Joe Biden : destitution, démission ? Le dilemme impossible des démocrates

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Anthony Lacoudre, pour FranceSoir

CHRONIQUE – Depuis le désastre de la gestion par Joe Biden du départ des troupes américaines d’Afghanistan, les discussions à Washington DC vont bon train, à droite comme à gauche, concernant la nécessité de mettre un terme aux fonctions du président au plus vite.

État d’incapacité mentale

Ce qui était déjà évident pour le public informé pendant la campagne électorale en 2020 est devenu impossible à camoufler par les grands médias : Joe Biden n’est pas seulement incompétent, il est frappé d’incapacité mentale, ce qui est très différent.

Les innombrables montages vidéo montrant Joe Biden incapable de formuler une phrase compréhensible font fureur sur les médias sociaux depuis son élection. Pour prendre un exemple récent, à la question « quand les enfants de moins de douze ans pourront-ils se faire vacciner ? », Joe Biden a répondu de la façon suivante, devant les yeux éberlués du journaliste : « Et la question est de savoir si oui ou non nous serons en position où vous, euh… hum… êtes, pourquoi les… les… les experts ne sont, ne peuvent dire nous savons que ce virus est en fait un… hum… euh… Va être, ou excusez-moi, quand nous saurons pourquoi tous les médicaments approuvés ne sont pas approuvés temporairement mais sont approuvés de façon permanente. Et c’est en route aussi… ». (CNN Town Hall du 21 juillet 2021). Puis il s’est mis à parler de l’homme qui a marché sur la Lune et des extraterrestres ! (sic)

Quand il prononce des phrases compréhensibles (en lisant sur un téléprompteur), le résultat est tout autant inquiétant. Lors d’une conférence de presse organisée le 7 juillet dernier, il déclarait : « La prise de l’Afghanistan par les talibans n’est pas inévitable parce que vous avez 300 000 troupes afghanes, bien équipées, aussi bien que ne l’est n’importe quelle armée dans le monde, avec une force aérienne, contre environ 75 000 talibans. Ce n’est pas joué. La probabilité que les talibans contrôlent tout et détiennent le pays en entier est très faible ».

Autrement dit, Joe Biden n’est plus connecté au monde réel, il n’est plus maître de ses moyens intellectuels. Il n’arrive pas à évaluer les différentes options et à assimiler l’avis de ses conseillers, il ne comprend pas les conséquences de ses actions (ou de son inaction), ce qui fait courir un grand danger au pays, qu’il s’agisse des affaires intérieures (crise migratoire, inflation, dette publique, criminalité, etc…) ou des affaires étrangères, sujet sur lequel le président agit seul en tant que Commander in Chief.

La question n’est donc pas tant de savoir s’il va être destitué mais plutôt par qui. En effet, deux options sont envisageables à ce stade.

Vers un impeachment en 2023 ?

Il ne fait désormais plus aucun doute que si les républicains recouvrent la majorité dans les deux chambres du Congrès à la suite des élections du mois de novembre 2022, un procès en destitution (impeachment) sera immédiatement tenu contre Joe Biden. La procédure est constituée de deux étapes. Une mise en accusation conduite par la Chambre des représentants (à la majorité simple) suivie d’une condamnation ou d’un acquittement par le Sénat (à la majorité renforcée).

Les sujets de condamnation ne manquent pas. Les soupçons de trafic d’influence orchestré de concert avec son frère et son fils, alors que Joe Biden était le vice-président de Barack Obama, pourraient refaire surface.

Il est toutefois probable que le chef d’inculpation relèvera plus de la haute trahison. L’abandon volontaire du contrôle de la frontière avec le Mexique associé à la déroute du départ des troupes américaines d’Afghanistan constituent un cocktail explosif. Réussir à provoquer deux crises humanitaires en l’espace de quelques mois est inédit, de la part d’un président dont le slogan électoral était « America is back » (l’Amérique est de retour).

Concernant l’Afghanistan, Joe Biden aura donc été incapable d’anticiper les conséquences de sa politique. Il a fait partir l’intégralité des troupes – en fermant l’aéroport militaire de Bagram – avant d’organiser l’évacuation des diplomates, des citoyens américains et des alliés (étrangers ou afghans) ainsi que le rapatriement des prisonniers de guerre (immédiatement libérés par les talibans) et des armes, munitions et équipements militaires parmi les plus sophistiqués du monde (y compris hélicoptères Apaches de dernière génération, des drones, etc…). Une erreur de jugement dramatique mettant directement en cause la sécurité nationale des États-Unis.

À ce jour, une douzaine de milliers d’Américains sont tenus en otage par les talibans. Le général (en retraite) Don Bolduc précise sur Fox News (22 août) : « Il est évident qu’il s’agit d’un désastre absolu aux conséquences géopolitiques inconcevables. Il n’y a aucun doute que nous avons d’ores et déjà une situation d’otages. J’ai opéré à Kaboul chaque année (ndlr: pendant dix ans), je connais la situation intimement. Il ne sera pas possible de rejoindre l’aéroport de Kaboul sain et sauf dans les conditions qui ont été établies par la stratégie de ce retrait. C’est insensé ».

« Joe Biden a supervisé une politique étrangère qui a généré la plus grande humiliation de l’histoire des États-Unis. Les nations du monde, amies et ennemies, nous observent et se disent « que s’est-il donc passé en Amérique en si peu de temps ? » Ils n’en reviennent pas. Ils ne respectent plus les États-Unis et son président »

(Donald Trump, discours du 21 août en Alabama).

La culpabilité du président sera incontournable notamment si les membres de la Chambre des représentants parviennent, dans le cadre de leur enquête, à prouver que Joe Biden a dirigé les opérations en Afghanistan en faisant fi des avis et conseils de son entourage (renseignement, État-major, ministre de la Défense).

Le sénateur républicain Lindsey Graham annonce la couleur :

« Si Joe Biden ne rapatrie pas l’intégralité des citoyens américains, s’il ne rapatrie pas ceux qui ont combattu à nos côtés, ils vont être massacrés et Joe Biden aura commis un crime grave (ndlr un « high crime » justifiant un impeachment comme le prévoit la Constitution). S’il fait ça, il doit partir. N’importe quel officier militaire passerait en cour martiale pour cela ».

Voir aussi : Joe Biden : une gestion « covid » calamiteuse

Destitution par Kamala Harris

La seconde option consisterait pour la vice-présidente Kamala Harris à anticiper l’impeachment et à recourir – de façon préventive avant les élections de mi-mandat – à la procédure de destitution prévue par le 25ème amendement constitutionnel.

D’après cet amendement, lorsqu’un président en fonction n’est plus en capacité d’agir (physiquement ou mentalement), le vice-président peut formellement constater ladite incapacité (sénilité, démence).

Puis, si une majorité des membres du gouvernement se rangent derrière l’avis du vice-président, ce dernier remplace automatiquement le président dans ses fonctions.

Si le président s’oppose à sa propre destitution, le Congrès est alors saisi pour un vote à la majorité des deux tiers en faveur ou contre la destitution. Le vice-président remplace alors le président destitué, ce qui, en l’occurrence, porterait au pouvoir Kamala Harris.

Cette même Kamala Harris, en qui 55 % des Américains voient une personne qui n’est pas qualifiée pour exercer les fonctions de président (sondage Rasmussen Research d’août 2021). Cette même Kamala Harris qui s’est vantée devant les caméras de CNN au mois d’avril dernier d’avoir été fortement impliquée dans les discussions du retrait des troupes d’Afghanistan, opération qu’elle approuvait dans ses moindres détails, précisant toutefois malicieusement que « la décision finale appartient à Joe Biden ».

Claudia Tenney, membre républicain de la Chambre des représentants (élue de New York) résume bien la situation (interview du 20 août) : « Avec la vice-présidente Harris, je sais que nous n’avons pas un problème de déclin cognitif. Elle n’est peut-être pas compétente pour être présidente, mais au moins elle sera capable de tenir compte de l’avis de ses conseillers et elle comprendra la réalité de la situation sur le terrain ».

Le scénario de la démission

Pour éviter l’humiliation de l’une ou de l’autre de ces deux hypothèses (impeachment ou destitution), il est également envisageable que l’entourage de Joe Biden réussisse à le convaincre de démissionner, notamment si le président continue de plonger dans les sondages d’opinion.

Depuis quelques semaines en effet – avant même que n’intervienne la débâcle de Kaboul ! – Joe Biden est « sous l’eau » (under water) : les Américains qui désapprouvent sa politique étant désormais plus nombreux que ceux qui l’approuvent. Par ailleurs, d’après un sondage récent (Rasmussen Research), si l’élection présidentielle avait lieu aujourd’hui, Donald Trump l’emporterait avec 6 % d’avance sur Joe Biden. Les prochains sondages d’opinion post épisode Afghan risquent d’être fracassants.

La démission de Joe Biden avant les élections de mi-mandat viserait ainsi à éviter que le président entraîne l’ensemble des élus du parti démocrate dans sa chute.

La problématique du Sénat

En cas de destitution ou de démission de Joe Biden intervenant avant les élections de mi-mandat, se posera alors la problématique du contrôle du Sénat.

On rappellera que le Sénat est actuellement composé de 50 sénateurs démocrates et de 50 sénateurs républicains. En cas de blocage, Kamala Harris, en sa qualité de vice-présidente, vient apporter la 101ème voix. Les démocrates sont donc actuellement majoritaires au Sénat.

Mais si Kamala Harris devient calife à la place du calife, les démocrates perdent la majorité au Sénat. Il reviendra en effet aux 100 sénateurs de désigner le nouveau vice-président successeur de Kamala Harris (sans que celle-ci ne puisse participer au vote), ce qui forcera les deux partis à se mettre d’accord sur un candidat « neutre » que les démocrates ne contrôleront pas.

Les démocrates ont donc le choix entre conserver Joe Biden à la présidence quel que soit son état de santé jusqu’aux élections de mi-mandat, quitte à faire sombrer le navire entier, ou remplacer Joe Biden par Kamala Harris lorsque la situation ne sera plus tenable, perdant au passage la majorité au Sénat.

Auteur(s): Anthony Lacoudre, pour FranceSoir




L’Homme peut-il penser par lui-même?

Par Joseph Stroberg

Selon un certain Sébastian Dieguez de l’Université de Fribourg, l’Homme ne pourrait pas penser par lui-même et l’idée selon laquelle il pourrait penser par lui-même aurait soi-disant été démolie depuis le philosophe Kant :

Alors, en supposant que l’Homme ne puisse pas penser par lui-même, qui le fait à sa place ? D’autres hommes ? Non, puisqu’aucun ne pourrait penser par lui-même ? D’autres êtres, ailleurs ? Des extraterrestres qui lui dicteraient ses pensées ? Des démons invisibles qui feraient de même ? Et pourquoi pas, Dieu lui-même, alors indépendamment de ceux qui croiraient en son existence ? À vous de choisir !

Ce qui relève de faits est que l’Homme possède un cerveau et que celui-ci est utilisé dans le processus de formulation des idées et des pensées sous forme de mots organisés en phrases dans un but de communication orale ou écrite. Cela ne donne cependant pas d’indications sur ce qui serait la cause originelle des idées et des pensées ni si le cerveau serait le seul composant participant à leur formulation ou à leur éventuelle captation. La science matérialiste suppose que les pensées viennent du cerveau lui-même et de sa constitution neuronale. Cependant, il le fait en fonction des informations sensorielles provenant aussi bien de l’extérieur que du corps même de l’Homme. Dans cette optique, si ces informations peuvent l’influencer, c’est quand même alors le cerveau qui est le maître d’œuvre des pensées qui seraient ensuite organisées et créées à partir de là. Et donc, dans l’approche de la science matérialiste, l’Homme peut très bien penser par lui-même.

Selon une perspective plus religieuse ou spirituelle, voire ésotérique, les pensées de l’Homme peuvent lui être communiquées au moins partiellement par certaines entités (angéliques, démoniaques et/ou extraterrestres…) et/ou par sa propre nature profonde (Esprit, Âme, Essence…). Dans ce dernier cas, sa nature profonde fait partie de lui et dans ce cas, même si le point de vue est à l’opposé de celui de la science matérialiste, il conduit pareillement à la conclusion que l’Homme peut très bien penser par lui-même.

La seule approche qui prétend empêcher l’Homme de penser par lui-même est celle où ses pensées ne proviendraient que d’entités tierces, indépendantes de sa propre nature, mais donc angéliques, démoniaques, ou encore extraterrestres, par exemple. C’est une perspective qui cherche à enlever à l’Homme toute possibilité de souveraineté et d’émancipation pour le maintenir au contraire dans un état de dépendance ou de soumission. Il est bien évident qu’elle sera favorisée par les amateurs, les pourvoyeurs et les artisans du Nouvel Ordre Mondial. Subsidiairement, on peut en déduire que ce Sébastian Dieguez ne travaille probablement pas pour l’Humanité (que ce soit volontaire ou non), mais pour l’élite qui cherche à l’asservir.




Un cas d’école de honte nationale

[Source : Le Saker Francophone]

[Photo : des Pachtounes, par Sylvie Lasserre]

Par Dmitry Orlov – Le 12 juillet 2021 – Source Club Orlov

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L’occupation américaine de l’Afghanistan est, heureusement, terminée, et la façon dont elle s’est terminée fait remarquablement miroir à cette initiative qui était complètement malavisé. Les États-Unis se sont retirés au milieu de la nuit, sans avertir leurs alliés et en laissant derrière eux un État fantoche s’effondrant rapidement, qu’ils ont mis en place et soutenu pendant deux décennies, pour un coût de 2 260 milliards de dollars. Pour vous donner un ordre d’idée de ce chiffre, la population de l’Afghanistan est de 38 millions d’habitants ; son revenu annuel par habitant est de 581 dollars. En multipliant les deux ensemble et le tout par 20 ans, on obtient 441,56 milliards de dollars. Ainsi, les dépenses américaines en Afghanistan ont dépassé le PIB du pays par un facteur de cinq !

Et qu’est-ce que cela a donné ? Eh bien, pendant qu’il était sous le contrôle des États-Unis (dans de nombreux cas plus théorique que réel), l’Afghanistan est devenu responsable de 90 % de l’approvisionnement mondial en opium, soit environ 58,5 milliards de dollars par an. Même s’il s’agissait d’un stratagème de corruption visant à utiliser des fonds publics pour s’emparer de l’argent sale de la drogue, l’entreprise afghane s’est avérée pitoyablement inefficace, et c’est probablement la raison pour laquelle le sujet n’est presque jamais abordé. Être dirigé par un gouvernement mafieux n’est peut-être pas particulièrement honteux pour les personnes qui n’ont pas honte, mais être dirigé par un gouvernement mafieux qui ne peut même pas voler correctement est, pour les voleurs, le déshonneur ultime.

Un déshonneur encore plus grand est peut-être de laisser derrière soi des dizaines de personnes que les talibans considèrent comme des collaborateurs américains : des traducteurs et d’autres personnels de service recrutés et employés par les forces américaines et de l’OTAN en Afghanistan au cours des deux dernières décennies. Une chose honorable à faire serait de les faire venir par avion aux États-Unis et de leur donner un endroit où vivre et une pension. La chose déshonorante à faire est ce que les États-Unis font habituellement dans de telles circonstances : abandonner leurs alliés dès qu’ils deviennent inutiles. Le monde entier regarde et la leçon qu’il en tire est la suivante : les États-Unis sont en recul rapide et chaotique, et il est manifestement dangereux d’être un allié américain ou, pire encore, un collaborateur américain.

Mais des sujets aussi importants sont soigneusement ignorés. Ce dont on parle à la place … rien, le son du silence. Joe Biden nous a récemment laissé entrevoir son vide mental interne en déclarant : « Nous sommes allés [en Afghanistan] pour deux raisons : pour… pour… ». Puis son regard vide s’est figé et il a fini par trouver deux explications opportunes : attraper Oussama Ben Laden (qui se trouvait au Pakistan, un allié des États-Unis à l’époque, profitant de sa retraite tranquille de la CIA à côté d’un collège militaire) et combattre le terrorisme (qui est aujourd’hui un problème plus grave que jamais).

Nous pourrions en conclure que l’échec américain en Afghanistan et le fait d’y rester pendant deux décennies était une erreur épouvantable, et c’est certainement le cas, mais cela n’explique pas pourquoi cette erreur a été commise. Pourquoi les empires, en particulier les empires mourants, sont-ils attirés par l’Afghanistan comme des papillons de nuit par une flamme ? L’étude de cas ci-dessous est tirée de mon livre The Five Stages of Collapse. Elle porte sur les Pachtounes, mais, en simplifiant un peu, les Talibans, qui selon toutes les indications seront bientôt à nouveau en charge de l’ensemble de l’Afghanistan, sont des Pachtounes ethniques (ils ont recruté un grand nombre de Tadjiks ethniques ces derniers temps, mais cela ne change pas leur nature fondamentale).

Au-delà de la satisfaction d’un intérêt pour la politique étrangère américaine, l’histoire de l’Afghanistan, et des Talibans dans ce pays, offre une occasion précieuse de changer d’attitude. Vous n’avez peut-être pas une haute opinion d’eux ; en retour, ce qu’ils pensent de vous, c’est que vous devriez vous taire, partir et rester en dehors de tout cela. Vous pouvez être tenté de leur exposer vos tendres sentiments à l’égard de la liberté, de la démocratie, des droits de l’homme, du progrès social et technologique, de l’environnementalisme, de l’égalité des sexes et des droits reproductifs des femmes. Ils ignoreront simplement tout cela comme un bruit idiot et enfantin.

Il y a de fortes chances pour que votre civilisation entière finisse par tomber en poussière et qu’il n’en reste rien, à part quelques armature rouillées sortant du béton fissuré, et eux seront toujours là, comme avant. Votre défi est d’apprendre à les respecter, en sachant pertinemment qu’ils n’auront jamais, au grand jamais, de respect pour vous.

Étude de cas : Les Pachtounes

Parmi les nombreux espaces non gouvernés du monde, il y en a peu qui soient aussi durables et aussi capables de résister aux assauts incessants des empires que les zones tribales pachtounes, qui chevauchent la frontière poreuse et largement théorique entre l’Afghanistan et le Pakistan, y compris la zone tribale pakistanaise du Waziristan. Pour les envahisseurs, il s’agit d’une forteresse invisible mais imprenable qui a résisté à toutes les tentatives de la part d’autorités gouvernementales centralisées d’imposer leur volonté. Le terme « non gouverné » est, comme d’habitude, mal appliqué ici : les Pachtounes ont un système de gouvernance alternatif dont les règles empêchent l’établissement de toute autorité centralisée. Avec plus de quarante millions de personnes, ils constituent l’un des plus grands groupes ethniques de la planète. Leur capacité à résister aux Britanniques, aux Pakistanais, aux Soviétiques et maintenant aux Américains et à l’OTAN en fait l’une des plus grandes réussites anti-impérialistes de notre planète. Qu’est-ce qui constitue la coquille d’une noix si difficile à casser ? C’est une question intéressante, et c’est pourquoi j’ai décidé d’inclure un exposé sur les Pachtounes, la noix la plus difficile à casser de tout le sac de noix tribal.

Une autre question tout aussi intéressante est de savoir ce qui a poussé une succession d’empires à continuer de faire des tentatives futiles pour la casser, en sacrifiant des vies et des trésors pour la conquête d’un morceau de terre rude, farouchement indépendant, inaccessible et pratiquement sans valeur. Ne serait-il pas beaucoup plus simple de laisser les Pachtounes tranquilles et de continuer à utiliser des fusils contre des Pygmées armés de fruits mûrs ? La compulsion de conquête et d’asservissement n’est en aucun cas nouvelle, et les tribus n’ont cessé de conquérir et d’asservir d’autres tribus depuis la préhistoire, mais avec l’émergence des empires mondiaux, un nouvel élément semble avoir été introduit : l’intolérance totale à une indépendance totale. Chaque secteur de la planète, aussi petit soit-il, doit être attribuée à un État internationalement reconnu qui est lié à d’autres États par des traités et des relations juridiques étatiques. L’ordre politique mondial ne peut plus tolérer une seule tache blanche sur la carte politique. Son impératif semble être de forcer chaque groupe humain à s’asseoir à la table des négociations, où les plus puissants (du moins le pensent-ils) ont toujours le dessus, et à signer des documents juridiquement contraignants. L’existence d’un tel point blanc constitue une menace existentielle pour l’ensemble du système, c’est pourquoi les efforts déployés pour l’éliminer sont souvent disproportionnés par rapport à sa valeur ou à sa menace. Comme des extraterrestres, les grands empires arrivent en piqué et disent : « Emmenez-moi à votre chef ! ». Et s’il n’y a pas de chef, et que le seul élément de politique étrangère que cette tribu particulière ait jamais développé est exhaustivement décrit par les mots « partez et laissez-nous tranquilles », alors un malentendu en résulte inévitablement et les choses finissent mal pour les deux parties. Nommer un larbin local pour signer des documents juridiquement contraignants au nom d’un territoire non gouverné qui est censé se comporter comme un État-nation ne fonctionne pas.

Il semblerait que l’État ne puisse pas imposer son autorité sur une région si le système de gouvernance local sous-jacent n’est pas hiérarchique, s’auto-renforce de lui-même et est décentralisé, et s’il a une forte tradition d’unité dans le seul but de se liguer contre les menaces extérieures et une tradition tout aussi forte de tentative de vengeance de toutes les morts injustifiées (comme un membre de la famille tué par un drone américain Predator). C’est le cas des Pachtounes. Leur code de conduite ancien et éternel est le Pashtunwali, ou « la voie pachtoune ». La raison de suivre le Pashtunwali est d’être un bon Pashtoune. En retour, ce que fait un bon Pachtoune est de suivre le Pashtunwali. Ce principe s’auto-renforce car tout Pachtoune qui ne suit pas le Pashtunwali est incapable de s’assurer la coopération des autres Pachtounes et a une espérance de vie très faible, car l’ostracisme équivaut généralement à une condamnation à mort. Chez les Pachtounes, le droit à la vie n’existe pas ; il n’y a que la raison qui le pousse à ne pas tuer quelqu’un sur-le-champ. Si cela vous semble inutilement dur, à quoi vous attendiez-vous ? Un voyage à Disneyland ? Il va sans dire que les Pachtounes ne peuvent pas être séduits par des offres de progrès social et de développement économique, car ce n’est pas le but du Pashtunwali. Le but du Pashtunwali est de perpétuer le Pashtunwali, et il est apparemment très, très bon à cela.

La société pachtoune est classée comme segmentaire, un sous-type d’acéphale (sans chef). Les principales figures d’autorité sont les anciens (maliks) qui servent un chef de tribu local (khan), mais leur position de leader reste à tout moment subordonnée à la priorité accordée aux intérêts de la tribu. Toutes les décisions sont prises par consensus, ce qui limite considérablement le champ d’action unitaire. Toutefois, lorsqu’ils sont confrontés à une menace extérieure, les Pachtounes sont capables de nommer un dictateur et de le servir avec une obéissance absolue jusqu’à ce que la menace soit éteinte.

Le pachtounwali définit les concepts clés suivants : l’honneur (nang) exige une action, quelles qu’en soient les conséquences, dès que le pachtounwali est violé. Il est permis de mentir et de tuer pour protéger son nang. La vengeance (badal) exige « œil pour œil » en cas de blessure ou de dommage, mais permet aussi le paiement d’une compensation pour éviter l’effusion de sang. L’incarcération est considérée comme inacceptable et injuste en toutes circonstances. Elle est considérée comme une ingérence dans la justice, car elle complique le processus de vengeance et empêche le paiement d’une compensation. C’est pourquoi l’Afghanistan a été le théâtre d’évasions spectaculaires de prisons, où des centaines de détenus sont libérés en une seule attaque de type militaire ; l’objectif des assaillants n’est pas seulement de libérer les prisonniers, mais aussi de les tuer plus tard ou de leur demander réparation. La loi de l’hospitalité (nanawatai) exige que tout Pachtoune accueille et donne asile à quiconque le demande. Dans le cadre du nang, l’invité doit être maintenu en parfaite sécurité et à l’abri de tout danger pendant qu’il est invité. Une fois qu’il a franchi le seuil et qu’il n’est plus un invité, il peut être abattu à loisir si une telle action s’avère nécessaire. Les lois interdisant d’héberger des fugitifs, de servir de complice après le fait, d’entraver les enquêtes officielles, etc. sont dénuées de sens et toute tentative de les faire appliquer entraîne automatiquement le badal.

L’organe de gouvernement local pachtoune est la jirga, qui n’est convoquée que pour des occasions spéciales. Elle tire ses racines de la démocratie athénienne, bien que certains spécialistes soutiennent qu’elle lui est antérieure. Les participants se disposent en cercle et chacun a le droit de s’exprimer. Personne ne préside, conformément au principe selon lequel personne n’est supérieur aux yeux du pachtounwali. La décision est basée sur un consensus majoritaire. Ceux qui défient la décision de la jirga s’exposent à un incendie criminel et à un meurtre officiellement sanctionnés. Il est significatif que la jirga ne permette pas la représentation : il s’agit d’une démocratie directe plutôt que représentative. Il est également crucial que la jirga se réserve le droit d’abroger tout accord précédemment conclu, ce qui rend impossible toute relation légale fondée sur un traité entre l’État et les Pachtounes . Enfin, seuls ceux qui suivent le Pashtunwali peuvent participer à une jirga ; tous les étrangers sont automatiquement exclus.

Cela devrait vous donner une idée de la raison pour laquelle le Pashtunwali représente un problème insoluble pour tout empire qui veut dominer les Pachtounes. Jetons maintenant un bref coup d’œil à l’histoire longue et embrouillée de ces tentatives.

Les empires s’y cassent les dents

Le premier empire moderne à avoir eu maille à partir avec les Pachtounes est l’empire britannique, qui a tenté avec optimisme de leur imposer le code pénal indien. Lorsque les Pachtounes ont refusé de reconnaître ce code comme juste, il en a résulté un carnage considérable. Les Britanniques ont abandonné alors toute tentative d’imposer un système de justice et ont recouru plutôt à des moyens administratifs : leur politique de frontières fermées vise à séparer les tribus des plaines de celles des collines. Cette politique n’a pas réussi à arrêter le carnage et a été abandonnée après trente ans. Finalement, les Britanniques ont été contraints de recourir à des accommodements en reconnaissant le droit tribal pachtoune. Puis ils se sont vidés de leur sang et sont partis dans une précipitation inconvenante, laissant les Pachtounes aux Pakistanais, qui pratiquaient eux aussi des accommodements. Le mouvement taliban, qui est majoritairement dirigé par des Pachtounes, a été reconnu par le Pakistan. Le Pakistan s’est contenté de permettre l’autonomie des Pachtounes jusqu’au 11 septembre 2001. Depuis lors, il a été contraint de faire au moins semblant d’imposer son autorité aux Pachtounes, afin de donner l’impression de coopérer avec ses alliés américains, bien qu’il ne reste plus grand-chose de cette coopération aujourd’hui.

Les Soviétiques ont débarqué en Afghanistan dans un effort malavisé pour défendre le socialisme contre les tendances régressives contre-révolutionnaires, conformément à la doctrine Brejnev. Ils ont tenté en vain d’éradiquer les identités ethniques et religieuses par une stratégie de répression et ont réussi, pendant un certain temps, à consolider le contrôle des zones urbaines tandis que la résistance, principalement pachtoune, prenait pied dans les collines entourant Kaboul, la capitale . Ils ont également bombardé sans relâche la frontière afghano-pakistanaise pour créer un no man’s land. Ce faisant, ils ont échoué dans les grandes largeurs, créant une crise de réfugiés de très grande ampleur et assurant ainsi à leurs ennemis un large soutien international. Une fois que, grâce aux efforts de la CIA (qui travaillait en étroite collaboration avec Oussama Ben Laden), les Pachtounes ont acquis des missiles anti-aériens Stinger, les Soviétiques ont progressivement perdu la capacité de poursuivre la campagne aérienne.

Les efforts déployés par les Soviétiques pour gagner le cœur et l’esprit des Pachtounes ont également été un échec spectaculaire. Le pachtounwali exigeait une vengeance pour les actions militaires des Soviétiques, même de la part des Pachtounes les plus ambivalents. Les quelques anciens que les Soviétiques ont réussi à coopter par l’intimidation ou la corruption ont rapidement perdu le soutien de leurs partisans. Les Soviétiques se sont retirés en 1988, n’ayant fait aucun progrès et ayant perdu la volonté politique de réussir. Ce fut un conflit coûteux, sans aucun bénéfice.

Les Américains (et quelques troupes de l’OTAN) sont actuellement en train de répéter l’expérience soviétique, avec des résultats très similaires. Voici un joli petit fait pour illustrer ce point : le 18 mars 2012, Hamid Karzai, le président de l’Afghanistan imposé par les Américains et un Pachtoune de souche (mais un apostat évident du Pachtounwali) dénonçait les Américains comme étant des  » démons «  engagés dans des  » actes sataniques. «  Les Américains ont rapidement réagi… en ne disant rien et en faisant encore moins. Puis ils ont fait appel à des médias aux ordres bien pensants qui ont déclaré que l’Afghanistan était encore, potentiellement, « une bonne guerre ». Ainsi, le résultat de l’invasion américaine de l’Afghanistan était prévisible : les Américains font comme si rien ne s’était passé. Lorsqu’ils seront forcés d’en discuter, ils resteront dans l’illusion. Mais surtout, elle ne fait pas la une des journaux, et les Américains ne savent plus, ou ne se soucient plus, de ce qui se passe là-bas. Au départ, les États-Unis sont entrés en Afghanistan avec l’illusion qu’ils y trouveraient Oussama Ben Laden (alors que, si l’on en croit les informations, Oussama était au Pakistan, vivant tranquillement à côté d’une école militaire). Si les avions de ligne recommencent à s’écraser sur des gratte-ciel, il y a de fortes chances pour qu’une autre tribu soit « bombardée pour la renvoyer à l’âge de pierre ».

Une approche qui fonctionne

Il est difficile, mais pas impossible, d’engager un dialogue constructif avec les Pachtounes : en des temps meilleurs, les Pakistanais ont été les plus proches de le faire. Ils ont offert gratuitement les quelques cadeaux importants que les Pachtounes étaient prêts à accepter et à apprécier. Ils ont offert aux Pachtounes un sentiment de participation en leur donnant une large audience et une voix. Ils ont fourni un horizon temporel illimité pour engager les Pachtounes en tant que voisins permanents, en construisant des liens traditionnels et des relations à long terme. Ces activités reposaient sur la conviction que les tentatives d’imposer l’ordre sans autorité légitime sont vouées à l’échec et sur la prise de conscience qu’avec les Pachtounes, une telle autorité légitime doit nécessairement venir de l’intérieur et rester autonome et décentralisée.

Le succès de ces accommodements s’explique en partie par le fait que le Pakistan est un État faible aux ressources limitées. Mais tant qu’il y aura de puissants empires militaires sur la planète (plus pour très longtemps, espérons-le), nous devrons nous attendre à ce que l’un d’entre eux vienne périodiquement et, comme ceux qui l’ont précédé, se casse les dents sur le Pashtunwali. On pourrait penser qu’ils apprendront de leurs erreurs respectives, mais voici une règle simple à retenir : l’intelligence d’un groupe de personnes hiérarchiquement organisé est inversement proportionnelle à sa taille, et les grands empires militaires sont si grands, et par conséquent si stupides, qu’ils n’apprennent jamais, jamais rien.

Dmitry Orlov

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




La dictature Macron

[Sources : nicolasbonnal.com et reseauinternational.net]

[Sur l’illustration : « Aucune autre espèce sur la Terre ne s’alignerait volontairement pour sa propre exécution »]

Par Nicolas Bonnal

La dictature de Macron comme à la parade

Voici où nous en sommes : vaccination avant incarcération et extermination (mais avec assentiment populaire). Et cela gagnera toute l’Europe. Voyez la Grèce, l’Allemagne ou la Belgique…

Macron établit sa dictature avec l’assentiment de la ploutocratie totalitaire : voyez mon livre de 2017, quand j’ai évoqué la fin des libertés. J’annonçais aussi de nouvelles résistances, mais de ce côté, au pays de Louis XIV, de Napoléon, de Napoléon III, de la Vendée, des Massacres de septembre, des guerres mondiales et coloniales, des droits du citoyen et du politiquement correct remixé Mai 68, on a été moins entreprenant que prévu – à part la protestation pétrolière et vite calmée (et encadrée) des Gilets dits Jaunes.

Tout cela je l’avais exposé dans mon universitaire pamphlet intitulé le Coq hérétique : la France n’était pas la terre de la liberté. Point. Les plus grands écrivains du dix-neuvième siècle l’avaient dit, et ils avaient fini par inspirer le dernier grand esprit français François Furet (Penser la révolution française). Jouvenel dans son Du pouvoir eut le courage de mettre les pendules à l’heure après 1945 quand il inventa la fastueuse expression « démocratie totalitaire » depuis rebaptisée « société ouverte ».

De la même manière on assiste depuis quelques semaines à une disparition des antisystèmes ; le front se fracture et je l’avais dit aussi en me basant sur le film de Don Siegel L’invasion des profanateurs de sépulture. À la fin le héros (excellent Kevin McCarthy – sic) se retrouve seul face aux extraterrestres ou comme dirait Philippot aux rhinocéros. La fin-vaseline a été rajoutée sur ordre des studios, alors que Siegel (l’évadé d’Alcatraz…) voulait montrer une seule chose : nous devenions des légumes face à l’État et à la télé ; rappel, le héros résistant est médecin aussi, et c’est un beau clin d’œil. À la même époque on réalise aussi à Hollywood l’Homme qui rétrécit, qui rétrécit face à la science, face au médecin, face au chat, face à la femme libérée. Rien de neuf là aussi : lisez le livre VIII de Platon et le compte-rendu que j’en ai fait.

Les antisystèmes et les rebelles se volatilisent donc comme l’Église. Des gusses comme le Saker insultent, le vieux catho Castelnau ronchonne, Raoult rétropédale, le Tandonnet évoque une panique, les pépères comme Sannat résistent passivement, les Ménard et les Marianne veulent vacciner à tour de bras. En réalité ce n’est pas qu’il y avait fausse opposition ou opposition contrôlée, c’est qu’il n’y avait pas d’opposition du tout. Les types aboient, prennent leur coup de pied et partent la queue entre les pattes. C’est très bien expliqué dans Point Break.

Tandonnet, ex-conseiller de Sarkozy et biographe de Tardieu (il faut le faire), ose écrire que le pouvoir panique. C’est comme si on disait que Louis-Napoléon Bonaparte paniquait le 2 décembre 1851 ou que Hitler tremblait de peur avant l’incendie du Reichstag. Il devrait lire Jouvenel ou Tocqueville au lieu de les citer ; le pouvoir ne fait que se renforcer. Il le fait car il a affaire à un peuple de semi-esclaves qui a cru se libérer en 1789 ou en 1870. On en revient à l’hallucination collective dont j’ai parlé maintes fois et qui dure en occident depuis la Renaissance et la machine à imprimer (Gutenberg, Faust, la planche à billets…).

La liberté occidentale est un mythe absolu : les gouvernements occidentaux sont toujours enragés, bolchéviques, oligarchiques, fascistes, ce qu’on voudra. Le populo continuera de se coucher, comme le remarquaient en leur temps Céline, Drumont et Bernanos.

Les bourreaux volontaires vont charger, et le troupeau s’incliner.

On conseillera aux résistants de se faire une raison avec leurs paquets. Ce n’est pas la Résistance qui a libéré la France, contrairement à l’énième mythe reçu.


La dictature Macron entre bourreaux volontaires et moutons de Panurge

Macron joue sur du velours – avec un beau boulevard devant lui. Alors que les antisystèmes invoquent comme toujours la Résistance, le gaullisme, 89, les droits de l’homme, Dieu sait quoi encore, 1,3 million de Français se sont vaccinés après la sévère allocution du martial président. On a senti encore la puissance des médias, ces instruments d’hallucination collective. Et on a compris qu’internet n’aura servi à rien comme outil de développement intellectuel personnel. Je dirais même qu’on a reculé sur ce point depuis 2001. Il y a de moins en moins de justes – comme sous toute occupation qui dure.

On va citer Rabelais alors : « Soudain, je ne sais comment la chose arriva si vite, je n’eus le loisir de le considérer, Panurge, sans dire autre chose, jette en pleine mer son mouton criant et bêlant. Tous les autres moutons, criant et bêlant avec la même intonation, commencèrent à se jeter et sauter en mer à sa suite, à la file. C’était à qui sauterait le premier après leur compagnon. Il n’était pas possible de les en empêcher, comme vous connaissez le naturel du mouton, qui est de toujours suivre le premier, en quelque endroit qu’il aille. Aristote le dit aussi au livre 9 de « L’Histoire des animaux », c’est l’animal le plus sot et inepte du monde ».

