Terre vivante ?

Par Joseph Stroberg

Alors que la science tend généralement à considérer notre planète comme un être inerte, exception faite des théories Gaïa, de nombreux indices (dont certains mentionnés dans ces théories) tendent à la démontrer comme étant un être vivant. Après une revue des plus importants d’entre eux, nous tenterons, par analogie, de déterminer quel peut être le rôle de certains règnes de la nature et plus particulièrement de l’Humanité considérée ici comme un règne à part entière.

Est habituellement
considéré comme vivant un être qui dispose d’un cycle de vie
complet comprenant la naissance, la
croissance, l’alimentation,
la reproduction et la mort.
De ce point de vue, les
virus ne seraient pas vivants au sens strict, car ils ne se
reproduisent pas par eux-mêmes. Par ailleurs, un être vivant est
habituellement capable d’autoréguler certaines de ses
fonctionnalités ou de ses propriétés, comme le rythme cardiaque et
le taux de sucre dans le sang chez les êtres humains. Il
peut aussi communiquer certaines informations à d’autres membres
de son espèce, par un moyen ou un autre (émission de substances
chimiques ou de sons, par exemple). Si l’astronomie peut avoir une
idée de la naissance de notre planète, de la manière dont elle a
pu se former, de son alimentation en énergie par le Soleil, et de
celle dont elle mourra probablement lorsque celui-ci deviendra une
géante rouge, elle reste ignorante de son éventuelle reproduction.
Néanmoins, en absence démontrée de reproduction pour former une
planète fille, la Terre pourrait malgré tout être considérée à
l’image des virus, et donc disposer d’une forme de vie et non pas
être un objet inerte.

Comme
autres indices de vie, la science moderne reconnaît
à la Terre, plusieurs mécanismes autorégulateurs, comme pour le
taux d’oxygène dans l’air et de chlorure de sodium (communément
appelé « sel ») dans l’eau des océans et de la
plupart des mers du globe. Sans de tels mécanismes, il y a toutes
les chances que ces taux divergent et ne puissent être maintenus
longtemps à leur valeur actuelle.

En
raison de l’échelle de temps pour la vie de notre planète (dont
la durée peut se chiffrer en milliards d’années en comparaison de
la centaine seulement pour un être humain), il peut être difficile
de déceler ou de déterminer par quel(s) éventuel(s) moyen(s) elle
communiquerait avec d’autres planètes du système solaire ou avec
le Soleil. Au lieu de durer
quelques minutes ou quelques heures, une telle « conversation »
pourrait comparativement s’étaler sur plusieurs centaines de
milliers de nos années ! Cependant, pour être détectable au
moins jusqu’à Pluton, une telle communication devrait utiliser un
moyen capable de se propager aussi loin. L’Humanité a pu le faire
grâce aux ondes électromagnétiques. La
Terre elle-même possède un champ magnétique et des phénomènes
électriques (lors des orages), en
plus des variations de son albédo (son pouvoir de réflexion de la
lumière solaire) sous l’effet de celles de son atmosphère et de
la couverture des glaces. Elle pourrait utiliser un mode de
communication basée sur ce type d’ondes, éventuellement dans la
bande étroite de la lumière visible. On
ne peut pas non plus exclure d’autres moyens de communication qui
échapperaient pour l’instant plus ou moins complètement à la
science, tels que des formes de télépathie.

La Terre abrite par ailleurs des milliards d’espèces vivantes, microbiennes, fongiques, végétales et animales et comporte des éléments dynamiques qui la montrent comme autre chose qu’un simple rocher inerte : les courants marins, les rivières, les volcans, les tremblements de terre, les variations climatiques… Enfin, on peut envisager au moins deux modes de reproduction planétaire pour engendrer de nouvelles planètes : lors de la naissance de nouveaux systèmes solaires et d’étoiles de troisième (ou de quatrième, etc.) génération ; ou par choc de deux planètes ou planétoïdes dans un système solaire existant. Toutes ces caractéristiques combinées tendent à la décrire comme un être vivant à part entière, vivant en symbiose plus ou moins profonde avec les créatures vivantes qu’elle abrite, de manière similaire à l’être humain qui vit en symbiose avec les milliards de bactéries qui constituent ses microbiotes intestinaux, buccaux, cutanés…

Dans l’hypothèse où la Terre serait effectivement un être
vivant, nous pouvons nous interroger sur le rôle biologique de
diverses espèces, telles que celui des végétaux, des animaux et
des êtres humains.

De
manière alors relativement évidente, le plancton et la plupart des
végétaux lui servent à assimiler une partie de l’énergie
solaire et pourraient donc être des éléments d’un genre de
système digestif. Les minéraux et les mers absorbent également une
autre partie de ce rayonnement, cette fois de manière
essentiellement thermique, et
permettent à la Terre de maintenir sa température dans des limites
vitales. Les animaux s’y comportent probablement un peu à l’image
de nos acariens. Il reste à déterminer si l’Humanité lui apporte
une autre possibilité, en dehors d’éventuellement contribuer, par
ses actions et son psychisme global, à la rendre malade.

Quelles
particularités humaines
ne se retrouvent pas chez
les animaux ? Même si
ces derniers ne semblent pas
pouvoir rire, en dépit du
fait que certains peuvent
jouer (comme les chats et les chiens domestiques), ils
sont habituellement capables
de ressentir des émotions, spécialement la peur. Même
s’ils n’ont pas un langage élaboré, ils peuvent communiquer,
bien qu’il s’agisse alors d’informations principalement
circonstancielles ou émotionnelles, telles que la présence d’un
danger. En comparaison, l’être humain peut échanger des idées et
des concepts abstraits. Si les différences ne sont pas radicales sur
les plans physiques et émotionnels, elles le deviennent
davantage sur le plan mental. La
spécificité humaine se situe donc probablement bien plus à ce
niveau et il reste alors à deviner son impact ou son rôle sur une
planète vivante. Autrement dit, quel peut bien être le rôle d’une
espèce pensante et capable de communications élaborées sur sa
planète hôte ?

Et
si l’espèce humaine était tout simplement l’équivalent du
centre de la gorge humain (appelé « chakra » en Orient)
et devait donc jouer un rôle pour une communication interplanétaire
et pour des créations planétaires harmonieuses
(ou « artistiques » raffinées)
élaborées à partir d’idées et de concepts plus ou moins
complexes ? Même s’il
s’agit pour l’instant de science-fiction et même si l’Humanité
encore adolescente passe plus de temps à s’entre-tuer, à polluer
la planète, à la rendre malade et climatiquement fiévreuse (tant
par ses actions immatures que par son psychisme encore instable et
puéril), ce ne sera probablement pas toujours le cas. L’Humanité
atteindra un jour la maturité émotionnelle et mentale qui devrait
alors la rendre capable de visiter d’autres planètes de notre
système solaire et
de systèmes voisins sans y propager le chaos. Une parcelle
d’Humanité ainsi transférée et créativement active sur une
nouvelle planète pourrait
représenter une
parole de notre Terre adressée à cette dernière. Elle pourrait
ainsi être le vecteur plus ou moins conscient d’une forme de
communication entre deux astres planétaires vivants.

L’Humanité
est peut-être à la veille de découvrir que sa prétendue crise
climatique n’est que le reflet de sa grande crise d’adolescence
avant de passer à l’âge adulte, une
conséquence implacable de ses angoisses existentielles, de ses
caprices, de ses instabilités émotionnelles, affectives et
caractérielles.

Elle
deviendra ensuite capable
d’assumer pleinement, sereinement et harmonieusement son rôle
planétaire de création et de communication. Ou
bien elle renoncera à relever le défi, sombrera dans la dépression
et ira peut-être jusqu’à se suicider, comme le font certains
adolescents peu préparés à relever les défis de l’existence.
Quel avenir préférons-nous voir se réaliser ?




Résurrection en terre étrangère

Par Joseph Stroberg

Voici mon premier roman de science-fiction, publié aux Éditions Dédicaces :

[4e de couverture]

Baldirr, un Vijnien, participe à l’expédition de 51 délégués de races galactiques diverses en direction de Solix, une planète à l’humanité peu avancée. Leur destination est une place forte locale pour tenter d’y nouer des relations commerciales. Sans aucun avertissement perceptible d’aucune sorte, les barbares locaux les y massacrent. Baldirr ressuscite grâce au cristal spécial qu’il avait près du cœur. Les autres délégués ne disposaient pas d’une telle technologie. Il se retrouve donc seul et abandonné sur cette planète étrangère, le vaisseau ayant été mystérieusement détruit. Sans ressources et à bout de forces, il survit malgré tout, grâce à une prêtresse autochtone, Lucida.

Il doit tout réapprendre sur cette nouvelle planète et y découvrir une expression émotionnelle et passionnelle qu’il avait négligée dans son monde originel plus mental. Parallèlement, une civilisation galactique puissante menace Vijnia qui ne dispose d’aucun armement. Sur Solix, Baldirr découvre la tentative d’infiltration d’une race reptilienne prédatrice et cherche comment s’opposer à elle avec ses faibles moyens. Le fils de Baldirr, très jeune Vijnien surdoué et génial participe à sa façon aux événements. (…)


Le livre est pour l’instant disponible, en version papier ou ebook, sur les sites suivants :




Claire Edouards, retraitée de l’ONU, balance tout sur le plan élitiste et génocidaire Covid-19 + 5G + vaccins

[Source : Pro Fide Catholica via Qactus]

Cette Dame s’appelle CLAIRE EDWARDS, elle a travaillé à l’O.N.U. et dénonce ce qu’elle a pu constater de la mise en œuvre du PLAN EUGÉNISTE contre LES PEUPLES par LE COVID-19.

Claire Edwards membre de l’ONU en tant que rédactrice et formatrice en écriture interculturelle de 1999 à 2017. Elle cite tous les noms des responsables de cette mascarade Covid-19.

Depuis mai 2018, Claire Edwards collabore avec Arthur Firstenberg pour la publication de l’Appel international pour arrêter la 5G sur Terre et dans l’espace. (www.5gspaceappeal.org).

Elle explique très clairement que les personnes ne sont pas « malades du COVID-19 », MAIS elles sont impactées par les symptômes des EXPOSITIONS AUX RADIATIONS ÉLECTRO-MAGNÉTIQUES 5G (Exposure to Electromagnetic Radiation = EMR)

Elle cite « LA FINE ÉQUIPE » en charge de ce GÉNOCIDE.

La vidéo de cette Dame a été, bien évidemment, censurée sur You Yube.

Elle n’est active que sur ODYSEE.

La traduction en Français a été réalisée.

Bonne écoute à vous tous.

En téléchargement :

https://cdn.lbryplayer.xyz/api/v3/streams/free/Claire-Edwards-d%C3%A9nonce-le-g%C3%A9nocide-du-Covid—vid%C3%A9o-censur%C3%A9e-sur-YouTube/46164c7499c90a9f54ec9eb7b00d6b81c24bc698/2a1faf

Ou

https://t.co/k08duHELtr?amp=1


[Voir aussi sur le blogue Nouveau Monde de nombreux articles et éléments de preuves sur ces questions :

Et notamment :




Le Grand Reset pour les nuls

[Source : Le Saker Francophone]

Où allons-nous ?


Par Tessa Lena − Source Tessa SubStack

Les paysans s’engraissent, et ils se reproduisent ! Oh non.

Qu’est-ce que le « Grand Reset » ? Le « Grand Reset«  est un projet massivement financé, désespérément ambitieux, coordonné au niveau international, mené par certaines des plus grandes multinationales et [des plus importants] acteurs financiers de la planète et réalisé par des organismes publics et des ONG coopérants. Son âme est une combinaison de science-fiction du début du XXe siècle, d’affiches soviétiques idylliques, de l’obsession d’un comptable dérangé avec une dépendance au jeu, et d’une version numérique améliorée de la « Destinée Manifeste ».

La raison mathématique du « Grand Reset » est que grâce à la technologie, la planète est devenue petite, et le modèle économique d’expansion infinie est foutu – mais de toute évidence, les super riches veulent continuer à rester super riches, et ils ont donc besoin d’un miracle, d’une autre bulle, plus un système chirurgicalement précis pour gérer ce qu’ils perçoivent comme « leurs ressources limitées ». Ainsi, ils veulent désespérément une bulle qui leur apporte une nouvelle croissance sortant littéralement de nulle part, tout en cherchant à serrer la ceinture des paysans, un effort qui commence par une « modification du comportement », c’est-à-dire le « reset » du sentiment des paysans occidentaux qu’ils ont droit à un niveau de vie élevé et à des libertés (ces horribles « privilèges »).

La raison psychologique du « Grand Reset » est la peur de perdre le contrôle de leur propriété, la planète. Je suppose que si vous possédez des milliards et que vous en déplacez des milliers de milliards, votre perception de la réalité devient étrange, et ce qu’il y a tout en bas ressemble à une fourmilière qui n’existe que pour vous servir. Juste des fourmis et des chiffres… votre patrimoine.

Ainsi, l’objectif pratique du « Grand Reset » est de restructurer fondamentalement l’économie mondiale et les relations géopolitiques en se basant sur deux hypothèses : premièrement, que chaque élément de la nature et chaque forme de vie fait partie de l’inventaire global (géré par l’État prétendument bienveillant, qui, à son tour, est détenu par plusieurs personnes riches devenues soudainement bienveillantes, via la technologie) – et deuxièmement, que tout l’inventaire doit être strictement comptabilisé : être enregistré dans une base de données centrale, être lisible par un scanner et facilement identifiable, et être géré par l’IA, en utilisant la « science » la plus récente. L’objectif est de compter puis de gérer et de contrôler efficacement toutes les ressources, y compris les personnes, à une échelle sans précédent, avec une anxiété et une précision numériques sans précédent – tout cela pendant que les maîtres continuent de s’adonner à leurs loisirs, profitant de vastes étendues de nature préservée, à l’abri des paysans souverains inutiles et de leur imprévisibilité. Le monde du roi se sent beaucoup plus prévisible et détendu lorsque le chaos de la subjectivité humaine est contenu pour de bon.

De plus, en guise de parenthèse potentiellement lucrative, une partie de ces « actifs » étroitement gérés peut également être transformés en de nouveaux instruments financiers et vendus. Le jeu continue !

En d’autres termes, c’est un féodalisme mondial « efficace » qui va bien plus loin que son frère médiéval puisque le scanner est un système de vision globale : chaque personne, chaque pierre et chaque baie est étiquetée et suivi numériquement. Dans ce cadre, chaque paysan a une fonction qui découle non pas du mystère de la vie, et non pas de sa vocation intérieure, mais de l’IA, le maître de l’efficacité et le serviteur du roi. Idéalement, les paysans peuvent être convaincus que c’est bon pour eux (ou nécessaire pour être en sécurité, voir « traçage des contacts ») et que c’est à cela que ressemblent le progrès et le bonheur – mais sinon, il y a d’autres moyens, de la violence classique aux prisons virtuelles en passant par les « pilules de la moralité« .

La réforme en question est censée bouleverser tous les domaines de la vie, à l’échelle planétaire : gouvernement, relations internationales, finances, énergie, alimentation, médecine, emploi, urbanisme, immobilier, application de la loi et interactions humaines – et elle commence par changer la façon dont nous nous considérons et dont nous entretenons notre relation avec le monde. En particulier, la vie privée est une énorme épine dans le pied de nos « grands resetters » – et au moment où je tape ces lignes, ils insistent sur le fait que la vie privée est un concept vraiment dépassé – en particulier lorsqu’il s’agit des données médicales des personnes, par exemple – et que nous ne pouvons tout simplement pas aller de l’avant vers un avenir radieux si des personnes stupides continuent à s’accrocher à leur vie privée.

Je passerai brièvement en revue les différents éléments de cette réforme glissante dans une seconde – mais pour résumer, le résultat final souhaité est un gigantesque convoyeur mondial, sans joie, hautement contrôlé, de tout et de tous, où la vie privée est extrêmement coûteuse, la dissidence est impensable et la soumission spirituelle est obligatoire. C’est comme une réalité médicamenteuse 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, sauf que les médicaments sont à la fois chimiques et numériques, et qu’ils vous signalent au vaisseau-mère, qui peut alors vous punir pour mauvais comportement en bloquant, par exemple, votre accès à certains endroits ou en bloquant votre compte bancaire numérique – peut-être sans aucune intervention humaine.

Ainsi, sur le plan sensoriel – en ce qui concerne l’argent et le pouvoir – ce convoyeur est une tentative des super riches d’organiser et de monétiser leurs « actifs », y compris les personnes, plus efficacement que jamais auparavant. Sur le plan théologique, l’initiative est façonnée par le transhumanisme, un système de croyance formel enraciné dans un sentiment pathologique d’être repoussé par tout ce qui est naturel – et une vision résultante des formes biologiques comme des robots défectueux, qui sont rendus parfaits, des tueurs en série parfaits, en se fusionnant avec les machines d’une manière qui redéfinit le sens de la vie et défie la mort elle-même.

Je voudrais souligner que nous ne devrions jamais sous-estimer l’importance des sentiments subjectifs et de la théologie dans la formation des événements historiques. Toute notre histoire est une somme de choix subjectifs – où les choix des plus puissants et des plus motivés pèsent plus lourd. Et la réforme religieuse, qui découle généralement de la préférence subjective de divers individus puissants pour ce à quoi devrait ressembler l’ensemble du tableau, a été un moteur de changements sociaux, économiques et culturels à grande échelle sur cette planète pendant des siècles. Ce que nous voyons ici, c’est une nouvelle religion – et même si je veux croire à la propreté et à la rationalité générales du système – à un niveau plus élevé, nous n’avons pas affaire à une tentative rationnelle, scientifique, honnête, bienveillante – ou même malavisée – d’améliorer les choses. Lorsqu’il s’agit des cerveaux du « Grand Reset », nous avons affaire à une combinaison d’avidité standard et de pathologie émotionnelle de fous agités et pourris qui paniquent devant la sauvegarde de leurs biens dans cette nouvelle ère, et qui en veulent à leur nature biologique en tant que telle et veulent être des dieux. Malheureusement, les fous sont riches et ont de bonnes relations, et ils peuvent engager un million de sous-fifres pour faire une présentation extérieure convaincante et rationnelle de leur nouvelle religion. Et pour soudoyer les médias. Et les politiciens. Et les universitaires. Et les organisateurs de campagne. Et les organisations à but non lucratif. Et n’oublions pas mes frères, les artistes, qui, par faim et par indignité, créeront alors de belles publicités artistiques et émouvantes pour tout ce qui rapporte. Et lorsque la boucle est bouclée, nous avons une toute nouvelle opinion publique et, techniquement, toujours une « démocratie » ! Si seulement ces théoriciens de la conspiration s’en allaient…

Alors, qui sont les personnes à la tête de cet effort et comment cet effort est-il coordonné ?

À première vue, ce sont les suspects habituels : les principaux capitalistes du monde, les dynasties historiquement riches de différentes parties de la Terre, les membres de la royauté laïque et religieuse, les milliardaires, etc. – en d’autres termes, ce sont les gens qui ont assez d’argent pour sentir que ce monde leur appartient, les 0,0001% – et peut-être aussi les gens qui se trouvent immédiatement en dessous d’eux qui cherchent à gravir les échelons. Certains visages familiers, d’autres que nous n’avons jamais vus.

De toute évidence, ils ne constituent pas une masse monolithique, et je suis sûr qu’ils ne sont pas d’accord entre eux sur tout et qu’ils se disputent probablement le droit de manger plus de paysans. Il y a certainement une rivalité entre les élites américaines et chinoises, par exemple, ou entre les élites américaines et russes – ainsi qu’entre les différents super requins à titre individuels. Mais dans l’ensemble, même s’ils sont en compétition, ils ont des intérêts et des messages communs, et il y a plus de camaraderie stratégique et de terrain d’entente entre eux qu’entre eux et les paysans. Par exemple, aucun d’entre eux n’est susceptible de refuser l’idée de créer une nouvelle classe d’actifs financiers pour gagner de l’argent ! En outre, ils ont aussi des conseillers qui, à leur tour, sont en concurrence les uns avec les autres pour obtenir le meilleur salaire, en essayant de faire passer leurs idées. Tous ces conseillers sont subjectifs, mais ils sont aussi largement et coûteusement coordonnés dans les domaines où ils partagent des intérêts communs.

Et actuellement, le concept « gagnant » du jour semble être un monde rempli d’abréviations : IA, 5G, IoT, et ainsi de suite. Un monde où l’argent est numérique, la nourriture cultivée en laboratoire, où tout est compté et contrôlé par des monopoles géants, et où les gens sont largement privés de leur libre arbitre. Un monde où chaque élément de la nature et chaque être vivant est soit un producteur de données, soit une source d’énergie – ou les deux. Un monde où le flux quotidien des paysans est micro-géré par une IA qui enregistre les pensées et les sentiments avant même que les gens n’aient la possibilité de les faire leurs. Un monde où la vie elle-même est sous-traitée à la machine, et où l’être humain est essentiellement un costume de viande.

Maintenant, je ne pense pas que cette vision exacte se réalisera jamais complètement. Il est probable qu’elle implose avant d’arriver à mi-chemin – et une partie de ce que je viens de décrire n’est rien d’autre que le rêve éveillé d’un esprit malade. Mais les puissants fous font de leur mieux pour que ce cauchemar devienne réalité. Ainsi, le danger n’est pas d’être dépassé par une IA prenant soudainement conscience d’elle même, mais de perturber la vie normale et de provoquer la misère totale que les fous peuvent causer à nos esprits et à nos corps alors qu’ils se précipitent pour découper le monde en morceaux, en utilisant diverses expressions pratiques telles que « crise sanitaire mondiale » ou « changement climatique ».

Et oui, il y a bien une coordination et une continuité, comme il y a une continuité dans les dynasties et les courants philosophiques. Certaines sont plus éphémères, d’autres plus concrètes. Du côté éphémère, la vision des « resetters » est liée aux idées futuristes qui étaient populaires au début du 20e siècle, au rêve d’un monopole mondial des entreprises qui a soutenu la révolution bolchevique de 1917, et à la volonté générale de contrôler le monde avec la technologie, ce qui a été tenté et a échoué en Union soviétique dans les années 60 – en utilisant un langage très similaire à celui d’aujourd’hui. Sur le plan concret, le « Grand Reset » (qui, soit dit en passant, est très bien coordonnée, dans la mesure où Biden et Johnson utilisent les mêmes mots codés proposés par le WEF) est issue des efforts déployés après la Seconde Guerre mondiale pour maintenir un équilibre des pouvoirs « acceptable » dans le monde, et une récolte les bénéfices « acceptable » des intérêts financiers.

Le langage de la « durabilité », qui est un pilier important du kit de marketing du « Grand Reset », a été initialement créé dans le cadre de divers programmes des Nations unies, tels que l’« Agenda 21«  et l’« Agenda 2030« , et je suis sûr que lors de la production de ces programmes, les deux éléments – conspiration et bienveillance – étaient présents. Ce sont tous deux des ensembles de documents extrêmement secs et ennuyeux sur la gestion des ressources et la justice, qui se lisent comme quelque chose écrit par un professeur soviétique fatigué et formaté, maîtrisant bien les termes bureaucratiques, écrit surtout pour justifier le salaire des bureaucrates et l’existence des Nations unies. Ce qui est intéressant dans ce dernier cas, c’est qu’en général, les Nations unies sont plutôt inutiles, ce qui signifie que les gens se réunissent, discutent, produisent de longs documents bureaucratiques et des résolutions non contraignantes – et qu’ensuite, il ne se passe rien d’essentiel. Mais pas cette fois-ci. Pas maintenant. Le programme est lancé ! Il doit donc être important pour quelqu’un qui paie. Et oui, je suis cynique. Dans tout ce qui se passe, il y a toujours une combinaison de bonnes intentions, d’avidité, d’ambition, de relations personnelles, d’intérêts financiers, d’illusions, etc. Les politiciens parlent aux financiers, les généraux parlent aux politiciens, quelqu’un est l’oncle de quelqu’un d’autre, et c’est ainsi que les choses se font. Malheureusement, moins le message est direct et plus la propagande est abondante, moins les bonnes intentions ont de valeur et plus il est facile pour les méchants de réaliser des absurdités.

Et bien sûr, des initiatives d’une telle ampleur peuvent passer par de très longues et tranquilles « phases de planification », au cours desquelles les idées souhaitées sont plantées dans la tête des personnes désirées par le biais de conversations privées, de petites réunions, de recherches financées, de conventions industrielles, etc. Ainsi, au moment où l’on appuie sur le bouton « action », on a l’impression qu’une tendance est déjà là. Et permettez-moi de répéter encore une fois qu’absolument tout dans l’histoire est le résultat de choix subjectifs faits par des personnes subjectives. La façon dont tout se passe dans l’histoire est que les gens se réunissent, décident de ce qu’ils veulent faire et le font. Lorsque des personnes importantes agissent, l’impact est plus visible. Donc, d’une certaine manière, tout est une « conspiration », parce que tout vient de l’action humaine. Et souvent, les personnes importantes dissimulent leurs actes. Cela ne devrait pas être une idée radicale.

Et oui, à l’heure actuelle, les principaux détenteurs du pouvoir en Occident ont compris qu’il est plus rentable et moins laborieux pour eux de simplement soudoyer les médias « officiels », les scientifiques, les universitaires, les politiciens et même l’« opposition contrôlée » – de convaincre les paysans à leur place – que de contrôler tout et tout le monde par la force. Et d’ailleurs, si le sommet de cette tour est une conspiration sérieuse, dans un sens où il s’agit d’un effort coordonné où les cerveaux agissent en général en alignement les uns avec les autres, sans révéler leurs véritables objectifs à long terme aux paysans, le reste de la tour est probablement l’affaire habituelle des humains, multipliée par le manque de sens des responsabilités morales, à l’ancienne. Plus on se rapproche du fond, plus l’ignorance et les intentions sont bonnes – car la plupart des gens croient qu’ils font le bien – mais cela ne change rien à la trajectoire tragique de la cavalcade du « reset ».

D’accord, mais attendez, il y a une vraie crise, et les riches se sont réveillés parce qu’ils veulent vivre ? Et s’il n’y avait pas de conspiration en soi, et qu’ils avaient simplement réalisé que la planète était en désordre, et qu’ils voulaient maintenant s’attaquer aux problèmes de la surpopulation et de la pollution parce qu’il y a vraiment trop de gens sur la planète qui consomment et polluent à l’excès ? Que répondez-vous à cela ?

Je suis heureux que vous posiez la question, alors parlons-en.

Il est absolument vrai que l’approche sans âme et utilitaire de la nature, de la vie et des autres êtres vivants a été extrêmement destructrice – la destruction la plus immédiate et la plus visible étant externalisée vers les « pays du tiers monde » et les personnes les moins fortunées financièrement en Occident. (Voyez les décharges, les allées du cancer, et les aliments non biologiques malsains et empoisonnés). Il est vrai que le consumérisme massif et l’utilisation de produits jetables (apportés par plus ou moins les mêmes partis qui réprimandent maintenant les gens pour leur consumérisme) ont créé beaucoup de désordre. Il est vrai que nos océans et nos poumons sont remplis de plastique, que le nombre de maladies chroniques monte en flèche et que de nombreuses espèces meurent. Il est vrai que notre sol, notre nourriture et notre corps sont contaminés par du glyphosate hautement toxique. Il est vrai qu’il s’écoule généralement des décennies entre le moment où les fabricants réalisent la toxicité de leur produit et celui où le dire dans une conversation cesse d’être une théorie du complot. Tout cela est vrai. Cependant, il est également vrai que les personnes qui pointent du doigt les maux sociaux et nous disent que nous avons besoin d’un « Grand Reset » sont issues des mêmes camps et lignées qui en sont à l’origine. Il est vrai que sous le langage de leurs brochures de marketing, il y a une toxicité et des ravages qui dépassent largement ce que nous avons aujourd’hui. Ainsi, ils sont soit des idiots, soit des menteurs – et je crains que ce soit le dernier cas. Aussi riches soient-ils, ils ne sont même pas moralement qualifiés pour réparer quoi que ce soit dans ce monde. Et quoi que nous choisissions de faire pour soigner notre relation avec la nature et entre nous, ça ne sera certainement pas le « Grand Reset » techno-fasciste et néo-féodal.

Une métaphore : Si le chef du Parti des violeurs proposait une plate-forme contre le viol qui n’arrêterait pas le viol mais qui donnerait une nouvelle image à l’acte même en disant que si l’on utilise un gode rose en plastique recyclé pour pénétrer, alors ce n’est pas un viol… penseriez-vous que c’est une plate-forme contre le viol pour de vrai ?

Alors non, ce ne sont pas eux qui doivent montrer la voie (regardez cette idée de poubelle dans l’espace). Si nous suivons, nous finirons par avoir un monde qui ressemble à ça :

En parlant de solutions, il y a beaucoup d’activistes et de leaders locaux, comme Vandana Shiva, par exemple, qui trouvent des moyens de guérir notre relation avec la nature. Il y a des lanceurs d’alerte. Il y a des avocats qui se battent contre les géants des entreprises et qui gagnent parfois. Il y a des médecins qui risquent leur carrière pour protéger leurs patients. Il y a des agriculteurs locaux. Il y a des artistes qui mettent leur âme à nu. Il y a des diseurs de vérité. Il y a de la dignité, et il y a du respect si nous insistons sur eux. Je crois que les bonnes solutions à long terme viennent de l’honnêteté et de la paix intérieure, et que chacun d’entre nous possède le génie unique qui nous aide à trouver la pièce du puzzle qui, en fin de compte, guérit le monde.

En ce qui concerne le fait qu’il y ait trop de gens sur la planète, je pense que même cela est une erreur. En fait, Vandana Shiva a produit une analyse de l’agriculture industrielle par rapport à l’agriculture locale traditionnelle en termes de chiffres, et il semble que « Big Agro » nous ait également menti sur leur importance. De plus, le plus grand « problème démographique » de l’Occident en ce moment est le nombre croissant de personnes âgées par rapport aux jeunes [un problème qui se règle tout seul et naturellement, NdT]. Et même dans le « monde en développement », les tendances semblent être différentes de ce que l’on nous apprend à penser. De plus, la planète en a assez pour tout le monde, et la raison pour laquelle nous sommes confrontés à la pénurie est que 0,0001% des gens contrôlent beaucoup de choses. Ironiquement, ce sont ces mêmes personnes qui s’inquiètent du fait qu’il n’y en a pas assez, qui poussent l’idée de surpopulation – souvent en se reproduisant avec enthousiasme – et qui infectent les jeunes cerveaux avec l’idée de surpopulation, au point que maintenant, certains jeunes de la classe moyenne ne veulent pas avoir d’enfants, « pour sauver la planète ». C’est vraiment la pagaille ?

Et oui, l’idée de surpopulation inquiète les dirigeants depuis quelques décennies. Je dirais qu’à certains moments, leurs pensées ont eu des connotations eugéniques (voir, par exemple, ce rapport Kissinger de 1974 qui se vante d’« inciter » les hommes en Inde à subir des vasectomies). Et non, il ne serait pas complètement fou d’affirmer que l’eugénisme n’a pas tout à fait disparu depuis qu’Hitler a ruiné la marque, et que quiconque se croit propriétaire du monde ne serait probablement pas contre une gestion un peu plus chirurgicale des tendances démographiques. Puis-je lire dans leurs pensées ? Non. Je ne peux pas dire qui pense quoi exactement, et heureusement pour moi, je ne suis pas invité à leurs réunions – mais de temps en temps, des personnalités comme Gates ou le Prince Charles disent des choses qui semblent tout à fait hitlériennes, et cela me fait réfléchir. D’un autre côté, je ne trouve pas cela particulièrement choquant parce que la nature humaine n’a pas changé depuis l’époque où l’eugénisme était socialement acceptable dans la « société respectable ». Ainsi, ma théorie est que certaines personnes puissantes du monde sont vraiment mauvaises et qu’elles tripotent probablement l’eugénisme – et certaines sont probablement simplement indifférentes aux désirs des paysans – mais de mon côté, je ne me soucie pas vraiment de savoir de quel côté ils penchent. Méchants ou indifférents, je ne veux pas qu’ils détruisent mon monde. Est-ce trop demander ?

Mon travail est de distribuer des poisons.
Ma condition est
La haine des formes biologiques.
On me traite de dérangé
Mais je suis le plus sain de tous.
On me traite de tueur impitoyable,
Un sadique, un robot, un roi.
Mais je ne suis qu’un perfectionniste.

Mon métier est distributeur de poisons.
Ma religion est
La haine des formes imprévisibles.
Mon poison vous trouvera
Dans les mots,
Dans l’eau que vous buvez,
Dans l’alimentation,
Dans l’air que vous respirez,
De cette façon ou d’une autre,
Il vous trouvera.

Mon travail est distributeur de poisons.
Un travail très concret.
Vous êtes le bienvenu.

Maintenant, examinons rapidement les zones qui, selon le plan du « Grand Reset », doivent être perturbées et complètement réaménagées. C’est un sujet gigantesque en soi, et je ne l’aborderai qu’en surface, en me concentrant particulièrement sur le langage utilisé et sur la manière dont il recoupe la « réponse à la pandémie ». Je vous encourage vivement à vous rendre sur le site du Forum économique mondial et à y jeter un coup d’œil.

État et gouvernance

Dans le nouveau monde, les pays existent toujours, mais ils obéissent tous à un ordre central. C’est « coopératif ». De nombreuses fonctions gouvernementales sont automatisées et déléguées à l’IA. Les décisions sont basées sur des données et des algorithmes. Il n’y a pas de vie privée, et il y a beaucoup plus de fluidité en ce qui concerne les migrations (donc malheureusement, le sentiment très humain d’être gentil avec les migrants qui est promu dans les médias n’est peut-être pas une question de gentillesse, ce qui est une déception pour moi personnellement). Il y a aussi une possibilité de remplacer les gouvernements humains par l’IA, mais pas immédiatement. Le raisonnement est simple : Pour que les super riches puissent gérer l’inventaire mondial, les gouvernements individuels doivent agir davantage comme des gestionnaires de niveau intermédiaire responsables devant les autorités internationales que comme des gouvernements fédéraux indépendants.

Vous vous rappelez comment les « magasins familiaux » ont été écartés du marché et remplacés par des chaînes de magasins ? Même chose ici, sauf que dans ce cas, ces « magasins du coin » sont des pays.

L’Amérique traditionnelle, aujourd’hui, s’y oppose fortement. Son habitude de la consommation généreuse et de la libre expression, sa politique étrangère égocentrique, son sentiment de droit et ses grandes maisons de banlieue sont une évidence. Une Amérique traditionnelle, indépendante et forte est un obstacle. Dans cette optique – et avec une mise en garde selon laquelle je ne pense pas qu’il existe un empire juste – j’ai le sentiment qu’il y a un effort actif pour « réduire l’Amérique », pour coopter son gouvernement, pour détruire les fermes et les petites entreprises – en particulier celles qui ne sont pas compatibles avec cet avenir entièrement numérique – et pour déchoir la classe moyenne qui y a droit, en particulier dans les carrières « dépassées ». On a l’impression que nous sommes actuellement en pleine « révolution colorée », un coup d’État en douceur. Habituellement, les élites américaines le font à d’autres nations, mais maintenant, cela se passe sur le sol national. On a l’impression que le programme du « Grand Reset », par ses messagers et par son argent, façonne à la fois la « réponse au Covid-19 » schizophrène et le mouvement « justice sociale / climat » soudainement généralisé et bien financé des super-entreprises, qui sont tous à ce stade entremêlés en termes de messages.

Tous deux prétendent promouvoir le bien public, et tous deux utilisent habilement des armes pour régler de vrais problèmes et faire monter en puissance des gens qui ont un réel amour de l’équité dans leur cœur – tout cela pour ouvrir la voie aux objectifs financiers des « grands resetters », tels que l’érosion complète de la vie privée (avec le traçage des contacts), le déplacement de toutes les activités humaines en ligne (eh bien, tout), l’application de la loi et la précriminalité basées sur l’IA (voir « définancer la police »), et ainsi de suite. Et oui, l’Amérique a de nombreux vrais problèmes. Mais ce n’est pas comme si les structures actuelles étaient remplacées par un conseil d’anciens indigènes sages et spirituellement ancrés qui sont profondément connectés à la Terre et qui ne blesseront aucune vie innocente. Ce que l’on tente – même si l’on dissimule mal le marketing – est bien pire, bien moins humain et bien plus destructeur que ce que nous avons aujourd’hui. Je n’aime pas cela.

La finance

C’est de la monnaie numérique, de la cryptographie et des paiements par téléphone portable tout le temps. Les citoyens doivent être totalement transparents et laisser une trace de tout ce qu’ils font, vous vous souvenez ?

La nourriture

Tout ce que je peux dire, c’est que j’espère que vous aimez la viande de cafard, parce que ça vient.

Remarques cyniques mises à part, le « futur de la nourriture » est un désastre. Les menteurs sur les chaises hautes ont le culot d’utiliser de bons mots comme « développement durable » mais il n’y a rien de durable dans cette chose. C’est du « Big Agro » sous stéroïdes, très toxique. Et, accessoirement, c’est aussi consommateur d’énergie car tous ces robots, capteurs et centres de données ne sont pas gratuits, mais qui compte.

De plus, les fermes d’aujourd’hui doivent disparaître. Non seulement les fâcheux fermiers traditionnels locaux sont en concurrence avec les aliments cultivés en laboratoire et les OGM brevetés, ainsi qu’avec les sols brevetés, mais ils prennent également la place nécessaire aux aires de loisirs de nos seigneurs, ainsi qu’aux parcs d’éoliennes et de panneaux solaires (qui prennent tous beaucoup de place, d’ailleurs). Et que savez-vous, peut-être que les rois veulent vraiment « conserver » certaines parcelles de la nature en la gardant libre de toute présence humaine. C’est leur inventaire, après tout, il est logique de bien l’entretenir.

Pas étonnant que la « réponse Covid-19 » frappe si durement les fermes, les obligeant à faire faillite…

Agriculture

Un nouveau rapport sur les citoyens du monde, publié par Navdanya, montre que derrière la bonne image de la Fondation Gates se cache une philosophie toxique de philanthro-capitalisme qui repose sur le rachat par les entreprises de nos semences, de notre agriculture, de notre alimentation, de nos connaissances et de la santé mondiale.

La cupidité de Bill Gates est l’une des personnes les plus riches de la planète et le fondateur de la plus grande organisation philanthropique au monde, la Fondation Bill et Melinda Gates. Un nouveau rapport sur les citoyens du monde, publié par Navdanya International, montre que derrière l’image de bon augure de la Fondation Gates se cache une entreprise toxique …

organicconsumers.org

L’éducation

En ligne.

Médecine

Télé-

Jusqu’à présent, tant en terme médecine qu’en terme d’éducation, nous sommes sur la bonne voie, grâce à la pandémie mondiale …

L’énergie

Celui-ci est intéressant. Parce que les combustibles fossiles, le diable du marketing actuel, sont vraiment mauvais. Il est vrai que l’extraction du pétrole est abusive pour la planète. Les déversements créent beaucoup de dégâts, et ils se produisent tout le temps. Les barons du pétrole sont des bandits. Les gens qui vivent à proximité des raffineries tombent malades. Le plastique, qui provient du pétrole, pollue tout, des océans à nos estomacs et à nos poumons. Cependant, les combustibles fossiles sont également la seule source d’énergie – en dehors du nucléaire – qui soit actuellement capable de soutenir les niveaux de consommation de la population mondiale. De plus, si vous regardez sous le capot du « vert », ce n’est pas si vert que ça, à moins que nous parlions de la couleur de l’argent. Les panneaux solaires prennent beaucoup d’espace, ils se dégradent rapidement et se transforment en amas toxiques.

solar power

Retour à la nature @backt0nature

Une ferme solaire étonnante

Les éoliennes prennent également beaucoup de place et ont leurs propres problèmes. Elles sont toutes deux très dépendantes du temps et ne fournissent pas suffisamment d’énergie. Il est également à noter que le récent film de Michael Moore, « Planète des Humains », qui explorait certains des aspects pas si verts de l’« énergie verte » et faisait la lumière sur une partie de la corruption du mouvement environnemental, a été attaqué par les leaders écologistes de manière vicieuse et si uniforme que le film a été retiré des principales plateformes et a en quelque sorte disparu de l’attention du public.

Quoi qu’il en soit, que se passera-t-il si les combustibles fossiles disparaissent ? Au fait – et c’est un point important – je ne suis pas convaincu que les « resetters » aient l’intention de faire disparaître les combustibles fossiles. Je pense que nous pourrions envisager un acte de repositionnement de l’image de marque. Jusqu’à récemment, je pensais qu’ils voulaient vraiment « démanteler » les combustibles fossiles, mais j’ai ensuite examiné la « technologie climatique » et maintenant je pense que les choses sont plus complexes, que cela pourrait être une manœuvre géopolitique stratégique. Je ne sais pas. Il existe des chevauchements technologiques particuliers entre les combustibles fossiles et l’énergie « verte », mais le temps nous le dira. En tout cas, s’ils disparaissent ou font semblant de disparaître, nous découvrirons rapidement que l’éolien et le solaire ne sont pas à la hauteur – et nous rencontrerons alors notre nouveau roi de l’énergie « verte », la fusion nucléaire, oui !!.

Quand cela arrivera, notre ami, le célèbre philanthro-capitaliste, viendra à notre secours. Il est très investi dans les réacteurs à fusion nucléaire – en fait, son projet préféré, selon lui. (En fait, il se trouve qu’il est très impliqué dans à peu près tous les points de la liste « Grand Reset », quel génie des affaires il est). Mais attendez, pour rendre l’intrigue encore plus intéressante, l’OMS, qui bénéficie bien sûr de son généreux financement, s’est donné beaucoup de mal dans le passé pour minimiser le bilan sanitaire d’incidents nucléaires tels que Tchernobyl et Fukushima.

Parlant d’énergie et de finances, parlons de « capital humain ». Dans le nouveau monde, le « capital humain » n’est pas seulement une métaphore pour les ressources humaines ou le travail. Microsoft, par exemple, a déposé un brevet pour une méthode permettant de transformer le comportement humain en crypto-monnaie, ce qui se fait grâce à un dispositif non spécifié couplé à un serveur qui enregistre l’activité du corps et « mine » la crypto. Puisque dans le cadre de la Nouvelle Normalité, le numérique et la cryptographie sont censés devenir courants, cela ressemble étrangement à un outil qui peut être utilisé à la fois pour contrôler étroitement le comportement des pauvres qui peuvent en dépendre pour leurs revenus et pour miner littéralement les corps des personnes dépendantes de l’aide sociale / recevant un revenu de base pour l’énergie (qui, soit dit en passant, est une chose réelle, croyez-le ou non).

En outre, ce brevet pourrait potentiellement être utilisé pour créer un nouvel instrument financier car, si elles sont exploitées pour l’énergie, ces personnes deviennent des « actifs » qui pourraient éventuellement être regroupés dans des portefeuilles virtuels et échangés virtuellement. Vous voyez comme c’est peaufiné ? Maintenant, nous parlons de véritable servage ! Et oui, cela fait très science-fiction, mais n’oublions pas que certains « visionnaires » milliardaires ne pensent pas comme les gens normaux, ou alors les travailleurs des entrepôts d’Amazon ne porteraient pas des couches pour sauter les pauses toilettes. N’oublions pas non plus qu’aujourd’hui, il y a des échanges d’objets très théoriques ainsi que des paris sur la météo. Beaucoup d’argent dans ce monde est gagné sur des choses étranges et arbitraires !

En parlant de la météo, le « Grand Reset » légitime également l’atrocité dangereuse et envahissante de la géo-ingénierie, et la rend potentiellement « cool » et « salvatrice », tout comme le font certains livres blancs sur le « mouvement pour le changement climatique ». J’ai remarqué cela et j’ai fait le deuil de ce fait il y a quelques années, en criant sur tous les toits à quel point c’était le bordel. Pulvériser de la merde toxique dans l’air, c’est cool et « vert » ? Quel acte de tromperie linguistique.

Un mot aussi sur le carbone. Je ne vais pas entrer dans le vif du sujet parce que l’article est déjà long, mais il semble que, quelle que soit l’histoire du carbone à sa naissance, elle s’est transformée en un outil permettant de créer un marché à partir de rien, et un tas d’instruments financiers permettant de gagner de l’argent, également à partir de rien. Prenez par exemple ce plan, soutenue par Gates et quelques géants du pétrole. Ce que je préfère, c’est qu’une fois le dioxyde de carbone éliminé de l’atmosphère à l’aide d’un cocktail de produits chimiques, l’une des façons de stocker le butin est de brûler un bouquet d’arbres (pardon, « biomasse »). Oui, c’est tout à fait logique, car qui peut gagner de l’argent en laissant simplement les arbres tranquilles et en les laissant faire le travail, gratuitement ? Quel genre d’idiot permettrait cela ?

Je voudrais également souligner le fait que lorsqu’il est stocké, il l’est en profondeur, comme jamais auparavant. (Que font les processus internes de la planète ? Quelqu’un a-t-il bien réfléchi à la question ?) Il faut aussi construire des pipelines pour transporter le dioxyde de carbone d’un endroit à l’autre, un peu comme on transporte du pétrole. Et enfin, le captage et le stockage du carbone sont incroyablement gourmands en énergie, et cette énergie provient de… combustibles fossiles ? Du nucléaire ? D’éoliennes qui doivent alors occuper la moitié de la surface de la planète ? Oh je ne sais pas… Et en parlant de langage, l’objectif n’est pas « Zero Carbon Emissions », mais « Net Zero Carbon Emissions », ce qui signifie que nous pouvons continuer à polluer, et ensuite construire une nouvelle industrie lucrative par-dessus, tout en créant un nouveau type de pollution. En d’autres termes, les affaires comme d’habitude…

Par ailleurs, alors que nous sommes sur le thème du « développement durable vert », la construction de technologies et d’infrastructures de surveillance – qui sont toutes extrêmement consommatrices d’énergie, sans parler des déchets – ne va-t-elle pas à l’encontre de l’idée écologique ? J’y ai pensé il y a quelque temps lorsque j’ai lu, avec beaucoup d’enthousiasme au début, le texte de la proposition de loi sur le Green New Deal.  justice oui !! … droits des indigènes, oui !! … attendez … des réseaux électriques « intelligents » ? N’est-ce pas exactement ce que veut la Big Tech, et cela n’implique-t-il pas un besoin de capteurs intelligents qui viennent avec plus d’infrastructures et de satellites, plus de tours, une perte de vie privée, et un nouveau type de pollution sans fil produisant des effets non testés sur la santé ? Cela m’a empêché d’avancer et m’a obligé à me pencher sur diverses initiatives « vertes » et, par conséquent, à découvrir divers squelettes dans le placard. Et puis je suis tombé par hasard sur le travail de Cory Morningstar, et je me suis dit : « ouahh ! Mon instinct était bon, ce n’est pas exactement ce qu’il semble ! »

Voilà une belle transition vers la façon dont le récit de la « crise sanitaire mondiale » s’inscrit dans le « Grand Reset ».

Tout d’abord, quelques notes de ménage.

Comme je l’ai déjà dit, le « Grand Reset » est un plan extrêmement ambitieux de restructuration de l’économie mondiale – et de la notion même de ce que signifie être en vie. (Est-ce qu’un zombie poussé par l’IA dont la prise de décision est externalisée est vraiment vivant ?) Sans une population qui coopère, cette réforme économique et religieuse ambitieuse ne peut pas réussir.

Quelle est la meilleure façon de faire coopérer la population à cette très étrange réforme ? C’est la peur, car les promesses de plaisir ne suffisent pas pour réaliser un changement aussi massif et bizarre. Il faut donc que ce soit la peur et le stress, que ce soit à cause d’un ennemi extérieur, d’une perspective de catastrophe naturelle ou d’une maladie.

N’oublions pas qu’avant 2020, il y a déjà eu un récit de la peur très coûteux, soutenu par plus ou moins les mêmes acteurs qui font maintenant pression pour le « Grand Reset ». Je parle bien sûr du récit militarisé du « changement climatique ». Et alors qu’il y a de nombreux problèmes environnementaux qui doivent être résolus dès que possible, le mouvement des entreprises en faveur du « changement climatique » s’est étrangement concentré sur des messages qui coïncident grosso modo avec ceux de la campagne pour le « Grand Reset », servant leurs objectifs financiers – et les trajectoires de financement se chevauchent également. Il semble donc que les intérêts financiers derrière la campagne du « Grand Reset » aient d’abord essayé d’utiliser le « mouvement climatique », mais cela n’a pas généré les niveaux de peur souhaités assez rapidement. Les gens ne s’en sont pas suffisamment souciés. J’ai personnellement suivi une formation et je connais bien l’« organisation » et les astuces de programmation neurolinguistique qui sont censées rendre le public très inquiet au sujet du climat. Le message est très bien pensé et bénéficie d’un généreux soutien financier, ce n’est pas un mouvement hippie de base – même si beaucoup de personnes y mettent sincèrement du leur. Tout comme les témoins de Jéhovah de la base qui frappent à votre porte peuvent être extrêmement sincères.

En tant qu’être humain, je ne fais confiance à aucune entité qui, froidement et de manière calculée, essaie de me faire peur et de déclencher une réaction de stress. Les personnes que j’ai écoutées ne semblaient pas elles-mêmes très effrayées. Ils étaient bien nourris, de classe moyenne, et pas sous-employés. Ils n’avaient pas peur d’être arrêtés lors d’une manifestation – et en fait ils ont cherché à être arrêtés, sans aucune crainte pour leur futur emploi. Après avoir vu cela, j’ai commencé à poser des questions sur les raisons pour lesquelles ils voulaient que j’aie peur, et sur ce qu’ils voulaient que je fasse. Lorsque j’ai commencé à poser des questions et à faire des recherches, il s’est avéré que la trajectoire des « solutions » comprenait des choses comme les réseaux intelligents, les voitures électriques (qui ne sont pas écologiques à distance) et la géo-ingénierie. Cela, pour moi, n’était pas acceptable. Cela signifiait également qu’ils ne respectaient pas vraiment la planète, car s’ils le faisaient, ils ne voudraient pas coller des tours partout ou pulvériser des saletés dans l’atmosphère pour bloquer le soleil. Maintenant, il est très possible que le mouvement environnemental ait été bon et honnête lorsqu’il a commencé – mais une grande partie a été détournée depuis, d’une manière très furtive où les gens sur le terrain ne se rendent même pas compte qui ils servent. Et encore une fois, permettez-moi de répéter : il y a un besoin énorme de vraie durabilité, c’est juste que les mesures pratiques qu’implique le langage codé du marketing ne sont pas du tout durables !

En tout cas, le fait d’effrayer les gens avec le récit officiel de l’urgence climatique a certainement créé une vague dans la conscience des gens et un certain degré d’anxiété environnementale, en particulier dans la Génération Z – mais cela n’a pas suffi à paralyser ou à mobiliser. Mais lorsque le virus est apparu, comme par magie, les choses ont commencé à se mettre en place rapidement – ce qui était impensable auparavant. Non, je ne dis pas que le virus n’est pas réel. Et je ne fais aucune déclaration définitive sur son origine ou sur la façon dont il est apparu. J’ai mes théories, mais il y a des choses que je ne peux pas savoir et que je ne peux pas changer. Mais ce que je sais, c’est que la réaction a été absurde, sans précédent, et étrangement conforme aux mesures qui étaient déjà à l’ordre du jour. En parlant d’urgence, Woodstock s’est produit pendant une grande pandémie…

Voyons donc

Avons-nous déplacé avec force la plupart des activités – telles que l’éducation, la médecine, le shopping, le sexe et les loisirs – en ligne pour l’instant, alors que nous travaillons à « numériser » le monde physique, pour faciliter le suivi et la surveillance ?

Validé.

Avons-nous, malgré le confinement des paysans en col blanc, poursuivi les travaux de construction, y compris la construction très robuste de nouvelles structures de télécommunications et d’antennes cellulaires, nécessaires pour soutenir l’Internet des Objets ?

Validé.

Avons-nous réussi à presque détruire les moyens de subsistance de nombreux agriculteurs indépendants qui étaient en concurrence avec nos nouveaux produits « comestibles », et aussi à perturber les chaînes d’approvisionnement alimentaire traditionnelles ?

Validé.

Avons-nous également réussi à détruire un bon nombre de petites entreprises locales ?

Bien sûr !

Les salles de concert et les théâtres ?

C’est certain.

Travaillons-nous à remplacer les services répressifs par l’IA ?

Bien sûr ! Définancez ! Définancez ! Définancez !

Essayons-nous de légitimer l’érosion complète de la vie privée et l’accès facile aux données de santé privées ?

Oui ! Parce qu’il y a urgence sanitaire.

Sommes-nous sur la bonne voie lorsqu’il s’agit de suivre chaque mouvement de chaque personne ?

Traçage des contacts, oui ! Mais certains pays sont encore à la traîne.

Une carte d’identité médicale numérique est-elle désormais exigée pour les voyages internationaux ?

Oui, le Common Pass est en ligne !

Avons-nous réussi à perturber les procédures politiques et juridiques et à créer le chaos ?

Oui, Monsieur !

Plus important encore, avons-nous réussi à perturber la pensée et les relations humaines au point que nous, le robot, l’agresseur, sommes maintenant le seul ami de tout le monde ?

Nous y travaillons encore, mais nous sommes proches.

Sommes-nous en bonne voie de préparer les gens à un large déploiement de vêtements intelligents ?

Oui. Portez votre masque.

Contrôlons-nous légalement la vie sexuelle des gens ?

Oui !

En parlant de cela, le contrôle par l’État du corps et de la sexualité des gens est un signe classique de réforme religieuse. Chaque fois que cela se produit, faites attention.

Ou alors, prenons des mesures d’enfermement, par exemple. Le confinement et les restrictions de mouvement et de contact physique sont d’excellents outils de modification du comportement – et la modification du comportement, également connue sous le nom d’ingénierie sociale, est certainement une forme d’art très respectée parmi les puissants. Un ingénieur social qui se respecte planifie dix étapes à l’avance et crée des situations dans lesquelles les cibles demandent les changements souhaités ! Je postule qu’actuellement, nous sommes soumis à une danse Sado&Maso involontaire. Nous sommes au milieu d’un rituel destiné à créer un sentiment de confusion, d’insécurité et de dépendance – qui sera finalement résolu par nos maîtres, ce dont nous serons très reconnaissants car nous voudrons juste que la tension insupportable soit résolue. Déjà, beaucoup ont développé le syndrome de Stockholm, se mettant du côté de l’agresseur. Les mesures sont totalement arbitraires – mais peu importe, on attend de nous que nous nous y pliions et que nous acceptions que nos souffrances et nos privations soient pour notre propre bien. Cela fait de nous une « meilleure personne ».

Aux yeux d’un psychopathe, il n’y a pas de joie.

Aux yeux d’un esclave, il y a acceptation d’un étrange sentiment d’engourdissement là où l’âme se trouvait auparavant.

Où allons-nous à partir de là ?

Pour ma part, je ne pense pas que nous devrions accepter l’obscurité. Je pense que notre meilleure option est d’insister sur la dignité et de trouver notre cœur. Nos cœurs nous diront quoi faire ensuite.

Tessa Lena

Liens et références

Histoire
Finance
Gouvernance
Modification du comportement
Alimentation et agriculture

https://ieep.eu/news/how-to-deliver-on-the-eu-farm-to-fork-s-protein-transition-objectiveshttps://interestingengineering.com/the-explosion-of-insect-proteinhttps://www.cnbc.com/2020/02/14/bug-protein-how-entrepreneurs-are-persuading-americans-to-eat-insects.htmlhttps://www.ibm.com/blockchain/solutions/food-trust

Éducation

Énergie et environnement
Reconstruire en mieux

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard. MàJ 26/11/2020

[Source : noach.es]

Pierre Hillard, qui dénonce depuis 20 ans les arcanes technocratiques abritant les germes d’un Nouvel Ordre Mondial, est de retour. Sa dernière vidéo « Covid-19 : l’étincelle avant le Grand Reset » dans laquelle il rappelle les enjeux messianiques, vient de franchir les 700 000 vues. Le pays retrouverait-il la mémoire ?

1. Bonjour Pierre, peux-tu brosser un tour d’horizon de la situation actuelle STP ?

Depuis l’apparition de la Covid-19 avec ses conséquences sanitaires, sociétales et économiques, nous pouvons affirmer que le processus de concrétisation de la gouvernance mondiale est lancé. La politique de confinement imposée aux Français du 17 mars au 11 mai 2020 a ébranlé les structures économiques du pays. Nous retrouvons des phénomènes similaires dans tous les pays du monde, en particulier l’Europe et l’Amérique du Nord. Comme j’ai souvent eu l’occasion de le dire en conférence ou de l’écrire dans mes livres, la finalité du mondialisme est d’aboutir à un système politique, économique et spirituel déjà exposé dans Utopia de Thomas MoreLa Nouvelle Atlantide de Francis Bacon1984 de George Orwell ou encore dans la série télévisée anglaise en 17 épisodes du Prisonnier de Patrick Mcgoohan. Régime totalitaire, collectiviste et imprégné d’un idéal spirituel issu du monde talmudo-kabbilistique, le système régentant l’humanité et présenté dans ces ouvrages et/ou films semble irréel, impensable en raison de son caractère implacable et inhumain. Et pourtant, nous y sommes ou, plus exactement, nous nous engageons dans cette voie préparée en haut lieu. On peut relever les préparatifs de cette surveillance orwellienne dans la vie de tous les jours. Ainsi, lors du déconfinement progressif de mai à juin 2020, le gouvernement français avait instauré une mesure permettant aux Français de se déplacer dans un rayon de moins de 100 km à partir de leur domicile sans l’obligation de présenter leurs papiers. Or, ironie de l’histoire, nous trouvons cette caractéristique dans le 1984 d’Orwell :

« Il n’était pas facile, en outre, de voyager seul sans attirer l’attention. Pour des distances inférieures à une centaine de kilomètre, il n’était pas nécessaire de faire viser son passeport, mais il y avait parfois des patrouilles qui rôdaient du côté des gares, examinaient les papiers (…) » 

1984 – George Orwell (page 158, édition de poche, Folio, 2006).

Parallèlement à cette bascule, nous constatons des tensions multiples s’amplifiant en raison de cette affaire de Covid-19. En effet, l’arrêt de l’activité économique a bouleversé les États en profondeur, ces derniers étant déjà minés par l’endettement public et privé et un chômage déguisé. C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Licenciements massifs et pauvreté en hausse sonnent l’hallali des pays développés. Nous entrons dans une nouvelle ère : l’économie verte (sous-entendu la fin de la consommation de masse) et la numérisation dans tous les domaines permettant le contrôle absolu des citoyens. Pour la réédition de Chroniques du Mondialisme L-5 aux Éditions Culture et Racines, j’ai fait une longue conclusion. Celle-ci est une sorte de bilan d’un monde né en 1945 en train de disparaître. Il y est évoqué et expliqué le rôle de nombreux acteurs comme l’Agenda 2030 et l’action du Forum Économique Mondial de Davos sous la direction de Klaus Schwab pour instaurer un nouveau monde liberticide dans le cadre de la grande réinitialisation. Son promoteur n’hésite pas à affirmer dans son dernier livre intitulé Covid-19 : the Great Reset (Covid-19 : la grande réinitialisation) que les objectifs ainsi que celui des élites mondialistes sont le remplacement des idées, des institutions, des processus et des règles actuelles (ndla : souligné par nous). Ce Forum de Davos, initialement prévu en janvier 2021, se réunit l’été prochain afin de lancer officiellement une politique qui est celle conduisant à notre asservissement. 

L’alignement des « trois 6 » est chose récurrente sur les logos des instances ou compagnies mondialistes.
Klauss Schwab
M « Great Reset » en tenue para-maçonnique sans masque de Darth Vader
à la Kaunas University of Technology

La devise gnostique « Scientia Ingenium Virtus » sur le blason, mot à mot « Science Intelligence Puissance » avec cerf blanc et non un agneau (cornes obligent) est à prendre comme « Pouvoir de la Connaissance ».

[NdNM : (Source : Guy Boulianne. Extraits.)

Bien que la robe que porte Klaus Schwab puisse paraître étrange au premier abord, elle ne cache aucun grand mystère. Il s’agit simplement de la tenue officielle alors qu’il recevait les insignes de docteur honoris causa de l’Université de technologie de Kaunas (KTU), en Lituanie, le 13 octobre 2017. [5] C’est la même chose concernant le blason de l’établissement d’enseignement supérieur et de recherche. La robe cérémonielle et ce blason se composent de plusieurs éléments qui peuvent être assimilés à l’occultisme mais, dans le cas qui nous occupe présentement, cela ne pourrait pas être attribué à Klaus Schwab.

Tous les insignes et attributs académiques de l’Université sont marqués par les armoiries de la KTU. Composé selon les exigences héraldiques strictes, le blason est divisé en trois champs spéciaux : Il est fabriqué à partir de couleurs héraldiques (dites teintures), de leurs combinaisons et de symboles distincts. La partie supérieure gauche des armoiries du KTU est le blason de la ville de Kaunas, qui symbolise l’emplacement de l’université. [6] La partie supérieure droite représente le symbole de la matière, qui incarne la lumière de la science. Un livre ouvert dans la partie inférieure des armoiries porte la devise de l’Université en latin Scientia, ingenium, virtus! (« Science, créativité, vertu! »). [7]

Références
  1. KTU News : Honorary Doctor of KTU Klaus Schwab: Industry 4.0 Must be Followed by Education 4.0. Kaunas University of Technology, October 16, 2017.
  2. Le blason de la ville de Kaunas : Le 30 juin 1993, les armoiries historiques de la ville de Kaunas ont été rétablies par un décret présidentiel spécial. Le blason présente un auroch blanc avec une croix dorée entre ses cornes, sur un fond rouge foncé. Les aurochs étaient le symbole héraldique original de la ville, établi en 1400. Le sceau héraldique de Kaunas, introduit au début du XVe siècle sous le règne du grand-duc Vytautas, est le plus ancien sceau héraldique de la ville connu sur le territoire du Grand-Duché de Lituanie. L’emblème actuel est le résultat de nombreuses études et discussions de la part de la Commission de l’héraldique lituanienne, et réalisé par l’artiste Raimondas Miknevičius. Un aurochs a remplacé un bison d’Europe, qui était représenté dans l’emblème de l’ère soviétique utilisé depuis 1969.
    • À propos du blason : « De gueules, à un aurochs passant gardien d’argent ensigné d’une croix d’or entre ses cornes ».
    • Kaunas a également un plus grand blason, qui est principalement utilisé à des fins de représentation de la ville de Kaunas. Le navire, les trois boules d’or et le texte latin « Diligite justitiam qui judicatis terram » (Chérissez la justice, vous qui jugez la terre) dans le plus grand blason font référence à Saint Nicolas, saint patron des marchands et des marins, qui était considéré en tant que gardien céleste de Kaunas par la reine Bona Sforza.
  3. Brand resources : « Logo and style guide embody KTU identity and ensure that a particular publication is associated with the University ». Kaunas University of Technology.

2. Cela fait un peu plus de 20 ans que tu dénonces les boisseaux technocratiques (UE, Alena, TAFTA…) abritant les germes d’un Nouvel Ordre Mondial messianique dont on voit aujourd’hui l’aube pointée derrière le Grand Reset. Ordo ab Chao ?

En effet, l’architecture qui se présente a été annoncée il y a bien longtemps. On peut l’illustrer avec le cas de Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) dont l’objectif est de gérer les villes et communes à l’échelle planétaire dans le cadre de sept sections régionales :
1) Afrique ;
2) Asie-Pacifique ;
3) Eurasie ;
4) Europe ;
5) Moyen-Orient et Asie d’Ouest ;
6) Amérique latine et
7) Amérique du Nord.
Le principe d’une collaboration entre différentes cités n’est pas mauvais en soi en particulier pour trouver des moyens pour lutter contre la pollution ou encore apprendre à mieux gérer l’eau potable par exemple. Mais, comme on peut le constater, l’organisation planétaire se construit à partir de 7 sections régionales au sein desquelles les communautés urbaines s’émancipent peu à peu de l’autorité nationale. Tout cela se construit dans le cadre d’une gouvernance mondiale. Créées en 2004, CGLU est le résultat d’une combinaison d’instituts chargés de s’occuper de la gestion des villes. Il faut rappeler que le plus ancien de ces instituts s’appelle l’Union Internationale des Villes créée en … 1913 1. Avec cet exemple, on se rend compte que cet idéal de gouvernance mondiale et sa mise en pratique est une idée ancienne d’un point de vue matériel. On trouve aussi l’ensemble du programme « merveilleusement » exposé dans les écrits du révolutionnaire Anacharsis Cloots (1755-1794) dont les écrits, plus exactement les originaux de 1792 et 1793, ont été réunis en un seul livre (sans caviardage comme c’est le cas des versions officielles) La République du Genre Humain P-8 aux Éditions Omnia Veritas avec une préface de votre serviteur. Tout y est annoncé : la gouvernance mondiale appelée « République universelle », la technostructure planétaire divisée politiquement en « mille cases départementales », la disparition du catholicisme au profit de la « République Universelle » etc. Cependant, dans la mystique mondialiste, le passage à une étape supérieure repose toujours sur une transition violente. C’est le fameux principe Ordo ab Chao ou encore le Solve et Coagula avec un principe messianique et mystique en arrière-fond lié à l’esprit de la Kabbale. Quand Christine Lagarde, présidente du FMI en 2014, fait l’apologie du chiffre « 7 » dans une vidéo que tout le monde peut consulter 2, cela devrait interpeller plus d’une personne sur cet étrange discours.

En 1988, la monnaie mondiale était prévue pour 2018.
Octobre 2020 le Great Reset est annoncé pour 2021.

La grande réinitialisation ou Great Reset chère à Klaus Schwab, président du Forum Économique de Davos, n’est que l’allume-gaz pour parvenir à un stade supérieur. Nous sommes désormais devant l’immense bascule en cours de réalisation. L’exemple des tensions durant les élections américaines est révélateur d’une situation voulue pour tenter de déstabiliser ce pays dans l’espoir, pour certains, d’aboutir à une guerre civile qui aurait des répercussions planétaires dans tous les domaines. Signalons l’existence du Transition Integrity Project (TIP) mis en forme en juin 2020 dont le but est de prévenir une contestation des résultats électoraux par le président Trump 3. Ce phénomène révèle qu’il n’existe pas « un » État profond mais « des » États profonds rivaux entre eux. Il faut bien comprendre que deux formes de mondialisme s’affrontent : celui de la City de Londres voulant imposer un modèle unique planétaire où les États sont fracassés au profit d’une gouvernance mondiale tandis qu’une frange du monde anglo-saxon américain, de tendance patriote (d’où la fameuse formule : Make America great again), tient à défendre les intérêts politico-économiques mais aussi l’intégrité territoriale du pays. Pour cette frange anglo-saxonne représentée par Trump, les intérêts américains préservés doivent constituer un pilier et pouvoir s’agencer dans le cadre d’une gouvernance et/ou directoire mondial sans pour autant s’évaporer sur l’autel d’une unité planétaire et du libre-échange à tout crin. Concernant la galaxie mondialiste, il faut ajouter l’imprégnation d’un idéal messianique virulent chez certains dirigeants, absent chez d’autres tandis qu’une faction en accepte le principe mais … pas tout de suite (« neutralisation du messianisme » pour reprendre une expression de Gershom Scholem). L’enfer est divers et, surtout, divisé contre lui-même. Mais d’abord et avant tout, le point essentiel à retenir de l’esprit du mondialisme, c’est la volonté d’éradiquer le caractère messianique du Christ, c’est-à-dire l’Incarnation au profit d’un autre messianisme ; celui de la synagogue aveugle en attente de son « Messie » devant rendre sa gloire à Israël au dépens des nations.

​3. Tu présentes souvent les oeuvres de Science-Fiction comme les parties du programme d’« Après ». Outre l’orgueil, comment expliques-tu que l’élite balance ce genre d’infos ?

Des livres comme Utopia ou des films comme Elysium sont des instantanés du monde « idéal » voulus par les thuriféraires du mondialisme. Ce sont des puzzles de vérité qui permettent aussi d’imprégner les esprits d’une manière de penser et de réagir. Fort de cette imprégnation, il y a possibilité pour la partie adverse de connaître le trait psychologique de millions de personnes au mental structuré par ces livres et surtout par ces films puisque maintenant peu de personnes lisent. C’est une manière pour les adeptes du contrôle mental d’avoir un coup d’avance.

Pierre Hillard nous parle entre autres d’Elysium, de Mars Attacks et du Prisonnier (détails).
4. Ton dernier livre Sionisme et Mondialisme L-8 sous-titré « Le sionisme de ses origines au IIIè Reich, 1898-1941 » explique comment l’idéologie nazie a servi la cause sioniste. Comment, avant de l’écrire, as-tu pu imaginer cette improbable entente ?

Concernant la civilisation occidentale et ses caractéristiques, le point clef qu’il faut retenir est celui de l’Incarnation. Le Christ reconnu comme le Fils de Dieu incarné parachève les annonces messianiques de la Bible hébraïque devenue l’Ancien Testament pour les chrétiens. De nombreux Juifs n’ont pas reconnu ce fait et attendent toujours leur « Messie » au service de la seule gloire d’Israël et au dépens des nations. Un nouveau judaïsme, le Talmud, a été élaboré entre 100 et 500 ap. J-C. violemment anti-catholique, il sert de matrice à un idéal messianique juif en attente de son « Messie » en liaison avec la Kabbale, celle-ci étant l’interprétation ésotérique propre à ce milieu. Il s’agit pour les thuriféraires de ce monde révolté de maintenir une unité de pensée via une unité de sang. On est juif par la mère. À l’origine, cette affirmation raciale fut solennellement affichée dans les prescriptions données par Dieu dans le cadre de l’Ancien Testament. En effet, on peut lire dans le Deutéronome VII, 1-5 :

« (…) Tu ne contracteras point de mariage avec elles (ndla : femmes non-israélites), tu ne donneras point tes filles à leurs fils, et tu ne prendras point leurs filles pour tes fils ; car elles détourneraient de marcher après moi tes fils qui serviraient d’autres dieux (…). »

Ces injonctions matrimoniales, choquantes pour des lecteurs du XXIè siècle, doivent se comprendre dans le contexte de l’époque à finalité spirituelle. Selon ces textes religieux, le Messie devait naître du peuple hébreu, plus précisément, au sein de la tribu de Juda, celle-ci devant donner naissance au Messie issu de la famille royale de David. Cet idéal ne pouvait se faire que dans le cadre du mosaïsme débarrassé de toutes influences païennes sous-entendu d’essence satanique. Dans le cas contraire, une altération d’essence démoniaque aurait flétri ce mosaïsme interdisant la concrétisation physique du Messie à la fois Homme et Dieu … sous-entendu l’Incarnation. Ce principe, capital à saisir, fut à nouveau et solennellement proclamé lors du retour de la captivité des Juifs de Babylone (Vè siècle av. J-C). Le représentant religieux Esdras, au nom de ces exigences mosaïques (1er Livre d’Esdras, IX, 3-12 et X, 1-11), exigea le renvoi des femmes étrangères, mariées à des Israélites, et de leurs enfants … chose qui se fit.  Comme nous l’avons écrit dans Archives du Mondialisme L-7 (p. 71):

« (…) Ces mesures propres à l’Ancien Testament avaient pour but de maintenir les Hébreux loin de la contamination païenne d’essence démoniaque afin de permettre l’arrivée du Messie au sein d’un peuple spirituellement débarrassé de toute forme de corruption (le nazisme était aux antipodes de cet idéal). »

La non-reconnaissance de la divinité du Christ par les Juifs a conduit ces derniers à conserver ces référents raciaux devenus obsolètes pour les chrétiens. La Révélation, s’adressant à tous les peuples de la terre, n’avait plus besoin de cette protection raciale et ciblée à finalité spirituelle. Ce n’est pas le cas des Juifs rebelles au messianisme christique qui, conservant depuis 2000 ans ce concept et en attente de leur Messie afin d’assurer la seule gloire d’Israël sur les nations, ont imprégné certains peuples d’un tour d’esprit naturaliste pour les détourner du christianisme au profit d’un horizon purement terrestre et racialiste. Il y avait entre nazis et sionistes un fond commun de réflexions reposant sur l’idée de pureté de sang et de supériorité raciale. Le rejet des mariages mixtes caractérisait aussi ces deux mondes. D’une certaine manière, un terrain d’entente était temporairement possible entre ces théoriciens et, en même temps, frères ennemis. Il faut rappeler que le journal de la Fédération sioniste allemande, le Jüdische Rundschau, du 17 septembre 1935 a approuvé les lois de Nuremberg en particulier en condamnant les mariages mixtes. J’ai publié l’article de ce journal avec sa traduction complète en français.

L’Etoile de David au recto avec l’inscription « Un nazi se rend en Palestine », la Croix Gammée au verso ajoutant « et le raconte dans l’Angriff » (journal du ministre de la propagande Joseph Goebbels).
5. Ne peut-on pas expliquer l’Accord de la Haavara par le fait que les autorités nazies y voyaient là un moyen d’exiler les Juifs d’Allemagne avec leur consentement ?

En effet, l’Accord de la Haavara (« Transfert » en hébreu) d’août 1933 ou décret 54/33 est le fruit d’une convergence racialiste entre ces deux mondes reposant sur le principe du miroir inversé. Ce document émanant des autorités nazies fut intégralement publié dans le journal de la Fédération sioniste allemande, le Jüdische Rundschau, le 5 septembre 1933. Les sionistes estimaient que les Juifs allemands étaient étrangers au monde germanique et qu’ils devaient s’installer sur l’antique terre d’Israël. En contre-partie, les nazis considéraient l’élément juif comme un corps étranger à la nation allemande. Chacun était prêt à faire un pas vers l’autre afin de parachever son idéal de pureté raciale à partir d’un territoire bien établi. C’est donc à partir de cet accord qu’une collaboration entre ces deux milieux a perduré jusqu’en avril 1941. C’est à cette date que l’Agence Juive de Berlin, plaque tournante du flux migratoire juif vers la Palestine, a été définitivement fermée. Cependant, comme j’ai pu le montrer dans mon livre, les discussions lançant cette entreprise n’ont pas été entamées par les nazis mais par la République de Weimar au cours de l’année 1932. 

Soleil Noir au château de Wewelsburg
Le Sabbat des Sorcières (1798) de Goya

Sabbat et Soleil Noir renvoient à Pan et à Saturne ; les cornes et anneaux caractisant ce « Lord of the Ring ».

6. Si le Christ est le premier adversaire à la fois des empires sioniste et nazi (et de tout autre…) cela n’invalide t’il pas la thèse d’un Hitler animé par une foi chrétienne ?

Avant même de citer Hitler, il faut rappeler le point suivant. Les carnets complets de Theodor Herzl, fondateur du sionisme, sont très clairs à ce sujet. Il n’y a qu’un seul ennemi pour ce milieu : le catholicisme. Il n’y pas une seule remarque négative contre l’islam, le bouddhisme et même le protestantisme. Au cours d’une discussion avec l’ambassadeur ottoman à Vienne, Mahmud Nedim, ce dernier rappela à Herzl que les Juifs et les musulmans étaient en accord sur un point essentiel en matière religieuse : « Nous ne reconnaissons pas le Christ comme le Fils de Dieu. » Pour le judaïsme talmudo-kabbalistique rebelle à l’Incarnation, la préservation du sang juif se doit d’être maintenu dans le cadre d’une lignée messianique attendue et espérée depuis 2000 ans. Le nazisme, ce « Reich de 1000 ans », était lui aussi adepte d’une vue totalement anti-chrétienne. Ce fait fut dénoncé avec l’encyclique Mit brennender Sorge en 1937. Rédigée exceptionnellement en allemand et non en latin sous l’égide du futur Pie XII, le cardinal Pacelli, cette encyclique soulignait le caractère violemment anti-catholique de cette idéologie. Précisons que la vie d’Adolf Hitler était aux antipodes du catholicisme. Il n’allais pas à la messe et ne communiait pas. Vivant en concubinage avec Eva Braun pour finalement se suicider, son mode de vie était à l’opposé des préceptes de l’Église. Comme chef d’État chrétien, nous préférons l’Équatorien Gabriel Garcia Moreno (1821-1875). Afin de mieux saisir le caractère anti-chrétien du nazisme, nous présentons les passages clefs de cette encyclique condamnant le national-socialisme sans le citer … pour des raisons propres à la diplomatie vaticane dans le contexte tendu de cette époque. Nous avons mis en gras [surligné] des passages que nous jugeons importants :

« C’est avec une vive inquiétude et un étonnement croissant que, depuis longtemps, Nous suivons des yeux les douloureuses épreuves de l’Église et les vexations de plus en plus graves dont souffrent ceux et celles qui lui restent fidèles (…). Cette inquiétude n’a pas été diminuée par ce que les représentants du vénérable Épiscopat (…) Nous ont fait connaître. (…) Lorsqu’en été 1933, Vénérables Frères, Nous acceptâmes la négociation d’un Concordat [conclu le 20 juillet 1933], que le gouvernement du Reich, reprenant un projet vieux de plusieurs années, Nous proposait, (…) Nous étions guidé par le souci que Notre devoir Nous impose d’assurer en Allemagne la liberté de la mission bienfaisante de l’Église (…). Si l’arbre de la paix, planté par Nous en toute pureté d’intention dans la terre allemande, n’a pas produit les fruits (…) que Nous désirions ardemment, personne au monde,(…) ne pourra dire aujourd’hui que la faute en est à l’Église ou à son ChefLes expériences des dernières années mettent les responsabilités en pleine lumière ; elles révèlent des intrigues qui dès le début ne visaient qu’à une guerre d’extermination (…), l’ivraie de la méfiance, du mécontentement, de la haine, de la diffamation, d’une hostilité de principe, soit voilée soit ouverte, alimentée à mille sources et agissant par tous les moyens, contre le Christ et son Église. Eux, et eux seuls, avec leurs silencieux ou leurs bruyants complices, sont aujourd’hui responsables si, au lieu de l’arc-en-ciel de la paix, c’est l’orage des funestes luttes religieuses qui se montre à l’horizon de l’Allemagne. [concernant la politique du IIIè Reich à l’égard du Concordat de 1933] (…) une interprétation qui faussait le contrat ou le détournait de son but, ou le vidait de son contenu et aboutissait finalement à sa violation plus ou moins officielle, devint la loi inavouée (…). Aujourd’hui encore, où la lutte ouverte contre l’école confessionnelle, protégée par le Concordat, où la suppression du libre suffrage à ceux des catholiques qui ont le droit de veiller à l’éducation de la jeunesse, manifestent sur un terrain essentiel de la vie de l’Église la gravité impressionnante de la situation et l’angoisse sans exemple des consciences chrétiennes (…). Quiconque identifie, dans une confusion panthéistique, Dieu et l’univers, abaissant Dieu aux dimensions du monde ou élevant le monde à celles de Dieu n’est pas de ceux qui croient en Dieu (…). Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l’État, ou la forme de l’État, ou les dépositaires du pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine ‒ toutes choses qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et honorable ‒ quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, même religieuses, et les divinise par un culte idolâtrique,celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créé et ordonné par Dieu (…). Prenez garde, (…), à l’abus croissant, dans la parole comme dans les écrits, qui consiste à employer le nom de Dieu trois fois saint comme une étiquette vide de sens (…).

Swastika et Etoile de David s’entrelaçaient déjà dans la synagogue de Capharnaüm.

