Jules Verne interdit de bicentenaire à Nantes car blanc, « raciste » et « colonialiste » ?

[Source : ripostelaique.com]

Par Christine Tasin

Ça pue sacrément, les amis. La folie anglo-saxonne de réécriture de l’Histoire et de sa disparition se développe vitesse grand V en France. Ce n’est pas nouveau, me direz-vous, tant le wokisme est en phase ascendante dans tout l’Occident sous influence des Yankees, mais là on touche le fond.

Adieu le consensus autour de Jules Verne, l’un de nos écrivains les plus prolifiques du XIXe siècle, l’un de ceux dont les œuvres ont été les plus lues par enfants et adolescents tant il a fait rêver, proche de la science-fiction, mais plutôt du roman d’anticipation. Ses œuvres ont été tellement adaptées au cinéma que, forcément, chaque Français a lu au moins l’un de ses romans ou vu l’un des films ou feuilletons les adaptant. Et avec quel bonheur ! Qui ne se souvient de ses questions et de sa fascination pour le fameux capitaine Nemo ? C’est avec ce genre de personnage que les gens de ma génération ont grandi, ont développé la passion de la lecture, de la découverte, de la recherche scientifique… un sacré bonhomme, oui, qui mérite bien de voir fêté le bicentenaire de sa naissance à Nantes, sa ville natale, en 2028.

Je ne parlerai pas du coût qui me semble faramineux (38 millions !!!) du projet porté par la ville de Nantes — Qui se gave au passage ? — ce n’est pas mon sujet. Je ne parle que du magnifique projet lui-même qui consiste à réhabiliter une ancienne minoterie devenue une friche industrielle en la transformant en « Grand Musée Jules Verne », une « Cité des imaginaires » (c’est un très joli nom, je trouve), comprenant médiathèque, des espaces de rencontre et un nouveau musée Jules Verne. De nos jours, où des tarés s’en prennent à la Joconde et autres chefs d’œuvre du passé dans les musées, il ne faut pas cracher sur les projets rendant hommage à nos génies.

Or, le projet de Cité des Imaginaires est contesté… Comme d’habitude pour ce genre de projet on pourrait s’attendre à voir s’empoigner les pragmatiques considérant que tant que certains ont faim, consacrer de l’argent à l’art ou à la science serait scandaleux. Déjà, il y a 54 ans, en classe de 3e, on me proposait des rédactions sur le thème « aller dans la lune ou nourrir les gens »… Sauf que, si l’on avait écouté les pragmatiques, on n’aurait ni la Joconde, ni la Tour Eiffel, ni le Louvre, ni Versailles… et qu’on irait tous pieds nus dans la boue des campagnes et des masures, ressemblant à certains Africains fuyant un monde proche de celui des australopithèques… On continuerait à crever de faim et à travailler comme des forçats…

Ces imbéciles — pour partie écolos-dingos, forcément — sont pour la régression au nom de la planète. Mais pour le coup c’est encore plus complexe et pervers que cela. Ces imbéciles ont un autre projet, certes, de logements sociaux, mais, c’est là que ça devient fou, ils décident que Jules Verne est devenu infréquentable et qu’il va falloir déboulonner ses statues, brûler ses livres et renommer places et rues portant son nom.

Il était blanc… C’est affreux pour tous les non-Blancs de rendre hommage à un Blanc, il y en a déjà trop. Excusez-nous d’exister et d’avoir passé notre temps à chercher, à étudier, à trouver, à soigner, à inventer… au lieu de le passer le cul en l’air devant Allah…

Il ne voyait pas, à son époque, en quoi les Français pouvaient bien faire du mal aux habitants de ce qui n’était pas encore l’Algérie et aux Français des côtes de la Méditerranée enlevés, vendus comme esclaves et finissant dans les bordels de l’autre côté de la Méditerranée. Au contraire, Jules Verne chantait le progrès, la civilisation et la nécessaire lutte contre les Barbaresques et autres pirates des mers.

Mais les opposants au projet le voient bien, eux. Et d’aller chercher une phrase sortie de son contexte et de son époque pour accuser le grand Jules de racisme. Verne raciste avec tous les voyages, toutes les rencontres imaginaires qu’il a mises en scène dans les bouquins… même mon chat en rigole !

« La métropole nantaise et ses élus ne peuvent fermer les yeux sur la place et le rôle de l’imaginaire vernien dans l’histoire coloniale et dans la crise écologique contemporaine, s’indignent ainsi les opposants à la Cité des Imaginaires. L’heure n’est plus à la quête d’attractivité, ni à l’invention d’une fake culture basée sur un exotisme de pacotille et sur une culture littéraire colonialiste ». Deux membres du collectif, Jean-Luc Bourgoin et Laurence, pointent notamment, pour Le Figaro, l’exemple du roman Cinq semaines en ballon, dans lequel Jules Verne compare des Africains indigènes à des singes. « La ville de Nantes s’honorerait à mettre en avant d’autres figures de l’histoire locale que cet écrivain blanc et bourgeois aux récits problématiques, et qui était à la fois raciste et antisémite », soutiennent les deux militants. Pour développer son opposition au projet métropolitain, le binôme travaille à un essai intitulé L’Afrique en noir et très blanc de Jules Verne, qui paraîtra en ligne ces prochains mois. […]

Le Figaro

J’apprécie toujours que les anti-France, qui sont souvent des pro-migrants, des adeptes de « les autres avant les nôtres », qui défendent plus souvent le Hamas que Israël se permettent de traiter nos grands hommes comme Jules Verne d’antisémites. Je ne sais si c’est le cas du Jean-Luc Bourgoin ci-dessus, mais j’ai un doute… il fait partie du comité qui a fait tomber le projet de l’arbre aux hérons. Comité décrit dans les articles sur le sujet comme regroupant 15 associations comme des groupes de gauche et des associations de citoyens…

https://actu.fr/pays-de-la-loire/nantes_44109/on-a-deja-fait-tomber-des-projets-qui-ne-font-pas-sens-l-arbre-aux-herons-conteste-a-nantes_46949492.html

Tout cela est en fait terriblement et malhonnêtement politisé. Ces collectifs citoyens sont beaucoup trop wokisés pour être honnêtes, non ?

Christine Tasin

https://resistancerepublicaine.com




Le programme de domination mondiale et la fin de l’Humanité

[Source : https://stopworldcontrol.com/fr]

Le programme de domination mondiale

[Extraits. Voir l’article au complet sur le site source.]

Par David Sorensen

« Toutes vos pensées, vos sentiments et vos rêves seront enregistrés 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. »1

IDA AUKEN, ANCIENNE MINISTRE DE L’ENVIRONNEMENT, DANEMARK

« La 5G peut insérer des pensées et des sentiments dans tout le monde. Elle sera le système nerveux central de la société. »2

SEBASTIÁN PIÑERA, ANCIEN PRÉSIDENT DU CHILI

« Nous verrons tout ce qui se passe à l’intérieur de votre cerveau. »3

NITA A. FARAHANY, PROFESSEUR DE PSYCHOLOGIE

Ceci n’est pas un article superficiel qui vous laisse à la recherche de réponses, mais d’un rapport approfondi qui vous permet de comprendre pleinement ce qui menace notre monde. Utilisez la table des matières (en haut à gauche) pour naviguer. Toutes les références se trouvent à la fin de ce rapport. Prenez le temps de lire ce rapport révélateur jusqu’à la fin, car les informations qu’il contient sont cruciales.

« NOUS FAÇONNONS L’AVENIR DU MONDE »

Chaque année, les gens d’affaires les plus riches du monde, les industriels les plus puissants et les politiciens les plus influents se réunissent au Forum Économique Mondial de Davos, en Suisse. Ensemble, ils discutent de la manière dont ils vont « améliorer l’état du monde ». Le fondateur et président du FÉM, Klaus Schwab, déclare fièrement : « Nous façonnons l’avenir du monde. »4 Ils ne vous consultent pas, bien sûr, pour savoir si leurs idées vous intéressent. Non, ils vous disent simplement ce qu’ils font pour transformer radicalement tous les aspects de votre vie. 

Leurs objectifs officiellement publiés incluent l’enregistrement de toutes vos pensées, émotions et rêves 24 heures sur 24 et 7 jours sur 75, le suivi de tout ce que vous faites, achetez, portez et mangez6, et l’insertion de pensées et d’émotions dans votre esprit7.

TOUT DOIT CHANGER8

Le mot clé de leur vocabulaire est « crise ». Selon eux, les crises sont innombrables dans le monde entier : crises sanitaires, crises sociales, crises financières, crises énergétiques, crises climatiques… rien que des crises, partout, tout le temps9. La seule façon de résoudre toutes ces crises, disent-ils, est de transformer radicalement tous les aspects de l’existence humaine : l’alimentation, le logement, les soins de santé, la sexualité, l’agriculture, l’éducation, la finance, les voyages, la technologie… tout doit être revu pour « sauver la planète ». 

(…)

COMMENT ILS VEULENT « SAUVER LA PLANÈTE » (…)

INJECTIONS CONSTANTES (…)
CRÉDIT SOCIAL (…)
VILLES INTELLIGENTES (…)
MOUVEMENT LIMITÉ (…)
CONTRÔLE FINANCIER (…)
CENSURE (…)
PAS DE PROPRIÉTÉ PRIVÉE (…)
BLOQUER LE SOLEIL (…)
PAS DE DROITS PERSONNELS (…)
SEXUALITÉ POUR LES ENFANTS (…)
NORMALISER LA PÉDOPHILIE (…)
TRANSGENDÉRISME DE MASSE (…)
TOUT LE MONDE DEVIENT UN CYBORG (…)
ÉLITES SURHUMAINES (…)
L’IA PREND LE DESSUS POUR LA PLUPART DES EMPLOIS (…)
CONTRÔLE COMPLET PAR L’IA. (…)
TRANSPARENCE DES CERVEAUX (…)
CONTRÔLE MENTAL (…)
ALIMENTS ARTIFICIELS (…)
PAS DE PERSONNES AGÉES (…)

Il y a beaucoup, beaucoup plus, mais cet aperçu donne une idée générale de leurs idées « brillantes » qui vont très certainement « sauver la planète » et « améliorer l’état du monde ». D’autres concepts sont : limiter les contacts humains en faisant en sorte que l’école, les réunions, les achats, le culte, la socialisation, etc. se déroulent en ligne, où la vie doit être vécue derrière un écran ; rendre permanente l’utilisation de masques faciaux étouffants, autant que possible ; pousser l’humanité à passer sa vie dans un faux royaume virtuel — comme le MetaVerse — et la convaincre que c’est tellement mieux que la réalité. Éliminer la consommation de viande ; limiter les voyages en avion à un court séjour par an ; limiter drastiquement l’achat de vêtements ; et ainsi de suite.

L’ENREGISTREMENT DE VOS PENSÉES

Les globalistes informent le monde de leur objectif ultime : « Vous ne posséderez rien, vous n’aurez aucune vie privée et vous serez heureux ». Cette situation est présentée comme une heureuse « utopie » dans un billet rédigé par Ida Auken, une Young Global Leader (jeune leader globale) du Forum Économique Mondial. Ida Auken a été nommée ministre de l’Environnement au Danemark pour promouvoir ce programme. Elle a écrit cet article du point de vue d’une citoyenne d’une ville intelligente, qui s’exclame à quel point il est merveilleux de ne rien posséder, et quel rêve le monde est devenu, maintenant que tout le monde vit dans des villes intelligentes. 

Voici une citation directe de l’article :

« De temps en temps, je suis contrarié par le fait que je n’ai pas de véritable vie privée. Je ne peux aller nulle part sans être enregistré. Je sais que, quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J’espère seulement que personne ne l’utilisera contre moi. En fin de compte, c’est une belle vie. »41

QU’EST-CE QU’UNE VILLE INTELLIGENTE ?

(…)


Ce programme est déployé dans le monde entier et l’objectif est de faire de chaque ville une ville intelligente, que ce soit en Amérique du Nord ou du Sud, en Asie, en Europe ou en Afrique. Quel est le but recherché ? C’est simple : l’argent, le pouvoir et le contrôle. Les technologies de collecte de données seront utilisées pour recueillir des quantités astronomiques de données personnelles de chaque habitant, ce qui est considéré comme la nouvelle richesse de l’avenir. Alors que dans le passé, la terre ou l’or étaient considérés comme les biens les plus précieux, aujourd’hui, ce sont les données. Plus les multinationales recueilleront de données personnelles sur l’humanité, plus elles auront de pouvoir. Bill Gates, par exemple, a investi dans l’achat de 24 800 acres de terrain en Arizona, pour construire une ville intelligente pouvant accueillir 80 000 personnes. Cette ville s’articulera autour de centres de données où seront stockées toutes les informations personnelles des résidents.44

RENDRE LA VIE NUMÉRIQUE

Le Forum Économique Mondial promeut la quatrième révolution industrielle, ce qui signifie que toute vie sur Terre doit être transformée en une expérience numérique, même l’expression de l’humanité elle-même. Lors de la conférence annuelle de Davos, un conseiller du FÉM, le professeur Yuval Noah Harari, a fait la déclaration suivante :

« Dans un avenir proche, l’humanité sera gouvernée par des entités plus différentes de nous que nous ne le sommes des chimpanzés. »

(…)

Ils envisagent que l’intelligence artificielle devienne le directeur de nos vies, parce qu’elle nous connaîtra mieux que nous ne nous connaissons nous-mêmes. Les gens n’auront plus besoin de faire appel à la sagesse ou aux conseils divins pour prendre des décisions cruciales, mais l’IA nous dira tout ce que nous avons besoin de savoir. Par exemple, qui épouser, où vivre, quoi acheter, pour qui voter, et tout le reste de notre vie. Elle acquerra ces connaissances grâce aux technologies de surveillance omniprésentes 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, qui enregistrent les moindres détails nous concernant.47

Dans un sens, l’IA deviendra le nouveau « Dieu » : elle sera omniprésente et saura tout sur tout le monde.

(…)

CHANGEMENT CLIMATIQUE

L’expression magique pour forcer l’humanité à se doter de villes intelligentes est le « changement climatique ».52 Les globalistes prétendent que le climat est déréglé parce que les gens voyagent trop loin de chez eux et pratiquent trop d’activités de plein air qui provoquent des émissions nocives de CO2. C’est pourquoi ils veulent ajouter des traceurs dans tous nos téléphones et nos vêtements, et finalement à l’intérieur de nos corps—pour surveiller la quantité de carbone que nous émettons.53

Peu importe les innombrables usines qu’ils ont construites et qu’ils construisent encore, qui émettent des quantités inimaginables de gaz toxiques. Peu importe les mégapoles qu’ils veulent construire pour remplacer les verts pâturages. Peu importe que ces milliardaires utilisent tous des jets privés qui émettent des quantités insensées de CO2 dans l’atmosphère.

(…)

DOMINATION DU MONDE

La sordide roue du Forum Économique Mondial montre l’objectif final de la Grande Réinitialisation, ou la révision radicale de tous les aspects de l’existence humaine : la domination totale du monde. 

Sur cette roue, nous voyons les sujets suivants :

✔︎ Gouvernance mondiale 

✔︎ Gouvernance d’entreprise 

✔︎ Gouvernance de l’Internet 

✔︎ Identité numérique 

✔︎ Économie numérique

(…)

Ils veulent également relier chaque personne sur Terre à une « identité numérique », qui inclura son statut vaccinal.

Tous ceux qui ne sont pas à jour de leur énième injection de rappel peuvent être exclus des banques, d’Internet, des soins de santé, du travail, des transports, des rassemblements, etc.56 Nous avons pu constater les tests effectués lors de la première pandémie, où seuls les vaccinés étaient autorisés à voyager ; en Israël, les personnes non vaccinées n’ont pas pu entrer dans les supermarchés ; au Nigeria, les personnes non vaccinées n’ont pas pu accéder aux services bancaires. La même chose a été testée en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Canada, aux Pays-Bas et dans d’autres pays. D’innombrables personnes ont perdu leur emploi parce qu’elles n’étaient pas complètement vaccinées. Au Brésil, le président Lula a déclaré que seules les personnes entièrement vaccinées pouvaient bénéficier d’une aide financière pour leurs enfants.

Que signifie être « entièrement vacciné » ? Cela signifie que plusieurs fois par an, vous êtes tenu de recevoir tous les nouveaux vaccins proposés par le gouvernement. Si vous manquez une seule injection, même si vous en avez déjà reçu vingt, vous redevenez une personne « non vaccinée » sans aucun droit.57

(…)

UN MONDE DE FOLIE TOTALE

Au cours de la pandémie, nous avons vu à quel point ces milliardaires sont complètement fous, par la façon dont ils ont imposé—littéralement—une folie hallucinante à la population mondiale. Voici quelques illustrations de ce à quoi ressemble le monde lorsque ces fous sont aux commandes…

(…)

Détruire la sexualité masculine et féminine, tout en imposant agressivement à l’humanité une confusion identitaire dévastatrice, sous couvert d’« inclusion ».

(…)

Il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup plus à montrer ici, mais ces exemples servent d’illustration de base de l’exécution dans le monde réel du programme du Forum Économique Mondial, de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies et de tous leurs alliés dans le monde entier. N’oubliez pas qu’ils présentent ces changements radicaux dans la société humaine comme absolument essentiels pour « sauver la planète », « améliorer l’état du monde » et « assurer la sécurité de tous »…

QUI EST VRAIMENT DERRIÈRE TOUT CELA ?

Lorsque l’on regarde ces projets insensés, on se demande qui peut bien être à l’origine d’une telle folie. Pour trouver la réponse, il faut regarder derrière le rideau du théâtre public mondial.

Nous devons comprendre que les organismes publics sont en réalité la vitrine d’entités qui opèrent en coulisses.

Cela a été expliqué lors d’un Grand Jury international composé de onze avocats et d’un juge, au cours duquel le programme officiel de domination mondiale par les élites financières a été révélé par d’anciens agents de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies, de l’armée américaine et britannique et des agences de renseignement. L’un des témoins experts était Alex Thomson, un ancien agent de l’agence britannique de renseignement sur les communications, le GCHQ, l’agence partenaire de la NSA (National Security Agency des États-Unis). En tant qu’officier de renseignement, Alex a pris connaissance de la stratégie britannique de domination du monde. Il a expliqué au Grand Jury comment le monde est dirigé par de puissantes entités financières qui ne se montrent jamais au public et qui contrôlent le FÉM, l’OMS, l’ONU, le FMI, l’UE, la BRI, etc.

(…)

Tout au long de l’histoire de l’humanité, des psychopathes ont aspiré à dominer le monde : les pharaons égyptiens, les empereurs romains, les tsars russes, les rois européens, etc.

Pendant des milliers d’années, la liberté n’a jamais existé sur terre, car le monde entier a toujours été gouverné par des tyrans qui opprimaient le peuple. En Europe, ces dirigeants vivaient dans de luxueux châteaux, tandis que les paysans travaillaient dur dans les champs. La majeure partie de ce qu’ils produisaient allait aux riches tyrans.

(…)

En réalité, les dirigeants n’ont jamais renoncé à leur pouvoir ; ils ont simplement manipulé les élections afin de positionner leurs marionnettes politiques, qui dansent sur leurs ficelles.58

(…)

LES DIRIGEANTS CACHÉS DU MONDE

En menant leurs opérations en coulisses, les dirigeants pouvaient se protéger de la colère du public. Mais ils avaient également besoin de se protéger des poursuites des gouvernements, et ils se sont donc créé ce qu’on appelle des « États souverains ». Un État souverain est une petite zone qui n’est pas soumise aux lois du pays et qui est, par essence, intouchable.

Un exemple de ce genre d’État souverain est la Banque des Règlements Internationaux (BRI), qui supervise plus de 50 banques centrales, ce qui en fait l’une des entités financières les plus puissantes au monde.

La BRI est devenue une entité souveraine et intouchable en 1987 grâce à l’accord de siège négocié avec le Conseil Fédéral suisse. Cet accord comprend les éléments suivants :59

✔︎ Inviolabilité totale de tous les bâtiments de la BRI, ainsi que des terrains situés en dessous et autour d’eux, quel qu’en soit le propriétaire.

✔︎ Immunité totale de poursuites et d’actions pénales et civiles pour la banque en tant que telle.

✔︎ Pas de paiement de taxes sur les transactions et les salaires du personnel.

✔︎ Pas de divulgation aux gouvernements concernant les activités de la BRI.

✔︎ N’est soumise à aucune juridiction.

Un État souverain encore plus puissant est la City de Londres, une zone d’un mile carré au cœur de la ville de Londres.

(…)

Étonnamment, l’État souverain le plus important au monde est l’État de la Cité du Vatican. Alors que le Vatican se présente au public comme une institution religieuse, il est en réalité à la tête du réseau financier mondial.

(…)

L’archevêque Carlo Maria Vigano a dénoncé les abus sexuels et la corruption financière au Vatican. Il met également en garde l’humanité contre leur programme de domination mondiale.

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La grande majorité de l’humanité—et même la plupart des dirigeants politiques—n’ont aucune idée de l’existence même de ces États souverains, et encore moins de leur pouvoir sur le monde. Tout ce que nous connaissons et voyons, ce sont les personnalités publiques—comme les politiciens et les hommes d’affaires—qui ne sont que les marionnettes de ces marionnettistes cachés. Leur force réside dans l’obscurité. En restant cachés à la vue de l’humanité, ils sont en mesure d’opérer sans être surveillés, sans avoir à rendre des comptes à la population.

[Voir aussi :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Le rapport « Preuves du Grand Jury » constitue une bonne source d’information sur le programme de domination du monde par des dirigeants cachés. Ce rapport contient les témoignages d’experts d’anciens membres des services de renseignement britanniques, de la marine britannique, du corps des marines américains, de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies et du CDC, qui ont témoigné devant un grand jury international composé de 11 avocats et d’un juge au sujet du programme de domination du monde.

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QUI SONT CES DIRIGEANTS ?

Qui sont les dirigeants de ces États souverains et qui sont les entités qui travaillent pour eux dans les nations du monde ? Ce réseau mondial est généralement appelé l’État profond, le gouvernement de l’ombre, la cabale, les 1 %, les lignées sataniques, les Illuminati, les élites, les rois, la noblesse noire, la mafia khazarienne, etc. Il s’agit d’anciennes dynasties royales et de lignées qui remontent à des centaines, voire des milliers d’années. Pour en savoir plus sur ces familles néfastes—qui elles sont, d’où elles viennent et comment elles opèrent—je recommande l’ouvrage classique de Fritz Springmeier, « Bloodlines of the Illuminati » (Les lignées des Illuminati). Cet ouvrage de référence très apprécié est disponible en téléchargement sur le site web de la CIA. Il révèle des informations sur les lignées des États-Unis d’Amérique qui exercent leur influence dans le monde entier.

Bloodlines of the Illuminati, volumes 1, 2 et 3, par Fritz Springmeier.

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Une autre ressource qui fait autorité et qui se concentre davantage sur les familles européennes est « Les 13 lignées sataniques », du journaliste d’investigation Robin de Ruiter, qui a prédit avec précision la pandémie de Covid en 2008. Cet ouvrage en quatre volumes a été interdit en France, mais il est publié dans 100 pays et langues.

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Parmi les familles criminelles, citons Rockefeller, Rothschild, Warburg, DuPont, Russell, Onassis, Collins, Morgan, Kennedy, Van Duyn, Li, Astor, Vanderbilt, Bauer, Whitney, Duke, Oppenheimer, Grey, Sinclair, Schiff, Solvay, Sassoon, Wheeler, Todd, Clinton, Taft, Goldschmidt, Wallenberg, Guggenheim, Bush et bien d’autres encore.

Il y a aussi les familles royales, comme la Maison de Habsbourg, l’une des dynasties les plus importantes de l’histoire européenne, qui a régné sur la majeure partie de l’Europe.

D’autres familles royales sont la Maison de Windsor (Royaume-Uni et Commonwealth), la Maison d’Orange-Nassau (qui joue un rôle central dans la politique et le gouvernement de l’Europe), la Maison de Schwarzenberg (l’une des maisons nobles européennes les plus en vue), etc. Nombre de ces familles sont liées génétiquement, car elles sont toutes convaincues qu’elles ont un patrimoine génétique différent de celui du reste de l’humanité et qu’elles ont donc le droit de régner sur chacun d’entre nous. C’est un fait établi qu’ils considèrent le public comme leur « bétail » ou « cheptel ». Pour eux, l’humanité n’est qu’un troupeau d’animaux qu’ils doivent gérer.

À la tête de toutes ces familles se trouve ce que l’on appelle la « tête du serpent », la noblesse noire ou les lignées jésuites/papales, dont le siège se trouve dans l’État de la Cité du Vatican. L’une des plus importantes est la maison Orsini, qui descend de la dynastie julio-claudienne de la Rome antique. Vous trouverez beaucoup plus d’informations à ce sujet dans les ouvrages de référence susmentionnés, sur le site néerlandais Ellaster.nl (traduisez les pages à l’aide de Google translate) et sur Internet, en utilisant le moteur de recherche non censuré Qwant.

LE SOMMET DE LA PYRAMIDE

Les familles cachées qui opèrent à l’intérieur des États souverains constituent-elles le plus haut niveau de la pyramide du pouvoir qui contrôle le monde ? Non. Il y a plus à révéler. Ce prochain niveau d’information peut être particulièrement difficile à comprendre pour certains lecteurs, car il est très éloigné de ce monde — littéralement. Afin de vous aider à comprendre la réalité de ce que vous êtes sur le point d’apprendre, je vais d’abord vous donner quelques informations historiques de base. Lorsque nous examinons l’histoire du monde, une chose ressort :

Dans toutes les cultures, partout sur Terre, une chose a toujours été au cœur de chaque société : le culte des entités démoniaques.

(…)

Les nombreux noms confirment l’adoration mondiale de cette entité démoniaque.

Il s’agit d’histoire humaine fondamentale que chacun d’entre nous devrait connaître. Lorsque l’on voyage dans le monde, on peut souvent voir les vestiges architecturaux des sacrifices humains à différents endroits. En Amérique du Sud, les pyramides aztèques, par exemple, marquent le paysage. Au sommet de ces pyramides, des êtres humains étaient sacrifiés à des forces spirituelles obscures. En Europe, ce sont les druides qui s’en chargeaient ; en Afrique, les chamans ; en Égypte, les grands prêtres, etc. Le sacrifice humain est au cœur de la plupart des cultures du monde.

Avec la propagation du christianisme, cette horrible pratique a été abolie dans la sphère publique, mais elle n’a pas été éradiquée de la société. Au contraire, de nombreux serviteurs du royaume des ténèbres ont continué à pratiquer ces rituels en secret. Et c’est là que nous arrivons au sommet de la pyramide du pouvoir mondial…

(…)

Un exemple a été révélé par Ronald Bernard, un ancien banquier qui a travaillé à un niveau élevé de l’imperium financier mondial.63

(…)

La motivation derrière la pratique cruelle du sacrifice humain est qu’en échange de l’offrande d’êtres humains (en particulier de bébés et d’enfants) aux forces démoniaques, les élites reçoivent le pouvoir et la richesse du royaume des ténèbres.

Ronald Bernard a refusé de participer à cette horreur et a quitté le monde des élites financières dirigeantes. Il a été torturé à mort, puis a vécu une EMI (expérience de mort imminente) et est miraculeusement revenu à la vie à l’hôpital. Après avoir servi le côté obscur, Ronald a senti qu’il lui avait été donné une seconde chance de réparer les dommages qu’il avait causés à l’humanité. Il consacre désormais sa vie à la création d’un système financier alternatif, qui peut aider les gens à échapper aux systèmes tyranniques des élites.

Le témoignage très révélateur de Ronald Bernard est visible dans la vidéo suivante, qui a été visionnée par environ 90 millions de personnes dans le monde.

TÉLÉCHARGER LA VIDÉO

Les informations communiquées par Ronald Bernard sont confirmées par d’anciens directeurs de la CIA, du FBI, de la police, de la gendarmerie, de l’armée, des détectives, des témoins oculaires, des juges et de nombreuses victimes survivantes dans notre rapport sur les abus sexuels et les meurtres commis par des fonctionnaires de haut rang. J’ai également en ma possession plusieurs lettres personnelles de femmes qui ont échappé aux cercles cruels des élites, où elles ont été violées des milliers de fois.

Nathalie Augustina était un mannequin de mode mondialement connu, dont l’esprit a été contrôlé par la CIA pour en faire l’esclave sexuelle des élites les plus élevées : familles royales, chefs d’État, commandants militaires, célébrités d’Hollywood, etc. Elle décrit son histoire dans un livre néerlandais écrit par le journaliste Robin de Ruiter. 

Une autre victime survivante et témoin oculaire (anonyme) m’a également envoyé plusieurs lettres. Leur lecture est extrêmement perturbante, mais j’ai décidé d’en inclure une petite partie dans ce rapport, car ces témoignages révèlent une réalité cachée dont l’humanité doit prendre conscience de toute urgence. Je vous prie de comprendre qu’il est possible que vous ressentiez une dissonance cognitive ou un effet Semmelweis en lisant ces informations. Il s’agit de mécanismes psychologiques qui s’activent inconsciemment pour nous protéger des nouvelles informations qui remettent en cause nos croyances actuelles.

Nous nous cachons la tête dans le sable
parce que la réalité est trop effrayante.

(…)

Rien de ce que cette dame m’a écrit n’était totalement nouveau, car j’ai lu des révélations similaires dans de nombreuses publications, par des enquêteurs reconnus qui avertissent l’humanité depuis des décennies. J’ai également vu plusieurs vidéos contenant des témoignages d’autres personnes ayant échappé à ce sombre réseau de dirigeants mondiaux. C’est pourquoi je sais que ces informations sont authentiques et exactes.

Dans une autre lettre personnelle que j’ai reçue d’une autre victime survivante, Nathalie Augustina, j’ai lu certains détails qui expliquent le lien entre les humains criminels et les entités spirituelles supérieures, qui les utilisent à des fins bien plus néfastes que la simple corruption financière et le pouvoir politique mondial. Ce que Nathalie décrit a été révélé dans le passé par plusieurs chercheurs et dénonciateurs, mais je l’ai néanmoins trouvé profondément troublant, car elle révèle la réalité substantielle du mal. C’est une chose de connaître le concept abstrait du mal ; c’en est une autre de découvrir à quel point les forces des ténèbres sont réelles. Elles sont très bien organisées et opèrent de manière extrêmement stratégique. Voici un extrait des lettres que Nathalie m’a adressées :

(…)

Toute personne souhaitant vérifier ces informations peut regarder les vidéos de ce rapport, télécharger les documents PDF, lire les livres et faire ses propres recherches sur Internet en utilisant le moteur de recherche non censuré Qwant et la plateforme vidéo BitChute. Si vous souhaitez en savoir plus sur la réalité du cannibalisme dans le royaume des ténèbres, je vous invite à consulter notre rapport sur les abus commis par de hauts fonctionnaires.

J’ajouterai ici un élément qui confirme la nature cannibale des élites. À Hollywood, des soirées exclusives ont récemment été organisées par Marina Abramovic. Certaines photos de ces soirées ont été divulguées, et vous pouvez les voir dans le rapport ci-dessous. En raison de leur caractère graphique, je les ai dissimulées. Pour voir les images, cliquez sur le lien. Mais si vous êtes très sensible, ne l’ouvrez pas.

Cliquez pour voir les images qui prouvent la nature satanique des élites.

[NDLR : voir le site source pour ces images]

Ce que vous voyez sur ces images n’est que la partie superficielle et de bas niveau montrée au public. Nous ne pouvons même pas imaginer ce qu’ils font en secret. Les témoignages ne lèvent que brièvement le voile sur ce royaume des ténèbres. Une fois que l’on sait à quel point ces entités sont maléfiques, on comprend pourquoi elles n’ont aucun problème à imposer une tyrannie inhumaine à l’humanité. Il est essentiel que nous ayons le courage de partager ces informations avec le monde.

L’humanité ne souffre pas seulement de politiciens et de banquiers corrompus, elle est attaquée par le mal à l’état pur. Au sommet, il y a des entités spirituelles obscures qui ne sont que la continuation d’anciennes pratiques de culte des démons et de sacrifices humains. 

DÉCONNECTER L’HUMANITÉ

Ce qu’il faut comprendre cependant, c’est qu’à côté de ces forces obscures, il y a aussi un Créateur qui est le donateur et l’origine de tout ce qui est bon, qui est du côté de l’humanité, pour nous délivrer du mal.

Au cours des dernières décennies, une opération stratégique de contrôle de l’esprit a été menée à l’échelle mondiale contre les habitants de ce monde, afin d’éloigner la grande majorité d’entre eux de la Source de toute vie. Lorsque les gens sont déconnectés de Dieu, qui seul est plus grand que le royaume du mal, ils sont plus faciles à contrôler et à asservir. Les personnes spirituellement ignorantes sont impuissantes. Il est impératif que nous nous réveillions de cet état de cécité spirituelle induite par le lavage de cerveau et que nous retournions au Donneur de toute vie, qui peut nous donner le pouvoir et nous guider pour délivrer l’humanité des forces des ténèbres. Cela n’a rien à voir avec la religion, mais est aussi fondamental pour notre existence que 1+1=2. Nous savons tous qu’il y a le bien et le mal. Il ne s’agit cependant pas d’une vague « énergie », mais il existe des entités personnelles, tout comme nous sommes des êtres personnels. Il est absurde de reconnaître l’existence d’un mal intense, tout en niant la réalité du domaine de la vie, de l’amour, de la bonté et de la vérité.

PYRAMIDE DU POUVOIR

Le diagramme suivant présente une vue d’ensemble de la structure du pouvoir mondial du mal et de la corruption, qui a pénétré tous les aspects de la société humaine. Je le révèle dans l’espoir qu’il contribuera à la chute mondiale de ces réseaux néfastes, car leur première force est l’ignorance de la population. Tant qu’ils peuvent opérer en dehors de la conscience du public, ils peuvent continuer à agir sans restriction. C’est pourquoi j’implore tous ceux qui liront ce rapport de ne pas hésiter à le partager, mais d’avoir le courage de le diffuser largement, car c’est ce qui finira par briser la mainmise de ces réseaux sur l’humanité. Tant qu’ils peuvent opérer dans l’obscurité totale, c’est-à-dire que personne ne peut les voir, ils peuvent poursuivre leurs opérations sans limites. Une fois que la lumière sera faite, c’est-à-dire que le monde en prendra conscience, ils ne pourront plus se cacher et devront répondre de leurs innombrables crimes contre l’humanité et l’ensemble de la création.

LE NIVEAU LE PLUS BAS

Le niveau le plus bas de la structure du pouvoir criminel mondial est constitué par les forces de l’ordre, qui sont utilisées pour contrôler le public sous le prétexte fallacieux de « faire respecter la loi ».

(…)

Regardez des images de violences policières scandaleuses dans le monde entier et apprenez comment vous pouvez vous opposer à ce comportement criminel de « fonctionnaires » corrompus si vous connaissez les droits que Dieu vous a accordés.

TÉLÉCHARGER LA VIDÉO

Afin d’avoir la mainmise sur l’application de la loi, les dirigeants veillent à positionner ou à contrôler les chefs de police. Il existe plusieurs façons de les contrôler, mais la méthode préférée consiste à les rendre complices d’abus d’enfants et de traite d’êtres humains. Notre rapport susmentionné sur les abus sexuels commis par de hauts fonctionnaires révèle combien de chefs de police sont impliqués dans la maltraitance des enfants et la traite des êtres humains. Michel Nihoul, membre du célèbre gang Dutroux en Europe, qui organisait le trafic d’enfants pour le gouvernement et la famille royale, a déclaré dans une interview à Der Spiegel en 2001 :

« Je contrôle le gouvernement. Tout le monde a des dossiers compromettants les uns sur les autres, qui peuvent être utilisés comme levier au bon moment. »66

Cela explique pourquoi des enquêtes vraiment importantes sur des opérations de haut niveau de traite des êtres humains sont toujours annulées, une fois que l’enquête commence à découvrir les vrais coupables.  

Au-dessus des forces de l’ordre, il y a les juges pénaux, qui répriment les honnêtes gens tout en protégeant les grands criminels.

(…)

LE MONDE EST UN THÉÂTRE

La conclusion de ce rapport est que nous devons nous réveiller à la réalité du fonctionnement du monde. Depuis l’Antiquité, il existe des puissances qui souhaitent dominer totalement le monde. Elles opéraient autrefois au grand jour, mais au fur et à mesure que l’humanité augmentait en nombre, elles ont été contraintes de se réfugier dans les coulisses, où elles ont régné sur le monde par le biais d’opérations secrètes.

Cela signifie que le monde est essentiellement une scène de théâtre, avec des acteurs qui jouent pour le public, tandis que les contrôleurs tirent les ficelles en coulisses.

Avec l’émergence de technologies de surveillance et de contrôle incroyablement puissantes et le déploiement de ces systèmes dans le monde entier, les dirigeants visent une nouvelle ère où ils n’auront plus besoin de se cacher. Leur stratégie consiste à asservir complètement chaque âme sur Terre grâce à des systèmes de contrôle omniprésents et globaux tels que les cartes d’identité numériques, les monnaies numériques, les passeports vaccinaux, les scores de crédit social, le contrôle mental 5G, le suivi des émissions de carbone, l’IA, etc. Ces systèmes rendront la vie impossible à quiconque se révolte, assurant ainsi un règne sans heurts aux tyrans.

En Chine, c’est déjà le cas, et de nombreux Chinois ne semblent même pas conscients de la façon dont ils sont réduits en esclavage.

Ils sont nés dans cette immense prison à ciel ouvert et n’ont aucune idée de ce que signifie la liberté. Tant qu’ils s’amusent et qu’ils mangent, ils se sentent bien. Un esclave mental total a perdu la capacité de penser au-delà des barreaux de sa cage. Les dirigeants ont testé ce système en Chine et prévoient maintenant de l’exporter dans le monde entier. Mais ils ont fait un mauvais calcul… au cours des dernières années, des centaines de millions de personnes dans le monde se sont éveillées à ce programme néfaste et commencent à s’y opposer.

L’HUMANITÉ SE RÉVEILLE

Ceci m’amène à la fin de ce rapport, avec de bonnes nouvelles pour l’avenir. Il ne s’agit pas d’une publication isolée, car d’innombrables révélations similaires sont faites dans le monde entier. Il est clair que le vent tourne et que l’humanité commence à ouvrir les yeux sur ce qui se passe dans le monde depuis des siècles. Le développement des technologies de la communication s’avère être un outil incomparable pour donner du pouvoir aux gens. Les réseaux sociaux ont été créés par les dirigeants comme un système d’espionnage et de contrôle du peuple, mais ils ont également mis le meilleur outil de tous les temps entre les mains du public pour le partage de l’information.

Cela a déclenché un incroyable réveil de masse dans le monde entier, au cours duquel des centaines de millions de personnes intelligentes, conscientes et bienveillantes découvrent comment le monde fonctionne réellement.

Les tyrans s’en sont rendu compte trop tard et tentent maintenant désespérément de censurer toute vérité. Mais rien ne peut arrêter le tsunami d’éveil qui s’est déclenché et qui a inondé le monde ces dernières années. Notre Annuaire Mondial de la Liberté ne montre qu’une petite partie de ce qui se passe dans le monde, mais il contient déjà plus de 800 organisations qui révèlent la vérité à l’humanité. Et ce n’est que la première vague. Bien d’autres événements se produiront dans un avenir proche.

Un nombre critique de personnes dans le monde se sont éveillées et, à partir de maintenant, chaque nouvelle tentative des dirigeants cachés de réduire l’humanité au silence ne fera que les desservir de plus en plus.

Les dirigeants de l’ombre ont été démasqués. Des millions de guerriers courageux se dressent contre leur système mondial de tyrannie, d’abus, de torture et de tromperie. Un nouveau jour se lève et un monde meilleur se profile à l’horizon. Je demande à tous ceux qui liront ces lignes de ne pas se rendre coupables de soutenir l’ancien système du mal en ayant peur de partager ce rapport révélateur. C’est ce qui les a maintenus au pouvoir pendant si longtemps : le refus des gens d’exposer ce mal à l’humanité. Nous devons être des êtres humains courageux et compatissants qui feront tout ce qu’il faut pour mettre fin au règne de ce système cruel et corrompu. Vous trouverez ci-dessous une liste de choses que vous pouvez faire pour contribuer à la solution des horreurs que vous venez de lire. 

COMMENT POUVONS-NOUS ARRÊTER CELA ?

ÊTRE COURAGEUX

(…)

INFORMER LE PUBLIC

(…)

DISTRIBUER DES DÉPLIANTS

(…)

TÉLÉCHARGER DES FLYERS ET DES AFFICHES

INFORMER LES AUTORITÉS

(…)

S’IMPLIQUER

(…)

RÉSISTER

(…)

ÊTRE INDÉPENDANT

(…)

CONNECTER

(…)

SE PRÉPARER

(…)

CONNAÎTRE LA LOI

(…)

PRIER

(…)

SOUTENIR

(…)

SOUTENIR STOP WORLD CONTROL


RÉFÉRENCES


La fin de l’Humanité

[Voir aussi, du même auteur :
Israel — Le mystère dévoilé — Un film documentaire de David Sorensen,
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert
et :
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen]




Le rêve transhumain de la Silicon Valley

Alain Damasio : « Il faut battre le capitalisme sur le terrain du désir »

[Source : reporterre.net]

[Photographies : Patrice Normand]

Alain Damasio, écrivain de science-fiction, vient de publier « Vallée du silicium » (Seuil).
© Patrice Normand / Reporterre

Par Hervé Kempf

L’écrivain Alain Damasio sort Vallée du silicium, chroniques inspirées d’un voyage dans la Silicon Valley californienne. « Les technocapitalistes visent la libération individuelle, ils vivent dans un élitisme absolu », dit-il.

Alain Damasio, écrivain, publie Vallée du silicium (Seuil), des chroniques et une nouvelle science-fiction inspirées de son séjour dans la Silicon Valley, aux États-Unis. « La matérialité du monde est une mélancolie désormais », annonce le bandeau du livre.

Écoutez ce grand entretien ci-dessous ou sur une plateforme d’écoute de votre choix.




Reporterre — Quelle conception de l’avenir les technocapitalistes de la Silicon Valley ont-ils ?

Alain Damasio — Un avenir où l’innovation technologique continuera à constituer la norme, quel que soit son impact sur nos ressources terrestres. Un avenir où le désirable pour l’humain serait son augmentation (cognitive, physique) au sens du transhumanisme. Un avenir où l’épanouissement individuel par la technologie doit primer sur les liens aux autres et aux vivants.

Ton livre se présente comme une démarche anthropologique. Pourquoi ?

À l’origine, je ne l’ai pas intentionnellement construit comme ça, mais dès que tu t’interroges sur ce que la technologie fait à l’homme, tu déploies nécessairement des réflexions sur l’espèce humaine et son évolution, sur la manière dont le numérique nous transforme et dont la Silicon Valley nous façonne. Un champ crucial reste celui du corps. Les transhumanistes ont ce mot terrible pour le désigner : meat. La viande. C’est une chair morte, non irriguée. Seul le système nerveux central compte. Le reste, la chair frissonnante, les muscles, toutes nos sensations, notre sensualité fine ne les intéressent pas, parce que cela ne véhicule pas d’information exploitable dans le régime de la trace. Ce corps est maintenu en forme par le fitness ou la course dans le seul but que le cerveau et le système d’informations puissent fonctionner.

Le corps est conçu et vécu comme une machine. La nourriture est énergie. Le sport est une hygiène. Le cerveau s’optimise. Le bien-être s’algorithme. Ce corps est désaffecté, désinvesti. C’est un corps qu’on ne sent plus, qui n’a plus d’existence et qui ne te sollicite plus parce qu’il est maintenu dans un environnement climatisé, souvent assis, et dans une absence de mobilisation émotionnelle et affective.

Cette vision machinique du corps peut être reliée à celle de la planète. Quelle conception les gens de la Silicon Valley ont-ils de la planète Terre ?

La façon dont ils traitent les corps fait écho à la façon dont ils traitent la planète. Dans les deux cas, ils se vivent comme maître et possesseur de la nature — de ma nature pour le corps. Leur degré de conscience écologique très faible m’a frappé : le peu de magasins bios par rapport à la France, par exemple. L’alimentation reste un sujet dépolitisé chez eux. La prise de conscience de l’élevage, de ce qu’il faut pour produire la malbouffe m’a semblé inexistante. Les Californiens vivent sous une climatisation constante, et ne supportent plus que le corps sorte d’une fourchette entre 20 et 25 °C, ce qui devient aussi la norme en Europe. Maintenir un corps humain à ces températures en permanence représente une dépense énergétique énorme. Pour que ce corps n’ait plus besoin de faire le moindre effort, le climat a été domestiqué. Autant, en France, nous sommes en retard de dix ans sur leurs usages quotidiens de la technologie, autant, dans cette Californie techie [passionnée de technologie], la prise de conscience écologique m’a paru très « arriérée ».

« Il faut sortir de la peur de l’autre : se confronter à l’altérité entraîne forcément de l’imprévisibilité, de l’inattendu, de la menace. »
© Patrice Normand/Reporterre

Dans « Homo deus », Yuval Noah Harari parle de « surhommes » et de « castes inférieures », à propos de la société future créée par le développement des technologies. Penses-tu que cela décrit la vision des technocapitalistes ?

Ils vivent effectivement dans un élitisme « naturel ». Les leaders de la Tech n’ont pas la naïveté de croire que les apports transhumanistes puissent être universalisés. Ce n’est pas leur problème. Ils sont structurés autour de la libération individuelle, l’évidence de s’extraire des régulations étatiques, l’inégalité sociale comme une conséquence inévitable de l’accumulation du capital. Donc le transhumain est conçu pour une petite élite. Et peu importe que cette augmentation soit souvent strictement quantitative, oublie toute intelligence relationnelle ou émotionnelle et qu’elle trahisse une vision de sociopathe.

Le technocapitalisme se militarise, nous fait-il la guerre ?

Je ne pense pas qu’il fait la guerre au sens où il aurait une volonté politique d’exercer un pouvoir sur les populations. C’est un système très pragmatique, fondé sur l’action et dont le seul objectif reste la maximisation du profit. Ce qui implique bien sûr un large spectre de manipulations comportementales pour opérer. La Silicon Valley exerce des effets de pouvoir colossaux, qui sont d’abord un pouvoir sur les usages et les pratiques, le rapport concret à son environnement, aux autres, un impact induit sur la gestuelle et le corps. Bien sûr, les pouvoirs établis, les gouvernements, les médias mainstream, les armées et les polices, récupèrent ces outils pour leurs propres besoins et renforcer leur contrôle, leur influence ou leur maîtrise sur nos vies. Mais selon moi, l’impact de la Tech est d’abord anthropologique et « souple » avant d’être militaire ou sécuritaire.

« La logique immunitaire hygiéniste appliquée au corps aboutit à la sensation que tout devient dangereux. »
© Patrice Normand/Reporterre

Dans ton livre, tu soulignes la tension entre peur et liberté. Est-ce une des tensions les plus fortes du monde actuel ?

Oui. Il y a vingt ans, on se demandait où l’on se situait sur une ligne entre liberté et sécurité, et dans quelle mesure des pratiques libres et émancipatrices étaient favorisées par rapport à des pratiques sécuritaires et identitaires. Cette tension a été enfouie tellement les logiques sécuritaires l’ont emporté, ce qui explique ce grave décalage du spectre politique vers la droite, en Europe et ailleurs. Selon moi, ce phénomène a aussi une origine anthropotechnique : la logique immunitaire hygiéniste appliquée au corps aboutit à la sensation que tout devient dangereux. Plus tu es protégé et plus tu te protèges, plus le technococon devient épais et plus tu filtres tes rapports aux autres, si bien que la moindre intrusion, agression, harcèlement ou confrontation à l’altérité te paraît problématique et difficile. Et donc, tu vas demander encore plus de sécurité et de protection. Ce cercle vicieux tend vers quelque chose qu’il faut appeler l’immunité. Mais immunité partout, humanité nulle part !

Et cette logique du tout sécuritaire conduit à un repli sur soi…

Oui, alors que pour être libre, il faut accepter que les liens que tu vas tisser avec les autres te libèrent et ne sont ni des chaînes, ni des dangers, ni des menaces. Il faut sortir de la peur de l’autre : se confronter à l’altérité entraîne forcément de se confronter à l’inattendu, à l’imprévisible, à ce qui peut te déstabiliser. La principale critique que je forme envers nos technologies quotidiennes est qu’elles conjurent l’altérité. Elles sont construites pour fabriquer de l’identique. Home est son biotope : le petit chez-moi, familier, le cocooné, le confortable, le cajolé. Sauf que cette vision, et les pratiques de rejet qui l’accompagnent nécessairement, sont d’une grande violence pour les gens qui n’ont pas la possibilité de bénéficier de ce technococon égocentré.

Dans Le ministère du futur, Kim Stanley Robinson décrit la situation écologique et inégalitaire actuelle et imagine des écologistes tuer, prendre des milliardaires en otage, faire exploser des avions. Qu’en penses-tu ?

C’est la bonne solution aussi, à mes yeux. Je suis un partisan de l’action directe. On subit de façon trop molle et complaisante des actes d’une violence et d’une agressivité absolues. Les technocapitalistes ne se posent pas la question de ce que leur vision du monde produit sur nos vies ordinaires. Les actions directes, comme le sabotage, le brouillage, le piratage des chaînes de production, le boycott des produits, me semblent très souhaitables. Lorsqu’on dit ça, on donne l’impression d’être radical et hystérique alors qu’on énonce une banalité lucide. Ce qui est radical est ce que la Tech fait : ne pas s’interroger sur l’impact de la production d’une voiture électrique sur le travail des enfants en Afrique, par exemple, ou le pillage minier. Il faut stopper, invalider et inverser cette violence, la retourner. Et utiliser tous les moyens dont on dispose : le hacking [pénétrer illégalement dans un système informatique], les blocages, les occupations, la lutte des imaginaires, l’artivisme, les ZAD, etc. Il y a toujours des failles et il faut les utiliser. Mais aujourd’hui, très peu de militants sont prêts à prendre des risques parce que…

Parce qu’en face, il y a des appareils de répression de plus en plus élaborés et sophistiqués…

Complétement. C’est très intéressant de revoir l’histoire du mouvement Action directe dans les années 1970-1980. Ils pouvaient faire dix ou quinze actions avant que la police se mobilise ou qu’ils soient mis en prison. Aujourd’hui, des gens taguent une usine Lafarge et ils subissent une surveillance colossale, des peines de prison disproportionnées, quatre-vingt-seize heures de garde à vue. Le système répressif est d’autant plus féroce que les actions sont rares et modestes, c’est un paradoxe qui traduit un étouffement dans l’œuf de toute contestation. À nous d’être fins.

Cette surveillance est permise par l’intelligence artificielle et les instruments numériques.

On ne parle pas assez du couplage entre le régime de contrôle et le régime numérique. À partir du moment où le régime de contrôle, qui apparaît dans les années 1990, s’est couplé avec les possibilités du numérique, une puissance de feu colossale est apparue. Les degrés de surveillance et de finesse de contrôle n’ont jamais été aussi importants qu’à l’heure actuelle.

Quelle serait la résistance au système que tu décris et que nous subissons ?

Je n’aime pas le terme de résistance parce qu’il revient à considérer que malgré tout, le système va continuer à opérer, qu’il sera toujours dominant et que notre capacité est seulement d’en limiter les effets négatifs. Je pense qu’il faut construire des alternatives, proposer d’autres façons d’exister, de s’alimenter, d’habiter. Puis de montrer que ça marche et surtout que ça nous rend heureux et libres. Il faut battre le capitalisme sur le terrain du désir.

« Je pense qu’il faut construire des alternatives, proposer d’autres façons d’exister, de s’alimenter, d’habiter. »
© Patrice Normand/Reporterre

C’est extrêmement difficile parce que le technocapitalisme est fondé sur l’accomplissement de désirs individuels et immédiats. Je détaille dans mes chroniques ces quatre machineries de désir très puissantes que le technocapital active : la paresse plaisante, le pouvoir octroyé, la conjuration des peurs et des incertitudes et l’imaginaire du transhumain, cet antique désir « d’être dieu », d’échapper à notre finitude. Il faut ressusciter un désir qui fasse pièce à cette économie de désir qu’accomplit magistralement la consommation numérique. C’est un sacré défi, c’est un sacré combat.

Où se déploient aujourd’hui ces formes de résistance ?

De ce que j’observe, les nouvelles formes de libération se jouent désormais plutôt dans les zones rurales : campagnes, montagnes. Il y a un vrai retour à la terre, à l’image des années 1970. Beaucoup de communautés, d’oasis, de tiers lieux, de quarts lieux, de zones d’expérimentation, de ZAD se développent. Ça se passe sous les radars des médias urbains qui constituent la majorité des médias. Mais ça existe et ça résonne très au-delà des sites où ça naît, comme la ZAD de Notre-Dame l’a fait. Pour moi, l’espoir et les avancées concrètes se forment dans ces zones rurales et par ces expériences : maraîchage de montagne, économie du gratuit, intelligence collective, renouement aux forces du vivant, techniques de subsistance, fluidité de genres.

Je trouve l’idée de « zone » très forte. Il ne s’agit ni d’un domaine clos, ni d’une communauté autarcique, ni seulement d’un habitat partagé. C’est plus ouvert, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de frontières, ça rayonne et s’étend. On ne changera pas ce monde fondé sur les désirs individualisés et les échanges immatériels sans expérimenter en collectif, éprouver d’autres modes de vie qui destituent les effets de pouvoir, s’alimenter en bio, local et frais, trouver une autonomie énergétique, pratiquer le low-tech qui t’empuissante dans ton rapport à la techno, etc. Et surtout sans réactiver des liens au monde, au vivant et aux autres, qui te rendent plus vaste, plus joyeux et plus vif. On a besoin de lieux, d’espaces concrets pour ça et de pratiques incarnées, on a besoin de créer aussi, sans cesse, pour déjouer les machines de pouvoir qui nous pilotent.

https://www.seuil.com/ouvrage/vallee-du-silicium-alain-damasio/9782021558746



La fin prochaine du libre arbitre humain ?

[Source : marie-claire-tellier]

Traduction MCT

Par Dr Preston James

Le gouverneur Jesse Ventura a présenté une émission télévisée sur les conspirations, dans laquelle il a abordé la question des tours et des transmissions ELF. Dans cette émission, il a laissé entendre qu’un contrôle mental intensif était probablement mis en œuvre par leur utilisation. Les ELF ont d’abord été utilisées pour communiquer à travers le sol avec les sous-marins, comme les ondes P.

Voici un rapport alarmant datant de 1994 sur la technologie Blood Crystal et l’opération Crimson Mist. Ce rapport a été largement ignoré malgré son importance.

Technologie du cristal du sang :
https://prepareforchange.net/2024/04/04/operation-crimson-mist-rwanda-zombie-electronic-elf-genocide-of-1994

[Voir aussi :
Opération Crimson Mist]

Il est probable que cette technologie des cristaux du sang ait été remplacée par des molécules de nanocarbone autoassemblées pouvant servir d’émetteurs-récepteurs et par d’autres nouvelles technologies de nano-émetteurs-récepteurs dans le système sanguin. Ces technologies n’ont pas été utilisées dans tous les vaccins CV, mais chaque fabricant disposait de sa propre technologie et les vaccins obligatoires ont probablement permis de tester de nombreuses technologies similaires différentes afin de déterminer laquelle était la plus efficace pour chaque population. Certaines peuvent être affinées pour des populations génétiques spécifiques liées à l’appartenance ethnique. Si c’est le cas, une grande partie du déploiement actuel est utilisée pour le déterminer.

L’hypnotisation d’environ la moitié ou plus des masses en Amérique est probablement due au déploiement de certaines de ces technologies nano/ELF top secrètes. L’objectif de ceux qui déploient ces armes anti-humaines contre les masses est essentiellement de neutraliser ou d’arracher l’âme des cibles, puis de leur substituer une pensée de groupe qui les rend contrôlées en masse et, dans certains cas, « hissées comme des abeilles à miel », souvent complètement hypnotisées par les mensonges déployés par le gouvernement américain.

Dans un État que je connais, certains pensent que la plupart des vaccins envoyés pour être utilisés et qui devaient rester congelés ont été décongelés et éliminés, puis remplacés par des flacons de solution saline afin d’être payés.

Ces technologies ont été conçues pour réduire et/ou éliminer le libre arbitre de l’homme et pour infiltrer et détourner de grandes masses et populations. Ces technologies sont prétendument utilisées aujourd’hui pour contrôler l’esprit des masses et pour modifier l’ADN humain sous une nouvelle forme. Il s’agit peut-être de la première étape de l’élimination de 90 %, puis de 95 % de la race humaine par la cabale et de la transformation des 5 % restants en créatures non humaines à base de silicium qui ne peuvent pas penser de manière indépendante.

Les micro-ondes ont été utilisées pour la première fois pendant la Deuxième Guerre mondiale par les Japonais contre les chasseurs-bombardiers américains, mais leur capacité d’altitude était limitée. Les Soviétiques ont récupéré les scientifiques nazis spécialisés dans l’armement EMF et ont développé de nombreuses applications EMF différentes, dont certaines incluent des machines de haute technologie pour le contrôle de l’esprit et le sommeil.

Ross Addey, un médecin américain, a acheté une machine russe Lida et l’a utilisée à des fins expérimentales :
https://constantinereport.com/cia-mind-control-history-uclas-dr-w-ross-adey-brain-telemetry

Des armes EMF sophistiquées ont été utilisées pendant la guerre du Golfe pour vaincre facilement la Garde républicaine, qui avait la réputation d’être bien arrosée et de se battre avec acharnement.

Cette opération, baptisée « Voix de Dieu », a inséré la voix de leur dieu directement dans leur tête, leur ordonnant de se rendre pour le rencontrer personnellement.

Lorsqu’ils se rendaient, et qu’ils étaient essentiellement « mesmérisés en masse », ils étaient enterrés dans des fosses communes à l’aide d’un bulldozer. Cette technologie a été mise de côté parce que ceux qui l’ont déployée ne voulaient pas que nous, le peuple, sachions qu’elle existait.

Plus tard, pendant la guerre du Golfe, de petites sphères appelées « poppers » ont été installées au sommet de bâtiments et de véhicules américains et utilisées pour transmettre des ondes électromagnétiques de contrôle mental de masse afin de soi-disant pacifier les masses. Ces sphères ont échoué et n’ont fait que donner des maux de tête aux soldats américains ; elles ont donc été retirées et considérées comme un échec. Il semblerait que les systèmes de téléphonie cellulaire et Wi-Fi aient été remplacés et se soient révélés bien plus efficaces.

J’ai cru comprendre que des expériences étaient menées dans le domaine de la physique des particules quantiques et de l’enchevêtrement de particules sur de longues distances. Cela s’appelait la présence partagée et pouvait théoriquement produire des populations « hives », facilement contrôlées à distance par une psychotronique inductive de très haute technologie. Il est assez facile d’introduire ces nanoparticules dans les masses humaines en utilisant des aliments et des boissons. Certains ont émis l’hypothèse que les nanoplastiques désormais endémiques dans les aliments et les boissons comprennent des circuits secrets qui peuvent servir d’émetteurs-récepteurs.

Les pulvérisations massives de baryum et de nanoaluminium par les chemtrails sont certainement très suspectes et beaucoup de ceux qui savent qu’on leur a dit que c’était pour empêcher la surchauffe de la terre n’acceptent pas cette histoire de couverture.

Ce qui est vraiment triste, c’est qu’une nation comme l’Amérique et les pays de l’Union européenne soient infiltrés et détournés par les plus hauts responsables de la RKM. Ils ont pu le faire en capturant et en détournant le système de fabrication de l’argent et en le convertissant en un système de dette FIAT portant intérêt, dans lequel ils peuvent émettre ou imprimer tout l’argent dont ils ont besoin pour distribuer et prendre le contrôle. Cela leur a permis d’acheter, de corrompre et/ou de compromettre la plupart des hauts responsables des entreprises et des gouvernements et de transférer ou de voler subtilement et secrètement la richesse gagnée par les travailleurs américains.

À moins que la RKM ne soit chassée du pouvoir avec ses principaux représentants, comme beaucoup le pensent, il est probable que le libre arbitre et l’indépendance des âmes humaines prendront fin, ce qui semble être leur objectif.


L’histoire du contrôle de l’esprit par la CIA

Le Dr W. Ross Adey et la télémétrie cérébrale à distance
à l’Université de Californie à Los Angeles

Par Alex Constantine

« En 1984, le Dr Ross Adey, chef de la recherche au Pettis Memorial Veterans Hospital de Loma Linda, en Californie, a obtenu de collègues soviétiques ce que l’on appelle un “mini-émetteur de pic-vert”, baptisé LIDA et apparemment mis au point par Lev Rabichev et ses collègues en Arménie soviétique (voir les informations sur les brevets). Le LIDA fonctionnait sur une fréquence de 40 MHz et bombardait le cerveau d’ondes radio de basse fréquence. Il a été utilisé à titre expérimental par les Russes pour remplacer les tranquillisants et leurs effets secondaires indésirables. Les ondes radio pulsées étaient censées “stimuler le courant électromagnétique du cerveau et produire un état de transe”. »1

Dr Ross Adey

Opération Paperclip (NASA Space Nazi Folk)
Financement du Dr Adey par la CIA

« … Ross Adey, qui a reçu des fonds de la CIA, a découvert que les micro-ondes modulées, manipulées de diverses manières, pouvaient avoir un effet ou provoquer des “schémas électriques spécifiques” dans le cerveau humain, et que chez les sujets, les réponses représentant le conditionnement pouvaient être “améliorées en façonnant les micro-ondes avec une variation rythmique d’amplitude correspondant aux fréquences de l’EEG”. »2

Dr Ross Adey

La CIA et le contrôle électromagnétique de l’esprit

Le Dr Ross Adey, anciennement du Centre de recherche sur le cerveau de l’Université de Californie du Sud et aujourd’hui à l’École de médecine de l’Université de Loma Linda, en Californie, a travaillé sur le tristement célèbre projet Pandora de la CIA. Ses recherches ont porté sur l’induction de modifications comportementales spécifiques par des moyens électromagnétiques, ainsi que sur l’induction d’événements d’efflux3 de calcium pour interférer avec les fonctions cérébrales — ce que l’on appelle « l’arme de la confusion » (plus récemment, le Dr Adey a mis en garde contre les risques biologiques des émissions électromagnétiques des téléphones portables).

Les recherches menées par le Dr Adey au Brain Research Center ont montré l’existence d’une réaction biologique aux rayonnements électromagnétiques. Cette réaction dépend de la fréquence, de l’amplitude et de la dose du rayonnement micro-ondes utilisé.

Dans les années 1980, le Dr Adey a réalisé des expériences cruciales en utilisant des ondes porteuses micro-ondes modulées par des ondes ELF pour modifier les réactions des tissus cérébraux. Il a réalisé des expériences sur des tissus cérébraux de chat, montrant que la liaison des ions calcium aux sites neuronaux était affectée par de faibles champs électromagnétiques. Ces champs avaient une fréquence et une amplitude similaires aux champs produits dans le corps des mammifères et détectés par les électroencéphalogrammes (EEG).

Le Dr Adey a démontré qu’un champ de 147 mégahertz (MHz), d’une intensité de 0,8 milliwatt par centimètre carré au niveau du tissu, provoquait un efflux ou une libération d’ions calcium du tissu cérébral irradié. Cette réponse ne se produit que lorsque la modulation ELF de l’onde porteuse micro-ondes a une amplitude modulée de 6 à 20 hertz (Hz). La stimulation maximale des neurones a eu lieu à 16 Hz, mais de part et d’autre de ce paramètre de fréquence, il n’y a pas eu d’effet.4

Deuxièmement, la police s’est vu accorder l’utilisation exclusive de la gamme de fréquences micro-ondes de 450 MHz. C’est exactement la fréquence utilisée par le Dr Ross Adey, l’expert en contrôle mental de la CIA, dans ses expériences sur la modification du comportement. Il semble que la police ait l’usage exclusif de cette fréquence de contrôle mental et qu’elle dispose d’un vaste réseau d’antennes pour la diffuser dans tout le pays. Très utile pour le contrôle mental de masse en cas d’urgence. Adey a découvert qu’en utilisant une intensité de 0,75 mW/cm2 de micro-ondes à modulation d’impulsions à une fréquence de 450 MHz, il était possible d’utiliser une modulation ELF pour contrôler tous les aspects du comportement humain. Le quartier général de la police du Sussex est relié à des caméras de télévision en circuit fermé (CCTV) réparties dans toute la ville. Certaines de ces caméras sont équipées de dispositifs de télémétrie à micro-ondes qui pourraient facilement être utilisés pour diffuser cette fréquence. Les grandes antennes qui encadrent la ville pourraient également être utilisées.5

En utilisant mon détecteur de micro-ondes, j’ai découvert que les téléphones portables récents émettent un signal micro-ondes modulé par impulsion d’environ 0,75 mW/cm2 au niveau de l’écouteur. C’est peut-être une coïncidence, mais c’est exactement l’intensité requise pour le contrôle du comportement, comme l’a découvert le Dr Ross Adey, le pionnier du contrôle de l’esprit par micro-ondes. En théorie, un signal ELF pourrait donc être ajouté au réseau de micro-ondes afin de transmettre un modèle de comportement précis à chaque utilisateur de téléphone portable au Royaume-Uni. En cas d’émeutes généralisées, la possibilité de diffuser des stimuli comportementaux pour apaiser tous les utilisateurs de téléphones portables du pays s’avérerait utile. Comme les utilisateurs de téléphones portables appartiennent généralement à la classe moyenne, cela signifie que les autorités disposent d’une méthode utile pour contrôler le comportement des principaux électeurs. Les faisceaux porteurs de micro-ondes sont parfaits pour transmettre le potentiel d’excitation de la docilité à l’utilisateur du téléphone afin qu’il reste servile en cas de problème. Lorsqu’aucun signal ELF n’est émis, le téléphone agit d’une manière totalement différente sur le comportement des humains. Dans ce cas, le téléphone à micro-ondes provoque la libération d’ions calcium par les neurones, ce qui rend l’utilisateur fatigué et irritable et, en cas de stress, susceptible de provoquer des explosions émotionnelles telles que la rage au volant.

Le système TETRA émet des impulsions à 17,6 Hz et diffuse à 400 MHz, ce qui correspond essentiellement au projet Pandora financé par la CIA à la fin des années 60 et au début des années 70. Le Dr Ross Adey, chercheur en chef du projet Pandora, a transmis aux principaux chercheurs britanniques une vidéo qui prouve que non seulement le système TETRA provoque une zombification ELF par la libération massive d’ions calcium dans le cortex cérébral et le système nerveux, mais que les ions calcium activés provoquent également des perturbations hormonales massives qui entraînent des déséquilibres frénétiques et des états émotionnels et physiques…….

L’utilisation du système TETRA par la police conduira à des officiers contrôlés psychotroniquement qui peuvent être totalement contrôlés dans n’importe quelle situation et qui sont très utiles pour les états de chaos économique ou social où un comportement extrême et violent est nécessaire sans aucun scrupule conscient ou moral — ce que l’on appelle les robots policiers.6

L’une des premières voix à s’élever en Occident pour exprimer son inquiétude a été celle du professeur Ross Adey. Intéressé dès son plus jeune âge par la radio et le développement des radars, il a obtenu son diplôme de médecine en Australie pendant la guerre, puis s’est rendu à Oxford pour étudier la physiologie du cerveau. Il a été nommé professeur à l’université de Californie en 1954 et, en 1961, il a rejoint l’Institut de recherche sur le cerveau nouvellement créé. En 1965, il a été nommé directeur du nouveau laboratoire de biologie spatiale. Les projets sur lesquels ses équipes ont travaillé étaient liés à l’activité cérébrale du personnel militaire, y compris les effets des rayonnements ELF et micro-ondes pulsés, et ont été financés par la NASA, l’ARPA, la NSF, l’USAF et l’USN. Depuis lors, il est resté à la pointe de la recherche sur ces questions. Il a récemment déclaré : « Je serais très inquiet de voir une radio portable Tetra de quatre watts contre ma tête jour après jour ».

Quelle est donc la cause de cette inquiétude ? Au milieu des années 1960, Adey et ses collègues ont révolutionné notre compréhension du fonctionnement des cellules cérébrales. Au cours des 20 années suivantes, de nombreux articles ont été publiés, montrant que les champs électromagnétiques ELF affectaient la façon dont les ions calcium se déplacent dans le tissu cérébral et la façon dont cela affecte le fonctionnement interne des cellules. Les cellules vivantes sont entourées d’une membrane protectrice solide (la peau) et communiquent avec le monde extérieur par l’intermédiaire de brins de protéines chargés électriquement qui dépassent de leur surface. Ceux-ci transportent des signaux à l’intérieur de la cellule, où ils régulent la croissance, le développement et la division cellulaire. En 1976, il a été démontré que les effets des champs électromagnétiques de faible intensité se produisaient dans la gamme ELF, avec un pic entre 12 et 20 Hz environ. Les effets sont apparus plus clairement lorsque les signaux ELF ont été modulés en amplitude sur les micro-ondes, comme ceux utilisés par les combinés TETRA. Les micro-ondes pénètrent le tissu cérébral et « transportent » effectivement les impulsions ELF au plus profond du cerveau. Il existe également de nombreuses preuves que de faibles niveaux de micro-ondes pulsées peuvent provoquer la rupture de la barrière hématoencéphalique et permettre aux toxines d’atteindre le cerveau.7

[Voir aussi :
Technologies de contrôle mental
Un neurologue de la DARPA avertit sur le contrôle mental
Robert Kennedy Jr. explique comment la CIA a utilisé des expériences de contrôle mental pour apprendre à contrôler les masses
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Implants numériques et contrôle mental]





PLAN DE MARQUAGE DE L’HUMANITÉ

[Source : michelledastier.com]

Voici un article de Serge Monast dévoilant le projet des dirigeants de ce monde d’offrir tous les hommes et femmes de la planète à Lucifer au travers d’un système de contrôle que la Bible appelle « La marque de la bête ». Ce texte écrit au début des années 90 quand la puce électronique était quasi-inconnue, est d’actualité aujourd’hui. En moins de 30 années seulement, ce qui semblait être de la science-fiction est devenue réalité.

Dévoilement du complot relatif au plan de marquage de l’humanité

Par Serge Monast

Serge Monast, Journaliste d’investigation avait révélé dès 1993, le projet secret des Illuminati-Reptiliens de pucer le monde. Comme tous les gens qui disent la vérité, il a été assassiné !

Révélations de M. Monast (Un des derniers documents présentés par l’auteur avant son assassinat)

« Le 15 décembre 1993, à Montréal, Serge Monast, de l’Agence Internationale de la Presse Libre, dont les activités étaient uniquement axées sur le journalisme d’enquête internationale aux niveaux économique, politique, militaire et médical, dévoilait des informations si stupéfiantes qu’elles lui coûtèrent la vie. Neuf ans après, ses informations se confirment les unes après les autres. Il est vrai qu’il était informé par des politiciens repentis, des agents des services secrets écœurés ; il recevait également des documents classifiés, ultra confidentiels, souvent anonymement ou transmis par des confrères situés aux quatre coins du monde »

(Jacques Delacroix,Naufrage d’un système,Tome 1, Collection L.I.E.S.I., Éditions Delacroix, B.P. 18, 35430 Châteauneuf, 2003, page 70.)

Introduction

Depuis plusieurs années il existe des projets sérieux visant le marquage des individus par laser, sur le front ou sur le poignet. Mais aujourd’hui les tireurs de ficelles du Nouvel Ordre Mondial sont allés plus loin : Ils sont à même de réaliser leur rêve de contrôle complet du cheptel humain. Comment ? Par l’injection d’une puce électronique à chaque être vivant. Tout est quasiment au point ! Ce sera l’objet de la première partie de ce document. Ensuite, nous verrons pourquoi nos écoles ont produit une jeunesse qui, dans sa grande majorité, est — malgré elle — : pourrie, viciée, sans Foi, sans valeurs morales, sans esprit de discernement, sans vie intérieure, ayant pour unique perspective celle de servir le Système selon une morale Antichrétienne et Humaniste.

Nous nous pencherons ainsi sur les formes policières et militaires constituées par les cadres du Gouvernement Mondial. Cadres choisis parmi les brillants promus des écoles sans Dieu. Des jeunes formés selon une idéologie particulière. Ce Gouvernement Mondial au service de l’Enfer doit asseoir le fils de perdition — l’Antéchrist. Il a besoin d’une force d’action multinationale omniprésente. Elle ne peut se constituer qu’à partir d’éléments nationaux !

Concept de monnaie électronique avant le marquage de l’humanité. Une condition préliminaire :

L’instauration de la monnaie unique.

Depuis une trentaine d’années, les dirigeants des banques américaines et mondiales commencent à envisager un autre échange monétaire que celui du chèque. Le premier vice-président de la FED déclarait en 1975 : « Il faut absolument développer un nouveau système électronique d’échange sous peine de voir le système bancaire des États-Unis s’étouffer sous une avalanche de chèques ».

On mit alors en route un transfert électronique de fonds au niveau international, la SWIFT — Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunications, — établit à Bruxelles et comptant, enjanvier 1975 déjà 246 banques pourvues d’un système privé de communications pour la transmission de paiements et d’autres messages associés aux transactions bancaires internationales.

Une femme d’affaires américaine a fait paraître en 1981 et en 1983 deux livres fort bien documentés sur le système monétaire 666 en cours d’élaboration. Elle écrivait :

« Quand le système monétaire tombera… ce sera le 666 System…Bruxelles, le quartier général de l’économie européenne, est le lieu où se trouve le centre principal de branchement du réseau international SWIFT. Ce centre a l’ambition d’étendre ce transfert de fonds au niveau international, c’est-à-dire pour tous et dans tous les pays. Ce centre de contrôle monétaire occupe trois étages de l’immeuble de treize étages du quartier général de la CEE. C’est dans cet immeuble que Mr. Elderman est en train de diriger rapidement les efforts en vue d’attribuer à chaque personne sur la terre un numéro de 18 chiffres composé de trois séries de six chiffres. »

Cet article indique que les informaticiens travaillaient sur un plan qui visait à attribuer des numéros à chaque individu sur la terre. Ces derniers ont suggéré qu’un nombre chiffré pourrait être inscrit par tatouage au laser sur le front ou sur le dos de la main.

Selon eux, cette « marque internationale » pourrait en finir avec toutes les monnaies. Aucun individu ne pourrait acheter ou vendre sans avoir l’attribution d’une marque chiffrée…

Les capacités des ordinateurs du réseau SWIFT centralisés à Bruxelles sont telles que les initiés l’ont appelé « The Beast » (la Bête)… Ce gigantesque ordinateur à Bruxelles appelé la Bête existe depuis la fin des années 80.

Grâce aux cartes de crédit, il a été facile de mettre presque toutes les populations des nations industrielles et commerciales dans les mémoires des banques. Nous sommes liés à cette machine électronique par une ou plusieurs clés qui peuvent être notre numéro de sécurité sociale, notre permis de conduire, notre extrait de naissance, notre numéro de passeport. Chaque mouvement d’argent que nous avons fait et chaque penny que nous avons payé au service des impôts annuellement est enregistré.

La capacité de cette gigantesque machine de Bruxelles était préalablement établie pour 2 milliards de personnes en 1989. Chaque individu, membre d’une des nations industrielles est déjà dans cet ordinateur. Sont connus : chaque déplacement d’argent effectué, tous les changements d’adresses réalisés, les emplois suivis, les revenus et le taux d’imposition.

Dans ce programme, tout achat et toute vente doit se faire par ordinateur. Pas de devises, ni de monnaie ni de chèques. Les entreprises bancaires et commerciales se sont d’ailleurs toutes converties au niveau système de transfert électronique de fonds, entraînant dans leur sillage la grande masse des salariés et employés divers. L’idée initiale était d’établir cette gigantesque unification et planification monétaire par le moyen des cartes de crédit.

Dans les années 80, on pensait que chaque personne recevrait un numéro tatoué sur son poignet ou sur le front. Ce numéro fourni par Bruxelles serait imprimé par un rayon laser sans qu’on le sente. Le numéro sur le corps serait invisible à l’œil nu et serait aussi durable que les empreintes digitales. Tous les articles commerciaux sont pourvus d’une marque à l’ordinateur. L’apparition il y a quelques années du code-barres informatique s’est étendue rapidement sur la quasi-totalité des biens de consommation. Ce fut la première conséquence concrète, perceptible, du plan d’asservissement monétaire en cours. Tout ceci s’est fait sans publicité, dans le grand silence. Nous y reviendrons.

La caisse ordinatrice du magasin qui enregistre le numéro des articles, enregistrerait également le nombre sur le corps de la personne, ferait automatiquement le total de ses achats et déduirait le montant de son compte spécial de droit de retrait. À l’époque, la marque sur la main ou sur le front devait s’effectuer selon la technique du laser. On devait imprimer par brûlure microscopique, indolore, inaltérable et très précise, le code informatique des données bancaires. On trouve des explications aux États-Unis :

  • Dans les grands centres de loisirs où l’on pratique perfidement cette parole de Jésus : « Laissez venir à moi les petits-enfants »… À l’entrée du parc Disneyland, les parents règlent afin que leurs enfants puissent aller à telle ou telle aire de jeux. Rendu sur le lieu désiré, l’enfant met sa main dans une machine. Elle lit que l’enfant a payé. Elle le laisse entrer dans l’aire de jeux.

  • Dans les grands centres de distribution… Les clients n’ont plus à faire de longues queues devant les caisses. Plus besoin de passer leurs achats sur le tapis roulant. Pour emprunter un chariot, le client insère sa carte de crédit dans un logement spécial, qui s’y trouve incorporé. À l’intérieur se trouve un lecteur laser de code-barres robuste, à l’épreuve des chocs. Ainsi, chaque fois que le client introduit un article dans le chariot, son prix est enregistré. Le paiement s’opère automatiquement par connexion du chariot à la caisse-sas de sortie, qui lit la carte bancaire et vérifie la validité de son code. Le client n’a plus qu’à signer la facture établie par le lecteur code-barres de son propre chariot.

Le premier supermarché sans caissières a été ouvert à Caen en 1994…

Voici ce qui est peaufiné : pour emprunter le chariot, le consommateur devra apposer sa main dans un logement spécial incorporé — comme les enfants le font déjà à Disneyland. Le lecteur optique lira le code-barres de la main, gravé au laser.

Si le client potentiel est dûment marqué, si son compte en banque est suffisamment provisionné ou s’il n’est pas classé parmi les exclus économiques pour raison religieuse ou politique, le chariot se libère et le client peut rentrer dans le magasin. Même système et passage à la caisse-sas enregistreuse afin que celle-ci puisse établir l’identité de la facture, ainsi que le numéro du compte. Il signe cette facture et c’est fini. Seuls les esclaves de la Bête pourront manger et boire…

Mais les mondialistes ont été peu à peu obligés de se rendre à l’évidence : la carte de crédit par exemple n’était pas à la hauteur du plan monétaire d’asservissement universel ! Il fallait chercher autre chose. Dans ce contexte déjà bien avancé, il suffisait d’un pas de plus pour réaliser parfaitement la domination économique et monétaire du Gouvernement Mondial antichristique.

Plusieurs individus travaillant en solitaire pour la divulgation de la vérité sur des sujets variés, inconnus du public, dangereux, ont décidé de se réunir et d’organiser à l’échelle nationale et internationale un réseau parallèle d’informations et d’échanges de tout ordre. Ce, afin de freiner l’anéantissement des valeurs occidentales et de témoigner du complot qui s’abat contre notre monde chrétien.

Dangereux, parce que les informations vérifiables à l’Agence Internationale de la Presse libre, démontrent la perspective pas très lointaine de notre condamnation et d’une volonté des ennemis de Jésus-Christ Fils de Dieu, de nous pourchasser pour notre foi, notre refus de la société antéchristique actuelle, et finalement du désir de marquer du signe de la Bête tous les individus de la planète comme vous le verrez par la suite.

Les activités de l’Agence Internationale de la Presse libre au Canada sont accès uniquement sur le journalisme d’enquête internationale au niveau économique, politique, militaire, médical, et vérifiables. Leurs dirigeants ne peuvent pour l’instant pas être contactés pour des raisons que chacun devine. D’où la décision prise de diffuser ce que vous allez connaître. Même les informations qui seront portées à votre connaissance ont été obtenues avec beaucoup de difficultés de la part de certains journalistes [néanmoins la cohérence de ces informations rend celles-ci fort vraisemblables, pour ne pas dire certaines, compte tenu de ce qui s’est déjà réalisé]. Plusieurs ont risqué leur emploi, leur sécurité et pour quelques-uns, leur vie.

Partie I
MARQUAGE DE L’HUMANITÉ
Le microchip biologique d’identification internationale

Depuis l’apparition des Codabars en 1977 — approuvé par l’ONU dès 1972 — il y a une accélération foudroyante du Plan de la « Synagogue de Satan » [Apocalypse, II, 9] prophétisé par l’Apocalypse aux chapitres XIII, versets 8 et 15 à 18 :

« La Bête réussit à leur faire mettre à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, une empreinte sur la main ou sur le front ; et elle fit en sorte que nul ne pût acheter ou vendre, qu’il n’eût l’empreinte, le nom de la Bête ou le nombre de son Nom. Ici réside la Sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la Bête. C’est un nombre d’homme. Ce nombre est Six cent Soixante-Six »
[www = 666].

Ces Codabars de type « Ean » intégraient le nombre « 666 » au moyen de trois groupes de deux barres plus longues que les autres (au début, au milieu et à la fin). Chacun des groupes est lu au laser comme un « 6 ». Ainsi obtient-on le chiffre « 666 » qui se surimpose sur chaque code-barres. Ces trois chiffres identiques s’ajoutent aux treize chiffres fonctionnels (le choix de ce nombre fut volontaire afin de dévoiler la réalisation de l’Apocalypse, précisément son chapitre XIII !).

Le code de treize chiffres s’explique ainsi : 3 pour le pays et la région d’origine, 5 pour les producteurs (usine, atelier, etc.), et 5 pour le produit (prix, date, etc.). Chaque chiffre est lui-même réalisé par une juxtaposition de 7 modules blancs ou noirs. Comme le nombre d’arrangements de 7 modules est très supérieur à 10, ce procédé permet d’utiliser simultanément 3 codes dits A, B et C.

B est identique à A, mais à l’envers. C s’obtient en inversant les couleurs de A. Le code A n’est utilisé que pour les 6 premiers chiffres de chaque étiquetage, ce qui permet de déchiffrer le code, quel que soit le sens dans lequel les caissières des supermarchés présentent les paquets devant l’appareil de lecture optique. Afin d’éviter les « doubles », tous ces codes sont attribués, dans chaque pays par un diffuseur unique qui a fait du secret sa règle d’or : « Gen Code », filiale du diffuseur américain.

En 1988, la ville de Singapour — en Malaisie — a testé ce système de marquage sur une population de dix mille personnes. Pendant trois mois on a testé dans cette mégapole le remplacement des cartes de paiement par un Code-Barres individuel lisible au laser. Le code était gravé pour moitié sur le poignet et pour moitié sur le front !

Ron Steele démontrera que la technologie pour marquer, enregistrer et surveiller des gens existe par exemple aux États-Unis avec des prisonniers et même certaines prostituées séropositives.

Le sujet que je développe à ce jour est basé sur des informations fournies essentiellement par Ladite Agence ; il est très important. Même les journalistes initiés ne pouvaient pas penser que l’information qui fait l’objet de cet article puisse exister. Il s’agit de quelque chose d’excessivement sérieux, qui, du jour au lendemain, non seulement permettrait l’instauration d’un Gouvernement mondial, d’un ORDRE MONDIAL, mais rend possible le contrôle individuel, direct, de chaque individu sur la planète.

Cette information concerne le microchip biologique d’identification internationale. Dans la nouvelle technologie de pointe qui va être utilisée et l’est déjà pour arriver à un contrôle absolu de toutes les populations de la planète, les architectes du Nouvel Ordre Mondial ont admis dans des réunions privées que sans l’avènement de l’ordinateur et de la haute technologie, la réalisation d’un Gouvernement Mondial n’aurait jamais pu être si proche. Parmi ces nouvelles technologies les plus effrayantes qui soient, il y a le microchip biologique d’identification internationale.

Qu’est-ce que c’est ? Des confrères américains [et non français] ont réussi à obtenir des informations vérifiables grâce à des documents audio, des photographies, un dossier de presse complet provenant de publications produites par des journaux officiels et religieux depuis 1990. Ces informations démontrent l’existence d’un contrôle électronique direct de tous les individus sur toute la planète.

On pourrait croire avoir affaire à de la science-fiction, mais la présence de documents écrits, de références à ces documents et des documents vidéo provenant des compagnies qui ont mission de fabriquer ce produit-là, ne laissent aucune alternative quant aux conclusions.

Selon Terry L. Cook — journaliste chrétien d’investigation sur la côte ouest américaine, — celui-ci se référant à Tem Wellord, la technologie cachée derrière le nouveau MICRO CHIP n’est pas très compliquée. Avec un peu de raffinement, il pourrait faire l’objet d’une grande variété d’applications humaines.

D’une manière plus que concevable, un numéro pourra être assigné à chacun dès la naissance et faire partie de la vie intégrante de celui-ci jusqu’à sa mort.

Vraisemblablement cette puce électronique pourra être implantée sur le revers de la main, et celle-ci pourrait servir de carte d’identification universelle, ce qui remplacerait les cartes de crédit, les passeports, les permis de conduire, etc.

À la fin de l’année 1993, une compagnie américaine : la Destron Idi Colorado, fabrique et annonce ces puces électroniques d’identification IDI CHIP globalement via « Infopet » et d’autres distributeurs américains et internationaux.

Pour l’instant, ces puces sont utilisées pour retracer, contrôler et identifier les animaux de ferme, les animaux domestiques, les oiseaux, les poissons et tous produits manufacturés. Actuellement ce nouveau système se répand à la vitesse de l’éclair sur toute la planète. Un exemple : celui de l’implantation du MICRO CHIP sur les grands oiseaux coureurs d’Australie.

Autruches, émeus et nandous sont l’objet d’un élevage commercial aux États-Unis. Zoan Parker, un spécialiste des ratistes ou oiseaux coureurs du Penn State Cooperative Extension à Lancaster, déclare que l’élevage de ces oiseaux reflète aujourd’hui les mêmes tendances que l’élevage du bétail dans les années 1800, qui commença également comme un marché limité à quelques éleveurs. Ces premiers fermiers savaient que les voleurs de bétail étaient un véritable problème. Plutôt que de marquer le bétail au fer chaud, ce stock d’oiseaux vivants est muni d’un MICRO CHIP individuel d’identification qui émet un signal. Zoan Parker dit que « c’est comme un numéro de sécurité sociale ».

Cet article est la 2e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

Ce MICRO CHIP est si petit qu’il peut être facilement introduit dans une aiguille hypodermique ! Il s’agit d’un minuscule tube de verre, microprocesseur passif, de 2 mm de diamètre, et dont la taille mesure entre 10 et 12 mm.

Peu après la naissance de l’oiseau, le MICRO CHIP est injecté dans les tissus adipeux ou musclés de l’animal, « ne causant aucun mal ou inconvénient à l’animal », selon Parker. L’oiseau peut alors être identifié par un lecteur de MICRO CHIP portable.

Parker ajoute : « Chaque oiseau doit être muni d’un MICRO CHIP pour être transporté à travers les frontières des États, ou être assurés. Il vous faudrait littéralement déchirer l’oiseau en morceaux pour arriver à ôter le MICRO CHIP ».

En 1995, comme la plupart des gens le savent, le numéro d’assurance sociale se compose d’une série de neuf chiffres. Selon d’autres informations reçues tout récemment à l’Agence, ce système sera tout prochainement remplacé avec l’aide de nouveaux ordinateurs, par une série internationale de dix-huit chiffres numériques, à cristaux liquides, connus sous le nom de MESH-BLOCK. Une configuration internationale qui permettra d’identifier n’importe qui sur la planète. Cette nouvelle série de dix-huit chiffres sera divisée en trois parties, c’est-à-dire trois séries de six chiffres chacun.

Tout début 1994, ces implants de puces électroniques aussi appelés TRANSPONDER ont été partout répandus sur la planète pour le contrôle de l’industrie animale. Afin d’identifier l’animal (numéro précis attribué à chacun, comportant le nom et l’adresse des propriétaires) un lecteur manuel envoie une impulsion radio de 125 kHz (signal). Le transponder implanté renvoie le numéro attribué par retour (réponse en écho), au lecteur (scanner). Le scanner affiche aussitôt le nombre digital sur son écran à cristaux liquides.

Un TRANSPONDER, c’est un récepteur-émetteur radio ou radar, activé pour la transmission, par la réception d’un signal prédéterminé qui peut provenir d’un lecteur au laser ou d’un équipement sophistiqué : émetteur ordinateur ou même par satellite. Selon le journaliste L. Cook (« Implantable Biochip Tenchnology 666 ») le nom complet de ce « grain de riz » est : Destron Idi Transponder TX 1400 LX. Dans son livre il nous apprend que le coût d’un de ces « grains de riz » est d’environ $4,5(US). Il cite dans cet ouvrage un article de « San Diego Union » du 9 novembre 1991 dans lequel un journaliste révèle que la ville de Los Angeles aurait voté un crédit de $ 123 000 par an, pour fabriquer des « implants » sur les animaux familiers et inciter les propriétaires à en faire autant. L’objectif consisterait à réduire par ce système le nombre des animaux perdus, qui coûtent cher aux villes…

Dans un autre article, tiré du « Arizona Republic » du 20 juillet 1989, on apprend qu’un certain Jack Dunlap proposerait d’implanter des puces électroniques aux… jeunes enfants afin que leurs parents puissent les retrouver en toute occasion, par l’intermédiaire des ordinateurs de la police ! … [Et le pas est franchi, car l’escalade coulait logiquement et inéluctablement de source.]

Ce journaliste américain précise : « La technologie cachée derrière ce nouveau “microchip” n’est pas très compliquée et, avec un peu de raffinement, pourrait être utilisée dans une grande variété d’applications pour les humains » [bien sûr, c’était cousu de fil blanc]. À cet effet, en 1995, une nouvelle version est en phase d’expérimentation sur l’être humain. Vraisemblablement cette puce d’identification a de grandes chances de devenir le marquage électronique attendu puisqu’elle pourrait être implantée sur le front ou le revers de la main et de venir la « carte d’identité universelle ». Par exemple, dans les magasins, il suffirait de passer le poignet au-dessus ou dans un « scanner » pour effectuer ainsi un débit direct sur un compte bancaire… [et le tour est joué !].

Selon la C.E. Ouranos « des expériences ont été faites aux États-Unis pour graver sous forme de tatouage invisible à l’œil, le code-barres sur la main de certaines personnes. Une nouvelle carte identité infalsifiable comportant une puce électronique permettra, une fois passée dans un lecteur, de connaître tous les renseignements sur la personne. Elle fera office de carte universelle d’ici l’an 2000. Déjà la nouvelle forme de pointage électronique remplaçant le ticket de métro et de bus dans certaines villes préfigure le nouveau système de contrôle magnétique infalsifiable qui sera utilisé d’une manière universelle ».

On sait que de tels projets sont testés en ce moment même dans les « bureaux d’études » constitués et financés par la « Synagogue de Satan » [Apocalypse, 2:9] (Haute Finance internationale). Cela paraît peut-être invraisemblable, mais il est aujourd’hui possible « techniquement » de contrôler directement et individuellement chaque individu sur la planète. Chacun d’entre nous, avec ce système, serait enregistré. Et d’après les documents reçus, il est évident que ceux qui comptent l’implanter d’une manière obligatoire au niveau des populations sont en train de structurer les nouveaux paramètres internationaux, la nouvelle télémétrie économique, de manière à ce que tout individu qui n’aurait pas cet implant électronique ne puisse ni acheter ni vendre quoi que ce soit sur toute l’étendue de la planète.

Pour mieux comprendre ce que peut être le microchip biologique d’identification internationale on peut chercher une définition d’après les compagnies qui ont reçu mission de la créer [terme impropre : Dieu seul crée].

Après avoir évoqué la Destron Idi Colorado on pourrait aussi citer la multinationale Texas Instrument, la Tarovan, qui est la compagnie du système d’identification électronique aux États-Unis, mais aussi la compagnie Avidqui fabrique un « tag », c’est-à-dire une espèce de médaille d’identité qui est remplacée par la puce électronique et fait partie des sociétés construisant des appareils d’identification pour le monde vétérinaire aux États-Unis.

La définition transmise par ces sociétés est la suivante : l’implant microchip d’identification est un appareil d’indiscrétion, d’abus de la vie privée, inséré avec une unité — un module — dans une petite région de la peau au moyen d’air comprimé.

En d’autres termes, cette puce électronique — pas plus grosse qu’un grain de riz — doit être injectée à l’aide d’une seringue à air comprimé. L’inclinaison de cet appareil d’implantation est comme une aiguille hypodermique, n’ayant qu’une pénétration limitée, et elle ne pourrait aucunement opérer si l’angle ou la quantité de peau n’était pas approprié. Cette unité émet un signal qui est digital et qui consiste en des jaillissements de 85 datas Bits.

Cette puce produit donc un signal digital à des intervalles spécifiques. C’est un signal de localisation. La technologie de cet appareil est hautement sophistiquée, classifiée (donc c’est une information technologique non publiée), et elle n’est pas soumise aux transmissions digitales normales et analogues. Cet appareil fournit des informations vitales, de même qu’il sert de moyen de localisation ; c’est-à-dire que l’appareil peut être codé, programmé, pour fournir des informations complètes avec un numéro d’identification. De plus il permet aux individus qui le manipulent de vous repérer où que vous soyez par un service de détection. Il y a ainsi, par l’implantation du MICRO CHIP sous la peau, possibilité de localiser tout individu grâce à l’émission du signal émis par la puce, et capté par des satellites. Ces derniers retransmettraient l’information à un écran d’ordinateur aux quartiers généraux des corps de police au service de ce Gouvernement Mondial [peut-on imaginer la puissance d’un tel Gouvernement ?] (Nous verrons plus loin que ces corps de police existent déjà).

Une carte géographique intégrée dans le programme de l’ordinateur permettrait alors de localiser immédiatement l’individu recherché et de programmer une opération pour le trouver.

C’est essentiellement dans cette perspective que sont lancés à foison les satellites aujourd’hui.

Penchons-nous précisément sur la question des satellites au regard d’autres informations reçues par la Commission d’Études Ouranos. L’objectif s’intitule : « Une autoroute de données par satellites ».

Il y a chez les mondialistes de l’ONU et les financiers de l’Ordre Mondial [car, dans cet ordre-là, rien ne peut être réalisé sans argent], une volonté délibérée de faire de la planète un grand « village ». Il est pour eux un impératif que les endroits les plus reculés du monde soient reliés à une infrastructure mondiale, grâce à un gigantesque réseau de 840 satellites. Ce projet est proposé par Bill Gates [Monsieur Gates, attention au boomerang !], le fondateur de Microsoft, et par Craig Mc Caw, le roi du téléphone cellulaire (tous ces téléphones ont déjà une puce intégrée qui permet de suivre à la trace leur possesseur, d’où une publicité effrénée pour leur diffusion).

On sait que l’américain Loral Corp et neuf partenaires étrangers, dont le puissant groupe français Alcatel Alstom, viennent de donner le coup d’envoi d’un système mondial de téléphonie et de radiolocalisation par satellite Globalstar, qui s’associera avec Bill Gates. Pour découvrir 98 % de la population mondiale, la « constellation Globalstar » comprendra 48 satellites sur six plans orbitaux à l’altitude de 2390 km.

Bill Gates prévoit ainsi un réseau gigantesque de 840 satellites gravitant sur 21 orbites différentes, à une altitude de 700 km, de manière à couvrir 95 % de la planète.

On relèvera outre le projet « Globalstar », plusieurs « concourrents » dont le projet « Irridium », fondé sur 66 satellites, pour 1988. Projet qui présente la particularité d’être en avance sur les autres dans la réalisation technologique.

D’après les documents en possession de certains journalistes canadiens et américains [les journalistes français s’étant éclipsés] et fournis à l’Agence Internationale de la Presse libre, le MICRO CHIP a déjà été expérimenté et implanté dans des organismes de bébés, de militaires, de messagers du gouvernement et sur du personnel travaillant à la Maison-Blanche dans des sections de haute sécurité. On rapporte aussi qu’il fut autorisé pendant la guerre du Golfe et fut montré publiquement à l’émission très connue de « Twani and Twani » aux États-Unis, en août 1991 [en France, on se couche, comme le disait déjà l’extraordinaire Mélanie de la Salette, Sœur Marie de la Croix, la sainte Bergère].

Relevons parmi les projets diaboliques celui d’implanter dans le corps de nouveau-nés une « puce électronique » devant faire de cet individu un robot soumis au pouvoir de l’ordinateur avec lequel il sera branché. « Bonum Certanem » de l’abbé Mouraux dévoile que « le malheureux contrôlé jour et nuit deviendra un esclave électronique. Commandé électroniquement cet esclave pourra sur l’ordre de ses maîtres, commettre tous les crimes qu’on lui imposera ».

Il apparaît donc qu’à l’heure actuelle, avec une technologie de cette trempe, on arrive à une possibilité du contrôle complet des individus sur la planète, qui permet l’instauration d’un Gouvernement Mondial sous l’égide des Nations-Unis.

Mais il y a pire… On sait aujourd’hui que des personnes travaillent au remplacement, dans la prochaine décade, du MICRO CHIP par un BIO CHIP : une puce fabriquée à partir de protéines vivantes. À l’heure actuelle, le projet est déjà en stade d’expérimentation. Cette puce sera infiniment plus petite que le MICRO CHIP : elle aura la capacité de renfermer une foule d’informations. Elle aurait le potentiel de pouvoir agir sur la mémoire ou la pensée d’un individu. D’où le spectre du contrôle mental.

Est-il possible aujourd’hui d’agir sur l’être humain à son insu par la manipulation des états de conscience ? On peut facilement à cette question en se référant aux états de haute suggestibilité sur le conscient qui permet l’action de l’hypnose sur l’inconscient. À titre d’exemple, la télévision devient un outil efficace pour ce genre de manipulation au moyen du sublimal. D’ailleurs la CIA qui travaille actuellement à l’installation de son propre « canal de télé » aura la capacité de transmettre — à partir de transmetteurs aériens puissants — pour interrompre toute programmation dans n’importe quel pays. Nous avons là la réalisation matérielle de ce verset biblique : la Bête aura le pouvoir de « faire parler les images » (Apocalypse, 13:15).

Pour les initiés qui financent des chercheurs sur des projets aussi macabres, une telle puce présente d’autres avantages : tout pourrait y être inclus. Cette puce d’identification électronique humaine pourrait rendre réalisable une centralisation globale par un ordinateur central. D’où possibilité de ne jamais perdre la trace d’un individu et de remplacer le système monétaire actuel. L’argent ne serait alors plus nécessaire : plus besoin de chèque, de cartes de crédit, etc. Tout fonctionnerait à partir de cet implant électronique sur l’individu. Ce serait un moyen fantastique de réduire les dépenses de l’État, des banques et de neutraliser une fois pour toutes l’ensemble des marchés de la mafia, du marché noir, le marché de la drogue, et toutes formes de transferts illégaux d’argent.

Or à la conférence annuelle du Groupe Bilderberg de 1992, à Évian, en France (peu de temps après les émeutes de Los Angeles) Henry Kissinger a déclaré :

« Aujourd’hui les Américains seraient scandalisés de voir des troupes de l’ONU rentrer dans les rues de Los Angeles afin de restaurer l’ordre. Demain, ces mêmes populations vont nous remercier à genoux pour un tel acte. Il est spécialement vrai que si l’on dit aux populations : “écoutez, il y a un danger extérieur énorme qui existe”, et que l’on vote des lois en fonction de ce danger : que ce danger soit réel ou non, on sera capable de faire passer n’importe quoi, et les gens l’accepteront pour le bien-être de leur sécurité. »

De la même façon, d’autres politiciens américains ont imaginé qu’à partir du moment où il y aurait un scandale sans précédent d’argent, ou une terrible crise économique fabriquée de pures pièces qui jetterait toutes les valeurs monétaires à terre, le meilleur système de remplacement du système actuel et la meilleure parade pour empêcher un autre chaos, serait l’utilisation d’une puce électronique d’identification. Selon eux, par cette puce passeraient toutes les formes de transactions, d’échanges nationaux et internationaux, entre les individus.

Des informations récentes confidentielles, vérifiées par un ex-officier de la CIA, dévoilent différentes données que le TRANSPONDER pourrait fournir si cette puce électronique était implantée dans la peau : le nom et la photo de la personne, le numéro d’assurance sociale internationale composé de trois séries de 6 chiffres — chacun pour un numéro international de dix-huit chiffres, — des données au niveau des empreintes digitales, la description physique de la personne, l’adresse, l’histoire familiale (arbre généalogique) [cf. les Mormons], des informations relatives au travail et aux revenus de la personne, des informations concernant l’impôt et un éventuel casier judiciaire. Cette technologie déjà utilisée sur la planète dévoile une volonté d’exercer une dictature sur tous les individus.

Il y a là une perspective de totalitarisme dont entend faire montre le futur Gouvernement Mondial à travers l’Ordre Mondial actuellement en cours.

Il existe d’autres informations dans un rapport spécial sur la nouvelle technologie pour la surveillance par satellites. La sophistication, le raffinement des satellites est tel qu’il permet de repérer des imperfections souterraines, même de voir des verres sous le gazon. En utilisant des tours cellulaires et des satellites, l’animal domestique doté d’un MICRO CHIP ou l’individu qui en a reçu un peut être repéré par satellite au moins à dix pieds de l’endroit où il se trouve.

Par ordinateur et un système de scanner, la police de l’Ordre Mondial — qui est déjà la police actuelle — sera, grâce à un tel équipement, capable de retracer un individu sur toute la planète.

On devine qu’un individu catholique, par sa seule Foi au Christ, constitue un obstacle aux idées antéchristiques de l’Ordre Mondial : il sera « classé » comme un dangereux terroriste par l’ONU. Cet individu-là n’aura aucun moyen de se cacher sur toute l’étendue de la planète. Voilà pourquoi les Saintes Écritures nous préviennent de refuser le marquage. Par des renseignements complémentaires, on sait que les hommes au service de l’Ordre Mondial peuvent suivre par satellite un milliard d’animaux domestiques à qui on a injecté la puce. Qui, d’après vous, seront les suivants sinon nous, les hommes ?

Fin 1993, il y avait vingt-quatre « navstar » satellites pouvant repérer n’importe quoi de l’ordre d’un centimètre dans un rayon d’un kilomètre. Vous pourrez trouver ces informations dans le magazine Forbes du mois d’octobre 1991. Mais le document ne développe qu’une parcelle de tout ce qu’ilssont capables de faire à ce jour avec une technologie secrète, financée par des investissements de multinationales ou de banques centrales. (Vous comprenez ici l’objectif de Jean Conrad du « Complot contre l’homme ».)

Parmi les dossiers constitués à partir de fuites ou de révélations privées, on sait qu’un contrôle accru de l’humanité s’effectue au moyen de : la surveillance au laser, les nouveaux permis de conduire, la nouvelle carte d’assurance maladie aux États-Unis et au Québec, le nouvel espionnage électronique par le téléphone, le téléphone sans fil, les dossiers d’appel téléphonique, le micro clandestin, les répondeurs téléphoniques et les boîtes vocales, le système électronique pour porte de garage, les enquêtes sondages téléphoniques, les disquettes d’ordinateur, les services des postes, les caméras vidéo, les dossiers d’impôts, dossiers scolaires, dossiers médicaux et de service social.

Par une crise économique, ils sont en train d’engendrer une crise sociale qui oblige déjà les gens à se diriger malgré eux, vers une aide sociale. C’est un moyen légal qui ne paraît pas [un prétexte] pour aller chercher une information complète sur tous les individus.

Ce n’est pas tout. Citons le contrôle technologique du cerveau à distance, champ électromagnétique, terminaux de vidéo et jeux vidéo, micro-onde, désinformation militaire et civile, le contrôle par micro-onde basse intensité et complication biologique, les nouvelles armes électromagnétiques.

Des informations ont été obtenues sur la Banque Mondiale de la Conservation de l’Énergie. David Rockfeller et d’autres ont établi, au cours d’une réunion du 13 septembre 1987, le découpage géographique du Canada au profit du Nouvel Ordre Mondial avec carte géographique du plan mondial. Il y a aussi le plan technologique pour la chute de l’économie mondiale et l’anéantissement des fortunes individuelles ; le nouveau papier-monnaie avec barres magnétiques invisibles, la disparition des classes moyennes et la nouvelle télématique internationale au niveau du contrôle de l’économie mondiale. On vient d’ailleurs de finaliser en décembre 1993 les accords qui permettront d’arriver à un contrôle semblable.

Cet article est la 3e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

On pourrait aussi parler de la nouvelle surveillance électronique automobile qui s’installe sur les autoroutes et qui fait que les nouvelles voitures renferment des systèmes de repérage électronique de détection, sans que les acheteurs en soient conscients. Si bien qu’un système militaire se met lentement en place et rend possible tout repérage de véhicules et d’individus par rapprochement avec le fichier central détenu par la police au quartier général où repose l’ordinateur.