Notre peuple d’imbéciles s’est tellement fait bourrer le mout à l’école avec des histoires de révolution, de droits de l’homme et de résistance qu’il accepte sans broncher la pire des tyrannies. Anesthésié par la technologie et le renforcement pervers de l’État-providence, le peuple est devenu depuis la disparition du parti communiste et du catholicisme un vrai ochlos au sens grec, une masse imbécile, soumise, adoratrice du fric et de la merde culturelle. Ochlocratie rime avec ploutocratie, et on a vu cette France arriver avec le mitterrandisme au cours des années 80, quand les « jumeaux du populisme » Le Pen et Tapie consacraient cette alliance non pas contre nature mais contre culture ; ce fut à cette époque que tout jeune je pus vivre l’effondrement de ce pays du point de vue de la civilisation. La marginalisation du peuple date de cette époque-là. Et il fut pris en charge par une américanisation culturelle proprement insensée. Plus récemment l’écrasement des benêts gilets jaunes a servi d’accélérateur à l’entropie politique de la nation. Je rappelle toujours l’interview de Stanley Payne sur les Espagnols : ils sont anesthésiés, crétinisés par la matrice, et ils demandent quelque chose, même si ce n’est pas beaucoup (« pide algo, no mucho »).

Il y a une petite minorité dont nous sommes, dont le nombre va diminuer (« l’homme qui rétrécit ») et qui va être persécutée et transformée en bouc émissaire : voyez mes textes sur Stefan Zweig et Bernanos. Désolés, mais nous allons passer de sales moments. La masse des bœufs ne se révoltera pas plus que contre Hitler, Pétain ou Franco. Elle fermera les yeux ou hurlera avec les loups.

Il faut voir maintenant le problème des bourreaux volontaires, flics, gendarmes, militaires (beaucoup de traitements très réévalués par le régime), médecins, fonctionnaires divers et avariés, enseignants, et bien sûr journalistes, sans compter les politiciens ; combien y en a-t-il et jusqu’où iront-ils ? Tout nous a montrés jusque-là que personne ne recule, et ce d’autant que la résistance n’oppose aucune résistance quantitative (je veux dire par là que nous n’attirons pas les masses). Je répète aussi qu’il faut un certain temps pour en former ; mais le virage traîtreux du chiraquisme au milieu des années 2000, renforcé par les démentielles présidences suivantes, a préparé selon moi une belle avant-garde de tortionnaires. Le reste est chez Stefan Zweig.





L’arrivée d’un messie extraterrestre : tromperie ou séduction diabolique ?

[Source : Conscience du peuple (conscience-du-peuple.blogspot.com)]

  • Un avènement extraterrestre est-il au programme?​
  • Existe-t-il un lien possible entre des rituels occultes, maçonniques, et l’apparition d’êtres « d’un autre monde »?​
  • Comment des scientifiques, comme l’astrophysicien Jacques Vallée, se positionnent-ils sur la question des OVNIS et des « enlèvements extraterrestres »?​
  • Quelle est la position du Vatican concernant la question extraterrestre? Une position plutôt surprenante et choquante…
  • Comment les autorités politiques, soit la gouvernance mondiale, risquent-elles de réagir face à un avènement extraterrestre?​
  • Les pièges du Nouvel Âge…
  • Est-ce que les Écritures bibliques nous parlent d’extraterrestres ou de créatures « d’un autre monde »?​ Doivent-elles revenir à la Fin des Temps?
  • Qui sont les réelles puissances qui sont aux commandes ? Laisseront-elles des personnes ou un groupe de personnes faire dévier leur projet ?

Cette vidéo expose un point de vue sur les visées occultes de la gouvernance mondiale, révélées et marquées par les Pères fondateurs sur le dollar américain. Selon elle, ces symboles maçonniques sont disséminés partout, spécialement à Washington DC.

https://youtu.be/_xMEBe__9AQ



Le partisanisme politique déroule un tapis rouge à la propagande

[Source : entelekheia.fr]

Traduction et note d’introduction : Corinne Autey-Roussel

Aujourd’hui, sur les réseaux sociaux, les forums internet, etc, on en vient souvent à croiser des gens dont les opinions semblent se confondre avec l’individualité elle-même. Ils sont ce qu’ils croient, et rien de plus. Tout argument, si raisonnable soit-il, contre une de leurs opinions est perçue conne une insulte personnelle. Cette perte d’identité propre, signalée par une identification totale de leur ego à des idées extérieures (« l’esprit de gramophone » d’Orwell) est dangereuse, car elle les soumet à toutes sortes de manipulations – politiques, médiatiques, professionnelles, etc. Or, nous ne nous résumons certainement pas à une compilation d’opinions ! Quand nous changeons d’avis parce que des éléments nouveaux nous ont fait avancer dans une réflexion, notre personnalité ne change pas d’un iota ; bien au contraire, elle se développe, mûrit et s’affirme. C’est une réalité de la construction de l’individualité que bon nombre d’entre nous devraient se réapproprier. En attendant…

Corinne Autey-Roussel


Par Caitlin Johnstone
Paru sur le site de l’auteur et Consortium News sous le titre Political Partisanship Is a Propaganda Lubricant

La création de grandes structures psychologiques identitaires facilite grandement le travail des propagandistes.

L‘étude du déroulement du nouveau récit des médias américains sur les ovnis a été très instructive, car elle met en lumière les dynamiques dont je parle souvent sous un jour nouveau qui les rend plus visibles. [Voir, en français, USA : Le Pentagone et les médias grand public voient des ovnis, NdT]

Un thème qui revient en ce moment est celui de gens qui s’étonnent de la discrétion de la réponse de l’opinion publique à toute cette affaire. On pourrait s’attendre à ce que la déclaration officielle du gouvernement américain selon laquelle l’armée a souvent rencontré d’étranges aéronefs inconnus dotés d’avancées technologiques impensables susciterait un peu plus d’intérêt de la part du public, mais jusqu’à présent, ce n’est pas le cas.

Un YouTuber a récemment résumé ce sentiment avec une diatribe de 13 minutes sur l’étrangeté du silence relatif des gens à ce sujet. J’ai vu de nombreuses autres tentatives d’explications de la réponse apathique à la présence d’ovnis dans les actualités. La plus courante est que les gens ont tellement de choses à faire, de nos jours, que la possibilité d’extraterrestres survolant des navires de la marine américaine ne fait pas partie de leurs priorités. D’autres suggèrent qu’il s’agit si évidemment d’une psy-op militaire que le public n’y prête pas attention.

Aucune de ces hypothèses n’est particulièrement convaincante. Nous voyons tous les jours des polémiques absurdes captiver le public, donc l’idée que les gens n’ont pas d’espace mental à dédier à cette histoire ne tient pas la route.

Bien que la conviction selon laquelle le récit des ovnis ressemble à une sorte de psy-op militaire soit largement acceptée par le type de personnes susceptibles de lire cet article (je le dis moi-même depuis un certain temps), le scepticisme à l’égard des affirmations suspectes du gouvernement n’est pas une attitude répandue dans le grand public.

Il me semble assez clair que la raison pour laquelle cette histoire ne suscite pas autant d’intérêt de la part du public que l’on pourrait attendre est qu’elle n’entre pas dans les petites cases où les gens ont été entraînés à classer les actus dans cette société. Il n’y a pas d’angle partisan dans cette histoire, elle ne fait donc appel à aucune des constructions de l’ego auxquelles le grand public a tendance à raccrocher les actus.

Dans notre société, la probabilité pour qu’une nouvelle devienne virale n’a pas grand-chose à voir avec sa valeur informative, son caractère inhabituel, ni même avec son exactitude factuelle. Le facteur le plus probable pour déterminer si une nouvelle aura ou non un attrait massif est qu’elle valide, ou non, la vision du monde de l’une des deux factions politiques dominantes.

Les médias grand public sèment la zizanie

C’est la raison pour laquelle les grands médias sèment délibérément la division et ciblent des chambres d’écho partisanes de plus en plus extrêmes, au lieu de se contenter de rapporter des informations ; ils ont une motivation de lucre évidente, car flatter l’ego des gens avec du « hate porn » et une validation illusoire de leurs idées est le meilleur moyen d’obtenir des clics et de générer des revenus publicitaires.

C’est pourquoi ceux qui ont soutenu la théorie selon laquelle Trump était un agent russe ont vu leur audience grimper en flèche pendant des années, avant d’être définitivement discrédités par l’avocat spécial [Robert Mueller, NdT] auquel ils avaient littéralement tressé des lauriers et à qui ils avaient même allumé des bougies votives. Il y a plus de preuves de présence d’aliens dans l’atmosphère terrestre que de preuves d’ingérence secrète de Vladimir Poutine aux plus hauts niveaux du gouvernement américain. Mais comme le Russiagate a enflammé les passions de la « gauche » libérale et lui a donné l’impression que sa vision partisane du monde était sur le point d’être corroborée par des faits indéniables, il s’est vendu comme du crack à des junkies.

Vous pouvez immédiatement dire si quelque chose va devenir viral par son degré d’appel à un des courants dominants. Un article sur la façon dont les écoles veulent rendre vos enfants transgenres. Un partisan noir de Trump affirmant que Trump n’est pas raciste. [En France, une énième polémique sur Zemmour, ou Alice Coffin, ou Assa Traore, etc, NdT]. Si vous vous éloignez trop des courants dominants, comme avec le gouvernement américain qui s’est fait prendre à trafiquer une enquête de l’OIAC en Syrie, par exemple, vous ne verrez pas de tonnes de clics, mais si le sujet plaît à des dizaines de millions de partisans de l’un des deux courants dominants, vous en verrez.

L’appel à l’ego

Dans une société asservie à la conscience égotiste comme la nôtre, les choses qui suscitent le plus d’intérêt de la part du public sont celles qui flattent ou exaspèrent les constructions de l’ego. Ce phénomène n’est pas propre à la politique ; les publicitaires ont amassé des fortunes en associant des produits à des virus mentaux culturels tels que des problèmes d’image corporelle ou de manque de confiance en soi, et des animateurs d’émissions télévisées ont compris il y a des décennies qu’il était possible d’attirer des audiences massives par la flatterie envers le public, en lui permettant de se sentir autosatisfait et supérieur par rapport à des personnes pauvres et sans éducation.

Pour que quelque chose devienne viral, il faut que cela fasse appel à l’ego. Les annonceurs l’ont compris. Les responsables des médias l’ont compris. Les propagandistes l’ont compris.

La création de grandes structures psychologiques identitaires facilite énormément le travail des propagandistes ; c’est comme un lubrifiant qui permet aux psy-ops de masse de s’insérer en douceur dans la conscience publique. À partir de là, il est très facile de pousser les gens à détester la Russie ou la Chine pour telle ou telle raison partisane, ou de faire croire que l’ancien président Donald Trump ou l’actuel président Joe Biden aident le peuple, alors qu’ils maintiennent et étendent tous deux le même statu quo meurtrier et oppressif que leurs prédécesseurs.

C’est pourquoi le clivage partisan actuel est plus passionné et conflictuel que jamais, alors que le comportement réel de chaque parti dominant, lorsqu’il est au pouvoir, n’apporte que les changements cosmétiques les plus superficiels.

Les oligarques qui possèdent la classe politique et médiatique désirent la perpétuation du statu quo sur lequel ils ont construit leur empire, mais ils veulent aussi garder le public aussi enfermé que possible dans des optiques partisanes – les marchepieds de la propagande qui emprisonne nos esprits.

La solution à ce problème, au niveau individuel, est de démanteler tout attachement égotiste que vous pourriez avoir pour l’une ou l’autre des factions politiques dominantes soumises au maintien du statu quo. Cela inclut tout attachement au populisme factice de la gauche libérale progressiste, et cela inclut tout attachement au populisme factice de la droite « dure » libérale. Ces factions insérées au sein des factions dominantes sont elles-mêmes des constructions de propagande. Elles ne seront jamais autorisées à promouvoir un programme qui ne serait pas souhaité par l’empire oligarchique ; elles servent uniquement à garder sous l’emprise de la politique dominante les gens qui seraient enclins à la rejeter.

Et bien sûr, la solution ultime à ce problème est que l’humanité prenne ses distances avec l’ego. Toute propagande s’appuie sur des ressorts égotistes de la conscience publique, donc si l’humanité commence à abandonner complètement son habitude de créer des structures d’identité psychologique (ce qui semble commencer à être le cas), nous deviendrons de plus en plus difficiles à manipuler par la propagande. Puisque les problèmes collectifs de l’humanité se résument finalement au fait que des sociopathes manipulent nos esprits à grande échelle, une transformation de ce type rendrait un nouveau monde plus sain non seulement possible, mais inévitable.




Les révélations de la cosmonaute Marina Popovitch

[Source : urantia-gaia.info]

[NDLR Mise à jour en date du 11 février 2023 : malheureusement les sources en français et en espagnol ont visiblement disparu.]

Publié le 8 juillet 2011 par Le Passeur

Née en 1931, Marina Popovitch est un personnage légendaire en Russie. Une étoile dans la constellation du Cancer porte même son nom. Colonel dans les forces aériennes, ingénieur et pilote d’essai ayant survécu à six crashs, elle a volé sur une quarantaine de types d’avions et totalise 107 records du monde dans l’aviation, dont bon nombre n’ont toujours pas été battus. Elle est aussi la première femme à avoir piloté un avion de chasse et avoir franchi le mur du son.

Enfin, professeur en science aérodynamique, maître de conférences et vice-présidente de l’Université d’Arkhangelsk, elle a également suivi des études de théologie et de physique, ainsi que plusieurs enseignements pratiques destinés à éveiller les capacités psychiques dites paranormales. Elle est ainsi devenue capable de voir l’aura humaine et s’est formée à la communication par télépathie. Voilà pour cadrer le personnage.

Avec un tel cursus et un tel palmarès, il est difficile de ne pas prêter attention à ses paroles, d’autant qu’elle est connue depuis 1991 pour avoir publié ce qu’elle déclare être la dernière photo transmise par la sonde Phobos II avant sa disparition près de Mars, et avoir porté au public l’observation de plus de 3.000 OVNIS en Russie et la possession par les Russes de cinq d’entre eux qui se sont crashés, notamment à Tunguska en 1908 (voir article sur Tunguska) et Dalnegorsk en 1986.

Elle a surtout beaucoup parlé des découvertes des scientifiques russes quant à l’interaction permanente entre les émotions humaines et les champs électromagnétiques de la Terre et leur impact immédiat sur l’activité du Soleil. Elle a notamment évoqué la présence de zones obscures dans ces champs par exemple sur les pays où la guerre faisait rage, comme l’Irak.

[Voir aussi : Terre vivante ? et Catastrophes naturelles et pollution mentale]

[L’idée d’impact des émotions humaines sur le climat avait également été évoquée
dans le livre Urane – l’éducation et les lois cosmiques, publié en 1991]

Selon elle, les scientifiques estiment que le chaos émotionnel humain perturbe énormément la Terre, qui réagit de plus en plus violemment à cette saturation. Ce qui doit être porté à la connaissance des populations et doit absolument déclencher un changement radical de tous nos comportements.

Il est à noter que bien des révélations sont faites depuis quelques années par des personnalités issues du monde militaire, notamment des astronautes et des hauts gradés russes et américains. J’ai du mal à penser que ces « fuites » soient autorisées s’il n’y a pas une volonté sous-jacente d’une faction au moins de ceux qui exercent des pouvoirs dans ce domaine que cela soit su. Par ailleurs ce changement de communication reste timoré et la médiatisation grand public reste faible, voire même nulle dans certains pays comme la France.

Le fait que ces révélations existent peut vouloir annoncer la fameuse divulgation quant à la présence extraterrestre que beaucoup espèrent et pour laquelle ils luttent depuis des décennies. Mais on ne peut exclure qu’elle puisse encore servir une manipulation des marionnettistes de notre monde dans le but de conserver le contrôle dans une situation nouvelle, où des événements majeurs et contre lesquels ils ne peuvent rien auront eu lieu.

En attendant de vivre le scénario à venir, voici une intéressante interview de Marina Popovitch, réalisée pour le journal espagnol Planète urbaine :

Pendant la guerre froide, la Russie a donné une grande importance à l’étude du domaine paranormal. Vous avez fait des découvertes importantes sur la grille énergétique de la planète ainsi qu’un « champ d’enregistrement psychique » qui entoure la Terre. Comment cela fonctionne-t-il ?

– Les études réalisées à Moscou ont déterminé que la planète est entourée d’un immense réseau énergétique, un « tissu » d’énergie qui possède une distribution de forme géométrique. La géologie des continents répond aux schémas directeurs énergétiques de cette grille. Toute la structure de ce que nous connaissons comme l’univers physique s’ordonne selon des schémas géométriques déterminés. Ceci est connu sous le terme de « Géométrie sacrée ». Par ailleurs, en 1958, le professeur Bernascki a découvert une sorte d’anneau qui enveloppe la planète et qui contient un champ d’énergie dans lequel sont mémorisés des « registres » de toutes les formes de vie et de l’histoire de la planète. Il a été découvert que ce champ d’énergie ne se situe pas sur un plan physique. Nous avons été capables de détecter cette bande et de la «lire» avec des instruments scientifiques et en utilisant des médiums entraînés à le faire.

Nous avons ainsi découvert que ce champ est un tissu éthérique chargé d’émotions. C’est pourquoi il est nécessaire de contrôler nos passions. Chacun de nous a le pouvoir d’affecter ce champ de manière positive ou négative. Toute la négativité exprimée, comme la haine et la peur, a une incidence directe sur l’état de la planète. La Terre réagit violemment à nos pensées et nos sentiments et elle émet un type de rayonnement qui se répercute sur les modèles climatiques. Les éléments sont comme des anticorps planétaires.

Est-ce que cela pourrait être une des causes des changements climatiques violents qui se produisent actuellement ?

– C’est seulement une partie d’un immense processus qui s’inscrit dans un ordre cosmique parfait. Les scientifiques savent très bien que nous sommes confrontés à un processus cyclique et inévitable qui ne peut juste se réduire à l’homme. Dans l’univers tout est interconnecté, quoi que nous fassions d’harmonieux ou de dysharmonieux, et affecte la Terre. Ces charges négatives affectent en tout les êtres humains et sont en fait plus puissantes que l’énergie nucléaire elle-même. La planète, comme si elle était un corps malade, réagit avec des anticorps naturels pour soigner ce désarroi. La pollution n’est pas causée uniquement par la consommation des énergies résiduelles. Nous sommes nous-mêmes une puissante source de pollution. Le monde répond à la haine et l’amour (voir La Clé du Présent).

Est-il vrai que les Russes avaient une bonne avance par rapport aux Américains dans ce domaine ?

– Certains médiums russes ont dit qu’ils s’étaient retrouvés sur des plans astraux (non physiques) en présence d’Américains travaillant dans le même domaine.

Par le biais d’un entraînement spécifique, on a pu détecter ces champs de  pollution « psioniques » et on a vu comme un manteau obscur enveloppant certaines parties du globe terrestre. On a constaté qu’en utilisant certaines fréquences, il est non seulement possible d’influencer la vie en exerçant un contrôle mental, mais aussi de modifier le climat. Il existe des études poussées concernant l’antigravité qui ont amené des découvertes sur les champs scalaires, les énergies vectorielles et le vide.

Une application correcte de cette technologie pourrait avantageusement changer le monde.

[Voir aussi Note sur le mental et l’astral]

Tout nous indique que des changements climatiques majeurs vont nous obliger à changer radicalement la façon dont nous concevons notre civilisation. Quelles sont les conclusions que les scientifiques russes tirent pour la Russie à ce sujet ?

– Ces changements sont une réalité et nos scientifiques ont conclu que nous entrons dans une période de grands bouleversements de l’écosystème terrestre. Mais le plus important est que ces événements constituent un défi majeur pour l’humanité. Ils doivent être vus comme une opportunité ainsi que l’unique option pour le monde entier de décider unanimement que les vieilles formes d’exploitation de l’énergie soient remplacées par d’autres, renouvelables et non polluantes.

Il existe des preuves de visites extraterrestres à travers le monde. Il semble que les gouvernements aient même été prévenus des grands changements à venir. Que pouvez-vous nous dire à ce sujet et pourquoi personne dans le monde ne présente ces preuves ?

– Nous avons atteint un point dans l’évolution de l’intelligence humaine où il est plus logique et crédible de suggérer l’existence d’une vie au-delà de notre monde que de la nier. Les grands gouvernements le savent… et le nient. Parce que si vous aviez la connaissance que ces êtres possèdent — y compris la véritable histoire de notre planète — le système actuel des croyances s’effondrerait en un rien de temps. Le pouvoir même que ces gouvernements ont sur la population mondiale pourrait disparaître du jour au lendemain. Ces créatures ont des connaissances très avancées sur ce qu’on appelle « l’énergie libre ». Notre planète et l’univers possèdent d’innombrables sources d’énergies non polluantes dont l’usage pourrait blesser mortellement l’empire dominant de l’économie mondiale. Utiliser des sources d’énergie polluantes maintient la totalité du système actuel dans la dépendance des ressources monétaires.

[Voir aussi : L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Les ultimes photos de la sonde Phobos II

Ces êtres respectent notre libre arbitre et ne s’impliquent donc pas directement dans nos affaires. Ils ont prouvé qu’ils viennent avec de bonnes intentions et ont démontré comment ils peuvent neutraliser, en quelques secondes, la technologie terrestre la plus avancée si elle est utilisée pour les attaquer.

Cela ne peut pas et ne doit pas être caché aux populations du monde. Tout ce qui concerne la question doit être révélé. Dans toutes mes conférences et mes livres, je présente les événements les plus divers qui se sont déroulés sur le sol soviétique. La mission Phobos II *, que nous avons envoyée vers Mars, a disparu lorsqu’elle a transmis à la Terre des photos d’un vaisseau géant d’environ 15,5 miles de long (25 km).

Comparaison entre Phobos et l’OVNI

La disparition ou la perte de contact avec les sondes envoyées depuis la Terre a été un sujet de conversation et de débat entre le président Bush père et Gorbatchev à la Conférence de Malte. Il y a eu des contacts entre les astronautes dans l’espace et des êtres venus d’autres mondes. Je suis convaincue que très bientôt quelque chose va arriver sur la planète qui va obliger ces êtres à se présenter massivement dans notre monde pour nous aider. Et ce sera l’événement le plus important de l’histoire moderne.

Interview réalisée pour Planeta Urbano – Traduction Le Passeur (juillet 2011)


* Phobos II est une sonde envoyée en 1989 par les Russes pour observer Phobos, l’une des deux lunes de Mars qui ne fait que 28 km par 20 km, orbitant à peine à 6.000 km de la planète. Les deux sondes Phobos I et II ont mystérieusement perdu le contact avec la Terre. Seule Phobos II a pu émettre quelques photos.

Pour en savoir plus, voir cet article.

Source originale de l’interview (en espagnol).

Source : http://www.urantia-gaia.info
(en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)



Pour en finir avec le National Economic Security and Recovery Act (NESARA) qui conduit les gens à accepter docilement la Grande Réinitialisation

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Il y a très longtemps que j’y songeais et j’ai maintenant décidé d’écrire un article pour en finir avec l’arnaque du « National Economic Security and Recovery Act » (NESARA) qui conduit les gens non avertis à accepter docilement le plan des globalistes de la Grande Réinitialisation (Great Reset). Cet ensemble de propositions de réformes économiques préparées entre 1980 et 1990 par Harvey Francis Barnard partaient d’une bonne intention. Par contre, elles ont vite été récupérées par des gens sans scrupules, — reliés au mouvement New Age —, afin de tromper le monde et l’amener à croire en une réforme bienfaitrice pour l’humanité. En fait, elle amène les gens à faire confiance et à adopter aveuglément le remise à zéro promue par les élitistes du Forum économique mondial (FEM).

C’est pour cette raison que j’en ai assez de ces gens qui manipulent leur auditoire en propageant des mensonges ou des demi-vérités. Ici, l’ignorance n’est pas une excuse puisque lorsqu’on ne maîtrise pas son sujet, on ne peut prétendre l’enseigner aux autres. Je prends pour exemple les frères jumeaux Daniel et Eric Tadros qui partagent la plupart du temps des informations biaisées et souvent erronées. Cela ne les empêchent nullement de quémander de multiples dons comme pour les récompenser de leur paresse intellectuelle. Il faut souligner que les personnes qui promeuvent d’une façon ou d’une autre le projet NESARA – en fait – font le jeu d’une fraude financière reconnue depuis longtemps.

Le « National Economic Security and Recovery Act » (NESARA) est désormais utilisé à des fins d’opération psychologique et vise à faire adopter la Grande Réinitialisation (Great Reset) de Klaus Schwab. Le 11 Novembre 2016, la socialiste danoise Ida Auken écrivait sur le site internet du FEM :

« Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun appareil ni aucun vêtement. (…) Tout ce que vous considérez comme un produit est maintenant devenu un service. »


National Economic Security and Recovery Act (NESARA)

Dr Harvey Francis Barnard

Le « National Economic Security and Recovery Act » (NESARA) était un ensemble de propositions de réformes économiques pour les États-Unis suggérées au cours des années 1990 par le Dr Harvey Francis Barnard. Barnard a affirmé que les propositions, qui comprenaient le remplacement de l’impôt sur le revenu par une taxe de vente nationale, la suppression des intérêts composés sur les prêts garantis et le retour à une monnaie bimétallique, entraîneraient une inflation de 0% et une économie plus stable. Les propositions n’ont jamais été présentées au Congrès.

NESARA est depuis devenu plus connu comme le sujet d’une théorie de type sectaire promue par Shaini Candace Goodwin, également connue sous le nom de “Colombe de l’Unité” (Dove of Oneness), qui a affirmé que la loi avait en fait été adoptée avec des dispositions supplémentaires telles que la Loi sur la sécurité économique nationale et la réforme, puis réprimé par l’administration George W. Bush et la Cour suprême. Les courriels de conspiration de Goodwin ont été traduits en plusieurs langues et ont un grand nombre de fans en ligne.

Harvey Francis Barnard est né le 22 septembre 1941. Il est retourné dans la région de Baton Rouge, en Louisiane, après une absence de 20 ans en tant que conseiller pédagogique auprès de l’industrie de l’énergie dans des villes à travers les États-Unis. Il a appliqué son doctorat en théorie des systèmes à l’économie dans son livre publié, « Draining the Swamp ». Il a proposé des modifications du système monétaire et fiscal pour favoriser l’accession à la propriété et l’équité pour les contribuables. Il a succombé à une insuffisance cardiaque le mercredi 18 mai 2005 dans un hôpital local.

Nous pouvons lire sur le site Web de Signature Book Printing, Inc. : « Le Dr Harvey F. Barnard écrit sur l’argent mais n’est pas un économiste, sur la banque mais n’est pas un banquier, sur le droit mais n’est pas un avocat, sur la morale mais n’est pas un ministre, sur l’histoire mais n’est pas un historien, sur la société mais n’est pas sociologue, et sur la politique mais n’est pas un politicien. Il a commencé sa carrière en tant que dépanneur de systèmes, la personne que vous appelez pour « réparer » quand il est en panne. Au cours des trente dernières années, il a travaillé en tant que consultant technique enseignant des techniques de dépannage de grands systèmes à une variété de clients. Sa recherche d’une cause profonde et des solutions aux problèmes américains a commencé à la fin des années 60. »


National Economic Security and Recovery Act (NESARA) from Éditions Dédicaces

Proposition de réforme monétaire

Harvey F. Barnard, diplômé de la Louisiana State University en philosophie des systèmes et consultant et enseignant en ingénierie, a créé la proposition NESARA à la fin des années 1980 et au début des années 1990. Il a imprimé 1000 copies de sa proposition, intitulée « Draining the Swamp: Monetary and Fiscal Policy Reform » (1996) et a envoyé des copies aux membres du Congrès, croyant qu’elle passerait rapidement sur ses mérites.

Basé sur une théorie selon laquelle la dette est le premier facteur économique inhibant la croissance de l’économie, et l’intérêt composé le « mal moral » numéro un et la raison de la dette, Barnard a fait plusieurs autres tentatives au cours des années 1990 pour attirer l’attention politique sur les problèmes qu’il voyait dans l’économie américaine, et sa proposition de reprise économique basée sur les causes profondes qu’il a déterminées. Après que ceux-ci n’aient pas abouti, il a décidé en 2000 de libérer la proposition dans le domaine public et de la publier sur Internet.

Barnard a créé l’Institut NESARA en 2001 et a publié la deuxième édition de son livre en 2005, sous le titre « Draining the Swamp: Monetary and Fiscal Policy Reform ». Le 29 juillet 2002, on pouvait lire sur le site internet de NESARA : « Le projet de loi n’a pas été promulgué, n’a pas été présenté au Congrès et n’a pas encore reçu de numéro de suivi. Numéro de projet de loi : Aucun. Les membres du Congrès soutenant publiquement le projet de loi : Aucun. » Il est toujours possible de consulter le projet NESARA sur la plateforme d’archivage « Internet Archive ».

Shaini Goodwin, la Colombe de l’Unicité

Cadence «Shaini» Goodwin

Peu de temps après que Barnard a publié NESARA sur Internet, une femme connue sous le nom de “Dove of Uneness” (Colombe de l’Unicité) a commencé à publier à ce sujet sur des forums Internet. La “Colombe de l’Unité” a été plus tard identifiée comme étant Cadence «Shaini» Goodwin, une ancienne élève de la Ramtha’s School of Enlightenment (RSE), qualifiée dans les médias de “reine cyberculte”. Ramtha’s School of Enlightenment est une secte spirituelle américaine New Age près de la ville rurale de Yelm, à Washington.

L’école a été créée en 1988 par JZ Knight, qui prétend canaliser un être de 35000 ans appelé Ramtha l’Éclairé. Les enseignements de l’école sont basés sur ces sessions de canalisation.

Shaini Goodwin était une fille sombre et extravertie, originaire d’une petite ville de l’État de Washington. Quelques décennies plus tard, elle était une consultante en informatique divorcée et sans succès vivant avec sa mère dans sa maison mobile. Vers la fin des années 1990, elle a commencé à devenir active sur les forums de discussion en ligne de Omega Trust (probablement comme l’un des investisseurs prometteurs) sous le nom de Dove.

Lorsque Barnard a publié en ligne son texte NESARA au format PDF, il a été rapidement repris par Goodwin qui avait maintenant une nouvelle carotte à pendre devant les victimes de l’arnaque Omega, toujours pleines d’espoir. Goodwin a créé son propre logo et a lancé un site Web copieur, nesara.us, où elle a réinterprété la proposition de Barnard et ajouté des fonctionnalités toujours plus extravagantes et séduisantes telles qu’une nouvelle « monnaie arc-en-ciel » soutenue par des métaux précieux et affirmant qu’il y avait au moins 50 « programmes de prospérité » qui commenceraient à être distribués dès que la « loi secrète NESARA » serait officiellement annoncée. Plus la paix mondiale et l’énergie alternative gratuite.

Le faux logo NESARA par Dove of Oneness

Selon le site internet de Goodwin, le projet de loi NESARA a langui au Congrès avant d’être finalement adopté par une session secrète en mars 2000 et signé par le président Bill Clinton. On prétend que la nouvelle loi devait être appliquée à 10 heures du matin le 11 septembre 2001, mais que les ordinateurs et les données (des bénéficiaires des billions de dollars des « fonds de prospérité ») ont été détruits au deuxième étage d’un des tours du World Trade Center à New York pendant les attaques terroristes. Il semblerait qu’un ordre de bâillon antérieur émis par la Cour suprême avait interdit à toute source officielle ou privée d’en discuter, sous peine de mort.

Goodwin a fait référence aux « Chevaliers blancs », la plupart d’entre eux étant des hauts fonctionnaires militaires, qui luttent depuis pour faire appliquer la loi malgré l’opposition du président George W. Bush. Goodwin croyait et prétendait que Bush avait orchestré les attaques du 11 septembre et la guerre en Irak comme une distraction de NESARA. La description de Goodwin de NESARA va bien au-delà de la proposition de Barnard en annulant toutes les dettes personnelles, en supprimant l’Internal Revenue Service, en déclarant la paix mondiale et en exigeant de nouvelles élections présidentielles et au Congrès. Goodwin a souvent affirmé que les fonctionnaires de Bush tentaient de pirater et de faire tomber son site Web pour l’empêcher de publier la loi.

Harvey Francis Barnard a pris connaissance de la description de Goodwin de NESARA avant sa mort en 2005. Il a nié que NESARA avait été promulguée dans la loi ou même assigné un numéro de projet de loi, et a condamné les allégations de Goodwin comme une campagne de désinformation. Le site Web de l’Institut NESARA, nesara.org, a publié une déclaration essayant de corriger les distorsions de son texte par la secte NESARA, et même l’acronyme original. Goodwin, pour sa part, a rejetté l’Institut NESARA comme une couverture de désinformation pour la famille Bush.

Goodwin a commencé à commenter NESARA en relation avec Omega Trust, un stratagème d’investissement frauduleux dont le créateur, Clyde Hood, était alors jugé. Selon Goodwin, les investisseurs d’Omega Trust recevraient leurs rendements après l’annonce de NESARA. Goodwin a prédit à plusieurs reprises que l’annonce NESARA se produirait dans un avenir très proche, bien que dans les années plus tard, elle soit devenue plus réservée dans ces prédictions.



Les autres développements

Après que Goodwin a commencé à commenter NESARA, d’autres théoriciens de la conspiration basés sur Internet s’y sont accrochés. Un partisan, Sheldan Nidle, lie l’annonce imminente de NESARA dans sa prophétie vieille de plusieurs années d’une visite imminente d’OVNI à grande échelle par des extraterrestres bienveillants (occasionnellement sur son site Web, mais plus en évidence dans ses vidéos, séminaires et apparitions publiques). Jennifer Lee, qui avait l’habitude de publier des rapports de situation sur Internet NESARA presque quotidiennement sur son site maintenant disparu, a discuté d’une foule d’êtres d’un autre monde et « interdimensionnels » qui aident dans les coulisses à faire annoncer NESARA. L’évangéliste Internet Sherry Shriner, qui exploite de nombreux sites Web, considère NESARA comme lié à des extraterrestres reptiloïdes malveillants qui, selon elle, contrôlent depuis longtemps le gouvernement américain.

Les groupes NESARA sont connus à coup sûr pour exister et pour avoir attiré l’attention de la presse en Utah et aux Pays-Bas. Les membres de ces groupes se réunissent pour discuter du statut de NESARA, lire les divers rapports, organiser des manifestations et distribuer des dépliants sur NESARA au public. Goodwin affirmait que les groupes NESARA existent dans plusieurs pays et États américains, y compris la Californie, Washington, l’Arizona et le Texas, et fournit des centaines de preuves photographiques de personnes participant à des manifestations publiques tenant des bannières NESARA, mais il n’est pas clair dans quelle mesure les personnes qui tiennent les banderoles savent ce qu’est NESARA, ni pendant combien de temps ces groupes sont actifs. Le News Tribune a retracé l’histoire derrière au moins certaines de ces photos (photos de camions circulant dans Washington, DC portant les mots “NESARA Announcement Now!”), et a constaté qu’elles faisaient partie d’une campagne publicitaire de 40 000 $ qui aurait été payée par un un résident âgé de San Francisco qui avait fait des dons à Goodwin.

Critique et comparaison à une secte

Le « Maître Ascensionné » Saint-Germain

Les critiques considèrent NESARA comme une secte. Soulignant le fait que Goodwin, Lee et Nidle sollicitaient fréquemment des dons de leurs lecteurs, ils accusent ces dirigeants d’être principalement intéressés à assurer un flux régulier de revenus pour eux-mêmes. Goodwin, qui a également demandé aux lecteurs de faire don de leurs miles de fidélisation, a affirmé qu’elle avait besoin et avait utilisé les fonds pour se rendre dans divers endroits à travers le monde afin de rencontrer secrètement des hauts fonctionnaires du gouvernement au sujet de l’annonce de NESARA.

Certains partisans de NESARA affirment également que des êtres d’un autre monde travaillent pour faire annoncer NESARA. Ceux-ci incluent un être cosmique « canalisé » appelé « Hatonn » (un androïde Pléiadien), et un autre nommé Sananda. Selon certains partisans des enseignements des maîtres ascensionnés, tels que Joshua David Stone, Sheldan Nidle et Luis Prada, Sananda est le “nom galactique” du Maître Ascensionné Jésus, qu’il utilise dans son rôle de commandant en chef du commandement Ashtar, flotte de soucoupes volantes.

Pallas Athena est considéré comme le vice-commandant de la flotte de soucoupes. Ashtar (Ashtar Sheran) est considéré dans ces enseignements comme étant le troisième commandant. La désignation de George W. Bush comme reptilien déguisé coïncide souvent avec cette affirmation. Goodwin a affirmé que le Maître Ascensionné Saint-Germain est descendu du plan éthérique pour rencontrer physiquement les chefs de banques et les dirigeants mondiaux concernant l’annonce de NESARA.

La proéminence de la prophétie ratée apporte également un soutien à la théorie du culte. Les partisans de NESARA disent souvent à leurs lecteurs que l’annonce de NESARA va avoir lieu dans quelques jours. Ces affirmations ont été faites trop souvent pour être énumérées, sans jamais aboutir. Selon le documentaire Waiting For NESARA, il a également été affirmé avant mars 2003 que George Bush planifiait la guerre avec l’Irak dans le seul but de retarder l’annonce de NESARA. Il a été prophétisé que les êtres spirituels et les OVNIS interviendraient avec les plans de Bush et empêcheraient la guerre.

