Les dits « démocrates » progressistes veulent limiter encore plus drastiquement la liberté d’expression

Par Gérard Delépine

L’Antidote à la Tyrannie est la Liberté1. Sauvons-la

Depuis deux ans, nous avons été abreuvés de mensonges d’état permanents tandis que s’instaurait une censure de plus en plus sévère empêchant tout débat « démocratique » et une persécution des opposants, digne des régimes totalitaires.

Mais cela ne suffit pas à ces prétendus « démocrates ( ??) » qui veulent imposer une censure mondiale plus stricte que jamais et osent même la proposer devant l’ONU !

Quelques exemples des mensonges que l’état nous a assénés

Souvenez-vous de l’épisode tragi-comique du masque d’abord inutile2 3 et impossible à utiliser correctement4 avant de devenir obligatoire pour tous. Pourtant il n’existe aucune étude scientifique qui démontre que le port généralisé du masque par les personnes asymptomatiques diminue les contaminations. La seule étude prospective randomisée publiée sur le sujet (Danmasq19) n’a d’ailleurs pas montré d’avantage significatif au port du masque 5 6.

Nous souffrons encore des séquelles des confinements présentés comme « notre seule option face à l’épidémie de coronavirus Covid-19 ». Depuis tous les experts mondiaux indépendants ont démontré qu’ils n’ont pas ralenti l’épidémie7 8 9 10 et qu’ils ont été la source d’une surmortalité collatérale importante11 et de dégâts sociétaux et économiques considérables. Même Delfraissy l’a reconnu dans un article du Lancet12 censuré par les médias en France.

Un des pires mensonges a été « Les fermetures d’école ont été efficaces ». Cette affirmation était fondée sur de simulations biaisées selon lesquelles les fermetures protégeraient les enfants, les enseignants et la collectivité en général. On savait dès le début de l’été 2020 que c’était faux.

La Suède qui a été le seul grand pays occidental à garder les écoles ouvertes tout au long du printemps 2020 sans masque, sans distanciation sociale, ni test de dépistage a démontré la totale inutilité de cette mesure13. Parmi les 1,8 million d’enfants suédois de 1 à 15 ans, il n’y a eu aucun décès lié à la COVID-19, seulement quelques hospitalisations, et les enseignants ne couraient pas un risque plus élevé de contracter la COVID-19 que la moyenne des autres professions.

Cependant les dégâts psychologiques et sur l’enseignement entraînés par les fermetures d’école ont été considérables14 15avec des retards d’apprentissage importants, de très nombreux décrochages scolaires et des problèmes psychologiques majeurs.

L’affirmation permanente que le dépistage de masse des personnes asymptomatiques et la recherche des contacts des cas positifs seraient efficaces pour réduire la propagation de la maladie n’est corroborée par aucune étude scientifique. Au contraire plusieurs études montrent que les tests effectués chez les asymptomatiques se révèlent être des faux positifs dans 97% des cas16 et que les dépistages massifs comme ceux de Wuhan17 sont inutiles, car aucun des asymptomatiques dépistés n’est tombé malade ni n’a contaminé quiconque. Effectuer des tests sur toute la population pour identifier des personnes asymptomatiques par un test biologique qui n’a pas été conçu pour cela est sans précédent dans l’histoire de l’humanité et coûte des sommes considérables18 qui auraient mieux utilisées pour renforcer les hôpitaux. Cette stratégie et a été source d’un absentéisme important à une période ou l’économie essayait de redémarrer.

Rappelez-vous les affirmations officielles que les vaccins seraient«  efficaces à 95%19 20 » et du slogan « tous vaccinés, tous protégés » démenties dès avril 2021 par le ministère lui-même lors de sa défense contre la plainte d’un vacciné qui se plaignait des restrictions21, puis par Jean-François Delfraissy22 « les vaccins protègent assez peu ou mal contre l’infection et la transmission » et surtout par les données officielles de l’OMS sur l’évolution de l’épidémie qui montrent que depuis la généralisation des injections le nombre moyen de contaminations mensuelles a été multiplié par 3.

Autre mensonge d’état auquel les pro-injections se cramponnent encore, la prétendue efficacité contre les formes graves pourtant totalement démentie par l’analyse de la mortalité covid, telle qu’elle est rapportée par les statistiques de l’OMS qui montrent que les pays les plus injectés (80%) d’Europe et d’Amérique souffrent d’une mortalité 25 fois plus élevée (5 millions vs 250000) que celle des Africains très peu vaccinés(<15%).

Et que penser du passe sanitaire présenté comme l’outil de la liberté sans risques, « une nouvelle chance pour la liberté », « une éthique de la liberté » que les membres du Conseil constitutionnel avaient validé « dans l’intérêt de la santé publique et aux seules fins de lutter contre la propagation de l’épidémie de covid-19 » avant que son pitoyable échec sanitaire ne fasse abandonner ce moyen de chantage et de discrimination par tous les états qui l’avaient imposé.

Comme le professait Goebbels un mensonge énoncé une fois est un mensonge ; répété mille fois, il devient la vérité. Grâce à l’expérience nazie, les gouvernants se sont rendu compte que les populations étaient capables de croire en n’importe quel message si celui-ci est suffisamment répété sans aucune contradiction sur les médias et toutes les institutions qui transmettent une idéologie, telles que l’école et l’université. Notre gouvernement sur les conseils de McKinsey a appliqué la recette de la propagande nazie et pour la rendre crédible a instauré une censure d’une intensité sans précédent récent.

Censure, diffamation et persécution des opposants dignes d’un état totalitaire

Dans les médias officiels, aucun débat contradictoire n’a été tenu sur le bien-fondé des mesures prétendument sanitaires même les plus idiotes comme l’interdiction de se promener seul en montagne en forêt ou sur les plages, ou l’interdiction de consommer debout…

Le gouvernement qui se sert des médias subventionnés et des agences prétendument indépendantes comme organes de propagande a créé un ministère de la vérité cher à Orwell appelé commission

Les opposants ont été systématiquement traités de complotistes, d’extrême droite et persécutés dans leur profession et parfois leur vie personnelle. Le professeur Perronne a été déchu de sa chefferie de service, l’avocate Virginie de Araujo-Recchia, a été arrêtée et mise en garde à vue23, un professeur interné en hôpital psychiatrique et de nombreux médecins exclus de leur profession pour avoir seulement parlé.

Même les représentants élus de la nation devraient se taire et ne pas dénoncer les mensonges d’état ! Le sénateur Houpert a été sanctionné d’une interdiction d’exercice de 9 mois24 par l’ordre des médecins pour avoir critiqué des aspects de la stratégie gouvernementale25. Martine Wonner ancienne député LREM peut craindre une condamnation ordinale, pour avoir affirmé des faits tels que le masque « ne sert strictement à rien », que les vaccins contre le Covid peuvent déclencher des « fausses couches », « de multiples cancers » et avoir participé au documentaire Hold Up.26

Tous faits pourtant avérés, mais on ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif, ni demander d’analyser les données scientifiques à des conseillers de l’Ordre auto promus inquisiteurs du dogme officiel. Après la pensée unique, on veut nous imposer la parole unique !

Un état qui réprime autant la liberté de parole est-il encore démocratique ?

La liberté d’expression fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ».

« L’article 11 de la Déclaration de 1789 va même encore plus loin en formulant  un  mode  d’emploi  concret de cette liberté, rappelant que :

« La libre  communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette  liberté  dans  les  cas  déterminés par la Loi ». 

La  formulation  n’est  pas  seulement  belle  et  solennelle. Elle est  puissante, car elle pose le  principe que la liberté d’expression est l’expression même de la liberté humaine ».27

Reprise depuis par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale, car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques ».

Même l’ONU s’est inquiétée des menaces contre la démocratie : Les États ne doivent pas abuser des mesures d’urgence pour supprimer les droits humains

Le 16 mars 2020, un communiqué commun des experts indépendants des droits de l’homme et d’autres rapporteurs spéciaux de l’ONU ont exhorté les États à éviter d’outrepasser les mesures sécuritaires dans leur réponse à l’épidémie de coronavirus et leur ont rappelé que le recours aux pouvoirs d’exception ne doit pas être utilisé pour étouffer la dissidence.

« Tout en reconnaissant la gravité de la crise sanitaire actuelle et en admettant que l’utilisation des pouvoirs d’urgence est autorisée par le droit international en réponse à des menaces importantes, nous rappelons aux États que toute réponse d’urgence au coronavirus doit être proportionnée, nécessaire et non discriminatoire », « certains États et institutions de sécurité peuvent trouver attrayante l’utilisation de pouvoirs d’urgence, car elle offre des raccourcis . Pour éviter que de tels pouvoirs excessifs ne soient intégrés dans les systèmes juridiques et politiques, les restrictions devraient être étroitement adaptées et constituer le moyen le moins intrusif possible pour protéger la santé publique ». 

Mais aux yeux des covidistes, la censure actuelle est insuffisante !

Nous avions déjà évoqué la censure croissante en juillet 202228 et depuis elle tend à s’aggraver. Lors de son discours du 23 septembre 2022 devant l’Assemblée générale des Nations unies, la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a appelé à une alliance internationale pour censurer les discours.

Après avoir reconnu la liberté d’expression (qui fait partie intégrante de la charte de l’ONU), elle a présenté un plan pour sa suppression par le biais d’une réglementation gouvernementale29 . Elle a défendu la nécessité d’une telle censure mondiale pour lutter contre ceux qui remettent en question le changement climatique et la nécessité d’arrêter « les rhétoriques et idéologies haineuses et dangereuses ». Pour elle, comme pour de trop nombreux dirigeants de pays qui se prétendent démocratiques toute contestation de leurs religions covidiste ou climatique serait haineuse et dangereuse !

Battons-nous contre les nouveaux tyrans qui avancent masqués

Ne soyons pas dupes des étiquettes ou des discours vantant la démocratie tenus par des dirigeants qui imposent des mesures restrictives des libertés. Ils se comportent en apprentis tyrans comme Hitler en 1936, Mussolini en 1922 ou Staline en 1922. À leur début tous ces dictateurs se présentaient aussi comme socialistes et prétendaient libérer le peuple.

Toute mesure restrictive de liberté est un acte de tyrannie. Aucune censure n’est légitime. Si nos gouvernants croient détenir la vérité, ils doivent pouvoir nous en convaincre et donc favoriser les débats démocratiques qui leur donneraient raison.

Nous gagnerons, car s’ils sont extrêmement puissants, ils ne sont que des milliers et nous sommes des milliards.

Il est encore temps d’empêcher la bête immonde de renaître. Battons-nous pour les libertés que nous ont léguées nos pères et que nous devons transmettre à nos enfants.





Les soignants non vaccinés doivent être réintégrés sans délai. Après New York, l’Italie le fait

Par le Dr Gérard Delépine

Après la Belgique, la Grande-Bretagne, la Suisse, l’Alberta et New York, l’Italie vient de décider de réintégrer les soignants suspendus pour avoir refusé l’injection anti-covid. Combien de temps notre gouvernement continuera-t-il de s’obstiner à maintenir cette discrimination sans aucune justification médicale ?

L’exclusion des soignants vaccino prudents est une mesure médicalement infondée et inutile

Nous avons déjà souligné qu’il n’existait aune étude scientifique apportant le moindre début de soupçon de preuve que la pseudo vaccination des soignants était susceptible de diminuer le risque de contamination de leurs contacts. Ce gouvernement, qui a interdit la prescription de la chloroquine en prétextant qu’il n’existait pas de preuve de son efficacité contre le Covid, a pourtant imposé cette mesure en violation de sa prétention affichée de « suivre la science ». Le caractère infondé de la mesure vient d’être trois fois confirmé durant les trois derniers jours par la Cour suprême de l’état de New York, par le gouverneur de l’Alberta et par le chef du gouvernement italien.

La Belgique n’a jamais imposé d’obligation d’injection covid aux soignants1

L’obligation a été votée malgré l’opposition au projet de loi : « Ce n’est pas un projet de loi vaccination, mais un projet de loi de licenciement des soignants. Votre discours est celui de la brutalité », a dénoncé Catherine Fonck, tandis que Sophie Rohonyi parlait « d’une gifle aux héros de la crise. »

Mais elle n’a pas été appliquée, car jugée « non conforme au principe de proportionnalité », selon la Taskforce Covid, après avoir consulté le Conseil supérieur de la santé et le « Risk Assessment Group » (RAG), dans un avis diffusé le 2 mai 2022.

La Grande-Bretagne non plus

Le gouvernement britannique avait annoncé en novembre 2021 que la vaccination anti-Covid deviendrait obligatoire en avril 2022 pour les soignants. Mais elle a annoncé le 1er mars 2022 qu’elle renonçait à imposer le vaccin contre le Covid-19 à tous les soignants du public2.

L’Alberta a mis fin à l’obligation vaccinale des soignants depuis 6 mois3

Depuis le 10 mars 2022, l’obligation pour les employés de Services de santé Alberta d’être vaccinés a été supprimée. Les employés n’ont plus à présenter une preuve de vaccination ou un résultat négatif à un test rapide pour travailler. Les employés non vaccinés en congé forcé ont repris le travail.

Et depuis la reprise de travail des soignants non vaccinés, aucune poussée d’infection n’a suivi confirmant l’inutilité de l’obligation vaccinale a priori évidente puisqu’aucun des pseudo vaccins injectés n’est capable d’éviter les transmissions.

À New York, la réintégration dans l’emploi des personnels d’assainissement de la ville exclus pour refus des injections anti-covid expérimentales a été ordonnée par le juge Ralph J. Forzio de la Cour suprême de l’État.

New York City a licencié environ 1 700 employés après que le décret d’obligation de vaccination pour tous ses employés, de l’ancien maire Bill de Blasio. La plupart des personnes licenciées étaient des policiers et des pompiers. Le tribunal a estimé le 28/10/2022 que « le fait d’être vacciné n’empêche pas un individu de contracter ou de transmettre le COVID » et précisé :

« rien ne justifie de conserver une obligation vaccinale pour les employés et en même temps d’en exclure certaines professions telles que les athlètes et artistes ; cela est clairement arbitraire et capricieux ». 

Pour ces raisons, le tribunal a ordonné la réintégration des employés non vaccinés avec paiement des arriérés de salaires4 5. Les responsables de la ville ont déposé un recours, de sorte que la réintégration en attente pour le moment. Mais les attendus du jugement sont clairs.

En Italie, Meloni réintègre les soignants vaccino prudents

Le gouvernement de l’ancien Premier ministre Mario Draghi avait rendu la vaccination obligatoire pour les enseignants et les agents de santé en 2021 et l’avait étendue à toutes les personnes de plus de 50 ans en janvier de cette année. Les refus ont été sanctionnés par une exclusion du travail sans solde pour les fonctionnaires, tandis que les Italiens âgés de plus de 50 ans qui refusaient les pseudo vaccins expérimentaux ont été condamnés à des amendes de 100 euros.

Quelques actions en justice contre ces sanctions médicalement infondées avaient obtenu justice. Un médecin avait été réintégré en juillet 2022 en Sardaigne par la juge Eleonora Carsana du tribunal de Tempio Pausania qui avait de plus ordonné qu’elle reçoive les salaires accumulés depuis le jour de sa suspension jusqu’au jour de sa réintégration effective6.

Mais devant l’incapacité démontrée des faux vaccins à empêcher les contaminations et les transmissions et le manque dramatique de soignants, le Premier ministre Melloni vient d’annoncer qu’elle allait réintégrer tous les soignants suspendus pour avoir refusé l’injection avec récupération des salaires. Et allant plus loin dans la dénonciation de la tyrannie sanitaire imposée par le gouvernement précédent, elle a déclaré qu’elle ferait rembourser les amendes dont ont été victimes les personnes âgées qui ont refusé les pseudo vaccins.

Il est troublant de constater que des mesures antidémocratiques majeures décrétées par un gouvernement qui se prétendait démocratique sont abrogées par une Première ministre que les médias français qualifient volontiers de fasciste. La volonté de défendre les libertés aurait-elle changé de camp ?

https://twitter.com/yanof68/status/1587111149216169985?s=43

À ce jour, la France est le seul grand pays européen qui maintient cette exclusion des soignants qui refusent l’injection expérimentale. Contre toute logique puisque l’épidémie n’est plus guère mortifère et que seuls les fabricants de vaccins, leurs mercenaires et les organismes trop liés au pouvoir (haute autorité de santé et académie) osent encore prétendre qu’ils seraient susceptibles d’empêcher les transmissions.

Voir aussi :
Réintégration – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)

Dans ce contexte mondial où l’échec complet des injections est maintenant patent pour les populations, les pseudo vaccins ne font plus recette, en France comme dans le reste du monde.

Actuellement, malgré une propagande permanente pour faire peur, moins d’un français sur 10 000 se laisse encore injecter quotidiennement.

Alors, pourquoi discriminer les soignants et pompiers qui ont toujours été conscients des enjeux médicaux et ont toujours accepté les vrais vaccins ?

Messieurs et Mesdames les députés, suivez l’exemple du reste du monde, votez une loi qui mette fin au scandale de la suspension des soignants et pompiers qui refusent l’injection expérimentale inefficace.

Leur réintégration est urgente pour tenter de renforcer les personnels hospitaliers, remonter le moral des troupes et stopper la désertification médicale. Ces personnels sont attendus avec impatience par leurs collègues, comme le prouve le dernier communiqué du syndicat National des Médecins Hospitaliers Force Ouvrière :

« IMPERITIE MINISTERIELLE ET COERCITION… Les patients ont besoin de médecins… Le maintien des suspensions, au titre de la loi du 5 août, prend un sens nouveau aujourd’hui : celui d’un acharnement déraisonnable. »





Et pourtant elle est efficace ! (La chloroquine)

Et soutien à Martine Wonner

Par Dr Gérard Delépine

[Illustration :] Galilée devant ses juges

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

(ONU décembre 1948)

La religion contre la science. Le dogme contre les faits

Lorsque Galilée a été condamné par l’Inquisition parce qu’il affirmait que la terre tournait autour du soleil, il a fait publiquement amende honorable, mais aurait susurré « et pourtant elle tourne ».

Quatre siècles plus tard, de nombreux procès semblables à celui de Galilée se tiennent contre les médecins et scientifiques, enseignants-chercheurs, etc. qui ont osé ne pas répéter la doxa officielle du gouvernement. Peu importe les faits, seul le dogme compte.

Par exemple, la docteur Nicole Delépine vient d’être blâmée comme d’autres collègues, par le conseil de l’ordre régional parisien qui a pourtant relaxé le PR Perronne, pour avoir conseillé les traitements précoces, le conseil arguant que cette affirmation n’était pas avérée malgré les publications internationales démonstratives dès février 2020.

Pourtant les faits avérés et les publications accumulées, confirment ses déclarations, prouvent que la chloroquine et l’azithromycine sont efficaces et démentent le crédo officiel que les traitements précoces seraient inefficaces et les vaccins salvateurs.

Il serait grand temps que les juges du CNOM se comportent enfin en scientifiques, admettent que les progrès en médecine naissent de débats démocratiques et qu’ils analysent les faits avérés au lieu de se comporter en grands inquisiteurs du dogme officiel.

Rappel des données publiées par l’OMS

Tous les pays du monde n’ont pas appliqué la funeste recette de l’OMS (enfermement, interdiction des traitements précoces, injections forcées) et maintenant que l’épidémie est terminée (grâce à Omicron), la comparaison des mortalités selon la stratégie covid de chaque pays permet d’en apprécier la pertinence.

Les pays d’Afrique souffrant de paludisme ont confirmé l’efficacité des antipaludéens

Les pays pauvres d’Afrique ne pouvaient pas s’offrir les injections covid trop onéreuses et les espoirs de l’OMS, de GAVI et de Big Pharma de faire payer les pays riches pour leur offrir ces traitements ont été déçus. Tous les experts de l’OMS et des médias dominants avaient prophétisé une catastrophe sanitaire dans les pays pauvres parce que leurs systèmes de santé étaient insuffisants, leurs populations sous-alimentées, qu’ils manquaient d’hôpitaux, de médecins et de médicaments et de vaccins. Or c’est le contraire que nous constatons !

Dans les pays souffrant chroniquement du paludisme, les populations qui prennent chaque jour des antipaludéens ont moins souffert du covid avec une mortalité 20 à 100 plus faible que celle des pays riches très vaccinés !

Il faut fermer les yeux pour ne pas voir que les antipaludéens ont été très efficaces.

Madagascar a prouvé l’efficacité de l’Artémisinine

En avril 2020, face au Covid, les autorités de Madagascar ont décidé d’orienter tous leurs efforts vers la distribution de décoctions de la pharmacopée traditionnelle, l’artémisinine, substance isolée de la plante locale Artemisia Annua, utilisée jusqu’ici en prévention du paludisme.

« Une nette amélioration de l’état de santé des patients ayant reçu ce remède a été observée en 24 heures seulement après la première prise. La guérison a été constatée après sept jours, voire dix jours. Ce remède est naturel, non toxique et non invasif »1.

L’OMS et les fabricants de vaccins ont tout fait pour discréditer ce traitement au prix insignifiant, poussant le président Andry Rajoelina à quitter l’OMS et à déconseiller les pseudo vaccins.

En octobre 2022, l’épidémie est terminée à Madagascar depuis plus de 6 mois et la mortalité cumulée est 40 à 60 fois inférieure à celle des pays riches très injectés.

On pourrait croire que le climat de Madagascar ou la jeunesse de sa population expliqueraient cette différence, mais la comparaison avec les Seychelles contredit cette hypothèse. Madagascar et les Seychelles distantes de 1000 kilomètres partagent le même climat, des populations semblables et des modes de vie similaires. Mais les Seychelles ont suivi les recommandations de l’OMS et ont tenté de sauver leur saison touristique en vaccinant toute leur population. À la fin de l’épidémie, les Seychelles souffrent d’une mortalité 32 fois supérieure à celle de Madagascar très peu vaccinée (<5 %).

Il faut refuser de considérer les chiffres pour ne pas admettre que l’artémisinine a été très efficace :

L’Algérie a prouvé l’efficacité considérable du traitement Raoult, le professeur très malmené par les institutions malgré sa haute réputation internationale2

La comparaison entre la France et l’Algérie est très pertinente, car les populations française et algérienne sont très comparables par leurs facteurs de pronostic covid : mêmes pourcentages de plus de 60 ans, même sex ratio, un peu plus d’obèses en Algérie 23 % vs 17 %, qui ne peuvent donc pas expliquer la différence de mortalité observée.

Dès le 31 mars 2020, le Comité scientifique algérien installé auprès du ministère de la Santé algérien décidait de démarrer le traitement à la chloroquine pour tous les positifs au test PCR et tous les malades symptomatiques. Le 31 mai 2020, le ministre de la Santé déclarait que le protocole de traitement à la chloroquine avait prouvé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traités ».

Et au 31 octobre 2022, les chiffres de l’OMS montrent qu’avec ce traitement, le covid n’a pas été plus mortifère en Algérie qu’une grippe ordinaire : 6881 morts attribuées au covid en trente-deux mois sur une population de 42 millions d’habitants, alors que la France en compte plus de 156 000 pour 67 millions d’habitants.

Certains pourraient évoquer la différence de climat entre l’Algérie et la France, mais la comparaison avec la Tunisie permet de l’exclure. En effet, la Tunisie qui partage le même climat que l’Algérie, a, comme la France, appliqué la stratégie de l’OMS et, comme la France, compte 16 fois plus de morts par million que l’Algérie.

Il faut être aveugle pour ne pas reconnaître que la stratégie Raoult a été très efficace.

La politique du Conseil national de l’ordre paraît se résumer à celle des 3 singes : « Ne rien voir, ne rien entendre et bâillonner ceux qui disent la vérité ».

Le conseil de l’ordre des médecins veut constamment faire taire ceux qui disent une vérité qui dérange le dogme officiel.

En 1986, le conseil de l’ordre des médecins m’avait accusé de « prôner des thérapeutiques non reconnues » parce que j’affirmais que l’amputation pouvait être évitée à la majorité des malades souffrant de cancers des membres. J’ai dû mon salut professionnel à la parution, quelques semaines avant le jugement, d’un audit du ministère de la santé américain confirmant mes dires. Et depuis aucun spécialiste au monde ne défend plus l’amputation.

Mais il ne fait pas avoir trop tôt raison devant le conseil de l’ordre des médecins !

Une fois de plus je refuse de me taire, car mon devoir de médecin m’impose de tout faire pour protéger la vie de mes semblables et ma responsabilité de scientifique me dicte de proclamer la vérité des faits établis, même si elle gêne les intérêts de l’industrie pharmaceutique et de ses nombreux complices au pouvoir pour lesquels la reconnaissance de l’efficacité des traitements précoces signerait la fin du business si rentable des faux vaccins Covid (déjà environ 250 milliards de dollars).

Lors de cette crise Covid, l’attitude quasi religieuse du conseil de l’ordre des médecins a contribué à empêcher les Français de bénéficier des traitements précoces qui auraient vraisemblablement permis d’en sauver plus de 100 000. Sa responsabilité dans cette hécatombe qui aurait pu être évitée, au moins en grande partie, justifie une enquête scientifique indépendante des pouvoirs en place, et pourquoi pas judiciaire, pour mise en danger de la vie d’autrui.

Le conseil de l’ordre des médecins poursuit de nombreux médecins qui ont trop parlé, ou pire, qui ont guéri des malades avec des traitements précoces3. Il est indispensable que la population apporte massivement son soutien à ces héros et défende la liberté d’expression, la liberté de penser et la liberté de traiter les malades.

Que chacun de ces procès iniques se transforme en procès du conseil de l’ordre des médecins qui n’a poursuivi comme il le devait les médecins des plateaux télé ni les médecins de journaux lorsqu’ils vantaient des traitements réellement dangereux et inefficaces, tels le Remdesevir sans mentionner leurs liens d’intérêt comme la loi les y oblige.

La liberté ne persiste que si on la défend. Montrons-nous dignes de nos aïeux !

Des voix s’élèvent dans le monde

Pendant que le gouvernement tente de réhabiliter la milivudes et les délateurs de dérives sectaires et les complotistes, assimilés de fait à la dénonciation des mensonges de la crise covid.

En voici une de qualité :



(vidéo sous-titrée en français)

Écoutez l’émission de Ivan Rioufol sur CNews sur le scandale sanitaire que nous avons vécu :

https://t.me/Canal_Hippocrate/188 vidéo interdite et supprimée par YouEnTube

La voici complète et téléchargeable

Enfin l’énorme scandale de la gestion criminelle de cette crise COVID explose sur CNEWS grâce à Ivan Rioufol :
– ces « vaccins » expérimentaux sont inefficaces et dangereux ;
– il existe des traitements efficaces et inoffensifs qui sont interdits ;
– les scientifiques Lanceurs d’Alertes sont tous censurés par les merdias.
Partagez !

SOUTENONS MARTINE WONNER

En urgence, allez à Nancy soutenir l’ex-députée Martine Wonner psychiatre, un des rares députés à avoir élevé la voix dans l’hémicycle 4 contre la dictature sanitaire qui s’aggravait de jour en jour pendant sa présence à l’assemblée, et malgré les insultes et le mépris réitéré du ministre de la Santé, O. Véran.

[En réponse à 2022-11-04 Nancy Soutien WONNER Martine]

Le VICE-PRÉSIDENT NATIONAL DE L’UNION NATIONAL DES PORTE – DRAPEAUX DE FRANCE 🇫🇷
À reçu Mandat De soutenir
L’ancienne DÉPUTÉE.
Martine. WONNER. Dans son combat. Pour le rétablissement
De la vérité.
Une députée. Dynamique
Véridique
Doit être. Rétablie. Dans tous Ses Droits.
Liberté 🗽 chérie

Francis Volk
Commandeur de L’Ordre National
Du Mérite. À titre militaire 💥🇫🇷🪂🪂🪂🇫🇷🇫🇷

[Transféré de 2022-11-04 Nancy Soutien WONNER Martine]

Bonjour à toutes et tous, je vous mets en pièce jointe un courrier que vous pouvez envoyer par mail (en l’adressant de votre part dans le courrier) à la chambre disciplinaire régionale de l’ordre des médecins de Nancy en soutien au Dr Martine Wonner qui y est convoquée ce vendredi 4/11 à 9 h 30. L’association Unic67 a déjà envoyé ce courrier par la poste ainsi que par mail à :
LORRAINE@CROM.MEDECIN.FR
Soutenons notre ancienne députée qui s’est battue pour notre liberté d’expression, pour nos droits, etc., soutenons le Docteur, soutenons la femme… Merci en tout cas de tout ce que vous avez fait pour nous. Alors n’hésitez pas, le courrier est pré-fait et ne vous prendra pas beaucoup de temps, chaque grain de sable est important merci. Cordialement. Secrétaire Unic67.

SOUTENONS JULIEN DEVILLEGER

Pour rappel qui est le cardiologue, initiateur de la pétition au Sénat sur les effets secondaires des injections géniques 
https://t.me/c/1435630116/59347
@JaneOfArc6 #JeSoutiensDrDevilleger Cardiologue convoqué au commissariat pour suspicion d’exercice de la médecine sans respect de l’obligation vaccinale… le 8 novembre 2022

Ex-URSS ? Non, la France !





Pourquoi les patients posent-ils tant de lapins aux médecins ?

Pourquoi les patients posent-ils tant de lapins 1 2 aux médecins ?

Par Gérard Delépine

Les lapins sont devenus le fléau numéro un des cabinets médicaux, si l’on en croit certains médecins. Les lapins, ces rendez-vous médicaux auxquels les patients ne se présentent pas sans prévenir, se seraient multipliés ces dernières années.

Désorganisation du cabinet, perte de chance pour les patients… les conséquences sont majeures sur l’organisation des soins, estime l’URPS Médecins libéraux Île-de-France qui pointe du doigt le comportement des usagers, accusés de multiplier les rendez-vous sur les plateformes en ligne.

Une thèse (« Rendez-vous manqués en médecine générale par les patients précaires : quels sont les motifs ? »), soutenue par le Dr Francis Gatier, donne un autre son de cloche. Le point de départ de cette analyse : une grande majorité des rendez-vous manqués le seraient par des patients en tiers-payant social, bénéficiaires de la couverture maladie universelle.

« Les patients en situation de précarité sont susceptibles de manquer plus de rendez-vous que la population générale avec leur médecin généraliste » (…)

Conséquence, ces rendez-vous manqués devraient être pris « comme signaux d’alerte et, au minimum, être explorés à la consultation suivante », estime le généraliste qui suggère d’intégrer la situation sociale des patients précaires dans les dossiers médicaux. ()

Près de 5 % de rendez-vous non honorés (…)

Pourquoi les lapins se multiplient-ils ?

Sans surprise, la raison principale du rendez-vous manqué par le patient est l’oubli, non pas par désinvolture, mais parce qu’il est souvent « le dernier maillon d’une chaîne d’événement, les causes d’absences étant multifactorielles ». Les difficultés de la vie courante, principalement la précarité du travail (horaires imposés, heures supplémentaires au dernier moment), sont une cause d’absence fréquente, relève l’auteur. (..°

Autre explication invoquée : la charge mentale. « Les patients sont souvent isolés, avec peu de moyens et peu d’aide extérieure. Ils doivent gérer de multiples rendez-vous nécessaires à leur qualité de vie ».

Le moral et les troubles de l’humeur, la dépression, un sentiment de lassitude, jouent également un rôle important dans les absences, sans qu’il puisse être établi un lien de causalité avec la précarité des patients…

Si l’auteur de cette enquête reconnaît que les médecins ont peu de moyens d’agir, il invite ses confrères à ne pas stigmatiser ces patients, mais à s’interroger sur les motifs d’une absence, qu’elle peut être parfois perçue comme « un signal d’alarme pouvant cacher une aggravation de la situation sociale et de la santé du patient ». Les sanctionner « serait vécu comme une double peine et une forme d’abandon », par des médecins pourtant considérés souvent comme protecteurs. »

Le colloque singulier médecin-patient si fondamental, si estimé, respecté des patients a disparu au fil des nombreuses réformes destructrices depuis des décennies, transformant l’acte médical en acte marchand banal avec conclu le plus souvent avec un anonyme, comme on achète une salade au commerçant du coin, ou un coca au distributeur.

Avec la disparition de la nature si singulière de l’acte médical auquel était accroché le secret médical absolu, inviolable, permettant de tout dire, l’estime, le respect, la considération du médecin ont disparu. Comment s’étonner que le niveau des lapins ne fasse qu’augmenter ? Les mondialistes tentent de faire croire qu’on peut remplacer un médecin formé sur de longues années par l’étude, le compagnonnage et l’expérience, par des cabines téléphoniques reliées à des robots parfois aidés d’un praticien anonyme qui par définition ne connaît pas vos spécificités.

Si on adhère à ce scénario qui vise à faire disparaître les vrais médecins, 3 y compris les psychiatres par une virtuelle intelligence artificielle, il ne faut pas s’étonner que les malades oublient ce qu’est un « docteur », un médecin de famille qui vous connaît sur plusieurs générations et dont on n’aurait jamais pu oublier la visite tant attendue. Il vous avait fait naître et parfois accoucher de votre enfant, et fermer les yeux de votre grand-mère dans un accompagnement respectueux, sans seringue de Rivotril. Le passé, c’est notre histoire et il faut la connaître pour défendre notre avenir.

L’abandon des patients par une partie du corps médical sur ordre de Veran et de Salomon

Obéissant petit doigt sur la couture du pantalon. Ces deux dernières années de lâcheté, de soumission, d’abandon des principes hippocratiques de notre métier, foulant au pied ce serment qui place le patient avant toute autre considération font perdurer ce phénomène. Où sont passés les « docteurs » au sens où votre voisine vous parlait de son docteur et de ses « petits soins » ?

Ils se sont cachés, ont accepté d’être dévalorisés pendant la crise du covid et n’ont pas réagi collectivement contre l’ordre aberrant du gouvernement de ne pas consulter son médecin traitant en cas de troubles respiratoires, ou SOS médecin, mais d’appeler le 15 et de rester chez soi jusqu’à aggravation. INIMAGINABLE. Comment les patients pourraient oublier cette désertion ?

Certes, certains médecins ont été héroïques4 et ont tenté de soigner leurs patients, encourant multiples sanctions qui tombent actuellement.5 Quelques milliers ou centaines, ils sont en tous cas très minoritaires. Trop de médecins sont restés silencieux, acceptant cette désertion sur ordre, et n’ont pas dénoncé les persécutions des collègues courageux. Les milliers de soignants suspendus, sans droit au chômage ou RSA sont largement oubliés par leurs propres collègues et leurs patients. Pas de grève des soignants envisagée pour exiger que cesse ce scandale médical et politique ; une grève qui, si elle était effective, résoudrait le problème en quelques jours. Et le soutien des patients aux soignants suspendus est tout aussi timide. Le déni continue et cela arrange bien le pouvoir.

Collectivement les dizaines de milliers de médecins français sur les plus de 200 000 inscrits au conseil de l’ordre auraient pu réagir sur la disparition de fait de leur métier, dès mars 2020. Les Guadeloupéens n’ont pas cédé. Ils ont partiellement gagné. Que ne nous les avons pas imité en métropole ?

En 2022, 99 941 médecins généralistes exercent en France.6

Le nombre de médecins en activité s’élevait à 218 296 au 1er janvier 2013. Ce chiffre inclut les médecins militaires et les fonctionnaires, lesquels ne sont pas tous inscrits au tableau de l’Ordre des médecins. l’article L 412-6 du Code de la santé publique stipule en effet que « L’inscription à un tableau de l’ordre ne s’applique pas aux médecins, chirurgiens-dentistes et sages-femmes appartenant aux cadres actifs du service de santé des armées. Elle ne s’applique pas non plus à ceux des médecins, chirurgiens-dentistes ou sages-femmes qui ayant la qualité de fonctionnaire de l’État ou d’agent titulaire d’une collectivité locale ne sont pas appelés, dans l’exercice de leurs fonctions, à exercer la médecine ou l’art dentaire ou à pratiquer les actes entrant dans la définition de la profession de sage-femme. »

Un âge moyen de 51,3 ans. L’âge moyen des praticiens, qui comptent 41,9 % de femmes, est de 51,3 ans. Les médecins en activité sont ceux qui sont en exercice et ont au moins une activité en France.

On compte ainsi 333 médecins pour 100 000 habitants (199 libéraux pour 100 000 habitants), mais cette densité cache d’importantes disparités géographiques. Les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Île-de-France sont sans surprise mieux dotées.

Dans le détail, on compte 101 803 généralistes, les autres étant des spécialistes (14 619 psychiatres, 10 841 anesthésistes, 8 392 radiologues, etc.). Par ailleurs, 130 106 médecins ont une activité libérale ou mixte et près d’un médecin sur cinq exerce plus d’une activité.7

LES MÉDECINS SILENCIEUX SE SONT-ILS DÉSHONORÉS AUX YEUX DES CITOYENS ?

Combien de personnes autour de vous ont-elles accepté l’injection sur le conseil de leur médecin, les yeux fermés ? Nous aimions ce rapport de confiance au début de nos études dans les années 70, mais il fallait en être dignes comme les médecins de famille que j’évoquais plus haut, comme les médecins qui ne comptaient pas leurs heures à l’hôpital enchaînant gardes (non payées) travail du jour, consultations. Et de surcroît nous en étions heureux.

La société des loisirs, du commerce, de l’abrutissement voulue par l’ordre mondial qui avançait masqué, advint au début des années 80 en même temps que de l’arrivée du Président Mitterand et de Mme Thatcher, tentant de nous transformer en esclaves avec des jeux et du pain… Et les médecins sont tombés dans le panneau des 35 heures, des RTT, des réunions multiples et variées censées améliorer la qualité (en même temps qu’elles vous détournaient de votre métier), etc. L’hôpital devint une entreprise dont la finalité n’était plus le soin des malades, mais la rentabilité et le médecin libéral de plus en plus un commercial.

Ils ont perdu leur âme en acceptant le flicage des secrétaires par le badge, puis celui des soignants dévoués et finalement le leur. Ceux qui restaient facilement si besoin une heure ou deux de plus (quitte à partir plutôt un autre jour) se sont mis à compter des heures durant les minutes à récupérer.

D’humains auprès des patients, beaucoup sont devenus des robots, acceptant l’idée que la machine avec les algorithmes, les logiciels, les recommandations devenues injonctions imposées, bref la pseudo-intelligence, vraiment artificielle (l’IA) allait les soulager, comme l’avènement des cabines machines tentent de le faire dans les supermarchés en attendant de les remplacer. Et comme le symbole met trente ans à se modifier, aujourd’hui les plus jeunes n’y voient pas malice…

ILS ONT FERMÉ LES YEUX

Ils n’ont pas hurlé collectivement au décret Rivotril 8de fin mars 2020 donnant l’injonction de prescrire une injection létale disponible dans la chambre du résident d’EHPAD et de malades en hospitalisation à domicile, et même aux jeunes handicapés. Injection à appliquer en cas de symptômes compatibles avec le covid19. ILS N’ONT PAS HURLE, pire ils ont appliqué. Comme en leur temps les médecins allemands de l’Aktion T49 10

On sait maintenant qu’environ dix mille personnes ont été ainsi euthanasiées, pour la grande majorité d’entre eux sans leur consentement, ni celui de leur famille entre fin mars et avril 2020. Quels furent les prescripteurs initiaux, sinon des médecins, laissant trop souvent au soignant présent — infirmier ou aide-soignant — la terrible tâche de l’injection après accord téléphonique ? Beaucoup racontent ne pas s’en remettre11.

Ils ont accepté que le pouvoir interdise aux familles d’entourer leur patient dans ces moments terribles de la peur de la mort, de leur tenir la main, de leur parler. Et ils les ont laissé mettre nus dans de grands sacs plastiques sans que leurs proches ne puissent les revoir avant leur incinération. Ils ont laissé priver les familles d’obsèques libres avec nombre de personnes limité au cimetière. L’inhumanité a émaillé ces deux ans et demi et plane encore violemment.

Il me semble que peu de médecins ont réagi collectivement pour tenter de protester contre l’aberration de l’obligation du masque et ses dangers chez les enfants, du dépistage fallacieux par des tests PCR répétés chez des personnes saines et le pire, les injections à ARNm, sans essais thérapeutiques terminés et analysés, et faisant écho aux allégations mensongères gouvernementales sur la protection conférée par le pseudo vax.

En cet automne 2022, trop d’entre eux ont masqué et masquent encore la responsabilité de l’injection dans les complications dont souffrent les patients qui les consultent… Coïncidence, coïncidence. Tant de familles ont compris le lien, surtout quand les coïncidences s’accumulent, mais le médecin traitant continue souvent à nier le lien de causalité, quand il ne prend pas de haut la question du patient, ou ne le vire pas manu militari pour « insulte à la science !

Les témoignages s’accumulent par téléphone, par mail sans besoin de réseaux sociaux, d’où ce papier. Et ils voudraient qu’on leur fasse confiance, que l’on continue à les respecter, comme avant, à l’époque où la parole du médecin de famille était sacrée, à juste raison car celui-ci faisait le maximum pour son malade qui le savait.

On ne peut pas impunément trahir les patients et s’étonner des “lapins” irrespectueux…

Certes cela ne date pas du covid, mais le changement de comportement de certains médecins non plus. Il reste heureusement encore beaucoup de docteurs formidables et humains, et on les traite de héros, alors qu’ils ne font qu’exercer leur métier et en tirent plus de bonheurs que leurs collègues devenus marchands.

Certains médecins semblent tomber des nues sur le comportement de trop de patients envers eux. La multiplication des “lapins” comme ils disent si bien que l’illustre Dr Marty bien connu des téléspectateurs accros aux émissions TV voudraient leur faire payer les rendez-vous manqués…

LA CULPABILISATION DES CITOYENS NON INJECTÉS A CREUSÉ LE TROU ET AUGMENTÉ LA PERTE DE CONFIANCE

Les horreurs entendues ou lues sur les non-vaccinés par des représentants du milieu médical sont légion et ont sali la profession entière, de même que les calomnies et les insultes de certains d’entre eux contre nos collègues célèbres comme le Pr Raoult ou le Pr Perronne.

Une tribune signée d’une quinzaine de médecins est parue fin décembre dans Le Monde posait déjà la question honteuse12 de “la prise en compte du statut vaccinal dans la priorisation des patients Covid-19 en réanimation”.

un post sur Telegram résumait ce qu’iI serait souhaitable de rappeler à tous ces propagandistes aux ordres du gouvernement : “ils peuvent être poursuivis pour :

✓ “discrimination en raison de l’état de santé” et qu’ils ne peuvent pas bénéficier du fait justificatif “d’état de nécessité” : 13

✓ Non-assistance à personne en danger : Article 223-6, alinéa 2 du Code pénal

quiconque s’abstient volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours”14

Et aux vues des propos tenus par les membres du gouvernement, notamment Véran et Castex, quant au fait de “rendre la vie impossible pour les non -vaccinés”

✓ Article 211-1 du Code pénal :

Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle….. d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :

— atteinte volontaire à la vie ;

— atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;

— soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;

Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité”

✓ Article 211-2 du Code pénal : “La provocation publique et directe, par tous moyens, à commettre un génocide est punie de la réclusion criminelle à perpétuité si cette provocation a été suivie d’effet. Si la provocation n’a pas été suivie d’effet, les faits sont punis de 7 ans d’emprisonnement et de 100 000 € d’amende”. 15

LES TÉMOIGNAGES MULTIPLES DÉMONTRENT LA PERTE DE CONFIANCE EN LA CONFRÉRIE MÉDICALE

Malheureusement les vrais médecins sont souvent aussi victimes de la méfiance, car il est difficile pour un patient de les reconnaître.

Le corps médical a perdu son prestige par sa Soumission aux ordres du gouvernement et à la peur des sanctions ordinales.

Beaucoup trop de médecins qui n’ont pas pris le temps d’étudier les articles scientifiques et ont conseillé l’injection à leur patient.

Ce Renoncement est ancien et progressif depuis les Références médicales opposables de 1993, les recommandations, puis des protocoles obligatoires.

Ils ont bafoué le serment d’Hippocrate et la corruption par l’argent, les honneurs ou le désir de rester dans le groupe a achevé le tableau.

Le Courrier du Soir 16avait déjà fait cette révélation en mars dernier. Cependant, en raison du contexte actuel et à la suite de ce grand cirque auquel nous avons eu droit au Parlement européen lors de l’audition de la représentante de Pfizer, notre rédaction a jugé bon de republier cet article afin que les citoyens français et du monde sachent que la plupart des ‘experts sanitaires’ qui défilent sur les plateaux de télé ne sont rien d’autre que des crétins grassement payés par Big Pharma pour manipuler l’opinion publique et faire taire les vrais scientifiques qui, eux, n’agissent qu’au nom de la Science et dont le seul tort est d’avoir l’âme trop pure pour troquer leur dignité contre milliers d’euros (idem au Canada et aux USA »).

Les KOL (Key Opinion Leaders) ou l’arme redoutable utilisée par Big Pharma pour tromper les médecins et se remplir les proches 17

D’après une étude relayée par Le Quotidien du Médecin, l’industrie pharmaceutique accorde d’importants cadeaux (financiers) à des médecins KOL pour vendre ses produits.

Les montants débloqués sont faramineux., entre 2014 et 2019, les industriels ont fléché 6 milliards d’euros (au niveau mondial) vers les médecins dont notamment 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature.

D’après le même journal médical, 548 médecins influenceurs sont en France :

« Sans surprise, les KOL sont plus gâtés que les autres. Alors que les leaders d’opinion ne représentent que 0,24 % des praticiens en France, ils concentrent à eux seuls 0,68 % du nombre total de cadeaux et 1,5 % de la valeur totale de ces avantages en nature et 99 % des associations médicales comptaient au moins un membre de son conseil d’administration pour lequel un cadeau avait été déclaré. »

Les chiffres dévoilés sont hallucinants. Ainsi, de 2017 à 2019, 1,67 million d’accords contractuels ont été déclarés pour un montant 125 millions d’euros. Et rien qu’en France, entre 2014 et 2019, 7 354 492 cadeaux ont été déclarés pour un montant de 818 millions d’euros. Les cadeaux accordés aux KOL ont été estimés à 12,3 millions d’euros, soit 3700 euros de cadeau par an pour chaque médecin influenceur.

Comment à ce jour un malade peut — il penser que son médecin a raison quand il lui refuse un antibiotique pour un mal de gorge traînant ou de la vitamine D dont chacun connaît les multiples bienfaits. Et quand encore maintenant le médecin et le pharmacien refusent ivermectine, hydroxychloroquine sous prétexte d’ukases politiques, quand ils ne poussent pas encore à injecter leurs enfants avec un produit génique toxique ou à vacciner même les garçons contre le HPV dont ils ne risquent quasiment rien.

En cancérologie l’application quasi aveugle des protocoles imposés par la HAS et l’INCa via les contrôles des ARS désespère les patients qui ne sont plus dupes après les scandales de la crise covid19. Les refus de soins probablement illégaux en l’absence d’injections morbides ont conduit au fond de l’horreur. La perte de confiance est généralisée sans solution de rechange néanmoins. Le désespoir, pas la meilleure chance d’aider à guérir leur cancer !

En conclusion, il faudra du temps avant que les médecins retrouvent leur virginité, dans un monde qui devra globalement revenir à de vraies valeurs humaines.

UNE PARTIE DE LA SOLUTION : LE RETOUR DES MÉDECINS SUSPENDUS ET DES SOIGNANTS SUSPENDUS

Une solution sera bien sûr le retour des médecins suspendus qui l’ont été parce qu’ils étaient particulièrement intègres, qu’ils savaient les injections dangereuses et inutiles et qu’ils refusaient d’utiliser de faux certificats de vaccination qu’ils pouvaient pourtant facilement se délivrer.

