Dans le monde inversé macronien, que signifie « Renaissance » ?

Source : https://twitter.com/MichelM1960/status/1767169205978497501



Les Jeux olympiques de Paris en 2024 auront-ils lieu ?

[Source : Brochu TV]

Le Capitaine Pierre Plas nous livre ses analyses et hypothèses concernant les Jeux Olympiques de Paris qui approchent à grands pas…

[Note de Joseph : un bémol en ce qui concerne l’évocation d’armes « biologiques » et celle d’Ebola. Voici ce qu’il en est probablement :
Les venins dans nos médicaments : treize FAITS irréfutables sur le venin de serpent, Big Pharma et les armes biologiques
Un article scientifique révèle que les signaux des téléphones portables peuvent activer la libération de charges utiles biologiques à partir de l’oxyde de graphène injecté dans le corps
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
La “théorie de la fuite du laboratoire” ou le piège du faux débat binaire
UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)
L’invention du « virus Ebola »
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Bill Gates est d’autant mieux renseigné qu’il crée artificiellement des semblants d’épidémies par ses campagnes de vaccination. Les responsables des effets biologiques sont des toxines injectées, via des insectes, des vaccins ou d’autres agents (par exemple des aérosols), mais pas des « virus pathogènes ». Ces armes biologiques ne produisent donc aucun mécanisme réellement contagieux, mais ne fonctionnent que par contact direct, les supposés « virus » baignant dans une mixture chimique empoisonnée. C’est celle-ci qui est injectée dans le corps les animaux cobaye.
Par ailleurs, il est connu depuis plusieurs décennies que les ondes électromagnétiques produisent divers effets biologiques ou des symptômes de maladies, notamment de type grippal, selon la forme et la fréquence du signal. Voir notamment Paquet d’ondes radio. Il est donc très facile de simuler de nos jours une pandémie en utilisant les signaux passant par les smarphones et les antennes relais.]




Les Français demandent l’union contre Macron




La VRAIE révolution sexuelle est la perte de la sexualité

Qui vous est apportée par les antidépresseurs

[Source : jonrappoport.substack.com]

Par JON RAPPOPORT — 27 FÉVR. 2024

Je viens de lire un article étonnant de Freya India. Il décrit les effets dévastateurs des antidépresseurs ISRS sur les jeunes :

Les ISRS (en anglais Selective Serotonin Re-Uptake Inhibitors—inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) sont une classe courante d’antidépresseurs utilisés pour traiter la dépression, l’anxiété et d’autres problèmes de santé mentale. Les ISRS les plus courants sont la fluoxétine (Prozac), l’escitalopram (Lexapro) et la sertraline (Zoloft). Il est bien établi que ces médicaments ont des effets secondaires sur la sexualité. En fait, on estime qu’entre 40 et 65 % des personnes qui prennent un ISRS souffrent d’une forme ou d’une autre de dysfonctionnement sexuel. Ce que peu de gens savent, cependant, c’est que ces effets secondaires peuvent persister même après l’arrêt des médicaments, une condition appelée dysfonction sexuelle post ISRS (PSSD pour post serotonine sexual dysfonction).

Il ne s’agit pas seulement d’une baisse de la libido. Il peut s’agir d’une perte totale de libido, d’un engourdissement des organes génitaux, de troubles de l’érection, d’une incapacité à atteindre l’orgasme et d’une absence totale d’attirance sexuelle. L’émoussement émotionnel est également fréquent, les personnes atteintes décrivant un engourdissement des émotions positives, l’absence de sentiments romantiques et des difficultés à nouer des liens avec les autres…

Au Royaume-Uni, un adolescent sur trois âgé de 12 à 18 ans s’est vu prescrire des antidépresseurs. Rien qu’en 2022, le nombre d’enfants âgés de 13 à 19 ans prenant des antidépresseurs a augmenté de 6 000 pour atteindre 173 000…

Et de plus en plus souvent avant la puberté ! Au Royaume-Uni, les prescriptions d’antidépresseurs pour les enfants âgés de 5 à 12 ans ont augmenté de plus de 40 % entre 2015 et 2021. À cinq ans ! Avant même qu’ils n’aient eu la possibilité de se développer normalement ! Les forums en ligne regorgent déjà de personnes qui partagent leurs expériences de la puberté sous ISRS et qui, à l’âge adulte, doivent faire face à des dysfonctionnements sexuels. Ils racontent qu’ils ont commencé à prendre du Zoloft à l’âge de 11 ans et qu’ils n’ont jamais développé de sensations sexuelles normales. On leur a prescrit du Prozac à 14 ans et ils ne savent pas ce que c’est que d’avoir une libido. Des personnes qui ont pris du Lexapro pendant moins d’un mois et qui, six ans plus tard, souffrent toujours d’un engourdissement des organes génitaux.

