur impartial doit certainement commencer à suspecter qu’au moins quelques-unes des remarquables affirmations de l’auteur étaient probablement exactes.

RFK Jr. as America’s #1 HIV/AIDS Denier and the Sounds of Media Silence
(RFK Jr en tant que négationniste n° 1 en Amérique de VIH/SIDA et le Silence Assourdissant des Médias)

Ron Unz – The Unz Review – 15 décembre 2021 – 1 500 mots

Avant la récente épidémie du Covid, le SIDA avait passé près de quatre décennies en tant que maladie la plus médiatisée au Monde, et j’ai commencé à me demander si je n’avais pas été complètement induit en erreur durant toutes ces années par mes journaux quotidiens. J’ai écouté les longues interviews de Kennedy par Tucker Carlson, Steve Bannon et Jimmy Dore, mais aucun des présentateurs n’a jamais abordé la question du SIDA, peut-être parce qu’ils la considéraient comme étant une diversion par rapport au sujet plus urgent des vaccins Covid et par rapport aux autres mesures de santé publique controversées. En fait, Kennedy lui-même n’avait jamais été associé auparavant au sujet VIH/SIDA et il a souligné que son reportage visait simplement à « exposer les voix dissidentes aux yeux de tous », de sorte qu’il me faudrait consulter d’autres sources pour des informations supplémentaires. Par chance, son livre a identifié clairement la plus importante figure du débat.

L’un des héros scientifiques les plus importants dans le récit de Kennedy est le Professeur Peter H. Duesberg de Berkeley (de l’université de Berkeley). Durant les années 1970 et 80, Duesberg avait été généralement considéré comme l’un des plus importants virologistes du Monde, élu à l’âge de 50 ans à la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, faisant de lui un de ses plus jeunes membres de l’histoire. Dès 1987, il a commencé à soulever de sérieux doutes sur l’hypothèse VIH/SIDA et à souligner les dangers de l’AZT, publiant finalement sur le sujet une série d’articles de revues qui ont progressivement convaincu de nombreuses autres personnes, parmi lesquelles Montagnier. En 1996 il a publié L’invention du Virus du SIDA un ouvrage massif de 712 pages exposant son cas, avec l’avant-propos fourni par Kary Mullis le lauréat du Prix Nobel, le célèbre inventeur de la technologie PCR et lui-même autre critique de premier plan de l’hypothèse VIH/SIDA. Duesberg alla jusqu’à souligner la confiance qu’il portait à son scepticisme à l’égard du VIH en proposant qu’on lui injecte du sang contaminé par le VIH.

Mais plutôt que de débattre ouvertement avec un opposant scientifique aussi solide, Fauci et ses alliés ont mis Duesberg sur la liste noire pour l’attribution de tout financement gouvernemental, détruisant ainsi sa carrière de chercheur, tout en le diffamant et en faisant pression sur d’autres pour qu’ils fassent de même. D’après des collègues chercheurs cités par Kennedy, Duesberg a été détruit en guise d’avertissement et d’exemple pour les autres. Pendant ce temps, Fauci a déployé son influence pour que ses critiques soient bannis des principaux médias nationaux, s’assurant que peu de personnes, en dehors d’un segment étroit de la communauté scientifique, puissent un jour prendre conscience de la controverse en cours.

Donc la théorie qu’il me fallait étudier revenait à l’hypothèse Duesberg, l’adversaire longtemps étouffé de notre orthodoxie VIH/SIDA régnante. Heureusement pour mes besoins les hérésies scientifiques dépourvues de financement et mises sur liste noire par les revues importantes ont tendance à produire un ensemble d’œuvres très gérable. Les milliards (de dollars — NdT) dépensé dans la recherche orthodoxe du SIDA ont donné naissance à bien plus de 100 000 articles de revues universitaires, plus ce qu’un lecteur diligent ne pouvait digérer en une douzaine de vies. Mais la plus récente publication académique que j’ai pu trouver provenant de l’autre bord était un long article de synthèse publié il y a 18 ans par Duesberg et deux de ses collaborateurs. En effet, selon leur épilogue, les auteurs avaient passé plusieurs années à se battre contre l’inlassable hostilité de l’establishment régnante du SIDA pour faire imprimer leur article, establishment qui avait réussi à faire pression sur deux précédentes revues pour qu’elles annulent la publication.

The chemical bases of the various AIDS epidemics: recreational drugs, anti-viral chemotherapy and malnutrition (PDF)

(Les bases chimiques des différentes épidémies de SIDA : drogues récréationnelles, chimiothérapie antivirale et malnutrition (PDF))

Peter Duesberg, Claus Koehnlein et David Raznick — Journal of Bioscience — juin 2003

Bien que j’aie une solide formation scientifique, il me manque l’expertise en médecine ou microbiologie nécessaire pour évaluer correctement leur article. Mais en le lisant attentivement en tant que profane, je l’ai trouvé solide et persuasif, certainement digne d’être publié. Et quand je l’ai transmis à quelqu’un avec une formation médicale professionnelle, il l’a considéré comme extrêmement impressionnant, un exposé convaincant de la thèse révolutionnaire des auteurs.

L’une des affirmations centrales de Duesberg était que la maladie connue sous le nom de SIDA en fait n’existait pas, mais n’était simplement que l’étiquette attachée à un groupe de plus de deux douzaines de maladies différentes, qui avaient toutes une variété de causes différentes, dont seulement certaines étaient des agents infectieux. En effet, la plupart de ces maladies étaient connues et traitées depuis des décennies, mais elles n’étaient désignées « SIDA » que si la victime était également testée positive au virus VIH, ce qui n’avait probablement rien à voir avec la maladie.

À l’appui de leur position contraire (à la thèse officielle — NdT), les auteurs ont noté que les différents groupes à haut risque de « SIDA » avaient tendance à n’être touchés que par des versions particulières de la maladie, le « SIDA » dont souffraient les hémophiles étant généralement très différent du « SIDA » des villageois africains et ne chevauchant que légèrement les maladies des homosexuels ou des toxicomanes par intraveineuse. En fait, le modèle du « SIDA » en Afrique semblait complètement différent de celui du Monde développé. Mais si toutes ces maladies différentes étaient réellement causées par un seul virus VIH, des syndromes aussi complètement différents sembleraient des anomalies déconcertantes, difficiles à expliquer d’un point de vue scientifique.

En 2009, 6 ans après la publication de ce long article, un cinéaste indépendant, de nom Brent Leung, a produit un documentaire de 90 minutes sur le SIDA, fortement sympathique à la thèse de Duesberg, et quelqu’un l’a récemment porté à mon attention. Il y a une grande pénurie de matériel pro Duesberg, donc bien que je ne trouve que rarement des sources d’information vidéo utiles, ce cas était une exception importante. Le film soulignait les énormes inconsistances de la position de l’orthodoxie scientifique, et comprenait également des interviews importantes de Duesberg, Mullis, Fauci et de nombreux autres chercheurs et journalistes clés provenant des deux côtés du débat. Le documentaire dans son entier est facilement disponible sur YouTube (pour la version avec sous-titre en français :

Le peu de personnes ayant visionné le film explique qu’il n’ait pas encore été censuré par YouTube — NdT), ceux qui sont intéressés peuvent donc le visionner et décider par eux-mêmes.

Le journaliste John Lauritsen avait couvert la controverse VIH/SIDA pendant des décennies, écrivant deux livres sur le sujet et servant comme importante source pour le propre travail de Kennedy. Il a récemment rejoint un des fils de discussion sur notre site web et il m’a suggéré de republier sa conférence de 2018, qui résumait de façon utile l’histoire et l’état actuel de la question. (Cette conférence a été organisée par un Américain, Martin Barnes, qui s’est établi dans le sud de la France dans le village Vers Pont du Gard)

Making Our Case In the Battle for Truth
(Plaider notre cause dans la Bataille pour la Vérité)

John Lauritsen — Conférence Vers pont du Gard — 16 juin 2018 – 2 500 mots

Bien que j’aie trouvé tout ce matériel pro Duesberg utile pour étoffer les arguments, la majeure partie chevauchait le contenu du livre de Kennedy, et l’analyse était nécessairement partiale. Sous la pression de l’establishment médical et son lobby du SIDA, les médias dominants ont presque entièrement fermé leurs portes à toute dissidence sur la question et refusent d’engager le dialogue avec les critiques, semblant plutôt avoir recours à la liste noire et au boycott. Cela suggérait la relative faiblesse du cas orthodoxe, mais n’ayant pas d’échanges d’arguments et contre-arguments, je ne pouvais facilement peser la puissance des deux côtés. Heureusement j’ai découvert que cette situation avait été très différente dans le passé.

