Le contrôle de la météo

[Source : @Cesar83]

[NDLR Émission diffusée il y a plus de 16 ans]




Freiner la Grande Réinitialisation — Les chrétiens sont un obstacle au mondialisme, et les puissances mondiales le savent

[Source : harbingersdaily.com]

Par Terry James

Ceux d’entre nous qui croient être chargés par le Seigneur d’être des « sentinelles » sur le chemin de ronde l’accélération de la mise en scène de l’accomplissement prophétique comme une chose merveilleuse à voir. Il est indéniable que nous approchons à grands pas du dénouement de l’âge de grâce.

Aucun développement récent n’a été plus significatif que le mouvement vers l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial. L’un des éléments les plus troublants de ce mouvement est ce que l’on appelle « la grande réinitialisation ».

Ce terme, défini dans le titre d’un livre du même nom, signifie la mondialisation du monde entier — ceux qui ont l’intention d’établir un monde sous un seul gouvernement ne doivent pas, selon eux, être contrecarrés. L’existence même de la planète dépend de leur capacité à atteindre leurs objectifs, ceux-ci résumés dans ce qu’ils appellent l’Agenda 21 et maintenant l’Agenda 2030. Cet « agenda » signifie qu’ils doivent accomplir toutes les étapes de la mise en place de cet ordre mondial au plus tard en 2030.

Ces maîtres mondialistes en puissance ne voient pas les choses se développer comme nous le faisons en les regardant à travers le prisme de la prophétie biblique. Alors que nous voyons les choses avancer vers le régime de l’Antéchrist à un rythme étonnant et effrayant, les mondialistes, comme l’auteur du livre La Grande Réinitialisation, considèrent que les choses sont ralenties et inhibées par des forces qu’ils doivent éliminer. En d’autres termes, ils doivent éliminer ceux qui sont comme nous, par exemple. Et par « nous », j’entends à la fois nous, les chrétiens, qui dénonçons leur méchanceté, et cette nation, les États-Unis d’Amérique, dont le peuple est imprégné depuis près de trois siècles de liberté fondamentale et de droits conférés par Dieu sur la base d’un fondement judéo-chrétien.

L’Amérique est l’obstacle le plus puissant à l’Agenda 2030 et à la Grande Réinitialisation. Cette nation, la plus matériellement bénie de l’histoire, ne s’enfoncera pas « doucement dans cette bonne nuit », comme l’aurait dit Dylan Thomas. Il ne sera pas facile de nous faire rouler à bicyclette, de rester dans des villes de quinze minutes et de manger des insectes au lieu des aliments que nous aimons, comme les grands réinitialisateurs et leur agenda insistent pour que nous le fassions. Il y aura une forte résistance tant que la nation existera telle qu’elle est composée actuellement.

Bien sûr, les Américains qui aiment la liberté sont constamment attaqués par les puissances et les principautés d’Éphésiens 6:12, qu’elles soient démoniaques ou humaines. Et cette cabale luciférienne est déterminée à faire tomber l’Amérique et à éliminer toute opposition à son programme. Ces sous-fifres appellent l’opposition à laquelle ils sont confrontés « le recul de la mondialisation ». L’extrait suivant donne plus de détails sur la détermination de Klaus Schwab et de ses acolytes à changer les choses afin que leur nouvelle tour de Babel puisse être construite, sans opposition.

Le livre de Klaus Schwab et Theirry Malleret, Covid-19 : La grande réinitialisation identifie « la chute libre de la gouvernance mondiale » comme un défi existentiel, et si nous ne collaborons pas, « nous sommes condamnés ».

« Les États-nations rendent possible la gouvernance mondiale (l’un entraîne l’autre) », peut-on lire dans le livre. « Plus le nationalisme et l’isolationnisme envahissent la politique mondiale, plus la gouvernance mondiale risque de perdre sa pertinence et de devenir inefficace. Malheureusement, nous nous trouvons aujourd’hui à ce point critique. Pour dire les choses crûment, nous vivons dans un monde où personne n’est vraiment aux commandes »…

Kristalina Georgieva [directrice générale du Fonds monétaire international] a suggéré de « se concentrer sur les domaines nous sommes condamnés si nous ne travaillons pas ensemble ». Les exemples qu’elle a donnés comme quoi « nous sommes condamnés » sans la mondialisation sont le « changement climatique », la « transition verte » et la dette…

Les auteurs n’expliquent pas pourquoi une « réinitialisation individuelle » est nécessaire ; ils supposent simplement qu’il s’agit d’une conséquence de la « pandémie » de Covid. Cependant, comme ils l’ont fait tout au long du livre, ils ont utilisé le collectivisme comme outil de contrôle social. « Si, en tant qu’êtres humains, nous ne collaborons pas pour faire face à nos défis existentiels (l’environnement et la chute libre de la gouvernance mondiale, entre autres), nous sommes condamnés », ont-ils affirmé… La montée des nationalismes rend le recul de la mondialisation inévitable dans la plupart des pays du monde — un élan particulièrement notable en Occident. Le vote en faveur du Brexit et l’élection du président Trump sur un programme protectionniste sont deux marqueurs importants de la réaction occidentale contre la mondialisation », écrivent les deux auteurs.

Comme l’écrit l’auteur de l’article :

Comme nous l’avons déjà dit, l’expression « bien commun » et sa vilaine sœur, « le plus grand bien », représentent le collectivisme, que l’on retrouve dans les mouvements socialistes, communistes et fascistes. Ces mouvements utilisent le « bien commun » comme outil de contrôle social.

C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui dans le processus politique américain. La volonté incessante d’instaurer un système collectif marxiste est au cœur de la tentative de Grande Réinitialisation imposée par les larbins humains, assistés par les démons d’Éphésiens 6:12, selon mon opinion assurée.

L’autre jour, j’ai entendu un sénateur s’exprimer dans l’hémicycle du Sénat. J’aime ce qu’il a dit, bien que je sois presque certain qu’il n’a pas réalisé la véritable portée de sa déclaration.

Il a dit quelque chose comme : « Au lieu de la Grande Réinitialisation antiaméricaine, nous avons besoin de la Grande Résistance. Nous devons résister à cette tentative de tyrannie de type marxiste ».

La Grande Résistance est précisément ce qui est donné dans la Parole de Dieu comme opposition aux tentatives de Satan et de ses sbires d’amener au pouvoir l’homme du péché, l’Antéchrist, et son régime d’horreurs.

« Et maintenant vous savez ce qui le retient, afin qu’il ne paraisse qu’en son temps. Car le mystère de l’iniquité agit déjà ; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. Et alors paraîtra l’impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu’il anéantira par l’éclat de son avènement. »

2 Thessaloniens 2:6-8

Nous qui connaissons le Seigneur Jésus pour le salut, nous faisons partie de la Grande Résistance. Pasteurs, écoutez ! Ne résistez pas à la Grande Résistance. En résistant à la Grande Résistance, vous aidez et assistez ceux qui veulent amener la Grande Réinitialisation.

Prêchez la prophétie biblique, et ceci d’un point de vue pré-Trib(([1] Abbréviation de pré-Tribulation. Le point de vue pré-Trib consiste à la croyance en un enlèvement des chrétiens avant la Grande Tribulation. NdT)). Jésus est sur le point d’intervenir dans les méchantes affaires de l’humanité. L’Enlèvement, selon tous les signes et signaux de la Tribulation à venir qui fait rage dans toutes les directions, est sur le point de bouleverser la vie sur la planète Terre !

Pour ceux qui ne l’ont pas encore fait, voici comment se préparer et être ainsi assuré d’aller vers Jésus-Christ lorsqu’Il appellera tous les croyants à Lui dans ce moment stupéfiant de sauvetage de cette terre soumise au jugement.

« Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut, selon ce que dit l’Écriture. »

Romains 10:9-10




Ce que cachent les substituts de viande

[Source : Kla.tv]

Est-ce que vraiment aucun animal ne meure pour produire de la viande artificielle ? Et le fait de manger des tumeurs, est-ce une alternative saine pour son propre corps et pour l’environnement ? Les déchets biologiques toxiques générés par la production artificielle ne sont-ils vraiment pas nocifs ? Comment sont produits les aliments qui, selon l’Agenda 2030, doivent éliminer la faim dans le monde et garantir la sécurité alimentaire ? La réponse à ces questions devrait être connue de TOUT LE MONDE !

Avez-vous remarqué, chers téléspectateurs, lors de vos dernières courses, que presque tous les supermarchés, qu’ils s’appellent Rewe, Aldi, Lidl ou autre, ont désormais des rayons entiers consacrés aux végétaliens ? McDonalds, Burger King et autres proposent également des burgers ou des nuggets plant based, c’est-à-dire « à base de plantes ». Les végétariens et les végétaliens devraient se réjouir de cette évolution : plus de choix, une alimentation plus consciente, cela ne peut être que bon pour l’homme, l’animal et l’environnement – pourrait-on penser. Mais l’Agenda 2030 de l’ONU, de l’OMS et du FEM, poursuivi avec insistance, et l’avancée systématique vers l’application de leurs plans prouvent qu’il n’y a pas de sollicitude ni de prudence derrière tout cela.

Comme Kla.TV l’a déjà précisé dans l’émission « L’arme alimentaire » www.kla.tv/27996, l’Agenda 2030 est une énorme tromperie sur la marchandise.

Pour rappel :

L’objectif 2 de l’Agenda 2030 prévoit selon ses dires d‘éliminer la faim, d‘assurer la sécurité alimentaire, d‘améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable.

En commençant par les paysans déjà découragés, on observe cependant que l’agriculture naturelle à petite échelle est détruite, tandis que, dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais d’une agriculture industrielle, du génie génétique et de l’agrochimie.

Une des nombreuses annonces sur la manière dont Bill Gates et consorts veulent apaiser la faim dans le monde et garantir la sécurité alimentaire réside dans les aliments synthétiques et l’agriculture verticale, qui est censée n’offrir que des avantages.

En octobre 2023, Uncut-News a publié un article intitulé « Pourquoi les aliments synthétiques sont-ils très dangereux ». Nous en résumons pour vous les principaux points et abordons les questions suivantes :

• Qu’en est-il du bien-être des animaux lors de la production de viande artificielle ?

• Les substituts de viande synthétique sont-ils sûrs pour le consommateur ?

• Que disent les experts sur les éventuelles impuretés présentes dans la viande artificielle ?

• La production de viande artificielle génère-t-elle des biodéchets toxiques ?

• Que viennent faire des organismes résistants aux antibiotiques dans la viande artificielle ?

• La production de viande synthétique permet-elle réellement d’économiser du CO2 ?

Qu’en est-il du bien-être des animaux lors de la production de viande artificielle ?

La viande cultivée est un exemple d’aliment synthétique. Les partisans de ce substitut de viande insistent sur le fait que ce produit n’est pas de la « viande artificielle », mais de la « vraie viande », à la seule différence qu’il ne nécessite pas l’abattage d’un animal pour sa production.

De nombreuses personnes se tournent vers la viande cultivée en raison du bien-être des animaux et d’une approche consciente de l’alimentation. Malheureusement, ils tombent alors dans le piège d’une énorme tromperie en matière de relations publiques. En effet, l’affirmation selon laquelle aucun animal n’est tué dans le cadre de ce processus est tout simplement fausse. Actuellement, la plupart des viandes de culture ou à base de cellules sont produites à l’aide de sérum fœtal de bovin (FBS), qui est obtenu à partir du sang de veaux à naître. En bref, selon les affirmations de l’article d’Uncut News, les vaches gestantes sont abattues pour prélever le sang du fœtus à naître.

Les substituts de viande synthétique sont-ils sûrs pour le consommateur ?

Pour faire croître les cultures cellulaires, certaines entreprises utilisent par exemple des cellules immortelles, qui sont techniquement précancéreuses, c’est-à-dire qu’elles sont en fait complètement cancéreuses. D’autres entreprises utilisent des cellules souches embryonnaires ou des cellules d’animaux vivants.

Les substituts de viande cultivés sur des cellules cancéreuses pourraient donc être considérés comme des tumeurs, puisque la viande est entièrement composée de cellules cancéreuses. La raison pour laquelle on utilise des cellules immortelles est que les cellules qui se comportent normalement ne peuvent pas se diviser indéfiniment. Ainsi, si on voulait cultiver des milliers de kilos de tissus avec des cellules de viande musculaire normales à partir d’un petit nombre de cellules, cela ne fonctionnerait pas.

Que disent les experts sur les éventuelles impuretés présentes dans la viande artificielle ?

En ce qui concerne la sécurité, on pourrait également argumenter que la viande de bœuf naturelle pourrait être contaminée lors de la transformation, de l’emballage, du transport, du stockage ou pendant le processus de cuisson. Et de même dans le cas de la viande cultivée, chaque ingrédient et chaque étape de transformation présente un potentiel de contamination, et chacun des centaines d’ingrédients pourrait avoir des effets toxiques, seul ou en synergie. Une analyse approfondie des données disponibles, publiée en mai 2023 par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et un groupe d’experts de l’OMS, a conclu qu’au moins 53 risques potentiels pour la santé sont associés à la viande cultivée en laboratoire. Il s’agit notamment de la possibilité de contamination par des métaux lourds, des Sz08_, des nanoplastiques et des produits chimiques, des additifs allergènes, des composants toxiques et des antibiotiques. Cela vaut également pour les produits de substitution à base de plantes déjà disponibles dans le commerce. À cet égard, il convient de souligner que même les produits déclarés comme « végétaux » ne sont absolument pas sains. Ils sont eux aussi fabriqués à grand renfort de produits chimiques et contiennent entre autres des quantités inquiétantes d’huile minérale.

La production de viande artificielle génère-t-elle des biodéchets toxiques ?

Comme nous l’avons brièvement mentionné précédemment, la production de viande cultivée génère également des biodéchets toxiques. Les biodéchets issus de ces fermentations biologiques synthétiques doivent d’abord être désactivés, puis éliminés en toute sécurité. Ils ne doivent pas finir dans une décharge.

Chers spectateurs, il faut prendre le temps de réfléchir à ce qui suit : La fabrication de produits que nous sommes censés manger génère des déchets dangereux qui ne peuvent pas être éliminés de manière traditionnelle, alors qu’ils seraient totalement inoffensifs pour nous ?

Que viennent faire des organismes résistants aux antibiotiques dans la viande artificielle ?

La chair obtenue dans la solution nutritive doit être résistante aux antibiotiques, car elle doit survivre aux antibiotiques utilisés pour tuer d’autres organismes indésirables dans la cuve dans laquelle la masse est cultivée. En conséquence, des organismes résistants aux antibiotiques sont également intégrés dans le produit final, et on ne peut que supposer quels types de maladies d’origine alimentaire pourraient être causés par des E. coli génétiquement modifiés et résistants aux antibiotiques. Voici une citation tirée de l’émission « L’arme alimentaire » [https://www.kla.tv/27996 ] :

« (…) Parallèlement, Gates investit beaucoup d’argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d’un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. »

La production de viande synthétique permet-elle réellement d’économiser du CO2 ?

On prétend également que la viande cultivée et les autres aliments synthétiques sont plus respectueux de l’environnement. Cela aussi est incorrect : non seulement la production génère des déchets spéciaux, mais en plus, l’industrie de la viande de laboratoire produit 4 à 25 fois plus de CO2 que l’élevage traditionnel. Cette information est destinée à ceux qui croient encore à l’arnaque du CO2. Car tout cet agenda concernant la sécurité alimentaire, etc. repose sur un mensonge concernant le CO2, qui justifie la prétendue nécessité de réduire l’agriculture naturelle. Dans d’autres émissions, Kla.TV a abordé la question des vaches tueuses de climat [« Les vaches, tueuses de climat ? »] ainsi que celle du Green Deal [« Destruction ciblée de l’agriculture »].

Comme nous venons de le voir, avec l’Agenda 2030, il est difficile pour les agriculteurs de bien nous nourrir, nous, la population qui dépend d’eux, et encore moins de maintenir leur existence.

Comme vous l’avez vu, les aliments synthétiques et transformés ne sont pas promus dans un réel souci de durabilité. Non, la biologie synthétique est recherchée pour mettre en place un énorme mécanisme de contrôle. Ceux qui détiendront toute la production alimentaire synthétique domineront littéralement le monde.

Voici une citation de Henry Kissinger à ce sujet :

« Celui qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; celui qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; celui qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. »

C’est également Kissinger qui, en 1974, a rédigé un document stratégique secret pour le « Conseil de sécurité nationale » dans lequel il déclarait, en d’autres termes, que la nourriture était un « instrument de puissance nationale ».

En bref, les mondialistes possèdent et contrôlent déjà la majeure partie des produits agricoles naturels cultivés dans le monde aujourd’hui. En remplaçant les véritables aliments d’origine animale par des alternatives protéinées brevetées et produites en laboratoire, on se dirige vers un pouvoir sans précédent sur la population mondiale. On sait également que la consommation d’aliments ultra-transformés contribue aux maladies, et le bénéficiaire est bien entendu Big Pharma. Pendant de nombreuses décennies, l’industrie alimentaire a encouragé les maladies chroniques, qui sont ensuite traitées par des médicaments plutôt que par une meilleure alimentation.

Notre nourriture originelle est pourtant une création parfaite et, sous sa forme naturelle, elle est adaptée à 100 % aux besoins de tous les êtres vivants. Et si Bill et consorts y touchent, ils nous créent « un buffet diabolique de Frankenstein avec un arrière-goût écœurant ». Toutefois, à Kla.TV, nous serions volontiers prêts à suivre les mondialistes, Big Pharma et les profiteurs de l’Agenda 2030 sur une période d’expérimentation plus longue, afin qu’ils puissent nous prouver dans leur propre chair quels sont les avantages de leurs produits.

Merci de diffuser cette émission et de rester avec nous pour que les projets de l’Agenda 2030 pour les peuples du monde puissent être mis à jour et ainsi déjoués. Ensemble, brisons le mur de la complexité et de l’ignorance.

de abu./tt.

Sources / Liens :

Pourquoi les aliments synthétiques sont très dangereux / Citation de New Scientist Albert-László Barabási
https://uncutnews.ch/warum-synthetische-lebensmittel-sehr-gefaehrlich-sind/

Pollution par les huiles minérales et additifs chimiques dans les produits végétariens/végétaliens
https://www.agrarheute.com/land-leben/oeko-test-veggie-wuerste-mineraloelen-belastet-585760
https://www.chip.de/news/Wurst-Alternative-im-Test-Fast-alle-Produkte-muessen-Kritik-einstecken_184187264.html

Les investissements de Gates dans les substituts de viande et les aliments synthétiques
https://odysee.com/@investmentdenker:c/Teil12:4

Document stratégique de Henry Kissinger de 1974
https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/pcaab500.pdf

Objectifs de l’Agenda 2030
https://www.kla.tv/19023

L’arme alimentaire
https://www.kla.tv/27996

Contrôle des aliments / Vertical Farming / Citation de Kissinger / Contrôle des semences
https://www.kla.tv/23292

Découverte du mensonge sur le climat
https://www.kla.tv/27736

Décimation de l’élevage bovin
https://www.kla.tv/25420

Destruction ciblée de l’agriculture / Green Deal
https://www.kla.tv/22252

Interview avec Heiko Schöning :Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !?
https://www.kla.tv/27963




De la censure à la criminalisation de la dissidence

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Vue générale de l’Assemblée nationale française à Paris le 17 juillet 2023. (Bertrand Guay/AFP via Getty Images)]

Par Jeffrey A. Tucker

L’histoire avance rapidement.

Une bataille majeure se prépare dans le monde occidental sur le principe fondamental de la liberté d’expression. Nos droits à la liberté d’expression n’ont jamais été aussi fragiles.

En pleine nuit, en France, une nouvelle loi a été adoptée par l’Assemblée nationale, qui considère comme un délit le fait de critiquer les injections d’ARNm. Les critiques l’appellent la loi Pfizer. Elle prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 45 000 euros et éventuellement trois ans de prison.

Comme dans tous les pays occidentaux, les critiques à l’encontre de la plateforme mRNA font l’objet d’une vaste censure.

Plutôt que de reculer face au scepticisme de certains quant à l’efficacité et l’innocuité de ces vaccins, les gouvernements, piégés par les intérêts pharmaceutiques, prennent fait et cause pour les entreprises et les Big Techs en menaçant d’emprisonnement toute personne qui s’exprime ouvertement contre elles.

La censure devient alors une arme redoutable. C’est l’étape logique suivante. Dans un premier temps, vous déployez tous les moyens possibles pour empêcher toute dissidence sur les canaux de distribution de l’information. Quand ça ne marche pas, parce que les gens ont trouvé des moyens alternatifs pour faire passer l’information, vous intensifiez les choses et instituez des contrôles radicaux.

C’est logique. Après tout, la censure permet d’influer sur l’esprit du public afin d’étouffer toute opposition au régime. Lorsque les médias traditionnels s’effondrent et que de nouveaux médias se développent, l’étape suivante consiste à aller criminaliser l’opinion, comme le fait tout gouvernement totalitaire.

La politique aujourd’hui est planétaire. Les élites qui ont pris le contrôle de nos gouvernements se coordonnent au-delà des frontières.

En second lieu, un article important de la rubrique opinion du New York Times, se réjouit qu’une affaire de diffamation ait abouti. Michael Mann, professeur à l’université de Pennsylvanie a poursuivi un rédacteur de l’Institut Competitive Enterprise auquel il reproche d’avoir contesté son modèle de changement climatique, notamment ce que l’on appelle la crosse de hockey.

Ce n’est pas du domaine de tout le monde, mais il semble évident que la science climatique dominante devrait elle aussi faire l’objet d’une critique vigoureuse. Si l’ère Covid nous a appris quelque chose, c’est que le « consensus scientifique » peut être complètement faux.

Le scientifique Michael Mann assiste à la projection à New York du documentaire HBO « Comment lâcher prise sur le monde et toutes les choses que le climat ne peut pas changer » à New York le 21 juin 2016.
(Slaven Vlasic/Getty Images pour HBO)

La diffamation consiste à dire que les propos tenus ont cherché à mentir délibérément dans l’intention de nuire. On pourrait penser que peu de choses peuvent être qualifiées de la sorte, et certainement pas la critique d’un modèle climatique.

Cette accusation a pourtant été retenue par un juge américain. Après une dizaine d’années de procédure, le jury a fini par se prononcer en faveur des plaignants. L’un des défendeurs, Rand Simberg, a été condamné à payer 1000 dollars et l’autre, Mark Steyn… à 1 million de dollars. M. Simberg affirme qu’il fera appel et qu’il s’en tient à chaque mot qu’il a écrit. M. Steyn également.

Pour l’essentiel, ce verdict criminalise l’hyperbole, a déclaré l’avocat de la défense.

L’auteur de l’article d’opinion, quant à lui, estime qu’il s’agit d’une question de justice. « Notre récente victoire en première instance pourrait avoir des implications plus larges », déclare-t-il. « Elle a tracé une ligne dans le sable. Les scientifiques savent désormais qu’ils peuvent répondre aux attaques en intentant un procès pour diffamation ». Il mentionne en particulier les personnes qui ne sont pas d’accord avec le consensus Covid ou qui ont fait de fausses déclarations sur les effets néfastes des éoliennes sur la santé.

Vous imaginez ? Critiquer une éolienne ou une pandémie et se retrouver devant un juge !

Il est terrifiant de penser à ce que cela implique. Et l’auteur de l’article ne laisse rien à l’imagination. Il considère cette affaire comme un moyen de rendre la critique scientifique de n’importe quel domaine de la vie — des vaccins au changement climatique en passant par la transition vers les véhicules électriques — essentiellement illégale. En tout cas, si ce n’est pas le cas, il s’en rapproche en érigeant tellement de mines terrestres que les critiques vont se taire de peur de voir leur vie détruite.

Cette affaire a duré dix ans. Comment est-il possible que des plaideurs fassent durer une affaire aussi longtemps ? Il s’agit d’établir un précédent sérieux. Ce précédent est désormais clairement établi. La définition de la diffamation est tellement malléable que les jurys peuvent décider de tout. La seule perspective d’être traîné devant un juge pendant plus de dix ans suffit à dissuader les gens de s’exprimer.

En substance, tous les détracteurs du « consensus scientifique » en tous domaines ont été mis en garde. Ils sont d’ores et déjà des cibles de choix. C’est le monde vers lequel nous nous dirigeons.

La censure fonctionne lorsque le gouvernement peut contrôler tous les canaux de distribution de l’information. Et quand ce n’est plus le cas ? Les pouvoirs peuvent utiliser des méthodes plus directes.

Nombreux sont ceux qui se réjouissent de voir disparaître les médias traditionnels. C’est certainement mon cas, mais réfléchissez à la façon dont les censeurs vont réagir. Ils deviennent plus durs et utilisent davantage les tribunaux de justice. C’est l’avenir qui nous attend et il est extrêmement dangereux. Selon cette trajectoire, la liberté d’expression est appelée à disparaître.




Les fissures commencent à apparaître à Davos

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Simplicius Le Penseur — Le 2 février 2024 — Source Dark Futura

Le WEF 2024 à Davos — la principale retraite des mondialistes — s’est tenu du 15 au 19 janvier. À bien des égards, il s’agissait d’un événement particulier, car c’était le premier conclave de ce type où les élites affichaient une peur et une appréhension palpables face à la direction que prend la société et au retour de bâton d’une humanité de plus en plus défiante.

Officiellement, le climat et la désinformation ont dominé l’ordre du jour de leur programme, qui a été sponsorisé sous le titre « Reconstruire la confiance ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Qu’est-ce qui peut bien amener les élites à penser qu’elles ont rompu notre confiance ? se demande-t-on. Il apparaîtra clairement dans leurs moindres gestes au cours du déroulement du symposium que les élites sont terrifiées par les troubles qu’elles ont elles-mêmes créés.

Voici le rapport complet qu’ils ont publié à la veille de la convocation. L’ensemble est modelé sur la hiérarchie des risques suivante, montrant les perspectives à deux ans et à dix ans des risques, classés dans l’ordre :

Il est clair qu’à court terme, c’est la désinformation qui leur donne le plus de fil à retordre. Cela est dû, selon eux, au fait que les deux prochaines années seront riches en élections mondiales cruciales au cours desquelles la désinformation jouera un rôle de premier plan. Pour les perspectives à dix ans, ils battent naturellement les bongos du climat à pleines dents, car cela reste leur plus savant filon.

Dès les premières pages, ils commencent par admettre que la majorité des participants pensent que le modèle mondial unipolaire cessera de dominer au cours de la prochaine décennie :

Ces risques transnationaux deviendront plus difficiles à gérer à mesure que la coopération mondiale s’érodera. Dans l’enquête de cette année sur la perception des risques mondiaux, deux tiers des personnes interrogées prévoient qu’un ordre multipolaire dominera au cours des dix prochaines années, les puissances moyennes et les grandes puissances établissant et appliquant — mais aussi contestant — les règles et normes actuelles.

Le manque de conscience de soi des élites est cependant toujours stupéfiant. En lisant ces pages, on est surpris de constater que toutes les raisons invoquées pour expliquer pourquoi le monde se dirige vers ces eaux troubles pointent directement vers la mauvaise gestion des affaires mondiales par les élites elles-mêmes. Par exemple, ils pensent que le monde se précipite vers cette multipolarité « dangereusement instable » parce que la confiance dans les institutions occidentales, en particulier dans le leadership mondial, s’est érodée. Se sont-ils posé la question de savoir pourquoi il en est ainsi ?

Depuis plusieurs décennies, les États-Unis et leurs vassaux des Nations unies ont écrasé le monde en développement, menant sans relâche la guerre, la terreur et le chaos partout où ils le jugeaient bon. Les pays du Sud sont restés silencieux, attendant leur heure, uniquement parce qu’ils n’avaient pas la capacité de résister correctement. Mais maintenant qu’ils ont acquis cette capacité, nous sommes censés oublier le déchaînement vertigineux de l’Occident et l’étalage flagrant de son hypocrite « État de droit » et de ses « règles fondées sur l’ordre » ?

Ils se rapprochent d’un semblant de conscience de soi dans la section suivante, où ils citent les milliardaires non élus propulsés à de nouveaux sommets de pouvoir et d’influence par l’ère de l’IA comme une source d’inquiétude particulière :

Cela intervient juste après l’annonce que Microsoft vient de franchir le seuil des 3 000 milliards de dollars de capitalisation boursière, dépassant ainsi Apple pour redevenir la « société la plus précieuse » du monde. Apple et Microsoft représentent à eux deux plus de 13 % de l’ensemble du S&P 500.

Nous avons pu constater de visu le pouvoir que Bill Gates a exercé au cours de son ascension vers une sorte d’influence politique mondiale non élue. L’article du WEF craint à juste titre que le caractère « autoréférentiel » de la croissance des start-ups de l’IA permette aux entreprises qui réalisent des percées dans ces technologies, qui incluent l’informatique quantique, d’exercer de vastes pouvoirs en vertu de l’omniprésence de leurs technologies « à double usage et à usage général ».

La capitalisation boursière de Microsoft, qui s’élève à 3 000 milliards de dollars, représente une masse d’argent plus importante que le PIB de la majorité des pays de la planète. Une entreprise unique exerçant un tel pouvoir ne peut être comparée qu’à la Compagnie des Indes orientales des années 1600-1800, qui disposait de sa propre armée privée et pouvait facilement écraser des nations entières.

Mais venons-en à l’aspect le plus intéressant du conclave de cette année : la révolte tranquille des globalistes.

Cette année, on a enfin eu le sentiment que les technocrates globalistes n’étaient plus tous sur la même longueur d’onde. De tels groupes fonctionnent comme un sous-produit de la forte pression exercée sur le groupe pour qu’il se conforme à l’orthodoxie établie. Divers mécanismes permettent de maintenir l’uniformité, depuis les incitations commerciales jusqu’aux menaces pures et simples, en passant par le kompromat. Ainsi, lorsque les globalistes commencent à se révolter contre les leurs, remettant en cause le discours, rompant avec le sacro-saint ordre du jour, il s’agit d’un moment décisif de « rupture de barrage ».

La dernière retraite de Davos a été marquée par plusieurs cas de ce genre. Le plus médiatisé est le grand discours de Javier Milei sur la destruction du monde, qu’il a qualifié de « [planter] les idées de liberté dans un forum contaminé par l’agenda socialiste 2030 ».

En substance, il a prétendu avoir assisté à la réunion du WEF dans le seul but de subvertir les globalistes de l’intérieur. Faites-en ce que vous voulez — je suis moi-même assez ambivalent sur Milei, avec un fort penchant pour le scepticisme. Mais il est indéniable que son discours — en particulier la dernière partie — a servi de moment de raclement de gorge aux étatistes et aux globalistes présents.

Le plus remarquable est que, sur la grande scène du WEF lui-même, il a rejeté de manière significative le mandat du « changement climatique », ou le fait que les humains soient responsables de tout changement naturel dans l’environnement. On ne s’attendait pas à ce que cette déclaration soit prononcée à la tribune de l’institution la plus importante du monde en matière de changement climatique.

Le reste de sa polémique était terne, puisqu’il s’est attardé sur ce terrible cheval de bataille qu’est le « socialisme », le considérant comme le principal cheval de bataille de l’élite du WEF, se positionnant ainsi commodément comme le grand iconoclaste audacieux.

En réalité, Schwab et ses semblables ne se soucient pas le moins du monde de ce type d’encadrement sémantique — ils sont experts dans l’art de coopter et de s’approprier n’importe quel système pour parvenir à leurs fins. Si vous leur donnez le contrôle d’un pays « socialiste », ils utiliseront leur dirigeant fantoche pour imposer des obligations de haut en bas via la « planification centrale » qui correspond à leur agenda ; donnez-leur un pays « capitaliste de libre marché », et ils utiliseront leurs vastes sociétés transnationales pour déraciner et capturer toutes les industries, en les intégrant dans le méga-monopole mondial. En d’autres termes, ce n’est pas un système contre l’autre, c’est l’humanité contre une cabale d’élites financières contrôlant le système bancaire occidental et, par extension, toutes les entreprises et industries.

Prochain sur la liste de la révolte sans précédent de Davos : Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone.

Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone, déclare à la foule de Davos que les États-Unis ne sont pas prêts pour quatre années supplémentaires de déficits de 2 000 milliards de dollars de Biden, d’invasion de 8 millions de clandestins et d’un ratio dette/PIB de plus en plus élevé. Il a raison.

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il est suivi par le PDG de JPMorgan Chase, Jamie Dimon, qui déclare de manière très pressante :

« Si vous ne contrôlez pas les frontières, vous allez détruire notre pays ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

C’est ce fil X qui a le mieux rendu compte de l’étonnante évolution de l’esprit du temps :

Il y a ici quelque chose d’extrêmement important qui n’est pas reconnu, mais ceux qui savent lire entre les lignes s’en rendent compte et cela effraie les gens : Des éléments de la classe de Davos **se préparent à faire défection vers le mouvement Trump/populiste**.

Le monde actuel est terrifiant pour la classe Davos. Tout va mal, les populistes sont entrés dans le sanctuaire intérieur et disent ouvertement « vous êtes le problème, votre malheur est proche », et on a le sentiment que le système néolibéral international est au bord de l’abîme.

L’économie — qui est ce qui maintient à flot l’ordre international dirigé par les États-Unis (c’est-à-dire l’ordre néolibéral, alias l’empire américain) pour l’instant — est en train de se dégrader. Même si Trump devait *perdre* l’élection présidentielle, il est entendu que la situation se dégraderait.

Et ils ne pensent pas que Trump va perdre. Ces personnes, aussi désemparées qu’elles puissent être, voient également les sondages d’opinion et sentent où vont les choses.

Ce sentiment de malheur imminent crée BEAUCOUP de panique et de déni dans les cercles Démocrates et néolibéraux. Les élections sont impossibles à gagner, les voler à nouveau est plus difficile cette fois-ci parce que tout le monde a compris…

La légitimité de leur système (« méritocratie »/règle de l’expert) s’effondre (« adultes dans la pièce » est désormais une blague), l’environnement international ne peut pas tenir (voir : Ukraine, Israël, Taïwan, la mer Rouge, etc.), la coalition arc-en-ciel à l’intérieur commence à se déchirer elle-même…

Les Démocrates et les néolibéraux — qui ont passé 8 ans à se convaincre et à convaincre tout le monde que Trump était un dictateur imminent — sont convaincus qu’Orange Hitler est sur le point de s’emparer du Reichstag. Et à ce stade, Trump a dit : « Et puis merde, je serai le monstre que vous pensez que je suis ».

Mais voilà : tandis que les Démocrates et les progressistes crient que leur navire est en train de couler et que l’eau glacée les attend, certains centristes néolibéraux à la tête froide regardent les canots de sauvetage et se disent « … en fait, il y a peut-être une issue ici ».

Les membres de la classe de Davos n’en sont pas à leur premier coup d’essai. Ces financiers et hommes d’affaires ont vécu l’ascension de Poutine et la purge des oligarques, Xi faisant de même et imposant des « exigences » aux entreprises désireuses d’accéder au marché, etc.

Aujourd’hui, un bon nombre d’entre eux croient *véritablement* qu’une répétition de ces événements pourrait être à l’ordre du jour pour les États-Unis. Désireux de survivre, certains d’entre eux seront prêts à passer un accord avec le diable. Surtout s’il leur dit « signez maintenant ou sinon ».

« Et si je ne m’inscris pas ? », se disent-ils. « Est-ce que je veux VRAIMENT prendre le risque d’être sur la liste de merde de l’administration Trump ? ». Dans un environnement populiste et anti-élite ? Dans un contexte de récession/dépression imminente ? Dans un environnement mondial de plus en plus multipolaire ? »

Donc, si vous êtes un type de la classe Davos — dans la finance, le capital-investissement, les entreprises multinationales, certains types de think tank/académiques/à but non lucratif qui dépendent des connexions politiques — votre instinct est de SURVIVRE à tout prix. Si cela implique un accord avec le populiste, alors…

L’OP s’inspire de ce nouvel article de Bloomberg :

https://www.bloomberg.com/news/articles/2024-01-19/davos-sees-the-global-economy-settling-into-strange-new-dynamic

Les six membres du panel ont été chargés de résumer l’ambiance à Davos après une semaine où les participants ont eu tendance à donner un visage courageux aux perspectives mondiales, en accentuant la probabilité qu’une récession profonde sera probablement évitée malgré un resserrement monétaire sans précédent pour maîtriser l’inflation.

L’article résume l’ambiance comme étant tendue, les élites inquiètes invoquant même ouvertement la possibilité que le dollar soit détrôné en tant que monnaie de réserve mondiale :

« Si nous ne résolvons pas ce problème (les questions budgétaires), quelque chose va arriver au dollar », a-t-il déclaré. « Si les États-Unis ne parviennent pas à se ressaisir sur le plan budgétaire, à un moment donné, les gens feront ce qu’ils ont fait à la livre sterling et au florin néerlandais il y a des années. »

Certains ont continué à porter des « masques de bravoure », mais d’autres ont exprimé leur incrédulité face à ce qui se passe :

Ken Rogoff, professeur à l’université de Harvard, s’est inquiété de ce que« la situation géopolitique ne ressemble à rien de ce que j’ai pu voir au cours de ma vie professionnelle ».

Enfin, le président de la Heritage Foundation, Kevin Roberts, a couronné la désillusion du WEF en assénant aux technocrates aux yeux écarquillés sa marque unique d’incision éloquente :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

La polémique de Roberts est ce que celle de Javier Milei aspirait à être. Il a donné la parole aux élites fatiguées, les déshabillant précisément sur les questions que tous les autres ont si peur d’aborder. La vérité, c’est qu’une grande partie des élites globales — même celles qui sont ostensiblement globalistes — ne sont pas d’accord avec les changements les plus extrêmes de ces derniers temps. Elles savent simplement qu’elles doivent porter la cruche d’eau pour BlackRock et consorts afin d’éviter certaines « pénalités » sociales et d’entreprise.

C’est pourquoi il y a de fortes chances que nous assistions dans les années à venir à une sorte de réorientation : les plus raisonnables d’entre eux reviendront du côté de la rationalité. Dans cette optique, la réunion de Davos pourrait être considérée comme l’un des premiers moments canaris dans la mine pour l’orientation des choses.

Les élites sont stratifiées comme tout le reste, ce qui signifie que les contingents les plus radicaux et les plus marginaux continueront à porter la lance de l’avant-garde pour avancer sur de nouveaux territoires. C’est pourquoi, malgré les fractures évidentes et la nervosité qui envahit leur classe pour la première fois, les ultra-radicaux parmi eux ont continué à faire avancer leurs plates-formes extrêmes.

La dernière menace prototypée à Davos est la « maladie X » :

Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus, a été accosté par un journaliste intrépide alors qu’il se rendait à la soirée de Schwab :

« Quand allez-vous lancer la maladie X ? »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Naturellement, l’objectif de cette génération de la peur est de nous ébranler suffisamment pour empêcher l’encre de sécher sur les approbations des thérapies géniques à l’ARNm par le biais de l’éternel « stratagème de la tension sans fin », ainsi que de préparer la table psychologique à l’éventualité d’une nouvelle fausse pandémie pour nous bloquer à un autre point clé, permettant de dissimuler une nouvelle fraude financière ou électorale historique.

Comme à l’accoutumée, l’agenda climatique a occupé la première place de l’événement. Certains des piliers reconnaissables qui ont inlassablement fait grimper le rocher frauduleux sur la colline pendant des années ont à nouveau alimenté le chœur :

Le gagnant de l’assaut le plus flagrant contre la rationalité a été le banquier suisse Hubert Keller pour sa conférence sur les effets néfastes du café sur l’environnement, avec l’implication que ceux qui ont une conscience devraient en boire beaucoup moins (sans parler de l’implication encore plus grave que les élites viendront un jour prendre tout notre café) :

« Chaque fois que nous buvons du café, nous rejetons du CO2 dans l’atmosphère. »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Sans blague !

Et pendant que ces dandys minaudant se livraient à des tête-à-tête dans les salles perverses de l’Imaginarium de Klaus Schwab, dans les zones interdites de leurs demesmes, les hordes opprimées étaient entrées dans une frénésie bacchanale ; le rite parisien, en particulier, était un offertoire d’abats pour les siècles à venir :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Macron, pendant ce temps, cosplayait avec les rois suédois, indifférent au cri de l’âme de son peuple :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Juxtaposition évocatrice ! [NDRL En français dans le texte original anglais.]

Les condamnations ne se sont pas limitées au café, mais, comme d’habitude, à l’ensemble de l’approvisionnement alimentaire, qui, selon l’élite, « carbonise la planète » :

L’information d’entreprise s’est jointe à l’incursion malthusienne chorégraphiée. Cette séquence classe effectivement les enfants dans la catégorie des accumulateurs de carbone :

Un lobbyiste de l’environnement a déclaré mardi aux téléspectateurs de la chaîne d’information britannique GB News que le fait d’avoir des enfants pose un « problème moral » en raison de la quantité de carbone qu’ils produiront au cours de leur vie.

Donnachadh McCarthy a affirmé que les gens devraient avoir moins d’enfants, et qu’avoir un seul enfant est « formidable ».

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Entre-temps, les capitales européennes se sont embrasées — les supermarchés du Paris dystopique se sont vidés en raison des grèves généralisées des agriculteurs :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Aujourd’hui encore, alors que les dirigeants européens se réunissaient au sommet de l’UE à Bruxelles, la dévastation régnait autour d’eux ; une statue de l’industriel John Cockerill a été symboliquement déboulonnée juste devant le parlement :

Des balles en caoutchouc et des canons à eau ont été déployés contre des centaines d’agriculteurs européens qui manifestaient devant le bâtiment du Parlement européen à Bruxelles ce jeudi. Les agriculteurs ont lancé des œufs, des feux d’artifice et des incendies à proximité du bâtiment, tout en exigeant que les dirigeants européens cessent de les punir en leur imposant davantage de taxes et de coûts pour financer un soi-disant« programme vert ».

Mais ne vous inquiétez pas, la Maison Blanche montre l’exemple en remplaçant John Kerry par un nouveau tsar du climat plus « sain » :

https://www.reuters.com/world/us/white-houses-podesta-replace-kerry-us-climate-envoy-wash-post-2024-01-31/

N’êtes-vous pas tout simplement soulagé de voir que certaines des plus brillantes personnalités de cette administration sont affectées aux tâches les plus urgentes ?

Mais le dernier point le plus troublant mis en avant par les globalistes concerne la « désinformation ». Ce qui est le plus frappant, c’est que leur ton correspond à l’urgence exprimée sur d’autres questions évoquées plus haut. Ici aussi, ils ont manifesté une crainte croissante de perdre la guerre des récits et d’aliéner la population.

Cela s’est produit à la suite de licenciements massifs dans l’ensemble des médias d’information et de l’industrie de la publication et de l’impression :

Taylor Lorenz l’a expliqué dans un document d’explication largement diffusé et à regarder absolument :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

ZeroHedge en a également parlé :

Tout le monde tombe !

BuzzFeed et Vice Media, deux anciens chouchous des médias numériques dont la taille et la pertinence ont diminué ces dernières années, sont susceptibles de devenir encore plus petits.

BuzzFeed, dont les actions ont perdu plus de 97 % de leur valeur depuis son entrée en bourse en 2021, cherche à vendre ses sites de cuisine, Tasty et First We Feast, selon des personnes au fait de la situation. Par ailleurs, Fortress Investment Group, qui a repris Vice en faillite l’année dernière, est en pourparlers pour vendre son site Refinery29, axé sur le style de vie des femmes, ont indiqué d’autres personnes.

Quel est donc le problème, exactement ? Pourquoi l’ensemble du secteur est-il en train de « s’effondrer », comme l’a dit Lorenz ? Et pourquoi les élites font-elles soudain preuve d’une conscience de soi aussi rare et inhabituelle dans leur horreur d’être remplacées ?

Le symposium du WEF a tenté de résoudre le dilemme :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il admet que, pour une fois, les gens exigent de leur journalisme qu’il rende des comptes. Ils veulent savoir comment leurs informations sont sourcées, d’où elles viennent et pourquoi. Et ce, après des années pendant lesquelles les organes d’information des grandes entreprises ont considéré leur liberté comme acquise et ont totalement érodé leur propre fiabilité en prenant des raccourcis, en contournant les règles et en suivant généralement des « règles non écrites » hautement contraires à l’éthique et politisées. Cela inclut les nouvelles normes modernes telles que les « sources anonymes » paresseuses qui remplacent les fuites politisées évidentes, et d’autres choses de ce genre.

Mais le problème le plus important est bien sûr la nouvelle prédominance des médias sociaux et des médias alternatifs, un sujet que j’ai largement abordé dans cet article :

En particulier depuis que Musk a abaissé les garde-fous en rachetant X, l’information [presque] libre circule sans être entravée par les reliques obsolètes des médias d’entreprise. C’est principalement pour cette raison que le consortium de Davos a placé la « désinformation » en tête de liste de ses ennemis à court terme.

L’ignoble dame Von Der Leyen le souligne dans son discours :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il n’est donc pas surprenant qu’elle cite la mise en œuvre par l’UE de la « loi sur les services numériques » comme le summum de la maîtrise de ce fléau existentiel qu’est la « liberté d’expression » et qui les a tant ébranlés. La loi sur les services numériques est un sujet que j’ai également abordé :

https://darkfutura.substack.com/p/censorship-clampdowns-redux-eu-dsa

Sans parler de l’anticipation des mesures de répression massives qui ne manqueraient pas d’arriver, tant la confiance de l’establishment avait été érodée.

Après tout, faut-il s’étonner que des gens comme eux n’arrivent pas à comprendre pourquoi plus personne ne les prend au sérieux ?

Ce qui précède n’est pas une blague, soit dit en passant. Plusieurs grands noms de l’information ont récemment dénoncé le laxisme de la censure chinoise à l’égard de leur poule aux œufs d’or, Israël : NYTimes et CNN notamment. Avez-vous jamais pensé que vous vivriez assez longtemps pour voir la propagande orwellienne à l’envers prendre une tournure telle qu’elle reproche à la Chine d’être trop libre ?

Les personnes qui nous ont fait la leçon sur les dangers de lire en dehors des lignes sont maintenant terrifiées que nous les ayons ignorées et que nous continuions à penser par nous-mêmes.

C’est le problème de ces globalistes : pour cacher leurs crimes, ils doivent continuer à doubler la mise, mais cela demande toujours plus d’efforts et une complexité croissante dans la mise en relation de points improbables et absurdes et dans la gymnastique de l’excuse. C’est un peu comme la théorie de la relativité et la vitesse de la lumière : plus on se rapproche de la vitesse, plus les besoins en énergie deviennent ridiculement irréalistes.

On a de plus en plus l’impression que les élites atteignent un niveau asymptotique, et que l’absurdité de leurs concoctions superposées est sur le point d’éclater.

Simplicius Le Penseur

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Science du climat : faiblesses et manquements

L’analyse d’un ingénieur

[Source : fr.irefeurope.org]

Par Pascal Iris

Un travail bibliographique, portant exclusivement sur les publications de chercheurs spécialisés reconnus par le GIEC, montre que les modèles de simulation climatique qui sont le cœur de la recherche climatique actuelle et les seuls outils susceptibles de fournir des prévisions chiffrées sont en réalité inexploitables.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce sont les numériciens du climat qui l’écrivent eux-mêmes dans des publications spécialisées qui restent confidentielles faute de relais médiatiques et institutionnels.

Le présent travail montre qu’en réalité la plus grande incertitude règne en la matière, avec l’incapacité de simuler certains phénomènes atmosphériques dominants (comme les nuages), l’absence de fiabilité des résultats et le caractère contestable de leur exploitation.

Pourtant ces modèles sont à l’origine de l’équation qui mène aujourd’hui le monde occidental vers la fameuse « neutralité carbone en 2050 » qui limiterait la hausse de la température mondiale à environ 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle.

Pour l’auteur, la société est ainsi entraînée sur la pente brutale de la décarbonation généralisée, malgré l’absence d’une information équilibrée sur l’état réel de la recherche scientifique qui fonde les décisions de politique publique.

Une démarche fondée sur la raison critique.

Pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté, posons en préambule qu’il est clair, pour nous comme pour la très grande majorité de la population, que la protection de l’environnement et l’utilisation sobre et rationnelle de l’énergie sont un enjeu majeur pour l’avenir. Il est également indéniable que la température moyenne de l’atmosphère a augmenté ces 200 dernières années.

Aujourd’hui des décisions drastiques et engageant l’avenir sont prises au motif que la science climatique aurait définitivement statué, science qui aurait « parlé », comme il est commun de l’entendre.

Sur le fond, constater l’élévation de température ces 200 dernières années est une chose (assez complexe en soi), en interpréter la cause en est une autre, et quantifier l’avenir une troisième : la thermodynamique de l’atmosphère n’a malheureusement pas la simplicité de la bille qui tombe sous l’effet de la pesanteur !

Elle est au contraire d’une extrême complexité, chacun le reconnaît et il y a un paradoxe entre cette complexité admise et la simplicité de « la seule faute au CO2 ».

Faisant totalement fi de ce paradoxe, les politiques publiques en la matière se résument désormais à la « décarbonation » de la société tout entière.

Alors, que dit vraiment la science du climat ?

Compte tenu des enjeux, il n’est pas inutile de se poser cette question, si peu abordée tant les choses paraissent certaines et sans appel.

Pour le savoir, un travail bibliographique a été entrepris, EXCLUSIVEMENT fondé sur des publications de scientifiques spécialisés reconnus, par le GIEC en particulier, de façon à éliminer tout biais qui pourrait qualifier la démarche de « climatosceptique ».

La modélisation numérique au cœur de la recherche climatique

Aujourd’hui, la climatologie est un large domaine d’étude et de recherche qui relève de nombreuses disciplines scientifiques distinctes les unes des autres (océanographie, glaciologie, hydrologie, astronomie, géologie, thermodynamique, paléoclimatologie, histoire, analyse numérique, physique du rayonnement, etc.).

Aucune de ces disciplines n’est, à elle seule, capable d’une interprétation globale et encore moins d’une évaluation quantitative.

Les seuls outils susceptibles d’évaluer les températures futures de la planète sont les modèles climatiques de simulation, les plus évolués étant dénommés « modèles climatiques globaux ».

Supposés intégrer l’ensemble des facteurs en jeu, ces outils de simulation sont à l’origine de l’équation du GIEC qui gouverne désormais l’avenir de nos sociétés européennes : neutralité carbone en 2050 = espérance d’une élévation de la température moyenne limitée à 1,5 °C en 2100 (par rapport à l’ère préindustrielle).

Si leur rôle est central, quelles sont les capacités réelles de ces modèles ?

Cette question, qui n’est jamais posée publiquement et dont le GIEC ne fait aucunement état dans ses « résumés aux décideurs », mérite pourtant de l’être.

La modélisation du climat est par ailleurs une discipline qui présente la particularité d’être hyper spécialisée, extrêmement complexe et surtout quasi confidentielle parce que les numériciens du climat représentent une infime minorité de chercheurs étiquetés « spécialistes du climat ».

Elle est de ce fait quasi inaccessible, y compris aux autres scientifiques et c’est là un second paradoxe, loin d’être négligeable vu l’importance stratégique de la discipline.

