Nous fêtons aujourd’hui la naissance d’un homme qui suscita en son temps une haine viscérale. Qu’importe que le message fût divin ou pas, qu’importe que le message fût une fiction ou pas, l’histoire en demeure néanmoins foncièrement humaine. Cet homme a donc été torturé à mort uniquement pour son message de paix.
Était-il coupable de méfaits, un dangereux criminel, un voleur, un fou sanguinaire, un terroriste ou assoiffé de sang ? Avait-il des plans sataniques ? Bien au contraire, il ne parlait que de fraternité, de pardon, de partage, d’amour, mais aussi de chasser les marchands du temple. S’il était né au 19e siècle, on l’eut traité de dangereux communiste.
Que reste-t-il de son message, que reste-t-il de l’esprit de Noël censé nous rappeler cet amour universel ?
Lire la suite