J’ai passé la plus grande partie du début des années 2000 à créer un système d’archivage de contenu qui comprend des collections presque complètes de quelques centaines de nos principaux magazines d’opinion de ces 150 dernières années, ces publications influentes qui ont façonné notre compréhension du Monde. Le projet était pratiquement un échec total puisque très peu de personnes l’ont utilisé, et j’ai facilement trouvé une longue liste d’articles axés sur l’hypothèse de Duesberg, la plupart d’entre eux datant des années 1990. Durant cette période le rideau de fer de la censure n’était pas encore tombé, et le sujet avait été traité largement et avec respect dans les principales publications.

J’ai lu attentivement plus d’une douzaine d’articles de fond les plus conséquents qui avaient tous été publiés dans des périodiques libéraux, conservateurs et libertaires, tout ce qu’il y a de plus grand public et respectable. Une des surprises majeures a été de voir à quel point le débat semblait avoir peu changé. Les preuves et arguments que Duesberg et ses alliés scientifiques avaient avancés il y a trente ans semblaient remarquablement similaires à ce qui était présenté dans le livre de Kennedy publié à peine le mois dernier.

Le numéro d’été de Policy Review, une des revues spécialisées conservatrices les plus sobres et les plus influentes des États-Unis, avait offert à Duesberg et à un co-auteur une tribune pour la théorie controversée, et leur article en résultant comptait près de 9 000 mots. Selon l’éditeur, ce sujet a provoqué plus de lettres et réponses — positives et négatives — que tout ce qui avait paru dans l’histoire de la revue, et devint un de leurs articles les plus discutés. En conséquence, le numéro suivant du trimestriel a présenté certaines de ces réactions ainsi que les réponses des deux auteurs, l’ensemble de l’échange comptant presque 13 000 mots.

Is the AIDS Virus a Science Fiction? (PDF)

(Le Virus du SIDA est-il une Science-Fiction ?)

Des comportements Immunosuppressifs, et non le VIH, peuvent être la cause du SIDA

Peter H. Duesberg et Bryan J. Ellison — Policy Review — Été 1990 – 8 800 mots

Is HIV the Cause of AIDS? (PDF)
(le VIH est-il la Cause du SIDA ?)

Des critiques répondent — Policy Review — Automne 1990 – 12 700 mots

Plusieurs années plus tard, un développement semblable s’est déroulé chez Reason, le magazine de luxe phare du mouvement libertaire américain. Le magazine a publié un long article illustré par la couverture approuvant les affirmations de Duesberg et rédigé par trois de ses alliés scientifiques, l’un d’entre eux, un ancien professeur de la Faculté de Médecine de Harvard et un autre récent lauréat du Prix Nobel. Une fois de plus, le résultat a été un énorme déversement de réactions tant de soutien que critiques, et le long débat a été publié dans un numéro ultérieur.

What Causes AIDS? (PDF)

(Qu’est-ce qui cause le SIDA)

Nous ne savons toujours pas ce qui cause le SIDA

Charles A. Thomas, Kary B. Mullis et Phillip E. Johnson

Reason – Juin 1994 – 4 600 mots

What Causes AIDS? The Debate Continues (PDF)
Qu’est-ce qui cause le SIDA ? Le débat continue

Les critiques répondent — Reason — Décembre 1994 – 9 100 mots

Le Lancet est une des revues médicales les plus importantes du Monde et en 1996, l’année suivant sa nomination en tant que rédacteur en chef, Richard Horton a publié dans les pages de la prestigieuse, d’un point de vue intellectuel, New York Review of Books (revue bimensuelle qui traite des questions d’actualité en se basant sur une importante revue de presse — NdT) pour produire une discussion de 10 000 mots sur les théories de Duesberg telles qu’elles étaient exposées dans trois des livres et recueils du chercheur.

Horton était manifestement une des personnalités les plus respectables de l’establishment, mais bien qu’il se soit surtout prononcé en soutien du consensus orthodoxe VIH/SIDA, il a présenté la perspective totalement contraire de Duesberg en toute impartialité, avec respect, mais pas sans réserve.

Cependant, ce qui m’a le plus frappé dans le récit de Horton c’est à quel point il semblait atterré par le traitement de Duesberg par le complexe médico-industriel régnant en Amérique, tel que c’est suggéré par son titre « Vérité et Hérésie au sujet du SIDA ».

La toute première phrase de son long article de synthèse mentionnait la « vaste industrie universitaire et commerciale construite autour… du VIH » ainsi que le défi fondamental que Duesberg posait à son fondement scientifique. Avec pour conséquence que le « brillant virologue » était devenu le « scientifique vivant le plus vilipendé » et le sujet « d’attaques des plus condamnables ». Les principales revues scientifiques avaient fait preuve d’une « attitude partiale alarmante », ce qui a eu pour partie comme conséquence que d’autres dissidents potentiels avaient été dissuadés de poursuivre leurs théories alternatives.

Selon Horton, les considérations financières étaient devenues un élément central du processus scientifique, et il a noté avec horreur qu’une conférence de presse sur la recherche, qui remettait en question l’efficacité d’un médicament anti-SIDA particulier, était en fait bourrée de journalistes spécialisés dans la finance, focalisés sur les efforts des dirigeants d’entreprise à détruire la crédibilité d’une étude qu’ils avaient eux-mêmes aidée à concevoir, mais qui allait maintenant à l’encontre de leur propre produit.

Plus important encore, bien que Horton était dans l’ensemble sceptique par rapport aux conclusions de Duesberg, il était absolument cinglant envers les opposants au virologue dissident.

Un des aspects les plus troublants du différend entre Duesberg et l’establishment du SIDA était la façon dont on avait refusé à Duesberg la possibilité de tester son hypothèse. Dans une discipline régie par des affirmations empiriques de la vérité, les preuves expérimentales sembleraient la manière la plus évidente de confirmer ou de réfuter les affirmations de Duesberg. Mais Duesberg avait trouvé les portes de l’establishment scientifique closes à ses fréquents appels à des tests…

Duesberg mérite d’être entendu, et l’assassinat idéologique qu’il a subi restera un témoignage embarrassant des tendances réactionnaires de la science moderne… À une époque où les idées nouvelles et de nouvelles voies d’investigation sont si désespérément recherchées, comment la communauté du SIDA peut-elle se permettre de ne pas financer la recherche de Duesberg ? »

Cette dernière phrase retentissante clôturait toute la critique, parue il y a plus d’un quart de siècle dans une publication prestigieuse et influente. Pour autant que je sache, la critique sincère de Horton est tombée entièrement dans des oreilles de sourds, et l’establishment du SIDA a simplement ignoré toute la controverse tout en faisant progressivement pression sur les médias pour qu’ils mettent fin à toute couverture. Cela semble confirmer pleinement le récit fourni dans le best-seller actuel de Kennedy.

Truth and Heresy About AIDS

(Vérité et Hérésie au sujet du SIDA)

Richard Horton – The New York Review of Books – 23 mai 1996 – 10 100 mots

Pris ensemble, ces cinq articles comptent plus de 45 000 mots, la longueur d’un petit livre, et fournissent probablement un débat aussi bon et équilibré sur l’Hypothèse Duesberg que ce qu’on peut trouver où que ce soit.

D’après l’article de l’AP le livre de Kennedy s’est probablement vendu à 200 000 exemplaires dans les premières semaines suivant sa publication du 16 novembre. Le livre a ravi la place de n° 1 sur Amazon et a conservé cette position une bonne partie du mois de décembre, donc les ventes globales peuvent maintenant s’élever à plus du double de ce chiffre.

Mais même si le nombre total d’exemplaires imprimés devait éventuellement atteindre le million ou plus, de tels chiffres ne représentent tout au plus une minuscule fraction des dizaines de millions d’Américains qui sont submergés chaque jour par les messages fortement promus par nos médias électroniques et nos médias sociaux, organismes médiatiques qui mettent sur liste noire ou qui boycottent le matériel important que Kennedy présente. Donc à moins que le mur défensif des médias ne puisse être contourné avec succès, le message du livre de Kennedy se limitera probablement surtout à cette fraction de la population qui est déjà à l’écoute, renforçant peut-être leur détermination, mais gagnant relativement peu de nouveaux adhérents.

Il y a plusieurs années, j’ai exactement analysé ce problème, soulignant les difficultés à surmonter un tel blocus médiatique et la stratégie possible à poursuivre, et certaines de mes suggestions méritent d’être citées en larges extraits :

Les médias grand public (mainstream en anglais — NdT) existent en un tout homogène, de sorte que l’affaiblissement ou le discrédit dans un domaine particulier réduit automatiquement également son influence partout ailleurs.