La question du « réglage » des modèles climatiques

Un modèle, c’est la représentation virtuelle et discrétisée d’un domaine au sein duquel se développent des phénomènes physiques que l’on formalise par des équations, dont on estime certains paramètres directeurs non mesurables et qu’on borne par des conditions spécifiques aux limites du domaine.

Qualité des « équations », « conditions aux limites » et « réglage » des paramètres directeurs sont les facteurs clefs de toute simulation numérique.

Des incertitudes peuvent concerner ces trois éléments, mais le plus critique, quand il s’agit de modéliser la géosphère (c’est-à-dire les milieux naturels), est l’estimation des paramètres directeurs des équations, dénommée souvent « calage » ou « réglage » du modèle. On le fait en ajustant les résultats de calcul sur des historiques pertinents de données, quand ils existent, ou bien on les estime comme on peut.

Le réglage est par conséquent un acte essentiel et délicat, consubstantiel à la modélisation elle-même. Les résultats de calcul y sont très sensibles et les paramètres non mesurables sont un des talons d’Achille de la modélisation des milieux naturels, tous les numériciens le savent et ont à gérer ce sujet. Cela fait partie de leur « art » qui ne relève en aucun cas du « presse bouton ».

Un résultat de modélisation doit par conséquent s’accompagner d’une notice sur ces paramètres, les hypothèses qu’ils contiennent et l’incertitude qu’ils produisent sur les résultats de calcul.

Dans le cadre d’une étude d’intercomparaison des modèles à l’échelle internationale reconnue par le GIEC, un article collectif publié en 2017 sous la direction de F. Hourdin du laboratoire de météorologie dynamique (CNRS — Université Pierre et Marie Curie)1 constate la très faible prise en compte de la question du « réglage » des modèles et regrette explicitement que le GIEC ne s’y intéresse pas. L’opacité sur le sujet est signalée par les auteurs qui y voient une lacune importante. Ils appellent explicitement à plus de transparence.

Le papier est très honnête, très direct et en même temps édifiant compte tenu de l’importance du sujet.

Je cite :

« Il existe une subjectivité dans le réglage du modèle climatique […]il est souvent ignoré lors des discussions sur les performances des modèles climatiques dans les analyses multimodèles […] Pourquoi un tel manque de transparence ?

« Cela est peut-être dû au fait que le réglage est souvent considéré comme un élément inévitable, mais sale de la modélisation du climat […]un acte de rafistolage qui ne mérite pas d’être écrit dans la littérature scientifique […]

« Le réglage peut en effet être considéré comme un moyen inracontable de compenser les erreurs de modèle. »

Au-delà de sa clarté, ce propos direct illustre parfaitement une lacune méthodologique majeure, car l’exploitation des résultats s’exonère manifestement de toute documentation sur les hypothèses de calcul, sur les conditions de réglage, sur la sensibilité des résultats aux paramètres, etc. toutes choses élémentaires et encore une fois consubstantielles à la simulation elle-même.

Un jury de thèse demanderait systématiquement ces éléments à un doctorant présentant des résultats de calcul. Cette situation n’est par conséquent pas conforme aux « règles de l’art » et les spécialistes la dénoncent à juste titre.

Mais les auteurs vont plus loin, je cite :

« Vingt-deux groupes sur 23 ont signalé avoir ajusté les paramètres du modèle pour obtenir les propriétés souhaitées, en particulier à la partie haute de l’atmosphère. »

Cette phrase ne peut que susciter davantage d’interrogations : suggérerait-elle que cette opacité permettrait de régler les modèles pour obtenir les résultats souhaités ?

À la recherche des résultats attendus

En creusant davantage, on découvre que tel est bien le cas, au moins dans un cas publié : un modèle, mis en œuvre en 2019 au sein de l’Institut Max Planck de climatologie en Allemagne2, conduisait à une sensibilité climatique à l’équilibre (ECS) de 7 °C jugée irréaliste (la sensibilité climatique est la variation de la température mondiale estimée pour un doublement du CO2 par rapport à l’ère préindustrielle).

On comprend qu’un paramètre de réglage de la convection atmosphérique a été multiplié par 10 par rapport à la valeur initialement estimée, pour corriger la chose et aboutir à une sensibilité considérée comme plus acceptable de 3 °C…

Je cite :

« […] nous avons décidé de viser une sensibilité climatique d’équilibre d’environ 3 °C. La réduction de la sensibilité du modèle a été principalement obtenue en augmentant le taux d’entraînement pour une convection peu profonde d’un facteur 10 […] dans le but de réduire la rétroaction des nuages tropicaux de basse altitude. »

On ne peut que s’interroger sur la pertinence de ce « réglage » de circonstance : pourquoi multiplier par 10 le paramètre jugé correct initialement, pourquoi pas 5, 20 ou 50… ?

Quel est le sens physique d’un tel réglage ?

Cette question précise est essentielle, car si l’on n’est pas capable de clarifier le sens physique d’un réglage, le modèle perd totalement de son intérêt et de sa pertinence : il fait l’objet d’un ajustement opportuniste sans nécessaire cohérence avec la physique des phénomènes simulés.

L’article n’en parle pas alors que c’est un des pièges bien connus du réglage ; on peut faire l’analogie (également bien connue des statisticiens) avec les corrélations sans cause.

Ce réglage montre simplement que, toute chose étant égale par ailleurs et en particulier à effet de serre donné, la mécanique interne de l’atmosphère, en l’occurrence la convection des nuages, a un impact considérable sur la température.

La mise en évidence de l’influence d’un tel « mécanisme interne » ne manque pas d’intérêt, à l’inverse de la température qui, calculée dans ces conditions, n’en présente aucun.

Tout cela pose question et c’est un euphémisme.

Des objets de recherche incertains.

En 2020, F. Hourdin et son équipe précisent la problématique à gérer et les modalités d’amélioration de leur modèle3.

Je cite :

« […]Il est communément admis qu’une grande partie de l’incertitude dans les projections futures du changement climatique avec les modèles climatiques mondiaux provient de la représentation de processus physiques non résolus par ce qu’on appelle des paramétrisations, et en particulier des paramétrisations de la turbulence, de la convection et des nuages. Les mêmes paramétrisations sont également responsables d’erreurs importantes, qui persistent dans la représentation du climat actuel avec les modèles globaux.

« […] L’amélioration des modèles numériques globaux est essentielle pour l’anticipation des changements climatiques futurs.

« […] Les améliorations sont basées sur des changements significatifs du contenu physique ainsi que sur une stratégie de réglage mieux contrôlée. »

Cette analyse confirme sans ambiguïté ce qui est évoqué plus haut, à savoir le champ considérable des inconnues et des insuffisances.

La qualité des équations est problématique puisque la physique de bon nombre de phénomènes n’est pas formulable explicitement, comme les nuages qui jouent un rôle majeur et variable selon leur configuration et leur extension.

Cette publication confirme que les modèles climatiques, sur lesquels tout repose, sont en fait eux-mêmes des objets de recherche, encore peu avancée compte tenu de la difficulté et de la complexité du sujet.

À l’évidence ce ne sont pas des outils numériques d’ingénierie prédictive, comme les modèles de calcul de structure ou de calcul thermique par exemple : dans ces deux cas, les équations sont connues et les paramètres mesurables par voie expérimentale ; il ne s’agit pas de simuler le milieu naturel.

En d’autres termes, le domaine du calcul climatique relève clairement de la « recherche » avec par essence ses incertitudes, ses inconnues et ses obstacles… à ne pas confondre avec la « science », c’est-à-dire un corpus de connaissances établies, fondées sur la théorie et l’expérience.

Cet état de fait n’est pas choquant en soi ; le fait que ce soit un non-dit masqué vis-à-vis des décideurs et du public est en revanche très choquant et révèle un problème épistémologique méconnu, mais majeur.

L’amalgame médiatique entre recherche et science est souvent fait par méconnaissance, abus de langage et confusion des termes.

Des calculs prédictifs inexploitables

Le 5 mai 2022, l’insuffisance majeure des modèles climatiques est explicitement admise dans un commentaire publié dans la revue Nature, co-signé par des spécialistes tout à fait reconnus, dont Gavin A. Schmidt, le directeur du GISS (Goddard Institute for Space Studies de la NASA)4. Le GISS est un des piliers mondiaux de la science climatique officielle.

Ce commentaire, destiné à alerter la communauté scientifique, intitulé « Reconnaître le problème du modèle chaud » se fonde sur la comparaison la plus récente de 50 modèles (CMIP6).

Il indique qu’une part significative de ces outils de dernière génération, supposés plus performants, « surchauffent » et sont incapables de reproduire le passé.

Je cite :

« Avis aux utilisateurs : un sous-ensemble de la dernière génération de modèles “surchauffe” et prévoit un réchauffement climatique en réponse aux émissions de dioxyde de carbone qui pourrait être plus important que celui obtenu à partir d’autres modèles. »

Et les auteurs d’expliquer :

« Auparavant, le GIEC et de nombreux autres chercheurs utilisaient simplement la moyenne et la dispersion des modèles pour estimer leurs impacts et leurs incertitudes. »

Il faut s’arrêter sur cette phrase, car on découvre à l’occasion une situation étonnante : on comprend que le GIEC estimerait la température future de la planète en faisant la moyenne des résultats des modèles climatiques globaux disponibles !

Cette forme de « démocratie numérique » n’a rien de scientifique et, sauf erreur, n’existe dans aucune autre discipline… un peu comme si on décrétait que le bon résultat d’une épreuve de mathématiques au bac n’était pas dans celle de la copie qui a 19/20, mais dans celle qui a 10/20, en faisant une moyenne avec les mauvaises notes qui pèseraient aussi lourd que les bonnes (à supposer qu’il y ait des bonnes notes en modélisation du climat… ce qu’on ne sait pas) !

La validation des modèles n’est manifestement pas faite comme il se doit, c’est-à-dire individuellement ; on fait la moyenne de tous les modèles.

L’incertitude ne repose pas sur une analyse de sensibilité aux paramètres pour chaque modèle, mais sur les écarts entre les modèles pris dans leur globalité.

Cette approche « démocratique » de la recherche est singulière pour ne pas dire baroque et conduit à s’interroger légitimement sur le GIEC qui, s’il s’appuie effectivement sur des résultats de recherche, les exploitent d’une façon sans doute politique, mais en aucun cas scientifique, comme ce type de moyenne inusitée le montre.

Mais l’article va plus loin. Je cite :

« Dans le rapport AR6(ndlr : sixième cycle d’évaluation du GIEC, le plus récent — 2021), ces méthodes simples ne fonctionnent plus(ndlr : il s’agit de cette moyenne): les modèles à haute sensibilité pris isolément n’ont pas le même poids que les autres pour estimer la température globale. Les auteurs du rapport AR6 ont décidé d’appliquer des pondérations à chaque modèle avant d’en faire la moyenne, afin de produire des projections de réchauffement climatique “réévaluées”. »

En d’autres termes, « le principe » qui consistait jusqu’à présent à prendre en compte la moyenne des résultats de tous les modèles pour prévoir l’avenir thermique de la planète n’est désormais plus valable… Les auteurs approuvent le principe d’une « pondération » effectuée par le GIEC de façon à limiter l’impact des modèles les plus récents qui « surchauffent » !

Que dire de cet invraisemblable bricolage manifestement destiné à aboutir aux valeurs qui conviennent ?

En réalité, les auteurs reconnaissent explicitement qu’il est impossible de quantifier l’avenir dans la mesure où il n’est pas possible de prendre en compte tous les facteurs de la thermodynamique atmosphérique (ils reviennent en particulier sur le rôle central des nuages quasi impossibles à représenter numériquement).

Je cite :

« La Terre est un système complexe dans lequel les océans, la terre, la glace et l’atmosphère sont interconnectés, et aucun modèle informatique ne pourra jamais en simuler exactement tous les aspects. […] »

« Les modèles varient dans leur complexité qui font chacun des hypothèses et des approximations différentes sur les processus qui se produisent à petite échelle, comme la formation de nuages. […] »

« Il y a de nombreux aspects du changement climatique que nous ne comprenons pas encore, d’où la nécessité de continuer à améliorer la science du climat. […] »

« Cependant, même si nous connaissions précisément ce volume (gaz à effet de serre), nous ne saurions toujours pas exactement quel serait le niveau de réchauffement de la planète. […] »

Et ils proposent tout simplement de ne plus utiliser ces outils pour faire des prévisions dans le temps !

Telle est la conclusion insoupçonnée à laquelle aboutissent aujourd’hui des spécialistes de haut niveau international, insoupçonnables de « climatoscepticisme », après des décennies de modélisation et de progrès supposés.

Les modèles les plus récents, c’est-à-dire les plus évolués, donnent de « mauvais » résultats, au point de devoir être massivement « pondérés ».

En matière d’évaluation et de prévision quantifiée, ces publications montrent que la science est en réalité du côté de la plus grande incertitude et nous sommes par conséquent très loin d’une ingénierie numérique exploitable contrairement à ce que l’on fait croire.

On ne sait pas évaluer les températures futures, on ne sait pas prendre en compte correctement une partie des phénomènes internes essentiels et cela se comprend très bien vu l’extrême complexité de l’objet simulé.

Ces chercheurs honnêtes l’écrivent, mais cela reste confidentiel faute de relais médiatiques et institutionnels.

Les rapports du GIEC cachent aux décideurs la réalité de ces insuffisances ; au contraire, ils assènent des certitudes : l’homme reste responsable du climat et il y a urgence à agir.

Il faut rappeler à ce stade que l’objet statutaire du GIEC n’est pas d’étudier le réchauffement climatique, mais d’étudier le réchauffement climatique d’origine humaine.

Ce biais originel a manifestement des conséquences considérables sur l’orientation des travaux de recherche à l’échelle mondiale, sachant que les rapports du GIEC sont approuvés formellement par chacun des États et deviennent de ce fait des éléments de politique publique, particulièrement suivis en Europe.

Une unanimité scientifique factice.

Au-delà de la science qui aurait parlé et dont on peut mesurer la faiblesse prédictive, on entend également en permanence qu’il y a unanimité de la communauté scientifique sur le sujet et qu’il faut « écouter les scientifiques ».

La responsabilité centrale du CO2 dans la perspective climatique catastrophique à venir est de ce fait considérée comme une vérité absolue.

Tout scientifique interrogé dans la rue le dira sans doute comme tout le monde, d’autant que le contester pourrait s’avérer préjudiciable à sa carrière. Mais qu’en est-il quand il s’exprime dans le cadre professionnel des publications scientifiques à comité de lecture, c’est-à-dire le seul qui compte ?

La référence est une étude australienne5 parue en 2013 (et reprise par Greenpeace) qui conclut effectivement que 97 % des scientifiques compétents considèrent que le réchauffement climatique est bien d’origine anthropique.

Le diable étant dans les détails, il faut regarder de plus près la méthodologie de l’étude : 11 944 publications (environ 25 000 coauteurs) dont les résumés contiennent les termes « global warming » et « global climate change », parues entre 1991 et 2011 dans des revues à comité de lecture, ont été analysées et classées.

Sur ces 11944, 7970 soit près de 70 % ne donnent aucun avis sur le sujet… et ont été éliminées du « panel » !

Sur les 30 % restantes, en réalité seules 1010 publications (soit 8,5 % du nombre initial) donnent un avis explicite et 986 d’entre elles indiquent effectivement que l’homme est responsable, soit bien 97,6 %. Mais… 97,6 % de 8,5 %, soit… 8,25 % du total !

Ainsi en réalité, 91,5 % de la communauté scientifique concernée ne donne aucun avis explicite professionnel sur la question et l’unanimité affichée par les medias (et Greenpeace) ne porte que sur un peu plus de 8 %. Une étude américaine de même nature publiée en 2021 conduit à des résultats comparables6.

L’unanimité scientifique sur l’origine humaine du réchauffement climatique relève clairement d’une exploitation fallacieuse des chiffres, si l’on s’en tient à la réalité des publications professionnelles sur laquelle est basée cette affirmation.

En matière de chiffres, le dernier rapport du GIEC suscite également bien des interrogations.

Les chiffres du GIEC… pas exactement l’idée qu’on s’en fait

Partons maintenant de l’hypothèse que les évaluations du GIEC sont fiables et intéressons-nous à l’impact du CO2.

Dans son dernier rapport aux décideurs concernant les aspects scientifiques7, il est indiqué (p9 A.1.3) que pour le passé et jusqu’à nos jours, le «probable réchauffement dû à l’homme depuis 1850-1900 est d’environ +1 °C ». Plus loin, il est écrit pour le futur (p35 D1.1) que « chaque tranche de 1000 Gt d’émissions cumulées de CO2 provoque une augmentation probable de la température mondiale de 0,45 °C (meilleure estimation) ».

On peut s’arrêter sur ce chiffre.

Les émissions annuelles de CO2 résultant de la combustion des hydrocarbures représentent aujourd’hui environ 35 GT.

Un calcul simple montre qu’en 2100, dans 80 ans et selon les hypothèses du GIEC, on aboutirait au rythme de la consommation mondiale actuelle (du fait des hydrocarbures) à une hausse de température estimée depuis 1850 de 2,3 °C (1+80*35/1000*0,45 °C = 2,26 °C)… à comparer avec l’objectif de neutralité carbone en 2050 qui conduirait à une hausse comprise limitée à 1,5 °C.

Soit un écart inférieur à 1 °C entre les deux scénarii d’émissions !

Ce faible écart estimé est à mettre en regard de l’objectif de « neutralité carbone en 2050 » qui lui, a contrario, représente bien une révolution industrielle, économique et sociale aussi faramineuse que brutale par rapport à notre mode de fonctionnement actuel où 80 % de l’énergie utilisée dans le monde est d’origine fossile. D’après l’Agence internationale de l’énergie8 en effet, pour atteindre la neutralité carbone en 2050, il faudrait réduire la consommation mondiale de charbon de 90 %, celle de pétrole de 75 % et celle de gaz naturel de 55 %.

Cet objectif de réduction drastique est colossal et ne peut s’obtenir que par une forte décroissance… pour moins de 1 °C d’écart estimé !

C’est assez surprenant, mais pour mieux comprendre, il faut savoir que le GIEC présente en fait différents scénarii d’émission de CO2 d’ici la fin du siècle. La hausse spectaculaire autour de 4,5 °C (voire plus) souvent mise en avant dans les médias, est en réalité « calculée » par le GIEC sur la base du scénario d’émission de CO2 le plus extrême (scénario SSP5-8.5 — voir 8 p.13 — fig. SPM.4) qui prévoit non pas la poursuite de nos émissions au niveau actuel, mais leur multiplication par deux d’ici 2050 puis par trois d’ici 2080… c’est-à-dire une croissance effrénée (et sans doute irréaliste) de la consommation d’hydrocarbures !

Malheureusement, les chiffres présentés dans les médias ne sont jamais assortis des hypothèses qui les sous- tendent, ce qui entretient la confusion.

Pour terminer de façon pratique, notons que la Chine, l’Inde et les pays dits « du Sud » qui représentent l’essentiel de l’humanité fondent leur développement majoritairement sur les énergies fossiles et n’ont pas l’intention d’y renoncer.

La Chine met en œuvre aujourd’hui un programme électro-charbonnier sur dix ans qui représente environ 300 GW, soit 5 à 6 fois la puissance électronucléaire totale installée en France, quand l’Inde multiplie les ouvertures de mines de charbon.

La France pèse moins de 1 % des émissions mondiales.

Un débat d’intérêt public interdit et une société prise en otage

Qu’ont à répondre sur le fond les spécialistes médiatiques de l’urgence (voire de la terreur climatique) et sur quoi fondent-ils précisément leur certitude affichée et chiffrée du rôle majeur, immédiat et catastrophique du CO2 ?

Quand on interroge les spécialistes et des leaders d’opinion, la réponse est toujours la même : pas de réponse. Tout cela est manifestement un non-sujet, n’a pas à être discuté et surtout l’expression du moindre doute apparaît comme une inadmissible transgression.

Or, comme pour tout domaine de recherche scientifique, le doute est non seulement légitime, mais salutaire et le débat contradictoire, nécessaire.

Au nom de quoi la climatologie serait-elle le seul domaine à pouvoir s’y soustraire ?

Les interdits intellectuels sont bien sûr antinomiques avec l’essence même de la recherche et posent un problème éthique, déontologique et épistémologique.

Nos médias donnent une parfaite illustration de cette situation, comme en témoigne la récente charte environnementale de Radio France, dont le premier article est le suivant, je cite :

« Article 1 : Nous nous tenons résolument du côté de la science, en sortant du champ du débat la crise climatique, son existence comme son origine humaine. Elle est un fait scientifique établi, pas une opinion comme une autre. »

Cette position officielle « d’autorité » qui s’exprime à longueur d’antenne sans la moindre contradiction (sur les radios de service public supposées pluralistes par leur statut) illustre à quel point l’idéologie, le militantisme, voire l’endoctrinement, ont pris la main.

C’est ce qui est dénoncé par de nombreux scientifiques au plan international, à l’image de l’américain John Clauser, prix Nobel de physique 2022, ou bien de Steven Koonin9, membre de l’Académie des sciences américaine, ancien sous-secrétaire d’État à la science du département de l’énergie de l’administration Obama.

Si cette affaire ne relevait que d’un débat savant, cela ne poserait pas vraiment de problème ; la tectonique des plaques a mis soixante ans avant d’être admise par la communauté des géologues.

Mais en l’occurrence, il s’agit de l’avenir de notre société et c’est une affaire d’État.

Nos concitoyens sentent bien qu’il y a sur ce sujet quelque chose d’anormal, même s’ils n’ont aucun outil ni aucune information structurée leur permettant des choix éclairés.

Ils ont raison, car on n’a sans doute jamais pris de décisions aux conséquences aussi lourdes sur des fondements aussi faibles.

Il n’est pas trop tard pour les décideurs d’en prendre la mesure et pour les experts d’avoir le courage de s’expliquer publiquement et contradictoirement.

Présentation de l’auteur

Citoyen ordinaire à la retraite, l’auteur est ingénieur (Mines de Nancy) et scientifique de formation (thèse de 3e cycle de mathématique appliquée en géosciences à l’École des Mines de Paris) ; ancien chef d’une entreprise technologique spécialisée dans les modèles numériques de simulation pour l’industrie mécanique et métallurgique (Transvalor SA), il a une expérience pratique de la modélisation numérique appliquée à différents domaines.

Il est familier du milieu de la recherche, ayant été pendant 20 ans directeur de l’association ARMINES, importante structure de recherche partenariale (partenariat recherche publique — recherche privée).

C’est bien sûr à titre strictement personnel qu’il s’exprime, considérant disposer de l’expérience et de la compétence pour exercer sa raison critique sur l’état de l’art de la modélisation climatique qui est à la source des prévisions chiffrées en la matière.

Références bibliographiques

1 Fréderic Hourdin et coll. : « The art and science of climate model tuning » — Bulletin of American Meteorological Society — BAMS mars 2017 98, n° 3, pp. 589-606

2 Thorsten Mauritsen et coll. : Développements dans le modèle du système terrestre MPI-M version 1.2 (MPI-ESM1.2) et sa réponse à l’augmentation du CO2 — Journal of advances in modelling earth systems — 13 janvier 2019

3 Frederic Hourdin, Catherine Rio, Jean-Yves Grandpeix, Jean Baptiste Madeleine, Frédérique Cheruy : La composante atmosphérique du modèle climatique IPSL avec une physique améliorée et mieux réglée — Journal of advances in modelling earth systems — 06 avril 2020.

4 Zeke Hausfather, Kate Marvel, Gavin A.Schmidt et coll. : « climate simulations : recognize the «hot model» problem » – Nature – vol 605 – 5 mai 2022

5 John Cook et coll. : Environmental research letters : Quantifying the consensus on anthropogenic global warming in the scientific literature—Environ. Res. Lett. 8 024024 — 15 05 2013

6 Mark Lynas, Benjamin Z Houlton et coll. : Environnemental research letters : Greater than 99% consensus on human caused climate change in the peer-reviewed scientific l — 19 October 2021

7 GIEC – Changement climatique 2021 — Les bases scientifiques physiques — résumé à l’intention des décideurs. (IPCC_AR6_WG1_SPM)

8 Net zero by 2050 — A roadmap for the global energy sector — AIE — mai 2021

9 Steven Koonin : « Climat, la part d’incertitude » Édition l’Artilleur — 2022




Sauver la planète ?

Par Joseph Stroberg

La conjugaison de la peur de mourir et d’une certaine connaissance des limitations de notre environnement terrestre a conduit un nombre croissant d’êtres humains à se lancer dans une cause idéologique, celle de la sauvegarde de notre planète. Cette cause qui sert parfaitement les mondialistes, comme excellent prétexte pour instaurer leur totalitarisme planétaire avec l’agenda 21 et ses différents corollaires, est largement stimulée par des activistes écologiques et par des scientistes du climat. Abusant de sophismes et d’incohérences manifestes, ces derniers ont fini de facto par créer un nouveau dogme de la religion technoscientiste et humaniste moderne, celui de l’effet de serre climatique1. Si leurs motifs peuvent sembler nobles, ils engendrent trop souvent des actions fanatiques et pourraient conduire au suicide de l’Humanité elle-même.

Depuis un peu plus de deux siècles, avec des prémisses légèrement antérieures à la Révolution française, l’Humanité a connu deux tendances évolutives, ou plus probablement « involutives » parallèles et liées dans une certaine mesure. La première est la destruction progressive et croissante des grandes religions (plus particulièrement du christianisme), à partir de leur état déjà relativement éloigné de leurs conditions et caractéristiques originelles. La seconde est la naissance de la science matérialiste moderne, progressivement remplacée à grande échelle par le scientisme. Celui-ci se fait passer pour de la « science », alors que le véritable esprit scientifique (caractérisé par le doute sain, l’observation, l’investigation et l’expérimentation) se trouve de plus en plus rarement, mais se voit au contraire remplacé par une collection grandissante de rituels procéduraux (appelés par exemple « protocoles » en médecine), de dogmes incontestables, de textes bibliques (« études » publiées dans les revues à comité de lecture, et manuels de référence) et de grands prêtres, d’idoles, de saints, de dieux…

Comme il semble qu’une des caractéristiques de l’Homme soit le besoin d’un système de croyances ou au moins de se faire une représentation interne, une image du monde, à défaut de pouvoir l’appréhender en totalité et de manière objective (ceci du fait même de ses capacités mentales et sens limités), la destruction des grandes religions ne pouvait alors que favoriser l’expansion du matérialisme scientiste technologique que l’on observe de nos jours à l’échelle planétaire. Cette nouvelle religion est mondiale, toute puissante, suivie par les grands de ce monde aussi bien que par la masse des peuples. Ses gourous, ses cardinaux et ses inquisiteurs sévissent autant dans les médias que dans les diverses chapelles scientistes (climatologie, virologie, épidémiologie, écologie, etc.). Les peuples la suivent par leurs multiples écrans ou interfaces avec le nouveau paradis divin : le monde virtuel informatique, l’univers artificiel des robots et du transhumanisme.

Une des croyances de cette nouvelle religion est que l’Homme est mauvais, qu’il pollue la Terre, qu’il se multiplie comme des lapins, et qu’il vaut mieux l’enfermer dans des cages (les villes 15 minutes qui se profilent à l’horizon), le stériliser et diminuer sa population grâce aux vaxins. Il faut lui retirer son libre arbitre en le soumettant à l’Intelligence artificielle programmée par les nouveaux dieux. Il faut pour cela le transformer en machine, réduire au maximum la taille de sa cage, la qualité et la quantité de sa nourriture et de ses ressources, son intelligence propre… Pendant ce temps, les dieux milliardaires pourront continuer à utiliser leurs yachts et leurs jets hyperpollueurs, habiter dans leurs nombreux châteaux, chasser animaux (et êtres humains) dans leurs immenses parcs naturels et forêts réservés, manger des aliments sains, biologiques, sans OGM et sans insectes…

Les activistes écologiques qui sont prêts à sacrifier leur train de vie et à vivre le martyre2 réalisent-ils que pendant ce temps et grâce à eux, les nouveaux dieux pourront créer leur paradis terrestre, alors que les masses soumises subiront un pseudoparadis artificiel à coup de graphène vaxinal et de drogues diverses généreusement dispensées par la sorcellerie pharmaceutique ? Réalisent-ils que par peur de la mort, ils vont droit au suicide ? Sont-ils conscients de l’incohérence de leur approche ?

Au lieu d’élever la conscience de l’Humanité pour notamment stimuler le sens de la responsabilité individuelle dans la vie collective, les nouveaux dieux et leurs idiots utiles ont stimulé les pires tendances humaines (l’égoïsme, la luxure, l’avarice, la gourmandise, la vanité, l’orgueil…) pour subordonner la vie individuelle à un prétendu intérêt collectif qui n’est en définitive que celui des milliardaires. Ils l’ont réalisé par la destruction progressive de la famille, des valeurs traditionnelles, de l’instruction scolaire, puis des nations.

Si la planète est un être vivant que l’on voudrait « sauver », est-il pour autant besoin de le faire en sacrifiant l’Humanité ? Est-ce même cohérent ? Cette idée que l’Homme serait un virus pour la Terre, un méchant microbe tout juste bon à la détruire provient directement de l’hypothèse pourtant scientifiquement réfutée de l’existence de méchants germes (bactéries et virus) tout juste bons à rendre malades et à tuer les êtres humains, les animaux et même les plantes. Pourtant, dans le même temps, la nature démontre tout autre chose : notre corps lui-même vit en symbiose avec des milliards de bactéries (dans son microbiome) et lesdits « virus » sont des composants cellulaires endogènes3 habituellement conséquences des agressions diverses subies par les cellules, selon les découvertes scientifiques d’avant-garde en biologie, rejoignant en cela celles d’Antoine Béchamp ; et d’autre part, les plantes elles-mêmes vivent en symbiose avec des champignons et des bactéries4. Sans ces symbioses, ni les plantes ni les êtres humains ne pourraient survivre. Ce sont elles qui permettent notamment l’assimilation de certains nutriments indispensables à l’organisme. L’Homme apporte des aliments aux bactéries et en retour ces dernières lui permettent d’assimiler des nutriments dans les intestins et de se purifier de toxines. Il existe également une telle collaboration dans les règnes végétal et animal. Dans cette même optique, l’Homme peut parfaitement vivre en symbiose avec la Terre.

Les élites milliardaires ont préféré donner vie aux fraudes pasteuriennes et à sa perception négative de la vie, plutôt qu’au paradigme de Béchamp qui lui avait eu une démarche réellement scientifique et honnête. De nos jours, toutes les erreurs et les errements qui en découlent sur le plan de la santé humaine, animale, végétale et planétaire sont propagés du fait de la mainmise des nouveaux dieux sur les systèmes « éducatifs » et médiatiques mondiaux, facultés de médecine et universités incluses. Et comme il ne faut surtout pas les remettre en question, les grands-prêtres et les inquisiteurs écartent les gêneurs par le discrédit (« complotistes », « antivax », « extrémistes de droite », « antisémites », « négationistes »…) et par l’interdiction des thèses et des pratiques alternatives (spécialement en médecine et dans le domaine du climat).

Un « Nouveau Monde » qui ne soit pas en fait le « Nouvel Ordre Mondial » sera possible, non pas par le sacrifice inutile de l’Humanité, mais par sa participation pleine et active à sa création, ce qui impliquera probablement de faire tomber les pseudodieux de l’Olympe, ceci en leur enlevant tout pouvoir de nuisance et en n’écoutant plus leur chant de sirènes. S’il est souhaitable de modérer grandement l’esprit consommateur, hédoniste, gaspilleur et infantile moderne, ceci gagne à se faire non pas par la coercition, le mensonge, la manipulation et des prétextes, mais par l’enseignement, en particulier par l’exemple. Ainsi, ce sont les dirigeants (théoriquement au service des peuples) et les divers guides de l’Humanité qui doivent commencer par réduire leur propre train de vie, cesser d’habiter dans des palaces, de voyager dans des jets privés, de chercher la jouissance de multiples biens matériels… Et les peuples gagneraient de leur côté à ne se doter de chefs ou de guides que parmi les plus humbles, les réellement humbles, pas ceux qui disent à longueur de temps « en toute humilité, je… ». L’humilité se mesure dans les gestes et les actes, pas dans les paroles, surtout lorsque celles-ci sont prononcées par des « langues fourchues ».

Vivante, la Terre peut survivre à la disparition de l’Humanité (de nombreuses espèces animales et végétales sont plus résistantes que l’Homme). Sur une Terre inerte, l’Humanité n’aurait qu’à se préoccuper de sa propre survie. Ce n’est donc pas tant de la survie de la planète dont l’être humain gagne à se préoccuper, mais de celle de l’Humanité, attendu que sa disparition découlerait de celle de sa conscience par sa transformation en machine. Un transhumain robotique perdrait sa conscience propre, deviendrait coupé du plan des âmes, perdrait la vie éternelle spirituelle et trouverait un enfer matériel multimillénaire, survivant dans la matière aussi longtemps que son corps mécanisé le permettrait. Quasi immortalité infernale et contrainte ici-bas, ou liberté éternelle dans l’au-delà ? Que souhaitons-nous pour nous-mêmes et pour nos descendants ?






« Transition énergétique », « crise climatique » et autres lubies pour sauver les profits

[Source : France Culture via les7duquebec.net]

La transition énergétique ambitionne de favoriser et valoriser les énergies renouvelables et de baisser la consommation d’énergie. L’historien Jean-Baptiste Fressoz, spécialiste des techniques, explique qu’une nouvelle énergie n’en remplace jamais une ancienne. Au contraire. 💬 « La fonction de la transition énergétique de nos jours est une fonction de procrastination : c’est l’idée que si l’on a un problème de changement climatique, on va faire une transition énergétique comme si c’était possible ».
L’historien des sciences est l’invité de Guillaume Erner.

[NDLR Guillaume Erner est visiblement croyant dans le supposé changement climatique par le CO2. Cependant, cela ne nuit pas nécessairement au reste de son exposé, notamment en ce qui concerne l’imbrication des différentes sources énergétiques.]




Pas d’agriculteurs, pas de nourriture saine — La fin programmée des paysans

[Source : @Vivresainement]

Les prix des denrées alimentaires montent en flèche dans les épiceries du monde entier, et certains dirigeants mondiaux affirment que cela est dû au changement climatique. Leur solution est l’Agenda 21, le plan directeur centenaire des Nations unies pour l’humanité et le XXIe siècle, qui est divisé en plans quinquennaux plus courts. Le plan actuel est l’Agenda 2030, qui vise à « transformer notre monde pour un développement durable », selon les Nations unies.

L’Agenda 2030 est actuellement mis en œuvre dans le monde entier. Aux États-Unis, il est mis en œuvre sous la forme de l’agenda 30×30 de l’administration Biden, un plan visant à rendre complètement inexploitables 30 % des terres américaines d’ici à 2030, ce qui a pour conséquence d’obliger les petits agriculteurs et les éleveurs à quitter leurs terres. Dans d’autres pays comme les Pays-Bas, les agriculteurs néerlandais sont contraints de cesser leur activité en raison des « politiques vertes » du gouvernement qui limitent les émissions d’azote. Au Sri Lanka, les agriculteurs luttent pour leur survie en raison de l’interdiction par le gouvernement des engrais synthétiques.

Alors que nous assistons à une guerre mondiale contre les agriculteurs, le Forum économique mondial et les Nations unies incitent les gens à manger des insectes comme solution pour réduire le changement climatique, la faim dans le monde et sauver la planète. Pourquoi les dirigeants mondiaux et même les célébrités font-ils soudainement la promotion des insectes comestibles ? Le gouvernement doit-il contrôler notre alimentation ? À quoi ressemblerait un monde sans agriculteurs ?

« Pas d’agriculteurs, pas de nourriture : Mangerez-vous des insectes ? » est un documentaire original d’EpochTV qui expose les intentions cachées derrière les « politiques vertes » mondiales, les histoires inédites d’agriculteurs contraints de cesser leur activité, les perturbations que cela aura sur notre approvisionnement alimentaire, et pourquoi les insectes comestibles sont soudainement mis en avant en tant que « solution verte mondiale ».

Roman Balmakov, animateur de l’émission « Facts Matter »1 sur EpochTV, s’est rendu dans plus de 25 pays et a interviewé plus de 50 agriculteurs, scientifiques et experts aux États-Unis, aux Pays-Bas et au Sri Lanka pour découvrir la vérité derrière cet agenda mondial et enquêter sur la crise alimentaire mondiale à venir, qui est ignorée par les médias du monde entier.

L’histoire a tendance à rimer. Dans les années 1950, le dirigeant communiste chinois Mao Zedong a vendu au public le « Grand Bond en avant » sous la bannière du progrès, mais ses politiques ont conduit à la plus grande famine provoquée par l’homme dans l’histoire, avec plus de 50 millions de personnes mourant de faim. Les « politiques vertes » de l’ONU semblent présenter les caractéristiques d’un nouveau « bond en avant vert ». Elles peuvent sembler bonnes sur le papier, mais dans la pratique, elles sapent notre sécurité alimentaire, nos droits de propriété, nos droits à l’eau et représentent une menace existentielle pour nos libertés en tant que citoyens libres. Une citation célèbre dit : « Qui contrôle l’approvisionnement en nourriture contrôle le peuple ».

Il est important que chacun regarde ce documentaire, non seulement pour savoir ce qu’il y a dans son assiette, mais aussi pour avoir les connaissances nécessaires pour prévenir une autre famine provoquée par l’homme à l’avenir et protéger ses libertés.

Source




1 « Les faits comptent », ou « L’importance des faits »




La Physique du Climat

Oubliez l’« Effet de serre » et revenez aux fondamentaux

[Source : laphysiqueduclimat.fr.
Ce site a pour objet :

  1. d’héberger un ouvrage en accès gratuit qui définit la (vraie) Physique du Climat
  2. de recevoir des commentaires de lecteurs]

Par Jacques-Marie Moranne et Camille Veyres

Résumé

Une fois déduit l’albédo, la Terre reçoit du soleil un rayonnement très insuffisant (en application de la Loi de Stefan Boltzmann) pour justifier sa température moyenne de 15 °C : la Lune, à la même distance du soleil que la Terre, a une température moyenne de l’ordre de –80 °C ; et la surface du sol, là où se joue finalement notre climat, n’en reçoit elle-même ensuite que les 2/3, l’atmosphère prélevant sa part au passage.

Dans l’autre sens, pour maintenir son équilibre énergétique et thermique, la Terre doit restituer au cosmos l’énergie qu’elle reçoit en permanence du Soleil ; et elle ne peut échanger avec le cosmos que par rayonnement.

Du fait de sa température, la surface du sol terrestre rayonne dans une gamme d’ondes (les infrarouges dits « lointains » ou « thermiques ») où l’air, jusqu’à plusieurs milliers de mètres d’altitude, est totalement opacifié par les bandes d’absorption du CO2 et surtout de la vapeur d’eau, à l’exception d’une étroite bande de fréquences qu’on appelle « Fenêtre atmosphérique ».

Cette opacité empêche la surface de la Terre de restituer par rayonnement toute l’énergie qu’elle reçoit, et il se crée donc un déséquilibre radiatif : la surface de la Terre reçoit plus qu’elle ne peut renvoyer, et donc s’échauffe.

Depuis la surface, l’évacuation de cette chaleur emprunte alors plusieurs voies :

  • la « Fenêtre Atmosphérique » permet d’en évacuer une petite partie par rayonnement direct depuis la surface du sol et des océans au cosmos.
  • Mais l’essentiel est emporté par l’évaporation des océans et l’évapo-transpiration des plantes et des sols, qui, comme au moyen d’un caloduc qui by-passerait la couche opaque, transfère, par convection, une énergie considérable (chaleur latente de vaporisation/condensation) de la surface du sol au sommet des nuages où elle est récupérée par condensation, et s’évacue alors par rayonnement (la vapeur d’eau, raréfiée, n’y faisant plus obstacle). Plus il fait chaud, plus ce caloduc débite : c’est le principal régulateur du climat.
  • Une partie importante de l’air chaud terrestre est également remontée par la convection naturelle, jusqu’au-dessus des nuages, où elle peut également rayonner.
  • Le solde du rayonnement, dans la bande d’absorption du CO2, n’est libéré pour l’essentiel que dans la stratosphère, où le CO2 est suffisamment raréfié pour ne plus y faire obstacle : du fait de l’étroitesse de cette bande, et de l’altitude (et donc de la température) où il se déploie, sa part est très faible.

La température de la surface du sol se stabilise lorsqu’elle est suffisante pour que l’évaporation (évacuation de chaleur latente) et la convection (évacuation de chaleur sensible) compensent son déséquilibre radiatif : cette température « moyenne » se situant alors aux environs de 15 °C.

Ceci démontre au passage le rôle régulateur (et non pas amplificateur) de l’évaporation (et donc de la vapeur d’eau), sans lequel le réchauffement, du fait du déséquilibre radiatif, serait insupportable.

Les facteurs d’équilibre avec les océans et la végétation rendent peu probable ou lointain un doublement de la concentration atmosphérique en CO2 ; mais si un tel doublement devait néanmoins intervenir, il aurait un impact mineur sur la bande d’absorption du CO2, déjà saturée et très étroite, et sur l’élévation de température qu’il pourrait causer ; et cet impact serait largement contrebalancé par une augmentation de débit du caloduc de la vapeur d’eau : au total, l’élévation de température ne pourrait pas dépasser 0,65 °C.

Il faut donc chercher ailleurs les causes du réchauffement climatique actuel, d’autant que les dernières observations semblent plutôt incriminer l’insolation, via, sans doute, une diminution de l’albédo, dont on ne connaît pas les raisons de façon sûre.

Par ailleurs, le climat suit des cycles, qui sont eux-mêmes assez mal connus, mais dont l’amplitude peut être plus importante que l’augmentation que nous subissons.

Enfin, il ne faut pas oublier que le climat est chaotique, et que faire des simulations précises du climat à tel endroit dans 50 ans ou plus relève du doigt mouillé.

Télécharger le livre :

https://laphysiqueduclimat.fr/wp-content/uploads/2024/01/Physique-du-climat_H_A4.pdf

Annexes

Quelques rappels
A1. Air et atmosphère
A2. Les climats
A3. Insolation et stockage de chaleur
A4. Climat, moyennes, et moyennes de moyennes
A5. Rayonnement
A6. Absorption et émission de l’IR thermique par la vapeur d’eau et le CO2
A7. Océans, vapeur d’eau, dioxyde de carbone
A8. Régulation locale et systèmes convectifs, régulation globale et albédo

Fiches Thématiques

Le rétro-rayonnement
La rétroaction de la vapeur d’eau
Les Faits

[Voir aussi :
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée]




Les vrais tueurs du climat

[Source : Kla.tv]

La petite Greta reçoit une petite leçon particulière de la part du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek… En effet, les mêmes personnes qui nous imposent des filtres à particules de plus en plus chers pour « sauver notre santé et le climat » et qui privent les agriculteurs de leurs vaches parce qu’elles pètent trop envoient chaque année des dizaines de milliers de millions de tonnes de poussières fines de charbon dans notre air. Sans oublier des milliers de millions de tonnes de particules d’aluminium et toutes sortes d’autres nanococktails hautement toxiques. Parallèlement, les mêmes personnes ont déjà abusé de notre ionosphère en 2010 avec 180 installations militaires HAARP pour déclencher divers tremblements de terre, sécheresses, tempêtes, inondations, etc. Alors que Wikipédia & compagnie s’obstinent à nier ces faits, les brevets de géo-ingénierie admettent ouvertement que les installations HAARP, associées à des millions de tonnes de cocktails de nanoparticules, peuvent même déclencher des tsunamis et endommager n’importe quel climat.

Par Ivo Sasek

J’ai aujourd’hui un avertissement important à adresser à tous les lanceurs d’alerte indépendants en ce qui concerne le changement climatique d’origine humaine.

Il y a peu de temps encore, je ne comprenais pas comment la moitié du monde pouvait s’intéresser aux divagations sur le climat d’une Greta Thunberg, alors qu’il était évident que pour cette enfant cette nouvelle religion du climat ne pouvait pas venir de sa propre tête ou de son esprit. N’importe qui sous ce ciel devrait immédiatement comprendre qu’il s’agit simplement d’une pauvre fille malade qui est abusée et instrumentalisée à ses fins par une élite puissante. Mais ce que j’ai eu encore plus de mal à comprendre jusqu’à présent, c’est que tant d’enfants, d’adolescents et d’adultes, manifestement en bonne santé, se soient laissés instrumentaliser avec cette petite Gretchen abusée. Je pensais qu’au moins ces personnes normales et capables de réfléchir devraient pouvoir comprendre qu’elles sont simplement instrumentalisées par les grands escrocs. En outre, il ne devrait échapper à personne de sensé que ce sont toujours les mêmes abuseurs de pouvoir qui recouvrent constamment notre beau monde de leurs crises financières stratégiquement fomentées, de leurs guerres et de toutes sortes de plandémies et de crises qu’ils ont eux-mêmes créées, nous tyrannisant tous, nous pillant et nous réduisant progressivement à l’esclavage.

Mais ce n’est qu’après avoir tourné avec Kla.TV de nombreux documentaires contre cette nouvelle religion sectaire du climat que la lumière s’est faite. Des documents percutants qui nous ont été transmis m’ont convaincu que nous, de Kla.TV nous nous sommes également laissés instrumentaliser, et ce par les mêmes faiseurs de crises dont nous parlons ici. J’ai soudain compris que ce n’est ni la bêtise ni l’ignorance qui font que les masses se laissent emporter par cette folie climatique. C’est plutôt la ruse diabolique de ceux qui chuchotent des mensonges au sujet du climat et savent exactement comment nous garder tous dans l’ignorance ou nous manœuvrer habilement sur des sujets secondaires où nous pouvons nous frapper mutuellement la tête avec les arguments et contre-arguments les plus vrais.

Je vais maintenant vous expliquer de quelle manière nous aussi, à Kla.TV, nous nous sommes laissés instrumentaliser par ces escrocs du climat — et ce que nous en avons appris. En fait, nous sommes nous aussi tombés dans leur piège. Et comment cela ? Tout simplement en contredisant l’affirmation constante selon laquelle le changement climatique est dû à l’homme, avec des climatologues et des scientifiques de haut niveau. Ceux-ci ont démontré, à l’aide des exemples les plus convaincants, qu’il existe depuis des millénaires un changement climatique naturel, des variations constantes des températures, des vents et des conditions météorologiques, etc. Et cela est et reste correct. Mais plus nous avons pu prouver de manière convaincante que le changement climatique ne peut pas être d’origine humaine, plus nous avons fait le jeu de ces faiseurs de crises climatiques ! Maintenant, tu vas bien sûr demander : Pourquoi donc ? Qu’est-ce qui pourrait être plus utile que de comprendre que nous, les humains, ne pouvons avoir, au mieux, qu’une influence de 0,000 — quelque chose sur le climat ? Cela prouverait clairement que « Gretchen » ne fait que répandre des absurdités… Et vous voyez, c’est précisément ce va-et-vient permanent, cette lutte de pouvoir à ce niveau bien trop bas (pour savoir si le changement climatique est d’origine humaine ou non) qui est le point de vue secondaire absolument voulu sur lequel ces renards malins du climat nous ont manœuvrés. Mais ce qui m’est apparu clairement ces derniers jours, après avoir consulté des brevets de manipulation météorologique de haut niveau, c’est le fait que de nombreux changements actuels de notre temps et de notre « climat » sont tout de même d’origine humaine ! Mais pas par des personnes inconscientes comme toi et moi, c’est-à-dire au niveau le plus bas, mais par des ennemis de l’humanité sans scrupules au niveau le plus haut ! Ni par nos systèmes de chauffage, ni par les gaz d’échappement de nos voitures, ni par nos industries ! Et bien sûr pas par des pets de vache quelconques, auxquels on attribue en plus les trous dans la couche d’ozone. Non, dans d’innombrables brevets qui existent déjà depuis de nombreuses décennies, on peut lire noir sur blanc que par la géo-ingénierie, c’est-à-dire par les techniques de manipulation météorologique les plus diverses, on provoque entre autres des trous dans la couche d’ozone. Mais les brevets de ces armes météorologiques montrent qu’elles provoquent également des tremblements de terre, des inondations, des sécheresses, des tempêtes de neige, des éclairs avec ou sans tonnerre, des vagues de chaleur, du froid, des vents violents et même des tornades. On y trouve même des tsunamis, que personne ne connaissait à l’époque, et tout ce que nous avons dû vivre d’horrible au cours des dernières décennies ! Dans le brevet officiel américain 4686605 qui s’affiche à l’arrière, il est décrit avec précision comment les armes électromagnétiques HAARP extrêmement dangereuses peuvent également générer de la chaleur ou des incendies de forêt ! Vous trouverez en annexe de nombreux autres brevets américains numérotés — je ne peux même pas les lire ici à cause de leur nombre, et encore moins en faire un résumé. En examinant les différents brevets de ce type, j’ai appris que ces brevets coûtent très, très cher et ne sont accordés que si les techniques proposées fonctionnent vraiment. J’ai également constaté que la grande majorité des brevets sur la manipulation du temps sont d’origine militaire. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, dès les années soixante, de nombreux projets de loi ont été élaborés pour que ces armes météorologiques ne puissent pas être utilisées à des fins guerrières. Rien qu’entre 1947 et 1978, 110 programmes de manipulation météorologique ont déjà été approuvés par le Congrès américain. En 1962, LYNDON B. JOHNSON a estimé « Cela permettra aux hommes de déterminer l’histoire mondiale de la Terre et, en fin de compte, de contrôler le temps. Et celui qui contrôlera le temps contrôlera le monde. »

Mais puis j’ai vu tous ces chiffres, combien de millions de tonnes de particules de suie par exemple sont régulièrement injectées dans notre ciel. Dans les années 1970, l’armée de l’air américaine a créé le terme de chemtrails. Lorsque les premiers lanceurs d’alerte indépendants ont eu vent de ce crime secret, la CIA a immédiatement commencé à discréditer ces personnes en les qualifiant de conspirationnistes. C’est ainsi que tous ceux qui avaient dénoncé ces bandes hautement toxiques, et destructrices de la nature, ainsi que l’obscurcissement du ciel ont été rabaissés pendant des décennies de tous côtés comme des fous, avec une préférence pour les nazis et les théoriciens du complot.

En 2008 encore, alors que Werner Altnickel avait présenté des centaines de preuves de l’utilisation de chemtrails en relation avec HAARP et la technologie des micro-ondes lors de la 1re AZK, l’assaut contre lui et tous les témoins de l’époque ne s’est pas seulement poursuivi, il a même pris de l’ampleur. Ce n’est qu’après que des milliers de preuves irréfutables ont été rendues publiques, que non seulement Wikipédia, mais aussi toutes sortes de sites web gouvernementaux et scientifiques ont officiellement admis que la technologie des chemtrails existait depuis des dizaines d’années, mais qu’elle était désormais appelée géo-ingénierie.