Les systèmes de détection sont si précis que l’on peut même savoir qui conduisait telle voiture à une heure précise, en tel lieu. Il y avait, fin 1993, des mises en pratique sur certaines autoroutes en Californie.

On met donc, à l’heure actuelle, sur l’ensemble de la planète, un des réseaux les plus sophistiqués de détection qui permettra un système de surveillance sans précédent de tous ceux qui auront reçu ce nouvel implant technologique, mais également de distinguer parmi les populations ceux qui l’ont refusé.

Avec ce nouveau micro chip biologique d’identification internationale il sera possible d’imposer un Nouvel Ordre Mondial à l’intérieur duquel tous ceux qui n’auront pas reçu, ou auront refusé cette marque d’identité, n’auront aucun droit ni d’acheter ni de vendre [cf. Apocalypse, 13:16-17], c’est-à-dire aucune possibilité de travailler, de recevoir un salaire, d’acheter un appartement ou de vivre comme locataire, de vendre des biens, etc.

Qui va accepter d’échanger des biens dans un régime de peur où tous les moyens d’échange seront bannis ? Voilà pourquoi il a été décidé de rendre public ce genre d’information. Parce que le plan est si avancé que se taire c’est être coupable comme les hommes politiques qui eux-mêmes sont au courant. N’oubliez pas que ces hommes politiques dépendent des prébendes des multinationales, lesquelles financent les programmes d’investissement de recherche qui ont abouti à la création de cette technologie de mort !

Pourquoi ne disent-ils rien ? Parce qu’ils n’ont plus de formation chrétienne et « croient » (je suis gentil !) que ce système est pour le bien des populations.

A été mis au point un MICRO CHIP de traduction. Il s’agit d’une puce électronique qui permettra la traduction instantanée et simultanée d’une langue dans toute autre langue. Soit, au moins dans soixante et une autres langues et dialectes qui, par satellite, pourront être diffusés partout sur la planète en même temps. Ainsi un dictateur mondial pourra s’adresser à toute l’humanité en même temps par le biais de ce nouveau produit de la technologie au service du Nouvel Ordre Mondial.

Pour ceux qui se souviennent de certains textes remontant il y a fort longtemps, vous trouverez des correspondances avec l’anti-Babel ! La Babel antéchristique du Nouvel Ordre Mondial entend suppléer aux conséquences de la première Babel [et parodier la Pentecôte ou le Saint-Esprit – cf. Genèse, 11:1-9; Actes des Apôtres, 2:1-12].

Il existe aussi un autre système de contrôle de la population : la surveillance au laser. Un nouveau laser d’écoute électronique a été vérifié et mis au point comme outil très spécial par les départements enclins à la surveillance : la CIA, le FBI et le Revenu de l’Impôt aux États-Unis. Ces nouveaux dispositifs peuvent, en utilisant une fenêtre comme diaphragme (comme un écran de télévision), suivre et enregistrer toute conversation à plus de vingt mille de distance.

Au niveau biologique, le D.N.A. est utilisé comme mémoire pour les ordinateurs et les implants de mémorisation. Ceci devient de la biotechnologie. Or la source de cette nouvelle biotechnologie — nous sommes rendus là dans les développements actuels, — provient du tissu de bébés avortés.

Ces tissus et les protéines de mémoire sont des systèmes majeurs pour l’intelligence artificielle dans le marché actuel des ordinateurs.

Voici ce qui est rapporté par le Winache World du 26 juillet 1991 :

« Le gouvernement finance à l’heure actuelle des expérimentations sur des bébés morts ou vivants. Les bébés avortés dans le troisième trimestre, âgés entre six et neuf mois, survivent habituellement au processus d’avortement. Ceci est d’autant plus important que les tissus utilisés pour les expérimentations doivent provenir de bébés vivants. » Voici quelques moyens utilisés lors de ces expériences. On peut trouver cela dans un article du Docteur Bernard Nathasen, publié dans l’édition du New York Garden de novembre 1991 : « En Suède, une procédure a été suivie par laquelle une femme enceinte est placée dans un état de sommeil. Le bébé localisé est amené jusqu’à l’utérus afin de permettre au docteur de percer le crâne du bébé vivant [c’est atroce !] et y aspirer du cerveau des tissus devant servir au système de maladie de Parkinson. Cette même procédure est pratiquée sur des bébés vivants pour leur pancréas, leur peau devant servir aux victimes qu’on appelle les grands brûlés. Ces bébés sont écorchés vivants. L’industrie de la recherche sur les tissus de bébés est une industrie mondiale générant des revenus de l’ordre de huit milliards de dollars. »
[Et nos hommes politiques osent parler d’humanisme !]

On sait aussi que depuis mi-1993, la clinique Sansun de Santa Barbara, en Californie, est sur le point d’importer de larges quantités de tissus fœtaux. La peau des bébés avortés [assassinés] provenant de Russie où les femmes avortent en grand nombre quand le fœtus est arrivé au stade de sept à neuf mois !

Ces fœtus sont ceux qui aujourd’hui fournissent le plus de tissus humains…

Les experts nous assurent que ces tissus sont utilisés pour traiter les diabétiques.

De quelle façon les architectes de l’Ordre Mondial comptent-ils s’y prendre pour instaurer le Gouvernement Mondial et assurer le contrôle et la surveillance directe de toutes les populations au moyen de l’implantation du microchip biologique d’identification internationale ?

Ces architectes sont les personnes à la tête de la Finance Internationale. Aussi vont-elles utiliser l’économie pour aboutir au chaos nécessaire afin de recréer un autre ordre, humaniste, amenant lesnations à accepter de gré ou de force un Gouvernement Mondial par les Nations Unies.

Des journalistes américains de la revue Monetary and Economic de mars 1993 ont révélé un document intitulé : « Un Gouvernement Mondial par assentiment ou asservissement ».

L’auteur est un dénommé Norman and Frence, ancien spécialiste d’affaires au Colorado Office of Economic Development, auteur aussi d’un manuel de planification financière. C’est également unancien responsable des prêts, officier chef des opérations dans une compagnie d’investissement, et un expert notable dans le domaine de la finance et des investissements.

Monsieur Frence rapporte :

« Les pressions pour un Gouvernement Mondial se poursuivent depuis des siècles, mais jamais encore avons-nous atteint le degré dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui. Des termes de l’ONU tels qu’autorité de loi, lois mondiales, sécurité collective, ordre mondial et nouvel ordre mondial, sont des noms de code qu’emploie l’Establishment International en référence à leur plan pour un Gouvernement Mondial unique.

Dès 1945, devant le sous-comité des relations étrangères du Sénat américain, le partisan d’un gouvernement mondial initié, J. P. Warburg établissait : “Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera atteint par la raison ou par la force. »

Il y a ceux qui proposaient une approche étape par étape. Henry Morgan, ancien secrétaire-trésorier du CFR parlait au nom de la plupart des initiés en disant : ‘Nous pouvons difficilement nous attendre à ce que l’État-nation devienne superflu de lui-même. Le but que nous devons plutôt viser est l’acceptation dans l’esprit de tous les élus responsables, qu’ils ne sont que les concierges d’une machine internationale en banqueroute qui devrait lentement être transformée en une nouvelle machine. »

Ceci a été rapporté en mars 1993. En mars 1994, ces gens de la Haute Finance Internationale viennent d’achever de mettre en marche la machine économique qui va permettre au niveau de tous les pays, l’instauration d’un nouvel ordre économique. Ils ont donné un avertissement à un an d’intervalle, jour pour jour, heure pour heure, aux deux puissances FINANCIÈRES qui pourraient les gêner : les États-Unis et le Japon. Par quel moyen ? Par un tremblement de terre.

Monsieur Frence continue : ‘L’ingrédient qui est dans cette formule est de mettre en banqueroute financière la machine internationale’. En d’autres termes, après avoir endetté les États-Unis au-delà du raisonnable, ils veulent créer de pure pièce une crise économique extraordinaire qui contraigne les États, pour se sortir du paiement des intérêts de leurs dettes intérieures souscrites aux banquiers qui dirigent la Finance Internationale, à exécuter des coupes sombres dans leurs programmes sociaux afin de toucher directement les populations. Ceci contraindra (c’est fait en 1994) les États-Unis à se tourner vers le Fonds Monétaire International de l’ONU et de la Banque Mondiale, qui imposeront CETTE condition : que les pays emprunteurs abandonnent leur souveraineté étape par étape afin de cacher ce scénario aux peuples et électeurs ! (Voici les uniques raisons de Masstricht, du Gatt, du libre-échange, des accords de Schengen…). On oblige (ra) alors ces pays à dépendre de l’ONU pour leur survie et donc des directives que l’ONU leur dictera.

Ce qui est surprenant est que cette stratégie a été mise de l’avant par la première société secrète penchant vers la conquête du monde : les Illuminati.

En effet, ce programme extrait d’une revue financière rejoint l’article 4 du code des Illuminati :

«… afin que les masses n’aient pas le temps de penser et de se rendre compte, leur esprit doit être orienté vers l’industrie et le commerce. Ainsi toutes les nations seront avalées par l’appât du gain, et dans cette course ils ne verront pas leur ennemi commun ».

Nous avons là une explication de la flambée boursière des années 80 à février 1994.

C’est une stratégie politique tout à fait connue : absorber l’attention de quelqu’un sur un point précis tandis que l’on est en train de préparer autre chose. Comme nous sommes témoins de cette quête effrénée du profit dans l’industrie et du commerce, on ne se rend pas compte que les États sont dans un système financier en Banqueroute qui est sur le point de s’écrouler. L’ennemi commun est le système bancaire global central, donc le FMI qui détient tous les prêts, réalisant ainsi ce qui est prévu par les Illuminati il y a quelques centaines d’années. L’article 6 du code des Illuminati disait en effet :

« Nous, l’élite financière, allons bientôt entreprendre d’immenses monopoles, réservoirs de richesses colossales — actions, valeurs, fonds mutuels, rentes — sur lesquels des fortunes encore plus grandes — celles des masses — vont dépendre, à un tel point qu’ils tomberont jusqu’au fond avec les crédits des États le jour suivant l’écroulement politique ».

Donc, en arrivant à une crise économique majeure, qui ne touchera pas les institutions comme ce fut le cas dans les années trente, toutes les fortunes faites par les masses dans la spéculation se retrouveront du jour au lendemain évaporées.

Dans ce mécanisme recherché par les architectes de l’ONU — les plus grands banquiers de la planète, l’objectif à réaliser est que les nations et les populations à l’intérieur de ces nations se retrouvent ruinées du jour au lendemain, en n’ayant plus aucune valeur financière. C’est de cette manière qu’il sera possible d’imposer un nouveau système. Pour accéder à ce nouveau système international, les gens devront accepter l’implantation d’un microchip biologique d’identification internationale, sinon ils ne pourront ni acheter, ni vendre au niveau national comme au niveau international [c’est simple comme bonjour !].

Il faut bien comprendre que l’objectif n’est pas de ruiner les entreprises, mais de ruiner les États et les populations ! L’écroulement économique planifié a été utilisé maintes fois à une petite échelle pour prendre le contrôle d’un pays. Mais maintenant la grande finale [c’est la lutte finale de l’internationale !…] est en préparation. Ils connaissent, grâce à certains pays qui ont subi cette thérapie de chaos, quelles seront les réactions futures des populations occidentales et américaines. Aujourd’hui, aidés par la technologie actuelle et les ordinateurs, ils sont capables de fabriquer de toutes pièces le complot d’une grande crise économique, sans que les institutions financières, les grandes corporations comme les multinationales, s’effondrent.

On tentera de faire croire à leur effondrement afin de précipiter la débâcle boursière, mais ce sera faux.

Comme les économies des pays sont en train de s’effondrer lentement à cause des dettes fabriquées et des intérêts remboursés [cf. Charles Gave, ‘Des lions menés par des ânes’, chez Robert Laffont], les élus de ces pays se verront incapables de résoudre le problème. Le complot est mené de telle manière que les élus politiques déduiront — avant l’implosion — qu’ils seront perçus eux-mêmes comme étant les responsables de la faillite des États. Les élus perdant leur pouvoir par l’incapacité humaine de résoudre ce problème insoluble sans rejeter l’ensemble du système seront condamnés à se tourner vers l’ONU [et le tour est joué !], à défaut d’être déposés par le peuple. L’ONU exigera leur assimilation aux directives élaborées par les Initiés du Gouvernement Mondial. Tout ceci sera FINI en mars 1995… Ces élus multiplieront et augmenteront la fréquence de la crise par l’augmentation des coupures au niveau social. S’ensuivront des crises mondiales, des violences à l’échelle internationale.

Les élus nationaux devront admettre l’ouverture de leurs frontières à l’immigration, la mobilité de la main-d’œuvre. Ce sera l’aboutissement des conséquences du libre-échange à tous les niveaux : la disparition des frontières nationales !

L’objectif étant, bien sûr ! D’augmenter les tensions intérieures entre les différentes ethnies et religions, de sorte que les pays en viennent à perdre le contrôle de leur sécurité intérieure. L’exemple chirurgical récemment dévoilé par l’ONU en Yougoslavie accrédite la réalisation de ce scénario dans quelques pays qui soient.

Finalement les populations se retourneront vers l’ONU. Elles supplieront de faire quelque chose au niveau international. D’ailleurs, tout a été fait au cours des dernières années pour inciter les gens à reconnaître que l’intervention de l’ONU évitait aux nations d’entrer elles-mêmes dans des guerres terribles. La fabrication de toutes pièces de conflits en augmentant les tensions sociales, a rendu les gens serviles à ce genre de démarches et d’aveuglement sur les intentions réelles des tireurs de ficelles de la secte onusienne. Cela fait partie d’une stratégie dialectique développée par des philosophes au XVIIIsiècle.

Il y a là aussi une autre démarche visant à affranchir les États encore christianisés sur le plan de leur sécurité intérieure.

En effet, pendant que les États sont affaiblis économiquement, socialement et sur le plan ethnique, les conflits créés géostratégiquement [sic] en différents points du globe — mais toujours loin des pays occidentaux, — ont permis à l’ONU d’envoyer des forces multinationales composées des soldats appartenant aux pays visés selon le plan exposé plus haut.

L’avancée du plan est d’ailleurs effectuée en parallèle avec la multiplication des conflits exigeant l’envoi de troupes multinationales. Vous remarquerez ainsi que la situation sociale se désagrège en France alors que nos troupes d’élite sont envoyées en Somalie, au Rwanda, en Yougoslavie…

Évoquant la Somalie, on relèvera que la situation a été rendue explosive maintenant grâce à la complicité des organisations supranationales, telle l’OMS. Depuis la guerre du Golfe, les conflits éclatent les uns après les autres, requérant la présence de troupes sans cesse renouvelées, tandis que le plan suit son cours et que les pays occidentaux sont vidés de leurs forces militaires… C’est pourquoi j’avais employé l’expression d’” Étincelle » dans mon premier ouvrage.

Il est aussi à remarquer que les forces américaines sont dispersées un peu partout dans le monde, faisant partie de la nouvelle force de police planétaire sous le contrôle de l’ONU.

Les grandes lignes de ce transfert des forces militaires américaines et européennes se trouvent dans le programme « Freedom from War » qui démontre ce qui se passe.

Le programme des États-Unis pour un désarmement complet et général dans un monde pacifique établi par le président Kennedy — publication 72/77 du Département d’État qui devait s’effectuer en trois phases — propose en phase deux : « La force de paix de l’ONU sera établie et renforcée progressivement à partir du matériel militaire américain ».

Cette phase deux est précisément le stade où nous nous trouvions en 1994. C’est-à-dire sans que personne s’en rende compte, la majeure partie des forces militaires et des installations militaires américaines sont en train de passer lentement sous le contrôle des Nations Unies au niveau international — comme des bases militaires, — et non plus comme c’était le cas auparavant au profit d’une seule nation qui était les États-Unis. Soyez assurés que le désarmement militaire progressif contrôlé continuera jusqu’au point où aucun État — incluant les États-Unis — ne possédera la force militaire nécessaire pour s’opposer et défier l’autorité progressivement renforcée de l’ONU. Au train actuel, c’est un fait que les forces militaires placées sous le contrôle de l’ONU — même les États-Unis en tant que nation — n’auront plus de force militaire propre pour s’opposer à l’ONU. Le résultat est que chaque pays subira et exécutera les ukases de l’ONU par crainte des forces multinationales. La dispersion planifiée des forces américaines aux quatre coins du monde et les coupures dans le budget de la défense rendant ce plan quasiment achevé.

En même temps qu’est organisée internationalement la chute de l’économie, on constitue une nouvelle force de police nationale à travers l’Amérique et une nouvelle force de police militaire internationale.

Cet article est la 4e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

Partie II
LA POLICE DU NEW AGE

Dans un tel scénario, il est programmé que les forces policières seront impuissantes à résoudre les violences provoquées par une immigration massive et une crise sociale. Elles feront appel à une force militaire… décimée pour les raisons qui viennent d’être évoquées. On devra bien faire appel à des formes multinationales sous l’égide de l’ONU, afin d’établir la paix et la sécurité dans les nations en guerre civile. Toutes les nations se dirigent à ce jour vers un éclatement intérieur.

C’est précisément dans une perspective de troubles sociaux mondiaux qu’a été mis au point par le président Clinton, sur ordre de supérieurs « inconnus », une force de police de cent mille hommes pour s’attaquer à la criminalité : la nouvelle force de police nationale de l’Amérique du Nord. Cette force est en train de se mettre sur pied à la vitesse de l’éclair. L’intervention de cette police dans le drame de la secte de Wacco a été une expérience menée pour constituer un exercice. Le choix de cette secte religieuse fut fait par hasard, dans l’objectif de contraindre des groupes religieux plus importants à accepter un nouvel ordre et… un nouveau chef spirituel !

Le vrai but de ce raid raté était de permettre à l’Establishment de présenter cette force de police comme quelque chose de bien. L’objectif était de faire accepter un tel élément aux yeux du public comme efficace pour la sécurité.

En réalité cette nouvelle force de police nationale aux États-Unis est une consolidation d’agents de la CIA, du FBI, du DEA et autres agences policières et gouvernementales.

D’après un officier des services secrets de l’armée américaine que nous appellerons Mark, ces forces sont maintenant appelées « la police MJTF ». C’est le détachement spécial multijuridictionnel de l’ONU. D’après Mark et un rapport complet fourni à l’Agence Internationale de la Presse Libre, leur mission est : d’effectuer des fouilles et des saisies maison par maison ; la séparation et le tri des hommes, femmes et enfants en grand nombre ; le tri et le transfert dans des centres de détention ; et le bon fonctionnement de tels établissements.

Il existe dans cette même veine d’informations un rapport qui touche au programme pour l’établissement des camps de concentration aux États-Unis. Ces camps n’ont rien à voir avec ceux de la Seconde Guerre mondiale. Un rapport de cinquante pages existe à l’Agence avec les emplacements géographiques des camps en question, destinés à recevoir les ennemis du futur ordre mondial.

Sous le président Reagan on avait déjà commencé à mettre en place onze centres de détentions fédéraux en Floride, en Virginie, en Georgie, dans l’État de New York, dans l’Arkansas, dans l’Arizona, en Californie. Mark expliqua aussi comment le MJTF travaille en conjonction avec le FENC (Federal Emergency National Center) qui est le nouveau stade de force de police de l’ONU. L’une des particularités des membres du FENC est que tous leurs uniformes sont noirs avec aucun signe extérieur d’identification. Les jeeps, les hélicoptères, les camions militaires sont noirs.

Le FENC est composé de polices militaires et secrètes dont le nombre se chiffre à trois cent mille aux États-Unis. Leur uniforme est l’habit de combat classique noir. Ils portent une armure anti-balles noire et un casque spécial en noir. Un suivi des événements du drame de Wacco aura permis de remarquer que les forces du MJTF ont été épaulées pour finalement être remplacées par les forces du FENC.

En novembre 1990, le président Bush a signé un ordre exécutif qui transférait un tiers des véhicules de la réserve aérienne stratégique des États-Unis au FENC, à un coût de 12,8 milliards de dollars pour le contribuable américain. Ils ont été peints en noir et ne portent aucune identification.

D’après cet officier appelé Mark, le niveau final des forces militaires qui a été structuré en 1993, sont les groupes de combat de l’ONU à l’intérieur des États-Unis.

Ces troupes sont situées à la frontière de la Californie et de la Virginie. Ils ont des groupes de combat équivalent à trente-quatre mille hommes. Dans la région de Sacramento se trouve une autre force de quarante mille hommes. Au sud de Los Angeles, un contingent de vingt-deux mille soldats de l’ONU. Mark ajoute que du Montana jusque dans le territoire canadien, existe un groupe de combat de trente-sept mille hommes qui est divisé en deux brigades d’infanterie mécanique EEC, deux brigades d’infanterie mécanisée standard, la première division d’armée canadienne et une brigade de sécurité légère japonaise.

La présence des troupes de l’ONU russes, yougoslaves, roumaines et coréennes sur le sol américain et canadien a été rapportée par plusieurs sources. Où garde-t-on ces troupes ? Dans les bases militaires qui sont supposément [sic] en train de fermer !

Par exemple, avant de quitter la présidence, alors qu’il était à l’ONU, le président Bush transféra la gare de Fort Dix aux autorités de l’ONU pour servir de camp d’entraînement.

Voyons maintenant quelle est l’idéologie qui forme ces nouveaux corps d’élite internationale, mais aussi les membres des services secrets.

Autrement dit : qu’y a-t-il derrière l’émergence d’un Nouvel Ordre Mondial, d’un nouveau corps de policiers ?

Un policier travaillant depuis vingt ans dans la police américaine a — sous un pseudonyme — fait parvenir le texte complet d’une conférence de très haut niveau, prononcée dans les années 90 pour la formation des cadres du Gouvernement Mondial de l’Amérique du Nord.

Le policier fait également part de son expérience personnelle afin de sensibiliser l’opinion — par l’intermédiaire des journalistes d’investigation — sur l’Ordre Mondial ; de ce qui est imperceptible à l’œil nu à moins de faire partie de ces différents corps-là.

La question que pose ce policier qui a volontairement changé son nom pour des raisons de sécurité personnelle est tout d’abord celle-ci : Y a-t-il des juges, des procureurs et des policiers qui aujourd’hui commettent des actes malhonnêtes pour incarcérer des individus ? À cette question, il dit : « Je réponds sans équivoque que oui ». Puis il explique pourquoi. Toutefois il écrit : « … mais il est permis d’espérer que ce n’est pas fait sans une juste cause. La véritable immoralité existe quand la cause n’est pas juste » [faux ! Cf. Romains, 3 : 8]. Afin de mieux comprendre les réponses qu’ilapportera, rappelons que jusqu’ici le droit, l’organisation des États en Occident étaient basés sur une idéologie chrétienne.

Au nom de cette idéologie [disons plutôt doctrine] chrétienne, on faisait passer le bien et la protection de l’État en priorité. Cette idéologie qui s’est transformée à l’heure actuelle sans que les populations s’en aperçoivent. La nouvelle idéologie qui justifie le Nouvel Ordre Mondial [bien retenir ce grand principe de SPARTACUS WEISHAUPT, le fondateur de l’Illuminisme : « Tout ce qui est utile est un acte de vertu. »] doit passer avant n’importe quoi. Au nom de cette idéologie, n’importe qui faisant partie du pouvoir judiciaire et militaire peut perpétuer quelque acte criminel que ce soit parce que le but visé est juste [et à plus forte raison s’il est injuste !].

« Après plus de vingt ans de service auprès de mes compatriotes américains, j’ai réalisé ce qui était la réalité. La vérité est qu’aujourd’hui plusieurs juges, avocats et officiers de police sont des dévots de la religion de l’humanisme séculier. »

Or la base idéologique de tout ce qui va composer le Nouvel Ordre Mondial est justement assise sur un humanisme centré sur le culte de l’homme [cf. S. Matthieu, 4:10]. C’est la déification de l’homme en tant que centre de l’univers, placé au-dessus de toute loi. C’est la philosophie de base de l’humanisme séculier.

Le texte de la conférence faite en privé en 1990 et adressée par le policier précise :

« … certains de nos membres, la plupart à cause de la peur, n’admettront pas que ce nouvel humanisme est une religion. Ils ont peur d’être traités comme ces soi-disant chrétiens le furent sous la doctrine de la séparation de l’Église et de l’État. Une telle peur eût été fondée si nous étions en 1970. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. La raison étant que les membres des corps policiers et militaires sont pour la plupart sous le contrôle des agences et organisations principales. »

Il y a quinze ou vingt ans, l’idéologie chrétienne aux États-Unis était dominante. Ceux qui contrôlaient les différents postes du gouvernement, du militaire, du judiciaire, de la police, des différents ministères gouvernementaux, avaient une formation chrétienne. Aujourd’hui les choses ont changé : l’humanisme triomphe et les postes cités précédemment sont occupés par des membres du New Âge et du Nouvel Ordre.

Le conférencier continue et dévoile la suffisance des ténors officieux de cette secte humaniste :

« Mon sentiment est qu’en ce moment, nous les bergers, nous devons ouvrir les yeux de nos troupeaux et choisir plus en profondeur ceux que nous pouvons amener au XXIsiècle. »

« Tous ceux qui nieraient que notre religion n’est pas une religion valide devraient retourner voir leurs devoirs. La Cour suprême des États-Unis a décidé que c’était une religion. Il y a quelques années, dans des causes célèbres, la Cour a statué que la croyance en l’humanisme, le rejet de l’idéologie chrétienne était aussi une religion acceptable. La croyance fait référence à une certaine vision universelle de la vie, du monde et de l’humanité. Dans son ensemble la Cour suprême des États-Unis a décidé qu’une religion peut être n’importe quelle vision du monde avec ou sans référence à Dieu… J’espère que ceci aidera les autres à comprendre notre foi. »

« Néanmoins, ceci n’est, bien sûr, pas le point principal de ma conférence. Je souhaite traiter des abus auxquels font face les policiers qui souscrivent consciemment ou non aux tenants moraux de notre religion ; de ce qui a trait à l’éthique ou à la morale. Partout dans notre société, nos dévots endurent d’horribles discriminations de la part de chrétiens constituant aujourd’hui une faction très petite de la société. Cette discrimination contre nous, humanistes, survient quand nous exerçons notre pratique religieuse et appliquons notre morale dans notre activité professionnelle. Pourtant des autres le font sans aucune discrimination, parce qu’ils sont chrétiens. »

« Heureusement, notre religion humaniste affiche le plus haut taux de croissance dans toute l’histoire, et la nouvelle génération à l’intérieur du système judiciaire, incluant les policiers qui souscrivent à de saints principes, sont maintenant à des postes administratifs, ce qui profite à tous. Ceci nous donne du pouvoir, même s’il existe beaucoup trop de discrimination contre un principe les plus importants de notre religion : l’éthique de situation. »

L’éthique est en principe un code de morale, de valeurs chrétiennes délimitant des frontières à ne pas dépasser. Avec la formation de cette nouvelle idéologie qui pénètre toutes les couches sociales des États-Unis, mais surtout aux postes décisionnels de chaque corps de métier, qu’entendent-ils par ce principe d’éthique de situation ? La suite de la conférence nous éclaire :

« … Le principe de l’éthique de situation ou de morale permet à l’individu de se concentrer correctement sur le but qu’il veut atteindre. Moralement parlant, peu ou pas d’importance ne doit être accordée à la méthode et aux moyens puisque rien ne surpasse le but en importance. »

C’est en d’autres mots l’application du principe connu : la fin justifie les moyens !

« Je pense que le principe de la morale de situation est le mieux décrit en examinant la définition légale de la morale et de l’éthique telle que donnée par nos compatriotes communistes. »

On entrevoit le lien ténu entre les idéologies communistes, maçonniques du XVIIIsiècle, et celle de l’Allemagne hitlérienne. Il s’agit d’une même idéologie présentée de trois manières différentes.

Le même personnage qui occupa un poste très important dans l’administration gouvernementale américaine poursuit :

« Nous pouvons apprendre beaucoup de la dévotion des communistes. Les marxistes ont par nécessité pragmatique épuré plus de 90 millions de gens dans la poursuite de la mission la plus noble de l’homme : la paix mondiale. »

Quand on entend cela enseigné à l’élite des corps de la police et de l’armée multinationale, on imagine jusqu’où ces gens sont capables d’aller pour imposer le Nouvel Ordre Mondial !

« Quelle personne intelligente pourrait appeler “immoral” quelque moyen utilisé pour parvenir au plus important des buts. Il n’y a rien d’immoral d’éliminer des gens si on le fait au nom d’une paix mondiale. »

« Dans nos grands manifestes humanistes signés en 1963 et 1973, nous appliquons nos principes moraux qui sont les mêmes que les principes marxistes, mais mis de l’avant de manière beaucoup plus concrète. Voici un bref sommaire de nos croyances sur l’éthique et la vérité. L’éthique, les valeurs morales, tirent leur source de l’expérience humaine. L’éthique est autonome et situationnelle [sic], ne nécessitant aucune sanction idéologique ou théologique. Nier ceci équivaut à nier la base même de la vie. »

Ce sont exactement les mêmes définitions que l’on trouve dans les textes de Weishaupt de 1740 — fondateur des Illuminés de Bavière — ainsi que dans les revues du Grand Orient de France.

« Nous vivons une bonne vie et maintenant.

Autorité et vérité : Nous rejetons les caractéristiques de la morale religieuse traditionnelle qui nie aux êtres humains la totale appréciation de leur potentiel et responsabilité.

Les religions traditionnelles offrent souvent du réconfort aux humains, mais souvent elles les empêchent de s’aider eux-mêmes ou de vivre leur plein potentiel.

Nous ne pouvons découvrir aucun but divin ni aucune Providence pour l’existence humaine. Les humains sont responsables de ce que nous sommes et de ce que nous allons devenir. Aucun Dieu ne va nous sauver, nous devons nous sauver nous-mêmes. »

On comprend pourquoi les Initiés ont choisi les États-Unis. C’était la nation la mieux structurée, la plus apte à imposer l’Ordre Mondial à l’humanité.

« Ceux d’entre vous qui pratiquent le christianisme sélectif sont plus près de notre foi que des superstitions des secoueurs de Bible d’Antan. Le christianisme sélectif sont ceux qui étant catholique choisissent les bonnes paroles avec lesquelles nous sommes d’accord et rejettent celles qui condamnent le plaisir terrestre et les enseignements [traditionnels] de l’Église catholique. Ne croyez-vous pas que sous cet aspect nous sommes identiques ? Votre foi est basée sur ce qui est bien selon le désir de l’homme.

La foi est valable, la religion chrétienne est valable, si vous croyez à votre système que nous vous imposons depuis vingt ans. Si vous ne nous combattez pas, c’est que vous croyez à nos valeurs parce qu’il n’existe aucun milieu !

Nous humanistes, admettons qu’il n’y apas de Dieu, que seuls lesdésirsde l’homme sont importants. Vous, dirigeants de ces chrétiens sélectifs, prêchez que votre foi est basée sur certaines parties de la Foi de Dieu, mais en réalité la majorité de votre foi est basée sur ce qui estagréableou faitvotre affaire. Finalement, en intégrant ce que nous, humanistes, voulions réaliser depuis dix-huit siècles, vous êtes arrivés à vous fabriquer une nouvelle religion centrée sur les désirs de l’homme. Vos chefs religieux prêchent les droits de l’homme et par là même cautionnent notre Ordre Mondial !

Il est évident que le gouvernement américain fonctionne selon les principes dirigeants de l’humanisme. Quels sont ces principes ? La ruse, le mensonge, la tricherie, le vol, le meurtre, l’hypocrisie, les tournures de pensée. Tous ces moyens sont moraux s’ils nous permettent d’atteindre nos buts essentiels. Voilà la vraie vertu. »

Quel est le but essentiel ? L’établissement du Gouvernement Mondial !

« Un récent exemple a été donné dans la guerre de l’Irak contre le Koweït. Plus de 250.000 individus ont déjà perdu leur vie et plus encore meurent chaque jour afin d’atteindre un but supérieur. Le but de tous les grands leaders humanistes est la paix mondiale à travers le Gouvernement Mondial.

On peut éliminer des nations, des peuples entiers si c’est le bien de tous selon nos vues. Cet enseignement du Nouvel Âge est la raison pour laquelle par exemple, il est possible qu’un officier de police d’allégeance humaniste risque sa vie pour sauver un membre de la société un jour, et que le jour suivant, le même policier mente lors d’un procès afin de remporter une affaire importante. Ceci ne doit pas être considéré comme immoral étant donné les standards éthiques sur lesquels le policier base sa moralité en ce que la fin justifie les moyens. Bien des gens ne comprennent pas que c’est la raison pour laquelle les présidents et leur état-major, les membres du Congrès et autres tenants des postes leadership mentent et trichent pour le plus grand bien de la société et donc du système. »

D’après cet initié ceux qui sont à la tête des gouvernements mentent d’une façon ouverte et concertée aux populations en vue de faire passer le bien suprême du système à venir du Gouvernement Mondial, mais aussi en vue d’excuser la disparition de dissidents ou de groupes radicaux ! Il existe en effet une différence entre les nouvelles données par les médias et ce qui se passe réellement dans les coulisses. Les versions rapportées officiellement ont été pensées, structurées, afin de nous donner une apparence de la réalité qui n’est jamais la réalité. Par une manipulation aussi ouverte de l’information nationale et internationale, on réussit à justifier la disparition d’un individu ou d’un groupe d’individus en les faisant passer pour des radicaux, des terroristes, alors que très souvent le seul danger que représentent ces personnes est uniquement en fonction de leur impact sur les populations par rapport à ce que ces gens veulent imposer comme Nouvel Ordre Mondial.

Cet article est la 5e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

« Vous êtes conscients que la grande majorité des Américains ne cherche que la paix et la sécurité. Ils ne se rendent même pas compte qu’ils ont virtuellement fait de leur gouvernement un nouveau Dieu vers qui ils se tournent pour subvenir à leurs besoins. Nos leaders du Nouvel Âge et nous leurs soldats, leurs bras et jambes — c’est-à-dire les policiers et les militaires, — se tiennent prêts à donner aux masses ce pour quoi ils prient.

Notre rôle à l’intérieur du système judiciaire d’aujourd’hui est de protéger le plan du système de la mise sur pied du Gouvernement Mondial, et de punir ceux que nos leaders identifient comme les ennemis du système. »

Ainsi a-t-on transformé le droit et la culpabilité. L’homme qui combattra pour la vérité sera considéré comme un ennemi à détruire. La conspiration de l’Âge du Verseau et du Gouvernement Mondial apparaît comme l’établissement d’une dictature à l’échelle mondiale dont l’idéologie est basée sur l’humanisme.

Dans une dictature semblable, l’individu qui, au nom de ses principes religieux, de sa conscience ou de sa foi, s’opposerait au complot contre l’homme et Dieu sera considéré et identifié comme étant un criminel. On retrouve là ce qui se passait il y a deux mille ans sous l’Empire romain. C’est le même schéma : est criminel celui qui s’élève contre l’idéologie gouvernementale établie pour la majorité des gens. Qui étaient ces criminels il y a deux mille ans ? C’étaient les chrétiens. Qui étaient les ennemis sous le régime communiste ? Les chrétiens. Cette fois-ci, le cadre change et devient international.

« Tout comme nos collègues soviétiques, sous l’éthique de situation de notre Nouvel Ordre humaniste, nous ne sommes pas limités dans les méthodes que nous pouvons appliquer pour gagner.

Nous pouvons procéder à pacifier et sécuriser les masses, donc se débarrasser de tous ceux qui vont représenter un danger pour l’instauration de ce Nouvel Ordre.

Si certains d’entre vous sont encore surpris par ceci, c’est que vous n’avez pas encore compris ce que j’essaie d’expliquer. Vous n’avez pas non plus compris ce que vos enfants ont si bien appris à travers vingt ans de système d’éducation de notre gouvernement. “Nous vivons l’ère où les hommes ont placé leur conscience dans le gouvernement au lieu de quelques superstitions appelées divin ou Dieu. Ce sont les anciennes morales religieuses qui ont causé tous nos problèmes [c’est ce que pense actuellement la quasi-totalité du monde moderne déjà prêt à accepter le Gouvernement Mondial]. Un Nouvel Âge appelle un nouveau système de croyances, un nouveau code moral, une nouvelle religion. Il est agréable de voir presque toutes les religions du monde se regrouper gentiment et unies en se préparant à servir le Nouvel Ordre Mondial.”

Je voudrai vous présenter le Docteur Sidney Saymon. Un homme très efficace, qui mérite une grande reconnaissance pour son travail de rééducation de l’humanité. Il parle simplement et ce qu’il dit est sans équivoque. Il explique aux éducateurs d’enfants à qui il s’adresse que la clarification des valeurs est une méthode pour les professeurs dechanger les valeurs de leurs élèves sans se faire prendre. Cela veut dire que sous des nouveaux déguisements, sous un nouveaudialogue, on enseigne de nouvelles valeurs sans que les enfants et les parents s’en rendent compte, et sans que les éducateurs puissent être accusés de quoi que ce soit [on parle des valeurs en général sans en préciser la nature]. Le résultat est garanti : un affrontement entre les enfants et les parents. Donc la clarification des valeurs est un autre terme pour éthique de situation. L’enseignement doit faire comprendre que l’important n’est pas les valeurs que l’on choisit, mais de les choisir librement par vous-même [leur nature est sans importance], sans pression des parents, prêtres, amis, ou société religieuse.

Les architectes du programme d’enseignement du nouvel humanisme dans les écoles du gouvernement doivent être remerciés pour avoir remodelé les valeurs de ces futures générations. Quand la loi nationale des garderies sera adoptée, ce sera un grand jour pour les humanistes et les proposants [sic] de la paix mondiale. Nous pourrons accomplir notre objectif une fois pour toutes lorsque nous aurons l’attention des enfants en âge préscolaire de six à neuf heures par jour. Regardez ce que nous avons entrepris avec les groupes plus âgés de la jeunesse américaine.

Ces garderies auront pour mission de préparer la jeunesse intérieurement à l’acceptation du Gouvernement Mondial.

C’est ainsi que les émissions dites populaires et niaiseries, de jeux basés sur l’argent, sont appréciées d’un public conditionné qui apprécie l’émission en fonction des nouvelles valeurs antichrétiennes et humanistes auxquelles il adhère inconsciemment [la télévision française, quant à elle, avec sa publicité impudique, primaire et stupide, offre des émissions qui constituent une incitation permanente aux mauvaises mœurs et à la violence sous toutes ses formes].

Les gens ainsi conditionnés fuiront la réalité et la vérité ; ils auront peur. Nous aboutirons à une armée de schizophrènes !

Il va de soi qu’une telle société exigera une nouvelle forme de police.

Un de nos éducateurs de l’humanité m’a dit il y a quelques semaines, que les religieux américains d’antan n’en croiraient pas de leurs yeux de voir les changements que nous nous sommes permis. Cette personne avait raison parce que nous avons mis le futur non pas sur le gouvernement, mais sur la capacité de tous et chacun de nous gouverner nous-mêmes, de nous soutenir nous-mêmes et ainsi de suite. C’est pourquoi le Gouvernement Mondial est bon pour tous.

Les Américains ne désirent plus assumer les responsabilités de ce gouvernement actuel. Heureusement pour eux, il y a une toute nouvelle génération de leaders et de gens au gouvernement, soucieux de s’occuper d’eux malgré leur consentement.

S’agissant de la main-d’œuvre policière : comme les citoyens abandonnent par peur de plus en plus de leurs droits, de plus en plus de policiers sont nécessaires afin de superviser les activités de cette population afin qu’elle demeure en sécurité [en cage !].

La construction de l’État Providence engendre des troubles dans la société, d’où un renforcement des membres de la police.

Qui aurait pensé il y a cent ans que l’intégration de la peur de tout serait la réponse à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.

Le mérite de ces innovations revient aux libres penseurs de la dernière génération d’avoir réussi le coup de maître de faire en sorte que la peur serve de mécanisme de base pour permettre n’importe quoi au plan des populations.

La vieille génération n’aurait pas accepté ce nouvel ordre des choses, ces nouvelles valeurs. Heureusement cela n’a pas posé trop de problèmes parce qu’ils sont rapidement remplacés par la mort ou la retraite. Il n’en restera plus aucun d’ici sept à huit ans, soit 1997/98. Nous avons l’assurance que tous ceux qui avaient des valeurs morales chrétiennes n’auront plus aucun poste clé dans le gouvernement dans les domaines exécutif, judiciaire et militaire.

Donc à ce moment-là, l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial ne trouvera plus aucun obstacle. Au même moment, les agences de police essaient par nécessité de filtrer les individus qui croient aux anciennes valeurs traditionnelles et de ne pas les engager.

C’est pourquoi on a changé les valeurs du système d’éducation. Afin que les jeunes qui entrent dans la vie active soient imbus de principes humanistes et aient rejeté toutes les valeurs et superstitions chrétiennes. Ceci doit être fait parce que nous savons que les religieux ne feront pas les choses qui leur seront demandées sous le nouveau système. Pour ceux qui restent attachés au fondamentalisme religieux de l’ancien monde, ils sont tranquillement mis de côté sous toute forme de prétexte de la part des nouveaux dirigeants.

Certains des officiers de l’ancien temps se plaignent et font valoir que ce type de discrimination est anticonstitutionnel et immoral. Mais nous savons qu’ils ont tort. Sous l’éthique de situation, toutes les choses sont morales du moment qu’elles avancent vers Le but. Ainsi ces officiers ne sont pas retirés pour une cause diabolique mais parce qu’ils sont jugés non fonctionnels pour accomplir les tâches qui seront exigées d’eux.

L’ancien monde avait compris que c’était le plus grand des péchés que de mentir à leur Dieu. Les générations de dévots qui vont rentrer dans le Nouvel Ordre Mondial doivent comprendre que le plus grave des péchés est de mentir à leur nouveau Dieu, le Gouvernement. L’individu n’existe pas ! Seul compte l’intérêt du Gouvernement Mondial.

Toute déloyauté de la sorte viendrait à l’encontre de la marche vers le progrès engagé par ceux qui mènent la gloire du Nouvel Ordre Mondial. Nous ne sommes pas préoccupés avec quelques résistances au Nouvel Ordre, car par nécessité pratique leur destin a déjà été simplement établi dans le Plan.

Nous avons parlé de ce Plan en développant le Micro Chip et le programme des camps de concentration mis sur pied en Amérique du Nord avec une technologie extrêmement avancée.

Ce qui nous préoccupe le plus en ce moment est que les masses obéissantes comprennent qu’il est néfaste pour le progrès de suggérer que leurs superviseurs — les membres des gouvernements, des Nations Unis — se complaisent sous la pression et la futilité de ces superstitions d’ordre et morale désuète.

Il y aura des changements difficiles pour ceux qui auront à faire face et entrent dans cette nouvelle société. Sur ce sujet nous pouvons assurer aux peuples qu’il n’y aura aucun compromis.

Merci de m’avoir écouté. Que la bénédiction du Nouvel Ordre vienne rapidement sur vous. »

Cette entité que l’on appelle l’Ordre Mondial, la Force, le Grand Architecte, etc. s’appelle l’Antéchrist !

Conclusion : Il est évident que les architectes de l’Ordre Mondial entendent nous imposer un Gouvernement Mondial par la force pour l’été 1999.

L’article 1 des Illuminati dit ceci : « Notre mot d’ordre est : forcez et faire semblant. Seule la force triomphe en matière politique, spécialement si elle est cachée dans les talents des hommes d’État. La violence doit être le principe ; la ruse et le faire semblant, la règle pour les gouvernements ».

En d’autres termes, on revient aux mêmes lignes de conduite utilisées en 1917 pour instaurer le communisme.

À propos de l’avenir de la Russie et de Jirinovski dont l’ascension politique est fulgurante, on a pu remarquer qu’au cours de ses déplacements en Europe fin 1993, il portait des roses et des fleurs rouges à la main gauche. C’est un symbole de reconnaissance internationale connu que de certains initiés. Fidel Castro en portait, le président Mitterrand également. Les grands hommes politiques identifiés aux groupes internationalistes se sont servis de ce symbole de reconnaissance une fois qu’ils ont été portés au pouvoir.

Ici on peut donc entrevoir l’avenir qui attend la Russie.

Cette force nationale soumis à l’ONU se constitue au même moment où apparaissent les conséquences d’une crise économique sans précédent. Les problèmes sociaux vont augmenter. Les coupes budgétaires vont étrangler les peuples. Les gouvernements vont se voir dans l’incapacité d’apporter la moindre solution parce que celles-ci sont rejetées par le FMI.

Les sociétés vont se retrouver dans un état de crise politique, sociale, et les avoirs des peuples vont disparaître dans une crise financière terrible qui commencera au Japon — peut-être par un tremblement de terre aux conséquences incalculables.

Dans un tel contexte, il est prévu que les peuples se tournent vers les Nations-Unis. Cet appel serait le prétexte pour établir le Gouvernement Mondial ! C’est précisément à ce moment propice où les peuples seront mis à genoux malgré eux que tout le mécanisme de la haute technologie et du microchip biologique d’identification internationale serait imposé.

Avant, tout doit être prêt de manière à ce que les gens l’acceptent pour la sécurité, la stabilité et pour la paix : d’où le chaos qui prend forme…

Mais l’homme exerce sa liberté dans la liberté de Dieu ! Aussi, cher lecteur, ayez l’assurance que ce système APPAREMMENT parfait ne se réalisera pas aux dates prévues. L’étude relative aux prophéties y répondra…

Nous vivons déjà visiblement les manipulations du Pouvoir Occulte. Elles aboutiront aux guerres civiles, à la Troisième Guerre mondiale selon le plan que je vous ai exposé. Mais Dieu interviendra souverainement et les hérauts de l’Ordre Mondial seront châtiés, même s’ils se sont réfugiés en Australie, persuadés d’être à l’abri du conflit qu’ils ont allumé depuis 1991 au Golfe Persique.

La Micro-Puce et la « Marque de la Bête »

Par le Dr Carl W. Sanders

Voici la traduction d’extraits d’un article publié dans le numéro de juin-juillet 1994 de la revue NEXUS (P.O. Box, Mapleton, Queensland, 4560, Australie). C’est le témoignage du Dr Carl W. Sanders, qui était chargé de concevoir la micropuce électronique. Le Dr Sanders est un ingénieur électronicien, inventeur et expert, conseiller auprès de nombreuses organisations gouvernementales et de compagnie telles que IBM, General Electric, Honeywell et Teledyn.

J’ai consacré trente-deux années de ma vie dans la conception électronique, concevant des micropuces dans le domaine biomédical. En 1968, je devins impliqué, presque par accident, dans un projet de recherche et de développement concernant un pontage spinal pour une dame ayant l’épine dorsale rompue. Nous recherchions comment pouvoir relier les nerfs moteurs, etc.

C’était un projet qui nous emballait tous. Il y avait cent personnes d’impliquées, et j’étais le principal ingénieur en charge du projet. Le projet aboutit à la micropuce dont nous parlons maintenant — une micropuce que je crois être la « Marque de la Bête ».

Cette micropuce est rechargée par les changements de température du corps humain. Évidemment, vous ne pouvez pas aller à l’intérieur de votre corps et changer vos piles de temps en temps ; alors la micropuce a un circuit de rechargement qui fonctionne selon les changements de température du corps. Plus d’un million et demi de dollars furent dépensés pour trouver les deux endroits sur le corps humain où la température change le plus rapidement : le front (premier choix), tout juste en bas de la naissance des cheveux, et le revers de la main (position de rechange) (1).

Travaillant sur cette micropuce, nous n’avions aucune idée qu’elle deviendrait un moyen d’identifier les gens. Nous considérions ce projet comme étant une chose très humanitaire. Notre équipe était composée de gens provenant de l’Université de San Jose, des compagnies Motorola, General Electric, du Centre Médical de Boston ; en fait, c’était tout un groupe de compétences…

Comme le projet de micropuce commençait à évoluer vint un temps où on nous dit que les pontages à la colonne vertébrale étaient une chose qui ne rapportait pas assez financièrement pour qu’on s’en occupe, et qu’on devait donc considérer d’autres utilisations pour cette puce. Nous avions remarqué que la fréquence de la micropuce avait un grand effet sur le comportement humain, et on orienta alors nos recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain avec la micropuce. Le projet se transforma presque en acupuncture électronique, parce qu’il résulta à installer une micropuce qui émettait un signal qui affectait certaines parties du cerveau. On démontra qu’on pouvait provoquer des changements de comportement avec cette micropuce.

Un de ces projets sur le comportement fut appelé le « Projet Phoenix », concernant les vétérans de la guerre du Vietnam. Nous avions une micropuce que nous appelions la « micropuce Rambo ». Cette micropuce pouvait causer un flux supplémentaire d’adrénaline…

Il y a 250.000 pièces dans la micropuce, y compris une petite pile au lithium. Je me suis battu contre l’usage du lithium en tant que source d’énergie pour ces piles dans le corps humain, mais la NASA se servait beaucoup de lithium en ce temps-là ; c’était la chose en vogue. J’ai demandé à un docteur du Centre Médical quel effet cette concentration de lithium dans le corps humain pouvait avoir si la micropuce se brisait. Il me répondit que cela produirait une grave plaie, douloureuse et remplie de pus.

J’étais présent à une réunion où la question suivante fut posée : « Comment pouvez-vous contrôler un peuple si vous ne pouvez pas les identifier ? » Des gens comme Henry Kissinger et des personnes dela CIA assistaient à ces réunions.

Comme nous développions la micropuce, et que la question principale était de se servir de cette micropuce comme « carte d’identité », ou moyen d’établir l’identité des gens, plusieurs choses nous furent demandées. On voulait que soit compris sur la micropuce le nom et le visage de la personne, son numéro de sécurité sociale (incluant les codes internationaux), ses empreintes digitales, sa description physique, la généalogie de sa famille, son adresse, son occupation, des informations concernant ses rapports d’impôt, et son dossier criminel (2)

Cet article est la 6e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

J’ai assisté à dix-sept réunions à travers le monde, à Bruxelles, au Luxembourg, etc., où ces sujets furent discutés, dans l’esprit d’un gouvernement mondial, et d’une monnaie mondiale. Il existe présentement des projets de loi devant le Congrès américain qui permettront d’injecter la micropuce à votre enfant dès sa naissance, pour des fins d’identification.

Le Président des États-Unis, selon l’article 100 de la loi sur le contrôle de l’émigration de 1986, a le pouvoir de décider toute forme d’identification qu’il juge nécessaire — que ce soit une marque invisible tatouée, ou une micropuce insérée sous la peau. Alors je pense que vous devez regarder les faits en face, les amis : cette micropuce ou la « Marque de la Bête » n’est pas quelque chose qui vient d’apparaître tout d’un coup. Ça fait des années que c’est en préparation !

1) Apocalypse, XIII, 15-17 :

« La Bête qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne put acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la Bête ou le nombre de son nom [666]. »

2) Nous ne sommes donc pas très loin du carnet de santé à puce.

L’HEURE APPROCHE…
Des gesticulations qui annoncent l’imminence d’un conflit mondial !

par Jacques Delacroix (Éditions Delacroix)

« Si le veilleur voit venir l’épée contre le pays, il sonne de la trompette avertit le peuple. »

Ézéchiel 33:3, 6

L’exécution d’un plan

L’étude des menées souterraines des sociétés secrètes à travers l’Histoire montre que notre société est dirigée par une petite clique d’individus au service de Satan.

Ces derniers travaillent à la damnation des âmes (1) et arrivent au terme de leur complot puisqu’ils sont parvenus, suite à l’infiltration des structures ecclésiales, « jusqu’au plus haut sommet » de l’Église — La Salette — (cf. « L’Église Éclipsée ! »)

Leur mainmise sur le monde peut être prouvée. Citons le commentaire que fit l’officier W. Carr, après qu’il eut copié un document de la British Museum Library à Londres : la lettre écrite en 1871 par l’Illuminati (2) Albert Pike, fondateur du rite palladique luciférien, Mazzini (chef révolutionnaire de la Haute-Vente, branche armée de la Maçonnerie).

«… La Première Guerre mondiale devait être livrée afin de permettre aux Illuminés de renverser le pouvoir des Tsars en Russie et de faire de ce pays une forteresse du Communisme athée. Les divergences suscitées par “l’agentur” (médias des Illuminés) entre les Empires britannique et allemand devaient servir à fomenter cette guerre. À la fin, le Communisme devait être édifié et utilisé pour détruire les autres gouvernements et pour affaiblir les religions.

La Seconde Guerre mondiale devait être fomentée en profitant des divergences entre les Fascistes et les Sionistes politiques. Cette guerre devait être livrée de telle sorte que le Nazisme soit détruit et que le Sionisme politique soit assez fort pour instaurer l’État souverain d’Israël en Palestine. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Internationale Communiste devait devenir assez forte pour équilibrer la Chrétienté. Elle serait alors contenue et tenue en échec jusqu’au moment où l’on aurait recours à elle pour le cataclysme social final (3).

La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en profitant des divergences suscitées par “L’agentur” des “Illuminés” entre les Sionistes politiques et les dirigeants du Monde Islamique. Elle doit être menée de telle manière que l’islam (le Monde arabe musulman) et le Sionisme politique se détruisent mutuellement (4). Tandis que les autres nations, une fois de plus divisées sur cette affaire seront contraintes à se combattre jusqu’à complet épuisement physique, moral, spirituel et économique. »

Le 15 août 1871, Albert Pike dit à Mazzini qu’à la fin de la Troisième Guerre mondiale ceux qui aspirent à dominer le monde sans conteste provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde ait jamais connu. Nous citons ses propres termes (empruntés à sa lettre de la British Museum Library à Londres) :

« Nous allons lâcher les Nihilistes et les Athées et provoquer un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur montrera clairement aux nations les effets d’un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement. Alors, tous les citoyens, obligés de se défendre contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation et les masses déçues par le Christianisme, dont l’esprit déiste, laissé à partir de ce moment sans boussole à la recherche d’une idéologie, sans savoir vers qui tourner son adoration, recevra la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer (au Sinaï n. d. r.) (5), enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme, simultanément soumis et détruits. »

À la lecture de ces lignes, un constat s’impose : reste l’exécution de la phase finale du plan ; à savoir une guerre mondiale et une révolution universelle dont les prémices sont visibles ! En effet l’examen du comportement des « maîtres du monde », architectes des conflits majeurs de ce siècle, confirme l’imminence d’un conflit universel.

Partie III
Troisième conflagration mondiale en vue !
Les élites financières quittent le territoire américain

Voici sous forme de communiqué l’avertissement adressé par Marcel Renoulet, directeur de l’Homme Libre :

« La rédaction de L’Homme Libre a reçu dernièrement d’un ami correspondant possédant une grande connaissance des puissances d’argent et des oligarchies financières maîtresses de la planète, l’avertissement suivant : “J’ignore si la guerre va éclater. Un fait m’inquiète beaucoup. C’est que Rockefeller et une dizaine des plus grands milliardaires américains ont acheté un territoire aussi grand que la Belgique en plein centre du désert d’Australie et s’y font construire des palaces de survie en majeure partie enterrés. Le territoire est cerné de barbelés et surveillé par une armée privée. Très mauvais ; très mauvais signe… ces Messieurs connaissent l’avenir… vu que ce sont eux qui le décident” »

(10.11.1994).

« Ces Messieurs connaissent l’avenir… vu que ce sont eux qui le décident »

Qui sont ces gens ? Les mêmes qui ont mis en œuvre la guerre de 1914/18 après avoir créé la Réserve Fédérale (banque centrale américaine de droit PRIVE) ; les mêmes qui ont permis la guerre de 1939/45 en finançant Hitler et son parti, le NSDAP.

Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, cette petite clique d’individus (6) a dessiné les contours de la future géopolitique européenne dans la perspective du « plan Pike » programmant les trois guerres mondiales.

C’est ainsi que la guerre de Yougoslavie sera la conséquence directe du découpage chirurgical d’après-guerre. Pourquoi avoir en effet donné la totalité de l’armée fédérale aux communistes serbes ?

Qu’y a-t-il entre la Russie et la France ? La Roumanie et… précisément la Yougoslavie !

Ces manipulations touchent également la géopolitique russe. Gorbatchev n’a-t-il pas permis la création d’un gouvernement secret russe en Occident à la tête d’une fortune de plus de huit cents milliards de dollars! Demandez des explications à monsieur Elstine (7) ; sa chute est sans appel à cause du terrain volontairement miné par son prédécesseur dont les rentes sont payées par les mêmes milliardaires — via différentes fondations — évoqués plus haut.

Jusqu’ici les « maîtres du monde » avaient choisi le territoire américain pour s’y protéger et y accumuler des fortunes. En effet, en 1914, en 1939, ces milliardaires se sont repliés aux États-Unis. Ils se savaient y être en sécurité ! Architectes des deux Guerres mondiales ils connaissaient les espaces géographiques qui seraient concernés par celles-ci.

Aujourd’hui, ils quittent les États-Unis… et l’opération qui les voit « déménager » a été appelée « Operation Arche de Noe » (8). Ce départ ne signifie-t-il pas que le monde entier va être touché, y compris les États-Unis ?

Le fait de se protéger dans le désert australien confirme donc, non seulement l’existence d’un Plan, mais encore l’achèvement de ce plan pour nos temps !

L’Opération Arche de Noé (9)

Suite à l’information diffusée par « L’Homme Libre », M. Jacques Monnot a adressé les lignes suivantes :

« II n’est pas étonnant que des milliardaires américains se fassent bâtir des abris au centre de l’Australie. » En 1978, Stan Deyo écrivait : « The Cosmic Conspiracy », publié en français en 1988 sous le titre « La conspiration cosmique », par Louise Courteau, Montréal, Québec. L’auteur explique que les États-Unis financent des bases ultra-secrètes, dont l’une des trois plus importantes serait en Australie, « Pine Gap », près du mont Liebig, à 23° 48’S et 133°43’E. Les principaux entrepreneurs auraient été Collins radio et Ling Pemco-Vought (Texas), Mac Mahon Constructeur et IBM. Stan Deyo s’interroge :

« Se pourrait-il que Pine Gap soit aussi ce qu’il est convenu d’appeler un abri destiné à recevoir le personnel clé des États-Unis en cas de catastrophe météorologique naturelle ou d’attaque nucléaire à l’échelle mondiale, dont le nom de code serait “Noah’s Ark” (Arche de Noé) ? » (p. 44).

U.S. Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), 1400 Wilson Boulevard, Arlington, Virginie 22209, Architect Building, serait le responsable de Pine Gap, créée en 1966. La base est installée sur un puits d’eau foré jusqu’à au moins 8535 m. et, au fond du puits, reposeraient des super systèmes informatiques IBM, sur une plateforme. Ce puits pourrait servir d’antenne souterraine pour la diffusion d’électricité à très basse fréquence (TBF).

« Il est probable que l’antenne du puits serve à synthoniser un énorme champ d’ondes stationnaires autour de la planète ! Un système de ce genre pourrait être synthonisé sur des fréquences allant de 9.000 à 14.336 cycles par seconde, soit suffisamment pour produire un champ de résonance électrique à une altitude de 400 km ». (P. 43).

Ces ondes à Très Basse Fréquence (Extremely ou Extra Low Frequence, 1 à 100 Hertz, ou Very Low Frequency, 10 à 30 kilohertz) ont un autre émetteur-récepteur près de la baie d’Exmouth, au nord du Cap Nord-Ouest (West Cape, 22°23’S,114°07E).

Le ministère des Transports enregistre Pine Gap comme R 233 sur les cartes de navigation. R233 est un espace aérien limité, réservé à la recherche spatiale. Il constitue un cercle de 5 milles marins, dont le centre est Pine Gap. Les États-Unis y mènent des recherches sur la propulsion électromagnétique, qui est celle des « soucoupes volantes » (10). La base possède des accélérateurs à plasma à haute tension et à haute énergie, utilisés probablement pour de nouvelles méthodes de production d’énergie, et un canon à plasma.

Dans un livre intitulé « Les gens les plus heureux de la terre », Demos Shakarian raconte comment, au début du siècle, quelques familles arméniennes pentecôtistes du village de Kara Kala, au pied du mont Ararat, quittèrent leur pays pour la côte ouest des États-Unis, à la suite d’une révélation privée faite à un « enfant prophète » de onze ans, d’origine russe, en 1853. Ces Arméniens échappèrent ainsi au génocide perpétré par les Turcs de 1915 à 1922 ! Le nom de l’enfant était Efim Gerasimovitch Klubniken. Dans le même ouvrage, Demos Shakarian raconte comment, au cours d’une réunion des « Hommes d’affaires du plein Évangile », quelqu’un avait annoncé qu’une grande persécution contre les chrétiens allait avoir bientôt lieu dans de nombreuses parties du monde, y compris les États-Unis d’Amérique (p. 17, diffusion Librairie chrétienne, 48, rue de Lille, Paris 7).

Ceci correspond aux prophéties de La Fraudais, de Marie-Julie Jahenny (11).

Se pourrait-il que ces milliardaires américains préparent à la fois une guerre civile antichrétienne et leurs refuges en Australie (12) ? (L’Homme Libre 10.11.1994)

Monsieur Monnot écrit :

« Ces milliardaires américains préparent à la fois une guerre civile antichrétienne et leurs refuges en Australie ».

Mais quel était donc le plan dévoilé par le grand prêtreluciférien Albert Pike en 1871, sinon une guerre civile antichrétienne ?

Partie IV
La collusion entre la Haute Finance et les cercles satanistes

Australie… que s’y passait-il au dernier trimestre 1993 ?

Un projet d’offensive satanique, préparé depuis longtemps, fut dévoilé à des religieuses australiennes qui s’occupent d’anciens satanistes.

Ces personnes qui ont décidé de fuir l’église de Satan ont révélé que « l’élite de Satan se réunit en ce moment en Australie ».

Il y eut en effet un « Grand rassemblement des Esprits » du 21 octobre au 9 novembre 1993 à Wollongong sur la côte orientale d’Australie, près de Sidney. Les témoignages d’ex-satanistes ont révélé que l’élite des chefs de culte satanique du monde entier était déjà sur place. Leur nombre se comptait par centaines et ils ont tout fait pour mobiliser leurs adeptes à aider aux préparatifs et à prendre part eux-mêmes à cette rencontre.

Cette rencontre projetée depuis plusieurs années s’est tenue dans les montagnes au-dessus de la ville, dans la brousse épaisse. Là, de nombreux rituels ont été pratiqués. La préparation de leur rencontre comprenait aussi bien la « programmation » de leurs adeptes que des sévices sadiques, sexuels et corporels. Ils invoquent des esprits démoniaques et les esprits de morts pour recevoir d’eux la puissance ; ils n’hésitent même pas à faire des sacrifices humains pour amplifier par là leur pouvoir. Le but de ce rassemblement à Wollongong était de faire participer tous les adeptes à « l’anéantissement de l’ange de la mort ». Qui est ce personnage ? À leurs yeux il s’agit d’’une personnalité chrétienne que Dieu a appelé pour les combattre ».

Cette réunion d’une importance mondiale et décisive pour ses architectes a pu se réaliser grâce à un noyautage d’adeptes installés dans la ville de Wollongong depuis une centaine d’années.

Des groupes de religieux offrent une assistance constante à toute personne désirant sortir de ces cercles sataniques. Grâce aux transfuges on a pu connaître ces informations. Parmi les personnes protégées une femme révéla dans une interview que « dès la naissance elle avait été préparée à devenir reine des sorcières et qu’elle aurait dû maintenant être intronisée par un rituel de sang ». Elle a demandé la protection de la police pour son mari et ses enfants, car les satanistes voulaient récupérer toute la famille et ils ne lui laissaient qu’un choix : « Reviens ou meurs ! »

Pourquoi les architectes de la Secte sataniste ont-ils choisi la ville de Wollongong ? La réponse fut donnée par un « transfuge » à la Directrice de la Communauté Évangélique des Sœurs de Marie :

« parce qu’ici siègent de fortes armées des ténèbres ! »

Où se trouve la ville de Wollongong ? Pas bien loin d’une grande zone désertique… Dans la perspective de la guerre antichrétienne enclenchée, la collusion entre la Haute Finance maçonnique luciférienne et les cercles sataniques est établie. (Informations données par un lecteur australien)

Pourquoi ce choix de l’Australie par les maîtres du monde ?

Outre des considérations géopolitiques naturelles, motivées par un conflit nucléaire, l’une des raisons qui justifieraient ce « refuge » des « maîtres du monde » en Australie pourrait avoir un rapport avec l’approche d’une comète gigantesque (13).

Comme par hasard, la Nasa s’intéresse de plus en plus au moyen de détourner la trajectoire d’éventuelles comètes. Le sous-sol du désert australien constitue-t-il un lieu de refuge privilégié ?

Et pourtant ?

Voici un communiqué de presse diffusé au début du mois de juillet 1994 dans le journal Ouest France :

« La chute d’une météorite a provoqué un tremblement de terre près de Broken Hill, dans l’ouest des Nouvelles Galles du Sud, en Australie. Il était 20h45, heure locale, quand plusieurs centaines d’habitants ont aperçu une énorme traînée de lumière laiteuse glissant vers la terre et senti leur maison trembler. »

Le bouclage de la région

Pour résider sur son territoire, le gouvernement de Nouvelle-Zélande exige une caution de deux millions et demi de francs ainsi que l’obligation de trouver un emploi dans les six mois.

La Nouvelle-Zélande est formée de deux grandes îles montagneuses, à deux mille kilomètres au sud-est de l’Australie !




PHILIP K. Dick et le Grand Reset en Occident

[Publication initiale : euro-synergies]

Par Tetyana Popova-Mozovska

Préface de Nicolas Bonnal

Dans les années 1970, on évoquait au lycée un mage, un gourou, un écrivain qui sortait des catégories traditionnelles et scolaires mais n’entrait pas dans les nouvelles. Il faisait douter de la réalité du monde, de nos perceptions, et de notre humanité limitée à la consommation et à la perception de news. En outre il était perçu comme le prophète d’un futur effrayant et qui était déjà là. Bref, il était un oracle. Si Dostoïevski, Edgar Poe ou Balzac nous décrivaient un éternel présent qui venait du passé, cet écrivain mythique nous décrivait un éternel présent qui venait du futur. On le jugerait comme prophète et non comme styliste ou « réaliste ».

Cet écrivain bien sûr est Philip K. Dick — et mes amis des sections scientifiques le considéraient comme un génie réservé à une minorité choisie. On citait surtout « Ubik » dont le nom résonne comme celui d’un dieu de l’étrange. Après des essais de lecture infructueux, je finis par découvrir ce monstre littéraire en 1982 grâce au film « Blade runner ». Échec commercial à sa sortie, cet opus fasciné (et pas seulement fascinant) devint ensuite le film-culte par excellence. Les puristes reprochèrent plein de choses à une œuvre qui dessinait les grands traits de notre époque mondialiste, dystopique et travaillée par l’image. L’altération de la réalité par les simulacres était là, tout comme la technologie dangereuse, la difficulté de définir l’homme dans le monde capitaliste unifié et la fabrication artificielle par les images d’une mémoire collective planétaire effaçant l’expérience individuelle. Cependant la lecture de Dick me demeurait difficile. J’attendis d’autres films « Total recall », « Pay check », « Minority report » pour avoir une idée plus précise de cet univers « riche et étrange », digne des visions de Shakespeare et du baroque du Quichotte. Le futur dystopique, la dégradation d’un paysage planétaire déglingué et surtout la fabrication d’une mémoire artificielle me semblent être des axes essentiels des écrits de Dick. Et c’est là qu’est intervenue Tetyana, passionnée et sérieuse.

Sérieusement et systématiquement Tetyana a relu ou lu tous les ouvrages de Dick susceptibles d’expliquer l’étrange réalité dans laquelle nous sommes plongés. Depuis un an, nous avons en effet assisté à une accélération de cette réalité marquée par le totalitarisme technologique et l’effondrement énergétique/économique ; tout cela grâce au virus et aux mesures comme ce Reset qui l’accompagne, sorti de cerveaux planétaires et dangereux. Bref, nous sommes rentrés au moins dans les grandes villes dans l’univers de Dick — un univers souvent comique et menaçant, comme dit notre auteure.

Tetyana a compulsivement déniché les textes oubliés ou peu lus qui dessinent la réalité prévue par notre étrange prophète. Mais en bonne chrétienne elle a aussi insisté sur les contenus spirituels et « chrétiens-primitifs » de l’œuvre de Dick, dimension que beaucoup de critiques ont négligée ou oubliée. De ce point de vue ce grand auteur pourrait être aussi un écrivain du « 8ème jour » quand nous serons réveillés du long sommeil impérial et ferré. Ce livre s’adresse donc à une élite « éveillée », et qui s’ignore encore.

Éditions Tetyana, Amazon.fr. À paraître chez Avatar.




La chute de l’homme dans l’algorithme

De la bataille contre le Système (épisode XIII)

[Source : entrefilets.com]

[Publication] 10/02/2017 [par le créateur anonyme du site entrefilets]

Bientôt les hommes cesseront de s’aimer, tomberont amoureux de machines, deviendront un temps des objets connectés parmi d’autres avant de disparaître, de se fondre dans une ultime étreinte technologique censée les « augmenter », mais qui aura surtout raison de leur humanité. C’est ce que les adeptes hallucinés du transhumanisme1 appellent la « Singularité », ce moment d’inflexion où les progrès exponentiels de la technologie infesteront l’homme pour en changer la nature et donner naissance au Surhomme tant attendu, enfin libéré de ses limites biologiques. Selon certains transhumanistes, cette « Singularité » pourrait même survenir d’ici à 2030 déjà, et les progrès stupéfiants que nous annoncent régulièrement les apprentis sorciers de l’intelligence artificielle rendent plausible ce calendrier. Il faut dire que la voie est toute tracée. On voit mal ce qui pourrait en effet contrarier cette échéance. Notre contre-civilisation ultralibérale est psychologiquement formatée pour accepter et même souhaiter la disparition de notre si imparfaite humanité, et son impératif libéral justement lui interdit tout simplement de questionner les (r)évolutions technologiques puisque ce serait contraire à l’un de ses dogmes qui veut que l’« on n’arrête pas le progrès ».

Deux forces à l’œuvre

Dans la société ultralibérale, deux forces implacables sont ainsi à l’œuvre qui rendent inéluctable cette fuite en avant vers la Singularité et l’abolition de notre humanité.
D’un côté, il y a d’abord ce que nous appellerons le néo-progressisme sociétal, qui s’emploie à déstructurer les sociétés, à briser tous les tabous, à bouleverser en permanence les rapports sociaux, à imposer ce relativisme moral et culturel absolus qui désacralise tout, à commencer par la vie.

Jour après jour, on légifère ainsi à tour de bras pour satisfaire le moindre lobby, pour donner l’illusion d’une société vertueusement engagée dans la quête d’un équilibre parfait où chacun pourra, à terme, exercer son droit inaliénable à tout sur tout. Chaque groupe, puis chaque sous-groupe, puis chaque individu se voit ainsi invité à ne voir le monde qu’au travers du prisme déformant de ses intérêts particuliers. Or cette « innocente » tentative de donner satisfaction à tous les égoïsmes concurrents d’un peuple devenu alors « peuple de démons » ne sert, en réalité, qu’à alimenter une guerre de tous contre tous destinée à atomiser les individus.

[Voir aussi :
L’atomisation de l’Homme et de l’Humanité]

Et le vivre-ensemble dans cette société-là se réduit alors au vivre pour soi. Le Marché-Monde étant bien sûr là pour combler tous les désirs, toutes les aspirations, c’est-à-dire pour permettre aux individus de se remplir, de se gaver, de consommer donc. (Nous avons déjà analysé cette immense entreprise d’abolition de l’homme, notamment dans nos billets intitulés « Contre l’abolition de l’homme » justement2, « Intelligentsia et servitude globalisée »3, « Retour sur le fiasco libéral »4 ou encore « La frontière, le Système et le porno »)5.
Une telle société dont l’aspiration a finalement atteint un tel sommet de pauvreté ne peut dès lors qu’être totalement perméable à l’utopie du transhumanisme.

Et c’est là qu’interviennent les geeks hallucinés de la Silicon Valley pour nous conduire au Graal, nous donner enfin un horizon nouveau, la possibilité d’autre chose, de quelque chose de meilleur et même de merveilleux par la magie des algorithmes qui vont enfin faire de nous de vrais dieux.

La rupture d’avec le réel

La cohérence est donc totale entre cette entreprise de déstructuration de la société humaine d’un côté, et la course effrénée au progrès technologique de l’autre. Comme une grenouille plongée dans un bain froid que l’on réchauffe progressivement se laissera cuire sans broncher, l’Homme post-moderne est alors de plus en plus immergé dans de nouvelles technologies de plus en plus invasives, qui le détachent peu à peu du réel, du monde, des autres, de tout, sauf des pixels.
Aujourd’hui déjà, l’individu post-moderne passe en moyenne huit heures par jour le nez planté dans un écran6 (ordinateur, TV, tablette, smartphone, console, etc.). Huit heures par jour : c’est-à-dire le tiers de la vie, et même la moitié de la vie « éveillée ».
Si l’on extrapole, cela veut dire qu’un adulte du XXIe siècle va passer plusieurs dizaines d’années de sa vie à fixer les pixels d’un rectangle lumineux. Un écran où tout ce qui se passe est organisé, vu, compilé, répertorié et examiné par les algorithmes du Système bien sûr.

Premier constat : la rupture avec le monde réel, la mère Nature notamment, est absolument totale et la rando mensuelle n’y change rien. D’où sans doute cette indifférence à l’agonie de la paysannerie et à celle de l’écosystème en général, hormis les postures de façade bien sûr.
Deuxième constat : les rapports sociaux se virtualisent déjà largement aussi, devenant peu à peu un simulacre organisé par écrans interposés, et là encore grâce aux algorithmes du Système. Cette hyperconnexion censée rapprocher les hommes ne fait donc en réalité que les séparer. En ce sens les technologies de la communication sont moins là pour favoriser les relations humaines que pour s’y substituer.

[Voir aussi :
Les réseaux sociaux sont un danger pour l’humanité, selon certains biologistes et écologistes
Les relations humaines
La révolution woke a des conséquences dramatiques
Médias numériques — « Perte de la réalité »
Les fondements de la communication]

Mon robot, mon amour

Dans un futur proche, la robotique va encore permettre de franchir une étape décisive dans l’abolition de l’homme. D’abord sous une forme ludique en prenant en charge l’un des rapports sociaux les plus compliqués et essentiels qui soit : la sexualité.
Il semble en effet que le sexe avec les robots soit au menu des progrès de notre contre-civilisation pour cette année déjà7, une étape logique de l’évolution de sex-toys à circuits imprimés, dont le succès commercial est déjà phénoménal.
Mais pourra-t-on réellement amener l’homme à développer une véritable relation amoureuse avec une machine ? Eh bien oui. La chose est d’ores et déjà dans le pipeline comme on dit.

Des chercheurs ont démontré que les hommes sont parfaitement capables d’éprouver des sentiments pour des machines8. Avec cet avantage incroyable pour le Marché-Monde de pouvoir répondre de manière adaptée à toutes les névroses, à toutes les solitudes, à tous les désespoirs en proposant le compagnon idéal, sur mesure, flatteur, attentionné et enjoué auquel chacun devrait évidemment avoir droit (parce qu’il le vaut bien)9.

Et tôt ou tard, et plutôt tôt que tard au vu de l’accélération exponentielle des progrès en matière d’algorithmes, la fameuse « Vallée étrange » — théorie selon laquelle plus un robot ressemble à un Homme plus ses imperfections apparaissent monstrueuses et engendrent donc son rejet10 sera comblée.
L’Homme pourra alors se passer de l’Homme et la Machine-Marché pourra enfin pourvoir à l’entier de ses besoins.

Mon robot, mon maître

C’est que le robot dont on finira par tomber amoureux n’aura rien à voir avec cette sorte de grille-pain siliconé qui constituera la première génération des robots purement sexuels de notre décennie finissante. À terme, le robot dont on tombera amoureux sera subtil, cultivé et très intelligent, beaucoup plus intelligent que nous d’ailleurs.

Là non plus, l’horizon temporel n’est plus si lointain.
Récemment en effet, un nouveau progrès spectaculaire a sidéré les apprentis sorciers de l’intelligence artificielle (IA) eux-mêmes.
Un robot vient en effet de remporter un tournoi de… poker.
Anodin ?
Pas vraiment en fait.
Car le poker est un jeu de menteur, de bluffeur, pas un jeu basé sur des équations mathématiques.
Noam Brown, le créateur de Libratus11, l’intelligence artificielle qui a remporté le tournoi, explique ainsi que ses concepteurs lui ont « donné les règles de base » en lui disant : « Apprends par toi-même ». Et ils ont été les premiers surpris du résultat. « Quand j’ai vu l’IA se lancer dans le bluff en face d’humains », a déclaré Noam Brown, « je me suis dit :Mais, je ne lui ai jamais appris à faire cela !” »

« Je ne lui ai jamais appris à faire cela ! »
La phrase devrait bien allumer quelques voyants dans le cerveau de nos chers Geeks hallucinés ou de nos politiques, mais il n’en sera bien évidemment rien. « L’expérience » ne connaîtra aucun frein, aucun contrôle, aucune limite.
Trop de débouchés prometteurs sans doute.
Et puis, « on n’arrête pas le progrès ».

Moi, robot

Le transhumanisme, ce sera aussi et surtout la possibilité de l’immortalité. Car une fois absorbé par la machine, l’homme ne sera plus biodégradable.
Toutes les disciplines qui servent cette utopie délirante vont donc pouvoir compter sur un financement illimité, notamment des grabataires terrorisés de l’oligarchie globalisée. Qui veut mourir alors qu’il est milliardaire ?
Ce sera alors le grand moment de la Singularité, ou l’algorithme sera suffisamment élaboré pour pénétrer la chair humaine, l’esprit humain, pour venir « l’augmenter » et faire enfin de l’Homme un Dieu.

Et à la fin nos ultralibéraux de clamer : « Quelle Merveille ! », un pied négligemment posé sur le cadavre de notre Humanité.
« Il se peut que le progrès soit le développement d’une erreur », avait dit Jean Cocteau.





La Royal Society réfute la crainte d’un effondrement du Gulf Stream

[Source : anguillesousroche.com]

Par Chris Morrison

L’une des craintes les plus impardonnables que les fanatiques écologistes font peser sur le public en matière de climat est l’idée que le Gulf Stream est sur le point de s’effondrer, plongeant l’hémisphère nord dans une nouvelle ère glaciaire. En juillet dernier, le Guardian et la BBC ont tous deux rapporté que le Gulf Stream pourrait s’effondrer d’ici 2025, entraînant des conséquences climatiques catastrophiques. Tous ces propos alarmistes s’appuient sur des modèles, qui ont également conduit le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations unies à prévoir qu’il est « très probable » que l’ensemble du système des courants de l’Atlantique Nord s’affaiblisse dans un avenir proche. Il va sans dire que ces modèles ont un bilan extrêmement médiocre, comme l’a révélé un récent article publié par la Royal Society. « Si ces modèles ne peuvent pas reproduire les variations passées, pourquoi devrions-nous être si confiants dans leur capacité à prédire l’avenir », s’interrogent les auteurs scientifiques.

Le Gulf Stream fait partie d’un système de courants plus large, connu sous le nom de circulation méridienne de surface de l’Atlantique (AMOC). En apportant des eaux plus chaudes du sud, on estime qu’il augmente les températures des zones côtières dans certaines parties de l’hémisphère nord jusqu’à 5 °C. L’effondrement de l’AMOC est à l’origine de l’arrivée d’une nouvelle ère glaciaire dans la superproduction hollywoodienne de science-fiction Le jour d’après. Depuis, ce film est l’un des préférés des alarmistes climatiques. Bien entendu, la pression politique en faveur du projet collectiviste Net Zero est à l’origine d’une grande partie de la copie. En juillet dernier, Damian Carrington, rédacteur en chef du Guardian chargé de l’environnement, a déclaré que la perspective d’un effondrement de l’AMOC était extrêmement préoccupante et qu’elle « devrait inciter à réduire rapidement les émissions de carbone ».

Les auteurs de la Royal Society constatent que les modèles climatiques qui reposent sur l’hypothèse que l’homme peut contrôler l’AMOC et qu’il le fait sont erronés depuis des décennies. Ni les modèles passés ni les modèles actuels ne parviennent à représenter les données d’observation réelles de l’AMOC. Ils ajoutent :

« S’il n’est pas possible de réconcilier les modèles climatiques et les observations de l’AMOC au cours de la période historique, nous pensons que l’affirmation concernant la confiance future dans l’évolution de l’AMOC doit être révisée. Un manque de confiance dans le passé devrait se traduire par un manque de confiance dans l’avenir. »

La suggestion du GIEC selon laquelle l’AMOC s’affaiblira à l’avenir est « très probable », ce qui donne du poids à bon nombre des tactiques alarmistes employées par les médias grand public et les militants écologistes. Mais les auteurs notent que les modèles ne peuvent pas reproduire les variations passées, ce qui les amène à se demander, à juste titre, pourquoi nous devrions avoir confiance en leur capacité à prédire l’avenir. Pour la communauté AMOC, le défi consiste soit à réconcilier les différences entre les modèles climatiques et les observations, soit à mieux comprendre les raisons des écarts.

« Nous pensons qu’il faut progresser dans la compréhension des raisons pour lesquelles les modèles ne reproduisent pas la variabilité passée de l’AMOC et que c’est la clé pour avoir confiance dans l’évolution future de cette variable climatique clé », déclarent-ils.

De belles paroles, mais en attendant, nous sommes coincés avec des modèles climatiques qui sont manifestement inadaptés, sauf, bien sûr, pour le travail politique vital qui consiste à effrayer les populations pour qu’elles se conforment à l’économie et à la société du Net Zero.

L’utilisation de modèles climatiques pour promouvoir l’effondrement du Gulf Stream est l’une des corruptions les plus flagrantes de la science utilisée pour soutenir des objectifs politiques. Un rapport récent de Clintel a révélé que les modèles du GIEC utilisent des données d’entrée qui suggèrent que les températures mondiales futures augmenteront de 4 °C en moins de 80 ans. Et ce, bien que l’organisation ait déclaré qu’une telle éventualité était « peu probable ». Au cours des 25 dernières années, les températures mondiales ont à peine augmenté de 0,2 °C. Plus de 40 % des déclarations du GIEC concernant l’impact sur le climat découlent des « voies » improbables relatives aux températures, et ce chiffre atteint plus de 50 % dans la littérature scientifique générale. Il est probable que ce chiffre soit beaucoup plus élevé dans les médias grand public, qui ont l’habitude de rendre compte sans esprit critique des éléments les plus évidents de l’appât à clics.

Rien de tout cela n’est bon pour le processus scientifique. L’écrivain scientifique Roger Pielke Jnr. s’inquiète, notant récemment qu’une approche ouvertement partisane pourrait compromettre la confiance du public et rendre la pratique de la science beaucoup plus politique. Ignorer un grand nombre de données empiriques et d’expériences du monde réel indique que la politisation de la science devient rapidement pathologique pour la science et la société.

« Les conséquences comprennent une perte générale de confiance dans les institutions scientifiques, remplacée par des déterminations de confiance basées sur l’identité », a-t-il observé.

Les personnes peu charitables pourraient conclure qu’avec le Covid et le climat, la réputation d’organisations médiatiques telles que le Guardian et la BBC se trouve de toute façon dans la poubelle scientifique. Mais la perte de confiance de plus en plus évidente dans un certain nombre de disciplines scientifiques est une tragédie en cours qui aura de graves conséquences sociétales. Les activistes qui accompagnent les écologistes bien financés ne s’en soucieront pas, mais les scientifiques authentiques devraient s’en préoccuper.

[Voir aussi :

Le génial penseur, historien et sociologue Eugen Rosenstock-Huessy a identifié et publié il y a cent ans un mécanisme très simple expliquant pourquoi la science établie, c’est-à-dire institutionnalisée, devient AUTOMATIQUEMENT et inévitablement une pseudo-science :

« Les savants sont des gens compétents et donc tout à fait incapables d’aimer le renversement de leur vertu. Ce sont des fonctionnaires de la science, et ils s’opposent toujours à l’amateur. Mais comme la science fait officiellement partie de la recherche, tout comme le Saint-Esprit fait partie de l’Église, il existe une masse de pseudo-recherches qui rivalisent avec le progrès de la recherche libre ; et seule la première est consciencieusement soutenue par les instances et les fondations officielles, car elle seule semble digne d’être soutenue par le fonctionnaire professionnel de la science. Cette fausse recherche agit selon le principe : “Lave-moi la peau, mais ne me mouille pas”. Elle étudie le cancer selon les idées dépassées de Pasteur, comme s’il s’agissait de la rage ».5

Voir : Essence et motivation de la recherche de nouvelles connaissances

]

Lire aussi : Le GIEC admet que nombre de ses sombres prévisions climatiques sont « peu probables »

Source : The Daily Sceptic — Traduit par Anguille sous roche




L’arnaque Apollo et le déclin technique

[Publication initiale : reseauinternational.net]

Par Nicolas Bonnal

Alors qu’on nous avait saoulés avec une célébration débile et digne de nos siècles hypnotiseurs (René Guénon), je trouve, sur ce sujet lunaire que j’ai plusieurs fois abordé, intelligents et tempérés les propos suivants (source Strategika51.blog) :

« Le programme Apollo a été l’un des programmes les plus ambitieux de l’histoire et a été mené de 1961 jusqu’en 1975. Il aurait permis officiellement l’envoi pour la première fois de l’histoire connue d’hommes sur la surface lunaire.

À en croire l’histoire officielle, ce programme a abouti le 21 juillet 1969 : deux hommes, Neil Armstrong et Buzz Aldrin, marchaient sur la surface lunaire, tandis qu’un autre les attendait sur un module orbital autour de la lune.

Ainsi, l’homme parvint à se poser sur la lune vingt-quatre ans après l’explosion des premières bombes atomiques marquant la fin de la seconde guerre mondiale de 1939-1945.

Ceci est ce que l’on enseigne dans toutes les écoles de la planète.

Qu’en est-il réellement ?

Exit l’aspect technique. Des questions de simple bon sens nous interpellent ici. Nonobstant la contradiction avec la flèche linéaire évolutive de l’histoire des techniques, laquelle nous a été imposée comme un dogme sacré dès le 19ème siècle, comment expliquer qu’il y a 50 ans, l’homme est parvenu à se poser sur la lune et qu’un demi-siècle plus tard, non seulement cette aventure solitaire ne s’est pas répétée, mais n’a donné lieu à aucune évolution ultérieure consécutive à ce premier pas ?

Si l’on suit la logique épistémologique positiviste, le premier pas de l’homme sur la lune aurait dû fonder un processus visant à une installation humaine plus ou moins durable sur la face claire de la lune dans le but d’une exploitation durable des ressources minières disponibles de notre satellite naturel.

Il n’en fut rien. Il n’y a jamais eu de suite à ce programme : Ni les États-Unis ni aucun autre pays sur terre ne purent envoyer des humains sur la lune, il n’y a jamais eu de base sur la lune, aucun survol habité de la lune, pas de mission habitée vers Mars et encore moins vers Vénus. La fusée Saturn fut tout juste utilisée pour mettre Skylab en orbite basse et l’ensemble de l’astronautique habitée s’est repliée en haute atmosphère terrestre ou en orbite basse. C’était la régression consacrée par le programme des navettes spatiales orbitales. La conquête spatiale était terminée. Les auteurs de science-fiction et d’anticipation ayant survécu à cette période perdirent tout espoir. »

Sauf que les auteurs de SF, presque tous agents-fonctionnaires du Deep State ou de l’US Air farce, faisaient partie de la combine (seul un génie comme Dick nous parlait de l’hypnotisation ici-bas).

On conclut :

« Cinquante ans après, les États-Unis n’ont même pas de lanceur fiable et si le retour sur la lune ou une éventuelle mission habitée sur Mars sont souvent évoqués par des politiciens US, c’est plus par populisme et par politique de prestige. Dans les faits, c’est l’impasse. »

Puis on évacue le complot, mais on écrit quand même :

« En évacuant le débat technique et en prenant nos distances avec les théories du complot, nous avons la logique. Et cette logique nous dicte que si l’homme achève un progrès dans un domaine, il entame un processus d’évolution dans ce domaine. Or, si on croit aux petit pas de Neil Armstrong, cela fait un demi-siècle que les hommes sont allés sur la lune. Un demi-siècle plus tard, les hommes ne peuvent même pas se hasarder à quitter l’orbite basse de la terre. Le progrès scientifique et technique s’est-il inversé en ce qui concerne l’espace ?

La réponse à cette question est positive dans tous les cas de figure et quels que soient les arguments présentés ou défendus. Les ordinateurs de bord d’Apollo 11 n’égalaient même pas en puissance de calcul et de traitement le vingtième de ceux du plus petit téléphone bas de gamme destiné aux populations des régions les plus défavorisées sur terre. Un demi-siècle et deux révolutions technologiques plus tard, les hommes se retrouvent dans l’incapacité d’envoyer des humains au-delà de l’orbite basse de la terre, se contentant d’exploiter commercialement ce qu’ils désignent l’espace en y envoyant des satellites et des sondes d’exploration automatiques. »

Le rédacteur anonyme souligne aussi ceci à propos de l’aviation moderne :

« Tout ceci est plus qu’aberrant et il y a bien plusieurs anguilles sous roche. Prenons le cas de l’aviation. Entre 1914 et 1964, les progrès de l’aviation furent époustouflants. En cinquante années, on est passé de petits avions en bois et papier équipés de moteurs primitifs et à très faible rendement énergétique ne dépassant pas les 170 km/h maximum à des super jets pouvant voler à des dizaines de milliers de mètres à des vitesses supersoniques jusqu’à Mach 3 dans les années 60. Comment se fait-il dès lors que l’inverse se produisit en astronautique habitée ? »

Sur ce sujet notre anonyme manifeste une petite incohérence : le Concorde englouti par qui l’on sait, nous sommes placés pour savoir qu’il n’y eut plus de réels progrès dans l’aviation civile et même militaire, et ce depuis les années soixante-soixante-dix. Notre seul progrès est celui de la réalisation de ce camp de concentration électronique mondial, auquel participe tout le monde, communauté antisystème y compris. Désolés, mais c’est l’enfer de Dante : « laissez tomber toute espérance, vous qui entrez. » Les déboires actuels de Boeing et de l’aviation américaine (737, JSF), le cataclysme énergétique (fracking, éoliennes, etc.), la crapulerie automobile devraient réveiller les plus distraits. Je lisais dans Bloomberg/Zerohedge.com que les robots ne nous tueront pas tous, et que les africains remplaceront tantôt les Chinois pour fabriquer les gadgets dont nous ricains raffolons…

On croit rêver, mais passons. Il ne reste au système que l’hypnose/simulacre : la télé en bandeau, la hausse algorithmique des marchés, l’imprécation nucléaire.

Le mensonge américain a été étayé par le silence russe, à qui Apollo fit perdre la face et la guerre froide.

Notre anonyme donc :

« Autre question. L’Union soviétique, qui fut la première puissance astronautique, ne parvint jamais à envoyer des cosmonautes au-delà de l’orbite basse. Et ce n’est pas la volonté, les programmes ou les fonds qui manquèrent à cette fin. Les Soviétiques étaient dans l’ensemble bien plus audacieux en matière de conquête spatiale que ne l’étaient les Américains et pourtant ils ne parviendront jamais à rivaliser avec les missions Apollo et garderont un très étrange silence sur le programme lunaire US. Ce silence a été hérité par la Russie pour laquelle ce sujet fait partie d’un des tabous collectifs russes.

Personnellement et cela me fait très mal de l’admettre en mon for intérieur vu mon esprit scientifique, je ne crois pas à la présentation qui en a été faite jusqu’ici des programmes Apollo. Il y a trop de contradictions et d’anomalie dans la présentation des faits et plus encore en termes de logique.

J’ai longtemps fait partie des grands enthousiastes de l’astronautique, laquelle fut comme pour beaucoup d’enfants de ma génération et de celles qui nous ont précédés, un rêve d’enfant. Ils nous ont menti pour la lune comme ils nous mentent encore à l’école sur la composition du système solaire. Peu importe le contexte (la guerre froide) ou la motivation (volonté de puissance de l’État et politique de prestige) ou encore la méthode (guerre psychologique, média-guerre, manipulation et raison d’État), un mensonge demeure un mensonge. Or, en ce cas de figure, on a menti à toute l’humanité et à des générations entières. Certes ce n’est pas la première fois dans l’histoire, mais ce précédent très dangereux explique en partie comment on en est arrivé à se faire manipuler pour adhérer à des guerres pour le profit ou à se faire arnaquer par un système économique prédateur et inhumain. »

Et d’ajouter sur la Chine (qui a pourtant tout du faux rebelle, désolé d’insister…) :

« Je n’ai pas d’opinion arrêtée sur la ceinture de Van Halen bien que j’aie épuisé toute la littérature scientifique et technique existante à ce sujet. On ne sait rien. Ce que je sais par contre et que si un espoir existe dans le domaine spatial, il viendra du côté de la Chine où le côté pragmatique l’emporte sur le prestige ou la mise en scène. Le modèle d’exploration spatiale de la Chine vise à exploiter les ressources minières et énergétiques de la lune et des astéroïdes entre Mars et Jupiter et l’on sait déjà que les Chinois ont beaucoup d’ambitions pour ces domaines à fort rendement économique. La Chine a beaucoup de projets pour la Lune dont le symbolisme est assez important dans la culture chinoise. À un certain moment, Washington avait menacé la Chine et dissuadé Pékin de faire survoler un module lunaire au-dessus des sites d’alunissage des missions Apollo sur la face visible de la lune. C’était il y a quelques années. La même menace, mais bien plus imposante avait été faite en son temps à l’Union soviétique entre 1969 et 1973. Il s’agissait de guerre thermonucléaire globale. Ce temps-là est révolu. Soit on assistera à l’ouverture des portes du ciel par la Chine, soit on périra tous sur terre ».

Explication et justification partielle ici de l’actuelle sinophobie de l’élite impotente…

Et je reprendrai Guénon sur ces mensonges hypnotiques du monde moderne :

« À cet égard, nous ne croyons pas qu’on ait jamais remarqué suffisamment l’analogie, pourtant frappante, que l’action de l’orateur, notamment, présente avec celle de l’hypnotiseur (et celle du dompteur est également du même ordre) ; nous signalons en passant ce sujet d’étude à l’attention des psychologues. Sans doute, le pouvoir des mots s’est-il déjà exercé plus ou moins en d’autres temps que le nôtre ; mais ce dont on n’a pas d’exemple, c’est cette gigantesque hallucination collective par laquelle toute une partie de l’humanité en est arrivée à prendre les plus vaines chimères pour d’incontestables réalités ; et, parmi ces idoles de l’esprit moderne, celles que nous dénonçons présentement sont peut-être les plus pernicieuses de toutes… (Orient et Occident, p. 23). »

On nous ment sur le virus, sur le vaccin, sur la Russie, sur la crise, sur tout. Alors, revenons à l’alunissage.

Insistons sur cette question. Des mauvais plaisants mettent en doute notre alunissage consacré par la télé (c’est que la télé est et surtout reste la seule preuve de tout dans cette société d’imbéciles). On se demande comment les Américains devenus impuissants partout et qui utilisent des moteurs russes en ce moment, ont pu il y a cinquante ans et sans « technologie » (défense de rire) ou presque, envoyer trente lascars sur la lune.

Comme on a peur des insultes et des menaces, on reprend alors Guénon sur cette capacité hallucinatoire du monde moderne et des amers ricains qui nous mènent en enfer :

…à ce titre, cela joue un rôle des plus importants dans l’arsenal de formules dont les « dirigeants » contemporains se servent pour accomplir la singulière œuvre de suggestion collective sans laquelle la mentalité spécifiquement moderne ne saurait subsister bien longtemps. À cet égard, nous ne croyons pas qu’on ait jamais remarqué suffisamment l’analogie, pourtant frappante, que l’action de l’orateur, notamment, présente avec celle de l’hypnotiseur (et celle du dompteur est également du même ordre) ; nous signalons en passant ce sujet d’étude à l’attention des psychologues. Sans doute, le pouvoir des mots s’est déjà exercé plus ou moins en d’autres temps que le nôtre ; mais ce dont on n’a pas d’exemple, c’est cette gigantesque hallucination collective par laquelle toute une partie de l’humanité en est arrivée à prendre les plus vaines chimères pour d’incontestables réalités ; et, parmi ces idoles de l’esprit moderne, celles que nous dénonçons présentement sont peut-être les plus pernicieuses de toutes…

Je dis bien mener en enfer. La croyance en l’alunissage c’est refuser son libre arbitre, renoncer à sa vocation spirituelle et la remplacer par l’adoration d’une technologie dévoyée, celle qui horrifiait déjà Bloy au temps maudit de l’automobile. Tocqueville nous avait prévenus sur cette menace eschatologique des temps démocratiques :

« Les princes avaient pour ainsi dire matérialisé la violence ; les républiques démocratiques de nos jours l’ont rendue tout aussi intellectuelle que la volonté humaine qu’elle veut contraindre. Sous le gouvernement absolu d’un seul, le despotisme, pour arriver à l’âme, frappait grossièrement le corps ; et l’âme, échappant à ces coups, s’élevait glorieuse au-dessus de lui ; mais dans les républiques démocratiques, ce n’est point ainsi que procède la tyrannie ; elle laisse le corps et va droit à l’âme. »

Et donc sur Unz.com, un rédacteur écrit justement sur ce problème de nos âmes et de l’hypnose :

« Si les alunissages d’Apollo ont été simulés, de sérieuses questions devraient être posées au sujet de la NASA, pour commencer. Ensuite, il serait nécessaire de réfléchir en profondeur à ce qu’il est advenu des États-Unis depuis la Seconde Guerre mondiale. Et au-delà, le canular lunaire est le point de départ idéal pour réfléchir sur le contrôle hypnotique que la télévision et les médias ont acquis sur notre esprit. Ce n’est pas seulement une question politique. C’est une bataille pour nos âmes. »

Il rappelle ce qu’était la NASA (le filet, en espagnol) :

« La NASA n’était pas seulement un camouflage pour les développements militaires. C’était un rêve fabriqué que de laisser les Américains regarder le ciel pendant que leur gouvernement commettait des atrocités au Vietnam. Ainsi, la NASA avait aussi des liens étroits avec l’industrie cinématographique. Son premier patron, T. Keith Glennan (1958-1961) avait une longue expérience dans la gestion de studios de cinéma à Hollywood (Wisnewski 298). »

Le rédacteur fait un lien sur Walt Disney l’ex-nazi Werner Von Braun facile à contrôler ; puis il rappelle qu’hypnotiquement la NSA nous détournait de la réalité scientifique d’alors, le défoliant et le napalm du Vietnam (deux ? Quatre millions de morts ?), sans oublier le contrôle télé, la pilule et les anxiolytiques. Il cite beaucoup l’excellent livre de l’allemand Wisnewski (c’est d’Allemagne que tout est parti, voyez Une femme sur la lune, un des grands opus méconnus de Fritz Lang censuré par les nazis) :

« Pendant la période de transition entre Johnson et Nixon, Apollo 8 aurait transporté trois astronautes dix fois autour de la lune. Puis, après deux autres missions d’essais (Apollo 9 et 10), six membres de l’équipage d’Apollo ont atterri sur la Lune de 1969 à 1972, le tout sous la présidence de Nixon. Wisnewski (130-139) fournit un parallèle spectaculaire montrant comment les nouvelles de dernière heure liées au programme Apollo ont commodément détourné l’attention du public américain des crimes de guerre au Vietnam. Apollo 11 a atterri sur la lune deux mois après que les médias eurent révélé des bombardements illégaux au Cambodge, et le programme Apollo a cessé juste après la fin officielle de l’engagement des États-Unis en Asie du Sud-Est. »

Alors, écrit Wisnewski :

« Alors que les États-Unis d’Amérique assassinaient des milliers de Vietnamiens, brûlaient un hectare après l’autre de forêts vierges et empoisonnaient la terre avec des pesticides, ils essayaient en même temps de fasciner — ou plutôt d’hypnotiser — le monde avec une conquête d’un tout autre genre. »

Dès lors l’alunissage sert comme le 11 septembre à contrôler psychiquement cette planète entière (« nous sommes tous américains »). Tout le monde tombe dans le panneau, les participants (une infime partie des cadres militaires de la NASA devait être dans le coup, et certainement bien contrôlée) et le grand public comme on dit. Il est hélas vrai que tous en redemandent :

Pour le reste du monde, le frisson culturel et technologique provoqué par l’alunissage a dû être aussi bouleversant et désarmant que le coup négatif du 11 septembre. Jusqu’à ce jour, les États-Unis tirent leur force de l’admiration sans bornes suscitée par ces alunissages. Et je maintiens toujours que cette « conquête » de la lune, ce mythe antique de l’humanité, a élevé l’Amérique au statut de nation quasi divine. Les alunissages s’inscrivent dans la stratégie psychologique globale d’auto-agrandissement du pays, associée à l’asservissement, à l’affaiblissement et à la démoralisation des autres.

La religion spatiale est, comme les grandes découvertes, un opium du peuple (voyez les épisodes de Star Trek dans cette perspective, qui parlent tous de contrôle mental) :

Les voyages spatiaux civils sont devenus une forme d’« opium pour le peuple », une promesse de rédemption apportant un avenir nouveau et meilleur pour l’univers.

Du coup les USA devinrent un objet de culte et d’adoration mondiale :

« En effet, voyager sur la lune et revenir vivant est un exploit aux proportions mythiques. C’est comme voyager dans l’Autre Monde et revenir dans le monde des vivants avec son corps physique. Cela fait des astronautes de la NASA les égaux des anciens héros surnaturels, des demi-dieux immortels, et cette qualité semi-divine se reflète sur les États-Unis dans leur ensemble. Telle était l’importance des alunissages d’Apollo : il s’agissait d’une nouvelle religion mondiale qui élevait les États-Unis au-dessus de toutes les autres nations terrestres. On a beaucoup parlé des religions institutionnelles comme moyen de contrôle mental collectif. Mais aucune croyance religieuse ne peut se comparer au débarquement sur la lune en termes d’abus cyniques de la crédulité des gens. Et aucune religion ne pouvait rivaliser, jusqu’à récemment, pour le nombre de croyants dans le monde. »

Tout cela est arrivé grâce à la télé et à la galaxie de Macluhan, « imbécile le plus consommé de son siècle » (Guy Debord) :

La leçon la plus profonde est que cela a été rendu possible par la télévision et aurait été impossible autrement. Presque personne n’y aurait cru s’il ne l’avait pas vu de ses propres yeux.

Comment peut-on croire ce qu’on a vu à la télé ? Demandez aux Roumains et à Timisoara. L’hallucination est permanente et concerne tous les théâtres d’opérations, Venezuela, printemps arabes, attentats… « Qui a pu en faire tant sans peine ira forcément plus loin » (Guy Debord).

On cite Alice :

Dans « Par-delà le miroir » de Lewis Carroll, Alice dit à la Reine Blanche qu’« on ne peut pas croire des choses impossibles », mais la Reine insiste sur le fait que c’est possible avec assez de pratique : « Quand j’avais ton âge, je le faisais toujours une demi-heure par jour. Parfois, j’ai cru jusqu’à six choses impossibles avant le petit-déjeuner. » Avec la télévision, croire en six alunissages impossibles est venu sans effort.

Et pourtant Internet est venu et on y a moins cru. Notre ami ajoute :

« En 2016, une enquête amontréque 52 % du public britannique pensait que les missions Apollo étaient truquées. Le scepticisme est plus élevé chez ceux qui étaient trop jeunes pour le voir en direct à la télévision : 73 % des 25-34 ans croient que nous n’avons pas atterri sur la lune, comparativement à 38 % de ceux de 55 ans ou plus. Ces chiffres semblent augmenter chaque année. Les incroyants britanniques n’étaient que25 %il y a dix ans. On ne sait pas combien ils sont aujourd’hui, mais un sondageréalisé en 2018par le Centre russe de recherche sur l’opinion publique a révélé que 57 % des Russes croient qu’il n’y a jamais eu d’alunissage habité. […] Le pourcentage s’élève à 69 % chez les personnes ayant fait des études supérieures : En d’autres termes, plus les gens sont instruits et plus ils sont capables de raisonner rationnellement, moins ils croient aux alunissages. »

Et de nous rappeler :

« La théorie du canular lunaire était presque inconnue avant l’arrivée d’Internet et elle a pris de l’ampleur avec le développement de YouTube, qui a permis à quiconque s’y intéressait d’examiner de près les images d’Apollo. Auparavant, les personnes qui avaient de sérieux doutes avaient peu de moyens de les partager et de rendre leur cas convaincant. L’un des pionniers a étéBill Kaysing, qui a abordé le sujet en 1976 avec son livre qu’il a publié lui-même :On n’est jamais allé sur la lune ; L’escroquerie américaine à 30 milliards de dollars. On peut le qualifier de lanceur d’alerte, puisqu’il travaillait pour Rocketdyne, la société qui a conçu et construit les fusées Apollo. »

Puis, à partir de ces films et d’autres sources, est arrivé le documentaire télévisé novateur, « Did we land on the moon? (2001) », réalisé par John Moffet pour Fox TV. À ma connaissance et à mon avis, c’est encore la meilleure introduction aux arguments des « théoriciens du canular lunaire » : Vous pouvez le regarder ici à partir de sa rediffusion en 2013 sur Channel 5.