Les patients les attendent avec impatience. Les citoyens éveillés pourront alors trouver en cas de besoin un médecin éveillé et retrouver alors la confiance si indispensable au dialogue singulier.

Espérons que la relaxe du PR Perronne pourra faire jurisprudence et limiter les sanctions des médecins qui n’ont fait que leur devoir en traitant leurs malades ou en les avertissant de l’absence de recul sur les injections covid19.





Le jugement Perronne pourra-t-il aider à rétablir l’honneur d’autres médecins et soignants sacrifiés et conduire à leur réintégration ?

Par le Dr Gérard Delépine

La victoire du Pr Perronne n’est qu’une étape. N’oublions pas les autres soignants. Une bataille a été gagnée, mais pas la guerre

Chirurgien retraité, je me réjouis et je félicite le Pr Perronne et son avocat pour leurs succès dans les scandaleux procès que lui a intentés l’Ordre national des médecins.

Mais, si du point de vue personnel sa victoire méritée est réelle, les attendus du jugement montrent qu’il faut continuer le combat pour que les libertés d’expression et de prescription pleines et entières des médecins soient enfin reconnues et respectées par l’Ordre et que tous les procès iniques contre les confrères courageux soient abandonnés et leur honneur lavé. Le combat contre la volonté tyrannique de l’Ordre de priver les médecins de leur droit constitutionnel de s’exprimer librement et de leur nécessaire indépendance professionnelle énoncée dans le serment d’Hippocrate doit s’amplifier et aboutir. Que la relaxe du Pr Perronne les encourage à la poursuite de la lutte pour la vérité et la liberté.

Des attendus du jugement qui ne respectent pas exactement la liberté d’expression

La liberté d’expression telle qu’énoncée à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, à pleine valeur constitutionnelle :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »

Elle ne peut être limitée que par la loi et non par un règlement. Mais le conseil de l’ordre paraît l’ignorer.

En effet si les attendus du jugement reconnaissent que le Pr Perronne, avait « l’obligation de s’exprimer dans le domaine qui relève de sa compétence », durant la crise du Covid-19, ils précisent que c’est :

« au regard de sa qualité d’infectiologue internationalement reconnu ».

Cet argument rappelle la conclusion d’une fable de la Fontaine, justement consacrée à la peste 1 :

« Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. ».

En effet il paraît sous-entendre qu’un médecin qui ne serait pas infectiologue internationalement reconnu n’aurait pas le droit de s’exprimer dans la presse sur l’action du gouvernement et sur l’industrie pharmaceutique. Argumentaire curieusement oublié dans le cas du célèbre professeur Raoult, virologue internationalement reconnu et toujours harcelé de façon tenace.

Un autre attendu confirme ce caractère dogmatique du conseil de l’Ordre et son respect très limité de la liberté d’expression :

« il ne ressort d’aucune des pièces du dossier qu’à un quelconque moment l’infectiologue aurait tenu un discours antivax ».

Autrement dit, ne serait-ce pas la véracité des faits avérés exprimés par le Pr Perronne qui justifierait sa relaxe, mais ses positions antérieures favorables aux vrais vaccins. Sur ce point le PR Raoult n’est pas non plus contre les vaccins classiques, et ne bénéficie pas jusqu’à présent de la même clémence des autorités.

Curieuse conception de la liberté d’expression qui ne serait tolérée que si elle respecte aveuglément le crédo gouvernemental « provax » y compris quand ils confondent véritables vaccins et injection génique expérimentale qui n’est pas un vrai vaccin, comme l’a reconnu à plusieurs reprises le PR Delfraissy, longtemps président du conseil sanitaire du gouvernement. La liberté d’expression reconnue par l’Ordre serait-elle donc à géométrie variable ?

Le conseil de l’Ordre a rétabli le délit d’opinion 2 de prescription et des médecins sont poursuivis par l’Ordre, suspendus pour certains, voire radiés, voire ruinés

Un exemple parmi tant d’autres

« Garde à vue à la suite d’exercice soi-disant illégal de la médecine sous une ONG suisse

Bonjour,

Je suis médecin généraliste, ayant refusé de vacciner mes patients et ne portant pas le masque donc radiation le 23 novembre 2021.

Nous avions une ONG suisse où j’ai travaillé comme médecin et en février 2022, même inscrite à la direction de la santé de Genève. Du coup, j’ai été mise en garde à vue le 5 avril alors que je n’ai eu aucun mort pour mise en danger de la vie d’autrui avec risque de mort immédiate et pour exercice illégal de la médecine.

Je suis donc sous contrôle judiciaire jusqu’à nouvel ordre. Je ne peux plus sortir de France. Tout mon argent libéré grâce à mon PERCO, a été saisi et les 2 comptes professionnel et privé ont été prélevés en laissant à peine que 500 € sur le compte privé.

Je me suis donc retrouvée à découvert alors que je disposais de 27 000 €. Depuis, l’avocat a fait appel et cela n’intéresse personne.

Nous sommes dans une dictature et il est grand temps de se réveiller. »3

Les médecins poursuivis et/ou condamnés par l’Ordre pour avoir seulement exprimé une opinion différente du crédo gouvernemental sont trop nombreux pour être tous nommés et je m’en excuse auprès d’eux. En plus du prix Nobel de médecine le Pr Luc Montagnier4, les Pr Raoult, Perronne et Joyeux, citons la députée et psychiatre M. Wonner5, l’anesthésiste-réanimateur L. Fouché 6, les docteurs Maudrux7 et N. Delépine, et de nombreux généralistes dont P. De Chazournes8, F. Quedeville. 9

Le DR Maudrux commente sur son blog :

« Apparemment liberté de pensée, liberté d’expression, défense des traitements que l’on pense meilleurs que ceux proposés par d’autres, les débats, les actions légales auprès des autorités, tout ceci sont des choses interdites aux médecins », a réagi le Dr Maudrux dans un post de blog très commenté, dénonçant une « accusation sans preuve » : « aucun exemple, aucune phrase, aucun billet n’est cité pour que je puisse répondre et me défendre », pointe-t-il. « Je ne m’oppose pas à des recommandations (par ailleurs une recommandation est une recommandation, pas une obligation !), je demande simplement qu’on mette un autre médicament dans ces recommandations », se défend-il.

Et de conclure : « L’Ordre sort du débat médical, de la chasse aux traitements pour une maladie sévère, pour tomber dans la chasse aux sorcières. »

Comment ne pas citer la radiation du DR Stéphane Gayet10 : Avoir informé dès décembre 2021 des effets secondaires, parfois graves, voire mortels des pseudovaccins, injections géniques à ARN n’a pas été accepté par l’Ordre.

@LouisEymard 23 sept.

En décembre 2021 le Dr Stéphane Gayet alertait des effets secondaires des injections et a dévoilé la clause d’irresponsabilité imposée par les laboratoires pharmaceutiques. #JusticePourLesSuspendus

@ErikLoridan 23 sept.

Le Dr Stephane Gayet, médecin infectiologue strasbourgeois, radié par l’ordre des médecins pour avoir osé soigner des Covid long ! Faites du bruit !!

L’Ordre a effectivement quitté le débat médical de recherche de traitements pour une maladie nouvelle, pour se consacrer à cette chasse aux sorcières ciblant tous les opposants à la politique sanitaire pourtant catastrophique du gouvernement.

Il est donc indispensable de poursuivre le combat pour rappeler à l’Ordre que la liberté d’expression est un droit fondamental de tous les citoyens, qu’elle est sacralisée par la Déclaration universelle des droits de l’homme, reconnue par notre Constitution et qu’elle représente un des piliers de la démocratie. S’y attaquer constitue le premier pas vers la tyrannie. Intensifions le combat contre cette tyrannie.

Des médecins d’autres pays européens sont soumis à des rétorsions comparables pour avoir exprimé des doutes sur les mesures antidémocratiques qui nous ont été imposées dont le luxembourgeois Benoit Ochs11, les belges Céline Andri12, Pascal Sacré, réanimateur (un des premiers à avoir analyser la toxicité des masques imposés) licencié, et Laurence Kayser gynécologue très impliquée dans la défense des femmes atteintes d’effets toxiques de l’injection génique13 et tant d’autres donneurs d’alerte italiens, canadiens ou américains, victimes du totalitarisme occidental. Cette trop longue liste (très incomplète) démontre bien qu’il s’agit d’un problème politique international, et non pas sanitaire, éthique ou scientifique.

Le scandale des soignants condamnés par l’Ordre pour avoir guéri leurs malades et parlé

La liberté de prescrire est un droit fondamental du médecin rappelé par maître Krikorian14 15:

« La liberté de prescription des médecins relève d’un principe général du droit, à valeur supra-décrétale (au-dessus d’un décret du pouvoir exécutif) (CE, 10e et 7e sous-section réunie, 18 février 1998, n°171851 — v. mon communiqué de presse n°1 du 24 avril 2020, page ¾). L’ordonnance de référé que j’ai obtenue le 22 avril 2020 du Conseil d’État a permis de confirmer que les médecins n’avaient jamais perdu leur liberté de prescription que consacre l’article L.5121-12-1, I du Code de la santé publique (CSP), y compris hors indication d’autorisation de mise sur le marché (AMM), dès lors qu’il n’existe pas d’alternative médicamenteuse appropriée disposant d’une autorisation de mise sur le marché ou d’une autorisation temporaire d’utilisation et sous réserve que le prescripteur juge indispensable, au regard des données acquises de la science, le recours à cette spécialité pour améliorer ou stabiliser l’état clinique de son patient. ».

Pourtant de nombreux médecins ont été très durement sanctionnés par l’Ordre (interdiction d’exercice) pour avoir prescrit de la chloroquine ou de l’Ivermectine à leurs malades et les avoir guéris. L’Ordre ne s’intéresse pas à la réalité des faits avérés du monde réel, au devenir des malades concernés, mais récite le dogme officiel prétendant qu’il s’agit de « thérapeutiques non reconnues », illustrant spectaculairement la citation de Blaise Pascal16 « Plaisante justice qu’une rivière borne. Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà. », devenue au 21e siècle : « Vérité en deçà de la Méditerranée, erreur au-delà. »

L’ordre paraît ignorer que l’Algérie a démontré l’efficacité de la Chloroquine

Lorsqu’ils prétendent que le traitement Raoult est inefficace et non reconnu, les juges de l’Ordre ne paraissent guère informés de ce qui s’est passé en Algérie de l’autre côté de la Méditerranée. Dès le 31 mars 2020, le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid annonçait :

« Le Comité scientifique installé auprès du ministère de la Santé a décidé de démarrer le traitement à la chloroquine sur tous ceux qui sont déclarés positifs au Covid-19 ainsi que sur tous ceux qui auront des signes de contamination ».

Deux mois plus tard, le 31 mai 2020, le même ministre de la Santé déclarait que le protocole de traitement à la chloroquine a prouvé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traités ». Certains refuseront peut-être de le croire, mais les chiffres de l’OMS démontrent qu’avec ce traitement le Covid n’a pas été plus mortifère en Algérie qu’une grippe ordinaire : 6881 morts attribuées au Covid en trente-deux mois sur une population de 42 millions d’habitants, alors que la France en compte plus de 156 000 pour 67 millions d’habitants.

L’Ordre paraît ignorer aussi que Madagascar a démontré l’efficacité de l’Artémisinine

Le conseil de l’ordre s’est comporté comme un grand inquisiteur, refusant de considérer les faits avérés pour imposer par tous les moyens le dogme du gouvernement (ou de Big Pharma via l’OMS) sur la prétendue inefficacité des traitements précoces, pourtant démentie par les données actuelles de l’OMS elle-même.

Il a préféré sanctionner les médecins qui ont utilisé ce traitement et guéri leurs malades plutôt que de reconnaître ses erreurs et le caractère catastrophique de la stratégie sanitaire gouvernementale. Ce refus dogmatique des traitements précoces a entraîné 130 000 morts évitables, une catastrophe sanitaire de gravité inégalée, causant plus de morts que la débâcle de 1940 (100 000 morts).

Les conséquences dramatiques de cette guerre ordinale contre les traitements précoces qui ont permis aux pays pauvres d’échapper à l’hécatombe Covid aboutiront-elles un jour à des mises en examen pour mise en danger d’autrui ?

Durant la crise Covid, l’Ordre n’a pas respecté ses missions

Il n’a pas protesté lors de la publication du décret Rivotril organisant l’euthanasie (sans consentement) de nos aïeux suspects de Covid s’opposant ainsi ouvertement à la loi Leonetti qui a rejeté l’euthanasie.

Il n’a rien dit lorsque le ministère a dicté aux médecins « l’ordonnance » en cas de Covid-19 (Doliprane) alors que le Conseil de l’Ordre aurait dû défendre la liberté du médecin dans l’exercice de son art, principe d’indépendance, base de la déontologie médicale et du serment d’Hippocrate.

Il a contraint les médecins à respecter l’interdiction ministérielle des traitements précoces efficaces, l’hydroxychloroquine puis l’azithromycine, puis l’Ivermectine

L’Ordre n’a pas ou peu poursuivi les médecins qui se sont exprimés dans les médias, sans mentionner leurs liens d’intérêts avec les entreprises du médicament, violant ainsi la loi transparence santé de 2011, et le code de la santé publique. C’est pourtant une mission prioritaire que lui a assignée la loi.

L’Ordre n’a pas défendu les soignants discriminés par l’obligation vaccinale

L’obligation vaccinale des soignants n’avait aucun intérêt sanitaire lorsqu’elle a été imposée, car tous les experts savaient déjà que l’injection aux soignants de pseudo vaccins, inefficaces contre les contaminations et les transmissions, ne pouvait pas protéger les malades.

Cette obligation vaccinale visait en réalité à empêcher les soignants vaccino prudents d’informer malades et familles des complications vaccinales qu’ils avaient déjà observées. L’Ordre qui ne pouvait ignorer que les injections n’étaient pas de vrais vaccins et qu’elles étaient toujours expérimentales, aurait dû protester et ne l’a pas fait.

De plus, l’Ordre, qui soutient traditionnellement les médecins en difficulté, a refusé d’aider les soignants exclus de leur sacerdoce les réduisant ainsi à des situations totalement inhumaines tout en sachant que cette obligation inutile réduit fortement le nombre global de soignants, déjà très insuffisant, démoralise ceux qui restent et aggrave ainsi la destruction de l’hôpital, comme de la médecine de ville.

Il a réussi à instaurer cette peur et cette soumission, car il semble bien que même après la relaxe du Pr Perronne, beaucoup de médecins n’osent pas avouer le soutenir publiquement et n’osent toujours pas prescrire les traitements précoces efficaces. Si bien qu’en octobre 2022, de nombreux malades errent pour obtenir une ordonnance de médicaments pourtant démontrés efficaces par une littérature internationale riche publiée et disponible sur les bases de données telles PUBMed.

Une bonne nouvelle pour les médecins suspendus ! L’exemple de l’Alberta au Canada

Danielle Smith, Première ministre de l’Alberta, présente ses excuses aux non-vaccinés :

« Je peux m’excuser maintenant. Je suis profondément désolée pour toute personne qui a été victime de discrimination de manière inappropriée en raison de son statut vaccinal, je suis profondément désolée. Pour tout employé du gouvernement qui a été licencié de son travail, en raison de son statut vaccinal, et je souhaite son retour s’il veut revenir. »

https://lemediaen442.fr/alerte-info-canada-danielle-smith-premier-ministre-de-lalberta-presente-ses-excuses-aux-non-vaccines/

Il devient urgent que le Gouvernement dépose un projet de Loi d’amnistie générale concernant tous les soignants poursuivis sur le plan disciplinaire, à l’occasion de leurs prises de position sur la politique vaccinale contre la COVID19.

Par ailleurs, les soignants doivent exiger, devant les chambres disciplinaires régionales, la présence d’un Magistrat de l’ordre judiciaire.


1 Jean de la Fontaine les animaux malades de la peste — 1678

2 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion

3 Garde à vue à la suite d’exercice soi-disant illégal de la médecine sous une ONG suisse — TPMD.fr : WAILLIEZJUILLET 30, 2022 À 6:23 Cette histoire paraît invraisemblable dans un pays comme la France et est pourtant réelle.

Les témoignages sont importants, car beaucoup de Français n’en croient rien.

4 Le CNOM lui reprochait de s’être « récemment illustré en affirmant que les variants naissaient des vaccins » en juillet 21 : eh oui !!!

5

6 Privé de ses fonctions et rémunérations, mais aussi de son compte bancaire

7 Le Dr Maudrux poursuivi par l’Ordre des médecins pour avoir promu l’ivermectine

Par A Marques le 31-05-2021

L’ancien président de la CARMF caisse autonome de retraite des médecins français, annonce faire l’objet d’une plainte déposée par le Conseil départemental de l’Ordre des médecins du Vaucluse, qui lui reproche d’avoir « appelé les médecins à prescrire des thérapeutiques non éprouvées » sur son blog.

« À cause de ce blog, je suis l’objet d’une plainte du Conseil de l’Ordre, qui souhaite apparemment me radier », annonce le Dr Gérard Maudrux, dans un post daté du 25 mai. L’urologue retraité, ancien président de la Carmf, fait l’objet d’une plainte déposée par le CDOM du Vaucluse devant la chambre disciplinaire de première instance à l’issue d’une commission de conciliation infructueuse qui s’est tenue le 17 février.

D’après le procès-verbal signé par l’Ordre, dont le Dr Maudrux publie une copie, il lui est reproché d’avoir tenu depuis décembre 2020 « de façon répétitive des propos s’opposant à des recommandations faites dans l’intérêt de la santé publique et appelant les médecins à prescrire des thérapeutiques non éprouvées » sur son blog, alors hébergé par Le Quotidien du médecin.

8 Le Dr de Chazournes comparait devant les instances disciplinaires de l’Ordre des médecins (zinfos974.com)

Le praticien est inquiété à la suite de ses prises publiques de position ainsi que celles de son collectif. Différents manquements à la déontologie sont reprochés au médecin, figure emblématique de la lutte contre la vaccination, qui risque la radiation Par N. Payet -18 Février 2022 ».

9 : https://www.mesopinions.com/petition/sante/soutenons-docteur-fabien-quedeville-convoque-motif/125525 Extrait :

Le docteur F. Quedeville, médecin généraliste dans l’Essonne, est convoqué sans motif officiel par le Conseil départemental de l’Ordre des Médecins.Connu pour avoir exprimé publiquement son opposition à un troisième confinement, choix finalement retenu par le Président de la République, il est aujourd’hui le premier médecin de ville à se voir convoquer après avoir exprimé cette position. En plus d’être injuste et infondée, cette convocation témoigne du mépris dont sont victimes les médecins généralistes, pourtant en première ligne dans la lutte contre l’épidémie.

Retrouvez sa tribune de soutien sur Baslesmasques.com

10 https://nouveau-monde.ca/la-disparition-des-medecins-competents-organisee-par-lordre-des-medecins-aux-ordres-une-nouvelle-victime-le-dr-s-gayet/

11 Procès / verdict en appel : Un an de suspension professionnelle pour le Dr Benoît Ochs Verdict de procédure dans le processus d’appel : Un an de suspension professionnelle pour le Dr Benoît Ochs — Tageblatt.lu

12 Laver l’honneur du Dr Cécile Andri – AIMSIB lire l’intégralité de la lettre ouverte du Dr Résimont octobre 2022

L’Ordre des médecins peut-il nier les évidences scientifiques, censurer, menacer et sanctionner les médecins qui témoignent de ce qu’ils constatent dans leurs cabinets médicaux ? L’Ordre des médecins peut-il piétiner le principe de précaution et la liberté d’expression ? L’Ordre des médecins est-il au-dessus de la Constitution et n’a-t-il aucune responsabilité pénale à la suite de cette censure ?

L’Ordre des médecins peut-il nier les évidences scientifiques, censurer, menacer et sanctionner les propagandes vaccinales excessives et à la mise en danger de la vie d’autrui engendré par cette communication dogmatique et mensongère qui constitue manifestement de la tromperie, du chantage et de l’abus de pouvoir ?

13 Voir son Interview au parlement européen avec l’eurodéputé Virginie Joron et l’avocate Diane Protat et le collectif « où est mon cycle » qui a éveillé beaucoup de femmes touchées et a ouvert la parole sur ce sujet terrible

14 https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/liberte-de-prescription-des-medecins-vs-deontologie-medicale-interview-de-me

15 http://newsnet.fr/read/liberte-de-prescrire-liberte-d-expression-des-medecins-deontologie-et-droit-avec-me-krikorian-le-dr-delepine-et-le-dr-sroussi

16 Blaise Pascal Pensées sur la religion — 1669 (publiées après sa mort)




Injections géniques anti-covid19 ni efficaces ni sûres ! Les faits avérés ont définitivement tranché

Par Dr Gérard Delépine

(C’est à la fin du bal qu’on paye les musiciens)

À l’heure où le nouveau « conseil scientifique »1, présidé par B.Autran, veut forcer à l’injection et que Alain Fischer pousse à injecter les petits relativement protégés jusque-là, il est impératif de revoir le bilan des faits avérés à utiliser pour convaincre amis, familles, voisins de sa nocivité et inefficacité, et de protéger ainsi en particulier les plus petits.

Durant cette crise covid la propagande omniprésente des médias a répété en boucle le message publicitaire de Big Pharma, des agences officielles telles que l’EMA (agence européenne du médicament) et du gouvernement : « les vaccins sont efficaces à 95 % et sans danger », en utilisant l’archétype le terme « vaccin » trompeur qui immédiatement a convaincu le peuple de son efficacité.

Il faut rappeler que les pseudovaccins à ARN n’avaient jamais été utilisés en pathologie infectieuse humaine et que les communiqués glorifiant les résultats préliminaires de leurs essais n’ont porté que sur quelques mois.

Maintenant que l’épidémie est terminée (même si certains utilisent des tests toujours aussi faux pour nous faire croire le contraire), un bilan objectif de l’évolution de la maladie peut être tiré pour vérifier la véracité de ces affirmations, en particulier pour les pseudovaccins imposés depuis presque deux ans.

Dans le monde réel, les pseudovaccins ont été inefficaces, voire contre-productifs

Un vrai vaccin a pour but d’empêcher tout risque le vacciné d’attraper la maladie. Quand on a reçu une dose de vaccin contre la variole ou la fièvre jaune, on est protégé à vie. Mais les injections anti-covid ne protègent pas ceux qui les reçoivent.

Chacun a pu le vérifier lui-même, dans son propre entourage et en parcourant les journaux relatant les malheurs de personnes célèbres vaccinées et malades. Cette incapacité des injections covid19 à protéger les vaccinés a été spectaculairement illustrée par l’épidémie qui a touché en juillet 2020 les marins du porte-avions Queen Elizabeth tous vaccinés et dont plus d’une centaine est tombée malade après une escale. Tous vaccinés, mais pas protégés !

Le second but d’un vrai vaccin est d’empêcher la transmission de la maladie, ce qui stoppe l’épidémie et protège les non-vaccinés. Malheureusement, les injections covid ne préviennent pas les transmissions et n’ont pas permis de ralentir l’épidémie. Elles paraissent même parfois avoir accéléré sa progression. Au niveau mondial, d’après les chiffres de l’OMS, la période de généralisation des injections (2021-2022) a comptabilisé trois fois plus de contaminations mensuelles que la période prévaccinale (2020).

Et ce ne sont pas les pays peu vaccinés qui sont responsables de cet échec, mais au contraire les pays les plus vaccinés qui ont subi les plus grandes poussées de contaminations.

Devant ces échecs devenus incontestables, les fabricants et les avocats des injections ont prétendu qu’elles protégeraient des formes graves et de la mort.

Mais une fois de plus, les chiffres de l’OMS démentent cette affirmation en montrant une mortalité mondiale accrue depuis la généralisation des injections.

Et cette mortalité n’est pas due à la faible couverture vaccinale d’Afrique ou d’Asie, car elle touche surtout les pays occidentaux les plus vaccinés.

Dans le monde réel, malgré un nombre croissant de rappels, les données de l’OMS démontrent que les pseudo vaccins Covid se sont révélés totalement inefficaces : incapables de protéger les vaccinés, incapables d’éviter les transmissions, incapables de diminuer les formes graves et la mortalité.

Les pseudo vaccins inefficaces sont fréquemment toxiques

La base de données européennes Eudravigilance comptabilise plus de 1 600 000 effets secondaires indésirables, dont 12 000 morts observés après vaccination Covid19.

Certes le lien direct de causalité n’a pas été souvent formellement établi, mais c’est parce qu’il n’a été qu’exceptionnellement recherché, les autopsies médicolégales étant presque toujours refusées par les autorités en cas de mise en cause de la vaccination. Dans les rares cas où elles ont été réalisées, elles ont conclu dans plus de la moitié des cas à un lien direct de causalité entre injection et décès par accident vasculaire, embolie ou myocardite.

De toute manière, une telle explosion des déclarations d’effets secondaires n’avait jamais été observée pour aucun vaccin, même ceux administrés à la quasi-totalité des populations anti comme les vaccins anti-diphtérie, antitétanique ou anti-rougeole.

L’examen des données officielles de l’OMS prouve donc le caractère totalement mensonger de la propagande qui nous a été imposée par le ministère et les médias prétendant que les vaccins seraient efficaces à 95 % et sans danger. Les pseudo vaccins covid ont été inefficaces sur la maladie et source d’un nombre considérable de complications.

Christine Anderson, députée et membre de la Commission d’enquête sur Pfizer, nous alerte : « VACCINATION : TOUT ÉTAIT BASÉ SUR UN GIGANTESQUE MENSONGE ! »2 Comme la Commission européenne a commandé 4,3 milliards de doses, il faut s’attendre à un regain de propagande et de mesures visant à imposer de nouveaux rappels inutiles et d’autant plus dangereux que leur toxicité est cumulative.

Le seul bénéfice des pseudo vaccins a été financier pour les firmes, leurs actionnaires, les politiques et les leaders d’opinion corrompus. Au 19 octobre 2022, les 12 814 704 622 doses de vaccin administrées3 dans le monde ont rapporté un peu plus de 240 milliards de dollars aux firmes pharmaceutiques (dont près de 80 milliards pour l’Europe) qui en ont sans aucun doute reversé quelques-uns à leurs mercenaires.

Refusons ces injections expérimentales inefficaces, toxiques et hors de prix.

Battons-nous sans relâche pour notre santé, nos libertés et un usage utile de nos impôts.

Et partout crions et écrivons LIBERTÉS ! LIBERTÉS ! LIBERTÉS ! Comme l’a si bien fait Paul Eluard contre la tyrannie de l’époque.

Liberté

Paul Eluard Poésie et vérité 1942 (recueil clandestin)

Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom

Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom

Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom

Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom

Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom

Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté.

Au rendez-vous allemand (1945, Les Éditions de Minuit)




L’Algérie confirme que le traitement Raoult est très efficace.Si nous avions imité sa stratégie, nous aurions évité 130 000 morts

Par Dr Delépine Gérard

Dans l’épouvantable affaire Lola, c’est la politique du gouvernement français et non pas l’Algérie qui est responsable. Comme dans l’hécatombe française du covid19 : pour le vérifier, consultons les chiffres officiels de l’OMS.

En Algérie, l’épidémie est terminée depuis 6 mois

Depuis le début de cette année, le nombre de nouvelles contaminations journalières est infime (en moyenne moins de 50 durant les 7 derniers mois) ainsi que le montre la courbe retraçant l’historique de l’épidémie et seulement 29 morts ont été attribuées au covid sur les 230 derniers jours :

(du 4 mars 6852 morts au 18 octobre 6881 morts)

À la fin de l’épidémie, le bilan définitif des mesures sanitaires peut être tiré.

En Algérie, le covid n’a pas été plus mortifère qu’une grippe ordinaire : 6881 morts en trente-deux mois sur une population de 42 millions d’habitants.

Durant la même période, la France a compté plus de 156 000 morts attribuées au covid pour 67 millions d’habitants.

On peut donc parler d’un désastre sanitaire français, d’une hécatombe covid.

Comment expliquer la catastrophe sanitaire Covid de la France ?

Les avocats du gouvernement et de Big Pharma prétendront comme d’habitude que ce n’est pas la faute de la stratégie de notre gouvernement, mais des différences dans les populations, le climat… mais ce n’est pas vrai !

Les populations française et algérienne sont très comparables par leurs facteurs de mauvais pronostic covid : mêmes pourcentages de plus de 60 ans12, même sex ratio, un peu plus d’obèses en Algérie (23 % vs 17 %) d’obèses3 4 qui ne peuvent donc pas expliquer la différence de mortalité.

Le climat algérien est différent de celui de la France pourrait être invoqué, mais la comparaison avec la Tunisie permet de l’exclure. En effet, Algérie et Tunisie partagent le même climat, des populations et des habitudes de vie communes. Mais la Tunisie a, comme la France, appliqué la stratégie de l’OMS « pas de traitement précoce et tout vaccin » et comme la France compte 16 fois plus de morts par million que l’Algérie.

La seule différence susceptible d’expliquer la discordance considérable entre l’Algérie et la France est celle de leurs stratégies anti-covid respectives.

La stratégie anti-covid gagnante de l’Algérie

Le 23 mars 2020, le Pr D. Raoult publiait les premiers résultats très prometteurs de son traitement associant hydroxychloroquine et Azithromycine.

Une semaine plus tard, le 31 mars 2020, le ministre de la santé algérien, Abderrahmane Benbouzid annonçait à la radio :

« Le Comité scientifique installé auprès du ministère de la Santé a décidé de démarrer le traitement à la chloroquine sur tous ceux qui sont déclarés positifs au Covid-19 ainsi que sur tous ceux qui auront des signes de contamination ». 

Très rapidement des médecins d’Alger et d’Oran signalent les excellents résultats de ce protocole5.

Deux mois plus tard, le 31 mai 2020 lors de la réunion du Conseil algérien des Ministres présidée par le chef de l’État, le ministre de la Santé ; déclarait que le protocole de traitement à la chloroquine a prouvé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traités. La situation sanitaire du pays se stabilise. Ce qui a permis « une reprise des activités sanitaires au niveau des hôpitaux, y compris les interventions chirurgicales non urgentes ».

La catastrophe covid19 française est donc bien directement la conséquence de la dictature sanitaire que l’on a subie, marquée par la marginalisation des médecins traitants et l’interdiction des traitements précoces. Si nous avions appliqué la stratégie algérienne préconisée par le célèbre virologue, le Pr Raoult, nous aurions pu espérer limiter nos pertes à moins de 10 000 victimes alors que nous en pleurons 156 000.

Cette dictature sanitaire imposée depuis 2020 et encore en cours est déjà responsable d’une surmortalité de plus de 130 000 morts, soit en comparaison plus que nos soldats français morts en l’année 19406, et cinq fois plus que le nombre de soldats français morts durant toute la guerre d’Algérie7 !

Les responsables de ce scandale sanitaire qui perdure avec les tentatives d’injecter encore les personnes âgées et les enfants, seront-ils un jour traînés en justice pour répondre de leurs méfaits dont l’ampleur dépasse tout ce que nous avons vécu depuis 70 ans ?





Stop aux injections anti-covid chez les jeunes : la recommandation des agences sanitaires du Danemark, Royaume-Uni, Belgique et Suède

Vacciner les jeunes contre le covid est inutile, inefficace et dangereux. De plus en plus d’agences sanitaires nationales le reconnaissent et retirent leur recommandation initiale basée sur les communiqués publicitaires mensongers des fabricants de vaccin.

Dès que les pseudo vaccins covid ont été mis sur le marché, nous avons dénoncé leur utilisation comme totalement inutile chez l’enfant (car ils ne risquent rien du covid) et potentiellement dangereuse (car ces injections totalement expérimentales n’avaient pas été entièrement testées.)

Malheureusement les agences sanitaires ont collaboré à la propagande sanitaire gouvernementale en prétendant contre toute évidence scientifique que la balance avantages/risques de ces injections expérimentales était positive entraînant de trop nombreuses injections d’enfants. Mais le retour à la raison de nombreuses agences sanitaires étrangères vient relancer un débat jusqu’ici occulté.

Les enfants souffrent exceptionnellement du Covid19 et seulement de formes bénignes. Ils ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel des injections.

Weiyong Liu rapporte1 que le Covid19 n’est responsable que de 2 % des pneumopathies de l’enfant et précise :

« Tous les patients se sont rétablis après l’hospitalisation pendant une durée médiane de 7, 5 jours ».

Hao Hong2 confirme les moins de 18 ans ne représentent que 0,6 % des infectés à Covid19. Le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies sur 73 414 cas estime que les moins de 19 ans constituent moins de 1 % des infectés3. Zhonghua Liu4 a remarqué que : « sur 44 672 cas confirmés en laboratoire seulement 416 cas (0,9 %) étaient âgés de 0 à 9 ans et 549 (1,2 %) étaient âgés de 10 à 19 ans ; le taux de mortalité dans le groupe des 0-19 était de 0,18 % ». Aucune forme sévère observée sur les 300 nourrissons polonais de moins de 1 an atteints de covid suivi par Małgorzata Sobolewska —5 ni parmi les 1749 enfants islandais infectés par le SARS-CoV-2 en 3 vagues d’infections6.

Aux États-Unis, les données des CDC 7confirment la rareté des infections à Covid chez l’enfant : « Parmi 149 082 cas signalés pour lesquels l’âge était connu, 2 572 (1. 7 %) concernaient des enfants de moins de 18 ans » et leur risque létal très faible : « trois décès ont été signalés parmi les cas pédiatriques inclus dans cette analyse », soit un risque de 0,12 %. La macroanalyse (revue systématique de la littérature) de Jonas F Ludvigsson 8 confirme ces constatations.

Au 7 juillet 2022, après deux ans et demi d’épidémie santé publique France recensait 94 décès chez les moins de 18 ans « avec infection SARSCoV2 ». Le « lien possible avec la Covid-19 » était établi dans 33 cas dont 29 présentaient des comorbidités très sévères.

Santé publique France précisait : « Lorsque les enfants présentaient des comorbidités sévères, le lien entre la Covid-19 et le décès était cependant difficile à établir », « dans certains cas, l’infection était de découverte fortuite et le décès était en lien avec un accident ou une autre pathologie », soit seulement 4 enfants sans comorbidité morts en 30 mois contre 7 à 10 décès d’enfants (essentiellement chez les moins de 1 an) par an, lors des épidémies de grippe d’avant le covid.

Cette revue de la littérature confirme que le Covid 19 est rare, presque toujours bénin chez l’enfant et que sa mortalité dans cette tranche d’âge est inférieure à celle de la grippe saisonnière.

Les enfants ne sont pas vecteurs de contamination9. Leur vaccination ne diminuerait donc pas la transmission de la maladie autour d’eux.

L’étude de Santé Publique France du cas de l’enfant infecté des Contamines10 est très démonstrative. Ayant été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club, l’enfant n’a contaminé personne, pas même les deux autres enfants de sa fratrie.

Dans l’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois11, les scientifiques ont étudié 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes et qui n’ont contaminé personne, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que :

« sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Christèle Gras-Le Guen, vice-présidente de la société française de pédiatrie, a déclaré lors d’une interview :

« La Covid-19 n’est définitivement pas une maladie pédiatrique »12.

Aux Pays-Bas, dix patients COVID-19 âgés de moins de 18 ans ont eu 43 contacts étroits avec d’autres enfants et adultes et aucun d’entre eux n’est tombé malade13.

Une étude australienne a analysé des cas confirmés de COVID-19 chez 9 enfants et 9 employés des écoles qui ont été en contact étroit avec 735 enfants. Deux enfants pourraient avoir été infectés par l’un de ces 18 patients. Aucun autre enseignant ou membre du personnel n’a contracté le COVID-1914.

Une étude irlandaise 15 portant sur 924 enfants et 101 adultes qui avaient eu des contacts étroits avec un malade à l’école, aucun n’a eu le COVID-19.

En Suède16 la poursuite des activités scolaires n’a pas aggravé l’évolution de la pandémie pour les enfants en Suède, par rapport aux pays ayant des mesures de verrouillage strictes.

Comme le concluent B Lee et W V Raszka 17 dès août 2020 :

« dans la transmission du Covid19, l’enfant est innocent »..

La vaccination des enfants ne peut donc pas avoir d’intérêt altruiste, d’autant que les pseudo vaccins se sont révélés incapables d’empêcher les transmissions.

Comme le confirment les données officielles de l’OMS mises en graphique par l’université John Hopkins.

Inutiles chez l’enfant et inefficaces à tout âge, les injections ne sont pas sans risques

Trop d’enfants ont reçu ces injections expérimentales et certains ont souffert de complications sévères (en particulier des myocardites)18 dont le risque majoré par la seconde dose et estimé à 0,25 cas pour 100 000 doses du vaccin Comirnaty et 0,29 cas pour 100 000 doses du vaccin Spikevax.

D’autant que ces myocardites post-vaccinales se révèlent plus graves qu’annoncé : 25 % des myocardites post-vaccinales ont été hospitalisées en réanimation, 16,5 % des patients n’étaient pas guéris au bout de 90 jours, environ 50 % des patients présentaient des IRM anormales et 25 % des patients considérés « guéris » étaient encore sous traitement médicamenteux19.

Il ne faut pas « vacciner » les enfants contre le covid

Les faits établis montrent sans ambiguïté que la balance avantage/risques de la pseudo vaccination la contre-indique chez l’enfant. C’est l’opinion de Gérald Kierzek 20 ou de Martin Blachier.

De plus de nombreuses agences sanitaires européennes ne recommandent plus l’injection

Le 1er juillet 2022, les autorités sanitaires du Danemark ont émis de nouvelles directives recommandant aux moins de 18 ans de ne pas être vaccinés21 :

« Les enfants et les adolescents tombent très rarement gravement malades avec Covid-19 avec la variante Omicron. Ainsi, à compter du 1er juillet 2022, il ne sera plus possible pour les enfants et adolescents de moins de 18 ans de recevoir la 1re injection. À partir du 1er septembre 2022, recevoir la deuxième injection ne sera plus possible. Un petit nombre d’enfants présentant un risque particulièrement accru de progression grave de la maladie continueront d’avoir la possibilité de se faire vacciner après évaluation individuelle par un médecin. »

Le 3 septembre 2022, le Royaume-Uni a levé sa recommandation pour les moins de 11 ans en bonne santé22.

Et aussi les autorités sanitaires belges qui ne recommandent plus les injections pour les moins de 50 ans.

Le vendredi 30 septembre 2022, l’autorité de santé suédoise a annoncé qu’elle ne recommanderait plus la vaccination contre le Covid-19 pour les adolescents âgés de 12 à 17 ans en bonne santé, en raison du « risque très faible » de développer une forme grave de la maladie à cet âge.

Les agences sanitaires françaises seront-elles les dernières à reconnaître l’évidence ?


1 Weiyong Liu. et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371

2Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001

3 Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72,314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI : 10.1001/jama.2020.2648.

4 Epidemiology Working Group for NCIP Epidemic Response, Chinese Center for Disease Control and Prevention. [The epidemiological characteristics of an outbreak of 2019 novel coronavirus diseases (COVID-19) in China]. Zhonghua Liu Xing Bing Xue Za Zhi. 2020 Feb 10;41(2):145-151. Chinese. doi : 10.3760/cma.j.issn.0254-6450.2020.02.003. PMID : 32064853.

5 Sobolewska-Pilarczyk, M., Pokorska-Śpiewak, M., Stachowiak, A. et al. COVID-19 infections in infants. Sci Rep 12, 7765 (2022). https://doi.org/10.1038/s41598-022-11068-0

6 Thors V, Bjornsdottir KL, Love T, Haraldsson A. SARS-CoV-2 Infections in Icelandic Children: Close Follow-up of All Confirmed Cases in a Nationwide Study. Pediatr Infect Dis J. 2022 Oct 1;41(10):835-840. doi: 10.1097/INF.0000000000003626. Epub 2022 Jul 8. PMID : 35797713 ; PMCID : PMC9508943.

7 Intervention Team CDC COVID-19. Coronavirus Disease 2019 in Children—US February 12th April 2. MMWR Morb Mortal Wkly Rep. 2020 10 avril ; 69 (14) : 422-426 doi: 10.15585 / mmwr.mm6914e4

8 Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.

9 http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-grands-parents-peuvent-aller-chercher-leurs-petits-enfants-lecole-et-les

10 Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.

11 A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020

12 Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287

13 National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available: https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/ children-and-covid-19

14 Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar

15 Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25 :2000903.

16 Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the two first months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020; 00:1—3. https://doi.org/10.1111/apa.15432

17 Benjamin Lee and William V. Raszka COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879; DOI: https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879

18 https://actu.fr/grand-est/faulx_54188/lorraine-covid-19-atteint-d-une-myocardite-apres-son-vaccin-il-passe-quatre-jours-a-l-hopital_43988075.html

19 Myocardites post-vaccinales : plus graves qu’annoncées https://1001rss.com/myocardites-post-vaccinales-plus-graves-quannoncees/2022/10/06/

20 Gérald Kierzek Il ne faut pas vacciner les enfants HTTPS://WWW.GALA.FR/L_ACTU/NEWS_DE_STARS/EXCLU-GERALD-KIERZEK-IL-NE-FAUT-PAS-VACCINER-LES-ENFANTS_482383

21 https://www.riotimesonline.com/brazil-news/modern-day-censorship/denmark-to-completely-stop-covid-vaccinations-for-minors-as-of-sept-1/

22 Ouest-France avec AFP https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/royaume-uni-pas-de-vaccin-anti-covid-pour-les-12-15-ans-en-bonne-sante-2e9bed2e-0ccf-11ec-8f66-1caeab7b6




Ne vaccinons pas non plus les garçons par le Gardasil

Par Dr Gérard Delépine

Pour les marchands de vaccins, limiter l’indication du Gardasil, vaccin anti-papillomavirus, à « la prévention du cancer du col de l’utérus » a un inconvénient majeur : on ne peut le vendre qu’aux femmes qui ne constituent qu’une moitié de la population mondiale. Perdre la moitié d’un marché si rentable leur est insupportable. C’est pour cela qu’une campagne de propagande pro Gardasil pour les garçons se développe actuellement dans les médias, relayée par le ministère, et des médecins trompés ou corrompus.

Il faut rappeler que les cancers liés au HPV sont rarissimes chez les hommes y compris chez les populations à risque que sont les homosexuels, quasiment les seuls concernés (800 cancers par an pour 67 millions de Français).

De plus, ces vaccins n’ont toujours pas démontré d’efficacité réelle dans la prévention des cancers invasifs du col utérin chez la femme, liés au HPV : au contraire on observe dans certains groupes de femmes une augmentation du risque de cancer après cette vaccination1 2.

Le Gardasil n’est pas un vaccin sans risque, car il expose à de complications, en particulier neurologiques.

Prendre des risques réels pour un bénéfice non démontré n’est pas raisonnable. Ne vaccinons pas les garçons par le Gardasil !

Le lien de causalité exclusive entre infection à HPV et cancer n’est pas démontré

(Un ami gendarme m’a rappelé que « Sur les lieux d’un crime, on trouve aussi les témoins »

Avant la mise sur le marché de ce vaccin, tous les articles recherchant les causes du cancer du col utérin démontraient que ce dernier est statistiquement lié à de très nombreux facteurs favorisants, eux — mêmes liés entre eux dont : l’activité sexuelle précoce, importante et variée (source de microtraumatismes répétés et d’inflammations chroniques qui constituent des causes classiques de cancérisation), le tabagisme, le nombre élevé d’enfants (plus de cinq), les déficits immunitaires et les infections génitales dont l’herpès, le Chlamydia et une vingtaine de souches de HPV.

Depuis la mise sur le marché des vaccins antiHPV les articles détaillant les facteurs favorisants des cancers se focalisent uniquement sur ces derniers virus.

Le papillomavirus qui ne donne aucun signe clinique est habituellement commensal comme le staphylocoque blanc sur la peau, le colibacille dans l’intestin et le bacille de Doderlein dans le vagin.

Plus de cent cinquante souches de papillomavirus infestent l’Homme. La contamination se fait par simple contact cutané (plus de 50 % des vierges sont ou ont été infectées3) ou lors d’acte sexuel. Près de 80 % des personnes sexuellement actives seront infectées sans le savoir un jour ou l’autre et à plusieurs reprises et s’en débarrasseront naturellement dans 90 % des cas en quelques mois sans séquelles avec acquisition d’une immunité solide contre la souche concernée.

Une réinfection est possible avec une autre des 150 souches existantes et la multiplicité des partenaires et des contacts sexuels fréquents favorisent la persistance d’une infection à HPV. Une vingtaine de souches connues peuvent précéder un cancer de plusieurs années, sans qu’aucune preuve de causalité directe n’ait jamais été établie avec certitude.

On n’a jamais réussi à créer un cancer chez une lapine en infestant son col de l’utérus par des HPV, alors qu’on fait apparaître un cancer cutané en badigeonnant de goudron la peau d’un lapin. Les HPV se comportent donc possiblement comme de simples témoins d’une activité sexuelle importante, accusés d’être coupables de cancérisation parce que présents sur les lieux. Possibles témoins innocents du cancer.

L’absence de lien de causalité exclusive démontré entre infection à HPV et cancer rend très hypothétique l’efficacité des vaccins anti HPV contre les cancers associés au virus, qu’il s’agisse du cancer du col de l’utérus, du cancer anal ou ORL.

D’ailleurs, après 15 ans de vaccination des filles en Australie et en Grande-Bretagne si l’efficacité des vaccins est démontrée sur les lésions bénignes (condylomes, verrues) contre les souches de HPV ciblées par le vaccin, aucune diminution d’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus n’est apparue dans les registres nationaux du cancer.

En Australie : en 2018, 936 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus ont été diagnostiqués en Australie. En 2022, on estime que 942 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus seront diagnostiqués en Australie4

ou en Grande-Bretagne Au cours de la dernière décennie au Royaume-Uni (entre 2006-2008 et 2016-2018), les taux d’incidence du cancer du col de l’utérus chez les femmes sont restés stables.5

Il en est de même en Suède6.

Les multiples articles qui proclamant chaque année que les pays qui vaccinent sont en passe d’éradiquer ces cancers ne regardent pas les faits avérés et officiels, mais se basent uniquement sur des modélisations aux hypothèses fausses choisies à des fins de propagande marchande.

Le cancer anal ne menace qu’une partie infime de la population masculine

Le risque de cancer anal possiblement lié aux HPV a été le moteur de la proposition des centres de contrôle et de prévention des maladies infectieuses (CDC) américains de vacciner les garçons. Mais ce cancer, très rare, ne menace qu’un groupe très restreint de la population mâle et ne justifie donc pas une vaccination généralisée.

En France, environ 800 cas de cancer anal surviennent chaque année chez l’homme touchant presque exclusivement les homosexuels masculins (74% des cas) adeptes de rapports passifs anaux, surtout s’ils ont multiplié les partenaires sexuels.

La séropositivité au virus du sida (77 % des cas) multiplie par 40 leur risque de cancer anal qui n’est pas diminué par les antiviraux actifs sur la charge virale. Le tabagisme et les traitements immunodépresseurs représentent aussi des facteurs favorisants. Il existe certes une corrélation statistique entre la présence de HPV et le cancer, mais là encore la responsabilité causale n’est pas démontrée. Lorsqu’on n’est pas homosexuel passif, le risque de cancer anal est infime même si on est porteur de HPV.

De plus, les exemples de l’Australie et de la Grande-Bretagne ne sont pas en faveur d’une efficacité préventive des vaccins antiHPV contre le cancer anal.