Les éléments du récit médiatique auxquels est confronté un groupe anti-establishment particulier peuvent être trop forts et bien défendus pour les attaquer avec efficacité, et de telles attaques peuvent être écartées comme étant motivées par l’idéologie. Par conséquent, la stratégie la plus productive peut parfois être une stratégie indirecte, en attaquant le récit médiatique ailleurs, à des endroits où il est bien plus faible et bien moins défendu. En plus, gagner ces batailles plus faciles peut générer une plus grande crédibilité et impulsion, ce qui ensuite peut être appliqué à des attaques ultérieures sur des fronts plus difficiles.

Certaines portions de ce mur médiatique peuvent être solides et vigoureusement défendues par de puissants intérêts particuliers, ce qui rend les assauts difficiles. Mais d’autres portions, peut-être plus âgées et moins connues, ont décrépi avec le temps, leurs défenseurs s’en étant éloignés. Enfoncer le mur à ces endroits plus faibles peut être plus facile, et une fois que la barrière a été brisée en plusieurs endroits, la défendre en d’autres devient bien plus difficile.

Par exemple, considérez les conséquences si l’on démontre que le récit médiatique établi est complètement faux sur un événement individuel. Une fois ce résultat largement reconnu, la crédibilité des médias sur tous les autres sujets, même n’ayant aucun rapport serait quelque peu atténuée. Les gens ordinaires concluraient naturellement que si les médias se sont trompés si longtemps sur un point important, ils pourraient se tromper également sur d’autres points, et la puissante suspension de l’incrédulité qui fournit aux médias son influence deviendrait moins puissante. Même les individus qui forment collectivement le corpus des médias pourraient commencer à considérer de sérieux doutes sur eux-mêmes en ce qui concerne leurs certitudes antérieures.

Le point crucial c’est que de telles percées peuvent être les plus faciles à réaliser dans des sujets qui semblent être simplement d’importance historique, et qui sont totalement éloignés de toute conséquence pratique actuelle.

Selon les paramètres habituels du débat public, les défis à l’orthodoxie établie sont traités comme étant des « affirmations extraordinaires » qui doivent être justifiées par des preuves extraordinaires. Cette exigence peut être injuste, mais elle constitue la réalité dans de nombreux échanges publics, fondés sur le cadre fourni par les médias prétendument impartiaux.

Étant donné que la plupart de ces controverses impliquent un large éventail de questions complexes et de preuves ambiguës ou contestées, il est souvent extrêmement difficile d’établir de façon concluante une théorie non orthodoxe, disons à un niveau de confiance de 95 ou 98 %. Par conséquent, le verdict des médias est presque invariablement « Cas non prouvé » et les contestataires sont jugés vaincus et discrédités, même s’ils semblent réellement avoir la prépondérance des preuves de leur côté. Et s’ils contestent haut et fort l’injustice de leur situation, cette même réponse est alors citée par la suite par les médias comme preuve supplémentaire de leur fanatisme ou de leur paranoïa.

Cependant, supposons qu’une stratégie entièrement différente ait été adoptée. Au lieu d’essayer de monter un dossier « au-delà de tout doute raisonnable », les tenants fournissent simplement suffisamment de preuves et analyses pour suggérer qu’il y a 30 % ou 50 % ou 70 % de chances que la théorie non orthodoxe soit vraie. Le fait même qu’aucune affirmation de quasi-certitude ne soit avancée fournit une défense puissante contre toute accusation plausible de fanatisme ou de pensées délirantes. Mais si la question est d’importance énorme et — comme c’est habituellement le cas — la théorie non orthodoxe a été presque totalement ignorée par les médias, bien qu’elle ait apparemment au moins une chance raisonnable d’être vraie, alors les médias peuvent être attaqués de manière efficace et ridiculisés pour leur paresse et leur incompétence. Ces accusations sont très difficiles à réfuter et puisqu’aucune affirmation n’est faite que la théorie non orthodoxe s’est nécessairement avérée exacte, simplement qu’elle pourrait éventuellement être correcte, toute contre-accusation de tendance conspiratrice tomberait à plat.

En effet, les seuls moyens que les médias pourraient avoir pour réfuter efficacement ces accusations seraient d’explorer tous les détails complexes de la question (aidant en cela à porter eux-mêmes à une attention plus large différents faits controversés) et ensuite prétendre qu’il n’y a qu’une chance négligeable que la théorie soit correcte, peut-être 10 % ou moins. Ainsi, l’habituelle charge de la preuve est complètement inversée. Et comme il est peu probable que la plupart des membres des médias n’aient jamais accordé une attention sérieuse sur le sujet, il se pourrait que leur présentation, faite par des ignorants, soit assez faible et vulnérable face à une déconstruction bien informée. En effet, le scénario le plus probable est que les médias continueront à ignorer totalement toute la controverse, renforçant ainsi ces accusations plausibles de paresse et d’incompétence.

American Pravda: Breaching the Media Barrier

(Pravda Américaine : traverser la barrière médiatique)

Ron Unz – The Unz Review – 24 octobre 2016 – 2 500 mots

Le public principal du livre de Kennedy est la communauté anti-vaxx importante et mobilisée, et beaucoup de ces personnes peuvent ignorer sa longue discussion sur la controverse VIH/SIDA, ou même l’écarter au motif qu’elle détourne l’attention. Mais je pense que c’est une grave erreur stratégique. Au lieu de cela un accent majeur sur le récit douteux VIH/SIDA et l’hypothèse opposée de Duesberg peut constituer le meilleur moyen de discréditer l’establishment médical dominant de l’Amérique, et ainsi permettre une réévaluation de notre politique vaccinale. Comme je l’ai expliqué vers la fin de ma recension :

En tant qu’observateur extérieur sans expertise particulière dans ces domaines de la médecine, j’ai été impressionné par une grande partie du matériel que Kennedy a réuni en soutien à ses points de vue non orthodoxes sur les vaccins et les traitements Covid, mais j’ai trouvé que les preuves qu’il a fournies sur le VIH et le SIDA étaient beaucoup plus compréhensives et persuasives, tout en étant plus appuyées par des experts faisant bien plus autorité. Mais si, comme il l’affirme, la vérité au sujet du VIH et du SIDA a été supprimée avec succès pendant des décennies par l’ensemble de l’industrie médicale, alors nous devons nécessairement devenir très méfiants au sujet des autres allégations médicales, y compris celles concernant le Covid et les vaccinations.

Je me demande même si cela ne représente pas une partie du sous-entendu caché de l’âpre bataille actuelle au sujet de la vaccination et la réaction presque paranoïaque de tant d’opposants. Ceux qui ont contesté le dogme scientifique officiel sur le SIDA ont depuis longtemps été chassés de la place publique, de sorte que bien peu parmi ceux qui puisent leurs informations des médias grand public sont même au courant du conflit. Mais le genre de théories divergentes présentées par Kennedy a probablement circulé depuis des années à l’intérieur de segments particuliers de la population, et ces personnes sont devenues fermement convaincues qu’un grand nombre d’Américains sont morts parce que l’establishment médical a infligé le traitement mortel AZT pour lutter contre l’inoffensif virus VIH. Donc elles deviendraient alors extrêmement méfiantes si elles apprenaient qu’un virus Covid à faible mortalité était traité par l’utilisation généralisée de nouveaux vaccins expérimentaux qui ont complètement contourné le processus de test habituel grâce à un ensemble de dérogations d’urgence. Après avoir absorbé le contenu remarquable de l’important livre de Kennedy, je pense qu’il n’est pas déraisonnable d’avoir de telles préoccupations.

Lectures associées :

Traduction Jean Bitterlin, le 5 janvier 2022




Elon Musk veut implanter la puce de Neuralink dans le cerveau d’humains dès l’année prochaine

[Source : dailygeekshow.com]

[Illustration : ― JLStock / Shutterstock.com]

Par Kanto Andriamanjatoson

Outre Tesla et SpaceX, Elon Musk est également à la tête de Neuralink, une entreprise spécialisée dans la neurotechnologie. Celle-ci développe des implants cérébraux d’interfaces neuronales directes. Si cette technologie semblait relever de la science-fiction jusqu’ici, l’homme d’affaires annonce qu’il espère effectuer les premiers essais sur l’être humain dès l’année prochaine.

UNE TECHNOLOGIE FUTURISTE

C’est au cours d’une interview accordée au Wall Street Journal, lors du CEO Council Summit, qu’Elon Musk a déclaré qu’il espérait implanter la puce de Neuralink dans des cerveaux humains dans le courant de l’année 2022. Ce dernier a précisé que les puces seraient destinées à des personnes souffrant de lésions graves de la moelle épinière.LIRE AUSSI Comment marche l’impression 3D ?