Seuls des esprits superficiels peuvent tomber dans l’erreur qui consiste à parler d’un Dieu national, d’une religion nationale ; seuls ils peuvent entreprendre la vaine tentative d’emprisonner Dieu (…) dans les frontières d’un seul peuple, dans l’étroitesse de la communauté de sang d’une seule race. (…) Nous remercions vos prêtres et tous vos fidèles, qui, dans la défense des droits de la Divine Majesté contre un nouveau paganisme agressif et favorisé, hélas, de bien des matières par des hommes influents, ont rempli et continuent à remplir leur devoir de chrétien(…)Personne ne peut donc dire : je crois en Dieu, cela me suffit en fait de religion (…). [Ne pas mépriser et ne pas rejeter l’Ancien Testament et les Hébreux, peuple élu à l’origine, même s’il est devenu déicide, selon la Tradition de l’Église, par la suite] Dieu a parlé à nos pères par les prophètes. (…)Les Livres sacrés de l’Ancien Testament sont entièrement Parole de Dieu et forment une partie substantielle de Sa Révélation. (…) Ils nous décrivent aussi le peuple choisi (ndla : le peuple hébreu), porteur de la Révélation et de la Promesse, s’égarant sans cesse loin de son Dieu pour se tourner vers le monde. (…) C’est précisément sur ce fond souvent obscur que ressort dans de plus frappantes perspectives la pédagogie de salut de l’Éternel, tour à tour avertissant, admonestant, frappant, relevant et béatifiant ses élus. Seuls l’aveuglement et l’orgueil peuvent fermer les yeux devant les trésors d’enseignement sauveur que recèle l’Ancien Testament. (…) Cette Révélation ne connaît pas de complément apporté de main d’homme, elle n’admet pas davantage d’être évincée et remplacée par d’arbitraires  »révélations » que certains porte-parole du temps présent prétendent faire dériver de ce qu’ils appellent le Mythe du Sang et de la Race. (…) Dans vos contrées, Vénérables Frères, retentissent des voix, dont le chœur va sans cesse se renforçant, qui invitent à sortir de l’Église. Parmi les meneurs, il en est plus d’un qui, par leur position officielle, cherchent à faire naître l’impression que cette sortie de l’Église et l’infidélité qu’elle comporte envers le Christ-Roi constituent une preuve particulièrement convaincante et méritoire de la fidélité envers l’État aujourd’hui. Par des mesures de contraintes cachées ou apparentes, (…) l’attachement des catholiques à leur foi (…) est soumise à une pression aussi contraire au droit qu’à la dignité humaine. (…) Si des hommes qui ne sont pas même unis dans la foi au Christviennent vous présenter la séduisante image d’une Église nationale allemande, sachez que ce n’est autre chose qu’un reniement de l’unique Église du Christ (…). [Concernant la grâce] Rejeter cette élévation gratuite et surnaturelle au nom d’un prétendu caractère allemand, est une erreur : c’est combattre ouvertement une vérité fondamentale du christianisme. (…) Aucune puissance coercitive de l’État, aucun idéal purement humain, si noble et si élevé soit-il en lui-même, ne sera jamais capable de remplacer en fin de compte les suprêmes et décisives impulsions  que donne la foi en Dieu et au Christ. [Concernant la famille et la jeunesse] Si l’État fonde une jeunesse nationale, cette organisation obligatoire doit être ouverte à tous, et c’est alors ‒ sans préjudice des droits des associations religieuses ‒ pour les jeunes gens eux-mêmes et pour les parents qui en répondent devant Dieu, un droit incontestable et inaliénable d’exiger que cette organisation d’État soit purgée de toutes les manifestations d’un esprit ennemi du christianisme et de l’Église, manifestations qui, tout récemment encore et aujourd’hui même, mettent la conscience des parents chrétiens dans une insoluble alternative, puisqu’ils ne peuvent pas donner à l’État ce qu’il exige qu’en dérobant à Dieu ce qui est à Dieu. (…) Et plus les ennemis s’efforcent de déguiser sous de beaux semblants leurs sombres desseins, plus il y a lieu d’y opposer une méfiance vigilante, une vigilance provoquée à la méfiance par une expérience trop amère. (…) Nous avons pesé chacun des mots de Cette lettre à la balance de la vérité (…). »

7. Sionisme et Mondialisme L-8 clôt la trilogie commencée en 2017 par Atlas du Mondialisme L-6 et poursuivie en 2019 par Archives du Mondialisme L-7. En quoi, ces trois livres forment-ils un ensemble ?

Ces trois ouvrages se complètent de la manière suivante. Atlas du Mondialisme L-6 avait pour objectif de présenter des points essentiels de géopolitique comme la construction européenne ou encore l’évolution politique des États-Unis dans le cadre du mondialisme parallèlement à la mise en place d’institutions pour parachever la gouvernance mondiale. Cependant, afin de bien saisir l’esprit du mondialisme, j’ai étudié le messianisme juif, ses caractéristiques et ses différents avatars (Shimon Bar Kokhba, Sabbataï TseviJacob Frank, …). La compréhension de ce milieu déchiré en interne par des factions rivales est absolument indispensable à cerner. Par exemple, il est absolument capital de comprendre les préceptes du rabbin Isaac Louria du XVIè siècle et son impact sur certaines communautés judaïques d’essence messianique. Dans le deuxième volume, Archives du Mondialisme L-7, j’ai traité de l’importance de l’Ancien Testament à ne pas rejeter comme le font de nombreuses personnes mêmes chrétiennes. En effet, le fil directeur de ces textes, qu’ils soient, selon les convictions de chacun, d’inspiration divine ou non, est d’annoncer l’Incarnation en la personne du Christ dans le cadre d’un monde païen âpre et dure. Or la non-reconnaissance de celui-ci par les Juifs a conduit ces derniers à élaborer un nouveau judaïsme violemment anti-catholique entre 100 et 500 ap. J-C, le Talmud, code civil et religieux de la synagogue rebelle. C’est ce milieu hostile qui a irrigué les bouleversements spirituels et politiques en Europe voulant mettre à bas la Révélation. C’est d’ailleurs ce que j’ai pu prouver, toujours dans ce livre, avec l’influence du milieu talmudo-kabbalistique dans la Révolution de 1789 conduisant, par la suite, aux préparatifs menant à l’émergence du sionisme ; c’est-à-dire à la volonté de créer un foyer juif en Palestine prélude à la création de l’État juif. C’est justement cette recherche qui m’a poussé à la rédaction du troisième tome Sionisme et Mondialisme L-8. J’ai eu la chance de mettre la main sur les carnets complets de Theodor Herzl mais aussi sur de nombreuses pièces d’archives expliquant les relations entre nazis et sionistes à partir d’un accord conclu entre ces deux mondes, l’accord de la Haavara. Il m’a été possible de prouver qu’une entente, certes souvent tendue, s’est concrétisée permettant de former environ 80 000 Juifs germanophones aux techniques agricoles, horticoles et artisanales dans 42 camps en Allemagne pour les expédier ensuite vers la Palestine sous mandat britannique. Ces Juifs germanophones formés ont constitué le substrat de la toute jeune économie israélienne à la création du pays en 1948.

8. Par ailleurs, tu es très sollicité pour écrire des préfaces de livres s’opposant au mondialisme avec des angles différents. Quelle en serait l’origine commune ?

Effectivement, j’ai eu l’occasion d’écrire de multiples préfaces pour des livres apparemment divers : L’Esprit Révolutionnaire Juif P-9 de Michael Jones, Histoire Secrète de l’Oligarchie Anglo-Américaine P-1 de Carroll Quigley, Le Réseau Rampolla P-5 d’Henri Barbier, La République Universelle du Genre Humain P-8 d’Anacharsis Cloots, De la Salette à Diana Vaughan P-4 de Paul-Étienne Pierrecourt, Le Nouvel Ordre Mondial P-3 de H. G. Wells ou encore Les Conséquences Politiques de la Paix de Jacques Bainville P-10. Les sujets traités par ces livres sont variés. Néanmoins, par des chemins différents, ces ouvrages révèlent que la finalité du sujet traité consiste à aboutir à la mise à mort de la Révélation directement ou par étape. Comme je l’ai déjà indiqué, pour cerner un sujet, il faut toujours saisir le fil directeur à partir d’une masse de documents. L’Incarnation annoncée dans la Bible hébraïque, avec ses conséquences spirituelles et temporelles, représente le point incontournable de la haine talmudo-kabbalistique depuis 2000 ans. Dans cette révolte, on relève cette volonté d’établir une gouvernance mondiale régie par une élite opposée à la Révélation régentant une humanité soumise aux directives du Temple rénové.

9. Justement, cette mystique mondialiste se retrouvant dans le noachisme, le sabbatéo-frankisme ou la gnose est protéiforme. A quels indices peut-on la reconnaître ?

Tout d’abord, s’il fallait résumer la finalité de la mystique mondialiste, nous dirions, en nous référant au spécialiste israélien Gershom Scholem, qu’il s’agit de faire du peuple juif, le peuple prêtre, intermédiaire unique entre le Dieu un et le reste de l’humanité non-juive régie par les lois noachides, cette dernière se trouvant comme simple prosélyte de la Porte au seuil du Temple rétabli pour la plus grande gloire d’Israël. La compréhension du noachisme pour les non-Juifs est essentielle. Nous en avons l’explication dans le livre du rabbin Élie BenamozeghIsraël et l’Humanité, dont j’ai synthétisé les propos dans Atlas du Mondialisme L-6. Régi par sept lois, le noachisme a pour but essentiel de détruire trois points clefs : l’Incarnation, la Sainte Trinité et le sacerdoce catholique.

« Un Maçon est obligé, de par sa Tenure, d’observer la Loi morale, en tant que vrai noachite… »

Article Premier des Constitutions d’Anderson de 1738

Les outils qui rendent possible cet « idéal » se trouvent dans l’esprit de la gnose issue du monde antique (Égypte, Mésopotamie, …) sublimant l’idée que l’homme, parcelle du divin, peut par sa seule intelligence et sa volonté rejoindre ce même divin. Cette gnose, reposant sur la magie et l’évocation des esprits, avait été déjà condamné par le prophète Isaïe (Is. VIII, 19 dans la Bible Hébraïque) sous l’appellation « oboth » et « Iidonime ». Le phénomène est donc ancien. Dès le début de l’ère chrétienne, nous relevons la présence de ce courant cherchant à pervertir l’Église et son enseignement. En effet, sous le règne du pape saint Pierre, Simon le Magicien se présenta à lui pour connaître ses « pouvoirs magiques » moyennant une rétribution financière d’où le mot simonie. Rabroué par l’apôtre, il se convertit faussement au catholicisme afin d’en découvrir les secrets et subvertir la toute jeune Église. Historiquement, nous avons affaire au premier marrane (Juif faussement converti). Par la suite, nous observons une pléthore d’hérésies (arianisme, catharisme, bogomiles, hussisme, protestantisme etc) qui, toutes, reposaient sur des principes remettant en cause les dogmes catholiques pour se rapprocher peu ou prou de l’idéal opposé de la synagogue aveugle. En s’intéressant aux causes profondes de ces mouvements, nous retrouvons toujours par des chemins détournés l’influence du monde juif talmudo-kabbalistique comme c’est le cas avec les cathares acquis au principe du Dieu bon et du Dieu mauvais (le démiurge) et à la migration des âmes ou gilgoul dans le langage kabbalistique. Le siège de la Kabbale au XIIè siècle était, comme par hasard, situé dans le sud de la France. Nous pouvons relever aussi Pic de la Mirandole, auteur de l’ouvrage Neuf Cents Conclusions, qui fut condamné par les autorités de l’Église en 1487 car ses travaux mettaient « la magie et la Kabbale au-dessus des Évangiles »Comme par hasard, Pic de la Mirandole était très lié aux milieux ésotériques, en particulier à un Juif sicilien faussement converti et devenu prêtre qui s’appelait Abu’l Faradj. Par la suite, nous pouvons relever dans ces multiples influences l’expression « Être suprême », terme cher à la Kabbale pour désigner un Dieu infini, dont nous retrouvons l’emploi dans le préambule de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme en 1789. Signalons l’existence d’un livre au titre à peine provocateur de l’universitaire juif américain Yuri Slezkine qui, pour définir le XXè siècle, n’a pas hésité à le nommer « Le siècle juif ». Il n’a pas tort.

« Ce noachisme s’impose de plus en plus dans les structures mentales. Ainsi, le Congrès des états-Unis a adopté dans le cadre de « l’Education Day », le 26 mars 1991, la reconnaissance des lois noachides comme socle de la société américaine. »

 Connaissez-vous le noachisme ? – Pierre Hillard

« 1920 – Before the Storm » de Jakub Różalski
10. Merci pour cet entretien. Dernière question quant à l’actualité. Penses-tu que la dictature sanitaire qui vient n’est-elle pas, par ses excès, une fantastique opportunité de réveiller les peuples avant le « Grand Reset ».

Il est vrai que de nombreuses personnes sentent que quelque chose ne va pas. L’instinct de survie se fait sentir et, peu importe l’origine sociale et le niveau d’étude, certains commencent à se poser les vraies questions. Cependant, je crois que la véritable bascule se fera dans l’effondrement financier et économique qui s’annonce. Tout s’écroulera et la famine se fera jour. Certains sauront lutter pour survivre tandis que d’autres seront incapables de le faire car tétanisés par l’horreur du moment. La guerre civile fera rage d’autant plus que des millions d’extra-Européens ne bénéficiant plus des allocations et autres subsides financiers sauront montrer un vif ressentiment à l’égard du pays d’accueil. Le peuple français est pris en étau entre un système politique, la République d’essence talmudo-kabbalistique, et la présence sur son sol de populations allogènes désireuses de conserver leur propre culture. Tout cela se terminera en guerre totale. Les civilisations sont mortelles. Concernant la France, espérons que la Providence saura faire surgir le chef capable de rétablir une civilisation française née du baptême de Clovis. Mais en attendant, que de souffrances en perspectives !

L’élite nous avait pourtant prévenu lors de la cérémonie des Jeux Olympiques de Londres de 2012 : masques, virus, 5G et enfants malades…
[NOTES]

1 – Cf. https://www.uclg.org/fr/centenaire.

2 – Cf. Christine Lagarde, patronne du FMI, annonce-t-elle en 2014 la venue du Grand Reset pour 2021 ?

3 – Cf. http://transitionintegrityproject.net.

4 – Sources composant la vidéo :
1) Nouvel Ordre Mondial -Pierre Hillard sur Fréquence Evasion ;
2) Intervention de Pierre Hillard – La France à l’épreuve de l’Union Européenne (pour en savoir ;
3) Conférence Pierre Hillard et Piero San Giorgio – Comprendre le Mondialisme et y survivre 2/2 ;
4) Pierre Hillard, spécialiste du mondialisme… origines, découvertes et terrifiantes perspectives ;
5) Songbird | Official Trailer [HD] | Coming Soon.
Cf. articles sur COVID-1984 et précisions complémentaires sur Golden Dawn.

LIVRES DE PIERRE HILLARD

1 – Minorités et Régionalismes dans l’Europe Fédérale des Régions (2001) – Editions François-Xavier de Guibert

2 – La Décomposition des Nations Européennes: de l’Union Euro-Atlantique à l’État Mondial (2005) – Editions François-Xavier de Guibert

3 – La Marche Irrésistible du Nouvel Ordre Mondial : Destination Babel (2007) – Editions François-Xavier de Guibert

4 – La Fondation Bertelsmann et la Gouvernance Mondiale (2009) – Editions François-Xavier de Guibert

5 – Chroniques du Mondialisme (2014) – Editions Culture & Racines

6 – Atlas du Mondialisme (2017) – Editions Culture & Racines

7 – Archives du Mondialisme (2019) – Editions Nouvelle Terre

8 – Sionisme et Mondialisme (2020) – Editions Nouvelle Terre

LIVRES PRÉFACÉS PAR PIERRE HILLARD

1 – Histoire Secrète de l’Oligarchie Anglo-Américaine de Carroll Quigley (2015) – Editions Culture & Racines

2 – La Guerre Secrète Contre les Peuples de Claire Severac (2015) – Editions Kontre Kulture

3 – Le Nouvel Ordre Mondial d’H.G. Wells (2018) – Editions du Rubicon

4 – De la Salette à Diana Vaughan de Paul-Étienne Pierrecourt (2018) – Editions Saint-Rémi

5 – Le Réseau Rampolla d’Henri Barbier (2018) – Editions Saint-Rémi

6 – De la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ à la Passion de l’Église de Louis-Hubert Remy (2018) – Editions ACRF

7 – Le Monde Occulte des Comic Book de DC Comics à Marvel de Jérémy Lehut (2019) – Editions Omnia Veritas

8 – La République Universelle du Genre Humain d’Anacharsis Cloots (2019) – Editions Omnia Veritas

9 – L’Esprit Révolutionnaire Juif d’Eugene Michael Jones (2019) – Editions Saint-Rémi

10 – Les Conséquences Politiques de la Paix de Jacques Bainville (2020) – Editions du Verbe Haut




Le « Great Reset » n’est pas du complotisme

Klaus Schwab et sa grande réinitialisation fasciste

[Source : Leviathan]

Traduction de l’article “Klaus Schwab and his great fascist reset”, par Winter Oak

Né à Ravensburg en 1938, Klaus Schwab est un enfant de l’Allemagne d’Adolf Hitler, un régime d’État policier fondé sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisme et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision effrayante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans.

Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer de le transformer en réalité non seulement pour l’Allemagne mais pour le monde entier.

Pire encore, comme ses propres mots le confirment à maintes reprises, sa vision technocratique fasciste est aussi une vision transhumaniste tordue, qui fusionnerait les humains et les machines dans « de curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui infecterait nos corps avec les nanotechnologies et dans lequel la police serait apparemment capable de lire nos cerveaux.

Et, comme nous le verrons, lui et ses complices utilisent la crise Covid-19 pour contourner la responsabilité démocratique, pour passer outre l’opposition, pour accélérer leur programme et pour l’imposer au reste de l’humanité contre notre volonté dans ce qu’il appelle une « Grande Réinitialisation ».

Schwab n’est bien sûr pas un nazi au sens classique du terme, n’étant ni nationaliste ni antisémite, comme en témoigne le prix Dan David d’un million de dollars qui lui a été décerné par Israël en 2004.

Mais le fascisme du XXIe siècle a trouvé différentes formes politiques à travers lesquelles il peut poursuivre son projet de base : de remodeler l’humanité pour l’adapter au capitalisme par des moyens manifestement autoritaires.

Ce nouveau fascisme est aujourd’hui avancé sous les traits de la gouvernance mondiale, de la biosécurité, de la « nouvelle normalité », du « New Deal pour la nature » et de la « quatrième révolution industrielle ».

Schwab, le fondateur octogénaire et président exécutif du Forum économique mondial, se trouve au centre de cette matrice comme une araignée sur une toile géante.

La fusion de l’État et des entreprises était au centre du projet fasciste original, en Italie et en Allemagne.

Alors que le communisme envisage la prise de contrôle des affaires et de l’industrie par le gouvernement, qui – en théorie ! – agit dans l’intérêt du peuple, le fascisme consistait à utiliser l’État pour protéger et faire avancer les intérêts de l’élite riche.

Schwab poursuivait cette approche dans un contexte dénazifié d’après-guerre, lorsqu’en 1971 il fonda le European Management Forum, qui tenait des réunions annuelles à Davos en Suisse.

Ici, il faisait la promotion de son idéologie du capitalisme stakeholder (un capitalisme des intéressés ou des parties prenantes) dans lequel les entreprises étaient amenées à coopérer plus étroitement avec le gouvernement.

Le capitalisme stakeholder est décrit par le magazine d’affaires Forbes comme « l’idée qu’une entreprise se concentre sur la satisfaction des besoins de toutes ses stakeholders : clients, employés, partenaires, la communauté et la société dans son ensemble ».

Même dans le contexte d’une entreprise en particulier, il s’agit invariablement d’une étiquette vide. Comme le note l’article de Forbes, cela signifie, simplement, que les entreprises puissent « continuer à pelleter de l’argent en privé à leurs actionnaires et dirigeants, tout en maintenant un front public d’une sensibilité sociale exquise et d’un altruisme exemplaire ».

Mais dans un contexte social général, le concept de stakeholder est encore plus néfaste, rejetant toute idée de démocratie, de gouvernement par le peuple, en faveur du gouvernement par le business.

La société n’est plus considérée comme une communauté vivante mais comme une entreprise, dont la rentabilité est le seul objectif valable de l’activité humaine.

Schwab a défini cet agenda en 1971, dans son livre Moderne Unternehmensführung im Maschinenbau (Gestion moderne en génie mécanique), où son utilisation du terme stakeholders a effectivement redéfini les êtres humains non comme des citoyens, des individus libres ou des membres des communautés, mais en tant que participants secondaires dans une entreprise commerciale massive.

Le but de la vie de chacun était « d’assurer la croissance et la prospérité à long terme » de cette entreprise – en d’autres termes, de protéger et d’accroître la richesse de l’élite capitaliste.

Tout cela est devenu encore plus clair en 1987, lorsque Schwab a rebaptisé son European Management Forum comme Le Forum Économique Mondial ou World Economic Forum.

Le FEM/WEF se décrit sur son propre site Web comme « la plate-forme mondiale pour la coopération public-privé » et ses admirateurs décrivent comment il crée « des partenariats entre hommes d’affaires, politiciens, intellectuels et autres dirigeants de la société pour “définir, discuter et faire avancer les questions clés sur l’agenda mondial” ».

Les « partenariats » que crée le WEF visent à remplacer la démocratie par un leadership mondial d’individus non élus triés sur le volet, dont le devoir n’est pas de servir le public, mais de lui imposer la domination du 1% avec aussi peu d’interférence que possible de la part de nous autres.

Dans les livres qu’écrit Schwab pour le grand public, il s’exprime dans les clichés hypocrites du marketing et de l’écoblanchiment.

Les mêmes termes creux se répètent en boucle. Dans Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World, Schwab parle de « l’inclusion des stakeholders et de la répartition des avantages » et de « partenariats durables et inclusifs » qui nous mèneront tous à « un avenir inclusif, durable et prospère »! (1)

Derrière ces fanfaronnades, la véritable motivation qui anime son capitalisme stakeholder, qu’il promouvait toujours sans relâche à la conférence de Davos du WEF en 2020, est le profit et l’exploitation.

Par exemple, dans son livre de 2016, The Fourth Industrial Revolution, Schwab écrit sur l’ubérisation du travail et les avantages qui en découlent pour les entreprises, en particulier les start-ups à croissance rapide dans l’économie numérique : « Puisque les plates-formes “human cloud” classent les travailleurs comme indépendants, ils sont – pour le moment – libres de l’obligation de payer le salaire minimum, les impôts des employeurs et les prestations sociales ». (2)

La même insensibilité capitaliste transparaît dans son attitude envers les personnes qui approchent de la fin de leur vie professionnelle et qui ont besoin d’un repos bien mérité : « Le vieillissement est un défi économique car à moins que l’âge de la retraite ne soit considérablement augmenté pour que les membres plus âgés de la société puissent continuer à contribuer à la main-d’œuvre (un impératif économique qui présente de nombreux avantages économiques), la population en âge de travailler diminue en même temps que le pourcentage des personnes âgées dépendantes augmente ». (3)

Tout dans ce monde est réduit aux défis économiques, aux impératifs économiques et aux avantages économiques pour la classe capitaliste dirigeante.

Le mythe du progrès a longtemps été utilisé par les 1% pour persuader les gens d’accepter les technologies destinées à nous exploiter et à nous contrôler et Schwab joue là-dessus lorsqu’il déclare que

« la quatrième révolution industrielle [4eRI] représente une source importante d’espoir pour accompagner la montée en puissance du développement humain qui a entraîné une amélioration spectaculaire de la qualité de vie de milliards de personnes depuis 1800 ». (4)

Il s’enthousiasme :

« Bien que cela puisse ne pas sembler capital pour ceux d’entre nous qui vivent quotidiennement une série d’ajustements mineurs mais significatifs de la vie, ce n’est pas un changement mineur – la quatrième révolution industrielle est un nouveau chapitre du développement humain, à égalité avec les première, deuxième et troisième révolutions industrielles, et encore une fois motivée par la disponibilité et l’interaction croissantes d’un ensemble de technologies extraordinaires ». (5)

Mais il est bien conscient que la technologie n’est pas neutre sur le plan idéologique, comme certains aiment le prétendre. Les technologies et les sociétés se façonnent, dit-il.

« Après tout, les technologies sont liées à la façon dont nous savons les choses, comment nous prenons des décisions et comment nous pensons à nous-mêmes et les uns aux autres. Ils sont liés à nos identités, nos visions du monde et nos futurs potentiels. Des technologies nucléaires à la course spatiale, en passant par les smartphones, les médias sociaux, les voitures, la médecine et les infrastructures, la signification des technologies les rend politiques. Même le concept de nation “développée” repose implicitement sur l’adoption des technologies et sur ce qu’elles signifient pour nous, économiquement et socialement ». (6)

La technologie, pour les capitalistes qui la sous-tendent, n’a jamais été une question de bien social mais uniquement de profit, et Schwab indique clairement qu’il en va de même pour sa quatrième révolution industrielle.

Il explique :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle sont vraiment perturbatrices – elles bouleversent les façons existantes de détecter, calculer, organiser, agir et fournir. Ils représentent des moyens entièrement nouveaux de créer de la valeur pour les organisations et les citoyens ». (7)

Au cas où la signification de « créer de la valeur » n’était pas claire, il donne quelques exemples : « Les drones représentent un nouveau type d’employé qui travaille parmi nous, qui réduit les coûts et qui effectue des tâches qui impliquaient autrefois de vraies personnes » (8) et « l’utilisation d’algorithmes toujours plus performants étend rapidement la productivité des employés – par exemple, en utilisant des robots de discussion pour augmenter (et, de plus en plus, remplacer) le support “live chat” pour les interactions avec les clients ». (9)

Dans The Fourth Industrial Revolution, Schwab nous précise en détail comment son “Meilleur des mondes” va réduire les coûts et augmenter les profits.

Il explique :

« Plus tôt que prévu, le travail de professions aussi différentes que les avocats, les analystes financiers, les médecins, les journalistes, les comptables, les assureurs ou les bibliothécaires peut être partiellement ou totalement automatisé… »

« La technologie progresse si vite que Kristian Hammond, cofondateur de Narrative Science, une société spécialisée dans la génération de récits automatisés, prévoit qu’au milieu des années 2020, 90% des infos pourraient être générées par un algorithme, la plupart sans aucune intervention humaine (en dehors de la conception de l’algorithme, bien sûr) ». (10)

C’est cet impératif économique qui alimente l’enthousiasme de Schwab pour « une révolution qui change fondamentalement la façon dont nous vivons, travaillons et interagissons ». (11)

Schwab est lyrique à propos de la quatrième révolution industrielle, qui, selon lui, est « différent de tout ce que l’humanité a connu auparavant ». (12)

Il clame :

« Considérez les possibilités illimitées d’avoir des milliards de personnes connectées par des appareils mobiles, donnant lieu à une puissance de traitement, des capacités de stockage et un accès aux connaissances sans précédent. Ou pensez à la confluence stupéfiante de percées technologiques émergentes, couvrant des domaines très variés tels que l’intelligence artificielle (IA), la robotique, l’Internet des objets, les véhicules autonomes, l’impression 3D, la nanotechnologie, la biotechnologie, la science des matériaux, le stockage d’énergie et l’informatique quantique, pour n’en nommer que quelques-uns. Beaucoup de ces innovations en sont à leurs balbutiements, mais elles atteignent déjà un point d’inflexion dans leur développement alors qu’elles se renforcent et s’amplifient mutuellement dans une fusion de technologies à travers les mondes physique, numérique et biologique ». (13)

Il attend avec impatience plus d’éducation en ligne, qui impliquerait « l’utilisation de la réalité virtuelle et augmentée » pour « améliorer considérablement les résultats scolaires ». (14) Schwab espère également voir des capteurs « installés dans les maisons, les vêtements et accessoires, les villes, les transports et les réseaux d’énergie » (15 ) et des villes intelligentes, avec leurs « plates-formes de données » essentielles. (16)

« Tout sera intelligent et connecté à Internet», dit Schwab, et cela s’étendra aux animaux, car « des capteurs câblés dans le bétail peuvent communiquer entre eux par un réseau de téléphonie mobile ». (17)

Il adore l’idée d’ « usines de cellules intelligentes » qui pourraient permettre « la génération accélérée de vaccins » (18) et les « technologies du big data ». (19)

Celles-ci, nous assure-t-il, « offriront des moyens nouveaux et innovants de servir les citoyens et les clients » (20) et nous devrons cesser de nous opposer aux entreprises qui profitent de l’exploitation et de la vente d’informations sur tous les aspects de nos vies personnelles.

« L’établissement de la confiance dans les données et les algorithmes utilisés pour prendre des décisions sera vital », insiste Schwab. « Les préoccupations des citoyens concernant la vie privée et l’établissement de la responsabilité dans les structures commerciales et juridiques nécessiteront des ajustements de réflexion ». (21)

En fin de compte, il est clair que toute cette excitation technologique tourne uniquement autour du profit, ou de la « valeur », comme Schwab préfère l’appeler dans sa novlangue capitaliste du XXIe siècle.

Ainsi, la technologie blockchain sera formidable et provoquera « une explosion des actifs négociables, car toutes sortes d’échanges de valeur peuvent être hébergés sur la blockchain ». (22)

L’utilisation de la technologie des registres distribués, ajoute Schwab, « pourrait être le moteur de flux massifs de valeur dans les produits et services numériques, fournissant des identités numériques sécurisées qui peuvent rendre de nouveaux marchés accessibles à toute personne connectée à Internet ». (23)

En général, l’intérêt de la 4eRI ​​pour l’élite dirigeante du business est qu’il « créera des sources de valeur entièrement nouvelles » (24) et « donnera naissance à des écosystèmes de création de valeur impossibles à imaginer avec un état d’esprit coincé dans la troisième révolution industrielle ». (25)

Les technologies de la quatrième révolution industrielle, déployées par la 5G, représentent des menaces sans précédent pour notre liberté, comme le concède Schwab : « Les outils de la quatrième révolution industrielle permettent de nouvelles formes de surveillance et d’autres moyens de contrôle qui vont à l’encontre de sociétés saines et ouvertes ». (26)

Mais cela ne l’empêche pas de les présenter sous un jour positif, comme lorsqu’il déclare que « la criminalité publique est susceptible de diminuer en raison de la convergence des capteurs, des caméras, de l’IA et des logiciels de reconnaissance faciale ». (27)

Il décrit avec un certain plaisir comment ces technologies « peuvent pénétrer dans l’espace jusque-là privé de notre esprit, lire nos pensées et influencer notre comportement ». (28)

Schwab prédit :

« À mesure que les capacités dans ce domaine s’améliorent, la tentation augmentera pour les forces de l’ordre et les tribunaux d’utiliser des techniques pour déterminer la probabilité d’une activité criminelle, évaluer la culpabilité ou même éventuellement récupérer des souvenirs directement dans le cerveau des gens. Même le franchissement d’une frontière nationale pourrait un jour impliquer un scanner cérébral détaillé pour évaluer le risque de sécurité d’un individu ». (29)

Il y a des moments où le chef du WEF se laisse emporter par sa passion pour un avenir de science-fiction dans lequel « les voyages humains à longue distance et la fusion nucléaire sont monnaie courante » (30) et où « le prochain business model » pourrait donner à un consommateur la possibilité d’ « échanger l’accès à ses pensées contre l’option qui permet d’économiser du temps de taper une publication sur les réseaux sociaux par la seule pensée ». (31)

Parler de « tourisme spatial » sous le titre « la quatrième révolution industrielle et la dernière frontière » (32) est presque drôle, tout comme sa suggestion qu’un « monde plein de drones offre un monde plein de possibilités ». (33)

Mais plus le lecteur progresse dans le monde décrit dans les livres de Schwab, moins tout cela semble faire rire.

La vérité est que cette figure très influente, au centre du nouvel ordre mondial en cours de création, est un transhumaniste qui rêve de priver l’humanité d’une vie naturelle et de communautés saines.

Schwab répète ce message à maintes reprises, comme pour être sûr que nous avons été dûment avertis.

« Les innovations époustouflantes déclenchées par la quatrième révolution industrielle, de la biotechnologie à l’IA, redéfinissent ce que signifie être humain » (34), écrit-il.

« L’avenir mettra au défi notre compréhension de ce que signifie être humain, tant d’un point de vue biologique que social ». (35)

« Déjà, les progrès des neurotechnologies et des biotechnologies nous obligent à nous interroger sur ce que signifie être humain ». (36)

Il l’explique plus en détail dans Shaping The Future of the Fourth Industrial Revolution :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle [4eRI] ne s’arrêteront pas à faire partie du monde physique qui nous entoure – elles feront partie de nous. En effet, certains d’entre nous sentent déjà que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes actuels, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront probablement implantables dans notre corps et notre cerveau. Les exosquelettes et les prothèses augmenteront notre puissance physique, tandis que les progrès de la neurotechnologie amélioreront nos capacités cognitives. Nous deviendrons plus capables de manipuler nos propres gènes et ceux de nos enfants. Ces développements soulèvent des questions profondes : où tracer la ligne entre l’homme et la machine ? Que signifie être humain ? » (37)

Une section entière de ce livre est consacré au thème « Modifier l’être humain ». Ici, Schwab bave sur « la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous » et évoque un futur cyborg impliquant « des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes ». (38)

Il écrit :

« Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle-même ». (39)

Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de « micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps », de « tatouages ​​intelligents », de « calcul biologique » et « d’organismes sur mesure ». (40)

Il est ravi d’annoncer que « les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes », (41) que « le Smart Dust [une poussière dite intelligente], des tableaux d’ordinateurs complets avec des antennes, chacun beaucoup plus petit qu’un grain de sable, peut désormais organiser eux-mêmes à l’intérieur du corps » et que « les dispositifs implantés aideront probablement aussi à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement via un smartphone “intégré”, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales et d’autres signaux ». (42)

La « biologie synthétique » est à l’horizon dans le monde de la 4eRI de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial « la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN ». (43)

L’idée des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau, suffit à rendre certains d’entre nous un peu malades, tout comme « la perspective de connecter notre cerveau à la RV via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots ». (44)

Il est peu réconfortant d’apprendre que c’est tout – bien sûr! – dans l’intérêt supérieur du profit capitaliste car cela « annonce de nouvelles industries et systèmes de création de valeur » et « représente une opportunité de créer dans la quatrième révolution industrielle des systèmes de valeur tout à fait inédits ». (45)

Et qu’en est-il de « la bio-impression des tissus organiques » (46) ou de la suggestion selon laquelle « les animaux pourraient potentiellement être modifiés pour produire des produits pharmaceutiques et d’autres formes de traitement » ? (47)

Objections éthiques ?

Tout cela est évidemment bon pour Schwab, qui est heureux d’annoncer : « Le jour où les vaches seront conçues pour produire dans leur lait un élément de coagulation du sang, dont les hémophiles manquent, n’est pas loin. Les chercheurs ont déjà commencé à modifier les génomes des porcs dans le but de cultiver des organes adaptés à la transplantation humaine ». (48)

Cela devient encore plus inquiétant. Depuis le sinistre programme eugénique de l’Allemagne nazie dans lequel Schwab est né, cette science a été jugée hors de propos par l’ humanité.

Mais maintenant, il pense manifestement que l’eugénisme est dû à un renouveau et il annonce à propos de l’édition génétique : « Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique ». (49)

Dans I, Cyborg, le tristement fameux traité transhumaniste de 2002, Kevin Warwick prédit :

« Les humains pourront évoluer en exploitant la super-intelligence et les capacités supplémentaires offertes par les machines du futur, en se joignant à eux. Tout cela indique le développement d’une nouvelle espèce humaine, connue dans le monde de la science-fiction sous le nom de “cyborgs”. Cela ne veut pas dire que tout le monde doit devenir un cyborg. Si vous êtes satisfait de votre état d’humain, qu’il en soit ainsi, vous pouvez rester tel que vous êtes. Mais soyez averti – tout comme nous, les humains, nous nous sommes séparés de nos cousins ​​chimpanzés il y a des années, les cyborgs se sépareront des humains. Ceux qui restent humains sont susceptibles de devenir une sous-espèce. Ils seront effectivement les chimpanzés du futur ». (50)

Schwab semble faire allusion au même avenir d’une élite transhumaine artificielle et « supérieure » se séparant de la populace naturelle, dans ce passage particulièrement accablant de The Fourth Industrial Revolution : « Nous sommes au seuil d’un changement systémique radical qui oblige les êtres humains à s’adapter sans arrêt. En conséquence, nous pouvons assister à un degré croissant de polarisation dans le monde, marqué par ceux qui embrassent le changement par rapport à ceux qui y résistent. »

« Cela donne lieu à une inégalité qui va au-delà de l’inégalité sociétale décrite plus haut. Cette inégalité ontologique séparera ceux qui s’adaptent de ceux qui résistent – les gagnants et les perdants matériels dans tous les sens des mots. Les gagnants peuvent même bénéficier d’une certaine forme d’amélioration humaine radicale générée par certains segments de la quatrième révolution industrielle (comme le génie génétique) dont les perdants seront privés. Cela risque de créer des conflits de classe et d’autres affrontements au-delà de tout ce que nous avons vu auparavant ». (51)

Schwab parlait déjà d’une « grande transformation » en 2016 (52) et il est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste et transhumaniste de l’artifice, de la surveillance, du contrôle et du profit exponentiel.

Mais, comme l’a révélé sa référence ci-dessus aux « conflits de classe », il est préoccupé par la possibilité d’une « résistance sociétale » (53) et par la manière d’avancer « si les technologies reçoivent beaucoup de résistance du public ». (54)

Les fiestas annuelles WEF de Schwab à Davos ont longtemps fait l’objet de manifestations anticapitalistes et, malgré la paralysie actuelle de la gauche radicale, il est bien conscient de la possibilité que l’opposition à son projet se renouvelle et peut-être s’élargisse, avec le risque de « ressentiment, peur et répercussions politiques ». (55)

Dans son livre le plus récent, il fournit un contexte historique, notant que « l’anti-mondialisation était forte à l’approche de 1914 et jusqu’en 1918, puis moins dans les années 1920, mais elle a repris dans les années 1930 à la suite de la Grande Dépression » . (56)

Il note qu’au début des années 2000, « le contrecoup politique et sociétal contre la mondialisation n’a cessé de se renforcer » (57), affirme que « l’agitation sociale » s’est répandue à travers le monde ces deux dernières années, citant les Gilets Jaunes en France parmi d’autres mouvements, et invoque le « sombre scénario » selon lequel « la même chose pourrait se reproduire ». (58)

Alors, comment un technocrate honnête est-il censé déployer son avenir choisi pour le monde sans l’accord du public mondial ? Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société préférée au reste d’entre nous ?

Une solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable produite par les grandes médias et les intellectuels pour l’élite du 1% – ce qu’ils aiment appeler « un récit ».

Pour Schwab, la réticence de la majorité de l’humanité à sauter à bord de sa 4eRI express reflète la tragédie selon laquelle « le monde manque d’un récit cohérent, positif et commun qui décrit les opportunités et les défis de la quatrième révolution industrielle, un récit qui est essentiel si nous allons responsabiliser un ensemble diversifié d’individus et de communautés et éviter une réaction populaire contre les changements fondamentaux en cours ». (59)

Il ajoute : « Il est donc essentiel que nous investissions attention et énergie dans la coopération multipartite au-delà des frontières académiques, sociales, politiques, nationales et industrielles. Ces interactions et collaborations sont nécessaires pour créer des récits positifs, communs et pleins d’espoir, permettant aux individus et aux groupes de toutes les régions du monde de participer et de profiter des transformations en cours ». (60)

L’un de ces « récits » blanchit les raisons pour lesquelles la technologie de la 4eRI doit être installée partout dans le monde dès que possible.

Schwab se sent frustré que « plus de la moitié de la population mondiale – environ 3,9 milliards de personnes – ne puisse toujours pas accéder à Internet », (61) 85% de la population des pays en développement restant hors ligne et donc hors de portée, contre 22% dans le monde développé.

Le but réel de la 4eRI ​​est d’exploiter ces populations à des fins lucratives via le techno-impérialisme mondial, mais bien sûr cela ne peut pas être déclaré dans le « récit » de propagande nécessaire pour vendre le plan.

Au lieu de cela, leur mission doit être présentée, comme le fait Schwab lui-même, comme une tentative de « développer des technologies et des systèmes qui servent à distribuer des valeurs économiques et sociales telles que le revenu, l’opportunité et la liberté à toutes les stakeholders ». (62)

Il se présente pieusement comme le gardien des valeurs libérales éveillées, déclarant :

« Penser inclusivement va au-delà de penser à la pauvreté ou aux communautés marginalisées simplement comme une aberration – quelque chose que nous pouvons résoudre. Cela nous oblige à nous rendre compte que “nos privilèges se situent sur la même carte que leurs souffrances”. Il va au-delà du revenu et des droits, bien que ceux-ci restent importants. Au lieu de cela, l’inclusion des stakeholders et la répartition des avantages élargissent les libertés pour tous ». (63)

La même technique, celle d’un faux « récit » conçu pour inciter les citoyens bien pensants à soutenir un schéma capitaliste impérialiste, a été largement utilisée en ce qui concerne le changement climatique.

Schwab est, bien sûr, un grand fan de Greta Thunberg, qui s’était à peine levée du trottoir après sa manifestation solitaire à Stockholm avant d’être emmenée pour s’adresser au WEF à Davos.

Il soutient également le projet mondial d’un Nouveau Deal pour la Nature, en particulier par Voice for the Planet, qui a été lancé au WEF de Davos en 2019 par les Global Shapers, une organisation de jeunesse créée par Schwab en 2011 et bien décrite par la journaliste d’investigation Cory Morningstar comme « une démonstration grotesque de malversations d’entreprise déguisées en bonnes actions ».

Dans son livre de 2020, Schwab décrit en fait la manière dont le faux « militantisme des jeunes » est utilisé pour faire avancer ses objectifs capitalistes.

Il écrit, dans un passage d’une franchise remarquable :

« Le militantisme des jeunes augmente dans le monde entier, étant révolutionné par les médias sociaux qui augmentent la mobilisation à un point qui aurait été impossible auparavant. Il prend de nombreuses formes différentes, allant de la participation politique non institutionnalisée aux manifestations et protestations, et aborde des questions aussi diverses que le changement climatique, les réformes économiques, l’égalité des sexes et les droits des LGBTQ. La jeune génération est fermement à l’avant-garde du changement social. Il ne fait aucun doute qu’il sera le catalyseur du changement et une source d’élan très importante pour la grande réinitialisation ». (64)

En fait, bien sûr, l’avenir ultra-industriel proposé par Schwab est autre chose que vert. Ce n’est pas la nature qui l’intéresse, mais le « capital naturel » et « l’incitation à investir dans les marchés verts et sociaux ». (65)

La pollution génère du profit et la crise environnementale n’est qu’une autre opportunité commerciale, comme il le détaille dans The Fourth Industrial Revolution : « Dans ce nouveau système industriel révolutionnaire, le dioxyde de carbone se transforme d’un polluant à effet de serre en un actif, et l’économie de la capture et du stockage du carbone – un puits de pollution coûteux – implique plutôt des installations rentables de captage du carbone et d’utilisation-production. Plus important encore, il aidera les entreprises, les gouvernements et les citoyens à devenir plus conscients et à s’engager dans des stratégies de régénération active du capital naturel, permettant des utilisations intelligentes et régénératrices du capital naturel pour guider la production et la consommation durables et permettre à la biodiversité de se rétablir dans les zones menacées ». (66)

Les « solutions » de Schwab aux dommages déchirants infligés à notre monde naturel par le capitalisme industriel empirent la situation.

La géo-ingénierie est l’un de ses favoris : « Les propositions incluent l’installation de miroirs géants dans la stratosphère pour dévier les rayons du soleil, l’ensemencement chimique de l’atmosphère pour augmenter les précipitations et le déploiement de grandes machines pour éliminer le dioxyde de carbone de l’air ». (67)

Et il ajoute : « De nouvelles approches sont actuellement imaginées à travers la combinaison des technologies de la quatrième révolution industrielle, telles que les nanoparticules et d’autres matériaux avancés ». (68)

Comme toutes les entreprises et ONG pro-capitalistes qui soutiennent le Nouveau Deal pour la nature, Schwab est totalement et profondément non vert.

Pour lui, la « possibilité ultime » d’énergie « propre » et « durable » comprend la fusion nucléaire (69) et il attend avec impatience le jour où les satellites « couvriront la planète de voies de communication qui pourraient aider à connecter plus de 4 milliards de personnes toujours en manque d’accès en ligne ». (70)

Schwab regrette également toutes les formalités administratives qui empêchent la marche en avant sans entrave des aliments génétiquement modifiés, nous avertissant que :

« la sécurité alimentaire mondiale ne sera atteinte, cependant, que si les réglementations sur les aliments génétiquement modifiés sont adaptées pour refléter la réalité que l’édition génique offre une méthode précise, efficace et sûre d’amélioration des cultures ». (71)

Le nouvel ordre envisagé par Schwab s’étendra au monde entier et une gouvernance mondiale est donc nécessaire pour l’imposer, comme il le répète à plusieurs reprises.

Son avenir préféré « ne se réalisera que grâce à une meilleure gouvernance mondiale » (72), insiste-t-il. « Une certaine forme de gouvernance mondiale efficace » (73) est nécessaire.

Le problème que nous rencontrons aujourd’hui est celui d’un éventuel « déficit d’ordre mondial » (74), affirme-t-il, ajoutant improbablement que l’Organisation mondiale de la santé « est accablée de ressources limitées et en baisse ». (75)

Ce qu’il raconte en réalité, c’est que sa société de 4eRI / Grande Réinitialisation ne fonctionnera que si elle s’impose simultanément partout sur la planète, sinon « nous deviendrons paralysés dans nos tentatives pour relever et répondre aux défis mondiaux ». (76)

Il admet : « En un mot, la gouvernance mondiale est au cœur de toutes ces autres questions ». (77)

Cet empire englobant fronce beaucoup les sourcils à l’idée que des populations particulières décident démocratiquement de prendre une autre voie. Celles-ci « risquent de s’isoler des normes mondiales, ce qui expose ces nations au risque de devenir les retardataires de la nouvelle économie numérique » (78), prévient Schwab.

Tout sentiment d’autonomie et d’appartenance populaire est considéré comme une menace du point de vue impérialiste de Schwab et doit être éradiqué dans le cadre de la 4eRI.

Il écrit :

« Les individus identifiaient le plus étroitement leur vie avec un lieu, un groupe ethnique, une culture particulière ou même une langue. L’avènement de l’engagement en ligne et une plus grande exposition aux idées d’autres cultures signifie que les identités sont désormais plus interchangeables qu’auparavant… Grâce à la combinaison de modèles de migration historiques et d’une connectivité à faible coût, les structures familiales sont redéfinies ». (79)

La vraie démocratie tombe essentiellement dans la même catégorie pour Schwab. Il sait que la plupart des gens n’accepteront pas volontiers des plans visant à détruire leur vie et à les asservir à un système mondial d’exploitation techno-fasciste, alors leur donner leur mot à dire n’est tout simplement pas une option.

C’est pourquoi le concept du stakeholder a été si important pour le projet de Schwab. Comme discuté ci-dessus, il s’agit de la négation de la démocratie, qui propose plutôt de « tendre la main à tous les groupes de parties prenantes pour trouver des solutions ». (80)

Si le public, le peuple, est inclus dans ce processus, ce n’est qu’à un niveau superficiel. L’ordre du jour a déjà été pré-supposé et les décisions pré-prises dans les coulisses.

Schwab l’admet effectivement lorsqu’il écrit : « Nous devons rétablir un dialogue entre toutes les stakeholders pour assurer une compréhension mutuelle qui renforce davantage une culture de confiance entre les régulateurs, les organisations non gouvernementales, les professionnels et les scientifiques. Le public doit aussi être pris en compte, car il doit participer au façonnement démocratique des développements biotechnologiques qui affectent la société, les individus et les cultures ». (81)

Le public doit donc « aussi » être considéré, après coup. Pas même directement consulté, juste « pris en compte » ! Et le rôle du peuple, le demos, sera simplement de « participer » au « façonnement » des développements biotechnologiques. La possibilité pour le public de rejeter l’idée même des développements biotechnologiques a été entièrement supprimée grâce à la formule des stakeholders et ses suppositions délibérément intégrées.

Le même message est implicite dans le titre de la conclusion de son livre Shaping The Future of the Fourth Industrial Revolution : « Ce que vous pouvez faire pour façonner la quatrième révolution industrielle ». (82) La techno-tyrannie ne peut être contestée ou arrêtée, simplement « façonnée ».

Schwab utilise le terme anglais « systems leadership » pour décrire la manière profondément antidémocratique dont le 1% nous impose à tous son programme, sans nous donner la chance de dire « non ».

Il écrit : « Le systems leadership consiste à cultiver une vision partagée du changement – en travaillant avec toutes les stakeholders de la société mondiale – puis à agir en conséquence pour changer la manière dont le système offre ses avantages, et à qui. Le systems leadership nécessite une action de toutes les stakeholders, y compris les individus, les dirigeants d’entreprise, les influenceurs sociaux et les décideurs ». (83)

Il qualifie ce contrôle descendant à spectre complet de « système de gestion de l’existence humaine » (84), bien que d’autres préfèrent le terme « totalitarisme ».

L’une des caractéristiques distinctives du fascisme historique en Italie et en Allemagne était son impatience face aux contraintes gênantes imposées à la classe dirigeante (« la Nation » en langage fasciste) par la démocratie et le libéralisme politique.

Tout cela a dû être balayé pour permettre un Blitzkrieg de « modernisation » accélérée.

Nous voyons le même esprit resurgir dans les appels de Schwab à une « gouvernance agile » dans lesquels il affirme que « le rythme du développement technologique et un certain nombre de caractéristiques des technologies rendent les cycles et processus d’élaboration des politiques précédents inadéquats ». (85)

Il écrit : « L’idée de réformer les modèles de gouvernance pour faire face aux nouvelles technologies n’est pas nouvelle, mais l’urgence de le faire est bien plus grande à la lumière de la puissance des technologies émergentes d’aujourd’hui… le concept de gouvernance agile cherche à égaler l’agilité, la fluidité, la flexibilité et l’adaptabilité des technologies elles-mêmes et des acteurs du secteur privé qui les adoptent ». (86)

L’expression « réformer les modèles de gouvernance pour faire face aux nouvelles technologies » met vraiment à nu ses idées. Comme sous le fascisme, les structures sociales doivent être réinventées de manière à s’adapter aux exigences du capitalisme et de ses technologies à but lucratif.

Schwab explique que sa « gouvernance agile » impliquerait la création de soi-disant laboratoires de politiques – « des espaces protégés au sein du gouvernement avec un mandat explicite d’expérimenter de nouvelles méthodes d’élaboration de politiques en utilisant des principes agiles » – et « d’encourager les collaborations entre les gouvernements et les entreprises pour créer des “bacs à sable de développement” et des “bancs d’essai expérimentaux” pour élaborer des réglementations utilisant des approches itératives, intersectorielles et flexibles ». (87)

Pour Schwab, le rôle de l’État est de faire progresser les objectifs capitalistes et non de les soumettre à une quelconque forme de contrôle. S’il est tout à fait favorable au rôle de l’État pour permettre une prise de contrôle de nos vies par les entreprises, il est moins attaché à sa fonction de régulation, qui pourrait ralentir l’afflux de profits dans des mains privées, et il envisage donc « le développement d’écosystèmes de régulateurs privés, en concurrence sur les marchés ». (88)

Dans son livre de 2018, Schwab discute du problème des réglementations embêtantes et de la meilleure façon de « surmonter ces limites » dans le contexte des données et de la confidentialité.

Il propose « des accords de partage de données public-privé qui “brisent la vitre en cas d’urgence”. Ceux-ci ne se réalisent que dans des circonstances d’urgence préalablement convenues (comme une pandémie) et peuvent aider à réduire les retards et à améliorer la coordination des premiers intervenants, permettant temporairement le partage de données qui serait illégal dans des circonstances normales ». (89)

Curieusement, deux ans plus tard, il y a eu effectivement une « pandémie » et ces « circonstances d’urgence préalablement convenues » sont devenues une réalité.

Cela n’aurait pas dû être trop surprenant pour Schwab, puisque son Forum avait co-organisé en octobre 2019 la tristement célèbre conférence Event 201, qui a modélisé une pandémie de coronavirus fictive.

Et il n’a pas perdu de temps à sortir un nouveau livre, Covid-19 : The Great Reset, co-écrit avec Thierry Malleret, qui dirige quelque chose qui s’appelle The Monthly Barometer, « une analyse prédictive succincte fournie aux investisseurs privés, aux PDG mondiaux et aux décideurs et faiseurs d’opinion ». (90)

Publié en juillet 2020, le livre se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique pourrait et devrait peut-être ressembler ». (91)

Schwab et Malleret admettent que Covid-19 est « l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années », ajoutant que « les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes » . (92)

Ils continuent : « Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies ». (93)

Pourtant, incroyablement, cette maladie « bénigne » est simultanément présentée comme l’excuse d’un changement social sans précédent, sous la bannière de « La Grande Réinitialisation » !

Et bien qu’ils déclarent explicitement que Covid-19 ne constitue pas un « choc » majeur, les auteurs utilisent à plusieurs reprises le même terme pour décrire l’impact plus large de la crise.

Schwab et Malleret placent Covid-19 dans une longue tradition d’événements qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés.

Ils invoquent spécifiquement la Seconde Guerre mondiale :

« La Seconde Guerre mondiale a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre mondial et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux en ce qui concerne les politiques et les dispositions du contrat social (comme les femmes qui rejoignent le marché du travail avant de devenir électrices). Il existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre (que nous examinerons plus en détail dans les pages suivantes), mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables ». (94)

Ils se joignent également à de nombreux « complotistes » contemporains pour faire une comparaison directe entre Covid-19 et le 11 septembre : « C’est ce qui s’est passé après les attentats terroristes du 11 septembre 2001. Partout dans le monde, de nouvelles mesures de sécurité comme l’utilisation généralisées de caméras, l’exigence de cartes d’identité électroniques et l’enregistrement des arrivées et des départs de salariés ou de visiteurs sont devenu la norme. A l’époque, ces mesures étaient jugées extrêmes, mais aujourd’hui elles sont utilisées partout et considérées comme “normales” ». (95)

Lorsqu’un tyran déclare le droit de régner sans tenir compte du point de vue de la population, il aime justifier sa dictature en affirmant qu’il est moralement en droit de le faire parce qu’il est « éclairé ».

Il en va de même pour la grande tyrannie de Schwab, alimentée par Covid, que le livre qualifie de « leadership éclairé », ajoutant : « certains dirigeants et décideurs qui étaient déjà à l’avant-garde de la lutte contre le changement climatique pourraient vouloir prendre avantage du choc infligé par la pandémie pour mettre en œuvre des changements environnementaux durables et plus larges. En effet, ils feront “bon usage” de la pandémie en ne laissant pas la crise se gâter ». (96)

L’élite dirigeante du capitalisme mondial a certainement fait de son mieux pour « profiter du choc infligé par la panique », nous assurant depuis les tout premiers jours de l’épidémie que, pour une raison insondable, rien dans nos vies ne pouvait rester pareil.

Schwab et Malleret sont, inévitablement, enthousiastes dans leur utilisation du cadrage New Normal, bien qu’ils admettent que le virus n’a jamais été que « bénigne ».

« C’est notre moment décisif », pavoisent-ils. « Beaucoup de choses changeront à jamais ». « Un nouveau monde émergera ». « Le bouleversement sociétal déclenché par COVID-19 durera des années, voire des générations ». « Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse courte est : jamais ». (97)

Ils vont même jusqu’à proposer une nouvelle séparation historique entre « l’ère pré-pandémique » et « le monde post-pandémique ». (98)

Ils écrivent :

« Des changements radicaux d’une telle ampleur sont à venir que certains experts ont évoqué une ère « avant le coronavirus » (BC) et « après le coronavirus » (AC). Nous continuerons d’être surpris par la rapidité et la nature inattendue de ces changements – à mesure qu’ils s’amalgament, ils provoqueront des conséquences de deuxième, troisième, quatrième ordre et plus, des effets en cascade et des résultats imprévus. Ce faisant, ils façonneront une “nouvelle normalité” radicalement différente de celle que nous abandonnerons progressivement. Beaucoup de nos croyances et hypothèses sur ce à quoi le monde pourrait ou devrait ressembler seront brisées au cours du processus ». (99)

En 2016, Schwab envisageait de « nouvelles façons d’utiliser la technologie pour changer les comportements » (100) et prévoyait : « L’échelle de la révolution technologique en cours entraînera des changements économiques, sociaux et culturels d’une telle ampleur phénoménale qu’ils sont presque impossibles à envisager ». (101)

Une manière dont il avait espéré que son programme technocratique serait avancé était, comme nous l’avons noté, par les fausses « solutions » au changement climatique proposées par de faux verts capitalistes.

Sous le titre « réinitialisation de l’environnement », Schwab et Malleret déclarent : « À première vue, la pandémie et l’environnement peuvent sembler n’être que des cousins ​​éloignés ; mais ils sont beaucoup plus proches et entrelacés qu’on ne le pense ». (102)

L’un des liens est que les « crises » climatiques et virales ont été utilisées par le WEF et leurs semblables pour faire avancer leur programme de gouvernance mondiale. Comme l’ont dit Schwab et son co-auteur, « ils sont de nature mondiale et ne peuvent donc être correctement traités que de manière coordonnée au niveau mondial ». (103)

Un autre lien est la façon dont « l’économie post-pandémique » et « l’économie verte » (104) impliquent des profits massifs pour, en grande partie, les mêmes secteurs du big business.

Covid-19 a évidemment été une excellente nouvelle pour les capitalistes qui espéraient tirer profit de la destruction de l’environnement. Schwab et Malleret écrivent : « La conviction que les stratégies ESG [Environmental, Social and Corporate Governance] ont bénéficié de la pandémie et sont les plus susceptibles d’en bénéficier davantage est corroborée par diverses enquêtes et rapports. Les premières données montrent que le secteur de la durabilité a surperformé les fonds conventionnels au cours du premier trimestre de 2020 ». (105)

Les requins capitalistes du soi-disant « secteur de la durabilité » se frottent les mains avec joie à la perspective de tout l’argent qu’ils ont à gagner grâce à la grande réinitialisation fasciste prétextée par Covid, dans laquelle l’État est instrumentalisé pour financer leur rapacité hypocrite.

Remarque Schwab et Malleret : « La clé pour attirer les capitaux privés vers de nouvelles sources de valeur économique positive pour la nature sera de déplacer les principaux leviers politiques et les incitations financières publiques dans le cadre d’une réinitialisation économique plus large ». (106)

« Un document d’orientation préparé par Systemiq en collaboration avec le Forum économique mondial estime que la construction d’une économie favorable à la nature pourrait représenter plus de 10 000 milliards de dollars par an d’ici à 2030… La réinitialisation de l’environnement ne doit pas être considérée comme un coût, mais plutôt comme un investissement qui générera une activité économique et des opportunités d’emploi ». (107)

Compte tenu de l’imbrication des crises climatique et de Covid énoncées par Schwab, nous pourrions supposer que le plan initial était de faire passer la réinitialisation de la nouvelle normalité sur le dos de la crise climatique.

Mais, manifestement, toute cette publicité pour Greta Thunberg et Extinction Rebellion (mouvement soutenu par les grandes entreprises) n’a pas suscité suffisamment de panique publique pour justifier de telles mesures.

Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab, car l’urgence immédiate qu’il présente permet d’accélérer et de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux.

« Cette différence cruciale entre l’horizon temporel respectif d’une pandémie et celui du changement climatique et de la perte de la nature signifie qu’un risque de pandémie nécessite une action immédiate qui sera suivie d’un résultat rapide, tandis que le changement climatique et la perte de la nature nécessitent également une action immédiate, mais le résultat (ou “récompense future”, dans le jargon des économistes) ne suivra qu’avec un certain décalage ». (108)

Pour Schwab et ses amis, Covid-19 est le grand accélérateur de tout ce qu’ils veulent nous imposer depuis des années.

Comme lui et Malleret le disent : « Il est clair que la pandémie approfondit et accélère des tendances géopolitiques qui étaient déjà apparentes avant que la crise n’éclate ». (109)

« La pandémie marquera un tournant, en accélérant cette transition. Il a cristallisé la question et rendu impossible un retour au statu quo d’avant la pandémie ». (110)

Ils peuvent à peine cacher leur joie face à la direction que prend désormais la société :

« La pandémie accélérera encore plus l’innovation : elle catalyse les changements technologiques déjà en cours (comparable à l’effet d’exacerbation qu’elle a eu sur d’autres problèmes mondiaux et nationaux sous-jacents) et elle “suralimente” toute entreprise numérique ou la dimension numérique de toute entreprise ». (111)

« Avec la pandémie, la “transformation numérique” à laquelle tant d’analystes se réfèrent depuis des années, sans savoir exactement ce qu’elle voulait dire, a trouvé son catalyseur. Un effet majeur du confinement sera l’expansion et la progression du monde numérique de manière décisive et souvent permanente. »

« En avril 2020, plusieurs leaders technologiques ont observé à quelle vitesse et de quelle manière radicale les besoins créés par la crise sanitaire avaient précipité l’adoption d’un large éventail de technologies. En l’espace d’un mois à peine, il est apparu que de nombreuses entreprises, en termes d’adoption de la technologie, avaient progressé rapidement de plusieurs années ». (112)

Le destin sourit évidemment à Klaus Schwab, car cette crise de Covid-19 a heureusement réussi à faire avancer à peu près tous les aspects de l’agenda qu’il a promu au fil des décennies.

Ainsi, Malleret et lui rapportent avec satisfaction que « la pandémie accélérera l’adoption de l’automatisation sur le lieu de travail et l’introduction de plus de robots dans nos vies personnelles et professionnelles ». (113)

Les confinements à travers le monde ont, il va sans dire, fourni un grand coup de pouce financier aux entreprises proposant des achats en ligne.

Les auteurs racontent :

« Les consommateurs ont besoin de produits et s’ils ne peuvent pas acheter, ils auront inévitablement recours à les acheter en ligne. Au fur et à mesure que cette habitude s’installe, les personnes qui n’avaient jamais acheté en ligne auparavant seront à l’aise de le faire, tandis que les personnes qui étaient des acheteurs en ligne à temps partiel auparavant en deviendront plus dépendants. Cela a été mis en évidence lors des confinements. Aux États-Unis, Amazon et Walmart ont embauché au total 250 000 travailleurs pour répondre à l’augmentation de la demande et ont construit une infrastructure massive pour les commandes en ligne. Cette croissance accélérée du commerce électronique signifie que les géants du commerce en ligne sortiront probablement de la crise encore plus forts qu’ils ne l’étaient à l’époque pré-pandémique ». (114)

Ils ajoutent :

« Alors que de plus en plus de choses et de services nous sont apportés par nos mobiles et nos ordinateurs, les entreprises dans des secteurs aussi disparates que le commerce électronique, les opérations sans contact, le contenu numérique, les robots et les livraisons par drones (pour n’en citer que quelques-uns) prospéreront… Ce n’est pas par hasard que des entreprises comme Alibaba, Amazon, Netflix ou Zoom sont sorties “gagnants” des confinements ». (115)

En corollaire, on pourrait suggérer que « ce n’est pas par hasard » que les gouvernements qui ont été capturés et contrôlés par les grandes entreprises, grâce à des acteurs comme le WEF, ont imposé une « nouvelle réalité » dans laquelle les grandes entreprises sont les « gagnants »…

La bonne nouvelle inspirée de Covid ne s’arrête jamais pour tous les secteurs d’activité qui devraient bénéficier de la quatrième répression industrielle.

« La pandémie peut s’avérer être une aubaine pour l’éducation en ligne », constatent Schwab et Malleret. « En Asie, le passage à l’éducation en ligne a été particulièrement notable, avec une forte augmentation des inscriptions numériques des étudiants, une valorisation beaucoup plus élevée pour les entreprises d’enseignement en ligne et plus de capital disponible pour les start-ups “ed-tech”… À l’été 2020 , la direction de la tendance semble claire : le monde de l’éducation, comme pour tant d’autres industries, deviendra en partie virtuel ». (116)

Les sports en ligne ont également pris leur envol :

« Pendant un certain temps, la distanciation sociale peut contraindre la pratique de certains sports, ce qui profitera à son tour à l’expansion toujours plus puis puissante des e-sports. La technologie et le numérique ne sont jamais loin! ». (117)

Il y a des nouvelles similaires du secteur bancaire : « Les interactions bancaires en ligne sont passées à 90% pendant la crise, contre 10%, sans baisse de qualité et augmentation de la conformité ». (118)

Le passage à l’activité en ligne inspiré de Covid profite évidemment aux GAFAM, qui font d’énormes profits de la crise, comme les auteurs le disent :

« La valeur marchande combinée des principales entreprises technologiques a battu record après record pendant les confinements, remontant même au-dessus des niveaux avant le début de l’épidémie… il est peu probable que ce phénomène s’atténue de si tôt, bien au contraire ». (119)

Mais c’est aussi une bonne nouvelle pour toutes les entreprises impliquées, qui n’ont plus à payer des êtres humains pour travailler pour elles. L’automatisation consiste, comme toujours, à réduire les coûts et donc à augmenter les profits de l’élite capitaliste.

La culture fasciste de la Nouvelle Normalité offrira également des retombées lucratives à des secteurs d’activité particuliers, tels que l’industrie de l’emballage, expliquent Schwab et Malleret.

« La pandémie renforcera certainement notre attention sur l’hygiène. Une nouvelle obsession de la propreté entraînera notamment la création de nouvelles formes d’emballage. Nous serons encouragés à ne pas toucher aux produits que nous achetons. Les plaisirs simples comme sentir un melon ou presser un fruit seront désapprouvés et peuvent même devenir une chose du passé ». (120)

Les auteurs décrivent également ce qui ressemble beaucoup à un programme technocratique lié au profit derrière la « distanciation sociale » qui a été un élément clé de la « réinitialisation » Covid.

Ils écrivent :

« Sous une forme ou une autre, les mesures de distanciation sociale et physique risquent de persister après la disparition de la pandémie elle-même, justifiant la décision de nombreuses entreprises de différents secteurs d’accélérer l’automatisation. Après un certain temps, les préoccupations persistantes concernant le chômage technologique disparaîtront à mesure que les sociétés souligneront la nécessité de restructurer le lieu de travail de manière à minimiser les contacts humains étroits. En effet, les technologies d’automatisation sont particulièrement bien adaptées à un monde dans lequel les êtres humains ne peuvent pas être trop proches les uns des autres ou sont prêts à réduire leurs interactions. Notre peur persistante et peut-être durable d’être infectée par un virus (COVID-19 ou autre) accélérera ainsi la marche implacable de l’automatisation, en particulier dans les domaines les plus sensibles à l’automatisation ». (121)

Comme mentionné précédemment, Schwab a longtemps été frustré par toutes ces réglementations nuisibles qui empêchent les capitalistes de gagner autant d’argent qu’ils le souhaiteraient, en se concentrant sur des préoccupations économiquement non pertinentes telles que la sécurité et le bien-être des êtres humains.

Mais – hourra! – la crise Covid a fourni l’excuse parfaite pour éliminer de grands pans de ces vieux obstacles à la prospérité et à la croissance.

La santé est un domaine dans lequel les formalités administratives fastidieuses sont abandonnées. Pourquoi un stakeholder sensé imaginerait-il qu’une obligation particulière de soin et de diligence devrait être autorisée à empiéter sur la rentabilité de ce secteur d’activité particulier ?

Schwab et Malleret sont ravis de constater que la télémédecine « bénéficiera considérablement » de l’urgence Covid : « La nécessité de faire face à la pandémie par tous les moyens disponibles (plus, pendant l’épidémie, la nécessité de protéger les agents de santé en leur permettant de travailler à distance) a éliminé certains des obstacles réglementaires et législatifs liés à l’adoption de la télémédecine ». (122)

L’abandon des réglementations est un phénomène général sous le régime mondial de la New Normal, comme le signalent Schwab et Malleret :

« À ce jour, les gouvernements ont souvent ralenti le rythme de l’adoption des nouvelles technologies en réfléchissant longuement à ce à quoi le meilleur cadre réglementaire devrait ressembler, mais, comme le montre maintenant l’exemple de la télémédecine et de la livraison par drone, une accélération spectaculaire forcée par la nécessité est possible. Pendant les confinements, un assouplissement quasi-global des réglementations qui avait auparavant entravé les progrès dans les domaines où la technologie était disponible depuis des années s’est soudainement produit parce qu’il n’y avait pas de choix meilleur ou autre disponible. Ce qui était jusqu’à récemment impensable est soudainement devenu possible… De nouvelles réglementations resteront en place ». (123)

Ils ajoutent :

« L’impératif actuel de propulser, quoi qu’il arrive, “l’économie sans contact” et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifient que l’on est sans tabou ». (124)

« Sans tabou ». Ne vous y trompez pas : c’est le langage adopté par le capitalisme lorsqu’il abandonne sa prétention à la démocratie libérale et passe en mode complètement fasciste.

Il ressort clairement des travaux de Schwab et Malleret qu’une fusion fasciste de l’État et des entreprises, à l’avantage de ces derniers, sous-tend leur grande réinitialisation.

Des sommes d’argent phénoménales ont été transférées des fonds publics vers les poches bombées du 1% depuis le tout début de la crise Covid, comme ils le reconnaissent :

« En avril 2020, alors que la pandémie commençait à engloutir le monde, les gouvernements du globe avaient annoncé des programmes de relance s’élevant à plusieurs billions de dollars, comme si huit ou neuf plans Marshall avaient été mis en place presque simultanément ». (125)

Ils poursuivent : « Le COVID-19 a réécrit de nombreuses règles du jeu entre les secteurs public et privé. […] La plus grande intrusion bienveillante (ou non) des gouvernements dans la vie des entreprises et la conduite de leurs affaires dépendra du pays et de l’industrie, prenant donc de nombreuses formes différentes ». (126)

« Des mesures qui auraient semblé inconcevables avant la pandémie pourraient bien devenir la norme dans le monde entier alors que les gouvernements tentent d’empêcher la récession économique de se transformer en une dépression catastrophique. »

« De plus en plus, des appels seront lancés au gouvernement pour qu’il agisse en tant que “payeur de dernier recours” pour prévenir ou endiguer la vague de licenciements massifs et de destructions d’entreprises déclenchées par la pandémie. Tous ces changements modifient les règles du “jeu” de la politique économique et monétaire. » (127)

Schwab et son collègue se félicitent de la perspective que des pouvoirs étatiques accrus soient utilisés pour soutenir le profit des grandes entreprises.

Ils écrivent :

« L’une des grandes leçons des cinq derniers siècles en Europe et en Amérique est la suivante : les crises aiguës contribuent à renforcer le pouvoir de l’État. Cela a toujours été le cas et il n’y a aucune raison pour que ce soit différent avec la pandémie COVID-19 ». (128)

Et ils ajoutent :

« En regardant vers l’avenir, les gouvernements décideront très probablement, mais avec différents degrés d’intensité, qu’il est dans l’intérêt de la société de réécrire certaines des règles du jeu et d’accroître en permanence leur rôle ». (129)

L’idée de réécrire les règles du jeu rappelle encore une fois le langage fasciste, tout comme l’idée d’augmenter en permanence le rôle de l’État dans l’aide au secteur privé.

En effet, il vaut la peine de comparer la position de Schwab sur cette question avec celle du dictateur fasciste italien Benito Mussolini, qui a répondu à la crise économique en 1931 en lançant un organisme spécial d’urgence, L’Istituto mobiliare italiano, pour aider les entreprises.

Il a déclaré que c’était « un moyen pour conduire énergiquement l’économie italienne vers sa phase corporative, c’est-à-dire un système qui respecte fondamentalement la propriété et l’initiative privée, mais les lie étroitement à l’État, qui seul peut les protéger, les contrôler et les animer ». (130)

Les soupçons sur la nature fasciste de la grande réinitialisation de Schwab sont confirmés, bien sûr, par les mesures policières qui ont été déployées à travers le monde pour assurer le respect des mesures « d’urgence » de Covid.

La pure force brute qui ne se trouve jamais loin sous la surface du système capitaliste devient de plus en plus visible quand il entre dans la phase fasciste et cela est très en évidence dans le livre de Schwab et Malleret.

Le mot « force » est déployé à maintes reprises dans le contexte de Covid-19. Parfois, c’est dans un contexte commercial, comme avec les déclarations selon lesquelles « le COVID-19 a forcé toutes les banques à accélérer une transformation numérique qui est maintenant là pour durer » ou que « la micro-réinitialisation obligera chaque entreprise de chaque secteur à expérimenter de nouvelles manières de faire des affaires, de travailler et de fonctionner ». (131)

Mais parfois elle s’applique directement aux êtres humains, ou aux « consommateurs » comme Schwab et ses semblables préfèrent nous représenter.

« Pendant les confinements, de nombreux consommateurs auparavant réticents à s’appuyer trop lourdement sur les applications et services numériques ont été contraints de changer leurs habitudes presque du jour au lendemain : regarder des films en ligne au lieu d’aller au cinéma, se faire livrer des repas au lieu d’aller au restaurant, parler à des amis à distance au lieu de les rencontrer en chair et en os, parler à des collègues sur un écran au lieu de bavarder à la machine à café, faire de l’exercice en ligne au lieu d’aller au gymnase, etc. »

« Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persistent, l’appui plutôt sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées ». (132)

Dans un système fasciste, les individus ne se voient pas offrir le choix de se conformer ou non à ses demandes, comme Schwab et Malleret le disent clairement à propos de ce que l’on appelle la recherche des contacts :

« Aucune application volontaire de recherche des contacts ne fonctionnera si les gens ne sont pas disposés à fournir leurs propres données personnelles à l’agence gouvernementale qui surveille le système; si un individu refuse de télécharger l’application (et donc de ne pas divulguer des informations sur une éventuelle infection, des mouvements et des contacts), tout le monde sera affecté ». (133)

Ceci, pensent-ils, est un autre grand avantage de la crise Covid par rapport à la crise environnementale qui aurait pu être utilisée pour imposer leur nouvelle norme :

« Alors que pour une pandémie, une majorité de citoyens aura tendance à être d’accord avec la nécessité d’imposer des mesures coercitives, ils résisteront aux politiques contraignantes en cas de risques environnementaux où les preuves peuvent être contestées ». (134)

Ces « mesures coercitives », qu’on nous impose, impliqueront bien entendu des niveaux inimaginables de surveillance fasciste de nos vies, en particulier dans notre rôle d’esclaves salariés.

Schwab et Malleret écrivent :

« Le mouvement de l’entreprise sera vers une plus grande surveillance; pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale ». (135)

Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les vaccins Covid en cours de préparation.

Schwab est profondément connecté à ce monde, allant jusqu’à tutoyer Bill Gates et ayant été décrit par Henry McKinnell, président et PDG de Pfizer Inc, comme « une personne vraiment dévouée à une cause vraiment noble » .

On ne s’étonne donc pas qu’il insiste, avec Malleret, sur le fait qu’ « un retour complet à la “normale” ne peut être envisagé avant qu’un vaccin ne soit disponible ». (136)

Il ajoute :

« Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde (nous sommes collectivement aussi forts que le maillon le plus faible) avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaccins ». (137)

Les « anti-vaccins » rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets Jaunes et de tous ceux qui sont engagés dans des « conflits de classe », « résistance sociale » et « réaction politique ».

La majorité de la population mondiale a déjà été exclue des processus décisionnels par le manque de démocratie que Schwab veut accentuer à travers sa domination corporative actionnaire, sa « gouvernance agile », son management totalitaire de l’existence humaine.

Mais comment envisage-t-il de faire face au « sombre scénario » des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation newnormaliste et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ?

Quel degré de « force » et de « mesures coercitives » serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?

La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né.

La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, mais s’est effondrée 988 ans avant l’objectif.

Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en était ainsi.

Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et Thierry Malleret et leurs amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.

Nous n’avons pas à accepter leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des smartphones ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à marcher, muselés et soumis, directement dans leur enfer transhumaniste.

Nous pouvons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda ! Refuser leur récit ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme !

Klaus Schwab n’est pas un dieu, mais un être humain. Juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, sont peu nombreux. Leurs objectifs ne sont pas les objectifs de la grande majorité de l’humanité. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas le consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.

C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous le forcer sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification « d’urgence », nous n’allions jamais accepter leur plan déformé.

Ils ont peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons. Nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré.

Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons retirer notre liberté des mâchoires mortelles de la machine fasciste !

1. Klaus Schwab with Nicholas Davis, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World (Genève : WEF, 2018), e-book.
2. Klaus Schwab, The Fourth Industrial Revolution (Genève : WEF, 2016), e-book.
3. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
4. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
5. Ibid.
6. Ibid.
7. Ibid.
8. Ibid.
9. Ibid.
10. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
11. Ibid.
12. Ibid.
13. Ibid.
14. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
15. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
16. Ibid.
17. Ibid.
18. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
19. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
20. Ibid.
21. Ibid.
22. Ibid.
23. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
24. Ibid.
25. Ibid.
26. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
27. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
28. Ibid.
29. Ibid.
30. Ibid.
31. Ibid.
32. Ibid.
33. Ibid.
34. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
35. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
36. Ibid.
37. Ibid.
38. Ibid.
39. Ibid.
40. Ibid.
41. Ibid.
42. Ibid.
43. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
44. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
45. Ibid.
46. Ibid.
47. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
48. Ibid.
49. Ibid.
50. Kevin Warwick, I, Cyborg (London : Century, 2002), p. 4. Lire aussi Paul Cudenec, Nature, Essence and Anarchy (Sussex : Winter Oak, 2016).
51. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
52. Ibid.
53. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
54. Ibid.
55. Ibid.
56. Klaus Schwab, Thierry Malleret, Covid-19 : The Great Reset (Genève : WEF, 2020), e-book. Edition 1.0.
57. Ibid.
58. Ibid.
59. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
60. Ibid.
61. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
62. Ibid.
63. Ibid.
64. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
65. Ibid.
66. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
67. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
68. Ibid.
69. Ibid.
70. Ibid.
71. Ibid.
72. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
73. Ibid.
74. Ibid.
75. Ibid.
76. Ibid.
77. Ibid.
78. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
79. Ibid.
80. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
81. Ibid.
82. Ibid.
83. Ibid.
84. Ibid.
85. Ibid.
86. Ibid.
87. Ibid.
88. Ibid.
89. Ibid.
90. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
91. Ibid.
92. Ibid.
93. Ibid.
94. Ibid.
95. Ibid.
96. Ibid.
97. Ibid.
98. Ibid.
99. Ibid.
100. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
101. Ibid.
102. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
103. Ibid.
104. Ibid.
105. Ibid.
108. Ibid.
107. Ibid.
108. Ibid.
109. Ibid.
110. Ibid.
111. Ibid.
112. Ibid.
113. Ibid.
114. Ibid.
115. Ibid.
116. Ibid.
117. Ibid.
118. Ibid.
119. Ibid.
120. Ibid.
121. Ibid.
122. Ibid.
123. Ibid.
124. Ibid.
125. Ibid.
126. Ibid.
127. Ibid.
128. Ibid.
129. Ibid.
130. Benito Mussolini, cit. Pierre Milza and Serge Berstein, Le fascisme italien 1919-1945 (Paris : Editions de Seuil, 1980), p. 246.
131. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
132. Ibid.
133. Ibid.
134. Ibid.
135. Ibid.
136. Ibid.
137. Ibid.


[Voir aussi :

https://twitter.com/robinmonotti/status/1325552744623640576
  • Le cerveau du “Grand Reset” suggère de “scanner les esprits” pour évaluer les risques avant d’autoriser à voyager
  • Tucker Carlson : Les élites insistent sur les confinements du Covid pour inaugurer le “Grand Reset”
  • Le NYTimes déclare que le “Grand Reset” est une “théorie du complot” le même jour où le Forum économique mondial le célèbre
  • John Kerry déclare qu’un “Grand Reset” est nécessaire pour stopper la montée du populisme
  • Donc, c’est quoi le “Grand Reset” ?
  • Great reset : c’est pour bientôt !




Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction

[Source : MetaTV]

par Yacine MetaTV

Armes
électromagnétiques : On va parler aujourd’hui de quelques brevets pour
des armes dites « non létales », destinées à modifier le comportement
humain. Cela fait plus de 50 ans que différentes armées travaillent à
des armes utilisant des ondes magnétiques pour influer sur le
comportement d’une foule, d’une ville, voir d’un État entier.

Les technologies de contrôle des masses et des individus sont déjà au point depuis des dizaines d’années, depuis l’époque de Nicola Tesla, déjà.

Ces armes ont déjà été utilisées à de nombreuses reprises, dans le cadre de guerres ou de conflits internes.

Il faut aussi savoir qu’on a cartographié les réactions du cerveau en
fonction des fréquences des différentes émotions, pensées,
comportements. On sait ainsi quelles ondes il faut envoyer, à quelle
fréquence et quelle amplitude, pour obtenir une réaction précise chez
une personne cible ou chez un groupe d’individus. En 1961, on savait
déjà, par exemple, qu’il était possible de provoquer de la tachycardie
en envoyant des micro ondes à un sujet. Depuis, les armes à énergie
dirigée sont nec plus ultra du contrôle mental.

Voici quelques uns des brevets qui ont été signalés ces dernières années :

  • USP# 5,507,291 :

Brevet d’avril 1996

Procédé et dispositif associées à la détermination à
distance des informations quant à l’état émotionnel de la personne, en
faisant une comparaison des émissions d’ondes électromagnétiques de
cette personne.

Il s’agit de détecter à distance les états émotionnels d’une personne
en détectant les ondes électromagnétiques émises par cette personne. On
peut aussi surveiller la position d’une personne, transmettre des ondes
électromagnétiques (et donc des comportements précis) à cette personne.
On peut aussi agir sur le métabolisme de la cible, ou savoir si la
personne va faire une attaque cardiaque.

On notera que ce système n’est toujours pas utilisé dans nos hôpitaux, mais que les brevets sont bien déclarés.

Ce système permet aussi de tester l’état d’une personne qui entre
dans une certaine zone : par exemple on verra si la personne a des
intentions criminelles (car la plupart du temps, ces personnes ont un
pouls qui bat plus vite, davantage de transpiration et une pression
artérielle plus importante).:

  • USP# 5,552,386 :

Brevet de juin 1996

Procédé et méthode pour déterminer à distance l’état émotionnel d’une personne.

Après avoir déterminé les fréquences des différentes émotions du
sujet, un détecteur capte les changements de fréquence émises par le
sujet et traduit ces informations pour décrire quel est l’état
émotionnel de la personne visée. Ce système peut être très efficace dans
le cadre d’un interrogatoire, d’autant que le système prend aussi en
compte la pulsation du cœur, le débit sanguin, la dimension des
pupilles, la respiration etc.

  • USP# 6,506,148 :
    Brevet de janvier 2003

Manipulation par des champs éléctromagnétiques émis par des moniteurs.

« Des effets physiologiques ont été observés chez un
sujet humain en réponse à la stimulation de la peau avec de faibles
champs électromagnétiques qui sont pulsés à des fréquences proches de
1/2 Hz ou 2,4 Hz, comme pour exciter une résonance sensorielle. De
nombreux moniteurs d’ordinateur et les tubes de télévision, lors de
l’affichage des images pulsées, émettent des champs électromagnétiques
pulsés des amplitudes suffisantes pour provoquer une telle excitation.
Il est donc possible de manipuler le système nerveux d’un sujet en
pulsant images affichées sur un écran d’ordinateur ou à proximité du
téléviseur
 », explique la fiche de ce brevet.

On utilise donc des écrans d’ordinateur ou de TV pour émettre des très basses fréquences électromagnétiques en modifiant l’intensité des images.

« Pour un écran d’ordinateur, les impulsions de l’image
peuvent être produites par un programme informatique adapté. La
fréquence des impulsions peut être commandée par l’entrée de clavier, de
sorte que le sujet peut accorder à une fréquence individuelle de
résonance sensorielle. L’amplitude des impulsions peut aussi être
commandée de cette manière. Un programme écrit en Visual Basic (R) est
particulièrement adapté pour une utilisation sur les ordinateurs équipés
de Windows 95 (R) ou Windows 98 (R). La structure d’un tel programme
est décrit. La production d’impulsions périodiques nécessite une
procédure de synchronisation précise. Une telle procédure est élaborée à
partir de la fonction GetTimeCount disponible dans l’interface de
programmation d’application (API) du système d’exploitation Windows,
avec une procédure d’extrapolation qui améliore la précision de la
synchronisation
 ». Cela peut aussi se faire à distance, bien sûr.

  • USP# 6,488,617 :

Brevet de décembre 2002

Une méthode et un dispositif pour produire l’état désiré sur le cerveau.

Ce système permet d’agir sur le cerveau d’une personne, après avoir
identifié les différents états cérébraux de la cible, en déterminant la
différence entre l’état du cerveau de la personne, et l’état désiré.

On applique un champ magnétique précis au cerveau de la cible, via
des aimants puissants, jusqu’à ce que le cerveau fonctionne comme voulu.

  • USP# 6,091,994 :

Brevet de juillet 2000

Manipulation du système nerveux par pulsations.

On créé un refroidissement pulsatoire subliminal à la cible via des
ondes envoyées à certaines fréquences.  Le cerveau a ainsi l’information
que le corps a refroidi, et passe dans une phase de ralentissement.

À l’heure actuelle , deux grandes résonances sensorielles sont
connues, avec des fréquences proches de 1/2 Hz qui provoque la
relaxation, la somnolence, ou même une excitation sexuelle suivant la
fréquence, et 2,4 Hz qui provoque le ralentissement de l’activité du
cerveau. On peut même endormir quelqu’un à distance.

D’ailleurs, un brevet déposé en janvier1973 (USP # 3,712,292) permet d’endormir quelqu’un en lui projetant des sons.

  • USP# 6,052,336 :

Brevet d’avril 2000

Appareil et méthode de radiodiffusion sonore utilisant des ultrasons comme un transporteur.

On émet des ultrasons avec une amplitude et/ou une fréquence modulée,
on les amplifie et on le diffuse pour atteindre un individu ou un
groupe d’individus dans une zone précise. Les gens entendent ainsi un
son dans leur tête, comme s’il venait d’à côté.

Il est clair que cette invention est destinée à neutraliser une foule
récalcitrante en lui envoyant des sons neutralisant. Une méthode qui
existe depuis la deuxième guerre mondiale au moins.

On sait qu’une foule exposée à des sons agressifs, comme le bruit
d’une craie sur un tableau, ou des cris de bébé, peut avoir des
comportements irrationnels.

On peut aussi, par exemple, imiter des crissement de pneus ou des bruits de freins pour une personne en fuite.

Avec des vibrations de basse fréquence (moins de 20Hz), on produit
des effets sur le corps, comme des nausées et un sentiment général de
malaise. Cela augmenterait aussi la suggestibilité de la foule.

« Les effets sur l’humeur d’une personne semblent être
causés par l’impact de fréquences proches de la fréquence alpha des
ondes cérébrales. Un phénomène appelé «entraînement» se produit lorsque
le cerveau est stimulé à des fréquences proches de 10 Hz. Cela signifie
que la fréquence naturelle du cerveau est amenée au plus près et parfois
égale à la fréquence de stimulation. Un cerveau normal affiche un
premier plan “alpha” (de 8 à 12 Hz) lors d’une vigilance détendue. La
vigilance tendue, telle que celle provoquée par la conduite autoroute,
conduit à un motif «bêta» avec une fréquence de 13 Hz ou plus. Un état
détendu proche du rêve provoque un motif “thêta” de fréquences 4-8 Hz »,
précise la notice de ce brevet.

On peut aussi empêcher une foule d’entendre ce que dit un orateur,
par exemple en diffusant ce qu’il dit par haut parleur avec un léger
décalage.

  • USP# 5,539,705 :

Brevet de juillet 1996.

Traducteur vocal d’ultrasons et système de communication pour la conversion des fréquences radio et des signaux audio vers l’esprit humain.

Ce système n’est pas détectable par des systèmes radio.

Il permet de convertir des signaux audio, y compris la voix humaine,
en signaux électroniques de type ultrasons. Ces ondes pourront passer
par des milieux solides, gazeux ou liquides. Les sous-marins utilisent
ce type de système pour communiquer.

  • USP# 5,017,143 :
    Brevet de mai 1991

Un procédé et un appareil pour produire des
communications subliminales visuelles plus efficaces. Des images
graphiques et / ou texte, présenté de manière subliminale, à des
intervalles rythmiques organisés, destinés à influer sur la réceptivité
de l’utilisateur, l’humeur ou le comportement.

Évidement, ces images ne sont pas perceptibles consciemment. On sait
que ce système peut permettre d’arrêter de fumer, par exemple.

On sait aussi que les « Rythmes visuels, tels que ceux
créés par des lumières stroboscopiques ou le changement rapide de scènes
de films ont une forte influence sur la réceptivité de l’homme,
l’humeur et le comportement 
».

  • USP# 4,877,027 :

Brevet d’octobre 1989

Système auditif à distance.

On induit des sons dans la tête d’une personne en l’irradiant au
niveau de la tête avec des micro ondes d’une gamme de 100MHz à
10.000MHz, modulées d’une manière précise, par rafales modulées. Chaque
salve est constituée de 10 à 20 impulsions uniformément espacées et
groupées étroitement ensemble. La longueur de la salve est comprise
entre 500 nanosecondes et 100 microsecondes.  La cible aura ainsi
l’impression d‘entendre clairement un son.

En 1971 déjà, on a pu implanter des paroles dans la tête de quelqu’un en lui posant des électrodes.

Un signal pulsé à une fréquence d’environ 1.000 MHz créé un son
intelligible dans la tête s’il est dirigé vers la tête de la personne.

  • 3.393.279:

Ce brevet est ancien: 1962.

Il avait pour but d’exciter le système nerveux d’un sujet via
des ondes électromagnétiques. On pouvait même communiquer des paroles à
ce sujet, via des ondes émises à des fréquences non audibles en
direction du système nerveux de la cible.

Les candidats assassins

L’un des buts recherchés par ces programmes de contrôle mental, dont Bluebird dans les années 50,
était de former le soldat parfait : un soldat qu’on peut envoyer chez
l’ennemi pour faire les pires missions, mais qui ne se souviendra de
rien et qui ne dira donc rien à l’ennemi s’il se fait prendre. Ce soldat
pourra assassiner, avoir des relations sexuelles pour recueillir des
informations, transporter des objets ou des dossiers… Sans jamais être
conscient de ce qu’il fait.

Des documents de la CIA datant des années 50 et 60 mentionnent ces programmes, qui ont toujours cours aujourd’hui. On parle de Manchurian Candidate, du nom d’un film de 1959 avec Frank Sinatra.

Dans les années précédant la deuxième guerre, un savant fou, Walter Hess,
était capable, avec des électrodes connectées à l’hypothalamus, de
faire changer de comportement à des chats, qui devenaient soudain très
féroces. Hess a obtenu a obtenu un prix nobel pour sa superbe invention
en 1940. Il a aussi travaillé sur les humains, en leur implantant des
électrodes dans le cerveau.

Dans les années 50, un certain José Delgado a fait la même chose, mais sans les électrodes : via des implants dans le cerveau. Il a ainsi pu stopper un taureau en pleine course,
ou manipuler des chats et des chiens comme des robots télécommandés,
après leur avoir implanté un système dans le cerveau. Après on n’entend
plus parler de cette technologie pendant des années. Comme si un domaine aussi prometteur allait être laissé en friche.

Ainsi, en 1951, on a testé l’hypnose sur deux cobayes âgées de 19 ans, et on a vu qu’on pouvait les endormir par un simple coup de téléphone,
grâce à un signal, un code discret et indétectable. Et que n’importe
qui pouvait émettre ce signal. On a aussi vu qu’on pouvait utiliser ces
cobayes pour transmettre des messages de manière inconsciente. En 1954,
la CIA
est parvenue à faire tirer un cobaye avec une arme à feu, sous hypnose.
On pouvait aussi pousser les gens à se suicider sous hypnose.

A cette époque, la CIA travaille sur le projet Artichoke[1]. Dans un mémo de la CIA daté de janvier 1952, la ligne directrice de ce programme de recherche est donnée : «  Nous
est-il possible de contrôler une personne au point où celle-ci fera ce
que nous lui demandons, même contre sa propre volonté, et y compris
contre les lois fondamentales de la nature, comme celle de
l’auto-préservation ?
 »

the-manchurian-candidate-shaw-and-queen-of-diamonds

D’autres documents montrent que la CIA a aussi utilisé les drogues et les électrochocs pour obtenir les mêmes résultats.

En 1952, un hypnotiseur connu a expliqué qu’il travaillait
pour la CIA deux jours par semaine de manière ultra confidentielle. Il
explique que si un sujet refuse de coopérer pour être hypnotisé, on lui
fait prendre du sodium amytal ou du penthotal[2], des barbituriques.

En 1954, Morris Allen dit qu’il veut créer l’assassin parfait par l’hypnose.
Mais à ce moment, il fallait quelqu’un de très suggestible (une
personne sur cinq) et qui ait une tendance à la dissociation. On a
cherché en Europe
un agent des renseignements qu’il a transformé en gauchiste, membre du
parti communiste. Il était hypnotisé en pensant qu’il s’agissait d’un
traitement médical. Une fois que l’agent a été bien préparé, on l’a fait
travailler comme espion pour la CIA.

En 1954, Allen Dulles, chef de la CIA, confie les recherches sur la
modification du comportement à Sidney Gottlieb et à l’équipe qui
travaillait sur MK Ultra[3]. Gottlieb a mené des recherches sur les effets du LSD, y compris avec des cobayes non volontaires. En 1973, quand le congrès US a cherché à savoir ce que manigançait la CIA, c’est lui qui a détruit la quasi-totalité des fichiers de concernant MK Ultra.

Il était appelé « le sorcier noir » par certaines de ses victimes. On
peut encore ajouter que Gottlieb, mais aussi Richard Helms, alors
patron de la CIA, George White[4] et Morris Allen ont été accusés par une certaine Claudia S. Mullen [5] de l’avoir obligée à des relations sexuelles dès ses 9 ans, dans le cadre de sa programmation comme esclave sexuelle, en 1959 (mais
apparemment, on lui a seulement dit qu’elle était acceptée dans un
programme destiné à stopper le communisme). Mullen était là pour
apprendre « comment plaire sexuellement aux hommes » afin de
les faire parler d’eux. Ensuite, les types visés (politiciens, hauts
fonctionnaires…) étaient filmés dans des chambres d’hôtel à la Nouvelle
Orléans, équipées par la CIA, pendant les actes pédophiles, dans le but
de les faire chanter.

Mullen a aussi expliqué que le Dr Greene, qui programmait les enfants sous contrôle mental, était en réalité le fameux Dr Mengele, celui qui a été exfiltré d’Allemagne via l’Amérique Latine, avant de venir aux États-Unis travailler pour la CIA.

Un certain Alden Sears a repris les recherches sur
l’hypnose sur des sujets non consentants à l’université de Denver, pour
créer cet assassin parfait. Il est aussi parvenu à faire retenir des
textes complexes à ces cobayes, ou à leur faire mémoriser des lieux, des
scènes en détail, et à les retranscrire sous hypnose, tout en oubliant
avoir été programmés.

Gottlieb était l’incarnation du scientifique destructeur. Il a par
exemple contribué à répandre le LSD, découvert par Hoffman en 1953,
parmi les jeunes contestataires. Gottlieb a été le chef de la division
chimie de la CIA à la fin des années 50, et il a lancé pas moins de 149 expériences de contrôle mental, dont au moins 25 impliquaient des sujets non consentants[6] auxquels
on a fait prendre du LSD. La CIA a ainsi développé l’usage de LSD et de
cocaïne, en forçant les prostituées des bordels à en proposer à leurs
« clients », qu’on observait ensuite en plein délire.

Le très décrié Ewen Cameron, dont on a aussi déjà parlé (et qui a été désigné par Claudia Mullen comme le n°1 des
laveurs de cerveau de la CIA), était le président de l’American
Psychiatric Association et de la World Psychiatric Association. Ce qui
ne l’a pas empêché de travailler pour le programme MK Ultra, avec des
fonds de la CIA[7], dans son hôpital canadien. Il va sans dire que les patients, qui ont subi des électrochocs combinés à des privations sensorielles et à des cocktails de drogues, n’étaient pas volontaires. Ses recherches visaient surtout à re modeler l’esprit des sujets.

Mk-Ultra au Canada – Dr Ewen Cameron par JaneBurgermeister

En 1971, un certain Goerge Estabrooks, psychologue et hypnotiseur proche de la CIA et du MI5 depuis les années 20, expliquait avoir « programmé » plusieurs espions US durant la 2e guerre
mondiale. Un capitaine a ainsi été programmé pour qu’il oublie avoir
été hypnotisé, et Estabrooks a permis à un autre militaire d’agir sur le capitaine par hypnose, via la phrase « la lune est claire ».

Dans les années 20, on savait déjà créer des personnalités multiples
par hypnose. Estabrooks a ainsi créé deux personnalités chez un soldat,
l’un des deux étant devenu communiste, et ayant même pris sa carte du
parti. La deuxième personnalité était plus profonde, et savait tout ce
que pensait la première personnalité. Elle était anticommuniste, et
avait pour ordre de ne pas agir durant les phases de conscience. Pour
Estabrooks, « l’hypnose est une arme dangereuse qui rend impératif d’éviter la guerre de demain ».

Depuis, on a eu Sirhan Sirhan, qui passe pour l’assassin de Bob Kennedy, et plein d’autres comme James Holmes, cet étudiant en médecine qui a massacré plusieurs personnes lors de la Première de Batman il y a quelque temps.

De fait, la liste des médecins corrompus qui ont travaillé à détruire l’homme plutôt qu’à le guérir est extrêmement longue, rien que pour les États-Unis. 

Les armes électromagnétiques

Ça, c’était un peu la préhistoire du contrôle mental.

Aujourd’hui, on est passé aux armes électromagnétiques, qui
permettent d’obtenir les mêmes résultats, et même mieux, puisqu’elles
peuvent être dirigées contre des populations entières.

On les appelle des « armes non l’étales » car elles sont censées ne
pas tuer les cibles. Mais, il y a toujours des « dommages collatéraux ».

Dans les années 50 déjà, les russes ont utilisé ces armes contre
l’ambassade US à Moscou, et beaucoup d’employés ont déclaré des cancers
dans les années suivantes. Cela a servi de prétexte aux USA pour
développer ces armes. Alors qu’en réalité, ils y travaillaient déjà
depuis le début du siècle.

Dès 1952, le programme MK Naomi est lancé, afin de développer des substances mortelles. Par exemple, des aérosols toxiques ont été testés dans des grandes villles américaines dans le cadre de ce programme. L’année suivante, MK ULTRA était sur les rails.

En mars 1976, la CIA a publié un document sur les effets biologiques
des armes électromagnétiques. Évidemment, il ne s’agit en l’occurrence
que des expériences menées par l’URSS[8]. On nous y explique, par exemple :

  1.     Que « des sons et probablement même des mots qui semblent
    provenir de l’intérieur du crâne peuvent être induits par la modulation
    d’un signal à une intensité de pouvoir de moyenne basse
     ».
  2.      Qu’on est parvenu à tuer des animaux par attaque cardiaque ou
    une rupture d’anévrisme en utilisant des micro ondes de basse intensité.
  3.      A cette époque, on classifiait les effets de ces armes à micro
    ondes en deux catégories : effets thermiques et non thermiques.
  4.       Les effets sur des « systèmes biologiques » on a noté qu’ils variaient suivant la modulation de ces ondes.
  5.    On a noté des effets sur le sang au bout de quelques jours
    d’irradiation : variations biochimiques, modification de la coagulation,
    altération du système de formation du sang. L’exposition à long terme à
    de Ultra Hautes Fréquences (UHF) modifie la composition du sang et des
    muscles en réduisant la présence de fer. Chez des poulets, on a observé
    l’augmentation des protéines et d’autres éléments, avec une baisse du
    taux de plasma et d’albumine. Il y a aussi des changements de la
    structure nucléaire du système lymphatique. Et plein d’autres choses
    inquiétantes. Chez l’homme, on peut augmenter la coagulation du sang
    avec ces micro ondes, si bien qu’on peut aussi créer un AVC ou une
    attaque.
  6.    Il y a aussi (chez l’homme) des changements du système cardio
    vasculaire, dus notamment à des changements du système nerveux
    central. Problèmes coronariens, hypertension, perturbation des lipides
    dans le métabolisme…
  7.     Modification au niveau des cellules et problèmes pour les  structures de synthétisation des protéines.
  8.     Suite aux modifications du système nerveux central, les sujets
    ont constaté : des maux de tête, de la fatigue, des désordres au niveau
    des menstruations, de l’agitation, de la tension, des insomnies, des
    manques d’attention, de la dépression, de l’irritabilité.
  9.    Il y a aussi des dommages neurologiques: “l’exposition de
    lapins à de bas niveau de radiations par micro ondes a résulté en une
    altération de l’activité électrique du cerveau”
    . Suivant
    l’exposition du lapin, les altérations physiques du cerveau seront plus
    ou moins importantes, jusque dans les cellules.
  10.    Altération du système digestif.
  11.    Altération du système visuel.
  12.    Problèmes de reproduction : baisse de la fonction reproductive
    des ovaires, baisse de 20% de la fertilité des femelles, augmentation
    des bébés morts nés, poids plus faible.
  13.    Effets sur les gènes également dès la deuxième génération.
  14.    Modification des flux sanguins.
  15.    Interactions avec le système immunitaire

 L’armée US mène toujours des programmes de recherche sur les “armes à énergie dirigée“, avec des tests, des “entraînements” et tout le reste.

Applications

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Les
armes à micro ondes sont utilisées contre les populations depuis des
dizaines d’années. En Angleterre, il se dit que dans les années 80, lors
des grèves de mineurs, Thatcher avait installé des émetteurs dans les
quartiers populaires où ils vivaient, afin de les rendre apathiques. Il
se dit aussi que ce système a tellement bien fonctionné que Thatcher en a
ensuite équipé toutes les grandes villes.

Il s’agit en l’occurrence d’armes qui émettent des extrêmement basses
fréquences (ELF pour « extremely low frequency ») ou à l’inverse des
ultra hautes fréquences (UHF), dont le but est d’interférer sur le
cerveau pour transformer les gens en zombies. D’après certains, on peut
utiliser des téléphones portables pour relayer ces ondes, car ils ont
été conçus dans ce but également.

C’est l’Institut Tavistock[9], spécialisé dans la modification du comportement humain,
qui aurait développé ce système à partir des années 50. Dans les années
60, le Dr Ross Adey a travaillé sur le Pandora Project pour la CIA et
le MI5, dans le domaine du contrôle mental à distance (RMCT, « remote
mind control technology »). Il a exploité les ondes ELF (1 à 20 Hz) qui
avaient des effets psychologiques et biologiques sur l’homme. Ils ont
trouvé que les fréquences de 6 à 16Hz avaient des effets importants sur
le cerveau et les systèmes nerveux et endocrinien. Plus tard, il s’est
avéré que ces ondes peuvent aussi endommager l’ADN. Il a combiné des
ondes ELF avec des ondes UHF notamment, pour en amplifier les effets.

On a aussi utilisé ces armes, par exemple, à la base US de Greenham
Common en Angleterre, autour de laquelle des pacifistes (dont une grande
majorité de femmes) manifestaient depuis des mois[10].
Fin 1984, ces femmes ont été visées par de hauts niveaux de radiations
par micro ondes, et un certain nombre d’entre elles sont mortes du cancer. Apparemment, on peut coller un cancer à quelqu’un à distance en modifiant l’ADN via les ELF.

Au
même moment, une quarantaine de femmes qui se trouvaient à des endroits
différents autour de la base ont ressenti exactement les mêmes
symptômes. Ou elles remarquaient qu’elles étaient soudain extrêmement
fatiguées juste avant des événements importants, comme le départ d’un
missile de croisière ou quand une grosse manifestation
était prévue. Quand ces armes ont commencé à être utilisées suite à
l’installation d’une nouvelle antenne dans la base, la présence
policière s’est fortement réduite.

Très vite, certaines de ces femmes ont compris qu’elles
ne pouvaient pas rester près de la base plus que quelques heures.
D’après elles, on a utilisé différentes fréquences contre elles, afin
d’obtenir un cocktail d’effets indésirables, à la fois physiques et
psychologiques, allant de paralysies temporaires à de la désorientation,
en passant par des brûlures, des vertiges, des pertes de mémoire.
Apparemment, des scientifiques ont constaté de hauts niveaux de
radiations électromagnétiques autour de Greenham Common, et surtout dans
les endroits où les victimes ont noté des effets indésirables. On sait
également que les flics et militaires chargés de surveiller la base ne
travaillaient que par tranches de deux heures, et seulement pendant 2
semaines.

On aurait aussi testé ce système à Brighton pour faire partir les vagabonds du centre ville.

Suivant la fréquence utilisée, les effets sont différents, allant de la dépression (6,66Hz) au cancer, en passant par de la schizophrénie, de la paranoïa (4,5Hz) des attaques cardiaques etc.

Les anglais les utiliseraient aussi à Chypre,
afin d’exciter la population des Chypriotes grecs pour qu’ils virent
les turcs et laissent les anglo US faire ce qu’ils veulent à Chypre[11].
Les catholiques d’Irlande du Nord ont aussi subi des cancers mortels en
masse dans les années 80, selon le Dr Damien Burn et la militante Mary
Allen. Des cancers qui n’existaient quasiment pas sont soudain apparus
très fréquemment, dans des rues entières.

Une
fois qu’on a fait la liste de tous les états du cerveau possibles, avec
les fréquences émises par le cerveau pour chacun d’entre eux, il est
très simple de manipuler quelqu’un à distance. On peut ainsi viser une
personne précise dans une maison de plusieurs personnes, sans que les
autres ne sentent rien.

On peut aussi créer une paralysie à un sujet, toujours en émettant
des ondes qui entraînent une réaction physique de la personne. On peut
effacer la mémoire récente de la même manière.

Avec un système spécial qui envoie des micro ondes, appelé MASER, on
peut même faire de la “télépathie synthétique”. D’ailleurs, récemment
des expériences ont montré qu’un ordinateur pouvait déchiffrer des
pensées humaines. On peut aussi lire les pensées de quelqu’un à distance
après avoir scanner les ondes électromagnétiques  émises par le sujet
dans différentes situations[12].

On sait aussi, semble-t-il, manipuler le système nerveux d’une cible en diffusant des images pulsées

D’après Tim Rifat, l’Angleterre utiliserait ce système contre des citoyens récalcitrants au moins depuis la fin des années 80.

Aux États-Unis, un certain nombre de gens se disent victimes de harcèlement électromagnétique et
désignent souvent le gouvernement comme responsable. Mais, d’autres
expliquent par exemple qu’ils ont commencé à avoir des problèmes après
avoir porté plainte, par exemple contre un cabinet d’avocats ou un
politique. En fait, on peut fabriquer soi-même de quoi harceler son
voisin avec des ondes électromagnétiques dirigées. Plusieurs procès ont
déjà eu lieu à ce sujet.

L’une d’elles, Vicki Casagrande, une ingénieure, a expliqué devant une commission sur les victimes d’harcèlement électro magnétique que les victimes pouvaient être totalement contrôlées à distance : « les
muscles peuvent être relâchés ou contractés, que ce soit légèrement ou
violemment. Mais, ces effets peuvent aussi être placés dans le cerveau
juste comme une sensation
 (…) Les victimes peuvent avoir froid par 40°C dehors, et on a déjà eu très chaud en étant en short dans la neige ».

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Casagrande
explique que certaines personnes auraient des implants dans le cerveau,
afin de capter et d’émettre les ondes du cerveau, depuis les années 60
et 70.

Plus récemment, un assistant professeur à l’université des sciences et de technologie
de Hong Kong a réclamé 100 millions de dollars au gouvernement US,
qu’il accusait de lui avoir implanté des puces dans les dents en 1991,
quand il étudiait à l’université de l’Iowa. Suite à cela, il a dit
souffrir de problèmes de mémoire proches d’Alzheimer. Il disait aussi
que ces puces étaient capables de lire dans ses pensées,  de lui parler
quand il dormait et de modifier son comportement.

L’affaire James Walbert, jugée en 2008, a vu la reconnaissance par le tribunal d’un “harcèlement électronique” sur la victime, à qui une puce RFID avait été implantée (ainsi,
la cible reçoit encore mieux toutes les ondes qu’on lui envoie). Cet
ingénieur dénonçait son associé comme étant le responsable des attaques.

A cette époque, dans le Missouri, un élu avait recensé 300 plaintes
concernant du harcèlement électromagnétique. Certaines des victimes sont
simplement harcelées dans le cadre d’expérimentations. Du coup, un certain nombre d’associations (comme l’International Committee on Offensive Microwave Weapons) se sont montées pour aider les victimes, ou pour tenter d’alerter l’opion et les décideurs politiques. En Angleterre également, quelques victimes se sont regroupées et militent contre l’utilisation des armes à énergie dirigée


[1] Artichoke a duré de 1951 à 1963. Il a succédé au programme Bluebird (1951-1953)
où on testait déjà le LSD dans le but de faire parler les témoins. Dans
Artichoke, les anglais et les canadiens étaient partie prenante au
projet. Sous Artichoke, on a travaillé sur l’hypnose, les drogues, les personnalités multiples.

[2] Le Penthotal, qui fait partie des « sérums de vérité » a servi aussi pour les interrogatoires pendant la guerre d’Algérie, ou en Argentine contre les opposants à Pinochet.

[3] MK
Ultra, qui a regroupé près de 150 projets différents, n’a démarré
officiellement qu’en 1953 et aurait cessé en 1963, mais c’est faux même
si le programme a changé de nom pour MKSEARCH. MK ULTRA se penchait
aussi sur l’utilisation d‘armes chimiques et biologiques et
électromagnétiques afin de contrôler le comportement humain. MK ULTRA visait à manipuler le comportement humain via des armes chimiques, biologiques et électromagnétiques.

[4] Un agent du bureau des narcotiques à qui Gottlieb avait demandé de travailler sur les possibilités du LSD sur des personnes non consentantes.

[5] Mullen
a témoigné en mars 1995 devant la commission sur les expériences de
radiations sur l’homme (President’s Advisory Commission on Human
Radiation Experiments). Elle a estimé (malgré de troubles de la mémoire)
avoir été victime de programmation entre 1959 et 1984, dans le cadre
des recherches pour trouver l’espion parfait. Son but à elle était de
coincer des personnalités politiques, militaires ou du renseignement
afin de les faire chanter ensuite. « Le pire est que je sais très
bien que je n’étais pas seule. Il y avait énormément d’autres enfants
dans la même situation que moi
 », a-t-elle expliqué. Elle avait été
adoptée à l’âge de deux ans par une femme qui abusait d’elle et était
amie avec le président de l’Université de Tulane qui lui a conseillé un
psy, un certain Heath, qui l’a envoyée dans ce programme.

[6] L’affaire
Frank Olson, un agent de la CIA à qui on a fait prendre du LSD et qui
s’est défenestré en 1953, est symptomatique. Pendant des dizaines
d’années la CIA a nié toute implication dans ce décès. D’après la famille d’Olson, il a été assassiné par
la CIA après avoir découvert que ses recherches à Fort Detrick
servaient à torturer et tuer des gens. Il travaillait sur les armes
biologiques qu’on pouvait diffuser par l’air. On notera que pour ses
« recherches », Olson venait jusqu’en France, en Angleterre, en Norvège
et en Allemagne de l’Ouest. Durant ses voyages en Europe,
il a assisté à des interrogatoires dans lesquels la CIA commettait des
meurtres en utilisant les agents biologiques trouvés par Olson. En
rentrant il a voulu démissionner. C’est là qu’on l’a invité à une
réunion où on lui a fait prendre du LSD. Les jours suivants il a été
admis pour un traitement psychiatrique, et c’est là qu’il aurait sauté
par la fenêtre de son hôtel. La justice a refusé toute poursuite contre la CIA par la famille Olson.

[7] Évidemment, l’argent transitait par une officine de la CIA qui distribuait de l’argent à des travaux intéressant ladite CIA, en l’occurrence, la « Society for the Investigation of Human Ecology », à la Cornell University de Montreal.

[8] Car bien sûr, les premiers articles US qui parlaient de contrôle mental
désignaient les chinois ou les russes comme les utilisateurs de cet
affreux système. Et cela, dès les années 50 semble-t-il. Évidemment,
après une telle campagne de propagande, il a été facile de justifier les
recherches de l’armée dans ce domaine.

[9] Créé en 1946 sous le nom de Tavistock Institute of Human Relations, avec de l’argent de la fondation Rockefeller et de la famille royale anglaise, puis également des Rothschild.
Il est basé à Londres mais collabore avec de nombreuses fondations US,
pour un budget de 6 milliards de dollars par an. A l’origine, le but
était de contrôler l’opinion publique. En réalité, l’Institut aurait
commencé à fonctionner juste avant la première guerre.

[10] En
réalité, les manifestations ont commencé en 1981 pour se terminer
seulement 10 ans plus tard, quand les missiles nucléaires américains ont
été enlevés de la base. Fin 1984, 70.000 personnes étaient présentes
autour de la base. En 1982, il a été décidé que seules des femmes iraient manifester.
Elles ont formé là-bas une véritable société alternative. On comprend
donc que l’enjeu était important pour Thatcher et qu’il fallait
absolument les neutraliser.

[11] C’est-à-dire
avoir un accès facilité à Israël, mais aussi protéger leur invention
géniale : un système HAARP ultra sophistiqué destiné à contrôler le
temps, mais aussi les individus.

[12] Apparemment,
un certain major général Schaknow a évoqué ce système à Fort Bragg en
Caroline du Nord en 1992. Chaque signal électromagnétique du cerveau
associé à des pensées sous vocalisées est connecté à un ordinateur via
des électrodes ou une puce. Des ordinateurs permettent de lire les
pensées sous vocalisées en donnant un mot à chaque type d’émission. Car,
il y a une fréquence spécifique pour chaque mot dans une langue. Mais,
si le sujet s’amuse à penser dans une langue différente de la sienne,
l’ordinateur ne peut plus rien déchiffrer.

__________________________________________________________

Source(s) : Donde Vamos




Ce que nous prépare la science: resterons-nous encore des humains?

[Source : Oumma]

par Chems Eddine Chitour

« La Science a fait de nous des dieux avant même que nous méritions d’être des hommes»

Jean Rostand (biologiste)

Il est d’usage de dire et d’écrire que la science à terme, a vocation à tout expliquer et que rien n’arrête le progrès catalysé, justement, par une science conquérante dont on affirme qu’elle s’oppose à la religion en ce sens que les miracles sortent de plus en plus des laboratoires poussant ainsi les religions dans leurs derniers retranchements surtout quand elles font preuve de concordisme qui est la grande erreur à ne pas faire.

La science est par essence dynamique et donc sujette à  un éternel réajustement, ce qui ne devrait pas être le cas des religions par postulat d’essence divine valables en tout temps et en tout lieu. Souvenons de Galilée – convoqué par l’Eglise, pour avoir affirmé simplement que la terre était ronde et tournait autour du soleil –. Son avocat dans sa plaidoirie eut cette phrase lumineuse : « Galilée ne vous dit comment aller au ciel, mais comment est le ciel ».

S’il est vrai par exemple que la science nous a délivré des superstitions, qu’elle a permis à l’homme des loisirs du fait de la mécanisation du monde grâce aux inventions scientifiques et à la mécanisation du monde, il n’en demeure pas moins, que la science, d’une façon inexorable, s’attaque d’une façon frontale à l’homme ou plutôt à ses certitude fruit d’un héritage bimillénaire mais de moins en moins sûres.

La science fait prendre conscience à l’homme de son insignifiance dans l’univers, et dans le même temps elle l’aide à vaincre la douleur, la maladie, lui permettant à terme l’immortalité. Que devient alors le paradis ou l’enfer. «Si Dieu n’existe pas disait Dostoïevski, alors tout est permis.» Nous allons dans cette petite réflexion apporter quelques prévisions à court terme de la science pour les prochaines années en rendant d’abord hommage à un pionnier de la science-fiction qui, il y a cinquante ans avait prévu des bonds pour la science qui nous paraissent de nos jours tout à fait banals, alors qu’à l’époque c’était le rêve.

Voitures autonomes, ordinateurs… ce qu’Asimov avait prédit pour 2014

De tous temps,  les hommes ont tenté par l’imagination de sortir du présent et de s’évader dans le monde du futur.  Il en fut ainsi d’ Aldous Huxley avec « Le meilleur des Mondes » et de tant d’autres comme Georges Orwell. Souvenons dans les années 70,  on parlait de l’an 2000 comme un horizon indépassable. Le film « Odyssée de l’Espace » inspiré du roman de   Arthur Clarke en a rendu compte dans un film culte.

S’agissant de futurologie dans le domaine de la technologie, il est impossible d’évoquer  l gourou de cette discipline. En l’occurrence Isaac Asimov. En 1964,  ce  grand auteur de science-fiction  publie dans la foulée un essai dans les colonnes du New York Times en essayant de s’imaginer à quoi pourrait ressembler, un demi-siècle plus tard, l’Exposition universelle de 2014.  Asimov entrevoit l’ère des objets robotiques et connectés en évoquant des cuisines conçues pour «préparer des auto-repas, chauffant l’eau et la transformant en café; grillant le pain et le bacon; cuisant, pochant ou brouillant des oeufs, etc.» Les robots «ne seront ni courants ni très élaborés mais ils existeront».

En revanche, les machines et ordinateurs règneront en maîtres, «beaucoup plus miniaturisés»  s’apparentant à des «cerveaux» intelligents. Asimov prévoit également l’avènement des voitures autonomes (les fameuses Google Cars?), la fabrication d’organes artificiels, l’augmentation de l’espérance de vie et de la population mondiale (avec les problèmes qui l’accompagnent)… Une de ses prédictions sonne comme une esquisse de l’Internet: «Les communications se feront par visioconférence et vous pourrez à la fois voir et entendre votre interlocuteur. L’écran, en plus de vous permettre de voir les gens que vous appelez, vous permettra également d’accéder à des documents, de voir des photographies ou de lire des passages de livres.» (1)

Les inventions actuelles: rien n’arrête l’imagination 

Asimov a fait des émules et les projets ne mettent pas longtemps à devenir des réalités. Ainsi, on veut combattre le changement climatique. Envoyer du soufre dans la stratosphère ou fertiliser les océans avec du fer: des scientifiques tentent de refroidir la planète par tous les moyens. Devant l’incapacité des nations à oeuvrer ensemble dans la lutte contre le réchauffement climatique, des scientifiques ont commencé à explorer une alternative audacieuse: refroidir la planète. Substitutif ou palliatif, la géo-ingénierie regroupe les techniques qui permettraient, non pas de réduire nos émissions, mais de freiner, voire inverser le dérèglement climatique.» (2).

Une autre initiative menée au large du Canada a en revanche bel et bien abouti. Le Guardian révélait en octobre dernier [2013 ndR] qu’une société américaine avait déversé 100 tonnes de sulfate de fer dans l’océan Pacifique, menant ainsi la plus grande expérience – et la plus controversée – jamais enregistrée en la matière. L’objectif: fertiliser l’océan, ou plutôt stimuler le plancton grâce aux particules de fer, avec la promesse (outre de capturer du carbone absorbé par le plancton) de ramener les saumons dans cette zone géographique. Un succès apparemment, mais dont les conséquences environnementales sont encore douteuses.» (2)

Les robots de Google: pour le meilleur ou pour le pire

Google a confirmé vendredi 13 décembre 2013 avoir racheté – pour un montant inconnu – l’entreprise américaine de robotique Boston Dynamics. Travaillant main dans la main avec le Pentagone et la Defense Advanced Research Projects Agency (Darpa), la société est célèbre pour ses créatures mécaniques à l’agilité et à la rapidité inégalées. Un marché qui pourrait générer plus de 4 000 milliards de dollars par an à l’horizon 2025. Sept boîtes de robotique acquises en six mois, Boston Dynamics va rejoindre les sept autres entreprises de robotique achetées par Google, un réseau bâti en à peine six mois par le géant du Net. Séparée du fameux Google X Lab où voient le jour la plupart des inventions futuristes de la firme, la division robotique est pilotée par Andy Rubin, g&eacu
te;niteur d’Android. (…) Tandis qu’Amazon teste ses drones, Google s’immisce également dans les services de livraison sans cacher sa volonté d’automatiser le processus. Des colis livrés par des robots frappant à votre porte après être descendu d’une Google.» (3)

«Mais où va Google? s’interroge Philippe Vion-Dury, A quoi pensent ses fondateurs Sergey Brin et Larry Page? (…) Et Google pense grand, vraiment grand. Il suffit de regarder la liste des acquisitions réalisées par la firme depuis sa création. Avant 2013, tous les rachats étaient destinés à développer et optimiser des services directement liés à Internet, que ce soit dans le domaine de la photo, de traitement des données, mesures d’audience, logiciels cartographiques, publicité, blogging… (…) En 2013, les entreprises avalées par le glouton de Mountain View traitent de domaines aussi variés que les réseaux neuronaux, la compréhension du langage naturel, les énergies renouvelables, les «smartwatches», la reconnaissance de mouvement ou, bien sûr, la robotique. (…)»(3)

Pour Google «la vie privée, une anomalie» Une confirmation du Big Brother

Georges Orwell dans son ouvrage : « 1984 », décrivait le concept de Big Brother, depuis passé dans le langage courant de la critique des techniques modernes de surveillance. L’adjectif « orwellien » est également fréquemment utilisé en référence à l’univers totalitaire imaginé par l’écrivain anglais. Que devient la vie privée, voire le libre-arbitre, dans ce meilleur des mondes promis par Google?

«La vie privée, une anomalie.» «On doit cette phrase écrit Philippe Vion-Dury à Vint Cerf qui n’est autre que le «chef évangéliste de l’Internet» de Google. Cet homme, considéré comme l’un des pères fondateurs d’Internet, avance que vivre sans aucune intimité n’a non seulement rien de neuf, mais rien de bien inquiétant. «Il sera de plus en plus difficile pour nous de garantir la vie privée.» Cette déclaration peut nous choquer, nous faire peur. Elle est cohérente avec le discours du patron de Google, Eric Schmidt, président du conseil d’administration et ancien P-DG de la firme au célèbre slogan «Don’t be evil»(ne soit pas maléfique).»(4)

«Pas question poursuit Phlippe Vion-Dury d’éthique ici, juste de fiabilité technique «Il y a beaucoup, beaucoup de choses que Google pourrait faire, mais choisit de ne pas faire… «Les gens veulent que Google leur dise quelle est la prochaine action qu’ils devraient faire.» Si vous avez raté un épisode, le grand projet de Google tient en un mot: «Personnalisation». Le but ultime de la firme est de créer pour chaque individu un Internet à sa taille, conçu pour lui et par lui (à son insu), afin que finalement, Google lui soit totalement indispensable. (…) Google est moral «Si vous faites quelque chose que vous souhaitez que personne ne sache, peut-être devriez vous commencer par ne pas le faire.» (…) La philosophie Google est assez simple: au même titre que nous nous baladons dans le monde réel munis de papiers d’identité, notre vie numérique doit porter une empreinte qui permette de nous identifier.» (4)

L’avenir selon Google: si vous n’êtes pas connecté, vous êtes suspect! 

La prophétie d’Orwell est plus que jamais à l’œuvre. Big Brother veille sur vous. D’abord à notre insu et depuis Google.  Il nous est fait injonction de nous « déclarer » L’ambition finale: écrire l’avenir. C’était le thème central de l’ouvrage signé par Eric Schmidt, ancien P-DG de Google, intitulé «A nous d’écrire l’avenir» (éd; Denoel, novembre 2013). On trouve dans le premier chapitre des ébauches de technologies futuristes à foison, allant d’algorithmes contrôlant à peu près tout à des implants externes pour ne rien oublier, en passant par des caissons holographiques pour se téléporter virtuellement dans un autre lieu. La mort elle-même n’est finalement qu’un problème à résoudre, un «miracle à l’envers» selon Ray Kurzweil, gourou du transhumanisme et chef de l’ingénierie chez Google. (4)

Pierre Haski abonde dans le même sens en analysant l’ouvrage cité plus haut en expliquant qu’on peut être suspect rien qu’en refusant : deux pontes de Google promettent une apocalypse dont seuls les géants de la technologie pourront nous sauver: «Les deux auteurs annoncent la fin de la vie privée et de l’anonymat à l’ère numérique, avec l’apparition de «la première génération d’êtres humains à avoir un dossier indélébile».(…) Pire, le refus de se plier à cette ère du tout-connecté sera suspect aux yeux des autorités, tous régimes confondus: «Un gouvernement pourra suspecter que les personnes qui choisiront de rester totalement à l’extérieur ont quelque chose à cacher et sont donc plus susceptibles de violer la loi. Les gouvernements, par précaution antiterroriste, pourront faire un fichier des ´´gens cachés´´. (…) Dans leur conclusion, les auteurs nous expliquent qu’en fait, les sociétés de technologie sont les mieux placées pour sauver le monde. (…) Le monde vu par Google est donc relativement simple: la technologie va nous faire entrer dans une époque pleine de menaces pour l’individu, pour les sociétés, pour les Etats. Et seul le savoir-faire de ceux qui maîtrisent la technologie peut nous permettre d’éviter les catastrophes. CQFD.» (5)

Nanotechnologie: les incroyables applications 

Nano-aliments dont le goût change à volonté, matériaux de construction qui s’auto-réparent, objets qui se constituent à partir de l’air ambiant, microprocesseurs à l’échelle d’un millième de millimètre, membres du corps qui repoussent… La nanotechnologie ne se contente pas de créer à partir de l’atome, elle nous fait miroiter des applications à faire pâlir la science-fiction.

La nanotechnologie a généré 147 milliards de dollars sur l’année 2008. Les prévisions sur le milieu de la décennie tablent sur 3000 milliards de dollars. Le premier secteur appelé à connaître une révolution en profondeur est celui des aliments. (…) Autre application qui défie l’imagination: la médecine «régénérative». Le professeur Alan Russel de l’Université de Pittsburgh travaille sur la régénération de membres du corps avec le soutien des militaires. «Si un triton peut le faire, pourquoi pas nous?» explique Russell! (…) Les chercheurs évoquent la possibilité de créer des muscles artificiels avec une force 50 fois plus importante que celle d’un muscle humain.

Parmi les autres inventions fulgurantes celle de l’Internet que l’on porte sur soi. Il s’agit d’une montre connectée et «intelligente» qui devrait permettre à son propriétaire de vérifier ses appels, ses courriels ou ses SMS en regardant simplement son poignet, grâce à un lien permanent avec son smartphone. Certains analystes prédisent comme étant la prochaine révolution: celle des «wearable technologies», «les technologies qu’on porte sur soi». Des lunettes connectées se commandent à la voix et sont capables d’enregistrer des vidéos ou même de diffuser des informations directement dans notre champ de vision. En juin, un chirurgien espagnol a pratiqué une opération avec ses Google Glass sur le nez, celle-ci a été diffusée en direct sur le Web, ce qui a permis à des médecins situés à Stanford, de superviser les gestes de leur confrère. Ceux-ci voyaient tout ce que le praticien avait sous les yeux!» (6)

Le transhumanisme et l’immortalité 

La proximité des dirigeants de Google avec les gourous du transhumanisme peut laisser penser qu’ils envisagent peut-être de réaliser les rêves d’Isaac Asimov. Peter Diamandis expose l’une de ses thèses maîtresses, à savoir que les technologies de l’information sont en train de révolutionner les solutions aux problèmes de l’humanité.

« Diamandis, Kurzweil et Itzkov pensent que d’ici 2045, les progrès exponentiels de la technologie des ordinateurs et des robots vont révolutionner l’histoire humaine via la création d’ordinateurs intelligents et conscients, surpassant de très loin le cerveau d’Homo sapiens. Ils repousseraient les limites biologiques et cognitives de l’Homme, mais ils permettraient aussi aux individus de devenir immortels en téléchargeant leur conscience dans une enveloppe robotique humanoïde débarrassée des faiblesses humaines. De la conscience artificielle: cela pourrait bien nécessiter des ordinateurs quantiques et justement, Google a fait grand bruit il y a quelque temps en achetant un calculateur quantique à la société D-Wave. Le transhumanisme et l’idée du téléchargement de la conscience sont dans l’air du temps. (…) Google veut-il s’afficher comme un acteur majeur des idées des transhumanistes, qui, pour mémoire, se proposent d’utiliser la technologie et la science pour résoudre tous les problèmes de l’humanité, comme le vieillissement et la mort? On peut se poser la question, d’autant que le 18 septembre 2013, Google a annoncé le lancement de Calico une entreprise s’attaquant au défi «de l’âge et des maladies associées». Le Time n’a d’ailleurs pas hésité à cette occasion à titrer: Google peut-il résoudre le problème de la mort?»(7)

En 40 ans, nul doute que les progrès auront fait un bond gigantesque pour améliorer notre vie ou notre environnement. De la fusion nucléaire aux nano aliments en passant par la médecine réparatrice qui nous promet à terme, l’immortalité, les nouveaux matériaux et toutes les innovations sont autant de chantiers qui voient les applications envahir notre quotidien qui sera, cependant de plus en plus surveillé.  Nous allons vers l’homme réparé et l’inquiétude sur le siège de l’âme est d’actualité. Un chirurgien italien nous promet d’ailleurs, la greffe d’une tête pour 2020!!!

IBM aussi comme Google, envisage la création d’un ange gardien numérique capable de veiller sur une personne. Nous rejoignons de ce fait le Big Brother prévu par Orwell et mis ne œuvre par Google. On «s’occupera» de vous pour peu que vous mettiez le pied à l’étrier de la Toile… Vous êtes alors «fichés» voire fichus, car tout ce que vous faites est vu et su au grand jour.

Nous sommes dans le monde d’Orwell, voire dans Le meilleur des mondes dont parlait un autre géant de la littérature fiction en l’occurrence Aldous Huxley. Google à force de nous conditionner arrivera dans les faits à confirmer ces prophéties auto-réalisatrices. Le mythe prométhéen de Descartes: «L’homme maître et possesseur de la nature» est dangereux. Si la science, même si elle aspire à nous sauver, a plus que jamais d’éthique pour garder à l’homme sa personnalité, son libre- arbitre voire son humanité ou ce qu’il en restera. A ce titre l’Inde vient de déclarer que les dauphins sont des personnes non humaines et qu’à ce titre, elles ne doivent pas être maltraitées… On voit les frontières entre espèces que l’on croyait gravées dans le marbre , se brouillent

Assurément la boutade de Jean Rostand revêt toute sa signification , la science nous promet de devenir des Dieux , mais sommes nous des hommes au sens de la dignité humaine ? Que restera t-il de l’homme et de sa dignité dans cinquante ans ? La question est posée car Asimov, Huxley Orwell d’une façon ou d’une autre prévoient l’avènement d’une société oligo-humaine qui tient le pouvoir et d’une armée d’esclaves –scorie d’une paléo-humanité- qui , on l’aura compris, seront en compétition avec des robots humanoïdes autrement plus performants.

[Notes]

1. Philippe Vion-Dury 
http://www.rue89.com/2014/01/02/voitures-autonomes-ordinateurs-quasimov-avait-predit-2014-248728

2. http://www.rue89.com/2013/07/19/les-projets-fous-geo-ingenieurs-reparer-climat-244358

3. http://www.rue89.com/2013/12/16/diable-google-veut-faire-tous-robots-248377

4. Philippe Vion-Dury
http://www.rue89.com/2013/11/21/vie-privee-anomalie-les-dogmes-flippants-google-247726

5. http://www.rue89.com/2013/05/07/lavenir-selon-google-si-netes-connecte-etes-suspect-242084

6. Sarah Belouezzane :
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2013/09/03/internet-je-l-ai-dans-la-peau-ou-presque_3470272_651865.html

7. Laurent Sacco: Google et le rêve d’Isaac Asimov Futura-Sciences 19 12 2013




But des Agendas 21 et 2030

[Source : Aphadolie]

Que cachent l’Agenda 21 et l’Agenda 2030 des Nations Unies ? (Vidéos)

Publié par Aphadolie

Durée : 2 mn 24 / [1]



Durée : 15 mn 26 / [2]



Durée : 13 mn 48 / [3]




Que cachent l’Agenda 21 des Nations Unies et la transition énergétique ?

Agenda 21 - 2

L’Agenda 21 / Développement durable sont des termes inventés par David Rockefeller dans les années 90. L’argument majeur de l’agenda 21 des Rockefeller : « Pourvoir aux besoins du présent sans compromettre les besoins des générations futures. » Derrière la façade écologique, c’est en réalité une feuille de route pour contrôler toutes les ressources planétaires via des monopoles transnationaux.

Sur l’un des sites qui concernent ce sujet, une phrase est cruciale : « Ce processus marque la naissance d’un nouveau partenariat mondial pour le développement durable. »

Alors que l’appellation « développement durable » nous semble
positive, « nouveau partenariat mondial » déclenche notre suspicion. Or,
il y a de quoi être suspicieux… Hélas cela fait déjà 26 ans que
les directives territoriales et communales de l’Agenda 21 sont mises en
application dans les 178 pays qui ont signé cet accord au Sommet de la
Terre de Rio en 1992
.

Pas un seul domaine de notre quotidien n’échappe à ces directives
mondiales. Chaque projet implémenté est un pavé de plus sur la route d’un totalitarisme mondialisé pour les 178 pays signataires.

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Fin du droit de propriété

Rosa Koire, retraitée, a dirigé les expertises des
domaines immobiliers commerciaux pour les transports de l’état
californien pendant 28 ans. Témoin privilégiée des diverses utilisations
des terrains individuels ou publics, elle expose ouvertement les impacts du développement durable sur les droits des propriétaires et sur les libertés individuelles.

C’est au cours de disputes légales, à n’en plus finir, qu’elle
découvre la source du chaos créé par des suites de plans de
restructuration des terres dans les communes de sa région et partout
ailleurs dans le monde : U.N. Agenda 21. Une sorte de nouvel ordre mondial pour le 21ème siècle. Son livre « Behind The Green Mask : U.N. Agenda 21 » (Derrière le Masque de l’Écologie : L’Agenda 21 de l’ONU) révèle des orientations fascistes sous couvert de discours écologique feutré.

Elle écrit sur son site :

« On pourrait croire à de la science-fiction ou à une
théorie conspirationniste mais ça n’est pas le cas. L’Agenda 21-
Développement durable de l’O.N.U. c’est le projet d’actions implémenté
dans le monde entier pour répertorier et contrôler toutes les terres,
toutes les mers, tous les minéraux, toutes les plantes, tous les
animaux, toutes les constructions, tous les moyens de production, toute
l’énergie, toute l’instruction, toutes les informations et tous les
êtres humains dans le monde. C’est un inventaire des stocks ainsi que
leur contrôle
. »

Sommet de Rio

Établi lors de la Conférence des Nations-Unies sur l’Environnement et le Développement en 1992 à Rio De Janeiro au Brésil (Sommet de la Terre), l’Agenda 21 est un guide de mise en œuvre du développement durable pour le 21ème siècle. Les nations qui se sont engagées pour sa mise en place doivent l’appliquer aux niveaux national, régional et local.

L’Agenda 21 est structuré en 4 sections et 40 chapitres.

Rosa Koire est interviewée pour le Show Veritas, son discours très
éclairant sur ce qui se passe pour nous aujourd’hui. Sa vue d’ensemble
lève le voile sur de nombreux domaines. On comprend beaucoup mieux que
tout se tient. Tout d’un coup, tout ce qui cloche devient logique et
« normal » pour les décideurs de ce plan.

Extraits de l’interview de Show Veritas :

« Les textes de l’Agenda 21 sont présents dans tous les
projets généraux des villes et des régions. Nous sommes nombreux à
appuyer l’ONU dans ses efforts de paix et nous sommes peu à savoir que
les Nations-Unies ont des règlementations très spécifiques pour
l’utilisation des terres, règlementations suivies dans chaque ville,
chaque région et chaque état dans le monde. Ce projet s’appelle Agenda
21 (développement durable) et il est basé sur le communautarisme. Nous
entendons parler du développement durable mais rarement de l’Agenda 21.
 »

Accords de libre-échange = Agenda 21

Nous devons comprendre ce qu’est la mondialisation…c’est la standardisation de tous les systèmes (transports, distribution des ressources, éducation, etc.). Il s’agit de tout « harmoniser » pour mieux mondialiser.

Tous les accords de libre échange (NAFTA, TTIP, TISA) font partie du noyau de l’Agenda 21. En 1955 ou 56, c’est l’Union Européenne
qui a commencé avec l’accord sur l’acier et le charbon. Aujourd’hui, 28
pays ont donné leur souveraineté à la Commission Européenne.

Le TTP (Trans Pacific Partnership) est au départ un projet secret mis en route il y a une dizaine d’années entre les US et 11 pays du Pacifique, l’équivalent pour l’Europe étant le pacte transatlantique

Ces projets sont fondamentalement toujours les mêmes, le dessein est de transcender les lois nationales avec les accords internationaux afin d’harmoniser toutes les lois. Les projets ou directives existent dans le monde entier et leur but est de mondialiser.

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Du local au mondial

En 1995, le conseiller à la présidence, Agnew Brezinski déclara :

« Vous ne pouvez pas avoir une mondialisation globale en
une seule étape, vous devez régionaliser… et les accords sont là pour
ça : établir des régions dont les frontières extérieures s’accorderont
avec les frontières nationales qui elles-mêmes s’accorderont avec les
directives internationales.
 »

« Le plan est une approche globale mise en œuvre
localement, c’est pourquoi vous n’entendez pas parler de l’Agenda 21,
cependant vos infos quotidiennes locales en sont truffées et les gens
dans le monde entier en sont affectés. C’est une combinaison de la Chine
communiste, de l’ancienne URSS et de l’Allemagne nazie, une sorte de
communautarisme
 ».

Méga-cités et zones sauvages

Un autre but du plan est de regrouper les populations dans des méga-cités où ils peuvent être contrôlés. Les lois et les règlements des grandes villes sont faits internationalement pour faciliter la création des mégapoles (toutes les mêmes) dans le monde entier.

Afin de vous inciter à quitter les zones rurales de nouveaux projets y sont implantés, ce qui rend les développements individuels prévus difficiles ou impossibles à réaliser ; pour exemples l’arrêt des bus scolaires, la fermeture d’écoles ou d’hôpitaux etc.

Cela est en cours partout dans le pays mais comme ça se passe de commune en commune, les citoyens ne réalisent pas que c’est un plan global mondial, c’est le même partout.
Les gens qui l’implémentent en installant les projets sont vos voisins.
Les projets sont présentés de façon à ce que vous trouviez tout cela
très bien. L’idée principale est de faire que les gens pensent que ce sont leurs idées. Les
changements apparaissent prometteurs au départ, comme de nouveaux
trottoirs ou lampadaires etc. puis vous verrez que les lampes sont
souvent hors d’usage, que les arbres peu entretenus de vos parcs
meurent, que les routes défoncées ne sont plus remises en état…parce qu’il n’y a pas d’argent.

Ces plans furent conçus pour altérer l’économie des villes et créer des mégapoles à la place.

Les écoles locales fermeront peu à peu ainsi que les petites entreprises de quartier. La chute de l’économie est faite pour détruire la stabilité financière de la classe moyenne.

Détruire le monde rural

« Le mantra développement durable » ne cesse de nous dire que nous
usons la nature, nous devons nous limiter pour les ressources, nous
devons prendre les transports en commun et toutes ces restrictions sont
faisables dans les villes.

C’est très bien, mais vivre en grande banlieue ou en milieu rural deviendra très difficile. Vous aurez à payer des taxes supplémentaires pour pouvoir conduire votre voiture, les écoles seront loin, les services publics absents, etc. Le but est de concentrer les populations dans des habitats standardisés de méga-cités. 

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Un Agenda fait pour les multinationales

Les multinationales comme Exxon ou Monsanto, Kraft veulent le moins d’obstacles possibles pour le transport de leurs marchandises sur les 5 continents et ces lois leur sont favorables.
Ces entreprises mastodontes souhaitent que les 7 milliards d’êtres
humains puissent acheter leurs produits, pas seulement les pays riches.
De plus, elles n’entendent pas payer des salaires élevés. Elles visent à mettre fin à la compétition en possédant toutes les innovations et inventions. En nivelant par le bas, les pays riches consommeront moins mais les pays en développement seront tirés vers le haut pour les nouveaux marchés (Inde, Brésil, Russie, Chine). Les économies de ces pays seront développées et les nôtres seront freinés. Souvenons-nous que c’est un plan mondial et que tout cela (l’essor des pays pauvres) est un bonus majeur pour les multinationales.

Monsanto vise le monopole

« Des entreprises mondiales comme Monsanto sont plus puissantes que les régions, communes et gouvernements. Elles peuvent orienter les évènements dans le monde entier. C’est ce que fait Monsanto (qui est membre du Conseil pour le développement durable) en interdisant la récupération naturelle des semences. C’est un exemple de l’implémentation mondiale du plan.

Ce plan sera totalement implémenté, c’est un projet totalitaire extrêmement restreint. Ces changements sont mis en œuvre pour contrôler tous les aspects de nos vies et pour nous désorienter. L’éducation actuelle est programmée en tant que système de livraison de pensée unique pour le plan.

Le projet s’effectue comme il a été prévu. Ce n’est pas une théorie conspirationniste, c’est un fait conspirationniste signé par votre gouvernement, implémenté avec les finances de votre région et de votre commune, avec la participation financière du ministère des transports, avec les fonds alloués au développement durable. Toutes ces organisations y participent ainsi qu’une bonne partie de nos impôts. »

Détruire la classe moyenne pour accélérer la relocalisation vers les « smart cities »

« Pour atteindre la durabilité, telle que décrite par l’ONU, les pays les plus riches doivent être nivelés par le bas en faveur des pays les moins aisés donc les lois doivent s’harmoniser, les frontières doivent laisser circuler les produits et les personnes. Les gens le font déjà, s’ils travaillent pour une grosse boite et que celle-ci déménage, ils déménagent aussi. Le changement d’école n’est plus un problème puisque les programmes s’harmonisent également.

Le but de tout cela est à terme de vider les campagnes et de relocaliser le maximum de personnes dans de gigantesques centres urbains écologiques appelés « smart cities » ou villes intelligentes reliées à la « smart grid », le réseau intelligent des compagnies énergétiques (ERDF, Lyonnaise des eaux, etc.) truffés d’antennes et d’appareils émettant des ondes électromagnétiques cancérigènes. On comprend alors mieux la férocité avec laquelle les autorités veulent imposer les compteurs LINKY. »

Agenda 21 - 1

Détruire les exploitants agricoles

« Une des stratégies utilisée pour vider les campagnes est d’augmenter progressivement les taxes foncières des zones rurales, et d’appauvrir les agriculteurs, les éleveurs et tous les petits producteurs fermiers en employant la « stratégie de l’édredon ». Il s’agit de supprimer leur aides, en les accablant de contraintes et en dévalorisant leurs produits pour ainsi les mettre à genoux et les forcer à vendre leur propriétés et terres pour une bouchée de pain…

L’objectif est de permettre à des multinationales comme Monsanto, spécialisées dans les OGM, de s’approprier les terres rurales afin de prendre en charge toute l’agriculture française. »


Agenda 21 - 3

Sources :

http://www.rosakoire-bgm.com/

https://en.wikipedia.org/wiki/Agenda_21

https://sustainabledevelopment.un.org/content/documents/Agenda21.pdf

https://www.interieur.gouv.fr/Actualites/Dossiers/Le-developpement-durable-au-ministere-de-l-Interieur/L-agenda-2030-de-l-ONU-les-Objectifs-Developpement-Durable

Vidéos :

[1] United Nations – NWO : Agenda 21 & Agenda 2030 [1] – Mr Aphadolie / YouTube

[2] United Nations – NWO : Agenda 21 & Agenda 2030 [2] – Mr Aphadolie / YouTube

[3] United Nations – NWO : Agenda 21 & Agenda 2030 [3] – Mr Aphadolie / YouTube




Ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN Covid-19 qui nous rendront transhumains

[Source : Guy Boulianne]

[NdNM : face au propos tenu dans cet article, plusieurs réactions sont possibles. L’une d’elles consiste à rejeter tout en bloc. Cela peut être stimulé par la peur ou par l’incrédulité et la difficulté à envisager ce qui sort du cadre des références personnelles. Une autre, probablement plus utile, est de l’envisager comme possible, voire plausible et probable, de sorte à se préparer au moins concrètement, psychologiquement, mentalement, psychiquement et/ou spirituellement.]

Nous avons récemment reçu un lien vers un discours courageux donné par un ancien citoyen russe lors d’une réunion d’action communautaire du Keep Colorado Free & Open, dans une église de Loveland, Colorado, le 10 novembre 2020.

L’orateur, le Dr Igor Shepherd, a travaillé pendant de nombreuses années dans l’ex-Union soviétique en tant que professionnel de la santé spécialisé dans le développement d’armes biologiques mortelles. Il savait que ce programme top secret était consacré à l’avancement du communisme mondial et serait utilisé un jour pour détruire les États-Unis. A cette époque, imprégné d’idéologie communiste, il ne voyait rien de mal dans le meurtre de cent millions de personnes. Lui et ses collègues pensaient que c’était un petit prix à payer pour la création d’une utopie communiste mondiale.

Dans cet article, nous souhaitons souligner bon nombre des points soulevés par le Dr Shepherd.

Le Dr Shepherd a occupé pendant environ sept ans un poste de direction au sein du ministère de la Santé publique de l’État du Wyoming, mais a récemment été démis de ses fonctions en attendant une enquête sur le discours qu’il a prononcé le 10 novembre. Lui et sa femme, June, savaient que sa carrière en souffrirait s’il franchissait cette étape.

Le parcours du Dr Shepherd

Pour apprécier la gravité et l’urgence de ce qu’il dit, nous devons comprendre son parcours. Il a une connaissance et une expérience considérables dans ce domaine. En tant qu’ancien officier du KGB, ayant grandi en Union soviétique et travaillé en étroite collaboration avec l’armée russe, il sait que la conquête communiste planifiée de toutes les nations a été continuellement active depuis la formation de l’Union soviétique en 1917. La supposée « chute » de l’Union soviétique en 1991 n’était qu’une réorganisation de son fonctionnement. Le même groupe d’élite est resté en contrôle tout au long.

Il a grandi en Union soviétique à Saint-Pétersbourg, en Russie, et est diplômé de l’Académie de médecine militaire SM Kirov en tant que médecin militaire en médecine interne. Il s’est entraîné dans le cadre de la Force de fusée stratégique russe et s’est spécialisé dans la toxicologie militaire, le contrôle des infections, la prolifération CBRN, les armes de destruction massive et la guerre nucléaire / biologique / chimique.

Depuis 2000, il a développé et mis en œuvre des programmes de préparation et formé des hôpitaux, des premiers intervenants, des professionnels de la santé, des techniciens Hazmat, des forces de l’ordre, des militaires, de la Garde nationale, des équipes SWAT, du FBI et des patrouilles frontalières sur la préparation CBRNE et les situations d’urgence (y compris la préparation à une pandémie mondiale). Il a prononcé des discours liminaires dans tout le pays pour de nombreuses conférences DHS et d’État et militaires. Il est spécialiste des armes biologiques, de la médecine des catastrophes et du contre-terrorisme.

Avant de travailler pour l’état du Wyoming, il a travaillé dans divers autres emplois de préparation aux situations d’urgence et également sur un site d’essais nucléaires du Nevada pour les opérations de lutte contre le terrorisme où il a été impliqué dans la recherche et le développement techniques sur la préparation nationale et la sécurité nucléaire pour le ministère de la Justice, Bureau de la préparation intérieure, DHS, DOE, NNSA, DOD, DTRA, FEMA, Garde nationale, équipes SWAT tactiques, application de la loi, premiers intervenants et professionnels de la santé. Igor et June Shepherd écrivent :

« Le but final de l’humanité sous ce régime totalitaire est le transhumanisme, et pour y parvenir, ils doivent fusionner l’homme avec la machine. Les vaccins anti-ADN Covid-19 sont les moyens avec lesquels ils peuvent nous rendre transhumains. Les vaccins Covid-19 utilisent une nouvelle technologie d’ARNm qui a le potentiel de corrompre et de modifier notre génome humain d’origine, créant des effets secondaires graves et le potentiel de millions de décès. Les processus technologiques de ce type de vaccin sont étrangement similaires aux armes biologiques créées par les laboratoires militaires russes au cours des trois dernières décennies. Et ce qui est alarmant, c’est que chaque société de vaccins qui a développé aujourd’hui des vaccins Covid-19 pour la population américaine est financée et en partenariat avec l’armée américaine et la DARPA. La DARPA est une organisation militaire impliquée dans les armes biologiques depuis les années 1950 ! Un vaccin qui est autorisé à contourner des réglementations médicales rigoureuses pour assurer la sécurité publique est inacceptable. Un vaccin dirigé par des entités militaires spécialisées dans les armes biologiques est tout aussi inacceptable, en particulier lorsque des brevets sont sécrétés, que des ingrédients malsains sont ajoutés et que les fabricants de vaccins sont exonérés de toute responsabilité. Nous croyons que chaque personne a le droit de connaître ces détails et de faire ses propres choix concernant ce qu’elle croit être le mieux pour son corps et sa santé. »


« Tout le monde sera sous l’égide du système Baal… aspiré dans l’obscurité du système Baal. Et le système Baal n’a aucune pitié. »

Igor Shepherd M.D.


Avertissement du Dr Shepherd à Loveland

Nous ne pouvons que donner un avant-goût dans cette section de ce que le Dr Shepherd a transmis dans sa présentation. Nous essaierons dans la mesure du possible de préserver l’urgence de ses propos.

Il est né et a grandi sous le communisme : « Je suis venu du monde sombre du communisme… C’est un monde très sombre. » Il a rejoint l’armée et a été qualifié en tant que médecin travaillant pour le KGB et le renseignement militaire russe. Il est devenu impliqué dans le programme russe d’armes biologiques et a eu des contacts réguliers pendant un certain temps avec certaines des meilleures personnes dans le domaine. Comme il l’explique, le programme avait un but : détruire les États-Unis.

Tout a changé pour lui lorsqu’il a trouvé le Christ en 1992.

Il a décrit la Russie sous le communisme comme « le système Baal ». Ce système a travaillé pendant des décennies pour saper leur grand rival, les États-Unis, et les faire tomber. « J’ai été formé pour détruire les États-Unis d’Amérique … physiquement, pas spirituellement. » Dans sa présentation, il a souligné l’urgence de la menace qui pèse maintenant sur l’Amérique et la nécessité pour que les gens s’unissent le plus rapidement possible contre cette menace. « Nous avons très peu de temps… Dans 6 à 8 mois, vous ne reconnaîtrez plus du tout ce pays. »

La technologie n’est pas nouvelle

La science de la génétique est bien plus avancée que les gens ne le pensent. Ce que les médias appellent «la nouvelle technologie révolutionnaire» n’est pas du tout nouvelle. La Russie, la Chine et Cuba, ainsi que certains autres pays, développaient dès les années 1990 des armes biologiques mortelles basées sur la technologie du génie génétique. Le principal centre russe de ce travail est l’Institut du vecteur de Novossibirsk. L’Institut utilise la technologie des « ARN messagers » depuis plusieurs décennies pour développer de nouveaux virus.

Vue de l’énorme complexe de virologie vectorielle à Koltsovo à Novosibirsk, en Russie. Ouvert en 1974, les laboratoires de recherche scientifique de Vector ont développé et produit en masse un grand nombre d’armes biologiques mortelles. S’il ne s’agissait que d’une installation de la guerre froide, elle aurait été fermée au début des années 90, mais elle a continué de fonctionner. Selon Wikipedia, le centre a développé plusieurs souches hautement contagieuses de grippe aviaire et d’hépatite.

Parmi les armes qu’il a développées, il y en a une qui détruit la gaine de myéline qui recouvre nos fibres nerveuses. Dans les deux semaines suivant l’exposition, les victimes étaient incapables de marcher. Ces dégâts étaient permanents. Beaucoup de ces scientifiques étaient et sont des psychopathes et ont souvent fait des expériences sur le peuple russe, tant militaire que civil. Par exemple, la soi-disant pandémie de grippe russe de 1977-78 a été produite en dispersant une toxine en aérosol dans les métros de Saint-Pétersbourg. Lorsque les voyageurs sont devenus malades, ils se font vacciner contre la grippe. Les vaccins eux-mêmes ont été délibérément contaminés par un virus génétiquement modifié, entraînant la mort de 70 000 personnes. Comme l’a dit le Dr Shepherd, « Il y a beaucoup de science perverse dans le monde et beaucoup de scientifiques pervers… Le système Baal n’a aucune pitié. Aucun. Absolument aucun. »

La soi-disant pandémie

La « pandémie » de Covid est un canular. Il existe peut-être un virus, mais il n’est pas plus nocif que la grippe. La pandémie elle-même, et en particulier l’opération massive de « peur » actuellement menée à travers le monde, est prévue depuis 19 ans. Cela a commencé par une conférence appelée « Operation Dark Winter » qui a eu lieu à Andrews Airforce Base dans le Maryland du 22 au 23 juin 2001. L’opération a simulé la réponse à une attaque bioterroriste. Les différentes étapes préparatoires qui seront mises en œuvre dans les années à venir ont été esquissées lors de cette conférence.

Celles-ci comprenaient les lettres d’anthrax de 2001, la peur du SRAS de 2003, l’épidémie de grippe H1N1 de 2009 (qui avait un taux de mortalité beaucoup plus élevé que “Covid”), l’épidémie de MERS de 2012, les diverses épidémies d’Ebola, le rapport allemand sur la « pandémie » de 2015 et, le 18 octobre 2019, « Event 201 », où les techniques qui seraient utilisées pour gérer la réponse du public au « Covid-19 » ont été discutées et approuvées.

Hiver sombre

Lucifer, par William Blake (1808)

Le scénario « Dark Winter » envisagé en 2001 est mis en œuvre en 2020 et au-delà. Cela n’est possible que parce que les gouvernements de la plupart des pays soutiennent la mise en œuvre d’un « nouvel ordre mondial » et ont accepté « l’hiver sombre » comme événement déclencheur nécessaire. Bref, ils ont trahi leur propre peuple. Comme l’a dit le Dr Shepherd, « Nous avons… une trahison au plus haut niveau. »

Les grandes sociétés pharmaceutiques ont un rôle central dans l’Opération Dark Winter. La peur de la pandémie est utilisée pour inciter le public à accepter des vaccins qui modifieront leur ADN. Ce changement se produira progressivement à mesure que davantage de vaccins seront administrés, très probablement sur une base annuelle. Le public sera amené à croire que sans ces vaccins, les souches nouvelles ou mutées d’un virus mortel infecteront et tueront quiconque n’a pas été vacciné contre lui.

Ces sociétés sont dirigées par des personnes qui servent Lucifer : « Ceux, comme Bill Gates, le servent en fait [Lucifer]… Toutes les sociétés de vaccins sont contrôlées par Bill Gates. Toutes. »

L’armée chinoise

Le Dr Shepherd a déclaré que toutes les sociétés pharmaceutiques qui « développent » des vaccins Covid-19 sont liées à l’armée chinoise. Le public apprend que ces vaccins ont été « développés » en seulement deux à trois mois après l’éclosion de la supposée pandémie de Covid. Cependant, c’est un mensonge. Les six vaccins dont l’utilisation sera approuvée aux États-Unis ont été développés et testés il y a des années.

Les mêmes entreprises sont également liées financièrement à la DARPA — Defense Advanced Research Projects AgencyModerna travaille en étroite collaboration avec la DARPA depuis 2013. Une fois que suffisamment de personnes ont pris les vaccins, « quelque chose pourrait se produire », comme l’a dit le Dr Shepherd, lorsque la 5G sera activée.

Il a dit que, là où le vaccin n’a pas d’effet indésirable immédiat, il affectera certainement notre progéniture. En conséquence, a prochaine génération d’enfants aux États-Unis souffrira de graves problèmes neurologiques : « Ce sera désastreux. » De plus, cela affectera tous les pays, pas seulement les États-Unis. Il l’a appelé GGG — « Global Genetic Genocide » (Génocide génétique mondial).

Communisme technocratique

Il ne s’agit pas de communisme traditionnel mais de « communisme technocratique », où la surveillance et le contrôle universels sont maintenus en temps réel grâce à l’intelligence artificielle.

« Mon message est urgent… Toutes les petites entreprises auront disparu, complètement disparues, sous le communisme… C’est moche. C’est luciférien… Aux États-Unis en 2021, 2022, les vaccins deviendront des événements annuels, semi-annuels. Obligatoire pour tous… [Tout le monde sera] sous l’égide du système Baal… [aspiré] dans l’obscurité du système Baal. Et le système Baal n’a aucune pitié. »

À mesure que chaque vaccin annuel est administré, nos génomes se détourneront de plus en plus du génome que Dieu nous a donné. À un moment donné, vous ne serez plus humain.

« Faites la paix avec Dieu. »


« Je dois avouer que je suis tenté de demander à être réincarné en tant que virus particulièrement meurtrier »

Prince Philip d’Édimbourg


Conclusion

En tant qu’ancien officier du KGB, le Dr Shepherd est exceptionnellement bien qualifié pour évaluer la menace qui pèse sur les États-Unis. Il a grandi dans un système qui méprisait la liberté, où l’État dominait l’esprit de ses citoyens et où l’armée était entraînée à haïr les États-Unis. Il sait que la menace est réelle car il a déjà travaillé avec les mêmes personnes qui l’exécutent actuellement.

Le communisme conquiert les nations en écrasant toute opposition. Cela crée un État policier où aucune opinion opposée ne peut fleurir. Là où il ne peut pas envahir de l’extérieur, il cherche d’abord à corrompre de l’intérieur. Ensuite, lorsque sa cible est suffisamment affaiblie, elle se déplace militairement. La Russie ne peut pas faire cela seule. La Chine non plus. Les traîtres opérant aux États-Unis ne le peuvent pas non plus, les trompeurs traîtres qui ont ouvert les portes à l’ennemi. Mais les trois travaillant ensemble sont susceptibles de réussir.

Le public américain est douloureusement inconscient de l’ampleur de cette menace. Une « première frappe » se profile. Même à cette heure tardive, alors que tant d’éléments du plan sont bien visibles, ils ne peuvent pas se résoudre à voir qu’un énorme marteau de fer est sur le point de s’écraser sur leur autre grande nation.

L’avertissement du Dr Shepherd est vraiment urgent. Le temps est presque écoulé. Veuillez tenir compte de ses paroles !

Jeremy James
Irlande, 1er décembre 2020

RÉFÉRENCES :

[Voir aussi une série d’articles pouvant être reliés au sujet et apporter un éclairage complémentaire :




Monolithe métallique mystérieux découvert dans le sud de l’Utah à Rocky Wilderness. MàJ 26/11/2020

[Source : EarthFiles]

[NdNM : la vidéo suivante tend à démontrer l’origine humaine de ce monolithe : https://www.facebook.com/joaomarcelo.marquesrios/videos/3017298281705500/]

Par LINDA MOULTON HOWE

« Les esprits curieux veulent savoir de quoi il s’agit ? »

Utah Department of Public Safety (DPS) Aero Bureau
Instagram, 21 novembre 2020

23 novembre 2020 Albuquerque, Nouveau-Mexique – Dans la matinée du samedi 21 novembre 2020, des biologistes et des officiers de la Division des ressources fauniques de l’Utah (UDWR) se trouvaient à bord d’un hélicoptère du département de la Sécurité publique de l’Utah (DPS) qui comptait les gros moutons depuis les airs dans le sud de l’Utah. Le pilote Bret Hutchings a déclaré à un journaliste de KSL-TV à Salt Lake City que l’un des biologistes avait crié de tourner l’hélicoptère parce qu’il avait vu ce qui ressemblait à un grand monolithe métallique dans les rochers sauvages.