Depuis 15 ans, malgré le très fort taux de vaccination chez les filles, leur incidence de cancer anal a augmenté et même plus vite que celle des garçons très peu vaccinés.

Les courbes britanniques sont très démonstratives, car depuis la vaccination des filles, l’incidence du cancer anal chez les femmes a augmenté de 50 % (de 2/100000 à 3/100000) alors que durant la même période, chez les hommes, l’incidence n’a augmenté que de 15 % de 1,5/100 000 à 1,7/100 000). On peut donc craindre que ce vaccin antiHPV favorise l’éclosion d’un cancer anal comme il favorise l’apparition précoce et plus fréquente d’un cancer du col utérin contrairement à tous les espoirs.

Pour éviter le cancer de l’anus, il est statistiquement beaucoup plus efficace d’utiliser un préservatif (qui diminue le risque de Sida et des autres maladies sexuellement transmissibles).

La peur du cancer anal instillée par les médias a permis de proposer le vaccin aux hommes homosexuels et à tous adultes ayant des « pratiques à risque » (sexe anal passif). Malheureusement pour les marchands de vaccin, ils représenteraient moins de 5% de la population, marché trop petit, sauf si on arrive à convaincre les politiques d’imposer une obligation pour tous, « au cas où » ou pour « éviter les discriminations » !

Les cancers ORL

Les hommes n’ont pas d’utérus et ne sont pas tous homosexuels passifs aussi, pour élargir le marché aux hétérosexuels masculins, les fabricants de vaccin7 ont instrumentalisé les cancers ORL comme une menace des virus HPV, sans davantage d’arguments scientifiques solides sur la causalité.

En France, on observe chaque année environ 14000 nouveaux cas8 de cancers des voies aériennes supérieures, ce qui en fait le 5e cancer le plus fréquent. La quasi-totalité de ces cancers est due à l’alcool et au tabac ainsi qu’en témoigne depuis quelques années leur diminution d’incidence après la diminution de consommation de ces toxiques chez les hommes alors qu’on note comme en Espagne9 une augmentation de l’incidence chez les femmes, depuis l’augmentation de leur consommation d’alcool et de tabac.

Certains cancers de la gorge et de l’amygdale s’accompagnent d’une infection par le papillomavirus comme dans les cas de Michael Douglas10, Marcia Cross et son mari11 très fortement médiatisés par les marchands de vaccin pour en faire une promotion hollywoodienne de leurs produits.

Mais si la responsabilité du cunnilingus est vraisemblable dans la transmission virale entre partenaires, il n’est toujours pas démontré que ce virus constitue un facteur de risque de cancer de l’oropharynx lorsque les autres les conditions du développement de ce cancer (tabagisme, immunodéficience) ne sont pas réunies.

D’ailleurs, après avoir imputé son cancer au sexe oral, Michael Douglas est finalement revenu sur ses déclarations initiales12, précisant qu’il était aussi fumeur et buveur levant ainsi le soupçon de responsabilité du cunnilingus comme raison de son cancer de la gorge.

Aux USA, l’analyse des chiffres bruts de l’étude qui a créé l’inquiétude montre qu’il est trop tôt pour parler d’une recrudescence de cancers oropharyngés dus à la sexualité orale. Certes une augmentation de l’incidence du cancer de l’oropharynx en particulier des amygdales chez les Américains blancs de moins de 50 ans sans antécédent de consommation d’alcool ou de tabac a été observé13, mais le nombre absolu de cas reste faible14.

Et comme il est rappelé à chaque fois qu’on évoque une complication vaccinale « lien statistique ne signifie pas causalité ».« Ce virus est retrouvé chez des malades souffrant de cancer des amygdales et dans celui de la base de la langue. Cela ne veut pas dire pour autant que le HPV va être la cause de la cancérogenèse au niveau de l’amygdale, ça reste à démontrer15. »

En France, il n’y a pas d’augmentation démontrée de cette étiologie de cancer même si la recherche devenue systématique du virus devant tout cancer ORL va faire apparaître sa présence plus fréquente qu’on ne supposait jadis.

De plus, en Australie comme en Grande-Bretagne la vaccination des filles depuis plus de 15 ans n’a pas été suivie par la diminution des cancers ORL.

Pour éviter les cancers ORL, il est beaucoup plus efficace de ne pas fumer, de boire peu d’alcool et d’utiliser des préservatifs pour se protéger du sida que de se vacciner par Gardasil.

Le Gardasil est parfois suivi de complications

Le calvaire d’Océane 16 17 a mis en évidence les risques neurologiques de ces vaccins liés certainement à l’aluminium utilisé comme adjuvant et possiblement à une prédisposition génétique. Le lien de causalité a été reconnu par les experts et une indemnisation accordée par les juges.

Ne vaccinons pas les garçons par le Gardasil, pas plus que les filles chez lesquelles les risques sont connus et les bénéfices non démontrés !

ATTENTION à la propagande marchande en cours !

Vacciner chaque année la totalité d’une classe d’âge (380 000 garçons) pour espérer prévenir, selon des hypothèses de causalité exclusive très incertaines, quelques cancers cantonnés à un groupe très spécifique est donc totalement disproportionné du point de vue médical, puisque cela reviendrait à prendre des risques certains pour un bénéfice hypothétique très incertain.

Le coût financier de la généralisation de cette vaccination est également totalement exorbitant, car il faudrait dépenser 3,5 milliards d’euros la première année puis 180 millions d’euros chaque année sans même pouvoir espérer le moindre résultat avant 15 ans ! Au point que la députée Laure de la Raudière18 avait proposé une taxe Gardasil sur le tabac afin de financer cette vaccination qu’elle voulait, avec 15 membres de la majorité présidentielle rendre obligatoire !





France — Le piège de l’« espace santé » de l’Assurance-maladie

[Publié initialement sur profession-gendarme.com]

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien cancérologue et assuré social

Dans sa volonté de ficher l’ensemble des Français le gouvernement vient de lancer l’opération « votre espace santé » en prétendant qu’il permettrait d’être « soigné plus efficacement » et que « La confidentialité des informations du dossier médical serait totalement garantie ». Deux affirmations fausses.

Les précédentes tentatives de « dossier médical partagé » (DMP) ont déjà coûté très cher aux Français

Depuis 18 ans, les tentatives d’imposer le « dossier médical partagé » numérique ont été des échecs retentissants. Lancé en 2004 par les ministres, Philippe Douste-Blazy, relancé 2008 par Roselyne Bachelot, il avait déjà coûté 500 millions d’euros en 20141 pour seulement 418 011 dossiers médicaux ouverts au lieu des 5 millions de DMP prévus — le contrat signé avec la société Santeos.

En 2018, l’arrivée d’E. Macron au pouvoir a été marquée par la relance maximale du tout numérique et singulièrement du projet DMP 2, avec l’inclusion automatique des données de la sécurité sociale dans « mon espace santé » créé sans accord préalable des intéressés. Les pharmaciens et les infirmiers sont censés inciter les assurés à l’accepter. Les médecins généralistes sont, quant à eux, financièrement intéressés à alimenter les dossiers3. On ne connaît pas encore le coût de ce nouveau fichage, mais il s’annonce très élevé. Ne serait-il pas plus judicieux de consacrer cet argent à la remise en état de nos hôpitaux tant en personnel qu’en matériel et réhabilitation ?

« L’espace santé » ne peut pas améliorer la qualité des soins
Premier mensonge

La qualité des soins repose sur le contact direct (en chair et en os et non pas seulement virtuel, visuel), médecin-malade, le dialogue confidentiel et librement consenti, le nombre et la disponibilité des soignants et surtout leur liberté des choix thérapeutiques, enfin l’état des établissements d’hospitalisation.

Depuis de nombreuses années et tout particulièrement ces deux dernières années, les médecins traitants ont été marginalisés par le pouvoir 4 et se sont malheureusement soumis pour trop d’entre eux aux ukases du pouvoir exécutif. De nombreux lits ont été fermés 5 6 y compris durant la crise covid. Les soignants ont été harcelés et démotivés d’où de très nombreuses démissions ; arrêts de travail prolongés en particulier en raison des burn-out. L’obligation vaccinale anti-covid inutile et dangereuse que le ministère leur a imposée a été pour beaucoup la goutte d’eau qui les a contraints à abandonner leur vocation, ne pouvant de plus assumer de se taire sur la réalité de la crise covid et en particulier des injections expérimentales.

Sans lits ouverts ni soignants ni liberté de soigner par les médicaments efficaces connus, on ne peut espérer améliorer la qualité des soins.

PUBLICITÉ REDONDANTE SUR LES MÉDIAS À RÉPÉTITION 7

La prétention de l’« espace santé » d’améliorer la santé n’est donc qu’un slogan publicitaire inatteignable sans remise à niveau de nos établissements de soins ni remotivation des soignants. La numérisation qui n’est qu’un outil ne peut en rien améliorer la « qualité » des soins, les informations plus précises pouvant d’ailleurs venir par d’autres canaux, y compris le patient lui-même qui a parfois stocké ses examens sur son téléphone, réaliser de beaux graphiques. Tout cela est gentil, mais n’a jamais aidé la vraie médecine clinique à avancer.

La communication électronique de données médicales souvent aseptisées, codifiées, simplifiées, résumées, ne peut pas remplacer le contact direct, au minimum téléphonique entre le médecin de famille et les autres soignants, si besoin est.

Croire que « mon espace santé » permettrait mieux qu’en favorisant le contact humain direct entre soignants de coordonner les soins, de renforcer la sécurité sanitaire, ou de limiter les risques de surmédicalisation, pour réaliser des économies pour l’assurance maladie relève du fantasme manipulateur, mensonger. Ce sont les malades qui décident de consulter les médecins et non l’inverse.

Pour éviter la surmédicalisation, il serait bien plus efficace de limiter drastiquement les reportages médicaux qui sont en réalité trop souvent des publicités pour les nouvelles techniques ou de nouveaux médicaments et des incitations à les consommer, par exemple les appels à dépistage du cancer du sein, de la prostate ou du colon en dépit des mises en garde sur les dangers respectifs de ces techniques. Les dépistages, comme le reste des décisions médicales, doivent se baser sur un interrogatoire et sur un examen clinique précis du patient putatif et n’être prescrits qu’à bon escient et non pour alimenter des machines à cash.8 9 10 Le harcèlement déjà en place pour nous inciter à ces dépistages, comme aux injections que nous recevons de l’assurance maladie est déjà insupportable. Le rôle de la sécurité sociale fondé en 1946 n’était pas de choisir et de décider de nos soins, mais bien de les rembourser. L’assurance maladie n’est pas notre médecin !

Cette création d’un fichier national regroupant les données médicales des Français témoigne de la volonté d’accélération du virage numérique du gouvernement permettant au pouvoir de financer ses affidés du numérique et d’accéder à toutes les données médicales personnelles des Français.

Des données médicales centralisées ne peuvent pas être sécurisées
Deuxième mensonge

Croire que « la confidentialité des informations du dossier médical serait totalement garantie » est en totale contradiction avec la réalité. Personne ne peut assurer la sécurité totale d’un fichier informatique.

Le Pentagone a été piraté à de nombreuses reprises 11 12 et a même créé un concours du « meilleur pirate du Pentagone » 13 pour « sélectionner et rassembler les talents, la technologie et les procédés du secteur privé pour nous aider à élaborer des solutions plus sûres et complètes pour le département de Défense ».

1410 Américains ont participé à ce concours et en un mois, ont fourni 1189 rapports, permettant de détecter 138 failles « valides et uniques ». Le meilleur d’entre eux, qui a décelé plusieurs failles, a empoché 15 000 dollars à la grande satisfaction de l’institution14 d’avoir ainsi réussi à renforcer la sécurité à moindre coût. « Si nous avions utilisé la procédure classique, cela nous aurait coûté plus d’un million de dollars. »

De même, le FBI, la CIA et les autres agences de sécurité américaine ont été piratés15 16 17.

LE PIRATAGE DES DONNÉES DE SANTÉ : UN MARCHÉ JUTEUX

Les données médicales de l’assurance maladie américaine n’ont pas échappé aux pirates et 9,3 millions de dossiers d’assurance maladie de patients américains ont été mis en vente pour 750 bitcoins, soit environ près de 500 000 euros18. Les informations comprennent les noms, adresses courriel, numéros de téléphone, dates de naissance et numéros de sécurité sociale.

Croire que la France est capable d’assurer la sécurité de ses fichiers informatiques est un mirage. Le service des impôts a vu 2000 dossiers personnels sensibles dérobés19. Le service France Connect interface avec la sécurité sociale a dû être interrompu après un piratage récent 20.

Fin août 2021, c’est un listing de 700 000 noms, adresses et numéro de Sécurité sociale qui a été volé sur le site Francetest permettant aux pharmacies de transmettre les résultats des tests antigéniques.

Les hôpitaux français sont incapables d’assurer leur cybersécurité

En 2020, Cédric O, le secrétaire d’État à la transition numérique avait recensé 27 cyberattaques « majeures » contre les hôpitaux, et entre autres celle contre l’AP-HP (maître d’œuvre du fichier SI-Dep pour le compte du ministère des Solidarités et de la Santé), qui a abouti à la publication sur le Darkweb d’environ 1,4 million de données personnelles de patients ayant été testés pour la COVID-19 21, listing qui aurait pu être monnayé près d’un million d’euros au marché noir 22.

Tout récemment, en août 2022 la vulnérabilité des données médicales a été à nouveau illustrée par la cyberattaque contre le Centre hospitalier Sud Francilien23 de Corbeil-Essonnes qui s’est soldé par de graves perturbations de fonctionnement et la vente sur internet des données personnelles des malades.

« Les hackers responsables de la cyberattaque contre le Centre hospitalier sud-francilien de Corbeil-Essonnes, le 21 août dernier, ont mis leurs menaces à exécution. Si l’hôpital ne payait pas la rançon exigée en temps et en heure — d’abord 10 millions de dollars, aujourd’hui cinq à dix fois moins — ils allaient publier une série de données détournées. “Une première diffusion a été orchestrée sous la forme d’un fichier compacté de 11,7 gigaoctets (…) vendredi 23 septembre à 9 h 42 heure UTC exactement”, confirme Damien Bancal, responsable du site ¬Zataz.com qui recense les cyberattaques dans le monde. Le spécialiste a vu les ¬informations diffusées par les pirates sur le darknet, mais a laissé la direction générale du CHSF, qui assure la couverture sanitaire de près de 700 000 habitants de la grande couronne au sud de Paris, confirmer leur réalité. »

Les médecins et soignants de l’Hôpital de Corbeil déjà en manque énorme de personnel sont très gênés par cette attaque, d’autant que depuis le mythe du « tout numérique » à l’hôpital, nous manquons cruellement de dossiers papier.

L’assurance maladie n’est malheureusement pas une forteresse numérique

Le 17 mars 2022, près de 510 000 personnes affiliées à l’assurance maladie ont été victimes du vol de données stockées par l’organisme24.

La promesse que « La confidentialité des informations du dossier médical serait totalement garantie » n’engage donc que ceux qui y croient et s’exposent ainsi à des risques considérables comme des chantages sur leur vie personnelle et familiale et des usurpations d’identité.

La perte du secret médical peut gravement vous nuire

Le secret médical constitue un des piliers de l’acte médical. Lui seul permet la confiance du malade qui peut ainsi exposer sans crainte au médecin ses problèmes les plus intimes « qui ne sortiront pas du cabinet ».

« Mon espace santé » crée une brèche de sécurité béante dans ce secret. D’autant que vos données médicales intéressent beaucoup de nombreux organismes (assurances, banque, professionnel du viager) et des individus moins recommandables prêts à payer pour obtenir ses informations. Ils pourraient alors vous faire chanter ou nuire à votre réputation en révélant que vous souffrez du sida, que votre fille prend la pilule depuis ses onze ans, que votre femme souffre de tuberculose ou de problèmes psychiatriques, que votre fils est autiste, mongolien, homosexuel ou transgenre…

Le secret médical mérite d’être bien gardé et c’est absolument impossible s’il est conservé dans un fichier informatisé centralisé.

« Mon espace santé » vous expose aussi à l’usurpation d’identité.

En plus de vos données médicales, « Mon espace santé » comporte aussi votre date de naissance, votre adresse, votre numéro de sécurité sociale octroyé à vie, votre numéro de téléphone, votre adresse internet et vos coordonnées bancaires, toutes données utiles pour une usurpation d’identité. Les victimes du piratage de leur espace santé sont ainsi exposées à un risque d’usurpation d’identité.

Chaque année, 210 000 Français subissent une usurpation d’identité qui les expose à des détournements d’argent, la contraction d’un prêt frauduleux à leur nom, au détournement de leurs prestations sociales… La victime lésée de ses droits financiers ou en charge de rembourser des montants qu’elle n’a ni perçus, ni utilisés, se retrouve parfois poursuivie par la justice pour des infractions ou des délits qu’elle n’a pas commis.

Outre les problèmes financiers, les victimes subissent des conséquences psychologiques et doivent faire des démarches souvent très longues pour prouver leur identité. Récupérer cette identité est un parcours souvent qualifié « d’enfer » par les victimes qui mettent parfois plusieurs années pour retrouver la pleine jouissance de leur identité. 25

Le marché des données personnelles est un marché en pleine explosion sur le Dark Web. 26 Des zones très spécifiques sont même créées pour permettre aux cybercriminels de faire leurs échanges (de l’ordre de 500 euros pour une carte d’identité ou un permis de conduire27). Il y a là de quoi motiver sérieusement les pirates du net, surtout s’ils parviennent à collecter plusieurs millions de données. Le risque est désormais que des escrocs utilisent les données accessibles pour monter de nouvelles attaques ciblées, en utilisant les informations personnelles à leur disposition pour capter la confiance de la victime.

Mesures de sécurité conseillées par les responsables de l’hôpital de Corbeil Évry récemment piraté

Les attaquants vont par exemple rechercher « des patrons, des personnalités importantes », et monter des arnaques comme « les fraudes au président », où l’escroc arrive à obtenir un virement bancaire d’une institution en se faisant passer pour son dirigeant ou son directeur financier, a expliqué Damien Bancal.

Les attaquants peuvent aussi utiliser les numéros de téléphone pour monter les arnaques aux comptes personnels de formation (CPF) ou aux cryptomonnaies, les adresses mail pour faire du « hameçonnage » (en anglais « phishing », inciter l’internaute à télécharger des fichiers malveillants ou à cliquer sur des liens pour lui extorquer des identifiants et codes d’accès.

Nous recevons très fréquemment des appels téléphoniques et de multiples SMS pour nous inviter à profiter de nos comptes formation. Or retraités depuis de nombreuses années, ces appels ne peuvent correspondre qu’à des vols de données. Idem en ce qui concerne les arnaques à la carte vitale. Régulièrement nous recevons des SMS nous disant que notre carte vitale n’est plus valable et nous invitant à donner toutes sortes d’informations pour la récupérer. Méfiance. Ne jamais répondre directement. En cas de doute, joignez directement votre caisse d’assurance maladie et directement par un contact humain.

La preuve en un clic : taper Ameli.Fr

Attention aux SMS, appels ou courriels frauduleux 31 août 202228

EN RÉSUMÉ, IL FAUT REFUSER « MON ESPACE SANTÉ » qui menace votre secret médical et votre sécurité financière

La création de « mon espace santé » est réalisé automatiquement sans que l’accord de l’intéressé n’ait été demandé. En l’espèce, pour ficher un maximum de Français, le gouvernement applique le principe de la vente forcée « qui ne dit mot consent. »

Si vous voulez que votre secret médical soit réellement protégé et que vos données personnelles ne soient pas vendues un jour prochain sur le darknet, vous devez faire la démarche de le refuser manuellement.

Pour ce faire, munissez-vous de votre carte vitale. Rendez-vous tout d’abord sur le site officiel à cette adresse : https://www.monespacesante.fr/enrolement-accueil.

Si vous n’avez pas reçu par lettre un code provisoire, il faut l’obtenir en cliquant sur « générer un code provisoire ». Vous allez recevoir ce code valable pour une durée de six semaines, par mail ou par SMS.

Entrez ce code sur le site, et cliquez sur « refuser l’activation de mon espace santé » et n’oubliez pas de télécharger le document d’attestation de refus.

En guise d’alternative, vous pouvez aussi refuser Mon Espace Santé par téléphone au 3422. Là encore, munissez-vous de patience et de votre carte vitale.

PROTÉGEZ-VOUS.





Pour relever la médecine, supprimer radicalement la bureaucratie qui l’étouffe

L’exemplaire sacrifice du Pr Humbert de Besançon

Par le Docteur Gérard Delépine

Une collègue m’envoie un résumé d’une conférence récente donnée par le pr Perronne :

Les facteurs de l’affaiblissement de la médecine française Ou Qu’est-ce qui fait que la médecine française a vu son niveau et la qualité des soins autant baisser ?

Extraits : 

Le Pr Christian Perronne aborda tout de suite le problème par cette phrase :

« On a coupé les crédits », on a imposé le numerus clausus. Depuis le Président Sarkozy, « l’hôpital est vu comme une entreprise qui doit rapporter ». Il y a eu la « fermeture massive de lits, la suppression d’emplois », le « non-remplacement des arrêts maladie et des congés maternité ». Et récemment, la « suspension des soignants non vaccinés ».

Pendant ce temps « on réalise des audits très onéreux par des cabinets privés ». Bill Gates, ce pauvre « philanthrope dans le besoin » aurait reçu un chèque important… On assiste à des « tentatives d’interdire les prescriptions hors AMM ». La médecine, (nous le savons, mais il nous est interdit de le dire) est sous l’influence de l’industrie pharmaceutique. « La prévention n’est plus enseignée », si ce n’est les vaccins auxquels très peu d’heures sont consacrées.

« Depuis 1920, Big Pharma, (et d’abord Rockefeller), a fait en sorte que toutes les facultés de médecine qui ne mettraient pas en avant la chimie soient fermées. Les dénigrements virent le jour, suivis de l’interdiction pour les autres approches ». Il y eut les « ordonnances Juppé en 1996, la loi Bachelot en 2009 ». Voilà ce qui fut débattu en ce 26 septembre 2022. (…)

[Voir aussi :
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio]

Le Pr Perronne parla de la « raréfaction des médecins de ville », de la difficulté à trouver un médecin référent. Il faut aussi penser aux déserts médicaux et se poser la question du pourquoi (…) Fini pour beaucoup, le temps où la médecine était une vocation et où le médecin ne comptait pas ses heures, se levait la nuit et continuait à aller en visite le week-end. On recherche la qualité de vie, et on s’engage dans d’autres activités tout en étant installés. Ceci pourrait expliquer la pénurie de médecins. »

Tout ceci est vrai, mais il faut affronter les énarques qui nous musellent pour effacer trente ans et plus de destruction systématique.

Et ma collègue de rajouter entre autres :

« L’informatique tend à remplacer le contact humain, ce qui plaît aux jeunes qui feront l’avenir ».

LA PÉNURIE DE MÉDECINS EST LIÉE À LA PERTE DE LA LIBERTÉ DE SOIGNER12

Sept à dix ans d’études pour être les robots obéissants, esclaves de bureaucrates, souvent énarques jaloux de notre rapport privilégié avec les patients, un monde encore d’humanité et de confiance malgré toutes les faillites. Un autre monde dont certains doivent cauchemarder la nuit pour vouloir à ce point le détruire.

Je ne crois pas que les « jeunes » soient si accrochés à l’informatique, car ils en ont vite assez de passer leur temps sur l’ordinateur pour tous les traçages qu’on leur impose. Interrogez nos jeunes infirmières ou médecins, la réponse sera claire. Beaucoup avaient et ont encore la « vocation » comme en témoignentces étudiants qui passent deux voire trois fois le concours d’entrée en médecine. Ils en rêvaient depuis leur enfance et ils vont parfois jusqu’en Roumanie ou en Belgique pour concrétiser leur rêve. En France, parfois pour une place juste après le dernier des reçus, on leur dit, « c’est sage-femme ou kinési ou rien ». La vocation…

Mais l’essentiel n’est pas là et pour compléter ce que dit C. Perronne, lorsqu’il qui cite les lois destructrices depuis 1996, le problème majeur du médecin est qu’il n’est plus libre d’exercer la médecine.

DES RÉFÉRENCES MÉDICALES OPPOSABLES AUX RÉFÉRENTIELS IMPOSENT ET AUX CONTRÔLES DES CAISSES D’ASSURANCE MALADIE, DE LA HAS ET DES ARS VOIRE DE L’IGAS3

Chaque jour le conseil de l’ordre convoque un nouveau médecin accusé d’avoir guéri des malades de covid19, en utilisant le traitement interdit par le gouvernement, et le menace de radiation ou de suspension4.Et récemment, des médecins prescrivant la vitamine C se retrouvent aussi à risque de procès ordinaux !

Le millefeuille des agences alourdit le carcan mis en place depuis les années 90 avec les « références médicales opposables » au début des années 1990. Le terme d’evidence-based medicine (EBM) « médecine fondée sur les preuves » apparait alors au Canada, concept repris de la médecine nazie. Ce concept a officiellement pour objectif de soigner « conformément aux données acquises de la science », grande mystification doublée de savantes manipulations des médecins et des citoyens.

Des agences5 se multiplieront comme des petits pains ayant pour mission d’établir et de diffuser des recommandations de pratiques cliniques (référentiels qui deviendront vite les « protocoles ») mises à jour théoriquement selon les avancées de la recherche scientifique, et de fait selon l’influence de plus en plus majeure des lobbies au service de Big Pharma qui dictent de plus en plus ouvertement les articles que les (jadis) grandes revues scientifiques peuvent publier67. Elles permettent aussi de caser d’anciens conseillers ministériels avec des salaires invraisemblablement supérieurs ceux de la fonction publique.8

Tout est résumé ici :

Dr Guillaume BARUCQ généraliste à Biarritz
@GuillaumeBarucq‬

Mon grand-père a fait sa médecine générale en 7 ans et ils faisaient tout à l’époque, même les accouchements. Aujourd’hui on voudrait nous imposer 10 ans d’études pour suivre des arbres décisionnels et déléguer toujours plus de tâches. 27 09 2022

UN EXEMPLE CARICATURAL DU RÔLE NOCIF DES ARS 9
LES MALHEURS DU PR HUMBERT ET DE SES PATIENTS

Laissez-moi vous conter l’histoire d’un professeur de dermatologie très renommé à l’étranger et en France, le Pr Humbert10 dont la carrière et la réputation ont été détruites par l’ARS locale qui a imposé les fameuses réunions de concertation multidisciplinaires dictant les traitements choisis par l’INCa et non par l’intérêt premier des patients.

Dès les années 2014 et 2015, le professeur s’inquiète des dérives thérapeutiques que subissent ses patients à la suite des fameuses réunions multidisciplinaires imposées par les plans cancer, et pense en parler à l’ARS locale pour améliorer les choses. Inconscience bienveillante du médecin qui se jette dans la gueule du loup en toute innocence.

En effet des patients qui jusque-là auraient bénéficié d’une chirurgie première de leur lésion tumorale à la suite de leur consultation avec le professeur, sont intégrés dans des essais thérapeutiques de chimiothérapie première, laissant à leur tumeur le loisir de grossir si la molécule prescrite s’avère inefficace. Et quand un cancer grossit…

Il s’en inquiète, car ces décisions sont prises en RCP 11 hors de son avis et de celui des patients de son service. Que peut-il faire ? Ces RCP sont imposées et toutes puissantes via l’INCa et ses prérogatives. 12

L’Institut National du Cancer (INCa)13 joue un rôle capital dans le traitement du cancer en France. Depuis sa création, on est passé en France d’une médecine individuelle, fruit de la relation médecin/patient fondé sur le colloque singulier à une médecine collective revendiquée par les instances ministérielles qui en ont décidé sans les patients ni les médecins. L’Inca, via les plans cancer successifs, impose de fait le monopole de la prise en charge des cancéreux, au détriment de la liberté « thérapeutique » et du meilleur choix de traitement par le médecin pour son patient.

Il viole ainsi l’indépendance du médecin inscrit dans le code de déontologie, tout en lui laissant sa responsabilité individuelle en cas de procès. Il dépossède de plus le malade de son propre choix parmi l’éventail des solutions, car que ce soit en ville ou en public, tous les acteurs du traitement du cancer, médecins cancérologues, chirurgiens, radiothérapeutes sont soumis aux diktats de cette agence nommée par le gouvernement, et obligés d’appliquer les ordres (appelés « recommandations ») de gestionnaires qui ne voient jamais de malades.

Nos diplômes ne valent plus rien depuis cette dictature de l’INCa dont l’application des référentiels et inclusions dans les essais, études pivots ou « protocoles » est validée par la HAS et contrôlés par les ARS. Ils veulent transformer les vrais médecins par des officiers de santé obéissants aux ordres en attendant de les remplacer par des robots à l’intelligence artificielle qui recrachera ce qu’on aura mis dans la machine. Les chatbots psychiatres sont déjà à l’œuvre.14

La dictature de l’INCa impose de fait l’application des référentiels et inclusions des patients dans les essais, études pivots ou « protocoles ». Cette obéissance est validée par la HAS et contrôlée par les ARS. En cas de « désobéissance » d’un médecin, s’il est installé en libéral, il perdra son autorisation de pratiquer la cancérologie, lui ôtant de fait son droit d’exercer et s’il est hospitalier, il sera exclu, via le chef de pôle, l’ARS locale et le centre national de gestion qui entérinera les desiderata de l’agence de santé.

Le médecin reconnu coupable « d’incapacité à travailler en collectivité » ne pourra plus, de fait, exercer son métier de cancérologue et seulement se réfugier dans l’accompagnement que d’autres que lui font aussi bien.

Que de soignants, de compétences et de savoir-faire perdus !15

Si l’ensemble de l’établissement où se tient la réunion de concertation multidisciplinaire ne respecte pas les « quotas » imposés par les décrets de 2007 sur l’application des lois sur l’exercice de la cancéro-hématologie des plans cancer, l’interdiction pour l’établissement de poursuivre la spécialité cancérologie tombera avec le refus d’accréditation.

Les quotas portent par exemple sur le nombre de prostatectomies pratiqué par un service de chirurgie urologique par an. Si le service a réalisé moins que le nombre annuel d’interventions exigées, il perdra son autorisation l’année suivante s’il n’a pas corrigé la situation. Cachez votre prostate en novembre ou décembre, car le directeur fait trop souvent pression sur les chirurgiens pour inciter à la chirurgie (plutôt que la radiothérapie ou l’expectative discutées autrefois) afin de conserver son autorisation d’ouverture de la structure ! Il y a des quotas pour le nombre de malades soignés par radiothérapie, ou le nombre de séances de chimiothérapie ambulatoire, etc.

La politique fusion-acquisition est largement favorisée par ces quotas aboutissant à la fermeture des petits établissements les plus humains et bien souvent les plus sûrs. L’argument du « plus on en fait, mieux on le fait » avancé pour justifier ces quotas n’est guère crédible, car ils sont calculés par établissement et non pas par praticien ; un gros centre où travaillent dix spécialistes pourra facilement dépasser le seuil minimal qu’un petit établissement ne pourra atteindre même si son unique spécialiste opère personnellement trois fois plus de patients que ses confrères du grand centre.

Et si vous l’expliquez et vous plaidez pour perte de chance de survie de vos malades, ce sera vous le vilain petit canard qui sera sermonné par l’ARS et si vous insistez, suspendu, ou interdit, par le conseil de l’Ordre au service du nouvel Ordre médical. Le cas du PR Humbert est explicite. Lisez et signez la pétition16 de ses patients scandalisés comme celle du Dr Djikeussi. C’est l’ARS et/ou l’Inca qui choisit ses alliés, affidés qui vont casser services et praticiens au gré de leurs choix.

Le professeur estime que tout a commencé en 2014-2015. « À ce moment-là, tout allait bien, j’étais chef de service depuis vingt-cinq ans, j’avais réussi à faire de Besançon le plus grand service de dermatologie de France. On avait créé un laboratoire universitaire et un centre de recherche reconnu internationalement. »

C’est à cette époque, dit-il, qu’il a eu connaissance de “plaintes” de malades. “Je me suis impliqué et j’ai effectivement constaté de graves dysfonctionnements dans certaines unités” du service. C’est là, dit-il, qu’aurait débuté “la conjuration” menée par “certains collègues”. Un “harcèlement” qui aurait pris plusieurs formes : “On m’a supprimé ma secrétaire, on a retiré les chaises installées en face de ma salle de consultation pour les patients. Je n’ai plus d’internes…”17

Une “cabale” qui l’a conduit à démissionner de son poste de chef de service… “C’était le plus grand service de dermatologie de France. C’est devenu le plus petit.”18

LE PROFESSEUR HUMBERT VICTIME DES QUOTAS ET DES CHOIX DES RCP AU SERVICE DU POUVOIR

Le professeur Humbert est compétent en médecine, mais pas assez en bureaucratie, et n’a pas initialement imaginé le rôle donné aux ARS de destruction de la bonne médecine humaine et individualisée comme il l’applique depuis toujours au grand bonheur de ses patients19. Il ne pouvait pas y croire !

Cette destruction programmée et en cours depuis les années 90 prend maintenant de grandes proportions et aboutira bientôt au niveau zéro de notre système de santé comme de trop nombreux malades en font l’expérience quotidienne20. De plus en plus de patients opérables avec de petites tumeurs du sein, de l’os, des muscles, de la peau, etc.. sont inclus d’emblée sans choix éclairé dans “le protocole” qui est de fait l’essai en cours dans lequel le robot-oncologue se doit d’inclure le plus possible de patients pour être considéré comme un “bon” médecin », avec nominations, etc. à la clef.

Combien de malades se voient-ils en ce moment proposer une « immunothérapie » toxique hors de prix et souvent inefficace, alors qu’une chirurgie bien faite aurait guéri le patient. Ceci se voit particulièrement dans les tumeurs bénignes qui ne nécessitent aucune chimiothérapie.

Pr Humbert : « J’étais un chef de service qui dérange » au CHRU de Besançon21

Publié le 27/03/2017 — Mis à jour le 17/04/2019

À la suite de la plainte pour diffamation du CHRU de Besançon annoncée vendredi 24 mars 2017 contre le Professeur Humbert qui avait relevé « des dysfonctionnements », ce dernier s’estime « victime de harcèlements » à son tour de la part du CHRU.

Parole contre parole

« Cela ne me dérange pas, car c’est déjà dans l’esprit de la direction de me stigmatiser, de me cibler et cela va permettre de donner les éléments de vérité ». Il ajoute que « Je n’ai tenu aucun propos diffamatoire, tout ce que j’ai indiqué se trouve confirmé. En revanche, les propos de madame la directrice et de monsieur le président, eux, sont contredits par les éléments dont j’ai pu avoir connaissance du rapport » en précisant « sur le bien-fondé de mes signalements et de mes alertes ».

Maître Kabbouri, avocate du Professeur Humbert mentionne qu’« une plainte a été déposée auprès des services de police de Besançon pour fait de harcèlements moraux contre le CHU et certains professionnels de santé en février 2016. » Elle ajoute que « mon client n’a jamais été entendu dans le cadre d’une procédure pour harcèlement par les services de police, ni d’internes, ni de médecins, ni de la direction, il n’y a jamais rien eu ».

LE PR HUMBERT ET LA CHAMBRE DISCIPLINAIRE DE L’ORDRE RÉGIONAL DES MÉDECINS

L’Agence Régionale de Santé avait saisi l’Ordre pour « infractions au code de déontologie médicale ». Le professeur explique que :

« cette procédure fait suite à des pressions que je subis depuis de nombreux mois. En tant que chef de service, à l’époque, un certain nombre de lettres de plaintes ont été reçues. J’avais constaté des dysfonctionnements et des anomalies. »

Une « focalisation sur moi »

Le Professeur raconte : 

« au lieu de me soutenir, de suivre avec moi les corrections nécessaires et de déclarer les effets indésirables graves à l’Agence de santé comme c’est le devoir de la direction », précise-t-il, « on s’est focalisé sur moi pour obtenir ma démission de chef de service. »

Il justifie que :

« J’étais un chef de service qui dérange. J’ai été président de la commission médicale d’établissement du CHU, je dois dire que c’est grâce à mes efforts que le CHU a aujourd’hui un budget en équilibre. Nous avons fait créer 600 postes pendant cette période-là. Et donc cela engendre des inimitiés auprès d’administrations. »

Philippe Humbert ajoute :

« il y a eu un retard dans les alertes, dans le signalement, dans la prise en compte de celles-ci, puisqu’on était focalisé sur une médiation, puis une enquête IGAS ». « Rien que de prononcer le nom de RCP invalide, c’était quelque chose qui aurait dû immédiatement alerter le réseau OncoIie (Oncolie réseau de cancérologie de Franche-Comté) qui est le fer de lance de réseau 3 C22. »

Harcèlement des internes « infondé »

Le Professeur estime que les accusations portées à son encontre sont « complètement infondées et opportunistes ». Il précise que ce sont « des textes dont je n’ai jamais eu connaissance jusqu’à présent »(…)

Il se défend :

« J’ai toujours été apprécié par les médecins qui viennent à mes côtés d’ailleurs, de Chine, du Maroc, d’Algérie, du Brésil. C’est moi qu’ils choisissent dans le service. Je n’ai jamais été maltraitant, cela fait partie de la cabale comme monsieur le recteur me l’avait indiqué, cela fait partie d’une conjuration de faire ce genre de propos ». (…)

Des témoignages de patients…

Pour donner suite à la plainte pour diffamation annoncée par Chantal Carroger, directrice du CHRU de Besançon, à l’encontre du Professeur Humbert, trois patients et une collègue ont envoyé à maCommune.info des mails de « soutien » à l’ancien chef du service dermatologie et témoignent.

Madame Alev, une patiente, se plaint de « dysfonctionnements » de l’hôpital et a souhaité dans un courrier du 7 juillet 2016 adressé à la directrice de l’hôpital que « le professeur puisse exercer son métier dans les meilleures conditions ».

Nadine, une autre patiente, qualifie le professeur d’« une gentillesse incroyable, à l’écoute de mon parcours difficile ».

Bernadette, quant à elle, reproche à la directrice du CHRU de « se contenter de transmettre mon témoignage de satisfaction au Professeur Humbert sans aborder les erreurs commises par les autres médecins concernés ».

Évelyne, une ancienne collègue du professeur, affirme qu’il « est proche de ses patients, constamment soucieux de leur bien-être ».

Le professeur Philippe Humbert, poursuivi pour diffamation par son employeur, l’hôpital bisontin, a été condamné à verser 8000 € d’amende, dont 4000 €, avec sursis23 pour avoir « porté atteinte à l’honneur et à la considération » du CHU Minjoz. Le professeur Humbert doit également vers 2 000 € de dommage et intérêt à l’hôpital.

Le praticien dénonçait des dysfonctionnements au sein du CHU Minjoz dans le livre Hôpitaux en détresse, patients en danger24. L’hôpital avait donc pris la décision de porter plainte contre lui pour diffamation.

L’audience du 27 septembre dernier avait été le théâtre de longs débats et avait été mise en délibéré jusqu’à ce jour. La condamnation du professeur Humbert est sévère puisqu’elle est allée au-delà des réquisitions du parquet qui requérait 10 000 € d’amende avec sursis.

Pour le professeur Humbert, cette condamnation est « le prix de la vérité et de la défense des malades ».

Condamnation dont il a fait appel et qui met en suspens son application. Le professeur est donc pour l’instant toujours autorisé à travailler.

Une autre procédure disciplinaire est également en cours à son égard. Le ministère de la Santé et celui chargé de la Recherche et des Technologies ont lancé une action pour donner suite au harcèlement prétendu de collaborateurs du professeur quand il était chef de service à l’hôpital de Besançon.

LE HARCÈLEMENT, TECHNIQUE DEVENUE CLASSIQUE À L’ HÔPITAL PUBLIC

Les enquêtes montrent que, dans tous les pays, le harcèlement moral et le risque suicidaire prédominent dans le secteur de la santé

Par Marie-France Hirigoyen, Christiane Kreitlow et Christelle Mazza25

Le suicide par défenestration du cardiologue Jean-Louis Mégnien le 17 décembre 2015 à l’Hôpital européen Georges-Pompidou a suscité une vague d’émotion dans le monde hospitalier et est venu rappeler la triste réalité du harcèlement moral.

Car, si la France a été un des premiers pays à bénéficier d’une loi très complète contre le harcèlement moral, cette problématique reste malheureusement peu prise en compte dans les entreprises privées et encore moins dans le secteur public. (…)

Pour rappel, le harcèlement moral consiste en une violence subtile, insidieuse, d’autant plus dangereuse qu’elle est quasi invisible. Il s’agit, de façon plus ou moins consciente, de disqualifier, d’isoler, de dégrader une personne et d’attaquer son travail. Il ne s’agit pas d’un conflit, mais d’une guerre d’usure pour soumettre ou détruire un individu.

Un comportement systématisé

En France, le harcèlement moral est défini par les textes comme :

« un ensemble d’agissements répétés qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte aux droits du salarié et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel ». (…)

« Dans le harcèlement moral, il ne s’agit nullement d’une maladresse ou d’un accident, mais d’un comportement délibéré ou tout du moins systématisé. En ce qui concerne les harceleurs, ils sont rarement tout à fait conscients de la gravité de leurs agissements.

Dans cette forme de violence grave, les troubles ne résultent pas uniquement de l’agression elle-même, mais surtout de la situation d’impuissance dans laquelle les personnes ciblées sont placées et qui est aggravée par le silence de la hiérarchie. La négligence à ne pas traiter le harcèlement moral conduit les victimes à un sentiment de profonde injustice. L’ostracisme — ou mise en quarantaine — vient menacer les besoins sociaux fondamentaux de tout individu, le maintien de l’estime de soi, le sentiment de contrôle et le besoin de reconnaissance. »

Culture de la rentabilité

Les enquêtes montrent que, dans tous les pays, le harcèlement moral et le risque suicidaire prédominent dans le secteur de la santé. Le monde hospitalier public est passé d’une culture de service public à une culture de la rentabilité avec des indices de performance et un management par objectif, générant souvent des conflits éthiques entre le corps médical et la direction.

Tout est comptabilisé, y compris les productions scientifiques. La loi Hôpital, patients, santé et territoire du 21 juillet 2009 a considérablement modifié le système de gouvernance des hôpitaux, laissant le directeur tout-puissant dans la gestion du personnel et de l’établissement. Mais ce fonctionnement laisse de côté la part humaine de chacun qui ne peut pas toujours être objectivé.

« Un management trop axé sur des procédures standardisées ne régule pas les luttes d’influence et les abus de pouvoir. Or, quand tout le monde est sous pression, le risque est grand de vouloir s’affirmer aux dépens des autres et d’utiliser des procédés déloyaux comme le harcèlement moral. »

Le suicide du PR Mégnien26 n’a pas changé la donne, ni les articles qui ont suivi. Le drame du PR Humbert en est une nouvelle démonstration. Le système de santé français ne pourra pas remonter la pente sans supprimer aux agences de santé leurs pouvoirs dictatoriaux sur les médecins, ni supprimer les nombreux observatoires, agences multiples qui détournent les moyens tant humains que matériels des besoins des hôpitaux

IL faut soutenir le PR HUMBERT emblématique des médecins cliniciens privés de leurs possibilités de soigner chaque malade individuellement dans le respect du serment d’Hippocrate.





La disparition des médecins compétents organisée par l’ordre des médecins aux ordres : une nouvelle victime, le Dr S. Gayet

Par le Dr Gérard Delépine

Combien de temps les citoyens français vont-ils rester silencieux, passifs, soumis face à cette destruction massive des hôpitaux français et du tissu libéral de ville ? En dehors des quelques milliers de résistants qui viennent soutenir les médecins persécutés le jour de leur convocation1, le silence des Français n’a d’égal que leur désespoir et désolation, lorsqu’ils sonnent à des urgences hospitalières fermées pour la nuit, y compris dans des grandes villes comme Bordeaux. Quant aux médecins de ville, ils se raréfient… Combien d’affiches comme celles de Juvisy sur la nationale 7, autrefois synonyme de vacances au bout du chemin, et maintenant de pénuries rappelées par ces affiches tous les trois kilomètres…

Alors quand une nouvelle fois, nous voyons un médecin compétent, infectiologue, enseignant, RADIE de l’ordre des médecins, donc interdit de consulter, de soigner, d’aider, d’utiliser ses compétences à rassurer les patients, on se dit une nouvelle fois que notre pays sombre dans la folie. Et le même jour le ministre pleure de la multiplication des téléconsultations et arrêts de travail trop nombreux à son goût… Les robots ne seraient-ils pas parfaits ou pas encore automatiques…

Scandale : Le Dr Stéphane Gayet2 radié de l’Ordre des Médecins pour avoir prescrit des traitements précoces contre le Covid-19 ! En note son CV extrait de MEDISITE Pr Stéphane Gayet — Les experts Medisite. À quoi bon toutes ces formations, toutes ces conférences, pour être radié comme un malpropre pour divergences de vues avec le pouvoir et pour avoir commis deux « fautes » dont les citoyens le remercient chaque jour :

Avoir soigné ceux qui le nécessitaient précocement et les avoir guéris

Avoir informé dès décembre 2021 des effets secondaires, parfois graves, voire mortels des pseudovaccins, injections géniques à ARN.

@LouisEymard 23 sept.

En décembre 2021 le Dr Stéphane Gayet alertait des effets secondaires des injections et a dévoilé la clause d’irresponsabilité imposée par les laboratoires pharmaceutiques. #JusticePourLesSuspendus

@ErikLoridan

23 sept. Le Dr Stephane Gayet, médecin infectiologue strasbourgeois, radié par l’ordre des médecins pour avoir osé soigner des covid long ! Faites du bruit !!

@LemoineSbastie2 @ErikLoridan@psy_paris‬‬‬‬

Le Dr Gayet a aussi critiqué le totalitarisme EBMcile que Bigpharma et les zéts font passer pour LA science mais qui est en réalité une démarche marketing et nazi pic.twitter.com/ehe2USDjNv

23/09/2022 19:49

25 SEPTEMBRE 2022 À LA UNE, COVID-19 3

« Le Dr Stéphane Gayet a officiellement été radié de l’Ordre des Médecins cette semaine, simplement pour avoir usé de sa liberté de prescription ! Le médecin a en effet prescrit divers médicaments comme l’hydroxychloroquine à ses patients atteints de Covid-19, mais comme l’État a choisi dès le départ de disqualifier ces médicaments, on se retrouve aujourd’hui avec des médecins radiés de l’Ordre car ils en ont prescrit !

Le Dr Gayet lançait également l’alerte en décembre 2021 sur les effets secondaires des vaccins et la clause de non-responsabilité des laboratoires, qui rend l’État coupable des complications liées aux vaccins en laissant les labos libres de tout souci.

C’est donc sans aucun doute une chasse aux sorcières qui s’est enclenchée dès ce moment-là, car un médecin qui ose prononcer une parole contredisant les “mesures préconisées par les autorités sanitaires” se met en danger de représailles… Voilà où en est malheureusement la France aujourd’hui. »

Dissident Officiel

Et pourtant elle agit !

Pardonne-nous Galilée de te paraphraser, mais nous sommes devant une nouvelle inquisition tout aussi dogmatique et anti-scientifique que celle que tu as affrontée.

Pour s’en convaincre il suffit de regarder le succès des pays qui ont utilisé le protocole Raoult comme l’Algérie et le Cameroun où les antipaludéens comme les pays africains ou Madagascar par rapport à la stratégie gouvernementale que défend le conseil de l’ordre.

LES SOIGNANTS ET POMPIERS SUSPENDUS

Toujours étranglés par les mesures sauvages contre eux les privant de travail et même de RSA, de chômage4

Les suicides des soignants ou de membres de leurs familles se multiplient dans l’indifférence ou au moins le silence du peuple. 5 6

Combien de temps accepterons-nous qu’une femme de 98 ans reste 24 h sans soin, sans repas, sur un brancard dans un célèbre hôpital parisien ? 7

« Le SAMU m’a emmenée à l’hôpital Lariboisière, à midi et demi, le dimanche 4 septembre pour examens. Je me suis retrouvée couchée au milieu de malades qui hurlaient de douleur, de rage, d’abandon, que sais-je. Et les infirmières couraient là-dedans, débordées… Elles distribuaient des “J’arrive !” et des “ça marche !” “J’arrive, j’arrive !”. Mais personne n’arrivait. Jamais.

Nul doute que leur vocation est réduite en charpie. Moi-même, j’ai mis douze heures pour obtenir la moitié d’un verre d’une eau douteuse. Tiède. Je suis restée 24 heures sur le même brancard, sans rien manger, dans un no man’s land. C’était Kafka. »

Soutenons nos médecins persécutés8, nos soignants, nos pompiers, nos malades qui ont besoin d’être pris en charge correctement. Il faut que cette dictature molle cesse et que la démocratie reprenne tous ses droits, que les médecins, les journalistes, les avocats, et tous citoyens puissent s’exprimer librement et que les lois liberticides soient supprimées par le nouveau parlement.9

Et finalement ce silence aboutit à un désespoir de citoyens tel que ce tweet en témoigne :

@chidoricha‬‬‬
Que les gens qui ferment les yeux et se taisent devant leur entourage ! En disant bah tant qu’on me touche pas, je m’en fous !
Le karma va s’occuper de vous ! Quand il restera juste des médecins sans éthique/corrompus/ à la solde du pouvoir. Faudra pas pleurer !
Merci Dr Gayet ! »





Un nouveau Lancet gate prétend que les vaccins anti-covid auraient sauvé 20 millions de personnes 

Par le DR Gérard DELÉPINE

Lorsque le monde réel vous déplait, il suffit pour, se rassurer de se réfugier dans un monde virtuel que l’on peut modéliser à sa guise. L’impérial collège applique à nouveau cette recette magique pour transformer ses colossales erreurs de prédictions du monde réel en incroyable succès virtuel des vaccins.

Attention aux simulations présentées comme des faits établis

Nous avons à maintes reprises1 2 3 4 5 dénoncé les fausses nouvelles basées sur des simulations en médecine. Par leur conception et leurs hypothèses hasardeuses, les simulations de résultats médicaux sont toujours à risques de biais. Il faut tout particulièrement se méfier de leurs conclusions lorsqu’elles font la promotion d’un médicament rentable, que leurs auteurs sont liés aux firmes et que l’ensemble des médias du monde entier claironne « la bonne nouvelle », alors qu’il ne s’agit en aucun cas de faits établis, mais seulement d’espoirs résultant d’hypothèses incertaines.

Un article hallucinant du Lancet6 ose prétendre que la vaccination aurait sauvé plus de 20 millions de personnes en 2021 et le comité de lecture l’a accepté sans émettre de réserve !

Cet article fait la promotion de pseudo vaccins extrêmement rentables puisqu’ils ont rapporté près de 300 milliards de dollars depuis leur mise sur le marché.

Les auteurs de cette étude ne sont pas indépendants, mais liés pour les deux tiers aux marchands de vaccins ou aux organismes qui ont été les moteurs de la vaccination7.

Les folles conclusions de cet article ont été reprises sans aucune modération par plus de 50 médias du monde entier qui ont « oublié » de signaler qu’il ne s’agissait que de résultats de simulation. Nous en signalons quelques-uns8 qui ont ainsi démontré leur absence d‘esprit critique et/ou leur dépendance aux marchands de vaccin.

Tous les signaux d’alerte à la fake news sont donc réunis.

Comment biaiser une simulation

Pour chanter les louanges de la vaccination, des mathématiciens de l’Imperial College de Londres ont une nouvelle fois utilisé leur modèle totalement faux de simulation de propagation et de mortalité du COVID-19 entre le 8 décembre 2020 (lorsque les vaccins ont été déployés pour la première fois) au 8 décembre 2021 pour une simulation sans vaccin qu’ils ont comparée avec leur estimation du nombre des morts avec vaccins.

Ils déclarent sans ambages « nous avons estimé que 31,4 millions (95% CrI 30·6–32·1) décès dus au COVID-19 seraient survenus sans vaccination au cours de la première année de la vaccination » alors que la première année de l’épidémie sans vaccin avait entraîné « seulement »1,63 million de morts.

Et ils ne s’étonnent pas que leur simulation prédirait une mortalité 20 fois supérieure la seconde année ! Ils auraient dû s’intéresser à l’évolution des pays très peu vaccinés comme le Nigéria, le Cameroun ou Madagascar dans lesquels la seconde année sans vaccin a été marquée par un simple doublement de la mortalité pour vérifier l’absence de fiabilité de leurs prédictions.

Le même programme délirant de simulation avait prédit que sans confinement la Suède allait être dévastée par le covid. La Suède n’a pas confiné et le nombre de morts observé a été dix fois inférieur à l’estimation de l’impérial collège.9

Les auteurs de l’Imperial college n’ont apparemment pas tenu compte de leurs erreurs comme tout scientifique scrupuleux l’aurait fait.

Ils ont ensuite estimé l’impact des programmes de vaccination en retranchant du nombre de décès prophétisés par la simulation sans vaccin au nombre de décès estimés dans le monde réel avec vaccin.

Ils ont une fois de plus comparé les décès virtuels d’une simulation folle aux décès observés dans le monde réel.

Leur colossale surestimation de la simulation sans vaccin10 leur permet ainsi de prétendre que les vaccins auraient été colossalement efficaces.

Ils se prétendent scientifiques, mais au lieu d’analyser les différences observées dans le monde réel entre les pays selon leur stratégie anti-covid, ils comparent le monde virtuel de leur simulation au monde réel pour réciter leur crédo pro injection!

Revenons au monde réel : les vaccins n’ont sauvé personne !

Après 20 mois de vaccination, il est facile d’évaluer son impact réel sur l’évolution du nombre de contaminations et de la mortalité selon la période considérée et selon les stratégies sanitaires des différents pays en se basant sur les données publiées par l’OMS (disponibles à OMS Covid dashboard) et mises en graphiques par l’université John Hopkins (consultable à : OurWorldinData covid).

La comparaison des dix mois sans vaccin (de mars à décembre 2020) aux 20 mois avec les pseudos vaccins montre qu’au niveau mondial ces derniers ont été incapables de ralentir l’épidémie et qu’ils paraissent même avoir pu la stimuler, puisque le rythme mensuel des contaminations été multiplié par 6 depuis leur mise sur le marché.

De même, les pseudo vaccins se sont révélés incapables de diminuer la mortalité :

Dans leur article, les auteurs de l’impérial college accusent « la faible couverture vaccinale de nombreux pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure et des pays à faible revenu » d’être responsable de l’échec des injections, tant sur la transmission mondiale de l’épidémie que sur la mortalité.

Mais ont-ils seulement regardé les chiffres officiels de l’OMS qui montrent, au contraire, que l’épidémie a frappé beaucoup plus violement les pays riches ?

Et que la mortalité a été maximale dans les pays riches !

On peut donc décerner à cet article le qualificatif du plus gros canular du siècle, au Lancet, celui de la revue la moins pointilleuse pour la vérification des données.

Après revue de ses prédictions, on peut aussi attribuer à l’Impérial Collège le titre de cancre absolu des prophètes. En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante et qui a couté environ 6 milliards de livres aux éleveurs anglais. Lors de la crise de grippe H1N1 de 2009, ses prédictions du avaient annoncé 8 000 morts au Canada qui n’en a déploré que 428 ! Et ses simulations n’ont pas été plus avisées sur la maladie de la vache folle, la grippe aviaire, Ebola.

Mais pourquoi l’OMS et tant de dirigeants font-ils encore confiance à un devin qui se trompe presque toujours ?





Comme aux USA, en France et dans de nombreux pays, aussi la pandémie est terminée !

Par Gérard Delépine

18 septembre 2022, le président américain, Joe Biden, a déclaré sur CBS : « la pandémie est terminée » au grand dam des commentateurs des médias complices de la propagande terrorisante du gouvernement depuis plus de 30 mois. Les fabricants de vaccins ont immédiatement perdu 9 milliards de dollars avec la chute de 9 % de la valeur marchande de leurs actions1 2 3 4.

Les données de l’OMS traduites en graphique par l’université John Hopkins confirment en effet que la pandémie est terminée dans le monde, aux USA ; en Europe et en France.

Et cette forte diminution de cas s’accompagne d’une forte diminution de la mortalité mondiale.

En France d’après les données de l’OMS, l’évolution de l’épidémie est semblable à celle du reste du monde avec une très importante chute des contaminations depuis 8 mois :

Cette évolution très favorable de l’épidémie est confirmée par le réseau sentinelle : 5

« En semaine 2022s37, le taux d’incidence des cas de Covid-19 présentant des signes respiratoires vus en consultation de médecine générale a été estimé à 25 cas pour 100 000 habitants, ce qui représente 16 892 nouveaux cas de Covid-19 présentant des signes respiratoires ayant consulté un médecin généraliste. »

Et la mortalité quotidienne a baissé d’autant :

Par ailleurs, les indicateurs hospitaliers continuent de baisser dans la majorité des régions. En outre-mer, les indicateurs virologiques sont également en diminution sur l’ensemble des territoires.

Cette disparition française de l’épidémie rend encore plus scandaleuse la décision du 21 juillet 2022 de la HAS contre la levée de l’obligation vaccinale pour lesprofessionnels des secteurs sanitaire et médico-social et les discours alarmistes des agences sanitaires et de l’académie de médecine. Mais il est vrai que ces dernières se sont comportées tout au long de cette crise comme de véritables « covid terroristes » par des prédictions apocalyptiques destinées à entretenir la peur dans la population pour qu’elle accepte des mesures antidémocratiques et des pseudovaccins expérimentaux inefficaces et souvent toxiques.

Quelle mauvaise nouvelle que cette fin de pandémie pour les actionnaires !

Le PDG de Moderna, Stéphane Bancel est pessimiste pour son entreprise :

« la période pandémique, de l’évolution rapide du virus et de contamination planétaire presque continue, sera terminée fin 2022. En 2022, il y aura plus de vaccins sur la planète que de gens désirant se faire vacciner ou avoir un rappel ».

En Europe, la montagne de pseudovaccins commandés depuis le début de la crise par Ursula Von der Leyen s’élève à plus de 4 milliards de doses pour 445 millions d’habitants (près de 12 par adulte !) et transforme en petite plaisanterie la gabegie à 1 milliard d’euros de Roselyne Bachelot lors de la grippe H1N1 avec une commande 94 millions de doses dont seulement 7,8 millions ont été utilisées6.

On peut craindre de nouvelles tentatives de nos gouvernants de nous forcer à nous faire injecter ces substances expérimentales inefficaces et dangereuses comme le présagent les « séances d’informations sur la vaccination »7 que le ministre veut imposer dans les écoles pour manipuler nos enfants et les appels à la vaccination des femmes enceintes et des personnes fragiles avec de nouveaux pseudo vaccins bivalents 8 et pas plus testés que les précédents.

Il n’y avait aucune raison médicale objective de se faire injecter ces médicaments préventifs abusivement présentés fallacieusement comme « vaccin » et mis sur le marché trop rapidement alors que leurs essais n’étaient pas terminés (ils le seront peut-être en 2023).

Maintenant que ces pseudo vaccins se sont révélés inefficaces tant pour la protection individuelle (vacciné, vous n’êtes pas protégé !) que pour la prévention de la transmission (vacciné, vous pouvez quand même contaminer vos proches) et potentiellement dangereux et que l’épidémie est terminée, il est scandaleux de continuer à promouvoir ces injections expérimentales inutiles dont la balance avantages/risques penche indiscutablement du côté des risques.





Ils veulent endoctriner nos enfants à l’école pour les vacciner contre le covid !

Le conditionnement des jeunes est un marqueur fort de régimes totalitaires

Par Gérard Delépine

En cette période marquée par les conséquences désastreuses de la fermeture des écoles1 dénoncées en leur temps par l’Unicef2, du port du masque3 et du télé-enseignement (déscolarisation, retards d’apprentissage, troubles psychologiques) et par les inquiétudes que suscite la possible diminution des périodes scolaires pour « économiser le chauffage »4, le ministre vient de demander aux professeurs de tenir quatre « séances d’information » sur la vaccination aux élèves des Cycle 2 (CP CE1 CE2) et 3 (CM1 CM2)5 6, supprimant ainsi 6 à 8 heures supplémentaires d’enseignement utile pour distiller sa propagande en l’absence des parents.

L’analyse du contenu de ces prétendues « séances d’information » montre qu’il ne s’agit en réalité que d’une propagande mensongère visant à les convaincre de se faire vacciner contre le covid alors qu’ils n’en ont aucunement besoin et que leur vaccination n’a aucun intérêt sociétal.

Examinons le programme des « activités de découverte de la vaccination »

La première séance viole le secret médical

Elle prévoit de poser publiquement des questions personnelles aux élèves sur leurs données de santé :

Interroger de façon collective les élèves sur leur connaissance et leur vécu concernant la vaccination :

« Avez-vous déjà été vaccinés ? »
« Par qui avez-vous été vaccinés ? »
« Avez-vous eu peur de la piqûre ?
« Qu’avez-vous ressenti lors de l’injection ? Comment cela s’est-il passé ? »
« Contre quelle maladie avez-vous été vaccinés ? »
« Et pourquoi à votre avis avez-vous été vaccinés ? »
« Qu’est-ce que la vaccination ? À quoi est-ce que cela sert ? »
« Est-ce que vous vous posez des questions sur la vaccination ? »

Écouter et noter, sur une affiche ou au tableau, les réponses et les questions des élèves.

Un peu plus loin le texte prétend curieusement :

Il ne s’agit en aucun cas ici de savoir qui est vacciné contre quoi. (Alors pourquoi est-il demandé expressément « Avez-vous déjà été vaccinés ? », « Contre quelle maladie avez-vous été vaccinés ? »). Les instructions reconnaissent tout de même :

« Le statut vaccinal correspond à une donnée de santé individuelle qui ne doit donc pas être évoquée dans un cadre collectif. »

Le serpent qui tente d’hypnotiser nos enfants se mord lui-même la queue !

3ème séance : l’endoctrinement par un film

La troisième séance :

« repose principalement sur l’analyse d’une vidéo de Santé publique France. La vidéo proposée est centrée sur la rougeole, mais le principe de la vaccination reste le même pour d’autres maladies (grippe, oreillons, tétanos ou covid-19… »

Il est extrêmement douteux que ce film rappelle aux enfants les faits avérés qui les concernent et en particulier : qu’ils risquent moins du covid que de la grippe, qu’ils ne transmettent pratiquement jamais la maladie ni aux autres enfants ni à leurs parents ou à leurs grands-parents que ces pseudo vaccins peuvent entraîner des complications parfois très graves et même mortelles.

En séance 4 l’intention de pousser les enfants à se faire vacciner est clairement avouée

Les buts officiels :

« Se protéger contre la Covid-19 A — Objectifs de la séance Maintenant que le mécanisme de la vaccination a été étudié, ainsi que d’autres concepts liés aux microbes et maladies, il est possible de relier ces notions à l’épidémie de Covid-19. Cela permettra :

d’une part de remobiliser les notions travaillées dans les séances précédentes afin d’en améliorer la maitrise
• d’autre part de rendre ces notions opérationnelles en les faisant appliquer sur le cas très concret du SARS-CoV-2.

Faire décrire aux élèves, à l’oral ou à l’écrit, le contexte épidémique actuel. Lorsque les élèves mobilisent des notions étudiées lors des séances précédentes, leur faire remarquer et éventuellement reformuler. Afin d’aider les élèves à verbaliser la situation, des questions plus ou moins ouvertes peuvent leur être proposées :

Quelle est la maladie dont on parle beaucoup depuis deux ans ?
• Comment se transmet-elle ?
Comment s’en protéger ?
• Quels sont les gestes barrières ?
• Existe-t-il un vaccin contre cette maladie ?
Pourquoi on se vaccine ?

Cette dernière séance peut en outre donner lieu à la réalisation d’une tâche finale qui permettra de conclure la séquence, avec éventuellement une évaluation sommative des élèves. »

Et pour être sûr que les élèves ont bien appris le crédo covid du gouvernement on demande à l’enseignant de vérifier qu’ils le récitent correctement :

« Proposition de quizz permettant d’évaluer les acquis de cette séquence Un quizz peut être réalisé pour faire le point sur les acquis des élèves »

On peut imaginer que les possibles conseils du cabinet McKinsey soient bientôt de noter ce quizz et de prendre en compte ses résultats pour le passage à l’année supérieure !

La désinformation des enseignants par la « Cartes de débat Vaccinations 2021 Guide enseignant »

Les enseignants ne sont pas des médecins ; il est donc facile de les désinformer sur la crise covid et le ministère a conçu ce ‘guide enseignant’ dans ce but.

Ce guide qui se prétend factuel ment directement et aussi par omission sur de très nombreux points. Dans « Notions essentielles », il qualifie les injections anti-covid de « vaccins à ARN » ce qui est mensonger : les injections covid qui ne contiennent ni antigène ni anatoxines ne sont pas des vaccins7 pastoriens, mais des médicaments géniques préventifs comme l’a d’ailleurs reconnu Delfraissy.8

Il prétend aider les enfants à argumenter leurs opinions sur des bases factuelles, mais s’attaque mensongèrement aux vaccino prudents en les qualifiant d’antivaccins et prétendant que ‘les mouvements antivaccins nés de la controverse entourant le vaccin ROR se sont donc emparés de la question du vaccin contre la COVID-19’ alors que la contestation actuelle est née de la mise sur le marché précipitée (et du caractère expérimental de ces injections) pas même évoquée par ce guide, et contestation renforcée par leur inefficacité et leurs complications constatées en population réelle.

Il ne rappelle même pas la bénignité extrême de la maladie chez l’enfant (trois fois moins mortel que la grippe ordinaire contre laquelle on ne les vaccine pas) et donc l’absence de bénéfice personnel des injections chez eux. Il ne rappelle pas que les enfants ne sont pas des facteurs de contamination9 10 et donc que les injections des enfants ne peuvent pas protéger les autres d’autant plus que les pseudo vaccins n’empêchent pas les transmissions.

Ce nouveau « petit livre rouge » n’est qu’un missel des représentants de l’industrie des vaccins, un outil de propagande mensongère, qui désinforme les enseignants pour qu’ils endoctrinent nos enfants en leur récitant le crédo des fabricants de pseudo vaccins.

Dénonçons publiquement ce tissu de mensonges qui désinforme les enseignants sur la vaccination et n’a pas la place dans nos écoles. Seuls les régimes totalitaires refusent les débats publics et endoctrinent les enfants à l’école.





À propos de C. Perronne l’Express ment, l’Express ment énormément !

Par Gérard Delépine

Dans un article du 13 septembre 2022, Bruno Coutier via AFP et par Victor Garcia titrent dans l’Express : « Antivax, idole de l’extrême droite : Christian Perronne. »

S’agit-il d’une énorme bourde par absence totale d’enquête sur son engagement médical ou d’un mensonge délibéré visant à décrédibiliser ce professeur qui a consacré toute sa vie à la lutte contre les maladies infectieuses ?

Non, Monsieur Garcia, le professeur Christian Perronne n’est pas un antivax !

Il a au contraire a consacré la majeure partie de sa vie au traitement des maladies infectieuses et en particulier à la promotion des vaccins1 . Qu’on partage partie ou totalité de ses positions vis-à-vis des différents vaccins, il est inadmissible de déformer et trahir sa pensée à travers des articles grand public dans lequel il n’a même pas pu s’exprimer !

Pour le vérifier, il suffit de revoir la liste de ses articles scientifiques

En 1985, sa thèse de doctorat porte sur le traitement de l’endocardite expérimentale à Staphylococcus aureus (grave infection du système circulatoire atteignant le cœur).

Il a écrit près de 150 articles 2 dans des revues à comité de lecture qui analysent le traitement des maladies infectieuses, les médicaments antirétroviraux du sida, la place des vaccins dans la prévention des infections respiratoires 3, la recherche sur un vaccin contre le virus H5N14, sur le traitement de la tuberculose5 et sur la maladie de Lyme6entre autres.

L’accuser d’être un antivax constitue donc une grossière calomnie !

Les innombrable fonctions qu’il a exercées témoignent de ses compétences et de ses positions pro-vaccinales

Il a dirigé (en tant que Directeur-adjoint) le Centre national de référence sur la tuberculose et les mycobactéries de l’Institut Pasteur de Paris, jusqu’en 1998.

En 2009, il a exercé comme vice-président du groupe « European advisory group of experts on immunisation » (E[T]AGE), qui conseille la politique vaccinale de l’Organisation mondiale de la santé dans la Région européenne de l’OMS dans le but de faciliter et d’accélérer les réalisations en matière d’éradication, d’élimination et de contrôle des maladies évitables par la vaccination.7

ll a présidé jusqu’en 2016 la Commission maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique (HCSP)

Il a participé à des groupes de travail à l’agence du médicament (ANSM).

Président du collège des enseignants de maladies infectieuses et tropicales (CMIT), cofondateur et ancien président de la Fédération française d’infectiologie.

Président de groupes de travail élaborant des recommandations basées sur les preuves du traitement antibiotique des infections respiratoires à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM, ex-AFSSAPS)

Président de la section maladies transmissibles du Conseil supérieur d’hygiène publique de France de 2001 à 2007.

Membre du conseil scientifique de l’Institut de recherche en microbiologie et maladies infectieuses (IMMI, INSERM) jusqu’en 2013.

Président du Conseil national des universités (CNU), sous-section Maladies infectieuses et tropicales.

Dans le milieu médical il était unanimement respecté pour ses connaissances et pour ses qualités de modérateur jusqu’à ce qu’il dénonce publiquement les erreurs de la stratégie anticovid du gouvernement.

Comment Bruno Coutier, l’AFP, Victor Garcia et l’Express peuvent-ils être aussi ignorants de ses activités dédiées en permanence aux traitements des maladies infectieuses et à la vaccination ? Comment osent-ils le traiter d’antivax ?

Aucun des prétendus experts que les « Check news » citent parfois dans leurs calomnies envers C. Perronne ou D. Raoult n’a de pareilles références scientifiques.

C. Perronne est-il de droite ?

C Perronne était un médecin respecté du sérail jusqu’au jour où il a osé démentir le narratif covid officiel8 9. Du jour au lendemain il a été présenté comme d’« extrême droite, de complotiste ou d’antisémite ».

Personnellement je n’en sais rien et ne dispose d’aucun élément pour en juger, mais l’ayant connu dans son hôpital R Poincaré, à Garches je suis totalement surpris de telles accusations qui ne correspondent absolument pas à son comportement de l’époque. Ses calomniateurs ne fournissent d’ailleurs aucun fait précis qui conforterait leurs accusations.

De toute manière, les opinions politiques des personnes n’ont aucun intérêt dans un débat scientifique qui doit seulement prendre en compte les faits avérés et de manière contradictoire.

Bruno Coutier et Victor Garcia ne respectent pas l’éthique du journalisme

Les qualificatifs « extrême droite, complotiste » sont systématiquement utilisés par les médias aux ordres pour décrédibiliser les gêneurs sans que leurs calomniateurs n’apportent jamais de faits qui le démontrent.

Que C. Perronne soit défendu par des leaders de droite prouve seulement que ceux de gauche refusent de protéger les donneurs d’alerte qui osent mettre en doute la propagande gouvernementale et c’est bien triste.

Ces calomnies de caniveau discréditent l’AFP, l’Express, Bruno Coutier, Victor Garcia et tous ceux qui les diffusent. Ils ne respectent pas l’éthique du journalisme10 suivie et respectée par la grande majorité des professionnels de l’information et en particulier : le respect de la personne et de sa vie privée — la vérification des faits et des sources, le principe de la liberté de l’information et de l’expression, la condamnation de la diffamation.

Oui la chloroquine aurait pu éviter plus de 25 000 morts de covid en France !

Dans ce même article de l’Express, l’auteur prétend « qu’aucune étude n’avait démontré ne serait-ce que 1 % d’efficacité ». Manifestement, n’étant pas médecin il ignore comment rechercher les articles scientifiques (ou ne sait pas lire l’anglais médical ?).

Au 18/9/2022 sur le sujet covid-hydroxychloroquine Pubmed référençait 3549 articles dont un grand nombre démontrait l’efficacité du traitement par HCQ en soulignant l’importance de la précocité du traitement pour prévenir la mortalité11, l’efficacité du traitement précoce par HCQ chez les patients ambulatoires12, l’efficacité et la bonne tolérance de ce même traitement en prévention du covid chez les travailleurs de la santé à haut risque en Inde.13

Au-delà des articles, les faits avérés, que chacun peut vérifier facilement en tapant sur son ordinateur « OMS covid Dashboard » « OurWorldinData covid cases per million » ou « OurWorldinData covid deaths per million » confirment l’efficacité de la chloroquine en population réelle.

Après plus de deux ans et demi d’évolution de l’épidémie, la mortalité cumulée observée constitue le critère de jugement le plus pertinent pour estimer l’efficacité des stratégies adoptées.

La comparaison entre l’Algérie qui a adopté le protocole Raoult dès le début, et la Tunisie, la France, les USA, la Belgique et l’Italie qui ont appliqué la stratégie du tout vaccin est éloquente : 155 morts covid par million d’habitants en Algérie contre 2300/M en France, 15 fois moins en Algérie !

Les populations française et algérienne partagent des facteurs de risques covid (âge, obésité, diabète) comparables. La France est mieux équipée en hôpitaux que l’Algérie. Si on avait appliqué le protocole Raoult ce n’est pas 25 000, mais plus de 130 000 morts de covid que nous aurions pu éviter !

La task force Covid indienne a conseillé la chloroquine en thérapie préventive pour les soignants, les familles de malades et en traitement précoce pour les malades. À l’issue de la première vague, malgré le manque d’hôpitaux, de médecins, l’Inde recensait dix fois moins de cas covid que la France :

Et après deux ans d’épidémie, l’inde compte six fois moins de morts par millions que la France :

L’AFP, l’Express, Bruno Coutier, Victor Garcia paraissent ignorer les données officielles de l’OMS ! Ils se contentent de réciter le crédo officiel. Il serait temps qu’ils s’intéressent aux faits avérés du monde réel et qu’ils les présentent impartialement comme les journalistes qu’ils étaient certainement jadis.

Maintenant que la médecine est devenue un business administré par l’état, où l’obéissance, la docilité, et la bêtise aveugle règnent en maître, Perronne et les autres médecins qui restent fidèles au serment d’Hippocrate (qui avaient l’esprit critique et croyaient à la pensée logique) n’y ont plus leur place.

Espérons, dans l’intérêt des malades qu’ils la retrouveront bientôt.


1 https://www.francesoir.fr/culture-livres/perronne-covid-et-charge-politique

2 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=perrone+c

3 Perronne C. The role of vaccination in the prevention of lower respiratory tract infections]. Rev Mal Respir. 2009 Apr;26(4):475-7. French. doi : 10.1016/s0761-8425(09)74059-8. PMID : 19421107.

4 Bresson JL, Perronne C, Launay O, Gerdil C, Saville M, Wood J, Höschler K, Zambon MC. Safety and immunogenicity of an inactivated split-virion influenza A/Vietnam/1194/2004 (H5N1) vaccine: phase I randomised trial. Lancet. 2006 May 20;367(9523):1657-64. doi : 10.1016/S0140-6736 (06) 68656-X. PMID : 16714186

5 Avec François Denis, Mycobacterium tuberculosis et mycobactéries atypiques, Paris, Elsevier Masson, 2004 (ISBN 978-2-7381-4997-8, BNF 39144965).

6 La Vérité sur la maladie de Lyme : infections cachées, vies brisées, vers une nouvelle médecine, Paris, éditions Odile Jacob, 2019, 2e éd., 336 p. (ISBN 2738150543, BNF 45836447) 11, 19, 23, 30, 47.

7 Perronne C, Adjagba A, Duclos P, Floret D, Houweling H, Le Goaster C, Lévy-Brühl D, Meyer F, Senouci K, Wichmann O. Implementing efficient and sustainable collaboration between National Immunization Technical Advisory Groups: Report on the 3rd International Technical Meeting, Paris, France, 8-9 December 2014. Vaccine. 2016 Mar 8;34(11):1325-30. doi : 10.1016/j.vaccine.2016.01.063. Epub 2016 Feb 6. PMID : 26859237

8 Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? : Covid-19 : l’union sacrée de l’incompétence et de l’arrogance, Albin Michel, 2020 (ISBN 978-2226455185) 46, 47, 54.

9 Décidément, ILS n’ont toujours rien compris ! : Covid-19, celui qui dit la vérité doit être exécuté…, Paris, Albin Michel, 2021, 288 p. (ISBN 978-2226461339 et 2226461337).

10 https://www.isfj.fr/actualites/202103-ethique-journalistique/

11 . Accinelli RA, Ynga-Meléndez GJ, León-Abarca JA, López LM, Madrid-Cisneros JC, Mendoza-Saldaña JD. Hydroxychloroquine / azithromycin in COVID-19: The association between time to treatment and case fatality rate. Travel Med Infect Dis. 2021 Nov-Dec;44:102163. Doi

12 parution2021Le traitement ambulatoire précoce du COVID-19 avec HCQ+AZ comme norme de soins est associé à une très faible mortalité, et HCQ+AZ améliore la survie au COVID-19 par rapport à d’autres régimes. Citation DataReviews in Cardiovascular Medicine, ISSN : 2153-8174, Vol : 22, Numéro : 3, Page : 1063-107, l’efficacité du même traitement en préventif chez les travailleurs de la santé en Inde

13 Stricker RB, Fesler MC. Hydroxychloroquine Pre-Exposure Prophylaxis for COVID-19 in Healthcare Workers from India: A Meta-Analysis. J Infect Public Health. 2021 Sep;14(9):1161-1163. doi: 10.1016/j.jiph.2021.08.001. Epub 2021 Aug 5. PMID : 34391171 ; PMCID : PMC8340552.




Triste anniversaire. N’oublions pas les soignants et pompiers suspendus

Par Gérard Delépine

Le 15 septembre 2021, est entrée en vigueur l’obligation vaccinale pour certaines professions, excluant de leur vocation des milliers de soignants, d’ambulanciers et de pompiers vaccinoprudents sans indemnité, ni droit au chômage et à toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Cette obligation pseudo vaccinale n’a jamais eu le moindre intérêt médical

Il n’y a aucun article démontrant que les professionnels concernés constitueraient des vecteurs de transmission significatifs. Durant l’année 2020 (sans pseudo vaccins) les analyses des cas de contaminations nosocomiales répertoriés1 2 3ont surtout mis en cause les contacts mal protégés de malades de covid avec les autres : conditions d’attente aux urgences, ventilations insuffisantes des salles d’hospitalisation, l’utilisation inappropriée de l’équipement de protection individuelle chez les patients à haut risque…

Il est démontré (et même reconnu par le ministère) que les pseudo vaccins sont incapables de limiter les transmissions et de protéger les contacts. Les données de l’OMS ont même largement confirmé que les contaminations avaient été accélérées après les campagnes de vaccinations aussi bien en France :

Que sur l’ensemble du globe :

Comment des pseudo vaccins incapables d’empêcher les transmissions auraient-il pu protéger les contacts des professionnels qui, sans vaccin, ne contaminaient pas ? Que l’Académie de Médecine et la Haute Autorité de Santé aient pu prétendre qu’il fallait prolonger cette obligation démontre simplement qu’elles ont abandonné toute indépendance et se comportent en agences de justification des décisions de E. Macron, même lorsqu’elles sont contraires aux données acquises de la science.

L’argument avancé par la HAS : « les données de sécurité et d’efficacité en vie réelle des vaccins contre la Covid-19 autorisés en France sont en faveur de la vaccination en contexte Omicron » est du plus haut ridicule lorsqu’on observe l’échec total des pseudo vaccins contre ce variant en France, tel qu’il apparaît dans les données officielles de l’OMS.

Cette obligation vaccinale n’est qu’un acte extrême de censure

Les soignants et les pompiers chassés de leur profession ne sont pas des anti-vaccins : ils avaient jusqu’alors accepté tous les vaccins qu’on leur avait proposés et imposés, et avaient vacciné largement autour d’eux. En 2020, ils ont défendu les valeurs du soin au point d’être considérés, un temps donné, comme nos héros.

Ce sont des vaccino prudents qui ont rapidement compris que les injections n’étaient pas des vaccins (ils ne contiennent aucun antigène extrait du sars-cov2 ni aucune anatoxine), qu’il s’agissait de médicaments expérimentaux (les essais phase 3 ne seront pas terminés avant 2023) issus d’une technologie jamais utilisée en pathologie infectieuse et que leur mise sur le marché beaucoup trop rapide (10 mois au lieu de 10 ans) avait négligé les règles habituelles des essais de sécurité.

De plus, les professionnels ostracisés avaient constaté la mauvaise tolérance des injections chez leurs collègues très tôt vaccinés, mauvaise tolérance qui avait conduit la HAS à recommander de ne pas vacciner en même temps tous les soignants d’un même service pour ne pas perturber le fonctionnent dudit service. Ils avaient aussi observé les nombreuses complications post vaccinales : thromboses, accidents vasculaires, péricardites chez leurs patients à leur cabinet ou dans leurs ambulances et/ou véhicules de secours.

Il ne fallait pas qu’ils puissent témoigner de leurs constatations !

Les conditions de cette exclusion créent un précédent d’une extrême brutalité, invraisemblable en démocratie

Et totalement disproportionnées. Même si le ministre estimait qu’il fallait exclure des soins ces professionnels vaccino prudents, les conditions qu’on leur a appliquées sont totalement disproportionnées : pourquoi les priver des allocations chômage et du RSA sinon pour prendre leur famille en otage ? Vaccinez-vous, ou bien vous et vos enfants serez SDF !

De telles mesures n’avaient jusqu’ici été utilisées que par les pires régimes dictatoriaux, qu’ils soient communistes (contre leurs opposants politiques) ou nazis (contre les juifs, opposants, tziganes, etc..).

En ne protestant pas et en laissant se créer un tel précédent contre notre contrat social, les syndicats français, au-delà de la honte de ne pas les avoir défendus, ont pris le risque que la mesure soit utilisée contre les travailleurs dans d’autres conflits au cours desquels E. Macron déciderait « d’emmerder » ses opposants.

Cette obligation a dramatiquement aggravé le manque de soignants et de pompiers

Le manque de soignants n’est pas nouveau. En 2018, la Drees avait en effet constaté dans un rapport que les recrutements ne compensaient pas les départs et que le recul de l’âge de départ à la retraite ne suffirait pas à compenser les cessations d’activité. 

L’obligation vaccinale a directement exclu de la profession au moins 15 000 professionnels expérimentés considérés comme héros lors de la première vague. Mais elle a de plus incité beaucoup de médecins à prendre leur retraite plus tôt que prévu et dissuadé de nombreux futurs soignants de s’engager dans une profession aussi maltraitée par le gouvernement.

Le manque de soignants n’a jamais atteint de tels sommets en France et peut provoquer l’effondrement du système de santé4. L’Organisation mondiale de la santé prévient : 

« le remplacement des médecins partis à la retraite et des autres soignants sera un défi majeur pour les gouvernements et les autorités sanitaires dans les prochaines années ».5

On constate aujourd’hui les conséquences de cette exclusion de soignants pour les malades. À l’AP-HP, 1 000 postes d’infirmiers vacants et 18 % de lits fermés dans les hôpitaux de Paris6. Plus de 100 services d’urgence ferment la nuit. Et les déserts médicaux se multiplient même dans les zones où l’on ne manque ni d’école ni de commerces ni de spectacles comme la banlieue parisienne proche.

Le président Macron vient récemment de prétendre que l’exclusion des soignants n’a pas changé grand-chose à la pénurie de soignants et qu’il n’y a donc pas de raison de les réintégrer. Mais l’enquête du sénat7 vient de prouver que : le ministère n’avait pas de données en temps réel » sur le nombre de soignants ! Comme d’habitude le président vit dans son monde virtuel et affirme ce qu’il veut être sa vérité alors que les Français souffrent dans le monde réel.

Si on veut retrouver des soignants, il faut réintégrer les vaccino prudents injustement exclus, ce qui renflouera le pool global et sera un signe de changement de comportement envers les professionnels en poste, limitant ainsi l’épidémie de démissions et de suicides.





La poliomyélite n’a pas été éradiquée par la vaccination, mais par le traitement des eaux !

Une propagande marchande intense prétend en permanence que la vaccination permet d’éradiquer toutes les maladies infectieuses et cite en exemple la poliomyélite1. Les médias instrumentalisent même un cas récent de poliomyélite survenu à New York pour appeler à la re vaccination et justifier l’état d’urgence décrété par le maire de New York.

Pourtant ce cas de poliomyélite est dû à la vaccination orale par un virus vivant qui a retrouvé sa virulence ! La méconnaissance des mécanismes de la propagation de la maladie par les médias s’affiche sans fard lorsqu’ils prétendent : « la vaccination est le seul moyen d’éradiquer cette maladie ».

Ce rappel de l’état de la science sur la transmission du virus et les limites de la vaccination anti-poliomyélite s’impose donc, particulièrement en cette période où l’éducation nationale prétendrait instruire les enfants sur « les vaccins ».

Mode de propagation de la poliomyélite

La poliomyélite est due à un entérovirus qui se multiplie dans les intestins des personnes infectées qui l’excrètent ensuite. La contamination des personnes saines se fait par voie féco orale : par la bouche en ingérant de l’eau ou des aliments contaminés par les selles d’un porteur du virus. Il n’y a pas de réservoir animal connu de ce virus.

Pour empêcher toute diffusion de la maladie, il suffit d’interrompre la chaîne de transmission. La protection individuelle consiste à ne boire que de l’eau potable. La protection d’une population repose sur la distribution généralisée d’eau potable et sur le traitement des eaux usées pour éliminer les virus avant de remettre l’eau en circulation. En cas d’impossibilité de recevoir de l’eau potable, il suffit de stériliser l’eau disponible en la faisant bouillir, comme l’énorme majorité des villages africains par exemple l’applique.

Prétendre que « la vaccination est le seul moyen d’éradiquer cette maladie » constitue donc une grossière contre-vérité témoignant d’une ignorance totale des données scientifiques ou du désir de tromper ses lecteurs pour faire vendre des vaccins (corruption marchande ?).

Les vaccins anti-poliomyélite et l’apparition de poliovirus circulants dérivés d’un vaccin

Dans les années 1950, la distribution d’eau potable n’était pas généralisée et la poliomyélite représentait une angoisse pour les familles. La mise sur le marché du vaccin poliomyélitique injectable (VPI) développé par Jonas Salk a été un soulagement général. Il est totalement sûr, mais son coût de production et la logistique associée à son utilisation en ont longtemps limité la diffusion à certains pays développés comme la France. Depuis que la qualité de l’eau de boisson est soigneusement contrôlée et l’assainissement des eaux usées assuré ce vaccin n’a plus aucune utilité pour les Français sauf pour ceux qui vont visiter les pays d’endémie, car même si un malade revient de ces pays il ne peut plus transmettre le virus.

Le vaccin poliomyélitique oral (VPO) a été développé par Albert Sabin, également dans les années 1950. Le VPO est d’un coût très abordable et facile à administrer, car il ne nécessite pas d’injection, il confère une bonne immunité générale et une immunité locale au niveau de l’intestin, réduisant par conséquent la transmission du poliovirus sauvage.

Mais comme il s’agit d’un virus vivant, il peut muter, induire la maladie chez certaines personnes vaccinées et établir des chaînes de transmission dans les pays où les conditions d’assainissement des eaux sont mauvaises. Ces variants baptisés « poliovirus circulants dérivés d’un vaccin » (PVDVc) ont été à l’origine d’épidémies de poliomyélite dans plusieurs pays tout particulièrement en Afrique où l’OMS venait à peine d’annoncer fièrement l’éradication de la poliomyélite qualifiant cet évènement d’« historique ».

Poliomyélite vaccinale

Selon des données de l’OMS, 1 271 cas de PVDVc ont été enregistrés dans le monde entre 2010 et 2015 avec une recrudescence actuelle : 96 cas de PVDVc en 2017, 104 en 2018 368 en 2019, 348 pour les 8 premiers mois de 2020.

Depuis 2018, il dépasse celui des poliovirus sauvages. La plupart des flambées de PVDVc ont été observées en Afrique, les autres se situant au Pakistan, aux Philippines, en Birmanie, en Ukraine, en Inde et au Laos. C’est pourquoi, en avril 2016, l’OMS2 a recommandé de remplacer le vaccin Sabin trivalent (types 1, 2 et 3) par le vaccin antipoliomyélitique oral à virus vivant atténué bivalent (types 1 et 3).

En Inde3, au moins 3 lots de vaccin oral contre la poliomyélite contenant 150 000 flacons ont été trouvés contaminés par le virus vaccinal polio de type 2.

Des pédiatres et statisticiens indiens ont mis en évidence une corrélation statistiquement très significative entre les campagnes de vaccination et la survenue de flambée de paralysie flasque non polio dans leur pays4 :

« Le programme d’éradication de la poliomyélite a réussi à réduire considérablement la propagation mondiale de cette maladie, ce qui a été réalisé grâce à l’utilisation de la vaccination par le VPO. Tout en louant cet énorme effort d’éradication, notre observation soutient l’hypothèse selon laquelle la fréquence d’administration de la poliomyélite pulsée5 est directement ou indirectement liée à l’incidence de la paralysie flasque non poliomyélitique »

Il et particulièrement choquant de voir les autorités de de New York, de Londres ou d’Israël instrumentaliser un cas de poliomyélite pour pousser à la vaccination alors que ce cas est la conséquence du vaccin oral administré dans un pays où la distribution d’eau potable et l’assainissement ne sont pas assurés.

Prétendre que le vaccin antipolio serait sans risque est donc contraire aux faits constatés.

Comment éradiquer la poliomyélite sans risque ?

Pour éradiquer la poliomyélite définitivement, il suffit de couper la chaîne de transmission du virus par l’eau contaminée. L’exemple en a été donné dans les pays riches où la consommation exclusive d’eau potable et l’assainissement des eaux usées a définitivement banni le risque d’épidémie de poliomyélite, succès abusivement attribué aux vaccins.

Dans les pays où la distribution d’eau potable est assurée, il n’y a plus de polio. Dans les pays sans eau potable, la polio persiste malgré les vaccins (Afghanistan et Pakistan).

Nous écrivions en 2018 : En France métropolitaine, en 2018, pour un enfant (…)6 on risque d’attraper la poliomyélite est nul, aussi puisque le virus a disparu de notre pays depuis plusieurs décennies, et qu’il ne peut se transmettre que par voie féco-orale, autrement dit par la contamination de la nourriture ou des boissons par les excréments d’un porteur de virus. La transmission de la maladie est donc impossible si on respecte les règles d’hygiène minimales (lavage des mains et des fruits et légumes) et qu’on utilise une eau potable. Ce n’est pas le vaccin qui a vaincu la poliomyélite en Occident, mais bien l’hygiène et les compagnies d’assainissement des eaux. D’ailleurs les rares cas de poliomyélite observés dans ces vingt dernières années en Europe sont dus au virus du vaccin lui-même qui a retrouvé sa virulence.7

Plutôt que consacrer des sommes considérables à la vaccination antipolio, l’OMS devrait s’efforcer d’assurer la distribution universelle d’eau potable et d’assainir les eaux usées. On obtiendrait ainsi l’éradication de la polio, mais en plus celle des autres maladies transmises par les eaux souillées : choléra, typhoïde, dysenterie, hépatite A…

L’eau potable est plus efficace que les vaccins contre les maladies à transmission oro fécale !





Lettre ouverte à Mr Michel Onfray, philosophe et polémiste

Par DR Gerard Delépine

Monsieur,

Ce fut un immense plaisir de vous entendre sur Cnews sur l’émission de Yvan Rioufol, le dimanche 4 septembre 2022, plaider avec détermination et éloquence pour la sortie de l’Europe de Maastricht. Ce fut un ravissement de vous entendre défendre une ligne politique souverainiste cohérente en cette période où tant de politiques se comportent en girouettes, mais toujours pro Maastricht, pour plaire aux électeurs d’après les sondages biaisés dont nous abreuvent les médias dominants.

Créer un mouvement d’union large pour le Frexit qui se présenterait aux élections européennes donnerait enfin de l’espoir à la majorité des classes populaires et devrait les motiver pour sortir de l’abstention où les a enfermés jusqu’à présent l’absence d’alternance politique crédible.

Mais pour être totalement crédible, il est nécessaire que vous constatiez et admettiez votre erreur lorsque vous avez réclamé une « obligation vaccinale » anti-covid comme Ursula von der Leyen le demandait. On peut comprendre que vous ayez « cru » en un médicament abusivement qualifié « vaccin » présenté comme « la solution » à la crise covid. Je ne conteste pas non plus votre droit à vous le faire injecter, mais votre célébrité utilisée dans cette manipulation mondiale nous a attristé, effondré.

Ce traitement est expérimental, car ses essais phase 3 ne sont pas terminés (ils le seront peut-être en 2023). Imposer une obligation pour un médicament expérimental est contraire au code de Nuremberg(([1] https://famous-trials.com/nuremberg/1903)), base de l’éthique médicale depuis 1946(([2] https://nouveau-monde.ca/les-decisions-du-proces-de-nuremberg-sont-dune-brulante-actualite/)), mais aussi à la déclaration d’Helsinki de l’Association Médicale Mondiale(([3] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/)), et à la convention d’Oviedo(([4] https://www.coe.int/en/web/bioethics/oviedo-convention)), texte juridique contraignant que la France a signé et transposé en droit national.

L’avis du conseil de l’Europe du 27 janvier 2021(([5] https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-004802_FR.html)) l’a rappelé en demandant instamment aux États membres et à l’Union européenne de :

« s’assurer que les citoyens sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ne souhaite pas le faire personnellement » et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

L’absence de consentement libre et éclairé pour un traitement expérimental a, en effet, été le principal motif de la condamnation des médecins nazis lors du procès de Nuremberg.

Je suis médecin, j’ai exercé en France près de 50 ans. De principe je ne suis ni pro ni anti-vaccin. J’ai toujours défendu les vaccins efficaces sans danger qui permettent d’éviter les maladies graves. Je suis contre les vaccins inutiles et contre les vaccins insuffisamment étudiés comme celui contre la dengue (qui a causé des centaines de morts aux Philippines), comme le vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer invasif du col) et, pour l’instant, contre les pseudos vaccins Covid dont l’efficacité prétendue est contredite par les données officielles de l’OMS.

Les données officielles de l’OMS confirment en effet que loin d’éradiquer la maladie les campagnes de vaccination ont été suivies d’une accélération des contaminations (rythme mensuel de nouveaux cas par million multiplié par 3).

Cet échec des pseudo vaccins n’est pas dû aux non-vaccinés comme tente de le faire croire la propagande dominante, car les données officielles de l’OMS montrent que ce sont les pays très vaccinés qui souffrent de cette explosion de contaminations.

L’inefficacité totale des pseudo vaccins à prévenir les transmissions, maintenant prouvée, enlève toute justification à une éventuelle obligation vaccinale. De même les vaccins ne sont pas efficaces contre les formes graves, car les mortalités n’ont pas diminué depuis les vaccins.

Toutes les données présentées, officielles et publiées par l’OMS, démentent formellement la propagande officielle de la prétendue utilité des injections anti-covid. L’acceptation apparente des injections par la population a été extorquée par des mensonges permanents sur la nature et l’efficacité des pseudovaccins et des chantages répétés d’une violence extrême excluant des catégories de professionnels de leur sacerdoce et les discriminations exercées contre les vaccino prudents :

car la sécurité alléguée des vaccins n’a pas été confirmée, bien au contraire. De nombreux médecins le craignaient d’emblée, car leur élaboration a utilisé des techniques nouvelles jamais employées en infectiologie, a souvent sauté les étapes de sécurité :

pas d’études animales sérieuses, essai mélangeant phase 2 et 3, trop peu de sujets dans les essais, études sur des sujets en bonne santé de 18 à 55 ans qui ne constitue pas la population pour laquelle le vaccin pouvait être utile), recul de suivi ridicule (quelques semaines) et leur mise sur le marché trop rapide.

De même leurs indications, qui pouvaient se discuter pour les personnes à risques (pour lesquels existaient d’emblée des traitements précoces efficaces) n’auraient jamais dû concerner la majorité de la population (les moins de 65 ans) qui ne risquait presque rien et les enfants qui ne risquaient rien du tout. De ce point de vue, les chiffres actuels des organes officiels de surveillance des accidents vaccinaux (VAERS aux USA et Eudravigilance en Europe) sont angoissants et confirment qu’on aurait dû appliquer le principe de précaution tant que les essais n’étaient pas terminés.

Compte tenu de ces données, il paraîtrait utile que vous reveniez sur votre position passée sur l’obligation pseudo vaccinale (que d’ailleurs aucun pays démocratique n’a imposée). Étant donné la propagande actuelle pour un xième booster, et surtout pour l’injection des jeunes selon les préconisations de la Commission européenne que le gouvernement français suit rigoureusement, et par ailleurs votre célébrité, vous pourriez aider à protéger singulièrement les enfants et les jeunes.

Il est toujours difficile de reconnaître ses erreurs passées, mais une telle attitude grandit ceux qui en sont capables. La Première ministre norvégienne, Erna Solberg, a reconnu à la télévision que le confinement était inutile et qu’elle l’avait décrété par peur ; elle a été félicitée pour cela par ses compatriotes. Merci de l’imiter !

Je regrette d’avoir été aussi long, mais l’énoncé des faits avérés est nécessaire tant les mensonges officiels sont permanents. Je reste à votre disposition pour vous fournir tout renseignement que vous pourriez désirer sur ce problème. En vous souhaitant beaucoup de succès dans vos projets.

Bien à vous.

DR Gerard Delépine, chirurgien orthopédiste cancérologue et statisticien





Fauci et le Quotidien du médecin font la publicité pour un vaccin contre la variole du singe sans efficacité démontrée

Par Dr Gérard Delépine

Dans un éditorial du « New England Journal of Medicine »(([1] H. Clifford Lane and Anthony S. Fauci Monkeypox—Past as Prologue
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMe2210535)) repris par « le quotidien du médecin »,(([2] Elsa Bellanger Variole du singe, une épidémie limitée aux HSH ? La « ressemblance frappante » avec le VIH exige la vaccination, avertit le Dr Fauci Le quotidien du médecin 25/08/2022)) le Dr Fauci, grand responsable de l’échec catastrophique de la stratégie covid US, reprend son rôle de représentant de commerce des fabricants de vaccins et n’hésite pas à proclamer à propos de la variole du singe : la « ressemblance frappante avec le VIH exige la vaccination ».

Comment peut-il comparer la variole du singe, maladie parfaitement bénigne, au Sida qui a tué plus de 32 millions de personnes dans le monde ?

Comment peut-il recommander un vaccin qui n’a pas prouvé qu’il était efficace contre la variole du singe ?

Comment peut-il invoquer le Sida pour exiger la vaccination alors que cette maladie représente le modèle d’échec de la vaccination ?

Comment peut-il oublier de rappeler aux personnes à risque que le meilleur traitement est la prévention par l’hygiène ?

Comparer la variole du singe au sida est inapproprié.

L’un tue, l’autre pas. À ce jour, le Sida a tué plus de 32 millions de personnes dans le monde. Au contraire en Occident la variole du singe est une maladie bénigne comparable aux fièvres éruptives bénignes de l’enfant. D’après le dernier rapport de l’OMS(([3] OMS Multi-country outbreak of monkeypox External Situation Report 4, published 24 August 2022
Data as received by WHO national authorities by 5 p.m. CEST, 22 August 2022.)), sur plus de 41 000 malades recensés en Europe et aux USA on ne comptait au 27/8/2022 que 4 décès (0,01 %) et ces décédés souffraient déjà de maladies potentiellement mortelles comme le Sida ou des problèmes cardiaques.

Aucun vaccin n’a prouvé son efficacité contre la variole du singe, humaine

D’après le centre de contrôle gouvernemental des maladies infectieuses américain (CDC) :

« aucune donnée n’est actuellement disponible sur l’efficacité clinique ou l’efficacité des vaccins JYNNEOS ou ACAM2000 dans l’épidémie actuelle. »

« Étant donné que nos connaissances sur l’efficacité de ces vaccins dans l’épidémie actuelle sont limitées, les personnes vaccinées doivent continuer à prendre des mesures pour se protéger contre l’infection en évitant tout contact étroit, peau à peau, y compris le contact intime, avec une personne qui a la variole du singe. »(([4] https://www.cdc.gov/poxvirus/monkeypox/considerations-for-monkeypox-vaccination.html))

De plus les vaccins de seconde génération ne sont pas dénués de risque :

« Risque documenté de myocardite après la réception des vaccins ACAM2000 et risque inconnu de myocardite après JYNNEOS. »(([5] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/recs/grade/JYNNEOS-orthopoxvirus-primary-pq1-2))

« La prévalence incertaine de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ou d’autres formes d’immunosuppression dans les zones d’endémie du monkeypox présente un risque de complications vaccinales graves, notamment l’eczéma vaccinatum(([6] Reed JL, Scott DE, Bray M. Eczema vaccinatum. Clin Infect Dis. 2012 Mar; 54(6):832-40

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22291103/)) et la vaccine évolutive. Ce dernier effet indésirable entraîne généralement la mort par la réplication incontrôlée du virus de la vaccine.(([7] Bray M, Wright ME. Progressive vaccinia. Clin Infect Dis. 2003 Mar 15; 36(6):766-74. doi: 10.1086/374244. Epub 2003 Feb 20. PMID : 12627361.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12627361/))

IMVAMUNE est un vaccin antivariolique de troisième génération qui a été testé chez des personnes infectées par le VIH et chez des personnes atteintes de dermatite atopique lors de six essais cliniques publiés qui ont démontré sa sécurité dans ces maladies. Contre le monkeypox, l’efficacité d’Imvamune a été démontrée sur des animaux, mais elle n’a jamais été l’objet d’essais randomisés chez l’homme. Imvamune reste donc expérimental, même si les agences ont autorisé sa mise sur le marché.

En France, l’objectif de l’expérimentation vaccinale, qui doit durer une quinzaine de jours, vise notamment à tester la logistique d’un vaccin anti-variole qui doit être maintenu à -80 °C puis, une fois décongelé, ne peut être conservé que pendant quinze jours dans les réfrigérateurs.(([8] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/variole-du-singe/vrai-ou-fake-la-campagne-de-vaccination-contre-la-variole-du-singe-est-elle-trop-lente-pour-controler-l-epidemie-comme-l-affirme-sandrine-rousseau_5305306.html))

Comment Fauci, Sandrine Rousseau et de si nombreuses associations(([9] https://www.leparisien.fr/societe/sante/variole-du-singe-dans-une-tribune-elus-et-associations-reclament-une-commission-denquete-02-08-2022-NLP3WGMYSFDXBJSVYEVULEIVHE.php)) peuvent-ils affirmer que la vaccination permettrait de juguler l’épidémie alors qu’il n’est pas démontré qu’elle soit efficace ?

Comment peut-on invoquer l’exemple du Sida pour exiger la vaccination contre la variole du singe ?

Le Sida constitue un exemple flagrant d’échec total de la vaccination malgré plus de 25 ans de recherches et les millions de dollars qui lui ont été consacrés.

L’annonce récente de Moderna sur l’arrivée prochaine d’un vaccin efficace(([10] https://www.journaldugeek.com/2022/01/31/premier-essai-clinique-pour-un-tres-prometteur-vaccin-contre-le-vih/))(([11] https://www.bfmtv.com/economie/moderna-debute-les-essais-cliniques-de-son-vaccin-arnm-contre-le-vih_AV-202108180136.html)) ressemble beaucoup à celle de Biosantech du 28 octobre 2015(([12] https://www.usinenouvelle.com/article/la-fable-de-biosantech-son-vaccin-miracle-contre-le-sida-et-la-communaute-scientifique.N359960)), affirmant que son vaccin thérapeutique “élimine le sida de l’organisme” à l’issue de tests menés sur 48 personnes, sans aucune confirmation de résultat depuis cette date.

“Que l’on arrête d’avoir des annonces de vaccins miracles à répétition. C’est très déstabilisant pour les personnes touchées”, implore AIDES.(([13] https://www.aides.org/))

Prendre l’exemple du Sida pour “exiger la vaccination” contre la variole du singe est donc particulièrement inadéquat !

Si on veut protéger les personnes à risque, il faut leur répéter que la meilleure prévention est l’hygiène et en rappeler les modalités

En France 99 % des plus de 2600 malades de la variole du singe sont des homos ou bisexuels masculins comme aux USA et dans le reste du monde occidental.

La Haute Autorité de Santé énumère d’ailleurs ainsi les groupes à risque(([14] https://has-sante.fr/jcms/p_3351443/fr/monkeypox-une-vaccination-preventive-proposee-aux-personnes-les-plus-a-risque-d-exposition)):

les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les personnes trans qui sont multipartenaires, les personnes en situation de prostitution, les professionnels exerçant dans les lieux de consommation sexuelle”.

Mais pour éviter toute stigmatisation de ces communautés, les médias ne communiquent pas sur ces caractéristiques actuelles de l’épidémie. Pourtant pour éviter une panique injustifiée, il serait utile de préciser :

si vous n’appartenez pas à ces groupes à risque et si vous n’avez pas de contact avec eux, vous n’avez actuellement aucun risque d’attraper la variole du singe.”

La variole du singe, généralement bénigne, guérit le plus souvent spontanément en 2 à 3 semaines, mais au prix parfois de douleurs intenses qui peuvent même justifier l’hospitalisation. Quand on appartient à un groupe à risque, il vaut donc mieux éviter d’attraper la maladie et pour cela connaître les modes de transmission et respecter des règles d’hygiène simples.

Le contact peau à peau direct et les contacts sexuels sont les vecteurs essentiels de transmission de la maladie, mais la contamination par les draps ou vêtements infectés, quoique rare, est possible.

L’OMS par la voie du Dr Tedros(([15] https://www.bfmtv.com/sante/variole-du-singe-l-oms-conseille-aux-groupes-a-risque-de-reduire-le-nombre-de-partenaires-sexuels_AD-202207270559.html)) a clairement conseillé aux hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes — de réduire le nombre de partenaires sexuels et échanger des informations avec tout nouveau partenaire pour être en mesure de les contacter » en cas d’apparition de symptômes, pour qu’ils puissent s’isoler.

Les autorités sanitaires de San Francisco recommandent « d’éviter les contacts cutanés ou de partager son lit avec un étranger tant que l’épidémie dure ».

Celles de New York(([16] https://www.health.ny.gov/diseases/communicable/zoonoses/monkeypox/)) de :

« Demandez à vos partenaires sexuels s’ils ont une éruption cutanée ou d’autres symptômes compatibles avec le monkeypox. Évitez tout contact peau à peau avec une personne qui présente une éruption cutanée ou d’autres symptômes liés à la variole du singe ».

Grâce aux associations des groupes à risques, ces mesures de précautions sont de mieux en mieux suivies et expliquent la chute récente des nouvelles contaminations observée en juillet par santé publique France(([17] https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2022/cas-de-variole-du-singe-point-de-situation-au-23-aout-2022)) et celles recensées en Europe par l’OMS.(([18] https://www.who.int/publications/m/item/multi-country-outbreak-of-monkeypox–external-situation-report–4—24-august-2022))

Les précautions d’hygiène sont sans risque, elles ne coûtent rien et font la preuve de leur efficacité.

Contre la variole du singe plutôt que de nous faire injecter des vaccins expérimentaux, pratiquez le « Safe sex ».





La guerre Ukraine-Russie n’est pas la nôtre. Refusons les sacrifices imposés en son nom !

Par le Dr Gérard Delépine

L’Ukraine ne fait pas partie de l’organisation européenne ni de l’OTAN et dans l’Histoire n’a jamais été notre alliée. Elle n’est pas le modèle de démocratie, de liberté, ni de transparence que les médias tentent de nous faire croire. En tant qu’état le conflit Russie Ukraine ne nous concerne pas même si notre compassion pour les peuples russe et ukrainien nous invite à tout faire pour que les combats cessent le plus vite possible.

Nous aurions dû tout faire pour l’éviter et nous devrions tout faire pour qu’elle s’arrête le plus vite possible. Mais l’action de nos dirigeants loin de favoriser la paix prolonge inutilement cette guerre et conduit les Français vers des privations considérables totalement injustifiées.

Rappel des faits historiques

L’Ukraine est un pays tout neuf (33 ans). Si son peuple est ancien son territoire a été presque constamment morcelé, partagé par ses voisins plus puissants : Russie, Pologne, Lituanie ou Empire d’Autriche.

L’indépendance formelle, octroyée par la Russie en 1991 a été ratifiée par un référendum populaire. L’Ukraine est ainsi devenue un État composé de différentes ethnies parlant des langues différentes aux frontières incertaines à l’exemple de la Crimée qui lui a été donnée par un décret de Khrouchtchev(([1] Nikita Sergueïevitch Khrouchtchev, né le 3 avril 1894 à Kalinovka, Empire russe, et mort le 11 septembre 1971 à Moscouhomme d’État soviétique dirigea l’URSS durant une partie de la guerre froide. Il fut premier secrétaire du Parti communiste de l’Union soviétique de 1953 à 1964 et président du conseil des ministres de 1958 à 1964)) niant son histoire (conquête sur l’Empire ottoman par la Russie) et la composition de sa population majoritairement russe. Depuis l’indépendance, le gouvernement de Kiev a tenté d’homogénéiser sa population et de gommer les héritages de son histoire en limitant l’enseignement des langues et les coutumes des minorités suscitant de nombreuses révoltes. La guerre Russie Ukraine n’est que l’internationalisation du conflit entre les minorités russophones de l’est et le pouvoir central de Kiev, parce que les accords de Minsk n’ont pas été appliqués.

Les accords de Minsk, seule alternative à la guerre

Les Accords de Minsk sont la seule voie crédible pour un règlement pacifique de la guerre dans le Donbass. L’accord du 5 septembre 2014 signé à Minsk par la Russie, l’Ukraine, les Républiques populaires autoproclamées de Donetsk « RPD » et de Luhansk « “RPL”, réunies sous les auspices du “Groupe de contact trilatéral sur l’Ukraine” et l’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) a permis de diminuer l’intensité des combats pendant quelques mois, jusqu’à ce que les hostilités reprennent en décembre 2014. Le 11 février 2015, un second Accord de Minsk (Minsk II) a été signé par le Groupe de contact trilatéral et, à nouveau, par les représentants de la “RPD” et de la “RPL” après un sommet des chefs d’État ukrainien, russe, français et allemand.

Le Règlement politique du conflit des accords de Minsk prévoyait :

la décentralisation du pouvoir en Ukraine par un amendement à sa Constitution

l’adoption par l’Ukraine d’une loi relative au statut spécial des ORDLO(([2] Emprunté à l’ukrainien ОРДЛО́ (ORDLÓ), acronyme de окре́мі райо́ни Доне́цької та Луга́нської областе́й (okrémi rajóny Donécʹkoji ta Luhánsʹkoji oblastéj, « districts séparés des régions de Donetsk et Lougansk »).)) accordant l’autodétermination linguistique, le droit, pour les autorités locales des ORDLO, de nommer procureurs et juges, de constituer des “unités de police du peuple”, d’avoir une “coopération transfrontières avec des districts de la Fédération de Russie”, tout cela s’accompagnantd’un soutien social et économique de l’État ukrainien. Rétablissement des liens socio-économiques avec l’Ukraine, notamment en matière de fiscalité et de système bancaire.

L’organisation d’élections locales dans ces régions aux termes de la nouvelle loi 

l’octroi par l’Ukraine d’une amnistie aux participants au conflit.

L’Ukraine n’a pas appliqué la partie politique de l’accord, et a tenté de reprendre par les armes le contrôle des provinces sécessionnistes entraînant l’intensification des combats, puis l’entrée en guerre de la Russie.

Nous pouvions tenter d’éviter la poursuite de cette guerre et nous le devions !

La France, l’Allemagne et l’OSCE qui ont supervisé les négociations en étaient les garants, mais elles n’ont pas fait pression sur l’Ukraine pour qu’elle applique rapidement les accords, tandis que les USA la poussaient à l’intransigeance conduisant inéluctablement à la poursuite de la guerre.

A l’époque du conflit entre la Géorgie et la Russie (pour des raisons quasi identiques de minorités russophones d’Ossétie du Sud et d’Abkhazie demandant leur autonomie) le président Sarkozy s’était déplacé comme arbitre et avait obtenu le cessez-le-feu arrêtant ainsi l’effusion de sang.

Malheureusement le président Macron n’a pas voulu suivre l’exemple de son prédécesseur et, poussé par les USA, a abandonné son rôle de garant des accords de Minsk et installé la France dans un rôle de cobelligérant en fournissant du matériel militaire offensif (missiles et canons) à l’Ukraine.

Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, élément essentiel de la charte de l’ONU

Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes est aujourd’hui considéré comme l’un des droits les plus fondamentaux dans l’ordre juridique international.

La charte des Nations Unies l’exprime ainsi dans le chapitre 1, article 1 alinéa 2 :

Les buts des Nations Unies sont les suivants :

Maintenir la paix et la sécurité internationales et à cette fin : prendre des mesures collectives efficaces en vue de prévenir et d’écarter les menaces à la paix et de réprimer tout acte d’agression ou autre rupture de la paix, et réaliser, par des moyens pacifiques, conformément aux principes de la justice et du droit international, l’ajustement ou le règlement de différends ou de situations, de caractère international, susceptibles de mener à une rupture de la paix.

Développer entre les nations des relations amicales fondées sur le respect du principe de l’égalité de droits des peuples et de leur droit à disposer d’eux-mêmes, et prendre toutes autres mesures propres à consolider la paix du monde.

Ce droit des peuples a constitué le moteur des décolonisations, mais ne se limite pas à celles-ci. L’intégrité territoriale d’un État repose sur le désir des gens de vivre dans ce même État. C’est en application de ce principe que le Kosovo a été séparé de la Serbie alors qu’il constituait pour la majorité des Serbes le cœur historique de leur nation. La résistance opiniâtre qu’opposent les populations russophones du Donbass à la violence militaire que déploie l’Ukraine montre clairement que leur volonté n’est pas de vivre sous le joug du gouvernement de Kiev.

En armant l’Ukraine, nous prolongeons la guerre et les souffrances des Ukrainiens

Il n’y a que les propagandistes de l’OTAN pour faire croire qu’un tout jeune pays de 44 millions d’habitants sans industrie lourde puisse vaincre militairement un pays très industrialisé de 146 millions d’habitants qui ont démontré leur patriotisme contre Napoléon et Hitler. Ce mythe de la victoire possible grâce aux nouvelles armes (ce que prétendait déjà Hitler en 1944) que fournit l’Occident prolonge inutilement les hostilités et les souffrances du peuple ukrainien.

Mais ce conflit permet aux USA d’élargir l’OTAN, d’affaiblir durablement l’économie européenne, et de vendre son pétrole et son gaz de schiste.

Les sanctions enrichissent la Russie en augmentant le prix de l’énergie et du blé

La présidence de l’Europe et notre gouvernement ont prétendu que les sanctions économiques allaient faire chuter le rouble, ruiner l’économie de la Russie et l’isoler.

Mais depuis la mise en route des sanctions, c’est l’€ qui s’est affaibli tandis que le rouble s’est franchement réévalué. Il s’approche actuellement d’un taux de change à 50 roubles pour un dollar, pour la première fois depuis mai 2015 et a atteint un niveau historique face à l’euro avec 53 roubles pour 1 euro.

De même, la balance russe des paiements au lieu de chuter a progressé avec des excédents avoisinant chaque mois les 20-25 milliards de dollars, alors qu’en France le déficit mensuel s’accroît lentement mais sûrement (actuellement déficit mensuel autour de 13 milliards).

Les sanctions responsables de la Bérézina des entreprises françaises installées en Russie(([3] https://fr.rbth.com/economie/81954-entreprises-francaises-russie-classement))

À l’issue de 2021, la France et la Russie avaient affiché un volume d’échanges économiques supérieur à ce qu’il était avant l’introduction des sanctions en 2014. Parmi ses concurrents européens la France, premier employeur étranger en Russie se distinguait comme étant la seule de ces nations à enregistrer, une balance commerciale excédentaire avec la Russie.(([4] https://fr.rbth.com/economie/87787-echances-economiques-russie-france-balance-commerciale-2021-niveau-avant-sanctions))

Les principales entreprises actives en Russie étaient : Auchan (356,1 milliards de roubles de recettes), Leroy Merlin (226,7 milliards de roubles), Renault (126,2 mds de roubles), Danone (116 mds de roubles), L’Oréal (50,3 mds de roubles) Sanofi (48,6 milliards de roubles) et Schneider Electric (46,5 milliards de roubles).

Le retrait de Russie décidé par la Commission européenne (non élue et sans vote du Parlement français) entraîne pour toutes ces entreprises la perte sèche de leurs investissements. Ainsi Renault a reçu 1 rouble pour la vente de ses 2,2 milliards euros d’actifs. La perte des investissements, des activités en Russie et des bénéfices futurs aggrave le déficit de notre balance commerciale.

Les sanctions prétextes au rationnement des Français

Depuis l’annonce de ces sanctions, le prix des carburants à la pompe explose alors que le prix du pétrole brut baisse depuis juin 2022 (117 euros le 13 juin contre 95 euros le 16 août)(([5] https://cours-du-petrole.fr/)). Le prix des denrées alimentaires augmente considérablement. En France en un an(([6] https://www.oxfamfrance.org/communiques-de-presse/alors-que-le-prix-des-denrees-alimentaires-explose-un-nouveau-milliardaire-emerge-toutes-les-30-heures/)), le prix du pain a augmenté de 3,8 %, la farine et autres céréales ont augmenté de 9,7 %, les pâtes de 12,3 % et les huiles alimentaires (hors huile d’olive) de 15 %, et notre président nous prépare à l’austérité accrue avec « la fin de l’abondance, la fin de l’insouciance » en déclarant : « notre régime de liberté a un coût, qui peut exiger des sacrifices. ».

Or les sacrifices qu’il veut nous imposer ne servent en rien notre liberté. Ils témoignent au contraire de notre asservissement aux USA qui fait la guerre à la Russie au travers de l’Ukraine et des Européens. Une politique française libre imiterait celle de la Hongrie associant neutralité et appel à la résolution du conflit par l’application immédiate des accords de Minsk.

Cet hiver, je ne veux pas grelotter et devoir rationner mon alimentation inutilement

Les sanctions économiques sanctionnent avant tout l’Europe, sans aider le moins du monde l’Ukraine. Elles enrichissent la Russie. Elles enrichissent les USA par leurs ventes de gaz de schiste qui réduisent à néant nos timides efforts pour le climat. Elles font reculer la compétitivité de nos industries et de nos services par l’augmentation folle du prix des énergies.

Elles n’ont aucun intérêt pour résoudre le conflit militaire en cours et doivent être abolies sans délai pour ne pas davantage détruire notre économie et aggraver nos conditions de vie quotidienne.

Je ne veux pas grelotter cet hiver ni rationner mon alimentation parce que des technocrates européens non élus ont décidé ces sanctions folles.

La guerre Ukraine-Russie n’est pas la nôtre ! Exigeons de redevenir neutres et d’œuvrer pour la paix par la négociation.

Refusons les sacrifices supplémentaires injustifiés qu’on veut nous imposer !

Guerre Ukraine : Booba dénonce un « lavage de cerveau mondial »

En France, un chanteur de rap a plus de conscience politique qu’un artiste de la Comédie-Française…

Il est assez catastrophique de constater qu’en France malgré une élite artistique foisonnante et très arrogante, multi primée et reconnue mondialement, n’est pas capable d’avoir l’analyse géopolitique et encore moins le courage de tenir les propos d’un chanteur de rap comme Booba. Que dire de cette ribambelle d’écrivains parisiens qui passent leurs temps sur les plateaux télé à faire les intellectuels torturés ! Pour dire la vérité, même dans ce milieu du rap ils sont très peu nombreux à avoir le courage de dire ce qu’ils pensent.

« Je refuse de faire partie de cette mascarade », a déclaré Booba sur YouTube.

« On te fait prendre parti pour une cause qui n’est pas la tienne. Personne ne savait où était l’Ukraine, que le président c’était un Youtubeur. Personne se souciait de l’Ukraine et tout d’un coup c’est « notre guerre ». J’appelle ça du lavage de cerveau mondial, international. On n’a jamais été menacé par la Russie : pourquoi est-on en guerre contre la Russie ? »

« Si je suis sponsorisé par Puma et que demain Puma devient l’ennemi de Vladimir Poutine : où est le rapport avec le sport ? […] Qu’est-ce qu’on s’en bat les co… ? Je porte Puma, moi, [mais] je vais pas en guerre contre Poutine », a-t-il encore analysé.

Le rappeur avait décidé en mars de rompre son contrat avec Puma après l’annonce de l’entreprise allemande de fermer ses magasins en Russie.

« Ah frérot, c’est tellement complexe… », conclut Booba.





Le climat, le covid et l’Ukraine : les piliers de la drôle de guerre de Macron

Le climat, le covid(([1] L’ONU a recruté plus de 100 000 « agents numériques de première intervention » pour promouvoir le récit de la théorie du COVID. — Resistance (resistance-mondiale.com) )) et l’Ukraine : les piliers de la drôle de guerre de E. Macron

Le climat de la Terre a varié depuis que la planète existe, avec des périodes naturelles froides et chaudes.

Par Nicole et Gérard Delépine

1200 scientifiques et universitaires de renom signent la Déclaration mondiale sur le climat et affirment « qu’il n’y a pas d’urgence climatique » – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)

Le Pr Ivar Giaver(([2] lauréat du prix Nobel de physique (1973) )) Norway dirige un groupe de 1 200 scientifiques et universitaires de renom qui a signé la Déclaration mondiale sur le climat (WCD).(([3] WCD-version-06272215121.pdf (clintel.org) ))

Rédigée et discutée par Climate Intelligence, une organisation créée en 2019 par le professeur de géophysique Guus Berkhout et le journaliste scientifique Marcel Crok.

Le principal message mentionné dans ce document est le suivant : « il n’y a pas d’urgence climatique ».

[Voir aussi :
Contre toute logique scientifique, pourquoi le CO2 est-il devenu l’ennemi public numéro 1 ?,
Nous notons depuis une vingtaine d’années une augmentation des phénomènes climatiques. Info ou intox ?
et les articles du dossier Climat.]

Pseudo science du climat basée sur « des croyances personnelles et des agendas politiques » et non sur des faits scientifiques.

Déclaration du 27 juin 2022 : les signataires ont lancé un avertissement aux dirigeants du monde.

L’un des auteurs de la déclaration, le physicien de l’atmosphère Richard Lindzen, a même qualifié les prédictions actuelles sur le réchauffement climatique « d’absurdes » sur le site britannique The Daily Sceptic.

La science du climat « devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques. »

Coût exorbitant de mesures sans fondement scientifique

« Les politiciens doivent en revanche penser aux coûts générés par l’application de leurs mesures politiques.

La semaine dernière par exemple, le président américain Joe Biden a signé une loi adoptée par le Congrès nommée Inflation Reduction Act. Elle implique notamment de soutenir le développement des énergies vertes en vue de réduire les émissions de CO2 de 40 % d’ici 2030. Ce projet de loi va coûter 368 milliards de dollars aux contribuables ».

« En 2009, Biden lui-même a annoncé une garantie de prêt de 535 millions de dollars pour l’entreprise de panneaux solaires Solyndra, ainsi qu’un financement de 700 millions de dollars en capital-risque. Les équipements produits devraient alimenter plus d’un demi-million de foyers en électricité. Malheureusement, l’entreprise a déposé le bilan deux ans plus tard. »

La compréhension du changement climatique imposée par les médias au service des milliardaires qui en profitent est erronée.

Le climat de la Terre varie, avec des périodes froides et chaudes, depuis que la planète existe

« Il n’est “pas surprenant que nous connaissions une période de réchauffement”. »

Selon les signataires, le réchauffement climatique n’intensifie pas les sécheresses, les catastrophes naturelles.

Il n’existe aucune preuve statistique « que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et les catastrophes naturelles de ce type, ou les rende plus fréquents… Il n’y a pas d’urgence climatique. »

« Le dioxyde de carbone n’est pas un polluant ».

Au contraire, c’est un gaz bénéfique pour la nature et l’agriculture. Le dioxyde de carbone est un élément « essentiel à toute vie sur terre », il nourrit les plantes.

Le CO2 n’est pas un polluant », dit-il. « Il est essentiel à toute vie sur Terre. La photosynthèse est une bénédiction. Plus de CO2 est bénéfique pour la nature, verdissant la Terre ; le CO2 supplémentaire dans l’air a favorisé la croissance de la biomasse végétale mondiale. C’est aussi bon pour l’agriculture, augmentant le rendement net des cultures dans le monde entier. »

En conséquence les mesures politiques visant à diminuer le taux de CO2 sont injustifiées et toxiques pour la planète défigurée par les éoliennes encore prévues près de Fécamp, pour tous les Français auxquels on interdira de se chauffer cet hiver, sous prétexte de réduction de la consommation vertueuse et de guerre absurde contre la Russie et évidemment pour la finance des gueux du monde occidental enfermés dans le joug de Davos.

LA DICTATURE DU RÉCHAUFFEMENT DOIT FAIRE PEUR AU PEUPLE ET LE RENDRE OBÉISSANT COMME LES MESURES ANTICOVID

Alors pourquoi tout ce cinéma et surtout l’absence de débat contradictoire et la diffamation et dénonciation calomnieuse des scientifiques qui ont le malheur de penser autrement et pire encore, de le dire ?

LES OPINIONS FIDÈLES AUX ORDRES DU MAÎTRE DES HORLOGES REMPLACENT LES FAITS AVÉRÉS

Comme en médecine — et vous l’avez vu ou découvert depuis deux ans — la véritable science basée sur des faits et analyses a été remplacée par les « opinions » conformes à la politique décidée par le forum économique et social, devenu véritable gouvernement mondial via l’OMS.

« Discussion basée sur des croyances, et non sur une science autocritique solide. »

L’ampleur de l’opposition à la science climatique « établie » moderne est remarquable, étant donné à quel point il est difficile dans le milieu universitaire d’obtenir des subventions pour toute recherche sur le climat qui s’écarte de l’orthodoxie politique. (Une liste complète des signataires est disponible ici.)

Un autre auteur principal de la déclaration, le professeur Richard Lindzen, a qualifié le récit climatique actuel d’’absurde », mais a reconnu que des milliards de dollars et la propagande incessante des universitaires et de l’agenda dépendant des subventions — les journalistes motivés disent actuellement que ce n’est pas absurde.

Une colère particulière dans la WCD est réservée aux modèles climatiques. Croire au résultat d’un modèle climatique, c’est croire ce que les modélisateurs y ont mis. Les modèles climatiques sont désormais au cœur des discussions sur le climat d’aujourd’hui et les scientifiques y voient un problème. « Nous devons nous libérer de la croyance naïve en des modèles climatiques immatures », déclare la WCD. « À l’avenir, la recherche sur le climat devra accorder beaucoup plus d’importance à la science empirique. »

Depuis la sortie du « petit âge glaciaire » vers 1850, le monde s’est réchauffé nettement moins que prévu par le GIEC sur la base des influences humaines modélisées.

« Le fossé entre le monde réel et le monde modélisé nous indique que nous sommes loin de comprendre le changement climatique », note la WCD.(([4] 1 200 scientifiques et professionnels déclarent : « Il n’y a pas d’urgence climatique » — Resistance (resistance-mondiale.com)
Source : https://dailysceptic.org/2022/08/18/1200-scientists-and-professionals-declare-there-is-no-climate-emergency/))

En Italie, le découvreur de l’antimatière nucléaire, le professeur émérite Antonino Zichichi, a conduit 48 professeurs de sciences locaux à déclarer que « la responsabilité humaine dans le changement climatique est “exagérée de manière injustifiée” et que les prévisions catastrophiques ne sont pas réalistes. »

Selon eux, « les variations naturelles expliquent une part substantielle du réchauffement climatique observé depuis 1850. »

« Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas plausibles à distance en tant qu’outils de politique mondiale. Ils amplifient l’effet des gaz à effet de serre, comme le dioxyde de carbone, mais ignorent tout effet bénéfique. »

« Il n’y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres catastrophes naturelles, ou les rend plus fréquents. Il n’y a pas d’urgence climatique », poursuit la Déclaration. « Nous nous opposons fermement à la politique nocive et irréaliste de zéro CO2 proposée pour 2050. L’objectif de la politique mondiale devrait être “la prospérité pour tous” en fournissant une énergie fiable et abordable à tout moment. Dans une société prospère, les hommes et les femmes sont bien éduqués, les taux de natalité sont faibles et les gens se soucient de leur environnement ».

Le fantasme « établi » entourant la science du changement climatique s’effondre rapidement. L’année dernière, Steven Koonin, sous-secrétaire aux sciences de l’administration Obama, a publié un livre intitulé Unsettled dans lequel il notait que « la science est insuffisante pour faire des projections utiles sur la façon dont le climat va changer au cours des prochaines décennies, et encore moins quelles seront nos actions. »

PRENEZ LE TEMPS DE LIRE « APOCALYPSE NEVER »

En 2020, Michael Shellenberger a écrit un livre intitulé Apocalypse Never dans lequel il a dit qu’il croyait que la conversation sur le changement climatique et l’environnement avait au cours des dernières années« échappé à tout contrôle ». Une grande partie de ce qu’on dit aux gens sur l’environnement, y compris le climat, est fausse, a-t-il écrit.

Alors sortons du mythe du changement climatique lié à l’Homme (pour qui nous prenons-nous ?) cessons d’alimenter la peur qui tue par désespoir, suicides, comportements délirants, plus que les inondations, même si elles sont graves. Et cessons de bétonner, ce sera toujours un plus dans la lutte contre ces inondations par exemple.

N’acceptons plus de sacrifice pour soi-disant « vaincre le réchauffement climatique, le covid ou défendre l’Ukraine » dans une guerre qui n’est pas la nôtre.

Ne croyons plus les mensonges permanents qu’ils nous assènent. Nos vies, celles de nos enfants tout particulièrement aujourd’hui et demain sont plus importantes que leurs fausses simulations trompeuses d’un futur de propagande terrorisante.





Macron mise sur Brigitte Autran, une fidèle avocate de l’industrie vaccinale

[Voir aussi sur RL]

Par Dr Gérard Delépine

Après la dissolution du comité scientifique dont certains membres ont récemment exprimé quelques remords de leur action passée(([1] https://nouveau-monde.ca/le-bal-des-morts-de-trouille-ouvert-par-delfraissy/)), le président Macron élève Brigitte Autran, professeur d’immunologie à La Pitié-Salpêtrière, au rang de présidente du comité de l’évaluation des risques sanitaires liés aux virus, et des conséquences du réchauffement climatique sur la santé.

Allons-nous regretter Delfraissy ?

Brigitte Autran est intimement liée à l’industrie pharmaceutique et tout particulièrement à l’industrie vaccinale. Tomberons-nous de Charybde en Scylla ?(([2] Tomber de Charybde en Scylla : aller d’un danger à un danger encore plus grand, tomber de mal en pis, éviter un danger pour tomber dans un autre selon le récit de l’odyssée
https://www.laculturegenerale.com/tomber-de-charybde-en-scylla-definition-origine-signification-expression/))

Brigitte Autran est une représentante zélée de l’industrie vaccinale

Ses articles glorifient constamment les vaccins et recherchent les moyens de faire reculer « l’hésitation vaccinale »(([3] Dutilleul A, Morel J, Schilte C, Launay O ; les participants à la table ronde « Sujet d’actualité (1) » des Ateliers de Giens XXXIV. Comment améliorer l’acceptabilité vaccinale (évaluation, pharmacovigilance, communication, santé publique, obligation vaccinale, peurs et croyances). Thérapie. 2019 Feb;74(1):119-129.))(([4] Autran B, Combadière B, Launay O, Legrand R, Locht C, Tangy F, Verger P, Garçon N. Séance bi-académique de l’Académie nationale de médecine et de l’Académie des Sciences : « Confiance et défiance vis-à-vis des vaccins ». Bull Acad Natl Med. 2017 Jan-Mar;201(1):259-272.)) sans jamais citer le manque de transparence, ni les mensonges d’état, ni les liens d’intérêts entre décideurs et les firmes pharmaceutiques, ni les échecs et les complications de vastes campagnes antérieures de vaccination (comme après grippe).

Ses 405 publications référencées sur PubMed traitent essentiellement du Sida et aucune ne parle de la balance avantages/risques ou des complications des vaccins. Pourtant la catastrophe vaccinale du Dengvaxia aux Philippines(([5] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/analyse-d-une-catastrophe-217699)) ou l’échec des vaccins supposés prévenir le cancer (vaccin contre l’hépatite(([6] La vaccination contre l’hépatite a partout été suivie d’une augmentation importante de l’incidence du cancer du foie)) ou anti HPV(([7] Foi, propagande et tsunami de fake news publicitaires concernant vaccins anti HPV et cancer du col de l’utérus
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/foi-propagande-et-tsunami-de-fake-216501))(([8] https://www.mondialisation.ca/paradoxe-les-vaccins-anti-hpv-semblent-augmenter-le-risque-de-cancer-du-col-de-luterus-chez-les-vaccinees/5668394))(([9] Paradoxe: les vaccins anti HPV semblent augmenter le risque de cancer du col de l’utérus chez les vaccinées))) justifieraient des analyses poussées.

Ses liens avec le lobby vaccinal (selon le terme du Sénat) sont officiels, anciens,  étroits, structurels et permanents.

Elle a fondé et dirigé COREVAC (consortium de recherches vaccinales) dont les principaux partenaires sont le LEEM, (syndicat français des industries pharmaceutiques), l’INSERM (partenaire de la Fondation de B&M Gates), mais aussi l’EVI (European Vaccine Initiative) au sein de laquelle on retrouve l’Institut Pasteur, l’INSERM, GSK, la Commission Européenne, l’Agence Européenne des Médicaments, AstraZeneca, Abbott, Janssen, Novavax, l’OMS et, évidemment, Pfizer.

Elle a été rémunérée par la BANQUE PUBLIQUE D’INVESTISSEMENTS (BPI-FRANCE)  comme experte des vaccins SARS et par  JANSSEN France.(([10] https://lemediaen442.fr/corruption-le-comite-de-brigitte-autran-remplace-le-conseil-de-jean-francois-delfraissy))

On ne lui reproche pas sa religion provaccin effrénée qui reflète l’engagement de toute sa vie, mais pourra-t-elle vraiment évaluer objectivement la balance avantages/risques des vaccins, d’autant que son appartenance au Comité de stratégie vaccinale contre la COVID-19 ne lui permet pas d’avoir une position impartiale.

Comment pourrait-elle être en même temps juge et partie ?

Autran s’est déclarée satisfaite de la gestion catastrophique de la crise H1N1 

Lors de la grippe H1N1 présentée comme une « peste » par Roselyne Bachelot et les médias, B. Autran a participé activement au Comité de lutte contre la grippe (CLCG) et la pandémie 2009 qui a piloté l’action désastreuse du gouvernement.

La campagne H1N1 des autorités a été jugée « hyperactive et anxiogène » par le député socialiste et médecin Jean-Marie Le Guen, qualifiée d’« échec global » par la commission d’enquête parlementaire créée le 24 février 2010, « d’inutilement ruineuse » par le rapport d’enquête du Sénat(([11] https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/grippe-h1n1-quand-la-france-s-etait-trop-preparee-a-une-pandemie-183984)) qui a souligné « le poids des lobbys et l’acceptation par les décideurs politiques et administratifs de contrats commerciaux trop contraignants »(en faveur des labos.)

94 millions de doses de vaccins ont été commandées pour 7 millions de Français inutilement vaccinés. Au total, la politique anti H1N1 pilotée par le CLCG a coûté au moins 1,5 milliard d’euros, sans être d’aucune utilité sur l’épidémie et nous a transformé en risée de l’Europe.

Et heureusement que peu de compatriotes se sont vaccinés, sinon nous aurions déploré beaucoup plus de victimes de complications post vaccinales graves (dont les narcolepsies) et plus de 200 victimes attendent toujours d’être indemnisées(([12] https://www.liberation.fr/france/2020/11/24/effets-secondaires-du-vaccin-h1n1-les-indemnisations-trainent_1806453/)) près de 13 ans après leur drame. Complications d’autant moins acceptées que la « grippette » ne justifiait aucunement le risque de vaccins expérimentaux.

Grippette (terme employé par l’ancien ministre et urologue Bernard  Debré) a fait  au total 312 morts en France, soit vingt fois moins qu’une grippe ordinaire.

Autran n’a avoué que très timidement sa responsabilité(([13] Manuguerra JC, Mosnier A, Autran B, Fleury M, Veyssier P, Patey O, Weil-Olivier C, Beytout J, Bensoussan JL, Nicand E. Comité de lutte contre la grippe et la pandémie 2009 : retour d’expérience [Presse Med. 2012 Sep;41(9 Pt 1):783-92.)):

« Quels que soient les défauts de son expertise délivrée dans un contexte d’urgence, qui était un exercice difficile, la CLCG a rempli son rôle auprès des  autorités sanitaires ».

Comité responsable mais pas coupable, n’a pas eu l’ombre d’un regret d’avoir dessaisi les médecins de terrain de leurs fonctions, affolé inutilement la population et recommandé une vaccination inutile et dangereuse. Et aucune leçon n’a été  tirée de cet échec…

« Omicron résiste au vaccin. Vaccinez-vous quand même pour vous en protéger ! » 

La première déclaration publique  de B. Autran est très démonstrative de son crédo vaccinal sans modération :

« Encore trop de personnes non vaccinées ». Elle ne  mentionne que les enfants ne risquent quasiment rien du covid et ne le transmettent pas.(([14] « Les enfants sacrifiés du covid » N et G Delépine Ed Fauves 2022))

Comment peut-elle encore prôner la vaccination contre Omicron qui prédomine très largement en France, alors qu’elle a elle-même constaté et reconnu par écrit dans une célèbre revue à comité de lecture(([15] Alidjinou et al Immunogenicity of BNT162b2 vaccine booster against SARS-CoV-2 Delta and Omicron variants in nursing home residents: A prospective observational study in older adults aged from 68 to 98 years. Lancet Reg Health Eur. 2022 Jun;17:100385.
https://www.thelancet.com/journals/lanepe/article/PIIS2666-7762(22)00078-3/fulltext)) l’inefficacité des injections anti-covid à prévenir la contamination et la transmission d’Omicron.

Pourquoi Brigitte Autran ne tient-elle pas compte des données acquises de la science en prétendant que la politique zéro variole du singe est un objectif atteignable ?

Lors de son interview au Parisien elle affirme qu’« une stratégie zéro Monkeypox est possible, contrairement à celle du zéro Covid ».

Comment cette immunologiste peut-elle penser  qu’il est possible d’éradiquer une zoonose ( épidémie qui se transmet de l’animal à l’homme et vice versa) comme vient pourtant de nous le rappeler le Covid. La stratégie du zéro covid par confinements et pseudo vaccins s’est soldée par un échec dans tous les pays qui l’ont pratiquée.

Il n’y a guère plus que la Chine pour entretenir encore cette fiction délétère qui l’a conduite dans une impasse sanitaire et économique causant des malheurs profonds pour sa population.(([16] Xi Jinping face à l’échec de la stratégie « zéro Covid »
https://www.lemonde.fr/international/article/2022/04/27/xi-jinping-aux-prises-avec-le-covid-19-a-quelques-mois-du-congres-du-parti-communiste-chinois_6123824_3210.html))(([17] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/10/09/l-australie-et-la-nouvelle-zelande-actent-l-echec-du-zero-covid_6097738_3244.html))(([18] La politique zéro Covid de la Chine «n’est pas soutenable», selon le patron de l’OMS Le Figaro avec AFP
10/05/2022
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-politique-zero-covid-de-la-chine-n-est-pas-soutenable-selon-le-patron-de-l-oms-20220510))

Le seul virus que les vaccins ont aidé à éliminer est la variole, la vraie, dont il n’existait aucun réservoir animalier. Pour tous les autres virus, même ceux pour lesquels il existe de vrais vaccins efficaces, on a dû apprendre à « vivre avec ».

Pour la variole du singe, il existe de nombreux refuges animaliers connus : primates, mais aussi rongeurs (écureuils, rats de Gambie, rats de Hongrie, chiens de prairie), et encore les antilopes, les gazelles et même les chiens(([19] https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(22)01487-8/fulltext)). Pour obtenir une éradication du virus, il faudrait disposer d’un vaccin efficace à 100 % chez l’homme et faire disparaître toutes les espèces animales réservoirs. Mirage (cauchemar) inimaginable !

Autran sait tout cela vraisemblablement. Cette attitude pro « zéro variole du singe » traduit-elle une volonté de tenter à nouveau d’imposer des restrictions de liberté pour forcer la population à accepter un nouveau vaccin, sans même un seul essai sur la forme humaine de la variole du singe ?

Mr Delfraissy avait au moins  reconnu l’échec de la stratégie zéro covid(([20] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Published:February 18, 2021DOI:
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0))(([21] https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/mais-qu-est-ce-qu-on-a-fait-jean-fran%C3%A7ois-delfraissy-sans-filtre-sur-la-gestion-de-la-covid-19/ar-AA1086Uu)) et appelé dès février 2021 à « sortir de la politique de la peur » et de la coercition pour une approche plus respectueuse de la science et des droits des citoyen. La déclaration de B. Autran  est inquiétante à cet égard.

Brigitte Autran préférerait-elle  un vaccin expérimental aux précautions d’hygiène ? Pourquoi n’en parle-t-elle pas ?

Au 20 aout 2022 le respect des précautions d’hygiène constitue la meilleure prévention de la variole du singe pour les groupes à risques définis par la Haute autorité de Santé(([22] Monkeypox : une vaccination préventive proposée aux personnes les plus à risque d’exposition
COMMUNIQUÉ DE PRESSE — Mis en ligne le 08 juil. 2022
https://has-sante.fr/jcms/p_3351443/fr/monkeypox-une-vaccination-preventive-proposee-aux-personnes-les-plus-a-risque-d-exposition)) :

« Les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les personnes trans qui sont multipartenaires, les personnes en situation de prostitution, les professionnels exerçant dans les lieux de consommation sexuelle » qui rassemblent 99% des malades recensés actuellement en France.

Brigitte Autran imagine « l’instauration immédiate d’une task force d’expertise scientifique » en vue de mettre en place des « recommandations rapides, mais ne semble pas avoir rappelé aux personnes menacées les règles d’hygiène individuelles qui constituent la meilleure approche d’après Heymann, expert de l’OMS(([23] https://nypost.com/2022/05/23/who-expert-david-heymann-says-monkeypox-outbreak-came-from-sex-at-european-raves/)):

«  En faisant attention si les partenaires sexuels ont des lésions génitales. »

« Demandez à vos partenaires sexuels s’ils ont une éruption cutanée ou d’autres symptômes compatibles avec le monkeypox. » 

« Évitez tout contact peau à peau avec une personne qui présente une éruption cutanée ou d’autres symptômes liés à la variole du singe. »

« Éviter de partager son lit avec un étranger tant que l’épidémie dure. » 

«  Ne jamais toucher les pustules de votre partenaire ». 

Mais fidèle à ses croyances, B. Autran prône des vaccins qui n’ont pourtant pas été l’objet d’essais démontrant leur efficacité contre la variole du singe chez l’homme.

Aux États-Unis, le vaccin antivariolique de deuxième génération ACAM2000 a été autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) et acheté pour le Strategic National Stockpile (SNS) pour être utilisé lors d’une urgence impliquant la variole. La vaccination avec ACAM2000 est également recommandée pour certains personnels de laboratoire et de soins.

Mais ces vaccins de deuxième génération ne sont pas dénués de risque

Risque documenté de myocardite après la réception des vaccins ACAM2000… et du risque inconnu de myocardite après JYNNEOS(([24] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/recs/grade/JYNNEOS-orthopoxvirus-primary-pq1-2.html))

La prévalence incertaine de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ou d’autres formes d’immunosuppression dans les zones d’endémie du monkeypox présente un risque de complications vaccinales graves, notamment l’eczéma vaccinatum(([25] Reed JL, Scott DE, Bray M. Eczema vaccinatum. Clin Infect Dis. 2012 Mar; 54(6):832-40. doi: 10.1093/cid/cir952. Epub 2012 Jan 30. PMID : 22291103.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22291103))

La vaccine évolutive, cette dernière étant un effet indésirable événement au cours duquel la réplication incontrôlée du virus de la vaccine entraîne généralement la mort.(([26] Bray M, Wright ME. Progressive vaccinia. Clin Infect Dis. 2003 Mar 15; 36(6):766-74. doi: 10.1086/374244. Epub 2003 Feb 20. PMID : 12627361. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12627361/))

IMVAMUNE est un vaccin antivariolique de troisième génération qui a été testé chez des personnes infectées par le VIH et chez des personnes atteintes de dermatite atopique lors de six essais cliniques publiés qui ont démontré sa sécurité et l’immunogénicité dans ces maladies. Contre le monkeypox l’efficacité d’Imvamune a été démontrée par plusieurs études sur des animaux, mais n’a jamais été l’objet d’essais randomisés chez l’homme. Dans cette indication il reste donc expérimental, même si les agences en ont autorisé sa mise sur le marché et si elles le recommandent.

Injecter un vaccin qui n’a pas été testé constitue un essai thérapeutique non organisé, non surveillé de manière adéquate, sur une population mal informée dont le consentement est extorqué par une propagande terrorisante alors qu’en Occident la maladie est pratiquement toujours bénigne. Aucun mort en France sur plus de 2600 cas répertoriés.

Le respect strict des mesures d’hygiène rappelées précédemment reste clairement le rempart le moins risqué contre la contagion.

Autran serait-elle une nouvelle pythie des scénarios catastrophes ?

Depuis mars 2020, les décisions politiques ont été basées sur des simulations mathématiques biaisées, véritables scénarios de science-fiction catastrophe(([27] https://economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine))(([28] Le débat interdit  par A Bilheran et V. Pavan 2022 éditions Trédaniel)), pour justifier des politiques antidémocratiques et pour imposer la pseudo vaccination de toute la population, alors qu’au maximum seuls les plus de 65 ans auraient pu en bénéficier (si elle avait été efficace et sans dangers).

Depuis lors, toutes les études scientifiques qui ont analysé les faits constatés ont démontré que ces prophéties étaient totalement fausses et que les souffrances imposées inutilement aux peuples n’ont servi qu’à enrichir les plus riches(([29] La fortune des 10 plus riches a doublé avec le Covid, le reste du monde s’est appauvri
https://www.europe1.fr/international/la-fortune-des-10-plus-riches-a-double-avec-le-covid-le-reste-du-monde-sest-appauvri-4088274)) et à multiplier les milliardaires(([30] La crise sanitaire a fait bondir le nombre de milliardaires en 2020
https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/la-crise-sanitaire-a-fait-bondir-le-nombre-de-milliardaires-en-2020-1348163)) tandis que les classes moyennes s’appauvrissaient(([31] « La crise accélère le déclassement des classes moyennes »
https://www.lefigaro.fr/vox/societe/la-crise-accelere-le-declassement-des-classes-moyennes-20200428)) et que les plus précaires sombraient dans la famine.(([32] ONU Les effets de la COVID-19 aggravent la faim chez les plus vulnérables, alerte l’ONU
https://www.un.org/fr/coronavirus/articles/hunger-worsening-for-vulnerable-population))

Autran reprend les recettes de février 2020 en nous annonçant une nouvelle vague « elle prévient d’ores et déjà que la crise du Covid-19 n’est pas terminée : il faut s’attendre à un nouveau pic à la rentrée» et s’érige ainsi en nouvelle prophète du futur.

Mais qui peut encore croire aux prophéties médicales alors qu’elles se sont lourdement trompées tout au long de cette crise ?

Nous devons nous mobiliser dès maintenant et nous préparer à de nouveaux combats pour la défense de nos libertés, car la nomination de Brigitte Autran montre la volonté du président de poursuivre sa politique délétère pour continuer l’exercice autoritaire du pouvoir au service des milliardaires.





La fable criminelle de la « vaccination sans danger » des femmes enceintes

Par Dr Gérard Delépine

« Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es »

Depuis deux ans et huit mois, le gouvernement et les médias aux ordres nous mentent pour nous inciter à accepter des injections expérimentales abusivement qualifiées de vaccin alors qu’il s’agit de médicaments à ARN dont les essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023.

L’un des derniers mensonges en vogue concerne les femmes enceintes qu’on trompe en prétendant(([1] D’après Franceinfo !)):

« Une vaste étude canadienne… confirme que les vaccins à ARN messager contre le Covid-19 sont “sans danger” pendant la grossesse… L’étude a été menée sur 200 000 femmes enceintes canadiennes vaccinées ».

Ce pur mensonge estampillé AFP a été répété partout avec la complicité de France info, Médisite(([2] https://www.medisite.fr/coronavirus-covid-19-les-vaccins-a-arn-messager-sans-danger-pour-les-femmes-enceintes.5648211.806703.html)), La dépêche(([3] https://www.ladepeche.fr/2022/08/12/vaccination-covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-la-grossesse-dapres-une-etude-canadienne-10485217.php)), Elle(([4] https://www.ladepeche.fr/2022/08/12/vaccination-covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-la-grossesse-dapres-une-etude-canadienne-10485217.php)), 20 minutes Santé(([5] https://www.20minutes.fr/sante/3336759-20220812-covid-19-vaccins-arn-messager-danger-pendant-grossesse-selon-etude-canadienne)) le quotidien du pharmacien(([6] https://www.lequotidiendupharmacien.fr/medicament-parapharmacie/recherche/grossesse-et-vaccins-arnm-une-nouvelle-etude-confirme-labsence-de-risques)) et bien d’autres médias.

Existe-t-il dans ces rédactions des journalistes qui vérifient leurs sources et les données ? Sont-ils paresseux ou volontairement menteurs ? S’ils avaient fait leur travail de journaliste, ils auraient remarqué les faits suivants déjà dénoncés brillamment par Gibertie(([7] https://www.profession-gendarme.com/dangerosite-de-la-vaccination-pour-les-femmes-enceintes-les-journalistes-sont-de-gros-menteurs/comment-page-1/)).

L’étude(([8] Manish Sadarangani, et al for the Canadian Immunization Research Network Safety of COVID-19 vaccines in pregnancy: a Canadian National Vaccine Safety (CANVAS) network cohort study
https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(22)00426-1/fulltext)) ne porte que sur 5 625 femmes enceintes vaccinées !

Car la lecture de l’article qu’ils citent montre que l’effectif réel des vaccinées est près de 40 fois inférieur à ce qu’ils annoncent !

L’étude se limite à de simples contacts par e-mails et/ou téléphoniques !

Il ne s’agit en aucun cas d’un article médical. Aucun examen clinique ni biologique n’a été réalisé. Il est heureusement douteux que les gynécologues canadiens suivent leurs patientes et l’évolution de leur grossesse par ces seuls moyens !

L’étude ne porte que sur les 7 jours post injection !

C’est quand même très court pour affirmer que les grossesses qui durent 9 mois n’ont pas été altérées par les injections et que les futurs nouveau-nés n’en ont pas souffert.

En 7 jours de suivi, ils ont quand même réussi à avoir chez les vaccinées : 4 qui ont perdu la vue, 7 incapables de marcher, 91 infections respiratoires, 1 paralysie soudaine du visage, et de nombreuses fausses couches.

Il ne s’agit pas d’un essai prospectif randomisé.

Mais d’une analyse rétrospective de cohorte dont la fiabilité scientifique est faible et la valeur probante très faible d’autant que l’effectif du groupe témoin (non vacciné) n’est que 339, chiffre totalement insuffisant pour estimer les risques et les comparer à des groupes numériquement 10 fois plus importants.

Les auteurs sont très liés à l’industrie des vaccins.

Il suffit de consulter les liens d’intérêt détaillés à la fin de l’article :

MS a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, Symvivo et VBI Vaccines. 

OGV a été chercheur, co-chercheur ou panéliste expert sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer et Seqirus, en dehors du travail soumis.

JDK a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna et Pfizer

KAT a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline. 

JEI a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline et Sanofi-Pasteur. 

AJM a été chercheuse sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer, Sanofi-Pasteur et Seqirus, , et a reçu des honoraires pour sa participation à des conseils consultatifs d’Astra-Zeneca, GlaxoSmithKline, Medicago, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, et pour les présentations d’Astra-Zeneca et Moderna.

 GDS a été enquêteur sur un projet financé par Pfizer. 

L’étude a été financée par les organismes d’État qui vivent des campagnes vaccinales et en font la promotion constante.

Ce travail a été soutenu par le financement COVID-19 Vaccine Readiness des Instituts en santé du Canada et de l’Agence de la santé publique du Canada CANVAS (numéro de subvention CVV-450980) et par le financement de l’Agence de la santé publique du Canada, par le biais du Document de référence sur la surveillance des vaccins Group et le groupe de travail sur l’immunité COVID-19.

La publication par le Lancet d’un tel torchon rappelle le précédent Lancetgate(([9] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931))(([10] https://www.lefigaro.fr/demain/sante/hydroxychloroquine-3-des-auteurs-de-l-etude-du-lancet-se-retractent-20200604))(([11] https://tribune-diplomatique-internationale.com/la-corruption-de-la-science-le-scandale-de-letude-sur-lhydroxychloroquine-qui-etait-derriere-tout-cela-lintention-danthony-fauci-de-bloquer-lhcq-au-nom/))(([12] https://www.causeur.fr/the-lancet-revues-universitaires-177545/))

Jamais un tel article bidon n’aurait passé l’examen par un comité de lecture à l’époque où le Lancet était indépendant et que son impartialité faisait sa réputation. Le Docteur Richard Horton rédacteur en chef du Lancet a d’ailleurs prévenu ses lecteurs :

« Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d’études avec des échantillons réduits, flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. les grandes compagnies pharmaceutiques falsifient ou truquent les tests sur la santé, la sécurité et l’efficacité de leurs divers médicaments, en prenant des échantillons trop petits pour être statistiquement significatifs, ou bien, pour les essais, embauchent des laboratoires ou des scientifiques ayant des conflits d’intérêts flagrants, ils doivent plaire à la compagnie pharmaceutique pour obtenir d’autres subventions ».

L’agence France presse, et les médias qui ont diffusé sans modération ce mensonge se sont comportés non pas comme des organes d’information, mais comme des propagandistes sans état d’âme d’un pseudovaccin expérimental dont les premiers résultats avérés en population réelle sont très inquiétants.





INCENDIES : réintégrons en urgence nos pompiers suspendus

Par Nicole et Gérard Delépine

Les incendies se multiplient. Les 5000 pompiers français suspendus manquent tellement que nous acceptons des pompiers étrangers non vaccinés !

Le président Macron a élevé les pompiers (comme les soignants) au rang de « héros ». Mais en France il ne fait pas bon d’être un héros en période de folie covid. Les héros sont fatigués et sont exclus de leur activité s’ils ne se plient pas aux ukases du président, telle l’injection anticovid expérimentale.

Environ 5000 pompiers professionnels ont ainsi été exclus ou ont fui la profession et de nombreux sapeurs-pompiers volontaires en formation se sont dirigés vers d’autres professions.

Et ces pompiers manquent cruellement sur le front des incendies, comme les soignants eux aussi soumis à l’obligation d’injection manquent aux urgences et dans les blocs opératoires.

Car si nos gouvernants ont été incapables de consolider les services publics de sécurité intérieure (pompiers, hôpitaux, police), ils ont été très performants pour les démotiver en refusant de les écouter et en leur imposant des obligations inutiles et dangereuses.

Pour combler le déficit d’effectifs, le gouvernement mendie des pompiers étrangers non vaccinés d’Allemagne, d’Espagne, d’Autriche, de Pologne et de Roumanie ! Et nos voisins européens, considérant l’inefficacité des injections à empêcher les contaminations et les transmissions, n’ont pas émis d’obligation inutile et ne souffrent pas de pénurie de personnel comparable à la nôtre !

Reprenons la proposition de loi des sénateurs éclairés enregistrée à la Présidence du Sénat le 16 juin 2022.

PROPOSITION DE LOI visant à abroger l’obligation vaccinale des personnels soignants et des pompiers

PRÉSENTÉE par :

Mmes Sylviane NOËL, Sabine DREXLER, Claudine THOMAS, M. Alain JOYANDET, Mmes Annick PETRUS, Laurence MULLER-BRONN, MM. Daniel LAURENT, Alain HOUPERT, Laurent DUPLOMB, Mme Kristina PLUCHET, M. Sébastien MEURANT, Mmes Sylvie GOY-CHAVENT, Christine BONFANTI-DOSSAT, MM. Jean-François LONGEOT, Cyril PELLEVAT et Mme Christine HERZOG, Sénatrices et Sénateurs

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs, il y a un peu plus de deux ans, l’épidémie de Covid-19 submergeait brutalement nos hôpitaux. Du jour au lendemain, les soignants ont dû faire preuve d’adaptabilité pour tenter de contrer cette vague épidémique sans précédent dans l’histoire de notre pays. Nos soignants, avec une grande conscience professionnelle, ont pendant cette période enchaîné les journées harassantes, renoncé à leurs congés et jours de repos, tout cela dans des conditions dignes du tiers-monde, sans sourciller. Parce que nous étions « en guerre » contre l’épidémie, ils ont dû faire face avec beaucoup d’ingéniosité et d’abnégation, au péril de leur propre santé. Sans gants, sans masques, ils ont été réduits à recourir au système D : en se fabriquant des blouses avec des sacs poubelles et en réutilisant, encore et encore, des masques usagés, faute de stocks suffisants. Un dévouement sans peu d’égal, qui avait ému les Français, qui chaque soir, étaient réunis à leurs fenêtres à 20 heures pour applaudir ces héros. Puis brutalement, le sort réservé aux soignants a changé : les héros d’hier sont devenus les parias d’aujourd’hui. Alors que l’obligation vaccinale a été rejetée par le Parlement français, laissant à chacun la liberté toute relative face à un pass sanitaire puis vaccinal très discriminant de recourir à la vaccination, les soignants et assimilés (pompiers par exemple) n’ont pas eu ce choix. Ordre leur a été donné d’obtenir un schéma vaccinal initial complet avant le 15 octobre 2021, faute de quoi ils seraient suspendus, sans revenu, sans statut. À compter du 30 janvier 2022, la dose de rappel a été intégrée dans l’obligation vaccinale pour tous les professionnels afin qu’ils puissent continuer à exercer leur activité. Alors que de multiples études montrent que la vaccination n’a que très peu d’incidence sur le portage et la transmission du virus, alors que l’immense majorité des pays ont abandonné cette obligation vaccinale, des milliers de soignants et de pompiers français ont été suspendus parce qu’ils ont choisi d’exercer, comme tous les autres français, leur libre choix à l’égard de ce vaccin. Des dizaines de milliers de héros du quotidien qui font cruellement défaut à notre hôpital déjà exsangue, ainsi qu’à notre chaîne de secours déjà éprouvée par deux années de crise sanitaire. Ainsi, le gouvernement s’est lui-même contraint à rappeler des soignants vaccinés, mais malades du Covid (positifs, donc) au lieu de faire appel à des personnels non vaccinés, mais négatifs et prêts à se faire tester chaque jour si nécessaire. Kafka en rêvait, le gouvernement l’a fait !

Alors que la saison estivale n’a même pas encore débuté et que la plupart des régions vont connaître un afflux de population touristique très important, l’ensemble de nos structures de santé, publiques comme privées, se trouvent aujourd’hui déjà dans une situation extrêmement critique en raison de cette pénurie de personnels soignants. Le maintien de cette mesure discriminatoire portera un coup fatal et irréversible à notre système de santé déjà terriblement éprouvé si nous ne réagissons pas très vite. Chaque jour, faute de personnel disponible, des établissements de santé déprogramment des interventions chirurgicales, des EHPAD gèlent des lits, des centres médico-psychologiques renvoient des patients lourdement handicapés dans leurs familles, des maires déplorent la multiplication des déserts médicaux, des services d’urgence ferment leur porte… Les situations de ce type se comptent par milliers, et plongent des malades et des familles entières dans la détresse. Bon nombre de ces soignants suspendus sans perspective ont d’ores et déjà opté pour une reconversion dans d’autres secteurs d’activité. Dans certaines régions frontalières comme la Haute-Savoie, ces personnels ont choisi d’aller exercer leur activité dans les pays voisins comme la Suisse, où cette obligation vaccinale n’est pas requise. En outre, les récentes mesures adoptées pour favoriser l’attractivité des métiers de la santé ne porteront leur fruit que dans plusieurs années. En attendant, il est absolument vital de ne pas fragiliser encore davantage les effectifs de notre personnel de santé. Cette crise a mis en lumière le malaise de nos soignants, les dysfonctionnements d’un hôpital sur-administré et sous-doté, les défaillances dans les chaînes de décisions.

Alors que nous avons désormais tous repris une vie quasiment normale face à ce virus, il est grand temps de tirer toutes les leçons de cette période moribonde et de remuscler sans tarder notre système de santé. Certains facteurs nécessiteront malheureusement du temps pour être corrigés : le déficit de personnel en fait partie. Il est donc absolument indispensable de supprimer le plus vite possible cette obligation vaccinale pour les soignants, de réhabiliter sans perdre une minute ces milliers d’hommes et de femmes indignement traités par l’État français et de leur accorder, enfin, respect et reconnaissance. Tel est l’objet de la présente proposition de loi qui propose dans son article 1er d’abroger les dispositions de l’article 12 de la loi du 5 août 2021 relative à l’obligation vaccinale des personnels soignants, en les réintégrant aux effectifs des établissements concernés, et dans son article 2 de permette aux agents du service public concernés de conserver l’état d’avancement d’échelon et de grade qu’ils possédaient avant leur suspension.

Proposition de loi visant à abroger l’obligation vaccinale des personnels soignants et des pompiers

Article 1er

La loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire est ainsi modifiée : 1° Le I de l’article 12 est abrogé ; 2° Les articles 13 à 19 sont abrogés.

Article 2

Les agents du service public mentionnés au I de l’article 12 de la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 précitée conservent l’état d’avancement qu’ils possédaient avant leur suspension.

Article 3

Les éventuelles pertes de recettes résultant pour l’État de l’application de la présente loi sont compensées, à due concurrence, par une taxe additionnelle, l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Merci à ces sénateurs courageux dont la clairvoyance se reflète dans un exposé clair et concis. Et regrettons que ce projet de loi soit resté lettre morte pour l’instant.

Alain Houpert

En 2020 les sénateurs ont alerté le gouvernement sur l’état alarmant du matériel aérien de lutte contre les incendies. Deux ans plus tard, rien n’a été fait.

Harold Bernat @bernathoustra

Si je comprends bien, n’hésitez pas à éclairer ma lanterne, on devrait se taper le cul par terre parce que 300 pompiers hors France viennent en renfort quand 5000 pompiers français sont suspendus simplement pour mater sans aucune raison sanitaire à l’été 2022.

#Invendies #Gironde

@EnModeMacaron

Le vaccin ne protège pas de l’infection et de la contamination, mais Macron ne réintègre pas les pompiers suspendus ! 😡 La sénatrice Sylviane Noël veut la réintégration des pompiers suspendus alors que la France brûle ! RT si tu soutiens cette demande !

@DIVIZIO

La France fait venir des pompiers d’ailleurs ! Dont acte ! La presse a donné les pays d’où viennent ces soldats du feu. Du coup demain, méthodiquement, @AssoJNSPUD

va examiner le statut de l’obligation vaccinale dans ceux-ci et si un seul n’est pas soumis à vaccination obligatoire

je ferai immédiatement un recours pour enjoindre au ministre de justifier que seuls des sapeurs-pompiers étrangers vaccinés sont au feu ! Au besoin j’enverrai un huissier directement au lieu où sont les pompiers et leur commandement pour avoir l’info et en tirer les conséquences.

@AssoJNSPU

Vous pouvez commencer : les pompiers allemands NON INJECTÉS… de quoi bien humilier nos pompiers suspendus encore un peu. COMMENT LEURS COLLÈGUES PEUVENT-ILS ACCEPTER ÇA ! ET LEUR SYNDICAT, IL SERT À QUOI à part encaisser le chèque !

@NiusMarco

Les pompiers allemands non vaccinés vont pouvoir éteindre les feux en France. Pas les Français #reintegrezlesPompiersSuspendus

En Pologne, la vaccination covid a été recommandée, mais non obligatoire pour les pompiers.

organic_lover1976

En Espagne la vaccination n’est obligatoire pour personne

ET LES MOYENS ?

Titiart

lorsqu’un #Canadair coûte environ 60 millions d’€, la France en a commandé 2 supplémentaires On est donc incapable de payer 10 ou 15 avions de plus Pendant ce temps les actionnaires du CAC40 se sont partagé 70 milliards d’€ en 2021 ET, SI, ÇA A TOUT À VOIR !

Il faut supprimer l’obligation des pseudo vaccins expérimentaux qui ne sert à rien et réintégrer le plus vite possible pompiers et soignants vaccino-prudents.




L’exclusion des soignants et pompiers non vaccinés est aussi un acte de censure dissimulée

Par Nicole et Gérard Delépine

Les soignants vaccino prudents ainsi que les pompiers, premiers témoins des désastres vaccinaux, ont été exclus du milieu médical, puis ostracisés parce que le ministre ne voulait pas qu’ils parlent, racontent leurs constatations, ni qu’ils servent d’exemple !

Maintenant les hôpitaux, les cliniques obstétricales ferment tandis que les déserts médicaux se multiplient aux dépens des malades.

Il n’y avait aucune raison sanitaire d’exclure les soignants vaccino prudents

Avant la mise sur le marché des vaccins, lors de la première vague, aucune étude n’a prouvé que les soignants constituaient une source notable de dissémination de la maladie. Les 300 covids nosocomiaux répertoriés en France sont dus aux conditions d’attente aux urgences et à l’absence de ventilation efficace des services.

Au moment où le gouvernement a imposé cette obligation, il reconnaissait lui-même que les pseudo vaccins n’empêchaient ni d’attraper la maladie ni de la transmettre donc que les injections des soignants ne pouvaient pas protéger les malades au vu des courbes d’évolution de l’épidémie mondiale publiées par l’OMS.

On pouvait s’en douter depuis plus d’un an, au vu de la flambée épidémique dans les pays précocement et massivement vaccinés, Islande, Royaume-Uni, Gibraltar, Israël alors que l’Afrique et Madagascar peu vaccinés ont beaucoup moins souffert.

Les vaccinés sont aussi dangereux pour les personnes qu’ils approchent que les non-vaccinés. 

Les données sur le mois de juin 2022 de la Direction de la recherche, des études, évaluations et statistiques du ministère de la Santé laisseraient même envisager que la vaccination avec rappel augmente le risque d’infection. La proportion de tests positifs se révèle plus faible chez les non-vaccinés que chez les vaccinés avec rappel (788/100 000 vs 846) dans la catégorie des 40-59 ans, comme dans celle des 60-79 ans (584 vs 757).

Le gouvernement se réfugiait derrière la prétendue protection des formes graves qui s’est depuis elle aussi révélée fausse et qui ne pouvait en aucune manière constituer un argument d’obligation vaccinale.

Alors pourquoi le gouvernement a-t-il imposé cette obligation ?

Il n’y a aucune raison sanitaire de maintenir l’exclusion des soignants vaccino prudents

L’académie de médecine s’est opposée à une éventuelle réintégration des soignants non vaccinés sans aucun argument scientifique. Lorsqu’elle prétend qu’un « revirement mettrait en péril les malades fragiles », elle est incapable d’apporter la moindre étude clinique à l’appui de son affirmation infondée. Et son affirmation est d’autant moins crédible qu’elle a accepté que les soignants covid positifs continuent leur activité auprès de ces malades fragiles…

Elle se réfugie derrière des motifs psychologiques en prétendant croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister entre soignants », alors que ceux qui travaillent encore n’attendent que d’être renforcés par leurs collègues et amis.

Elle fait aussi semblant de croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister avec les patients » alors que ceux-ci préfèrent avoir des soignants expérimentés plutôt que des vigiles à l’entrée des hôpitaux et que la peur qui en paralyse encore beaucoup n’est pas la conséquence d’un danger réel, mais seulement de la propagande terrorisante qui se poursuit et qu’elle pourrait contribuer à calmer.

Lorsque les vieux retraités de la médecine qui constitue la majorité de l’académie prétendent que « la réintégration ne résoudrait pas les difficultés de l’hôpital », ils paraissent ignorer la réalité du terrain rappelée par les médecins en activité comme Gérald Kierzek(([1] émission Points de vue du 13 juillet 2022.
https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-reintegrer-les-soignants-non-vaccines-gerald-kierzek-pousse-un-coup-de-gueule_498050)), Jean-François Cibien, (président de l’intersyndicale Action Praticien Hôpital)(([2]« Ils ne sont pas des parias », s’insurge-t-il.
https://www.midilibre.fr/2022/06/24/crise-a-lhopital-face-a-la-penurie-de-soignants-faut-il-reintegrer-le-personnel-non-vaccine-contre-le-covid-10394277.php)), Yannick Neuder, Patrick Pelloux(([3] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/sante-publique/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-5-medecins-repondent-sans-langue-de-bois)), Antoine Flahault(([4] https://twitter.com/FLAHAULT/status/1549756425928327168)) pourtant infatigable provax, le professeur Yonathan Freund, urgentiste à l’AP-HP…

« Outre la pénurie de soignants, il est dommage de se priver de compétences et de personnes qui ont donné parfois 20 ou 25 ans à leur métier. Aucune quantité n’est négligeable aujourd’hui. Dans une équipe à flux tendu, quand on enlève une ou deux personnes, c’est très compliqué… On a besoin de tout le monde pour assurer la qualité et la sécurité des soins. »

Quant à la HAS, on comprend mal la base scientifique de son avis, dont la conclusion est en contradiction avec l’exposé. Pour justifier le maintien de l’obligation vaccinale, les experts de la HAS prétendent en effet que « la protection vaccinale se situe entre 45 % et 55 % contre les infections symptomatiques dans les trois mois suivant l’injection » mais se contredisent plus loin en reconnaissant que « le niveau d’efficacité contre les infections après trois mois n’est pas précisément connu à ce jour ». L’absence d’indépendance de la HAS dont tous les membres sont nommés par les politiques a été démontrée ailleurs et fait peser bien des doutes sur la fiabilité de leurs avis.(([5] HONTE A LA HAS EMANATION DU POUVOIR DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

En réalité l’exclusion visait à empêcher que ces soignants et pompiers n’informent les patients avec des informations directes du vécu du terrain (qualifiées de complotistes)

La censure des médecins vaccino prudents, et leur diabolisation, ont commencé très tôt dans les médias excluants systématiquement ceux qui contredisaient les mensonges officiels (tels que l’utilité du confinement et d’autres mesures prétendument sanitaires telles que le masque ou la distanciation des écoliers [!], la qualification « vaccin » attribuée à des médicaments sans antigène ni anatoxine, la nature expérimentale des injections jusqu’en 2023, leur efficacité proclamée de 95 %, leur intérêt chez les enfants…).(([6] AUTOPSIE D’UN CONFINEMENT AVEUGLE, G ET N DELEPINE, ÉDITIONS FAUVES SEPT 2020)) Très vite après les premières injections, les ambulanciers, urgentistes, pompiers ont été frappés par les « accidents » type AVC, crise cardiaque qu’ils étaient amenés à prendre en charge. Et très rapidement ils ont été soumis au SILENCE imposé par leur hiérarchie sous peine de sanctions, voire de licenciement.

Les témoignages personnels et par les réseaux sociaux sont légion de ces personnes soumises à des pressions fortes et déstabilisatrices et dont l’état psychologique est aujourd’hui gravement perturbé, ajoutant à la peur vécue, un sentiment de culpabilité. Ils ont su tôt et n’ont rien dit, en dehors des plus « forts » qui ont osé refuser l’injection et se laisser suspendre et vilipender.

Cette censure des professionnels a été avouée et officialisée par la modification du code de la santé publique obligeant les médecins qui s’expriment à se conformer dorénavant à la propagande gouvernementale.(([7] Le décret du 24 décembre 2020 modifiant l’Article R. 4127 — 19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle))

Elle a été renforcée par le conseil de l’ordre qui a rétabli le délit d’opinion(([8] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion)), poursuivi les médecins, et en a condamné pour la simple expression de vérités dérangeantes. Récemment une nouvelle charrette de médecins poursuivis est dénoncée d’autant qu’il s’agit de médecins ayant eu l’extrême audace de soigner et guérir leurs malades au nom du serment d’Hippocrate et contre l’interdiction du ministre Véran d’utiliser l’hydroxychloroquine et les antibiotiques contre ce petit virus (qui a l’outrecuidance de passer à travers les pores des masques imposés).

L’exclusion des soignants vaccino prudents et des pompiers est en réalité essentiellement un acte de censure visant à empêcher les professionnels du soin et de leur accompagnement, conscients de l’inefficacité et surtout des complications des injections rapidement apparues et constatées dans leur pratique quotidienne, d’en informer les patients. Les autres, demeurés dans le système, ont été soumis à la règle du silence absolu et du pseudo devoir de réserve. Demandez-leur !

Cette exclusion fait partie du plan de propagande pro vaccin mis au point avec un cabinet de conseil (McKinsey ?) utilisant la vieille technique des sociétés communistes d’exclure les opposants politiques de leur profession. Ont-ils pris des leçons auprès du PCC(([9] Parti communiste chinois. N’oublions pas que notre gouvernement a suivi à la lettre les règles aberrantes de confinement appliquées en Chine, avant toute épidémie avérée et dangereuse démontrée en France. E. Macron nous expliquait, quelques jours avant d’imposer le confinement strict, qu’il fallait aller au théâtre, vivre normalement. Qui l’a fait changer d’avis en quelques jours ?)) ?

Cette haine contre les opposants à sa dictature sanitaire explique seule leur exclusion du chômage et de toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Seule cette haine contre les résistants peut justifier la persistance de l’obligation en France et en Italie alors que la quasi-totalité des pays européens voisins n’y a pas eu recours ou l’a supprimée

Traiter les soignants vaccino prudents d’antivax est une diffamation

Les soignants qui ont refusé les pseudo vaccins ne sont pas des anti vax : jusqu’à la mise sur le marché conditionnelle des injections expérimentales ils étaient à jour de leurs vaccinations et n’avaient jamais rechigné à administrer à leurs patients de vrais vaccins.

Les traiter d’antivax comme le font couramment ministère et médias constitue donc un mensonge et une injure destinés à les discréditer aux yeux de la population.

Les pouvoirs publics les ont désignés comme de dangereux irresponsables, des antisciences, un comble pour des médecins et infirmiers. L’équivalent, prétendaient-ils, « de matheux contestant les théorèmes les plus solides » alors qu’ils avaient scientifiquement raison.

Avec des vaccins qui empêchent mal la transmission contre Omicron, le refus de la réintégration des soignants vaccino prudents ne constitue donc pas une protection des patients contre le virus, mais une mesure de censure féroce contre la diffusion d’un prétendu « complotisme » dans les hôpitaux. Cette décision aggrave évidemment le vide hospitalier et l’incompréhension des équipes de plus en plus conscientes de la bêtise de cette exclusion sans argument scientifique, relevant d’un totalitarisme qu’ils devinent et ne voudraient pas voir.

Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale plaide pour l’apaisement :

« On est dans une société fragilisée, fracturée. On a besoin de retrouver de la cohésion, du lien social, du respect réciproque, de la responsabilisation, et je ne pense pas que cela se fasse en jetant le discrédit et l’anathème sur des personnes qui, au tout début de la crise, sont allées sur le terrain, dans les EHPAD, dans les services hospitaliers sans le moindre soutien, sans les moindres moyens. “Ces soignants ont été souvent considérés comme des héros. Et du jour au lendemain, les répudier d’une manière aussi rapide et brutale me pose problème”.

La réintégration des soignants non vaccinés, ainsi que d’ailleurs des pompiers réfractaires, qui seraient bien utiles sur le front des incendies de forêt, se révèle donc nécessaire. Le pragmatisme y rejoindrait la morale. Toutefois, pour calmer les craintes des patients ayant succombé à sa campagne de communication, il faudrait que les pouvoirs publics admettent avoir cloué au pilori pour rien de nombreux professionnels. Voire, via le pass sanitaire puis vaccinal, commis un chantage à l’emploi et à la vie sociale sur des millions de jeunes et piétiné allègrement leurs droits et libertés au prétexte de les empêcher de contaminer les personnes à risques… sans raison médicale valable ».

Il faut réintégrer immédiatement les soignants et les pompiers scandaleusement ostracisés et supprimer toutes les censures qui empêchent tout débat démocratique depuis plus de deux ans.

Heureusement des voix s’élèvent pour la réintégration des non-vaccinés y compris à l’Assemblée nationale !

La sénatrice Laurence Muller-Bronn prend la défense des soignants suspendus non vaccinés sur France Soir : « On les traite comme… — (les-republicains.net)


Quelques témoignages





Variole du singe : état actuel des connaissances au 4 août 2022

Par le Dr Gérard Delépine

Contre la variole du singe, mieux que le vaccin : ne pas multiplier les partenaires sexuels

Depuis juillet 2022, l’OMS et les médias tentent d’affoler la population avec la variole du singe dont les cas européens avaient triplé en deux semaines. Le but vraisemblable de cette dramatisation serait de promouvoir une campagne de vaccination la plus large possible en utilisant des vaccins disponibles pourtant inadaptés et qui n’ont pas été correctement étudiés chez l’homme. D’ailleurs une semaine après l’alerte de l’OMS, la Haute Autorité de santé préconisait d’élargir la vaccination préventive aux groupes les plus exposés, un avis suivi par le gouvernement français. Ces tentatives de faire croire à une nouvelle peste justifient cette mise au point basée sur l’analyse des 1200 articles médicaux recensés par PubMed®(([1] Cette base de données américaine est la plus fournie du monde avec plus de 34 millions de citations de littérature biomédicale de MEDLINE, de revues de sciences de la vie et de livres en ligne incluant le plus souvent des liens vers le contenu en texte intégral de PubMed Central et les sites Web des éditeurs.)) le 6 août 2022.

Le virus de la variole du singe n’est pas une maladie nouvelle

La variole du singe est causé par un virus à ADN double brin, de la famille des Poxviridae et du genre orthopoxvirus qui comprend trois autres agents pathogènes humains : le virus de la variole, le virus de la cowpox et le virus de la vaccine. Les Poxviridae sont qualifiés de virus anciens, car ils ont été trouvés chez des insectes, des reptiles, des oiseaux et des mammifères datant de 500 millions d’années avant J-C. Actuellement, un certain nombre de réservoirs animaliers du virus sont connus comme les rongeurs et les primates. Aux US de très rares cas sporadiques de transmission à l’homme à partir de chiens de prairie captifs ont été observés. L’éradication de ce virus ne peut donc pas être espérée contrairement à la variole humaine.

La variole du singe a été décrite pour la première fois en 1959 chez des singes d’un institut de recherche à Copenhague, capitale du Danemark. Le premier cas humain a été identifié le 1er septembre 1970, à l’hôpital de Basankusu en République démocratique du Congo chez un enfant de neuf mois. Six autres cas ont été reconnus au Liberia, au Nigeria et en Sierra Leone entre octobre 1970 et mai 1971.

Dans le même temps, une série d’enquêtes sérologiques dans 3 pays d’Afrique de l’Ouest a déterminé que plus de 10 500 enfants de moins de 5 ans sans cicatrice de vaccination contre la variole n’avaient aucun signe d’infection par le monkeypox humain, comme le suggèrent l’absence de cicatrices faciales et l’absence d’orthopox-anticorps. Cela a permis de rassurer sur le fait que la transmissibilité du monkeypox humain n’augmentait pas et que la notification d’infections sporadiques se poursuivait la conclusion des études sérologiques des enfants en Afrique de l’Ouest a suggéré que la transmission au niveau communautaire chez les enfants même non vaccinés ne se produisait pas.

Au Nigeria, le premier cas a été recensé en 1971, suivis de10 autres entre 1971 et en 1978 puis par une épidémie de 112 cas en 2017. Le Nigéria constitue depuis lors le foyer endémique principal.

En mai 2022(([2] León-Figueroa DA, Bonilla-Aldana DK, Pachar M, Romaní L, Saldaña-Cumpa HM, Anchay-Zuloeta C, Diaz-Torres M, Franco-Paredes C, Suárez JA, Ramirez JD, Paniz-Mondolfi A, Rodriguez-Morales AJ. The never-ending global emergence of viral zoonoses after COVID-19? The rising concern of monkeypox in Europe, North America and beyond. Travel Med Infect Dis. 2022 May 26; 49:102362. doi: 10.1016/j.tmaid.2022.102362. Epub ahead of print. PMID: 35643256; PMCID: PMC9132678.)), plusieurs pays d’Europe, en plus du Royaume-Uni, de l’Espagne et du Portugal, ont signalé des cas de variole du singe. Le Canada et les États-Unis d’Amérique, le Mexique et l’Argentine, Israël et l’Australie ont également notifié des cas suspects et des cas confirmés et l’Équateur et la Bolivie des cas suspects, pour un total de 506 cas, dont 421 confirmés (83 %).

En date du 4 août 2022, plusieurs milliers de cas humains de variole du singe ont été confirmés dans 20 pays différents, principalement africains, mais plus récemment aux États-Unis, au Royaume-Uni, mais aussi en Israël, à Singapour, en France, en Belgique, Espagne, Portugal, Italie, Grèce, Allemagne, Suède, Finlande… Les États-Unis recensent plus de 6 600 cas de variole du singe, dont près d’un quart dans le seul État de New York suivi par San Francisco.

Cette apparition dans des pays jusque-là épargnés ne traduit pas une modification du virus (en Europe le génome reste le même que celui de l’Afrique de l’Ouest), mais plutôt à un changement du mode de transmission interhumaine très lié à l’activité sexuelle et au nombre de partenaires.

La variole du singe n’est pas une maladie grave

La phase d’incubation, pendant laquelle le malade est peu ou pas contagieux, dure de six à treize jours. Elle est suivie par une phase prodromique, d’environ deux jours, marquée par les signes avant-coureurs de la maladie : fatigue, fièvre, céphalées, myalgies…

Puis la maladie se manifeste par l’éruption sur le visage ou au niveau génital en fonction du mode de transmission. Les lésions cutanées sont habituellement associées à des douleurs intenses, et s’accompagnent souvent de ganglions. Les pustules évocatrices se dessèchent lentement puis forment des croûtes qui tombent spontanément après une quinzaine de jours, le plus souvent sans laisser de cicatrice.

C’est une maladie globalement bénigne. Les complications sévères sont exceptionnelles et ne surviennent que sur des malades fragiles. On estime qu’en Afrique de l’Ouest, malgré le sous-équipement et le manque chroniques de soignants, la mortalité ne dépasse pas 1 %. En France aucun des 2000 malades recensés n’est décédé.

La variole du singe n’est pas une maladie grave et constitue de fait une nouvelle « fièvre éruptive bénigne »comme la rougeole, la rubéole, et la varicelle. Une des raisons de cette bénignité est que les patients touchés, des hommes jeunes sans maladie préexistante ne sont pas à risque de forme grave et que les surinfections bactériennes, courantes en Afrique et souvent responsables de l’aggravation de l’état des malades, sont prises en charge sans difficulté en France.

La variole du singe n’est pas très contagieuse

Les deux voies possibles de transmission du MPXV sont la transmission animale-humaine (en Afrique) et la transmission interhumaine. Les gouttelettes respiratoires et le contact avec des fluides corporels, l’environnement ou des objets contaminés du patient, une lésion cutanée d’une personne infectée se sont avérés associés à la transmission interhumaine.

Le mode principal de contamination connu est le contact direct peau à peau en touchant les boutons (pustules) d’une personne infectée ou des objets qu’elle a contaminés (linge, couverts, etc.). Le virus peut en effet survivre plusieurs jours sur les surfaces inertes. Il pénètre dans l’organisme par des microlésions de la peau, même minuscules. Se gratter le nez avec des mains contaminées constitue une façon de s’infecter.

Ce mode de transmission actuel inédit gêne l’étude des chaînes de transmission. Il est compliqué, voire impossible, de retracer les contacts des personnes qui ont de multiples partenaires sexuels lors d’événement festif où l’alcool et les drogues circulent souvent abondamment.

En outre, même si les malades sont peu contagieux, ils le restent longtemps, ce qui justifie la durée de l’isolement de vingt et un jours préconisé en cas d’infection. Mais un isolement de trois semaines étant difficile à maintenir réellement, les recommandations ont évolué vers une réduction de sa durée afin d’augmenter le respect des contraintes concernant les situations les plus à risque.

En France d’après Santé Publique France fin juillet, un peu plus de 2000 cas ont été signalés essentiellement en région parisienne et dans les milieux festifs à activité sexuelle intense.

La situation épidémiologique actuelle rappelle celle du début du Sida,la gravité de la maladie en moins.

Pour l’instant, la variole du singe menace surtout les homosexuels mâles

Les 2000 cas recensés en France à ce jour sont constitués pour 99 % d’entre eux de mâles homosexuels d’âge médian 36 ans.

Ce constat de l’atteinte quasi exclusive des mâles homosexuels a été également fait aux USA comme l’a déclaré London Breed maire de San Francisco, un des épicentres de la maladie avec New York.

En France, la HAS estime que « les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les personnes trans qui sont multipartenaires, les personnes en situation de prostitution, les professionnels exerçant dans les lieux de consommation sexuelle» constituent les groupes à risque de la variole du singe.

Si vous n’appartenez pas à ces groupes et que vous n’avez pas de contact avec eux, votre risque de contamination est infime. Et en cas de contamination vous n’avez pas de risque d’en mourir Ne craignez pas la variole du singe.

Quand on appartient au groupe à risque, l’hygiène est plus efficace que le vaccin

Même si la variole du singe est une maladie relativement bénigne, mieux vaut éviter de l’attraper… Les malades souffrent parfois beaucoup, au point de devoir recourir à la morphine. Les lésions cutanées peuvent parfois laisser des cicatrices inesthétiques, situées sur le visage, ce qui peut s’avérer moralement difficile à supporter, car elles mettent en évidence des comportements sexuels qui ne sont pas forcément connus des proches ni assumés.

Comme d’habitude en matière d’épidémie le respect des mesures d’hygiène constitue le meilleur rempart contre la contagion.

Bien que la variole du singe ne soit pas classée parmi les maladies sexuellement transmissibles, elle se diffuse par les contacts cutanés et, pour cette raison, les autorités sanitaires de San Francisco recommandent « d’éviter les contacts cutanés ou de partager son lit avec un étranger tant que l’épidémie dure » et celles de New York de(([3] https://www.health.ny.gov/diseases/communicable/zoonoses/monkeypox/)):

« demandez à vos partenaires sexuels s’ils ont une éruption cutanée ou d’autres symptômes compatibles avec le monkeypox. Évitez tout contact peau à peau avec une personne qui présente une éruption cutanée ou d’autres symptômes liés à la variole du singe ».

Opinion partagée par Heymann, expert de l’OMS, qui accuse les rave parties belges et espagnoles d’être à l’origine de la récente diffusion de la maladie(([4] https://nypost.com/2022/05/23/who-expert-david-heymann-says-monkeypox-outbreak-came-from-sex-at-european-raves/)):

« les mesures individuelles pour atténuer les risques — en faisant attention si les partenaires sexuels ont des lésions génitales, par exemple — sont la meilleure approche ».

Certains traitements sont potentiellement capables de raccourcir la durée de l’évolution de la maladie. Il s’agit d’antiviraux : le tecovirimat, le brincidofovir et le cidofovir. Mais leur toxicité potentielle rend leur utilisation discutable pour une maladie bénigne.

Les vaccins n’ont pas fait la preuve de leur efficacité contre la variole du singe chez l’homme

Aux États-Unis, le vaccin antivariolique de deuxième génération ACAM2000 a été autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) et acheté pour le Strategic National Stockpile (SNS) pour être utilisé lors d’une urgence impliquant la variole. La vaccination avec ACAM2000 est également recommandée pour certains personnels de laboratoire et de soins.

Mais ces vaccins de deuxième génération ne sont pas dénués de risque :

« risque documenté de myocardite après la réception des vaccins ACAM2000… et du risque inconnu de myocardite après JYNNEOS(([5] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/recs/grade/JYNNEOS-orthopoxvirus-primary-pq1-2.html))» ; « la prévalence incertaine de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ou d’autres formes d’immunosuppression dans les zones d’endémie du monkeypox présente un risque de complications vaccinales graves, notamment l’eczéma vaccinatum(([6] Reed JL, Scott DE, Bray M. Eczema vaccinatum. Clin Infect Dis. 2012 Mar; 54(6):832-40. doi: 10.1093/cid/cir952. Epub 2012 Jan 30. PMID : 22291103.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22291103/)) et la vaccine évolutive, cette dernière étant un effet indésirable événement au cours duquel la réplication incontrôlée du virus de la vaccine entraîne généralement la mort(([7] Bray M, Wright ME. Progressive vaccinia. Clin Infect Dis. 2003 Mar 15; 36(6):766-74. doi: 10.1086/374244. Epub 2003 Feb 20. PMID : 12627361.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12627361/)).

IMVAMUNE est un vaccin antivariolique de troisième génération qui a été testé chez des personnes infectées par le VIH et chez des personnes atteintes de dermatite atopique lors de six essais cliniques publiés qui ont démontré sa sécurité et l’immunogénicité dans ces maladies. Contre le monkeypox l’efficacité d’imvamune a été démontrée par plusieurs études sur des animaux, mais n’a jamais été l’objet d’essais randomisés chez l’homme. Il reste donc expérimental, même si les agences en ont autorisé sa mise sur le marché.

Le respect strict des mesures d’hygiène reste le rempart le moins risqué contre la contagion.





Journal des bonnes nouvelles (au 4 août 2022) : le monde se réveille

Par Nicole et Gérard Delépine

Le combat paye, mais lentement. Contre la dictature des milliardaires, on ne livre pas une guerre éclair, mais une longue guerre d’usure pendant laquelle il ne faut pas se décourager. Ce petit journal rappelle les petits pas en avant que nous avons obtenus avec quelques références pour vous convaincre que la situation s’améliore doucement, mais sûrement. Pour remonter le moral de ceux qui commençaient à craquer.

Mais attention ce sont des signes du début de la fin, mais pas la fin. Il ne faut surtout pas baisser la garde ! Le Nouvel ordre mondial est richissime et a plus d’un tour dans son sac. Poursuivons à tous niveaux en particulier sur le plan juridique : plainte pour accidents de vax, plainte pour défendre les soignants suspendus, plainte contre abus de pouvoir des hôpitaux qui continuent à exiger le pass contre la loi, etc.. Nous commençons à marquer des points qui doivent nous encourager à poursuivre, mais ne surtout pas nous endormir. Comme l’a dit B. B. (Bertold Brecht) à propos du fascisme du dernier siècle : « Le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde ».

Les oppositions ont réussi à s’unir contre le renouvellement éternel de la loi d’urgence

France — Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
Avouez que l’on n’y croyait pas ou peu. Loi d’Urgence, encore un mot dévoyé pour nous voler nos libertés

Encourageons les citoyens à poursuivre le combat par l’information large de tous sur la mascarade covid19 que nous vivons encore. Un grand pas a été franchi par la fin de la loi d’exception grâce à la nouvelle assemblée dans laquelle E. M. n’a plus la majorité absolue. Les élections législatives, les multiples vidéos, les articles sur des centaines de supports variés et les manifestations ont réussi à éveiller un certain nombre de concitoyens et de parlementaires. Le combat paie. Il faut le poursuivre avec ténacité et assiduité.

En effet, la volonté des puissants de maintenir la population dans la peur du covid ou de son prochain variant ou autre cousin ou la variole du singe est manifeste, car les mondialistes veulent continuer à nous terroriser pour que nous ne défendions plus nos libertés et nous forcer à nous faire injecter. Les publicités mensongères à répétition du ministère de la Santé poussant à l’injection sur les écrans de télévision en témoignent. La prise de parole du directeur de l’OMS qui veut reproduire le scénario covid avec la variole du singe qui est une maladie généralement bénigne (même si son aspect cutané n’est pas ragoûtant) en témoigne. Nous ne laisserons pas faire ce terroriste des épidémies et y reviendrons.

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître devant des juges

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître dans le cadre d’une action en justice alléguant qu’ils ont collaboré avec les médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître dans le cadre d’une action en justice les accusant d’avoir incité et collaboré avec les médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression

Les hauts responsables de l’administration Biden — dont le Dr Anthony Fauci — et cinq géants des médias sociaux ont 30 jours pour répondre aux citations à comparaître et aux demandes de communication de pièces dans le cadre d’une plainte accusant le gouvernement Biden d’entente avec les sociétés de médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression « sous couvert de lutte contre la désinformation. »

La présidente de la Children’s Health Defense (CHD), Mary Holland, qui est également l’avocate générale de la CHD, a salué la décision juridique d’instruire la plainte :

« La CHD salue l’annonce de cette décision révolutionnaire du juge Doughty du district occidental de la Louisiane, qui découvre si l’administration Biden a violé le premier amendement par la censure.

« Pendant deux ans, la CHD et de nombreux autres médias n’ont pas été en mesure de comprendre les mécanismes par lesquels nos principales plateformes médiatiques ont impitoyablement censuré, supprimé et déformé nos informations.

« Maintenant, grâce au processus de découverte que le juge a autorisé, nous allons découvrir comment Meta, Instagram, Twitter et YouTube ont été de connivence avec le gouvernement fédéral pour freiner la soi-disant “désinformation” et “mauvaise information”. C’est un nouveau jour. »

Fauci, les CDC, le secrétaire de presse de la Maison-Blanche et d’autres doivent remettre les documents demandés par les juges.

NorthShore University HealthSystem va indemniser les soignants vaccino prudents discriminés

Un règlement de 10,3 millions de dollars a été conclu dans le cadre du premier recours collectif contre le vaccin obligatoire COVID impliquant des travailleurs de la santé. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Pour clore le premier procès collectif intenté par des travailleurs de la santé discriminés pour leur refus de l’obligation vaccinale COVID, Liberty Counsel a accepté de régler, pour plus de 10,3 millions de dollars d’indemnisation.

Le règlement de l’action collective contre NorthShore University HealthSystem est au nom de plus de 500 travailleurs de la santé actuels et anciens qui ont été illégalement discriminés et se sont vus refuser des exemptions religieuses du mandat de vaccination COVID.

Le règlement convenu a été déposé aujourd’hui devant le tribunal fédéral du district nord de l’Illinois.

À la suite du règlement, NorthShore paiera 10 337 500 $ pour indemniser les 500 soignants (en moyenne 20 000 dollars par soignant) qui ont été punis pour leurs croyances religieuses contre la prise d’une injection associée à des cellules de fœtus avortés.

Il s’agit d’un règlement de recours collectif historique, le premier du genre, contre un employeur privé qui a illégalement refusé des centaines de demandes d’exemption religieuse pour les vaccins COVID-19. Le règlement doit être approuvé par le tribunal fédéral du district.

Espérons qu’il fera jurisprudence et qu’il sera suivi de beaucoup d’autres contre les employeurs américains abusifs

En Espagne : la justice donne 10 jours à l’État pour dévoiler tous les contrats signés avec Pfizer

Par Cheikh Dieng – 2 août 2022

La justice baléare a accordé à l’État espagnol un délai de dix (10) jours pour lui fournir tous les contrats signés avec Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca dont les vaccins anti-Covid ont été déployés sur le territoire espagnol durant la pandémie à Coronavirus. Une nouvelle qui déclenche l’immense joie de l’Association espagnole Liberum, laquelle n’a cessé d’exiger que ces contrats soient rendus publics par respect aux citoyens

« Un malheur ne vient jamais seul », dit l’adage. Et Pfizer semble l’avoir bien compris.

En tout cas, moins d’un mois seulement après la décision de la justice uruguayenne du 8 juillet 2022 d’obtenir des informations sur le contenu chimique du vaccin du labo américain,

mais Pfizer préfère ne pas distribuer son injection plutôt que de faire ce que la justice lui demande.

VOUS N’AVEZ PAS À PRÉSENTER DE TEST À L’ENTRÉE D’UN HÔPITAL OU D’UNE CLINIQUE

Fabrice Di Vizio alerte : « Ne faites plus de tests Covid-19 ! Cette histoire aussi c’est terminé ! » (Vidéo complète) — Dissident Officiel tweet du 2 aout 2022 Les hôpitaux n’ont plus le droit de demander de test Négatif ! C’est au surplus confirmé par une circulaire DGS 2022-69 que je mets sur le nouveau site de l’association qui sort demain matin dit Fabrice di Vizio

Voici le lien vers la circulaire (à imprimer et à présenter le cas échéant) :
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dgs-urgent_n2022_69_evolution_esms_fin_eus.pdf

Si difficultés ET ABUS DE POUVOIR faire acter le refus et le communiquer à l’association de Fabrice Di Vizio

juriste@jenesuispasundanger.com adresse correcte vérifiée

Les victimes des complications des vaccin COVID sont progressivement indemnisées dans le monde entier

COVID Vaccine Injuries Quietly Being Compensated Around the World, Are You Eligible? + More • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

Les morts, myocardites, accidents vasculaires et les autres complications causées par le vaccin contre la COVID sont progressivement indemnisées dans le monde entier, y êtes-vous admissible ?

En Australie plus de 10 000 victimes des vaccins vont être indemnisées selon le « COVID-19 Vaccine Claims Scheme »(([1] https://www.health.gov.au/initiatives-and-programs/covid-19-vaccine-claims-scheme)) pour les effets secondaires, rapporte le Sydney Morning Herald. Si chacune de ces demandes est approuvée par les autorités, le gouvernement se retrouverait ainsi avec une facture à payer de 50 millions de dollars australiens, soit environ 32 millions d’euros.(([2] https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-11-16/australia-faces-compensation-bill-for-vaccine-side-effects-smh))

La Nouvelle-Zélande vient de créer un schéma d’indemnisation semblable(([3] https://catalogue.data.govt.nz/dataset/vaccine-injury-compensation)) et un collectif de médecins — nommé New Zeland Doctors Speaking Out with Science (NZDSOS) — s’est constitué pour demander l’ouverture d’une enquête par la police.(([4] https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccin-contre-la-covid-19-des-medecins-neozelandais-sonnent-alerte))

Mais aussi l’Argentine.(([5] https://www.francesoir.fr/politique-monde/vaccination-covid-largentine-indemnise-victimes-effets-indesirables))

Mais aussi le Canada.(([6] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1887847/vaccin-covid-19-astra-zeneca-compensation-indemnisation-syndrome-guillain-barre))(([7] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1813105/compensations-reaction-vaccination-coronavirus))

Et en France ? Lorsque les victimes du vaccin Covid réaliseront, malgré le déni de nombreux médecins, la responsabilité des injections dans la genèse de leurs troubles, la note risque d’être élevée. Après avoir payé les vaccins, nos impôts devront indemniser les victimes, car Pfizer a obtenu par la Commission européenne de ne pas payer d’indemnisation aux victimes !

Une vraie bonne nouvelle : le nouveau livre de Robert F. Kennedy traduit en français — « Une lettre aux libéraux » possible en téléchargement.

L’ordre se réveille enfin et condamne des médecins de plateau qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts avec l’industrie

Par deux décisions rendues le 18 juillet 2022, la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins rappelle que le Code de Santé Publique doit être respecté, et notamment ses articles L 4113-13 et R 4113-110, le premier disposant que « les membres des professions médicales qui ont des liens avec des entreprises et des établissements produisant ou exploitant des produits de santé (…) sont tenus de faire connaître ces liens au public lorsqu’ils s’expriment sur lesdits produits (…) dans la presse écrite ou audiovisuelle. »

Il sanctionne d’un avertissement le Professeur Robert COHEN et le Professeur Bruno LINA pour ne pas avoir fait état, lors d’interventions dans les médias sur les vaccins, de leurs liens d’intérêts avec certaines entreprises pharmaceutiques fabriquant ces produits.

L’association E3M a constaté 200 liens d’intérêts entre l’industrie et le Pr Cohen de 2012 à 2018 pour un montant total de 57 730 €, ainsi que 60 contrats sans montants déclarés. À cela, il convient d’ajouter l’existence de 58 déclarations de liens entre l’industrie et l’association ACTIV (association créée et dirigée par le Pr Cohen ayant pour objet la formation des professionnels de santé et la recherche, avec le soutien des laboratoires MSD, GSK, Pfizer, Sanofi, CGM) pour un montant total de 748 520 € (dont 601 920 € par Sanofi et 126 600 € par GSK) ainsi que 14 contrats sans montants déclarés.

Le Pr Lina, chef du laboratoire de virologie du CHU de Lyon, est quant à lui intervenu pour défendre le vaccin Gardasil, mis en cause dans la survenue de graves effets indésirables. Lui non plus n’a pas déclaré ses liens avec l’industrie pharmaceutique alors qu’il est depuis de nombreuses années Président du Conseil Scientifique du GEIG (Groupe d’Expertise et d’Information sur la Grippe), « financé par les 4 laboratoires qui distribuent des vaccins contre la grippe sur le territoire français (Abbott Products SAS, GSK, Novartis Vaccines et Sanofi Pasteur MSD) ».

Comme l’Ordre ne se saisit pas spontanément de ces faits délictueux (alors qu’il pourrait parfaitement le faire), il faut espérer que de nouvelles plaintes portées contre d’autres « experts » des médias vont obliger l’ordre à condamner ces leaders d’opinion qui agissent dans les médias comme avocat de l’industrie pharmaceutique sans mentionner leurs liens d’intérêts comme ceux qui nous ont abreuvés depuis plus de deux ans d’une propagande provax covid sans limites. Si l’ordre faisait enfin respecter la loi « transparence santé », le public saurait qui est réellement l’expert qui s’exprime et quels sont ses liens avec le monde économique et notamment les fabricants des produits dont il fait la promotion.

Le retournement de veste en série des « officiels pivots de la stratégie tout vaccin :

https://pgibertie.com/2022/07/30/delfraissy-veut-laver-son-honneur-et-annonce-lechec-des-futures-injections-qui-dereglent-le-systeme-immunitaire/

Le bal des “morts de trouille” ouvert par Delfraissy — Riposte Laique

IL FAUT ARRÊTER DE DIRE ET RACONTER TOUT ET N’IMPORTE QUOI” dit J F. Delfraissy résumant l’action du Conseil scientifique

UN ÉCHEC TOTAL, IL FAUT LE DIRE, en termes de mortalité, de morbidité et d’accès aux droits humains. Zéro covid n’était pas la solution. Ce sont les médias qui poussent à cela. Il faut à un moment donné redevenir raisonnable, les Français l’ont compris”.

@UPR_Asselineau

“LE DOUBLE AVEU DU Pr DELFRAISSY  : Soulageant sa conscience, il dénonce en fait la DOUBLE SOUMISSION révélée par la covid-19, celle des États occidentaux à Big Pharma, celle de la classe dirigeante à la toute-puissance des médias, qui imposent leurs vues par intimidation et censure.” et aussi sur la variole du singe, etc..

Fischer Alain s’y met aussi : “le vaccin à la rigueur pour les vieux”. Alors qu’en juin 2022 il voulait vacciner tous les enfants…

En retournant leur veste, ils espèrent probablement se faire pardonner de leurs méfaits ou alléger leur conscience pour ne pas finir par se suicider comme l’a fait le docteur autrichien Lisa-Maria Kellermayr, avocate zélée des pseudo vaccins contre le coronavirus, qui n’a pas assumé la responsabilité des dégâts et des morts que sa propagande mensongère a occasionnés.

Et les soignants suspendus : le gouvernement va devoir craquer

L’obligation vaccinale comme condition d’engagement des soignants aux Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG) a été supprimée depuis le début du mois de mai.

Pourquoi le gouvernement, l’académie de médecine et la HAS s’obstinent contre l’évidence scientifique que cette mesure ne sert à rien contre l’épidémie ?

Le 20 juillet 2022, Antoine Flahault, épidémiologiste très provax dans les médias depuis mars 2020, a appelé sur Twitter à la réintégration des soignants non vaccinés arguant que leur suspension n’est plus fondée scientifiquement,(([8] https://www.tf1info.fr/sante/coronavirus-7e-vague-de-covid-19-l-obligation-vaccinale-des-soignants-n-a-plus-grand-sens-estime-le-pr-antoine-flahault-2227)) car le vaccin ne réduit pas suffisamment les contaminations.

Le professeur Y. Freund, urgentiste à l’AP-HP s’est prononcé lui aussi pour la réintégration des soignants non vaccinés, car on ne peut pas poser de conditions éthiques à l’embauche d’un soignant.

À l’heure où les urgences ferment les unes après les autres par manque de soignants, où de nombreuses interventions chirurgicales sont reportées faute de chirurgiens, d’anesthésistes ou d’infirmières de bloc et où on ne parle même plus des autres services (comme le service de greffes à Caen) en voie de fermeture ou déjà fermés, la population et les décideurs politiques doivent bien se rappeler que 15 000 soignants au moins sont suspendus sans salaire, que 150 000 infirmiers formés ne travaillent plus comme soignant en raison de la maltraitance managériale depuis trente ans et que beaucoup de soignants en poste et injectés sont en burn-out, démissionnaires et/ou en arrêt de travail.

Il faut abolir cette obligation infondée d’injection expérimentale, réintégrer les soignants injustement suspendus, mais aussi modifier le management pour qu’il retrouve son but ultime le soin, payer correctement les professionnels du soin et cesser le cirque des missions flash ou autre grenelle de la santé. Quant aux contes de Ségur, on a déjà donné.(([9] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? | FranceSoir))

Il serait bien que l’ensemble des soignants, médecins, infirmiers aide-soignant, secrétaires, etc. décident enfin de sauver l’honneur de la profession soignante au sens large, en décrétant une grève illimitée de tous les acteurs des hôpitaux privés comme publics, maisons de soin, dispensaires, etc. tant que les suspendus ne seront pas réengagés.

Ce serait le minimum pour faire un peu oublier leur silence coupable depuis de longs mois. En septembre 2021, lors de leur suspension tout le monde savait déjà que le vaccin ne protégeait ni de la maladie ni de la transmission. Les médias mensongers surfaient encore sur les formes graves pour faire piquer la totalité de la population, mais cela ne justifiait en rien d’injecter de force les soignants ou les pompiers et d’interdire aux autres de soigner. Aucune excuse, même pas la peur ! Alors c’est le moment de se racheter.

NE FAIBLISSEZ PAS ! BATTONS-NOUS POUR QUE LA VÉRITÉ TRIOMPHE ENFIN ET POUR RÉTABLIR L’INTÉGRALITÉ DE NOS LIBERTÉS CONFISQUÉES POUR LE SEUL BIEN d’UNE POIGNÉE DE MILLIARDAIRES.

Et ajoutons progressivement d’autres bonnes nouvelles à cette liste non exhaustive.





Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy. Mise à jour

[Voir aussi sur : RL]

Par Gérard Delépine

Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique(([1] Conseil qui disparaît ce 31 juillet 22 en même temps que la loi d’urgence.)) devenu complotiste, serait-il inquiet ?

@codePS17 

« Le bal des morts de trouille !! 
Ah ça voulait piquer tout le monde de gré ou de force et maintenant ils ont le trouillomètre à zéro de peur de se retrouver derrière les barreaux pour très longtemps »

«  IL FAUT ARRÊTER DE DIRE ET RACONTER TOUT ET N’IMPORTE QUOI », dit JF. Delfraissy résumant l’action du Conseil scientifique.

« UN ÉCHEC TOTAL, IL FAUT LE DIRE, en termes de mortalité, de morbidité et d’accès aux droits humains.  Zéro covid n’était pas la solution. Ce sont les médias qui poussent à cela. Il faut à un moment donné redevenir raisonnables, les Français l’ont compris ».

@UPR_Asselineau

« LE DOUBLE AVEU DU Pr DELFRAISSY  : Soulageant sa conscience, il dénonce en fait la DOUBLE SOUMISSION révélée par la covid-19, celle des États occidentaux à Big Pharma, celle de la classe dirigeante à la toute-puissance des médias, qui imposent leurs vues par intimidation et censure. »

ET sur la variole du singe

@MaxDelvallee

DELFRAISSY sur la variole du singe : 

« Elle est beaucoup mise en avant parce que les médias ne veulent pas rater le début d’une éventuelle nouvelle crise (…). Je ne crois pas à la gravité et à l’existence d’une pandémie de ce type. (…) C’est une maladie peu sévère dans 99 % des cas. »

LE PARCOURS DÉPLORABLE DE JF. DELFRAISSY ET DU CONSEIL DIT SCIENTIFIQUE

Dès mars 2020 nous avons dénoncé les mesures prétendument sanitaires (confinement et autres privations de liberté), comme inefficaces car contraires à la vérité scientifique(([2] Delépine « Confinement, mesure sanitaire ou politique ? » Agoravox samedi 21 mars 2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478))(([3] Nicole Delépine, Gérard Delépine Autopsie d’un confinement aveugle Édition Fauves septembre 2020
https://docteur.nicoledelepine.fr/autopsie-dun-confinement-aveugle/))(([4]Delépine « Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine » Agoravox »
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712))(([5] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-cette-mesure-d-223105)), les tests PCR chez les asymptomatiques comme une arnaque sans intérêt médical uniquement destinée à faire croire à des poussées de l’épidémie(([6] Vers le faire-part de décès des tests PCR
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vers-le-faire-part-de-deces-des-tests-pcr)) et l’objectif officiel du zéro covid comme un mirage de la propagande marchande provax.

Depuis la mise sur le marché des pseudo-vaccins et la propagande forcenée que martèlent les médias pour nous les imposer, nous répétons que les injections anti-covid ne sont pas des vaccins mais des médicaments, qu’elles sont totalement expérimentales et issues d’une technique jusqu’alors jamais utilisée en infectiologie, qu’elles ne protègent ni de la maladie, ni des transmissions, ni des formes graves, ni de la mort.

Ces constatations scientifiques des faits publiés par l’OMS ont été constamment traitées de fake news par de pseudo- journalistes peu scrupuleux qui nous qualifient de complotistes(([7] Le  Collectif citoyen Quand la démocratie devient un complot
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/quand-la-democratie-devient-un-complot)) en suggérant même que nous serions d’extrême droite, voire antisémites pour nous diffamer. Malheureusement pour ces mercenaires de la désinformation, la vérité est têtue et ce que nous proclamons depuis près de deux ans et demi est progressivement confirmé et reconnu même par les anciens avocats des mesures sanitaires dès qu’ils quittent le monde imaginaire des simulations biaisées pour examiner le monde réel…

Un très bel exemple d’un retour très tardif au monde réel est celui de JF Delfraissy.(([8] Jean-François Delfraissy, né le 19 mai 1948 à Paris, est un médecin et professeur de médecine français, spécialisé dans l’immunologie.
Il est nommé président du Comité consultatif national d’éthique en 2016. Il prend en 2020 la présidence du Conseil scientifique covid-19, institué par le ministre Olivier Véran pour conseiller le gouvernement dans la lutte contre la pandémie de covid-19.))

Confinement déclaré indispensable puis reconnu dévastateur

Début 2020 Jean-François Delfraissy avait prétendu que le confinement était indispensable malgré ses doutes qu’il a récemment confié au Parisien :

« Mais qu’est-ce qu’on a fait ?(([9] Capture BFM TV
« Mais qu’est-ce qu’on a fait ? » : Jean-François Delfraissy sans filtre sur la gestion de la covid-19))», avant de se rassurer rapidement : « Plusieurs autres membres du Conseil scientifique doutaient, eux aussi, et on s’est remonté le moral, se répétant qu’on n’avait pas d’autre choix. ». Attitude vraiment incroyable d’un prétendu scientifique censé analyser la balance avantage/risques d’une mesure avant de la conseiller.

Un an plus tard, malgré le bilan catastrophique avéré du premier confinement(([10] Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique
https://www.francesoir.fr/societe-sante/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire)), il récidivait avec Denis Malvy et Karine Lacombe, plaidant pour une nouvelle astreinte à résidence de la population « e confinement apparaît vraiment irrémédiable. » !

Mais l’inefficacité sanitaire et les conséquences dramatiques des confinements ont depuis été largement démontrées par tous les scientifiques indépendants des gouvernements et des organismes qui les ont imposés.(([11] https://ripostelaique.com/il-faut-mettre-fin-immediatement-a-ce-confinement-mortifere-pour-le-pays.html))(([12] Surjit S BhallaLockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID WinsNov 1, 2020
https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69ca46b0b44118206a901b))(([13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))(([14] Jonas Herby, Lars Jonung, and Steve H. Hanke A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ONCOVID-19 MORTALITY SAE./No.200/January 2022
https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf))(([15] Bendavid E, Oh C, Bhattacharya J, Ioannidis JPA. Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19. Eur J Clin Invest. 2021 Apr;51(4):e13484. doi: 10.1111/eci.13484. Epub 2021 Feb 1. PMID: 33400268; PMCID: PMC7883103.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/))

En février 2021 dans une lettre au Lancet(([16] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18,
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext)), J. Delfraissy reconnaissait enfin, avec 5 autres membres du Conseil scientifique, que le confinement avait été nocif et qu’il fallait changer de politique :

« il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire ».« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. » « Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

Alors pourquoi a-t-il conseillé le premier confinement et persisté ensuite dans l’erreur plusieurs fois ?

Le scandale des passes inefficaces et discriminatoires

Le Conseil scientifique et son président ont présenté les passes comme des  mesures permettant de retrouver les libertés sans risque alors qu’ils ne constituaient que des chantages aux libertés pour forcer à l’injection les gens qui n’en avaient aucun besoin.

Lors de son audition au Sénat, à la question :

« Est-ce que le passe protège réellement ? »

La réponse de J. Delfraissy a été : 

« Non. »

Ce que confirme l’explosion des contaminations après leur instauration :

Alors pourquoi ont-ils menti aux Français en prétendant le contraire ? 

@dreslincourt   31 juil.

Dans le Parisien, le Pr Delfraissy reconnaît un traitement « inhumain » de nos anciens en Ehpad pendant le covid, et une mainmise des labos sur les stratégies vaccinales ! Quand nous informions les Français de ces choses, la presse nous qualifiait de « complotistes » ! Des excuses ? 

Le mirage du « Zéro Covid » reconnu un « échec total. »

Pendant près de deux ans le Conseil scientifique a fait croire que les mesures sanitaires et la vaccination allaient éradiquer le virus selon la stratégie du zéro covid inventée par les Chinois. Ils nous ont promis qu’on obtiendrait l’immunité collective après la vaccination de 60 % des Français, puis de 70 %, puis de 90 %. Mais tous les pays (sauf la Chine) qui nous avaient précédés dans cette stratégie ont reconnu qu’il s’agissait d’un mirage impossible à atteindre dans le monde réel.

Mais après deux ans d’atteintes majeures à nos libertés fondamentales cautionnées par son comité prétendument scientifique J. Delfraissy avoue :

« Le “Zéro Covid” est un échec total… Il faut vivre avec le virus ! »(([17] https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/mais-qu-est-ce-qu-on-a-fait-jean-fran%C3%A7ois-delfraissy-sans-filtre-sur-la-gestion-de-la-covid-19/ar-AA1086Uu))

Cette stratégie n’a jamais permis d’éradiquer une épidémie avec réservoir animalier connu comme l’est le covid. Alors pourquoi l’a-t-il conseillée sinon pour vendre des prétendus vaccins ?

Les  « vaccins sûrs et efficaces » devenus des « vax médicaments inefficaces »

Le Comité scientifique et son président ont validé tous les mensonges de Pfizer comme celui d’appeler vaccin un médicament expérimental ne contenant aucun antigène et celui « d’une efficacité de 95 % » pour inciter la population à se faire injecter. Plus tard, alors que l’échec contre la diffusion virale devenait évident, ils ont persisté :

 « Les vaccins sont efficaces contre le variant delta, si l’on a eu deux injections. Il faut se faire vacciner » 

Et quelques mois plus tard, ils ont persévéré en prétendant :

« le vaccin est toujours efficace contre le covid-19 (…) s’il a été administré trois fois ».

Encore plus choquantes ont été les déclarations de Delfraissy à Sciences-Po Lille conseillant la vaccination des plus jeunes qui ne risquent rien du covid et celle poussant à la vaccination des femmes enceintes, hérésie scientifique jusqu’ici toujours contre-indiquée.

Ce n’est qu’après la fin annoncée de son Comité anti-scientifique que J. Delfraissy avoue :

« Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion ».

Alors pourquoi ne s’excuse-t-il pas d’avoir menti pendant au moins dix-huit mois et des complications et des morts que ces médicaments expérimentaux ont causé ?

Le Pr. Delfraissy a été en pointe dans la propagande alarmiste et les décisions portant atteinte à nos libertés fondamentales en leur donnant un alibi scientifique mensonger. Il a bafoué et décrédibilisé la science en trompant les Français pour qu’ils supportent l’inacceptable.

Espère-t-il par ces aveux se faire pardonner ?

Faute avouée est à demi pardonnée dit-on. Mais JF Delfraissy n’a avoué que la moitié de ses fautes. En particulier il n’a dénoncé ni l’inefficacité ni la toxicité des masques ni l’absence de toute justification scientifique des obligations vaccinales imposées aux soignants et pompiers ni l’ignominie des mesures sociales qui ont été imposées aux vaccino- prudents. Espérons qu’il complétera bientôt sa confession.

@Phil_7338

« Il sera jugé. Je ne lui pardonnerai jamais, port du #masque obligatoire pour nos enfants petits enfants quasiment H24. Ni les #Confinement #CouvreFeu 21h 19h 18h…ni les #Attestations débiles ni les 1km,10km…#dérogations #tests gratuits, payants, 72h…24h #coronacircus »

@PascalBurlot1

« Et à propos des mails échangés avec Fauci pour supprimer le traitement précoce HCQ, belle réussite pourtant Pr Delfraissy ! Ces aveux sont pitoyables après avoir conseillé les inconcevables lock-down, masques, couvre-feux, suspensions et injections. »

@verity_france     

Covid-19 : Jean-François Delfraissy a des « regrets » dans la gestion de la pandémie qui n’est « pas terminée »/ si c’est un honnête homme il dira tout devant un juge pour expliquer les pressions, et détailler l’instrumentalisation dont il a fait l’objet

« SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME » (Pantagruel, RABELAIS)

Il reconnaît enfin que ce sont les compagnies pharmaceutiques qui ont tout pouvoir sur les décisions prétendument scientifiques en rapport à ces pseudo-vaccins. Mais pourquoi ne l’a-t-il pas dénoncé plus tôt et démissionné du Conseil scientifique comme l’a fait très rapidement le Pr D. Raoult ?

Le ministre proclame son désir de transparence. Pour nous en convaincre, il faudrait qu’il fasse lever  le secret défense ubuesque qui pèse sur les 300 réunions et les 80 avis ou notes rédigés en deux ans et quatre mois par ce Comité scientifique pour que chacun puisse en faire l’analyse.

À défaut, l’opposition parlementaire devrait l’exiger car qui peut croire que  la divulgation de ces  documents  jusqu’à présent classés secret défense(([18] Le secret défense a été créé pour protéger les informations militaires ou diplomatiques nécessaires à la sécurité militaire du pays. On ne comprend pas en quoi cela s’est appliqué à un virus, pas plus que le nouveau « commando » que veut mettre en place le ministre Braun.)) puisse  renforcer la virulence du Sars-CoV-2 ?

Les covidistes passent (tardivement) aux aveux !


Au passage, il pourrait rappeler qui nomme le collège des experts de la HAS soi-disant indépendante et qui maintient la suspension des soignants et pompiers non vaccinés ? les mêmes politiques trop proches de Big Pharma.

Quelques commentaires sur Twitter

Hélène Laporte 2 août

Après J-F #Delfraissy qui avoue que la stratégie « Zéro #COVID19 » est un échec total, c’est Alain #Fischer, « Monsieur Vaccin », qui ne recommande plus de rappel vaccinal… Visiblement les certitudes d’hier ne sont plus !

ladepeche.fr

EXCLUSIF. Covid-19 : le conseil d’orientation de la stratégie vaccinale « arrête son travail »,…

Fin du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, nouveaux vaccins en cours d’élaboration pour lutter contre les variants, pas de généralisation de deuxième dose de rappel à toute la populati…

@Olivierfente 2 août

ALERTE GÉNÉRALE C’est la débandade complète pour les nofakemerdes Je pense que dans les mois ou les semaines à venir nous allons apprendre des choses complètement hallucinantes Delfraissy et Fischer ont ouvert le bal

L£ G£N£RAL 0fficiel©
@Le_General_0ff_ · 2 août

ALERTE INFO #Delfraissy  » Le Conseil scientifique avait réclamé la constitution d’un comité citoyen national, le Gvernement l’a refusé 3fois, c’est une vraie connerie une bêtise politique [..] On l’aurait pu le faire sur le vaccin  » #senat #NiOubliNiPardon #PassDeLaHonte #Raoult

@EdBernardelli  

« Il est plus facile de tromper les gens que de leur faire admettre qu’ils ont été trompés » M. Twain En ce 1er août, le passe et l’état d’urgence sont arrêtés. Stop aux manipulations ! Le combat continue pour réintégrer les soignants suspendus et éveiller les consciences !

@UnionPierre 31 O7 22

Des soignants Covid peuvent travailler alors que des soignants en bonne santé ne le peuvent pas, c’est tellement absurde! Nous demandons la réintégration immédiate avec des excuses! Soutenez notre collectif, suivez-nous   #JusticePourLesSuspendus #SoignantsSuspendus

@Sarah41659531  30 juil.

Le 1er août tous les Français pourront reprendre une vie normale sans PASSE à l’intérieur des frontières SAUF les soignants suspendus qui resteront  » punis  » (expression de @PatrickPelloux) et sans revenus pour se nourrir et nourrir leurs familles.  » Pays des droits de l’homme  »

@LucileFievet

26 juil.  Important et assez urgent Très Sérieux Pour les soignants et agents toujours suspendus au 1er août 2022

Selon l’avis de juristes, il est possible de considérer que l’obligation vaccinale prend fin au 31 juillet 2022, avec la fin de l’état d’urgence.

Piste à explorer d’urgence !

La démocratie nécessite une information impartiale relayant les faits et des commentaires honnêtes. Durant ces deux ans et demi, elle ne l’a pas jamais été. Le rôle particulièrement nocif des propagandistes de la désinformation, proclamés « fact-checkers », doit être souligné et on espère que les violations permanentes de l’éthique journalistique dont ils ont fait preuve en ne donnant jamais la parole aux personnes qu’ils accusaient ternira à jamais leur CV.

Nous avons gagné une grosse bataille avec la suppression du passe par le vote de l’assemblée (E. Macron avait prévu la prolongation de la loi d’urgence jusqu’en 2023), mais le combat doit se poursuivre par la suppression de l’obligation vaccinale des soignants et pompiers dans les faits, la suppression des tentatives de détournement de la loi votée par des arrêtes autorisant que l’Assistance Publique de Paris, des cliniques, pharmacies ou autres imposent le port du masque ou un passe alors qu’il est maintenant non seulement démontré par les faits établis, mais aussi reconnu par la quasi-totalité de leurs anciens avocats que ces mesures n’ont eu aucun effet démontré contre l’infection…

RÉAGISSONS PAR DES PLAINTES SUCCESSIVES À CES DÉTOURNEMENTS

@Steiner61421320   

Il est temps de remplacer les vigiles à l’entrée des hôpitaux par des soignants et en priorité les soignants suspendus (en les dédommageant) ! #JusticePourLesSuspendus #PassSanitaire

@DIVIZIO1

Ça commence : ce matin déjà des vigiles ont réclamé le passe à l’entrée d’une clinique ! Ça c’est cependant très bien passé en ce qu’alertés, ils ont appelé la direction qui leur a confirmé ne pas avoir à contrôler. Mais du coup : ils servent à quoi ? Ils sont payés pour quoi ?

1 août

Tiens j’y pense : le 27 septembre je vais être jugé par des avocats qui, pour parler de la crise et des libertés publiques ont invité en son temps : Alain Fischer et jean Paul Hamon ! On va devoir tout reprendre depuis le début hein! J’ai demandé la journée et la nuit





Lettre ouverte au député Sacha Houlié : les injections anticovid sont expérimentales et ne sont pas réellement des vaccins

Par le Dr Gerard Delépine, chirurgien orthopédiste et cancérologue et statisticien

Non, Monsieur le Député Sacha Houlié, président de la Commission des lois et avocat, les pseudo vaccins covid ne sauvent pas de vie !

Le 11 juillet dernier, vous hurliez dans l’hémicycle : « Il y en a marre des populistes contre les vaccins ! Non au mensonge ! Les vaccins sauvent des vies ! ». Certes, en démocratie, il est bon que toutes les opinions puissent s’exprimer, mais il est dommage qu’un député aussi expérimenté que vous se trompe aussi grossièrement deux fois en une seule courte phrase, car les injections expérimentales ne sont pas des vaccins et elles n’ont pas sauvé de vies ! Il ne s’agit pas d’opinions, mais de faits avérés.

Comme il n’est pas imaginable que vous puissiez mentir volontairement, je suppose que vos erreurs proviennent du fait que, n’étant pas médecin, vous ne savez pas ce qu’est vraiment un vaccin et n’avez pas l’habitude de consulter les bases de données médicales (comme PubMed), le site gouvernemental américain des essais thérapeutiques (clinicalTrials.Gov) ou le site officiel de l’OMS sur lequel elle publie les statistiques de l’épidémie (WHO Covid dashboard). Voici donc des faits indiscutables que vous paraissez ignorer.

Les injections anti-covid ne sont pas des vaccins, mais des médicaments expérimentaux

Un vaccin se définit par sa composition, dont les principes actifs sont un virus atténué ou inactivé, des antigènes obtenus à partir du germe pathogène (atténué, inactivé ou tué, des fragments de protéines de membrane bactérienne) ou d’une anatoxine. Les injections anti-covid n’en contiennent aucun, mais un ARN messager censé faire produire la toxine par les cellules de la personne injectée et ainsi susciter des anticorps. Il ne s’agit donc pas d’un vaccin, mais d’un médicament comme l’a d’ailleurs reconnu récemment le Pr Delfraissy : « c’est une forme, un peu, de vaccin médicament »(([1] Interview de J P Delfraissy France info 25/1/22
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html)).

De plus, cette technique de fabrication de médicament à ARN messager est utilisée dans d’autres pathologies, mais ne l’avait jamais été en pathologie infectieuse. En prévention d’infection, cette technique de création de médicament préventif à ARN messager est expérimentale.

Enfin, les essais phase 3 des injections covid ne sont pas terminés, ainsi que l’atteste la consultation du site gouvernemental US de référence.

Tant que leurs essais phase 3 ne sont pas terminés, ces pseudo vaccins restent expérimentaux et n’obtiennent que des autorisations conditionnelles des agences de santé FDA, EMA, etc.

Non, Monsieur Sacha Houlié, les pseudo vaccins covid ne sauvent pas de vie

La consultation du site officiel des statistiques covid de l’OMS est démonstrative : les USA et l’Europe, pour des populations très vaccinées, équivalentes à celle de l’Afrique très peu vaccinée, comptent 25 fois plus de morts (4,8 millions contre 0,178).

L’évolution des mortalités montre que celles-ci n’ont pas diminué avec l’apparition des pseudo vaccins

De plus, ce ne sont pas les pays non vaccinés qui ont subi une augmentation des morts Covid19. L’évolution des mortalités montre que celles-ci ont fortement augmenté dans les pays « vaccinés » après le début des campagnes de « vaccination ».

En Grande-Bretagne, championne européenne des injections, les chiffres officiels sont publiés selon le statut vaccinal par l’Office National des Statistiques (ONS). Depuis avril 2022 ce sont les triples injectés qui sont le plus à risque de formes graves et de mort attribuée au Covid.

Durant les deux derniers mois publiés (avril et mai 2022) 4935 décès dus au Covid-19 ont été enregistrés, dont 4 647 pour la population vaccinée (dont 4 216 chez les triplement vaccinées) et seulement 288 décès parmi la population non vaccinée.

Le graphique suivant montre le pourcentage de décès liés au Covid-19 par statut vaccinal en Angleterre entre le 1er avril et le 31 mai 2022, selon les dernières données de l’ONS.

Non, les pseudo vaccins covid ne sauvent pas de vie

Ces faits objectifs sont publiés par des sources indiscutables qui démentent formellement les présentations trompeuses des agences françaises, dont vous êtes apparemment une des victimes.

Au lieu de croire sans vérification les propagandistes des marchands de pseudo vaccins, je vous conseille de consulter des sources objectives indiscutables ! Je reste à votre disposition pour toute présentation détaillée de l’ensemble des résultats des mesures anticovid 19 et particulièrement des pseudovaccins anticovid 19.(([2] Balance avantages/risques des injections anti-covid 19, au 28 juin 2022 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Nous pourrions à cette occasion vous présenter également les conséquences dramatiques de ces injections expérimentales singulièrement chez les jeunes qui n’auraient jamais dû les recevoir, car ne risquant rien du covid et ne transmettant pas le virus. C’est une lourde histoire qui ne fait que commencer n’ayant aucun recul sur ces injections expérimentales.(([3] ARRÊTEZ LES INJECTIONS ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Je vous remercie de votre attention.

gerard.delepine@bbox.fr





France — Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire

Par Nicole et Gérard Delépine

La demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire votée le 26 juillet 2022(([1] « Le projet de loi de sécurité sanitaire prolonge les outils de surveillance concernant la circulation du virus et permet de mettre en place, si nécessaire, un test aux frontières. Le 26 juillet 2022, le Sénat a adopté définitivement le projet de loi mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 ».)). Restons en alerte
L’information et le combat sont efficaces. Poursuivons

Encourageons les citoyens à poursuivre le combat par l’information large de tous sur la mascarade covid19 que nous vivons encore. Un grand pas a été franchi par la fin de la loi d’exception grâce à la nouvelle assemblée dans laquelle E. M. n’a plus la majorité absolue. Les élections législatives, les multiples vidéos, les articles sur des centaines de supports variés et les manifestations ont réussi à éveiller un certain nombre de concitoyens et de parlementaires. Le combat paie. Il faut poursuivre avec ténacité et assiduité.

En effet, la volonté des puissants de maintenir la population dans la peur du covid ou de son prochain variant ou autre cousin ou la variole du singe est manifeste, car les mondialistes veulent continuer à nous terroriser pour que nous ne défendions plus nos libertés et nous forcer à nous faire injecter. Les publicités mensongères à répétition du ministère de la Santé poussant à l’injection sur les écrans de télévision en témoignent. La prise de parole du directeur de l’OMS qui veut reproduire le scénario covid avec la variole du singe en témoigne. Nous ne le laisserons pas faire et y reviendrons.

PREMIÈRE GRANDE VICTOIRE DEPUIS LE DÉBUT DU SCÉNARIO COVID

La loi sanitaire(([2] Projet de loi 2022 pass sanitaire aux frontières covid 19 | vie-publique.fr )) qui vient d’être votée le 26 juillet est une victoire importante, car elle officialise la fin de la loi d’urgence sanitaire qui instaurait la dictature sanitaire d’E. Macron de ces deux dernières années.

Le Parlement a définitivement adopté le 26 juillet le projet de loi mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie de Covid-19.

Ainsi, à compter du 1er août 2022, le pass sanitaire prend fin en France. Il ne pourra plus être exigé dans les lieux où il était encore en vigueur (les services et établissements de santé et médico-sociaux).(([3] Le pass sanitaire sera bien supprimé à l’entrée des hôpitaux et des EHPAD le 1er août 2022, la sénatrice Sylviane Noël demande la clarification et l’obtient ! – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Mais comme tous les compromis, c’est une demi-victoire, car elle autorise le gouvernement à décider par décret l’exigence d’un certificat aux frontières. En lieu et place de l’article 2 rejeté par les députés, les sénateurs ont voté « la possibilité de demander, en cas de nouveau variant, un test négatif aux personnes d’au moins 12 ans se déplaçant à destination du territoire national depuis l’étranger, mais aussi en provenance ou à destination des territoires ultramarins en cas de risque de saturation du système de santé de ces territoires ». Cette modification a été acceptée par les députés en deuxième lecture.(([4] Ce test aux frontières pourra être exigé jusqu’au 31 mars 2023 aux personnes de plus de 12 ans avant l’embarquement à destination du territoire français :
– Pour les voyageurs en provenance d’un pays étranger où circule un nouveau variant du Covid,
– Pour les voyages vers les collectivités ultramarines « en cas de risque de saturation » de leur système de santé (hôpitaux…). sur décret du premier ministre.)) Le projet de loi distingue deux cas de figure, pour lesquels le gouvernement pourra, jusqu’au 31 mars 2023, exiger des personnes de plus de 12 ans la présentation d’un test Covid négatif. Ce sera le seul justificatif accepté: ni certificat de vaccination ni justificatif de rétablissement ne seront valables.

Le texte maintient les systèmes d’information de crise (SI-DEP et Contact Covid) jusqu’au 30 juin 2023.(([5] Les fichiers SI-DEP et Contact Covid maintenus jusqu’au printemps 2023.
Les traitements informatiques SI-DEP et Contact Covid, autorisés par la loi du 11 mai 2020 et plusieurs fois prolongés, sont maintenus jusqu’au 31 mars 2023. Le fichier SI-DEP centralise les résultats des examens de dépistage du Covid-19, permet leur transmission ainsi que les certificats de rétablissement. Le fichier Contact Covid identifie, oriente et accompagne les malades et les cas contacts.
Le gouvernement devra adresser tous les trois mois au Parlement un rapport détaillé de l’utilisation de ces fichiers.))

Malheureusement le parlement n’a pas voulu trancher sur l’avenir des soignants suspendus et a botté en touche.

Ce sera à !a Haute Autorité de santé de décider de l’avenir des soignants vaccino prudents dont on a tellement besoin en ce moment.

Saluons l’abrogation des régimes d’exception qui ont permis l’instauration de restrictions des libertés (confinement, couvre-feu, pass sanitaire et vaccinal…)

Presque toutes ces prétendues mesures sanitaires inutiles qui nous ont été imposées ne pourront plus l’être sans l’accord du parlement ! Il est temps puisque même le Pr Delfraissy, président du conseil scientifique ( ad hoc et secret ), a avoué que confinement et « vaccin » (ce n’est pas un vaccin mais un vacmédicament a-t-il avoué, puis tout récemment « Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion) n’avaient pas été efficaces.

« En cas de réapparition de crise sanitaire, le gouvernement devra négocier une par une avec le Parlement les mesures sanitaires qu’il voudrait imposer », a affirmé le rapporteur LR Philippe Bas.

Maintenant que le bilan catastrophique de toutes ces mesures liberticides ubuesques commence à être connu, il est improbable que le parlement se laisse tromper à nouveau par les enfermistes et leurs prophéties catastrophes destinées à entretenir la peur. Espérons-le et faisons connaître à nos représentants nos choix par mail, rendez-vous, téléphone, etc. en restant en contact proche et répété avec eux pour ne pas compromettre l’avenir.

Les confinements qui nous ont été imposés pendant 128 jours (du 17 mars au 11 mai 2020, du 30 octobre au 15 décembre 2020, puis du 3 avril au 3 mai 2021) n’ont jamais ralenti l’épidémie contrairement aux nombreuses publications de propagande diffusées par les gouvernements et les organismes responsables de leur instauration. Ils n’ont sauvé aucune vie.(([6] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID Wins
https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69ca46b0b44118206a901b))(([7] Joffe AR. COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink. Front Public Health. 2021 Feb 26;9:625778. doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. PMID: 33718322; PMCID: PMC7952324.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33718322/))(([8] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evidentimpacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))

Les confinements ont été responsables d’innombrables victimes collatérales par défaut de soins, d’un tsunami psychiatrique(([9] Suicide Rise from Lockdowns to Kill More than Coronavirus
https://www.dailymail.co.uk/news/article-8293233/Far-people-Australia-predicted-die-suicide-coronavirus-lockdown.htm)), d’un désastre des apprentissages et de l’enseignement, d’un appauvrissement dramatique des plus précaires, d’une perte de près de 10% de notre PIB, et le « quoi qu’il en coûte » a augmenté de 500 milliards notre dette nationale.

Pass sanitaire et vaccinal ont été instaurés pour forcer la population à se « vacciner » en créant une discrimination inadmissible entre Français dans la vie courante : « On va mettre en place un confinement de fait pour les personnes qui ne se sont pas fait vacciner en limitant l’accès à tout un tas d’endroits… Ça va être primauté aux vaccinés et vie de merde pour les non-vaccinés »(([10] « Un conseiller ministériel promet une “vie de merde pour les non-vaccinés” » [archive], sur valeursactuelles.com, 23 juillet 2021)) rappelant la pensée de Macron : « les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu’au bout(([11] https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/01/04/les-non-vaccines-j-ai-tres-envie-de-les-emmerder-declare-emmanuel-macron_6108205_823448.html)). C’est ça, la stratégie. ». La CNIL a souligné le manque de données communiquées par le gouvernement pour en évaluer l’efficacité. Mais les données de l’OMS concernant l’évolution des contaminations montrent qu’ils n’ont jamais été efficaces contre la diffusion de la maladie, car partout où ils ont été imposés, ils ont été suivis d’une recrudescence forte des cas.

Cet échec sanitaire massif des pass, dû à l’incapacité des pseudo vaccins(([12] https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2021/07/100721-L-injection-genique-anti-Covid-n-est-pas-un-vaccin-Dr-Nicole-Delepine.pdf)) à prévenir les contaminations, a motivé leur abandon dans tous les pays qui les ont imposés.

Le débat parlementaire a exposé l’ignorance des certains élus sur la réalité covid19

En particulier sur l’inefficacité réelle des pseudo vaccins pour protéger les populations : le centriste Philippe Bonnecarrère qui a déploré que le texte ne comporte « plus aucune référence à la vaccination, ce qui est une manière d’adresser une forme de contre-message à nos concitoyens ».

Ou pire encore Véronique Guillotin (RDSE). « Le débat laisse le champ libre aux antivax » qui, comme un ayatollah paraît ignorer que les injections anticovid sont des médicaments expérimentaux et non pas des vaccins, traite les vaccino prudents d’antivax et estime qu’il faut interdire tout débat sur la pseudo vaccination.

Nous lui adresserons les données de l’OMS montrant que les campagnes d’injection ont été suivies d’une forte augmentation des contagions partout dans le monde et sommes à sa disposition comme à celles de tous les élus pour compléter son information.

Et de la mortalité :

Espérons que la connaissance de ces faits avérés dans le monde réel les rende moins dogmatiques à l’avenir !

Mais le désir de compromis avec le pouvoir a fait accepter de fait la prolongation de la suspension des soignants vaccino prudents

Selon les termes de son rapporteur, le Sénat a voulu« créer un chemin vers la réintégration des personnels suspendus ».

Mais certains pro macron, comme la socialiste Marie-Pierre de La Gontrie, ont osé prétendre que « cette réintégration serait totalement choquante ».

Pour montrer son esprit de compromis, le Sénat a accepté de soumettre la décision à l’avis de la HAS en oubliant que cette dernière n’est que la marionnette du gouvernement Macron(([13] https://docteur.nicoledelepine.fr/honte-a-la-has-emanation-du-pouvoir-de-refuser-la-reintegration-des-soignants/))(([14] https://nouveau-monde.ca/les-pleins-pouvoirs-donnes-a-la-has-par-le-nouveau-parlement-temoin-de-son-incroyable-inconscience/)) qui en a nommé la directrice et lui a attribué un salaire exorbitant (>200 000 euros annuels !). Les autres membres du collège de la HAS sont également nommés par le pouvoir. Il n’y a donc aucune indépendance de cette agence. Ses antécédents ne plaident pas en son intégrité comme les affaires vioxx, médiator, dépakine l’ont malheureusement démontré.(([15] Dépakine: l’Etat jugé responsable et condamné à indemniser des fami… | Mediapart par exemple))

On se rappelle que la HAS a justifié toutes les décisions du gouvernement même les plus contraires à la science comme l’utilisation du Remdesevir contre le covid en prétendant « le service médical rendu par VEKLURY (remdesivir) est faible alors qu’elle aurait dû le qualifier de « dangereux » comme l’OMS en déconseillait l’usage(([16] https://www.who.int/news-room/feature-stories/detail/who-recommends-against-the-use-of-remdesivir-in-covid-19-patients)) pour son inefficacité et sa toxicité.

C’est aussi l’HAS qui continue à prétendre contre l’évidence des chiffres de l’OMS que des pseudo vaccins covid seraient « sûrs et efficaces » et permettraient « la limitation de la diffusion de l’épidémie » confirmant qu’il n’y a pas pire aveugle que celui qui refuse de voir(([17] Comment nier en juillet 2022 l’inefficacité des injections géniques et leurs dangers ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([18] https://nouveau-monde.ca/100-tribunaux-saisis-au-penal-par-reaction19-contre-la-vaccination-covid/)). Les plaintes contre les injections en pénal leur feront-elles se poser des questions sur les faits avérés et leur propre responsabilité ?

Sans aucune justification scientifique, les soignants vaccino prudents restent donc ostracisés dans des conditions inhumaines au moment où leur absence entraîne la fermeture de nombreuses urgences (plus de 120)(([19] https://nouveau-monde.ca/pour-resoudre-le-probleme-des-urgences-francois-braun-veut-les-supprimer-la-nuit/)), et de maternité, la diminution d’au moins 20% des interventions chirurgicales programmées et aggrave le nombre de déserts médicaux.

Pendant le même temps, des soignants malades covid19 sont autorisés et même incités à poursuivre les soins auprès des patients. Cette décision est politique pour « punir » (selon l’aveu de Patrick Pelloux l’urgentiste ami du président Hollande) les résistants à l’ukase, et probablement aussi éviter qu’ils soient en contact avec les collègues dans le doute et les patients infantilisés. Bref qu’ils ne puissent pas parler.

Il faut espérer qu’un prochain débat parlementaire mette fin à cette discrimination scandaleuse qui n’existe que dans une infime minorité de pays comme la France et l’Italie. Cette mesure a été récemment condamnée en justice en France(([20] https://www.francesoir.fr/societe-sante/soignante-reintegree-sans-motif-de-conges-me-tarek-koraitem))(([21] https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/soignante-reintegree-il-faut-attaquer-cette-loi-article-par-article-me-ludot)) et en Italie (par le tribunal de Milan le 16 septembre 2021 et plus récemment en Sicile).

Réintégrer les soignants vaccino prudents est urgent, car la persistance de leur discrimination risque de les convaincre de renoncer définitivement à toute activité de soins, éloigne d’autres soignants encore en poste et les incite à démissionner, ou à se mettre en disponibilité, voire abandonne les métiers du soin, et dissuade de nombreux étudiants à se diriger vers cette carrière jadis enthousiasmante.

Battons-nous par tous les moyens légaux pour qu’il leur soit enfin rendu justice.

« Les non-vaccinés sont les héros des deux dernières années, car ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérience et de mettre en évidence la carence des vaccins covid. Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures de combat, car ce sont les personnes que l’on a essayé de briser mentalement. La guerre contre les non-vaccinés a été perdue et nous devrions tous leur en être très reconnaissants. »(([22] Le producteur de cinéma Del Bigtree : « Les non-vaccinés sont les héros de ces deux dernières années » – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Et informons nos élus de la réalité du terrain, de l’inefficacité démontrée des injections expérimentales, des effets secondaires lourds qui s’accumulent dans le monde injecté, contrastant avec le bon état des populations africaines ayant échappé à la folie de la piqûre et adopté les traitements précoces pour les vrais malades (et non les « cas »).(([23] Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

ATTENTION À LA PROPAGANDE EN FAVEUR DES INJECTIONS SUR LES ONDES.

SENSIBILISONS AU RISQUE D’INJECTER LES ENFANTS À LA RENTRÉE

Il importe que les parlementaires soient véritablement informés pour éviter que nous retombions dans une folie vaccinale pour un pseudo covid, une bienvenue variole du singe, monkeypox ou plutôt moneypox,, ou tout autre virus utilisable pour faire grossir encore les bénéfices de Big Pharma et les possibilités de contrôle des populations par le pouvoir.

Le certificat européen(([24] Le Certificat COVID numérique de l’UE, outil de fichage à la chinoise des citoyens européens – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) voté au parlement de l’UE et qui pourrait être adopté dans nos assemblées à la rentrée doit nous rendre vigilants. Nous devons rester en alerte.

Il faut absolument épargner nos enfants de ces injections expérimentales à ARNm qui mettent en jeu leur fertilité, leur immunité naturelle et les menacent de nombreuses maladies, cancers, maladies dégénératives, neurologiques, etc.(([25] Les vaccins contre Covid détériorent le système immunitaire et provoquent un syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

L’absence totale de recul sur ces injections expérimentales -dont les essais ne finiront qu’en 2023 y compris les nouveaux « vaxxins » qu’on fait miroiter pas encore sur le marché – doit faire interdire TOUTE INJECTION CHEZ LES JEUNES 

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID, ET NE LE TRANSMETTENT PAS. AUCUNE RAISON OBJECTIVE DE LES INJECTER

Informons, l’avenir de nos enfants et petits-enfants dépend de nous tous.





Les pleins pouvoirs donnés à la HAS par le nouveau parlement témoin de son incroyable inconscience

Par Nicole et Gérard Delépine

Faites-vous nommer présidente de la HAS vous serez payé 210 197 euros par an à condition de ne pas déplaire au président qui vous nomme.

Volet 2 suite de :
HONTE À LA HAS, ÉMANATION DU POUVOIR, DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) volet 1 par Gérard Delépine


À l’ouest, rien de nouveau. La libération totale viendra probablement de l’Italie ou de la Grande-Bretagne pendant que les Français continuent de se faire berner par les puissants et leurs experts pourris de conflits d’intérêts. Les concitoyens (occupés par les TV sur port de la cravate ou non) restent aveugles et sourds à la réalité du terrain, aux multiples raisons scientifiques réelles de refuser le pseudo vaccin et aux énormes raisons pragmatiques de laisser revenir sur le terrain sanitaire les soignants fidèles à Hippocrate, pour ceux qui voudront bien qui nous pardonner et ne sont pas encore partis à l’étranger ou dans des métiers extra sanitaires ou leurs qualités sont mieux reconnues.

Les RAISONS OBJECTIVES POUR LA RÉINTÉGRATION

L’Académie de médecine et la Haute Autorité de Santé ne se déshonorent-elles pas en mettent la santé des Français encore plus en danger en refusant la réintégration des soignants vaccino prudents ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le pseudovax n’a pas ralenti l’épidémie

L’aggravation paradoxale du risque d’attraper le covid quand on est vacciné depuis plus de cinq mois a été initialement observée au Royaume-Uni :

Mais elle a aussi été constatée en France :

Et pendant ce temps-là, ceux qui en ont besoin se plaignent de ne pas être reçus à l’hôpital ou en ville dans des délais qui les mettent en danger, et de la dégradation vertigineuse du système de soins et se voient encore obligés d’exhiber un pass et/ou un test (bidon)(([1] La mystification des tests PCR continue en France via le Sénat et ruine la sécurité sociale — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) et même un masque.(([2] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Personne ne manifeste devant les hôpitaux ou les cliniques ni les EHPAD refusant les malades ou les visiteurs sans pass jusqu’à aujourd’hui alors que chacun devrait savoir s’il regarde les faits avérés, que ce vax ne protège de rien et que des soignants positifs, même symptomatiques sont autorisés à travailler dans ces mêmes établissements de soins. Mais un polémiste(([3] Patrick Pelloux qui commence à mesurer les désastres de la politique qu’il soutient depuis de longues années.)) a avoué qu’il s’agissait de les « punir » !

Enfin, grâce à la nouvelle loi sanitaire nous sortirons Le 1er août prochain de l’état d’urgence sanitaire et le gouvernement devra prendre en compte l’avis du Parlement pour toute nouvelle mesure restrictive de nos libertés qu’il souhaiterait prétextant l’apparition de nouveaux variants viraux ou toute autre excuse (moneypox et non monkeypox, etc..).

Malheureusement, la propagande de la peur, voire de la panique, se poursuit, et le gouvernement — via les mensonges répétés du Premier ministre, Mme Borne, celle qui vapote à l’assemblée, ou du nouveau ministre urgentiste et d’autres — continue à répéter comme un mantra que « les vaccins mêmes peu efficaces sont ce qu’il y a de mieux. » Oubliant une nouvelle fois les traitements précoces efficaces.

Les mondialistes voudraient tous nous injecter pour réussir leur dépopulation. « Les enfants sacrifiés du covid »(([4] Titre de notre livre paru en janvier 2022 chez Fauves éditions.)) sont dans le collimateur des puissants. C’est à nous tous de répéter les évidences démontrées maintes fois, les enfants ne risquent rien du covid et ne transmettent pas le virus. En revanche ils sont exposés aux effets secondaires des injections géniques, quelles qu’elles soient, y compris les nouveaux pseudovax dont on vous fera croire qu’ils sont sans danger. Comme les Pfizer ou Moderna, ils sont en expérimentation et sans recul. Vigilance !

COMME TROP D’ALLEMANDS DURANT LE RÉGIME NAZI et TROP DE FRANÇAIS PENDANT L’OCCUPATION, TROP DE NOS CONCITOYENS SONT À LA FOIS VICTIMES ET BOURREAUX (PAR LEUR TOLÉRANCE À L’INTOLÉRABLE).

Le gouvernement et les agences mentent quand ils prétendent que les pseudo vaccins protègent des formes graves alors que les chiffres officiels et l’OMS prouvent qu’ils sont suivis d’une surmortalité importante.

Mais ne comprennent-ils pas que derrière les soignants vaccino prudents suspendus de l’ordre de 15 000 (transformés en dix fois moins par nos menteurs permanents) se greffent ceux qui n’en pouvant plus de cette gouvernance dictatoriale qui nie leur vocation sont partis à la retraite plus tôt que prévu, souffrent d’arrêts maladie à rallonge, se sont mis en disponibilité ou ont démissionné. Le monde dit médical est devenu invivable et plutôt qu’applaudir les soignants sur injonction du gouvernement au printemps 2020 il vaudrait mieux les défendre aujourd’hui vraiment par tous moyens, manifestations, lettres aux élus, et rendez-vous, pétitions monstres, etc.. Et si nos concitoyens ne font rien, qu’ils ne viennent pas se plaindre de l’absence de soins par absence de soignants. Ces courageux qui ont mis leur carrière, leur maison et parfois leur famille en jeu pour vous avertir par un signal fort du danger des injections expérimentales deviennent des Héros.(([5] Ils auraient pu tricher comme cela a été démontré pour des puissants espagnols, stars, politiques, etc. Ils ont choisi d’informer et c’est probablement la principale crainte du pouvoir s’il les réintégrait… Qu’ils parlent du vrai monde.))(([6] https://odysee.com/@FabienMoineExuvieTV:9/soignants-suspendus-alexandra-henrion:9))

On laisse brûler nos forêts et des pompiers sont interdits de travail, pour ne pas contaminer les arbres ? La canicule bloque-t-elle le bon sens ou son expression ?

La France, pays des scandales passés inaperçus ou tolérés… depuis tant d’années : Alstom, EDF, Uberfiles, McKinsey, Cap Gemini, etc. Peu importe, on continue… Bah, voyons…

Le Sénat pour ne pas déplaire à la Macronie donne les pleins pouvoirs à la HAS, oubliant les avis désastreux de la HAS dans tous les scandales sanitaires récents : Médiator, Dépakine, Vioxx, Levothyrox…

Publié le 24 juillet 2022 par pgibertie

La HAS a été créée par la loi du 13 août 2004 relative à l’Assurance maladie. Le premier président de la HAS a été le PR Laurent Degos, grand dirigeant tout puissant de l’hématologie de Saint Louis dans une APHP encore florissante, entre 2005 et 2010, puis son alter ego nantais Jean-Luc Harousseau.

Depuis plus de deux décennies, les liens sont forts entre ces professeurs de faculté à la tête de gros laboratoires pratiquant les PPP (partenariat public privé en toute légalité) et l’industrie du médicament. Mme la Professeur Le Guludec connaît bien le monde de la recherche, puisqu’elle est la sponsor principale via l’INSERM (dont on a démontré l’absence d’indépendance), d’essais thérapeutiques en collaboration avec Oncology Clinical Trials | AAA (adacap.com).(([7] As part of the development process, our investigational radioligand products are evaluated in clinical trials to find new and better ways to image and treat disease. These studies are sponsored by Advanced Accelerator Applications (AAA).))(([8] Assessment of Radiolabeled rhAnnexin V-128 in Infective Endocarditis—Full Text View—ClinicalTrials.gov par exemple.)) Ses conventions affichées sur transparence santé, le site du gouvernement, sont aussi légales sans qu’on en connaisse les détails, mais montrent ses liens avec Pfizer ce qui aurait dû la disqualifier comme juge arbitre des problèmes covid19.

Tout ceci est légal, mais témoigne pour le moins de l’absence d’indépendance et ce type de profil à la tête des agences médicales devraient être interdit pour qu’elles soient dirigées par de véritables indépendants, perle rare tant l’organisation actuelle de la médecine mise en place à la fin du siècle dernier a rendu très difficile l’indépendance des chercheurs et médecins.

Le président de la République avait nommé le Pr Agnès Buzyn(([9] Recasée à l’OMS en Suisse et protégée des plaintes contre elle par son statut diplomatique.)), membre et présidente du collège, pour remplacer le Professeur nantais, par décret du 5 mars 2016. Elle avait été renouvelée dans ses fonctions pour un mandat de six ans par le décret du 7 avril 2017. À la suite de sa nomination comme ministre des Solidarités et de la Santé, elle a été remplacée par Dominique Le Guludec à compter du 4 décembre 2017, proposé par E. Macron. Mme Buzyn avait clairement suggéré à sa prise de fonction à l’institut du cancer quelques années plutôt que « les médecins qui n’ont pas de liens directs et forts avec l’industrie sont probablement incompétents ». En tous cas, ils sont peu nombreux, ignorés des médias et de nos politiques et jamais appelés aux responsabilités de l’état.

TOUS NOMMÉS PAR LE POUVOIR : ET PRÉTENDUS INDÉPENDANTS !

LA HAS, APPENDICE DU POUVOIR POLITIQUE, A FAIT PREUVE DE SES DANGEREUX LIENS AVEC L’INDUSTRIE DU MÉDICAMENT

« Avec du recul, nous nous apercevons que les leçons du passé concernant les scandales sanitaires n’ont pas servi et que la société répète les mêmes situations sans que la population en prenne conscience pour provoquer une réaction beaucoup plus rapide.

Normalement, les instituts de veille sanitaire, les comités de pharmacovigilance et d’autres structures de surveillance de santé devraient permettre de réagir rapidement.

Or, en réalité et en étudiant depuis un peu plus d’un siècle la longue histoire des scandales sanitaires, on s’aperçoit que les structures prévues pour réagir ne font rien pour anticiper et réagir rapidement à des situations préoccupantes ».(([10] Nous avons traité dans la face cachée du médicament (ND Éditions Michalon 2011) à la suite du procès mediator la longue suite de drames liés à l’aveuglement du pouvoir face aux intérêts des labos. À commencer par la thalidomide et les enfants sans membres ou le Distilbène dont les victimes se comptent encore à la quatrième génération, etc..
La face cachée des médicaments — L’influx (linflux.com) ))

https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/220717/la-longue-histoire-des-scandales-sanitaires-en-france »

QUELQUES EXEMPLES :

HAS ET MÉDIATOR

La HAS a refusé de voir les dangers du Médiator : pas de dénonciation des effets secondaires mortels, simple refus de mieux le faire prendre en charge par la sécu, mais pas de déremboursement

HAS ET DEPAKINE et de nombreux handicapés à vie en laissant sur le marché le médicament pour les femmes enceintes alors qu’on savait depuis de nombreuses années sans que la HAS s’en préoccupe

HAS ET VIOXX

SCANDALE VIOXX CELEBREX/service médical rendu… Même aveuglement pour le Vioxx, une molécule anti-inflammatoire sur le marché entre 1999 et 2004 provoquant aux USA 27 785 décès impliquant le laboratoire Merck sans compter le monde entier ! Retiré du marché par le labo et jamais par nos instances chargées de notre sécurité sanitaire. D’ailleurs le Celebrex est toujours là en 2022 en France…

HAS ET CHANGEMENT DE LEVOTHYROX/AVIS FAVORABLE

Plusieurs milliers de patients traités avec la nouvelle formule du Levothyrox, indiqué pour troubles de la thyroïde, se sont plaints de lourds effets secondaires (maux de tête, vertiges, insomnies…) Ils ont porté plainte contre Merck en première instance, en mars 2019. Ils ont d’abord été diabolisés par les médecins incompétents ou complices, les habituels anticomplotistes qui les ont traités de tous les noms d’oiseaux… L’histoire se répète.

Nous avions cité dans le livre « La face cachée des médicaments »(([11] N Delepine 2011, Éd. Michalon.)) la thèse de doctorat de Louis-Adrien Delarue démontrant qu’au moins quatre recommandations de la HAS émises entre 2006 et 2008 sont erronées.

Il a étudié trois classes de médicaments utilisées pour soigner le diabète de type 2, la maladie d’Alzheimer et certains troubles articulaires. Ces pathologies fréquentes font l’objet de préconisations dans quatre guides de la HAS. « Les biais sont multiples », selon la thèse :

« Études scientifiques omises, présentations de données mal étayées ou connues pour être falsifiées, conclusions hâtives et mal argumentées. In fine, la HAS promeut des médicaments dont la balance bénéfice-risque est clairement défavorable et qui impactent les dépenses publiques à hauteur de centaines de millions d’euros par an. »

Et cerise sur le gâteau, c’est celui qui dénonce les conflits d’intérêt qui se fait rabrouer

« Symbole du tabou qui entoure ces conflits d’intérêts, le jury de thèse de Louis-Adrien Delarue lui a imposé d’occulter les noms des experts incriminés en les noircissant dans son texte ».

Quelques jours après la soutenance, la pharmacologue s’est inquiétée de voir la version originale de la thèse sur Internet. Dans un e-mail adressé à Louis-Adrien Delarue et copié à tous les centres de pharmacovigilance de France, elle a tenu à ne pas s’associer aux conclusions de la thèse devant ses confrères. Et a décrédibilisé la thèse sans préciser qu’elle avait obtenu la meilleure note et la mention « très honorable ».(([12] https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20110923.RUE4315/les-revelations-qui-ebranlent-la-haute-autorite-de-sante.html))

Dans ce milieu la corruption est institutionnalisée et beaucoup d’experts sont pourris jusqu’à l’os,(([13] De nombreux livres dont ceux du PR Even et Debré ou sites comme celui du Formindep le démontrent.)) mais les Français ne veulent rien voir, avalent de « nouveaux » médicaments à 3000 euros le mois, inefficaces et toxiques, et ne bénéficient plus des traitements avérés qui guérissaient de nombreux cancéreux, entre autres. Ils se taisent, anesthésiés par la propagande. Le travail de sape de la cancérologie moderne par les ukases des plans cancer et des agences INCa, HAS et ARS qui imposent les traitements qui rapportent, est dénié par les patients qui ne font que regretter quelques années plus tard.(([14] Le cancer un fléau qui rapporte N Delépine Éditions Michalon 2013.))

Et les députés votent aveuglément la confiance à cette institution qui ne remplit pas sa mission envers la population, n’a donc aucune raison d’exister et coûte un « pognon de dingue ».

POUR FAIRE RÊVER LES SMICARDS ET LES AUTRES QUI DOIVENT CHOISIR ENTRE L’ESSENCE POUR ALLER AU TRAVAIL ET LEUR NOURRITURE, RAPPELONS LES SALAIRES À LA HAS :

Ces multiples agences, simples alibis scientifiques du pouvoir ruinent le budget santé pendant que beaucoup d’hôpitaux tombent en ruine.

Et consultez les salaires publiés par certains employés qui donnent de plus une idée du nombre de postes… alors qu’on manque de médecins, de secrétaires, de soignants dans les hôpitaux, les lieux qui soignent !

21 salaires chez Haute Autorité de Santé publiés par des employés | Glassdoor

HAS, ministère, CNOM… ce que gagnent les dirigeants des autorités de santé | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr)

210 197 euros pour le directeur de la HAS, 119 280 euros pour la ministre

À la tête de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui a laissé dire que le nuage de Tchernobyl s’arrêtait aux frontières, Bernard Doroszczuk touche 223 419 euros brut.

Dominique Le Guludec(([15] Dominique Le Guludec, 64 ans, est cardiologue et professeure de biophysique et médecine nucléaire, spécialiste en imagerie cardiovasculaire à l’APHP.
Elle était présidente du conseil d’administration de l’IRSN depuis 2013. IRSN institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) Créé par la loi du 9 mai 2001, il s’agit d’une agence française de sécurité sanitaire environnementale. Elle avait montré ses limites lors de la catastrophe de Tchernobyl en proclamant que la contamination avait épargné la France. …)), patronne de la HAS (Haute autorité de santé) 210 197 euros bruts.
Un beau chiffre qui justifie d’obéir aux injonctions du chef qui vous a mis en place !

Svoboda Vernut @SvobodaVernut 15 mai 2022 Entre l’has, l’ars et les salaires de l’assurance maladie, le peuple pourrait récupérer un pognon de dingue 👍

D’ITALIE VIENDRA LA RAISON


Comment les parlementaires ont-ils pu confier le sort des soignants vaccino prudents et des malades qui ont besoin de tous leurs docteurs à un organisme aussi peu indépendant du pouvoir, et autant lié aux scandales sanitaires récents et aux décisions covid, même les plus stupides du gouvernement ?





L’Académie de médecine et la Haute Autorité de Santé ne se déshonorent-elles pas en mettent la santé des Français encore plus en danger en refusant la réintégration des soignants vaccino prudents ?

Par le Dr Gérard Delépine

Jadis ces deux institutions analysaient les faits avérés et se comportaient souvent en scientifiques. Mais depuis le covid, leurs avis(([1] https://www.academie-medecine.fr/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-contre-la-covid-19-serait-une-faute/)) sont manifestement dictés par le souci de ne pas déplaire et de justifier le crédo politique gouvernemental. Elles se comportent en grands inquisiteurs du dogme officiel. La dernière manifestation de cette dérive antiscientifique est leur refus de réintégrer les soignants vaccino prudents.

Si les membres de ces deux institutions avaient voulu répondre objectivement à la pertinence de la réintégration des soignants, ils auraient dû évaluer :

  • 1°) Le risque de contamination que représentent les soignants non vaccinés
  • 2°) L’efficacité des vaccins à prévenir la transmission et à diminuer le risque de formes graves et de morts
  • 3°) Les conséquences de l’exclusion des soignants sur leur déficit dramatique

Or curieusement leurs communiqués ne présentent aucune analyse argumentée des faits établis sur ces trois points cruciaux. Nous le ferons donc à leur place.

Les soignants sont-ils des vecteurs notables de contamination covid ? Non !

Les soignants seraient plus fréquemment atteints par la maladie que le reste de la population, mais comme ils se surveillent plus efficacement que les autres, qu’ils prennent davantage de précautions et qu’ils s’arrêtent précocement de travailler lorsqu’ils se sentent en phase d’incubation, ils ne représentent pas forcément un vecteur significatif de transmission de la maladie.

Le 23 juillet 2022, la base de documentation PubMed recensait 1242 articles répondant à « nosocomial covid ». L’analyse des articles recherchant l’origine de ces infections survenues à l’hôpital(([2] Grimalt JO, Vílchez H, Fraile-Ribot PA, Marco E, Campins A, Orfila J, van Drooge BL, Fanjul F. Spread of SARS-CoV-2 in hospital areas. Environ Res. 2022 Mar;204(Pt B):112074. doi: 10.1016/j.envres.2021.112074. Epub 2021 Sep 20. PMID : 34 547 251 ; PMCID : PMC8450143.)) montre que les causes les plus souvent retrouvées sont le non-respect des règles d’hygiène (lavage des mains) et le mauvais environnement des services (tout particulièrement le système de ventilation). Aucune de ces études n’incrimine les soignants comme source d’infection notable dans le monde réel.

Le cas d’un chirurgien infecté(([3] Gallo O, Peris A, Trotta M, Orlando P, Maggiore G, Cilona M, Trovati M, Locatello LG. Epidemiological analysis of a COVID-19 outbreak associated with an infected surgeon. Epidemiol Infect. 2021 Mar 25;149:e77. doi : 10.1017/S0950268821000650. PMID: 33762038; PMCID: PMC804238)) qui n’a infecté aucun de ses contacts alors qu’il était porteur du virus comme d’ailleurs celui d’un ophtalmologiste(([4] Saban O, Levy J, Chowers I. Risk of SARS-CoV-2 transmission to medical staff and patients from an exposure to a COVID-19-positive ophthalmologist. Graefes Arch Clin Exp Ophthalmol. 2020 Oct;258(10):2271-2274. doi: 10.1007/s00417-020-04790-w. Epub 2020 Jun 21. PMID : 32 567 041 ; PMCID : PMC7306185)) est assez démonstratif.

L’examen des infections nosocomiales d’un hôpital indien conclut ainsi :

« Malgré l’admission d’un grand nombre de patients COVID-19 et une proportion relativement importante de membres du personnel hospitalier testés positifs pour la maladie, la proportion de COVID-19 nosocomiale dans notre centre est restée faible. »

D’ailleurs avant l’apparition des pseudo vaccins, la prévention des infections covid par ces moyens traditionnels d’hygiène s’est révélée efficace que ce soit en Espagne(([5] Caro-Martínez E, Abad-Collado S, Escrivá-Cerrudo B, García-Almarza S, García-Ródenas MDM, Gómez-Merino E, Serrano-Mateo MI, Ramos-Rincón JM. Nosocomial COVID-19 Infection in a Long-Term Hospital in Spain: Retrospective Observational Study. Medicina (Kaunas). 2022 Apr 21;58(5):566. doi: 10.3390/medicina58050566. PMID : 35 629 983 ; PMCID : PMC9143631.)) ou à Hong Kong(([6] KL, Yuen KY. Multipronged infection control strategy to achieve zero nosocomial coronavirus disease 2019 (COVID-19) cases among Hong Kong healthcare workers in the first 300 days of the pandemic. Infect Control Hosp Epidemiol. 2022 Mar;43(3):334-343. doi: 10.1017/ice.2021.119. Epub 2021 Mar 19. PMID: 33736729; PMCID: PMC8060541.ôle des infections Hosp Epidemiol)). Mais la croyance que les pseudo vaccins pourraient prévenir les transmissions risque d’inciter au relâchement de l’hygiène et d’augmenter les contaminations.

Accuser les soignants non vaccinés de constituer un vecteur de transmission significatif du covid ne repose sur aucun fait réel rapporté dans la littérature et repose sur un simple a priori quasi religieux.

Les députés pouvaient espérer mieux de ces institutions entretenues à grands frais par nos impôts !

Les pseudo vaccins sont-ils capables d’empêcher les transmissions ? Non !

Pour répondre à cette question, il suffit de consulter les données de l’OMS qui montrent que les grandes campagnes d’injection n’ont pas ralenti l’épidémie, mais au contraire l’ont plutôt stimulée. Au 19 juillet 2022 après un total de 12 219 375 500 doses administrées à près de 60 % de la population mondiale le rythme des contaminations a été multiplié par 3 passant de 8 millions par mois pendant les 10 premiers mois de l’épidémie (avant les vaccins) à 26,7 millions de nouveaux cas mensuels pendant les 18 mois de l’ère vaccinale.

L’aggravation paradoxale du risque d’attraper le covid quand on est vacciné a été initialement observée au Royaume-Uni. En 2021, entre les semaines 39 et 42, un total de 100 160 cas de COVID-19 ont été signalés parmi les citoyens de 60 ans ou plus. 89,7 % des contaminations sont survenues parmi les 89 821 Anglais complètement vaccinés contre seulement 3,4 % parmi les 3 395 non vaccinés.(([7] Agence britannique de sécurité sanitaire. Rapport de surveillance du vaccin COVID-19. Semaine 4328. Octobre 2021.
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1029606/Vaccine-surveillance-report-week-43.))

Cette augmentation des contaminations après vaccination s’observe dans l’ensemble des 185 pays qui ont publié leurs taux de vaccination et de contamination et confirme que « plus on est vacciné moins on est protégé » !

En Israël, une épidémie nosocomiale a été signalée impliquant 16 travailleurs de la santé, 23 patients exposés et deux membres de la famille. La source était un patient COVID-19 entièrement vacciné. Le taux de vaccination était de 96,2 % chez l’ensemble des personnes exposées (151 soignants et 97 patients). Quatorze patients entièrement vaccinés sont tombés gravement malades ou sont décédés, les deux patients non vaccinés ont développé une maladie bénigne.(([8] Shitrit P, Zuckerman NS, Mor O, Gottesman BS, Chowers M. Épidémie nosocomiale causée par la variante SARS-CoV-2 Delta dans une population hautement vaccinée, Israël, juillet 2021. Euro Surveill. 2021 ; 26 (39) doi : 10.2807/1560-7917.ES.2021.26.39.2100822.))

Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont identifié comme des « comtés à transmission élevée » quatre des cinq comtés présentant les pourcentages les plus élevés de population entièrement vaccinée (99,9–84,3 %)(([9] Subramanian SV, Kumar A. Increases in COVID-19 are unrelated to levels of vaccination across 68 countries and 2947 counties in the United States. Eur J Epidemiol. 2021 Dec;36(12):1237-1240. doi: 10.1007/s10654-021-00808-7. Epub 2021 Sep 30. PMID: 34591202; PMCID: PMC8481107))

Cette aggravation paradoxale du risque de contamination après vaccination a été soulignée par d’autres auteurs dans des revues médicales à comité de lecture(([10] Kampf G. The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is decreasing after booster vaccination, as shown by incidence rate ratios-author’s reply. Lancet Reg Health Eur. 2022 Apr 4;16:100376. doi: 10.1016/j.lanepe.2022.100376. PMID: 35392451; PMCID: PMC8978700.
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2666-7762%2821%2900258-1))(([11] Bohnert JA, Ulm L, Hübner NO, Seifert U, Becker K, Kramer A. The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is decreasing after booster vaccination, as shown by incidence rate ratios. Lancet Reg Health Eur. 2022 May;16:100372. doi: 10.1016/j.lanepe.2022.100372. Epub 2022 Apr 11. PMID: 35434686; PMCID: PMC8995670.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35434686/))

En France on a observé aussi cette évolution paradoxale avec un nombre mensuel de contaminations multiplié par 6 depuis les injections :

L’obligation vaccinale des soignants est incapable de protéger les patients. Au lieu de diminuer le risque de contaminations des malades, l’obligation vaccinale des soignants paraît donc même susceptible de l’augmenter !

Les injections diminuent-elles le risque de forme grave et de mourir ? Non !

La consultation des données de l’OMS dément là encore totalement la propagande gouvernementale reprise par l’Académie de médecine et de la HAS qui prétendent, sans rapporter de faits avérés autres que les communiqués biaisés d’Epiphare que les injections protégeraient des formes graves.

Les formes graves sont celles susceptibles d’entraîner la mort et la mortalité observée en représente un témoin fiable. Or depuis les injections la mortalité globale n’a pas diminué dans les pays les plus vaccinés bien au contraire.

Cette courbe des mortalités au 23 juillet 2022 issue des données publiées par l’OMS les situe entre 2000 et 3000/million dans les pays champions des injections contre 183/million en Afrique très peu vaccinée, mais apôtre des traitements préventifs ou précoces par antipaludéens ou artémisine.

Cette aggravation de la mortalité Covid devient plus évidente quelques mois après l’injection. Initialement remarquée en Grande-Bretagne où, depuis avril 2022, d’après l’Office National des Statistiques plus de 90 % des morts covid touchent les multi vaccinés.

Elle s’observe maintenant aussi en France. Depuis juin 2022 la mortalité attribuée au Covid atteint 3/10 000 000 chez les non-vaccinés contre 4/10 000 000 chez les vaccinés.(([12] https://covidtracker.fr/vaximpact/))

Les soignants qui ont refusé les injections ne sont pas des antivax comme les qualifient mensongèrement le gouvernement et les médias. Avant la crise covid ils avaient tous accepté les vaccins prévus par leur fonction, les avaient conseillés et souvent injectés à leurs patients.

Mais mieux informés que la population, ils n’ont pas voulu se faire injecter un médicament expérimental de plus issu d’une technique jamais utilisée en pathologie infectieuse avant la publication complète des résultats des essais phase 3 (prévue pour février 2023). Leurs inquiétudes avaient d’ailleurs été ravivées par les complications post injections qu’ont subies leurs collègues vaccinés avant eux.

Ces soignants ont appliqué le principe de précaution : ce sont des vaccino prudents et les très mauvais résultats actuels des pseudo vaccins montrent qu’ils avaient malheureusement raison.

Sandra, infirmière anesthésiste suspendue(([13] https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/gard/nimes/violent-et-malveillant-des-soignants-non-vaccines-denoncent-la-maltraitance-institutionnelle-2475517.html)):

« Depuis le mois de septembre, nous sommes mis en marge de la société et précarisés pour avoir simplement fait un choix légitime qui est celui de préserver notre intégrité physique en refusant ces injections »

Les appels de certains à « punir les non injectés » sont donc médicalement stupides et éthiquement nauséabonds. Comme ils concernent des médicaments expérimentaux, il s’agit d’un essai non déclaré réalisé sans consentement libre et éclairé, ce qui réitère les pratiques des expériences vaccinales nazies qui ont justifié plusieurs condamnations à mort des médecins qui les ont pratiquées.(([14] https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe85002278/proces-des-medecins-nazis))

Dans cette propagande pseudo vaccinale scientifiquement infondée se disputent l’ignorance et la corruption qui mettent la vie de la population crédule en danger comme le rappelait récemment le Lancet

Les avis infondés de l’Académie de médecine
et de la HAS aggravent le manque dramatique de soignants
et mettent en danger la vie des Français.

Actuellement plus de 120 services d’urgence ne peuvent plus fonctionner normalement(([15] https://rmc.bfmtv.com/actualites/societe/sante/manque-de-personnel-16-des-services-d-urgence-en-grande-difficulte_AV-202205270139.html)) et de nombreuses interventions chirurgicales nécessaires sont retardées faute de personnel et les déserts médicaux se multiplient partout en France. Et la seule solution proposée par le ministre Braun est la fermeture des urgences la nuit !

Le manque chronique de soignants dû aux salaires insuffisants et à la gestion bureaucratique purement financière de plus en plus tatillonne n’est pas nouveau. Il a été dramatiquement aggravé par la gestion autoritaire de la crise Covid dévalorisant les médecins généralistes, leur interdisant de prescrire selon leur conscience, instaurant une censure sévère avec création d’un délit d’opinion.

La goutte d’eau responsable de la catastrophe actuelle est l’obligation « vaccinale » d’un médicament totalement expérimental issu d’une technique expérimentale en infectiologie. En plus des 15 000 soignants officiellement interdis d’exercer, de nombreux médecins ont préféré prendre une retraite anticipée, et certains soignants en formation ont interrompu leurs études aboutissant à un déficit réel proche de 50 000.

Il existe actuellement en France largement suffisamment de soignants diplômés (312 172 médecins), mais la densité des médecins en activité baisse et certains modes d’exercice sont boudés (urgentistes, anesthésistes, chirurgiens). La suppression de l’obligation « vaccinale » ne déciderait pas tous les soignants qui l’ont refusée à reprendre leur activité, car la discrimination ignoble dont ils sont encore victimes les a profondément marqués, mais le retour de même de seulement la moitié d’entre eux soulagerait le système sanitaire en rupture.

Le refus de l’Académie de médecine et de la HAS de réintégrer les soignants vaccino prudents pérennise le manque de soignants et mettent en danger la santé des Français. Cet été et à l’automne prochain, si vous trouvez les urgences de votre hôpital fermées et s’il n’y a plus de médecin dans votre région transformée en désert médical, vous pourrez en remercierles ayatollahs de l’Académie de médecine et de la Haute Autorité de Santé





Le Certificat COVID numérique de l’UE, outil de fichage à la chinoise des citoyens européens

Par Gérard Delépine

Le certificat COVID numérique de l’UE est entré en vigueur le 1er juillet 2021. Son règlement a été officiellement modifié le 14 juin 2022 prolongeant sa durée jusqu’en 2023. Le but officiel de ce passe sanitaire européen serait de « faciliter la libre circulation entre les pays membres » alors qu’en réalité il empêche la circulation des non-vaccinés et viole ainsi les principes fondateurs de l’Union européenne : libre circulation et non-discrimination des citoyens.

Ce certificat COVID numérique exprime en réalité la volonté de la Commission européenne de ficher tous les citoyens pour possiblement instaurer un contrôle de la population à la chinoise. Nous rappellerons ici que ce certificat comme tous les passes :

  • 1°) n’a aucune efficacité contre la propagation de l’épidémie ;
  • 2°) parce que les vaccins sont inefficaces ;
  • 3°) il constitue un pur chantage pour forcer le consentement à des médicaments expérimentaux ;
  • 4°) il crée une discrimination intolérable entre les citoyens ;
  • 5°) il organise la conservation illimitée des données personnelles particulièrement sensibles.

Les passes sanitaires ont tous été totalement incapables de ralentir la diffusion de l’épidémie

Nous l’avons observé en France (données de l’OMS) avec l’explosion des cas début 2022 :

Même constatation en Roumanie en février 2022 :

Mais aussi en Suède :

Cette incapacité des passes à enrayer l’épidémie a été constatée dans tous les pays qui les ont instaurés comme le montre le graphique ci-après des évolutions de l’épidémie en Europe.

Les passes donnent un faux sentiment de sécurité favorisant l’abandon des précautions d’hygiène propice à la reprise des contaminations.

L’échec total des passes a motivé leur abandon dans la quasi-totalité des pays qui les ont utilisés. Cet échec résulte de l’inefficacité des pseudo vaccins à empêcher les transmissions.

La pseudo vaccination est inefficace contre les transmissions et paraît même les augmenter !

Soulignons que les pseudo vaccins qu’on tente de nous imposer ne sont pas des vaccins (ils ne contiennent aucun antigène ni aucune anatoxine), mais des médicaments. Ils sont de plus expérimentaux, puisque leurs essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023. Leur utilisation généralisée en population mal informée constitue un essai qui ne respecte pas les conditions de surveillance traditionnelles, ni le code de Nuremberg, ni la convention d’Oviedo (cf infra) que la France a signée et nous est opposable.

Fin octobre 2021, trois adultes sur quatre dans l’UE étaient complètement vaccinés. Or, dans le même temps, on observait une recrudescence de la pandémie de Covid-19 dans de nombreux États membres. La comparaison avec l’Afrique et les USA suggère même qu’un taux élevé de vaccinations dans une population serait susceptible d’augmenter le risque de contaminations ainsi que le montre le graphique suivant :

L’Afrique, très peu vaccinée (10 %), mais qui utilise des traitements antipaludéens, comptabilise 60 fois moins de cas par million d’habitants (8000 cas/M) que la France (477 000 cas/M). Et on ne peut pas prétendre que c’est l’âge plus jeune des Africains qui explique telle différence, car si la gravité de la maladie est très dépendante de l’âge la contamination l’est beaucoup moins.

Un des buts du certificat covid européen est de contraindre les Européens à accepter les injections

En réalité le certificat Covid numérique de l’Union européenne ne veut qu’institutionnaliser le chantage « vacciné continuellement ou astreint à résidence dans son pays ». Pour ce faire elle recommande aux États membres de se mettent d’accord sur une durée de validité de neuf mois pour les certificats, pour forcer l’acceptation de doses de rappel itérative six mois après le schéma complet de vaccination.

Si son but était de faciliter la circulation, comme elle le prétend, elle exigerait la suppression de toutes les mesures de restrictions des libertés comme le font d’ailleurs progressivement presque tous les États européens (sauf la France, Malte et l’Italie)

Mais la commission a commandé 1,3 milliard de doses qu’elle veut nous injecter de force alors que pourtant elle ne peut plus ignorer que les pseudo vaccins sont inefficaces et dangereux. !

Ce contournement du consentement libre et éclairé pour tout acte médical sur l’être humain, contraire au serment d’Hippocrate de l’association médicale internationale.(([1] https://www.wma.net/fr/news-post/lassociation-medicale-mondiale-approuve-un-nouveau-serment-pour-les-medecins/))(([2] https://www.atousante.com/sante-travail/medecin-sante-travail/serment-du-medecin-association-medicale-mondiale/))

De plus comme les injections sont expérimentales, leur utilisation constitue un essai qui viole la convention d’Oviedo(([3] https://www.coe.int/en/web/conventions/full-list?module=treaty-detail&treatynum=195))(([4] https://rm.coe.int/168008372e)) signée par les pays européens et qui stipule entre autres :

« L’intérêt et le bien de l’être humain qui participe à une recherche doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. »

Article 12 — Absence de pression :

« Aucune pression y compris d’ordre financier, ne sera exercée sur des personnes pour obtenir leur participation à une recherche »

Article 13 — Information à fournir aux personnes participant à une recherche :

« Les personnes sollicitées pour participer à un projet de recherche reçoivent une information adéquate, sous une forme compréhensible ».

Lors du procès des médecins à Nuremberg, huit des médecins accusés ont été condamnés à mort précisément parce qu’ils avaient imposé des traitements expérimentaux (dont plus de la moitié étaient des vaccins) sans demander le consentement libre et éclairé des participants.

Ce certificat européen crée une discrimination majeure, inefficace et nocive entre citoyens

Entre les vaccinés autorisés à voyager d’un pays à l’autre et les autres, devenus citoyens de seconde zone parce qu’ils n’acceptent pas l’injection expérimentale parfaitement inefficace contre la transmission virale. Une telle discrimination entre citoyens privant de travail de nombreux pompiers et soignants parce qu’ils sont vaccino prudents n’avait plus été instituée en Europe depuis celle des juifs par les nazis. Outre qu’elle est contraire à l’éthique, elle est totalement disproportionnée puisque totalement inefficace contre la propagation de la maladie.

Les conséquences délétères de cette discrimination sont considérables puisqu’elle prive les vieux des Ehpads et les hospitalisés de visites, les malades non vaccinés de consultations programmées et les hôpitaux d’un personnel devenu si rare que les urgences ferment et que les blocs opératoires rationnent les interventions pendant que le nombre de déserts médicaux augmente rapidement.

La commission européenne montre qu’elle est douée d’humour puisqu’elle proclame dans les attendus de son certificat covid : « toute mesure restreignant la libre circulation doit être non discriminatoire et proportionnée. »

Mais le but réel est peut-être le stockage informatique des données les plus personnelles des citoyens afin de les préparer à un « crédit social » à la chinoise ?

En France, nous avons l’expérience du provisoire qui dure longtemps. Le certificat sanitaire européen organise le stockage électronique de données médicales personnelles particulièrement sensibles qui avait d’ailleurs été refusé lors de la progression du Sida pourtant autrement plus mortifère.

La commission prétend que ces informations sont protégées et seulement détenues par chaque gouvernement, mais l’expérience du piratage de sites extrêmement protégés (pentagone, CIA…) et l’hébergement de nos données par des organismes américains rendent cette prétendue sécurisation très douteuse.

Alors pourquoi la commission s’obstine-t-elle à pérenniser sans date limite définitive un fichage inefficace contre une épidémie avec laquelle on nous dit « qu’il faut vivre avec ? »

On peut craindre que ce passe rebaptisé constitue l’amorce du fichage global de la population auquel la commission demandera d’ajouter bientôt le profil énergétique de chacun (pour sauver la planète !) puis ses informations financières (pour lutter contre les trafics de drogues !), et bancaires (pour imposer la suppression de l’argent liquide) puis fiscales… le but de ce fichage global de la population étant le contrôle total de la population à la chinoise.

Les vrais démocrates ne peuvent que refuser ce certificat qui n’a aucun intérêt sanitaire, qui instaure une discrimination majeure sous un prétexte sanitaire. Depuis 2 siècles nous avons toujours vaincu les pires épidémies modernes (peste, choléra, typhus, typhoïde, Hépatite A, poliomyélite, dysenterie…) par l’hygiène sans aucune restriction de nos libertés. Nous n’avons aucune raison scientifique d’en accepter pour cette mauvaise grippe appelée Covid, car lorsqu’on accepte une perte de liberté transitoire, on ne sait jamais si on pourra un jour la récupérer.

La liberté est le plus précieux des droits fondamentaux conquis par nos ancêtres. Ne laissons plus des gouvernants totalitaires nous en priver sous de vains prétextes !