Le scandale médiatique suisse n’est que la pointe de l’iceberg : dissimulation mondiale d’abus rituels sataniques

23/07/2023 (2023-07-23)

[Source : kla.tv]

Apparemment, les révélations sur le thème des « abus rituels sataniques » deviennent trop brûlantes. En effet, la chaîne de télévision suisse a récemment interrompu la diffusion de son propre documentaire sur le sujet. Kla.tv saisit l’occasion pour citer d’autres chaînes qui dissimulent les abus rituels sataniques. En effet, dans le monde entier, de nombreux récits de victimes, de témoins et de survivants sont délibérément étouffés, passés sous silence et cachés au public. Des experts chevronnés sont dénigrés et réduits au silence à l’aide d’une stratégie perfide et sophistiquée. Ce documentaire est une mise à jour historique de nombreux crimes de censure qui doivent être sanctionnés par la justice.

Transcription

Récemment, la radio télévision suisse SRF a menacé la chaîne Kla.tv de graves conséquences juridiques. Que s’est-il passé ?

À partir de décembre 2021, SRF a diffusé successivement 6 épisodes d’une série intitulée « Rec.—Panic Satanic ». Dans cette série, le journaliste de SRF Robin Rehmann s’est efforcé de prouver qu’il n’existe pas d’abus rituel satanique, mais qu’il s’agissait d’un récit de conspiration ; des survivants et des témoins d’abus rituels sataniques, ainsi que des thérapeutes, des militants et même un enquêteur de police ont été ridiculisés et présentés comme peu crédibles.

Explication : le sujet des abus rituels sataniques concerne les crimes les plus cruels commis dans le cadre de cérémonies sataniques. Dans le monde entier, des milliers de survivants, de victimes, de témoins, de thérapeutes et même de membres du système judiciaire font état d’abus sexuels, de tortures et même de sacrifices rituels. Selon eux, il s’agit de crimes commis par un cercle élitaire d’auteurs bien organisés et disposant d’un bon réseau, qui sait bien se protéger. Kla.tv a publié sur ce thème en novembre 2022 le documentaire intitulé « La secte du sang — 27 victimes, 27 témoins ». Outre les 27 victimes et 27 témoins d’abus sataniques, mentionnés dans le titre, qui ne sont qu’une petite sélection du nombre immensément élevé de victimes de ces pratiques sataniques, cette émission a également évoqué la série pseudo-investigatrice de SRF et de Robin Rehmann.

Il est particulièrement intéressant de noter que Kla.tv a ensuite reçu des informations montrant comment Rehmann se présente avec des symboles sataniques, comme, par exemple, de Baphomet — et entretient même des liens avec un grand prêtre satanique du nom de Francis Dollarhyde. La diffusion de ces faits explosifs a entraîné plusieurs événements : d’une part, SRF a menacé la chaîne Kla.tv de conséquences juridiques. D’autre part, la confrérie satanique « Brotherhood of Samael » a visiblement tenté de brouiller les traces : sur leur page Internet, ils ont rapidement transformé leur grand prêtre Dollarhyde en un « PDG » d’apparence plus inoffensive, et peu après ils ont fait disparaître complètement son nom de leur page Internet.

Le scandale médiatique de SRF continue de faire des vagues

Il y a quelques jours, le 10 juillet 2023, le Tagesanzeiger et d’autres médias suisses ont annoncé que SRF avait stoppé la diffusion de son propre documentaire sur les abus rituels sataniques. Exactement selon le même schéma que pour la survivante d’abus Hajar mentionnée dans l’émission de Kla.tv « Scandale : SRF et Robin Rehmann », pour laquelle deux interviews déjà terminées ont été retirées peu avant la diffusion, un documentaire de SRF également prêt à être diffusé a été annulé.

On constate toujours le même schéma : des journalistes du terrain, qui ont à cœur de mettre fin à ces crimes atroces, font des recherches approfondies et solides sur le thème des abus rituels sataniques, puis la diffusion des protagonistes est stoppée au niveau de la direction. Au plus haut niveau, on a fait marche arrière « à la dernière minute », car le documentaire contiendrait des « éléments narratifs conspirationnistes ». La réalisatrice de SRF, Ursula Brunner, qui a fait ses preuves depuis de nombreuses années et a acquis une certaine maturité, rejette catégoriquement ces accusations, car elles seraient « dénuées de tout fondement ». La question se pose de savoir si les médias publics sont autorisés à priver les téléspectateurs de sujets tels que les abus rituels sataniques — un sujet qui présente un intérêt public considérable. Ce qui est absolument scandaleux, c’est que le documentaire a été financé par les pouvoirs publics à hauteur de 125 000 francs suisses, dont 75 000 proviennent de la redevance télévisuelle de SRF qui a maintenant été jetée aux ordures aux frais des citoyens suisses !D’autres exemples montrent que ce n’est vraiment pas un hasard, mais une stratégie constante, que les abus rituels sataniques soient dissimulés par les médias :