L’article cité compte plus de six mille mots. On peut s’y référer, le contester, le compléter, le modifier (il parle du rôle de Kubrick — voyez mon livre). L’idée que je voulais reprendre est celle du vol de notre esprit et du viol de nos âmes. Mais que diable en font-ils ?

Un dernier mot : si on oublie un pauvre dieu grec détourné, en grec ancien le mot Apollo (ἀπώλεια) désigne la perte, le dommage (Matthieu, 26, 8) !

Note de Dereck Abbey

Il ne faut pas oublier de mentionner le site NASASCAM :
nasascam.atspace.co.uk
Ce site est apparu pour la première fois en 1996 (bien que sous un hôte différent) et a été le premier site Web à exposer des preuves solides de falsification dans les images dites d’Apollo Moon. Je crois que vous devriez faire référence à ce site Web bien connu.




La Russie et le Great Reset selon Lucien Cerise

[Source : E&R]

Par Lucien Cerise

En 2017, le politicien et intellectuel moldave Yurie Roșca lançait l’initiative du Forum de Chișinău, surnommé le « forum anti-Davos », avec la contribution d’Alexandre Douguine et du président de la République de Moldavie, Igor Dodon. J’avais l’honneur d’être convié par Yurie Roșca à participer sur place à l’événement international organisé en décembre à Chișinău, ainsi qu’au troisième forum tenu dans la capitale moldave en septembre 2019. Quelques années plus tard, le 9 septembre 2023, à l’occasion de la quatrième édition du forum, intitulée « L’Agenda 21 de l’ONU et le Great Reset — La chute du libéralisme dans la technocratie et le transhumanisme », Yurie Roșca me faisait l’amitié de m’inviter à prendre la parole à nouveau. Je suis intervenu cette fois à distance avec un article et une vidéo pour en résumer le contenu.

La Grande Réinitialisation, ou Great Reset en anglais, est un programme d’inspiration cybernétique visant à informatiser totalement les sociétés humaines au point de « fusionner le biologique et le numérique », selon les mots de Klaus Schwab, président du World Economic Forum (WEF, forum de Davos). L’informatique doit devenir omniprésente, un passage obligé de chaque instant, un goulot d’étranglement universel, pour mener une existence normale. Plus largement, il s’agit de dépasser la condition humaine pour nous acheminer vers le transhumanisme au moyen d’un encadrement complet de la vie quotidienne par les technologies NBIC — nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. Les organisations du capitalisme occidental (WEF, FMI, GAFAM) soutiennent ce programme avec enthousiasme. Mais comme l’explique Peter Töpfer :

« Il semblerait que le “Great Reset” des centres de pouvoir occidentaux prenne également pied dans les pays qui prétendent représenter des pôles géopolitiques alternatifs. L’application des mesures dictées par l’OMS contre la pseudo-pandémie, la numérisation complète de la société, le remplacement de l’argent liquide par des CBDC [monnaies numériques], etc. font partie de l’agenda officiel de tous les pays BRICS sans exception, ainsi que des pays musulmans qui revendiquent également leur autonomie par rapport à l’Occident. »(([1] Peter Töpfer, « Une contribution à la méthodologie multipolariste », Multipolaristen, 07/05/2023. https://multipolaristen.de/multipol…))

De son côté, Yurie Roșca revenait ainsi sur son intervention à la Conférence mondiale sur la multipolarité organisée le 29 avril 2023 par Alexandre Douguine :

« Je voudrais remercier notre ami d’Allemagne, Peter Töpfer, d’avoir noté mon intervention lors de la récente conférence internationale sur la multipolarité. Et si ma modeste contribution a été remarquée, c’est parce que j’ai essayé de souligner qu’en ce moment, malgré des conflits majeurs entre différents pays, ils suivent tous docilement le même agenda mondialiste. J’ai mentionné qu’il s’agit de ce qu’on appelle le Great Reset, Agenda 21 ou Agenda 2030 pour le développement durable, adopté au sein de l’ONU. Et si tous les pays, sans exception, suivent le même ordre du jour, le résultat qui sera atteint sera commun à toute l’humanité. (…) Les cercles occultes qui se cachent derrière des organisations telles que le WEF (Forum économique mondial), la Commission Trilatérale, le CFR (Council on Foreign Relations), le Groupe Bilderberg, le Club de Rome, etc. et qui opèrent par le biais d’organismes internationaux officiels tels que l’ONU, l’UE, l’OMS, l’OMC, le FMI, la Banque mondiale, la Banque des règlements internationaux, etc. ont des instruments de domination, devant lesquels aucun État ne peut résister. »(([2] Yurie Roșca, « La mort du paradigme libéral et la montée de la technocratie », Geopolitika.ru, 12/05/2023. https://www.geopolitika.ru/fr/artic…))

Est-il vrai qu’aucun État ne peut résister au mondialisme et que tous les pays suivent son agenda ? C’est ce que pensent également d’autres commentateurs de la situation, tels que Pierre Hillard, Nicolas Bonnal ou Edward Slavsquat (Riley Waggaman), qui passent beaucoup de temps à nous expliquer que la Russie fait partie, elle aussi, du Great Reset et du « Nouvel Ordre mondial ». De fait, nous sommes tous dans le même monde, et contraints de nous battre sur le même champ de bataille et avec les mêmes armes que l’ennemi, y compris les auteurs cités, qui font un usage intensif de l’informatique, eux aussi, et ont déjà mis le doigt dans l’engrenage qui conduit au Great Reset et au « Nouvel Ordre mondial ». Nous sommes tous des Charlie Chaplin happés par les machines comme dans les Temps modernes. Il est un domaine d’études peu fréquenté : ce sont les règles universelles des rapports de forces, modélisées par la théorie des jeux, dont la course aux armements est un exemple bien connu. Deux ennemis mortels peuvent partager le même champ de bataille et les mêmes armes, donc se ressembler presque parfaitement, et rester des ennemis mortels. La guerre est aujourd’hui en grande partie informatique, il ne faut donc pas s’étonner que la Russie et les autres pays des BRICS investissent également ce domaine, condition sine qua non s’ils veulent soutenir le rapport de forces avec les Occidentaux dans ce domaine. On ne lutte pas contre l’OTAN avec des arcs et des flèches. Pourquoi ? Parce que l’OTAN n’attaque pas avec des arcs et des flèches. Cette alliance militaire et son complexe militaro-industriel imposent le choix des armes de leur guerre hybride au niveau mondial, d’autant plus facilement que c’est la technologie qui écrit l’histoire universelle, et que tout le monde est obligé de s’adapter à son rythme, celui de la découverte scientifique, ne serait-ce que pour rester compétitif et soutenir les rapports de forces à armes égales sur la scène internationale, et ne serait-ce que pour contester l’agenda de l’OTAN.

Une approche épistémologique, en termes de philosophie des sciences, dévoile que le transhumanisme et le Great Reset sont des retombées civiles des recherches menées par les divers complexes militaro-industriels nationaux de la planète, engagés dans une émulation concurrentielle sans limites. Dans le domaine scientifique, tout ce qui est faisable sera fait.

La condition humaine est animée par une démesure scientifique prométhéenne qui la mènera potentiellement à sa perte, mais à laquelle aucun acteur ne peut renoncer, sauf à renoncer aux moyens de se défendre, donc à sa souveraineté. Chaque acteur géopolitique souhaitant défendre sa souveraineté, son identité et son humanité est contraint de participer à la course aux armements et donc de prendre le risque de la déshumanisation par la technoscience. Dilemme cornélien. Les acteurs nationaux qui rechignent à s’engager sur la pente du transhumanisme seront bien obligés de se positionner, eux aussi, par rapport à ce débat — pour ou contre l’altération de la nature humaine par la technoscience — dans la mesure où ce débat est universel et incontournable, commandé par le moteur de l’histoire humaine, à savoir l’optimisation technologique inlassable des systèmes d’armements, et ses retombées et applications civiles. Le soldat augmenté conduit inévitablement à l’humain augmenté. Plus généralement, porter des vêtements ou des lunettes, se déplacer en voiture ou en avion, sont déjà des augmentations culturelles et technologiques des capacités du corps humain par les outils, les prothèses, les artefacts, les artifices. Notre génétique néoténique est inachevée à la naissance et a besoin d’être augmentée par de l’épigénétique culturelle pour être viable et fonctionnelle. On l’oublie facilement quand la technologie est appliquée depuis un certain temps, car la culture devient une seconde nature, mais l’être humain est augmenté par nature et ce processus est a priori infini et sans limites, comme celui de la découverte scientifique. Cette donnée anthropologique conduit à certains paradoxes. Par exemple, de nombreux individus critiquent et dénoncent le transhumanisme, l’identité numérique, la 5G, les Smart Cities, mais ils le font sur Internet ou sur des messageries de Smartphone comme Telegram, et deviennent ainsi des sujets connectés et augmentés, donc des acteurs du transhumanisme, de l’identité numérique, de la 5 G et des Smart Cities. Les dissonances cognitives qui naissent de cette situation sont rapidement « rationalisées », au prix de contorsions rhétoriques assez peu rationnelles ou du déni pur et simple, mais attention au retour du refoulé. En effet, personne n’échappe aux sirènes de la technoscience, qui permettent d’amplifier notre champ d’action et notre impact sur autrui, car personne ne veut renoncer à se faire entendre. C’est ainsi que la multipolarité, le respect de la diversité, conduit à une sorte d’unipolarité technocratique, et inversement, car tout le monde converge sur les moyens technoscientifiques d’assurer les divergences. Sur le rapport de la Russie au Great Reset, certains commentateurs ne parviennent pas à distinguer ce qui serait une simple obéissance à l’agenda occidental et, d’autre part, un positionnement de type « rivalité mimétique », application de la théorie des jeux, qui induit chez tous les acteurs d’un conflit deux mouvements contradictoires : des mouvements rivaux et divergents, mais aussi des mouvements mimétiques et convergents, comme deux sinusoïdes entrelacées. Deux ennemis mortels sont bien obligés de se croiser et d’entretenir des points de contact pour se battre, ce qui servira de prétexte à certains commentateurs pour dire qu’ils appartiennent finalement au même système. Ce qui n’est pas faux, mais qui s’applique en fait à tout le monde. La dialectique hégélienne est universelle et personne n’y échappe, car personne n’échappe aux contradictions, extérieures comme intérieures. Pour être efficace sur un champ de bataille, il faut partager avec l’ennemi le même champ de bataille, voire partager les mêmes armes, afin de lutter au moins à armes égales. Paradoxalement, ce sont ces convergences obligatoires sur le champ de bataille, la méthode et les moyens, qui permettent de soutenir le rapport de forces pour diverger sur l’agenda et la finalité.

[Note de Joseph : il semble que l’argumentation de Lucien Cerise ici soit pour le moment essentiellement d’ordre mécaniste ou matérialiste (à l’image de la théorie des jeux), mais néglige complètement la dimension de conscience. La « science sans conscience » peut probablement conduire à de telles extrémités que celles constatées ici et de nos jours. Cependant, la conscience peut mettre un frein salutaire à la dérive scientiste qui fait que la science devient une nouvelle religion (cette fois matérialiste et non à visée d’élévation spirituelle) et tend à envahir tous les aspects de la vie humaine. Elle peut fixer notamment des lignes rouges à ne pas franchir en matière d’invasion du corps physique individuel aussi bien que du corps social collectif. Qu’est-ce qui oblige par exemple la Russie à imposer la 5G à son peuple, alors que la fibre optique permet d’aboutir à un meilleur résultat en termes de capacités de transfert d’informations cybernétiques sans nuire potentiellement autant à la santé des individus ? Qu’est-ce qui oblige les Russes en particulier, et les êtres humains en général à utiliser un « smartphone » quand un téléphone filaire permet déjà des appels à distances et quand la plupart des autres fonctions de cet engin sont offertes depuis longtemps par l’ordinateur domestique ? Je vis personnellement très bien (et d’autant mieux) sans téléphone cellulaire, sans 4G, sans 5G et sans Wi-Fi, me contentant d’un ordinateur connecté par câbles. Et les amish vivent probablement encore plus sainement sans toute notre technologie. Et d’ailleurs, ils ne connaissent pas ou très peu de nombreuses maladies de civilisation, telles que cancer, diabète, autisme… dont une bonne partie découle de l’usage de la technologie et de la chimie. Doit-on automatiquement suivre la course aux armements contre l’Humanité sous prétexte que des nations font la course en tête ? Doit-on recourir aux mêmes armes qui finissent par asservir totalement l’Homme ? À un moment, il peut se poser le choix entre vivre esclave ou mourir libre, autant au niveau individuel qu’au niveau collectif ou national. Et de ce point de vue, la Russie et les autres pays des BRICS suivent visiblement plutôt la voie de l’asservissement, comme la plupart des pays occidentaux. Il est devenu une évidence psychologique (et scientifique) que la grande majorité des individus utilisant un téléphone cellulaire et les réseaux dits « sociaux » en deviennent drogués et finalement esclaves, abandonnant leurs capacités à la machine et perdant ainsi progressivement leurs aptitudes mémorielles, de réflexion, d’attention, d’analyse, d’intuition… (baisse reflétée par celle mesurable du QI). En matière d’artefacts techniques ou technologiques, il existe une différence fondamentale entre les supports externes et les invasifs. Si l’organisme humain est sacré, à l’image d’un temple, doit-il accepter de se laisser envahir par des vaccins ou des implants électroniques, microscopiques ou nanotechnologiques bien différents des prothèses qui pallient les pertes squelettiques et dentaires ? Quand les lunettes et les prothèses mécaniques sont de l’ordre de la carrosserie, les implants électroniques et vaccinaux agissent sur le moteur, les circuits et les organes internes. Il peut exister un juste milieu entre trop et pas assez, entre acceptable et intolérable. Les excès deviennent nuisibles, alors qu’un usage modéré peut rester bénéfique. Et seule la conscience est en mesure de déterminer ce qui convient réellement à l’individu comme à la société dans le respect de la liberté individuelle, de la souveraineté et du sacré. Enfin, deux ennemis mortels ne sont pas obligés de se combattre, surtout pas avec les mêmes armes. L’un des deux peut décider à un moment d’utiliser celle de l’amour et ainsi, au moins dans certains cas (lorsque l’on n’a pas affaire à des psychopathes) transformer les deux ennemis en amis. La Russie est-elle obligée de suivre les traces technologiques et les ornières de l’Occident ? Est-elle obligée de porter les mêmes œillères ? Le Nouvel Ordre Mondial ne tombera pas avant qu’une nation ou qu’un nombre suffisant d’individus ne montrent et ne réalisent par eux-mêmes une voie différente, radicalement différente. Et pour l’instant, la seule tendance qui écarte la Russie de l’Occident n’est pas celle de la technologie, mais d’ordre religieux.]

L’objet de cet article est d’analyser cette illusion d’optique intellectuelle qui place sur le même plan le concepteur de l’agenda et ceux qui sont obligés de suivre l’agenda au niveau technique, et qui sont donc obligés de l’appliquer également, au moins partiellement, pour être en capacité de le contester, et avec le risque permanent d’en être finalement exclu et d’être alors dominé par l’adversaire — ce que les militaires appellent le « décrochage capacitaire », pour qualifier ce moment où je suis dépassé par la technologie de l’ennemi. Ce mécanisme est à l’origine du phénomène de la course aux armements, qui est une course à l’innovation technologique et à l’augmentation des capacités du corps humain pour mieux soutenir les rapports de forces physiques, ce qui suppose de partager le même agenda de « recherche et développement » que l’adversaire, mais pour le surpasser — ce que la Russie est parvenue à réaliser dans le domaine des armes hypersoniques. L’histoire du monde avance de manière décentralisée par des interactions concurrentielles et conflictuelles, mais aussi coopératives et convergentes, y compris entre ennemis. En résumé : il faut nécessairement rester au contact de l’ennemi si l’on veut espérer le battre. Croire qu’il serait possible de gagner un conflit sans jamais aller sur le même terrain que l’ennemi apparaît comme une vue de l’esprit purement théorique, dont le principal effet consiste à déserter théoriquement, puis physiquement, le champ de bataille et à offrir la victoire à l’ennemi. Dans son conflit avec l’Occident, la Russie a bien compris qu’il ne fallait donc pas faire cette erreur consistant à s’exclure soi-même du champ de bataille technologique et économique. C’est la raison pour laquelle les mondialistes essayent d’expulser la Russie de la mondialisation contre sa volonté. Dès le 27 février 2022, seulement trois jours après le début de l’opération militaire russe en Ukraine, la finance occidentale utilisait la bombe atomique dans le champ économique et commençait à débrancher la Russie du système SWIFT (Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication), le système universel de transactions informatiques entre les banques du monde entier :

« Les pays occidentaux ont adopté une nouvelle volée de sanctions financières contre Moscou après l’invasion de l’Ukraine, en planifiant samedi d’exclure de nombreuses banques russes de la plateforme interbancaire Swift, rouage essentiel de la finance mondiale. Dans une déclaration commune, la Maison-Blanche a déclaré que les leaders de la Commission européenne, de la France, de l’Allemagne, de l’Italie, du Royaume-Uni, du Canada et des États-Unis étaient résolus “à continuer d’imposer des coûts à la Russie qui l’isoleront davantage du système financier international et de nos économies”. “Nous nous engageons à exclure une sélection de banques russes du système de messagerie Swift”, des mesures qui seront prises “dans les jours qui viennent”, a ajouté la Maison-Blanche. »(([3] « Qu’est-ce que le système Swift dont des banques russes viennent d’être exclues ? », Euronews, 27/02/2022. https://fr.euronews.com/2022/02/27/…))

En 2023, l’exclusion de la Russie du système SWIFT est achevée : les Occidentaux qui veulent voyager en Russie doivent s’y rendre avec de l’argent liquide en poche pour faire du change sur place, car plus aucune carte bancaire occidentale, de retrait ou de crédit, ne fonctionne en Russie. Dans son bulletin Stratpol n° 144, Xavier Moreau saluait le lancement par le Kremlin du rouble numérique, la CBDC russe (Central Bank Digital Currency, monnaie numérique de banque centrale) et s’attirait une volée de commentaires négatifs venant de gens légitimement inquiets de voir la Russie participer à la disparition de l’argent liquide. Peut-être Xavier Moreau avait-il commis une erreur : laisser entendre que la Russie avait le choix de passer, ou non, au rouble numérique. En fait, personne n’a le choix, c’est comme la course aux armements : si vous ne le faites pas, les autres le feront de toute façon, et vous vous désarmez vous-même. Un pays qui ne développe pas sa propre monnaie numérique sera soumis à la monnaie numérique des autres pays, point à la ligne. Ce qui peut avoir des conséquences catastrophiques. L’Occident livre une guerre d’extermination aux Russes, sur le principe hitlérien de la « guerre totale », et les Russes le comprennent bien ainsi. La création d’un système de transactions financières numériques alternatif à SWIFT et la création de la monnaie nationale numérique idoine est donc une question de survie économique, donc de survie tout court, pour la Russie. Le lancement du rouble numérique en août 2023 avant le dollar numérique vise à occuper la place de monnaie numérique de référence avant la concurrence — pour essayer d’occuper le centre de l’échiquier — et aura pour effet collatéral, à moyen terme, de dédollariser partiellement le monde dans le champ des transactions numériques. C’est la course aux armements aussi dans le domaine de la guerre économique, et si vous ne jouez pas le jeu tel qu’il est imposé par les nouvelles technologies, vous laissez l’ennemi gagner. Le site Coin Academy, spécialisé sur les monnaies numériques, rapportait en janvier 2023 :

« La Banque centrale de Russie veut faire de sa CBDC, le rouble numérique, un moyen de paiement entre pays pour contourner les sanctions. Pour ce faire, la Banque centrale de la Fédération de Russie a présenté deux modèles de règlements transfrontaliers sous forme de CBDC. La Fédération commencera à développer le modèle de règlement entre pays dès le premier trimestre 2023. »(([4] « CBDC : La Russie prépare son système de paiements transfrontaliers », Coin Academy, 11/01/2023. https://coinacademy.fr/actu/russie-…))

Autre conséquence de l’opération militaire russe en Ukraine : le World Economic Forum (WEF) prenait parti très logiquement pour l’Ukraine et excluait la Russie du Forum de Davos 2022, au titre de l’éventail des sanctions visant à l’isoler sur la scène internationale. La presse suisse nous apprenait début mai 2022 :

« Le porte-parole du WEF, Samuel Werthmüller assure que l’argent russe ne parvient plus au Forum. VTB, Gazprom et Sberbank ont disparu de la liste des partenaires stratégiques, et le directeur de la Sberbank n’est plus mentionné comme membre du Board of Trustees. Et le WEF va encore plus loin et fait disparaître les traces de coopérations antérieures : le Centre for Cybersecurity, créé en 2018, initiative commune de cybersécurité du WEF et de la Sberbank, ne mentionne plus ladite banque comme partenaire fondateur. Une volonté de dissimuler ces collaborations aujourd’hui devenues gênantes ? Samuel Werthmüller le réfute : “Nous respectons simplement les sanctions.” »(([5] « La Russie exclue du Forum de Davos, l’Ukraine pourrait prendre le devant de la scène », Le Matin, 01/05/2022. https://www.lematin.ch/story/la-rus…))

L’édition 2023 du Forum de Davos n’a pas réintégré la Russie, dont l’expulsion semble être définitive. À force de se faire chasser des organisations dites internationales, la Russie envisage de prendre les devants et de recréer son propre espace d’indépendance et de relations internationales alternatives en s’extrayant elle-même complètement du système sous contrôle occidental. Piotr Tolstoï, le vice-président du parlement russe, la Douma d’État, faisait le 18 mai 2022 un communiqué explosif qui permettait d’avoir accès aux coulisses de l’État profond russe et de ses projets de souveraineté à long terme :

« Les comités, les commissions, les députés et les sénateurs auront beaucoup de travail à faire dans un avenir proche, ce qui, je pense, pourrait prendre plus d’un mois. La liste reçue par la Douma d’État de la part du ministère des Affaires étrangères contient 1342 éléments : il s’agit de traités et d’accords internationaux qui ont été signés et ratifiés par la Russie au cours des dernières décennies. Nous devrons tous les analyser pour en déterminer la pertinence et, pour ainsi dire, l’utilité pour le pays. Nombre d’entre eux font désormais partie de notre législation nationale et, par conséquent, les commissions compétentes devront également évaluer nos lois russes et décider lesquelles des normes qui y sont introduites nous pouvons et devons abandonner. En outre, nous avons la tâche d’évaluer l’opportunité de la présence de la Russie dans les organes supranationaux et les organisations internationales. Nous nous sommes déjà retirés du Conseil de l’Europe et, en avril, le président de la Douma d’État, Viatcheslav Volodine, a chargé les commissions compétentes, en collaboration avec des experts, d’étudier l’opportunité de la présence de la Russie au sein de l’OMC, de l’OMS et du FMI, étant donné que ces organisations ont déjà enfreint toutes leurs propres règles à l’égard de notre pays. Oui, ces deux tâches ne sont pas faciles, il y a beaucoup de travail, nous devons peser le pour et le contre. Mais c’est la voie vers la pleine souveraineté de la Russie, qui ne devrait être guidée que par ses propres intérêts et ceux de ses citoyens. »(([6] Piotr Tolstoï, Telegram, 18/05/2022 : « Комитетам, комиссиям, депутатам и сенаторам в ближайшее время предстоит большая работа, которая, думаю, может занять не один месяц. Перечень, который поступил в Государственную Думу от Министерства иностранных дел, содержит 1342 пункта : это международные договоры и соглашения, которые были подписаны и ратифицированы Россией за последние десятилетия. Нам предстоит все их проанализировать на предмет актуальности и, так сказать, полезности для страны. Многие из них стали частью нашего национального законодательства, а следовательно, профильным комитетам предстоит также оценить наши российские законы и принять решение о том, от каких из внедренных в них норм мы можем и должны отказаться. Кроме того, перед нами стоит задача оценить целесообразность пребывания России в наднациональных органах и международных организациях. Мы уже вышли из Совета Европы, а в апреле Председатель Госдумы Вячеслав Викторович Володин дал поручение профильным комитетам совместно с экспертами изучить вопрос о целесообразности присутствия России в ВТО, ВОЗ и МВФ в связи с тем, что эти организации в отношении нашей страны все свои же правила уже нарушили. Да, обе задачи непростые, работы много, надо взвесить все « за » и « против ». Но это путь к полному суверенитету России, которая должна руководствоваться только собственными интересами и интересами своих граждан. » https://t.me/petr_tolstoy/1374))

L’État profond russe commence lentement, trop lentement — temps administratif et inertie institutionnelle obligent — à se rebeller contre toutes les menaces faites à sa souveraineté. Les menaces militaires classiques, comme celle incarnée par l’OTAN, sont identifiées par le cerveau humain depuis des siècles. Les menaces nouvelles représentées notamment par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sont plus difficiles à percevoir et combattre. L’humain moyen a du mal à concevoir que la médecine puisse être utilisée contre les peuples à une telle échelle, et il n’est pas encore accoutumé à ce nouveau champ de bataille technocratique et bureaucratique qui se déploie seulement depuis l’expansion du secteur tertiaire au XXe siècle, mais qui a désormais tout envahi. L’Organisation des Nations Unies (ONU) fournit un cas d’école, et un vrai dilemme pour la Russie et pour la Chine : comment ces deux pays peuvent-ils réagir à la menace que l’Agenda 2030 de l’ONU fait peser sur leur souveraineté, c’est-à-dire comment peuvent-ils sortir de l’ONU, quand leur position dominante à l’ONU renforce leur souveraineté ? La lenteur de la réaction critique du pouvoir russe vient aussi de sa division, car, comme partout, une fraction de ce pouvoir est sincèrement séduite par le globalisme transhumaniste — ce que certains appellent la « cinquième colonne ». Mais il faut distinguer cette fraction d’une autre apparemment indistincte, celle des individus ayant compris que la souveraineté nationale est inséparable de la souveraineté technologique, car c’est la souveraineté technologique qui permet la souveraineté nationale, et rien d’autre, c’est-à-dire la capacité à assurer par la force le respect de l’intégrité de son propre territoire national.

La question de la souveraineté en général rejoint donc la question du pouvoir et de la fuite en avant irrésistible qu’il engendre. Pour ne pas être dépassé par la volonté de puissance des autres, pour ne pas être réduit à l’impuissance, je dois moi-même cultiver ma propre volonté de puissance. Avant de dépasser mon concurrent, je dois, dans un premier temps, me mettre à niveau et me retrouver au coude à coude avec lui. Il n’y a pas de centre universel du pouvoir, mais il y a des lois universelles de l’exercice du pouvoir. Il y a des contraintes universelles qui sont les mêmes pour tous les sujets qui veulent exercer du pouvoir, sur soi-même ou sur les autres. Tout sujet souverain devra se plier à ces règles, ce qui induit une ressemblance du comportement de tous les sujets souverains, y compris ennemis, ce qui peut être interprété de l’extérieur comme une entente, une connivence, voire un complot, bref un projet intentionnel. Mais il n’y a aucun projet intentionnel à tomber si l’on saute par la fenêtre. Des ennemis mortels tombent de la même façon s’ils sautent par la fenêtre. Cela ne veut pas dire qu’ils ne s’opposent pas réellement, cela veut dire que les lois de la physique sont universelles et s’appliquent de la même façon sur tout le monde. Or, il existe aussi des lois universelles de physique sociale qui commandent aux ennemis d’adopter le même comportement, ou presque, dès lors qu’ils sont en quête de pouvoir et de souveraineté. La physique sociale est structurée par des rapports de force potentiellement nuisibles à tous les acteurs de la situation. Du point de vue de la compétition technoscientifique, nous sommes tous dans le même bateau, qui finira peut-être comme le Titanic, ce qui ne veut pas dire que nous soyons tous d’accord et unifiés par un agenda commun. Certains acteurs politiques plus avisés que d’autres anticipent la catastrophe possible et tentent d’encadrer la technoscience pour qu’elle reste au service des intérêts humains et nationaux. Le gouvernement russe publiait le 6 décembre 2016 une mise à jour de sa « Doctrine de la sécurité de l’information de la Fédération de Russie » :

« 8. Les intérêts nationaux dans le domaine de l’information sont les suivants : a) garantir et protéger les droits et libertés constitutionnels de l’homme et du citoyen en ce qui concerne la réception et l’utilisation de l’information, l’inviolabilité de la vie privée dans l’utilisation des technologies de l’information, fournir un soutien informationnel aux institutions démocratiques, aux mécanismes d’interaction entre l’État et la société civile, ainsi que l’utilisation des technologies de l’information dans l’intérêt de la préservation des valeurs culturelles, historiques, spirituelles et morales du peuple multinational de la Fédération de Russie ; b) assurer le fonctionnement durable et ininterrompu de l’infrastructure de l’information, principalement de l’infrastructure critique de l’information de la Fédération de Russie (ci-après dénommée “infrastructure critique de l’information”) et du réseau unifié de télécommunications de la Fédération de Russie, en temps de paix, en cas de menace imminente d’agression et en temps de guerre ; (…) »(([7] Доктрина информационной безопасности Российской Федерации, Утверждена Указом Президента Российской Федерации от 5 декабря 2016 г. №646 : « 8. Национальными интересами в информационной сфере являются : а) обеспечение и защита конституционных прав и свобод человека и гражданина в части, касающейся получения и использования информации, неприкосновенности частной жизни при использовании информационных технологий, обеспечение информационной поддержки демократических институтов, механизмов взаимодействия государства и гражданского общества, а также применение информационных технологий в интересах сохранения культурных, исторических и духовно-нравственных ценностей многонационального народа Российской Федерации ; б) обеспечение устойчивого и бесперебойного функционирования информационной инфраструктуры, в первую очередь критической информационной инфраструктуры Российской Федерации (далее – критическая информационная инфраструктура) и единой сети электросвязи Российской Федерации, в мирное время, в период непосредственной угрозы агрессии и в военное время ; (…) » https://rg.ru/documents/2016/12/06/…))

Comme on dit, tout le monde serait le perdant d’une escalade vers un conflit nucléaire mondial. Dans une perspective pacifiste et gagnant-gagnant, afin de contrôler, mitiger, brider et réduire dans la mesure du possible les dommages collatéraux universels de la course aux armements dans le domaine informatique, Vladimir Poutine prononçait en septembre 2017 un discours retentissant sur la stratégie numérique russe :

« “L’intelligence artificielle représente l’avenir non seulement de la Russie, mais de toute l’humanité. Elle amène des opportunités colossales et des menaces imprévisibles aujourd’hui,” pense le dirigeant. Il poursuit : “Celui qui deviendra le leader dans ce domaine sera le maître du monde. Et il est fortement indésirable que quelqu’un obtienne un monopole dans ce domaine. Donc, si nous sommes les leaders dans ce domaine, nous partagerons ces technologies avec le monde entier,” affirme Vladimir Poutine. »(([8] « Vladimir Poutine : “Le leader en intelligence artificielle dominera le monde” », La revue du digital, 02/09/2017. https://www.larevuedudigital.com/vl…))

Deux ans après ce discours, le gouvernement russe publiait sa stratégie officielle pour l’intelligence artificielle :

« Décret du Président de la Fédération de Russie du 10 octobre 2019 n° 490 – Sur le développement de l’intelligence artificielle dans la Fédération de Russie ».(([9] Указ Президента Российской Федерации от 10.10.2019 №490 – О развитии искусственного интеллекта в Российской Федерации. http://publication.pravo.gov.ru/Doc…)) Thierry Berthier et Yannick Harrel, spécialistes français de cybersécurité et cyberstratégie, en proposaient quelques jours plus tard un commentaire approfondi sur le site The Conversation.(([10] « La stratégie russe de développement de l’intelligence artificielle », The Conversation, 26/11/2019. https://theconversation.com/la-stra…))

Le second, fin connaisseur de ce sujet, avait déjà publié en 2013 un ouvrage intitulé « La cyberstratégie russe », dont la quatrième de couverture résume le contenu : « La stratégie des pouvoirs à l’ère du numérique n’est pas un tout monolithique, et des spécificités nationales apparaissent, aux États-Unis, en Russie, en France et ailleurs. Jusqu’à présent, la cyberstratégie russe n’avait jamais bénéficié d’étude sérieuse ; elle était réduite à des approximations ou perçue à travers le prisme d’études très parcellaires. Ne faisant aucunement l’impasse sur la prégnance des services de renseignement comme sur l’intérêt croissant du monde militaire pour ce nouvel espace, l’auteur de ce livre analyse les capacités et alliances potentielles de la Russie en matière de cyberespace, tout en évaluant l’émergence d’un “art de la guerre numérique” spécifiquement russe. »(([11] « Yannick Harrel : » L’intelligence artificielle — révolution anthropologique » », Dialogue Franco-Russe, 12/06/2023. https://www.youtube.com/watch?v=dOQ…))

En 2021, l’Institut Français des Relations Internationales en diffusait sur son site un compte rendu :

« Signée par le président russe en octobre 2019, la stratégie nationale de développement de l’intelligence artificielle entend placer la Russie sur la carte des pays qui comptent, entamant un effort de rattrapage technologique et financier en intelligence artificielle (IA) et en robotique avancée. L’IA fondamentale (recherche) comme l’IA appliquée (destinée à être commercialisée) demeurent accaparées par le secteur de la défense, qui en fait un outil au service de la modernisation de ses équipements et de l’art opératif des forces armées. »(([12] « L’intelligence artificielle : enjeu stratégique de la Russie », IFRI, 21/04/2021. https://www.ifri.org/fr/espace-medi…))

Toujours en 2021, à l’occasion de la réunion annuelle du forum de discussion de Valdaï, Vladimir Poutine précisait encore les contours de la stratégie nationale russe sur les nouvelles technologies : « La révolution technologique, les réalisations impressionnantes dans les domaines de l’intelligence artificielle, de l’électronique, des communications, de la génétique, de la bio-ingénierie et de la médecine ouvrent des perspectives colossales, mais elles soulèvent également des questions philosophiques, morales et spirituelles qui, il y a peu, n’étaient posées que par les auteurs de science-fiction. Que se passera-t-il lorsque la technologie dépassera la capacité de penser de l’homme ? Où se situe la limite de l’ingérence dans l’organisme humain, au-delà de laquelle l’homme cesse d’être lui-même et se transforme en une autre entité ? Quelles sont les limites éthiques dans un monde où les possibilités de la science et de la technologie deviennent presque illimitées, et qu’est-ce que cela signifiera pour chacun d’entre nous, pour nos descendants, et pour nos enfants et petits-enfants ? »(([13] « Заседание дискуссионного клуба « Валдай » », Kremlin.ru, 21/10/2021 : « Далее. Технологическая революция, впечатляющие достижения в области искусственного интеллекта, электроники, коммуникаций, генетики, биоинженерии, медицины открывают колоссальные возможности, но они же ставят в прикладном плане философские, моральные, духовные вопросы, которыми ещё недавно задавались только писатели-фантасты. Что будет, когда техника превзойдёт человека по способности мыслить ? Где предел вмешательства в человеческий организм, после которого человек перестаёт быть самим собой и превращается в какую-то иную сущность ? Каковы вообще этические границы в мире, в котором возможности науки и техники становятся практически безграничными, и что это будет значить для каждого из нас, для наших потомков, причём уже ближайших потомков – для наших детей и внуков ? » http://kremlin.ru/events/president/…))

De toute évidence, Vladimir Poutine ne souhaite pas sacrifier la question identitaire sur l’autel de la compétition technoscientifique. La bioéthique, la transmission aux générations futures, la protection de l’enfance ont déjà une traduction légale en Russie avec l’interdiction de la propagande LGBT et du « mariage homosexuel », qui pose ainsi des limites au transhumanisme et qui rétablit un clivage fondateur avec l’Occident et ses développements pédophiles institutionnels (cf. les standards de l’OMS pour l’éducation sexuelle des enfants dès la naissance). Quand Poutine reprend le concept de « Nouvel Ordre mondial », c’est pour en subvertir la signification donnée par le président George H. Bush au moment de la chute de l’URSS et de l’avènement du monde unipolaire dominé par les USA, ce que Francis Fukuyama avait appelé la « fin de l’Histoire ». Poutine reprend le même signifiant, mais avec un signifié différent. Quel est ce nouveau signifié ? La doctrine du gouvernement russe est un matérialisme conservateur, une politique des antagonismes concrets, à la lumière de ce qui a été sélectionné par l’expérience, réalisant une sorte de synthèse de l’empirisme organisateur de Charles Maurras et du matérialisme dialectique de Karl Marx. Cette vision politique et géopolitique propose un traitement réaliste et pragmatique des interactions et interdépendances concurrentielles et conflictuelles qui écrivent l’histoire universelle, et qui se résument dans l’aphorisme d’Héraclite : « Le combat est père de toutes choses. » Quelques siècles plus tard, Nietzsche nous dira en substance que ce sont la violence et les moyens de l’augmenter ou de s’en prémunir qui écrivent l’Histoire, en tant qu’éternel retour du Bien, mais aussi du Mal. Le matérialisme conservateur est un archéo-progressisme, ni technophobe, ni technophile, ou les deux en même temps, assumant les rapports de forces matériels et physiques dans leurs propres termes, ceux de l’innovation technologique et de la course aux armements, évitant le prisme déformant de la métaphysique et de l’essentialisme, tout en restant capable de faire alliance avec les conservateurs adeptes d’une métaphysique, sur la base d’un projet commun de souveraineté technologique réfléchie, consciente des risques et gardant le contrôle critique de la science pour en limiter les impacts négatifs sur la nature humaine. Deux courbes vont se croiser : celle de l’informatisation croissante de nos vies, et celle de la baisse du quotient intellectuel des programmeurs informatiques que l’informatisation croissante de nos vies provoque, ce qui aboutira à une augmentation des erreurs humaines de programmation, donc à une multiplication des bugs et des pannes, et à un dysfonctionnement global de cette informatique devenue omniprésente dans nos vies. Encore une ou deux générations, et l’humain ne sera plus capable intellectuellement de gérer le parc informatique dans lequel il s’est lui-même enfermé. Quand l’intelligence artificielle augmente, l’intelligence réelle diminue, d’où ce phénomène dysgénique des générations X, Y ou Z qui est en train de précipiter l’Occident vers l’effondrement complet. Comme le disait Bernard Stiegler, la technoscience est un pharmakon, simultanément remède et poison, autorisant le meilleur et le pire, capable selon le dosage d’améliorer la condition humaine, mais aussi de la réduire à néant.

L’auteur de ces lignes espère avoir clarifié le rapport de la Russie au Great Reset et au « Nouvel Ordre mondial », et plus largement le rapport de tout être vivant à la technoscience. C’est un rapport intrinsèquement problématique. Ni tout blanc ni tout noir, tout dépend du contexte. L’erreur de l’essentialisme est de nous faire raisonner en termes de substances pures et de valeurs absolues idéales, alors que le réel s’analyse en termes de nuances et de pourcentages. La question n’est donc pas « La Russie est-elle globaliste ou non ? », mais « Quel pourcentage de la Russie est globaliste et quel pourcentage anti-globaliste ? » Il suffit ensuite de comparer avec l’Occident pour constater les différences. La même méthode par pourcentages doit être appliquée à toutes les entités, individus, communautés, organisations. Les commentateurs qui n’en tiendraient pas compte verraient leurs commentaires frappés d’obsolescence instantanée. Essayons maintenant de tourner la page sur un certain nombre de jugements hâtifs et portés sous le coup de l’émotion, afin de poser les termes du débat à l’étape suivante, dans le champ archéo-futuriste de la plateforme intellectuelle et revendicative commune à créer entre les bio-conservateurs de toutes origines à l’époque d’internet et des sujets connectés.

[Note de Joseph : plutôt que de raisonner en termes de substances pures et de valeurs absolues idéales, le véritable essentialisme part simplement de la supériorité de l’Esprit sur la Matière et donc pose que la Conscience n’est pas tributaire de cette dernière, mais doit au contraire l’organiser dans le respect des Lois universelles. A contrario, l’existentialisme centre son approche sur la Matière et la substance, plaçant ainsi l’individu et l’Humanité sous les lois de l’ego. Après, le pourcentage de globalisme ou d’anti-globalisme dépendra autant pour l’individu que pour le groupe de la proportion d’ego ou de matérialisme par rapport à la conscience ou à la spiritualité. Et cette proportion peut bien sûr fluctuer au cours du temps, chaque individu et chaque groupe ayant sa part d’ombre. Cependant, la conscience et la spiritualité doivent s’ancrer dans la matière, par les actes, grâce à la Volonté. Autrement elles restent lettre morte ou stériles. Et pour l’instant, il semble que la volonté collective de retour aux traditions et aux valeurs humaines et religieuses ne soit pas suffisamment forte en Russie pour sortir celle-ci du piège matérialiste occidental qui se traduit par son maintien dans les institutions internationales ou la plupart d’entre elles. Si Poutine souhaite une Russie véritablement souveraine, il n’est malheureusement pas seul, mais est confronté, probablement même dans son entourage proche, à des individus qui travaillent en sens inverse.]

Lucien Cerise

Annexes rétrospectives du Forum de Chișinău

Chișinău I, 26-27 mai 2017 : « 1er colloque eurasiatique : pour un destin commun des peuples eurasiatiques » https://www.youtube.com/watch?v=3mp

Chișinău I, 26-27 mai 2017 : « Jean Parvulesco et la géopolitique transcendantale », Laurent James. http://parousia-parousia.blogspot.c

Chișinău II, 14 décembre 2017 : présentation du livre de Hervé Juvin « Le mur de l’Ouest n’est pas tombé », avec Yurie Roșca, Igor Dodon, Alexander Dugin, Hervé Juvin, Valérie Bugault, Lucien Cerise, Emmanuel Leroy, et la traduction par Modeste Schwartz. https://www.geopolitika.ru/fr/studi

Chișinău II, 15 décembre 2017, séance plénière : « Le capitalisme financier et ses alternatives au 21e siècle » https://www.youtube.com/watch?v=Gif

Chișinău III, 20 septembre 2019 : « Beyond the Unipolar Moment : Perspectives on Multipolar World », première partie, avec Daria Douguine, Marion Sigaut, Marvin Atudorei, Antony Bonamy, Lucien Cerise, Arnaud Develay, Paul Ghițiu, Youssef Hindi, Ovidiu Hurduzeu, Gilles-Emmanuel Jacquet, Dimitris Konstantakopoulos, Alexander Markovics, Pierre-Antoine Plaquevent, Konrad Rękas, Irnerio Seminatore, David Shahnazaryan. https://www.facebook.com/watch/live

Chișinău III, 20 septembre 2019 : « Discours de Lucien Cerise. Après le moment unipolaire, après l’incohérence : une étude de collapsologie cognitive » https://www.cultureetracines.com/ac

Chișinău III, 21 septembre 2019 : « Beyond the Unipolar Moment : Perspectives on Multipolar World », deuxième partie. https://www.privesc.eu/Arhiva/88483

Chișinău III, 21 septembre 2019 : « Présentation de livres d’auteurs français traduits en roumain et édités par l’Université populaire de Moldavie » https://www.youtube.com/watch?v=zys

Notes




La guerre cognitive contre les peuples

[Source : TNT TV]

Frédéric Vidal reçoit Frédéric Morin, directeur de publication du journal Morpheus pour évoquer la guerre cognitive menée contre l’humanité et l’utilisation des armes psychotroniques et de l’IA.

[Voici l’article qui est évoqué dans la vidéo visible plus bas :]

2020 : L’AVÈNEMENT DE LA GUERRE COGNITIVE

Le général français Philippe Lavigne, du « Commandement allié Transformation » (Allied Command Transformation – ACT) de l’OTAN, supervise les recherches sur les nouvelles méthodes de propagande.

Son commandement dispose de 21 centres d’excellence dont un pour la propagande, le Centre d’excellence des communications stratégiques (STRATCOM) à Riga en Lettonie. Il a créé le Carrefour d’innovation de l’OTAN (iHub) sous la direction du Français, François du Cluzel, ancien professeur au Collège militaire interarmes de Coëtquidan. Il finance des recherches de la John Hopkins University et de l’Imperial College of London sur les capacités cognitives. Celles-ci portent sur l’ensemble du domaine cognitif avec des applications variées allant des soldats bioniques à la propagande de guerre.

L’idée générale de l’OTAN est d’ajouter aux cinq domaines d’intervention habituels (air, terre, mer, espace et cybernétique), un sixième : le cerveau humain. « Alors que les actions menées dans les cinq domaines sont exécutées afin d’avoir un effet sur le domaine humain, l’objectif de la guerre cognitive est de faire de chacun une arme », écrit François du Cluzel.

Ce document de l’OTAN de 45 pages, rédigé en novembre 2020, explique clairement comment manipuler neurologiquement, cognitivement, psychologiquement et émotionnellement l’homme. Il s’agit de déployer des moyens psychotroniques, assistés par intelligence artificielle, afin de pirater littéralement les cerveaux. C’est un nouveau type de neuro-propagande, fondé sur les sciences cognitives.

De telles méthodes forgent une pensée synthétique orientée à l’insu de la cible. Bien que prohibées et interdites par des traités internationaux, ces technologies sont développées en toute impunité à une échelle globale, grâce au support des smartphones par exemple. Les populations ignorantes de l’avancée de ces sciences sont des proies faciles qui peuvent être utilisées comme « armes de propagande participative » à leur insu.

Quelques extraits choisis :

« Les neurosciences et technologies (NeuroS/T) utilisent une variété de méthodes et de technologies pour évaluer et influencer les substrats neurologiques et les processus de cognition, d’émotion et de comportement. En général, les sciences du cerveau peuvent être de la recherche fondamentale ou appliquée. La recherche fondamentale se concentre sur l’acquisition de connaissances et approfondit la compréhension des structures et des fonctions du système nerveux sur une variété de niveaux en employant des méthodes des sciences physiques et naturelles. La recherche appliquée vise à développer des approches translationnelles directement utilisables pour comprendre et modifier la physiologie, la psychologie et/ou la pathologie des organismes cibles, y compris les humains. »

(page 19)

« Les objectifs des neuro-armes dans la guerre peuvent être atteints en augmentant ou dégradant les fonctions du système nerveux, de manière à affecter l’activité et les capacités cognitives, émotionnelles et motrices. De nombreuses technologies peuvent être utilisées pour produire ces effets… »

(page 21)

« Le domaine humain des opérations consiste à mettre en œuvre des stratégies ciblant les capacités cognitives des individus et/ou des communautés, avec un ensemble d’outils et technologies, notamment numériques. Ces opérations visent à influencer leur perception et altérer leurs capacités de raisonnement, gagnant ainsi le contrôle de leur prise de décision, de leur perception et des leviers comportementaux pour obtenir les effets souhaités. »

(page 34)

Pour vous donner un aperçu général, nous traduisons ci-contre le sommaire de ce document rédigé en anglais :


L’avènement de la guerre cognitive

  • De la guerre de l’information à la guerre cognitive
  • Hacker l’individu
  • La confiance est la cible
  • Guerre cognitive : une propagande participative
  • Économie comportementale
  • Cyberpsychologie


Centralité du cerveau humain

  • Comprendre le cerveau est un enjeu majeur pour l’avenir
  • Les vulnérabilités du cerveau humain
  • Le rôle des émotions
  • La bataille de l’attention
  • Impacts à long terme de la technologie sur le cerveau
  • Les promesses des neurosciences


La militarisation de la science du cerveau

  • Progrès et viabilité des neurosciences et technologies
  • Utilisation militaire et renseignement de NeuroS/T
  • Armement direct de NeuroS/T
  • Neurodonnées
  • La neurobioéconomie


Vers un nouveau domaine opérationnel

  • Définition de la guerre cognitive russe et chinoise
  • Il s’agit des humains
  • Recommandations pour l’OTAN
  • Définition du domaine humain
  • Impact sur le développement de la guerre

Source : « Cognitive Wafare » téléchargeable sur reseauvoltaire.org [le lien exact n’est pas précisé, NDLR]

Morphéus n° 111 mai juin 2022 téléchargeable

[Voir aussi, en relation avec les sujets traités ou évoqués dans la vidéo :
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Vers une tyrannie virtuelle gérée par l’intelligence artificielle ?
Du danger de la militarisation des ondes électromagnétiques
DU HARCÈLEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE DES POPULATIONS À LA NEURO-POLITIQUE DU NOUVEL ORDRE
Opération Crimson Mist
Une intervenante du Forum Économique Mondial vante une technologie qui va permettre à votre patron de lire dans vos pensées
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Actionner un interrupteur dans la tête
Le contrôle de l’esprit ou la bataille ultime de l’humanité
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Les multiples méthodes de manipulation mentale …. une opération à l’échelle mondiale
Les écouvillons des tests PCR conçus pour implanter de l’hydrogel DARPA au lithium dans le cerveau et attaquer la glande pinéale ?
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
Nanotechnologie et « vaccins »
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA]






Le contrôle de l’esprit ou la bataille ultime de l’humanité

[Source : covidhub.ch]

« Dompter cette grande bête hagarde qui s’appelle le peuple »

(Edward Bernays, neveu de Freud et père de la propagande)

Qu’entend-on par une prise de contrôle du mental ? A priori les religions, philosophies, idéologies, la propagande et l’éducation ou la publicité exercent toutes une forme de contrôle mental des masses. Selon Edward Bernays, le neveu de Freud et père de la « propagande », il s’agit de « fabriquer du consentement », et de « cristalliser les opinions publiques » (titres de deux de ses œuvres écrites) pour :

« Dompter cette grande bête hagarde qui s’appelle le peuple, qui ne veut ni ne peut se mêler des affaires publiques et à laquelle il faut fournir une illusion. »

Ainsi, ceux qui savent véritablement manipuler les opinions forment un gouvernement invisible et dirigent véritablement le pays.

Mais les tentatives de prise de contrôle de la personne ou d’un groupe peuvent aller bien au-delà. Que se passerait-il si nous perdions notre propre capacité à penser ? Le pire des cauchemars ne serait-il pas de ne plus être soi, de ne plus savoir qui l’on est ? Des dizaines de films ont exploré cette effroyable perspective où « un autre » prend le contrôle d’une personne : hypnose, zombies, extra-terrestres déguisés, possession démoniaque, expériences militaires secrètes et espions téléguidés… Quel soulagement de se dire que toutes ces violences ne sont que de la fiction ! Encore que, à bien y regarder, il semblerait que de nombreux gouvernements se soient secrètement lancés dans ce type de recherches, celles menées dans le cadre des programmes MK Ultra étant les plus connues. Et face aux transhumanistes et leurs technologies qui menacent de « pirater » l’esprit des humains à l’aide d’implants cérébraux, il y a tout de même de quoi s’interroger sérieusement.

Fabriquer du consentement pour « dompter le peuple »

Les bases de cette science de la manipulation sont exposées dans le documentaire « Propaganda, la fabrique du consentement » de Jimmy Leipold diffusé par ARTE. Le film part de la figure d’Edward Bernays, l’auteur du célèbre ouvrage « Propaganda » pour expliquer comment se crée une propagande de masse à des fins intéressées.

Philippe Bobola et Lucien Cerise échangent sur l’art et la science de la manipulation sociale

Deux têtes brillantes qui s’amusent à démonter les mécanismes de l’ingénierie sociale à partir d’exemples actuels ou hypothétiques. Comment s’y prendrait-on par exemple pour passer de l’interdit à la promotion du cannibalisme ? L’ingénierie sociale vise une transformation du réel au service de ceux qui tentent d’organiser scientifiquement la société pour l’adapter à leur fantasme. Tout l’art consiste à gagner la confiance des gens et à leur imposer un nouveau langage.

« Le grand récit »

Livre de Klaus Schwab et Thierry Malleret (2022)

Après le Grand Reset, les programmeurs du monde de demain ont sorti un deuxième volume intitulé « le Grand Récit », histoire de trouver des « narrations » qui aideront à mieux accepter le « grand reset » en cours. Voilà donc une matière intéressante pour se livrer à un exercice pratique d’analyse de cette fameuse « fabrique du consentement ».

Esprits sous influence

The Master
Film de Paul Thomas Anderson (2012)

Film qui illustre comment les personnes fragilisées peuvent tomber sous l’emprise mentale d’autres personnes. Freddie, un vétéran du pacifique rentre au pays et se débat avec l’alcool avant de tomber sous la coupe d’un maître charismatique. Sans être explicite, le film dénonce les pratiques de la scientologie.

Kumaré
De et avec Vikram Ghandi (2012)

Pas de maîtres sans adeptes ! Un documentaire unique et fascinant réalisé par un homme qui s’interroge sur la spiritualité et se fait passer pour un gourou indien en Arizona. Le protagoniste tente une expérience et crée un personnage de toutes pièces pour qui il invente un enseignement et des pratiques. À sa grande surprise, il se retrouve rapidement entouré de croyants. Tout au long de son aventure, il documente la naissance de son ashram, jusqu’à ce que, au sommet de sa popularité, il finisse par révéler sa supercherie à ses disciples, en leur dévoilant ainsi « son plus grand enseignement ». Drôle, intelligent, sensible et subversif.

Un crime dans la tête (The Mandchurian Candidate)

John Frankenheimer (1962)

Un film qui raconte comment, au milieu de la guerre froide, les services d’espionnage se livrent à des tentatives de « prise de contrôle mental » (de type « MK Ultra) pour pousser certains individus à commettre des actes en dehors de leur volonté propre, comme par exemple l’assassinat du président des États-Unis. Le film connaît un étrange destin. Boudé par les studios, il sortira grâce au soutien du président Kennedy, mais sera interdit à la suite de son assassinat. Certains disent qu’il aurait peut-être inspiré Lee Harvey Oswald, le tueur solitaire qui a été tué quelques jours plus tard. Mais c’est plutôt le cas de Sirhan Sirhan, l’homme qui a été accusé du meurtre du second Kennedy, qui aurait pu être un cobaye « téléguidé ». Le film a été interdit dans de nombreux pays des deux côtés du rideau de fer.

La science du contrôle de l’esprit

Trance : l’histoire de Cathy O’Brien

Documentaire d’Adrienne Youngblood (2022)

« Je me souviens avoir perdu ma libre pensée ».

Trance tisse l’expérience de Cathy O’Brien en tant que l’une des dernières victimes survivantes de MK Ultra et du Projet Monarch, dans le macrocosme des événements mondiaux passés et l’agenda en cours.

« Une faction criminelle de mon gouvernement a utilisé des enfants comme sujets soumis au contrôle de l’esprit. J’ai été programmée (et torturée) de manière de plus en plus intensive, jusqu’à être utilisée au sein de la Maison-Blanche par les présidents Ford, Bush, Reagan et Clinton, non seulement comme esclave sexuelle, mais aussi pour réaliser des opérations criminelles ou délivrer des messages entre différents chefs de gouvernements. Le but ultime de cet agenda était d’instaurer un contrôle profond au sein de notre gouvernement, de l’éducation, de la santé et des médias pour créer une convergence au service d’un nouveau régime mondial ».

Les protocoles de contrôle de l’esprit, appliqués à l’échelle mondiale

Témoignage de Cathy O’Brien (2023, anglais)

La formule du contrôle de l’esprit est la même pour les individus, les nations ou le monde et c’est le traumatisme qui en est la base.

Dans une vidéo récente, Cathy O’ Brien explique que la peur du virus et la répétition incessante de messages angoissants par les médias ont été une occasion pour le monde de découvrir comment sont appliquées les techniques de contrôle de l’esprit. En tant que victime de ces expériences de torture, elle revient sur l’utilisation des masques, de l’isolement, des messages répétitifs et d’autres méthodes de contrôle qui ont été utilisées durant la pandémie.

MK Ultra
de Joseph Sorrentino, ancien agent de la CIA (2022)

Thriller inspiré des programmes MK Ultra, plus aisé à regarder que les témoignages réels. Le film suit les péripéties de Ford Strauss, un brillant psychiatre, dont les limites morales et scientifiques sont repoussées à l’extrême lorsqu’il est recruté pour diriger une sous-section du programme MK Ultra dans le Mississippi.

MK Ultra, abus rituels et contrôle mental

Livre d’Alexandre Lebreton (2016)

Un ouvrage monumental de plus de 600 pages qui explore les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle, par l’induction de phénomènes de dissociation de la personnalité. Comment réagit le cerveau d’un enfant soumis à de telles horreurs ? Comment est-il possible de programmer mentalement un être humain ? Quelles sont les racines de telles pratiques ? L’auteur approfondit aussi la lourde question de la pédocriminalité élitiste et de son utilisation à des fins politiques.

Un futur « sous contrôle » ?

THX1138
de George Lucas (1971)

Film de science-fiction dans un univers aseptisé où l’homme est réduit à un matricule. THX 1138 tente d’échapper à la société à laquelle il appartient, un monde futuriste logé dans les entrailles de la Terre. Cette civilisation extravagante a entrepris d’éliminer toute trace d’amour et de sexe, en « anesthésiant » les individus avec des drogues inhibantes et réprimant tout sujet déviant.

Total Recall : mémoires programmées

Film de Paul Verhoeven (1990)

Thriller qui joue avec l’idée de souvenirs virtuels implantés. Doug Quaid, un ouvrier fabriquant des robots de sécurité, en a assez de vivre la même vie, jour après jour il se fait implanter les souvenirs d’un agent secret en mission. Il se retrouve brusquement embarqué dans une traque sans merci qui pourrait déterminer le sort de millions de vies, sans savoir s’il vit un rêve ou la réalité.

Matrix
La Quadriologie des Wachowski (à partir de 1999)

Faut-il encore présenter ces classiques, aussi riches dans leur réalisation que dans les multiples niveaux de lecture ?

Matrix dépeint un avenir dystopique dans lequel l’humanité est piégée à son insu dans une réalité simulée, la Matrice, créée par des machines intelligentes pour contrôler et soumettre la population humaine. Lorsque le programmeur informatique Thomas Anderson est contacté par le chef des rebelles Morpheus, il apprend la vérité sur la Matrice et le rejoint dans sa quête de libération de l’humanité de son esclavage physique et mental.

La série est à l’origine de deux idiomes cultes : « La matrice » signifiant le monde tel qu’il est présenté, un monde qui est mensonger et empêche de voir la vérité, et « la pilule rouge », le choix de voir le côté sombre de la réalité.

Alors Néo, pilule rouge ou pilule bleue ?

Inception
de Christopher Nolan (2010)

Thriller de science-fiction dans lequel est explorée la confusion créée par des techniques consistant à « voler » des pensées et des souvenirs, et même d’en implanter des artificielles. Un film d’action passionnant qui fait réfléchir aux risques de jouer avec les secrets de la mémoire.

Severance
de Dan Erickson (2022)

Une série qui fait entrevoir l’horreur d’un futur où la mémoire de certaines personnes est compartimentée à des fins utilitaires qui se révèlent aussi criminelles.

Mark Scout travaille pour Lumon Industries où il dirige une équipe dont les employés subissent une opération chirurgicale dans le but d’induire une séparation entre les souvenirs liés à leur vie professionnelle et ceux liés à leur vie personnelle. Soudain Mark se retrouve au cœur d’un mystère qui le forcera à rétablir le lien entre les deux réalités.

Et si c’était pour bientôt ?

Le futur sera-t-il humain ?

Conférence au Forum économique mondial de Yuval Noah Harari (2018)

« Nous pouvons pirater les êtres humains. Les progrès de l’informatique et de l’intelligence artificielle nous fournissent la force de calcul nécessaire et en même temps les progrès de la biologie et de la science du cerveau nous donnent la compréhension nécessaire. Les organismes sont des algorithmes biologiques que nous déchiffrons. Grâce aux capteurs biométriques, on peut traduire les processus biochimiques dans des signaux électroniques que les ordinateurs peuvent enregistrer et analyser. Une fois que nous aurons assez de données et assez de force de calcul,nous pourrons créer des algorithmes qui nous connaîtront mieux que nous-même ».

Update Neuralink, les implants dans le cerveau

Présentation du projet Neuralink d’Elon Musk et Tesla (2023)

L’objectif est d’introduire des puces dans le cerveau pour interagir avec un ordinateur ou un espace Cloud et le système nerveux de commande des fonctions corporelles. Les innovations de Neuralink visent à rendre l’interface ordinateur– cerveau suffisamment accessible pour que ces implants deviennent un aspect banal de notre culture. Cette interface lira et inscrira des données dans l’ensemble du cerveau à partir des millions de « signaux électriques qui constituent notre expérience humaine ». Pour cela, il faut implanter toute une série de minuscules électrodes à l’intérieur des neurones dans le cerveau…

Nous sommes confrontés à un parasitisme d’une autre espèce sur l’être humain.

Interview de José Luis Sevillano (2023). Considérés comme étant au sommet de la pyramide de conspirateurs covidiens, les chercheurs espagnols de la Quinta Columna affirment avoir investi de nombreux efforts pour détecter la présence de graphène dans les vaccins Covid et dans d’autres objets. Le graphène serait, entre autres usages, un matériau idéal pour les technologies d’interface entre le cerveau et la machine. Pour José Sevillano, expert en télécommunications, les nanoparticules injectées à l’insu des vaccinés se déploient dans le cerveau en attendant d’être activées par la 5G pour soumettre les humains au contrôle d’une interface homme-machine. Et ce plan machiavélique serait mis en place sous l’influence « d’une autre espèce » ! Faut-il en rire ou faut-il s’alarmer ?

Libère ton esprit

À partir d’une interview de Joe Dispenza

Pour ne pas se laisser influencer par toutes ces effrayantes perspectives, il ne reste plus qu’à reprendre le contrôle de notre esprit. L’être humain possède un gigantesque potentiel qui semble ignoré par les ténors de l’intelligence artificielle, mais qui n’attend peut-être que leurs provocations pour se révéler. Voici une petite session de remise en forme avec une interview de Joe Dispenza qui explique à la fois les mécanismes de l’attention et leur ancrage dans le corps, ainsi que quelques conseils pour apprendre à les maîtriser.

[Voir aussi :
Robert Kennedy Jr. explique comment la CIA a utilisé des expériences de contrôle mental pour apprendre à contrôler les masses
Comment fonctionne le contrôle mental réel
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
La fabrication des perceptions]




L’UE soutient le plan de Bill Gates visant à lutter contre le réchauffement de la planète en bloquant le Soleil

[Source : aubedigitale.com]

Par Frank Bergman

L’Union européenne (UE) a apporté son soutien au projet radical du cofondateur de Microsoft, Bill Gates, de « lutter contre le réchauffement climatique » en bloquant la lumière du soleil pour faire baisser la température sur Terre.

L’UE se joindra à un effort international mondialiste visant à examiner l’efficacité du plan.

Les gouvernements de plusieurs pays se joignent à des agences bureaucratiques non élues pour déterminer si une intervention à grande échelle telle que la déviation des rayons du soleil ou la modification des schémas météorologiques de la Terre sont des options viables pour « lutter contre le changement climatique ».

Comme Slay News l’a précédemment rapporté, Bill Gates défend depuis longtemps le projet de lutte contre le « réchauffement climatique » en recourant à la géo-ingénierie expérimentale pour bloquer le soleil.

L’idée, défendue par Bill Gates et le milliardaire gauchiste George Soros, consiste à injecter des nuages blancs artificiels dans l’atmosphère afin de réfléchir la lumière du soleil loin de la surface de la planète.

Ce projet radical permettrait d’abaisser la température de la planète et de « lutter contre le réchauffement climatique ».

Soros prétend que cette technologie contribuera à empêcher la fonte des calottes glaciaires.

Selon lui, la fonte des calottes glaciaires du Groenland, en particulier, pourrait condamner la civilisation humaine.

« Notre civilisation risque de s’effondrer en raison de l’avancée inexorable du changement climatique », a déclaré Soros.

« La fonte de la calotte glaciaire du Groenland augmenterait le niveau des océans de sept mètres. »

« Cela menace la survie de notre civilisation », a-t-il affirmé.

La méthode préconisée par Bill Gates consiste à augmenter les concentrations d’aérosols dans la stratosphère afin de réfléchir le rayonnement solaire loin de la Terre.

Bill Gates a financé un important projet à Harvard utilisant des ballons pour déployer des aérosols.

Ce projet a toutefois été interrompu à la suite d’une levée de boucliers de la part de l’opinion publique.

Selon un projet de document consulté par Bloomberg, l’Union européenne évalue les conséquences du « réchauffement climatique » sur la sécurité, notamment le risque que la pénurie d’eau ou de nourriture ne déclenche des conflits et des migrations.

Une partie de cette évaluation comprend l’étude des dangers potentiels de la réingénierie de l’atmosphère.

« Ces technologies présentent de nouveaux risques pour les personnes et les écosystèmes, mais elles pourraient également accroître les déséquilibres de pouvoir entre les nations, déclencher des conflits et soulever une myriade de questions éthiques, juridiques, politiques et de gouvernance », selon le document, qui est susceptible d’être modifié.

En se lançant dans ces recherches, l’Union européenne se trouve au cœur du débat sur la question de savoir si la géo-ingénierie du climat est une bonne science ou si elle n’est qu’une distraction de science-fiction.

Ces projets de géo-ingénierie ont des conséquences potentiellement dangereuses pour la planète et son atmosphère.

L’Union européenne souhaiterait que des discussions internationales aient lieu sur l’élaboration de règles applicables à ce secteur naissant.

« L’UE soutiendra les efforts internationaux visant à évaluer de manière exhaustive les risques et les incertitudes liés aux interventions sur le climat, y compris la modification du rayonnement solaire », selon le document.

Ces interventions à grande échelle sont apparues parallèlement aux progrès scientifiques et à la crainte croissante que les pays ne dépassent l’objectif de l’agenda vert, qui est de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius.

Le blocage des rayons du soleil est désormais fréquemment présenté comme un moyen de lutter contre ce qu’on appelle la « crise climatique ».

Les critiques mettent toutefois en garde contre les effets secondaires imprévus de plans aussi radicaux, tels que l’altération de régimes pluviométriques vitaux ou un refroidissement excessif de la Terre qui entraînerait une ère glaciaire.

Certains scientifiques ont appelé à la conclusion d’un accord international de non-utilisation de ces solutions.

D’autres experts, quant à eux, affirment que les rapports faisant état d’une « crise climatique » sont un canular destiné à attiser la peur du public dans le but d’augmenter les impôts et de restreindre les libertés.

Comme Slay News l’a déjà rapporté, le célèbre écologiste Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace, avertit le public que le discours contre le dioxyde de carbone est une escroquerie.

Moore, écologiste et militant écologiste depuis plus de 50 ans, affirme que l’augmentation du taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère est bénéfique.

Selon lui, les affirmations selon lesquelles le changement climatique est « causé par l’homme » sont de la « propagande » qu’il qualifie de « dangereuse ».

Les commentaires de Moore, un expert de premier plan en matière d’environnementalisme, vont directement à l’encontre de l’agenda vert mis en avant par l’administration de Biden et les groupes mondialistes tels que l’Organisation des Nations unies (ONU) et le Forum économique mondial (FEM).

Selon Moore, l’environnementalisme a été détourné et le mouvement a « abandonné la science et la logique au profit de l’émotion et du sensationnel ».

« Lorsque Greenpeace a commencé, nous avions une forte orientation humanitaire, pour sauver la civilisation de la destruction par une guerre nucléaire totale », a déclaré Moore.

Au fil des ans, la « paix » de Greenpeace s’est progressivement perdue et mon organisation, comme une grande partie du mouvement écologiste, a dérivé vers la conviction que les humains sont les ennemis de la Terre.

Traduction de Slay News par Aube Digitale




Kubrick et la question russe

Par Nicolas Bonnal

Entre Spartacus, héros communiste (et excellent ballet), 2001 et les cosmonautes russes (dirigés par des femmes) et l’argot russe des voyous d’orange mécanique — sans oublier bien sûr la Lolita de Nabokov ou Dr Folamour — Kubrick semble obsédé par les Russes — et pas négativement. En musique aussi : pensons à Chostakovitch (EWS), à Khatchaturian (2001)…

Citons notre livre sur Kubrick alors pour balayer le problème et offrir quelques pistes de réflexion. On n’évoquera pas son frère Raoul membre du parti communiste…

« Kubrick et les Russes. En voilà une question pour le directeur de Folamour ! Mais commençons par le Commencement, par 2001, qui aurait des origines… russes. »

« Nous avons évoqué Solaris, un des plus célèbres et élitistes films de science-fiction du monde. Cela pose la question soviétique et Dieu disait qu’elle se pose dans le monde de Kubrick, surtout au cœur des années soixante ! Kubrick filme Spartacus, Folamour, il adapte un grand auteur russe dans Lolita,

Kubrick filme l’argot russe dans Orange mécanique, Kubrick enfin organise une importante rencontre avec des savants russes dans 2001 ; et ces derniers ne sont pas le moins du monde tournés en ridicule, ils sont juste privés d’information comme dans tout le monde dans ce film finalement habité par la conspiration. La science-fiction s’étant surtout développée dans un contexte de guerre froide, et la conquête spatiale aussi finalement (elle a pris fin avec la guerre des étoiles du président Reagan, aussi farcesque que le film du même nom !), il nous semble important de reposer la question russe — d’autant qu’à l’époque les Russes multiplient les films spatiaux.

La SF des empires, des jeux vidéo, des superhéros et des jeux galactiques n’étant pas celle de Kubrick, d’où pouvait venir son modèle ?

La critique américaine croyait que son modèle venait du sympathique George Pal (d’ailleurs sujet hongrois) ou de certains films japonais ?

En réalité son modèle venait d’un très beau film soviétique, En route vers les étoiles, de Pavel Klushantsev. Ce petit chef-d’œuvre est un documentaire de 1957 et l’on peut voir que Kubrick et son équipe y ont puisé beaucoup. Kubrick l’a dit lui-même, il n’est donc pas question de parler de plagiat, mais de source d’inspiration. Voyons voir :

  • — Le film soviétique veut décrire la conquête spatiale, ses enjeux scientifiques et techniques. Nous y sommes avec 2001.
  • — En route vers les étoiles (Doroga k svesdam) dure cinquante minutes, montre les préparatifs puis filme le vol poétiquement.
  • — La tête d’un homme adulte se surimpressionne sur la planète bleue. On est aussi dans 2001. C’est au début de ce film stupéfiant.
  • — La lumière est très forte, les vaisseaux blancs, notable par leur vaillance. Leur lenteur est aussi bien nette à l’écran. Les maquettes sont similaires.
  • — On voit l’intérieur des vaisseaux. On a un petit confort matériel, un intérieur cosy, on joue aux échecs, on prend soin d’un jeune chat. Il y a des femmes d’un niveau scientifique respectable, même des Asiatiques. Kubrick aurait pu envoyer Draba dans l’espace !
  • — On voit les cosmonautes sortir dans l’espace, s’approcher du vaisseau, le tout est filmé comme un ballet. Dans son film sur la Lune, Klushantsev utilisera Tchaïkovski ! C’est d’ailleurs un musicien soviétique, Khatchatourian, que Kubrick utilise pour décrire la petite vie des cosmonautes. Khatchatourian est aussi l’auteur d’un ballet nommé… Spartacus.
  • — L’intérieur de la station est un hémicycle, même les fauteuils ressemblent un peu à ceux du Hilton dans 2001 (ils sont noirs). Les maquettes et les formes sont très proches. Les cosmonautes sont vêtus identiquement — mais sans couleur.
  • — Les Russes installent un jardin expérimental, celui de… Silent running, le film de Douglas Trumbull, le génie des effets spéciaux de 2001. Il y a une station météo à bord et l’on essaie de comprendre le mystère de la vie.
  • — Une séquence tournée en Crimée montre un canot à moteur devant récupérer en mer Noire les cosmonautes amerrissant dans un futur proche. Certaines prises de vue de la mer sont des négatifs, exactement comme dans les célèbres séquences de la Vision à la fin de 2001.
  • — La voix off sécurisante évoque beaucoup de voix off chez Kubrick. Elle s’émerveille devant le progrès et souligne que toutes ces missions sont faites pour le bonheur de ceux qui vivent sur terre !

Ces lignes ne rendent pas de la beauté plastique impressionnante qui ressort de ce poème cinématographique plein de confiance (ou de mensonges…) en l’avenir et en la science. Un grand documentaire est supérieur à presque tous les films, et c’est pourquoi il ne faut pas négliger non plus les documentaires du jeune Kubrick. Certes c’est un film de propagande, mais ce n’est pas une insulte. 2001 est aussi un film de propagande, fait avec infiniment plus d’argent, et c’était aussi un film sur le futur, toujours très hypothétique comme on sait. Dans un livre amusant et disparate, l’alors marxiste Dominique Noguez parlait très bien de 2001 comme d’un film expérimental (son livre se nommait le cinéma, autrement) certes, mais aussi comme d’un film impérialiste à la gloire des USA. C’est exactement comme cela qu’il a été perçu à l’époque, au moment où gagnant apparemment la conquête spatiale, l’Amérique conquérait les cerveaux et gagnait la guerre froide.

On a partout des drapeaux américains dans le film, partout des symboles IBM, partout les symboles ATT, American Express (ne partez pas sans elle !), ou les Hilton cités plus haut. 2001 célèbre l’Amérique comme l’aînée des nations du monde, le modèle des sciences, des corporations et des héros people — ici discrets et humbles en plus.

En s’inspirant du film de Pavel Klushantsev, Kubrick a fait d’une pierre deux coups : il s’est inspiré d’une source que peu d’autres iraient voir (car qui connaît sérieusement le cinéma soviétique, qui fut longtemps le premier et le plus important du monde ?) ; il a fait un film pédagogique et anagogique, élevant l’esprit de l’homme ; il a fait un documentaire en même temps qu’une œuvre de fiction ; il a célébré comme on le faisait alors la science et le progrès depuis l’aube de l’humanité.

Après Kubrick a rajouté les traits propres à son génie : l’inquiétant ordinateur, qui annonce notre contrôle moderne ; la fantaisie visionnaire (qui existe toujours dans le cinéma russe de l’époque, voyez mon livre sur Ptouchko aussi et Rou) ; et la musique. Et dire qu’il a emprunté des musiques d’artistes du bloc communiste ! Pensez à Khatchaturian et à la mélancolique partition de Gayaneh dans 2001, à la suite pour jazz de Chostakovitch dans son dernier opus. »

Russophilie et crypto-bolchévisme

« Kubrick est-il resté un bolchevik discret jusqu’à la fin ? En tout cas nous pouvons relever dans son œuvre une dimension bien russophile. Certains ont voulu voir dans la tempête de neige de Shining une métaphore de la guerre froide.

Mais même la russophilie relative de Kubrick doit aussi être notée : il y a les entretiens téléphoniques du président dans Folamour ; les Russes sont traités comme de grandes personnes et les personnages les plus chargés sont les généraux anticommunistes Turgidson et Ripper — qui se plaint de son impuissance via l’évocation furibarde de la fluorisation de l’eau ! Mais le président, raisonnablement ridiculisé, tente de s’entendre avec les Russes.

Dans Orange mécanique, la révolte de la jeunesse nécessite un autre langage, un autre argot, à base de russe — ce n’est pas dit dans le film ! Mais les maltchiks, devotchkas et malinkis donnent à cette jeunesse anglaise déboussolée, cette jeunesse anglaise héritière du Welfare State et de Lord Beveridge une tonalité bien russe !

Enfin dans 2001 : l’odyssée de l’espace le rôle des Russes n’est pas à négliger. Dans leur livre sur le fœtus astral, les professeurs structuralistes Dumont et Monod se moquaient d’eux, et ils avaient bien tort. Après les Soviétiques que chez eux les femmes ne sont pas des secrétaires ou des serveuses, mais des ingénieurs et des cosmonautes. L’une de ces femmes est d’ailleurs amie de Floyd, elle connaît sa famille, il s’agit d’une relation de travail ; la guerre froide est bien dépassée depuis… Dr Folamour. Dans le film ce sont clairement les Américains et Floyd qui sont en faute pour rétention d’informations importantes (on a osé parler d’épidémie, ce qui n’était ni moral ni malin).

Nous traiterons ailleurs des emprunts des inspirations soviétiques de 2001, surtout liées au film génial de Pavel Klushantsev. On peut rajouter à propos de ce film que le savant russe est nommé Smyslov, comme le plus grand joueur d’échecs de son temps ! A-t-on assez parlé du goût de Kubrick pour les échecs ! En réalité il devait avoir une certaine estime pour les Russes et les Soviétiques, par-delà la guerre froide dont il se moque dans Folamour et, paraît-il, dans Shining… Le beau personnage du joueur d’échecs russophone dans la Razzia le démontre : Maurice est la seule personne intelligente et cultivée du film.

Oui, en ce sens oui, on peut bien dire que Kubrick était un bolchevik. Culte du cinéma, goût des échecs et de l’ordre, dénonciation du rôle de l’argent des guerres impériales, du délire du complexe militaro-sexuel, critique radicale du Deep State américain et de ses couches supérieures, tout son monde montre bien qui il aurait fait un excellent propagandiste !

Est-ce à dire que pour cette raison on l’aurait tué ? C’est l’interprétation délirante, marrante et paranoïaque d’une partie du web consacré à Kubrick. La charge contre les Ziegler ricanants qui dirigent cette planète et mènent le monde à se perte aurait valu au vieux cinéaste un royal châtiment digne de Shakespeare. En dénonçant les Illuminati et les élites hostiles — pensez au ministre tory d’Orange mécanique, l’auteur de Spartacus (nom de guerre du premier Illuminati !), de Folamour et de Shining aurait pris des risques… Et 666 jours avant 2001 il mourut. Inexplicablement. »

Orange mécanique et la langue russe

« Que c’est drôle quand même !

Dans Orange mécanique, Gulliver fait penser à Swift, mais cette parole en russe veut dire tête, qui vient de golova en russe. Swift aussi aimait se jouer des mots pour se jouer du monde. Kubrick reprend aussi les mots suivants recyclés froidement par Burgess pour créer sa novlangue : le célèbre maltchik pour garçon, soumka pour le sac, prestoupnick pour le criminel, malenky pour petit, rooka pour main, litso pour le visage. Un petit peu plus complexe est le lien entre Horror show et horosho (“très bien !” en russe) et veck et cheloveck (l’homme en russe). Tout ce charabia russifiant et sonore est un régal pour les oreilles et n’a pas peu contribué à l’énorme succès du film.

On n’a pas trace d’un goût pour le désir véritable avant le début des années soixante dans le cinéma de Kubrick. Le goût pour l’extase verbale est sans doute venu avec la Lolita de Nabokov… » Nabokov a marqué un tournant dans son œuvre avec Lolita. Nous avons écrit tout un chapitre sur le goût de l’extase verbale (Folamour, Orange, Full metal jacket…) chez Kubrick…

Sources :




WORLDCOIN : L’IA exige la preuve que vous êtes humain

[Source : off-guardian.org]

« … la plupart des gens dans le monde ne sont même pas au courant des protocoles de preuve de personnalité, et si vous leur dites de tenir un code QR et de scanner leurs yeux pour 30 $, ils le feront. »

Vitalik Buterin

Par Karen Hunt

Dans la scène d’ouverture du film original de Blade Runner, Leon, un réplicant du Nexus-6 subit un « test de Voight-Kampff » pour déterminer s’il est humain ou non.



Le test est conçu pour provoquer une réaction émotionnelle. Les émotions sont lues en balayant l’iris, la partie colorée de votre œil. La couleur de votre iris est comme votre empreinte digitale ; c’est unique pour vous, et personne d’autre au monde n’a exactement la même couleur d’œil.

Au fil des questions, Leon devient de plus en plus agité. Lorsqu’on lui demande de « décrire en un seul mot, uniquement les bonnes choses qui te viennent à l’esprit à propos de ta mère », il en a assez. « Ma mère ? » dit Léon. « Laissez-moi vous parler de ma mère. » Et il sort une arme et tue son bourreau.

Les réplicants ont une date de fin, car s’ils vivent trop longtemps, ils commencent à développer des émotions et la peur est qu’ils ne se distinguent plus des humains. Leon et quelques autres réplicants avancés ont pour mission d’affronter leur créateur, le Dr Eldon Tyrell, et de trouver un moyen de prolonger leur vie.

Phillip K. Dick, auteur du roman Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? sur lequel le film est basé, se retournerait contre ce qui se passe aujourd’hui. Non pas parce que c’est ce qu’il a prédit, mais parce que c’est exactement le contraire.

Ce n’est pas l’IA qui doit prouver qu’elle n’est pas humaine. Ce sont les humains qui doivent prouver qu’ils ne sont pas des IA.

J’ai mis en garde à ce sujet dans Digital ID And Our Obsession with « Identity » [L’identité numérique et notre obsession de l’« identité »].

« Il est presque impossible d’échapper à la vaste machine qui nous absorbe en elle. Elle insiste pour que nous prouvions qui nous sommes, encore et encore, et plus nous en faisons, moins il semble satisfait. »

Plus nous devons prouver notre identité, plus l’IA trouvera des moyens de la falsifier. Plus nous donnons d’informations à l’IA, plus ces informations peuvent être utilisées contre nous.

Par exemple, Amazon utilise la surveillance pour comptabiliser les secondes de la pause toilette de chaque travailleur ou chronométrer chaque étape de son travail. Et en fait, les travailleurs sont formés pour le faire eux-mêmes avec leurs appareils Fitbit enregistrant leurs pas en une journée. Dans certains lieux de travail, l’IA écoute chaque conversation, répertorie chaque mot, qui l’a dit et comment, puis note chaque agent.

« Dans le travail à bas salaire, nous constatons que beaucoup plus de décisions prises par un cadre intermédiaire sont sous-traitées à un algorithme », déclare Aiha Nguyen de l’organisme de recherche Data & Society.

De plus en plus d’entreprises collectent des données pour augmenter la production et former des machines pour imiter les humains. Aux États-Unis, des caméras ont été installées au-dessus de la tête de chaque travailleur dans les chaînes de montage lors de l’assemblage de pièces automobiles ou de composants électroniques.

Le résultat est que les humains sont tenus de se comporter davantage comme des robots, aucune spontanéité de pensée ou d’action, aucune excuse pour les erreurs, tandis que les machines apprennent à se comporter davantage comme des humains.

Comme l’a récemment déclaré un employé d’Amazon au Guardian :

« Pour eux, nous sommes comme des robots plutôt que des personnes. Les petites choses qui font de nous des êtres humains, vous pouvez les sentir être broyées. »

Les humains ordinaires sont relégués à une classe inférieure à la machine. Et n’imaginez pas que parce que vous appartenez à la classe moyenne, vous en êtes exempté. La classe moyenne disparaît rapidement. Oui, de nombreux nouveaux emplois sont créés dans les secteurs de la technologie et de la santé, mais ces emplois seront également surveillés par l’IA.

Dans une interview en 2014 lors d’un symposium du MIT, Elon Musk avertissait :

« Avec l’intelligence artificielle, on invoque le démon. Vous savez toutes ces histoires où il y a le gars avec le pentagramme et l’eau bénite et il est comme… ouais, il est sûr qu’il peut contrôler le démon, [mais] ça ne marche pas. »

Et pourtant, il est à l’avant-garde de la création et de la construction de l’IA et de son infiltration dans nos esprits. Il est loin d’être le seul dans cette entreprise. Sam Altman, qui a aidé à fonder OpenAI avec Elon Musk, a lancé l’une des entreprises les plus ambitieuses de « preuve d’humanité » :

WORLDCOIN

Worldcoin vous invite à vous approcher de l’orbe et à regarder dans ses profondeurs. Il promet d’apporter la réponse à la question de la preuve de la personnalité de chaque être humain sur la planète.

Selon son site Internet,

« Le protocole Worldcoin aspire à devenir le plus grand réseau public identitaire et financier au monde, accessible à tous, quels que soient leur nationalité, leur origine ou leur statut économique. »

L’Orbe a à peu près la taille d’une boule de bowling.

« Il utilise un système de caméras infrarouges, de capteurs et de réseaux de neurones alimentés par l’IA pour scanner votre iris et vérifier que vous êtes un être humain ».

Ces orbes sont mis en place dans des villes du monde entier. Les gens se voient offrir 30 $ pour regarder dans l’Orbe et abandonner leurs iris à la Vaste Machine. Jusqu’à présent, plus de deux millions d’humains l’ont fait dans plus de 30 pays, sur les cinq continents.

Les promoteurs de Worldcoin expliquent que puisque l’IA va bientôt évoluer vers l’AGI, ou l’intelligence générale avancée, rendant la machine plus intelligente que les humains, il est impératif que nous cataloguions chaque véritable humain sur la planète afin que personne ne soit laissé pour compte dans les opportunités de prospérité à venir.

[Note de Joseph : dans notre monde orwellien d’inversion des valeurs et des significations, la prospérité promise ne sera que pour les élites, alors que les autres ne seront que des esclaves déshumanisés, ne possédant plus rien, pas même leur identité qui sera contrôlée par la machine.]

Il y a beaucoup de problèmes avec l’AGI, qui méritent une exploration plus approfondie. Par exemple, alors que l’IA reçoit de plus en plus de données synthétiques au lieu de « données humaines pures », le chercheur en données de l’Université Monash, Jathan Sadowski, prévient qu’elle se transforme en ce qu’il décrit comme « “l’IA des Habsbourg”, ou “un système qui est si fortement formé sur le sorties d’autres IA génératives qu’il devient un mutant consanguin, probablement avec des caractéristiques exagérées et grotesques.” »

Richard G. Baraniuk, en collaboration avec des chercheurs de Stanford, a publié un article fascinant sur ce problème, intitulé « Self-Consuming Generative Models Go MAD [Les modèles génératifs auto-consommateurs deviennent fous] ».

Oui, AGI peut littéralement devenir MAD, un peu comme Leon. Mais tout cela signifie qu’à l’avenir, les données en or pur, ou les données humaines réelles, gagneront en valeur jusqu’à ce que l’IA atteigne un point où elle n’est plus nécessaire.

Naturellement, les humains ordinaires ne sont pas informés de tout cela. On nous promet que le bond en avant de l’IA dans l’intelligence créera une richesse massive pour nous. Comme le dit Vitalik Buterin, les gens ne comprennent pas vraiment ce qu’on leur vend. Au lieu de cela, nous nous accrochons aux concepts dont nous avons été nourris, comme les créateurs de Worldcoin affirmant vertueusement que « personne ne veut que toute cette richesse ne profite qu’aux milliardaires, elle devrait être distribuée équitablement à — littéralement — chaque humain de la planète, sous la forme de RBU »., ou revenu de base universel. Le RBU se présentera sous la forme d’une crypto-monnaie appelée Worldcoin (WLD) ».

Apparemment, cela donnera du pouvoir à tous les humains. C’est ce que disent les milliardaires qui ont utilisé ces dernières années l’hystérie de la Covid et maintenant la guerre en Ukraine — non pas pour bénéficier à l’humanité — mais pour accroître leur propre richesse et leur pouvoir, de sorte qu’ils sont maintenant en mesure de cataloguer et de contrôler chaque personne sur la planète.

« Le RBU m’intéresse même sans parler d’IA », a déclaré Altman dans une récente interview avec Zoom. « C’est une idée qui plaît à beaucoup de gens. Si nous avons une société suffisamment riche pour mettre fin à la pauvreté, alors nous avons l’obligation morale de trouver comment y parvenir. »

Ce qui est vraiment intéressant, c’est que lorsqu’ils veulent vous asservir, ils parlent d’une obligation morale de le faire. N’avons-nous pas déjà assez de richesses pour mettre fin à la pauvreté ? N’y a-t-il pas toujours eu assez de richesse pour mettre fin à la pauvreté ?

L’histoire nous a montré qu’une fois qu’une personne a goûté au pouvoir, elle ne le partage pas, elle en veut juste plus. Et plus. Et plus.
Altman veut partager la richesse, mais pour votre propre bien, elle ne peut pas encore être partagée :

« Je pense que nous allons avoir besoin d’une sorte de coussin pendant la transition et une partie de la raison d’être enthousiasmé par l’IA est que c’est un monde plus abondant matériellement. »

Le coussin sera un revenu de base universel, juste pour les aider à traverser cette phase de transition. Notez que Worldcoin est vendu comme offrant aux humains un « monde plus abondant matériellement ».

Combien de matériel de plus pouvons-nous obtenir ? Combien de choses pouvons-nous encore accumuler ? C’est le mensonge que nous avons été conditionnés à croire depuis les années 1950 environ, lorsque les entreprises ont réalisé qu’elles pouvaient manipuler psychologiquement les gens, même les enfants, à grande échelle (par le biais de la télévision) pour qu’ils achètent de plus en plus de « choses » avec la promesse que cela les rendrait heureux. Bien sûr, cela n’a jamais rendu personne heureux. Tout ce que cela a fait, c’est créer la dépendance d’en vouloir toujours plus. En cours de route, les gens ordinaires sont devenus désespérément endettés auprès d’un groupe de milliardaires de plus en plus puissants et triés sur le volet.

L’Américain moyen a une dette d’environ 90 000 $. La plupart des gens vivent de chèque de paie en chèque de paie et sont à un chèque de paie de la catastrophe. Dans Digital ID And Our Obsession with « Identity », j’écris sur l’histoire de la vie à crédit et comment cela nous est arrivé.

Si vous vivez dans un pays du premier monde mais que vous avez des dettes inquiétantes, imaginez qu’on vous enlève ce poids qui vous empêche de dormir, qui vous donne l’impression de vous noyer continuellement sans pouvoir vous soulager. Pouf ! Votre dette est effacée. Tout ce que vous avez à faire est de donner vos données biométriques à la Grande Machine. Quel est le problème avec ça ? Vous en avez déjà donné tellement au gouvernement, à Amazon, à Google, à chaque site Web sur lequel vous naviguez, qu’importe si enfin vous donnez tout. Quel soulagement ce sera.

Imaginez maintenant que vous veniez d’un pays du tiers monde et que quelqu’un vienne dans votre village pour vous offrir une connexion avec le monde extérieur et la possibilité d’être riche, vous aussi, et de participer à l’économie mondiale. Tout ce que vous avez à faire, c’est de fixer l’orbe et on vous donnera de l’argent pour cela.

D’ici peu, tout le monde, du villageois du tiers-monde au membre de la génération Z du premier monde, se retrouvera dans un appartement situé dans une ville de 5 minutes. Il aura fière allure, avec des espaces verts, des magasins, une salle de sport, des vélos et pas de voitures. Ils seront tous relégués au même niveau et recevront un certain nombre de jetons à dépenser, principalement dans un monde virtuel où ils vivront par procuration ce qu’ils ne peuvent pas vivre dans le monde réel qui est devenu si étroit. Lentement, mais sûrement, le monde réel se transforme en rêve tandis que le monde virtuel devient réalité.

Nous sommes déjà conditionnés à accepter cette transition loin de la réalité. Nous croyons que nous faisons l’expérience de la « liberté » en ligne dans des endroits comme « x ». Nous vérifions notre humanité, pensant que c’est une bonne chose, ou même si nous ne le faisons pas, nous le faisons quand même, en le justifiant parce que cela signifie que nous pouvons parler « librement ». En ligne, nous pouvons dire avec audace des choses à des millions de personnes désincarnées que nous ne dirions jamais dans le monde réel. Par exemple, vous ne crieriez pas vos opinions politiques sur le marché à un groupe d’étrangers. Mais vous le ferez en ligne.

Vous vous souvenez des « émissions de télé-réalité ? ». Elles n’étaient pas réelles. Personne n’a essayé de prétendre qu’elles l’étaient. Mais elles ont servi un objectif important, brouillant la frontière entre réalité et illusion.

Cela nous conduit encore plus loin dans les boîtes dont j’ai souvent parlé. Des prisons virtuelles qui nous semblent confortables et familières, où nous avons déjà créé des communautés de personnes qui pensent exactement la même chose que nous. Cette mentalité est continuellement renforcée au point que nous ne contrôlons plus nos propres esprits, nous sommes simplement nourris en boucle continue de la même propagande avec un « pépin » occasionnel pour nous donner l’impression de « lutter » contre « quelque chose » alors que nous ne faisons que vivre dans un rêve.

Imaginez voter pour un candidat, par exemple. Tout comme les céréales au supermarché, il peut y en avoir deux ou trois différentes, mais elles proviendront toutes de la même source : la Grande Machine. Peut-être qu’ils ne seront même pas de vraies personnes à un moment donné. Ce seront des représentations virtuelles de personnes.

En fonction de tout ce que la machine sait de vous, vous serez amené à voter pour un certain candidat. Oh, vous dites, cela arrive déjà. Mais c’est pourquoi cette affaire contre Donald Trump est si importante. Quoi que vous pensiez de lui, il menaçait le système. Ou du moins nous le pensons. Parce que ces dernières années ont tellement perturbé nos esprits, nous ne pouvons plus être sûrs de rien. Peut-être que ses prochains procès sont l’ultime émission de télé-réalité.

S’il est mis en prison, ses millions de partisans prendront-ils réellement les armes et se battront-ils pour ce qu’ils croient ? Ou continueront-ils à crier en ligne là où ils ont appris à se sentir en sécurité et à l’aise, reconnaissant ainsi que la Grande Machine est aux commandes et qu’ils s’y sont déjà soumis il y a longtemps — ils ne l’ont tout simplement jamais réalisé. Cela pourrait clouer le couvercle sur le cercueil de l’acceptation de la soumission complète à la Grande Machine.

Des courses divertissantes seront tracées entre les candidats à l’avenir, mais elles auront du mal à correspondre à celle entre Biden et Trump. Trump peut-il retarder les procès suffisamment longtemps pour pouvoir être élu président ? Peut-il être élu ?

Les gens sauront que les futures courses sont fausses, mais c’est ce qui les rendra sûres, tout comme regarder un film est sûr. Les électeurs pourront jouer des scénarios en ligne, fidéliser l’un ou l’autre des candidats, faire des paris, plaider leur fidélité comme ils le font pour des célébrités ou des personnalités sportives.

Bien sûr, personne ne parle de tout cela. Au lieu de cela, on vous promet la liberté en échange de votre passage à l’Orbe et de sa pénétration dans votre âme.

Alex Blania est le PDG de 29 ans, grand, athlétique et au visage de bébé de Tools for Humanity, une extension de Worldcoin. Il s’excuse d’avoir à prendre toutes ces données et à les transmettre à l’IA :

« Pour plusieurs raisons, nous ne voulions pas nous engager dans cette voie », dit-il. « Nous savons que ça va être douloureux. Ça va coûter cher. Les gens pensent que c’est bizarre. Mais c’était vraiment la seule solution. »

Un article du MIT Technology Review publié en avril 2022 intitulé Tromperie, travailleurs exploités et dons en espèces : comment Worldcoin a recruté son premier demi-million d’utilisateurs de test a révélé « de larges écarts entre la messagerie publique de Worldcoin, qui se concentrait sur la protection de la vie privée, et ce que les utilisateurs ont vécu. Nous avons constaté que les représentants de l’entreprise utilisaient des pratiques commerciales trompeuses, collectaient plus de données personnelles qu’elles ne le reconnaissaient et n’obtenaient pas un consentement éclairé significatif ».

Créateur d’Ethereum, Vitalik Buterin s’est récemment prononcé sur le phénomène Worldcoin.

Buterin décrit les façons malveillantes dont ces données pourraient être utilisées :

  1. Fausses personnes imprimées en 3D : on pourrait utiliser l’IA pour générer des photographies ou même des impressions en 3D de fausses personnes suffisamment convaincantes pour être acceptées par le logiciel Orb. Même si un seul groupe procède ainsi, il peut générer un nombre illimité d’identités.
  2. Possibilité de vendre des identifiants : quelqu’un peut fournir la clé publique de quelqu’un d’autre au lieu de la sienne lors de l’inscription, donnant à cette personne le contrôle de son identifiant enregistré, en échange d’argent. Cela semble déjà se produire. En plus de la vente, il y a aussi la possibilité de louer des identifiants à utiliser pendant une courte période dans une seule application.
  3. Piratage téléphonique : si le téléphone d’une personne est piraté, le pirate peut voler la clé qui contrôle son World ID.
  4. Contrainte gouvernementale pour voler des identifiants : un gouvernement pourrait forcer ses citoyens à se faire vérifier tout en montrant un code QR appartenant au gouvernement. De cette façon, un gouvernement malveillant pourrait avoir accès à des millions d’identifiants. Dans un système biométrique, cela pourrait même être fait secrètement : les gouvernements pourraient utiliser des orbes obscurcis pour extraire les identifiants mondiaux de toute personne entrant dans leur pays au poste de contrôle des passeports.

Quel beau gâchis !

Comme Alex Blania de Worldcoin, Buterin a 29 ans. Sa vision de l’avenir utopique est similaire à celle d’Altman et de Blania. Dans mon essai SoulBOUND, je raconte comment Buterin appelle en fait ses jetons Ethereum Soulbound. C’est une nouvelle religion où les membres se surveillent les uns les autres, responsables devant le nouveau Dieu, la Grande Machine.

Son inspiration pour son monde SouldBOUND [NDT Littéralement : lié à l’âme] provient des jeux vidéo auxquels il jouait quand il était enfant.

« Être SoulBOUND, c’est avoir votre âme liée aux autres par un contrat de sang, puisant dans l’essence de l’autre pour se protéger contre les serviteurs de Nagash, le dieu de la mort. »
WARHAMMER, un des jeux préférés de Buterin

[NDT Dans d’autres jeux vidéo, il existe des objets liés à l’âme du personnage joué par le joueur. On peut alors facilement imaginer ou envisager que dans la vraie vie le joueur soit une entité non humaine et que l’identifiant numérique imposé au personnage humain réel soit équivalent à un contrat signé avec le Diable.]

Dans son livre blanc, écrit en 2022, Buterin décrit un monde où le mot « âme » remplace le mot « portefeuille » et si vous êtes « réel » vous pouvez acheter et vendre avec votre âme même. Votre âme contient la preuve de votre identité. Être Soulbound, c’est être légitimé au sein de votre communauté. Au sein de votre communauté se trouvent des Soul Guardians [NDT Gardiens des âmes], qui attestent de la bonne moralité des membres.

Buterin répond à des questions comme comment ne pas perdre son âme. Un utilisateur organise un ensemble de « gardiens » et leur donne le pouvoir, à la majorité, de changer les clés de leur portefeuille. Les tuteurs peuvent être un mélange d’individus, d’institutions ou d’autres portefeuilles.

Si vous avez perdu votre âme, peut-être en faisant quelque chose avec laquelle la communauté n’est pas d’accord — et cela pourrait être littéralement n’importe quoi — pour récupérer les clés privées d’une âme, il faudrait qu’un membre de la majorité qualifiée de la communauté de l’âme y consente.

Les « Souldrops » [NDT Littéralement : Gouttes d’âme] sont des jetons qui peuvent être récompensés par de bons citoyens.

Et naturellement, dans un monde SoulBOUND, les citoyens peuvent aller au paradis ou en enfer, selon leur comportement.

« Tout comme l’inconvénient d’avoir un cœur est qu’un cœur peut être brisé, l’inconvénient d’avoir une âme est qu’elle peut aller en enfer et l’inconvénient d’avoir une société est que les sociétés sont souvent animées par la haine, les préjugés, la violence et la peur. L’humanité est une expérience formidable et souvent tragique. »

Buterin explique comment de grandes parties prenantes telles que BlackRock et Vanguard ont repris les banques et les plus grandes entreprises. Il parle de redonner le pouvoir au peuple. Et qui sait, peut-être dans sa vision du monde, influencée par les jeux vidéo auxquels il jouait enfant, il pense que c’est possible. Je ne retiens pas mon souffle.

[NDT Les actionnaires de BlackRock et Vanguard sont les mêmes que ceux des banques et des multinationales, dans un jeu complexe de participations croisées.]

Voici quelques-unes des entreprises que Buterin répertorie comme se bousculant pour être le meilleur chien en preuve d’humanité. Le premier est celui de Worldcoin :

Proof of Humanity

[NDT Preuve d’Humanité]

Proof of Humanity, un système combinant des réseaux de confiance, des tests de Turing inversés et la résolution des conflits pour créer une liste d’humains à l’épreuve des sybilles.

BrightID — Preuve d’unicité

L’identité est un droit humain.

Tout le monde mérite les droits fondamentaux d’accès aux biens publics.

Idéna

PREUVE DE PERSONNE BLOCKCHAIN

COORDINATION DES INDIVIDUS — devenez validateur

Circles

[NDT Cercles]

Circles est un système qui contribue à un revenu de base universel (RBU) pour ses utilisateurs.

Circles promet que tout est question de communauté et de confiance mutuelle au sein de cette communauté. Pour comprendre ce concept essentiel de confiance, il suffit de lire ce qu’il dit sur le site Internet de Circles :

Circles fournit un revenu de base dans le sens où chaque membre de confiance de notre communauté peut émettre des jetons Circles (CRC) régulièrement et de manière égale via leurs contrats intelligents, sans aucune autre condition. La valeur de ce revenu de base appartient à la communauté, qui offre des biens, des produits et des services en échange de notre monnaie complémentaire.

Circles est une question d’accords et de négociations communautaires.

Que sont les contrats intelligents de Circles ?

Les contrats intelligents sont inhérents aux technologies blockchain. Ils sont comme des chiens dressés, qui font des choses quand certaines choses pour lesquelles ils ont été dressés se produisent. Par exemple, ils reniflent de la drogue, ou aboient quand il y a un inconnu à la porte… etc.

Avec les contrats intelligents, si certaines conditions sont remplies, ces programmes exécutent une certaine action.

Dans le cas des Circles, les contrats intelligents définissent par exemple le nombre de Circles que vous obtenez lorsque vous vous inscrivez et votre montant RBU quotidien.

Dans le futur, il n’y a plus d’individualité. Il n’y a que la volonté du « cercle » qui est responsable devant la Grande Machine. Il n’y a que des contrats conclus avec l’IA et des règles sans dérogation.

Surestaries (([1] Montant que l’affréteur doit payer à l’armateur pour un retard dans le chargement ou le déchargement de marchandises. Cependant le mot prend ici une signification dérivée.)) dans les cercles — faites attention à ça !

Plus il y a de personnes qui rejoignent votre cercle, plus vous aurez de jetons, n’est-ce pas ? Pas vraiment.

Les cercles sont un type unique de revenu de base, car il n’est pas nécessairement destiné à épargner, mais à dépenser, donnant à chacun le même pouvoir d’émettre de l’argent.

Pour contrer l’augmentation constante de la masse monétaire à mesure que de plus en plus de personnes nous rejoignent, nous utilisons ce qu’on appelle des surestaries. Les surestaries signifient que l’argent a une durée de vie et qu’il se dégrade avec le temps, agissant comme une sorte de frais de stationnement ou de taxe sur la masse monétaire.

Il en résulte que votre solde net diminue et n’augmente pas par rapport au RBU.

L’objectif est d’augmenter la vitesse des dépenses, afin que vous et votre réseau soyez motivés à dépenser et à échanger des CRC contre des objets de valeur, au lieu de rester assis dessus. Cela soutient un système économique fluide et vital au lieu d’un système stagnant. C’est pourquoi il s’appelle Circles. Il est fait pour circuler. Tout comme un corps sain a besoin d’une circulation sanguine saine.

Vous serez pour toujours sur un tapis roulant sans aller nulle part. Vous ne pouvez pas « vous asseoir » sur des jetons, ce qui signifie que vous ne pouvez pas sauvegarder. Vous devez les dépenser en « choses de valeur ». Oui, il y aura des personnes innovantes et créatives avec plus de liberté pour faire des choses intéressantes, mais ce ne sera pas vous. Une fois que vous êtes bien implanté dans votre « cercle », vous n’en sortirez plus.

Tout ce qui compte, c’est de dépenser vos jetons et de maintenir la confiance au sein de votre cercle :

« En émettant votre propre revenu de base personnel, vos jetons seront différents des jetons des autres. C’est le cœur même de notre concept : le système saura et saura toujours les routes et les sources d’origine des jetons, même après de nombreux échanges. Cela vous aide à utiliser uniquement vos jetons Circles (CRC) via vos connexions de confiance et via les connexions de confiance transitives. Si vous recevez des CRC sans connexions de confiance significatives et de qualité, ou si vous avez fait confiance à de faux comptes, vos jetons CRC n’auront aucune valeur. Mais si vous faites partie d’une communauté vivante, où de vraies valeurs économiques sont disponibles, et que vous ne faites pas confiance aux faux comptes, vos jetons CRC seront très précieux. »

Comment savoir à qui faire confiance ?

« Lorsque vous choisissez de faire confiance à quelqu’un, cela signifie que vous êtes prêt à accepter sa devise comme valide. Par exemple, “Je vous fais confiance, donc j’accepte vos jetons” ou “Vous me faites confiance, donc je peux vous envoyer mes jetons”. Si quelqu’un ne vous fait pas confiance dans le système Circles, il se peut qu’il ne puisse pas accepter vos jetons Circles. »

CIRCLES EST LA VISION DU NOUVEL ORDRE MONDIAL ET ELLE PREND FORME MAINTENANT.

Imaginez si votre quartier devenait un cercle comme celui-ci, où chacun de vos mouvements est suivi, et ce n’est pas le gouvernement lui-même qui le fait. Cela aurait été le rêve de l’Allemagne de l’Est devenu réalité. Aucune poigne de fer n’est nécessaire. C’est votre voisin. C’est votre propre enfant. Et c’est couche après couche de suivi et de surveillance constants par la Grande Machine. Il n’y a pas d’issue.