KSL-TV Channel 5 updated news report, "DPS Crew Discovers Mysterious Monolith From Air In Remote Utah Wilderness," by reporter Andrew Adams on November 21, 2020 at 3:44 PM. "Mystery Object Spotted by State Helicopter."
KSL-TV Channel 5, Salt Lake City, Utah,
reportage mis à jour,
« DPS Crew Discovers Mysterious Monolith From Air In Remote Utah Wilderness »,
par le journaliste Andrew Adams (21 novembre 2020 à 15h44) .
« Un objet mystérieux repéré par un hélicoptère de l’État. »



L’équipage a pensé au célèbre film de science-fiction de 1968 2001: A Space Odyssey [2001, l’odyssée de l’espace] du légendaire réalisateur Stanley Kubrick, centré autour d’un grand monolithe parfaitement usiné présumé avoir été réalisé par une espèce extraterrestre invisible. Tout au long du film, le monolithe mystérieux apparaît périodiquement dans les moments clés, sur les lieux de l’évolution de l’Homo sapiens sapiens, commençant en Afrique après que des primates déjà en évolution aient été manipulés génétiquement par les E. T. invisibles pour évoluer vers des humanoïdes de plus en plus intelligents.

Original frame from 1968 science fiction epic film by famed director Stanley Kubrick entitled "2001: A Space Odyssey." The story centers around a large, perfectly machined monolith presumed to have been made by an unseen extraterrestrial species. Multiple versions of the monolith were placed periodically in key times and places in the evolution of Homo sapiens sapiens, beginning in Africa after already-evolving primates were manipulated genetically to become humanity. Image source Wikipedia.
Cadre original du film de science-fiction de 1968 du célèbre réalisateur Stanley Kubrick intitulé 2001: A Space Odyssey [2001, l’odyssée de l’espace]. 
L’histoire est centére autour d’un grand monolithe parfaitement usiné présumé avoir été réalisé par une espèce extraterrestre invisible. Plusieurs versions du monolithe ont été placées périodiquement à des moments clés et en des lieux liés à l’évolution de l’Homo sapiens sapiens, à commencer par l’Afrique après que des primates déjà en évolution aient été manipulés génétiquement par les E.T. pour devenir humains.
Source d’image : Wikipedia.

Le pilote Bret Hutchings a déclaré à KSL-TV qu’il ne savait pas s’il pouvait s’agir d’une construction de la NASA ou de l’œuvre d’art de quelqu’un : « Je dirais que c’est probablement entre 10 et 12 pieds de haut » et en métal. « Nous plaisantions un peu à ce propos : si l’un de nous disparaissait soudainement, alors je suppose que les autres partiraient en courant. » Parce que le DPS et les biologistes ne voulaient pas que les gens se rendent dans la région où ils essaient de protéger les moutons bighorn, les autorités gardent secrète la localisation exacte du site.

Le DPS Aero Bureau a publié cette image Instagram avec la légende :
« Les esprits curieux veulent savoir de quoi il s’agit ? »

Utah Department of Public Safety Aero Bureau image of mysterious monolith in southern Utah on November 21, 2020.
Utah Department of Public Safety Aero Bureau
images de monolithe mystérieux dans le sud de l’Utah (21 novembre 2020).



Joseph Stroberg

*

Joseph Stroberg est le nom d’auteur d’un rat (son signe astrologique chinois) des champs (Deschamps) prénommé François.

Pour faire très bref, après quatre années de professorat en sciences physiques au Gabon puis en France, il s’est lancé en autodidacte dans l’informatique et travaille dans ce domaine depuis 1995. En marge de son activité professionnelle, il a réalisé divers logiciels dont il offre ici ceux qui sont les plus actuellement fonctionnels (les autres n’ayant pas été mis à jour pour les systèmes actuels).

Il a écrit Urane, l’éducation et les lois cosmiques, publié en 1991 aux éditions Arista, et traduit deux autres essais depuis l’anglais. Ses trois roman de science-fiction du triptyque Les couloirs du temps sont publiés aux Éditions Dédicaces :

Résurrection en terre étrangèreProjet VulcainLa voie du Rinn’dual

Il vit au Québec depuis 2003

https://vk.com/wall430568862_54840 (Émission avec Claude Janvier et Éric Montana)

Quatrième roman, proposé en lecture libre sur le site Nouveau Monde :
Le Tétralogue




Michel Maffesoli : « Le transhumanisme est l’aboutissement de la paranoïa moderne » [Interview]

[Source : Breizh-Info]

Au dernier colloque de l’Institut Iliade, en date du 19 septembre 2020, dont le thème était « La nature comme socle », la question du transhumanisme aurait dû être abordée lors d’une table ronde avec l’éminent sociologue Michel Maffesoli, professeur émérite à la Sorbonne, et François Bousquet, essayiste et directeur de La Nouvelle Librairie. Faute de temps, le sujet est resté en suspens et notre curiosité de même ! Histoire de rattraper l’opportunité manquée, nous avons interrogé Michel Maffesoli.

Breizh-info : Le transhumanisme est régulièrement évoqué dans les médias, sans que le commun des mortels sache réellement de quoi il s’agit. À mi-chemin entre la science-fiction et la science tout court, le transhumanisme peut vite devenir sujet de fantasmes. Est-ce que vous pourriez proposer une définition de ce qui est avant tout un courant de pensées ?

Michel Maffesoli : Il est toujours difficile de donner des définitions. Le transhumanisme, comme beaucoup d’autres sujets, n’est pas unique. Ses tenants peuvent avoir des positions différentes les uns des autres. Néanmoins, il est possible de considérer le transhumanisme comme l’aboutissement logique du mythe du progrès tel qu’il s’est élaboré au XIXe siècle, dans le sillage de la philosophie des Lumières et de sa grande ligne directrice qui veut que rien ne soit étranger à la raison. Le transhumanisme est en ce sens un « rationalisme exacerbé ». Il pousse cette idée de rationalisme jusqu’au bout. Attention à bien distinguer le rationalisme de la rationalité. Cette dernière est notre spécificité humaine, alors que le rationalisme est une position qui évacue tout ce qui n’est pas rationnel (le sensible, le spirituel, etc.) C’est une façon de penser, sur laquelle notre esprit critique est parfaitement libre de s’exercer.

Effectivement, le transhumanisme peut devenir sujet de fantasme. Il exacerbe cette pensée de Descartes, selon laquelle les hommes peuvent se rendre « maîtres et possesseurs de la nature » grâce à la technique. Cette citation bien connue du Discours de la méthode est au centre de la modernité. Le transhumanisme l’incarne jusqu’à la paranoïa (étymologiquement, la paranoïa est une « pensée par le haut », une pensée surplombante). Il est l’aboutissement de la paranoïa moderne.

Breizh-info : Au cœur du sujet, on voit bien que c’est la conception de l’homme qui est en jeu. Le transhumanisme ne semble pas considérer l’homme dans son ensemble, comme un être vivant, mais comme un « homme-machine », pour paraphraser Descartes qui le disait de l’animal. Les antispécistes bondissent s’ils entendent parler de l’animal-machine, mais peu de monde semble s’offusquer que l’homme puisse aujourd’hui être vu comme une addition de parties pouvant être analysées, démontées, réparées, remplacées…, indépendamment les unes des autres. Comment en est-on arrivé là ?

Michel Maffesoli : Le transhumanisme s’inscrit en effet dans une certaine conception de l’homme. Il suit notamment la logique de l’une des idées du XIXe siècle, qui est le grand siècle moderne, le temps de l’élaboration du progrès, du rationalisme social, etc. Cette idée est celle que Freud nommait la coupure (« die Spaltung »). Mon maître, l’anthropologue Gilbert Durand, parlait du « principe de coupure ».

Le transhumanisme suit donc ce principe de coupure, qui veut séparer la nature de la culture, le corps de l’esprit, etc. Le matériel et le corporel sont privilégiés, au détriment, entre autres, du religieux, du mystique, de l’imaginaire. La majeure partie des tenants du transhumanisme ont une vision dichotomisée du monde.

Mais il existe, au contraire, un mouvement de fond qui résiste à cette idée de coupure et vient heurter le transhumanisme dans sa caractéristique dominante. Il s’agit d’une tendance que l’on peut observer dans les sociétés, ce que j’ai appelé une « sensibilité écosophique » [NDLR : cette perception a été explicitée dans l’article accessible ici]. Cette sensibilité considère l’homme dans son ensemble – vision holiste –, et va donc à l’encontre du transhumanisme qui ne voit que l’homme-machine.

Le transhumanisme s’inscrit-il donc dans la logique de Descartes ? Oui. Mais on peut apporter une nuance : il suit la logique de l’interprétation de Descartes, c’est-à-dire le cartésianisme. Descartes en tant que tel est plus subtil. On se réfère toujours au Discours de la méthode, mais ses cinquième et sixième Méditations métaphysiques nuancent le cartésianisme. Comme quoi, il faut toujours faire la distinction entre le penseur et le « -isme » qui en découle ! Toutefois, c’est évidemment le cartésianisme qui a dominé au cours de l’Histoire.

Breizh-info : Depuis des lustres, la médecine tente de guérir les hommes et allonge par conséquent la durée de vie. À une époque, mourir à 40 ans pouvait passer pour un âge raisonnable, on est passé à 60 ans, puis à 90 ans. Finalement, on pourrait très bien aller jusqu’à 120 ans, 150 ans, tout ceci n’est peut-être qu’affaire de seuil psychologique. Le transhumanisme considère le vieillissement comme une maladie contre laquelle il faut lutter. Que répondre à cela ?

Michel Maffesoli : Je dirais qu’on a toujours voulu dépasser l’âge de la mort, et non repousser. Toujours au XIXe, en ce siècle de l’avènement de la modernité, Hegel a mis en lumière l’idée d’« Aufhebung », du « dépassement ». Celle-ci s’était en effet répandue dans toute la vie sociale et a participé à l’essor du scientisme.

Il faut bien comprendre que l’instrument logique que nous utilisons toujours est celui de la dialectique, cette fameuse suite ternaire : thèse, antithèse, synthèse. Lorsque la médecine entend dépasser la maladie, la vieillesse, la mort, cela signifie qu’elle veut concrètement arriver au stade de la synthèse.

Depuis le XIXe siècle, ce mouvement de dépassement a effectivement été conforté par l’allongement notable de la durée de vie. Mais aujourd’hui, on touche à une certaine limite. On se rend compte que cette synthèse à laquelle on s’est habitué ne va plus fonctionner longtemps. On veut toujours le dépassement de la mort – et les actuelles mesures sanitaires contre le covid-19 en sont un bel exemple –, mais on se rend compte que l’humaine nature est ainsi faite que la mort en fait partie. Et c’est précisément cette crise sanitaire qui nous rappelle l’existence de la mort. On avait cru l’évacuer. Elle revient en force. Cet épisode laissera des traces.

Le transhumanisme, dans son fantasme, entend dépasser la mort, la nier. Or, à vouloir nier la mort, c’est la vie que l’on perd. Ne pas accepter la mort, c’est refuser toute cette tradition de ce que l’on pourrait appeler l’« homéopathisation » de la mort. Depuis toujours, il y a eu des croyances, des rituels religieux, des traditions qui avaient pour rôle d’adoucir l’idée de la mort en la laissant entrer dans la vie sociale. On peut penser par exemple au carnaval, à la fête des fous, aux danses macabres, à la Vierge Marie qui était honorée comme Notre Dame de la bonne mort, etc. La philosophie est également une préparation à la mort. Dans toute l’Histoire, les sociétés équilibrées sont celles qui ont su intégrer la mort.

Si on reprend Aristote et sa notion de catharsis, l’idée est bien de se purger, de se purifier des passions par le spectacle, par le jeu. Mais en aucun cas on ne les nie.

En se cantonnant à la négation de la mort, à cause de sa logique progressiste, le transhumanisme perd toute cette dimension vitale.

Breizh-info : De la même façon, on recourt déjà aux prothèses ou aux greffes, depuis longtemps. Des manipulations génétiques sont déjà effectuées sur des lymphocytes pour guérir certains cancers. La frontière avec le transhumanisme peut parfois sembler extrêmement perméable. Y a-t-il un critère objectif qui pourrait être mis en évidence et permettrait de savoir à quel moment on s’avance sur des sables mouvants ?

Michel Maffesoli : Il existe en effet déjà des manipulations sous différentes formes. Mais mon hypothèse est encore une fois que nous sommes dans une période de mutation, comme je l’ai écrit dans mon ouvrage Écosophie [NDLR : paru aux éditions du Cerf en 2017]. Un sentiment diffus, une sensibilité écosophique résiste de plus en plus à ce genre de choses. D’un point de vue sociologique, on voit bien qu’un autre rapport à la nature se développe aujourd’hui. On se rend compte que la domination exercée par l’homme « maître et possesseur de la nature » n’a abouti qu’à la « dévastation » – un terme cher à Heidegger.

On ne peut qu’observer l’évolution des tendances sociétales et voir ce que cela donnera.

Breizh-info : Malgré son grand discours quasi théologique en vue d’améliorer le sort de l’humanité et de la sauver de la mort, le transhumanisme ne concernera certainement qu’une frange très aisée de la population, accroissant encore les écarts économiques. Comme tous les progrès techniques depuis la Préhistoire, il conduira sûrement à toujours plus de domination de la part de l’élite ayant accès à ces nouveaux outils. Qu’en pensez-vous ?

Michel Maffesoli : Il est clair que le transhumanisme est une affaire élitiste, et même élitaire [NDLR : « élitiste » désigne un comportement promouvant l’élitisme, tandis que « élitaire » caractérise le comportement d’une élite en particulier]. Quant à son discours franchement théologique, cela me rappelle la réflexion de Carl Schmitt sur la sécularisation en concepts politiques de concepts, à l’origine, théologiques !

Il existe actuellement un vrai décalage entre les élites et le peuple [NDLR : en 2019, Michel Maffesoli a publié La faillite des élites, en collaboration avec Hélène Strohl, aux éditions du Cerf, collection LeXio]. Mais outre cet état de fait, on ne peut que se réjouir de la manière dont les jeunes générations usent de la technique pour ruser avec la technique ! Je pense évidemment aux réseaux sociaux, sur lesquels on peut voir que ces populations se soumettent de moins en moins aux injonctions d’améliorer le sort de l’humanité. Elles sont davantage ancrées dans l’action présente, pas dans les projections abstraites. Notons au passage que, outre-Atlantique, les réflexions portant sur le net-activisme, la citoyenneté numérique, etc. sont bien plus avancées que chez nous.

La postmodernité est précisément ce moment de synergie de l’archaïsme et du développement technologique. Internet a par exemple permis l’essor du « co- » : colocation, covoiturage, coworking, etc.

Donc, oui, le transhumanisme se conforte dans sa dimension élitiste et élitaire, mais paradoxalement, l’usage de la technique permet aussi de lutter contre les dérives de la technique. En contrepoint du « désenchantement du monde » selon Max Weber, j’irais même jusqu’à dire que la technologie peut réenchanter le monde [NDLR : Le réenchantement du monde, publié aux éditions de La Table ronde en 2007].

Big Pharma, le progressisme transhumaniste sont la partie dominante, visible du monde actuel. Mais à l’image du « roi clandestin » décrit par le philosophe et sociologue Georg Simmel au début du XXe siècle, il existe une véritable tendance de fond. Elle est encore souterraine, mais elle résiste déjà.

Breizh-info : Votre posture est très optimiste !

Michel Maffesoli : On me le dit souvent. Mais je ne suis pas optimiste, je suis réaliste ! Le réalisme, dans la perspective d’Aristote ou de Thomas d’Aquin, consiste à constater ce qui est, et non à promulguer ce qui devrait être, ou ce que l’on aimerait qui soit.

Breizh-info : Le transhumanisme est véritablement le fruit de la modernité nihiliste telle que vous l’avez définie lors du colloque Iliade, cette modernité qui a extrait l’homme de sa participation à un cosmos, qui l’a coupé de Dieu si on se place dans le contexte chrétien de la révolution cartésienne. La start-up Neuralink est un bel exemple de cet hybris californien ; lancée par Elon Musk, elle entend connecter le cerveau humain à tout support informatique au moyen d’un implant cérébral. Face à une telle démesure, la sensibilité écosophique dont vous avez parlé est-elle de taille à lutter ?

Michel Maffesoli : Je crois que l’éclosion de cette sensibilité est inéluctable. La toute-puissance du progrès est un phénomène qui arrive à saturation, comme lors du processus chimique du même nom.

Effectivement il y a hybris, utilisation à outrance de la technologie. Nous sommes arrivés à une forme paroxystique du rationalisme. Mais l’expérience montre qu’il y a toujours une ruse. L’idée de limite se réimpose, en réaction à la modernité. Il faut être attentif à cette sensibilité diffuse. Elle n’évolue pas dans la société officielle, mais on la constate dans la société officieuse.

À titre d’anecdote, j’avais travaillé il y a longtemps sur l’importance du numérique dans la vie sociale, à l’époque où il commençait tout juste à poindre. En ce temps-là, le 3615 du Minitel était à l’origine un instrument de l’armée utilisé à des fins d’organisation logistique. Il a été détourné pour la création de sites de rencontres et de messageries roses. Comme quoi, on voit bien à toutes les époques que la ruse est un processus anthropologique. Kierkegaard la nommait « als ob » : « comme si »…

Propos recueillis par Isabelle Lainé

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V




Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?

[Source : Nicocible]

Avant-propos sur le harcèlement électromagnétique.

28 AOÛT 2019 / NICOCIBLE

Article mis à jour le 12/08/2020.

À toutes et à tous,

Une communauté de personnes victimes d’un type de harcèlement peu connu du grand public veut vous alerter. Ma mère et moi en faisons parti.

Ce harcèlement est physique, psychologique et s’empare de tous les aspects de la vie de la personne ciblée. Le mode opératoire de ce type de harcèlement est mondial. Sans rentrer dans tous les détails, allons au plus important :

Le type de technologie utilisé est si perfectionné, qu’elle ne peut appartenir qu’à une organisation de type militaro industrielle.

Ce matériel de pointe reconnu scientifiquement, est breveté et dénoncé par de nombreux lanceurs d’alerte à travers le monde, à savoir les victimes elles-mêmes, des scientifiques, des juristes, et de nombreuses personnes ayant travaillées dans les services de renseignements occidentaux.

Aujourd’hui, l’une de ces technologies arrive dans notre vie quotidienne, et elle nous est présentée sous son meilleur jour, à travers ses applications en matière de santé.

Il s’agit de la Puce bioélectronique, qui fait office d’antenne émettrice et réceptrice de signaux électriques comme une vulgaire radio.

Cette puce bioélectronique peut par exemple servir aux handicapés, ou à mieux traiter l’épilepsie. Hélas, elle a été étudiée, et ce depuis des années, par de nombreux scientifiques des complexes militaro-industriels (le Dr José M.R. Delgado, le Dr Ross Adey, et bien d’autres…).

Elle peut donc agir sur la dégradation du fonctionnement de nombreux processus physiologiques de l’être humain.

Par exemple, si on envoie l’ordre, à distance, de stimuler une certaine zone du cerveau qui s’appelle l’hypothalamus, cela peut provoquer une chute de la tension artérielle, un ralentissement de la respiration, des réactions comme la faim, la soif. On peut aussi induire le sommeil ou l’interrompre, et bien pire encore, éliminer la cible…

L’appareil donneur d’ordre est confié au voisinage de la cible, pour lui faire vivre les pires horreurs qui soit 24h sur 24, 7 jours sur 7.

Ceci constitue véritablement une nouvelle forme d’ESCLAVAGE où cette fois ci tout le monde est concerné par l’utilisation de ces armes nouvelle génération, détenus par un petit nombre. Je rappelle que le mode opératoire est mondial.

Le principe de cette technologie est pourtant vieux de plus de 2 siècles, c’est celui de la stimulation électrique de la cuisse de grenouille de Luigi Galvani.

C’est par la suite, que l’on s’est intéressé au cerveau, qui fait parti du système nerveux central, avec la moëlle épinière. C’est grâce à ce principe de stimulation que l’on a pu cartographier le cerveau.

Sauf que maintenant cette stimulation peut se faire à distance, et sans implants, via des ondes électromagnétique ( Extrêmement Basses Fréquences, acoustique, radioélectrique, micro-onde…), à savoir la même énergie que vos portables utilisent pour communiquer.

Je vous transmets donc ces informations afin de faire connaitre et dénoncer cette abomination.                              

Nicocible.

Nota Bene: Les pionniers dans ce type de recherche scientifique, sont les docteurs en physiologie commele Dr Walter Rudolf Hess (Prix Nobel 1949), le Dr José M. R. Delgado et le Dr William Ross Adey parmi bien d’autres.

De plus amples informations seront fournis sur ce blog.

Rappel: Ce n’est pas parce qu’on « ne voit pas » un objet ou un phénomène qu’il n’existe pas !

Invisibles, incolores, inodores et silencieuses, les ondes EM se propagent tout autour de nous à la vitesse de la lumière (300.000km/s), et sont pratiquement indétectables par nos sens et par la plupart des individus.

Traduction: « Bonjour. Je sais que vous n’avez aucune idée de qui je suis. Je suis ce qu’on appelle une Personne Cible. Une prisonnière d’une expérimentation humaine non-éthique. Et le TOUT se fait à DISTANCE ! Aidez-nous à nous battre ! Éduquez le public ! Nous voulons notre liberté ! Je vous remercie ! »

1989 – Affaire Pierre R. Levesque contre Time Warner et agence étatique (dont la CIA et FBI). Les faits ont été qualifiés d’ « opération de guerre électronique».

1992 – Affaire John St Clair Akwei contre son ex-employeur la NSA. (Agence étatique). Il s’agit d’une plainte pour harcèlement électromagnétique.

1997 – Bill Clinton publie un mémorandum sur la « protection renforcée pour les sujets humains de recherche classifiée ».

1999 – Le point 30 de la proposition de résolution A4-005/99 du 14 janvier, au Parlement Européen « demande en particulier que soit établi un accord international visant à interdire au niveau global tout projet de recherche et de développement, tant militaire que civil, qui cherche à appliquer la connaissance des processus du fonctionnement du cerveau humain dans les domaines chimique, électrique, des ondes sonores ou autres développement d’armes, ce qui pourrait ouvrir la porte à toute forme de manipulation de l’homme; un tel accord devrait également interdire toute possibilité d’utilisation réelle ou potentielle de tels systèmes; ».

2001 – Vladimir Poutine en Russie, a promulgué une loi adoptée par la Douma d’État rendant illégal l’emploi de générateurs électromagnétiques, infrasoniques et ultrasoniques et d’autres armes d’ « influence psychotronique».

2003 – Interdiction des armes électromagnétique au Michigan.

2004 – Interdiction des armes électronique dans le Massachussets.

2005 – Interdiction des armes électronique dans le Maine.

2008 – L’affaire James Walbert, jugée en 2008, a vu la reconnaissance par le tribunal d’un « harcèlement électronique » sur la victime, à qui une puce RFID avait été implantée.

2011 – France: Loi n°2011-814 du 7 juillet 2011 – art. 45 Les techniques d’imagerie cérébrale ne peuvent être employées qu’à des fins médicales ou de recherche scientifique, ou dans le cadre d’expertises judiciaires. Le consentement exprès de la personne doit être recueilli par écrit préalablement à la réalisation de l’examen, après qu’elle a été dûment informée de sa nature et de sa finalité. Le consentement mentionne la finalité de l’examen. Il est révocable sans forme et à tout moment.

2019 – France: Proposition de loi d’élargir celle du 7 juillet 2011 n°2011-814 à l’ensemble des techniques d’enregistrement de l’activité cérébrale.

2020 – Les Nations Unies ont commencé leur enquête après avoir reçu des milliers de témoignages de personnes dites « ciblées ».
Sourcehttps://nanobrainimplant.com/2020/03/09/un-starts-investigation-to-ban-cyber-torture/ ; 
Traduction ici : https://preview.mailerlite.com/u4a5x3 ;

et le site de la coalition contre la cybertorture:
cyber-torture.com

Tract cybertorture 2 : Télécharger

Voir en fin d’article une interview de Nils Melzer

Plus d’historiques notamment sur les origines de ces technologies en cliquant ici.

Les Militaires ont utilisé la Chimie pour faire des Armes Chimiques, Savez-vous qu’ils utilisent les Neurosciences, pour faire des Armes Neurologiques ?

Les Brevets du Gouvernement Américain:

Plus de brevets en cliquant ici et la découverte de 2 brevets ci-dessous.

Si vous comprenez bien ce harcèlement, vous vous rendrez compte que l’humanité entière est concernée.

Traduction enrichie:

Spectre EM : Regroupe l’ensemble des ondes électromagnétiques (voir tableau). Les radiations, émissions, rayonnements, ou propagation d’ondes (comme tout déplacement de signaux électriques, magnétiques, EM ou thermiques) peuvent être d’origine naturelle (soleil) ou artificielle (radar, lampe, wifi etc…).

En communication, une émission d’onde sert à transmettre une information ( * voir schéma sur la modulation d’un signal ci dessous).

Les rayonnements d’ondes permettent aussi d’identifier ou détecter n’importe quel objet qui émet une fréquence.

Le corps humain émet des rayonnements naturels très faible comme la chaleur (température ou signaux thermique).

Willem Einthoven a mesuré le champ du cœur humain, qui a le champ électromagnétique le plus fort de tous les organes du corps humain. En 1924, il a reçu le Prix Nobel pour ses travaux.

Les neurones du cerveau génèrent en permanence des millions d’influx nerveux (signaux bioélectriques). L’ensemble de ces activités électriques forme les ondes cérébrales.

De la même manière qu’un article est identifiable grâce à sa puce RFID (Identification (ID) au moyen d’ondes RadioFréquence (RF)), un être humain peut être identifiable grâce à ses émissions bioélectromagnétiques unique.  

De même, un objet inerte, peut être identifiable grâce à ses propres émissions d’ondes: on parle alors de signature spectrale.

Les émissions bioélectromagnétiques de chaque personne sont donc unique, tout comme ses empreintes digitales, palmaires et vocales.

Ce sont ses fréquences spécifiques, qui sont détectées, mesurées et enregistrées par des dispositifs comme les radars, capteurs, senseurs, biocapteurs ou biosenseurs.

Si vous pouvez les détecter à distance, vous pouvez les décoderles traquer et les cibler.

Commandement des opérations spéciales des États-Unis / Marquage, suivi et localisation en continu de façon clandestine – 2007.

Source de l’image: https://everydayconcerned.net/tag/clovis/

Le ciblage des victimes de harcèlement électromagnétique, comme pour n’importe qui, peut donc se faire sans implants.

Il suffit juste de connaitre les fréquences spécifiques uniques de leurs organes (cœur, poumons, cerveau, moelle épinière, etc…)

Vos fréquences spécifiques uniques, peuvent donc être récupérées, très tranquillement, en temps réel, dans le couloir d’un aéroport…

Informez-vous, Informez le public.

(*)Schéma de la modulation d’un signal (le son):

On peut moduler (transporter, faire voyager) du son, des images, mais aussi vos ondes cérébrale, comme c’est l’objet du Brevet des Etats Unis n° 3 951 134, du 20 avril 1976. Appareil et méthode de contrôle continu et d’altération des ondes du cerveau à distance. [ https://patents.google.com/patent/US3951134A/en lien à traduire avec chrome ou autre ]

Depuis 1976 on peut surveiller les ondes cérébrales, grâce à un dispositif où « tous les composants de l’appareil utilisé sont éloignés du sujet testé » (tiré du brevet US_n°3’951’134). Observez donc ce qui se fait de mieux dans le domaine des neurosciences, et rajoutez l’option « à distance » à chacune de ses prouesses, où l’on nous présente souvent des électrodes non invasive (à l’extérieur mais proche du crâne).

[Avec Implant, avec Fil] ; [Avec Implant sans Fil] ; et [Sans Implants, sans Fil]

Exemple de Dispositif Non Invasif : Le casque sans fil de Facebook

Exemple de Dispositif Invasif : l’implant sans fil de Neuralink

Voilà comment s’opère souvent le transfert de compétences entre la technologie militaire et civil:

Sinon vous pouvez prendre connaissance de ce brevet US6011991 (que vous pouvez traduire via le navigateur chrome) daté du 04 Janvier 2000. Il nous précise clairement qu’il existe un système qui permet de lire dans les pensées d’un individu en le ciblant « par exemple par satellite » (une antenne améliorée en fait) et même de cibler des zones spécifiques de son cerveau par des tirs à distance:

Ce dont sont victime les personnes cibles (en majorité car une partie d’entre elles ne l’ont pas) :

Infos de Base Complémentaire sur la bioélectricité:

L’électricité est partout dans le corps humain. Ce sont, par exemple, des signaux électriques qui permettent d’assurer la circulation sanguine ou encore d’animer les muscles, le cerveau et le cœur.

– En l’absence du courant électrique, les fonctions vitales s’arrêtent. D’ailleurs un EEG plat correspond à une mort cérébrale.

– L’influx nerveux, qui permet de transporter les informations reçues par les différents capteurs sensoriels du corps (nez, yeux, bouche, oreilles, peau…) vers le cerveau, est aussi un phénomène électrique.

Exemple : Les nerfs sensoriels de la peau transmettent des impulsions électriques au système nerveux central. Et ces signaux sont interprétés en sensations, pressions, douleurs, températures, vibrations, etc…

– Les êtres humains, tout comme les animaux, communiquent, agissent et utilisent leurs cinq sens (la vue, l’ouïe, le goût, l’odorat et le toucher) par l’intermédiaire de l’électricité produite dans leurs corps.

– Nos pensées, notre habilité à agir, voir, rêver, toutes ces fonctions sont menées essentiellement par des pulsions électriques.

– Le système immunitaire, le système endocrinien, jusqu’à la division cellulaire sont aussi électriques. En fait, tous les changements chimiques sont basés sur l’électricité, les électrons étant transférés à un niveau moléculaire.

– Tous nos organes et toutes nos fonctions physiologiques sont parfaitement orchestrés par notre cerveau au moyen de pulsions électriques, et ceci tout au long de notre vie.

– Les mouvements de charges issues des signaux bioélectriques, génèrent un champ biomagnétique. L’un ne va pas sans l’autre.

– Toute activité électrique, peut être mesurée par un oscilloscope. Dans le cas de l’activité cérébrale, cet appareil est rebaptisé électroencéphalogramme (EEG). L’étude de la fréquence permet d’analyser le type d’ondes qui prédominent (ondes alpha, bêta, delta, thêta…), en lien avec l’état mental de l’individu, ainsi que son comportement.

Enfin, l’EEG permet d’établir une carte du cerveau et fait partie de l’arsenal offrant des possibilités d’imagerie cérébrale, permettant par exemple, de visualiser les structures du cerveau et du système nerveux, en temps réel.

C’est donc avec une précision redoutable que les ARMES NEUROLOGIQUES (ou psychotroniques) utilisent les progrès en neurosciences pour surveiller, et cibler l’équilibre de tous nos processus biologiques!

Informez-vous, Informez le public.

Briser un verre par le chant est tout à fait possible. Cette performance est due à un phénomène appelé fréquence de résonance.

Le principe est relativement simple : la voix humaine devrait produire un son d’une fréquence identique à la fréquence naturelle de l’objet en question.

Pour induire l’éclatement , la vibration de la voix de la personne doit correspondre à la fréquence de résonance du verre, de plus en plus fort jusqu’à ce que le verre se brise enfin.

Comme nous l’avons vu, les émissions bioélectromagnétiques de chaque personne sont unique. Tout constituants d’organismes vivants (organes, cellules, molécules, atomes…) ont aussi leurs propres fréquences.

Sources des images: https://www.cem-vivant.com/admin/userfiles/files/Effets_biologiques_des_Ondes_CMO_Sept15_Complet.pdf Pages 17-18

Remarque Importante: Je ne fais pas de pub pour les appareils CMO. Selon Jonathan Tennenbaum, seul « le même type de technologie peut permettre de créer un environnement électromagnétique afin de contrecarrer l’onde exploratrice » des dispositifs militaire qui agissent sur les systèmes biologiques. Source de la citationhttps://www.fichier-zip.com/2012/03/28/technologie-psychotronique/ document word « Telepathie Synthetique » page 10. Voir réf. [92] et [93].

La technologie permet aujourd’hui de répliquer ces fréquences à l’identique, pour des besoins en matière de santé, mais aussi pour des objectifs « militaire« .

Vos organes, en particulier le cerveau et ses régions, peuvent entrer en résonnance (s’accorder, se coupler, s’ajuster) avec des ondes électromagnétiques d’origine artificielle, porteuses de signaux externes destinées à prendre le dessus sur vos signaux internes.

Hormis l’éclatement ou la destruction, des énergies peuvent être dirigées contre votre cerveau, ayant pour finalité, la détection, la lecture, la stimulation par l’imposition des rythmes de vos signaux internes et donc tromper vos 5 sensvos pensées, vos émotions, votre système musculaire, cardiovasculaire, endocrinien etc

On n’a donc pas besoin de puce RFID pour générer à distancetoute une gamme d’effets sur le corps humain et le cerveau (Voir les travaux du Dr Ross Adey, ceux du Dr José Delgado ont été classifiés…).

Je ne rentre pas plus dans les détails, ce sera l’objet d’un autre article et d’une prochaine vidéo.

Informez-vous, Informez le public.

« On sait à travers les travaux de Blackman et de Ross Adey que les ondes pulsées provoquent des variations de la tension artérielle et modifient les flux d’ions de calcium, potassium et sodium. En traversant la membrane cellulaire, ces derniers génèrent des signaux micro électriques qui se propagent dans un axone du système nerveux et informent le cerveau de ce qui se passe autour de nous. Celui-ci déclenchera à son tour une action sur un muscle, une maladie ou autre. Or il est parfaitement possible de moduler les impulsions d’un radar, non seulement au niveau du nombre d’impulsions par seconde et de leur durée, mais aussi de leur amplitude. »

Source de la citation: « Les armes de l’ombre » de Marc Filterman Page 9.

Il y a courant électriquequand des électrons se déplacent, dans les matériaux conducteur comme le cuivre.

L’électricité en milieu aqueux est due à des mouvements d’ions (pas d’électrons). L’influx nerveux (le courant électrique) qui est transmis le long d’un neurone, est engendré par la diffusion des ions.

Rappel de la définition d’un ion: Un ion est un atome, ou un groupe d’atomes, ayant perdu ou gagné un ou plusieurs électrons.

Sir Andrew Fielding Huxley, Alan Lloyd Hodgkin et John Carew Eccles ont obtenu le prix Nobel de Médecine et de Physiologie, en 1963, pour leurs rôles dans la découverte des mécanismes ioniques de la transmission nerveuse.

Leurs expériences sur les neurones géants de calmar à la fin des années 1930, se sont poursuivit jusqu’à la fin des années 1940, après la fin de la 2ème Guerre Mondiale. Leurs travaux furent publiés en 1952.

Concernant la nocivité des téléphones portables, le Dr Ross Adey a déclaré ceci: « Pour la première fois de l’histoire, nous tenons un émetteur de grande puissance contre la tête  » Et cet émetteur est à environ un pouce de votre cerveau ( Source: http://www.goaegis.com/articles/pccomputing_1299.html ). Mais fait intéressant, l’une de ses études a révélé que certaines fréquences RF (Radio-fréquence) diminuaient l’incidence des tumeurs chez le rat :

« Le Dr Ross Adey a suscité un autre émoi lorsque ses travaux sur l’exposition à long terme aux radiations des téléphones portables ont mis en évidence ce qui semblait être un effet protecteur, c’est-à-dire que les souris exposées développaient moins de tumeurs (voir MWN (Micro Waves News), M/J96, p.8 ; J/A96, p.11 ; et S/O99, p.13).

Motorola, qui a payé les expériences d’Adey, a rejeté cette conclusion et a par la suite cessé de soutenir son laboratoire. Il a fermé ses portes peu de temps après.

Dans une interview accordée au magazine Fortune en octobre 2000, Adey a insisté pour que les recherches se poursuivent : « Il y a une grande tâche à accomplir pour définir ce que pourrait être le plus haut niveau d’exposition sans DANGER« , a-t-il déclaré, prédisant aussi que, « où que nous allions, nous serons immergés dans une mer de signaux micro-ondes pulsés de faible niveau« . »

Source: Traduction du dernier paragraphe de l’article de Microwavenews.com sur sa biographie. https://microwavenews.com/news-center/ross-adey

« Les radiations Radio-fréquence et Micro-ondes (RF/MO) de faible niveau ne pourraient plus être considérées comme biologiquement NEUTRES. »

Source: https://microwavenews.com/sites/default/files/sites/default/files/backissues/j-a96issue.pdf Page 11

Aujourd’hui, de nombreuses études indépendantes montrent les effets biologiques NEGATIFS mais aussi POSITIFS des rayonnements dits non ionnisants (voir tableau du spectre des ondes EM). On le voit dans le domaine de la santé, mais aussi dans celui de l’armée… Il n’y a que dans l’industrie des télécom, que ces rayonnements dit non ionisants sont et doivent rester NEUTRES…

Voir le résumé des conclusions du Rapport Bioinitativeen particulier la section 14 et 15 (page 18 et 19): https://www.criirem.org/wp-content/uploads/2015/11/bioinitiative_vf-3.pdf

L’utilisation des armes à impulsion électromagnétique permet de contourner les traités sur les armes nucléaire:

« Dans une autre partie du rapport, on traite en détail des armes futures utilisant des micro-ondes de haute énergie. Cette partie décrit les fréquences micro-ondes développés pour leur utilisation dans des armes, contre des machines et les gens. »

« La principale différence est que l’on ne peut conrôler cette technologie et que l’on peut l’utiliser, sans violer les traités sur les armes nucléaires. Cette partie du rapport décrit ensuite les niveaux d’énergie nécéssaire pour faire apparaître les effets suivants:

– tissus animaux brulés et endommagés;

– possibilité d’influer sur le système nerveux;

– seuil d’audition par micro-onde;

– erreurs sur les bits dans les ordinateurs non protégé;

– diodes réceptrices grillées dans les antennes non protégées. »

Sources des citations: « Techniques de Contrôle Mental » du Dr Nick Begich. Pages 192-193. Ref utilisé: « Expert Meeting on Certain Weapon Systems and on Implementation Mechanism in International Law » Rapport de la Croix Rouge, Genève, Suisse, 30 mai – 1 juin 1994. Publié en juillet 1994.

Des références comme celle-ci, sur l’existence de ces armes et leurs brevets, il y en a tout au long du livre du Dr Nick Begich: « Techniques de Contrôle Mental ». Et il est loin d’être le seul à traiter de ce sujet…

Magnifique cas d’école (celui d’Assange et de Wikileaks ) qui vous montre à quel point les gouvernements protègent leur activités criminelles dans le cadre du secret défense. Voir l’article d’Investig’Action pour tout comprendre.

Le rapporteur spécial de l’ONU sur la torture: « Un système meurtrier est en train de se créer sous nos yeux »

Allez sur https://www.ohchr.org/en/issues/torture/srtorture/pages/srtortureindex.aspx et cliquez sur E Advance Edited Version, page 19 du fichier Word

Voir aussi le site de la coalition contre la cybertorture:

cyber-torture.com

Source de l’image: https://www.covertharassmentconference.com/

Références, Sources, Brevets, et Historique

Mes Sources et Références en cliquant ici.

Définition du Harcèlement Électromagnétique

Un groupe de psychopathes ont les moyens financiers et militaires à leur disposition, pour réaliser « le crime parfait ». Comment s’y prennent ils ?

La GLOBALITÉ du CRIME des harceleurs et commanditaires en cliquant ici.

A partagez partout, et pour plus de saveur dans les communautés noires…
(que ces porcs craignent par dessus tout)
Parmi les traitres à l’humanité:
Mme Nicholson & sa fille.
Mr Canval patrick & son amie Brenda
Mme Calme patricia
Mr Cornano Alain
Mr Casaco Georges
Pour ne citer qu’eux…

La Traduction en français du tract de l’Association Japonaise qui lutte contre cette Criminalité en cliquant ici

La pointe de l’Iceberg de notre harcèlement en VIDEO
surYouTube en cliquant ici (Plus de videos à venir)

Témoignages et Noms de mes Voisins, en cliquant ici

Rappel: il existe un vide juridique sur l’utilisation des armes électromagnétique.

Solutions

– Partagez car c’est la masse qui met la pression.

– Défendre les lanceurs d’alerte.

– Braquer les projecteurs sur les crapules, ils craignent la lumière.

Mots Clefs

Mots clefs: Armes Neurologiques, Targeted Individual, Personne Cible, Gang Stalking, Harcèlement en Réseau et Électromagnétique, Electronic Harassment, Implants, Implants Microscopiques et Nanoscopiques, Torture Sans contact, No Touch Torture, Voix dans la Tête, Voice To Skull (V2K), Armes Psychotroniques, Armes à Énergies Dirigées, Directed Energy Weapon (DEW), Surveillance Neuronale à Distance, Remote Neural Monitoring (RNM), Fréquence, Modulation, Signal, Télédétection, Télémétrie, Mini Magnétomètre, SQUID, Analyseur de Spectre, EEG, MEG, DARPA N3 program…

ions, ionosphère, réchauffeur ionosphérique, antennes HAARP, « Les Anges ne jouent pas de cette HAARP » de Jeane Manning et Nick Begich, Point 30 de la Proposition de Résolution A4-005/99 du Parlement Européen, Travaux des Drs Persinger, Ludwig et Osenkopp (voir conclusion de cet article en cliquant ici).

Appel à agir :

Passez ce tract, ou recommandez l’article à au moins 2 personnes, qui feront de même, et ainsi de suite.

tract cybertorture 2TéléchargerTract nicocibleTélécharger

Voici un Contre Argument à donner avec respect, sur la fatalitéla peur ou la croyance en un messie sauveur (je suis chrétien):

Si un enfant ( le votre ou non), de 3 ou 4 ans, sur un trottoir se dirige imprudemment vers la rue, qui que vous soyez, est ce qu’un messie viendra le sauver ?

Par contre, l’intervention du messie dans votre cœur, vous fera agir.

Un grand merci de m’avoir lu jusqu’au bout. Paix sur vous.

nicocible@gmail.com

Citations

Celui qui a surmonté ses peurs sera véritablement libre. Aristote

Dans la vie, rien n’est à craindre, tout est à comprendre. Marie Curie

La curiosité va conquérir la peur encore plus que la bravoure. James Stephens

Le danger que l’on pressent, mais que l’on ne voit pas, est celui qui trouble le plus. Jules César

La peur est inévitable, je dois l’accepter, mais je ne dois pas la laisser me paralyser. Isabel Allende

Fais que ta peur soit toute petite, car si tu la laisses grandir, c’est toi qui seras tout petit. Peuple d’Amazonie

Le véritable héroïsme n’est pas l’absence de peur, mais la canalisation de la peur vers l’action. Doric Germain

La seule chose dont nous devons avoir peur, c’est de la peur elle-même, cette terreur sans nom, irrationnelle, injustifiée, qui paralyse les efforts pour transformer un recul en progrès. Franklin Delano Roosevelt

La peur rend le loup plus gros qu’il ne l’est. Proverbe allemand

Le monde appartient aux optimistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs. François Guizot

L’optimisme est la voie du succès. Rien de grand ne se fait sans espoir ni confiance. Helen Keller

Chaque expérience où vous vous arrêtez vraiment pour regarder la peur bien en face augmente votre force, votre courage et votre confiance. Vous devez faire la chose que vous n’êtes pas capable de faire. Eleanor Roosevelt

L’objectif premier de tout être humain devrait être de maîtriser ses peurs, ses doutes et ses anxiétés. Une fois qu’on a surmonté ses propres peurs, on peut s’ouvrir aux autres et les aider à dominer les leurs. Cette noble tâche ne fera que resserrer le lien primordial qui nous unit tous. A.C. Ping

Ils (Ceux qui) cherchent à établir des systèmes de gouvernement basés sur la régulation de tous les êtres humains par une poignée de dirigeants… appellent cela un nouvel ordre. Ce n’est pas nouveau et ce n’est pas de l’ordre. Franklin Delano Roosevelt


[Voir aussi :




Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale

[Source : Les 7 du Québec à partir du Saker Francophone]

[Commentaires de] Robert Bibeau

Nous vous proposons aujourd’hui un texte que les hypocrites médias mainstream qualifie de « complotiste ». C’est qu’à travers quelques élucubrations sataniques (sic) l’auteur  présente une bonne synthèse de faits avérés concernant cette pandémie qui a les apparences d’un exercice en vue d’une guerre bactériologique en préparation. Laissons de coté les interprétations diaboliques de Grand Complot de l’Ordre Nouveau et examinons les données qu’il expose.  Pour ce qui est de l’idéologie du « conspirationnisme« , voici une citation de L’Idéologie allemande qui remet les choses en perspective:  «À toute époque, les idées de la classe dominante sont les idées socialement dominantes : autrement dit, la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est en même temps la puissance spirituelle dominante. La classe qui dispose des moyens de la production matérielle dispose en même temps, de ce fait, des moyens de la production intellectuelle, si bien qu’en général, elle exerce son pouvoir sur les idées de ceux à qui ces moyens font défautLes pensées dominantes ne sont rien d’autre que l’expression en idées des conditions matérielles dominantes, ce sont ces conditions conçues comme idées, donc l’expression des rapports sociaux qui font justement d’une seule classe la classe dominante, donc les idées de sa suprématie.»  

Robert Bibeau. Éditeur https://les7duquebec.net


Tout le monde a pu voir récemment un certain nombre de très grands médecins et de professeurs en infectiologie, immunologie, génétique ou virologie se succéder sur les plateaux de télévision et de radio pour expliquer qu’ils ne comprenaient rien à la gestion de cette crise de la Covid-19 et aux différentes situations politiques paradoxales qui se sont enchaînées dès l’apparition du SARS-COV2 dans le monde.

Le professeur Christian Peronne, brillant médecin-professeur français exerçant à l’hôpital de Garches en région parisienne est l’un d’entre eux. Apparaissant de plus en plus interloqué émission après émission, il vient de publier récemment un livre dans lequel il recense « les erreurs majeures» que le gouvernement français aurait commis durant cette crise.

Or Monsieur Peronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart «des gens normaux» qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzin et son Comité scientifique «se sont retrouvés dépassés».

Le souci c’est qu’en réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur même si c’est ce que l’on voudrait bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil Mondial lequel est sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockfeller. (sic – le conspirationnisme pointe son nez. ndlr).

Au total, ce ne sont pas moins de 194 états dans le monde qui ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Règlement, rappelons-le, qui prévoit qu’en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états.

Mais nous allons développer tout ceci un peu plus loin car c’est très important, d’autant plus que le Parlement Européen a fait promulguer une loi extrêmement dangereuse le 10 juillet 2020 afin de permettre la vaccination des individus et de leur inoculer des OGM dont on ne sait absolument rien.

Qu’il s’agisse de Christian Peronne en France, d’Alberto Zangrillo en Italie ou de Denis Rancourt au Canada, on est toujours dans le même cas de figure. Celui où des gens innocents, naïfs et fondamentalement bons ne voient jamais «le Mal» tel que l’on devrait le voir, c’est-à-dire dans son essence la plus absolue et la plus machiavélique qui soit. Ils en sont incapables car ils pensent que tout le monde est comme eux.

Ils ne voient que des imperfections, des incohérences, des incompétences et des erreurs commises. Et comme leur nature est intègre et qu’ils sont des gens fondamentalement honnêtes, ils sont incapables de percevoir et de comprendre que cette crise du COVID vient de très loin et qu’elle a été intégralement orchestrée de A à Z. (sic. disons que c’est une hypothèse de recherche. ndlr).

Est-ce que quelqu’un se rappelle de la cérémonie macabre de l’ouverture des Jeux Olympiques de Londres en 2012 ? Non ? Et bien il faut la revoir. Le thème tournait autour d’une pandémie et pour tous les passionnés d’eurythmie, l’événement était truffé d’images satanistes et maçonniques. (un autre petit coup de complotisme. NDLR)

Alors prémonition, prédiction ou hasard ?

En termes d’hypothèse tout est possible mais nous allons voir que rien n’est dû au hasard. Avec le recul, nous pouvons même penser que toutes ces histoires de nems de chauve-souris mal cuits et de pangolin mal grillé pour être revendu par un «Street cooker» dans un marché de Wuhan ne sont que des histoires pour enfants. Rien d’autre. (ici le conspirationniste renvoi les autres conspirationnistes à leurs marmites. ndlr).

La preuve est que nous sommes déjà à la mi-septembre et nous n’avons toujours pas trouvé de patient « zéro ». Tout nous laisse penser que nous le trouverons pas (exact. ndlr).

La réalité est bien plus scabreuse, bien plus machiavélique et bien plus maléfique que tout ce à quoi l’on veut nous faire croire.

Le hasard, comme le disait Einstein« c’est Dieu qui se promène incognito » et en arabe, ce terme désigne la chance ou le succès. C’est-à-dire, au sens probabiliste du terme, le fait qu’un événement considérablement improbable et incertain se réalise avec une précision divine.

Si tel est peut-être le cas dans le domaine de la physique quantique et relative ou encore dans le domaine des statistiques, c’est-à-dire dans ces domaines des sciences exactes où Dieu se promène partout entre la masse du proton, la fleur de vie et le nombre d’or, ce qui relève de la certitude, c’est que dans le domaine de la physique des affaires politiques, de l’ingénierie sociale et du contrôle des populations — et des pandémies évidemment —, Dieu n’y est pour rien.

L’homme en revanche y est quasiment pour tout et les crises ne sont bien souvent rien d’autres que des zones d’incertitudes, de risques et d’opportunités dans lesquelles ceux qui maîtrisent les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut bien dire que les crises sont délibérément organisées et déclenchées à des fins précises et aux moments voulus.

Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus ou derrière un lockstep [traduction compte tenu du contexte : verrouillage] économique et un lockdown [traduction : confinement] des populations, l’homme est partout. Il pense à tout.

Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de la répression et de l’intimidation des groupes réactionnaires comme ce fut le cas en France avec les gilets jaunes ou qu’il s’agisse de terrorisme affectif, l’homme pense vraiment à tout.

Pour vous convaincre par les sentiments, par exemple, la fabrique du consentement vous répétera, jusqu’à ce que vous le répétiez vous-même à vos semblables, par mimétisme social ou par amour de la servitude volontaire, que vous ne devez surtout pas rendre visite à vos grands-parents dans leur maison de retraite au prétexte que vous pourriez les tuer en leur transmettant un virus mortel.

Adorable petite fille jouant avec le chapeau d’un homme âgé sur fond de nature. Le concept de deux générations différentes.

Un peu comme si Orwell vous disait que « la guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force ».

Sans doute est-ce là encore un non sens qui créé évidemment de la dissonance cognitive mais beaucoup le croient. La naïveté des hommes est sans limite.

Qu’importe que ceux qui nous aiment et qui ne vivent maintenant que pour voir leurs petits enfants grandir, meurent de solitude, de stress et d’angoisse, de soif, d’abandon ou de désespoir, l’important est que vous, vous ne soyez pas responsable de leur mort.

En France, le 27 mars 2020, le gouvernement n’a pas hésité à interdire le traitement des patients atteint de la COVID-19 par hydroxychloroquine, basant son décret sur l’étude truquée de la revue « The Lancet » et si les responsables de cette revue ont reconnu leur erreur, le gouvernement lui n’a pas changé d’avis.

Déclarant ainsi dangereuse, une molécule prescrite depuis plus de 60 ans à travers toute la planète et dont le Docteur Fauci disait, en 2005 dans un article, que cette molécule était d’une efficacité redoutable pour traiter le SARS-COV1 mais aussi tous les coronavirus.

Alors complot contre la santé ou hasard de calendrier ?

Il y a quelques jours, le New York Times publiait encore un article dans lequel l’auteur expliquait que le confinement avait tué 10 fois plus de gens que le virus lui-même mais cette information est passée totalement inaperçu dans les médias européens.

Par le terrorisme émotionnel, pour vous donner un autre exemple, la fabrique médiatique du consentement vous fera toujours croire que si vous ne voulez pas que votre bébé meure dans d’atroces souffrances, vous devez impérativement le vacciner contre une bonne douzaine de maladies et ce, avant même que son corps ait acquis sa propre immunité.

Qu’importe que votre enfant devienne plus tard autiste ou que les effets secondaires irréversibles de ces vaccins le rendent stérile ou développent chez lui, 30 ou 40 ans après, toutes sortes de maladies neuro-dégénératives qui seront beaucoup plus graves que les maladies contre lesquelles il est censé être immunisé.

L’important, pour tous ces ministres de la santé qui ne sont en réalité rien d’autres que les représentants commerciaux des grands firmes pharmaceutiques, est juste que vous injectiez toute une série de vaccins payants dans le corps de ce petit être encore fragile et innocent, cet incroyable miracle de la nature.

Seuls comptent pour eux le volume des ventes, la rentabilité des investissements consacrés à la recherche et au développement et la hausse du cours de l’action de la société.

L’homme de pouvoir et assoiffé de contrôle, a toujours la fâcheuse tendance à toujours vouloir se prendre pour le Créateur et à toujours vouloir tout manipuler et refaire à sa place et je ne parle pas là des chefs d’état et des gouvernements qui ne sont que de simples exécutants. Je parle de ceux qui ont réellement le pouvoir. Ceux qui financent les bourses d’études et les campagnes électorales de ceux-là mêmes qui deviendront ensuite leurs débiteurs. Ceux dont on ne parle jamais  (ou moins souvent disons. ndlr).

Pourtant ces acteurs de l’ombre impriment la monnaie et décident de votre paix si vous leur contractez un prêt ou installez une de leurs banques centrales sur votre territoire. Le cas échéant, comme ce fut le cas en Libye, ils décident de vous renvoyer à l’âge de pierre.

« Le monde », disait Nicholas Butler« se divise en 3 catégories : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité ».

Ce que nous proposons ici est une grille d’analyse de la situation d’aujourd’hui car oui, l’homme de pouvoir et de contrôle souhaite tout contrôler et surtout quand il s’agit de contrôler l’avenir et l’évolution démographique et génétique de notre espèce.

L’opération COVID-19 est une pure opération d’ingénierie sociale et nous allons le voir.

Derrière la terreur et la psychose, plus de contrôle et encore moins de Liberté

Les eugénistes et les malthusiens disent souvent que rien n’est plus dangereux pour notre planète et notre avenir que la surpopulation.

À Alberton, dans l’état de Géorgie aux États-Unis, ces grands penseurs de l’avenir de l’humanité ont même gravé cette recommandation démographique dans le marbre et pour être bien sûr que personne ne l’oublie, ils l’ont faite graver et écrire en 8 langues sur 6 énormes blocs de marbre ne pesant pas moins de 108 tonnes.

Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature.

Très bien et merci du conseil mais nous sommes actuellement 7,5 milliards d’individus et pour atteindre cet objectif, je pense que nous avons ici « un léger » problème. Alors comment faire…

John Holdren et Paul et Anne Ehrlich ont apporté des solutions. Ils les ont même écrites et publiées dans un livre qui s’appelle « ECOSCIENCE ». Un livre fou dans lequel on peut lire toute une série de mesures pour mener à bien cette opération de réduction de la population planétaire comme le fait d’« ajouter des stérilisants dans l’eau du robinet et les aliments de base, des perturbateurs endocriniens, de légaliser les drogues et les neurotoxiques » ou encore de « libérer des virus hautement pathogènes ». Voilà qui est intéressant.

Rien n’est inventé et tout est dans ce livre qui est « La référence et la bible » des mondialistes tels que Bill Gates ou David Rockfeller lequel disait encore il y a quelques années que « nous sommes à la veille d’une transformation globale et tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure pour que les nations acceptent le Nouvel Ordre Mondial »  (une crise de complotisme. ndlr).

John Holdren a été un collaborateur particulier d’Obama et il est un ami proche des Clinton, de Bill et Melinda Gates et de David Rockfeller.

En mai 2010, la Fondation Rockfeller a publié un rapport extrêmement intéressant sur son site.

Il s’intitule : «Scenarios for the Future of Technology and International Development ». Ce rapport est public et tout comme dans ECOSCIENCE, on y trouve tout ce qu’il faut savoir sur les pandémies, les confinements et les vaccins. De plus en plus intéressant n’est-ce pas.

A la page 18 de ce rapport, on y trouve un chapitre intitulé « LOCKSTEP », c’est-à-dire la mise à l’arrêt ou le verrouillage économique mondial en cas de pandémie. Certes il ne s’agit que d’un scénario sous forme de dystopie mais aujourd’hui il est malheureusement bien réel et tout ce qui nous est arrivé y est décrit avec une précision inouïe.

Or on ne peut pas comprendre la crise de la COVID-19, comme c’est le cas pour les professeurs Perrone, Raoult, Henrion-Caude, Toubiana ou Toussaint, si l’on ne se donne pas la peine de contextualiser ce jalon sanitaire dans le temps long [long terme]. C’est-à-dire de le voir comme l’étape d’un programme mondialiste plus global et plus complexe.

Les auteurs de ce scénario morbide n’ont fait que se pencher sur la question du comment faire pour arrêter l’économie mondiale et imposer toutes sortes de restrictions et de mesures aux populations. Ils ne sont pas à l’origine de ce projet pour ce qui est de l’aspect économique, écologique et logistique, de l’exploitation et de la gestion de nos ressources. L’idée est née en 2005, dans le rapport Meadows réactualisé. C’est là où il était déjà question de LOCKSTEP à un horizon de 15 ans.

Il est intéressant de noter que le premier vice-président du Club de Rome a été David Rockfeller. Celui-là même qui a commandé le premier rapport Meadows et qui a été publié en 1972.

Dès l’antiquité les mésopotamiens, les égyptiens et les chinois recensaient leur population pour s’assurer un parfait contrôle démographique. Il s’agissait d’une question existentielle fondamentale car c’est de la bonne gestion des ressources caloriques et des effectifs humains aptes à défendre puis assurer la protection de l’espace vital, que dépendait la survie du groupe.

Cette question du recensement et de la maîtrise démographique des populations, à des fins martiales ou socio-économiques, pour le travail dans les champs puis dans les mines et les manufactures, a toujours obsédée les hommes et a toujours fait partie de notre histoire. C’est une question essentielle.

Ce qui vient bousculer cette question plutôt simple pour notre époque, c’est l’arrivée de l’intelligence artificielle.

Il n’y a pas de hasard rappelons-le. Tout est calculé et pensé plusieurs dizaines d’années à l’avance (ceci est absolument faux – et les prévisions sont toujours hight or low. ndlr [NdNM : la réalité est plus probablement située quelque part entre ces deux affirmations]).

En démographie, il est même très courant de faire des projections sur plusieurs centaines d’années (jamais confirmées. ndlr).

Bill Gates, dans une interview accordée à John Kennedy Junior et qui a été publié dans le magazine mensuel George en février 1997 sous-titrée « guide pour le futur 2020 », il dit exactement ceci : « je finance des projets d’éducation, je finance le contrôle de population, je suis très impliqué dans le programme United Way ». C’est à la page 101 du magazine pour ceux qui ont chez eux ce numéro qui se vend sur le marché des collectionneurs à plus de 5000$.

Pendant que la plupart d’entre nous avons le nez dans le guidon ou vivons comme les rats de Didier Desor, c’est-à-dire à essayer de survivre dans cette « rat race » perpétuelle sans comprendre réellement le sens du miracle de la vie, d’autres réfléchissent pour nous.

Ils pensent, prévoient et organisent nos vies, à tort ou à raison, jusqu’à décider de qui est utile sur cette planète et qui ne l’est plus.

S’il faut bien comprendre une chose aujourd’hui, c’est que l’accélération technologique et l’accélération de l’innovation, mais surtout la pénétration de l’intelligence artificielle dans tous les aspects de notre vie quotidienne, vont inéluctablement changer le monde pour toujours.

Il faut être vraiment naïf ou incroyablement rêveur pour croire que les fondations telles que la fondation Rockfeller ou la fondation Bill et Melinda Gates investissent des milliards de dollars dans la recherche biologique et bactériologique ou dans les vaccins pour le bien être de l’humanité (voici une vérité avérée. ndlr).

Comment peut-on croire naïvement un seul instant que ceux qui veulent nous sauver des virus et des pandémies  sont ceux-là même qui essaient de maîtriser et de réduire la population ? (Les mêmes qui financent la recherche sur ces virus létaux. ndlr).

Muammar Kadhafi, paix à son âme, dans son extraordinaire et mémorable discours du 23 septembre 2009 à l’ONU, disait que « les virus étaient créés et propagés dans le monde pour que les entreprises pharmaceutiques fassent des profits grâce à la vente des médicaments ».

Il ajoutait que « les médicaments et les vaccins ne devaient pas être vendus. Les médicaments ne se vendent pas. Annoncez la gratuité des médicaments et des vaccins dans le monde », disait-il «  et vous n’aurez plus jamais de virus en circulation car les virus sont créés pour que des vaccins soient mis au point pour que les grandes entreprises capitalistes en tirent profits » (Voilà deux autres vérités avérées que Kadhafi a osé répéter… il en est mort. ndlr).

 Kadhafi avait-il tort à ce sujet ? Rien n’est moins sûr. Mais attendez, tout n’est pas qu’une question de profit.

Il y a environ un peu plus de 2 ans et demi, le 11 janvier 2017 plus exactement, le docteur Antony Fauci que nous ne présentons plus, nous prophétisait avec une certaine audace et un aplomb dont lui seul a le secret, qu’il n’avait « aucun doute sur le fait que Donald Trump aurait à faire face à une pandémie avant la fin de son mandat ».  (???)

Événement incroyable mais vrai, Donald Trump et le monde entier affrontent aujourd’hui une pandémie.

Curieuse prédiction n’est-ce pas ? Surtout lorsque l’on sait que l’intégralité des médias de la planète à l’époque titrait quotidiennement que Donald Trump était un fou et un va-en-guerre et que nous étions tous les jours à 2 doigts de l’apocalypse ou d’une guerre atomique généralisée.

Rappelez-vous de ce qu’écrivait la presse française en 2017 même si le ton est toujours le même : Donald Trump veut la guerre contre « Rocket Man » et la Corée du Nord, Donald Trump peut déclarer la guerre à Rohani ou encore Donald Trump menace Maduro et les vénézuéliens.

Résultat après presque 4 ans de présidence : zéro guerre et plusieurs accords de paix signés grâce à son action. Alors virus de la nature ou virus délibérément propagé ?  (Question tout à fait pertinente. ndlr).

Dans un rapport de l’OMS publié en septembre 2019 et qui s’intitule Global Preparedness Monitoring Board et dont un des auteurs est Antony Fauci, il est exactement question de la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel à des fins d’exercice sur la période septembre 2019-septembre 2020.

Au paragraphe « Indicateurs de progrès », il est écrit :

Les Nations Unies (y compris l’OMS) organisent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

L’OMS met au point des facteurs déclencheurs intermédiaires pour mobiliser une action nationale, internationale et multilatérale dès le début d’une flambée, afin de compléter les mécanismes existants pour les stades ultérieurs et plus avancés d’une épidémie dans le cadre du RSI (2005).

Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies convoque un dialogue de haut niveau avec les responsables de la santé, de la sécurité et des affaires étrangères pour déterminer comment le monde peut faire face à la menace d’une pandémie due à un agent pathogène respiratoire mortel, et pour gérer la préparation aux épidémies dans des situations complexes où règne l’insécurité.

The world looks wobbly" according to The World in 2019

Dans le magazine hebdomadaire The Economist et dans un des numéros paru en fin d’année 2018 et qui s’intitule « The World In 2019 », il était déjà question de la survenue d’un événement exceptionnel qui allait semer la mort et l’apocalypse à travers le monde.

Sur la première de couverture, où les fans de ce magazine y trouvent toujours une page entière consacrée à l’eurythmie où le jeu consiste à deviner (ou se préparer) pour tous les événements de l’année à venir, on peut y voir beaucoup de dessins comme notamment ceux du président chinois en Pinocchio (le menteur), un QR code sur un téléphone, un ARN incomplet ou encore une cigogne portant un bébé avec un code barre.

Mais les plus intéressants de tous ces dessins sont les figures représentant les 4 cavaliers de l’apocalypse, le panda fâché regardant Donald Trump et le pangolin.

Alors pour en revenir à nos probabilités et aux événements improbables et incertains, c’est-à-dire aux cygnes noirs, pourquoi diable les Rothschild, qui sont les propriétaires de ce magazine et les initiateurs de ce jeu annonciateurs pour initiés, ont-ils choisi le pangolin pour figurer sur cette première de couverture alors qu’il existe près de 8 millions d’espèces animales dans le monde ?

J’en avais déjà parlé dans un article paru en février 2019 intitulé « Vers davantage de contrôle et moins de liberté » mais je n’avais toutefois pas précisé que l’événement dont il était question et qui allait survenir en 2019, allait être une pandémie.

Il est vrai aussi que le fait de voir ce panda fâché dévisager Donald Trump et qui reste inflexible et déterminé peut nous laisser penser que l’apparition du SARS-COV2 dans le monde relève d’un début de guerre bactériologique entre la Chine et les États-Unis.

D’autant plus qu’il y a environ un peu plus d’un 1 an, le 5 août 2019, nous apprenions par l’intermédiaire du New York Times qui rapportait dans un de ses articles, que l’armée de terre américaine venait juste d’ordonner la fermeture du laboratoire militaire de Fort Detrick dans le Maryland. Laboratoire militaire de classe Pathogène 4 (P4) donc de très haute sécurité, rappelons-le, et dans lequel ne sont effectuées que des recherches au contact de virus exceptionnellement mortels à des fins de production d’armes biologiques et bactériologiques.

Il est important par ailleurs de noter que le laboratoire de Fort Detrick avait déjà été au cœur de plusieurs scandales aux États-Unis dont celui qui a donné lieu à l’affaire « Drop Kick », opération militaire durant laquelle l’armée américaine a délibérément relâché dans des zones civiles des centaines de milliers de moustiques porteurs de la malaria à des fins de tests.

Il s’agit juste d’une parenthèse importante pour bien faire comprendre aux lecteurs que quand une organisation militaire ou scientifique veut relâcher un virus dans la nature à des fins d’exercice ou de test, il ne s’agit pas de complotisme. Cela existe et l’opération « Drop Kick » n’a pas été une erreur et un cas isolé. (Voilà d’autres faits avérés. ndlr).

Si à cela on ajoute d’autres événements tels que l’assassinat étrange du chercheur sino-américain Bing Liu, la fuite rocambolesque de la chercheuse chinoise Juan Tang pour se réfugier dans l’ambassade chinoise de San Francisco et dans le même temps la fuite « à la Spy Game » de la chercheuse et spécialiste mondiale des coronavirus Li-Meng Yan vers les États-Unis, il y a vraiment de quoi être dérouté.

Cependant, après quelques mois de réflexion et un peu de recul, ce que nous trouvons sur le site du Forum Économique Mondial nous démontre bien que la première hypothèse est la bonne, la seconde est un leurre.

À savoir que nous sommes bien dans le cas où la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel a pour objectif d’amener l’humanité à changer de paradigme.

Si vous vous rendez sur le site du Forum Économique Mondial et que vous vous allez sur l’onglet « platforms » et que vous cliquez ensuite sur « covid action platform » vous y lirez déjà des informations extrêmement intéressantes.

Déroulez ensuite votre curseur et cliquez après sur le graphique en forme de coronavirus tel que celui-ci-dessous. C’est le même. Il va s’afficher et devenir interactif.

Cliquez ensuite sur « Avoiding COVID-19 Infection and Spread ». C’est stupéfiant.

Vous y verrez clairement que si vous voulez sortir de cette pandémie et en éviter d’autres, la seule piste qui vous est proposée est celle du gouvernement mondial, de la transhumance [du transhumanisme] et la voie du vaccin.

Alors si nous savons déjà beaucoup de choses sur le gouvernement mondial, l’intelligence artificielle et l’homme augmenté, ce que nous savons moins en revanche et dont nous avons moins connaissance, ce sont toutes ces choses satellites au vaccin et c’est là, où les choses deviennent très intéressantes.

Dans le brevet qu’a déposé Microsoft le 26 mars 2020, il est écrit :

L’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d’un système de cryptomonnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d’un utilisateur qui est couplé de manière à communiquer avec le serveur. Un capteur couplé de manière à communiquer avec un dispositif de l’utilisateur ou compris dans ce dernier peut détecter l’activité corporelle de l’utilisateur. Des données d’activité corporelle peuvent être générées sur la base de l’activité corporelle détectée de l’utilisateur. Le système de cryptomonnaie de la présente invention couplé de manière à communiquer avec le dispositif de l’utilisateur peut vérifier si les données d’activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, et attribuer une cryptomonnaie à l’utilisateur dont les données d’activité corporelle sont vérifiées.

Alors quelques questions se posent et elles sont les suivantes :

  • Comment va-t-on équiper tous les êtres humains de censeurs qui pourront à la fois détecter le mouvement des bras et des jambes, la position assise ou couchée, l’activité physique de l’activité cérébrale ?
  • Quel est le rapport entre les cryptomonnaies, la 5G et les données d’activité corporelle ?
  • Est-ce que le futur vaccin contenant cet ARN génétiquement modifié et dont l’autorisation de mise sur le marché a été voté ce 10 juillet 2020 par le parlement européen n’a pas vocation à modifier notre ADN et le rendre facilement identifiable par un réseau d’intelligence artificielle ?

Même s’il est difficile de répondre à ces questions dans l’immédiat, il est très important de bien comprendre que l’ère dans laquelle nous entrons est inéluctablement celle de l’intelligence artificielle. Dans cette nouvelle ère, ce qui est également très probable est le fait que beaucoup d’êtres humains n’y trouveront sans doute plus leur place et deviendront obsolètes. (Un autre assertions très plausible en effet. ndlr).

Ils seront progressivement éliminés. (Ca c’est moins certain –  c’est le problème des complotistes – ils déifient leurs bourreaux et pensent que les péquenots victimes du système ne peuvent pas résister ni se révolter.  Erreur – Leurs crimes nous feront réagir à coup sur. ndlr [NdNM : la réalité pourrait, encore une fois, se situer plutôt entre ces deux affirmations.]).

De la même façon qu’aujourd’hui les chiens robots sont venus progressivement remplacer les soldats au devoir, à la surveillance frontalière ou en zone de guerre, il est évident que le Capital de demain ne pourra pas garder et payer les gens à la maison à ne rien faire car absolument tout sera remplacé par l’intelligence artificielle. Y compris la police et l’armée et ce n’est absolument pas une fiction. (Oui, beaucoup de fiction à mon avis. ndlr).

Quant aux autres, ceux qui resteront, les augmentés, ils seront tous inéluctablement tous bio-connectés à une intelligence artificielle qui les gérera ou les éliminera s’il y a lieu de le faire. Nous le répétons, ce n’est pas de la science fiction et nous ne sommes pas dans un film.

Tout ceci est la réalité mais il est encore très difficile de la saisir dans le temps présent alors que la compréhension de l’ensemble du projet s’inscrit, elle, dans le temps long [long terme].

Cette « pandémie » qui a été mise au point par tous ces gens machiavéliques qui décident de l’avenir des peuples et dirigent le monde, n’a rien d’un jeu pour enfant.

Comme l’explique l’OMS à travers ses publications et comme le publie également le Forum Économique Mondial sur son site, nous sommes en droit de nous demander quelle sera alors l’issue de cette partie finale qui se jouera entre ceux qui veulent nous contrôler et nous posséder d’une part et ceux qui ne veulent pas de ce projet d’autre part ? (Le prolétariat ne veut pas [et] ne peut pas tolérer ces projets et il sera acculé – obligé – de réagir pour ne pas périr. ndlr).

Pour répondre à ces nombreuses questions qui pointent du doigt les incompétences et les erreurs des gouvernements dans la gestion de cette crise et cet entretien de la terreur par les effets statistiques via la propagande médiatique, force est de constater qu’il ne s’agit pas d’erreur mais bien de stratégie.

Le 18 octobre 2019, au Johns Hopkins Center for Health Security à New York, il s’est sans doute tenu, concernant l’avenir du monde, la réunion la plus importante de toute l’année 2019.

Il s’agit de l’Event 201.

Cette réunion, organisée en partenariat entre le centre John Hopkins, la fondation Bill et Melinda Gates et le Forum Économique Mondial, avait pour objectif de préparer l’exercice dont parle l’OMS dans son Global Preparedness Monitoring Board de 2019. Elle s’est tenue en public avec des invités triés sur le volet et sous forme d’une pièce de théâtre où chacun avait un rôle bien précis. La simulation consistait à se préparer à la prochaine pandémie mondiale qui, selon les chiffres avancés lors de cette réunion, allait faire plus de 65 millions de morts sans compter les dégâts incommensurables qu’une telle catastrophe allait provoquer sur l’économie globale : soit une chute du PIB mondial de 11 points.

Ce qui est intéressant à savoir c’est que tous les gouvernements et la plupart des grands médias de la planète étaient au courant de cette réunion. Seulement personne n’en a parlé. La consigne était de ne pas en parler. Pourtant cet exercice n’était pas qu’une simulation, c’était une véritable préparation à la pandémie qui allait venir quelques semaines plus tard mais si vous répétez cela, vous serez désigné comme complotiste et vous serez discrédité à vie.

Si vous regardez bien le parcours professionnel des personnages politiques en fonction, vous verrez que la plupart des Ministres de la santé viennent presque tous du privé et ont tous des liens plus ou moins étroits avec les plus grandes entreprises pharmaceutiques de la planète (une autre vérité avérée. ndlr).

Et alors diront les libéraux dont je fais partie ? Est-ce interdit ? Bien sûr que non. Oui c’est légal et ce n’est pas mal en soi.

Mais comment ces gens, qui sont censés travailler pour le bien-être et l’intérêt des peuples et des nations, peuvent agir en même temps dans l’intérêt des entreprises pharmaceutiques, dont le seul objectif et unique est de rendre malade les peuples et les nations pour ensuite leur revendre des traitements sous licences afin de faire un maximum de profits ?

N’y a-t-il pas là un conflit d’intérêt ? Bien évidemment que oui.

Rappelez-vous, car nous l’avons vu plus haut, qu’en cas de crise sanitaire mondiale, comme c’est le cas avec la crise du COVID-19, tous les états membres doivent impérativement accepter de suivre les consignes du Conseil Mondial lequel est dirigé actuellement par Madame Gro Harlem Brundtland.

Une charmante dame très connue pour avoir échappé à la mort lors de la tuerie d’Utoya en Norvège et dont le père, Gudmund Harlem, était redevable à la fondation Rockfeller qui a bien voulu financer ses études de médecine.

La création et la présentation du Conseil Mondial a été officiellement annoncée par communiqué de presse par l’OMS le 24 mai 2018. Son rôle est, en cas de pandémie, de réunir tous les dirigeants du monde et de leur donner les consignes à suivre pour endiguer la pandémie en cours sur leur territoire. Sa création est le résultat d’un travail conjoint entre l’OMS et le Groupe de la Banque Mondiale.

Petit flashback intéressant concernant la Banque Mondiale.

Le 28 juin 2017, la Banque Mondiale, qui est une Banque censée aider les pays les plus pauvres de la planète, a eu l’incroyable idée d’émettre sur le marché des obligations des « Pandemic Bonds ». C’est-à-dire des bons obligataires à un horizon de 3 ans basés sur un risque de pandémie.
Une idée folle n’est-ce pas ? Pas tant que ça à vrai dire surtout si vous êtes une banque, un fond de pension ou un fond d’investissement et que vous êtes au courant, — et en droit financier cela s’appelle le délit d’initié —, qu’il va y avoir une pandémie.

A votre avis, combien de banques accepteraient de se lancer, — de façon hasardeuse —, dans l’émission de telles obligations sans avoir la certitude de ramasser le jackpot avant la fin du contrat ? Aucune.

Mais comment voulez-vous prévoir une pandémie ? C’est tout simplement impossible.

Alors en quoi consistent ces pandemics bonds ? C’est très simple.

La Banque Mondiale vend pour X millions de dollars de bons à des fonds, des sociétés ou des états en misant sur le fait qu’il y aura une pandémie avant le 15 juillet 2020. Ceux-ci fonctionnent comme des contrats d’assurance avec des rendements allant jusqu’à 12%. Si une pandémie est déclarée avant le 27 juin 2020, alors les acheteurs de ces contrats perdent leur mise et une partie de l’argent collecté est reversé aux pays les plus pauvres de la planète (75 états). S’il n’y a pas de pandémie, les investisseurs récupèrent leur mise de départ et les intérêts qui en découlent.

Aujourd’hui, toutes les structures qui ont investi dans les pandemics bonds disent qu’il y a anguille sous roche et ont perdu leur mise. Ce qui est intéressant également à noter c’est que les pays les plus pauvres de la planète n’ont toujours pas touché leurs aides. Ces contrats, en effet, qui prenaient en compte le virus concerné, le début de la pandémie, son évolution ou encore le nombre de morts, etc, étaient en réalité bien plus complexes qu’ils n’en avaient l’air.

Pour Arturo Bris, professeur de finance, il n’y a aucun doute :

« Les gens qui sont à l’origine de la création et de l’émission des pandemic bonds étaient au courant du fait qu’il allait y avoir une pandémie de coronavirus avant le 15 juillet 2020 ».

Ce sont de graves accusations mais sont-elles infondées et farfelues ? Pas si sûr.

A ce stade, il est maintenant très difficile de défendre l’idée que le SARS-COV2, qui provoque cette pathologie respiratoire dénommée la COVID-19, est un virus venu de la nature et que personne n’était au courant comme il est encore plus difficile de croire que tout le monde a été surpris et pris de court et que tous les gouvernements de la planète ont été des amateurs.

Peut-être que la Chine a menti, comme un Pinocchio sur une page de couverture, et peut-être même que l’état profond chinois a été complice dans la dissémination délibérée de ce virus et dans le lancement théâtral de cette pièce tragique et funeste. Nous ne le saurons peut-être jamais.

Mais ce qui est certain et que nous commençons à comprendre, c’est que dans cette ère où l’intelligence artificielle est censée remplacer l’homme, nous irons de surprise en surprise.

Le vaccin final et le projet « Trust Stamp » de Bill Gates

Le souhait de Bill Gates et des eugénistes, et qui est de vouloir coûte que coûte contrôler et vacciner toute la planète sous couvert d’avancées humanitaires et philanthropiques, ne date pas d’hier.

Comme le montre la photo ci-dessous, on peut y voir le père du créateur de Microsoft, en pose très confiante avec David Rockfeller et son petit fils. Il est au milieu et c’est très révélateur.

Le projet conjoint « Trust Stamp » de la fondation Bill et Melinda Gates, de la fondation Rockfeller et de Mastercard consiste à vacciner tous les êtres humains avec des alibis infantiles, comme par exemple la lutte contre le blanchiment ou la lutte contre le trafic d’être humains, comme on peut le lire sur l’onglet « humanitaire » du site.

La réalité est tout autre et d’ailleurs, les premières expériences sont déjà en cours en Afrique de l’Ouest. Intéressant de voir que c’est toujours en Afrique, en Inde ou dans les régions les plus pauvres de la planète que Bill Gates et ses amis philanthropes essaient toujours leurs dernières trouvailles (une autre vérité avérée. ndlr).

L’organisation « ID2020 », qui est également le nom d’un autre projet conjoint de vaccination planétaire piloté par Bill Gates et dont les principaux partenaires sont là encore les fondations Gates et Rockfeller, s’engagent à fournir une identité numérique aux milliards de sans papiers qui migrent à travers le monde.