Cette soudaine concession générale à l’utilisation du nouveau terme technique n’a donc en aucun cas disculpé, justifié ou même réhabilité la réputation bafouée de ceux qui ont dévoilé les chemtrails. Au contraire, ils ont été d’autant plus acculés dans le coin des conspirationnistes et se sont entêtés à affirmer que la géo-ingénierie ne consistait pas à pulvériser des substances nocives, mais à effectuer des modifications météorologiques utiles pour le bien de l’humanité… Et c’est ainsi qu’a été forgé le narratif selon lequel on ne vise que le bien de l’humanité. Mais ce qui ressort clairement d’un grand nombre de ces brevets démantelés, c’est le contraire : vous trouverez ci-dessous, en annexe du texte de l’émission, de nombreuses sources sur les dommages absolument dévastateurs causés à la santé par la géo-ingénierie. Mais le pire, c’est que ce sont précisément ces interventions colossales et empoisonnantes qui modifient effectivement le temps et le climat. Et bien qu’il n’existe pas de climat mondial, ces épandages de cocktails toxiques, combinés aux hautes fréquences de HAARP, de la 5G, de la 4G, des technologies intelligentes, etc. influencent de manière irréfutable les différents climats régionaux de la Terre.

Ce qui était jusqu’à présent dénoncé comme une amère théorie du complot s’est révélé être une forêt d’environ 1 000 techniques de manipulation météorologique brevetées, utilisées sans pitié depuis des décennies, à l’insu des peuples et sans qu’ils aient leur mot à dire. Certains brevets relatifs à l’influence du temps ont été déposés il y a plus de 100 ans déjà, ont été autorisés et utilisés immédiatement après la Seconde Guerre mondiale. Vous trouverez dans l’annexe du texte de l’émission une liste complète de ces brevets avec les sources et d’autres liens vers des documentations approfondies.

Selon l’expert en géo-ingénierie Dane Wigington, même les cyclones et les ouragans sont manipulés. Les manipulations des cyclones sont effectuées de manière ABSOLUMENT SÛRE. L’armée américaine est engagée dans des programmes de manipulation des ouragans depuis au moins 1947, et ce jusqu’à aujourd’hui. Selon Dane Wigington, l’ingénierie climatique est le facteur causal le plus important en ce qui concerne les incendies de forêt de plus en plus nombreux. Et tandis que dans le monde entier on nous impose des filtres à particules de plus en plus chers, afin d’empêcher que les véhicules diesel, etc. rejettent des particules de suie nocives pour le climat, des géo-ingénieurs comme le Dr David Keith et le Dr Ken Caldeira, insistent sur le fait que chaque année jusqu’à 20 MILLIONS de tonnes de poussière de charbon et de nanoparticules sont pulvérisées dans le ciel mondial.

Vous avez bien compris ? Depuis longtemps, des millions de tonnes de particules de suie et de nombreux produits chimiques mortels sous forme de nanoparticules sont projetés chaque année dans l’atmosphère. D’où les soi-disant pluies acides qui détruisent impitoyablement toute notre végétation depuis des décennies.

Malheureusement, toute explication de ce type manque totalement de crédibilité. Et ce pour la simple raison que les médias complices affirment comme un mantra que toutes ces armes météorologiques et climatiques ne seront jamais utilisées. Au lieu de cela, ils préfèrent accompagner la nuit des terroristes cagoulés qui dégonflent les pneus de milliers de véhicules au nom de la protection du climat. Ils s’entretiennent gentiment avec eux devant les caméras et masquent même leur voix lorsqu’ils répondent et laissent éclater leur colère contre les pollueurs automobiles. Bien que la police soit à la recherche de ces terroristes, les médias mainstream les couvrent délibérément au lieu de les dénoncer. Ne sommes-nous pas complices si nous continuons à verser nos taxes obligatoires à ces criminels du mainstream ? Avec notre argent, ils couvrent manifestement les véritables tueurs du climat et des peuples. Ils le font aussi délibérément en affirmant comme un mantra qu’aucun gouvernement au monde ne porterait atteinte à ses citoyens de manière intentionnelle et, de surcroît, sans s’en rendre compte. C’est le récit qu’on nous martèle. Mais de nombreux documents et faits prouvent malheureusement le contraire. D’une part, il y a toute une série de catastrophes sismiques et environnementales qui ont été découvertes et qui sont dues à l’activation d’armes météorologiques. Dès les années cinquante et soixante, les premiers attentats terroristes de ce type ont dû être ouvertement reconnus. Mais sans aucune retombée positive pour la population mondiale abusée. Ce n’est ici que le début ou une petite pointe de cet iceberg abominable :

Depuis 1945, plus de 2 100 essais de bombes nucléaires ont été détectés et ont certainement contribué à un changement climatique d’origine humaine !

Au total, rien que 520 de ces explosions nucléaires répertoriées dans Wikipédia ont eu une puissance 45 000 fois supérieure à celle de la première bombe atomique sur Hiroshima. En d’autres termes, Hiroshima a été répétée 45 000 fois depuis 1945 par des scientifiques et des bellicistes insensés, rien que dans l’atmosphère et sous l’eau ! — Malheureusement, il manque à ce calcul au moins 1 680 autres explosions nucléaires mises à la lumière, sans compter ce qui est encore caché, de sorte qu’Hiroshima a probablement été répétée plus de 100 000 fois. Vous comprenez de quoi nous parlons ici ? Et pourtant, nos agriculteurs se voient actuellement retirer leurs vaches parce qu’apparemment elles pètent trop, ce qui nuit aux terres, aux prairies et au climat…

En 1952, le projet « Cumulus » a provoqué une méga-inondation catastrophique en Grande-Bretagne, faisant des dizaines de morts.

De 1962-71, le projet « Stormfury » a provoqué des ouragans et les a dirigés de manière ciblée.

De 1967-72, le projet « Popeye » a provoqué de gigantesques précipitations au Vietnam, qui ont délibérément bouché et coupé les voies d’approvisionnement des Vietcongs [Front national pour la libération du Sud-Vietnam ; organisation de guérilla pendant la guerre du Vietnam].

Comme vous pouvez le voir, tout cela remonte à bien plus de 50 ans. Notre génération a déjà été frappée par d’innombrables autres inondations, tsunamis, tremblements de terre et autres. Et pour ce qui est de l’affirmation mensongère de la presse mainstream, selon laquelle aucun gouvernement ne porterait sciemment atteinte à son peuple sans le savoir, je vous renvoie encore une fois à notre documentaire en allemand, USA — Essais toxiques sur sa propre population, du 24 janvier 2024 (www.kla.tv/27988.)

Car en 1994, d’autres expériences à grande échelle sur les peuples ont été dévoilées aux États-Unis. Là, les sujets de test involontaires étaient des citoyens américains, de grandes villes entières. Des avions militaires les ont aspergés de poison de manière ciblée pendant de longues périodes (l’armée voulait voir ce qui allait se passer), car les produits destinés au combat doivent être testés avant d’être utilisés chez « l’ennemi ». Même une école primaire avec des enfants a été aspergée quotidiennement et de manière ciblée de sulfure de zinc et de cadmium pendant trois mois. Les conséquences ont été cruelles. La moitié d’une classe entière en est morte, l’autre moitié a souffert de maladies très graves, de stérilité ou de handicap. Les victimes ont ensuite donné naissance à des enfants gravement handicapés, etc. Le gouvernement a prétendu que les avions n’avaient pulvérisé que des produits chimiques inoffensifs. Mais les mesures ont révélé que du sulfure de zinc et de cadmium, entre autres, était présent. C’est-à-dire précisément ces substances toxiques qui, comme nous l’avons déjà mentionné, sont secrètement pulvérisées depuis des décennies par millions de tonnes au-dessus de presque tous les pays du monde, et ce, chaque année !

Et vous voyez, ces tueurs de climat et ces gigantesques malfaiteurs ont depuis le début rejeté sur nous, les peuples inconscients, la responsabilité de la pollution mondiale des sols et des eaux. Mais comment ? En nous accusant d’utiliser des shampoings et des produits d’entretien nocifs. Mais en même temps, ils pulvérisent continuellement des dizaines de millions de tonnes supplémentaires de cocktails toxiques indicibles sur le monde entier, de sorte qu’aucune région du globe n’est désormais épargnée par ces pollutions. Et à cause de ces pulvérisations, les arbres, les abeilles, les insectes et donc les oiseaux meurent partout. Et toutes nos eaux et tous nos sols sont également fortement empoisonnés par la géo-ingénierie. Dans le brevet américain 9924640, des avions Boeing sont transformés pour transporter des charges de 25 tonnes de nanoparticules sableuses à 18 000 mètres d’altitude. Ces particules restent jusqu’à deux ans dans la haute atmosphère, puis elles se déposent silencieusement sur nos champs, nos jardins, nos forêts, nos lacs, nos rivières et nos prairies !

De plus, l’OTAN, fondée par des francs-maçons de haut grade, vend depuis longtemps environ 90 % de son carburant JP8 à l’aviation civile, c’est-à-dire à presque tous les grands aéroports du monde. Par ce biais, il se produit à nouveau une seule et même chose. Nous ne devons jamais oublier que les responsables cachés de cette campagne mondiale d’épandage veulent sérieusement réduire la population mondiale à 500 millions. C’est ce qu’ils ont fait graver en dix langues sur leurs monuments de 120 tonnes, les fameuses Guide Stones. Ou est-ce un simple hasard si les carburants de l’OTAN qui nous sont vendus contiennent eux aussi comme additifs exactement les mêmes substances hautement dangereuses ? En effet, on a trouvé dans ce carburant militaire des quantités élevées d’aluminium, de baryum, de béryl, de plomb, de cadmium, de chrome, de cobalt, de fer, de cuivre, de molybdène, de sodium, de nickel, de strontium, de titane, de vanadium, de zinc et d’étain, ainsi que les oxydes de ces métaux et d’autres substances toxiques.

Vous voyez, c’est reparti. Portez donc des banderoles dans les rues et les manifestations pour le climat, sur lesquelles on peut lire : Les carburants de l’OTAN dans nos avions sont des tueurs de climat ! Le plomb, le strontium et l’oxyde de fer nous tuent ! L’épandage dans l’atmosphère de 20 millions de tonnes de poussières de charbon par an est un génocide !

Tout ce qui a été dit jusqu’à présent est donc d’origine humaine ! C’est pourquoi nous n’affirmerons plus jamais avec Kla.TV que le changement climatique dénoncé actuellement n’est pas dû à l’homme ! Mais nous allons désormais donner des leçons particulières à tous et toutes les Greta Thunberg du monde en brandissant nos propres banderoles au milieu des manifestations sur le climat ! Et sur ces banderoles, on pourra lire quels sont les hommes qui provoquent toutes ces catastrophes climatiques et avec quels moyens. Nous expliquerons à Greta et à ses jeunes successeurs, QUI sont les véritables pollueurs du climat, et ce devant les caméras de la presse mainstream. Nous brandirons nos banderoles sur lesquelles il sera écrit QUI, par exemple, déverse chaque année dans notre atmosphère 10 millions de tonnes de poussières fines d’aluminium, etc. Et quels sont les effets exacts sur notre santé humaine ! Regardez les listes de maladies en bas de l’émission, ça vous donnera des frissons.

J’invite ici également tous les lanceurs d’alerte indépendants et les experts à faire de même. Nous nous sommes toujours demandé quelle était la meilleure façon d’informer les personnes qui ne l’étaient pas encore. Nous nous sommes alors laissé entraîner dans de petites actions de boîtes aux lettres, où nous avons déposé nos tracts ou autre chose. La plupart du temps, ces actions sont accueillies par des protestations de la population passive, qui ne veut pas entendre ce genre de choses et n’a pas posé de questions à ce sujet. Mais si nous nous rendons tous à ces manifestations, « Fridays for Future », etc., et que nous y brandissons nos banderoles pour dénoncer nommément les coupables de cette crise climatique et réclamer une juste punition pour eux, nous pourrions peut-être détourner la colère de ces masses très intéressées vers les vrais responsables ! Il est urgent d’accuser publiquement les vrais responsables !

Et vous voyez, cela toucherait à nouveau exactement les mêmes malfaiteurs que ceux qui étaient derrière la plandémie de Covid, mais qui étaient également responsables de la plupart des guerres des décennies passées, de même que de celles d’aujourd’hui, mais également de toutes les crises financières délibérément fabriquées, etc. Car ce sont toujours les mêmes élites de la franc-maçonnerie de haut niveau, c’est-à-dire du satanisme, qui attisent toutes ces paniques actuelles et autres. Ce sont toujours les mêmes qui provoquent toutes ces crises mondiales afin d’en tirer d’innommables profits et d’étendre leur pouvoir personnel.

Aidez-nous s’il vous plaît à dévoiler le nom de toutes ces puissances destructrices de la météo et du climat en diffusant assidûment des émissions comme celle-ci parmi les « combattants éveillés du climat » du monde entier. Venez avec nous aux manifestations pour le climat et tendez les banderoles que vous aurez conçues vous-même aux caméras du mainstream.

Non seulement Greta Thunberg et la jeunesse fanatisée avec elle, mais aussi tous les gens inquiets de ce monde doivent savoir qui injecte exactement combien de millions de tonnes de quel poison mortel dans l’atmosphère, pour ensuite nous faire porter la responsabilité de toutes ces destructions environnementales, à nous, les citoyens du monde bernés.

Ce qui est encore plus grave, c’est que ces mêmes conspirateurs mondiaux nous arnaquent également avec toutes sortes de taxes et d’amendes pour le climat. Les objectifs climatiques proclamés au niveau international, associés à l’Agenda 2030, nous révèlent que leur folie climatique, en particulier, conduira au prélèvement des plus grands tributs de tous les temps, si nous n’arrêtons pas ces fous ! Car grâce à cette attitude de base qui nous accuse tous, ces génocidaires se cachent habilement derrière nous. Tout ce qu’ils font eux-mêmes, ils nous le mettent sur le dos — c’est leur stratégie ancestrale — une stratégie du diable en l’espèce, soit dit en passant. N’oubliez jamais que tous ces crimes sont imprescriptibles. Et parce qu’ils couvrent et embellissent tout par le biais de leurs médias mainstream et qu’ils censurent de plus en plus toute divulgation par le biais de leurs plateformes Internet, tous leurs vassaux doivent également être désarmés et mis sous les verrous en tant que complices.

Sur nos banderoles, que nous brandirons à l’avenir aux manifs de Greta et Cie, il doit être possible de voir d’un seul coup d’œil combien d’installations HAARP existent dans le monde et QUI utilise précisément ces armes météorologiques pour faire bouillir notre ionosphère afin de déclencher ici-bas des cataclysmes de tout genre. La population mondiale doit dénoncer ces tueurs de masse et les mettre derrière les barreaux, sans aucune alternative. Mais si, malgré toutes ces révélations, aucune justice ne s’engage pour la population mondiale lésée, pas même une quelconque justice restante, ils contraindront les peuples devenus sans défense à se choisir de nouveaux gardiens et juges, qui seront là pour défendre la vie des peuples. Oui, alors la Justice se sera disqualifiée elle-même par son refus de servir et elle sera obligée obligé le monde à créer et à habiliter également de nouveaux tribunaux gratuits, car : Le Nouveau Monde est sans argent !

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

Sources/Liens :




L’argent, Lucifer, le Vatican, et tutti quanti

[Source : margueriterothe.substack.com via guyboulianne.info]

[Illustration : DAVOS/SUISSE, JAN 1992 — Le Premier ministre Li Peng de la République populaire de Chine rencontre le cardinal Carlo Maria Martini, archevêque de Milan, sous le regard de Klaus Schwab, lors de la réunion annuelle du Forum économique mondial à Davos en 1992. Source]

Par Marguerite Rothe

Partie 1

Au fait, saviez-vous que le « pape » François n’est plus vicaire du Christ ?

Et donc, s’il n’est plus « vicaire du Christ », de qui le pape François est-il vicaire ?

Le diable est dans les détails, dit-on. Cette formule peut venir à l’esprit quand on apprend, dans La Croix, sous le titre « Le pape est-il toujours “vicaire de Jésus-Christ ?”, que l’édition 2020 de l’Annuaire pontifical […] Dans l’article réservé au pape, apparemment avec son accord, la mention de “vicaire de Jésus-Christ”, qui ouvre habituellement la liste des titres pontificaux, a été reléguée dans une note de bas de page regroupant ses autres titres traditionnels.

Certains y voient un geste d’humilité, dont le pape semble friand. Non content de vouloir se faire appeler “François”, ses premiers mots, après son élection, marquèrent par leur simplicité : “Bonne nuit et bon repos !” dit-il à l’assistance, oubliant qu’un excès de simplicité peut devenir affectation. »

Source

C’est que le Vatican est désormais le repaire de Lucifer

Il faut cesser de s’aveugler : l’Église de Jésus-Christ a été « piratée », elle est désormais le repaire de Satan. Ne croyez pas que j’exagère, car toutes les actions de cet affreux bonhomme le prouvent ; la bénédiction des homosexuels étant la dernière en date. Et pour justifier sa décision, sûrement adepte lui aussi du « en même temps », il précise qu’il « écarte toute parenté de cette cérémonie avec le mariage. » Sans déconner ?

Après la mise à la poubelle de la morale et l’observance des bonnes mœurs, François est passé aux choses sérieuses. Transgenres et autres pauvres hères sans repères n’étant que de la gnognotte mondialiste pour gogos désœuvrés ; de ceux qui n’aiment rien tant que se gaver de télé-poubelle à longueur de temps. Non, l’important, la véritable mission du jésuite, consistait à finaliser l’appropriation du Vatican par Mammon. Voilà, c’est dit. Parce que dans un monde qui n’est plus régi que par l’argent et le mensonge, il faut pouvoir nommer les choses par leur nom pour savoir où l’on met les pieds. De plus, il ne faut pas tarder pour le dire. Pendant qu’on y voit encore à peu près clair, parce qu’avec le déploiement massif de l’I.A., ça va devenir de plus en plus compliqué d’exposer les attaques sataniques.

Remarquez comment Reuter a catégorisé cette information :
« Sustainable business » (Entreprise durable), il faut avouer que ça ne manque pas de sel.

« Le pape François a annoncé que le Vatican conclurait une “alliance mondiale” avec les grandes banques mondiales, les entreprises internationales et les fondations mondialistes pour créer un conseil économique visant à redistribuer la richesse à travers le monde.

L’initiative mondialiste, appelée “Le Conseil pour le capitalisme inclusif avec le Vatican(The Council for Inclusive Capitalism with the Vatican), se présente comme une organisation pro-capitaliste qui vise à créer “des économies et des sociétés plus fortes, plus justes et plus collaboratives”. Le groupe d’élite, qui s’appelle pompeusement “Les Gardiens” (The Guardians), se qualifie lui-même de “collaboration historique de PDG et de dirigeants mondiaux travaillant avec la direction morale du pape François pour exploiter le pouvoir des affaires pour de bon”, indique le site Internet. »

Guy Boulianne (l’article intégral)

Outre l’aspect pécuniaire, pour faire bon poids, le Vatican se pique d’humanité, d’intelligence, en faisant usage du vocabulaire approprié (vous savez, celui qui met en confiance et qui éblouit les plus naïfs) ; avec beaucoup d’ironie, il faut se remémorer les paroles de Jean Yanne dans le film, « Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ».

Le Vatican, un repère d’escrocs

« ROME (AP) — Le pape François a officiellement dépouillé le secrétariat d’État du Vatican de ses actifs financiers et de ses biens immobiliers suite à la gestion bâclée de centaines de millions d’euros de dons et d’investissements qui font maintenant l’objet d’une enquête de corruption.

François a signé une nouvelle loi ce week-end ordonnant au secrétariat d’État d’achever le transfert de tous ses avoirs vers un autre bureau du Vatican d’ici le 4 février. La loi prévoit également que toutes les donations au pape — les collections de Pence Pierre, des fidèles ainsi que d’autres donations qui avaient été gérées par le secrétariat d’État — soient détenues et gérées par le bureau de la trésorerie du Vatican en tant que fonds séparés qui sont comptabilisés dans le budget consolidé du Saint-Siège.
Ces changements sont une réponse à une enquête criminelle du Vatican en plein essor, qui fait suite à des allégations de mauvaise gestion des dons et des investissements par le secrétariat d’État du Vatican depuis des années et qui a entraîné des pertes de plusieurs dizaines de millions d’euros en période de crise financière pour le Saint-Siège. »

L’article intégral sur ce lien.

Ça se passe de commentaires.

Le Vatican et la « modernité »

Ces deux extraits, tirés de l’article (dont je vous recommande la lecture) de la journaliste Liliane Held-Khawam, illustre parfaitement mes propos :

Humanité 2.0 : le Vatican accueille des experts pour discuter de la tendresse — 25 avril 2018

CITÉ DU VATICAN — Près de 100 financiers, philanthropes, artistes, experts en technologie, médecins, politiciens et chefs religieux ont passé plus d’une heure dans une salle de réunion du Vatican à parler de tendresse. Un projet appelé « Humanité 2.0 », soutenu par le Dicastère du Vatican pour la promotion du développement humain intégral […] Au cours de la réunion, les discussions sont passées du concept de tendresse à la manière dont la tendresse devient action et à une discussion en plusieurs sessions sur l’état préoccupant des soins médicaux maternels et prénatals et les moyens d’y remédier.

« Des mères en meilleure santé sont un investissement dans la santé et le bien-être de nos communautés et de notre monde », a déclaré Marie-Louise Coleiro, présidente de Malte, au rassemblement. Elle a particulièrement mis au défi les participants à Humanity 2.0 de réfléchir à des moyens concrets d’améliorer les soins holistiques — médicaux, psychologiques et spirituels — pour les femmes enceintes et les nouvelles mères migrantes ou réfugiées. « Le défi est de traduire notre amour pour l’humanité en un véritable service à nos frères et sœurs », a déclaré le père jésuite Michael Czerny, sous-secrétaire du bureau du Vatican pour les migrants et les réfugiés. « Nous ne pouvons pas prétendre avoir ou promouvoir le “développement humain intégral” si nous laissons certaines personnes de côté. »

Et donc, c’est en incitant les femmes à se faire injecter des mixtures expérimentales qu’elles seront protégées ? Ah, mais attendez ! Ici, il n’est question que de mères « migrantes » ou « réfugiées », nous explique le jésuite. Serait-il question de stérilisation ? Probablement, mais tout cela est empaqueté d’« amour », d’« humanité », de « frères », de « sœurs »… Bla-bla-bla. Quand les loups parlent « mouton ».

Puis, après nous avoir entretenus d’ » humanité », l’accent est mis sur l’intelligence :

Une réunion au Vatican explore le défi de l’intelligence artificielle — 2021

Le thème de la rencontre est « Le défi de l’intelligence artificielle pour la société humaine et l’idée de la personne humaine ». L’objectif de la réunion est de promouvoir une meilleure prise de conscience de l’impact culturel profond que l’IA est susceptible d’avoir sur la société humaine. Le symposium réunira six experts des domaines des neurosciences, de la philosophie, de la théologie catholique, du droit des droits de l’homme, de l’éthique et de l’électrotechnique.

« Des experts de l’Allen Institute for Brain Science, de l’Université Goethe, du Boston College et de Google discuteront des questions concernant l’IA et si elle peut reproduire la conscience, l’IA et les défis philosophiques, et l’IA et la religion, et ce que cela signifierait par rapport à la doctrine catholique. » (c’est moi qui souligne)

Source

Ils ont besoin d’« experts », pour comprendre que ce qu’ils appellent « Intelligence artificielle » est tout, sauf de l’intelligence ? Est-il nécessaire de rappeler que l’intelligence est une spécificité du vivant ? On frôle l’hérésie, là.

Le Vatican et l’« art » (dégénéré) contemporain

« L’antique petite ville italienne de Gallarate, 51 000 habitants, située dans la région lombarde, sans histoire, sort pour quelques heures de son anonymat. Grâce, ou à cause serait plus juste, du nouvel autel de sa basilique de Sainte Marie de l’Assomption, édifice remontant au IXe siècle, agrandi au XIV et XVe siècles, remanié au XIXe.

Mgr Mario Delpini, archevêque de Milan, est venu en personne consacrer ce monument, étalant une morbidité de mauvais goût en ce lieu sacré : il est composé de sculptures de têtes décapitées, de la Madonne de la Piéta de Michel-Ange à celle de l’empereur Adrien, de têtes de la sculpture classique, du Bernin, du Borromini, jusqu’à des caboches contemporaines… Cet autel réalisé par un artiste italien en vogue Claudio Parmiggiani, — qui aime parsemer ses créations des têtes coupées —, rappelle un des reliefs de la Colonne de Trajan sur lequel sont représentés des légionnaires romains jouant au ballon avec les têtes des barbares. »

Source

La plus grande apostasie

La vidéo qui suit est un extrait tiré du film The Greatest Reset.

À l’initiative de François, a été inaugurée le 16 février 2023 « La Maison de la famille abrahamique ». Le projet global défend une filiation commune du judaïsme, du christianisme et de l’islam avec Abraham. Le Christ y reste l’Innommé. C’est une hérésie. Jésus « est » le christianisme ; ne pas le nommer, c’est faire la preuve que ce projet est l’œuvre du démon.



Notre-Dame de Paris, le cœur de la cathédrale après l’incendie qui s’est déclaré le 15 avril 2019 — Le Maître-autel a été préservé, alors que celui qui était consacré au nouveau rite de l’Église conciliaire a été proprement écrabouillé. Alléluia !

Partie 2

Le « Tutti quanti » étant la franc-maçonnerie, vous savez, la société secrète qui vous explique, le plus sérieusement du monde, qu’elle n’a rien de secret…

La Formation permanente de l’Alta Vendita (Haute Vente) est un document attribué aux Carbonari par leurs adversaires. Ce texte expose un vaste plan d’infiltration et de corruption de l’Église catholique. Ces papiers, tombés entre les mains de Grégoire XVI, ont été publiés à la demande du pape Pie IX par Jacques Crétineau-Joly dans son livre L’Église romaine en face de la Révolution en 1859. Par son approbation, en date du 25 février 1861 adressé à l’auteur, Pie IX garantit l’authenticité de ces prétendus documents, mais il n’a autorisé personne à divulguer les vrais noms des membres de l’Alta Vendita impliqués dans ce texte, dont le pseudonyme est Nubius.

Le plan maçonnique d’infiltration de la hiérarchie de l’Église exposé dans l’« Alta Vendita »
PDF (Français)PDF (Anglais) •
NB – Je n’ai pas rédigé ni corrigé ces documents, que j’ai trouvés tels quels sur Internet.
[Voir la version française ci-dessous :]

Vidéo traduite en 21 langues • Video translated into 21 languages (kla.tv/27840)

L’infiltration maçonnique est-elle responsable de l’apostasie généralisée dans le clergé catholique ?

« 20 octobre 2022 — Quelque chose va très mal au sein de la hiérarchie de l’Église. L’hérésie, le scandale, la corruption et l’apostasie généralisés des bergers — que le Christ a judicieusement condamnés en tant que “loups déguisés en brebis” — sont trop systématiques, et maintenant manifestes, pour être le fruit du simple hasard ou de la faiblesse humaine.

Une planification ingénieuse et une exécution impitoyable et calculée ont conduit la hiérarchie de l’Église à un état tel que les évêques malveillants ne cachent plus leur rejet du dépôt de la foi, leur haine de la morale chrétienne ou leur mépris envers les catholiques croyants et fidèles.

L’agenda pro-LGBT, pro-contraception, pro-avortement, pro-prêtresse de la “Voie synodale” des évêques allemands, le “rite de bénédiction” des évêques flamands pour les couples homosexuels, l’étiquetage dérisoire des catholiques traditionnels par le cardinal Arthur Roche comme étant plus protestants que catholiques, l’élévation par le Pape de nombreux évêques promoteurs des LGBT au Collège cardinalice, la dissimulation de la tristement célèbre affaire McCarrick, le réseau étendu des groupes de pression gay parmi les évêques et dans l’enceinte de Rome, la remise par le Vatican de l’Église clandestine en Chine au Parti communiste chinois (PCC), le soutien et l’adhésion du Saint-Siège à l’accord de Paris sur le climat, fortement pro-avortement, le culte de la Pachamama et la participation aux invocations indigènes des esprits des défunts… la liste est longue.

L’apostasie massive à laquelle nous assistons aujourd’hui dans les rangs des membres les plus élevés de l’Église n’a cependant pas été l’œuvre d’un seul jour ou d’une seule année. »

Source • (L’archive)

L’Église n’est (presque) plus un refuge

« Le 26 mai 2018, le journaliste Marco Tosatti, de La Stampa (Turin, Italie), fit paraître sur son site Internet Stilum Curiae un article signalant que, lorsque le pseudo-Pape François était “archevêque” conciliaire (c.-à-d. ni pape, ni archevêque, ni prêtre) de Buenos Aires (Argentine), il avait dissimulé les actes pédophiles d’un pseudo-prêtre de cette ville. L’article rapportait des informations anciennes et peu connues communiquées à l’époque par le blogue espagnol Público. Peu après, cependant, l’article de Tossati fut retiré du site Stilum Curiae, sans doute sous la pression du Vatican. »

L’article, traduit en français (PDF) • La version originale.
[Voir la version française ci-dessous]

L’attaque du monde de la Banque

Réunis à Londres, le 2 avril 2009, autour de la reine Elizabeth II, les chefs d’État et de gouvernement
des 20 plus grandes puissances du monde ont envisagé de créer un directoire économique mondial.
Liste des participants.

Avant de « fracturer » les coffres du Vatican, le pouvoir de l’argent (de la Banque) s’est d’abord attaqué aux institutions et à leurs dirigeants, plus faciles à corrompre. Dans l’article suivant (extrêmement éclairant), Pierre Hillard fait un bref historique d’un courant idéologique millénaire. Tout détruire, jusqu’aux religions, afin d’établir un « Nouvel ordre mondial », ou, si vous préférez : une « Gouvernance Mondiale. » Un cauchemar totalitaire qui ne dit pas son nom. Cauchemar qui, le temps passant, se profile de plus en plus nettement.

« Avec la ratification du Traité de Lisbonne par les 27 États européens, l’élection d’Herman van Rompuy à la présidence du Conseil européen et de Catherine Ashton comme Haut-représentant de l’Union pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité, le 19 novembre 2009, marque un tournant décisif dans les ambitions mondialistes. L’Union européenne (l’UE) se voit dotée progressivement d’un visage politique et d’un “numéro de téléphone” pour reprendre l’expression d’Henry Kissinger. Certes, de nouveaux réglages — une forme de rodage — s’avèrent nécessaires afin de véritablement asseoir cette union régionale. En effet, des rivalités continuent à perdurer entre le président du Conseil européen, le président de la Commission européenne et la présidence tournante de six mois. Cette situation agace profondément l’administration Obama. Cependant, dotée de la personnalité juridique et d’une complète primauté du droit européen sur le droit national, l’Union européenne peut prétendre (réussir ?) devenir un acteur de la scène internationale. Il serait faux d’affirmer que cette nouvelle vocation se fera dans une complète indépendance par rapport au reste du monde. En fait, les élites européistes soutenues par l’oligarchie financière avancent en liaison et en communion d’esprit avec toutes les autres formes d’unions régionales en cours d’élaboration sur la planète.

En effet, l’Union européenne n’est qu’une composante d’un vaste programme conduisant à l’émergence de blocs continentaux dotés chacun d’une monnaie, d’une citoyenneté, d’un parlement unique, etc. ; l’ensemble de ces blocs étant appelé à constituer une gouvernance mondiale. »

Poursuivre et terminer la lecture ici.

Pierre Hillard

Est docteur en science politique et professeur de relations internationales. Ses recherches portent principalement sur l’instrumentation de l’Union européenne en vue de la constitution d’un bloc euro-atlantique.


Nolite te bastardes carborundorum/Ne laissez pas les salauds vous tyranniser.
Brillante explication de texte de la célèbre phrase
piochée dans La Servante écarlate (The Handmaid’s Tale), l’œuvre de Margaret Atwood.




L’étau se resserre autour des libertés au Québec

[Source : libre-media.com]

Par Jérôme Blanchet-Gravel

[Illustration : page Facebook officielle de l’Assemblée nationale du Québec]

La semaine dernière, nous avons été témoins de trois développements symptomatiques d’une érosion graduelle des droits et libertés au Québec.

Le peu de réactions qu’ils suscitent traduit une léthargie collective particulièrement avancée. Et inquiétante pour les années à venir.

1. La normalisation de l’état d’urgence

Nous avons d’abord appris que le gouvernement du Québec allait se doter de nouveaux « pouvoirs extraordinaires » en cas de catastrophe naturelle, par exemple en cas de feux de forêt, de glissement de terrain ou d’inondations. À cette fin, le ministre de la Sécurité publique, François Bonnardel, a déposé un projet de loi qui permettra à Québec de déclarer un état d’exception « similaire à l’état d’urgence sanitaire ».

Comme le souligne très bien le politologue Jean-François Caron dans ces pages, nous assistons au Canada et plus largement en Occident à la banalisation, et par le fait même, à la normalisation de l’état d’urgence, un outil autrefois réservé à des situations véritablement extrêmes et exceptionnelles.

Des journaux comme La Presse travaillent d’ailleurs à nous faire avaler l’existence de « réfugiés climatiques » au Québec (sommes-nous en Amérique centrale ?), notamment en mettant l’accent sur la détresse psychologique de résidents affectés par ces phénomènes naturels.

La recette est toujours la même : faire craindre le pire à des gens hyper anxieux dans une société marquée par le culte du petit confort, de manière à les faire adhérer au récit dominant. Il s’agit de justifier la restriction progressive de certaines libertés au nom de votre sécurité, ce qui nécessite l’entretien d’un climat de peur.

Les Québécois s’imaginent pour la plupart être définitivement sortis d’une pandémie dont ils s’emploient à nier la signification et les séquelles, mais force est d’admettre que cette période marquée par divers abus conditionne encore leur existence.

2. La tyrannie des ordres professionnels

Nous avons ensuite appris que le Dr Lacroix serait radié deux semaines par le Collège des médecins. Son crime ? Avoir simplement critiqué la gestion de la pandémie par les autorités et questionné la légitimité de l’OMS dans ce dossier planétaire.

La radiation temporaire du Dr Lacroix par le Collège des médecins témoigne d’un retard, voire d’un aveuglement déconcertant par rapport aux nouvelles données disponibles relatives à la gestion de la pandémie (efficacité et sûreté du vaccin, lobbying pharmaceutique, utilité réelle de la distanciation sociale, etc.). Mais plus grave encore, la décision du Collège montre que cette institution est devenue un sinistre lobby sans considération pour le bien commun.

À lire aussi : « Les régimes dictatoriaux sont de plus en plus nombreux »

Plus que jamais au Québec et dans tout le Canada, les ordres professionnels tuent la liberté d’expression pour servir leurs intérêts et ceux de leurs membres, dont le plus grand nombre restent groupés comme des moutons autour de consensus bien-pensants. Le traitement réservé à Jordan B. Peterson par l’Ordre des psychologues de l’Ontario en est aussi un bon exemple.

3. Le judiciaire au service du politique

Enfin, la Cour du Québec a tranché que le couvre-feu était justifié dans le contexte de la Covid-19. La juge Marie-France Beaulieu a reconnu que cette mesure martiale avait violé des droits garantis par la Constitution, mais estime qu’il est raisonnable de les suspendre devant une menace jugée d’envergure pour la santé publique. On comprend — en référence au premier point — que cette menace pourra dorénavant être de nature écologique ou « climatique ».

À l’instar de celle rendue Dr Lacroix, la décision de la Cour fait l’économie de nombreuses révélations récentes sur une pandémie dont la gestion a été bien plus politique que scientifique. Dans ce cas précis, elle fait aussi douter de l’impartialité du système judiciaire, qui a largement répondu positivement aux injonctions de l’exécutif durant toute cette crise, donnant souvent l’impression de lui être soumis.

Heureusement, des jugements comme celui de la Cour fédérale sur l’illégalité de l’état d’urgence à l’hiver 2022 viennent contrebalancer ces décisions, mais la tendance générale est hélas au Canada anglais comme au Québec à un plus grand contrôle de la population. Ils sont nombreux parmi nos compatriotes à refuser de le voir.




Les experts du Forum économique mondial déclarent les potagers des citoyens, responsables du désastre climatique

[Source : lemediaen442.fr]

Par Le Média en 4-4-2

Les jardiniers amateurs sont-ils devenus les Voldemort du changement climatique, semant le chaos avec leurs radis et leurs salades ? À en croire les prétendus « experts » du Forum économique mondial (WEF), ses derniers semblent le penser sérieusement, affirmant que les potagers personnels sont la véritable menace qui pèse sur notre planète. Rien que ça !

[Voir aussi :
Les globalistes utiliseront le contrôle du carbone pour vous empêcher de cultiver votre propre nourriture
et
France — Le gouvernement veut-il interdire l’usage de l’eau de pluie dans les habitations et potagers ?]

Les potagers citoyens, nouveaux coupables du changement climatique ? Selon le WEF, cultiver sa nourriture génère une empreinte carbone alarmante.

Selon une étude récente du WEF, la simple action de faire pousser sa propre nourriture à la maison est apparemment devenue aussi diabolique que d’utiliser l’avion privé de Bill Gates à prix d’EuroMillions pour parcourir des milliers de kilomètres afin de raconter des conneries entourer de connards.

Les chercheurs, financés par le WEF de l’Université du Michigan, ont découvert que les aliments cultivés localement sont les ennemis publics numéro un de l’environnement, surpassant même la notoriété de Monsanto.

Les fanatiques mondialistes du climat, déjà déçus que les arbres ne participent pas aux forums internationaux, appellent maintenant les gouvernements à interdire aux citoyens de cultiver leur propre nourriture. Apparemment, il est temps de dire adieu à vos modestes plants de basilic sur le balcon et aux trois salades de mamie Simone, car ils sont désormais responsables de la fonte des glaces, des ouragans et des tsunamis.

Selon l’étude, les citoyens bien intentionnés et leurs petits jardins génèrent presque cinq fois plus d’empreinte carbone que les fermes traditionnelles. Oui, vous avez bien entendu, vos fraises maison sont maintenant des agents du réchauffement climatique, c’est comme planter des piles dans votre jardin.

Jake Hawes, le brillant esprit derrière cette découverte — qui a touché un peu de pognon au passage —, a expliqué que les coupables principaux étaient les infrastructures utilisées pour cultiver ces légumes subversifs. Apparemment, les plates-bandes surélevées et les cabanes à outils sont devenues des repaires secrets des émissions de carbone, conspirant silencieusement contre notre planète.

L’étude a également mis en garde contre des composts mal gérés et d’autres intrants synthétiques, comme si nos bacs à compost étaient des laboratoires clandestins de destruction environnementale. Faut-il s’attendre à ce que les forces de l’ordre débarquent chez vous pour vérifier la qualité de votre compost ?

En conclusion, chers jardiniers en herbe, il est temps de renoncer à votre rêve de devenir le prochain fermier écoresponsable. Laissez les experts du WEF et leurs calculs hilarants vous guider vers un avenir où les tomates sont cultivées par des professionnels et où les fraises ne sont que des souvenirs lointains d’une époque où vous pouviez avoir votre propre coin de paradis vert. Ou alors, dites-leur d’aller se faire foutre ! C’est vous qui voyez !


Pour équilibrer cette mauvaise nouvelle, un peu d’humour :




Les globalistes utiliseront le contrôle du carbone pour vous empêcher de cultiver votre propre nourriture

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith — Le 2 février 2024 — Source Alt-Market

Au début de l’année 2020, au milieu des confinements Covid, les états bleus dirigés par des gouverneurs gauchistes ont poursuivi les obligations avec un préjudice extrême. Dans les États rouges comme le Montana, après le premier ou le deuxième mois, la plupart d’entre nous ont simplement ignoré les restrictions et ont continué à vivre comme d’habitude. Il était clair que la Covid-19 n’était pas la menace que les autorités fédérales faisaient peser sur lui. Cependant, dans des États comme le Michigan, l’étau s’est resserré de plus en plus sous l’impulsion de dirigeants véreux comme Gretchen Whitmer.

Gretchen Whitmer a profité de l’occasion pour imposer des restrictions étranges au public, notamment en interdisant aux grandes surfaces de vendre des graines et des produits de jardinage à leurs clients. « Si vous n’achetez pas de nourriture, de médicaments ou d’autres produits essentiels, vous ne devriez pas aller au magasin », a déclaré Gretchen Whitmer lors de l’annonce de son décret. La gouverneure gauchiste n’avait rien contre l’achat de billets de loterie et d’alcool, mais pas contre celui d’outils de jardinage et de semences.

Elle n’a jamais donné de raison logique pour expliquer pourquoi elle ciblait les produits de jardinage, mais la plupart des membres de la communauté des survivalistes ont très bien compris de quoi il s’agissait : Il s’agissait d’un bêta-test en vue de restrictions plus importantes en matière d’indépendance alimentaire. Tout au long de l’année 2020, les médias se sont largement répandus en discours attaquant tous ceux qui stockaient des produits de première nécessité en les qualifiant de « thésauriseurs », et maintenant ils s’en prenaient à ceux qui planifiaient à l’avance et essayaient de cultiver leur propre nourriture. L’establishment ne veut PAS que les gens stockent ou produisent des réserves alimentaires personnelles.

Une autre perspective ouvertement discutée par les globalistes était l’idée que les mesures de confinement étaient « utiles », au-delà de l’arrêt de la propagation de la Covid-19 (les mesures de confinement étaient en fait inutiles pour arrêter la propagation de la Covid-19). Ils ont suggéré que ces mesures pourraient être efficaces pour prévenir les émissions mondiales de carbone et sauver le monde du « changement climatique ». L’idée de l’enfermement climatique a commencé à se répandre.

Depuis, les grands médias ont menti sur l’existence de ce programme de confinement climatique, mais il est facile de trouver et de lire des articles et des livres blancs vantant les vertus de l’arrêt de la planète au nom du changement climatique. Les globalistes et leurs défenseurs universitaires voulaient des confinements PERMANENTS, ou des fermetures tournantes tous les deux mois, interrompant la plupart des activités humaines et des déplacements en dehors de la production de base.

J’ai soutenu par le passé que ce que Whitmer faisait dans le Michigan faisait partie de cet agenda — que son interdiction de l’approvisionnement des jardins faisait partie d’un objectif plus large qui n’avait rien à voir avec la sécurité de la santé publique et tout à voir avec le fait d’empêcher les gens de se préparer. Les contrôles Covid n’étaient qu’un précurseur des contrôles sur le carbone.

La semaine dernière, nous en avons eu la confirmation avec une étude de l’université du Michigan qui affirme que les aliments cultivés à la maison produisent cinq fois plus d’émissions de carbone que les méthodes d’agriculture industrielle. En d’autres termes, les jardins privés pourraient être considérés comme une menace pour l’environnement. Le Telegraph et d’autres plateformes commerciales se sont emparés de l’affaire, et je pense qu’il y a de quoi s’inquiéter.

L’étude comprend l’analyse de divers jardins, depuis les parcelles familiales individuelles jusqu’aux parcelles urbaines et communautaires, et affirme que les « infrastructures de jardinage » pour les parcelles individuelles (telles que les plates-bandes surélevées) contribuent à une pollution par le carbone bien plus importante que l’agriculture à grande échelle. L’étude semble ignorer le fait que les plates-formes surélevées sont plus efficaces et permettent de cultiver plus d’aliments dans un espace plus restreint, mais je doute qu’ils se soucient vraiment de prendre ce genre de choses en considération.

Le commun des mortels pourrait s’en étonner et penser que le contraire est vrai : la culture d’aliments à domicile ne serait-elle pas MEILLEURE pour l’environnement ? Ce n’est pas le cas si votre financement repose sur l’idée que l’approvisionnement indépendant en nourriture est mauvais pour la planète. L’étude est financée par un grand nombre de groupes internationaux, dont le programme Horizon de l’Union européenne, dont l’un des objectifs est de créer « 100 villes intelligentes et neutres sur le plan climatique d’ici à 2030 ». Ces 100 villes sont censées servir de modèles phares pour la prise de contrôle de toutes les villes d’ici 2050.

Ces groupes disposent de milliards de dollars et concentrent la majeure partie de cette puissance de feu monétaire sur la recherche (propagande) en matière de changement climatique. Est-ce que je pense que l’étude du Michigan est truquée en faveur d’un résultat prédéterminé ? Probablement. Lorsque ces études sont financées par des intérêts globalistes, leurs résultats semblent toujours favoriser les objectifs globalistes. L’étude elle-même n’affirme pas nécessairement que les gens devraient cesser de jardiner, mais elle pousse l’idée que les contrôles carbone sont nécessaires, même au niveau individuel.

Le rapport du Michigan peut sembler une note de bas de page sans importance. Cependant, comme nous l’avons vu l’année dernière avec une étude de la Commission de sécurité des produits de consommation (CPSC) sur les appareils à gaz naturel, ces petites études obscures sont souvent utilisées pour justifier des interventions gouvernementales à grande échelle dans la vie quotidienne des gens. L’étude de la CPSC a suscité des mois de débats de la part des Démocrates américains, qui ont demandé l’interdiction des appareils à gaz, y compris les cuisinières, parce qu’ils PEUVENT avoir des effets secondaires sur la santé, en particulier chez les enfants (il s’est avéré que l’étude ne reposait sur aucune base concrète pour cette affirmation).

Les gauchistes et les globalistes ne se soucient pas de protéger votre santé ; ils se préoccupent de la manière dont ces études peuvent être utilisées pour semer la peur et accroître ainsi leur pouvoir. En d’autres termes, si l’on peut truquer la science, on peut truquer les lois.

Nous avons vu quelque chose de similaire dans une étude de l’ONU en 2006 qui affirmait que la production de viande contribuait à près de 20 % de toutes les émissions de carbone et était pire pour l’environnement que les transports. L’étude a été révélée en 2010 comme étant « viciée » (frauduleuse), mais pendant des années, les médias et les organisations globalistes ont utilisé ses fausses conclusions comme tremplin pour exiger des limitations et des interdictions de la production de viande au nom de la sauvegarde du climat.

Si vous pensez que la guerre contre l’agriculture qui fait rage actuellement en Europe ne concerne que les exploitations industrielles, détrompez-vous. L’establishment va tenter d’utiliser le mensonge du changement climatique provoqué par l’homme pour dicter TOUTE la production alimentaire, jusqu’à votre modeste jardin. Et ils ne limiteront pas leurs efforts à l’UE ; ils s’en prendront aux exploitations agricoles américaines avec les mêmes restrictions.

C’est là tout l’intérêt des programmes globalistes « net zero » et des villes de 15 minutes : ils reposent sur l’idée que toute activité humaine doit être surveillée et gérée. Ils disent que c’est pour le bien de la planète, mais les systèmes qu’ils veulent mettre en place entre 2030 et 2050 ressemblent à un nouveau féodalisme numérique, une société où les bureaucraties suivent, tracent et micro-gèrent chaque aspect de votre vie. Les élites en profiteront largement sans jamais prouver que les émissions de carbone représentent un danger pour qui que ce soit.

Pourquoi cette focalisation obsessionnelle sur l’alimentation ? Parce que si les gens ont leur propre nourriture, ils seront peut-être plus enclins à se rebeller contre de nouvelles obligations. C’est aussi simple que cela. La finalité est évidente : contrôlez la nourriture et vous contrôlerez le monde. Faites-le au nom de la sauvegarde de la planète et beaucoup de gens vous remercieront même si vous les affamez.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




La civilisation est-elle en train de s’effondrer ?

[Source : epochtimes.fr]

Par Jeffrey A. Tucker

Le week-end dernier, des activistes climatiques sont entrés dans le Musée du Louvre à Paris et ont lancé de la soupe de carottes sur la Joconde de Léonard de Vinci. Si une telle chose s’était produite au Whitney Museum de New York, personne n’aurait remarqué la différence. Mais la Joconde est le tableau le plus vénéré de toute la chrétienté (un mot qu’on n’entend plus !).

Le tableau n’a pas été endommagé, car il se trouve derrière une vitre pare-balles. Il n’en reste pas moins que cet événement a quelque chose d’effrayant.

Bien sûr, on peut mettre cela sur le compte d’activistes climatiques au cerveau endommagé probablement drogués à quelque chose, comme la plupart d’entre eux. L’idéologie prônée par le Forum économique mondial, Harvard et l’Université de Paris fait partie des drogues qu’ils prennent. Ces enfants stupides ne font que mettre en pratique ce qu’on leur enseigne.

Et que leur enseigne-t-on ? Si l’on met de côté le langage alambiqué et les théories complexes des grands traités, le message se résume à une seule chose. La civilisation est corrompue. La beauté est un mensonge. La liberté est une exploitation. Les droits sont des mythes. Toutes les institutions que les gens considèrent comme répondant à leurs besoins sont en fait en train de détruire mère Nature et d’empoisonner tout ce qui existe. Par conséquent, rien de tout cela n’a de valeur. Tout doit disparaître.

Ils sont tellement convaincus de cette vision du monde qu’ils pensent faire de l’activisme efficace et fondé sur des principes en tentant de détruire la peinture la plus appréciée au monde. On pourrait parler de folie, mais il faudrait alors en dire autant d’une grande partie du consensus qui règne parmi les élites mondiales des médias, des gouvernements, des fondations à but non lucratif et des universités. Cette pourriture est dominante parmi eux.

Comment en sommes-nous arrivés là ? Il y a des années, je me suis plongé dans la littérature conservatrice catastrophiste de l’époque, qui annonçait l’arrivée d’attaques fondamentales contre les valeurs de l’Occident. Je les ai tous pris au sérieux, mais seulement intellectuellement. Je n’ai jamais vraiment cru que la menace passerait du monde universitaire au monde réel et finirait par affecter nos vies publiques et privées.

Et pourtant, nous y sommes. J’avais largement sous-estimé le pouvoir des vraies mauvaises idées. Elles ne restent pas dans les salles de classe. Si les enfants qui occupent ces chaises, qui trichent à l’école et prennent des pilules pour faire des nuits blanches, finissent par être embauchés par des institutions prestigieuses du gouvernement et de la finance, ils en viennent à habiter les sommets des institutions les plus puissantes du monde.

Dans ma période de pensée la plus naïve, à l’époque de l’essor de la technologie numérique, je m’étais convaincu que toutes ces menaces n’étaient que du bruit. Nous les surmonterions toutes grâce à une innovation admirable et à la libération de l’énergie créatrice de l’esprit d’entreprise dans l’espace numérique. Dans ce cas, les institutions traditionnelles comme les universités n’ont guère d’importance. C’est l’Ancien Monde, alors que nous étions en train de construire le nouveau.

Cette perspective m’a empêché de voir la pourriture sous nos pieds. Les nouvelles entreprises numériques se sont développées et ont fini par être capturées par l’ennemi. Les médias ont suivi le mouvement. L’État administratif, que personne n’avait élu, s’est emparé de tout et de tous. C’est ainsi qu’une vision néfaste du monde a fini par être imposée au monde. Tout cela semblait se produire pendant que nous dormions.

Des signes avant-coureurs annonçaient que tout cela allait se produire après 2016. Le peuple a élu Donald Trump. Il n’a jamais été mon préféré, comme vous le savez probablement, mais c’est le président que le peuple a élu. Nous sommes censés vivre dans un système où c’est le peuple qui contrôle le gouvernement, et non l’inverse.

Presque immédiatement, il est devenu évident que l’ensemble de « l’Establishment » traiterait sa présidence comme si elle était fausse. Ils ont dit que les Russes l’avaient élu comme par magie. Ils ont dit que c’était un homme mauvais et qu’il ne pouvait donc pas être à la tête de l’État. La presse lui était constamment hostile, jour après jour. L’ensemble de la bureaucratie administrative s’est employée à défier ses moindres ordres.