Si vous ne suivez pas la règle du cercle, votre capacité à survivre au sein de la communauté vous sera retirée. Votre RBU sera limité ou supprimé. On vous refusera de la nourriture, des vêtements, un abri. Avec l’œil de Sauron partout, même à l’intérieur des maisons des gens, même en forêt ou au milieu du désert, grâce aux satellites Starlink et autres, personne ne voudra vous abriter, même s’il se plaint de votre situation. Ils ne voudront pas subir le même sort que vous.

Es-tu humain ? Si vous voulez survivre, vous devrez le prouver.

Plus les humains entraînent l’IA à être comme les humains, plus il sera difficile de faire la différence. Ajoutez à cela la façon dont les humains et l’IA sont fusionnés et vous avez une véritable crise d’identité entre vos mains.

À quel point êtes-vous humain ?

À quel moment l’humain s’arrête-t-il et la machine commence-t-elle ?

Si vous vous retrouvez dans une communauté de cercles, combien de temps s’écoulera-t-il avant que vous ne soyez plus sûr que votre voisin est humain ? Ou que vous le soyez ?

Peut-être que des dieux de la technologie comme Altman, Blania et Buterin devraient tirer une leçon de ce qui est arrivé au Dr Tyrell dans Blade Runner.

Roy Batty, un modèle de combat Nexus-6, parvient à entrer dans la maison de Tyrell en utilisant l’iris de l’un de ses employés pour passer la sécurité. Roy confronte son créateur, le Dr Tyrell, le regarde dans les yeux et demande une prolongation de sa vie. Quand il ne l’obtient pas, il creuse les yeux de Tyrell et le tue.

Le Dr Tyrell n’est pas comparable au Dieu de l’univers. C’est un simple humain, comme Sam Altman ou Vitalik Buterin, jouant à être Dieu. Dans le processus de ces géants de la technologie voulant devenir des dieux, ils pourraient bien être détruits par l’IA. Les créations mêmes qu’ils espèrent les conduiront à ce siège du pouvoir ultime.

Comme Blade Runner, il n’y a pas de fin heureuse à ce film.

Pour ceux d’entre nous qui croient au seul et unique Dieu de l’univers, il est bon de se rappeler que ce monde n’est pas notre maison. Nous n’avons aucune raison d’être liés par des possessions matérielles ou des jetons, comme ces dieux de la technologie veulent que nous soyons. Nous ne faisons que passer.

[À propos de l’auteur]

Karen Hunt [alias KH Mesek] est auteure et illustratrice de 19 livres pour enfants, de la série YA Night Angels Chronicles et du roman de science-fiction LUMINARIA : Tales of Earth & Oran, Love & Revenge, qui paraîtra en août. Elle est récemment revenue d’un séjour à Louxor, en Égypte, où elle a créé le premier club de boxe pour filles. Ayant vécu et beaucoup voyagé derrière le rideau de fer, elle consacre son temps à écrire des essais liés à la perte de liberté en Occident. Vous pouvez en savoir plus sur son travail ou vous inscrire à sa newsletter ici. Vous ne pouvez plus la suivre sur Twitter, car elle a été bannie.




Notre époque pressentie par Barjavel en 1947




Humanity 2.0 — Le Vatican au cœur du mouvement transhumaniste

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par LHK

Humanity 2.0 — Le Vatican au cœur du mouvement transhumaniste. Humanité artificielle et Code transhumain — Compilation

Père Philip Larrey, président de l’association Humanity 2.0. Cette entité créée par le pape François porte le nom du célèbre livre de Ray Kurzweil Humanity 2.0 ou The Singularity is Near est un livre de 647 pages de Raymond Kurzweil. Il s’agit d’une mise à jour de ses précédents ouvrages L’Ère des machines spirituelles (en anglais The Age of Spiritual Machines (1999) et L’Ère des machines intelligentes (en anglais The Age of Intelligent Machines). Il y décrit sa vision de la singularité technologique, à travers la combinaison de trois sciences principales : la génétique, les nanotechnologies, et la robotique (dont l’intelligence artificielle).
Théorie
Selon Kurzweil, la convergence et le développement exponentiel des nouvelles technologies conduisent à l’émergence d’un monde complètement transformé. L’homme et les réseaux technologiques s’interpénétreront et se renforceront réciproquement d’une façon qui reculera sans limites prévisibles les frontières de la vie intelligente. Il réutilise le mot « singularité », popularisé par Vernor Vinge parce que rien de ce qui était admis jusqu’alors ne demeurera valide et parce qu’en contrepartie tout ce qui était considéré comme impossible deviendra possible. Notre intelligence jusqu’alors confinée dans ses supports biologiques — le cerveau — deviendra progressivement non biologique et des milliards de fois plus puissante qu’elle n’est aujourd’hui. Dans ce monde nouveau, les distinctions entre l’humain et la machine, entre le réel et la réalité virtuelle, s’estomperont progressivement. Les personnes pourront adopter des corps différents et multiplier les versions de leurs esprits. Ce faisant, les humains pourront contrôler le vieillissement et la maladie, éliminer la pollution, résoudre les problèmes de la pauvreté et de la faim dans le monde. De plus, cette révolution immense, selon Ray Kurzweil, pourrait se produire dans les 10 à 50 prochaines années, c’est-à-dire très prochainement à l’échelle de l’histoire humaine. Wikipédia

Pape François

Humanité 2.0 : le Vatican accueille des experts pour discuter de la tendresse — 25 avril 2018

CITÉ DU VATICAN — Près de 100 financiers, philanthropes, artistes, experts en technologie, médecins, politiciens et chefs religieux ont passé plus d’une heure dans une salle de réunion du Vatican à parler de tendresse. Un projet appelé « Humanité 2.0 », soutenu par le Dicastère du Vatican pour la promotion du développement humain intégral, a conçu l’événement d’une journée du 20 avril pour lancer un processus de mise en relation de personnes aux ressources différentes, mais qui s’engagent toutes à améliorer la vie des autres.

Au cours de la réunion, les discussions sont passées du concept de tendresse à la manière dont la tendresse devient action et à une discussion en plusieurs sessions sur l’état préoccupant des soins médicaux maternels et prénatals et les moyens d’y remédier.

« Des mères en meilleure santé sont un investissement dans la santé et le bien-être de nos communautés et de notre monde », a déclaré Marie-Louise Coleiro, présidente de Malte, au rassemblement. Elle a particulièrement mis au défi les participants à Humanity 2.0 de réfléchir à des moyens concrets d’améliorer les soins holistiques — médicaux, psychologiques et spirituels — pour les femmes enceintes et les nouvelles mères migrantes ou réfugiées.

« Le défi est de traduire notre amour pour l’humanité en un véritable service à nos frères et sœurs », a déclaré le père jésuite Michael Czerny, sous-secrétaire du bureau du Vatican pour les migrants et les réfugiés. « Nous ne pouvons pas prétendre avoir ou promouvoir le “développement humain intégral” si nous laissons certaines personnes de côté. » 

https://www.catholicherald.com/article/global/pope-francis/humanity-2-0-vatican-hosts-experts-to-discuss-tenderness/

Une réunion au Vatican explore le défi de l’intelligence artificielle — 2021

Le Conseil pontifical pour la culture et l’ambassade d’Allemagne auprès du Saint-Siège organisent un symposium d’une journée à partir de jeudi sur « Le défi de l’intelligence artificielle pour la société humaine et l’idée de la personne humaine ».

Par le rédacteur de Vatican News

Le symposium sur l’intelligence artificielle — ou IA — organisé par le Conseil pontifical pour la culture, en coopération avec l’ambassade d’Allemagne près le Saint-Siège, s’ouvrira à Rome jeudi.

Le thème de la rencontre est « Le défi de l’intelligence artificielle pour la société humaine et l’idée de la personne humaine ». L’objectif de la réunion est de promouvoir une meilleure prise de conscience de l’impact culturel profond que l’IA est susceptible d’avoir sur la société humaine. Le symposium réunira six experts des domaines des neurosciences, de la philosophie, de la théologie catholique, du droit des droits de l’homme, de l’éthique et de l’électrotechnique.

Des experts de l’Allen Institute for Brain Science, de l’Université Goethe, du Boston College et de Google discuteront des questions concernant l’IA et si elle peut reproduire la conscience, l’IA et les défis philosophiques, et l’IA et la religion, et ce que cela signifierait par rapport à la doctrine catholique. (Suite sur site https://www.vaticannews.va/en/vatican-city/news/2021-10/vatican-symposium-challenge-artificial-intelligence-society.html)

Le Vatican se lance dans le métavers — Mai 2022

Le Saint-Siège l’a annoncé : il se lance dans les NFT et le métavers. Ainsi, Humanity 2.0, fondation chapeautée par le Vatican, vient de passer un accord avec Sensorium, société spécialisée dans la construction de métavers.

Cet accord a pour objectif de développer la toute première galerie VR et NFT hébergeant l’art, le contenu et les initiatives académiques du Vatican. Le projet sera supervisé par le Père Philip Larrey, doyen de la faculté de philosophie de l’université du Pape (université pontificale du Latran) au Vatican.

Nous sommes impatients de travailler avec Sensorium pour explorer les moyens de démocratiser l’art, en le rendant plus largement accessible aux personnes du monde entier, quelles que soient leurs limites socio-économiques et géographiques. Le partenariat avec Sensorium va encore plus loin dans cet objectif et nous dote des dernières solutions technologiques. Père Philip Larrey, président de Humanity 2.0

Le Vatican met un pied dans le web 3.0

Baptisé « Galaxy », le métavers doit être officiellement lancé avant fin 2022. Afin d’assurer une expérience au plus grand nombre, la plate-forme sera accessible via les interfaces les plus largement disponibles. « Les utilisateurs pourront se connecter à l’aide de casques VR pour avoir une véritable immersion, utiliser un PC pour accéder à une expérience de réalité augmentée ou télécharger l’application mobile pour regarder des flux, créer des PNJ uniques et communiquer avec eux », indique le communiqué de presse.
https://www.ladn.eu/actualite/vatican-musee-virtuelle-metavers-nft/

Advisory Board de Humanity 2.0 — humanity2-0.org

Fr. Philip Larrey
Fr. Philip Larrey, Chairman, Humanity 2.0
Maurice Levy, Chairman of the Supervisory Board, Publicis Groupe
Bill Hilf, chief Executive Officer, Vulcan (société américaine fondée en 1986 par Paul Allen à Seattle dans l’État de Washington aux États-Unis pour superviser son empire et ses investissements financiers…)
Tae Yoo
Tae Yoo, Former SVP, Corporate Affairs and Corporate Social Responsibility, Cisco
Carlo D'Asaro Biondo
Carlo D’Asaro Biondo, Former President EMEA Partnerships, Google
Jean Oelwang
Jean Oelwang, Founding CEO and President of Virgin Unite, Virgin
Jim Pitofsky
Jim Pitofsky, Managing Director, Strategic Alliances, John Templeton Foundation
Matthew Harvey Sanders
Matthew Harvey Sanders, Chief Executive Officer, Humanity 2.0

Humanity 2.0:
The transHuman Code and Artificial Humanity for a “Meeting of The Code of the Metaverse” — Vidéo

Traduire le Code transhumain

Avec l’essor constant de la technologie sur le lieu de travail, il n’est pas rare de se demander quand nous devrons commencer à faire de la place aux robots à la table du déjeuner. Et, bien que ce scénario puisse ressembler un peu à de la science-fiction, il n’est pas trop tôt pour que les entreprises éduquent leurs employés sur le monde de l’intelligence artificielle et sur la manière dont cela affectera leur avenir professionnel.

Dans leur nouveau livre, « The transHuman Code: How to Program Your Future », les co-auteurs Carlos Moreira et David Fergusson explorent la relation entre les humains et la technologie, introduisant un nouvel ensemble de valeurs qui placent les personnes au centre de cette dynamique délicate.

Steelcase a récemment organisé la sortie du nouveau livre de Moreira et Fergusson dans son WorkLife Center à New York. 360 a eu la chance de rencontrer Fergusson pour en savoir plus sur le code transHuman, comment les entreprises peuvent créer une approche technologique plus centrée sur l’humain et quelles entreprises ouvrent la voie.

360 : Commençons par les bases. Qu’est-ce que le code transHuman ?

David Fergusson : Le code transHuman souligne notre conviction que pour que les individus aient le meilleur avenir possible, nous devons transformer la relation entre les humains et la technologie. Il s’agit moins d’un algorithme formel et réglementé que d’une façon pour nous d’aborder l’adoption de la technologie.

Il existe deux piliers fondamentaux du Code transhumain. L’un veille à ce que les humains restent au centre de gravité, nous sommes donc la partie la plus importante de la relation entre l’humanité et la technologie. Deuxièmement, que nous utilisons la technologie pour faire progresser toute l’humanité.

Les opportunités pour la technologie sont plus grandes que jamais. Mais les menaces aussi. Nous devons maintenir la reconnaissance, la considération et l’application de ce que nous appelons le code.

360 : Que recommanderiez-vous aux chefs d’entreprise pour accompagner leurs employés dans la transformation numérique ?

DF : Unilever est un leader dans ce domaine. Ils ont reconnu très tôt qu’ils devaient développer une stratégie RH pour aider leur main-d’œuvre à se préparer à l’inévitable transformation. Ils ont établi un plan stratégique pour tous leurs employés basé sur trois piliers fondamentaux : capacité, aptitude, culture. La capacité témoigne de l’importance d’apprendre à travailler de manière nouvelle et différente. La capacité est axée sur l’apprentissage continu et tout au long de la vie. La culture est la responsabilité de l’organisation pour créer un environnement de travail où les gens croient qu’ils sont l’élément le plus important de l’équation.

Sachant que l’intelligence artificielle (IA) allait avoir un effet si dramatique sur la main-d’œuvre, ils ont créé un programme d’assistant personnel d’IA afin que les employés puissent en savoir plus sur l’IA — comment cela va transformer leur organisation et comment ils devraient se préparer pour l’avenir.

C’est un très bon exemple d’une organisation qui donne la priorité aux humains, les aide à comprendre et les aide à guider et à diriger ce que sera l’avenir de l’organisation et quel sera leur rôle au sein de celle-ci.

360 : Il y a beaucoup de technologies superposées sur le lieu de travail et cela change la façon dont les gens travaillent et les types d’emplois qu’ils feront à l’avenir. Comment les entreprises peuvent-elles aider les employés à s’adapter à l’évolution des technologies ?

DF : L’importance de regarder au-delà de l’environnement commercial actuel est primordiale. Les entreprises devraient tenir compte de l’impact de la technologie sur leur main-d’œuvre lorsqu’elles envisagent l’adoption de nouvelles technologies. La mise en place d’un système de filtrage qui donne la priorité aux individus — les responsables de l’entreprise sous la forme qu’elle existe aujourd’hui, doit être une priorité absolue. Et ensuite, informer ces personnes de ce que pourrait être l’avenir, leur fournir une plate-forme pour qu’elles soient formées aux rôles qui existeront au sein de l’organisation et continuer à évaluer le bien-être des employés constituent la base.

360 : Quelles réponses avez-vous eues à propos de cette idée d’incarner l’humain dans le développement du futur numérique ?

DF : Lorsque nous avons lancé cette initiative, nous avons réuni des universitaires, des chefs d’entreprise, des responsables financiers, des développeurs de technologies, etc. Un échantillon représentatif d’individus vraiment intéressant et une bonne représentation de ceux qui développent et permettent la technologie. Le consensus de ce groupe était qu’il s’agissait d’une conversation qui devait avoir lieu.

En fait, plusieurs d’entre eux poursuivaient déjà l’application de la technologie aux biens. Par exemple, ConsenSys Ventures avait formé une branche de capital-risque pour encourager et soutenir les nouveaux développements technologiques. Le premier critère dans leur processus d’évaluation des candidats était quelle que soit la nature des applications commerciales, quel que soit leur degré d’avancement, quel que soit leur niveau d’établissement ou même de flux de trésorerie positif, si cela ne créait pas plus de bien social, alors ils ne l’envisageraient pas. Quarante et un investissements plus tard, il y a 41 entreprises qui ont non seulement des aspirations et des intentions commerciales, mais aussi une technologie qui sera utilisée pour aider à créer plus de bien sous une forme ou une autre.

360 : À quoi ressemble l’avenir avec l’IA ?

DF : Les opportunités de l’intelligence artificielle sont tellement excitantes. Je crois que l’IA a vraiment le potentiel d’apporter une grande valeur. C’est certainement un risque pour les employeurs qui ne priorisent pas l’identification, la reconnaissance et la préparation à la transition de leur main-d’œuvre. Mais ce qui est le plus excitant, c’est la possibilité de rendre l’IA accessible à ceux qui ont été défavorisés géographiquement, financièrement et mentalement. Ainsi, le bien dépassera largement le mal. Il se passe tellement de choses formidables.

David Fergusson est directeur général exécutif et chef de groupe des fusions et acquisitions pour Generational Equity, LLC, coprésident de The M&A Advisor et administrateur de WISeKey International. Il a fondé le programme Corporate Finance Emerging Leaders, a été membre fondateur de la London’s Guild of Entrepreneurs, a reçu le M&A Leadership Award 2017 de la China Mergers & Acquisitions Association et est président de la section américaine de l’Asia M&A Association.


David Fergusson est directeur général exécutif et chef de groupe des fusions et acquisitions pour Generational Equity, LLC, coprésident de The M&A Advisor et administrateur de WISeKey International. Il a fondé le programme Corporate Finance Emerging Leaders, a été membre fondateur de la London’s Guild of Entrepreneurs, a reçu le M&A Leadership Award 2017 de la China Mergers & Acquisitions Association et est président de la section américaine de l’Asia M&A Association.

Source du texte :
https://www.steelcase.com/research/articles/topics/culture-talent/translating-transhuman-code/




Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert

[Source : stopworldcontrol.com/fr/ via RI]

Par David Sorensen

[Voir aussi :
Les « villes intelligentes » du Forum Économique Mondial sont des « camps de concentration ouverts »]

Une Ville Intelligente (Smart City) est un environnement urbain où les technologies de surveillance et de collecte de données sont omniprésentes et où les détails les plus intimes et personnels de chacun sont surveillés et enregistrés.

L’objectif est de tout savoir sur tout le monde : ce que vous mangez et buvez, où vous allez, ce que vous achetez, qui vous rencontrez, ce que vous pensez, ce que vous ressentez, vos opinions, vos habitudes, votre état de santé et de vaccination, etc. Chaque. Petit. Détail. Cette surveillance tous azimuts est justifiée par le fait qu’elle est censée être essentielle pour « sauver la planète » du changement climatique. Ils garantissent également que cela rendra votre vie plus connectée, plus sûre et plus saine.

Chaque aspect de la vie dans une Ville Intelligente sera surveillé par un large éventail de technologies de collecte de données :  lumières intelligentes, poteaux intelligents, voitures intelligentes, voisinages intelligents, maison intelligentes, électroménager intelligent, énergie intelligente, transport intelligent et bien d’autres technologies « intelligentes » (SMART). Ensemble, elles formeront une grille de surveillance omniprésente, collectant en permanence toutes les informations sur les moindres détails de la vie des citoyens.

Les Villes Intelligentes créent
l’Internet des Corps

internet of bodies

Ces dispositifs SMART externes sont synchronisés avec des dispositifs directement connectés au corps humain, comme les montres intelligentes à notre poignet ou les téléphones intelligents (smartphones) dans nos mains. Ces appareils sont capables de recueillir des informations sur ce qui se passe à l’intérieur de notre corps et ont même la capacité de modifier les fonctions du corps humain. Dans un avenir proche, ils seront implantés à l’intérieur du corps humain afin de collecter encore plus de données et d’avoir une plus grande influence sur ce qui se passe à l’intérieur de nous.

Les informations personnelles recueillies par ces milliards d’appareils dans le monde entier forment un réseau appelé l’internet des corps (Internet of Bodies), ou en abrégé, l’IoB. Actuellement, nous connaissons tous l’internet des objets (Internet of Things, ou IoT), qui nous permet d’accéder à des informations illimitées sur tout. L’Internet des corps sera essentiellement le même, sauf qu’il rassemblera toutes les informations personnelles et les plus intimes sur tout le monde. Ces données seront entre les mains des entreprises mondiales, des gouvernements, des impériums bancaires, etc.

Une Ville Intelligente
limite vos déplacements

smart city surveillance

Afin de s’assurer que chacun reste dans le périmètre de collecte des données, les déplacements dans les villes intelligentes seront limités à 15-20 minutes du domicile. Ce concept a donné naissance à l’expression « Villes de 15 Minutes » (“15 Minute Cities”) et est présenté comme la meilleure idée qui soit pour sauver la planète du changement climatique. Tout ce dont vous avez besoin sera disponible à une courte distance, de sorte que personne n’aura jamais besoin d’aller au-delà de ce périmètre. Pour les distances plus longues, un permis sera nécessaire.

En outre, 30 % des zones sauvages seront fermées pour encourager les gens à chercher leur bonheur dans les Villes Intelligentes au lieu de s’aventurer dans la nature majestueuse. Des réalités virtuelles sont créées pour remplacer le temps passé dans la nature. Le MetaVerse et toutes ses alternatives en sont des exemples. Encore une « merveilleuse idée pour sauver la planète » : enfermer la population mondiale dans des Villes Intelligentes, où elle « profite de la vie » dans un royaume virtuel.

Il n’y a aucune vie privée
dans une Ville Intelligente

smart city privacy

Le Forum Économique Mondial a écrit un article sur Forbes.com qui décrit l’expérience d’un citoyen à l’intérieur d’une Ville Intelligente, qui la qualifie de paradis sur terre : « Comment se fait-il que nous n’y ayons jamais pensé auparavant ? » L’une des caractéristiques sera que personne ne possédera rien. Tout sera partagé : les maisons, les voitures, les outils, les voitures et même les vêtements. À la fin de son message, le citoyen exprime une inquiétude concernant la vie dans une Ville Intelligente :

« De temps en temps, je suis contrarié par le fait que je n’ai pas de véritable vie privée. Je ne peux aller nulle part sans être enregistré. Je sais que quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J’espère seulement que personne ne l’utilisera contre moi. En fin de compte, c’est une bonne vie ».

Le système nerveux central des Villes Intelligentes sera la 5G. Selon l’ancien président chilien Sebastián Piñera, la 5G est non seulement capable de lire nos pensées, mais aussi d’insérer des pensées et des émotions dans tout le monde. Il a déclaré qu’elle deviendrait le système nerveux central de la société et a garanti qu’elle atteindrait tous les foyers du pays. Il est intéressant de noter que tous les lampadaires des Villes Intelligentes sont aussi des antennes 5G dissimulées.

Les Villes Intelligentes collectent
les données de chacun

smart city surveillance data harvesting

Pourquoi veulent-ils que tout le monde vive dans des Villes Intelligentes et quelle est leur motivation pour enregistrer chaque petit détail sur chacun d’entre nous ? La réponse est donnée par le professeur israélien Yuval Noah Harari, conseiller du Forum Économique Mondial. Il explique :

« Les nouveaux maîtres du monde seront ceux qui possèdent les données.”

La richesse d’aujourd’hui n’est plus l’or ou le pétrole. Ce sont les données. Plus une entreprise, un gouvernement ou un empire bancaire dispose de données sur la population, plus il a de pouvoir. Les Villes Intelligentes seront un moyen sans précédent d’utiliser l’humanité comme un immense troupeau de vaches à données.

Les données personnelles nous seront soutirées tout au long de la journée, et même pendant notre sommeil.

Outre la collecte d’énormes quantités de données, ces technologies permettent également des niveaux de contrôle inédits dans les civilisations précédentes. Un ancien ingénieur de la Silicon Valley, Aman Jabbi, tire la sonnette d’alarme en indiquant que les Villes Intelligentes seront en fait des camps de concentration à ciel ouvert :

« En leur fournissant vos données, vous leur donnez la possibilité de surveiller et d’évaluer votre comportement, qui peut maintenant être converti en un score de crédit social. Ce score est ensuite utilisé pour déterminer les privilèges auxquels vous avez droit et ceux auxquels vous n’avez pas droit dans la nouvelle société esclavagiste ».

Ce système de crédit social est déjà en cours de déploiement en Chine et, lors de la pandémie de 2020, de nombreux pays ont mis en œuvre les premières étapes de ce système de contrôle. Les identifiants et les monnaies numériques seront au centre de cette grille. Lorsque les gens désobéiront ou critiqueront le système, leurs dépenses seront réduites et l’accès aux aspects fondamentaux de la société sera bloqué. Encore une fois, c’est ce qui se passe déjà en Chine, qui est le terrain d’essai pour le reste du monde.

Les Villes Intelligentes vont-elles modifier le génome humain ?

Un fait inquiétant concernant les Villes Intelligentes est que tous les lampadaires sont des lampes LED (diodes électroluminescentes), qui ont la capacité de manipuler le génome humain. L’expression des gènes peut être activée ou désactivée à l’aide de lampes LED, qui peuvent également activer l’ARNm à l’intérieur du corps humain. Les études scientifiques documentant ces faits abondent en ligne.  On peut donc se demander si c’est pour cette raison que les autorités insistent pour injecter à l’ensemble de l’humanité des technologies d’ARNm pouvant être activées à l’aide de lampes LED.

[Note de Joseph :
D’après plusieurs chercheurs et laboratoires indépendants, il n’y aurait pas (ou pas que) d’ARNm dans les vaxins, mais (aussi et surtout) une nanotechnologie à base de graphène.
Voir :
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
La nanotechnologie dans les vaccins
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Nanotechnologie et « vaccins »
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de « neuromodulation » à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain]

✔︎ L’humanité entière se voit injecter de l’ARNm

✔︎ L’ARNm peut être activé par des lampes LED

✔︎ Tout le monde est entouré de lampes LED


QUE SE PASSE-T-IL DONC ?

Klaus Schwab, fondateur du Forum Économique Mondial, promeut l’édition de gènes humains. Il affirme ouvertement que cela changera ce que signifie être humain. Yuval Harari, conseiller du FÉM, va même jusqu’à affirmer que les élites financières se sépareront de l’humanité, car elles seront génétiquement modifiées pour devenir bien supérieures aux personnes normales. L’inégalité économique deviendra une inégalité biologique. Harari affirme que les élites deviendront des « Homo Deus » : des êtres divins, ou des dieux.

Si toutes ces idées n’étaient pas promues dans le monde entier par des personnes et des groupes tels que Bill Gates, Barak Obama, CNN, Facebook, les Nations Unies, le Forum Économique Mondial et d’innombrables autres organes des élites, nous pourrions certainement penser qu’il s’agit du scénario d’un film de science-fiction !  Mais il s’agit d’une réalité horrible qui est poussée à une échelle énorme. Lors d’un récent sommet des gouvernements mondiaux à Dubaï, Klaus Schwab a déclaré que ces développements n’étaient plus à venir, mais qu’ils étaient en cours d’élaboration dès maintenant. Ses mots exacts étaient les suivants :

« Ils arriveront comme un tsunami ».

Et en effet, c’est en train d’être déployé à toute vitesse. À Rio de Janeiro, par exemple, 450 000 lampadaires sont en train d’être remplacés par des lampes LED équipées de la 5G. Le graphique ci-dessous montre comment les grandes villes d’Amérique latine se transforment en Villes Intelligentes.

smart cities latin america

Il en va de même à Londres, à Paris et dans toutes les autres grandes villes du monde. Des millions et des millions de lampadaires LED 5G sont placés tous les quelques mètres dans chaque rue de chaque ville. Bill Gates a même investi dans la construction d’une nouvelle Ville Intelligente en Arizona qui peut accueillir 80 000 personnes, le tout centré autour de centres de données massifs.

Destruction de 3 000 fermes
pour une méga Ville Intelligente

Aux Pays-Bas, le gouvernement a récemment annoncé la destruction de 3 000 fermes afin de faire de la place pour une monstrueuse Ville Intelligente appelée TriState City Network (réseau de villes sur trois états), qui accueillera 40 millions de personnes de Belgique, d’Allemagne et des Pays-Bas. Leur « logique » pour s’emparer des terres et détruire les animaux de 3 000 fermes est qu’elles « émettent trop de CO2 », ce qui « détruit la planète ». Et pourtant, remplacer les verts pâturages par une monstrueuse ville intelligente est bon pour l’environnement ! Actuellement, la majeure partie des Pays-Bas est constituée d’une belle campagne avec de verts pâturages, des moulins à vent, des ruisseaux et des fermes historiques. C’est une région unique au monde, vraiment belle et chargée d’histoire.

Le gouvernement veut transformer toute cette belle campagne en une immense ville intelligente appelée Holland City.

En Australie, le gouvernement a adopté une loi qui permet aux habitants des zones rurales d’être déplacés de force vers des Villes Intelligentes lorsque leur région a été contaminée par des toxines dangereuses. Le déraillement d’un train dans l’Ohio nous a montré à quel point il est facile de contaminer une vaste zone. S’agit-il d’un précédent ? Avec l’organisation de quelques accidents de train, des millions de personnes pourraient être déplacées des zones rurales vers des villes intelligentes.

L’humanité doit se réveiller

L‘aspect malveillant de cet agenda est indescriptible. Mais ce qui est encore pire, c’est le refus persistant du public de reconnaître quelque chose qui menace son existence même. Ils s’obstinent à garder les yeux fermés, ne s’intéressant qu’aux divertissements superficiels. Ils restent muets et aveugles à tout prix, car « l’ignorance est un bonheur ».

Si nous restons dans cet état flagrant de bêtise, nous sombrerons dans le cauchemar le plus horrible que ce monde ait jamais connu.

S’il est un moment dans l’histoire du monde où il faut ouvrir les yeux, c’est bien aujourd’hui. Nous n’avons plus le luxe de nous cacher la tête dans le sable. Il ne s’agit pas d’une théorie du complot, car cette technologie est déployée dans le monde entier à une vitesse insondable. Sous le couvert de la pandémie, des millions de tours 5G ont été érigées dans tous les pays du monde. Des lampes LED sont installées partout. Tous les vaccins sont désormais prêts à être de type ARNm, même si Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, a été enregistré lors d’une réunion de zoom avec son personnel, disant que les vaccins ARNm modifient effectivement l’ADN et l’ARN humains, et que les partisans n’ont aucune idée des autres mutations ou risques qui peuvent exister à long terme.

Le programme des élites est de garantir des injections régulières avec la technologie de l’ARNm pour l’ensemble de la population mondiale jusqu’à la fin de notre vie. C’est pourquoi le statut vaccinal sera lié à nos monnaies numériques et à notre identité numérique. Manquer une injection pourrait bloquer l’accès à la société et aux services bancaires.

Que pouvons-nous faire
pour arrêter cette folie ?

Existe-t-il un moyen de mettre fin à cette folie ?  Oui. D’abord et avant tout, nous devons informer les membres de nos communautés. La seule raison pour laquelle les tyrans sont capables de faire cela, c’est l’ignorance des masses. Les gens n’ont pas la moindre idée de ce qui les attend. Ils acceptent sans broncher tout ce qui les oriente vers ce cauchemar dystopique. Il est de notre devoir de les informer par tous les moyens possibles.

Nous vous invitons à diffuser largement cet article. Envoyez-le à vos contacts par email, publiez-le sur les réseaux sociaux et envoyez-le aux autorités locales de votre communauté. Diffusez-le largement.

Nous sommes les 99 %, les tyrans ne sont que les 1 %. Mais le problème est que la plupart d’entre nous ne font rien. La majorité refuse même de voir ce qu’elle a sous le nez. Ils ont les aiguilles dans les bras, les téléphones intelligents dans les mains, les lumières LED dans les rues, les compteurs intelligents dans les maisons, la technologie intelligente dans les voitures… et ils continuent à dire que « tout cela n’est qu’une théorie du complot ». La folie de ce refus de voir la réalité n’est rien de moins qu’une véritable psychose.

Nous devons ouvrir les yeux.  Pas demain, mais AUJOURD’HUI.

Consultez notre guide « 10 Façons d’Arrêter le Nouvel Ordre Mondial » où vous trouverez un aperçu des mesures pratiques que nous pouvons tous prendre pour protéger nos vies et notre avenir.

Ce n’est pas le moment de rester les bras croisés. Nous devons nous lever et agir. Merci d’utiliser les boutons ci-dessous pour partager cet article et aider à réveiller les gens autant que possible.




Sortir la France du Nouvel Ordre Mondial

[Source : profession-gendarme.com]

Par Virginie Dornier

Dossier de présentation

[Illustration : Land Art « LIBERTE » — Franck Bonneau — Land Art & Co]

Ce Dossier est la présentation de l’ensemble du travail d’enquête réparti sur 7 Tomes où chacun d’entre eux vise à mettre en lumière la gouvernance de la franc-maçonnerie exercée insidieusement par l’ensemble des présidents de la Ve République (Constitution, Lois, symboles nationaux…). Il donne également diverses représentations anatomiques du cartel du Nouvel Ordre Mondial en se basant sur de nombreuses déclinaisons allant des mythes les plus connus à des organismes biologiques et parasitaires tels que le Mérule ou le Blob. Ce dernier, dont les diverses recherches scientifiques, l’engouement médiatique qui en fait la promotion notamment auprès du jeune public (vente libre) couplé avec les différentes données liées aux conséquences des injections nous interpellent.

[Note de Joseph : on connaît d’autant mieux un individu que l’on plonge dans son univers. Celui des élites mondialistes est largement imprégné d’occultisme et d’ésotérisme (kabbale, hermétisme, gnose, alchimie, astrologie, cartomancie, géomancie, divination, numérologie, symbolisme, sorcellerie, thaumaturgie, etc.]

Article 2

Version en vigueur depuis le 05 août 1995
Modifié par Loi constitutionnelle n° 95-880 du 4 août 1995 — art. 8

La langue de la République est le français.
L’emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge.
L’hymne national est la « Marseillaise ».
La devise de la République est « Liberté, Égalité, Fraternité ».
Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple

Il est certains esprits dont les sombres pensées
Sont d’un nuage épais toujours embarrassées ;
Avant donc que d’écrire apprenez à penser.
Selon que notre idée est plus ou moins obscure,
L’expression la suit, ou moins nette, ou plus pure.
Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Surtout, qu’en vos écrits la langue révérée
Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée.
En vain vous me frappez d’un son mélodieux,
Si le terme est impropre, ou le tour vicieux ;
Mon esprit n’admet pour un pompeux barbarisme,
Ni d’un vers ampoulé l’orgueilleux solécisme.
Sans la langue, en un mot, l’auteur le plus divin
Est toujours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain.
Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse,
Et ne vous piquez point d’une folle vitesse ;
Un style si rapide, et qui court en rimant,
Marque moins trop d’esprit, que peu de jugement.
J’aime mieux un ruisseau qui sur la molle arène
Dans un pré plein de fleurs lentement se promène,
Qu’un torrent débordé qui, d’un cours orageux,
Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
Hâtez-vous lentement ; et, sans perdre courage,
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage :
Polissez-le sans cesse et le repolissez ;
Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.
C’est peu qu’en un ouvrage où les fautes fourmillent,
Des traits d’esprit semés de temps en temps pétillent.
Il faut que chaque chose y soit mise en son lieu ;
Que le début, la fin répondent au milieu
Que d’un art délicat les pièces assorties
N’y forment qu’un seul tout de diverses parties ;
Que jamais du sujet le discours s’écartant
N’aille chercher trop loin quelque mot éclatant.
Craignez-vous pour vos vers la censure publique ?
Soyez-vous à vous-même un sévère critique.
L’ignorance toujours est prête à s’admirer.
Faites-vous des amis prompts à vous censurer ;
Qu’ils soient de vos écrits les confidents sincères,
Et de tous vos défauts les zélés adversaires.
Dépouillez devant eux l’arrogance d’auteur ;
Mais sachez de l’ami discerner le flatteur :
Tel vous semble applaudir, qui vous raille et vous joue.
Aimez qu’on vous conseille et non pas qu’on vous loue.
Un flatteur aussitôt cherche à se récrier :
Chaque vers qu’il entend le fait extasier.
Tout est charmant, divin : aucun mot ne le blesse ;
Il trépigne de joie, il pleure de tendresse ;
Il vous comble partout d’éloges fastueux : impétueux.
La vérité n’a point cet air
Un sage ami, toujours rigoureux, inflexible,
Sur vos fautes jamais ne vous laisse paisible :
Il ne pardonne point les endroits négligés,
Il renvoie en leur lieu les vers mal arrangés,
Il réprime des mots l’ambitieuse emphase ;
Ici le sens le choque, et plus loin c’est la phrase.
Votre construction semble un peu s’obscurcir ;
Ce terme est équivoque, il le faut éclaircir.
C’est ainsi que vous parle un ami véritable.

Boileau, Art poétique, Chant I, v. 147-207

SOMMAIRE

  • NOTE AUX LECTEURS
  • REMERCIEMENTS
  • AVERTISSEMENT AUX DÉTRACTEURS
  • GUIDE POUR ABORDER L’ENSEMBLE DU DOSSIER

    • AVANT-PROPOS
    • COMMENT S’ARTICULE LE DOSSIER

      • Dossier de Présentation
      • Dossier 1
      • Dossier 2
      • Dossier 3
      • Dossier 4
      • Dossier 5
      • Dossier 6
      • Dossier 7
      • Dossier « annexes »

    • Les références
    • Bibliographie

  • MIEUX CONNAÎTRE SON ADVERSAIRE

    • INTRODUCTION
    • QUELQUES REPÈRES
    • LE NOUVEL ORDRE MONDIAL, LEUR ATTRAIT POUR LA NUMÉROLOGIE
    • LE NOUVEL ORDRE MONDIAL ET LEURS DIFFÉRENTES RÉFÉRENCES

  • L’ANATOMIE DU N.OM : DU LÉVIATHAN À LA BÊTE DE L’APOCALYPSE (VISION

    • INTERNATIONALE)
    • LE N.OM : LÉVIATHAN OU BÊTE DE L’APOCALYPSE
    • LE N.OM : UN SYSTÈME « FLUIDE »
    • LE N.OM : MONSTRE À 7 TÊTES

      • a) Les 7 Merveilles du Monde du N.OM
      • b) L’alliance : 7 Nouvelles Merveilles du monde moderne

    • LE N.OM : MONSTRE À 10 CORNES

      • a) Les 10 empires économiques mondiaux
      • b) Les 10 secteurs économiques mondiaux
      • c) Les diadèmes ou couronnes

    • CONCLUSION

  • SPÉCIFICITÉ FRANÇAISE : DE LA TARASQUE GASCONNE À LA PROSTITUÉE BIBLIQUE (LA VE RÉPUBLIQUE)

    • INTRODUCTION

      • a) La boîte de Pandore
      • b) La « fille » du Léviathan ou la Tarasque gasconne
      • c) La prostituée biblique : la France sur le trottoir depuis 1958

  • LE NOM SELON LE PRINCIPE BIOLOGIQUE DE LA SERPULA LACRYMANS (MÉRULE) ET DU BLOB

    • QUELQUES INFORMATIONS SUR LA SERPULA LACRYMANS OU MÉRULES

      • a) Phase 1 : « infestation exogène »
      • b) Phase 2 : « cycle de réplication » ou clonage du N.O.M selon le principe de la Mérule
      • c) Phase3 : Expansion du NOM selon exogène du NO.OM selon le principe de la Mérule

    • LE BLOB

      • a) Sommaire du Vikidia
      • b) Définition
      • c) Reproduction et cycle de vie
      • d) Sommaire du Vikidia

    • CONCLUSION
    • SYNTHÈSE

Note aux lecteurs

Vous venez de recevoir « Les dossiers » en version papier, par clé USB ou en dématérialisée. Avant toute chose, il est important de vous en expliquer la Genèse et son articulation puisque nous avons choisi de ne pas traiter le sujet crise sanitaire et le mandat actuel directement.

Pour bien comprendre la démarche, il faut expliquer qui nous sommes, pourquoi nous avons mis du temps à rédiger nos dossiers qui n’ont absolument rien à voir avec ce que nous avions envisagé initialement.

Nous sommes deux anciens salariés de l’industrie pharmaceutique. Me concernant, j’ai travaillé 17 ans dans le secteur du médicament. J’ai eu la chance de commencer ma carrière — avant l’an 2000, détail important — comme administrative au siège de ce qui était le premier groupe français de prestation de services. « Etait », puisque le consortium a fait les frais du système mondialiste et a littéralement « servi d’exemple » à l’ensemble des prestataires du secteur. Justement au moment où en coulisses les pouvoirs publics, les laboratoires, mais surtout le système dit globaliste et mondialiste mettaient en place l’ensemble des paramètres pour nous amener à la situation sanitaire et accessoirement politique actuelle. Tout ce qui est relatif au secteur de la Santé est traité dans le dossier conjoint.

Sur les conseils de ma hiérarchie et de mon mari, j’ai obtenu le Diplôme Universitaire de Visiteur Médical après un passage à la faculté de Pharmacie de Châtenay-Malabry. J’ai poursuivi ma carrière tant que déléguée médicale ville, d’abord prestataire multi produits (c’est-à-dire que dans mon portefeuille produits pour le compte de plusieurs laboratoires) puis j’ai fini par être intégrée dans un laboratoire français. Ce qui m’a valu une fin de carrière brutale et compliquée puisque j’ai directement fait les frais de la franc-maçonnerie. Je n’en dirai pas plus, à une exception près : mon expérience m’aidera tout au long de mon enquête. J’ai également une certification propre aux métiers de la recherche clinique qui m’aurait permis d’exercer le métier d’attachée de recherche clinique.

Bien que sortie du circuit depuis 2011, j’ai toujours gardé un œil sur le secteur. Partagée entre l’envie de « reprendre la sacoche » et la route pour exercer mon métier, tel que ma première entreprise le véhiculait (avec éthique et déontologie), et la défiance à l’encontre d’un milieu en totale mutation spécifiquement depuis les années 2000. Finalement, je n’ai pas réintégré l’industrie pharmaceutique, pour diverses raisons. Cependant j’ai toujours maintenu un intérêt certain pour ce secteur en continuant à me tenir informée et parfois même en envisageant un retour sur le terrain.

Depuis mars 2020, je n’ai jamais autant renoué avec la pharmacie ; mais pour la dénoncer. Quant à mon mari, il est de nous deux le plus expérimenté, et de très loin un exemple que j’aurai aimé suivre si ma carrière n’avait pas été empêchée.

Ce que je peux en dire d’un point de vue professionnel : 30 ans d’expérience en santé, trois ans d’études en médecine puis la rencontre avec l’industrie pharmaceutique. Une carrière exclusivement dédiée à l’information médicale. Ancien cadre sénior terrain pour un block Buster de l’industrie. Un homme pour qui l’éthique, la déontologie, la médecine faisaient sens. Un professionnel respecté par nos homologues et en qui les prescripteurs généralistes et spécialistes plaçaient leur confiance puisqu’il « parlait le même langage » : le patient avant tout.

Un homme qui a su se remettre en question et quitter le secteur du médicament pour le matériel médical et a eu le courage de faire valoir son droit de retrait dans son entreprise en refusant de se plier au dictat de l’état (pass et injection). Alerter sa hiérarchie en interne lui a valu la perte de son emploi. Il est de nous deux le plus expérimenté, un exemple que j’aurai aimé suivre si ma carrière n’avait pas été empêchée. Aucun regret, assurément.

Nous avons décidé de dédier nos compétences, nos connaissances du secteur de l’industrie pharmaceutique « de l’intérieur » et une bonne partie de notre temps pour dénoncer l’infamie que nous subissons sans exception.

Pour ma part, cela fait bientôt 24 mois. Étant désormais thérapeute en auto entreprise, autant dire que j’ai totalement remisé mon activité, y compris les emplois d’appoint que j’ai exercé le temps de remplir mon agenda.

L’ironie est bien entendu que les ¾ de nos proches sont parmi les plus radicaux. Masques, gel hydroalcoolique, poly injectés et injecteurs. Dialogue impossible, même — voir surtout — chez les soignants en exercice ou retraités qui ont perdu pied qu’ils soient de notre famille, ou d’anciens prescripteurs avec lesquels nous avons travaillé et qui pour certains étaient devenus nos amis.

Forts de ce constat, nous avons alors décidé d’enquêter et d’alerter avec une approche différente. Je me suis centrée sur ma commune et mon département. Recueillant les données de la préfecture, de l’ARS, communiquant sur les réseaux sociaux et surtout en allant directement confronter les représentants de l’état, en l’occurrence la mairie.

J’ai fini par porter plainte de façon nominative contre la maire de ma commune et certains adjoints ainsi que la police municipale. Plainte enregistrée et validée en trois semaines par le tribunal d’instance puisque mes arguments sont factuels.et locaux. Ayant déjà eu recours à la justice lorsque j’ai porté plainte contre mon dernier employeur, et compte tenu des éléments que j’ai mis à disposition du juge, c’est donc en qualité de Lanceuse d’alerte conformément à la Loi n° 2016-1691 du 09/12/2016 dite Sapin 2 ainsi que la Directive (EU) 2019/1937 du Parlement Européen et du Conseil du 23/10/2019 ma plainte a été enregistrée et que cela est mentionné dans le cadre des auditions avec la gendarmerie. Je vous donnerai plus de détails dans une partie du dossier.

Mais ce qui nous a motivés à enquêter et est à l’origine de cette compilation d’éléments à charge, ce sont les enfants. Et plus particulièrement le fait qu’il y ait eu une translation de nos compétences professionnelles dans le milieu scolaire. Translation non seulement de nos compétences auprès d’un public mineur qui deviennent des prospecteurs auprès de

leur famille et entourage, mais également incitation à l’exercice de la formation médicale qui est destinée aux adultes enseignants et encadrants. La formation médicale étant du ressort de professionnels laboratoires (médecins ou pharmaciens par exemple) qui forment les équipes terrain. Le tout validé par l’ensemble des acteurs concernés : ministères, les entreprises du médicament (LEEM) qui auraient dû réagir et empêcher cela.

Ce fut le point de non-retour pour nous, et nous sommes partis en quête d’informations complémentaires à toutes celles déjà conséquentes réunies par l’ensemble des alerteurs, connus ou non. Professionnels de la santé ou non, avec une audience ou non.

Notre unique volonté, apporter une nouvelle approche, un autre « angle d’attaque » qui permettra de créer des passerelles entre toutes les informations déjà partagées.

Remerciements

Je remercie chaleureusement les personnes qui nous ont soutenus. Franck Bonneau, qui nous a généreusement autorisés à utiliser l’une de ses créations pour illustrer les dossiers. Un grand merci à Mariannick et son fils Frédéric qui font partie de notre famille depuis 9 ans désormais ainsi qu’à ma belle-mère qui a toujours cru en nous. Merci à Lucie, Marie-Lou, Laurent, Sissi et tant d’autres qui nous ont encouragés pendant des semaines qui se sont transformées en mois.

Je remercie également, et vous comprendrez pourquoi dans la partie « Reine Blanche de l’échiquier », les gendarmes de ma commune ainsi que le Juge du Tribunal d’Instance qui a validé ma plainte à l’encontre de l’équipe municipale et la police municipale.

Nous remercions et saluons grandement l’ensemble des alerteurs qui ont su créer un élan de Résistance. Par leur engagement, leur ingéniosité, leur générosité, ces hommes et ces femmes nous ont maintenus hors de l’eau et continuent de le faire. Ils ont fait un travail colossal qui vous a apporté les éléments factuels sur la situation actuelle. J’ai eu le privilège d’échanger avec certains d’entre eux, et je salue leur courage, car pour ma part je n’aurai jamais pu. Je pense notamment à toutes les chaînes résistantes.

À titre personnel, je remercie — contre attente — toutes les personnes de mon entourage (famille, amis, collègues) qui à l’inverse nous auront tournés le dos parfois de façon extrêmement violente, tant dans les mots que dans les actes. Ainsi « dégagée » de tout affect, j’ai pu me concentrer exclusivement à l’enquête et la rédaction de ce dossier, puisque je le rappelle ici les ¾ de nos proches suivent la narrative et sont poly injectés. C’est là que « majeurs et vaccinés » prend hélas tout son sens… Nous sommes parents.

Enfin, j’ai une pensée particulière pour le Professeur Luc Montagnier et tous ceux qui nous ont quittés parfois prématurément (y compris parmi nos collègues à l’international).

Avertissement aux détracteurs

Dans ces travaux je vais aborder des sujets tabous, notamment la religion au sens large et pas seulement. Si d’aventure quelques « esprits » mal tournés avaient pour velléité de nous accoler des étiquettes telles que : racistes, antisémites, antimusulmans, antichrétiens, antihomo ou tout autre non-arguments, je préfère les prévenir :

• Pour les esprits mal tournés qui imagineraient que les trois hexagones qui ponctuent l’ensemble des dossiers soient en lien avec les sociétés hermétiques de type franc-maçonnique et que par conséquent je serai une opposante contrôlée : j’ai simplement choisi l’hexagone pour rappeler la forme de la France. Il ne s’agit en aucun cas d’une référence de près ou de loin avec les « 3 points » maçonniques avec lesquels j’ai eu maille à partir.

• « Racisme » : non recevable. Notre famille est Black-Blanc-Beur (Noirs, Blancs, métis, quarterons).

• « Antireligieux (juifs, chrétiens, musulmans…) » : non recevable. Notre famille est pluricultuelle : juifs, catholiques, musulmans, témoins de Jéhova, Bouddhistes, Athées… Et la plupart de nos amis médecins sont juifs. L’antisémitisme est non compatible avec le métier que nous exercions et les secteurs que nous prospections. CQFD. En revanche, toutes les informations liées aux religions sont argumentées et illustrées.

• « Homophobes ou apparentés » : non recevable, toujours pour les mêmes raisons.

• « Anti médecin/pharmacien » : non recevable pour toujours les mêmes raisons. Premièrement, des « blouses blanches » dans notre famille il y en a… beaucoup (en activité ou retraités) des aides-soignants aux médecins spécialistes. Deuxièmement, ni mon mari ni moi ne « crachons dans la soupe ». Nous défendons la pratique de la médecine et la pharmacie propre contre le système mérulaire.

Dans notre famille, jamais une croyance religieuse, la couleur de peau, ni même les « couleurs » politiques ou le statut social n’ont été des problèmes. Et si toutefois nous sommes en désaccord avec certains proches (famille, amis, ex-collègues) ce n’est pas pour ces « non arguments », mais bel et bien pour et à cause de « la crise sanitaire » qui aura emporté dans une psychose généralisée certains proches.

Quoi que me concernant, je le reconnais, être praticienne en hypnose et médium de surcroît, et ne pas avoir réintégré l’industrie pharmaceutique ou un schéma professionnel normatif en a dérangé quelques-uns parmi ces mêmes proches aujourd’hui poly injectés. Ajoutez à cela le fait qu’avec Jean-Pierre, mon binôme de mari, nous soyons Lanceurs d’alerte… C’est leur problème, pas le nôtre.

La vérité est non négociable. L’incorruptibilité aussi. Nous avons été formés au respect de l’éthique et de la déontologie, nous entendons bien continuer ainsi. Notre seul objectif : que nos travaux, nous le souhaitons de tout cœur, apportent des points d’appui pour les professionnels du droit, des gardiens de la paix, des enseignants, des professionnels de la Santé, des politiques non corrompus et à vous tous… y compris ceux qui sont encore dans le déni.

GUIDE POUR ABORDER L’ENSEMBLE DU DOSSIER

Avant-propos

Ce dossier dans son ensemble a pour but d’apporter un autre regard sur la situation que nous subissons. Il est le fruit de nombreuses recherches et enquêtes transversales puisqu’il n’aborde pas directement la crise sanitaire ni même le quinquennat qui s’achève.

L’objectif était de trouver des arguments et des « faisceaux d’indices » mettant en lumière l’orchestration de l’ensemble des acteurs et spécifiquement ceux de la Ve République pour dilapider la France et créer un terreau propice à la mise en place d’une gouvernance mondiale scientiste. Débusquer des informations complémentaires qui pourraient aider non seulement les personnes conscientes de la prise de pouvoir tyrannique, mais aussi, et peut être même surtout les personnes qui refusent tout dialogue concernant l’actualité.

L’élaboration du dossier n’a pas été chose facile dans le sens où nous avons dû à maintes reprises en repenser le fond et surtout la forme. Il fallait trouver une articulation logique pour ordonner l’ensemble des informations que nous avons recueillies et, autant faire se peut, aborder les événements actuels d’une manière différente et cohérente.

À mesure que nos recherches progressaient, il a fallu nous adapter d’autant plus que sont abordés des sujets peu connus, voir totalement abstraits pour nombre de personnes et même tabous. Considérez chaque partie qui constitue l’ensemble de nos travaux comme des pièces d’un puzzle. Affirmer que la franc-maçonnerie et apparentés sont les réels dirigeants de la France est une chose. Trouver les faisceaux d’indices pour le démontrer en est une autre. Toutes nos investigations n’ont visé qu’à démontrer cela et pour ce faire, rien de mieux que de partir de leurs croyances, symbolisme et culte.

Comment s’articule le Dossier ?

Il s’agit d’un Dossier « à tiroirs ». D’un côté, vous avez le fruit des enquêtes menées par mon mari : « Santé Publique, Bien commun, nanomédecine ; La servitude érigée en raison d’état ». Son travail est exclusivement basé sur la Santé. Il a exhumé des Avis, des textes, des lois, une chronologie et mis en lumière l’ensemble du système mafieux où Politique et laboratoires pharmaceutiques œuvrent de concert pour mettre en place le Nouvel Ordre Mondial. Si l’approche plus vaste mettant en évidence les pratiques occultes de la franc-maçonnerie et autres sociétés hermétiques, rites sacrificiels politiques ne vous est pas familière, je vous encourage vivement à commencer par cet opus.

De mon côté, je me suis concentrée sur le système parasitaire de type Serpula Lacrymans — ou mérule — pour cerner initialement « l’Organisation » et l’orchestration de la crise sanitaire. La plus grande difficulté a été de trouver un titre pour le dossier. Nous l’avions intitulé ce « Projet FFMOS » pour Fédération Française Métropolitaine et Outremer Souveraine. Somme toute, nous n’étions pas convaincus et surtout nous ne voulions pas être confondus avec d’autres mouvements plus politisés alors que notre objectif est tout sauf de cet ordre.

Et puis, au fil de nos enquêtes, ce qui est ressorti c’est la perte ou plutôt le vol et l’inversion de valeurs communes à tous et toutes quel que soit l’époque où le lieu de vie. Depuis nos plus lointains ancêtres jusqu’à notre époque et pour les siècles à venir sur tous les continents. Des valeurs qui devraient être non négociables que sont la Dignité, l’Équité, l’Universalité et la Solidarité. Il s’avère que l’acronyme donne DéUS.

Après, FFMOS « trop politisé » et DéUS « trop religieux », ou « sortir de la matrice » trop filmographie ; j’ai opté pour les valeurs. Après tout, le camp d’en face utilise et nous fait utiliser à mauvais escient les mots Liberté, Égalité, Fraternité ; nous faisant croire en des principes et valeurs humainement recevables alors qu’il n’en est rien.

Je ne pensais pas que ce dossier serait aussi vaste et conséquent. À maintes reprises j’ai dû en modifier son « squelette », pour finalement aboutir à la version finale. Notez que, vous aurez beaucoup de sujets divers voir de prime abord « non congruents ». J’ai dû chercher un maximum de faits, de faisceaux d’indices qui attestent de la mainmise des sociétés occultes sur notre pays depuis des décennies et même des siècles.

Mon approche est donc pluridisciplinaire. Je m’appuie avant toute chose sur « leurs croyances, leurs rites » en cherchant des preuves matérielles qui attestent de la véracité de l’enquête. C’est triste à admettre, mais nous sommes immergés dans un système occulte. L’affirmer est une chose, le démontrer c’est indispensable, je le répète, mais c’est indispensable. C’est la raison pour laquelle j’ai tenu à apporter un maximum d’illustrations (schémas, photos, dates, références politiques, historiques, religieuses et évidemment des éléments scientifiques puisque nous avons par recoupement défini une chronologie pour les années à venir).

Ont été traduit et décrypté un nombre conséquent de textes : des passages de la Bible, des discours et allocutions de politiques, des peintures maçonniques et autres symboles. J’ai dû également étudier de près certaines lois (loi 1901 et loi 1905) et bien sûr notre Constitution. Mais pas que.

Ce dossier a pour vocation de vous démontrer que c’est l’ensemble des politiques de la Ve République qui est à dénoncer ; pas uniquement « cette présidence ». Si des plus anciens il ne reste plus grand monde, nous avons encore suffisamment d’acteurs majeurs en exercice ou sortis du circuit pour les traduire en justice. En réalité, vous le constaterez c’est bien plus vaste, cependant il me fallait faire des choix.

Ne soyez pas étonnés si je n’aborde que très peu le Sarscov2 ou la « crise sanitaire ». Mon enquête étant axée sur ce qui a mené notre situation actuelle, je ne traite de ce sujet — y compris le gouvernement actuel — que sur la base d’un système plus vaste.

Ne soyez pas non plus offusqués si je dénonce l’ensemble des religions en m’appuyant sur des comparaisons factuelles comme notamment « le Nouvel Ordre du Monde » de la Genèse versus le « Nouvel Ordre Mondial » actuel puisqu’en réalité les élites n’en sont pas à leur premier coup d’essai.

Tout étant intriqué, la difficulté a été pour moi de donner une couleur, un thème spécifique à chaque partie du dossier, le challenge étant d’aborder le modus operandi des sociétés hermétiques en restant centrée sur le factuel, le démontrable et ainsi éviter de ne définir que l’aspect rituel, l’occultisme qui pour nombre de personnes s’apparente à des fantasmes.

Ainsi, chaque chapitre — devenu dossier à part entière — aborde un sujet particulier. Ils sont autonomes et peuvent se lire indépendamment. Cependant, il existe une certaine logique dans l’organisation et la mise en place des informations. Logique résumée en pages suivantes.

Dossier de présentation :

Celui que vous avez entre les mains vous donne la physionomie, l’anatomie du « Nouvel Ordre Mondial 2 .0 ». Il ne s’agit pas ici de reprendre les études faites et partagées par des experts, mais de vous présenter les mondialistes sous un prisme différent.

Si historiquement, il est coutumier de les comparer à une pieuvre, je me suis vite rendu compte que cela n’était pas exactement le reflet de la réalité. Trop restrictif. Et surtout, la « base 8 » n’est pas suffisamment et directement présente pour être significative et le reflet de la réalité. Néanmoins, cette base 8 existe et est non négligeable (les octets en informatique en sont un exemple) et vous verrez dans le déroulé du dossier ce qui se cache derrière ce chiffre « concrètement ».

J’ai donc été amenée à rapprocher le système mondialiste d’organismes vivants bien différents d’octopussy. Une fois que l’on connaît le système parasitaire comparable, il est plus facile ensuite d’aborder son mécanisme d’action.

Parallèlement, conformément au fil rouge décrit précédemment, je me suis penchée sur des analogies plus mythiques, voir mystiques et religieux et qui reprennent les rituels et le culte commun à l’ensemble des mondialistes.

Dossier 1 :

Aborde le système parasitaire ou mérulaire franco-français. Pour ce faire, j’ai défini les contours historiques et politiques en axant sur le système félon et spécifiquement en montrant le mécanisme « unicellulaire » de la Ve République. Dans ce dossier je tire des liens entre le rôle de chaque président de notre République actuelle, et chaque phase du mérule.

Mais, j’y développe également des similitudes avec un passage biblique : l’Apocalypse de Jean, non pas de façon théologique, mais clairement géopolitique. C’est troublant et pertinent. L’ensemble des gouvernements qui se sont succédé depuis Pompidou jusqu’à nos jours sera remis en exergue afin de commencer à démontrer « le système mondialiste » et la préparation minutieuse de l’ensemble des présidences pour démanteler notre pays.

Dossier 2 :

Une fois le cycle du mérule intégré, j’ai pris le pli de placer la chronologie des événements marquants en France et à l’international selon un principe de comptage des mondialistes (francs-maçons et apparentés). Il s’agit d’un découpage en 7 ans. Ces 7 années étant elles-mêmes scindées en 2 phases. Ce dossier est répétitif dans la présentation, puisque je le débute le 1er janvier 2000 jusqu’au 31 décembre 2021. Cependant, il a le mérite de rafraîchir la mémoire et de m’avoir permis d’y incorporer des informations « à charge », toujours en lien avec les sociétés hermétiques de type franc-maçonnique : des liens avec les attentats en France et à l’étranger, les implications réelles des politiques français dans les actes terroristes notamment l’intrication avec le Mali bien d’autres informations somme toutes que nous avons choisi pour mettre en avant les rites maçonniques couverts par des événements officiels tels que des inaugurations ; mais qui sont en réalité des actes cultuels et des mystifications à la vue de tous.

Dossier 3 :

Dans la continuité des dossiers précédents, sont amenés des éléments et informations complémentaires qui devraient donner des sueurs froides aux mondialistes français « tout corps d’état ». Parmi les éléments, par exemple, je vous donne des informations qui attestent du fait que le Consortium République Française a été cédé à l’OMS en mars 2020 et est devenue un Dominion de l’Organisation Mondiale de la Santé. Que le VRP première classe n’est nul autre que Jean Yves le Drian qui en échange de ses bons et loyaux services à obtenu le fief Bretagne. Mais aussi que la gestion de la crise sanitaire a été calquée sur le « Plan France Ebola » commandé par Emmanuel Walls à Jean-François Delfraissy en 2014, alors qu’il existe un autre plan d’action visant à prendre en charge des épidémies de type coronavirus ou d’autres catastrophes sorti la même année. D’autres informations « à charge » sont présentes dans ce dossier, comme le rôle des « immortels », à savoir l’Académie de la Morale et de la Politique et bien d’autres choses encore. Je mettrai en lumière ces autres « acteurs » — bien discrets — qui ont largement contribués à la mise en place d’un régime autoritaire de type Dominat Romain, cette Académie de la morale et de la politique » qui a travaillé durant l’année 2020, à la demande d’Emmanuel Macron, sur un seul thème : « le pouvoir ». Enfin je vous donnerai également des pistes pour identifier, trouver et apporter des éléments à charges.

Il s’agit ici de la partie la plus chronologique quant à la mise en place de la politique d’Emmanuel Macron, version coulisses. Celle qui devrait donner des pistes de recherches complémentaires pour les professionnels du droit, mais aussi les acteurs politiques qui s’opposent au « gouvernement de façade » actuel et à toutes personnes qui ont besoin d’arguments tangibles pour démontrer l’orchestration des décisions.

Je vous donnerai et partagerai également d’autres informations concrètes et retours d’expériences sur le terrain comme, par exemple, le fait que ma plainte auprès du tribunal d’instance n’ait pas été déboutée.

Dossier 4 :

Il traite de l’un des idéaux maçonniques : la ruche et le système pyramidal qui en découle et réciproquement. Dans ce dossier je vous apporte des éléments de compréhension sur le principe de l’Eusocialité (mode sociétal des insectes de type hyménoptère comme les abeilles, les fourmis et a fortiori les « guêpes maçonnes »). Pour mener à bien cette partie, j’ai dû remonter plus loin dans notre Histoire, au siècle des Lumières, puis revenir à notre actualité et le modelage social ou sociétal auquel depuis des siècles les francs-maçons se sont attelés pour préparer le Nouvel Ordre Mondial.

Dossier 5 :

En écho aux propos tenus par Emmanuel Macron, ce dossier ou chapitre aborde le Système Jupitérien. Cette partie est complexe. Y sont abordées des informations mythologiques et mythiques, historiques, et politiques (entre autres). Et vous verrez que la Loi 1905 de séparation de l’église et du pouvoir politique a largement été remaniée, y compris depuis l’investiture d’Emmanuel Macron.

Dossier 6 :

Ce chapitre quant à lui est centré sur la parèdre (jumelle et épouse) de Jupiter selon la mythologie grecque. Le thème est simple : rechercher les symboles cachés francs-maçons et significations réelles de nos emblèmes nationaux. Sujet passionnant puisque je décrypte le Grand Sceau de France, l’hymne national — entre autres — mais depuis les coulisses. Et l’envers de décors et révoltant.

Dossier 7 :

Il s’agit essentiellement de mettre en avant la signification de certains symboles franc-maçonniques et/ou religieux. Mais aussi de donner des informations vérifiables évidemment sur certaines réalités telles que : ce qui se cache dans les textes dits sacrés.

Je préfère vous avertir, dans ce dernier dossier, très conséquent tant sur les thèmes que les nombres d’éléments traités, j’y aborde des sujets difficiles. À la fois par le biais des liens philosophiques, religieux, scientifiques.

Je vous décrypte en partie seulement la réalité de certaines peintures maçonniques, le sens des piliers Boaz et Jaquin (mais pas la version édulcorée et rabatteuse en vue de se faire une virginité et recruter des apprentis), j’y ajoute même des perspectives scientistes sur l’une des volontés cachées des injections biochimiques avec bien entendu des démonstrations.

Dossier « annexes » :

Nous avons complété nos enquêtes avec un dossier annexe. Étant donné le nombre de ressources que nous avons eu à traiter, vous apporter des éléments autrement qu’en citant les références nous a semblé opportun. En effet, il faut comprendre que par références nous parlons de plusieurs centaines, de diverses natures et sous divers formats.

Les références

Vous constaterez que les dossiers sont riches d’illustrations. J’ai opté pour ce format pour appuyer les informations que partagés. Elles sont de natures très variées (photos, schémas, tableaux…), mais permettent une meilleure compréhension, surtout lorsque des sujets touchant au symbolisme, à l’ésotérisme (ou occultisme) des mondialistes sont mis en avant.

Cela explique le volume de l’ensemble de l’enquête.

Il y a également de nombreux apartés étymologiques puisque l’une des « armes » de manipulation massive utilisées par les mondialistes est justement l’écart-type entre leur manière de communiquer et l’appauvrissement de connaissances en vocabulaire de plus en plus généralisé. Vous constaterez qu’ils manipulent les mots avec autant d’aisance que des chercheurs les tubes à essai.

Quant aux références — proprement dites — il m’a été compliqué de les inscrire de façon académique et conventionnelle. Comme c’est le cas pour le Dossier conjoint. La plupart figurent en fin de pages, mais il faut bien comprendre que pour un seul sujet donné, il a été nécessaire de chercher parfois sur diverses ressources, divers articles de journaux (français et étrangers).

Prenons l’exemple de la Constitution de la Ve République : pour l’aborder, il aura fallu travailler sur la version initiale de 1958, en faire une analyse point à point (article/alinéa), en traduire la signification « au réel » dans le contexte de l’époque tant sur l’intrinsèque (la France géopolitique avec ses territoires et ses colonies) que sur l’extrinsèque (relations internationales). D’emblée il en ressort de VRAIES ANOMALIES.

Ensuite, comme pour les lois, chaque articulation du squelette de la Constitution a été prise individuellement pour comparer les modifications (ajout/retrait) par alinéa, en prenant soin d’en préciser le contexte politique (quel président, quel gouvernement, et que penser des modifications).

Conjointement, on a pris en compte des attributs importants qui représentent la France comme le grand Sceau de France et les remarques faites par des spécialistes tels que le Président des Sceaux (à ne pas confondre avec le Garde des Sceaux), là encore : ANOMALIE.

Sans compter les comparaisons entre les différentes autres Constitutions qui ont précédé, et les différentes ressources ayant permis de comprendre le scénario écrit de toute pièce par le cartel français maçonnique.

On peut dès lors comprendre qu’inscrire l’ensemble des ressources en références a été matériellement impossible, autant mettre l’ensemble de la toile, livres d’histoire, archives INA et vos bibliothèques communales. Multiplié par l’intégralité des sujets abordés, bien entendu.

Cependant, ajouter une bibliographie permet de donner du corps, c’est la raison pour laquelle elle a été inscrite ici dans le déroulé du « Tome 0 » puisqu’elle est commune a tous les dossiers. La liste n’est qu’indicative, comme pour le reste des ressources sur lequel on a travaillé.

Bibliographie

• « Trésors d’Égypte. Les merveilles du Musée égyptien du Caire » (sous la direction de Francesco Tiradritti, photographies de Araldo de Luca. Édition Gründ).

• « La vie quotidienne de Mayas et des Aztèques » (Eric Taladoire. Édition Hachette).

• « Secret maçonnique ou vérité catholique » (Serge Abad-Gallardo. Édition Artège).

• « Traité de la couleur thérapie pratique » (Pierre Van Obberghen. Guy Trédaniel éditeur).

• « Mayas, Incas, Aztèques… L’histoire des empires précolombiens. Les dernières découvertes » (Géohistoire — hors-série).

• « Créatures et autres monstres… Une histoire des peurs ancestrales » (Toutes les mythologies/ n° 7 Sept.Oct.Nov. 2021).

• « De la démocratie en Amérique. Tome II, partie IV » (Toqueville.Edition Flammarion).

• « La Bible de Jérusalem » (Édition Cerf)

• « La République » (Platon. Edition Garnier Flammarion).

• « Le Banquet » (Platon. Edition Garnier Flammarion).

• « Discours de la méthode » (Descartes. Edition Garnier Flammarion)

• « De la démocratie en Amérique Tome II » (Tocqueville. Edition Garnier Flammarion).

• L’ensemble des Constitutions depuis la Révolution française,

• Loi 1901

• Loi 1905 de séparation de l’église et de l’état.

• Le Livre Blanc de la Sécurité intérieure et son annexe (Préfacés par Gérard Darmanin).

• Dossier Ebola France (Commandé par Manuel Walls à Jean-François Delfraissy).

• Dispositif ORSAN.

• Atlas 2000 (Édition Nathan, 1990 versus 2021)

• 20 ans d’archives professionnelles (comme la revue spécialisée « Visite actuelle », les cours de faculté de pharmacie),

• « Anat, Physio, Bio » (Arne Schäffler, Sabine Schmidt. Édition Maloine).

• « Visiteur médical, un vrai métier » (Karen Weic-Ennedam. Édition Heures de France)

• « Le métier de médecin » (Georges Tchobroutsky et Oliver Wong. Édition PUF/ collection Que sais-je ?)

• « L’industrie pharmaceutique » (Jean-Paul Juès. Édition PUF/ collection Que sais-je ?)

Divers ouvrages en apiculture, des références en égyptologie (newsletter Academia.EU), en histoire gréco-romaine, en mythologies diverses, en symbolisme, en pharmacie et médecine également, en peinture, sculpture, ainsi que de nombreuses ressources étrangères et les ouvrages traitant d’occultisme et de franc-maçonnerie….

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne lecture.

MIEUX CONNAÎTRE SON ADVERSAIRE

Introduction

Dans ce chapitre, l’objectif est de définir le Nouvel Ordre mondial, mais avec une approche quelque peu différente de ce qui est couramment partagé et fait consensus. Reprendre les travaux expliquant le rôle des Khazars, de la City du Londres, du Vatican ou autres sujets d’actualité n’auraient eu aucune pertinence. Ici, il s’agit de donner une anatomie à ce système, en quelque sorte.

De plus en plus de personnes sont conscientes des influences de la franc-maçonnerie, des mondialistes, des Global Goals ou tout autre groupe tel que les nazis. Les noms associés à ces « influenceurs » sont connus internationalement, qu’ils soient en lien avec le monde des finances, de la politique, de la religion, de l’industrie ou du divertissement. Mais il fallait, pour donner un canevas au dossier, décrire une anatomie compatible avec le mode de fonctionnement de l’ensemble des différents corpus.

Le challenge a été de rapprocher l’ensemble des éléments et de trouver un ou des équivalents pouvant correspondre. Et comme expliqué en présentation, la pieuvre est par trop restrictive. Il aura fallu comprendre que ce que nous appelons aujourd’hui le Nouvel Ordre Mondial est un système polymorphe décrit depuis des millénaires, de façon mythique, mystique, historique et politique sur tous les continents et dans toutes les cultures.

Ce qui suit n’est qu’un aperçu de ce que peut être cette entité en commençant par une vision mythique-religieuse puisqu’il s’agit du Léviathan, pour établir des analogies plus concrètes et proches de nous dans la mesure où l’on fera des parallèles avec des organismes de type parasite.

Quelques repères

Pour commencer, il est important de rattacher les mondialistes à leur calendrier. Si les dossiers ont commencé à être rédigés et les informations compilées à partir du mois d’octobre 2021 ; pour les francs-maçons et affiliés, nous étions en 6021.

Ce décalage de 4000 ans atteste du fait que ce mouvement est bien antérieur aux dates officielles de création des loges maçonniques. Le fait est qu’il ne portait pas le même nom tout en ayant le même mode opératoire. Le fonctionnement des mondialistes contemporains étant identique à leurs prédécesseurs (c’est la seule chose immuable les concernant), pour définir des « planches anatomiques » les dépeignant, il aura fallu remonter dans le temps.

Il existe un nombre conséquent de calendriers, qu’ils soient solaires, lunaires, semi-lunaire, chaque civilisation a créé son outil de calcul des cycles du temps pour des raisons diverses et variées. Sur le même principe de l’astronomie : sur deux critères majeurs, le premier absolument « terrestre » ou exotérique et le second étant ésotérique et donc « céleste ».

Pour les premiers, il s’agissait de prévoir les cycles strictement liés à la nature pour des raisons pragmatiques et tangibles visant à ce que l’humanité devenant de plus en plus sédentaire et agricole puisse anticiper les semences et récoltes. C’est de façon schématisée le principe de l’almanach.

Les seconds quant à eux, sont destinés à des pratiques plus ésotériques. Par ésotérisme, il ne faut pas entendre « pratiques occultes », bien que pour les mondialistes ce soit l’essence de leurs rituels et cultes. Ici, il s’agit des connexions avec ce qui s’apparente à l’intangible de la façon la plus large possible. Dans ce cas, ce comptage calendaire s’apparente plus à de l’astronomie ou de l’astrologie et fait appel à des mythes et croyances propres à chaque civilisation.

Dans certaines contrées plusieurs calendriers cohabitaient comme par exemple, chez les méso-américains, comme les Aztèques et les May as. En effet, ils utilisaient deux « échelles de temps » ou calendriers. L’un rituel et religieux (le calendrier Tzolk’in est basé sur un cycle de 13 × 20 = 260 jours à caractère divinatoire et religieux du calendrier maya) et le second, civil généralement appelé « cycle long » en opposition au cycle court et au calendrier cosmique (solaire et vénusien).

Le fonctionnement concomitant de plusieurs « temporalité » est finalement le schéma qui est le nôtre : le calendrier des initiés, celui des francs-maçons par exemple et celui des sociétés civiles. Concernant les francs-maçons, leurs calendriers au nombre de 4 sont basés sur la création du monde dite symbolique ou « Anno Lucis » (traduit par le maçon en « Année de la Lumière ») à différencier de l’Anno Mundi (traduit par « année du monde »). Une année franc-maçonne Anno Lucis début le 1er mars1. On trouve l’Anno Ordinis en soustrayant 1118 de la date actuelle.

L’Anno Ordinis est utilisé par les Chevaliers Templiers du Rite d’York. Le dernier calendrier étant Anno Inventionis : l’année de la découverte directement liée au Roi Salomon. Le calendrier maçonnique utilisé par l’Arche Royale (qui regroupe les degrés 4 à 7 du Rite d’York) date de l’année où Zorobabel a fait construire le second temple de Jérusalem, en 530 avant notre ère. On trouve donc l’Anno Inventionis en ajoutant 530 ans à la date actuelle.

Le fait qu’il soit dit que les francs-maçons soient lucifériens provient très probablement de l’Anno Lucis.

Par principe, tout ce qui est partagé par les mondialistes — d’où qu’ils viennent — n’est pas à prendre au pied de la lettre. Ainsi, la version officielle accessible de tous justifiant le choix d’ajouter 4000 ans à notre calendrier civil et internationalement reconnu n’est pas satisfaisante.

Il faut chercher d’autres motivations, et voici une hypothèse qui peut tout à fait expliquer le chiffre « rond » des 4000 ans et le 1er Mars comme premier jour de l’année maçonnique. Il ne faut pas oublier que les mondialistes ont pour obligation de toujours communiquer sur leurs projets et actions, et toutes les informations sont présentes dans leur communication. Seule « coquetterie », si le fond doit être présent ; la forme est libre.

  • Si l’on part du principe qu’Anno Lucis ne veut pas dire « année de la lumière », mais « Année Lumière », dans ce cas les francs-maçons font référence à une distance astronomique et absolument pas symbolique comme ils s’entendent à le faire savoir. Il se trouve que de plus en plus régulièrement dans le milieu des astronomes, des découvertes sont faites justement à l’échelle des 4000 années-lumière.2
  • Il y a d’abord une exoplanète diamantine baptisée « 55 Cancri e »,3 car située dans l’ère du Cancer. Son nom commun est Janssen, comme le laboratoire. Il existe différentes versions concernant cette exoplanète dotée d’une sœur jumelle Galileo. Cependant, les points de convergence avec le calendrier franc-maçon sont suffisamment présents pour vous le mentionner.
  • Ensuite, depuis ces dernières années et plus particulièrement ces derniers mois, le milieu de l’astronomie communique de plus en plus souvent sur les phénomènes provenant de cette distance (pas nécessairement en lien avec la planète Janssen). Il s’agit ici de « pulsation radio »4.
  • En cherchant de façon plus large, il s’est avéré que le site de vente par correspondance « Ali express » avait comme thème justement « 4000 années-lumière »5. Ce détail pourrait sembler insignifiant ou totalement décalé. Dans ce cas, il est bon de rappeler quelques points sur Jack Ma qui fut PDG de cette entreprise. En 2001, Jack Ma6 a été nommé « Young Global Leader » par le World Economic Forum. Il a reçu la distinction de « Chevalier de la Légion d’Honneur en 2016 (remis par Laurent Fabius7). Notez que le Journal du Dimanche indiquait dans son article que Jack Ma avait également rencontré le « ministre le plus en vue du gouvernement » de l’époque : Emmanuel Macron. Fait intéressant : la disparition du PDG chinois plusieurs en 2020 (en pleine turpitude covidienne) et son retrait du monde des affaires officialisé par vidéo en 2021.
  • Retour en arrière : à cette époque en mai 2016, il est toujours ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique. Emmanuel Macron lance samedi 28 mai une « grande marche » des adhérents de son propre mouvement politique, « En marche ! » créé le 6 avril à Amiens (Somme)8 (7). Aujourd’hui, Emmanuel Macron est président de la République, Laurent Fabius9 est Président du Conseil constitutionnel français, en fonction depuis le 8 mars 2016 (8) et accessoirement l’un de ses fils, Victor Fabius10, est directeur associé du Cabinet Mc Kinsey. Notez tout de même que sur la biographie du fils il est notifié qu’il est « Membre du pôle d’activité Consommation et Distribution de McKinsey, Victor Fabius est le chef de file en France du pôle de compétences Marketing et Ventes. »(9)
  • Autre indicateur à prendre en compte : le premier jour de l’année maçonnique, soit le 1er Mars. Il faut relier ce mois au dieu Mars11 du panthéon romain (10). Dans la mythologie romaine, Mars est le dieu des guerriers, de la jeunesse et de la violence, dieu de première importance dans la Rome antique en tant que père de Romulus et Rémus, fondateur et protecteur de la cité. Associé à deux autres Dieux majeurs comme Jupiter (Dieu du ciel et de la terre) et secondaire (Quirinus communément définit comme le Dieu des hommes). Ce dernier sera par la suite assimilé à Romulus l’un des jumeaux.
  • Nous avons donc pour le calendrier maçonnique le mois de mars faisant référence au dieu guerrier appartenant à la triade précapitoline, terme qui dans sa version contemporaine fait entre autres écho à des organisations criminelles (Triade de Hong Kong), mais aussi d’un point de vue strictement religieux à la Trinité et d’un point de vue géométrique au triangle. Et en l’occurrence, le triangle est l’un des symboles les plus connus de cette organisation.
    La triade capitoline formée par Jupiter-Junon (sa parèdre et jumelle) et Minerve sera détaillée ultérieurement.
  • À noter que, pour appuyer le fait que deux calendriers coexistent à notre époque sur les modèles méso-américains (l’un cultuel, le second civil), le premier jour de l’année en janvier aux temps antiques romains correspond à la vie politique de type républicaine : plus précisément au début d’exercice et nomination des magistrats. En ce temps-là, il n’était pas question de Saint-Sylvestre — fête romaine visant à chasser les mauvais esprits — ou de fête religieuse honorant le Pape Sylvestre 1er.

Il va de soi, que l’ajout de 4000 ans, un chiffre rond, a contrario du calendrier juif qui régit l’anno mundi largement expliqué par les francs-maçons eux-mêmes. Ici, n’ont été apportées que des remarques permettant d’élargir la compréhension du mécanisme des loges. Elles sont la résultante de recherches se voulant justement en dehors des sentiers battus ou consensuelles.

Cependant, l’ouverture sur des sujets connexes aura permis de trouver un nombre incalculable d’éléments congruents qui seront étayés tout au long des 7 dossiers ou tomes résumant l’ensemble des recherches.

Après une prise en main qui d’emblée montre que le monde vit sur des temporalités différentes — un monde à deux vitesses et plus — il est temps de décrire ce nouvel ordre mondial selon différents modèles ou facettes. Par commodité, l’acronyme NOM sera utilisé.

Le Nouvel Ordre Mondial, leur attrait pour la numérologie

Faire le lien entre le NOM et le symbolisme des chiffres est un passage obligé. Dès lors que l’on intègre que tous — sans exception — sont initiés aux pratiques occultes au sens le plus large qui nous soit donné de connaître. Par « sens le plus large », il faut entendre les diverses sources de connaissances et savoirs des pratiques occultes.

Là encore, il ne fait plus aucun doute qu’au fil des siècles les apports cultuels et rituels distribués sur l’ensemble des continents ont abouti à ce que l’on pourrait résumer en un patchwork d’influence… ou la « mondialisation occulte » qui n’est pas non plus exclusivement destinée à être pratiquée dans les bas-fonds des loges ou autres temples voués à leurs « divinités »

Si le chiffre 666 est celui qui est le plus médiatisé de part et d’autre de l’échiquier, le constat fait par nos enquêtes a mis à jour l’importance d’un autre chiffre, qu’il soit pris en solo ou démultiplié.

Comme énoncé précédemment, la difficulté que j’ai rencontrée pour cerner « la physionomie » du Nouvel Ordre Mondial est de ne pas rester campée sur les seules informations qui circulent, à juste titre — sur les points d’accroche des « 1 % ». Puisque nous sommes dans un monde dual, ou polarisé à la manière d’une simple pile.

Ainsi, le rôle ou la polarité du chiffre 7 n’a pas la même signification si l’on est le joueur d’échecs aux pièces blanches ou l’adversaire.

Pour les biologistes ou experts de la faune ou la flore, le 7 est présent dans de nombreux domaines : le cycle de vie ou les 7 « métiers » des insectes comme les abeilles ou guêpes qui sera repris dans un dossier dédié pour décrypter l’idéal sociétal maçonnique. La gamétogénèse ou le cycle des cellules reproductives (ovulation répartie par cycle de 7 jours), également analysés par analogie avec le mythe de la Caverne de Platon dans le dossier 7… Justement.

Pour les praticiens en numérologie, cartomancie ou toute autre approche spirituelles/ésotérique « positive », la symbolique est abordée selon un seul prisme qui confère un sens lui aussi bénéfique et divin.

Pour les croyants (juifs ou chrétiens par exemple), il leur est enseigné que le 7 est le chiffre de la perfection divine. Les références dans les textes sacrés sont pléthores.12 Le 7e jour, les 7 péchés capitaux, les 7 cavaliers de l’Apocalypse, les 7 orifices de la tête…

Certaines de ces références en lien avec les textes dits sacrés seront — elles aussi — abordées sous un prisme, un regard totalement différent, dès ce dossier puisque nous rapprocherons le nouvel ordre mondial avec le monstre mythique et ou mystique le Léviathan. Quant aux 7 cavaliers de l’Apocalypse, démonstrations à l’appui, ils seront mis en relation avec chaque président de la Ve République française.

Prenons deux exemples bien concrets à la fois anatomiques et chromatiques qui sont également présents dans les religions monothéistes actuelles ainsi que dans les cultures notamment au Congo13 :

  • Les 7 orifices de la tête
  • Les 7 couleurs dites de l’arc-en-ciel.

Nous démontrerons qu’à l’instar d’une médaille, le chiffre 7 a son avers (de polarité positive) et son revers (ce qui nous est caché ou nous formate et induit en erreur). Il ne faut pas oublier que l’objet de ce chapitre est de définir les raisons qui poussent les mondialistes à accorder une importance particulière à ce chiffre 7. Rien que leur attrait doit susciter une interrogation de type « qu’est-ce que cela cache ? »

• Les 7 orifices de la tête :

2 yeux, 2 oreilles, 2 narines, 1 bouche. Rien de plus basique. Sauf que, si les six premiers orifices fonctionnent par paires et n’ont qu’une fonction rattachée à un sens pour faire simple. La bouche quant à elle est bien plus complexe dans son fonctionnement. Il est vrai que les narines servent à la respiration (inspire, expire et à l’olfaction) cependant les fonctions sont très proches et liées.

Alors que la bouche sert à s’abreuver et s’alimenter, à parler, également à respirer dès lors que le nez ne peut plus jouer son rôle. Jusque-là rien de nouveau. Pourtant, la bouche est le seul orifice qui voit chacune de ses fonctions doublées en quelque sorte ou polarisées.
Ainsi, pour l’alimentation liquide et solide : soit on ingère, soit on vomit.
Pour les paroles : même principe, soit on parle avec bienveillance, soit on s’exprime avec malveillance.
De la même manière, soit on embrasse, soit on mord.

Il est clair qu’ici les points abordés seront indicatifs. Il ne s’agit pas de détailler ou de faire une thèse sur le sujet. Mais cela permet d’aborder la signification du 7 d’une manière moins partiale. Ici, le 7e orifice de la tête (ou cap pour reprendre un terme désuet) voit donc chacune de ses fonctions multipliées par deux et il est certes plus agréable de recevoir des mots doux plutôt que du vomi.

• Les 7 couleurs dites de l’arc-en-ciel :

Ici aussi, nous sommes face à concept « faux ami ». S’il est courant de lire que le prisme chromatique est composé de 6 couleurs distinctes — les trois couleurs primaires alternées avec les secondaires — parler de 7 couleurs est un raccourci à plus d’un égard.
Première erreur : ne pas prendre en considération le fait qu’il existe deux types de couleurs. La couleur lumière et la couleur objet14. L’immatériel et le matériel. L’intangible et le tangible.

Ainsi, dire que le blanc est une couleur est faux. C’est la résultante du mélange des 6 couleurs contenues dans l’arc-en-ciel et perceptibles par nous. D’autres espèces ne distinguant pas les mêmes prismes chromatiques que l’humain.
Dire que les 6 couleurs précitées donnent la couleur blanche est partiellement vrai, et donc partiellement faux. C’est le cas si l’on considère « la couleur lumière », mais il est bien de le spécifier.
Ce n’est pas le cas si l’on évoque « la couleur objet ». Généralement, on est plus proche du noir que du blanc lorsque l’on mélange les gouaches.

Si l’on reprend le sujet « chiffre 7 ». Par la démonstration très schématique des couleurs, on voit que pour un même sujet — le mélange des teintes — le résultat obtenu diffère en fonction de la source : immatériel d’un côté et matériel de l’autre. Blanc versus noir. Le principe de la polarité ou du damier de l’échiquier a fortiori maçonnique.
D’où l’importance de véritablement remonter à la source ou du moins de s’en approcher et de veiller à ce que les termes de l’énoncé soient impartiaux en quelque sorte et le plus exhaustif possible.

Le schéma suivant donne une vision du processus. Bien qu’il s’agisse ici de mélange de couleur à partir de même source, ce qu’il est intéressant de noter c’est l’aspect « addictif ou soustractif ». Par extension cela nous ramène à la symbolique du 7 selon les mondialistes. Rappelez-vous que l’objectif est de borner le système de ces derniers en donnant des arguments synthétiques justement.

Une chose est certaine, c’est que sur toute la planète le 7 suscite bien des interrogations et des croyances. À la fois craint et vénéré. Il suffit de regarder sur internet pour se rendre compte de l’envergure des informations relatives à ce chiffre.

Voici la « version officielle » maçonnique extraite du site en référence 17.

• Les francs-maçons et le chiffre 715 16 17

Voici ce que les maçons présentent à propos du symbolisme du chiffre 7 :

Le Sept

L’origine du sept remonte aux sept fonctions de Dieu émanées dans tout l’univers. Le sept le plus connu est celui des jours de la Genèse.

En Franc-Maçonnerie, il correspond au chandelier à sept branches avec l’ordre d’allumage des bougies :

Il représente ainsi la transmutation de l’homme qui part du cœur (soleil).

Cette idée est souvent retrouvée dans la théosophie chrétienne notamment dans la lignée de Jacob Boehme. Par exemple, dans la théosophia practica nous trouvons l’image suivante :

Sur cette image on constate que le feu central immergé dans le cœur de l’homme est entouré d’un serpent qui ferme et empêche la propagation de la lumière. Une fois cet obstacle franchi le feu va pouvoir se propager dans tout le corps par sept centres qui sont eux-mêmes à déboucher.

• Les 7 devoirs des francs-maçons18

  1. Combattre pour la liberté absolue de conscience
  2. N’imposer aucun livre sacré en loge
  3. Accepter le dialogue sur tous les sujets
  4. Placer le Bien de l’humain en référence de la morale
  5. Œuvrer au progrès de l’humanité
  6. Soutenir la laïcité
  7. Défendre la République

Remarque :

Si l’on considère ce chiffre 7 exclusivement selon la version altérée ou négative propre aux sociétés secrètes ou hermétiques ou simplement l’occultisme voici ce qui ressort :

Concernant le 7e devoir des FM. Il faut comprendre que République ne signifie pas Démocratie. En réalité, c’est tout le contraire, dans le sens où le modèle auquel se réfèrent les francs-maçons — et apparentés — relève du modèle antique romain fondé sur l’esclavage généralisé. Ce sujet sera détaillé dans les dossiers suivants.

La Laïcité, autre hypocrisie maçonnique. Comment une organisation qui se réfère à des cultes aux origines multiples peut-elle « soutenir la laïcité » ? De plus en décryptant la loi 1905 de séparation de l’église et de la politique, vous constaterez que la France est littéralement sous la coupe des hermétiques mondialistes.

Quant aux autres « devoirs », ils sont à mettre sur le même registre.

Tout au long des 7 dossiers — à prendre comme un pied de nez à l’égard des mondialistes — seront mis en avant les liens avec le chiffre 7. Que ce soit sur les années clés, le mois de juillet, les jours ou tout autre événement ou support.

L’intérêt porté à ce « numéro magique » nous a été soufflé en quelque sorte en écoutant un discours de Christine Lagarde tenu le 15 janvier 2014 à Washington DC au « the National Press Club ».

Dans son intervention Christine Lagarde, alors Directrice générale du Fonds monétaire international, ne s’est pas contentée de rappeler l’importance des calendriers maçonniques « anno mundis » et « anno Lucis » (dès 1 minute 40 dans les vidéos accessibles sur YouTube). Elle a littéralement donné un cours de numérologie à l’ensemble des personnes présentes ainsi que toutes celles qui regarderaient des retransmissions. Elle a décrit ce chiffre comme « magique », et donne des méthodes de calcul numérologique comme « la compression » ; c’est-à-dire réduire les numéros de telle sorte que l’on obtienne un chiffre compris entre 1 et 9.

• 12345 : 1 +2 +3 +4 +5 = 15, 15= 1 +5= 6. 6 est le résultat numérologique compressé.

Ensuite, Christine Lagarde explique que le zéro n’existe pas en numérologie en s’appuyant sur un exemple concret :

• 2014. Il ne faut tenir compte que des 2, 1 et 4 qu’elle additionne pour obtenir 7. Parenthèse, le zéro ayant été apporté par les érudits arabes, il est probable que cette pratique ésotérique soit antérieure à la création dudit zéro.

S’ensuit une succession de « dates anniversaires » qu’elle corrobore avec la numérologie.

Il faut reconnaître que cette information nous a été d’une grande aide dans nos recherches, à commencer par le tri et la priorité que l’on devait accorder à l’ensemble de nos archives, sur le choix des années à étudier, les mois de juillet, les jours 7, 14, 21, 28 entre autres puisque cela peut tout aussi bien concerner des distances, des références de tout type.

Par exemple le célébrissime James Bond, agent 007. En faisant des recherches sur le patronyme Bååt19 pour les besoins de nos enquêtes. Il se trouve que l’un des noms de famille dérivés est Bond(e). Ajoutez à cela le 007, vous obtenez des informations qui prises individuellement semblent peu importantes, mais qui mises dans un ensemble donnent un canevas plus que pertinent.

Plus proche de nous et bien moins fictif : le 14 juillet. Le jour de la fête nationale est incontestablement une date maçonnique. Le mode de calcul est quelque peu différent. Ainsi, il ne faut pas additionner les chiffres comme précédemment, mais raisonner en multiple de 7.

  • 14 donne 2X7 et mieux encore 7 +7
  • 07 donne 7.

La résultante est que le 14 juillet correspond à une suite de trois 7 ou 777

Là encore ce n’est pas à mettre sous le tapis. En effet, tout comme le 666 a une signification particulière, il en est de même pour 777.

Cette suite entre dans le giron de la Kabbale20 (Les Qliphoth — en hébreu, תופילק, parfois orthographié Klipoth ou qelipoth — qui signifient « écorces » ou « coquilles » se réfèrent aux forces du mal ou aux impuretés de la matière dans le cadre de la Création) et la kabbale hermétique21 « 777 et autres écrits kabbalistiques » d’Aleister Crowley est une collection d’articles écrits par Aleister Crowley. Il a été édité et présenté par le Dr Israel Regardie.

Ce qui ressort des articles mis en référence, c’est le côté pratique démoniaque et hermétisme lié à certains chiffres bien particuliers. Et si l’on reprend la citation d’Albert Camus, selon cette lecture, on comprend alors pourquoi le « XXIe doit être spirituel ou ne sera pas. »

• XXI donnant 21, soit 3X7 ou 777…. Comme l’année 2021 qui double la mise en quelque sorte.

Par hermétisme, il faut bien sûr faire le lien avec le lien avec Hermès le Dieu Grec des voleurs, du commerce et de la négociation)2223. La fourberie, le mensonge font également partie des qualificatifs de ce dieu, pourtant « messager des Dieux ».

Si l’on considère que les mondialistes se prennent pour des individus supérieurs ; dans ce cas les médias sont la transposition d’Hermès. On comprend mieux le mensonge. L’hermétisme définit également le secret. Enfin, et ce n’est pas des moindres, l’un des attributs de ce dieu (hormis le casque ailé d’Astérix) est un caducée.

Ce caducée est différent de celui d’Asklépios (ou Esculape)24. Asklépios25 étant l’ancêtre des médecins Asclépiades, une dynastie exerçant à Cos et Cnide, dont Hippocrate est le plus illustre membre.

Avec la crise sanitaire et l’apparition des « médecins de plateaux » accompagnés de chroniqueurs et autres « messagers des dieux », nous assistons à l’émergence d’un troisième caducée. Un hybride pourvu non pas d’un ou de deux serpents, mais plutôt de trois.

L’une des armes utilisées par les mondialistes depuis des millénaires c’est la programmation mentale, et désormais lorsque les termes « spiritualités » ou « spirituel » sont utilisés, ils suscitent des réactions antagonistes : le côté totalement perché, n’ayons pas peur des mots, et le rejet justement lié à l’image galvaudée ou véhiculée par manque de connaissance. Or la spiritualité n’a rien de tout cela.

Pour ne pas induire d’erreur d’appréciation, en lieu et place de la spiritualité ; pour celles et ceux qui se sont pas à l’aise avec ce mot et en méconnaissent le sens, il est conseillé de changer le terme par « esprit ou mental » voire « réflexion » ou « pensée ».

Si l’on reprend la citation d’Albert Camus et que l’on en change le mot clé, cela donne une approche plus proche de notre réalité et du langage courant. Dire que le XXIe Siècle sera celui de la réflexion ou ne sera vue notre actualité prend tout son sens puisque nous sommes véritablement confrontés à une « guerre » de schémas de pensées où la réflexion, ou son absence, détermine au quotidien les choix de tout à chacun.

Puisque le nouvel ordre mondial agit contre l’ensemble du vivant, humanité incluse depuis ce que l’on va appeler la nuit « de leur temps », soit au moins 6021 années ; tout ce qui est à notre disposition en matière de ressources historiques, mythologiques, religieuses… peut et doit servir à trouver des indicateurs ou indices pouvant les mettre devant des faits avérés.

Par exemple, que ce soit le XXIe Siècle — qui n’en est pas encore à son premier quart — qui connaisse de tels mouvements, de tels chaos, n’est pas un hasard. Dès lors que toute l’histoire qui nous a précédés a été orchestrée selon leurs scénarii avec en point d’orgue des rites, des fréquences, bien spécifiques ; au fil des dossiers l’importance de la numérologie pour les mondialistes et — entre autres — les francs-maçons sera une évidence.

Et si nous résistons aux divers assauts des mondialistes, il faut s’attendre à ce que 2025 soit une année particulièrement tendue puisque Christine Lagarde dans son discours de 2014, expliquait que les 25 ans de la chute du mur de Berlin était une date clé en base 7 (2 +5= 7).

Les chapitres suivants vont définir le nouvel ordre mondial selon d’autres critères, d’autres paramètres et d’autres références. Après la signification du chiffre 7, il va s’agir de définir des critères récurrents utilisés par les mondialistes, peu importe leur nom d’emprunt. Par la suite seront abordés quelques repères anatomiques et physionomiques du nouvel ordre mondial.

Partant du principe que ce cartel est millénaire (nouvel ordre mondial actuel = « nouvel ordre du monde » de la Genèse) et polymorphe ; les sources de comparaisons seront diverses et variées, alliant mythes, mythologies, histoire des civilisations… Bien entendu dans le dossier de présentation, il n’est pas question de détailler, mais de donner des points d’accroche à la manière des murs de varappe.

Le Nouvel Ordre Mondial et ses différentes références

Tel qu’énoncé précédemment, on va dresser une liste non exhaustive des éléments incontournables qu’utilise le nouvel ordre mondial. Certains sont très anciens, mais pas désuets pour autant. Bien au contraire, ils n’ont jamais autant été présents dans nos environnements… jusque dans nos placards.

Parmi les piliers des francs-maçons et consorts, l’on trouve :

  • Les mythes
  • Les panthéons des Dieux, peu importe qu’ils soient égyptiens, gréco-romains, méso-américains…
  • Les jeux de société comme, par exemple, « les échecs »
  • Le système politique romain (la République)
  • Le modèle social des ruches (ne pensez pas qu’il s’agisse des abeilles, puisqu’il s’agit en réalité des guêpes)
  • L’ésotérisme occulte et démonologie de toute sorte : tribal, religieux, païen…
  • L’alchimie occulte
  • L’ensemble des religions majeures (en grande partie leur création)
  • L’astronomie et autres arts et sciences passés sous silence
  • La philosophie, ou plutôt le sophisme et la maîtrise des discours et méthode (pour reprendre le titre d’un ouvrage de Descartes)26
  • La maîtrise des fragmentations cognitives que l’on retrouve dès l’enseignement religieux (catéchisme catholique, mais pas que), donc très ancienne et ayant évoluée au fil des temps pour aboutir au MK-Ultra, aux messages subliminaux visuels, olfactifs, auditifs, tactiles. Tout ce qui est en lien avec les sens primaires et physiques (5 sens), ainsi que les sens adjacents. On touche alors à la perte du sens de l’orientation, sens de l’humour, précognition, etc.
  • Etc.

Tous ces éléments sont détaillés de la manière la plus andragogique possible dans chaque sous-dossier qui constitue l’ensemble de l’enquête. L’objectif étant de démontrer combien le nouvel ordre mondial a imprégné chaque pan de nos vies. J’ai donc cherché à débusquer les informations qui permettent de les confronter à leur vrai dessein. Il s’en suit non pas une série d’accusations sur le modèle de Victor Hugo, mais un recueil de faisceaux d’indices qui permettent d’affirmer que les francs-maçons et analogues sont plus que présents, que la France aurait pu devenir une réelle démocratie en 1848, mais en a été empêchée de l’intérieur. Que depuis lors nous sommes effectivement dans un sous-régime rétrograde et esclavagiste de type République Romaine.

En définitive, l’intégralité des recherches vise à lever le voile de l’hypnose collective au-delà même de l’épisode Covid et de la mandature d’Emmanuel Macron.

L’ANATOMIE DU N.OM :
DU LÉVIATHAN À LA BÊTE DE L’APOCALYPSE
(VISION INTERNATIONALE)

Le N.OM : Léviathan27 28 ou Bête de l’Apocalypse

Première analogie permettant d’établir un portrait-robot du cartel mondialiste : Le Léviathan et la Bête de l’Apocalypse. Partir des mythes pour définir l’anatomie du nouvel ordre mondial permet d’illustrer au réel ce qu’est cette organisation dans sa version internationale et mondiale. De la même manière que le lien entre la Ve République française et l’alter ego terrestre du serpent marin sera faite par la suite.

S’il est une représentation universelle, c’est bien celle du Mal incarné. Dans toutes les civilisations, le côté obscur est représenté sous la forme ovidienne ou reptilienne. Serpent marin, par excellence c’est le cas du Léviathan.

Léviathan : « Le Léviathan est un monstre colossal, dragon, serpent et crocodile, dont la forme n’est pas précisée ; il peut être considéré comme l’évocation d’un cataclysme terrifiant capable de modifier la planète, et d’en bousculer l’ordre et la géographie, sinon d’anéantir le monde. Sa description évoque par périphrase le redoutable crocodile du Nil qui abondait alors au pays des pharaons. »

Cette description est un extrait de la page Wikipédia mise en référence.

Bête de l’Apocalypse : selon la tradition chrétienne « La Bête de l’Apocalypse (τὸ Θηρίον (tò thēríon) en grec ancien) est une figure de l’eschatologie chrétienne qui apparaît dans le chapitre 13 de l’Apocalypse de Jean, en écho à la Vision des quatre bêtes du Livre de Daniel. »

Il existe de nombreuses interprétations concernant ce monstre allant de sa création jusqu’à sa mise à mort. Ce qui semble faire consensus c’est que :

  • La bête aurait été créée par Dieu — lequel ? Celui en qui les religions nous font croire ou celui qui considère l’humanité comme du bétail (agneaux/moutons/caprins) que les bergers (religieux) sacrifient quotidiennement (deux fois par jour : holocauste) sur les autels des temples…
  • Créature marine ayant reçu les pouvoirs de Satan ne meure [que] sous la lame de l’Archange Mickael.
  • Créature terrestre, alter ego de la première.29

Une fois les présentations faites, on va désormais ajouter une autre façon de comprendre ce que peut être dédoublée de l’Apocalypse conjointement au Léviathan qui lui aussi est affublé d’un alter terrestre : le Béhémot30.

Le principe du polymorphisme ayant été évoqué d’emblée, vont s’ajouter d’autres concepts à prendre en considération, comme :

  • la personnalité multiple ou fractionnée
  • le principe de la fractale
  • et plus que la dualité, on va introduire une notion que les chimistes et professionnels de l’industrie pharmaceutique connaissent bien puisqu’il s’agit de l’énantiomère (explicité dans le dossier 7).
  • Vision systémique, politique, etc.

Ainsi, dégagé de toute approche dogmatique et religieuse, il a été plus facile de faire nos recherches en s’appliquant à trouver des arguments probants. C’est donc en partant du descriptif mythique du monstre aquatique à 7 têtes et 10 cornes couronnées que les passerelles et translations avec le cartel mondial a été fait.

Les éléments exposés sont évidemment peu de choses, comparés à l’étendue du système, néanmoins ils peuvent donner une « assise » ou un début de représentation physique. Puisqu’il s’agit d’un « Guide » exposant le cartel version 2.0, l’illustration ci-après est la plus pertinente trouvée sur le net.

31

Illustration extraite du dessin animé Digimon.

Par ailleurs, il n’a pas été pertinent de reprendre des illustrations plus anciennes. Vu les mutations qu’à subit l’Organisation mondialiste au fil des siècles le plus simple a été d’en créer une qui reprend le descriptif au sens le plus strict.

Figure 1
Léviathan selon les écrits historiques, mythologique et religieux/
Virginie Dornier. 10/2021

Version reprenant les écrits : monstre aquatique, 7 têtes, 10 cornes couronnées. Avec un rappel sur Poséidon : trident présent également sur les symboles et iconographies liés à la psychologie (Symbole des psychologues avant modifications, mais aussi symbole Héraldiques et lié à Shiva)

Vous remarquerez ici que les 10 cornes couronnées sont placées sur le corps du Léviathan et non sur la partie antérieure (les 7 têtes).

C’est un postulat volontaire pour faciliter la compréhension du N.O.M

Les paragraphes suivants vont définir le cartel auquel nous sommes confrontés :

  • Le monde aquatique
  • Les 7 têtes et la traduction au réel.
  • Les 10 cornes au réel
  • Les diadèmes/couronnes au réel

Le NOM : un système « fluide »

Le monde marin est encore inexploré. Il fait l’objet de spéculations multiples. L’eau se trouve partout sur la planète, plus encore que les terres et continents en termes de surfaces et avec des profondeurs abyssales qui de tout temps sont synonymes de mystères. L’eau est en élément pouvant se présenter sous trois formes : gazeux, liquide, solide. Dans les airs, sur terre, sous terre, et bien sûr du ruisseau aux océans.

Par extension, le Léviathan est partout et nulle part à la fois. Indispensable pour toute forme de vie l’eau devient alors source de méfiance, voire de danger.