1. La direction du journal suisse « 20 min » annule la diffusion de l’interview de Chantal Frei, victime de torture

L’auteure Chantal Frei, qui a grandi en Suisse romande, n’avait que six ans lorsque des satanistes ont décidé de faire d’elle ce qu’ils appellent une « mère des ténèbres ». Elle avait survécu à des tortures massives. C’est pourquoi le culte la considérait comme suffisamment forte, sage et intelligente pour la former dans le cercle des Illuminati. Lors de rituels cruels, elle rencontrait des chefs d’État, des nobles et des célébrités. Pour cela, elle a été conduite dans des lieux connus du public — comme la Maison-Blanche et l’intérieur d’une célèbre basilique espagnole — et a également pénétré dans des installations militaires secrètes et un château isolé en Belgique. Ces lieux et ces personnes, dont certains sont également cités par d’autres survivants, illustrent l’ampleur terrifiante d’un phénomène profondément obscur, connu dans la littérature spécialisée sous le nom de violence rituelle. Chantal Frei a publié un livre sur ses terribles expériences sous le titre : « Je parle ! »Il est également arrivé à Chantal Frei qu’une interview qu’une journaliste du journal suisse « 20 min » avait réalisée avec elle et deux autres survivants ne soit pas diffusée. Citation de Chantal Frei :

« Quelque temps avant la publication de mon livre, une journaliste de 20 min avait réalisé une très longue interview avec moi. Elle m’a fait une impression vraiment bonne et empathique. […] La journaliste avait aussi fait d’autres recherches et voulait écrire un article à ce sujet. Elle a également interviewé deux autres survivants, un homme et une femme. Mais l’article n’a jamais été publié, car il a été stoppé par la direction ».

2. La BBC et le Daily Mail dissimulent des abus rituels sataniques à Hampstead en Angleterre

En septembre 2014, Alisa Dearman et son frère Gabriel ont déclaré, entre autres, dans le cadre d’entretiens avec la police, qu’ils étaient régulièrement victimes d’abus sexuels dans leur école. Ils ont expliqué que des rituels sataniques étaient pratiqués, que des bébés étaient tués et que leur sang était bu. Après avoir tué les bébés, leurs restes ont été mélangés à la nourriture de l’école. Leur propre père, Ricky Dearman, aurait été impliqué dans les sacrifices sataniques et les abus. Ella Draper, l’ex-femme de Ricky Dearman et la mère de leurs deux enfants, Alisa et Gabriel, l’a confirmé et a déclaré que Dearman était le chef du groupe satanique de Hampstead. Il aurait participé à la production de snuff-vidéos et les aurait vendues sur le darknet. Après qu’Ella Draper a rendu cette information publique, une véritable bataille médiatique s’est engagée : elle a été diffamée de la pire manière. Malgré les rapports médicaux officiels confirmant les graves abus sexuels subis par les enfants, les médias ont affirmé qu’elle avait forcé ses enfants à témoigner de ces faits. De nombreux magazines, comme le Daily Mail, ont qualifié Ella Draper de menteuse. Elle a même été poursuivie par la police. La grande agence de presse anglaise BBC a diffusé une interview de Ricky Dearman, dans laquelle la présentatrice de la BBC s’est efforcée de le faire paraître innocent. On a fait croire qu’il avait été victime d’une campagne malveillante. De nombreux téléspectateurs ont commenté l’interview en disant qu’ils pensaient que Ricky Dearman avait l’air d’un mauvais acteur et qu’ils pouvaient tout à fait imaginer qu’il avait commis ces horribles crimes. « Il a l’air coupable » pouvait-on lire dans la colonne des commentaires. Par la suite, la fonction de commentaires a été rapidement fermée.