Perte des sensations sexuelles, du désir et de l’intérêt.

Et pour couronner le tout, des tonnes d’assurances de la part de la foule Woke selon lesquelles l’absence de sexualité est tout à fait acceptable. C’est une identité de genre.

Par opposition à une CATASTROPHE CHIMIQUE.

Je suis allée sur Google et j’ai tapé « SSRIs loss of sexual feeling » (perte des sensations sexuelles). Voici les entrées qui ont surgi :

NIH (pour National Health Institute — Institut National de la Santé, plus grand organisme de santé publique dans le monde) : « Dysfonctionnement sexuel avec les SSRI ».

Harvard Health (département dédié à la santé de l’université de Harvard) : « Certaines personnes prenant des SSRI sont incapables d’avoir un orgasme. Ces symptômes tendent à devenir plus fréquents avec l’âge… »

Mayo Clinic (fédération hospitalo-universitaire et de recherche américaine, de réputation mondiale) : « Les effets sur la fonction sexuelle peuvent inclure une modification du désir sexuel ; des problèmes d’érection ; des problèmes d’orgasme ; des problèmes d’excitation, de confort et de satisfaction. »

New York Times : « Les médecins et les patients savent depuis longtemps que les antidépresseurs peuvent provoquer des troubles sexuels. Absence de libido. Des orgasmes sans plaisir. Des organes génitaux engourdis… »

Il ne s’agit donc pas d’un secret.

Mais combien de médecins qui s’apprêtent à prescrire des antidépresseurs à des enfants disent à leurs parents : « Ce médicament peut avoir de graves effets secondaires sur le plan sexuel » ? (NdT : combien de médecins qui vaccinent disent aux parents les risques encourus ?)

C’est donc cela. Une ignorance généralisée, parce que les médecins se taisent sur ce qu’ils savent.

Et lorsque tout sentiment sexuel s’éteint, on dit à l’enfant : « Non-binaire… asexuel… genre… trans… tout va bien… pas de problème… ».

L’enfant se croit à la pointe d’une nouvelle société, d’une nouvelle culture, d’une nouvelle façon de voir le masculin et le féminin, d’une révolution.

Ce sont les médicaments. LES MÉDICAMENTS.

La castration chimique.

Que font les forces de l’ordre contre les laboratoires pharmaceutiques, les agences de régulation qui approuvent les médicaments, les médecins qui les prescrivent ?

RIEN.

Que font les conseils médicaux des États ?

RIEN.

Que fait la profession médicale ?

Elle ouvre la voie à la redéfinition des genres et soutient ces nouvelles définitions par des traitements toxiques et des mutilations chirurgicales des organes génitaux.




Trump, Nuland et Khrouchtcheva

[Source : euro-synergies.hautetfort.com]

Par Markku Siira

Source : https://markkusiira.com/2024/03/06/trump-nuland-ja-hrustsova/

Le « super mardi » des primaires présidentielles américaines a révélé que le pouvoir en place est clairement déterminé à donner une seconde chance à Trump en tant que figure de proue de l’« Occident global ». Il reste encore des mois de théâtre électoral, mais le résultat semble déjà assez clair, avec le déclin du soutien populaire à Biden.

Je me demande simplement pourquoi les euro-atlantistes sont si terrifiés par le retour de Trump. Pensent-ils vraiment que Trump est le signe avant-coureur d’un changement radical ? Qu’est-il advenu de l’expression trumpienne appelant à « drainer le marais » la dernière fois ?

Trump s’est plaint à plusieurs reprises que les autres pays membres de l’OTAN ne finançaient pas suffisamment l’alliance défensive atlantique. Il ne faut pas y voir la rhétorique d’un lobbyiste américain de l’industrie de l’armement visant à inciter les pays européens membres de l’OTAN à augmenter leurs dépenses de défense. Je ne pense pas que Trump brisera l’alliance militaire, il n’en a pas l’autorité.

Les capitalistes américains laisseront Trump revenir à la Maison-Blanche, parce qu’il soutiendra Israël avec encore plus d’enthousiasme que Biden. Trump a déjà dit qu’Israël devait « s’occuper de ses problèmes » à Gaza, il n’est donc pas l’homme qu’il faut pour empêcher le génocide palestinien et démanteler l’ethnocratie sioniste. Je ne serais pas surpris si cette fois Trump est prêt à la guerre contre l’Iran (et la Chine).