Pour rappel, cette technologie a effectivement été développée dans l’ambition de redonner la parole et la mobilité aux personnes ayant un handicap physique. Une fois que la puce est implantée dans le cerveau d’une personne, elle est censée fonctionner comme un lien sans fil entre le cerveau humain et la technologie. Les patients pourraient ainsi contrôler un ordinateur ou un autre appareil électronique par la pensée.

Elon Musk souligne que cette technologie a été testée sur des singes avec succès. Dans une vidéo, les chercheurs montrent notamment un singe nommé Pager en train de jouer au Pong uniquement par la pensée. « Neuralink fonctionne bien chez les singes et nous procédons actuellement à de nombreux tests pour confirmer que le dispositif est parfaitement sûr, fiable, et qu’il peut être retiré en toute sécurité », a-t-il déclaré.

— vasilis asvestas / Shutterstock.com

L’APPROBATION DE LA FDA EST NÉCESSAIRE

Le fondateur de Neuralink a tout de même indiqué que l’implantation de ses puces dans des cerveaux humains nécessite l’approbation de la Food and Drug Administration (FDA), l’administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments, qui a le pouvoir d’autoriser la commercialisation des médicaments sur le territoire des États-Unis.LIRE AUSSI Des ingénieurs dévoilent une main robotique d’une dextérité sans égale

Nous nous doutons bien qu’il ne sera pas facile d’obtenir l’autorisation d’implanter une telle puce dans le cerveau humain. Cependant, l’homme d’affaires semble bien optimisme. « Nos normes pour l’implantation du dispositif sont nettement plus élevées que celles de la FDA. Tout comme nos normes de sécurité avec Tesla sont beaucoup plus élevées que ce qu’exige le gouvernement américain », a-t­-il déclaré.

Que pensez-vous de la puce de Neuralink ?




Derrière la « guerre cognitive » de l’OTAN : une « bataille pour votre cerveau »

[Source : La chaîne humaine (lachainehumaine.com)]

Par Jeanne Traduction



Les nouvelles formes de guerre

Les gouvernements occidentaux de l’alliance militaire de l’OTAN développent des tactiques de « guerre cognitive » , utilisant les menaces supposées de la Chine et de la Russie pour justifier la conduite d’une « bataille pour votre cerveau » dans le « domaine humain » , pour « faire de chacun une arme. »

L’OTAN développe de nouvelles formes de guerre pour mener une « bataille pour le cerveau » , comme le dit l’alliance militaire.

Le cartel militaire de l’OTAN dirigé par les États-Unis a testé de nouveaux modes de guerre hybride contre ses adversaires autoproclamés, notamment la guerre économiquela cyberguerrela guerre de l’information et la guerre psychologique.

Aujourd’hui, l’OTAN met au point un tout nouveau type de combat qu’elle a baptisé « guerre cognitive ». Décrite comme une « militarisation des sciences du cerveau« , cette nouvelle méthode consiste à « pirater l’individu » en exploitant « les vulnérabilités du cerveau humain » afin de mettre en œuvre une « ingénierie sociale » plus sophistiquée.

Jusqu’à récemment, l’OTAN avait divisé la guerre en cinq domaines opérationnels différents : air, terre, mer, espace et cyber. Mais avec son développement de stratégies de guerre cognitive, l’alliance militaire discute d’un nouveau niveau, le sixième : le  » domaine humain. « 

Une étude de 2020 parrainée par l’OTAN1 sur cette nouvelle forme de guerre explique clairement : « Alors que les actions menées dans les cinq domaines sont exécutées afin d’avoir un effet sur le domaine humain, l’objectif de la guerre cognitive est de faire de chacun une arme. »

« Le cerveau sera le champ de bataille du 21e siècle », souligne le rapport. « Les humains sont le domaine contesté » et « les conflits futurs se produiront probablement parmi les gens numériquement d’abord et physiquement ensuite, à proximité des centres de pouvoir politique et économique. »

Si l’étude soutenue par l’OTAN insiste sur le fait qu’une grande partie de ses recherches sur la guerre cognitive est conçue à des fins défensives, elle concède également que l’alliance militaire développe des tactiques offensives, en déclarant : « L’humain est très souvent la principale vulnérabilité et il convient de le reconnaître afin de protéger le capital humain de l’OTAN, mais aussi de pouvoir tirer parti des vulnérabilités de nos adversaires. »

Dans une révélation qui fait froid dans le dos, le rapport dit explicitement que « l’objectif de la guerre cognitive est de nuire aux sociétés et pas seulement aux militaires. »

Avec des populations civiles entières dans le collimateur de l’OTAN, le rapport souligne que les armées occidentales doivent travailler plus étroitement avec le monde universitaire pour armer les sciences sociales et humaines et aider l’alliance à développer ses capacités de guerre cognitive.

L’étude décrit ce phénomène comme « la militarisation des sciences du cerveau ». Mais il semble évident que le développement de la guerre cognitive par l’OTAN conduira à une militarisation de tous les aspects de la société et de la psychologie humaines, des relations sociales les plus intimes à l’esprit lui même.

Cette militarisation globale de la société se reflète dans le ton paranoïaque du rapport parrainé par l’OTAN, qui met en garde contre « une cinquième colonne intégrée, où chacun, à son insu, se comporte selon les plans de l’un de nos concurrents ». L’étude indique clairement que ces « concurrents » censés exploiter la conscience des dissidents occidentaux sont la Chine et la Russie.

En d’autres termes, ce document montre que les figures du cartel militaire de l’OTAN considèrent de plus en plus leur propre population nationale comme une menace, craignant que les civils ne soient de potentielles cellules dormantes chinoises ou russes, de redoutables « cinquièmes colonnes » qui remettent en cause la stabilité des « démocraties libérales occidentales. »

Le développement par l’OTAN de nouvelles formes de guerre hybride intervient à un moment où les campagnes militaires des États membres ciblent les populations nationales à un niveau sans précédent.

Le Ottawa Times a rapporté en septembre dernier que le Commandement des opérations conjointes de l’armée canadienne a profité de la pandémie de Covid-19 pour mener une guerre de l’information contre sa propre population, en testant des tactiques de propagande sur des civils canadiens.

Des rapports internes parrainés par l’OTAN suggèrent que cette divulgation ne fait qu’effleurer la surface d’une vague de nouvelles techniques de guerre non conventionnelles employées par les armées occidentales dans le monde entier.

Le Canada accueille le « Défi innovation de l’OTAN » sur la guerre cognitive

Deux fois par an, l’OTAN organise un « événement de terrain » qu’elle qualifie de « défi de l’innovation ». Ces campagnes, organisées alternativement au printemps et à l’automne par les États membres, font appel à des entreprises privées, à des organisations et à des chercheurs pour aider à mettre au point de nouvelles tactiques et technologies pour l’alliance militaire.

Ces défis reflètent l’influence prédominante de l’idéologie néolibérale au sein de l’OTAN, les participants mobilisant le marché libre, les partenariats public-privé et la promesse de prix en espèces pour faire avancer le programme du complexe militaro-industriel.

Le défi Innovation de l’automne 2021 de l’OTAN2 est organisé par le Canada et s’intitule « La menace invisible : Outils pour contrer la guerre cognitive ».

« La guerre cognitive cherche à changer non seulement ce que les gens pensent, mais aussi la façon dont ils agissent », a écrit le gouvernement canadien dans sa déclaration officielle sur le défi. « Les attaques contre le domaine cognitif impliquent l’intégration de capacités de cybernétique, de désinformation/misinformation, de psychologie et d’ingénierie sociale. »

Le communiqué d’Ottawa poursuit : « La guerre cognitive positionne l’esprit comme un espace de combat et un domaine contesté. Son objectif est de semer la dissonance, de susciter des récits contradictoires, de polariser l’opinion et de radicaliser les groupes. La guerre cognitive peut inciter les gens à agir d’une manière qui peut perturber ou fragmenter une société autrement cohésive. »

Des responsables militaires canadiens soutenus par l’OTAN discutent de la guerre cognitive lors d’une table ronde

Un groupe de défense appelé l’Association OTAN du Canada s’est mobilisé pour soutenir ce défi de l’innovation, travaillant en étroite collaboration avec des entrepreneurs militaires pour inciter le secteur privé à investir dans de nouvelles recherches au nom de l’OTAN – et de ses propres résultats.