Il ne s’agissait pas seulement d’une opposition à ses politiques. Il s’agissait d’une opposition à toute une éthique et une philosophie de vie, enracinée dans quelque chose d’authentiquement américain. C’est à ce moment-là que l’ensemble de « l’Establishment » a décidé de faire comme si Donald Trump n’existait pas, ou peut-être de travailler à sa non-existence.

Quelque chose de similaire s’est produit au Royaume-Uni à la même époque. Les électeurs se sont prononcés en faveur de l’abandon de la gouvernance par la Commission européenne et du retour au même groupe d’États autonomes appelé Angleterre, Écosse, Irlande et Pays de Galles. Ils s’en sortiraient très bien. Boris Johnson a été élu Premier ministre avec un mandat : mettre en œuvre le Brexit. L’État profond était déterminé à résister.

Quant à Trump, il est arrivé terriblement mal préparé et naïf. Il croyait que le système fonctionnait encore. Maintenant qu’il était président, c’est lui qui dirigerait. Il a progressivement appris qu’il en était autrement. Il lui a fallu beaucoup de temps pour se rendre compte de l’ampleur de la conspiration qui l’entourait. À la fin de son premier mandat, épuisé par les luttes incessantes, la bureaucratie profonde a trouvé le moyen de le faire tomber et de ruiner sa présidence. Ils l’ont piégé pour qu’il donne des ordres de confinement. La même chose s’est produite au Royaume-Uni.

Les confinements ont fait plus que cela. Ils ont introduit dans le monde entier l’idée que même les violations les plus scandaleuses des droits et libertés traditionnels n’étaient pas interdites. Le monde peut changer en un clin d’œil. Nous pouvons tenter des expériences complètement folles sur l’ensemble de la population humaine. Nous pouvons même faire en sorte que les médias, la technologie, le monde universitaire et la médecine soient d’accord, tout en punissant et en réduisant au silence toute dissidence.

Le but n’était pas de parvenir à quoi que ce soit. Il n’y a jamais eu de finalité. Le but était d’illustrer ce qui était possible. C’était l’imposition globale du choc et de l’effroi. Et cela s’est poursuivi jusqu’à ce que ceux qui étaient perçus comme les vandales, comme Donald Trump et Boris Johnson, soient chassés du pouvoir une fois pour toutes, afin que l’État administratif et son programme malfaisant pour le reste d’entre nous aient les mains libres.

Depuis lors, le monde s’est embrasé avec des guerres, des migrations de masse, d’énormes divisions politiques et un effort frénétique de la part des peuples du monde entier pour retrouver la paix et la sérénité que nous avons tous connues autrefois. Nous connaissons quelques succès, mais ils sont très limités. La raison en est que les responsables en sont venus à considérer les peuples qu’ils gouvernent comme des insurgés, une foule indisciplinée qu’il faut contenir, de peur que leur révolution échoue et que tous leurs efforts ne soient vains.

Ils l’ont souligné dans l’absurde « tribunal kangourou » sur la prétendue « insurrection » du 6 janvier 2021. Des efforts ont été déployés pour empêcher Donald Trump de figurer sur les bulletins de vote, en citant l’article 3 du 14e amendement, rédigé à l’époque pour empêcher les officiers confédérés d’exercer des fonctions, mais qui avait été annulé par le Congrès. Cette même section de l’amendement interdit toute participation politique à quiconque « aide et encourage » une insurrection. Il s’agit probablement d’un autre moyen pour les vrais vandales de salir tous ceux qui veulent les arrêter.

La révolution contre la civilisation prend de nombreuses formes, certaines calmes et apparemment scientifiques, d’autres absurdes et directement destructrices. Ils parlent de la nécessité d’arrêter le changement climatique, mais la véritable cible est votre niveau de vie, même votre capacité à rester au chaud dans votre maison ou à parcourir des distances. Ils parlent de la nécessité d’une agriculture « durable », mais ils s’attaquent en réalité à l’agriculture et à l’élevage traditionnels, et même à votre capacité à vous procurer du bœuf et du porc. Ils parlent de diversité, d’équité et d’inclusion, mais il s’agit en fait d’exclure et de cibler un groupe entier de personnes qui résistent à la grande remise à zéro.

Les élites renâclent devant ce genre de discours, comme s’il était trop extrême et alarmiste. Elles disent que nous devrions nous calmer et nous détendre parce que tout va bien se passer. Et si elles se trompaient ? Et s’il n’y avait pas de retour en arrière possible sur le chemin où les élites sont en train de nous emmener ? Je pose la question parce qu’il n’y a vraiment pas de retour en arrière possible. L’un des piliers de la vie civilisée — même les principes de base comme la liberté et les droits de l’homme — a disparu, et il n’y aura pas de retour possible, pas avant des générations, bien après que nous ayons quitté cette terre.

Ce sont là de grandes réflexions, mais nous vivons une période d’urgence. La tentative de dégradation de la Joconde peut sembler être une farce de bas étage commise par quelques jeunes fous, mais je crains qu’elle ne soit le symbole de bien davantage. Combien de choses de ce genre devrons-nous encore voir avant de réaliser que nous vivons une époque qui pourrait changer le cours de l’histoire ? Soit nous agissons, soit nous regardons tout s’écrouler.




Mensonges et fraudes du GIEC : ses scientifiques parlent

[Source : kla.tv]

Mensonges et fraudes du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat : Les scientifiques du GIEC parlent

Les médias de masse et le GIEC, Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat nous disent sans cesse que plus de 97 % des scientifiques sont convaincus de l’origine humaine du changement climatique. Mais est-ce bien la vérité ? Dans cette émission, d’anciens scientifiques du GIEC prennent la parole et parlent clairement.

Transcription

En juin 2023, la radio bavaroise a rapporté ceci : « Les chercheurs sont d’accord : le changement climatique actuel est causé par l’homme. » Les médias de masse ne cessent de nous répéter que plus de 97 % des scientifiques sont convaincus de l’origine humaine du changement climatique. Mais est-ce bien la vérité ? Ce prétendu « consensus de 97 % » a déjà été démasqué comme étant faux dans notre émission Kla.tv (www.kla.tv/27453). Comme nous le révélons également dans cette émission, des études critiques et indépendantes montrent même que seuls 0,54 % des scientifiques croient au changement climatique d’origine humaine.

Pourtant, le GIEC, Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, affirme lui aussi dans son rapport publié en 2021 qu’il est « indéniable que l’homme a réchauffé l’atmosphère, les océans et les terres » et que cela a déjà entraîné des « changements étendus et rapides dans l’atmosphère, les océans, la cryosphère et la biosphère. »

Aux yeux d’innombrables scientifiques, ces affirmations sont un pur mensonge. Selon ce rapport, une liste de 46 scientifiques, anciens contributeurs du GIEC, a été publiée, qui critiquent sévèrement le GIEC. En effet, un certain nombre de scientifiques du climat ont déjà pris leurs distances par rapport au GIEC et ont rendu publiques ses méthodes de travail manipulatrices. Les chercheurs critiquent de manière uniforme la manipulation massive des données disponibles. Ce qui ne correspond pas à l’image souhaitée est ignoré, et pour étayer le narratif, on publie même sciemment de fausses affirmations si nécessaire. Certains scientifiques se prêtent donc à ce jeu afin de gagner de la notoriété et des fonds de recherche. Les rapports du GIEC ne sont que des « documents de lobbying » qui servent uniquement un objectif politique : exploiter sans vergogne l’ignorance et la crédulité du public sur la thématique complexe du climat.

Si on examine de plus près l’histoire de la création du GIEC, on peut se douter que les publications de ce dernier contiennent beaucoup d’informations trompeuses et parfois même tas de mensonges. Le GIEC est issu du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE). Maurice Strong a été le père fondateur et le premier directeur de ce programme, qui a ensuite donné naissance au Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat GIEC. L’objectif déclaré de M. Maurice Strong était (je cite) : « Il est de notre responsabilité de faire échouer la civilisation industrialisée. »

On pourrait penser au premier abord que Maurice Strong avait l’environnement à cœur et qu’il voulait donc faire échouer la civilisation industrialisée. Mais le fait qu’il soit passé du Programme des Nations unies pour l’environnement au secteur pétrolier canadien en 1976, peu après son mandat, et qu’il y ait fait carrière, montre bien qu’il n’en est rien. Mais ses liens avec David Rockefeller, Klaus Schwab et le FEM attirent également l’attention. Klaus Schwab dit littéralement : « Dans tout ce qu’il (Maurice Strong) a fait, il a profondément pris en compte la mission du Forum économique mondial […]. C’était un grand visionnaire, toujours en avance sur son temps dans sa réflexion. Il a été mon mentor (mon maître) depuis la création du Forum : […] un conseiller indispensable ; et membre de notre conseil de fondation depuis de nombreuses années. Sans lui, le Forum n’aurait pas atteint son importance actuelle. »

Chers téléspectateurs, il est extrêmement préoccupant que le GIEC soit né de la vision d’hommes comme Maurice Strong, qui était extrêmement proche du FEM. Le GIEC n’est-il donc pas nécessairement un instrument suspect pour imposer les objectifs du FEM ? Klaus Schwab et son équipe du FEM considèrent que la solution aux problèmes environnementaux et mondiaux est le démantèlement de la civilisation industrielle et que tous les pouvoirs sont entre les mains d’une coalition de grandes entreprises, bien entendu sans que le peuple ait son mot à dire démocratiquement. Leur vision est celle d’un « Great Reset », avec pour objectif, selon le FEM, que nous ne possédions plus rien en 2030 et que nous soyons malgré tout heureux.

Ci-dessous, quelques citations d’anciens scientifiques contributeurs du GIEC :

« Le GIEC constate qu’“aucune accélération significative de l’élévation du niveau de la mer n’a été observée au cours du 20e siècle”. Cela n’est pas apparu dans le résumé du GIEC destiné aux décideurs politiques. »

Dr Robert Balling

« Le public sait à peine que la plupart des scientifiques participant au GIEC ne sont pas d’accord avec l’idée d’un réchauffement climatique. Ses conclusions n’ont cessé d’être mal présentées et/ou politisées à chaque nouveau rapport. »

Dr John Christy

« Je ne vais pas me contenter de bavarder à tort et à travers et de soutenir le GIEC parce que je n’ai pas confiance dans le processus. »

Dr Judith Curry

« Les températures mondiales n’ont pas évolué comme les modèles climatiques modernes l’avaient prédit. Dans le résumé du GIEC destiné aux décideurs politiques, aucune mention n’apparaît des observations de températures par satellite. »

Dr Robert Davis

« En 1996, j’ai été listé par le GIEC comme l’un des quelque 3 000 “scientifiques” qui ont convenu qu’il y avait une influence humaine identifiable sur le climat. Je n’ai pas convenu cela. Il n’y a pas de preuves qui soutiennent l’hypothèse qu’un changement climatique rapide et catastrophique est dû à l’activité humaine. »

Dr Willem de Lange

« Le GIEC a refusé de considérer l’impact du soleil sur le climat terrestre comme un sujet digne d’être étudié. Le GIEC considérait que son rôle se limitait à étudier les causes humaines possibles du changement climatique. »

Dr Eigil Friis-Christensen

« La déclaration [du GIEC] sur le changement climatique est une litanie de mensonges mise en scène. »

Dr Vincent Gray

« Des affirmations telles que “2 500 des plus grands scientifiques du monde s’accordent à dire que l’activité humaine a un impact significatif sur le climat” sont malhonnêtes… Le nombre réel de scientifiques soutenant cette affirmation n’était que de quelques dizaines. »

Dr Mike Hulme

« Ce chiffre [du recul des glaciers annoncé par le GIEC] n’est pas seulement un peu faux, il est largement à côté de la plaque de tous les ordres de grandeur… Il est tellement faux qu’il ne vaut même pas la peine d’en discuter. »

Dr Georg Kaser

« J’ai soigneusement analysé les effets négatifs du changement climatique prévus par le GIEC et j’ai rejeté ces affirmations comme étant exagérées et sans preuves à l’appui. »

Dr Madhav Khandekar

« Le processus du GIEC est davantage poussé par la politique que par la science. Il utilise des résumés pour présenter de manière erronée les déclarations des scientifiques et exploite l’ignorance du public. »

Dr Richard Lindzen

« Certains représentants gouvernementaux qui exercent une influence sur le résumé du GIEC destiné aux décideurs politiques présentent de manière erronée les principaux auteurs ou les contredisent. »

Dr Martin Manning

« Le GIEC est devenu trop politique. De nombreux scientifiques n’ont pas pu résister à l’appel des sirènes pour la gloire, les fonds de recherche et les réunions dans des lieux exotiques qui les attendent s’ils sont prêts à compromettre les principes scientifiques et l’intégrité, pour soutenir la doctrine du réchauffement climatique causé par l’homme. »

Dr Johannes Oerlemans

« Tous mes commentaires ont été ignorés sans être réfutés. À ce stade, j’en ai conclu que les rapports du GIEC étaient en fait des documents de lobbying destinés à susciter certaines actions politiques, et non une évaluation réelle et honnête de la compréhension du système climatique. »

Dr Roger Pielke

« Le modèle de réchauffement global du GIEC n’est pas soutenu par les données scientifiques. »

Dr Tom Segalstad

Sources :

Consensus sur le changement climatique d’origine humaine, GIEC
https://www.br.de/nachrichten/wissen/heutige-klimakrise-und-fruehere-waermephasen-nicht-vergleichbar-faktenfuchs,TeUsmTZ
https://de.wikipedia.org/wiki/Wissenschaftlicher_Konsens_zum_Klimawandel
https://www.sueddeutsche.de/wissen/klimaforschung-klimawandel-mensch-ist-ursache-studie-1.5443664

Fausse affirmation du consensus à 97 %
https://www.spiegel.de/wissenschaft/natur/klimawandel-97-prozent-konsens-bei-klimaforschern-in-der-kritik-a-992213.html

Seuls 0,54 % des scientifiques croient au changement climatique d’origine humaine
www.kla.tv/27453

Les scientifiques critiquent le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat
https://electroverse.info/climate-change-denying-statements-by-former-ipcc-scientists/
https://report24.news/inszenierte-litanei-von-luegen-zahlreiche-klimawissenschaftler-zerlegen-ipcc-berichte/?feed_id=31369 »
https://weltwoche.ch/daily/der-enschengemachte-klimawandel-in-zitaten-eine-inszenierte-litanei-von-luegen/

Maurice Strong
https://www.sei.org/features/maurice-strong-1929-2015/
https://www.telepolis.de/features/UN-Ikone-Maurice-Strong-Zwischen-Umweltpolitik-Oel-Business-und-Weltregierung-7477982.html

Citation de Maurice Strong
https://beruhmte-zitate.de/autoren/maurice-strong/

La carrière de Strong dans le pétrole
https://en.wikipedia.org/wiki/Maurice_Strong

Klaus Schwab à propos de Maurice Strong
https://www.weforum.org/agenda/2015/11/maurice-strong-an-appreciation/

Le FEM veut un gouvernement mondial des grandes entreprises
https://de.wikipedia.org/wiki/Weltwirtschaftsforum

Great Reset
https://www.wochenblick.at/wirtschaft/welt-wirtschafts-forum-sie-werden-2030-nichts-mehr-besitzen/


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La face cachée de la famille Schwab

[Source : reseauinternational.net]

Par CovidHub

Le « Grand Reset » a placé le fondateur du WEF au centre de l’intérêt médiatique. Où il est question d’industrie de guerre en Allemagne, de programmes nucléaires et de contrôle de la population.

Les médias autorisés le dépeignent en philanthrope au service du progrès de l’humanité, tandis que les réseaux sociaux le caricaturent comme le génie du mal sorti tout droit des meilleurs James Bond. Depuis l’annonce de la nécessité d’opérer un « Grand Reset » vers la 4e révolution industrielle, comme unique porte de sortie de la pandémie, le président du Forum économique mondial (ou WEF) est au centre de l’attention. Sa promotion constante d’une gouvernance globale technocratique et transhumaniste, ses phrases chocs telles que « vous ne posséderez rien et vous serez heureux », « la nouvelle révolution technologique ne changera pas le monde, c’est vous qu’elle changera de l’intérieur » ou encore l’annonce prochaine de la « fusion entre l’identité physique, biologique, numérique » des humains par l’insertion de micropuces, n’ont pas laissé indifférent, pour ne pas dire qu’elles ont déchaîné de vives réactions. Si bien que de nombreux internautes s’intéressent désormais au passé de l’industriel allemand et de sa famille.  

Biographies laconiques

En février 2021, dans un article intitulé « Schwab Family values », le journaliste Johnny Vedmore s’est penché sur le passé de la famille Schwab dans l’Allemagne nazie. Cette publication a déchaîné le web et a donné lieu à de multiples commentaires et fact-checkings, et cela dans plusieurs langues.

Que sait-on vraiment de Klaus Schwab ? Les sources officielles sont étonnamment pauvres. À part sa date de naissance, la page du Forum économique mondial ne mentionne rien avant l’obtention de ses premiers diplômes en 1957. La page française de Wikipédia note :

« Les parents de Schwab s’installent en Suisse au début des années 1930. Avec la nomination d’Adolf Hitler comme chancelier du Reich, le père de Schwab est invité à défendre les intérêts de l’industrie suisse en Allemagne. La famille déménage à Ravensburg peu avant le début de la Seconde Guerre mondiale et Klaus Schwab naît le 30 mars 1938 à Ravensburg ».

Elle précise aussi que la famille était « surveillée par la Gestapo » (selon les dires de Schwab), une mention qui fait penser à une prise de distance face au régime nazi.

Mais la version anglaise de la même page amène un autre son de cloche, par une précision importante : « son père a assumé le rôle de directeur chez Escher-Wyss AG, une industrie qui travaillait pour le régime nazi ». Quant à la version allemande de Wikipédia, elle fait l’impasse sur la Gestapo et ajoute que la famille bénéficiait d’un régime de faveur pendant la guerre.

Travailleurs forcés

Un post accusant Eugen Schwab d’avoir été un proche d’Hitler a beaucoup circulé sur le web et alimenté les rubriques des fact-checkers. À gauche, on reconnaît Klaus Schwab, à droite « son père Eugen Schwab, industriel et fasciste, proche de Hitler ». Le message dit aussi que « son père dirigeait la compagnie Escher-Wyss et avait son propre camp de concentration où les prisonniers devaient travailler pour rien ».

Le débunkage de ce fake par l’Agence France Presse est assez intéressant. Il détaille longuement le montage photo pour montrer qu’il ne s’agit pas d’Eugen Schwab, mais d’un ancien militaire nommé Walter Dybilasz, dont on explique le parcours. Tout à la fin de l’article, l’AFP confirme de manière très sommaire le travail forcé dans la fameuse usine de Ravensburg en citant trois sources :

Silke Schoettle, responsable des archives municipales de Ravensburg, qui déclare que :

« Escher-Wyss, comme d’autres entreprises, a eu recours à des travailleurs forcés et étrangers provenant d’un camp nazi ».

Peter Faessler, un historien allemand, pour qui : « les documents de la dénazification ne permettent pas de connaître les opinions politiques de Eugen Schwab ».

Mais qui confirme également que le recours au travail forcé chez Escher-Wyss était certain.

Neils Weise, un historien de Munich, lequel estime que :

« Même si Escher-Wyss a apparemment participé à l’utilisation inhumaine du travail forcé dans l’économie de guerre nazie, cela ne peut certainement pas être attribué à une relation spéciale entre le directeur commercial et Hitler… Eugen Schwab n’avait pas son propre camp de concentration ».

Tout cela n’est pas « rien » et mérite certainement un complément d’enquête.

Comme le relève Johnny Vedmore, Eugen Schwab employait effectivement des travailleurs forcés dans son entreprise. En août 2020, un rapport sur le travail forcé et les crimes de guerre ayant eu lieu dans les usines suisses en Allemagne a été adressé à l’ATS, l’agence nationale de la presse suisse. Il en ressort que la majorité de ces entreprises a utilisé des prisonniers de guerre, et que c’est aussi le cas d’Escher-Wyss, dans ses deux implantations de Ravensburg et Lindau. À Ravensburg, l’archiviste de la ville, Andrea Schmuder, a noté que l’usine avait employé entre 198 et 203 travailleurs civils et prisonniers de guerre. Quant au « petit camp dans l’usine pour les travailleurs prisonniers », il est mentionné par Karl Schweizer, un historien local de Lindau, où la firme avait une seconde implantation.

Escher-Wyss, des armes de guerre au nucléaire

Toujours selon cet article, durant la guerre, Escher-Wyss a des contrats avec la Wehrmacht pour produire différentes pièces et machines utiles à l’effort de guerre. Elle fabrique par exemple des pièces pour les avions de chasse allemands. Mais l’usine est surtout leader dans la technologie des grandes turbines. Celles-ci servent aux barrages hydroélectriques et centrales électriques. Escher-Wyss est chargée de la conception d’une turbine de 14 500 CV pour une usine hydroélectrique d’importance stratégique Norsk Hydro à Vemork en Norvège. Cette usine était la seule entreprise sous contrôle nazi capable de produire de l’eau lourde, un ingrédient essentiel à la fabrication du plutonium pour le programme de la bombe atomique. Les Allemands avaient investi d’énormes ressources dans la production d’eau lourde (aussi appelée deutérium), car ils savaient que l’arme nucléaire pourrait être un élément décisif dans l’issue de la guerre. Leur programme échoua pour diverses raisons, notamment une série d’attaques et de sabotages. En 1942 et 1943, Norsk Hydro fut la cible de raids aériens et plus de 400 bombes furent larguées sur les installations. Par la suite en 1944, des navires allemands tentèrent de ramener de l’eau lourde en Allemagne, mais la résistance norvégienne réussit à les couler.

Salle des machines d’Escher-Wyss à Zurich

Une information dont on parle moins sur les réseaux est le fait qu’après la guerre, et même après l’arrivée de Klaus Schwab à la direction de la firme, Sulzer Escher-Wyss a été impliquée dans la fabrication et l’installation de la technologie nucléaire, y compris dans le domaine des armes. En 1967, l’Afrique du Sud avait construit le SAFARI-2, un réacteur modéré à l’eau lourde (la même technologie qu’à l’époque nazie) dans le cadre d’un projet de production de plutonium à Pélindaba. Les Suisses et les Sud-Africains ont entretenu des relations étroites durant cette période de l’histoire, où il n’était guère facile pour le régime brutal de l’apartheid de trouver des alliés proches. Ces informations proviennent d’un rapport sur « les relations entre la Suisse et l’Afrique du Sud 1948-1994 — Rapport final du PFN 42+ » mandaté par le Conseil fédéral suisse et dirigé par l’historien Georg Kreis, professeur émérite à l’université de Bâle. Dans le volet consacré à l’exploration des relations militaires entre les deux pays, l’historien Peter Hug a rapporté comment Sulzer AG a livré des composants essentiels à l’enrichissement de l’uranium sud-africain servant à la fabrication des six bombes atomiques produites par l’Afrique du Sud. Il affirme également que :

En 1977, la société Gebrüder Sulzer AG a clairement indiqué qu’elle fournirait une technologie hautement sensible au programme sud-africain d’enrichissement de l’uranium et a « expressément » rejeté « tout jugement politique ». Comme il s’agissait d’un « marché de trois chiffres en millions de francs », Sulzer aurait été prête à « aller jusqu’au bout de ses possibilités juridiques ».

À cette époque, le Conseil de sécurité des Nations unies avait adopté la résolution 418 qui imposait un embargo obligatoire sur les armes à destination de l’Afrique du Sud, embargo qui ne serait pas entièrement levé avant 1994.

À la lecture du rapport Peter Hug, le président de la commission d’enquête Georg Kreis a pointé le fait que ces agissements avaient probablement bénéficié d’un certain laisser-faire de la part des autorités :

« Le fait que les autorités aient adopté une attitude de laisser-faire même après mai 1978 apparaît dans un échange de lettres entre le Mouvement Anti-Apartheid et la DFMA en octobre/décembre 1978. Comme l’explique l’étude de Hug, le Mouvement anti-apartheid de Suisse s’est appuyé sur des rapports allemands selon lesquels Sulzer Escher-Wyss et une société appelée BBC avaient fourni des pièces pour l’usine d’enrichissement d’uranium sud-africaine, et sur des crédits répétés à ESCOM, qui comprenaient également des contributions considérables de banques suisses. Ces affirmations ont conduit à se demander si le Conseil fédéral, compte tenu de son soutien fondamental à l’embargo de l’ONU, ne devrait pas inciter la Banque Nationale à ne plus autoriser de crédits pour ESCOM ».

L’ascension d’un technocrate

Au sortir de leur scolarité à Ravensburg, Klaus Schwab et son jeune frère Urs ont tous deux dû suivre les traces de leur grand-père, Gottfried, et de leur père, Eugen, en commençant une formation d’ingénieur en mécanique. Klaus entame un parcours d’études impressionnant où il obtient de nombreux diplômes, tout en se formant également dans l’industrie. De 1957 à 1967, il décroche un doctorat en ingénierie à l’École polytechnique fédérale de Zurich, un doctorat en économie à l’université de Fribourg et une maîtrise en administration publique de la John F. Kennedy School à Harvard, aux États-Unis.

À Harvard, il suit les cours de Henry Kissinger, qui deviendra son mentor et dont il dira plus tard qu’il fait partie des trois ou quatre personnalités qui ont le plus influencé sa pensée.

Henry Kissinger et son ancien élève, Klaus Schwab, accueillent l’ancien
Premier ministre britannique Ted Heath lors de la réunion annuelle
du WEF en 1980. Source : Forum économique mondial

En 1969, la firme suisse Sulzer achète 53 % des parts de la société Escher-Wyss qui devient officiellement Sulzer AG. La même année, au retour de Harvard, Klaus Schwab fait son entrée officielle dans le monde des affaires en prenant la tête de la nouvelle société. Il contribue à en faire une entreprise qui ne se réduit pas à être un géant de la construction de machines, mais qui investit dans des nouvelles technologies, notamment dans le domaine médical.

Schwab introduit aussi un nouveau style de management pour inciter « tous les employés à accepter les impératifs de la motivation et d’assurer chez eux un sens de la flexibilité et de la manœuvrabilité » et s’empresse de le diffuser dans le milieu de l’industrie. Avec l’aide de la presse suisse, il organise une « Journée de presse sur l’industrie mécanique », pour présenter les nouveaux modèles de gestion d’entreprise. Au cours de cet événement, il déclare que les entreprises qui fonctionnent sur des modèles autoritaires sont incapables d’activer pleinement leur « capital humain ». Cette notion de capital humain sera centrale à l’approche du « capitalisme des parties prenantes » (ou stakeholder capitalism), une notion selon laquelle la finalité de l’entreprise dépasse le seul bénéfice de ses actionnaires, mais doit se concevoir avec l’ensemble des acteurs du contrat social. Schwab en tire un ouvrage qui sera le fondement de la philosophie du Forum de Davos et de sa 4e révolution industrielle.

La fondation du Forum économique mondial

En 1970, le jeune Klaus Schwab écrit à la Commission européenne pour lui demander de l’aider à créer un « groupe de réflexion non commercial pour les chefs d’entreprise européens ». La Commission européenne sponsorise l’événement et envoie le français Raymond Barre comme « mentor intellectuel » du forum. Raymond Barre, qui était à l’époque commissaire européen aux affaires économiques et financières, devient par la suite Premier ministre français (note : Barre fut accusé de tenir des propos antisémites pendant son mandat).

En 1971, la première réunion du Forum économique mondial — alors appelée « European Management Symposium » — a donc lieu à Davos, en Suisse. 444 participants de 31 pays prennent part à ce premier symposium européen sur le management, principalement des dirigeants d’entreprises européennes, des politiciens et des universitaires américains. Otto von Habsburg, fils aîné de Karl Wilhelm, dernier empereur d’Autriche et roi de Hongrie, héritier en titre du quatrième Reich, y prononce le discours d’ouverture.

Bien qu’il ait toujours été présenté comme une initiative spontanée de Schwab, ce premier symposium européen n’était peut-être un projet si spontané ni original qu’on ne l’affirme. Il semble que l’influence d’Henry Kissinger et de John Kenneth Galbraith, les principaux économistes et conseillers du gouvernement américain de l’époque, y ait été pour beaucoup.

Dès les années 50, le séminaire international dirigé par Henry Kissinger servait de source de renseignement et d’influence à la politique étrangère des Américains à travers une collaboration et des financements de la CIA et du FBI. Au cours de la période qui a suivi la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont créé de manière proactive de nombreux programmes de ce type dans le but de former de jeunes dirigeants étrangers potentiels et de les installer à des postes de pouvoir, au sortir de diverses révolutions, souvent provoquées par leurs services. La raison principale de la création de ces programmes était ostensiblement de combattre et d’empêcher l’infiltration communiste dans les États étrangers, tout en s’assurant que les futurs dirigeants mondiaux seraient favorables aux intérêts américains. L’autre raison était une capture des ressources étrangères, pétrole et autres minerais devant assurer la subsistance et la prospérité des États-Unis.

Henry Kissinger est resté l’éminence grise de Davos jusqu’à sa fin

Technocratie et vision malthusienne

En parallèle au séminaire de Kissinger, l’autre forum influent qui a suscité la création du symposium de Klaus Schwab est le Club de Rome. Il s’agit d’un groupe de réflexion de l’élite financière et intellectuelle qui reflète le Forum économique mondial à bien des égards, notamment dans sa promotion d’un modèle de gouvernance mondiale dirigé par une élite technocratique. Le Club avait été fondé en 1968 par l’industriel italien Aurelio Peccei et le chimiste écossais Alexander King, lors d’une réunion privée dans une résidence appartenant à la famille Rockefeller à Bellagio, en Italie.

« The Limits to Growth » (Les limites de la croissance), un livre publié en 1972, en résumait la philosophie. Il traitait essentiellement de la notion de surpopulation mondiale et avertissait que « si les modes de consommation et la croissance démographique du monde se poursuivaient au même rythme, la terre atteindrait ses limites d’ici un siècle ». Ce fut le sujet principal de la troisième réunion du Forum économique mondial en 1973, au cours de laquelle Peccei y défendit ses arguments. La même année, le Club de Rome publia aussi un rapport proposant un modèle « adaptatif » de gouvernance mondiale qui diviserait le monde en dix régions économiques/politiques interconnectées.

Le Club de Rome a longtemps été controversé pour son obsession à vouloir réduire la population mondiale, que les critiques estiment influencées par l’eugénisme et le néo-malthusianisme. Dans un autre ouvrage du Club de Rome, The First Global Revolution, publié en 1991, il déclara que de telles politiques pourraient obtenir un soutien populaire si les masses étaient capables de les associer à une lutte existentielle contre un ennemi commun.

La première révolution mondiale contient un passage éclairant à ce propos, intitulé « L’ennemi commun de l’humanité est l’Homme » :

« En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres phénomènes de ce genre, feraient l’affaire. Dans leur ensemble et leurs interactions, ces phénomènes constituent effectivement une menace commune qui doit être affrontée tous ensemble. Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège, dont nous avons déjà averti nos lecteurs, à savoir confondre les symptômes avec les causes. Tous ces dangers sont dus à l’intervention de l’homme dans les processus naturels, et ce n’est qu’en changeant d’attitude et de comportement qu’on peut les surmonter. Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même ».

Dans les années qui ont suivi, l’élite commune à ces forums a fréquemment soutenu que les méthodes de contrôle de la population sont également essentielles pour protéger l’environnement (on pense aux discours d’Al Gore ou de Bill Gates innovating to zero). Il n’est donc pas surprenant que le Forum économique mondial utilise aujourd’hui de la même manière les questions du climat et de l’environnement pour faire valoir la nécessité de politiques autrement impopulaires, comme celles du Grand Reset.

Aurelio Peccei a également promu
ses thèses à la 3e assemblée du WWF

Cette vision malthusienne était aussi largement partagée par Henry Kissinger, le mentor de Schwab. En 1974, en tant que conseiller à la sécurité nationale du président Nixon, il supervise la rédaction d’un mémo surnommé « le Kissinger report », qui a fait du contrôle de la population une arme de « guerre froide ». L’argument majeur qu’il développe est que la sécurité nationale des États-Unis dépend du contrôle démographique des populations et que cela nécessite la promotion de l’avortement, de la stérilisation et de la contraception dans le monde entier.

Fruit d’une collaboration entre la NSA, la CIA, le département d’État et le Pentagone, Le National Security Study Memorandum 200 (NSSM 200) ou « Rapport Kissinger » a été gardé secret jusqu’en 1989. La croissance rapide de la population mondiale y est présentée comme une menace pour la sécurité des États-Unis, car elle entraînerait une concurrence pour les matières premières nécessaires à l’économie américaine et offrirait à l’Union soviétique et à la Chine la possibilité de promouvoir des révolutions communistes et de recruter des États clients.

C’est ainsi que le contrôle de la population a été pris en compte comme une « arme de guerre froide ». Le résultat immédiat a été une augmentation considérable des dépenses consacrées au contrôle de la population par les États-Unis et leurs alliés, notamment via des programmes d’aide au développement et aux politiques de la santé globale menées avec USAID et l’Organisation mondiale de la santé. Des dizaines de pays dans le monde ont été identifiés comme cibles, en particulier ceux qui étaient considérés comme vulnérables aux insurrections communistes, tels que la Thaïlande et les Philippines, et ceux qui étaient riches en métaux précieux, comme les pays du sud de l’Afrique.

Un continuum idéologique ?

Vera Sharav aux 75 ans de Nuremberg. À 86 ans, cette rescapée des camps
a réalisé une série pour avertir le monde d’un retour totalitaire.

Sortie en 2023, la série « Plus jamais ça, c’est maintenant et mondial » réalisée par Vera Sharav, une ancienne rescapée des camps nazis, montre comment les mesures qui ont été mises en place lors de la montée du nazisme en 1933 sont étonnamment proches des « mesures de lutte » et de sortie de crise mises en place durant et après la pandémie. Ces descendants de la Shoah ont rappelé que les discriminations et le contrôle sans cesse renforcés ont tout d’abord été pris par « peur des maladies », sous prétexte d’hygiène et que l’un des grands leitmotive de la propagande hitlérienne était aussi le « lebensraum », la nécessité pour les Allemands de mener une politique expansionniste basée sur le besoin de ressources et de la supériorité du peuple allemand à les gérer. Cette vision malthusienne, certes poussée à l’extrême par les nazis, a de nombreux points communs avec les politiques qui ont été prônées par le Club de Rome et l’Amérique de Kissinger.

C’est dans ce contexte que l’on peut situer les appels croissants des participants au Forum de Davos à la constitution d’une gouvernance mondiale, cette fois non pas sous le joug d’une nation, mais sous le contrôle des grands acteurs du « stakeholder capitalism », grands fonds d’investissement, grandes corporations et organisations internationales. Klaus Schwab se vante d’avoir infiltré les cabinets politiques de nombreux pays et la plupart des dirigeants actuels sont « formés » à son école de Young Global leaders.

Et pour terminer, il ne faut pas non plus oublier les interventions répétées de Yuval Noah Harari, l’un des principaux représentants de la philosophie transhumaniste, considéré comme l’un des nouveaux maîtres à penser du Forum économique mondial. Entre le surhomme d’hier et l’homme augmenté d’aujourd’hui, le parallèle est évident. Sa vision de l’avenir est celle d’un totalitarisme absolu sur les peuples et les individus par la technologie l’intelligence artificielle. Harari prédit un système plus efficace que les régimes de Staline et d’Hitler, où les êtres humains seront contrôlés jusque dans leurs pensées et jusque « sous la peau ». Elle traduit aussi un parfait mépris pour « les masses de gens inutiles » pour qui la seule issue sera sans doute « la drogue et les jeux vidéo ».

Dans la vidéo « Klaus Schwab est-il l’homme le plus dangereux du monde ? », l’humoriste Russel Brand reprend de nombreux extraits de Klaus Schwab et de Yuval Noah Harari.

Source : Covidhub




Selon une étude américaine, les élites estiment que le peuple est trop libre

[Source : quebecnouvelles.info]

Par J.D. Tuccille (publié le 31 janvier 2024 sur le site du National Post).

Le face-à-face entre le populisme et les élites s’est mondialisé et les suspects habituels s’interrogent sur les causes et les conséquences potentielles de ce phénomène. Au milieu des poncifs sur le ressentiment, la colère et la perte de confiance, que se passerait-il si le cœur du problème résidait dans le fait que la classe dirigeante autoproclamée a des opinions très différentes de celles des personnes qu’elle cherche à gouverner ? Et si, par exemple, l’élite des États-Unis pensait que nous sommes tous trop libres, alors que le public s’irrite des restrictions imposées par le gouvernement ?

C’est ce qui ressort d’un rapport récemment publié par le Committee to Unleash Prosperity, un groupe conservateur représenté par Steve Forbes, célèbre pour son magazine Forbes, et par l’éminent économiste Arthur Laffer, qui a été conseiller dans l’administration Reagan.

Le rapport, intitulé « Them vs. U.S. », s’appuie sur des sondages Rasmussen distincts réalisés en 2023 auprès des électeurs inscrits en général et des personnes ayant au moins un diplôme d’études supérieures, gagnant au moins 150 000 dollars par an et vivant dans des zones densément peuplées (« élites »). Parmi les élites, le rapport distingue un sous-ensemble de personnes ayant fréquenté l’Ivy League ou d’autres universités privées d’élite (« diplômés de l’Ivy League »).

La disparité des opinions entre ces groupes est très éclairante si l’on cherche à comprendre les divisions politiques actuelles aux États-Unis.

Parmi les électeurs inscrits, seuls 16 % estiment qu’il y a « trop de liberté individuelle » aux États-Unis ; 57 % disent qu’il y a « trop de contrôle gouvernemental ». Parmi les élites, 47 % déclarent qu’il y a trop de liberté et 21 % qu’il y a trop de contrôle. Parmi les diplômés de l’Ivy League, 55 % estiment qu’il y a trop de liberté et seulement 15 % qu’il y a trop de contrôle.

Ces chiffres relativisent de nombreux conflits et suggèrent que plusieurs politologues sautent une étape dans leurs analyses de la polarisation politique. Lorsque les sondeurs de Pew Research s’inquiètent de la perte de confiance des Américains dans les scientifiques, les experts en santé publique et les élus, et lorsque les chercheurs de l’UCLA avertissent que le populisme est en hausse en raison de la colère croissante du public et d’autres émotions négatives, ils ne comprennent pas le pourquoi. Pourquoi les Américains sont-ils si en colère et si méfiants à l’égard des experts ?

Il se pourrait bien que des perceptions très différentes du monde poussent des experts prospères et accrédités, qui considèrent la liberté comme un problème, à favoriser des politiques que la plupart des gens jugent beaucoup trop autoritaires.

Par exemple, lorsqu’on leur demande si, pour lutter contre le changement climatique, ils seraient « favorables ou opposés à un rationnement strict du gaz, de la viande et de l’électricité », 77 % des élites sont favorables à cette idée (22 % y sont opposés), de même que 89 % des diplômés de l’Ivy League (10 % y sont opposés). En revanche, seuls 28 % des électeurs inscrits sur les listes électorales sont d’accord avec cette idée (63 % y sont opposés).

Toujours au nom de la lutte contre le changement climatique, entre 53 % et 72 % des élites sont favorables à l’interdiction de certains aspects de la vie courante, tels que les cuisinières à gaz, les voitures à essence, les déplacements non essentiels, les véhicules utilitaires sport et l’air conditionné privé. Entre 68 et 81 % des diplômés de l’Ivy League sont d’accord. Mais pas plus de 25 % des électeurs inscrits en général ne sont favorables à de telles interdictions.

On a demandé aux personnes interrogées si elles préféraient un candidat politique « qui dit que les enseignants et autres professionnels de l’éducation doivent décider de ce qui est enseigné aux élèves » ou « un candidat qui dit que les parents doivent avoir plus de contrôle sur ce qui est enseigné à leurs enfants ». Soixante-sept pour cent des élites préfèrent donner plus de pouvoir aux enseignants et aux autres professionnels ; 71 % des diplômés de l’Ivy League sont de cet avis ; mais seulement 38 % des électeurs inscrits sont de cet avis, 45 % étant en faveur d’une plus grande autorité des parents.

Le rapport et les sondages sur lesquels il s’appuie sont trop récents pour refléter les préoccupations de l’époque de la pandémie. Mais il est facile d’imaginer que les frictions et les protestations qui en ont résulté étaient inévitables lorsque des fonctionnaires de la santé publique, bardés de diplômes et occupant des emplois bien rémunérés, ont imposé des politiques restrictives pour lutter contre le COVID-19 à des personnes qui estimaient que leurs libertés étaient déjà trop restreintes.

[…]

Bien entendu, le rapport révèle que « 70 % des élites font confiance au gouvernement pour faire ce qu’il faut la plupart du temps, soit plus du double de la moyenne nationale. Parmi les membres les plus actifs de l’élite sur le plan politique, ce chiffre atteint le chiffre stupéfiant de 89 % ».

[…]

« Le développement continu du parti démocrate en tant que parti non pas des travailleurs, mais des élites socio-économiques, et le développement continu du parti républicain en tant que parti non pas des entreprises, mais des conservateurs sociaux de la classe ouvrière représentent un développement politique américain majeur, peut-être le plus important du 21e siècle », selon un article publié en 2023 par Eitan Hersh de l’université Tufts et Sarang Shah de l’université de Californie à Berkeley.

[…]

Pour lire l’article dans sa forme originale




Comment les experts occidentaux peuvent être une arme de destruction massive

[Source : english.pravda.ru]

Par Nicolas Bonnal

Pharaon dit à Joseph : J’ai eu un songe. Personne ne peut l’expliquer ; et j’ai appris que tu expliques un songe, après l’avoir entendu.

Genèse 41:15

Le monde moderne est plein de mathématiques, de chiffres, de machines étranges et d’illusions magiques ; il vacille sous les données. Malgré son arrogance, ce monde inquiet a besoin d’un nouveau type de mages et de « prévisionnistes scientifiques », que l’on appelle des experts. Environ 6000 chaînes de télévision dans le monde appellent à tout moment les experts pour étudier avec eux des événements complexes ou prévoir un avenir meilleur. Ils sont consultés à tout moment : lorsqu’il y a un attentat, une nouvelle petite menace, un problème global concernant le climat, la croissance, la dette et bien sûr maintenant le football et l’art. Les experts prolifèrent désormais comme les virus ou les moustiques en été. Certains appellent cela le syndrome du magicien d’Oz. Mais c’est surtout un syndrome biblique, le syndrome des prophètes, ou de Daniel.

Car cet homme, Daniel, que le roi a nommé Beltshatsar, possède un esprit extraordinaire, de la connaissance et de l’intelligence pour interpréter les rêves, trouver la solution des énigmes et résoudre les problèmes difficiles. Que l’on appelle donc Daniel et il donnera l’interprétation.

Daniel 5:12

Récemment, un excellent écrivain, M. John Freed, qui se trouve être l’expert d’un expert, a révélé dans son livre que ces experts se trompent souvent, qu’ils sont souvent dangereux et qu’ils sont surestimés et trop consultés. Pensez aux données suivantes fournies par le livre de M. Freed : Il commence par écrire qu’environ deux tiers des résultats publiés dans les meilleures revues médicales sont réfutés en l’espace de quelques années. Et c’est encore pire ! Pas moins de 90 % des connaissances médicales des médecins se sont révélées substantiellement ou complètement erronées. Il y a une chance sur douze que le diagnostic d’un médecin soit si erroné qu’il cause un préjudice important au patient. Et il n’y a pas que la médecine. Les économistes ont constaté que toutes les études publiées dans les revues économiques sont susceptibles d’être erronées.

La nouvelle obsession mondiale pour les experts provient également d’un excès d’études ou de données : or ces études sont financées par des personnes non innocentes et peuvent révéler n’importe quoi, par exemple que manger tous les jours dans un MacDonald peut être bon pour la santé (un doute à ce sujet ?). M. Freed affirme ici qu’il y a des études qui sortent et qui disent que l’obésité est bonne pour la santé et d’autres qui disent que l’exercice physique n’est pas bon pour la santé !

Bien sûr, il y a toujours eu des experts dans l’histoire et un élément fondamental de la force des anciens Hébreux dans la Bible réside dans le fait qu’ils sont d’excellents experts (et pas seulement des prévisionnistes) : ils peuvent lire les rêves comme le professeur Freud et déchiffrer l’avenir économique et agricole d’un pays. Les meilleurs livres sur les experts sont : la Genèse, avec la figure très respectée et prestigieuse de Joseph, qui devient le favori du pharaon ; et Daniel, jeté dans la fosse aux lions, qui devient plus tard un conseiller privilégié (qui envoie ses ennemis à la mort, et avec leur famille).

John Freed affirme ensuite que l’interprétation des experts peut empêcher des actions politiques :

« lorsqu’on nous donne l’avis d’un expert, nous perdons en fait notre capacité à prendre nos propres décisions […]. Le cerveau s’arrête un peu face à l’avis d’un expert. Lorsque nous entendons un expert, nous renonçons à notre propre jugement. »

Je pense qu’il a partiellement tort ; à cause des experts, nous prenons souvent de mauvaises décisions. Plus c’est faux, mieux c’est ! Par exemple, nous décidons d’aider Wall Street, les banques et les fonds spéculatifs afin de ruiner les nations américaines et européennes, puis nous décidons de réduire les aides sociales. Par exemple, nous décidons d’attaquer l’Irak, de bombarder la Libye, de déstabiliser l’Égypte et d’atomiser l’Iran. L’expert est là pour dissiper le doute. C’est ce que dit la Bible (Daniel, 5, 16) :

On m’a dit que toi, tu peux donner des interprétations et résoudre les problèmes difficiles. Si donc tu es capable de lire cette inscription et de m’en faire connaître l’interprétation, tu seras revêtu de pourpre, tu porteras une chaîne d’or au cou et tu partageras le gouvernement du royaume avec deux autres hauts fonctionnaires.

Si un expert comme M. Hans Blix ne convient pas, il est rapidement rejeté : L’ennemi de papa doit être tué et un expert doit bien sûr être politiquement et économiquement correct, adapté à l’ère du « capitalisme du désastre ». L’expert néocon doit être engagé contre tous les ennemis occidentaux — ou supposés tels — avec son mélange post-moderne de messianisme et de jargon scientifique.

Bien sûr, M. Freed confirme et prouve que « les experts éditent et donc manipulent les données ». Cette expression me rappelle la périphrase du Dr Reich, ancien secrétaire au travail de l’administration Clinton : les manipulateurs de symboles. Ces personnes sont les nouvelles professions nées avec la dictature de l’informatique et la nouvelle société de contrôle. Leur expertise altère et manipule continuellement la réalité. Comment faire la différence avec un film de terreur hollywoodien et une scène d’attentat à la bombe surcommentée comme à Boston ? Demandez à un expert !

L’immédiateté et l’irréfutabilité sont les caractéristiques de la vérité qui nous parvient par le biais des ordinateurs : oui, il y a un réchauffement global ; oui, Saddam Hussein possède des armes de destruction massive ; oui, la crise est terminée grâce à l’assouplissement quantitatif de la Fed ; oui, il y a assez de pétrole de schiste pour mille ans et plus dans le Colorado.

Un point très important souligné par Freed est le suivant : nous sommes noyés sous des flux d’informations et de nouvelles qui altèrent notre compréhension ou produisent une désensibilisation :

« Les journaux, les magazines, la télévision et l’internet nous obligent à rapporter constamment ce qui se passe. Nous sommes confrontés à cette mer de conseils en permanence. Où se trouve donc l’aiguille dans la botte de foin ? »

Qui veut trouver une aiguille ? L’important, c’est la botte de foin ; c’est eux qui mettront l’aiguille.

Les agents sont là pour agir, les experts pour réagir.

Mais les données les plus importantes concernent la recherche sur les animaux : Freed écrit en substance que ce n’est pas bon parce que nous ne sommes tout simplement pas des souris !

« La majorité des recherches sur les animaux ne se transposent pas bien aux êtres humains, et malgré le fait que les scientifiques aiment souligner que nous partageons entre 90 et 99 % de nos gènes avec différents types de mammifères, nous savons que nous sommes vraiment différents des souris et que nous sommes même vraiment différents des singes. »

Cette bonne nouvelle est à la fois bonne et inquiétante : elle est bonne parce que les experts occidentaux (où sont les experts ailleurs ?) se trompent en caricaturant le darwinisme ; elle est inquiétante parce que leur vision s’impose finalement, malgré ou grâce à son caractère erroné.




Centres de données : leur consommation d’eau va exploser

[Source : reporterre.net]

Par Fabien Benoit

De plus en plus nombreux, les centres de données, piliers du numérique, sont gourmands en électricité et en foncier, mais aussi en eau. Une consommation amenée à exploser avec le développement de l’intelligence artificielle.

Philippe de Fruyt et Jean-Luc Touly ne décolèrent pas. En cette glaciale matinée de janvier, emmitouflés dans leur parka, ils égrènent les chiffres du projet d’extension du data center [Centre de données] d’Amazon, installé dans leur commune de Wissous, 7 000 habitants, dans l’Essonne. « À terme, on va atteindre 15 000 m2, avec 14 cheminées de 18 mètres pour évacuer la chaleur produite par le site, auxquelles il faudra ajouter 24 groupes électrogènes fonctionnant au fioul. Et tout ça, à deux pas du centre-ville, à 200 mètres d’une école et en face d’un centre sportif », résume Philippe de Fruyt, 69 ans, conseiller municipal d’opposition (centre droit).

La guerre des chiffres

Son camarade, tout aussi prolixe, dénonce un projet opaque. « Sur les 400 pages de l’étude d’impact, on ne trouve rien sur la consommation d’eau. Quelle quantité d’eau sera utilisée ? Pour faire quoi ? Au départ, il s’agissait seulement d’eau pour les toilettes, puis ensuite de 2 000 m3 par an avec des rejets dans la nature. Si c’est le cas, il faut soumettre un dossier “Loi sur l’eau” à la préfecture. Or, il n’y en a pas. Pour moi, ils sont hors-la-loi sur cette question », affirme celui qui connaît bien son affaire pour avoir passé toute sa carrière à la Compagnie générale des eaux, puis chez Veolia.

Les opposants se livrent à une bataille des chiffres avec le porteur de projet étasunien, CyrusOne, qui opère pour le compte d’Amazon. Ce dernier évoque un projet exemplaire en matière environnementale, dont la consommation d’eau sera dérisoire et sans rejet extérieur, limitée à 850 m3 par an, soit la consommation de sept habitations. Si le sujet prête autant à discussion, c’est que les centres de données peuvent, dans certains cas, consommer beaucoup d’eau et qu’il s’agit là d’un angle mort de la folle croissance numérique, peu documenté et discuté.

L’eau est utilisée en masse pour refroidir les serveurs des data centers.
Flickr/CC BY-SA 2.0 Deed/École polytechnique

L’équation est pourtant assez simple. Les data centers, toujours plus nombreux et plus grands, concentrent des machines qui produisent de la chaleur et qu’il faut refroidir. Différentes techniques existent et se font concurrence. La climatisation classique, mais aussi l’utilisation de circuits d’eau — ouverts, avec rejet d’eaux usées, ou fermés — pour refroidir l’air à l’intérieur des installations, ou bien des systèmes dits « adiabatiques » par pulvérisation d’eau.