S’agissant du vaccin, qui est déjà en train d’être massivement inoculé en Afrique et au Bangladesh et qui contient non seulement l’ARN capable de modifier notre génome en temps réel mais aussi les nanoparticules censées interagir avec les réseaux d’intelligence artificielle auquel tous les vaccinés seront connectés, il est impossible dans l’immédiat de prédire quels seront les effets premiers et les effets secondaires.

Du point de vue juridique, les citoyens vaccinés n’auront aucun recours possible pour se défendre car, comme vous le savez sans doute, aucune des sociétés qui développent et produisent des vaccins n’est passible de poursuite devant un tribunal de par le monde ni devant une quelconque juridiction. Dans ce domaine, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité judiciaire sans limite. (Voilà une autre vérité avérée et extrêmement dangereuse. ndlr).

Du point de vue technique et salutaire, dans le cas où tout le monde serait vacciné et répertorié selon le projet ID2020 étendu et où nous devrions évoluer dans un système verrouillé tombé aux mains de radicaux fous et totalitaires, il serait impossible de se défendre et de se retourner contre ceux qui n’auraient qu’un clic à effectuer pour nous ôter la vie au cas où il nous viendrait l’idée de vous révolter ou de vouloir contester un ordre.

La COVID-19 est bien la crise majeure dont parlait David Rockefeller il y a quelques années.

Les eugénistes-malthusiens-transhumanistes ont actuellement le pouvoir et il va être très difficile de leur ôter. L’argent est bien souvent le nerf de la guerre et ils en impriment à profusion. Ce sont eux qui ont le doigt sur l’imprimante et elle tourne à plein régime. (Non, c’est le Grand capital international qui possède tout le pouvoir — relire Marx ci-haut — les eugénistes reflètent les idées d’une faction des intellectuels au service de ces ploutocrates… comme d’autres idéologues qui décrivent le monde mais ne le dirigent pas. ndlr [NdNM : Bill Gates et les Rockefeller font partie du Grand capital international et en sont assez probablement au sommet avec les Rothschild et quelques autres familles]).

Dans un récent article publié sur le site de Futurama, qui présente la start-up « Neuralink » et ses travaux, les auteurs expliquent très bien la velléité du transhumanisme qui est de connecter l’homme à la machine, c’est-à-dire l’Humanité à l’intelligence artificielle, via un « neural lace », c’est-à-dire un implant greffé au cerveau.

Alors certes, les travaux de cette société appartenant au célèbre milliardaire Elon Musk en sont encore à implanter des puces sur les cerveaux des cochons mais les premiers résultats sont déjà là et ils sont prometteurs.

Derrière l’argument du progrès et de l’aide que va apporter ce nouveau système d’assistance neurologique aux paralysés, aux sourds et aux malentendants, aux aveugles, aux malades d’Alzheimer ou de Parkinson, il existe une autre réalité dans les coulisses du transhumanisme et celle-ci n’est jamais mise en avant. Elle réside dans la prise de pouvoir qui pourrait donner, à une seule personne, le contrôle de toutes ces intelligences artificielles et par là même le contrôle total sur une humanité connectée.

Car il n’y a aucun doute sur le fait qu’après avoir greffé les cochons ne vienne le moment de greffer les hommes. (C’est tout à fait plausible. ndlr).

Qu’en sera-t-il si vous ne contrôlez plus vos pensées, vos faits et vos gestes ? Qu’en sera-t-il si l’intelligence à laquelle vous êtes connecté subit un bug ?
Que pourrez-vous faire si vous n’avez plus le contrôle de votre vie, de votre corps, le contrôle sur vos enfants ? Que pourrez-vous faire si quelqu’un venait à pirater l’intelligence à laquelle vous êtes connecté et à en prendre le contrôle ?

Il n’est pas évident de répondre à toutes ces questions.

Pour vous donner un exemple de dérive, sachez qu’en ce moment même, si jamais vous sortez sans masque ou que vous refusez d’en porter un dans les rues de la région du Québec, et bien vous risquez de vous retrouver dans des camps pour détenus ayant peut-être la COVID pour une durée de 14 jours. Vous en sortez, vous rentrez chez vous et là, la police vous contrôle à nouveau. Vous repartez en camp pour détenus COVID et ainsi de suite tant que durera la situation d’urgence sanitaire. C’est en tout cas ce qu’expliquait le docteur Jacques Girard lors d’une intervention publique le 2 septembre dernier sans toutefois répondre à la question d’une journaliste qui lui demandait où étaient enfermés les dissidents à cette crise.

Vous l’avez compris, l’état de crise sanitaire dans lequel nous sommes plongés depuis déjà plus de 6 mois, autorise les autorités à arrêter quelqu’un sur une simple suspicion et à le détenir 14 jours.

À partir de là, personne n’est autorisé à savoir où l’interpellé est détenu ni à avoir la garantie qu’il ne mourra pas potentiellement de la COVID pour être ensuite incinéré comme le veut le protocole sanitaire.

Ce qui est plus facile également de comprendre en revanche, c’est que ceux qui pensent, décident et dirigent ce monde ont déjà commencé à jouer avec le feu et ils ne sont plus en mesure de le contrôler. Un peu comme si un joueur dans un casino n’arrivait plus à se contrôler et à s’arrêter.

L’OMS, dans son GPMB de 2019, parle bien de « deux exercices » de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

Le premier, nous le connaissons. Il a consisté en la dissémination délibérée du SARS-COV2, à alerter les populations sur le danger mortel de contracter le virus, arrêter l’économie, confiner les populations et leur rendre une semi-liberté sous conditions. C’est-à-dire qu’elles portent le masque et qu’elles acceptent un ou des éventuels reconfinements jusqu’à ce que le Conseil Mondial ordonne la fin officielle de la pandémie ou fournisse une fausse solution : le vaccin.

Le second consistera probablement à vacciner toute la population mondiale et à lui inoculer tout ce dont nous avons parlé plus haut avec l’alibi de vouloir tous nous sauver de la COVID-19, cette maladie qu’ils ont en réalité eux-mêmes propagée. Maladie qui, au passage, est extrêmement dangereuse pour les familles qui veulent se promener sur la plage, mais qui est sans aucun danger pour les manifestations Black Lives Matter que les autorités du monde entier ont autorisées. (Une autre vérité avérée. ndlr).

Voilà plus de 40 ans maintenant que les chercheurs de tous les pays essaient de développer un vaccin contre le virus qui provoque chez l’homme le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA).

Y sont-ils arrivés malgré les budgets pharaoniques qui leur ont été attribués ? Non.

Et vous savez pourquoi ? Parce qu’il est impossible de se prémunir contre des virus qui s’adaptent et évoluent en passant d’un organisme vivant à un autre, d’un homme à un autre.

[NdNM : la théorie virale n’est qu’une théorie non pleinement démontrée. La théorie des exosomes semble expliquer mieux et plus complètement les phénomènes « épidémiques ». Voir : La théorie des exosomes contre celle des virus, Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus et 5G, virus et covid-19]

Les coronavirus sont une famille de rétrovirus à ARN très répandus et chaque année, dans tous les pays, les instituts d’infectiologie en dénombrent à chaque fois 4 ou 5 nouveaux plus ou moins coriaces. Tantôt ils sont bénins, tantôt ils peuvent provoquer des complications respiratoires sévères.

En France et dans le reste de l’Europe, ils sont très nombreux à circuler dans les cours d’école, dans les transports en commun ou dans tous les lieux publics.

Dès que nous approchons des moments de fortes amplitudes thermiques, dans les saisons où nous passons du chaud au froid ou du froid au chaud très rapidement, tous ces virus, qui sont dit saisonniers, se manifestent et s’installent. Ils nous rendent malade et puis disparaissent.

Un article publié sur le site Sciences et Avenir et dont le sujet est dans le titre : « et si on ne trouvait jamais de vaccin ? » explique plutôt bien et gentiment les dessous de la recherche vaccinale sur les virus à ARN.

A-t-on trouvé un vaccin contre SARS-COV1 ? Non. Il n’en existe pas et on en trouvera jamais, alors par quel miracle trouverons nous un vaccin contre le SARS-COV2 ?

C’est une foutaise et c’est la même foutaise que celle du trou dans la couche d’ozone. Rappelez-vous tout l’argent qu’ont prélevé les gouvernements via toutes sortes de taxes pour sauver le trou dans la couche d’ozone. Puis on n’en a plus parlé du jour au lendemain. (Une autre vérité avérée. ndlr).

Mais les humbles veillent et vous posent la question : où est passé le trou dans la couche d’ozone ?

Les véritables objectifs des dirigeants de ce monde ne sont pas de sauver l’humanité mais de lui donner le coup de grâce. Ce qu’ils veulent c’est lui imposer un contrôle total et totalitaire et réduire le nombre d’individus à un seuil gérable du point de vue démographique et politique, et de faire en sorte que sa mise en servitude soit définitive.

Il y a quelques jours à peine, le professeur Raoult de l’IHU de Marseille, dont nous ne sommes ni les contradicteurs ni les admirateurs, disait qu’il y avait en circulation sur le sol français, non pas une souche de coronavirus SARS-COV2 mais 7 différentes. Des souches mutantes. C’est-à-dire des souches ayant changé au fur et à mesure qu’elles passaient d’un hôte à un autre.

Ce qui est surtout intéressant de savoir concernant la souche originelle du SARS-COV2, c’est qu’il n’est absolument pas un virus provenant de la nature mais qu’il est issu d’un croisement, comme l’affirme la professeur Li-Meng Yang, une spécialiste mondiale des coronavirus. Elle est aujourd’hui réfugiée au États-Unis et protégée par le FBI.

Dans une interview accordée à la chaine NewsMax il y a environ 1 mois, elle expliquait que ce virus, sur lequel elle travaillait en particulier lorsqu’elle était en fonction au laboratoire P4 de Wuhan en Chine, n’a rien de naturel et qu’il est le croisement de deux coronavirus ; celui du pangolin et celui de la chauve-souris.

[NdNM : dans la théorie des exosomes, les prétendus « virus » seraient en fait des « exosomes » produits par nos propres cellules ou par celles des animaux, lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre — par déficience en nutriments, par des toxines ou des poisons divers (pesticides, additifs alimentaires, produits chimiques ménagers, polluants atmosphériques, etc.), par le froid, le manque de soleil, la peur et le stress ou même par des ondes électromagnétiques pulsées telles que celles du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G. Les exosomes produits par nos cellules sont éjectés de notre corps en particulier par la sudation, favorisée par la fièvre en cas de besoin. S’ils se retrouvent en contact avec d’autres organismes, ils sont perçus comme des éléments étrangers et éjectés pareillement sans faire spécialement de dommages, mais surtout sans s’y multiplier, car ils ne sont que des conséquences des agressions subies par les cellules, pas les véritables causes. Les nombreuses prétendues « mutations » des virus ne sont que l’expression de la grande variété du matériel génétique humain et de l’adaptation partielle du corps à ces agressions. On peut ainsi déduire de cette théorie scientifique révolutionnaire que manipuler des virus en laboratoire P4, pour en faire de nouvelles sortes de virus supposément plus mortels, n’aura jamais les effets escomptés et ne produira jamais d’hécatombe. Il est pratiquement démontré que le SRAS-COV2 n’a pas produit de surmortalité par rapport aux années précédentes, et pour cause si cette théorie est avérée. À l’inverse, la peur, le stress, le port du masque, le confinement, les vaccins, le Wi-Fi, la 5G… agressent nos cellules et produisent des effets qui seront facilement perçus comme épidémiques, puisqu’ils sont produits en masse, grâce notamment aux propagandes de peur des médias mainstream, aux campagnes vaccinales contre la grippe et autres maladies et à l’expansion des réseaux de communication sans fil.]

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour avoir découvert le virus du SIDA, a été quant à lui le premier francophone à dénoncer le fait incroyable et étrange que dans le génome du SARS-COV2, on y retrouvait des séquences génétiques du virus du SIDA.

Dans une interview accordée à la chaîne Thana TV, il explique cette manipulation, ces insertions et les dérives qui guettent l’humanité tout en s’inquiétant du fait que nous « vivons dans un monde de fous » pour reprendre ses termes.
(Voilà une autre vérité avérée. Je ne dirais pas un monde de fous – je dirais un monde capitaliste décadent rendu au bout de son destin et que le grand capital ne sait pas mieux faire que de tenter de le faire perdurer. Il faut l’abolir. ndlr [NdNM : le « grand capital » se partage facilement la vedette avec le communisme en ce qui concerne les conséquences négatives sur la vie humaine et planétaire. Plusieurs dizaines de millions de personnes ont été victimes de génocides sous des régimes communistes. Mao Zedong, Joseph Staline et Pol Pot sont parmi les principaux assassins.])

Alors qu’allons-nous dire à nos enfants lorsqu’ils ils nous demanderont pourquoi nous n’avons rien fait lorsqu’il était encore temps ?

À ce stade, il n’y a plus aucun doute que les mesures contradictoires et paradoxales prises par les autorités sanitaires durant la gestion de cette crise n’ont pas d’autres objectifs que de créer de la dissonance cognitive chez les individus afin de briser leur rationalité.

Cette dissonance nous empêche ainsi de réfléchir et d’en arriver à la conclusion que nous vivons une véritable manipulation. Comment se fait-il qu’aucun grand média mainstream n’apporte de contradiction ou ne remettent en question toutes les mesures sanitaires gouvernementales qui jusqu’ici n’ont été que des échecs ?

N’y a-t-il pas là une communication de programmation et de conditionnement ?

Joseph Goebbels disait : « un mensonge répété à quelqu’un restait toujours un mensonge mais un mensonge répété 1000 fois et partout devenait une vérité ». C’est terrible à dire mais malheureusement c’est exactement ce qui en train de se passer et c’est entre autre pour cette raison que Luc Montagnier dit que nous vivons dans un monde de fous.

Plus personne n’ose contester le port du masque alors que des centaines d’études à travers le monde ont démontré que, non seulement il était inefficace mais qu’il était également dangereux. On ne compte plus le nombre de personne ayant eu des troubles ou des accidents à cause du port prolongé du masque. Et la semaine passée, une fille de 13 ans est décédée en Allemagne après s’être évanouie dans le bus à son retour de l’école. Une autopsie est en cours.

Certains le portent par conviction, et là on ne peut rien faire pour eux, car une fois que l’on adhère au dogme politico-médiatique il est très difficile d’en sortir, sinon c’est le monde qui s’écroule et là, très peu de gens sont prêts pour ça. C’est-à-dire sortir de la Matrice et suivre le lapin blanc.

D’autres le portent par obligation, par peur du qu’en dira-t-on, par peur d’enfreindre la loi ou par peur de la verbalisation même s’ils sont convaincus de son inutilité. Et là c’est pire car c’est la voie toute tracée vers un totalitarisme nouveau, une dictature parfaite.

Aldous Huxley écrivait dans Le meilleur des mondes : 

« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude ».

Nous y sommes non ?  (NON nous n’y sommes pas – dans l’énoncé précédent il est stipulé que les esclaves consomment et se divertissent – mais de fait, le confinement appauvrit tout le monde – tuent les pauvres et paupérises les petits-bourgeois. Le grand capital creuse sa tombe parmi les prolétaires enragés. Voilà ce qui nous oppose aux conspirationnistes qui croient que la game is over! ndlr [NdNM : capitalisme et communisme sont les deux idéologies majeures — et systèmes — sur lesquelles s’appuient les élites mondiales pour construire leur Nouvel Ordre Mondial qui en fait la synthèse. S’imaginer que l’un vaut mieux que l’autre est probablement illusoire.]).

Les gouvernements ne  font pas d’erreurs lorsqu’ils vous disent, au plus fort de la contagion, que les masques sont inutiles. Pas plus qu’ils n’en font lors des lendemains tranquilles, au plus fort de l’été lorsque les hôpitaux sont vides, lorsqu’ils vous disent le contraire. Qu’il faut porter le masque pour vous protéger et protéger les autres.

Ce n’est pas une erreur lorsqu’ils vous disent que vous devez porter le masque au travail entre collègues mais pas au restaurant avec les mêmes collègues.

En réalité, les gouvernements créent chez vous de la dissonance cognitive, c’est-à-dire une mise en situation dans laquelle tous vos jugements entre en contradiction les uns avec les autres et vous amènent à des situations de blocages et d’égarement. Vous êtes ainsi beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable à des consignes que vous n’auriez sûrement pas acceptées si votre raison fonctionnait normalement.

Ils nous rendent malade de stress et d’anxiété

Le fait de porter un masque nous entretient dans un climat de terreur qui repose sur une menace que nous ne voyons ni ne percevons. Ce qui amplifie nos angoisses et notre stress et impacte directement notre système immunitaire qui s’affaiblit à force d’anxiété. Du point de vue psychologique, nous savons que la peur est très mauvaise conseillère. Lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes. Les ingénieurs sociaux le savent et la journaliste canadienne Naomie Klein a écrit un excellent ouvrage sur le sujet, « La stratégie du choc ».

Au-delà du fait qu’il s’agit d’un livre très critique sur les dérives de l’ultralibéralisme, l’ouvrage met surtout en lumière le fait que les gouvernements profitent de plus en plus fréquemment de certains événements majeurs, telles que les attaques terroristes (cas du 11 septembre 2001) ou les insurrections populaires (cas des gilets jaunes en France), https://les7duquebec.net/archives/253109  pour renforcer leur arsenal juridique (perquisitions sans commission rogatoire, restriction des libertés, assignation à résidence, fichage des individus, renforcement des contrôles, etc.) visant à restreindre les libertés individuelles de chacun sans toutefois apporter une réelle sécurité aux populations.

Est-ce que les états d’urgence qui ont été instaurés dans plusieurs États du monde ont été ensuite retirés ? Non et ils sont toujours en vigueur.

Est-ce que l’état d’urgence qui perdure en France depuis le massacre de l’équipe de Charlie Hebdo en 2015 a t-il empêché l’attentat de Nice ? Non. Absolument pas. Une des grandes entourloupes du gouvernement Valls a été de faire croire aux français qu’il allait lutter contre les injustices sociales et les idéologies radicales en installant partout des caméras et des portiques de sécurité.

L’état d’urgence, en réalité, n’a fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre établi et des gouvernements sous prétexte de lutter contre le terrorisme et les français l’ont accepté. La peur de mourir, égorgé par Mohamed le gérant de la petite épicerie du bas de l’immeuble ou par Youcef à coups de balai entre deux nettoyages de voirie était trop forte et allait bien au-delà de la raison.

Notre réalité dans ce monde ne se base et ne se construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos sens et lorsqu’ils sont biaisés ou ne sont plus tout à fait fonctionnels, c’est tous les repères qui s’effondrent. Nous nous retrouvons là dans une position d’extrême vulnérabilité voire même de perdition. Comme des baleines dépourvues de leur système d’écholocation.

Nous perdons ainsi confiance en nous et dans les autres, tous nos repères et nos valeurs s’estompent et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité.

C’est en quelque sorte un peu ce qui se passe lorsque nous tombons malades et que nous nous rendons chez le médecin. Pour guérir et recouvrer notre santé, nous ingurgitons tout ce qu’il nous donne et bien souvent sans lire attentivement la notice.

Nous nous retrouvons comme des enfants dans les mains de nos parents.

Les gouvernements, qui ont malheureusement bien compris cette mécanique anthropologique et ces leviers psychosociaux depuis très longtemps, concèdent des budgets considérables à l’ingénierie sociale. L’art de manipuler les masses.

Nous avons parlé un peu plus haut du laboratoire militaire P4 de Fort Detrik dans le Maryland, n’est-ce pas. Saviez-vous que ce laboratoire était également très connu pour avoir abrité durant plus d’un demi-siècle le plus grand centre de recherche mondial sur le contrôle mental ?

Il est vrai que c’est effrayant, mais ce n’est que la réalité. Si les structures supra-étatiques telles que l’OMS et le Conseil Mondial n’ont jamais eu autant de pouvoir, comme nous l’avons vu durant cette crise, le drame réside surtout dans le fait que ces organes ne sont absolument pas indépendants en toutes matières car elles dépendent elles aussi d’autres structures pour les financer.

Qu’il s’agisse de Madame Brundtland ou du controversé Monsieur Adhenom Ghebreyesus, tout nous laisse supposer aujourd’hui que ces acteurs internes ne sont que des femmes et des hommes de paille.

Le véritable chef d’orchestre est la main qui donne, jamais celle qui reçoit et depuis que les États-Unis ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS, c’est la Fondation Bill et Melinda Gates qui est devenue le premier contributeur.

Or sans réel contre-pouvoir, les populations du monde sont à la merci totale de ces supra-structures qui gèrent les crises qu’elles ont elles-mêmes sans doute orchestrées et provoquées.

Tout le monde aujourd’hui comprend bien que quelque chose cloche, que l’on ne nous dit pas la vérité et que les chiffres sont truqués et manipulés et que surtout, plus rien ne sera comme avant.

Oui, il y a un plan de gouvernance mondiale et même un aveugle le verrait. De Georges Bush à Nicolas Sarkozy, toutes les grandes personnalités politiques n’ont eu cesse de le répéter et personne ne le nie. Ce n’est absolument pas du complotisme, « c’est notre projet » pour reprendre les termes exacts d’Emmanuel Macron car effectivement c’est un projet bien réel.

Nous avons tendance à oublier qu’il y a déjà une première ébauche de gouvernement mondial et elle s’appelle l’ONU. Que fait-elle ? Elle ne fait qu’adopter des résolutions qui ne servent à rien hormis brasser du vent.

Est-ce que l’ONU a aidé à ce que la souveraineté des états les plus pauvres de la planète soit respectée ? Non. L’ONU a-t-elle fait quelque chose pour les palestiniens ? Rien.

Le Proche et le Moyen-Orient aujourd’hui sont dans un chaos inédit.

Est-ce que l’ONU a empêché les bombardements de la Yougoslavie, de l’Irak, de la Libye ou de la Syrie ? La réponse est non.

Est-ce que les Américains ont apporté la démocratie et les droits de l’homme en Afghanistan depuis qu’ils y ont mis les pieds en 2001 ? Non. Sont-ils toujours là-bas ? Oui. 19 ans dans un pays pour rien.

La seule chose qui ait évolué en Afghanistan c’est la production d’héroïne et elle a explosé, entraînant par principe de cause à effet une hausse vertigineuse de sa consommation aux États-Unis pour atteindre un niveau alarmant.

On ne fait pas de guerre pour sauver les veuves et les orphelins et les milliardaires ne nous veulent pas du bien. Il faut arrêter de se leurrer. Ils ne sont intéressés que par leurs profits et leur salut.

C’est à nous de nous réveiller et d’arrêter de nous faire promener comme des enfants immatures et irresponsables et de concevoir un système pour décider tous ensemble de ce qui est bon pour notre avenir et notre planète.

La première chose à faire est déjà de nous déconnecter de tous ces instruments de conditionnement que sont les médias conventionnels qui ne font que servir la soupe à leurs propriétaires et leurs actionnaires principaux. Nous devons impérativement nous réapproprier les différents canaux d’information de grande écoute et participer à l’éducation des peuples afin qu’ils se réveillent et ne se fassent plus endormir comme des enfants.

La seconde est de veiller à ce que n’arrivent jamais au pouvoir des hommes et des femmes avides et cupides, et de créer un système de protection qui procure une immunité et une sécurité sans faille aux personnes vertueuses qui ont à cœur le bien être de l’humanité et de la nature.

A ce jour, ce sont plus de 655 000 américains qui ont déposé une pétition à la maison blanche pour que le gouvernement américain ouvre une enquête sur les objectifs cachés de la fondation Bill et Melinda Gates et sur le GAVI. Il n’y a aucun doute que nous entendrons parler, dès cet automne, des suites qui seront données à la pétition. Sûrement après les élections du 3 novembre.

Il est extrêmement important de faire la lumière sur les origines et les objectifs cachés de cette pandémie et de traduire en justice tous les différents protagonistes liés de près ou de loin à cet épisode funeste de l’histoire de l’humanité. (Un autre point qui nous différentie des complotistes. Nous ne faisons aucune confiance à l’État et à ses institutions corrompues et à ses ONG stipendiées et nous n’endossons aucune pétition ou appel à la « justice » des riches.  Ainsi, les laboratoires militaires P4 sont ceux-là même qui ont exfiltré et échappé ce SRAS Cov-2. Ces  45 laboratoires de guerre doivent être détruits. Seule la révolution nous permettra d’imposer cette sentence sans appel. ndlr).

Nous devons tout faire pour que cette pandémie nous serve de leçon et surtout qu’elle soit la première et la dernière.

Amar


Note du Saker Francophone

En ces temps troublés où le monde semble prêt à basculer d'un côté ou l'autre de la montagne, Amar vous propose sa vision des événements. Il s'appuie sur un certain nombre de faits en proposant une vision dystopique de l'avenir.

Rien n'est cependant écrit et même si la volonté de certains s'affiche clairement, la partie est en cours. Il est aussi possible de tirer d'autres conclusions et d'imaginer tout un ensemble de scénarios de prospective.



Théories de contrôle de l’esprit et techniques utilisées par les médias de masse

[Source : Nouvel Ordre Mondial]

© Vigilant Citizen, merci à Yohann pour la traduction!

Les médias de masse sont l’outil le plus puissant utilisé par la
classe dirigeante pour manipuler les masses. Ils forment et modèlent les
attitudes, les opinions et définissent ce qui est normal et acceptable.
Cet article examine le fonctionnement des médias de masse à travers les
théories de leurs penseurs majeurs, leur structure d’influence, et les
techniques qu’ils utilisent, afin de comprendre leur véritable rôle dans
la société.

Source de l’image deesillustration.com

Beaucoup d’articles de ce site [vigilantcitizen, ndlr] parlent de
symbolisme occulte trouvé dans des objets de la culture populaire. De
ces articles émergent beaucoup de questions légitimes liées à l’objectif
de ces symboles et aux intentions de ceux qui les placent ici, mais il
est impossible pour moi de fournir des réponses satisfaisantes à ces
questions sans mentionner de nombreux autres faits et concepts. Par
conséquent j’ai décidé d’écrire cet article autant pour étayer les
fondements théoriques et méthodologiques des analyses présentées sur ce
site que pour présenter les principaux spécialistes du monde de la
communication de masse. Des gens lisent mes articles et pensent que je
dis : « Lady Gaga veut contrôler nos esprits ». Or ce n’est pas le cas.
Elle est simplement une petite partie de l’énorme système que sont les
médias de masse.

La programmation via les médias de masse

Les médias de mass (« mass media ») sont des formes de médias conçues
pour toucher la plus large audience possible. Cela inclut la
télévision, les films, la radio, les journaux, les magazines, les
livres, les chansons, les jeux vidéos et Internet. De nombreuses études
ont été conduites au siècle passé pour mesurer les effets des médias de
masse sur la population afin de découvrir les meilleures techniques pour
l’influencer. De ces études a émergé la science des communications, qui
est utilisée dans le marketing, les relations publiques et la politique
: la communication de masse est un outil nécessaire pour assurer le
fonctionnement d’une vaste démocratie ; c’est aussi un outil nécessaire
pour une dictature. Tout dépend de son usage.

Dans la préface de son Meilleur des Mondes de 1958, Aldous
Huxley peint un portrait plutôt sombre de la société. Il croit qu’elle
est contrôlée par une « force impersonnelle », une élite dirigeante, qui
manipule la population par des méthodes variées.

« Les forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avions presque aucun contrôle semblent tous nous pousser en direction du cauchemar Meilleur-mondiste ; et cette poussée impersonnelle est en train d’être sciemment accélérée par les représentants des organisations politiques et commerciales qui ont développé un certain nombre de techniques pour manipuler, dans l’intérêt d’une certaine minorité, les pensées et sentiments des masses. »

– Aldous Huxley, préface du Meilleur des mondes.

Sa sombre perspective n’est pas qu’une simple hypothèse ou une
illusion de paranoïaque. C’est un fait certifié, présent dans les plus
importantes études mondiales sur les médias de masse. En voici quelques
unes :

Les penseurs de l’élite

Walter Lippmann

Walter Lippmann, intellectuel américain, écrivain qui a gagné à deux
reprises le prix Pulitzer, a donné naissance à un des premiers travaux à
propos de l’usage des médias de masse. Dans Opinion publique
(1922), Lippmann compare la masse à une « grosse bête » et à « un
troupeau perplexe » qui avait besoin d’être guidé par un classe
gouvernante. Il a décrit l’élite dominante comme « une classe
spécialisée dont les intérêts se portent au-delà du local ». Cette
classe est composée d’experts, de spécialistes et de bureaucrates. Selon
Lippmann, les experts, à qui ont fait souvent référence comme « l’élite
», seront sous peu une machine de la connaissance qui circonvient au
principal défaut de la démocratie, l’idéal impossible d’un « citoyen
omnipotent ». Le « troupeau perplexe » rugissant et piétinant a sa
fonction : être « le spectateur désintéressé de l’action », c-à-d pas un
participant. La participation est le devoir de « l’homme responsable »,
qui n’est pas le citoyen ordinaire.

Les médias de masse et la propagande sont par conséquent des outils
qui doivent être utilisés par l’élite pour diriger le public sans
correction physique. Un concept important présenté par Lippmann est la «
fabrication du consentement » qui est, en gros, la manipulation de
l’opinion publique pour accepter le programme de l’élite. A l’avis de
Lippmann, le public en général n’est pas en mesure de raisonner et de
trancher les questions importantes. Il est donc important pour l’élite
de décider « pour son propre bien » et ensuite vendre ces décisions aux
masses.

« Que cette fabrication du consentement soit capable de grandes améliorations personne, je pense, personne ne le nie. Le procédé par lequel les opinions publiques se présentent n’est certainement pas moins subtil qu’il l’est apparu dans ses pages, et les opportunités de manipulation qui s’ouvrent à quiconque comprend le procédé sont suffisamment claires… Comme un résultat de recherches psychologiques alliées avec les moyens de communication modernes, la pratique de la démocratie a pris un tournant. Une révolution se produit, infiniment plus significative que toutes les variations du pouvoir économique… Sous l’impact de la propagande, pas nécessairement au sens péjoratif du mot, les vieilles constantes de notre pensée sont devenues variables. Il n’est plus possible, par exemple, de croire au dogme initial de la démocratie ; que la connaissance nécessaire à la gestion des affaires humaines sort spontanément du cœur humain. Lorsqu’on agit selon cette théorie on s’expose à l’autodéception, et à des formes de conviction que nous ne pouvons vérifier. Il a été démontré que nous ne pouvons pas compter sur l’intuition, la conscience, ou les accidents de l’opinion faite à la va-vite pour traiter avec le monde au-delà de notre portée. »

– Walter Lippmann, « Opinion publique »

Il peut être intéressant de remarquer que Lippmann est un des pères
fondateurs du CFR (« Council of Foreign Relations », soit « le conseil
des relations étrangères »), le club de réflexion en politique étrangère
le plus influent du monde. Ce fait devrait vous donner un petit indice
sur l’état d’esprit de l’élite concernant l’utilisation des médias.

« Le pouvoir politique et économique aux Etats-Unis est concentré entre les mains d’une « élite dirigeante » qui contrôle la plupart des corporations multinationales, les principaux médias, les fondations les plus influentes, les universités privées les plus importantes et la plupart des services publics basés aux E-U. Fondé en 1921, le Council of Foreign Relations est le lien-clé entre les grosses corporations et le gouvernement fédéral. On l’appelait « l’école des hommes d’Etats » et « ce qui se rapproche d’un organe de ce que C. Wright Mills appelait l’Elite du Pouvoir – un groupe d’hommes aux intérêts et modes de pensée similaires façonnant les évènements depuis des positions invulnérables dans les coulisses. La création des Nations Unies était le projet du CFR, tout comme le Fond Monétaire International et la Banque Mondiale. »

– Steve Jacobson, « Contrôle mental aux Etats-Unis »

Parmi les membres actuels du CFR se trouvent David Rockefeller, Dick
Cheney, Barack Obama, Hilary Clinton, le pasteur d’une méga-église Rick
Warren, les PDG de corporations importantes telles que CBS, Nike, Coca-Cola et Visa.

Carl Jung

Carl Jung est le fondateur de la psychologie analytique (aussi connue
sous le nom de « psychologie jungienne ») qui met l’accent sur la
compréhension de la psyché en explorant les rêves, l’art, la mythologie,
la religion, les symboles et la philosophie. Le thérapeute suisse est à
l’origine de nombreux concepts psychologiques utilisés aujourd’hui tels
que l’Archétype, le Complexe, la Personne, l’Introverti/Extraverti et
la Synchronicité. Il a été hautement influencé par le milieu occulte de
sa famille. Carl Gustav, son grand-père, était un fervent Franc-maçon
(il était Grand-Maître) et Jung lui-même découvrit que certains de ses
ancêtres étaient rosicruciens. Cela pourrait expliquer son grand intérêt
pour la philosophie Occidentale et Orientale, l’alchimie, l’astrologie
et le symbolisme. Un de ses plus importants concepts (et un des plus mal
compris) était celui d’Inconscient collectif.

« Ma thèse, donc, est comme suit : en plus de notre conscience immédiate, qui est d’une nature tout à fait personnelle et que nous croyons être le seul psychisme empirique (même si nous ajoutons l’inconscient personnel en appendice), il existe un second système psychique d’une nature collective, universelle et impersonnelle qui est indentique à tous les individus. Cet inconscient collectif ne se développe pas individuellement, mais on en hérite. Il consiste en formes préexistantes, les archétypes, qui peuvent seulement devenir conscientes de manière secondaire, et qui donnent une forme définie à certains contenus psychiques. »

– Carl Jung, « le Concept d’inconscient collectif ».

L’inconscient collectif ressort à travers l’existence de symboles
similaires et de personnages mythologiques dans différentes
civilisations. Les symboles archétypaux semblent être ancrés
dans notre subconscient collectif et, lorsque nous y sommes exposés,
nous démontrons une fascination et une attraction naturelles. Les
symboles occultes peuvent donc exercer un impact conséquent sur les
gens, même si beaucoup d’individus n’ont jamais été personnellement
confronté au sens ésotérique du symbole. Les penseurs des médias de
masse, comme Edward D. Bernays, a trouvé dans ce concept un excellent
moyen de manipuler l’inconscient collectif et personnel du public.

La couverture du Time Magazine de 1955, avec Carl Jung. On dirait un peu Avatar, non ?

Edward Bernays

Edward Benays est considéré comme le « père des relations publiques »
et a utilisé des concepts découverts par son oncle Sigmund Freud pour
manipuler le public en utilisant le subconscient. Il partageait la
vision de Walter Lippmann concernant la population en général, la
considérant irrationnelle et sujette au « mouvement de troupeau ».

« La manipulation consciente et intelligente des habitudes et opinions organisées des masses est un élément important d’une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est la vraie force dirigeante du pays.

Nous sommes gouvernés, nos esprits sont façonnés, nos goûts formés, nos idées suggérées, en grande partie par des hommes dont on n’a jamais entendu parler. C’est un résultat logique de la manière dont notre société démocratique est organisée. Un vaste nombre d’êtres humains doivent coopérer de cette manière s’ ils veulent sous peu vivre ensemble dans une société qui fonctionne sans difficultés.

Nos gouvernants invisibles sont, dans beaucoup de cas, inconscients de l’identité de leurs collègues dans le cercle fermé. »

– Edward Bernays, « Propagande ».

Les campagnes marketing novatrices de Barneys ont profondément changé
le fonctionnement de la société américaine. Il a pratiquement créé le «
consumérisme » en créant une culture dans laquelle les Américains
achètent pour le plaisir et non pour la survie. Pour cette raison, il
est considéré par Life Magazine comme étant dans le Top 100 des Américains les plus influents du XXème siècle.

Harold Lasswell

En 1939-1940, l’Université de Chicago fut l’hôte d’une série de
séminaires secrets sur les communications. Ces clubs de réflexion furent
fondés par la fondation Rockfeller et comprenait les chercheurs les
plus importants dans les domaines de la communication et des études
sociologiques. Un de ses érudits était Harold Lasswell, un scientifique
politique et théoricien en communication de premier plan, spécialisé
dans l’analyse de la propagande. Il partageait aussi l’opinion selon
laquelle la démocratie, un gouvernement dirigé par les gens, ne pouvait
pas se maintenir sans une élite spécialisée formant et façonnant
l’opinion publique à travers la propagande.

Dans son Encyclopédie des Sciences sociales, Lasswell
explique que lorsqu’il manque aux élites la force requise pour
l’obéissance contrainte, les managers sociaux doivent se tourner vers « une toute nouvelle technique de contrôle, en grande partie par la propagande ». Il y ajouta la justification conventionnelle : « l’ignorance
et la stupidité [des]… masses et ne pas succomber aux dogmatismes
démocratiques comme quoi les hommes seraient les meilleurs juges de
leurs propres intérêts.
»

Lasswell a considérablement étudié le domaine de l’analyse de contenu
pour comprendre l’efficacité des différents types de propagande. Dans
son essai Les contenus de la communication, Lasswell explique
que, afin de comprendre la signification d’un message (c-à-d un livre,
un discours, un film etc), on doit prendre en compte la fréquence à
laquelle certains symboles apparaissent dans le message, la direction
dans laquelle ces symboles essaient de guider l’opinion de l’audience,
et l’intensité des symboles utilisés.

Lasswell était célèbre pour son analyse des médias basée sur ceci :

« Qui (dit) Quoi (à) Qui (par) Quel Moyen (avec) Quel Effet »

Via ce modèle, Lasswell indique que pour analyser correctement un produit médiatique, il nous faut regarder à qui l’a produit (les gens qui ont ordonné sa création), à qui il est destiné (l’audience-cible) et quels sont les effets désirés du produit (informer, convaincre, vendre, etc) sur l’audience.

Voilà quelle serait l’analyse d’une vidéo de Rihanna par exemple :
QUI A PRODUIT : Vivendi Universal ; QUOI : l’artiste pop Rihanna ; A QUI
: les consommateurs âgés de 9 à 25 ans ; QUEL MOYEN : vidéoclip ; et
QUEL EFFET : vendre l’artiste, sa chanson, son image, et son message.

L’analyse de films et de vidéos sur The Vigilant Citizen
donne une grande importance à « qui est derrière » les messages
communiqués au public. Le terme « Illuminati » est souvent utilisé pour
décrire un petit groupe formant une élite dirigeant secrètement les
masses. Bien que le terme sonne assez caricatural et conspirateur, il
décrit judicieusement les affinités de l’élite avec des sociétés
secrètes et un savoir occulte. Cependant, je déteste personnellement
utiliser le terme de « théorie du complot » pour décrire ce qui se passe
dans les médias de masse. Si tous les faits concernant la nature
élitiste de l’industrie sont facilement disponibles au public, est-ce
qu’on peut encore appeler ça une « théorie du complot » ?

Il y avait avant une variété de points de vue, idées et opinions dans
la culture populaire. La consolidation des corporations médiatiques a
cependant produit une standardisation de l’industrie culturelle. Vous ne
vous êtes jamais demandé pourquoi toutes les musiques récentes sonnent
pareilles et tous les films récents ont l’air pareils ? la réponse se
trouve dans la partie suivante :

Possession des médias

Le nombre de corporations qui contrôlent la majorité des médias aux Etats-Unis : (journaux, magazines, stations de radio, chaînes télé, livres, musiques, films, fournisseurs d’accès et agences de photographie)

Comme il est représenté sur le graphique ci-dessus, le nombre de
corporations possédant la majorité des organes de presse aux E-U est
passé de 50 à 5 en moins de 20 ans. Voici le top des corporations en
évolution autour du monde et les capitaux actifs qu’elles possèdent :

« Une liste des propriétés contrôlées par AOL Time Warner prendrait dix pages dactylographiées qui listeraient 292 compagnies séparées et filiales. Parmi elles, 22 sont des sociétés en participation avec d’autres majors impliquées à divers degrés en opérations médiatiques. Ces partenaires incluent 3Com, eBay, Hewlett-Packard, Citygroup, Ticketmaster, American Express, Homestore, Sony, Viva, Berterlsmann, Polygram, et Amazon.com. Quelques une des propriétés plus familières détenues à 100% par AOL Time Warner : Book-of-the-Month Club : Little Brown éditeurs ; HBO et ses sept chaînes ; CNN ; sept chaînes spécialisées et en langues étrangères ; « Bip-Bip et Vil Coyote » ; les studios Warner Bros ; Popular Science et 52 autres labels de disques différents. »

– Ben Bagdikan, « le Nouveau monopole des Médias. »

AOL Time Warner possède :

  • 64 magazines, dont Time, Life, People, MAD Magazine et DC Comics.
  • Waner Bros, New Line et Fine Line Features dans le cinéma.
  • Plus de 40 labels musicaux dont Warner Bros, Atlantic et Electra.
  • Beaucoup de « networks » télévisuels tels que AB Network, HBO, Cinemax, TNT, Cartoon Network et CNN.
  • Madonna, Sean Paul, les Whites Stripes…

Viacom possède :

  • CBS, MTV, MTV2, UPN, VH1, Showtime, Nickelodeon, Comedy Central, TNN, CMT et BET
  • Paramount Pictures, Nickelodeon Movies, MTV Films
  • Blockbuster Videos
  • 1800 écrans de cinéma à travers Famous Players

« La propriété de Disney d’une équipe de hockey appelés les Mighty Ducks d’Anaheim ne suffit pas à décrire l’immensité de son royaume. Hollywood reste son cœur symbolique, avec huit studios de productions et distributeurs : Wall Disney Pictures, Touchstone Pictures, Miramax, Buena Vista Home Video, Buena Vista Home Entertainment, Buena Vista International, Hollywood Pictures et Caravan Pictures.

La compagnie Walt Disney contrôle huit maisons d’édition sous Walt Disney Company Book Publishing et ABC Publishing Book ; 17 magazines ; ABC Television Network avec ses dix stations qu’elle possède et qu’elle fait fonctionner y compris dans le top 5 du marché ; 30 stations de radio, dont toutes les plus grosses du marché; 11 chaînes câblées dont Disney, ESPN (conjointement) ; A&E et la chaîne Histoire ; 13 chaînes de diffusion internationale qui vont de l’Australie au Brésil ; 17 unités sportives et unités de production autour du monde ; et 17 sites Internet, ce qui inclut le groupe ABC, ESPN.sportzone, NFL.com, NBAZ.com et NASCAR.com. Ses cinq groupes musicaux incluent la Buena Vista, Lyric Street et les labels Disney, et des productions cinématographiques « vivantes » d’où sont sortis des films comme Le Roi Lion, la Belle et la Bête, et le Roi David… »

– Ibid.

La Walt Disney Company possède :

  • ABC, Disney Channel, ESPN, A&E, History Channel
  • Walt Disney Pictures, Touchstone Pictures, Hollywood Pictures, Miramax Film Corp., Dimension et Buena Vista International
  • Miley Cyrus/ Hannah Montana, Selena Gomez, les Jonas Brothers.

Vivendi Universal possède :

  • 27% des ventes de musique aux Etats-Unis, ses labels comprennent: Interscope, Geffen, A&M, Island, Def Jam, MCA, Mercury, Motown et Universal
  • Universal Studios, Studio Canal, Polygram Films, Canal +
  • De nombreuses compagnies téléphoniques et Internet,
  • Lady Gaga, The Black Eyed Peas, Lil Wayne, Rihanna, Mariah Carey, Jay-Z

Sony possède:

  • Columbia Pictures, Screen Gems, Sony Pictures Classics
  • 15% des ventes de musique aux Etats-Unis, ses labels comprennent : Columbia, Epic, Sony, Arista, Jive et RCA Records
  • Beyonce, Shakira, Michael Jackson, Alicia Keys, Christina Aguilera

Un nombre limité d’acteurs dans l’industrie culturel signifie un
nombre limité de points de vue et d’idées qui font leur chemin jusqu’au
grand public. Cela signifie aussi qu’une seule idée peut facilement
saturer toutes les plateformes médiatiques pour générer le consentement
(par exemple : « il y a des armes de destruction massive en Irak »).

La standardisation de la pensée humaine

La fusion des compagnies médiatiques lors des dernières décennies a
engendré une petite oligarchie de conglomérats médiatiques. Les shows
télé que nous suivons, la musique que nous écoutons, les films que nous
regardons et les journaux que nous lisons sont tous produits par CINQ
corporations. Les propriétaires de ces conglomérats ont des liens
étroits avec l’élite mondiale et, de bien des façons, ils SONT l’élite.
En possédant tous les points de vente disponible qui ont le potentiel
d’atteindre les masses, ces conglomérats ont le pouvoir de créer, dans
l’esprit des gens, une seule et cohérente vision du monde, engendrant
une « standardisation de la pensée humaine. »

Mêmes les mouvements et les styles considérés marginaux sont, en
fait, des extensions de la pensée principale. Les médias de masse
produisent leurs propres rebelles qui ont bel et bien l’air de faire
partie et qui continuent de faire partie de l’ordre établi et de n’en
rien contester. Les artistes, les créations et les idées qui ne
correspondent pas au mode de pensée principale sont oubliés et rejetés
sans merci par les conglomérats, qui à leur tour les font virtuellement
disparaître de la société elle-même. Cependant, les idées qui sont
estimées valides et désirables pour être acceptées par la société sont
adroitement commercialisées aux masses dans le but de les transformer en
normes qui vont de soi.

En 1928, Edward Barnays avait déjà vu l’immense potentiel du cinéma pour standardiser les pensées :

« Le cinéma américain est le plus grand transporteur inconscient de propagande dans le monde aujourd’hui. C’est un grand distributeur d’idées et d’opinions. Le cinéma peut standardiser les idées et habitudes d’une nation. Parce que les images sont faites pour satisfaire les demandes du marché, elles reflètent, soulignent, et même exagèrent les grandes tendances populaires, plutôt que de stimuler de nouvelles idées et opinions. Le cinéma use des idées et des faits qui sont en vogue. Tandis que les journaux cherchent à offrir les faits, il [le cinéma] cherche à offrir du divertissement. »

– Edward Bernays, Propagande.

Ces faits ont été marqués comme des dangers à la liberté humaine dans
les années 1930 par les penseurs de l’école de Frankfort tels que
Theodor Adorno et Herbert Marcuse. Ils ont identifié trois problèmes
principaux avec l’industrie culturelle. L’industrie peut :

  1. Réduire les êtres humains au statut de « masse » en entravant le développement d’individus émancipés, qui sont capables de prendre des décisions rationnelles
  2. Remplacer le dynamisme légitime vers l’autonomie et la conscience de soi par la paresse sécurisante du conformisme et de la passivité ; et
  3. Valider l’idée que les hommes cherchent bien à s’échapper du monde absurde et cruel dans lequel ils vivent en se perdant dans un état hypnotique de satisfaction personnelle.

La notion d’évasion est encore plus pertinente aujourd’hui
avec l’avènement des jeux vidéo en ligne, des films en 3d et des home
cinémas. Les masses, cherchant le divertissement dernier cri, vont avoir
recours à des produits à gros budget qui peuvent seulement être
produits par les plus grosses corporations médiatiques mondiales. Ces
produits contiennent des messages et symboles délibérément placés avec
attention qui ne sont ni plus ni moins que de la propagande
divertissante. Le public a été entraîné à AIMER cette propagande, au
point de dépenser son argent difficilement gagné pour y être exposé.

« En ce qui concerne la propagande, les premiers défenseurs de l’alphabétisation universelle et de la presse libre envisagèrent deux possibilités : la propagande peut être vraie, ou elle peut être fausse. Ils n’ont pas prévu ce qui est en fait arrivé, surtout dans nos démocraties capitalistes occidentales – le développement d’une vaste industrie de consommation de masse, concernée dans l’absolu ni par le vrai ni par le faux, mais par l’irréel, le plus ou moins totalement dénué de pertinence. En un mot, ils ont échoué à prendre en compte l’appétit presque infini de l’Homme pour la distraction. »

– Aldous Huxley, préface du « Meilleur des mondes ».

Un seul extrait d’un média n’a souvent pas un effet durable sur la
psyché humaine. Les médias de masse cependant, par leur nature
omniprésente, créent un environnement vivant dans lequel on évolue sur
des bases journalières. Ils définissent la norme et excluent
l’indésirable. De la même manière que les chevaux de trait portent des
oeillières afin de ne voir que ce qui est devant eux, les masses ne
peuvent voir que là où elles sont supposées voir.

« C’est l’émergence des médias de masse qui rend possible l’utilisation de techniques de propagande à échelle sociétale. L’orchestration de la presse, de la radio et de la télévision pour créer un environnement continuel, durable et total rend l’influence de la propagande virtuellement insoupçonnée précisément parce que ça crée un environnement constant. Les médias de masse fournissent le lien essentiel entre l’individu et les exigences de la société technologique. »

– Jacques Ellul

Une des raisons pour lesquelles les médias de masse influencent avec
succès la société industrielle, on la doit à la quantité considérable de
recherches sur les sciences cognitives et la nature humaine qui y a été
appliquée…

Techniques de manipulation

« La publicité est une tentative délibérée pour
contrôler la perception qu’a le public d’un sujet. Parmi les sujets de
la pub se trouvent des gens (par exemple des politiciens ou des artistes
en train de jouer), des biens et des services, des organisations de
tous les types, des œuvres d’art et de divertissement.
»

L’effort pour vendre produits et idées aux masses a conduit à un
nombre de recherches sans précédent sur le comportement humain et la
psyché humaine. Sciences cognitives, psychologie, sociologie,
sémiotique, linguistique et d’autres domaines qui leur sont liées
étaient et sont encore considérablement recherchés par les études bien
financées.

« Aucun groupe de sociologistes ne peut se rapprocher des équipes publicitaires en ce qui concerne le rassemblement et le traitement de données sociales. Les équipes publicitaires ont des milliards par an à dépenser dans les recherches et tests de réactions, et leurs produits sont de magnifiques accumulations de substance concernant les sentiments et expériences vécues par la communauté entière. »

– Marshall Mcluhan, « les Extensions de l’Homme »

Les résultats de ces études sont appliqués aux publicités, aux films,
aux clips et à d’autres médias dans le but de les rendres aussi
influents que possible. L’art du marketing est hautement scientifique et
calculé parce qu’il doit atteindre à la fois l’insconscient collectif
et individuel. En ce qui concerne les produits culturels à gros budget,
une vidéo n’est jamais « une simple vidéo ». Les images, les symboles et
les significations sont placées stratégiquement dans le but d’obtenir
un effet désiré.

« C’est aussi bien avec la connaissance de l’être humain, de ses tendances, de ses désirs, de ses besoins, de son mécanisme psychique, de ses automatismes que celle de la psychologie sociale et de la psychologie analytique que la propagande peut affiner ses techniques. »

– Jacques Ellul.

La propagande d’aujourd’hui n’utilise quasiment jamais d’arguments
logiques ou rationnels. Elle va directement puiser dans les besoins et
instincts humains les plus primaires afin de générer une réponse
émotionnelle et irrationnelle. Si nous pensions de manière rationnelle,
il est probable que nous n’achèterions pas 50% de ce que nous avons. On
peut trouver constamment des bébés et des enfants dans les pubs qui
ciblent les femmes pour une raison spécifique : les études ont montré
que les images d’enfants déclenchent chez les femmes un besoin
instinctif de nourrir, de prendre soin et de protéger, ce qui conduit au
bout du compte un parti-pris de sympathie envers la publicité.

Veille pub bizarre de 7up, utilisant le côté mignon des bébés.

Le sexe est omniprésent dans les médias de masse, puisque cela attire
et maintient l’attention du spectateur. Cela se met immédiatement en
communication avec notre instinct de perpétuer l’espèce, de nous
reproduire, et quand il est déclenché, cet instinct peut éclipser toute
autre pensée rationnelle de notre cerveau.

Perception subliminale

Et si les messages décrits ci-dessus étaient capables d’atteindre
directement l’inconscient des spectateurs, sans mêmes que ceux-ci
s’apperçoivent de ce qui se passe ? C’est le but de la perception
subliminale. Le terme « publicité subliminale » fut inventé en 1957 par
le spécialiste en études de marché américain James Vicary, qui disait
qu’il pouvait faire « boire du Coca-Cola » et « manger du pop-corn » aux
gens qui allaient au cinéma en faisant apparaître ces messages à
l’écran par flashes assez courts pour que les spectateurs n’en soient
pas conscients.

« La perception subliminale est un processus délibéré créé par les techniciens en communication par lequel vous recevez des informations, des instructions et y répondez sans en avoir conscience. »

– Steve Jacobson, « Contrôle de l’esprit aux Etats-Unis. »

Cette technique est souvent utilisée en marketing et on sait tous que le sexe fait vendre.

Bien que certaines sources prétendent que la publicité subliminale
est inefficace ou même que c’est une légende urbaine, l’utilisation
documentée de cette technique dans les médias de masse prouvent que ses
créateurs croient en son pouvoir. Les études récentes ont aussi prouvé
son efficacité, particulièrement lorsque le message est négatif.

« Une équipe de l’University College de Londres, financée par le Wellcome Trust, a découvert qu’elle [la perception subliminale] était particulièrement bonne à inculquer des pensées négatives. « Il y a eu beaucoup de spéculations pour savoir si les gens pouvaient traiter inconsciemment l’information émotionnelle, par exemple des images, des visages et des mots », a dit le professeur Nill Lavie, qui a conduit la recherche. « Nous avons montré que les gens peuvent percevoir la valeur émotionnelle des messages subliminaux et avons démontré de façon concluante que les gens sont beaucoup plus à l’écoute des mots négatifs. »

Source

Un exemple célèbre de message subliminal en communication politique est dans la publicité de George Bush contre Al Gore en 2000.

Juste après que le nom « Gore » est mentionné, la fin du mot «
bureaucrats » – « rats » – flashe à l’écran pendant une fraction de
seconde.

La découverte de cette ruse a causé pas mal de remous, même s’il n’y a
aucun loi contre les messages subliminaux aux E-U, la publicité a été
retirée des chaînes.

Comme on peut le voir dans beaucoup d’articles sur Vigilant Citizen,
les messages subliminaux et semi-subliminaux sont souvent utilisés dans
les films et les clips pour communiquer des idées et des messages aux
spectateurs.

Désensibilisation

Par le passé, lorsque des changements étaient imposés aux
populations, elles descendaient dans la rue, protestaient, voire
déclenchaient des émeutes. La principale raison de ces affrontements
était dûe au fait que les changements étaient clairement annoncés par
les dirigeants et compris par la population. C’était soudain, et les
effets pouvaient être clairement analysés et évalués. Aujourd’hui,
lorsque l’élite a besoin que le public comprenne une partie de son
programme, elle le fait à travers la désensibilisation. Le programme,
qui peut aller à l’encontre des meilleurs intérêts du public, est
lentement, peu à peu et à maintes reprises présenté au monde à travers
les films (en l’impliquant dans l’intrigue) des clips (qui le rendent
cool et sexy) ou les nouvelles (qui le présentent comme une solution aux
problèmes actuels). Après plusieurs années d’exposition des masses à un
programme particulier, l’élite expose ouvertement son projet au monde
et, à cause de la programmation mentale, il est accueilli dans
l’indifférence générale, et passivement accepté. Cette technique vient
de la psychothérapie.

« Ces techniques de psychothérapie, largement pratiquées et acceptées comme un moyen de guérir les désordres psychologiques, sont aussi des méthodes pour contrôler les gens. Elles peuvent être systématiquement utilisées pour influencer les attitudes et les comportements. La désensibilisation systématique est une méthode utilisée pour faire disparaître l’anxiété afin que le patient (le public) ne soit plus troublé par une peur spécifique, la peur de la violence par exemple. […] Les gens s’adaptent aux situations effrayantes s’ils y sont suffisamment exposés. »

– Steve Jacobson, « Contrôle de l’esprit aux Etats-Unis »

On peut souvent trouver de la programmation prédictive dans le genre
de la science-fiction. Elle représente une image spécifique du futur –
celui qui est désiré par l’élite – qui devient au bout du compte
inévitable dans l’esprit des hommes. Il y a dix ans, le public a été
désensibilisé à la guerre contre le monde arabe. Aujourd’hui, le public
est petit à petit exposé à l’existence du contrôle de l’esprit, au
transhumanisme et à l’existence d’une élite Illuminati. Emergant de
l’ombre, ces concepts sont à présent partout dans la culture populaire.
C’est ce qu’Alice Bailey décrit sous le nom d’ « externalisation de la
hiérarchie » : ceux qui dirigent dans l’ombre se révèlent lentement…

Symbolisme occulte dans la culture populaire

Metropolis – Un film de l’élite pour l’élite ?

Contrairement aux informations présentées ci-dessus, la documentation
sur le symbolisme occulte est plutôt difficile à trouver. Cela ne doit
pas se révéler surprenant, puisque le terme « occulte » signifie
littérallement « caché ». Cela veut dire aussi « réservé à ceux qui
savent » puisqu’il est seulement communiqué à ceux qui sont considérés
dignes de ce savoir. Il n’est ni enseigné dans les écoles ni discuté par
les médias. Il est donc considéré marginal voire ridicule par la
population en générale.

Le savoir occulte n’est cependant PAS considéré comme ridicule dans
les cercles occultes. Il est considéré intemporel et sacré. Il y a une
longue tradition de savoir hermétique et occulte qui s’enseigne à
travers les sociétés secrètes qui viennent de l’Egypte Ancienne, aux
Mystiques Orientaux, aux chevaliers Templiers jusqu’aux Francs-Maçons
des temps modernes. Même si la nature et l’étendue et ce savoir a très
probablement été modifié, altéré à travers les siècles, les écoles de
l’occulte ont gardé leurs principales caractéristiques, qui sont
hautement symboliques, ritualistes et métaphysiques.
Ces caractéristiques, qui étaient une part complexe des anciennes
civilisations, ont totalement été évacuées de la société moderne pour
être remplacées par un pragmatisme matérialiste. Pour cette raison il
existe un fossé de compréhension important entre la personne lambda et
l’institution ritualiste.

« Si cette doctrine ésotérique a toujours été dissimulée aux masses, pour qui un code plus simple a été partitionné, n’est-il pas hautement probable que les représentants de chaque aspect de la civilisation moderne – philosophique, éthique et scientifique – soient ignorants de la vraie signification de ces théories et principes mêmes sur lesquels leurs croyances sont fondées ? Est-ce que les arts et les sciences que la race a héritées de nations plus anciennes dissimulent derrière leure jolie façade un mystère si grand dont seuls les intellectuels les plus illuminés peuvent comprendre la portée ? C’est très certainement le cas. »

– Manly P. Hall, « Enseignements secrets de tous les âges ».

Le « code plus simple » partitionné pour les masses avait pour
habitude d’être les religions organisées. Maintenant, c’est devenu le
Temple des Médias de Masse et il prêche quotidiennement le matérialisme
extrême, la vacuité spirituelle et une existence individualiste, tournée
vers soi. C’est exactement le contraire des attributs requis pour
devenir un homme réellement libre, comme c’est enseigné par les grandes
écoles de pensée. Est-ce qu’une population abêtie est plus facile à
tromper et à manipuler ?

« On dit à ces esclaves aveugles qu’ils sont « libres » et « bien éduqués », même quand ils marchent au pas derrière des signes qui feraient s’enfuir d’eux paniqué et en criant n’importe quel paysan du Moyen-Age. Les symboles que l’homme moderne embrasse avec la confiance naïve d’un enfant équivaudraient à cet écriteau sur une pancarte : « Direction votre mort et l’esclavage », comme le comprendrait un paysan de l’antiquité ».

– Michael A. Hoffman II, « Sociétés secrètes et guerre psychologique ».

En conclusion

Cet article a porté un regard sur les penseurs majeurs dans le
domaine des médias de masse, la structure d’influence des médias, et les
techniques utilisées pour manipuler les masses. Je crois que cette
information est vitale pour la compréhension du « pourquoi » dans les
sujets débattus sur The Vigilent Citizen. La dichotomie entre
la « masse de la population » contre « l’élite dirigeante » décrite dans
nombre d’articles n’est pas une « théorie de la conspiration » (encore
une fois je déteste ce terme), mais une réalité qui a été précisément
indiquée dans les travaux de quelques uns des hommes les plus influents
du XXème siècle.

Lippmann, Bernays et Lasswell ont tous déclaré que le public n’était
pas à même de décider de son propre destin, qui est le but inhérent à la
démocratie. A la place, ils en ont appelé à une « cryptocratie », un
gouvernement caché, une classe dirigeante en charge du « troupeau
perplexe ». Au fur et à mesure que leurs idées continuent d’être
appliquées à la société, il est de plus en plus visible qu’une
population ignorante n’est pas un obstacle dont les dirigeants doivent
s’occuper : c’est quelque chose de DESIRABLE, et, en effet, nécessaire
pour assurer un leadership total. Une population ignorante ne cherche
pas ses droits, ne cherche pas une plus grande compréhension des
problèmes, ne questionne pas l’autorité. Elle suit simplement la
tendance. La culture populaire pourvoit aux besoins de l’ignorance et la
nourrit en servant continuellement du divertissement asphyxiant le
cerveau et en mettant en lumière des célébrités dégénérées pour qu’elles
soient idolatrées. Beaucoup de gens me demandent : « est-ce qu’il y a
un moyen d’arrêter ça ? ». Oui, il y en a un. ARRETEZ D’ACHETER LEURS
SALOPERIES ET LISEZ UN LIVRE.

« Si une nation espère être ignorante et libre, elle espère ce qui n’a jamais été et ce qui ne sera jamais. »

– Thomas Jefferson




Que faudrait-il pour bâtir un monde sans mondialistes ?

[Source : Nouvel Ordre Mondial]

[Auteur : Brandon Smith]

Vous pouvez parier que chaque fois que vous trouvez des gens
qui analysent la racine d’un problème, vous trouverez aussi d’autres
personnes qui essaient de faire dérailler ces efforts avec des arguments
malhonnêtes. Pour des raisons que nous pouvons deviner, mais que nous
sommes rarement en mesure de confirmer, il y a des gens qui s’agitent
lors de discussions constructives entre humains. L’une des tactiques les
plus courantes pour détourner la discussion d’un problème est de
suggérer que c’est « inutile » à moins que ces mêmes personnes puissent
offrir une grande solution au problème. C’est une perturbation de type
Alinsky 101.

En réalité, la plupart des problèmes ne peuvent être résolus que
lorsqu’au moins une partie du public en est informée. L’action ne peut
avoir lieu qu’APRÈS la compréhension, sinon nous nous retrouvons à nous
déchaîner violemment sur des ombres.

Cela dit, beaucoup de membres du mouvement pour la liberté ont offert de nombreuses solutions à la menace des mondialistes.
Le problème, c’est que les solutions les plus pratiques sont les plus
difficiles. C’est pourquoi tant d’activistes sont embourbés dans des
fausses solutions et des fraudes ; ils veulent désespérément entendre
qu’il y a un raccourci vers la victoire. Ils veulent désespérément
entendre qu’il existe un moyen de se débarrasser des mondialistes sans
sacrifice ou sans qu’ils aient à se défendre directement. Ils veulent
entendre que quelqu’un va mener cette guerre pour eux, ou que les
vampires mondialistes peuvent tout simplement être désamorcés par une
merveille technologique intangible. Ils recherchent un génie dans une
lampe, un remède miraculeux. Ce ne sera pas si facile.

Ainsi, les véritables solutions sont enterrées par les tendances et les hypes :

Nous sommes censés mettre tous nos espoirs dans un président qui a eu sa fortune et son image préservées par les élites bancaires qu’il prétend combattre.

Nous sommes censés croire qu’il va les rassembler au
même endroit et les arrêter (du jour au lendemain) dans une fantastique
manœuvre à la Game of Thrones ? Malgré le fait que ce serait plutôt
difficile quand la moitié de son cabinet est truffé de ces mêmes goules
bancaires.

Ou, nous sommes censés parier notre avenir sur le monde virtuel avec
des systèmes de cryptomonnaies ; certains d’entre eux sont construits
sur un hash créé par la NSA et correspondent parfaitement à un livre
blanc de la NSA écrit en 1996 sur les devises numériques.

Nous sommes censés croire que la cabale bancaire est en fait menacée
par ces produits basés sur les blockchain, malgré le fait que leur
valeur dérive uniquement de la marque et non des qualités qui les
rendent particulièrement uniques les unes des autres, ainsi que du
capital que cette même cabale bancaire est prête à investir en elles et
l’infrastructure qui les perpétue ?
Nous sommes censés croire que ces monnaies sont anonymes, même s’il est constamment prouvé qu’elles ne le sont pas.
Nous sommes censés croire qu’il s’agit d’une force décentralisatrice
même s’ils dépendent entièrement d’un Internet centralisé et dominé.

Nous sommes censés croire qu’ils rendront le système des
banques centrales obsolète, même si les mondialistes font la promotion
avide de cryptomonnaies et de la technologie des blockchain comme
prochaine étape de la mondialisation.

Il est intéressant de constater que les solutions au
mondialisme les plus largement promues finissent par être très
bénéfiques pour l’agenda mondialiste.

Non, ce ne sont pas des solutions. Ce sont des distractions
conçues pour garder les gens occupés comme s’ils accomplissaient
quelque chose alors qu’ils n’accomplissent rien. Les gens qui diffusent
des informations concrètes sur les dangers de la mondialisation font
beaucoup plus que ceux qui achètent des Bitcoin ou qui font circuler des
bêtises sectaires.

Quelles sont donc les vraies solutions ? Réalisez
d’abord qu’il n’y a pas de solution qui va satisfaire tout le monde.
Pour chaque solution proposée ici, il y aura une centaine d’excuses
données par des gens qui prétendent que ça ne marchera pas, ou que ça ne
vaut pas la peine d’essayer. Mais au moins chaque idée exprimée ici
n’est pas soutenue financièrement par les globalistes, contrairement aux
« solutions » mentionnées ci-dessus. Alors, pour répondre à
ceux qui prétendent que le mouvement pour la liberté n’a pas de remède
contre la menace de la mondialisation, examinons-en quelques-uns….

Une véritable décentralisation

J’en parle depuis que j’ai commencé à écrire pour le mouvement en
2006, à l’époque de Neithercorp, et c’est probablement la réponse la
plus valable (et inconfortable) au problème mondialiste. La
décentralisation exige que l’on s’appuie de moins en moins sur le
système existant et que l’on s’en remette davantage à soi et à sa
communauté locale. Cela signifie que les gens doivent devenir
producteurs de leurs propres nécessités et qu’ils doivent construire de
nouvelles économies à partir de producteurs et de commerçants LOCAUX.
Cela pourrait même aller jusqu’à la décentralisation monétaire vers des
monnaies communautaires adossées à des produits de base ou au troc.

Les gens devraient commencer à cultiver leur propre nourriture et à
fournir un service utile qui leur permettrait de faire du commerce pour
les choses dont ils ont besoin. En outre, une monnaie adossée à des
produits de base au niveau d’un État ou d’un pays pourrait fournir le
mécanisme « d’échange universel » nécessaire pour permettre un commerce plus large des marchandises.

Est-ce un pas en arrière vers les temps tribaux ? Oui, et ce n’est
pas nécessairement une mauvaise chose. Je ne parle pas d’abandonner la
technologie et le progrès, je parle d’abandonner les systèmes de
centralisation qui sont clairement destructeurs et qui nous réduisent en
esclavage. Voyez les choses de cette façon – Si chaque individu est un
producteur, il est plus difficile de lui retirer son gagne-pain. Si
chaque communauté a ses propres réseaux commerciaux en dehors des
chaînes d’entreprises, ils ne seront pas affectés lorsque ces chaînes
d’entreprises feront faillite ou disparaîtront. Si chaque communauté
dispose de mécanismes commerciaux au-delà du dollar qu’elle peut détenir
ENTRE LEURS MAINS, ils ne seront pas touchés si le dollar s’effondre.
En construisant des économies locales avec des licenciements en place,
ils deviennent à l’abri des catastrophes économiques nationales ou
mondiales.

Ce genre de stratégie exige du temps et des efforts, et franchement,
j’ai appris que très peu de gens vont tenter ce genre de stratégie
jusqu’à ce qu’ils soient de toute façon confrontés à une catastrophe.
Cependant, c’est la première et la plus importante étape pour vaincre
les mondialistes.

Le tirage au sort du gouvernement

Bien que je sois un partisan de la décentralisation, je reconnais que
les êtres humains sont des créatures sociales et que la communauté et
le droit feront probablement toujours partie de notre existence. Les
lois les meilleures et les plus significatives sont celles qui sont
universelles et intrinsèquement comprises. Ce qui veut dire qu’ils sont
archétypaux et inné. La majorité des gens comprennent que voler,
tricher, tuer, etc. sont répréhensibles et, s’ils ont la chance de
commettre de tels crimes, ils refuseront. Si ce n’était pas vrai,
l’humanité se serait annihilée il y a des siècles. Nous endurons
seulement parce que nous avons une boussole morale, qui nous a peut-être
été donnée par une force naturelle supérieure.

Le problème, c’est que tous les gens n’ont pas cette boussole morale.
Environ 1 à 5% des êtres humains naissent avec une sociopathie
narcissique latente ou à part entière, également connue sous le nom de
narcopathie. Ils n’ont pas les composantes psychologiques vitales de
l’empathie nécessaires pour prévenir les abus extrêmes de leur prochain.
Il s’agit d’une espèce différente ; un sous-ensemble prédateur, un
élément parasite caché qui se nourrit des humains normaux et les
détruit. Les mondialistes sont un parfait exemple de la réalité de cette
menace.

Il a été démontré que ce groupe génère artificiellement et
délibérément des crises économiques, des conflits géopolitiques, des
guerres, de la pauvreté et des génocides. Ils se sont servis de ces
horreurs pour s’enrichir en siphonnant la richesse et les biens
matériels de la population en période de peur et de panique. Ils ont
aussi été exposés à l’occasion comme déviants sexuels et pédophiles avec
un secret occulte entourant ces activités. Ils ont révélé qu’ils ne se
soucient absolument pas des dégâts qu’ils causent et qu’ils s’en
délectent même comme s’ils jouaient à un jeu. Ce sont des enfants
psychopathes qui voient le monde comme leur jouet. En plus de cela, ils
sont très organisés.

Les lois et la gouvernance de ces lois sont nécessaires pour traiter
avec les personnes qui ne peuvent pas respecter le principe de
non-agression et qui cherchent à exploiter et à détruire les autres.
Bien sûr, dès qu’on met en place des systèmes de gouvernance pour gérer
la loi, la classe prédatrice les envahit afin de les exploiter et de les
détruire plus efficacement. Les domaines de carrière qui garantissent
l’autorité et la protection contre tout contrôle vont automatiquement
attirer les pires éléments de l’humanité.

Le concept d’élections et de gouvernement par le peuple n’est pas
tout à fait inadéquat, mais il n’est évidemment pas suffisant pour
empêcher les méchants d’accéder au pouvoir et à l’influence. Au-delà de
cela, le gouvernement tend à rechercher une croissance infinie, et la
recherche d’un tel pouvoir ouvre la porte à la corruption d’âmes par
ailleurs bien intentionnées.

La seule solution que je peux trouver est une solution simple : le
tirage au sort. Le gouvernement devrait fonctionner comme une structure
générée au hasard dans laquelle les personnes impliquées ne sont pas des
célébrités mais des serviteurs de la loi, et la loi ne doit exister que
pour protéger les droits et libertés des habitants de cette société.
C’est essentiellement ainsi que fonctionne la sélection des jurés, alors
pourquoi ne pas procéder de la même manière avec le gouvernement ?

Et si nous avions la limite d’un mandat de deux ans pour chaque poste
gouvernemental ? Que se passerait-il si ces personnes étaient choisies
au hasard tous les deux ans dans le cadre d’un tirage au sort
démocratiquement ouvert ? Plus de politiciens de carrière, plus de
lobbyistes, plus de cabales élitistes qui contrôlent les décisions
politiques parce qu’il serait impossible d’acheter les gens à l’avance.
Les chances qu’une personne soit choisie pour accomplir le même travail
encore et encore seraient minces. Les risques qu’ils abusent de leur
pouvoir seraient réduits parce qu’ils n’auraient pas le temps.

Aussi, considérez les implications pour la société dans son ensemble ;
cette loterie n’encouragerait-elle pas les gens à devenir PLUS
conscients et plus instruits sur les conditions politiques, l’économie,
la loi, etc ? Qui voudrait être choisi pour un poste de gouvernance et
se retrouver sans instruction et bredouillant ?

Cela dit, ce type de système fait l’objet de deux critiques :
premièrement, il n’est pas volontaire. Et deux, et si on remplissait le
gouvernement au hasard de gens incompétents et qu’on causait un désastre
?

Pour répondre à cette question, premièrement, le devoir du jury n’est
pas nécessairement volontaire non plus, mais il existe des
circonstances atténuantes pour ne pas participer. Les gens devraient-ils
pouvoir se retirer du tirage au sort ? Oui, mais ils devraient tous en
avoir l’occasion. De plus, des incitatifs (comme un salaire équitable)
pourraient être offerts pour encourager les gens à participer.

Deuxièmement, honnêtement, je prendrais un gouvernement de personnes
en rotation constante, dont certaines pourraient être incompétentes,
plutôt qu’une oligarchie de psychopathes bien établis de longue date,
n’importe quand.

Éliminer les influences du mal par la force

La grande faiblesse du monde moderne est que les gens d’aujourd’hui
ont été conditionnés à croire que le bien et le mal sont des concepts
relatifs. Ils pensent que le mal est une question de « perception » et
que les choses qu’une personne considère comme mauvaises peuvent être
considérées comme positives par quelqu’un d’autre, donc les jugements
moraux deviennent inutiles. Cette culture du relativisme moral n’est pas
un hasard. Elle a été encouragée dans les médias populaires et dans la
philosophie du nouvel âge au cours des dernières décennies afin de
séparer les gens de l’idée de conscience inhérente.

Si vous voulez comprendre ce qu’est le mal, vous devez d’abord avoir
une conscience de la loi naturelle et la voix de la conscience. Les
religions ont leurs propres lignes directrices sur ce qui constitue le
mal, et certaines d’entre elles sont précieuses, mais à mesure que les
religions deviennent centralisées et bureaucratiques, elles peuvent être
tordues pour servir de mauvaises fins. En fin de compte, les sages
savent reconnaître le mal quand ils le voient parce qu’ils écoutent
leurs voix intérieures.

Le mal cherche à violer tous les principes de la loi naturelle. Il
cherche à tourner en dérision toutes les fonctions de la stabilité
humaine. Il cherche à miner l’amour, l’espoir, la famille, la sécurité
et surtout la liberté. Le mal cherche à corrompre ou à détruire tout sur
son passage. Il cherche à gagner non pas par l’industrie et
l’invention, mais par le vol. Il cherche à prendre ce qu’il ne devrait
pas avoir ; non seulement cela, mais il faut une certaine joie
détestable à soumettre ou torturer des innocents.

Pour expliquer le mal, et plus spécifiquement le mal des mondialistes
et de l’élitisme, en termes les plus simples mais significatifs
possibles, voici mon clip préféré du film Les Aventures de Mark Twain,
intitulé « Le mystérieux étranger » (The Mysterious Stranger, ndlr) :

Pour ce qui est d’une méthode scientifique permettant d’extirper le
mal, les traits de caractère des narcopathes peuvent être identifiés par
des tests et des observations, mais il n’existe aucune norme éprouvée
et vraie pour trouver un narcopathe au début de sa vie. Ceux de la
communauté psychiatrique qui prétendent pouvoir être identifiés par des
scanners d’activité cérébrale sont pour la plupart des charlatans avec
leurs propres agendas. Certains gouvernements aimeraient aussi vous
faire croire que la neuroimagerie leur permettra un jour d’identifier
les futurs criminels et « personnes dangereuses ». C’est de la prévention de la criminalité tirée de la science-fiction, et c’est dangereux.

Le fait est que la psychopathie et la narcopathie sont difficiles à
déceler chez une personne sans un interrogatoire approfondi, une
vérification des antécédents ou jusqu’à ce qu’elle ait réellement commis
des actes terribles. L’une des normes fondamentales de toute société
devrait être de veiller à ce que ces personnes n’accèdent jamais à des
postes de pouvoir et d’influence. Et s’ils y parviennent, ils doivent
être retirés, par la force si nécessaire.

Un argument courant avancé par les gens qui essaient de
démystifier la lutte contre les mondialistes est que nous pouvons
renverser ceux qui sont au pouvoir aujourd’hui, mais que demain, ils
seront simplement remplacés par un autre groupe de personnes
malfaisantes.
C’est un point de vue plutôt nihiliste, mais il a
un certain mérite. Il est vrai que si l’humanité ne prend pas des
mesures pour identifier les sources du mal et décentraliser les systèmes
dans lesquels les gens du mal se cachent, alors oui, ils reviendront
plus forts que jamais, quoi que nous fassions. Mais, si nous acceptons
que le mal est une réalité, qu’il est psychologiquement quantifiable et
perceptible par l’observation de certains traits de caractère, et si
nous supprimons la centralisation dont le mal bénéficie, alors personne
ne peut affirmer que le monde ne se portera pas mieux.

D’abord, cependant, il faut s’attaquer au mal organisé actuel. Les mondialistes doivent être éliminés.
Et au-delà des tactiques plus passives pour faire face aux catastrophes
qu’elles créent, il faudra probablement des conflits. Cela exigera la
guerre, et ne vous y trompez pas, une guerre est en cours, que nous le
voulions ou non. Nous avons deux choix : riposter ou devenir des
esclaves. Toutes les autres « solutions » représentent un intervalle de
freinage, ou pire, un placebo.

Sources: Alt Market & Zero Hedge, le 16 août 2019Traduction par Nouvelordremondial.cc




L’opération « Warp Speed ». La poussée à grande vitesse pour les vaccins contre le coronavirus

[Source : Mondialisation.ca]

Par F. William Engdahl

La Maison Blanche américaine a nommé un « tsar des vaccins » contre les coronavirus, issu de Big Pharma, pour superviser l’opération Warp Speed. L’objectif est de créer et de produire 300 millions de doses d’un nouveau vaccin censé immuniser toute la population américaine contre le COVID-19 d’ici la fin de l’année. Pour s’assurer que les grandes sociétés pharmaceutiques donnent le meilleur d’elles-mêmes au projet médical Manhattan, elles ont été entièrement indemnisées par le gouvernement étasunien en cas de décès ou de maladie grave des personnes ayant reçu le vaccin. La FDA et le NIH ont renoncé aux pré-tests standard sur les animaux dans cette situation. L’armée étasunienne, selon les récentes remarques du président américain, est en train d’être formée pour administrer le vaccin qui doit encore être dévoilé en un temps record. Rien ne pourrait donc se passer de travers ici ?

La vitesse de distorsion (Warp Speed) est un terme issu d’une série de science-fiction Star Trek, défini comme une vitesse plus rapide que celle de la lumière. Ces dernières semaines, des milliards de dollars ont été promis par les gouvernements, la Fondation Bill et Melinda Gates et d’autres, pour accélérer la mise au point d’un vaccin et tester des traitements médicaux pour combattre la maladie VODIV19 qui proviendrait d’un nouveau coronavirus découvert fin 2019 à Wuhan, en Chine. Cette ruée vers la création d’un vaccin « miracle » est inquiétante et laisse entrevoir des intentions cachées.

Le tsar en conflit

L’opération Warp Speed de Washington serait l’œuvre du conseiller présidentiel et gendre Jared Kushner. Elle est officiellement dirigée par le secrétaire à la santé et aux services sociaux Alex Azar et le secrétaire à la défense Mark Esper, qui travailleront avec un nouveau tsar des vaccins. Le tsar des vaccins sélectionné pour l’opération Warp Speed de Kushner est l’ancien président de la division vaccins de GlaxoSmithKline, le Dr Moncef Slaoui, citoyen étasunien né au Maroc. De 2006 à 2017, M. Slaoui a été président de la R&D mondiale et des vaccins chez GlaxoSmithKline et a siégé à l’équipe de direction et au conseil d’administration de la société.