Une plainte déposée en juin 2006 auprès de la division de protection des consommateurs de Washington a accusé Goodwin d’avoir utilisé l’histoire de NESARA pour escroquer au moins 10 000 dollars une femme de 64 ans à San Francisco. La fille de la femme a déclaré que le montant réel était beaucoup plus élevé, des centaines de milliers de dollars. (The News Tribune, 18 juin 2006)


NESARA : Drain the Swamp (Free book) ; Global Currency Reset from The Free School

À propos de Clyde D. Hood et Omega Trust

La fraude financière de Clyde D. Hood (The Free Lance-Star, 31 août 2000)

Clyde D. Hood est un ancien électricien de Mattoon, dans l’Illinois. En 1994, Hood a formé Omega Trust and Trading Limited et a commencé à donner des conférences aux groupes religieux. Il a dit que le Seigneur lui avait donné une mission. Il a affirmé qu’il était l’un des négociants internationaux qui pouvaient conclure des transactions secrètes de plusieurs millions de dollars au profit de programmes humanitaires par le biais de débentures et de « billets de banque de premier ordre » dans des banques étrangères. Hood a demandé un investissement de 100 $ et a promis un versement de 5 100 $ dans les 275 jours. Il voulait que l’argent livré soit emballé dans du papier d’aluminium et via Federal Express parce que le gouvernement fédéral américain tentait de bloquer les échanges via le service postal des États-Unis. Par conséquent, le schéma doit rester secret. Des milliers de personnes des États-Unis et de l’étranger ont envoyé de l’argent.

Le programme a cessé d’accepter de nouveaux investisseurs en 1995. À ce moment-là, Hood avait reçu plus de 10 millions de dollars. Il a commencé à présenter un certain nombre d’excuses expliquant pourquoi les investisseurs n’avaient pas été payés, accusant les coûts administratifs, les problèmes avec les banques étrangères et les conflits financiers internationaux. Alors que certaines personnes voulaient encore se joindre au programme, Hood et ses complices ont affirmé qu’ils pouvaient vendre des unités d’actions de personnes qui avaient voulu quitter le programme. Le montant total estimé était de 20 millions de dollars.

En outre, Hood a commencé de nouveaux plans d’investissement nommés Alpha et Destiny et a obtenu plus d’argent de ceux qui avaient investi dans Omega. Avec l’argent, Hood et ses associés ont acheté des terrains et des entreprises à Mattoon, ont accordé des prêts sans intérêt et ont fait des voyages en Europe. Une partie de l’argent a également servi à financer les activités d’autres associés de Hood comme l’entrepreneur en construction Chris Engel.

Engel a coopéré plus tard avec la police et les a laissés enregistrer une conversation téléphonique avec Hood. L’avocat de Hood Steve Ryan a également été retiré de l’affaire par la suite lorsqu’il a été assigné à comparaître en tant que témoin et pour une éventuelle collusion.

Clyde Hood et ses 18 associés ont été inculpés en 2000. Certains d’entre eux ont plaidé coupable ou ont été reconnus coupables de multiples chefs d’accusation de fraude, de fraude postale, de blanchiment d’argent et de dépôt d’une fausse déclaration de revenus (voir 26 U.S.C. § 7206). Le 10 avril 2001, Hood a plaidé coupable de complot de fraude postale ou électronique, de complot de blanchiment d’argent et de production d’une fausse déclaration de revenus.

Le 24 janvier 2002, Hood a été condamné à 14 ans de prison et à une amende de 5 000 $. Cinq de ses associés ont été reconnus coupables de participation active au programme et condamnés à restituer. Treize associés ont été reconnus coupables de blanchiment d’argent. Trois cent cinquante-cinq victimes ont reçu une restitution des fonds confisqués par Omega Trust pour un montant total de 1 697 310,00 $.

L’Omega Trust existe toujours sur Internet en tant que prétendu programme mondial de lutte contre la pauvreté (NESARA). Hood a été emprisonné au « Federal Medical Center Devens », au nord de Worcester, Massachusetts, et devait être libéré en novembre 2012, mais il est décédé plus tôt la même année à l’âge de 78 ans. (Journal Gazette & Times-Courier, 27 juillet 2012)

Entrevue de Shaini Goodwin qui parle de toutes les choses fantastiques sur NESARA et ses vaillants chevaliers blancs.

Les différentes versions d’« OMEGA » et de « NESARA »

Inger G. Nordangård écrit sur le site internet suédois Pharos : « En août 2000, alors que Hood était à court d’excuses pour le non-retour des fonds investis et était poursuivi en justice, Dove s’est présentée comme la nouvelle cheffe. Elle a simplement pris le contrôle des nombreux abonnés de Hood, qui ont refusé de croire qu’ils avaient été arnaqués. Dès le lendemain, elle a commencé à inventer des histoires pour calmer la foule et garder leur espoir vivant. L’arrestation n’était qu’un “complot” contre Hood pour “arrêter les paiements” et les accusations seraient bientôt abandonnées. » Shaini Goodwin a vivement averti les membres qui feraient des recherches d’informations sur l’affaire :

« Restez à l’écart des site Web qui contiennet des informations sur cette affaire !!! », a-t-elle écrit. « Vous serez suivi si vous accédez à ces sites Web. Et évitez absolument de remplir des plaintes – vous pourriez perdre votre financement si vous faites cela! »

Le site internet “Un souffle de la vie” conclut ainsi : « À côté des arguments de base de la fraude — argent facile et rapide, mettre à la portée de tout à chacun une spéculation réservée à une élite — Dove a animé une histoire dans l’histoire en plaçant le produit “OMEGA” au cœur d’une intrigue. Le produit “OMEGA” est devenu un maillon parmi une cinquantaine de “Programmes de prospérité”. Des programmes qui devaient financer de vastes projets “humanitaires”. Des sommes de plusieurs “milliards de dollars” pour initier un “nouveau paradigme”. L’intrigue prît encore plus d’ampleur lorsque le déblocage des gains générés devait être conditionné à l’annonce publique d’un projet “NESARA” qui réformerait le système bancaire fiscal au niveau mondial. »

Vous connaissez maintenant la véritable histoire de l’arnaque actuelle de NESARA.



Quand la paix existera-t-elle vraiment ?

Par Joseph Stroberg

[Image : Carte vecteur créée par pickapic – fr.freepik.com]

La paix signifie notamment l’absence de guerres (militaires, civiles, commerciales, idéologiques, etc.) et de conflits entre individus ou entre groupements humains. Elle n’est évidemment pas possible tant qu’il existe des armes de tous calibres et même les plans pour en fabriquer. Elle n’est pas non plus possible tant que l’on recourt à des embargos pour imposer sa volonté à d’autres nations ou à d’autres groupements humains. Elle ne sera pas non plus réalisable tant que des individus ou des groupes chercheront à imposer leurs idéologies ou leurs coutumes à d’autres. Est-ce que tout ceci est envisageable au cours des prochaines années?

La disparition complète des armes, de leurs plans, des embargos économiques et des conflits idéologiques… demandera un changement radical de notre manière de vivre et d’envisager la vie. Et elle impliquera aussi la disparition complète d’un grand nombre d’activités d’ordre professionnel : bien sûr tous les métiers liés à la création et à l’utilisation d’armes, mais aussi une part importante de ceux liés à l’économie et à la justice. En effet, un monde en paix implique la disparition de pratiquement toutes les professions qui sont reliées aux conflits individuels et collectifs ou à leur résolution : militaires, policiers, agents secrets, avocats, juges, notaires, gardiens de prison, etc. Est-ce que ceci est envisageable au cours des prochaines années?

Comment peut-on s’attendre à ce que dans quelques années nous connaissions un Nouveau Monde? Comment l’Humanité pourrait-elle passer de son enfance ou adolescence fortement conflictuelle à une civilisation réellement mature et paisible? Qu’est-ce qui peut permettre qu’un enfant bagarreur ou qu’un adolescent entêté s’assagisse au moins momentanément? Eh bien, il s’agit souvent d’un choc d’un ordre ou d’un autre. Et certains parents avaient ou ont recours à une bonne gifle dans l’espoir de remettre les idées en place de leur progéniture. Cependant, cette pratique violente engendre souvent des effets secondaires non souhaitables, tels que la haine, la colère ou la peur, selon la loi d’action et réaction (voir aussi Pourquoi le NOM nous fragilise ?). Et si l’on veut obtenir un effet plus constructif, il vaut mieux un choc mesuré, appliqué avec juste la bonne quantité d’énergie, dans la bonne direction. Ceci marche généralement mieux avec des énergies subtiles (émotionnelles, mentales ou spirituelles) qu’avec des énergies physiques.

Quel genre de choc pourrait rapidement faire passer l’Humanité à l’âge adulte? Un choc émotionnel tel que celui produit par les événements du 11 septembre 2001 (voir aussi Note sur le 11 septembre 2001, le terrorisme et la manipulation des foules) ne semble pas favorable, car dans ce cas, la conséquence a plutôt été une fragilisation et un hébétement d’une partie de l’Humanité (spécialement en Occident). Non, le genre de choc le plus efficace et constructif serait d’ordre spirituel. Et de ce point de vue, ce sont les personnes matérialistes, athées ou agnostiques qui le vivraient de manière plus intense, au point que pour certaines d’entre elles, l’effet pourrait être psychologiquement destructeur, les poussant vers la folie. Ceci serait d’autant plus le cas qu’elles sont rigides dans leurs croyances.

Dans les milieux alternatifs, certaines hypothèses ont déjà été émises concernant le genre de choc qui pourrait attendre l’Humanité. Certains pensent qu’il y aura un débarquement massif d’extraterrestres bienveillants. D’autres envisagent plutôt ce qu’ils appellent une « ascension » planétaire. Ce qu’ils entendent par là correspond le plus souvent à une élévation plus ou moins brutale ou rapide des vibrations terrestres, via éventuellement celles du Soleil s’élevant lui-même vibratoirement. Là où dans ce cas ils peuvent différer, c’est sur les effets d’une telle ascension. Ceux-ci pourraient être tangibles, allant jusqu’à par exemple « éthériser » la planète et son humanité et donc à les sortir du plan physique (les êtres humains n’auraient alors plus un corps de chair et de sang, mais un corps énergétique vital). Ou ils pourraient être surtout intérieurs, procurant par exemple des aptitudes parapsychiques qui pour l’instant relèvent généralement de science-fiction : télépathie, télékinésie, lévitation, etc. Une combinaison de plusieurs de ces hypothèses est bien sûr envisageable.

L’ascension aurait aussi pour effet de rendre la planète incompatible aux êtres de nature sociopathe ou psychopathe. Ces derniers n’en supporteraient pas la nouvelle qualité énergétique. Quoi qu’il en soit, après un tel choc de nature spirituelle (ou pouvant fortement affecter le système de croyances des êtres humains), l’Humanité ne serait définitivement plus la même et notre mode de vie actuel serait aussi dépassé et inapproprié que notre Système. Un tel événement pourrait intervenir n’importe quand, en une durée relativement courte (quelques jours, par exemple) ou de manière plus progressive. Au final, le résultat serait une transformation radicale de la vie planétaire. La Terre connaîtrait notamment enfin la paix et l’harmonie après des millénaires de conflits.

Maintenant, que préférons-nous? Croire que le monde va continuer sur sa lancée actuelle et qu’il n’y aura ni aliénigènes bienveillants ni ascension de quelque nature que ce soit? Ou préférons-nous visualiser qu’un miracle est possible?




Vieux articles

Par Joseph Stroberg

Les trois articles suivants datent de 1992-1993 et avaient été remaniés quelques années plus tard. Ils conservent quelques coquilles et ne seraient pas traités similairement par l’auteur à l’heure actuelle. Leurs points de vue sont bien sûr discutables. Ils se trouvent encore visibles chez l’hébergeur américain Angelfire.

L’Humanité face aux peuples de l’espace
(article paru fin 1992 dans le numéro 144 de la revue « Le monde inconnu » et légèrement remanié ensuite)

Astronomie et astrologie
(article paru en mars 1993 dans le numéro 147 de la revue « Le monde inconnu » et remanié ensuite)

Nouveaux gourous, nouvelles sectes
(résumé et remaniement d’un article paru en septembre 1992 dans le numéro 141 de la revue « Le monde inconnu »)


L’humanité face aux peuples de l’Espace

En cette fin du vingtième siècle, alors que l’hypothèse de la vie extraterrestre se mue en quasi-certitude chez un nombre croissant de scientifiques, la juxtaposition de données prophétiques ou traditionnelles avec l’état et l’avancement actuel de l’humanité, avec le phénomène OVNI et avec d’étranges faits ou rumeurs tend à mettre en évidence l’existence d’une présence ou d’une influence non humaine croissante sur la Terre! Admettre la possibilité de cette présence amène à s’interroger sur son but. Que pourraient chercher des peuples extraterrestres sur notre planète, et quelles pourraient en être les répercussions sur notre civilisation?

La Terre n’est probablement qu’une banale planète dans notre système solaire tout aussi banal au sein d’une galaxie – la « Voie lactée » – qui en compte des dizaines de milliards. Cette galaxie est elle-même tout à fait quelconque dans un univers ou une portion d’univers où l’homme en dénombre des milliards. Même si la vie n’apparaissait que sur les planètes analogues à la Terre et connaissant des conditions astronomiques voisines et si l’intelligence ne se développait que sur un millième ou un millionième d’entre elles, l’univers appréhendé par l’homme pourrait compter un grand nombre de civilisations extraterrestres au moins aussi avancées, ou aussi peu évoluées, que la notre. Par des considérations statistiques voisines mais plus élaborées, des astrophysiciens, dont certains connus du grand public, comme Karl SAGAN, sont arrivés à la même conclusion. De tels scientifiques ont été suffisamment pris au sérieux par les responsables de la NASA et du gouvernement américain pour que des messages destinés à d’éventuels extraterrestres soient inscrits ou enregistrés sur trois sondes spatiales lancées pour photographier des planètes du système solaire. Sur « Pioneer 10 », lancée le 3 mars 1972 et chargée d’étudier les astéroïdes et Jupiter, a été installée une « plaque d’identité » d’aluminium doré gravée de symboles suggérant son origine terrestre. « Voyager 1 » et « Voyager 2″, lancées en 1977, emportent chacune un vidéodisque sur lequel figurent une encyclopédie de la Terre, des cris d’animaux, des morceaux de musique, des salutations en 60 langues, et un message de l’ex président américain Jimmy CARTER! Par ailleurs, les coûteux radiotélescopes construits en divers lieux du globe pour capter les ondes radio en provenance de l’espace sont parfois utilisés pour rechercher d’éventuels signaux extraterrestres intelligents qui seraient émis sur ces ‘longueurs d’onde ». La vie extraterrestre intelligente est donc manifestement davantage qu’une simple hypothèse pour au moins quelques membres influents de la communauté scientifique, au point qu’elle est étudiée dans une science récente: l’exobiologie.

Un nombre toujours plus grand d’astronomes et d’autres chercheurs estiment comme très probable l’existence d’au moins quelques dizaines de civilisations extraterrestres technologiquement plus avancées que la nôtre, rien que dans notre galaxie. La plupart d’entre elles ont donc certainement déjà effectué des voyages extra-planétaires – hors de leur planète d’origine – en direction d’autres astres de leur système solaire ou même de systèmes proches. Au rythme actuel du progrès scientifique et technologique, l’humanité elle-même pourrait atteindre une autre étoile que le Soleil dans quelques dizaines ou centaines d’années tout au plus. La découverte d’un moyen de se déplacer à une vitesse proche de celle de la lumière appartient au domaine du possible et le permettrait. Les physiciens admettent la possibilité de voyager à une vitesse très proche de celle de la lumière et conçoivent que des êtres intelligents puissent découvrir un moteur ou un moyen de propulsion assez puissant pour atteindre celle-ci. Mais depuis EINSTEIN, ils croient qu’elle représente une limite infranchissable, aucun objet matériel ne pouvant, selon eux, la dépasser. Aussi, considèrent-ils comme très peu probable une visite extraterrestre sur la Terre, d’autant plus qu’ils ne la croient pas objet d’une attention spéciale qui en ferait un but de voyage prioritaire. Cependant, on est en droit de se poser les questions suivantes:

  • La vitesse de la lumière représente-t-elle réellement une limite?
  • Est-elle la même en tout point de l’univers ordinaire (celui perçu par l’homme)?
  • L’espace-temps est-il pratiquement le même dans tout l’univers, ou ne pourrait-il pas, pour des raisons qui peuvent largement nous échapper, être très différent d’un endroit à l’autre, d’une galaxie à l’autre, d’un système solaire à l’autre, ou même d’une planète à l’autre?
  • N’existe-t-il pas des dimensions non ordinaires de l’univers, dimensions qui pourraient fournir un ou plusieurs moyens de contourner l’obstacle de la vitesse limite, à supposer que cet obstacle soit réel?
  • La Terre peut-elle se trouver l’objet d’une attention spéciale de la part d’autres êtres?

Une réponse favorable à l’une ou l’autre de ces questions augmenterait bien sûr le caractère plausible de visites extraterrestres. Et un domaine qui peut fournir ce genre de réponses, au moins sur le plan théorique, est celui de la science-fiction. Celle-ci n’est pas une simple littérature d’imagination car elle combine « l’inspiration » et l’imagination proprement dite que l’on pourrait nommer « expiration« . Un auteur de science-fiction « inspiré », comme le fut par exemple le précurseur Jules VERNES, est capable de capter des informations relatives au passé, au futur ou à d’autres lieux de l’univers, grâce à un ou plusieurs sens « subtils » dont l’existence n’est pas encore reconnue par la science officielle mais que d’autres appellent perceptions extrasensorielles. La fameuse « intuition » peut, suivant les cas, être assimilée à l’un ou l’autre d’entre eux. Les informations captées par un tel sens le sont à la manière dont une radio capte une station émettrice. Leur qualité dépend de la fiabilité et de l’acuité de l’appareil récepteur. Lorsqu’un bon canal est sélectionné, on peut capter des informations en provenance du plan correspondant d’émission: physique, émotionnel-affectif, ou mental. Celles-ci peuvent se rapporter à n’importe quel secteur de la vie humaine ou même extra-humaine. L’écrivain de science-fiction qui les capte les met en scène grâce à son imagination. Celle-ci se déroule lors de la phase active du processus de création. L’inspiration intervient lors de la phase réceptive passive. En réalité, les deux ne cessent généralement d’alterner pendant tout le travail créateur de l’écrivain.

La science-fiction a ainsi pressenti de nombreuses découvertes scientifiques plusieurs années ou dizaines d’années à l’avance. Elle propose aussi des quantités de théories non encore vérifiées ou  reconnues par les hommes et notamment des réponses aux questions précédentes. En particulier, elle contourne l’éventuel obstacle d’une vitesse limite par le recours à « l’hyperespace » qui permet de prendre des raccourcis lors de déplacements spatiaux, ou à la « téléportation ». L’existence avérée du premier ou de la seconde rendrait évidemment caduques les suppositions restrictives des savants quant aux visites d’êtres non humains. Quoi qu’il en soit, en matière de passages ou d’atterrissages extraterrestres sur notre planète, il est certainement plus logique et déterminant de commencer par l’observation des faits.

L’histoire terrestre fourmille d’indices ou de traces de visiteurs d’autres mondes, depuis la plus haute antiquité où les hommes les assimilaient volontiers à des dieux, jusqu’à l’époque moderne qui en connaît une forte recrudescence: témoignages écrits ou oraux, matières ou objets inconnus, traces étranges, photographies, « signatures radar », etc. A partir de la seconde guerre mondiale, les observations de « véhicules » volants, de phénomènes et d’êtres étrangers à la Terre se sont tellement multipliées qu’on a fini par les regrouper puis par les étudier sous le nom de phénomène « OVNI » (Objets Volants Non Identifiés) en y mêlant ou feignant d’y mêler des observations purement atmosphériques comme la foudre en boule ou les nuages lenticulaires. Ceux qui veulent nier ou ceux qui veulent cacher l’origine non humaine du phénomène avancent des arguments tels que les suivants:

  • il s’agit d’un fantasme de l’humanité et d’hallucinations collectives,
  • les témoins ne sont pas crédibles,
  • la multiplication des observations n’est due qu’à l’accroissement de la population ou à un effet d’imitation,
  • il s’agit d’une invention de la CIA pour cacher des recherches secrètes sur de nouvelles armes.

L’honnêteté intellectuelle oblige à écarter le premier argument face aux traces physiques et chimiques mystérieuses laissées par certaines des soi-disant hallucinations et face à l’abondance de récits historiques décrivant des éléments du phénomène. Concernant le second, Jimmy CARTER et d’autres illustres personnages qui signalent avoir observé au moins un OVNI font-ils parti des témoins non crédibles? Quant au troisième, s’il est en parti fondé, il passe sous silence le fait que la grande majorité des observations dénombrées se déroule dans des endroits isolés, loin des villes et de l’agitation humaine. Pour répondre au dernier, on peut signaler:

  • que de nombreuses observations d’ovnis sont antérieures à la fondation de la CIA,
  • et qu’inventer une si monumentale histoire que le phénomène ovni pour cacher une quelconque activité secrète n’est probablement pas très économique, ni des plus efficace car de plus en plus d’utilisateurs d’Internet et d’individus en général pensent aujourd’hui que la CIA et d’autres services secrets nous cachent de nombreuses informations et activités.

Les autres arguments des contradicteurs ne résistent guère mieux au bon sens, aux faits, à l’analyse ou à l’épreuve de l’honnêteté intellectuelle. Pendant ce temps, dans de nombreux pays et particulièrement aux États-Unis, des responsables gouvernementaux, militaires et de services d’espionnage ou de contre-espionnage ont eu largement l’occasion de s’assurer de la réalité du phénomène OVNI, de son origine non humaine, et de ses dangers potentiels pour l’humanité et pour ses dirigeants. Ils s’en sont tellement assurés, qu’ils ont élaboré des programmes et créé des commissions ou des organismes spéciaux rien que pour l’étude du phénomène ou pour la désinformation qui vise à laisser les masses dans l’ignorance. Citons entre autres:

  • Le SETI (Search for ExtraTerrestrial Intelligence = Recherche d’Intelligence Extraterrestre), programme de recherche de signaux intelligents, de fréquences radio, en provenance de l’espace, lancé par la NASA.
  • Le GEPAN (Groupe d’Étude des Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés), transformé ensuite en SEPRA (Société d’Étude des Phénomènes de Rentrée Atmosphérique), créé en France pour étudier le phénomène ovni.
  • La commission Condom créée dans un but de désinformation sur le phénomène ovni, et de discrédit des témoignages.

Ajoutons qu’en France, la Gendarmerie Nationale est chargée, entre autres missions, de recueillir les témoignages relatifs aux phénomènes inexpliqués.

Pourquoi des commissions ou des organismes officiels ont-ils des activités relatives, partiellement ou totalement, à la vie extraterrestre ou aux phénomènes non identifiés si ceux-ci n’existent que dans l’imagination des populations? Et pourquoi un certain nombre d’entre eux se donnent-ils autant la peine de désinformer les masses à grand renfort de fausses rumeurs, de faux témoignages, de photographies truquées et d’informations largement contradictoires?

En dépit de ce genre de manœuvres et des dénégations officielles, grâce à l’acharnement d’un nombre croissant d’enquêteurs indépendants et de témoins courageux, de plus en plus de personnes (80% aux États-Unis en 1997) sont convaincues de la réalité des ovnis et en souhaitent la reconnaissance officielle.

Il est progressivement davantage admis, mais encore officieusement, que des êtres humanoïdes – d’apparence proche de l’humaine – étrangers à la Terre y effectuent de plus ou moins brefs séjours. Les observations laissent supposer l’existence d’une dizaine de races extraterrestres distinctes qui nous visiteraient plus ou moins régulièrement. Bien qu’il ne puisse en être fourni ici aucune preuve, on peut affirmer, ou présenter comme hypothèse de travail ou sujet de réflexion, le fait qu’au moins une de ces races a envoyé des émissaires à certains des hauts responsables gouvernementaux en occident. Les informations « brûlantes » sont gardées secrètes et la reconnaissance de la présence extraterrestre sur notre planète n’est pas encore officialisée pour plusieurs raisons dont:

  • les dirigeants y perdraient leur charisme et leur légitimité;
  • les populations se laisseraient aller, suivant les lieux et les cas, à la panique, à l’adoration ou à la fascination béates, ou parfois à une grande déprime.

Par ailleurs, les diverses races visiteuses ne révèlent pas encore leur présence à l’ensemble de l’humanité pour des motifs qui leurs sont propres, peut-être bien au-delà de ce que nous pouvons concevoir, et qui dépendent probablement de leur nature, par exemple matérialiste ou spirituelle. Les races les plus « froides », les plus matérialistes, ne sont pas particulièrement philanthropes et préfèrent sans doute pour l’instant ne pas être trop entravées dans leurs projets comme elles pourraient l’être en se révélant au grand jour, par exemple à cause de la peur ou de la xénophobie qu’elles pourraient inspirer à de nombreux humains. Les autres, davantage respectueuses des Lois universelles, préfèrent sans doute ne pas s’ingérer dans les affaires de l’humanité, ne pas intervenir dans son karma, ne pas créer de choc culturel ou psychologique, ou attendre une ouverture de conscience suffisante chez les humains…

Que ce soit ou non un but recherché par nos visiteurs, le phénomène ovni dans son ensemble, parce qu’il combine une certaine périodicité ou répétitivité avec un caractère aléatoire ou original, se révèle être un formidable enseignement pour l’humanité, un enseignement susceptible d’élargir considérablement son champ de conscience, de l’éveiller à d’autres réalités, de le faire passer du nombrilisme et de l’anthropocentrisme à une vision planétaire et même interplanétaire, etc. Ainsi par exemple, en quelques dizaines d’années, il a permis le décuplement du nombre de personnes croyant en l’existence de vies et d’intelligences non terrestres ailleurs dans l’univers.

Il est parfaitement envisageable que des civilisations extraterrestres plus avancées que la notre souhaitent enseigner de façon explicite certaines de leurs connaissances (scientifiques, sociales, artistiques, psychologiques, spirituelles ou autres) aux humanités moins évoluées, afin de les aider à progresser plus rapidement. Sur Terre, les occidentaux ont d’ailleurs très maladroitement tenté de le faire envers les peuplades d’Afrique notamment. Les enseignements transmis par une entité individuelle ou collective à une autre, sont bien sûr à la mesure de ses capacités et aptitudes pédagogiques, intellectuelles, psychiques, et concrètes… Si l’on s’en réfère aux possibilités envisagées par la science-fiction par exemple, on peut attendre de la part d’être plus avancés que les hommes, qu’ils connaissent la télépathie, l’antigravitation, la fusion thermonucléaire, la transmutation atomique à basse énergie (celle du plomb en or, par exemple), la téléportation, les caractéristiques psychiques et génétiques de diverses races végétales, minérales et humanoïdes, etc. Il paraît également envisageable que certaines civilisations, comme certains individus, n’enseignent pas réellement dans un esprit de service et de progrès, mais de manière plus ou moins intéressée, avec des objectifs inavoués relativement égoïstes. Un peuple qui distille des connaissances à un autre moins évolué, au compte-gouttes ou plus massivement, n’a pas toujours des visées très altruistes. Il peut par exemple le faire un peu comme on jette parfois un os à un chien : pour « avoir la paix ». Ou bien par compensation, d’ordre karmique ou non, comme remboursement de dette, comme pour contrebalancer les perturbations causées par leur présence. Ou encore pour « acheter » un service, une base ou un territoire…

L’enseignement dispensé par un peuple, par un groupe plus réduit ou par un individu, qu’ils soient humains ou non, peut avoir pour principale visée la manipulation et le conditionnement de celui ou de ceux que le reçoivent, dans un but précis. il peut n’être conçu et utilisé que comme un outil de propagande. Il existe certainement des « visiteurs », des groupements occultes ou de pouvoir, et des individus humains (gourous…) qui ne se gênent pas pour manipuler les « masses » et les personnalités. En cette fin d’ère des Poissons, alors que la sixième grande énergie systémique – le « Rayon » de dévotion et d’idéalisme – décline, il apparaît, comme une sorte de sursaut, une recrudescence de comportements et d’aptitudes liés aux énergies des Poissons et au sixième Rayon : médiumnité, dons psychiques divers, influençabilité, fascination, dévotion, fanatisme, etc. Les personnes marquées par ce signe ou par ce Rayon sont probablement les plus réceptives aux manipulations mentales et psychiques, et d’autant plus qu’elles expriment leur « part féminine », car le pôle féminin est celui qui reçoit, accueille, accepte, mais qui, négativement, est susceptible de se résigner ou de se laisser déformer ou influencer. Il n’est donc pas étonnant de trouver une plus grande proportion de femmes, d’individus « Poissons » et d’idéalistes parmi les médiums, les télépathes, les disciples de gourous et de sectes, les mordus de séminaires ésotériques, et les fanatiques d’ovnis. Les extraterrestres qui cherchent, pour leurs buts personnels, à manipuler une partie ou la totalité des terriens ont certainement les moyens de déterminer quel « profil » humain est susceptible de fournir les meilleurs « marionnettes ». Compte tenu de ce qui précède, il est fort probable que ce profil corresponde à des femmes ou à des hommes:

  • plutôt idéalistes,
  • ouverts à l’étrange ou à l’inconnu,
  • curieux de connaître certains mystères de la vie ou de l’univers,
  • imaginatifs, rêveurs ou fantasques,
  • loyaux et respectueux envers ceux qu’ils admirent ou aiment,
  • intuitifs, réceptifs, ayant des dons parapsychiques réels ou latents,
  • sensitifs, adaptables,
  • mais aussi trop dociles ou obéissants,
  • crédules, naïfs ou manquant de discernement ou de sens critique,
  • superstitieux ou à comportement irrationnel,
  • facilement impressionnés ou fascinés par des êtres correspondant à leurs modèles ou à leurs rêves jusqu’à en devenir fanatiques,
  • s’attachant facilement à des idées plaisantes ou à des êtres comblant une part de leur attente (dans les domaines affectif ou intellectuel…),
  • facilement dépendants de drogues, de médicaments, de connaissances, d’émotions ou de sensations,
  • frustrés de ne pas jouer de rôle dominant ou important dans la société, dans leur famille ou dans leur profession,
  • frustrés de ne pas être compris ou écoutés, intériorisés ou ayant tendance à fuir les hommes ou la société, etc.

Plus un individu possède un grand nombre de ces traits de caractère et de comportement, plus il a de chances de se faire « contacter » télépathiquement ou physiquement par des extraterrestres pour être utilisés comme ils l’entendent. quand on sait que les États-Unis sont, en tant que nation, largement influencés par le sixième Rayon, il n’est pas étonnant que ce pays possède le record des contacts et des enlèvements par des extraterrestres ou supposés tels!

Un individu répondant au profil évoqué plus haut peut être flatté lorsqu’il est « contacté » directement ou télépathiquement et convaincu d’avoir une « mission » particulière à accomplir au service d’une race plus évoluée ou d’être supérieur aux siens. Mais de telles façons de procéder ne peuvent être le fait que des extraterrestres les plus « froids », les plus indifférents au sort des créatures jugées par eux inférieures, les moins doués de compassion. Si les races plus positives et aimantes organisaient des contacts, elles éviteraient toute forme de manipulation et respecteraient le libre-arbitre des humains. Pour un homme, il n’est pas toujours évident en la matière de séparer le vrai du faux, la réalité de l’illusion, les « bons » des « mauvais ». Ceci demande une bonne dose de discernement, d’autant plus que « l’ombre » peut adopter le langage de la « lumière » et parler d’harmonie, de paix ou d’évolution tout en poursuivant des buts opposés.

On ne peut distinguer les races qui vont réellement dans le sens de l’évolution cosmique de celles qui (se) maintiennent dans la matérialité et distinguer les enseignements des premières de ceux des secondes que par l’examen critique et intuitif de leurs effets et influences à court et à long terme. Que penser, par exemple, d’une entité qui prône l’amélioration des lois et attitudes dans le secteur financier et économique pour transformer la société? De prime abord, ceci paraît positif et bien orienté. Mais en y regardant de plus près, on se rend compte qu’assainir le monde économique sans guère se préoccuper de l’éducation des masses ne peut que favoriser la survie d’un monde matérialiste et superficiel et sa transformation progressive en un monde mécanique aux rouages bien huilés, en un « meilleur des mondes » froid qui ne laisse aucune place à l’originalité. Se focaliser sur la transformation de la matière tend à limiter l’évolution spirituelle, mais accepter la matière tout en s’affinant et en s’enrichissant intérieurement permet de la transformer favorablement et vibratoirement. Rendre le monde de plus en plus confortable et techniquement parfait ne peut guère contribuer à l’éveil des ses peuples, mais favorise au contraire leur maintient dans un état de somnolence ou de somnambulisme uniformisé où les individus sont des « moutons », des « numéros », des « fiches informatiques »… ce que cherchent à reproduire sur Terre les entités à « l’amour pauvre » (humaines et extraterrestres) ne sont que des formes de ruches au fonctionnement parfait mais d’où tout véritable amour est absent. Elles veulent créer un monde où les hommes sont ravalés au rang de consommateurs, d’animaux de laboratoire, de nourriture, ou de fournisseurs d’organes, un monde contrôlé, policé, sans surprises, un « super-nazisme » comme il pourrait en exister sur certaines planètes, un monde d’où la joie de vivre est absente ou artificiellement maintenue à coup de drogues extatiques. Pour parvenir à un tel monde, il faut abêtir l’humanité, abaisser son niveau de conscience plutôt que de l’élever. A cette fin, les êtres à l’amour pauvre favorisent la sexualité bestiale ou débridée, les émissions de télévision débiles, la consommation de drogues, etc. Mais ils cachent leurs véritables intentions grâce à un art consommé de la désinformation et du mensonge. Tout ceci n’est-il que paranoïa? Pas sûr! Quoi qu’il en soit, seule ou accompagnée, l’humanité semble se diriger tout droit vers des lendemains qui déchantent!

Même si nous refusons d’envisager que des extraterrestres puissent avoir des intentions malsaines envers la Terre ou envers l’humanité, ceux qui nous rendent visite peuvent avoir bien d’autres buts qu’un simple séjour touristique ou qu’un cours de physique théorique délivré à des barbares. Ils pourraient par exemple chercher à exploiter une partie des ressources minérales, végétales, animales, ou même humaines de notre planète, ou encore souhaiter l’annexer ou en faire une colonie. Ils pourraient aussi en faire une sorte de jardin, de parc d’attraction ou de laboratoire. Ils pourraient se contenter de l’observer comme une curiosité et doucement sourire aux bêtises des bipèdes et aux espèces de jeux bizarres qu’ils ont parfois: se faire exploser ce qu’ils nomment des « bombes » les uns sur les autres pour se réduire en charpie! Plus sérieusement, les civilisations capables d’effectuer des voyages intersidéraux ont obligatoirement atteint un plus haut « plan de conscience » que l’humanité actuelle. Cette dernière ne se situe en moyenne qu’au niveau de conscience correspondant au développement et à l’expérimentation du mental et de l’intellect. Ce niveau succède, dans l’ordre:

  • à celui où l’on commence à s’individualiser au sortir du règne animal (plan de conscience humain zéro),
  • à celui où l’on expérimente la matière et le plan physique (premier plan de conscience humain),
  • puis à celui où l’on ne jure que par les émotions, par les désirs personnels à assouvir, par la recherche du bonheur à travers les situations et les rencontres agréables, mais où l’on reste encore en partie dans la conscience collective ou de « masse » (second plan de conscience).

Au-dessus du plan de conscience actuel, et après une période probatoire que l’humanité a pour sa part débutée lors de la première guerre mondiale et pas encore achevée, une civilisation accède au quatrième plan de conscience et acquiert la maîtrise de son univers « physique », ce qui implique généralement l’absence de pollutions, de guerres importantes, de troubles sociaux graves, d’une multiplication anarchique de la population, mais présence d’une grande cohésion sociale et de moyens technologiques importants au service de la collectivité. Au cinquième plan de conscience, l’illusion du temps est dépassée et le lot de nostalgies, de regrets ou de phobies relatifs au passé,  et de craintes ou d’espoirs relatifs à l’avenir n’existent pratiquement plus. Le passé n’est plus perçu comme une somme d’événements disjoints, séparés de l’individu ou de la civilisation et irrémédiablement perdus, mais représente une présence permanente qui fait de l’entité ce qu’elle est: un être en perpétuel devenir. L’avenir n’est plus la somme des aspirations à vivre des situations agréables et des angoisses à l’idée qu’elles pourraient être ou devenir désagréables, mais ce que l’entité contribue à créer par ses actions présentes, selon un Plan qu’elle perçoit plus ou moins. La civilisation et l’individu qui ont acquis cette conscience sont encore soumis à l’impact d’énergies émotionnelles, mais la grande masse des plus denses, des plus primitives ou ataviques, des moins subtiles d’entre elles sont maintenant dépassées…Les extraterrestres qui nous visitent appartiennent essentiellement aux quatrième et cinquième plans de conscience, plus rarement au sixième ou au-delà.