« Ce qui est assez paradoxal, c’est qu’au moment où l’on met en place des indicateurs pour mesurer l’efficacité énergétique des data centers, comme le PUE [Power Usage Effectivness, rapport entre l’énergie totale consommée par un centre de données et l’énergie consommée par ses seuls équipements informatiques] une solution pour avoir un bon PUE et se présenter comme plus “vert”, c’est d’utiliser plus d’eau et moins d’électricité », explique Clément Marquet, coordinateur du groupe de travail Politiques environnementales du numérique au Centre national de la recherche scientifique (CNRS).

Un sujet « énorme »

Dans son rapport environnemental, Google a ainsi révélé avoir prélevé 28 milliards de litres d’eau dans l’année, dont les deux tiers — de l’eau potable — pour refroidir ses data centers. Entre 2018 et 2022, ses prélèvements ont bondi de 82 %. Mais si le géant de Mountain View a décidé de communiquer, très récemment, il fait figure d’exception. Et, alors que les centres de données fleurissent partout dans le monde, avec un taux de croissance de 12,6 % par an, et que la France veut devenir, selon les mots du ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, le leader européen en la matière, la publication des chiffres relatifs à la consommation d’eau reste soumise au bon vouloir des industriels.

Une situation amenée à changer en partie avec la révision de la directive européenne sur l’efficacité énergétique de juillet 2023. Elle contraindra les data centers de plus de 500 kW à plus de transparence sur leur consommation, mais pas ceux situés hors de l’Union européenne (2 701 aux États-Unis, 443 en Chine ou 456 au Royaume-Uni, contre 2 904 dans l’UE).

« L’IA consommera autant que 4 ou 6 Danemark »

« On est conscients que la consommation d’eau est un sujet énorme, dit l’urbaniste Cécile Diguet, coautrice d’une étude sur le développement des data centers en Île-de-France et de l’ouvrage Sous le feu numérique (avec Fanny Lopez). On sait que les opérateurs de data centers font des forages dans les nappes, plus ou moins déclarés. On voit que, en Île-de-France, il y a des nappes de plus en plus fragilisées, notamment dans l’Essonne. Mais personne n’a encore creusé la question à ma connaissance. »

Si cette problématique vient s’ajouter à celle de l’artificialisation des sols et de la consommation vertigineuse d’énergie des data centers, elle pourrait devenir une préoccupation majeure avec le déploiement de l’intelligence artificielle. « C’est le gros sujet derrière tout ça, affirme le sociologue Clément Marquet. Avec l’IA, on utilise des ordinateurs qui consomment 5 à 10 fois plus d’électricité et cette électricité est dissipée en chaleur par les ordinateurs. Pour l’heure, on ne connaît pas de solution aussi bon marché que l’eau. » Déjà aujourd’hui, les conflits d’usage autour des data centers se multiplient aux États-Unis, en Uruguay, aux Pays-Bas, en Irlande ou bien encore Espagne, avec le mouvement « Tu nube seca mi rio » (« Ton nuage assèche ma rivière »).

Au-delà des data centers, c’est toute l’IA qui est pointée du doigt.
Flickr/CC BY-NC-SA 2.0 Deed/NYC Office of Technology & Innovation

Des études émergent peu à peu, comme celle de l’article intitulé Making AI less thirsty, publié par plusieurs chercheurs californiens, qui révèle qu’un échange de vingt questions avec ChatGPT nécessite l’équivalent d’une bouteille d’eau de 0,5 L.

« L’IA va faire exploser la consommation d’eau, tient à souligner un de ses rédacteurs, Shaolei Ren, contacté par Reporterre. D’ici à 2027, l’IA consommera autant que la moitié du Royaume-Uni ou 4 à 6 Danemark. Tous les discours des géants du numérique sur le fait d’être “water positive” relèvent de la plus pure communication. L’utilisation d’indicateurs comme le WUE [Water use effectivness, l’eau consommée pour chaque kWh] n’est de surcroît pas éclairante, car elle ne tient pas compte de la consommation d’eau indirecte, due notamment à la production d’électricité [l’eau utilisée dans les centrales hydroélectriques ou pour refroidir les centrales nucléaires]. »

Fermes intensives et fermes de serveurs : même combat

Si les industriels s’en remettent à leur credo technosolutionniste, à savoir améliorer l’efficacité de leurs systèmes de refroidissement, le seul horizon soutenable reste celui de la frugalité, selon le chercheur en sciences de l’information Olivier Ertzscheid.

Il établit un parallèle entre fermes de l’agriculture intensive et fermes de serveurs, deux modèles qui partagent selon lui un même ADN extractiviste :

« L’affrontement central dans les conflits d’usage à venir [autour de l’accès à l’eau] se fera autour de deux lignes de front : d’un côté le lobby technologique, ses data centers et ses fermes de serveurs, et de l’autre le lobby de l’agriculture industrielle […]. Le point de convergence des deux modèles est qu’ils concourent à un appauvrissement et à un épuisement des sols autant qu’au stress hydrique des populations avoisinantes. Et que, pour l’essentiel, ils s’en moquent. »




Réflexions sur la révolte agricole

Par Anonyme

Partant de :

Diverses infos venant de « l’opposition de façade » et d’amis qui « voient »… « Derrière le masque vert » pour citer le titre du livre de Rosa Koire, la première à nous avoir averti de l’« Agenda 21 » et qui a payé de sa vie pour cela…

Nous pouvons observer que la « Sécurité Sociale Alimentaire » fait son apparition « officielle » :

Voici, relayé par ISF du collectif pour une Sécurité Sociale de l’Alimentation, un documentaire réalisé par deux agronomes.
Il est en libre visionnage pendant encore 7 jours :

« En raison des mobilisations agricoles qui ont lieu en ce moment dans toute la France, nous mettons notre documentaire Tu nourriras le monde en ligne en accès libre sur notre site internet : https://parolesdepaysans.wixsite.com/parolesdepaysans/tu-nourriras-le-monde

Et sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=MbSaUIHpgg8&t=10s

N’hésitez pas à le partager à tous ceux qui cherchent à mieux comprendre ce qui se joue réellement en ce moment !
On a créé une page AlloCiné pour tenter de donner un peu de visibilité au film, n’hésitez pas à y déposer un commentaire.

Bien à vous,
Nathan Pirard & Floris Schruijer
Co-réalisateurs du documentaire »

Rien que la présentation du film me donne la nausée… Ingénieurs agronomes… Agro Paris Tech… « Débat citoyen »… « Pour une planète soutenable » nous sommes donc en plein dans la ligne de l’Agenda 21… Merci les Rockefeller, Klaus Schwab et cie…

[Mise à jour, après visionnement du documentaire :]

Je viens de finir de visionner « Tu nourriras le monde », film documentaire pas si nauséeux que je le pensais finalement, surtout en 1re partie où il est retracé tout l’historique de la politique agricole française, puis européenne, sans trop de concessions. Mais ce que Nathan Pirard et Floris Schruijer, les co-réalisateurs du documentaire, ne voient pas, c’est qu’ils sont dans un système qui est en train de ravager tout le vivant, et qu’eux-mêmes font partie de ce système. Ils sont totalement dans la doxa de la « transition écologique » et du « développement durable » sans avoir pris conscience des énormes mensonges et manipulations qu’il y a derrière ces « beaux mots » contenus dans les ODD ou Objectifs du Développement Durable. Voir à ce sujet le travail de Rosa Koire auteure du livre « Derrière le masque vert — L’agenda 21 démasqué », ici une vidéo avec une interview de Rosa durant les 7 premières minutes.

Le film documentaire « Tu nourriras le monde » parle de désertification des campagnes, du déclin du service publique en prenant l’exemple de la poste, des écoles, ils ne voient pas l’agenda, c’est-à-dire que tout cela a été prémédité et obéit à la mise en place de l’Agenda 21 ([pour 21e siècle] de l’ONU. Ils ne le voient pas alors que leur génération, qui — biberonnée aux mensonges et à la propagande depuis la tendre enfance — est complètement actrice de cette situation, tout comme les « aînés » ont été acteurs de l’engrenage à la production, de l’appauvrissement des sols, de la perte d’autonomie alimentaire, etc., malgré eux, eux aussi, en leur temps.

Tout comme les agriculteurs qui manifestent actuellement : plus ils se débattent dans le filet, plus le filet se resserre sur eux…

Le documentaire est par ailleurs très édulcoré : pas d’allusion au taux élevé de suicide des paysans ces dernières années, rien sur le codex alimentarius, beaucoup d’éoliennes sur les images, mais aucune information sur les dégâts causés par celles-ci, non seulement sur les humains, mais aussi sur les animaux domestiques, sur la faune, les insectes et la végétation. Certains agriculteurs font allusion à la sécheresse ou autre aléa météo, mais rien sur la modification intentionnelle de la météo et du climat [ou géo-ingénierie], rien sur la modification du cycle de l’eau… Le reportage sur le couple agriculteur bio est mignon, mais quid de l’agriculture bio qui n’est pas exempte d’OGM, et où les semences ne sont plus reproductibles, et que dire de l’agriculture intensive « bio » qui se profile de plus en plus ? Les auteurs en ont-ils même connaissance ? Quant à la Safer, c’est assez gentillet…

Selon les dires d’un certain Emmanuel : « Le futur sera numérique, robotique et génétique »… Et dans « Agro Paris Tech », il y a bien « Tech » n’est-ce pas ?

Ces deux jeunes diplômés sont complètement au service de l’Agenda 21 ; ils voient bien dans le rétroviseur, cependant, je vois qu’ils sont pris dans les filets et participent à la mise en place des pièges tendus par ceux-là mêmes qu’ils pensent dénoncer.

Voici un article que je trouve très éclairant sur le même sujet, et que je vous recommande fortement :

Pour approfondir

Arnaud Rousseau, le faux paysan à la tête du mouvement blocage autoroutier :

« Le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, prévoit des mobilisations (blocages d’autoroutes) dans 85 départements d’ici vendredi » :

https://www.lamontagne.fr/paris-75000/actualites/colere-des-agricultures-le-point-sur-les-autoroutes-bloquees-et-fermees-en-france_14440778/

Il veut même bloquer les marchés dans les villes où pourtant ce sont les agriculteurs qui peuvent fixer eux-mêmes leurs prix via leurs vendeurs sur place :

https://www.leparisien.fr/societe/agriculteurs-en-colere-pourquoi-des-manifestants-menacent-de-bloquer-le-marche-de-rungis-27-01-2024-H5PCJX65ARBCZKK4ZGH2MMFN7Y.php

Pourquoi cet agent de la PAC politique agricole européenne agroalimentaire pousse-t-il les paysans naïfs à bloquer les autoroutes en disant que c’est la solution pour que l’État leur donne ce qu’ils veulent ?

Pourquoi est-ce un PDG d’un groupe agroalimentaire (pesticides/OGM) qui représente le mouvement de la paysannerie en France ?

Arnaud Rousseau est :

  • – président de la FNSEA (seul syndicat admis à la négociation avec l’État), l’ancien titulaire de la FNSEA étant Xavier Beulin (DcD), ex-président du groupe laitier LACTALIS. (comme quoi les syndicats paysans sont toujours représentés par les multinationales) ;
  • – il veut transformer des terres agricoles en terres pour biocarburants et il met son entreprise agroalimentaire à la bourse, donc laisse les actionnaires banquiers Rothschild et Cie décider des prix des denrées alimentaires
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Avril_ (entreprise) ;
  • – président du groupe agroalimentaire AVRIL (Isio4, Lesieur, Matines, Puget, etc.)
    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Arnaud-Rousseau-le-faux-paysan-a-la-tete-de-la-FNSEA-74797.html ;
  • – directeur général de Biogaz du Multien, spécialisé dans la méthanisation ;
  • – administrateur de Saipol ;
  • – président du conseil d’administration de Sofiprotéol, qui finance des crédits aux agriculteurs ;
  • – leader français de la transformation de graines en l’huile ;
  • – maire (sans étiquette) de sa commune Trocy-en-Multien (Seine-et-Marne) ;
  • – vice-président de la communauté de communes du pays de l’Ourcq ;
  • – éleveur du Gers qu’il prétend représenter avec son syndicat ;
  • – patron d’exploitations agricoles, 700 hectares, principalement des céréales oléagineuses (colza, tournesol) mais aussi du blé, de la betterave, du maïs, et de l’orge ;
  • – diplômé de l’European Business School de Paris avec le courtage de matières premières agricoles, c’est-à-dire leur mise en vente sur les marchés financiers ;
  • – Il défend une agriculture productiviste française pour nourrir les Français, mais consacre ses champs à une production majoritairement destinée à l’export ;
  • – Il soutient les agriculteurs qui se plaignent de l’augmentation des taxes sur le gazole non routier (GNR), mais il a entériné cette hausse cet été, lors des négociations avec le gouvernement sur le projet de loi de finances ;
  • – Avec ses homologues grands céréaliers, il est l’un des principaux bénéficiaires de la PAC, quand les petits éleveurs, ceux-là mêmes dont la colère déborde dans le Sud-Ouest sont les plus lésés ;
  • – C’est pourquoi il ne peut répondre aux demandes des manifestants sur la hausse du GNR, qu’il a validée, ni sur les marges des groupes agroalimentaires, lui qui en dirige un
    https://www.humanite.fr/social-et-economie/agriculteurs/a-la-tete-de-la-fnsea-qui-est-arnaud-rousseau-le-businessman-qui-voulait-passer-pour-un-paysan.

Propositions et constats

Au lieu d’appeler tout le peuple français à squatter les campagnes et forêts désertes des milliardaires, les agriculteurs manipulés par des agents doubles du NWO [New World Order – Nouvel Ordre Mondial] bloquent les sorties des villes (autoroutes) empêchant les citadins d’en sortir.

Ils aident les élites pour transformer les villes en prison en bloquant les autoroutes.

Ils savent le plan de l’élite de destruction de l’agriculture, et ils accélèrent ce plan en bloquant les villes, en empêchant les campagnes d’être repeuplées en nombre par les citadins.

Construisons notre Nouveau Monde dans les campagnes, et arrêtons de trouver des solutions en ville, et de bloquer les sorties des villes, car c’est comme bloquer les sorties des prisons, laissez s’échapper les bagnards citadins vers les campagnes, et arrêtez d’être manipulés.

Une vidéo qui montre comment les gueux se font manipuler pour toujours faire des manifestations dans les Smart Cities, au lieu de construire leur monde libre HORS DE L’ENCLOS :
https://crowdbunker.com/v/t9nnza2xat



La plupart des gens croient toujours qu’il est possible de « réformer » le système, donc ils convergent vers les lieux de « gestion » de la merdasse étatico-marchande : les villes.

Réappropriation des terres et création d’un autre monde, le nôtre, celui de l’Humanité vraie, qui commence par réorganiser une agriculture saine, nourricière, base d’une société vraie et articulée, en plus d’être une nécessité absolue de vie.

La vie du bien-être ensemble commence par le bien manger. La bonne table mène aux bonnes relations sociales, au vivre ensemble sain et ancré dans la réalité.

Là est notre nature humaine. On est ce qu’on mange, c’est aussi simple que ça, et quand on voit la merde qui arrive dans nos assiettes quotidiennement, on ne peut être que de la merde.

Sortir de la spirale marchande infernale. Nous réinscrire dans la vie véritable de l’être joyeux, satisfait de sa vie individuelle et collective.
Ça vient, ça vient. De plus en plus de gens comprennent et seront bientôt prêts à la bascule…

Vive la Commune Universelle de notre humanité enfin réalisée !…

Donc le gouvernement utilise les agriculteurs pour la fausse solution de bloquer les villes, qui correspond à leur agenda.

Bloquer les villes correspond à :

  • – l’agenda 2030 des villes 15 minutes « Smart City » ;

Pas « à jour » de vos injections ? Vous avez dépassé votre allocation carbone hebdomadaire ? Vous vous êtes aventuré en dehors de votre quartier désigné « 15 minutes » ? Oups, pas d’argent pour toi !

  • – le confinement, préparer les futurs rafles pour la piqouze forcée et interdire les gens de s’échapper des villes (quand ils ont commencé le confinement 2020 de Nice, avec les premiers morts injectés, beaucoup de gens ont pu s’échapper des villes pour échapper au maire facho piqouzeur de Nice) ;
  • – à aucun moment, ces « résistants » ne proposent :

    • – de lutter contre la 5G,
    • – de lutter contre les caméras (qui fichent tous les opposants),
    • – de réclamer l’énergie libre ;
    • – de distribuer des tracts pour inviter les gens à venir se fournir directement dans leur campagne.

Si le carburant est trop cher, ils n’ont qu’à faire venir les gens chez eux, au lieu de venir vers eux, mais comment les citadins peuvent-ils venir dans les fermes rurales acheter leurs produits, si les agriculteurs bloquent les villes ?

C’est contre-productif leur truc, et c’est justement cela que le gouvernement veut, empêcher les citadins de se nourrir, en les empêchant de sortir des villes en utilisant les manifestants agriculteurs pour bloquer les autoroutes.

Et c’est contre-productif de se tourner vers le gouvernement, demander des solutions au gouvernement, reconnaître que le gouvernement est le chef, au lieu de créer un propre monde à eux, indépendant.

Les faux résistants préfèrent réduire encore plus l’indépendance des citadins en bloquant les villes, comme si cela changeait quelque chose, car les riches qui nous gouvernent vivent dans des châteaux dans les campagnes (demandez à Sakozy qui a son château avec ses oliviers et ses vignes au sud de la France, comment il doit rire du blocage des villes qui affament les gueux, après le génocide des gueux citadins par ces blocages des autoroutes).

Sinon, on peut faire un album de musique (avec chansons sur potager, contre la hausse carburant, contre la hausse des taxes terre) dont le bénéfice reviendra à chaque groupe local d’agriculteur (une dizaine maxi), et non pas un groupe national ou régional ou communal qui risque d’être contrôlé par le PDG d’une multinationale agroalimentaire qui peut être aussi en même temps le maire d’un village (donc, présider le groupe communal).

Organiser des recherches sur l’énergie libre, pour créer un camion d’énergie libre qui ferait des distributions au marché en ville après avoir collecté les denrées dans toutes les campagnes.

Un site s’est mis au troc pour soutenir les petits producteurs, mais curieusement, il n’est plus à jour (juin 2023) dérangeait-il le NWO ou problème de récolte annuelle ?
https://www.lepotiron.fr/

Le seul blocus qui marche c’est de bloquer les villas et les châteaux des milliardaires. Mais bloquer les villes, c’est justement dans le programme d’agenda 2030 des élites.

Solutions accessibles à tous :

  • – organiser des cueillettes comestibles dans les bois et les forêts publics (75 % des forêts sont privatisés) ;
  • – cultiver des comestibles qui poussent tout seuls une fois plantés sans besoin d’entretien dans les espaces délaissés (comme le topinambour, l’ail des ours, la menthe, les mûres, les vignes), pas besoin d’entretien, cela pousse partout une fois installé ;
  • – faire pousser des arbres fruitiers dans les espaces délaissés ;
  • – faire des appels à projets en tracts, sur les panneaux d’affichage pour que les gens soutiennent les formations de fermes associatives à proximité des villes.

Et arrêtez de jouer le jeu de bloquer les villes, cela pue l’agenda « quartiers 15 minutes ».

Ils l’ont essayé de le faire lors des retraites,
ensuite au nom de la lutte contre les émeutiers,
et maintenant au nom de la taxe carburant,
et après ils le feront au nom du traité pandémie mai 2024…
et ensuite au nom d’un QRcode jeux olympiques (plus tard transformé QRcode faux réchauffement climatique) été 2024…

https://www.francetvinfo.fr/les-jeux-olympiques/paris-2024/paris-2024-des-qr-codes-pour-circuler-aux-abords-des-sites-olympiques_6213372.html

Leur projet de bloquer les autoroutes, seules voies pour sortir des zones urbaines, c’est justement ce que souhaitent les élites (via les péages de pass OGM, carbone).

Elles veulent interdire les gueux d’aller dans les zones rurales en utilisant la colère des agriculteurs manipulés par les syndicats menés par des PDG agroalimentaires qui bloquent les autoroutes.

Ensuite : tickets de rationnement en échange de piqouze, et rafles dans les villes sans pouvoir s’échapper dans les campagnes..

Le programme quartier 15 minutes n’est pas loin…

Avec la monnaie CBDC contrôlée par Amazon et Bruxelles, vous sortez de votre quartier et votre fric est coupé :

https://youngplatform.com/fr/blog/news/digital-euro-bce-travaille-amazon-realiser-cbdc/




Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE !

Par le Dr Gérard Delépine

Chaque jour une nouvelle directive écologique de l’UE rogne nos libertés, nous rend la vie plus difficile, nous appauvrit. Quelques exemples.

La crise du logement fortement aggravée par l’UE et les mesures écologiques

La population française de souche n’augmente plus depuis déjà plusieurs années. La crise du logement que nous subissons est donc principalement due à l’afflux d’étrangers, souvent illégaux, que les écologistes et l’UE nous interdisent de refuser sous peine de 20000 euros par migrant1.

De plus les exigences des verts qui interdisent la location de ce qu’ils appellent passoires thermiques2 et qui exigent des travaux extrêmement coûteux, souvent peu efficaces, ont déjà retiré du parc locatif plusieurs centaines de milliers de logements bon marché en attendant d’en exclure plusieurs millions dans les prochaines années, si leur plan diabolique se réalise…Et comme les taux d’emprunts élevés et l’alourdissement important de la fiscalité sur les propriétés3 découragent déjà les investisseurs potentiels, la crise ne peut que s’amplifier…

La promesse écologique d’octroyer des logements faciles à chauffer se transforme progressivement en disparition de logement abordable. L’objectif des verts serait-il de transformer les pauvres en SDF pour leur bilan carbone bien meilleur ?

Les verts chassent les voitures des pauvres des centres-ville

Pour diminuer la pollution des villes, les élus verts font une guerre sans merci aux automobilistes. Après avoir fermé les voies sur berge, limité la vitesse de circulation à 30 Kms/H et rétréci la plupart des boulevards à une seule voie de circulation automobile, ils créent les zones à faible émission qui excluent des villes les voitures des classes moyennes. Mais, la circulation à basse vitesse dans des embouteillages permanents fait que malgré la baisse des émissions de polluants la concentration d’ozone n’a pas diminué dans l’air de Paris.

Pour travailler, les classes moyennes, contraintes de se loger en banlieue doivent supporter des transports en commun peu fréquents, souvent en panne, bondés, chers où l’insécurité règne en particulier pour les femmes. Aujourd’hui, 25 % des agressions et 40 % des vols non violents commis en Île-de-France se déroulent dans les transports en commun et on estime que 6 % des Franciliens ont déjà été victimes de l’un ou de l’autre pendant un trajet4.

Les écologistes préfèrent les punaises de lit et les rats aux pauvres !

La mairie de Paris finance des études et des entreprises de communication pour faire accepter la cohabitation avec les rats présentés comme nos semblables prêts à nous embrasser (les fameux surmulots) !

À Strasbourg, la majorité municipale défend une « régulation douce, non létale de ces animaux » qu’elle refuse d’appeler nuisibles. Caroline Zorn, coprésidente du groupe Strasbourg écologiste précise « je trouve même plutôt ça enthousiasmant qu’on utilise ce mot liminaire ».

Le mythe écologique de la mobilité électrique non polluante

Une propagande intense et des subventions colossales prélevées sur nos impôts incitent à convertir les véhicules thermiques en véhicules électriques sous prétexte d’une moindre empreinte carbone et d’une moindre pollution. Mais les calculs des écologiques ne tiennent pas compte des coûts sociaux et environnementaux de l’extraction des métaux rares nécessaires pour les batteries, ni des problèmes de leur recyclage fortement émetteur de CO2, ni des dégâts de la fabrication de la voiture en Chine, ni des graves nuisances générées par des centrales électriques au charbon qui ont été réactivées pour satisfaire à la demande après l’interdiction du gaz naturel russe.

Dans les pays qui ont généralisé avant nous les voitures électriques, beaucoup d’entre elles sont abandonnées dans d’immenses cimetières comme en Chine5

et certaines compagnies de location américaines les boudent 6.

La diminution des émissions de carbone grâce à la motorisation électrique dépend essentiellement de la manière dont l’électricité est produite. En Pologne la part du charbon dans la production d’électricité a avoisiné 80% en 2021 rendant actuellement l’utilisation d’une voiture électrique plus polluante que celle d’une voiture thermique à l’inverse de ce qu’on observe en Suède ou en Finlande où la production d’électricité repose sur des énergies renouvelables. Donc, avant de se féliciter de rouler grâce à l’électricité, il est prudent de vérifier comment il est produit et si la production possible sera suffisante.

Les taxes sur l’énergie menacent l’existence de nombreuses professions

Sous l’impulsion de l’UE et des écologistes, les taxes sur les énergies ne cessent d’augmenter sous des prétextes divers (combler le déficit créé par le « quoiqu’il en coûte », diminuer la pollution, soutenir l’Ukraine en refusant le gaz naturel russe…). Le prix de revient d’un litre de diésel avoisine les 80 centimes, mais il est vendu 2 euros (150% de taxes !). En France le coût moyen de l’électricité nucléaire qui représente 70% de notre consommation est de 0,04950€ le kWh. Le prix du kWh TTC pour les particuliers de 0.2276 € en janvier passera à 0,2516€ en février 2024 soit 400% de plus que son prix de revient.

Cette explosion des coûts met en péril de nombreuses professions qui consomment beaucoup d’énergie (boulangers, verriers, chauffeurs, taxi, pêcheurs7, agriculteurs…) dont les clients ne peuvent assumer pareilles augmentations. Il faut d’urgence limiter les taxes pour ces professions exposées.

Le tsunami des normes écologistes de l’UE et les contrôles tuent l’agriculture

Les écologistes de l’UE créent chaque jour de nouvelles normes qui noient les agriculteurs sous des monceaux de paperasse et des contrôles incessants qui les détournent de leurs champs près de la moitié de leur temps de travail8.

Le 28 février 2023, le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau a déclaré que la France, engagée dans une trajectoire européenne de neutralité carbone à l’horizon 2050, compte baisser de 46 % les émissions agricoles nationales, mais en réalité c’est la disparition de l’agriculture française qu’il prépare.

L’UE impose aux agriculteurs 14 normes pour les haies et leur dit quand les tailler. En cas d’infraction elle les menace jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende, sans compter des suppressions des aides de la PAC, soit beaucoup plus que de nombreux délits pourtant plus graves tels que les vols, les violences aggravées, le port d’armes, l’agression sexuelle…

La politique pro Ukraine de l’UE aggrave l’impact des mesures précédentes

La volonté de l’UE et des dirigeants français d’aider l’Ukraine a ouvert en grand le marché agricole à des produits (comme le poulet industriel ou le blé) qui ne suivent pas les normes de l’UE imposées à nos agriculteurs.

Et les milliards qui permettraient de soulager la misère de nos agriculteurs sont envoyés en Ukraine où ils alimentent une corruption endémique.

Ils veulent faire disparaître nos animaux familiers et ceux qui nous nourrissent

Les vaches dont « les rots menaceraient la planète » sont menacées par les directives européennes qui veulent en diminuer le nombre de près de 50% pour nous forcer à consommer le lait de Nouvelle-Zélande 9 et la viande d’Amérique du Sud 10. Cette directive a déjà été appliquée en Irlande et aux Pays-Bas suscitant des manifestations et la création d’un parti pro agricole qui a fait basculer la majorité gouvernementale aux dernières élections néerlandaises.

Les chiens11 et les chats sont accusés de constituer des « catastrophes » pour la biodiversité et le climat12 13. Ils rejetteraient l’équivalent carbone de plus de 13 millions de voitures. Le gouvernement écolo d’Australie a investi 7,6 millions de dollars australiens dans Elixer3, un robot tueur de chat guidé par intelligence artificielle14 pour lutter contre la prolifération des félins sauvages. Et 5 députés européens veulent instituer une taxe de 100 euros par chien, taxe déjà en vigueur (pour un moindre montant) à Gérone en Espagne.

Il est stupéfiant de constater que les écologistes découvrent les lois de la nature et en particulier que tous les animaux supérieurs sont des carnivores qui ne peuvent vivent qu’aux dépens des espèces plus petites et que les herbivores sont les prédateurs des espèces végétales qu’ils dévorent.

Ils veulent interdire aux chasseurs de chasser

Les chasseurs représentent pour les écologistes le diable15 qu’il faut interdire pour protéger la vie animale. Depuis lors, les sangliers ont été multipliés par 20; ils causent chaque année 20 000 à 30 000 accidents de la route16 et rôdent dans les villes françaises, se nourrissent dans les poubelles17 obligeant à des battues administratives qui se déroulent parfois mal18.

Si on se soumet à leur dictature, les verts nous interdiront de boire du café !

Selon les chiffres de l’institut Carbone 4, l’empreinte carbone par personne en France est de 2,35 tonnes : 920 kg pour la viande, 450 kg pour les boissons, 390 kg pour le lait et les fromages, 240 kg pour les fruits et légumes, 230 kg dans la catégorie « autres » et 120 kg pour le poisson.

Et parmi les boissons, le café dont l’impact en matière de gaz à effet de serre serait de 5 kg de CO2/kg de café. Les écologistes menacent donc notre boisson matinale et voudraient nous imposer à la place des tisanes locales.

Des objectifs UE écologiques très peu plausibles et qui ne servent à rien

Dans le monde la France ne participe que pour moins de 1% du rejet de CO2 très loin derrière la Chine (33%) et les USA (12,6%) et l’Inde (7%) qui ne diminuent pas leurs émissions même lorsqu’ils signent les accords du GIEC.

La majorité des pays émergents fait des promesses pour recevoir nos subventions climat, mais ils ne pourront pas les respecter sans risque de troubles sociaux graves, car sortir de l’extrême pauvreté leurs populations constitue un objectif prioritaire totalement contradictoire avec les mesures de réductions énergétiques que nous prenons.

L’objectif écologique de l’UE est d’obtenir une diminution des émissions de CO2 d’ « au moins 55 % d’ici à 2030 »19. Ce qui représente plus du double de la réduction annuelle moyenne réalisée entre 1990 et 202020. Il n’est donc guère crédible malgré les méthodes totalitaires employées.

De même, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie de l’Europe n’a, depuis 2005, augmenté que de 0,8 % par an; il faudrait tripler ce taux pour atteindre l’objectif prévu de 45% d’énergies renouvelables ce qui paraît irréalisable compte tenu de la désaffection croissante pour les éoliennes https://x.com/Georges73922577/status/1751143592612024343?s=20

et les panneaux solaires achetés en Chine.

Et même si l’UE y parvenait cela ne représenterait qu’une diminution de 0,5% du total mondial alors que les gros émetteurs continuent d’augmenter leurs émissions rendant cette minime réduction européenne totalement inopérante.

L’UE et les écologistes nous imposent des contraintes majeures qui pourrissent nos modes de vie, créent du chômage et de la misère sans le moindre espoir plausible d’obtenir la moindre diminution des rejets mondiaux de CO2  .

Rappelons à cette occasion que le rôle nocif du CO² est loin d’être démontré. Citons par exemple le député européen roumain :

Au Parlement européen, l’eurodéputé roumain Cristian Terheș dément complètement le canular du « réchauffement climatique provoqué par l’homme » :

« Le CO2 est un gaz qui représente actuellement 0,041 % de l’atmosphère totale. Malgré ce faible pourcentage, depuis des décennies, des campagnes sont menées pour faire croire que le CO2 produit par l’homme est la cause du changement climatique. » « Les solutions proposées pour lutter contre le changement climatique sont des impôts plus élevés et davantage de contrôle de l’État, ainsi que moins de droits et d’options pour les citoyens… Évidemment, l’objectif déclaré est de changer nos comportements, alors que la lutte contre le changement climatique n’est qu’un prétexte pour le faire. »
Source : https://www.youtube.com/watch?v=PIvw0_kPCw4

@wide_awake_news
 : https://t.me/realwideawakemedia

Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE et sortir de la servitude intellectuelle qui pourrit nos sociétés21





Dioxyde de carbone — Le gaz de la vie

[Source : articles.mercola.com]

Par Dr Mercola

L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

— Le dioxyde de carbone (CO2) est généralement considéré à tort comme un déchet nocif de la respiration et accusé à tort de perturber le climat de la planète.

— Le CO2 est un gaz essentiel à la vie. En outre, son impact sur les températures terrestres est négligeable et le restera même si sa concentration actuelle dans l’atmosphère devait doubler. Une augmentation de 100 % du CO2, de 400 ppm à 800 ppm, diminuerait le rayonnement vers l’espace de seulement 1,1 %, ce qui se traduirait par une augmentation de 0,7 degré C de la température moyenne de la Terre.

— Une différence de 0,7 degré C signifie qu’il n’y a pas d’urgence climatique et que, quoi que nous fassions pour réduire les émissions de CO2, cela n’aura pas d’incidence sur les températures mondiales. Pour créer une situation d’urgence là où il n’y en a pas, on suppose qu’il y a des rétroactions positives massives. Or, la plupart des rétroactions naturelles sont négatives, et non positives, de sorte qu’il est probable que l’augmentation de 0,7 degré Celsius soit surestimée dès le départ.

— Il n’existe pas de température unique pour la Terre. Elle varie en fonction du lieu et de l’altitude. Chaque kilomètre d’altitude entraîne un refroidissement moyen de 6,6 degrés Celsius.

— L’augmentation des niveaux de CO2 rendra la planète plus verte et plus accueillante pour les plantes. Plus il y a de CO2, plus les plantes et les arbres poussent bien. Le CO2 réduit également les besoins en eau des plantes, ce qui diminue les risques liés à la sécheresse.

La vidéo ci-dessus, « CO2, le gaz de la vie », présente une conférence donnée lors de la réunion de la vieille garde du Sommet dans le New Jersey, le 3 octobre 2023, par William Happer, PhD, professeur émérite de physique à l’Université de Princeton et ancien conseiller scientifique des administrations Bush et Trump.

Le sujet : le dioxyde de carbone (CO2), généralement considéré à tort comme un déchet nocif de la respiration et un polluant qui perturbe le climat planétaire. Comme l’explique M. Happer dans cette conférence, le CO2 est en fait un gaz essentiel à la vie. En outre, son impact sur les températures terrestres est négligeable et le restera même si sa concentration actuelle dans l’atmosphère devait doubler.

[Voir aussi :
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée
et les autres articles du dossier Climat.]

Le CO2 n’est pas un polluant

Actuellement, la concentration de CO2 dans l’atmosphère à quelques milliers de pieds d’altitude est d’environ 430 parties par million (ppm). Plus près du sol, les concentrations varient considérablement, à la fois en fonction du lieu et de l’heure de la journée. En effet, les relevés au niveau du sol sont influencés par la photosynthèse et la respiration des insectes, entre autres.

Dans la salle où M. Happer donnait sa conférence, la concentration de CO2 était de 1 800 ppm, ce qui s’explique par le fait qu’un grand groupe de personnes respire dans un espace clos. Les systèmes de climatisation sont équipés de compteurs de CO2 qui activent des ventilateurs pour amener l’air extérieur à l’intérieur lorsque les niveaux sont trop élevés.

La question de savoir ce qui est trop élevé est importante, étant donné que les promoteurs du Great Reset défendent un programme vert qui exige le démantèlement de l’infrastructure énergétique et de l’agriculture au nom de la lutte contre le changement climatique, qui menace manifestement notre qualité de vie et notre approvisionnement en nourriture. À terme, il pourrait même menacer l’existence de l’Homme.

Le fait est que le CO2 n’est pas le « méchant » que l’on croit, et que le programme « net zéro » est totalement inapproprié si le maintien de la vie sur Terre fait partie de l’équation.

« Le CO2 est un élément essentiel et naturel de la vie », explique M. Happer. « C’est le gaz de la vie. Après tout, nous sommes faits de carbone, principalement de carbone, et nous expirons beaucoup de CO2 par jour rien qu’en vivant. Chacun d’entre nous expire environ 2 livres [environ un kilogramme] de CO2 par jour. Si l’on multiplie ce chiffre par 8 milliards de personnes et 365 jours par an, on constate que le simple fait de vivre représente une part non négligeable du budget CO2 de la Terre.

Néanmoins, nous vivons une croisade contre ce qu’on appelle le CO2 polluant. On parle de pollution par le carbone. Mais chacun d’entre nous pollue la Terre en respirant, donc si vous voulez arrêter de polluer… apparemment, Dieu veut que nous nous suicidions…

Nous faisons toutes sortes de choses folles à cause de ce prétendu polluant… De plus en plus de belles prairies sont couvertes de panneaux solaires noirs. Cela ne fonctionne pas très bien ; cela ne fonctionne pas du tout la nuit. Cela ne fonctionne pas par temps nuageux. Cela ne fonctionne pas très bien au milieu de l’hiver à cause de l’angle du soleil.

Mais nous le faisons quand même. Si vous n’avez pas lu ce livre, je vous le recommande vivement. Il a été publié pour la première fois en 1841, sous le titre « Extraordinary Popular Delusions and the Madness of Crowds » (Illusions populaires extraordinaires et folie des foules). Il est tout aussi pertinent aujourd’hui qu’il l’était à l’époque…

Je suis physicien. Je suis fier de dire que personne ne peut me qualifier de climatologue, mais j’en sais beaucoup sur le climat et j’ai été coauteur de l’un des premiers livres sur les effets du dioxyde de carbone il y a 41 ans. Il s’agissait d’une étude réalisée par le groupe Jason, dont j’étais membre. J’en ai été le président pendant un certain temps et il y avait de très bonnes personnes au sein de ce groupe. »

Impact à long terme de l’augmentation du CO2 atmosphérique

La question clé en matière de réchauffement climatique est la suivante : de combien la Terre se réchauffe-t-elle si l’on double la concentration de CO2 dans l’atmosphère ? C’est ce qu’on appelle la question de la sensibilité du climat. On estime qu’un doublement du CO2 entraînerait une augmentation de 3 degrés centigrades de la température mondiale.

« Ce n’était pas basé sur des calculs rigoureux », explique M. Happer. « C’était le résultat d’une réflexion de groupe. C’est ce que tout le monde pensait, et c’est donc ce que nous pensions. Pour ma défense, l’une des raisons pour lesquelles je n’ai pas prêté beaucoup d’attention à cela [est que] je travaillais à ce moment-là sur quelque chose qui me semblait beaucoup plus important. Permettez-moi de vous en parler, afin que vous compreniez pourquoi je pense être qualifié pour pontifier sur ce sujet.

C’était le début de l’Initiative de défense stratégique, de la Guerre des étoiles… Le président Reagan… voulait trouver un moyen de défendre les États-Unis afin d’éviter ce pacte de suicide collectif, et nous avons notamment envisagé d’utiliser des lasers puissants pour brûler les missiles en approche…

Mais voilà le problème. Si vous prenez le laser d’un mégawatt au sol et que vous l’envoyez vers le missile, le temps qu’il atteigne le missile, le faisceau, au lieu de concentrer toute la puissance sur le missile, se brise en centaines de sous-faisceaux — des taches — et c’est quelque chose qui était bien connu des astronomes. Le même problème se pose lorsque l’on observe des étoiles et des galaxies lointaines.

Les astronomes savaient comment résoudre ce problème… Si l’on peut mesurer le degré de courbure de cette onde, on peut la faire rebondir sur un miroir courbé dans la direction opposée, et lorsque l’onde rebondit, elle est absolument plate. C’est ce qu’on appelle l’optique adaptative, qui fonctionne à merveille. Lorsque vous focalisez le faisceau corrigé, vous obtenez un seul point au lieu de centaines de [faisceaux].

Le problème, c’est que si vous regardez le ciel nocturne, il n’y a que quatre ou cinq étoiles qui sont assez lumineuses pour avoir suffisamment de photons pour mesurer la distorsion de l’onde. Nous avons donc organisé une réunion confidentielle au cours de l’été 1982. Un certain nombre d’officiers de l’armée de l’air y ont expliqué le problème. Par chance, je savais comment le résoudre.

On peut fabriquer une étoile artificielle n’importe où dans le ciel en faisant briller un laser réglé sur la fréquence du sodium sur la couche de sodium au-dessus de nos têtes, à 90 ou 100 kilomètres. »

Bien que l’armée de l’air ait d’abord douté de l’existence d’une couche de sodium dans l’atmosphère, elle a fini par construire le laser à sodium proposé par Happer, et si vous vous rendez aujourd’hui dans n’importe quel télescope terrestre, vous en verrez généralement un ou deux. Quoi qu’il en soit, cette histoire visait simplement à vous convaincre que Happer sait de quoi il parle lorsqu’il s’agit des constituants atmosphériques et des phénomènes qui y sont liés.

Le CO2 n’a pas d’impact perceptible sur les températures terrestres

Selon les alarmistes du climat, l’augmentation du CO2 entraînera un réchauffement de la planète qui menacera toute vie sur terre. En réalité, le CO2 « n’a qu’un effet très limité sur le climat », explique M. Happer.

Il faut garder à l’esprit qu’il n’existe pas de température unique sur la Terre. Elle varie en fonction du lieu et de l’altitude. Pour chaque kilomètre d’altitude, on observe un refroidissement moyen de 6,6 degrés C. C’est ce que l’on appelle le taux de déchéance [ou gradient thermique]. Ce refroidissement se poursuit jusqu’à la troposphère, où il s’arrête.

Le refroidissement est dû au fait que l’air chaud monte et que l’air froid descend. « C’est la convection qui provoque cette chute rapide des températures — 6,5 degrés par kilomètre », explique M. Happer. Il explique ensuite le graphique suivant, qui détaille le rayonnement thermique de la Terre vers l’espace, en supposant une température de surface de 15,5 degrés C. Les gaz à effet de serre représentent la zone située sous la courbe noire dentelée.

Selon M. Happer, ce chiffre ne représente que 70 % de ce qu’il serait en l’absence de gaz à effet de serre, ce qui est illustré par la courbe bleue lisse, car lorsque le soleil réchauffe la terre, les gaz à effet de serre — principalement la vapeur d’eau — empêchent le refroidissement.

La partie la plus importante de ce graphique est la ligne rouge dentelée, représentée ici avec une flèche rouge pointant vers elle. Cette ligne rouge montre l’effet qu’aurait un doublement (une augmentation de 100 %) du CO2 sur la température à la surface de la Terre. Comme vous pouvez le constater, cet effet est négligeable. Il diminue le rayonnement vers l’espace de seulement 1,1 %.

Comme le note Happer :

« Il faut bien l’admettre. Nous sommes loin de doubler [le CO2] aujourd’hui. Cela prendra beaucoup de temps, [et] cela n’entraîne qu’un changement de 1 %. Le CO2 est donc un très mauvais gaz à effet de serre. Ce n’est pas un gaz à effet de serre efficace. »

Si l’on supprime TOUT le CO2, on obtient la courbe verte en dents de scie. Comme vous pouvez le constater, les lignes dentelées verte et noire sont parallèles, à l’exception d’un point. L’effet est énorme si l’on passe de zéro CO2 à 400 ppm (flèche verte). Mais il est à nouveau négligeable lorsque l’on passe de 400 ppm à 800 ppm (flèche noire). Comme l’explique Happer :

« Tout l’effet se produit dès la première petite quantité de CO2 ajoutée… Il est donc tout à fait exact qu’un doublement du CO2 n’entraîne qu’une diminution de 1 % du rayonnement. Le GIEC [Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat] obtient la même réponse, ce qui ne prête pas vraiment à controverse, même s’il ne vous montrera jamais la courbe et ne vous dira jamais qu’il s’agit de 1 %. Cela perturberait la narration…

Il s’agit donc de rayonnement vers l’espace. Comment transformer cela en température ? Ils craignent un réchauffement intolérable de la surface de la Terre où nous vivons, ou d’autres parties de l’atmosphère.

Là encore, il est important de faire le calcul de premier ordre… et il indique que le réchauffement dû au doublement du CO2 est… inférieur à un degré… 0,7 [degré] C. Très faible. On ne peut vraiment pas le sentir. »

Pourquoi, alors, s’alarmer de l’augmentation du CO2 ?

Inutile de préciser qu’il s’agit là d’un énorme problème pour la communauté des climatologues, car une différence de 0,7 degré C signifie qu’il n’y a pas d’urgence climatique et que, quoi que nous fassions pour réduire les émissions de CO2, cela n’aura pas d’impact sur le climat.

Ainsi, pour créer une situation d’urgence là où il n’y en a pas, le GIEC « suppose d’énormes rétroactions positives », explique M. Happer. Le CO2 n’étant pas un gaz à effet de serre puissant, le minuscule réchauffement direct qu’il provoque est [supposé] amplifié par des facteurs allant de quatre à six pour donner l’impression qu’il a un impact perceptible.

« J’aime à dire qu’il s’agit d’une discrimination positive pour le CO2 », explique M. Happer.

« Il n’est pas très bon pour le réchauffement, mais si vous supposez qu’il y a beaucoup de rétroaction, vous pouvez continuer à recevoir de l’argent. Le problème, c’est que la plupart des personnes ayant des connaissances en chimie physique et en physique savent que la plupart des rétroactions naturelles sont négatives, et non positives. »

« Le réchauffement de 0,7 degré C obtenu lorsque l’on double le CO2 est probablement surestimé, car il existe probablement des rétroactions négatives dans le système climatique très complexe dans lequel nous vivons. »

William Happer, Ph.D.

C’est ce qu’on appelle le principe de Chatelier, du nom du chimiste français qui a découvert que « lorsqu’un système simple en équilibre thermodynamique est soumis à un changement de concentration, de température, de volume ou de pression… le système passe à un nouvel équilibre et… le changement s’oppose en partie au changement appliqué ».

Ainsi, le réchauffement de 0,7 degré Celsius obtenu en doublant le CO2 est « probablement surestimé », affirme M. Happer, « parce qu’il y a probablement des rétroactions négatives dans ce système climatique très compliqué dans lequel nous vivons. L’atmosphère, les océans, tout est non linéaire. »

Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que le fait que nous soyons à 400 ppm de CO2 ou à 800 ppm n’a pas d’importance lorsqu’il s’agit d’influer sur la température de la Terre. En bref, l’hystérie climatique n’est que cela. Elle ne repose sur aucune menace réelle. Ce n’est que si nous parvenions à atteindre le zéro absolu en matière de CO2 qu’il y aurait un changement, mais cela signifierait également que nous exterminerions tous les êtres vivants de la planète. Ce n’est rien d’autre qu’un programme de suicide.

Plus de CO2 rendra la planète plus verte

Comme l’explique M. Happer, une augmentation du CO2 rendra la planète plus verte et plus accueillante pour les plantes. Plus il y a de CO2, plus les plantes et les arbres poussent bien. Si nous voulons des forêts luxuriantes et des récoltes abondantes, la réduction du CO2 est donc la dernière chose à faire.

« Toutes les plantes poussent mieux avec plus de CO2 [dans l’air] », explique-t-il. «Aujourd’hui, les plantes manquent cruellement de CO2. Nous savons que les plantes ont besoin de nombreux nutriments essentiels. Elles ont besoin d’azote, de phosphore, de potassium et surtout d’eau. Mais elles ont également besoin de CO2, et comme beaucoup d’autres nutriments, le CO2 est aujourd’hui en pénurie.»

Le CO2 profite aux plantes en réduisant leurs besoins en eau, ce qui diminue les risques de sécheresse. Des niveaux plus élevés de CO2 réduisent également la photorespiration nocive. Selon M. Happer, les plantes de type C3 perdent environ 25 % de leur potentiel de photosynthèse en raison de l’augmentation de la photorespiration. Pour plus d’informations sur le rôle du CO2 dans la croissance des plantes et la photosynthèse, veuillez visionner la vidéo. La discussion commence vers la quarantième minute.

Mensonges, ignorance, stupidité ou autre chose ?

En conclusion, M. Happer s’efforce d’expliquer ce qui motive l’hystérie climatique :

« Malgré les arguments incontestables selon lesquels il n’y a pas d’urgence climatique — le CO2 est bon pour la Terre — la campagne visant à bannir le CO2, “net zéro”, a connu un grand succès. Comment cela est-il possible ? Je suis vraiment dépassé par les événements, car je parle maintenant de la nature humaine. Je suis très doué pour les instruments et la résolution d’équations différentielles, mais je ne suis pas très doué pour comprendre les êtres humains.

Mais voici quelques-uns des moteurs : les nobles mensonges, les mensonges politiques, l’ignorance, la stupidité, la cupidité. Les nobles mensonges remontent à Platon, qui en parle dans “La République”. En politique, un noble mensonge est un mythe ou une contre-vérité, souvent, mais pas invariablement, de nature religieuse, sciemment propagé par une élite pour maintenir l’harmonie sociale ou faire avancer un programme.

Et ici, l’agenda est clair. Si l’on peut d’une manière ou d’une autre unir l’humanité pour lutter contre une menace extérieure, par exemple la pollution par le CO2, alors nous ne nous battrons plus les uns contre les autres. Il n’y aura pas de guerres. Je pense donc que de nombreuses personnes sincères ont adhéré à la thèse du CO2 en partie pour cette raison. On peut d’ailleurs lire cela dans les premiers écrits du Club de Rome.

Il y a ensuite les mensonges politiques. Voici l’une de mes citations préférées de H. L. Menken : Le but de la politique pratique est de maintenir la population dans l’inquiétude (et donc de la pousser à se mettre à l’abri) en la menaçant d’une série infinie de hobgobelins, tous imaginaires ».

L’ignorance, bien sûr, est très répandue et repose en grande partie sur une connaissance incomplète ou une compréhension erronée des faits. Et qu’en est-il de la stupidité ? Dietrich Bonhoeffer, l’un des rares ecclésiastiques allemands à s’être opposé à Hitler et à avoir payé de sa vie son désaccord public, a écrit un jour sur la stupidité humaine :

« Contre la stupidité, nous n’avons aucune défense. Ni la protestation ni la force ne peuvent la toucher. Le raisonnement ne sert à rien. Les faits qui contredisent les préjugés personnels peuvent simplement ne pas être crus — en fait, l’imbécile peut contrer en les critiquant, et s’ils sont indéniables, ils peuvent simplement être écartés comme des exceptions insignifiantes.

L’imbécile, à la différence du scélérat, est donc parfaitement satisfait de lui-même. En fait, il peut facilement devenir dangereux, car il suffit de peu de choses pour le rendre agressif. C’est pourquoi il faut être plus prudent qu’avec un malin. »

M. Happer a lui-même fait l’expérience du danger que représente le fait de s’opposer à la stupidité. « Je reçois régulièrement des appels téléphoniques me menaçant de mort, ainsi que ma femme et mes enfants », dit-il. « Alors, de quel genre de mouvement s’agit-il ? Enfin, la cupidité. A.S. Pouchkine a dit un jour : “S’il y a un abreuvoir, il y aura des cochons”. Et c’est dans le domaine de la science du climat que l’on gagne actuellement le plus d’argent, à condition que votre travail contribue à renforcer le discours sur le réchauffement climatique et la nécessité de réduire à zéro les émissions nettes de gaz à effet de serre. »

Quels que soient les facteurs, les personnes responsables du monde entier doivent s’opposer à la fausse théorie du changement climatique et au programme « zéro émission », qui n’aboutira à rien en termes de normalisation des températures, mais qui érodera rapidement la qualité de vie et la durabilité de la production alimentaire, et qui fera passer la richesse dans les mains de quelques-uns.