Bien que l’Association canadienne de l’OTAN (NAOC) soit techniquement une ONG indépendante, sa mission est de promouvoir l’OTAN, et l’organisation se vante sur son site Web : « La NAOC entretient des liens étroits avec le gouvernement du Canada3 , notamment avec Affaires mondiales Canada et le ministère de la Défense nationale. »

Dans le cadre de ses efforts pour promouvoir le Défi d’innovation de l’OTAN du Canada, le NAOC a organisé une table ronde sur la guerre cognitive4 le 5 octobre.

Le chercheur qui a rédigé l’étude définitive sur la guerre cognitive parrainée par l’OTAN en 2020, François du Cluzel, a participé à l’événement, aux côtés d’officiers militaires canadiens soutenus par l’OTAN.

Le panel était supervisé par Robert Baines, président de l’Association OTAN du Canada. Il était animé par Garrick Ngai, un responsable du marketing dans l’industrie de l’armement qui est conseiller auprès du ministère canadien de la Défense nationale et vice-président et directeur du NAOC. 

M. Baines a ouvert l’événement en indiquant que les participants discuteraient de « la guerre cognitive et du nouveau domaine de concurrence, où les acteurs étatiques et non étatiques cherchent à influencer ce que les gens pensent et comment ils agissent ». Le président du NAOC s’est également réjoui des « opportunités lucratives pour les entreprises canadiennes » que promettait ce défi d’innovation de l’OTAN.

Un chercheur de l’OTAN décrit la guerre cognitive comme « un moyen de nuire au cerveau »

Le panel du 5 octobre a débuté avec François du Cluzel, un ancien officier militaire français qui, en 2013, a contribué à la création du NATO Innovation Hub (iHub), qu’il dirige depuis lors depuis sa base de Norfolk, en Virginie.

Bien que l’iHub insiste sur son site Web, pour des raisons juridiques, sur le fait que les « opinions exprimées sur cette plateforme ne constituent pas des points de vue de l’OTAN ou de toute autre organisation », l’organisation est parrainée par le Commandement allié Transformation (ACT), décrit comme « l’un des deux commandements stratégiques à la tête de la structure de commandement militaire de l’OTAN. »

L’iHub agit donc comme une sorte de centre de recherche ou de groupe de réflexion interne à l’OTAN. Ses recherches ne constituent pas nécessairement une politique officielle de l’OTAN, mais elles sont directement soutenues et supervisées par l’OTAN.

En 2020, le commandant suprême allié Transformation (SACT) de l’OTAN a chargé du Cluzel, en tant que responsable de l’iHub, de mener une étude de six mois sur la guerre cognitive.

M. du Cluzel a résumé ses recherches lors du panel d’octobre dernier. Il a commencé ses remarques en notant que la guerre cognitive « est actuellement l’un des sujets les plus chauds pour l’OTAN » et « est devenue un terme récurrent dans la terminologie militaire ces dernières années ».

Bien que français, M. Du Cluzel a souligné que la stratégie de guerre cognitive « est actuellement développée par mon commandement ici à Norfolk, aux États-Unis. »

Le responsable iHub de l’OTAN s’est exprimé à l’aide d’une présentation PowerPoint, et a commencé par une diapositive provocatrice décrivant la guerre cognitive comme « une bataille pour le cerveau. »

« La guerre cognitive est un nouveau concept qui commence dans la sphère de l’information, c’est une sorte de guerre hybride », a déclaré M. du Cluzel.

« Cela commence avec l’hyper-connectivité. Tout le monde a un téléphone portable », a-t-il poursuivi.
« Cela commence par l’information car l’information est, si je puis dire, le carburant de la guerre cognitive. Mais cela va bien au-delà de la seule information, qui est une opération autonome – la guerre de l’information est une opération autonome. »

La guerre cognitive recoupe les entreprises Big Tech et la surveillance de masse, car « il s’agit de tirer parti du big data », explique du Cluzel. « Nous produisons des données partout où nous allons. Chaque minute, chaque seconde, nous allons en ligne. Et c’est extrêmement facile de tirer parti de ces données pour mieux vous connaître et utiliser ces connaissances pour changer votre façon de penser. »

Naturellement, le chercheur de l’OTAN a affirmé que les « adversaires » étrangers sont les agresseurs supposés qui utilisent la guerre cognitive. Mais dans le même temps, il a précisé que l’alliance militaire occidentale mettait au point ses propres tactiques.

Du Cluzel a défini la guerre cognitive comme « l’art d’utiliser des technologies pour modifier la cognition de cibles humaines ».

« Ces technologies, a-t-il noté, intègrent les domaines des NBIC – nanotechnologies, biotechnologies, technologies de l’information et sciences cognitives. L’ensemble forme une sorte de cocktail très dangereux qui permet de manipuler davantage le cerveau », a-t-il ajouté.

Du Cluzel a poursuivi en expliquant que cette nouvelle méthode d’attaque exotique « va bien au-delà » de la guerre de l’information ou des opérations psychologiques (psyops).

« La guerre cognitive n’est pas seulement une lutte contre ce que nous pensons, mais c’est plutôt une lutte contre la façon dont nous pensons, si nous pouvons changer la façon dont les gens pensent », a-t-il déclaré. « C’est beaucoup plus puissant et cela va bien au-delà de la [guerre] de l’information et des opérations psychologiques ».

De Cluzel poursuit : « Il est crucial de comprendre qu’il s’agit d’un jeu sur notre cognition, sur la façon dont notre cerveau traite l’information et la transforme en connaissance, plutôt qu’un jeu uniquement sur l’information ou sur les aspects psychologiques de notre cerveau. Ce n’est pas seulement une action contre ce que nous pensons, mais aussi une action contre la façon dont nous pensons, la façon dont nous traitons l’information et la transformons en connaissance. »

« En d’autres termes, la guerre cognitive n’est pas seulement un autre mot, un autre nom pour la guerre de l’information. C’est une guerre contre notre processeur individuel, notre cerveau. »

Le chercheur de l’OTAN a souligné que « cela est extrêmement important pour nous, les militaires », car « cela a le potentiel, en développant de nouvelles armes et de nouveaux moyens de nuire au cerveau, d’engager les neurosciences et la technologie dans de très nombreuses approches différentes pour influencer l’écologie humaine… car vous savez tous qu’il est très facile de transformer une technologie civile en une technologie militaire. »

Quant à savoir qui pourraient être les cibles de la guerre cognitive, du Cluzel a révélé que tout le monde est sur la table. « La guerre cognitive a une portée universelle, en commençant par l’individu jusqu’aux États et aux organisations multinationales« , a-t-il déclaré. « Son champ d’action est global et vise à prendre le contrôle de l’être humain, civil comme militaire. » 

Et le secteur privé a un intérêt financier à faire progresser la recherche sur la guerre cognitive, a-t-il noté : « Les investissements massifs réalisés dans le monde entier dans le domaine des neurosciences laissent penser que le domaine cognitif sera probablement l’un des champs de bataille du futur. »

Le développement de la guerre cognitive transforme totalement le conflit militaire tel que nous le connaissons, a déclaré M. du Cluzel, en ajoutant « une troisième dimension de combat majeure au champ de bataille moderne : à la dimension physique et informationnelle s’ajoute désormais une dimension cognitive. »

Cela « crée un nouvel espace de compétition au-delà de ce que l’on appelle les cinq domaines d’opérations – ou domaines terrestre, maritime, aérien, cybernétique et spatial. La guerre dans l’arène cognitive mobilise un éventail plus large d’espaces de combat que ne peuvent le faire les seules dimensions physique et informationnelle. »

En bref, les humains eux-mêmes sont le nouveau domaine contesté dans ce nouveau mode de guerre hybride, aux côtés de la terre, de la mer, de l’air, du cyberespace et de l’espace.

L’étude de l’OTAN sur la guerre cognitive met en garde contre la « cinquième colonne embarquée »

L’étude menée par François du Cluzel, responsable du Hub d’innovation de l’OTAN, de juin à novembre 2020, a été parrainée par le Commandement allié Transformation du cartel militaire, et publiée sous la forme d’un rapport de 45 pages en janvier 2021 (PDF)5.

Ce document glaçant montre comment la guerre contemporaine a atteint une sorte de stade dystopique, autrefois imaginable uniquement dans la science-fiction.

« La nature de la guerre a changé », souligne le rapport. « La majorité des conflits actuels restent en dessous du seuil de la définition traditionnellement admise de la guerre, mais de nouvelles formes de guerre sont apparues, comme la guerre cognitive (CW), tandis que l’esprit humain est désormais considéré comme un nouveau domaine de la guerre. »

Pour l’OTAN, la recherche sur la guerre cognitive n’est pas seulement défensive, elle est aussi très offensive.