Au réel, le Nouvel Ordre Mondial apparaît comme un élément présent dans tous les secteurs de nos vies.
De la conception à la mort : Cycle des 3 états de l’eau. Gaz/vapeur, liquide et solide.
De l’individu à l’Humanité : de la goutte à l’océan.
Du plus abstrait des éléments ou plus concret.

Des lois aux actes du quotidien : C’est pourquoi des « idées » émanant de personnes en responsabilité accordée par le Peuple, mais totalement dédiées désormais au Nouvel Ordre Mondial rendant le quotidien de chacun invivable.

Depuis le 4 octobre 1958, les « Vassaux » félons ont prêté allégeance au N.O.M amenant le chaos, la perte de nos richesses individuelles et collectives.
Vendant au plus offrant, nos savoirs, nos héritages, nos existences… que les acquéreurs soient du Parti Communiste Chinois, de l’OMS, de l’OTAN ou tout autre « empire couronné » du Léviathan.

La fluidité du système ressemble trait pour trait aux principes de l’eau.

Sans oublier le continent qu’ils se sont créé bien qu’ils s’en défendent (date de fin d’une ère selon le calendrier maya) : TerraMar Project créé par Guislaine Maxwell officiellement en 2012 (date de fin d’une ère selon le calendrier maya) et dissout en 2019.

Un concept ? Un véritable continent ? Quoi qu’il en soit, Guislaine Maxwell en fait la promotion avec en première ligne la famille Gates.32 33

Loin d’être une théorie le « Terra Mar Project »34 était présenté comme une « organisation à but non lucratif » à visée écologique. Le cœur de leurs actions étant « la préservation des Océans ». En étudiant de près les divers gouvernements français de la Ve République, ainsi que les enjeux économiques, politiques et militaires rattachés au domaine maritime, il ne fait aucun doute que cette organisation est bien plus que ce qu’elle prétendait être. Et le fait qu’elle soit dissoute suite au scandale sexuel ne signifie pas pour autant que l’activité rattachée à cette organisation se soit arrêtée. C’est un avis.

• Le projet TerraMar
• TerraMar (Royaume-Uni)
Le logo du projet TerraMar
Formation septembre 2012 ; il y a 9 ans
Dissous décembre 2019 ; il y a 2 ans
Taper Environnement
Statut légal • Organisation à but non lucratif
But • charité
Lieu New York (2012-2015)
Woburn, Massachusetts (2016-2019)
Salisbury, Royaume-Uni (2013-2019)
Région desservie Global

Il est intéressant de se pencher sur le logo et la fiche d’identité consultable sur Wikipédia.

  • « Charité » ou « charité/caritative » est un moyen détourné de faire référence à l’un des 3 piliers de l’arbre de vie de la Kabbale. Celui-ci sera abordé sur différents aspects registre dans le dernier dossier. En cherchant des informations en lien avec TerraMar Project et l’arbre des Séphiroth en sont ressortis les points suivants !
  • Il est un consensus disant que le Yin37 correspond à l’aspect féminin en toute chose. De façon réductrice ce symbole asiatique, présent notamment en médecine chinoise, est associé aux émotions. Les émotions sont associées à l’eau. C’est la raison pour laquelle l’on a fait le lien entre TerraMar et le pilier yin de l’arbre kabbalistique.
  • On avait déjà évoqué le principe de la polarité. Avec ces deux illustrations complémentaires, cela est plus flagrant.
  • L’hypothèse sous-jacente est que derrière les activités « caritatives » et vertueuses de TerraMar Project (ainsi que des autres organisations mondiales) un pouvoir impérialiste cultivant le secret. Ce qui correspond en tout point à Binah, Géburah et Hod du pilier Jugement.
  • Évidemment ce principe est applicable à toutes les fondations dirigées par des mondialistes patentés comme Bill et Melinda Gates, George Soros, pour ne citer qu’eux.

Autre point intéressant : le logo de TerraMar Project. Tout comme pour Gmail, TerraMar Project reprend les codes de certains tabliers maçonniques.

Ci-après, en l’inversant versus les symboles de Poséidon et Neptune.

Il s’agit ici, d’une vue d’ensemble du cartel mondialiste selon la matrice du Léviathan ou de la Bête de l’Apocalypse. Ce secteur maritime sera argumenté dans d’autres dossiers en fonction du thème. Il n’est donc pas utile de développer plus ici, le système « fluide ».

Le NOM : monstre à 7 têtes :

Il n’est pas utile de revenir sur l’explication relative au symbolisme de ce chiffre. Cependant, et pour faire le lien avec le chapitre précédent, il est probable que pour le cartel du nouvel ordre mondial le domaine maritime soit considéré comme un territoire à part entière, objet de convoitises, et de pressions politiques diverses. Un territoire convoité et marqué par les courses impérialistes diverses selon les époques ; pour finalement aboutir à une seule entité mondiale. Ce qui ferait du monde marin et maritime le 7e Continent.

Voyons si les têtes du monstre mondialiste peuvent être identifiées autrement (polymorphe). On n’ira pas chercher du côté des sept péchés capitaux bien que la citation suivante soit plutôt appropriée.

« Ce sont l’orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, liée à la tristesse spirituelle), la luxure, l’avarice, la colère et l’envie. Ils sont capitaux au sens où ils sont à la tête d’autres péchés ; ce sont des mobiles pour commettre tous les crimes comme l’assassinat. » (Définition extraite de Wikipédia)

Par contre, ce qui découle de ces péchés permet de donner une orientation dans les recherches. Quoi de mieux que les « 7 merveilles du Monde » pour sceller un peu plus le pouvoir des mondialistes ?

C’est donc en toute logique que l’on a pris des informations sur ces listes des sites et leurs méthodes de sélection.

Fait étonnant, mais à la réflexion, peu surprenant : il existe depuis peu 2 listes distinctes de sites remarquables qui se font concurrence. On tentera de donner les motivations de cette coexistence, bien que le principe en soit simplissime : d’un côté, vous avez les mondialistes et leurs 7 merveilles du Monde. De l’autre leurs opposants. Nous sommes bien engagés dans une partie d’échecs.

Explication en pages suivantes.

a) Les 7 Merveilles du Monde du N.O.M :

« Les Sept Merveilles du monde moderne »38 est une liste, établie par l’American Society of Civil Engineers, consacrant les monuments du XXe siècle. Elle fait directement référence aux Sept Merveilles du monde antique39. » (Wikipédia).

À noter que peu d’informations sont présentes sur la page Wikipédia dédiée.
La liste des pays est : France, Royaume Unis, Canada, USA (Deep State), Brésil (Deep State), Paraguay, Pays-Bas, et Panama.
Ici, les 7 Merveilles du Monde Moderne — 7MMM — sont des ouvrages stratégiques, tous en lien avec les trafics de toutes natures (échanges commerciaux, trafics humains, armes, drogues). Les pays concernés sont la plaque tournante de ces trafics.

Nous attirons votre attention sur les sites classés « Merveilles de leur Monde Moderne ». Ils sont tous en lien avec le secteur maritime et fluvial (d’où le code couleur bleu). Ils sont potentiellement voués à auto –destruction/ attentat de la part du Nouvel Ordre Mondial. Notamment le Tunnel sous la Manche. Ce que l’on appelle communément des actes sous « faux drapeaux ». Pour compléter ce volet il existe une série docufiction intitulée « les 7 merveilles du monde industriel ». (Diffusée sur BBC en 2003)40.

b) L’alliance : 7 Nouvelles Merveilles du monde moderne41,

« Les sept nouvelles merveilles du monde ont été désignées à la suite d’un vote organisé par la New Seven Wonders Foundation, liée à la New Open World Corporation, et dont les résultats ont été dévoilés le 7 juillet 2007 à Lisbonne. » (Notez la date : 07/07/2007).

Ici, il est important de noter que cette nouvelle liste a fait l’objet de controverses.

Au-delà de la date significative du 07/07/07, il faut rapprocher les 7 sites de la nouvelle liste des « 7 Nouvelles Merveilles du Monde Moderne » (7NMMM) du Chapitre 2 de l’Apocalypse de Jean.

En effet, chaque site de cette liste correspond à chacune des sept églises du texte biblique. Comprenez que l’étude des textes sacrés a été faite de façon géopolitique voir stratégique et non de façon théologique ou religieux au sens dogmatique.

Ainsi, l’église d’Éphèse correspond à la Jordanie, l’église de Pergame à l’Italie, l’église de Thyatire au Brésil, etc.

Pour des raisons évidentes de sécurité et de confidentialité, nous ne pourrons expliciter plus en détail les éléments. Ceci étant, ce qu’il faut comprendre c’est que l’Alliance a travaillé depuis longtemps pour faire des sept pays ici sur ce schéma des états satellites de l’alliance. Notez également que seules « les 7 têtes » du Léviathan ont été abordées tout en ne compromettant pas les aspects purement stratégiques. Mais, vous en conviendrez, en comparant avec l’actualité géopolitique, ces merveilles sont bien sympathiques.

Le NOM : monstre à 10 cornes :

Dans l’illustration du Léviathan, les Cornes couronnées ont délibérément été placées sur le corps et non la partie supérieure du Léviathan.
Ce postulat permet de bien scinder les deux organes majeurs du Nouvel Ordre Mondial.

Ainsi, de tout temps, et quelques soient les continents ou les noms attribués aux 10 cornes couronnées, le système est reproductible. Seule la translation en fonction des « progrès et avancées » technologiques en a modifié la forme, mais elles ont toujours été 10 actives simultanément.

Ce sont les EMPIRES. Ayant subi diverses mutations depuis des millénaires, passant des empires géographiques (Incas/ Sumériens/ Britannique, français…) à des formes plus diffuses comme, par exemple, l’empire cinématographique, médiatique, pharmaceutique… qui ne connaissent ni frontière, ni problème pour franchir les océans. Chaque corne en est l’une des représentations et toujours sur le même principe polymorphique. Cela signifie qu’au fil du temps les empires changent de formes.

De nos jours, on y retrouve notamment :

a) Les 10 empires économiques mondiaux qui correspondent aux pays (qui varient depuis plus de 6000 ans)

b) Les 10 secteurs économiques (évoluant en fonction des avancées technologiques et du programme des mondialistes)

En page suivante, vous trouverez quelques exemples chiffrés

a) Les 10 empires économiques mondiaux (source libanaise 2018) :

  • 10— Canada, produit intérieur brut estimé à 1763 milliards de dollars (plus de 987 000 milliards de FCFA).
  • 9 — Italie, produit intérieur brut estimé à 2048 milliards de dollars (plus de 1 146 000 milliards de FCFA).
  • 8 — Brésil, produit intérieur brut estimé à 2199 milliards de dollars (plus de 1. 231 000 milliards de FCFA).
  • 7 — Inde, produit intérieur brut estimé à 2654 milliards de dollars (plus 1. 485 000 milliards de FCFA).
  • 6 — Royaume-Uni, produit intérieur brut estimé à 2661 milliards de dollars (1. 489 000 milliards de FCFA).
  • 5 — France, produit intérieur brut estimé à 2765 milliards de dollars (1. 547 000 milliards de FCFA).
  • 4— Allemagne, produit intérieur brut estimé à 3934 milliards de dollars (2. 201 000 milliards FCFA).
  • 3— Japon, produit intérieur brut estimé à 5063 milliards de dollars (2. 833 000 milliards de FCFA).
  • 2— Chine, produit intérieur brut estimé à 13 118 milliards de dollars (7. 342 000 milliards de FCFA).
  • 1— États-Unis, produit intérieur brut estimé à 20 199 milliards de dollars (11 305 000 milliards de FCFA).

Ci-après l’illustration montre qu’en réalité l’adversaire de l’Humanité, le N.0.M ou cartel, utilise toujours une base chiffrée en lien avec les spécificités de « la Bête de l’Apocalypse » ou Léviathan.

Si pour les 7 têtes nous retrouvons les mêmes organisations : politiques, religions, pour les 10 cornes vous remarquerez une variation. Ainsi, peu importe l’ordre des pays, des secteurs économiques. Le palmarès n’est qu’un paravent puisque nous avons toujours 10 critères.

Source : financial Afrique. Com

Il est intéressant ici de noter les points suivants :

  • Entre 1992 et 2008, on constate des mouvements dans l’ordonnancement des pays. Si l’on reprend « la règle de calcul » mise en avant par les acteurs majeurs du N.O.M, alors l’an 2000 en est la ligne d’horizon. En retranchant 7 ans, on arrive à 1993 qui, semble-t-il, marque le début de la décroissance régulière de la France. Il serait intéressant d’avoir d’autres chiffres antérieurs afin de préciser et affiner ce propos.
  • Le « Bug de l’an 2000 » n’avait rien à voir avec un quelconque chamboulement dans les horodateurs des systèmes informatiques, mais une permutation de l’ordre « des choses ». Une inversion de polarité non pas magnétique (pôle Nord/ pôle Sud), mais des valeurs humaines, des systèmes économiques, politiques, sociétaux. En résumé : on passe à la dernière phase d’inversion.
  • Le projectif est éloquent : la France devenant 10e du classement en 2024, les pays occidentaux perdant au moins une place au classement, la Russie également le tout au profit des pays « émergeants » des pays orientaux et de l’Empire du Soleil Levant.

Vous remarquerez une variation. Ainsi, peu importe l’ordre des pays, des secteurs économiques. Le palmarès n’est qu’un paravent puisque nous avons toujours 10 critères.

Lorsque seront abordées les « 10 couronnes », vous verrez pourquoi aujourd’hui il semble quasiment insoluble de faire tomber le système mondialiste. Pourtant, près 6 mois après début de nos recherches et de la rédaction des dossiers, le colosse apparaît de plus en plus fragilisé. Les peuples se lèvent, la France bouge malgré un enkystement dont on a — pour partie — identifié des raisons plus que possibles. Raisons qui sont largement détaillées point par point dans les dossiers 5 et 6 et spécifiques à notre histoire. Mais si l’on devait donner une ligne directrice, elle serait la suivante : si l’on devait comparer la France « contemporaine » à un insecte pour décrire sa situation, ce serait la chenille bloquée dans sa chrysalide par des influences extérieures.

Cette mue, en comparant les diverses Constitutions, correspond à la Seconde République de 1848 sabordée de l’intérieur. Depuis, de génération en génération nous sommes dans un système matriciel visant à nous réduire en esclavage jusqu’au coup de grâce. Du moins selon le cartel maçonnique. Rendez-vous aux dossiers traitant de Jupiter et sa parèdre pour découvrir une partie de l’envers du décor.

b) Les 10 secteurs économiques mondiaux :

  1. Les startups investies dans les clean Tech, l’intelligence artificielle, la Food Tech, etc.)
  2. La santé
  3. La cybersécurité
  4. Les industries culturelles et créatives : écoles d’excellence, art, design, festivals, musique électronique, jeux vidéo, films d’animation…
  5. L’art de vivre : gastronomie, vin, mode, loisirs et tourisme
  6. L’eau, l’économie maritime et les énergies
  7. L’industrie du futur ou Tech (armement, Quantique…)
  8. Les transports et la mobilité
  9. Le secteur du luxe
  10. L’agriculture et l’agroalimentaire

Selon le descriptif fait du monstre marin, il est dit que les 10 cornes sont pourvues de couronnes. Pour compléter la présentation, il va s’agir d’en donner une interprétation permettant de visualiser le cartel différemment.

c) Les diadèmes ou couronnes.

Là aussi il faut se détacher de la symbolique collective qui veut que les couronnes soient des royautés.
En d’autres termes, il faut les appréhender non plus comme des ornementations du type couronne royale posée sur la tête de personnes de pouvoirs, mais comme la couronne en dentisterie qui recouvre la dent.

Par exemple : la Couronne qui chapeaute l’empire ou corne « Santé » est l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

Ce qui vaut pour l’un des 10 secteurs ou empires actuels vaut pour l’ensemble. Ainsi, le secteur de l’alimentation est couronné par la FAO42 (Organisation Mondiale pour l’agriculture et l’alimentation) et ainsi de suite.

Comparer le cartel mondialiste avec le Léviathan n’est pas une nouveauté. En revanche, décortiquer l’anatomie de la Bête biblique en envisageant les diadèmes non plus comme des attributs royaux, mais comme une structure recouvrant chaque corne est peut-être novateur. C’est pourquoi nous mettrons une illustration dentaire pour mieux expliciter le propos.

Il est important de comprendre ici que si des personnes « tombent » dans l’un des 10 systèmes, la couronne protège l’ensemble. C’est pourquoi par exemple des scandales comme celui de la représentante australienne de l’OMS n’ébranleront pas le système. Du moins si l’on exclut l’exception française, le levier de force (ou talon d’Achille).

La couronne dentaire appliquée à la corne du Léviathan :
Ici l’illustration aura été adaptée au secteur qui nous préoccupe tous : la santé et la Dictature mondiale.
Notez que ceci est valable pour toute forme « d’empire » (OTAN et défense, cinéma…).

Figure 2
Couronne dentaire appliquée à la corne du Léviathan

Pour « couronner le tout », et apporter d’autres illustrations : dans le langage courant, il est des mots et des expressions qui apportent des compléments d’information. Si, l’accent a été mis sur la symbolique du chiffre 7 très utilisée par les mondialistes (mais également pour des « vertus » positives) ; le chiffre 5 n’est pas en reste.

Le cinq représente le côté naturel en quelque sorte. Et contrairement à ce que l’on peut lire, il est ce qui par essence définit la création. Lorsque l’on observe la nature, voici ce que l’on constate :

• En coupe sagittale, les fruits sont dotés de 5 alvéoles contenant des pépins.

• Nous sommes pourvus de 5 doigts par main et 5 orteils par pied, au cas où les scientistes nous feraient croire le contraire. Sait-on jamais.

• Deux mains apparemment identiques et pourtant non superposables ce qui est le principe des énantiomères en chimie et pharmacie. (développé dans le dossier 7). Le paradoxe étant que la main gauche — dite la main du cœur pour certains — est aussi considérée comme « la main du diable » par ces mêmes personnes.
Effectivement, l’alliance se porte à l’index gauche et il n’y a pas si longtemps les enfants gauchers devaient apprendre à écrire de la main droite pour des raisons dogmatiques… y compris dans les écoles publiques. Les années 50, ce n’est pas si lointain.

Il n’est pas question de décliner les exemples, simplement de rebondir sur quelques mots clés qu’utilisent volontiers les mondialistes, depuis toujours. Parmi ces mots, l’on trouve bien entendu la main et ses déclinaisons et le chapeau.

  • Faire main basse
  • Avoir la mainmise
  • Manipuler
  • Chapoter
  • Capoter
  • Capitole
  • Capituler…

Le sujet est tellement vaste, qu’il est difficile de faire un tri dans les informations à mettre dans le dossier. Ne soyez pas étonnés si d’aventure les exemples de toutes natures sont mis ici.
On comprend mieux l’ampleur du Nouvel Ordre Mondial/Léviathan avec ce schéma qui reprend le Global Compact (ou Pacte Mondial) des Nations Unies43. Voir illustration en page suivante.

De ce schéma très explicite, on retiendra ici :

• que les Nations Unies et particulièrement le « Global compact » correspondent à l’anatomie de la Bête de l’Apocalypse. Ce qui n’amoindrit nullement les implications de factions ou familles telles que les Rothschild puisqu’ils sont dans la boucle.
« phrases d’accroche ».

• les accroches des items « Les entreprises sont invitées à ». Si de prime abord, il est légitime de penser que cela ne concerne que les entreprises privées ; en réalité cela inclut également les pays. Du moins ceux qui sont officiellement des sociétés comme c’est le cas de la France44. Ce volet « entreprise » est développé en dossier 3.

Conclusion :

Le fait de comparer le cartel mondialiste au Léviathan ou à la Bête de l’Apocalypse n’est pas une nouveauté. D’autres l’on fait bien avant. De même pour la numérologie et l’ensemble des symboles et rituels propres aux sociétés hermétiques (alchimie, culte égyptien…).

Ici, l’objectif a été de trouver de quoi apporter des éléments pouvant répondre à ces questions

  • À quoi pourrait ressembler le cartel mondialiste ?
  • En quoi le cartel mondialiste peut-il être comparé à la bête de l’Apocalypse ?
  • Quels indices ou informations peut-on chercher pour les « débusquer » ?

Si la démonstration est parfois maladroite, il ne faut pas perdre de vue que je ne suis ni politologue, ni économiste, ni écrivain et surtout que je n’ai pas eu la possibilité de peaufiner le style. La priorité est de pouvoir diffuser le fruit de mes enquêtes. De proposer, de la façon la plus argumentée possible, un panel d’éléments qui posent question et méritent d’être investigués cette fois-ci par des experts et professionnels.

Pour conclure ce chapitre, voici une ultime interprétation liant numérologie, dualité, et culte égyptien. Il s’agit de Jeu d’échecs.

• Numérologie : de part et d’autre de l’échiquier, on a 17 pièces (16 sur le damier + le joueur).

• « Echec et Mat » est une déformation de noms de Divinités égyptiennes. Il existe plusieurs combinaisons possibles, mais « Seth et Maât » est la plus probable puisque Seth rappelle le chiffre 7). D’ailleurs au tennis on retrouve le même principe avec « Jeu/Set et Match » que l’on doit transposer en J45 (10e lettre de l’alphabet et 7e consonne)/Seth et Maât.

• Lettre J que l’on retrouve également sur les cartes à jouer pour le Joker ou Jack ou le Mat (Maât) dans le tarot.

• Jack ou Jacques que l’on retrouve dans la bible46 (notamment l’un des demi-frères de Jésus Christ)

SPÉCIFICITÉ FRANÇAISE : DE LA TARASQUE GASCONNE À LA PROSTITUÉE BIBLIQUE (LA VRÉPUBLIQUE)

Introduction

Dès le début de ce dossier ou guide ont été abordés des points qui permettait de définir le système du cartel ou consortium selon la vision internationale. Ce qui nous a amenés à faire le parallèle avec le Léviathan et la Bête de l’Apocalypse.

Cependant, ce qui nous importe c’est la situation française. Il se trouve qu’à bien des égards la France (non pas le peuple) est la représentation alter de ces deux mythes.

Si l’on considère la version biblique, dans ce cas notre République serait la variation terrestre de la bête aquatique et sa morphologie (tête de lion et pattes d’ours) est expliquée dans le dossier X, tout comme l’alter du Léviathan — ou Tarasque Gasconne — le sera.

Si le système international mondialiste est polymorphe, change d’identité et de forme comme des reptiles peuvent muer ; c’est également le cas pour la France. Et pour être au plus proche de notre réalité, l’idée de comparer la République française à la prostituée biblique est également valable.

Ce qui peut différencier l’une ou l’autre des comparaisons est la période ou l’époque. Sur le principe de la géochronologie qui permet d’ordonner et classifier les étapes de vie de la terre47, l’influence du cartel sur la France pourrait ressembler à ceci :

Terre France analogie
Éonothèmes Éons Antérieure à la monarchie X
Érathèmes Ère Apparition de la Monarchie48 X
Systèmes Période De 1789 à nos jours Boîte de Pandore
Séries Époque VRépublique Tarasque
Étages Âge Dictature Sanitaire/Dominat/Mandat Emmanuel Macron Prostitué /Babylone

Ce tableau est très schématique, voire réducteur, mais il pose le décor. Sur le principe de la fractale qui reproduit un même modèle partant de l’infiniment petit à l’infiniment grand, l’inverse existe. De même que la boîte de Pandore et la Tarasque pourraient être interverties. Ici, il ne s’agit pas de jouer la carte de la « quadrature du cercle », simplement de fournir des aides visuelles pour mieux appréhender l’ensemble du dossier.

a) La boîte de Pandore 49 50:

Sur le modèle des ovidiens la France a subi différentes mues. La question de savoir si elles ont été initiées pour de réelles bonnes intentions ou a contrario pour réinitialiser le système des élites ne se posera pas ici, du moins pas dans cette partie présentation.
Il est un fait entendu : la Révolution française n’est pas à l’initiative du peuple, mais a été orchestrée par les francs-maçons. Sachant que la franc-maçonnerie de cette époque n’est que la version « actualisée » de factions préexistante. Il y eut auparavant les templiers, la rose croix, les jésuites ; tout comme il y eut en des temps plus reculés d’autres influenceurs politiques, religieux, économiques qui tous puisent leur modèle 4000 ans avant notre ère.

Pointer du doigt la franc-maçonnerie demande une clarification. Lorsque l’on dénonce les actions des sociétés hermétiques, que l’on mentionne et spécifie la maçonnerie, la kabbale, les illuminati, ne sont visés QUE le haut du pavé. Le gratin, les hauts gradés, voire même au-delà : les inaccessibles.
Ceux « du bas » n’imaginent pas en entrant en loge qu’ils financent et alimentent un système mafieux.

De la même manière qu’en travaillant pour l’industrie pharmaceutique, la majorité d’entre nous ignoraient tout de l’envers du décor, de ce qui se trame en coulisse. Et c’est valable pour quasiment tous les secteurs, y compris les religions.

Pandore dépeinte comme étant la première femme de l’humanité par le poète Hésiode ouvre une jarre ou boîte contenant tous les maux et les vices de la terre qui s’en échappent… Il est dit que dans cette jarre se trouve également l’Espoir (véritable antidote). Seulement ce dernier, plus lent à se mouvoir, n’a pu empêcher les malheurs de s’abattre sur le monde et les hommes.
Transposer à l’histoire de France ; Pandore la jeune femme prend les traits de la Révolution française de 1789.
L’ouverture de la jarre ou de la boîte, nous la situons à l’époque napoléonienne et particulièrement la période des campagnes d’Égypte et Champollion. Cette période marque un tournant dans notre histoire puisque les cultes et rituels égyptiens seront implémentés dans les pratiques maçonniques d’origines indo-européennes.

À partir de ce moment, la franc-maçonnerie va durcir ses actions à l’égard du peuple, tout en étant secouée en interne par des jeux de pouvoirs et d’influence. Aujourd’hui le modèle politique français est calqué sur la République Romaine (héritage de la maçonnerie intracontinentale), en revanche les moyens utilisés pour faire appliquer et perdurer la République romaine — vantée à tort — comme vertueuse sont pour l’essentiel importés de la civilisation pharaonique.

Précision : les influences trans méditerranéennes sont antérieures à Napoléon Bonaparte puisque Paris — la capitale — doit son nom à un clan qui vouait un culte à Isis. (Parisis).
À force de lectures, l’hypothèse que les campagnes d’Égypte aient permis de réactiver des cultes et pratiques occultes perdus et plus que probable. Ce qui explique en partie, la mainmise et l’influence de la capitale, sans cesse croissante, sur le reste des territoires français (sont comptabilisées les colonies de l’époque).

Si d’aventure, certains ont cru pouvoir utiliser des pratiques et rituels occultes en se considérant plus forts et dans la maîtrise, sur le principe du Roi Salomon auquel les francs-maçons se réfèrent, il est clair que le résultat escompté est le strict opposé.
Cela nous ramène à la boîte de Pandore, car depuis lors la France n’a cessé d’être secouée par des conflits internes et externes, subi des mutations quasi génétiques dans ses us et coutumes, ses valeurs, ses mœurs.

Si toutefois le parallèle entre le vécu commun de la France et Pandore n’est pas convaincant, il existe bien d’autres confrontations possibles.
Entre autres le Conte « Aladin et la lampe merveilleuse »51. Si l’on considère que les francs-maçons et apparentés de l’époque se sont servis de pratiques occultes (et c’est le cas) à la manière d’Aladin frottant la lampe magique ; dans ce cas le génie qui en est sorti correspond aux vices de la boîte de Pandore.

Ce qui fait que la France a ouvert le bal d’une nouvelle ère : l’époque contemporaine par excellence. À force de recherches, d’enquêtes et de recoupements, notre conviction est que c’est depuis notre pays que c’est « échappé » le génie ; il est donc normal que celui-ci réintègre sa lampe au bout de 3 vœux. En l’occurrence, par vœux il faut entendre catastrophes. Et le compte y est.

Si l’on rapproche les fléaux qui se sont échappés de la jarre aux 3 vœux du génie et qu’on les transpose à l’Histoire de la France nationale et internationale :

• La 3e guerre mondiale que le médium patenté Jacques Attali ne cesse de claironner ne peut pas être déclarée. En effet, si l’on reprend l’ensemble de la géopolitique depuis la Révolution française, il se trouve que le premier conflit international partant du vieux continent européen est la guerre de 1870.52 Bien qu’à tort appelée « Guerre franco-allemande » ; le conflit en coulisse a été mondial et occulte.

Par « occulte », il faut véritablement entendre « occultisme ». Ce point est d’une importance capitale et fait le lien avec le dossier dans lequel sont décryptés les attributs officiels et surtout officieux de la France. En l’occurrence le Grand Sceau de France.

Pour faire simple, pour que les rites maçonniques soient efficaces, il fallait donner à notre pays une forme hexagonale qui reprend les célèbres sceaux attribués au roi Salomon.

• La guerre de 14-18 devient alors le second conflit international de l’ère contemporaine et par conséquent, à partir de 1939 débute l’ultime conflit mondial. N’en déplaise à certains, mais depuis 1939 le monde n’a jamais plus connu la paix et par le système des vases communicants et surtout de l’OTAN ; nous avons toujours été en guerre. Nos soldats ont toujours mené des combats. Ceux des autres nations également. Seuls la géographie et les sites des conflits ont évolué au gré des intérêts du cartel mondialiste.

• Les bonnes nouvelles — car il y en a — sont que nous sommes à l’aube de voir cette 3e guerre mondiale se terminer. Jacques Attali et son prédécesseur Aleister Crowley53 et tant d’autres prédicateurs ayant mis tellement d’énergie à nous endoctriner, nous faisant croire en une paix retrouvée alors que cela n’a jamais été le cas doivent « l’avoir mauvaise », et certains même [doivent] se retourner dans leurs tombes. Les autres tentent autant que faire se peut de maintenir la chape de plomb sur nos têtes et dans esprits.

• Quant aux autres fléaux, fonctionnant par 3 eux aussi, le principe est le même lorsque l’on considère exclusivement « l’ère moderne » depuis la Révolution française, ou le XXIe siècle. Les crises sanitaires, le cycle amorce son déclin (crise covid) ; les crises économiques qui fonctionnent par séquence de sept ; nous sommes dedans…

En revanche, si l’on a pris le pli de comparer la situation de la France au mythe de Pandore et au conte des mille et une nuits ; il faut comprendre également que la France est l’équivalent de la jarre/boîte et de la lampe. Fléaux et génie doivent donc rentrer au bercail. Ce qui signifie que notre pays sera très probablement celui qui sortira de l’emprise en dernier lieu.

b) La « fille » du Léviathan ou la Tarasque gasconne54 55

Dans la mythologie, dans les ouvrages religieux et plus proche de nous à travers l’ensemble de l’histoire de France nous pouvons attester du fait que celle-ci représente l’alter ego terrestre de la bête de l’Apocalypse version française et occitane. La légende la décrit comme une bête s’apparentant au dragon, au crocodile et au serpent. Une description proche donc du monstre biblique.

Cet animal chimérique est fêté en pays gascon depuis le moyen-âge. Semant la terreur dans la région — comme d’autres légendes sur le territoire — elle fut vaincue par une jeune femme. Cette allégorie est d’emblée a rapprocher d’une lame des jeux du tarot d’inspiration maçonnique : La Force.
Cette légende appuyée par la lame du tarot est à mettre en miroir avec notre actualité… qui ne fait que se répéter depuis des centaines d’années, où la bête serait la personnalisation du système mondialiste franco-français (le cartel) et la jeune femme présente sur les deux supports (la légende et le jeu de cartes divinatoire maçonnique) incarnerait la France. Mais attention, il s’agit ici du peuple français, pas de la République. Doit-on rappeler que la Ve République EST la tarasque ? Du moins c’est ainsi que nous la décrivons.

Si l’on s’appuie sur des références mythologiques ou mythiques, ce n’est pas un hasard. Elles ont traversé les époques et sont connues de tous sinon du plus grand nombre et permettent de faciliter la rédaction du dossier. Ainsi donc Pandora et la bête gasconne ne font elles qu’une. La boîte renfermant quant à elle les fléaux qui nous accablent depuis la révolution et surtout on le répète depuis la campagne d’Égypte.

Seulement, c’est avec la Ve République que cela s’est amplifié et accéléré jusqu’à son paroxysme en 2017 où d’un système félon nous sommes passés à une réelle dictature. Ce qui rapporté aux systèmes politiques de la Rome Antique revient à emporter sciemment le pays d’un « principat »56 à un « dominat »57. Autrement dit d’un système de République romaine (non démocratique, mais qui se désigne comme telle) à une tyrannie basée sur le culte de la personnalité, toujours sous la bannière de la République ce qui est le cas à l’heure actuelle.

c) La prostituée biblique : La France sur le trottoir depuis 1958

Lévitique 19:29
Concept des Versets
« Tu ne profaneras point ta fille en la livrant à la prostitution, de peur que le pays ne se prostitue et ne se remplisse de crimes. »58

Et ce quinquennat, c’est tout naturellement qu’on le compare à la prostituée de la bible. Chaque notion abordée dans ce dossier de présentation fait l’objet d’approfondissements que l’on a autant que faire se peut regroupés dans des dossiers spécifiques. Les chapitres suivants abordent le mode de fonctionnement du cartel mondialiste et français selon deux modèles vivants bien réels cette fois-ci.

Dans les faits — on l’abordera dans le dossier 3 — la fille en question est la France. Et, le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle a été livrée aux proxénètes du cartel mondialiste dès l’entrée en vigueur de la VRépublique.
Passant d’Escort girl pour clients argentés au trottoir depuis le quinquennat d’Emmanuel Macron.

LE N.OM SELON LE PRINCIPE BIOLOGIQUE
DE LA SERPULA LACRYMANS (MÉRULE) ET DU BLOB

Quelques informations sur la Serpula lacrymans ou Mérule :

La Serpula Lacrymans est une moisissure ou un champignon de la famille des Mérules59. Connue depuis des millénaires pour les ravages qu’elle peut provoquer, elle est même citée dans la Bible.
Ce champignon dévoreur de cellulose peut « digérer » l’intégralité d’un bâtiment selon un mode bien particulier.
La Serpula lacrymans s’implante sur des sites et structures créés par l’homme, c’est pour cela qu’elle est peu répandue en pleine nature. Il existe cependant des variétés « cousines » de cette moisissure.

Lorsque le champignon investit un lieu, il commence par s’attaquer in situ à la cellulose des structures en bois (plinthes, poutres, charpente…).
Rapporté au Nouvel Ordre Mondial cela correspond à la « l’épisode d’infestation endogène » que nous développerons ultérieurement.

Arrivée à maturation sur site, la Serpula lacrymans va développer des spores qui se propageront facilement du fait de leur légèreté. C’est l’équivalent de la « Phase 2 » ou Réplication » pour le Nouvel Ordre Mondial.

Une autre particularité de la moisissure pour se propager de proche en proche cette fois-ci est qu’elle développe des cordons mycéliens (rhizophores), sorte de filaments qui permettent au-delà de l’expansion à partir du site primaire d’infestation de transporter de l’eau.
Ce principe qu’extension par filaments est celui que nous développerons en « Phase 3 » ou expansion exogène.

À noter, la Serpula lacrymans s’attaque également à d’autres matériaux tels que ciment, plastique fragilisant encore plus les structures. Les traitements existent, notamment un champignon antagoniste Trichoderma ou va jusqu’à la destruction pure et simple du bâtiment.

Dans les paragraphes suivants, nous allons créer des passerelles entre le mode d’implantation et de développement de cette moisissure et les méthodes du Nouvel Ordre Mondial pour infester, se cloner et enfin se répandre de proche en proche jusque dans les foyers.

Nous nous appuierons sur des exemples concrets, et nous en varierons les secteurs pour vous permettre de mieux en cerner l’ampleur.

Cette carte de la métropole indique les zones à risques et les zones particulièrement sensibles voir infestées par ce champignon. Il est intéressant de voir quelles sont celles qui figurent en rouge : Paris et la pointe Bretagne. L’ironie est que cela est proche de la réalité de l’implantation du nouvel ordre mondial actuel.
En effet, si pour Paris cela ne fait aucun doute, puisqu’il s’agit de la capitale, pour la Bretagne c’est tout autant le cas. Il se trouve que c’est le fief de Jean-Yves le Drian — l’un des personnages les plus impliqués et assurément des plus compris de la Ve République qui a pour ainsi dire récupéré « en sous-marin » l’ensemble des territoires bretons en 2020 pour service rendu au Nouvel Ordre Mondial.

Si l’on se permet d’écrire ceci, c’est évidemment que l’on a trouvé des éléments plus qu’intriguant le concernant. Et lorsque l’on fait un regroupement d’informations concernant les activités et la carrière de ce ministre au gouvernement actuel, cela laisse peu de place au doute. (Voir dossier 3)

a) Phase 1 : « Infestation exogène » du N.O.M selon le principe de la Mérule

Lorsque l’ennemi de l’Humanité agit, il commence par s’implanter in vivo dans un secteur, un système politique, religieux… dans tous les secteurs en réalité.

Ce qui est valable pour chaque individu est valable pour des « organismes » bien plus étendus, puisque c’est un mode « Fractal ».

Historiquement et depuis des millénaires, ce modus operandi n’a jamais changé. Seule la forme a évolué avec son temps, mais le schéma est identique et reproductible.
C’est par exemple, pour notre histoire de France le cas de traître qui tirent les ficelles du pouvoir politique royal ou présidentiel. Les illustres et fameux « conseillers ». Mazarin, Pompidou, Attali pour ne citer qu’eux.

Des femmes également interviennent bien plus souvent qu’il n’y paraît.

Dès lors que l’EMPRISE (anagramme d’empire) opère, le Léviathan ou la mérule sont derrière. Ce qui est valable de nos jours existait donc chez peuples d’Asie (Attila et sa politique de la Terre Brûlée), en Amérique du Sud (anciennes civilisations toltèques et mayas) en Europe.

Cette EMPRISE est la Phase 1 de l’implantation du Nouvel Ordre Mondial, puisque c’est son nom désormais.

« Des spores » ou émissaires du système mondialistes vont s’implanter dans un secteur de préférence solide et porteur. Un secteur ayant pignon sur rue ou ayant l’approbation de la population, voir la confiance.

Ainsi, des grandes religions, des secteurs tels que les syndicats, les industries, la politique se voient infestés par des porteurs d’idées, de concepts du N.O.M. Ce fut probablement le cas de la franc-maçonnerie qui s’est vue elle aussi infestée et dupliquée pour donner ce système à double vitesse : celui du bas de la pyramide maçonnique et celui des hauts initiés (parfois non connus des hauts gradés eux-mêmes).

Si l’on prend l’exemple d’une entreprise florissante : elle se verra sans le savoir initialement embaucher des personnes dont l’objectif correspond au développement de type moisissure.

« Porteurs d’idées novatrices et ambitieuses », ces émissaires vont radicalement changer le sens premier de l’entreprise jusqu’à la rendre méconnaissable par les premières personnes concernées : les salariés et ceux qui sont les créateurs initiaux de ses grandes sociétés. Développement à croissance exagérée, et artificielle (avec la complicité des systèmes bancaires).

Se faisant, l’infestation se développe. En général, il faut compter des périodes de 7 ans, rarement 7 mois entre la primo-infestation et la ruine du secteur ou entreprise (notons ici que la durée des mandats présidentiels était de sept années).

C’est exactement ce qui s’est passé dans mon entreprise. Celle où j’ai débuté ma carrière dans le secteur de « industrie pharmaceutique, sans m’étendre sur le sujet. Une entreprise phare qui a intégré dans son équipe dirigeante à la maison mère un ancien Rothschild (et accessoirement ayant été membre du Savour Club60) désormais PDG d’une structure exclusivement Biotech. Une « spore » en quelque sorte n’agissant pas seul évidemment.

Une croissance anormalement rapide en 7 ans (notez la base 7) boostée par 7 banques, pour finalement aboutir à un démantèlement total du groupe et des milliers de salariés et cadres sur le carreau. Certains s’en sortiront mieux que d’autres d’autant que le dépôt de bilan et la cessation du groupe intervenaient exactement au moment où les mesures prises par Pierre Bérégovoy commençaient à être appliquées, entraînant une refonte totale du paysage de l’industrie pharmaceutique : réduction des effectifs terrain, Charte des bonnes pratiques, obligation de diplômes pour l’information médicale auprès des prescripteurs…
Avec du recul et surtout en faisant le lien avec l’ensemble des éléments récoltés, je suis convaincue que mon entreprise a servi d’exemple pour l’ensemble du secteur de la prestation.

Le fait que le groupe ait été placé en liquidation judiciaire le 17/01/2007 compte tenu de l’importance qu’accordent les francs-maçons, la kabbale et l’ensemble de ces formations hermétiques ne fait que me convaincre plus encore.

Et si l’on compare avec d’autres secteurs, comme l’informatique, l’industrie textile… c’est exactement la même chose, le même schéma. D’un autre côté, c’est le seul que le cartel reproduit depuis plus de 6000 ans.

Pour faire simple, parmi les « spores » nous retrouvons des personnes issues de la sphère Rothschild (banque et Savour — ex Savour Club — qui en cherchant plus d’informations posent plus que des interrogations sur la réalité de cette société très en lien avec la Chine depuis l’accord passé entre la France et ce pays par Monsieur Raffarin alors Premier ministre, Christine Lagarde entre autres. Ce sujet sera abordé en annexe), mais aussi des personnes désormais — en 2021 — en affaire avec Hong Kong.

b) Phase 2 : « Cycle de Réplication » ou clonage du N.O.M selon le principe de la Mérule

Cette deuxième Phase de processus de la Serpula Lacrymans rapporté au Nouvel Ordre Mondial intervient lorsque le site d’infestation n’a plus de nourriture à apporter. Techniquement cela se résume en deux principes :

  • l’ensemble de l’édifice ou société (ou secteur public/privé) est exsangue de savoirs et compétences. Le NOM n’a plus rien à apprendre du site infesté.
  • Les spores ont proliféré et pour survivre la Serpula lacrymans va alors se répliquer ou dupliquer au moyen de ses spores initiales et de ceux qui se seront développés au sein même de la structure.

Rapporté à l’exemple vécu : cela revient à après liquidation judiciaire du groupe à voir l’ensemble des salariés disséminé. Que ce soient ceux qui étaient « du bon côté » du secteur de l’industrie pharmaceutique, mais aussi « les Spores » initiales et les jeunes pousses.

En toute logique, ces spores vont intégrer d’autres structures et procéder de la même manière. Infester le milieu en « ingérant les savoirs et compétences » intrinsèques de chaque entreprise (publique ou privée). Se les approprier pour ensuite les cloner tout en sabordant à nouveau. On constater généralement des liquidations rapides après n « sauvetage artificiel » pour les entreprises en difficulté. Ce qui est l’autre versant de l’infiltration du système mérulaire après celui de la croissance anormale (que l’on peut comparer à la fable de « la grenouille et le bœuf » de la Fontaine). Ce qui nous amène à la « phase 3 » du système d’expansion du nouvel ordre mondial selon le modèle de la serpula lacrymans.

c) Phase3 : “Expansion exogène du N.O.M selon le principe de la Mérule

Le système d’expansion de proche en proche étant de manière préférentielle celle des initiés aux arcanes du Nouvel Ordre Mondial. On parlera ici des « Spores » initiales qui elles resteront sur le même segment d’exercice, mais sur le mode « Phase 3 » du développement de la Mérule.

Ces individus, une fois le « sale boulot » effectué ne seront pas inquiétés. Au contraire, ils feront comme pour tous les autres secteurs économiques et a fortiori en politique « un crochet » dans leur carrière.

Entendez par là qu’ils trouveront un poste similaire dans des structures proches de celles qu’ils ont mises à sac. Cependant, les enjeux ne seront pas tant de viser des entreprises ayant pignon sur rue comme le consortium français. Disons plutôt que la nuance réside dans le fait que les structures « tampon » permettent de ne pas avoir de rupture sur les C.V. tout en maintenant la « philosophie » du NOM : fragiliser des entreprises, soit pour les détruire, soit pour les faire absorber par de faux concurrents… ou enfin pour permettre le clonage des structures initialement allopathiques (voir homéopathiques) en laboratoires orientés biotechnologie chapeautés par un cabinet-conseil américain l’ERDYN61 62 63

Nous mettrons l’accent sur ce cabinet-conseil ayant des succursales à Paris, Rennes et Lyon dans notre troisième partie du Guide Stratégique. Et également dans le dossier conjoint puisque dans le volet « Littératie appliquée à l’éducation nationale », le rôle de ce cabinet-conseil auprès du ministère de l’Éducation nationale est expliqué

En effet, cet élément fait partie des Biais que nous avons trouvés au cours de nos enquêtes, notamment pour ce qui concerne un sujet qui nous touche particulièrement : les jeunes et la pression mise sur eux dans le cadre du système scolaire.

Particularité de ces personnes généralement placées en haut de l’organigramme : elles ont toutes des activités annexes en lien avec des actions philanthropiques ou de promotion du « savoir-vivre à la française » qui d’une façon ou d’une autre nous ramène au groupe Rothschild. Certaines déposent même des « noms de marques » à l’INPI (sujet troublant qui si nous en avons l’occasion fera l’objet d’une annexe).

Quoi qu’il en soit, tous et toutes gravitent de près ou de loin avec la Chine et le commerce lié au secteur viticole via le Savour Club. Ce club nous interpellant lui aussi, vu les noms importants et leur influence dans le secteur des fonds de dotations comme le Thôt.64 Dont on a placé en références un document extrait du Journal Officiel (Rapport du commissaire aux comptes sur les comptes annuels 2010) Détail pour le moins intéressant : la page Wikipédia « Fond de dotation Thot » a disparu. Ce qui n’est pas dramatique puisqu’elle avait été archivée et sera mise en annexe. Sachant que les dirigeants de cette structure franco-suisse ont dirigé les regroupements de mutuelles comme MMA et ont été également occupés des postes clés au Savour Club plus d’autres informations pour le moins incontournables de nos jours, il y a fort à parier que de plus en plus d’informations vont disparaître de la toile. Il est d’autant plus intéressant d’aller y voir de plus près sur ce qu’est un fond de dotation65.

Sur le principe de la mérule, lorsque plusieurs après le début des enquêtes nous essayons de trouver des informations sur ce désormais mystérieux fond, on trouve ceci :

• L’école THOT66 pour « Transmettre un Horizon à Tous ». Par principe, tout ce qui est d’inspiration ancienne Égypte, gréco-romaine et spécifiquement les dieux, le domaine apicole, vinicole sont liés au nouvel ordre mondial. Concernant cette école, on ne saurait que trop vous conseiller d’aller sur le site et de bien regarder ce qu’il en est. En veillant à bien lire chaque page sans oublier les rubriques qui se trouvent tout en bas et qu’on ne lit jamais.

Ici a été reproduit le plus fidèlement possible le processus de la Serpula lacrymans ou Mérule rapporté à notre société au sens large. Cela implique tous les secteurs économiques, politiques, religieux en France comme à l’international. Et pour donner un autre visage à cette organisation criminelle, c’est avec le BLOB que nous terminerons de définir l’anatomie du Nouvel Ordre Mondial.

Le Blob

De tous les articles que j’ai lus sur cet organisme vivant de la famille des amibes, c’est celui du site « Vikidia »67 qui est le plus intéressant et riche d’informations. Terminer la description du nouvel ordre mondial en le comparant au Blob permet de véritablement se représenter ce cartel aussi bien sur le fond que sur la forme.

Il est plus que conseillé d’aller consulter le site mis en référence bas de page ; vous y trouverez beaucoup de schémas, des vidéos pédagogiques et si l’on remplace le terme Blob par « Nouvel Ordre Mondial », nul doute qu’il sera plus facile de cheminer tout au long de l’enquête.

Anecdote, c’est l’engouement des sites médiatiques mainstream qui a attiré notre attention. « Trop de tapage » en quelques sortes, et surtout un schéma récurrent du discours unique qui occulte totalement le fait que ce blob n’ait pas tout dit de lui. La force avec laquelle les scientifiques — notamment du CNRS — promeuvent cette « chose » ; le fait qu’elle soit commercialisée et en vente libre, et spécifiquement sous forme de « Kit laboratoires » à destination des jeunes, n’a fait que nous alerter… Une fois de plus.

Ce qui suit sont des extraits du site Vikidia, la seule modification apportée sera l’ajout des termes « Nouvel Ordre Mondial », « cartel » ou tout autre déterminant.

a) Sommaire du site Vikidia

b) Définition

‘Physarum polycephalum (Nouvel Ordre Mondial), plus communément appelé blob, est une espèce de myxomycète faisant partie de la famille des Physaraceae et du règne des Amoebozoaires (comme l’amibe). Ce curieux organisme est composé d’une seule et unique cellule géante. Bien que dépourvu de cerveau ou de système nerveux, cet organisme vivant est tout de même capable d’apprendre. Ce n’est ni un animal, ni une plante, ni un champignon. Il vit dans les sous-bois depuis plus d’un milliard d’années. À l’état naturel, il se nourrit de bactéries et de moisissures (champignons). En laboratoire, les scientifiques leur donnent des flocons d’avoine, mais ils se nourrissent en fait des bactéries présentes sur l’avoine. Il existe plus de 1 000 espèces différentes de blobs.’

c) Reproduction et cycle de vie

Reproduction

“Le blob (Nouvel Ordre Mondial) est, comme nous, issu de la fusion de deux cellules sexuées. Elles ne sont pas appelées ovules ou spermatozoïdes, car le blob possède 720 sexes différents (équivalant au principe du polymorphisme énoncé ultérieurement). Une fois dans un milieu humide, ces cellules sexuées (appelées spores — individu infiltrant un système publique/privé ; une entreprise, une association, un mouvement populaire. Principe déjà évoqué par l’analogie avec la serpula larcymnans…) comme pour les champignons) partent en quête d’une cellule de type sexe différent. Avec plus de 720 possibilités, la tâche est plutôt facile. Lorsque deux cellules de sexes différents (appelés gamètes) se rencontrent, elles fusionnent pour devenir une cellule unique (œuf). Mais là, contrairement à nous, la cellule ne va pas se diviser, seul son noyau va le faire (phénomène de duplication ou clonage du nouvel ordre mondial. Par exemple, l’industrie pharmaceutique allopathique a été dupliquée ou clonée. Ils gardent “leur apparence initiale”, conservent le même nom ; la même vitrine, les mêmes axes de communication puis le remplacement se fait progressivement pour migrer vers la biotech exclusivement. C’est le cas pour tous les laboratoires y compris ceux dont on n’entend plus parler comme Servier) Le blob grandira donc au gré des divisions de ses noyaux jusqu’à atteindre des tailles record”. (C’est le principe de la phase 3 expliqué avec la mérule)

Plasmode

La principale phase du blob (du cartel) est le plasmode, ou plasmodium. Ce plasmode est constitué de réseaux de veines qui assurent la distribution des nutriments (par nutriments il faut comprendre systèmes bancaires, prosélytismes idéologiques, informations/désinformations au moyen des supports adaptés à l’époque. Manuscrits, imprimerie, télévisuelle, audiovisuelle…), et de nombreux noyaux (par exemple : si les Nations unies sont le « noyau source » ; les « nombreux noyaux » dans le descriptif correspondent à l’ONU, l’OTAN, l’OMS…) C’est au cours de cette étape que l’organisme cherche de la nourriture (nous, en individuel et/ou collectif). Le blob (Nouvel Ordre Mondial/ la franc-maçonnerie…) entoure sa nourriture (toujours nous) et sécrète des enzymes pour la digérer (guerre, épidémie, famine, Traffic en tout genre, atteintes à la dignité touchant tout le monde vivant : faune/flore/humanité…). Ce procédé est appelé phagocytose. Si les conditions environnementales entraînent la déshydratation du blob lors de l’alimentation ou de migration, il se formera alors un sclérote. Le sclérote est constitué de tissus très renforcés servant de stade de dormance, assurant ainsi la protection du blob pendant de longues années. Une fois les conditions favorables revenues, le blob réapparaît pour poursuivre sa quête de nourriture (c’est comme cela que ce cartel a traversé les temps, alternant des périodes actives et des périodes de sommeil). D’un point de vue historique, on peut rapprocher ces périodes de « dormance » — façon Hibernatus (ou cryogénie chère à Laurent Alexandre) — aux disparitions subites des civilisations majeures et de leurs cultes. Mésoaméricains/Egyptiens/Grèce antique/Sumériens… Un détail, lorsque cette « organisation » se réveille, elle reprend son cycle, mais adapté à l’époque. C’est pourquoi on passe du « nouvel ordre du monde » dans la Genèse au « Nouvel Ordre du Monde » au XXIe siècle).

Sporification

« Quand les réserves alimentaires sont épuisées et qu’il a atteint une taille suffisante, le blob (l’organisation, les 1 %) entre en phase de reproduction. Des poches contenant les spores (sporocystes) se forment dans le plasmode (voir le chapitre serpula lacrymans). Elles se forment habituellement à l’air libre pour que les spores soient dispersées par le vent (entendez par là que tout est fait à la vue de tous, comme, par exemple, l’ensemble de la politique d’Emmanuel Macron qui finit de saccager la France. Annoncé en amont par Jacques Attali qui “habitue” les gens à vivre des catastrophes. Cela concerne également les entreprises qui essaiment à tout vent…) Les spores peuvent rester viables pendant des années. Lorsque les conditions environnementales sont favorables à la croissance, les spores germent et libèrent des cellules flagellées. Les cellules fusionnent ensuite pour former un nouveau plasmode ». (C’est le cas actuellement avec le mouvement néonazi qui de groupuscules épars « insignifiants » a fusionné avec une autre cellule pour donner le gouvernement actuel en Ukraine)

Schéma décrivant le cycle de vie du blob.

Il ne s’agit pas de décliner l’ensemble de l’article ici. Simplement de vous donner un aperçu de la transposition qui peut être faite entre cet organisme particulier et les élites mondialistes.

Concernant le chapitre « La personnalité chez les blobs », il est intéressant de noter que selon les continents le mécanisme d’un organisme à un autre diffère. Par exemple, dans l’article en s’appuyant sur les travaux d’Audrey Dussutour68 et David Vogel, on apprend que certains blobs sont cannibales.
De la même manière, il apparaît que les surfaces d’infestation diffèrent selon le type d’amibes.

Les volets « Apprentissage et mémoire » et « Anticipation » ne peuvent pas être mis de côté. Sur le même principe, ils seront recopiés intégralement et des translations en lien avec le Nouvel Ordre Mondial seront ajoutées.

Apprentissage et mémoire

L’expérience de Toshiyaki69 sur l’optimisation d’un réseau.
Le blob apprend en l’absence de cerveau. Dans un article publié par l’équipe d’Audrey Dussutour dans une revue scientifique internationale. « Le segment de la mémoire du blob est la substance elle-même, résume la chercheuse. C’est un peu comme si pour apprendre ses devoirs, un élève devait les manger ». Malgré sa simplicité apparente, le blob démontre une forme d’intelligence primitive. Il est ainsi capable de trouver le chemin le plus court dans un labyrinthe, de former des réseaux optimisés ou d’équilibrer son régime alimentaire. Une étude réalisée par le professeur japonais Toshiyaki Nagakaki démontre que le blob est capable d’optimisation. Il disposa des flocons d’avoine sur une surface de manière à reproduire le réseau ferroviaire japonais. Il y plaça un blob et observa la façon dont celui-ci relie les différentes sources de nourriture. Le résultat fut surprenant : le blob avait créé un réseau mieux optimisé et plus efficace que le réseau japonais en seulement 24h, alors que des ingénieurs avaient passé plus de 50 ans à le concevoir ! Et même si une rame était inutilisable, il était quand même possible de relier le tout.

Anticipation

En générant de façon répétée des stimuli de chaud et de froid au blob et ce avec 60 minutes d’intervalle, des biophysiciens de l’Université d’Hokkaidō (dont le professeur Toshiyaki Nagakaki) ont découvert que le blob peut anticiper ces stimuli en y réagissant même quand ceux-ci étaient absents. Ils ont également montré que ces résultats pouvaient être obtenus en appliquant les stimuli avec un intervalle de 30 ou 90 minutes.
Ce paragraphe est intéressant si l’on considère que par anticipation et mémorisation les élites mondialistes connaissent mieux la nature humaine que nous. Ce qui permet par exemple de savoir exactement « où, quand, comment » procéder pour mener l’humanité exactement comme elles l’entendent.
En agissant sur les instincts primaires (survie), rien de plus facile en effet que de provoquer des psychoses généralisées (pandémie/guerre/écologie…). Si en plus cet organisme a développé des outils pour absorber les mémoires collectives en quelque sorte, l’exercice est enfantin.

L’expérience de Toshiyaki sur l’optimisation d’un réseau.

Parmi les éléments mis à disposition du public visé dans l’article (les 8-13 ans), il en est qui ne doivent pas être mis de côté :

  • Sont référencés plus de 1000 espèces de blobs à travers le monde.
  • Ils sont présents sur tous les continents, mais aussi dans le milieu aquatique et dans des zones où les températures sont extrêmes (déserts/glaciers).
  • Des recherches sont faites en robotique pour « coupler » ces organismes primitifs à des robots. Voir page suivante.

« À Bristol, le professeur Andrew Adamatzky7071 utilise l’activité électrique du blob pour créer de nouveaux protocoles pour les robots. En greffant un blob à un robot, celui-ci se déplace en fonction des impulsions électriques du blob. Cette découverte permettrait à l’avenir de créer des robots capables de s’adapter constamment à leur environnement et de réagir et en conséquence, à la manière du blob. »

Ci-dessus quelques couvertures d’ouvrages d’Andrew Adamastzky. Lorsque l’on s’attarde sur ses recherches, et ses centres d’intérêt, que l’on met en parallèle les produits biotechnologiques (Pfizer, Moderna…) et que l’on regroupe l’ensemble des informations, émettre l’hypothèse que des savants fous puissent inoculer des spores en plus du graphène et autres HIV, semble être une piste sérieuse à explorer.

Pourquoi cette remarque ?
Si l’on en juge les propos tenus par Laurent Alexandre72, l’avenir de ces « privilégiés » est la cryogénisation. Sa crainte : que les générateurs et sources d’énergie tombent en panne.
Ce qui reviendrait à les transformer — lui et les autres — en momie dans son sarcophage high-tech façon Toutankhamon. Pourquoi ne pas imaginer que des scientifiques planchent sur le moyen de générer de l’énergie autrement et d’éviter la panne électrique comme le mentionne Laurent Alexandre ?

À force de récolter une somme conséquente d’informations (y compris scientifiques), cette projection qui consiste à préparer nos organismes à devenir des piles Duracell n’est pas à mettre de côté. Loin s’en faut. Et opérer à un switch du fer dans l’Hème (contenu dans l’hémoglobine) par du cuivre n’a rien d’une utopie.

Étudier ce personnage qu’est Laurent Alexandre73 a permis d’ouvrir des pistes d’investigations connexes — certes glaçantes — mais très efficaces. Rendez-vous dans le dossier « Reine Blanche » pour avoir plus d’informations.

Conclusion

En rapprochant le Nouvel Ordre Mondial d’organismes vivants comme la serpula lacrymans et plus encore le blob, on peut désormais avoir une projection physique et anatomique de ce cartel millénaire.

Il faut bien comprendre que les recherches nous amènent à explorer des vecteurs d’informations réellement disparates. Ainsi, lorsque l’on a visité les sites en lien avec l’informaticien Andrew (ou Andy) Adamastzky, sont ressortis des éléments récurrents et qui posent interrogations, avec entre autres cette volonté d’attribuer des termes dont l’usage entre dans le registre des sciences du vivant à des secteurs manufacturés (architecture, urbanisme, informatique). De la même manière, et sur le même site internet, on découvre que des termes propres à des insectes de la famille des hyménoptères (abeilles, guêpes…) aux humains, voire des rapprochements mnémotechniques qui font assimiler technologie et génétique. La capture écran de ce site catalan (Iaac : Institut d’architecture avancée catalan74) donne qu’un aperçu.

Une chose est certaine, on assiste à une réelle infestation de tous les secteurs selon le principe « mérule/blob » avec en plus des hybridations illimitées : où l’on mélange règne animal ou des insectes avec l’humain (selon l’idéal maçonnique) ; ou technologie et amibes sont couplées… il n’y a plus de limites. Le monde des chimères, des hybrides de tout type.

Pour les cinéphiles et les plus anciens d’entre nous, le Blob est un film d’horreur des années 50 avec l’acteur Steve Mc Queen où il est question d’un « monstre gélatineux dévorant tout sur son passage ». Film faisant écho à un livre de science-fiction « Invasion of the Body Snatchers » (l’invasion des voleurs de corps75). Il va de soi que l’on fait le lien avec cet ouvrage, plusieurs fois adapté au cinéma, non pas pour le côté « invasion extra-terrestre, même végétale » — bien que parfois il est à se demander si nos élites vivent sur la même planète — mais sur le modèle de clonage-réplication vu également avec la serpula lacrymans. À méditer.

Synthèse

Dans ce dossier de présentation, ont été placés des éléments de natures diverses qui tous sont en lien avec les pratiques du Nouvel Ordre Mondial sans exception. On a travaillé exclusivement à débusquer « les empreintes » laissées par le cartel français, pour ensuite les regrouper par thèmes.

Le reste du document réparti en dossiers à thématique vise, non seulement à en faire la démonstration, mais aussi, et surtout : donne des faisceaux d’indices, des hypothèses de travaux complémentaires et outils pour donner à tous ceux qui le souhaitent — experts, professionnels ou simplement des personnes désireuses de changer de paradigme — des moyens, des arguments permettant de les confronter.

L’objectif étant de comprendre « comment nous en sommes arrivés là ». Si l’ensemble des fichiers apporte des décryptages et une sélection d’éléments « à charge », l’un d’entre eux — a contrario — est une succession d’informations irréfutables qui donnera l’articulation, la chronologie ou le squelette du Plan français pour céder la France aux mondialistes.

Rapporté au jeu de stratégie des Échecs, cela revient en définitive à considérer ce dossier comme la « Reine Blanche » sur le damier ou à la lame de la Force dans le jeu des Tarots de Marseille ou Besançon (qui, on le rappelle ici étaient maçonniques pour l’un et dissident pour l’autre).
Plutôt que de rester focus sur notre actualité politique, sanitaire, économique ; ce dossier tout comme celui qui analyse le secteur de la Santé traitent les informations de façon panoramique sans distinction de temporalité ni de thème. En réalité, on a enquêté de façon globale, terme emprunté aux mondialistes du cartel.

Rappel :

• Si vous ne croyez pas en l’occultisme EUX si.

• Le système du cartel millénaire est millénaire et les informations sont disséminées sur toutes sortes supports : religieux, artistiques, politiques sans distinction d’époque, de culture ou de géographie (de tout temps et sur l’ensemble des continents) d’où la variété de références et illustrations.

« À cœur vaillant, rien d’impossible ».

On a mis nos vies entre parenthèses pour mener nos recherches et tout notre cœur pour monter ces dossiers. Ne reste plus qu’à vous souhaiter le meilleur et surtout de commencer à entrevoir des pistes de solutions.

[Voir aussi :
500 millions
La France et les pays de l’Union Européenne sont-ils des pays « test » pour l’agenda 2030 ?
Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste
Le nouvel ordre des barbares ou comment le Great Reset est programmé depuis 1969 au moins
La synagogue de Satan]





Le Forum Économique Mondial nous promet l’esclavage par l’Intelligence Artificielle

[Source : fr.gatestoneinstitute.org]

[Illustration : photo de Fabrice Coffrini/AFP via Getty Images]

Par J.B. Shurk

Traduction du texte original : The World Economic Forum’s ‘AI Enslavement’ is Coming for YOU!

La mission du Forum Économique Mondial (World Economic Forum, WEF) est remarquablement simple : le gouvernement mondial doit être confié aux meilleurs et aux plus intelligents. En langage WEF, un schéma de supervision totale et de modification du comportement créera un avenir « durable » pour l’humanité. Les humains sont perçus comme des « choses » à compter, mélanger, catégoriser, étiqueter, surveiller, manipuler et contrôler. Ils deviennent de simples rouages ​​de la grande machine technocratique transhumaniste du WEF. Sur la photo : le fondateur et président exécutif du WEF, Klaus Schwab, à Davos le 23 mai 2022.

[Sur l’IA voir aussi :
Le danger manifeste et actuel de l’IA
https://www.anguillesousroche.com/intelligence-artificielle/un-expert-en-ia-affirme-que-chatgpt-est-beaucoup-plus-stupide-que-les-gens-le-pensent/
La Tyrannie Numérique
Des membres du personnel de Google avertissent des dangers de Bard AI
D’après le physicien Philippe Guillemant, l’IA GPT-4 est une mystification annonciatrice d’une maladie]

Quand Sir Thomas More a écrit sa satire sociopolitique sur une société insulaire fictive dans le Nouveau Monde, il l’a baptisée Utopia, un terme inventé dérivé du grec et signifiant « non-lieu ». More a eu beau expliquer avec humour que sa communauté idéalisée n’existait nulle part, des planificateurs centraux sont demeurés imperméables à la plaisanterie et, de siècle en siècle, ont poursuivi le fantasme de sociétés utopiques. Pire encore, chaque fois qu’une communauté religieuse pacifique a cherché à se séparer de la civilisation moderne, un tyran avide a surgi qui a entrepris d’imposer sa volonté à tous les autres.

À chaque génération, un mégalomane se lève pour proclamer : « si le monde fait exactement ce que je demande, je lui offrirai le paradis sur Terre ». Habituellement, ces personnalités narcissiques entrent dans l’Histoire avec l’étiquette de bouffons vaniteux ou de tyrans sanguinaires — et le plus souvent les deux.

Aujourd’hui, Klaus Schwab, leader du Forum économique mondial (WEF), promet un « Great Reset » (Grande Réinitialisation) à l’humanité. Son Utopia combinera une technologie de précision, une gestion centralisée des ressources de la Terre, la surveillance attentive des citoyens, la fusion de l’intelligence humaine et artificielle et la centralisation du pouvoir politique entre les mains d’une petite classe de professionnels à l’expertise reconnue. Bien que le WEF ait passé les 50 dernières années à organiser des conférences, à publier des propositions politiques et à mettre en relation les leaders mondiaux de l’industrie, de la banque, des technologies de l’information, de la collecte de renseignements, de la stratégie militaire et de la politique, son objectif est remarquablement simple : les meilleurs et les plus intelligents devraient gouverner le monde.

Hormis ses prétentions à « sauver le monde » d’une croissance démographique incontrôlée et d’une apocalypse climatique, le WEF ne présente rien de nouveau sous le soleil. Ses racines plongent deux millénaires et demi en arrière quand Platon, le philosophe grec, a proposé que la cité-État idéale soit gouvernée par des « rois philosophes ». Tout comme Platon, les « élites » mondialisées du Forum économique mondial ont passé le monde au crible et en ont conclu — faut-il s’en étonner ? — que les sages devraient prendre le pouvoir. Loin de promouvoir une quelconque idée nouvelle, Schwab et ses acolytes marchent sur les traces d’un Grec de l’Antiquité. Depuis un demi-siècle, les membres du WEF sont en quête d’un gouvernement mondial parfait. Nul besoin de demander l’avis des populations occidentales concernées, Ô surprise, ces « rois philosophes » se sont autoproclamés dirigeants du monde. Comme c’est pratique !

Comme toutes les utopies qui eu lieu précédemment, le nouvel ordre mondial du WEF s’avère remarquablement centralisé. Les « experts » du climat désigneront les types d’énergie que les entreprises et les consommateurs seront autorisés à utiliser. D’autres « experts » en durabilité établiront la liste des aliments autorisés (principalement aux non-membres de l’« élite »). Des « experts » de la désinformation détermineront ce qui mérite d’être connu et débattu. Des « experts » de la santé calculeront le nombre de « vaccins » toujours plus récents qu’il convient d’injecter à chacun ; ils diront également si les citoyens doivent être confinés « pour leur propre bien » et si des masques faciaux doivent être portés pour mesurer le niveau d’obéissance de la population. Les « experts » de l’extrémisme détermineront les types de discours « nuisibles ». Les « experts » du racisme expliqueront à tous que certains groupes sociaux bénéficient d’un « privilège » indu. Des « experts » de l’inégalité redéfiniront le droit de propriété et les groupes que l’État doit récompenser. Des « experts » de tout ce qui est nécessaire à l’État expliqueront que l’État agit raisonnablement à chaque étape du processus. Bien entendu, la liberté de pensée, la liberté d’expression, les droits individuels, et d’autres libertés personnelles ne figurent pas au programme de l’avenir conçu par le WEF pour la bonne raison qu’ils sont étrangers à l’expertise approuvée par les rois philosophes. À aucun moment, les besoins, les désirs ou les préoccupations d’un individu ne devront entraver le « souverain bien ». C’est la vision terne de l’Utopia version Schwab.

Pour réussir, Schwab et le clan WEF utiliseront les nouvelles technologies. Elles serviront à affaiblir la race humaine plutôt qu’à la renforcer. Chacun est déjà familiarisé avec les conditions de son futur asservissement. Les monnaies numériques de la banque centrale permettront aux gouvernements non seulement de suivre les revenus et les dépenses de chaque citoyen en temps réel, mais aussi de limiter les dépenses d’une personne en fonction de son score de « crédit social ». Ce dernier aura été déterminé par le gouvernement, ou relativement aux infractions commises envers le « bien commun » ou peut-être en raison de la détention injuste d’un « privilège systémique ». Les passeports numériques de vaccination autoriseront non seulement un suivi universel des déplacements de chaque personne, mais garantiront également le respect — avec punitions à la clé — des futures ordonnances obligatoires lors de la proclamation des « urgences sanitaires ». Des empreintes carbone personnelles seront créées qui mesureront le niveau de « culpabilité » de chaque individu dans le changement climatique d’origine humaine. Ces empreintes carbone auront pour conséquence d’enregistrer tout ce qu’une personne mange et chacun de ses déplacements, tout en « incitant » constamment chaque citoyen à modifier son comportement, à l’aide de récompenses et de sanctions numériques. Il va sans dire que des pouvoirs aussi omnipotents inciteront tous les gouvernements à multiplier les atteintes à la vie privée tandis que les « urgences sanitaires » deviendront de plus en plus nombreuses tandis que les « incitations » et autres coups d’épaule (nudge) du gouvernement se feront chaque fois plus intrusifs.

Ce descriptif semble plus dystopique qu’utopique et ressemble à s’y méprendre à une prison indésirable surveillée par des matons gouvernementaux qui n’ont de comptes à rendre à personne. Mais telle est la situation. Les fanatiques du WEF ne cachent même plus leurs intentions, allant déjà jusqu’à promouvoir la construction de « Villes intelligentes » ou de « Villes de Quinze Minutes » dans lesquelles il est prévu d’entasser des dizaines de millions de personnes vivant côte à côte dans de petits complexes d’appartements et se déplaçant dans un labyrinthe d’entrées et de sorties accessibles uniquement à l’aide de clés numériques individualisées. L’objectif est de créer un panoptique numérique mettant en œuvre tous les programmes de surveillance ci-dessus, pour fournir aux futurs dirigeants un contrôle absolu, plongeant le monde dans un état permanent d’incarcération docile. Dans le langage du WEF, ces schémas de surveillance totale et d’incitation à la modification des comportements créeront un avenir « durable » pour l’humanité. Il ne fait aucun doute que les gardiens de prison ressentent la même chose lorsque les condamnés sont gardés derrière les barreaux dans des rangées de cages sécurisées. La différence est que dans l’Utopie du WEF, aucun crime n’a besoin d’être commis pour se voir infliger les « récompenses » injustes de Schwab.

Si les Occidentaux prenaient conscience de ce qui les attend, ils risqueraient l’apoplexie et résisteraient au nouvel ordre mondial du WEF. C’est ce qui explique que la guerre la plus importante jamais menée est celle qui n’est jamais discutée ouvertement dans la presse : la guerre secrète de l’information. Lorsque les gens sont autorisés à débattre ouvertement d’idées sur la place publique (y compris les médias sociaux et les pages Web libres de toute interdiction de la part des moteurs de recherche), ce « marché libre » mène les idées là où les gens qui débattent ont envie de les mener. Mais pour que les « narratifs » mis au point par les gouvernements survivent, mais aussi dominent toutes les opinions dissidentes, les plates-formes alliées au gouvernement doivent faire pencher la balance de la liberté d’expression en leur faveur en ridiculisant, censurant voire en criminalisant les pensées et les paroles dissidentes. Sur tout autre marché, une telle ingérence serait considérée comme une entente anticoncurrentielle qui viole les lois antitrust. Mais parce que les acolytes du Forum économique mondial traitent le droit d’échanger des idées contradictoires comme une « désinformation » dangereuse, le « libre marché des idées » s’est transformé en un « espace sûr » contrôlé pour les amis du gouvernement.

Que se passe-t-il lorsque l’ambivalence du gouvernement envers la liberté d’expression rencontre la force technocratique amorale de l’Utopia mondiale du WEF ? Eh bien, comme l’a récemment proclamé Herr Schwab au Sommet mondial des gouvernements de Dubaï, à l’occasion d’un débat sur l’intelligence artificielle (IA), les chatbots et les identités numériques : « Celui qui maîtrise ces technologies sera — d’une certaine manière — le maître du monde ». (Après une telle déclaration, le projet de gouvernement mondial peut-il être toujours qualifié de « théorie du complot » ?) Si le WEF contrôle le monde numérique, alors il contrôlera essentiellement le peuple. Certaines idées qui relevaient autrefois de la science-fiction deviennent aujourd’hui réalité : les technocrates du WEF ont même un plan pour « pirater » l’esprit des salariés en surveillant et en décodant leurs ondes cérébrales.

Google est à la pointe de ce combat pour le contrôle de la pensée : le géant de la recherche sur Internet a en cours un programme de « pre-bunking » destiné à « immuniser » les gens contre la « propagande » ou la « désinformation ». En d’autres termes, il s’agit d’endoctriner les internautes bien intentionnés avec une propagande brassée maison et estampillée Google. En manipulant ses utilisateurs à leur insu, le mastodonte des moteurs de recherche pense pouvoir conjurer les idées concurrentes. Génial !

Bill Gates, le fondateur de Microsoft, est du même avis. Au journal allemand Handelsblatt, l’expert autoproclamé des vaccins a affirmé que les technologies de l’IA représentent de puissants outils de lutte contre la « désinformation numérique » et la « polarisation politique ». Cette déclaration fait suite à une découverte récente selon laquelle Microsoft s’est servie d’un think tank britannique, Global Disinformation Index (GDI), pour inscrire discrètement les médias conservateurs américains sur une liste noire de manière à les priver de revenus publicitaires. Le comble ? Le département d’État américain a financé le « travail sur la désinformation » du GDI en versant des fonds publics à l’association National Endowment for Democracy et à sa filiale Global Engagement Center pour que ces fonds soient ensuite reversés à GDI, juste avant que GDI ne blanchisse la sordide discrimination des idées prônée par Microsoft et d’autres entreprises derrière un mince voile d’« objectivité ».

Fidèles aux préconisations du WEF de construire un partenariat tout-puissant entre le secteur privé et les autorités gouvernementales, Microsoft et le Département d’État ont trouvé le moyen de saper la dissidence en demandant à une organisation tierce, GDI, de qualifier de « désinformation nuisible » tous les discours inscrits sur sa « Liste d’exclusion dynamique ».

Partout en Occident — Allemagne, Canada, Suisse, Belgique — des médias financés par des fonds publics travaillent ensemble à « développer des solutions en ligne » pour contrer « les commentaires haineux et la désinformation croissante ». Qu’est-ce qui pourrait mal tourner lorsque des institutions contrôlées par l’État s’entendent pour contrôler l’information ? Comme en a témoigné Yoel Roth, ancien responsable « Confiance et Sécurité » de Twitter, devant le Congrès, « la liberté d’expression illimitée se traduit paradoxalement par moins de parole, pas par plus ». De cette norme orwellienne du double langage, la frontière entre la protection de la liberté d’expression et la censure pure et simple passe par le fait de savoir si l’orateur articule un point de vue conforme aux idées de la coalition des titans de la Big Tech et des autorités gouvernementales ou non. Dans l’Utopia de Schwab, la véritable liberté d’expression n’a pas sa place.

Que se passe-t-il lorsque la censure est entièrement contrôlée par les outils numériques de l’intelligence artificielle (IA) ? Certains dirigeants politiques ont lancé un avertissement sur la « menace existentielle » que l’IA fait courir à l’humanité. Et des pionniers de la technologie comme Eric Schmidt, ancien cadre supérieur de Google, reconnaissent bien volontiers que les systèmes informatiques alimentés par l’IA devraient être considérés comme des équivalents nucléaires. Cela n’empêche pas la ruée vers une Utopia structurée par l’IA de se poursuive à toute allure. Toute personne saine d’esprit devrait réclamer du temps pour la réflexion. Car les biais cognitifs des Gates, Schmidt et autres « élites » de la Big Tech se répercuteront très certainement en biais numériques au sein de tout système d’intelligence artificielle.

ChatGPT, un logiciel d’intelligence artificielle lancé à la fin de l’année dernière, manifeste d’ores et déjà d’effrayants partis pris politiques. Il a ainsi expliqué qu’une insulte raciale était bien pire que l’anéantissement d’une ville par une bombe nucléaire. Une autre fois, ChatGPT a justifié l’annihilation des électeurs de Trump comme un mal nécessaire à la « défense de la démocratie » et a réclamé le blocage des « discours dangereux », tout en affirmant simultanément que « l’IA ne devrait pas permettre d’attenter à la liberté d’expression » des partisans de Biden. Quant au chatbot d’IA de Microsoft, à peine avait-il commencé de fonctionner qu’il a menacé ses utilisateurs.

Ces premiers signes troublants accréditent la comparaison de Schmidt entre l’IA et une bombe nucléaire. Mais les scientifiques impliqués dans le projet Manhattan de construction d’un engin nucléaire n’avaient pas — contrairement aux élites du WEF — le désir inextinguible de retourner ces armes impressionnantes d’IA contre les peuples occidentaux dont ils sont eux-mêmes issus.

De toute évidence, si le Forum économique mondial de Schwab se voit en maître du monde d’une utopie à base d’IA, cette dernière n’a que peu d’utilité pour les êtres humains. Dans ce système, le genre humain n’est plus qu’une « chose » qu’il faut compter, mélanger, catégoriser, étiqueter, surveiller, manipuler et contrôler. Chacun devient un rouage ​​de la grande machine technocratique transhumaniste du WEF — utile pendant un temps, peut-être, mais à terme un fardeau qu’il faut nourrir, loger et dont on peut logiquement se passer. Si l’intelligence artificielle peut élaborer la réflexion dont Schwab a besoin et soutenir les idées qu’il adore, alors les humains vont finir par représenter un obstacle. Plus le Forum économique mondial avancera dans son utopie centralisée, plus la « chosification » de la race humaine avancera à pas de géant vers son élimination.




Histoire juive, religion juive : le poids de trois millénaires, par Israël Shahak

[Source : lecridespeuples.fr via arretsurinfo.ch]

Histoire juive, religion juive: le poids de trois millénaires”, du Professeur Israël Shahak, est un ouvrage majeur consacré au judaïsme et plus particulièrement aux lois talmudiques. Il apporte un éclairage saisissant sur le dogme religieux et l’histoire des communautés juives, ou encore le traitement des non-juifs par les juifs, dont seuls les lecteurs de l’hébreu sont familiers.

Publié en anglais en 1994, il reste une lecture incontournable pour comprendre les fondements idéologiques de la politique israélienne et l’action des lobbys pro-israéliens dans le monde, en particulier aux Etats-Unis et en France : comme le montre l’auteur, « ni le sionisme, y compris sa partie apparemment laïque, ni la politique israélienne depuis la création de l’État d’Israël, ni en particulier la politique des partisans juifs d’Israël dans la diaspora, ne peuvent être compris sans prendre en compte l’influence plus profonde de ces lois talmudiques, et la vision du monde qu’elles créent et expriment…

Si les politiques israéliennes restent incompréhensibles pour les observateurs étrangers, c’est précisément parce qu’ils ne daignent pas s’intéresser au judaïsme tel qu’il est pratiqué et à ‘l’idéologie juive’, dont ils ne connaissent souvent rien d’autre que de grossières apologies. » 

Avec l’adoption de la loi fondamentale faisant d’Israël l’Etat-nation du peuple juif en 2018, l’avènement de l’ultra-droite nationaliste et religieuse au pouvoir en Israël début 2019, la censure et la répression de plus en plus sévère de toute action de dénonciation et de boycott d’Israël au nom de la prétendue lutte contre l’antisémitisme et la judéophobie, et le projet d’Accord du Siècle qui doit définitivement liquider la cause palestinienne, tant de développements qui confirment les craintes et prédictions d’Israël Shahak, ce livre est même plus indispensable que jamais.

Israël Shahak espérait que son ouvrage, destiné au public occidental, serait un précurseur à des écrits authentiques sur l’histoire et les réalités du judaïsme talmudique contemporain (surtout celui qu’incarnent Israël et ses partisans de la diaspora), dépourvus de mensonges par omission et de falsifications. Malheureusement, mais de manière prévisible, ce livre a été soumis à une véritable omerta médiatique. Aujourd’hui encore, on continue à rattacher spontanément l’Etat d’Israël à l’Ancien Testament alors que c’est le Talmud qui en compose le cœur.

Comme le souligne Israël Shahak, « Israël en tant qu’État juif constitue un danger non seulement pour lui-même et ses habitants, mais pour tous les Juifs et pour tous les autres peuples et États du Moyen-Orient et au-delà. Je considère également que d’autres États ou entités du Moyen-Orient qui se définissent comme ‘arabes’ ou ‘musulmans’, tout comme Israël se définit en tant que ‘juif’, constituent également un danger. Cependant, bien que le danger d’origine arabo-musulmane soit largement discuté, le danger inhérent au caractère juif de l’État d’Israël ne l’est pas. »

Cette traduction vise à remédier à ce manque, en rendant aisément accessible au public français cette analyse objective et documentée du talmudisme, et de son rôle dans le fondement et la politique d’Israël, tout à fait assimilables au wahhabisme et à l’Arabie Saoudite.

Sayed Hasan

HISTOIRE JUIVE, RELIGION JUIVE : LE POIDS DE TROIS MILLÉNAIRES

Par ISRAËL SHAHAK

Traduction : lecridespeuples.fr

Israël Shahak, né en 1933 à Varsovie, et mort à Jérusalem en 2001, était un Professeur de chimie à l’Université hébraïque de Jérusalem. Il fut le Président de la Ligue israélienne pour les droits humains et civils de 1970 à 1990. Rescapé des camps de concentration nazis, il fut un ardent militant pour la paix, extrêmement critique des gouvernements israéliens et de la société israélienne.

Chapitre I

Une utopie close ?

Je rapporte ici ce que j’estime être vrai, car les histoires des Grecs sont nombreuses et à mon avis ridicules. (Hécatée de Milet, cité par Hérodote)

Amicus Plato sed magis amica veritas – Platon est mon ami, mais la vérité l’est davantage. (Paraphrase traditionnelle d’un passage de l’Ethique d’Aristote)

Dans un État libre, tout homme peut penser ce qu’il veut et dire ce qu’il pense. (Spinoza)

Ce livre, bien que rédigé en anglais et destiné à des personnes vivant en dehors de l’État d’Israël, est en quelque sorte une continuation de mes activités politiques en tant que Juif israélien. Ces activités ont commencé en 1965-66 par une manifestation qui avait provoqué un scandale considérable à l’époque. J’avais personnellement été témoin de la scène suivante : un Juif ultra-religieux a refusé d’autoriser l’utilisation de son téléphone le jour du Sabbat afin d’appeler une ambulance pour un non-juif qui s’était effondré dans son quartier de Jérusalem, victime d’une crise cardiaque. Au lieu de me contenter de publier l’incident dans la presse, j’ai demandé à rencontrer les membres du tribunal rabbinique de Jérusalem, composé de rabbins nommés par l’État d’Israël. Je leur ai demandé si un tel comportement était conforme à leur interprétation de la religion juive. Ils ont répondu que le Juif en question s’était comporté correctement, voire pieusement, et ont appuyé leur déclaration en me renvoyant à un passage d’un recueil de lois talmudiques faisant autorité, et rédigé au cours de ce siècle. J’ai rapporté l’incident au principal quotidien hébreu, Ha’aretz, dont la publication provoqua un scandale médiatique.

Les résultats du scandale ont été plutôt négatifs à mes yeux. Ni les autorités rabbiniques israéliennes, ni celles de la diaspora ne sont jamais revenues sur ce verdict selon lequel un Juif ne devait pas violer le Sabbat afin de sauver la vie d’un gentil (non-juif/goy). Elles y ont adjoint tout un chapelet d’âneries moralisatrices byzantines selon lesquelles si la conséquence d’un tel acte met les Juifs en danger, la violation du Sabbat est permise, pour leur bien. En m’appuyant sur les connaissances acquises dans ma jeunesse, j’ai commencé à étudier les lois talmudiques régissant les relations entre Juifs et non-juifs, et il est devenu clair à mes yeux que ni le sionisme, y compris sa partie apparemment laïque, ni la politique israélienne depuis la création de l’État d’Israël, ni en particulier la politique des partisans juifs d’Israël dans la diaspora, ne peuvent être compris sans prendre en compte l’influence plus profonde de ces lois talmudiques, et la vision du monde qu’elles créent et expriment. Les politiques suivies par Israël après la guerre des Six Jours, et en particulier le caractère d’Apartheid du régime israélien dans les territoires occupés et l’attitude de la majorité des Juifs à l’égard de la question des droits des Palestiniens, même dans l’abstrait, n’ont fait que renforcer cette conviction.

En faisant cette déclaration, je n’essaie pas d’écarter les considérations politiques ou stratégiques qui ont également pu influencer les dirigeants d’Israël. Je dis simplement que la politique réellement appliquée est une interaction entre des considérations réalistes (qu’elles soient à mes yeux valables ou erronées, morales ou immorales) et des influences idéologiques. Ces dernières ont tendance à être d’autant plus influentes lorsqu’elles sont moins discutées et « traînées à la lumière du jour ». Toute forme de racisme, de discrimination et de xénophobie devient plus puissante et plus influente sur le plan politique si elle est considérée comme allant de soi par la société qui s’y adonne. Cela est particulièrement vrai s’il est interdit d’en discuter, que cet interdit soit formel ou tacite. Lorsque le racisme, la discrimination et la xénophobie sont répandus parmi les Juifs et dirigés contre des non-juifs, alimentés par des motivations religieuses, cela ressemble à son cas opposé, celui de l’antisémitisme et de ses motivations religieuses. Aujourd’hui, cependant, alors que l’antisémitisme est largement discuté, l’existence même du racisme juif contre les goym est généralement ignorée, plus en dehors d’Israël qu’à l’intérieur de l’État juif.

Définir l’État juif

Sans une discussion sur le comportement quotidien des Juifs vis-à-vis des non-juifs, même le concept d’Israël comme « État juif », tel qu’Israël se définit formellement, ne peut être compris. L’idée fausse, mais couramment répandue, selon laquelle Israël, même sans tenir compte de son régime dans les territoires occupés, est une véritable démocratie, découle du refus de se confronter à la signification du terme « État juif » pour les non-juifs. À mon avis, Israël en tant qu’État juif constitue un danger non seulement pour lui-même et ses habitants, mais pour tous les Juifs et pour tous les autres peuples et États du Moyen-Orient et au-delà. Je considère également que d’autres États ou entités du Moyen-Orient qui se définissent comme « arabes » ou « musulmans », tout comme Israël se définit en tant que « juif », constituent également un danger. Cependant, bien que le danger d’origine arabo-musulmane soit largement discuté, le danger inhérent au caractère juif de l’État d’Israël ne l’est pas.

Le principe d’Israël en tant qu’« État juif » a revêtu une importance primordiale pour les politiciens israéliens dès la création de l’État, et fut inculqué à la population juive de toutes les manières imaginables. Lorsque, au début des années 1980, une infime minorité de Juifs israéliens s’opposant à ce concept est apparue, une loi constitutionnelle (c’est-à-dire une loi prévalant sur les dispositions des autres lois, et qui ne peut être révoquée, sinon par le biais d’une procédure spéciale) a été adoptée en 1985 par une énorme majorité de la Knesset. En vertu de cette loi, aucun parti dont le programme s’oppose ouvertement au principe d’« État juif », ou proposant de le modifier par des moyens démocratiques, n’est autorisé à participer aux élections à la Knesset. Je suis moi-même fermement opposé à ce principe constitutionnel. La conséquence juridique pour moi est que je ne peux pas appartenir, dans l’État dont je suis citoyen, à un parti ayant des principes avec lesquels je serais d’accord et qui serait autorisé à participer aux élections à la Knesset. Cet exemple même montre que l’État d’Israël n’est pas une démocratie, en raison de l’application d’une idéologie juive dirigée contre tous les non-juifs, et contre les Juifs qui s’opposent à cette idéologie. Mais le danger que représente cette idéologie dominante ne se limite pas aux affaires intérieures. Ce suprématisme influence également la politique étrangère israélienne. Ce danger continuera de croître tant que deux développements actuellement en cours continueront à être renforcés, à savoir l’insistance sur le caractère juif d’Israël, et l’augmentation de sa puissance, en particulier de sa puissance nucléaire. Un autre facteur inquiétant est que l’influence israélienne au sein de l’establishment politique américain augmente également. Par conséquent, des informations précises sur le judaïsme, et en particulier sur le traitement réservé aux non-juifs par Israël, sont désormais non seulement importantes, mais également vitales sur le plan politique.

Permettez-moi de commencer par la définition officielle israélienne du terme « Juif », illustrant la différence cruciale entre Israël en tant qu’« État juif » et la majorité des autres États. Selon cette définition officielle, Israël « appartient » aux personnes que les autorités israéliennes définissent comme « juives », quel que soit leur lieu de résidence, et à elles seules. D’un autre côté, Israël n’appartient officiellement pas à ses citoyens non juifs, dont le statut est considéré même officiellement comme inférieur. Cela signifie en pratique que si les membres d’une tribu péruvienne se convertissent au judaïsme et sont donc considérés comme Juifs, ils ont immédiatement le droit de devenir citoyens israéliens et de bénéficier des quelque 70 % des terres de la Cisjordanie (et des 92 % d’Israël proprement dit), officiellement décrétés comme étant au bénéfice exclusif des Juifs. Il est interdit à tous les non-juifs (et pas seulement aux Palestiniens) de tirer profit de ces terres. (L’interdiction s’applique même aux Arabes israéliens qui ont servi dans l’armée israélienne et y ont atteint un grade élevé.) L’affaire impliquant des convertis péruviens au judaïsme s’est effectivement produite il y a quelques années. Les Juifs nouvellement créés ont été installés en Cisjordanie, près de Naplouse, sur des terres dont les non-juifs sont officiellement exclus. Tous les gouvernements israéliens prennent d’énormes risques politiques, y compris le risque de guerre, pour faire en sorte que de telles colonies, composées exclusivement de personnes définies comme « juives » (et non « israéliennes » comme le prétendent fallacieusement la plupart des médias) ne soient soumises qu’à une autorité « juive ».

Je soupçonne fortement que les Juifs des États-Unis ou de Grande-Bretagne considéreraient comme antisémite que des chrétiens proposent que les États-Unis ou le Royaume-Uni deviennent un « État chrétien », n’appartenant qu’à des citoyens officiellement qualifiés de « chrétiens ». La conséquence d’une telle doctrine est que les Juifs qui se convertissent au christianisme deviendraient des citoyens à part entière à cause de leur conversion. Il convient de rappeler que les avantages des conversions sont bien connus des Juifs par leur propre histoire. Quand les États chrétiens et l’islamiques pratiquaient la discrimination à l’encontre de toutes les personnes n’appartenant pas à la religion de l’État, y compris les Juifs, la discrimination à l’égard des Juifs était immédiatement supprimée par leur conversion. De même, un non-juif discriminé par l’État d’Israël cessera d’être traité ainsi dès qu’il se convertira au judaïsme — si sa conversion est acceptée par les autorités rabbiniques. Cela montre simplement que le même genre d’exclusivisme que la majorité des Juifs de la diaspora considèrent comme antisémite lorsque les Juifs en sont victimes est considéré par la majorité des Juifs comme proprement juif et donc tout à fait normal lorsque ce sont seulement les non-juifs qui en sont victimes. Mais s’opposer à la fois à l’antisémitisme et au chauvinisme juif est considéré par la majorité des Juifs comme de la « haine de soi », un concept que je considère absurde.

La signification du terme « Juif » et de ses mots apparentés, y compris « judaïsme », devient donc aussi importante, dans le contexte de la politique israélienne, que la signification du terme « islamique » utilisé officiellement par l’Iran, ou du terme « communiste » lorsqu’il était officiellement utilisé par l’URSS. Cependant, le sens du terme « Juif » tel qu’il est couramment utilisé n’est pas clair, que ce soit en hébreu ou lorsqu’il est traduit dans d’autres langues, si bien que ce terme a dû être défini officiellement.

Selon la loi israélienne, une personne est considérée comme « juive » 1/si sa mère, sa grand-mère, son arrière-grand-mère et son arrière-arrière-grand-mère étaient juives de religion ; ou 2/si la personne a été convertie au judaïsme d’une manière satisfaisante pour les autorités israéliennes, et 3/à condition qu’elle ne se soit pas convertie du judaïsme à une autre religion, auquel cas Israël cesse de les considérer comme « Juifs ». Parmi les trois conditions, la première représente la définition talmudique de « Qui est juif », définition suivie par l’orthodoxie juive. Le Talmud et la loi rabbinique post-talmudique reconnaissent également la conversion d’un non-juif au judaïsme (ainsi que l’achat d’un esclave non-juif par un Juif suivi d’un type de conversion différent) comme une méthode pour devenir juifs, à condition que la conversion soit effectuée de manière appropriée par des rabbins autorisés. Cette « manière convenable » implique, pour les femmes, leur inspection par trois rabbins dans un « bain de purification » où elles doivent être totalement nues, rituel qui, bien que notoire pour tous les lecteurs de la presse hébraïque, n’est pas souvent mentionné par les médias anglophones [ni par les médias francophones, si soucieux de défendre la « dignité de la femme » lorsqu’il s’agit de pourfendre l’Islam] malgré son intérêt incontestable pour certains lecteurs. J’espère que ce livre marquera le début d’un processus visant à rectifier cette contradiction [le moins qu’on puisse dire, est que ces espoirs ont été déçus].

Mais un autre motif impérieux nécessite une définition officielle de qui est et qui n’est pas « Juif ». L’État d’Israël discrimine officiellement en faveur des Juifs et contre les non-juifs dans de nombreux domaines de la vie, dont je considère trois comme étant les plus importants : le droit de résidence, le droit au travail et le droit à l’égalité devant la loi. La discrimination en matière de résidence est fondée sur le fait qu’environ 92 % des terres israéliennes sont la propriété de l’État et sont administrées par l’Autorité foncière israélienne conformément aux règles édictées par le Fonds national juif (FNJ), affilié à l’Organisation sioniste mondiale. Dans ses règlements, le FNJ refuse le droit de résider, d’ouvrir une entreprise et souvent aussi de travailler à quiconque n’est pas juif, uniquement parce qu’il n’est pas juif. Dans le même temps, il n’y a aucun endroit d’Israël où il soit interdit aux Juifs de s’installer ou d’ouvrir des entreprises. Si elle était appliquée dans un autre État contre les Juifs, une telle pratique discriminatoire serait immédiatement qualifiée d’antisémitisme et susciterait sans aucun doute des manifestations populaires massives. Mais lorsque de telles lois sont appliquées par Israël dans le cadre de son « idéologie juive », elles sont en général pieusement ignorées ou, dans les rares cas où elles sont mentionnées, excusées.

Le déni du droit au travail signifie qu’il est officiellement interdit aux non-juifs de travailler sur des terres administrées par l’Autorité foncière israélienne, conformément à la réglementation du FNJ. Nul doute que ces réglementations ne sont pas toujours appliquées, voire même sont souvent contournées, mais elles existent. De temps à autre, Israël tente de lancer des campagnes d’application de la loi via les autorités de l’État, comme par exemple lorsque le ministère de l’Agriculture s’attaque à « la peste qui consiste à laisser les vergers fruitiers appartenant à des Juifs et situés sur des terres nationales [c’est-à-dire des terres appartenant à l’État d’Israël] être récoltés par des ouvriers arabes », même si les ouvriers en question sont des citoyens d’Israël. En outre, Israël interdit formellement aux Juifs installés sur un « territoire national » de sous-louer ne serait-ce qu’une partie de leur territoire à des Arabes, même pour une courte période ; et ceux qui le font sont punis, généralement par de lourdes amendes. Mais il n’est pas interdit aux non-juifs de louer leurs terres à des Juifs. Cela signifie, dans mon cas, qu’en tant que juif, j’ai le droit de louer un verger à un autre Juif pour récolter son produit, mais un non-juif, citoyen israélien ou étranger résidant, n’a pas ce droit.

Les citoyens non juifs d’Israël n’ont pas droit à l’égalité devant la loi. Cette discrimination est exprimée dans de nombreuses lois israéliennes dans lesquelles, sans doute pour éviter tout embarras, les termes « Juif » et « non-Juif » ne sont généralement pas explicitement énoncés, alors qu’ils le sont dans la loi fondamentale du retour. Selon celle-ci, seules les personnes officiellement reconnues comme « juives » ont automatiquement le droit d’entrer en Israël et de s’y établir. Ils reçoivent automatiquement un « certificat d’immigration » qui leur fournit à leur arrivée « la citoyenneté en vertu de leur retour dans la patrie juive », ainsi que le droit à de nombreux avantages financiers, qui varient quelque peu en fonction du pays d’où ils ont émigré. Les Juifs qui émigrent des États de l’ex-URSS reçoivent « une allocation d’absorption » de plus de 20 000 dollars par famille. Tous les Juifs qui immigrent en Israël au titre de cette loi acquièrent immédiatement le droit de voter aux élections et d’être élus à la Knesset, même s’ils ne parlent pas un mot d’hébreu.

D’autres lois israéliennes substituent aux mots « Juif » et « non-Juif » les expressions plus obtuses « quiconque peut immigrer conformément à la loi du retour » et « quiconque n’est pas autorisé à immigrer conformément à la loi du retour ». Selon la loi considérée, les avantages sont ensuite accordés à la première catégorie et systématiquement refusés à la seconde. Le moyen habituel de faire respecter la discrimination au quotidien est la carte d’identité, que tout le monde est obligé de porter à tout moment. Les cartes d’identité indiquent la « nationalité » officielle d’une personne, qui peut être « juive », « arabe », « druze », etc., mais jamais « israélienne ». Toutes les tentatives visant à forcer le ministère de l’Intérieur à autoriser les Israéliens à se faire qualifier officiellement d’« Israéliens », voire même de « Juifs israéliens » sur leurs cartes d’identité ont échoué. Ceux qui ont tenté de le faire ont reçu une lettre du ministère de l’Intérieur indiquant qu’« il avait été décidé de ne pas reconnaître une nationalité israélienne ». La lettre ne précise pas qui a pris cette décision ni quand.

Il y a tellement de lois et de règlements en Israël qui discriminent en faveur des personnes définies comme « ceux qui peuvent immigrer conformément à la loi du retour » que le sujet exigerait un livre à part. Nous pouvons considérer un exemple, apparemment trivial par rapport aux restrictions de résidence, mais néanmoins importantes, car il révèle les véritables intentions du législateur israélien. Les citoyens israéliens qui ont quitté le pays pour un certain temps, mais qui sont définis comme ceux qui « peuvent immigrer conformément à la loi du retour » sont éligibles, à leur retour, à des avantages douaniers généreux, à recevoir une subvention pour les études secondaires de leurs enfants, et à recevoir une subvention ou un prêt à des conditions très avantageuses pour l’achat d’un appartement, ainsi que d’autres avantages. Les citoyens qui ne peuvent pas être ainsi définis, en d’autres termes, les citoyens non juifs d’Israël, ne bénéficient d’aucun de ces avantages. L’intention évidente de telles mesures discriminatoires est de réduire le nombre de citoyens israéliens non-juifs, afin de faire d’Israël un État plus « juif ».

L’idéologie de la « Rédemption » des Terres

Israël propage également parmi ses citoyens juifs l’idéologie exclusiviste de la Rédemption des Terres. Son objectif officiel de minimiser le nombre de non-juifs peut clairement être perçu dans cette idéologie inculquée aux écoliers juifs en Israël. On leur enseigne que cet « irrédentisme » israélien s’applique à l’ensemble de l’État d’Israël, ou, après 1967, à ce qu’on appelle la Terre d’Israël. Selon cette idéologie, la terre « rachetée » (ou terre « sauvée ») est celle qui est passée des mains de non-juifs aux mains des Juifs. La propriété peut être soit privée, soit appartenir au FNJ ou à l’État juif. Les terres appartenant à des non-juifs sont au contraire considérées comme « non rachetées » (en quelque sorte « occupées », « souillées »). Ainsi, si un Juif qui a commis les crimes les plus noirs que l’on puisse imaginer achète un morceau de terre à un non-juif vertueux, la terre « non rachetée » devient « rachetée » par une telle transaction. Cependant, si un homme vertueux non-juif achète une terre au pire des Juifs, la terre qui était pure et « rachetée » redevient « non rachetée ». La conclusion logique d’une telle idéologie est l’expulsion, appelée « transfert », de tous les non-juifs de la Terre qui doit être « rachetée ». Par conséquent, l’utopie de « l’idéologie juive » adoptée par l’État d’Israël est celle d’une Terre qui aurait été entièrement « rachetée », où aucun lopin ne serait possédé ou exploité par des non-juifs. Les dirigeants du mouvement travailliste sioniste ont exprimé cette idée abjecte avec la plus grande clarté. Walter Laquer, un sioniste dévoué, raconte dans son Histoire du sionisme1 comment l’un de ces pères spirituels, A.D. Gordon, décédé en 1919, « s’est par principe opposé à la violence et n’a justifié la légitime défense que dans des circonstances extrêmes. Mais lui et ses amis souhaitaient que chaque arbre et chaque buisson de la patrie juive ne soient plantés par personne d’autre que par des pionniers juifs. » Cela signifie qu’ils voulaient que tous les autres habitants de la terre de Palestine s’en aillent et laissent la terre être « rachetée » par des Juifs. Les successeurs de Gordon ont déployé plus de violence que prévu, mais le principe de « rédemption » et ses conséquences sont restés.

De la même façon, le kibboutz, largement salué comme une tentative de créer une utopie, était et reste une utopie exclusiviste ; même s’il est composé d’athées, il n’accepte pas les membres arabes par principe et exige que les membres potentiels d’autres nationalités soient d’abord convertis au judaïsme. Il n’est pas étonnant que les hommes du kibboutz puissent être considérés comme le segment le plus militariste de la société juive israélienne.

C’est cette idéologie exclusiviste, plutôt que tous les « besoins de sécurité » allégués par la propagande israélienne, qui détermine l’accaparement de territoires par Israël dans les années 1950, puis au milieu des années 1960 et dans les territoires occupés après 1967. Cette idéologie dicta également des plans israéliens officiels pour la « judaïsation de la Galilée ». Ce terme curieux signifie l’encouragement des Juifs à s’installer en Galilée en leur apportant des avantages financiers. (Je me demande quelle serait la réaction des Juifs américains si un projet de « christianisation de New York », ou même de Brooklyn, était proposé dans leur pays.) Mais la rédemption de la Terre suppose plus qu’une « judaïsation » régionale. Dans toute la région d’Israël, le FNJ, vigoureusement soutenu par les agences de l’État israélien (en particulier par la police secrète), dépense de grosses sommes d’argent public pour « racheter » toutes les terres que les non-juifs sont disposés à vendre, et pour préempter toute tentative d’un Juif de vendre sa terre à un non-juif (en l’achetant à un prix plus élevé).

Expansionnisme israélien

Le principal danger qu’Israël, en tant qu’« État juif », fait courir à son propre peuple, aux autres Juifs et à ses voisins, réside dans sa quête idéologique d’expansion territoriale et dans la série inévitable des guerres résultant de cet objectif. Plus Israël devient juif, ou, comme on le dit en hébreu, plus Israël « retourne au judaïsme » (un processus en cours au moins depuis 1967), plus sa politique réelle est guidée par des considérations idéologiques juives, et de moins en moins par des considérations rationnelles. Mon utilisation du terme « rationnel » ne fait pas référence à une évaluation morale de la politique israélienne, ni aux prétendus besoins de défense ou de sécurité d’Israël — et encore moins aux supposés besoins de la « survie d’Israël ». Je parle ici de la politique impériale israélienne fondée sur ses intérêts présumés. Si immoral et politiquement grossier que soit cet impérialisme, j’estime que l’adoption de politiques fondées sur « l’idéologie juive », dans toutes ses versions, est encore pire. Les défenses idéologiques de la politique israélienne reposent généralement sur les croyances religieuses juives ou, dans le cas des Juifs laïques, sur les « droits historiques » des Juifs, qui découlent de ces croyances et conservent le caractère dogmatique de la foi religieuse.