« Les raisins de la colère »

Paysans levez-vous, vous êtes nos racines et notre dignité !

Trop c’est trop, les agriculteurs de toute l’Europe disent « stop » !

Je sais bien qu’ils vont nous « emmerder1 » pour aller au travail. Je sais bien, disons que j’espère, qu’ils vont bientôt nous priver d’essence et vider les rayons des supermarchés. Mais ce n’est pas de notre colère dont ils ont besoin, mais de notre soutien.

Oui nos fins de mois, et pour certains nos débuts, sont difficiles, mais que dire de ces forçats qui travaillent plus de 90 heures par semaine pour aucun salaire !

Je ne sais pas s’ils sont notre dernier espoir ou notre seul espoir, mais nous devons être à leur côté et les aider en fonction de nos maigres possibilités.

La genèse du crime

Le capitalisme, les théories comme celles de Riccardo2 et les avantages comparatifs prônent la spécialisation et l’économie d’échelle.

Il est évident que le boulanger qui va planter du blé, fabriquer son four, avoir sa propre forêt pour le bois, le récolter, faire de la farine, faire son propre levain, pétrir son pain, le faire cuire et puis le vendre va être moins productif que celui qui se contente d’acheter un mix industriel, ajouter de l’eau, pétrir, faire cuire le pain dans un four électrique et le vendre.

Dans un monde capitaliste, il est dit que l’on doit croître ou crever et dans notre monde ultralibéral c’est encore pire.

Alors quel est le mode opératoire le plus simple pour détruire un petit agriculteur ?

Développons d’abord le comment :

La méthode est assez simple.

  • Augmenter les coûts de production : Matières premières, carburant, eau, électricité, taxes, charges sociales, impôts, réglementations, etc.
  • Diminuer les prix de vente.
  • Diminuer les rendements par exemple en interdisant certains pesticides. Ce qui est une bonne chose sur le papier, mais une concurrence totalement déloyale dès lors que les produits importés n’ont pas ces contraintes.
  • Diminuer ou supprimer les droits de douane sur les produits importés.

Dans ces conditions l’agriculteur n’a d’autre choix que d’agrandir son exploitation pour parvenir à une économie d’échelle et accroître son chiffre d’affaires.

Le pourquoi :

Ici aussi c’est assez simple.

  • Diminuer le nombre d’exploitations et donc le nombre de travailleurs indépendants.
  • Augmenter les profits, attention pas pour les petits exploitants, mais uniquement les grandes fermes.
  • Détruire la biodiversité. « L’idéal » serait une seule espèce de pommes de terre transgéniques sur la Planète.
  • Détruire l’indépendance et l’autosuffisance du pays.
  • Détruire l’indépendance de l’agriculteur pour en faire un esclave.
  • Détruire la ruralité, les petits villages, bref ce qui fait un pays.

Esclaves d’un système

Si le salarié est un esclave qui ne peut ni démissionner ni revendiquer, la faute au chômage et aux crédits pour payer sa maison ou sa voiture, il doit en être de même de l’agriculteur.

Dans l’ancienne France, l’enfant qui venait au monde dans le monde rural avait un capital à sa naissance. C’était un propriétaire terrien « raciné » et l’employé avait souvent un petit jardin pour cultiver ses fruits et légumes. Les agriculteurs possédaient de la terre et donc un capital. C’est une des raisons pour lesquelles les maîtres du monde ont tout fait pour en diminuer le nombre.

L’ouvrier ne possède RIEN, ni terre, ni racines.

Ces terriens avec des parcelles à taille humaine vivaient de leur travail, jamais riches, mais jamais pauvres, et pouvaient transmettre. La production était locale et les clients l’étaient aussi, vente à la ferme, vente à la coopérative gérée uniquement par les producteurs, vente sur les marchés alentour.

C’est alors que s’est refermé le piège de l’économie d’échelle imposée par l’économie de marché.

Pour s’agrandir, augmenter sa production et baisser ses coûts, il faut :

  • Acheter des terrains.
  • Acheter du matériel (tracteurs, etc.).
  • Embaucher de la main-d’œuvre.
  • Écouler sa production.

Et oui, non seulement il va vous falloir vous endetter à coup de crédits, mais aussi trouver des acheteurs. Il n’est plus possible de vendre la totalité de sa récolte par les moyens traditionnels.

Vous allez donc devenir esclave, mais largement plus qu’un salarié.

Le salarié a durant la durée de son contrat la garantie que sa perte de liberté sera compensée par une somme d’argent.

Pour l’agriculteur il n’en est rien, son maître sera le géant industriel, le groupement d’achat d’un supermarché qui lui « achète » sa production.

Soit il accepte les conditions de son « propriétaire », soit il crève. De toutes les façons il n’a pas le choix, ne pouvant écouler lui-même sa production et devant couvrir ses dettes, il est totalement coincé.

S’il crève, s’il est ruiné, s’il se suicide « qu’est-ce qu’on en a à foutre », une exploitation achètera ses terres pour une poignée de pain pour s’agrandir encore et encore.

Le plus « drôle » est que l’ultra-capitalisme a fait des denrées alimentaires un marché boursier avec une offre et une demande. Vos tomates seront en concurrence directe avec le producteur de Bogota. C’est dire que vous ne pouvez même pas espérer écouler votre production en cherchant un nouvel acheteur qui vous prendra vos produits soit au cours du jour, soit à un prix moyen renégocié tous les ans afin de limiter la fluctuation de vos entrées d’argent. Vous êtes totalement COIN-CÉ.

Diversification ?

Cela me fait penser au buraliste qui ne pouvant plus vivre de la vente de cigarettes s’est mis à faire bureau de poste, jeux d’argents, journaux, point relais, vente de pain et sans doute bientôt mécanicien automobile ou couturier.

Voilà donc que ces fermiers se font avoir en mettant des éoliennes sur leur terrain ou en couvrant leurs hangars de panneaux photovoltaïques à coup de crédits. Sans compter ceux qui utilisent désormais leurs terres pour faire pousser du panneau solaire.

Nous avons aussi le gîte à la ferme. J’entends que certains agriculteurs peuvent avoir du plaisir à faire connaître leur mode de vie, mais ce n’est plus l’objet lorsque cela devient un moyen de survie.

Un fermier devrait pouvoir vivre décemment de sa production, point final !

Mourir ou mourir ?

Le choix est donc limité pour le propriétaire d’une petite parcelle, disons d’une parcelle à taille humaine :

  • il crève du fait de l’augmentation des coûts de production qu’il ne peut pas répercuter, car il est en concurrence avec les produits importés de pays avec peu de normes et à la main-d’œuvre bon marché ou de l’entente entre les différents acteurs de la filière ;

ou

  • il crève parce qu’il fait le pari de l’endettement et de la vente de sa production à un esclavagiste. Esclavagiste qui le pressera jusqu’à la dernière goutte.

Les données sont impitoyables :

IA :

« En 1960, la France comptait 7,1 millions d’agriculteurs, soit 20 % de la population active. En 2020, ce nombre est tombé à 400 000, soit moins de 2 % de la population active. En 1960, la surface moyenne d’une exploitation agricole était de 15 hectares. En 2022, elle est de 100 hectares. »

Je ne connais pas d’exemples dans lequel celui qui produit s’enrichit. C’est comme le chercheur d’or à qui l’on achète ses pépites 100 fois moins cher et à qui l’on vend l’eau, la nourriture et les pelles une fortune.

Si la situation est telle qu’elle est, cela ne relève pas du hasard, mais d’une volonté de destruction.

IA :

« En 1960, la France était un exportateur net de produits alimentaires. Les exportations de produits alimentaires représentaient 10 % du PIB, tandis que les importations représentaient 5 % du PIB. Le solde de la balance commerciale des produits alimentaires était donc positif, à hauteur de 5 milliards de francs.

En 2022, la France est devenue un importateur net de produits alimentaires. Les exportations de produits alimentaires représentent désormais 7 % du PIB, tandis que les importations représentent 12 % du PIB. »

C’est simple, 5 % de PIB d’exportation nette en 1960 et l’inverse en 2022, 5 % de PIB d’importation nette. Et ils voudraient intégrer l’Ukraine à l’UE avec son blé 2 fois moins cher issu d’une agriculture intensive bourrée de pesticides ? Sans compter que 30 % des terres agricoles en Ukraine seraient dans les mains d’investisseurs étrangers versus 1 % en France.

L’argument dit « écologique »

Ne croyez pas que les vendus à Bruxelles aux ordres des maîtres du monde amateurs de Grand Reset vont nous dire que leurs lois ont pour but de détruire l’économie, nous appauvrir, supprimer toute indépendance, détruire nos racines et nous réduire en esclavage.

C’est ici que l’invention du prétendu réchauffement climatique causé par l’homme prend toute sa dimension.

Mais là n’est pas l’objet de ce texte donc :

  • Supposons qu’il y ait un réchauffement climatique sur l’ensemble du globe.
  • Supposons qu’il soit amené à durer.
  • Supposons qu’il soit mauvais pour la planète et ses habitants.
  • Supposons qu’il soit dû à l’activité humaine.
  • Supposons qu’il soit dû à l’augmentation du CO2, 0,04 % de l’atmosphère3, sachant que moins de 5 % des émissions de CO2 sont d’origine humaine.
  • Supposons que l’Europe et la France puissent apporter leur pierre à l’édifice (les émissions de CO2 en Europe baissent de quelques pour cent tandis qu’elles augmentent dans le reste du monde et explosent en Asie).

Vous voyez je suis bon prince.

Enfin imaginez l’hypothèse que vous êtes décideur au niveau de l’UE et que vous n’êtes ni totalement stupide, ni totalement corrompu. Je m’excuse auprès de mes fidèles lecteurs qui ne peuvent que rire en lisant ceci, mais « même pas peur ! ».

Que pensez-vous qu’il advienne si vous imposez des règles « environnementales » visant à réduire les émissions de CO2 de la production agricole de l’UE ?

À moins que vous n’imaginiez que nous allons diminuer notre consommation de nourriture, à moins de vouloir nous éliminer, autre hypothèse complotiste, cela ne va en rien réduire la consommation de produits agricoles.

Il ne faut donc pas être un génie pour savoir que cela va augmenter les coûts de production et donc favoriser les produits importés non soumis à ces contraintes et de plus, sans droits de douane.

D’un point de vue « climatique », qui pourrait imaginer qu’un kilogramme de tomates provenant de Chine, cultivées en n’ayant rien à foutre de l’écologie et devant voyager des milliers de kilomètres en bateau, ou mieux en avion, pourraient avoir une emprunte carbone moindre qu’une production française ?

Seul un écolo bobo parisien nourri au lait de Sandrine Rousseau pourrait gober un truc aussi illogique.

De fait les mesures dites « écologiques » (et les autres) imposées aux agriculteurs pour « réduire les émissions de CO2 » n’ont qu’un seul objectif, les tuer, ce qui fonctionne parfaitement.

L’escroquerie des aides :

Les gouvernements mettent en place des « aides » pour compenser les pertes des agriculteurs.

Il est pour le moins « merveilleux » de constater que des fermiers sont payés pour ne pas produire, laisser en jachère, alors même que notre balance agricole est déficitaire.

L’excuse du soutien du prix a peu de sens lorsque l’on sait que les cours des produits agricoles sont mondiaux.

Dans la réalité les États n’offrent pas la moindre aide. C’est uniquement des vases communicants (via les impôts et les taxes) qui passent d’une main à une autre. Au final cette « aide » se traduit par une perte de pouvoir d’achat des ménages qui sont encore plus ponctionnés.

Nous avons vécu un exemple frappant de la pourriture de ce système avec « l’aide à la pompe » dont ont « bénéficié » les Français pendant quelques mois.

En premier lieu, je voudrais rappeler que le prix à la pompe devrait être autour de 50 centimes le litre sans les taxes et les marges délirantes des producteurs et importateurs.

Le principe de l’escroquerie de « l’aide » était simple :

  • Le cours du pétrole augmente artificiellement du fait d’annonces d’embargos contre la Russie.
  • Le coût de production ainsi que les réserves disponibles demeurent les mêmes. L’Europe achète du pétrole russe via l’Inde et l’Arabie Saoudite.
  • Total le producteur, pour ne citer que lui, augmente donc le prix de vente de son pétrole brut et augmente donc quoi ? Ses marges !
  • Total le raffineur achète le pétrole plus cher à Total le producteur, le carburant raffiné est donc plus « cher » à produire.
  • Total le distributeur répercute l’augmentation sur le prix hors taxes (à ce stade ce n’est que de la marge supplémentaire pour Total).
  • Le gouvernement encaisse plus de taxes étant donné qu’une partie des taxes est fixe et l’autre est un pourcentage du prix HT, qui lui même a augmenté.

Dans un monde juste nous dirions à Total et à tous les profiteurs :

« Allez vous faire foutre, vous ne profiterez pas de la guerre en Ukraine pour augmenter encore plus vos marges sur le dos des ménages français ».

Mais là « que nenni » (en fait ce n’est pas tout à fait vrai Total s’est engagé à ne pas vendre le carburant à plus de 2 euros, ce qui a fait dire « bravo Total » alors même qu’il se contentait de limiter l’augmentation honteuse de sa marge).

Dans sa grande « générosité », le gouvernement décide de mettre en place ce qu’il appelle une « remise », c’est-à-dire une diminution de quelques centimes sur les taxes dont une grande partie est compensée par l’augmentation du prix HT et donc par l’augmentation du montant des taxes perçues par le gouvernement.

Résultat des courses, l’industriel a pu s’en mettre plein les poches et la « ristourne » a été financée par les impôts, les taxes et la dette, bref par l’ensemble des Français.

Mais comme Total n’en est pas à une escroquerie légale prêt, il va vous dire qu’il ne fait que quelques centimes de bénéfices par litre. Prix de vente du pétrole brut + prix du raffinage + prix transport + quelques centimes = prix de vente HT pour le client. Oubliant d’inclure la marge délirante engrangée pour la production de pétrole brut, la marge du raffinage et la marge du transport.

Ce pas une aide, mais du blanchiment d’augmentation de la marge de l’industriel.

Il en est de même pour les agriculteurs, toutes les aides sont financées par la solidarité nationale et permettent de ne pas toucher à la marge des différents acteurs de la filière !

Accepter de payer sa nourriture plus cher ?!

C’est la phrase que nous entendons régulièrement et les débats sans fin sur les médias mainstream.

Cette tromperie a un triple objet :

  • Vous désolidariser des paysans parce que vous avez déjà du mal à payer votre nourriture du fait de l’inflation artificielle (en réalité l’augmentation des marges).
  • Vous culpabiliser, « c’est de votre faute s’ils crèvent », car vous refusez de payer la nourriture à son « juste prix » imaginaire.
  • Vous détourner des vrais coupables que sont les industriels et les intermédiaires avec la complicité des politiques.

Il faut savoir que de nos jours les prix de vente sont totalement déconnectés du coût de production.

Regardez le prix de l’électricité qui a augmenté en France de plus de 40 % en un an, il me semble, alors même que les coûts de production n’ont pas ou peu bougé.

On nous fait croire que les agriculteurs pourraient enfin vivre dignement si leurs produits étaient achetés en fonction de leur prix de revient. C’est totalement ridicule pour 2 raisons :

  • Si vous augmentez les prix d’achat alors cela va augmenter les prix de vente et les produits ne se vendront plus du tout ou moins bien avec un report sur les produits d’importation.
  • Si les produits se vendent encore alors cela aura un effet inflationniste4 sur les matières et les salaires qui fait que le prix des matières premières et les charges de l’agriculteur vont augmenter. Il devra donc encore augmenter ses prix de vente, bref un cercle infernal sans fin.

Est-ce que les agriculteurs ont bénéficié de l’inflation depuis le début de la guerre de l’OTAN contre la Russie, bien sûr que non !

Dans les faits l’augmentation des prix ne bénéficie pas ou peu aux producteurs, mais aux vendeurs et intermédiaires. Les industriels, les distributeurs, les supermarchés ont augmenté le montant de leurs bénéfices quand bien même le pourcentage de leur marge restait identique.

Exemple : J’achète des poires au producteur à 1 euro le kilo, je fais une marge de 40 %, soit 40 centimes par kilo, je les vends 1,40 euro le kilo.

J’augmente de 10 % mon producteur qui vendra ses poires à 1,10 euro le kilo, je garde une marge de 40 %, soit 44 centimes et je vends le kilo à 1,54 €. L’agriculteur a gagné 10 centimes de plus par kilo et j’ai dépensé 14 centimes de plus pour mon kilo de poires en faisant mes courses. Et encore je suis dans la version bisounours de l’histoire, car des intermédiaires, grossistes et vendeurs en ont profité pour augmenter leur marge et faire passer cela sur le dos de l’augmentation des prix et de la guerre. Vive l’ultralibéralisme !

La solution ne passe pas par une augmentation des prix pour le consommateur

La méthode n’est pas uniquement d’augmenter le prix de vente des agriculteurs, mais de diminuer les marges honteuses des intermédiaires.

Si vous augmentez le prix des poires payées au producteur de 12 % et que vous diminuez la marge de l’ensemble des intermédiaires de 15 % alors le prix de vente au consommateur sera exactement le même !

Vous pourriez me dire, mais c’est dégueulasse, les intermédiaires et le vendeur n’auraient plus que 25 % de marge au lieu de 40 %.

(Petite précision vous entendrez ici et là que la marge de la grande distribution est de 1 à 2 %. Entendez par là que c’est ce qu’il leur reste en ayant couvert toutes les dépenses, achats, salaires, loyers, amortissements, etc. IA : « Le groupe Carrefour a dégagé un bénéfice net de 1,35 milliard d’euros en 2022, en hausse. Le chiffre d’affaires du groupe a lui augmenté de 8,5 %, à 90 milliards d’euros. En pourcentage du chiffre d’affaires, le bénéfice net du groupe Carrefour s’est donc établi à 1,5 % en 2022, contre 1,2 % en 2021 ». Ceci pour dire qu’il ne faut pas confondre la marge brute faite sur un kilogramme de poires avec le bénéfice.)

Imaginons que le prix de un euro le kg du départ couvre les coûts du paysan (version optimiste) comme si c’était un prix d’achat, bref qu’il margeait à zéro et ne gagnait RIEN. Dans ce cas de figure, les 12 % d’augmentation seraient de la marge permettant de dégager un revenu pour l’agriculteur.

Et vous trouveriez « juste » que les intermédiaires qui n’ajoutent strictement aucune valeur au produit, aucune transformation, touchent plus de 25 % de marge tandis que le producteur n’en aurait que 12 % ?

Si nous basculions dans un monde plus juste, 18 % de marge pour le producteur, 18 % de marge pour les intermédiaires, nous nous retrouverions à un kilogramme de poires au détail de 1,39 € pour le consommateur, soit 1 centime de moins pour celui-ci et 18 centimes de plus pour le producteur !

Ce n’est donc pas en donnant des « aides » aux agriculteurs ou à qui que ce soit que l’on va augmenter leur pouvoir d’achat, mais en limitant la marge des escrocs intermédiaires !

Les mêmes règles pour tout le monde

Ce n’est évidemment pas l’avis du premier cercle, mais si nous voulons participer à un Monopoly mondial les règles doivent être les mêmes pour tout le monde.

  • Si le pesticide X est interdit en France alors il est interdit d’importer un produit d’un pays qui a le droit de l’utiliser.
  • Si la main-d’œuvre dans le pays d’importation est le fruit du travail d’enfants ou d’esclaves alors les droits de douane doivent compenser cette partie-là. Il suffirait de définir un salaire minima de seuil de dignité selon le coût de la vie dans le pays d’origine et de taxer la différence. Exemple, salaire pratiqué dans le pays 3 euros de l’heure, seuil de dignité 5 euros de l’heure, droits de douane 15 % (c’est pour l’exemple, il faudrait faire des calculs).

Au lieu de niveler par le bas qui est la règle d’or de l’ultralibéralisme qui convertit nos économies occidentales en économies du tiers monde, cela inciterait les pays en question à augmenter le niveau de vie de leurs ressortissants étant donné qu’ils ne gagneraient rien à les exploiter du fait des droits de douane.

(Je vous rappelle que le coût de la main-d’œuvre sur un iPhone est indécent.

IA :

«  le coût de la main-d’œuvre représente environ 13,60 dollars sur le prix de vente d’un iPhone 14 Pro Max, qui est de 1 099 dollars aux États-Unis. Il n’est pas dit que la fabrication aux États-Unis coûterait plus cher à Apple. En effet, si la fabrication aux États-Unis permet à Apple de booster ses ventes, cela pourrait compenser l’augmentation des coûts de production. En outre, la fabrication aux États-Unis créerait de l’emploi aux États-Unis. Cela pourrait être bénéfique pour l’économie américaine, car cela créerait des revenus et des taxes. Enfin, la fabrication aux États-Unis pourrait être bonne pour le commerce extérieur américain. En effet, cela permettrait à Apple de réduire sa dépendance à la Chine, qui est un pays important pour le commerce extérieur américain. »)

Ici encore je pourrais entendre que les consommateurs seraient les grands perdants et devraient payer plus cher ! Mais non, c’est un mythe répandu par les industriels et les politiques corrompus, c’est toujours une question de marge, d’offre et de demande. Si des producteurs brésiliens veulent vendre leurs tomates en Europe, ils n’auront qu’à diminuer leurs marges. Notons qu’ils ne pourront pas baisser encore plus le prix d’achat auprès du producteur local, car cela entraînerait automatiquement une augmentation des droits de douane.

Mythe : On a besoin des agriculteurs !

Oui on en a besoin pour sauvegarder notre civilisation, notre terroir, notre diversité, le bien vivre, le bien manger, bref pour sauvegarder la France, mais pour les mondialistes ils ne servent plus à rien.

L’industrialisation et la robotisation de la production font que les agriculteurs [mais aussi bientôt tous les autres humains] ne servent plus à rien.

Il est désormais possible de produire de la merde industrielle pour des milliards d’individus sans agriculteur et même sans terre [avec le hors sol]. Quand vous dites que l’on en a besoin, vous ne raisonnez pas en pourriture ultralibérale sans conscience.

Si demain il n’y avait plus un seul agriculteur en France, cela n’empêcherait pas d’avoir les rayons des supermarchés garnis.

La faute à qui ?

À mince, j’ai encore écrit « qui », mille excuses !

C’est toujours la même histoire, en premier lieu les coupables sont tous les politiques français qui ont vendu, pardon, bradé la France. Tous ces destructeurs coupables de haute trahison ont abandonné la France et ses valeurs, pensez au scandale de la vente d’Alstom et de sa perte de souveraineté énergétique.

Ensuite il y a bien entendu l’Europe. Mais l’Europe ce n’est pas une personne morale ou juste une Hyène qui la dirige. Si ce monstre sans conscience a ce pouvoir, c’est bien qu’on le lui a donné. S’il y a bien haute trahison par les politiques de chacun des États membres il y a bien sûr haute trahison des instances européennes et de ses représentants comme les députés européens. Ces personnes ne sont pas élues pour tuer le peuple et ses intérêts, mais pour le représenter.

Un dictateur ne prend pas le pouvoir, on le lui donne.

Ceci tout en n’oubliant pas que ces traîtres européens ne sont que les pions des traîtres mondialistes dont l’objet n’est pas l’établissement d’une démocratie, mais d’une dictature mondiale qui enlève toute souveraineté aux différents pays. L’Europe en est une illustration parfaite, les élus et gouvernements français n’étant plus que des pantins, des administrateurs chargés d’appliquer les politiques européennes.

Si vous continuez à voter pour tel ou tel en France dont le programme ne serait pas le Frexit, vous vous bercez d’illusions. Rien de ce qu’il promettra ne pourra être fait sans l’accord de Bruxelles aussi bien d’un point de vue économique que sociétal.

Dindons de la farce ?

La question est de savoir si les agriculteurs qui manifestent dans toute l’Europe vont être naïfs et stupides au point de croire les gouvernants et les responsables syndicaux [vendus au pouvoir].

Vont-ils une fois de plus être stupides pour penser que les miettes d’aides que l’on va leur promettre leur permettront de vivre dans la dignité et dans la durée alors même qu’ils n’auront qu’un statut de mendiant ?

Vont-ils être naïfs au point de croire que les dirigeants européens vont mettre en place un protectionnisme de bon sens alors qu’ils font l’inverse depuis des dizaines d’années ?

Vont-ils croire que soudainement l’objectif ne sera plus leur mort, mais leur renaissance ?

Les chiffres font mal, 20 % de la population active en 1960, 1,8 % en 2020.

L’agriculteur sera bientôt un souvenir, on ira en voir quelques-uns en vacances comme on va au zoo pour voir une espèce en voie de disparition.

Avenir ?

Que l’on arrête de me répéter que ces agriculteurs ne sont que des pions manipulés, que l’on arrête de me dire qu’ils vont se faire massacrer par des polices fascistes sur ordre du dictateur. Que les oiseaux de mauvais augure me fassent une proposition concrète autre que « c’est foutu ».

Je ne suis pas pour autant né de la dernière pluie.

Il est étrange de constater que le gouvernement les laisse faire ce qu’ils veulent, les forces de l’ordre semblent plus à leur côté que l’inverse. Ils peuvent bloquer des axes routiers, déverser du fumier, brûler des biens publics, détruire totalement le macadam d’un supermarché, piller et détruire de la nourriture importée, et ce sans le moindre problème. D’autant plus étrange si l’on pense à la violence subie par les gilets jaunes pour autant pacifiques. Je ne saurais trouver d’explications convaincantes à cet instant. La répression sera-t-elle proportionnelle au laxisme apparent des autorités ? Est-ce une mise en scène dans laquelle les agriculteurs sont manipulés ?

Quoiqu’il en soit, la souffrance de la base est une réalité et je prie pour qu’ils se trouvent à ce point au bout du rouleau, au bord de la faillite ou du suicide pour qu’ils ne tombent pas dans le piège que va leur tendre le gouvernement avec la complicité active de la FNSEA.

Qu’ils exigent le droit à leur dignité, non pas le droit d’être riche comme les pourritures qui nous gouvernent, mais juste vivre honnêtement et modestement de leur travail.

Je prie pour qu’ils ne se prostituent pas pour des miettes, je prie pour que tous les Européens trompés relèvent la tête pour dire « moi aussi j’ai droit à la dignité, moi aussi j’ai droit de vivre de mon travail » et je serais avec eux pour les soutenir.

Agriculteurs unissez-vous :

  • Relevez la tête !
  • Bloquez tout jusqu’à obtenir votre dû et votre dignité !
  • Donnez vos invendus ou les marchandises confisquées sans les détruire !
  • Arrêtez de payer les intérêts de vos crédits qui s’apparentent à de l’abus de confiance et de l’abus de faiblesse !
  • Unissez-vous et appelez les autres professions comme les pécheurs, les transporteurs, etc. à vous rejoindre !
  • N’oubliez jamais où se trouvent les responsables et que vous devez faire tomber les lois européennes qui vous, qui nous, détruisent.

Je veux croire en ce mouvement paysan, je veux croire à cet appel de la terre, à cette révolte de nos racines, à ce cri de notre mère nourricière5.

Ces pourritures ne sont rien. Nous sommes le peuple, nous sommes la force si nous nous levons pour dire « STOP nous avons droit à la dignité ».

Merci

Alain Tortosa6
26 janvier 2024
https://7milliards.fr/tortosa20240126-agriculteurs-sauvez-nous.pdf


1 Vocabulaire emprunté au Président Macron.

2 « 7 milliards d’esclaves et demain ? » https://7milliards.fr

3 https://7milliards.fr/tortosa20230713-rechauffement-climatique-nuls.pdf

4 Tous ceux qui utilisent les produits agricoles devront augmenter leurs prix de vente. Certains salariés arriveront à avoir une augmentation de salaire pour compenser l’inflation. Le coût du travail va augmenter du fait de l’augmentation des salaires. Il peut même y avoir une incidence sur le chômage du fait de l’augmentation du coût du travail, mais aussi de la baisse de consommation liée à la perte de pouvoir d’achat et donc une augmentation des charges qui pèsent sur le travail. Sans compter une augmentation des produits importés du fait de l’augmentation des prix des produits locaux, etc., etc.

5 Comme j’étais en paix en regardant le convoi de la liberté au Canada

6 « Stop état urgence » https://t.me/+cNljt4jKWeVW0I1o
« Docus qui dérangent » https://t.me/+Vb2slUv5Lk9hZmZk
« On a marché sur le Nevada » https://t.me/+DeE9Htev6K8yMzM0
7 milliards d’esclaves et demain ? Https://7milliards.fr




Le libre-échange tue l’agriculture française

[Source : reporterre.net]

[Illustration : Des agriculteurs manifestent début décembre 2023 devant la Draaf, la direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt de Bretagne, pour protester contre les importations de viandes étrangères. – © Loic Venance / AFP]

Par Emmanuel Clévenot

Les traités de libéralisation du commerce ratifiés par l’Europe avec l’aval de la France sont une plaie pour les agriculteurs français. Leurs normes, plus faibles, avantagent les pays exportateurs.

L’odeur du lisier déversé par les tracteurs aux quatre coins du pays contrarie les narines de l’exécutif. Le 22 janvier au soir, le Premier ministre recevait à l’hôtel Matignon le président de la FNSEA, syndicat agricole majoritaire, et celui de son petit poucet, les Jeunes agriculteurs (JA). Aux prémices de leur colère se dresse un millefeuille de normes — pour la plupart environnementales — jugées insupportables : suppression des pesticides, préservation des haies, obligation de laisser des terres en jachère…

« Supprimer ces normes n’est qu’un mirage », prévient de son côté Sylvie Colas, secrétaire nationale de la Confédération paysanne. Pour elle, l’urgence absolue est tout autre : rompre avec le libre-échange. « Les traités de libéralisation du commerce, signés entre l’Union européenne et différents pays étrangers, créent pour nous une véritable concurrence déloyale, détaille la maraîchère et éleveuse de volailles dans le Gers. N’étant pas soumis aux mêmes normes, les produits importés affichent des prix cassés… tirant ainsi les nôtres vers le bas. »

Le 20 janvier, sur le réseau social X, le Premier ministre Gabriel Attal tentait mollement d’apaiser le ras-le-bol des paysans en déclarant : « Notre agriculture est vitale pour la souveraineté de la France. » Des propos en total décalage avec la politique menée aujourd’hui, assure l’économiste Maxime Combes : « L’Europe ne cesse, avec l’aval d’Emmanuel Macron, de négocier et ratifier de tels accords. À chaque fois, ceux-ci augmentent les quotas d’importation sans taxe de produits agricoles venant de l’autre bout de la planète. »

Un nuage plane encore dans le ciel des agriculteurs, qui se révoltent depuis une semaine.
Celui d’un potentiel accord entre l’Union et le Mercosur.
© Patrick Batard/AFP

Dernier en date, l’accord avec la Nouvelle-Zélande, soutenu par 83 % des eurodéputés au mois de novembre 2023. Celui-ci prévoit à terme de supprimer la totalité des droits de douane sur les kiwis, les pommes, les oignons, le miel… ainsi que 10 000 tonnes annuelles de viande bovine, 15 000 tonnes de beurre, 25 000 tonnes de fromages ou encore 15 000 tonnes de lait en poudre. « Il ne s’agit pas de sucre de canne ou de mangues, mais bien d’aliments que l’on sait produire en Europe », poursuit le collaborateur de l’association internationale Aitec, défendant des alternatives aux politiques néolibérales.

Rainbow Warrior

Un contingent significatif sur la viande ovine — 38 000 tonnes — affectera par ailleurs les éleveurs de brebis. « En jetant un coup d’œil dans le rétroviseur, on sait déjà à quoi s’attendre, se désole Michèle Boudoin, éleveuse d’ovins dans le Puy-de-Dôme. En 1985, l’affaire du Rainbow Warrior [navire de Greenpeace coulé par les services secrets français en Nouvelle-Zélande] a fragilisé nos relations avec la Nouvelle-Zélande. Désireuse de poursuivre ses essais nucléaires dans le Pacifique, la France a alors contribué à la création d’un premier accord entre l’Union et les Néo-Zélandais. » Dès lors, 228 000 tonnes de mouton furent importées par l’Europe chaque année. Avec le Brexit, ce chiffre est retombé à 150 000 tonnes… auxquelles s’ajouteront bientôt les 38 000 tonnes du nouvel accord.

C’est à la suite d’une affaire diplomatique, celle du Rainbow Warrior,
qu’un accord avec la Nouvelle-Zélande a été conclu.
Raw pixel

Où a mené cette politique ? « Regardez les pâturages et vous comprendrez, développe la présidente de la Fédération nationale ovine, chapotée par la FNSEA. Dans les années 1990, nous étions autosuffisants à 128 %. Aujourd’hui, 4 des 9 millions de brebis françaises ont disparu et notre consommation dépend à 60 % des importations étrangères. »

« Les éleveurs ne peuvent plus vivre de leur métier »

Aussi nécessaires soient les normes environnementales, elle dénonce une bataille à armes inégales : « Nous perdons du temps et de l’argent à assurer la traçabilité de la viande, là où celle des produits importés n’est pas demandée. Certains produits vétérinaires proscrits chez nous pour la santé humaine et le bien-être animal sont autorisés là-bas. » Sans compter les cotisations sociales et le salaire des employés incomparables. Au final, le gigot d’agneau Label rouge de Michèle Boudoin coûte 25 €/kg… « là où le prix du leur dégringole à 9 €/kg » : « Les éleveurs ne peuvent plus vivre de leur métier, ça nous a anéantis. »

Mettre la main sur le lithium

Ratifié en décembre, l’accord avec la Nouvelle-Zélande est loin d’être le seul. Mexique, Chili, Australie, Kenya, Brésil, Paraguay… Une pléthore d’alliances commerciales fourmille dans les tiroirs de la Commission européenne. Certaines patientent, d’autres sont déjà en vigueur. « Abordés pays par pays, les quotas peuvent sembler modestes au regard de ce que nous consommons en Europe, concède l’économiste Maxime Combes. Seulement, l’accumulation de ces accords finit par peser et nous rendre dépendants des approvisionnements étrangers. » Pour l’heure, l’élevage bovin, ovin et caprin reste la principale victime de ce paradigme du libre-échange. Plus les traités seront nombreux et diversifiés, plus cette pression risque de s’accroître et grignoter d’autres secteurs.

Alors, à quoi bon s’entêter ainsi ? Pour Maxime Combes, l’Europe s’empresse de signer de nouveaux accords pour mettre la main sur des ressources jugées primordiales dans le verdissement de l’économie. À savoir, le lithium, le cuivre ou encore l’hydrogène : « Pour aider les multinationales européennes à ouvrir des marchés dans des pays comme le Chili ou le Kenya, il faut leur acheter quelque chose en échange. Ici, des produits agricoles. » Du côté de la Nouvelle-Zélande, Michèle Boudoin décrit de semblables manœuvres géopolitiques. « Dans les couloirs de Bruxelles, le message est clair : il nous faut un allié dans le Pacifique, quitte à faire trinquer nos éleveurs locaux. »

« Une déstabilisation massive des marchés agricoles européens »

Un grand nuage plane encore dans le ciel des agriculteurs. Celui d’un potentiel accord entre l’Union et le Mercosur… Autrement dit, d’une toute autre dimension. « Il s’agit là de quatre pays, dont deux ayant une économie agricole colossale : le Brésil et l’Argentine, poursuit l’économiste. Finaliser un tel accord signerait une déstabilisation massive des marchés agricoles européens. » En 2020, devant la Convention citoyenne pour le climat, Emmanuel Macron avait déclaré avoir « stoppé net » les négociations à ce sujet. Mais voilà qu’en juin 2023, son désormais ex-ministre du Commerce, Olivier Becht, témoignait vouloir « évidemment conclure » cet accord. « Les négociations n’ont jamais fini, conclut Maxime Combes. Elles se poursuivent porte close, avec une absence totale de transparence. »

Une chose est sûre, aux yeux de Sylvie Colas : pointer du doigt les normes environnementales, c’est se tromper de cible. « La déforestation en Amazonie et les émissions carbone induites par l’acheminement des produits accélèrent la crise climatique. Et celle-ci n’a pas de frontière », insiste la secrétaire nationale de la Confédération paysanne. Dans son département du Gers, cet automne, l’envolée des températures aurait facilité la propagation d’une maladie dans les élevages bovins.




Dossier : « On a marché sur le Nevada… mais sur la Lune ? »

Par Alain Tortosa

Préambule

L’être humain a-t-il déjà mis les pieds sur cet astre ou l’Humanité tout entière est victime d’une vaste escroquerie depuis des décennies ?

Pourquoi écrire sur ce sujet qui ne peut qu’entraîner ricanements de la part d’honnêtes gens qui vivent sur une planète décrite par le journal Le Monde, BFM et autres médias mainstream.

Et bien c’est exactement la raison pour laquelle j’ai choisi ce sujet et non le 11 septembre ou la crise Covid parce que cela évoque une loufoquerie plus ou moins sympathique et non un grave désordre mental qui serait répandu par des extrémistes d’extrême-droite.

L’évocation de la plupart des sujets « complotistes » va immédiatement braquer le citoyen lambda qui va refuser écouter et encore plus toute discussion qui pourrait le placer dans une situation délicate vis-à-vis d’autrui, mais surtout vis-à-vis de lui-même.

Bref, écouter un gars qui vous dirait que nous ne sommes jamais allés sur la Lune c’est un peu comme avoir en face de soi un individu vous expliquant que la Terre est plate (je précise pour les « vérificateurs de l’information » qui voudraient s’engouffrer dans cette brèche pour me ridiculiser, « Non la Terre n’est PAS plate, j’ai étudié le sujet »).

« Nous sommes allés sur la Lune ! »

Les personnes qui sont nées avant 1960 l’ont « vu » de leurs propres yeux1 et les autres en entendent parler depuis leur naissance comme un fait aussi réel que l’eau mouille et le feu brûle.

Toutes les « preuves » sont là ! Photos, vidéos, témoignages, échantillons de sol, mais aussi débunkage quand cela devient nécessaire pour calmer toute velléité « complotiste » potentiellement contagieuse, mais néanmoins « délirante ».

Un autre point en faveur de la croyance repose sur l’énormité du mensonge s’il était avéré et le pourquoi.

« Comment auraient-ils pu nous cacher ces faits si longtemps et pourquoi personne n’a-t-il révélé la vérité ? »

Pourquoi un tel mensonge ?

Le fait de ne pas connaître son auteur sur une scène du crime n’est pas de nature à balayer la réalité de l’acte.

Ici encore tout n’est qu’hypothèses. Parmi celles-ci je pourrais vous citer :

  • Ils ont peut-être cru de bonne foi que c’était possible. Nous étions dans les années soixante, on faisait des fusées, des avions supersoniques, des bombes nucléaires, tout devenait possible. Il fallait battre les Soviétiques, leur prouver la supériorité de l’Amérique. Puis, pour ne pas perdre la face, voyant qu’ils n’y arriveraient jamais, ils se seraient rabattus sur le mensonge et le tournage dans le Nevada par Stanley Kubrick.
  • Les astronautes eux-mêmes ont peut-être été convaincus que c’était un mensonge de courte durée, le temps de résoudre les problèmes techniques et d’y aller vraiment. Quand ils auraient compris qu’ils n’iraient jamais sur la Lune, cela aurait été un enfer pour eux.
  • Ils ont voulu ruiner l’URSS, l’obligeant à se lancer aussi dans la conquête de la Lune.
  • Etc.

La technologie de l’époque

Celles et ceux qui sont nés avec Internet ne peuvent imaginer la réalité de l’âge de Pierre technologique qu’étaient les années 60.

La télévision était encore en noir et blanc et l’ordinateur était plus un projet qu’une réalité. Ceux-ci prenaient la place d’un bâtiment entier pour une puissance de calcul totalement ridicule.

Une époque où même la calculatrice n’existait pas (vraiment). Attention je ne parle pas de la calculatrice programmable graphique des lycéens dont la puissance est infiniment supérieure aux ordinateurs de l’époque, mais de la simple calculatrice pouvant faire des additions, des soustractions, des multiplications et des divisions.

Mon premier ordinateur dans les années 80 aurait fait rêver les ingénieurs de la NASA.

À l’époque on utilisait principalement le stylo, le papier et des règles à calcul !

Ici on parle de construire une fusée qui permettrait d’envoyer des humains sur la Lune et de les faire revenir sains et saufs !

Un peu de bon sens

Pour parvenir à cet exploit, il était impératif de respecter toutes les étapes du lancement de la fusée pour pouvoir faire les calculs. Rappelez-vous que nous sommes à la préhistoire, pas même au début de l’histoire de l’informatique.

Une fusée titanesque décolle sans exploser (pas évident à l’époque), arrive en orbite, tourne autour de la Terre puis quitte l’orbite terrestre au bon moment, se dirige vers la Lune sans la rater, tourne autour, envoie le module lunaire vers le sol, se pose, les gars font leur job, puis redécolle sans encombre avec son unique moteur, tourne autour de la Lune pour rejoindre une orbite circulaire, rejoint la fusée restée en orbite sans la rater, quitte l’orbite lunaire, retourne vers la Terre et amerrit comme il se doit juste à côté du porte-avions qui l’attend gentiment à l’endroit prévu.

Rien qu’en écrivant ces lignes, je ne peux que sourire.

Illustrons l’épopée du LEM qui quitte la Lune pour rejoindre la capsule Apollo en orbite autour de la Lune.

  • Imaginez que vous habitiez Lille et moi Marseille.
  • Imaginez que l’on se donne rendez-vous à l’échangeur d’Artigues-près-Bordeaux. Respectivement à 644 km de Marseille et 801 km de Lille.

Quelle est la probabilité que nous sortions tous deux de l’autoroute à la même seconde et que nous échangions une bouteille d’eau par la fenêtre à la vitesse de 130 km/h ?

Si nous voulons que ce miracle se produise il va non seulement falloir que nous calculions nos heures de départ, mais aussi actualiser en permanence nos calculs, vitesses et temps d’arrêt en fonction de la météo, des embouteillages, de la consommation des véhicules pour le plein de carburant, des pauses pipi, café, manger et ce, en espérant une absence de panne ou d’accident.

Là je vous parle d’un truc qui est environ à 400 000 km de la Terre, qui orbite autour de la Lune à 5920 km/h2 soit 1,67 km en une seconde et que vous ne pouvez pas rater, car vous n’avez qu’un essai.

Pour que la capsule Apollo vous récupère, il vous faudra donc calculer et recalculer :

  • Le moment où vous allez rattraper la capsule en orbite. Un seul essai possible (une première mondiale) pour l’amarrage, car si le Lem et Apollo se ratent ou rebondissent au moment de l’arrimage, alors adieu les astronautes du Lem.
  • La vitesse exacte de l’ascension et de la direction depuis le sol lunaire pour ne pas rater Apollo qui orbite à 6 000 km/h.
  • La fenêtre de décollage de la surface de la Lune pour ne pas rater Apollo au retour. Selon l’IA de Google, le LEM devait se placer sur une trajectoire qui l’amène à moins de 10 km de la capsule Apollo (tout cela avec des commandes manuelles et un ordinateur primitif). Notons qu’Apollo a une orbite circulaire et le Lem une orbite elliptique qu’il doit corriger petit à petit pour rejoindre Apollo au point exact de rendez-vous.
  • La position où vous êtes sur la Lune et la position d’Apollo au moment du décollage qui détermineront quand décoller. Selon l’IA de Google, l’erreur au moment de l’alunissage n’était que de 400 m.
  • La durée de la promenade sur la Lune.
  • La durée du temps de descente sur la Lune.
  • Le moment où le Lem devra quitter la capsule Apollo pour arriver sur le lieu choisi.
  • La durée et le nombre d’orbites autour de la Lune.
  • Le kilométrage et la durée du voyage Terre-Lune sachant notamment que la distance Terre-Lune change.
  • Le nombre et la durée de tours de la Terre (1,5) avant de partir vers la Lune.
  • Le moment de l’arrivée en orbite terrestre de la fusée.
  • Et enfin le moment du décollage de la Terre.

Car n’oublions pas, les réserves d’air et de carburant sont limitées, faire une orbite de plus peut conduire à la mort.

Et pour revenir sur Terre, vous devez calculer :

  • La vitesse et le moment exact pour quitter l’orbite lunaire et le retour vers la Terre.
  • Le moment, l’angle et la vitesse pour entrer en orbite terrestre et ne pas rebondir vers l’espace. La capsule a fait 14 orbites terrestres avant de plonger pour amerrir.
  • La durée de la descente sur Terre et la position du point d’impact dans l’eau sinon la capsule va couler avant que l’on ait pu vous récupérer. Selon l’IA de Google, il restait 4 heures d’air aux astronautes et 15 minutes de combustion. Sachant aussi que le point d’amerrissage ne pouvait être calculé à l’avance notamment du fait de l’incertitude météo. Précisons que les astronautes pilotaient manuellement la position, l’angle et la vitesse de la capsule avec des capteurs internes. (Point de logiciels de calculs ou de feuille de tableur dans laquelle il vous suffit de changer une valeur pour que tous les calculs soient mis à jour instantanément.)

Vous commencez à me suivre ?

Cela veut dire que vous ne pouvez PAS faire l’ensemble de ces calculs avant le départ. Comme pour le voyage Lille-Bordeaux et Marseille-Bordeaux vous allez devoir reprendre les calculs régulièrement, calculs qui doivent avoir un nombre de paramètres délirants pour une mission lunaire.

Je me répète, mais quant au décollage de la Lune, imaginez-le. Apollo est en orbite circulaire et vous vous allez avoir une orbite elliptique au moment de votre mise en orbite autour de la lune. Ne croyez pas que la capsule va vous attendre sur l’échangeur de l’orbite lunaire ! Sans compter que vous avez droit à un seul essai, si vous vous présentez trop tôt trop tard, trop vite, trop lentement, avec un angle trop ou pas assez important.

La réussite de l’opération tiendrait du miracle et de l’absence totale de grains de sable dans le timing. Une simple fermeture éclair coincée ou un éternuement au moment de la rencontre aurait été de nature suffisante à entraîner une catastrophe.

Quelques points problématiques

Nous avons vu que l’opération est loin d’être gagnée d’autant plus en 1969 sans les ordinateurs actuels. Ne vous inquiétez pas, il n’est pas nécessaire d’être un ingénieur pour comprendre et se forger une opinion.

Le lieu de l’amerrissage :

IA :

« Les parachutes d’Apollo ont été déployés à deux altitudes différentes :

* Les parachutes extracteurs ont été déployés à une altitude de 7 010,40 mètres. Ils ont pour fonction de stabiliser le module de commande et de service (CSM) et de le ralentir de 480 à 280 km/h.

* Les parachutes principaux ont été déployés à une altitude de 3 000 mètres. Ils ont pour fonction de ralentir le CSM encore plus, jusqu’à une vitesse de 35 km/h.

Les astronautes n’avaient plus la possibilité de diriger leur capsule dès lors que les parachutes étaient déployés. Un vent fort aurait eu un impact significatif sur le point d’atterrissage d’Apollo. Le vent aurait pu faire dériver la capsule de sa trajectoire prévue, ce qui aurait pu entraîner un atterrissage dans une zone inattendue.

Si le lieu d’amerrissage d’Apollo avait subi un ouragan, les options des astronautes étaient limitées.

* La première option était de reporter l’atterrissage. Cela aurait permis aux conditions météorologiques de s’améliorer. Cependant, cela aurait également signifié que les astronautes devaient rester dans l’espace plus longtemps, ce qui aurait pu entraîner des problèmes d’approvisionnement en oxygène et en nourriture.

* La deuxième option était de tenter un atterrissage dans des conditions météorologiques défavorables. Cela aurait été une décision risquée, car il y avait une forte probabilité que l’atterrissage se passe mal. »

    Les ceintures de van Allen :

    La Terre est protégée des radiations solaires mortelles par un champ magnétique. À de nombreuses reprises, des spécialistes de la NASA ont affirmé que ces radiations posaient un problème que nous devrions résoudre si nous voulions « retourner » ou aller sur la Lune.

    Notez que cela explique l’orbite ultra basse, environ 400 km, de la station internationale. Pour rappel les satellites géostationnaires sont à 36 000 km et la lune à 400 000 km. Des astronautes3 affirment qu’un jour nous pourrons quitter l’orbite basse. Les débunkers disent que ce n’était pas un problème dans les années 60 alors que cela en est un aujourd’hui. Leur argument principal se base sur « ils l’ont fait donc c’est possible ».

    Google IA  :

    « Les ceintures de Van Allen constituent un danger pour les astronautes et les satellites. Les particules chargées peuvent endommager les équipements électroniques et provoquer des lésions aux tissus biologiques.  

    Au-delà de la ceinture de Van Allen, les dangers pour les astronautes et les satellites sont principalement causés par les rayonnements cosmiques.

    Les rayonnements cosmiques sont des particules chargées qui proviennent de l’espace lointain.

    Ils comprennent des protons, des électrons, des neutrons et des noyaux atomiques. 

    Les rayonnements cosmiques peuvent endommager les équipements électroniques et provoquer des lésions aux tissus biologiques. Ils peuvent également provoquer des mutations génétiques, qui peuvent conduire à des cancers et à d’autres problèmes de santé. »

    Notons qu’aucun astronaute parti sur la Lune n’aurait eu de graves maladies suite à son expédition.

    L’ingénieur de la NASA Kelly Smith4 à propos de la mission Orion expliquait en 2014 :

    « En nous éloignant de la Terre, nous traverserons les ceintures de Van Allen, une zone de radiation dangereuse. De telles radiations pourraient endommager les systèmes de guidage, les ordinateurs de bord ou d’autres composants électroniques d’Orion. Naturellement, nous devons traverser cette zone dangereuse deux fois : une fois à l’aller et une fois au retour.

    Mais Orion dispose d’une protection, le blindage sera mis à l’épreuve lorsque le véhicule traversera les vagues de radiations. Des capteurs à bord enregistreront les niveaux de radiation pour que les scientifiques puissent les étudier. Nous devons résoudre ces problèmes avant d’envoyer des personnes dans cette région de l’espace. ».

    Le site Futura-science5 affirme :

    « Un cosmonaute exposé, sans protection, aux radiations des ceintures de Van Allen subirait plusieurs millions de rads par heure (or 500 rads sont généralement mortels). »

    Le débunkage du Parisien précise :

    « La NASA affirme que les combinaisons spatiales portées par les astronautes « les protégeaient parfaitement des radiations qu’ils auraient pu subir en traversant les ceintures de Van Allen. D’autant que la traversée en question a été relativement rapide ».

    IA :

    « Les astronautes d’Apollo 11 ont passé environ 90 minutes dans les ceintures de Van Allen à l’aller et au retour, soit un total de 180 minutes. »

    « La combinaison spatiale et la coque du module de commande permettaient de réduire la dose de radiations reçue par les astronautes d’Apollo 11 de 90 à 95 %. Cela signifie que les astronautes ont reçu environ 5 à 10 % de la dose de radiations qu’ils auraient reçue s’ils n’avaient pas été protégés. »

    Deux millions de rads, 5 %, 3 heures, cela nous fait 300000 rads (dose mortelle à 500). Supposons que Futura Science dise n’importe quoi et se trompe d’un facteur 500 !!!! La dose reçue serait encore de 600 rads. Bien entendu il est possible de dire tout et son contraire. On peut tout autant affirmer que la dose dans les ceintures de Van Allen est de 10 rads par heure, ou même de 1 rad par heure. Cela peut être aussi vrai ou faux que de dire que le bouclier filtre 95 % des radiations.