Alors que l’humanité connaît une période de plus en plus critique où elle est partagée entre le refuge dans les valeurs établies mais périmées et l’éclatement dramatique des structures, diverses races non humaines « avancent leurs pions » sur la Terre. Les « noirs » ont déjà atteint de nombreux objectifs grâce à l’aveuglement, à l’égoïsme et au matérialisme des indigènes. Ils savourent peut-être déjà leur victoire, mais « l’appel » de l’humanité monte en puissance:  les hommes s’éveillent chaque jour davantage et le moment où les « blancs » vont pouvoir jouer ouvertement est proche, très proche. « Et il y eut une guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent » (Apocalypse 12:7). Mais tout ceci n’est peut-être qu’une vue de l’esprit… « Ne rien croire sans l’avoir vérifié par soi-même » devrait être un mot d’ordre pour tous ceux qui s’aventurent dans les contrées peu connues.


L’astrologie et l’astronomie

Depuis que l’étude du ciel s’est scindée en deux branches distinctes (astronomie et astrologie), ceux qui s’y adonnent, choisissant l’une ou l’autre, mais rarement les deux, ont peut-être gagné en précision et fiabilité, mais ont sûrement perdu en vision synthétique et globale. Les deux domaines se sont progressivement exclus l’un de l’autre au point de devenir pratiquement antinomiques, et les passions, le fanatisme et le criticisme se sont emparés des pratiquants et des partisans de l’un comme de l’autre. Pourtant, ils ont probablement tous tort de se « tirer dans les pattes », car avec un peu moins d’étroitesse d’esprit, les terrains d’entente sont possibles, et ils ont tous raison de trouver des faiblesses dans l’approche ou dans le raisonnement adverse, car il en existe, mais pas obligatoirement celles qu’ils croient!

L’astrologie et l’astronomie sont devenues des sciences radicalement différentes, avec des principes différents, même si une partie du cadre est identique, des outils de mesure ou d’observation différents, et des concepts différents… Elles n’ont actuellement pas davantage de rapport entre elles que ne l’ont par exemple l’acoustique et la musique, ou l’arithmétique et la numérologie ésotérique, la géométrie et l’architecture sacrée… ou même la linguistique et la poésie! De plus, en raison de son caractère encore partiellement empirique et de son domaine d’étude nécessitant en partie le recours à des perceptions « psychiques » bien distinctes des cinq sens ordinaires, l’astrologie relève presque autant d’art que de science, ce qui n’est aucunement le cas de l’astronomie. A ce propos, il peut être intéressant de noter que la poésie et la musique, à la nature artistique évidente, n’en reposent pas moins en partie chacune sur une forme de science ou de technique, et que la médecine traditionnelle, à nature scientifique dominante, est « tout un art » lorsqu’elle ne se déshumanise pas! L’homme du vingt et unième siècle gagnera à faire sauter nombre de cloisons qui isolent, emprisonnent et cristallisent actuellement les diverses disciplines scientifiques, techniques, artistiques, et même ésotériques!…

L’astronomie étudie la structure et le mouvement des corps célestes tels que les étoiles, les planètes, les comètes et les astéroïdes, ainsi que leurs interactions. ne croyant, comme leurs collègues des autres domaines scientifiques, qu’à la matière « physique » (et à ses équivalents sur le plan énergétique), les astronomes n’ont conçu, élaboré et utilisé jusqu’à présent que des instruments adaptés au plan physique. Si d’aventure un de leurs appareils se révélait capable de détecter une composante du plan « éthérique » (vibratoirement supérieur au plan physique) dont ils nient l’existence, ils rejetteraient la mesure comme une aberration, l’attribueraient à une erreur de manipulation ou de lecture… Ils n’admettent l’existence que des objets mesurables ou décelables par leurs instruments ou par l’un ou l’autre de leurs cinq sens. Cependant, l’état actuel de leurs découvertes et de leurs théories les place dans une situation bien embarrassante: environ neuf dixièmes de la matière de l’univers s’obstine à échapper à toute détection directe! combien d’hypothèses n’émettent-ils pas, sans réel succès, pour justifier cet écueil de taille dans leur édifice rationnel! Alors que la réponse est peut-être, voire très probablement, présente dans certaines révélations ésotériques! En effet, selon ces dernières, sous réserve bien sûr d’une bonne interprétation, la plus grande part de l’univers se situerait hors du plan physique dense, au-dessus de lui d’un point de vue vibratoire, mais parallèlement à lui d’un point de vue « spatio-temporel ». La « masse manquante » de l’univers ne serait en fait que l’ensemble des substances et objets éthériques, astraux, mentaux et au-delà, substances ayant une réalité selon la vision ésotérique. Fait ou illusion? Ni l’astronomie, ni aucune autre science n’est pour l’heure en mesure de prouver l’un ou l’autre. Quoi qu’il en soit, de nombreuses spécialités scientifiques s’enrichiraient certainement à considérer impartialement quelques spéculations, théories ou affirmations de l’occultisme. Seule l’ouverture d’esprit amène les réels progrès. Les plus grands scientifiques n’étaient pas les plus cartésiens ni les plus bornés.

L’astrologie, elle, étudie les effets des astres, de leurs mouvements, de leurs énergies… sur le comportement humain individuel et collectif, voire sure d’autres entités, aux niveaux physiologique, psychologique, sociologique…

Les astrologues se montrent généralement trop confiants dans leur science telle qu’elle se trouve actuellement formulée ou répandue, ou telle qu’elle est utilisée ou déformée par eux,  trop confiants dans leurs dons d’interprétation des « cartes du ciel », trop peu soucieux de découvrir pourquoi et comment l’astrologie fonctionne, et trop souvent mercantiles… La majorité d’entre eux représente le pôle opposé du « scientiste » évoqué plus haut, ce qui n’est pas un compliment! (Les excès dans un sens ou dans l’autre ne sont jamais bons). Obéissant davantage à un phénomène de mode qu’à une puissante motivation de type vocation, ou bien qu’à une simple curiosité allant parfois jusqu’au voyeurisme malsain, ils desservent l’astrologie bien plus qu’ils ne contribuent à son perfectionnement, son acceptation et sa compréhension par les foules en général et par les scientifiques en particulier. Combien malheureusement peu d’astrologues sont à même de proposer une théorie pour justifier leur science et leur art!

L’astrologie trouve assurément un début de justification au niveau purement physique avec l’influence gravitationnelle des astres, particulièrement la lune et le soleil. En effet, ceux-ci produisent notamment des effets de marées sur la terre, effets qui ont quelques répercussions sur les organismes vivants terrestres, peut-être à cause de l’eau qu’ils contiennent: le soleil agit sur les métabolismes thyroïdien et pulmonaire; la lune sur les menstruations chez la femme et sur le métabolisme des plantes par exemple. Mais la gravitation se révèle tout à fait insuffisante, car inadaptée,  pour expliquer les influences sidérales plus subtiles telles que psychologiques. Le véritable fondement de l’astrologie réside selon toute vraisemblance dans les faits encore occultes et occultés suivants:

  • L’individu, du fait des ses corps « subtils » (corps « éthérique », corps « astral » ou émotionnel, et corps mental notamment), est une partie du corps éthérique de l’humanité.
  • L’humanité est une partie du corps éthérique de la planète.
  • La terre est une partie du corps éthérique du système solaire.
  • Le système solaire est une partie du corps éthérique de notre galaxie, elle-même partie du corps éthérique de l’univers.

Aux niveaux éthériques et plus subtils, toutes les créatures et entités de l’univers des univers se trouvent liées et interdépendantes, alors que sur le  plan  physique elles se croient séparées, isolées, souvent opposées aux autres. Par conséquent, tout ce qui affecte une parcelle de l’univers (par exemple une planète, une civilisation ou même un individu) affecte le reste de l’univers. Tout ce que produit l’une, par des actes, des pensées, des émotions ou d’autres manifestations d’énergies ou de forces, affecte l’autre. L’explosion d’une bombe sur la terre affecte ses plans physique, éthérique et même astral, et se répercute sur les autres planètes du système solaire et même au-delà. Une pensée négative de la part d’un être humain frappe les autres créatures vivantes, directement si elles sont équipées d’un véhicule mental ou indirectement sinon. Il en est de même pour les émotions négatives vis-à-vis de l’astral.

Si l’univers est effectivement une vaste entité douée de vie, voire de conscience, toute manifestation ou tout mouvement d’énergie dans l’une de ses parties peut affecter les autres, quelle qu’en soit la taille. Ainsi, à l’échelle du système solaire, les mouvements des planètes et les énergies plus ou moins subtiles qu’elles transmettent et émettent influencent la terre et ses êtres vivants: humains, animaux, végétaux, et même minéraux. La terre elle-même influence ses habitants et ceux-ci l’influencent en retour. En dernière analyse, les divers mouvements et actes de l’infinie variété et quantité de créatures qui peuplent ou forment l’univers influent les unes sur les autres et sont conditionnées par les modulations des grandes énergies cosmiques émanant de l’Unique, l’Univers dans sa globalité. Les mouvements et actes des unes et des autres, des plus petites aux plus grandes, forment un gigantesque ballet. La partition en est plus ou moins bien suivie, à cause des imperfections des exécutants, et en raison du libre arbitre accordé à au moins une partie d’entre eux. Il en est de même pour l’homme considéré comme un microcosme: il est le chef d’orchestre; ses organes, ses cellules, et les bactéries qui l’habitent sont les exécutants, et certains d’entre eux, tel le cœur, disposent d’une liberté relative par rapport à la volonté centrale. Il existe une certaine correspondance entre les actions de chacune des parties et les apparitions ou les retraits des énergies motivantes, ceci dans le microcosme comme dans le macrocosme. Les grandes énergies cosmiques poussent les galaxies puis les systèmes solaires et les planètes à certains mouvements. Les phénomènes cosmiques observables ont des causes subtiles qui échappent aux instruments de mesure et aux moyens d’investigation scientifiques actuels. De manière analogue, les mouvements et les réactions d’un homme sont provoqués par des stimulations subtiles telles que les pensées et les émotions qui le traversent. L’intensité de telles influences peut parfois aller jusqu’à détériorer l’organisme physique récepteur. Ainsi, un stress trop puissant et trop soutenu peut détériorer l’estomac, une colère ou une peur trop vive peut affecter le foie…

Des hommes ont découvert ou reçu partiellement et progressivement à travers les âges quelques clefs pour décrypter les énergies cosmiques qui affectent la terre et ses habitants. Ils les ont obtenues plus ou moins efficacement grâce à des sens subtils et n’ont pas toujours bien interprété ce qu’ils captaient. Ils se trouvaient dans la situation d’un sauvage face à un récepteur d’ondes radio sur plusieurs bandes. Ils parvenaient occasionnellement, au hasard des « boutons », à sélectionner une bande de fréquence active et à y trouver des messages, paroles ou musiques. Mais ils ne connaissaient pas toujours la langue, ou ignoraient de nombreux mots de vocabulaire, ou écoutaient des traités ésotériques qui les dépassaient largement en compréhension… Malgré tout, en combinant les informations acquises, en les confrontant à l’observation des planètes et des hommes, les astrologues ont pu au moins vaguement reconnaître quelques phases, quelques « phrases » du ballet cosmique au voisinage de la Terre. Par le recours à leur outil mental, à l’intuition et au bon sens, ils ont acquis une compréhension partielle de la façon dont la musique (les énergies) et la danse (les mouvements et les actes) se trouvaient liées, et des formes que pouvait revêtir l’humanité pour s’y intégrer au mieux. Ils ont appris à quelque peu décoder le « langage » des astres, les messages du ciel étoilé. Ils ont construit et continuent de construire pas à pas l’astrologie.

Dans la vision astrologique ésotérique, toutes les régions du ciel ne transmettent pas les mêmes qualités et les mêmes quantités d’énergie au système solaire et la Terre n’a pas les mêmes affinités avec toutes. Du point de vue de l’homme et de sa planète, quelques zones du ciel sont largement prédominantes, particulièrement les douze « constellations » de l’écliptique. Les astronomes qui veulent pinailler pour dénigrer l’astrologie prétendent qu’il y a en fait treize constellations sur l’écliptique, la supplémentaire étant Ophiuchus. Mais qui a tracé arbitrairement les frontières entre constellations? Les astronomes, bien sûr! Et qui a dit que le dessin artificiel ou le découpage d’une constellation représentait son exacte zone d’influence? Aucun astrologue digne de ce nom, assurément. La figure représentative d’une constellation n’est destinée qu’à faciliter son repérage sur la voûte céleste. L’exact mouvement d’énergies subtiles se produisant entre une constellation donnée et le système solaire n’est connu ni des astronomes (qui les ignorent), ni des astrologues. Une approche ésotérique récente présente même les grandes énergies cosmiques conditionnantes comme des entités ayant neuf dimensions! Que pourrait en avoir l’homme (être à trois dimensions phénoménales) si ce n’est seulement un très faible aperçu?

Les « signes » astrologiques – du Bélier aux Poissons – représentent la contrepartie symbolique temporelle des douze constellations de même nom. Le zodiaque des constellations est physique, spatial, en rapport avec la dimension physique et la triple personnalité (physique, émotionnelle et mentale) de l’homme. Le zodiaque des signes peut être vu comme celui qui serait appréhendé par la Terre en tant qu’être, celui présent dans sa conscience. Il est en rapport avec l’aspect conscience des individus. Et les astrologues en ont davantage pris conscience que de l’autre. Un scientifique qui se respecte ne peut pas rejeter cette vision des choses ou cette théorie sous prétexte qu’elle ne cadre pas avec ses dogmes ou avec les éléments de sa propre science. La physique ne peut pas rejeter l’ésotérisme et la métaphysique sous prétexte qu’elle ne dispose pas encore des moyens de vérifier le bien ou le mal fondé de leurs thèses à propos de l’homme, de la vie, de l’univers… Les astrologues constatent l’indéniable influence des signes astrologiques sur les êtres humains et leur psychologie, mais leur approche n’est encore qu’empirique. Ils constatent, appliquent plus ou moins maladroitement des règles dégagées de l’empirisme, mais ne comprennent pas. Et les astronomes comprennent encore moins car ils tentent d’appliquer leurs protocoles expérimentaux à un domaine qui dépasse de loin leur science et son objet.

L’astronomie tend à rejeter l’astrologie aux confins de « l’anti-science » parce que trop de connaissances astrologiques lui paraissent de nature illusoire et parce qu’elle saute trop facilement sur les dérapages d’astrologues peu consciencieux ou plus avides de gains ou de renommée que d’éthique et d’honnêteté intellectuelle. Au même titre que les autres sciences au cours de leur histoire, il est effectivement probable que l’astrologie soit encombrée d’illusions et il est certain que les querelles d’écoles l’empoisonnent, mais ce qui lui cause le plus de torts est l’omniprésence du charlatanisme et les inepties propagées par les médias. Il est probable que seule une théorie digne de la « relativité générale » ou de la « physique de quanta » serait à même de redorer son blason. En attendant, elle est hantée par des croyances telles que « le destin inscrit dans les astres ».

Selon toute vraisemblance, les astres et la Terre elle-même ne dirigent aucunement la destinée des nations et des individus mais leur proposent un ensemble d’énergies plus ou moins stimulantes, conditionnantes et contraignantes. De part leur conscience et leur équipement mental, les hommes sont doués de libre-arbitre, libres de réagir favorablement ou défavorablement à telle ou telle influence, et arbitres de leur destinée. Les bonnes ou les mauvaises réactions des hommes aux énergies stellaires et planétaires ne proviennent que de leur propre nature et de leur conscience. Stimulés par des énergies globalement neutres, ils sont libres d’évoquer, de provoquer ou de produire en retour des forces et des actions positives ou négatives, créatrices ou destructrices, lumineuses ou sombres, judicieuses ou stupides… On peut admettre par exemple, jusqu’à preuve indéniable du contraire, qu’un individu qui réagit négativement à l’influence de Saturne développe la tendance à l’isolement, à la tristesse, à la rigidité d’esprit, ou encore à la froideur. Mais s’il y réagit positivement, il peut se montrer plus endurant, plus discipliné, plus disposé à la méditation ou au sang-froid…

Si ces faits peuvent être admis, il reste à proposer une explication au caractère astrologiquement déterminant du moment de la naissance pour un individu. Celui-ci pourrait être dû à la stimulation particulière des cellules du corps physique par les particules éthériques lors de la première bouffée d’air. Ces particules sont plus mouvantes et plus subtiles que les atomes et molécules de gaz. Leur densité et leurs caractéristiques varient constamment au cours du temps et en fonction des lieux, suivant des courants aussi complexes que les mouvements et les tourbillons de masses d’air. Einstein croyait en l’existence d’un tel « éther », mais la mécanique quantique l’a abusivement rejeté aux oubliettes de la science. Pourtant, à la naissance, l’éther du lieu et du moment marque irrémédiablement de son empreinte le corps de l’individu et celui-ci garde toute sa vie la trace de ce conditionnement énergétique initial. Sachant que cet éther terrestre est intimement lié à celui du reste du système solaire, en dressant la carte astrologique natale de l’individu, on obtient un aperçu de ses prédispositions face aux énergies des astres. Le thème natal (ou carte natale interprétée) d’un homme montre, de manière encore imparfaite, son potentiel vital, émotionnel, mental et créatif… mais ne décrit pas sa destinée.

L’astronomie permet de prévoir mais non de prédire avec exactitude le mouvement des astres. Trop de données lui demeurent inconnues pour qu’elle y parvienne. De même, l’astrologie peut permettre de prévoir le comportement des individus, mais ne permettra jamais de le prédire, du moins souhaitons-le! Plus généralement, toute science a en fait pour objectif ultime d’acquérir une méthode fiable de prévision concernant son objet ou son domaine d’étude, mais aucune ne fera disparaître le libre-arbitre, même si certaines le tenteront. Toute science étudie un espace pour mieux maîtriser le temps.


[Résumé :]

Nouveaux gourous, nouvelles sectes

Une secte réelle se caractérise obligatoirement par :

  • L’utilisation d’argent, de dons en nature ou de travail (non ou peu rémunéré) de la part des postulants ou des membres, en échange d’un ou plusieurs des événements suivants:
    • Un enseignement spirituel ou prétendu tel.
    • L’autorisation de participer à des rites, rituels, méditations ou prières communes.
    • La promesse d’un statut ou d’un niveau spirituel supérieur (promesse de « salut », de rédemption, de « vie éternelle », de gloire spirituelle, d’éveil à une conscience ou à une réalité supérieure, d’accès au paradis, d’évolution spirituelle rapide, de transfert physique sur une autre planète, de figurer parmi une liste « d’élus », acquittement du « karma », ou encore de libération du cycle des réincarnations, etc.).
    • L’accès à un grade, statut ou niveau (social ou hiérarchique) supérieur.
  • L’ensemble des quatre pratiques suivantes, sous une forme ou une autre:
    1. Prosélytisme par l’un ou plusieurs des moyens suivants (liste non exhaustive):
      • démarchage,
      • militantisme missionnaire,
      • livres,
      • revues, journaux ou périodiques,
      • dépliants,
      • mailing,
      • Email,
      • Internet,
      • téléphone,
      • radio,
      • télévision.
        Ce prosélytisme est particulièrement répréhensible quand on paie pour le subir, comme l’obligation, pour un postulant ou pour un membre qui souhaite suivre un enseignement, de payer une revue publiée par la secte ou par l’association qui la sous-tend.
    2. Mécanisme de « conversion » du postulant en membre actif, grâce à un ou plusieurs des moyens suivants:
      • Flatterie du postulant, celui-ci étant qualifié par exemple de « hautement spirituel », futur « élu », ou encore proche « réalisé ». Accueil chaleureux et sans heurts, avec sourires et démonstrations amicales. Manipulation psychologique. Persuasion…
      • Image de rigueur morale et de vertu favorisant l’endoctrinement du postulant qui souhaite s’imposer la même discipline pour espérer parvenir au même résultat.
      • « Lavage de cerveau » (consistant en la destruction des valeurs personnelles, idées propres et mécanismes critiques du postulant) facilité notamment par:
        • des régimes alimentaires particuliers,
        • la privation de sommeil,
        • la psalmodie de « mantras », de prières ou de textes religieux.
    3. « Emprisonnement » physique ou psychique du membre par un ou plusieurs des moyens suivants:
      • Surveillance complète ou partielle des faits et gestes.
      • « Prison dorée ».
      • Réclusion forcée dans un espace limité (cellule, périmètre).
      • Culpabilisation morale.
      • Instillation de peur (peur de déplaire, peur de mal faire, peur de sanctions disciplinaires ou spirituelles plus ou moins pénibles ou douloureuses, ou encore peur de manquer une occasion évolutive capitale), par la menace, par des pressions psychologiques, ou par tout autre moyen éprouvé ou nouveau.
      • Discrédit du « mental » ou intellect (sans lequel aucun discernement n’est possible).
      • Demande de foi absolue dans le gourou, la religion ou la doctrine.
      • Demande de dévotion absolue et aveugle au gourou ou à la secte.
      • Demande de coupure du milieu familial et amical, coupure qui provoque souvent, par un mécanisme de report affectif, une dépendance au gourou ou à la secte.
      • Demande de rupture avec d’autres aspects de la vie concrète passée, telle la profession, ce qui est un facteur déstabilisant,
      • Etc.
    4. Mécanisme d’Exclusion, sous une ou plusieurs des formes suivantes:
      • Sectarisme, racisme ou intolérance.
      • Non-acceptation des personnes susceptibles de remettre en question les valeurs, les idées, les doctrines ou la vie de la secte.
      • Élitisme, sur un ou plusieurs des critères suivants par exemple:
        • argent,
        • position sociale,
        • profession,
        • niveau intellectuel,
        • valeur spirituelle supposée ou prétendue.



Les trois filtres de Socrate

Par Joseph Stroberg

On attribue à Socrate l’anecdote suivante, alors qu’un jour quelqu’un venait le trouver pour médire d’un de ses amis :

– Sais-tu ce que je viens d’apprendre sur ton ami ?

– Un instant. Avant que tu ne m’en dises plus, j’aimerais te faire passer le test des trois passoires.

– Les trois passoires ?!

– Mais oui, reprit Socrate. C’est ma façon à moi d’analyser ce que j’ai à dire et ce qu’on me dit. Tu vas comprendre… La première passoire est celle de la vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ?

– Non. J’en ai simplement entendu parler…

– Très bien. Tu ne sais donc pas si c’est la vérité.

– (…)

– Alors passons à la deuxième passoire : ce que tu veux m’apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bon ?

– Ah non ! Au contraire.

– Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n’es pas certain qu’elles soient vraies.

– Euh…

– Pour finir, et c’est ma troisième passoire, est-il utile que tu m’apprennes ce que mon ami aurait fait ?

– Utile, non, pas vraiment.

– Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n’est ni vrai, ni bien, ni utile, à quoi bon m’en parler ?

Nous gagnerions,
individuellement et collectivement, à effectuer ce test des trois
passoires ou des trois filtres chaque fois que nous nous apprêtons à
dire quelque chose de quelqu’un aussi bien que lorsque nous
recevons des nouvelles ou des informations au sujet d’un individu
particulier ou d’un groupe. Est-ce que ce que nous allons
mentionner est vrai, c’est-à-dire conforme à la réalité, ou
bien est-ce qu’il s’agit d’un mensonge ou de quelque chose dont
nous n’avons pas pu vérifier la véracité ? Est-ce que c’est
bon ou constructif, au moins pour la personne ou le groupe visé ?
Est-ce que c’est utile ? Et nous devrions nous poser les mêmes
questions lorsque nous entendons ou lisons des propos concernant
d’autres êtres humains (ou extraterrestres), surtout lorsque ces
propos tendent à les dénigrer, les rabaisser, les dépeindre
négativement, nuire à leur réputation, comme c’est si souvent le
cas de nos jours, y compris dans les médias dominants.

S’il est dans la
nature de l’Homme de porter des jugements de valeur sur les autres
et sur lui-même, il dispose aussi du potentiel de le faire sous
l’éclairage de sa conscience morale (voir La
conscience humaine et l’ego
). Et c’est grâce à celle-ci,
s’il accepte de l’écouter au lieu de l’étouffer, qu’il est
capable de déterminer si ce qu’il dit ou ce qu’il entend est
vrai, bon et utile ou si au contraire c’est fallacieux, nuisible
et/ou vain. De ce point de vue, une information ne devrait être
communiquée que si elle passe ces trois filtres de la vérité, la
bonté et l’utilité. Elle devrait donc être écartée à partir
du moment où elle échoue à passer au moins l’un des trois.

Comme exercice
pratique d’un tel filtrage, nous pouvons nous essayer sur une
information ou une désinformation telles que la suivante :
« les élites mondiales tendent à créer un Nouvel Ordre
Mondial qui asservira l’Humanité ». Elle concerne un groupe
d’êtres humains, les « élites », et expose un trait
négatif les concernant, la volonté d’asservir l’Humanité.
Est-ce que cette information est vraie ? Dans la mesure où une
partie concerne l’avenir, nous ne pouvons le garantir. La première
partie de l’énoncé est au moins partiellement vraie, dans la
mesure où plusieurs membres de la caste élitiste mondiale et non
des moindres (Sarkozy, Bush père, par exemple) ont affirmé
publiquement la nécessité de diriger l’Humanité vers ce Nouvel
Ordre Mondial. Est-ce que pour autant tous les membres de cette caste
souhaitent parvenir à cet objectif ? Peut-être que non. Cependant
et de manière classique, un énoncé général n’empêche pas
l’existence d’exceptions. Donc, la première partie de
l’affirmation peut être considérée comme grossièrement fondée.

La véracité est cependant beaucoup plus difficile à évaluer dans le cas où l’élément d’information concerne l’avenir. De plus, si les élites vivent effectivement à l’asservissement de l’Humanité, il y a peu de chances que cet objectif soit avoué publiquement. Le faire rendrait beaucoup plus difficile l’atteinte de ce dernier. Alors que présenter le Nouvel Ordre Mondial comme quelque chose de souhaitable le rend au contraire plus facile. Ici, nous ne pouvons qu’extrapoler la véracité sur la base de ce que les élites ont pu déjà réaliser pour créer leur NOM (voir Les projets des Maitres du Monde). Si ces réalisations tendent à l’asservissement plutôt qu’à la libération des êtres humains, alors elles confortent la plausibilité de l’information ou de l’avertissement évoqué plus haut.

En admettant que
cette information ait une chance sur deux de passer le premier filtre
de Socrate, qu’en est-il du second ? Est-ce qu’elle est bonne ?
Pour les êtres humains non membres de la caste élitiste, être
informé d’un tel projet nuisible les concernant est pour eux une
très bonne chose, car cela leur permet bien plus facilement de le
faire avorter. Pour les élites, et de leur point de vue, la
communication d’une telle information est au contraire fortement
préjudiciable, du moins sur le plan de leur personnalité. Car cela
pourrait éventuellement au contraire servir leur être profond ou
leur conscience morale. En mettant en balance le nombre d’individus
concerné et le potentiel de bien dans chacun des cas, nous pouvons
considérer que le second filtre est passé.

L’utilité est ici
évidente pour la masse des êtres humains non membres de l’élite.
En étant au courant de tels projets, ils peuvent s’y préparer ou
adopter des stratégies pour les empêcher. Par contre, la fuite
d’une telle information ne sert les élites que sur le plan des
âmes, mais nullement sur celui des contingences matérielles. Si
elles veulent pouvoir tranquillement continuer à contrôler les
événements et jouir de leur grand confort matériel, un tel plan
que celui d’asservir définitivement l’Humanité ne devrait
surtout pas être ébruité. Ici aussi, le filtre de l’utilité est
une question de mise en balance.

Au bilan, écrire ou
dire que « les élites mondiales tendent à créer un Nouvel
Ordre Mondial qui asservira l’Humanité » peut passer les
filtres de Socrate en ce qui concerne la plus grande part des êtres
humains. Maintenant, nous gagnerions à faire un tel exercice pour
toutes les nouvelles, les informations et les opinions diffusées par
l’un ou l’autre des moyens de communication (y compris le
bouche-à-oreille), par nous-mêmes ou par les autres.




ETs ou pas ETs?

Par Joseph Stroberg

La présence ou la visite de races intelligentes aliénigènes – humanoïdes ou non – reste officiellement non résolue et largement sujette aux spéculations les plus diverses. Et ceci restera probablement le cas tant qu’il n’y aura pas une reconnaissance universelle, dans l’éventualité où elle serait réelle. En attendant, les hypothèses sont multiples et très variées. Elles concernent autant la nature de telles races que leurs moyens technologiques, leur degré de conscience, leurs intentions concernant la Terre et/ou l’Humanité, leur provenance, etc. Elles sont souvent reliées au phénomène Ovni qui demeure lui-même flou, mais dont l’existence semble être maintenant majoritairement admise, sachant par ailleurs qu’un consensus ou même l’unanimité autour d’une hypothèse ne rendent pas automatiquement réelle cette dernière.

Partant cependant de l’hypothèse que le phénomène Ovni présente bien une réalité tangible, sinon concrète, il reste à en déterminer la cause. Et si on admet que celle-ci est produite par une ou plusieurs races aliénigènes, il reste à déterminer tout d’abord la nature de telles races. Sont-elles organiques, à l’image de l’espèce humaine? Ou physiques, avec un corps matériel, mais basé sur un tout autre métabolisme que le carboné, éventuellement même constituées de corps non plus solides, mais liquides, gazeux ou encore plasmiques? Ou bien sont-elles constituées de substances ou d’énergies tellement subtiles qu’elles équivalent à des émotions ou des pensées et que leur présence ne pourrait alors se détecter que sur des plans parallèles et subtils correspondants? Certaines branches de l’ésotérisme évoquent à ce propos les plans astraux et mentaux.

Concernant la
provenance possible de ces races, les divers ufologues, ésotéristes,
exobiologistes et autres éventuels « spécialistes » ont
chacun leur théorie. Les hypothèses suivantes ne représentent
qu’une liste non exhaustive des possibilités actuellement
considérées :

  • races présentes
    sur la Terre depuis des milliers d’années, éventuellement
    antérieures à l’Humanité, certaines pouvant être
    intraterrestres, et d’autres présentes essentiellement sur des
    plans subtils;
  • races
    extraterrestres, tangibles ou non, visitant la Terre régulièrement
    ou accessoirement;
  • toutes les
    observations de prétendus extraterrestres correspondraient en fait
    aux entités démoniaques évoquées par diverses religions;
  • fausses races
    qui seraient en fait un paravent pour cacher des expérimentations
    militaires top secrètes ou de « psy-ops » (opérations
    psychologiques);
  • races
    angéliques ou archangéliques n’existant que sur les plans
    subtils, comme sur celui attribué aux âmes;
  • un mélange de
    plusieurs des possibilités précédentes;
  • etc.

Pour l’Humanité
et la vie terrestre, la question des motivations de ces races est
sans doute nettement plus cruciale et déterminante que leur
provenance et leur nature, même si ces deux dernières peuvent avoir
un impact direct sur les motivations, notamment par le biais du degré
de conscience et du niveau technologique éventuel. Et d’un certain
point de vue, plus une race repose sur la technologie matérielle,
plus elle a des chances de s’éloigner des préoccupations d’ordre
spirituel ou métaphysique et plus il est probable que son
comportement ressemble davantage à celui de sociopathes ou de
psychopathes que de saints, d’anges ou de sages. Et cette tendance
pourrait être d’autant plus accentuée que l’Humanité serait
considérée comme du bétail ou un élevage d’insectes.

La liste suivante ne représente qu’un échantillon de buts possibles pour des races aliénigènes interagissant avec la Terre, buts traduits en termes anthropocentriques, sachant qu’il peut nous être difficile d’imaginer ou d’envisager des races dont les conceptions nous seraient totalement étrangères :

  • observation
    scientifique neutre ou avec interactions minimales avec les
    autochtones, pour ne pas affecter leur évolution naturelle;
  • visites
    touristiques;
  • recherche de
    ressources (minérales, végétales, animales…);
  • exploitation de
    ressources (notamment humaines, comme les émotions dont certaines
    races pourraient se nourrir);
  • invasion
    progressive par différents expédients possibles (manipulation des
    élites humaines, mutations génétiques dirigées par rayonnements,
    génocide lent par empoisonnement ou par stérilisation raciale,
    corruption de la société depuis le plan mental par l’introduction
    d’idées particulières, etc.). Une telle invasion pourrait avoir
    l’avantage de passer relativement inaperçue d’observateurs
    extérieurs occasionnels, ou pourrait être galactiquement acceptée
    si elle se faisait avec l’autorisation tacite de l’Humanité du
    fait de sa passivité ou de son aveuglement;
  • etc.

Tout est possible a priori, mais rien n’est certain tant que ce n’est pas suffisamment démontré dans les faits.




Après le Nouvel Ordre Mondial

Par Joseph Stroberg

Que l’on se base sur les grandes prophéties religieuses (bibliques, coraniques…) ou sur la simple logique associée à l’observation des faits et de l’Histoire, le Nouvel Ordre Mondial aura inéluctablement une fin (voir aussi : Vie et mort des systèmes, La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos). Nous pouvons alors nous poser la question de sa succession. Qu’est-ce qui succédera à cet ordre, à ce système, à cette « civilisation ». Quel genre de vie les êtres humains et les autres êtres vivants terrestres connaîtront-ils ensuite ? Une petite idée du futur peut également résulter de l’étude du passé et de l’observation du présent et des lois universelles.

La conjugaison de
l’expansion continue de l’Esprit ou de la Vie animant la matière
et de l’inertie de cette dernière produit un mouvement cyclique en
spirale, ou encore hélicoïdal de l’organisation matérielle ou
systémique et donc de la conscience qui lui est étroitement
associée. En d’autres termes, l’Histoire peut sembler cyclique
ou se répéter, mais ne se reproduit jamais identiquement. Le
passage d’une spire à la suivante représente une forme
d’évolution de la conscience, un genre d’organisation plus
sophistiqué, une amélioration de certaines conditions…

Si les espèces
végétales fonctionnent généralement de manière décentralisée
et sans tête dirigeante, et les sociétés animales plutôt
hiérarchiquement (allant de modèles royalistes, comme chez les
abeilles, à démocratiques, comme chez les herbivores ou les bancs
de poissons), les êtres humains ont expérimenté au cours des âges
ces différents modèles sociaux, passant de structures calquées sur
le végétal avant de copier celles des animaux.

Le Nouvel Ordre
Mondial (NOM) en arrive(ra) ainsi à un système hyper hiérarchisé,
pyramidal, centralisé et mondialisé dans lequel chaque
sous-système, décentralisé de ceux du même niveau, est lui-même
hiérarchisé et centralisé. En cela, il rappelle la structure des
fractales (par exemple dans le découpage administratif en blocs
continentaux, puis en États, régions et agglomérations).

Comme la
construction de ce NOM ne pouvait se faire sans la destruction de
structures existantes antagonistes telles que la cellule familiale et
les nations, il a dans cet objectif favorisé l’individualisme et
la compétition. Une des conséquences est que l’individualisme
extrême a amené le rejet des élites dirigeantes. Un individu qui a
atteint une conscience individualisée accepte mal d’être dirigé
par un autre, surtout quand ce dernier n’a pas à cœur les
intérêts d’autrui, mais seulement les siens propres.

Il est possible et très probable que le NOM marque pour l’Humanité l’achèvement d’un grand cycle (ou plus exactement le parcours d’une spire) de l’évolution et que son nouvel âge d’or retrouve certaines conditions voisines des débuts édéniques ou préhistoriques (selon le point de vue), sans hiérarchie exécutive et décisionnelle, dans un contexte fortement décentralisé, mais avec une guidance spirituelle directe. Le modèle futur de société serait alors végétal en ce qui concerne l’organisation sociale, mais animal pour l’inspiration de cette même organisation. La nouvelle « Jérusalem » serait le symbole d’une société guidée ou conseillée par des sortes de sages ou guides spirituels ou par des aliénigènes, eux-mêmes sous inspiration divine ou mentalement fortement avancée. Mais ces guides ou conseillers humains ou extraterrestres n’auraient aucun pouvoir exécutif, législatif et judiciaire. Ces types de pouvoir n’auraient d’ailleurs plus guère de sens dans une société adulte dans laquelle chaque être humain individuel serait devenu capable d’assumer ses propres responsabilités et de vivre en synergie avec ses semblables et avec la nature. (voir aussi le Manifeste pour un nouveau monde, comme exemple d’organisation possible).