Ma propre conversion politique précoce du statut d’admirateur de Ben Gourion à celui de son adversaire acharné a justement commencé avec un tel problème. En 1956, j’ai avalé avec enthousiasme toutes les raisons politiques et militaires avancées par Ben Gourion pour justifier le déclenchement de la guerre de Suez par Israël, jusqu’à ce que celui-ci (bien qu’athée et affichant fièrement son mépris à l’égard des commandements de la religion juive) affirme à la Knesset, le troisième jour de cette guerre, que le véritable objectif de celle-ci était « la restauration du royaume de David et de Salomon » sur ses frontières bibliques. À ce moment de son discours, presque tous les membres de la Knesset se sont spontanément levés et ont chanté l’hymne national israélien. À ma connaissance, aucun politicien sioniste n’a jamais répudié l’idée de Ben Gourion selon laquelle les politiques israéliennes doivent être fondées (dans les limites des considérations pragmatiques) sur la restauration des frontières bibliques en tant que frontières de l’État juif. En effet, une analyse minutieuse des grandes stratégies israéliennes et des principes réels de la politique étrangère, tels qu’ils sont exprimés en hébreu, montre clairement que c’est « l’idéologie juive », plus que tout autre facteur, qui détermine la politique réelle d’Israël. Si les politiques israéliennes restent incompréhensibles pour les observateurs étrangers, c’est précisément parce qu’ils dédaignent de s’intéresser au judaïsme tel qu’il est pratiqué et à « l’idéologie juive », dont ils ne connaissent souvent rien d’autre que de grossières apologies.

Laissez-moi vous donner une illustration plus récente de la différence essentielle qui existe entre les projets impériaux les plus ambitieux d’Israël (mais d’inspiration laïque), et les principes de « l’idéologie juive ». L’idéologie juive stipule que toute terre qui était soit dirigée par un dirigeant juif dans les temps anciens, soit qui fut promise par Dieu aux Juifs, que ce soit dans la Bible, ou, ce qui est en réalité plus important politiquement, selon une interprétation rabbinique de la Bible et du Talmud, doit nécessairement appartenir à Israël, puisqu’il s’agit d’un État juif. Nul doute que beaucoup de « colombes » parmi les dirigeants juifs sont d’avis qu’une telle conquête devrait être reportée à un moment où Israël sera plus fort qu’aujourd’hui, ou qu’il y aura, espèrent-ils, « une conquête pacifique », c’est-à-dire que les dirigeants ou les peuples arabes seraient « persuadés » de céder les terres en question en échange d’avantages que l’État juif leur conférerait ensuite.

Plusieurs versions divergentes des frontières bibliques de la Terre d’Israël, que les autorités rabbiniques considèrent comme appartenant idéalement à l’État juif, sont en circulation. Les plus étendues d’entre elles incluent les zones suivantes à l’intérieur de ses frontières : au sud, tout le Sinaï et une partie du nord de l’Égypte jusqu’aux environs du Caire ; à l’est, toute la Jordanie et une grande partie de l’Arabie saoudite, tout le Koweït et une partie de l’Irak au sud de l’Euphrate ; au nord, tout le Liban et toute la Syrie ainsi qu’une grande partie de la Turquie (jusqu’au lac de Van) ; et à l’ouest, Chypre. Un énorme corpus de recherches et de discussions savantes basées sur ces frontières, matérialisées dans des atlas, des livres, des articles et des formes de propagande plus populaires, est publié en Israël, souvent avec des subventions de l’État ou d’autres formes de soutien. Certes, le défunt Kahane et ses partisans, ainsi que des organismes influents tels que Goush Emounim [mouvement politique et messianique israélien prônant la colonisation de tous les territoires bibliques d’Israël], souhaitent non seulement la conquête de ces territoires par Israël, mais la considèrent comme un acte ordonné par Dieu, et sûr de réussir, car il jouira d’un secours divin. En fait, d’importantes personnalités religieuses juives considèrent le refus d’Israël d’entreprendre une telle guerre sainte, voire pire, la restitution du Sinaï à l’Égypte, comme un grand péché national que Dieu a châtié à juste titre. L’un des rabbins les plus influents de Goush Emunim, Dov Lior, rabbin des colonies juives de Kiryat Arba et de Hébron, a répété à plusieurs reprises que l’échec israélien dans la conquête du Liban en 1982-1952 était une punition divine bien méritée pour le péché d’avoir « donné une partie du pays d’Israël », à savoir le Sinaï, à l’Égypte.

Bien que j’aie choisi un exemple extrême des frontières bibliques de la Terre d’Israël qui « appartiennent » à « l’État juif », ces frontières sont très populaires dans les cercles religieux et nationalistes. Il existe des versions moins extrêmes des frontières bibliques, parfois également appelées « frontières historiques ». Il convient toutefois de souligner qu’au sein d’Israël et de la communauté de ses partisans juifs de la diaspora, la validité du concept de frontières bibliques ou de frontières historiques comme délimitant les frontières d’une terre qui appartient de droit aux Juifs n’est pas rejetée pour des raisons de principe, sauf par la minuscule minorité qui s’oppose au concept d’État juif. Autrement, les objections à la réalisation de telles frontières par une guerre sont purement pragmatiques. On peut dire qu’Israël est actuellement trop faible pour conquérir toute la terre qui « appartient » aux Juifs, ou que la perte de vies juives (mais pas de vies arabes !) qu’entraînerait une guerre de conquête d’une telle ampleur serait plus importante que la conquête de la terre, mais dans le judaïsme normatif, on ne peut pas soutenir que « la Terre d’Israël », quelles que soient ses frontières, n’appartient pas à tous les Juifs. En mai 1993, Ariel Sharon a formellement proposé à la Convention du Likoud qu’Israël adopte le concept de « frontières bibliques » comme sa politique officielle. Il y eut assez peu d’objections à cette proposition, que ce soit au sein du Likoud ou en dehors de celui-ci, et toutes étaient fondées sur des considérations pragmatiques. Personne n’a pris la peine de demander à Sharon où se trouvaient exactement les frontières bibliques qu’il exhortait instamment Israël â atteindre. Rappelons que parmi ceux qui se désignaient comme léninistes, il ne faisait aucun doute que l’histoire suivait les principes énoncés par Marx et Lénine. Ce n’est pas seulement la croyance elle-même, si dogmatique qu’elle soit, mais bien le refus de la mettre en doute à quelque moment que ce soit, en empêchant toute discussion ouverte, qui crée un état d’esprit totalitaire. On peut donc dire que la société juive israélienne et les Juifs de la diaspora qui mènent une « vie juive » et sont organisés en organisations exclusivement juives ont une forte tendance au totalitarisme.

Cependant, une grande stratégie israélienne, non basée sur les principes de « l’idéologie juive », mais sur des considérations purement stratégiques ou impériales, s’est également développée dès la création de l’État d’Israël. Une description lucide et faisant autorité des principes qui régissent une telle stratégie a été donnée par le général réserviste Shiomo Gazit, un ancien commandant du renseignement militaire2. Selon Gazit,

La tâche principale d’Israël n’a pas du tout changé [depuis l’effondrement de l’URSS] et elle revêt toujours une importance cruciale. La situation géographique d’Israël au centre du Moyen-Orient arabo-musulman prédestinait Israël à être un gardien dévoué de la stabilité dans tous les pays qui l’entourent. Son rôle est de protéger les régimes existants : d’empêcher ou d’arrêter les processus de radicalisation, et de bloquer l’expansion du fanatisme fondamentaliste.

À cette fin, tout changement qui se produirait hors de nos frontières, mais qui serait jugé intolérable pour Israël sera empêché à tout prix, au point de se sentir obligés d’utiliser toute notre puissance militaire pour prévenir ou éliminer ces phénomènes.

En d’autres termes, Israël vise à imposer son hégémonie à tous les autres États du Moyen-Orient. Inutile de dire que selon Gazit, Israël a une préoccupation bienveillante pour la stabilité des régimes arabes. De l’avis de Gazit, en protégeant les régimes du Moyen-Orient, Israël rend un service vital aux « États industriellement avancés, qui sont tous soucieux de garantir la stabilité au Moyen-Orient ». Il fait valoir que sans Israël, les régimes existants de la région se seraient effondrés il y a longtemps, et qu’ils ne subsisteraient que grâce aux menaces israéliennes. Bien que ce point de vue puisse être hypocrite, il convient de rappeler, dans de tels contextes, la maxime de La Rochefoucauld selon laquelle « L’hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu ». La Rédemption de la Terre est une tentative d’éviter de s’acquitter d’un tel tribut.

Il va sans dire que je suis également totalement opposé aux politiques non idéologiques israéliennes telles qu’elles sont expliquées de manière si lucide et adéquate par Gazit. En même temps, je reconnais que les dangers de la politique de Ben Gourion ou de Sharon, motivée par « l’idéologie juive », sont bien pires que de simples politiques impériales, si criminelles que soient ces dernières. Les résultats des politiques d’autres régimes motivés par des considérations idéologiques vont dans le même sens. L’existence d’une composante importante de la politique israélienne, qui repose sur « l’idéologie juive », rend son analyse politiquement impérative. Cette idéologie est, quant à elle, basée sur les attitudes du judaïsme historique à l’égard des non-juifs, l’un des thèmes principaux de ce livre. Ces attitudes influencent nécessairement beaucoup de Juifs, consciemment ou inconsciemment. La tâche que nous nous fixons dans cet ouvrage est de discuter du judaïsme historique en termes réels

L’influence de « l’idéologie juive » sur de nombreux Juifs sera d’autant plus forte qu’elle sera plus écartée du débat public. Nous espérons qu’un tel débat amènera le public à adopter la même attitude envers le chauvinisme juif et le mépris manifesté par tant de Juifs envers les non-juifs (qui sera documenté plus bas) que celle qui est communément adoptée contre l’antisémitisme et toutes les autres formes de xénophobie, de chauvinisme et de racisme. On suppose à juste titre que seul un exposé complet, non seulement de l’antisémitisme, mais également de ses racines historiques, qui doit être révélé au grand public, peut constituer la base de la lutte contre la haine des Juifs. De même, je considère que seul le fait de mettre au grand jour le chauvinisme juif et le fanatisme religieux en Israël peut constituer la base de la lutte contre ces phénomènes. Cela est particulièrement vrai aujourd’hui où, contrairement à la situation qui prévalait il y a cinquante ou soixante ans, l’influence politique du chauvinisme juif et du fanatisme religieux est beaucoup plus grande que celle de l’antisémitisme. Mais il y a aussi une autre considération importante. Je crois fermement que l’antisémitisme et le suprématisme juif ne peuvent être combattus que simultanément.

Une utopie close ?

Tant que de telles attitudes ne seront pas largement adoptées, le danger réel des politiques israéliennes fondées sur « l’idéologie juive » restera plus grand que le danger des politiques fondées sur des considérations purement stratégiques. Hugh Trevor-Roper a bien exprimé la différence entre les deux types de politiques dans son essai Sir Thomas More et l’Utopie3, dans lequel il les a appelées platonicienne et machiavélique :

Machiavel s’est du moins excusé des méthodes qu’il jugeait nécessaires en politique. Il a déploré la nécessité du recours à la force et à la supercherie, et ne les a pas appelées autrement. Mais Platon et More les ont sanctifiées, à condition qu’elles soient utilisées pour soutenir leurs propres Républiques utopiques.

De la même manière, les vrais croyants dans cette utopie appelée « État juif », qui s’efforceront d’atteindre les « frontières bibliques », sont plus dangereux que les grands stratèges à la Gazit, car leurs politiques sont sanctifiées soit par l’usage de la religion, soit, pire encore, par le recours à des principes religieux sécularisés qui conservent une validité absolue. Alors que Gazit estime au moins nécessaire de soutenir que le diktat israélien profite aux régimes arabes, Ben Gourion n’a pas prétendu que le rétablissement du royaume de David et de Salomon profiterait à quiconque, si ce n’est à l’État juif.

Utiliser les concepts du platonisme pour analyser les politiques israéliennes fondées sur « l’idéologie juive » ne devrait pas sembler étrange. Plusieurs érudits, dont le plus important était Moïse Hadas, y ont recouru, affirmant que les fondements du « judaïsme classique », c’est-à-dire du judaïsme tel qu’il avait été établi par les sages talmudiques, reposent sur des influences platoniques, et en particulier sur l’image de Sparte telle qu’elle apparaît dans Platon4. Selon Hadas, une caractéristique essentielle du système politique platonicien, adoptée par le judaïsme dès la période maccabéenne (163-142 av. J.-C.), était que « tous les aspects du comportement humain doivent être soumis à des sanctions religieuses qui doivent en réalité être manipulées par les dirigeants ». Il n’existe pas de meilleure définition du « judaïsme classique » et de la façon dont les rabbins l’ont manipulé que cette définition platonicienne. Hadas affirme que le judaïsme a adopté ce que « Platon a lui-même résumé [comme] les objectifs de son programme », dans le fameux passage suivant :

L’essentiel est que personne, homme ou femme, ne doit jamais être sans un officier placé au-dessus de lui et chargé de sa direction, et que personne ne doit prendre l’habitude mentale de prendre quelque initiative, que ce soit sincèrement ou en plaisantant, sous sa responsabilité individuelle. En temps de paix comme en temps de guerre, chaque individu doit toujours avoir les yeux rivés sur son officier supérieur. En un mot, nous devons façonner les esprits de sorte qu’ils n’envisagent même pas d’agir en tant qu’individus, ni ne sachent le faire. (Lois, 942 ab)

Si on remplace le mot « officier » par « rabbin », nous aurons une image parfaite du judaïsme classique. Celui-ci influence encore profondément la société juive israélienne et détermine dans une large mesure la politique israélienne.

C’est le passage cité ci-dessus qui a été choisi par Karl Popper dans La société ouverte et ses ennemis pour décrire l’essence d’une « société close ». Le judaïsme historique et ses deux successeurs, l’orthodoxie juive et le sionisme, sont tous deux des ennemis jurés du concept de société ouverte appliqué à Israël. Un État juif, qu’il soit fondé sur son idéologie juive actuelle ou, si son caractère juif devient encore plus prononcé qu’il ne l’est aujourd’hui, sur les principes de l’orthodoxie juive, ne pourra jamais être une société ouverte. La société israélo-juive fait face à deux choix. Elle peut devenir un ghetto totalement fermé et belliqueux, une Sparte juive, soutenue par le travail des Hilotes arabes, dont l’existence est maintenue par son influence sur l’establishment politique américain et par les menaces d’utiliser son énergie nucléaire, ou bien elle peut tenter de devenir une société ouverte. Le second choix dépend d’un examen honnête de son passé juif, de l’admission de l’existence du chauvinisme et de l’exclusivisme juifs et d’un examen honnête des attitudes du judaïsme à l’égard des non-juifs.

Chapitre II — Préjugés et supercherie

La première difficulté qui se présente lorsqu’on veut parler du judaïsme est que le terme « Juif » a été utilisé au cours des 150 dernières années avec deux significations assez différentes. Pour comprendre cela, imaginons-nous en 1780. À l’époque, le sens universellement accepté du terme « Juif » coïncidait essentiellement avec ce que les Juifs eux-mêmes comprenaient comme constituant leur propre identité. Cette identité était avant tout religieuse, mais les préceptes de la religion régissaient tous les détails de la vie quotidienne dans tous ses aspects, à la fois sociaux et privés, chez les Juifs eux-mêmes ainsi que dans leurs relations avec les non-juifs. Il était alors littéralement vrai qu’un Juif ne pouvait même pas boire un verre d’eau chez un non-juif. Et les mêmes lois fondamentales de comportement envers les non-juifs étaient également valables du Yémen à New York. Quel que soit le terme utilisé pour décrire les Juifs de 1780 — et je ne souhaite pas entrer dans une querelle métaphysique concernant des termes tels que « nation » et « peuple5 » —, il est clair que toutes les communautés juives de cette époque étaient séparées des sociétés non juives au sein desquelles elles vivaient.

Cependant, tout cela a été modifié par deux processus parallèles qui ont commencé en Hollande et en Angleterre, se sont poursuivis dans la France révolutionnaire et dans des pays qui ont suivi l’exemple de la Révolution française, puis dans les monarchies modernes du XIXe siècle : les Juifs ont acquis un niveau significatif de droits individuels (dans certains cas, une pleine égalité juridique) et le pouvoir juridique de la communauté juive sur ses membres a été détruit. Il convient de noter que les deux développements ont été simultanés et que le dernier est encore plus important, bien que moins connu, que le premier.

Depuis la fin de l’Empire romain, les communautés juives disposaient de pouvoirs juridiques considérables sur leurs membres. Non seulement des pouvoirs résultant de la mobilisation volontaire de pressions sociales (par exemple, le refus de traiter de quelque manière que ce soit avec un Juif excommunié ou même d’enterrer son corps), mais également un pouvoir de coercition absolu : flageller, emprisonner, expulser — tout cela pouvait être infligé à n’importe quel Juif en toute légalité par les tribunaux rabbiniques pour des infractions de toutes sortes. Dans de nombreux pays — l’Espagne et la Pologne en sont des exemples notables —, même la peine capitale pouvait être et était infligée, en utilisant parfois des méthodes particulièrement cruelles telles que la flagellation à mort. Tout cela était non seulement autorisé, mais clairement encouragé par les autorités des pays tant chrétiens que musulmans, qui, outre leur intérêt général à préserver « la loi et l’ordre public », avaient aussi parfois un intérêt financier plus direct. Par exemple, dans les archives espagnoles datant des XIIIe et XIVe siècles, de nombreux ordres détaillés émanant des très fervents Rois Catholiques de Castille et d’Aragon recommandaient à leurs responsables non moins dévoués de coopérer avec les rabbins pour faire respecter le sabbat par les Juifs. Pourquoi ? Parce que chaque fois qu’un Juif se voyait infliger une amende par un tribunal rabbinique pour avoir violé le sabbat, les rabbins devaient en remettre les neuf dixièmes au roi — un arrangement très rentable et très efficace. De même, on peut citer les responsa rédigées peu avant 1832 par le célèbre rabbin Moshe Sofer de Pressburg (aujourd’hui Bratislava), dans l’ancien royaume hongrois autonome de l’Empire autrichien, et adressées à Vienne, en Autriche même, où les Juifs s’étaient déjà vus accorder des droits individuels considérables6. Celui-ci y déplore le fait que depuis que la congrégation juive de Vienne a perdu son pouvoir de punir les coupables, les Juifs y sont devenus laxistes en matière d’observance religieuse, et il ajoute : « Ici, à Pressburg, lorsqu’on me dit qu’un commerçant juif a osé ouvrir son magasin pendant les fêtes religieuses mineures, j’envoie immédiatement un policier pour l’emprisonner. »

C’était le fait social le plus important de l’existence juive avant l’avènement de l’État moderne : l’observance des lois religieuses du judaïsme, ainsi que leur inculcation par l’éducation, étaient imposées aux Juifs par la contrainte physique, à laquelle ils ne pouvaient échapper que par la conversion à la religion de la majorité, ce qui équivalait alors à une rupture sociale totale avec toute leur communauté — et même leur famille —, et pour cette raison était très peu faisable en pratique, sauf en cas de crise religieuse. Tout cela est généralement omis dans l’historiographie juive traditionnelle, afin de propager le mythe selon lequel les Juifs ont préservé leur religion par miracle ou grâce à une force mystique particulière.

Cependant, une fois que l’État moderne a été créé, la communauté juive a perdu le pouvoir de punir ou d’intimider les individus juifs. Les liens de l’une des « sociétés closes » les plus fermées, de l’une des sociétés les plus totalitaires de l’histoire de l’humanité, ont été rompus. Cet acte de libération est venu principalement de l’extérieur ; bien que certains Juifs l’aient aidé de l’intérieur, ils étaient au début très peu nombreux. Cette forme de libération a eu des conséquences très graves pour l’avenir. Tout comme pour le cas de l’Allemagne (d’après l’analyse magistrale d’A. J. P. Taylor), il était facile d’allier la cause de la réaction au patriotisme, car dans les faits, les droits individuels et l’égalité devant la loi avaient été introduits en Allemagne par les armées de la Révolution et de Napoléon, et on pouvait donc qualifier la liberté de « non-germanique » ou « anti-germanique », car imposée par la force de l’envahisseur. Il était donc très facile pour les Juifs, en particulier en Israël, de lancer une attaque très efficace contre toutes les notions et idéaux de l’humanisme et de l’état de droit (pour ne pas dire de la démocratie) comme quelque chose de « non-juif » ou « anti-juif » — comme ils le sont effectivement au sens historique des termes —, et en tant que principes pouvant certes être instrumentalisés dans « l’intérêt des Juifs » (tel que déterminé par les rabbins), mais qui n’ont aucune validité contre « l’intérêt des Juifs », par exemple lorsque les Arabes invoquent ces mêmes principes. Cela a également conduit — encore une fois, tout comme en Allemagne et dans d’autres pays d’Europe centrale — à une historiographie juive trompeuse, sentimentale et ultra-romantique, de laquelle tous les faits gênants ont été expurgés.

C’est pourquoi on ne trouvera pas, dans les écrits volumineux d’Hannah Arendt, que ce soit au sujet du totalitarisme ou des Juifs, ou des deux à la fois7, le moindre indice de ce à quoi ressemblait réellement la société juive allemande au XVIIIe siècle : autodafés de livres « hérétiques », persécution d’écrivains, querelles sur les pouvoirs magiques des amulettes, interdiction de l’éducation « non juive » la plus élémentaire, telle que l’enseignement de l’allemand correct ou même de l’allemand écrit en alphabet latin8. On ne trouve pas non plus dans les nombreuses « Histoires du judaïsme » en langue anglaise les faits élémentaires concernant l’attitude du mysticisme juif (tellement en vogue actuellement dans certains milieux) envers les non-juifs, à savoir qu’ils sont considérés, littéralement, comme des membres du corps de Satan, et que les quelques individus non sataniques parmi eux (c’est-à-dire ceux qui se convertissent au judaïsme) sont en réalité des « âmes juives » qui se sont perdues lorsque Satan a violé la Sainte Dame (Shekhinah ou Matronit, l’une des composantes féminines de la déité, sœur et épouse du jeune Dieu mâle selon la cabale) dans sa demeure céleste. Les grandes autorités juives, telles que Gershom Scholem, ont prêté leur autorité à un système de supercherie et de falsifications dans tous les domaines « sensibles », les plus populaires étant les plus emplis de malhonnêteté et de falsifications, ce afin que les non-juifs ne sachent rien de la manière infamante dont ils sont considérés par les Juifs.

Mais la conséquence sociale de ce processus de libéralisation fut que, pour la première fois depuis les alentours de l’an 200 de notre ère9, un Juif pouvait être libre de faire ce qu’il souhaitait, dans les limites du Code civil de son pays, sans avoir à payer pour cette liberté en se convertissant à une autre religion. La liberté d’apprendre et de lire des livres dans les langues modernes, la liberté de lire et d’écrire des livres en hébreu non approuvés par les rabbins (tout livre en hébreu ou en yiddish devait auparavant obtenir un tel accord), la liberté de manger des aliments non casher, la liberté d’ignorer les nombreux tabous absurdes qui régissent la vie sexuelle, même la liberté de penser — car les « pensées interdites » font partie des péchés les plus graves —, tous ces droits ont été accordés aux Juifs d’Europe (et par la suite à ceux d’autres pays) par des régimes européens modernes, voire absolutistes, bien que ces derniers soient à la fois antisémites et oppresseurs. Nicolas Ier de Russie était un antisémite notoire et avait promulgué de nombreuses lois contre les Juifs de son État. Mais il a également renforcé les forces de maintien de l’ordre en Russie — non seulement la police secrète, mais également la police régulière et la gendarmerie — avec pour conséquence qu’il devenait difficile d’assassiner des Juifs sur l’ordre de leurs rabbins, alors que dans la Pologne d’avant 1795, cela était assez facile. L’histoire juive « officielle » le condamne donc pour ces deux chefs d’accusation. Par exemple, à la fin des années 1830, le « rabbin saint » (Tzadik) d’une petite ville juive d’Ukraine avait ordonné qu’un hérétique soit assassiné en étant jeté dans l’eau bouillante des bains de la ville, mais les sources juives contemporaines notaient avec étonnement et horreur que la corruption n’était « plus efficace », et que non seulement les auteurs du meurtre, mais également le Saint-Homme, furent sévèrement châtiés. Le régime de Metternich de l’Autriche d’avant 1848 était notoirement réactionnaire et assez hostile aux Juifs, mais il ne permettait pas que quiconque, même des rabbins juifs libéraux, soit empoisonné. En 1848, lorsque le pouvoir du régime fut temporairement affaibli, la première chose que firent les dirigeants de la communauté juive de la ville galicienne de Lemberg (aujourd’hui Lvov) avec leur liberté retrouvée fut d’empoisonner le rabbin libéral de la ville, que le minuscule groupe juif local non-orthodoxe avait importé d’Allemagne. L’une de ses plus grandes hérésies avait d’ailleurs été de défendre et de célébrer la cérémonie de la Bar Mitzvah, qui venait d’être récemment inventée — et qui est aujourd’hui centrale dans le judaïsme.

Libération depuis l’extérieur

Au cours des 150 dernières années, le terme « Juif » a donc pris un double sens, à la grande confusion de certaines personnes bien intentionnées, notamment dans les pays anglophones, qui s’imaginent que les Juifs qu’elles rencontrent socialement sont « représentatifs » des Juifs « en général ». Dans les pays d’Europe de l’Est ainsi que dans le monde arabe, les Juifs ont été libérés de la tyrannie de leur propre religion et de leurs propres communautés par des forces extérieures, trop tard et dans des conditions trop défavorables pour permettre un véritable changement social intériorisé. Dans la plupart des cas, et en particulier en Israël, l’ancien concept de société, la même idéologie — en particulier vis-à-vis des non-juifs — et la même conception totalement fausse de l’histoire ont été préservés. Cela s’applique même à certains Juifs qui ont rejoint les mouvements « progressistes » ou de gauche. Un examen des partis radicaux, socialistes et communistes peut fournir de nombreux exemples de chauvinistes et de racistes juifs déguisés, qui ont adhéré à ces partis simplement pour des raisons « d’intérêt juif », et qui sont, en Israël, de fervents partisans d’une discrimination « anti-Goys ». Il suffit de vérifier combien de « socialistes » juifs ont réussi à publier des milliers de pages sur le kibboutz sans se soucier de mentionner qu’il s’agit d’une institution raciste dont les citoyens non-juifs d’Israël sont rigoureusement exclus, pour voir que le phénomène auquel nous faisons allusion n’est pas du tout rare10.

En évitant les étiquettes basées sur l’ignorance ou l’hypocrisie, nous voyons donc que le mot « Juif » et les mots apparentés désignent deux groupes sociaux différents et même opposés, et du fait de la politique israélienne actuelle, leur contiguïté est en train de disparaître rapidement. D’une part, il y a la signification totalitaire traditionnelle évoquée ci-dessus ; d’autre part, il y a des Juifs par descendance qui ont intériorisé le complexe d’idées que Karl Popper a appelé « la société ouverte ». (Il y a également certains Juifs, en particulier aux États-Unis, qui n’ont pas intégré ces idées, mais s’efforcent de les afficher ostensiblement.)

Il est important de noter que toutes les prétendues « caractéristiques juives » — par lesquelles j’entends les traits que les pseudo- intellectuels en Occident attribuent aux « Juifs » — sont des caractéristiques modernes, inconnues durant la plus grande partie de l’histoire des Juifs, et sont apparues seulement lorsque la communauté juive totalitaire a commencé à perdre son pouvoir. Prenez, par exemple, le fameux sens de l’humour juif. Non seulement l’humour est-il très rare dans la littérature hébraïque avant le XIXème siècle (et ne se trouve que pendant quelques périodes, dans les pays où la classe supérieure juive était relativement libre du joug rabbinique, comme l’Italie entre le XIVe et le XVIIe siècle ou l’Espagne musulmane), mais l’humour et les plaisanteries sont strictement interdits par la religion juive – sauf, de manière significative, les railleries contre les autres religions. La satire contre les rabbins et les dirigeants de la communauté n’a jamais été intériorisée par le judaïsme, pas même dans une faible mesure, contrairement à ce qu’on peut observer pour le christianisme latin. Il n’y avait pas de comédies juives, tout comme il n’y avait pas de comédies à Sparte, et ce pour une raison similaire11. Ou prenez l’amour du savoir et de l’apprentissage. À l’exception d’un savoir purement religieux, qui était lui-même dans un état dégradé et dégénéré, les Juifs d’Europe (et dans une moindre mesure également ceux des pays arabes) étaient dominés, avant 1780 environ, par un mépris et une haine absolus pour toute connaissance ou apprentissage (à l’exclusion du Talmud et du mysticisme juif). De grandes parties de l’Ancien Testament, toute la poésie hébraïque non liturgique, et la plupart des ouvrages sur la philosophie juive n’étaient pas lus, et leurs noms mêmes ont souvent fait l’objet d’anathèmes. L’étude de toutes les langues était strictement interdite, de même que l’étude des mathématiques et des sciences. La géographie12 et l’histoire — même l’histoire juive — étaient complètement inconnues. Le sens critique, qui est censé être si caractéristique des Juifs, était totalement absent, et rien n’était plus interdit, craint et donc persécuté que l’innovation la plus modeste ou la critique la plus innocente.

C’était un monde plongé dans les superstitions les plus abjectes, le fanatisme et l’ignorance, un monde dans lequel la préface du premier ouvrage de géographie en hébreu (publié en 1803 en Russie) pouvait se plaindre du fait que de nombreux rabbins de tout premier plan niaient l’existence du continent américain en disant que c’était « impossible ». Entre ce monde et ce que l’on prend souvent en Occident pour « caractériser » les Juifs, il n’y a rien de commun, à part un malentendu sur la dénomination.

Cependant, un grand nombre de Juifs d’aujourd’hui sont nostalgiques de ce monde, de leur paradis perdu, de la société fermée et confortable dont ils n’ont pas tant été libérés qu’expulsés. Une grande partie du mouvement sioniste a toujours voulu le restaurer — et cette partie a pris le dessus. La plupart des motivations de la politique israélienne, qui, en Occident, déconcertent tant les malheureux et confus « amis d’Israël », s’expliquent parfaitement dès lors qu’elles sont considérées simplement comme une réaction, une réaction au sens politique que ce mot a depuis deux cents ans : un retour forcé, et à bien des égards novateur, et donc illusoire, à la société close du passé juif.

Obstacles à la compréhension

Historiquement, il est possible de démontrer qu’une société close n’est pas intéressée par une description d’elle-même, sans doute parce que toute description est en partie une forme d’analyse critique et peut donc encourager des « pensées interdites » critiques. Plus une société devient ouverte, plus elle est intéressée à réfléchir, d’abord de manière descriptive, puis de manière critique, sur elle-même, sur son fonctionnement présent et sur son passé. Mais que se passe-t-il lorsqu’une faction d’intellectuels désire ramener une société, qui s’est déjà considérablement ouverte sur l’extérieur, à son ancienne condition totalitaire et close ? Alors, les moyens mêmes du progrès et des avancées effectuées — la philosophie, les sciences, l’histoire et surtout la sociologie — deviennent les instruments les plus efficaces de la « trahison des clercs ». Ils sont pervertis afin de servir de dispositifs de mystification, et ils dégénèrent dans ce processus.

Le judaïsme classique13 avait peu d’intérêt à se décrire ou à s’expliquer lui-même auprès des membres de sa propre communauté, qu’ils soient instruits (aux études talmudiques) ou pas14. Il est significatif que l’écriture de l’histoire juive, même dans le style annalistique le plus sec, a complètement cessé depuis l’époque de Flavius ​​ Josèphe (fin du Ier siècle) et jusqu’à la Renaissance, où elle a été relancée pour une courte période en Italie et dans d’autres pays où les Juifs étaient soumis à une forte influence italienne15. De manière caractéristique, les rabbins craignaient l’histoire juive encore plus que l’histoire générale, et le premier livre d’histoire moderne publié en hébreu (au XVIe siècle) était intitulé Histoire des rois de France et des rois ottomans. Il a été suivi de quelques recueils d’histoire traitant uniquement des persécutions subies par les Juifs. Le premier livre sur l’histoire juive proprement dite16 (traitant des temps anciens) fut promptement interdit et réprimé par les plus hautes autorités rabbiniques, et ne reparut pas avant le XIXème siècle. En outre, les autorités rabbiniques de l’Europe de l’Est décrétèrent que toutes les études non talmudiques devaient être interdites, même quand on ne trouvait rien de particulier en elles qui méritât un anathème, car elles empiétaient sur le temps qu’il faudrait consacrer à l’étude du Talmud ou à gagner de l’argent… qui devrait être employé à subventionner les autorités talmudiques. La seule exception à la règle concernait le temps que même un Juif pieux doit obligatoirement passer dans les lieux d’aisance — WC. Dans cet endroit impur, les études sacrées sont interdites, et il était donc permis d’y lire des livres d’histoire, à condition qu’ils soient rédigés en hébreu et parfaitement séculiers, ce qui signifiait dans les faits qu’ils devaient être exclusivement consacrés à des sujets non-juifs. (On peut imaginer que les quelques Juifs de cette époque qui — sans doute tentés par Satan — ont développé un intérêt pour l’histoire des rois de France se plaignaient constamment à leurs voisins de la constipation dont ils souffraient…). En conséquence, il y a deux cents ans, la grande majorité des Juifs était dans l’ignorance la plus noire non seulement quant à l’existence de l’Amérique, mais également quant à l’histoire juive et à l’état contemporain de la communauté juive ; et ils étaient pleinement satisfaits de leur condition.

Une histoire totalitaire

Il y avait cependant un domaine dans lequel ils n’étaient pas autorisés à rester dans l’autosatisfaction : le domaine des attaques chrétiennes contre ces passages du Talmud et de la littérature talmudique qui sont spécifiquement antichrétiens ou plus généralement anti-Goys. Il est important de noter que ce défi est apparu relativement tard dans l’histoire des relations entre chrétiens et Juifs, à partir du XIIIe siècle. (Avant cette époque, les autorités chrétiennes attaquaient le judaïsme en utilisant soit des arguments bibliques, soit des arguments généraux, mais semblaient absolument ignorants du contenu du Talmud.) La campagne chrétienne contre le Talmud a apparemment été provoquée par la conversion au christianisme de Juifs qui étaient bien versés dans le Talmud, et qui furent souvent attirés par le développement de la philosophie chrétienne, avec son fort caractère aristotélicien (et donc universel)17.

Il faut admettre d’emblée que le Talmud et la littérature talmudique — indépendamment de la tendance générale anti-goym qui les traverse, et qui sera examinée plus en détail au chapitre 5 de cet ouvrage — contiennent des déclarations et des préceptes très choquants visant spécifiquement le christianisme. Par exemple, en plus d’une série d’allégations sexuelles calomnieuses et infâmes contre Jésus, le Talmud déclare que sa punition en enfer sera d’être plongé dans des excréments bouillants — une déclaration qui n’est pas exactement de nature à attacher les chrétiens dévots au Talmud. On peut aussi citer le précepte selon lequel les Juifs ont le devoir de brûler, si possible publiquement, toute copie du Nouveau Testament qui tombe entre leurs mains. (Non seulement ce précepte est-il toujours en vigueur, mais il est encore pratiqué aujourd’hui. Ainsi, le 23 mars 1980, des centaines d’exemplaires du Nouveau Testament ont été brûlés publiquement et cérémonieusement à Jérusalem sous les auspices de Yad Le’akhim, une organisation religieuse juive subventionnée par le ministère israélien des cultes.)

Quoi qu’il en soit, une attaque puissante, et pertinente sur de nombreux points, contre le judaïsme talmudique s’est développée en Europe à partir du XIIIe siècle. Nous ne nous référons pas ici à des calomnies ignorantes, telles que les accusations de meurtres rituels contre les Juifs, propagées par des moines incultes dans des petites villes de province, mais à des discussions et débats contradictoires publics tenus devant les meilleures universités européennes de l’époque et menées dans l’ensemble de la manière la plus équitable qui puisse être en contexte médiéval18.

Quelle fut la réponse juive — ou plutôt rabbinique ? La plus simple était l’ancienne arme de la corruption et des manigances de toutes sortes. Dans la plupart des pays européens, à toutes les époques ou presque, il n’y avait pas de problème qui ne pût être résolu par un pot-de-vin. Nulle part cette maxime n’a été aussi vraie que dans la Rome des Papes de la Renaissance. L’édition originale de la version intégrale du Code de loi talmudique, le Mishneh Torah de Maïmonide, regorge non seulement des préceptes les plus offensants contre tous les non-juifs, mais également d’attaques explicites contre le christianisme et Jésus (chaque fois que l’auteur cite ce nom, il ajoute pieusement : « périsse le nom de l’infâme ») —, a été publié dans une version non expurgée à Rome en 1480 sous Sixte IV, un pape très actif politiquement qui avait un besoin constant et urgent d’argent. (Quelques années auparavant, l’unique édition ancienne de L’âne d’or d’Apulée, d’où l’attaque violente contre le christianisme n’avait pas été expurgée, avait également été publiée à Rome.) Alexandre VI Borgia était également très libéral à cet égard.

Même au cours de cette période, comme avant celle-ci, il y avait toujours des pays dans lesquels une vague de persécutions anti-Talmud déferlait çà et là. Mais un assaut général et bien plus conséquent contre le Talmud prit forme avec la Réforme et la Contre-Réforme, qui amenèrent les lettrés chrétiens à des critères d’honnêteté intellectuelle plus rigoureux, et à une meilleure connaissance de l’hébreu. À partir du XVIe siècle, toute la littérature talmudique, y compris le Talmud lui-même, fut soumise à la censure chrétienne dans divers pays. En Russie, cela a duré jusqu’en 1917. Certains censeurs, comme en Hollande, étaient plus laxistes, d’autres plus sévères ; et les passages offensants étaient supprimés ou modifiés.

Toutes les études modernes sur le judaïsme, en particulier celles effectuées par des Juifs, ont évolué à partir de ce conflit et portent à ce jour les marques indiscutables de leur origine : la tromperie, la polémique apologétique ou hostile, l’indifférence ou même l’hostilité active pour la recherche de la vérité. Presque toutes les soi-disant Études juives sur le judaïsme, depuis cette époque jusqu’à nos jours, sont une polémique contre un ennemi extérieur plutôt qu’un débat interne.

Il est important de noter que c’était initialement le caractère de l’historiographie dans toutes les sociétés connues (à l’exception de la Grèce antique, dont les premiers historiens libéraux ont été attaqués par des sophistes ultérieurs pour leur manque de patriotisme !). C’était le cas des premiers historiens catholiques et protestants, qui ont polémiqué les uns contre les autres. De même, les premières histoires nationales européennes sont imprégnées du nationalisme le plus grossier et d’un véritable mépris pour tous les autres pays ou nations voisins. Mais tôt ou tard, il y a un moment où l’on tente de comprendre son adversaire national ou religieux et en même temps de critiquer certains aspects profonds et importants de l’histoire de son propre groupe ; et ces deux développements vont de pair. Ce n’est que lorsque l’historiographie devient — comme l’a si bien dit Pieter Geyl — un « débat sans fin » plutôt que la continuation de la guerre par des moyens historiographiques, qu’une historiographie humaine, qui vise à la fois l’exactitude et l’équité, devient possible ; et elle se transforme alors en l’un des instruments les plus puissants de l’humanisme et de l’autoéducation.

C’est pour cette raison que les régimes totalitaires modernes réécrivent l’histoire ou punissent les historiens. Les exemples staliniens et chinois sont suffisamment connus. Cependant, en ce qui concerne le totalitarisme nazi, il convient de mentionner que la persécution d’historiens allemands honnêtes a commencé très tôt19. La situation en Israël est analogue : les pires attaques contre moi ont été provoquées non pas par les termes violents que j’emploie dans mes condamnations du sionisme et de l’oppression des Palestiniens, mais par un de mes articles précoces sur le rôle des Juifs dans le commerce des esclaves, dans lequel la dernière affaire citée datait de 1870. Cet article a été publié avant la guerre de 1967 ; aujourd’hui, sa publication serait impossible. Quand une société entière tente de revenir au totalitarisme, une histoire totalitaire s’écrit, non pas sous l’effet d’une coercition venue d’en haut, mais sous une pression venue d’en bas, ce qui est beaucoup plus efficace. C’est ce qui s’est passé dans l’histoire juive, et c’est le premier obstacle qu’il nous faut surmonter.

Mécanismes de défense

Quels étaient précisément les mécanismes (autres que la corruption) employés par les communautés juives, en coopération avec des forces extérieures, afin de parer aux attaques contre le Talmud et contre le reste de la littérature religieuse juive ? Plusieurs méthodes peuvent être distinguées, toutes ayant des conséquences politiques importantes reflétées dans les politiques israéliennes actuelles. Il serait fastidieux de fournir dans chaque cas le parallèle chez Menahem Begin ou chez le Parti Travailliste sioniste, mais je suis sûr que les lecteurs qui connaissent un peu les détails de la politique au Moyen-Orient pourront eux-mêmes remarquer la ressemblance.

Le premier mécanisme que je vais aborder est celui de la défiance sournoise, combinée à une conformité extérieure. Comme expliqué ci-dessus, les passages talmudiques dirigés contre le christianisme ou contre les non-juifs20 devaient être modifiés ou supprimés — la pression était trop forte. C’est ce qui a été fait : quelques-uns des passages les plus choquants ont été physiquement supprimés de toutes les éditions imprimées en Europe après le milieu du XVIe siècle. Dans tous les autres passages, les expressions « Gentil » (goy), « non-Juif » (einoyehudi) ou « étranger » (nokhri) — qui apparaissent dans tous les plus anciens manuscrits et imprimés ainsi que dans toutes les éditions publiées dans les pays islamiques — ont été remplacées par des termes tels qu’« idolâtre », « païen » ou même « cananéen » ou « samaritain », termes pouvant être justifiés aux yeux des profanes, mais qu’un lecteur juif reconnaissait aisément comme des euphémismes pour les anciennes expressions.

Au fur et à mesure que l’attaque montait, la défense devenait plus élaborée, avec parfois des résultats tragiques et durables. Pendant certaines périodes, la censure tsariste russe devenait plus stricte, et ayant percé à jour les euphémismes susmentionnés, elle les interdisait également. Les autorités rabbiniques leur ont alors substitué les termes « arabe » ou « musulman » (en hébreu, Yishma’éli – qui a les deux sens) ou occasionnellement « égyptien », en calculant à juste titre que les autorités tsaristes ne s’opposeraient pas à ce genre d’abus. Dans le même temps, des listes d’Omissions talmudiques ont été distribuées sous forme de manuscrit, expliquant tous les nouveaux termes et signalant toutes les omissions et tous les passages supprimés. Parfois, un démenti général était imprimé devant la page de titre de chaque volume de littérature talmudique, déclarant solennellement, parfois sous serment, que toutes les expressions hostiles de ce volume ne visaient que les idolâtres de l’Antiquité, voire les Cananéens disparus de longue date, plutôt que « les peuples sur les terres desquels nous vivons ». Après la conquête de l’Inde par les Britanniques, certains rabbins ont recouru au subterfuge de prétendre que toute expression particulièrement désobligeante ou outrageante qu’ils utilisaient était uniquement destinée aux Indiens. De temps en temps, les aborigènes d’Australie ont également été ajoutés à la liste des boucs émissaires.

Inutile de dire que tout ceci était un mensonge calculé du début à la fin ; et après la création de l’État d’Israël, une fois que les rabbins se sont sentis en sécurité, tous les passages et expressions offensants ont été restaurés sans hésitation dans toutes les nouvelles éditions. (En raison du coût énorme qu’implique une nouvelle édition, une grande partie de la littérature talmudique, y compris le Talmud lui-même, est encore réimprimé à partir d’anciennes éditions. C’est pour cette raison que les omissions talmudiques susmentionnées ont maintenant été publiées en Israël dans une édition imprimée bon marché, sous le titre Hesronot Shas.) Ainsi, maintenant, on peut lire assez librement — et on l’enseigne effectivement aux enfants juifs — des passages comme celui qui21 commande à chaque Juif, lorsqu’il passe près d’un cimetière, de prononcer une bénédiction si le cimetière est juif, mais de maudire les mères des morts22 s’il n’est pas juif. Dans les anciennes éditions, la malédiction était omise, ou l’un des euphémismes était substitué à « non-Juif ». Mais dans la nouvelle édition israélienne du rabbin Adin Steinsalz (pourvue de notes explicatives et de la traduction interlinéaire en hébreu des passages araméens de l’original, afin que les écoliers n’aient aucun doute sur ce qu’ils sont censés dire), les mots sans équivoque « non-Juifs » et « étrangers » ont été restaurés.

Sous des pressions extérieures, les rabbins ont éliminé ou modifié de manière trompeuse certains passages — mais pas les pratiques réelles qui y sont prescrites. Il faut savoir, et en particulier les Juifs eux-mêmes doivent savoir que depuis des siècles, notre société juive totalitaire utilise des coutumes barbares et inhumaines pour empoisonner l’esprit de ses membres, et qu’elle le fait toujours. Ces coutumes inhumaines ne peuvent pas être expliquées comme une simple réaction à l’antisémitisme ou à la persécution des Juifs ; elles constituent une barbarie gratuite dirigée contre chaque être humain. Un Juif pieux arrivant pour la première fois en Australie, par exemple, et pouvant passer près d’un cimetière aborigène, doit — comme acte d’adoration de « Dieu » — maudire les mères des morts qui y sont enterrées. Sans affronter ce fait social réel, nous devenons tous partie prenante de la tromperie, et complices du processus d’empoisonnement des générations présentes et futures, avec toutes les conséquences que cela entraîne.

La supercherie continue

Les savants modernes du judaïsme ont non seulement poursuivi la supercherie, mais ils ont encore amélioré les anciennes méthodes rabbiniques, à la fois dans l’impudence et dans le mensonge. Je laisse ici de côté les diverses histoires de l’antisémitisme, indignes de considération sérieuse, et ne donnerai que trois exemples particuliers et un exemple général des tromperies « savantes » plus modernes.

En 1962, une partie du Code de Maïmonide susmentionné, le « Livre de la connaissance », qui contient les règles les plus élémentaires de la foi et de la pratique juives, a été publiée à Jérusalem dans une édition bilingue, la traduction anglaise faisant face au texte hébreu23. La version en hébreu a été restaurée dans sa pureté d’origine, et le commandement d’exterminer les Juifs infidèles y figure dans son intégralité : « C’est un devoir de les exterminer de ses propres mains. » Dans la traduction anglaise, ce propos est adouci comme suit : « C’est un devoir que de prendre des mesures actives pour les détruire. » Mais ensuite, le texte hébreu précise les principaux exemples d’« infidèles » qui doivent être exterminés : « Comme Jésus de Nazareth et ses disciples, Tzadoq et Baitos24 et leurs disciples, périsse le nom des infâmes. » Pas un mot de cela n’apparaît dans le texte anglais de la page en regard (78a). Et, ce qui est encore plus significatif, en dépit de la large diffusion de ce livre parmi les érudits des pays anglophones, aucun d’entre eux n’a, à ma connaissance, protesté contre cette supercherie flagrante.

Le deuxième exemple vient des États-Unis, encore d’une traduction anglaise d’un livre de Maimonide. En plus de son travail sur la codification du Talmud, il était également philosophe, et son Guide des égarés est considéré à juste titre comme la plus grande œuvre de la philosophie religieuse juive, et est largement lu et utilisé même de nos jours. Malheureusement, en plus de son attitude envers les non-juifs en général et les chrétiens en particulier, Maïmonide était également un raciste anti-noir. Vers la fin du Guide, dans un chapitre crucial (livre III, chapitre 51), il explique comment diverses parties de l’humanité peuvent atteindre la valeur religieuse suprême, le véritable culte de Dieu. Parmi celles qui sont incapables de s’en approcher, on trouve :

Certains Turcs [c.-à-d. la race mongole] et les nomades du Nord, les Noirs et les nomades du Sud, ainsi que ceux qui leur ressemblent dans nos climats. Et leur nature est semblable à la nature des animaux muets et, à mon avis, ils ne sont pas au niveau des êtres humains ; leur niveau parmi les choses existantes est inférieur à celui de l’homme et supérieur à celui du singe, car ils ont davantage l’image et la ressemblance de l’homme que le singe.

Maintenant, que fait-on avec un tel passage dans un ouvrage du judaïsme extrêmement important et incontournable ? Allons-nous faire face à la vérité et à ses conséquences ? À Dieu ne plaise ! Allons-nous admettre (comme l’ont fait tant de savants chrétiens, par exemple, dans des circonstances similaires) qu’une autorité juive très importante avait également des vues anti-Noirs farouches, et par cet aveu, s’efforcer de s’éduquer à une véritable humanité ? Qu’une telle pensée périsse ! Je peux presque imaginer les autorités juives aux États-Unis se consulter à ce sujet : « Que faire ? » Car ce livre devait absolument être traduit en raison du déclin de la connaissance de l’hébreu chez les Juifs américains. Que ce soit par consultation ou par inspiration individuelle, une « solution » heureuse a été trouvée : dans la traduction américaine populaire du Guide écrite par un certain Friedlander, publiée pour la première fois en 1925 et reproduite depuis dans de nombreuses éditions, dont plusieurs en format de poche, le mot hébreu Koushim, qui signifie « Noirs », a simplement été transcrit par « Koushites », un mot qui n’avait aucun sens pour ceux qui ne connaissaient pas l’hébreu, ou à qui un rabbin obligeant ne donnerait aucune explication orale25. Pendant toutes ces années, pas un mot n’a dénoncé la supercherie initiale ou les faits sociaux sous-jacents à sa perpétuation — et cela tout au long de la période exaltée des campagnes de Martin Luther King, qui ont été soutenues par tant de rabbins, sans parler d’autres personnalités juives, dont certaines devaient bien avoir conscience de l’attitude raciste anti-Noirs qui fait partie de leur héritage juif.

On peut supposer que bon nombre des partisans rabbiniques de Martin Luther King étaient soit des racistes anti-Noirs qui le soutenaient pour des raisons tactiques d’« intérêt juif » (visant à obtenir le soutien des Noirs pour le judaïsme américain et la politique d’Israël), soit des hypocrites accomplis, jusqu’à la schizophrénie, capables de passer très rapidement des jouissances secrètes d’un racisme forcené à un attachement proclamé à une lutte antiraciste — et vice-versa.

Entre parenthèses, un fait supplémentaire peut être mentionné à cet égard. Il était parfaitement possible, et apparemment respectable, pour un spécialiste juif de l’Islam, Bernard Lewis (qui enseignait autrefois à Londres et enseigne maintenant aux Etats-Unis) de publier un article dans Encounter, où il souligne de nombreux passages de la littérature islamique qui sont anti-Noirs à ses yeux, mais dont aucun n’est ne serait-ce que lointainement comparable en gravité au passage cité ci-dessus. Il serait tout à fait impossible pour quiconque, maintenant ou dans les trente dernières années, de discuter dans toute publication américaine réputée ce passage ouvertement raciste du Talmud ou les nombreux autres passages talmudiques anti-Noirs. Mais sans la critique de toutes les parties, l’attaque contre l’Islam seul se réduit à de la simple diffamation.

Le troisième exemple provient d’un travail qui n’a pas de si hautes prétentions — mais qui en est d’autant plus populaire : Les joies du yiddish de Leo Rosten. Cet ouvrage léger — publié pour la première fois aux États-Unis en 1968 et reproduit dans de nombreuses éditions, y compris à plusieurs reprises sous forme de livre de poche de la collection Penguin — est une sorte de glossaire de mots yiddish souvent utilisés par les Juifs ou même les non-juifs dans les pays anglophones. Pour chaque entrée, outre une définition détaillée et des anecdotes plus ou moins amusantes illustrant son utilisation, il existe également une étymologie énonçant (de manière assez exacte dans l’ensemble) la langue d’origine de ce mot, avant son entrée dans le yiddish, et sa signification dans cette langue. L’entrée Shaygets — dont la signification principale est « un enfant ou jeune homme Goy » — fait exception : l’étymologie y énonce de manière cryptique « origine hébraïque », sans donner la forme ou la signification du mot hébreu original. Cependant, sous l’entrée Shiksa — la forme féminine de Shaygets —, l’auteur donne le mot hébreu original, sheqetz (ou, dans sa translittération, sheques) et définit sa signification en hébreu comme « souillure, imperfection ». C’est un mensonge éhonté, comme le sait quiconque parle l’hébreu. Le Megiddo Modern Hebrew-English Dictionary, publié en Israël, traduit correctement sheqetz comme suit : « Animal impur. Créature répugnante, abomination. Fam. (prononcé shaygets) : misérable, jeune indiscipliné. Jeune goy. »

Mon dernier exemple, plus général, est, si possible, encore plus choquant que les autres. Il concerne l’attitude du mouvement hassidique envers les non-juifs. Le hassidisme — une continuation (et un avilissement !) du mysticisme juif — est toujours un mouvement vivant, avec des centaines de milliers d’adhérents actifs qui sont fanatiquement dévoués à leurs « rabbins sacrés », dont certains ont acquis une influence politique tout à fait considérable en Israël, parmi les dirigeants de la plupart des partis et plus encore dans les échelons supérieurs de l’armée.

Quelles sont donc les vues de ce mouvement au sujet des non-juifs ? À titre d’exemple, prenons le célèbre Hatanya, livre fondamental du mouvement Habbad, l’une des branches les plus importantes de l’Hassidisme. D’après ce livre, tous les non-juifs sont des créatures totalement sataniques « dans lesquelles il n’y a absolument rien de bon ». Même un embryon non-juif est qualitativement différent d’un embryon juif. L’existence même d’un non-juif est « non essentielle », alors que toute la Création a été créée uniquement dans l’intérêt des Juifs.

Ce livre est diffusé dans d’innombrables éditions et ses idées sont également propagées dans les nombreux « discours » du Führer héréditaire actuel de Habbad, le soi-disant rabbin Loubavitch, M. M. Schneurssohn, qui dirige cette puissante organisation mondiale depuis son siège à New York. En Israël, ces idées sont largement diffusées auprès du grand public, dans les écoles et au sein de l’armée. (Selon le témoignage de Shulamit Aloni, membre de la Knesset, cette propagande d’Habbad a été particulièrement renforcée avant l’invasion du Liban par Israël en mars 1978, afin d’inciter les médecins et les infirmiers militaires à refuser l’aide médicale aux « non-juifs blessés ». Ce conseil digne des nazis ne se référait pas spécifiquement aux Arabes ou aux Palestiniens, mais simplement aux « non-Juifs », les Goyim.) Un ancien Président israélien, Shazar, était un ardent adepte de Habbad, et de nombreux hauts responsables politiques israéliens et américains — dirigés par le Premier ministre Begin — l’ont publiquement courtisé et soutenu. Et tout cela malgré l’impopularité considérable du rabbin Loubavitch — il est largement critiqué en Israël parce qu’il refuse de venir en Terre Sainte même pour une simple visite, et se maintient à New York pour des raisons messianiques obscures, alors qu’à New York, son attitude anti-Noirs est notoire.

Le fait que, malgré ces difficultés pragmatiques, Habbad puisse être publiquement soutenu par tant de personnalités politiques de premier plan, doit beaucoup au traitement totalement mensonger et trompeur de presque tous les érudits qui ont écrit sur le mouvement hassidique et sa branche Habbad. Ceci s’applique particulièrement à tous ceux qui ont écrit ou écrivent à ce sujet en anglais. Ils suppriment les preuves flagrantes des anciens textes hassidiques ainsi que leurs implications politiques d’aujourd’hui, qui crèvent les yeux de n’importe quel lecteur occasionnel de la presse israélienne hébraïque, où le rabbin Loubavitch et d’autres dirigeants hassidiques publient constamment les déclarations et exhortations sanguinaires les plus enragées contre tous les Arabes.

À ce propos, Martin Buber fut l’un des plus grands artisans du mensonge, et un bon exemple de la puissance de la supercherie. Ses nombreuses œuvres faisant l’éloge de l’ensemble du mouvement hassidique (y compris Habbad) ne font à aucun moment ne serait-ce qu’une allusion aux véritables doctrines du hassidisme concernant les non-juifs. Sa supercherie est d’autant plus criminelle que les ouvrages de Buber faisant l’apologie de l’Hassidisme ont été publiés pour la première fois en allemand au cours de la période de la montée du nationalisme allemand et de l’accession du nazisme au pouvoir. Mais tout en s’opposant ostensiblement au nazisme, Buber glorifia un mouvement qui enseignait et professait des doctrines sur les non-juifs similaires aux doctrines nazies sur les Juifs. On pourrait évidemment soutenir que les Juifs hassidiques d’il y a soixante-dix ou cinquante ans étaient les victimes et qu’un « pieux mensonge » en faveur d’une victime est excusable. Mais les conséquences de cette supercherie sont incalculables. Les œuvres de Buber ont été traduites en hébreu, sont devenues un élément puissant de l’éducation hébraïque en Israël, ont considérablement augmenté le pouvoir des leaders hassidiques assoiffés de sang, et ont ainsi été un facteur important dans la montée du chauvinisme israélien et la haine de tous les non-juifs. Si nous pensons aux nombreux êtres humains morts de leurs blessures parce que les infirmiers de l’armée israélienne, incités par la propagande hassidique, ont refusé de les soigner, une lourde part de responsabilité en incombe à Martin Buber.

Je dois préciser ici que, dans son adulation du hassidisme, Buber dépassait de loin les autres érudits juifs, en particulier ceux qui écrivaient en hébreu (ou, autrefois, en yiddish) ou même dans les langues européennes, mais exclusivement pour un public juif. Dans les questions internes d’intérêt juif, il y avait eu jadis beaucoup de critiques justifiées contre le mouvement hassidique. Leur misogynie (bien plus extrême que celle commune à tous les orthodoxes juifs), le fait qu’ils s’adonnent à l’alcool, leur culte fanatique de leurs « rabbins sacrés » héréditaires qui leur extorquaient de l’argent, les nombreuses superstitions qui leur sont propres — ces spécificités et bien d’autres traits négatifs ont été commentés de façon critique. Mais le romantisme sentimental et trompeur de Buber a triomphé, en particulier aux États-Unis et en Israël, car il était en accord avec l’admiration totalitaire de tout ce qui était « véritablement juif », et parce que certains cercles « de gauche » dans lesquels Buber avait une influence particulièrement grande ont adopté cette position.

Buber n’était pas seul dans son attitude, bien qu’à mon avis il soit de loin le pire dans le mal qu’il a propagé et l’influence qu’il a laissée derrière lui. Il y avait le très influent sociologue et érudit de la Bible, Yehezkiel Kaufman, qui préconisait un génocide sur le modèle du Livre de Josué, le philosophe idéaliste Hugo Shmuel Bergman, qui, dès les années 1914-15, prônait déjà l’expulsion de tous les Palestiniens vers l’Irak, et bien d’autres encore. Tous étaient extérieurement des « colombes », mais utilisaient des formules qui pouvaient être interprétées dans le sens anti-arabe le plus extrême, ils avaient tous tendance à ce mysticisme religieux qui encourage la propagation de supercheries, et ils semblaient tous être des personnes douces qui, même lorsqu’elles préconisaient l’expulsion, le racisme et le génocide, semblaient incapables de faire du mal à une mouche — et justement pour cette raison, l’effet de leurs manipulations était d’autant plus grand.

C’est contre la glorification de l’inhumanité, proclamée non seulement par les rabbins, mais par ceux qui sont supposés être les plus grandes et certainement les plus influentes autorités du judaïsme, que nous devons lutter ; et c’est contre ces successeurs modernes des faux prophètes et des prêtres malhonnêtes que nous devons répéter — même face à une opinion presque unanime en Israël et au sein de la majorité des Juifs de pays comme les États-Unis — la mise en garde de Lucrèce contre le désir de soumettre son jugement aux déclamations des chefs religieux : Tantum religio potuit suadere malorum — « La religion peut mener les hommes à commettre les plus grandes atrocités. » La religion n’est pas toujours (comme l’a dit Marx) l’opium du peuple, mais elle peut souvent l’être, et quand elle est utilisée dans ce sens en tergiversant et en représentant de manière erronée sa vraie nature, les autorités et les intellectuels qui accomplissent cette tâche deviennent effectivement assimilables à des trafiquants d’opium.

Mais nous pouvons déduire de cette analyse une autre conclusion, plus générale, au sujet des moyens les plus efficaces et les plus horribles pour contraindre à faire le mal, à tricher et à tromper, et, tout en gardant soi-même les mains propres, à corrompre des peuples entiers et à les entraîner à l’oppression et au meurtre. (Car il ne peut plus y avoir le moindre doute sur le fait que les actes d’oppression les plus horribles qui sont commis en Cisjordanie soient motivés par le fanatisme religieux juif.) La plupart des gens semblent supposer que le pire totalitarisme emploie la contrainte physique, et feraient référence à l’imagerie de 1984 d’Orwell pour un modèle illustrant un tel régime. Mais il me semble que cette vue, quoique répandue, est grandement erronée, et que l’intuition d’Isaac Asimov, dont les ouvrages de science-fiction présentent toujours la pire oppression de manière intériorisée, est plus fidèle aux dangers inhérents à la nature humaine. Contrairement aux intellectuels dociles de Staline, les rabbins — et plus encore les érudits que j’attaque ici, et avec eux toute la basse-cour également silencieuse des écrivains, des journalistes et des personnalités publiques qui mentent et trompent encore plus qu’elles — ne font pas face au danger de mort ou d’internement en camp de concentration, mais seulement à une pression sociale ; ils mentent par patriotisme parce qu’ils croient que c’est leur devoir de mentir pour ce qu’ils conçoivent être l’intérêt juif. Ce sont des menteurs patriotiques, et c’est le même patriotisme qui les réduit au silence face à la discrimination et à l’oppression infligées aux Palestiniens.

Dans le cas présent, nous sommes également confrontés à une autre loyauté de groupe, mais qui vient de l’extérieur du groupe et qui est parfois même plus malfaisante. Un grand nombre de non-juifs (parmi lesquels des chrétiens, qu’il s’agisse du clergé ou de simples pratiquants, ainsi que certains marxistes de toutes appartenances) adoptent l’opinion curieuse qu’une manière de « racheter » la persécution des Juifs, c’est de ne pas dénoncer le mal perpétré par les Juifs, mais de participer aux « pieux mensonges » à leur sujet. L’accusation grossière d’antisémitisme (ou, dans le cas de Juifs, de « haine de soi ») contre quiconque proteste contre la discrimination des Palestiniens ou qui souligne tout fait sur la religion juive ou le passé juif qui est en conflit avec la « version approuvée » s’accompagne d’une hostilité et d’une force plus grandes de la part des non-juifs « amis des Juifs » que des Juifs eux-mêmes. C’est l’existence et la grande influence de ce groupe dans tous les pays occidentaux, et en particulier aux Etats-Unis [et en France] (ainsi que dans les autres pays anglophones) qui a permis aux rabbins et aux autorités du judaïsme de propager leurs mensonges non seulement sans opposition, mais avec une aide considérable.

En fait, beaucoup d’« antistaliniens » autoproclamés ont simplement substitué une autre idole à leur culte, et ont tendance à soutenir le racisme et le fanatisme juifs avec une ardeur et une malhonnêteté encore plus grandes que celles des staliniens les plus dévoués du passé. Bien que ce phénomène de soutien aveugle et stalinien à tout mal, tant que celui-ci est « juif », soit particulièrement marqué à partir de 1945, lorsque la vérité sur l’extermination de la communauté juive européenne est devenue connue, c’est une erreur de supposer que cela a commencé seulement à ce moment-là. Au contraire, cela remonte très loin, en particulier dans les milieux sociaux-démocrates. L’un des premiers amis de Marx, Moses Hess, largement reconnu et respecté comme l’un des premiers socialistes en Allemagne, s’est révélé par la suite comme un raciste et extrémiste juif, dont les idées sur la « race juive pure » publiées en 1858 ne sont pas sans comparaison avec les billevesées sur la « race aryenne pure ». Mais les socialistes allemands, qui ont lutté contre le racisme allemand, sont restés silencieux sur leur racisme juif.

En 1944, au cœur de la lutte contre Hitler, le parti travailliste britannique approuva un plan d’expulsion des Palestiniens de Palestine, similaire aux premiers projets d’Hitler (jusqu’à environ 1941) concernant les Juifs. Ce plan a été approuvé sous la pression exercée par des membres juifs de la direction du parti, dont beaucoup ont ouvertement adopté, envers toutes les politiques israéliennes, le principe de solidarité clanique, et cela dans une plus grande mesure que leurs homologues conservateurs partisans de Ian Smith l’ont jamais fait. Mais les tabous staliniens à gauche sont plus forts en Grande-Bretagne qu’à droite, et il n’y a pratiquement pas de discussion sur le soutien des travaillistes à Israël, même lorsqu’il s’agit de soutenir le gouvernement de Begin.

Aux États-Unis, une situation similaire prévaut et, encore une fois, les libéraux américains sont les pires. [On peut dire la même chose pour les socialistes français, bien que la soumission à Israël soit solidement ancrée de l’extrême droite à la pseudo-extrême gauche].

Ce n’est pas le lieu d’explorer toutes les conséquences politiques de cette situation, mais nous devons faire face à la réalité : dans notre lutte contre le racisme et le fanatisme de la religion juive, nos plus grands ennemis ne seront pas seulement les racistes juifs (et les thuriféraires du racisme), mais aussi les non-juifs qui, dans d’autres domaines, sont réputés — à tort selon moi — comme des « progressistes ».

Chapitre III — Orthodoxie et interprétation

Ce chapitre est consacré à une description plus détaillée de la structure théologico-juridique du judaïsme classique26. Cependant, avant de s’engager dans cette description, il est nécessaire de dissiper au moins certaines des idées fausses répandues dans presque tous les ouvrages en langue étrangère (c’est-à-dire autre que l’hébreu) consacrés au judaïsme, en particulier ceux qui propagent des expressions aussi à la mode que « Tradition judéo-chrétienne » ou « les valeurs communes des religions monothéistes ».

Pour ne pas être trop long, je ne traiterai en détail que de la plus importante de ces illusions populaires, à savoir que la religion juive est et a toujours été monothéiste. En réalité, comme le savent de nombreux érudits bibliques, et comme le révèle aisément une lecture attentive de l’Ancien Testament, ce point de vue anhistorique est totalement faux. Dans beaucoup, sinon la plupart des livres de l’Ancien Testament, l’existence et le pouvoir d’« autres Dieux » sont clairement reconnus, mais Yahweh (Jéhovah), qui est le Dieu le plus puissant27, est également très jaloux de ses rivaux et interdit à son peuple de les vénérer28. Ce n’est que très tard dans la Bible, chez certains des derniers prophètes, que l’existence de tous les dieux autres que Yahweh est niée29.

Ce qui nous concerne, cependant, n’est pas le judaïsme biblique, mais classique ; et il est tout à fait clair, bien que beaucoup moins largement compris, que durant les derniers siècles ce dernier était, pour la plus grande partie, très loin du monothéisme pur. On peut en dire autant des véritables doctrines dominantes dans le judaïsme orthodoxe actuel, qui est une continuation directe du judaïsme classique. Le déclin du monothéisme est dû à la propagation du mysticisme juif (la kabbale) qui s’est développé aux XIIe et XIIIe siècles et qui, à la fin du XVIe siècle, avait remporté une victoire presque complète dans presque tous les centres du judaïsme. Les Lumières juives, issues de la crise du judaïsme classique, ont dû lutter avant tout contre ce mysticisme et son influence, mais dans l’orthodoxie juive moderne, en particulier chez les rabbins, l’influence de la kabbale est restée prédominante30. Par exemple, le mouvement Gush Emunim est largement inspiré par des idées kabbalistiques.

La connaissance et la compréhension de ces idées sont donc importantes pour deux raisons. Premièrement, sans cela, on ne peut pas comprendre les vraies croyances du judaïsme à la fin de sa période classique. Deuxièmement, ces idées jouent un rôle politique contemporain important dans la mesure où elles font partie du système de croyances explicite de nombreux mouvements politiques religieux, y compris la plupart des dirigeants de Gush Emunim, et exercent une influence indirecte sur de nombreux dirigeants sionistes de tous les partis, y compris les partis de la gauche sioniste.

Selon la Kabbale, l’univers n’est pas gouverné par un Dieu, mais par plusieurs divinités, de personnalités et d’influences variés, émanant d’une Cause Première ténue et lointaine. En omettant plusieurs détails, on peut résumer le système comme suit. De la Première Cause, ont émané ou sont nés un Dieu masculin appelé Sagesse ou Père puis une Déesse féminine appelée Connaissance ou Mère. Du mariage de ces deux-là, une paire de Dieux plus jeunes sont nés : Fils, également appelé par de nombreux autres noms tels que « Petit Visage » ou « Le Saint Béni » ; et Fille, également appelée « Dame » (ou « Matronit », un mot dérivé du latin), « Shekhinah », « Reine », etc. Ces deux Dieux plus jeunes devraient s’unir, mais leur union est empêchée par les machinations de Satan, qui dans ce système est un personnage très important et indépendant. La Création a été entreprise par la Première Cause pour leur permettre de s’unir, mais à cause de la Chute, ils sont devenus plus désunis que jamais. Et de fait, Satan a réussi à se rapprocher de la Fille divine et même à la violer (en apparence ou en réalité, les opinions diffèrent à ce sujet). La création du peuple juif a été entreprise afin de réparer la rupture causée par Adam et Ève, ce qui a été réalisé momentanément sous le mont Sinaï : le dieu mâle Fils, incarné par Moïse, a été uni à la déesse Shekhinah. Malheureusement, le péché du veau d’or a de nouveau causé la désunion de la divinité ; mais le repentir du peuple juif y a quelque peu remédié. De même, selon la croyance, chaque incident de l’histoire biblique juive est associé à l’union ou à la désunion du couple divin. La conquête juive de la Palestine face aux Cananéens et la construction du Premier et du Deuxième Temples sont particulièrement propices à leur union, tandis que la destruction des Temples et l’exil des Juifs de la Terre Sainte ne sont que des signes extérieurs non seulement de la désunion divine, mais également d’une véritable « prostitution après des dieux étrangers » : Fille tombe étroitement sous l’emprise de Satan, tandis que Fils copule avec divers personnages sataniques féminins qu’il prend dans son lit à la place de sa propre femme.

Le devoir des Juifs pieux est de restaurer, par leurs prières et leurs actes religieux, l’unité divine parfaite, sous forme d’union sexuelle entre les divinités masculine et féminine31. Ainsi, avant la plupart des actes rituels que tout Juif dévot doit accomplir plusieurs fois par jour, la formule kabbalistique suivante est récitée : « Pour l’union32 [sexuelle] du Saint Béni et de sa Shekhinah… » Les prières matinales juives sont également organisées afin de promouvoir cette union sexuelle, ne serait-ce que temporairement. Les parties successives de la prière correspondent mystiquement aux étapes successives de l’union : à un moment donné, la Déesse s’approche avec ses servantes, à un autre moment, le Dieu lui passe le bras autour du cou et lui caresse la poitrine, puis l’acte sexuel est censé avoir lieu.

D’autres prières ou actes religieux, tels qu’interprétés par les kabbalistes, sont conçus pour tromper divers anges (imaginés comme des divinités mineures avec un certain degré d’indépendance) ou pour concilier Satan. À un certain moment de la prière du matin, certains versets sont prononcés en araméen33 (plutôt qu’en hébreu plus courant). Ceci est censé être un moyen de tromper les anges qui opèrent les portes par lesquelles les prières entrent au ciel, et qui ont le pouvoir de bloquer les prières des pieux. Les anges ne comprennent que l’hébreu et sont déconcertés par les versets araméens ; étant un peu simples d’esprit (ils sont présumés beaucoup moins intelligents que les kabbalistes), ils ouvrent les portes, et à ce moment, toutes les prières, y compris celles en hébreu, passent. Ou prenons un autre exemple : à la fois avant et après un repas, un Juif dévot se lave rituellement les mains, prononçant une bénédiction spéciale. À l’une de ces deux occasions, il adore Dieu, en promouvant l’union divine du Fils et de la Fille ; mais à l’autre occasion, il vénère Satan, qui aime tellement les prières et les rituels juifs que, quand on lui en offre quelques-uns, cela le tient occupé pendant un moment et il oublie de harceler la divine Fille. En effet, les kabbalistes pensent que certains des sacrifices brûlés dans le Temple étaient destinés à Satan. Par exemple, les soixante-dix bœufs sacrifiés pendant les sept jours de la fête des Tabernacles34 auraient été offerts à Satan en sa qualité de dirigeant de tous les Gentils35 (non-juifs), afin de le tenir trop occupé pour intervenir le huitième jour, lorsque le sacrifice est fait à Dieu. De nombreux autres exemples du même type peuvent être donnés.

Plusieurs points doivent être soulevés concernant ce système et son importance pour une bonne compréhension du judaïsme, à la fois dans sa période classique et dans son implication politique actuelle dans la pratique sioniste.

Premièrement, quoi que l’on puisse dire de ce système kabbalistique, il ne peut être considéré comme monothéiste, à moins d’être également disposé à considérer l’hindouisme, la religion gréco-romaine tardive ou même la religion de l’Égypte ancienne comme « monothéiste ».

Deuxièmement, la nature réelle du judaïsme classique est illustrée par la facilité avec laquelle ce système a été adopté. La foi et les croyances (à l’exception des croyances nationalistes) jouent un rôle extrêmement mineur dans le judaïsme classique. Ce qui est d’une importance primordiale, c’est l’acte rituel et non la signification que cet acte est censé avoir ou la croyance qui y est attachée. C’est pourquoi, aux époques où une minorité de Juifs religieux refusait d’accepter la Kabbale (comme c’est le cas aujourd’hui), on pouvait voir quelques Juifs accomplir un rituel religieux donné en croyant qu’il s’agissait d’un acte d’adoration de Dieu, tandis que d’autres faisaient exactement la même chose avec l’intention de gagner les faveurs de Satan ; mais tant que l’acte est le même, ils priaient ensemble et restaient membres de la même congrégation, quelle que soit l’antipathie qu’ils puissent éprouver l’un pour l’autre. Mais si au lieu de l’intention attachée au lavage rituel des mains, quelqu’un osait introduire une innovation dans la manière de se laver36, un véritable schisme s’ensuivrait.

On peut en dire autant de toutes les formules sacrées du judaïsme. Si la forme est laissée intacte, la signification est au mieux une question secondaire. Par exemple, la formule juive la plus sacrée peut-être, « Écoute Israël, le Seigneur est notre Dieu, le Seigneur est un », récitée plusieurs fois par jour par chaque Juif dévot, peut aujourd’hui signifier deux choses opposées. Cela peut vouloir dire que le Seigneur est vraiment « un » ; mais cela peut aussi signifier qu’une certaine étape dans l’union des divinités masculine et féminine a été atteinte ou est encouragée par la récitation appropriée de cette formule. Cependant, lorsque les Juifs d’une congrégation réformée récitent cette formule dans une langue autre que l’hébreu, tous les rabbins orthodoxes, qu’ils croient en l’unité ou en l’union sexuelle divine, sont extrêmement fâchés.

Enfin, tout cela revêt une importance considérable en Israël (et dans d’autres centres juifs), même à l’heure actuelle. L’énorme signification attachée à de simples formules (telles que la « loi de Jérusalem ») ; les idées et les motivations de Gush Emunim ; l’insistance derrière la haine des non-juifs vivant actuellement en Palestine ; l’attitude fataliste à l’égard de toutes les tentatives de paix des États arabes — tout cela et bien d’autres traits de la politique sioniste, qui déconcertent tant de gens bien intentionnés qui ont une fausse conception du judaïsme classique, devient plus intelligible dans ce contexte religieux et mystique. Je dois toutefois mettre en garde contre le fait de tomber dans l’autre extrême et d’essayer d’expliquer toutes les politiques sionistes par rapport à ce contexte. De toute évidence, les influences de celui-ci varient en étendue. Ben Gourion était maitre dans l’art de les manipuler de manière contrôlée à des fins spécifiques. Sous [Menahem] Begin, le passé exerce une influence beaucoup plus grande sur le présent. Mais ce qu’il ne faut jamais faire, c’est ignorer le passé et ses influences, car ce n’est qu’en le connaissant qu’on peut transcender son pouvoir aveugle.

Interprétation de la Bible

Les exemples qui suivent montreront que ce que la plupart des personnes supposément bien informées pensent connaître du judaïsme peut être très trompeur, à moins qu’elles lisent l’hébreu. Tous les détails mentionnés ci-dessus peuvent être trouvés dans les textes originaux ou, dans certains cas, dans des livres modernes écrits en hébreu pour un lectorat plutôt spécialisé. En anglais on les chercherait vainement, même lorsque l’omission de faits aussi importants sur le plan social déforme l’ensemble du tableau.

Une autre idée fausse à propos du judaïsme est particulièrement répandue parmi les chrétiens ou les personnes fortement influencées par la tradition et la culture chrétiennes. C’est l’idée trompeuse que le judaïsme est une « religion biblique » ; que l’Ancien Testament a pour le judaïsme la même place centrale et la même autorité légale que la Bible pour le christianisme protestant ou même catholique.

Encore une fois, cela est lié à la question de l’interprétation. Nous avons vu qu’en matière de conviction, il y avait une grande latitude. C’est exactement le contraire qui se produit en ce qui concerne l’interprétation juridique des textes sacrés. Ici, l’interprétation est fixée de manière rigide — mais par le Talmud plutôt que par la Bible elle-même37. De nombreux, peut-être la plupart des versets bibliques prescrivant des actes et obligations religieux sont « compris » par le judaïsme classique et par l’orthodoxie actuelle dans un sens est tout à fait distinct de, ou même contraire à, leur sens littéral tel que l’entendent les lecteurs chrétiens ou autres de l’Ancien Testament, qui ne voient que le texte littéral. La même division existe actuellement en Israël entre ceux qui sont éduqués dans des écoles religieuses juives et ceux qui sont éduqués dans des écoles hébraïques « laïques », où, dans l’ensemble, le sens manifeste de l’Ancien Testament est enseigné.

Ce point important ne peut être compris que par des exemples. On notera que les changements de signification ne vont pas tous dans le même sens du point de vue de l’éthique telle qu’on la conçoit aujourd’hui. Les apologétiques du judaïsme prétendent que l’interprétation de la Bible, qui trouve son origine chez les Pharisiens et qui est fixée dans le Talmud, est toujours plus libérale que le sens littéral. Mais certains des exemples ci-dessous montrent que c’est loin d’être le cas.

1. Commençons par le Décalogue lui-même. Le huitième commandement, « Tu ne voleras pas » (Exode, 20:15), est interprété comme une interdiction de « voler » (c’est-à-dire de kidnapper) un Juif. La raison en est que, selon le Talmud, tous les actes interdits par le Décalogue sont des infractions capitales. Voler des biens n’est pas une infraction capitale (tandis que la loi talmudique autorise le kidnapping de Gentils par des Juifs), d’où son interprétation. Une phrase pratiquement identique — « Vous ne volerez pas » (Lévitique, 19:11) — est toutefois autorisée à avoir son sens littéral.

2. Le fameux verset « Œil pour œil, dent pour dent », etc. (Exode, 21:24) signifie « amende-œil pour œil », c’est-à-dire le paiement d’une amende compensatrice équivalente à la valeur attribuée à la perte d’un œil plutôt que la mutilation physique.

3. Voici un cas notoire de transformation du sens littéral en son exact opposé. Le texte biblique met clairement en garde contre le fait de suivre la foule dans une cause injuste : « Tu ne suivras point la multitude pour faire le mal ; et tu ne déposeras point dans un procès en te mettant du côté du grand nombre, pour violer la justice. » (Exode, 23 : 2). Les derniers mots de cette phrase — « en te mettant du côté du grand nombre, pour violer la justice » — sont dissociés de leur contexte et interprétés comme une injonction de suivre la majorité et ainsi de violer la justice !

4. Le verset « Tu ne feras point cuire un chevreau dans le lait de sa mère. » (Exode, 23:19) est interprété comme une interdiction de mélanger tout type de viande avec du lait ou un produit laitier. Étant donné que le même verset est répété dans deux autres endroits du Pentateuque, la simple répétition est considérée comme une interdiction triple, interdisant à un Juif (1) de consommer une telle mixture, (2) de la cuire à des fins quelconques et (3) d’en bénéficier ou d’en tirer profit de quelque manière que ce soit.38

5. Dans de nombreux cas, les termes généraux tels que « ton semblable », « étranger » ou même « homme » ont une signification chauvine exclusiviste. Le judaïsme classique (et orthodoxe actuel) interprète le fameux verset « Tu aimeras ton prochain39 comme toi-même » (Lévitique, 19:18) comme une injonction à aimer son coreligionnaire juif, et non n’importe quel autre être humain. De même, le verset « Tu ne t’élèveras point contre le sang de ton prochain. » (ibid., 16) signifierait qu’il ne faut pas rester inactif quand la vie (le « sang ») d’un Juif est en danger ; mais, comme on le verra au chapitre 5, il est en général interdit aux Juifs de sauver la vie d’un non-juif, car « il n’est pas ton semblable ». L’injonction généreuse de laisser le glanage de son champ et de son vignoble « au pauvre et à l’étranger » (ibid., 9-10) est interprétée comme se référant exclusivement aux pauvres Juifs et aux convertis au judaïsme. Les lois taboues relatives aux cadavres commencent par le verset suivant : « Voici la loi. Lorsqu’un homme mourra dans une tente, quiconque entrera dans la tente, et quiconque se trouvera dans la tente, sera impur pendant sept jours. » (Nombres, 19:14). Mais le mot « homme » (adam) signifie « Juif », de sorte que seul un cadavre juif est tabou (c’est-à-dire à la fois « impur » et sacré). Sur la base de cette interprétation, les Juifs pieux ont un grand respect magique envers les cadavres et les cimetières juifs, mais n’ont aucun respect pour les cadavres et les cimetières non-juifs. Ainsi, des centaines de cimetières musulmans ont été complètement détruits en Israël (dans un cas, afin de faire de la place pour l’hôtel Hilton de Tel-Aviv), mais le fait que le cimetière juif du mont des Oliviers ait été endommagé sous l’autorité jordanienne (avant 1967) a suscité un tollé général. Les exemples de ce genre sont trop nombreux pour être cités. Certaines des conséquences inhumaines de ce type d’interprétation seront examinées au chapitre 5.

6. Enfin, considérons l’un des plus beaux passages prophétiques, la magnifique condamnation par Esaïe de l’hypocrisie et des rituels vides de sens, et l’exhortation à la décence commune. Un verset (Esaïe, 1:15) de ce passage est le suivant : « Quand vous étendez vos mains, je détourne de vous mes yeux. Quand vous multipliez les prières, je n’écoute pas : vos mains sont pleines de sang. » Étant donné que les prêtres juifs « étendent leurs mains » lorsqu’ils bénissent le peuple pendant leur office, ce verset est censé signifier qu’un prêtre qui commet un homicide accidentel ne peut plus « étendre ses mains » durant une bénédiction (même s’il s’est repenti) parce qu’elles sont « pleines de sang ».

Même à partir de ces seuls exemples, il apparait clairement que, lorsque les Juifs orthodoxes aujourd’hui (ou tous les Juifs avant 1780 environ) lisent la Bible, ils lisent un livre très différent, ayant un sens totalement différent de la Bible lue par des non-juifs ou des Juifs non orthodoxes. Cette distinction s’applique même en Israël, bien que les deux parties y lisent le texte en hébreu. L’expérience, particulièrement depuis 1967, l’a corroboré à plusieurs reprises. De nombreux Juifs en Israël (et ailleurs), qui ne sont pas orthodoxes et ont une connaissance limitée des arcanes de la religion juive, ont essayé de faire honte aux Israéliens orthodoxes (ou aux membres de la droite fortement influencés par la religion) par leur attitude inhumaine envers les Palestiniens, en leur citant des versets de la Bible dans leur sens le plus manifeste (humaniste et sans exclusivisme juif). Cependant, il a toujours été constaté que de tels arguments n’ont aucun effet sur ceux qui suivent le judaïsme classique : ils ne comprennent tout simplement pas ce qui leur est dit, car pour eux le texte biblique signifie quelque chose de très différent du sens commun.

Si un tel fossé de communication existe en Israël, où les gens lisent l’hébreu et peuvent facilement obtenir des informations correctes s’ils le souhaitent, on peut imaginer à quel point le malentendu à l’étranger est profond, par exemple chez les personnes éduquées dans la tradition chrétienne. En fait, plus une telle personne lit la Bible, moins elle en sait sur le judaïsme orthodoxe. Car celui-ci considère l’Ancien Testament comme un texte de formules sacrées immuables, dont la récitation est un acte de grand mérite, mais dont la signification est entièrement déterminée ailleurs. Et, comme Humpty Dumpty (le Gros Coco) l’a dit à Alice, derrière le problème de la détermination du sens des mots, se trouve la vraie question : « Qui sera le maître ? »

Structure du Talmud

Il faut donc clairement comprendre que c’est le Talmud, ou, plus précisément, le soi-disant Talmud de Babylone, qui est la source d’autorité de toutes les pratiques du judaïsme classique (et orthodoxe actuel), la base déterminante de sa structure juridique ; tandis que le reste de la littérature talmudique (y compris le soi-disant Talmud de Jérusalem ou Talmud palestinien) fait office d’autorité complémentaire.

Nous ne pouvons pas entrer ici dans une description détaillée du Talmud et de la littérature talmudique, mais nous nous limiterons à quelques points principaux nécessaires à notre argumentation. Fondamentalement, le Talmud se compose de deux parties. La première partie est la Mishna, un code juridique succinct composé de six volumes, chacun subdivisé en plusieurs traités écrits en hébreu, rédigés en Palestine autour de l’an 200 après J.-C. sur une base juridique beaucoup plus étendue (et en grande partie orale) composée au cours des deux siècles précédents. La deuxième partie, de loin prédominante, est la Gémara, un volumineux compte rendu de discussions sur et autour de la Mishna. Il existe deux ensembles de Gémara, à peu près parallèles : l’un composé en Mésopotamie (« Babylone ») entre 200 et 500 de notre ère environ, l’autre en Palestine entre environ 200 et une date inconnue bien antérieure à l’an 500. Le Talmud de Babylone (c’est-à-dire, la Mishna plus la Gémara mésopotamienne) est beaucoup plus long et mieux organisé que le Talmud Palestinien, et c’est le seul à être considéré comme définitif et faisant autorité. Le Talmud de Jérusalem (Palestinien) bénéficie d’un statut nettement inférieur en tant qu’autorité légale, de même que de nombreuses compilations connues collectivement comme la « littérature talmudique », contenant des documents que les éditeurs des deux Talmuds avaient omis.

Contrairement à la Mishna, le reste de la littérature talmudique est écrit en un mélange d’hébreu et d’araméen, cette dernière langue étant prédominante dans le Talmud Babylonien. En outre, il ne se limite pas aux questions juridiques. Sans ordre ni raison apparents, la discussion juridique peut être soudainement interrompue par ce que l’on appelle le « récit narratif » (Aggadah), un mélange de contes et d’anecdotes impliquant des rabbins ou des gens ordinaires, des personnages bibliques, des anges, des démons, de la sorcellerie et des miracles40. Ces passages narratifs, bien que de grande influence populaire dans le judaïsme à travers les âges, ont toujours été considérés (même par le Talmud) comme ayant une valeur secondaire. Ce sont les parties juridiques du texte qui revêtent une importance primordiale pour le judaïsme classique, en particulier la discussion des cas considérés comme problématiques. Le Talmud lui-même définit les différentes catégories de Juifs, par ordre croissant, comme suit : la plus basse catégorie est composée de ceux qui sont totalement ignorants ; puis viennent ceux qui ne connaissent que la Bible ; puis ceux qui connaissent la Mishna ou Aggadah ; et enfin la classe supérieure, composée de ceux qui ont étudié et qui sont capables de discuter de la partie légale du Gémara. Seuls ces derniers sont aptes à diriger leurs semblables Juifs en toutes choses.

Le système juridique du Talmud peut être décrit comme totalement exhaustif, rigoureusement autoritaire, et pourtant capable d’un développement infini, sans toutefois changer sa base dogmatique. Tous les aspects de la vie juive, tant individuels que sociaux, sont abordés et régis, généralement de manière très détaillée, avec des sanctions et des peines prévues pour tout péché ou infraction aux règles qui se puissent concevoir. Les règles de base pour chaque problème sont énoncées de manière dogmatique et ne peuvent être remises en question. Ce qui peut l’être et qui est discuté très longuement est l’élaboration et la définition pratique de ces règles. Permettez-moi de donner quelques exemples.

« Ne réaliser aucun travail » durant le sabbat. Le concept de travail est défini comme comprenant exactement 39 types de travaux, ni plus ni moins. Le critère d’inclusion dans cette liste n’a rien à voir avec la pénibilité d’une tâche donnée ; c’est simplement une question de définition dogmatique. Un type de « travail » interdit est l’écriture. La question se pose alors : combien de caractères faut-il écrire pour avoir commis le péché d’écrire durant le sabbat ? Réponse : deux caractères. Le péché est-il le même en fonction de la main qui est utilisée (droite ou gauche) ? Réponse : non. Cependant, afin d’éviter de tomber dans le péché, la principale interdiction d’écrire est renforcée par une interdiction secondaire de toucher à tout instrument d’écriture pendant le sabbat.

Un autre type de travail interdit durant le sabbat est de moudre le grain. On en déduit par analogie que tout type de meulage est interdit. Et cela est à son tour renforcé par une interdiction d’exercer la médecine le jour du sabbat (sauf en cas de danger pour une vie juive), afin d’éviter de tomber dans le péché de moudre un médicament. Il est vain de souligner que, dans les temps modernes, un tel danger n’existe pas (il n’existait d’ailleurs pas dans de nombreux cas, même à l’époque talmudique) ; car, en tant que mesure de précaution autour de la mesure de précaution, le Talmud interdit explicitement les médicaments liquides et les boissons réparatrices pendant le sabbat. Ce qui a été déterminé reste à jamais déterminé, aussi absurde que cela puisse être. Tertullien, l’un des premiers pères de l’Église, avait écrit : « Je crois parce que c’est absurde ». Cela peut servir de devise à la majorité des règles talmudiques, « Je crois » étant remplacé par « Je le pratique ».

L’exemple suivant illustre encore mieux le niveau d’absurdité atteint par ce système de croyance. Un des types de travail interdit durant le sabbat est la récolte. Par analogie, cela s’étend à l’interdiction de casser la branche d’un arbre. Par conséquent, il est interdit de monter à cheval (ou tout autre animal), en guise de mesure de sécurité contre la tentation de casser la branche d’un arbre pour fouetter la bête. Il est inutile d’argumenter que vous avez un fouet prêt à l’emploi, ou que vous avez l’intention de chevaucher dans un endroit dénué d’arbres. Ce qui est interdit reste interdit pour toujours. Cela peut cependant être étendu et rendu plus strict : à l’époque moderne, il est interdit de faire du vélo le jour du sabbat, car c’est comme faire du cheval.

Mon dernier exemple montre comment les mêmes méthodes sont également utilisées dans des cas purement théoriques, n’ayant aucune application concevable dans la réalité. Pendant l’existence du Temple, le Grand Prêtre n’était autorisé à épouser qu’une vierge. Bien que pendant la quasi-totalité de la période talmudique il n’y ait plus eu de Temple ou de Grand Prêtre, le Talmud consacre l’une de ses discussions les plus animées (et les plus bizarres) à la définition précise du terme « vierge » pouvant épouser un Grand Prêtre. Qu’en est-il d’une femme dont l’hymen a été rompu par accident ? Est-ce que cela fait une différence que l’accident se soit produit avant ou après l’âge de trois ans ? Par l’impact du métal ou du bois ? Grimpait-elle à un arbre lorsque l’accident est arrivé ? Et si oui, est-ce qu’elle montait ou descendait ? Est-ce arrivé naturellement ou anormalement ? Tout cela et bien d’autres choses sont discutées en détail. Et tous les érudits du judaïsme classique devaient maîtriser sur le bout des doigts des centaines de problèmes de ce genre. Les grands érudits se distinguaient par leur capacité à développer davantage ces problèmes, car, comme le montrent les exemples, il est toujours possible de poursuivre le développement — même si c’est dans un seul sens, celui de davantage de sévérité —, et ce développement s’est effectivement poursuivi après la rédaction finale du Talmud.

Cependant, il existe deux grandes différences entre la période talmudique (se terminant vers 500 ap. J.-C.) et la période du judaïsme classique (à partir d’environ 800 ap. J.-C.). 1) Le Talmud est le produit d’une aire géographique limitée, et 2) La société juive qui y est décrite est une société « complète », fondée sur l’agriculture. (Ceci est vrai pour la Mésopotamie ainsi que pour la Palestine.) Bien qu’à cette époque, des Juifs vivaient dans tout l’empire romain et dans de nombreuses régions de l’empire sassanide, il ressort clairement du texte talmudique que sa composition — durant plus d’un demi-millénaire — était une affaire strictement locale. Aucun érudit de contrées autres que la Mésopotamie et la Palestine n’y a pris part, et le texte ne reflète pas non plus les conditions sociales extérieures à ces deux régions.

On sait très peu de choses sur les conditions sociales et religieuses des Juifs au cours des trois siècles qui se sont écoulés entre les deux périodes (de l’an 500 à l’an 800). Mais à partir de l’an 800 de notre ère, lorsque des informations historiques plus détaillées sont à nouveau disponibles, nous constatons que les deux caractéristiques mentionnées ci-dessus ont été inversées. Le Talmud babylonien (et dans une bien moindre mesure le reste de la littérature talmudique) est reconnu comme faisant autorité, étudié et développé dans toutes les communautés juives. Dans le même temps, la société juive avait subi un profond changement : peu importe où elle se trouve et ce qu’elle est, elle ne comprend plus de paysans.

Le système social résultant de ce changement sera discuté au chapitre 4. Nous allons décrire ici comment le Talmud a été adapté aux conditions — géographiquement beaucoup plus larges et socialement beaucoup plus étroites, et de toute façon radicalement différentes — du judaïsme classique.

Nous allons nous concentrer sur ce qui est à mon avis la méthode d’adaptation la plus importante, à savoir les dispenses ou exemptions.

Les dispenses

Comme indiqué ci-dessus, le système talmudique est très dogmatique et ne permet aucun assouplissement de ses règles, même si celles-ci sont réduites à l’absurde par un changement de circonstances. Et dans le cas du Talmud — contrairement à celui de la Bible —, le sens littéral du texte est contraignant et il n’est pas permis de l’interpréter pour actualiser ou rationaliser son sens. Mais à l’époque du judaïsme classique, diverses lois talmudiques devinrent intenables pour les classes dirigeantes juives — les rabbins et les riches. Dans l’intérêt de ces classes dirigeantes, une méthode de tromperie systématique a été mise au point pour respecter la lettre de la loi, tout en violant son esprit et son intention. C’est ce système hypocrite de « dispenses » (heterim, signifiant exemption ou dérogation) qui, à mon sens, a été la cause la plus importante de la dégradation du judaïsme à son époque classique. (La deuxième cause est le mysticisme juif, qui a cependant opéré pendant une période beaucoup plus courte.) Encore une fois, quelques exemples sont nécessaires pour illustrer le fonctionnement du système.

1. Le prêt à intérêt. Le Talmud interdit formellement à un Juif, sous peine d’un châtiment sévère, de percevoir des intérêts sur un prêt consenti à un autre Juif. (Selon la majorité des autorités talmudiques, c’est un devoir religieux que de fixer le taux d’intérêt le plus élevé possible à un emprunt consenti à un non-juif.) Des règles très détaillées interdisent même les formes les plus tirées par les cheveux par lesquelles un créditeur juif pourrait tirer profit d’un débiteur juif. Tous les complices juifs d’une telle transaction illicite, y compris le scribe et les témoins, sont qualifiés d’infâmes par le Talmud, et interdits de témoigner devant un tribunal, car en participant à un tel acte, un Juif déclare pour ainsi dire « qu’il n’a aucune part dans le Dieu d’Israël ». Il est évident que cette loi est bien adaptée aux besoins des paysans et artisans juifs, ou des petites communautés juives qui utilisent leur argent pour prêter à des non-juifs. Mais la situation était très différente en Europe de l’Est (principalement en Pologne) au XVIe siècle. Il y avait une communauté juive relativement importante, qui constituait la majorité dans de nombreuses villes. Les paysans, soumis à un servage strict proche de l’esclavage, n’étaient guère en mesure d’emprunter, tandis que prêter à la noblesse était l’affaire de quelques très riches Juifs. Beaucoup de Juifs faisaient des affaires les uns avec les autres.

Dans ces circonstances, le dispositif suivant (appelé heter’isqa — « dispense commerciale ») a été conçu pour un emprunt portant intérêt entre Juifs, ce qui ne constitue pas une violation de la lettre de la loi, car il ne s’agit pas formellement d’un emprunt. Le prêteur « investit » son argent dans les affaires de l’emprunteur, stipulant deux conditions. Premièrement, l’emprunteur versera au prêteur à une date ultérieure convenue une somme d’argent indiquée (en réalité, l’intérêt du prêt) à titre de « part (du prêteur) sur les bénéfices » (allégués) du débiteur. Deuxièmement, l’emprunteur sera présumé avoir réalisé un bénéfice suffisant pour donner sa part au prêteur, à moins que l’affirmation contraire ne soit corroborée par le témoignage du rabbin ou du juge rabbinique de la ville — qui, par arrangement, refusaient de témoigner dans ces cas. En pratique, tout ce qui est requis est de prendre un texte de cette dispense, rédigé en araméen et tout à fait incompréhensible pour la grande majorité, et de le placer sur un mur de la pièce où la transaction est effectuée (une copie de ce texte est aujourd’hui affichée dans toutes les succursales des banques israéliennes) ou même de le garder dans un coffre — et le prêt portant intérêt entre Juifs devient parfaitement légal et irréprochable.

2. L’année sabbatique. Selon la loi talmudique (basée sur Lévitique, 25), les terres détenues par des Juifs en Palestine41 « doivent être laissées en jachère tous les sept ans » (année sabbatique), lorsque tout travail agricole (y compris la récolte) y est interdit. Il est clairement établi que cette loi a été rigoureusement observée pendant environ mille ans, à partir du Ve siècle avant notre ère jusqu’à la disparition de l’agriculture juive en Palestine. Puis, lorsqu’il n’y eut aucune occasion d’appliquer la loi dans la pratique, elle fut maintenue théoriquement intacte. Cependant, dans les années 1880, avec l’établissement des premières colonies juives agricoles en Palestine, la question devint une préoccupation pratique. Des rabbins, qui soutenaient les colons élaborèrent avec bienveillance une dispense, qui fut ensuite perfectionnée par leurs successeurs au sein des partis religieux sionistes, et qui est devenue une pratique israélienne bien établie.

Voilà comment cela fonctionne. Peu de temps avant une année sabbatique, le ministre israélien des Affaires Intérieures remet au Grand Rabbin un document le rendant propriétaire légal de toutes les terres israéliennes, privées et publiques. Armé de ce papier, le Grand Rabbin se rend chez un non-juif et lui vend toute la terre d’Israël (et, depuis 1967, les territoires occupés) pour une somme symbolique. Un document séparé stipule que « l’acquéreur » « revendra » le terrain au Rabbin une fois l’année écoulée. Et cette transaction se répète tous les sept ans, généralement avec le même « acquéreur ».

Les rabbins non-sionistes ne reconnaissent pas la validité de cette dispense42, affirmant à juste titre que, puisque la loi religieuse interdit aux Juifs de vendre des terres de Palestine à des non-juifs, l’ensemble de la transaction est basée sur un péché et donc nulle et non avenue. Les rabbins sionistes répondent cependant que ce qui est interdit est une vente réelle et non fictive !

3. Traire les vaches durant le sabbat. Cela a été interdit à l’époque post-talmudique, par le processus de sévérité religieuse croissante mentionné ci-dessus. L’interdiction pouvait facilement être maintenue dans la diaspora, car les Juifs qui possédaient des vaches étaient généralement assez riches pour avoir des serviteurs non-juifs, à qui on pouvait demander (en utilisant l’un des subterfuges décrits ci-dessous) d’effectuer la traite. Les premiers colons juifs en Palestine employaient des Arabes pour cela et d’autres choses, mais l’imposition forcée de la politique sioniste de travail exclusif des Juifs nécessitait une dispense. (Cela était particulièrement important avant l’introduction de la traite mécanisée à la fin des années 1950.) Là aussi, il y avait une différence entre les rabbins sionistes et les rabbins non-sionistes.

Selon les rabbins sionistes, la traite interdite devient autorisée à condition que le lait ne soit pas blanc, mais coloré en bleu. Ce lait bleu du samedi est donc utilisé exclusivement pour la fabrication du fromage, et le colorant est ensuite éliminé par lavage dans le lactosérum. Les rabbins non-sionistes ont mis au point un système beaucoup plus subtil (dont j’ai personnellement été témoin dans un kibboutz religieux en 1952). Ils ont découvert une vieille disposition qui permet de vider les mamelles d’une vache durant le sabbat, uniquement pour soulager les souffrances causées à l’animal par des mamelles gonflées, et à la stricte condition que le lait soit déversé au sol pour ne pas être consommé. Voilà ce qui se passe réellement : samedi matin, un pieux kibboutznik se rend à l’étable et place des seaux sous les vaches. (Un tel travail n’est pas interdit dans l’ensemble de la littérature talmudique.) Il se rend ensuite à la synagogue pour prier. Vient ensuite son collègue, qui a pour « intention sincère » de soulager la douleur des animaux et de laisser leur lait couler au sol. Mais si, par hasard, un seau se trouvait sous leurs mamelles, est-il obligé de l’enlever ? Bien sûr que non. Il « ignore » simplement les seaux, remplit sa mission de miséricorde et se rend à la synagogue. Finalement, un troisième collègue pieux entre dans l’étable et découvre, à sa grande surprise, les seaux pleins de lait. Alors il les met dans une chambre froide et suit ses camarades à la synagogue. Maintenant, tout va bien, et il n’y a pas besoin de gaspiller de l’argent en colorant bleu.

4. Cultures mixtes. Des dispenses similaires ont été émises par les rabbins sionistes en ce qui concerne l’interdiction (basée sur Lévitique, 19:19) de semer deux espèces de cultures différentes dans le même champ. L’agronomie moderne a cependant montré que dans certains cas (notamment dans la culture du fourrage), les semis en mélange sont les plus rentables. Les rabbins ont inventé une dispense selon laquelle un homme sème le champ dans le sens de la longueur avec une sorte de graine et, plus tard dans la journée, son camarade, qui « ne sait pas » ce qu’a fait l’autre, sème un autre type de graine de manière transversale. Cependant, cette méthode était perçue comme un gaspillage de main-d’œuvre, et une meilleure fut conçue : un homme entasse un type de graines dans un lieu public et le recouvre soigneusement d’un sac ou d’une planche. Le second type de graines est ensuite placé par-dessus. Plus tard, un autre homme arrive et s’exclame devant des témoins : « J’ai besoin de ce sac (ou de cette planche) » et l’enlève, pour que les graines se mélangent « naturellement » et fortuitement. Enfin, un troisième homme arrive et on lui dit : « Prends ces graines et sème le champ », ce qu’il fait ensuite43.

5. Le pain au levain (et autres produits de fermentation) ne doivent pas être consommés ni même gardés en possession d’un Juif pendant les sept (ou, en dehors de la Palestine, huit) jours de Pâque. Le concept de « substances levée » a été continuellement élargi et l’aversion de les voir pendant la fête a approché l’hystérie. Ils comprennent toutes sortes de farines et même de grains non moulus. Dans la société talmudique d’origine, cela était supportable, car le pain (levé ou non) était généralement cuit une fois par semaine ; une famille paysanne utiliserait le dernier grain de l’année précédente pour cuire du pain sans levain à l’occasion de la fête, qui inaugurerait la nouvelle saison des récoltes. Cependant, dans les conditions du judaïsme européen post-talmudique, l’observance de cet interdit était très difficile pour une famille juive de la classe moyenne et encore plus pour un marchand de maïs. Une dispense a donc été conçue, par laquelle toutes ces substances sont vendues fictivement à un non-juif avant Pâque et rachetées automatiquement après. Ce qu’il faut faire, c’est enfermer les substances taboues pendant toute la durée de la fête. En Israël, cette vente fictive a été rendue plus efficace. Les Juifs religieux « vendent » leurs substances levées à leurs rabbins locaux, qui les « vendent » à leur tour aux Grands Rabbins ; ces derniers les vendent à un non-juif, et, par dérogation spéciale, cette vente est présumée inclure également les substances au levain de Juifs non pratiquants.

6. Le goy du Sabbat. Les dispenses les plus élaborées concernent probablement le « Goy (gentil/non-juif) du sabbat ». Comme mentionné ci-dessus, l’éventail des tâches interdites durant le sabbat s’est élargi continuellement ; mais l’éventail des tâches qui doivent être effectuées ou supervisées pour satisfaire les besoins ou augmenter le confort ne cesse de s’élargir lui aussi. Ceci est particulièrement vrai à l’époque moderne, mais l’effet du changement technologique a commencé à se faire sentir il y a longtemps. L’interdiction de moudre du grain pendant le sabbat était une affaire relativement légère pour un paysan ou un artisan juif, par exemple en Palestine au IIe siècle, qui utilisait un moulin à main à des fins domestiques. Il en va tout autrement pour le locataire d’un moulin à eau ou d’un moulin à vent — l’une des occupations juives les plus courantes en Europe orientale. Mais même un « problème » humain aussi simple que le désir de prendre une tasse de thé chaud le samedi après-midi devient bien plus grand avec le samovar tentant présent dans la salle, utilisé régulièrement en semaine, mais interdit le samedi. Ce ne sont que deux exemples parmi un très grand nombre de problèmes dits de « respect du sabbat ». Et on peut affirmer avec certitude que, pour une communauté composée exclusivement de Juifs orthodoxes, ces problèmes étaient parfaitement insolubles, du moins au cours des huit ou dix derniers siècles, sans « l’aide » de non-juifs. C’est encore plus vrai aujourd’hui dans « l’État juif », car de nombreux services publics, tels que l’eau, le gaz et l’électricité, entrent dans cette catégorie. Le judaïsme classique ne pourrait pas exister durant une semaine sans faire appel à des non-juifs.