    Les liquidateurs de la centrale de Tchernobyl auraient reçu entre 1000 et 10 000 rads.

    Si nous sommes allés maintes fois sur la Lune alors il est possible que ces radiations ne soient pas si mortelles que ça. Si en revanche c’est un fake alors il est évident que toutes les données fournies sur les niveaux réels de radiations sont fausses.

    De plus, la NASA n’a peut-être pas choisi la meilleure période pour les missions Apollo.

    « Les pics d’activité solaire dans les années 1960 et 1970 ont été importants. Le maximum d’activité du cycle solaire 19 a eu lieu en 1968, avec une amplitude de 165. Ces pics d’activité solaire ont eu un impact sur la Terre.

    Ils ont provoqué des perturbations dans les communications radio, des pannes d’électricité et des aurores boréales plus intenses. Voici quelques exemples de ces perturbations :

    * En 1968, une tempête solaire a provoqué des perturbations dans les communications radio dans le monde entier.

    * En 1972, une panne d’électricité a touché une grande partie de l’Amérique du Nord. »

    En 1962 les USA ont fait exploser une bombe nucléaire dans l’espace de 1,4 mégatonne, 500 fois plus puissante que celle lâchée sur Hiroshima6, à une altitude de 400 km.

    IA :

    « Les radiations de Starfish Prime ont été coincées dans les ceintures de Van Allen. L’explosion a créé une onde de choc qui a ionisé les atomes et les molécules de l’atmosphère terrestre. Ces ions ont été attirés par le champ magnétique terrestre et ont formé de nouvelles ceintures de radiation autour de la Terre. Les études scientifiques ont montré que la ceinture artificielle s’est dissipée au fil des ans. En 2023, le niveau de radiations dans la ceinture artificielle est comparable à celui des ceintures naturelles. Les radiations dans la ceinture artificielle sont encore dangereuses pour les astronautes et les satellites en orbite. Cependant, elles ne sont plus aussi intenses qu’elles l’étaient au moment de l’explosion de la bombe Starfish Prime. »

    Imaginez donc en 1969, sept ans après l’explosion !

    Certains avancent la thèse que cette bombe aurait été lancée pour faire un « trou » dans la ceinture de radiations et permettre aux astronautes de la franchir sans danger. Au final cela a juste créé une nouvelle ceinture encore plus dangereuse. C’est dire le niveau de folie de ces apprentis sorciers.

    Il est donc intéressant de constater qu’il existe encore des problèmes avec les ceintures de Van Allen naturelles ET artificielles7 qui étaient pourtant « totalement résolus » dans les années 1960-70 avec les multiples missions lunaires.

    Et tout aussi intéressant de rappeler que la station spatiale est en orbite basse.

    ChatGPT rappelle :

    « Safety considerations: The ISS is still within the Earth’s protective magnetosphere in its current orbit, which helps shield it from harmful radiation. Placing it in a higher orbit would expose the station and its crew to increased radiation levels, which could pose health risks and require additional shielding measures. »…
    [« Considérations de sécurité : Sur son orbite actuelle, l’ISS se trouve toujours dans la magnétosphère protectrice de la Terre, ce qui la protège des rayonnements nocifs. En la plaçant sur une orbite plus élevée, la station et son équipage seraient exposés à des niveaux de radiation plus élevés, ce qui pourrait présenter des risques pour la santé et nécessiter des mesures de protection supplémentaires. »]

    Plus de 500 km exposerait l’équipage à des radiations.

    Les photos et films truqués :

    L’intelligence artificielle de Google aurait confirmé à Poutine que les photos sont des faux (problèmes de lumières, d’ombres, etc.), renforçant la thèse d’un tournage en studio dans le Nevada. Stanley Kubrick8 aurait lui-même confessé avoir fait ce fake dans une interview dont j’ai fourni le lien.

    Notons que les débunkers disent que ce n’est pas une preuve, il était tout à fait possible de faire les deux, un vrai alunissage ET une vraie fiction.

    Nous pouvons aussi nous demander comment ils ont pu faire de si belles photos alors même que leur appareil était à réglage manuel de la luminosité, mais aussi qu’ils ne pouvaient pas voir ce qu’ils photographiaient, l’appareil étant fixé sur le torse. De plus ils étaient obligés de retourner dans le module pour changer d’objectif ou de pellicule.

    Par exemple sur la photo ci-dessous nous voyons clairement que les ombres ne sont pas parallèles, ce qui est impossible lorsque la source de lumière est unique, en l’occurrence le soleil.

    Autre photo d’ombres non parallèles :

    Que dire de cette photo sur laquelle nous voyons parfaitement l’astronaute alors même qu’il est dans l’ombre du LEM ET qu’aucun flash n’était utilisé9 ? Il aurait dû être aussi sombre que l’ombre au sol.

    Les appareils photo avaient des croix :

    IA :

    « Les croix sur les photos prises sur la Lune sont des réticules, c’est-à-dire des grilles utilisées pour mesurer les distances et les angles sur les photos. Ils sont généralement composés de deux lignes verticales et de deux lignes horizontales.

    Les réticules sont utilisés par les astronautes pour mesurer la taille des objets sur la Lune, ainsi que les distances entre les objets. Ils sont également utilisés pour déterminer l’orientation des objets. Les réticules sont placés devant l’objectif de l’appareil photo. Ils sont généralement imprimés sur une plaque de verre ou de plastique. Les réticules sont utilisés sur les photos prises sur la Lune depuis les années 1960. Ils sont devenus un élément incontournable des photos lunaires. »

    De fait les réticules sont obligatoirement au premier plan et les objets photographiés au second plan. Il ne saurait exister un objet masquant un réticule à moins d’avoir truqué une photo et rajouté l’objet par la suite.

    Exemple d’objet se trouvant devant le réticule :

    Le journal le Parisien10 confirme qu’il y a bien eu tournage en studio, mais pour un « entraînement ».

    « Aucune preuve ni témoignage faisant état de ce tournage n’ont jamais été révélés. En revanche, la NASA a elle-même diffusé des photographies montrant l’équipe d’astronautes en studio. Mais celles-ci ont été prises trois mois auparavant, en avril 1969 à Houston. Il s’agissait en réalité d’un entraînement visant à préparer la mission d’exploration des astronautes. »

    Il est intéressant de noter que l’IA de Google l’ignore.

    IA :

    « Non, je n’ai pas de photos d’Armstrong et d’Aldrin en avril 1969 simulant dans un studio. Il n’y a aucune preuve que les premiers pas sur la Lune aient été simulés, et il est très peu probable qu’il existe des photos de telles simulations. Les photos et les vidéos de la mission Apollo 11 ont été prises par les astronautes eux-mêmes, et elles ont été diffusées en direct à la télévision dans le monde entier. Ces images ont été largement examinées par des scientifiques et des experts, et il n’y a aucune preuve qu’elles aient été falsifiées ».

    De fait Le Parisien serait-il colporteur de fakenews ??!!

    Notons que la NASA a « perdu » tous les originaux et que les bandes magnétiques auraient été jetées ou recyclées pour faire des économies. Cela ne s’invente pas.

    IA :

    « En 2006, la NASA a reconnu avoir perdu la trace de ces films, qui contenaient des images historiques des premiers pas de l’Homme sur la Lune. En 2006, la NASA a lancé une enquête pour retrouver les films originaux. L’enquête a duré plusieurs années, mais elle n’a pas permis de les retrouver. La perte des films originaux de la mission Apollo 11 a été un incident embarrassant pour la NASA. L’agence spatiale a mis en place des mesures pour éviter que cela ne se reproduise ».

    Je vous rappelle que nous parlons du plus grand exploit de tous les temps et les gars ont perdu les films !

    Les audios truquées

    L’absence de décalage dans des conversations avec la Terre.

    Il serait impossible que la Terre puisse communiquer avec les astronautes sans délai. Le délai de transmission radio entre la lune et la Terre est de 1,3 seconde auxquels il faut rajouter les délais « électroniques » de transmission du signal soit un total d’environ 2 secondes. Dans les documentaires diffusés11, nous entendons des conversations en direct entre les astronautes et la Terre sans le moindre délai. Ici encore les débunkers affirmeront que c’était un montage pour rendre l’enregistrement plus agréable.

    L’absence de bruit de propulsion lors de la descente du Lem ni de cratère d’impact.

    Comment est-il possible que les vibrations n’entraînent pas un bruit à minima audible dans les conversations entre les astronautes et la Terre ? Les astronautes étaient factuellement assis sur le moteur du LEM qui crache des gaz à 100 bars et ils subissent une décélération d’environ 3 G.

    IA :

    « Les astronautes ont décrit ces vibrations comme étant fortes, mais pas insupportables. Ils ont déclaré qu’elles étaient similaires aux vibrations ressenties lors d’un décollage ou d’un atterrissage terrestre. »

    Il est aussi étrange que la zone d’alunissage ne montre aucune trace de cratère de souffle sous la tuyère, et ce pour l’ensemble des alunissages, toutes missions confondues.

    Ci-dessous une photo montrant l’absence de cratère.

    Ci-dessous une photo du booster de Space-X lors d’un retour sur Terre.

    IA :

    « Les températures et pressions du moteur du LEM en phase d’alunissage sont les suivantes : Température en sortie de tuyère : environ 2 600 °C. Pression en sortie de tuyère : environ 100 bars12. Ces valeurs sont similaires à celles des boosters SpaceX Falcon 9 en phase d’atterrissage. La température du sol peut atteindre 2 500 °C lors de l’atterrissage d’un booster Falcon 9. »

    « Grâce à ces facteurs, la température du sol sous la tuyère du LEM peut atteindre 2 600 °C. Cette température est suffisante pour faire fondre le régolithe et créer un cratère d’impact. Voici quelques exemples de températures du sol lunaire mesurées sous la tuyère du LEM lors des missions Apollo :

    Apollo 11 : 2 600 °C

    Apollo 12 : 2 600 °C

    Apollo 14 : 2 500 °C. »

    Une vidéo de la NASA13 simule l’effet du souffle du Lem en fonction du diamètre des poussières sur laquelle nous pouvons voir la création de cratères (je vous invite à réduire la vitesse de lecture à 0,25 pour mieux voir).

    Photo de la simulation sur laquelle nous voyons bien le cratère :

    Un autre facteur étrange est qu’au pied du Lem il y ait énormément d’empreintes de pas suggérant que le souffle du moteur n’a pas balayé la poussière de la zone en sortie de tuyère.

    L’absence de poussières et de lumière au décollage du LM.

    Google IA :

    « Le LEM a soulevé d’énormes quantités de poussière lors des alunissages. La poussière lunaire est très fine et légère, et elle est facilement soulevée par le vent ou par un choc. Lorsque le LEM a touché la surface de la Lune, il a créé une onde de choc qui a soulevé une énorme quantité de poussière. Cette poussière a formé un nuage qui a obscurci la vue des astronautes et de la caméra. Les astronautes ont dû attendre que la poussière se dissipe avant de pouvoir sortir du LEM. »

    Il serait intéressant de savoir comment ils ont pu se poser sans visibilité.

    IA :

    « La zone n’avait pas moins de poussière après l’alunissage. La poussière soulevée par le LEM a recouvert toute la zone environnante. »

    J’ai alors demandé à l’IA de me fournir des photos des Lems avec poussière, mais « étrangement » les photos ne sont pas apparues14. Insistant il m’a dit qu’il me passait des liens, or les titres n’avaient aucun lien, puis je lui ai demandé de m’afficher directement le lien sous la forme https://xxx et il m’a répondu qu’il n’était pas programmé pour pouvoir faire cela.

    Bizarrement les photos du LEM sur le net sont toutes rutilantes. 

    La photo ci-dessus montre un LEM sans la moindre poussière.

    Voici une photo d’un des pieds sans poussière.

    Mais qu’en est-il du décollage, voici les réponses de l’IA :

    « Lors du décollage, le LEM a également soulevé de la poussière. Cela est dû à la poussée des moteurs. La poussière a été soulevée de la surface de la Lune et s’est dispersée dans l’atmosphère lunaire. Cependant, la quantité de poussière soulevée lors du décollage était généralement moindre que celle soulevée lors de l’alunissage. Cela est dû au fait que le LEM s’élevait plus lentement lors du décollage. La poussière soulevée par le LEM lors de son alunissage et de son décollage a eu un impact sur les missions Apollo. Elle a obscurci la vue des astronautes et a rendu difficile la navigation du LEM. »

    Pourtant le film du décollage15 de Apollo 17 que vous pouvez visionner ne montre pas de poussière, ce que l’IA ne nie pas.

    L’IA ne se « démonte » pas et trouve des explications pour le moins « pittoresques » :

    « Le film du décollage d’Apollo 17 ne montre pas de poussière pour plusieurs raisons.

    Premièrement, le LEM s’élevait plus lentement lors du décollage que lors de l’alunissage. Cela signifie que la quantité de poussière soulevée était moindre.

    Deuxièmement, le LEM était équipé d’un système de nettoyage de la poussière. Ce système utilisait des jets d’air pour souffler la poussière de la surface du LEM.

    Troisièmement, le film du décollage a été tourné avec une caméra à haute vitesse. Cela signifie que la poussière était plus difficile à voir sur le film.

    En plus de ces raisons, il est également possible que la poussière ait été soulevée par les vents lunaires avant que le LEM ne décolle. (Un petit Mistral dans le vide spatial…) Si c’est le cas, la poussière aurait été dispersée dans l’atmosphère lunaire avant que le film ne soit tourné. »

    À propos de la combustion et du panache qu’il devrait y avoir sous le Lem lors du décollage.

    Voici les réponses de l’IA :

    « Il y avait un panache de gaz incandescent lors du décollage du LEM. Le panache était causé par la chaleur extrême des gaz de combustion qui étaient expulsés par la tuyère du moteur.

    Les gaz de combustion étaient tellement chauds qu’ils étaient incandescents, c’est-à-dire qu’ils émettent de la lumière. Le panache de gaz incandescent était visible de loin, et il était un signe clair que le LEM décollait. Il était également un danger potentiel pour les astronautes, car il pouvait les brûler. Pour cette raison, les astronautes devaient porter des combinaisons spatiales spéciales qui les protégeaient de la chaleur. Le panache de gaz incandescent était un spectacle impressionnant, et il est un rappel de la puissance des moteurs à propergol solide. »

    « La longueur du panache incandescent lors du décollage du LEM variait en fonction de la vitesse d’ascension du LEM. Plus la vitesse d’ascension était élevée, plus le panache était long. En moyenne, la longueur du panache incandescent était d’environ 100 mètres. Le panache pouvait atteindre une longueur de 200 mètres lors des décollages les plus rapides.

    Voici quelques exemples de la longueur du panache incandescent lors du décollage du LEM : lors du décollage d’Apollo 11, le panache était long d’environ 150 mètres.

    Lors du décollage d’Apollo 17, le panache était long d’environ 200 mètres. »

    « Le panache incandescent du LEM a pu brûler et endommager la partie du LEM restée au sol. Cependant, les dommages étaient généralement mineurs. Dans certains cas, le panache incandescent a pu causer des dommages plus graves au MLD. Par exemple, il a pu faire fondre des composants électroniques ou endommager des structures métalliques. Lors du décollage d’Apollo 17, le bouclier thermique du MLD a été fondu et endommagé. »

    Rappelons que sur la vidéo de décollage du LEM de Apollo 17, il n’y a strictement aucune lumière en sortie de tuyère.

    Cela ne démonte toujours pas l’IA qui devrait faire une carrière d’acteur comique :

    « La vidéo du décollage du LEM d’Apollo 17 ne montre ni panache ni même une petite lumière sous le LEM qui s’élève pour plusieurs raisons.

    Premièrement, la vidéo a été tournée avec une caméra à haute vitesse. Cela signifie que chaque image est capturée en 4,16 millisecondes. La poussière et les gaz chauds du panache incandescent se déplacent rapidement, et ils peuvent donc être difficiles à voir sur une vidéo tournée à une vitesse aussi élevée.

    Deuxièmement, le LEM était équipé d’un système de nettoyage de la poussière. Ce système utilisait des jets d’air pour souffler la poussière de la surface du LEM. Cela a contribué à réduire la quantité de poussière soulevée lors du décollage.

    Troisièmement, le LEM était orienté de manière à ce que le panache incandescent soit dirigé vers le bas. Cela a également contribué à réduire la quantité de poussière et de gaz chauds visibles sur la vidéo. »

    Je lui ai alors demandé s’il avait une photo du décollage de Saturn V prise avec une caméra haute vitesse (pour voir si effectivement cela pouvait masquer les gaz).

    « Oui, il existe des photos du décollage de Saturn V depuis la Terre pour la mission Apollo 17 prises avec des caméras haute vitesse. Ces photos ont été prises par une caméra cinématographique Panavision Panaflex, qui pouvait filmer à une vitesse de 240 images par seconde. Les photos prises avec des caméras haute vitesse ont permis de capturer des détails qui ne seraient pas visibles avec des caméras standard. Elles nous donnent une vision plus claire du décollage de Saturn V et de la puissance de ce lanceur historique. »

    Et là il est censé me montrer « [Image de la fumée et la flamme du moteur de la fusée Saturn V décollant depuis la Terre pour la mission Apollo 17, prise avec une caméra haute vitesse] »

    Et « bizarrement », la 2e fois depuis le début de mon échange avec l’IA, encore à un moment « critique », cette photo n’apparaît pas. J’insiste et voici sa réponse.

    « Je suis désolé, je n’arrive pas à trouver cette image. Je l’ai recherchée dans le catalogue de la NASA et je ne l’ai pas trouvée. »

    « Il est possible que cette image n’existe pas ou qu’elle ne soit pas accessible au public.

    La NASA conserve de nombreuses images et vidéos de ses missions spatiales, mais certaines sont classifiées ou réservées à un usage interne. »

    Bref, vraiment la faute à pas de chance !

    Voici une photo capturée sur le film du décollage16 de Apollo 17 dont j’ignore si la caméra était à haute vitesse ou pas.

    Capture film décollage Apollo 11 à 500 images par seconde17.

    No comment!

    La vidéo du décollage du Lem de la mission Apollo 17 montre clairement une espèce de petit « prout » qui permet au LEM de se détacher de la partie basse. Cela fait un peu de lumière, un peu de poussière, puis le Lem semble quitter la Lune sans propulsion comme s’il était lui-même un ascenseur sans pesanteur. À se demander s’il n’était pas tiré par un câble.

    De plus, la lumière que nous voyons pendant les 13 premières secondes est clairement sur le côté du Lem et non en dessous sous les tuyères, cette lumière serait donc l’éclairage du soleil. Il n’y a donc aucune lumière créée par un moteur dont les gaz sont à « 2600 degrés et 100 bars » (IA).

    Or Google IA dit :

    « La vitesse de satellisation (vitesse minimale pour mise en orbite) du LEM lors de la mission Apollo était de 1,67 km/s à une altitude de 110 km »

    « La durée totale d’utilisation du moteur du LEM depuis le décollage de la Lune jusqu’à la vitesse de satellisation a été de 5 minutes et 42 secondes. »

    « Le moteur de descente du LEM a été allumé en trois étapes, chacune d’une durée de 2 minutes et 21 secondes. Entre le décollage de la Lune et la première extinction du moteur, il s’est passé 2 minutes et 21 secondes de poussée. Cette poussée a permis au LEM de s’élever de la surface de la Lune et d’atteindre une altitude de 10 km ».

    « La vitesse du LEM était d’abord nulle au moment du décollage.

    La poussée du moteur a ensuite donné au LEM une accélération constante de 2,9 m/s². En 2 minutes et 21 secondes, l’accélération constante a permis au LEM d’atteindre une vitesse de 1,2 km/s (4320 km/h). »

    Il est donc bien confirmé que le moteur était allumé constamment depuis le décollage et il devrait donc provoquer un panache lumineux de plus de 100m, ce qui n’est pas le cas sur la vidéo. La conclusion s’impose donc.

    Comment a été tourné le film du décollage du Lem ?

    Certains complotistes se demandent si le cameraman est encore sur place.

    Selon Google IA :

    « La caméra a enregistré le décollage du LEM de la mission Apollo 17 le 14 décembre 1972. Les images du décollage du LEM sont les seules images du décollage de la Lune filmées depuis la surface de la Lune. »

    « La caméra était contrôlée à distance depuis le module de commande et de service (CSM) (module en orbite). »

    « La caméra était équipée d’un système de télécommande qui permettait aux astronautes du CSM de contrôler la caméra depuis leur poste de pilotage. Les astronautes pouvaient utiliser le système de télécommande pour déplacer la caméra, zoomer et ajuster la luminosité. »

    « Le module de commande et de service (CSM) était en orbite autour de la Lune pendant que le module lunaire (LM) était sur la surface de la Lune. »

    « La durée durant laquelle le LEM pouvait voir le CSM en orbite était d’environ 1 heure et 10 minutes. Cette durée était déterminée par la période orbitale du LEM, qui était d’environ 1 heure et 10 minutes. »

    « En effet, le CSM était en orbite polaire autour de la Lune, ce qui signifie qu’il passait au-dessus de tous les points de la surface de la Lune. Il est donc possible que le CSM se trouvât sur la longitude opposée à la longitude du LEM au moment du décollage. »

    Si le Lem avait une fenêtre de tir d’environ 4 heures, il demeure totalement crédible de choisir une heure de décollage compatible avec la vidéo.

    En tous les cas un bel exploit technique. Une capsule Apollo à 110 km au-dessus de la Lune qui se déplace à 5000 km/h et qui arrive à capter pendant au moins 34 min (durée du film18 disponible, donc un déplacement de plus de 2500 km) et sans brouillage du signal, la vidéo d’une caméra au sol et renvoyer en temps réel des ordres de commande de la caméra (position, zoom, etc) le tout sans subir de perturbations radio du Lem en train de décoller. Il est bien entendu que l’antenne doit être réorientée vers les sites d’alunissage pour ne pas perdre le signal.

    L’absence de radiations sur les films et les photos.

    Comment serait-il possible d’avoir des photos aussi nettes et contrastées alors que les films argentiques auraient dû être impactés par les radiations aussi bien durant la prise de vue que durant leur retrait, leur mise à l’abri, voir même leur transport ?

    Exemple de pellicule altérée par des rayons X dans un aéroport, on voit bien une bande horizontale plus claire :

    Les fact-checkers affirment que les appareils et les films étaient protégés. Il est intéressant de voir que des photos prises à Tchernobyl sont marquées par les radiations.

    L’IA nous dit qu’ils avaient des appareils photo et des films spéciaux qui réduisaient les risques de 50 %, mais cela est en contradiction avec des données diffusées sur Internet. Alors que ces pellicules résistaient aux températures extrêmes aussi bien froides que chaudes, il semblerait que Kodak n’en ait pas fait un argument publicitaire.

    Là où ça tient du miracle, est que le temps de pose19 de certaines photos était très long20.

    IA :

    « D’autres photos, telles que des paysages lunaires ou des photos de la Terre depuis la Lune, ont également nécessité des temps de pose plus longs. Dans certains cas, les temps de pose pouvaient atteindre plusieurs minutes. » Temps durant lequel les films étaient bombardés de radiations. Je vous rappelle que tous les originaux ont été égarés.

    Pourquoi la capsule qui touche l’eau au retour sur Terre ne dégage-t-elle pas de la vapeur ou ne brûle pas les mains des techniciens qui font sortir les astronautes ?

    Et ce alors qu’elle était à quelques milliers de degrés Celsius quelques minutes avant durant la rentrée dans l’atmosphère. Comment les techniciens font-ils pour la toucher avec leur main sans se brûler après l’amerrissage ?

    Selon IA Google :

    « La température de la capsule Apollo durant la descente était extrêmement élevée. La capsule pénétrait dans l’atmosphère terrestre à une vitesse de 40 000 km/h. L’air de l’atmosphère était comprimé et chauffé par la vitesse de la capsule, atteignant des températures de 3 000 à 4 000 degrés Celsius ».

    La répétition

    Nous n’avons toujours pas réussi à retourner sur la Lune, prouvant ainsi l’extrême difficulté de l’opération.

    Si l’on se place en 1969 alors le succès de la mission relèverait du miracle. Dans ces conditions il eût été délirant de prendre le risque d’autres missions. Ce simple constat de la répétition affirme que nous étions dans une technologie totalement éprouvée et maîtrisée, ce qui est un peu ridicule quand on pense que l’on a « perdu » cette technologie (selon la NASA).

    Pérégrine devait se poser sur la Lune et redécoller il y a quelques jours et la mission s’est soldée par un échec.

    De plus la technologie du Falcon9 de Space-X qui permet aux boosters de retourner atterrir sur Terre à la verticale, exactement comme les LEMS, est présentée comme une « nouvelle technologie » innovante alors que c’était quasi routinier au début des années 1970.

    Falcon 9 a d’ailleurs connu de nombreux déboires.

    Voici une photo tirée d’un petit film présentant le Falcon 9 se poser21

    Que faire des témoignages d’astronautes qui disent qu’un jour on pourra quitter l’orbite terrestre ?

    « Leur langue a fourché, ce n’était pas ce qu’ils voulaient dire ? »

    La pierre lunaire du musée d’Amsterdam22.

    Il y a quelques années une expertise a été faite pour des motifs d’assurance qui est arrivée à la conclusion que c’était non pas une roche lunaire, mais du bois pétrifié. Notons que de nombreux États ont « perdu » leur pierre lunaire23. Nous parlons ici d’objets uniques et extraordinaires témoins du plus grand succès de l’humanité. « Oui, mais c’est peut-être juste des erreurs ! »

    Il est possible de trouver des roches lunaires en Antarctique et la NASA y est allée en 1966 et 1967.

    Expédition CNRS24 : « 25/01/2018. On a trouvé une météorite lunaire ! ».

    Futura-sciences25 :

    « Dans une nouvelle étude portant sur des météorites lunaires retrouvées en Antarctique, des chercheurs de l’ETH Zurich apportent la preuve que la Lune s’est bien formée à la suite d’un impact géant entre un corps planétaire et la Terre ».

    Voici ce qu’affirme l’IA de Google26 :

    « Les météorites lunaires sont très rares, mais on en a trouvé plus de 300 à ce jour. La plupart des météorites lunaires ont été trouvées en Antarctique, car la glace et la neige de ce continent ont aidé à préserver ces météorites rares. »

    « Il y a eu plusieurs expéditions menées conjointement par la National Science Foundation (NSF) et la NASA en Antarctique dans les années 1960 »

    « Wernher von Braun a participé à une expédition en Antarctique en 1966-1967. Il était accompagné de plusieurs autres membres de la NASA, dont Ernst Stuhlinger, Robert Gilruth et Maxime Faget. L’objectif de l’expédition était d’étudier les conditions de vie et de travail en Antarctique, dans le cadre de la préparation des missions Apollo. L’expédition a duré deux mois et a permis aux participants de collecter des données précieuses sur la météo, la géologie et la biologie de l’Antarctique. »

    « Wernher von Braun était le directeur du développement des lanceurs pour la NASA. Il a été responsable de la conception et de la construction de la fusée Saturn V, qui a permis aux missions Apollo d’atteindre la Lune. »

    La NASA affirme que nous ne pouvons pas retourner sur la lune parce que nous avons perdu la technologie et le savoir de 1969 !

    En premier lieu comment serait-il possible de perdre les données de l’événement le plus extraordinaire de l’humanité et nous aurions besoin d’une technologie totalement dépassée pour y parvenir aujourd’hui ?! C’est comme si nous avions besoin de la technologie du train à vapeur pour construire un TGV.

    L’astronaute de la NASA Dan Pettit27 l’a affirmé.

    Google IA :

    « Don Pettit est un astronaute américain de la National Aeronautics and Space Administration (NASA). Pettit est un pionnier de l’exploration spatiale.

    Il est un exemple de l’excellence scientifique et technique de la NASA. »

    « Don Pettit a affirmé que nous avions perdu la technologie pour aller sur la Lune.

    Il a fait cette affirmation dans une interview accordée au magazine Wired en 2013.

    Pettit a déclaré que la technologie utilisée pour les missions Apollo n’est plus disponible aujourd’hui. Les usines qui produisaient les composants de ces missions ont été fermées, et les connaissances et les compétences nécessaires pour les fabriquer ont été perdues. »

    « Si l’on considère que la technologie est simplement les composants physiques nécessaires à un voyage sur la Lune, alors il est possible que la technologie nécessaire soit encore disponible. Cependant, si l’on considère que la technologie comprend également les connaissances et les compétences nécessaires pour fabriquer et utiliser ces composants, alors il est plus probable que nous ayons perdu cette technologie. »

    Pourquoi ne voit-on aucune étoile dans les photos prises depuis la Lune ?

    Petite remarque « complotiste » : S’il y avait des étoiles sur les photos, nous aurions la possibilité actuelle de calculer le lieu et la date de la prise de vue.

    Les fact-checkers expliquent que les astronautes étaient présents de jour sur la face éclairée de la Lune et que la lumière du soleil masquait les étoiles comme sur Terre. Aux astronautes à qui l’on avait posé cette question, ceux-ci disaient ne pas se rappeler. Rappel : Il n’y a pas d’atmosphère sur la Lune.

    Question posée à l’IA de Google28 :

    « Puis-je voir les étoiles dans l’espace si le soleil est dans ma direction ? »

    Réponse :

    « Si vous regardez dans la direction du Soleil, vous ne verrez que la lumière du Soleil. Les étoiles seront cachées par la lumière du Soleil.

    Cependant, il est possible de voir les étoiles dans l’espace si le soleil est dans une autre direction. Par exemple, si vous êtes dans l’espace et que vous regardez dans la direction opposée au Soleil, vous pourrez voir les étoiles ».

    Alors pourquoi les astronautes n’ont-ils fait aucune photo avec le Soleil dans le dos ?

    Pourquoi sur les photos, même avec un temps de pose important et avec le soleil dans le dos ne voyons-nous pas les étoiles ?

    Selon l’IA :

    « Dans une interview accordée à la télévision américaine le 24 juillet 1969, Neil Armstrong a déclaré : “Nous n’avons pas pu voir les étoiles. La luminosité du soleil était telle que nous n’avons pas pu les distinguer”. Buzz Aldrin a également déclaré dans la même interview : “Nous n’avons pas pu voir les étoiles. La lumière du soleil était trop brillante.” »

    Le journal Le Parisien29 a débunké l’absence d’étoiles visibles sur la Lune :

    « En outre, en raison de l’absence d’atmosphère, le ciel reste noir de jour comme de nuit. Sur une photographie prise en 1968 par Apollo 8, “le premier lever de terre” ne montre pas d’étoiles. À notre échelle, c’est un peu le même phénomène dans un stade de foot la nuit. Vous voyez les joueurs, la pelouse, mais pas d’étoile ? C’est normal : il y a tellement de lumière pour éclairer le terrain qu’on ne perçoit plus le ciel étoilé. »

    Voici donc, selon le Parisien, une photo sans étoile « prouvant » que l’on ne peut pas les voir dans l’espace (et que les photographes n’auraient pas pu prendre une photo en visant plus haut) :

    Pourtant cette photo30 ci-dessous prouverait que l’on peut prendre en photo les étoiles depuis l’espace qui plus est avec un temps de pose très court (sinon les étoiles seraient en forme de traits du fait de la vitesse de l’ISS.)

    L’IA résume ainsi :

    « Si vous regardiez le Soleil directement dans l’espace, vous seriez immédiatement aveuglé. »

    « Si vous êtes dans l’espace, dos au soleil et qu’il y a un objet ou même la Lune ou la Terre qui sont éclairés par le Soleil, vous ne verrez pas des étoiles, car votre champ de vision recevra trop de lumière. »

    « Si vous êtes dans l’espace dos au Soleil et qu’il n’y a dans votre champ de vision ni objet proche, ni la Terre, ni la Lune, alors vous pourrez voir les étoiles encore plus brillantes que sur Terre »

    « Si vous êtes dans l’espace face au Soleil et que vous placez entre le Soleil et vous un cache qui masque tout le diamètre du Soleil, alors vous pourrez voir les étoiles. La raison en est que le cache bloquera la lumière du Soleil31, ce qui vous permettra de voir les étoiles qui sont derrière le Soleil. Cependant, il est important de noter que le cache doit être suffisamment grand pour masquer tout le diamètre du Soleil. Avec un peu de planification, vous pourrez voir les étoiles dans leur pleine splendeur dans l’espace, même si vous êtes face au Soleil. »

    Nous voici donc avec une IA « complotiste ».

    Pour le site Quora32, la réponse est encore plus drôle, il n’auraient pas eu le temps ?!

    Rappelons que si nous faisons la somme de toutes les missions spatiales c’est plus de 305 heures sur le sol lunaire, soit plus de 12 jours, et y’a pas un gars qui s’est dit que ce serait cool d’avoir une image des étoiles depuis la lune et d’autant que cela prouverait leur présence ?!

    Il va donc falloir m’expliquer pourquoi il n’y a AUCUNE étoile sur les photos prises sur la Lune, mais aussi pourquoi nombre de débunkers affirment qu’il est techniquement IMPOSSIBLE de les voir du fait de la lumière du soleil !

    Comment ont-ils climatisé la température de leur combinaison spatiale et comment ne sont-ils pas tombés malades en respirant de l’oxygène pur ?

    120 degrés sur la face exposée au soleil et moins 150 à l’ombre ? Des batteries au plomb très lourdes, très grosses et peu performantes existaient à l’époque.

    À ce propos Aldrin aurait déclaré qu’il faisait un peu froid dans le LEM la nuit alors même que cela aurait dû être l’inverse, les astronautes étant présents durant la période de jour et donc tout le temps au soleil.

    Un autre point, les astronautes respiraient de l’oxygène quasi pur pendant toute la durée du voyage.

    IA :

    «  les astronautes d’Apollo 11 respiraient le même mélange d’oxygène et d’azote dans le LEM et dans Apollo. Le mélange était composé de 99,5 % d’oxygène et de 0,5 % d’azote. »

    Chatgpt :

    « L’exposition prolongée à des concentrations élevées d’oxygène peut causer des dommages pulmonaires, des lésions oculaires, des problèmes respiratoires, des convulsions et d’autres complications potentiellement graves. »

    « Pour un individu de corpulence moyenne en bonne santé, respirer un mélange à 99,5 % d’oxygène et 0,5 % d’azote pendant une période allant jusqu’à quelques heures ne devrait normalement pas causer de symptômes significatifs. »

    « L’inhalation prolongée d’un tel mélange peut entraîner une diminution du niveau de dioxyde de carbone (CO2) dans le corps, car l’azote, qui est normalement présent dans l’air, dilue l’oxygène et permet l’élimination du CO2. Une baisse excessive du CO2 dans le sang peut entraîner des symptômes tels que la sensation de vertige, l’essoufflement, l’engourdissement des extrémités et l’altération de la conscience. »

    « Respirer un mélange à 99,5 % d’oxygène et 0,5 % d’azote pendant une période prolongée de 3 jours peut entraîner des risques et des symptômes potentiellement graves. L’exposition prolongée à des concentrations élevées d’oxygène peut causer des dommages aux tissus pulmonaires, des lésions oculaires, des problèmes respiratoires, des convulsions, des étourdissements, des troubles de la coordination et d’autres complications potentiellement graves. De plus, une exposition prolongée à de l’oxygène à des concentrations élevées peut perturber l’équilibre normal des gaz dans le corps, ce qui peut avoir des effets néfastes sur le système nerveux central. Cela peut entraîner des symptômes tels que des convulsions, des étourdissements, des troubles de la coordination, des maux de tête, une altération de la conscience et, dans des cas graves, des lésions cérébrales. »

    Ça m’intéresse33 :

    « Au-delà d’une centaine d’heures, des lésions se forment dans les couches internes des vaisseaux sanguins et dans les alvéoles pulmonaires, provoquant la mort. Avant cette échéance, l’hyperoxie (excès d’oxygène) peut provoquer des dégradations de la rétine, du foie, des reins et des intestins. »

    IA google :

    « Apollo 11 : 192 heures sous oxygène. Apollo 14 : 240 heures sous oxygène. Apollo 15 : 301 heures sous oxygène quasi pur. »

    Précisons que les astronautes étaient sous une pression de 0,3 bar.

    ChatGpt :

    « La réduction de la pression en oxygène à 0,3 bar (ou 0,3 fois la pression atmosphérique terrestre) présente certains avantages potentiels, mais elle comporte également des risques et des considérations importantes. Cependant, une pression en oxygène réduite peut également entraîner des effets néfastes sur le corps humain. À des pressions en oxygène plus basses, il peut devenir plus difficile pour les poumons de diffuser suffisamment d’oxygène dans le sang. Cela peut entraîner une hypoxie, c’est-à-dire une diminution de l’apport en oxygène dans les tissus corporels, ce qui peut avoir des conséquences graves pour la santé et le fonctionnement du corps. Une pression en oxygène réduite peut également augmenter le risque de développer le mal de décompression, qui survient lorsque la pression ambiante diminue rapidement, entraînant la formation de bulles d’azote dans le sang et les tissus. C’est un risque important lorsqu’il s’agit d’activités spatiales ou de plongée sous-marine. »

    Sur la bible ?

    Que dire de tous les astronautes qui sont allés sur la Lune et ont tous refusé de jurer sur la Bible qu’ils y étaient allés ? Et ce d’autant plus que les journalistes ajoutaient qu’ils donneraient alors des milliers de dollars à des associations caritatives ?

    Je vous rappelle qu’aux USA, il est extrêmement grave de mentir sur la Bible. « Cela ne prouve rien, rien ne les obligeait à jurer ! »

    Une mort bien étrange

    IA :

    « Un inspecteur de sécurité a mis en lumière les problèmes techniques entourant la mission Apollo 1. Thomas Ronald Baron était un inspecteur de contrôle qualité et de sécurité pour la NAA qui a été très critique à l’égard de la NASA et de son protocole pendant le projet Apollo. Baron a publié un rapport de 55 pages détaillant les lacunes et le désarroi dans lequel se trouvait le programme.

    Le rapport de Baron a été jugé trop critique et disproportionné, peu de ses affirmations ayant une réelle crédibilité. À un moment donné, il a témoigné devant le Congrès, affirmant que, dans les circonstances actuelles de la NASA, nous n’atteindrions jamais la Lune. Cependant, beaucoup n’ont pas prêté attention à Baron et pensaient qu’il était potentiellement utilisé comme un pion dans la campagne du sénateur Walter Mondale visant à dénoncer et à démanteler la NASA pour ses dépenses inutiles.

    Baron a été licencié par la NAA pour avoir divulgué son rapport à la presse, tandis que sa société a nié la majorité de ses critiques. Il est apparu plus tard que de hauts responsables avaient vérifié la crédibilité d’au moins la moitié de ses affirmations.

    Quelques semaines plus tard, la catastrophe d’Apollo 1 s’est produite et Baron a commencé à transformer son rapport de 55 pages en un rapport de 500 pages condamnant la NASA et la NAA pour les échecs qui ont conduit à la tragédie. Curieusement, une semaine plus tard, Baron et sa famille furent tués lorsque leur voiture fut heurtée par un train. La cause du décès a été jugée accidentelle et aucune autopsie n’a été pratiquée. Le rapport de 500 pages de Baron a été détruit (a disparu) et n’a jamais été publié. »

    « À la page 280 du livre de Mike Gray Angle of Attack : Harrison Storms and the Race to the Moon34 (1992), Gene Kranz, directeur de vol de la NASA dans les missions Gemini et Apollo, aurait déclaré : “C’était comme un camp d’entraînement. Nous avons pris nos meilleurs contrôleurs et en avons fait des instructeurs. Ils ont martelé les maillons faibles jusqu’à ce qu’ils se brisent. […] Certains gars sont morts d’une crise cardiaque. D’autres se sont suicidés.” »

    Comment garder un tel secret ?

    Un argument de taille des débunkers consiste à dire qu’il eut été impossible de garder une telle supercherie secrète.

    À cela nous pouvons répondre : « Projet Manhattan ».

    IA :

    « Le nombre de personnes impliquées dans le programme qui a permis de créer la première bombe nucléaire est estimé à environ 130 000. Ce chiffre comprend les scientifiques, les ingénieurs, les ouvriers, les militaires et les autres personnes qui ont travaillé sur le projet Manhattan, le nom de code du programme.

    Le projet Manhattan a été lancé en 1941 par le gouvernement américain. Le projet Manhattan a été un effort colossal, qui a nécessité des ressources considérables. Le gouvernement américain a investi plus de 2 milliards de dollars (37 milliards de dollars d’aujourd’hui) dans le projet, et des milliers de personnes ont travaillé sur le projet dans des laboratoires et des installations dispersés aux États-Unis et au Royaume-Uni. Le grand public a été informé de l’existence du projet Manhattan le 16 juillet 1945, le jour du test de la première bombe nucléaire à Alamogordo, au Nouveau-Mexique. »

    Ceci est la preuve qu’il est possible de garder un secret pendant des années notamment grâce au cloisonnement des tâches. Chacun travaille dans son coin, dispose d’une partie du projet en ignorant la totalité.

    IA :

    « On estime que seulement environ 10 % des personnes impliquées, soit environ 13 000 personnes, connaissaient l’objectif global du projet. »

    Si votre objectif était de mettre en place un faux voyage vers la Lune, il suffirait de très peu de personnels dès lors que tous les autres croiraient que tout ceci est réel. En tous les cas largement moins que pour le projet Manhattan.

    Si vous deviez mener cette opération secrète

    • La NASA était la seule source d’informations au même titre que Pfizer était la seule source de données sur « l’efficacité vaccinale ».
    • Au niveau politique et administrateurs de la NASA, il suffirait d’une poignée de personnes.
    • La fabrication du faux studio et des effets spéciaux simulant l’absence de pesanteur se justifierait pour des entraînements, il ne serait pas nécessaire de divulguer le secret à ce personnel.
    • La fabrication d’un centre de contrôle bis se justifierait pour des raisons de sécurité et redondance.
    • Le seul personnel au courant serait donc l’équipe du centre de contrôle bis qui gérerait le vol spatial en orbite autour de la Terre pendant 3 jours pendant que les astronautes seraient censés quitter l’orbite terrestre, voyager ver la Lune, orbiter, se poser, redécoller et revenir vers la Terre. (La fusée peut aussi fonctionner à vide, sans astronautes.)
    • Une autre partie du personnel bis se chargerait de la communication avec le centre de contrôle principal. Ils fourniraient les faux échanges avec les acteurs et les fausses données censées venir de l’espace et de la Lune.
    • Le centre de contrôle principal croirait de bonne foi qu’il communiquerait avec des astronautes et une fusée à 400000 km de la Terre.
    • L’équipe de tournage se chargerait de filmer le vol vers la Lune et les phases lunaires en temps réel comme si c’était une émission en direct. Quoi de mieux que choisir un metteur en scène qui aurait tourné « 2001, l’odyssée de l’espace », sorti en avril 1968 ?
    • Les acteurs seraient connus, il n’y en a que trois.

    Les phases de préparation, de décollage de la fusée, de mise en orbite, de descente vers la Terre, de récupération des astronautes dans le pacifique demeureraient réelles et gérées par le personnel de la NASA et du centre de contrôle principal qui ignorerait tout de la supercherie.

    De fait la quasi intégralité des membres de la NASA et des militaires ne serait pas informé de l’escroquerie et le nombre de personnes dans le secret des dieux serait largement inférieur aux 13 000 du projet Manhattan, quelques centaines à tout casser.

    Bref rien de bien compliqué lorsque l’on a réussi à cacher pendant des années la mise au point de la première bombe atomique.

    Faits en vrac et non exhaustifs

    • Que dire des confessions qu’aurait faites Stanley Kubrick35 peu de temps avant son décès ? Kubrick qui, sans le moindre doute, fait de fortes allusions à Apollo 11 dans son film Shining36 alors même que Stephen King n’en parle pas dans son livre.
    • Que dire de Buzz Aldrin37 qui avoue à une petite fille que nous ne sommes jamais allés sur la Lune ?
    • Que dire de Thomas Pesquet38 qui s’emmêle les pinceaux et qui dit que c’est un endroit où nous ne sommes jamais allés ? Il a fait plusieurs interviews,39 dont une se demandant si c’est humainement possible d’aller, « aussi loin qu’un être humain s’est jamais éloigné de la terre ».
    • Que dire de toutes les pertes de la NASA,40 dont le film original des premiers pas d’Armstrong, sur la Lune ?
    • Que dire de l’IA de Google qui énonce à Poutine41 que les films de l’alunissage sont des faux ?

    Il existe bien sûr des dizaines d’autres sujets qui questionnent la « vérité » officielle et j’invite les lecteurs curieux à regarder le documentaire de 3 h 30, « American Moon42 ». ou « Que s’est-il passé sur la Lune43 » de 1 h 58.

    Des preuves pour affirmer que la Lune est un fake ?

    Non, je n’ai pas la moindre preuve hormis des faisceaux d’indices.

    • Quand bien même des scientifiques et des astronautes, même de la NASA, affirment que l’on ne peut pas traverser la ceinture de radiation de Van Allen ou supporter les rayons cosmiques, cela n’apporte pas la preuve que personne ne l’ait fait.
    • Le fait que l’ISS soit en orbite basse protégée par le magnétisme de la Terre n’est pas une preuve. Ce fait m’a questionné depuis l’enfance « pourquoi un truc aussi nul ? ».
    • Le fait que la technologie de l’époque fut plus que rudimentaire au regard des difficultés n’est pas une preuve.
    • Le fait que les astronautes aient respiré de l’oxygène pur pendant une période longue sans développer de symptômes plus ou moins graves n’est pas une preuve.
    • Le fait que des astronautes contemporains disent que l’on n’a jamais quitté l’orbite de la Terre n’est pas une preuve.
    • Le fait qu’il n’y ait aucun cratère d’impact sous le Lem et qu’en plus la zone ait de nombreuses traces de pas, la poussière étant restée ne serait pas une preuve.
    • Le fait qu’aucun astronaute qui est allé sur la Lune n’ait accepté de jurer sur la Bible y être allé n’est pas une preuve.
    • Le fait que sur des images de la Terre prises par les astronautes on voit un nuage immense qui parcourt tout le globe n’est pas une preuve. IA : « Le nuage le plus grand jamais photographié est un nuage lenticulaire, également connu sous le nom de nuage d’onde, qui a été photographié au-dessus des montagnes de l’Himalaya en 2009. Le nuage mesurait environ 1 000 kilomètres de long et 500 kilomètres de large. »

    Ici nous voyons un nuage d’environ 9000 km.

    • Le fait que Buzz Aldrin ait dit que nous n’étions jamais allés sur la Lune n’est pas une preuve.
    • Le fait que la seule mission Apollo qui n’ait pas réussi à se poser sur la Lune fut Apollo 13, treize, cela ne s’invente pas, n’est pas une preuve.
    • Le fait que (toutes ?) les photos, films, audios, vidéos soient des faux n’est pas une preuve.
    • Le fait que de nombreuses pierres lunaires aient été perdues et qu’une fut du bois pétrifié n’est pas une preuve.
    • Le fait que l’on puisse trouver des roches lunaires en Antarctique et que la NASA y ait fait une expédition en 1966 et 1967 avec von Braun n’est pas une preuve.
    • Le fait que Stanley Kubrick eut tourné un faux alunissage et qu’il eut avoué à la fin de sa vie n’est pas une preuve.
    • Le fait que de nombreuses personnes critiques soient mortes dans des circonstances pour le moins étranges n’est pas une preuve.
    • Le fait que la NASA ait perdu les originaux des films et des photos n’est pas une preuve.
    • Le fait que l’on ne soit toujours pas capable d’y retourner avec une technologie infiniment supérieure, que la NASA ait « perdue » la technologie des années 60 n’est pas une preuve. (Nous ne savons toujours pas construire les pyramides et pourtant elles existent.)
    • Le fait que les Soviétiques aient renoncé n’est pas une preuve.
    • Le fait est qu’il eut été impossible de reculer. Tout allait mal en 1968, la guerre au Vietnam, l’assassinat de Martin Luther King, l’assassinat de Robert Kennedy, etc. Et que l’astronaute Jim Lowell Apollo 8 déclarait44 « L’année 68 a été une année désastreuse, les choses allaient mal ; on avait besoin de quelque chose de positif pour donner au peuple américain un sentiment de réussite. » n’est pas une preuve.
    • Le fait que cela coûtait une fortune, 288 milliards actuels, que le succès tenait du miracle et qu’il eut été dingue et irresponsable de retenter sa chance et de prendre le risque d’un échec retentissant, et qui plus est plusieurs fois de suite, n’est pas une preuve.
    • La fusée Atlas au début des années 60 avait eu 7 échecs. À propos du câblage défectueux de Apollo 1, Gus Grissom « je ne peux rien dire sinon je me fais virer ». IA « Le 27 janvier 1967, une tragédie a frappé le programme spatial américain. Trois astronautes, Virgil Grissom, Edward White et Roger Chaffee, ont été tués dans l’incendie de la capsule Apollo 1 lors d’une répétition générale avant lancement » soit 2 ans et demi avant le lancement de Apollo11. Il aurait aussi déclaré « Comment pouvons-nous aller sur la Lune si nous ne sommes pas capables de parler entre deux bâtiments ? » Notons que la famille Grissom et notamment son fils Scott45 auraient suggéré que son père avait été assassiné pour le faire taire parce qu’il en savait trop. Le 6 mai 1968, Armstrong46 s’est éjecté du module d’essai simulant l’alunissage du LEM qui s’est écrasé au sol. « Le 6 mars 1969, lors du vol d’essai non habité du module lunaire Spider (LEM-3) pour la mission Apollo 9. Lors de ce vol d’essai, le module lunaire Spider s’est séparé du module de commande et de service (CSM) en orbite terrestre basse. Cependant, lors de la manœuvre de réallumage du moteur du module lunaire pour revenir vers l’orbite du CSM, une défaillance du moteur s’est produite. Cette défaillance a rendu le réallumage du moteur impossible, ce qui a entraîné l’incapacité du module lunaire à rejoindre le CSM et à effectuer un rendez-vous spatial. » Ces événements (il y en a d’autres) montrant que cela n’allait pas si bien ne sont pas pour autant des preuves de la supercherie.
    • Le fait que Collins ait dit dans le documentaire d’Arte « Le jour du lancement, c’était un peu bizarre… mais quand on est arrivé au pied de cette tour de montage gigantesque tout était vide, il n’y avait personne c’était le désert, d’habitude il y avait des dizaines de techniciens, ça grouillait comme une fourmilière, on était au milieu d’une foule de gens, mais tout à coup il n’y avait plus un chat, et je me suis dit bon sang ils savent peut-être quelque chose que j’ignore » n’est pas une preuve.

    Tout ceci, et bien d’autres, ne sont pas des preuves formelles !

    Et si ce qui suit était la « preuve » ?

    Les premiers astronautes qui sont allés sur la Lune sont sans doute ceux qui « prouveraient » le mieux la supercherie.