La vue, la vision et la vie

Par Joseph Stroberg

La vie d’un être
humain est largement conditionnée d’abord par ce qu’il en
perçoit, puis par la manière dont il y réagit (physiquement,
émotionnellement et mentalement…) selon sa personnalité et son
caractère, et enfin en fonction de la représentation interne qu’il
se fait d’elle et de l’univers. Cette dernière tend à guider
ensuite ses actes et ses choix dans tous les domaines de
l’existence : familial, professionnel, social, ludique,
économique, éducatif, culturel, religieux…

Par la vue et ses
autres sens, l’individu perçoit son environnement aussi bien
externe qu’interne. Il en obtient une vision plus ou moins
subjective et fortement dépendante de son point de vue ou
d’observation, de l’angle plus ou moins restreint ou au contraire
élargi sous lequel il observe, de sa capacité plus ou moins forte à
se déplacer d’un point d’observation à l’autre pour combler
les angles morts… Il réagit ensuite à ce qu’il perçoit de
manière plus ou moins vive et rapide, selon ses références
mémorielles, le degré de danger que cela peut représenter, et les
affinités ou non que cela peut avoir avec lui sur un plan ou un
autre (génétique, sensoriel, psychique, psychologique, émotionnel,
mental, etc.). Et finalement, comme il n’a pas seulement la
conscience d’un oiseau ou d’un chat, il cherche à donner un sens
à ce qu’il a perçu. Il cherche à le comprendre, puis au-delà, à
l’assimiler et l’intégrer dans son univers intérieur, dans sa
représentation interne du monde. De ce point de vue, son corps même
et par extension sa personnalité font partie du monde. Sa conscience
s’en fabrique aussi une représentation.

Ainsi et sans doute
depuis les premiers jours de leur apparition sur cette planète, les
êtres humains tendent à s’attribuer un rôle parmi leurs frères
et sœurs en fonction de ce qu’ils comprennent ou s’imaginent
d’eux-mêmes. Et ce rôle n’est pas nécessairement alors le
moindrement en rapport avec les faits objectifs qu’eux-mêmes et
leurs frères et sœurs pourraient pourtant observer. C’est ainsi
que de nos jours nous pouvons voir par exemple des individus se
prendre ou se faire passer pour Jésus le Christ ou pour sa
réincarnation. Seulement l’un d’entre eux pourrait-il tout au
plus l’être effectivement. Cependant, l’intéressant ici est de
tenter de déterminer les motivations ou les phénomènes qui peuvent
pousser l’être humain à adopter un éventuel grand décalage
entre le monde réel et la représentation interne qu’il fait de ce
dernier.

Des théories de la
conspiration ou des hypothèses telles que la présence
extraterrestre sur la Terre peuvent a priori aussi bien faire partie
de tels décalages. Et ceci reste possible même si l’individu est
convaincu d’être le Christ, convaincu de telle théorie
conspirationniste (telle par exemple de fausses missions Apollo sur
la Lune), ou encore convaincu que des Reptiliens ou des Gris sont
présents depuis longtemps sur la planète. Dans les faits, il n’a
que peu de moyens de prouver ou d’infirmer l’objet de ses
convictions et celui-ci pourrait aussi bien être totalement erroné.
Ses sens perceptifs sont limités. La vue humaine, par exemple, ne
couvre qu’une petite portion de tout le spectre des ondes
électromagnétiques. L’Homme ne perçoit ni les ultra-violets, ni
les infrarouges, ni les ondes radio, ni les micro-ondes ni les rayons
X, etc. Ces mêmes sens peuvent aussi facilement être abusés. La
vue peut l’être par des illusions d’optique, des trucages, des
lentilles ou des miroirs déformants…

Comme si la
médiocrité sensorielle ne suffisait pas, la mémoire elle-même est
faillible et l’être humain peut aussi bien se fabriquer de faux
souvenirs que changer au moins légèrement ceux-ci chaque fois qu’il
se les remémore, ou encore se faire implanter par d’autres
personnes des souvenirs factices (comme des expériences
scientifiques l’ont démontré). Ainsi, la vision humaine du monde
est-elle d’autant plus fragile et délicate qu’elle repose sur
des sens limités et une mémoire peu fiable. C’est probablement en
raison d’une telle faiblesse perceptive qu’il est ensuite si
facile à l’Homme de se fabriquer une image dénaturée
(dévalorisée ou au contraire surfaite) de ce qu’il est vraiment.
Il peut aussi bien se prendre pour le Christ que pour son contraire,
selon ses motivations et sa conscience. Et à cause d’une telle
faiblesse, il peut aussi bien être absolument convaincu de la
véracité du récit officiel sur les attentats du 11 septembre
2001 que de sa fausseté, selon ses a priori et ses orientations
géopolitiques, idéologiques, etc. Il peut aussi bien être
convaincu de la présence de Reptiliens sur la Terre que de
l’impossibilité pour quelques extraterrestres que ce soit de
visiter notre planète.

Notons cependant par ailleurs qu’il est toujours possible qu’une conviction profonde repose sur autre chose que la mémoire et les sens de perceptions classiques, mais sur des moyens sensoriels que nous pouvons qualifier de paranormaux. Les perceptions extrasensorielles sont encore mal connues et très peu étudiées par la science. Certaines de ces perceptions pourraient être beaucoup plus fiables que la vue, au point de ne jamais rencontrer d’erreurs par elles-mêmes. Pour autant, elles ne diminuent pas nécessairement alors la propension de l’être humain à se faire du cinéma ou des romans sur lui-même, son rôle ou sa vie, voire sur le monde en général. En particulier, les phénomènes de dissonance et de biais cognitifs qui peuvent altérer la vision humaine du monde et des choses sont maintenant assez bien connus. Ils font partie du fonctionnement cérébral neurotypique et sont probablement inscrits dans la génétique de l’Homo sapiens en tant que mécanismes de survie individuelle et collective.

Si la génétique et
le fonctionnement cérébral et sensoriel de l’Homme sont en grande
partie à l’origine d’une représentation décalée ou faussée
des choses, des êtres et de la vie en général, celui-ci peut
augmenter ou aggraver la tendance par des motivations émotionnelles,
psychologiques ou psychiques diverses. Comme illustration, quelles
sont celles derrière la volonté de se faire passer pour le Christ
(sans alors nécessairement penser l’être) ou de se prendre pour
lui ? Nous pouvons notamment imaginer ou envisager les motifs
suivants, pas nécessairement exclusifs l’un de l’autre :
une volonté de manipuler autrui en jouant au gourou ; le goût
pour la provocation ; le besoin de semer la zizanie en faisant le
troll ; une aspiration mystique ; un désir de sauver le monde.
Ces motivations dépendent à la fois de la représentation interne
que se fait l’individu du monde et de lui-même, et de
l’orientation ou de l’éveil de sa conscience.

En définitive, même
la plupart des convictions de l’être humain relèvent finalement
de croyances, qu’elles soient ou non fondées sur des faits réels,
car ces derniers ne sont le plus souvent abordés que très
partiellement (via un matériel sensoriel limité et parfois
défectueux…) ou indirectement (via des écrits plus ou moins
fiables, des tierces personnes, des rumeurs ou des légendes
urbaines…). L’individu s’est fabriqué sa représentation
interne du monde — ce qu’éventuellement il dénomme sa
« vérité » — et croit plus ou moins fermement que le
monde réel est ainsi. Cependant, la « Vérité » ne lui
est que très, très partiellement accessible, en tant que traduction
fiable du Réel. Il n’en voit tout au plus que certaines facettes,
et ceci le plus souvent de manière déformée.

Si un être humain
ne peut accorder une totale confiance en ses perceptions et donc si
sa vision du monde est déformée au point que le tout forme un
ensemble de croyances plus ou moins cohérentes, qu’est-ce qui
pourrait mériter davantage d’attention de sa part ? Eh bien, il
semble que ce soit ce qu’il va faire de ses croyances et de sa
représentation interne du monde en général. Comment cela va-t-il
l’amener à agir dans le monde ? Cela va-t-il par exemple le
conduire prioritairement à créer ? Ou bien à détruire ?
Va-t-il se comporter en accord avec sa vision ou va-t-il la trahir ?
S’il se prend pour le Christ, va-t-il démontrer son amour
inconditionnel pour les autres ? Ou bien va-t-il contribuer à les
diviser ?




Correspondance entre Guy Boulianne et le capitaine Poussel, président de l’Association des officiers de réserve et réservistes du Pays d’Aix

[Source : Guy Boulianne et Profession Gendarme]

[Auteur : Guy Boulianne]

Le 31 juillet dernier, je présentais sur mon site internet le dossier intitulé : « Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs ». Un mois plus tard, je diffusais la traduction anglaise du document, à la demande de Mme Claire Edwards : « Cher Guy. Je viens de finir la traduction en anglais du rapport fait par des officiers français. Si vous voulez poster le document sur votre site, je serais reconnaissante. » (lire)

Mme Claire Edwards a travaillé pour les Nations Unies en tant que rédactrice et formatrice en écriture interculturelle de 1999 à 2017. Depuis mai 2018, elle collabore avec Arthur Firstenberg pour la publication de l’Appel international pour arrêter la 5G sur Terre et dans l’espace (5gspaceappeal.org). Elle a mis en garde le Secrétaire général des Nations Unies contre les dangers de la 5G lors d’une réunion avec le personnel des Nations Unies en mai 2018, appelant à une cessation de son déploiement dans les lieux d’affectation des Nations Unies. Mme Edwards m’écrivait dans une correspondance :

« Quant on lit le document, il est évident — comme d’ailleurs j’ai écrit dans mon résumé que j’ai ajouté au début de la traduction — qu’il a du avoir été écrit par des gens d’un niveau d’éducation élevé, des professionnels, et que parmi eux, à mon avis, il y a des médecins et avocats et en effet des officiers qui comprennent ce que c’est qu’une guerre. Il n’est pas possible qu’un groupe d’activistes se mettent ensemble pour rédiger un tel document. Il est tout a fait crédible.

« Mais la preuve qu’il soit exactement ce que les auteurs prétendent, c’est qu’ils ont dit qu’ils avaient rayé tous leur noms et affiliations du document, mais ils en ont raté un, à partir duquel je sais exactement qui ils sont : AORA [Association des officiers de réserve et réservistes du Pays d’Aix]. J’ai laissé leur vrai nom de l’association à l’intérieur du document. Au début quand je l’ai trouvé, je l’avais mis sur la couverture, mais en réfléchissant, j’ai pensé qu’il serait mieux de leur laisser le choix de se révéler. » — (courriel de Claire Edwards, vendredi le 28 août 2020)

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VEUILLEZ PRENDRE NOTE : J’ai moi-même communiqué avec l’Association des officiers de réserve et réservistes du Pays d’Aix pour savoir si ce fameux « Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs » avait bel et bien été préparé par les enquêteurs du Pôle santé de l’AORA : « J’ai besoin d’authentifier ce document, à savoir s’il s’agit d’un vrai ou d’un faux ». Voici ce que le capitaine Luc Poussel, président de l’AORA, me répondit le 1er septembre dernier :

Bonjour Monsieur BOULIANNE,

Je suis le capitaine POUSSEL, président de l’AORA. Je rentre de voyage et je viens de prendre connaissance de votre courrier. Malheureusement, malgré tous les liens que vous m’avez donnés, je ne suis pas arrivé à retrouver l’article que vous me signalez.

Notre pôle Santé se compose de huit personnes qui ont pour mission de fournir les secouristes lors de nos activités sur le terrain. Seules quatre d’entre elles sont des professionnelles de la santé, un Médecin anesthésiste, une infirmière petite enfance, un infirmier dans un hôpital et une infirmière libérale. Durant le confinement nous avons activé tous nos pôles pour ne pas laisser nos membres dans l’inaction. Le pôle santé avait pour mission de fournir une conduite à tenir. Nous avons diffusé ses résultats aux cinq cent adresses de notre fichier le 8 avril 2020. Vous trouverez en pièces jointes le corps du message et la pièce jointe du message qui n’est autre que le fruit de l’expérience professionnelle d’une infirmière membre du pôle santé.

Le huit mai [voir la note ci-dessous], en soirée, le pôle santé a reçu le document PDF, transmis par un de ses membres. Si vous me parlez de ce document, il s’agit d’un véritable réquisitoire contre la 5G. Nous l’avons archivé comme exemple type de désinformation. Pour le crédibiliser, il porte une cocarde. Il est présenté comme le fruit du travail d’un groupe d’officiers de Réserve, et signé « la responsable du groupe d’enquête ».

Ce texte est une démarche politique en recherche d’un hébergeur crédible. L’AORA a du paraître la première marche facile à gravir dans leur ascension pour sa crédibilisation. Mais nous ne sommes pas tombés dans ce vulgaire piège. Cependant, suite à votre courrier, je constate que les coupables persistent sans signer à poursuivre leur quête de crédibilité.

Malheureusement, régulièrement de tristes individus tentent de nous piéger de la sorte. Nous avons eu droit aux lignes hautes tensions, aux micro-ondes, aux extraterrestres et tant d’autres sujets pour lesquels nous ne possédons aucun moyen scientifique pouvant nous permettre de nous y intéresser. Régulièrement nous sommes mêlés aux théories du complot. « L’Armée se prépare pour lutter efficacement contre le complot judéo-maçonnique », « contre le remplacement des populations européennes », « contre une invasion extraterrestre », etc. … Il s’agit toujours de « fuites émanent d’officiers bien informés qui cachent leur nom pour ne pas subir de représailles » !

Mais les préoccupations de l’AORA, (comme toutes les associations de réservistes), ne se situent pas dans ces peurs débiles ni dans la 5G. Elles sont plus matérialistes : Autoriser les forces de l’ordre, les réservistes et les membres de la fédération française de tir à porter une arme pour lutter efficacement contre le terrorisme. Remettre en place le service militaire. Recommencer à produire notre armement et nos munitions pour avoir une véritable indépendance nationale en matière de défense. Enlever les stupides limites d’âges pour servir son pays et les remplacer par des critères physiques. Lutter contre la bêtise humaine qui veut nous pousser à changer nos appellations de grades. Je citerai pour exemple l’appellation « CHEFFE » pour une femme alors qu’il serait si simple de décréter que « CHEF » serait une appellation autant féminine que masculine. On dirait un chef, et une chef. On dit bien un capitaine, et une capitaine ! Etc. …

Au risque de vous décevoir, non seulement la 5G n’est pas notre préoccupation, mais en plus nous sommes favorable à son développement et à tout ce qui peut nous faciliter la victoire. Un Réserviste a un rapport avec la mort qui se trouve diamétralement opposé à celui des populations oisives. Notre espérance de vie est liée à la durée du conflit dans lequel on va être engagé et à son intensité, pas à la virulence d’un virus ou à la durée d’une exposition à un rayonnement. En acceptant de servir les armes nous avons consciemment renoncé à une longue espérance de vie. Chaque jour que nous vivons en plus est un bénéfice inespéré !

J’ai apprécié votre délicatesse lorsque vous m’avez écrit « Je sais que vous êtes probablement tenus par le secret, ou du moins par la discrétion, » et c’est la raison pour laquelle je vous réponds. Les associations de réservistes ne détiennent pas de secret. Elles ne sont que des « compagnons de route » de nos militaires professionnels.

Bien sûr ce que disent les présidents d’associations ne plait pas toujours aux militaires de carrière qui dirigent nos Armées. Faisant partie de ceux qui disent tout haut ce qu’ils pensent j’en suis à ma trente quatrième année de grade de capitaine. Mais le principal ce n’est de se faire bien voir, il réside dans l’énergie que l’on met à faire évoluer les situations. Aussi, même si je ne partage pas votre inquiétude sur la 5G, du moment que votre démarche est honnête je vous encourage à continuer. Cependant, vos recherches devront aborder aussi bien les côtés négatifs que les côtés positifs sans quoi votre travail ne sera qu’un réquisitoire et vous ne pourrez plus vous prétendre « chercheur de vérité ».

Je pense vous avoir répondu. Si ce n’est pas le cas, ou si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me les poser.

Je vous prie d’agréer, Monsieur, mes respectueuses salutations.

Le capitaine POUSSEL LUC président de l’AORA

Voici ma réponse en date du 1er septembre 2020 :

Cher capitaine POUSSEL, président de l’AORA.

Je suis très heureux que vous ayez pris la peine de me répondre par ce long message. Celui-ci met les choses en perspective. Il est certain que je vais retirer ce document de mon site internet (N.B.: J’ai décidé après coup de laisser le document disponible à la lecture). Me donnez-vous l’autorisation de partager votre message sur mon site internet afin d’avertir les gens que ce fameux « Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs » est un faux en quête de légitimité ? J’avertirai aussi l’Association Professionnelle Gendarmerie qui avait partagé le document sur son site internet.

J’ai bien compris que le réseau 5G est en fait un système d’armes non létales à énergie dirigée, et que ces armes ont toute leur utilité au sein des forces armées pour combattre l’ennemi (jnlwp.defense.gov / youtu.be/zvP_v4UOXt4 / youtu.be/kzG4oEutPbA). Par contre, nous pouvons aussi comprendre les inquiétudes de la partie civile qui craint que cette technologie 5G ne soit utilisée par des politiciens sans scrupule (partie civile) dans le but de prendre le contrôle sur les populations (reconnaissance faciale, identité numérique, système de crédit social comme en Chine, perte de la vie privée, etc.). On ne peut nier cela non plus. Le général Antoine Martinez a bien compris les inquiétudes de la population, lui qui se présentera aux prochaines élections présidentielles.

Les armées doivent défendre leurs populations à l’extérieur, mais aussi à l’intérieur du territoire. Ici, au Québec, je peux vous dire que la crise de Covid-19 est utilisée par notre gouvernement pour instaurer une dictature. Je crois que c’est la même chose dans plusieurs pays, dont la France. Je ne suis pas un « théoricien du complot ». J’essaie d’avoir une lecture des faits la plus objective possible. Au Québec, un enfer social est en train de s’installer. C’est un fait et j’en suis très inquiet (comme plusieurs de mes compatriotes) ! L’ennemi est entre nos murs.

La France et le Québec (Nouvelle France) ne forment qu’un seul peuple. Les Québécois sont les fils de la France. Or, nous sommes actuellement dirigés par des imposteurs, que se soit en France, au Québec ou ailleurs. Pourrons-nous rêver du jour où les militaires s’allieront au peuple pour contrer le joug de la tyrannie qui s’instaure un peu partout dans nos pays ? Je le souhaite vraiment.

Pour terminer, si vous me permettez, je ne suis pas d’accord lorsque vous écrivez : « populations oisives ». Ce n’est pas parce que l’on fait partie de la population civile, que nous sommes nécessairement oisifs. Nous avons tous notre rôle à jouer dans cette société. Sachez que j’ai un très grand respect pour les militaires car — justement — ils jouent un rôle crucial et essentiel dans nos sociétés.

Encore une fois, je vous remercie d’avoir répondu à mon message. J’en suis très heureux et je ferai les ajustements nécessaires concernant ce fameux « Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs ».

Je vous prie d’agréer, capitaine Poussel, l’expression de mes meilleurs sentiments,

Guy Boulianne

Voici la réponse du capitaine Luc Poussel en date du 2 septembre 2020 :

Bonsoir Monsieur BOULIANNE,

J’assume toujours tout ce que je dis et tout ce que j’écris, je ne vois donc aucune objection à ce que vous utilisiez mes écrits comme bon vous semble.

Je suis entièrement d’accord avec vous lorsque vous écrivez « Ce n’est pas parce que l’on fait partie de la population civile, que nous sommes nécessairement oisifs ». Je suis avant tout un civil, retraité des mines de charbon. Je travaillais à 1400 mètres sous terre. D’autres sont des travailleurs qui pendant leurs loisirs militent pour des causes diverses et variées, toutes plus nobles les unes que les autres. Mais tous réunis, nous ne constituons qu’une infime partie de la population. Et cette population qui se contente de consommer est heureuse comme elle vit. Pourquoi vouloir lui imposer notre façon de voir les choses ? Cette population a choisi un mode de vie que je qualifie de « oisif ». C’est son choix, je le respecte et je suis même persuadé qu’elle a raison de vivre ainsi. Après tout, que l’on croit à un paradis, à rien où en la réincarnation, nous ne faisons qu’un passage sur terre. Car même les réincarnés ne se souviennent pas des vies précédentes.

Autant vivre ce passage du mieux possible.

Pour moi, mon choix est rudimentaire. Je suis républicain parce que je suis attaché à ma liberté qui compte plus que tout au monde. Et je suis autant attaché à ma dignité que je défendrai aussi jusqu’à la mort. Dans les années quatre-vingts aux moments les plus chauds de la guerre froide une partie de la population terrorisée par le spectre d’un conflit nucléaire criait « plutôt rouge que mort ! ». Moi j’attendais les soviets dans mon char AMX 30 !!!

Continuez à vous battre pour vos valeurs. Mais soyez sûr de votre cause car rien n’est plus terrible que de se réveiller un matin en réalisant que l’on a défendu les intérêts d’un « gourou » qui nous avaient menti !

Très respectueusement.

Le capitaine POUSSEL

J’ai envoyé un autre courriel au capitaine Poussel pour lui dire que j’avais reçu un message anonyme de cette adresse : officier@free.fr. Voici ce que la personne m’écrivait : « Monsieur Bouliane, Nous vous serions très reconnaissant(e)s d’effacer de votre site les références à l’AORA, qui mettent en péril grave des officiers qui sont aussi père et mère de famille. Vous remerciant de votre compréhension, et vous félicitant pour votre courageuse oeuvre de diffusion. » J’ai voulu répondre à cet individu mais le message m’est revenu. J’ai demandé au capitaine Poussel de me confirmer que ce message provenait bel et bien de son association, ce qu’il réfuta catégoriquement. Je vous rappelle que le capitaine Poussel est le président de l’Association des officiers de réserve et réservistes du Pays d’Aix (AORA).

Cette correspondance a été rendue publique avec l’aimable autorisation du capt Luc Poussel.

NOTE :
  1. Dans son premier courriel en date du 1er septembre 2020, le capitaine Luc Poussel, m’écrit que le pôle santé de l’AORA a reçu le document PDF le 8 mai, alors que le rapport qui circule depuis le tout début est daté du 13 mai 2020. Ceci est illogique. Je vous rappelle que ce rapport a été interdit de diffusion. Toutefois, « devant l’urgence et la gravité des faits », il a été décidé de le communiquer à la société civile, tout en prenant soin de l’expurger des références au Groupe et des sigles de l’Unité. Je laisse donc le soin à mes lecteurs de faire leur propre réflexion.



« Les aliens existent et ils ont signé un contrat avec les États-Unis »: les révélations hallucinantes d’un ancien haut responsable israélien

[Source : BusinessAM]

Responsable de la sécurité du programme spatial israélien pendant 30 ans, Haim Eshed a livré une incroyable interview à la presse de son pays. Il explique que les aliens existent, mais que l’humanité n’est pas encore prête à l’accepter.

Les propos ont tous les atours d’une théorie fumeuse. S’ils ne sortaient pas de la bouche d’une éminence de la recherche spatiale, ils seraient sans doute rangés dans la catégorie « discours conspirationniste ». Car non seulement les aliens existeraient, mais en plus, ils seraient en contact étroit avec les autorités américaines.

De 1981 à 2010, Haim Eshed a été le responsable de la sécurité du programme spatial israélien. Durant cette période, il a reçu à trois reprises le « prix de la Sécurité d’Israël » des mains du président israélien.

Dans une interview accordée au Yediot Aharonot – l’un des principaux quotidiens d’Israël – Eshed a révélé l’existence des aliens. Qu’un ancien haut responsable divulgue de telles informations est déjà, en soi, exceptionnel. Mais l’homme est allé beaucoup plus loin, expliquant que ces extraterrestres étaient en contact avec les autorités américaines, avec lesquelles ils auraient passé un contrat.

Haim Eshed

Fédération Galactique

Haim Eshed explique que les humains et les extraterrestres échangent déjà depuis « des années ». D’après lui, ce sont surtout les États-Unis qui ont un contact privilégié avec ces aliens. Ensemble, les deux communautés formeraient la « Fédération Galactique ».

« Trump était sur le point de révéler cela, mais les extraterrestres de la Fédération Galactique ont dit: « Attendez, laissez d’abord les gens se calmer ». Ils ne veulent pas déclencher une hystérie de masse. Ils veulent d’abord nous rendre sains d’esprit et compréhensifs », a détaillé Eshed.

[Voir aussi :] Il y aurait au moins 36 formes de civilisations extraterrestres intelligentes dans notre galaxie

L’ancien responsable de la sécurité du programme spatial israélien a ensuite franchi une étape supplémentaire, expliquant que les autorités américaines et les extraterrestres avaient conclu un contrat.

« Ils ont signé un contrat avec nous pour faire des expériences ici. Eux aussi font des recherches et essaient de comprendre l’ensemble de l’univers, et ils veulent que nous nous aidions. Il y a une base souterraine dans les profondeurs de Mars, où se trouvent leurs représentants, ainsi que nos astronautes américains », a-t-il confié.

Rappelons que Donald Trump a créé il y a un an la United States Space Force, une nouvelle branche des forces armées américaines destinée à mener des opérations militaires dans l’espace.

Pourquoi Eshed parle-t-il ?

Haim Eshed le dit lui-même : les extraterrestres sont réticents à ce qu’on apprenne leur existence sur Terre, parce qu’ils estiment que « l’humanité n’est pas prête ». Alors, pourquoi brise-t-il cet accord ? Car, selon lui, les mentalités sont en train d’évoluer.

« Si j’avais raconté tout ce que je dis aujourd’hui il y a cinq ans, j’aurais été interné. Partout où j’ai présenté cela dans le milieu universitaire, on m’a dit : cet homme a perdu la tête. Aujourd’hui, ils parlent déjà différemment. Je n’ai rien à perdre. J’ai été gradé et récompensé, je suis respecté dans les universités à l’étranger, où la tendance change également », a-t-il expliqué.

A 87 ans, Haim Eshed semble bien décidé à révéler tout ce qu’il sait. Pour ce faire, il vient de publier un livre, intitulé The Universe Beyond the Horizon – conversations with Professor Haim Eshed. Le Jerusalem Post indique qu’il y explique notamment comment les aliens ont réussi à nous sauver de catastrophes nucléaires.




Les vraies raisons pour lesquelles nous n’avons pas encore eu la divulgation complète

[Source : https://elishean-portesdutemps.com]

Transmis par Chris Thompson

Premièrement, j’aimerais souligner que de nombreux gouvernements
importants, y compris les gouvernements britannique, australien et
russe, ont rendu leurs informations sur les ovnis entièrement à la
disposition du public… le public ne peut simplement pas être dérangé par
les procédures juridiques nécessaires d’accéder à cette information.

Pour ce qui est des médias qui ont accès à cette information… eh
bien, qui a dit le contraire? Mais les médias (à l’exception de Youtube)
sont contrôlés par les Illuminati, et les Illuminati conspirent avec
des extraterrestres diaboliques pour asservir la race humaine.

Les médias nieront donc toujours l’existence des extraterrestres (les
Illuminati ne veulent pas que vous sachiez ce qu’ils font).

La NASA (l’anagramme signifie vraiment Jamais une réponse directe) était au courant de la possibilité d’une vie extraterrestre avant de voir la moindre preuve, et a décidé à l’avance que si elle découvrait une telle preuve, elle la cacherait. Leur raisonnement était le suivant:

« Les archives anthropologiques contiennent de nombreux exemples de sociétés, sûres de leur place dans l’univers, qui se sont désintégrées lorsqu’elles ont dû s’associer à des sociétés auparavant inconnues, exposant des idées différentes et des modes de vie différents.
D’autres, qui ont survécu à une telle expérience, l’ont généralement fait en payant le prix des changements de valeurs, d’attitudes et de comportements.« 

Voici une citation de la page 215 du rapport Brookings, sur laquelle
la charte originale de la NASA était fondée. Ce que le rapport (du moins
cette partie) dit en gros, c’est que la découverte d’extraterrestres,
ou même leurs artefacts, pourrait provoquer la fin de la civilisation
telle que nous la connaissons. Personnellement, je n’y crois pas, mais
c’est ce que pense la NASA.

Leur raisonnement est erroné, car il semble basé sur la
«désintégration» de la société amérindienne, après avoir été exposée aux
colons européens. L’erreur dans cette logique est que lorsque les
Européens sont venus en Amérique, ils sont venus en envahisseurs et en
conquérants. Ce n’était pas un simple savoir des Européens et leur
technologie supérieure, qui a détruit la société des Indiens d’Amérique.
Ce sont les envahisseurs européens qui utilisent leur technologie
supérieure (armes à feu) pour tuer délibérément les Indiens et les
terroriser jusqu’à se soumettre, ce qui détruit leur culture.

Il est même exagéré d’affirmer que leur culture a été «détruite», car
dans de nombreuses petites villes ayant des réserves aux États-Unis, la
culture amérindienne subsiste malgré les efforts résolus déployés pour
la détruire (par diverses méthodes) pendant des centaines d’années.

Le simple fait de savoir que les extraterrestres existent ne nous
fera pas de mal, et rien ne prouve que, lorsque les extraterrestres
choisiront de se révéler à nous, ils viendront en conquérants et
envahisseurs, comme l’ont fait les colons européens de l’Amérique.

Des centaines de films hollywoodiens décrivant les extra-terrestres comme des conquérants et des envahisseurs ne sont pas une preuve , c’est bien ce à quoi ils ressemblent. La NASA semble coupable d’être anthropomorphisants : de les accuser de penser comme les humains. La NASA semble supposer que, parce que nous (humains) avons utilisé notre technologie supérieure pour conquérir, les extraterrestres doivent faire de même. Mais cette hypothèse doit reposer sur l’ hypothèse supplémentaire selon laquelle les ET n’ont pas déjà la technologie pour nous conquérir. Sinon, nous devons nous demander: si les extraterrestres veulent nous conquérir et qu’ils ont la technologie, pourquoi ne l’ont-ils pas déjà fait?

Et c’est précisément la question que nous devrions nous poser avant
de partir en supposant que les extraterrestres ont des intentions
hostiles à notre égard. Chaque livre que j’ai lu sur les ET (et j’en ai
lu des dizaines) suggère que certains ET ont des technologies, voire des
millions d’années devant nous, et si cela est vrai, ils auraient pu
conquérir notre planète à tout moment. Une civilisation âgée d’un
million d’années seulement (étant donné que l’univers a 15 milliards
d’années, il est fort possible, sinon probable, que de nombreuses
civilisations de ce type existent) aurait facilement pu conquérir la
Terre il y a des centaines de milliers d’années, lorsque nos ancêtres
n’étaient que des hommes des cavernes, incapables de résister de quelque
manière que ce soit. Mais ils n’ont pas et ils n’ont pas, donc il n’y a
aucune raison de supposer qu’ils le feront.

Pensez-vous vraiment qu’ils se retiennent parce qu’ils ont peur de
nous? De notre technologie d’armes? N’avez-vous pas lu la partie où j’ai
dit que leur technologie avait des milliers, voire des millions
d’années devant nous? Des films comme Independence Day , qui
représentent des êtres humains ayant une chance de se défendre, contre
une invasion extraterrestre, sont complètement irréalistes. Dans le cas
d’une véritable invasion de l’ET, nous aurions autant de chances de
riposter que les hommes des cavernes auraient contre les armes
nucléaires. La seule chose qui empêche les ET de nous envahir, c’est
qu’ils ne veulent pas .

Ainsi, l’argument de la NASA contre la divulgation de sa connaissance
des extraterrestres au public est sans fondement, mais tant qu’ils s’y
accrocheront, la NASA ne dira jamais au public la vérité sur les
extraterrestres.

Mais les véritables moteurs de ce complot de négation sont le pouvoir et l’argent.

Quiconque a accès aux technologies ET et contrôle ces technologies, a
le pouvoir sur ceux qui n’en ont pas, et peut gagner de l’argent en
limitant l’accès des autres à ces technologies. Les Illuminati ont des
technologies de contrôle mental (fournies par leurs alliés ET), mais
bien sûr, ils ne veulent pas que nous sachions à ce sujet, car si
suffisamment de gens le faisaient, sachez que ce serait une menace pour
le pouvoir des Illuminati et leurs projets de domination mondiale.

De même, les Illuminati possèdent une importante flotte de véhicules
de reproduction extraterrestres (antirétroviraux, fabriqués à partir de
vaisseaux spatiaux extraterrestres capturés, et indiscernables de la
réalité, à moins que vous ne regardiez de très près), mais si
suffisamment de gens le savaient, ils ne pourraient jamais utiliser ces
ARV pour mettre en scène une fausse invasion extraterrestre de la Terre.

Les Illuminati préparent une telle attaque sous un faux drapeau
depuis des décennies afin de créer une telle panique que la race humaine
souscrira à un gouvernement Un Monde Mondial, qui sera, bien sûr, contrôlé par les Illuminati.

Le jeu final des Illuminati consiste à organiser une invasion de la
Terre sous un faux drapeau «étranger», afin qu’ils puissent unir tous
les gouvernements et toutes les armées du monde sous le règne des
Illuminati. Si les Illuminati peuvent nous conditionner à considérer les
extraterrestres comme des envahisseurs «extraterrestres» diaboliques,
même s’ils les décrivent comme tels à travers des films, il est peu
probable que nous remettions en question la réalité d’une invasion
fausse (extraterrestre) Illuminati.

Les Illuminati pouvaient poursuivre «l’invasion» aussi longtemps
qu’ils le souhaitaient, en utilisant leur flotte d’ARV pour attaquer de
malheureux civils dans le monde entier. Parce que les antirétroviraux
sont indissociables du véritable artisanat extraterrestre (sauf pour
ceux qui ont des connaissances initiales), la plupart des gens seraient
trompés et imploreraient les Illuminati de les sauver. Les Illuminati
auraient ainsi le contrôle des deux côtés de cette «guerre»: l’armée de
la Terre unie (ou une telle entité) et les «envahisseurs
extraterrestres», et ils pourraient continuer la guerre aussi longtemps
que cela conviendrait. Ce but étant de terroriser la majorité humaine
sans méfiance, afin qu’ils acceptent les Illuminati (peut-être en
s’appelant désormais Gouvernement de la Terre Unie; ils ne s’appellent
jamais de leur vrai nom) comme des sauveurs et des dirigeants, sans
aucun doute.

Les Illuminati ont d’autres motifs, sinistres, de s’assurer que vous
ne découvrez jamais les technologies extraterrestres qu’ils possèdent.
Les engins ET sont alimentés par l’énergie du point zéro: une source d’énergie renouvelable, illimitée, propre, qui éliminerait complètement le besoin de combustibles fossiles.

Pire encore (du point de vue des Illuminati), les générateurs Zero
Point pourraient être fabriqués à partir de matériaux aussi bon marché
et couramment disponibles que n’importe qui pourrait en fabriquer un
dans leur arrière-cour (s’ils savaient seulement comment assembler les
matériaux de manière correcte).

Une connaissance et une utilisation généralisées de la
technologie Zero Point signifieraient la fin de l’industrie des
combustibles fossiles et de la domination du monde Illuminati, via le
contrôle de l’approvisionnement énergétique mondial.

Les Illuminati feront tout ce qui est en leur pouvoir pour que cela
ne se produise pas. Et leur pouvoir est considérable. L’industrie des
combustibles fossiles (que possèdent les Illuminati) représente environ
600 billions de dollars dans le monde. 600 trillions de dollars achètent
beaucoup de pouvoir pour corrompre et faire taire toute personne qui
menace de révéler une énergie de zéro point au monde.

Si jamais vous construisez votre propre dispositif d’énergie
sur-unité (sur-unité signifie que l’appareil produit plus d’énergie
qu’il n’en consomme ), soyez très attentif à qui vous en parlez. Si les
Illuminati le découvrent, ils pourraient vous proposer de vous acheter.
Ils offriraient assez d’argent pour vous préparer à la vie et, comme on
pouvait s’y attendre, cela fonctionne pour la plupart des gens. C’est
pourquoi l’Office américain des brevets a plus de 5 000 brevets sur les
technologies énergétiques à l’unité excessive… aucune dont ont été mis
en service. Les Illuminati achètent votre technologie pour pouvoir la
breveter et l’enterrer.

Dieu nous en préserve, il devrait toujours tomber entre de bonnes mains: les mains de quelqu’un qui pourrait l’utiliser pour libérer le monde de l’industrie des fossiles.

Mais si vous étiez cette personne, et vous a fait avoir une vision de mettre fin à des combustibles fossiles et fournir de l’ énergie propre, gratuite pour tous. Et si vous n’étiez pas disposé à vendre votre vision, peu importe combien d’ argent vous a été offert? Ensuite, les Illuminati détruiraient votre atelier, votre technologie et toutes vos recherches (généralement en le brûlant). Ils pourraient vous tabasser, ou même vous emmener pour la torture. Si rien de tout cela ne suffisait pour vous faire taire, ils pourraient menacer votre famille et vos amis et même répondre à ces menaces. Si même cela ne vous empêchait pas, ils vous tueraient. Il existe une longue liste de scientifiques qui ont «disparu» et dont les ateliers ont été incendiés après avoir créé des dispositifs de sur-unité.

Une autre technologie, qui pourrait changer le monde autant que l’énergie du point zéro, est l’anti-gravité (mise au point à partir de systèmes de propulsion d’engins spatiaux ET).

Un navire anti-gravité conçu par l’homme serait comme une véritable
soucoupe volante ET: fonctionnant aussi bien pour les voyages dans
l’atmosphère terrestre que pour les voyages interplanétaires ou les
voyages inter-stellaires. L’utilisation généralisée de cette technologie
rendrait les véhicules à roues obsolètes, mettrait l’industrie
automobile (en grande partie détenue par Illuminati) à la faillite, et
porterait un coup fatal à l’industrie des carburants fossiles.

Les avantages pour la race humaine seraient un voyage quasi instantané d’un point de la Terre à un autre point de la Terre; la possibilité de voyager entre les planètes en quelques secondes (parce que les entraînements anti-gravité permettent le déplacement FTL); voyager entre les étoiles en quelques minutes; et voyager entre les galaxies en heures.