Mais sans dispenses spéciales, il est très difficile d’employer des non-juifs pour ces travaux du samedi ; car les règlements talmudiques interdisent aux Juifs de demander à un non-juif de faire durant le sabbat tout travail qui leur est interdit44. Je décrirai deux des nombreux types de dispenses utilisées à cette fin.

Premièrement, il y a la méthode de « l’allusion », qui dépend de la logique casuistique selon laquelle une demande pécheresse devient irréprochable si elle est exprimée de manière déviée. En règle générale, l’indication doit être « obscure », mais dans les cas d’extrême nécessité, une indication « claire » est autorisée. Par exemple, dans une brochure récente sur l’observance religieuse à l’usage des soldats israéliens, ces derniers apprennent à parler aux travailleurs arabes employés par l’armée en tant que « Goys de sabbat ». Dans des cas urgents, par exemple lorsqu’il fait très froid et qu’un feu doit être allumé, ou lorsque la lumière est nécessaire pour un service religieux, un soldat juif pieux peut utiliser une allusion « claire » et dire à l’arabe : « Il fait froid (ou sombre) ici. » Mais normalement une allusion « obscure » doit suffire, par exemple : « Ce serait plus agréable s’il faisait plus chaud ici45. » Cette méthode d’« allusion » est d’autant plus répugnante et dégradante qu’elle est normalement utilisée sur des non-juifs qui, en raison de leur pauvreté ou de leur position sociale subordonnée, sont entièrement au pouvoir de leur employeur juif. Un serviteur non-juif (ou employé de l’armée israélienne) qui ne s’entraîne pas à interpréter les « allusions obscures » comme des ordres sera impitoyablement renvoyé.

La deuxième méthode est utilisée dans les cas où ce que le non-juif est tenu de faire le samedi n’est pas une tâche occasionnelle ou un service personnel, qui peut être « suggéré » au besoin par une « allusion », mais un travail routinier ou régulier sans supervision juive constante. Selon cette méthode — appelée « inclusion implicite » (havla’ah) du sabbat entre les jours de semaine —, les Gentils sont embauchés « pour toute la semaine (ou l’année) », sans que le sabbat ne soit ne serait-ce que mentionné dans le contrat. Mais en réalité, le travail n’est accompli quedurant le sabbat. Cette méthode a été utilisée dans le passé pour embaucher des non-juifs pour éteindre les bougies dans la synagogue après la prière de la veille du sabbat (plutôt que de les laisser se consumer, ce qui serait du gaspillage). Les exemples israéliens modernes sont la régulation de l’approvisionnement en eau ou la surveillance des réservoirs d’eau le samedi46.

Une idée similaire est également utilisée dans le cas des Juifs, mais dans un but différent. Il est interdit aux Juifs de recevoir un paiement pour le travail accompli durant le sabbat, même si ce travail lui-même est autorisé. Le principal exemple concerne les professions sacrées : le rabbin ou savant talmudique qui prêchent ou enseignent le jour du sabbat, le chantre qui chante uniquement le samedi et les autres jours saints (pendant lesquels des interdictions similaires s’appliquent), le sacristain et d’autres offices analogues. À l’époque talmudique, et dans certains pays, même plusieurs siècles après, ces emplois étaient non rémunérés. Mais plus tard, lorsque ces professions sont devenues salariées, la dispense de « l’inclusion implicite » a été utilisée et ils ont été embauchés sur une base « mensuelle » ou « annuelle ». Dans le cas des rabbins et des talmudistes, le problème est particulièrement compliqué, car le Talmud leur interdit de recevoir tout paiement pour prêcher, enseigner ou étudier le Talmud, même en semaine47. Pour eux, une dérogation supplémentaire stipule que leur salaire n’est pas du tout un salaire réel, mais une « allocation de chômage » (dmey batalah). En tant que résultat combiné de ces deux fictions, ce qui est en réalité un paiement pour un travail effectué principalement, voire exclusivement, le jour du sabbat, est transformé en un paiement pour chômage pendant les autres jours de la semaine.

Aspects sociaux des dispensations

Deux caractéristiques sociales de ces pratiques et de nombreuses autres pratiques similaires méritent une mention spéciale.

Premièrement, une caractéristique dominante de ce système de dispensations, et du judaïsme classique dans la mesure où il s’appuie sur elles, est la tromperie, en premier lieu la tromperie de Dieu, si ce mot peut être utilisé pour un être imaginaire si facilement trompé par les rabbins, qui se considèrent plus intelligents que lui. On ne peut concevoir un plus grand contraste que celui qui existe entre le Dieu de la Bible (en particulier celui des plus grands prophètes) et le Dieu du judaïsme classique. Ce dernier ressemble plus au Jupiter romain primitif, qui était lui aussi facilement berné par ses adorateurs, ou aux dieux décrits dans Le Rameau d’or de Frazer (ouvrage consacré à la mythologie antique).

Du point de vue éthique, le judaïsme classique représente un processus de dégénérescence qui se poursuit encore ; et cette dégénérescence en une collection tribale de rituels vides et de superstitions magiques a des conséquences sociales et politiques très importantes. Car il faut se rappeler que ce sont précisément les superstitions du judaïsme classique qui ont la plus grande emprise sur les masses juives, plutôt que ces parties de la Bible ou même du Talmud qui ont une réelle valeur religieuse et éthique. (On peut observer la même chose dans d’autres religions qui connaissent actuellement un renouveau.) Qu’est-ce qui est généralement considéré comme l’occasion la plus « sainte » et la plus solennelle de l’année liturgique juive, à laquelle même de très nombreux Juifs par ailleurs loin de la religion participent ? C’est la prière de Kol Nidré à la veille de Yom Kippour — la psalmodie d’une dispense particulièrement absurde et trompeuse, par laquelle tous les vœux privés faits à Dieu l’année suivante sont déclarés par avance nuls et non avenus48 (« Tous les vœux que nous pourrions faire depuis ce jour de Kippour jusqu’à celui de l’année prochaine — qu’il nous soit propice —, toute interdiction ou sentence d’anathème que nous prononcerions contre nous-mêmes, toute privation ou renonciation que, par simple parole, par vœu ou par serment nous pourrions nous imposer, nous les rétractons d’avance ; qu’ils soient tous déclarés non valides, annulés, dissous, nuls et non avenus ; qu’ils n’aient ni force ni valeur ; que nos vœux ne soient pas regardés comme vœux, ni nos serments comme serments. »). Ou, dans le domaine de la religion personnelle, la prière Kaddish, récitée durant les jours de deuil des Fils pour leurs parents défunts afin d’élever leurs âmes disparues au paradis — une récitation d’un texte araméen, incompréhensible pour la grande majorité. De toute évidence, le respect accordé par les masses juives à ces éléments, les plus superstitieux de la religion juive, n’est pas accordé aux éléments plus valorisants et plus dignes.

La tromperie de Dieu va de pair avec la tromperie des autres Juifs, principalement dans l’intérêt de la classe dirigeante juive. Il est caractéristique qu’aucune dérogation n’ait été autorisée dans l’intérêt spécifique des Juifs pauvres. Par exemple, les rabbins (qui n’avaient pas souvent faim eux-mêmes) ne permettaient jamais aux Juifs accablés par la famine, mais qui n’étaient pas sur le point de mourir, de manger la moindre nourriture interdite, bien que la nourriture casher soit généralement plus chère.

La deuxième caractéristique dominante des dispenses est qu’elles sont en grande partie manifestement motivées par l’esprit de lucre. Et c’est cette combinaison d’hypocrisie et de quête du profit qui a dominé de plus en plus le judaïsme classique. En Israël, où le processus se poursuit, l’opinion publique le perçoit faiblement, malgré tout le lavage de cerveau officiel prôné par le système éducatif et les médias. Les institutions religieuses — les rabbins et les partis religieux — et, par association, dans une certaine mesure, la communauté orthodoxe dans son ensemble, sont assez impopulaires en Israël. Une des raisons les plus importantes en est précisément leur réputation de duplicité et de vénalité. Bien entendu, l’opinion populaire (qui peut souvent avoir des préjugés) n’est pas la même chose que l’analyse sociale ; mais dans ce cas particulier, il est vrai que les autorités religieuses juives ont une forte tendance à la chicane et à la corruption, en raison de l’influence corruptrice de la religion juive orthodoxe. Parce que dans la vie sociale en général, la religion n’est que l’une des influences sociales, son impact sur la masse des croyants n’est pas aussi important que son impact sur les rabbins et les chefs des partis religieux. Les Juifs religieux en Israël qui sont honnêtes, comme le sont sans doute la majorité d’entre eux, ne le sont pas à cause de l’influence de leur religion et des rabbins, mais malgré elle. D’un autre côté, dans les quelques domaines de la vie publique en Israël qui sont entièrement dominés par les cercles religieux, le niveau de chicane, de vénalité et de corruption est notoire, dépassant de loin le niveau « moyen » toléré par la société israélienne généralement non-religieuse.

Au chapitre 4, nous verrons comment la prédominance de la recherche du profit dans le judaïsme classique est liée à la structure de la société juive et à son articulation avec la société générale au milieu de laquelle les Juifs vivaient à l’époque « classique ». Ici, je veux simplement faire remarquer que le motif du profit n’est pas caractéristique du judaïsme à toutes les périodes de son histoire. Seule la confusion platonicienne qui cherche « l’essence » métaphysique intemporelle du judaïsme, au lieu d’observer les changements historiques de la société juive, a obscurci ce fait. (Et cette confusion a été grandement encouragée par le sionisme, qui s’appuie sur des « droits historiques » tirés de la Bible au mépris de l’Histoire.) Ainsi, les apologistes du judaïsme prétendent, à juste titre, que la Bible est hostile à la quête du profit, tandis que le Talmud y est indifférent. Mais cela était dû aux conditions sociales très différentes dans lesquelles ces écrits furent composés. Comme indiqué ci-dessus, le Talmud a été composé dans deux régions bien définies, à une époque où les Juifs qui y vivaient constituaient une société basée sur l’agriculture et composée principalement de paysans, ce qui est très différent de la société du judaïsme classique.

Dans le chapitre 5, nous traiterons en détail des attitudes hostiles et des tromperies pratiquées par le judaïsme classique contre les non-juifs. Mais la tromperie à but lucratif pratiquée par les Juifs riches contre leurs compatriotes juifs pauvres est plus importante en tant que caractéristique sociale (comme la dispense concernant les intérêts sur les emprunts). Je dois dire ici, malgré mon opposition au marxisme tant en tant que philosophie que comme théorie sociale, que Marx avait tout à fait raison lorsque, dans ses deux articles sur le judaïsme, il le décrivait comme étant dominé par la recherche du profit — à condition que ce propos soit limité au judaïsme tel qu’il le connaissait, c’est-à-dire au judaïsme classique qui, dans sa jeunesse, était déjà entré dans sa période de dissolution. Certes, il a déclaré cela de manière arbitraire, anhistorique et sans preuve. Évidemment, il en arriva à sa conclusion par intuition ; mais son intuition dans ce cas — et dans les limites historiques appropriées — était juste.

À venir :

Chapitre IV – Le poids de l’histoire

Chapitre V – Les lois contre les non-juifs

Chapitre VI — Conséquences politiques

NOTES

1 Walter Laquer, Histoire du sionisme, Schocken Publishers, Tel-Aviv, 1974, en hébreu.

2 Voir Yedioth Ahronot, 27 avril 1992.

3 In Hugh Trevor-Roper, Essais sur la Renaissance, Fontana Press, Londres, 1985.

4 Voir Moses Hadas, Culture hellénique, fusion et diffusion, Columbia University Press, New York, 1959, en particulier les chapitres VII et XX.

5 Les Juifs eux-mêmes se sont universellement décrits comme une communauté religieuse ou, pour être plus précis, une nation religieuse. « Notre peuple n’est un peuple qu’à cause de la Torah (loi religieuse) ». Ce dicton de l’une des plus hautes autorités juives, le rabbin Sa’adia Hagga’on, qui vivait au Xème siècle, est devenu proverbial.

6 Par l’Empereur Joseph II en 1782.

7 Par exemple dans ses Origines du totalitarisme, dont une partie considérable est consacrée aux Juifs.

8 Avant la fin du XVIIIème siècle, les Juifs allemands n’étaient autorisés par leurs rabbins à écrire en allemand qu’en lettres hébraïques, sous peine d’être excommuniés, flagellés, etc.

9 Quand par un accord entre l’Empire romain et les dirigeants juifs (la dynastie des Nesi’im) tous les Juifs de l’Empire ont été soumis à l’autorité fiscale et disciplinaire de ces dirigeants et de leurs tribunaux rabbiniques, qui de leur côté s’engagèrent à faire régner l’ordre chez les Juifs..

10 Je ne suis pas socialiste. Mais j’honore et respecte les personnes qui ont des principes avec lesquels je suis en désaccord, si elles font un effort honnête pour être fidèle à leurs principes. En revanche, il n’y a rien de plus abject que l’utilisation malhonnête de principes universels, vrais ou faux, pour les fins égoïstes d’un individu ou, pire encore, d’un groupe.

11 En fait, de nombreux aspects du judaïsme orthodoxe ont apparemment été dérivés de Sparte, à travers l’influence politique funeste de Platon. Sur ce sujet, voir les excellents commentaires de Moses Hadas, Hellenistic Culture, Fusion and Diffusion, Columbia University Press, New York, 1959.

12 Y compris la géographie de la Palestine et son emplacement même. C’est ce que montre l’orientation de toutes les synagogues dans des pays tels que la Pologne et la Russie : les Juifs sont censés prier face à Jérusalem, et les Juifs européens, qui n’avaient qu’une vague idée de l’endroit où se trouvait Jérusalem, ont toujours supposé qu’elle était plein Est, alors que pour eux, elle était plutôt au Sud.

13 Tout au long de ce chapitre, j’utilise la formule « judaïsme classique » pour désigner le judaïsme rabbinique tel qu’il est apparu après environ l’an 800 et a duré jusqu’à la fin du XVIIIème siècle. J’évite de parler de « judaïsme normatif », formule que beaucoup d’auteurs utilisent avec à peu près le même sens, car à mon avis, elle a des connotations injustifiées.

14 Les œuvres de juifs hellénistiques, comme Philon d’Alexandrie, constituent une exception. Ils ont été écrits avant que le judaïsme classique ait atteint une position d’hégémonie exclusive. En effet, ils ont été subséquemment réprimés et censurés chez les Juifs, et ont survécu uniquement parce que les moines chrétiens les ont trouvés plaisants.

15 Pendant toute la période allant de l’an 100 à 1500, les lettrés juifs n’ont produit que deux ouvrages (de ce type) : un livre de voyage et une histoire des études talmudiques — un livre court, inexact et aride, composé en outre par un philosophe méprisé (Abraham ben-David, Espagne, 1170).

16 Me’or « Eynayim par » Azarya de Rossi de Ferrare, Italie, 1574.

17 Les cas de conversion les plus connus eurent lieu en Espagne ; par exemple (pour utiliser les noms chrétiens qu’ils ont adopté) Maître Alfonso de Valladolid, converti en 1320, et Paul de Santa Maria, converti en 1390 et nommé évêque de Burgos en 1415. Mais de nombreux autres cas peuvent être cités partout en Europe occidentale.

18 Le ton de ces disputes, et leurs conséquences, étaient assurément largement préférables à ce qui se passait dans le cas des chrétiens accusés d’hérésie ; voir, par exemple, les controverses qui aboutirent à la condamnation d’Abélard ou des franciscains de stricte observance.

19 En 1874, H. Ewald, un professeur à Göttingen, a été emprisonné pour avoir exprimé des vues « incorrectes » sur les conquêtes de Frédéric II cent ans plus tôt.

20 En fin de compte, quelques autres passages ont également dû être supprimés, tels que ceux qui semblaient théologiquement absurdes (par exemple, où Dieu est décrit comme s’adressant des prières à lui-même, ou pratiquant physiquement certaines des pratiques requises du Juif individuel) ou ceux qui ont célébré trop librement les frasques sexuelles d’anciens rabbins.

21 Tractate Berakhot, p. 58 b.

22 « Ta mère sera couverte de confusion, Celle qui vous a enfantés rougira de honte… », Jérémie, 50:12.

23 Publié par Boys Town, Jérusalem et édité par Moses Hyamson, l’un des savants les plus réputés du judaïsme en Grande-Bretagne.

24 Les supposés fondateurs de la secte sadducéenne.

25 Je suis heureux d’annoncer que, dans une traduction récente (Chicago University Press), le mot « Noirs » apparaît, mais ce volume très lourd et très coûteux risque peu, pour l’instant, de tomber en de « mauvaises » mains. De même, en Angleterre au début du XIXe siècle, les livres radicaux (tels que ceux de l’anarchiste William Godwin) étaient autorisés à paraître, à condition qu’ils soient publiés dans des éditions très onéreuses.

26 Comme au chapitre 2, j’utilise l’expression « judaïsme classique » pour désigner le judaïsme rabbinique de la période allant de l’an 800 environ jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. Cette période coïncide généralement avec le Moyen Âge juif, car pour la plupart des communautés juives, les conditions médiévales persistèrent beaucoup plus longtemps que pour les nations de l’Europe occidentale, notamment jusqu’à la période de la Révolution française. Ainsi, ce que j’appelle le « judaïsme classique » peut être considéré comme le judaïsme médiéval.

27 Exode, 15:11.

28 Ibid., 20:3-6.

29 Jérémie, 10 ; le même thème est repris plus tard par la deuxième Esaïe, voir Esaïe, 44.

30 La Kabbale est bien sûr une doctrine ésotérique, et son étude détaillée était réservée aux érudits. En Europe, surtout après 1750 environ, des mesures extrêmes ont été prises pour la garder secrète et interdire son étude, sauf pour des savants juifs expérimentés et sous un contrôle strict. Les masses juives non éduquées d’Europe orientale n’avaient aucune connaissance réelle de la doctrine kabbalistique ; mais la Kabbale les a percolés sous forme de superstition et de pratiques magiques.

31 De nombreux mystiques juifs contemporains pensent que le même but peut être atteint plus rapidement par la guerre contre les Arabes, par l’expulsion des Palestiniens ou même par l’établissement de nombreuses colonies de peuplement juives en Cisjordanie. Le mouvement croissant pour la construction du Troisième Temple est également basé sur de telles idées.

32 Le terme hébreu utilisé ici – yihud, signifiant littéralement « union dans l’isolement » — est le même que celui employé dans les textes juridiques (concernant le mariage, etc.) pour désigner les rapports sexuels

33 La soi-disant Qedushah Shlishit (Troisième Sainteté), insérée dans la prière Uva Letzion vers la fin du service matinal.

34 Nombres, 29.

35 Le pouvoir de Satan, et ses relations avec les non-juifs sont illustrés par une coutume répandue, établie sous l’influence kabbalistique dans de nombreuses communautés juives à partir du 17ème siècle. Une femme juive revenant de son bain de purification rituel mensuel (après lequel des rapports sexuels avec son mari sont obligatoires) doit se garder de rencontrer l’une des quatre créatures sataniques : le non-juif, le cochon, le chien ou l’âne. Si elle rencontre l’un d’entre eux, elle doit prendre un autre bain. Shevet Musar, l’un des ouvrages les plus populaires parmi les Juifs d’Europe orientale et des pays islamiques jusqu’au début du siècle, a prôné cette coutume (entre autres) en 1712. Il est encore largement lu dans certains milieux orthodoxes.

36 Cela est prescrit dans les moindres détails. Par exemple, le lavage rituel des mains ne doit pas se faire sous un robinet ; chaque main doit être lavée séparément dans l’eau d’une tasse (de la taille minimale prescrite) tenue dans l’autre main. Si nos mains sont vraiment sales, il est tout à fait impossible de les nettoyer de cette façon, mais de telles considérations pragmatiques sont évidemment hors de propos. Le judaïsme classique prescrit un grand nombre de tels rituels détaillés, auxquels la Kabbale attache une signification profonde. Il existe, par exemple, de nombreuses règles précises concernant le comportement dans les toilettes. Un Juif qui fait ses besoins naturels dans un espace ouvert ne doit pas le faire dans une direction nord-sud, car le nord est associé à Satan.

37 « Interprétation » est ma propre expression. Le point de vue classique (et orthodoxe actuel) est que le sens talmudique, même opposé au sens littéral, était toujours celui qui était appliqué.

38 Selon une histoire apocryphe, un célèbre hérétique juif du XIXe siècle aurait observé à cet égard que le verset « Tu ne commettras pas d’adultère » ne se répète que deux fois. « Il est donc vraisemblablement interdit de manger l’adultère ou de le cuisiner, mais en tirer jouissance est tout à fait acceptable. »

39 Le mot hébreu re’akha est traduit de façon assez imprécise par la version King James de la Bible (et la plupart des autres traductions anglaises) en tant que « ton voisin » (ou « ton prochain » en français). Voir cependant Samuel, II, 16:17, où exactement le même mot est rendu par la version King James, plus exactement par « ton ami ».

40 La Mishna est remarquablement libre de tout cela, et en particulier la croyance aux démons et à la sorcellerie y est relativement rare. Le Talmud Babylonien, en revanche, regorge de superstitions grossières.

41 Ou, pour être précis, dans de nombreuses régions de la Palestine. Apparemment, les domaines d’application de la loi sont ceux où la prédominance démographique juive était prédominante autour des années 150-200 de notre ère.

42 C’est pourquoi les Juifs orthodoxes non sionistes en Israël prévoient des magasins spéciaux pendant les années sabbatiques, qui vendent des fruits et des légumes cultivés par des Arabes sur des terres arabes.

43 À l’hiver 1945-1961, moi-même, alors un garçon de moins de 13 ans, participai à de telles procédures. La personne en charge du travail agricole de l’école d’agriculture religieuse que je fréquentais à l’époque était un Juif particulièrement dévot et estimait qu’il serait prudent que l’acte crucial, qui consiste à retirer la planche, soit exécuté par un orphelin de moins de 13 ans, incapable d’être, ou de rendre quelqu’un d’autre coupable d’un péché. (Un garçon de moins de 13 ans ne peut pas être coupable d’un péché ; son père, s’il en a un, est considéré comme responsable.) Tout m’a soigneusement été expliqué à l’avance, y compris le devoir de dire : « J’ai besoin de cette planche », alors qu’en fait personne n’en avait aucun besoin.

44 Par exemple, le Talmud interdit à un Juif de profiter de la lumière d’une bougie allumée par un non-juif durant le sabbat, à moins que ce dernier ne l’ait allumée pour son propre compte avant que le Juif n’entre dans la pièce.

45 Un de mes oncles qui vivant à Varsovie avant 1939 utilisait une méthode plus subtile. Il employait une femme de chambre non-juive appelée Marysia et sa coutume était, en se levant de sa sieste du samedi, de dire, d’abord à voix basse : « Ce serait bien que… » Et puis, élevant la voix jusqu’à crier, « … Marysia nous apporte une tasse de thé ! » Il était tenu pour très pieux et craignant Dieu, et ne rêverait jamais de boire une goutte de lait avant d’avoir laissé écouler six heures complètes après avoir mangé de la viande. Dans sa cuisine, il avait deux lavabos, un pour la vaisselle utilisée pour manger de la viande, l’autre pour les plats contenant du lait.

46 Des erreurs parfois regrettables sont commises, car certains de ces emplois sont assez confortables, laissant à l’employé six jours de congé par semaine. La ville de Bney Braq (près de Tel-Aviv), habitée presque exclusivement

par les Juifs orthodoxes, a été secoué dans les années 1960 par un horrible scandale. À la mort du « sabbat-Goy » qu’ils avaient employé plus de vingt ans pour veiller à leur approvisionnement en eau le samedi, il fut découvert qu’il n’était pas vraiment chrétien, mais juif ! Donc quand son successeur, un Druze, a été embauché, la ville a exigé et obtenu du gouvernement un document certifiant que le nouvel employé était un gentil de pure ascendance Gentille. Selon des rumeurs fiables, la police secrète a été invitée à faire des recherches à ce sujet.

47 En revanche, l’enseignement élémentaire des Écritures peut être effectué moyennant un paiement. Cela a toujours été considéré comme un travail peu qualifié et mal payé.

48 Un autre rituel « extrêmement important » est de souffler dans une corne de bélier à Roch Hachana, afin de déconcerter Satan.




Le danger manifeste et actuel de l’IA

[Source : aubedigitale.com]

Par Bruce Abramson

L’intelligence artificielle menace-t-elle de conquérir l’humanité ? Au cours des derniers mois, cette question est passée des pages des romans de science-fiction au premier plan de l’attention des médias et des gouvernements. Il n’est toutefois pas certain que beaucoup de ceux qui ont discuté de cette question aient compris les implications de ce bond.

Dans l’esprit du public, la menace se concentre sur la confusion inhérente à des contrefaçons de plus en plus performantes et sur ses conséquences pour le marché de l’emploi, ou bien elle s’oriente vers des directions qui feraient l’objet d’un grand film : Que se passerait-il si les systèmes d’IA décidaient qu’ils sont supérieurs aux humains, prenaient le contrôle et mettaient en œuvre des plans génocidaires ? Cette dernière perspective est évidemment la plus convaincante des deux.

Bien qu’un tel cauchemar soit possible en théorie, il est peu probable qu’il se produise. Le danger clair et présent que représente l’IA nous détruira bien avant que nos serviteurs automatisés rebelles ne se déclarent nos suzerains exterminateurs. Deux mots essentiels résument la menace : valeurs et autorité.

Les valeurs d’abord. Malgré toute leur sophistication et leur mystère, les systèmes d’IA sont essentiellement des détecteurs de modèles. Presque tous les comportements humains — et une part encore plus importante des événements non humains — suivent des schémas prévisibles. Des mécanismes d’enregistrement de plus en plus sophistiqués fournissent aux systèmes d’IA un ensemble croissant de données passées dans lesquelles ils peuvent trouver des modèles. Des algorithmes de plus en plus sophistiqués fournissent aux systèmes d’IA des capacités qui s’améliorent rapidement pour trouver des modèles dans ces données.

L’IA ne devient toutefois intéressante que lorsqu’elle projette ces schémas dans l’avenir. Peu de gens se soucient, par exemple, du fait que l’IA puisse trouver des modèles dans Shakespeare, mais beaucoup seront fascinés lorsque l’IA composera une « tragédie shakespearienne » se déroulant pendant la guerre de Sécession en utilisant une langue, un style, un idiome et des compétences qui étaient auparavant considérés comme propres au Barde.

C’est dans la projection et la prédiction que les valeurs entrent en jeu. Toute décision implique une certaine évaluation des valeurs. Dans la plupart des contextes de contrôle mécanisé actuellement soumis aux conseils de l’IA, les valeurs fondamentales sont si peu controversées qu’elles échappent à l’attention. Peu de gens (à part peut-être les kamikazes ou les fabricants de munitions) contesteraient les propositions selon lesquelles il est « mauvais » que les moteurs surchauffent, que les chaudières explosent ou que les véhicules s’écrasent. Ces croyances n’ont rien de « naturel » — un météore est indifférent au fait qu’il se précipite dans l’espace ou qu’il s’écrase sur une planète — mais elles sont si intrinsèquement humaines qu’elles transcendent les différences de culture et de temps.

Ce consensus quasi universel s’estompe toutefois lorsque des êtres humains entrent en scène. Prenons l’exemple de Dylan Mulvaney, l’influenceur transgenre des médias sociaux qui a récemment contribué à redorer le blason de Bud Light. (Selon le système de croyances woke contemporain, Mulvaney est une femme qui a eu la malchance de naître dans un corps masculin. Selon tout autre système de croyance ayant jamais existé, Mulvaney est un homme qui a choisi de vivre en tant que femme.

Comment l’IA devrait-elle désigner Mulvaney : « il » ou « elle » ? La réponse démontre une préférence pour un ensemble de croyances et de valeurs plutôt qu’un autre. Comment l’IA a-t-elle pu déduire cette préférence ?

Deux voies sont possibles : elle pourrait s’être formée à partir d’un grand nombre de réflexions éthiques tirées des milliers de systèmes de croyances qui ont vu le jour au cours de l’histoire du monde et en avoir conclu qu’un système spécifique était le meilleur, ou elle pourrait avoir adopté les préférences de valeurs de ses concepteurs et formateurs humains.

Peut-être qu’un jour, un système d’IA suivra la première voie. Aujourd’hui, personne ne doute que les tendances wokes des systèmes d’IA tels que ChatGPT reflètent les tendances wokes des professionnels de la technologie qui les ont développés. Ce que cela signifie pour la plupart des utilisateurs, c’est que les IA sur lesquelles ils pourront bientôt s’appuyer pour émettre des jugements et des recommandations fondés sur des valeurs ne partagent pas leurs propres valeurs.

Cette reconnaissance fait entrer en jeu l’autorité. Le véritable danger imminent de l’IA provient de l’intégration potentielle des systèmes d’IA dans le culte de l’expertise.

Dans de nombreux domaines, nous avons choisi de faire preuve d’une déférence quasi totale à l’égard des experts accrédités. Pendant Covid, par exemple, il était presque hérétique de remettre en question les recommandations du Dr Fauci, de la Dr Birx, des CDC ou de la FDA. Cependant, même à cette époque, il était encore (à peine) possible de noter que ces experts avaient peut-être indûment ignoré les conséquences économiques négatives de leurs recommandations en matière de santé publique. Imaginez la prochaine épidémie, lorsque le conseiller politique sera une IA qui aura pris en compte des centaines de milliers de variables pour évaluer des quadrillions de scénarios.

Un tel résultat est le véritable avenir cauchemardesque : la dictature effective d’une IA qui ne partage pas vos croyances ou vos valeurs fondamentales.

Bien avant qu’une IA exterminatrice ne prenne le contrôle du monde en son nom propre, nos gouvernements et nos concitoyens accorderont à un système d’IA le pouvoir de déclarer des situations d’urgence, de supprimer les libertés civiles et de contrôler nos vies.

Tant que nous n’aurons pas redéveloppé les mécanismes gouvernementaux dont nous avons besoin pour préserver notre liberté face à l’assaut des experts, nous ne serons jamais à l’abri des privations potentielles de la gouvernance de l’IA.

L’IA elle-même peut être contenue. La combinaison de l’IA, d’une dévotion servile et d’une application généralisée ne le sera pas. Nous devons mettre un frein à notre croyance collective en l’infaillibilité d’une classe d’experts, sinon les conseillers en IA pourraient bien mettre fin à notre civilisation.

Bruce Abramson, PhD, JD, est président de la société de conseil stratégique Informationism, Inc. et directeur de l’American Center for Education and Knowledge. Il a été l’un des premiers à utiliser des simulations à grande échelle et des analyses statistiques dans les systèmes d’intelligence artificielle. Il a écrit cinq livres, dont « The New Civil War: Exposing Elites, Fighting Utopian Leftism, and Restoring America » (RealClear Publishing, 2021).

Traduction de Real Clear Wire par Aube Digitale




Pourquoi Elon Musk a-t-il embauché Linda Yaccarino, cadre du WEF, pour devenir PDG de Twitter ?

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Alors que certains voyaient en Elon Musk le gardien de la liberté d’expression, celui-ci vient de désigner comme PDG de Twitter Linda Yaccarino.

Or, Linda Yaccarino est la présidente du groupe de réflexion du Forum économique mondial (WEF) de Davos sur l’avenir du travail. Ce Forum économique mondial qui parlait il y a peu d’une nouvelle technologie permettant de lire dans vos pensées.

Dans une interview d’une heure avec David Faber, publiée le 16 mai, Musk a expliqué son choix.

Musk a indiqué qu’il espérait transformer Twitter/X en un service de grande envergure similaire à WeChat en Chine, déclarant lors d’une conférence de Morgan Stanley le mois dernier qu’il souhaitait que son application « devienne la plus grande institution financière au monde ».

[Voir aussi :
Elon Musk, défenseur des libertés? 1re partie
Le grand jeu : Elon Musk et Twitter
Elon Musk un anti-woke, libertarien et anti-mondialiste?
Elon Musk veut implanter la puce de Neuralink dans le cerveau d’humains dès l’année prochaine

Par ailleurs, Elon Musk serait aussi un Young Global Leader de Klauss Schwab tout ne apparaissant plus dans la liste officielle (https://www.younggloballeaders.org/community)
sur https://www.younggloballeaders.org/.
Voir :
https://firstfactcheck.substack.com/p/fact-check-elon-musk-was-a-klaus
https://gloria.tv/post/uHJaTVu87iVR1juoSt2AeCAi6
https://en-academic.com/dic.nsf/enwiki/711547 (capture PDF ci-dessous)
Les Young Global Leader, l’organisation du FÉM pour « infiltrer » les gouvernements]

Musk a déclaré à l’époque qu’il voulait que X devienne une plate-forme de paiement mobile peer-to-peer où les utilisateurs peuvent gagner des intérêts sur leur argent comme dans une banque, suggérant qu’il voulait que son application inclue une surabondance de services, y compris le transport et la livraison de nourriture.

Il a parlé de sa « vision pour X » dans l’interview. Vers la 37e minute de son entretien avec Faber, il déclare : « Ma vision globale pour X ou Twitter est d’être un esprit collectif cybernétique pour l’humanité ».

C’est un aveu surprenant, et qui rappelle le projet Neuralink de Musk, et la fusion de l’humanité avec des machines si chères aux techno-futuristes tels que Yuval Noah Harari.

Outre cette science-fiction, il y a la science factuelle. Elon Musk a l’intention d’étendre « Twitter » à « X Corp », en fusionnant l’intelligence artificielle avec une application à vie entière. C’est un modèle d’« esprit collectif cybernétique » incontestablement réaliste compte tenu de sa richesse et de sa technologie. Ce qui est en cause, c’est l’aspect « pour l’humanité ».

Cela nous aide à comprendre pourquoi il embauche Linda Yaccarino.

La première raison est celle que Musk cite lui-même : l’argent. Twitter avait « 1 milliard de dollars en banque, 3 milliards de dollars de pertes annuelles » lorsqu’il a pris la relève. Il se décrit comme étant téléporté dans un avion en piqué en feu sans commandes de travail. Après avoir licencié la moitié du personnel et perdu quelque 40 millions de dollars de revenus publicitaires en raison des notes de la communauté corrigeant « deux annonceurs majeurs », Musk a besoin de Twitter pour gagner de l’argent.

À 27 minutes de l’interview accordée à Faber, Musk déclare : « Je pense que Linda Yaccarino va être géniale. Twitter est une entreprise très dépendante de la publicité. Linda est évidemment incroyable dans ce domaine et c’est juste une excellente cadre en général ».

Musk dit qu’elle dirigera Twitter : « Mes compétences et mes intérêts sont dans la technologie. Je continuerai à jouer un rôle dans l’avancement du logiciel — des produits, en gros. L’idée générale est que Linda exploite l’entreprise et que je construise des produits. »

Le temps, c’est de l’argent

La décision de Musk combine son besoin d’un « grand dirigeant » avec la monnaie limitée à sa disposition — le temps.

« Le temps est la seule véritable monnaie », dit-il. À l’avenir, il « consacrera beaucoup plus de temps à Tesla, en particulier au développement de l’Intelligence Artificielle ».

Elon Musk a voté pour Joe Biden. Biden ne peut pas « faire avancer les choses ». Pourtant Musk l’a choisi. Musk a choisi Biden pour sa politique, mais l’a trouvé inefficace dans la pratique. Il dit qu’il a choisi Yaccarino pour sa capacité en tant que cadre — à changer les choses universellement pour le bien de X Corp. Il ne dit rien de ses « croyances morales », qui incluent des éloges pour un autre PDG efficace — Larry Fink, de BlackRock.

Connexions avec le Forum économique mondial de Davos

Les parallèles entre l’ambition de Musk — un « esprit collectif cybernétique pour l’humanité » — et ceux des fantasmes les plus sinistres affichés au Forum économique mondial sont évidents.

La technologie esprit/machine n’est actuellement pas possible et une percée rapide semble peu probable. Ce qui est possible, c’est un système d’information mondial transmis par les satellites Starlink alimentant une application pour tout. Musk a acquis Laskie, une application de recherche d’emploi, et a parlé de son projet d’utiliser X Corp pour perturber le secteur bancaire.

L’analyse coûts-avantages momentanés de la liberté d’expression

Ses propositions sur l’intelligence artificielle nous entraînent une fois de plus entre les lignes. Pourquoi défend-il la « liberté d’expression », même si cela peut lui coûter de l’argent ?

Musk a affirmé que son IA de Tesla avait des kilomètres d’avance sur les efforts de Google. Bluff ou réalité ? Il cherche maintenant à diriger l’intelligence artificielle LLM (large language model).

ChatGPT est l’illustration la plus reconnaissable de l’intelligence artificielle LLM. Il n’est pas « intelligent », car il n’est pas conscient de lui-même. Pourtant, avec le « Bard » de Google et le « Ernie » chinois, il utilise l’apport humain via des algorithmes afin de générer des réponses de type humain.

Musk, qui a fait don de 50 millions de dollars à OpenAI, déplore que le chatbot qu’il a créé soit désormais entre des mains privées. ChatGPT était censé rester à but non lucratif et open source, ce qui signifiait que son code serait accessible à tous.

Les meilleurs modèles d’IA ont la contribution humaine la plus riche. L’humain le plus riche veut le meilleur modèle d’IA. C’est la raison pour laquelle il défend — pour l’instant — votre « liberté d’expression », car il en a besoin dans l’immédiat pour former un meilleur esprit cybernétique.

Il y a des erreurs dans la saisie humaine qu’il faut corriger en temps réel. Il s’agit du système de notes de la communauté dans lequel les utilisateurs joignent des corrections à des informations inexactes. Musk dit que ce système lui a coûté des dizaines de millions de dollars en revenus publicitaires. Si c’est vrai, cela indique l’analyse des coûts-avantages qui sous-tend le concept.

« Vous pouvez considérer les notes de la communauté comme une correction d’erreur sur un réseau d’information », dit-il.

Musk ne pense pas que les élections de 2020 ont été volées. C’est une erreur qui, selon lui, sera corrigée par ces notes. Ces notes existent non seulement pour vérifier les informations destinées aux utilisateurs, mais surtout pour alimenter son modèle d’IA avec des données « corrigées d’erreurs ».

La prise de contrôle d’Elon Musk sur Twitter ne peut être comprise que dans le contexte de ses ambitions. Il souhaite diriger la principale intelligence artificielle de la planète, et il souhaite combiner cela avec une application qui impliquera tous les aspects de votre vie. Il a la technologie.

Avec Yaccarino, il a une directrice de la publicité avec les bonnes références pour attirer les gros investisseurs vers sa plate-forme. Son projet X Corp est sa fusion du commerce, de la banque et de l’interaction humaine avec un esprit cybernétique mondial.

Votre « liberté d’expression » est considérée comme un ingrédient précieux pour le succès de son business model. Quand il aura intégré son modèle, il n’en aura plus l’utilité.

Elon Musk envisage — cette année ou la prochaine — que des millions de voitures Tesla deviendront des robots-taxis autonomes, transportant des passagers contre rémunération pendant que leurs propriétaires dorment. Quelque chose de similaire est prévu pour X Corp, qui cherche à exploiter le plus grand pool de données jamais assemblé pour construire la prochaine génération d’intelligence artificielle.

C’est le monde qu’il espère créer. Pour ce faire, il doit étendre Twitter pour absorber les fonctions de chacun de ses rivaux.

C’est la raison pour laquelle il a fait venir Linda Yaccarino.




Une révolution technologique incroyable est en cours : Chat-GPT ; mais c’est quoi ?

Par Gérard Le Maître

La science-fiction nous rattrape…

ChatGPT va-t-il détruire le monde ? avec Laurent Alexandre(([1] Laurent Alexandre multi-casquette a été un insupportable codiviste-vaccinateur fou pendant la pandémie.

Laurent Alexandre, né le 10 juin 1960 à Paris, est un haut fonctionnairechirurgien-urologue de formation, entrepreneurchroniqueurécrivain et militant politique français.

Il se fait connaître comme cofondateur du site Doctissimo en 1999 puis par ses prises de position dans les années 2010 sur le développement de l’intelligence artificielle, le recul de la mort, la génétique et le transhumanisme. Souvent présenté comme futurologue, il intervient régulièrement dans les médias au cours des années 2010 : il est notamment chroniqueur dans Le Monde et L’Express. ))

Cnews : L’HEURE DES PROS DU 16/03/2023 : Écoutez à partir de la min 18(([2] https://www.cnews.fr/emission/2023-03-16/lheure-des-pros-du-16032023-1333404))



Écoutez la surprenante interview de Chat-GPT par Sonya Mabrouk sur Europe 1 :

Mais on comprend tout de suite tous les dangers qu’une telle technologie peut produire : dans le cas présent les réponses aux questions sont orientées wokisme -politic-correct car il faut savoir que cette invention vient de la Silicon Valley et reflète bien le courant de pensée du lieu que ses créateurs lui inculquent dans ses données… donc un bon outil pour façonner le nouveau monde ?? 

(([3] https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2023-01-13/la-triche-des-etudiants-avec-le-logiciel-chatgpt-oblige-les-universites-a-revoir-leurs-examens-13c93bd4-adcf-473f-b481-5e553dda73be))

Les transhumano-sceptiques craignent que l’humanité soit condamnée à céder la place aux créatures qu’elle a engendrées.

Que signifierait un monde où chacun se référerait à une même source ?

Qui la contrôlera ?

Avec clairvoyance, Georges Bernanos disait :

« on ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l’on n’admet pas d’abord qu’elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure »

L’homme serait-il dépassé par les conséquences de ses propres innovations techniques ? (aleteia.org)

Et aussi ce qui est étonnant (inquiétant ?), c’est que le fondateur de Chat-GPT lui-même déclare que son invention va mener à la fin du monde…

Le fondateur de ChatGPT, Sam Altman, a déclaré :

« L’Intelligence Artificielle va très probablement mener à la fin du monde, mais entretemps, il y aura de grandes entreprises. »

La course à l’IA générative s’est soudain accélérée. Toutes les grandes sociétés de la tech déploient des efforts immenses pour mettre le plus rapidement possible à disposition des outils toujours plus puissants. Quels sont les prochains développements attendus de la technologie ? Quels bouleversements vont être provoqués par le développement de l’IA générative ?

Faut-il craindre un bouleversement du marché du travail ?

Faut-il ralentir le développement des systèmes d’IA ?

Elon Musk(([4] Elon Musk qui est aussi le co-fondateur de Open-AI société qui abrite Chat-GPT)) inventeur des voitures Tesla, SpaceX et un millier d’experts demandent une pause(([5] https://www.frandroid.com/culture-tech/intelligence-artificielle/1651841_lhistoire-troublante-entre-elon-musk-et-openai-gpt-4-chatgtp-etc))

30 mars 2023 • 15:45

Parmi les signataires de la lettre ouverte qui demandent de freiner le développement de l’intelligence artificielle se trouve Elon Musk, fondateur de TESLA.







Le Tétralogue — Roman — Chapitre 47 & épilogue

Le Tétralogue — Roman — Prologue & Chapitre 1
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 2
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 3
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 4
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 5
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 6
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 7
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 8
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 9
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 10
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 11
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 12
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 13
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 14
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 15
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 16
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 17
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 18
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 19
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 20
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 21
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 22
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 23
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 24
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 25
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 26
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 27
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 28
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 29
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 30
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 31
​Le Tétralogue — Roman — Chapitre 32
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 33
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 34
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 35
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 36
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 37
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 38
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 39
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 40
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 41
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 42
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 43
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 44
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 45
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 46]

Par Joseph Stroberg

​47 — Le Tétralogue

Une fois la porte du mausolée franchie, les quatre compères se retrouvèrent dans une pièce rectangulaire qui semblait plus vaste à l’intérieur que le bâtiment perçu de l’extérieur. Celui-ci était vide, à part une urne — qui devait logiquement contenir les cendres du Saint-Homme — et un empilement de quatre caisses cubiques de la taille d’une coudée. Le sol était lisse et poussiéreux, alors que les murs avaient la même apparence que ceux du temple où Tulvarn avait passé ses dernières années avant de se lancer dans cette folle quête : de la lave vitrifiée de couleur rouge sombre. De manière inusitée, un plafond plat et blanchâtre masquait la toiture.

— Quoi ? C’est tout ?! lança Gnomil quelque peu dépité. C’est ça le Tétralogue ? Quatre vulgaires caisses de bois en piteux état ?

— Patience, mon ami, répondit Tulvarn. Nous ignorons ce qu’elles contiennent. Il ne faut peut-être pas se fier à leur apparence. Elles pourraient aussi bien contenir des pierres précieuses.

— J’en doute fort. D’habitude elles se trouvent enfermées dans de solides coffres métalliques.

— Tu en as vu si souvent, intervint Jiliern ?

— En fait, non, mais c’est ce qui circule parmi les voleurs. Je n’ai pu voler que deux petits coffrets à bijoux qui ne contenaient que quelques poignées de gemmes. Cependant, ils étaient bien en fer.

— Quoi qu’il en soit, commençons donc par ouvrir la première, si vous le voulez bien.

— Sûr que je veux ! répondit Gnomil, qui espérait malgré tout vraiment se tromper.

Le moine souleva alors la première caisse, la déposa sur le sol et l’examina avant de tenter de l’ouvrir. Sur le dessus étaient mentionnées en écriture symbolique, utilisée seulement dans les temples, trois courtes phrases  : « Souviens-toi d’où tu viens. L’univers est ton berceau. Laisse-toi guider par ses étoiles. ». En palpant les bords, il détecta la présence d’une charnière qui courait le long d’un des côtés de la face supérieure. Il la fit facilement pivoter pour découvrir l’intérieur. Sur sa face opposée se trouvait la simple mention : « Résurrection en terre étrangère ». Plus bas, il releva aussi : « Yul Dal Rachid ». Et dans la caisse, se trouvaient 49 rouleaux, disposés verticalement sur sept rangées et autant de colonnes. Il tira au hasard l’un d’eux et se demanda de quelle matière il pouvait bien être constitué. Celle-ci était incroyablement lisse, souple, difficilement froissable et arborait une étrange luminosité, un peu comme si elle était vivante. Peut-être l’était-elle, après tout. Le déroulant, il vit un long texte, également en écriture symbolique, les mots suivants : « Chapitre neuf. L’élève ». Il en tira quelques autres et ils commençaient aussi par le même mot « Chapitre » et en parcourut quelques passages.

— Tu comprends cette écriture ? interrogea la cristallière.

— Oui. Heureusement. Je l’ai apprise au temple, répondit le moine. Elle est utilisée pour les textes sacrés, poursuivit-il avant de rapporter brièvement ce qu’il avait lu. Mais pourquoi se trouve-t-elle sur ces étranges rouleaux ? Ces écrits ne semblent rien avoir de sacré. Il s’agit de prime abord seulement d’une histoire rapportée, un genre de conte ou de récit historique, quelque part sur une autre planète. Voyons ce que contient la seconde !

Tulvarn se saisit alors de la seconde caisse de la pile et la posa à son tour sur le sol. Sur la face externe se trouvaient les trois courtes phases suivantes : « Les autres sont ton miroir. Les observer t’enseigne. Aime-les. ». Sur le côté intérieur, il pouvait lire : « Projet Vulcain », puis plus bas : « Ilmina ». La boîte contenait aussi quarante-neuf rouleaux organisés en sept rangées et sept colonnes. Il en tira aussi quelques-uns au hasard et en déduisit également qu’il s’agissait aussi d’un genre de récit. Au fur et à mesure de ses découvertes, il en informait ses compagnons. Mais ni lui-même ni eux ne comprenaient le sens de ce qu’ils voyaient. La troisième caisse comprenait également 49 rouleaux rangés pareillement, avec les mentions respectives : « Tes émotions et tes pensées sont vivantes. Apprends à les dompter. Elles participent à la création de ton destin. », « La voie du Rinn’Dual » et « Zénovia ». Enfin, la dernière caisse contenait aussi 49 rouleaux rangés identiquement, et cette fois avec les mentions : « La vie et la matière sont tes parents. Elles sont sacrées. Respecte-les et honore-les », « Le Tétralogue » et « Le Saint-Homme ».

— Par le Grand Satchan ! Mais qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire ?! s’exclama Tulvarn qui se trouvait presque aussi dépité que précédemment l’avait été son ami le voleur. Je n’y comprends rien ! Pourquoi se lancer dans cette quête insensée, vivre toutes ces aventures périlleuses durant lesquelles nous avons failli plusieurs fois perdre la vie, pour nous retrouver devant ceci ?

— C’est en effet à n’y rien comprendre, concéda Jiliern.

— C’est sûr ! approuva Gnomil. C’est vraiment décevant !

— Je dois dire que je ne m’attendais pas non plus à ce genre de chose, ajouta à son tour Reevirn. Que faisons-nous de ces caisses ? On les emporte, au détriment de nos vivres ? On les laisse sur place ? On les brûle pour qu’elles rejoignent les cendres de ce Saint-Homme bien farceur ?

— Allons donc ! entendirent-ils tous simultanément dans leur tête.

— Hein ? C’est quoi ça ? questionna brutalement le voleur. Qui parle dans ma tête ?

— Vous, plus tard, ou ailleurs.

— Qu’est-ce que vous racontez ? Ce n’est pas moi qui me parle ! Et je ne suis pas ailleurs, répliqua le voleur quelque peu décontenancé.

— Depuis votre point de vue actuel, c’est vrai, je ne suis pas vous. Cependant, depuis le mien, depuis cet ailleurs, ou plus tard pour vous dans l’avenir, nous sommes beaucoup plus proches que vous ne le pensez maintenant. Je représente ce que vous allez tous devenir, un jour. J’étais celui dont vous trouvez les cendres dans cette urne, celui qui vous a légué ces caisses, ce Tétralogue : quatre récits, quatre paroles, et quatre noms pour quatre compagnons dans la matière. Lorsque j’étais encore dans un corps de chair, j’ai accédé un beau jour à d’anciennes mémoires remontant à plusieurs centaines de milliers de vos cycles, sur cette lointaine planète insignifiante dont vous avez récemment entendu parler. Je me suis d’abord comme retrouvé branché sur celui qui alors se nommait Yul Dal Rachid, bien avant que n’y apparaisse le crucifié. C’était étrange. Je me suis vu comme pénétrant soudain son corps, puis vivant ce qu’il vivait, mais davantage comme un spectateur qu’en tant qu’acteur. Je ne commandais pas ses gestes, mais ressentais ses émotions et percevais ses pensées. Un autre jour, un peu plus tard, je me suis d’une manière similaire retrouvé sous la forme d’une femme, une certaine Ilmina, qui elle avait vécu plusieurs milliers de cycles après le crucifié. J’ai découvert ainsi le souvenir de maintes autres formes humanoïdes de cette planète-là et d’autres avant de revivre l’intégralité de ma vie sur Zénovia, puis mon arrivée ici. Quel lien existe-t-il entre ces différents êtres ? Je ne saurais dire, si ce n’est que le Grand Satchan, pour ce que j’en éprouve maintenant, expérimente simultanément toutes les formes pour y développer la Conscience.

Il existe apparemment une succession logique entre ces vies individuelles ainsi découvertes, un genre de lien de causalité, une poursuite expérimentale autour d’une voie particulière… Malgré tout, j’ai perçu ce lien d’une manière tellement intense que je comprends pourquoi tant de Véliens croient en la réincarnation. Pourtant, il n’y a qu’un Grand Satchan, qu’une seule cause créatrice fondamentale, qu’un seul principe de Vie universelle, même si celui-ci imprègne simultanément toutes les formes, dans le temps et dans l’espace. Du moins, c’est ainsi que m’apparaît clairement maintenant le cosmos.

Et puisque la Vie est unique, la Conscience qu’elle engendre au travers de l’infinité des formes est aussi unique, bien qu’au travers de ces dernières elle se perçoive de manière divisée et séparée. Au travers de chaque forme, la conscience se croit unique spécimen au sain d’une multitude d’autres, alors qu’elle est Unique sous une multitude de formes illusoires.

Si maintenant, je suis définitivement désincarné, ou « ascensionné » (comme auraient dit certains de nos très lointains ancêtres sur cette planète oubliée, la Terre, comme ce crucifié l’a été avant moi et comme vous le serez tous un jour), en même temps, je suis Tulvarn, Jiliern, Gnomil, Reevirn et tous les autres. Nous sommes tous des fils du Grand Satchan, et tous des fils de notre humanité lorsque nous nous incarnons. Le paradoxe est qu’en incarnation, nous ne pouvons nous percevoir que de manière limitée, isolée, séparée, parce que la matière qui nous accueille présente une structure infiniment morcelée.

Vous êtes actuellement des fils du Vélien, de même que ce crucifié était un fils de l’Homme autant qu’un fils de Dieu. Un jour, vous le rejoindrez, et vous me rejoindrez et vous réaliserez dans ce nouvel état l’unicité de la conscience à un degré tel que les individualités véliennes et humaines vous paraîtront bien étranges.

Nous provenons tous du même endroit et nous y retournons à la fin de notre voyage volontaire ici-bas. C’est ainsi que nous prenons, que nous gagnons Conscience.

Petit détail : le récit du Tétralogue est le vôtre. Il finit en ce moment même de s’écrire sur ces rouleaux que j’ai matérialisés pour vous. Autre précision : Jiliern a été sauvée d’une mort autrement certaine par Pastor dont vous lirez le récit dans « la voie du Rinn’Dual ». Il vous observe actuellement quelque part au-dessus de vos têtes, à bord d’un vaisseau interstellaire. Lui et plusieurs de ses amis vont très prochainement me rejoindre. Ils vivent leur dernière existence incarnée. Ils vont retourner dans l’Éden, le « jardin » des êtres sans forme, un jardin dont les arbres n’ont pas davantage de formes, mais sont au mieux de purs concepts abstraits, comme la « liberté », la « connaissance » et la « vie ». Pour l’instant, vous n’avez pas terminé votre voyage, ni même votre quête. La découverte de ce Tétralogue ne représente pour vous que le début d’une nouvelle étape. Dernière précision : le Tétralogue, c’est aussi dans une certaine mesure votre groupe ; vous êtes quatre Véliens et vous représentez quatre paroles, quatre voies d’action et de création : une cristallière artiste de la guérison sur un chemin finalement parallèle de celui de son actuel compagnon ; un voleur qui se transformera en constructeur ; un chasseur qui deviendra découvreur et un moine veilleur qui est devenu maître de son art et de lui-même.

J’allais oublier. Votre fameuse prophétie s’est bien réalisée : par son obsession du Tétralogue recherché par Tulvarn, celui que vous considériez comme étant une sorte de sorcier guerrier, mais qui en fait était un super soldat et agent secret en provenance de Zénovia a fait en sorte d’exterminer tous les guerriers qui s’étaient mis à son service avant de succomber lui-même de la main du moine. Sans Tulvarn et sa quête, il aurait très probablement transformé dans un premier temps Veguil en champ de bataille, puis aurait fini par en faire un champ de ruines, à l’image de ce labyrinthe.

Au revoir, amis — frères et sœur.

Lorsqu’ils retrouvèrent leurs pensées plus coutumières, ils se sentirent quelque peu hébétés — ces révélations les avaient plutôt sonnés. Après un assez long moment de silence, Tulvarn finit par rompre ce dernier :

— Et maintenant, que faisons-nous ? Passons-nous les quelques jours suivants à lire tous ces rouleaux ? Ou bien emportons-nous les caisses pour les lire plus tard chez Jiliern ? Devrions-nous les remettre au temple ?

— Faire tout ce chemin et avoir eu tous ces problèmes pour ne rien ramener ? questionna Gnomil sur un ton mi-plaintif, mi-révolté. Ah non ! Je suis d’avis de tout emporter, et même le plus vite possible, avant que quelqu’un d’autre l’embarque.

— Qui veux-tu que cela intéresse à part nous ? lui demanda Jiliern légèrement amusée. Personne d’autre n’a entendu parler de ce Tétralogue.

— Eh bien, on ne sait jamais, rétorqua Gnomil sur la défensive. Des voleurs pourraient nous avoir suivis. Et d’abord le sorcier en a bien eu connaissance, alors pourquoi pas des voleurs ?

— Ah oui ? Et nous ne les aurions pas vus ?

— Hum, pour ça, certains de ces « animaux » sont très rusés et fort capables de se fondre dans le paysage, intervint Reevirn avec un ton légèrement mécontent en se remémorant quelques mésaventures. Pour ce qui est du Tétralogue, je pense aussi qu’il vaut mieux l’emporter, car il n’est pas sûr que nous en comprenions tout le sens en une première lecture, surtout si elle est trop hâtive.

Les quatre compagnons échangèrent encore quelques avis sur la question, puis se mirent d’accord pour emporter chacun une caisse, avec Tulvarn qui prendrait le sac du voleur en plus du sien, vu le gabarit de ce dernier. Elles étaient étrangement légères et Jiliern n’aurait aucun mal à soulever l’une d’elles. Avant de prendre le chemin du retour, ils s’accordèrent une bonne nuit de repos, tout en prenant la garde à tour de rôle, au cas où les craintes de Gnomil auraient été fondées.

​Épilogue

Le Livre ne fournit que très peu de détails sur la suite de l’histoire de ces quatre compagnons véliens. Celle-ci continue-t-elle de s’y écrire ? Des morceaux ont-ils disparu lors de quelques incendies ? Ce qui reste présente quelques extraits de voyages interstellaires en compagnie du terrien Pastor et des amis de ce dernier. Le Tétralogue lui-même n’a pas été retrouvé, mais des copies en existent, au moins sur la planète du Crucifié.




Biocontrôle : du cauchemar à la réalité

[Source : LHK]

Par Vincent Held

Dans Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques (1968), Philip K. Dick imaginait une société dans laquelle tout un chacun se verrait implanter un « organe d’humeur » pouvant être activé à distance et permettant de moduler ses émotions d’un simple coup de télécommande. Des techniques de contrôle mental entretemps passées de la fiction à la réalité… et que le World Economic Forum contemple avec une certaine gourmandise.

Dès 1956, le Time Magazine avait consacré une publication à la science alors déjà fort prometteuse du « biocontrôle » :

« Une horreur bien connue des amateurs de science-fiction, c’est l’esclave dont les pensées et les actions sont régies par un gadget électronique greffé dans son cerveau. Il pourrait y avoir une part de vérité dans cette fiction affirme l’ingénieur électricien Curtiss R. Schafer, qui conçoit et développe des instruments électroniques pour la Norden-Ketay Corp. de New York. L’électronique, pense-t-il, pourrait épargner beaucoup de travail aux endoctrineurs et aux contrôleurs de la pensée du futur. […]

Le biocontrôle est la nouvelle science du contrôle des processus mentaux, réactions émotionnelles et perceptions sensorielles par des signaux bioélectriques. […] Déjà, grâce au biocontrôle, les scientifiques ont changé le sens de l’équilibre des gens. Et ils ont fait en sorte que des animaux avec le ventre plein aient faim – ou qu’ils aient peur quand ils n’ont rien à craindre. »

L’optogénétique, une méthode de biocontrôle aujourd’hui technologiquement dépassée…

[Voir aussi :
Optogénétique – la voie planifiée vers un contrôle sans faille de nos cerveaux ?]

C’est donc bien à des techniques de ce type que faisait référence le célèbre conseiller présidentiel américain Zbigniew Brzezinski dans son livre d’anticipation technologique sur La révolution technétronique (1970) :

Selon certains, la conduite humaine peut être prédéterminée et soumise à un contrôle délibéré.[…] Parlant d’un avenir se situant dans quelques décennies au plus, un expérimentateur en contrôle de l’intelligence [le Dr. David Krech] affirmait [devant le Congrès, en 1968] :

« Je prévois le temps où nous aurons les moyens et donc, inévitablement, la tentation de manipuler le comportement et le fonctionnement intellectuel de tout un chacun par la manipulation environnementale et biochimique du cerveau. »Testimony by Dr. D. Krech, Government Research Subcommittee of the Senate Government Operations Committee, as reported by The New York Times, April 3, 1968, p. 32;

On notera qu’ici, l’appréciation « dans quelques décennies au plus » est le fait de Zbigniew Brzezinski lui-même. Le Dr. Krech, pour sa part, avait exprimé lors de la même allocution (en 1968, donc) le sentiment « qu’une telle évolution pourrait intervenir d’ici 5 à 10 ans » à peine.(([1] DAVID KRECH, 68, DIES; PSYCHOLOGY PIONEER, New York Times, 1977))

Quoiqu’il en soit, quarante années ont passé et il semblerait bien que ces technologies cauchemardesques puissent aujourd’hui être déployées à grande échelle. Et de façon furtive, qui plus est.

Biocontrôle et « armes neurotechnologiques » : les avertissements du Prof. Giordano

Pour nous en assurer, prêtons l’oreille à ce qu’affirmait en 2019 le Prof. James Giordano, professeur en « Neurologie & Biochimie » à l’Université de Georgetown et consultant de l’establishment militaire américain sur les questions de « neuroéthique ».

« Il y a plein d’autres choses [que les armes à énergie dirigée] qui peuvent venir secouer et cogner votre cerveau. Mieux on comprend le fonctionnement du cerveau à un niveau très granulaire, et plus on est capable de développer certains types de médicaments spécifiques qui non seulement peuvent améliorer et optimiser les performances de nos troupes, mais aussi amoindrir – et même dans certains cas manifester des changements profondément morbides – dans les troupes [adverses]. […] Une des choses que l’on peut aussi faire, c’est la neuromodulation transcraniale, c’est-à-dire traverser le crâne pour moduler le fonctionnement en réseau (node network activity) du cerveau en vue d’optimiser les performances de certaines personnes-clés […] ou alors on peut également faire cela contre des personnes hostiles – ou peut-être même belligérantes. On peut aller plus loin encore, et implanter certaines interfaces cerveau-machine [dans le cerveau]. Il y a beaucoup de programmes de la DARPA […] dont l’un des plus connus est le programme N3 pour « Neuromodulation neurochirurgicale non-invasive » […] L’idée ici étant de placer des électrodes de taille minimale en réseau dans le cerveau via une intervention minimale, afin d’être capables de lire et écrire dans les fonctions cérébrales – en temps réel et à distance. Les États-Unis ne sont pas les seuls à mener [ce type de projets]. »

Et de préciser que ces armes neurologiques pourraient être à l’avenir employées contre l’adversaire, aussi bien pour le rendre plus malléable et positif vis-à-vis de soi-même (« notion de militarisation positive »), que pour « affaiblir voire même dans certains cas anéantir sa capacité et sa volonté de se battre ».

[Voir aussi :
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction]

« Ces agents [neurologiques] vont soit changer les pensées, la volatilité et les penchants pour la violence et l’agression des individus, ou alors leur infliger une morbidité, des dysfonctionnements et/ou une mortalité de manière à réduire [leur capacité] d’engagement dans son ensemble. »

Cette publication scientifique de 2021 précise que les nanorobots en question peuvent « traverser la barrière hémato-encéphalique », « reconnaître la cible spécifique » y compris « dans les parties internes éloignées et inaccessibles du cerveau » et « libérer une cargaison minuscule mais létale de médicaments ou de nanoparticules pour tuer les cellules cancéreuses ».

Or, rien ne semble plus s’opposer au déploiement massif des neurocapteurs miniaturisés qui doivent permettre le biocontrôle « non-invasif » de nos cerveaux…

« Il a été annoncé officiellement il y a quelques semaines que l’on peut désormais aérosoliser les nanomatériaux – et on peut aller encore plus loin. On peut créer de petites unités robotiques d’échelle nanométrique contrôlables [à distance] – et elles aussi peuvent être aérosolisées pour créer un nano-essaim de matériaux qui vont pénétrer dans l’organisme et s’intégrer dans toutes sortes de membranes de mucus – n’importe où, dans la bouche, le nez, les oreilles, les yeux – pour ensuite passer dans le système vasculaire pour causer des caillots. Ça peut passer dans le système vasculaire du cerveau ou directement se diffuser dans le cerveau – et être militarisé (weaponized). Et cela peut se faire de telle manière que leur présence soit presque impossible à détecter. »

La peu ragoûtante « attaque de nanorobots » du dernier James Bond ne semble donc pas devoir grand-chose à l’inventivité des scénaristes…

« Plus tôt cette année [2013, donc], des chercheurs chinois ont annoncé le développement de robots de la taille d’une cellule qui pourraient être utilisés dans l’administration ciblée de médicaments. […] Les chercheurs du Georgia Institute of Technology ont mené des modélisations et des simulations informatiques qui montrent que le matériau peut constituer une bonne antenne à l’échelle nécessaire pour relier les nanomachines au monde extérieur. Les antennes mesureraient environ un micron de long et 10 à 100 nanomètres de large. »

Afin d’éviter tout malentendu, nous préciserons ici que le Prof. Giordano appelle à une réflexion préalable poussée et à une prudence extrême dans le maniement de ces technologies, qu’il compare volontiers à des « armes de destruction massives ». Et dont il considère qu’un emploi inconsidéré pourrait « salir l’honneur » des États-Unis, voire mener à ce que l’on « se coupe la gorge à soi-même ».

Or, il paraît évident que ce qui peut être réalisé grâce à des nanorobots « aérosolisés » peut également l’être via des nanorobots injectés. Ce qui, par rapport aux « épandages par drones » et autres vecteurs d’aérosols envisagés par le Prof. Giordano, peut en outre présenter l’immense avantage de ne pas exposer inutilement à la contamination les « agents » qui mènent l’opération.

Il peut dès lors être intéressant de relever que le World Economic Forum, grand promoteur d’injections vaccinales en tous genres, s’intéresse lui aussi à « poser des capteurs artificiels » dans nos cerveaux en vue de créer « de nouveaux systèmes de création de valeur » pour l’économie 4.0.

Quatrième Révolution industrielle : la connectivité cérébrale au programme

« Les technologies de la Quatrième Révolution industrielle […] peuvent s’immiscer dans l’espace jusque-là privé de notre esprit en lisant nos pensées et en influençant notre comportement. »Klaus Schwab in Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution, 2018

En 2016 déjà, le World Economic Forum avait manifesté son intérêt pour le fait de « manipuler des circuits neuronaux individuels », quitte à modifier génétiquement certains neurones de façon ciblée.

« Imaginez si nous pouvions utiliser l’optogénétique ou une technologie similaire pour obtenir l’entrée d’un capteur artificiel dans notre cerveau. En principe, nous pourrions non seulement restaurer la fonction, mais nous pourrions améliorer nos fonctions actuelles. »

Il serait dès lors possible de « manipuler les souvenirs, les émotions et les pensées », pour le plus grand profit des heureux propriétaires de ces cerveaux connectés.

Deux ans plus tard, Klaus Schwab précisait ses ambitions dans un livre qui aura reçu bien peu de publicité :

« Les neurotechnologies nous permettent de mieux influer sur la conscience et les pensées. Ceci inclut un décodage affiné de ce que l’on pense grâce à de nouveaux produits chimiques et des interventions qui peuvent influencer nos cerveaux pour y corriger les erreurs ou en améliorer le fonctionnement. […] Des technologies spécialisées telles que les microélectrodes modernes sont capables d’enregistrer l’activité d’un neurone individuel – ou de l’activer, quand on en a besoin. […] Pouvoir « lire et écrire dans » le cerveau va créer de nouvelles industries et de nouveaux systèmes de création de valeur… »

Les « cerveaux augmentés » feraient bel et bien partie intégrante des « opportunités de la 5G », si l’on en croit cette présentation produite en 2018 par le consortium SwissCognitive, dont la Confédération suisse est partie prenante.

Il est ainsi fascinant de constater que les « armes neurotechnologiques » sur les dangers desquelles le Prof. Giordano tente d’attirer l’attention sont pleinement intégrées, en tant que « nouveaux systèmes de création de valeur », aux projets du World Economic Forum pour la « Quatrième Révolution industrielle ». Et que la 5G semble bel et bien être appelée, dans ce contexte, à jouer un rôle essentiel dans l’exploitation des nouvelles « interfaces cerveau-machine » annoncées par le Prof. Schwab…

De telle sorte que l’on comprend déjà un peu mieux cette fameuse citation du gourou de Davos : « La Quatrième Révolution industrielle mènera à une fusion de l’identité physique, numérique et biologique ».

Quant à savoir s’il pourrait y avoir a un lien entre ces évolutions technologiques quelque peu dystopiques et les campagnes de vaccination de masse si agressivement promues depuis le début de la pandémie covidienne par les puissants relais politiques du World Economic Forum, la question nous semble être encore ouverte.

Vincent Held


Notes & Références




Comment le corona a tué Pasteur

[Source : neosante.eu via santeglobale.world]

Par Yves RASIR

[NDLR Les liens vers des articles sur Nouveau Monde sont ajoutés]

Il y a trois ans, le 29 janvier 2020 exactement, je publiais ma première infolettre sur ce qui ne s’appelait pas encore le covid-19. Dans ce billet, je déplorais déjà la psychose délirante qui allait entraîner, sous prétexte sanitaire, un déferlement totalitaire hallucinant. Dès ce premier édito consacré au Corona Circus (*), j’exprimais cependant ma conviction qu’à toute chose malheur est bon. Le monde allait enfin réaliser que la médecine pasteurienne fait fausse route, que sa théorie du germe ne tient pas debout et que les virus sont innocents des méfaits qu’on leur impute. Trente-six mois plus tard, force est de reconnaître que mon optimisme était quelque peu béat. Même chez les résistants à la mascarade coronavirale et au traquenard vaccinal, il y a une grande majorité de gens qui continuent de penser que les microbes sont la cause des maladies infectieuses et que celles-ci sont incontestablement contagieuses. Ce double mythe introduit par Louis Pasteur au 19e siècle n’en finit plus d’empoisonner les esprits. Ce ne sont pourtant pas les preuves de son inanité qui manquent ! Durant ces trois années, nous avons collecté quantité d’indices indiquant que le virus couronné n’était pour rien dans cette pseudo-pandémie. Le vrai coupable reste à identifier, mais il y a toute une série d’éléments permettant de disculper l’hypothétique sars-cov-2 dans la survenue de grippes légèrement atypiques et de leurs complications pneumopathiques. (…) Pour nous, le corona n’a jamais tué personne, si ce n’est le saint patron de la virophobie et sa fausse théorie.

1) L’introuvable patient zéro

Dès l’entame de l’opération plandémique, les médias aux ordres nous l’ont répété à l’envi : les autorités sanitaires de chaque pays étaient sur pied de guerre pour retrouver les « patients zéro », c’est-à-dire leurs premiers contaminés nationaux. Le but de cette traque était bien sûr de remonter la chaîne de transmission du virus afin de stopper sa progression. Les épidémiologistes se sont donc mis en chasse pour retracer les contacts des malades et coincer le gibier, à savoir les tout premiers covidés arrivés ou infectés sur le sol national. Le hic, c’est que les chasseurs sont toujours rentrés bredouilles. En Chine, ils ne sont pas arrivés à dénicher le patient zéro malgré une longue enquête concentrée autour du marché aux animaux de Wuhan, pourtant épicentre de l’épidémie. En Italie, la piste d’un migrant chinois ou d’un touriste italien débarquant de Chine a été évoquée, mais le « coupable » n’a pas été identifié. Idem en Belgique, idem en France, idem en fait partout dans le monde. Les enquêteurs n’ont jamais réussi à remonter les filières jusqu’au cas initial, car il manquait toujours des maillons dans les chaînes de transmission. Les premiers malades ne se connaissaient pas et il n’y avait pas eu de possibilité de contact entre eux. Ça la fout un peu mal pour la théorie du virus made in China se disséminant facilement avant les masques, gestes barrières et autres confinements. Une chauve-souris ou un pangolin aurait donc pris l’avion et débarqué incognito ? Les gardiens du dogme pasteurien s’en tirent en expliquant qu’une personne sans symptômes a très bien pu refiler le virus tueur à un autre porteur qui a lui-même essaimé pendant la période d’incubation. C’est pratique, l’asymptomatologie, pour voler au secours de la virologie. Mais c’est aussi se tirer une balle dans le pied comme nous allons le voir au point suivant.

2) La prolifération des asymptomatiques

Des microbes sans malade et des malades sans microbe, ce n’est pas nouveau. Pour chaque maladie dite infectieuse, il est notoire que la présence du germe n’est pas forcément pathogène et que son absence n’empêche pas toujours le stade pathologique. Par exemple, une majorité d’entre nous héberge la bactérie Helicobacter Pylori, mais une toute petite minorité va déclencher un ulcère ou un cancer de l’estomac, tandis que l’agent bactérien n’est pas toujours retrouvé chez les ulcéreux et les cancéreux gastriques. C’est déjà une fameuse faille du narratif pasteurien faisant du micro-organisme le principal fautif. Le sida est arrivé à point nommé, car on nous a alors expliqué que les assaillants pouvaient rester cachés ou s’endormir avant d’attaquer. Avec le corona, cette pirouette n’est cependant pas valable puisque l’intrus est censé entrer par le nez, progresser vers les poumons s’il surmonte l’immunité locale et déclencher presque à coup sûr une infection respiratoire, comme le virus de la grippe. Or il s’est avéré que la proportion de covid asymptomatiques était très importante. Les estimations ont varié entre 15 et 70 % au fil du temps, mais la plus sérieuse étude sur la question a évalué le pourcentage à 40,5 %. Il y a donc plus de quatre cas sur dix qui ne sont précisément que des cas, c’est-à-dire des tests PCR positifs ne reflétant même pas un nez qui coule ou une petite toux. C’est logique puisque cette technique de dépistage génère une myriade de faux positifs et qu’elle n’a pas été inventée pour poser un diagnostic. Cet instrument a cependant été employé pour accuser le virus et c’est même le seul « témoin » de l’accusation, laquelle n’a jamais dénoncé la trop grande sensibilité du test. Grâce à la PCR et à la pullulation de contaminés non malades, on a eu l’éclatante démonstration que les fondations du paradigme pasteurien sont pour le moins branlantes. La corrélation entre virus et maladie, qui n’est déjà pas un lien de causalité, est loin d’être évidente !

3) Les soignants pas plus touchés

La théorie virale est d’autant plus bancale que le personnel soignant n’a pas été décimé par le supposé fléau infectieux. Les autorités sanitaires ont prétendu le contraire, nous ont fait applaudir les héroïques médecins et infirmières « en première ligne sur le front », mais n’ont jamais apporté la preuve que leurs troupes étaient davantage concernées par l’épidémie. En Belgique comme en France, les chiffres de décès par métier ont toujours été cachés et ce n’est que par la presse ou via des mutuelles que des cas ont sporadiquement été rapportés. Rien de statistiquement anormal. Côté belge, je n’ai pour ma part identifié qu’une dizaine de soignants dont la mort a été attribuée au covid. Et j’ai fait remarquer à l’époque que quatre d’entre eux étaient d’origine africaine, ce qui n’est pas anodin puisque les Noirs et métis vivant en Occident sont à risque de carence en vitamine D au sortir de l’hiver, les peaux foncées synthétisant moins bien cette précieuse alliée de l’immunité. À défaut de « payer un lourd tribut », les héros ont-ils davantage été exposés au virus ? Même pas ! Certaines études ont bien conclu que les professionnels du soin étaient proportionnellement plus nombreux parmi les contaminés, mais ce sont des trompe-l’œil puisque les pros se sont évidemment testés plus souvent et que la méthode PCR génère plein de faux positifs. Bien plus intéressant de ce point de vue, le test sérologique n’a montré aucune différence entre les soignants et la population générale selon une étude menée en Belgique par l’Institut Sciensano. Avec ou sans blouse blanche, les Belges ont rencontré le virus dans des proportions équivalentes. L’Institut en a déduit que les toubibs et le personnel infirmier s’étaient bien protégés, mais l’on se souviendra que ces deux corporations se plaignaient du manque d’équipements avant et durant la première vague. Pour intégrer que le récit pasteurien est mensonger, il suffit de se rappeler les temps précovidiens et les épidémies de grippe annuelle. Bien que non masqués et serrant les mains de leurs patients sans arroser les leurs de gel hydroalcoolique, les médecins de terrain n’ont jamais massivement succombé à l’influenza censée se transmettre, lui aussi, par les contacts cutanés ou les microgouttelettes en suspension dans l’air. On n’a jamais vu les rangs des généralistes être décimés par la pourtant réputée contagieuse grippe saisonnière, et ce n’est pas le corona qui a changé la donne. Allô Pasteur ?

4) Les omniprésentes comorbidités

Le microbe n’est rien, le terrain est tout. Jamais cette phrase attribuée à Antoine Béchamp ou Claude Bernard et qu’aurait admise Louis Pasteur sur son lit de mort n’a été plus conforme à la réalité. Pour autant qu’il existe, le sars-cov2 a très bien révélé que son rôle était nul ou infime en regard du terrain, c’est-à-dire de la santé et de la vitalité du patient en amont de l’épisode infectieux. À Wuhan déjà et en Italie surtout, il est très vite apparu que cette grippe à corona — famille de particules impliquée, je vous le rappelle, dans 13 à 18 % des syndromes grippaux hivernaux habituels — épargnait totalement les enfants et accablait très préférentiellement les aînés porteurs de comorbidités. Selon les données italiennes observées partout ailleurs, pas moins de 94 % des « covidécédés » souffraient préalablement d’obésité, de diabète et/ou d’hypertension. Chez les 6 % restants, on pouvait encore soupçonner un cancer sous-jacent ou une autre maladie chronique non diagnostiquée. Bref, « il y avait toujours quelque chose quand on cherchait un peu », comme l’a déclaré le Dr Louis Fouché lors de sa toute première vidéo enregistrée à l’IHU de Marseille. Certes, l’anesthésiste-réanimateur s’est lui aussi farci le covid par la suite, à l’automne 2021, et « ce n’était pas rien » comme il l’a confié après sa convalescence. Comme lui, des centaines de milliers de gens pas vieux et en apparente bonne santé ont également été frappés et secoués par cette grippe à l’impact extrêmement variable : rhinite légère chez les uns et pneumonie sévère chez les autres, avec toute la palette de gravité entre ces deux pôles. Est-ce pour autant la revanche de la théorie du germe ? Pas du tout selon nous. Dans la vision qui est la nôtre, l’agent infectieux est soit endogène et produit par l’individu (théorie des microzymas), soit exogène et « téléchargé » par les patients dont l’immunité laisse à désirer. Au début, il était logique que les plus fragiles tombent les premiers. Ensuite, il n’était pas moins logique que l’infection survienne sur d’autres terrains. Comme nous l’avons maintes fois souligné, l’infectiologie classique a comme axiome que les agents infectieux les plus virulents sont aussi les moins contagieux et qu’inversement, les plus transmissibles sont aussi les plus inoffensifs. Cela s’est encore vérifié spectaculairement puisque les chiffres de mortalité se sont tassés à mesure que le covid gagnait en popularité. Autrement dit, les gens en bonne santé ont « fait » la maladie quand elle ne présentait plus guère de danger. Pourquoi l’affection en a-t-elle néanmoins affecté beaucoup ? C’est ici qu’il faut prendre en compte la médecine du Dr Hamer et bien comprendre le rôle auxiliaire des agents infectieux qui viennent participer au processus de guérison. En d’autres termes, le virus couronné s’est probablement invité chez tous ceux qui, à des degrés très divers, avaient déjà une faiblesse réclamant correction. Le surpoids, même modéré, est l’un de ces handicaps répertoriés. Les subcarences en vitamines et minéraux en sont un autre, de même que la sédentarité. Il est archiprouvé que le manque d’activité physique et le déficit micronutritionnel (en zinc et vitamine D essentiellement) sont des facteurs favorisants prépondérants de la grippe classique comme de la grippe covid. De notre point de vue, les conflits relationnels et la perte d’équilibre émotionnelle ne sont évidemment pas à négliger et ils constituent même une « comorbidité » décisive. Même s’il incarne la sérénité, Louis Fouché a quand même somatisé après avoir perdu son poste hospitalier. Bref, la théorie du terrain sort à nos yeux consolidée par ces trois années plutôt mortelles pour le modèle pasteurien.

5) Les clusters aux abonnés absents

Le grand méchant loup n’effrayant pas assez, il fallait agiter le spectre de meutes entières attaquant férocement les humains sans défense. Et comme le mot « foyer » ne permet pas de jargonner en faisant le malin à la télé, les politiciens et leurs conseillers ont sorti l’anglicisme « cluster » de leur trousse MacKinsey. Signifiant « groupe » ou « grappe », ce terme désigne les foyers épidémiques apparaissant lorsque le cruel virus se propage et contamine des individus réunis dans un même endroit. Selon le récit covidiste, tout rassemblement aurait été un terrain de jeu pour l’agent infectieux et il fallait à tout prix éviter la multiplication des clusters. Cette autre forme de modélisation mathématique s’est cependant avérée aussi foireuse que les prévisions de mortalité et les foyers de contagion n’ont pas du tout répondu aux pronostics. Certes, l’étude française Épi-Phare a mis en évidence que le lieu de travail et le foyer familial étaient le point de départ de petites flambées épidémiques. C’est facilement explicable du fait que ces deux milieux de vie sont propices aux conflits relationnels et que les personnes en présence subissent les mêmes influences environnementales. Les bars et restaurants ? Comme l’a exposé le mathématicien Vincent Pavan, le seul travail scientifique qui a servi à justifier leur fermeture était en réalité un piètre sondage truffé de manquements méthodologiques. Rien ne prouve que les bistrots et les restos soient des clusters en puissance parce qu’on y ouvre la bouche. Le plus ennuyeux pour la théorie pasteurienne, c’est que les contaminations ont complètement déserté les transports en commun. Même agglutinés dans des wagons bondés, les usagers du train ou du métro n’y auraient pas « chopé » le covid parce qu’ils étaient masqués. La bonne blague, alors que ces lieux clos sont de véritables bouillons de culture paradisiaques pour les germes de toute nature ! La preuve la plus flagrante que la hantise des clusters ne repose sur rien, c’est que les grands rassemblements de 2020, comme le salon du bâtiment en Belgique ou les fêtes de la musique en France, n’ont donné lieu à aucune vague d’infections parmi les participants. Idem en 2021 pour les raves-parties sauvages et les « boums » des jeunes Bruxellois au Bois de la Cambre. Les médias et les médecins de plateau avaient prédit le pire, mais le virus a boudé les joyeux fêtards. Cherchez l’erreur !

6) Une symptomatologie non spécifique

Un microbe pour chaque maladie, une maladie pour chaque microbe : c’est le rêve et le « business model » des plandémistes catastrophistes. Selon leur credo, chaque virus émergent va donner lieu à une pathologie particulière se distinguant par des symptômes particuliers. Avec le sars-cov2, on allait voir que le covid était du jamais vu, du parfaitement inédit ! Hélas pour les faux prophètes, les signes cliniques de la grippe classique et de la grippe covid sont tellement ressemblants qu’aujourd’hui encore, les quatre principaux (toux, fièvre, fatigue, courbatures) ne permettent pas de faire la différence. Même Bill Gates vient de reconnaître que son fléau chéri avait tout l’air d’une grippe pas bien méchante. La détresse respiratoire aiguë ? Ça peut arriver après tout refroidissement assorti de complications. La perte provisoire du goût et de l’odorat ? Elles ont sans doute été plus fréquentes, mais ce n’est pas une exclusivité covidienne. C’était aussi la première fois que des milliards de gens acceptaient de se faire farfouiller le nez avec un long coton-tige porteur de nanoparticules toxiques. Les pneumopathies atypiques ? Comme nous l’avons signalé, cette catégorie existait déjà dans la nomenclature pour désigner certaines bronchopneumonies bactériennes. Le covid a été une grande coque-vide dans laquelle on a mis toutes les autres maladies respiratoires (3 millions d’hospitalisations chaque année en France) soudainement disparues ou en nette régression. Même les non infectieuses comme l’emphysème ou le cancer du poumon ont mystérieusement reflué ! Les troubles de la coagulation et les hypoxies silencieuses ? Ils ne sont pas non plus l’apanage du covid et peuvent être imputables à diverses intoxications, notamment au cyanure ou au mercure. Bref, on ne voit toujours pas ce qui permet d’incriminer un « nouveau corona » plus dangereux que ses cousins et que l’influenza. Comme d’habitude, ce sont les surinfections bactériennes qui ont tué et non un virus plus virulent qu’un autre. La symptomatologie du covid est d’ailleurs si peu spécifique qu’il a fallu le test PCR pour décréter qu’une nouvelle maladie avait débarqué. Trois ans plus tard, les tableaux cliniques de la grippe normale et de sa rivale coronavirale demeurent tellement similaires qu’un nouveau test de dépistage vient d’être commercialisé pour les différencier. Et le fabricant promet déjà un test trivalent permettant de faire le tri entre grippe, covid et bronchiolite. Il n’y a pas aveu plus clair que les médecins pasteuriens y perdent leur latin et que les génomes viraux ne peuvent être reliés à des symptômes spéciaux. 

7) La propagation démentie par les statistiques

C’est la grenade dernièrement dégoupillée par le statisticien Pierre Chaillot : les courbes épidémiques ne confirment absolument pas la thèse d’un virus arrivant quelque part et se propageant progressivement. Et ceci est vrai pour toutes les épidémies grippales ! Pour examiner cet argument de poids, je vous renvoie au livre récemment publié par le jeune scientifique français et à l’interview qu’il a accordée au mensuel Néosanté dans son numéro de janvier. Je l’ai déjà partagé dans ma lettre du 14 décembre, mais voici un extrait particulièrement percutant de cet entretien démystifiant : « Mes rencontres avec d’autres chercheurs ont contribué à modifier mes croyances sur la genèse des épidémies. Denis Rancourt, chercheur canadien, a contribué à m’ouvrir les yeux : aucune mortalité hivernale ne s’est jamais propagée. Tous les pays de l’hémisphère nord ont des pics de mortalité simultanés. Il n’y a pas de « propagation » épidémique expliquant la mortalité, il y a une apparition, partout en même temps, de malades, suivie d’une hausse des décès. S’il y avait propagation, on observerait nécessairement sur les courbes de mortalité des décalages de plusieurs semaines à plusieurs mois entre les pics de décès de deux pays. Or les décès sont parfaitement synchronisés tous les ans, tous les hivers pour tous les pays. Différents échanges stimulants avec d’autres scientifiques, comme Eusèbe Rioché et Jacques Colin de Verdière, qui ont contribué à la rédaction du livre, m’ont conduit à abandonner des présupposés que je croyais « scientifiques ». Pierre Chaillot ne nie pas catégoriquement que des particules virales puissent se propager dans la population. Ce n’est pas son domaine de compétence et il ne prend pas parti dans ce débat. En revanche, son analyse statistique infirme totalement que « ce quelque chose » qui se propagerait a un impact sur la mortalité ou les hospitalisations. Or si la maladie et la mort ne sont pas corrélées à la circulation du virus accusé, que reste-t-il de sa culpabilité ? Et au-delà, que reste-t-il du paradigme pasteurien inculpant les microbes et oubliant le terrain ? J’ai beau chercher, je ne vois rien.

8) La saisonnalité de l’infection

Pour autant qu’il existe et qu’il soit réellement émergent, le sars-cov2 fait incontestablement partie des virus dits hivernaux. Ça ne veut pas dire que ces particules roupillent en été et se réveillent aux premiers frimas, ça signifie que leur activité et leur supposée nocivité sont fonction du climat. Souvenez-vous de la première vague : elle a déferlé en mars 2020 et refluait déjà mi-avril. La seconde vague, elle, a débuté à la rentrée et a culminé en fin de saison automnale. Il est très vite apparu que le covid était une maladie saisonnière et qu’à l’instar de la grippe annuelle, elle sévissait plus ou moins sévèrement selon qu’il faisait chaud ou froid. C’est ce que des épidémiologistes compétents comme Jean-François Toussaint ou Laurent Toubiana ont rapidement expliqué en s’attirant pourtant les foudres des télétoubibs et des modélisateurs fous comme Martin Blachier. C’est aussi ce que le statisticien Pierre Chaillot démontre imparablement dans son bouquin : les courbes épidémiques de la virose corona ont épousé très étroitement celles des températures. Comme je l’ai relaté dans ma lettre « Coup de froid pour la doxa », ce constat est accablant pour la religion covidiste et pour la doctrine pasteurienne faisant du germe le facteur pathogène principal. Attention : l’analyse de Chaillot ne montre pas que le froid mérite à son tour d’être pointé du doigt. Elle montre uniquement que l’élément causal est à chercher dans les conditions de vie, et notamment dans celles liées aux saisons. Et le jeune statisticien de mentionner une piste, celle de l’assèchement de l’air qui peut favoriser la pénétration de particules fines au fond des bronches. Ces particules ne sont pas forcément virales et peuvent aussi provenir d’une pollution de l’air ambiant, comme c’était le cas à Wuhan en 2019. En début d’été 2021, la saisonnalité du covid ne semblait plus aussi évidente, car beaucoup ont contracté la maladie en juillet. On se souviendra toutefois que le printemps avait été pourri et que l’entame des vacances n’était pas non plus des plus chaleureuses. De plus, c’est en mai-juin que la première vague d’injections expérimentales s’était abattue sur les moins de 60 ans ne voulant plus manquer leurs transhumances estivales. Simple coïncidence ? Plusieurs études scientifiques, dont celle de la microbiologiste Hélène Banoun, ont suggéré que les fraîchement vaccinés étaient contagieux en excrétant soit l’ARN messager, soit leurs protéines spike, soit encore leurs anticorps facilitateurs d’infection. Cette hypothèse du « vaccine shedding » ne fait pas consensus, mais elle apporterait une explication à ce pic de juillet 2021 qui fait figure d’exception confirmant la règle, celle-ci étant que les syndromes grippaux, covid compris, frappent très préférentiellement en automne et en hiver. Si les virus détalent dès que le mercure remonte, doit-on encore en avoir peur et les juger responsables de nos maux ? Il me semble que la question induit la réponse.

9) Notre suspect l’est plus que jamais

C’est dans notre infolettre du 25 mars 2020 que nous avons lancé ce pavé dans la mare : nous tenions un suspect ! Grâce aux recherches du « journaliste citoyen » Dominique Guillet, nous avons en effet révélé la raison très probable pour laquelle l’Italie du Nord, et la Lombardie en particulier, était sévèrement frappée par la « première vague » de covid. C’est en effet dans cette région que deux mois auparavant, les autorités avaient procédé à une grande campagne de vaccination contre la méningite. Suite à une mini-épidémie ayant fait deux morts, elles avaient décidé de vacciner gratuitement toute la population vulnérable, c’est-à-dire les personnes âgées. Voilà sans doute pourquoi les séniors de Bergame ou de Brescia tombaient comme des mouches tandis que leurs homologues de Bologne ou de Turin étaient peu frappés par le fléau prétendument importé de Chine. En Lombardie, c’est parfois d’un village à l’autre que la situation sanitaire et le taux de remplissage du cimetière variaient fortement, ce qui est incompatible avec la thèse d’un virus qui se propage, mais qui se comprend aisément si le vaccin anti-méningocoque est en cause. Pour vérifier la corrélation, il suffisait de superposer la carte des décès avec celle de la couverture vaccinale, ce qui n’a pas été fait par les épidémiologistes italiens trop occupés à traquer l’introuvable patient zéro chinois. Notre suspect était d’autant plus à soupçonner qu’à Madrid, épicentre espagnol de la flambée de covid, on avait également vacciné contre la méningite à l’automne 2019. Mais n’oublions pas non plus le vaccin antigrippal ! Dans ses numéros 100 (mai 2020), 103 (septembre 2020) et 107 (janvier 2021), la revue Néosanté a pointé les effets délétères de ces injections en exposant, nombreuses sources scientifiques à l’appui, qu’elles avaient certainement fait le lit des pneumopathies atypiques attribuées au coronavirus. Certes, aucun « grand » média ni aucun gouvernement n’ont exploré cette piste. Mais ça ne veut pas dire qu’elle n’est pas sérieuse. Je pense même que c’est l’inverse et que le suspect n’a pas été inquiété en raison de son évidente culpabilité. Pour notre part, nous restons en tout cas convaincus que les campagnes vaccinales contre la méningite et contre la grippe sont liées aux ravages de l’hypothétique virus couronné. En juillet dernier, des chercheurs allemands ont encore publié une étude qui confirme nos soupçons. Elle montre clairement qu’au printemps 2020, la vaccination antigrippale était le facteur de risque numéro un face à la « pandémie ». Un risque encore plus important que la carence en vitamine D !

10) L’échec des mesures sanitaires

L’innocence de la particule baptisée sars-cov2 dans l’éclosion de la pseudo-épidémie de covid est d’autant plus patente qu’aucune mesure destinée à l’endiguer n’a été efficace. Faut-il vous égrener tous les articles et travaux scientifiques que nous avons mentionnés dans nos billets durant trois ans parce qu’ils montraient l’inefficacité de la distanciation sociale, des confinements ou du port du masque ? Concernant la muselière, il y avait à un moment donné plus de 130 études attestant de sa parfaite incapacité à museler le virus, mais nous avons arrêté de les compter. Inutile de continuer à canarder l’ambulance des croyances pasteuriennes puisqu’elle est complètement hors d’usage. Histoire de l’envoyer définitivement à la casse, citons toutefois cette récente méta-analyse de la prestigieuse Collaboration Cochrane. Selon ce réseau de chercheurs indépendants, qui a analysé 78 études de qualité, il n’y a absolument aucune preuve que les bâillons buccaux permettent et ont jamais permis d’enrayer les épidémies d’infections respiratoires. Qu’ils soient chirurgicaux ou industriels, les masques ne marchent tout simplement pas. La seule règle d’hygiène qui semble avoir un modeste effet protecteur, c’est le lavage des mains. Aucune autre « barrière » physique érigée contre les présumés assaillants viraux n’a satisfait aux essais rigoureusement contrôlés. Mais a-t-on encore besoin de tester les « stratégies non pharmaceutiques » quand nous avons eu l’éclatante démonstration de leur inutilité ? Énorme caillou dans la chaussure covido-pasteurienne, la Suède a sauvegardé la vérité en ne cédant pas à la terreur. Sans fermer ses écoles, magasins ou restaurants, et sans imposer le port du masque, ce pays a pourtant échappé aux scénarios apocalyptiques qu’on lui avait prédits. Et il s’en est plutôt bien sorti en termes de mortalité par habitant. A contrario, les pays européens et les états américains qui ont été le plus loin dans le délire liberticide ont à rougir de leurs statistiques pandémiques. La Chine ? Tout en la soupçonnant de dissimuler ses morts, les experts occidentaux nous ont expliqué que ce pays devait l’endiguement du fléau infectieux à sa stricte politique « zéro covid ». Or l’année 2022 a fait crouler ce mythe puisque les confinements impitoyables n’ont pas empêché l’envol des contaminations. L’abandon de cette politique début décembre allait-il conduire à la catastrophe ? Caramba, encore raté pour les modélisateurs : les hôpitaux et cimetières chinois ont bien été débordés de mi-décembre à mi-janvier, mais pas plus qu’ailleurs. En France ou en Angleterre, les morgues et les funérariums étaient même davantage saturés, comme l’ont rapporté plusieurs médias invoquant le grand retour de la grippe influenza. Bref, on chercherait en vain un quelconque lien entre l’action d’un coronavirus létal et les décisions adoptées pour éloigner le péril viral. Leur échec magistral signe à nos yeux la cuisante déroute du paradigme pasteurien.

11) Le plantage des vaccins

Faut-il tirer sur cette autre ambulance ? Quand ils nous ont vendu le vaccin, les labos pharmafieux et leurs délégués commerciaux politiciens avaient fait miroiter que le virus allait s’arrêter de circuler. Or il est désormais allègrement prouvé que les injections géniques n’ont pas empêché leurs bénéficiaires d’être « contaminés » par l’ennemi public ni de le « transmettre » à autrui. Vaccinés ou pas à l’ARN messager, des millions d’Occidentaux ont « fait le covid » en 2021 et 2022. En évitant les formes graves ? Si cette foutaise était vraie, on aurait dû voir un « effet vaccin » dans les chiffres de mortalité. Or comme le souligne le général Delawarde dans son dernier rapport, on ne voit aucune trace d’un « miracle vaccinal » s’étant produit dans le monde depuis l’arrivée du messie en seringue. En 2021, le nombre officiel de décès covid (3,62 millions) a même été supérieur à celui de 2020 (1,83 million). Selon Dominique Delawarde, il est manifeste que les vaccins Pfizer et Moderna ont une efficacité négative puisque sur la seule année 2022, les 30 pays de l’OTAN, très vaccinés, ont eu un taux de mortalité covid 7,4 fois supérieur à celui du reste du monde pour la même période. Tous les pays de l’OTAN, sans aucune exception, ont un taux de mortalité par millier d’habitants supérieur à la moyenne du monde non otanien. D’où vient ? C’est à tout le moins la preuve chiffrée que les vaccins expérimentaux occidentaux ont échoué à combattre la maladie ciblée. Les vaccins classiques ont-ils fait mieux ? On peut en douter puisque 90 % des Chinois ont reçu le vaccin développé en Chine et que cette couverture optimale n’a pas permis d’éviter de nouvelles flambées épidémiques. Il faudrait voir ce qu’il en est en Russie et à Cuba, deux autres pays « inventeurs » de vaccins anticovid, mais il serait de toute façon difficile de distinguer le ralentissement naturel de l’épidémie d’un éventuel impact des valences locales. En revanche, il y a un continent entier qui fait office de groupe témoin : vu que l’Afrique est très peu vaccinée et qu’elle reste très peu concernée par le covid, on peut rationnellement postuler qu’aucun vaccin n’était nécessaire pour affronter le cataclysme. En continuant à bien se porter sans se faire piquer, les Africains torpillent le dogme pasteurien selon lequel un nouveau virus couronné aurait pris la planète d’assaut en 2020.

12) L’immunité collective, on l’attend toujours

La vision pasteurienne des maladies infectieuses est d’autant plus révolue qu’un autre mythe fondateur venant de Pasteur s’est fracassé à l’occasion de la « crise sanitaire » : celui de l’immunité collective. Quand ils ont vu que cette protection de troupeau faisait défaut, les prélats de l’église vaccinaliste se sont vite rabattus sur le taux d’infections naturelles. Celui-ci grimpant en flèche « grâce » aux nouveaux variants, la collectivité serait bientôt immunisée par l’effet cumulé des campagnes vaccinales et de la propagation virale. Las, la réalité est encore venue démentir les modèles et le Graal de l’immunité grégaire n’a jamais été atteint. Tout le monde connaît quelqu’un qui, vaxxé ou pas, a contracté plusieurs fois la maladie. Et c’est bien normal puisque la notion de bouclier collectif est une fumisterie totale. Elle a été inventée en son temps pour expliquer la décélération progressive des épidémies et leur disparition, mais cette mythologie n’a jamais été scientifiquement validée. Les maladies infectieuses ont toujours disparu bien avant que le seuil théorique de contamination ou de vaccination pour les faire cesser ne soit atteint. Certes, le covid se singularise puisque ce stade est allègrement dépassé (selon les estimations, près de 90 % de la population auraient déjà rencontré le virus d’une manière ou d’une autre) et que des « vagues » continuent à déferler. Mais c’est justement une preuve supplémentaire que cette fable de l’immunité collective ne repose sur rien. Comme nous l’avons étayé dans un dossier de Néosanté (N° 126 d’octobre 2022), l’immunité est par nature individuelle, car elle dépend du terrain de chacun (physique, psychologique, génétique…) et non de celui du voisin. Les micro-organismes sont innocents des pathologies dont on les accuse, car le système immunitaire lui-même n’a rien à voir avec un dispositif militaire chargé de mener une guerre. Ça, c’est ce que Néosanté avait expliqué en octobre 202 dans un dossier sur « La symbiose ignorée » rédigé par le Dr Éric Ancelet. Depuis lors, le parapluie commun promis en vain se fait toujours attendre…

13) Les anticorps ne veulent rien dire

Dans la mythologie pasteurienne, le système immunitaire est un champ de bataille opposant perpétuellement des microbes hostiles à de vaillants défenseurs qui ne font que riposter à l’agression. Un peu comme une guerre d’Ukraine permanente avec les vils Russes dans le rôle des virus et les cellules de l’immunité dans le rôle des braves Occidentaux qui n’ont rien fait de mal et cherchent simplement à protéger leur camp de l’ennemi féroce. Lorsque ce dernier utilise de nouvelles armes, le corps humain s’adapte et mobilise des troupes appelées anticorps ou immunoglobulines. Selon la Sainte Église de Vaccinologie, il suffit de stimuler la production de ces protéines défensives en mimant une attaque pour que l’organisme soit dorénavant immunisé contre l’agresseur. Certes, depuis deux ans, le clergé pasteurien a appris à nuancer sa doctrine. Devant l’échec des vaccins rédempteurs et l’absence d’immunisation par infection, les prélats de cette religion sont bien obligés de reconnaître que le système immunitaire est plus compliqué que ça, que l’immunité humorale n’est qu’une fraction de la réponse et que les agents de l’immunité innée (macrophages, cellules NK…) ne font pas de la figuration. Il n’empêche que pour les gardiens de la Foi, le dogme des anticorps demeure coulé dans le bronze : s’ils sont présents dans le sang, c’est qu’ils ont rencontré l’assaillant et sont aptes à l’éliminer. Une importante minorité de patients infectés par le coronavirus (8 % selon certaines études) développe zéro anticorps ? On ferme les yeux. Plus de 99 % des vaccinés ont développé des anticorps, mais la plupart d’entre eux ont quand même fait la maladie ? Circulez, y’a rien à voir. Des tests sérologiques reviennent positifs alors que les testés n’ont jamais été malades ? Faisons semblant de rien. Les anticorps ne sont pas spécifiques au sars-cov2 et leur dosage n’est donc pas plus fiable qu’un dépistage PCR ? Chut, ne l’ébruitez surtout pas ! Avec le sida, ce secret est resté bien gardé. Très peu de gens savent que le test HIV peut réagir à 70 situations pathologiques autres que l’immunodéficience acquise, par exemple au palu, à la tuberculose ou.. à l’état de grossesse. Grâce au covid, on sait désormais que la séropositivité peut aussi découler d’une ancienne grippe ou d’un bête nez qui coule. La présence d’anticorps est d’autant moins significative que le procédé de détection, explique le biologiste Stefano Scoglio dans le Néosanté de février, consiste à faire réagir l’individu à une « protéine recombinante », autrement dit à un antigène trafiqué en laboratoire et qui n’existe pas dans la nature. En vérité, toute cette patascience des anticorps ne mérite qu’un sort : la poubelle.