3. La chaîne de télévision britannique BBC impliquée dans les crimes pervers de Jimmy Savile

Selon les données officielles de la police, le populaire présentateur anglais de la BBC Jimmy Savile a abusé pendant 50 ans (!) d’au moins 450 victimes âgées de 5 à 47 ans. Avant 1961 déjà, la police a interrogé Savile pour la première fois sur des accusations selon lesquelles il aurait eu des relations sexuelles avec des mineures dans les dancings qu’il gérait à l’époque. Savile a utilisé ses contacts pour approcher des enfants, entre autres dans un hôpital psychiatrique hautement sécurisé. Il a commis les crimes les plus odieux, allant jusqu’à violer un garçon mourant et à abuser de morts. Des victimes ont déclaré avoir été abusées par Savile dans le cadre de messes sataniques. Le 7 décembre 2011, un film sur les crimes de Savile devait être diffusé. C’est le journaliste Meirion Jones, qui a travaillé pendant plus de 20 ans à la BBC, qui a fait les recherches nécessaires. Il a trouvé des témoins qui ont lourdement chargé Savile. Mais le scandale a éclaté : le film a été annulé — selon la BBC, pour des « raisons journalistiques ». Le directeur responsable du programme « Newsnight », Peter Rippon, a arrêté la diffusion, le journaliste Meirion Jones a été suspendu. Des années plus tard, l’ancien producteur de télévision de la BBC, Wilfred De’Ath, âgé de 75 ans, a parlé. Il a déclaré que tout le monde à la BBC était au courant des crimes pervers de Savile ! Il est significatif que le scandale n’ait été révélé qu’après le décès de Savile. Des survivants d’abus ont même confirmé que ces abus étaient dus à un réseau pédophile organisé au sein de la BBC. La trace des agissements pédophiles de Savile mène directement à la famille royale anglaise, à des juges de haut rang, à des parlementaires éminents et même à un ancien Premier ministre.

4. L’article diffamatoire du Spiegel provoque la fermeture du service de consultation sur la violence organisée et rituelle de l’évêché de Münster

Le 12 mars 2023, le magazine « Der Spiegel » a publié un article sur le thème des abus rituels sataniques et du contrôle mental et a titré :

« Dans le délire des thérapeutes, les adeptes de cultes secrets maltraitent les enfants et contrôlent les gens via la manipulation du cerveau : sous l’égide des églises et des cliniques, les thérapeutes propagent de tels mythes d’horreur, et persuadent les patients de prétendus abus. »

https://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/wie-therapeuten-eine-verschwoerung-ueber-vermeintliche-opfer-ritueller-gewalt-verbreiten-a-fd5ea9b2-9c67-42ef-b451-0f511cb80053

L’article utilise précisément deux stratégies bien connues : d’une part, il place toute la thématique dans le domaine des théories de conspiration, en utilisant la notion bien établie de « panique satanique ». Et d’autre part, les thérapeutes — en particulier le service de consultation de l’évêché de Münster — sont une fois de plus pris pour cible à l’aide de la stratégie bien établie du « syndrome des faux souvenirs » :

Les thérapeutes du service de consultation de l’évêché de Münster ont été accusés d’avoir persuadé les victimes d’avoir subi des abus rituels sataniques. Une fois de plus, on discrédite les thérapeutes et on tente de les intimider. Malheureusement, la stratégie a fonctionné : deux jours seulement après la parution de l’article du Spiegel, l’évêché de Münster a annoncé qu’il avait fermé son service de consultation sur la violence rituelle — et ce après 20 ans d’un excellent travail de consultation et d’information !Une annonce de la confrérie satanique « Brotherhood of Samael » sur Facebook, qui se réfère précisément au centre de consultation de Münster, est explosive et révélatrice à ce sujet :

NOTE EXPRESS ! 5 ans de travail acharné pour enfin faire tomber cette association et un article de divulgation a finalement fait pencher la balance. Nous le leur avons dit en 2017, nous le leur disons aujourd’hui. « Nous gagnons. Vous perdez. Fin de l’histoire. »

Il est remarquable que l’auteur de l’article — le rédacteur de Spiegel Christopher Piltz — ait listé sur sa page Facebook le journaliste de SRF Robin Rehmann et la psychologue criminologue Lydia Benecke comme amis. Lydia Benecke est connue comme une militante allemande qui donne depuis des années des conférences dans lesquelles elle nie l’existence d’abus rituels sataniques. Pour ce faire, elle utilise dans ses interventions les stratégies que nous venons d’exposer.