Pouvez-vous imaginer ce que serait le monde si une telle technologie était disponible pour l’ être humain moyen … pas seulement une poignée de riches? Les Illuminati peuvent l’imaginer, et c’est leur pire cauchemar… ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher que cela ne se produise.

Voici pourquoi.

Si tout le monde avait accès à sa propre soucoupe volante, les humains se répandraient très rapidement dans la galaxie. Nous ne serions plus limités à une seule planète, ce qui empêcherait les Illuminati de nous contrôler: si nous n’aimions pas les planètes sous le contrôle des Illuminati, nous pourrions simplement aller sur d’autres planètes; peut-être même commencer nos propres colonies sur d’autres planètes ou astéroïdes. Un voyage FTL (plus rapide que la lumière) mettrait des milliers de planètes et d’astéroïdes à portée de main. Et toutes les ressources de ces planètes et astéroïdes seraient également facilement accessibles.

Nous aurions une liberté illimitée, avec une abondance infinie: les
ressources de l’ univers entierà notre disposition. Il n’y aurait plus
besoin d’argent, ce qui est le principal moyen des Illuminati de nous
contrôler depuis des milliers d’années. Si nous pouvions briser cette
chaîne, nous serions libérés des Illuminati pour toujours.

Le meilleur de tous, si nous avions le voyage FTL, nous pourrions
enfin prendre notre place légitime dans la société intergalactique,
parmi toutes les races extraterrestres bienveillantes qui attendent
depuis si longtemps que nous les rejoignions. Si leurs civilisations ont
des milliers, voire des millions d’années d’avance sur les nôtres,
alors certaines d’entre elles pourraient posséder des empires
galactiques s’étendant sur des milliers de planètes. Avec ces êtres
comme alliés et partenaires commerciaux, nous aurions vraiment une
abondance infinie et une liberté infinie, en tant qu’espèce,
d’apprendre, de grandir et d’explorer. Liberté, en tant qu’individus, de
vivre notre vie comme bon nous semble , sans que les Illuminati (sous
l’apparence de gouvernements, de banques, de sociétés et de sociétés du
secteur des énergies fossiles et de l’énergie) ne nous disent quoi
faire.

Mais, comme je l’ai dit, c’est le pire cauchemar des Illuminati. Pourquoi pensez-vous qu’ils ne permettent pas de voyager dans l’espace? Pourquoi pensez-vous que nous ne sommes pas encore allés sur Mars? Pourquoi pensez-vous que nous ne sommes même pas retournés sur la Lune depuis 50 ans ?!

C’est simple. Tant que nous sommes confinés à une seule planète , les
Illuminati peuvent nous contrôler, comme des moutons dans un enclos. Je
pense que nous sommes prêts à sortir de cette plume (depuis des
décennies, en fait) et à devenir une course étoilée. Mais nous devons
d’abord trouver un moyen de retirer la botte des Illuminati de notre
gorge collective.

https://medium.com/we-are-not-alone-the-disclosure-lobby/the-real-reasons-we-havent-had-full-disclosure-yet-67402c76f74a

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de citer l’auteur, les sources, et le site: https://elishean-portesdutemps.com

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2020 et le grand dressage maçonnique planétaire

[Source : Strategika]

Par Nicolas Bonnal

Né en 1961 à Tunis, Nicolas Bonnal étudie beaucoup, voyage plus encore et commence à publier en 1995 : Mitterrand le grand initié. Il publie ensuite aux belles lettres le Coq hérétique sur l’exception française, la première étude en français sur Tolkien et Internet nouvelle voie initiatique. Il publie aussi des romans (les territoires protocolaires) et un recueil de contes (les mirages de Huaraz) après une vacance de cinq ans en Amérique du sud. Il revient vivre en Andalousie, puis publie des livres sur le cinéma (le paganisme, Kubrick, Ridley Scott, sans oublier les westerns). Anarchiste réactionnaire, proche des libertariens américains et des traditionalistes européens, Nicolas Bonnal se réclame aussi du genre pamphlétaire (un livre sur Céline) et décidément antimoderne. Il a publié des textes sur une dizaine de sites dont Francecourtoise.infobvoltaire.frdedefensa.orgfr.sputniknews.com 
et pravdareport.com. 
Plusieurs de ses livres ont été traduits (russe, brésilien, ukrainien, espagnol). 
Son blog : nicolasbonnal.worpress.com

Je revoyais le film de Peter Bogdanovitch sur John Ford et je tombais sur cette juste observation de Spielberg : le cinéma de John Ford est un cinéma de rituel. Ayant écrit un livre sur le folklore au cinéma et un autre sur les westerns, je ne peux que souscrire à cette assertion (les bals, les chants irlandais, les marches militaires, la hiérarchie, la courtoisie, le monde indien, la cavalerie, etc.). Revoyant aussi Eyes Wide Shut, je suis resté étonné par la force des images de masques dans le château des Rothschild (Mentmore Towers – Polanski a tourné la neuvième porte à Ferrières, autre demeure Rothschild)  et celle, dans la salle de billard, où Tom Cruise se couvre la partie inférieure du visage de sa main, éminent signe de rituel maçonnique. Il montre sa soumission au moment où Ziegler confesse ses crimes d’un air ennuyé et entendu – en lui offrant une caisse de whisky, la Wise key de nos initiés de Seagram (les Bronfman-ADL) qui dirigent le monde avec une poignée de milliardaires et de vaccinateurs branchés mineures et rituels.

C’est pour cela que j’écris des livres sur le cinéma, pour montrer que comme les hexagrammes de mon Yi King, les films trouvent souvent dans la réalité une manifestation grossière, matérielle, massifiée et bien sûr politique. Revoyons donc ce que nous avons vécu depuis peu, et qui va à une vitesse extraordinaire – même si les protocoles ont été écrits il y a cent-vingt ans – et que l’on peut se demander ce que les Elders ont fait depuis. Tout n’était-il pas nécrosé, hiérarchisé et bloqué depuis la fin du dix-neuvième siècle ? Relisez Drumont, Hobson, Eco, Dostoïevski pour le comprendre. Nos tout-puissants n’avancent pas si vite qu’ils le croient. Ils patinent.

Mais voyons la symbolique de ce qui nous arrive, qui a été recensée par Henry Makow sur son site.

On a donc commencé par un grand confinement et on s’est tous retrouvés coincés devant un écran. Cette opération maçonnique se nomme cabinet de réflexion et elle précède la grande sortie vers la lumière pour le futur initié (pensez à Jack Lang et à Mitterrand au Panthéon, voyez mon livre sur ce maître en manipulation de symboles). On est entouré d’objets comme le sablier, le crâne (vanité, symbole de la mort, via le terrorisant virus), le miroir (l’écran, comme dans la Belle et la Bête de Cocteau), et on se prépare.

Ensuite on sort et on doit être équipé et surtout briefé. L’espace est compartimenté et réglementé et nos maîtres de cérémonie nous expliquent comme nous nous disposons dans cet espace que l’on nommait la terre et qui devient un temple maçonnique, une simple loge où l’on s’exécute avant de livrer ses enfants. Dans cet espace on porte un masque, qui couvre la partie inférieure du visage, nouvelle marque de soumission (cf. Tom Cruise). Le bal masqué au dix-neuvième siècle (voyez le bal Rothschild – toujours eux, mais qu’y faire ? –  avec Audrey Hepburn) a des connotations symboliques et contre-initiatiques très fortes, que j’ai recensées dans mon livre sur le maître des maîtres Kubrick. On trouve aussi dans la légendaire série le Prisonnier (d’actualité puisqu’on ne peut plus sortir du village et que les masqués nous font la chasse) un épisode sur un bal masqué (Dance of dead) et un autre sur le harcèlement (Change of mind).  Dans le film de Kubrick le masque est aussi un signe d’appartenance à la communauté des censeurs et des maîtres. Dans mon bled en Espagne les masqués sont de plus en plus autoritaires, arrogants, haineux, et je présume que ce fanatisme démasqué procède ainsi partout. J’oubliais que les maçons comme les masqués portent des gants (revoyez encore la Belle et la Bête, c’est une mine ce film/conte).

Le tout sert évidemment à accéder à une nouvelle réalité : une réalité avec plus de lumière, moins de pollution, et aussi moins de gens –les non-initiés – car on veut les exterminer ces gens et ils ont été tellement hypnotisés depuis si longtemps qu’ils ne s’en rendront même pas compte (voyez la bande au colonel Kurz dans Apocalypse now qui finit noyée sous les bombes tout de même). J’ai évoqué ailleurs le film de Don Siegel l’invasion des profanateurs de sépulture qui montre le grand remplacement de nos âmes et de nos corps par des entités extraterrestres qui passent par des pods (cosses en anglais). Aujourd’hui la smart (douleur, mort) faune a permis de vider ce qui pouvait rester d’esprit aux gens, et fissa (vite, en arabe) en plus, comme on dit chez moi.

Et puis sont arrivées les émeutes. Je m’y attendais car on aime en haut lieu appliquer la formule : ordo ab chaos. Elles ne sont pas antigouvernementales – ils sont tous bien soumis nos « mutins de Panurge ») mais racistes anti-blanches. Détruire ce qui reste d’ordre blanc, de classe moyenne de fond chrétien (avec ce pape maçon, déiste et je-m’en-foutiste, comme c’est facile) et amener un chaos mondialiste qui permettra de promouvoir l’ordre nouveau voulu par Gates, Soros et tous nos susnommés. C’est ce que j’appelle la théorie de la constatation.

Henry Makow a admirablement montré le contenu maçonnique des grotesques manifestations planétaires d’agenouillement. Le kneeling est expliqué et commenté dans tous les dictionnaires maçonniques et il a été imposé comme par enchantement à tous les crétins de la planète (chez lesquels on trouve comme chez nos médecins plastifiés du virus pas mal d’acteurs tout de même). Le kneeling a été ritualisé comme les cérémonies de pardon, comme aussi les tas de briques au beau symbolisme maçonnique (revoyez les dix commandements pour vous amuser avec ces histoires de briques) soigneusement préparés pour détruire ce qui reste de petits et moyens commerces, ces symboles des blancs, invités à disparaître dans la propagande maoïste du frère Biden. Ce n’est pas que le Trump vaille mieux, il est leur idiot utile, leur faire-valoir, et si la sorcière Hilary n’avait pas été volée de son élection et avait été élue on n’en serait certainement pas là, mais à des années-lumière – sic. Trump a servi à bloquer, anesthésier notre résistance.

Tout de même ce qui m’émerveille –et je m’arrête là, sachant que le smart faune empêche de se concentrer plus de neuf secondes, faisant de nos cervelles celles de poissons rouges), c’est la facilité avec laquelle 90% des gens, comme dans le test de Milgram, vont se soumettre et coopérer. Des kapos et des zombis, comme a dit un lecteur. C’est Guénon qui a parlé du caractère hallucinatoire du monde moderne.




Trump et le Congrès présentent des informations sur les observations d’OVNIS par des pilotes de la Marine Américaine – Le lien avec la Force Spatiale et la divulgation d’informations

[Source : Stop Mensonges]

Par DR MICHAEL SALLA le 22 JUIN 2019

Le président Trump et des membres du
Congrès Américain ont récemment pris connaissance de séances
d’informations sur les observations d’OVNIS par des pilotes de la Marine
Américaine. Combinés au Pentagone, reconnaissant qu’il avait créé un
programme classifié d’étude des OVNIS de 2007 à 2012 avec un financement
du Congrès, les séances d’informations suscitent de plus en plus de
spéculations sur la question de savoir si nous sommes sur le point de
faire officiellement des divulgations sur les ovnis et leur véritable
origine.

En outre, les séances d’information ont
lieu simultanément avec la législation visant à créer une force spatiale
progressant régulièrement au Congrès. Cela soulève la question
intrigante de savoir si Trump et les membres du Congrès sont au courant
que la Force Spatiale est nécessaire pour traiter le sujet des OVNIS vus
par les pilotes de la Marine, considérés par le Pentagone comme une
menace potentielle.

Dans une interview accordée à l’animateur de la chaîne ABC, George Stephanopoulos, le Président Donald Trump a admis qu’il avait reçu l’information sur les observations d’OVNI par des pilotes de la Marine Américaine survenues en 2004 et 2015. Dans un article du 15 juin intitulé “Trump informé sur les observations d’OVNI dans la Marine”. Matthew Choi de Politico a écrit sur ce que Trump a dit à Stephanopoulos :

“Je veux les laisser penser ce qu’ils
pensent”, a déclaré Trump à propos des pilotes de la marine. «J’ai eu
une très brève réunion à ce sujet. Mais les gens disent qu’ils voient
des OVNIS. Est-ce que je le crois? Pas particulièrement.»

Trump était ici en train de reconnaître
qu’il ne croyait pas aux OVNIS, qui ont la connotation d’être un
vaisseau spatial piloté par des extraterrestres. En lisant entre les
lignes ici, Trump laisse entendre que ce que les pilotes de la Navy ont
vu n’étaient pas des OVNIS, mais quelque chose d’autre dont lui et le
Pentagone savent ce que c’est.

Lorsqu’on lui a demandé s’il connaissait s’il existait un lien extraterrestre avec ces observations, il a répondu à Stephanopoulos :

«Je pense que nos grands pilotes le
sauraient. Et certains d’entre eux voient des choses un peu différentes
qu’avant. … Nous regardons cela, et vous serez le premier à savoir.»

Trump semblait détourner l’attention de
ce qu’il savait vraiment sur le lien avec les extraterrestres, mais il a
notamment insisté sur le fait que son administration était attentive à
ce que les pilotes de la Navy avaient rapporté. Encore une fois, lisant
entre les lignes, Trump dit que son administration cherche activement
des réponses au phénomène OVNI, et qu’il le découvrira, il le
transmettra à Stephanopoulos et au grand public.

Quelques jours plus tard, le 19 juin, Politico a publié un article relatant trois sénateurs américains qui avaient également reçu des informations classifiées sur les observations d’OVNI par des pilotes de la marine. Bryan Bender a écrit dans «Les Sénateurs ont été informés des observations d’OVNIS par la Marine» :

Selon des responsables du Congrès et de
l’armée, trois autres sénateurs américains ont reçu mercredi une réunion
classifiée du Pentagone au sujet d’une série de rencontres de la Marine
avec des avions non identifiés.

L’un d’entre eux était le sénateur Mark
Warner (D-Va.), Vice-président du Comité du Renseignement du Sénat, dont
le bureau a confirmé la réunion d’information à POLITICO.

 «Si les pilotes de la marine se
heurtent à des interférences inexpliquées dans les airs, le sénateur
Warner pense que nous devons aller au fond des choses», a déclaré sa
porte-parole, Rachel Cohen, dans un communiqué.

Justifier leur intérêt pour les observations de pilotes de la Marine en tant que «problème de sécurité» constitue un moyen pratique pour les membres du Congrès de s’intéresser activement aux rapports OVNIS, qui ont été officiellement rejetés et ridiculisés pendant des décennies. Cette politique officielle remonte à 1953 quand un groupe de scientifiques parrainé par la CIA a présenté un rapport accablant sur les observations d’OVNI qui recommandait un programme d’éducation du public pour rejeter et ridiculiser toutes observations d’OVNIS (ou soucoupe volante) pour des raisons de sécurité nationale.

Depuis lors, la presse grand public a
rapporté des observations d’OVNIS de manière à systématiquement se
moquer et ridiculiser le sujet. Ce qui est très inhabituel aujourd’hui,
c’est que les pilotes de la marine en service obtiennent maintenant la
permission de parler de leurs observations et que la presse accorde une
grande attention à leurs comptes rendus dans des articles sans
aucunement les tourner en ridicule.

Cela est amplement démontré dans les nombreux reportages grand public parus après que le New York Times et Politico ont publié des articles simultanés sur les observations d’OVNI de pilotes de la Marine le 16 décembre 2017. Les deux journaux ont discuté des observations d’OVNI des pilotes, ainsi que des fuite de vidéos enregistrés d’OVNIS par leurs instruments, et le lien entre les observations et l’établissement du programme avancé d’identification de la menace aérospatiale (AATIP) en 2007, avec un financement de 22 millions de dollars du Congrès.

Tout cela coïncide avec la formation de la Space Force en tant que sixième branche de l’armée américaine, qui est actuellement débattue par les deux chambres du Congrès. Au cours des dernières semaines, deux comités de la défense du Congrès ont approuvé l’adoption de projets de loi autorisant la création d’une Space Force. Il faudra encore un mois ou deux à la Chambre des représentants et au Sénat pour adopter leurs projets de loi respectifs, puis résoudre les différences de langage et de priorités entre les deux versions afin de les inclure dans la Loi sur les autorisations de défense nationale pour 2020.

Une chose devient de plus en plus
claire: la Force Spatiale bénéficie d’un véritable soutien bipartite au
Congrès, ce qui semble être le résultat de l’intérêt actuel des médias
et du Congrès pour les OVNIS généré par les rapports de pilotes de la
Marine et les révélations du Pentagone concernant son programme
AATIP. Le sénateur Warner, un démocrate, a-t-il été informé, par ses
informateurs du Pentagone, que les OVNIS vus par les pilotes
constituaient une menace inconnue, et que c’est pourquoi la Force
Spatiale est nécessaire?

Quelques semaines plus tôt, le sénateur Ted Cruz avait déclaré que la Space Force était nécessaire pour lutter contre les pirates de l’espace. Il ne parlait pas de visiteurs extraterrestres, mais plutôt d’éléments voyous de différents pays ou d’entreprises susceptibles de contester la suprématie américaine dans l’espace.

Ce n’est pas une coïncidence si les
membres du Congrès sont informés des rapports des pilotes de la Navy sur
des ovnis qui ont amené le Pentagone à installer son programme AATIP en
2007. On leur dit que les ovnis étaient une menace inconnue, en même
temps où l’administration Trump et Le Pentagone font pression pour la
mise en place de la Space Force.

On s’attend généralement à ce que la Space Force soit officiellement créée et mise en place sous le Département de la Force Aérienne en 2020, à l’instar des relations entre le Département de la Marine et la US Marine Corps. Après son lancement officiel, la Force Aérienne sera prête à dévoiler les technologies spatiales classifiées qu’elle a secrètement développées depuis des décennies dans un Programme Spatial Secret, décrit en détail dans mon livre paru récemment, US Air Force Secret Space Program : Alliances extraterrestres et force spatiale .

La divulgation officielle est susceptible de se dérouler en différentes étapes. La première sera que beaucoup d’observations d’OVNIS impliquent des technologies classifiées développées par l’USAF, ainsi que des technologies aérospatiales similaires développées par la Russie et la Chine. La divulgation d’un Programme Spatial Secret de la Force aérienne sera un moyen optimal de surprendre le public américain par des informations sur les véhicules anti-gravité d’apparences et de formes différentes mis en place depuis plusieurs décennies.

La deuxième étape de la divulgation implique probablement des annonces futures concernant la capture et la rétro ingénierie de technologies non terrestres remontant aux années 1940, décrites dans le Programme Spatial Secret De la US Air Force .

Un document qui révèle une fuite sur le vice-amiral Tom Wilson, ancien directeur de la Defense Intelligence Agency, s’est vu refuser l’accès, en 1997, à un programme d’entreprise classifié impliquant la rétro-ingénierie de technologies avancées non conçues par l’homme.

Le document divulgué identifie plusieurs
scientifiques et anciens responsables militaires qui pourraient être
convoqués devant le Congrès pour témoigner de leur connaissance d’un tel
programme de rétro-ingénierie. En effet, le responsable du programme
AATIP du Pentagone de 2007 à 2017, Luis Elizondo, a donné une interview à
Tucker Carlson le 31 mai, avouant que certaines technologies OVNI
avaient été récupérées et étaient à l’étude par le gouvernement
américain.

Carlson: Pensez-vous que, sur la base de
votre décennie de service au gouvernement américain sur cette question,
le gouvernement américain détient en sa possession des éléments d’un de
ces avions?

Elizondo: Je le pense. Oui.

Carlson: Pensez-vous que le gouvernement américain a actuellement des débris d’OVNI en sa possession?

Elizondo: Malheureusement, Tucker, je
dois vraiment faire attention à mon [accord de non-divulgation], je ne
peux vraiment pas entrer dans beaucoup plus de détails que cela…

Carlson: d’accord.

Elizondo: Mais, ah, tout simplement, oui.

Cela mettrait en place un moyen par
lequel le Pentagone et l’Administration Trump pourraient révéler comment
les technologies extra-terrestres récupérées étaient utilisées par
l’USAF pour la recherche et le développement de technologies
aérospatiales avancées utilisant l’antigravité, le champ de torsion et
d’autres systèmes de propulsion exotiques.

Enfin, après la création de Space Force
et la révélation publique de son arsenal de vaisseaux anti-gravité
hérités de l’USAF, la vérité sur certains des extraterrestres en visite
dans notre monde peut être annoncée. La divulgation extraterrestre peut
être effectuée de manière à ne pas saper la confiance du public dans le
fait que les États-Unis et les autres gouvernements nationaux sont en
mesure de défendre leurs populations contre toute action extraterrestre
hostile.

L’attention médiatique généralisée
accordée aux rapports de pilotes de la US Navy, l’association des OVNIS
avec le programme AATIP et l’adoption par le Congrès de la législation
établissant la Force Spatiale sont tous des signes évidents de
révélations majeures qui s’en viennent.

© Michael E. Salla, Ph.D.

Source : https://www.exopolitics.org/trump-congress-briefed-on-us-navy-pilot-ufo-sightings-the-connection-to-space-force-disclosure/




Les nouvelles révélations du Pentagone sur les OVNIs : 75 ans d’opérations psychologiques de type MK Ultra

[Source : Astro Univers]

[Auteur : Matthew Ehret]

Dans mes derniers articles, je me suis retrouvé à écrire sur le thème du nouveau système émergent et de la bataille entre deux paradigmes (multipolaire vs unipolaire).

Dans le cadre de ce thème, l’importante question des opérations psychologiques, des fausses solutions et de la guerre épistémologique qui fait partie de la vie quotidienne de chacun (qu’il le sache ou non) s’est également posée. Les événements et annonces récents m’ont amené à aborder un autre aspect de la guerre psychologique à l’ère moderne.


Les OVNIs et vous

Que feriez-vous si les gouvernements américain et britannique révélaient tous deux que leurs programmes secrets sur les OVNIs déclassifieraient les documents provenant des archives nationales respectives de chaque pays ?

Et si vous découvriez que des politiciens de premier plan, comme l’ancien président de la majorité à la Chambre des représentants Harry Reid, ont alloué 22 millions de dollars des contribuables à la recherche sur les OVNIs et que l’ancien conseiller en chef d’Obama (et pédophile endémique) John Podesta a ouvertement demandé la divulgation des OVNIs à plusieurs reprises depuis 2002 ou qu’Hillary Clinton elle-même a demandé la divulgation des OVNIs lors de sa campagne présidentielle de 2015 ?

Croiriez-vous ces affirmations ou resteriez-vous sceptique ? Comment décideriez-vous quoi faire ?

Avec la déclaration publique du Pentagone du 23 juillet, selon laquelle les « véhicules qui ne sont pas de ce monde et qui n’ont pas été fabriqués sur cette Terre » ont été tenus secrets pendant des décennies, cette question est devenue extrêmement importante.

De grands leaders d’opinion comme Joe Rogan, Tucker Carlson, et même Russia Today ont promu la cause de la divulgation des extraterrestres ces dernières années et avec la dernière annonce du Pentagone, la fascination pour les petits hommes verts s’est répandue comme une traînée de poudre.

Qui joue à ce jeu ?

Au cours des dernières décennies, la recherche sur les OVNIs financée par le gouvernement a été en grande partie menée par des sous-traitants privés comme Bigelow Aerospace, fondé par le spéculateur immobilier milliardaire Robert Bigelow, qui a consacré une grande partie de sa fortune à la création d’organisations comme le National Institute for Discovery Science, qui ont toujours travaillé à titre privé avec les gouvernements et les universités. L’un des outils les plus importants de Bigelow a été le sénateur Harry Reid qui a non seulement reçu de généreux fonds de campagne du milliardaire entre 1998 et 2009, mais a également alloué des dizaines de millions de dollars de fonds de défense nationale à sa société à partir de 2007.

En 2014, la force créative qui a mené la « cause de la divulgationdes OVNIs » a pris la forme d’une étrange organisation appelée To the Stars Academy of Arts and Science, dirigée par des agents de renseignement de haut niveau et utilisant un bout de carton découpé Tom Delonge (ancien chanteur du groupe punk Blink 182). To the Stars a versé des millions de dollars dans des projets culturels/éducatifs et de lobbying menés par des livres, des films et des documentaires pour « élever la conscience mondiale » en vue d’une nouvelle ère de divulgation des OVNIs.

Comme le dit Delonge dans sa vidéo publicitaire :

« Grâce à une série de réunions, j’ai rapidement été mis en contact avec un grand groupe de responsables du gouvernement américain. De la CIA, au Département de la Défense, à Lockheed Martin Skunkworks. C’étaient les gars impliqués dans les programmes gouvernementaux secrets qui traitaient de ces sujets ».

Parmi les personnalités de l’ombre affiliées à To the Stars, on trouve un ancien directeur des opérations de la CIA, un ancien sous-secrétaire adjoint aux renseignements de la défense, un ancien directeur de l’information pour la technologie de la Maison Blanche, et un ancien chef du programme d’armes contre-biologiques de la CIA. Podesta et Bigelow’s Aerospace ont également travaillé en étroite collaboration avec l’étrange groupe de Delonge au cours des six dernières années.

Bigelow n’est pas le seul milliardaire qui a alloué ses vastes fortunes à la cause de la « vérité sur les OVNIs ».

Le projet de Rockefeller

En 1993, le Projet de Divulgation (Disclosure Project) a été créé par nul autre que le financier Laurence Rockefeller (4ème fils du fondateur de Standard Oil, John D. Rockefeller) qui avait un double objectif :

  1. Réunir toutes les plus grandes organisations de recherche sur les OVNIs en Amérique sous une seule organisation faîtière, ce qui a été rapidement accompli en un an et,
  2. Faire massivement pression sur l’administration Clinton pour qu’elle déclassifie des millions de documents, ce qui a été fait en 1994, ne révélant guère plus que des montagnes de témoignages et de correspondances anecdotiques.

Pendant l’apogée de l’Initiative de la Divulgation des OVNIs par Rockefeller, les Clinton sont restés au ranch de Laurence Rockefeller dans le Wyoming, et l’une des premières recrues de la « mission de divulgation » a été le chef de cabinet de Clinton, John Podesta. John Podesta a commencé à lancer des appels à la divulgation des OVNIs en 2002 et a continué à travailler avec des personnalités comme Bigelow et To the Stars Academy au cours des 18 années suivantes.

Un aperçu plus complet des « autres » programmes de changement de civilisation de Laurence Rockefeller dans les années 1950-1990 peut être consulté ici.

Pendant les années de la Maison Blanche, Laurence Rockefeller a recruté un biologiste spécialiste du culturisme, Stephen Greer, pour devenir le contrôleur du Projet de Divulgation, qui lui a fourni son ticket repas jusqu’à aujourd’hui. Greer a donné des milliers d’interviews pour promouvoir le récit selon lequel les projets lunaires Apollo de la NASA ont été arrêtés en 1972 simplement parce que les extraterrestres qui ont été stationnés sur la Lune pendant des éons ne voulaient pas que la vérité éclate (mais ont au moins eu la gentillesse de laisser les États-Unis conserver la technologie qu’ils avaient donnée plus tôt à Roswell dans les années 1950). Si vous croyez au récit de Greer (qui devient beaucoup plus fou, je vous le promets), alors la pensée créative humaine n’est en fait pas aussi spéciale que « les forces de l’ombre qui contrôlent le gouvernement » voulaient vous le faire croire, puisque la technologie spatiale n’existait que parce que nous volions des trucs aux Extraterrestres. Presque tous ceux qui ont été inspirés par la création universelle et le pouvoir de l’esprit humain de découvrir cette création qui a pour effet d’améliorer la vie grâce au progrès scientifique et technologique seraient facilement éliminés de cette perspective.

Les questions qu’une personne intelligente devrait maintenant se poser sont les suivantes :

  • Pourquoi une figure de proue de la dynastie des Rockefeller consacrerait-elle les dernières décennies de sa vie à la cause de la « vérité sur les OVNIs » ?
  • Laurence Rockefeller, ses employés ou ceux de la CIA se sont-ils réellement souciés du droit des gens à connaître les vérités cachées, ou le plan est-il simplement conçu pour détourner les esprits de citoyens crédules et blasés dans une cage invisible ?
  • Une telle mauvaise orientation pourrait-elle empêcher les gens de s’occuper des questions de la conversion de l’Amérique au nazisme et de l’accélération de la désintégration ?
  • Est-il possible que ces pédophiles, ces mondialistes et ces milliardaires malthusiens se soucient moins de la vérité et plus d’inciter les Américains à faire une fixation sur les extraterrestres alors que la république est détruite par l’effondrement économique et la guerre ?

La quadrature des crop circles

Une grande partie du travail du Disclosure Project a été consacrée à l’étude des agroglyphes qui ont été enregistrés pour la première fois au début des années 1970 en Grande-Bretagne, et qui ont la particularité de devenir de plus en plus bien exécutés et complexes au cours de cinq décennies. Live Science a rapporté que « les premiers véritables agroglyphes (crop circles) ne sont apparus que dans les années 1970, lorsque de simples cercles ont commencé à apparaître dans la campagne anglaise. Le nombre et la complexité des cercles ont augmenté de façon spectaculaire, atteignant un pic dans les années 1980 et 1990, lorsque des cercles de plus en plus élaborés ont été produits ».

Ma question est la suivante : si des races extraterrestres transcendantes voyageant à une vitesse supérieure à celle de la lumière ont laissé des messages codés aux États-Unis, alors pourquoi leurs compétences artistiques se seraient-elles améliorées de façon aussi spectaculaire en quelques années ? C’est juste une question.

MK Ultra et OVNIs

La plupart des gens connaissent l’opération de lavage de cerveau de masse financée par la CIA/MI6, connue sous le nom de MK Ultra, qui a été lancée en 1953Très peu de gens ont reconnu le lien entre MK Ultra et la montée du mouvement des OVNIs qui s’est développé à une vitesse fulgurante tout au long de la guerre froide.

Si les enquêtes des gouvernements américain et britannique sur les OVNIs ont commencé en 1947, dans le cadre des projets Sign (1947) et Grudge (1949), ce n’est qu’en 1950 que des services officiels financés par les contribuables ont été créés dans les deux pays pour poursuivre la « recherche sur les OVNIs ». Ces départements ont pris la forme du « Project Blue Book » américain (1952), lui-même inspiré des travaux menés par le « Flying Saucer Working Party » britannique de 1950, dirigé par Sir Henry Tizard (conseiller scientifique en chef au ministère de la défense et président du comité de politique de recherche de la défense britannique).

La journaliste Naomi Klein a déclaré dans son livre « The Shock Doctrine » que Tizard a joué un rôle de premier plan dans la création et le financement de MK Ultra lors d’une réunion de haut niveau à Montréal et un commentaire concernant Tizard dans Wikipedia le note :

« L’une des réunions les plus controversées auxquelles il a dû assister en sa qualité de président de la Commission nationale de la recherche n’est apparue que bien des années plus tard avec la déclassification des documents de la CIA, à savoir une réunion le 1er juin 1951 à l’hôtel Ritz-Carlton de Montréal au Canada, entre Tizard, Omond Solandt (président de Defence Research and Development Canada) et des représentants de la CIA pour discuter du « lavage de cerveau ».

Cette réunion du Ritz-Carleton allait jeter les bases de MK Ultra qui n’était pas seulement conçu pour traiter du lavage de cerveau, mais qui a créé le LSD, et a exploré la question de la décomposition d’un esprit humain en une ardoise vierge avec l’intention explicite de reconstruire les esprits à partir de zéro. Comme le montre éloquemment le livre de Klein, l’intention était d’utiliser ces découvertes à l’échelle nationale afin de mener une « thérapie de choc » sur les nations afin de briser les cultures et les nations de leurs mémoires et traditions historiques dans le but de les reconstruire dans le cadre d’un ordre mondial néo-libéral post-étatique (et post-vérité). Bien que MK Ultra ait été financée par les Américains, l’encadrement de cette opération a toujours été assuré par la Tavistock Clinic de Londres. Une exposition glaçante de cette clinique a été produite par Jeffrey Steinberg de l’EIR en 1993, ce qui peut vous empêcher de dormir la nuit.

Comme on peut l’imaginer, le simple fait de fournir des fonds gouvernementaux pour enquêter sur les soucoupes volantes a suffi à légitimer l’existence d’extraterrestres dans l’esprit de millions d’Européens et d’Américains pendant les années de la guerre froide. Pendant ces années sombres, la foi dans un gouvernement honnête s’est effondrée sous les guerres impériales de Corée et du Vietnam à l’étranger et la croissance du complexe militaro-industriel et du maccarthysme chez nous. Le monde des brevets secrets, des armes secrètes, de la recherche et du développement secrets qui s’est développé pendant cette période dans des installations comme la zone 51 a fait de l’observation fréquente par des civils et même des pilotes militaires non contrôlés de « vaisseaux volants non identifiés » un événement attendu.

Soucoupes volantes et zone 51

Dans son livre Area 51 Uncensored, publié en 2012, la journaliste Annie Jacobson a fourni de longs détails sur les expériences de la guerre froide, la technologie aérospatiale et les essais de bombes nucléaires qui ont eu lieu à Area 51 pendant cette période et qui se sont largement inspirés de l’expérience d’ingénierie sociale de l’émission d’urgence de H.G. Wells sur la guerre des mondes lue à haute voix en 1938La panique de masse qui a suivi la diffusion a permis de comprendre les leviers de la psychologie de masse que certains ingénieurs sociaux ont fait chavirer.

Comment expliquer les phénomènes OVNIs observés ?

Dans une interview à la radio NPR, Jacobson a déclaré,

« L’engouement pour les OVNIs a commencé à l’été 1947. Plusieurs mois plus tard, les services de renseignement du G2, qui était le corps de renseignement de l’armée à l’époque, ont passé énormément de temps et de ressources à rechercher deux anciens concepteurs aérospatiaux du Troisième Reich, Walter et Reimar Horten, qui auraient créé une soucoupe volante. »

« …des agents des services de renseignements américains se sont déployés dans toute l’Europe à la recherche des frères Horton pour savoir si, en fait, ils avaient fabriqué cette soucoupe volante ».

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les frères Horten étaient associés au scientifique autrichien Viktor Shauberger, dont les conceptions novatrices de la technologie de vol par implosion (par opposition à l’explosion) utilisaient les courants d’eau et l’électromagnétisme pour générer des machines volantes qui, selon tous les témoignages survivants, volaient plus vite que la vitesse du son. Alors qu’une grande partie de ses recherches ont été confisquées et classées par les nations victorieuses après la Seconde Guerre mondiale, Schauberger s’est vu promettre le parrainage du gouvernement américain, ce qui a incité l’inventeur à traverser l’océan où le programme Avro Arrow du Canada a recherché ses conceptions d’avions de lancement de missiles nucléaires supersoniques. Lorsqu’il a découvert que son travail ne serait utilisé qu’à des fins militaires, Schauberger a repoussé et pendant plusieurs mois, ses brevets ont été essentiellement volés, et il est retourné en Autriche pour mourir fauché et déprimé en 1958.

L’importance stratégique de l’espace

Il n’a jamais été un secret que l’ordre mondial globalisé d’après 1971, défendu par des personnalités comme Sir Henry Kissinger, David et Laurence Rockefeller et d’autres malthusiens tout au long du XXe siècle, a toujours été conçu pour s’effondrer. Avec la thérapie de choc de masse qu’un tel effondrement imposerait au monde, on croyait qu’une déconstruction des traditions abrahamiques qui ont gouverné la société occidentale pendant 2000 ans pourrait être accomplie et qu’une nouvelle société pourrait être socialement conçue à l’image du meilleur des mondes (dépeuplés) qui vivrait comme des moutons heureux pour toujours sous l’emprise d’une classe alpha héréditaire et de ses gestionnaires technocratiques.

Le seul problème que ces ingénieurs sociaux ont rencontré ces dernières années est la réémergence de véritables hommes d’État qui ne sont pas prêts à sacrifier leur peuple et leurs traditions sur l’autel d’un nouveau culte de Gaïa mondial. Ces défenseurs des meilleures traditions de l’humanité ont lancé l’alliance multipolaire et ont mené une politique de croissance à long terme et de progrès scientifique et technologique qui est brillamment incarnée par la nouvelle route de la soie et ses extensions à l’Arctique. L’aspect le plus passionnant de cette nouvelle route de la soie/Paradigme multipolaire est le saut dans l’exploration spatiale comme nouvelle frontière de l’auto-développement humain, qui n’avait pas été vue depuis l’époque du président Kennedy.

La Chine et la Russie ayant signé un pacte pour le développement conjoint de bases lunaires et les accords Artemis de la NASA appelant à une coopération internationale sur le développement et l’industrialisation des ressources lunaires et martiennes, l’ère de croissance illimitée qui a été perdue avec la psychose de masse provoquée par le LSD du changement de paradigme « vivre dans l’instant présent » de 1968 pourrait enfin être récupérée. Des programmes conçus pour mettre l’accent sur les menaces objectives réelles telles que les collisions d’astéroïdes et les nouvelles périodes glaciaires induites par le soleil sont sérieusement discutés par les dirigeants de la Russie, de la Chine et des États-Unis.

Il y a des milliards de soleils et potentiellement des milliards de galaxies, et il y a de fortes chances que de la vie existe effectivement sur de nombreuses planètes en orbite autour de certaines étoiles de notre univers créatif et en pleine croissance… et il y a aussi de fortes chances que la vie cognitive ait également émergé sur certaines de ces planètes. La meilleure façon de le savoir n’est cependant pas de rester assis chez soi pendant que le système économique mondial s’effondre sous l’effet d’une désintégration contrôlée en pensant aux théories du complot financées par Rockefeller, mais plutôt de se battre pour faire revivre le destin du système ouvert de l’humanité en commençant par un programme spatial coopératif visant à étendre la culture et l’économie humaines à la Lune et à Mars, puis à d’autres corps planétaires, suivi de missions dans l’espace lointain.

Si d’autres civilisations existent, il est peut-être de notre devoir de reprendre le flambeau laissé aux États-Unis par JFK et d’aller les retrouver.

Traduction de The Strategic Culture Foundation par Astro Univers




Les amateurs de confinement présentent les symptômes de l’appartenance à une secte

[Source : Le Saker Francophone]

[Image d’entête : James D. Morgan/Getty Images]


Ils persistent dans leur convictions même lorsque celles-ci ont été discréditées.


Par Paul Joseph Watson − Source Summit.news

Le psychothérapeute Docteur Hugh Willbourn explique que les amateurs de confinement présentent les mêmes symptômes que les membres de sectes, qui persistent dans leurs certitudes même lorsque celles-ci ont été discréditées.

Dans un article publié sur son site internet, le Docteur Willbourn met en avant les travaux du psychologue de renom Leon Festinger, qui analysa les croyances d’une secte vénérant les extraterrestres dans les années 50, dont les membres croyaient qu’une soucoupe volante viendrait les chercher pour les sauver de l’apocalypse.

Toutefois, après que les tremblements de terre et inondations catastrophiques qui devaient frapper les États-Unis ne se produisirent pas, et que leurs prédictions furent complètement discréditées, « les membres de la secte virent leur certitude se renforcer au sujet de ces prédictions apocalyptiques ».

Festinger identifia cinq conditions nécessaires à rassembler pour que les membres d’une secte se confortent dans leurs croyances tout en évitant toute dissonance cognitive.

  1. L’existence d’une certitude.
  2. Un engagement personnel dans cette certitude.
  3. Cette certitude doit être suffisamment malléable pour résister à tout discrédit définitif.
  4. Ce discrédit sans équivoque doit avoir lieu.
  5. Un soutient des croyants doit être disponible suite à ce discredit incontestable.

Willbourn poursuit: « Les cinq conditions de Festinger, et le comportement des membres de la secte correspondent aux scénarios du Brexit, du réchauffement climatique et du Covid-19: une prophétie est annoncée, les croyants s’y investissent personnellement en temps, en argent et en réputation, puis la prophétie manque de se réaliser et les croyants n’en deviennent que plus fervents ».

Le Docteur Willbourn montre à quel point les terrifiantes prédictions sur le nombre de victimes potentielles du Covid-19 ont été déconnectées de toute réalité, et que les modèles utilisés pour produire ces prédictions ont été totalement décrédibilisés. Par exemple, malgré les avertissements que le coronavirus pourrait tuer 500 000 personnes rien qu’au Royaume-Uni, le nombre de victimes dans le monde entier est de 318 000.

« Pour remettre ces chiffres dans leur contexte, le nombre de personnes mortes de, ou mortes « tout en ayant attrapé » le Covid-19 en quatre mois et demi est identique au nombre de gens qui meurent de maladie cardio-vasculaire en cinq jours », explique le Docteur Willbourn.

Le docteur Willbourn souligne que les « experts » persistent de toute manière, menaçant de décès à grande échelle si le confinement est levé trop tôt, ce qui déclencherait une seconde vague d’infection.

Dans la réalité, la recherche scientifique suggère que les confinements ont eu une influence minimale sur le nombre de cas, et que le nombre de morts par million en Suède est inférieur de celui au Royaume-Uni et de nombreux autres pays, en dépit du fait que la Suède n’a pas imposé de confinement sévère.
« Ne vous attendez pas à des excuses de la part de notre gouvernement, ou d’aucun autre gouvernement », nous prévient le Docteur Willbourn. « L’effet Festinger est beaucoup plus prégnant qu’un point de vue dépassionné, et cela ne fait qu’ajouter à la tragédie ».

« Cela commence à vous rappeler quelque chose ? », demande Toby Young. Comme le souligne le Docteur Willbourn, la séquence mise au point par Festinger il y a plus de 50 ans nous rappelle de façon lugubre ce qui se passe aujourd’hui: une prophétie apocalyptique imposée par le haut (« la science »), ceux qui y ont cru ont radicalement modifié leur comportement, la prophétie s’est avérée fausse, mais au lieu d’abandonner leur délire apocalyptique, les croyants en cette prophétie sont devenu encore plus fervents, attaquant ceux qui leur montrent le fossé entre la fable et la réalité comme de dangereux hérétiques (« fake new », « désinformation », « théories du complot », etc.).

La différence réside bien sûr dans le fait que la secte croyant aux OVNI ne comptait que quelques douzaines de membres, alors que la secte Covid a infecté la moitié du monde. Si Festinger a raison, la mauvaise nouvelle est que nous ne serons pas en mesure de persuader les gens de cesser leur distanciation sociale, même si on leur prouve que le danger posé par ce Covid-19 a été grossièrement surestimé. Au contraire, l’opposition de ces gens à retourner à la normale ne fera que s’intensifier au lieu de diminuer, au fur et à mesure que les faits leur démontrent qu’ils ont eu tort.

Pendant ce temps-là, les Karen[1] du monde entier ne semblent pas sur le chemin d’abandonner l’occasion qui leur est donnée de faire ce qu’elles aiment le plus au monde : donner des leçons de bienséance aux autres.

Paul Joseph Watson

Traduit par Laurent Schiaparelli, édité par Wayan pour Le Saker Francophone

Notes

  1. Une « Karen »: 44 ans, mère de trois enfants, blonde, conduit une Volvo. Une vraie peau de vache. Porte des pantalons de yoga quel que soit le contexte social. En ce moment probablement sur votre lieu de travail en train de se plaindre auprès du gérant. (Urban Dictionary, NDT)



Fin de l’humanité avant 2100 ou changement rapide vers une civilisation nouvelle ?

[Note de Joseph : L’article suivant aborde les questions environnementales dans la ligne du Club de Rome, du GIEC et d’Extinction Rébellion]

de Laurent Dapoigny
Docteur en agronomie, jardinier paysagiste, auteur.

Après
cette 25ème COP (Conference of Parties ou Sommet sur le Climat de
l’ONU) qui a eu
lieu à Madrid en novembre 2019, les gouvernements n’ont pas été à
la hauteur des défis planétaires auxquels nous devons faire face.
Devant l’ampleur des dégâts causés aux écosystèmes, la survie de
l’humanité est
en jeu. Le changement mondial à effectuer pour nous assurer un
futur, tout simplement, ne concerne pas seulement le réchauffement
climatique mais toute notre relation avec l’environnement dans tous
les domaines de l’activité humaine.

Selon
les calculs de l’ONG Global FootPrint Network, les capacités de
renouvellement de la Terre ont été dépassées en 2019 le 29
juillet. Depuis cette date, et jusqu’à la fin de l’année 2019, tout
ce que nous prélevons sur la Planète se fera sans qu’aucun
renouvellement des ressources naturelles prélevées ne soit
possible. Car trop, c’est trop. Tout poisson, tout arbre, toute
ressource renouvelable prélevée ne pourront pas être remplacés
par le renouvellement naturel normalement permis par les écosystèmes
à condition de leur laisser le temps de le faire. La restauration
des écosystèmes est possible à condition de ne pas les détruite à
nouveau avant qu’ils ne se reconstituent de façon naturelle. Mais
l’activité humaine s’accélère à n’en plus en finir, s’activant
comme elle le peut pour assouvir ses désirs matériels qui semblent
insatiables. Les humains ponctionnent à outrance les richesses que
la Terre lui fournit sans lui laisser le temps de les remplacer.
Est-ce que cela peut durer encore longtemps comme cela ? A force de
trop se tendre, l’élastique claque, ce qu’une économie folle,
aveugle et avide, ne saurait comprendre et entrevoir dans sa vision
court-termiste ? A côté des discours catastrophistes pour notre
futur, d’autres sont confiants. Ils attendent sereinement, grâce à
leur foi en l’innovation, que la science et la technique résolvent
tous les problèmes du monde.

Sept
milliards sept cents millions d’êtres humains vivent sur Terre. Ce
nombre a bien sûr un impact très important sur l’aspect destructeur
de l’humanité vis-à-vis de son environnement. Si nous n’étions que
3,7 milliards comme en 1970, la date de dépassement serait plus
raisonnablement proche de la fin de l’année et le devenir de
l’humanité ne serait pas en jeu. Mais plus la population mondiale
est élevée, plus elle exerce à comportement égal une pression
importante sur les écosystèmes et la biosphère dans son ensemble.
Par contre, à nombre égal, le comportement de l’homme a une
influence importante sur la biosphère de par l’intensité, forte ou
faible, et même voire nulle, de son impact écologique. Ainsi, bien
qu’à 7,7 milliards d’habitants, et même d’avantage chaque jour (225
000 de Terriens par jour en plus), il est possible de changer nos
comportements pour faire baisser notre impact écologique sur les
écosystèmes et donc les préserver, voire les restaurer.

Une
planète Terre n’est plus suffisante pour répondre aux désirs
matériels des humains. D’après les calculs de l’ONG Global
FootPrint Network, l’humanité vit comme si nous avions 1,75 Terres.
Ce chiffre est de 0.7 pour les Indiens, de 5 pour les Américains des
Etats-Unis et de 2,8 pour les Européens. Si tous les Chinois et les
Indiens vivaient comme les Américains, la Terre ne serait-elle pas
ravagée, d’après ces données, en moins de six mois ? Pour les
partisans en l’innovation, on trouvera toutes les ressources
nécessaires sur les autres planètes. Mais avons-nous vraiment le
temps de réagir en espérant quelques solutions rapides de
remplacement extraterrestres ? Il faut des mois pour faire
l’aller-retour sur Mars avec la technologie actuelle. La Lune,
proche, serait-elle notre dernier secours ? Mais pourquoi vouloir
quitter un si beau navire que la Terre pour s’exiler sur une planète
désertique ou un satellite inhospitalier ? Pourquoi donc ne pas
préserver la Terre et la restaurer plutôt que de choisir des
solutions coûteuses, lointaines et qui prennent du temps à se
mettre en place ?

La
Planète a été surexploitée à partir de l’année 1971. Avant,
c’était limite. Mais ça allait encore. Le premier jour du
dépassement fut donc celui du 24 décembre 1971. C’est l’année de
la sortie du rapport du Club de Rome, « Halte à la croissance »
produit par le Massachussets Institute of Technology (MIT). Pour la
première fois, une étude systémique sur notre futur est réalisée
en prenant en compte la population mondiale, la production
manufacturée, les ressources renouvelables et non renouvelables et
la pollution. Le constat est clair : notre mode de vie occidental,
basé sur la consommation et la croissance, n’est pas viable car la
planète est finie. Elle est limitée dans le temps et l’espace et ne
saurait supporter une croissance infinie comme le suppose et le
propose l’économie dominante. Et, qu’avec les croissances économique
et démographique, la pollution empoisonnera la Terre. Voilà
quarante-six ans pourtant que cela dure

et
que le mouvement dominant qui nous emporte n’a pas changé. Au
contraire, la force de l’humanité ne fait que s’accroître et la
planète est entrée dans la période de l’anthropocène. Les humains
sont devenus la première force de changement géologique sur Terre.
Ils modèlent la vie et l’histoire de la planète au même titre que
les grandes forces biogéochimiques qui l’avaient façonnée jusqu’à
maintenant.

Depuis
ce 24 décembre 1971, le jour du dépassement des ressources
planétaires se rapproche, d’année en année, du début de l’année
du fait d’un prélèvement sans cesse accru des ressources
planétaires. En 2000, elle avait lieu le 25 septembre, en 2006, le
24 août, et cette année en 2019, le 29 juillet. Et si cette
tendance continuait au même rythme ? Une extrapolation du graphe de
l’évolution de la date du jour de dépassement au cours du temps
(voir Figure 1) indique que le 1 janvier 2091, les richesses que la
Terre nous fournit seront déjà épuisées au premier jour de
l’année. La Planète serait alors ravagée sans qu’il n’y ai plus de
quoi vivre. L’évolution de la date du jour du dépassement de la
Terre prévoit une fin possible de notre humanité pour la fin du
XXIème siècle.

Figure 1 : Evolution du jour de dépassement des capacités de renouvellement de la Terre depuis 1971. Projection linéaire et prévision de la destruction totale des capacités de renouvellement de la Terre.

Cette simple projection se fait en supposant que rien ne change par rapport aux relations entre les hommes et la Terre et que les capacités de dépassement de renouvellement de la terre gardent une relation linéaire dans le temps, ce qui est loin d’être vrai vue la dynamique complexe du vivant et des écosystèmes. Les systèmes complexes, très solides dans leur état stable, peuvent s’effondrer très rapidement comme un château de carte, lorsque de multiples perturbations les éloignent de cette stabilité. Il est alors possible, voire très probable, qu’un effondrement généralisé des écosystèmes ait lieu bien avant cette date supposée de 2090. De plus, la population mondiale devrait continuer de croître pour atteindre les 9,5 milliards d’habitants en 2050. La pression sur l’environnement sera d’autant plus grande. Et il n’y aura déjà plus de poissons dans les océans, leur quasi- disparition étant prévue pour 2050. De plus, les oiseaux et les insectes sont aussi en voie d’extinction. Si nous continuons sur notre lancée actuelle, les dégradations faites à l’environnement s’accentueront d’autant (déforestation, infertilité des sols par une agriculture intensive, incendie, désertification, pollutions chimique et plastique), les pollutions s’accroîtront encore, et les nombres d’espèces végétales, animales diminueront encore et encore nous faisant vivre les pires moments des grandes extinctions massives de la Planète. La dernière en date a eu lieu il y a 70 millions d’années laquelle inaugure la fin des dinosaures. Elle a été causée par la chute d’un astéroïde. Aujourd’hui, l’homme est la cause première de cette hécatombe généralisée. Avec entre 5000 à 25 000 espèces qui disparaissent par an, le taux d’extinction actuelle est de 100 à 1000 fois supérieur aux taux des précédentes extinctions géologiques. La dernière étude publiée le 6 mai 2019 par la Plate-forme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services (IPBES) annonce qu’un million d’espèces animales et végétales sont menacées à court terme.

Si
le rythme d’évolution du jour de dépassement pris depuis 1971 ne
change pas, le 1 janvier 2091, il n’y aura bientôt rien pour que
l’homme vive. Mais, prendre en compte la façon dont on vivait il y a
30 ans ou 40 ans a-t-il du sens alors que des changements ont eu lieu
dans notre façon de vivre ? Non. Alors, prenons le rythme
d’évolution de la date jour de dépassement depuis 2009, juste après
la crise de 2008, à aujourd’hui, et extrapolons la droite linéaire
vers le futur (Figure n°2).

Figure 2 : Evolution du jour de dépassement des capacités de renouvellement de la Terre depuis 2009. Projection linéaire et prévision de la destruction totale des capacités de renouvellement de la Terre.

La
date de la fin des ressources planétaires est alors repoussée de 30
ans pour arriver au début de l’année 2120. Si à cette date, les
capacités de renouvellement de la Terre seront dépassées dès le
début de l’année, c’est que l’humanité aurait disparu avant, car
faute d’environnement viable, l’homme ne peut vivre.

Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé, alors seulement vous vous apercevrez que l’argent ne se mange pas.

Prophétie d’un Amérindien Cree.

Les
effondrements de notre civilisation et des écosystèmes auraient
lieu des années avant l’année 2120, toujours dans l’hypothèse que
les calculs de Global FootPrint Network aient une réalité, et que
rien ne change dans la dynamique de croissance de l’économie et de
la consommation. Si cela est le cas, la date de la destruction totale
de la biosphère telle que l’on la connaît risque de venir bien plus
tôt que beaucoup ne le pensent. Les avertisseurs de danger sont
allumés de toute part, mais les discours alarmants sont-ils à la
hauteur de ce qui se passe réellement? Comme indiqué précédemment,
à force de trop se tendre, l’élastique claque.

Espérons
que cette simple projection des tendances actuelles vis-à-vis de nos
comportements actuels sur cette Planète nous fasse prendre
conscience de l’urgence de la situation. Pensez à l’avenir des
enfants qui naissent aujourd’hui a-t-il du sens si nous ne changeons
pas drastiquement notre façon de vivre ? Car aucun avenir décent ne
leur est proposé dans un futur qui risque davantage d’être fait de
catastrophes, sauf si un changement radical dans notre relation à la
Planète advenait. Changement drastique également, et nécessaire,
des relations entre les humains vers plus de fraternité, de
coopération et de partage. Mais ce changement positif général
auquel on aspire n’est-il pas déjà un peu en cours ?

Il
reste peu de temps avant que la situation ne soit irréversible, mais
l’espoir est encore permis car les solutions existent pour s’en
sortir

Nous
avons l’espoir que les choses soient encore réversibles car les
solutions existent déjà pour vivre dans un monde en harmonie avec
l’environnement et la Planète. Et il n’y a qu’à les appliquer pour
changer les tendances sombres qui viennent sur nous pour une
perspective bien plus radieuse. Comme l’écrit Edgar Morin, quand
tout semble perdu, l’impossible est parfois possible. Et l’abîme
peut être évité à condition, bien sûr, de changer de cap à cent
pour cent comme en temps de guerre. Un pays transforme son économie
et son industrie du jour au lendemain lorsqu’il est attaqué par un
pays ennemi. Comme le rappelle Lester R. Brown, c’est ce qu’a fait
Franklin Delano Roosevelt en décembre 1941 suite à Pearl Harbour.
Et il doit donc être possible à nos gouvernements de changer
radicalement de cap pour sauver la Terre et l’humanité, comme le
suggère Lester R. Brown.

Fort heureusement, la société civile n’attend pas que les gouvernements changent. Partout dans le monde et chaque jour, de nouvelles solutions sont proposées. Elles sont aptes à changer notre relation avec notre environnement pour moins de prélèvements, plus de respect pour l’environnement et une vie harmonieuse avec la Planète. Ces solutions permettent d’économiser l’eau (par exemple, la douche infinie du finlandais Jason Selvarajan, ) , de disposer d’eau dans le désert (voir la Warka-water de l’italien Arturo Vittori ou la gourde solaire de l’autrichien Kristof Retezar), de dépolluer l’eau et les océans (Ocean Clean-up, la machine à récupérer les plastiques du néerlandais Boyan Slat), et les sols (la phytorestauration de Thierry Jacquet), de restaurer les écosystèmes, de transformer les déserts en forêts (le zimbabwéen Allan Savory, le coréen John Di Liu, le burkinabé Yacouba Sawadogo); de réutiliser des sols qui étaient devenus incultivables (les français Lydia et Claude Bourguignon), et d’utiliser facilement l’énergie solaire qui devient l’énergie la moins chère du marché (la technique existe pour stocker l’énergie solaire à faible coût grâce aux volants en béton du français André Gennesseaux), et produire des aliments sains et respectueux des sols et de l’économie locale, grâce à l’agroforesterie et la permaculture, de produire sans pesticides chimiques grâce à l’agriculture biologique, de créer des réserves océaniques pour la restauration des population de poissons, créer de grandes murailles vertes contre l’avancée du désert (en Chine et au Sahel), de reboiser grâce au lancer de bombes à graines (voir en Thaïlande) , de produire une énergie décentralisée grâce aux tuiles ou aux vitres solaires, d’isoler les bâtiments avec des toits ou des murs végétaux, de dépolluer l’air en absorbant les polluants atmosphériques ou le CO2 ou grâce à des murs végétaux ( le projet City Tree qui, pour 7 m3 est équivalent à 275 arbres; ou l’aspirateur à pollution du néerlandais Daan Roosegaarde, la smog free tower qui transforme le CO2 en diamant), enfin de créer des villes forêts (voir les projets de l’italien Stefano Boeri)…

Des
actions citoyennes ont lieu partout dans le monde pour réveiller les
consciences et forcer les gouvernements à agir. Depuis son discours
à la conférence pour le climat de la COP 24 en décembre 2018,
l’adolescente suédoise Greta Thunbergte parcourt le monde pour faire
entendre son message et encourager les jeunes à faire engendre leur
voix. Le futur des jeunes générations est menacé à cause de
l’inaction des adultes. Les belles paroles des gouvernements aux
conférences sur le climat ne suffisent plus. Il faut maintenant des
actions concrètes de leurs parts. Greta Thunberg propose aux lycéens
de faire une grève de l’école tous les vendredis pour manifester
pour le climat. Elle était le 23 septembre 2019 à la tribune de
l’ONU à New York pour renouveler son appel auprès des dirigeants
des Nations.

Le
mouvement écologiste mondial « Extinction
rébellion
 »
crée en octobre 2018 au Royaume-Uni fait entend sa voix et appel à
la désobéissance civile face, toujours, à l’inaction des
gouvernements devant l’effondrement écologique qui s’annonce et aux
changement climatiques. Il se veut un mouvement pacifique ouvert à
la diversité et au changement régénérateur et souhaite la
création d’une assemblée citoyenne chargée d’impulser une société
juste, équitable et respectueuse de l’environnement.

La
liste n’est pas exhaustive et elle serait encore bien longue. La
multiplication de ces projets et leur généralisation est assurément
un espoir immense pour que demain, un avenir meilleur que celui qui
vient sur nous, advienne. Mais pour cela, il faut agir, sortir de la
routine de cette société qui a oublié que c’est la vie biologique
et son environnement qui donne vie à l’homme. Car l’homme seul n’est
rien. Il provient de la conjonction d’une longue histoire qui l’unit
totalement à un environnement écologique comme cosmique. Alors ?
Pourquoi ne pas opter pour un futur meilleur pour tous ?
Arrêtons-nous, changeons de cap et évitons l’abîme. Appliquons au
niveau global les solutions qui marchent au niveau local. Face aux
menaces (météorologiques, incendies, disparitions des espèces,
pollutions, guerres pour l’eau potable, faim, famines…) qui
viennent, l’argent de manque pas pour induire des actions concrètes.
Chaque année, nos gouvernements dépenses près de 1700 milliards de
dollars dans l’armement. Une économie de guerre amène la guerre et
la mort.

Aujourd’hui,
devant l’inaction durable des gouvernements et de leurs réunions
répétitives (G7, G20, COP xx ), seule l’expression de la voix des
peuples pourra vraiment induire un changement véritable d’ampleur
mondial et faire que leurs belles paroles deviennent des actes.
L’argent de la guerre peut être disponible pour l’utiliser en
priorité à créer demain, un monde viable en promouvant la vie en
restaurant les écosystèmes. En arrêtant l’extinction des espèces
et la destruction des écosystèmes qui ont lieu chaque jour. En
investissant massivement dans la vie plutôt que dans la guerre, il
est possible techniquement et financièrement de changer radicalement
de cap et nous assurer un futur meilleur que les pronostics sombres
actuels. Les discours ne suffisent plus. Seuls les actes préservant
les écosystèmes pourront sauver l’humanité du pire. Le seul futur
possible sera fait de fraternité, de partage et de coopération.
Pour cela, les citoyens du monde doivent faire la demande claire d’un
monde meilleur en faisant entendre haut et fort leur voix pour que
« Demain » soit synonyme d’un futur plein de promesses. Une
fois le changement engagé pour de bon, le jour de dépassement des
ressources de la Terre ne sera alors plus qu’un vieux souvenir. Une
nouvelle civilisation, véritablement humaine et respectueuse de
tous, pourra s’épanouir.




Fabulation, Science-fiction ou Réalité ?

Le discernement suffit-il à déterminer si l’article suivant relève de fabulation, de science-fiction, de désinformation, de purs mensonges ou de réalité ? En absence de moyens directs de vérification, tout est possible à priori, mais rien n’est certain tant que ce n’est pas suffisamment démontré dans les faits.


[Source : Eveilhomme]

LA CIVILISATION SÉPARATISTE – Résumé et extrait sur la divulgation complète – David Wilcock

Excellente lecture pour ceux qui sont nouveaux dans le domaine de la divulgation complète :

Pour comprendre ce que vous êtes sur le
point de lire, il est nécessaire d’avoir assez de place dans votre
imagination pour une relecture très épique de la réalité telle que nous
la connaissons.

Cette vision va bien au-delà de ce que la
plupart des gens ont l’habitude d’entendre dans la communauté OVNI,
même dans les versions les plus ésotériques qui existent.

Le crash de Roswell et d’autres épaves
aussi avancées nous ont permis d’effectuer des voyages interplanétaires
et interstellaires.

En conséquence, nous avons secrètement
commencé à construire des bases dans de nombreuses régions différentes
de notre système solaire, y compris la Lune, Mars et les lunes d’autres
planètes également.

L’exode des cerveaux des années 1950 a
marqué le début d’un effort massif visant à réinstaller 35 millions de
personnes au cours de cette seule décennie – vraiment la crème de la
crème de la crème dans leurs divers domaines – dans ces endroits.

Cela s’est transformé depuis en ce que
Richard Dolan appellerait une « civilisation sécessionniste », avec une
population de plusieurs centaines de millions d’habitants.

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Nous avons affaire à un groupe qui a
beaucoup plus de progrès technologiques que tout ce que nous voyons sur
terre, et dont les membres se voient presque totalement interdire de
revenir.

Ce Programme Spatial Secret, ou SSP (ou
PSS en français), a été à l’origine fondé et contrôlé par des éléments à
tendance très négative sur terre que nous appelons l’état profond, la
Cabale, le Nouvel Ordre Mondial ou Illuminati.

Malgré la très haute technologie, la vie
dans le SSP est à bien des égards bien pire que la vie sur terre à cause
de cette sinistre influence.

QUI EST VRAIMENT AU SOMMET ?

Aux niveaux supérieurs, nous découvrons
que l’état profond est à son tour contrôlé par des ETs humanoïdes
d’aspect reptilien très négatif appelés Draco ou les Sauriens.

De multiples initiés à qui j’ai parlé
m’ont confirmé l’existence de ces types d’êtres, y compris le regretté
William Tompkins. Ils sont ouvertement visibles dans le SSP.

Pendant la Seconde Guerre mondiale,
Tompkins a personnellement débriefé 23 espions américains différents
embarqués dans le programme spatial secret de l’Allemagne, et a entendu
parler de ces ET malveillants travaillant directement avec les Nazis.

Puis, en 2015, c’est le moment où Corey a
été emmené sur une base secrète sur la lune, connue sous le nom de
Lunar Operations Command ou LOC, pour la première fois en de nombreuses
années.

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LOC

Cela s’est produit presque immédiatement
après qu’il eut fini de me donner tout son témoignage au téléphone au
cours des quatre mois précédents, ce que je documentais pour référence.

Corey déclare avoir travaillé pour le
Programme spatial secret (SSP), une construction top secrète non
reconnue de l’humanité dans l’espace qui a eu lieu depuis le milieu du
20e siècle.

La raison pour laquelle j’ai pris Corey
au sérieux, c’est qu’à ce moment-là, j’avais parlé à beaucoup d’autres
initiés ayant une cote de sécurité très élevée qui m’avaient révélé à
quel point tout cela était réel.

Les informations récentes de Corey ont
révélé que les Draco sont à leur tour infestés de « nanites » d’une
intelligence artificielle prédatrice et malveillante, ou IA.

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Un draco ailé qui communique avec Corey

Cette IA veut détruire toute vie
biologique. En fin de compte, même les Dracos ne sont que des pions que
l’IA manipule dans un jeu plus vaste pour atteindre cet objectif.

Ce qu’on appelle dans divers textes
religieux « Satan », ou « L’Adversaire », semble être une vague
description de cette conscience négative qui ne sera en interface avec
nous que par la technologie.

Il sait que s’il prend chair, il devient
sujet au karma et au jugement – et par conséquent, il ne s’interface
avec nous que par des moyens non biologiques.

L’IA a réussi à anéantir des planètes
entières, des systèmes solaires et peut-être même des galaxies, mais
dans ce cas, il semble que nous sommes en train de gagner la guerre.

Ouaip. On est dans le terrier du lapin,
comme vous pouvez déjà le voir. Pourtant, ces histoires sont
remarquablement bien accueillies par tous les initiés de haut niveau.

UN BREF MOT SUR LES EXTRATERRESTRES

Maintenant qu’Emery s’est manifesté, je peux parler plus précisément de certaines choses que j’ai apprises au fil des ans.

Il s’avère que notre galaxie regorge
littéralement de planètes terrestres et de civilisations intelligentes.
La NASA a publiquement estimé qu’il y a plus de 40 milliards de planètes
semblables à la Terre dans notre seule galaxie.

Ce que l’on apprend « de l’intérieur »,
c’est que les civilisations intelligentes ont invariablement des corps
qui ressemblent à des êtres humains ou du moins des hominidés en
apparence.

Emery appelle cela « la formation cinq
étoiles » – la tête, deux bras et deux jambes. Ce n’est pas toujours
ainsi, mais c’est très courant.

La biosphère complexe que nous voyons sur
Terre apparaîtrait à peu près de la même façon sur d’autres planètes
semblables à la Terre.

Ce qui change, cependant, c’est l’espèce exacte sur cette planète qui finit par se transformer en une forme humaine.

Vous pouvez donc avoir des êtres humains
avec des caractéristiques qui reflètent tous les types de vie que nous
voyons ici sur terre, y compris les insectes, les animaux aquatiques,
les mammifères, les oiseaux et les reptiles.

Heureusement, 95 pour cent de toutes les
civilisations spatiales sont positives et bienveillantes. Les Draco
Reptiliens sont en fait les tyrans de notre galaxie.

L’ALLIANCE SSP ET LES ÊTRES DE SPHÈRE

Le témoignage de Corey sur la communauté
interstellaire cachée qui nous entoure est allé bien au-delà des indices
que j’ai recueillis auprès d’autres initiés.

En même temps, il connaissait des
dizaines de points de données spécifiques et hautement confidentiels que
j’avais déjà rassemblés et que je n’avais jamais partagés en ligne.

Aucun d’entre nous n’aurait pu s’attendre
à ce qui s’est passé en mars 2015, lorsque Corey avait un bateau du PSS
dans sa cour et l’a amené au LOC.

Comme nous l’avons déjà dit, Corey a été
amené dans une salle de conférence remplie de gens de toutes les races
de la terre, portant les combinaisons monobloc habituelles du programme
spatial.

Ils étaient des membres clés d’une
alliance qui s’était formée au sein du PSS, cherchant à briser le secret
et à rendre toute leur technologie et leurs installations aux gens
d’ici.

Corey a été invité par Gonzales, un
membre de l’Alliance du PSS qu’il venait de rencontrer, à se lever sur
scène devant ces gens. Il n’a reçu aucune autre instruction.

Soudain, la foule a été choquée par l’apparition derrière Corey de deux grands ET à l’allure inconnue, alors qu’il se tenait là.

L’illustration suivante montre ce que
nous avons appelé la race Aviens Bleus ainsi que la race du Triangle
d’Or. Un représentant de chaque groupe est apparu derrière Corey.

LA GRANDE CONFÉRENCE ET LA LOI DE L’UN D’EUX

À ce moment-là, Corey devint un conduit
pour que ces êtres puissent parler à la foule assemblée. Pour une raison
quelconque, les êtres ne pouvaient pas communiquer directement avec
l’Alliance SSP.

Ils avaient besoin d’un intermédiaire pour le faire – et ils ont choisi Corey.

Cela s’est produit immédiatement après
que Corey ait passé quatre mois à me dire tout ce qu’il savait sur le
PSS, et qu’il venait de me donner son vrai nom.

L’Alliance du SSP a réalisé qu’elle avait
affaire à un nouveau groupe ET très important. L’une des premières
questions qu’ils ont posées était : « Êtes-vous le Râ de la loi Une ? »

La loi Une est une série de cinq livres,
canalisée par L/L Research Company entre 1981 et 1983. Depuis que j’ai
commencé à le lire en 1996, il a formé la base de toute ma vie de
travail.

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J’en ai entendu parler à la fin de 1995
dans un livre de Scott Mandelker, Ph.D., qui disait que c’était de loin
le plus grand traité philosophique et spirituel qu’il avait jamais lu.

Son doctorat était en psychologie
Est-Ouest, et il estimait qu’il capturait parfaitement l’essence la plus
profonde des enseignements bouddhistes et autres enseignements
religieux orientaux.

La Loi Une est le résultat de 20 ans de
recherche pour essayer de perfectionner la canalisation, après que le
travail pionnier de W.B. Smith ait prouvé qu’elle pouvait être très
précise dans certaines circonstances.

Le verbiage était très dense, presque
comme si la source avait besoin de créer un nouveau langage pour
articuler certains concepts. Je restais souvent sur une page pendant 45
minutes.

Le matériel était si lourd et reliait
tellement de points pour moi que j’ai emménagé avec Carla Rueckert et
Jim McCarty du début de 2003 à la fin de 2005.

J’ai été la première personne à vivre
dans la chambre de Don Elkins après sa mort. Quand j’ai emménagé, tout
était exactement comme il était depuis sa mort en 1984.

La chose la plus surprenante pour moi après que j’ai emménagé était à quel point Carla et Jim semblaient être ordinaires.

VALIDATIONS SURPRENANTES

Une autre détermination surprenante
pendant ce temps était que j’avais compris beaucoup plus de ce que la
Loi Une disait que Carla n’en avait – même si sa voix disait les mots.

Vous pouvez lire la série complète de Loi
Une gratuitement en ligne, et faire des recherches ciblées par
mots-clés, à lawofone.info.

Il peut également être très utile de posséder des exemplaires de ces livres, qui sont disponibles sur llresearch.org.

Je considère vraiment que c’est la thèse
de doctorat du matériel canalisé. Don Elkins, un physicien au doctorat, a
souvent eu beaucoup de difficulté à comprendre ce qu’on lui disait.

Quand je l’ai trouvé, j’ai vite réalisé
que c’était le matériau le plus profond et le plus révolutionnaire que
j’avais jamais eu entre les mains.

Mon premier livre, The Source Field
Investigations, a largement validé les modèles scientifiques de la Law
of One. Puis, The Synchronicity Key a exploré ses nombreux indices dans
la science des cycles.

Le troisième et plus récent livre, Les
Mystères de l’Ascension, donnait des informations personnelles souvent
demandées dans la première moitié et une validation d’une histoire
cosmique compatible avec Loi Une de notre système solaire dans la
seconde moitié.

Même après trois livres de 500 pages
explorant ces sujets, j’ai l’impression d’avoir à peine effleuré la
surface de toutes les données contenues dans la série Loi Une (Law of
One). Il n’y a rien d’autre comme ça de disponible, point final.

CONFIRMATION

Lorsque Corey est réapparu au LOC en tant qu’invité, l’Alliance savait qui il était et qu’il avait travaillé avec moi.

L’Alliance savait que la seule façon de
parler à ces êtres, qui s’appelaient eux-mêmes Gardiens, était par
l’intermédiaire de cette personne qu’ils demandaient par son nom – Corey
Goode.

Quand on lui a demandé « Êtes-vous le Ra de la Loi Une », l’Avien Bleu a seulement répondu : « Je suis Ra Teir-Eir. »

Chaque réponse de la série de la Loi d’une seule série commence par les mêmes trois premiers mots : « Je suis Ra. »

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Message
des Aviens Bleus : Concontrez-vous sur augmenter votre service aux
autres, d’êtres plus aimant envers vous-même et les autres pour
augmenter votre vibration et niveau de conscience. Apprenez à vous
pardonner vous-même et les autres (libérant ainsi votre karma). Cela va
changer la vibration de la planète, élever la conscience collective de
l’humanité et permettra le changement du genre humain progressivement à
travers votre propre changement personnel. Ils nous disent de traiter
notre corps comme un temps et de changer en direction d’un plus haut
niveau vibratoire dans nos habitudes alimentaires afin de faciliter le
processus.

C’était un indice convaincant. C’était en
fait un cadeau sans lendemain quand on comprend à quel point ces êtres
doivent protéger leur libre arbitre.

Quand j’ai posé la même question après
avoir entendu tout cela, et que j’ai voulu une réponse, j’ai clairement
entendu « Sortez maintenant » dans mon esprit. Un bel arc-en-ciel
au-dessus de la vallée m’attendait.

Environ un an plus tard, les êtres ont
finalement confirmé à Corey qu’ils étaient bien les auteurs du matériel
de Loi Une. À ce moment-là, Corey et moi étions déjà certains de la
connexion.

Dans toutes mes années d’étude de la Loi
Une, je n’aurais jamais pu m’attendre à ce que ces êtres se manifestent
réellement sous forme physique.

J’avais toujours supposé qu’ils
resteraient cachés indéfiniment, et n’apparaîtraient qu’après un saut
quantique stupéfiant dans notre évolution que la plupart des gens
appellent l’Ascension.

LE FLASH SOLAIRE ET L’ASCENSION

Un autre aspect clé de la source de
connaissance Law of One, qui est également enracinée dans une variété
d’autres formes de recherche, est l’idée que nous vivons actuellement
l’Ascension.

Cela peut ne pas être visible pour nous,
car la vie peut sembler très déprimante et dure – mais il y a des forces
beaucoup plus importantes en jeu ici.

Comme j’en discute chaque semaine dans
mon émission Wisdom Teachings, notre système solaire tout entier subit
un changement climatique massif comme nous le voyons sur terre.

Il s’agit d’événements énormes et
discontinus, et les données scientifiques ont toutes été mises à jour
jusqu’à maintenant. C’est de plus en plus intense. C’est un
incontournable.

Nous voyons le soleil et les planètes
devenir plus brillants, plus chauds, plus magnétiques, avec plus d’ozone
et de particules chargées, plus d’émissions de rayons X, etc.

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Trente-cinq traditions anciennes
différentes, compilées par les historiens Santillana et von Dechend, ont
toutes prédit que nous entrerions dans un « âge d’or » après avoir
passé par ce processus.

Les meilleures de ces traditions
prédisent clairement que ce saut quantique sera accéléré lorsque le
soleil produira un éclair épique d’une lumière blanche éclatante –
beaucoup plus intense que d’habitude.

Toute l’avant-dernière saison des
Enseignements de Sagesse (Wisdom Teachings) a été consacrée aux
nombreuses prophéties différentes que nous trouvons de cet événement.

Il est tissé à travers toutes les grandes
religions ainsi que de nombreuses autres traditions anciennes. Les
similitudes suggèrent qu’il doit y avoir eu un effort unifié et caché
pour prédire cela pour notre époque.

REMISE DES DIPLÔMES

Les gens du Programme spatial secret ont
déterminé que ces changements sont causés par un nuage interstellaire
très chaud et magnétique dans lequel notre système solaire dérive.

La NASA n’a annoncé officiellement les
données à l’appui de ce travail avec le travail du Dr Merav Opher qu’à
partir de 2009, comme je l’ai reporté dans Wisdom Teachings.

Le SSP a pris des vaisseaux de type
Roswell et a étudié en détail ce nuage  » écumeux « , ainsi que l’effet
profond qu’il a sur notre système solaire.

La charge visible de nos planètes est un
signe majeur de ce prochain flash d’énergie solaire. Tout est en train
de s’accumuler jusqu’à un grand crescendo.

L’apparence visuelle de certaines planètes a radicalement changé au cours des dernières années, par exemple.

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William Tompkins m’a dit que tout le
monde à l’intérieur sait que cet événement est à venir, mais chaque
personne peut avoir une idée complètement différente de ce que c’est et
de ce qu’il va faire.

La perspective de la Loi Une est intégrée
dans les cinq livres et indique très clairement qu’il s’agit d’un saut
évolutif profond pour l’humanité.

Seuls les êtres les plus négatifs seront affectés négativement par ce processus. Pour eux, ce sera en effet mortel.

Tous les autres « diplômés », s’ils sont
prêts, ou obtiennent un passage sûr dans une situation cosmique de type
arche de Noé vers une nouvelle planète pour continuer dans la
« troisième densité ».

QUATRIÈME DENSITÉ

Les gens qui restent avec la terre
finissent « par se transformer » en « quatrième densité ». Vous avez
toujours un corps physique, d’apparence humaine – seulement au fond, il
est plus énergique et capable.

C’est ce que tant de prophéties antiques
différentes, venues du monde entier, nous disent depuis des milliers
d’années, en des termes moins spécifiques que la Loi Une.

Cette prophétie de l’Ascension est aussi
la pierre angulaire des principaux enseignements religieux du monde, y
compris le judaïsme, le christianisme, l’islam, le bouddhisme et
l’hindouisme.

Le corps de quatrième densité sera
beaucoup plus télépathique, aura une conscience de l’au-delà et de la
réincarnation, et aura le potentiel pour de grands exploits comme la
télékinésie et la lévitation.

Notre conscience quotidienne, éveillée,
aura des éléments semblables à une expérience psychédélique, à laquelle
nous devrons apprendre à nous adapter.

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La Loi Une précise très clairement que
cette « remise de diplômes » n’est pas automatique. Il faut le mériter
en étant quelqu’un de bien.

Cela se traduit littéralement par une
concentration d’au moins cinquante et un pour cent sur le « service aux
autres », ce qui signifie que vous êtes une âme aimante, indulgente et
compatissante.

Vous pouvez être manipulateur et
contrôlant à 49 pour cent, ou « service à vous-même », tout en étant
capable d’obtenir votre diplôme. Au fond, vous devez simplement être
plus aimant que contrôlant et manipulateur.

S’il y a une chose que vous retirez de
tout ce que vous lisez ici, j’espère que ce sera de mettre cette
pratique de compassion en pratique dans votre propre vie, dès
maintenant.

SPHÈRES GÉANTES ET 2012

J’ai été largement attaqué sur Internet
lorsque la date de fin du Calendrier Maya est arrivée et s’est passée
sans aucun flash solaire ou événement lié à l’Ascension.

La bourse d’études autour de cette date
était extrêmement généreuse, mais je savais aussi qu’à mesure que nous
approchions de cette date, nous n’étions pas prêts à ce que cela arrive
en tant que planète.

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L’Alliance SSP était très intéressée à
comprendre pourquoi des centaines de sphères énormes de la taille d’une
planète avaient dérivé dans notre système solaire et s’étaient cachées,
dont beaucoup en 2012.

Ra expliqua à la foule rassemblée, par
l’intermédiaire de Corey, que ces sphères étaient capables d’empêcher
l’éclair solaire de se produire jusqu’à ce que nous, en tant que
collectivité, soyons spirituellement préparés pour cela.

L’une des préparations les plus
importantes que nous devons faire est d’obtenir au moins un certain
degré de révélation cosmique – sur qui nous sommes vraiment et ce qui se
passe réellement.

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Exposer la vraie laideur de l’état
profond, y compris le satanisme et la pédophilie, n’est que la première
étape de ce processus.

Ce qui est beaucoup plus important, c’est
que nous voyons les barrières du secret s’effondrer autour des ovnis et
de l’existence du programme spatial secret.

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Les changements psychologiques
impressionnants que cela provoquera dans le grand public entraîneront
des réveils spirituels généralisés qui nous prépareront beaucoup plus
directement à ce changement.

En fait, la Loi Une dit que nous
déterminerons en fin de compte quand le changement se produira par notre
niveau collectif et global d’avancement spirituel.

QUAND CELA SE PRODUIRA-T-IL ?

Depuis 2012 a évidemment été un fiasco,
la plupart des gens croient que toute l’histoire était  » fausse  » et
qu’elle a été discréditée. Rien n’est plus faux.

Le changement climatique interplanétaire
devient de plus en plus intense. Les révélations se multiplient sur
Terre, beaucoup de temps. Les bons s’améliorent et les mauvais
s’aggravent.

Des millions de personnes ont des rêves
puissants et d’autres expériences visionnaires de plus en plus
nombreuses. Nous nous dirigeons droit vers l’Ascension à toute vitesse.

Bien que personne ne sache avec certitude
quand le flash est prévu, le SSP a utilisé diverses méthodes pour
calculer une fenêtre temporelle approximative.

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Lorsque nous combinons ce que les
différents êtres qui ont parlé à Corey nous ont dit, ainsi que ces
initiés, il semble que cela se produira d’ici 2023 ou avant (NDT : cette
fenêtre a été élargie jusqu’en 2024 selon des informations plus
récentes de Corey).

Il se peut que ce soit plus tôt, mais il
est peu probable qu’il se produise plus tard. Encore une fois, la
véritable clé est liée à notre état de préparation global à cet égard en
tant que collectivité.

L’Alliance SSP était très intéressée par
ce que Ra avait à dire sur cet événement, et ses conséquences, lors de
cette réunion très intéressante de mars 2015.

L’Alliance a entendu dire que les sphères
géantes  » tamporiseraient  » la transition pour la rendre plus douce,
et qu’elles finiraient par disparaître complètement à mesure que nous
approchions.

C’est en train de se produire. Les
sphères ont déjà presque disparu. Ce n’est là qu’une petite partie des
derniers exposés de Corey sur l’aspect ET des choses.

LA RACE DES BÂTISSEURS ANCIENS

Il y a beaucoup de personnages
intéressants qui sont apparus dans la saga Corey Goode / Cosmic
Disclosure. Il m’arrive parfois d’insérer des paragraphes pour aider à
expliquer l’histoire au fur et à mesure que nous avançons.

Un point clé qu’il vaut la peine
d’aborder avant de commencer, cependant, est cette notion de la race des
bâtisseurs anciens en relation avec la Loi Une.

Tout d’abord, il y a deux SSP différents –
le programme Navy / Interstellar Corey et le programme Air Force / MIC
dont d’autres initiés que je connais sont au courant (NDT: et même plus
selon d’autres considérations).

Le programme MIC (complexe
militaro-industriel) est principalement centré sur des porte-avions
masqués et volants comme nous l’avons vu dans The Avengers. Ils ont des
vaisseaux qui ne peuvent pas quitter notre système solaire.

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Dans l’ensemble, ils ont apparemment été
conçus pour un scénario de « Divulgation Partielle », de sorte que le
SSP Interstellaire de la Navy le plus profond puisse encore rester
secret.

Si les membres du MIC SSP étaient
interrogés, même sous la torture, ils ne révéleraient que ce qu’ils
croyaient, à savoir qu’ils étaient le meilleur jeu en ville.

Les gens de MIC SSP sont bien conscients
que notre système solaire est un « dépotoir cosmique » de ruines
cristallines très anciennes et cristallines – comme des coupoles, des
obélisques, des pyramides et des villes souterraines.

Les plus anciennes de ces ruines
remontent à environ 2,5 milliards d’années. Les gens qui les ont
construits sont invariablement appelés la race des bâtisseurs anciens.

On sait très peu de choses sur ces
personnes, simplement parce que toutes les inscriptions écrites ont été
effacées et que leurs technologies ont été largement pillées.

LIEN DIRECT AVEC LA LOI UNE

Après que Corey m’en ait fait part, j’ai finalement réalisé que c’était directement lié à la matière de la Loi Une (Law of One).

Plus précisément, la civilisation qui se
réfère elle-même à Ra a dit qu’elle est apparue sur la planète Vénus
dans notre système solaire.

Ils expliquèrent qu’ils construisaient
des pyramides et des obélisques, et qu’ils atteignaient un niveau de
technologie profondément élevé avant leur propre Ascension en quatrième
densité.

De plus, il est très clairement indiqué
qu’ils avaient évolué à partir de la troisième densité sur Vénus il y a
environ 2,6 milliards d’années lorsque nous mesurons le temps.

Je ne l’avais jamais oublié après l’avoir lu en 1996.

Les sphères de pierre de Klerksdorp
semblent être intelligemment construites et ont été trouvées dans des
strates rocheuses vieilles d’environ 2,8 milliards d’années.

klerksdorp

C’est peut-être un petit indice
archéologique pour soutenir l’idée que cette civilisation avait visité
la Terre pendant cette même période.

Les données sont beaucoup plus nombreuses
dans le PSS. Ils ont daté de nombreuses ruines anciennes différentes
comme ayant entre un et deux milliards d’années, sinon plus, avec des
méthodes avancées.

Je n’ai pas tout de suite compris que Ra
était la race des Anciens Bâtisseurs, mais une fois que je l’ai fait,
cela a répondu à plusieurs questions différentes soulevées par le
matériel de Corey.

Le moment exact de l’entrée d’Oumuamua
dans notre système solaire ne semble pas être un accident à la lumière
de ce que Corey a vu en décembre 2017.

Cette saga cosmique dans le lien
ci-dessous culmine avec la découverte par le MIC SSP d’un ancien
vaisseau survivant de l’Ancient Builder Race – et son retour à
l’intérieur.

https://www.exopolitics.org/while-astronomers-debate-oumua…/

Encore une fois, ce navire est appelé
Oumuamua par la NASA. Il pourrait bientôt devenir l’outil de divulgation
le plus important que nous ayons jamais vu.

[Auteur :] David Wilcock
2018

Souce :
https://divinecosmos.com/davids-blog/1225-abr-legacy/


Partagé par http://www.eveilhomme.com. Partage libre en incluant la source et le lien.

Notre
discernement doit prévaloir à tout moment; les opinions exprimées dans
cet article sont les opinions de leurs auteurs et ne reflètent
éventuellement pas totalement celles d’Eveilhomme.




Vidéo des Soucoupes Volantes Allemandes datant de 1939 !

[Source : eveilhomme]

Par Eveil Homme

Pendant
la Seconde Guerre mondiale, un Programme top Secret d’espionnage a été
mené par la Marine des États-Unis pour infiltrer les Programmes Secrets
de l’Allemagne Nazie qui avaient réussis à construire un engin spatial
capable de vol interplanétaire grâce à l’antigravité.

Des
opérations secrètes de la Navale se sont infiltrées dans certains
programmes aéronautiques de pointe de l’Allemagne Nazie et chargés de
rendre compte de ce qu’ils avaient vu.

Ces
informations ont ensuite été relayées à différentes entreprises
américaines, spécialement contactées par la Marine, pour commencer à
concevoir et finalement construire différentes sortes de véhicules à
anti-gravité, y compris des transporteurs spatiaux long de plusieurs
kilomètres.

Ces
affirmations étonnantes ont été faites par le dénonciateur ex-Navy
William Tompkins, qui en Décembre 2015, a publié le premier volume de
son autobiographie intitulée “Sélectionné par les Extraterrestres” :

 “J’ai copié les Soucoupes des Nazis !” – Williams Tompkins

Tompkins a fait sa première apparition
publique au spectacle de Jeff Rense le 14 Décembre 2015 (ensuite le 23
décembre 2015 et le 6 janvier 2016), où il décrit certaines des
divulgations qui remplissent le contenu de son livre.

Tompkins a détaillé la manière dont il a
été recruté dans le Programme Secret de la Marine d’espionnage pendant
la Seconde Guerre Mondiale pour étudier et décortiquer l’engin spatial à
antigravité conçu par les Nazis.

Qui est William Tompkins ?

L’histoire de Tompkins commence en 1932,
quand il avait seulement neuf ans. Il dit qu’il avait été avec son père
dans les chantiers navals de San Diego où il a commencé sa première
visite guidée, qui sera suivie de nombreuses autres, où il a eu le
loisir d’observer des destroyers, des croiseurs et des porte-avions.

Le public n’était pas autorisé à prendre
des photos des navires car l’emplacement des armes et la conception des
radars étaient encore classés.

Possédant une mémoire photographique,
Tompkins dit qu’il marchait tout autour des navires et prenait quelques
notes de ce qu’il observait, et après il dessinait une reproduction des
navires à la maison.

Huit ans plus tard, Tompkins avait
construit de nombreux modèles détaillés parfaitement précis des navires
de la marine qu’il avait vu, et son père a été les vendre dans un
magasin du Département d’Hollywood.

Après la Marine a appris qu’il y avait
des maquettes de bateaux à la vente en 1941, affichant top détails
secrets, alors ils ont interrogé Tompkins et son père, et les modèles
ont été retirés de la circulation publique. Le chef de la Marine a
néanmoins été fortement impressionné par le talent remarquable de
Tompkins.

Au début de 1942, l’officier de
renseignement de la Marine, le lieutenant Perry Wood, a compris
l’utilité des capacités techniques et de la recherche historique
nécessaires pour créer les modèles de navires, et a proposé un ensemble
de missions pour lui qui a abouti à l’intronisation de Bill (Williams
Tompkins) dans la marine.

Après avoir terminé le camp
d’entraînement à San Diego il a été affecté une position dans
l’Intelligence Navale sur des projets de technologie de pointe. Les
capacités exceptionnelles de Tompkins ont attiré l’attention de la haute
direction de la Marine.

L’amiral Obatta l’a placé dans son
état-major personnel pour quatre ans (1942-46), et rapidement l’a élevé à
une position de leadership dans un programme des Services Secrets.

Dans son entretien du 14 décembre 2015
avec Jeff Rense, Tompkins affirme qu’il a assisté à des réunions suivies
par l’amiral Obatta, un ou deux capitaines, et les agents de la Marine
qui faisaient des rapports sur ce qu’ils avaient observé dans
l’Allemagne Nazie.

Il y avait 28 agents de la Marine avec le
grade de Lieutenant utilisés dans le Programme Secret. Ils avaient tous
une ascendance allemande, ce qui leur a permis d’infiltrer facilement
l’Allemagne Nazie.

Le travail de Tompkins était de
reproduire les dessins complexes qui ont été soit décrits par les Agents
de la Marine ou contenus dans les documents qu’ils possédaient, et
ensuite de donner ces reproductions à différentes entreprises qui
travaillaient pour la Marine.
Les entrepreneurs devaient concevoir, reproduire et tester les
différents parties de l’engin spatial anti-gravité, qui étaient à
diverses étapes de la production dans les installations de l’Allemagne
nazie en Europe, en Amérique du Sud et en Antarctique.

Tompkins affirme que des agents ont
révélé dans les meilleurs débriefings secrets qu’avant et pendant la
Seconde Guerre mondiale, il y avait deux programmes de soucoupes
volantes en cours de développement.
Le premier était un programme largement civil qui a précédé la montée
des nazis au pouvoir en 1933, tandis que le second a été dirigé par les
SS Nazis.
Tompkins dit que le programme spatial allemand civil avait été inspiré
par un groupe nordique d’extraterrestres qui auraient communiqué par
l’intermédiaire de jeunes femmes allemandes médiumes.

Les informations de Tomkins viennent
confirmer le récit fourni par Corey Goode et d’autres dénonciateurs
qu’un Programme Spatial Secret a commencé bien avant notre société
contemporaine.


Jeff Rense, qui a présenté pour
la première fois Williams Tompkins dans son émission, a partagé une
vidéo d’archives datant de 1939 qui présente un engin volant allemand
utilisant l’antigravité.

Sources :

http://latableronde.over-blog.com/2016/02/tompkins-j-ai-copie-les-soucoupes-des-nazis.html

https://stopmensonges.com/video-de-soucoupes-volantes-allemandes-en-1939-ils-ont-menti-sur-tout/
https://lagazettedegaia.com/videos-de-soucoupes-volantes-allemandes-datant-de-1939/

Partagé par www.eveilhomme.com. Partage libre en incluant la source et le lien.

Notre discernement doit prévaloir à
tout moment; les opinions exprimées dans cet article sont les opinions
de leurs auteurs et ne reflètent éventuellement pas totalement celles
d’Eveilhomme.




Le métal des objets de l’Âge du bronze était d’origine extraterrestre

[Source : National Geographic]

Un chercheur français vient d’établir que tous les artefacts en fer de l’âge du bronze étaient faits à partir de météorites.

Les
scientifiques soupçonnaient la composition extraterrestre de certains
des objets en fer de l’âge du bronze. Albert Jambon, chercheur à
l’Institut de minéralogie, de physique des matériaux et de cosmochimie,
vient de déterminer que l’ensemble de ces rares artefacts étaient
systématiquement fabriqués à partir de fer provenant de météorites.

Avec
une prépondérance de minerais de fer déjà présents à cette époque, les
chercheurs pensaient que les objets composés de fer extraterrestre ne
représentaient qu’une partie des artefacts. M. Jambon s’est basé sur des
recherches antérieures ainsi que sur l’analyse au spectromètre de
fluorescence X portable sur un ensemble d’objets venant de zones
géographiques et d’années différentes afin d’avoir un spectre d’analyse
le plus large possible pour venir conforter les résultats.

Ont
ainsi été soumis à étude des perles en fer égyptienne datant de 3 200
ans avant notre ère, une dague turque de 2 500 ans av. J.-C., un
pendentif de -2 300 ans av. J.-C provenant de Umm El Mara en Syrie, des
objets de la dynastie chinoise Shang datant de -1 400 ans av. J.-C ainsi
que le bracelet et l’appuie-tête de Toutankhamon, datant donc de 1350
ans av. J.-C.

L’analyse
de l’ensemble de ces artefacts tend à confirmer la l’origine
extraterrestre de la composition de tous les objets en fer de l’époque.
M. Jambon justifie ce phénomène par le fait que le fer des météorites
était déjà à l’état pur de métal, ce qui n’était pas le cas du fer des
minerais terrestres.

Une
météorite traverse le ciel lors de la pluie annuelle de météorites de
Quadrantid, photographié près de la ville historique de Damghan, en
Iran.

Lors
de leurs formations, les grands astres comme la Terre forgent en leur
centre un noyau de fer liquide qui attire tout le nickel, élément
chimique du métal, vers ce cœur. Lors de leur destruction, des
météorites riches en nickel et cobalt se forment et arrivent donc déjà à
l’état de métal sur Terre, ce qui explique cette matière première pour
les hommes de l’époque.

Avec
l’affinement de leurs techniques, les hommes ont découvert comment
réduire le fer des minerais et en extraire l’oxygène pour l’amener à
l’état de métal. La démocratisation de cette pratique a mené à la
disparition de l’utilisation de matériaux extraterrestres, trop rares
pour une exploitation large.

L’étude de M.Jambon, disponible à la lecture dans la revue Journal of Archaeological Science, réfute en revanche la possibilité d’obtenir du fer riche en nickel à partir de minerais terrestres. Source




La sociopathie est-elle un avantage ou un désavantage pour la survie ?

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith -– Le 5 décembre 2018 – Source Alt-Market.com

Avez-vous déjà rencontré quelqu’un face à face qui semblait relativement normal au début, mais qui, peu de temps après, a commencé à révéler des traits de caractère étranges et dérangeants ? Des gens qui se sont montrés incapables de rire de leurs propres erreurs et n’ont ri qu’aux dépens des autres ? Ils avaient un besoin obsessionnel de détruire les accomplissements légitimes des autres pour s’élever ? Ils étaient robotisés et trop prévisibles dans leurs routines quotidiennes ? Ils n’avaient pas de remords pour des actes qui ont fait du mal à d’autres personnes ? Ils avaient tendance à exploiter les gens autour d’eux à des fins de divertissement ou de gain personnel ? Ils se vantaient souvent à quel point ils étaient prêts à dépasser les limites morales pour obtenir ce qu’ils voulaient, comme si cela les rendait supérieurs aux autres, ceux avec une conscience ?

Vous aviez peut-être affaire à un sociopathe, ou à un sociopathe narcissique.Il n’est pas rare de rencontrer ce genre de personnages étranges dans votre vie quotidienne. Ils agissent un peu comme des extraterrestres, ou des imposteurs qui essaient, avec lourdeur, d’imiter le comportement humain. Ils utilisent divers trucs souvent réservés aux arnaqueurs et escrocs afin de se fondre dans la société normale. Ils feront de grandes promesses de gains futurs et d’un avenir meilleur pour inciter les gens à les mettre en orbite. Ils vont s’entourer de vilains pour effrayer les autres et les amener à se joindre à leurs projets égoïstes. Et ils seront indulgents avec leur passé, exagérant ou fabriquant leurs propres réalisations, n’ayant aucune preuve à l’appui de leurs propres affirmations et se fiant simplement sur l’image plutôt que sur les preuves pour attirer l’attention.

Ces créatures sont comme un cancer, ou comme des parasites. Ils se nourriront de tous ceux qu’ils trouveront et qui ne vont pas les reconnaître pour ce qu’ils sont. Quand trop de gens commencent à comprendre l’arnaque et les exposent, ils partent dans une autre ville, un autre État, un autre pays pour trouver un nouveau bassin de victimes.

Ils ont tendance à s’orienter vers certaines professions et vocations. Ils aiment les environnements où ils peuvent accumuler du pouvoir et de l’influence, ou des endroits où ils peuvent siphonner l’argent ou l’enthousiasme des gens sans se faire remarquer. Cela comprend la politique, les institutions religieuses, les organisations à but non lucratif, les forces de l’ordre, les causes sociales et les groupes militants. Malheureusement, cela inclut des causes comme le mouvement pour la liberté.

Environ une personne sur 10 aura des caractéristiques latentes de sociopathes, c’est-à-dire qu’elle prendra parfois des mesures qui correspondent à un comportement sociopathique, mais qui sont normales dans sa vie quotidienne. Tant que la primauté du droit sera en place, ils n’agiront pas de manière destructrice. Mais, lorsque votre société commencera à s’effondrer en raison des conditions économiques ou politiques, vous aurez un problème avec elles.

Environ 1% à 5% de la population sont ce que certains appellent des sociopathes narcissiques de « haut niveau » ou des sociopathes narcissiques à part entière. Ce sont ces personnes qui présentent la plupart ou la totalité des caractéristiques, y compris un manque total d’empathie et une volonté de nuire aux autres pour leur propre profit. Le pire des pires, ce sont les sociopathes qui aiment vraiment faire du mal aux autres, même s’il n’y a rien à gagner. Ce sont les sociopathes qui deviennent des voleurs de haut vol et des escrocs, des meurtriers, des violeurs et des pédophiles.

Éviter ces monstres est de la plus haute importance si vous voulez mener une vie heureuse. Cela signifie les expulser de votre cercle d’amis, mettre fin à des relations amoureuses, quitter un emploi dans lequel ils sont en position d’autorité, ou même ignorer un membre de votre famille s’ils ont de telles caractéristiques. Mais qu’en est-il dans une situation de survie ? Ces gens ont-ils un avantage ? Ou, y a-t-il un avantage à imiter leur comportement ?

Au cours de mes voyages dans le mouvement pour la liberté, j’ai rencontré pas mal de sociopathes narcissiques de haut niveau, dont beaucoup ne font que regarder et attendre le déroulement d’une crise. Ils sont attirés par le monde de la survie pour un certain nombre de raisons ; certains d’entre eux veulent devenir comme des petits barons ou des seigneurs féodaux gouvernant sur d’autres qui peinent sur leurs terres dans l’espoir de trouver un endroit sûr pendant un effondrement. Certains d’entre eux ont des illusions de grandeur dans lesquelles ils sont des loups solitaires rôdant dans la campagne en prenant tout ce qu’ils veulent aux personnes et aux familles les plus faibles. Certains d’entre eux sont simplement excités à l’idée de la fin de la primauté du droit, parce qu’ils sont fatigués de cacher leur vraie nature et ils pensent que ce sera l’occasion d’agir selon leurs pulsions plus sombres.

Une attitude très courante chez les sociopathes est qu’ils veulent désespérément que d’autres se joignent à eux dans leur sociopathie. Ils veulent convaincre les autres qu’agir sans empathie et ignorer leur conscience est une nécessité absolue pour survivre. Ils se considèrent comme le sommet de la chaîne alimentaire et toute personne ayant une conscience comme une proie. Ils veulent que les autres adoptent le même point de vue parce qu’au fond d’eux-mêmes, ils savent qu’ils ne sont pas vraiment humains, qu’ils sont plutôt « démoniaques ». Ils veulent prouver que tous les autres sont « aussi mauvais qu’eux » si les circonstances le permettent.

J’ai vu des encouragements sociopathiques dans les cercles de survivalistes, et je l’ai même vu dans le travail de certains auteurs dans ce domaine. La solution est toujours la même avec eux – la seule façon de survivre est d’ignorer les frontières morales et d’agir comme un monstre. « Les méchants seront impitoyables, et vous devez l’être aussi », disent-ils souvent.

Une grande partie des médias populaires sont également saturés de ce récit. Le héros agit presque toujours sans conscience, il est à peine un pas au-dessus des méchants. Il n’a aucune prévoyance, il est réactionnaire, destructeur, dangereux pour les autres et ne pense pas aux dommages collatéraux. La seule chose qui le distingue dans ces histoires, c’est que son but est « plus juste » que celui des méchants. Sinon, leurs méthodes sont fondamentalement les mêmes. Et nous sommes censés encourager ces personnages. Nous sommes censés adopter leur idéologie.

Généralement, lorsque le comportement sociopathique est encouragé dans une communauté de survivalistes, il est basé sur un ensemble spécifique d’événements et de conditions, et ces conditions sont considérées comme inévitables au lieu d’être une question de choix. Par exemple, les survivalistes sociopathes s’opposeront à l’idée de construire une communauté AVANT qu’un effondrement ne se produise, même si une communauté pré-construite contribuerait grandement à la sécurité mutuelle, à la production des nécessités et à la confiance mutuelle. Les sociopathes diront que la plupart de vos amis et voisins sont suspects, qu’ils représentent tous une menace potentielle et que vous devriez vous isoler avec le moins de personnes possible pour atténuer cette menace.

Ensuite, ils soutiennent que parce que vous êtes plus isolé, vous devez être plus impitoyable et agir sans conscience afin de survivre. Vous devez leur ressembler. Tu vois comment ça marche ? C’est une prophétie auto-réalisatrice.

L’isolement dans le survivalisme est une pure stupidité et, dans la grande majorité des cas, il aboutira à l’échec et à la mort. Bien qu’il y ait des gens qui prétendent avoir survécu à des catastrophes en utilisant la méthode du loup solitaire ou quelque chose de semblable, je trouve que ce sont de mauvais exemples de survie, plutôt que des histoires de triomphe.

D’abord et avant tout, si quelqu’un a été forcé d’utiliser la méthode de survie du loup solitaire et d’agir de façon monstrueuse pour prospérer, cela signifie qu’il n’a pas eu la perspicacité nécessaire pour voir venir la catastrophe et se préparer en conséquence. Ils n’ont pas quitté Ground Zero avant la crise, ils sont restés parce qu’ils n’avaient aucune capacité d’observation. Ils n’avaient pas de communauté parce qu’ils n’ont pas vu le danger qui les attendait, ou parce qu’ils n’en voyaient pas l’avantage. Même à l’époque, ils auraient pu être des organisateurs et essayer de reconstruire après coup, mais ils sont restés isolés et prédateurs parce qu’ils pensaient que c’était plus facile.

Ce n’est pas une personne dont je vais suivre les conseils de survie.

Les sociopathes ne créent pas, ils détruisent. Ainsi, leurs solutions impliquent toujours la destruction. Cela en fait une présence indésirable dans n’importe quel environnement. Au-delà de cela, ce sont en fait les sociopathes qui ont tendance à être isolés pour être retirés des communautés pendant les événements de crise. Ils sont considérés comme une bombe à retardement potentielle et ne sont pas désirés dans la plupart des cas. Émuler un sociopathe, c’est réduire ses chances de survie, pas les augmenter.

Je vais vous en donner un exemple…

Il y a des années, après mon arrivée au Montana, on m’a présenté à un couple plus âgé qui cherchait de l’aide. Ils semblaient assez agréables au début, et ils avaient fait beaucoup de choses pour se préparer, y compris l’établissement d’une ferme avec un petit nombre de têtes de bétail. Ils m’ont demandé de les aider à trouver une poignée de personnes qui seraient intéressées à organiser une communauté de préparation autour de leur ferme.

J’ai été heureux d’aider parce que la mise en relation des groupes au niveau local est ce que je promeus constamment dans mes propres essais basés sur des solutions. Malheureusement, avec ce groupe en particulier, il y eu un problème majeur

Après avoir mis le couple en rapport avec une demi-douzaine de preppers, ils sont devenus très discrets sur le projet. Ils n’arrêtaient pas de gagner du temps quand je leur ai demandé d’assister à une de leurs réunions. Les personnes que j’avais recommandées étaient plutôt bavardes mais visiblement mécontentes de l’arrangement. Finalement, j’ai pu assister à une réunion de groupe et j’ai été étonné de voir les propriétaires agricoles traiter les participants comme des serfs.

Ils composaient de longues listes d’équipement et de biens que le groupe était censé acheter et laisser sur la propriété, essentiellement en paiement au couple pour le « privilège » d’y rester si et quand une crise se produirait. Ces biens n’appartenaient pas aux individus qui les achetaient, ils appartenaient au « groupe », c’est-à-dire au couple. La liste est devenue de plus en plus coûteuse et scandaleuse avec le temps.

On entendait souvent le propriétaire de la ferme parler de la chance qu’aurait le groupe de rester sur ses terres et du fait qu’il valait mieux qu’ils travaillent jusqu’à ce qu’ils aient les mains en sang, sinon ils seraient mis à la porte, ce qui équivaudrait à une peine de mort. Gardez à l’esprit que les groupes étaient composés de personnes hautement compétentes possédant des compétences précieuses, chacune d’entre elles ayant une solide éthique de travail, mais qu’elles étaient tout de même traitées comme un réservoir de main-d’œuvre ingrat et paresseux et qu’une catastrophe n’avait même pas encore eu lieu.

Le couple a également été entendu (par moi) discuter de ce qui serait nécessaire dans un environnement de survie, et quelles lignes ils seraient prêts à franchir. Il s’agissait notamment de prendre en otage les enfants des « ennemis » et éventuellement de les tuer.

Alors, vous vous dites peut-être : « N’est-ce pas là un exemple de la façon dont le développement communautaire peut être une mauvaise chose… » ? Mais je n’ai pas encore fini….

Le couple était clairement narcissique et sociopathe. Ils avaient des illusions de grandeur dans lesquelles ils croyaient que la ville entière finirait par tourner autour de leur petit fief fait maison. Ils pensaient en quelque sorte que leur ferme les rendait extraordinairement précieux, et que cela signifiait que tous les autres devraient travailler pour eux. Leur base de connaissances était passable, mais ils étaient à peine autosuffisants et manquaient de connaissances de base en matière de sécurité. Sans l’aide et les compétences de beaucoup d’autres, ils étaient condamnés. Leur ferme serait prise et ils seraient probablement tués en cas de crise.

Ils n’avaient aucune idée de ce qu’est une vraie communauté et encore moins comment s’y adapter. Chaque membre de la communauté est censé apporter quelque chose à la table pour faire avancer la cause de la survie et de l’épanouissement. Sans les individus et leurs compétences, le groupe n’est rien. Sans la sécurité et la capacité de production du groupe, les chances de survie de l’individu sont minces.

Inutile de dire que le groupe s’est rapidement dissous. Le couple sociopathe de la ferme a été rejeté, et peu étaient prêts à s’associer avec eux, encore moins à travailler avec eux. Ils sont universellement haïs dans la petite ville qu’ils habitent ; mentionnez leurs noms à des gens au hasard et, la plupart du temps, ils lèvent les yeux et secouent la tête. Le couple avait brûlé tous les ponts avec ceux qu’ils avaient croisés, comme le font habituellement les sociopathes. Aujourd’hui, ils ont déménagé dans un autre domaine plus loin dans les montagnes et sont extrêmement isolés. Mais je peux vous dire qu’en cas d’effondrement, il est peu probable que leur présence soit tolérée, même à l’extérieur.

Certes, il y a des moments où la violence est nécessaire, voire préférable, face à des gens mauvais. Je n’exclurais jamais la nécessité de répondre à la violence par la violence. J’ai passé la plus grande partie de mes 37 années de vie à m’entrainer pour cette éventualité, et il m’est arrivé de devoir blesser quelqu’un d’autre parce que c’était le seul moyen de l’empêcher de faire quelque chose de pire.

Cependant, le survivalisme en soi n’est PAS un impératif. Ce n’est pas le seul objectif. Les gens qui cherchent à survivre sans principes n’en sont pas dignes. Ils ne vont pas traverser une catastrophe et construire quelque chose de mieux. Encore une fois, les sociopathes ne savent pas comment créer, ils savent seulement comment détruire. Il y a ceux qui pensent qu’il n’y a pas de ligne morale quand il s’agit de survie, et ils croient en une philosophie de la terre brûlée. Ils essaieront de vous faire accepter cette façon de penser, non pas parce qu’ils se soucient de ce qui vous arrive, mais parce qu’ils veulent prouver que vous ou quelqu’un d’autre pourrait être aussi mauvais qu’eux si la pression est suffisante. La capacité de marcher sur le corps d’autrui (au sens figuré ou littéral) pour un gain à court terme ne compense pas les conséquences à long terme que ce comportement entraîne souvent.

L’empathie et la conscience sont des avantages dans le survivalisme parce qu’elles permettent aux gens de travailler ensemble. En fin de compte, la sociopathie n’est pas un avantage, mais un inconvénient.

L’idée que nos actions ne reviendront pas nous hanter tant que nous vivons un effondrement est un fantasme. Les sociopathes recevront le karma qui leur est dû, et ce seront probablement des communautés de gens de conscience qui auront le bon karma. Tenez-en sérieusement compte lorsque vous envisagez une stratégie de survie. Rappelez-vous que les sociopathes ont tendance à échouer dans la vie à moins qu’ils ne puissent garder leurs inclinations cachées. Il n’en sera pas autrement en temps de crise. Être ouvertement sociopathe serait une condamnation à mort pour beaucoup. Pourquoi adopter une tactique aussi stupide pour survivre ?

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone