L’OTAN dans la tourmente

[Source : Brochu TV]

La mort d’Alexeï Navalny (devenu opposant professionnel après avoir été escroc) est intervenue justement le premier jour de la Conférence de Munich, alors qu’il était incarcéré dans une colonie pénitentiaire de la région de Yamalo-Nénétsie, dans le nord de l’Oural. Son poids politique ne cessait de baisser en Russie, bien avant son interpellation. L’Occident a ainsi obtenu — et au bon moment — sa victime sacrificielle. Pourtant, Navalny n’est pas l’Archiduc, sa mort ne produira aucune onde de choc en Russie et elle ne sortira pas les pays atlantistes de leur impasse face à la Russie. Ce n’est, au-delà du décès d’un être humain, qu’un événement médiatique et non politique.




Salon de l’agriculture : 3 choses à retenir et les intentions de Macron qui vous ont échappé !




Chauffage agricole à Bruxelles

Et autres nouvelles du monde paysan




« J’irai jusqu’à la mort ! » : Le combat héroïque de l’agriculteur Pierre-Guillaume Mercadal

[Source : Tocsin]

Pierre-Guillaume Mercadal, éleveur de cochons laineux à Montjoi, dans le Tarn-et-Garonne (@CochonsLaineux), remet l’église au centre du village :

« Tuer les paysans français pour sauver des petits paysans ukrainiens, ça n’aurait aucun sens ! Nous tuons des paysans français pour enrichir des milliardaires américains qui ont confisqué les terres des Ukrainiens. Le vrai danger, il est pour les Français, car après, la France n’aura plus de souveraineté alimentaire ! »




Récompense virale de 1 500 000 euros

[Source : Isolate Truth Fund—Samuel Eckert]

Par Samuel Eckert

[Illustration : le personnage à droite est le professeur (?) Christian Drosten qui a été un acteur principal dans la « pandémie Covid-19 ». C’est lui qui a reçu des autorités chinoises les « séquences » du « virus SARS-CoV-2 » qui lui ont permis de proposer un test à l’OMS que celle-ci a immédiatement validé. NdT.]

NOUS AVONS CONSTATÉ…

Tous les virologues, et pas seulement ceux qui sont représentés, se sont trompés eux-mêmes et ont trompé le public en affirmant l’existence de virus pathogènes tels que le SRAS-CoV-2. Les virologues tuent involontairement des cellules dans des éprouvettes et pensent que cela prouve la présence et l’isolement d’un virus. Ce n’est qu’à partir de fragments de cellules mourantes que les virologues construisent mentalement une séquence génétique et la font passer pour un fait. Les méthodes de test n’offrent donc aucune valeur ni signification. Les structures typiques de cellules mourantes observées au microscope électronique sont présentées comme des virus. De telles structures n’ont encore jamais pu être détectées ou reconnues chez un être humain !

NOTRE BUT

Ces dérives ont éloigné la médecine de la réalité et de la compréhension de la vraie santé. Nous souhaitons contribuer à faire comprendre à tous, de manière approfondie, ce qu’est la maladie et la santé.

NOUS GARANTISSONS :

1,5 million d’euros pour un virologue qui apporte la preuve scientifique de l’existence d’un corona virus, y compris des expériences de contrôle documentées de toutes les étapes de la preuve.

Topez-là, le pari est tenu !

Il s’agit de réfuter

  1. Les virologues interprètent la mort des cellules en laboratoire comme étant d’origine virale. En raison de l’absence d’essais de contrôle, ils ne voient pas qu’ils tuent eux-mêmes et involontairement les cellules en laboratoire, en les affamant et en les empoisonnant. Cette interprétation erronée repose sur une seule publication de John Franklin Enders et d’un collègue datant du 1er juin 1954. Cette publication a fait l’objet d’une décision de la plus haute instance judiciaire lors du procès sur le virus de la rougeole, selon laquelle elle ne contenait aucune preuve d’un virus. Cette publication est devenue la base exclusive non seulement de la virologie de la rougeole, mais aussi de toute la virologie depuis 1954 et de l’hystérie de Corona. (NdT : Il s’agit du célèbre procès gagné en 2016 par Stefan Lanka devant la plus haute juridiction allemande — la cour fédérale de Justice de Karlsruhe — qui a montré que les preuves apportées par l’Institut Robert Koch, équivalent allemand de l’Institut Pasteur, censées prouver l’existence du virus de la rougeole n’avaient aucune valeur scientifique).
  2. Les virologues assemblent mentalement/par programme informatique de très courts morceaux d’information génétique de cellules mourantes en un très long brin de patrimoine génétique qu’ils font passer pour le brin du patrimoine génétique d’un virus. Ce processus intellectuel/programme informatique est appelé alignement. Ce faisant, ils n’ont pas effectué les essais de contrôle, la tentative de construire mentalement/par programme informatique le brin du patrimoine génétique souhaité à partir de courts morceaux d’information génétique provenant de sources non infectées.
  3. Pour l’alignement d’un virus, les virologues ont toujours besoin d’un brin de génome viral prédéterminé. Mais ils ne font que toujours utiliser à cet effet un brin de patrimoine génétique généré par la pensée ou par programme informatique, et jamais un brin réel, trouvé dans la réalité. Ils n’effectuent jamais d’essais de contrôle pour savoir si, à partir de l’ensemble des données existantes, des informations héréditaires pourraient ou non également être construites et donner des brins de matériel génétique « viraux » d’autres virus.
  4. Les virologues n’ont jamais vu ni isolé de « virus » chez les humains, les animaux, les plantes et leurs fluides. Ils ne l’ont fait qu’en apparence, de manière indirecte et toujours dans un laboratoire au moyen de systèmes cellulaires très spéciaux et artificiels. Ils n’ont jamais mentionné ou documenté les essais de contrôle pour savoir s’ils avaient également réussi à représenter et à isoler des virus dans et à partir de personnes, d’animaux, de plantes ou de leurs fluides.
  5. Les virologues n’ont jamais isolé les prétendus virus qu’ils photographient au microscope électronique, ne les ont jamais caractérisés biochimiquement et n’en ont jamais extrait leur supposé matériel génétique. Ils n’ont jamais réalisé ou publié d’expériences de contrôle pour savoir si, après l’isolation de ces structures, des protéines « virales » (de l’enveloppe du virus) et surtout le brin de patrimoine génétique viral, qui est censé être l’élément central et la caractéristique d’un virus, pouvaient effectivement être mis en évidence.
  6. Les virologues font passer pour des virus ou des composants viraux des artefacts typiques de tissus/cellules mourants et des structures typiques qui apparaissent lors de l’agitation de composants cellulaires tels que les protéines, les graisses et les solvants utilisés. Ici aussi, les essais de contrôle avec des cellules/tissus non infectés, mais traités de la même manière, font défaut.
  7. Les soi-disant expériences de transmission auxquelles se livrent les virologues pour prouver la transmissibilité et la pathogénicité des virus présumés réfutent toute la virologie. Ce sont manifestement les expériences elles-mêmes qui déclenchent les symptômes présentés comme preuve de l’existence et de l’effet des virus présumés dans l’expérimentation animale. Ici aussi, il n’y a pas d’expériences de contrôle dans lesquelles on fait exactement la même chose, mais avec du matériel non infecté ou stérilisé.

Traduction Jean Bitterlin 22 février 2024




Mégabassines, histoire secrète d’un mensonge d’État

[Source : Off Investigation]

Entre Niort et La Rochelle, s’étend sur 100 000 hectares le parc naturel du Marais poitevin, deuxième zone humide de France. Depuis quelques années, il est asséché et pollué par des cultures intensives de céréales irriguées par des « mégabassines » massivement subventionnées par les pouvoirs publics. Pour Off investigation et Reporterre, la réalisatrice Clarisse Feletin a rencontré les principaux acteurs de cette guerre de l’eau et confronté les pouvoirs publics à leurs responsabilités. Elle en a tiré ce documentaire de 55 minutes, second épisode de la saison 2 de notre série « Emmanuel, un homme d’affaires à l’Élysée ».




« Plus le conflit dure, plus l’échec de l’Ukraine sera marqué »

[Source : investigaction.net]

Par Grégoire Lalieu

Voilà deux ans que la guerre est ouverte entre la Russie d’une part, et l’Ukraine ainsi que les pays occidentaux qui la soutiennent d’autre part. Va-t-on repartir pour deux années de plus ? Des pays européens viennent en tout cas de signer des accords de sécurité avec Kiev pour entériner leur aide. Mais selon Jacques Baud, pas de quoi changer la situation sur le champ de bataille qui, de l’aveu même des Ukrainiens, est mauvaise. Ancien colonel des renseignements pour la Suisse et l’OTAN, il analyse pourquoi l’Europe s’entête à poursuivre une guerre qui ne peut être remportée, quel pourrait être l’impact des élections aux États-Unis, les tensions qui traversent le camp ukrainien ou encore les visées de l’armée russe.

Après le Royaume-Uni en janvier, la France et l’Allemagne viennent de signer avec l’Ukraine des accords de sécurité pour les dix prochaines années. Qu’est-ce que cela implique concrètement ?

Ces accords ont plus une portée politique que concrète. Ils visent à figer le conflit. Après des revers successifs dont l’échec de la contre-offensive ukrainienne ou plus récemment la chute d’Avdiivka, un nombre croissant de pays occidentaux ne voient plus vraiment où cette guerre va conduire, ils s’interrogent sur la pertinence de l’aide. De manière générale, la situation sur le front est mauvaise, de l’aveu même des Ukrainiens. Nous avons beau essayer de nous convaincre nous-mêmes que la Russie va perdre et que l’Ukraine va gagner, en réalité, personne ne voit vraiment comment l’aide occidentale pourrait conduire à un succès.

Pour l’heure, les Européens affichent encore haut et fort leur soutien à l’Ukraine. Mais aux États-Unis, les interrogations sont plus marquées. L’enveloppe de 60 milliards de dollars promise par Joe Biden reste bloquée au Congrès.

Les Américains ont un comportement beaucoup plus mercantile, ils veulent un retour sur investissement. Or, ils constatent qu’ils versent de l’argent dans un trou noir. Ils ne sont pas une organisation de bienfaisance. Selon le général Lloyd Austin, secrétaire à la Défense, ils ont deux objectifs : restaurer la souveraineté de l’Ukraine dans ses frontières de 1991 et affaiblir la Russie. Depuis l’été 2023, on constate que le premier est clairement hors de portée et on est obligé de reconnaître que cette crise n’a fait que renforcer la Russie. Autrement dit, la finalité de l’aide occidentale n’est pas en cohérence avec la réalité du terrain. Les Occidentaux constatent en 2024 ce que j’avais démontré dans mes ouvrages en 2022 déjà : vous pouvez imaginer le nombre de vies humaines que nous aurions pu épargner…

Mais alors quel bénéfice l’Ukraine peut-elle retirer de cette aide ?

Littéralement aucun. Nous ne faisons qu’enfermer l’Ukraine dans une situation désespérée. De plus, plus le conflit dure, plus l’échec de l’Ukraine sera marqué. C’est d’ailleurs l’aspect le plus surprenant de ces nouvelles promesses de soutien à l’Ukraine. Manifestement, elles ne vont pas permettre d’inverser la tendance, elles serviront tout au plus à prolonger le conflit. Ce qui ne joue pas en faveur de l’Ukraine. Si on voulait humilier les Ukrainiens, on ne ferait pas mieux. C’est assez tragique.

Si nous avions vraiment voulu aider l’Ukraine, nous l’aurions poussée et aidée à mettre en œuvre les solutions politiques existantes, notamment les Accords de Minsk de 2015, la proposition de Zelensky en mars 2022 ou le dialogue entre les deux pays proposé en août 2022. Chaque fois la Russie a été d’accord et chaque fois les Européens sont intervenus pour empêcher la solution.

Le conflit pourrait-il être figé de manière durable ? L’an dernier, des analystes US évoquaient ouvertement un scénario à la Coréenne.

Il y a deux manières de faire durer le conflit. Figer la ligne de front et faire durer la guerre ad aeternam en est une. Mais les Russes ne veulent pas d’un conflit gelé, ils veulent une solution. Évidemment, nous ne savons pas quelles seront les modalités. Elles dépendront des négociations. Une chose est sûre : les Occidentaux ne peuvent déterminer seuls l’issue d’événements qui impliquent différentes parties. C’est pourtant ce que nous essayons de faire à chaque fois, en répondant à la place d’un acteur tout en faisant le jeu de l’autre. Et ça ne fonctionne pas. Ça ne fonctionne pas en Palestine depuis 75 ans. Ça ne fonctionne pas en Ukraine depuis plus de 20 ans. Nous avons voulu déterminer unilatéralement les règles du jeu et le vainqueur. Mais les faits le démontrent, ce qui se passe n’est pas forcément ce que nous avons décidé.

L’autre façon de faire durer le conflit ?

Continuer à faire parler les armes comme nous le faisons. Mais nous savons depuis l’année passée que cela joue en défaveur de l’Ukraine. Nous avons tiré des plans sur la comète sans passer par une véritable analyse stratégique. Nous avons ainsi cherché à nous convaincre que la contre-offensive allait retourner le jeu alors que nous savions qu’elle ne pouvait pas réussir. Je l’avais naturellement écrit dans mes livres, mais même les Américains doutaient de son succès. Et ça s’est confirmé. Au-delà de petits succès tactiques, notre soutien n’a pas eu d’effets sur le déroulement de la guerre en général.

Certains profitent-ils de la situation malgré tout en Occident ?

On peut penser à l’industrie de l’armement qui en tire certainement un bénéfice. Mais ce n’est pas le moteur du problème. D’ailleurs si tout avait fonctionné comme se l’étaient imaginé nos décideurs, il n’y aurait pratiquement pas eu de guerre sur le terrain. Rappelez-vous que Bruno Le Maire, le ministre français de l’Économie annonçait l’effondrement de la Russie en quelques semaines par des moyens économiques,

Les seuls qui pourraient profiter de cette situation sont les Américains. Et leurs véritables raisons sont strictement géostratégiques. Les Américains partent du principe suivant : tant que la Russie est en guerre, elle est affaiblie. Et ils pensent qu’en affaiblissant la Russie, ils affaibliront la Chine, qui est leur véritable cible.

Stratégie payante ?

Non, ce sont à nouveau des calculs de bureaucrates. Non seulement cela ne s’est pas produit. Mais de plus, en voulant isoler la Russie, nous l’avons rapprochée de la Chine. Si bien que le bloc asiatique est renforcé et relativement compact, malgré toutes les projections occidentales sur les mauvaises relations entre Pékin et Moscou. On a notamment prétendu que la Chine méprisait la Russie et la considérait comme une quantité négligeable. Mais contrairement aux Occidentaux qui trient les peuples des plus forts aux plus faibles et qui évaluent l’importance d’un allié en fonction de son PIB, les Chinois voient les choses avec beaucoup de pragmatisme. La Russie est leur alliée et on voit aujourd’hui que leurs diplomaties sont très complémentaires, sans chercher à savoir laquelle est la meilleure ou la plus forte. Ce sont deux pays qui travaillent ensemble, tout simplement.

Si l’Occident est incapable de pousser l’Ukraine vers la victoire ni même d’affaiblir la Russie et à travers elle, le bloc asiatique, pourquoi s’obstiner à poursuivre le conflit ?

Il y a deux choses : d’une part nos dirigeants restent persuadés que la Russie est de facto plus faible si elle est en guerre ; d’autre part, ils pensent que cette guerre deviendra de moins en moins populaire si bien qu’elle pourrait constituer une source de mécontentement conduisant à un changement de pouvoir en Russie.

À ceci s’ajoute une troisième raison : nous sommes incapables de reconnaître que nous avons fait un mauvais calcul. Il s’agit à présent de nous protéger nous-mêmes, de sauver notre narratif en poussant l’Ukraine à rattraper les choses. En fait, nous jouons avec le sang des Ukrainiens. Et ils commencent à s’en apercevoir, un peu tard. Certains restent fidèles à la ligne du gouvernement Zelensky et continueront à se battre. D’autres commencent à réfléchir et prennent conscience qu’ils ont été manipulés par notre désinformation. La question est de savoir ce qu’ils vont faire dans les prochaines semaines ou prochains mois. En politique intérieure, c’est un enjeu majeur pour Zelensky.

Ces tensions internes expliquent-elles le limogeage, début février, du général Zaloujny qui était à la tête des forces armées ukrainiennes et qui semblait vouloir négocier la fin du conflit avec les Russes ?

Je ne suis pas sûr de cette accusation de collusion possible entre Zaloujny et la Russie. Je pense qu’il s’agit plutôt d’une tactique pour couvrir des problèmes plus profonds dans la conduite ukrainienne de la guerre. Comme je l’avais déjà écrit dans mes ouvrages dès 2022, depuis la bataille de Bakhmout, Zelensky est en conflit avec une partie de sa hiérarchie militaire. Zelensky voit sa popularité baisser tandis que celle de ses généraux augmente. Or, quand une armée devient plus populaire que le pouvoir politique, ça peut poser un certain nombre de problèmes.

Ceux qui suivent la situation en Ukraine savaient que le conflit entre Zelensky et Zaloujny couvait depuis un certain temps. En début d’année, le général avait même refusé l’ordre de quitter ses fonctions, alors que Zelensky est le commandant en chef d’après la Constitution ! Les tensions ont perduré jusqu’au renvoi de Zaloujny en février. Si l’on ajoute à cela que Zaloujny est généralement considéré comme « l’homme de Washington », cela donne une mesure de l’importance des antagonismes entre les différents blocs politiques au sein de l’Ukraine. Ils sont plus forts que ce qu’on imagine.

La situation reste donc compliquée pour Zelensky ?

Il sait qu’il ne peut pas gagner la guerre. Mais d’un autre côté, il doit continuer à se battre pour avoir le soutien des Occidentaux. En fait, Emmanuel Macron, Ursula von der Leyen ou Annalena Baerbock… Tous ces dirigeants occidentaux tiennent Zelensky en otage. Leur but est d’affaiblir la Russie. Et Zelensky est leur exécutant. Mais ce faisant, non seulement il n’a pas de succès sur le terrain, mais il constate qu’il perd des vies et que sa popularité en pâtit. Son intérêt serait d’arrêter. Or, s’il arrête, les Occidentaux ne le soutiendront plus. Il ne risque pas seulement sa place. À tort ou à raison, il doit penser que s’il changeait d’orientation à l’égard de la Russie, il se ferait éliminer. C’est ce que lui avait promis Dmytro Yarosh, dirigeant d’extrême droite en Ukraine(([1] Лилия Рагуцкая, « Ярош: если Зеленский предаст Украину — потеряет не должность, а жизнь », Obozrevatel, 27 mai 2019, (https://incident.obozrevatel.com/crime/dmitrij-yarosh-esli-zelenskij-predast-ukrainu-poteryaet-ne-dolzhnost-a-zhizn.htm))) et que nos médias soutiennent(([2] En 2019, Dmytro Iaroch, fondateur du mouvement Pravy Sektor, confie dans une interview que si Zelensky applique les accords de Minsk pour mettre fin à la guerre du Donbass, il serait pendu à un arbre de Khreshchatyk, la principale allée de Kiev. [NDLR] )). Aujourd’hui Zelensky est donc assis entre deux chaises.

L’intérêt des États-Unis à poursuivre la guerre est d’affaiblir la Russie et à travers elle, la Chine. Quel est l’intérêt des Européens ?

Ils n’ont aucun intérêt dans ce conflit. Ni avant ni maintenant. L’Union européenne aurait dû écouter les Russes et les gouvernements ukrainiens de l’époque qui proposaient en 2012 une solution tripartite. L’économie ukrainienne aurait été renforcée, la Russie en aurait profité aussi et l’UE n’aurait pas eu besoin de dépenser des milliards dans une guerre qu’elle perd de toute façon — ne parlons même pas des vies ukrainiennes sacrifiées. Alors à la tête de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a refusé, bien que le seul bon sens aurait voulu que nous acceptions cette solution. Aujourd’hui, nous glissons lentement vers une situation où l’Ukraine pourrait disparaître en tant qu’État et où l’investissement européen se trouverait réduit à néant.

Si cette solution avait été acceptée, l’UE aurait en outre toujours accès au gaz russe bon marché plutôt que d’importer massivement du gaz liquéfié américain…

Évidemment. Plutôt que d’établir des relations win-win [gagnant-gagnant], nous faisons du loose-loose[perdant-perdant]. Nos dirigeants n’ont toujours pas compris que l’Europe n’est pas dépendante de la Russie, mais de l’énergie.

Alors que l’aide US est bloquée au Congrès et pourrait ne jamais arriver, les Européens se retrouvent à dépenser des sommes astronomiques pour une guerre qui n’est pas dans leur intérêt, mais celui des États-Unis ? C’est une situation folle.

Les Européens font ça depuis le début. Ils sont même parfois allés plus loin que les Américains dans les sanctions contre la Russie. Pourquoi ? En réalité, comme l’avait déjà fait en 2003 Donald Rumsfeld, l’ancien secrétaire d’État US à la Défense, il faut distinguer la vieille de la nouvelle Europe. La nouvelle, pour des raisons que nous n’allons pas développer ici, est fanatisée. Elle est très antirusse. Lorsque les pays qui la composent ont obtenu leur indépendance avec la chute de l’Union soviétique, ils n’ont pas franchi le pas vers quelque chose de nouveau. Ils ont simplement mis un label sur la haine qu’ils entretenaient depuis 1939 plutôt que de laisser les conséquences de la Deuxième Guerre mondiale derrière eux. Leur mentalité n’a pas évolué. Et parce qu’ils bénéficient d’un fort appui des Américains, ils exercent une forte influence au sein de l’Union européenne.

Quid de la vieille Europe ?

Je pense à la France, l’Allemagne, l’Italie ou encore le Benelux… Ces pays sont gouvernés par des amateurs qui manquent d’expérience en politique. Ils sont certainement très fort en politique politicienne pour savoir quel pot-de-vin ils vont toucher afin de construire des latrines sur la place du village. Mais ces gens sont incapables de comprendre la complexité du monde politique. On le voit très bien dans leurs réactions avec la Russie, la Chine, la Palestine ou encore le terrorisme. Ces dirigeants créent plus de problèmes qu’ils n’en résolvent, simplement parce qu’ils n’ont pas la capacité de gérer les pays pour lesquels un mandat leur a été confié. C’est assez symptomatique de voir l’indigence intellectuelle de dirigeants allemands comme Scholz ou Baerbock. Ou même Macron en France — ne parlons même pas de Melloni et compagnie. Ce sont des premiers de classe, ils ont su cocher toutes les bonnes cases au QCM, mais ils ne sont pas intelligents, ils n’ont pas la capacité de prendre du recul par rapport aux événements pour les analyser. Ils n’ont pas de culture historique ou politique. Leur capacité à conduire le pays est littéralement navrante.

Les Américains ont une volonté de suprématie, ils ne tolèrent aucun compétiteur. Ils appliquent de manière assez systématique la doctrine Wolfowitz, écrite au lendemain de la première guerre du Golfe (1991) et qui préconise de combattre toutes les puissances qui pourraient « challenger » leur suprématie. Il leur faut combattre la Chine et donc combattre la Russie pour l’affaiblir. Le problème de cette doctrine est qu’elle les a conduits à vouloir abaisser les autres au lieu de s’élever eux-mêmes.

On peut discuter de cette approche, mais au moins il y a une logique. Les Européens n’en ont même pas. Ils suivent bêtement les Américains sans même savoir pourquoi et au détriment de leurs propres intérêts. Ils se sont enfermés dans leur soutien à l’Ukraine. Et les Américains qui pensent à en sortir leur disent : « Vous l’avez voulu, vous l’avez eu. C’est votre problème maintenant. »

En quoi les élections présidentielles qui se tiendront en novembre aux États-Unis peuvent-elles influencer l’évolution du conflit en Ukraine ? Trump a déclaré que s’il était élu, il lui faudrait 24 heures pour régler le problème…

C’est ce qu’il dit. Mais comme Zelensky lui a fait remarquer, il aurait pu empêcher la guerre lorsqu’il était président. Cela étant dit, Trump reflète une position que de plus en plus d’Américains partagent, car ils ne voient plus l’intérêt de financer une stratégie qui n’atteint pas ses objectifs.

Mais on lui reproche d’être trop proche du Kremlin…

C’est pourtant l’un des présidents américains qui a voté le plus de sanctions contre la Russie. Comme de nombreux républicains et démocrates, Trump est avant tout contre la Chine. La question est de savoir : comment aborder la Russie par rapport à la Chine. Deux écoles s’affrontent sur cette question. Selon la première, il faut affaiblir la Russie pour impacter l’ensemble du bloc asiatique. La seconde école préconise de se rapprocher de la Russie, pas parce qu’on l’aime, mais pour l’éloigner de la Chine.

La deuxième école rappelle, dans le sens inverse, ce que Nixon et Kissinger avaient fait durant la guerre froide. Pour empêcher que les relations se développent entre les communistes de Moscou et ceux de Pékin, ils s’étaient rapprochés de la Chine de Mao.

Tout à fait. Nous sommes dans une relation tripartite. L’Union soviétique était le principal rival à l’époque alors que la Chine était un pays en voie de développement. Et on se posait déjà la question de savoir s’il fallait se rapprocher de la Chine ou chercher à la détruire.

La situation est symétriquement inverse aujourd’hui, l’Union soviétique s’étant effondrée et la Chine étant devenue le principal rival. Mais les débats sont toujours les mêmes. Et on les retrouve jusqu’au sein de l’administration Biden. S’il y a des tenants d’un effondrement de la fédération russe comme Antony Blinken ou Victoria Nulland, on trouve aussi à l’intérieur du département d’État des avocats d’un rapprochement avec Moscou. Si Trump est réélu, cette stratégie pourrait être privilégiée, non par sympathie pour Moscou, mais par haine de Pékin.

Est-elle plus viable ?

La Russie ne sera jamais considérée comme un allié à part entière de toute façon. De plus, les dégâts sont tellement importants à présent que la liberté d’action de Trump serait limitée. Enfin, les Russes ne sont pas nés de la dernière pluie. Ils ont bien compris quel était le jeu possible de Washington. Poutine a même dit qu’il préférerait que Biden reste au pouvoir !

On peut aussi imaginer qu’aujourd’hui, il serait plus difficile de détricoter les liens entre la Russie et la Chine.

Tout à fait. On ne va plus changer ça. On est pratiquement arrivé à un point de non-rupture. Poutine a d’ailleurs déclaré à plusieurs reprises qu’il laissait toujours la porte ouverte, mais qu’il ne prévoyait pas de se rapprocher de l’Occident. Il considère que la page est tournée.

Dans la préface du livre « Ukraine : La guerre des images », vous écriviez qu’il était nécessaire de « rééquilibrer notre lecture des problèmes afin d’y trouver des solutions durables » et que le « narratif occidental était le principal obstacle à un processus de paix ». Deux ans après le lancement de l’invasion russe, avez-vous le sentiment que la perception du conflit a évolué ?

Bien sûr. Les Occidentaux, et les Européens en particulier, ne réalisent pas de véritable analyse stratégique au-delà des digressions vociférantes des uns ou des autres. Le narratif est l’élément central de leur politique contre la Russie. Or, ils ont reconnu à plusieurs reprises qu’il perdait cette bataille également. Josep Borell déclarait d’ailleurs il y a quelques jours que le narratif global soufflait contre l’Occident, en Ukraine comme au Moyen-Orient. Il soulignait le besoin pour l’Union européenne de remporter cette bataille des narratifs au risque de voir le monde se diviser sous la forme du « rest against the West », c’est-à-dire le reste du monde contre l’Occident.

Le narratif occidental a vendu à l’opinion publique une guerre des méchants Russes contre les gentils Ukrainiens. Nous n’allons pas revenir ici sur toute la genèse du conflit qui a commencé bien avant le 24 février 2022, mais nous savons que l’histoire est un peu plus complexe. Le narratif occidental ne tient plus selon vous ?

Comme je l’avais souligné dans mes précédents ouvrages — « Opération Z » et « Poutine, maître du jeu » — il ne suffit pas de dire que la Russie va perdre pour qu’elle perde. Évidemment, je me suis fait traiter de conspirationniste à l’époque. Mais nous remarquons aujourd’hui que les faits rattrapent le narratif européen. Bien avant 2022, nous avons voulu voir une Russie faible. On a même interdit tout débat contradictoire sur cette simplification extrême. Résultat des courses, nous avons commis la pire faute en matière de stratégie : sous-estimer l’adversaire. Aujourd’hui, des agriculteurs manifestent dans nos rues, bon nombre de ménages souffrent de l’inflation, la Commission européenne revoit à la baisse les prévisions de croissance dans la zone euro et l’Allemagne est même en récession. À côté de ça, selon les chiffres du FMI, l’économie russe a connu une croissance plus rapide que celle de l’ensemble du G7 l’an dernier et connaîtra une nouvelle croissance en 2024.

Le narratif occidental a beau être battu en brèche par la réalité des faits, les dirigeants européens s’obstinent encore et toujours. Qu’est-ce qui pourrait renverser la vapeur ?

On ne va pas renverser la vapeur. Si les dirigeants occidentaux ne voulaient pas cette guerre, ils auraient fait en sorte que les accords de Minsk soient respectés. Or, ils ont provoqué une situation qui ne pouvait conduire qu’à un conflit. Faire machine arrière reviendrait à perdre la face. Pourquoi le feraient-ils alors que ce ne sont « que » des Ukrainiens qui meurent. C’est toujours plus facile de faire la guerre avec le sang des autres. Cela démontre la lâcheté des gouvernements occidentaux.

Certains pays pourraient changer leur fusil d’épaule s’ils se trouvent acculés par d’importants troubles sociaux. Mais rien n’indique que ce soit le cas. D’ailleurs, c’est un peu l’inconvénient de nos démocraties, si j’ose dire. Si nos dirigeants devaient soudainement faire marche arrière, ils devraient expliquer pourquoi ils ne l’ont pas fait plus tôt, ce qui aurait permis d’épargner des vies et des dépenses inutiles. Faire marche arrière reviendrait à reconnaître qu’ils ont été de mauvais dirigeants. Or, ils tiennent à être réélus. Il leur faut donc surenchérir : si on ne soutient pas l’Ukraine, la Russie s’attaquera ensuite aux pays baltes, puis à la Pologne et ce sera enfin notre tour. Cette surenchère verbale permet de donner corps à leur incapacité à diriger les choses et à se remettre en question.

Les réactions à la mort de Navalny s’inscrivent-elles dans cette surenchère ? On passera les insultes — « salopard cinglé » — de Joe Biden à l’encontre de Poutine. La ministre belge des Affaires étrangères a été plus claire sur la réponse à apporter. Hadja Lhabib a déclaré que le soutien à Navalny passait par le soutien à l’Ukraine. Et que « si l’Ukraine est envahie, si la Russie parvient à s’étendre, c’est une dictature qui va se rapprocher un peu plus encore de l’Union européenne. »

Nous sommes dans la sottise la plus totale. Voilà quelqu’un qui connaît manifestement très mal le dossier. Aujourd’hui c’est Navalny, hier c’était Nord Stream : la Russie avait immédiatement été accusée d’avoir saboté les gazoducs, mais on nous dit aujourd’hui que des Ukrainiens ont fait le coup. En fait, ce sont exactement ces réactions dogmatiques de nos dirigeants qui témoignent de l’incapacité intellectuelle, morale et politique à assumer les tâches que nous leur avons confiées. Tant dans les rédactions des médias que dans les états-majors de la Défense ou des services de renseignements, on ne semble plus en mesure de sortir des préjugés et de prendre du recul par rapport aux événements pour les analyser. Plus on avance, plus on se rend compte qu’ils se sont trompés sur tout : l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, le terrorisme, l’Ukraine… C’était pourtant parfaitement prévisible, nous disposions de toutes les indications nécessaires pour anticiper la tournure des événements. Plus inquiétant encore pour nos démocraties : afin de justifier leurs mauvaises décisions, nos dirigeants développent des narratifs dont ils criminalisent toute remise en question. Si vous êtes critique de leur propagande, vous serez accusé de complotisme, d’apologie du terrorisme ou que sais-je.

S’il ne faut pas compter sur les Occidentaux pour parvenir à un accord de paix, l’issue pourrait-elle venir d’autres acteurs internationaux ? La Chine avait notamment formulé des propositions…

Comme en Palestine d’ailleurs, il faudrait imposer un genre de sanctions : si vous n’acceptez de négocier un accord de paix, on ne vous livrera plus ceci ou cela. Mais aucun pays n’a les leviers nécessaires pour faire pression de la sorte sur les Européens. La Chine est sans doute la seule puissance qui pourrait éventuellement le faire. Mais ce n’est pas du tout dans sa mentalité ni dans sa tradition politique d’exercer ce type de pressions pour arriver à un accord de paix.

Deux ans de guerre ouverte entre la Russie et l’Ukraine. Est-on reparti pour deux ans de plus ?

La grande inconnue vient de la situation en Ukraine même. Jusqu’à la fin de l’année passée, elle restait relativement prévisible. Ce n’est plus le cas en raison des fortes tensions au sein de l’appareil d’État, mais aussi entre la population et les autorités. Les médias n’en parlent pas, mais un mouvement de guérilla est en train de se développer avec des Ukrainiens qui se battent à l’intérieur de l’Ukraine contre les autorités ukrainiennes. Ce facteur d’incertitude supplémentaire complique l’évaluation de l’issue du conflit.

Les Russes dans tout ça ?

Les capacités militaires de la Russie ne vont pas faiblir et devraient même augmenter. Si bien que les Russes vont mener d’autres batailles dans le but de mettre la pression sur Kiev et imposer des négociations ou un changement politique. Il y aura sans doute des attentats en Russie ou d’autres types d’attaques. Mais pas de nature à renverser la tendance. La pression sera donc accentuée sur Kiev qui subit déjà d’importantes tensions sur le plan militaire. Notamment à cause du manque de soldats. Il faut les recruter de force, mais si vous les prenez quelque part, c’est au détriment d’autre chose, comme des entreprises qui doivent tourner. Lentement, l’Ukraine se retrouve comme un serpent qui se mord la queue. L’Occident peut apporter des aides financières, matérielles et militaires. Mais il ne peut pas remplacer le capital humain.

Or on sait que le facteur démographique est un grand problème pour l’Ukraine depuis un certain temps déjà…

Oui, et ça se traduit par des tensions politiques. Va-t-on arriver à une partition de l’Ukraine, à une dislocation, à des négociations… Pour l’heure, ce sont les Russes qui tiennent le couteau par le manche. Lors des négociations court-circuitées à plusieurs reprises en 2022, Moscou se disait prête à restituer des territoires. Ce ne sera probablement plus le cas, le train est passé. Les Russes pourront sans doute prendre encore quelques villes, mais ils laisseront le reste, l’enjeu territorial n’étant pas le plus important. En revanche, ils ne transigeront pas sur la neutralité de l’Ukraine. Cet objectif avait été fixé le 24 février 2022 et les Russes continueront tant qu’ils ne l’atteindront pas.

Donc, même si les Européens veulent poursuivre le conflit, cela va devenir de plus en plus compliqué pour l’Ukraine de résister à la pression russe ?

Tout à fait. Nous voyons clairement ce que font les Européens : sacrifier les Ukrainiens pour leur hubris.


Source : Investig’Action


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Notes




L’enjeu de notre intégrité morale

[Source : dondevamos via PG]

Le mouvement de la Résistance apparu grâce à l’opération psychologique du Covid est devenu de facto la nouvelle opposition-exutoire dont avaient justement besoin nos oligarques pour remplacer celle des partis et médias en perte d’audience. Et ce point est crucial pour comprendre ce qui se joue.

Cet article est écrit avec Émilie Mugabo, passée elle aussi par le journalisme et les tentatives d’éveil des consciences.

[Voir aussi :
Acceptons-nous de devenir des objets connectés ?]


Par Émilie Mugabo

L’avancement de l’agenda 2030 et du plan transhumaniste associé a franchi un cap indirect, mais hélas réel et palpable dans les rangs de la dissidence où le sujet numéro 1 est devenu celui de l’infiltration et des manœuvres destinées à neutraliser les mouvements de contestation. On peut s’en désoler ou choisir de l’ignorer et continuer à résister tant qu’il est possible de le faire, à grands coups d’autocensure.

Y voir clair dans le brouillard organisé

Mais le déni ne nous emmènera pas bien loin tant sont désormais manifestes la débauche de moyens humains, techniques et financiers, comme l’anticipation de la caste très en amont pour empêcher le peuple de s’emparer du pouvoir : la démocratie est plus que jamais un tabou absolu dans nos ploutocraties en fin de course, persuadées qu’elles sont de n’être plus qu’à un pas du contrôle absolu des masses.

Et pourquoi n’y croiraient-elles pas alors que leurs plans fonctionnent depuis si longtemps ? Combien de révolutions confisquées, de pseudo-victoires des peuples ou bien d’un pays contre l’autre, d’un parti contre l’autre ou d’une religion contre une autre ? Toutes ces sucettes amères offertes en récompense à une humanité immature, ravie qu’on la rassure et la protège des méchants. « C’est fini, nous avons gagné »…

Vraiment ? Est-ce vraiment déjà arrivé ?

Avant qu’on nous la refasse encore à l’envers, regardons avec un peu de lucidité les échecs passés et où pourrait bien nous mener à nouveau cette propension à minimiser « le plan dans le plan » et à suivre les leaders au parfum nostalgique d’antan.

Sans remonter bien loin, on se gardera par exemple d’occulter combien des personnages bien connus comme François Mitterrand, Roland Dumas, Nicolas Sarkozy, Bolloré, Charles Pasqua, Lafargue, Martin Bouygues ou encore Attali ont œuvré à la fabrique de l’opposition en France autant qu’en Françafrique tout en travaillant dans le même temps aux intérêts des vendeurs d’armes, de la haute finance et du puissant cartel de la pétrochimie qui lui-même enfanta Big Pharma.

Est-ce que le degré de complicités, de peur, de corruptions, de pressions et d’omerta nécessaire aux pillages, coups d’État arrangés, détournements et abus sociaux fomentés diffère tant que cela de celui qui a été nécessaire pour le plan Covid, contrôle, nanos et 5G qui se déroule aujourd’hui ?

Cette même caste dont l’impunité n’est plus à démontrer puisque les condamnations des uns et des autres comme celles de leurs agents, hommes et femmes de main et de petite vertu n’ont en rien empêché qu’ils continuent à nuire, parader sur les plateaux télé, au Festival de Cannes ou au sommet du CAC40. Et aucun d’eux n’a à s’en faire pour ses fins de mois, sa retraite ou sa jolie maison.

Les liens entre les trois volets de l’affaire Elf et celle des disparues de l’Yonne et des affaires Alègre & Epstein sont à cet égard représentatifs tant ils sont étroits quand on creuse. Mais là n’est pas le sujet du jour, même s’il importe vraiment de garder ces éléments à l’esprit.

Les seuls qui s’étonneront d’ailleurs de ces constats sont ceux qui minimisent encore l’usage systématique et systémique des réseaux satanistes pédophiles et proxénètes qu’ils orchestrent ou supervisent eux-mêmes pour s’assurer de la soumission des uns et des autres. Et bien sûr de leur perversion morale et inclinaison à soutenir des législations toujours plus décadentes et avilissantes.

Sachant qu’appartenir à la franc-maçonnerie et avoir juré d’en respecter les secrets suffit dans bien des cas à s’assurer le soutien ou le silence des complices intermédiaires, qu’ils soient députés, journalistes, médecins ou avocats. Alexandre Lebreton a très bien exposé les punitions diverses auxquelles sont soumis ceux qui trahissent leur fraternité. Inutile de vous dire qu’ils ne font pas long feu, sont expulsés du jeu ou ne coulent pas une retraite tranquille et confortable.

Aussi ne devrait-on plus s’étonner de voir aussi collaborer ceux qui n’ont pas atteint un grade, un poste à responsabilités ou un mandat politique suffisamment élevé pour qu’on les coince par un « dossier » rempli de photos ou vidéos sombrement compromettantes et une justice inféodée.

Il serait donc évidemment aussi niais que dangereux de penser que ces mêmes réseaux occultes et politiques ne sont pas aujourd’hui encore actifs et même plus que jamais impliqués dans la dissidence et le bon déroulement du plan qui atteint justement un point de non-retour historiquement déterminant : le contrôle total des populations par la technologie et l’annihilation d’une part intolérable d’entre nous et du Vivant. C’est en cours. C’est maintenant.

Et beaucoup parmi nous réalisent progressivement le rôle et le poids de la France dans ce plan global et ancien, même s’ils ignorent encore les racines occultes du pourquoi.

On a vu comment le mouvement des agriculteurs a été personnifié, réduit à une figure, à une fédération, pour être renvoyé au silence après deux ou trois annonces déconnectées. Comment les black blocs passent là où les Gilets Jaunes ne passent pas. Comment ces trois dernières décennies, les révoltes ont également été contenues en médicalisant la souffrance sociale des individus via des prescriptions massives et exponentielles de neuroleptiques, d’anxiolytiques et surtout d’antidépresseurs qu’on retrouve opportunément dans l’eau du robinet. « Vous avez été licencié, vous êtes ruiné, votre épouse vous a quitté et vous vous sentez très mal ? Voilà un traitement qui devrait vous aider, mais vous n’arriverez à rien en refusant d’aller regarder votre enfance et les vrais problèmes à la racine de votre mal-être actuel »…

Nous avons vu aussi comment les citoyens en général sont bannis des plateaux et de l’espace médiatique, surtout s’ils sont militants ou s’ils portent des revendications. Et combien de marionnettes et d’idiots utiles dans les mouvements politiques, les médias, les associations qui ont pignon sur rue ?

Pourquoi le seul discours qui a droit de cité en France est-il soit un éloge de la micronie, soit un discours aseptisé, une vague opinion sans intérêt ? Parce que le régime autoritaire choisit ses opposants.

Mais peut-il pour autant se dispenser d’offrir à la part la plus radicale du peuple un mouvement de dissidence voué à nous contenir et servir d’exutoire ? Bien sûr que non et c’est même le point le plus sensible et stratégique à régler pour eux. Toute parodie de démocratie a besoin d’une « vraie » opposition, à l’image des soupapes de sécurité de nos cocottes-minute. Or que constatons-nous ?

Le mouvement de la Résistance apparu grâce à l’opération psychologique du Covid est devenu de facto la nouvelle opposition-exutoire dont avaient justement besoin nos oligarques pour remplacer celle des partis et médias en perte d’audience, alors que jamais les Français n’ont été aussi mécontents et attaqués. Et ce point est crucial pour comprendre ce qui se joue.

Dans le même temps et pour illustrer ce propos, le Front national créé en son temps pour y rediriger et contenir les contestataires, ne remplit quasiment plus cette fonction-là et devient plutôt peu à peu l’alternative qu’on pourrait nous imposer à Macron par la grâce et magie des urnes. Mais comme les partis d’extrême-gauche, il fait désormais partie d’un jeu politique considéré comme pipé et uniformisé, par une partie toujours plus grande de la population.

De même, le désaveu des Français pour les journaux et autres grands médias dominants est avéré et leur impact dans l’opinion n’a donc de cesse de diminuer.

Cela n’a d’ailleurs rien d’anecdotique de rajouter ici le soin plus que suspect qu’apportent de nombreux agents du New Age à promouvoir, bien mis en avant par YouTube, la défiance envers les médias au profit des personnalités de la Résistance elles-mêmes soutenues par les GAFAM qui ne les censurent ponctuellement que pour mieux crédibiliser leur statut de grand dissident, mais les soutiennent activement et massivement.

Le moment du point de bascule

Pas besoin d’être de grands visionnaires pour comprendre que le monde de domination par le fric qu’on connaît depuis plus de 2000 ans et des générations de guildes de marchands du temple touche à sa fin.

Plusieurs facteurs empêchent ce système de continuer : on peut mentionner la raréfaction de certaines ressources minérales, la prise de conscience planétaire du système d’exploitation de l’humain par les capitalistes et tous ses corollaires tels que les guerres, la désespérance et le déchaînement des pulsions, les famines avérées et celles agitées en épée de Damoclès via les menaces de pénurie, les campagnes d’injections expérimentales massives, mais aussi l’éveil des consciences et la hausse des taux vibratoires qui en résulte, l’activité solaire et les chambardements telluriques, climatiques et géomagnétiques, etc.

Sans parler de ces prophéties autoréalisatrices et au fatalisme induit, via la circulation de l’information ou encore le caractère absolument incohérent, déspiritualisé et amoral du monde dans lequel nous vivons. Et de celui dans lequel on voudrait nous propulser en niant jusqu’à l’existence de nos âmes.

La population doit rester suffisamment léthargique, fataliste, divisée et abêtie pour se laisser faire. Tous les leviers requis sont pensés, actionnés, tels l’addiction aux écrans à grand renfort de neurosciences, champs de fréquences pulsées pour nous faire sécréter béatement de la dopamine, et des contenus vidéo, animés et films stratégiques, anticipant la réalité désirée et pervertissant les psychés en plus de permettre un profilage de chacun selon ce qu’il regardera. Et surtout, la morale et les valeurs sont retournées et inversées méthodiquement. Autant de signaux alertant d’une fin de civilisation imminente bien plus que d’une dystopie à la sauce du N.O.M..

Longtemps les artisans de ce plan multiséculaire ont avancé masqués, mais nous relevons tous que l’agenda se précipite et que le choix a été fait de passer à une méthode ouvertement autoritaire.

Nous sommes arrivés à un point de bascule parce que le mouvement est planétaire : de la Bolivie au Sri Lanka, d’Afrique du Sud en Finlande, les gens savent que le monde va de mal en pis et ils savent que cela arrive parce qu’une petite clique tient l’économie mondiale et fait tout ce qu’elle veut. Elle s’incarne dans les injonctions du forum de Davos, de la Commission européenne, de l’OTAN, de l’ONU, de l’UNESCO, de l’OMS et de ces fondations « philanthropiques » qui ressassent leur doxa jusqu’à l’écœurement et par tous les canaux possibles, « éducation » nationale comprise.

Avec pour point commun d’être systématiquement aux mains d’une même caste se cooptant et veillant à la loyauté et fidélité idéologique de tous ceux qui en pilotent et exécutent ces programmes aussi eugénistes que racistes. En effet, ils ne cachent même plus leur propension à considérer inférieure la quasi-totalité des humains, traités avec mépris de « race des homo sapiens » tous juste bons à être implantés, torturés ou téléguidés, comme avant eux les chimpanzés. Cette idéologie s’est appelée nazisme, néo-libéralisme, wokisme, transhumanisme… et nombreux sont désormais ceux qui parlent carrément de satanisme.

Le refus de ce monde, de ce système, est de plus en plus viscéral, notamment en France — ou ce qu’il en reste. Mais il n’est pas encore radical, loin de là.

Comment s’assurer une opposition bien sage

Ceux qui contrôlent le narratif veulent aussi contrôler le contre-narratif. Considérons le public français en deux catégories : les activistes et les non-activistes.

Dans les activistes, il y a ceux qui sont politisés et ceux qui ne le sont pas. Et dans les non-activistes, il y a encore deux groupes :

  • Ceux qui ne s’informent pas du tout ou mal, ne recherchent pas d’information au-delà des grands médias officiels.
  • Ceux qui cherchent des informations complémentaires pour mieux comprendre le système, et qui pourraient éventuellement passer du côté des activistes.

On peut difficilement évaluer les proportions de chaque groupe et encore moins se fier aux baromètres d’opinion bidonnés pour démoraliser les contestataires. Les Français n’étant pas tant des « veaux » que cela, admettons que les non-activistes qui ne s’informent pas ou mal représentent environ la moitié de la population. Heureusement pour nous, il n’y a besoin que de quelques pour cent pour faire basculer la situation, pour peu que l’effort soit assez coordonné et réfléchi sur la durée.

Il est facile d’anesthésier ceux qui considèrent que la propagande est de l’information. Quant aux activistes non politisés, ils peuvent toujours militer pour les baleines ou pour sauver leur usine, cela ne changera rien et n’a aucun impact sur le bon fonctionnement du capitalisme.

La vraie menace [pour les élites] est donc dans deux groupes : les activistes politisés, et les non-activistes qui cherchent à comprendre ce qu’il se passe. Et qui, grâce à l’épisode délirant du Covid, sont de plus en plus nombreux à progressivement passer « dans l’opposition ».

Du moins le croient-ils, car aujourd’hui, c’est bien le problème : il n’y a pas d’opposition. Aucun mouvement fort et redoutable. Uni. Ceux qui pourraient la construire sont isolés et ciblés. De même pour ceux qui voudraient tenter de fédérer les groupes existants. Ces réseaux et cellules communiquent peu entre eux et la défiance règne. Une opposition structurée et véritable n’émergera pas non plus derrière un leader charismatique dont beaucoup se méfieront automatiquement et à raison. Elle doit donc s’agréger autour d’un objectif simple, précis et efficace.

Même si ce n’est pas pour demain, cette agrégation qui se ferait automatiquement en temps normal est précisément ce que doivent éviter nos autocrates qui n’ont les pleins pouvoirs que pour gaver les capitalistes de la caste, en dérouler le plan et réprimer toute contestation non voulue. Mais attention : il leur faut maintenir une opposition-exutoire, dernier reliquat de démocratie qui permet de prétendre que la parole est libre.

La méthode à déployer comprend 2 axes :

  1. Invisibiliser et si possible anéantir les oppositions les plus gênantes et les plus subversives. On va lancer des campagnes de calomnie, empêcher de parler, créer des « doubles » (des individus qu’on met en orbite pour tenir presque le même discours, mais sans attaquer le système ou dont le discours sera facile à discréditer, ou le même projet lancé en parallèle, en version « soft »). On peut aussi associer sans leur accord certains opposants à des actions, des courants ou communautés complices et promouvant des fadaises grossières ou des façons d’agir rédhibitoires pour qu’ils perdent leur crédibilité.
  2. Faire monter une opposition molle. Comme l’a dit Lénine « le meilleur moyen de contrôler l’opposition est de la diriger nous-mêmes ». On rend donc visible un meneur, un groupe en le créant, en le finançant, en lui donnant des tribunes, ou même par des articles de presse à charge, mais pas très corrosifs, dans lesquels on reste sur des considérations superficielles. On n’attaquera pas les financements ni les non-dits, par exemple.

L’opposition molle peut être créée de toutes pièces : on finance et on met en place des groupes et des sites Internet qui seront centrés sur un seul combat, anecdotique, ou qui seront inopérants parce qu’ils sont centrés sur un personnage, alimentés par des informations plus ou moins vérifiées, ou en guerre permanente avec d’autres groupes. Elle peut aussi être entretenue par l’infiltration de groupes déjà existants, ou en retournant leurs leaders d’une façon ou d’une autre.

Le point essentiel est que la visibilité de cette opposition surpasse et écrase celle des dissidents les plus gênants, pour capter tout nouveau Français résolu à modifier sa façon de s’informer et se fiant par conditionnement à ceux qui paraissent le plus suivis dans la Résistance. C’est ici que les algorithmes, trolls et sociétés proposant de doper les vues et abonnements jouent un rôle aussi important que parfaitement déloyal.

L’opposition molle contribue alors à faire écran de fumée pour que l’opinion publique n’accède pas aux informations pertinentes et pour qu’elle ne s’organise pas contre le système. Elle va permettre plusieurs choses :

  • Concentrer l’attention sur des leaders plus ou moins charismatiques qui prétendent avoir les solutions, et ainsi démobiliser les gens qui pourraient se prendre en main et collaborer.
  • Polariser le débat, le faire tourner en rond, l’amener vers des oppositions binaires au lieu d’agir de manière itérative, ce qui éloigne les gens de ces combats, réduits à des guerres intestines stériles, et qui nasse l’opinion publique dans de petits groupes militants, souvent cloisonnés, dans des combats de niche et débats sans propositions qui ne changeront rien sur le fond. Et c’est bien ce que nous vivons.
  • Distiller du faux dans le vrai, comme une sorte de poison qui permettra de jeter le bébé avec l’eau du bain, c’est-à-dire de décrédibiliser tout le sujet, tout le combat.
  • Constituer le réservoir dans lequel la caste pourrait se servir demain pour nous brandir nos nouveaux sauveurs, conseillers et dirigeants, si elle choisit stratégiquement de simuler sa défaite « complète » et laisser penser aux populations qu’enfin elles ont gagné et que « Pfizer et les politiques corrompus, c’est enfin terminé ». Sauf que le changement serait une illusion, un simple report des lois les plus décriées comme l’éducation à la sexualité. Et les technologies de contrôle et d’asservissement mental ne seraient jamais remises en question puisque cette opposition molle n’y voit généralement aucun problème ni même une réalité. La justice rendue serait juste une parodie de Nuremberg 2.0. Et les héros de l’opposition molle promus serviraient seulement de nouvelles façades à un plan continuant à fabriquer tous les prétextes et événements imaginables pour nous emmener malgré tout vers l’agenda prévu.

Et maintenant ?

Où en est-on en France ? Si on observe attentivement ce qu’il se passe dans la « Résistance », on peut sans trop de risques prédire une inflation exponentielle d’oppositions bidons sur des sujets clés comme le sida des vaccinés, les aliens, les réseaux pédocriminels et satanistes, les élections ou la maladie X pour orienter l’opinion publique vers les changements désirés tout en lui donnant l’illusion que la vérité émerge et est enfin prise en compte.

Et pour beaucoup il s’agira bien de vérités nouvelles.

Ces sujets passeront en boucle dans les médias « alternatifs » dont certains sont quasiment des « mainstream » de l’opposition de salon, avec des dissidents mous qui se légitiment et se congratulent les uns les autres comme le fait la caste parisienne médiatique, liée par les mêmes secrets et compromissions à la sauce Epstein.

Vous aurez de plus en plus de mal à trouver, même du côté alternatif, des sources d’informations vraiment utiles, qui vont vraiment au fond des choses et dénoncent les processus en cours.

Au final, il pourrait ne plus rester dans l’espace public que des oppositions « autorisées » pour reprendre l’expression d’Ariane Bilheran. On mettra en scène des combats de personnages, des clivages inutiles, et ceux qui attaquent le système seront mis sous une pression toujours plus forte pour essayer de les isoler ou même de les pousser dans la clandestinité. Il y a déjà des intrusions dans les domiciles, les ordinateurs, les voitures, avec des problèmes mécaniques à répétition, par exemple : il est certain que tout cela va s’aggraver, comme les attaques administratives et clôtures de comptes bancaires.

En parallèle, le traçage des oppositions et des groupes de discussion va augmenter en puissance, ainsi que la diffusion de messages plus personnalisés créés par intelligence artificielle et diffusés en masse et de façon ciblée comme s’en vante l’OTAN, mandatée hors de tout cadre légal pour gérer la désinformation dans l’UE [cf. article]. On doit aussi prendre en compte l’usage des neurosciences, de l’hypnose et des armes psychotroniques qui permettent de manipuler les pensées, l’état et le comportement de groupes ou des individus.

Dans ce brouhaha, il sera de plus en plus difficile d’accéder aux sources réellement pertinentes, celles qui permettent vraiment d’aller au fond des choses. Identifier les faux opposants et sujets biaisés va donc devenir un sport olympique et impliquera de se poser quelques questions :

  • Essayer d’identifier leurs motivations : l’ego, l’argent, la haine, la vengeance et le pouvoir sont de très mauvaises motivations pour mener des combats.
  • Repérer les éléments d’alerte et de vigilance accrue comme l’implication passée dans des scandales politico-financiers, dans de grandes organisations et firmes internationales, dans de grands médias parisiens, la franc-maçonnerie, la « communauté » et la défense de ses intérêts, la filière catho-sataniste, le Q et le New Age de la CIA, les confréries d’université et de pensionnat, les renseignements, ou encore le fait d’avoir exercé à des postes impliquant une cooptation maçonnique et les mesures et entraves préventives qui vont toujours avec.
  • Se demander qui leur donne de l’écho ? Qui les soutient financièrement ? De quoi vivent-ils ? Examiner les heures auxquelles tombent les vues et les commentaires sous les vidéos et à quel rythme pour les diffusions sur YouTube. Comparer avec d’autres plateformes plus alternatives où ils ont également des chaînes.
  • Estimer si leur temps de parole a été utile. Leur discours permet-il de comprendre les processus en cours ? Se souvient-on des propos tenus en fin d’émission ou n’en garde-t-on qu’un sentiment agréable, mais totalement flou ? Leur arrive-t-il de mentir ostensiblement ou valider de fausses nouvelles avérées ? Citent-ils des noms et des faits précis ou veillent-ils à rester très vagues ? Citent-ils leurs sources ? Prennent-ils des risques réels ?

Mais plus que tout et afin de traverser non seulement ces temps, mais les faire changer : à quoi disons-nous non ? Et allons-nous encore et longtemps collectivement valoriser ceux qui ont choisi de dire oui à ce qui a amené la dépravation et tyrannie de nos sociétés ? Oui à l’argent facile, aux intrigues et manipulations politiques, au sexe sur commande, aux drogues, à la luxure, au profit aux dépens d’autrui, aux arrangements entre puissants, à la gloire par cooptation et aux postes et possessions pour briller en société ?

Se rend-on compte qu’aujourd’hui encore, la plupart d’entre nous (y compris résistants) accordent bien plus d’attention et de valeur à des gens qui ont dit « oui » à ce système perverti et joué des rôles importants dans le déroulement du plan qui nous mène où nous en sommes aujourd’hui ? N’y a-t-il pas quelque chose de profondément malade dans cette façon spontanée de se fier d’abord aux propos de ceux qui ont été des « références », « sommités », des « vus à la télé » ou encore « parmi les puissants » ?

En quoi avoir besoin de se rassurer par les titres et le CV est-il foncièrement plus judicieux que penser non seulement par soi-même, mais aussi en explorant d’autres façons d’être et revisitant nos jugements sur ce qu’est une personne de valeur ?

N’est-ce pas également une façon inconsciente de se déculpabiliser pour les oui qu’on a dits soi-même et la façon dont on a vécu du système et participé via nos impôts, nos emplois, notre laisser-faire, nos achats et nos modes de vie ? Répartir sa honte cachée entre gens ayant failli comme nous, voire bien davantage que nous ? Des gens qu’on nous a donnés à envier voire jalouser, érigés en modèles de nos sociétés et de ce qu’est une vie vraiment « réussie » ? Et en persistant à garder les mêmes codes, faire perdurer cette illusion « que nous étions tous des gens bien » et que « les responsables, c’est eux » ?

Les gens qui ont dit oui, ne serait-il pas temps qu’a minima, on s’en défie ? Ne pas les rejeter, car heureusement que chacun de nous peut changer et on vit aussi pour le voir. Et ne pas non plus arrêter ses jugements, car on pourra être surpris par des personnes démontrant plus tardivement qu’elles sont bel et bien fiables et couillues. C’est quand l’étau se resserre le plus que les gens se révèlent le mieux. Face au danger, nous sommes nus.

Mais doit-on pour autant en faire ses guides ou ses alliés alors qu’ils ont déjà failli et souvent jamais démontré qu’ils ont radicalement évolué et compris ce pour quoi ils s’étaient prostitués ? Le démontrer par ce qu’ils dégagent et non par de grandes phrases. Nous sommes déjà si nombreux à ne plus croire aux mots et chercher seulement la lumière et l’authenticité. Voilà un vrai critère de sélection pour qui sait le voir sans être abusé. Il sera même déterminant.

Alors qui et quoi glorifions-nous encore individuellement ? N’avons-nous pas déjà assez échoué collectivement pour choisir cette fois d’autres référentiels, d’autres voies et approches ? Avoir rejeté le système doit-il encore valoir cette étiquette sociale d’êtres « qui ne sont personne », comme ces jeunes partis sur les routes, ceux qui ont rejeté leurs « réseaux », jeté leurs diplômes ou postes « enviables » ou encore ces vieux marginaux, poètes sans le sou, ou amoureux du Vivant ayant renoncé à tout pour embrasser enfin le Tout ?

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Leurs stratagèmes d’opposition molle ne fonctionnent que parce que nous sommes collectivement malades. Et nous sommes encore à guérir si nous courons après les gens les plus en vue et glorifions toujours les mêmes profils, les mêmes trajectoires, les mêmes déviances et addictions au pouvoir et aux miettes que trop furètent encore, truffe au sol, pour les ramasser. Un peu de hauteur et de dignité, bordel !

Et de moralité. Il est des « non » qui doivent enfin devenir la règle. L’évidence. La finalité.

Le meilleur des radars pour savoir à qui se fier et s’allier. Notre moralité et notre intégrité sont devenues la seule voie sur laquelle avancer, évoluer, nous fédérer. Sans mensonges ni compromissions. En se regardant tel qu’on est. En assumant tout ce qu’on a fait et fera. Parce qu’on a vraiment de quoi faire.




Fin de règne : les 4 mensonges de Macron au Salon de l’agriculture

[Source : Nicolas Dupont-Aignan]

Nicolas Dupont-Aignan revient sur les 4 grands mensonges et sur le fiasco de l’inauguration du Salon de l’agriculture 2024 par Emmanuel Macron. Dans une ambiance « fin de règne », des CRS étaient présents pour la première fois de l’histoire du Salon.




L’unique solution pour sauver la France et le peuple ?

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE]

Dans un monde en constante évolution, où les débats autour de la globalisation et de ses répercussions sur les sociétés locales prennent de plus en plus d’ampleur, une question émerge : comment les individus et les communautés peuvent-ils résister à ce changement drastique de notre société, voire de notre modèle civilisationnel ?

Lors de cet entretien, nous allons explorer diverses perspectives et réflexions sur les moyens de résister à ce que certains perçoivent comme l’emprise du mondialisme, tout en envisageant la construction d’un avenir plus équilibré, qui préservera ce qui est fait la grandeur de l’histoire française, et de son identité.

La résistance au mondialisme se manifeste sous diverses formes, reflétant une quête de souveraineté et d’autodétermination. Dans ce contexte, le terme « mondialisme » est souvent associé à une perte de contrôle culturel, économique et politique au profit d’entités supranationales.

Face à cela, la résistance s’organise à travers des initiatives visant à renforcer la souveraineté financière, à promouvoir les économies locales et à valoriser les systèmes monétaires alternatifs qui s’opposent à la domination oligarchique bancaire. Le projet de Franc Libre d’Alexandre Juving-Brunet, et d’autres initiatives similaires sont scrutés sous l’angle de leur potentiel à offrir des alternatives viables au système actuel.

L’idéologie et la spiritualité jouent un rôle crucial dans la compréhension et la critique du mondialisme. Certains arguments soulignent la dimension éthique et spirituelle de la résistance, s’interrogeant sur les valeurs sous-jacentes à la globalisation, comme la vision progressiste ainsi que la transmission de valeurs que certains rapprocheraient d’une vision satanique. Une réflexion sur les modes de vie qui privilégient le communautarisme alternatif en harmonie avec l’identité locale et cherchant un équilibre économique pour tous les citoyens devient nécessaire.

Le concept de vivre en communauté pour résister soulève l’idée de la création de microsociétés où les valeurs partagées, la justice sociale et l’équité sont au cœur des préoccupations. Ces communautés cherchent à développer une indépendance énergétique, une agriculture durable et des systèmes d’éducation alternative, favorisant ainsi une plus grande autonomie vis-à-vis des systèmes dominants.

La colère populaire grandissante, notamment chez les agriculteurs, est souvent perçue comme un prélude à une révolution populaire. Cette frustration vis-à-vis des pressions économiques et environnementales pourrait catalyser un mouvement plus large en faveur d’un changement systémique, où la transformation sociale et la véritable démocratie populaire joueraient un rôle central.

En somme, cet entretien veut mettre en lumière les diverses facettes de la résistance au mondialisme, en explorant des voies alternatives qui embrassent la liberté économique, la transformation sociale, l’activisme environnemental et la quête d’une société plus juste et équilibrée. À travers cette réflexion, il apparaît clairement que les défis posés par la globalisation exigent une réponse réfléchie, mais immédiate, fondée sur la collaboration, l’innovation et un engagement profond envers les principes de souveraineté, d’autonomie et de solidarité.




Selon le député Randall Garrison, « Les droits parentaux n’existent pas au Canada »

[Source : ifamnews.com]

Par iFamNews

Dans une déclaration récente, Randall Garrison, député d’Esquimalt-Saanich-Sooke et membre du Nouveau Parti Démocratique, a affirmé que « les droits parentaux n’existent pas au Canada ». Ses commentaires sont une réponse aux récentes politiques de Danielle Smith, Premier ministre de l’Alberta, en matière de droits parentaux. L’affirmation de M. Garrison a suscité la controverse, car il insiste sur le fait que le droit canadien de la famille prévoit des responsabilités parentales, et non des droits.

Cependant, les critiques remettent en question le concept de « soutien et d’affirmation » tel qu’il est défini par Garrison. Ses détracteurs affirment qu’elle encourage l’affirmation de l’identité de genre d’un enfant, même si elle est en contradiction avec son sexe biologique. Dans cette optique, une telle politique pourrait encourager les parents à affirmer la croyance déclarée de leurs enfants plutôt que leur réalité biologique. Cela peut conduire à un recours préjudiciable aux médicaments et aux interventions chirurgicales pour modifier le corps de l’enfant, ce qui s’écarte de l’affirmation réelle.

Cette conversation met en lumière le débat complexe sur les droits parentaux et les conceptions de ce qui constitue le soutien et l’affirmation dans la société contemporaine. Selon les critiques, les droits parentaux devraient consister à décider de la signification de ces termes cruciaux pour le bien-être de leurs enfants, sans adhérer à une définition spécifique et idéologique.





« Avec l’éducation actuelle, on est tous prêts pour le crédit social »

[Source : France Soir]

Entretien avec la psychologue Sonia Delahaigue

Par Romain Pauc

Dans cet Entretien essentiel, Sonia Delahaigue, psychologue, nous parle d’éducation. Selon elle, par un jeu de récompense/punition, on habitue les enfants à se plier à des règles gouvernementales abusives. Elle prend pour cela l’exemple du crédit social, développé en Chine. L’année dernière, elle a publié le livre « Ils n’en sont pas morts ! Regard d’une psychologue sur la maltraitance invisible des enfants » (éd. Exuvie). 






Le contrôle de la météo

[Source : @Cesar83]

[NDLR Émission diffusée il y a plus de 16 ans]




L’ombre et la lumière

[Source : kunstler.com]

Par James Howard Kunstler

« L’État de droit est menacé », s’écrie le régime en jetant ses adversaires politiques au goulag

Benjamin Weingarten

La verrue rougeâtre de la législation woke-maoïste suinte ses effluves infâmes à travers le paysage social, empoisonnant tout ce qu’elle touche, et rien dans l’arsenal de la raison, des principes ou de la bonne foi n’est en mesure de la guérir. La maladie fait rage dans le corps politique. Vous avez perdu confiance en tous les médecins et ils ont perdu confiance en eux-mêmes. La fièvre s’intensifie. La crise est à nos portes. Quelle direction le destin va-t-il nous faire prendre ? Vers la mort ou vers la guérison ?

Le poison qui tue notre pays est un mensonge omniprésent. Toutes les institutions sur lesquelles nous nous sommes appuyés pour défendre l’intérêt public sont devenues des usines à fabriquer des mensonges, des dérobades et des fausses pistes, un peu comme les « vaccins » à ARNm qui ont transformé les cellules de votre corps en minuscules générateurs de protéines à pointes qui détruisent vos organes (([1] selon une hypothèse qui circule dans certains cercles alternatifs, alors que d’autres ont plutôt démontré la présence de nanotechnologie à base de graphène dont la finalité serait d’ordre transhumaniste, en conformité avec le programme du Forum Économique Mondial.)). De même, la moitié de la population pense apparemment que c’est une bonne chose, que nous avons besoin de plus de combat juridique — la perversion de la loi par des avocats pervers — et que nous avons besoin de toujours plus de mensonges, de dérobades et de fausses pistes (tout comme les dégénérés qui dirigent Harvard déclarent que leurs étudiants ont besoin de plus de boosters d’ARNm pour rester à l’école).

Puisque les médecins ont tous échoué, de façon misérable et déshonorante, l’Amérique a besoin d’un exorcisme. Les poisons présents dans notre système sont des personnes réelles qui accomplissent leur mission programmée, tout comme les protéines de pointe présentes dans le corps de millions de personnes agissent en tant qu’agents individuels de destruction dans votre corps. Quelle invocation possible peut chasser des personnes comme Mayorkas, Christopher Wray, Avril Haines, William Burns, Merrick Garland, Lisa Monaco, Marc Elias, Norm Eisen, Jack Smith, Jake Sullivan, Mark Zuckerberg, Mandy Cohen, Rachel Maddow, Daniel Sachs Goldman, Jamie Raskin, Mitch McConnell, Charles « Chuck » Schumer, « Joe Biden » (le vestige d’une personne, après tout), et un millier d’autres personnes haut placées se comportant d’une manière indiscernable des démons ?

Qu’est-ce qui explique leur dévouement à la contre-vérité ? Qu’est-ce qui les motive ? S’agit-il seulement des avantages et du confort de leur position ? Répondent-ils à un appel ? Et qui lance cet appel ? Ou bien sont-ils simplement piégés par leurs nombreuses années de mensonge permanent, de peur d’être jetés en prison ? Vous demandez-vous : qu’est-ce qui satisfera ces maniaques ? Rien d’autre que la ruine de notre pays ? Que vaudra le pouvoir qu’ils convoitent dans un pays en ruine ?

M. Trump s’est porté volontaire pour jouer le rôle d’exorciste dans ce grand psychodrame. Quoi qu’il en soit, il a fait preuve d’une grande force d’âme. Il y a huit ans, lorsqu’il est entré en scène, il semblait ne pas savoir que ses adversaires étaient en fait des démons cherchant à détruire le pays, plutôt que des personnes de bas étage sombrant dans la corruption vénale la plus courante, et d’autres de simples zélateurs imprégnés de fantasmes utopiques futiles visant à perfectionner la condition humaine imparfaite. Il a fini par comprendre que la situation était plus grave qu’il ne l’avait jamais imaginé. Ses adversaires se sont acharnés sur lui dès le départ et continuent de le faire. La Russie est le couteau qu’ils utilisent pour tenter de l’écorcher vif.

Le slogan « Russie Russie Russie » n’a été qu’un long mensonge élaboré. Ils recommencent en prétendant que M. Trump cherche l’aide de la Russie pour interférer dans les élections de l’automne, en dépit du fait que toutes les invocations précédentes de « Russie Russie Russie » se sont révélées fausses, et ce de manière malveillante, et que toute l’ingérence électorale réelle a eu pour origine le gang qui crie « Russie Russie Russie ». Il semble que plus de la moitié du pays refuse de tomber dans le panneau cette fois-ci. D’où le recours à la guerre juridique, les cinq affaires (jusqu’à présent) visant à ruiner M. Trump et à obtenir une condamnation pour crime pour s’être opposé aux manigances électorales de 2020.

La clique de juristes qui entoure « Joe Biden » — Mary McCord, Lisa Monaco, Marc Elias, Norm Eisen — a aidé des personnes comme Letitia James, Fani Willis et Alvin Bragg à porter ces affaires devant des juridictions gouvernées par les adeptes d’Abraxas, le dieu-démon gnostique qui dirige le Parti du Chaos. Le procureur général de New York, Letitia James, a remporté la première manche avec une affaire totalement dénuée de vérité, décidée despotiquement par le juge Engoron sans procès, qui, pour l’instant, a créé de terribles problèmes tactiques pour M. Trump. Il peut habilement surmonter le jugement de 355 millions de dollars pour faire appel, et à un moment donné de l’échelle de révision, Mme James sera soumise au déshonneur et à la punition qu’elle mérite. Mme Willis a déjà subi sa tribulation et s’est révélée être une menteuse expérimentée et dévouée, inapte à mener à bien l’affaire qui lui a été confiée par les orques de la justice. L’affaire idiote de M. Bragg, basée sur une chimère torturée de lois fédérales et d’État, sera bientôt jugée avec un résultat prédéterminé.

Ce que toutes ces affaires ont en commun, c’est qu’elles ont été concoctées comme si la notion de conséquence n’existait pas. La première conséquence pour les stupides titulaires de fonctions qui ont été dupés et qui ont intenté ces procès est qu’ils seront déshonorés et brisés par leurs mauvais choix. La deuxième conséquence est qu’ils aggraveront l’animosité raciale réprimée dans notre pays, comme l’ont odieusement voulu les élitistes blancs de gauche qui manipulent ces procureurs noirs, et qu’ils nous entraîneront peut-être dans une guerre raciale tragique pour achever la destruction de notre pays qu’ils ont souhaitée et pour laquelle ils ont travaillé.

Les affaires fédérales du conseiller spécial Jack Smith, en revanche, semblent être un véritable fiasco. L’affaire portée devant le tribunal fédéral de district de Washington par le juge Chutkan est en train de s’effondrer en raison de son manque évident de fondement, de la mauvaise application des lois citées et de la nomination illégitime de M. Smith en vertu des règles régissant les conseillers spéciaux. L’affaire dite des documents de Mar-a-Lago en Floride semble avoir été un écran de fumée pour la tentative du FBI de reprendre possession des preuves documentaires de son propre rôle criminel dans l’affaire du RussiaGate de 2015 à 2019. Je prédis que le juge Aileen Cannon finira par rejeter l’ensemble de l’affaire comme étant, en fait, un canular parrainé par le DOJ [le Département de la Justice].

Cette bataille a encore un long chemin à parcourir. Il s’agit clairement d’une bataille du bien contre un mal manifeste. Le camp du mal a fait ce qu’il avait à faire — il a fait la guerre au peuple américain — en faisant des heures supplémentaires pour perturber systématiquement vos esprits. Ensuite, ils chercheront à s’emparer de l’argent que vous avez encore, des objets de valeur que vous possédez et des libertés dont vous jouissez encore. Soyez attentifs à la suite des événements.




La fusion BAAL-YAHVÉ

[Source : Allan Arsmann]

Atteint du syndrome d’Asperger, Allan Arsmann a développé un « intérêt particulier » pour la Bible et l’archéologie. À l’âge de vingt-cinq ans, il va commencer à lire la Bible de manière compulsive. Il va la lire à plusieurs centaines de reprises, quasiment sans s’arrêter, pendant plus de quatre ans. Y ajoutant la lecture de milliers de textes anciens et d’analyses modernes, il va emmagasiner en son esprit un ensemble de connaissances totalement inédit. Fort de cet assemblage de données, son cerveau Asperger va lui permettre de solutionner quelques-unes des plus grandes énigmes de l’Histoire. Son analyse offre une vision rationnelle unique qui réconcilie complètement les données historiques et bibliques, permet le recoupement avec plusieurs milliers de preuves archéologiques et rend sa cohérence au Livre.

[NDLR : Nous pouvons relever au passage la similitude de procédés entre l’invasion Hyksos de l’Égypte et l’invasion de l’Occident (UE, Canada, USA…) par les élites mondialistes.]

[Voir aussi :
La Bible lue par un Asperger (livres et vidéos)
et
Le vrai NOM de MOÏSE élucidé ? (Vidéo)]




L’axe de l’asymétrie s’attaque à l’ordre fondé sur des règles

[Source : thecradle.co]

Par Pepe Escobar

La troisième guerre mondiale est là, se jouant de manière asymétrique sur les champs de bataille militaires, financiers et institutionnels, et le combat est existentiel. L’hégémon occidental, en vérité, est en guerre contre le droit international, et seule une « action militaire cinétique » peut le mettre au pas.

L’axe de l’asymétrie bat son plein. Il s’agit des acteurs étatiques et non étatiques qui utilisent des mouvements asymétriques sur l’échiquier mondial pour mettre sur la touche l’ordre occidental fondé sur des règles et dirigé par les États-Unis. Son avant-garde est le mouvement de résistance yéménite Ansarallah.

Ansarallah est absolument implacable. Il a abattu un drone MQ-9 Reaper de 30 millions de dollars avec un seul missile local de 10 000 dollars.

Il est le premier pays du Sud à utiliser des missiles balistiques antinavires contre des navires commerciaux et des navires de la marine américaine à destination d’Israël et/ou destinés à les protéger.
À toutes fins utiles, Ansarallah est en guerre contre la marine américaine.

Ansarallah s’est emparé de l’un des véhicules sous-marins autonomes (AUV) ultra-sophistiqués de la marine américaine, le Remus 600, un drone sous-marin en forme de torpille capable de transporter une charge massive de capteurs, dont le prix s’élève à 1,3 million de dollars.

Prochaine étape : la rétro-ingénierie en Iran ? Le Sud global attend avec impatience, prêt à payer dans des monnaies qui ne dépendent pas du dollar américain.

Tout ce qui précède — un remix maritime du 21e siècle de la piste Ho Chi Minh pendant la guerre du Viêt Nam — montre que l’hégémon n’est peut-être même pas un tigre de papier, mais plutôt une sangsue de papier.

Lula raconte la situation telle que le Sud la voit

Le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva, véritable leader du Sud, s’est penché sur la question du génocide perpétré sans relâche par Israël dans la bande de Gaza.

Lula a parlé au nom du Brésil, de l’Amérique latine, de l’Afrique, des BRICS 10 et de l’écrasante majorité des pays du Sud lorsqu’il est allé droit au but et a défini la tragédie de Gaza pour ce qu’elle est : un génocide. Il n’est pas étonnant que les tentacules sionistes à travers le Nord mondial — et ses vassaux du Sud mondial — soient devenus fous.

Les génocidaires de Tel-Aviv ont déclaré Lula persona non grata en Israël. Pourtant, Lula n’a pas assassiné plus de 29 000 Palestiniens, dont une écrasante majorité de femmes et d’enfants.

L’histoire ne pardonnera pas : ce sont les génocidaires qui seront finalement jugés comme personae non grata par l’ensemble de l’humanité.

Ce que Lula a dit représente les BRICS 10 en action : cela a évidemment été clarifié auparavant avec Moscou, Pékin, Téhéran et, bien sûr, l’Union africaine. Lula s’est exprimé à Addis-Abeba, et l’Éthiopie est désormais membre des BRICS 10.

Le président brésilien a fait preuve d’une grande intelligence en programmant la vérification des faits de Gaza de manière à ce qu’elle soit sur la table lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères du G20 à Rio. Bien au-delà des BRICS 10, ce qui se passe à Gaza fait l’objet d’un consensus parmi les partenaires non occidentaux du G20, qui sont en fait majoritaires. Cependant, personne ne doit s’attendre à un suivi sérieux au sein d’un G20 divisé. Le cœur du problème réside dans les faits sur le terrain.

La lutte du Yémen pour « notre peuple » à Gaza est une question de solidarité humaniste, morale et religieuse — ce sont les principes fondamentaux des puissances « civilisationnelles » orientales montantes, tant sur le plan intérieur que dans les affaires internationales. Cette convergence de principes a désormais créé un lien direct — extrapolant aux sphères morales et spirituelles — entre l’Axe de la Résistance en Asie occidentale et l’Axe de la Résistance slave dans le Donbass.

Il convient d’être extrêmement attentif au calendrier. Les forces de la République populaire de Donetsk (RPD) et la Russie ont passé deux années de lutte acharnée en Novorossia pour arriver au stade où il devient clair — sur la base du champ de bataille et des faits cumulés sur le terrain — que les « négociations » ne signifient que les conditions de la capitulation de Kiev.

En revanche, le travail de l’axe de la résistance en Asie occidentale n’a même pas commencé. On peut dire que sa force et son implication souveraine totale n’ont pas encore été déployées (pensez au Hezbollah et à l’Iran).

Le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, avec sa subtilité proverbiale, a laissé entendre qu’il n’y avait en fait rien à négocier sur la Palestine. Et s’il devait y avoir un retour à des frontières, ce serait celles de 1948. L’Axe de la Résistance comprend que l’ensemble du projet sioniste est illégal et immoral. Mais la question reste de savoir comment le jeter, en pratique, dans les poubelles de l’Histoire ?

Parmi les scénarios possibles — ouvertement optimistes — qui se profilent à l’horizon, le Hezbollah prendrait possession de la Galilée, étape vers la reprise éventuelle du Golan occupé par Israël. Il n’en reste pas moins que même une Palestine unie n’a pas la capacité militaire de reconquérir les terres palestiniennes volées.

Les questions posées par l’écrasante majorité des pays du Sud qui soutiennent Lula sont donc les suivantes : qui d’autre, en dehors d’Ansarallah et d’autres groupes de pression, peut faire la différence ? Qui d’autre qu’Ansarallah, Hezbollah, Hashd al-Shaabi, rejoindra l’axe de l’asymétrie dans la lutte pour la Palestine ? Qui serait prêt à venir mourir en Terre sainte (après tout, dans le Donbass, seuls les Russes et les russophones meurent pour des terres historiquement russes) ?

Et cela nous amène à la voie vers la fin de la partie : seule une opération militaire spéciale (OMS) en Asie occidentale, jusqu’à la fin amère, réglera la tragédie palestinienne. Une traduction de ce qui se passe à travers l’axe slave de la résistance : « Ceux qui refusent de négocier avec Lavrov, traitent avec Shoigu ».

Le menu, la table et les invités

Le secrétaire d’État Tony Blinken, néoconservateur à ses heures, a vendu la mèche en définissant l’« ordre international fondé sur des règles » qu’il chérit tant : « Si vous n’êtes pas sur la table, vous êtes sur le menu ».

En suivant sa propre logique hégémonique, il est clair que la Russie et les États-Unis/OTAN sont sur la table tandis que l’Ukraine est au menu. Qu’en est-il de la mer Rouge ? Les Houthis qui défendent la Palestine contre les États-Unis, le Royaume-Uni et Israël sont clairement sur la table, tandis que les vassaux occidentaux qui soutiennent Israël par voie maritime sont clairement au menu.

Et c’est bien là le problème : l’hégémon — ou, dans la terminologie savante chinoise, « les croisés » — a perdu le pouvoir de mettre les cartes nominatives sur la table. La principale raison de cet effondrement de l’autorité est l’accumulation de réunions internationales sérieuses parrainées par le partenariat stratégique Russie-Chine au cours des deux dernières années, depuis le début de l’OMS. Il s’agit de planification séquentielle, avec des objectifs à long terme clairement définis.

Seuls les États civilisationnels peuvent le faire, pas les casinos néolibéraux ploutocratiques.

Négocier avec l’hégémon est impossible parce que l’hégémon lui-même empêche les négociations (voir le blocage en série des résolutions de cessez-le-feu à l’ONU). En outre, l’hégémon excelle dans l’instrumentalisation de ses élites clientes à travers le Sud par le biais de menaces ou de documents compromettants : voir la réaction hystérique des grands médias brésiliens au verdict de Lula sur Gaza.

Ce que la Russie montre au Sud, deux ans après le début de l’OMS, c’est que le seul moyen de donner une leçon à l’hégémon doit être cinétique, ou « militaro-technique ».

Le problème est qu’aucun État-nation ne peut se comparer à la superpuissance nucléaire/hypersonique/militaire qu’est la Russie, dont 7,5 % du budget gouvernemental est consacré à la production militaire. La Russie est et restera sur un pied de guerre permanent jusqu’à ce que les élites de l’Hégémon reviennent à la raison — ce qui n’arrivera peut-être jamais.

Pendant ce temps, l’axe de résistance de l’Asie occidentale observe et apprend, jour après jour. Il est toujours essentiel de garder à l’esprit que pour tous les mouvements de résistance à travers le Sud global — et cela inclut aussi, par exemple, les Africains de l’Ouest contre le néocolonialisme français — les lignes de faille géopolitiques ne pourraient pas être plus nettes.

Il s’agit de l’Occident collectif contre l’Islam, de l’Occident collectif contre la Russie et, tôt ou tard, d’une grande partie de l’Occident, même à contrecœur, contre la Chine.

Le fait est que nous sommes déjà plongés dans une guerre mondiale qui est à la fois existentielle et civilisationnelle. À la croisée des chemins, nous nous trouvons face à une bifurcation : soit une escalade vers une « action militaire cinétique » ouverte, soit une multiplication des guerres hybrides sous plusieurs latitudes.

C’est donc à l’Axe de l’asymétrie, calme et posé, de forger les couloirs, passages et sentiers souterrains capables de saper et de subvertir l’ordre international unipolaire et fondé sur des règles, dirigé par les États-Unis.




Les paysans à Paris, avec le soutien du peuple

Et ailleurs :

Après les panneaux retournés, les agriculteurs du Tarn veulent bâcher tous les radars du département

Une dizaine de radars ont été bâchés cette nuit par les JA et la FDSEA 81




Préparer nos enfants à l’effondrement de la société

[Source : Tocsin]

Avec Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne, psychothérapeute, auteur de « Être parents en temps de crise » (éditions Guy Trédaniel)




Braquage des actifs russes en Europe : attention au retour de bâton !

[Source : France Soir]

[Illustration :
Après le gel des avoirs russes, on parle maintenant de confiscation. Comme si l’on cherchait la guerre…
 Natalia Kolesnikova / AFP]

Par Xavier Azalbert

ÉDITO —Je vous l’ai annoncé à l’avance, il y a un mois, dans un édito précédent, et, hélas, c’est désormais effectif : les dirigeants européens sont passés à l’acte et ont, le 12 février 2024, adopté une loi visant à utiliser les intérêts générés par les actifs russes en Europe, pour financer l’aide de l’Union européenne à l’Ukraine. Une aide économique et militaire ruineuse pour la collectivité, et mise en place sans que les peuples aient donné leur accord, par référendum par exemple.

Les avoirs russes en Europe ont été gelés au début du conflit ukrainien. Les Russes ne peuvent pas les vendre, et nul ne peut les acheter. C’est, là encore, une décision intervenue sans que les peuples européens aient été consultés. Et surtout, c’est une décision qui méconnaît un des principes fondamentaux les plus essentiels du droit international : la souveraineté financière des États. Du coup, cette décision s’apparente pleinement à une déclaration de guerre.

Heureusement pour nous, les Russes semblent être capables de faire preuve d’une grande mansuétude à l’égard des populations européennes dirigées par des va-t-en-guerre. Du moins tant que l’intégrité de leur territoire n’est pas victime d’une attaque étrangère…

Néanmoins, cette décision prise de s’approprier illégalement (c’est-à-dire par « soustraction frauduleuse », définition du vol en droit pénal français) les bénéfices générés par les avoirs russes en Europe, nos dirigeants ont poussé le bouchon vraiment très loin.

Ils semblent tout faire pour que les Russes finissent par se décider à nous rayer de la carte. Ou nous livrer une guerre. Et faire du territoire de l’Union européenne un immense brasier et le cimetière de sa population.

Les Russes s’y connaissent sans doute très peu en pétanque (quand on pousse le bouchon un peu loin), mais, pour ce qui de faire la guerre, ils ne sont pas manchots. Petit rappel historique : ce ne sont pas les troupes alliées qui ont libéré l’Europe du nazisme en 1945, mais l’Armée rouge. Et les Russes, eux, ne furent pas confrontés à 40 divisions de panzers (tanks allemands), comme les alliés, durant leur avancée. Mais 400. Alors que les alliés progressaient depuis la Sicile, la Provence ou la Normandie pour atteindre Berlin, les Russes, eux, durent traverser toute l’Europe orientale envahie les Allemands…

Le montant des bénéfices générés par les avoirs russes en Europe en 2023 dépasse les trois milliards d’euros. Un tel magot, c’est trop tentant. « Ils » ne peuvent pas laisser passer ça. « Ils », ce sont ces individus qui tirent les ficelles dans l’ombre, ces personnes à qui les dirigeants européens obéissent quand ils prennent des décisions contraires aux intérêts des peuples.

Parce que pour ces individus, je vous en ai fait part dans un édito précédent, un conflit qui réduirait l’Europe occidentale à la ruine serait sans doute une bénédiction.

Telle est leur stratégie au travers de menaces, sanctions et autres autoritarismes : semer le chaos puis tout reconstruire. Pour leur bénéfice pécuniaire exclusif, et un contrôle politique accru. Stratégie « en marche » depuis la guerre de 1914-1918, au déclenchement de laquelle ils ont œuvré.

C’est pour cette raison qu’au cas où la confiscation des bénéfices des avoirs russes en Europe ne suffirait pas à ce que le Kremlin se décide à nous livrer cette guerre, qui, immanquablement, conduirait à une catastrophe pour les peuples européens et le peu de souveraineté qu’il leur reste, voici ce que de vils marionnettistes ont prévu de faire faire par leurs marionnettes.

Dirigeants américains et européens en ont d’ores et déjà fait état : ils sont favorables à l’idée de confisquer complètement ces avoirs russes.

L’Estonie a, par exemple, adopté une loi en ce sens, et elle en prépare une seconde pour le mois de mars. Et, au Royaume-Uni, le ministre des Affaires étrangères, David Cameron, a affirmé qu’il existe une voie légale pour le faire. Ah ? Laquelle ?

Cependant, des difficultés juridiques et financières, subsistent, le risque notamment de détourner vers l’Asie les investisseurs étrangers qui stockent leurs actifs en Europe.

Par la voix de la Commission européenne, les dirigeants du Vieux Continent s’étaient engagés à rendre ces actifs à la Russie, à la condition que ses troupes se retirent d’Ukraine et qu’elle s’engage à supporter le coût de la reconstruction du pays. Hypothèse jugée plus qu’improbable.

En conséquence, la veille de l’arrivée de Volodymyr Zelensky à Paris (c’était le 14 février 2024), les députés Benjamin Haddad (Renaissance) et Julien Bayou (LFI), respectivement président et vice-président du groupe d’amitié France-Ukraine à l’Assemblée nationale, ont annoncé qu’ils allaient présenter une résolution permettant de tout bonnement confisquer les avoirs russes gelés en Europe et les affecter au soutien de l’Ukraine. Rien que cela !

Cette proposition de braquage de ces deux individus, malheureusement irresponsables, tant au niveau psychiatrique (visiblement) que juridique (les députés bénéficiant d’une immunité pénale pour les propos qu’ils tiennent dans l’exercice de leurs fonctions), a été justifié ainsi par les deux intéressés :

  • Benjamin Haddad :

« Il n’y a pas de raison de faire peser sur le contribuable européen le coût de l’agression de la Russie sur l’Ukraine. On le voit avec le débat au Congrès américain : se pose la question de notre endurance en faveur de l’Ukraine. »

  • Julien Bayou :

« Depuis le début de la guerre, nous avons souvent accédé aux demandes des Ukrainiens avec retard. Or, cela fait partie de leurs demandes insistantes : cela répond à un principe éthique, car il y a une atteinte majeure au droit international, ce sera un précédent utile en matière de dissuasion et il y aura directement de l’argent frais. »

« Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les r’connaît », lance Lino Ventura, alias Fernand Naudin dans Les Tontons flingueurs !

Invoquer un principe éthique et une atteinte majeure au droit international, lorsqu’on s’affiche, comme ces deux individus, en tant que commanditaires d’un braquage de banque opéré en violation de tous les principes édictés par le droit international, au premier rang desquels l’éthique entre les États, c’est un peu comme si, lors du procès de Nuremberg, Hermann Göring et Rudolf Hess s’étaient érigés en procureurs, en porte-parole des déportés juifs dans les camps nazis.

L’initiative de nos deux pieds nickelés du Palais Bourbon a pour objet de pousser la France, puis les autres pays de l’UE, à trouver un cadre juridique à cette confiscation. Preuve, qu’en réalité, cette confiscation est illégale. Et pour se défaire du caractère totalement illégal de cette confiscation, nos deux loustics en bordée évoquent l’idée d’utiliser les avoirs russes ainsi confisqués en tant que collatéraux d’un emprunt pour soutenir l’Ukraine. Décidément, j’aimerais bien qu’on m’explique ce que, pour eux, veut dire l’expression : « Respecter l’État de droit ».

Il faut donc saluer le dernier des Mohicans, ou le premier des courageux de la représentation nationale, le sénateur Alain Houpert qui a saisi le Conseil d’État le 21 février 2024  : « Sur la foi de l’article 53 de la Constitution, j’ai pris la décision de saisir le Conseil d’État en référé concernant l’accord de coopération France-Ukraine doté de 3 milliards d’euros pour exiger sa ratification par le Parlement. Sur de tels engagements en période d’austérité, la représentation nationale doit être consultée. »

Quant au député Nicolas Dupont-Aignan, député et président de Debout la France, il a annoncé avoir fait une intervention volontaire dans cette procédure évoquée dans une vidéo :

En attendant la réponse du Conseil d’État, sur la recevabilité de cette saisine, on ne peut que se poser la question : où est passée l’opposition institutionnelle ? 




Négligence

[Source : reaction19.fr]

Dans cet Article :

  1. Synthèse de Reaction19 de l’appel du Collectif Parents & Citoyens France
  2. Réaction de Reaction19
  3. Appel du Collectif Parents & Citoyens France
  4. Flyer 11 Vaccins
  5. Lettre Ouverte 11 Vaccins
  6. PDF (Lettre Ouverte)
  7. Destinataires
  8. Méthode

1. Synthèse de Reaction19 de l’appel du Collectif Parents & Citoyens France

Le collectif Parents & Citoyens France exprime ses préoccupations concernant l’obligation vaccinale élargie à 11 vaccins pour les enfants de moins de deux ans, introduite en France le 1er janvier 2018 par Agnès Buzyn, alors ministre des Solidarités et de la Santé. Cette mesure, initialement présentée comme temporaire, est toujours en vigueur et inclut une liste de maladies pour lesquelles la vaccination est obligatoire avant l’accès aux collectivités d’enfants. Le collectif questionne les risques associés à ces maladies, les effets potentiels de l’administration combinée de ces vaccins et leur classification récente comme “substances vénéneuses” par l’ANSM, à l’exception des vaccins contre la grippe et la COVID-19.

Le collectif soulève également des inquiétudes sur les effets indésirables graves rapportés suite à l’élargissement des obligations vaccinales, citant le troisième bilan annuel de novembre 2022 qui fait état de 201 notifications d’effets indésirables, dont 35 % considérés comme graves. Il questionne l’éthique de rendre obligatoire la vaccination au vu de ces risques, en référence à la loi du 4 mars 2002 qui stipule que le consentement doit être libre et éclairé, et appelle à une évaluation des bénéfices et risques en concertation avec les parents et médecins.

Le collectif exprime également sa préoccupation quant à l’avenir de la technologie ARNm dans la production de vaccins obligatoires, soulignant le manque de données sur les effets à moyen et long terme de cette technologie et demandant un moratoire en attendant une expertise approfondie.

En conclusion, Parents & Citoyens France demande le retrait de l’obligation vaccinale, plaidant pour le droit des parents à choisir et exprimant une inquiétude profonde quant à un potentiel scandale sanitaire. Le collectif sollicite des réponses et des actions immédiates pour adresser ces préoccupations.

2. Réaction de Reaction19

Au cœur de Reaction19 réside un engagement profond pour la défense des droits et des libertés fondamentales. C’est avec une sincère compassion et un sentiment de responsabilité partagée que nous relayons aujourd’hui l’appel émouvant du collectif Parents & Citoyens France. Face à l’inquiétude grandissante des familles concernant la politique vaccinale et ses répercussions sur les plus jeunes parmi nous, notre mission n’a jamais semblé aussi cruciale. Dans les jours à venir, nous allons mobiliser notre équipe dévouée de bénévoles pour explorer toutes les avenues possibles afin d’apporter notre soutien et de renforcer notre action. Ensemble, guidés par un esprit de solidarité et une volonté inébranlable de veiller sur le bien-être de chaque enfant, nous chercherons des solutions pour faire entendre ces voix et répondre à cet appel avec toute l’attention et le soutien qu’il mérite.

3. Appel du Collectif Parents & Citoyens France

– Deuxième envoi synchrone pour réception ce lundi 26 février !

Pour donner à tous du baume au cœur sachez que des réactions positives sont parvenues : 2 mercis (l’une d’une sage-femme, l’autre d’un service hospitalier). Nos multiples graines finissent donc par germer ! Ne nous arrêtons plus, profitons de cet encouragement pour propager le mouvement !

– Les indications habituelles sont en PJ (dénommé Méthode)

Pour ce deuxième envoi, tous les destinataires sont considérés comme principaux (donc en À).Suivez si possible le classement donné dans le fichier en PJ (dénommé Destinataires 2)

– Le Flyer « LES 11 VACCINS INFANTILES EN QUESTIONS », ci-joint, n’est pas à envoyer avec la Lettre Ouverte, mais à distribuer selon vos habitudes et à mettre sur vos réseaux.

– La Pétition de La Ligue pour la Liberté Vaccinale LPNLV est complémentaire de notre Lettre Ouverte, n’hésitez à la faire signer par vos amis et vos contacts.

Abrogation des obligations vaccinales – Abrogation des obligations vaccinales – Plateforme des https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-1994?locale=fr

– Zoom : mardi 27 février à 20h30, pour faire le point sur l’action et répondre à vos questions , le lien vous sera communiqué mardi matin si vous êtes intéressé. parents.citoyens.france@gmail.com

– N’oubliez pas de nous signaler les retours de courriers, vos questions et votre demande de participation au zoom.

On ne lâche rien !
Martine pour le Collectif Parents & Citoyens France

Ps :
– Pour ceux qui nous rejoignent en cours de route, n’hésitez pas à nous demander les destinataires précédents.
N’oubliez pas lors du transfert de la Lettre Ouverte d’éliminer ce prologue et les PJ inutiles et de modifier l’ Objet de la Lettre !

FIN DU PROLOGUE

4. Flyer 11 Vaccins

5. LETTRE OUVERTE aux citoyens, aux élus et aux services de santé

  • à la Directrice Générale de l’ANSM, Docteur Christelle RATIGNIER-CARBONNEIL,
  • aux Directeurs des centres de pharmacovigilance,
  • à la Direction de la HAS, Professeur Lionel COLLET,
  • à la Direction de la Société Française de Pédiatrie, Professeur Agnès LINGLART,
  • au Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, Docteur François ARNAULT,
  • à la Direction du Conseil de l’Ordre des Pharmaciens, Madame Carine WOLF-THAL,
  • à la Direction du Conseil de l’Ordre des Infirmiers, Monsieur Patrick CHAMBOREDON,
  • à la Direction du Conseil de l’Ordre des Sage-Femmes, Madame Isabelle DERRENDINGER ,
  • à la Direction de l’ARS, Monsieur Grégory EMERY,
  • à la Direction de l’ONIAM, Monsieur Sébastien LELOUP,
  • à Mesdames et Messieurs les ministres,
  • à tous les élus, députés européens, sénateurs, députés, conseillers généraux et départementaux et maires de France

Madame, Monsieur,

Le 1er janvier 2018(([1] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000036543886)), Agnès Buzyn, alors ministre des Solidarités et de la Santé rendait obligatoire 11 vaccins pour les enfants de moins de deux ans nés à partir du 1er janvier 2018, contre 3 précédemment – diphtérie, tétanos, poliomyélite –. Ces vaccins concernent les maladies suivantes : diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche, hépatite B, méningocoque C, pneumocoque, Haemophilus influenza B, rougeole, oreillons, rubéole (un douzième obligatoire en Guyane, la fièvre jaune).

Cette obligation est nécessaire pour tout accès aux collectivités d’enfants. Présentée comme temporaire à l’époque, elle est toujours en application à l’heure actuelle.

Quels sont les risques aujourd’hui en France de contracter ces maladies et d’en être affecté durablement ?

Qu’en est-il de l’effet cocktail de ces multiples vaccins ? Ont-ils été testés ensemble ?

Par décision du 7 septembre 2023, publiée le 13 septembre 2023, l’ANSM classait la quasi-totalité des vaccins, sur la liste des « substances vénéneuses »(([2] https://ansm.sante.fr/actualites/decision-du-07-09-2023-portant-inscription-sur-la-liste-i-des-substances-veneneuses-definie-a-larticle-l-5132-6-du-code-de-la-sante-publique)) définie à l’article L.5132-6 du Code de la Santé Publique, à l’exception de ceux pour la grippe et le Covid 19.

Qu’entendez-vous par « substances vénéneuses », hormis la nécessité d’une réglementation des modalités de prescriptions, distributions et contrôles d’une substance, et du dispositif juridique associé ? Quels en sont la dimension médicale et l’impact scientifique ?

La définition générique du terme « vénéneux » désigne « une substance qui contient un poison, qui peut empoisonner ».

Ces injections peuvent-elles présenter directement ou indirectement un danger pour la santé de nos enfants et entraîner des effets indésirables nécessitant une surveillance médicale ?

Depuis le dernier trimestre 2019, des évaluations(([3] https://sante.gouv.fr/prevention-en-sante/preserver-sa-sante/vaccination/vaccins-obligatoires/bilans-annuels-extension-obligations-vaccinales-du-nourrisson)) de l’impact de l’élargissement des obligations vaccinales sont réalisées par le Gouvernement et publiées.

Le 3e bilan annuel (novembre 2022) fait état de 201 notifications d’événements et d’effets indésirables pour l’année 2020. Environ 35 % sont considérés comme graves, « effet indésirable létal, ou susceptible de mettre la vie en danger, ou entraînant une invalidité ou une incapacité importante ou durable, provoquant ou prolongeant une hospitalisation ». Parmi ceux-ci, la thrombopénie, l’apnée, la désaturation, les convulsions, l’encéphalopathie aiguë, la maladie de Kawasaki et le décès.

L’obligation de recevoir ces vaccins pose donc un problème éthique important : comment justifier une obligation d’État au vu des risques d’effets indésirables cités plus haut, des connaissances de la médecine, et des traitements disponibles aujourd’hui pour des maladies devenues rares et/ou bénignes dans la plupart des cas ?

Tel qu’indique la loi 2002-303 du 4 mars 2002, le consentement doit être libre et éclairé : l’évaluation entre les bénéfices de la protection et les risques des injections doit être menée en concertation avec les parents et les médecins. Elle s’appuie sur les informations scientifiques disponibles et réactualisées, et la réalité du terrain.

Est-il cohérent de rendre obligatoire un produit soumis à prescription ?

Par ailleurs le lobby du médicament a exprimé de façon réitérée sa volonté de développer les vaccins à ARNm. Des sites de production sont installés dans le monde entier, prêts à être utilisés.

Quelle garantie avons-nous que les vaccins obligatoires ne seront pas produits avec cette nouvelle technologie dont nous ignorons encore les effets à moyen et long terme, et dont les effets à court terme ne lassent pas d’être inquiétants ?

N’étant pas dans l’urgence comme pour la vaccination Anti-Covid, les protocoles d’essais cliniques et d’autorisation de mise sur le marché seront-ils respectés de bout en bout ?

Ne faut-il pas plus de dix années, voire davantage pour développer un vaccin, a fortiori s’ils concernent les jeunes enfants ?

Nous demandons la mise en place immédiate d’un moratoire sur ces produits ARNm, en attendant une véritable expertise de cette nouvelle technologie.

Nous sommes préoccupés et très inquiets. Nos nourrissons ont actuellement l’obligation d’être vaccinés de manière irréversible avec de multiples injections, de manière rapprochée avant leurs 2 ans. Ces injections n’étant pas sans risque, la plupart des maladies ciblées ayant un caractère exceptionnel : nous vous demandons le retrait pur et simple de l’obligation vaccinale pour que les parents retrouvent la liberté de choix, comme c’est le cas dans de nombreux pays européens.

Ne soyons ni passifs, ni acteurs face à un nouveau scandale sanitaire. Vu la gravité du sujet qui concerne tous nos enfants, nous vous remercions de répondre, dans les meilleurs délais, à nos questions et nos demandes.

Le collectif Parents & Citoyens France

parents.citoyens.france@gmail.com

Cosignataires :

  • ▪ AIMSIB ▪ Alliance Citoyens Libres (ACL) ▪ Alliances Citoyennes 79
  • ▪ Antenne RÉINFO 01/Pays De Gex
  • ▪ Association Blouses Blanches pour les Libertés Fondamentales ▪ Association Contre Attack
  • ▪ Association NEC MERGITUR 17 ▪ Association Profession Gendarme
  • ▪ Association Réaction Pyrénées ▪ Association Solidarité Objectif Santé
  • ▪ Association SOS Libertés ▪ Basic 37 ▪ BOL D’AIR ▪ Citoyens Libres des Pyrénées
  • ▪ Collectif Chalonnais Libertés & Vérités
  • ▪ Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens (CSAPE) ▪ Collectif Liberté 07
  • ▪ Collectif Pays de Loire ▪ Collectif Santé 44 ▪ Collectif Santé Mauges ▪ Combien à être Humains ?
  • ▪ Comité de soutien aux Parents en Presqu’île de Crozon ▪ Corse Humanis ▪ Corse Unis
  • ▪ Dr Alexandra Henrion Caude, généticienne, ancienne directrice de recherche à l’Inserm
  • ▪ Dr Gérard Delépine chirurgien, oncologue & statisticien
  • ▪ Dr Hélène Banoun pharmacien biologiste & ex chercheur à l’Inserm
  • ▪ Dr Martine Gardenal, médecin homéopathe, médecin du sport et médecin olympique
  • ▪ Dr Nicole Delépine pédiatre et oncologue ▪ Dr Laurence Kayser gynécologue
  • ▪ Dr Philippe De Chazournes médecin omnipraticien
  • ▪ Enfance et Libertés Yvelines ▪ l’Ordre Universel des Praticiens de Santé (OUPS)
  • ▪ l’UNION fait la FORCE 88 (UFLF88) ▪ Les Artisans de la Vie ▪ Les Citoyens Libres du 67
  • ▪ Les Désenfantés ▪ Les Masques Blancs de Nantes ▪ LIBERTAD ▪ Liberté 78
  • ▪ Liberté Comminges ▪ Libre Choix Loire et Sillon ▪ Les Z’Eclaire-Heures Perpignan
  • ▪ Ligue pour la Liberté Vaccinale (LPNLV)
  • ▪ Mme Françoise Bloch socio-anthropologue ▪ NOPASS 24 ▪ Où est mon Cycle ?
  • ▪ Police pour la Vérité ▪ Pour la Liberté de Choix 01 ▪ Réinfo Bourg 01 ▪ Reinfo Citoyens 91
  • ▪ Reinfo les Collectifs ▪ Reinfo Paris ▪ REVAV ▪ Réseau “Ne touchez pas à nos enfants”
  • ▪ Réveil Citoyens et Réinfo 49 ▪ Sages-Femmes Clés ▪ Soutien au Personnel Suspendu (SPS)
  • ▪ Sport Sur Ordonnance Carcassonne ▪ Tribune Libre
  • ▪ Union Nationale d’Initiative Citoyenne du Bas-Rhin (UNIC 67) ▪ Viac 19 ▪ Voix de Sages-Femmes ▪ les CITOYENS ÉCLAIRÉS

6. PDF (Lettre Ouverte)

7. Destinataires

8. Méthode




Quelle France, quel système de valeurs, quels peuples demain?

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]




« Le patriarcat n’existe pas »

[Source : breizh-info.com]

Par Audrey D’Aguanno

Dans le combat culturel que nous menons, les mots revêtent une importance primordiale. En les vidant de leur sens, on manipule, on abêtit. En évitant de les dire, on efface, on oublie. En les suremployant, on grossit ou on crée au contraire des réalités qui n’en sont pas.

Un d’entre eux — le patriarcat — est tout à fait emblématique de cela. C’est LE mot à la mode. En se déclarant « contre » on passe automatiquement dans le camp du bien, celui des gens cools, celui de l’avant-garde autoproclamée qui « fait bouger les lignes » (sic). Or, il n’est qu’une vaste fumisterie.

Anne Trewby, présidente des Antigones et co-auteur de « Femmes, réveillez-vous… »(([1] Femmes, réveillez-vous !, Anne Trewby et Iseul Turan, La Nouvelle Librairie, 2023. L’ouvrage a été présenté lors d’une émission radiophonique ici.)), nous explique magistralement pourquoi.

Breizh-info.com : « Le patriarcat contre les femmes », « le patriarcat contre la planète », « le patriarcat tue tous les jours ». Pour certains, ce patriarcat, serait un insidieux système de domination masculine, l’usurpation du pouvoir succédant à l’âge d’or pacifique et fantasmé du matriarcat. Il expliquerait autant les violences faites aux femmes, que l’écart salarial ou la charge mentale que subiraient ces dernières. Pour d’autres, il serait « la loi à visage humain », l’organisation d’une société résultant de la naturelle différenciation des sexes, et les règles qui en découlent viseraient plus à protéger les femmes qu’à les oppresser. D’autres encore réfutent son existence. En nous limitant à la sphère de la civilisation européenne, le patriarcat, qu’est-ce que c’est ?

Anne Trewby : Le « patriarcat » est une création moderne aussi idéologue que les écoles de pensée dont il émane. Nous l’avions brièvement évoqué dans notre récent essai Femmes, réveillez-vous comme un concept clef de la mythologie qui unifie les différents mouvements féministes. Il est plus que cela. Antérieur au féminisme, il relève de dynamiques et d’erreurs intellectuelles bien plus profondes, et notamment d’une mythologie scientiste qui prend ses racines au XIXe siècle.

Le mot vient de la notion de « patriarche » et son usage fut longtemps limité à la description de l’organisation familiale hébraïque. Il est repris au XIXe siècle par les premiers sociologues et anthropologues pour désigner ce qu’ils pensent être des formes d’organisation sociales et juridiques fondées sur la détention de l’autorité par les hommes. Or, la pensée de ces sciences émergentes est déjà biaisée par la croyance selon laquelle la famille est une création sociale historique et non, comme l’affirme la philosophie classique, une réalité naturelle. L’erreur est fondamentale : le mot de « patriarcat » relève d’une réécriture matérialiste et évolutionniste de l’histoire.

Le terme sera rapidement repris et popularisé par les mouvements féministes de deuxième vague, qui cherchent à promouvoir la contraception et l’avortement et remettent en question l’autorité du père de famille. Ces militantes largement nourries par le mouvement marxiste d’une part, et par l’école structuraliste d’autre part reprennent la notion de « patriarcat » à leur compte. La figure du « mauvais père », les violences familiales, ne sont plus des exceptions scandaleuses à la règle d’un père considéré comme chef et protecteur de la famille, mais la norme : tous les hommes sont regroupés dans un même groupe, une même superstructure, le « patriarcat », qui serait par nature violent et dominateur envers les femmes.

Selon les auteurs, le patriarcat s’opposera soit à un matriarcat primitif et violent, soit à l’inverse à monde idéal dans lequel le matriarcat viendrait rétablir l’harmonie rompue par la domination masculine. Cette fracture entre un monde conçu comme partagé entre deux essences, l’une féminine, l’une masculine, était déjà présente chez les sociologues et les anthropologues. On la retrouve aujourd’hui dans l’opposition entre un féminisme qui continue d’alimenter la guerre des sexes et de criminaliser tous les hommes, et un masculinisme qui se plaint d’un monde « féminisé ». Le commun de ces deux dynamiques, c’est tout simplement le refus de la complémentarité pourtant indispensables à une juste compréhension des rapports humains et donc des sociétés humaines. Le féminin et le masculin ne peuvent être pensés l’un sans l’autre. Réécrire l’histoire de l’Europe à la lumière d’une telle polarisation, c’est nier à l’un ou l’autre sexe la légitimité de son existence.

Breizh-info.com : Certaines féministes ont déjà commencé à abandonner le terme de patriarcat, pendant que d’autres, au contraire, s’en servent pour contrer leur message. Qu’est-ce que cela vous évoque ?

Anne Trewby : L’usage contemporain de la notion de patriarcat n’est pas moins inquiétant. Après avoir utilisé le concept pour nourrir la croyance selon laquelle il existerait des évolutions aux sociétés humaines, puis pour alimenter dans l’un ou l’autre sens une guerre des sexes dont la stérilité n’est plus à prouver, le néo-féminisme universaliste, notamment en France, rejette la notion avec celle de matriarcat comme étant deux logiques de toute façon erronées car issues d’organisations humaines spontanées. Il lui préférera une forme d’ingénierie sociale égalitariste et utopiste. En somme, la tendance pourrait se résumer à cette idée : sortons et du matriarcat originel, et du patriarcat oppressif, pour devenir ensemble demain des êtres humains asexués et interchangeables, de parfaits transhumains. C’est d’ailleurs une tendance que nous analysons en profondeur dans le deuxième chapitre de notre essai.

En réaction à cette utopie prométhéenne et dangereuse, d’aucuns ressortent aujourd’hui le terme de derrière les fagots pour en faire un étendard pour défendre l’idée qu’il existe une nature, un ordre à respecter. On pourra ici penser à la déclaration médiatique d’un Patrick Buisson à la sortie de son ouvrage Décadanse selon laquelle « le patriarcat protégeait les femmes ». La reprise du terme est compréhensible, elle relève de la même dynamique que l’anti-féminisme, mais malheureusement elle est tout aussi inopérante dans la mesure où elle signe la mort de la famille et la mort du politique en nous empêchant de penser un monde commun fondé sur une juste complémentarité des sexes.

Cette complémentarité des sexes est pourtant un des fondements de notre civilisation européenne, qui est sans doute celle qui en a donné les plus fructueux et les plus riches incarnations au travers de son histoire. Elle n’a rien à voir avec un quelconque patriarcat mais plutôt avec une collaboration des sexes pensée dans l’équilibre et la réciprocité.

Parce que le terme existe, il faudrait se positionner à son égard ? Le juger « bon » ou « méchant » ? Ce serait déjà tomber dans la logique de l’adversaire et admettre la justesse du terme. Le patriarcat n’existe pas, alors laissons de côté un mot qui charrie avec lui tant d’erreurs pour lui préférer un vocabulaire juste, précis et plus à même de nous offrir des voies de réflexion fécondes quant à la place de chaque sexe dans la société que nous voulons pour demain.

Breizh-info.com : 94 femmes ont été tuées en France en 2023 en raison de leur genre, nous-dit-on. Le patriarcat serait cette force invisible qui pousse des hommes à tuer leur compagne, leur ex, ou la femme qu’ils désirent. Que vous évoque ce terme de « féminicide » ?

Anne Trewby : Le terme de « féminicide » est le révélateur des mêmes impasses. C’est l’essentialisation de problèmes de fond pourtant bien réels. Il existe bien des violences spécifiques commises à l’égard des femmes mais elles ne peuvent toutes être mises dans le même sac : des violences conjugales en France ne répondent pas aux mêmes dynamiques que l’avortement sélectif des filles en Chine.

L’homme qui bat puis tue sa femme ne la tue pas parce qu’elle est une femme mais bien parce qu’elle est sa conjointe à lui, la personne avec laquelle il vit. Il ne cherche pas en la tuant à poser un acte politique en faveur du patriarcat ; il commet tout simplement un meurtre, d’autant plus grave que la relation qui les unissait supposait confiance, solidarité et responsabilité mutuelles.

Considérer chaque violence conjugale comme un « féminicide », donc comme une atteinte des hommes en général aux femmes en général, c’est partir du principe que le problème des femmes ce sont les hommes, notamment parce que le problème des hommes, ce sont les femmes. A moins de devenir rapidement une licorne ou un hélicoptère de combat (options bientôt disponibles à l’état civil, nous n’en doutons pas), il n’y a clairement aucune issue au problème.

Qualifions les violences faites aux femmes pour ce qu’elles sont, des agressions, des violences conjugales, des viols, du harcèlement, et osons analyser le détail de chacune de ces dynamiques dans leur réalité pour y trouver des solutions. Ce sont, pour ceux qui relèvent de la Justice notamment, des actes hautement répréhensibles non seulement parce qu’il s’agit de blesser ou tuer une personne humaine, mais également parce qu’elle met en cause la confiance que devraient pouvoir avoir les membres d’une société les uns dans les autres, et le respect et la solidarité que chacun devrait pouvoir attendre de ses concitoyens quel que soit son sexe. Pire encore dans le cas des violences conjugales, ce sont des actes qui viennent rompre un engagement public, un serment, et en cela nuire à l’institution du mariage elle-même. C’est pour toutes ces raisons que ces actes devraient être violemment condamnés et pas à cause d’une soi-disant intention du coupable de nuire à toutes les femmes, ce qui relève au contraire d’une subjectivité du droit inacceptable.

L’analyse de ces actes devrait en somme privilégier comme grille de lecture l’unité d’un corps national compris comme fondé sur la cellule de base qu’est la famille (et donc le couple) face aux dangers qui le menacent et non la solidarité de l’internationale des femmes face au patriarcat oppresseur. Sortons de ces dynamiques délétères pour renouer avec une juste complémentarité des sexes au sein de sociétés comprises dans leur diversité géographique, historique et politique.

Propos recueillis par Audrey D’Aguanno

Crédit photo : Flickr

[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




La dévastation du monde par « les derniers des hommes »

[Source : ÉLUCID]

Johann CHAPOUTOT est historien et professeur d’histoire contemporaine à la Sorbonne. Spécialiste de l’Allemagne et de la modernité occidentale, il est l’auteur d’une dizaine d’ouvrages dont « La loi du sang » (2014), « Libres d’obéir » (2020) ou encore « Le grand récit » (2021). Dans cette interview réalisée par Olivier Berruyer pour Élucid, Johann Chapoutot met en lumière les dynamiques profondes qui ont permis au nazisme de prendre racine, et qui n’ont hélas pas entièrement disparu. Il y a une continuité historique, des mécanismes structurels, qui aujourd’hui se réalisent à travers le néolibéralisme et ses incarnations politiques comme le macronisme. L’Histoire n’est pas finie, et pour l’anticiper au mieux, nous devons apprendre à lire la réalité sous les récits.




Un projet de loi canadien pourrait emprisonner les chrétiens qui citent la Bible

[Source : medias-presse.info]

Par Léo Kersauzie

Si le projet de loi C-367(([1] capture PDF)) du Bloc Québécois est adopté, les exemptions religieuses en vertu de l’article sur les « discours haineux » du Code criminel seront supprimées, ce qui pourrait entraîner l’arrestation de chrétiens qui citent les Écritures ou expriment publiquement leur opposition au péché.

Les chrétiens devraient-ils être arrêtés pour avoir cité des extraits de la Bible en public ? Les prêtres devraient-ils être accusés de « crime haineux » lorsqu’ils prêchent contre certains péchés ? Les églises devraient-elles être fermées si le gouvernement n’approuve pas leurs croyances ?

Vous pourriez penser que ce sont des questions ridicules. Après tout, on vous parle ici du Canada — le « vrai Nord fort et libre » dont la devise nationale est « a mari usque ad mare », tirée du Psaume 72 : 8, qui dit que le Christ dominera « d’une mer à l’autre ». Ce n’est pas la Chine communiste !

Or, avec le dépôt du projet de loi C-367, toutes ces questions sont sur la table. C’est un projet de loi pour mettre les chrétiens au placard. Sous la menace d’une peine de prison, il fera taire les croyants qui s’opposent à l’idéologie révolutionnaire arc-en-ciel.

Cette proposition répressive et christianophobe du chef du Bloc québécois Yves-François Blanchet est actuellement devant le Parlement et pourrait être votée prochainement. Si les libéraux de Trudeau appuient ce projet de loi, il sera très certainement adopté, ce qui portera un coup fatal à la liberté de religion et à la liberté d’expression dans ce Dominion.

Pour certaines personnes au Canada, le message de la Bible est un affront à leur style de vie et à leur fierté. Ils ne veulent pas l’entendre, leur conscience ne peut le tolérer et ils essaieront de faire taire ceux qui le proclament.

Par exemple, les militants LGBT s’en prennent depuis de nombreuses années à un chrétien canadien courageux nommé Bill Whatcott, qu’ils accusent de « crimes haineux » contre les homosexuels. Lorsqu’il a distribué des dépliants mettant en garde contre les dangers médicaux et spirituels des pratiques LGBT lors du « défilé de la fierté » de Toronto en 2016, ces militants LGBT étaient furieux. Ils ont réclamé son arrestation en 2018 sous le gouvernement de Kathleen Wynne, alors Première ministre de l’Ontario et lesbienne notoire.

M. Whatcott a été jugé deux ans plus tard et a finalement été déclaré non coupable en décembre 2021. Cependant, le gouvernement de Doug Ford a fait appel de son acquittement et continue de poursuivre M. Whatcott pour avoir partagé ce que dit la Bible sur le péché sexuel.

Un certain nombre de pasteurs canadiens ont également été accusés de « crime haineux » pour leur témoignage public contre l’immoralité sexuelle et la sexualisation des enfants.

Jusqu’à présent, les accusations de « crime haineux » portées contre des chrétiens ont été très difficiles à prouver en raison d’une protection importante dans le Code criminel canadien. Il existe une « exemption religieuse » dans l’article 319 qui stipule : « Nul ne sera reconnu coupable d’un délit [de crime de haine]… si, de bonne foi, la personne a exprimé ou tenté d’établir par un argument une opinion sur un sujet religieux ou une opinion fondée sur une croyance en un texte religieux. »

En d’autres termes, si vous dites ce que dit la Bible à propos de la sexualité, du genre, du mariage, de la famille ou de quoi que ce soit — aussi impopulaire, offensant ou « haineux » que cela puisse paraître à quelqu’un d’autre, vous avez la liberté de vous exprimer en vertu de l’actuelle loi canadienne. Les chrétiens ont le droit de citer la Bible au Canada.

Mais si le projet de loi C-367 est adopté, cette protection sera supprimée du Code criminel. Et il faut s’attendre alors à une vague d’accusations contre les prêtres, les églises, les organisations chrétiennes et les croyants ordinaires qui osent dire la vérité avec amour sur la place publique.

Les Canadiens ne seront plus autorisés à partager en public le dessein de Dieu concernant la sexualité humaine et le mariage. Ils ne pourront plus citer la Bible contre les spectacles de drag-queens pour enfants ou les « changements de sexe » des enfants. Tout cela pourrait être interprété à tort comme un « discours de haine » contre la communauté LGBT. Même le message pro-vie pourrait être présenté comme un « crime haineux » contre les femmes.

Le prétexte de l’antisémitisme

La raison apparente du projet de loi C-367 est la prétendue augmentation des manifestations antisémites au Canada. Mais en réalité, ce n’est qu’un prétexte pour une attaque opportuniste contre la liberté religieuse des chrétiens.

Si le gouvernement croit réellement que quelqu’un prône ou favorise l’anéantissement des Juifs, ne devrait-il pas appliquer les lois existantes qui rendent déjà cela illégal ? De toute évidence, cette proposition n’est qu’une attaque cynique contre les croyants de la part du chef antireligieux du Bloc québécois.

Le projet de loi C-367 ne fera que servir le programme néfaste des militants pro-LGBT et des politiciens christianophobes qui veulent imposer leur idéologie révolutionnaire arc-en-ciel et faire taire toute opposition.




Les Occidentaux sont vraiment devenus tarés pour perdre leur temps à la recherche de noms supposément racistes de dinosaures

[Source : smoothiex12]

Par Andrei Martyanov

Deux flambant neufs, deux profondément modernisés…

Vladimir Poutine inspecte quatre TU-160. Deux d’entre eux sont des avions entièrement neufs, construits à partir de zéro et équipés de l’avionique la plus récente. Les deux autres sont des appareils profondément modernisés, dont l’intérieur est également entièrement neuf.

D’ici la fin de l’année, le VKS russe devrait recevoir deux TU-160 supplémentaires. Comme vous l’avez peut-être deviné, l’arsenal transporté par ces bombardiers supersoniques est stupéfiant, allant du missile de croisière Kh-BD d’une portée de plus de 8 000 kilomètres à des armes hypersoniques très probables, en raison de la vitesse supersonique des TU-160.

En attendant, la Russie n’est pas intéressée.

L’une des raisons pour lesquelles les responsables américains n’ont pas largement diffusé les informations relatives aux efforts déployés par la Russie pour développer une nouvelle arme spatiale est que l’administration tentait d’entamer des pourparlers afin de convaincre la Russie de renoncer à ce programme. De hauts responsables des services de renseignement et de l’administration avaient pris contact avec la Russie — ainsi qu’avec l’Inde et la Chine en tant qu’intermédiaires possibles — au sujet du projet pendant des semaines avant qu’il ne soit rendu public, selon un fonctionnaire américain et une personne au courant de ces contacts. Les renseignements obtenus indiquaient que la Russie prévoyait peut-être de procéder à des essais du dispositif — une arme antisatellite basée dans l’espace et dotée de capacités nucléaires, ont déclaré ces personnes. L’anonymat a été préservé pour ces deux personnes afin qu’elles puissent parler des négociations sensibles en cours avec Moscou.

(Source)

Comme cela a été évoqué dans mon entourage, toute cette hystérie pourrait être, en fait, une excuse pour l’administration Biden de rétablir les contacts avec le Kremlin pour discuter d’une question complètement différente — à savoir, comment sortir les États-Unis de la défaite catastrophique en 404. Mais Washington est aujourd’hui si profondément enfoncé dans son propre BS qu’il est impossible de se fier à quoi que ce soit qui en émane.

Pendant ce temps, l’Occident combiné continue de progresser scientifiquement avec des réalisations étonnantes :

Des paléobiologistes allemands ont appelé à une révision du système utilisé pour nommer les dinosaures, arguant que la nomenclature actuelle contient près de 100 noms « potentiellement offensants », a rapporté mardi le magazine Nature, citant l’article non encore publié de l’équipe. Un groupe de chercheurs a analysé les noms de tous les fossiles de dinosaures de l’ère mésozoïque, définie entre 251,9 millions et 66 millions d’années, et a passé au peigne fin 1 500 espèces à la recherche de noms qu’ils percevaient comme « émanant du racisme, du sexisme, nommés d’après des contextes (néo)coloniaux ou d’après des personnages controversés ». Ils ont trouvé 89 espèces « problématiques », selon Nature, soit moins de 3 % des noms analysés. Une espèce de dinosaure peut être jugée problématique simplement parce que son nom est basé sur le nom colonial de la région où le fossile a été découvert, expliquent les chercheurs, qui déplorent que « les noms de lieux ou de chercheurs en langue indigène ne sont souvent pas utilisés ou sont mal traduits ».

(Source)

Une « recherche » et une « contribution » remarquables dans ce domaine. La prochaine étape consistera à renommer les systèmes d’armes qui, grâce à des pronoms appropriés, augmenteront leur efficacité au combat.(([1] Il s’agit bien sûr d’un trait d’humour de la part de l’auteur. NdT))





Rencontres, mises en relation et projets pour préparer un monde meilleur : c’est possible !

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

www.cagnotte-resistance-agricole-2024.com




Freiner la Grande Réinitialisation — Les chrétiens sont un obstacle au mondialisme, et les puissances mondiales le savent

[Source : harbingersdaily.com]

Par Terry James

Ceux d’entre nous qui croient être chargés par le Seigneur d’être des « sentinelles » sur le chemin de ronde l’accélération de la mise en scène de l’accomplissement prophétique comme une chose merveilleuse à voir. Il est indéniable que nous approchons à grands pas du dénouement de l’âge de grâce.

Aucun développement récent n’a été plus significatif que le mouvement vers l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial. L’un des éléments les plus troublants de ce mouvement est ce que l’on appelle « la grande réinitialisation ».

Ce terme, défini dans le titre d’un livre du même nom, signifie la mondialisation du monde entier — ceux qui ont l’intention d’établir un monde sous un seul gouvernement ne doivent pas, selon eux, être contrecarrés. L’existence même de la planète dépend de leur capacité à atteindre leurs objectifs, ceux-ci résumés dans ce qu’ils appellent l’Agenda 21 et maintenant l’Agenda 2030. Cet « agenda » signifie qu’ils doivent accomplir toutes les étapes de la mise en place de cet ordre mondial au plus tard en 2030.

Ces maîtres mondialistes en puissance ne voient pas les choses se développer comme nous le faisons en les regardant à travers le prisme de la prophétie biblique. Alors que nous voyons les choses avancer vers le régime de l’Antéchrist à un rythme étonnant et effrayant, les mondialistes, comme l’auteur du livre La Grande Réinitialisation, considèrent que les choses sont ralenties et inhibées par des forces qu’ils doivent éliminer. En d’autres termes, ils doivent éliminer ceux qui sont comme nous, par exemple. Et par « nous », j’entends à la fois nous, les chrétiens, qui dénonçons leur méchanceté, et cette nation, les États-Unis d’Amérique, dont le peuple est imprégné depuis près de trois siècles de liberté fondamentale et de droits conférés par Dieu sur la base d’un fondement judéo-chrétien.

L’Amérique est l’obstacle le plus puissant à l’Agenda 2030 et à la Grande Réinitialisation. Cette nation, la plus matériellement bénie de l’histoire, ne s’enfoncera pas « doucement dans cette bonne nuit », comme l’aurait dit Dylan Thomas. Il ne sera pas facile de nous faire rouler à bicyclette, de rester dans des villes de quinze minutes et de manger des insectes au lieu des aliments que nous aimons, comme les grands réinitialisateurs et leur agenda insistent pour que nous le fassions. Il y aura une forte résistance tant que la nation existera telle qu’elle est composée actuellement.

Bien sûr, les Américains qui aiment la liberté sont constamment attaqués par les puissances et les principautés d’Éphésiens 6:12, qu’elles soient démoniaques ou humaines. Et cette cabale luciférienne est déterminée à faire tomber l’Amérique et à éliminer toute opposition à son programme. Ces sous-fifres appellent l’opposition à laquelle ils sont confrontés « le recul de la mondialisation ». L’extrait suivant donne plus de détails sur la détermination de Klaus Schwab et de ses acolytes à changer les choses afin que leur nouvelle tour de Babel puisse être construite, sans opposition.

Le livre de Klaus Schwab et Theirry Malleret, Covid-19 : La grande réinitialisation identifie « la chute libre de la gouvernance mondiale » comme un défi existentiel, et si nous ne collaborons pas, « nous sommes condamnés ».

« Les États-nations rendent possible la gouvernance mondiale (l’un entraîne l’autre) », peut-on lire dans le livre. « Plus le nationalisme et l’isolationnisme envahissent la politique mondiale, plus la gouvernance mondiale risque de perdre sa pertinence et de devenir inefficace. Malheureusement, nous nous trouvons aujourd’hui à ce point critique. Pour dire les choses crûment, nous vivons dans un monde où personne n’est vraiment aux commandes »…

Kristalina Georgieva [directrice générale du Fonds monétaire international] a suggéré de « se concentrer sur les domaines nous sommes condamnés si nous ne travaillons pas ensemble ». Les exemples qu’elle a donnés comme quoi « nous sommes condamnés » sans la mondialisation sont le « changement climatique », la « transition verte » et la dette…

Les auteurs n’expliquent pas pourquoi une « réinitialisation individuelle » est nécessaire ; ils supposent simplement qu’il s’agit d’une conséquence de la « pandémie » de Covid. Cependant, comme ils l’ont fait tout au long du livre, ils ont utilisé le collectivisme comme outil de contrôle social. « Si, en tant qu’êtres humains, nous ne collaborons pas pour faire face à nos défis existentiels (l’environnement et la chute libre de la gouvernance mondiale, entre autres), nous sommes condamnés », ont-ils affirmé… La montée des nationalismes rend le recul de la mondialisation inévitable dans la plupart des pays du monde — un élan particulièrement notable en Occident. Le vote en faveur du Brexit et l’élection du président Trump sur un programme protectionniste sont deux marqueurs importants de la réaction occidentale contre la mondialisation », écrivent les deux auteurs.

Comme l’écrit l’auteur de l’article :

Comme nous l’avons déjà dit, l’expression « bien commun » et sa vilaine sœur, « le plus grand bien », représentent le collectivisme, que l’on retrouve dans les mouvements socialistes, communistes et fascistes. Ces mouvements utilisent le « bien commun » comme outil de contrôle social.

C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui dans le processus politique américain. La volonté incessante d’instaurer un système collectif marxiste est au cœur de la tentative de Grande Réinitialisation imposée par les larbins humains, assistés par les démons d’Éphésiens 6:12, selon mon opinion assurée.

L’autre jour, j’ai entendu un sénateur s’exprimer dans l’hémicycle du Sénat. J’aime ce qu’il a dit, bien que je sois presque certain qu’il n’a pas réalisé la véritable portée de sa déclaration.

Il a dit quelque chose comme : « Au lieu de la Grande Réinitialisation antiaméricaine, nous avons besoin de la Grande Résistance. Nous devons résister à cette tentative de tyrannie de type marxiste ».

La Grande Résistance est précisément ce qui est donné dans la Parole de Dieu comme opposition aux tentatives de Satan et de ses sbires d’amener au pouvoir l’homme du péché, l’Antéchrist, et son régime d’horreurs.

« Et maintenant vous savez ce qui le retient, afin qu’il ne paraisse qu’en son temps. Car le mystère de l’iniquité agit déjà ; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. Et alors paraîtra l’impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu’il anéantira par l’éclat de son avènement. »

2 Thessaloniens 2:6-8

Nous qui connaissons le Seigneur Jésus pour le salut, nous faisons partie de la Grande Résistance. Pasteurs, écoutez ! Ne résistez pas à la Grande Résistance. En résistant à la Grande Résistance, vous aidez et assistez ceux qui veulent amener la Grande Réinitialisation.

Prêchez la prophétie biblique, et ceci d’un point de vue pré-Trib(([1] Abbréviation de pré-Tribulation. Le point de vue pré-Trib consiste à la croyance en un enlèvement des chrétiens avant la Grande Tribulation. NdT)). Jésus est sur le point d’intervenir dans les méchantes affaires de l’humanité. L’Enlèvement, selon tous les signes et signaux de la Tribulation à venir qui fait rage dans toutes les directions, est sur le point de bouleverser la vie sur la planète Terre !

Pour ceux qui ne l’ont pas encore fait, voici comment se préparer et être ainsi assuré d’aller vers Jésus-Christ lorsqu’Il appellera tous les croyants à Lui dans ce moment stupéfiant de sauvetage de cette terre soumise au jugement.

« Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut, selon ce que dit l’Écriture. »

Romains 10:9-10




Ce que cachent les substituts de viande

[Source : Kla.tv]

Est-ce que vraiment aucun animal ne meure pour produire de la viande artificielle ? Et le fait de manger des tumeurs, est-ce une alternative saine pour son propre corps et pour l’environnement ? Les déchets biologiques toxiques générés par la production artificielle ne sont-ils vraiment pas nocifs ? Comment sont produits les aliments qui, selon l’Agenda 2030, doivent éliminer la faim dans le monde et garantir la sécurité alimentaire ? La réponse à ces questions devrait être connue de TOUT LE MONDE !

Avez-vous remarqué, chers téléspectateurs, lors de vos dernières courses, que presque tous les supermarchés, qu’ils s’appellent Rewe, Aldi, Lidl ou autre, ont désormais des rayons entiers consacrés aux végétaliens ? McDonalds, Burger King et autres proposent également des burgers ou des nuggets plant based, c’est-à-dire « à base de plantes ». Les végétariens et les végétaliens devraient se réjouir de cette évolution : plus de choix, une alimentation plus consciente, cela ne peut être que bon pour l’homme, l’animal et l’environnement – pourrait-on penser. Mais l’Agenda 2030 de l’ONU, de l’OMS et du FEM, poursuivi avec insistance, et l’avancée systématique vers l’application de leurs plans prouvent qu’il n’y a pas de sollicitude ni de prudence derrière tout cela.

Comme Kla.TV l’a déjà précisé dans l’émission « L’arme alimentaire » www.kla.tv/27996, l’Agenda 2030 est une énorme tromperie sur la marchandise.

Pour rappel :

L’objectif 2 de l’Agenda 2030 prévoit selon ses dires d‘éliminer la faim, d‘assurer la sécurité alimentaire, d‘améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable.

En commençant par les paysans déjà découragés, on observe cependant que l’agriculture naturelle à petite échelle est détruite, tandis que, dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais d’une agriculture industrielle, du génie génétique et de l’agrochimie.

Une des nombreuses annonces sur la manière dont Bill Gates et consorts veulent apaiser la faim dans le monde et garantir la sécurité alimentaire réside dans les aliments synthétiques et l’agriculture verticale, qui est censée n’offrir que des avantages.

En octobre 2023, Uncut-News a publié un article intitulé « Pourquoi les aliments synthétiques sont-ils très dangereux ». Nous en résumons pour vous les principaux points et abordons les questions suivantes :

• Qu’en est-il du bien-être des animaux lors de la production de viande artificielle ?

• Les substituts de viande synthétique sont-ils sûrs pour le consommateur ?

• Que disent les experts sur les éventuelles impuretés présentes dans la viande artificielle ?

• La production de viande artificielle génère-t-elle des biodéchets toxiques ?

• Que viennent faire des organismes résistants aux antibiotiques dans la viande artificielle ?

• La production de viande synthétique permet-elle réellement d’économiser du CO2 ?

Qu’en est-il du bien-être des animaux lors de la production de viande artificielle ?

La viande cultivée est un exemple d’aliment synthétique. Les partisans de ce substitut de viande insistent sur le fait que ce produit n’est pas de la « viande artificielle », mais de la « vraie viande », à la seule différence qu’il ne nécessite pas l’abattage d’un animal pour sa production.

De nombreuses personnes se tournent vers la viande cultivée en raison du bien-être des animaux et d’une approche consciente de l’alimentation. Malheureusement, ils tombent alors dans le piège d’une énorme tromperie en matière de relations publiques. En effet, l’affirmation selon laquelle aucun animal n’est tué dans le cadre de ce processus est tout simplement fausse. Actuellement, la plupart des viandes de culture ou à base de cellules sont produites à l’aide de sérum fœtal de bovin (FBS), qui est obtenu à partir du sang de veaux à naître. En bref, selon les affirmations de l’article d’Uncut News, les vaches gestantes sont abattues pour prélever le sang du fœtus à naître.

Les substituts de viande synthétique sont-ils sûrs pour le consommateur ?

Pour faire croître les cultures cellulaires, certaines entreprises utilisent par exemple des cellules immortelles, qui sont techniquement précancéreuses, c’est-à-dire qu’elles sont en fait complètement cancéreuses. D’autres entreprises utilisent des cellules souches embryonnaires ou des cellules d’animaux vivants.

Les substituts de viande cultivés sur des cellules cancéreuses pourraient donc être considérés comme des tumeurs, puisque la viande est entièrement composée de cellules cancéreuses. La raison pour laquelle on utilise des cellules immortelles est que les cellules qui se comportent normalement ne peuvent pas se diviser indéfiniment. Ainsi, si on voulait cultiver des milliers de kilos de tissus avec des cellules de viande musculaire normales à partir d’un petit nombre de cellules, cela ne fonctionnerait pas.

Que disent les experts sur les éventuelles impuretés présentes dans la viande artificielle ?

En ce qui concerne la sécurité, on pourrait également argumenter que la viande de bœuf naturelle pourrait être contaminée lors de la transformation, de l’emballage, du transport, du stockage ou pendant le processus de cuisson. Et de même dans le cas de la viande cultivée, chaque ingrédient et chaque étape de transformation présente un potentiel de contamination, et chacun des centaines d’ingrédients pourrait avoir des effets toxiques, seul ou en synergie. Une analyse approfondie des données disponibles, publiée en mai 2023 par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et un groupe d’experts de l’OMS, a conclu qu’au moins 53 risques potentiels pour la santé sont associés à la viande cultivée en laboratoire. Il s’agit notamment de la possibilité de contamination par des métaux lourds, des Sz08_, des nanoplastiques et des produits chimiques, des additifs allergènes, des composants toxiques et des antibiotiques. Cela vaut également pour les produits de substitution à base de plantes déjà disponibles dans le commerce. À cet égard, il convient de souligner que même les produits déclarés comme « végétaux » ne sont absolument pas sains. Ils sont eux aussi fabriqués à grand renfort de produits chimiques et contiennent entre autres des quantités inquiétantes d’huile minérale.

La production de viande artificielle génère-t-elle des biodéchets toxiques ?

Comme nous l’avons brièvement mentionné précédemment, la production de viande cultivée génère également des biodéchets toxiques. Les biodéchets issus de ces fermentations biologiques synthétiques doivent d’abord être désactivés, puis éliminés en toute sécurité. Ils ne doivent pas finir dans une décharge.

Chers spectateurs, il faut prendre le temps de réfléchir à ce qui suit : La fabrication de produits que nous sommes censés manger génère des déchets dangereux qui ne peuvent pas être éliminés de manière traditionnelle, alors qu’ils seraient totalement inoffensifs pour nous ?

Que viennent faire des organismes résistants aux antibiotiques dans la viande artificielle ?

La chair obtenue dans la solution nutritive doit être résistante aux antibiotiques, car elle doit survivre aux antibiotiques utilisés pour tuer d’autres organismes indésirables dans la cuve dans laquelle la masse est cultivée. En conséquence, des organismes résistants aux antibiotiques sont également intégrés dans le produit final, et on ne peut que supposer quels types de maladies d’origine alimentaire pourraient être causés par des E. coli génétiquement modifiés et résistants aux antibiotiques. Voici une citation tirée de l’émission « L’arme alimentaire » [https://www.kla.tv/27996 ] :

« (…) Parallèlement, Gates investit beaucoup d’argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d’un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. »

La production de viande synthétique permet-elle réellement d’économiser du CO2 ?

On prétend également que la viande cultivée et les autres aliments synthétiques sont plus respectueux de l’environnement. Cela aussi est incorrect : non seulement la production génère des déchets spéciaux, mais en plus, l’industrie de la viande de laboratoire produit 4 à 25 fois plus de CO2 que l’élevage traditionnel. Cette information est destinée à ceux qui croient encore à l’arnaque du CO2. Car tout cet agenda concernant la sécurité alimentaire, etc. repose sur un mensonge concernant le CO2, qui justifie la prétendue nécessité de réduire l’agriculture naturelle. Dans d’autres émissions, Kla.TV a abordé la question des vaches tueuses de climat [« Les vaches, tueuses de climat ? »] ainsi que celle du Green Deal [« Destruction ciblée de l’agriculture »].

Comme nous venons de le voir, avec l’Agenda 2030, il est difficile pour les agriculteurs de bien nous nourrir, nous, la population qui dépend d’eux, et encore moins de maintenir leur existence.

Comme vous l’avez vu, les aliments synthétiques et transformés ne sont pas promus dans un réel souci de durabilité. Non, la biologie synthétique est recherchée pour mettre en place un énorme mécanisme de contrôle. Ceux qui détiendront toute la production alimentaire synthétique domineront littéralement le monde.

Voici une citation de Henry Kissinger à ce sujet :

« Celui qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; celui qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; celui qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. »

C’est également Kissinger qui, en 1974, a rédigé un document stratégique secret pour le « Conseil de sécurité nationale » dans lequel il déclarait, en d’autres termes, que la nourriture était un « instrument de puissance nationale ».

En bref, les mondialistes possèdent et contrôlent déjà la majeure partie des produits agricoles naturels cultivés dans le monde aujourd’hui. En remplaçant les véritables aliments d’origine animale par des alternatives protéinées brevetées et produites en laboratoire, on se dirige vers un pouvoir sans précédent sur la population mondiale. On sait également que la consommation d’aliments ultra-transformés contribue aux maladies, et le bénéficiaire est bien entendu Big Pharma. Pendant de nombreuses décennies, l’industrie alimentaire a encouragé les maladies chroniques, qui sont ensuite traitées par des médicaments plutôt que par une meilleure alimentation.

Notre nourriture originelle est pourtant une création parfaite et, sous sa forme naturelle, elle est adaptée à 100 % aux besoins de tous les êtres vivants. Et si Bill et consorts y touchent, ils nous créent « un buffet diabolique de Frankenstein avec un arrière-goût écœurant ». Toutefois, à Kla.TV, nous serions volontiers prêts à suivre les mondialistes, Big Pharma et les profiteurs de l’Agenda 2030 sur une période d’expérimentation plus longue, afin qu’ils puissent nous prouver dans leur propre chair quels sont les avantages de leurs produits.

Merci de diffuser cette émission et de rester avec nous pour que les projets de l’Agenda 2030 pour les peuples du monde puissent être mis à jour et ainsi déjoués. Ensemble, brisons le mur de la complexité et de l’ignorance.

de abu./tt.

Sources / Liens :

Pourquoi les aliments synthétiques sont très dangereux / Citation de New Scientist Albert-László Barabási
https://uncutnews.ch/warum-synthetische-lebensmittel-sehr-gefaehrlich-sind/

Pollution par les huiles minérales et additifs chimiques dans les produits végétariens/végétaliens
https://www.agrarheute.com/land-leben/oeko-test-veggie-wuerste-mineraloelen-belastet-585760
https://www.chip.de/news/Wurst-Alternative-im-Test-Fast-alle-Produkte-muessen-Kritik-einstecken_184187264.html

Les investissements de Gates dans les substituts de viande et les aliments synthétiques
https://odysee.com/@investmentdenker:c/Teil12:4

Document stratégique de Henry Kissinger de 1974
https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/pcaab500.pdf

Objectifs de l’Agenda 2030
https://www.kla.tv/19023

L’arme alimentaire
https://www.kla.tv/27996

Contrôle des aliments / Vertical Farming / Citation de Kissinger / Contrôle des semences
https://www.kla.tv/23292

Découverte du mensonge sur le climat
https://www.kla.tv/27736

Décimation de l’élevage bovin
https://www.kla.tv/25420

Destruction ciblée de l’agriculture / Green Deal
https://www.kla.tv/22252

Interview avec Heiko Schöning :Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !?
https://www.kla.tv/27963




Pourquoi abandonner la théorie virale

[Source : @TheAmir]

Dr. Sam Bailey — Les virus n’existent pas et pourquoi c’est important

Plus de quatre ans se sont écoulés depuis la fraude COVID-19 et, si beaucoup de choses ont changé, la confusion reste le thème dominant. De plus en plus de gens se rendent compte qu’il n’y a pas eu de pandémie, mais il y a aussi beaucoup de gens qui intensifient les récits sur les « armes biologiques » et le « gain de fonction ». Nous avons également assisté à l’introduction d’un nouvel argument de contournement, à savoir que « l’existence du virus n’est pas importante ».

En 2020, nous avons commencé à étudier le modèle viral et nous avons réalisé que le SRAS-CoV-2 n’existait pas. En fait, il n’existait aucune preuve scientifique de l’existence de virus [pathogènes], depuis la littérature de la fin du XIXe siècle et le soi-disant « virus » de la mosaïque du tabac. Les critiques de la virologie ont souligné qu’aucune entité correspondant à la description d’un virus n’a jamais été physiquement isolée. Afin de maintenir l’illusion, les virologues n’ont pas réalisé d’expériences correctement contrôlées telles que celles proposées dans la déclaration « Régler le débat sur les virus ». En effet, le Dr Stefan Lanka a montré que les méthodes expérimentales elles-mêmes sont à l’origine de plusieurs résultats indirects présentés comme des preuves de l’existence de virus.

En 2022, Mark a publié A Farewell To Virology (Expert Edition)(([1] UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT) en version française.)), une réfutation formelle de presque tous les aspects du modèle viral. Comme pour les autres ouvrages produits par les partisans de « Pas de Virus », il n’y a pas eu de réponse directe à la thèse générale. Au lieu de cela, nous n’avons vu que des tentatives de changer de sujet, de brouiller les définitions établies des mots ou d’introduire de nouvelles hypothèses irréfutables(([2] ce qui fait entrer la virologie dans le domaine des croyances religieuses, car en science véritable toute hypothèse doit pouvoir être réfutée. NDLR)). Il n’y a pas de « troisième voie » en ce qui concerne l’existence des virus et ce sophisme ne fait que détourner l’attention du fait qu’aucun « pathogène » de quelque type que ce soit n’a été démontré. Les expériences réelles sur l’homme et l’animal visant à démontrer l’existence d’entités « contagieuses » à l’origine de maladies telles que la grippe et le rhume ont été des échecs monumentaux.

Dans cette vidéo, nous cherchons à comprendre pourquoi le fait de réaliser que les virus n’existent pas est une étape cruciale pour réduire la peur et créer une société meilleure.

Dr. Samantha Bailey

Source originale

https://odysee.com/@drsambailey:c/Viruses-Don’t-Exist-and-Why-It-Matters:4

Références






L’État de sécurité nationale et l’inversion de la démocratie aux USA

[Source : Quantum Leap Traduction]

L’État de sécurité nationale est le principal moteur de la censure et de l’ingérence électorale aux États-Unis.
Mike Benz :

« Ce que je décris est un régime militaire. C’est l’inversion de la démocratie. »






Sur Israël, les prémonitions au vitriol de Raymond Aron

[Source : orientxxi.info]

[Illustration : Portrait daté du 17 juin 1983 du philosophe français Raymond Aron avant un débat à Draguignan.
Raph GATTI/AFP]

Il était plus facile il y a quelques décennies de critiquer en France la politique de Tel-Aviv qu’aujourd’hui. Les analyses de Raymond Aron, chroniqueur à L’Express et au Figaro, incisives et dénuées de tout sentimentalisme vis-à-vis de sa judaïté, tranchent avec le tropisme pro-israélien actuel des médias dominants.

Par Pierre Prier

Raymond Aron est à la mode. Le penseur libéral, l’universitaire doublé d’un éditorialiste influent par ses éditoriaux dans Le Figaro puis dans L’Express, des années 1950 à 1980, a été convoqué à l’occasion du quarantième anniversaire de sa disparition par des médias de droite à la recherche des références intellectuelles qui leur manquent dans la production actuelle : « un maître pour comprendre les défis d’aujourd’hui », « un horizon intellectuel », « un libéral atypique ».

Curieusement, les prises de position les plus incisives de son œuvre journalistique, à savoir celles consacrées à Israël et à la Palestine, sont absentes des injonctions à « relire Raymond Aron ». Elles n’en restent pas moins d’une actualité brûlante.

On comprend cette gêne si on les relit, effectivement. Certaines de ces idées, exprimées dans une presse de droite par un homme de droite d’origine juive, le feraient classer en 2024 comme « antisioniste » (voire pire) par des médias et des « philosophes » de plateaux télé qui se contentent de paraphraser le narratif Israélien.

C’est une véritable réflexion qui se déclenche le 27 novembre 1967, à la suite de la célèbre conférence de presse du général de Gaulle dénonçant, après la victoire éclair d’Israël et l’occupation des territoires palestiniens : « les Juifs (…) qui étaient restés ce qu’ils avaient été de tout temps, c’est-à-dire un peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur ». Chaque mot de cette déclaration « aberrante » choque Raymond Aron. En accusant « les Juifs » éternels et non l’État d’Israël, de Gaulle réhabilite, écrit-il, un antisémitisme bien français : « Ce style, ces adjectifs, nous les connaissons tous, ils appartiennent à Drumont, à Maurras, non pas à Hitler et aux siens ».

INTERROGATIONS SUR LE CONCEPT DE « PEUPLE JUIF »

Mais Aron, en vrai philosophe, ne saurait s’arrêter là : « Et maintenant, puisqu’il faut discuter, discutons », écrit-il dans Le Figaro. Il se lance alors dans une étude sociohistorique, adossée à une auto-analyse inquiète qui n’a pas vieilli. Quel rapport entre ses origines et l’État d’Israël ? L’obligent-elles à un soutien inconditionnel ? Et d’ailleurs qu’est-ce qu’être juif ? Ces questions parfois sans réponse définitive, on les trouve dans un ouvrage qui rassemble ses articles du Figaro1 puis, plus tard, dans ses Mémoires2 publiées l’année de sa mort, en 1983, et enfin dans un livre paru récemment qui comporte, lui, tous ses éditoriaux de L’Express3. Les citations de cet article sont extraites de ces trois livres.

Et d’abord, qu’est-ce que ce « peuple » juif comme le dit le président de la République, commence par se demander Raymond Aron. Il n’existe pas comme l’entend le sens commun, répond-il, puisque « ceux qu’on appelle les Juifs ne sont pas biologiquement, pour la plupart, les descendants des tribus sémites » de la Bible. « Je ne pense pas que l’on puisse affirmer l’existence objective du “peuple juif” comme celle du peuple français. Le peuple juif existe par et pour ceux qui veulent qu’il soit, les uns pour des raisons métahistoriques, les autres pour des raisons politiques ». Sur un plan plus personnel, Aron se rapproche, sans y adhérer complètement, de la fameuse théorie de son camarade de l’École normale supérieure, Jean-Paul Sartre, qui estimait qu’on n’était juif que dans le regard des autres. L’identité n’est pas une chose en soi, estime-t-il, avec un brin de provocation :

Sociologue, je ne refuse évidemment pas les distinctions inscrites par des siècles d’histoire dans la conscience des hommes et des groupes. Je me sens moins éloigné d’un Français antisémite que d’un Juif marocain qui ne parle pas d’autre langue que l’arabe…

Mais c’est pour ajouter aussitôt : « Du jour où un souverain décrète que les Juifs dispersés forment un peuple “sûr de lui et dominateur”, je n’ai pas le choix ». Cette identité en creux ne l’oblige surtout pas à soutenir une politique. Aron dénonce « les tenants de l’Algérie française ou les nostalgiques de l’expédition de Suez qui poursuivent leur guerre contre les Arabes par Israël interposé ». Il se dit également gêné par les manifestations pro-israéliennes qui ont eu lieu en France en juin 1967 : « Je n’aimais ni les bandes de jeunes qui remontaient les Champs-Élysées en criant : “Israël vaincra”, ni les foules devant l’ambassade d’Israël ». Dans ses Mémoires, il va plus loin en réaffirmant son opposition à une double allégeance :

Les Juifs d’aujourd’hui ne sauraient éluder leur problème : se définir eux-mêmes Israéliens ou Français ; Juifs et Français, oui. Français et Israéliens, non — ce qui ne leur interdit pas, pour Israël, une dilection particulière.

Cette « dilection », il la ressent émotionnellement. Lui qui en 1948 considérait la création de l’État d’Israël comme un « épisode du retrait britannique » qui « n’avait pas éveillé en lui la moindre émotion », lui qui n’a « jamais été sioniste, d’abord et avant tout parce que je ne m’éprouve pas juif », se sentirait « blessé jusqu’au fond de l’âme » par la destruction d’Israël. Il confesse toutefois : « En ce sens, un Juif n’atteindra jamais à la parfaite objectivité quand il s’agit d’Israël ». Sur le fond, il continue de s’interroger. Son introspection ne le prive pas d’une critique sévère de la politique israélienne, puisqu’Aron ne se sent aucune affinité avec les gouvernements israéliens : « Je ne consens pas plus aujourd’hui qu’hier à soutenir inconditionnellement la politique de quelques hommes ».

LE REFUS D’UN SOUTIEN « INCONDITIONNEL »

Cette politique va jusqu’à le révulser. Il raconte comment il s’emporte, au cours d’un séminaire, contre un participant qui clame : « La raison du plus fort est toujours la meilleure ». Le digne professeur explose : « Contre mon habitude, je fis de la morale avec passion, avec colère. Cette formule… un Juif devrait avoir honte de la prendre à son compte ». Mais en général, le philosophe-journaliste reste attaché à une analyse froide des réalités du moment. Raymond Aron n’oublie pas qu’Israël est aussi un pion dans la géopolitique de la guerre froide : « S’il existe un “camp impérialiste” [face à l’URSS], comment nier qu’Israël en fasse partie ? » Puis : « Dans le poker de la diplomatie mondiale, comment le nier ? Israël, bon gré mal gré, est une carte américaine ».

Il pousse loin le principe de la « déontologie » intellectuelle. S’il juge qu’en 1967, Israël a été obligé d’attaquer, il peut être bon, pour le bien de la paix régionale, qu’il perde quelques batailles : « Je jugeai normale l’attaque syro-égyptienne de 1973 », écrit-il, ajoutant même : « Je me réjouis des succès remportés par les Égyptiens au cours des premiers jours », car ils permettraient au président Anour El-Sadate de faire la paix.

Mais Aron reste tout de même sceptique devant l’accord de 1978 entre Menahem Begin et Sadate à Camp David, simple « procédure » qu’il « soutient sans illusion », car il lui manque le principal : elle ne tient pas compte du problème « des colonies implantées en Cisjordanie ». En 1967 (rejoignant, cette fois, les prémonitions du général de Gaulle, dans la même conférence), il décrit l’alternative à laquelle Israël fait face : « Ou bien évacuer les territoires conquis… ou bien devenir ce que leurs ennemis depuis des années les accusent d’être, les derniers colonisateurs, la dernière vague de l’impérialisme occidental ». L’impasse est totale, selon lui : « Les deux termes semblent presque également inacceptables » pour Tel-Aviv.

Ce pessimisme foncier s’exprime dans ses articles écrits pour L’Express dans les dernières années de sa vie. En 1982, il salue la portée « symbolique » et la « diplomatie précise » de François Mitterrand, qui demande devant le parlement israélien un État pour les Palestiniens, en échange de leur reconnaissance d’Israël. Tout en restant lucide : « Mitterrand ne convaincra pas Begin, Reagan non plus ». Selon lui, écrit-il toujours en 1982, Israël n’acceptera jamais de reconnaître l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) comme seul représentant des Palestiniens. Dix ans plus tard, les accords d’Oslo connaîtront finalement l’échec que l’on sait, et Israël facilitera la montée du Hamas, dans le but d’affaiblir l’OLP.

L’invasion du Liban par Israël en 1982, le départ de Yasser Arafat et de ses combattants protégés par l’armée française donnent encore l’occasion à Raymond Aron de jouer les prophètes : même si l’OLP devient « exclusivement civile (…), d’autres groupements reprendront l’arme du terrorisme (…). L’idée d’un État palestinien ne disparaîtra pas, quel que soit le sort de l’OLP ».

En septembre, il commente ainsi les massacres des camps palestiniens de Sabra et Chatila par les phalangistes libanais, protégés par l’armée israélienne :

Israël ne peut rejeter sa responsabilité dans les massacres de Palestiniens (…). Pendant les trente-trois heures de la tuerie, des officiers de Tsahal ne pouvaient ignorer ce qui se passait dans les camps.

Et les prédictions d’Aron, en décembre de la même année, résonnent singulièrement aujourd’hui. À l’époque, le terme d’apartheid est encore réservé à l’Afrique du Sud. Le philosophe évoque un autre mot et une autre époque :

D’ici à la fin du siècle, il y aura autant d’Arabes que de Juifs à l’intérieur des frontières militaires du pays. Les Juifs porteront les armes, non les Arabes. Les cités grecques connaissaient cette dualité des citoyens et des métèques. Faut-il croire au succès de la reconstitution d’une cité de ce type au XXe siècle ?

Oui, il faut relire Raymond Aron.


1 De Gaulle, Israël et les Juifs, Plon, 1968.

2 Mémoires, tome 2, Julliard, 1983.

3 De Giscard à Mitterrand, 1977-1983, Calmann-Lévy, 2023.




Rothschild : les maîtres de la finance mondiale

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE via lesmoutonsenrages.fr]

[Note de Joseph :
comme rappelé en début de la vidéo, Mayer Amschel Rothschild est né le 23 février 1744. Et pour ceux qui s’intéressent à la numérologie, son chemin de vie est 23/5 (23+2+1744=1769 ; 1+7+6+9 = 23).
Ce chemin de vie particulier s’appelle l’étoile royale du Lion :

~ Étoile Royale du Lion – Gardienne de la Terre ~ L’Étoile Royale du Lion est l’une des 4 Étoiles Royales de la Terre, également appelées les 4 Gardiennes du Ciel. L’Étoile Royale du Lion est l’étoile Régulus (qui signifie Petit Roi). Cette étoile est le cœur du Lion dans la constellation du Lion. L’étoile royale du Lion est le gardien du Nord et est associée à l’archange guérisseur Raphaël. On dit que les 4 étoiles royales de la Terre étaient utilisées comme calendrier céleste pour marquer les saisons, et qu’elles marquaient également les 4 directions.

En termes de numérologie, les nombres de l’Étoile Royale du Lion sont 23/5. Les personnes nées avec ce but de vie portent le nombre 23/5. « Nombre 23 — L’Étoile Royale du Lion — C’est un nombre de récompense karmique. Le 23 accorde non seulement une promesse de succès dans les efforts personnels et professionnels, mais il garantit l’aide des supérieurs et la protection de ceux qui sont haut placés. C’est un nombre très chanceux, qui bénit avec une grâce abondante la personne qu’il représente. Comme toujours, le 23 doit être considéré avec les autres nombres clés simples et composés qui composent l’analyse numérologique complète, qui peuvent ne pas être tout à fait aussi chanceux. Mais les autres nombres n’ont pas beaucoup de chance d’apporter de sérieux problèmes lorsque l’Étoile Royale du Lion est présente pendant les périodes difficiles. Aucun nombre ne peut défier la force du Lion et l’emporter ».

(Source ou sa capture PDF)

Si cela a, semble-t-il, merveilleusement bien fonctionné sur le plan matériel pour Mayer Amschel Rothschild qui est considéré comme « père de la finance internationale » (Wikipédia), il se trouve que j’ai exactement le même chemin de vie, étant né le 23 février 1960 (23+2+1960=1985 ; 1+9+8+5=23), à exactement 216 ans d’écart, et que je n’ai manifestement pas ce type de destinée, faisant même plutôt partie des pauvres de ce monde et que ma vie serait facilement considérée comme matériellement ratée. En passant, 216 = 6x6x6 ou 6 à la puissance 3.

Bien entendu, il a existé un grand nombre de personnes nées le 23 février 1744, de même qu’il en existe un grand nombre encore vivantes et nées le 23 février 1960.]




L’UE n’en a pas fini avec les paysans

https://www.ladepeche.fr/2024/02/20/colere-des-agriculteurs-un-convoi-de-tracteurs-va-relier-villecomtal-a-lacq-gare-aux-embouteillages-en-bigorre-ce-mardi-11776207.php




Acceptons-nous de devenir des objets connectés ?

[Source : JSF – TV]

Capsule d’Emilie Mugabo à propos de l’omerta sur l’oxyde de graphène et les nanopuces et autres nanocomposants électroniques dans les injections covid et au-delà.

[Voir aussi :
https://www.profession-gendarme.com/droit-de-reponse-demilie-mugabo/
« Le Vaccin Covid est une arme biologique 100% SYNTHÉTIQUE »
Le rôle de l’hydrogel et des points quantiques pour le projet transhumaniste
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
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