Lorsqu’il était chez GSK, M. Slaoui a dirigé le développement de Cervarix. Son vaccin Cervarix contre le cancer du col de l’utérus dû au HPV a été associé à de multiples décès ou à de graves effets invalidants chez de nombreux receveurs. Un rapport de surveillance de l’OMS de 2017 a révélé que les effets indésirables graves du vaccin HPV de Moncef Slaoui comprenaient le syndrome de douleur régionale complexe (CRPS), le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS) et le syndrome de fatigue chronique (CFS) qui « dépasse tout autre vaccin ». Cela n’est pas rassurant pour le nouveau tsar d’un vaccin coronavirus précipité.

En 2015, la Cour suprême indienne a enquêté sur les accusations selon lesquelles de jeunes villageoises indiennes seraient mortes après avoir reçu du Cervarix du GSK de Slaoui. Cela s’est produit lors de tests illégaux de « cobayes humains » du vaccin contre le HPV où ni les filles ni leurs parents n’ont été informés de ce que c’était. L’étude aurait été financée par la Fondation Bill et Melinda Gates.

En 2012, alors que M. Slaoui dirigeait la R&D mondiale et le développement de vaccins de GSK et siégeait au conseil d’administration de l’entreprise, celle-ci a été condamnée à une amende de trois milliards de dollars par le ministère américain de la justice, la plus importante jamais imposée à une société pharmaceutique. Parmi les charges retenues, GlaxoSmithKline a délibérément dissimulé à la FDA étasunienne des données alarmantes sur la sécurité de son médicament le plus vendu contre le diabète, Advandia. Après qu’Advandia ait tranquillement disparu de la liste des produits de GSK.

Slaoui a également des liens avec les projets de la Fondation Bill & Melinda Gates. Il a siégé au conseil d’administration de l’Initiative internationale pour un vaccin contre le sida, financée par la Fondation Gates. L’IAVI a été lancée en 1994 lors d’une conférence de la Fondation Rockefeller et est soutenue entre autres par la Fondation Gates, par le ministère étasunien de la Défense et par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses de Tony Fauci.

Lors d’une conférence de presse tenue le 15 mai à la Maison Blanche, où le président a présenté M. Slaoui comme le chef du projet de vaccin contre les accidents, ce dernier a déclaré :

« Monsieur le Président, j’ai vu très récemment les premières données d’un essai clinique avec un vaccin contre les coronavirus. Ces données me rendent encore plus confiant dans notre capacité à fournir quelques centaines de millions de doses de vaccin d’ici à la fin de 2020 ».

Bien qu’il ne l’ait pas dit, il faisait clairement référence à Moderna et à son vaccin à ARNm modifié par le gène, le premier vaccin étasunien autorisé à entrer en phase I des essais sur l’homme après que le gouvernement étasunien ait accordé à la société un financement colossal de 483 millions de dollars pour accélérer le vaccin COVID-19.

Le vaccin Czar Slaoui est bien placé par rapport à Moderna. Après avoir quitté GSK de 2017 jusqu’à ce qu’il rejoigne l’opération « Trump Operation Warp Speed« , Slaoui a fait partie du conseil d’administration de Moderna. Il détient toujours 10 millions de dollars de stock options Moderna, des options dont la valeur risque de monter en flèche à mesure que la vitesse de distorsion augmente. Cela laisserait supposer un conflit d’intérêts flagrant avec le tsar Slaoui, mais ce n’est que le début de cette saga, où des millions de vies sont potentiellement menacées par un nouveau vaccin génétiquement modifié, insuffisamment testé ou éprouvé.

Moderna et Slaoui

À l’heure actuelle, le principal candidat du gouvernement étasunien à la victoire dans la course à la « vitesse de distorsion » pour le déploiement d’un vaccin contre la COVID-19 est la société Moderna Inc. de Slaoui, à Cambridge, dans le Massachusetts. C’est sûrement une coïncidence ?

Moderna affirme qu’entre le 11 janvier, date à laquelle ils ont reçu la séquence d’ADN du virus de Chine, et le 13 janvier – en deux jours seulement – en collaboration avec l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) d’Anthony Fauci du NIH, ils ont réussi à finaliser la séquence de l’ARNm1273 du vaccin contre le nouveau coronavirus. A ce moment, Fauci a annoncé des plans sans précédent pour mener des essais de phase I du vaccin sur l’homme sans études préalables sur l’animal. La FDA a renoncé aux pré-tests sur les animaux. Les tests du mRNA1273 de Moderna ont été financés par la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), financée par la Fondation Gates.

Le fait que M. Fauci se soit concentré sur le vaccin expérimental à ARNm COVID-19 de Moderna alors que M. Slaoui dirigeait son développement chez Moderna est pour le moins impressionnant. La société déclare que le 16 avril, Moderna a reçu un prix de l’agence gouvernementale étasunienne BARDA d’un montant de 483 millions de dollars pour accélérer le développement de l’ARNm-1273. Ce prix permettra de financer le développement de l’ARNm-1273 pour l’homologation de la FDA et l’extension du processus de fabrication afin de permettre une production à grande échelle en 2020 pour la réponse à une pandémie. À ce moment-là, la valeur des options d’achat d’actions Moderna de M. Slaoui a fait un bond de 184 %. Puis, le 1er mai, Moderna et Lonza Group ont annoncé une collaboration stratégique mondiale pour fabriquer de l’ARNm-1273 à raison d’un milliard de doses par an. Ce n’est pas une mince affaire.

Le 6 mai, Moderna a déposé un rapport actuel sur le formulaire 8-K auprès de la SEC, qui comprenait une entrevue publiée par le National Geographic avec Anthony S. Fauci, directeur du NIAID, qui a décrit son évaluation des résultats des tests liés à l’étude clinique de phase 1 en cours de l’ARNm-1273. Elle était assez positive.

Ainsi, entre le 13 janvier et le 25 mars, M. Slaoui et son équipe de Moderna ont pu concevoir le vaccin et le produire de manière à ce qu’il puisse être injecté à l’homme, a déclaré M. Slaoui à un magazine marocain, L’Économiste. Pendant son séjour à Moderna, M. Slaoui a été pleinement impliqué dans le développement du vaccin COVID-19 à ARNm.

Le 7 mai, quelques jours avant que M. Slaoui ne devienne le tsar du vaccin, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a approuvé le vaccin à ARN messager (ARNm), ARNm1273, pour passer à la phase II des essais chez l’homme au cours de l’été. Le 12 mai, la FDA a accordé la désignation Fast Track au vaccin à ARNm de Moderna. La vitesse de distorsion (Warp Speed), vous savez.

La FDA, avec le soutien du NIAID de Tony Fauci au NIH, a accordé le 27 avril un essai de phase I sans précédent sur l’homme pour le vaccin à ARNm jamais approuvé auparavant. Ils ont évité les tests sur des animaux normaux, généralement des rats, pour passer directement aux tests sur des cobayes humains. Selon M. Moderna, l’essai de phase II permettra d’évaluer la sécurité, la réactogénicité et l’immunogénicité de deux vaccins à ARNm-1273 administrés à 28 jours d’intervalle. Ils recruteront 600 adultes en bonne santé pour l’expérience et suivront soi-disant leur santé pendant 12 mois après la deuxième vaccination. Il est prévu de commencer les vaccinations humaines d’ici la fin de l’année.

Dangers de l’ARNm ?

Tout cela, malgré les preuves de conflits d’intérêts extrêmes entre le NIAID et d’autres agences du gouvernement américain avec Moderna et le tsar des vaccins et l’ancien directeur de Moderna, M. Slaoui, pourrait être traité avec plus de légèreté, si ce n’était le fait que la technologie de Moderna pour les vaccins à ARNm est entièrement expérimentale et n’a jamais été approuvée auparavant pour une utilisation comme vaccin. La société elle-même l’admet. Elle déclare :

« L’ARNm est une plate-forme émergente… nous sommes encore au début de l’histoire. Notre programme de vaccin le plus avancé (CMV) est en phase 2 d’essais cliniques et nous n’avons aucun médicament approuvé à ce jour ».

Moderna et d’autres personnes travaillant avec les vaccins expérimentaux à ARNm modifiés par des gènes affirment qu’ils sont plus sûrs que les vaccins à ADN modifiés par des gènes, qui sont certes imprévisibles. La recherche sur les vaccins à ADN a trente ans mais, à ce jour, elle n’a pas réussi à produire un seul vaccin à ADN homologué. Moderna n’a que 11 ans et la technologie d’édition de gènes CRISPR qu’il utilise a à peine 5 ans. On nous dit que l’ARNm est complètement différent et sûr.

Cependant, de nombreux scientifiques avertissent qu’une fois à l’intérieur du noyau cellulaire, les vaccins à ARNm risquent de modifier de façon permanente et imprévisible l’ADN d’une personne. Le NIH de Tony Faudi a publié un article scientifique sur les perspectives des nouveaux vaccins à ARNm. On y lit notamment que

« la détection immunitaire innée de l’ARNm a également été associée à l’inhibition de l’expression de l’antigène et peut avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire. Bien que les effets paradoxaux de la détection immunitaire innée sur les différents formats de vaccins à ARNm soient incomplètement compris, certains progrès ont été réalisés ces dernières années dans l’élucidation de ces phénomènes ».

Il s’agit d’une science hautement expérimentale.

Un autre article scientifique financé par plusieurs universités chinoises et republié par le NIH en 2019, qui examine le développement de la nouvelle technique de l’ARN messager pour les vaccins, a lancé quelques avertissements sobres. Il a noté qu’il y avait des « préoccupations concernant l’instabilité et la faible immunogénicité ». En outre, « les vaccins à ARNm sont efficaces pour l’expression des antigènes, mais la séquence et les structures secondaires formées par les ARNm sont reconnues par un certain nombre de récepteurs immunitaires innés, et cette reconnaissance peut inhiber la traduction des protéines ». De plus,

« …plusieurs de ces vecteurs ont montré une toxicité in vivo, ce qui peut limiter leur utilisation chez l’homme » (c’est nous qui soulignons). Les auteurs ont conclu que « le mécanisme de réponse immunitaire initié par l’ARNm reste à élucider. Le processus de reconnaissance des vaccins à ARNm par les capteurs cellulaires et le mécanisme d’activation des capteurs ne sont toujours pas clairs« .

Le gouvernement étasunien, dans un cercle étroit entièrement lié au NIAID de Tony Fauci, la Fondation Gates, l’OMS agissent non pas en fonction d’une distorsion, mais plutôt en fonction des priorités humaines pour nous fournir un vaccin dont personne ne peut en aucune façon assurer qu’il est sûr. Si Moderna était si sûr qu’il est sans danger, il devrait proposer d’être légalement responsable de tout dommage causé à l’ARNm. Ce n’est pas le cas, et aucune entreprise de vaccins ne le fait. Nous devons décider si l’ampleur des décès dans le monde, gonflés ou non, supposés être dus à COVID-19, justifie une telle expérience sur l’homme qui pourrait modifier notre génétique de manière imprévisible et éventuellement toxique.

F. William Engdahl


L’image en vedette provient de NEO

F. William Engdahl est consultant en risques stratégiques et conférencier, il est titulaire d’un diplôme en politique de l’université de Princeton et est un auteur à succès sur le pétrole et la géopolitique, exclusivement pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook » où cet article a été publié à l’origine. Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © F. William Engdahl, Mondialisation.ca, 2020




Critique en 16 points majeurs de la raison « impure » du confinement — Comment en sommes-nous arrivés là ?

[Source : Sott.net]

[Auteur :] J.B. Handley – JBH Blog

Note du traducteur : Bien qu'en grande partie vus d'un point situé aux États-Unis, tous les éléments contenus dans cet article s'appliquent à la plupart des pays occidentaux et notamment à la France. Seize faits imparables à l'aune des publications scientifiques censurées par les médias aux ordres du Mondialisme délétère et impur au sens « entaché d'éléments incontrôlés, indésirables », un esprit du mal qui souille la morale, le social et le religieux par lequel l'âme des humains est attachée à un totalitarisme qui véhicule ses idées psychopathiques. Comme indiqué en fin d'article, l'original en anglais a été publié le 30 mai 2020 et a fait l'objet de mises à jour jusqu'au 8 juin.

Pour qui veut bien regarder, il y a tant de faits qui racontent la vérité, et cette vérité ressemble à cela :

« Compte tenu de ce que nous savons aujourd’hui du taux de mortalité par infection du Covid-19, de l’impact asymétrique selon l’âge et l’état de santé, de la non-transmissibilité par des personnes asymptomatiques et dans des environnements extérieurs, du taux de mortalité quasi nul pour les enfants et de la compréhension de base des virus par la loi de Farr, le confinement de la société fut une stupide décision politique à ce point dévastatrice pour la société que les historiens pourraient la juger comme la pire décision jamais prise. Pire encore, bien que ces dommages soient maintenant reconnus et en dépit du fait que chaque heure passée dans une phase de confinement produit un effet domino dévastateur sur la société, de nombreux décideurs politiques n’ont toujours pas changé d’avis. Pendant ce temps, les médias — à quelques exceptions notables près — sont étrangement silencieux quant aux informations positives. Heureusement, et malgré les critiques extrêmes et la censure d’une foule en colère, désespérée de continuer à mener une guerre imaginaire, un groupe inattendu de héros à travers le paysage politique — dont beaucoup de médecins et de scientifiques — se sont manifestés pour dire la vérité. »

© Inconnu

Mon but est de m’engager dans des faits connus. Vous, le lecteur, pouvez décider si tous ces faits, lorsque vous les rassemblez, correspondent à l’histoire ci-dessus.

Fait n° 1 — Le taux de mortalité par infection du Covid-19 se situe entre 0,07 et 0,20 %, ce qui correspond à la grippe saisonnière

Le taux de mortalité par infection de tout nouveau virus diminue TOUJOURS au fil du temps, à mesure que de nouvelles données sont disponibles, comme pourrait vous le dire n’importe quel virologue. Dans les premiers temps du Covid-19, où nous ne disposions que de données provenant de Chine, on craignait que le taux de mortalité infectieuse puisse atteindre 3,4 pour cent, ce qui eut effectivement été cataclysmique. Le 17 avril, la première étude fut publiée par des scientifiques de Stanford et elle aurait dû mettre immédiatement fin à tous les confinements, les scientifiques ayant indiqué que leurs recherches « impliquent que l’infection est bien plus répandue que ce qu’indique le nombre de cas confirmés » et avaient fixé le taux de mortalité lié à l’infection entre 0,12 et 0,2 pour cent. Ils avaient également spéculé, à mesure que de nouvelles données émergeaient, que le taux final de mortalité lié à l’infection serait probablement « inférieur ». Pour situer le contexte, la grippe saisonnière a un taux de mortalité lié à l’infection de 0,1 pour cent. La variole ? 30 pour cent.

L’étude de Stanford fut la première étude à établir le taux de mortalité par infection du Covid-19, et elle fit alors l’objet de critiques sévères, ce qui a incité le chercheur principal, le Dr John Ioannidis, à souligner ce qui suit :

« On notera la manifestation ici d’une sorte de pensée de groupe qui insiste sur le fait que c’est la fin du monde et que le ciel est en train de nous tomber sur la tête. Elle attaque les études avec des données basées sur la spéculation et la science-fiction. Mais il est ahurissant d’écarter les données réelles en faveur d’une spéculation mathématique. »

Comme toute bonne science, les données de Stanford sur le taux de mortalité par infection ont été reproduites tellement de fois que nos propres Centres de contrôle des maladies ont annoncé cette semaine que leur « meilleure estimation » indiquait un taux de mortalité par infection inférieur à 0,3 pour cent. Dans cet article sur les nouvelles données du CDC, ils ont également souligné comment les baisses en cascade du taux de mortalité par infection ont fait disparaître toutes les craintes apocalyptiques :

« Ce scénario d’« estimation au plus juste » suppose également que 35 pour cent des infections sont asymptomatiques, ce qui signifie que le nombre total d’infections est supérieur de plus de 50 pour cent au nombre de cas symptomatiques. Il implique donc que le taux de mortalité par infection se situe entre 0,2 pour cent et 0,3 pour cent. En revanche, les projections effectuées en mars par le CDC — qui prévoyaient que jusqu’à 1,7 million d’Américains pourraient, sans intervention, mourir du Covid-19 — supposaient un taux de mortalité par infection de 0,8 pour cent. À peu près au même moment, des scientifiques de l’Imperial College avaient élaboré un scénario catastrophe dans lequel 2,2 millions d’Américains mourraient, sur la base d’un taux de mortalité par infection de 0,9 pour cent. »

Si vous n’êtes toujours pas convaincu que le taux de mortalité par infection du Covid-19 correspond à peu près à une mauvaise saison de grippe, l’analyse la plus complète qu’il m’ait été donné de lire provient de l’université d’Oxford, qui a récemment déclaré :

« En tenant compte de l’expérience historique, des tendances des données, du nombre accru d’infections dans la population au sens large et de l’impact potentiel d’une mauvaise classification des décès, on obtient une estimation présumée du taux de mortalité par infection du Covid-19 qui se situe entre 0,1 pour cent et 0,41 pour cent. »

Grâce au nombre important d’études du taux de mortalité par infection qui ont été réalisées dans le monde entier en avril et début mai, le Dr Ioannidis de Stanford a finalement publié la semaine dernière une méta-analyse dans laquelle il a examiné DOUZE études distinctes du taux de mortalité par infection et sa conclusion est à ce point excellente que je vous laisse la découvrir :

« Le taux de mortalité par infection (IFR), c’est-à-dire la probabilité pour une personne infectée de mourir, est l’une des caractéristiques les plus critiques et les plus contestées de la pandémie de maladie à coronavirus 2019 (Covid-19). La charge de mortalité totale attendue pour le Covid-19 est directement liée à l’IFR. En outre, la justification de diverses interventions de santé publique non pharmacologiques dépend de manière cruciale de cet IFR. Certaines interventions agressives susceptibles d’induire également des dommages collatéraux plus prononcés peuvent être considérées comme appropriées, si l’IFR est élevé. À l’inverse, les mêmes mesures peuvent ne pas atteindre les seuils de risque et de bénéfice acceptables si l’IFR est faible… Il est intéressant de noter qu’en dépit de leurs différences de conception, d’exécution et d’analyse, la plupart des études fournissent des estimations d’IFR ponctuelles qui se situent dans une fourchette relativement étroite. Sept des douze IFR estimés se situent dans une fourchette de 0,07 à 0,20 (IFR corrigé de 0,06 à 0,16), ce qui est similaire aux valeurs IFR de la grippe saisonnière. Trois valeurs sont légèrement supérieures (IFR corrigé de 0,25-0,40 à Gangelt, Genève et Wuhan) et deux sont légèrement inférieures à cette fourchette (IFR corrigé de 0,02-0,03 à Kobe et dans l’Oise). »

Avis n°1 — Dr. Scott Atlas

Dr. Scott Atlas
© Inconnu

Le Dr Scott Atlas de Stanford a — peu après la publication des données de l’étude de Stanford dont il n’était pas auteur — publié un article d’opinion dans le journal The Hill avec le titre « Les données sont là — arrêtez la panique et mettez fin à l’isolement total ». Il a écrit :

« La récente étude de l’université de Stanford sur les anticorps estime maintenant que le taux de mortalité en cas d’infection est probablement de 0,1 à 0,2 pour cent, ce qui constitue un risque bien inférieur aux précédentes estimations de l’Organisation mondiale de la santé qui étaient 20 à 30 fois plus élevées et qui motivaient les politiques d’isolement… Arrêtons de sous-estimer les preuves empiriques et doublons plutôt les modèles hypothétiques. Les faits sont importants. »

Les faits sont importants, mais personne n’a écouté. L’article du Dr Atlas sert également de cadre de référence au Fait n°2.

Fait n° 2 — Le risque de mourir du Covid-19 est bien plus élevé que l’IFR moyen pour les personnes âgées et celles souffrant de comorbidité, bien plus faible que l’IFR moyen pour les jeunes personnes en bonne santé, et proche de zéro pour les enfants

En janvier 2020, Los Angeles a connu une épidémie de grippe qui a causé la mort de plusieurs enfants ; le Los Angeles Times notait qu’« une souche improbable de grippe a rendu malade et tué en cette saison de grippale un nombre inhabituellement élevé de jeunes en Californie ». Le Covid-19 est à l’opposé de cela. Le Dr Ioannidis, de Stanford, a déclaré : « Comparé à presque toutes les autres causes de maladie auxquelles je peux penser, [le Covid] épargne vraiment les jeunes. »

Le rapport du CDC sur les décès par Covid selon l’âge — Du 1er février au 16 mai

L’Italie a indiqué il y a trois jours que 96 pour cent des Italiens qui sont morts du Covid-19 souffraient déjà « d’autres maladies » et étaient en moyenne âgés de 80 ans. Selon Bloomberg, le chef de l’ISS [Institut supérieur de Santé en Italie – NdT], Silvio Brusaferro, a déclaré lors d’une conférence de presse vendredi :

« Les derniers chiffres montrent que les nouveaux cas et les décès ont un profil commun : ce sont principalement des personnes âgées souffrant d’autres maladies. »

Les meilleures données sur la répartition de l’âge des populations atteintes qu’il m’ait été donné de lire proviennent de Worldometers.info. Voici leur graphique d’estimation du taux de mortalité par groupe d’âge. Veuillez noter que le taux de mortalité est BIEN plus élevé que le taux de mortalité en cas d’infection parce que le taux de mortalité utilise les cas confirmés de Covid-19 comme dénominateur, mais il indique à quel point les taux de mortalité sont différents selon l’âge.

© Worldometers.com
TRADUCTION — Taux de mortalité = (nombre de décès / nombre de cas) = probabilité de décès en cas d'infection par le virus (%). Cette probabilité diffère selon le groupe d'âge. Les pourcentages indiqués ci-dessous ne doivent pas nécessairement totaliser 100 pour cent , car ils ne représentent PAS la part des décès par groupe d'âge. Ils représentent plutôt, pour une personne d'un groupe d'âge donné, le risque de mourir si elle est infectée par le Covid-19.

Bien que ces données soient « brutes », on peut extrapoler sans risque qu’une personne de plus de 80 ans risque sérieusement de mourir du Covid-19 alors qu’un enfant ne court pratiquement aucun risque. Ce fait devrait orienter les politiques, comme l’explique le Dr Atlas :

« Dans l’État de New York, les deux tiers des cas mortels concernaient des patients de plus de 70 ans, plus de 95 pour cent avaient plus de 50 ans et environ 90 pour cent de tous les cas mortels souffraient déjà d’une autre maladie. Sur les 6 570 décès par Covid-19 confirmés et ayant fait l’objet d’une enquête approfondie pour déterminer à ce jour la présence d’une comorbidité, 6 520, soit 99,2 pour cent, souffraient d’une maladie sous-jacente. Si vous ne souffrez pas à la base d’une maladie chronique, vos chances de mourir sont faibles, quel que soit votre âge. Et les jeunes adultes et les enfants en bonne santé ne courent pratiquement aucun risque de contracter une maladie grave à cause du Covid-19. »

Considérez cet excellent article du British Medical Journal, intitulé « La protection contre le Covid-19 doit être répartie en fonction du risque », écrit par des professeurs de l’université de Cambridge :

« Protéger les personnes qui risquent le plus de mourir du Covid-19 tout en assouplissant les restrictions imposées aux autres permet de progresser dans l’épidémie de SRAS-CoV-2, étant donné que le virus a peu de chances de disparaître dans un avenir prévisible. De telles approches ciblées nécessiteraient toutefois de s’éloigner de l’idée que nous sommes tous gravement menacés par la maladie, ce qui a conduit à des niveaux de panique individuelle étonnamment inadaptés au risque concret de décès. L’objectif devrait plutôt être de communiquer des niveaux de risque réalistes tels qu’ils s’appliquent à différents groupes, non pas pour rassurer ou effrayer, mais pour permettre des décisions individuelles éclairées dans un contexte d’incertitude inévitable. »

Un exemple simple : fermer les écoles n’a pratiquement aucun sens compte tenu de ce que nous savons du Covid-19 ; les laisser ouvertes et protéger les enseignants de plus de 60 ans — pour choisir une limite d’âge quelque peu défendable — pourrait s’avérer bien plus sensé. C’est pourquoi tant de pays apparemment désireux de respecter davantage les données que nous ne le faisons ici aux États-Unis ont déjà rouvert leurs écoles. En fait, les écoles du Danemark sont ouvertes depuis la mi-avril ! Et, pour ceux qui tiennent les comptes,Reuters a déclaré juste hierque «la réouverture des écoles au Danemark n’a pas aggravé l’épidémie, comme le montrent les données». Voici une citation :

« Peter Andersen, docteur en épidémiologie et prévention des maladies infectieuses à l’Institut danois du sérum a déclaré jeudi à Reuters qu’« On ne voit aucun effet négatif lié à la réouverture des écoles ». En Finlande, un haut fonctionnaire a annoncé mercredi des résultats similaires, en précisant que rien jusqu’ici ne suggérait que le coronavirus s’était propagé plus rapidement depuis la réouverture des écoles à la mi-mai. »

Voici un autre excellent article sur les écoles, intitulé « C’est la peur — et non la science — qui empêche nos enfants d’être éduqués », paru la semaine dernière dans le journal The Telegraph :

« Il y a peu de choses dont nous pouvons être absolument certains à propos du coronavirus — c’est une maladie toute nouvelle et nos connaissances s’enrichissent de jour en jour — mais la plupart des preuves disponibles jusqu’à présent suggèrent fortement que les enfants ne souffrent pas du coronavirus et ne le propagent pas. Des études menées en Corée du Sud, en Islande, en Italie, au Japon, en France, en Chine, aux Pays-Bas et en Australie s’accordent toutes à dire que les jeunes ne sont « pas impliqués de manière significative dans la transmission du Covid », pas même à leurs parents et à leurs frères et sœurs.

La paranoïa des adultes, alimentée par des messages gouvernementaux exagérés, l’intransigeance des syndicats et les connivences avec les médias, est maintenant infligée aux plus jeunes membres de notre société pour lesquels le virus représente une menace que de si rares scientifiques qualifient de « statistiquement non pertinente ». Au lieu de comptines, les jeunes enfants pourraient bientôt être invités à chanter une sorte de ritournelle intitulée La chanson des deux mètres en tendant les bras pour tenir leurs amis à distance. »

Une toute nouvelle étude scientifique publiée le 28 mai en Irlande du Nord montre clairement que les écoliers ne sont PAS vecteurs du Covid-19. Intitulée « Aucune preuve de transmission secondaire du Covid-19 par des enfants scolarisés en Irlande, 2020 », l’étude ne pourrait pas être plus claire :

« Ces résultats suggèrent que les écoles ne sont pas un lieu à haut risque pour la transmission du Covid-19 entre élèves ou entre le personnel et les élèves. Compte tenu du caractère problématique de la fermeture des écoles décrit par Bayhem [4] et Van Lanker [5], leurs réouvertures devraient être considérées comme une mesure à prendre de façon précoce plutôt que tardive. »

Enfin, le Dr Scott Atlas a abordé le thème des écoles dans cette récente interview :

« Il n’y a aucune raison scientifique de fermer les écoles de la maternelle à la terminale, d’imposer des masques ou une distanciation sociale aux enfants, ni de suspendre les activités estivales. Nous savons maintenant que le risque de décès et le risque de maladie, même grave, sont presque nuls chez les moins de 18 ans.»

Mise à jour rapide — Après que j’aie rédigé ceci, le Wall Street Journal a publié un article intitulé « La réouverture des écoles est-elle sans danger ? ». Ces pays disent oui. Pour moi, il s’agit d’une sorte de test décisif destiné aux pays dont les responsables de la santé publique sont indépendants et s’appuient sur des données objectives pour mener leurs actions, et je donne un « F » aux États-Unis pour son approche actuelle :

« Mais le Danemark, l’Autriche, la Norvège, la Finlande, Singapour, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et la plupart des autres pays qui ont rouvert les établissements scolaires et les jardins d’enfants n’ont enregistré aucune épidémie… « Au Danemark, l’ouverture des écoles n’a pas eu d’impact sur la progression de l’épidémie », a déclaré Tyra Grove Krause, un haut fonctionnaire de l’Institut national du sérum, l’agence de contrôle des maladies du pays… « Depuis la réouverture des écoles et des jardins d’enfants en Autriche le 18 mai, aucune augmentation des infections n’y a été observée », a déclaré un porte-parole du gouvernement… En Norvège, le gouvernement « ne refermera pas les écoles même si le nombre de cas se mettait à augmenter, car la réouverture des écoles le 20 avril n’a eu de aucune incidence négative », a déclaré le ministre de l’éducation Guri Melby. »

Combien d’autres pays doivent rouvrir leurs écoles avant que les États-Unis ne suivent ? Sérieusement, c’est un peu gênant d’être américain… à mon avis, on a l’air d’abrutis.

Mise à jour n°2 — Le Dr Scott Atlas a doublé la mise le 1er juin avec cet excellent opus en regard de la page éditoriale, une fois de plus dans The Hill, intitulé « La Science dit qu’il faut ouvrir les écoles ». Comme d’habitude, il est incroyablement éloquent, en voici un extrait, bien qu’en lire chaque mot en vaille la peine, ça déchire tout simplement :

« Tout cela frise l’absurde, alors que nous savons maintenant que la distanciation sociale et l’application d’un masque sur le visage des enfants sont totalement inutiles.

Jamais les écoles n’ont soumis les enfants à un environnement aussi malsain, inconfortable et anti-éducatif, de sorte que la science n’est pas capable de définir précisément le préjudice total qui en résultera. Mais la science nous dit que les risques liés au Covid-19 sont trop minimes pour sacrifier le bien-être éducatif, social, émotionnel et physique — sans parler de la santé même — de nos jeunes. »

Note spéciale — Il existe un nouveau croque-mitaine, la maladie de Kawasaki, que certains essaient de relier au Covid-19. Voici un excellent article à ce sujet, ou consultez le site web de la Fondation britannique pour la maladie de Kawasaki, où il est question de la « mauvaise gestion des informations » concernant cette même maladie. Le dernier article du Dr Atlas aborde également ce sujet :

« Qu’en est-il de cette nouvelle menace assimilée à la maladie de Kawasaki, récemment montée en épingle en l’associant au Covid-19 ? En fait, l’association est extrêmement faible, et l’incidence de la maladie est elle-même rare, ne touchant que 3 000 à 5 000 enfants aux États-Unis chaque année. Il est important de noter que le syndrome est typiquement traitable et n’a jamais été considéré auparavant comme un risque grave au point que les écoles doivent être fermées. »

Fait n° 3 — Les personnes infectées par le Covid-19 qui sont asymptomatiques (c’est-à-dire la plupart d’entre elles) ne propagent PAS le Covid-19

Le 13 janvier 2020, une femme de 22 ans ayant des antécédents de cardiopathie congénitale s’est rendue aux urgences de l’hôpital populaire de la province de Guangdong, se plaignant de divers symptômes communs aux personnes atteintes de son affection, notamment l’hypertension pulmonaire et l’essoufflement dû à une déformation inter-auriculaire — un trou dans le cœur. Elle était loin de se douter que son cas déclencherait une cascade d’événements qui a donné lieu à un article récemment publié qui aurait dû mettre fin simultanément à tous les confinements dans le monde. Après trois jours d’hospitalisation, son état s’améliorait. Des tests de routine ont été effectués et, à la surprise des cliniciens, elle a été testée positive au Covid-19. Comme l’ont noté les médecins, « la patiente n’a jamais eu de fièvre, de mal de gorge, de myalgie ou d’autres symptômes associés à une infection virale ». Autrement dit, elle était totalement asymptomatique au Covid-19.

Hôpital populaire de la province de Guangdong
© nandu.com

Trouver des personnes infectées par le Covid-19 qui sont asymptomatiques est laborieux, dans la mesure elles ne cherchent pas à se faire soigner. Ici, dans l’Oregon où je vis, effectuer le test du Covid-19 n’est même pas possible à moins d’avoir des symptômes. Les astres se sont donc alignés pour placer cette femme dans un hôpital avec des scientifiques étudiant le Covid-19, et elle a fait l’objet d’une vaste étude de contact relationnel publiée le 13 mai dans Respiratory Medicine, intitulée « Une étude sur l’infectiosité des porteurs asymptomatiques du SRAS-CoV-2 ».

Les chercheurs voulaient savoir si cette femme, infectée par le Covid-19 mais ne présentant aucun symptôme, avait infecté quelqu’un d’autre. Ils ont donc choisi d’examiner chacun de ses contacts qu’ils ont pu identifier au cours des cinq jours précédant son test positif. Combien de personnes ont-ils dû dépister ? 455. Ce n’est pas un petit nombre, comme l’expliquent les chercheurs :

« 455 contacts exposés au porteur asymptomatique du virus Covid-19 ont fait l’objet de nos recherches. Ils ont été répartis en trois groupes : 35 patients, 196 membres de la famille et 224 membres du personnel hospitalier. Nous avons extrait leurs informations épidémiologiques, leurs dossiers cliniques, leurs résultats d’examens auxiliaires et leurs historiques thérapeutiques. »

Comme vous pouvez le voir, l’hospitalisation de cette femme fut à l’origine de la plupart des contacts qu’elle a pu avoir, tant avec d’autres patients qu’avec de nombreux membres du personnel de l’hôpital. De façon notable, tous ces contacts ont eu lieu dans un cadre intérieur et on peut dire que beaucoup d’entre eux — du moins avec le personnel hospitalier — auraient impliqué des contacts relativement intimes. Parmi les patients, la moyenne d’âge était de 62 ans, ce qui les rendait sans doute plus à risque, et beaucoup de ces patients étaient immunodéprimés pour diverses raisons, notamment des chimiothérapies et des maladies cardiovasculaires. Donc, sur les 455 personnes, combien ont été infectées par la femme asymptomatique de 22 ans ?

« En résumé, les 455 contacts ont été exclus de l’infection par le SRAS-CoV-2… »

Autrement dit, aucune personne n’a été infectée. Les scientifiques, en en minimisant l’importance de façon typique, commentent la question que, j’espère, vous vous posez en ce moment — à savoir, pourquoi sommes-nous tous confinés si les personnes asymptomatiques atteintes du Covid-19 ne peuvent pas propager l’infection — en déclarant : « le résultat de cette étude pourrait atténuer une partie des inquiétudes du public concernant les personnes infectées asymptomatiques. »

Si cette étude avait été publiée au début du mois de mars, les probabilités que le monde soit confiné auraient été très, très faibles. Pourtant, cette étude, publiée il y a seulement deux semaines, n’est mentionnée nulle part dans les médias pas plus qu’elle ne l’est par les décideurs politiques. Elle existe simplement, et communique la vérité à quiconque veut bien y prêter attention.

Mise à jour rapide sur le fait n°3 — De tous les faits présentés, ce dernier a reçu le plus de commentaires négatifs de la part des sceptiques qui affirment qu’il est basé sur une seule étude publiée. Bien sûr, la science se construit dans le temps, donc la critique est légitime, c’est pourquoi cette annonce de l’Organisation mondiale de la santé aujourd’hui — 8 juin — constitue un coup de griffe pour quiconque prétend encore que des personnes asymptomatiques peuvent propager le Covid-19 :

Déclaration de l’OMS le 8 juin 2020 – Le coronavirus propagé par des personnes ne présentant aucun symptôme « semble être rare », selon un responsable de l’OMS
© CNN

Contrairement à moi, l’Organisation mondiale de la santé est au courant des nouvelles données provenant des études menées dans le monde entier. C’est pourquoi cette citation de Maria Van Kerkhove, responsable technique de l’OMS pour la lutte contre le coronavirus, est si importante :

« D’après les données dont nous disposons, il semble toujours aussi rare qu’une personne asymptomatique transmette effectivement à un individu secondaire. Nous disposons d’un certain nombre de rapports émanant de plusieurs pays effectuant des recherches très détaillées sur les contacts. Ils suivent les cas asymptomatiques, ils suivent les contacts et ils ne trouvent aucune transmission secondaire ultérieure. C’est très rare — et une grande partie de ces faits n’est pas publié dans la littérature [scientifique – NdT]. Nous examinons constamment ces données et nous essayons d’obtenir plus d’informations issus des différents pays pour répondre vraiment à cette question. Qu’un individu asymptomatique transmette ultérieurement la maladie de façon effective semble toujours aussi rare. »

Pendant ce temps, tant de règles absurdes ont été élaborées que l’on présume que les personnes asymptomatiques PEUVENT répandre le Covid-19. En fait, j’ai également lu aujourd’hui que le surintendant de Californie a publié des directives pour l’ouverture des écoles à l’automne, qui incluront probablement le port du masque pour tous les élèves… c’est tout simplement incroyable à quel point les fonctionnaires semblent diverger de ce que les FAITS nous disent ! Savoir que le Covid-19 n’est pas transmis par les personnes asymptomatiques fait que 99 pour cent des mesures prises contre le Covid-19 sont complètement inutiles et que les conseils de santé publique devraient devenir également extrêmement simples : si vous êtes malade, restez chez vous. Tous les autres ? Continuez à vivre normalement. À quel moment les faits observés sur le terrain et l’imposition absurde de règles aléatoires vont-ils se confronter d’une manière ou d’une autre ? Bientôt, je l’espère, et je m’appuie sur les faits.

Fait n° 4 — La science émergente ne montre aucune propagation du Covid-19 dans les espaces collectifs (magasins, restaurants, coiffeurs, etc.)

« Il n’existe pas de risque significatif de contracter la maladie en faisant ses courses. Les cas graves d’infection ont toujours été le résultat d’un contact rapproché entre des individus pendant une longue période… »

~ Professeur Hendrick Streek, Université de Bonn

Nous venons d’apprendre que les personnes asymptomatiques infectées par le Covid-19 ont très peu de chances de pouvoir transmettre l’infection à d’autres individus. Des études scientifiques récentes ont été publiées et elles montrent que la transmission du Covid-19 dans les établissements de vente au détail estextrêmement improbable. Le professeur Hendrik Streeck de l’université de Bonn dirige une étude en

Dr. Hendrick Streek
© Inconnu

Allemagne concernant la région durement touchée de Heinsberg et ses conclusions, issues de travaux de laboratoire déjà réalisés, sont très claires :

« Il n’existe pas de risque significatif de contracter la maladie en faisant ses courses. Les cas graves d’infection ont toujours été le résultat d’un contact rapproché entre des individus pendant une longue période.

Lorsque nous avons prélevé des échantillons sur les poignées de porte, les téléphones ou les toilettes, il n’a pas été possible — sur la base de ces prélèvements — de cultiver le virus en laboratoire… »

Houlà ! Voulez-vous dire que fermer les parcs, fermer les magasins, porter des gants et des masques à l’épicerie, fumiger nos courses, et que faire preuve d’une paranoïa générale n’était pas nécessaire ? Comme le confirme le Dr. Streeck :

« Il est important d’obtenir ces données afin de s’assurer que les décisions sont prises sur la base de faits plutôt que d’hypothèses. Les données doivent servir de base d’information pour le gouvernement afin qu’il puisse ensuite réfléchir à la suite de ses actions. »

Et il continue :

« Les gens pourraient perdre leur emploi. Ils pourraient ne plus être en mesure de payer leur loyer et rester plus longtemps confiné peut entraîner un affaiblissement de notre système immunitaire.

L’objectif n’est pas d’endiguer complètement le virus. Nous devons savoir où se situent les limites de capacité réelles de nos hôpitaux. À partir de combien d’infections estime-t-on qu’il y en a trop ? Que disent les médecins des soins intensifs ? »

Pour finir avec :

« Il est important de commencer à réfléchir à une stratégie de « retour en arrière » et l’espoir qu’elle porte consiste à fournir les faits pertinents afin que les décisions soient prises sur une bonne base. »

Fait n° 5 — Les publications scientifiques montrent que le Covid-19 ne se propage PAS dans les espaces extérieurs

Non. Ne faites pas ça.
© Inconnu

Dans une étude intitulée « Transmission du SRAS-CoV-2 dans les espaces intérieurs » et publiée le 2 avril 2020, des scientifiques ont étudié des potentielles épidémies issues de trois personnes ou plus dans 320 villes différentes en Chine sur une période de cinq semaines à partir de janvier 2020 en essayant de déterminer OÙ les épidémies ont commencé : à la maison, sur le lieu de travail, à l’extérieur, etc. Qu’ont-ils découvert ? Près de 80 pour cent des épidémies se sont produites dans l’environnement domestique. Le reste s’est produit dans des bus et des trains bondés. Mais qu’en est-il de l’extérieur ? Les scientifiques ont écrit :

« Tous les foyers identifiés de trois cas ou plus se sont produits dans un environnement intérieur, ce qui confirme que le partage d’un espace intérieur est un risque majeur d’infection par le SRAS-CoV-2. »

Autrement dit, il n’existe pas vraiment de données scientifiques pour étayer toutes les interdictions d’activités extérieures que mon État d’origine, l’Oregon, et tant d’autres États ont mises en place. Je vous laisse sur ma citation préférée de l’étude parce qu’il est vraiment exaspérant de la lire quand on considère certaines des façons dont les gouverneurs ici aux États-Unis [et ailleurs – NdT] se sont comportés — et certains le font encore — en interdisant toutes sortes d’activités de plein air, en arrêtant les pagayeurs sur l’eau, etc. :

« La transmission d’infections respiratoires telles que le SRAS-CoV-2 des personnes infectées aux personnes sensibles est un phénomène propre aux espaces intérieurs. »

Mise à jour rapide — Apparemment, le ministre de la santé de la Colombie britannique au Canada est entré en possession de cette information comme le montre cet article paru le 1er juin :

© BC News

L’article dit ceci :

« L’un des principaux responsables de la santé en Colombie-Britannique, cependant, affirme que les professionnels de la santé ont une idée assez précise de la façon dont le virus est transmis. Il n’y a absolument aucune preuve que cette maladie est aéroportée, et nous savons que si elle l’était, alors les mesures que nous avons prises pour contrôler le Covid-19 n’auraient pas fonctionné », a déclaré le Dr Reka Gustafson, l’agent sanitaire provincial adjoint de la Colombie-Britannique, à CTV Morning Live Monday. « La grande majorité des transmissions du Covid-19 se fait par contact étroit et prolongé, et ce n’est pas le mode de transmission que nous observons pour les maladies transmises de façon aéroportée », a-t-elle ajouté. »

J’espère vraiment que la Major League Baseball, la National Football League et le Championnat NCAA de basket-ball y prêtent attention… sans parler de tous les habitants de Portland qui continuent à faire du vélo et à courir avec des masques sur le visage.

Fait n°6 — La science montre que les masques sont inefficaces pour stopper la propagation du Covid-19, et l’OMS recommande qu’ils ne soient portés que par des personnes en bonne santé si elles traitent ou vivent avec une personne infectée par le Covid-19

Aujourd’hui même, l’Organisation mondiale de la santé a annoncé que les masques ne devraient être portés par les personnes en bonne santé que si elles prennent soin d’une personne infectée par le Covid-19 :

« Si vous n’avez pas de symptômes respiratoires tels que fièvre, toux ou écoulement nasal, vous n’avez pas besoin de porter un masque », déclare le Dr April Baller, spécialiste de la santé publique à l’OMS, dans une vidéo publiée en mars sur le site web de l’Organisation mondiale de la santé. « Les masques ne doivent être utilisés que par les professionnels de santé, les soignants ou les personnes qui présentent des symptômes de fièvre et de toux. »

Juste avant la folie du Covid-19, des chercheurs de Hong Kong ont soumis une étude pour publication sous le titre « Mesures non pharmaceutiques pour une pandémie de grippe dans des environnements non médicaux — Mesures de protection personnelle et environnementale ». Curieusement, l’étude, qui vient d’être publiée ce mois-ci, est en fait hébergée sur le propre site web du CDC, et contredit directement les récents conseils du CDC concernant le port d’un masque. En effet, l’étude déclare :

« Dans notre étude méthodique, nous avons identifié dix essais randomisés contrôlés qui ont rapporté des estimations de l’efficacité, confirmées en laboratoire, de l’utilisation des masques faciaux dans la réduction des infections par le virus de la grippe au sein de la communauté et à partir de la littérature publiée entre 1946 et le 27 juillet 2018… Dans l’analyse regroupée, nous n’avons trouvé aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux… Notre étude méthodique n’a trouvé aucun effet significatif, confirmé en laboratoire, dans le port des masques faciaux sur la transmission de la grippe… L’utilisation correcte des masques faciaux est essentielle car une mauvaise utilisation pourrait augmenter le risque de transmission. »

En clair : rien ne prouve que le port de masques réduit la transmission des maladies respiratoires et, si les masques sont portés de manière inappropriée — comme lorsque les gens réutilisent des masques en tissu — la transmission pourrait en fait AUGMENTER. De plus, cette étude était une méta-analyse, ce qui signifie qu’elle a creusé profondément dans les archives de la science — jusqu’en 1946 ! — pour arriver à ses conclusions. En d’autres termes, il s’agit d’une étude aussi complète que possible, et ses conclusions sont très claires : le port des masques dans la population générale ne montrent aucun signe d’efficacité dans le ralentissement de la propagation des virus respiratoires ou dans la protection des individus.

Soupirs…
© Inconnu

Cette étude est loin d’être la seule à parvenir à cette conclusion — ce qui rend d’autant plus incroyable le choix d’une chaîne d’épicerie comme ma chère « New Seasons » de rendre les masques obligatoires pour tous ses clients. Le but de la science est d’arbitrer ces questions épineuses et, bien que la science soit claire, l’hystérie continue. Il s’avère que l’efficacité des masques fait depuis longtemps l’objet de débats au sein de la communauté médicale, ce qui explique pourquoi tant de travaux scientifiques ont été réalisés sur le sujet. Je me contenterai de souligner quelques études avant que vous ne vous endormiez :

Mon article préféré est en fait une revue d’une grande partie de la science et c’est un excellent point de départ pour tous ceux qui aiment faire leurs propres recherches. Intitulé « Pourquoi les masques faciaux ne fonctionnent pas — Une étude révélatrice », il a été écrit pour contester la nécessité pour les dentistes de porter des masques, mais toutes les données scientifiques citées et les conclusions tirées s’appliquent aux agents pathogènes aéroportés dans n’importe quel contexte. Quelques-unes des meilleures citations :

« La science relative à la transmission des maladies infectieuses aéroportées est basée depuis des années sur ce qui est maintenant considéré comme « une recherche très dépassée et une interprétation trop simpliste des données ». Les études modernes utilisent des instruments sensibles et des techniques d’interprétation pour mieux comprendre la taille et la distribution des particules d’aérosols potentiellement infectieuses… La raison principale pour laquelle le port du masque facial est obligatoire est de protéger le personnel dentaire des agents pathogènes transmis par l’air. Cet examen a établi que les masques faciaux sont incapables d’assurer un tel niveau de protection. »

Et ma citation favorite :

« Il faut conclure de ces études et d’autres similaires que le matériau filtrant des masques faciaux ne retient ni ne filtre les virus ou autres particules sub-microniques. Si l’on ajoute à cette constatation la mauvaise adaptation des masques, on comprend aisément que ni la performance des filtres ni les caractéristiques d’adaptation des masques ne les qualifient de dispositifs de protection contre les infections respiratoires. »

Voici un article publié le mois dernier dans ResearchGate écrit par le célèbre physicien canadien D.G. Rancourt, directement en réponse à l’épidémie de Covid-19. Intitulé, « Les masques ne fonctionnent pas — Une revue de la science en rapport avec la politique sociale en réponse au Covid-19 » :

« Les masques et les respirateurs artificiels ne fonctionnent pas. Des études approfondies d’essais contrôlés randomisés (ECR) et des méta-analyses d’études d’ECR ont montré que les masques et les respirateurs artificiels ne fonctionnent pas dans la prévention des maladies respiratoires de type grippal, ou les maladies respiratoires que l’on pense être transmises par des gouttelettes et des particules d’aérosol. En outre, les données physiques et biologiques pertinentes que j’ai examinées sont telles que les masques et les respirateurs artificiels ne devraient pas fonctionner. Il serait paradoxal que les masques et les respirateurs artificiels fonctionnent, compte tenu de ce que nous savons sur les maladies respiratoires virales, à savoir que la principale voie de transmission est celle des particules d’aérosols qui séjournent sur une longue période (< 2,5 μm), celles qui sont trop fines pour être filtrées, et que la dose infectieuse minimale est inférieure à une particule d’aérosol. »

Pour le dire simplement : pour qu’un masque couvrant à la fois le nez et la bouche soit vraiment efficace, il faut que vous vous asphyxiez. Dès que le masque vous permet de respirer, il ne peut plus filtrer les microparticules qui vous rendent malade.

Enfin, je vois souvent cette étude de 2015 citée dans le British Medical Journal : « Un essai randomisé par groupe de masques en tissu comparés à des masques médicaux utilisés par les professionnels de santé », et elle mérite d’être citée à nouveau, car la PLUPART des masques que je vois actuellement qui sont portés dans la ville sont des masques en tissu. Non seulement ces masques sont inefficaces à 100 pour cent pour réduire la propagation du Covid-19, mais ils peuvent même vous nuire. Comme l’expliquent les scientifiques :

« Cette étude est le premier essai contrôlé randomisé (ECR) sur les masques en tissu, et les résultats mettent en garde contre leur utilisation. C’est une conclusion importante pour prévenir la santé et la sécurité au travail. La rétention d’humidité, la réutilisation des masques en tissu et une mauvaise filtrationpeuvent entraîner un risque accru d’infection. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour prévenir l’utilisation généralisée des masques en tissu dans le monde. »

Un risque accru d’infection ? Oui, c’est ce qui est écrit. D’autres études ont également examiné l’impact des masques sur votre niveau d’oxygène — puisque vous êtes obligé de respirer à nouveau votre propre CO2 — et le résultat de cet impact n’est pas bon. Les scientifiques ont examiné les niveaux d’oxygène des chirurgiens qui portent des masques lors d’une opération et ont constaté que « une diminution du taux de saturation en oxygène des pulsations artérielles (SpO2) et une légère augmentation de la fréquence des pulsations cardiaques par rapport aux valeurs préopératoires dans tous les groupes de chirurgiens ».

Pas plus tard que la semaine dernière, cet article est paru dans le New England Journal of Medicine, écrit par plusieurs médecins et responsables de la santé publique sous le titre « Le port du masque généralisé dans les hôpitaux à l’ère du Covid-19 », et cette déclaration semble parfaite pour conclure cette discussion sur les masques :

« Nous savons que le port d’un masque en dehors des établissements de santé n’offre que peu, voire aucune protection contre les infections. Les autorités de santé publique définissent une exposition significative au Covid-19 par un contact face à face dans un rayon d’un mètre avec un patient présentant un Covid-19 symptomatique, si ce contact persiste pendant au moins quelques minutes — et certains disent plus de 10 minutes ou même 30 minutes. La probabilité d’attraper le Covid-19 lors d’une interaction passagère dans un espace public est donc minime. Dans de nombreux cas, le désir de porter un masque de façon généralisée est une réaction instinctive à l’anxiété suscitée par la pandémie. »

Fait n° 7 — Aucune donnée scientifique ne vient étayer la magie d’une barrière induite par une distance de deux mètres

Selon cet article, l’Islande a déjà rendu la règle de distanciation à deux mètres facultative. La raison de cette recommandation de garder deux mètres de distance avec vos concitoyens pendant la pandémie remonte à 1930, comme expliquée ici par la BBC :

Heu… non.

« D’où vient la règle des deux mètres ? Il est surprenant de constater qu’elle remonte à des recherches menées dans les années 1930. À l’époque, les scientifiques ont établi que les gouttelettes de liquide libérées par la toux ou les éternuements s’évaporent rapidement dans l’air ou sont entraînées par la gravité jusqu’au sol. Et la majorité de ces gouttelettes, selon eux, atterriraient dans un rayon de un à deux mètres. C’est pourquoi on dit que les plus grands risques découlent du virus qui sera projeté par quelqu’un qui tousse près de vous ou lorsqu’il entre en contact avec une surface près de laquelle quelqu’un a toussé — et que vous touchez vous-mêmes cette surface pour ensuite toucher votre visage. Peut-on en être sûr ? »

Êtes-vous impressionné par cette science ? Moi non plus. Comme l’explique ce merveilleux article :

« Quelques études préliminaires suggèrent que les gouttelettes contaminées pourraient rester en suspension dans l’air pendant quelques heures et présenter un risque. Mais cette recherche s’accompagne d’une mise en garde : «Bien que cette recherche indique que les particules virales peuvent se propager par l’intermédiaire des bio-aérosols, les auteurs ont déclaré que la découverte de virus infectieux s’est avérée impossible et que des expériences sont en cours pour déterminer l’activité virale dans les échantillons collectés », a écrit le Dr Harvey Fineberg des National Academies of Science, Engineering, and Medicine au début de ce mois. »

Il va plus loin :

« Et la crainte répandue qu’un passant au hasard infecte un étranger ? Voici d’autres informations du CDC sur les écoles primaires : « On pense que le Covid-19 se propage principalement par contact étroit de personne à personne dans les gouttelettes respiratoires d’une personne infectée. Les personnes infectées présentent souvent des symptômes de maladie. Certaines personnes ne présentant pas de symptômes peuvent être capables de propager le virus », [ce que la science chinoise a prouvé être faux].

Non seulement ce genre de conclusion justifierait une note d’échec dans tout programme post-doctoral, mais je suis presque sûr que le professeur de sciences moyen de huitième année prendrait un gros stylo rouge pour ces passages : « On pense » « Certaines personnes ? » « Peuvent être capables ? » Gardez à l’esprit qu’il n’existe aucun lien avec des études ou des documents scientifiques que le commun des mortels qui pense ne serait-ce qu’un peu pourrait examiner pour décider si ces affirmations sont légitimes.

Le CDC ne peut pas non plus se prononcer sur la sécurité des grands rassemblements de l’ère du Covid. À la mi-mars, l’agence a demandé aux Américains de limiter les rassemblements de 250 personnes ou plus. Quelques semaines plus tard, la Maison Blanche, à la demande du CDC, a recommandé avec insistance aux Américains d’éviter les rassemblements de plus de 10 personnes. Cependant, aucune donnée scientifique ne permet d’étayer l’un ou l’autre de ces chiffres. (Qu’y a-t-il de si fatidique au chiffre de 250 personnes ? Pourquoi pas 175 ? Et pourquoi 10 personnes ? Pourquoi pas 16 ou 17) ? »

L’article s’en prend directement à tous ces gouverneurs qui appliquent aveuglément ces recommandations totalement insupportables :

« Même ces conseils flous ont été sali par le petit tyran qui se cache au sein de chaque grand gouverneur d’État, maire de petite ville et président de syndics de propriétaires. Ce week-end, le gouverneur du Michigan, Gretchen Whitmer, a interdit aux habitants de se rendre chez un voisin. « Tous les rassemblements publics et privés, quelle que soit leur taille, sont interdits », a annoncé Mme Whitmer. « Les citoyens peuvent toujours quitter leur maison pour des activités de plein air… les activités récréatives sont toujours autorisées tant qu’elles se déroulent à plus d’un mètre cinquante de toute autre personne »… Il y aura beaucoup de questions après la fin de la crise : celle de connaître les raisons scientifiques qui justifient le maintien d’une distance de deux mètres entre les personnes au moment où elles ont le plus besoin les unes des autres devrait être en tête de liste. »

Récemment, l’un des principaux conseillers scientifiques du Premier ministre Boris Johnson au Royaume-Uni a fait la même remarque. Ses déclarations ont été reprises dans le Daily Mail de la semaine dernière dans un article intitulé « Le conseiller scientifique du gouvernement déclare que la règle britannique des deux mètres de distance sociale est inutile et basée sur des preuves « très fragiles » ». Le professeur Robert Dingwall a déclaré :

« Je pense qu’il sera beaucoup plus difficile de faire respecter certaines des mesures qui n’ont pas vraiment de base factuelle. Je veux dire que la règle des deux mètres a été inventée de toutes pièces. »

Quand on digère tous les faits que nous connaissons maintenant sur le Covid-19, la recommandation politique la plus simple est en fait la plus logique à mon avis : si vous avez le Covid-19, restez chez vous. Si vous devez sortir, portez un masque. Tous les autres, lavez-vous les mains et continuez votre vie. Cela aurait dû être aussi simple que cela, mais nous avons choisi de cadenasser la société, une mesure sans précédent. Pourquoi ?

Oh, et c’est une vraie manchette. Que Dieu nous aide tous.

Les stormtroopers utilisés pour imposer la distanciation sociale à Disney World

En effet, pourquoi avons-nous cadenassé la société, et cela a-t-il fonctionné ? J’ai emprunté la phrase ci-dessus d’un article d’opinion du Wall Street Journal écrit par Holman W. Jenkins, Jr. membre du comité de rédaction, je crois qu’il a parfaitement saisi la chose :

« Nous avons commencé de manière sensée. « Les familles américaines ne devraient pas d’une manière générale s’inquiéter », a déclaré le Dr Nancy Messonnier du CDC à la mi-janvier. « C’est un risque très, très faible pour les États-Unis », déclarait une semaine plus tard le Dr Anthony Fauci. Bill de Blasio, maire de New York, a, dès le 11 mars, exhorté les habitants à poursuivre normalement leurs activités. Bien que ces déclarations puissent sembler insensibles, elles étaient à l’époque appropriées. Dans la rubrique « aplatir la courbe », il n’est pas nécessaire de modifier le comportement du public jusqu’à ce que cela le devienne. Réfléchissez un peu à ça. Mieux nous équiperons les hôpitaux locaux, moins nous aurons besoin de mettre en faillite les entreprises locales et leurs employés pour ralentir le virus dans son évolution au sein de la société. C’est avec cette idée que nous avons commencé. Même l’étude de l’Imperial College du Royaume-Uni, qui a tant alarmé les décideurs politiques du monde entier, n’a pas recommandé de tout verrouiller aveuglément ni de confiner tout le monde chez soi. Pour être honnêtes, nous avons dépassé les bornes en de nombreux endroits. Les lits sont vides. La pénurie de respirateurs artificiels ne s’est pas concrétisée. Nous avons échoué à mettre en place une capacité hospitalière suffisante pour traiter d’autres problèmes médicaux comme les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques. Cette situation provoque des pertes de vies humaines.

Que s’est-il passé ? De Bill Gates à votre éditorialiste local, une nouvelle priorité est apparue. Nous avons décidé que, quelle que soit la cause de la mort d’environ 8 000 Américains par jour, il ne fallait pas que ce soit du coronavirus.

Les accidents, oui — 6 pour cent des décès. Les maladies cardiaques, oui — 23 pour cent. La grippe et la pneumonie, oui — 2 pour cent.

Ces décès sont acceptables, mais pas ceux dus au coronavirus, même au prix de la ruine économique pour des millions de personnes. Bien sûr, les médias et le public sont libres de décider maintenant qu’ils ne voulaient pas aplatir la courbe ; ils voulaient être totalement épargnés par le virus. Mais il faudrait expliquer comment procéder pour y parvenir. Et expliquer pourquoi. Le magazine The Economist affirme que nous ne pouvons pas relancer l’économie sans un dépistage « sans précédent » d’un coût de 180 milliards de dollars. Sans précédent est un mot intéressant parce que la Chine, un pays de 1,4 milliard d’habitants avec huit villes plus grandes que New York, a dû soit développer un tel dispositif sans que personne ne s’en aperçoive soit ne l’a pas jugé nécessaire. »

Et d’abord, pourquoi le confinement a été mis en place ? Voici les faits.

Fait n° 8 — L’idée de cadenasser une société entière était inédite et ne repose sur aucun fondement scientifique, mais sur une simple modélisation théorique

En fait, l’idée de confiner tout le monde fut lancée pour la première fois en 2006, dans ce document intitulé « Stratégies ciblées de distanciation sociale en cas de pandémie de grippe ». Ce document décrivait en détail « comment concevoir un axe réseau-centré limitant les contacts sociaux » et modélisait — plus d’informations à ce sujet dans un instant ! — divers résultats en fonction du comportement des populations. À l’époque, des esprits plus calmes prévalaient et critiquaient les idées contenues dans le document, comme c’est le cas avec les objections soulevées par le Dr D.A. Henderson, l’homme qui a mené la campagne pour éradiquer la variole. D’après le New York Times :

« Le Dr Henderson était convaincu qu’il était illogique de contraindre les écoles à fermer ou d’interdire les rassemblements publics. Les adolescents s’échapperaient de chez eux pour aller traîner au centre commercial. Les programmes de repas scolaires fermeraient, et les enfants pauvres n’auraient pas assez à manger. Le personnel hospitalier aurait du mal à aller travailler si leurs enfants étaient à la maison.

Les mesures préconisées par les docteurs Mecher et Hatchett « entraîneraient une perturbation significative du fonctionnement social des communautés et pourraient provoquer de graves problèmes économiques », écrivait dans son propre article académique le Dr Henderson en réponse à leurs idées.

Il a insisté sur le fait que la réponse à donner était de tenir bon en laissant la pandémie se propager, soigner les personnes malades et travailler rapidement à la mise au point d’un vaccin pour éviter qu’elle ne revienne. »

Peu de temps après, le Dr Henderson et plusieurs autres collègues clairvoyants ont rédigé un important document résumant nombre de ces idées, intitulé « Mesures d’atténuation de la maladie dans la lutte contre la grippe pandémique », dont cette étonnante conclusion — compte tenu de ce qui vient de se produire :

« Il n’existe pas d’observations historiques ou d’études scientifiques qui soutiennent le confinement par quarantaine de groupes de personnes potentiellement infectées pendant des périodes prolongées afin de ralentir la propagation de la grippe. Un groupe de rédaction de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), après avoir examiné la littérature et pris en compte l’expérience internationale contemporaine, a conclu que «l’isolement forcé et la quarantaine sont inefficaces et peu pratiques». Malgré cette recommandation des experts, la quarantaine obligatoire à grande échelle continue d’être considérée comme une option par certaines autorités et certains responsables gouvernementaux.

L’intérêt pour la quarantaine reflète les opinions et les conditions qui prévalaient il y a plus de 50 ans, lorsque l’on en savait beaucoup moins sur l’épidémiologie des maladies infectieuses et que les voyages internationaux et nationaux étaient beaucoup moins nombreux dans un monde moins densément peuplé. Il est difficile d’identifier les circonstances dans lesquelles, au cours du dernier demi-siècle, la quarantaine à grande échelle a été utilisée efficacement pour lutter contre une quelconque maladie. »

Et ils ont conclu avec une phrase si importante que je vais utiliser une très grosse police de caractères :

« Les conséquences négatives d’une quarantaine à grande échelle sont si extrêmes — confinement forcé des personnes malades avec celles qui ne le sont pas ; restriction complète des mouvements de larges populations ; difficulté d’acheminer les fournitures essentielles, les médicaments et la nourriture aux personnes se trouvant dans la zone de quarantaine — que cette mesure d’atténuation devrait être exclue de toute considération sérieuse. »

Si vous souhaitez en savoir plus sur les origines de l’idée de confinement et sur la façon dont elle a continué à circuler dans les cercles de santé publique, consultez « 2006 — Les origines de l’idée de confinement ». Si vous souhaitez en savoir plus sur le Dr. D.A. Henderson, consultez « Comment une société libre fait face aux pandémies, selon Donald Henderson, le légendaire épidémiologiste qui a éradiqué la variole ». Ces deux articles sont géniaux et vous donneront envie de vomir quand vous réaliserez combien de bons scientifiques savaient qu’un confinement serait un désastre et coûterait plus de vies que ce qu’il pourrait sauver.

Vous êtes probablement tout aussi choqué de voir qu’en 2019, l’Organisation mondiale de la santé N’AVAIT MÊME PAS INSCRIT l’idée d’un confinement total dans son rapport intitulé «Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique». Voici leur tableau des 18 mesures non pharmaceutiques que les pays pourraient prendre en cas de pandémie. Notez toutes les choses énumérées dans la ligne « Non recommandé en aucune circonstance » qui se produisent maintenant tous les jours !

Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique
© OMS
TRADUCTION de la dernière ligne — Non recommandé en aucune circonstance :
Pandémie : Lumière UV ; Modification de l'humidité ; Traçage des contacts ; Quarantaine pour les individus exposés ; Contrôle d'entrée et de sortie ; Fermeture des frontières.
Épidémie : même liste à laquelle est ajouté : Restrictions dans les voyages intérieurs au pays.

Question évidente — S’il n’y avait pas de données scientifiques pour étayer un confinement et qu’aucun n’avait jamais été mis en place avant, et que de nombreux acteurs de la santé publique affirmaient que ce serait une idée épouvantable, pourquoi est-ce arrivé ? Il y a en fait deux réponses, pour autant que je sache. La première est que l’Organisation mondiale de la santé, au début de la pandémie, a choisi de faire l’éloge de la réaction chinoise qui a confiné la province du Hubei, ce qui a effectivement servi à légitimer la pratique, en dépit des énormes carences de données disponibles sur l’efficacité réelle du confinement chinois. Cet article aborde la question, et soulève le problème :

« Qu’est-ce qui a fait changer d’avis l’OMS et l’a incitée à applaudir la réponse des autorités chinoises dans la province de Hubei, qui comprenait une quasi incarcération de 60 millions de personnes ? C’est cette réaction, plus que toute autre chose, qui a persuadé les gouvernements du monde entier à confiner leurs citoyens. »

La deuxième réponse est que les récentes modélisations de la maladie ont littéralement fichu la frousse aux leaders mondiaux, et les modélisateurs étaient prêts à proposer une solution simple à leurs chiffres inventés : tout verrouiller, MAINTENANT !

Fait n° 9 — Les modèles épidémiques du Covid-19 se sont révélés faux et néfastes, et le passif de la modélisation est terrible tant dans sa pratique que dans son application

Si de nombreuses modélisations de maladies ont été utilisés pendant la pandémie de Covid-19, deux d’entre elles ont particulièrement influencé la politique publique de confinement : l’Imperial College (Royaume-Uni) et l’IHME (Washington, États-Unis) [Institute for Health Metrics and Evaluation, institut de statistique sur la santé publique, basé à Seattle sous la houlette de l’université de Washington, et financé notamment par la Fondation Bill & Melinda Gates – NdT]. Tous deux se sont révélés être des désastres monumentaux.

Imperial College — On peut dire sans risque de se tromper que la raison pour laquelle les États-Unis s’est confinée et la raison pour laquelle la Maison Blanche a prolongé ce confinement est presque exclusivement due aux modélisations créées par le professeur Neil Ferguson de l’Imperial College. Comme l’a expliqué le Washington Post :

« Les responsables ont déclaré que les 2,2 millions de décès prévus par l’Imperial College ont convaincu M. Trump de cesser de minimiser l’épidémie et de la prendre plus au sérieux. De même, les fonctionnaires ont déclaré que la nouvelle projection de 100 000 à 240 000 décès est ce qui a convaincu M. Trump de prolonger les restrictions pendant 30 jours et d’abandonner ses efforts pour déconfiner certaines parties du pays avant Pâques, ce qui, selon de nombreux experts de la santé, aurait pu aggraver l’épidémie. »

Curieusement, le professeur Ferguson est connu pour avoir massivement surestimé des pandémies, mais apparemment personne ne s’est donné la peine d’en tenir compte et tout le monde a suivi ses conseils. The Spectator a expliqué ses annonces incroyablement fausses concernant trois maladies émergentes précédentes — il a en fait effectué des annonces encore plus terribles, je n’en souligne que trois :

2002 — La maladie de la vache folle :

« En 2002, Ferguson a prédit qu’entre 50 et 50 000 personnes mourraient probablement d’une exposition à l’ESB [encéphalopathie spongiforme bovine – NdT] — présente dans la viande bovine. Il a également prédit que ce nombre pourrait atteindre 150 000 en cas d’épidémie affectant aussi les ovins. Au Royaume-Uni, il n’y a eu que 177 décès dus à l’ESB. »

2005 — Grippe aviaire :

« En 2005, Ferguson a déclaré que jusqu’à 200 millions de personnes pourraient mourir de la grippe aviaire. Il a déclaré à The Guardian qu’« environ 40 millions de personnes sont mortes lors de l’épidémie de grippe espagnole de 1918… Il y a six fois plus de personnes sur la planète aujourd’hui, donc on pourrait probablement atteindre 200 millions de personnes ». Au final, seules 282 personnes sont mortes de la maladie dans le monde entre 2003 et 2009. »

2009 — Grippe porcine :

« En 2009, Ferguson et son équipe impériale ont prédit que la grippe porcine avait un taux de létalité de 0,3 à 1,5 pour cent. Son estimation la plus probable était que le taux de mortalité était de 0,4 pour cent. Selon une estimation du gouvernement, basée sur les conseils de Ferguson, le « pire scénario raisonnable » était que la maladie entraînerait 65 000 décès au Royaume-Uni. En fin de compte, la grippe porcine a tué 457 personnes au Royaume-Uni et le taux de mortalité des personnes infectées n’était que de 0,026 pour cent. »

Je ne sais pas, ne pensez-vous pas que le passé aurait dû compter davantage avant que l’on s’appuie sur son modèle pour verrouiller tout notre pays ? En fait, c’est pire. D’après la National Review :

« Johan Giesecke, l’ancien responsable scientifique du Centre européen de contrôle et de prévention des maladies, a qualifié le modèle de Ferguson de « document scientifique le plus influent » jamais publié. Il a également déclaré que c’était, malheureusement, l’un des plus mauvais. »

Il y a plus :

« Jay Schnitzer, expert en biologie vasculaire et ancien directeur scientifique du Sidney Kimmel Cancer Center de San Diego, me dit : « Normalement, j’hésite à dire cela d’un scientifique, mais il est en passe de devenir un charlatan avide de notoriété ». »

Encore un autre scientifique
qui ne croit pas un mot de ce qu’il dit :
« moi ? confiné ? peu probable »

Un exemple simple qui montre à quel point la modélisation de l’Imperial College était mauvaise serait la Suède, voici les détails :

« En effet, la modélisation de Ferguson de l’Imperial College s’est avérée totalement inexacte. Pour ne citer qu’un exemple, la Suède paierait un lourd tribut à l’absence de confinement, avec 40 000 décès par Covid au 1er mai et 100 000 au mois de juin. La Suède compte maintenant 2 854 décès et a atteint son pic il y a deux semaines. Comme le fait remarquer Fraser Nelson, rédacteur en chef du journal britannique The Spectator : « La modélisation de l’Imperial College est démesurément erronée ». »

Et, enfin :

« En effet, Ferguson s’est trompé si souvent que certains de ses collègues modélistes l’appellent Le maître du désastre. »

Oh, et le professeur Ferguson a récemment démissionné de son poste parce qu’il a enfreint le confinement… pour coucher avec une femme mariée. Je terminerai par une citation de l’homme qui, je crois, deviendra le plus grand héros de tout ce gâchis, le Suédois Anders Tegnell, l’homme qui a choisi de ne pas confiner son pays :

« Anders Tegnell, l’épidémiologiste qui conseille le gouvernement suédois, est sceptique quant à la modélisation du professeur Ferguson. « Ce n’est pas un article évalué par des pairs », a-t-il déclaré, en se référant à l’article du 16 mars de l’Imperial College. « C’est peut-être vrai, mais c’est peut-être aussi terriblement faux. En Suède, nous sommes un peu surpris qu’il ait eu un tel impact ». »

IHME — IHME : Si la modélisation de l’Imperial College a réellement motivé le président Trump, Boris Johnson, puis de nombreux autres dirigeants mondiaux à mettre en place un confinement, les modèles de l’IHME ont presque toujours été la « science » que les gouverneurs des États citent pour démontrer combien de vies peuvent être sauvés grâce à leurs décisions de confiner. C’est un beau concert, vraiment. Trouvez une modélisation qui surestime massivement les décès dans votre État, confinez-le, puis demandez aux modélisateurs de vous montrer combien de vies vous avez sauvées. Heureusement, d’autres scientifiques ont suivi l’évolution de la situation, et la modélisation de l’IHME a reçu l’un des coups les plus féroces que j’ai jamais vus dans la littérature scientifique de la part de professeurs de l’université de Sydney, Northwestern et UTEP. Intitulée « Apprendre au fur et à mesure — Examen de l’exactitude statistique des prédictions Covid-19 sur le décompte quotidien des décès », et publiée la semaine dernière, l’étude indique effectivement que le modèle IHME est dangereusement inexact, mais il l’est de manière scientifique et quelque peu cordiale. Les auteurs écrivent :

« Plus précisément, le nombre réel de décès du lendemain est sorti des intervalles de prévision de l’IHME dans 76 pour cent des cas, contre 5 pour cent prévus. En ce qui concerne les modélisations mises à jour, nos analyses indiquent que celles d’avril montrent peu, voire aucune amélioration de la précision des prédictions des estimations ponctuelles. »

Et puis, ils font le grand saut :

« Notre analyse remet en question l’utilité des prévisions pour orienter l’élaboration des politiques et la répartition des ressources. »

Plus clairement : les modélisations IHME sont à ce point mauvaises en termes de prévisions qu’il ne faut s’y fier en aucune circonstance. Besoin de plus ? Andrew McCarthy, de la National Review, a été, dès le 9 avril, très éloquent en critiquant l’inexactitude et l’inutilité des modélisations de l’IMHE :

« La modélisation sur laquelle le gouvernement s’appuie n’est tout simplement pas fiable. Ce n’est pas que la distanciation sociale ait changé l’équation ; c’est que les hypothèses fondamentales de l’équation sont tellement fausses qu’elles ne peuvent pas rester raisonnablement stables ne serait-ce que 72 heures. Et n’oubliez pas que lorsque nous constatons que le gouvernement s’appuie sur les modélisations, nous entendons par là qu’il s’appuie sur les politiques, y compris la fermeture totale des entreprises américaines et la tentative de confiner les gens chez eux parce que, dit-on, aucune mesure plus modeste ne peut suffire. »

Et quel est l’avis de M. McCarthy, chercheur principal au National Review Institute, quant au fonctionnement de ces modélisations ?

« Décrire comme stupéfiant l’effondrement d’une modélisation clé utilisée par le gouvernement pour alarmer la nation sur la menace catastrophique du coronavirus serait par trop complaisant. »

Mon propre gouverneur ici dans l’Oregon, Kate Brown, aime à invoquer la phrase selon laquelle elle « suit la science ». Récemment, une Cour de circuit [nom donné à certaines Cours de justice dans les pays anglo-saxons – NdT] a annulé son ordonnance de confinement après qu’une action en justice ait été intentée par un certain nombre d’églises. Le gouverneur Brown a publié cette déclaration :

« Depuis le début de cette crise, j’ai travaillé dans les limites de mon autorité, en me servant de la science et des données comme guide, en tenant compte des conseils des experts médicaux. Cette stratégie a permis de sauver des vies et de protéger les Oregoniens du pire de la pandémie de Covid-19. »

Sur quelle « science » le gouverneur Brown s’appuie-t-elle ? La modélisation de l’IHME. Vous pensez toujours que c’est de la « science » ?

Enfin, Michael Fumento a écrit un excellent article affirmant que « Après des échecs répétés, il est temps de se débarrasser définitivement des modélisations d’épidémies ». Comme il l’explique :

« Les modélisations ont essentiellement trois objectifs : 1) satisfaire le besoin du public d’avoir des données chiffrées, n’importe lesquelles ; 2) attirer l’attention des médias sur le modélisateur ; et 3) effrayer les gens pour les amener à « faire ce qu’il faut ». Cela peut être défini comme un « aplatissement de la courbe » pour que les systèmes de santé ne soient pas surchargés, ou comme un encouragement donné à la population pour qu’elle adopte un comportement grégaire et accepte des restrictions de libertés qui n’ont jamais été imposées, même en temps de guerre. Comme Ferguson, tous les modélisateurs savent que, quelle que soit la limite inférieure, les gros titres refléteront toujours la limite supérieure. En supposant qu’il soit possible de modéliser une épidémie, tous les relais de la presse grand public auront été conçus pour promouvoir la panique. »

Avis n°2 — Roger Koppl, voyage dans la tête d’un modélisateur de maladies

J’ai trouvé que la description des prévisions des maladies écrite par le professeur de finances Roger Koppl de Syracuse était excellente d’un point de vue humain :

« Imaginez que ce soit vous. Vous êtes épidémiologiste et le Premier ministre vous appelle pour vous demander combien de personnes vont mourir si nous ne mettons pas de confinement en place. Que lui dites-vous ? Vous ne pouvez pas vous contenter de chercher le chiffre. La pandémie ne fait que commencer et votre connaissance de la situation est donc très limitée. C’est difficile à dire. Chaque chiffre est une supposition. Si vous donnez au Premier ministre un chiffre peu élevé, il n’y aura pas de confinement. Et s’il accepte votre chiffre plancher et que nous n’avons pas de confinement ? Peut-être que tout se passera bien. Mais il y aura peut-être beaucoup plus de morts que vous ne l’aviez prédit. Vous serez blâmé. Les gens vous traiteront de mauvais scientifique. Et, parce que vous êtes une personne bonne et décente, vous vous sentirez coupable. Le blâme, la honte et la culpabilité. C’est un mauvais résultat.

Si vous lui donnez un chiffre élevé, il y aura un confinement. Personne ne pourra jamais dire que votre estimation était trop élevée, parce que votre estimation supposait qu’il n’y aurait pas de confinement. Même si beaucoup de gens meurent pendant le confinement, vous pouvez dire : « Vous voyez ? Pensez à quel point la situation aurait été pire sans le confinement ». Ainsi, si vous donnez au Premier ministre un chiffre élevé, vous aurez le mérite d’avoir sauvé des vies. Vous pourrez être fier de votre excellente réputation en tant que scientifique. Et vous n’aurez pas à vous sentir coupable des vies perdues. L’éloge, la fierté et l’innocence. C’est un bon résultat. La logique de la situation est claire. Vous avez tout intérêt à prévoir le malheur et la sinistrose si aucun confinement n’est ordonné. »

C’est logique, et je pense que la plupart des gouverneurs américains qui ont confiné sont d’accord avec cela : la modélisation disait que nous aurions X nombre de morts. Maintenant, la modélisation dit que le confinement a permis de sauver une fraction de ces X morts — Je suis votre sauveur !

Fait n° 10 — Les données montrent que les mesures de confinement n’ont PAS eu d’impact sur l’évolution de la maladie

Ce qui suit constitue très certainement le fait le plus difficilement acceptable par les populations : qui veut croire que toutes ces souffrances et cet isolement n’avaient aucune raison d’être ? Mais, il y a plus qu’assez d’États et de pays qui n’ont pas confiné, ou qui ont confiné pendant une période bien plus courte, ou d’une manière très différente, pour fournir pléthore de données. L’explication la plus simple quant au pourquoi les confinements ont été inefficaces est peut-être la plus facile : le Covid-19 était en circulation bien PLUS TÔT que ne le pensaient les experts. Ce seul fait expliquerait pourquoi les confinements ont été si inefficaces, mais quelle que soit l’explication finale, voyons ce que disent les données.

Je vais commencer par une source que vous pourriez considérer comme inhabituelle, la banque mondiale JP Morgan. De tous les faits que j’ai couverts, celui-ci — sur l’inefficacité des confinements — est devenu le plus politisé, car il est utilisé pour commencer à distribuer les blâmes à droite et à gauche. JP Morgan, quant à elle, crée son analyse pour accomplir quelque chose d’apolitique : faire de l’argent. Leurs analystes examinent les données pour voir quelles économies sont susceptibles de redémarrer en premier, et vous ne devriez pas être surpris à ce stade de découvrir trois choses :

  1. Les économies les moins endommagées sont celles qui ont effectué les confinements les moins contraignants ;
  2. La levée des confinements n’a pas eu d’impact négatif sur les décès ou les hospitalisations ; et
  3. La levée des confinements n’a pas augmenté la transmission virale.

La lecture des conclusions de JP Morgan est profondément déprimante, car ici aux États-Unis, de nombreuses communautés sont TOUJOURS soumises à de nombreux mandats de confinement différents, malgré les preuves accablantes de leur inefficacité. Ce graphique de JP Morgan montre que « de nombreux pays ont vu leur taux d’infection baisser plutôt que de remonter lorsqu’ils ont mis fin à leurs mesures de confinement, ce qui suggère que le virus peut avoir sa propre « dynamique » qui n’a aucun lien avec les mesures d’urgence ».

© JP Morgan

Marko Kolanovic, stratège de JP Morgan et auteur de publications, est un autre de mes héros, parce que, eh bien, il dit tout ce que je souhaite que beaucoup d’autres personnes disent… Considérez cette citation :

« Contrairement aux tests rigoureux des nouveaux médicaments, les mesures de confinement ont été administrées sans tenir compte du fait qu’elles pouvaient non seulement causer une dévastation économique, mais aussi potentiellement plus de décès que le Covid-19 lui-même. »

Kolanovic et son équipe montrent également que la transmissibilité du virus a en fait DIMINUÉ après la levée des mesures de confinement dans les États américains, grâce à la mesure connue sous le nom de « R0 ». Comme l’explique le Daily Mail, « de nombreux États ont vu un taux de transmission (R) plus faible après la fin des mesures de confinement à grande échelle ».

© JP Morgan

T J Rogers, le fondateur de Cypress Semiconductor, et une équipe de ses ingénieurs ont également analysé les données et ont publié leurs résultats dans cet article du Wall Street Journal intitulé « Les confinements sauvent-ils de nombreuses vies ? Dans la plupart des endroits, les données disent que non ». Ils expliquent :

« Nous avons effectué une corrélation simple à une variable du nombre de décès par million et de jours avant le confinement, qui allait de moins 10 jours — certains États confinent avant tout signe de Covid-19 — à 35 jours pour le Dakota du Sud, l’un des sept États où le confinement est limitée ou inexistant. Le coefficient de corrélation était de 5,5 pour cent — si faible que les ingénieurs que j’employais l’auraient résumé par « aucune corrélation » et seraient allés plus loin pour trouver la véritable cause du problème. »

En clair: autre chose que le confinement doit expliquer le cheminement du virus [voir fait n°14]. Thomas A. J. Meunier du Woods Hole Oceanographic Institution a publié début mai ce rapport intitulé « Les politiques de confinement total dans les pays d’Europe occidentale n’ont pas d’impact évident sur l’épidémie de Covid-19 ». Comme le rapport de JP Morgan, sa conclusion est déprimante :

« Nos résultats montrent une tendance générale à la baisse des taux de croissance et du nombre de transmission de la maladie deux à trois semaines avant que les politiques de confinement complet ne produisent des effets visibles. La comparaison des observations avant et après le confinement révèle un ralentissement contre-intuitif de la décroissance de l’épidémie après la mise en place du confinement. »

Et, l’argument décisif :

« Les estimations du nombre de décès quotidiens et totaux en utilisant les tendances pré-confinement suggèrent qu’aucune vie n’a été sauvée par cette stratégie, en comparaison avec les politiques moins restrictives de distanciation sociale menées avant le confinement. »

Elain He et ses collègues de Bloomberg ont également analysé les données dans cet article intitulé « Les résultats de l’expérience du confinement en Europe sont disponibles ». Il est peu probable que leur conclusion vous surprenne :

« Mais, comme le montre notre prochain graphique, il y a peu de corrélation entre la gravité des restrictions d’une nation et le fait qu’elle ait réussi ou non à réduire le nombre excessif de décès — une mesure qui examine le nombre global de décès par rapport aux tendances normales. »

En parlant d’Europe, nous devrions tous remercier Dieu pour la Suède. En choisissant de ne pas confiner, les Suédois ont prouvé que la société peut survivre sans un confinement strict, et nous espérons que leurs résultats permettront d’éviter que des confinements ne se reproduisent. Si vous avez suivi cette histoire de près, vous savez que les opposants prédisaient le malheur pour la Suède — et pour la Floride et la Géorgie, nous en dirons plus dans un instant — et rien de tout cela ne s’est jamais produit. L’Organisation mondiale de la santé est passée des louanges adressées à la Chine pour sa réaction à Wuhan — qui a probablement déclenché la manie du confinement — aux éloges adressés à la Suède pour avoir été un modèle dans la lutte contre l’épidémie. [Lire : « Retourner le scénario : L’OMS loue le fait que la Suède à ignoré le confinement et dit que c’est un « modèle » pour les pays qui vont de l’avant » – NdT].

Fait n° 11 — La Floride a confiné tardivement et déconfiné précocement, et se porte bien en dépit des prédictions de malheur

Le meilleur article qu’il m’ait été donné de lire sur le gouverneur de Floride Ron DeSantis fut publié dans la National Review du 20 mai dernier. J’ai été agréablement surpris de découvrir à quel point le gouverneur Desantis fait preuve d’un intérêt rationnel pour l’Histoire, comme il l’explique :

« L’une des choses qui m’a le plus dérangé pendant tout ce temps, c’est que j’ai fait des recherches sur la pandémie de 1918, celles de 1957 et 1968, et que des efforts d’atténuation ont été menés en mai 1918, mais jamais ne serait-ce qu’une fois un accord de type « confinement national ». Il n’existait pas vraiment d’expérience d’observation sur les impacts négatifs de cette pandémie. »

Contrairement à beaucoup de ses pairs, le gouverneur Desantis a estimé que les modélisations apocalyptiques étaient peu utiles :

« L’équipe de DeSantis n’a pas non plus fait grand cas des projections catastrophiques. « Nous avons en quelque sorte perdu confiance très tôt dans les modélisations », déclare un responsable de la santé de Floride. « Nous les regardons de près, mais comment peut-on s’y fier quand il est dit que vous atteindrez le pic dans une semaine et que le lendemain vous l’avez déjà atteint ? » En lieu et place, « nous avons commencé à nous concentrer sur ce que nous observions ». »

Ils ont par contre adopté une approche ciblée des citoyens les plus à risque : les résidents des maisons de retraite, dont la Floride compte le plus grand nombre dans le pays :

« Des inspecteurs et des équipes d’évaluation ont visité les maisons de retraite. L’État s’est penché sur les établissements où, selon M. Mayhew, « nous avions historiquement mené un contrôle des infections ». Nous avons utilisé cela pour établir les priorités de nos visites dans ces établissements, sachant que les directives du CDC changeaient fréquemment. Notre objectif initial était donc de fournir une formation efficace à ces établissements afin de s’assurer qu’ils comprenaient comment demander à l’État de leur fournir des équipements de protection individuelle.

La Floride, note DeSantis, « exigeait que tout le personnel et tout travailleur qui entrait soit soumis à un dépistage du Covid-19 et à des contrôles de température. Toute personne présentant des symptômes ne serait tout simplement pas autorisée à entrer ». Et il exigeait que le personnel porte des équipement de protection individuelle. « Nous joignons le geste à la parole », poursuit-il. « Nous avons reconnu que beaucoup de ces établissements n’étaient pas préparés à faire face à une telle situation. Nous avons donc fini par envoyer un total de 10 millions de masques rien que dans nos établissements de soins de longue durée, un million de paires de gants et un demi-million d’écrans faciaux ».

La Floride a également renforcé les hôpitaux avec des équipement de protection individuelle, mais DeSantis a réalisé que cela ne servirait pas les hôpitaux si l’infection dans les maisons de retraite était incontrôlée : « Si je peux envoyer des équipement de protection individuelle dans les maisons de retraite, et qu’ils peuvent y prévenir une épidémie, cela fera plus pour réduire la charge des hôpitaux que de leur envoyer 500 000 masques N95 supplémentaires ».

Il est impossible de surestimer l’importance de cette perspective, et à quel point elle a conduit l’approche adoptée par la Floride, à l’encontre des politiques de New York et d’autres États. Le responsable de la santé de Floride déclare : « Je ne veux pas jeter l’opprobre sur les autres, mais je trouve incroyable et choquant que le gouverneur Cuomo [et d’autres] soient capables en quelque sorte d’éviter les vraies questionnements sur leurs politiques mises en place dès le début en envoyant des personnes [malades – NdT] dans les maisons de retraite, ce qui est complètement contraire aux données réelles. »

Ce qui nous amène à New York, l’État que tous les autres gouverneurs qui ont confiné leur peuple montrent du doigt et disent en substance « en confinant tôt, nous avons évité une situation à la New York ». Est-ce vraiment vrai ?

Remarque particulière — Il existe de nombreux autres États et pays dont les données sont similaires à celles de la Floride, notamment la Géorgie, le Texas, l’Arkansas, l’Utah, le Japon et, bien sûr, la Suède, pour n’en citer que quelques-uns. Dans TOUS les cas, les médias ont prédit le malheur, et même le président Trump a critiqué le déconfinement précoce de la Géorgie effectué par leur courageux gouverneur Brian Kemp, tandis que les chiffres de la Géorgie sont aujourd’hui excellents.

Fait n° 12 — Le taux de mortalité supérieur à la moyenne à New York semble être dû à une erreur politique fatale combinée à des intubations agressives

Forbes a récemment publié un article expliquant à quel point les décès par Covid-19 sont concentrés dans une seule population, article intitulé « La statistique la plus importante sur le coronavirus : 42 pour cent des décès aux États-Unis proviennent de 0,6 pour cent de la population » :

« 2,1 millions d’Américains, soit 0,62 pour cent de la population américaine, vivent dans des maisons de retraite et des établissements de vie assistée… Selon une analyse que Gregg Girvan et moi-même avons menée pour la Fondation pour la Recherche sur l’égalité des chances, au 22 mai, dans les 43 États qui rapportent actuellement de tels chiffres, un pourcentage étonnant de 42 pour cent de tous les décès par Covid-19 ont eu lieu dans des maisons de retraite et des établissements de vie assistée. »

Forbes souligne également que le risque que représentent les maladies de type coronavirus pour les populations des maisons de retraite n’est pas nouveau :

« Le drame est qu’il n’était pas nécessaire que cela se passe ainsi. Le 17 mars, alors que la pandémie commençait à peine à s’accélérer, l’épidémiologiste de Stanford John Ioannidis a signalé que « même certains coronavirus dits légers ou communs de type froid sont connus depuis des décennies pour avoir des taux de létalité allant jusqu’à 8 pour cent lorsqu’ils infectent les personnes dans les maisons de retraite ». Ioannidis a été ignoré. »

Dans sa récente méta-analyse sur le réel taux de mortalité par infection du Covid-19, le Dr Ioannidis a expliqué l’erreur des mesures politiques de New York qui a probablement contribué à des centaines de morts évitables :

« Les décès en masse de personnes âgées dans les maisons de retraite, les infections nosocomiales et les hôpitaux débordés peuvent également expliquer le taux de mortalité très élevé observé dans des endroits spécifiques du nord de l’Italie, et à New York et dans le New Jersey. Une décision très malheureuse des gouverneurs de New York et du New Jersey a été d’envoyer les patients atteints de Covid-19 dans des maisons de retraite. »

Le Dr Ioannidis mentionne également le choix du personnel médical de New York de mettre rapidement les patients sous respirateur artificiel, approche que les médecins considèrent aujourd’hui comme ayant été probablement plus nocive que bénéfique [Lire : «80 pour cent des patients atteints de coronavirus à New York qui sont mis sous respirateur artificiel finissent par mourir, et certains médecins essaient d’arrêter de les utiliser] :

« Le recours à une gestion inutilement agressive — par exemple, la ventilation mécanique — peut également avoir contribué à aggraver les résultats. »

Le New York Post s’est montré particulièrement sévère en critiquant la politique des maisons de retraite de New York :

« Le carnage a commencé en mars, lorsque les hôpitaux inondés de patients atteints du Covid-19 ont insisté pour évacuer les patients âgés, même s’ils étaient encore infectés, et les envoyer dans les maisons de retraite qui disposaient de lits vides. Pour y parvenir, ils ont dû se débarrasser d’un règlement de sécurité exigeant que les patients soient testés deux fois négatifs au Covid-19 avant d’être placés dans une maison de retraite. Le ministère de la santé de l’État s’est volontairement plié à cette exigence.

Le 25 mars, le ministère de la santé du gouvernement Cuomo a imposé aux maisons de retraite d’accepter les patients Covid et a interdit d’exiger des tests Covid pour l’admission. Des établissements comme Newfane devaient avancer à l’aveuglette, ne sachant pas quels patients arrivaient avec le Covid.

L’Association américaine des soins de santé a appelé cela une « recette pour un désastre ». Le Comité pour la réduction des décès dus aux infections a exhorté Cuomo à changer de cap… Résultat : 11 000 à 12 000 résidents de maisons de retraite et de résidences assistées sont morts du Covid-19, soit la moitié des décès dus au virus dans l’État… Ce terrible bilan n’avait pas à se produire. C’est six fois plus de décès dans les maisons de retraite qu’en Floride ou en Californie, deux États plus peuplés. »

Lorsque votre gouverneur essaie de vous dire que sa décision destructrice de confiner tout le monde vous a sauvé de vivre la même chose qu’à New York, souvenez-vous de la Floride et de la Suède. Oh, et n’oubliez pas le pays dont les tenants de l’apocalypse ne veulent même pas parler : le Japon :

« Le Japon a déclaré hier [25 mai] une victoire au moins temporaire dans sa bataille contre le Covid-19, et a triomphé en suivant ses propres règles. Il a fait baisser le nombre de nouveaux cas quotidiens à un niveau proche de l’objectif de 0,5 pour 100 000 personnes, en établissant une distanciation sociale volontaire et peu restrictive et sans effectuer de dépistage à grande échelle… La diminution du nombre de nouveaux cas a conduit le gouvernement à commencer à lever l’état d’urgence pour une grande partie du Japon le 14 mai, avant la date prévue du 31 mai. L’annonce d’hier a complété la levée de l’état d’urgence, soulageant ainsi Tokyo et quatre autres préfectures. »

Fait n°13 — Les responsables de la santé publique et les épidémiologistes ne tiennent PAS compte des autres conséquences sociales négatives du confinement

Si vous me demandiez si je connais un moyen pour perdre quelques kilos et que je vous répondais : « Arrêtez de manger ou de boire quoi que ce soit », suivriez-vous mon conseil ? Cela vous aiderait à atteindre vos objectifs, mais vous n’en apprécierez peut-être pas les effets secondaires. C’est en gros ce qui s’est passé ici. Plutôt que de participer à l’élaboration de la politique, les responsables de la santé publique ont reçu les clés de la décapotable sans avoir de permis, et ils sont partis à toute berzingue ! Voici ce que le Dr Anthony Fauci a déclaré au Congrès au début de ce mois :

« Je suis un scientifique, un médecin et un responsable de la santé publique. Je donne des conseils en fonction des meilleures preuves scientifiques. Il y a un certain nombre d’autres personnes qui interviennent et donnent des conseils qui sont plus en rapport avec les choses dont vous avez parlé, comme la nécessité de déconfiner le pays et l’économie. Je ne donne pas de conseils sur des questions économiques. Je ne donne des conseils que sur la santé publique. »

Le Wall Street Journal a activement critiqué cette pensée unidimensionnelle des responsables américains de la santé publique, notant que « le Dr Fauci est clair sur le fait que les Américains ne devraient pas compter sur lui pour effectuer une analyse coûts-avantages des politiques qu’il recommande ». Cette excellente critique du modèle de l’Imperial College va dans le même sens : « Le document de l’Imperial College est une analyse unilatérale. Il examine les avantages d’un confinement sans entrer dans les coûts ».

Alors, attendez, toutes ces modélisations qui prédisaient le malheur dû au Covid-19 ne tenaient pas compte des décès causés par le confinement avec les suicides, les rendez-vous médicaux supprimés et le chômage ? Alors qui devrait prendre ces complexes décisions politiques ? Au moins aux États-Unis, je tiens 51 personnes responsables : le président et 50 gouverneurs d’État. Et, si vous vous attendez à ce que l’un d’entre eux émette un mea culpa pour une décision terrible, ne retenez pas votre souffle, de la part du comité de rédaction de Issues & Insights :

« Ne vous attendez pas à ce que qui que ce soit admette qu’il a eu tort. La communauté de la santé publique — qui a colporté des prédictions de décès exagérées — ne le fera jamais. Les démocrates et la presse — qui sont attachés à l’idée que chaque décès aux États-Unis est la faute du président Donald Trump — ne le feront pas non plus. Trump ne le fera probablement pas non plus, puisqu’il a accepté de verrouiller l’économie après avoir commencé à suivre les conseils des alarmistes de la santé publique. »

Avis n°3 — Yoram Lass, ancien directeur général du ministère israélien de la santé

Dr Yoram Lass
© Inconnu

Contrairement aux responsables de la santé publique américaine, qui semblent être attachés à l’idée de prévenir le Covid-19 quel qu’en soit le coût, j’ai été rassuré de voir des responsables de la santé publique d’autres pays ayant une compréhension beaucoup plus complète du coût TOTAL pour la société que n’importe quelle cause de décision de santé publique. Et de tous les responsables de la santé publique internationaux qui parlent franchement, personne ne le dit plus directement que mon préféré : Yoram Lass d’Israël. Dans cette excellente interview avec Spiked Online — que vous devriez lire en entier — le Dr Lass nous offre la pépite suivante :

« C’est la première épidémie de l’histoire qui s’accompagne de l’ascension d’une autre épidémie — le virus des réseaux sociaux. Ces nouveaux médias ont entraîné un lavage de cerveau de populations entières. Il en résulte la peur et l’anxiété, et une incapacité à regarder les données réelles. Et donc vous avez tous les ingrédients d’une monstrueuse hystérie… Par rapport à cette ascension, les mesures draconiennes sont de proportions bibliques. Des centaines de millions de personnes souffrent. Dans les pays en développement, beaucoup mourront de faim.Dans les pays développés, beaucoup mourront du chômage. Le chômage, c’est la mortalité. Plus de personnes mourront à cause de ces mesures que du virus lui-même. Et les personnes qui meurent à cause des mesures sont les soutiens de famille. Ils sont plus jeunes. Parmi les personnes qui meurent du coronavirus, l’âge médian est souvent plus élevé que l’espérance de vie de la population. Ce qui a été fait n’est pas proportionné. Mais les gens ont peur. Les gens subissent un lavage de cerveau. Ils n’écoutent pas les données. Et cela inclut les gouvernements. »

Fait n° 14 — Il existe un modèle prédictif de l’arc viral du Covid-19, appelé loi de Farr et découvert il y a plus de 100 ans

Le Dr Lass, dans l’interview mentionnée ci-dessus, a également fait remarquer que nous savions déjà, bien avant le confinement, comment le Covid-19 allait probablement se comporter car, eh bien, nous avons affaire à de nouveaux virus depuis l’aube de l’humanité :

« Si vous regardez la vague de coronavirus sur un graphique, vous verrez qu’elle ressemble à un pic. Le coronavirus arrive très vite, mais il s’en va aussi très vite. La vague de grippe est courte puisqu’elle met trois mois à passer, mais le coronavirus met un mois. »

Le fait que TOUS les virus suivent une courbe en cloche naturelle, avec des pentes à peu près égales dans la montée et la descente, a été découvert par le Dr William Farr il y a plus de 100 ans, et c’est ce qu’on appelle la loi de Farr. Récemment, des scientifiques chinois et américains ont publié une étude pour voir si le Covid-19 se comporterait selon la loi de Farr, et voici le graphique de leur récent article :

© Jie Xu et al. 

Comme vous pouvez le voir, la trajectoire prévue du virus en Chine (ligne pointillée orange) et la trajectoire réelle du virus (ligne pointillée bleue) correspondent. Ce document, créé le 8 février dernier, aurait pu épargner bien des soucis aux décideurs politiques. Un scientifique israélien renommé a fait la même remarque sur l’arc naturel du virus il y a plus d’un mois, en plein milieu du confinement en Israël :

« Un éminent mathématicien, analyste et ancien général israélien affirme qu’une simple analyse statistique démontre que la propagation du Covid-19 atteint son maximum après environ 40 jours et qu’elle diminue pour atteindre presque zéro après 70 jours — peu importe où elle frappe et peu importe les mesures que les gouvernements imposent pour tenter de la contrecarrer.

Le professeur Isaac Ben-Israel, directeur du programme d’études de sécurité à l’université de Tel-Aviv et président du Conseil national pour la recherche et le développement, a déclaré lundi soir à la chaîne israélienne Channel 12 (en hébreu) que les recherches qu’il a menées avec un collègue professeur, analysant la croissance et le déclin des nouveaux cas dans les pays du monde entier, ont montré à plusieurs reprises qu’« il existe un schéma établi » et que « les chiffres parlent d’eux-mêmes ».

Bien qu’il se déclare favorable à la distanciation sociale, le blocage généralisé des économies dans le monde entier constitue une erreur démontrable à la lumière de ces statistiques. Il note que dans le cas d’Israël, environ 140 personnes meurent normalement chaque jour. Il ajoute qu’avoir bloqué une grande partie de l’économie à cause d’un virus qui tue une ou deux personnes par jour est une erreur radicale qui coûte inutilement à Israël 20 pour cent de son PIB. »

Le Dr Ben-Israel, pour votre information, est sans doute le scientifique le plus célèbre d’Israël, lisez son CV. J’ai appliqué le principe de la loi Farr à aux données locales que j’ai ici en Oregon, et ce que vous pouvez clairement voir, c’est que le Covid-19 suivait déjà un arc viral naturel et attendu AVANT que notre gouverneur Kate Brown n’impose un confinement.Note : L’ordre de confinement ayant été émis le 23 mars, il aurait fallu deux semaines pour voir un impact positif sur le nombre d’hospitalisations, mais le virus était déjà en déclin, tout comme le Dr Lass et le Dr Ben-Israel l’avaient prédit.

J’ai beaucoup apprécié cette explication de la loi de Farr par Michael Fumento :

« Le seul « modèle » qui ait un quelconque succès est en fait assez abouti et est apparu en 1840, à l’époque ou le boulier servait d’« ordinateur ». Il s’agit de la loi de Farr, qui est en fait plutôt une observation selon laquelle les épidémies croissent d’abord plus rapidement, puis ralentissent jusqu’à un pic, puis déclinent selon un schéma plus ou moins symétrique. Comme vous pouvez le deviner d’après la date, elle précède les services de santé publique et ne nécessite aucun confinement ni aucune intervention. Au contraire, la maladie s’empare des cibles les plus faciles — avec le Covid-19, il s’agit des personnes âgées souffrant de comorbidité — avant de peiner progressivement à faire davantage de victimes. »

Fait n° 15 — Les confinements causeront plus de morts et de destruction que le Covid-19 lui-même

Mon avant-dernier fait est le plus déprimant. Bien sûr, il est impossible aujourd’hui de trouver toutes les données permettant de montrer à quel point les confinements inutiles ont été destructeurs, mais beaucoup de gens essaient déjà. Sur le plan économique, les coûts pour les États-Unis se chiffreront en milliers de milliards. Il n’était pas nécessaire qu’il en soit ainsi, la Suède vient d’annoncer que son PIB a augmenté au cours de son premier trimestre !

Je vais mettre en avant un certain nombre de prises différentes pour que vous ayez une idée de base, et c’est vraiment moche. La semaine dernière, un groupe de professeurs de Stanford, Duke, de l’université de Chicago et de l’université hébraïque ont écrit un article dans The Hill qui donne à réfléchir, intitulé « Le confinement dû au Covid-19 coûtera des millions d’années de vie aux Américains » :

« Bien que bien intentionné, le confinement a été imposé sans tenir compte de ses conséquences au-delà de celles directement liées à la pandémie… Ces politiques ont créé la plus grande perturbation économique mondiale de l’histoire, avec desmilliers de milliards de dollars de perte de production économique. Ces pertes financières ont été faussement présentées comme étant purement économiques. Au contraire, en utilisant de nombreuses publications du National Institutes of Health Public Access, les données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et du Bureau of Labor Statistics, ainsi que divers tableaux actuariels, nous calculons que ces politiques auront des conséquences non économiques dévastatrices qui totaliseront des millions d’années de vie perdues aux États-Unis, bien au-delà de ce que le virus lui-même a causé… Si l’on considère uniquement les pertes de vie dues aux soins de santé annulés et au chômage dus uniquement à la politique de confinement, nous estimons de manière prudente que le confinement national est responsable d’au moins 700 000 années de vie perdues chaque mois, soit environ 1,5 millions à ce jour — dépassant déjà largement le total du Covid-19. »

L’un des principaux auteurs de l’étude, le Dr Scott Atlas, déjà mentionné, est allé sur Fox News pour expliquer plus en détail les résultats de leur analyse :

« Le CDC vient de publier les différents taux de mortalité et je pense qu’il s’agit là d’une chose qui, pour une raison ou une autre, ne fait pas le Une. Et voilà qu’ils vérifient ce que les gens disent depuis plus d’un mois maintenant, y compris mes collègues épidémiologistes de Stanford et tous ceux qui ont fait cette analyse dans le monde — à savoir que le taux de mortalité dû aux infections est inférieur à un dixième de l’estimation initiale. Ce sont les mesures politiques prises qui tuent des gens. Je veux dire, je pense que tout le monde a entendu parler des 650 000 personnes atteintes de cancer et suivies en chimio, dont la moitié n’est pas venue. Deux tiers des dépistages de cancer n’ont pas eu lieu. 40 pour cent des patients victimes d’un accident vasculaire cérébral nécessitant des soins urgents ne sont pas venus. »

Vous vous souvenez comment le confinement était censé maintenir les hôpitaux ouverts pour gérer un afflux de patients ? Eh bien, maintenant, le système de santé est confronté à un désastre. CNBC rapporte que « Les médecins doivent faire face à des réductions de salaire, des mises en congés et des pénuries d’approvisionnement alors que le coronavirus poussent les soins primaires au bord du précipice » :

« Il n’y a pas que les cabinets de médecins à New York — épicentre de l’épidémie de coronavirus aux États-Unis — qui connaissent des difficultés financières. Quelques 51 pour cent des prestataires de soins primaires sont incertains quant à leur avenir financier au cours des quatre prochaines semaines, et 42 pour cent ont licencié ou mis leur personnel en congé, selon une enquête menée auprès de 2 700 cabinets à travers les États-Unis par l’association à but non lucratif Primary Care Collaborative et le Larry A. Green Center. En outre, 13 pour cent prévoient la fermeture de ces cabinets au cours du mois prochain. »

Le Dr John Ioaniddis, de Stanford, a rédigé un excellent article pour le Boston Review, expliquant l’impact catastrophique du blocus sur les soins de santé :

« Dans le même temps, nous ne devons pas détourner notre regard des préjudices réels de nos interventions les plus radicales, qui touchent également de manière disproportionnée les personnes défavorisées. Nous savons que le confinement prolongé de l’ensemble de la population a retardé les traitements contre le cancer et a incité les personnes souffrant de maladies graves comme les crises cardiaques à ne pas se rendre à l’hôpital. Il conduit les systèmes hospitaliers à licencier et à mettre du personnel en congé, il dévaste la santé mentale, il augmente la violence domestique et la maltraitance des enfants, et il a ajouté au moins 36,5 millions de nouvelles personnes aux rangs des chômeurs rien qu’aux États-Unis. Beaucoup de ces personnes perdront leur assurance maladie, ce qui les exposera davantage au risque d’une détérioration de leur santé et à la détresse économique. On estime que le chômage prolongé entraînera 75 000 décès supplémentaires dus au désespoir rien qu’aux États-Unis au cours de la prochaine décennie. Au niveau mondial, les perturbations ont porté à plus d’un milliard le nombre de personnes menacées de famine, la suspension des campagnes de vaccination massives fait peser la menace d’une résurgence des maladies infectieuses qui tuent les enfants, les modélisations suggèrent un excès de 1,4 million de décès dus à la tuberculose d’ici 2025, et l’on s’attend à ce que le nombre de décès dus au paludisme double en 2020 par rapport à 2018. J’espère que ces prévisions modélisées se révéleront aussi fausses que celles de plusieurs effectuées pour le Covid-19, mais ce n’est peut-être pas le cas. Tous ces impacts sont également importants. Les décideurs politiques doivent prendre en compte les inconvénients des politiques restrictives, et pas seulement leurs avantages. »

Ouch… Selon Forbes, plus de 600 médecins ont récemment demandé au président Trump de lever les confinements.

Plus de 600 médecins du pays ont en effet envoyé cette semaine une lettre au président Trump, qualifiant les confinements dus au coronavirus d’« incident faisant un grand nombre de victimes » avec des « conséquences négatives sur la santé en croissance exponentielle » pour des millions de patients non atteints du Covid.

« Les effets sur la santé en aval… sont massivement sous-estimés et sous-signalés. C’est une erreur d’une magnitude considérable », selon la lettre initiée par Simone Gold, M.D., spécialiste en médecine d’urgence à Los Angeles.

Il n’est pas surprenant que les suicides soient en hausse dans les localités qui ont confiné, et que les prescriptions de médicaments pour le sommeil et contre l’anxiété aient grimpé en flèche. Et il vient d’être rapporté que « l’isolement social peut augmenter le risque de décès précoce d’une personne jusqu’à 50 pour cent, selon une nouvelle étude ». Même le Dr Fauci, sans doute le plus fervent défenseur de l’isolement, en est récemment devenu un adepte, comme l’a rapporté CNBC. Le conseiller en santé de la Maison Blanche a déclaré vendredi :

« Les commandements de rester-confiné-à-domicile destinés à freiner la propagation du coronavirus pourraient finir par causer des dommages irréparables s’ils sont imposés trop longtemps. »

Et lors d’une interview avec Meg Tirrell de CNBC dans l’émission « Halftime Report », Fauci a déclaré :

« Je ne veux pas que les gens pensent que l’un d’entre nous estime que rester enfermé pendant une période prolongée est la voie à suivre. »

Dr Fauci, vous êtes très, très en retard à la fête. En fait, l’un de mes plus grands problèmes avec tout ce bazar, c’est la façon dont le Dr Fauci et d’autres comme lui n’ont presque rien fait pour éduquer le public américain sur les nouvelles données scientifiques et les informations dont nous disposons maintenant sur le Covid-19, ce qui aurait non seulement réduit de façon significative la panique mais aurait peut-être aussi donné aux gouverneurs un plus grand soutien pour déconfiner plus rapidement…

Fait n° 16 — Tous ces déconfinements progressifs sont totalement absurdes et ne reposent sur aucune base scientifique, mais ils seront tous déclarés réussis

J’ai trouvé cet article du Wall Street Journal sur le gouverneur de Washington, Jay Inslee, particulièrement révélateur :

« Le Tableau de bord du Covid-19 de M. Inslee, qui est censé fournir une voie scientifique pour le rétablissement de Washington, est à peu près la même histoire. Le tableau de bord en ligne comprend des cadrans pour cinq variables de sécurité publique mais ne donne aucune indication sur la façon dont chacune est calculée ou sur l’emplacement des cadrans pour commencer les différentes phases du déconfinement. Quand les constructeurs seront-ils autorisés à commencer les nouvelles constructions ? Quand les petits magasins comme Home Depot pourront-ils ouvrir ? Le tableau de bord est conçu pour impliquer la science, mais il manque de données significatives. »

Oui, vous attendez toujours la phase 1 ou 2 de votre déconfinement ? Croyez-moi, celui qui a élaboré le plan propre à votre État invente littéralement les choses au fur et à mesure. Et, étant donné l’extrême diversité des plans en cours, même dans les comtés voisins, les chances qu’ils aient QUOI QUE CE SOIT à voir avec l’arc du virus sont exactement nulles, mais vous le saviez déjà si vous avez lu tout ce qui précède. La bonne nouvelle, c’est qu’ils réussiront TOUS, parce que le confinement n’était pas nécessaire pour commencer — MISSION ACCOMPLIE.

Il est intéressant de revenir début mai sur les gros titres où les responsables de la santé publique prédisaient un désastre pour la Floride dans le Miami Herald : « Le plan de déconfinement de la Floride est-il sans risque ? Les experts de la santé publique donnent une critique franche » — les autres gouverneurs vont-ils jamais penser par eux-mêmes comme Ron DeSantis l’a fait ?

Comment diable en sommes-nous arrivés là ?

Cette semaine, j’ai vraiment été frappé par ce titre de la Fondation pour l’éducation économique : [Voir aussi en français Confinement- « Ce n’est pas laSuèdequi mène une expérience de masse. Ce sont tous les autres pays » – NdT]

« Épidémiologiste : La réponse de la Suède au Covid n’est pas peu orthodoxe.
Le reste du monde l’est »

Si les nations semblent aujourd’hui à l’aise pour mettre en place des mesures massives de confinement afin d’empêcher la propagation d’un virus respiratoire mortel, cette pratique semble sans précédent.

« Comme l’a récemment expliqué le principal expert suédois en maladies infectieuses, l’approche de la Suède face à la pandémie est plus orthodoxe que l’approche actuelle de confinement, du moins par rapport aux normes historiques.

« Ceux qui bouclent complètement la société, ce qui n’a vraiment jamais été fait auparavant, sont-ils plus ou moins orthodoxes que la Suède ? », a demandé récemment Anders Tegnell. « La Suède fait] ce que nous faisons habituellement en matière de santé publique : accorder une large part de responsabilités à la population, essayer d’établir avec elle un bon dialogue, et avec cela obtenir de bons résultats. »

Le point soulevé par Tegnell mérite l’attention. Si les nations semblent aujourd’hui à l’aise pour mettre en place des mesures massives de confinement afin d’empêcher la propagation d’un virus respiratoire mortel, cette pratique semble sans précédent. »

Le Dr Scott Atlas de Stanford est, selon mon opinion, l’un des véritables héros de ce bourbier, et j’ai trouvé que son essai sur le manque de leadership des responsables américains de la santé publique pendant cette crise était l’un de ses meilleurs. Si ces mêmes responsables ont fait un excellent travail en effrayant les Américains, ils n’ont pas fait grand-chose pour les informer sur les nouvelles données scientifiques qui ont prouvé que nombre de nos craintes initiales n’étaient pas fondées sur la science. Il y a encore des MILLIONS d’Américains qui ont peur de quitter leur maison, et je pense que beaucoup pensent que le taux de mortalité par infection du Covid-19 est plus proche de la variole (30 pour cent) que de la grippe saisonnière. Comme l’a écrit le Dr Atlas le 3 mai dans The Hill :

« La base pour rassurer le public sur le déconfinement est de rappeler les données factuelles sur la menace et les personnes qu’elle vise. À l’heure actuelle, les études menées en Europe et aux États-Unis indiquent toutes que le taux global de mortalité est bien inférieur aux premières estimations. Et nous savons qui protéger, car cette maladie — d’après les preuves — est inégalement dangereuse au sein de la population. Dans le comté d’Oakland, dans le Michigan, 75 pour cent des décès concernent des personnes de plus de 70 ans ; 91 pour cent concernent des personnes de plus de 60 ans, ce qui est similaire à ce qui a été constaté à New York. Et les personnes plus jeunes et en meilleure santé ont un risque de décès pratiquement nul et un faible risque de maladie grave ; comme je l’ai déjà noté, moins d’un pour cent des hospitalisations à New York ont concerné des patients de moins de 18 ans, et moins d’un pour cent des décès à tout âge sont dus à l’absence de conditions sous-jacentes. »

J’ai encore du mal à comprendre comment nous en sommes arrivés là. Je pense que l’un des meilleurs essais que vous aurez jamais lu sur ce sujet est une série en deux parties écrite par la bio-ingénieur Yinon Weiss :

Partie 1 — Comment la peur et la pensée de groupe ont conduit à des confinements mondiaux inutiles.Extrait :

« Face à une nouvelle menace virale, la Chine a pris des mesures de répression contre ses citoyens. Les universitaires ont utilisé des informations erronées pour construire des modélisations défectueuses. Les dirigeants se sont appuyés sur ces modélisations défectueuses. Les opinions dissidentes ont été supprimées. Les médias ont attisé les craintes et le monde a paniqué. C’est l’histoire de ce qui pourrait bien être connu comme l’une des plus grandes gaffes médicales et économiques de tous les temps. L’échec collectif de toutes les nations occidentales, sauf une, à remettre en question la pensée de groupe sera certainement étudié par les économistes, les médecins et les psychologues pendant les décennies à venir. »

Partie 2 — Comment le sensationnalisme des médias, la partialité des grandes technologies ont prolongé les confinements. Extrait :

« Les épidémiologistes ont créé des modélisations de confinement défectueuses. Les médias ont encouragé la peur. Les politiciens ont imaginé les pires scénarios, et la technologie a supprimé les opinions divergentes. C’est ainsi que les craintes des populations sont devenues disproportionnées par rapport à la réalité et que des mesures de confinement en apparence provisoires se sont étendues sur plusieurs mois. »

Je conclurai ces réflexions par une dernière citation de l’israélien Yoram Lass qui a bien résumé ce qui vient de se passer — et se passe encore dans de nombreux lieux :

« C’est ce qu’on appelle en science un retour d’information positif ou un effet boule de neige. Le gouvernement a peur de ses électeurs. C’est pourquoi il met en œuvre des mesures draconiennes. Les électeurs regardent ces mesures draconiennes et deviennent encore plus hystériques. Ils se nourrissent les uns les autres et la boule de neige devient de plus en plus grande jusqu’à ce que vous atteigniez un seuil irrationnel. Si vous vous intéressez aux chiffres et aux données, ce n’est rien d’autre qu’une épidémie de grippe, mais les populations qui sont dans un état d’anxiété sont aveugles. Si je prenais les décisions, j’essaierais de leur donner les vrais chiffres. Et je ne détruirais jamais mon pays. »

Et maintenant ?

Selon mon opinion, ce qui devrait être fait est tellement simple, mais ce ne sera jamais fait, car trop de gens devraient admettre qu’ils ont tort. Mais, je vais quand même le dire. Ma recommandation politique : supprimer 100 pour cent des règles de confinement nouvellement créées, sécuriser les maisons de retraite en utilisant l’approche de la Floride, dire à toutes les personnes atteintes d’une infection active de Covid-19 de rester chez elles jusqu’à la disparition des symptômes ou de porter un masque si elles doivent sortir en public, et encourager tous les autres à se laver les mains. Marché conclu.

J’ai gardé pour la fin une de mes citations préférées de Johan Giesecke de l’Institut Karolinska — il est suédois, ce n’est pas étonnant — tirée d’un essai paru début mai dans The Lancet :

« Ces faits m’ont conduit aux conclusions suivantes. Tout le monde sera exposé au coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère, et la plupart des individus seront infectés. Le Covid-19 se répand comme une traînée de poudre dans tous les pays, mais nous ne le voyons pas — il se propage presque toujours des jeunes gens qui ne présentent pas de symptômes ou qui en présentent peu à d’autres qui en présenteront tout aussi peu. Il s’agit de la véritable pandémie, mais elle se poursuit discrètement et atteint probablement aujourd’hui son apogée dans de nombreux pays européens. Nous ne pouvons pas faire grand-chose pour empêcher cette propagation : un confinement pourrait retarder les cas graves pendant un certain temps, mais une fois les restrictions assouplies, les cas réapparaîtront. Je pense que lorsque dans un an nous compterons le nombre de décès dus au Covid-19 dans chaque pays, les chiffres seront similaires, quelles que soient les mesures prises.

Les mesures visant à aplatir la courbe pourraient avoir un effet, mais un confinement ne fait que repousser les cas graves à plus tard — il ne les empêchera pas. Certes, les pays ont réussi à ralentir la propagation pour ne pas surcharger les systèmes de santé et, oui, des médicaments efficaces qui sauvent des vies pourraient bientôt être mis au point, mais cette pandémie est rapide et ces médicaments doivent être développés, testés et commercialisés rapidement. On fonde beaucoup d’espoir sur les vaccins, mais il faudra du temps pour les mettre au point et, compte tenu du manque de clarté de la réponse immunologique protectrice face à l’infection, il n’est pas certain que les vaccins soient très efficaces.

En résumé, le Covid-19 est une maladie hautement infectieuse qui se propage rapidement dans la société. Elle est souvent asymptomatique et peut passer inaperçue, mais elle provoque également des maladies graves, voire la mort d’une partie de la population, et notre tâche la plus importante n’est pas d’arrêter la propagation, ce qui est pratiquement inutile, mais de nous concentrer sur la fourniture de soins optimaux aux malheureuses victimes. »

Si vous êtes arrivé jusqu’ici, merci. Vous partagez maintenant mon fardeau en connaissant les faits sur les raisons absurdes du confinement [« impures » en tant qu’« entachées d’éléments incontrôlés, indésirables » qui ont produit des décisions des plus mal avisées – NdT]. Et merci aux nombreux professionnels de la santé et scientifiques courageux qui prennent de sérieux risques pour leur carrière en disant publiquement la vérité. Si vous souhaitez vous tenir informés de ce sujet complexe, je vous recommande les fils Twitter d’Aaron Ginn et d’Alex Berenson qui représentent un répit bienvenu dans l’« attelage apocalyptique ».

Une dernière note personnelle — Par rapport au sujet sur lequel j’écris habituellement — le fait scientifique avéré que les vaccins peuvent déclencher l’autisme chez un sous-ensemble vulnérable d’enfants — écrire sur la folie du confinement constitue une promenade de santé, parce que de nombreuses personnes intelligentes sont arrivées à la même conclusion que moi. J’aimerais que beaucoup d’entre eux puissent voir les parallèles avec l’épidémie d’autisme : la bonne science est évitée ou censurée, les médias intimident les dissidents, les intérêts particuliers prévalent, les parents ne sont jamais écoutés et les médecins qui s’expriment sont qualifiés de « charlatans »… et l’épidémie d’autisme se poursuit sans relâche.


À propos de l’auteur

J.B. Handley est l’auteur du best-seller How to End the Autism Epidemic [« Comment mettre fin à l’épidémie d’autisme », ouvrage non traduit en français – NdT]. Il est diplômé avec mention de l’université de Stanford et est actuellement membre directeur de Bochi Investments, une société d’investissement privée. Il peut être contacté à l’adresse suivante : jbhandleyblog@gmail.com

Source de l’article initialement publié en anglais le 30 mai 2020 :
j.b.handley blog
Traduction: Sott.net


Commentaire : La plupart des hyperliens présents dans l'article sont en anglais et nous n'avons pas ajouté de commentaires pour ne pas alourdir l'article déjà très dense. Voici donc une liste d'articles qui vous permettront de relier les points sur les différents sujets abordés ici en élargissant le contexte aux vaccins, Bill Gates et autres philanthropes psychopathes :



“Seconde vague” : une bonne leçon de la philosophe Hannah Arendt

[Source : Santé Nature Innovation]

[Auteur : Jean-Marc Dupuis]

Pour ne pas nous laisser mener par le bout du nez

Edouard Philippe, Premier ministre, a annoncé samedi qu’il existe un “risque sérieux” d’une “seconde vague”, potentiellement plus meurtrière que la première :

“Le risque d’une seconde vague, qui viendrait frapper un tissu hospitalier fragilisé, qui imposerait un re-confinement, qui ruinerait les efforts et les sacrifices consentis […], est un risque sérieux”,

a-t-il déclaré lors de la présentation du plan de déconfinement à partir du 11 mai. [1]

Au même moment, le Pr Didier Raoult, spécialiste en épidémies, disait exactement le contraire :

“La deuxième vague, c’est de la science-fiction”.

[2]

Lorsque, en tant que citoyen “de base”, vous vous faites ainsi ballotter par des informations contradictoires, sans aucun moyen de savoir qui dit vrai, c’est le signe que vous êtes en danger, selon la philosophe Hannah Arendt, rescapée du nazisme et spécialiste des systèmes totalitaires.

Comment la vérité est sacrifiée

Selon Hannah Arendt, les régimes totalitaires prennent un pouvoir “total” sur les individus en les arrosant d’informations contradictoires, jusqu’à ce qu’ils n’aient plus aucun moyen de savoir où se trouve la vérité.

Sous Hitler, sous Staline, explique-t-elle, le citoyen ne savait jamais à quelle sauce il allait être mangé. La propagande gouvernementale ne consistait pas à simplement “mentir” aux citoyens, en présentant une version “officielle” des faits dans les journaux, version qui aurait alors pu aisément être critiquée.

Non, c’était beaucoup plus subtil et efficace que cela.

Pour empêcher véritablement tout débat, toute initiative, pour obtenir des citoyens qu’ils se découragent totalement, qu’ils cessent d’essayer de comprendre, et qu’ils perdent donc tout moyen d’agir, les médias d’Etat les plaçaient sous un déluge continu d’informations incohérentes, mêlant le vrai et le faux jusqu’à ce que plus aucune personne ne puisse savoir de bonne foi ce qu’il fallait penser :

  • “Nous gagnons la guerre !”,
  • “Nous perdons la guerre !”
  • “Les rations vont être augmentées !”
  • “Les rations vont être diminuées !”
  • “L’économie est en croissance !”
  • “Il va falloir travailler plus !”
  • “Vous pouvez sortir sans autorisation !”
  • “Les contrôles vont être renforcés !”

Pour ajouter à la confusion, les Autorités ne parlaient plus d’une seule voix, mais au contraire via une foule de porte-paroles, dont il était impossible de savoir lequel portait la “véritable” parole de l’Etat.

C’est exactement ce que nous vivons aujourd’hui, et c’est pourquoi une telle tension s’installe dans les esprits.

C’est normal. Ce n’est pas de votre faute si vous ne comprenez rien, si vous êtes ballotté entre des amis, des voisins, des journalistes, des blogueurs ou encore des “youtubeurs” qui, chacun ont leur opinion qui paraît valable, tout en étant incompatibles les unes avec les autres.

C’est le résultat logique de la communication gouvernementale qui introduit confusion et contradictions partout.

Car, si vous êtes de bonne foi, cela fait déjà plusieurs semaines, que vous n’avez plus aucun moyen de savoir ce qu’il faut raisonnablement penser de la situation.

Depuis plusieurs semaines, il n’y a plus aucun moyen de savoir ce qu’il faut “raisonnablement” penser de la situation

Lorsque le Président Macron annonce le déconfinement à partir du 11 mai, il est aussitôt suivi d’une déclaration de son Premier ministre qui explique que le déconfinement ne touchera que certaines personnes, dans certaines zones.

Au même moment, le Pr Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique Covid-19, et donc principal conseiller de l’Elysée, affirme que les personnes âgées resteront confinées jusqu’à la fin de l’année, ce qui est rapidement démenti par le Ministre de l’Intérieur Castaner.

La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye explique alors que, bien que le déconfinement commence le 11 mai, mieux vaut prévoir ne pas partir en vacances en août. Aussitôt, une virologue experte (Anne Goffard) annonce alors sur France-Inter que plusieurs études de modélisation dans différents pays concluent à “une deuxième vague épidémique très probable au plus tôt fin août”, à moins que ce ne soit ”en octobre ou en novembre”. [3]

De son côté, le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer annonce la réouverture de “toutes les écoles dans toutes les zones”, en précisant aussitôt que les enfants sont probablement de gros vecteurs du virus et qu’il faudra sans doute laisser fermés les collèges, les lycées et l’enseignement supérieur. La ministre du travail Muriel Pénicaud estime alors sur France-Info “raisonnable de dire” qu’un télétravail massif aura lieu au moins jusqu’à l’été”, ce qui achève de rendre caduque l’annonce d’un déconfinement le 11 mai.

Je passe sur la publication d’une carte des départements rouges, oranges et verts dont on nous explique qu’ils pourront servir, ou non, à définir des dates différentes d’ouverture des différents secteurs de l’économie ; sur les annonces contradictoires des bienfaits du confinement, des masques, des tests de dépistage ; sur l’affaire de la chloroquine atteignant le summum de la foire d’empoigne, avec des experts tout aussi incontestables les uns que les autres qui se prononcent en faveur ou en opposition totale au traitement ; sur le fait que les enfants et les jeunes sont successivement présentés comme potentiellement victimes de la maladie ou au contraire parfaitement protégés.

Si, à la fin de ce message, vous avez mal à la tête, et envie de sortir vous promener pour penser à autre chose, dites-vous que c’est exactement l’effet recherché par les Autorités des pays totalitaires lorsqu’ils assomment leurs citoyens sous un déluge d’informations, contre-informations, ré-informations : obtenir que les réseaux de résistance se divisent. Que  les citoyens se découragent. Que la critique devienne impossible. Que l’action, la réaction, la révolte, perdent leur sens.

Comme il n’y a plus de vérité, il n’y a plus de réalité. Vous avez l’impression de vous battre contre des moulins qui tournent dans tous les sens. Vous comprenez que lire, parler, réfléchir, n’a plus aucun sens car on peut penser tout et son contraire, selon les sources que l’on choisit, et qui évoluent elles-mêmes en permanence.

C’était la triste situation de nombreux pays au XXème siècle, dont on espérait pourtant ne pas reproduire les erreurs au XXIème :

“Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez”, disait Hannah Arendt.

A méditer.

Mais pour terminer sur une note plus joyeuse, je vous invite à regarder cette vidéo humoristique sur le confinement : 

https://www.youtube.com/watch?v=BFOJtRFlY-8

Ces jeunes me paraissent faire preuve d’une vivacité d’esprit, d’un talent musical et même d’un sens philosophique remarquable. Ils ont en effet su, par les paroles de la chanson et par leur jeu d’acteur (les yeux ronds et l’air parfois halluciné du chanteur) manifester, mieux que moi par mon texte, cette impression d’absurde et de folie collective qui est en train de nous saisir.

Bravo à eux, c’est un grand soulagement pour nous de voir qu’une telle intelligence et un tel sens artistique peuvent encore exister.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis


[1] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/avec-le-deconfinement-la-crainte-d-une-deuxieme-vague-6823541

[2] https://www.ladepeche.fr/2020/05/01/coronavirus-la-deuxieme-vague-cest-de-la-science-fiction-pour-le-professeur-didier-raoult,8869876.php

[3] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/avec-le-deconfinement-la-crainte-d-une-deuxieme-vague-6823541




Le retour des lépreux

[Source : Agora Vox via Sott.net]

par Décrypteur

De la crécelle à l’application numérique

Au moyen âge, les lépreux devaient agiter une crécelle ou faire sonner une clochette lorsqu’ils se déplaçaient. Ils devaient par ailleurs coudre sur leur tunique une pièce de tissu rouge, ce qui permettait de bien les identifier. Les nazis, cinq siècles plus tard, reprirent l’idée en obligeant les juifs à coudre une étoile jaune sur leur poitrine. De tout temps, les sociétés ont désigné leurs parias, ceux qui représentaient le mal, le danger, et dont la fonction sociale était de susciter la peur. Mais revenons à nos lépreux du XVème siècle déambulant avec leurs clochettes et leurs crécelles pour informer leur entourage de leur présence. Pourquoi fallait-il que l’on sache qu’un lépreux était lépreux ? Pour ne pas être contaminé bien sûr. Et ça fonctionnait bigrement bien. Tout le monde fuyait au premier tintement de clochette. Il ne fallait à aucun prix prendre le risque d’être en contact avec le lépreux, au risque d’être soit même qualifié lépreux, et de se retrouver à son tour à agiter la clochette et porter en guise de vêtements une tunique marquée d’un tissu rouge. Projetons-nous dans un futur plus ou moins lointain. La clochette s’est transformée en une application numérique qui communique avec les applications numériques alentour, les avertissant de la présence d’un lépreux. Que croyez-vous qu’il adviendra ? Les mêmes causes produisant les mêmes effets, ce qui se passait au XVème siècle se passera au XXIème siècle.

Heureusement, nous ne sommes plus au Moyen âge, mais malheureusement, nous sommes déjà au cœur de ce futur. Grâce à un banal coronavirus poétiquement nommé Covid 19, les Pouvoirs modernes sont en train de réinventer la clochette des lépreux du moyen âge. Cette clochette se nomme désormais « Stop Covid ». Nous allons le voir, les Pouvoirs ont besoin de la peur, ils s’en servent avec habileté pour soumettre leur peuple sans risque. S’agissant de la France, ce virus est vraiment arrivé à point nommé, avec un sens du timing remarquable. Alors que le gouvernement se débattait depuis des mois avec ses réformes du chômage et des retraites dont ne voulaient pas une majorité de ses citoyens, et qui le faisaient savoir par une agitation sociale dont on ignorait comment et quand elle allait finir, alors que la stabilité même de ce gouvernement était menacée, à ce moment où le pouvoir en avait le plus besoin a surgi ce providentiel virus. Le pouvoir opportuniste s’en est aussitôt saisi pour agiter le spectre de la mort, rien de moins, au-dessus de la tête des citoyens horrifiés et surtout terrifiés. Les menaces économiques généralement agitées pour rétablir le calme ont été mises au rencart. Cette fois, le Pouvoir a sorti le Grand Jeu : La Mort. La faucheuse, la mère de toutes les peurs. Avec cela, il jouait gagnant à coup sûr. Et il a gagné, au-delà de ses espérances. Il va obtenir dès aujourd’hui ce qu’il avait sans doute programmé dans un délai de 10 à 20 ans à savoir le consentement au traçage numérique. Le Covid 19 nous projette d’un coup dans l’univers Orwellien (à ce sujet, lire l’excellent roman d’Alain Damasio « La zone du dehors » qui s’inscrit dans la continuité de « 1984 », tout en donnant un sérieux coup de vieux au chef d’œuvre d’Orwell).

Le consentement par la peur

Les pouvoirs modernes s’érigent en protecteurs des citoyens. Ils édictent des lois qui protègent, ils arment une police pour protéger du danger qui viendrait de l’intérieur, et une armée pour protéger du danger extérieur. L’Etat providence subvient aux besoins des plus faibles et des déshérités. Le chef suprême, c’est le Père de la Nation. Il protège ses citoyens comme un père ses enfants. L’Etat veille à tout. Il organise l’économie pour garantir un travail et un revenu à tous, il garantit l’instruction des plus jeunes et les prépare à devenir des citoyens « armés » pour affronter la vie. Il protège la santé de tous, en construisant des hôpitaux et en formant des médecins et des infirmières. En France, l’Etat va même jusqu’à prendre en charge le coût de cette protection sanitaire en payant lui-même les consultations et une bonne partie des médicaments.

Dès lors le citoyen évolue dans un monde sans danger, ou plus exactement dont les dangers sont entièrement pris en charge par le pouvoir. Il a perdu toute conscience des responsabilités qui lui incombent vis-à-vis de sa propre personne, mais aussi des autres. Il ne dirige pas sa vie, il se contente- de se soumettre à un corpus de règles pensées pour lui, par d’autres. De toutes façons, ces règles sont bonnes pour lui puisqu’elles visent à garantir son bien être et sa sécurité. Il se lève chaque matin pour se rendre à son travail dont il tire un revenu suffisant pour nourrir sa famille, se loger, partir plusieurs fois par an en vacances et rouler dans une voiture qui marque son prestige social. Ses enfants vont à l’école publique à laquelle il délègue la charge de leur éducation. Quand un membre de la famille est malade, il se rend chez, le médecin, ou à l’hôpital si c’est plus grave, et tout rentre rapidement dans l’ordre grâce à la grande qualité du système de santé géré par l’Etat. Libéré de toutes ces contraintes, soulagé de tout ces risques, le citoyen n’a plus qu’à jouir de sa vie confortable. Le prix à payer est facilement supportable. Il suffit de se soumettre au Pouvoir ce qui, si on reste bien sagement dans le rang, ne présente pas de grandes difficultés.

Pour que ce système ingénieux et sophistiqué puisse fonctionner, celui qui en est l’instigateur, le Pouvoir, doit faire sentir en permanence à ses citoyens que la vie merveilleuse dont ils jouissent pourrait s’écrouler à tout moment. Qu’il suffirait, d’un rien, un déficit budgétaire trop important par exemple, pour que le système de santé ne puisse plus être financé correctement, et les laissent démunis face à leurs maladies. C’est alors un jeu d’enfant d’obtenir le consentement des citoyens pour créer une nouvelle taxe censée soutenir le système de santé (tout en poursuivant sa démolition). C’est un truc vieux comme le monde. Pour qu’un groupe réduit, appelons-le groupe des dominants, règne sans difficulté sur la masse, les dominés, il suffit que les dominants allouent quelques avantages ici, quelques privilèges là, qu’ils répartissent le tout de manière inégalitaire parmi les dominés, et qu’ils menacent de leur reprendre. La peur que Jean aura de perdre ce que Paul n’a pas conduira Jean à accepter tous les sacrifices demandés par le Pouvoir. Car ce que Jean a et que Paul n’a pas permet de donner à Jean l’illusion qu’il fait partie des dominants. C’est là que ce système est aussi génial que diabolique. Et Paul agira de même quand son unique avantage sera menacé.

Contre les rebelles, contre ceux qui n’ont pratiquement rien, le Pouvoir peut plus difficilement agir sur la menace de privation pour obtenir leur consentement. Peu importe, car il possède pour cette catégorie une arme qu’il est le seul à détenir : la violence légitime. Il pourra toujours en user et en abuser contre les démunis, commettre des exactions, voire des assassinats (pensons à Rémi Fraisse, ou à Steve Maia Caniço, et à tous les autres), il aura toujours le soutien de ceux qui possèdent (si peu possèdent-ils). Garant de l’Ordre établi, le Pouvoir étend son voile protecteur sur son peuple soumis et consentant.

Vers une société de surveillance globalisée.

Pour encore mieux protéger, pour encore mieux contrôler, le Pouvoir dispose désormais de technologies qui ont progressé au cours de la dernière décennie avec une rapidité fulgurante. Il y a peu, la surveillance se faisait encore par des filatures, des écoutes téléphoniques, et autres barbouzeries. Ces archaïsmes nécessitaient en outre l’accord d’un juge, au cas par cas. Impossible d’exercer une surveillance de masse de la sorte (sauf peut-être sous Staline qui était parvenu à transformer chaque citoyen en agent du KGB). Puis émergèrent les technologies numériques. La vidéo, associée à des algorithmes de reconnaissance faciale permet désormais d’exercer une surveillance globale de la population, sans aucun contrôle judiciaire (Le communiste Staline en a rêvé, les sociétés capitalistes, démocratiques ou non, l’ont fait !) Les masses se sont soumises sans grande opposition à ce redoutable procédé de surveillance généralisée, le pouvoir ayant montré facilement que la vidéo surveillance représente une menace pour les déviants, mais qu’elle protège avec efficacité les honnêtes citoyens n’ayant rien à se reprocher. Mais ce procédé est encore limité par le nombre de caméras et leur champ de vision. L’enjeu pour les Pouvoirs est donc de parvenir à surveiller chaque individu, où qu’il soit, et quoi qu’il fasse. C’est ici que réapparaissent les lépreux. Le concept est simple : Demander à chaque citoyen de se signaler à tout moment, où qu’il se trouve. Encore fallait-il trouver un argument convaincant pour obtenir le consentement de ces néo lépreux. Le Covid 19 est apparu opportunément pour servir les projets les plus inespérés des Pouvoirs du monde entier. En terrorisant dans un premier temps leurs citoyens avec la menace suramplifiée du Covid (voir à ce sujet mon article https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/n-ayez-pas-peur-du-covid-19-223619 ), puis en les convaincant dans un second temps que le traçage numérique allait les sauver de cette terrible menace virale, les pouvoirs sont sûrs d’obtenir le consentement du plus grand nombre. Dès lors qu’il sera accepté par une majorité de citoyens, il sera plus facile de contraindre les récalcitrants à s’y soumettre. Le Covid 19 est la clé qui a ouvert la porte d’entrée d’une société placée sous surveillance numérique généralisée. Je ne développerai pas ici les effets de cette surveillance (je vous renvoie de nouveau à la lecture de « La zone du dehors » qui en est une magnifique illustration), mais je peux vous confirmer, comme l’affirment à l’envi les commentateurs patentés, qu’il y aura bien un monde d’après le Covid en rupture avec le monde d’avant. Mais contrairement au discours ambiant, n’allez pas imaginer que le monde d’après sera un monde décroissant, solidaire, redevenu raisonnable, enfin humain. Au contraire, le monde d’après, dans lequel nous venons d’entrer, sera plus productiviste que jamais, (accompagné de son cortège de méfaits humains et environnementaux – dont l’émergence de nouveaux virus -). De ce point de vue, il sera simplement une continuité accélérée du monde d’avant.

La rupture la plus profonde entre les deux mondes concernera l’abolition progressive, mais qui finira par être totale, des libertés individuelles. Dans le monde d’après, les pouvoirs vont nous convaincre que nous sommes tous lépreux, que nous représentons tous une menace potentielle pour nos semblables, et que le seul moyen de nous protéger de cette menace permanente sera d’exercer une surveillance continue de chacun, en tout lieu, et bien sûr avec le concours de chacun. Les dissidents, les divergents seront éliminés, et la machine capitaliste continuera sa marche en avant, sans que plus rien désormais ne puisse l’arrêter, ni même la freiner dans sa course folle. Ceci n’est pas un scénario de science-fiction, c’est tout simplement le monde dans lequel nous venons d’entrer.




Fabulation, Science-fiction ou Réalité ?

Le discernement suffit-il à déterminer si l’article suivant relève de fabulation, de science-fiction, de désinformation, de purs mensonges ou de réalité ? En absence de moyens directs de vérification, tout est possible à priori, mais rien n’est certain tant que ce n’est pas suffisamment démontré dans les faits.


[Source : Eveilhomme]

LA CIVILISATION SÉPARATISTE – Résumé et extrait sur la divulgation complète – David Wilcock

Excellente lecture pour ceux qui sont nouveaux dans le domaine de la divulgation complète :

Pour comprendre ce que vous êtes sur le
point de lire, il est nécessaire d’avoir assez de place dans votre
imagination pour une relecture très épique de la réalité telle que nous
la connaissons.

Cette vision va bien au-delà de ce que la
plupart des gens ont l’habitude d’entendre dans la communauté OVNI,
même dans les versions les plus ésotériques qui existent.

Le crash de Roswell et d’autres épaves
aussi avancées nous ont permis d’effectuer des voyages interplanétaires
et interstellaires.

En conséquence, nous avons secrètement
commencé à construire des bases dans de nombreuses régions différentes
de notre système solaire, y compris la Lune, Mars et les lunes d’autres
planètes également.

L’exode des cerveaux des années 1950 a
marqué le début d’un effort massif visant à réinstaller 35 millions de
personnes au cours de cette seule décennie – vraiment la crème de la
crème de la crème dans leurs divers domaines – dans ces endroits.

Cela s’est transformé depuis en ce que
Richard Dolan appellerait une « civilisation sécessionniste », avec une
population de plusieurs centaines de millions d’habitants.

antactique-black-programm

Nous avons affaire à un groupe qui a
beaucoup plus de progrès technologiques que tout ce que nous voyons sur
terre, et dont les membres se voient presque totalement interdire de
revenir.

Ce Programme Spatial Secret, ou SSP (ou
PSS en français), a été à l’origine fondé et contrôlé par des éléments à
tendance très négative sur terre que nous appelons l’état profond, la
Cabale, le Nouvel Ordre Mondial ou Illuminati.

Malgré la très haute technologie, la vie
dans le SSP est à bien des égards bien pire que la vie sur terre à cause
de cette sinistre influence.

QUI EST VRAIMENT AU SOMMET ?

Aux niveaux supérieurs, nous découvrons
que l’état profond est à son tour contrôlé par des ETs humanoïdes
d’aspect reptilien très négatif appelés Draco ou les Sauriens.

De multiples initiés à qui j’ai parlé
m’ont confirmé l’existence de ces types d’êtres, y compris le regretté
William Tompkins. Ils sont ouvertement visibles dans le SSP.

Pendant la Seconde Guerre mondiale,
Tompkins a personnellement débriefé 23 espions américains différents
embarqués dans le programme spatial secret de l’Allemagne, et a entendu
parler de ces ET malveillants travaillant directement avec les Nazis.

Puis, en 2015, c’est le moment où Corey a
été emmené sur une base secrète sur la lune, connue sous le nom de
Lunar Operations Command ou LOC, pour la première fois en de nombreuses
années.

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LOC

Cela s’est produit presque immédiatement
après qu’il eut fini de me donner tout son témoignage au téléphone au
cours des quatre mois précédents, ce que je documentais pour référence.

Corey déclare avoir travaillé pour le
Programme spatial secret (SSP), une construction top secrète non
reconnue de l’humanité dans l’espace qui a eu lieu depuis le milieu du
20e siècle.

La raison pour laquelle j’ai pris Corey
au sérieux, c’est qu’à ce moment-là, j’avais parlé à beaucoup d’autres
initiés ayant une cote de sécurité très élevée qui m’avaient révélé à
quel point tout cela était réel.

Les informations récentes de Corey ont
révélé que les Draco sont à leur tour infestés de « nanites » d’une
intelligence artificielle prédatrice et malveillante, ou IA.

eudjdb.jpg

Un draco ailé qui communique avec Corey

Cette IA veut détruire toute vie
biologique. En fin de compte, même les Dracos ne sont que des pions que
l’IA manipule dans un jeu plus vaste pour atteindre cet objectif.

Ce qu’on appelle dans divers textes
religieux « Satan », ou « L’Adversaire », semble être une vague
description de cette conscience négative qui ne sera en interface avec
nous que par la technologie.

Il sait que s’il prend chair, il devient
sujet au karma et au jugement – et par conséquent, il ne s’interface
avec nous que par des moyens non biologiques.

L’IA a réussi à anéantir des planètes
entières, des systèmes solaires et peut-être même des galaxies, mais
dans ce cas, il semble que nous sommes en train de gagner la guerre.

Ouaip. On est dans le terrier du lapin,
comme vous pouvez déjà le voir. Pourtant, ces histoires sont
remarquablement bien accueillies par tous les initiés de haut niveau.

UN BREF MOT SUR LES EXTRATERRESTRES

Maintenant qu’Emery s’est manifesté, je peux parler plus précisément de certaines choses que j’ai apprises au fil des ans.

Il s’avère que notre galaxie regorge
littéralement de planètes terrestres et de civilisations intelligentes.
La NASA a publiquement estimé qu’il y a plus de 40 milliards de planètes
semblables à la Terre dans notre seule galaxie.

Ce que l’on apprend « de l’intérieur »,
c’est que les civilisations intelligentes ont invariablement des corps
qui ressemblent à des êtres humains ou du moins des hominidés en
apparence.

Emery appelle cela « la formation cinq
étoiles » – la tête, deux bras et deux jambes. Ce n’est pas toujours
ainsi, mais c’est très courant.

La biosphère complexe que nous voyons sur
Terre apparaîtrait à peu près de la même façon sur d’autres planètes
semblables à la Terre.

Ce qui change, cependant, c’est l’espèce exacte sur cette planète qui finit par se transformer en une forme humaine.

Vous pouvez donc avoir des êtres humains
avec des caractéristiques qui reflètent tous les types de vie que nous
voyons ici sur terre, y compris les insectes, les animaux aquatiques,
les mammifères, les oiseaux et les reptiles.

Heureusement, 95 pour cent de toutes les
civilisations spatiales sont positives et bienveillantes. Les Draco
Reptiliens sont en fait les tyrans de notre galaxie.

L’ALLIANCE SSP ET LES ÊTRES DE SPHÈRE

Le témoignage de Corey sur la communauté
interstellaire cachée qui nous entoure est allé bien au-delà des indices
que j’ai recueillis auprès d’autres initiés.

En même temps, il connaissait des
dizaines de points de données spécifiques et hautement confidentiels que
j’avais déjà rassemblés et que je n’avais jamais partagés en ligne.

Aucun d’entre nous n’aurait pu s’attendre
à ce qui s’est passé en mars 2015, lorsque Corey avait un bateau du PSS
dans sa cour et l’a amené au LOC.

Comme nous l’avons déjà dit, Corey a été
amené dans une salle de conférence remplie de gens de toutes les races
de la terre, portant les combinaisons monobloc habituelles du programme
spatial.

Ils étaient des membres clés d’une
alliance qui s’était formée au sein du PSS, cherchant à briser le secret
et à rendre toute leur technologie et leurs installations aux gens
d’ici.

Corey a été invité par Gonzales, un
membre de l’Alliance du PSS qu’il venait de rencontrer, à se lever sur
scène devant ces gens. Il n’a reçu aucune autre instruction.

Soudain, la foule a été choquée par l’apparition derrière Corey de deux grands ET à l’allure inconnue, alors qu’il se tenait là.

L’illustration suivante montre ce que
nous avons appelé la race Aviens Bleus ainsi que la race du Triangle
d’Or. Un représentant de chaque groupe est apparu derrière Corey.

LA GRANDE CONFÉRENCE ET LA LOI DE L’UN D’EUX

À ce moment-là, Corey devint un conduit
pour que ces êtres puissent parler à la foule assemblée. Pour une raison
quelconque, les êtres ne pouvaient pas communiquer directement avec
l’Alliance SSP.

Ils avaient besoin d’un intermédiaire pour le faire – et ils ont choisi Corey.

Cela s’est produit immédiatement après
que Corey ait passé quatre mois à me dire tout ce qu’il savait sur le
PSS, et qu’il venait de me donner son vrai nom.

L’Alliance du SSP a réalisé qu’elle avait
affaire à un nouveau groupe ET très important. L’une des premières
questions qu’ils ont posées était : « Êtes-vous le Râ de la loi Une ? »

La loi Une est une série de cinq livres,
canalisée par L/L Research Company entre 1981 et 1983. Depuis que j’ai
commencé à le lire en 1996, il a formé la base de toute ma vie de
travail.

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J’en ai entendu parler à la fin de 1995
dans un livre de Scott Mandelker, Ph.D., qui disait que c’était de loin
le plus grand traité philosophique et spirituel qu’il avait jamais lu.

Son doctorat était en psychologie
Est-Ouest, et il estimait qu’il capturait parfaitement l’essence la plus
profonde des enseignements bouddhistes et autres enseignements
religieux orientaux.

La Loi Une est le résultat de 20 ans de
recherche pour essayer de perfectionner la canalisation, après que le
travail pionnier de W.B. Smith ait prouvé qu’elle pouvait être très
précise dans certaines circonstances.

Le verbiage était très dense, presque
comme si la source avait besoin de créer un nouveau langage pour
articuler certains concepts. Je restais souvent sur une page pendant 45
minutes.

Le matériel était si lourd et reliait
tellement de points pour moi que j’ai emménagé avec Carla Rueckert et
Jim McCarty du début de 2003 à la fin de 2005.

J’ai été la première personne à vivre
dans la chambre de Don Elkins après sa mort. Quand j’ai emménagé, tout
était exactement comme il était depuis sa mort en 1984.

La chose la plus surprenante pour moi après que j’ai emménagé était à quel point Carla et Jim semblaient être ordinaires.

VALIDATIONS SURPRENANTES

Une autre détermination surprenante
pendant ce temps était que j’avais compris beaucoup plus de ce que la
Loi Une disait que Carla n’en avait – même si sa voix disait les mots.

Vous pouvez lire la série complète de Loi
Une gratuitement en ligne, et faire des recherches ciblées par
mots-clés, à lawofone.info.

Il peut également être très utile de posséder des exemplaires de ces livres, qui sont disponibles sur llresearch.org.

Je considère vraiment que c’est la thèse
de doctorat du matériel canalisé. Don Elkins, un physicien au doctorat, a
souvent eu beaucoup de difficulté à comprendre ce qu’on lui disait.

Quand je l’ai trouvé, j’ai vite réalisé
que c’était le matériau le plus profond et le plus révolutionnaire que
j’avais jamais eu entre les mains.

Mon premier livre, The Source Field
Investigations, a largement validé les modèles scientifiques de la Law
of One. Puis, The Synchronicity Key a exploré ses nombreux indices dans
la science des cycles.

Le troisième et plus récent livre, Les
Mystères de l’Ascension, donnait des informations personnelles souvent
demandées dans la première moitié et une validation d’une histoire
cosmique compatible avec Loi Une de notre système solaire dans la
seconde moitié.

Même après trois livres de 500 pages
explorant ces sujets, j’ai l’impression d’avoir à peine effleuré la
surface de toutes les données contenues dans la série Loi Une (Law of
One). Il n’y a rien d’autre comme ça de disponible, point final.

CONFIRMATION

Lorsque Corey est réapparu au LOC en tant qu’invité, l’Alliance savait qui il était et qu’il avait travaillé avec moi.

L’Alliance savait que la seule façon de
parler à ces êtres, qui s’appelaient eux-mêmes Gardiens, était par
l’intermédiaire de cette personne qu’ils demandaient par son nom – Corey
Goode.

Quand on lui a demandé « Êtes-vous le Ra de la Loi Une », l’Avien Bleu a seulement répondu : « Je suis Ra Teir-Eir. »

Chaque réponse de la série de la Loi d’une seule série commence par les mêmes trois premiers mots : « Je suis Ra. »

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Message
des Aviens Bleus : Concontrez-vous sur augmenter votre service aux
autres, d’êtres plus aimant envers vous-même et les autres pour
augmenter votre vibration et niveau de conscience. Apprenez à vous
pardonner vous-même et les autres (libérant ainsi votre karma). Cela va
changer la vibration de la planète, élever la conscience collective de
l’humanité et permettra le changement du genre humain progressivement à
travers votre propre changement personnel. Ils nous disent de traiter
notre corps comme un temps et de changer en direction d’un plus haut
niveau vibratoire dans nos habitudes alimentaires afin de faciliter le
processus.

C’était un indice convaincant. C’était en
fait un cadeau sans lendemain quand on comprend à quel point ces êtres
doivent protéger leur libre arbitre.

Quand j’ai posé la même question après
avoir entendu tout cela, et que j’ai voulu une réponse, j’ai clairement
entendu « Sortez maintenant » dans mon esprit. Un bel arc-en-ciel
au-dessus de la vallée m’attendait.

Environ un an plus tard, les êtres ont
finalement confirmé à Corey qu’ils étaient bien les auteurs du matériel
de Loi Une. À ce moment-là, Corey et moi étions déjà certains de la
connexion.

Dans toutes mes années d’étude de la Loi
Une, je n’aurais jamais pu m’attendre à ce que ces êtres se manifestent
réellement sous forme physique.

J’avais toujours supposé qu’ils
resteraient cachés indéfiniment, et n’apparaîtraient qu’après un saut
quantique stupéfiant dans notre évolution que la plupart des gens
appellent l’Ascension.

LE FLASH SOLAIRE ET L’ASCENSION

Un autre aspect clé de la source de
connaissance Law of One, qui est également enracinée dans une variété
d’autres formes de recherche, est l’idée que nous vivons actuellement
l’Ascension.

Cela peut ne pas être visible pour nous,
car la vie peut sembler très déprimante et dure – mais il y a des forces
beaucoup plus importantes en jeu ici.

Comme j’en discute chaque semaine dans
mon émission Wisdom Teachings, notre système solaire tout entier subit
un changement climatique massif comme nous le voyons sur terre.

Il s’agit d’événements énormes et
discontinus, et les données scientifiques ont toutes été mises à jour
jusqu’à maintenant. C’est de plus en plus intense. C’est un
incontournable.

Nous voyons le soleil et les planètes
devenir plus brillants, plus chauds, plus magnétiques, avec plus d’ozone
et de particules chargées, plus d’émissions de rayons X, etc.

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Trente-cinq traditions anciennes
différentes, compilées par les historiens Santillana et von Dechend, ont
toutes prédit que nous entrerions dans un « âge d’or » après avoir
passé par ce processus.

Les meilleures de ces traditions
prédisent clairement que ce saut quantique sera accéléré lorsque le
soleil produira un éclair épique d’une lumière blanche éclatante –
beaucoup plus intense que d’habitude.

Toute l’avant-dernière saison des
Enseignements de Sagesse (Wisdom Teachings) a été consacrée aux
nombreuses prophéties différentes que nous trouvons de cet événement.

Il est tissé à travers toutes les grandes
religions ainsi que de nombreuses autres traditions anciennes. Les
similitudes suggèrent qu’il doit y avoir eu un effort unifié et caché
pour prédire cela pour notre époque.

REMISE DES DIPLÔMES

Les gens du Programme spatial secret ont
déterminé que ces changements sont causés par un nuage interstellaire
très chaud et magnétique dans lequel notre système solaire dérive.

La NASA n’a annoncé officiellement les
données à l’appui de ce travail avec le travail du Dr Merav Opher qu’à
partir de 2009, comme je l’ai reporté dans Wisdom Teachings.

Le SSP a pris des vaisseaux de type
Roswell et a étudié en détail ce nuage  » écumeux « , ainsi que l’effet
profond qu’il a sur notre système solaire.

La charge visible de nos planètes est un
signe majeur de ce prochain flash d’énergie solaire. Tout est en train
de s’accumuler jusqu’à un grand crescendo.

L’apparence visuelle de certaines planètes a radicalement changé au cours des dernières années, par exemple.

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William Tompkins m’a dit que tout le
monde à l’intérieur sait que cet événement est à venir, mais chaque
personne peut avoir une idée complètement différente de ce que c’est et
de ce qu’il va faire.

La perspective de la Loi Une est intégrée
dans les cinq livres et indique très clairement qu’il s’agit d’un saut
évolutif profond pour l’humanité.

Seuls les êtres les plus négatifs seront affectés négativement par ce processus. Pour eux, ce sera en effet mortel.

Tous les autres « diplômés », s’ils sont
prêts, ou obtiennent un passage sûr dans une situation cosmique de type
arche de Noé vers une nouvelle planète pour continuer dans la
« troisième densité ».

QUATRIÈME DENSITÉ

Les gens qui restent avec la terre
finissent « par se transformer » en « quatrième densité ». Vous avez
toujours un corps physique, d’apparence humaine – seulement au fond, il
est plus énergique et capable.

C’est ce que tant de prophéties antiques
différentes, venues du monde entier, nous disent depuis des milliers
d’années, en des termes moins spécifiques que la Loi Une.

Cette prophétie de l’Ascension est aussi
la pierre angulaire des principaux enseignements religieux du monde, y
compris le judaïsme, le christianisme, l’islam, le bouddhisme et
l’hindouisme.

Le corps de quatrième densité sera
beaucoup plus télépathique, aura une conscience de l’au-delà et de la
réincarnation, et aura le potentiel pour de grands exploits comme la
télékinésie et la lévitation.

Notre conscience quotidienne, éveillée,
aura des éléments semblables à une expérience psychédélique, à laquelle
nous devrons apprendre à nous adapter.

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La Loi Une précise très clairement que
cette « remise de diplômes » n’est pas automatique. Il faut le mériter
en étant quelqu’un de bien.

Cela se traduit littéralement par une
concentration d’au moins cinquante et un pour cent sur le « service aux
autres », ce qui signifie que vous êtes une âme aimante, indulgente et
compatissante.

Vous pouvez être manipulateur et
contrôlant à 49 pour cent, ou « service à vous-même », tout en étant
capable d’obtenir votre diplôme. Au fond, vous devez simplement être
plus aimant que contrôlant et manipulateur.

S’il y a une chose que vous retirez de
tout ce que vous lisez ici, j’espère que ce sera de mettre cette
pratique de compassion en pratique dans votre propre vie, dès
maintenant.

SPHÈRES GÉANTES ET 2012

J’ai été largement attaqué sur Internet
lorsque la date de fin du Calendrier Maya est arrivée et s’est passée
sans aucun flash solaire ou événement lié à l’Ascension.

La bourse d’études autour de cette date
était extrêmement généreuse, mais je savais aussi qu’à mesure que nous
approchions de cette date, nous n’étions pas prêts à ce que cela arrive
en tant que planète.

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L’Alliance SSP était très intéressée à
comprendre pourquoi des centaines de sphères énormes de la taille d’une
planète avaient dérivé dans notre système solaire et s’étaient cachées,
dont beaucoup en 2012.

Ra expliqua à la foule rassemblée, par
l’intermédiaire de Corey, que ces sphères étaient capables d’empêcher
l’éclair solaire de se produire jusqu’à ce que nous, en tant que
collectivité, soyons spirituellement préparés pour cela.

L’une des préparations les plus
importantes que nous devons faire est d’obtenir au moins un certain
degré de révélation cosmique – sur qui nous sommes vraiment et ce qui se
passe réellement.

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Exposer la vraie laideur de l’état
profond, y compris le satanisme et la pédophilie, n’est que la première
étape de ce processus.

Ce qui est beaucoup plus important, c’est
que nous voyons les barrières du secret s’effondrer autour des ovnis et
de l’existence du programme spatial secret.

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Les changements psychologiques
impressionnants que cela provoquera dans le grand public entraîneront
des réveils spirituels généralisés qui nous prépareront beaucoup plus
directement à ce changement.

En fait, la Loi Une dit que nous
déterminerons en fin de compte quand le changement se produira par notre
niveau collectif et global d’avancement spirituel.

QUAND CELA SE PRODUIRA-T-IL ?

Depuis 2012 a évidemment été un fiasco,
la plupart des gens croient que toute l’histoire était  » fausse  » et
qu’elle a été discréditée. Rien n’est plus faux.

Le changement climatique interplanétaire
devient de plus en plus intense. Les révélations se multiplient sur
Terre, beaucoup de temps. Les bons s’améliorent et les mauvais
s’aggravent.

Des millions de personnes ont des rêves
puissants et d’autres expériences visionnaires de plus en plus
nombreuses. Nous nous dirigeons droit vers l’Ascension à toute vitesse.

Bien que personne ne sache avec certitude
quand le flash est prévu, le SSP a utilisé diverses méthodes pour
calculer une fenêtre temporelle approximative.

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Lorsque nous combinons ce que les
différents êtres qui ont parlé à Corey nous ont dit, ainsi que ces
initiés, il semble que cela se produira d’ici 2023 ou avant (NDT : cette
fenêtre a été élargie jusqu’en 2024 selon des informations plus
récentes de Corey).

Il se peut que ce soit plus tôt, mais il
est peu probable qu’il se produise plus tard. Encore une fois, la
véritable clé est liée à notre état de préparation global à cet égard en
tant que collectivité.

L’Alliance SSP était très intéressée par
ce que Ra avait à dire sur cet événement, et ses conséquences, lors de
cette réunion très intéressante de mars 2015.

L’Alliance a entendu dire que les sphères
géantes  » tamporiseraient  » la transition pour la rendre plus douce,
et qu’elles finiraient par disparaître complètement à mesure que nous
approchions.

C’est en train de se produire. Les
sphères ont déjà presque disparu. Ce n’est là qu’une petite partie des
derniers exposés de Corey sur l’aspect ET des choses.

LA RACE DES BÂTISSEURS ANCIENS

Il y a beaucoup de personnages
intéressants qui sont apparus dans la saga Corey Goode / Cosmic
Disclosure. Il m’arrive parfois d’insérer des paragraphes pour aider à
expliquer l’histoire au fur et à mesure que nous avançons.

Un point clé qu’il vaut la peine
d’aborder avant de commencer, cependant, est cette notion de la race des
bâtisseurs anciens en relation avec la Loi Une.

Tout d’abord, il y a deux SSP différents –
le programme Navy / Interstellar Corey et le programme Air Force / MIC
dont d’autres initiés que je connais sont au courant (NDT: et même plus
selon d’autres considérations).

Le programme MIC (complexe
militaro-industriel) est principalement centré sur des porte-avions
masqués et volants comme nous l’avons vu dans The Avengers. Ils ont des
vaisseaux qui ne peuvent pas quitter notre système solaire.

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Dans l’ensemble, ils ont apparemment été
conçus pour un scénario de « Divulgation Partielle », de sorte que le
SSP Interstellaire de la Navy le plus profond puisse encore rester
secret.

Si les membres du MIC SSP étaient
interrogés, même sous la torture, ils ne révéleraient que ce qu’ils
croyaient, à savoir qu’ils étaient le meilleur jeu en ville.

Les gens de MIC SSP sont bien conscients
que notre système solaire est un « dépotoir cosmique » de ruines
cristallines très anciennes et cristallines – comme des coupoles, des
obélisques, des pyramides et des villes souterraines.

Les plus anciennes de ces ruines
remontent à environ 2,5 milliards d’années. Les gens qui les ont
construits sont invariablement appelés la race des bâtisseurs anciens.

On sait très peu de choses sur ces
personnes, simplement parce que toutes les inscriptions écrites ont été
effacées et que leurs technologies ont été largement pillées.

LIEN DIRECT AVEC LA LOI UNE

Après que Corey m’en ait fait part, j’ai finalement réalisé que c’était directement lié à la matière de la Loi Une (Law of One).

Plus précisément, la civilisation qui se
réfère elle-même à Ra a dit qu’elle est apparue sur la planète Vénus
dans notre système solaire.

Ils expliquèrent qu’ils construisaient
des pyramides et des obélisques, et qu’ils atteignaient un niveau de
technologie profondément élevé avant leur propre Ascension en quatrième
densité.

De plus, il est très clairement indiqué
qu’ils avaient évolué à partir de la troisième densité sur Vénus il y a
environ 2,6 milliards d’années lorsque nous mesurons le temps.

Je ne l’avais jamais oublié après l’avoir lu en 1996.

Les sphères de pierre de Klerksdorp
semblent être intelligemment construites et ont été trouvées dans des
strates rocheuses vieilles d’environ 2,8 milliards d’années.

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C’est peut-être un petit indice
archéologique pour soutenir l’idée que cette civilisation avait visité
la Terre pendant cette même période.

Les données sont beaucoup plus nombreuses
dans le PSS. Ils ont daté de nombreuses ruines anciennes différentes
comme ayant entre un et deux milliards d’années, sinon plus, avec des
méthodes avancées.

Je n’ai pas tout de suite compris que Ra
était la race des Anciens Bâtisseurs, mais une fois que je l’ai fait,
cela a répondu à plusieurs questions différentes soulevées par le
matériel de Corey.

Le moment exact de l’entrée d’Oumuamua
dans notre système solaire ne semble pas être un accident à la lumière
de ce que Corey a vu en décembre 2017.

Cette saga cosmique dans le lien
ci-dessous culmine avec la découverte par le MIC SSP d’un ancien
vaisseau survivant de l’Ancient Builder Race – et son retour à
l’intérieur.

https://www.exopolitics.org/while-astronomers-debate-oumua…/

Encore une fois, ce navire est appelé
Oumuamua par la NASA. Il pourrait bientôt devenir l’outil de divulgation
le plus important que nous ayons jamais vu.

[Auteur :] David Wilcock
2018

Souce :
https://divinecosmos.com/davids-blog/1225-abr-legacy/


Partagé par http://www.eveilhomme.com. Partage libre en incluant la source et le lien.

Notre
discernement doit prévaloir à tout moment; les opinions exprimées dans
cet article sont les opinions de leurs auteurs et ne reflètent
éventuellement pas totalement celles d’Eveilhomme.




Auchan teste des magasins sans employés ? Aidons-les à tester des magasins sans clients

[Source : Boycott Citoyen]

Auteur : Carol Galand

Auchan teste des magasins sans employés ? Aidons-les à tester des magasins sans clients

A l’heure où nombre de Français grondent leur incapacité à boucler leurs fins de mois, à l’heure où les humains peinent à maintenir le petit lien de proximité qui les rattachent encore aux notions d’empathie et d’échange dans un monde de rendement, à l’heure où les emplois sans qualification se raréfient, précarisant encore davantage les plus fragiles… Auchan décide de tester des magasins sans employés.

Science fiction, vous dites ? Et pourtant… Le premier magasin d’alimentation sans personnel arrivera en France le mois prochain. En fonction des résultats de cette première expérience, la pratique pourrait s’étendre sur tout le territoire. En Chine, Auchan possède d’ailleurs déjà 700 magasins de ce type. L’objectif du groupe ? Se positionner sur le marché de ce type de grande distribution pour concurrencer notamment Amazon, qui a lancé des magasins sans employés en janvier dernier à Seattle.

Pour les accompagner dans leurs réflexions, nous lançons donc l’idée de les aider à tester, dans le même temps, des magasins sans clients. Nous aussi, lançons une expérimentation…

A vrai dire cela tombe bien : nous sommes en pleine opération Février sans supermarché, et nous sommes également des dizaines de milliers à changer progressivement nos habitudes, pour délaisser les grandes surfaces au profit des petits commerçants, des magasins de vrac, des ventes de producteurs et des circuits locaux.

Que les meilleurs gagnent !




Un ancien officier de la marine devenu inventeur a mis-au-point une nouvelle batterie de voiture électrique qui peu parcourir 2,500 km sans recharger.

Imaginez la satisfaction de conduire votre voiture électrique respectueuse de l’environnement sur une distance de 2 500 km sans avoir à vous arrêter pour recharger la batterie – une distance quatre fois plus grande que celle du meilleur modèle le plus cher actuellement sur la route.

Sous le capot se trouve un nouveau type de batterie révolutionnaire qui, contrairement à ceux utilisés dans les voitures électriques classiques, peut également alimenter des bus, des camions énormes et même des avions. De plus, il est beaucoup plus simple et moins coûteux à fabriquer que les batteries actuellement utilisées par des millions de véhicules électriques dans le monde – et contrairement à ces batteries, elles peuvent facilement être recyclées.

Cela pourrait ressembler à un fantasme de science-fiction. Mais ce n’est pas. Vendredi dernier, l’inventeur de la batterie, l’ingénieur britannique et ancien officier de la Royal Navy, Trevor Jackson, a signé un contrat de plusieurs millions de livres sterling pour le début de la fabrication de l’appareil à grande échelle au Royaume-Uni.

Trevor Jackson, 58 ans, ingénieur inventeur de batteries, originaire de Tavistock (Devon), 58 ans, a signé un contrat de plusieurs millions de livres sterling pour commencer à fabriquer l’appareil à grande échelle au Royaume-Uni.
Trevor Jackson, 58 ans, ingénieur inventeur de batteries, originaire de Tavistock (Devon), 58 ans, a signé un contrat de plusieurs millions de livres sterling pour commencer à fabriquer l’appareil à grande échelle au Royaume-Uni.

Austin Electric, une société d’ingénierie basée à Essex, qui détient désormais les droits d’utilisation de l’ancien logo de Austin Motor Company, commencera à en intégrer des milliers dans des véhicules électriques l’année prochaine. Selon le directeur général d’Austin, Danny Corcoran, la nouvelle technologie est un «changeur de jeu».

«Cela peut aider à déclencher la prochaine révolution industrielle. Les avantages par rapport aux batteries de véhicules électriques traditionnels sont énormes », a-t-il déclaré.

Peu auront entendu parler de l’extraordinaire invention de Jackson. La raison, dit-il, est que, depuis que lui et sa société Metalectrique Ltd ont mis au point un prototype il y a dix ans, il s’est heurté à une opposition déterminée de la part de l’industrie automobile.

Il a toutes les raisons de ne pas céder le terrain à un concurrent qui pourrait, avec le temps, rendre sa technologie obsolète. Les sceptiques de l’industrie automobile affirment que la technologie de Trevor n’a pas été prouvée et que ses avantages sont exagérés.

Mais une évaluation indépendante réalisée par l’agence gouvernementale UK Trade and Investment en 2017 a révélé qu’il s’agissait d’une «batterie très attrayante» basée sur une technologie «bien établie» et qu’elle produisait beaucoup plus d’énergie par kilogramme que les types de véhicules électriques standard.

Changeur de jeu: la pile à combustible aluminium-air stocke beaucoup plus d'énergie qu'une batterie conventionnelle
La pile à combustible aluminium-air stocke beaucoup plus d’énergie qu’une batterie conventionnelle 

Il y a deux ans, les constructeurs automobiles ont fait pression sur le Foreign Office pour l’interdire d’une conférence prestigieuse devant l’ambassade britannique à Paris, à l’intention des entreprises et des gouvernements européens. offre pour l’exclure a échoué. Maintenant, avec la signature de l’accord avec Austin, il semble qu’il soit enfin sur la voie du succès.

Il a également obtenu une subvention de 108 000 £ pour la poursuite des recherches de l’Advanced Propulsion Center, partenaire du département des entreprises, de l’innovation et des compétences. Sa technologie a été validée par deux universités françaises.

Il a déclaré: «La bataille a été dure, mais je fais enfin des progrès. De tout point de vue logique, c’est la voie à suivre.

Jackson a commencé à travailler sur de nouvelles façons d’alimenter les véhicules électriques après une brillante carrière d’ingénieur. Il a travaillé pour Rolls-Royce à Derby, où il a participé à la conception de réacteurs nucléaires, puis à une commission dans la Royal Navy, où il a été lieutenant à bord de sous-marins nucléaires, gérant et entretenant leurs réacteurs.

Avant de créer sa propre entreprise en 1999, il travaillait pour BAE Systems, où il a commencé à rechercher des moyens alternatifs et verts d’alimenter les véhicules. À ce moment-là, lui et sa partenaire, Kathryn, étaient mariés. Le couple a huit enfants âgés de 11 à 27 ans et vit à Tavistock, aux abords de Dartmoor, dans le Devon.

En 2001, il a commencé à étudier le potentiel d’une technologie mise au point dans les années 1960. Les scientifiques avaient découvert qu’en plongeant l’aluminium dans une solution chimique appelée électrolyte, ils pouvaient déclencher une réaction entre le métal et l’air afin de produire de l’électricité. A cette époque, la méthode était inutile pour les batteries commerciales car l’électrolyte était extrêmement toxique et caustique.

Après des années d’expérimentation dans son atelier du village de Callington, en Cornouailles, l’initiative européenne de Jackson a été de mettre au point une nouvelle formule d’électrolyte qui ne soit ni toxique ni caustique.

“Je l’ai bu en le prouvant aux investisseurs, je peux donc attester de l’innocuité”, déclare Jackson. Un autre problème avec la version des années 1960 était qu’elle ne fonctionnait qu’en aluminium totalement pur, ce qui coûte très cher.

Mais l’électrolyte de Jackson fonctionne avec beaucoup de métal de pureté inférieure, y compris les canettes de boissons recyclées. La formule, qui est top secret, est la clé de son appareil.

Techniquement, il devrait être décrit comme une pile à combustible, pas une batterie. Quoi qu’il en soit, il est si léger et puissant qu’il pourrait maintenant révolutionner les transports à faible émission de carbone, car ils fournissent une quantité d’énergie considérable.

Jackson m’a fait une démonstration. Il coupa le dessus d’une canette de Coca-Cola, la vida, la remplit d’électrolyte et y coupa des électrodes, alimentant ainsi une petite hélice. “L’énergie qui en résulte fera tourner l’hélice pendant un mois”, a-t-il déclaré. “Vous pouvez voir ce que cette technologie pourrait faire dans un véhicule si vous la redimensionnez.” À la suite de l’accord passé la semaine dernière avec Austin, c’est exactement ce qui va se passer. Trois projets immédiats sont sur le point d’entrer en production.

Le premier consiste à fabriquer pour le marché asiatique des “tuk-tuks” – les taxis à trois roues utilisés par le duc et la duchesse de Cambridge la semaine du 14 octobre 2019 lors de leur visite royale au Pakistan. La seconde consiste à fabriquer des vélos électriques, qui seront moins chers et dureront beaucoup plus longtemps que ceux des concurrents.

Enfin et surtout, la société produira des kits permettant de convertir les voitures à essence et diesel ordinaires en véhicules hybrides, en les équipant de cellules aluminium-air et de moteurs électriques sur les roues arrière.

Un conducteur pourra choisir de faire fonctionner la voiture au mazout ou à l’électricité. Selon M. Jackson, chaque conversion coûtera environ 3 500 £ et sera disponible au début de l’année prochaine. Ceci, ajoute-t-il, sera le tremplin vers un véhicule électrique à propulsion électrique alimenté par des piles à combustible air-aluminium. L’industrie automobile a déjà investi massivement dans un type de batterie très différent, le lithium-ion.

Également présentes dans des appareils tels que les ordinateurs et les téléphones portables, les batteries lithium-ion sont rechargeables. Presque tous les véhicules électriques sur la route les utilisent. Mais ils ont de gros inconvénients. En plus du lithium, ils contiennent des substances rares et toxiques telles que le cobalt. Ils peuvent exploser ou prendre feu, comme en témoignent les nombreux incidents qui ont contraint Samsung à rappeler des dizaines de milliers de téléphones Galaxy Note 7 en 2016.

Avec le chargement répété, les modèles de la taille d’une voiture finissent par être épuisés. Les recycler pour récupérer le cobalt et le lithium est extrêmement coûteux – environ cinq fois plus que le coût de leur élimination et de tout recommencer à zéro.

L’aluminium, en revanche, est le métal le plus abondant de la planète. La plupart des usines qui le raffinent à partir de minerai ou de déchets recyclés sont alimentées par des énergies vertes et renouvelables, telles que des barrages hydroélectriques.

Et une fois qu’une pile à combustible en aluminium-air est épuisée, elle peut être recyclée à très bas coût. Selon Jackson, le coût du recyclage signifie que les coûts de fonctionnement d’une voiture à air-aluminium s’élèveraient à 7 p / km. Le coût de l’essence d’un petit hayon revient à environ 12 pence par mille. Plus important encore, les batteries lithium-ion sont lourdes.

Des tests accrédités ont montré que, pile à combustible, la pile à combustible de Jackson produit neuf fois plus d’énergie que le lithium-ion: neuf fois plus de kilowattheures d’électricité par kilogramme. Le constructeur de voitures électriques de luxe Tesla a déclaré que son modèle S avait une autonomie de 370 km. Jackson dit que si vous conduisiez la même voiture avec une cellule aluminium-air qui pesait le même poids que la batterie lithium-ion, la autonomie serait de 2 700 km. Les cellules aluminium-air prennent également moins de place.

Jackson affirme que si la Tesla était équipée d’une pile à combustible aluminium-air de la même taille que sa batterie actuelle, elle pourrait fonctionner sans escale sur 1 500 milles (2,500 km) – presque assez pour aller de Land’s End à John O’Groats et inversement. . Une famille britannique moyenne – dont la voiture parcourra 7 900 km par an – n’aurait besoin de changer de pile à combustible que quelques fois par an.

Les scientifiques appellent le rapport poids-énergie «densité d’énergie». Selon Jackson, étant donné que les piles à combustible aluminium-air ont une densité beaucoup plus grande que les batteries au lithium-ion, elles pourraient être utilisées dans les bus ou les gros camions. Si ces véhicules étaient alimentés au lithium-ion, leur poids serait trop lourd, la batterie pesant tout autant que le fret.

Il dit: “Vous pouvez facilement empiler de nombreuses cellules dans ce type de véhicule. Après tout, se débarrasser de leurs réservoirs de carburant diesel vous donnera beaucoup d’espace.” Jackson ajoute que les cellules aluminium-air pourraient également être utilisées dans les avions. «Nous sommes en discussion avec deux avionneurs. Ça ne va pas convenir aux jets. Mais cela fonctionnerait dans les avions à hélices et conviendrait aux vols de passagers et de fret à courte distance. ‘

Pendant ce temps, le coût brut d’une nouvelle cellule aluminium-air est beaucoup plus bas.

Selon Jackson, la batterie coûte environ 30 000 £ dans une Tesla. Une pile à combustible en aluminium-air qui permettrait de faire fonctionner la même voiture plus longtemps ne coûterait que 5 000 £.

Les conducteurs dont les voitures dépendent du lithium-ion doivent charger leurs batteries sur le secteur quand ils sont épuisés – un processus qui prend beaucoup de temps, souvent du jour au lendemain. Mais lorsqu’une cellule aluminium-air s’épuise, le conducteur la remplace simplement par une nouvelle.

Au lieu d’un vaste réseau de points de recharge, il suffit d’échanger des cellules, tout comme les clients échangent déjà des bouteilles de propane.

Selon Michael Jackson, l’échange d’une batterie prend environ 90 secondes.

Corcoran et lui affirment qu’ils sont en «discussions avancées» avec deux grandes chaînes de supermarchés pour fournir cette installation.

“Tout le monde sait que si nous voulons vraiment atteindre l’objectif du zéro objectif d’émissions de gaz à effet de serre fixé par le gouvernement d’ici 2050, le problème le plus difficile est celui des transports”, a déclaré Jackson. «Nous n’allons tout simplement pas faire cela avec le lithium-ion. En dehors de toute autre chose, ce n’est pas utile pour les camions, qui brûlent de grandes quantités de combustibles fossiles.

“Je sais que nous luttons contre des intérêts féroces, mais les avantages technologiques et environnementaux de l’aluminium-air sont énormes – et la Grande-Bretagne a une chance de devenir le leader mondial dans ce domaine.”

Corcoran ajoute: “Si vous voulez faire quelque chose pour l’environnement, vous pouvez le faire. Vous pouvez le faire maintenant, avec ce produit. “

Source: https://www.dailymail.co.uk/news/article-7592485/Father-eight-invents-electric-car-battery-drivers-1-500-miles-without-charging-it.html?ito=amp_twitter_share-top




Chine, tout est sous contrôle!

Imaginez des citoyens constamment épiés par des milliers de caméras de surveillance et notés sur chacun de leurs faits et gestes. S’ils sont filmés en train de jeter un papier par terre ou de traverser au feu rouge, c’est une incivilité qui leur coûtera des points en moins.

Plus ou moins de droits dans la société selon vos « bons » et « mauvais » points
Si au contraire, ils signalent à la police la présence d’un délinquant, ils seront récompensés par des points supplémentaires. Plus ils auront de points, plus ils auront de droits dans la société. Les plus mal notés eux se verront sanctionnés : interdiction d’obtenir un crédit à la banque ou de prendre le train, par exemple.
Tout ceci n’est pas un scénario de science-fiction mais la réalité du système de notation testé aujourd’hui dans des dizaines de villes en Chine. Notre envoyée spéciale Elise Menand s’est plongée au cœur de ce pays qui a décidé de ficher et classer ses habitants.
Un reportage d’Elise Menand, Antoine Védeilhé, Charlie Wang et Benoît Sauvage diffusé dans « Envoyé spécial » le 10 octobre 2019.

https://www.fawkes-news.com/2019/10/chine-tout-est-sous-controle.html




La guerre de la 5G – L’homme vs la technologie

[Source : Dr. Mercola Fr via Sott]



En bref

  • La 5G fonctionne principalement avec des bandes d’ondes
    millimétriques, dont on sait qu’elles provoquent des sensations de
    brûlure douloureuses. Elles sont également associées à des troubles
    oculaires et cardiaques, à l’affaiblissement du système immunitaire, à
    des dommages génétiques ainsi qu’à des problèmes de fertilité
  • La FCC reconnait qu’aucune étude n’a été effectuée ni financée par
    l’agence ou par l’industrie des télécommunications, s’agissant de la
    sécurité de la 5G, et qu’aucune n’est programmée
  • La FCC a été ‘piégée’ par l’industrie des télécommunications, qui a
    perfectionné les stratégies de désinformation employées avant elle par
    l’industrie du tabac

Dr. Mercola

L’exposition aux champs électromagnétiques (EMF) et aux rayonnements
radiofréquences (RF) représente dans notre monde moderne un danger de
plus en plus important pour la santé.

Le site internet ‘Cellular Phone Task Force’ (« Groupe d’étude sur
les téléphones portables ») possède une longue liste de gouvernements et
d’organisations qui ont émis des mises en garde ou interdit différents
types de technologies sans fil, dans différentes circonstances, depuis
1993.

Les nombreuses préoccupations soulevées par la 5G en matière de santé



(Vidéo en anglais)

Le magazine Fortune rapporte que Sunil Rajgopal, analyste de Wall
Street, a récemment signalé que les préoccupations de plus en plus
nombreuses en matière de santé risquaient de retarder l’implantation de
la 5G.

Certains pays ont déjà pris des mesures pour ralentir le déploiement
de la 5G en raison des risques qu’elle présente pour la santé, souligne
Sunil Rajgopal. La question est : peut-on la stopper ?

Les essais de 5G ont récemment été interrompus à Bruxelles, en
Belgique, et la Suisse a retardé le déploiement de sa 5G afin de créer
un système qui permette de contrôler les rayonnements.

La ville de Syracuse, dans l’état de New York, essaye également de
mettre en place des mesures de protection, et a « négocié le droit de
réaliser des inspections de sécurité des antennes 5G sur demande », afin
d’apaiser les inquiétudes de la population.

Quel niveau d’EMF l’Homme peut-il supporter ?

L’exposition aux EMF, à de nombreuses fréquences ayant des effets biologiques, telles que celles qu’utilisent les téléphones portables et les Wifi, a été multipliée par environ 1 quintillon en cent ans.

Malheureusement, l’exposition aux EMF est aujourd’hui si généralisée
qu’il est devenu pratiquement impossible de réaliser des études
démographiques contrôlées, car plus aucune population n’échappe
totalement aux rayonnements ni à leurs effets.

Du fait qu’il n’existe plus de groupe de contrôle, il est aujourd’hui très difficile de déterminer leurs effets réels.

Ceci étant dit, une étude d’exposition contrôlée a été réalisée,
révélant que les rayonnements ne sont pas aussi inoffensifs que le
pensent les gens, et de loin.

Au début du 20ème siècle, les États-Unis présentaient deux types de
population : la population rurale, et la population urbaine. Les régions
urbaines étaient généralement reliées aux réseaux électriques, tandis
que les zones rurales ne l’ont été qu’à partir des années 1950.

Les problèmes de santé liés à l’exposition à la 5G

Les préoccupations supplémentaires que font naître la 5G sont liées
aux ondes millimétriques (MMW). On sait que cette largeur de bande, qui
se situe essentiellement entre 30 gigahertz (GHz) et 300 GHz, peut
traverser la peau de l’Homme sur une profondeur allant jusqu’à 2
millimètres, provoquant une sensation de brûlure.

C’est précisément pour cette raison que les MMW ont été choisies
comme agent de lutte antiémeute (Active Denial System) par le
département américain de la défense. Les MMW sont également utilisées
dans les scanners corporels que l’on trouve dans les aéroports.

La recherche a montré que les canaux sudorifères présents dans la
peau agissent comme des récepteurs, ou des antennes, pour les
rayonnements de la 5G, et font ainsi pénétrer les rayonnements dans
l’organisme en provoquant une élévation de la température. Ceci explique
en partie l’effet douloureux.

Les MMW sont également associées à :

  • Des problèmes oculaires chez le rat, tels que l’opacité du
    cristallin, associée au développement de la cataracte, et à des dommages
    oculaires chez le lapin
  • Chez le rat, des effets sur la variabilité de la fréquence
    cardiaque, un indicateur de stress, et des modifications du rythme
    cardiaque (arythmie) chez la grenouille
  • Des douleurs
  • L’affaiblissement du système immunitaire
  • Une diminution de la croissance et à l’augmentation de la résistance des bactéries aux antibiotiques

Comprendre les mécanismes nuisibles des EMF

Ainsi qu’il est expliqué dans mon interview de 2017 du Dr. Martin Pall, professeur émérite de biochimie et de sciences médicales à l’université d’état de Washington, le principal danger des EMF en général est qu’elles provoquent un stress oxydatif excessif qui entraine un dysfonctionnement des mitochondries.

Selon Martin Pall, les CCVD sont 7,2 millions de fois plus sensibles
aux rayonnements micro-ondes que les particules chargées présentes à
l’intérieur et à l’extérieur de nos cellules, ce qui signifie que les
standards de sécurité pour cette exposition sont 7,2 millions de fois
trop élevés.

Les rayonnements micro-ondes basse fréquence ouvrent vos CCVD,
permettant un apport anormal d’ions calcium dans les cellules, ce qui
active l’oxyde nitrique (NO) et le superoxyde, qui réagissent presque
instantanément pour former du péroxynitrite.

Ceci entraîne la fabrication de radicaux libres carbonates, des
espèces réactives de l’oxygène parmi les plus nocives connues, dont on
pense qu’elles sont à l’origine de nombreuses maladies chroniques
actuelles.

Votre organisme est capable de réparer ces dommages grâce à une
famille de 17 enzymes différentes, que l’on appelle les poly
(ADP-ribose) polymérases (PARP).

Cependant, si les PARP fonctionnent bien, elles ont besoin de NAD+
comme carburant, et lorsqu’elles en manquent, elles cessent de réparer
votre ADN.

Le cancer n’est pas le principal danger que font courir les EMF

La tension électrique dans notre organisme joue un rôle important au
regard de la santé et des maladies. L’électricité produite par votre
corps permet à vos cellules de communiquer et d’exécuter les fonctions
biologiques de base qui sont nécessaires à votre survie.

Toutefois, votre organisme est conçu pour fonctionner à des niveaux et à des fréquences très spécifiques.

Il semble logique que le fait d’être entouré d’EMF d’origine humaine,
qui sont 1 quintillion de fois plus élevées que les EMF naturelles de
la Terre, puisse interférer avec la capacité de votre ADN à recevoir et à
transmettre des signaux biologiques.

Le risque de cancer du cerveau est probablement réel

Si les maladies cardiovasculaires, la démence et l’infertilité
surpassent le risque de cancer du cerveau, ce risque existe bien, et
pourrait être bien plus préoccupant que ce que nous imaginons pour les
jeunes enfants, qui grandissent en étant entourés de technologies sans
fil.

Le fait est que nous ne saurons que dans dix ou vingt ans, lorsque
les jeunes enfants d’aujourd’hui auront grandi, si leur exposition in
utéro et l’utilisation précoce de téléphones portables augmente
l’incidence du cancer du cerveau.

De plus en plus de recherches suggèrent que les rayonnements émis par
les téléphones portables influent certainement sur ce risque, et il est
difficile d’ignorer les nombreux rapports anecdotiques convaincants qui
existent à ce propos.

La FCC est la proie d’intérêts, et n’est pas une agence fiable

Le Dr. Davis souligne également un autre problème crucial, le fait
que la FCC a été ‘piégée’ par l’industrie des télécommunications, qui a
perfectionné les stratégies de désinformation employées avant elle par
l’industrie du tabac.

La 5G compromet les prévisions météorologiques

Fait intéressant, en dehors de ses répercussions potentielles sur la
santé, un réseau 5G mondial compromettrait également notre capacité à
établir des prévisions météorologiques ce qui, en plus de faire courir
des risques aux populations civiles, mettrait en péril les forces
navales.

Selon un article paru récemment dans la revue ‘Nature’, une
couverture étendue de la 5G empêcherait les satellites de détecter les
variations de vapeur d’eau, qui permettent aux météorologues de prévoir
les changements de météo et les orages.

Informez-vous à propos des dangers de la 5G pour la santé, et protégez votre famille de ses effets nocifs

J’écris actuellement un livre sur les dangers des EMF, qui sera une
source d’information complète sur les technologies actuelles.

En attendant, pour en savoir plus à propos de la 5G et vous aider à
informer votre entourage, vous pouvez télécharger une fiche
d’information de deux pages sur la 5G, sur le site de l’Environmental
Health Trust.

Vous trouverez également sur ce site une longue liste d’études
scientifiques publiées qui démontrent l’existence de sources
d’inquiétudes.

Pour réduire votre exposition aux EMF, consultez les conseils ci-dessous et appliquez-les au mieux, dans la mesure du possible.

Mesures de protection pour la nuit
Utilisez des filtres Stetzer ou Greenwave pour
éliminer les surtensions transitoires de votre réseau électrique, et
utilisez un appareil de mesure pour vérifier qu’elles se situent dans
les limites de sécurité.
Utilisez un réveil à pile, idéalement non lumineux.
J’utilise personnellement un réveil parlant, comme en utilisent les
malvoyants.
Envisagez de placer le lit de votre bébé dans votre
chambre au lieu d’utiliser un moniteur de surveillance. Vous pouvez
également choisir d’utiliser un moniteur câblé.
Si vous devez utiliser la Wifi, éteignez-là lorsque
vous ne l’utilisez pas, en particulier la nuit. L’idéal est de câbler
l’ensemble de votre maison pour pouvoir vous passer de la Wifi. Il est
important de comprendre que si vous avez un routeur Wifi, cela revient à
avoir une antenne relais dans votre maison. L’idéal est d’éliminer la
Wifi et d’utiliser une simple connexion câblée Ethernet.

Si vous avez absolument besoin d’un routeur, vous pouvez le placer
dans une housse de protection anti-rayonnements lorsque vous ne
l’utilisez pas. Vous trouverez des accessoires de protection en ligne,
mais vous pouvez en fabriquer vous-même avec du tissu de la marque Swiss
Shield.
Si votre ordinateur portable n’est pas équipé d’un port Ethernet,
un adaptateur Ethernet USB vous permettra de vous connecter à internet
via une connexion câblée.

Pour bénéficier d’une protection renforcée, vous
pouvez peindre les murs et le plafond de votre chambre avec une peinture
spéciale qui bloque les RF provenant de sources extérieures, telles que
les antennes relais, les compteurs intelligents et les antennes radio
et télé.
Les fenêtres peuvent être protégées par un écran ou un film
anti-ondes métallisé. Pour votre lit, vous pouvez opter pour un ciel de
lit de protection anti-ondes.
Méthodes pour réduire l’exposition superflue aux EMF dans la journée
Pour réduire votre exposition aux EMF dans la
journée, vous pouvez utiliser des filtres Stetzer pour réduire la
production d’électricité sale ou d’interférences électromagnétiques.
Vous pouvez également les emporter au travail ou lors de vos
déplacements.
Il s’agit sans doute de la meilleure méthode qui soit pour réduire
les dommages provoqués par l’exposition aux EMF, dont la plupart sont
générés par des fréquences que ces filtres parviennent à bloquer.
Utilisez un câble Ethernet pour connecter votre
ordinateur à internet, et veillez à placer votre ordinateur portable en
mode avion. Évitez également les claviers, boules de commande, souris,
systèmes de jeux, imprimantes et téléphones fixes sans fils. Optez pour
les versions filaires.
Évitez de porter votre téléphone portable sur vous à
moins qu’il ne soit en mode avion, et ne le laissez pas dans votre
chambre lorsque vous dormez, sauf également s’il est en mode avion. Les
téléphones portables peuvent émettre des signaux même lorsqu’ils sont en
mode avion, et c’est pourquoi je place le mien dans un sac de Faraday.
Ils sont vraiment très abordables et ne coûtent que 10 dollars les
deux. Je les ai testés et ils sont vraiment très efficaces pour bloquer
les rayonnements.
Lorsque vous utilisez votre téléphone portable,
servez-vous de la fonction haut-parleur et tenez-le au moins à 90 cm de
vous. Essayez de réduire au maximum le temps que vous passez au
téléphone.
J’utilise le mien généralement moins de 30 minutes par mois, et
principalement lorsque je suis en déplacement. Utilisez plutôt des
logiciels de VoIP qui permettent de téléphoner en vous connectant à
internet via un câble ou, mieux encore, utilisez un téléphone fixe.
Mesures de protection générales pour la maison
Si vous utilisez encore un four à micro-ondes, je
vous recommande de le remplacer par un four à convection vapeur, qui
réchauffera vos plats tout aussi rapidement, mais de façon bien plus
sûre.
Évitez d’utiliser des dispositifs « intelligents »
et des thermostats qui fonctionnent avec une signalisation sans fil.
Cela comprend toutes les nouvelles télévisions « intelligentes » (ou «
smart TV »).
Elles sont qualifiées d’intelligentes car elles émettent un signal
Wifi, et contrairement à ce que vous pouvez faire avec votre ordinateur,
il n’est pas possible d’éteindre ce signal. Envisagez d’utiliser un
grand écran d’ordinateur comme télévision, qui n’émet pas de signal
Wifi.
Remplacez les ampoules LFC par des ampoules à
incandescence. L’idéal est d’éliminer toutes les lampes fluorescentes de
votre maison. Elles émettent non seulement une lumière malsaine, mais
elles vous transmettent surtout du courant électrique lorsque vous vous
en approchez.
Les rhéostats sont une autre source d’électricité
sale, il vaut donc mieux installer des interrupteurs classiques on/off
que des rhéostats.
Refusez l’installation de compteurs intelligents
dans la mesure du possible, ou placez une protection sur les compteurs
intelligents déjà en place : il a été démontré que certaines protections
réduisent les rayonnements de 98 à 99 %.

[Voir aussi :




Premier procès en Grande-Bretagne contre le 5G – Et le peuple a gagné

[Source : Stop Mensonges]

Mark Steele, un militant 5G, a souligné
les dangers d’un déploiement 5G secret par le conseil municipal de
Gateshead où les résidents se plaignent de l’augmentation des maladies
et du cancer dans la zone touchée.

Il y a suffisamment de preuves pour
conclure que les nouveaux réseaux 5G intelligents sur le dessus des
nouveaux lampadaires à LED émettent des fréquences de rayonnement de
classe 1 et devraient être traités comme un danger pour le public.

Le Conseil Gateshead a réfuté par
ignorance des preuves claires et a créé de fausses allégations sur des
messages de médias sociaux et des dépliants imprimés affirmant que Mark
Steele répand Pseudo Science et que les réseaux ne sont pas dangereux ou
5G :

« Soyez assuré qu’il n’y a aucun fondement scientifique ou preuve crédible pour ces histoires alarmantes sur les lampadaires qui causent le cancer et d’autres maladies. »

Ils ont abusé des pouvoirs de la police pour bâillonner Mark Steele et hier, il a laissé un homme libre et le conseil municipal de Gateshead pour débourser 11 000 £ de l’argent des contribuables pour couvrir les frais de justice, ce qui équivaut à une triste ignorance.

Au tribunal, aucun des fonctionnaires du Conseil n’a pu expliquer ce qu’est le 5G et leur expert gouvernemental de premier plan a refusé d’assister à l’audience de la Cour. En conclusion, le juge a refusé de bâillonner Mark en déclarant :

« Le public a le droit de savoir. »



VEUILLEZ UTILISER LE MODÈLE DE DEMANDE D’ACCÈS À L’INFORMATION POUR CONTESTER LÉGALEMENT VOTRE CONSEIL MUNICIPAL AU SUJET DE 5G ET DES VILLES INTELLIGENTES : Smombiegate.org

La question secrète du déploiement de la
5G à Gateshead est maintenant officiellement d’intérêt public et sera
traitée comme une affaire marquante pour que d’autres personnes
commencent à utiliser la décision de la Cour pour contester leurs
conseils.

Nous savons que Surrey, Westminster et Luton ont tous ces réseaux de champs électromagnétiques micro-ondes toxiques installés sur leurs nouveaux lampadaires à LED. Nous savons maintenant que même si ces réseaux sont actuellement 2G, 3G ou 4G, ils peuvent être activés 5G en ajustant une « lentille » qui « focalise » la fréquence.

Le juge a déclaré que Mark Steele était
un expert et un ingénieur crédible sur les technologies EMF et GSM, ce
qui prouve que le Conseil de Gateshead est responsable de corruption,
induit le public en erreur, rend les gens malades et tente de
discréditer Mark Steele et tous les autres tels que Smombie Gate qui se
bat pour le déploiement des 5G.

Les conseils se débattent en ce moment,
plus de 50% sont presque en faillite parce que plus de la moitié de
leurs ressources sont consacrées à l’augmentation de l’aide sociale aux
adultes, donc toute proposition de fournisseur avec la promesse d’une augmentation des revenus est irrésistible.

SM : la création du manque d’abondance est à tous les niveaux, PROBLEME, RÉACTION, SOLUTION… le bon vieux modèle satanique…
[Note NM : de la « dialectique hégélienne »]
On appauvrit d’abord les municipalités pour qu’elles soient enclin a accepter l’inacceptable.
Si le problème n’avait pas été créé avant, jamais ces maires n’accepteraient l’appât du gain au détriment de la santé publique. Pareil pour les éoliennes qui sont une calamité écologique et financières à long terme… en plus d’être moches…

Les entreprises de Smart City
s’adressent aux conseils municipaux avec des présentations futuristes
étonnantes détaillant la première étape, qui est d’installer
l’infrastructure 5G, c’est-à-dire les lampadaires sur les rues et les
autoroutes.

Les avantages seront une surveillance policière 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, qui permet de voir à travers les murs,
des panneaux de signalisation intelligents, la diffusion en direct de 4
ko en déplacement, des véhicules et des transports publics sans
conducteur, la réalité virtuelle mobile, la réalité augmentée mobile et
une connexion rapide au nouvel implant cérébral d’Elon Musk, le
Neuralink, qui donne aux gens accès Internet à leur esprit.

Note SM : encore plus d’enfer-me-nent dans le monde cybernétique, une « sous-réalité » dans la « sous-réalité/matrice » du monde des objets séparés expérimentés en 3eme densité.

Toutes ces caractéristiques sont un rêve
mouillé pour les conseils municipaux qui seront les premiers à devenir
des comtés intelligents parce qu’ils seront en mesure d’augmenter les
taxes et que l’économie locale prospérera en théorie.

Note SM : Pure folie… « Père, Pardonne leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ».

En réalité, les preuves scientifiques
s’accumulent à travers la planète que les CEM, RF, 3G, 4G, 5G, WiFI et
WiGIG causent le cancer, tuent les abeilles, chassent la faune sauvage
et diminuent la qualité de vie des populations.

Georgia Guidestones – le plan d’extermination des humains gravé dans la pierre.

Tout cela parce que les grandes
entreprises disent que c’est bon pour les gens et qu’elles continuent de
nous induire en erreur sur les dangers d’une utilisation continue à
proximité et sur la peau, sans parler de ce qu’est réellement la 5G, qui
est une arme efficace sur le champ de bataille.

Nous savons que Gateshead n’est pas le
seul conseil qui induit le public en erreur au sujet du déploiement de
la 5G et cela semble durer depuis quelques années.

Luton, Surrey et Westminster sont les
prochains ainsi que tous les conseils qui ont installé ces tableaux qui
sont installés par des entreprises particulières (nous vous laisserons
faire votre propre travail sur la façon dont vous pensez que ces
entreprises sont !)

Qui paie pour ces déploiements 5G ? Qui a
donné son consentement au nom du peuple ? Qui a fait des recherches
pour prouver la sécurité de la nouvelle infrastructure ?

Comme d’habitude, ces questions
importantes sont dénigrées par les médias et les bénéficiaires des
grandes entreprises. Mais ils verront bientôt notre colère, comme nous
le voyons maintenant dans cette décision.

Tout
l’enfer va se déchaîner en Grande-Bretagne et nous allons leur livrer
bataille. Nous ne serons pas réduits au silence et vous n’empoisonnerez
pas volontairement notre corps et celui de nos familles avec des
radiations de classe 1 – NOUS NE CONSENTONS PAS.

Note SM : Le premier consentement tacite pour manipuler le Libre Arbitre de l’humanité est « l’Acte de Naissance » un contrat de droit maritime qui fait de vous des marchandises soumis à la loi du commerce (Maritime).

Toute la fraude part de là concernant la 3D. Pour le reste cela part du mensonge de l’égo. Et les 2 se rejoignent dans l’Acte de naissance, créant l’illusion d’un objet mortel bien défini (individualisé).

Êtes vous relatif ? Ou Absolu ?

Mark Steele de https://www.saveusnow.org.uk en a fait une grande partie de sa vie. Ce sont des gens comme Mark et vous tous qui s’impliquent qui font une différence dans nos vies.

N’hésitez pas à passer le mot et à
prendre contact avec nous si vous souhaitez obtenir des conseils sur la
façon d’aborder votre Conseil. Nous allons produire un kit de modèles
simple que vous pourrez envoyer à vos conseils très bientôt.

Les 6 liens ci-dessous sont une preuve
suffisante pour convaincre quiconque de ce qui se passe autour de nous
sans notre consentement.

1. Voir la preuve vidéo des signaux 5G toxiques de Gateshead :



2. 18 nouvelles études scientifiques à CE LIEN.

3. Cartographie 3D utilisant le WIFI et le 5G sur CE LIEN.

4. Plans de déploiement de Midlands 5G à CE LIEN.

5. Fuite d’une présentation d’entreprise sur les dangers des pylônes 5G, « Dans les pays où les limites des CEM sont nettement inférieures aux limites scientifiques internationales de l’ICNIRP, le déploiement des réseaux 5G sera un problème majeur » : ICI.

6. Elon Musk’s « 5G Umbrella » qui est prévu pour l’atmosphère terrestre sans notre consentement : ICI.

Sources et références :
Smombiegate.org;
YouTube.com
et vu sur http://humansarefree.com/2018/10/britains-first-court-case-against-5g.html


[Voir aussi :




Technologies non divulguées : dématérialisation et voyage dans le temps

[Source : Guy Fawkes News — avec quelques commentaires relatifs à l’article]

[Note de NM : si une partie du pedigree de cette femme médecin peut être vérifiée, il n’en est pas nécessairement de même pour les faits (ou imaginations) rapportés. Sujet à prendre avec un (gros?) grain de sel ?]

Rauni Kilde, médecin

Née en Finlande en 1939. Adolescente, elle a été scolarisée dans 5 pays.

Licence en médecine à l’Université de Turku en 1964,

Docteur en médecine à l’Université de Turku en Finlande en 1967.

Diplôme en médecine tropicale 1970, Institut Karolinska, Stockholm, Suède.

Certificat de médecine sociale 1972 École nordique de santé publique Göteborg, Suède.

Membre du conseil des praticiens généraux de Finlande en 1973,

Spécialiste en médecine générale 1974 Finlande.

Certificat de préparation aux catastrophes 1975

Secrétaire de l’Association des médecins en chef de Finlande de 1975 à 1976.

Ligue des Sociétés de la Croix-Rouge, Genève. Certificat de Défense Civile Nationale 1976

Finlande. Délégué et délégué principal du Gouvernement finlandais à l’OMS pour la médecine tropicale et l’éducation pour la santé, 1978-1979.

Délégué médical en chef de la Croix-Rouge internationale en Malaisie et en Indonésie en 1979 (dans le cadre du programme de réfugiés vietnamiens).

Médecin en chef de la Laponie, 1975-1987.

Directeur par intérim du Département de la santé environnementale et de l’éducation pour la santé à l’Institut national de la santé de Finlande, Helsinki 1978,

Remplaçante également du médecin-chef en Finlande, (appelé chirurgien général en anglais américain).

A travaillé pendant 22 ans dans divers hôpitaux en Finlande et au Pakistan.

Spécialiste en administration de la santé, 1981, Finlande.

Secrétaire de l’Association de défense civile de Laponie, 1981-1983.

Membre du conseil d’administration de la Croix-Rouge de Laponie de 1976 à 1979, présidente du comité de la santé de 1976 à 1984,

Présidente du Collège des infirmières et infirmiers de Laponie de 1978 à 1987

Membre du comité du Conseil nordique de l’Arctic medical Research de 1980 à 1984

Membre du conseil de sécurité de la Laponie de 1975 à 1987

6 mois de cours militaires civils, broche d’or en tant que première femme de la défense civile 1990 Finlande,

Présidente de la Jeune Chambre de commerce Rovaniemi 1981

Femme « Eeva » de l’année 1979 Finlande,

Correspondante de la Société de parapsychologie de l’ONU et médaille d’argent des Nations Unies en 1992,

Présidente et fondatrice de la Parapsychological Association of Lapland Association 1981-86

Présidente honoraire 2002-

Prix de littérature de WSOY, la plus grande maison d’édition des pays nordiques 1983

Présidente du Sailing Club of Lapland 1975-76 (en tant que première femme au monde!)

Prix ​​du CAHRA, citoyens contre les violations des droits de l’homme, pour l’affirmation courageuse de la nécessité de dénoncer et de mettre fin aux atrocités de l’expérimentation humaine neuro-électromagnétique involontaire, 1999
Auteur à succès international en six langues (sur le cœur de l’être humain, la parapsychologie, les contacts cosmiques, le contrôle de l’esprit)

Premier article publié dans le monde dans des revues médicales sur des expériences hors du corps et proches de la mort, 1999 (Duodecim, Finlande, revue de recherche médicale pour 127 ans) et le contrôle mental et la cybernétique (Spekula, Association des médecins et des étudiants de l’Université d’Oulu).

A présenté des affiches lors de conférences médicales internationales de 1999 et 2000 sur le contrôle mental (conférence neurologique et mondiale pour médecins généralistes et conférence 33.

Conférence internationale sur la médecine militaire à Helsinki a eu une présentation par affiches sur la télé-neuro-communication, la micropuce des astronautes et la surveillance de toutes leurs fonctions corporelles et mentales depuis la Terre alors que dans l’espace. Des contacts télépathiques réussis de Lune à Terre ont déjà été publiés. 1973

Public mondial pour les conférences et 60 interviews sur Internet

4 millions de visites pour une vidéo de 10 min en arabe, chinois et japonais langues européenne, coréenne, thaïlandaise, russe et européenne mettant en garde contre le vaccin contre la grippe porcine contenant une puce électronique et un agent stérilisant pour le dépeuplement.

Membre de l’Académie des sciences de New York, 1992-1994.

Biographie dans Who is Who de 1997, en sciences et en génie,

Biographie dans Who is Who de 1999 en médecine et soins de santé

Technologies non divulguées : dématérialisation et voyage dans le temps

Opérations secrètes de psychotronique : Interview du Docteur Rauni Kilde

Source: Ciel Voilé

Et vous, pensez-vous que le voyage dans le temps est possible ? Des théories circulent sur le projet Montauk par exemple, mais les informations à ce sujet sont plutôt contradictoires et rien de définitif ne se dégage réellement. L’armée dément la réalité de ce projet et Al Bielek, supposé survivant de l’expérience de Philardelphie, est présenté par certains comme un affabulateur. L’ingénieur Preston Nicols confirme pourtant son récit et affirme que l’USS l’Edridge est bien devenu invisible et certains marins auraient fait un bon dans le temps de 40 ans. Il s’agit de l’une des théories sur les expériences américaines les plus controversées.

commentaires:

  1. dubnc 23 juin 2019 à 23:35
    Il faut bien que les trilliards « disparus » servent à quelque chose!
  2. sam 24 juin 2019 à 00:08
    J’ai qu’une question :
    Depuis le temps, pourquoi est-elle encore en vie ?
    Les élites ne laissent pas des gens sérieux et qualifiés comme elles s’aventurer dans ce genre de révélations, ils les tuent dès leurs premières paroles, donc personnellement it’s bullshit, les élites sont lucifériennes, extrêmement croyantes, toutes leurs actions sont des rituels, et ils font tout pour nous pousser vers les directions incompatibles avec cette réalité (aliens, ovni, voyage dans le temps etc…).
    Réponses
    1. Anonyme 24 juin 2019 à 02:15
      Parce que les gens n’en n’ont rien à foutre si elle balance, que veux-tu, 98% des gens préfèrent leure petite vie de famille maison barbecue de cadavres torturés, de blagues de culs complètement idiotes, critiquer le voisin, le collègue etc
      Donc voilà elle risque rien, les gouvernements voient très bien que la masse préfère la connerie,ils peuvent donc continuer leur plan sans problème…
    2. Anonyme 24 juin 2019 à 07:43
      Si avec le pédigré qu’elle a et est toujours en vie c’est que la finalité la chose c’est encore et encore de nous embrouillés ..
      Quelques vérités dans un océan de mensonge .. Sinon c’est à nous de faire le trie . Conclusion info vrais mais surtout FAUX
      🙂
    3. hotchiwawa 24 juin 2019 à 09:13
      Avec un pedigree pareil, elle a certainement volé le travail d’autrui
    4. Guy Fawkes 24 juin 2019 à 09:24
      Elle est morte il y a plusieurs années déjà. Cette entrevue n’est pas récente. Ses amis disent qu’elle a été assassinée précisément par les technologies qu’elle dénonçait. Ils disent qu’elle est morte d’un cancer généralisé après 4 jours d’irradiation à haute dose via une arme à énergie dirigée de la NSA (ce qui est invérifiable évidemment) :
      https://eucach.wordpress.com/2015/02/23/eucach-director-magnus-olsson-dr-rauni-kilde-radiated-for-four-days-with-dew-remotely-assassinated-by-nsa/



Le Nouvel Ordre Mondial va-t-il gagner ?

Pierre Hillard préface la ré édition du livre de HG Wells « Nouvel ordre mondial ». L’auteur de science fiction est aussi le parrain de nombreux concepts et expressions qui deviendront communes à notre époque.

https://www.youtube.com/watch?v=oGsPApFGmok



L’arnaque de la fausse panique de « La Guerre des Mondes »

L’arnaque de la fausse panique de « La Guerre des Mondes »

Un auteur invité de Miles Mathis revient sur
cette entourloupe de 1938, où le jeune Orson Welles récite un extrait du
roman de H.G. Wells, célèbre auteur de science-fiction (mais aussi d’un
livre intitulé « Le Nouvel Ordre Mondial »…). Si vous souhaitez écouter
ce « monument » radiophonique, je vous mets le LIEN vers une vidéo.

La Guerre des Mondes
Un nouveau regard sur une ancienne arnaque

Par les Self-Righteous Brothers
Traduit par Apolline

« Ce n’était qu’une tempête dans un verre d’eau »
– Jack Parr

Vous vous souvenez peut-être de la légendaire adaptation radio
par Orson Welles du roman de H.G. Wells, La Guerre des
Mondes
, diffusée dans la soirée du 30 octobre 1938 sur CBS avec
la troupe du théâtre Mercury. L’émission a acquis sa célébrité
en causant une panique générale en Amérique car les auditeurs ont
cru à un réel compte-rendu d’invasion extraterrestre – ou pour le
moins nazie – dans le New Jersey. Cet événement perdure à ce
jour comme le testament du pouvoir des médias de masse à nous
mystifier. Et c’est exact, mais pas de la manière dont vous pourriez
le penser.

Voyez-vous, les médias – PBS et Radiolab inclus – continuent
de se focaliser sur « l’hystérie collective » catalysée par
l’émission de Welles, comme si cela démontrait le pouvoir
des médias. Dans cette interprétation toujours en vogue, les
citoyens américains des années 1930 nous apparaissent comme un
troupeau naïf de gogos abrutis alors que nous, habitants éclairés
de l’Amérique du 21ème siècle, affirmons notre avance et
supériorité sur nos ancêtres moutonniers. Comme ils ont été
stupides, ces millions d’Américains, d’avoir cru à une invasion
martienne en l’entendant simplement à la radio ! Jamais nous ne
serions tombés dans ce panneau, disons-nous.

Mais c’est nous qui sommes les dindons de la farce car nous
continuons de croire à une hystérie collective qui ne s’est jamais
produite. Wikipédia l’admet dans le tout premier paragraphe de sa
page sur l’événement :

L’épisode devint célèbre pour avoir entraîné une panique
chez les auditeurs mais l’ampleur de cette panique est discutée car
le programme n’a eu que relativement peu d’auditeurs.

Un exposé de Slate en 2013 déclare carrément :

La prétendue panique a été si minime qu’elle en fut
pratiquement non mesurable lors de la nuit de l’émission… Presque
personne n’a été dupe de la radiodiffusion de Welles.

Autant pour nous qui nous croyons supérieurs à nos parents. Il s’avère que nous sommes bien plus crédules qu’eux.

En fait, d’après une remarque ultérieure de Frank Stanton, président de CBS, il n’y eut presque personne à écouter l’émission cette nuit-là. Ce qui contredit directement une étude de l’événement, publiée en 1940 par Hadley Cantril, professeur à Princeton, qui calcula que 6 millions de gens avaient écouté l’émission et que 1,7 million d’entre eux avaient cru à de vraies informations. On penserait qu’une étude publiée quelques années après et sortie d’une université si renommée serait quelque peu plus objective que les compte-rendus immédiats, mais des historiens ont conclu plus tard que l’étude de Cantril présentait de « sérieuses failles ». Elle était en fait totalement bidon. Cantril n’avait pas fait la distinction entre les personnes interrogées qui croyaient l’événement réel et celles qui savaient que c’était fictif et il ne fit que regrouper dans ses résultats tous les gens sondés qui disaient avoir été « excités », « perturbés » ou « effrayés » dans la catégorie des « paniqués ». « Paniqués » est un mot qui prête délibérément à confusion car il implique de croire à une chose réelle – sinon, pourquoi paniquer ?

Je ne vous ai rien appris jusqu’ici qui ne soit déjà connu. Vous pouvez lire tout ceci sur Wikipédia ou sur l’article de Slate ou à des dizaines d’autres endroits. Ce que vous ne lirez pas ailleurs, c’est que l’intégralité de l’événement a été mis en scène – pas seulement l’émission, mais également la fabrication d’une panique collective dans les journaux, la réaction de Welles aux faux compte-rendus et la couverture médiatique de Welles en réponse à ces compte-rendus. L’ensemble était prévu comme un test ; ils voulaient évaluer s’il était faisable de convaincre le public d’un événement à grande échelle qui ne s’était pas produit. Souvenez-vous que nous étions en 1938. L’Amérique était sur le point d’entrer en guerre, où un grand nombre de fausses morts, de faux bombardements et autres atrocités ont été mis en scène. Suite : http://bistrobarblog.blogspot.com/2018/12/larnaque-de-la-guerre-des-mondes.html#more




En marche vers la dictature numérique…

[Source : ROSEMAR]

En marche vers la dictature numérique…

En marche vers la dictature numérique...

Désormais,
vous serez tous notés, vos comportements seront observés, étudiés dans
toutes sortes de domaines… situation financière, habitudes de
consommation, carrière professionnelle, comportement sur les réseaux
sociaux.

Vous
serez sans cesse surveillés par des caméras intelligentes, à
reconnaissance faciale, capables de mettre une identité sur un visage.

Non, ce n’est pas un film de science-fiction : en Chine, c’est déjà une réalité.

Et
les Chinois l’acceptent, comme le montre un reportage diffusé lors du
journal de 20 heures, sur France 2, le mercredi 24 avril.

« Je trouve que c’est bien d’être noté, dans une société, il faut qu’il y ait des règles… », affirme un jeune Chinois.

« Ces notes nous obligent à bien nous comporter », déclare un autre Chinois.

Une
jeune Chinoise commente aussi : « Cela peut vous paraître effrayant,
mais en Chine, c’est comme ça, on a l’habitude… de toutes façons, on
n’a pas le choix. »

Il y aura, ainsi, de bons et de mauvais citoyens, grâce au rassemblement de centaines de données.

Critiquer
le gouvernement sur internet sera sanctionné par une mauvaise note,
mais des louanges adressées au parti augmenteront le crédit social.

A
la clé, des récompenses : réductions sur les services publics, gratuité
dans les bibliothèques, et en cas de manquements, des sanctions : pas
d’accès au crédit, impossibilité de voyager, de créer une entreprise,
d’acheter un appartement.

Un système de contrôle de tous les citoyens qu’on peut qualifier de dictature numérique…

C’est terrifiant… alors, bien sûr, cela se passe en Chine, un pays où la liberté d’expression est muselée.

Mais, on perçoit bien tous les dangers de cette surveillance des citoyens qui se fait par le biais d’internet.

Même, chez nous, en France, toutes nos communications sont enregistrées, surveillées.

On nous impose des systèmes comme le compteur Linky qui enregistre toutes sortes de données personnelles.

Les assistants vocaux se multiplient : Alexa
et d’autres assistants vocaux, comme Google Home, Siri de Apple,
permettront à tout un chacun de passer commande pour toutes sortes de
produits, et notamment dans le domaine alimentaire.

Le fonctionnement d’Alexa repose aussi sur une importante et inquiétante récolte de données personnelles.

 Pourra-t-on encore protéger notre vie privée et notre anonymat ? 

Saura-t-on résister à ce déferlement de technologies du numérique ??

Source :https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/chine-les-citoyens-notes-par-l-etat_3413265.html

En marche vers la dictature numérique...

[Voir aussi : En route vers la dictature numérique du Big Data ?]




Tous surhumains demain?

[Source : La Presse]

De plus en plus de personnes ont recours... (PHOTO FOURNIE PAR TRANSPECIES SOCIETY)
De plus en plus de personnes ont recours à des implants électroniques pour augmenter leurs capacités.
PHOTO FOURNIE PAR TRANSPECIES SOCIETY
Marie-Claude Malboeuf

Marie-Claude Malboeuf
La Presse

Sous leur peau, il n’y a pas
que des os et des veines, mais aussi des puces électroniques, qu’ils
s’implantent pour remplacer leurs clés ou leurs billets de train. Ceux
qui osent le plus veulent stimuler leur cerveau avec des électrodes. Ou
se greffent des boussoles, des aimants ou des caméras miniatures, pour
expérimenter différemment le monde. Deviendra-t-on bientôt des robots ?

« Ça bouscule le fondement même de ce qu’on est comme espèce »

Mathieu Boucher s'est implanté une puce électronique de... (PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE) - image 2.0
Mathieu Boucher s’est implanté une puce électronique de la taille d’un grain de riz sous sa peau, entre le pouce et l’index.
PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

« Tout le monde disait que notre patron serait forcé de m’amputer la main pour que je ne puisse plus entrer au bureau ! »

Quand Mathieu Boucher a annoncé qu’il quittait la compagnie d’assurances
où il travaillait, à la mi-avril, ses collègues ont bien rigolé. Un peu
ébahis que l’informaticien ait implanté une puce électronique de la
taille d’un grain de riz sous sa peau – entre le pouce et l’index – et
soit parvenu à y copier sa carte d’accès pour franchir les contrôles de
sécurité en gardant les mains vides.

« C’est plus sécuritaire qu’une carte, justifie l’homme de 34 ans, qui habite Québec. Je vais maintenant essayer [d’analyser et de recopier] une carte d’autobus sur une autre puce. Si le chauffeur refuse de me laisser passer, j’essaierai peut-être de contacter la société de transport pour leur proposer de lancer un programme pilote. »

En Suède, la société de train SJ permet déjà aux passagers de stocker
leurs billets dans un implant du même genre – semblable à ceux qu’on
injecte aux animaux de compagnie.

C’est que Mathieu Boucher n’est pas unique en son genre. D’après les
vendeurs de puces, des dizaines de milliers d’Européens, d’Américains ou
d’Australiens en portent dans la main. Dans certains cas, fournies par
leur employeur.

Ils s’en servent pour entrer au bureau, à la maison ou au gym. Parfois
même pour se connecter à leur ordinateur, faire démarrer leur voiture ou
stocker de la cryptomonnaie.

Amal Graafstra, qui a 6 implants, dit en avoir vendu à plus de
1000 Canadiens, dont Mathieu Boucher, par l’entremise de son site,
Dangerous Things. « Le grand public n’est peut-être pas enthousiaste, il
est toujours un peu méfiant, mais il n’est pas négatif comme il l’était
en 2005, quand j’ai eu mon premier implant », affirme au téléphone le
résidant de Seattle.

Il souhaite populariser une plateforme utilisable par des gens sans
connaissance en piratage informatique. L’intérêt ? Ne plus jamais
transporter de clés, ne plus les chercher au fond d’un sac, ne plus les
perdre, énumère-t-il.

Il espère même remplacer les portefeuilles. « Les grandes sociétés de
cartes de crédit ne sont pas à l’aise avec le système, mais certaines
banques sont plus ouvertes. »

Sous leur peau, il n'y a pas que des os et... (PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE) - image 3.0
PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Les puces, qui coûtent autour de 100 $, sont contenues dans des
seringues stérilisées et sont souvent implantées par des tatoueurs.

Imiter les animaux

La main de la Montréalaise Dominique Leclerc abrite une puce depuis deux
ans. La comédienne y a enregistré son certificat de mariage lors d’un
festival de théâtre, « pour mettre un peu de poésie dans un sujet qui
fait peur », dit-elle en entrevue.

Lors d’un séjour à Berlin, où vivait son mari, elle a découvert que des
centaines de personnes rêvaient de fusionner avec les machines. Parfois
pour devenir surhumaines et immortelles. Parfois pour se doter de sens
artificiels et transformer leur façon de percevoir le monde.

« Un programmeur voulait trafiquer ses implants cochléaires pour entendre les ultrasons », raconte-t-elle.

D’autres originaux – qui se qualifient de « cyborgs » (cybernétique plus
organisme) – se sont greffé des appareils qui réagissent aux
infrarouges, à la pression atmosphérique ou aux champs magnétiques.
Certains bourdonnent face au nord ou vibrent lors des séismes.

« Nos sens se détériorent en vieillissant. C’est le contraire quand
on devient un cyborg. [Ils] s’améliorent, parce que nos pièces
cybernétiques évoluent avec la technologie », écrit Neil Harbisson,
cofondateur de la Cyborg Foundation, dans des textes transmis à La Presse.

« Une personne doit être libre de s’exprimer […] par des
augmentations », dit la charte de son association, qui condamne le
« démontage » et la « suspension ou l’interruption inutile » des
« fonctions » de ses membres.

« Entendre les ultrasons, voir la nuit… Ce sont des capacités que certains animaux ont et que l’humain veut maintenant s’approprier. Dieu est mort et on veut prendre le contrôle de notre humanité. La nature ne décide plus pour nous. »

– Dominique Leclerc

Depuis octobre 2017, elle présente ses découvertes et réflexions dans une pièce de théâtre, Post humains,
dont le texte a été publié en janvier aux éditions L’Instant Même. La
pièce sera présentée à Québec, du 26 au 28 mai, après l’avoir été dans
huit autres villes québécoises et à Berlin.

« Il y a des gens qui font des choses de valeur dans cette communauté, affirme la comédienne. Mais ça bouscule le fondement même de ce qu’on est comme espèce. C’est un débat de société urgent. »

Des GPS ?

Enfant, le réalisateur torontois Rob Spence a perdu un oeil lors d’un
accident de chasse. Il le remplace parfois par une prothèse qui rougeoie
ou une autre qui abrite une minuscule caméra sans fil. « Les gens ont
deux types de réactions. Ils trouvent ça cool ou terrifiant », dit-il en
entrevue.

À Québec, trois ou quatre collègues de Mathieu Boucher envisagent de
l’imiter, dit-il. « D’autres sont dans la paranoïa. Ils me parlent des
Russes, d’espionnage, ils pensent que mon implant peut servir de GPS
parce qu’ils ne comprennent pas la technologie… »

Les puces comme la sienne fonctionnent par radio-identification. Comme
celles des cartes de crédit, elles s’activent seulement lorsqu’on les
place à quelques centimètres d’un lecteur et ne permettent pas de suivre
quelqu’un à distance.

Mais l’entreprise américaine Three Square Market a annoncé en août
qu’elle comptait mettre au point des GPS sous-cutanés pour suivre les
gens souffrant d’alzheimer ou de démence. Si elle y parvient un jour –
le défi technique est grand -, les enjeux éthiques seront plus
gigantesques encore. Voudra-t-on taguer ses enfants ? Les immigrants ?
Les prisonniers ?

Depuis deux ans, des dizaines d’employés ont accepté de se faire
implanter des puces offertes par leurs employeurs – comme Three Square
Market aux États-Unis ou Épicentre, TuiNordi et Newfusion en Europe.
« Quand ton patron te dit que la porte, la lumière, l’ordinateur et la
machine distributrice te reconnaîtront automatiquement, ça pose
d’énormes enjeux de vie privée », prévient David Décary-Hétu, chercheur à
l’École de criminologie de l’Université de Montréal et expert de la
collecte de données en ligne et du piratage informatique.

« Il pourrait se servir de ces informations pour vérifier combien de fois tu vas à la cafétéria. Ou, pire, les revendre aux assureurs, qui voudront par exemple augmenter ta prime d’assurance santé s’ils trouvent que tu vas trop souvent t’acheter des Kit Kat. »

– David Décary-Hétu, chercheur à l’École de criminologie de l’Université de Montréal

Ni le Québec ni le Canada n’ont légiféré. À l’inverse, au moins cinq
États américains, dont la Californie, interdisent déjà aux entreprises
d’encourager leurs employés à s’en faire implanter. Et les députés du
Nevada viennent d’approuver un projet prohibant tout « micropuçage » non
médical, même volontaire.

Télépathie

Mathieu Boucher ne compte pas collectionner les implants, entre autres
parce que les puces sont trop vulnérables au vol d’identité,
estime-t-il.

Mais Amal Graafstra serait prêt à connecter son cerveau à un
ordinateur : « Si on peut multiplier nos capacités cognitives par 10 en
profitant de neurones numériques, pourquoi pas ? »

Une agence du ministère de la Défense américain – la Defence Advanced
Research Projects Agency, qui a contribué à la création de l’internet et
des GPS – finance des projets du genre, dont une « machine à coudre »
pour implanter des électrodes dans le cortex.

C’est aussi le cas du patron de Tesla et multimilliardaire Elon Musk,
qui emploie des chercheurs pour qu’ils développent « des interfaces
cerveau-machine à très haut débit » et les testent sur des primates. Ce
sera d’après lui la seule façon de ne pas se voir écrasé par
l’intelligence artificielle. Le 21 avril, il a tweeté que son
entreprise, Neuralink, aurait « bientôt » du neuf à annoncer.

Pour bien des scientifiques, ce genre d’ambitions relèvera encore longtemps de la science-fiction.

Déjà, des patients vivent par contre avec des électrodes – plus
rudimentaires – dans leur matière grise ou ailleurs (voir ce qui se fait
en médecine à l’onglet 3). Pour l’instant, on doit leur ouvrir le crâne
afin de les installer. Mais d’autres méthodes sont à l’essai, comme
passer par la jugulaire et les veines, par les voies nasales ou par un
minuscule trou dans la tête.

Des chercheurs tentent aussi de produire des neurones, des nerfs et des
coeurs artificiels. « Les avantages de ces implants seront
éventuellement tellement supérieurs aux risques qu’on ne pourra plus
empêcher les gens de s’en servir pour augmenter leurs capacités », croit
Amal Graafstra. Il prédit que certains choisiront un jour de remplacer
leurs membres en chair et en os par des prothèses, pour être plus forts
et plus rapides.

Mais à quel prix ? Avec les écrans et l’internet, on « s’augmente » déjà
de plusieurs façons, mais on augmente aussi son stress, souligne Johann
Roduit, chercheur affilié à l’Université de Zurich et consultant en
éthique et technologies émergentes.

« Le temps qu’on gagne ne bénéficie pas à l’être humain. On s’en sert pour essayer d’être encore plus performant et productif. »

Sources : bioRxiv, Nature, ni2o

L’animal de compagnie des cyborgs

Le RoboRoach permet de contrôler les mouvements d'une... (PHOTO TIRÉE DU SITE BACKYARDBRAINS.COM) - image 7.0
Le RoboRoach permet de contrôler les mouvements d’une coquerelle avec un téléphone intelligent.
PHOTO TIRÉE DU SITE BACKYARDBRAINS.COM

Comme animal de compagnie, les cyborgs peuvent toujours se procurer
le RoboRoach, une coquerelle vendue avec un kit de chirurgie permettant
d’implanter des électrodes sur ses antennes, afin de contrôler ses
mouvements avec un téléphone intelligent… « Nous avons reçu beaucoup
de courriels nous accusant d’enseigner aux enfants comment devenir des
psychopathes », a confié Greg Gage, cofondateur de la société Backyard
Brains, au magazine Science, en 2013. Le neuroscientifique
croit que son produit permettra plutôt de créer des vocations de
chercheurs. Et que cela est vital à une époque où 20 % de la population
mondiale sera touchée, à un moment de sa vie, par une maladie mentale ou
neurologique actuellement incurable.

L’humain bionique

La médecine flirte aujourd’hui avec la science-fiction. Voici un petit
aperçu des implants électroniques déjà offerts à certains patients
ou déjà à l’essai chez l’humain.

Une prothèse de la mémoire

En implantant des puces électroniques dans le cerveau, on arrive à le
stimuler ou, mieux encore, à lire ses signaux pour les transmettre à des
appareils. Exciter des zones précises lors de tests de mémoire a
amélioré de 25 % les résultats des participants à une récente étude (1). Les puces cérébrales permettent aussi de réduire les crises d’épilepsie (2) ou d’atténuer les tremblements causés par la maladie de Parkinson(3).
Grâce aux circuits implantés dans leur matière grise, des gens
paralysés ont pu contrôler par la pensée leurs membres (artificiels ou
non) (4), utiliser une tablette électronique (5) et écrire en commandant un clavier (6).
Les mots auxquels pensaient les sujets d’une étude ont même pu être
décodés et traduits par l’intelligence artificielle – un espoir pour les
personnes muettes (7).

Un télescope dans l’oeil

Voir parfaitement, trois fois plus loin que les autres humains, et aussi
de très près, sans lunettes ni lentilles cornéennes ? C’est ce
qu’espèrent les participants aux essais cliniques des Bionic Lens,
implantées par une incision dans l’oeil (et conçues par un Canadien) (8).
D’autres prothèses permettent déjà à des patients ayant perdu la vue de
détecter à nouveau le contour des objets. À l’hôpital Saint-Sacrement
de Québec, en février, une lentille « zoom » de la taille d’un petit
pois a par exemple été greffée sous l’iris d’une septuagénaire (9).

Libérer les cardiaques et les diabétiques

Les stimulateurs cardiaques sont apparus dès les années 60. Aujourd’hui,
un moniteur sous-cutané de la taille d’un trombone peut aussi
surveiller en continu l’état de patients souffrant d’arythmie, et
transmettre l’information à leurs médecins par Bluetooth(12).
En faisant implanter dans leur bras un capteur gros comme un grain de
riz, les diabétiques peuvent pour leur part cesser de se prélever une
goutte de sang plusieurs fois par jour. L’appareil mesure leur taux de
sucre toutes les cinq minutes et envoie l’information à un appareil
mobile (13).

Maigrir grâce à l’électricité

Stimuler avec une puce le nerf vague – reliant l’estomac au cerveau –
provoque artificiellement une sensation de satiété, ce qui fait perdre
du poids (10). La stratégie, qui a fonctionné sur des
rongeurs, n’a pas encore été testée sur des humains. Mais un implant
plus gros, fonctionnant sur le même principe, a été approuvé aux
États-Unis il y a quatre ans et peut déjà être installé par un
chirurgien (11).

Des micropuces pour les amputés

L’an dernier, Alex Lewis, un Britannique ayant perdu ses quatre membres,
s’est fait implanter une puce à radiofréquence semblable à celle des
cartes de crédit, afin de pouvoir entrer chez lui sans devoir utiliser
péniblement sa prothèse. D’après les médias anglais, une deuxième puce
contient son dossier médical, crypté et protégé par un mot de passe.

Lève-toi et marche

Trois personnes paralysées ont pu marcher, en s’appuyant sur des
déambulateurs, grâce à des électrodes implantées à la base de leur dos
pour stimuler leur moelle épinière. Une pile a aussi été introduite dans
leur abdomen afin de pouvoir alimenter le système sans fil (14) (15).

Une prothèse « pantalon »

Une orthèse motorisée conçue au Québec et « agissant comme une seconde
peau » augmente la force et l’endurance des utilisateurs. Leurs
mouvements sont détectés d’avance par des capteurs – posés sur leurs
jambes et connectés à des logiciels – afin que leur « dermosquelette »
leur injecte de l’« énergie biomécanique » au bon moment (16).
Le dispositif aide les gens souffrant d’arthrose ou de maladies
cardiovasculaires ou dégénératives. Mais l’armée américaine envisage
aussi son utilisation pour aider les soldats à porter l’équipement de
combat sans se blesser.

Quatre inquiétudes

Dominique Leclerc, auteure et interprète principale de la... (PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE) - image 8.0
Dominique Leclerc, auteure et interprète principale de la pièce de théâtre Post humains
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE

L’idée de fusionner avec la machine ne fait pas l’unanimité, du
moins lorsque la chose n’est pas nécessaire pour surmonter de graves
handicaps ou sauver sa vie. Quels sont les risques ? Voici ce que les
experts en pensent.

Pourra-t-on pirater les implants ?

Des pirates pourraient techniquement prendre le contrôle de certains stimulateurs cardiaques (pacemakers)
afin de les détraquer ou d’en décharger les batteries, d’après un avis
que la Food and Drug Administration (FDA) américaine a publié en 2007.

On évoque maintenant le brainjacking, soit la potentielle
cyberattaque d’implants cérébraux. « Un patient atteint de parkinson
pourrait voir sa capacité de mouvement inhibée. Un attaquant sophistiqué
pourrait même induire des changements de comportement tels que
l’hypersexualité ou le jeu pathologique », écrivent des chercheurs de
l’Université d’Oxford, dans un article scientifique de 2016.

« Bien que ces piratages soient difficiles à réaliser, […] un
attaquant suffisamment déterminé pourrait réussir », estiment-ils.

Les puces sous-cutanées sont pour leur part rarement cryptées, ce qui
permet de les cloner ou de les désactiver en s’en approchant beaucoup.
Chacune des stratégies suggérées pour les sécuriser « fait rapidement
l’objet d’un nouveau rapport signalant un moyen de violer la mesure
proposée », prévient un rapport du Parlement européen intitulé L’utilisation de puces sous-cutanées chez les travailleurs.

Les implants créeront-ils un fossé entre les gens ?

Si de nouveaux implants cérébraux permettent un jour d’augmenter son
intelligence sans trop de risques, leur mise en marché pourrait mettre
notre autonomie en péril. « Nos sociétés sont compétitives et
entretiennent le culte de la performance. On pourrait donc se sentir
contraints de les utiliser si notre patron nous le propose. Ou les
parents pourraient se sentir le devoir d’améliorer leur enfant », avance
Nathalie Voarino, qui a d’abord étudié les dispositifs de
neuroamélioration externes et poursuit, à l’Université de Montréal, un
doctorat sur la responsabilité sociale face aux risques de
l’intelligence artificielle.

Autre enjeu : le prix de ce type d’innovation, qui pourrait se révéler
inabordable pour certains, dit-elle. « Dans certaines circonstances, on
pourrait voir les améliorations cognitives comme une nouvelle forme de
dopage », dit-elle.

« Si certaines personnes se retrouvent avec des capacités inhabituelles,
il y aura un impact social, cela injecte une dose d’incertitude dans
les interactions humaines », estime de son côté Marc Saner, professeur à
l’Université d’Ottawa et expert de la gouvernance des technologies
émergentes.

Les implants sont-ils dangereux pour la santé ?

On ignore encore quel sera l’effet à long terme des rangs d’électrodes
introduits dans le cerveau ou encore près de nerfs ou d’organes. En
2010, une puce sous-cutanée servant à accéder à son dossier médical, la
Verichip, préalablement approuvée par la Food and Drug Administration
(FDA), a été retirée du marché par son fabricant. Une étude venait de
révéler que des implants du genre s’avéreraient cancérigènes chez les
souris.

Il semble que « des effets similaires chez l’homme soient peu probables,
bien qu’il soit actuellement impossible de les ignorer complètement
dans l’état actuel des connaissances », conclut le rapport du Parlement
européen sur le micropuçage de travailleurs.

La popularisation des puces destinées aux humains pourrait compliquer le
travail des psychiatres. Des entreprises bidon – gérées par des
fraudeurs – laissent croire aux gens vulnérables qu’ils ont pu se faire
implanter une puce à leur insu et qu’elle cause leurs
symptômes-sentiments d’être surveillés ou d’entendre des voix. Le
vendeur d’implants Amal Graafstra, qui a reçu de nombreux courriels
désespérés, prévient le public sur le site de son entreprise, Dangerous
Things, en précisant que les fraudeurs prétendent pouvoir « scanner » et
« retirer » ces implants imaginaires en échange d’argent.

Les implants auront-ils des impacts imprévus ?

« Les gens viennent de se réveiller et de comprendre que Facebook prend
leurs données quand ça fait dix ans qu’ils nourrissent le monstre !
Qu’est-ce que ce sera avec les implants ? », s’interroge Dominique
Leclerc.

« Tout le monde veut créer l’affaire géniale qui les rendra riches. Personne ne se demande : « Attends, où va-t-on se ramasser avec ça ? Qu’est-ce que ça fera à la condition humaine ? » On y va parce que, sinon, quelqu’un d’autre va le faire. »

Les politiciens hésitent à discuter des technologies destinées à
transformer l’humanité, tant au niveau national qu’international,
déplore le chercheur ontarien Marc Saner, expert en éthique et
réglementation des technologies émergentes. « Avec les changements
climatiques, c’est pourtant l’un des facteurs qui influenceront le plus
l’évolution du monde, dit-il. Mais ces sujets sont d’une extrême
complexité. Et la vitesse à laquelle les innovations surviennent, la
vitesse à laquelle elles sont distribuées sont problématiques. Tout
change si vite que nous sommes à bout de souffle. »

Source : ScienceDirect

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