Alain Tortosa : « Celles et ceux qui ont la couenne suffisamment résistante pour me suivre ont pu constater que j’ai posé ma plume informatique depuis plusieurs semaines.
Sentiment de totale inutilité, frustration de ne pas avoir accès à un public plus large, vaine tentative d’échapper à cette folie du monde, etc.
Je me dois d’avouer mon échec et mon incapacité à vivre comme si…
Ayant raté la dernière navette pour Mars, je me trouve désespérément coincé sur cette planète décidément de plus en plus pourrie, ou plutôt dont l’odeur nauséabonde de la dictature ne peut être dissimulée par les quelques humains conscients qui luttent encore pour les libertés. »