    • Imaginez-vous revenir du premier voyage sur la Lune.
    • Imaginez-vous être encore vivant, ce qui relève du miracle quand on pense à toutes les premières mondiales et au nombre d’événements dramatiques qui auraient pu conduire à la catastrophe.
    • Imaginez-vous être le premier être humain à avoir accompli le plus grand exploit de l’humanité.
    • Imaginez-vous être considéré comme le plus grand héros adulé de tous les temps !
    • Imaginez votre état d’esprit, quand bien même vous seriez épuisé, comme un vainqueur de marathon peut l’être.
    • Imaginez votre état d’esprit même si vous aviez perdu une main ou vos 2 jambes.
    • Imaginez même que 30 secondes avant de pénétrer dans la salle vous vous étiez fait engueuler comme du poisson pourri par le directeur de la NASA.

    Maintenant rappelez-vous lorsque vous gagnez un match de tennis contre votre cousin ou des photos des premiers hommes qui ont vaincu l’Everest47.

    Disons-le franchement, le superbowl à côté c’est de la merde !

    Vous pourriez même pisser dans le bureau ovale du Président des USA que l’on ne vous dirait rien !

    Et là, lors de cette interview de retour victorieux sur le plancher des vaches, vous faites quoi48 ?

    Je vous rappelle que la salle est en délire et que :

    VOUS AVEZ MARCHÉ SUR LA LUNE !!

    Vous, les trois astronautes, pas un, pas deux, mais tous les trois, vous faites une tête d’enterrement et pas qu’un peu.

    Le moins que l’on puisse dire est que vous n’êtes visiblement pas heureux et extrêmement gênés d’être présents.

    Alors voyez-vous sur la vidéo de la conférence de presse des astronautes triomphants qui reviennent de la Lune ou des complices, bien malgré eux, d’une vaste escroquerie dont ils ne sont pas fiers ?

    Ils sont à ce point mal à l’aise qu’ils n’arrivent même pas à faire semblant alors qu’ils ont dû être briefés auparavant.

    Photo en janvier 1969 lors de leur sélection

    Photo de retour de la Lune en septembre 1969

    J’ai beau triturer mon cerveau, je ne vois aucune raison autre que le faux alunissage pour expliquer leur comportement et leur attitude.

    Une fois de plus, les défenseurs de l’Église de la Vérité lunaire pourront vous montrer des dizaines de vidéos (réelles) dans lesquelles les astronautes sont extrêmement joyeux et vont balayer cette réalité.

    Je vais rappeler une dernière fois le contexte.

    • Un Président fait une annonce folle, qui plus est, avec une date butoir (avant 1970).
    • Les plus grands scientifiques se lancent avec enthousiasme et innocence.
    • Des astronautes, d’anciens militaires patriotes comme il se doit, sont recrutés.
    • Plus le temps passe et plus les catastrophes s’enchaînent, on s’approche dangereusement de 1969.
    • L’année 68 est horrible pour l’Amérique qui ne peut se permettre ni un renoncement ni un échec retentissant de plus.
    • Il ne reste que l’année 1969 pour tout mettre au point, mais ils sont confrontés au mur de la réalité qui est toujours présent en 2024 avec l’échec de l’atterrisseur Pérégrine qui devait alunir et redécoller et qui au final a terminé son existence en brûlant dans l’atmosphère terrestre.
    • La seule possibilité qui reste est donc la tromperie.
    • Une poignée de personnes est informée de l’opération « Fake Moon ».
    • Même ceux qui tournent les fausses images ignorent qu’elles seront diffusées comme des vraies. On leur fait croire que c’est un entraînement et à certains on explique qu’en cas de problèmes techniques de communications avec la Lune, nous diffuserons ces images de Terre (ce qui se pratique toujours à la NASA).
    • Même le personnel du centre de contrôle ignore échanger et recevoir des images d’un studio et croit sincèrement être en relation avec ces hommes sur la Lune. Il n’est donc pas nécessaire de prévenir grand monde. Plus il y a de personnes qui croient que c’est possible et qui croient ce qu’ils voient, plus le mensonge sera crédible et moins il y aura de risques de fuites.
    • Rappelons qu’une dizaine de personnes seraient décédées dans des circonstances mystérieuses49. Précisons que le documentaire « Conspiracy Theory » présenté par la Fox (chaîne nationale) en 2001 est bien caché sur le net.
    • Les astronautes sont d’anciens militaires et des patriotes. Une fois mis dans la confidence ils ne peuvent qu’accepter POUR LES USA !
    • Paradoxalement leur mensonge leur permet d’être réellement des héros, ils sont des sauveurs des USA même si ce n’est qu’une fiction. Rappelez-vous les militaires qui tournaient des films totalement bidon durant la 2e guerre mondiale et qui permettaient de susciter des vocations d’engagement, des récoltes de fonds, mais surtout une adhésion du peuple à la guerre. Leurs mensonges ont permis la « victoire du bien ». On peut donc voir ces astronautes comme des héros de l’Amérique qui peuvent donc se prendre au jeu d’autant plus qu’ils agissent pour le bien de leur nation.
    • Dans ces circonstances, les astronautes n’ont de choix que de se mentir à eux-mêmes, se prendre au jeu ou se suicider.
    • Leur tête d’enterrement lors de la conférence ne serait qu’un retour de conscience du type « Moi l’homme intègre, moi l’homme de foi je suis complice et acteur du plus gros mensonge de tous les temps ».

    Analogie de l’escroquerie

    Si j’étais un explorateur et je vous demandais une énorme somme d’argent pour faire un voyage dans un coin reculé du Sahara, au-delà d’un champ de lave, pour planter un drapeau et qu’au « retour » :

    • Je vous rapporte du sable que j’aurais pu collecter chez moi grâce au sirocco.
    • Je vous dis que je n’ai aucun témoin (sur la Lune cela va être difficile).
    • Je n’ai aucune photo ni film avec des étoiles en fond pour prouver ma position.
    • Je n’ai pas eu le moindre problème pour traverser un champ de lave réputé infranchissable dont certains affirment qu’il est extrêmement dangereux.
    • Je vous rapporte des photos et des films qui sont peut-être tous des faux et en plus j’ai perdu les originaux qui pourraient éventuellement me dédouaner.
    • Je n’avais aucun GPS (cela n’existait pas) qui aurait pu prouver mes déplacements.
    • Les photos satellites (en direct) sont incapables de montrer mon bivouac et le drapeau.
    • Un échec eût été inenvisageable pour mes sponsors (gouvernement, NASA, etc.).
    • C’est un exploit tellement extraordinaire que 50 ans plus tard, les spécialistes disent que personne ne sait faire ce voyage et qu’ils y travaillent pour pouvoir y parvenir.

    Me croyez-vous ?

    Les éléments constitutifs du crime pourraient être :

    • Le mobile principal serait de cacher l’échec des USA à envoyer des hommes sur la Lune et les mobiles secondaires seraient nombreux : vénaux, politiques, humilier les Russes, grandeur de l’Amérique, survie de la NASA, survie d’un programme spatial, etc. Tout faire pour que le monde ignore l’échec du projet.
    • L’élément matériel : faux documents, faux films, faux enregistrements, fausses roches lunaires, fausses déclarations, dissimulation de preuves potentiellement compromettantes (documents originaux, données de vols « perdues »), etc.
    • L’infraction qui consiste à mentir, manipuler, tromper, escroquer l’argent des contribuables et peut-être même tuer pour cacher le crime.
    • Le caractère prémédité intentionnel et préparé. Nous ne sommes pas dans « l’accidentel ».
    • Pour les circonstances aggravantes, nous avons la réitération du crime avec les missions Apollo suivantes.

    Autant il est difficile de prouver que l’on est allé sur la Lune, même la possession de roches lunaires ne constituant pas une preuve, autant les indices de l’inverse ne manquent pas.

    Soit et alors ?

    La théorie qui affirmerait que le programme lunaire est un fake ne reposerait pas sur UNE preuve, mais sur un ensemble impressionnant de faisceaux d’indices, de mensonges avérés, de témoignages d’astronautes et de mobiles du crime.

    Quand bien même vous ne seriez pas convaincu, cela mérite à minima enquête et ne peut être rejeté par le simple argument « complotiste ».

    Nous connaissons les méthodes des débunkers :

    • Interroger des « spécialistes » qui à coup de sophismes confirment.
    • Ne surtout pas enquêter ni donner la parole aux contradicteurs ou permettre le débat.
    • Se placer non pas au centre de l’échiquier, mais uniquement en gardien de la Foi.
    • Discréditer tout « blasphème ».
    • Faire de la conclusion et de la doxa une preuve que c’est possible, « Affirmer c’est prouver ».
    • Ne jamais chercher la vérité, mais démontrer, même jusqu’à l’absurde, que le scénario s’est déroulé tel que décrit.

    Cette méthode est utilisée pour toutes les thèses « complotistes ».

    Imaginons donc, très très difficile pour le commun des mortels biberonné aux mensonges depuis l’enfance qui n’a pas pris la pilule rouge, imaginons-donc que l’Homme ne soit jamais allé sur la Lune.

    Vous pourriez vous dire qu’il y a prescription que c’était une autre époque, la guerre froide.

    Ajoutons que la NASA a réitéré le mensonge avec les missions Apollo suivantes alors qu’elle aurait pu se faire discrète.

    Pour qu’il y eût prescription, il eût fallu que le crime fût avoué et que la NASA cessât de mentir sur d’autres sujets, ce qu’elle continue de faire à une échelle que je ne maîtrise pas.

    Nous voyons par exemple certaines vidéos50 de l’ISS51 dans lesquelles des objets tombent au sol alors qu’il n’y a pas de gravité ou des bulles d’air se forment dans l’espace. Ceci pour dire que les mensonges n’ont pas (totalement) cessé depuis.

    Il faut dire que si le crime était révélé, ce serait potentiellement l’arrêt de mort de la NASA.

    Pour l’IA de Google

    « En plus de leurs carrières et de leurs vies personnelles, les trois premiers astronautes sur la Lune ont également eu un impact durable sur la culture populaire. Ils sont devenus des icônes de l’exploration spatiale et leur histoire continue d’inspirer les gens du monde entier. »

    On dirait une pub pour un film hollywoodien.

    Si comme je le pense du fait de la quantité énorme d’indices et de faits, nous ne sommes jamais allés sur la Lune52 alors, dit en termes simples, c’est quand même dégueulasse de nous l’avoir fait croire (et continuer) alors que nous ne serions même pas capables de quitter l’orbite terrestre.

    Au-delà de…

    Découvrir la vérité sur les missions spatiales ouvre la boîte de Pandore. Dès lors que vous avez la conviction qu’ils peuvent nous mentir à ce point, dès lors que vous savez qu’ils sont prêts à vous décrédibiliser, vous ridiculiser, détruire votre carrière ou pire pour vous faire taire, alors vous savez qu’ils sont capables de tout et le peuvent sur tous les sujets dits « complotistes ».

    Si le fake lunaire est une réalité alors cela devrait clore l’usage du mot « complotiste », mais en revanche crédibiliser le mot « comploteur ».

    Je ne vais pas reprendre pour la énième fois la liste de tous les complots potentiels dont nous sommes les victimes directes ou indirectes, JFK, 11 septembre, Covid, vaccins, guerre en Ukraine, etc. Toute personne lucide sur « l’homme qui a marché dans le Nevada » se devrait de ne plus balayer les théories discréditées d’un simple revers de main avec mépris ou sourire narquois.

    Les médias, les politiques, les scientifiques

    Bien entendu le mensonge sur les missions lunaires décrédibilise totalement la parole des médias mainstream qui continuent de se moquer ou dénigrer ceux qu’ils appellent « complotistes ».

    Je crois en l’effet domino, si nous faisions tomber l’escroquerie lunaire, alors les autres pourraient suivre.

    Merci

    Alain Tortosa53
    22 janvier 2024
    https://7milliards.fr/tortosa20240122-on-a-marche-sur-le-nevada-ou-sur-la-lune.pdf





    Charles Péguy et le « système de la retraite »

    Par Nicolas Bonnal

    Pays de Molière, la France adore les Géronte. J’ai 62 ans et n’ai pas peur de dire aux jeunes : gare aux boomers. Ils ne vont pas vous faire de cadeaux.

    On a dit qui a déjà gagné cette rodomontade sur les retraites, on n’y reviendra pas. Macron impose dans la bonne humeur la gérontocratie de Davos en France (Schwab, Soros, Biden, Rothschild, Rockefeller, Gates, etc.) et pour cela, ils ont recours aux « jeunes homo-érotiques » (Israël Shamir) qu’ils ont imposés grâce aux télés : Sunak, Trudeau, Harari, ce qu’en Espagne on appelle les « macroncitos ». Un petit jeune (ou une Greta-bis, une petite jeune élevée par des lesbiennes, comme en Finlande) pas très sexué pour imposer un Grand Reset et un ordre dictatorial qui s’appuie sur les innombrables petits vieux qui comme en France (ils sont 21 millions) regardent trop la télé et deviennent des bourgeois de gauche convaincus d’avoir fait la bonne affaire en remplaçant leur bon Dieu catho étiolé par la grosse idole climatique.

    Cette histoire de retraite est un scandale : ils n’ont bougé nos preux rebelles que pour ça (ni pour le vaccin, ni pour le pass, ni pour le Reset, ni pour les ZEF) et on aura seulement simulé une fronde parlementaire. Or voici ce qu’il en disait déjà Charles Péguy de cette « culture » de la retraite qui va en finir avec la France de d’Artagnan et de ses mousquetaires (eux-mêmes de simples fonctionnaires d’ailleurs) :

    « C’est toujours le système de la retraite. C’est toujours le même système de repos, de
    tranquillité, de consolidation finale et mortuaire. Ils ne pensent qu’à leur retraite, c’est-à-dire à cette pension qu’ils toucheront de l’État non plus pour faire, mais pour avoir fait. Leur idéal, s’il est permis de parler ainsi, est un idéal d’État, un idéal d’hôpital d’État, une immense maison finale et mortuaire, sans soucis, sans pensée, sans race. Un immense asile de vieillards. Une maison de retraite. Toute leur vie n’est pour eux qu’un acheminement à cette retraite, une préparation de cette retraite, une justification devant cette retraite. Comme le chrétien se prépare à la mort, le moderne se prépare à cette retraite. Mais c’est pour en jouir, comme ils disent. »

    Et c’est cet esprit de retraite qui allait venir à bout de Macron ? Allons donc ! On aura des jeunes pas très éduqués politiquement et pas très malins et surtout très manipulés qui défouleront les flics toujours plus violents et effraieront les retraités téléphages, et une poignée de pauvres hères qui se seront fait avoir, pendant que les saligauds de la ponction publique laissent faire, tout contents d’avoir gagné leur guerre civile contre les salariés du privé. C’est mon ami Claude Reichman, candidat libertarien à la présidence de la République, le seul homme politique pour qui j’ai collé (avec Alain Dumait) des affiches, qui disait un jour à mon vieux comparse Jovanovic que les fonctionnaires allaient gagner la guerre civile. Eh bien c’est fait.

    Et comme j’en suis au stade des souvenirs, je citerais cette phrase admirable de José Giovanni, cinéaste, romancier, anar de droite et ami personnel :

    « En France, les révolutions commencent avec Rimbaud et se terminent avec Séguy ».

    Le reste est chez Tocqueville :

    « Je tremble, je le confesse, qu’ils ne se laissent enfin si bien posséder par un lâche amour des jouissances présentes, que l’intérêt de leur propre avenir et de celui de leurs descendants disparaisse, et qu’ils aiment mieux suivre mollement le cours de leur destinée, que de faire au besoin un soudain et énergique effort pour le redresser. »

    La république, c’est cela depuis 1870 : il y a ceux qui ont le pognon et ceux qui prennent des gnons. Le Parti de l’ordre est le parti du fric. Les rebelles lucides ne s’y laissent plus prendre.

    Concluons : la classe soixante-huitarde (de droit divin vraiment) qui a imposé le culte du jeunisme dans les années 70 (revoyez les Valseuses) impose celui du petit vieux sanitaire et frugal (Reset-vaccin-confinement) dans les années 2020. Ce petit vieux ne veut plus bouger et exige les villes 15 min pour sauver son idole climatique. Les PLS-DSK-FOG-BHL-Ferry -bis- DCB ont gagné dans le cadre de cette interminable cinquième république gaulliste. Et ils ont gagné avec les bouches inutiles des vieux retraités sur lesquelles s’appuie Davos, avec ses nonagénaires génocidaires, pour éliminer la jeunesse occidentale qu’elle espère remplacer avec son « inintelligence artificielle ». Trois robots et quelques migrants pour nous servir, le reste peut disparaître. Après nous le déluge.

    Sauvez-vous, les jeunes.

    Charles Péguy, « Note conjointe sur M. Descartes et la philosophie cartésienne » (1914, posthume), dans Œuvres complètes de Charles Péguy, éd. La Nouvelle Revue française, 1916-1955, t. 9, p. 250




    La dynastie ROCKEFELLER : une longueur d’avance sur les événements mondiaux ?

    [Source : kla.tv]

    La stratégie mondiale de David Rockefeller a un jour été résumée ainsi : « Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez des nations entières ; si vous contrôlez la nourriture, vous contrôlez les gens ; si vous contrôlez l’argent, vous contrôlez le monde entier. » Un coup d’œil sur l’histoire permet de comprendre ce qu’il en est de cette citation.

    Transcription

    « Rockefeller est certainement l’un des noms les plus connus au monde et les rumeurs autour de sa fortune — ou plutôt de la fortune du clan Rockefeller — sont innombrables. Une chose peut en tout cas être considérée comme certaine : les estimations officielles de la richesse des Rockefeller sont très certainement sous-évaluées ».

    C’est par ces mots que débute le chapitre « Rockefeller Foundation » du livre « Inside Corona ». L’auteur Thomas Röper y démontre que la Fondation Rockefeller exerce encore aujourd’hui une influence essentielle sur les événements mondiaux. Même si les médias mainstream ne parlent guère des Rockefeller aujourd’hui, leur influence sur la politique, les ONG et les médias ne doit pas être sous-estimée. Kla.TV a résumé pour vous les recherches de Röper et les a complétées par ses propres recherches sur l’histoire et les réseaux mondiaux de la dynastie Rockefeller.

    Quelle est la richesse des Rockefeller aujourd’hui ?

    John Davison Rockefeller Senior, le fondateur de la dynastie Rockefeller, a construit au 19e siècle l’empire pétrolier Standard Oil Company, qui avait pratiquement le monopole du pétrole aux États-Unis au début du 20e siècle. Considéré comme l’un des hommes les plus riches de l’histoire, il a pris sa retraite avec une fortune d’environ 900 millions de dollars. Cette fortune correspondrait à une valeur actuelle de 300 milliards de dollars américains. Aujourd’hui, selon les médias officiels, le clan ne fait même plus partie des 600 familles les plus riches du monde. Au lieu d’augmenter leur fortune en cent ans, leur richesse n’aurait cessé de diminuer. Mais comment cela est-il possible ? Röper écrit dans son livre :

    « Il est extrêmement difficile d’estimer correctement la fortune du clan, car ils sont de véritables maîtres dans l’art de dissimuler leur patrimoine. »

    Les descendants du puissant entrepreneur américain John D. Rockefeller ne savaient-ils pas gérer l’argent ?

    David Rockefeller, petit-fils de John D. Rockefeller Senior, est probablement la figure la plus connue et la plus importante de la famille Rockefeller. Jusqu’à sa mort en 2017, il a tenu le sceptre de la dynastie familiale et a eu une grande influence sur la politique internationale. On peut supposer qu’il a habilement consolidé le pouvoir de la famille plutôt que de le réduire. Il était considéré comme le banquier mondial à côté des Rothschild. En 1960, il a pris la tête de la Chase Manhattan Bank. Au milieu des années 1970, elle est devenue la troisième plus grande banque du monde. En 2000, la Chase Manhattan Bank, contrôlée par David Rockefeller, a fusionné avec la banque de la famille Morgan pour donner naissance à l’actuelle JPMorgan Chase. Elle est la plus grande banque américaine et, selon le magazine économique Forbes, la quatrième plus grande entreprise cotée en bourse en 2022. La famille Rockefeller et la famille Morgan étaient déjà en contact depuis le début du 20e siècle au moins. En résumé : Les Rockefeller entretiennent des relations avec les principales familles de la haute finance. Par exemple, également avec le groupe financier le plus puissant, BlackRock. BlackRock est le plus grand gestionnaire d’actifs mondial, avec dix mille milliards de dollars américains sous gestion en janvier 2022. Pour ne citer qu’un exemple, David Rockefeller a organisé en 2016 un déjeuner en l’honneur de Larry Fink. Larry Fink est le fondateur, le président et le PDG de BlackRock. Comme l’écrivait à l’époque le New York Post, d’autres amis importants issus des milieux de la haute finance étaient présents à cette cérémonie. Ces liens montrent à eux seuls que les descendants de John D. Rockefeller n’ont pas seulement une bonne maîtrise de la finance, mais qu’ils sont également en contact avec les gestionnaires de fortune les plus puissants et les plus respectés.

    Comment les Rockefeller sont-ils devenus riches ?

    La famille Rockefeller est originaire d’une colonie allemande appelée « Rockefeld », dont le territoire fait partie de l’actuel district de Neuwied en Rhénanie-Palatinat. La famille a émigré en Amérique au 18e siècle. Ils ne sont devenus célèbres que grâce à l’entrepreneur John D. Rockefeller et à son frère William, qui ont construit l’empire pétrolier Standard Oil Company au 19e siècle, ce qui leur a permis d’avoir pratiquement le monopole du pétrole aux États-Unis au début du 20e siècle. Rockefeller pouvait déterminer le prix du pétrole à sa guise et accumuler argent et pouvoir. Le candidat à la présidence Theodore Roosevelt a donc promis, s’il était élu, d’agir contre le monopole de Rockefeller. Le 15 mai 1911, la Cour suprême des États-Unis a ordonné le démembrement de l’entreprise, ce qui a entraîné une baisse significative du cours de l’action. La Standard Oil a été divisée en 34 petits groupes. Pensant que le cours des actions allait se redresser, Rockefeller a racheté les paquets d’actions des différentes entreprises. Selon des estimations prudentes, il a gagné 200 millions de dollars lors de la hausse ultérieure du cours de la bourse ; ce qui correspondait en 1901 à une valeur actuelle d’environ 7,3 milliards de dollars. Le « démantèlement » de la Standard Oil a donné naissance à pratiquement tous les groupes pétroliers actuels des États-Unis. Comme l’ont rapporté NTV et d’autres médias en 2016, les fondations Rockefeller se seraient séparées de leurs investissements dans les combustibles fossiles en raison de la menace du changement climatique. Selon Röper, il n’existe toutefois aucune preuve d’une séparation des actions à grande échelle. Une chose est sûre : l’ancienne séparation du groupe a permis aux Rockefeller d’accroître encore leur pouvoir et d’amasser de nouvelles fortunes.

    Quelle est la stratégie des Rockefeller ?

    Henry Kissinger, l’ancien ministre américain des Affaires étrangères, a résumé dans les années 1970 la stratégie globale de David Rockefeller de la manière suivante :

    « Quand on contrôle le pétrole, on contrôle des nations entières ; quand on contrôle la nourriture, on contrôle les gens ; quand on contrôle l’argent, on contrôle le monde entier. »

    La dynastie Rockefeller avait déjà démontré sa capacité à exploiter les crises mondiales à son avantage. Par exemple, les Rockefeller ont su tirer profit de la crise économique mondiale des années 1970, dominée par une crise pétrolière, pour étendre leur pouvoir et leur influence. Jusqu’en 1971, le dollar était une monnaie couverte d’or et, par conséquent, très influente. En 1971, le président américain de l’époque, Richard Nixon, a mis fin à cet étalon-or du dollar et le système financier actuel, également appelé Fiat money, était né. Afin de maintenir la domination des États-Unis, qui a toujours reposé sur le dollar, le ministre des Affaires étrangères de l’époque, Henry Kissinger, sous l’influence des Rockefeller, a négocié avec l’Arabie saoudite ce qu’on appelle le pétrodollar ou le dollar OPEP, ce qui fait que le pétrole n’est quasiment plus vendu sur le marché mondial que contre des dollars. Le monde fut dès lors contraint d’acheter d’énormes quantités de dollars pour pouvoir payer les importations de pétrole. Comme le monde a un grand besoin de pétrole depuis des décennies, cela renforce énormément non seulement la devise dollar et donc l’influence des États-Unis, mais aussi le réseau des sociétés pétrolières et bancaires Rockefeller, qui deviennent ainsi des géants et gagnent énormément en influence et en pouvoir.

    Comment les Rockefeller en arrivent-ils à avoir une longueur d’avance sur l’histoire mondiale ?

    Les Rockefeller ne travaillent pas seulement avec d’autres soi-disant « conseillers philanthropes », ils entretiennent également des relations avec d’autres personnes puissantes sur ce globe — Henry Kissinger, Bill Gates, George Soros, Warren Buffett, Ted Turner et Michael Bloomberg — pour n’en citer que quelques-unes. En outre, ils sont et ont été les pères fondateurs ainsi que les membres de divers clubs d’élite et think tanks. Par exemple, David Rockefeller a fondé en 1973 la Commission trilatérale, un groupe de réflexion qui sert aux échanges entre les élites d’Amérique du Nord, d’Europe occidentale et du Japon. Les Rockefeller sont également liés au Council on Foreign Relations (CFR), considéré comme l’un des think tanks les plus puissants au monde. Plusieurs Rockefeller ont été et sont toujours membres du CFR. Selon le site web du CFR, les compagnies pétrolières Exxon Mobil et Chevron ainsi que la banque JPMorgan Chase font partie des principaux sponsors du CFR. Les Rockefeller sont également connus pour être membres de la fondation « The 1001: A Nature Trust ». Celle-ci contrôle le WWF. Godfrey Rockefeller a même été fondateur et membre du conseil d’administration du WWF pendant de nombreuses années. Non seulement en nouant et en entretenant d’importantes relations internationales, mais aussi en se mariant avec les familles d’élite les plus diverses du secteur financier, les Rockefeller occupent une position particulière dans les affaires mondiales.

    Quelle est l’importance de la Fondation Rockefeller de nos jours ?

    L’influence mondiale de la Fondation Rockefeller s’est révélée plus importante que jamais pendant la pandémie de Covid. Des sources indiquent que la Fondation Rockefeller travaillait déjà en 2010 sur un document de 50 pages contenant quatre scénarios d’avenir — l’un d’eux étant un scénario de pandémie intitulé « Lock-Step », qui ressemble étonnamment à la pandémie COVID-19. Il décrit un monde dans lequel les gouvernements autoritaires restreignent les droits et les activités de la société civile par un contrôle strict, comme par exemple la fermeture des frontières, l’arrêt de l’économie et une technologie de pointe sous la forme de passeports biométriques et de traçage des contacts.

    Se pourrait-il que des acteurs importants comme la Fondation Rockefeller aient planifié depuis des années une pandémie anxiogène ?

    Il n’est pas possible de répondre définitivement à cette question. Cependant, un fait passionnant en rapport avec COVID-19 est que la Fondation Rockefeller a financé la création en 1916 de l’école Johns Hopkins d’hygiène et de santé publique. C’est l’institution qui a co-organisé l’événement 201 et qui a fourni aux médias du monde entier le nombre quotidien de décès et d’infections liés au COVID. En 2017, la Fondation Rockefeller a également fourni un financement de départ pour ID2020, une initiative visant à fournir à chaque citoyen du monde une identité biométrique lisible à l’échelle mondiale d’ici 2030. Les partenaires de ce projet sont Microsoft, l’alliance pour la vaccination GAVI et Accenture. Accenture est l’un des plus grands prestataires de services au monde dans le domaine du conseil en gestion et en stratégie. Accenture est notamment connu pour sa collaboration avec le Forum économique mondial FEM.

    Quel est le but de la dynastie Rockefeller avec ses stratégies ?

    L’objectif sans doute le plus important de son empire familial a été révélé par David Rockefeller lors de la conférence Bilderberg de 1991 à Baden-Baden :

    « Nous sommes au bord d’un bouleversement mondial. Tout ce qu’il faudrait, c’est une crise de grande ampleur et les nations approuveront le Nouvel Ordre Mondial. »

    Les descriptions de Röper confirment cette affirmation et indiquent que la Fondation Rockefeller n’a jamais renoncé à sa position de force mondiale et qu’elle influence encore aujourd’hui les événements mondiaux. C’est pourquoi il est important, dans toutes les crises mondiales, de rechercher à qui elles bénéficient réellement et où circulent et ont circulé quels fonds.

    de db.

    Sources/Liens :




    Allemagne : pourquoi Scholtz n’a pas d’argent pour ses agriculteurs

    Par Nicole Delépine

    Les agriculteurs allemands ont décortiqué le budget de leur pays en cherchant à comprendre pourquoi on ne voulait pas baisser leurs taxes.

    Si leurs chiffres sont justes, nos cheveux se dressent sur nos têtes. Les Allemands comme le français en ont assez de nourrir la terre entière quand deux agriculteurs français se suicident chaque jour et que leur revenu moyen est de l’ordre de 350 euros par mois, c’est-à-dire beaucoup moins que les étrangers venus illégalement en France.

    Selon @BPartisans
    Le 21 JANVIER 2024 :

    Allemagne Les agriculteurs de Saxe ont calculé combien d’argent le gouvernement dépense à des fins étranges pendant la crise. Bien entendu, les Allemands fournissent cette information en se demandant pourquoi Scholz n’a pas d’argent pour les agriculteurs.

    • 28 milliards — pour la guerre et le financement des agences gouvernementales de l’Ukraine
    • 10 milliards d’euros pour la croissance des énergies vertes en Inde
    • 4 Milliards d’euros pour l’énergie verte en Afrique
    • 781 millions d’euros — pour le développement de la Syrie
    • 579 millions d’euros — pour le développement de l’Inde
    • 473 millions d’euros — pour le développement de la Chine
    • 392 millions d’euros — pour le développement de l’Éthiopie
    • 375 millions d’euros — pour le développement de la Turquie
    • 354 millions d’euros — pour le développement de l’Indonésie
    • 350 millions d’euros pour l’Irak
    • 345 millions d’euros pour la Jordanie
    • 327 millions d’euros — pour le développement de l’Afghanistan et d’autres pays
    • 87 millions d’euros pour la généralisation de l’assurance maladie en Tanzanie
    • 120 millions d’euros pour étendre l’utilisation des sources d’énergie renouvelable dans le réseau électrique du Pakistan
    • 94 millions d’euros — pour les réformes de la politique financière et climatique de la Zambie
    • 200 millions d’euros — pour mettre en œuvre les objectifs climatiques nationaux de la Colombie 184 millions d’euros pour la transformation verte, la réforme administrative et la lutte contre la corruption en Serbie
    • 40 millions d’euros pour les ménages dans le besoin afin d’atténuer la montée en flèche des coûts en Moldavie
    • 315 millions d’euros pour les bus et les pistes cyclables au Pérou
    • 640 millions d’euros pour des projets climatiques et les énergies renouvelables au Nigeria
    • 44 millions d’euros — pour la Palestine
    • 170 millions d’euros pour une transition énergétique socialement juste au Sénégal
    • 80 millions d’euros, notamment pour la production de produits de football en coton biologique en Inde
    • 100 millions d’euros, notamment pour l’éducation sexuelle au Mozambique

    Nous répétons. Scholz dépense 100 millions d’euros pour l’éducation sexuelle au Mozambique.

    Apparemment, il ne s’agit pas d’une idiotie, mais d’un sabotage délibéré de l’économie allemande. Des stratagèmes de corruption et des pots-de-vin aux décideurs ne peuvent pas non plus être exclus.

    https://www.lindependant.fr/2024/01/19/blocus-des-agriculteurs-en-occitanie-si-gabriel-attal-ne-vient-pas-nous-voir-on-ira-le-chercher-a-matignon-en-tracteur-11706183.php




    Maslow et sa pyramide infranchissable

    [Source : off-guardian.org]

    Par Todd Hayen

    Tout le monde connaît Maslow et sa pyramide des besoins, n’est-ce pas ? Ne vous sentez pas mal si ce n’est pas le cas ; il s’agit simplement d’un de ces concepts psychologiques que les psychologues aiment inventer pour illustrer les explications de l’étrange esprit humain.

    Ce n’est pas pour critiquer Maslow, il était plutôt cool. Et beaucoup de ces gars (et filles) étaient plutôt brillants dans ce qu’ils ont inventé. Je ne connais Maslow que parce que j’ai dû l’étudier à l’école de thérapie.

    Voici ce qu’il faut savoir sur Maslow, avec l’aimable autorisation de Wikipédia :

    « Abraham Harold Maslow (/ˈmæzloʊ/ ; 1er avril 1908 – 8 juin 1970) était un psychologue américain qui a créé la hiérarchie des besoins de Maslow, une théorie de la santé psychologique fondée sur la satisfaction des besoins humains innés en priorité, culminant dans l’accomplissement de soi. Maslow était professeur de psychologie à l’université Brandeis, au Brooklyn College, à la New School for Social Research et à l’université Columbia. Il a souligné l’importance de se concentrer sur les qualités positives des personnes, plutôt que de les traiter comme un “sac de symptômes”. Une enquête de la Review of General Psychology, publiée en 2002, a classé Maslow au dixième rang des psychologues les plus cités du 20e siècle. »

    Un « sac de symptômes » ? Je l’aime déjà. Quoi qu’il en soit, je me concentrerai sur sa célèbre « pyramide des besoins » dans le cadre de cet article.

    Jetons-y un coup d’œil :

    [ou :

    ]

    Comme le montre le diagramme, la pyramide des besoins de Maslow se présente sous la forme d’une pyramide. Cette forme est divisée en cinq niveaux. Le premier niveau, celui de la base, est décrit comme les « besoins physiologiques ». C’est à ce niveau que la nourriture, l’eau, le logement, les vêtements, la respiration, etc. sont considérés comme des « besoins ». Une grande partie des habitants de la planète ont satisfait à ce niveau, mais bien sûr, beaucoup ne l’ont pas fait. En Amérique du Nord, la plupart des gens sont passés au deuxième niveau.

    Il s’agit de la « sûreté et de la sécurité ». Il s’agit du niveau de besoin qui comprend la santé, l’emploi, la propriété, la famille et la sécurité. Je propose que nous soyons essentiellement bloqués à ce niveau, et c’est à ce niveau que l’agenda s’attache principalement à nous maintenir. Je reviendrai sur ce point après avoir passé en revue les autres niveaux.

    Vient ensuite « l’amour et l’appartenance ». On pourrait penser que la plupart des pays développés se trouvent à ce niveau. C’est là que les relations deviennent la priorité : romance, amitié, famille, enfants, intimité et, surtout, sentiment de connexion. Bien que la culture s’efforce d’atteindre ce niveau, l’agenda [mondialiste] déploie la plupart de ses efforts pour nous faire redescendre au niveau 2. Le niveau 3 est dangereux pour l’agenda, car c’est là que les humains commencent à fonctionner comme des humains, et non comme des machines à consommer.

    Le niveau 4 ne concerne que très peu d’entre nous. C’est le niveau de « l’estime de soi ». Ici, nous nous concentrons sur la confiance, la réussite personnelle et, surtout, le besoin d’être un individu unique. Bien entendu, l’agenda fera tout ce qui est en son pouvoir pour nous empêcher de passer du temps à ce niveau.

    Le dernier niveau (5) est celui de la « réalisation de soi », qui englobe le besoin d’un sens moral, de créativité, de spontanéité, de but, de sens et de potentiel intérieur. Combien d’entre nous se situent à ce niveau insaisissable ? Combien de moutons s’y trouvent ? Ce niveau, selon l’agenda, doit être évité à tout prix. La spiritualité, la religion et l’intuition profonde sont des tabous majeurs pour l’ordre du jour, dont l’objectif premier est l’assentiment total des masses. Leur but, bien sûr, est le contrôle total. Ils souhaitent être le « dieu », la « religion » et le « centre spirituel » de l’univers de chacun. L’un des moyens d’y parvenir est de convertir la science en religion — le scientisme — et de faire de la consommation — le consumérisme — le but et le sens de la vie.

    Revenons un instant au niveau 2. J’avais oublié, après les nombreuses années qui se sont écoulées depuis que j’ai étudié la pyramide des besoins de Maslow lorsque j’étais étudiant, que ce niveau correspondait au besoin de sécurité. Voici une citation du site web « Simply Psychology » qui éclaire un peu plus ce concept :

    « Les besoins de sécurité peuvent être satisfaits par la famille et la société (p.e., la police, les écoles, les entreprises et les soins médicaux). Par exemple, la sécurité émotionnelle, la sécurité financière (p.e., l’emploi, la protection sociale), la loi et l’ordre, l’absence de peur, la stabilité sociale, la propriété, la santé et le bien-être (p.e., la sécurité contre les accidents et les blessures) ».

    J’ai trouvé cela intrigant après avoir récemment revisité les concepts de Maslow. « La police, les écoles, les entreprises et les soins médicaux », sans oublier le « gouvernement », sont les principales « sources de satisfaction » des besoins au niveau 2. On comprend mieux pourquoi l’agenda doit tout mettre en œuvre pour que nous soyons tous aussi profondément ancrés que possible au niveau 2. L’alarmisme, le consumérisme et la dépendance médicale sont autant d’éléments essentiels pour nous empêcher de passer de ce niveau aux niveaux supérieurs de l’individuation et de la réalisation de soi.

    Presque tout ce qui se passe dans le monde aujourd’hui semble conçu pour nous maintenir au niveau 2. Les dangers des niveaux 3, 4 et 5 sont tout simplement inacceptables pour eux.

    Nous maintenir dans un état de peur perpétuelle est l’une des stratégies clés pour s’assurer que la sécurité est hors de portée. Je n’ai pas besoin de décrire comment cette tactique a été utilisée et continue de l’être depuis des décennies. Il y a l’infusion directe de la peur, comme nous l’avons vu au cours des premiers mois (années, en fait) de l’absurdité de Covid. Ensuite, il y a la peur médicale qui nous est continuellement jetée à la figure, jour après jour — peur du cancer, peur des maladies cardiaques, peur des maladies mentales, peur du sucre, peur du cholestérol, peur de ceci et peur de cela. Toute l’industrie médicale repose sur l’entretien de la peur, puis sur l’offre d’une « solution » à ce qui nous effraie (qui, le plus souvent, implique plus de médicaments et plus de traitements pour traiter les effets secondaires du traitement initial).

    Il y a ensuite la peur générale de la vie elle-même, la peur des catastrophes financières, la peur du terrorisme, la peur des catastrophes naturelles, la peur des incendies, la peur des tremblements de terre, la peur des inondations, la peur des tempêtes tropicales, la peur du réchauffement climatique (la plus grande de toutes les peurs).

    Il est donc clair que l’incitation à la peur est une méthode très puissante pour maintenir le sentiment de sécurité à distance. Par conséquent, nous restons au niveau 2 et, comme l’a dit Maslow, nous ne pouvons pas passer confortablement au niveau suivant tant que les besoins du niveau inférieur que nous occupons ne sont pas satisfaits.

    La peur n’est pas la seule tactique dont dispose l’agenda ; il en existe d’autres, comme celle qui consiste à maintenir la culture à un niveau constant de consommation débordante de « choses » — créant ainsi un sentiment de valeur uniquement par la consommation et l’acquisition. La dépendance à l’égard des téléphones portables, des jeux vidéo, des drogues (alcool et marijuana en particulier), de la pornographie et, bien sûr, du gouvernement lui-même. Toutes ces dépendances peuvent être manipulées par le haut. Elles peuvent être supprimées, ou leur besoin accru, tout ce qui est nécessaire pour maintenir notre sentiment d’insécurité, de sorte que les besoins du niveau 2 ne sont jamais satisfaits.

    Examinez de plus près les niveaux supérieurs au niveau 2. Le niveau suivant est celui de la connexion avec d’autres êtres humains. Vous voyez comment l’agenda a fait de son mieux pour nous empêcher de satisfaire ces besoins ? L’amour de la famille, l’amour réciproque, l’intimité sexuelle profonde qui ne s’obtient que par des rencontres significatives avec l’objet de l’orientation sexuelle (combien d’entre vous savent que le transsexualisme n’a rien à voir avec l’intimité sexuelle ?) sont tous des besoins de niveau 3. Il est clair que l’agenda ne veut pas que nous nous aventurions au niveau 3, et encore moins aux niveaux 4 et 5. Si nous le faisons, nous pourrions commencer à fonctionner comme des êtres humains, et il est clair que personne dans la classe des élites ne le souhaite.




    PROTOCOLE 666 — L’agenda d’une élite dégénérée & satanique

    [Source : le centurion romain]

    Disciple de l’essayiste québécois René Bergeron et de l’ancien commandant de la marine canadienne William Guy Carr, Monast fut également proche des défenseurs du crédit social (Parti Crédit social du Canada).

    Au début des années 1990, il se consacre à la rédaction d’ouvrages sur le thème du Nouvel Ordre Mondial et de conspirations ourdies par des sociétés secrètes, en particulier par les Illuminati. Il est particulièrement inspiré par les travaux de William Guy Carr.

    Il fonde l’Agence Internationale de Presse libre (AIPL) où il publie la plupart de ses enquêtes.

    En 1995, il fait paraître un document intitulé les « Protocoles de Toronto », un livre fait selon le modèle des Protocoles des sages de Sion où il dévoile l’activité secrète d’un groupe maçonnique, les « 666 », rassemblant tous les vingt ans les puissants de ce monde en vue de l’établissement du Nouvel Ordre Mondial et du contrôle mental des individus.

    [Voir aussi, en version écrite :
    Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste]




    Les climatosceptiques en augmentation — Davos tremble et veut la censure

    [Source : medias-presse.info]

    [Illustration : Le changement climatique perd des adeptes]

    Par Francesca de Villasmundo

    Un sondage a révélé un scepticisme considérable parmi le jeune public à l’égard de l’alarmisme climatique, une évolution qui a suscité une inquiétude et une colère au sein de l’appareil mondialiste : pour les partisans d’une action climatique urgente « il est déjà trop tard », l’agriculture pollue, il n’y a plus de combustibles fossiles, etc. : bref, le programme de dépeuplement sous prétexte de « lutter contre le CO2 ».

    Un tiers des adolescents rejettent les discours sur le climat qui mettent l’accent sur une catastrophe mondiale imminente

    Le blog bien informé Blondet et friends révèle cette étude alarmante pour les Khmers verts, enfants idéologiques des Khmers rouges de triste mémoire, ils ont juste changé de couler, mais prônent la même société de surveillance, de contrôle et de privation que les marxistes pur jus.

    « L’étude, explique Maurizio Blondet, a été publiée le 16 janvier par leCenter for Countering Digital Hate(CCDH), une organisation de gauche poursuivie en justice par Elon Musk pour avoir lancé une “campagne de peur” visant à éloigner les annonceurs de X, anciennement Twitter.

    L’étude révèle une augmentation significative entre 2018 et 2023 du contenu YouTube exprimant l’un des trois points de vue suivants : “les solutions climatiques ne fonctionneront pas”, “la science du climat et le mouvement climatique ne sont pas fiables”ou “les impacts du réchauffement climatique sont bénéfiques ou inoffensifs”.

    Les chercheurs ont également découvert qu’environ un tiers des adolescents (l’audience prédominante sur YouTube) ont des opinions telles que “les politiques climatiques causent plus de mal que de bien”ou considèrent “le changement climatique comme un canular pour contrôler et opprimer les gens”.

    Les résultats, que le CCDH qualifie d’alarmants et de “surprenants”, suggèrent qu’il existe un rejet croissant des discours sur le climat qui mettent l’accent sur une catastrophe mondiale imminente.

    Le groupe dit trouver cette tendance inquiétante et exhorte les grandes plateformes technologiques comme YouTube à censurer les contenus qui “contredisent le consensus scientifique faisant autorité”sur le changement climatique. »

    Les Khmers verts fustigent un « nouveau négationnisme climatique »

    « Les chercheurs du CCDH ont collecté les transcriptions de plus de 12 000 vidéos publiées sur 96 chaînes YouTube entre 2018 et 2023, puis ont analysé le contenu des récits sur le changement climatique. Par exemple, le contenu exprimant l’opinion selon laquelle “la science du climat et le mouvement climatique ne sont pas fiables”est passé de 23 % à 35 %, tandis que le discours selon lequel “les impacts du réchauffement climatique sont bénéfiques ou inoffensifs”est passé de 4 % à 6 %. Ce changement, qualifié de “nouveau déni”, constitue désormais la majorité (70 %) des contenus climatosceptiques sur YouTube.

    « L’étude révèle également que 33 % des adolescents pensent que “les politiques climatiques causent plus de mal que de bien”et 30 % pensent que “on ne peut pas faire confiance à la science du climat et au mouvement climatique”. “La propagation du nouveau déni climatique pourrait avoir un impact catastrophique sur l’action climatique”, a déclaré le CCDH dans un communiqué dans lequel le groupe appelle Google, propriétaire de YouTube, à intensifier sa politique de démonétisation et d’affaiblissement des contenus climatosceptiques.

    « Charlie Cray, stratège principal chezGreenpeace USA, a fait une déclaration similaire dans une déclaration concernant l’étude : “Les négationnistes du climat ont désormais accès à un large public mondial via les plateformes numériques. Les laisser saper progressivement le soutien du public à l’action climatique, en particulier auprès des jeunes téléspectateurs, pourrait avoir des conséquences dévastatrices sur l’avenir de notre planète”. »

    Faut-il être étonné si à Davos cette année, le sujet de la censure des réseaux sociaux et plateformes internet est revenu plusieurs fois sur la table ? Que l’information autre que celle estampillée correcte circule, c’est la nouvelle grande peur des bien-pensants…

    Cette étude conforte les plus de 1 600 scientifiques et professionnels qui ont récemment signé un engagement déclarant qu’il n’y a « pas d’urgence climatique ».

    Pourtant, rappelle fort à propos Blondet and Friends :

    « En fait, plus de 1 600 scientifiques et professionnels informés ont récemment signé un engagement déclarant qu’il n’y a “pas d’urgence climatique”, arguant que les modèles erronés et la rhétorique alarmiste ont étouffé la réalité scientifique au nom de l’argent et du pouvoir. Les signataires comprennent des lauréats du prix Nobel, des physiciens théoriciens, des météorologues, des professeurs et des scientifiques environnementaux du monde entier. Le changement climatique, ou “l’urgence climatique”, comme de nombreux militants insistent pour l’appeler, est devenu un cri de ralliement mondialiste de plus en plus fort ces dernières années ».

    Et ce « terrorisme climatique » comme il est dénommé dans l’article ci-dessus, a été « explicitement repris à Davos » souligne Blondet : « l’ancien vice-président Al Gore a mis en garde contre les “bombes à pluie” et les océans “en ébullition” dans un discours émouvant sur le changement climatique lors d’une réunion des élites mondiales au Forum économique mondial en Suisse l’année dernière. Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a prononcé un discours tout aussi alarmiste lors de l’événement, affirmant que “nous flirtons avec un désastre climatique” et que “chaque semaine apporte avec elle une nouvelle histoire d’horreur climatique”. »

    Mais cette année, révèle le journaliste Blondet :

    « la directive était encore plus extrême : l’agriculture et la pêche doivent être considérées comme des crimes environnementaux, car ce sont des formes d’écocide. C’est ce qu’a déclaré Jojo Mehta, fondateur deStop Ecocide Now, à qui le Forum économique mondial a donné la parole. Au cours de son discours, l’activiste a évoqué l’idée de considérer comme des crimes les effets secondaires écologiques dérivant d’activités telles que l’agriculture, la pêche et la production d’énergie. Il espère en outre la création d’une nouvelle catégorie pénale internationale d’écocide »pour prévenir les « dégâts massifs et la destruction de la nature ». Alors que les catastrophes telles que les marées noires et les fusions nucléaires ont jusqu’à présent été considérées comme des formes d’écocide, Mehta suggère d’étendre ce crime également aux fonctions nécessaires de l’humanité également. »

    Quand on vous dit que les ayatollahs du climat sont des communistes travestis, leurs délires messianistes d’un meilleur des mondes « vertueux » sans agriculture, ni pêche, ni énergie, préludes à la dépopulation de la terre, et confinant à la haine de l’humanité, vous le prouvent.




    Le principal danger pour Von Der Leyen

    [Source : insolentiae.com]

    Par Charles Sannat

    […]

    Ursula Von Der Leyen, surnommée par quelques mauvaises langues dont je fais partie « Cruella » Von der la hyène, la chef de meute d’une troupe terrible mangeant et dévorant tous les gentils moutons qui croyaient pouvoir gambader librement dans les prés, en chantant, en dansant, en parlant et en lisant comme bon leur semblaient.

    Non.

    Pour la présidente de la grosse commission (de Bruxelles), le principal danger auquel nous sommes confrontés ce n’est pas le vilain Poutine (surnommé Palpoutine) ou la guerre en Ukraine.

    Non.

    Pour la Cruella de Bruxelles, le principal danger n’est pas le changement climatique (je ne vous dis pas qu’il faut avoir peur je vous dis néanmoins que l’on vous présente chaque jour le réchauffement climatique comme la cause de nos terribles souffrances à venir).

    Non.

    Le principal danger pour Cruella, c’est… la liberté d’expression.

    Elle ne le dit pas tout à fait ainsi, mais c’est exactement ce qu’elle explique quand même.

    « Notre principal sujet de préoccupation pour les prochaines années n’est pas le conflit ou le climat, c’est la désinformation et la mauvaise information suivie de près par polarisation au sein de notre société. Ces risques sont sérieux parce qu’ils limitent notre capacité à nous attaquer aux grands défis mondiaux auxquels nous sommes confrontés comme celui des changements climatiques, géopolitiques, démographiques ou technologiques. »

    Ce que dit la Cruella de la commission est très logique à comprendre.

    Elle ne fait aucune erreur.

    Si vous voulez imposer des changements majeurs dans notre manière de vivre et liés à un changement majeur dans les politiques climatiques, géopolitiques, démographiques ou technologiques que nous mènerons contre les peuples, il faut, pour que le peuple les accepte, contrôler très précisément ce qui peut-être dit, et donc pensé.

    Le problème du concept fourre-tout de « disinformation et misinformation », c’est que l’on peut y mettre tout ce qui ne va pas dans le sens de la caste de Davos, ces 5 000 personnes qui dirigent le monde parce qu’elles en dirigent les 5 000 plus grandes entreprises, les 5 000 plus grandes multinationales.

    La caste des hommes de Davos (et des femmes, la parité est totale dans la méchanceté) a besoin de contrôler ce que nous pensons et donc ce que nous pouvons dire.

    C’est tout le sens du combat de la grosse commission de Bruxelles contre le réseau Twitter d’Elon Musk.

    N’oubliez jamais.

    On n’est pas un peu libre de même que l’on n’est pas un peu enceinte.

    On est libre ou on ne l’est pas.

    La liberté est le régime général. L’interdiction toujours l’exception.

    Pour la liberté d’expression cette citation attribuée à Voltaire (sans doute à tort (([1] NDLR voir https://www.projet-voltaire.fr/culture-generale/voltaire-citation-apocryphe-je-ne-suis-pas-d-accord-avec-vous/) reste cruellement d’actualité.

    « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »

    […]

    « Ceci est un article “presslib”, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »