La Suède pourrait bientôt compter un million d’analphabètes, en grande partie à cause de l’immigration de masse

[Source : aubedigitale.com]

Par Remix News Staff

Le nombre de personnes analphabètes en Suède devrait dépasser les 800 000 en hiver de cette année, et les chercheurs s’attendent à ce qu’il atteigne bientôt le million, en grande partie à cause de l’immigration massive.

L’enquête la plus récente de Statistics Sweden montre qu’il y a actuellement environ 780 000 personnes âgées de 16 à 65 ans qui sont analphabètes en Suède, mais ce chiffre est en train de monter en flèche.

[NDLR Il est probable qu’il existe un phénomène similaire dans tous les pays qui connaissent une immigration massive incontrôlée, comme le Canada, les États-Unis et la plupart des pays de l’Union européenne.]

« Chaque mois, huit à dix élèves analphabètes arrivent », a déclaré à SVT Rita Sommarkrans, enseignante au SFI de Västerås. Elle ajoute que si une personne ne sait ni lire ni écrire, il lui est difficile de trouver un logement, de payer ses factures ou même de prendre un rendez-vous chez le médecin.

« Si cette tendance se poursuit, nous risquons d’avoir une génération entière de jeunes gens qui sont effectivement analphabètes fonctionnels », ont écrit le ministre de l’Éducation Johan Pehrson et la ministre des Affaires scolaires Lotta Edholm dans un article introductif.

Toutefois, la publication suédoise Fria Tider note que les ministres n’expliquent pas la cause principale du problème massif d’analphabétisme dans le pays, à savoir l’immigration massive d’adultes analphabètes en provenance du tiers-monde, que le gouvernement au pouvoir, prétendument conservateur, ne parvient pas à stopper.

Cependant, nombre de ces étrangers amènent ou donnent naissance à des enfants qui intègrent le système scolaire suédois. Dans certaines villes, les enfants suédois sont déjà minoritaires dans le système scolaire, comme à Malmö. En fait, la situation est devenue tellement extrême dans cette ville que les autorités municipales proposent d’enseigner en arabe plutôt qu’en suédois, comme Remix News l’a rapporté par le passé. Toutefois, une telle mesure ne fera qu’accélérer le problème de l’analphabétisme et entraînera des divisions encore plus profondes au sein de la société.

[Voir la suite sur aubedigitale.com]




« Le lobby israélien est l’un des plus puissants, si ce n’est le plus puissant aux États-Unis »




La France sous contrôle de 160 000 franc-maçons ?




Le gouvernement britannique veut légaliser la « mort assistée ». Voici ce qui va se passer

[Source : off-guardian.org]

Par Kit Knightly

Le Parlement du Royaume-Uni s’apprête à voter sur un nouveau projet de loi visant à légaliser l’aide à mourir pour les personnes atteintes d’une maladie en phase terminale.

Le projet de loi, proposé par le député travailliste Kim Leadbeater, n’a pas encore été publié dans son intégralité. Selon la BBC :

« Les détails n’ont pas été finalisés, mais le projet de loi devrait être similaire à une proposition de la Chambre des Lords, qui permettrait aux adultes en phase terminale ayant six mois ou moins à vivre d’obtenir une aide médicale pour mettre fin à leur vie. »

Il s’agit là de l’aboutissement d’une campagne menée depuis des années par les politiques, les médias et l’industrie du divertissement pour normaliser l’euthanasie dans l’esprit du public britannique.

Pendant ce temps, on nous a dit que l’aide à mourir était bonne pour les gens, bonne pour le NHS 1 et bonne pour l’environnement.

Le projet de loi devrait être officiellement présenté le 16 octobre, le premier débat devant avoir lieu plus tard dans l’année, ce qui signifie que le vote aura probablement lieu au début de l’année 2025.

Je serais stupéfait qu’il ne soit pas adopté.

Voici mes prévisions pour la suite :

– La première année, il s’agira simplement d’une option, dont on n’entendra pas beaucoup parler, sauf dans des articles titrant par exemple « L’aide à mourir a épargné à mon parent/partenaire/enfant des années de souffrance ».

– Au bout d’un an ou deux, un rapport sera publié, faisant état d’un succès grâce à une évaluation statistique inventée et torturée, telle que « l’aide à la mort augmente les scores de bien-être des patients dans les hôpitaux du NHS étudiés ».

– Un autre rapport suivra, affirmant que les listes d’attente se sont améliorées en raison de la diminution de la surpopulation dans les services de soins palliatifs. On pourra même prétendre qu’elle a réduit l’empreinte carbone du NHS.

– Des articles d’opinion paraîtront avec des titres tels que « L’histoire d’une réussite en matière d’aide à la mort fait taire les théoriciens de la conspiration ».

– L’âge minimum pour bénéficier de l’aide à la mort sera progressivement abaissé. La liste des maladies et des affections pour lesquelles l’aide à mourir est une « alternative thérapeutique recommandée » s’allongera.

– Les maladies non mortelles seront finalement incluses, puis les maladies psychologiques également. Puis les handicaps physiques et mentaux.

– Puis viendra une « urgence » — fausse, évidemment — et le NHS s’en sortira brillamment grâce aux ressources « libérées » par les programmes d’euthanasie.

– Viendront ensuite les éditoriaux. « L’aide à mourir est bénéfique pour les patients et a sauvé le NHS pendant [une fausse pandémie], il est temps de la rendre obligatoire ».

– Un député d’arrière-ban présentera un projet de loi obligeant toute personne diagnostiquée avec une maladie mortelle à être inscrite sur une liste d’aide à mourir.

– Le projet de loi échouera et la majorité de la presse s’y opposera, mais le gouvernement publiera des réglementations de compromis « de bon sens » où l’aide à la mort est la règle par défaut, mais où les patients peuvent s’y soustraire s’ils le souhaitent.

– L’aide à mourir ne sera jamais obligatoire. Mais il sera de plus en plus difficile de s’y soustraire. Si vous choisissez de participer et que vous essayez ensuite de changer d’avis, on dira que vous êtes mentalement inapte.

– Les patients qui ne veulent pas signer de DNR2 ou opter pour des soins de fin de vie seront qualifiés d’« égoïstes » et d’« irresponsables ». Des études prétendront qu’ils pèsent sur les ressources du NHS.

– À terme, le refus de participer à ces soins entraînera des pénalités sur les pensions de retraite et la facturation des soins de santé, ce qui empêchera de nombreuses personnes âgées de se permettre de rester en vie.

– Ensuite, on mettra en place des panels de patients « mentalement inaptes » dont la mort assistée sera recommandée par des « tribunaux de la miséricorde ».

… et pendant tout ce temps, l’establishment prétendra qu’il y a liberté de choix et qu’il n’y a pas de pente glissante.

[NDLR Quelques pays, dont le Canada, ont déjà légalisé l’euthanasie
(voir https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9gislation_sur_l%27euthanasie_et_le_suicide_assist%C3%A9_par_pays) et sont plus ou moins avancés dans l’évolution envisagée ici par Kit Knightly]


1 Service de Santé du Royaume-Uni — NDT

2 NDT « DNR — Do Not Ressurect » : littéralement « Ne pas ressusciter » (ne pas ranimer).




Pourquoi la dernière étude en faveur du rationnement est une très bonne nouvelle

[Source : off-guardian.org]

Par Kit Knightly

Un autre jour, une autre étude universitaire, un autre titre diabolique, un autre éditorial sincère normalisant l’idée du rationnement.

Les pouvoirs-qui-ne-devraient-pas-être ADORENT le rationnement. Ils mourraient d’envie de commencer à tout rationner pour tout le monde (sauf pour eux, bien sûr).

Depuis des années, il ne se passe guère de mois sans qu’un universitaire ou une institution n’écrive un éditorial en faveur du rationnement ou ne publie une étude sur les avantages d’un « environnement à choix limité sur les modes de consommation pro-climat ».

… J’ai inventé cette phrase, mais elle pourrait très bien être réelle.

En mars 2020, pratiquement au moment où la fausse « pandémie » a commencé, des voix de l’establishment se sont élevées pour parler de rationnement.

Pendant les émeutes de la faim de 2022, l’Iran a instauré un rationnement alimentaire lié à des identifiants biométriques.

En Italie, en 2022/3, l’opération Thermostat était une forme de quasi-rationnement énergétique « pro-paix ».

En février 2023, une étude universitaire du « centre interdisciplinaire d’éthique appliquée » de l’université de Leeds a soutenu que :

« … le rationnement a été négligé en tant qu’option politique pour atténuer le changement climatique [et] que le rationnement pourrait aider les États à réduire les émissions rapidement et équitablement. »

L’exemple le plus récent est le suivant :

« CECI est-il la clé de la lutte contre le changement climatique ? Une enquête révèle que près de 40 % des citoyens accepteraient un rationnement de la viande et du carburant digne de la Seconde Guerre mondiale pour réduire les émissions de carbone. »

C’est le titre d’un article du Daily Mail qui rapporte les résultats d’une enquête à grande échelle menée par le « Climate Change Leadership Group » (Groupe de direction sur le changement climatique) de l’université d’Uppsala.

Vous pouvez lire l’étude complète dans Nature ou un résumé sur phys.org.

Comme vous pouvez le constater, j’ai utilisé l’expression « enquête à grande échelle » de manière imprécise [ou gonflée – NDT]. L’enquête a été menée dans cinq pays seulement : les États-Unis, le Brésil, l’Allemagne, l’Inde et l’Afrique du Sud. Elle a interrogé environ 1700 personnes dans chacun de ces pays, soit un total de 8654 personnes.

Cela représente environ 0,000 4 % de la population totale de ces pays, qui s’élève à 2,1 milliards d’habitants. Soit environ un millionième de la population mondiale. C’est loin d’être un échantillon suffisant pour en tirer quelque chose de significatif.

… même en supposant que nous puissions nous fier à des recherches impartiales sur le changement climatique menées par ce qui s’appelle le « Climate Change Leadership Group ».

Mais si l’on accorde à l’enquête le bénéfice du doute et que l’on suppose qu’elle a une quelconque valeur en tant qu’ensemble de données, le résultat n’est pas si mauvais.

Voyons le bon côté des choses.

L’opération psychologique sur le changement climatique est en place depuis des décennies, une machine narrative sans fin qui crache de la propagande avec une régularité monotone. Le rationnement, plus spécifiquement et plus récemment, a également fait l’objet de messages positifs dans tous les médias et dans les cercles universitaires.

Les bonnes gens du « Climate Change Leadership Group » ont donc interrogé 8654 personnes parmi les plus propagandistes qui aient jamais existé. Nous savons comment fonctionnent les enquêtes : il ne s’agit pas simplement de questions et de réponses, elles sont codifiées pour tenter de produire les réponses que les enquêteurs souhaitent obtenir.

Quoi qu’il en soit, une fois les enquêtes terminées, les chercheurs ont analysé les données obtenues. Et quand je dis « analysé », je veux dire « manipulé ». Nous savons comment ces systèmes fonctionnent, ils ont massé les chiffres, plus que massé. Ils les ont huilés et leur ont donné du travail.

En bref, il est plus que prudent de supposer que ce chiffre est aussi élevé que possible.

Et à quoi ont-ils abouti ?

Près de 40 %.

C’est cela.

Vous savez ce que cela signifie ? Cela signifie que plus de 60 % des gens ne soutiendraient pas le rationnement.

Et il ne s’agit pas seulement de rationnement. L’enquête portait sur le rationnement et la taxation des denrées alimentaires et des carburants,

et si vous regardez le graphique des résultats de l’étude, vous verrez qu’aucune des mesures étudiées n’a obtenu plus de 50 % de soutien, même dans un seul pays :

Ni la taxation ni le rationnement n’ont reçu de soutien majoritaire nulle part.1

Et ce, malgré des années d’exposition à la propagande et des milliards dépensés en conditionnement social, qui ne semblent avoir [bien] fonctionné ni l’un ni l’autre.

Une victoire potentielle pour la race humaine. Ou du moins pour les 0,000 1 % d’entre eux qui ont fait l’objet de l’enquête.


1 NDT Si l’on fait la moyenne par type de ressource ou par mesure, mais on dépasse 50% pour l’Afrique du Sud si on ne considère que la taxation de nourriture.




La fausse piste de l’exosome

[Source : controlstudies.substack.com]

Par Jamie Andrews

Tout le contenu de ce site est gratuit. Si vous avez envie de faire un don ou de souscrire à un abonnement payant, c’est très appréciable. Cela me permettra de continuer à écrire, à publier du contenu et à poursuivre le plus grand projet d’études de contrôle de la falsification de la virologie.

Lorsque je participe à des discussions en ligne, je suis irrité d’entendre une phrase trop souvent prononcée par des personnes qui contestent sincèrement la théorie des germes : « Ce n’est pas un virus. Ils n’existent pas, c’est un exosome ! » Ces personnes tombent, sciemment ou non (je soupçonne qu’elles ne le savent pas dans la plupart des cas) dans un piège, une fausse piste. Ils remplacent la mythologie du « virus » et tous ses attributs imaginaires par une simple vésicule extracellulaire.

On prétend que ces vésicules extracellulaires peuvent « transporter » des « acides nucléiques » et agir en tant qu’agents de communication intercellulaire. L’image ci-dessous de ces supposées particules est le seul type d’image que vous verrez jamais de ces choses. Tout comme nos virus mythiques, vous ne les verrez QUE sous forme de bande dessinée, avec des dessins exceptionnellement détaillés et l’étiquetage des composants et des fonctions incroyablement spécifiques qu’ils remplissent.

Ils seraient capables de transporter des « acides nucléiques » d’une cellule à l’autre, en se liant à leur enveloppe protéique pour « accéder » à d’autres cellules et déposer leur charge dans une autre cellule.

Un « exosome » est aussi petit qu’un « virus », avec une taille minuscule de 30 à 150 nm :

Nous avons ici une particule dont la taille et la fonction sont identiques à celles d’un « virus » et qui, par pure coïncidence, ne peut être observée, en raison de sa taille, qu’à l’aide d’un microscope électronique à transmission.

Permettez-moi d’expliquer pourquoi cela est important : avec un microscope optique, vous pouvez voir des cellules VIVANTES, bien que la préparation de la lame puisse perturber de nombreuses structures et que vous ne sachiez jamais vraiment l’impact du retrait de l’échantillon de l’hôte vivant, elle se rapproche néanmoins d’une étude in vivo. Dans le cas de la MET [microscopie électronique par transmission], il faut couper un échantillon extrêmement fin à l’aide d’un microtome, puis fixer ce morceau très fin dans une substance nocive semblable au formaldéhyde. Tous les échantillons sont complètement immobiles et MORTS. C’est-à-dire qu’il est IMPOSSIBLE de voir un mouvement dans le MET [microscope électronique à transmission].

Par conséquent, l’affirmation selon laquelle ces vésicules transportent du matériel d’une cellule à l’autre est tout aussi fausse que l’affirmation selon laquelle les « virus » peuvent infecter les cellules avec leur matériel « nucléique ». Avec les outils d’imagerie les plus sophistiqués, il n’y a pas la moindre possibilité de voir ce phénomène se produire. Ils DOIVENT utiliser la biochimie (à nouveau nos chers colorants fluorescents) pour affirmer que ces choses se produisent. Ils injectent leurs colorants fluorescents dans un échantillon et lorsqu’ils deviennent fluorescents, cela signifie qu’ils peuvent simplement inventer une histoire sur la raison de ce phénomène…

Même le mécanisme de « communication » n’a guère de sens logique. On prétend que ces minuscules sacs sans cerveau transportent des informations pour communiquer avec les cellules qui les entourent. Comment savent-elles où aller ? Ont-elles toutes la même information provenant de la même cellule ? Quelles sont les informations qu’ils transportent exactement ? Est-ce que c’est comme une livraison Uber ?

Les gens adorent anthropomorphiser les entités biologiques, en particulier celles qu’ils ne peuvent pas voir. Comme dans le cas d’un virus, cette entité zombie morte erre jusqu’à ce qu’elle tombe sur le personnage principal d’un film (vous) et qu’elle enfonce ses dents dans votre jugulaire pour vous infecter avec du jus de zombie. Je conteste l’idée que l’une ou l’autre de ces entités biologiques dans votre corps se déplace en fonction d’autres facteurs que les gradients de base de pression, de température et de diffusion. Néanmoins, je pense qu’il est absurde de suggérer que ces cellules « communiquent » en envoyant de petites bulles, comme une capsule de sauvetage dans La Guerre des étoiles.

À cela s’ajoute le problème évident, déjà abordé à plusieurs reprises sur cette chaîne, selon lequel les « messages » qu’elles communiquent sont du « matériel génétique ». Les supposés « éléments constitutifs de la vie » (AKA la merde blanche filandreuse que l’on trouve dans une fraise) ont été isolés en ajoutant des choses… qui portent toutes les marques d’une fraude inventée, tout comme l’isolement de la virologie, au lieu de soustraire cette propriété, ils AJOUTENT des choses à un échantillon PUIS prétendent qu’une réaction biochimique résultante indique que cette substance théorisée est présente. Non, la génétique, c’est n’importe quoi… le mensonge sur les virus est inextricablement lié au mensonge sur la génétique… il est amusant de constater qu’il y a eu un an d’écart (1953/4) entre le premier isolement « viral » de John Enders et la découverte de l’hélice par Watson et Crick…

Pour en savoir plus sur la fraude génétique :

Benchmarking Reality (La réalité de l’étalonnage)

De quoi s’agit-il alors ?

Voici l’une des images fournies par l’ORC. Les annotations rouges qu’ils ont faites pour mettre en évidence ce qu’ils considèrent comme une vésicule extracellulaire (VEC). Elles sont clairement vides, tout comme les deux autres VEC qui ont été identifiées avec certitude.

Les parois des cellules rénales de cette plaque sont constituées de lipides hydrophobes et non miscibles. Lorsque la cellule meurt, les parois se désagrègent et de petits blobs se dispersent dans le milieu liquide entourant la cellule. Elles forment leurs propres petites taches avec des enveloppes lipidiques complètes. À l’instar d’une lampe à lave, ces bulles huileuses jaillissent sous différentes formes et tailles à mesure que la tension superficielle de la masse d’origine au fond de la cellule se relâche.

Regardez toutes les particules qui entourent les VEC : elles sont à peu près de la même taille et de la même forme, mais remplies, certaines partiellement remplies, d’autres moins denses, d’autres encore plus désagréablement remplies. Nous sommes donc censés croire que ces VEC se trouvent juste à côté de choses qui ne sont PAS des VEC parce qu’elles ne sont pas vides, mais qu’elles n’ont pas la taille et la forme exactes d’un « exosome » ?

Regardez la particule à gauche de l’annotation « 106 ». Elle pourrait facilement être référencée avec l’apparence et la taille exactes d’un Exosome OU d’une particule « Sars-Cov-2 ».

Sur cette image, on voit clairement de nombreux « débris » autour de la membrane cellulaire. La particule « Sars-Cov-2 », identifiée avec certitude, apparaît en bleu. Nous pourrions également choisir n’importe laquelle des particules surlignées en rouge comme « VIH », car elles correspondent toutes exactement à la taille, à la forme et à l’inclusion de protéines. Nous voyons également des « VEC » qui sont vides.

Voici donc ce que les CDC considèrent comme des grappes d’« exosomes ». Regardez maintenant l’image de l’amas de particules marquées en jaune. Ils ont l’air clairement similaires en ce qui concerne les petites particules rondes agglutinées les unes aux autres.

Conclusion

Les 9 images MET de notre culture montrent clairement que toutes ces « particules » ne sont que des débris cellulaires. Ceux-ci sont le contenu de la cellule qui s’est détaché arbitrairement de la cellule mourante. Certains sont remplis de débris cellulaires, d’autres sont vides. Interpréter les détritus laissés après avoir affamé et empoisonné des lignées cellulaires avec des antibiotiques [ou d’autres substances chimiques toxiques — NDT] et prétendre qu’il s’agit de « particules » distinctes ayant un but est aussi scientifiquement significatif que la lecture d’une feuille de thé.

[Voir aussi :
Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie]




L’âge intelligent : le vampire mondialiste annonce la révolution des milliardaires

[Source : worldnotenough.com]

Par 009

Le vampire mondialiste Klaus Schwab est sorti de son cercueil la semaine dernière pour annoncer le thème du prochain conclave du Forum économique mondial en janvier 2025.

Schwab commence par se vanter d’avoir « inventé, il y a près de dix ans, en 2016, le terme de quatrième révolution industrielle », avant de conseiller à ses larbins que « la coopération mondiale est essentielle si nous voulons orienter cette révolution vers une issue positive ».

Quelle révolution, demandez-vous ?

Une révolution des milliardaires.

Oui, c’est vrai. Nous sommes au cœur de la révolution la plus étrange et la plus trompeuse de l’histoire de l’Humanité. Il s’agit d’une révolution tranquille qui ne nécessitera pas de tirer un seul coup de feu.

Pour réussir la révolution des milliardaires, Schwab conseille sournoisement :

« Nous avons besoin d’intelligence géopolitique pour naviguer dans les paysages changeants du pouvoir mondial ».

Lorsqu’il dit « nous », il ne fait pas référence à vous et moi, mais au Club de Davos.

L’intelligence géopolitique est une référence à peine voilée au Forum économique mondial, qui fournira les informations, les politiques, les plans et les stratégies nécessaires à cette révolution. Il faut souligner en termes clairs que le Forum économique mondial est le gouvernement mondial officieux.

La plupart des commentateurs de la communauté alternative pensent que le gouvernement mondial verra le jour dans un avenir proche sous la forme d’une Organisation des Nations Unies restructurée, mais la vérité est que le gouvernement mondial existe déjà. Le FEM ne veut pas de nations, il veut des régions. Ils sont en train de découper la planète en régions, gouvernées par le FEM qui est le conseil d’administration d’une technocratie de type corporatiste.

Le nouveau gouvernement mondial ne sera jamais officiellement annoncé ou inauguré. La transition se fera sans cérémonie ni fanfare jusqu’à ce que le coup d’État soit terminé.

Régionalisme syndiqué

Extrait du site web du FEM :

« Dans la période qui a immédiatement suivi la fin de la Seconde Guerre mondiale, des institutions mondiales ont été créées pour assurer la gouvernance internationale sur la base d’une adhésion globale et de décisions basées sur le vote. Les Nations unies, la Banque mondiale et le FMI, entre autres, répondaient à ces critères. Aujourd’hui, ces organisations fonctionnent plus ou moins de la même manière, mais les défis auxquels elles sont confrontées ont changé de façon spectaculaire ; les institutions mondiales sont incapables de suivre le rythme des évolutions.

La pénurie d’institutions mondiales réellement efficaces s’inscrit dans une tendance géopolitique plus large, dans laquelle l’agenda mondial est de plus en plus influencé tant au niveau régional qu’au niveau mondial. Pour assurer un leadership qui dépasse la scène nationale, on compte de plus en plus sur le régionalisme pour pallier cette pénurie de prise de décision efficace à l’échelle mondiale.

Que devons-nous attendre de cette montée du régionalisme ? Il faut s’attendre à une intensification des efforts régionaux pour traiter de nombreuses questions, qu’il s’agisse des finances, du commerce et de l’énergie, de la sécurité militaire ou des tensions religieuses. Les institutions et les affiliations régionales joueront un rôle plus important. Le véritable défi consiste à gérer l’essor du régionalisme de manière à ce qu’il renforce, sans l’entraver, la recherche de solutions à des problèmes mondiaux systémiques et de grande ampleur ».

Dans un autre rapport, The New Global Governance (La nouvelle gouvernance mondiale), rédigé par le sous-groupe Valdai Club du FEM, on peut lire :

« Ce qui manque dans le système actuel de gouvernance mondiale, c’est une plus grande coordination entre les accords régionaux, un système de régionalisme syndiqué (Regionalism Inc.) qui comblerait les vides de la coopération économique régionale ».

Les sociopathes internationaux canalisent les Illuminati

Ces méga-régions seront reliées entre elles par des banques régionales, et le centre de coordination de ce nouveau système de gouvernance mondiale sera les BRICS, et non les Nations unies. Les Nations unies verront leur pouvoir et leur influence réduits, tandis que d’autres groupes régionaux, tels que le G20, l’ANASE, l’OCS et les 100 partenaires stratégiques du FEM, gagneront en pouvoir et en influence.

Les pays du Sud ont soif d’égalité sur la scène mondiale, après des siècles de domination occidentale. Le FEM tire parti de cette soif pour manipuler les dirigeants du Sud afin qu’ils sautent dans le train des milliardaires, dans le faux espoir qu’ils obtiendront une plus grande part du gâteau mondial. En échange, ils renoncent à leur souveraineté nationale et sacrifient leurs propres citoyens, ceux dont les têtes ont été placées sur le billot du bourreau pendant la pandémie.

Ces acteurs régionaux subissent un lavage de cerveau, des pots-de-vin ou du chantage pour coopérer avec le projet du FEM. Le FEM leur donne du pouvoir, de la richesse et une position. L’alternative de ne pas coopérer signifie qu’ils seront excommuniés et exilés de la scène mondiale. Leur plus grande crainte est d’être laissés pour compte. Ce n’est pas quelque chose que des individus avides de pouvoir peuvent supporter. Les personnes les plus faciles à manipuler sont celles qui sont moralement faibles, corrompues et médiocres.

Le nouvel ordre mondial envisagé par Schwab nécessite des cadres intermédiaires, des bureaucrates et des administrateurs qui sont des béni-oui-oui consommés.

Par conséquent, ce à quoi nous assistons sur la scène mondiale est un culte de la médiocrité.

Pour les lecteurs qui se font des illusions (des délires ?) sur la Russie et Poutine, voici une aiguille bien aiguisée pour faire éclater votre ballon : Le club Valdai a été fondé par le Russian International Affairs Council (RIAC — Conseil Russe des Affaires Internationales), une émanation du FEM, sur le modèle du Council On Foreign Relations (le Conseil des Relations Étrangères des USA). Il s’agit d’un groupe de réflexion académique et diplomatique à but non lucratif, fondé par le ministère des Affaires étrangères de la Fédération de Russie et le ministère de l’Éducation et des Sciences en 2010.

Le FEM est bien conscient du risque qu’il prend en tentant d’abattre le système de l’État-nation westphalien et de le remplacer par un système régional multipolaire :

« Ces dernières années, la tendance est de plus en plus à la formation de blocs méga-régionaux (la course au méga-régionalisme) qui, à leur tour, recèlent des dividendes de plus en plus importants, mais aussi des risques de plus en plus grands ».

Pour permettre l’essor du Sud, le FEM a promis la disparition de l’Occident. Le FEM fait systématiquement passer l’Amérique du Nord et l’Europe au statut de second monde. Cela coïncide avec le projet d’immigration massive visant à transformer l’Occident en un creuset cosmopolite qui atomisera la civilisation occidentale en mille morceaux.

[Voir aussi :
L’atomisation de l’Homme et de l’Humanité]

Les pays du Sud seront des gagnants temporaires et des perdants à long terme, car l’escroquerie du FEM leur permettra d’être contrôlés par les mêmes milliardaires américains, israéliens et européens qu’auparavant. Une fois la poussière retombée, ils seront éliminés lorsqu’on n’aura plus besoin d’eux, et leurs nations et économies se retrouveront dans une situation bien pire qu’auparavant, ayant vendu toutes leurs ressources naturelles à des multinationales qui les exploiteront à leur guise.

L’âge intelligent

Schwab poursuit son huile de serpent apaisante, arguant que :

« L’ère intelligente — portée par les progrès rapides de l’intelligence artificielle (IA), de l’informatique quantique et de la blockchain — transforme tout et le change en ce moment même, en temps réel. »

Le thème de Davos 2025 est « Collaboration pour l’âge de l’intelligence », en référence à l’intelligence artificielle, pierre angulaire de la quatrième révolution industrielle, et il convient de répéter que nous sommes au cœur d’une révolution mondiale d’une nature et d’une ampleur sans précédent.

Lors du Sommet mondial des gouvernements qui s’est tenu à Dubaï, M. Schwab a déclaré :

« Nous parlons de la transition de l’Humanité vers une nouvelle ère… vers l’âge de l’intelligence ».

Il convient de noter que le Sommet du gouvernement mondial a discrètement changé de nom pour devenir le Sommet des gouvernements mondiaux (au pluriel).1

Klaus Schwab a lu un extrait du ChatGPT :

« Envisageant un avenir propulsé par les technologies de la 4eRI, nous voyons une NOUVELLE LUNE de la civilisation humaine… où l’IA, la robotique, l’IoT, l’impression 3D, le génie génétique, l’informatique quantique deviennent les fondements de notre vie quotidienne ».

L’utilisation de la technologie robotique dans les villes intelligentes du monde entier est imminente. Concrètement, cela signifie des voitures autopilotées, une plus grande réduction des véhicules privés, une plus grande densité urbaine, des infrastructures contrôlées par l’IA, une plus grande surveillance et une perte de liberté personnelle. Schwab, qui doit être le boute-en-train d’un enterrement, poursuit de sa voix de mort :

« L’ère de l’intelligence transforme également notre mode de vie. Les villes deviennent plus intelligentes, les capteurs et l’IA gérant tout, de la circulation à la consommation d’énergie. Ces villes intelligentes et les maisons intelligentes qu’elles abritent ne sont pas seulement plus efficaces, elles sont conçues pour être plus durables, réduisant les émissions de carbone et améliorant la qualité de vie. »

Le directeur général du FEM, Mirek Dušek, a écrit dans Forbes le 1er octobre :

« L’ère intelligente représente un changement sismique dans les moteurs du changement socio-économique et de la croissance. Elle est ancrée dans des transformations profondes et multiformes que les technologies émergentes, notamment l’intelligence artificielle (IA), la bioéconomie, les technologies liées au climat et à la transition énergétique, le quantique, la robotique, l’espace et d’autres encore, entraînent au sein des sociétés, des économies et des industries. »

Le récent blog de Sam Altman, gourou de la technologie de l’IA, publié le 23 septembre, fait écho à l’optimisme des milliardaires :

« Je pense que l’avenir sera si brillant que personne ne peut lui rendre justice en essayant d’en parler maintenant ; l’une des caractéristiques de l’ère de l’intelligence sera une prospérité massive. »

(prospérité pour eux, pauvreté pour nous)

M. Altman est le PDG de l’entreprise technologique OpenAI, cofondée par Elon Musk, avec le soutien de Peter Thiel, Greg Brockman, Amazon, Microsoft et d’autres milliardaires méga riches ayant la folie des grandeurs et des montagnes d’argent.

OpenAI a été fondée par Altman en décembre 2015 et son siège se trouve à San Francisco, en Californie. Sa mission est de développer une intelligence générale artificielle « sûre et bénéfique », qu’il définit comme « des systèmes hautement autonomes qui surpassent les humains dans la plupart des tâches économiquement utiles ».

Altman et Musk ont embauché 9 des 10 meilleurs chercheurs dans ce domaine et leur ont versé des salaires exorbitants. Peter Lee, vice-président de Microsoft Research, a déclaré que le coût d’un chercheur en IA de haut niveau avait éclipsé le coût d’un quart-arrière potentiel de la Ligue nationale de football américain.

Pour information : le salaire moyen des quarterbacks de la NFL est de 55 millions de dollars par an.

L’OpenAI est basée sur l’apprentissage profond (Deep Learning), l’idée de configurer les machines pour qu’elles fonctionnent comme le cerveau humain. Le cerveau humain est constitué de millions et de millions de neurones qui transmettent des messages dans le cerveau et le corps. Avec l’apprentissage profond, les scientifiques de l’IA créent des neurones artificiels pour créer une machine qui apprend sans l’aide de l’Homme, de manière très similaire au cerveau.

Google, autre géant technologique de la Silicon Valley, possède une division secrète appelée Google X, qui travaille sur des projets similaires d’apprentissage en profondeur.

Google X fait désormais des affaires sous le nom de X, sous l’égide de la société X Development LLC. Il s’agit d’un centre de recherche et de développement semi-secret et d’une organisation fondée par Google en janvier 2010. Le siège de X se trouve à environ 1,5 km du siège social d’Alphabet, le Googleplex, à Mountain View, en Californie. Il est très étrange que Twitter et Google utilisent le même nom. S’agit-il de la même entreprise ?

Pour en savoir plus sur l’obsession des mondialistes pour la lettre « X » :
https://www.worldnotenough.com/p/elon-musk-and-the-globalists

Google X travaille sur les technologies « moonshots », qu’il définit ainsi :

« moonshots : des technologies faramineuses de science-fiction qui pourraient un jour rendre le monde radicalement meilleur ».

Google X est fondé par Astro Teller, dont le grand-père, Edward Teller, a créé la bombe à hydrogène. Dans son livre Dark Sun, le biographe Richard Rhodes décrit Edward Teller comme :

« animé par ses ambitions mégatonniques2, doté d’un complexe messianique et d’un comportement autocratique ». Il faisait partie d’un « groupe de scientifiques que l’on ne peut que décrire comme bavant à l’idée d’une guerre nucléaire et assoiffés de sang ».

Les Doomers de l’IA3

« L’intelligence artificielle est l’avenir, non seulement pour la Russie, mais pour l’Humanité tout entière. Elle s’accompagne d’opportunités colossales, mais aussi de menaces difficilement prévisibles. Celui qui deviendra le leader dans ce domaine deviendra le maître du monde ». ~ Le président russe Vladimir Poutine

Elon Musk s’est fait l’écho de ce sentiment, avec une sombre mise en garde, déclarant lors d’une interview :

« L’IA est un risque fondamental pour l’existence de la civilisation humaine ».

Il est très inquiétant de constater que de nombreux dirigeants de cette révolution technologique sont tous extrêmement préoccupés par le caractère extrêmement dangereux et risqué de cette technologie, mais qu’ils avancent à toute allure pour la mettre en œuvre.

Dans un article récent du Scientific American, on peut lire :

« Les algorithmes d’intelligence artificielle atteindront bientôt un point d’autoamélioration rapide qui menacera notre capacité à les contrôler et posera un risque important pour l’Humanité ».

« L’idée que ces objets puissent devenir plus intelligents que les gens… Je pensais que c’était une erreur… Évidemment, je ne le pense plus », a déclaré Geoffrey Hinton, l’un des principaux chercheurs en intelligence artificielle de Google, également connu sous le nom de « parrain de l’IA », après avoir quitté son emploi en avril afin de pouvoir mettre en garde contre les dangers de cette technologie.

Une lettre ouverte datée de mars 2023, signée par plus de 33 000 personnes, dont Elon Musk et Steve Wozniak, appelant à un moratoire de six mois sur le développement de l’IA, déclare :

« l’IA avancée pourrait représenter un changement profond dans l’histoire de la vie sur Terre, et devrait être planifiée et gérée avec des soins et des ressources proportionnés ».

Les partisans de cette position sont parfois appelés les « catastrophistes de l’IA ».

La lettre a été rédigée par Future of Life, un groupe de pression qui préconise une réglementation de l’IA dans le cadre d’un projet de loi californien, SB 1047, auquel le gouverneur de Californie, Gavin Newsome, a opposé son veto le dimanche 29 septembre.

Le projet de loi a été rédigé à l’origine par Dan Hendrycks, conseiller en sécurité de xAI, une startup spécialisée dans l’IA fondée par Elon Musk en 2023.

OpenAI, Google, Meta et Microsoft se sont opposés à la législation, estimant qu’elle pourrait étouffer l’innovation et faire reculer les États-Unis dans la course mondiale à la domination de l’IA. Les investisseurs en capital-risque, dont Andreessen Horowitz, ont déclaré que la mesure nuirait aux jeunes entreprises d’IA qui n’ont pas les ressources nécessaires pour tester leurs systèmes.

Dans un rare moment de non-partisanerie, plus de 120 célébrités hollywoodiennes, dont Mark Hamill, Jane Fonda et J. J. Abrams, ont signé une déclaration de soutien au projet de loi.

La désintelligence et la mésintelligence

Est-il intelligent que nos sociétés soient contrôlées par des milliardaires technocrates ?

Ce à quoi nous assistons en réalité, c’est à l’ère de la désintelligence et de la mauvaise intelligence, du détournement et de la mauvaise gestion incessants et abrutissants de la technologie à des fins de contrôle, de contrôle et d’encore plus de contrôle.

Les obsédés du contrôle doivent contrôler, c’est ce qu’ils font.

L’intelligence réelle utilisée intelligemment créerait une société qui libère les gens parce qu’elle est conditionnée par la compassion et le souci de nos semblables. Les technologies disponibles aujourd’hui, comme toute technologie, peuvent être utilisées pour le bien ou pour le mal. La technologie des robots, également connue sous le nom d’intelligence artificielle, pourrait prendre en charge une grande partie des corvées et des tâches subalternes qui transforment les êtres humains en esclaves salariés.

La technologie pourrait permettre aux citoyens ordinaires de se consacrer à des tâches plus ennoblissantes et donner à des millions de personnes plus de dignité et de respect de soi. Imaginez une société où le ramassage des ordures et le nettoyage des toilettes seraient automatisés. À moins que vous ne considériez le ramassage des ordures et le nettoyage des toilettes comme une forme de liberté ?

Les véhicules autonomes pourraient réduire considérablement le nombre d’accidents de la route. Les accidents de la route sont aujourd’hui la première cause de mortalité chez les personnes âgées de 5 à 29 ans, avec 1,35 million de décès par an dans le monde. Ce sont les piétons, les cyclistes et les motocyclistes qui en sont les principales victimes, en particulier dans les pays en développement.

Nous vivons dans un monde complexe, moderne et interconnecté. Tout ce que nous faisons a des répercussions sur tous ceux qui nous entourent. Cette complexité accrue s’accompagne d’un besoin accru de gestion plus compétente de l’ensemble des ressources mondiales, des infrastructures de communication, de transport, d’assainissement, de distribution d’eau et de réseau électrique.

Les prophètes de malheur nous mettent en garde contre les dangers de la technologie, et ces mises en garde sont justes, mais c’est aux citoyens de s’impliquer dans la gestion de nos sociétés. Sinon, nous continuerons à être gouvernés par des fous du contrôle comme Klaus Schwab et son club privé de technocrates milliardaires.

C’est le noble défi de l’Humanité que de résister à la classe des milliardaires, de la freiner et de la vaincre.

Si nous, les citoyens, continuons à résister courageusement à leur système, la classe des milliardaires tombera inévitablement.


1 NDT Dans le texte original en anglais, la différence est encore moins marquée, passant de « World Government Summit » à « World Governments Summit ».

2 NDT Adjectif inventé pour l’occasion, dérivant de « mégatonne » utilisé comme unité d’énergie (destructrice) des bombes à hydrogène.

3 NDT Dans le texte original, l’auteur a écrit DOMMER, mais il s’agit très probablement d’une faute d’orthographe, car ce terme ne signifie rien en anglais, alors que « doomer » convient bien au contexte, notamment du fait de la citation ultérieure de Musk.




Où en est l’entraide dans le monde moderne ?




Nanoparticules manufacturées et convergence bionumérique

[Source : PENSEZ-Y !]

La dangerosité des nanoparticules manufacturées

L’homme a toujours vécu entouré de nanoparticules. Il en existe trois types. Les naturelles, celles issues de la combustion, et celles bien plus récentes et de plus en plus présentes partout qui sont manufacturées. Dans cette vidéo, nous abordons la question des dangers bien plus grands que ces dernières représentent, en particulier lorsqu’elles sont injectées.

Histoire et politique de la nanotechnologie

Cette vidéo introduit une série sur la nanotechnologie. Cette première partie donne un aperçu du contexte qui a mené à en faire le domaine principal du capitalisme vert, la phase du capitalisme mis en œuvre à la suite du rapport du Club de Rome en 1972. La nanotechnologie brasse des milliards et son essor est fulgurant.

Le graphène

Qu’est-ce que le graphène ? Peut-on affirmer son existence et sa présence dans les vaccins ? Le sujet illustre bien les problèmes de la recherche actuelle.

[Voir aussi, en réponse aux doutes scientifiquement légitimes d’Urmie Ray :
https://www.researchgate.net/publication/336817848_Slot_Self-Allocation_Based_MAC_Protocol_for_Energy_Harvesting_Nano-Networks
et
https://nouveau-monde.ca/projet-bluetooth-experience-x/
Note : L’ajout de ces deux liens dans un commentaire sous la vidéo d’Urmie Ray a été censuré à deux reprises (par elle ou par YouTube ?) dans les minutes suivantes.]

Convergence bionumérique

Cette quatrième et dernière partie sur les nanoparticules porte sur la convergence bionumérique, autrement dit la 4e révolution industrielle, dans laquelle les nanotechnologies jouent un rôle fondamental. Cette phase technologique, ayant pour but une transformation totale de la civilisation, sera mise en place dans le cadre des « smart cities », villes intelligentes en français.

[Voir aussi :
https://nouveau-monde.ca/la-convergence-bionumerique/
et https://nouveau-monde.ca/comment-les-villes-intelligentes-vont-enfermer-lhumanite-dans-des-camps-de-concentration-a-ciel-ouvert/]




Le gouvernement fédéral avoue qu’il manipule les Canadiens

[Extrait de journaldemontreal.com]

Par Nathalie Elgrably

(…)

Dans un rapport rendu public en août (que vous pouvez consulter ici 1) et qui a fait peu de vagues jusqu’à présent, le Bureau des sciences comportementales de l’Agence de la santé publique du Canada (BSC) explique, en toutes lettres, comment il utilise les sciences cognitives pour concevoir les politiques publiques et façonner les comportements des Canadiens.

(…)

Contrôle

Les sciences comportementales utilisent la psychologie, l’économie, la sociologie et les neurosciences pour comprendre les comportements humains.

Mais une fois cette connaissance maîtrisée, elle peut devenir une arme de contrôle massif. Les sciences comportementales, c’est l’art de bidouiller les pensées et les émotions des individus pour orienter subtilement leurs comportements à leur insu. C’est l’instrumentalisation de la partie inconsciente et émotive de l’esprit humain pour piloter les décisions d’autrui. C’est tout simplement l’art de la manipulation porté à un niveau d’expertise quasi chirurgical.

Or, c’est précisément cet art qu’Ottawa manie. Et même si les autres gouvernements ne l’avouent pas, on peut douter qu’ils aient résisté à la tentation d’user de ces feintes psychologiques pour obtenir notre docilité.

C’est donc officiel, Ottawa profite de nos failles cognitives pour nous manipuler. Il l’a fait pendant la pandémie, notamment pour favoriser la vaccination. Et maintenant, il emploie les mêmes méthodes en matière de changements climatiques et d’immunisation des enfants. Il s’en sert même pour augmenter la confiance du public envers l’État.

(…)


1 NDLR Extrait du rapport (capture d’écran) :




Pouvez-vous rendre malade votre voisin en éternuant ?

[Source : Reportages & Coulisses d’événements ou @Jean-Phil]

  • 0:00:00 — Jérémie Mercier, introduction
  • 0:00:30 — Pierre Chaillot, le dogme viral, la science est une discussion,
  • 0:02:25 — Can You Catch A Cold? Daniel Roytas
  • 0:07:40 — Le scorbut : contamination, microbe ou cause commune ?
  • 0:10:30 — Le citron et la fin du scorbut, vitamine C
  • 0:12:25 — La théorie des germes, Antoine Béchamp, Louis Pasteur
  • 0:17:40 — Les carnets secrets de Louis Pasteur, Gerald L. Geison
  • 0:19:15 — Le mythe Pasteur et l’Institut Pasteur
  • 0:21:10 — La démarche scientifique
  • 0:30:16 — Expérience Rosenau, grippe espagnole
  • 0:32:40 — La grippe russe
  • 0:34:00 — Décès hebdomadaires en France Suède Portugal depuis 2013
  • 0:39:00 — Synchronisation des décès en hiver, où est la contamination ?
  • 0:41:35 — Common Cold Research Unit: 1946-1989
  • 0:43:27 — Article écrit avec Eusèbe Rioche
  • 0:45:58 — L’effet Nocebo, Daniel Roytas
  • 0:47:00 — Corrélation température extérieure et mortalité, pH
  • 0:52:00 — Jérémie Mercier, l’arnaque Pasteur
  • 1:00:00 — Le scientisme
  • 1:13:20 — Mortalité de la rougeole aux US
  • 1:22:00 — Scandale du Mediator
  • 1:34:00 — Grippe espagnole
  • 1:37:00 — Poliomyélite, DDT, un printemps silencieux
  • 2:00:30 — Questions/Réponses
  • 2:06:00 — Virus à gain de fonction ou à gain de fiction ?
  • 2:10:20 — Électromagnétisme et ondes
  • 2:16:46 — Maladies infantiles
  • 2:22:00 — Perte d’odorat
  • 2:35:35 — Autisme

[Voir aussi les dossiers Vaccins et virus
et 5G et ondes pulsées
pour des articles complémentaires
sur les sujets abordés dans la vidéo.]

[Autre source : odysee.com]



Julian Assange parle, le Conseil de l’Europe écoute et approuve

[Source : comiteassange.fr]

Interrompant exceptionnellement sa convalescence en Australie, le fondateur de WikiLeaks est venu à Strasbourg le 1er octobre pour témoigner devant le Conseil de l’Europe. C’était sa première intervention publique depuis son emprisonnement en 2019.

La parole de Julian Assange fut forte et précise lors de son audition par la Commission des questions juridiques et des droits de l’homme de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le 1er octobre à Strasbourg. Le journaliste australien est combatif, pleinement lucide, malgré les quatorze années de persécution et de privation de liberté qu’il vient de subir. Il n’est pas sorti indemne du martyre que lui a infligé Washington, mais il a tenu bon et semble sur la voie du rétablissement.

Il est indispensable de regarder l’intégralité de son témoignage, mais aussi de ses réponses aux membres de la commission. À voir ici dans une version en français proposée par Les Mutins de Pangée (traduction fournie par le service d’interprétariat du Conseil de l’Europe) :

Version originale en anglais :

S’appuyant sur le très bon rapport de la représentante islandaise Thórhildur Sunna Ævarsdóttir (membre du Parti pirate), la commission avait émis un avis clair et pertinent sur le cas Assange, notamment quant à la nature politique de la persécution. Le texte accuse sans détour les États-Unis et le Royaume-Uni, demandant des actions, à la fois sur l’usage de l’Espionage Act et les pratiques en matière d’extradition.

Le 2 octobre, la résolution intitulée « La détention et la condamnation de Julian Assange et leurs effets dissuasifs sur les droits humains » a été débattue en séance plénière dans l’hémicycle et finalement adoptée par 88 voix pour, 13 contre et 20 abstentions (voir le détail du vote). C’est une avancée politique, diplomatique et symbolique importante. Le Conseil de l’Europe juge que Julian Assange était bel et bien un prisonnier politique au Royaume-Uni.

À noter que seuls trois des dix-huit représentants français ont participé au vote, ils ont tous voté en faveur de la résolution. Il s’agit des députés LFI Emmanuel Fernandes et Anne Stambach-Terrenoir, et du sénateur PS Didier Marie.

Pour voir les débats et le vote (version en anglais) :

Le Royaume-Uni est membre du Conseil de l’Europe, qui est une institution réunissant 46 pays européens totalement distincte de l’Union européenne et donc non concernée par le Brexit. Les États-Unis y ont le statut de pays observateur. Il est peu probable que les deux États les plus impliqués dans la persécution de Julian Assange admettent sur le champ leur responsabilité et procèdent dans la foulée aux réformes recommandées par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, mais le rapport et le vote constituent une étape majeure.

Le combat de Julian Assange et de ses soutiens est reconnu comme légitime et salutaire par une institution internationale. Cela vient s’ajouter aux avis qui avaient été émis par différentes composantes de l’Organisation des Nations unies (ONU). C’est un travail pour l’histoire. Mais au-delà de la nécessité de faire reconnaître la réalité de la persécution politique qui a eu lieu, il faut empêcher que cela puisse se reproduire, contre un autre journaliste, un lanceur d’alerte, etc. Il est à craindre que l’intimidation que Washington cherchait à exercer sur la presse et les sources par la traque du fondateur de WikiLeaks ait déjà produit ses effets, mais il n’est pas trop tard pour protéger le droit d’informer (et donc d’être informé).

Lors de son audition, Julian Assange a clairement dit qu’il voulait, à travers le retour sur son cas, protéger les autres journalistes. Il a d’ailleurs mentionné à plusieurs reprises Gaza et le sort des journalistes palestiniens. Depuis le 7 octobre 2023, 174 d’entre eux ont été tués par l’armée israélienne, souvent ciblés délibérément.

Nous avons collectivement obtenu la libération de Julian Assange, il nous faut maintenant nous appuyer sur cette grande et belle victoire pour défendre et promouvoir le type de journalisme pratiqué par WikiLeaks, et ainsi lutter plus efficacement contre les injustices qu’il permet de dévoiler.

Quelques citations de Julian Assange

« Je veux être tout à fait clair. Je ne suis pas libre aujourd’hui parce que le système a fonctionné. Je suis libre aujourd’hui après des années d’incarcération parce que j’ai plaidé coupable d’avoir fait du journalisme. J’ai plaidé coupable d’avoir cherché à obtenir des informations auprès d’une source. J’ai plaidé coupable d’avoir obtenu des informations auprès d’une source. Et j’ai plaidé coupable d’avoir informé le public de la nature de ces informations. Je n’ai plaidé coupable d’aucun autre chef d’accusation. »

« La criminalisation des activités de collecte d’informations est une menace pour le journalisme d’investigation partout dans le monde. J’ai été formellement condamné par une puissance étrangère pour avoir demandé, reçu et publié des informations véridiques sur cette puissance alors que j’étais en Europe. »

« La question fondamentale est simple : les journalistes ne devraient pas être poursuivis pour avoir fait leur travail. Le journalisme n’est pas un crime ; c’est un des piliers d’une société libre et informée. »

« Dans mon travail, je me suis efforcé d’être rigoureusement exact. Je pense que l’exactitude est essentielle. Les sources primaires sont essentielles. Mais il y a un domaine dans lequel je suis un militant et où tous les journalistes doivent être des militants. Les journalistes doivent être des militants de la vérité. »

« Lorsque j’ai fondé WikiLeaks, j’étais animé par un rêve simple : éduquer les gens sur la façon dont le monde fonctionne afin que, par la compréhension, nous puissions faire advenir quelque chose de meilleur. »

« Je voudrais simplement remercier toutes les personnes qui se sont battues pour ma libération et qui ont compris, ce qui est important, que ma libération allait de pair avec leur propre libération. »




Bill Gates déclare qu’inciter les gens à éviter la vaccination est une « incitation à la violence » et qu’il veut que les « antivax » soient censurés par l’IA

[Source : aubedigitale.com via santeglobale.world]

Par Lance D Johnson

Ne pas aimer les vaccins serait un délit criminel si Gates parvenait à ses fins.

L’approche totalitaire de Gates en matière d’IA est une menace pour l’humanité.

Bill Gates, cofondateur de Microsoft et ancien ami de Jeffrey Epstein, a récemment été interviewé par CNBC pour discuter de la manière de gérer l’« hésitation vaccinale » en utilisant la censure en temps réel imposée par l’intelligence artificielle (IA). Bill Gates a déclaré que ceux qui incitent les gens à éviter les vaccins « incitent à la violence » et constituent donc une menace pour la santé publique. Il propose une approche totalitaire, appelant à la mise en place de « frontières » de la parole pour éliminer la « mésinformation vaccinale » en temps réel.

Bill Gates veut contrôler les esprits et réécrire l’histoire des vaccins

Les organisations « philanthropiques » de Bill Gates investissent massivement dans les vaccins, qu’il s’agisse des produits biologiques traditionnels à base d’antigènes ou des vaccins expérimentaux à base d’ARNm, qui sont associés à une surmortalité dans le monde entier. Il a récemment annoncé son intention de transformer tous les vaccins à ARNm et d’étendre le domaine de la vaccination à des centaines de maladies supplémentaires et potentiellement à des milliers de rappels. Le curriculum vitae de Gates comprend les lésions massives chez des adolescentes par le biais de programmes de vaccination contre le papillomavirus en Inde et la propagation de souches de polio dérivées de vaccins par le biais de campagnes de vaccination contre la polio dans les pays du tiers-monde.

Pendant le scandale du covid-19, Gates est apparu fréquemment sur les grands réseaux médiatiques, exhortant tous les habitants de la planète à rester chez eux, à se calfeutrer et à se faire vacciner. Il a également proposé que les individus se soumettent à ses propositions en matière de changement climatique, notamment : bloquer le soleil à l’aide de chemtrails, contrôler l’agriculture mondiale et débarrasser le monde des pets de vache, libérer de force des millions de moustiques génétiquement modifiés et faire en sorte que les populations mangent des insectes et passent à la fausse viande.

Aujourd’hui, l’éminent philanthrope souhaite utiliser l’intelligence artificielle (IA) pour censurer en temps réel la « désinformation » liée aux vaccins. Les propos de Gates, tenus lors d’une récente interview sur la chaîne CNBC, ont suscité un vif débat sur le droit à la liberté d’expression, le contrôle des esprits et la réécriture de l’histoire par l’élite.

Gates, qui est profondément et psychiquement investi dans les vaccins par l’intermédiaire de la Fondation Gates, de GAVI et de l’Organisation mondiale de la santé, se concentre de plus en plus sur la lutte contre la « mésinformation » sur les vaccins, qui n’est en fait que la suppression des témoignages sur les blessures causées par les vaccins et l’abolition du consentement éclairé. Dans sa dernière interview, il a exprimé le souhait d’imposer des « limites » à la liberté d’expression, en particulier en ce qui concerne les vaccins. Selon Gates, la liberté d’expression est certes importante, mais elle doit être limitée, en particulier si elle incite à la violence ou dissuade les gens de se faire vacciner.

« Nous devrions avoir la liberté d’expression, mais si vous incitez à la violence ou si vous incitez les gens à ne pas se faire vacciner, où sont les limites ? » a déclaré Gates. Il a suggéré que les États-Unis pourraient avoir besoin de nouvelles règles pour traiter ces questions, indiquant une préférence pour les systèmes pilotés par l’IA qui pourraient rapidement identifier et supprimer les contenus nuisibles avant qu’ils n’aient une chance de se répandre.

Ironiquement, tout le monde sait que le véritable pourvoyeur de « mésinformation vaccinale » a toujours été Bill Gates, qui cherche des moyens d’exploiter les populations par la propagande et de leur faire avaler des programmes de vaccination pour faire avancer sa mission « philanthropique » de transhumanisme et de contrôle des populations.

L’approche totalitaire de Gates à l’égard de l’IA est une menace pour l’humanité

L’approche totalitaire de Bill Gates pourrait conduire à une censure excessive et à une suppression du débat légitime, érodant le consentement éclairé en médecine et tournant en dérision les systèmes de soins de santé dans le monde. L’utilisation de l’IA pour mettre en œuvre la vision de Gates pour le monde créera un dangereux précédent, conduisant à des restrictions plus larges de la liberté d’expression, à la mise en œuvre incontestée de passeports vaccinaux et à d’autres restrictions de la méthode scientifique et du progrès de la civilisation humaine. La censure de l’IA de Gates donnera la priorité au contrôle de la pensée sur le discours public, au détriment de la transparence, du consentement éclairé et du libre arbitre.

Emily Carter, défenseur de la liberté d’expression, a averti que les propositions de Gates pourraient saper les valeurs démocratiques et éroder les principes de notre République constitutionnelle. « L’idée d’une censure pilotée par l’IA est pleine de défis. Elle risque d’étouffer des discussions importantes et pourrait conduire à une situation où seuls les points de vue approuvés seraient autorisés », a déclaré Mme Carter. « Cette approche pourrait éroder les principes de dialogue ouvert et de consentement éclairé, qui sont essentiels au bon fonctionnement de la démocratie. »

La tentative psychopathique de Gates de contrôler les gens et d’enterrer les blessures et les décès dus aux vaccins en utilisant l’IA s’inscrit dans la continuité d’un comportement malveillant. Au cours des cinq dernières années, il a demandé à plusieurs reprises aux entreprises de médias sociaux de supprimer ce qu’il estime être de la « mésinformation vaccinale ». La soi-disant « mésinformation vaccinale » et les « théories du complot » dont se plaint Bill Gates s’avèrent en fin de compte être la VÉRITÉ. Ses actions ont eu un impact négatif sur des millions de vies aux États-Unis et des centaines de millions de vies dans le monde. Des personnes ont été blessées et tuées dans le seul but de faire avancer les fausses promesses de Bill Gates sur l’innocuité et l’efficacité des vaccins. Pendant ce temps, Gates continue d’encaisser ses investissements, en mettant en avant des récits qui ont conduit à des tromperies massives, à des lésions et à des décès. Sa collaboration avec OpenAI est évidente, car la propagande vaccinale issue de leur modèle de langage étendu est sinistre et effroyable.

Traduction de Natural News par Aube Digitale




Champignons et bactéries contre les polluants humains

Un champignon marin appelé « Parengyodontium Album » a un appétit pour les déchets plastiques et peut décomposer le plastique polyéthylène à hauteur de 0,05 % par jour (étude)

[Source : pacte-climat.eu]

Par L’équipe Pacte Climat — le 9 juin 2024

La pollution plastique marine est un problème environnemental et écologique à l’échelle mondiale depuis plusieurs décennies. Cette contamination s’étend de l’océan Atlantique aux champs de déchets de l’océan Indien et de l’océan Pacifique. Le problème des déchets plastiques affecte la vie aquatique et ses écosystèmes, qui sont fragiles face aux produits chimiques et autres contaminants provenant des matériaux plastiques en polyéthylène.

Étant donné que les plastiques ne peuvent pas être complètement éradiqués, les gouvernements ont mis en œuvre différentes mesures dans le passé, notamment l’interdiction du plastique à usage unique. Les scientifiques ont même fait appel à des agents pathogènes tels que des bactéries pour nous aider à décomposer les matières plastiques accumulées, tant sur terre que dans l’environnement marin. Aujourd’hui, des scientifiques néerlandais ont découvert un champignon marin mangeur de plastique capable de faire ce travail.

Pollution plastique des océans

La pollution plastique des océans est devenue une « crise mondiale » puisque des milliards de kilos de matières plastiques finissent dans des convergences tourbillonnantes qui représentent environ 40 % de la surface des océans de la planète, selon l’organisation Centre pour la diversité biologique. Touchant non seulement les humains, le problème de la pollution marine par les plastiques constitue une menace à la fois dangereuse et mortelle pour la faune, notamment les tortues de mer, les oiseaux de mer et les mammifères marins.

Au cours des années précédentes, des milliers de ces animaux seraient morts soit à cause de l’ingestion de plastique, soit à cause de ces matériaux. Le phoque moine d’Hawaï (Monachus schauinslandi) et la tortue caouanne du Pacifique (Caretta caretta) font partie des centaines d’espèces qui peuvent consommer par erreur des déchets plastiques et s’y coincer, selon ladite organisation.

Un champignon marin mange des déchets plastiques

À la lumière de la nouvelle étude, ledit champignon marin a été initialement découvert dans la zone de déchets du Pacifique Nord. Sur la base d’une étude récente, les chercheurs ont confirmé que l’espèce fongique, appelée Album Parengyodontie, peut décomposer le polyéthylène plastique 0,05% par jour. Les nouvelles découvertes de l’Institut royal néerlandais pour la recherche maritime (NIOZ) ont été publiées dans la revue Science de l’environnement total.

L’équipe de recherche néerlandaise est arrivée à sa conclusion en isolant des spécimens de P.album à partir de débris de plastique collectés dans le gyre subtropical du Pacifique Nord. Cependant, le champignon marin doit d’abord être exposé aux rayons ultraviolets du soleil avant de pouvoir s’agglutiner sur le plastique polyéthylène. Les résultats suggèrent également la possibilité que d’autres champignons mangeurs de plastique vivent dans les profondeurs de l’océan.

Dans un communiqué de presse du 3 juin, le NIOZ a déclaré que le champignon marin de l’océan Pacifique vit également avec d’autres microbes marins dans des couches de débris plastiques flottants. Les microbiologistes marins de l’organisation de recherche néerlandaise ont découvert des microbes dégradant le plastique dans des zones sensibles au plastique dans l’océan Pacifique Nord, où la lumière du soleil est nécessaire pour relancer la prolifération du plastique. P. albums appétit pour les déchets plastiques.

L’équipe de chercheurs impliquée dans l’étude s’attend à ce que d’autres champignons inconnus dégradent également les plastiques océaniques, mais n’ont pas encore été découverts. De plus, la découverte de microbes supplémentaires pourrait éventuellement contribuer au processus de dégradation du plastique à l’avenir.


Les bactéries mangeuses d’hydrocarbures accélèrent la consommation en remodelant les gouttelettes de pétrole

[Source : inp.cnrs.fr]

Par Jean-François Rupprecht et Jacques Fattaccioli — 21 août 2023

Les bactéries Alcanivorax1 prolifèrent à la suite de déversements d’hydrocarbures et contribuent à la dégradation du pétrole dans les océans. Dans une étude, publiée dans la revue Science, une collaboration de scientifiques a isolé des spécimens de bactéries Alcanivorax borkumensis en laboratoire, les a nourris de pétrole brut et a ensuite observé comment ils travaillaient ensemble pour manger le pétrole aussi rapidement et efficacement que possible. Cette découverte permet de mieux comprendre les processus de biodégradation des hydrocarbures déversés.

Amoco Cadiz, Exxon Valdez, Deepwater Horizon… Au cours de ces marées noires, désastreuses pour la vie aquatique, prospère la bactérie Alcanivorax borkumensis. Le nom latin Alcanivorax signifie « dévoreuse d’alcanes » ; ces bactéries dégradent les longues chaînes carbonées produites par la décomposition des organismes vivants2, et jouent à ce titre un rôle dans le cycle du carbone. Ces bactéries sont retrouvées en masse dans les marées noires et il a été montré qu’elles peuvent dégrader les nappes de pétrole avant qu’elles n’atteignent les côtes3.

Dans le cadre d’une collaboration internationale entre l’Université du Tsukuba (Japon), le Centre de physique théorique (CPT, CNRS / Aix-Marseille Université / Université de Toulon), le laboratoire Processus d’activation sélectif par transfert d’énergie uni-électronique ou radiatif (PASTEUR, CNRS / ENS-PSL / Sorbonne Université), l’Institut Pierre-Gilles de Gennes (PSL Université) et le laboratoire Physico-chimie Curie (PCC, CNRS / Institut Curie / Sorbonne Université), les auteurs ont immobilisé dans une puce microfluidique des gouttelettes de pétrole progressivement dévorées par ces bactéries, et suivi au microscope confocal leur évolution au cours du temps. L’équipe a ainsi pu observer et quantifier l’ensemble du processus, de la colonisation initiale à la consommation complète des gouttelettes d’huile. Les conclusions de ces travaux ont été publiées dans le journal Science du 18 août 2023. Terry McGenity et Pierre Philippe Laissue, de l’université d’Essex, ont publié dans le même numéro de la revue un article de perspective décrivant ces travaux4.

Alors que les bactéries qui ont été exposées pendant un temps court à une source de carbone insoluble forment des biofilms se développant en volume en maintenant la gouttelette sphérique, les bactéries qui ont été exposées plus longtemps à l’huile forment des biofilms minces ou apparaissent de nombreuses dendrites. Dans cette étude, les auteurs montrent que la vitesse à laquelle les bactéries dégradent les gouttelettes dépend de la morphologie du biofilm : du fait de leur plus grande surface de contact entre le biofilm bactérien et l’interface eau/huile, les biofilms dendritiques sont beaucoup plus efficaces pour la dégradation rapide de l’huile. Toutefois, plutôt que d’être causée par une augmentation du débit métabolique individuel, cette accélération est la conséquence de l’organisation collective du biofilm à l’interface.

Sous le microscope, les bactéries apparaissent comme des bâtonnets allongés le long de la surface entre le pétrole et l’eau. Juste avant de former un tube, les bactéries s’orientent progressivement vers un point central, qui deviendra le cœur du tube. Ce motif en étoile est connu dans le cadre de la théorie des cristaux liquides5 sous le nom de défaut topologique de charge +1. Une fois la surface eau/pétrole déformée, la formation de ces tubes d’un rayon bien contrôlé est rendue possible à la fois par une diminution de la tension interfaciale de l’huile au cours du temps d’exposition aux hydrocarbures, et à une augmentation de l’hydrophobie des bactéries, qui induit une apparition d’une courbure préférentielle de l’interface eau-pétrole. Les auteurs ont développé un modèle qui permet d’expliquer ce phénomène.

Les chercheurs se sont enfin intéressés à étudier la présence de surfactants dans le milieu de culture, de manière à simuler l’utilisation des dispersants massivement déversés dans la mer lors de l’accident Deep Water Horizon. Dans le contexte de leurs expériences, les auteurs montrent que les surfactants diminuent l’adhésion des bactéries aux gouttes de pétrole, empêchant la formation des tubes et compromettant ainsi la dégradation du pétrole par ces bactéries. Cependant, des travaux supplémentaires sont encore nécessaires avant de pouvoir tirer des conclusions définitives sur l’effet des surfactants dans la gestion des marées noires, notamment en raison de la grande diversité de la composition des eaux océaniques.

Les auteurs de l’étude envisagent également des applications fondamentales dans la compréhension d’un processus clef du cycle du carbone qu’on appelle la neige marine, où des bactéries – dont Alcanivorax borkumensis – dévorent la matière organique en suspension. Ce processus de dégradation contribue alors au piégeage du dioxyde de carbone dans les profondeurs océaniques.

Références

Alcanivorax borkumensis Biofilms Enhance Oil Degradation By Interfacial Tubulation,
Manoj Prasad, Nozomu Obana, S.-Z. Lin, Ken Sakai, Carles Blanch-Mercader, Jacques Prost, Nakao Nomura, Jean-François Rupprecht, Jacques Fattaccioli, A. S. Utada, paru le 18 août 2023 dans Science.
Doi : 10.1126/science.adf3345
Archives ouvertes : bioRxiv

Notes

1 Yakimov MM, Golyshin PN, Lang S, Moore ER, Abraham WR, Lünsdorf H, Timmis KN. Alcanivorax borkumensis gen. nov., sp. nov., a new, hydrocarbon-degrading and surfactant-producing marine bacterium. Int J Syst Bacteriol. 1998 Apr;48 Pt 2:339-48. doi: 10.1099/00207713-48-2-339. PMID: 9731272.

2 McGenity, T.J., McKew, B.A. & Lea-Smith, D.J. Cryptic microbial hydrocarbon cycling. Nat Microbiol 6, 419–420 (2021). https://doi.org/10.1038/s41564-021-00881-4

3 Brooijmans RJ, Pastink MI, Siezen RJ. Hydrocarbon-degrading bacteria: the oil-spill clean-up crew. Microb Biotechnol. 2009 Nov;2(6):587-94. doi: 10.1111/j.1751-7915.2009.00151.x.

4 Terry J. McGenity Pierre Philippe Laissue, Bacteria stretch and bend oil to feed their appetite.Science381,728-729(2023).DOI:10.1126/science.adj4430

5 P. G. de Gennes and J. Prost, “The Physics of Liquid Crystals,” Oxford University Press, UK, 1993.




Mort de Nasrallah : ce que la jubilation occidentale raconte

[Source : vududroit.com]

Par Régis de Castelnau, le 29 septembre 2024

Israël a donc tué le chef du Hezbollah. Provoquant un spasme d’exultation orgiaque en Occident en général, et chez nous en particulier. Pour ce faire, Israël a utilisé le terrorisme et les crimes de guerre, c’est-à-dire en détruisant des quartiers entiers et en massacrant des centaines de civils libanais innocents. Depuis toujours, c’est ce qu’Israël fait le mieux.

Mais ce qui est terrible pour un Occidental, pour un Français, c’est ce que cette exultation raconte. Sur ce que nous sommes, sur notre racisme, notre sentiment de supériorité, notre absence de morale, notre goût du sang. Et nous continuons à pousser Israël dans l’impasse sanglante où il est en train de se perdre.

Parce qu’on va rappeler à ceux qui jubilent qu’en juillet 2006, l’armée de l’air israélienne avait détruit 59 lance-roquettes fixes à moyenne portée positionnés dans tout le sud du Liban. Dan Halutz chef d’état-major de l’armée israélienne annonça alors à son gouvernement : « Toutes les roquettes à longue portée ont été détruites. NOUS AVONS GAGNÉ LA GUERRE ». C’était en 2006…

Et c’est le même Halutz qui dit craindre aujourd’hui une guerre civile dans un Israël dirigé par Netanyahu et sa bande.

Il s’agirait, nous disent les extatiques d’une nouvelle démonstration, après l’opération terroriste des beepers, des formidables capacités d’Israël. Qui a fait savoir avec gourmandise que l’opération des beepers avait pris 15 ans à préparer. Et tout cela pour quel résultat stratégique ? Remplir les hôpitaux du sang des victimes civiles non seulement n’apporte pas le moindre avantage stratégique, mais au contraire contribue à enfoncer l’État d’Israël devenu paria dans le statut d’État voyou dirigé par des voyous. Le Hezbollah est évidemment affaibli, l’Iran peut être gêné, mais la retenue de ce dernier démontre que « l’axe de la résistance » achète du temps, ce dont désormais Israël ne dispose plus. Cela fait 80 ans que les Israéliens massacrent des civils, rasent des villages et tuent les dirigeants des mouvements qui s’opposent à eux.

Il y aura bientôt un an qu’ils affrontent le Hamas à Gaza, en vain. Cela fait plus de 20 ans qu’ils essaient de se débarrasser du Hezbollah, en vain. 80 ans qu’ils essaient de se débarrasser du peuple palestinien, en vain. Le prix payé par les Palestiniens, ceux qui les soutiennent et les civils arabes innocents est considérable. Mais Israël, soutenu à bout de bras par un Occident en décomposition a-t-il encore le temps de démontrer qu’il peut être autre chose que ce qu’il montre aujourd’hui ? C’est peu probable. Ce terrible échec était-il inscrit dans le projet initial d’émancipation de Theodor Herzl ? La greffe de ce bout d’Occident impérialiste à cet endroit pouvait-elle prendre ? Nous n’en savons rien, mais la marche de l’Histoire nous a conduits à cet échec.

Les peuples de la région n’acceptent pas sa présence et comme l’avait dit Ben Gourion à Nahum Goldmann :

« Pourquoi les Arabes feraient-ils la paix ? Si j’étais, moi, un leader arabe, jamais je ne signerais avec Israël. C’est normal : nous avons pris leur pays. […..] Certes, Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela peut-il les intéresser ? Ils ne voient qu’une chose : nous sommes venus et nous avons volé leur pays. Pourquoi l’accepteraient-ils ? Ils oublieront peut-être dans une ou deux générations, mais, pour l’instant, il n’y a aucune chance. Alors, c’est simple : nous devons rester forts, avoir une armée puissante. Toute la politique est là. Autrement, les Arabes nous détruiront. »

Est-ce cette logique de « l’armée puissante » qui a conduit au sionisme perverti des Netanyahu, Smotrich et autre Ben Gvir ? Les historiens en décideront, en tout cas aujourd’hui Israël n’est puissant que du soutien d’un Occident contesté et très affaibli. Le confrontant à une contradiction insoluble entre les « valeurs » qu’il prétend porter et le soutien sans faille à une violence génocidaire. Jusqu’à quand ?

Le sud global quant à lui se prépare méthodiquement, et se dirige vers ce qui constitue son objectif principal, la réorganisation du monde sans l’Occident. Il est probable qu’il ne s’en détournera pas, et ne cédera pas aux objurgations des excités qui souhaitent l’affrontement. Jusqu’à Alexandre Douguine perdant son sang-froid :

« C’est désagréable à admettre, mais la détermination radicale d’Israël à détruire impitoyablement ses ennemis contraste clairement avec le comportement non seulement de ces ennemis, mais aussi de nous-mêmes dans nos relations avec le régime de Kiev. [….] Encore une fois, celui qui est le plus rapide a raison. Celui qui agit de manière plus décisive et téméraire gagne. Mais nous, nous sommes prudents et constamment hésitants ».

Le problème c’est que les dirigeants de pays comme la Russie, l’Iran et la Chine sont les « adultes dans la pièce » : ils sont prudents et modérés, soucieux de la sécurité du processus de transformation du monde qu’ils ont initié, et qu’ils conduisent. Jusqu’à présent, ils évitent soigneusement de prendre des mesures qui constitueraient des réponses aux provocations occidentales. Comme l’a répété Poutine à plusieurs reprises, ils ne le feront que lorsqu’elles atteindront des niveaux « existentiels ».

C’est un chemin délicat, mais qui pouvait penser que ça ne puisse pas être le cas ? Ils ont en face d’eux des fanatiques, des idéologues obtus, des enragés, des cinglés, des meurtriers, voire des criminels infâmes. Et pour corser le tout, il y a parmi eux, et en grand nombre, de parfaits imbéciles.

Dans ces conditions, garder son sang-froid n’est pas chose facile. Car ils ne jouent plus aux échecs et sont confrontés à un dilemme. Soit une réponse brutale aux provocations pourrait conduire à une escalade mortifère. Soit l’absence de réaction peut elle aussi conduire à une escalade. Parce que les tarés d’en face, comme Netanyahu et sa bande en font la démonstration tous les jours, en déduisent que tout leur est permis.

Parmi ceux qui se réjouissent parfois bruyamment des coups portés au Hezbollah, certains ne sont pas des fanatiques ou des imbéciles amateurs de massacres, mais seulement viscéralement attachés à l’existence de l’État d’Israël. Essayant probablement d’apaiser l’angoisse qui se fait insistante et se rattache à ce qu’ajoutait David Ben Gourion à son interlocuteur :

« Mais si tu me demandes si mon fils Amos, qui aura cinquante ans à la fin de l’année, a des chances de mourir et d’être enterré dans un État juif, je te répondrais : 50 %. »

On aura une pensée pour eux.




La rébellion britannique contre le « permis de poulet » — La BONNE façon de traiter les MAUVAISES lois

[Source : off-guardian.org]

[Illustration : Toutes nos excuses si vous ne pouvez pas lire leurs *hum* griffes de poulet.]

Par Kit Knightly

À partir d’aujourd’hui, la « licence poulet » du Royaume-Uni entre pleinement en vigueur. Le 1er octobre était la date limite pour enregistrer vos poulets auprès des autorités compétentes.

À l’avenir, toute personne surprise en possession d’un poulet non enregistré sera en infraction avec la loi et passible d’une amende et d’une récupération de la volaille.

Je suis tout à fait sérieux.

En mars dernier, le ministère de l’Environnement, de l’Alimentation et des Affaires rurales (DEFRA) du gouvernement britannique a annoncé des modifications de la législation relative à l’enregistrement des volailles, redéfinissant essentiellement la notion de « troupeau », qui passe de « 50 oiseaux ou plus » à 1.

Ainsi, à partir de maintenant, tous les habitants du pays qui élèvent ne serait-ce qu’un seul oiseau — pas seulement des poulets, mais tous les oiseaux d’extérieur — doivent s’enregistrer en tant qu’éleveurs de volailles.

Vous comprenez, il s’agit de protéger les oiseaux et le public contre la grippe aviaire, et non pas de renforcer la surveillance gouvernementale dans le but final d’étouffer l’autosuffisance.

Chassez cette pensée cynique de votre esprit.

Heureusement, les citoyens britanniques ont une méthode éprouvée pour faire face à l’absurdité : encore plus d’absurdité.

À l’approche de la date limite, des milliers de personnes se sont rendues sur le site web du DEFRA pour enregistrer leurs « poulets » — congelés, nuggets, non éclos et même en caoutchouc :

Le résultat est que le service en ligne a été mis à rude épreuve :

Nous enregistrons un nombre extrêmement élevé de candidatures. Nous nous efforçons actuellement de traiter les demandes dans un délai de 30 jours.
Si vous avez déjà introduit une demande, n’en introduisez pas d’autre.
En Angleterre et au Pays de Galles, vous devez vous enregistrer si vous détenez des volailles ou d’autres oiseaux captifs avant le 1er octobre 2024. Cela inclut les oiseaux que vous gardez comme animaux de compagnie.
Vous enfreignez la loi si vous ne vous enregistrez pas.

… puis s’est effondré :

Comment s’inscrire
Si vous avez un numéro de County Parish Holding (CPH)
Vous pouvez vous enregistrer de 2 manières, soit en :
-en utilisant le formulaire d’enregistrement en tant que détenteur de moins de 50 volailles, oiseaux captifs ou autres (PDF, 177 KB, 4 pages)
-en envoyant un courriel à customer.registration@apha.gov.uk
Si vous n’avez pas de numéro CPH
Vous pouvez vous inscrire en ligne, cela devrait prendre environ 10 minutes.
Nous vous demanderons
-vos coordonnées
-les coordonnées du propriétaire des oiseaux (s’il ne s’agit pas de vous)
-le lieu où vous détenez les oiseaux
-des détails sur les oiseaux que vous détenez (espèce, nombre et raison de leur détention).
Notre service en ligne est actuellement indisponible en raison de problèmes techniques.

Toutes ces données empoisonnées inondent le système et rendent le registre pratiquement inutile. Une démonstration de la puissance de la conformité malicieuse.

Bon travail.

Ne vous conformez pas !



La vie à Paris de nos jours : Michelle était avocate internationale et s’y retrouve à la rue




La Génisse rousse et la Fin des temps orchestrée

[Extraits de guyboulianne.info]

[Traduction par Guy Boulianne]

Par The Straight Juice

Une série d’événements planifiés semblent s’aligner pour orchestrer une guerre de religion qui pourrait s’étendre à l’échelle mondiale et avoir des ramifications qui remodèleraient l’histoire humaine.

La génisse rousse revêt une signification profonde dans le christianisme, le judaïsme et l’islam, servant de point focal dans leurs récits eschatologiques et leurs croyances théologiques respectifs.

Dans la tradition juive, la vache rousse est un élément essentiel des rituels de purification nécessaires à la reconstruction du Troisième Temple de Jérusalem, étape cruciale vers l’accomplissement de la prophétie messianique. Sa rareté et ses exigences spécifiques, telles que décrites dans le Livre des Nombres de la Torah, soulignent son importance symbolique dans la mystique juive, en particulier dans les enseignements du Talmud et de la Kabbale.

Pour les chrétiens, la génisse rousse est étroitement liée à l’anticipation de la seconde venue du Christ et aux événements entourant l’apocalypse, tels que décrits dans les prophéties bibliques. Son association avec la purification et le sacrifice fait écho aux thèmes de la rédemption et de l’expiation, qui sont au cœur de la théologie chrétienne.

De plus, la revendication musulmane sur le Dôme du Rocher (mosquée Al-Aqsa) à Jérusalem complique encore davantage la signification de la Vache Rousse, car sa construction au sommet du Mont du Temple est considérée par certains comme un obstacle à l’accomplissement des événements de la fin des temps. La convergence de ces croyances et de ces récits souligne le rôle central de la Génisse rousse comme catalyseur du renouveau spirituel et comme point culminant de la prophétie divine dans ces trois grandes religions du monde. En outre, elle met en lumière les composantes religieuses sous-jacentes qui pourraient déclencher une « guerre sainte » mondiale.

(…)

Chronologie des événements :

(…)

2021 : En 2021, la quête d’une génisse rousse s’est étendue au Texas, où un éleveur de bétail a affirmé que cinq génisses rousses étaient nées dans son ranch en une seule année. L’Institut du Temple d’Israël a dépêché une équipe pour évaluer méticuleusement ces génisses, en adhérant à des normes halakhiques strictes. L’examen mené par les rabbins a été méticuleux, d’une durée de huit heures, au cours desquelles ils ont scruté minutieusement les cinq génisses rousses, prenant de nombreuses photos et vidéos pour documenter leurs conclusions.

2022 : En 2022, une étape importante a été franchie dans les préparatifs de la construction du Troisième Temple à Jérusalem, avec l’arrivée en Israël de cinq génisses d’un rouge impeccable provenant d’un ranch du Texas. L’Institut du Temple a précisé que si ces génisses conservent leur rougeur à 100 % et restent exemptes de toute tache disqualifiante, chacune d’entre elles sera jugée éligible pour fournir les cendres nécessaires aux rituels de purification.

(…)

2023 : Des centaines d’Israéliens se sont rendus dans la colonie juive de Shiloh, dans le centre de la Samarie, pour accueillir chaleureusement l’arrivée initiale de trois vaches rousses pure race en provenance des États-Unis. D’une importance historique, Shiloh a été la première capitale biblique d’Israël et a abrité le Tabernacle pendant des siècles avant que le roi David ne le déplace à Jérusalem.

2024 : Les Brigades Al-Qassam du Hamas ont prononcé un discours télévisé sur les efforts du Hamas, ainsi qu’un rappel des objectifs de la guerre. Ci-dessous, un extrait de ce discours, notez leur mention de Jérusalem (Al-Qods) et de la mosquée Al-Aqsa (Dôme du Rocher).

« Nous regardons en arrière 100 jours pour nous souvenir des éduqués, des complices et des incapables parmi les puissances mondiales gouvernées par la loi de la jungle, leur rappelant une agression qui a atteint son apogée contre notre voie et Al-Aqsa, avec le début de sa division temporelle et spatiale réelle, et l’apport de “vaches rouges comme application d’un mythe religieux détestable conçu pour l’agression contre les sentiments de toute une nation au cœur de son identité arabe, et le chemin de son prophète (le Voyage nocturne) et l’Ascension au ciel.”

Prophétie biblique et Trump :

On observe une tendance croissante à considérer et à représenter Trump comme une figure ou une icône religieuse. Cette tendance est particulièrement répandue parmi certains groupes juifs en Israël ainsi que parmi les groupes évangéliques aux États-Unis.

(…)

En Israël, ainsi que dans les communautés évangéliques et dans d’autres États-Unis, un nombre significatif de personnes perçoivent Donald Trump comme bien plus qu’un simple ex-président ou un ancien présentateur de « The Apprentice ». Au contraire, ils le considèrent comme une figure imprégnée d’un sens de la sainteté, établissant souvent des parallèles entre lui et la figure biblique de David. Ce sentiment est renforcé par la décision de Trump, alors président, de transférer l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem, une décision d’une profonde signification religieuse. En outre, Trump s’est activement positionné comme une figure messianique à travers sa rhétorique, ses actions et même dans sa vidéo de campagne présidentielle intitulée « God Made Trump ». Cette représentation a cimenté l’image de Trump comme un leader transformateur et ordonné par Dieu aux yeux de nombre de ses partisans, tant au pays qu’à l’étranger.

[Voir aussi :
Coïncidences concernant Trump et Israël]

Cependant, au milieu de l’adulation fervente de Donald Trump par certaines factions, il existe un récit plus sombre qui le présente comme un élément crucial d’un complot mondialiste plus vaste. Dans ce grand projet, Trump sert de pièce de puzzle orchestrant une sorte d’apocalypse imminente. Ce récit suggère que l’accession au pouvoir de Trump et les actions qui en découlent font partie d’un programme méticuleusement planifié pour semer le chaos et ouvrir la voie à une transformation radicale de la politique et de la religion mondiales.

Le rôle présumé de Trump va au-delà des simples manœuvres politiques : il est en partie impliqué (par le biais de décisions politiques prises au cours de son administration) dans des événements géopolitiques plus vastes, tels que l’attaque orchestrée du 7 octobre contre Israël. Cette attaque aurait jeté les bases de la destruction de la mosquée Al-Aqsa et provoqué une grande guerre sainte, conduisant à un chaos et à des bouleversements de masse.

Les partisans de ce récit soutiennent que ce chaos servira de prétexte à la mise en œuvre de solutions mondialistes sous couvert d’unité religieuse, à la construction d’un troisième temple et à l’émergence d’un prétendu « Messie ». Ainsi, au sein de ce réseau complexe de théories du complot, Trump apparaît comme une figure centrale d’un grand projet qui menace de remodeler l’ordre mondial tel que nous le connaissons.

(…)

Importance de la mosquée Al-Aqsa :

La mosquée Al-Aqsa occupe une place primordiale dans le cœur et l’esprit des musulmans du monde entier. Située au cœur de la vieille ville de Jérusalem, elle est non seulement l’un des sites les plus sacrés de l’islam, mais aussi un symbole historique et religieux important. Son importance est intimement liée à l’histoire complexe de la région et aux croyances religieuses des musulmans et des juifs, ce qui entraîne des tensions et des conflits permanents concernant sa propriété et son accès.

(…)

Historiquement, l’accès des Juifs au site a été limité. Après la guerre des Six Jours en 1967, Israël a conquis Jérusalem-Est, y compris la Vieille Ville et le Mont du Temple. Cependant, reconnaissant la sensibilité du site, Israël a accordé le contrôle du site au Waqf islamique, les Juifs étant autorisés à s’y rendre mais pas à y prier. Cet arrangement visait à maintenir le statu quo et à empêcher une nouvelle escalade des tensions.

Cependant, ces dernières années, la politique israélienne à l’égard du site a changé. En 2017, Israël a installé des détecteurs de métaux aux entrées du site d’Al-Aqsa, déclenchant de nombreuses protestations et condamnations de la part du monde musulman. De plus, en 2019, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé son intention d’autoriser les Juifs à prier sur le site, ce qui a encore exacerbé les tensions et suscité des critiques de la part de la communauté internationale.

La décision de Netanyahou d’autoriser les juifs à prier à la mosquée Al-Aqsa représente une rupture significative avec le statu quo de longue date et a suscité une vive opposition de la part des musulmans du monde entier. Nombreux sont ceux qui craignent que de telles mesures ne conduisent à une nouvelle escalade des tensions et de la violence dans la région, compromettant ainsi les efforts visant à instaurer la paix et la stabilité.

La décision de Netanyahou de restreindre l’accès des musulmans à la mosquée Al-Aqsa pourrait être considérée comme une provocation qui risque d’attiser les tensions et d’inciter à la violence, compte tenu notamment de l’importance religieuse et historique du site pour les musulmans. De telles actions pourraient être interprétées comme faisant partie d’une stratégie plus vaste visant à consolider le contrôle sur les territoires contestés et à affirmer la souveraineté israélienne à Jérusalem.

Les attaques du Hamas du 7 octobre, qui ont été tolérées sans intervention, ont servi de prétexte à une incursion militaire israélienne de grande envergure à Gaza, comme cela s’est déjà produit par le passé. Le conflit qui en a résulté a entraîné de nombreuses pertes humaines parmi les Palestiniens, exacerbant encore les tensions et alimentant le ressentiment et la colère dans la région.

(…)

Programmation prédictive : La destruction de la mosquée Al-Aqsa a été montrée dans un court-métrage en images de synthèse de 2012 : I, Pet Goat II. La vidéo, truffée de symboles occultes, est à nouveau active sur la page YouTube « Heliophant » depuis quelques mois.

(…)

En examinant les décisions de Netanyahou, notamment son alignement avec l’Institut du Temple et le projet Génisse Rousse, ainsi que le paysage géopolitique plus large, un récit inquiétant émerge. L’objectif potentiel et présumé de ces actions va bien au-delà de simples manœuvres politiques ; elles laissent entrevoir un programme plus profond ayant des implications importantes pour la région et le monde.

(…)

La décision de Netanyahou de restreindre l’accès des musulmans à la mosquée Al-Aqsa et l’escalade des tensions avec le Hamas et potentiellement le Hezbollah font émerger une tendance inquiétante. La confluence de ces facteurs suggère un effort concerté pour créer un prétexte à une action qui pourrait finalement conduire à la destruction de la mosquée Al-Aqsa et à la construction du Troisième Temple.

Un tel scénario aurait de profondes répercussions pour la région, avec le risque de marginaliser et de déplacer davantage les Palestiniens, aggravant une situation humanitaire déjà désastreuse. De plus, la portée symbolique de ces événements ne peut être sous-estimée, car ils sont susceptibles d’attiser la ferveur religieuse et l’instabilité géopolitique à l’échelle mondiale.

(…)

Importance historique du temple avec l’occultisme :

Le Temple de Salomon, et sa version ultérieure sous le nom de Temple de David, revêtent une importance capitale non seulement dans la tradition israélite et juive antique, mais aussi dans les traditions ésotériques et mystiques telles que la Kabbale et l’hermétisme. Au-delà de leur fonction religieuse conventionnelle, ces temples ont captivé l’imagination des praticiens des écoles de mystères secrets et des traditions occultes à travers l’histoire, servant de points focaux du pouvoir spirituel et de dépositaires de connaissances cachées.

Dans la mystique juive, notamment dans la tradition de la Kabbale, le Temple représente un microcosme de l’univers, incarnant les principes divins et les énergies cosmiques. L’architecture et les rituels associés au Temple sont interprétés comme des expressions symboliques de l’ordre divin, fournissant un modèle pour l’ascension spirituelle et la contemplation mystique. Dans le cadre de la pensée kabbalistique, le Temple sert de pont entre le monde terrestre et les mondes divins, facilitant le voyage du pratiquant vers la transformation spirituelle et l’union avec le divin.

De même, dans l’hermétisme, une tradition ésotérique enracinée dans les enseignements attribués à Hermès Trismégiste, le Temple de Salomon revêt une signification profonde en tant que symbole de l’alchimie spirituelle et de la transformation de l’âme. L’architecture et le symbolisme du Temple sont considérés comme des représentations allégoriques des étapes de l’évolution spirituelle, chaque aspect de la structure correspondant à un aspect différent du voyage intérieur du praticien. Par l’étude et la contemplation des mystères du Temple, les hermétistes cherchent à percer les secrets de l’univers et à atteindre l’illumination.

Dans la Franc-Maçonnerie, qui s’inspire à la fois de la Kabbale et de l’Hermétisme, le Temple de Salomon occupe une place centrale dans sa mythologie symbolique. La légende d’Hiram Abiff, le maître artisan associé à la construction du Temple, sert d’allégorie au voyage maçonnique d’initiation et de transformation spirituelle. Dans les rituels et les enseignements maçonniques, le Temple symbolise le sanctuaire intérieur de l’âme, dans lequel le chercheur s’efforce de purifier et de perfectionner son être, pour finalement atteindre les plus hauts degrés d’illumination spirituelle.

En résumé, le Temple de Salomon et son importance ultérieure dans le Temple de David ont transcendé leurs contextes historiques et religieux pour devenir de puissants symboles de sagesse spirituelle et de connaissance ésotérique. Dans diverses traditions mystiques telles que la Kabbale, l’Hermétisme et la Franc-Maçonnerie, le Temple sert de point focal pour l’exploration et l’illumination spirituelles, incarnant la quête intemporelle de la vérité divine et de la transformation intérieure.

(…)

L’Apocalypse Psyop :

Dans cet examen spéculatif, cet article entretient l’idée que les événements mondiaux sont délibérément orchestrés pour manipuler les croyances en une apocalypse imminente, ouvrant ainsi la voie à un nouvel ordre mondial.

[Note de l’analyste : la lettre d’Albert Pike semble être une autre opération psychologique. La chaîne alambiquée de qui a fait quoi n’est rien d’autre qu’une longue série de rumeurs. Pourquoi Albert Pike ? Probablement parce qu’Albert Pike était un franc-maçon du 33e degré qui a écrit « Morals & Dogma », et donc une figure importante de la franc-maçonnerie. Il en était de même pour Ingersoll Lockwood. Rappelons que Pike a fait valoir que Lucifer est le vrai dieu.]

L’idée qu’un ensemble d’événements, qui pourraient être interprétés comme la Fin des Temps, soit délibérément orchestré, est abordée en détail dans le Post 63 : The Apocalypse Psyop. Dans cet article, Albert Pike (un célèbre franc-maçon) est évoqué, et en particulier une lettre des médias alternatifs qui avait circulé il y a quelque temps. La lettre affirme que la troisième guerre mondiale sera provoquée par la création d’une division entre les sionistes et les islamistes, qui engloberait une grande partie du monde.

[Voir aussi :
Le franc-maçon Albert Pike a-t-il prédit trois guerres mondiales ?]

[Note de l’analyste : rappelons que la couverture de The Economist de 2012 avait représenté un conflit entre le Hamas et Israël impliquant l’utilisation d’avions ultra-légers, prédisant en fait des événements futurs. Il s’agit peut-être d’un autre exemple de planification à long terme et de programmation prédictive et de révélation de la méthode.]

Essentiellement, la notion d’« apocalypse », telle que propagée par diverses entités influentes telles que Hollywood, les médias grand public, les gouvernements, les médias alternatifs, les médias sociaux et les grandes institutions religieuses, semble être une opération psychologique conçue pour instiller la peur et faciliter un programme de contrôle plus large.

En conclusion :

(…)

Alors que les théories du complot et les programmes prédictifs laissent entrevoir la possibilité d’une apocalypse forcée, il devient impératif d’examiner les événements géopolitiques avec un œil critique. En fin de compte, pour parvenir à la paix et à la stabilité dans la région, il faudra une compréhension globale des multiples facteurs en jeu et un effort concerté pour répondre aux griefs et aux aspirations sous-jacentes de toutes les parties concernées.

Il ne faut pas sous-estimer la convergence d’événements célestes, notamment l’éclipse solaire du 8 avril, le passage de la « comète du diable » (…)

Il faut donc être attentif à une escalade au Moyen-Orient qui inclurait Israël et le Hezbollah. Le sacrifice d’une génisse rousse. La destruction possible et ultime de la mosquée Al-Aqsa, et une guerre plus vaste qui inclurait l’Iran et une grande partie du monde musulman contre les sionistes et leurs sympathisants, c’est-à-dire une grande partie du monde occidental. Tout cela est lié aux politiques de migration massive mises en œuvre délibérément au cours des dernières décennies.

Dernières réflexions : L’avenir n’est pas inévitable. Les machinations de quelques-uns ne doivent pas nécessairement prendre le dessus sur le pouvoir collectif d’une population en éveil, qui a le pouvoir de manifester un avenir meilleur. Prions pour la paix, un réveil à la vérité et la révélation des mensonges. Les mensonges ne peuvent pas opérer à la lumière du jour.

[Lire l’article complet sur guyboulianne.info]




Menhirs gaulois contre éoliennes : 1-0

[Source : france3-regions.francetvinfo.fr]

[Illustration : Les alignements de Saint-Dénec sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du 27 décembre 1923 • © DR]

La justice a tranché : des menhirs classés empêchent la construction d’éoliennes

Par Sylvaine Salliou et AFP

L’autorisation de construire et d’exploiter trois éoliennes à Porspoder (Finistère) a été annulée par la justice, ce 1er octobre. Le juge a estimé que plusieurs menhirs classés au titre des monuments historiques étaient trop proches du site.

« Le projet porte une atteinte excessive tant au paysage environnant qu’au patrimoine archéologique », écrit la cour administrative d’appel de Nantes dans un arrêt rendu mardi, annulant l’autorisation environnementale accordée par le préfet du Finistère en 2022.

Le site prévu jouxte en effet « les menhirs de Kergadiou, dont l’un est dressé et l’autre couché, situés à 540 mètres de l’éolienne n° 3« , souligne la cour dans un communiqué. « Aucun relief ni obstacle naturel ne sépare les éoliennes litigieuses de ces menhirs de granit rose, classés au titre des monuments historiques par un arrêté du 25 septembre 1883, menhirs qui constituent des marqueurs dans le paysage », note la cour. 

« Par leur proximité et leur hauteur, les éoliennes litigieuses auraient pour effet de perturber le rapport d’échelle de ces menhirs, et plus particulièrement du menhir dressé de Kergadiou, à leur environnement paysager », insiste-t-elle.

[Lire la suite sur france3-regions.francetvinfo.fr]

[Voir aussi :
La Gaule et les Gaulois avant César
et Jésus le Gaulois ?]




Science et médecine : l’obscurantisme au pouvoir

[Source : Chaîne officielle TVL]

Quand l’obscurantisme n’est pas là où on le croit ! Depuis une dizaine d’années, il est courant d’entendre parler d’une menace obscurantiste liée à une montée de l’irrationnel qui se manifesterait principalement par une défiance vis-à-vis de la vaccination et de la médecine conventionnelle. Mais l’obscurantisme peut aussi se trouver là où l’on se targue de le combattre. Il n’est alors plus le fait de populations marginales ou contestataires, mais celui d’une pensée dominante qui se présente comme celle de la science et de la rationalité. L’objet de ce livre est de lever le voile sur cet obscurantisme au pouvoir. À travers de nombreux exemples, de la recherche empêchée sur des phénomènes inexpliqués tels que les expériences de mort imminente au vaste champ médical où l’industrie pharmaceutique s’est accaparé la possibilité de prouver l’utilité d’un traitement, le journaliste indépendant Brice Perrier explique comment la raison se transforme en dogmatisme et entrave l’avancée de la connaissance. Le propos de son ouvrage « L’obscurantisme au pouvoir » n’est pas de dire ce qui est vrai ou faux ni de trancher dans des controverses scientifiques, mais de comprendre pourquoi ces débats, qui ont toujours été légitimes, et même nécessaires en science, peuvent tout simplement ne plus avoir droit de cité.

[Voir aussi :
Aveuglés par la pseudo-science]

[Note de Joseph :
À propos d’un scientifique français spécialiste de l’ADN sur une première étude concernant les éventuels effets génétiques des vaccins anticovid, Brice Perrier mentionne : « pour l’instant il n’a pas trouvé de modifications du génome. ». Si comme l’ont rapporté plusieurs équipes indépendantes de chercheurs, il n’y a pas d’éléments biologiques dans les vaccins (du fait notamment de l’absence d’éléments chimiques caractéristiques qui devraient alors s’y trouver), mais au contraire du graphène dont les effets toxiques variés expliquent bien les effets secondaires observés, alors il est compréhensible que le génome des vaccinés ne soit pas modifié, contrairement à ce que pensent de nombreuses personnes poussant le récit de la protéine Spike. Voir notamment :
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19,
Comment les vaccins anticovid peuvent-ils produire des maladies à prion comme Creutzfeldt-Jakob ?
et
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays, dont le lien vers l’article de Guy Boulianne https://guyboulianne.com/2022/08/15/le-dr-daniel-nagase-examine-deux-echantillons-des-vaccins-covid-19-a-arnm-et-montre-quils-ne-contiennent-aucun-element-de-la-vie/.]




Le 11 septembre et l’hypothèse de l’énergie dirigée

[Source : drjudywood.com]

Brève biographie de Judy D. Wood, Ph.D.

Courriel : lisajudy@nctv.com

Judy Wood est titulaire d’un doctorat de Virginia Tech et a été professeur d’ingénierie mécanique. Ses recherches portent sur l’analyse expérimentale des contraintes, la mécanique des structures, l’analyse des déformations, la caractérisation des matériaux et la science de l’ingénierie des matériaux. Elles ont consisté à tester des matériaux, y compris des systèmes de matériaux complexes, dans le domaine de la photomécanique, ou l’utilisation de méthodes optiques et d’analyse d’images pour déterminer les propriétés physiques des matériaux et mesurer la façon dont les matériaux réagissent aux forces qui leur sont imposées. Son domaine d’expertise est l’interférométrie dans le domaine de la criminalistique. Elle a enseigné à des étudiants de premier et deuxième cycles en ingénierie et a écrit ou coécrit plus de 60 articles évalués par des pairs et des publications dans des revues spécialisées dans ses domaines d’expertise.

Depuis le 11 septembre 2001, elle a appliqué son expertise en science des matériaux, en analyse d’images et en interférométrie à une étude médico-légale de plus de 40 000 images, de centaines de clips vidéo, d’un grand nombre de témoignages, d’analyses d’échantillons de poussière, de données sismiques et d’autres preuves environnementales relatives à la destruction du complexe du World Trade Center. Mme Wood a mené une enquête médico-légale complète sur ce qui s’est passé physiquement sur le site du World Trade Center le 11 septembre. Sur la base de l’analyse des preuves qu’elle a recueillies, elle a intenté en 2007 une action fédérale Qui Tam1 pour fraude scientifique contre les entrepreneurs qui ont contribué au rapport officiel du National Institute of Standards and Technology (NIST) sur la destruction des tours du World Trade Center. Cette affaire a été portée devant la Cour suprême des États-Unis en décembre 2009. À ce jour, l’enquête du Dr Wood et l’ensemble des preuves rassemblées dans son livre constituent la seule enquête médico-légale complète dans le domaine public. WHERE DID THE TOWERS GO? n’est pas un livre de poésie, mais il contient une prose magnifique. Ce n’est pas un roman, mais il raconte une histoire complète. Ce n’est pas un livre de photographie, mais les images vous captiveront. Ce n’est pas un simple manuel scolaire, mais ses données sont empiriques et il enseigne la pensée critique. Ce n’est pas la Bible, mais ce sera l’un des livres les plus importants que vous lirez jamais.

1 En droit coutumier, le Qui Tam est un acte par lequel les particuliers qui participent à une poursuite peuvent recevoir pour eux-mêmes tout ou partie des dommages-intérêts ou des pénalités financières recouvrés par le gouvernement à la suite de la poursuite. Son nom est une abréviation de l’expression latine « qui tam pro domino rege quam pro se ipso in hac parte sequitur » qui signifie « [celui] qui poursuit dans cette affaire pour le roi aussi bien que pour lui-même ». (Wikipedia)


Conférence de Judy Wood

[Source : Jeanne Traduction]

Le 11 Septembre : La Boîte de Pandore de l’Énergie Libre

00:00 Introduction sur l’énergie
4:20 Méthodologie scientifique (Quoi ? Comment ? Qui ? Pourquoi ?)
14:20 Liste des faits observables (« que s’est-il passé ? » )
15:30 Manque de débris et trous
20:40 Témoignages de pompiers survivants dans les tours
36:20 Digue (« baignoire ») intacte et anomalie signal sismique
45:53 « poussiérisation » et écume
1:01:10 Voitures « grillées »
1:10:40 Luminescence, débunk métal fondu/chaleur extrême
1:17:06 Aspect des poutres (tapis enroulé) et lévitation
1:22:28 Ouragan ERIN dissimulé
1:29:41 Champ magnétique terrestre
1:33:10 Comparaison avec les expériences de Hutchison
1:45:40 Tritium/débunk bombe nucléaire
1:56:41 Les sauteurs (« jumpers »)
1:59:12 Dissociation moléculaire (débunk thermite)
2:01:37 Conclusions, la science par le vote, gardiens du secret
2:10:25 Danger de la pensée de groupe


Vulgarisation de la conférence de Judy Wood par K-J

(3 vidéos)

[Source : LE FRONT MEDIATIQUE 2]

11 Septembre 2001 : La signature de l’utilisation d’une technologie à énergie dirigée

  • Intro Akina 00:00
  • Intro K-J 08:40
  • Rappels sur l’émission précédente 15:06
  • Les faits observés 21:10
  • L’aspect des véhicules sur le site 23:38
  • Les feux sans chaleur 34:02
  • L’aspect des structures métalliques 49:44
  • Le champ magnétique terrestre 51:45
  • La présence d’un élément chimique inhabituel 54:45
  • Les sauteurs (« jumpers ») 58:02
  • La dissociation moléculaire 1:05:03
  • La lévitation 1:12:11
  • Tesla-Hutchison 1:15:10
  • Les théories à l’épreuve des faits observés 1:25:22
  • Conclusions et perspectives : Avions = diversion, Pentagone et Shanksville 1:29:00
  • Questions-réponses en live 1:36:47
  • Conférences dans le réel infosconf@proton.me 1:54:30

11 Septembre 2001 : La démolition contrôlée conventionnelle sur le grill

  • Intro Akina 00:00
  • Qui est K-J ? Pourquoi ce sujet ? 5:20
  • Rappel de la méthodologie scientifique 14:32
  • Les débris sur le site du WTC 17:09
  • Les trous 23:33
  • L’impact sismique 27:40
  • Le phénomène de « poussiérisation » 34:50
  • Des bombes dans les étages 56:46
  • Les dégâts aux alentours du WTC 1:03:05
  • Les survivants de la tour Nord (WTC 1) 1:06:26
  • Le comportement de la poussière 1:08:36
  • Le WTC 7 à l’épreuve de la DCC 1:14:56
  • Conclusions et perspectives 1:19:09
  • Questions-réponses en live 1:27:25
  • Conférences dans le réel infosconf@proton.me 1:51:30

11 Septembre 2001 — Soirée Débunkage & Questions/Réponses (Arme à Énergie Dirigée et Judy Wood)

  • Intro Akina 00:00
  • Intro K-J – Censure et soutien 07:43
  • Débunk Architectes & Ingénieurs : DEW et Judy Wood 11:24
  • Débunk LESICS 1:00:17
  • Questions reçues à la suite des 2 émissions 1:07:11
  • Questions en live 1:42:01
  • Conclusions (débunk thermite, explosifs conventionnels, bombe nucléaire souterraine/mini-nukes) 1:56:11
  • Liste de preuves non expliquées par les mécanismes cinétiques ou thermiques 2:07:45
  • Soutenez le Front médiatique 2:11:45



Souvenez-vous de Laura et Mauranne, assassinées par un fanatisé

Souvenez-vous de Laura et Mauranne, assassinées par un Tunisien sous OQTF

Par Jacques Guillemain

Laura et Mauranne, 21 et 20 ans, étaient cousines. La première était venue fêter son anniversaire avec la seconde à Marseille. Mais la fête a viré à la tragédie quand un clandestin tunisien les a assassinées.

Depuis ce sinistre épisode, tout a empiré, car Macron est resté les bras ballants pendant sept années. Et aujourd’hui, depuis New York, il ose demander au gouvernement d’assurer la sécurité des Français ! C’est le pompier pyromane qui a tout fait pour détruire le pays avec ses délires mondialistes et ses illusions sur la diversité heureuse. Oui, il est bien le principal responsable et coupable !

Philippine est la énième malheureuse victime de l’inaction criminelle de Macron et des nuisibles au pouvoir, qui abandonnent le peuple à la violence quotidienne, trop souvent issue de l’immigration.

Par son inaction coupable, Macron est indigne de sa fonction. La priorité des priorités pour un président, c’est de protéger son pays et peuple.

Des massacres, hélas, il y en aura d’autres si les lobbys immigrationnistes continuent de faire la loi en France.

Voici ce que j’écrivais à l’époque, je ne retire pas un seul mot :

Politiques, journalistes, intellectuels, élites autoproclamées de ce pays, vous avez transformé la France paradisiaque des années 70 en enfer quotidien pour des millions de citoyens, victimes de votre incompétence, de vos lâchetés, de vos mensonges et de vos trahisons.

[NDLR Il apparaît plutôt que la situation de la France est le résultat d’une politique délibérée visant à détruire le pays. Et ce de point de vue, Macron et ses acolytes sont parfaitement compétents comme agents de destruction.]

Délinquance et terrorisme prospèrent sur votre manque de courage politique et votre renoncement permanent. Non seulement vous ne réglez aucun de ces fléaux qui détruisent le pays, mais vous les encouragez et les aggravez.

Vous êtes tous les artisans du désastre et donc les complices des criminels en cachant la vérité et en défendant trop souvent l’indéfendable.

Votre idéologie tiers-mondiste c’est la destruction de notre nation millénaire.

Vous êtes en train de liquider 2000 ans d’histoire de France et de léguer aux générations futures un pays menacé de guerre civile.

Car c’est de cela qu’il s’agit. Vous avez ouvert les frontières à des populations qui refusent de s’intégrer et qui haïssent notre culture et notre mode de vie.

50 % des jeunes musulmans de France souhaitent la charia ! Et vous osez bêler tous en chœur que l’intégration est réussie (sondage institut Montaigne 2016) !

Les deux jeunes femmes innocentes assassinées au cri de « Allah Akbar » à Marseille, c’est votre faute.

Elles avaient 20 et 21 ans, seulement coupables de ne pas être musulmanes. Deux cousines inséparables tuées par un fou d’Allah comme il y en a tant sur notre territoire.

Elles sont les victimes de votre politique d’immigration suicidaire et de votre laxisme coupable.

Car l’assassin est un Maghrébin clandestin arrêté 8 fois depuis 2005 et jamais expulsé !

Les enfants juifs massacrés devant leur école à Toulouse, c’est votre faute.

Le patron décapité par son employé musulman, le prêtre égorgé en pleine messe, le couple de policiers égorgé chez lui devant son enfant de 3 ans, les tueries de masse à Charlie Hebdo, au Bataclan, à Nice, les soldats et policiers attaqués dans les rues, tous ces crimes commis au nom d’Allah, c’est votre faute.

À chaque tuerie, vous ne savez que rabâcher que « l’islam, ce n’est pas ça ».

Au cri de « Allah Akbar » des tueurs, vous répondez tous en chœur « pas d’amalgame », comme des perroquets.

Mais chaque jour c’est bien l’islam qui tue, pas le Saint-Esprit. On ne tue pas au nom du Christ, de Bouddha ou de la déesse Kali. On tue au nom d’Allah et lui seul.

Vous êtes incapables de mettre hors d’état de nuire les 5 % de malfrats qui commettent 95 % des crimes et délits dans les cités.

Vous êtes incapables de rétablir l’ordre républicain dans les banlieues.

Vous êtes incapables de récupérer les 5 000 armes de guerre et armes de poing qui dorment dans les caves des cités, attendant l’insurrection générale qui se prépare.

Les barbus et les caïds vous font peur et vous rasez les murs.

Vous ne savez que sermonner les gamins multirécidivistes, arrêtés plus de 100 fois, tous les 3 jours, et aussitôt relâchés.

Vous ne comprenez même pas que, pour un gamin délinquant, le fait de passer par la case commissariat est un haut fait d’armes.

Un bracelet électronique, c’est un trophée qui a plus de valeur qu’une Légion d’honneur. En découdre avec les forces de l’ordre, c’est s’imposer dans la cité.

Jamais les familles ne sont attaquées au portefeuille, alors que la simple suppression des allocations familiales pour plusieurs mois mettrait fin à la récidive des mineurs.

Mais vous ne savez que capituler devant l’inacceptable. Par votre lâcheté viscérale, vous avez privé de toute autorité les enseignants et les policiers.

Les rebelles de la société, les ennemis de la République sont le fruit de vos reculs incessants. Vous avez l’âme de vaincus qui se complaisent dans la soumission.

Vous vous gargarisez avec le mot « laïcité » mais vous êtes incapables de la faire respecter. Vous la violez chaque jour en cédant à toutes les revendications des musulmans.

Voile, halal, prières de rues, islamisation de l’école républicaine, de l’hôpital, des entreprises, vous avez tout accepté et même encouragé.

Le renoncement permanent est gravé dans votre ADN.

Tous les tueurs étaient connus des services de police, sans exception.

Les clandestins sont systématiquement relâchés, les fichés « S » sont laissés en liberté, quand ils ne sont pas intégrés dans la police !

Or, la récidive mène à la prison, qui mène à la radicalisation, qui mène au terrorisme et qui aboutit au jihad. Mais seul le laxisme judiciaire prévaut.

La tolérance zéro est un principe que vous détestez. Il a pourtant fait ses preuves.

100 000 peines de prison ne sont pas exécutées, mais vous traînez en justice policiers et patriotes, au moindre contrôle d’identité un peu musclé ou à la moindre critique de l’islam.

Vous ne combattez que le racisme à sens unique. Combien de plaintes pour racisme anti-Blancs ont été instruites en 20 ans ?

Les forces de l’ordre, vous les avez démotivées, tout comme les forces armées, toujours plus mal équipées. Leurs budgets sont laminés alors qu’ils devraient être la priorité de la nation pour mener la guerre contre le terrorisme.

La justice, c’est celle du mur des cons, un total renversement des valeurs. Le délit de blasphème, qui n’existe pas en France, vous l’avez instauré contre ceux qui critiquent l’islam.

Le résultat de votre politique démissionnaire et irresponsable est un désastre.

Les prêcheurs de haine sont comme des poissons dans l’eau dans les mosquées salafistes. Vous en avez fermé une quinzaine alors que les imams, qui sont presque tous étrangers et ne parlent pas français, diffusent leur discours anti-occidental en toute impunité, dans des centaines de mosquées passées sous le contrôle de pays étrangers qui n’ont rien de pays amis…

L’islam de France vous a totalement échappé.

Les frontières restent grandes ouvertes pour plaire à vos « amis » d’Arabie et du Qatar qui financent la propagation du wahhabisme et du salafisme en Europe.

Le terrorisme, l’insécurité, la haine anti-Occidentaux et l’éclatement de la société, c’est votre faute. Voilà 30 ans que vous semez les germes de la dislocation de la nation. Par votre faute la France de 2017 est en voie de désintégration.

La preuve ? En 2015, le monde entier est venu s’associer à la marche républicaine « Je suis Charlie ». Le monde entier, mais pas les banlieues où la minute de silence en hommage aux victimes n’a même pas été respectée.

Ils sont où les musulmans soi-disant modérés ? On ne les entend jamais. Ils sont comme vous, ils rasent les murs.

Il y a 40 ans, on vous a confié la France de Pompidou. Regardez ce qu’il en reste.

Vous avez dilapidé et même saccagé l’héritage des Trente Glorieuses.

C’était la France du bonheur, de la sécurité absolue, de la croissance à 6 %, du plein emploi, avec le 5niveau de vie au monde derrière les États-Unis, la Suisse, la Suède et le Luxembourg. Mais loin devant le Japon et l’Allemagne.

La France d’après-guerre était redevenue une nation forte, riche et prospère.

Mais aujourd’hui, nous sommes ruinés et chaque bébé naît avec une dette de 33 000 euros dans son berceau !

C’est ça le résultat de votre incompétence et de vos lâchetés.

Vous avez ruiné la France et l’avez livrée au terrorisme islamique.

Tout cela était prévisible et vous le saviez depuis longtemps.

Primo, parce que les services de renseignement tirent la sonnette d’alarme depuis 30 ans.

Secundo, parce qu’en 1990, parfaitement conscients du danger, vous décrétiez aux Assises sur l’immigration de Villepinte :

  • Que l’islam était incompatible avec la loi républicaine.
  • Qu’il fallait sans tarder appliquer une immigration zéro.
  • Que le social devait être réservé aux seuls Français.

Mais de tout cela, il ne reste rien. Car, en 1992, vous avez TOUS retourné votre veste pour vous plier aux accords de Schengen, avec ouverture des frontières et multiculturalisme à tout va !

Ce faisant, vous avez trahi la confiance du peuple qui vous avait élus.

Et aujourd’hui, ce même peuple, qui rejette l’immigration à 70 % et refuse l’islamisation de la société, vous accuse à juste titre de déloyauté.

Votre société multiculturelle paradisiaque, c’est l’enfer des générations futures.

Votre idéologie tiers-mondiste, c’est le tombeau de la France de Clovis.

Pour ma part, je préfère 100 fois un Poutine ou un Viktor Orban qui protègent leur peuple, plutôt que des dirigeants qui se disent démocrates et qui ont pour seule obsession de trahir ceux qui les ont élus. Vous êtes tous coupables.

70 % des citoyens ne veulent plus d’immigration et refusent l’islamisation du pays.

Mais vous les méprisez, croyant détenir la vérité. Vous leur imposez une immigration qu’ils ne veulent pas. Preuve que la France de 2017 est devenue un contre-modèle de démocratie.

Ne pas fermer les frontières et ne pas rétablir l’ordre républicain sur tout le territoire, c’est au mieux signer la mort lente de la nation, au pire, c’est semer les germes de la guerre civile.

30 années d’une politique d’immigration suicidaire ont davantage mis la France en danger de mort que des siècles de guerre en Europe.

C’est impardonnable.




Pourquoi les soulèvements populaires vont se multiplier ?

[Source : Chaîne officielle TVL]

Comment comprendre le retour de l’idéal communautaire ? Comment appréhender la surrection des passions ? Comment décrypter le cycle des décadences et des renouveaux ? Il fallait Michel Maffesoli pour ausculter notre postmodernité inquiète. Pour dire la force de la sagesse populaire contre la verticalité proclamée. Pour affirmer la puissance de l’esprit dionysiaque contre le rationalisme galvaudé. Contre le progressisme dévoyé. Contre l’économicisme consacré. Une réponse philosophique qui dit toute la tendresse du monde. Un remède au pessimisme de notre temps.

[Voir aussi :
La fin du Sacré et du patriarcat
Sonia Mabrouk : « La France a besoin de sacré »
Réenchanter le monde
Pyramides vs Croix/Roue]




Où conduisent les folies du genre ?





Ricardo optimiste




L’ONU ne protégera pas Gaza, mais peut adopter un « pacte pour l’avenir » ?

[Source : thecradle.co]

Les Nations unies sont devenues une parodie d’elles-mêmes. Lors de la réunion des dirigeants mondiaux à New York cette semaine, Gaza, le Liban et la Palestine ne figuraient nulle part à l’ordre du jour, mais un pacte américain adopté à la va-vite et destiné à protéger « l’ordre fondé sur des règles » figurait en tête de liste.

Par Pepe Escobar

L’incapacité — et le manque de volonté — des Nations unies et de son Conseil de sécurité à mettre fin à un génocide retransmis en direct les a discréditées au-delà de toute rédemption possible. Toute résolution sérieuse infligeant des conséquences sérieuses à la psychopathologie mortelle d’Israël a été, est et sera bloquée au Conseil de sécurité de l’ONU.

Un spectacle surréaliste s’est déroulé dimanche et lundi derniers à New York, juste avant la 79e Assemblée générale annuelle, où les chefs d’État se sont réunis pour prononcer leurs nobles discours à la tribune de l’Assemblée Générale.

Les États membres de l’ONU ont adopté un Pacte pour l’avenir, avec 143 voix pour, seulement sept contre et 15 abstentions. Le diable est dans les détails, bien sûr : qui l’a conçu et approuvé, comment a-t-il été placé en tête de l’ordre du jour alors que le monde brûle, et pourquoi sentons-nous une odeur de rat (géant) ?

La machine de relations publiques de l’ONU a annoncé, joyeusement, que le « résultat clé du Sommet du Futur est une opportunité unique dans une génération d’orienter l’Humanité sur une nouvelle voie vers notre avenir commun ».

Joli langage, mais pour être clair, cela n’a rien à voir avec le concept philosophique chinois, inclusif, de « communauté d’un avenir partagé pour l’Humanité ». Il s’agit plutôt de l’avenir commun envisagé par la ploutocratie atlantiste qui dirige le soi-disant « jardin » et qui ne produit que des diktats pour la « jungle ».

Le vote de la Chine, de la Russie et de l’Iran

Le premier représentant permanent adjoint de la Russie auprès de l’ONU, Dmitry Polyansky, a bien résumé l’initiative :

« Les Nations unies ont enfreint leurs propres principes pour se plier aux exigences d’un groupe de délégations du “beau jardin”, qui ont usurpé les négociations depuis le début. Et la majorité de la “jungle”, comme un troupeau, n’a pas trouvé le courage de protester et de défendre ses droits. Ils en assumeront les conséquences. »

Un certain nombre de diplomates, s’exprimant officieusement sur un ton assez déconcerté, ont confirmé qu’il n’y avait pas eu de négociations préalables sérieuses et que le pacte avait été adopté par consensus avec un groupe minimaliste de seulement sept nations — toutes issues de la « jungle » — tentant d’opposer une résistance, rejetant le texte préparé et ne parvenant pas à ajouter des amendements de dernière minute.

[Voir aussi Un mondialisme d’idées — Le « Pacte pour l’avenir » des Nations unies]

Même le tout nouveau président de l’Assemblée générale des Nations unies, Philemon Yang, a tenté de faire quelque chose. Les résistants ont proposé que Yang reporte le vote jusqu’à ce que toutes les dispositions aient été approuvées, en particulier celles relatives au désarmement et au rôle d’ingérence des ONG dans le travail du Haut Commissaire des Nations Unies aux Droits de l’Homme.

Mais le « jardin » a exercé une pression totale pour faire passer le pacte, et les résistants ont proposé trop peu, trop tard.

Quelques diplomates africains se sont plaints, officieusement, que leurs pays étaient opposés au pacte, mais qu’ils votaient « par solidarité ». C’est un code pour dire qu’ils ont été intimidés ou même soudoyés par le « jardin ».

Et maintenant, le clou du spectacle. La Russie et l’Iran ont voté « non ». Et la Chine s’est abstenue.

En bref, les trois États clés de la civilisation, qui se trouvent être les principaux moteurs de l’intégration de l’Eurasie et sans doute les trois membres les plus importants des BRICS, ont rejeté le pacte fabriqué par le jardin. La principale raison non déclarée est que ce pacte est en fin de compte contraire aux BRICS et à l’émergence d’un deuxième pôle mondial.

Les nombreuses références directes du pacte à l’« ordre international fondé sur des règles », le mantra de l’hégémon, constituent un indice irréfutable. Le pacte a été habilement conçu pour isoler les États de la civilisation supérieure et pour diviser les BRICS de l’intérieur : le classique « diviser pour régner ».

Quant au véritable pacte pour l’avenir de la majorité mondiale, il commencera bientôt à être discuté sérieusement – non pas à l’ONU, mais au sommet annuel des BRICS à Kazan le mois prochain.

Gaza qui ?

Bien que le bâtiment des Nations unies accueille le plus grand groupe de dirigeants mondiaux réunis en un an, absolument rien n’est fait pour lutter contre le génocide de Gaza et l’expansion de la guerre d’Israël au Liban. Cette inactivité surprenante face à la crise humanitaire la plus urgente de la planète a stupéfié même les « jardiniers » du golfe Persique, qui s’accrochent généralement aux diktats des États-Unis sur la plupart des sujets.

Le secrétaire général adjoint du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) pour les affaires politiques et les négociations, le Dr Abdel Aziz Aluwaisheg, a même rédigé un éditorial qui souligne l’illusion du président américain Joe Biden « affirmant que le système international fonctionne et que les États-Unis en particulier le maintiennent » — le seul chef d’État à avoir fait cette affirmation à la tribune cette année.

Dans son article intitulé « Le dernier discours imparfait de Joe Biden à l’Assemblée générale des Nations unies », M. Aluwaisheg révèle ce qui suit :

« Dans les réunions de haut niveau qui se tiennent à New York ces jours-ci, comme le “Sommet de l’avenir”, les participants s’accordent à dire que le système des Nations unies est cassé et qu’il a besoin d’une réforme, voire d’une refonte. »

Il ajoute :

« Du point de vue d’une superpuissance disposant d’un droit de veto, le système fonctionne. Elle peut stopper toute action qui lui déplaît et s’aligner sur les décisions qu’elle approuve. Qu’y a-t-il de mieux ? Mais le monde est différent du point de vue des réfugiés sans défense de Gaza, blottis dans les ruines de leurs maisons, qui ont perdu de nombreux membres de leur famille et qui risquent d’être tués à tout moment par une force militaire bien supérieure, non contrôlée par l’ONU et soutenue par ses membres les plus puissants. »

L’ONU devient une annexe de Davos

L’ensemble du bâtiment de l’ONU à New York a été réduit à un monolithe célébrant l’abattement et le cynisme, car il devient clair pour tout corps diplomatique que le génocide de Gaza et maintenant son extension au Liban sont pleinement soutenus par le syndicat criminel occidental, dirigé par le sionisme anglo-américain.

À cet égard, tout vote à l’ONU devrait être considéré comme non pertinent. Toute la structure de l’ONU devrait être considérée comme non pertinente.

Le Pacte doit être lu à ses risques et périls. Il s’agit d’une salade de mots cliché mélangeant une signalisation virtuelle débridée avec une reprise d’anciennes politiques d’accords morts tels que l’accord commercial TPP de l’ère Obama, ainsi qu’une initiative de numérisation mondiale initialement rédigée, en thèse, par les gouvernements de l’Allemagne et de la Namibie.

Pourtant, les véritables rédacteurs étaient les suspects habituels : Big Tech et Big Finance, les garants de « l’ordre international fondé sur des règles ».

Cet avenir envisagé pour l’Humanité — contrairement à l’esprit communautaire chinois — est une apothéose de la quatrième révolution industrielle, en provenance directe du gang de Davos, incarné par le Forum économique mondial (FEM).

Ce sont ces acteurs qui ont supervisé les « négociations » précédentes, inexistantes, qui renvoient à l’accord de coopération fatidique entre l’ONU et le Forum économique mondial (FEM) signé en juillet 2019, quelques mois avant l’ère Covid.

Cet accord, comme l’a fait remarquer l’analyste Peter Kœnig, est « illégal », car « l’ONU ne peut pas conclure d’accords avec des ONG, mais de facto non pertinent dans un monde ordonné par des règles ». Dans la réalité, l’ONU n’est plus qu’une annexe de Davos.

Bienvenue donc dans votre avenir dystopique, qui est désormais couché sur le papier. Pas sur le papier, désolé, c’est tellement démodé : en écriture numérique.

Y a-t-il une issue ? Oui. La Résistance mondiale se transforme progressivement en une force cohérente et transcontinentale, dont la portée et la profondeur sont en grande partie dues à une Chine de plus en plus affirmée. Les BRICS sont résolus à développer de puissants nœuds interconnectés capables d’orienter la majorité mondiale vers un avenir équitable, vivable et non dystopique. Tous les regards se tournent vers Kazan en octobre.




Délire de Poutine et de Roseanne Barr ?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Roseanne_Barr

[Traduction automatique du discours intégral de Poutine (source : https://rg.ru/2024/03/13/interviu-prezidenta-rf-vladimira-putina-dmitriiu-kiselevu-stenogramma-i-video.html) : voir la capture PDF ci-après, puis la capture d’écran du passage particulier évoquant la chair humaine et les vampires.

]




Le chef du Hezbollah (« parti de Dieu ») a été éliminé par une frappe israélienne




L’illusion de la bienveillance

[Source : jevousauraisprevenu.blogspot.com]

Par Phil BROQ

La philanthropie ! Ce doux nectar de générosité que nos milliardaires, ces bienfaiteurs de l’Humanité en costume cravate, se plaisent à servir à la société, comme si nous étions tous des enfants de chœur. En réalité, derrière ces sourires bienveillants et des discours empreints de noblesse se cache une tambouille d’intentions obscures et machiavéliques. Bill Gates, Jeff Bezos, Warren Buffet et George Soros, nos héros contemporains, nous promettent monts et merveilles tout en gardant un œil avisé sur leurs portefeuilles. Qui aurait cru que des hommes dont la richesse dépasse celle de petits pays seraient si préoccupés par notre bien-être ?

Ces figures emblématiques de la richesse contemporaine prétendent investir dans des causes altruistes, mais leur approche ne se limite pas à la charité ; elle s’inscrit dans une stratégie calculée visant à amasser des capitaux colossaux tout en redéfinissant les fondements de nos sociétés. Et quelle belle manipulation ! Les philanthropes modernes se présentent comme des sauveurs, mais derrière le vernis scintillant de leurs initiatives se cache un projet plus sombre : transformer l’Humanité en un simple objet à manipuler selon un agenda néo-malthusien et eugéniste. Un peu comme des marionnettistes, mais avec des chiffres à la place des fils.

Au cœur de cette charade se trouve le malthusianisme, une doctrine antique qui fait un retour fracassant dans le débat public, telle une chanson d’été que l’on ne peut pas oublier. Malthus, ce cher Thomas Robert, avait l’audace de prétendre que la croissance démographique dépasserait toujours la capacité des ressources à la soutenir, entraînant famine et dévastation. Voilà un homme qui savait comment mettre l’ambiance ! Aujourd’hui, nos élites, armées de leur vision éclairée, prônent la restriction des naissances comme une solution à des problèmes sociaux complexes. Mais au lieu d’aborder les véritables causes de la pauvreté — inégalités d’accès à l’éducation, défaillances des infrastructures, et iniquités économiques — ils choisissent la solution facile : réduire la population. Une vraie stratégie gagnante, n’est-ce pas ? Comme si appauvrir davantage les plus vulnérables pouvait résoudre quoi que ce soit.

Ce retour en force du malthusianisme va de pair avec une résurgence d’eugénisme, qui s’exprime à travers les discours enjoués de figures comme Malcolm et Simone Collins. Ces milliardaires, en vantant les mérites de la sélection génétique, avancent une vision selon laquelle la technologie pourrait améliorer l’espèce humaine. Qui aurait cru que nous vivions dans un épisode de Black Mirror ? Pourtant, cette arrogance teintée d’un optimisme démesuré nous rappelle les heures sombres de l’Histoire où l’eugénisme justifiait des politiques de stérilisation et d’extermination. Bravo pour les leçons apprises, les amis ! Ignorer l’Histoire tout en rêvant d’une Humanité « améliorée » n’est qu’un saut dans l’inconnu, sans parachute.

Au-delà de la poésie, cette démarche soulève des questions éthiques fondamentales. Qui décide ce qui constitue une « amélioration » ? Leurs aspirations à une Humanité « parfaite » ignorent les leçons de l’Histoire, laissant de côté la diversité humaine qui est pourtant notre richesse. Dans leur quête de perfection, ils s’éloignent de l’essence même de notre humanité, prônant une vision dystopique où la nature serait soumise à un contrôle technologique total. Une version moderne du « petit dieu » qui croit que l’on peut façonner l’Humanité à sa guise sans en subir les conséquences.

Et que dire du transhumanisme ? Ce doux rêve de transcender notre condition humaine grâce à la technologie, qui promet monts et merveilles comme la longévité éternelle et l’absence de souffrance. Quelle magnifique idée ! Sauf que cette quête d’immortalité technologique pourrait bien se retourner contre nous, en éradiquant ce qui fait notre essence. En promettant une longévité accrue, une amélioration des capacités cognitives, et la possibilité d’une vie sans souffrance, cette idéologie se heurte aux réalités de la nature humaine et de l’interdépendance qui caractérise notre espèce. La promesse de vivre éternellement sans les tracas de l’existence pourrait bien devenir une malédiction, menaçant la diversité et la richesse de notre monde.

Des programmes tels que le Parent Woods et les avancées en matière de transhumanisme s’inscrivent dans cette logique de transformation radicale de l’espèce humaine. Qui a besoin de la douleur ou de la tristesse, après tout ? Au lieu de chercher à comprendre et à améliorer nos conditions de vie, ces visionnaires préfèrent s’attaquer à la nature humaine, comme si elle était un logiciel à déboguer. Leurs promesses de progrès sont séduisantes, mais sous couvert d’innovation, elles risquent d’éradiquer les fondements mêmes de notre existence. La quête de l’immortalité technologique, loin d’être une bénédiction, pourrait devenir un piège mortel. Un futur où les inégalités se creusent encore plus, où les riches s’offrent une Humanité « améliorée », tandis que le reste de la population est laissé à son triste sort.

Parallèlement, cette obsession pour le contrôle de la population et la sélection génétique s’accompagne d’une destruction rampante de la biodiversité. Les milliardaires, tout en prônant des idéaux écologiques en surface, accaparent les ressources naturelles et brevettent les espèces vivantes, souvent en toute impunité. Comme des enfants dans un magasin de bonbons, ils détruisent la diversité biologique qui constitue le fondement de nos écosystèmes, tout en mettant en danger notre environnement et, par extension, notre propre survie. La destruction des habitats naturels, justifiée par des logiques de profit et d’expansion, risque d’entraîner des crises écologiques sans précédent, dont les conséquences se feront sentir pour les générations futures.

La philanthropie, ce mot si doux à l’oreille, surtout quand il s’agit de distribuer des vaccins aux Gazaouis. Mais n’est-ce pas là un beau paradoxe ? D’un côté, on assiste à des bombardements incessants qui dévastent des vies et des communautés, et de l’autre, on nous présente la vaccination comme un acte de bienveillance, une bouffée d’air frais dans un océan de souffrance. On peut légitimement se demander : est-ce vraiment de la philanthropie ou simplement un moyen de capitaliser sur une situation tragique ? Après tout, chaque seringue plantée dans un bras est accompagnée d’une pluie de subventions internationales qui, plutôt que d’apaiser, risquent de stériliser encore davantage ce peuple déjà meurtri. Voilà un bel exemple de cynisme à son paroxysme : utiliser la détresse humaine comme une opportunité lucrative. La question se pose alors : à qui profite réellement cette « bienveillance » ? Les Gazaouis ne méritent-ils pas mieux qu’un double jeu où leur souffrance est à la fois exploitée et soignée, comme des poupées de chiffon dans une pièce de théâtre tragique dont les milliardaires tirent les ficelles ?

Le rôle de l’État dans cette dynamique est également préoccupant. Sous l’égide de leaders comme Emmanuel Macron, qui se positionne en tant qu’« Economic Hit Man » au service de ces élites, la privatisation des services publics s’accélère. La transition vers un modèle de gouvernance où l’aide sociale est déléguée à des entreprises privées se fait au détriment des plus démunis et avec nos impôts. Loin de répondre aux besoins fondamentaux de la population, ces initiatives ne font que renforcer le pouvoir des grandes entreprises, transformant les citoyens en clients, et les droits sociaux en privilèges. Un vrai régal pour les actionnaires, n’est-ce pas ?

Ainsi, cette confluence d’intérêts — celle des milliardaires, des institutions financières, et des gouvernements complices — crée un système qui dévalorise la dignité humaine et remet en question les fondements mêmes de notre société. Au nom d’une philanthropie mal comprise, d’une prétendue nécessité de réduire la population, et d’une amélioration technologique de l’espèce, ces acteurs cherchent à imposer une vision déshumanisée et inégalitaire du monde. Il est grand temps de rester vigilants face à ces dérives, de dénoncer les discours qui masquent des intentions néfastes, et de défendre une Humanité qui place la solidarité et la diversité au cœur de son avenir. Car c’est dans cette diversité que réside notre véritable force, et c’est en la protégeant que nous assurerons la pérennité de notre espèce.

La folie mégalomane des milliardaires de la tech, qui se présentent comme les architectes d’un avenir idéal, révèle une profonde déconnexion de la réalité et une impunité déconcertante. Sous prétexte de compenser le déclin démographique et de préserver des valeurs culturelles qu’ils jugent essentielles, ces individus n’hésitent pas à traiter les êtres humains comme de simples objets, des produits destinés à être améliorés et sélectionnés selon des critères qu’ils établissent. Leur mantra, selon lequel la sélection naturelle serait désormais inefficace, illustre cette arrogance : ils prétendent que les progrès médicaux et les conditions de vie atténuent les processus de sélection, laissant entendre qu’il leur revient de prendre les rênes de l’évolution humaine. En évoquant la nécessité d’une croissance démographique pour maintenir la stabilité des systèmes sociaux et économiques, ils justifient des pratiques eugénistes qui, en réalité, menacent l’essence même de l’Humanité.

Pourtant, ces discours sont largement contestés par la communauté scientifique et les défenseurs des droits de l’homme, qui soulignent les dangers d’une telle ingérence dans la vie privée et la liberté reproductive. En affirmant que les avancées en génétique pourraient garantir des enfants plus sains et plus intelligents, ils négligent l’impact significatif des facteurs environnementaux et sociaux sur le bien-être individuel. Cette quête d’amélioration génétique, si elle peut sembler séduisante, ouvre la porte à des dérives discriminatoires et racistes, rappelant les pages sombres de l’Histoire. Au fond, ces milliardaires ne cherchent pas seulement à façonner un monde à leur image, mais à éradiquer toutes nuances de l’Humanité, persuadés que leur richesse leur confère le droit de décider qui mérite de naître.

En fin de compte, levons le voile sur ces actions philanthropiques qui, loin de promouvoir le bien commun, visent à renforcer un système déjà inégalitaire. Bill Gates, Jeff Bezos, Warren Buffet et George Soros, loin d’être des héros modernes, incarnent les véritables dangers de notre époque : des architectes d’un ordre mondial rétrograde et déshumanisé. En utilisant leur richesse pour influencer les politiques publiques et redéfinir nos valeurs, ils menacent la biodiversité et la dignité humaines. Dans un monde où l’impunité des puissants semble régner, où les milliardaires jonglent avec les enjeux sociaux et environnementaux comme s’il s’agissait de simples pions sur un échiquier, il devient crucial de dénoncer ces dérives et de défendre une vision alternative. Une vision qui repose non pas sur l’arrogance de quelques-uns, mais sur la charité, la diversité biologique et le respect des droits de chacun. Ces valeurs, souvent reléguées au rang de slogans publicitaires, devraient constituer le socle de notre humanité.

Dans cette perspective, il est essentiel de remettre en question les discours qui glorifient la philanthropie comme une panacée. Au lieu d’accepter passivement que des milliardaires définissent les termes de l’aide, nous devons nous interroger : qui a réellement besoin de cette aide ? Quelles sont les véritables motivations derrière ces initiatives ? En quoi répondent-elles aux besoins des communautés qu’elles prétendent servir ? En sortant nos lorgnettes, nous pouvons observer attentivement cette danse des milliardaires, qui s’efforcent de donner l’illusion d’un changement positif, tout en préservant seulement leurs propres intérêts.

Il est temps de réveiller notre esprit critique et d’exiger une responsabilité collective. Les gouvernements, trop souvent complices de ces puissances financières, doivent être tenus de rendre des comptes. Il ne suffit pas de plaquer des solutions technologiques sur des problèmes sociaux complexes ; il est impératif d’adopter des approches systématiques et inclusives qui tiennent compte des besoins des plus vulnérables.

La justice sociale doit passer au premier plan, car sans elle, toute promesse de progrès n’est qu’une façade. Lorsque les voix des opprimés sont étouffées et que les inégalités s’accroissent, nous nous dirigeons vers une société désunie, fragilisée par des tensions croissantes. Chaque geste de charité, chaque acte de résistance face aux abus de pouvoir, compte. Ce sont ces petits feux de résistance qui peuvent illuminer le chemin vers un avenir où les droits de chacun sont respectés.

En fin de compte, défendre une vision alternative n’est pas seulement une question de mots, mais d’action. Cela nécessite un engagement à long terme pour cultiver une société qui valorise la dignité humaine, où chaque individu a non seulement le droit de rêver, mais aussi les moyens de réaliser ses rêves. Ce n’est qu’en protégeant cette biodiversité et en défendant la dignité de chaque être humain que nous pourrons envisager un avenir plus juste et humain.

Car derrière le spectacle scintillant des milliardaires et leur philanthropie de vitrine se cache une réalité bien plus dangereuse, où les intérêts des plus riches prévalent souvent, sinon toujours sur le bien-être collectif. Ne nous laissons pas berner par le brillant vernis de leurs financements d’actions charitables. Ouvrons les yeux sur leurs manipulations et mensonges éhontés, unissons nos forces et travaillons ensemble pour bâtir un monde où la charité et la diversité biologique ne sont pas seulement des mots à la mode, mais des principes actifs qui guident nos choix et nos actions.

En nous mobilisant autour de ces valeurs, nous serons en mesure d’assurer non seulement notre survie, mais aussi celle des générations futures dans un monde où chacun a sa place. En attendant, pensez à boycotter leurs entreprises et vous renseigner sur vos achats, car c’est là que tout commence…




Un homme du Missouri est testé positif à la grippe aviaire : oui, bien sûr, ha ! ha !…

[Source : jonrappoport.substack.com]

Par Jon Rappoport — 9 septembre 2024

Il n’avait aucun contact connu avec des animaux présentant un risque de grippe aviaire.

Ah bon. Cela pourrait vouloir dire que la transmission d’homme à homme est possible.

Verrouillez vos portes. Scellez les fenêtres. Cachez-vous dans la cave.

L’homme a été hospitalisé, vraisemblablement pour une autre maladie. Il a subi un dépistage routinier de la grippe. Le résultat a été positif, mais pas pour la grippe saisonnière. Des tests supplémentaires ont été effectués. Bingo. La grippe aviaire.

Mettons de côté toutes ces conneries pour en venir aux faits.

Il a été testé par PCR.

Cela signifie qu’un morceau de matériel génétique du virus de la grippe aviaire a été sélectionné comme cible du test.

Sauf que, comme le virus n’a jamais été vu, isolé ou trouvé…

Il est impossible de sélectionner un morceau de sa séquence génétique et de le rechercher.

« Prenons un peu d’ARN et AFFIRMONS qu’il provient du virus, et réglons la PCR pour qu’elle le recherche ».

C’EST CA la Science. C’EST CA la plaisanterie. C’EST CA la délectation de l’idiot. C’EST la tactique de la peur à l’œuvre.

Poussons l’escroquerie un peu plus loin. Le morceau d’ARN que vous voulez que la PCR recherche… doit-il être un morceau commun normalement présent dans le corps de millions de personnes — garantissant ainsi qu’un grand nombre de personnes seront testées positives pour la grippe aviaire ?

Ou doit-il s’agir d’un morceau étrange rarement présent chez les gens, parce que vous n’êtes pas encore prêt à devenir fou et à déclarer que la grippe aviaire est une pandémie humaine généralisée ?

Traduction Jean Bitterlin — 25 septembre 2024




Bill Gates et l’identité numérique des nouveau-nés au Kenya

[Source : @Cielvoile]






Elon n’est pas votre ami

[Source : Dimitri Legrand]




Ces prophéties ont prévu l’arrivée d’un nouveau roi messie

Extrait :

Émission complète :

Depuis plusieurs années, une guerre spirituelle et culturelle sans précédent est menée contre la civilisation occidentale et plus particulièrement contre la religion catholique et les églises de France. Ce phénomène, orchestré par des forces mondialistes d’inspiration satanique, vise à détruire les racines spirituelles et culturelles de notre nation.

Le tragique incendie de Notre-Dame de Paris en 2019 a marqué un tournant dans cette offensive. Pour beaucoup, cet événement symbolique n’était pas un simple accident, mais un acte délibéré, un message des élites occultes. Ces élites, au service d’une mondialisation déshumanisante, auraient pris pour cible l’un des plus grands symboles religieux et historiques de la France. À travers cette attaque, c’est le cœur spirituel de notre nation qui a été visé.

Mais ce n’était que le début. En 2023, selon l’Observatoire de la christianophobie, pas moins de 27 églises ont été incendiées en France, un chiffre alarmant qui témoigne de l’accélération de cette guerre occulte. Les incendies de Saint-Omer et de Rouen ne sont que des exemples récents de cette destruction massive des symboles chrétiens. Ces événements ne sont pas de simples actes isolés, mais bien les manifestations d’une attaque concertée contre ce qui symbolise encore la résistance à la mondialisation et la cohésion spirituelle de l’Europe chrétienne.

La France, souvent appelée la « fille aînée de l’Église », se trouve au centre de cette bataille spirituelle. De par son histoire chrétienne et son importance géopolitique, elle représente un enjeu symbolique majeur pour ces forces destructrices.

Ce qui est encore plus troublant, c’est que tout cela avait été prédit. Une des plus grandes mystiques françaises, Marie-Julie Jahenny, une paysanne bretonne stigmatisée, avait reçu plus de 3000 visions entre 1873 et 1941. Prophétesse de son époque, elle avait prédit des événements historiques majeurs tels que les deux guerres mondiales, la guerre d’Algérie, et même la crise financière de 2008. Parmi ses prophéties, elle avait également averti de la montée des mondialistes et de leur plan destructeur pour la France.

Elle a aussi prophétisé les incendies d’églises, la guerre civile, et même la chute des élites financières. Mais le point culminant de ses visions reste l’annonce de l’arrivée d’un nouveau roi messie, qui viendrait restaurer l’ordre spirituel et temporel en France après une période de grande tribulation.

Aujourd’hui, alors que la France traverse des crises sans précédent, les paroles de Marie-Julie Jahenny résonnent comme un avertissement. La France chrétienne pourrait bien être destinée à jouer un rôle central dans la restauration spirituelle mondiale et le retour du Christ.

Pour contacter Ludovic Malot :
formation@ormesys.com

Pour rejoindre le canal Telegram de Ludovic Malot :
https://t.me/franceliberte

Se procurer Le livre de Ludovic Malot, Le Suicide Monétaire aux éditions Maïa :
https://www.editions-maia.com/livre/le-suicide-monetaire-malot-ludovic-9782384416400/

[NDLR Le sol de Notre-Dame était déjà en damier noir et blanc avant l’incendie.
Voir https://www.youtube.com/watch?v=9-GAnZME-eI (à 39:50).
L’autel a par contre bien été changé.]

[Sur le Bitcoin et les cryptomonnaie, une autre perspective :
BITCOIN : L’arme secrète de la NSA !?
et Cryptomonnaies : Prospection, enjeux, questionnements et perspectives]

[Sur la mort et la résurrection de la France, voir aussi :
France, relève-toi !]

[Sur LHK et les nanorobots :
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]

[Sur le magicien noir Macron :
La Maladie du Magicien Macron
(deux vidéos ont été censurées depuis)]




Un mondialisme d’idées — Le « Pacte pour l’avenir » des Nations unies

[Source : off-guardian.org]

Par Kit Knightly

Le Sommet de l’avenir des Nations unies est terminé. Les « grands et bons » du leadership mondial se sont réunis pendant quatre jours à New York pour ce que leur site web a appelé :

« une occasion unique de réimaginer le système multilatéral et d’engager l’Humanité sur une nouvelle voie »

… ce qui semble tout à fait charmant et pas du tout effrayant et arrogant.

L’événement de quatre jours était divisé en deux « journées d’action » et deux jours de « sommet ».

Dans les deux cas, il s’agit de noms différents pour désigner des personnes en costume assises autour de grandes tables et utilisant un jargon bureaucratique tout en faisant des grimaces de personnes importantes et sérieuses.

Le résultat est l’adoption d’un document qu’ils appellent le « Pacte pour l’avenir » — 81 pages d’un verbiage suffisant, tellement bourré de langage politique vide de sens qu’il en devient presque inintelligible (ce que James Corbett appelle le « Globalese »).

[Voir L’ONU adopte le Pacte pour l’avenir pour la version française du document.]

Voici un paragraphe choisi au hasard :

« Renforcer la coopération avec les parties prenantes, y compris la société civile, les universités, la communauté scientifique et technologique et le secteur privé, et encourager les partenariats intergénérationnels, en promouvant une approche globale de la société, afin de partager les meilleures pratiques et de développer des idées innovantes, à long terme et tournées vers l’avenir, afin de préserver les besoins et les intérêts des générations futures. »

… tout est comme ça. Et j’ai tout lu. 81 pages.

Il n’y a pas de quoi.

En termes de contenu réel, il n’y a pas de nouvelles idées ici. Nous avons déjà vu cette liste de prétendus « problèmes » dressée par les mondialistes.

Changement climatique, conflits, insécurité alimentaire, pauvreté, désinformation, discours de haine. Les « problèmes » habituels qui, collectivement, forment ce que le document appelle les « chocs mondiaux complexes ».

Ces « chocs » — nous dit le document — peuvent être traités par une série de « solutions » qui, elles aussi, ne sont pas surprenantes :
« le respect du droit international »,
« coopération élargie »,
« un rôle accru pour les Nations unies » et le mot à la mode post-covidique de prédilection :
« interopérabilité ».

Tout cela peut être défini de manière générale comme notre vieil ami le « gouvernement mondial ».

Comme on peut s’y attendre, il y est beaucoup question d’argent et de finances (les transferts massifs d’argent public vers le privé sont le moyen de rallier les entreprises et les fonds spéculatifs à votre cause autoritaire, après tout). Par exemple, l’action 9(28)(f) promet :

« … un nouvel objectif collectif quantifié à partir d’un plancher de 100 milliards de dollars américains par an, en tenant compte des besoins et des priorités des pays en développement [pour lutter contre le changement climatique] ; »

100 milliards de dollars par an. Avec cette somme, on peut acheter beaucoup de « Science »TM.

Le langage le plus ouvertement autoritaire est réservé au contrôle de l’Internet (c’est presque toujours le cas), et les objectifs 3 et 4 de l’« Annexe du Pacte mondial pour le numérique » sont deux des rares à ne nécessiter que peu ou pas de traduction du tout, en s’engageant à :

« Favoriser un espace numérique inclusif, ouvert, sûr et sécurisé qui respecte, protège et promeut les droits de l’homme [et] promouvoir des approches responsables, équitables et interopérables en matière de gouvernance des données. »

L’annexe poursuit en soulignant l’importance de l’« intégrité de l’information » [accentuation ajoutée] :

« 33. L’accès à des informations et à des connaissances pertinentes, fiables et exactes est essentiel pour un espace numérique inclusif, ouvert, sûr et sécurisé. La technologie peut faciliter la manipulation et l’interférence avec l’information d’une manière préjudiciable aux sociétés et aux individus, et avoir un impact négatif sur la jouissance des droits de l’homme et des libertés fondamentales ainsi que sur la réalisation des objectifs de développement durable. »

« 34. Nous travaillerons ensemble pour promouvoir l’intégrité de l’information, la tolérance et le respect dans l’espace numérique, ainsi que pour protéger l’intégrité des processus démocratiques. Nous renforcerons la coopération internationale pour relever le défi de la désinformation et de l’incitation à la haine. »

Elle demande aux entreprises de technologie numérique de transmettre des informations privées aux chercheurs du gouvernement afin qu’ils puissent « lutter contre la désinformation » :

« Nous demandons instamment aux entreprises de technologie numérique et aux plateformes de médias sociaux d’améliorer la transparence et la responsabilité de leurs systèmes [et] de permettre aux chercheurs d’accéder aux données […] afin de constituer une base de données sur la manière de lutter contre la désinformation et les discours haineux, qui puisse informer les politiques, les normes et les meilleures pratiques des gouvernements et de l’industrie […]. »

Cela signifie censure et surveillance. Au cas où ce ne serait pas clair.

Et ça ?

« Nous nous engageons, d’ici à 2030, à concevoir et déployer des programmes d’enseignement de la maîtrise des médias numériques et de l’information pour faire en sorte que tous les utilisateurs aient les compétences et les connaissances nécessaires pour interagir de manière sûre et critique avec les contenus et avec les fournisseurs d’informations et pour renforcer la résilience face aux effets néfastes de la désinformation et de la mésinformation. »

Il s’agit d’un lavage de cerveau.

C’est très prévisible et très désagréable, mais comme je l’ai dit, rien de tout cela n’est nouveau.

Les nouvelles idées ne sont pas le rôle des sommets et des pactes, leur rôle est de renforcer les anciennes idées. Les hypothèses codées en dur sur lesquelles la classe politique fonctionne.

Former un consensus.

Et c’est précisément ce qu’a fait le Pacte de l’avenir — le pacte lui-même a été adopté sans vote. Pourquoi a-t-il été adopté sans vote ? Parce qu’il y a deux ans, la résolution A/RES/76/307 des Nations unies a convenu à l’avance :

« que le sommet adoptera un document final concis et orienté vers l’action intitulé “Un pacte pour l’avenir”, convenu à l’avance par consensus dans le cadre de négociations intergouvernementales. »

Les objections de dernière minute de la Russie, soutenue par le Soudan, la Syrie, l’Iran, la Biélorussie et le Nicaragua, sont donc tout à fait inutiles, si ce n’est qu’elles sont tout à fait performatives.

Néanmoins, elles méritent d’être examinées.

Dans sa déclaration à l’ONU le 22 septembre, le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergey Vershinin, a affirmé :

« Dès le départ, ceux qui ont coordonné les travaux sur le projet n’y ont inclus que ce qui leur était dicté, principalement par les pays occidentaux. Les points de discorde se sont accumulés et n’ont jamais été résolus. Aucune de nos demandes de s’asseoir à la table des négociations pour en discuter n’a été satisfaite. Ce n’est pas ce que l’on considère et appelle le multilatéralisme, dont beaucoup aiment à parler. »

Dans le style éloquent qui le caractérise, Sergueï Lavrov a fait la remarque suivante :

« L’avenir de nos peuples ne peut être inventé dans une éprouvette avec la participation du secrétariat de l’ONU et des lobbyistes occidentaux. Il est important de prendre une décision sur cette question dans le cadre de négociations et de parvenir à un équilibre des intérêts. »

Toute forme de dissension sur la question du multilatéralisme — en particulier en ce qui concerne le changement climatique et les médias sociaux — représente une rupture inhabituelle dans la tendance à l’harmonie mondiale totale sur ces questions.

S’agit-il d’une véritable rupture dans le soutien mondial à la « grande réinitialisation » ?

C’est possible, et nous pouvons tous l’espérer, mais n’exagérons pas. Nous savons que la Russie approuve pratiquement tous les aspects de la Grande Réinitialisation : la notion de changement climatique anthropique, l’Agenda 2030, la censure, les CBDC, l’identité numérique et… en fait, tout ce que l’on peut appeler l’agenda mondialiste.

Les objections qu’ils ont formulées ici ne semblent pas représenter un changement à cet égard. Ils ne semblent pas s’opposer à l’une ou l’autre de ces politiques spécifiques. Ils soulèvent des questions de consultation et de souveraineté nationale, de procédure et d’influence, plutôt que de rejeter les mythes fondateurs du pacte.

Celles-ci sont valables, bien sûr. Ne les minimisons pas.

Mais s’agit-il d’un rejet des valeurs mondialistes ?

S’agit-il pour la Russie de dire non à la Grande Réinitialisation, ou de dire qu’elle veut la mettre en œuvre selon ses propres conditions ?

Cette dernière représenterait-elle une quelconque victoire ou un quelconque avantage pour les citoyens russes ordinaires ?

S’agit-il de défendre un point de principe ? Ou s’agit-il d’un jeu de position dans l’ordre mondial multipolaire ? Dans ce contexte, le silence de la Chine mériterait d’être souligné, n’est-ce pas ?

Ou, plus cyniquement, faut-il lire ces objections avec le même scepticisme que les promesses extravagantes faites par des dirigeants de l’opposition qui savent qu’ils ne parviendront jamais au pouvoir et n’auront donc jamais à respecter leurs propres paroles ?

Après tout, les Russes savent que leurs objections ne pèsent pas lourd dans la balance puisqu’ils ont déjà signé l’accord avant même qu’il ne soit conclu, ce qui rend leurs objections purement symboliques à ce stade. Au mieux, il faut y voir un acte de naïveté insensée de la part de la Russie. Un autre acte autodestructeur dans une histoire récente d’actes autodestructeurs.

La Russie doit savoir qu’accepter de soutenir un document qui n’a pas encore été rédigé, quoi qu’il en dise, n’est peut-être pas la meilleure idée qui soit.

Mais, quelle que soit l’analyse que l’on fait de ces objections de dernière minute, elles ne sont que de la poussière dans le vent, car le pacte est désormais officiel.

Tous les pays du monde (même ceux qui ont soulevé des objections) conviennent désormais officiellement que le discours de haine et la désinformation sont le problème1.

Tous les pays du monde (même ceux qui ont soulevé des objections) approuvent la fin de la vie privée et le renforcement de la censure comme solution.

Tous les pays du monde (tous) acceptent de consacrer au moins 100 milliards de dollars par an à la poursuite des « objectifs de développement durable » dans les pays en développement.

Et même ceux qui s’y sont opposés n’étaient pas en désaccord avec ces politiques. En effet, ils ont approuvé ces politiques à de nombreuses reprises.

Pour être tout à fait clair :

Il n’y a pas une seule voix dans la salle pour défendre la réalité.

Nous n’avons peut-être pas encore de gouvernement mondial formel, mais nous avons déjà un mondialisme d’idées, même s’il y a des désaccords sur la mise en œuvre.

C’est ainsi que le gouvernement mondial est en train de se former et qu’il finira par naître : par le biais d’un consensus rampant de problèmes fictifs et de « solutions » inutiles et souvent insensées, discrètement approuvées par toutes les nations du monde.