Retour en arrière : Pourquoi et quand a-t-on créé les termes stratégiques de « panique satanique », « faux souvenirs » et « théorie du complot » ?Nous constatons ici que la stratégie bien connue de dissimulation des abus rituels sataniques, qui a déjà « fait ses preuves » dans les années 90 pour les abuseurs, est à nouveau mise en évidence. Déjà à l’époque, lorsque de plus en plus de cas d’abus rituels sataniques et de contrôle mental ont été mis en lumière, les médias ont utilisé avec succès les mots d’ordre « Satanic Panic » et « faux souvenirs ». En 1980, Michelle Smith, la première des survivantes, a publié avec son psychiatre Lawrence Pazder un livre intitulé « Michelle se souvient ». https://en.wikipedia.org/wiki/Satanic_panic

Au cours des deux décennies qui ont suivi, les thérapeutes américains ont enregistré un afflux de victimes de violence rituelle satanique qui avaient eu le courage de leur demander de l’aide. On parle d’environ 12 000 victimes au total. Comme les thérapeutes ne parvenaient pas à cerner cette évolution débordante, ils ont échangé entre eux et organisé des congrès spécialisés sur ce thème. En 1992, le Dr Corydon Hammond, psychiatre américain renommé, a prononcé lors d’un congrès spécialisé le discours dit de Greenbaum, dans lequel il a parlé de programmation, de dédoublement, de CIA, de MK-Ultra, de structures et de programmes occultes. Il a ensuite été réduit au silence.

Vous pouvez voir ici la lettre originale scannée de la CIA dans laquelle il est écrit textuellement que des mesures concrètes doivent être prises contre les lanceurs d’alertes qui s’élèvent. À cette époque, les journalistes d’investigation révélaient de plus en plus d’incohérences au sein du gouvernement et de la CIA. La direction de la CIA a alors qualifié les journalistes d’investigation de conspirationnistes. La CIA a chargé ses agents d’influencer la politique et les médias et a ainsi fait taire les lanceurs d’alertes. Kla.tv dispose de nombreuses preuves à ce sujet. Aujourd’hui, la notion de « conspirationniste » est encore plus exacerbée, allant jusqu’à la rapprocher du radicalisme et de la violence.

En plus de la stratégie consistant à qualifier de panique sataniste les cas d’abus rituels sataniques devenus publics et à les tourner en ridicule, la « Fondation du syndrome des faux souvenirs » a également été créée en 1992.

Cette fondation a diffusé la thèse de la « fausse mémoire », c’est-à-dire l’affirmation selon laquelle les récits des victimes ne se seraient pas réellement produits. Les abus rituels sataniques n’existeraient pas, mais les thérapeutes auraient simplement persuadé les patients qu’ils avaient vécu de telles atrocités dans le cadre de rituels sataniques. On leur aurait donc implanté de « faux souvenirs » au moyen d’astuces psychologiques.

La stratégie des « faux souvenirs » a été utilisée pour discréditer et intimider les thérapeutes. Il est significatif que Ralph Underwager, un pédophile avoué, ait été l’un des fondateurs de la « Fondation du syndrome des faux souvenirs ». Underwager a dû quitter plus tard le conseil consultatif de cette même fondation lorsqu’il est apparu qu’il avait qualifié la pédophilie « d’expression acceptable de l’amour de Dieu » dans une interview accordée à un magazine pédophile néerlandais.

Après ces explications historiques, on peut maintenant mieux situer le scandale suisse de SRF et ses autres conséquences.

Au-delà de la stratégie d’étouffement médiatique mentionnée au début, de nombreux thérapeutes ont été licenciés après le reportage de SRF, ainsi que deux enseignants, un reporter principal, une chef de clinique et un médecin chef de service. Des témoins importants qui avaient témoigné dans le documentaire ont perdu leur emploi :

1. Deux enseignants sont licenciés

L’enseignant du secondaire Daniel Vuilliomenet et l’enseignante de primaire Marianne Lander, qui avaient courageusement pris position dans le documentaire de SRF sur le thème des abus sataniques dans leur environnement proche, ont tous deux été suspendus de leurs fonctions d’enseignants et n’ont plus été autorisés à enseigner. Ils ont même été scandaleusement discrédités par le service de presse Nau.ch en tant que « professeurs sataniques ».

2. Le reporter en chef du Basler Zeitung est licencié

Daniel Wahl, le reporter en chef de la Basler Zeitung, qui travaillait depuis huit ans pour ce journal, a subi le même sort que les enseignants. Trois jours seulement après la diffusion du documentaire de SRF « Satanic Panic », soit le 17 décembre 2021, il n’a plus été autorisé à travailler pour la Basler Zeitung. Il a été suspendu de ses fonctions et n’a plus eu accès à tous les documents sur lesquels il travaillait. Fait particulièrement explosif : Daniel Wahl n’a été que très brièvement mentionné par l’un des enseignants dans le documentaire de SRF. Daniel Wahl s’est concentré sur les domaines de la justice et du KESB [Le KESB en allemand (Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde)], l’autorité suisse de protection de l’enfant et de l’adulte, entre autres. Il lui a reproché à plusieurs reprises de ne pas protéger suffisamment les enfants et les adultes concernés. Cet engagement de Wahl a conduit à plusieurs reprises le Conseil de la presse à réprimander la Basler Zeitung. L’un de ces cas contestés était l’affaire Nathalie : une fillette de huit ans avait fait des déclarations sur les abus rituels sataniques de son propre père. Daniel Wahl avait écrit plusieurs fois sur le cas Nathalie dans le Basler Zeitung en 2020 et 2021. Résultat : le père a été juridiquement acquitté, la Kesb disculpée, le reporter en chef Daniel Wahl réprimandé par le Conseil de la presse — et maintenant au final licencié.

Il est intéressant de noter que Jan Grüebler, le président de la 3e chambre du Conseil suisse de la presse, est également directeur adjoint de la rédaction de SRF. On ne peut donc pas vraiment parler d’impartialité du Conseil de la presse. Regardez la série Kla.tv « Presserat oder Presse VERRAT » (« Conseil de la presse ou trahison de la presse ») du fondateur de Kla.tv, Ivo-Sasek. Des ramifications bouleversantes apparaissent au grand jour.

3. Clinique Littenheid —Le médecin chef de service est licencié

Ses déclarations sur ses années de thérapies avec des survivants de la violence rituelle dans le documentaire de SRF ont eu pour conséquence que le médecin-chef, le Dr Matthias Kollmann, a lui aussi été mis à pied, puis licencié, quelques jours seulement après la diffusion du documentaire. Il s’agissait donc déjà de la quatrième personne dans le documentaire à être licenciée immédiatement après l’émission.

4. Clinique Littenheid — procédure pénale contre la chef de clinique — elle est également immédiatement mise à pied

Mais cela ne suffisait pas. Dès la publication du documentaire, une procédure pénale a été engagée contre le médecin-chef de la clinique Littenheid, suite à quoi elle a été immédiatement mise à pied. En outre, plus aucun patient atteint de TDI ne sera admis jusqu’à la révision des concepts. Il s’agit de patients souffrant de troubles dissociatifs de l’identité, souvent liés à des abus rituels sataniques.

5. Clinique Littenheid — Le personnel muselé

Les employés se plaignent d’avoir été muselés après la diffusion du documentaire. La clinique dément bien entendu cette affirmation. Mais un rapport d’enquête à ce sujet a montré que les employés interrogés avaient désormais évité les termes à connotation négative tels que « contrôle mental » et utilisé à la place des termes neutres et non chargés, ce qui revient à minimiser les thèmes de la violence rituelle et du contrôle mental.

6. Nombreux licenciements parmi le personnel du centre de thérapie de Münsingen

Le centre psychiatrique de Münsingen a également licencié une partie de son personnel après la diffusion du documentaire de SRF. Le reste du personnel a été reconverti. Apparemment, cela s’est fait suite à l’affirmation de SRF selon laquelle le centre de thérapie de Münsingen emploie des personnes qui croient à une théorie du complot appelée « Satanic Panic ».

La question se pose de savoir si ces nombreux licenciements et la vaste couverture médiatique dont ils ont fait l’objet ont servi d’exemple. Et ce dans le but d’intimider d’autres témoins et personnes concernées qui n’ont pas encore osé sortir de leur réserve ? S’agit-il d’attiser la peur de révéler les atrocités que l’on a soi-même vécues ou observées, car cela pourrait avoir de telles conséquences négatives ?

Conclusion :

Comme on peut le voir à travers les tentatives considérables de SRF et d’autres médias, d’énormes efforts sont visibles depuis un certain temps déjà dans le monde entier pour que le sujet des abus rituels sataniques ne soit pas divulgué. Des campagnes médiatiques agressives sont menées, les centres de conseil sont étiquetés « conspirationnistes » et les thérapeutes sont discrédités et intimidés. Les portails d’information alternatifs, comme Kla.tv, qui publient des informations de fond sur le sujet, sont immédiatement menacés de poursuites judiciaires. Les témoins perdent leur emploi et leur bonne réputation — ils sont isolés socialement et leur existence même est finalement mise en danger. Les victimes et les survivants sont privés de toute aide thérapeutique après toutes les horreurs qu’ils ont vécues et sont totalement décrédibilisés.

Pourquoi emploie-t-on depuis des décennies des armes aussi puissantes pour rendre cette thématique ridicule et non crédible ? Un proverbe bien connu dit : Il n’y a pas de fumée sans feu. Chers téléspectateurs, si on considère les actions médiatiques mentionnées, on ne peut s’empêcher d’être méfiant. C’est pourquoi : faites vos propres recherches sur toutes les relations et examinez les déclarations des survivants et faites connaître largement ces scandales médiatiques.

Sources/Liens :

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