« Développer des capacités pour nuire aux capacités cognitives des adversaires sera une nécessité », indique clairement le rapport de du Cluzel. « En d’autres termes, l’OTAN devra obtenir la capacité de sauvegarder son processus décisionnel et de perturber celui de l’adversaire. »

Et n’importe qui peut être la cible de ces opérations de guerre cognitive : « Tout utilisateur des technologies modernes de l’information est une cible potentielle. Il vise l’ensemble du capital humain d’une nation » , ajoute sinistrement le rapport.

« Outre l’exécution potentielle d’une guerre cognitive en complément d’un conflit militaire, elle peut également être menée seule, sans aucun lien avec un engagement des forces armées », poursuit l’étude. « De plus, la guerre cognitive est potentiellement sans fin puisqu’il ne peut y avoir de traité de paix ou de reddition pour ce type de conflit. »

Tout comme ce nouveau mode de combat n’a pas de frontières géographiques, il n’a pas non plus de limite de temps : « Ce champ de bataille est mondial via internet. Sans début ni fin, cette conquête ne connaît aucun répit, rythmée par les notifications de nos smartphones, en tout lieu, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. »

L’étude parrainée par l’OTAN note que « certains pays de l’OTAN ont déjà reconnu que les techniques et technologies neuroscientifiques ont un fort potentiel d’utilisation opérationnelle dans diverses entreprises de sécurité, de défense et de renseignement ».

Elle parle de percées dans les « méthodes et technologies neuroscientifiques » (neuroS/T), et précise « l’utilisation des résultats et des produits de la recherche pour faciliter directement les performances des combattants, l’intégration d’interfaces homme-machine pour optimiser les capacités de combat des véhicules semi-autonomes (par exemple, les drones), et le développement d’armes biologiques et chimiques (c’est-à-dire les neuroarmes) ».

Le Pentagone fait partie des principales institutions qui font avancer ces recherches inédites, comme le souligne le rapport : « Bien qu’un certain nombre de nations aient poursuivi et poursuivent actuellement des travaux de recherche et de développement neuroscientifiques à des fins militaires, les efforts les plus proactifs à cet égard ont peut-être été menés par le ministère de la défense des États-Unis, les travaux de recherche et de développement les plus notables et les plus rapides étant menés par la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et l’Intelligence Advanced Research Projects Activity (IARPA) ».

Selon l’étude, les utilisations militaires de la recherche en neurosciences et technologies de l’information comprennent la collecte de renseignements, la formation, « l’optimisation des performances et de la résilience du personnel de combat et de soutien militaire » et, bien sûr, « l’utilisation directe des neurosciences et des neurotechnologies à des fins militaires. »

Cette militarisation des neurosciences et des neurotechnologies peut être et sera fatale, a clairement indiqué l’étude parrainée par l’OTAN. La recherche peut « être utilisée pour atténuer l’agression et favoriser les cognitions et les émotions d’affiliation ou de passivité ; induire la morbidité, le handicap ou la souffrance ; et « neutraliser » les adversaires potentiels ou provoquer la mortalité » – en d’autres termes, pour mutiler et tuer des gens.

Le rapport cite le général de division américain Robert H. Scales, qui résume la nouvelle philosophie de combat de l’OTAN : « La victoire se définira davantage en termes de capture de l’avantage psychoculturel plutôt que géographique. »

Et tandis que l’OTAN développe des tactiques de guerre cognitive pour « capturer le psycho-culturel », elle arme aussi de plus en plus divers domaines scientifiques.

L’étude parle du « creuset des sciences des données et des sciences humaines », et souligne que « la combinaison des sciences sociales et de l’ingénierie des systèmes sera essentielle pour aider les analystes militaires à améliorer la production de renseignements. »

« Si la puissance cinétique ne permet pas de vaincre l’ennemi, la psychologie et les sciences comportementales et sociales connexes sont appelées à combler le vide. »
« L’exploitation des sciences sociales sera centrale dans l’élaboration du plan d’opérations du domaine humain« , poursuit le rapport. « Il soutiendra les opérations de combat en fournissant des plans d’action potentiels pour l’ensemble de l’environnement humain environnant, y compris les forces ennemies, mais aussi en déterminant les éléments humains clés tels que le centre de gravité cognitif, le comportement souhaité comme état final. »

Toutes les disciplines universitaires seront impliquées dans la guerre cognitive, et pas seulement les sciences dures. « Au sein de l’armée, les compétences en anthropologie, ethnographie, histoire, psychologie, entre autres, seront plus que jamais nécessaires pour coopérer avec les militaires », indique l’étude parrainée par l’OTAN.

Le rapport s’achève sur une citation inquiétante : « Les progrès réalisés aujourd’hui dans les domaines des nanotechnologies, des biotechnologies, des technologies de l’information et des sciences cognitives (NBIC), dopés par la marche apparemment imparable d’une troïka triomphante composée de l’intelligence artificielle, du Big Data et de la « dépendance numérique » civilisationnelle, ont créé une perspective bien plus inquiétante : une cinquième colonne embarquée, où chacun, à son insu, se comporte selon les plans de l’un de nos concurrents. »

« Le concept moderne de la guerre n’est pas une question d’armes mais d’influence », posait-il. « La victoire à long terme restera uniquement dépendante de la capacité à influencer, affecter, changer ou avoir un impact sur le domaine cognitif. »

L’étude parrainée par l’OTAN se termine ensuite par un paragraphe final qui indique sans ambiguïté que l’objectif ultime de l’alliance militaire occidentale n’est pas seulement le contrôle physique de la planète, mais aussi le contrôle de l’esprit des gens :
« La guerre cognitive pourrait bien être l’élément manquant qui permet de passer de la victoire militaire sur le champ de bataille à un succès politique durable. Le domaine humain pourrait bien être le domaine décisif, dans lequel les opérations multi-domaines permettent d’obtenir l’effet souhaité par le commandant. Les cinq premiers domaines peuvent donner des victoires tactiques et opérationnelles ; seul le domaine humain peut donner la victoire finale et complète. »

Un officier canadien des opérations spéciales souligne l’importance de la guerre cognitive

Lorsque François du Cluzel, le chercheur de l’OTAN qui a mené l’étude sur la guerre cognitive, a conclu ses remarques dans le cadre du panel de l’Association canadienne de l’OTAN du 5 octobre, il a été suivi par Andy Bonvie, un commandant du Centre canadien d’entraînement aux opérations spéciales.

Fort de plus de 30 ans d’expérience au sein des Forces armées canadiennes, M. Bonvie a parlé de la façon dont les armées occidentales utilisent les recherches menées par M. du Cluzel et d’autres, et incorporent de nouvelles techniques de guerre cognitive dans leurs activités de combat.

« La guerre cognitive est un nouveau type de guerre hybride pour nous », a déclaré Bonvie. « Et cela signifie que nous devons examiner les seuils traditionnels de conflit et comment les choses qui sont faites sont vraiment en dessous de ces seuils de conflit, les attaques cognitives, et les formes non cinétiques et les menaces non combatives pour nous. Nous devons mieux comprendre ces attaques et adapter leurs actions et notre formation en conséquence pour pouvoir opérer dans ces différents environnements. »

Bien qu’il ait présenté les actions de l’OTAN comme étant « défensives », affirmant que les « adversaires » utilisaient la guerre cognitive contre eux, Andy Bonvie a été sans ambiguïté sur le fait que les armées occidentales développent elles-mêmes ces techniques, afin de conserver un « avantage tactique. »
« Nous ne pouvons pas perdre l’avantage tactique pour nos troupes que nous plaçons à l’avant, car il s’étend non seulement sur le plan tactique, mais aussi sur le plan stratégique », a-t-il déclaré. « Certaines de ces différentes capacités dont nous disposons et dont nous bénéficions tout à coup pourraient être pivotées pour être utilisées contre nous. Nous devons donc mieux comprendre la rapidité avec laquelle nos adversaires s’adaptent aux choses, puis être en mesure de prédire où ils vont dans le futur, afin de nous aider à être et à maintenir l’avantage tactique pour nos troupes à l’avenir. »

La guerre cognitive est la forme de manipulation la plus avancée à ce jour

Marie-Pierre Raymond, un lieutenant-colonel canadien à la retraite qui occupe actuellement le poste de « scientifique de la défense et gestionnaire de portefeuille d’innovation » pour le programme d’innovation pour l’excellence et la sécurité de la défense des Forces armées canadiennes, a également rejoint le panel du 5 octobre.