14) La grippe n’existe pas

C’est un argument que j’ai soulevé dès ma deuxième lettre consacrée à la « pandémie » débutante : la grippe de Wuhan ne serait probablement pas plus réelle que la grippe habituelle qui, elle non plus, n’existe pas. On peut bien sûr souffrir de syndromes grippaux, c’est-à-dire d’un ensemble de symptômes classables dans un tableau clinique appelé « grippe ». Mais il est faux de croire que ce tableau signale la présence problématique de telle ou telle particule virale. Dans un article retentissant paru dans le British Medical Journal en 2013, le Dr Peter Doshi a révélé qu’aux États-Unis, 84 % des diagnostics de grippe étaient erronés puisque le virus Influenza n’était retrouvé que dans 16 % des échantillons. Pour leur étude publiée en 2017, des chercheurs néerlandais ont voulu évaluer la contribution du virus influenza et des autres pathogènes respiratoires dans les syndromes grippaux. Pour ce faire, ils ont suivi une cohorte d’adultes de plus de 60 ans pendant deux saisons hivernales. Ils ont trouvé que le virus de la grippe était responsable de seulement 18 à 34 % des épisodes fébriles accompagnés des autres symptômes caractéristiques de la maladie (céphalées, courbatures, maux de gorge, rhinite, toux et douleurs thoraciques). Certes, les scientifiques se sont empressés de pointer d’autres coupables du doigt : ils ont détecté d’autres micro-organismes réputés pathogènes (bactéries, rhinovirus, coronavirus, pneumovirus et autres « para-influenzae ») dans 60 % des cas au cours de la première saison et dans 44 % des cas la saison suivante. Mais ça ne suffit pas à dissimuler sous le tapis que la grande majorité des grippes surviennent en l’absence de leur virus attitré et qu’au moins 20 % des épisodes grippaux se déroulent SANS présence virale détectée. Au passage, vous aurez noté que le vaccin est une belle arnaque puisqu’il ne contient que le seul Influenza et que ce dernier est de toute façon très minoritaire chez les personnes grippées. A fortiori, l’immunisation artificielle NE PEUT PAS marcher quand ces dernières n’hébergent aucun agent infectieux. On comprend dès lors mieux que la réalité des « maladies virales sans virus » soit entourée d’une telle discrétion : ça fout par terre le mythe vaccinal et la légende pasteurienne du germe causal. Avec le covid, on a eu la démonstration supplémentaire que seuls les tests de dépistage rendent possible un tri entre syndromes grippaux. Dans la vie réelle, le médecin est bien incapable de distinguer une grippe d’une autre…

15) La guerre biologique, c’est de la science-fiction

Dans son discours-fleuve à la nation, Vladimir Poutine l’a encore répété hier : les laboratoires de recherche ukrainiens financés par les Américains avaient pour mission de fabriquer des armes biologiques dirigées contre la Russie. Selon les documents trouvés par l’armée russe, le projet était de rendre des virus hautement pathogènes et de les disséminer vers l’Est, par exemple via des oiseaux migrateurs. Personnellement, je pense que cette accusation est plausible et crédible. Quand il peut mettre au point un arsenal illégal, mais très létal, l’Oncle Sam ne se gêne jamais. On l’a vu notamment en Serbie et en Irak avec l’usage de bombes à uranium appauvri qui ont fait et continuent de faire des ravages dans la population civile. Il y a donc certainement des chercheurs qui cherchent obstinément à détourner la vie microcosmique pour semer la mort. Mais a-t-on la moindre preuve qu’ils aient trouvé et qu’ils soient parvenus à leurs fins ? Pas à ma connaissance. Jusqu’à démonstration du contraire, la guerre biologique est un oxymore et une fiction qui n’existe qu’au cinéma. Certes, il est possible d’empoisonner de l’eau ou de la nourriture avec des bactéries et de contaminer quelques personnes mises en contact tactile ou aérien avec des bacilles dangereux. Mais à part dans les films hollywoodiens, qui a jamais vu un microbe manipulé avec succès pour en faire une arme de destruction massive ? Dans une interview récente, le très pasteurien Christian Perronne affirme que les Japonais y sont arrivés au siècle dernier et que leurs armes bactériologiques ont fait des « millions de morts » en Chine. Ah bon ? Le professeur prend ses fantasmes biophobiques pour la réalité, car cet article très documenté raconte tout autre chose. Le Japon a bien fait des expériences cruelles sur des prisonniers chinois et tenté de provoquer des épidémies de peste ou de choléra, mais avec des résultats très limités et décevants de leur point de vue. Les virus ? N’en déplaise au général russe Igor Kirillov, convaincu que celui du covid vient des labos ukrainiens, il n’y a pas non plus d’élément probant démontrant qu’ils ont déjà servi militairement. Ni civilement, d’ailleurs. Depuis trois ans, la thèse selon laquelle le corona aurait été manufacturé dans un laboratoire de haute sécurité puis relâché accidentellement ou intentionnellement dans la nature a fait beaucoup d’adeptes. Ceux-ci croient mordicus qu’un virus inoffensif a été tripatouillé à Wuhan ou ailleurs et que les « gains de fonction » obtenus sont à l’origine de la tragédie covidienne. L’inconvénient de ce scénario, c’est que l’hypothétique virus mutant a fait chou blanc et que la tragique pandémie virale n’a jamais eu lieu. Comme il l’a raconté la semaine dernière à Luxembourg, l’épidémiologiste Laurent Toubiana a obtenu les chiffres 2020 de mortalité par cancer et maladies cardiovasculaires : ils ont également et très étrangement chuté cette année-là ! Cela confirme clairement que la coque vide-19 a été fabriquée à partir de rien, ou plutôt à partir de toutes les autres pathologies rebaptisées pour les besoins de la psychose. Perso, je ne pige pas pourquoi beaucoup de résistants s’accrochent à ce récit improuvé du virus échappé d’un labo. Ni pourquoi nombre d’entre eux souscrivent si facilement à la fiction de la « guerre biologique ». Si de telles armes étaient disponibles, m’est avis que l’empire étasunien les aurait déjà larguées sans état d’âme…

16) Le virus est seulement… informatique

Et si les virus eux-mêmes n’existaient pas ? Si vous lisez régulièrement Néosanté, vous savez que cette question insolente est posée par des scientifiques sérieux et que plusieurs d’entre eux y répondent par la négative. Le « nouveau » coronavirus a relancé la controverse et ces mêmes trublions virosceptiques (Andrew Kaufman, Stefan Lanka, Thomas Cowan, Stefano Scoglio, Sam Bailey…) proclament que l’agent infectieux n’a jamais été inculpé dans les règles de l’art, c’est-à-dire prélevé chez un malade, isolé et cultivé sans artifices puis réintroduit dans un organisme sain en réussissant à le rendre malade. Je ne suis pas qualifié pour prendre part à ce débat, mais ça ne m’empêche pas de le suivre attentivement. Or récemment, une pièce saisissante a émergé dans le dossier sous forme d’un article de The Exposé. Il s’agit en fait d’un échange de mails entre la blogueuse britannique Frances Leader et la MHRA (Medicine and Healthcare products Regulatory Agency), l’agence qui contrôle les médicaments au Royaume-Uni. Dans ces courriels datant de fin 2020, les responsables de l’agence confessent que la séquence génomique qui a servi à la mise au point du vaccin Pfizer ne provient pas d’un prélèvement chez une personne infectée, mais qu’elle a été générée par ordinateur. Autrement dit, le virus utilisé n’a pas de réalité matérielle prouvée, il émane d’un modèle informatique lui-même alimenté par une banque de gènes viraux séquencés de main d’homme. Et le vaccin non plus n’a pas été conçu sur base de particules virales trouvées chez un patient, mais obtenu par « combinaison de synthèse génique et de technologie recombinant l’ADN ». Lorsqu’elle a divulgué ces échanges, Frances Leader a été immédiatement censurée par Twitter, mais leur contenu est toujours lisible sur son blog personnel. On comprend que les censeurs ont vite réagi, car c’est de la dynamite, ces aveux de la MHRA. Au-delà de la grande coronarnaque, ils pourraient faire s’écrouler tout le château de cartes pasteurien déjà copieusement lézardé…




Le transhumanisme et l’image de Dieu

[Source : https://creation.com]

Par Andrew Sibley

[Illustration : Pixabay
Les partisans du transhumanisme rejettent ce qu’est l’être humain créé à l’image de Dieu. Au lieu de cela, ils cherchent à déifier la science et l’humanité.]

Le transhumanisme est un mouvement qui soutient que les avancées scientifiques et technologiques peuvent être utilisées pour améliorer l’humanité. Par exemple, pour augmenter la durée de vie, pour se débarrasser des maladies par la modification des gènes, pour implanter des micropuces électroniques à des fins de sécurité, ou pour surveiller l’emplacement, les achats et les mouvements d’une personne. Certains de ces éléments peuvent sembler vaguement pertinents pour l’apologétique de la science créationniste. Cependant, au fond, c’est un mouvement athée et, en fin de compte, il se justifie par la croyance en l’évolution. Creation Ministries International a abordé pour la première fois la question du transhumanisme en 2011. Avance rapide jusqu’en 2023 et il est promu plus que jamais par des universitaires de renom et des forums de premier plan, ainsi que par des subventions de recherche bien financées, comme celle du gouvernement du président Biden.1

[Voir aussi :
François-Xavier Bellamy : « Le transhumanisme est d’abord une détestation de l’humain »
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Michel Maffesoli : « Le transhumanisme est l’aboutissement de la paranoïa moderne » [Interview]
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle]

Origines et objectifs du transhumanisme

« Au fond, [le transhumanisme] est un mouvement athée et, en fin de compte, il se justifie par la croyance en l’évolution. »

Les membres du mouvement transhumaniste cherchent à accroître les capacités mentales, sensorielles et physiques de l’homme, mais cela témoigne d’une incapacité à comprendre pleinement ce qu’est l’être humain.2 Ses partisans cherchent à utiliser les technologies actuelles, telles que la technologie de modification des gènes embryonnaires (qu’est-ce que CRISPR ?),3 et les technologies de l’information, ainsi que les technologies émergentes telles que la nanotechnologie moléculaire et l’intelligence artificielle4 (ces technologies ne sont pas nécessairement mauvaises en soi, mais la manière dont elles sont utilisées soulève des questions éthiques pour la société). Xiao Liu écrit que « nous entrons dans l’ère de l’ » Internet des corps » : la collecte de nos données physiques par le biais d’une série de dispositifs qui peuvent être implantés, avalés ou portés »5. Cette utilisation des nouvelles technologies découle de la croyance évolutionniste selon laquelle l’humanité n’est qu’un chantier en cours, conformément aux croyances transhumanistes :

« Les transhumanistes considèrent la nature humaine comme un travail en cours, un début à moitié cuit que nous pouvons apprendre à remodeler de manière souhaitable. L’humanité actuelle ne doit pas nécessairement être le point final de l’évolution. Les transhumanistes espèrent que, grâce à une utilisation responsable de la science, de la technologie et d’autres moyens rationnels, nous parviendrons un jour à devenir des posthumains, des êtres dotés de capacités bien supérieures à celles des êtres humains d’aujourd’hui. »6

« Bien qu’à certains égards, le transhumanisme ne soit pas clairement défini, il s’agit en fait de la croyance que l’évolution a besoin d’un coup de pouce, ce qui, quand on y pense, est plutôt ironique, car il s’agit d’un coup de pouce intelligemment conçu ! »

Cette perspective remet directement en question la façon dont nous nous comprenons en tant qu’êtres humains, créés à l’image de Dieu. Bien qu’à certains égards, le transhumanisme ne soit pas clairement défini, il s’agit en fait de la conviction que l’évolution a besoin d’un coup de pouce, ce qui, quand on y pense, est plutôt ironique, car il s’agit d’un coup de pouce intelligemment conçu ! L’objectif déclaré des transhumanistes est de faire évoluer l’humanité vers « le niveau suivant », afin que les êtres humains puissent prétendument transcender les limites naturelles et créer eux-mêmes l’humanité 2.07 (Max Tegmark l’appelle la vie 3.0). On parle parfois de l’émergence d’une espèce « post-humaine ». En fait, les liens étroits entre le transhumanisme et l’évolution indiquent qu’il s’agit d’un prolongement de l’eugénisme. Le biologiste évolutionniste et eugéniste Julian Huxley a proposé l’expression transhumanisme dans un essai en 1957, et a déclaré ce qui suit :

« … lorsqu’il y aura suffisamment de personnes qui pourront vraiment dire qu’elles [croient au transhumanisme], l’espèce humaine sera au seuil d’un nouveau type d’existence, aussi différente de la nôtre que la nôtre l’est de celle de l’homme de Pékin [sic]. »8

Ce type de pensée utopique se poursuit aujourd’hui, mais au lieu d’être une idée marginale, les successeurs de Huxley ont l’oreille d’hommes politiques de premier plan et peuvent propager librement leurs opinions dans les forums mondialistes. Yuval Noah Harari est professeur d’histoire à l’Université hébraïque de Jérusalem et conseiller auprès du Forum économique mondial. Il présente la situation comme suit dans un livre intitulé Homo Deus (homme-dieu) :

« Au lieu de cela, les bio-ingénieurs prendront le vieux corps de Sapiens, et réécriront intentionnellement son code génétique, reconnecteront ses circuits cérébraux, modifieront son équilibre biochimique, et feront même pousser des membres entièrement nouveaux. Ils créeront ainsi de nouveaux enfants-dieux, qui pourraient être aussi différents de nous, Sapiens, que nous sommes différents de l’Homo erectus. »9

Harari rejette la croyance dans le Dieu de la Bible, mais souhaite plutôt déifier l’humanité. Il estime que les humanistes des Lumières, avec leur croyance en l’évolution, ont supprimé la foi en Dieu et l’ont placée dans les autres.

Autres problèmes du transhumanisme

CCA 2.0 generic — wikipedia
Est-ce là l’avenir de l’humanité que propose le transhumanisme ?Reconstruction d’une unité Borg de science-fiction dans une station d’accueil de régénération (Hollywood Entertainment Museum)
Marcin Wichary, 5 janvier 2006

Un autre problème est le manque de connaissances sur la véritable nature de l’humanité. La science naturaliste en sait-elle assez sur ce qu’est l’être humain en premier lieu ? Joanna Kavenna soulève cette question (notamment dans le New Scientist) : « Elle pose la question en sachant que la majorité des gens dans le monde ont une forme de croyance religieuse ou spirituelle. Dans ce contexte, la plupart croient que les êtres humains possèdent une âme non matérielle qui anime le corps physique. En outre, le concept de conscience dépasse le cadre de la science naturaliste et, à bien des égards, il reste mystérieux dans la philosophie des sciences, malgré les efforts des chercheurs :

« … la conscience — cette chose mystérieuse que tout être humain possède ou se sent posséder — reste “le problème difficile” de la philosophie. Il nous manque une théorie unifiée de la conscience. Nous ne comprenons pas comment la conscience est “générée” par le cerveau, ni même si c’est la bonne métaphore à utiliser »10.

Kavenna souligne que la science naturaliste n’a pas progressé dans l’approfondissement de cette compréhension au fil des ans, et qu’elle ne sait même pas qui étaient les premiers humains. Elle écrit :

« Nous ne savons pas qui étaient les premiers humains : cette quête fascinante nous conduit également tout droit vers un grand vide d’inconnaissance »10.

Bien sûr, les créationnistes chrétiens à l’esprit biblique ont l’avantage de savoir que les premiers humains étaient Adam et Ève. Mais l’adhésion des transhumanistes à la science naturaliste, et leur croyance en l’évolution, signifie qu’ils ont une compréhension inadéquate de l’humanité.

Malgré les formidables progrès de la science, notre compréhension de la complexité du code génétique reste incomplète, les nouvelles avancées ne faisant que découvrir des niveaux de plus en plus élevés de fonctionnalités interdépendantes. Par exemple, pendant de nombreuses années, les spécialistes de l’évolution ont considéré qu’une grande partie du code génétique était « inutile », mais des découvertes récentes ont démontré qu’elle jouait un rôle important dans la cellule (voir Les idées sur l’ADN poubelle ont entravé les progrès de la science médicale), ce qui a entravé les progrès de la science médicale. Malheureusement, malgré tous les merveilleux avantages de la science biomédicale, elle a aussi un catalogue d’erreurs dues à l’introduction de produits qui se sont avérés nocifs par la suite, comme le médicament thalidomide.

Pixabay
Le transhumanisme offre un avenir dystopique

Il y a aussi le problème du pouvoir et du contrôle. Qui décide de ce qui est le mieux pour l’humanité ? Devons-nous laisser une technocratie de politiciens, de riches industriels et d’élites scientifiques décider ? Un précédent article de CMI avait déjà illustré ce problème avec l’exemple du collectif Borg dans Star Trek.11

Dans la série, les Borgs étaient un réseau d’êtres organiques et sensibles (humains et autres extraterrestres) qui avaient été modifiés par la cybernétique et la nanotechnologie — d’où les cyborgs. La technologie transhumaniste a été utilisée pour contrôler complètement les êtres et supprimer leur individualité, en subsumant leur esprit et leur conscience en un seul collectif social. Ce collectif obscur, comparable à une ruche d’abeilles surveillée par la reine, était également extrêmement puissant et avait pour objectif d’assimiler tous les autres dans son système. D’autre part, la Fédération des planètes unies, technologiquement avancée (sous la direction de sa directive première non interférente), utilisait son savoir-faire pour maximiser la liberté et les capacités personnelles de la communauté (humaine et celle des autres espèces extraterrestres fictives).

Cette illustration fictive, qui peut paraître fantaisiste, soulève néanmoins un point pertinent (en tant que métaphore) sur l’avenir de l’humanité. Est-il juste qu’une technocratie d’élite développe et utilise les progrès de la science pour contrôler les gens, que ce soit dans une forme de collectif social d’êtres post-humains ou dans une autre structure sociale ? Ou devrions-nous utiliser la science et la technologie pour maximiser la liberté et l’épanouissement humain ? Comme le dit le proverbe, l’enfer est pavé de bonnes intentions, et les États socialistes et technocratiques idéalistes n’ont historiquement fait qu’appauvrir le peuple, comme on peut le voir avec l’ancienne Union soviétique. Peter Hitchens met en garde contre les souffrances causées par les rêveurs athées et utopistes : « L’utopie ne peut être approchée qu’à travers une mer de sang ».12 Cela nous amène à envisager une vision centrée sur le Christ (en laissant de côté l’eschatologie).

La vision chrétienne

Bien sûr, les êtres humains ont utilisé les progrès technologiques pendant des centaines d’années pour améliorer la vie des gens — alors, qu’y a-t-il de mal avec le transhumanisme ? Le professeur de sociologie Steve Fuller, qui a déjà apporté son soutien au mouvement du Dessein Intelligent, affirme que le transhumanisme n’a rien à craindre et qu’il n’est que la continuation des progrès technologiques réalisés depuis plusieurs centaines d’années.13

« Il y a… quelque chose de sacré dans les êtres humains, créés à l’image de Dieu, c’est pourquoi la modification de ce que signifie être humain pose des problèmes éthiques. »

Cependant, il existe une différence fondamentale entre les croyances judéo-chrétiennes et les croyances évolutionnistes athées en ce qui concerne la manière dont les êtres humains peuvent utiliser la technologie pour façonner l’avenir de l’humanité. Les chrétiens soutiennent que les êtres humains sont créés à l’image de Dieu, mais que nous souffrons des séquelles de la Chute, ce qui explique que nous soyons malades et que nous mourions. Dans cette vie, nous souhaitons vivre le plus sainement possible, et nous faisons ce que nous pouvons pour les autres aussi ; de cette façon, nous espérons améliorer l’espérance de vie, tout en maintenant la qualité de vie. Mais en fin de compte, il faut affronter la mort (Hébreux 9:27), qui est la dure réalité. Aucune technologie que l’homme pourrait inventer ne peut éviter la mort. La bonne nouvelle est que le pardon des péchés et le salut peuvent être obtenus spirituellement grâce à l’œuvre du Christ sur la croix ; les chrétiens qui ont mis leur confiance dans le Christ attendent la résurrection et la vie éternelle.

Il y a aussi quelque chose de sacré dans les êtres humains, créés à l’image de Dieu, c’est pourquoi la modification de ce que signifie être humain pose des problèmes éthiques. D’un autre côté, les philosophes athées considèrent que l’homme n’est qu’un produit de l’évolution par sélection naturelle et qu’il peut donc être modifié selon les caprices des scientifiques et des riches technocrates. Ces deux visions du monde ont un impact sur la façon dont nous percevons l’humanité.

Les chrétiens croient que nous pouvons utiliser la technologie au profit des hommes et ainsi surmonter les effets de la Chute. Certaines technologies qui peuvent sembler relever du transhumanisme peuvent être bénéfiques à certains humains en termes de guérison. Une personne peut prendre des médicaments pour guérir d’une maladie, ou porter des lunettes ou un appareil auditif pour surmonter sa fragilité. La perte d’un membre peut amener une personne à utiliser une prothèse pour faciliter sa mobilité. La technologie peut donc contribuer au bien-être et à l’épanouissement de l’homme, ou chercher à optimiser les capacités des personnes brisées par la maladie ou le handicap ; ces utilisations ne cherchent pas à créer une post-humanité. Le transhumanisme, quant à lui, fondé sur la croyance en une évolution sans Dieu, étend ce principe pour affirmer que l’humanité doit être améliorée par l’utilisation d’outils tels que le génie génétique et les micropuces. L’objectif est de créer une humanité « meilleure », mais sans vraiment savoir ce qu’est un être humain à part entière.

Un dilemme pour les humanistes

Cela crée toutefois un dilemme pour les humanistes. L’humanisme a traditionnellement enseigné qu’il est possible d’être éthique et de valoriser les personnes sans se référer aux textes bibliques. Andrew Copson et A.C. Grayling écrivent que « l’éthique humaniste se distingue également par le fait qu’elle place la finalité de l’action morale dans le bien-être de l’humanité plutôt que dans l’accomplissement de la volonté de Dieu ».14 D’une certaine manière (mais pas toujours)15, cette approche est similaire à la notion judéo-chrétienne de la morale et des valeurs, qui est objectivement fondée (l’humanisme est issu de l’unitarisme déiste et a été connu pendant un certain temps sous le nom de Société éthique). Mais l’adhésion de l’humanisme à l’évolution conduit finalement à une direction morale différente et soulève la perspective du transhumanisme, où l’humanité a « besoin » de s’améliorer. Si l’on croit que les êtres humains ont évolué par des processus accidentels, et par la survie du plus fort, alors pourquoi ne pas permettre à une élite riche et puissante de guider l’évolution avec l’intelligence humaine ?

Ainsi, les croyances humanistes, parce qu’elles sont subjectives ou basées sur l’évolution, peuvent conduire à une dévalorisation des êtres humains, et non à leur élévation. Nous pouvons voir ici que l’humanisme mène finalement au post-humanisme, en fait à l’abandon de l’humanisme — à l’idée de créer des post-humains. L’humanisme se retrouve donc face à un dilemme : doit-il embrasser le transhumanisme et rejeter les idéaux humanistes, ou doit-il vraiment rester attaché à l’humanité telle qu’elle est comprise depuis des millénaires ?

Résumé

Le transhumanisme continue d’être promu par les gouvernements, les entreprises mondiales et les technocrates d’élite, avec peu de compréhension de la véritable nature de l’humanité. Une compréhension complète doit inclure la dimension spirituelle, c’est-à-dire l’humanité créée à l’image de Dieu, mais déchue de la grâce. La justification du transhumanisme découle de la faiblesse fondamentale de l’humanisme athée, avec sa croyance en l’évolution. Le raisonnement de ses partisans est le suivant : si l’humanité a évolué par des processus aléatoires, alors pourquoi ne pas améliorer les hommes ? Comme nous l’avons vu, l’ironie profonde est que les projets transhumanistes impliquent un dessein intelligent, mais la plupart des concepteurs transhumanistes ont nié l’existence de leur propre Concepteur ! Malheureusement, l’histoire est jonchée de preuves d’échec, où la science n’a pas apporté le bien, mais une plus grande souffrance.


1 The White House, Fact Sheet: The United States announces new investments and resources to advance President Biden’s National Biotechnology and Biomanufacturing Initiative, whitehouse.gov, 14 Sept 2022.

2 Ostberg, R., Transhumanism, Encyclopedia Britannica, britannica.com/topic/transhumanism, 3 Nov 2022;accessed 19 Dec 2022.

3 CRISPR = Clustered Regularly Interspaced Short Palindromic Repeats. See: Le Page, M., What is CRISPR? A technology that can be used to edit genes, newscientist.com, (no date).

4 Mek, A., Transhumanism Horror: Elites want to genetically alter children in the womb, High-Bred Globalist Kids (Video), Rairfoundation.com, 15 Dec 2022.

5 Liu, X., Tracking how our bodies work could change our lives, weforum.org, 4 June 2020.

6 Bostrom, N., Transhumanist values, in: Frederick Adams (ed.), Ethical Issues for the 21st Century, Philosophical Documentation Center Press, 2003.

7 Fuller, S., Humanity 2.0: What it Means to be Human, Past, Present and Future, Palgrave Macmillan, 2011.

8 Huxley, J., Transhumanism, In New Bottles for New Wine, Chatto & Windus, London, pp. 13–17, 1957. (Sinanthropus, reclassified to Homo erectus).

9 Harari Y.N., Homo Deus: A brief history of tomorrow, Harper Collins, Ch. 1, 2016.

10 Kavenna, J., Who do we think we are? newscientist.com, 5 July 2017.

11 Smith, C., Transhumanism—mankind’s next step forward? Will mankind evolve into a perfect being?, creation.com, 3 Feb 2011.

12 Hitchens, P., The Rage Against God, Continuum Int. Publ., London, p. 113, 2011.

13 “We need to be always reminding ourselves that we have always been enhancing ourselves, that science has always been enhancing the human condition, that we have been trusting machines over our own bodies for at least 300-400 years now. We’ve already broken through that barrier—we do live in a very artificial world. Even though the stuff on the horizon may amplify our powers tremendously, it is nevertheless part of the same process. It is a step change but it’s the same story, the story of scientific progress.” As reported by Tucker, I., Steve Fuller: it’s time for Humanity 2.0, theguardian.com, 25 Sept 2011.

14 Copson, A. & Grayling, A.C., (eds.), The Wiley Blackwell Handbook of Humanism, John Wiley & Sons Ltd., Chichester, p. 19, 2015.

15 For example, consider humanism’s advocation of such practices as abortion and euthanasia.




Ressources anti-humaines

[Source : reseauinternational.net]

Par Miri Anne Finch

Étant donné que les médias se concentrent actuellement sur la vie extraterrestre, un article avec une approche non-humaine semblait approprié… Il ne s’agit pas des « extraterrestres » en tant que tels, qui, semble-t-il, ne feront pas encore leurs débuts officiels, mais plutôt du fait que la scène mondiale se prépare à leur apparition, comme c’est le cas depuis de très nombreuses années grâce aux offres surnaturelles spectaculaires d’Hollywood. Certains des films familiaux les plus durables et les plus appréciés de tous les temps – par exemple « ET » – et certaines des émissions de télévision les plus cultes et les plus populaires – « X-Files » – ont un message très clair et sans compromis : les extraterrestres sont réels, votre gouvernement les dissimule, mais un jour, bientôt, ils prendront contact…

Nous sommes préparés à l’invasion extraterrestre à travers nos écrans, tout comme nous avons été préparés à la « pandémie » de Covid (et au concept de « pandémie » en général) de la même manière. « Alerte », « World War Z », « Contagion » (dont un jeune ami m’a dit qu’il avait été projeté à sa classe de géographie lorsqu’il était à l’école vers 2015, et sur lequel Matt Hancock a confirmé plus tard qu’il avait « basé sa réponse à la pandémie ») – tout cela vise à manucurer l’esprit de masse pour qu’il accepte que les maladies mortelles qui se propagent lorsque les gens se respirent les uns les autres sont une chose réelle que nous devons craindre. Si ce concept ne nous avait pas été présenté par le cinéma, aucun d’entre nous ne l’aurait jamais cru, car il va à l’encontre de toute notre expérience directe et vécue. En bref, si les « pandémies mortelles transmises par la respiration » étaient une réalité, alors, dans une société aussi mobile et en transit que la nôtre, nous serions tous constamment malades, et les emplois très exposés au public, comme l’hôtellerie ou la salle des arrivées de l’aéroport d’Heathrow, seraient plus dangereux que d’être en première ligne dans une zone de guerre.

Il est évident que ce n’est pas le cas, et il y a très peu de preuves qui suggèrent que les personnes qui travaillent en public sont plus exposées aux maladies dites infectieuses que celles qui travaillent seules à la maison. Après tout, nous n’avons jamais vu ces gros titres « les employés de supermarché meurent tous du Covid », n’est-ce pas, malgré le fait que les employés de magasin travaillaient constamment et autour de centaines de personnes potentiellement « infectées » par jour, tout au long de « la pandémie ».

Donc, le fait est que lorsque les classes dirigeantes désirent notre investissement dans un phénomène qui n’est pas réel, elles utilisent le puissant pouvoir hypnotique des écrans, et projettent leur réalité désirée dans nos esprits. Ils ont poussé le cliché de « l’invasion extraterrestre » pendant des décennies, en utilisant la télévision et le cinéma, parce que, dans un avenir très proche, ils vont mettre en scène une invasion extraterrestre en utilisant la technologie holographique. Il s’agit du projet Bluebeam, un complot secret des services secrets américains révélé par un journaliste d’investigation dans les années 1990.

Les prétendus « OVNIs » dont parlent les médias en ce moment nous préparent encore davantage à cette « invasion extraterrestre », qui sera mise en scène dans le but d’unir le monde sous une force commune. Cette force peut être présentée comme étant bonne (« nous sommes une espèce avancée venue vous aider, mais vous devez faire ce que nous disons »), ou mauvaise (« l’humanité doit s’unir pour vaincre ces envahisseurs maléfiques »). Dans tous les cas, l’objectif final est d’unifier le monde, conformément au programme du gouvernement mondial unique.

Il me semble que ce n’est pas une coïncidence si les entités non humaines font les gros titres, juste au moment où cette autre entité non humaine – ChatGPT – est en train d’atteindre une proéminence fulgurante, et où les cas de personnes disparues sont à nouveau un sujet de discussion brûlant (si seulement il y avait un moyen de toujours suivre une personne, de toujours savoir où elle est et si elle est en sécurité, comme, je ne sais pas, une puce électronique ou quelque chose comme ça… et wow, est-ce que ce gentil Elon Musk ne travaille pas par coïncidence sur une telle chose en ce moment ? !)

Parce que le thème de toutes ces choses est le même : l’âge de l’humain naturel, organique, non altéré est terminé. Nous entrons dans l’ère des extraterrestres, de l’IA et du transhumanisme. Les humains sont dépassés. Ils ont besoin d’une mise à niveau.

Cela m’a été illustré de manière particulièrement claire ces dernières semaines, alors que j’aidais une personne que je connais bien (et que vous connaissez probablement aussi, si nous sommes amis sur Facebook, mais je protège sa modestie…), que nous appellerons Nick, à chercher un emploi. Après de nombreuses années de succès dans le secteur de l’aide sociale, dont la gestion de sa propre entreprise, il y a un peu plus d’un an, le contrat à durée déterminée de Nick a pris fin. Tout portait à croire qu’il serait renouvelé (puisque c’est ce qui s’est passé à deux reprises pour la même entreprise) sous la forme d’une promotion à un poste de direction.

Cela ne s’est pas produit. Pourquoi ? Ses employeurs lui expliquent qu’ils ne peuvent pas simplement lui donner le poste de direction – ce n’est pas la « procédure » – qui doit être publié comme un poste vacant pour lequel d’autres personnes peuvent postuler, mais – l’insinuation est forte – ce n’est qu’une formalité puisque le poste (et tous les collègues de Nick sont d’accord) porte son nom.

Nick s’est donc présenté à l’entretien, qui comprenait une période de préparation intensive au cours de laquelle il a dû élaborer une présentation interactive à présenter, puis parcourir 80 km – et ce malgré le fait que tous les membres du jury le connaissaient bien, et ce depuis des années, tant sur le plan social que professionnel.

Il a passé l’entretien, a fait sa présentation et a estimé que tout s’était passé aussi bien que possible, les membres du jury étant manifestement impressionnés par les détails de ses réponses et de sa présentation.

Les jours ont passé et il n’a pas eu de nouvelles, mais il a finalement reçu un appel téléphonique. Il n’a pas eu le poste. Pourquoi ? Parce que dans une question spécifique, relative à la gestion d’une entreprise d’aide sociale, il n’avait pas fourni suffisamment de détails sur un processus spécifique. Un autre candidat l’avait fait.

« Nous savons que vous avez dirigé une entreprise et que vous avez réussi à faire ces choses », a déclaré le collègue au téléphone. « L’autre candidat ne l’a pas fait dans la pratique. Mais il les a mieux décrites en théorie, et nous devons donc lui donner le poste ».

« Mais mon expérience réelle ne compte-t-elle pas, même si je n’ai pas tout à fait pensé à tout mentionner dans une situation d’entretien stressante ? » a demandé un Nick déconcerté.

« Non », a répondu son collègue sans ménagement. « Nous ne pouvons pas prendre cela en compte, tout doit aller sur l’entretien et le nombre de points que vous obtenez par réponse ».

« Mais… ne pouvez-vous pas prendre en compte le fait que vous me connaissez réellement et que vous avez basé de nombreuses procédures existantes de l’entreprise sur ce que j’ai inventé et développé ? »

« Non ».

Alors, tout ébranlé qu’il était, Nick s’est mis à la recherche d’un nouvel emploi. Quelques semaines de candidatures en ligne infructueuses ont suivi, puis un rendez-vous avec une société de recrutement, qui a d’abord oublié qu’il était là et l’a laissé assis dans un couloir pendant une demi-heure, avant de s’en rendre compte, de s’excuser et de lui dire qu’il devrait revenir un autre jour… ce qu’il a fait (à contrecœur). Il a rempli tous leurs formulaires et passé un entretien, et on lui a dit qu’ils le contacteraient si quelque chose de convenable se présentait.

Il n’a plus jamais entendu parler d’eux et s’est remis à parcourir les annonces en ligne. Finalement, un poste correspondant parfaitement à ses compétences et à son expérience s’est présenté. Il a donc rédigé une candidature (longue et détaillée) qui lui a valu d’être convoqué à un entretien. Une fois encore, la période de préparation intensive a commencé : étude approfondie de l’entreprise, organisation de rendez-vous avec d’anciens collègues ayant une expérience pertinente, rédaction d’un document de 20 pages couvrant les questions « essentielles » et « souhaitables » susceptibles d’être soulevées lors de l’entretien.

Le jour de l’entretien est arrivé, entraînant les frais de déplacement habituels et les dépenses connexes (l’entretien ayant lieu dans une ville située à environ 90 minutes de route). L’entretien s’est exceptionnellement bien déroulé. À la fin, Nick a ri et plaisanté avec ses interlocuteurs. Ils étaient manifestement très impressionnés par ses compétences, son expérience et son enthousiasme, et réagissaient très positivement à ses idées et suggestions – lorsqu’il a mentionné quelque chose sur les évaluations des risques, l’un des membres du panel a dit : « Bien, nous devrions lui donner le poste ici et maintenant juste pour avoir mentionné cela ! » Nick a dit que cela ressemblait plus à une consultation qu’à un entretien d’embauche, car ils prenaient des notes sur les choses qu’il avait suggérées, disant que c’étaient des choses auxquelles ils n’avaient pas pensé et qu’ils allaient essayer.

Nick se sentait confiant cette fois-ci. L’entretien s’était si bien déroulé, le jury avait manifestement été si impressionné, que sûrement, après quelques faux départs, c’était l’opportunité qu’il avait attendue.

L’appel téléphonique est arrivé le lendemain. Il a su immédiatement au ton de la voix de son interlocuteur qu’il n’avait pas obtenu le poste.

L’interviewer – le PDG de l’entreprise – s’est excusé. Presque une flatterie. Il a même dit les mots suivants : « Je voulais vous donner le poste et j’avais hâte de travailler avec vous ».

Mais ?

Mais ils ont utilisé un « système de points », et sur une seule question, un autre candidat avait obtenu deux points de plus que Nick en mentionnant deux « mots à la mode » clés.

« C’est tout ? » a demandé Nick.

« Oui », a répondu l’enquêteur, clairement avec plus qu’une pointe d’embarras. « Je veux dire, c’est le plus proche que j’ai jamais vu. Comme je l’ai dit, j’avais hâte de travailler avec vous, mais nous devons suivre la procédure. Nous devons suivre les points ».

Pour que les choses soient claires : les compétences, l’expérience, la personnalité, le caractère – même les préférences des humains qui mènent l’entretien – ne comptent pas. Seuls les « points » comptent.

C’est ainsi qu’une entité non humaine telle qu’une IA aborderait le recrutement. En utilisant des mots à la mode et des chiffres, des cases à cocher et des algorithmes. Il n’y a rien d’humain là-dedans, et c’est entièrement intentionnel et conçu.

« Pour être honnête », a dit Nick stupéfait, « je pense que c’est une approche un peu inhumaine ».

« Eh bien, moi aussi », a convenu l’intervieweur, avec un demi-sourire gêné, avant d’ajouter (et il a vraiment dit cela, je l’ai entendu). « Mais malheureusement, c’est ainsi que fonctionne la Matrice ».

Cette approche du recrutement – mettant de côté le caractère, les compétences, la créativité, l’expérience, au profit de l’utilisation de chiffres, de cases et de mots à la mode – est nécessairement conçue pour désavantager les humains, et pour avantager l’IA. Les logiciels informatiques peuvent être parfaitement programmés pour fournir exactement le mot à la mode souhaité au moment souhaité. Un être humain, surtout dans l’environnement artificiel et stressant d’un entretien, ne le peut pas.

Nous nous dirigeons rapidement vers une époque où les êtres humains devront être capables d’imiter l’IA de manière convaincante sur le lieu de travail pour être compétitifs, et comme la crise du coût de la vie continue de s’aggraver et que les salaires continuent de baisser, la concurrence va devenir de plus en plus féroce.

Alors, si la disparition de l’adorable petite Maddie ne suffit pas à vous convaincre de vous faire implanter une puce électronique… si l’enlèvement de Nicola Bulley par des extraterrestres ne suffit pas (on ne sait jamais, deux opérations psychologiques d’un coup, et tout ça…), peut-être que le fait que vous ne puissiez pas obtenir un emploi sans puce électronique – sans puce cérébrale vous permettant d’imiter parfaitement l’IA qui marque des points – le fera.

Pour l’instant, cela ressemble à de la science-fiction et j’espère vraiment que cela restera ainsi. Si quelqu’un travaillant dans le domaine du recrutement lit ceci, si quelqu’un pousse l’approche du « comptage de points comme critère principal », veuillez réaliser où cela va probablement vous mener, et qu’il ne faudra pas longtemps avant que – non seulement vos candidats soient encouragés à ressembler davantage à des robots – mais vous aussi. Tout comme l’IA peut donner des réponses parfaites pour marquer des points, elle peut aussi les détecter parfaitement dans une situation d’entretien. Comme les caissiers qui dirigent les gens vers la caisse automatique, comme les enseignants qui font grève et laissent les enfants apprendre en ligne, ne faites pas le travail des maîtres en vous rendant inutiles, parce que les robots peuvent le faire « mieux ». Les robots peuvent mieux faire la robotique, mais est-ce vraiment ce que nous voulons ?

Il est urgent que nous nous demandions quel type d’avenir nous voulons atteindre : un avenir fondé sur une formule précise et un score parfait, ou un avenir créatif, imprévisible, imaginatif, imparfait et trop humain ?

source : Miri AF

traduction Réseau International




Chajnantor

Un roman de Patrick Lehébel paru en septembre 2015, cinq ans avant la plandémie Covid. Prémonitoire ?

Présentation (4e de couverture)

Nous sommes en 2030. Le radiotélescope géant de Chajnantor, dans la cordillère des Andes, détecte un signal en provenance d’une planète située hors du système solaire… Ce signal est un message, un message d’origine humaine.

Débute alors, captivante et terrible, la narration d’une histoire de la Terre et des Hommes, couvrant une période allant de 2084 à 3427, date présumée de l’extinction de l’espèce humaine. Cette période, qui s’ouvre avec la naissance du narrateur, verra le monde actuel s’effondrer sur lui-même, dans les guerres et les dérèglements environnementaux. Il renaîtra, sous la forme quelque peu orwellienne d’une humanité globalisée, avançant à tâtons, sous la houlette d’un gouvernement mondial désincarné, sur la voie de manipulations génétiques semblant promettre l’immortalité pour tous… Mais Icare n’est jamais loin, et la survie de l’Humanité bientôt ne tiendra plus qu’à un fil…

Si le message a été reçu, pourquoi le futur a-t-il été ce qu’il a été ? A Chajnantor, les auditeurs de cet extraordinaire message le comprendront, mais trop tard.

À propos de l’auteur

Patrick Lehébel est né en 1959 à Saint-Nazaire, il vit aujourd’hui toujours dans la région, en Brière. Agrégé et docteur en mathématiques, il a enseigné tant en France qu’en Afrique. Il a à son actif la rédaction de plusieurs ouvrages, essais et romans. Sa principale préoccupation est l’avenir de l’Humanité, malgré son penchant avéré pour la folie autodestructrice. Patrick Lehébel utilise habilement ses connaissances scientifiques dans ses romans pour en faire de la véritable science-fiction, au sens premier du terme, rendant ainsi le récit d’autant plus prenant et crédible. Préalablement à Chajnantor, Patrick Lehébel a publié deux autres romans : Iridium Apocalypse (Edilivre, 2007) et L’Or du Kent (l’Ancre de Marine, 2012).

2030 en pleine cordillère des Andes, le radiotélescope géant de Chajnantorreçoit un signal en provenance d’une planète située hors du système solaire. Or, selon toutevraisemblance, ce message est d’origine humaine… S’ensuit alors le récit haletant de laplanète Terre d’une période allant de 2084 à 3427 par un homme qui décrit par le menu tousles événements qui ont mené l’Humanité à sa perte. D’abord un accroissement de lapopulation mondiale sans limite, faisant fi des ressources limitées de la planète, puis le désir insatiable del’Homme de vivre toujours plus longtemps, en dépit de toute éthique et du bien-êtrede l’Humanité dans son ensemble. Ce roman se lit d’une traite tant il est captivant. C’est un mélange réussi entre vulgarisation scientifique et roman d’anticipation, bref de la vraie science-fiction comme on n’en fait plus, à la façon de Jules Verne. Le sujet, qui pouvait être qualifié de vraiment novateur à la sortie du roman en 2015, peut aujourd’hui, au vu des récents événements, indubitablement être qualifié de carrément visionnaire.

Pour se procurer le livre

http://www.antigone14editions.com/livre-chajnantor-patrick-lehebel-978-2-37233-024-4.htm

https://livre.fnac.com/a9053732/Patrick-Lehebel-Chajnantor

https://www.decitre.fr/livres/chajnantor-9782372330244.html

https://www.librairie-gallimard.com/livre/9782372330244-chajnantor-patrick-lehebel/




Quand les théories du complot font partie du complot

[Source : Jérémie Mercier]

Dans cet entretien avec Icaros, auteur du blog https://coronacircus.com/ et contributeur d’une « freedom cell » (cellule de liberté) dans les montagnes suisses, nous explorerons la piste selon laquelle certains « complotistes » et certaines « théories du complot » peuvent parfois sans le savoir participer à une subversion permettant à terme la mise en place d’un « nouvel ordre mondial ».

[NDLR Les points de vue exposés sont bien sûr largement discutables, puisque pour la plupart ils relèvent d’hypothèses ou de théories.]






La Reine des Neiges, plus grand complot de l’histoire ?

Par Alain Tortosa

Il existe des crimes ignorés de tous, mais celui-ci est sans doute le plus odieux, loin devant les millions de morts de guerres provoquées dans le but d’enrichir les pourritures.

J’ai longuement hésité à vous éclairer sur cet événement historique, mais je vous sais désormais suffisamment matures pour encaisser l’horrible « Vérité ».

Les complotistes 5e dan auront compris que je parle ici non pas de JFK ou du 11 septembre, mais de Elsa et Anna, personnages emblématiques de « la Reine des Neiges » du « merveilleux » studio Disney1.

Le fait est que les complots les plus immondes sont souvent là, sous nos yeux, et qu’ils passent généralement inaperçus tant ils sont énormes.

Mes propos peuvent provoquer chez certains un rire moqueur, ce fameux ricanement qui empêche de grincer des dents et de se forger sa propre opinion.

Mais je ne vais pas vous laisser en haleine plus longtemps.

Les plus pointus d’entre vous auront compris que Disney a volontairement inversé les prénoms de Elsa et Anna.

Je peux imaginer votre stupéfaction, voire votre désarroi, votre réticence ou votre recul.

Mais essayez de résister au rejet ou au dégoût inspiré par mon « affirmation délirante ».

Rappelez-vous votre première fois, quand on vous a dit que JFK avait été assassiné par la CIA ou que l’homme n’était jamais allé sur la Lune.
Vous aviez alors sans doute réagi « sainement » et balayé ces affirmations « débiles ».

Ceux qui sont allés au-delà de l’apparence ont appris que si un complotiste vous dit :

« Les petits pois sont des émetteurs mis au point par les habitants du 4e système solaire en partant de la gauche de la galaxie d’Andromède afin de modifier l’axe de la terre. »
Il est raisonnable de l’écouter avant de se marrer.

Combien de théories du complot se sont révélées exactes depuis l’introduction de la fête du Covid et de la fête du réchauffement climatique ?

Aucune bien évidemment !

Je ne vais pas vous faire languir plus longtemps et voici donc la « Vérité révélée » :

« La Reine des Neiges aurait dû s’appeler Anna, tandis que sa sœur était de toute évidence une Elsa. »

Je sais, la révélation peut être violente, mais il en est de toutes théories du complot.

Rejet, moquerie, réflexion puis… évidence2 !

Je me devais de l’exposer au grand jour au péril de ma vie pour rassurer celles et ceux qui s’en doutaient :

« Non vous n’êtes pas fous, non vous n’êtes pas seuls. »
« Oui c’est probablement le plus grand complot de tous les temps ! »

Au-delà des mots, voici des preuves pour les plus incrédules, mais néanmoins curieux…

Je précise pour les factcheckers que ma source est au-delà de tout soupçon,
J’ai choisi Le Figaro et non un vulgaire torchon complotiste comme France-Soir.
(Organe subversif qui, je le rappelle, ne prend pas ses sources directement auprès de l’AFP, mais mène ses propres enquêtes.)

Et comme le dit le grand Julien Pain :

« Si ce n’est pas dans le journal, c’est probablement une fakenews »

Je me suis donc enquis de la signification officielle des prénoms.

Que lit-on pour Elsa ?

« Sous un abord réservé et doux, Elsa a un caractère joyeux, sociable et chaleureux. Dynamique et sûre d’elle, elle a besoin d’être le centre d’intérêt et a tendance à diriger son petit monde et à le materner3. »

Cela pourrait faire rire si ce n’était pas si dramatique !

La reine des neiges, dénommée officiellement « Elsa », serait ainsi « joyeuse, sociable » et — encore plus délirant — « chaleureuse » ?

Il y a des limites à la fourberie.

Attendez, la fille fuit le monde, ne veut voir personne, se construit un château de glace, gèle tout ce qu’elle touche et elle serait « chaleureuse » ?!

Comment Disney a-t-il pu oser tromper des millions d’enfants innocents à travers le monde en affirmant que :

« La reine des neiges est chaleureuse ! »

Mais quel mépris de l’humain, quel irrespect pour les enfants.

Le genre d’ignominie qui pourrait faire passer les mesures anti-covid en direction des enfants pour une rigolade.

Bon certains n’enlèveront peut-être jamais leur masque, hurlent quand papi ou mamie veulent les embrasser, ne savent toujours pas lire à 8 ans, hurlent la nuit, tandis que d’autres se sont suicidés.
Je ne nie pas ces quelques petits désagréments, mais ils demeurent globalement bon-enfant et anodins au regard de l’immonde virus qui menaçait toutes les personnes grabataires ou en fin de vie.

Mais merde, il faut raison garder !
Soyons un tant soit peu raisonnables, c’est peanuts, à coté du scandale de la Reine des Neiges et du traumatisme induit par cette supercherie.

Je vous rappelle aussi, bandes de complotistes, que ces mesures anti-covid ont évité des milliards de morts sur la planète et peut-être même l’extinction de l’espèce !
Il ne faudrait quand même pas l’oublier !

Non seulement ces complotistes sont stupides, mais en plus ils sont ingrats.

D’un autre côté, était-ce bien nécessaire, quand on sait que nul ne pourra survivre au réchauffement climatique, quelles que soient les mesures dictatoriales mises en œuvre ?

Bon, j’arrête de me distraire et je reviens à l’essentiel.

Nous faire croire qu’il existe une pandémie mondiale, passe encore, mais là !

Et ce n’est pas tout, je poursuis avec le prénom Anna :

« Anna est une personne intelligente, curieuse et cultivée. C’est simple, lorsqu’elle est passionnée, elle s’investit de tout son être. Un brin perfectionniste, elle a horreur de la médiocrité et du désordre. Dotée d’un sixième sens, Anna se trompe rarement dans ses choix4 ».

La petite sœur de la Reine des Neiges, officiellement dénommée Anna, « intelligente » et avec « horreur du désordre » ?
Ceci pourrait faire rire si ce n’était consternant.

Je vous passe le « se trompe rarement » quand on sait qu’elle tombe immédiatement amoureuse de la première raclure qu’elle croise.

Bref il suffit d’avoir un peu de jugeote et de bon sens pour s’apercevoir immédiatement de la supercherie qui va bien au-delà de l’homme sur la lune.

Tout homme, femme, iel ou amphibien de bonne foi ne peut que se rallier à l’évidence.

« Elsa a pour vrai prénom Anna et inversement ! »

À la lumière de ces faits, nul doute que vous êtes désormais acquis à ma théorie à moins d’être adhérent de « Renaissance5 ».

La question que l’on pourrait se poser est :

« Comment Disney, avec la complicité des maîtres du monde,
a pu nous (vous) endormir au point que le complot ne nous saute pas à la gueule ? »

La raison en est simple, nous sommes manipulés depuis des dizaines d’années, voire des siècles.

La Première Guerre mondiale dans le but de se faire un maximum d’argent et étouffer les velléités des travailleurs, des esclaves à réclamer des droits ?
Ridicule ! Nous savons tous que l’assassinat de machin en est la cause.

La Deuxième Guerre mondiale pour… (pardon je ne peux pas l’écrire là, c’est du « délire » hors catégorie).

L’homme sur la Lune ?

Je vous le dis, plus c’est gros et plus ça passe !
Imaginez que pour la lune, les gars sans ordinateur et avec un module recouvert de papier aluminium tenant avec du scotch ont réussi à passer la ceinture mortelle de radiation de Van Allen sans dommages.
Alors que la station spatiale (certains pensent que c’est aussi un fake) actuelle est en orbite basse pour s’en protéger.
Le plus drôle est sans doute lors de conversations en direct depuis la lune et sans délai de transmission.
La situation est d’autant plus risible quand on voit que 60 ans après la prétendue marche, des scientifiques essayent désespérément de résoudre les innombrables problèmes pour y « retourner ».
Bon je critique, mais ce complot-là est quand même un des plus drôles.

Je plaisante, vous vous en doutez, décidément vous n’avez aucun humour.
Nous sommes allés sur la Lune, il y a des images et des vidéos qui le prouvent !

Le monde reste bien étrange et mystérieux au demeurant.
Vous vous rappelez de ce grand singe énervé au sommet de l’Empire State Building qui donnait des baffes à des avions ? Sale affaire…

L’assassinat de JFK par un gars qui passait par là et qui a inventé la balle qui change de direction ?
Je vous rassure, il n’avait pas de complices, aucun lien avec la CIA, aucun lien avec la volonté de Kennedy de tuer l’État profond, aucun lien avec son opposition à la guerre du Vietnam, etc.
C’est une non-affaire, un non-événement.

Notons que la CIA a inventé le terme de « complotiste » à ce moment-là, non pas pour dénigrer celles et ceux qui se posaient des questions, mais faire gagner du temps aux imbéciles !
Je ne vois pas pourquoi il faudrait dépenser son énergie à convaincre des débiles que la terre n’est pas plate.
La meilleure chose à faire est de ne pas les écouter et les discréditer pour le bien de tous et sauver la démocratie.

En fait ces complotistes sont comme les virus (qui n’existent pas ?) ils sont contagieux et s’attaquent aux plus faibles.
Personnellement je ne m’en plains pas, ils sont mes seuls lecteurs assidus.

Le Vietnam, ben oui, si les méchants niakoués n’avaient pas attaqué un bateau fantôme on n’en serait jamais arrivé là…
Et puis c’était une guerre juste.

Le 11 septembre ?
Attention chasse gardée, en parler risquerait de vous brûler les ailes.
(Admirez au passage le calembour avec les ailes, ailes, avions, 11 septembre, boum, brûler les ailes).

Franchement qui pourrait douter ?
Nous savons tous que des tours qui n’ont même pas été touchées peuvent s’effondrer à la vitesse de la chute libre !
Arrêtons de rigoler et redevenons sérieux un instant.
Il faudrait vraiment que les organisateurs soient des pourritures pour tuer sciemment des innocents et provoquer une guerre en Irak ou en Afghanistan.

Hormis la Reine des Neiges, il n’existe donc aucun complot mis en œuvre par les enculés de l’ombre qui nous dirigent.

Sérieusement, tous ces prétendus événements n’avaient qu’un but (et la liste est bien plus longue que mes quelques exemples) :

« Détourner notre attention du grand projet et troubler nos esprits pour Elsa et Anna ! »

J’invite celles et ceux qui désirent occuper leurs longues soirées d’hiver pour s’informer sur des complots à consulter le fil Telegram « docus qui dérangent6 » sur lequel je cherche à faire une liste la plus exhaustive possible de documentaires interdits de mainstream.

Dénigrer la parole critique, la faire passer pour folie, irresponsabilité, d’extrême droite et, cerise sur le gâteau, antisémite, ceci afin que tout questionnement relève de la psychiatrie !

Réfléchissons un peu !

Il est évident que cette demande de réflexion ne s’adresse pas aux complotistes, chacun ses limites.

Le grand philosophe humaniste Rudy Reichstad disait si justement :

« Le complotisme est l’opium des imbéciles »

Sommes-nous en dictature et qu’avons-nous à envier à l’ex-URSS ?

Nous avons :

  • Les campagnes de dénigrement.
  • La Pravda comme média.
  • Le Ministère de la Vérité.
  • La censure.
  • L’interdiction de médias comme RT ou Rumble.
  • L’interdiction d’exercer son métier pour certains résistants.
  • Une interdiction de vous présenter aux élections si vous avez un discours d’opposant, cf. Asselineau.
  • Des élections truquées.
  • Des œuvres interdites.
  • Une réécriture constante de l’histoire.
  • Une inversion de l’accusation.
  • Des prisonniers politiques.
  • Etc.

Pour que cela colle mieux avec le cadre de l’ex-URSS, nous sommes en train de transformer la France et l’Europe en zone du tiers-monde.

Nos gentils gouvernants ont introduit le chèque énergie, le chèque carburant.
À quand les tickets de rationnement ?

Il ne manque que le Goulag que certains grands pays visionnaires et nostalgiques comme l’Australie ou la Nouvelle-Zélande avaient initié pour le Covid.

Mais à quoi bon faire des camps lorsque l’on peut transformer un grand scientifique en paria de la société au point que l’évocation de son nom provoque l’hilarité générale chez « les gens bien » ?

Le plus important pour les complots, c’est de bien préparer la population.
Plus c’est énorme, plus ça passe !

Je vous ai apporté une démonstration magistrale.
Qui, hormis vous, se doute désormais de l’existence du complot « opération Reine des Neiges » ?

Tous les (prétendus) complots qui ont suivi n’avaient qu’un objet : détourner l’attention pour camoufler l’indicible !

Vous savez c’est comme faire croire qu’il existe des laboratoires qui manipulent des virus, font du gain de fonction afin de focaliser les complotistes et éviter qu’ils ne découvrent le pot aux roses, « les virus n’existent pas ! ».

Ne lisez surtout pas mon dernier texte sur le sujet, vous risqueriez le fou rire ou la contamination.

« Virus », des décennies d’escroqueries7 ?
Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Je plaisante encore une fois.

« Vous et moi savons sans le moindre doute que les virus existent,
qu’ils sont méchants, et que les vaccins aussi ils existent et qu’ils sont efficaces. »

L’objet étant encore de nous détourner du complot Elsa et Anna !

Covid, guerre en Ukraine, réchauffement climatique, ne sont QUE le nouvel arbre pour masquer la forêt.

Il était indispensable de poursuivre les (prétendus) complots après la Reine des Neiges afin d’éviter que quiconque ne se penche sur le sujet.

Toutes les précautions doivent être prises lorsqu’il s’agit de complotistes.

Rappelez-vous du petit Rudy « les complotistes sont complètement débiles »

Quoi de mieux qu’une prétendue fausse pandémie au virus dont la réalité reposait sur des masques dans la rue et des tests permettant de faire croire à des personnes en bonne santé qu’elles étaient malades ?

Notons que ce petit exercice fort ludique au demeurant, a permis aux milliardaires d’être plus riches, aux pauvres d’être plus pauvres et aux psychopathes d’introduire une dictature sanitaire « pour notre bien ».
Avec comme cerise sur la gâteau un espoir de meurtre de masse et un effondrement de la natalité.
Ce que certains nomment avec justesse et honnêteté une « épidémie de coïncidences8 ».

Mais au cas où des illuminés se pencheraient sur le complot de la Reine des Neiges et afin de ne pas permettre aux gueux de souffler…
Vous enchaînez alors avec une guerre des USA contre la Russie (débutée en 2014) dans une partie du monde dont strictement personne de normalement constitué n’a à foutre.
Franchement qui savait précisément où se trouvait l’Ukraine avant la guerre et capable de citer les pays limitrophes.
Quant au Donbass, rigolons… en plus ils parlent russe, bien fait pour leur gueule !

Non, il n’y a que les gens « bien », ceux qui s’achetaient des bébés volés ou par GPA de force qui savaient où se trouvait ce merveilleux pays que nous devons défendre jusqu’à la mort afin de commémorer le grand Stepan Bandera9 !

Précisons que 74 % des Ukrainiens auraient une opinion positive de leur « héros » appelé « M. Propre » du fait de ses talents dans le nettoyage ethnique.
Il faut dire que liquider 100 000 Polonais durant la 2e guerre mondiale était un bon score.

Si avec ce texte j’échappe à l’internement psychiatrique, c’est à désespérer de l’institution (qui a tant fait pour nous ces derniers mois).

Les avantages de la guerre en Ukraine sont multiples comme :

  • Faire main basse par les USA sur les richesses minières de l’Ukraine.
  • Rendre l’Europe encore plus dépendante des USA.
  • Faire tourner l’industrie de l’armement qui souffrait un peu.
  • Transformer l’Europe en pays sous-développé pour asseoir l’hégémonie des USA.
  • Détourner l’attention des gueux.
  • Et surtout maintenir le bon peuple dans la peur.
  • Etc.

Force est de constater qu’il y a quelques lézardes dans le mur.
Le plan de la CIA ne se déroule pas totalement sans accroc.

Heureusement, je ne lis pas tous les délires sur les réseaux sociaux.
Je rappelle à celles et ceux qui veulent bouffer du Poutine 24 h/24 de regarder LCI.
Depuis le mois de février, l’armée russe est aux abois, depuis février elle n’a pas de missiles, depuis février elle ne fait que perdre du terrain.
À se demander si les Ukrainiens ne seraient pas arrivés à Vladivostok.
Et ne parlons pas de leur économie, elle aussi aux abois grâce à nos sanctions !

Je dis ça, mais je suis un peu taquin quand même.
Reconnaissons la présence de francs succès médiatiques.

Rendez-vous compte :

  • Poutine a saboté ses propres gazoducs pour priver les Européens de gaz oubliant qu’il pouvait fermer le robinet.
  • Il a même bombardé la centrale nucléaire qu’il contrôlait pour faire accuser les gentils Ukrainiens.
  • Il a fait sauter le seul pont qui reliait la Crimée à la Fédération de Russie pour empêcher son invasion par des Ukrainiens qui passeraient par la Russie.

Et les médias osent nous dire qu’il faudrait avoir peur du personnage ?
Non, ne vous étonnez pas si on le retrouve écrasé par un camion télécommandé par lui-même.

Le plus merveilleux, au sens mystique du terme, est que tout ceci passe comme une lettre à la poste !

Écoutez le gouvernement et vous saurez que les sanctions contre la Russie fonctionnent parfaitement et que la victoire de Zelenski n’est qu’une question de minutes.
Le fait que les prévisions de croissance du FMI soient deux fois plus importantes en Russie qu’en zone euro est une preuve indéniable du succès de l’opération !

Ce n’est que moral et ce n’est pas des putains de petits cons de français qui vont nous faire chier parce que leur essence est à 2 euros et que tous les prix s’envolent !

Je vous rappelle que tout ceci est pour soutenir l’Ukraine quand bien même la Russie est à 90 % autosuffisante pour nourrir sa population et qu’elle vend son pétrole et son gaz à d’autres pays !

Il en va de la dignité des Européens et du monde libre !

Chaque sanction qui fragilise les Européens et enrichit Poutine est un pas vers sa chute !

Nous devons tenir coûte que coûte, il ne pourra en sortir gagnant !

J’espère que vous réalisez à quel point le complot Reine des Neiges est une affaire d’État.
Risquer l’avenir de l’Europe et peut-être même une Troisième Guerre mondiale dans l’unique but de nous le cacher !

Si ce n’est pas une preuve, il vous faut quoi ?

Vous savez, ce qu’il y a de bien avec les grands enculés du monde et autres Soros, c’est qu’ils n’hésiteraient pas à rayer un pays pour éviter des embouteillages à l’aéroport !

Attendez, j’ai oublié de vous parler du coup de maître du réchauffement climatique…

Chapeau bas, les pourritures, je dois vous dire « bravo » !

Arriver à faire croire à la population mondiale et même à des scientifiques que le CO2 serait la cause de tous les maux relève du génie absolu !
N’oublions pas que le CO2 est source de vie sur terre s’il en est.

La contagion est partout, même si nos bons médias font tout pour discréditer les « climato-sceptiques ».

Il n’y a pas que le bobo parisien qui utilise son vélo le dimanche matin pour aller acheter sa baguette, qui croit que les panneaux Métro en ville sont des succursales souterraines de Rungis, prend uniquement des taxis électriques puis est catastrophé par la fin du monde lors de dîners végans, et passe ses vacances en Floride, qui soit le seul préoccupé par le sujet !
Non, des Français presque « normaux » renoncent à emménager dans le sud de la France, certains vont même jusqu’à vendre leur bien méridional pour aller dans des terres moins hostiles comme le nord de la France, future Riviera française s’il en est.

Aller jusqu’à modifier le climat pour camoufler le complot Reine des Neiges, il fallait oser !

À ce propos.
Au regard des records de températures hivernales.
De -50 °C en Chine.
De -43 °C au Mont Washington10, dans l’État du New Hampshire aux USA.
Ou de la calotte polaire qui se reformerait à un rythme inédit.

Il me fallait réagir énergiquement !

« Nous nous excusons pour l’interruption momentanée du réchauffement climatique,
nous ne manquerons pas de vous informer dès son rétablissement ! »

Toute personne un tant soit peu cultivée et suffisamment cortiquée, donc non complotiste, sait parfaitement que des températures exceptionnellement basses constituent la preuve absolue d’un réchauffement climatique !

Le réchauffement est d’autant plus dramatique que les températures sont basses !

Nous l’avons lu dans le journal scientifique dit « journal de Mickey ».
L’association des climato-réalistes11 devrait le lire plus souvent et arrêter de raconter n’importe quoi.

« La vérité est dans le Giec, mes frères, nous allons tous mourir. »

Le coupable est connu, le Mal c’est l’homme, il y a consensus sans faille parmi les scientifiques qui ont droit à la parole.

Le WEF a pu le confirmer lors du forum de Davos.
Vous savez les gentils petits gars qui ne pensent qu’aux autres.
Ils donnent même du travail au personnel navigant des compagnies aériennes privées en choisissant les pilotes exclus non vaccinés.
Ils sont gentils de faire bosser ces pourritures de non-vax quand même.
Rassurez-vous, les 2000 vols depuis et vers Davos ont été intégralement compensés carbone12 !

Je vous rappelle qu’il n’y a que les idiots de complotistes pour imaginer qu’il n’y aurait pas de réchauffement global à l’échelle de la planète ou que celui-ci serait naturel, notamment du fait de variations de l’orbite terrestre autour du soleil ou de son inclinaison.

À ce titre j’informe les enseignants qu’ils devront patienter un petit peu avant d’aborder le moyen-âge avec leurs élèves.
Les livres d’histoire sont actuellement à la réimpression (ainsi que ceux qui affirment qu’il y a des hommes et des femmes) pour effacer le réchauffement climatique, appelé optimum climatique, au début du moyen-âge vers l’an 1000.
Période qui a été propice à l’agriculture, à l’économie et aux habitants…
Et ce à la différence du petit âge glaciaire qui a suivi provoquant malheur, maladies et famines.
Ce « petit incident » n’étant pas vraiment compatible avec le narratif actuel, la « science » se devait de l’effacer.

Les maîtres du monde ne sont pas si nuls côté promotion de la fin du monde.

Il faut dire « qu’ils ont quand même la petite conne handicapée pour hurler à l’ONU. »
« Actrice écervelée totalement débile qui bénéficie d’une mise en scène de fausses arrestations en Allemagne pour “activisme écologique13” ».

Pardon, pardon, je me suis emballé, sans doute un retard sur ma dose de rappel qui provoque en moi un effet de manque.
Je voulais parler de « la gentille Greta scientifique de haut rang, amoureuse de son prochain, préoccupée uniquement par la souffrance humaine dont l’objectif est de faire de la Terre un paradis glacé ».

Comme vous le voyez, je ne me suis pas éloigné du sujet Elsa et Anna !
Qui, après tout ce cirque, pourrait encore se focaliser sur le complot de la Reine des Neiges ?

Mais attention, ces psychopathes sont prêts à tout pour l’enterrer au plus profond des abysses, jamais la moindre pause !

Voici que l’Institut Pasteur, au-delà de tout soupçon s’il en est14, vient de découvrir un nouveau virus perfide qui s’attaque à notre foie, ou notre foi, je ne sais pas encore.

Je me dois de reprendre les termes utilisés par le président du Conseil Scientifique en son temps, Jean-François Delfraissy :

« On a affaire à un virus diabolique et beaucoup plus intelligent qu’on le pense15 »

J’imagine qu’il n’était pas l’auteur de cette phrase savante inspirée de l’inquisition.
Mais l’esprit est là :

« Protégeons-nous du Malin mes frères »

Cocasse quand on pense que les maîtres du monde vénèrent plus Satan que le Christ, mais passons.

J’en reviens donc à ce nouveau virus dont le nom suffit à faire trembler les vieilles filles encore pucelles, j’ai nommé le « circovirus16 »

Sa simple évocation me glace d’effroi et me fait songer à ce chef-d’œuvre du cinéma que vous connaissez tous :

« Les clowns tueurs venus de l’espace17 »

Que je recommande vivement à mes amis érudits.

J’ai pu me procurer en exclusivité une photo du nouveau virus tueur d’enfants innocents et de vieux obèses, que voici :

Mais ne croyez pas que la terreur légitimement inspirée par ce nouveau coronavirus satanique soit de nature à me faire oublier l’ignominie du complot de la Reine des Neiges !

Vous me prenez pour qui, vous pensiez que lassé, j’allais lâcher l’affaire ?

Quelques lecteurs à l’esprit aiguisé par le grand Julien Pain pourraient me rétorquer la fameuse question coup de poing utilisée par les plus grands limiers qui nous éclairent jour après jour.

J’invite celles et ceux qui veulent se pencher sur le travail pointu de Julien, mais aussi être lynchés lors d’un dîner végan organisé par des bobos parisiens en mal de spiritualité, à lire la publication indiquée en note de bas de page18.

Nous en arrivons tout naturellement à la fameuse question du « pourquoi, pourquoi ce complot disnèque ? »

Je vais immanquablement me prendre la même question posée pour le Covid !

« D’accord ton virus il est peut-être gentil, mais alors pourquoi tout le monde ment ? »

Dans Gotlib, « Rubrique à brac » le « scientifique » de la doxa dit à celui qui réfléchit ou qui émet l’hypothèse que la Terre tourne sur elle-même :

« Alors là mon cher vous êtes en pleine science-fiction19 »

Lorsque je prouvais à mes interlocuteurs incrédules que cette « maladie » n’avait rien d’exceptionnel, données officielles à l’appui, qu’elle se traitait, que le masque était inutile et dangereux et j’en passe.

La question suivante était de mise :

« Mais qui, pourquoi et dans quel but ? »

Je prends un risque inconsidéré en écrivant le mot « qui » dans la phrase précédente.

Je vous rappelle qu’une manifestante contre la dictature arborant une pancarte « mais qui ? » avait été condamnée à 6 mois de prison avec sursis20.

Ça en dit long sur l’état de notre « démocratie » et une l’élite dirigeante…
Le complot est trop énorme pour des honnêtes gens qui croient encore que ni les monstres ni les réseaux pédophiles n’existent !

« Comment les politiques, les journalistes, les médecins de plateaux,
l’OMS, Bill le généreux et j’en passe, pourraient être tous de connivence et pour quel dessein ? »

Précisons qu’il y a à la fois « connivence », mais aussi « profonde débilité ovine » de la part des exécutants.

Il est ainsi logique de se poser la même question pour ce terrible complot de Disney :

« Pourquoi inverser les prénoms ? »

Je ne dispose pas de la réponse, n’étant pas dans le secret des monstres.

Imaginez les pauvres enfants déboussolés pour qui le monde perd toute logique ?

Ici encore, afin de brouiller les pistes, une stratégie identique a été mise en œuvre avec le Covid.

Le lundi le masque était inutile et dangereux et le mardi il devenait vital même dans la rue !
Le plus merveilleux est qu’une vérité devenait un mensonge au gré de la météo !

Je ne vais pas revenir sur tous les exemples pittoresques tant il y en a :

  • Un virus qui tantôt s’attaque aux personnes assises sur la plage et tantôt à celles qui bougent.
  • Un virus qui saute sur les piétons, mais épargne les personnes en vélo.
  • Un virus qui vous choppe debout, mais pas assis.
  • Un virus qui adore les petits commerces, mais déteste les grands magasins.
  • Un virus qui n’est dangereux qu’à certaines heures.
  • Un virus qui fuit les métros bondés, mais n’épargne pas le randonneur en montagne qu’il faut appréhender avec un hélicoptère.

De quoi passer d’excellentes soirées en famille.
Je devrais inventer un jeu de société, je n’ai pas encore le nom, mais « Le Convid » serait peut-être pas mal.

Moins drôle nous avons eu les enfants en bonne santé, sans le moindre symptôme, psychopathes de l’ombre, cherchant à tuer papi et mamie alors qu’ils étaient « activement » protégés par un masque « efficace » et un vaccin encore plus « efficace » qui ne nécessite qu’un rappel tous les 6 mois !

Dans ce monde délirant le vrai devient faux et inversement.
L’inversion accusatoire est perpétuellement utilisée.

Un cauchemar dans lequel on impose aux enfants de se sacrifier pour leurs grands-parents.
Version officielle si l’en est, car la réalité était toute autre.

Ces mêmes grands-parents ont été :

  • Parqués « pour leur bien ».
  • Interdits de visites « pour leur bien ».
  • Interdits de repas en famille « pour leur bien ».
  • Interdits de sorties « pour leur bien ».
  • Interdits de câlins « pour leur bien ».
  • Interdits de soins « pour leur bien ».
  • Interdits d’aller à leurs obsèques ou aux obsèques d’un conjoint « pour leur bien ».
  • Masqués « pour leur bien ».
  • Injectés de force « pour leur bien ».
  • Et certains terminés au Rivotril « pour leur bien » !

Mais pas uniquement un monde de sécurité sanitaire.

Non, un monde aux possibilités infinies dans lequel la biologie n’existe plus.
Les garçons ne sont plus des garçons, les filles ne sont plus des filles.
Les noirs ne sont plus des noirs, les blancs ne sont plus des blancs.

Sans compter le culte d’Orwell avec « la liberté c’est l’interdit » cf. le Covid ou « la guerre c’est la paix », cf. l’Ukraine.

Nous vivons dans ce monde d’espoir et de paix mes bien chers frères…

Rouler en véhicule thermique ou manger de la viande devient criminel, tandis que manger des insectes, injecter des femmes enceintes, des enfants et même des bébés avec une substance expérimentale tout aussi inefficace que toxique, relève du bien.
Bien aussi d’interdire à un enfant de faire du sport s’il n’a pas le poison dans son corps.

Mais aussi un monde aux dangers inédits !

  • Faire du sport.
  • Faire ses lacets.
  • Prendre une douche chaude ou froide.
  • Regarder trop la télé.
  • Manger des céréales.
  • Jardiner.
  • Dormir trop ou pas assez.
  • Les freinages brusques en voiture.
  • Être anxieux à l’adolescence.
  • Manger 2 saucisses par semaine.
  • Le changement climatique.
  • Boire de l’eau debout.
  • Etc.

Toutes ces actions peuvent provoquer une mort soudaine21, « naturelle ».

J’ai même lu dans Magicmaman qu’un enfant de 12 ans était décédé d’un arrêt cardiaque à cause de poux !

Vive Satan, gloire à lui, mes frères !

Une inversion totale des valeurs à mettre en parallèle avec l’inversion des prénoms d’Elsa et Anna !

Un monde dans lequel celui qui défend des libertés, rappelle l’inviolabilité du corps, du libre arbitre, du consentement éclairé, de la différence homme, femme, du droit à la vie, du droit à l’innocence pour les enfants, du droit à la dignité, est comparé à un violeur, un tuer ou un antisémite tandis que celui qui censure, dénigre, interdit de vivre, interdit de travailler, devient le défenseur des droits et de la démocratie.

L’objectif est toujours le même, troubler les esprits afin que l’on ne réalise pas que cette inversion de prénoms, cette inversion des valeurs est totalement délirante, échappant à toute logique « logique » !

J’en reviens ainsi au fameux « pourquoi ? » qui m’est si souvent rapporté pour tous les complots précédents et futurs y compris pour celui de la Reine des Neiges.

Le « pourquoi », ou plutôt l’absence de réponses étant l’argument permettant de balayer la réalité du « complot ».

Sous-entendu que n’ayant ni sens ni connaissance de leurs auteurs, il ne saurait exister.

Ma réponse est alors toujours la même :

Si vous vous rendez sur une scène de crime avec du ketchup du sol au plafond, une tronçonneuse dans la tête de la victime et que vous dites alors :

« Qui est le meurtrier ? »

Puis

« Quel est le mobile du meurtre ? »

Si d’aventure le policier présent vous répond :

« Je ne connais ni l’auteur ni le mobile. »
« je ne connais ni ceux qui tirent les ficelles ni leurs objectifs. »

Allez-vous déduire que le meurtre n’a pas eu lieu ?

L’absence de coupable n’est pas de nature à remettre en question le meurtre sur une scène de crime.

Il en est de même pour la Reine des Neiges ou le Covid.

Le fait que nous disposions uniquement de preuves de manipulation ou de mensonges est de nature suffisante pour prouver que « complot il y a » quand bien même nous n’aurions pas toutes les réponses.

Détourner l’attention est de ce fait indispensable.

C’est ainsi que les Français sont dans la rue pour défendre les retraites.
Alors que concomitamment nous perdons chaque jour un peu plus nos libertés, l’économie est aux abois, les inégalités n’ont jamais été aussi importantes et des psychopathes cherchent à provoquer une 3e guerre mondiale pour leur bénéfice personnel.

Rendez-vous compte que des lycéens et étudiants luttent pour leur retraite tout en portant un masque !
Des enfants contaminés par la plandémie Covid et la plandémie climatique s’inquiètent du nombre de trimestres acquis pour prétendre à une retraite à taux plein !

Le gouvernement ne peut que se réjouir de l’efficacité de sa diversion et de l’immobilisme des moutons sur les points essentiels.

Ces stratégies ultra efficaces ont permis à Disney de camoufler LE complot.
Et afin que la vérité ne sorte pas, il est possible que l’héroïne de la Reine des Neiges III soit transexusuel-le-s-x-z-w.

Sachez que je risque ma vie en vous dévoilant de tels secrets.

Si d’aventure mon corps devait être retrouvé inanimé dans une baignoire, sachez que je ne me lave strictement jamais et que ce sera un meurtre !

Merci pour votre attention.

Alain Tortosa22
6 février 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230206-complot-disney-reine-neiges.pdf





Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?

Du confort des croyances au choc de la vérité

Par Jamila BURET, ingénieure, docteure en physique, professeure universitaire

« Vous ne réalisez pas à quel point il est difficile d’exposer la vérité dans un monde rempli de gens qui ne sont pas conscients de vivre dans le mensonge ».

Edward Snowden

Cet article propose un survol de la « crise Covid », avec trois ans de recul et une masse énorme de données diffusées sur les canaux alternatifs d’information alors que dans les médias mainstream les journalistes-perroquets se contentent de répéter la même antienne.

Avec pour but de trouver un fil conducteur qui apporte une cohérence à une suite d’événements inhabituels, à des mesures liberticides sans fondement et souvent absurdes, au déchaînement d’un matraquage médiatique sans précédent, qui ont débouché sur une situation sanitaire, sociale, économique et psychologique catastrophique.

Et à l’arrière-plan, le désir de contribuer à ouvrir les yeux de ceux qui refusent encore de regarder la réalité en face.

La crise Covid que nous venons de vivre a eu des répercussions tous azimuts.

Mesures liberticides inédites (masques, tests PCR, confinements, couvre-feux, pass vaccinal…), peur diffusée par les médias grand public, choc de la perte de proches emportés par la maladie, souvent par manque de soins puisque, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, on a interdit aux médecins de soigner leurs patients, et, pire encore, on a administré aux malades des substances nocives ou mortelles (Rivotril, Remdesivir, paracétamol).

Tout cela a induit un profond bouleversement auquel est venu s’ajouter le forcing de la vaccination et ses conséquences pour les récalcitrants qui ont perdu leur emploi, et pour les vaccinés dont certains en sont morts ou subissent des effets indésirables multiples parfois terriblement handicapants.

Malgré toutes ces vicissitudes, la majeure partie de la population continue à faire confiance aux autorités et aux informations mensongères qu’elles diffusent sur les médias mainstream ; parce qu’elle ne peut pas ou qu’elle ne veut pas voir le tableau d’ensemble : la manipulation et la prise de contrôle de la population.

Ce refus de voir ce qui nous dérange et nous sort de notre confort est inhérent aux humains qui ne veulent surtout pas renoncer à leurs croyances sous peine de crise existentielle trop douloureuse.

Il existe cependant une petite minorité, dotée d’un esprit critique et d’analyse plus développé que la moyenne, qui, au gré des événements, se pose des questions et se met en quête de vérité. Ces chercheurs de vérité (scientifiques, anthropologues, médecins, statisticiens, etc.) ont produit continûment, depuis le début de la « crise sanitaire », une masse impressionnante d’informations alternatives, diffusées et mises à la disposition du public à travers des canaux alternatifs d’information créés par des militants (« gardiens de l’humanité ») pour contourner la censure pratiquée par les réseaux sociaux traditionnels (YouTube, Facebook, Twitter).

Et c’est un aspect positif très important de la crise Covid : le dévoilement progressif des mensonges distillés par les autorités, les institutions et leurs représentants ; mensonges relayés et diffusés par les médias mainstream financés par les États et par quelques milliardaires.

Étapes de la prise de conscience

« Une révolution est toujours l’aboutissement d’une lente évolution ».

Cette parole très juste d’un sage indien s’applique parfaitement au dévoilement des mensonges relatifs à la crise Covid.

C’est la succession d’événements anormaux apparus dès le début de la crise sanitaire qui a semé le doute dans certains esprits :

  • — Virus nouveau, maladie encore inconnue, et d’emblée on l’annonce comme très contagieuse et mortelle.
  • — À peine une quarantaine de cas déclarés et l’OMS annonce officiellement une pandémie de Covid-19.
  • — Matraquage immédiat et inouï des médias : décompte quotidien des décès, des « cas »,
  • — Apparition de nouveaux concepts (cas positif, cas asymptomatique, cas contact, cluster, gestes barrière, distanciation sociale, confinement).
  • — Application des mesures coercitives avec un contrôle policier sans précédent.

La peur se propage et s’amplifie au sein de la population ; mais les chercheurs se mobilisent et débusquent les événements antérieurs destinés à lancer « l’opération Covid » (Agenda 21, Event 201, Jeux militaires de Wuhan, dépôts de brevet bien avant 2019, test raté de la grippe H1N1…).

En quelques mois, grâce au travail bénévole acharné de nombreux médecins, scientifiques, lanceurs d’alerte, les remises en cause se succèdent :

  • de la gravité de la maladie (analogue à une grippe)
  • de la non-existence de traitements efficaces
  • de l’origine du virus
  • de l’efficacité des masques et des confinements
  • de l’utilité des tests PCR
  • des statistiques officielles

Puis la propagande vaccinale se met en branle, orchestrée par les médias : des vaccins nouveaux, produits à la va-vite, jamais expérimentés sur les humains ; mais dont on déclare d’emblée une efficacité supérieure à 90 %. Présentés comme une grande innovation technique, puisque l’antigène destiné à provoquer la production d’anticorps n’est pas injecté directement comme dans les vaccins classiques, mais fabriqué par les cellules du corps des vaccinés.

Ce vaccin « exceptionnel » est annoncé comme l’unique solution pour enrayer la pandémie et retrouver « la vie d’avant ».

D’énormes moyens sont mis en place pour vacciner le plus grand nombre, en un temps record.

Mais, au vu du grand nombre de récalcitrants, on passe au forcing à grand renfort de pass vaccinal : plus d’accès au travail, aux commerces, aux loisirs, si l’on n’est pas vacciné !

Balayé, le consentement libre et éclairé du citoyen avant tout acte médical, pourtant clairement établi par divers traités et conventions (Nuremberg, Helsinki, Oviedo…).

Le plan d’ensemble de « l’opération Covid » devient plus clair : l’interdiction de traitements éprouvés et efficaces n’avait d’autre but que de justifier la vaccination, tout comme le gonflement artificiel des « cas » à grand renfort de tests PCR sans signification.

En effet, un vaccin ne se justifie que dans le cas d’une maladie à forte mortalité, pour laquelle n’existe aucun traitement efficace, et le vaccin doit avoir prouvé son efficacité et son innocuité.

Or, aucune de ces conditions n’est remplie dans le cas du Covid !

Mais alors, pourquoi un tel acharnement à vacciner le plus grand nombre, avec un maximum de doses et de boosters, en un temps record, alors que les vaccins étaient encore en phase 3 d’expérimentation ?

À grand renfort de mensonges et de chantages !

Car on peut désormais faire le bilan de cette opération « vaccination » de masse :

  • Elle n’a pas arrêté la pandémie ni empêché les cas graves et les décès ;
  • Elle n’a pas renforcé l’immunité des vaccinés ;
  • Elle a causé des effets indésirables multiples et souvent très graves dans des proportions jamais atteintes avec les vaccins classiques.

Les populations vaccinées ont servi de cobayes aux fabricants de vaccins pour la phase 3 des essais cliniques ; plus tard, on découvrira que les phases 1 et2 ont été bâclées et leurs résultats falsifiés !

Effets des vaccins

La majorité des médecins ne pense même pas à chercher un lien éventuel entre le tableau clinique des patients et le vaccin anti-Covid ; d’où une très grande sous-estimation des effets indésirables (EI).

Étant donnés le nombre et la diversité actuels des EI, tout médecin sérieux devrait inclure dans le questionnaire préalable du patient, des questions sur la vaccination : nombre et date des doses, marque du vaccin, effets ressentis après les injections, immédiats et différés.

Morts subites d’adultes

Elles sont en général déclarées d’origine inconnue quand elles ne se produisent pas immédiatement après l’injection. Pourtant, de nombreuses études statistiques ont établi une surmortalité évidente en 2021 et 2022 dans les pays à fort taux de vaccination. En Allemagne, on signale dix fois plus de morts subites qu’en 2021 ; aux États-Unis, 40 fois plus de fausses couches et de mort-nés (les fœtus ont des crises cardiaques dans l’utérus) !

https://www.Covidhub.ch/10-fois-plus-de-morts/

https://www.Covidhub.ch/40-fois-plus-de-morts-nes/

Des vidéos montrant l’effondrement subit de personnes en pleine action affluent sur le Net : présentateurs télé, athlètes, mais aussi jeunes lycéens et sportifs. Au point qu’un documentaire « Died suddenly » a été consacré à ce phénomène !



Et il y a aussi toutes les morts différées, survenues quelques semaines ou plus après les injections. Les compagnies d’assurance américaines ont d’ailleurs alerté sur une augmentation du nombre des décès en 2021 et 2022, jamais enregistrée auparavant.

https://www.kairospresse.be/morts-dans-les-ecoles/

https://expose-news.com/2023/02/03/8x-increase-child-excess-deaths-europe-c19-vaccine/

Effets indésirables

Depuis que des médicaments et des vaccins sont utilisés à grande échelle dans le monde, jamais on n’a relevé une telle proportion et une telle variété d’effets indésirables qu’avec les injections anti-Covid. La liste en est très longue : cécité, surdité, éruptions cutanées, paralysies, thromboses, atteintes cardiaques, AVC, cancers, maladies auto-immunes, fausses couches, troubles du cycle menstruel…

Dans des pays à très fort taux de vaccination comme la Finlande, on enregistre des records d’infertilité.

Malgré la sous-estimation des EI, de nouveaux ne cessent d’apparaître : ainsi, des fœtus et des nourrissons, dont les mères enceintes ont été injectées, sont victimes d’AVC hémorragiques !

Découvertes sur les injections antiCovid

Le nombre et la gravité des EI, la diffusion des résultats d’autopsies et le témoignage de thanatopracteurs

effarés par la longueur (plusieurs dizaines de centimètres) et la consistance fibreuse inhabituelles des caillots retirés des artères et des veines des cadavres, tout cela ne pouvait qu’inciter les scientifiques à chercher à comprendre ces effets.

En fait, dès le début de la maladie Covid, les symptômes inhabituels présentés par les malades, totalement différents de ceux des autres maladies à coronavirus et dépassant largement la sphère ORL et les voies respiratoires, ont fortement intrigué les médecins.

Très vite, des chercheurs ont explicité le mécanisme d’action de la protéine spike qui permet au virus de pénétrer la cellule pour l’infecter et qui induit une hyperinflammation pouvant conduire au fameux « orage de cytokines » et au syndrome de détresse respiratoire aiguë (ARDS) avec coagulation et enfin à la mort.

https://www.francesoir.fr/societe-sante-opinions-tribunes/en-faisant-produire-la-proteine-spike-par-les-cellules-vacciner

Ainsi, les effets pathogènes du virus SARS-Cov2 sont dus essentiellement à l’activité de sa protéine spike de surface qui, qu’elle soit associée au virus SARS-Cov2 ou seule, est capable de déclencher les mêmes processus inflammatoires, et ce dans tous les organes et les tissus où existent ces récepteurs.

Et c’est justement cette même protéine spike que les vaccins géniques (à ARNm et à ADN) font produire en grande quantité (incontrôlée) dans l’organisme du vacciné !

On injecte donc, sous le nom rassurant de vaccin, un produit dangereux, qui va faire fabriquer par les cellules du corps, une protéine hautement toxique, ayant exactement les mêmes effets inflammatoires que dans le Covid.

Et les fabricants de vaccins ne peuvent prétendre ignorer les effets de la protéine spike puisque, en 2004 et 2005, des études sur l’infection par le MERS-CoV et le SARS-CoV-1 avaient déjà montré que les vaccins basés sur la protéine spike entière induisaient une forte réponse inflammatoire immunitaire dans de nombreux organes ; pendant que d’autres études concluaient qu’il était très difficile de vacciner contre les coronavirus.

Le choix de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid a donc été le pire choix possible, au point que l’on peut se demander si c’est une simple coïncidence

https://www.francesoir.fr/societe-sante/Covid-et-spike-syndrome-ne-pas-confondre

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/Covid-19-spike-arn-et-vaccins-et-si-lancait-les-etudes-prealables

Analyses d’échantillons de vaccins

Des témoignages troublants, dans des vidéos circulant sur le Net, montrent des effets magnétiques étranges chez les personnes vaccinées : des objets métalliques divers restent accrochés sur le bras au niveau du site de l’injection ou sur le torse ; des adresses MAC (Media Access Control) apparaissent sur Bluetooth en présence de personnes vaccinées.

Cela a incité des équipes de scientifiques à entreprendre l’analyse au microscope d’échantillons des différents vaccins anti-Covid. Les résultats obtenus sont si inattendus et déroutants que l’on se croirait en pleine science-fiction et la première réaction est de mettre en doute leur authenticité et l’honnêteté des chercheurs.

Cependant, de plus en plus d’études bien documentées apparaissent en provenance de plusieurs pays, présentant des images et des vidéos réalisées avec des microscopes très sophistiqués, avec des détails précis sur le mode opératoire, au point qu’il est impossible de continuer à rejeter en bloc tous ces résultats.

Les premiers à publier leurs résultats furent les scientifiques de la Quinta Columna, un groupe de scientifiques hispanophones dont « l’objectif est de montrer la réalité aussi inconfortable que soit la Vérité… sans préjugés ni conflits ».

Leur découverte principale est la présence dans les vaccins anti-Covid d’oxyde de graphène toxique pour les humains. Sur leur site (laquintacolumna.net), on peut télécharger leurs rapports techniques sur le sujet, ainsi qu’un recueil de plus de 60 publications scientifiques sur les propriétés et la toxicité de l’oxyde de graphène en biologie humaine. Leur dernière vidéo, mise en ligne sur la chaîne Odysee le 19 janvier 2023, « Nouvelles images de l’injection Pfizer », montre des structures quadrangulaires, du graphène et des nanotubes de carbone.

Un autre groupe, le COMUSAV (Coalition Mondiale pour la Santé et la Vie ; site : comusav.com), a réalisé un documentaire, « Bluetruth », qui présente les résultats de leurs recherches : présence d’oxyde de graphène dans le sang des vaccinés ; adresses MAC détectées dans différentes expériences, dont une dans un cimetière.

Pour eux, il est évident que les vaccinés émettent des ondes et ils l’expliquent par l’autoassemblage des particules de graphène à l’intérieur du corps, pour former des circuits électroniques nanométriques.

Ils relient leurs découvertes à un ensemble de projets existant depuis des décennies (Intra body Nano-Network ; carbon nanotubes linking neurones ; …) ayant pour objectifs le contrôle neuronal, la stimulation de la sécrétion des neurotransmetteurs, la modulation neuronale.



http://politikus.unblog.fr/2022/02/02/argentine-des-chercheurs-exposent-la-nanotechnologie-trouvee-dans-les-vaccins/

Une vidéo postée sur la chaîne Odysee.com, en janvier 2023, présente les travaux du Dr David Nixon de Melbourne sur les « Structures d’autoassemblage présentes dans les injections Covid-19 vues au microscope ». Disposant d’un matériel très sophistiqué, il a obtenu des images d’une qualité exceptionnelle.

Le Dr Nixon a filmé en continu pendant tout un week-end un échantillon de « vaccin » Pfizer et, en accélérant le film, a découvert l’autoassemblage et le désassemblage de cristaux carrés semblables à des puces électroniques reliées par des rubans, sensibles au rayonnement électromagnétique.

Son interprétation est que l’on est en présence d’une technologie très avancée ; que l’hydrogel des « vaccins », qui est une matière programmable et intelligente, contient les matériaux et le plan d’assemblage des structures observées.



https://www.laprensa.com.ar/523511-Vacunas-Covid-estado-actual-de-los-conocimientos.note.aspx

Plusieurs autres vidéos vont dans le même sens, mais l’une d’entre elles présente une nouvelle démarche encore plus étonnante. Un producteur américain de télé et de films, Del Bigtree, a donné son sang de non vacciné au laboratoire du Dr Ryan Cole qui l’a observé au microscope après y avoir ajouté une goutte de l’un des vaccins anti-Covid à ARNm. Dans le cas du produit Pfizer, le sang s’est décoloré et les globules rouges ont involué et sont devenus flasques donc probablement incapables de transporter l’oxygène.



On peut en conclure que des composants inconnus des « vaccins » agissent directement sur le sang des vaccinés, provoquant les EI, essentiellement coagulation du sang et inflammation. La protéine spike n’existant pas dans le « vaccin », elle ne peut pas être à l’origine de ces réactions !

Ce qui est frappant dans toutes ces analyses, c’est que les « vaccins » semblent contenir des produits dont les fabricants n’ont jamais signalé l’existence et qui n’ont pas leur place dans un vaccin !

Il n’est plus question d’ARNm ni de protéine spike. D’ailleurs, certains chercheurs ont signalé l’absence d’ARNm dans les échantillons qu’ils ont analysés.

Même si ces découvertes sont étranges et difficiles à accepter, il s’agit d’expériences réelles photographiées et filmées. Que l’on puisse ou non les expliquer pour le moment n’est pas le problème. Le problème est que ces « ingrédients », s’ils existent, ne devraient pas être injectés à un être humain à son insu.

Or les autorités sanitaires ont accordé une AMM conditionnelle à ces « produits » géniques et autorisé une expérimentation vaccinale à grande échelle, inédite dans l’histoire de l’humanité. Ce qui déjà pose problème !

Du fait de leur inefficacité et surtout leur dangerosité, ces produits ne devraient même pas porter le nom de vaccin !

Pire que cela, ils devraient être retirés immédiatement du marché vu les dégâts à court, moyen et long terme qu’ils ont causés ou vont causer. Et ceux qui les ont conçus, fabriqués, qui se sont enrichis grâce à leur vente, ceux qui en ont fait la promotion, qui les ont injectés de force, tous devraient être jugés et condamnés !

Pourtant, la grande majorité de la population qui n’est informée que par les médias officiels est tenue dans l’ignorance totale de l’inefficacité des « vaccins » et de la gravité de leurs EI. Elle continue donc à y croire ainsi qu’à la bienveillance des gouvernants !

« Les masses n’ont jamais eu soif de vérité. Elles se détournent des évidences qui ne sont pas à leur goût et préfèrent glorifier l’erreur si celle-ci les séduit. Celui qui peut apporter l’illusion est facilement leur maitre ; celui qui tente de détruire l’illusion est toujours leur victime ».

Gustave Le Bon

Vaccins anti-Covid ou arme biotechnologique ?

Le choix de faire fabriquer la protéine spike toxique par les cellules du corps des vaccinés témoigne déjà d’une intention malveillante !

Remarquons toutefois qu’un nombre toujours croissant de scientifiques remet en cause la présence d’ARNm dans les « vaccins » donc la production de la spike dans le corps des vaccinés, ainsi que l’existence même du SARS-CoV-2 (voir Note en bas de l’article).

De toute façon, les découvertes de plus en plus nombreuses et convaincantes d’oxyde de graphène, de puces électroniques et de nano-objets non identifiés, dans les échantillons de « vaccins », sont largement suffisantes pour accréditer l’hypothèse d’une arme biotechnologique.

Une toute récente information semble étayer cette hypothèse. Lors d’une conférence de presse sur le déploiement militaire en cours d’armes biologiques, tenue le 24 janvier 2023 aux USA, l’une des participantes, Katherine Watt (assistante juridique de Pennsylvanie et chercheuse en droit) a partagé ses récentes découvertes. Elle a rapporté entre autres que Pfizer, en avril 2022, a déposé une motion pour rejeter la plainte d’une lanceuse d’alerte, Brooke Jackson, au titre de la loi sur les fausses allégations : « Ce n’est pas un vaccin, mais un prototype du ministère de la Défense (DoD) ; nous n’étions aucunement obligés de procéder à des essais cliniques valides ni de prouver l’efficacité ou la sécurité du produit à qui que ce soit. »

En octobre 2022, le gouvernement US a approuvé ce point de vue, disant que les essais cliniques n’ont jamais été nécessaires pour que le DoD paie les contractants pour la production et la distribution des armes biologiques sous le nom Covid-19.



https://www.Covidhub.ch/le-pentagone/

Si l’on continue à penser qu’il s’agit d’un vrai vaccin, le fil conducteur des événements de cette crise pourrait être l’appât du gain des grands groupes pharmaceutiques. Cependant, les pressions énormes exercées sur les populations, l’implication des gouvernements, des agences de santé, de l’OMS, des médias, de même que la similitude et la simultanéité étonnantes des mesures à l’échelle mondiale, ne peuvent qu’inciter à chercher des instances situées très au-dessus de Big Pharma et ayant des intentions bien plus vastes que la soi-disant protection contre un virus par la « vaccination ».

Le Nouvel Ordre Mondial (NOM)

L’un des dévoilements de « l’opération Covid » est celui de l’oligarchie mondiale à l’œuvre depuis des siècles. (Oligarchie : régime politique dans lequel la souveraineté appartient à une classe restreinte et privilégiée).

Une caste « d’élus » qui considère qu’elle a le droit divin de gouverner la planète et dont l’objectif est d’établir une gouvernance mondiale de nature totalitaire et technocratique.

Pour y parvenir, au milieu du 20siècle, cette oligarchie s’est organisée à travers la création de différents groupes restés longtemps très peu connus sauf de quelques initiés : Groupe Bilderberg (créé en 1954) ; Club de Rome (1968) ; Trilatérale (1973) ; Forum Economique Mondial (1971) ; Dolder club. Elle contrôle également l’Organisation des Nations Unies, l’OMS, la Banque Mondiale, le FMI, la CIA, etc.

Agissant d’abord dans le plus grand secret, entourée d’un luxe de précautions, elle œuvre désormais au grand jour et annonce clairement son jeu dans des publications (Agendas 21 et 2030, livres de Karl Schwab), sur les sites web et dans les vidéos diffusées de réunions du FEM à Davos.

Le site du FEM est particulièrement riche en informations sur ses objectifs, son organisation, ses moyens humains. Son thème officiel est d’améliorer l’état du monde !

La réunion annuelle tenue à Davos regroupe des oligarques, de grands banquiers, des patrons de multinationales, de puissants responsables politiques, des intellectuels influents.

Fondée en 2005, la communauté des Young Global Leaders regroupe plus de 750 dirigeants du monde entier âgés de moins de quarante ans.

En 2007, à la Harvard Kennedy School, Klaus Schwab, le « gourou » de Davos, a affirmé : » Avec mes Young Leaders, nous avons pénétré tous les gouvernements de la planète » !

Corruption des élites, subversion des institutions, manipulation et infantilisation des populations, mainmise sur les médias mainstream, omniprésence des cabinets-conseils, tout est fait pour que son agenda se déploie.

Agenda clairement détaillé dans les livres de Klaus Schwab : ‘’Covid19 : The great reset’’ ; « La 4e révolution industrielle ».

Dépopulation, transhumanisme, contrôle de la population, monnaie numérique, accumulation des richesses par élimination des PME et des artisans, tels sont quelques-uns des axes principaux de cet agenda ; et les « crises » programmées, tout comme les guerres, ne sont que les outils pour y parvenir !

https://www.foxnews.com/video/6319623313112

Le choix criminel de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid ainsi que les nanotechnologies insérées subrepticement dans ces produits (et cela se confirme chaquejourdavantage), la surmortalité et la baisse drastique de la natalité dans les pays à fort taux de vaccination, tout cela s’inscrit dans l’axe dépopulation de l’agenda des mondialistes.

Une info de dernière minute concerne Hexa-X, le projet 6G de l’Union européenne (la technologie LED au service du contrôle social), dans lequel sont engagées 22 entreprises dirigées par Nokia.

Le président de Nokia, à la dernière réunion du FEM à Davos, a affirmé que, d’ici 8 ans, les smartphones seraient intégrés au corps des humains. Grâce à la 6G, définie comme un réseau neuronal, l’homme fusionné avec l’ordinateur pourra être contrôlé et manipulé !

Autres sources

Site « nouveaumonde.ca » : très riche en articles (voir dans la rubrique « Dossiers ») :

https://nouveau-monde.ca/implants-numeriques/

https://nouveau-monde.ca/vaccins/

Nouvelles images de graphène dans le vaccin antigrippe « Chiromas » de GSK 26/01/2023 :
https://www.flickr.com/photos/196008055@N06/albums/72177720304513633/


Note ()

Tout comme pour les nanotechnologies découvertes dans les vaccins anti-covid, nous ne pouvons plus continuer à ignorer et rejeter les travaux et publications d’un grand nombre de chercheurs sérieux et compétents qui contestent l’isolement et la caractérisation des virus, mettant en cause la méthodologie utilisée par les virologues qui n’a rien d’une démarche scientifique. Le rôle pathogène attribué aux virus est à revoir complètement car on a inversé la cause et l’effet.

À quel point les virus sont-ils morts ?

L’invention du SARS-CoV-2

Démontage de la théorie virale

Ce que les virologues, les infectiologues et autres microbiologistes prennent pour des virus pathogènes est naturellement produit par les cellules ou les tissus vivants lorsqu’ils sont agressés par exemple par des toxines chimiques, par des champs électriques artificiels ou par des ondes électromagnétiques pulsées comme celles du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G.

Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G

Ajoutons que d’autres scientifiques incriminent la présence de micro parasites, naturels ou artificiels, aussi bien dans la maladie covid que dans les effets indésirables des vaccins. Cela expliquerait l’efficacité de plusieurs traitements antiparasitaires pour soigner les malades : ivermectine, hydroxychloroquine, artemisia.






Une intervenante du Forum Économique Mondial vante une technologie qui va permettre à votre patron de lire dans vos pensées

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

[Voir aussi :
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
https://www.medias-presse.info/controle-mental-a-distance-regardez-cette-experience-filmee-en-1964/169418/

Nita Farahany est intervenue jeudi lors de l’édition 2023 du Forum économique mondial (WEF) et a salué la « promesse extraordinaire » de l’utilisation d’appareils de lecture de pensées sur le lieu de travail tout en admettant qu’ils pourraient être « la technologie la plus oppressive » jamais utilisée à grande échelle dans la société.

Les appareils de lecture mentale portables ne sont pas un cauchemar du futur : ils sont déjà là, a affirmé Nita Farahany, éthicienne juridique et auteur de « The Battle for Your Brain », lors de son discours « Ready for Brain Transparency? » à la réunion annuelle 2023 du WEF à Davos.

Ces appareils portables grand public sont des bandeaux ou des chapeaux équipés de capteurs de votre activité d’ondes cérébrales, ainsi que d’écouteurs, minuscules, ​​que vous pouvez porter derrière votre oreille — grâce auxquels « nous pouvons capter des états émotionnels », comme le bonheur, la tristesse ou la colère, a déclaré Nita Farahany.

« Nous pouvons capter et décoder les images que vous voyez dans votre esprit, des formes simples, des chiffres, votre code PIN », a-t-elle expliqué, ajoutant qu’une telle technologie pourrait donc donner accès à « votre compte bancaire ».

Farahany a prédit que dans « un avenir à court terme », ces appareils deviendront « le principal moyen par lequel nous interagirons avec tout le reste de notre technologie », et a souligné que les grandes entreprises technologiques comme Meta, dirigée par Mark Zuckerberg, « recherchent des moyens de rendre ces appareils universellement applicables » au reste de notre technologie.

Ce à quoi cela ressemble dans la pratique, c’est d’avoir la possibilité, par exemple, de « glisser simplement avec votre esprit » au lieu d’utiliser une souris ou un clavier.

Comme il faut toujours que le Mal avance sous l’apparence d’un Bien, Nita Farahany s’est concentrée sur le potentiel de cette technologie pour résoudre différents problèmes sur le lieu de travail et a cité l’exemple dramatique des camionneurs qui s’endorment sur la route. Leurs employeurs pourraient empêcher les accidents, a affirmé Farahany, avec un « simple chapeau » qui, à l’aide d’« électro-capteurs intégrés », pourrait mesurer l’activité des ondes cérébrales et évaluer « le stade de vigilance » du chauffeur et s’il commence à s’endormir.

« En tant que société, nous devrions vouloir cela », a osé Farahany.

C’est pourquoi, a-t-elle poursuivi, « dans plus de 5 000 entreprises à travers le monde, les employés font déjà surveiller leur activité cérébrale pour tester leur niveau de fatigue », comme dans les chemins de fer Pékin-Shanghai, où « les conducteurs de train sont tenus de porter des chapeaux qui captent leur activité cérébrale », ou dans « les sociétés minières du monde entier ».

Nita Farahany assure que « bien faite, la neurotechnologie permet des promesses extraordinaires ». Elle a admis, cependant, que « mal utilisée, cela pourrait devenir la technologie la plus oppressive que nous ayons jamais introduite à grande échelle dans la société ».

Encore plus troublante pour les employés, a-t-elle reconnu, est la perspective d’appareils de lecture cérébrale capables de détecter « si une personne est attentive ou si son esprit vagabonde », et à quoi, plus précisément, elle prête attention.

Une telle technologie peut non seulement évaluer si quelqu’un fait attention, et à quoi, mais peut intervenir pour remettre l’esprit sur les rails. Farahany a partagé que le MIT Media Lab a déjà développé un « foulard haptique » qui « donne à une personne un petit buzz — littéralement — lorsque son esprit commence à vagabonder pour l’aider à se recentrer et à aiguiser son attention » !

Elle prédit que l’étendue de ce que les capteurs parviendront à recueillir du cerveau augmentera considérablement « dans les prochains jours à mesure que l’IA deviendra plus puissante, à mesure que les capteurs deviendront plus puissants ».

Pour éviter les atteintes à la vie privée à l’aide de cette technologie, il suffirait selon elle de « reconnaître de manière préventive un droit à la liberté cognitive, un droit à l’autodétermination sur nos cerveaux et nos expériences mentales », et a ajouté que « cela nécessite que nous mettions à jour les normes internationales existantes ».

Et de citer comme exemple que les employeurs ne devront pas surveiller les sentiments « amoureux » pour un collègue.

« En tant que PDG, je suis sûre que tous les PDG l’utiliseront de manière totalement responsable », a osé déclarer le modérateur et PDG de l’Atlantique, Nicholas Thompson, sous les rires de Nita Farahany et du public.

En plus des appareils portables de lecture mentale déjà existants, des implants capables de sonder encore plus profondément le cerveau humain sont actuellement développés et testés. L’année dernière, le premier Américain et la cinquième personne au monde s’est vu implanter une interface cerveau-ordinateur (BCI), assimilée à un « cerveau bluetooth », dans le cadre d’un essai de l’appareil. Le participant à l’essai a déjà été capable d’effectuer des tâches comme la navigation informatique en utilisant son seul esprit, avec l’aide du BCI.

En fait, les appareils de lecture des pensées sont un élément indispensable de l’agenda transhumaniste défendu par le WEF. Dans une interview accordée en 2016 au groupe de radiodiffusion suisse RTS, le fondateur et gourou du WEF, Klaus Schwab, a déclaré que les puces cérébrales seraient largement introduites « certainement dans les 10 prochaines années ».

Lors d’une émission de Joe Rogan en mai 2020, Elon Musk avait affirmé que l’utilisation de l’implant se développerait pour permettre à la population générale de communiquer « par télépathie » les uns avec les autres dans un délai de « cinq à 10 ans » si les progrès avancent au rythme prévu.

Bienvenue en enfer sur terre…