« Il est loin le temps où la guerre était menée pour acquérir plus de terres » , a déclaré Raymond. « Maintenant, le nouvel objectif est de changer les idéologies des adversaires, ce qui fait du cerveau le centre de gravité de l’humainEt cela fait de l’humain le domaine contesté, et l’esprit devient le champ de bataille. »

« Lorsque nous parlons de menaces hybrides, la guerre cognitive est la forme de manipulation la plus avancée vue à ce jour », a-t-elle ajouté, notant qu’elle vise à influencer la prise de décision des individus et « à influencer un groupe d’individus sur leur comportement, dans le but d’obtenir un avantage tactique ou stratégique. »

Raymond a noté que la guerre cognitive recoupe aussi fortement l’intelligence artificielle, le big data et les médias sociaux, et reflète « l’évolution rapide des neurosciences comme outil de guerre. »

Raymond aide à superviser le Défi innovation automne 2021 de l’OTAN au nom du ministère de la Défense nationale du Canada, qui a délégué les responsabilités de gestion au programme Innovation pour l’excellence et la sécurité de la défense (IDEaS) de l’armée, où elle travaille.

Dans un jargon très technique, Mme Raymond a indiqué que le programme de guerre cognitive n’est pas uniquement défensif, mais aussi offensif : « Ce défi appelle une solution qui soutiendra le domaine humain naissant de l’OTAN et fera démarrer le développement d’un écosystème de la cognition au sein de l’alliance, et qui soutiendra le développement de nouvelles applications, de nouveaux systèmes, de nouveaux outils et concepts menant à des actions concrètes dans le domaine cognitif. »

Elle a souligné que cela « nécessitera une coopération soutenue entre les alliés, les innovateurs et les chercheurs pour permettre à nos troupes de combattre et de gagner dans le domaine cognitif. C’est ce que nous espérons voir émerger de cet appel aux innovateurs et aux chercheurs. »

Pour susciter l’intérêt des entreprises pour le défi d’innovation de l’OTAN, Mme Raymond a déclaré : « Les candidats bénéficieront d’une visibilité nationale et internationale et recevront des prix en espèces pour la meilleure solution. » Elle a ensuite ajouté de façon alléchante : « Les candidats pourraient également en bénéficier en leur donnant potentiellement accès à un marché de 30 pays. »

Un officier militaire canadien appelle les entreprises à investir dans la recherche de l’OTAN sur la guerre cognitive

L’autre institution qui gère le défi d’innovation de l’OTAN de l’automne 2021 au nom du ministère de la Défense nationale du Canada est le Commandement des forces d’opérations spéciales (CANSOFCOM). 

Un officier militaire canadien qui travaille avec le COMFOSCAN, Shekhar Gothi, était le dernier panéliste de l’événement organisé par l’Association OTAN du Canada le 5 octobre. M. Gothi est l’ « officier d’innovation » du COMFOSCAN pour le sud de l’Ontario.

Il a conclu l’événement en lançant un appel aux entreprises pour qu’elles investissent dans la recherche sur la guerre cognitive de l’OTAN.

Le Défi Innovation semestriel fait « partie du rythme de combat de l’OTAN », a déclaré M. Gothi avec enthousiasme.

Il a fait remarquer qu’au printemps 2021, le Portugal a organisé un défi d’innovation de l’OTAN6 axé sur la guerre dans l’espace.

Au printemps 2020, les Pays-Bas ont accueilli un défi d’innovation de l’OTAN7 axé sur le Covid-19.

M. Gothi a rassuré les investisseurs en leur disant que l’OTAN se pliera en quatre pour défendre leurs résultats : « Je peux assurer à tous que le défi d’innovation de l’OTAN indique que tous les innovateurs conserveront le contrôle total de leur propriété intellectuelle. L’OTAN ne prendra donc pas le contrôle de cette propriété. Le Canada non plus. Les innovateurs conserveront le contrôle de leur propriété intellectuelle. »

Ce commentaire était une conclusion appropriée au panel, affirmant que l’OTAN et ses alliés du complexe militaro-industriel cherchent non seulement à dominer le monde et les humains qui s’y trouvent avec des techniques de guerre cognitive troublantes, mais aussi à s’assurer que les entreprises et leurs actionnaires continuent de profiter de ces efforts impériaux.

Jeanne Traduction

Sources :

Source de l’article : https://thegrayzone.com/2021/10/08/nato-cognitive-warfare-brain/




Une vache folle dans chaque vaccin ?

[Source : ripostelaique.com]

Un train peut en cacher un autre, disait-on. Mais une mixture vaccinale peut aussi cacher une vache folle. Ou du moins des prions. En plus de tous les éléments nocifs qu’elle contient. Des prix Nobel le pensent et dénoncent les apprentis sorciers.

Tout est parti d’un délire de science fiction : le transhumanisme ou recherche de « l’homme augmenté ». Demain des supermen et des wonder women comme au cinéma. Avec le NZT-48, la pilule qui rend intelligent. Mais vu les effets secondaires désastreux, les cerveaux lents ne changez rien à vos habitudes !

Pour le moment on a le Modafinil qui booste les capacités intellectuelles avec le risque de vous transformer ultérieurement en légume. Néanmoins, les armées française et américaine l’utilisent pour maintenir la vigilance des soldats sans dormir pendant 3 jours. Mais les militaires veulent mieux que cette amphétamine…

Depuis 20 ans, on traficote dans les laboratoires secrets des grandes puissances toutes sortes de mixtures bizarroïdes à base d’ARN messager dont on attend des miracles. Les rats et les cochons qui y ont été soumis n’ont pas survécu.  Alors on a décidé de passer aux humains. Avec l’alibi du covid.

Les prions kézako ?

Dans les années 1980 le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine et de physiologie, avait entrepris une grande étude des prions.

Un prion est un agent pathogène constitué d’une protéine dont la conformation est anormale et qui, au contraire d’agents infectieux tels que les virus ne dispose pas d’acide nucléique (ADN ou ARN) comme support de l’information infectieuse.

Comme la nature a horreur du vide, le prion (acronyme de PROteinaceous INfectious particle ou particule protéique infectieuse) va se servir dans l’organisme hôte. Parmi les cellules saines ou les virus déjà en place. Provoquant des  dégénérescences du système nerveux central (cerveau et moelle épinière) liées à la propagation puis à la multiplication des prions chez l’hôte infecté.

On observe alors au niveau de l’encéphale la formation de « vacuoles » donnant un aspect spongieux au cerveau, d’où le nom de spongiforme, une mort des neurones et une déficience des glioses (cellules de soutien du système nerveux central) avec perte de contrôle des fonctions motrices et/ou intellectuelles.

Pour le grand public, c’est « la maladie de la vache folle ».

Une hypothèse inquiétante

Pour le moment, les spéculations intellectuelles s’appuient sur de troublantes observations. Des sommités scientifiques s’interrogent sur le rôle probable des brins d’ARN messager trafiqué dans la création de prions ou de néo-prions.

Étant donné l’évolution lente de ces dégradations, on ne dispose pas encore de suffisamment de cas d’étude dans la durée. Et quand on en aura, il sera trop tard.

On considère néanmoins que les grandes fatigues et les comportements débiles-agressifs des piqués et multipiqués ne seraient pas provoqués uniquement par une réponse aberrante et aléatoire de l’ADN à l’ARN messager, au niveau des neurotransmetteurs.

À ces dysfonctionnements peut s’additionner la dégénérescence provoquée par les prions. Mais alors, le fardeau est tellement lourd pour l’organisme que la paraplégie survient quand ce n’est pas la mort immédiate.

Et si on veut le bouquet complet, la protéine Spike ne se contente pas d’accroître la probabilité d’apparition de prions, elle y ajoute le taux anormalement élevé de micro-caillots sanguins qui affectent les tissus cérébraux, en plus de provoquer des myocardites et des AVC.

En clair, si vous étiez déjà un peu jobard avant de vous faire vacciner, vous serez complètement barjot après. Si toutefois vous survivez.

Prions et prétendus vaccins covidiens

Même s’ils disent à la télé que les risques présentés par les prions sont  exagérés par les complotistes, le 27 juillet 2021, sur ordre du  dictateur Macronescu, les laboratoires français ont interrompu leurs travaux sur les prions au nom du principe de précaution, car il y a eu des contaminations mortelles.

Approcher les prions est très dangereux si un contact cutané s’établit, ou s’ils prolifèrent en aérosol dans l’air que vous respirez.

Mais si on vous les inocule dans les veines, il n’y aurait aucun danger !

De la même manière cynique et assassine, après plus de 30 ans d’interdictions,  l’Eurocrature vient d’autoriser à nouveau les farines animales pour nourrir le bétail et les poissons. Et donc contaminer les humains qui mangeront de la vache carnivore sans se douter de rien.

Alors qu’on sait que les prions franchissent aisément la barrière des espèces, donc sont transmissibles à l’homme et font preuve d’une résistance  exceptionnelle à la chaleur, aux rayonnements ionisants ou aux traitements chimiques, ce qui rend très compliquée toute thérapie.

Selon Montagnier, la protéine spike des vaccins a ARNm été modifiée de telle manière qu’elle risque de se comporter comme un prion dit aussi néo-prion.

 En Angleterre le « journal of Medical & Clinical Research », dans un article du 25 juin 2021 annonce que les patients vaccinés avec Astra Zeneca sont 2,6 fois plus touchés par le Parkinson, qui est une maladie à prions.

On finira bien par s’interroger aussi sur les raisons de la recrudescence d’Alzheimer précoces et fulgurants chez des vaccinés de quelques mois, jeunes ou d’âge moyen pour la plupart, alors que dans « le monde d’avant » c’était une maladie de vieillesse.

Il y a pire : toute votre descendance peut être contaminée !

Le passage de fragments du code génétique du virus du covid dans le génome humain est relativement rare mais pas impossible, et s’accroît à chaque nouvelle injection par effet cumulatif. C’est carrément l’ADN qui est modifié, pouvant créer à terme une nouvelle espèce. Plus docile et plus stupide pour faire des moutons. Ou plus agressive et plus bornée pour produire des miliciens.

Les virus mélangent depuis toujours des fragments de leur code génétique au génome humain, avec transmission à la descendance. Ainsi une part du génome humain est constitué de résidus de virus.

Ces fragments sont appelés rétrovirus endogènes, et en règle générale, leurs effets ne sont pas forcément négatifs. Les uns sont inactifs. Les autres peuvent renforcer les protections naturelles ou faciliter les échanges biochimiques. Mais nos lointains ancêtres ont mis des centaines de milliers d’années pour s’y adapter. Et si quelques groupes y ont gagné, beaucoup n’y ont pas résisté.

On peut supposer que l’extinction de Neandertal, de Denisova ou de Florensiensis, qui furent contemporains des premiers Sapiens, et fusionnèrent en partie avec eux, fut une résultante de l’action des virus préhistoriques.

En toute hypothèse, ce genre de mutation génétique ne peut s’envisager sur quelques années, sauf chez les mabouls du transhumanisme.

L’avis d’une généticienne de classe internationale

Conspuée dans les médias du NWO, Alexandra Henrion Caude, neurobiologiste à la Harvard Medical School puis ex-directrice de recherche à l’INSERM, est une scientifique de haut niveau, spécialiste de l’ARN dont les travaux faisaient autorité jusqu’à sa mise à la retraite à 50 ans.

Sa formation, son expérience et la qualité reconnue de ses publications lui donnent une réelle crédibilité lorsqu’elle se prononce sur des sujets scientifiques très pointus et prend un recul suffisant pour évaluer de façon exhaustive une situation sanitaire.

Elle n’a aucun lien avec Big Pharma et ne brigue aucun mandat ou sinécure. Elle fait donc partie de ces rares scientifiques dont la parole est libre.

Ses pairs soumis et/ou vendus lui reprochent de s’interroger sur l’innocuité des vaccins ARNm. Or n’est-ce pas le rôle de tout scientifique digne de ce nom d’alerter s’il lui apparaît, sans son domaine d’expertise, que des pratiques mal maîtrisées peuvent s’avérer dommageables pour des patients qui ne se doutent de rien ?

« Administrer des vaccins ARN à des individus sains est une pure folie », a-t-elle déclaré. Risquant de faire perdre de gros profits à Big Pharma. La réponse fut immédiate : bannissement des médias, censure sur FB et YT, traitée d’« égérie des complotistes » avec toute la délectation perfide des journaleux vendus.

On lui reproche d’avoir évoqué une possibilité de transformation de l’ARN en ADN par l’action de la transcriptase inverse. On lui oppose que l’enzyme utilisée pour cette transcription n’existerait pas pour le coronavirus, en théorie. Mais elle n’est pas la seule scientifique à avoir observé que des mutations induites peuvent créer cette enzyme. En ajoutant que, si l’on a des raisons objectives, du fait des observations in vivo de ne pas douter du phénomène, on ignore pour le moment sa fréquence, sa répétition, l’étendue de son action et l’importance du rôle qu’il joue dans l’apparition de néo-prions dans un contexte multifactoriel. Mais les prions sont bien là. Avec les prétendus vaccins. Ce n’est pas le fait du hasard.

Conclusion empruntées à ces 2 savants :

1/ Les effets secondaires des mixtures ne sont pas uniquement les réactions locales normales que l’on trouve pour n’importe quel vaccin, mais des réactions imprévisibles mettant en jeu la vie du destinataire comme le montre le test D-Dimère pour les caillots, ou les chocs anaphylactiques observés, ou une réaction auto-immune allant jusqu’à l’aplasie cellulaire (destruction des cellules cérébrales)

2/ Le manque de protection vaccinale est désormais patent puisqu’il est reconnu, même par une gaufre comme Blachier, que les vaccinés et polyvaccinés ne sont pas à l’abri d’une contamination et peuvent contaminer leur entourage. Pire, les anticorps produits par les pseudo-vaccins, fragiles et éphémères, peuvent annihiler les anticorps naturels, plus efficaces et durables, privant le sujet de toute défense.

3/ La production d’anticorps induits par la « vaccination » dans une population exposée au virus conduit à la sélection de variants résistants à ces anticorps, plus virulents et plus transmissibles que l’original. C’est ce que nous voyons maintenant. Une course sans fin de virus-vaccin à vaccin-virus qui tournera toujours à l’avantage pour le virus.

4/ Contrairement aux affirmations des fabricants des vaccins à ARN messager, il existe un risque d’intégration de l’ARN viral dans le génome humain.

En effet, chacune de nos cellules a des rétrovirus endogènes ayant la capacité de faire la transcriptase inverse de l’ARN dans l’ADN. On ne peut exclure son passage par l’ADN des cellules germinales et leur transmission aux générations futures.

Il ne vous reste plus qu’à prendre un billet à la loterie de la vache folle !

Vous pourrez y gagner des prions qui vous ramollissent le cerveau de suite, ou d’autres  en « stand by » qui ne se réveilleront que dans plusieurs années. Ou même jamais chez vous. Mais causeront des dégâts irréparables chez vos enfants à venir.

Tout est mis en œuvre pour étouffer ces questionnements légitimes.

La propaganda staffel (pardon les journalistes) applique l’omerta imposée par la mafia macronesque et interdit d’antenne quiconque aborde le sujet des neurotransmetteurs et des prions.

Les commissaires politiques (pardon les fact checkers) ratissent le web pour discréditer Alexandra Henrion Caudé et ridiculiser le professeur Luc Montagnier.

Les réseaux sociaux ne sont pas en reste. Évoquer ces risques est contraire à leur « charte de bonne conduire ». Les hérétiques sont bannis car il ne peut y avoir qu’une seule vérité : celle des médicastres stipendiés par Big Pharma.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/




Martinique : des gendarmes patrouillent à l’intérieur de l’hôpital pour arrêter les soignants non-vaccinés

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D. 

Nous sommes en Martinique, à l’hôpital Pierre Zobda-Quitman (Fort-de-France), la vidéo (voir ci-dessous) , a été filmée à l’intérieur de l’hôpital. Des gendarmes parcourent les couloirs, afin de débusquer des soignants —  médecins, infirmières, brancardiers — sans le passeport sanitaire. La scène est surréaliste et digne d’un film de science-fiction ou d’horreur.

Rappelons que deux brancardiers avaient été arrêtés et menottés au sol par la police. Suite à cela, des heurts avaient eu lieu à l’extérieur de l’établissement, et se sont soldés par l’arrestation de trois soignants.

https://twitter.com/LE_GENERAL___/status/1449491742793797635?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1449491742793797635%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Flemediaen442.fr%2Fmartinique-des-gendarmes-patrouillent-a-linterieur-de-lhopital-pour-arreter-les-soignants-non-vaccines%2F

L’entrée de l’hôpital Pierre Zobda-Quitman ressemble à un checkpoint en zone de guerre, l’accès est réservé aux vaccinés. Benjamin Garel, directeur du CHU de Martinique, nous fait une confidence pour le moins intrigante. Selon lui « Les chiffres sont évidents, il y a un vaccin qui tue ! » On n’en demandait pas tant, mais on salue la franchise.

https://youtu.be/4NnO5F5E_bg

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2