***

La sous-secrétaire d’État américaine aux affaires politiques, Victoria Nuland, l’une des faucons de guerre les plus virulents de la politique étrangère américaine et le principal architecte du conflit ukrainien, a annoncé sa démission.

La démission de Mme Nuland est considérée comme un signe que la guerre par procuration menée par les États-Unis en Ukraine touche à sa fin, ou du moins que la poursuite du projet sera déléguée aux Britanniques et aux eurocrates. Mission accomplie, puisque l’Europe a été contrainte de rompre ses relations avec la Russie et d’épuiser son moteur économique avec la politique de sanctions autodestructrice de l’Allemagne.

Nuland sera remplacée, au moins temporairement, par John Bass, qui a supervisé le retrait américain d’Afghanistan. Je me demande si un avion d’évacuation américain décollera encore de Kiev, avec à son bord le gouvernement fantoche dirigé par Zelensky.

***

Même Nina L. Khrouchtcheva, professeur russo-américaine de relations internationales et critique de Poutine, estime que la rhétorique guerrière actuelle est « totalement irresponsable ». Les dirigeants de l’OTAN tentent d’effrayer la population en l’avertissant que si Poutine remporte la victoire en Ukraine, il attaquera ensuite l’un des pays de l’alliance militaire.

« Cette escalade rhétorique pourrait rendre plus probable une escalade militaire. Poutine n’a jamais manifesté le désir d’entrer en guerre avec l’OTAN. En attisant les craintes qu’il le fasse, les dirigeants de l’OTAN risquent de créer une sorte de prophétie autoréalisatrice », déclare Mme Khrouchtcheva, qui qualifie ces propos de « provocateurs et stupides ».




Le journalisme citoyen est fatal pour les manipulateurs


Voir aussi :




France — Ouverture d’un supermarché participatif où tous les clients sont propriétaires

[Source : france3-regions.francetvinfo.fr]

Par Yves Quemener

Pour venir faire ses courses ici, au moins trois heures de bénévolat par mois sont nécessaires. Samedi 9 mars 2024, Mathilde est heureuse de participer à l’ouverture du supermarché participatif Graoucoop à Metz en Moselle. « On a commencé en distribution en groupement d’achat en 2020. On a fait une épicerie test rue du 20ᵉ corps à Metz en 2021 pour voir si le concept fonctionnait, si on arrivait à regrouper les personnes autour de ce concept et puis là, on relance, ce qui était l’objectif depuis le départ, le supermarché coopératif. Aujourd’hui effectivement, on est passé, de 600 références à à peu près 2000 et en termes de surface de vente, on passe de 50 à peu près à 300 m². Donc maintenant, on est un vrai supermarché », explique Mathilde Heckel, coordinatrice générale, à France 3 Lorraine.

Il faut au moins trois heures de bénévolat par mois pour venir faire ses courses.
Il faut au moins trois heures de bénévolat par mois pour venir faire ses courses. 
© Valentin Poivesan, France télévisions
Mathilde Heckel est la coordinatrice générale du supermarché participatif Graoucoop à Metz.
Mathilde Heckel est la coordinatrice générale du supermarché participatif Graoucoop à Metz.
© Valentin Poivesan, France télévisions

Désormais, c’est un supermarché en autogestion qui vient d’ouvrir dans le quartier du Sablon. Six fois plus grand.

Économie sociale

Ici, chacun peut ainsi devenir l’acteur de sa propre consommation. Crée à New-York au début des années 70, un supermarché coopératif est un centre de distribution participatif et solidaire. 

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=955836772733375

Ce mercredi 13 mars, l’équipe Graoucoop organise une réunion à 19h, pour accueillir de nouveaux participants et expliquer le fonctionnement de son supermarché solidaire.




Comment les réchaufistes anthropiques mentent sur les statistiques climatiques




Les femmes de l’Arkansas se mobilisent contre le wokisme




BITCOIN : L’arme secrète de la NSA !?

[Source : Ondes De Choc TV]

Dans cet entretien de Rachid Achachi avec Marc Gabriel Draghi, plusieurs questions éminemment importante sont abordées :

  • l’origine du Bitcoin ;
  • le Bitcoin est-il une monnaie ?
  • a-t-il été créé par la NSA ?
  • l’oligarchie mondialiste a-t-elle besoin du Bitcoin pour réaliser un projet de dictature numérique totale ?

[Voir aussi :
Les liens sinistres entre Jeffrey Epstein, le Bitcoin et les MNBC
Bitcoin : la cryptomonnaie consomme plus d’électricité que le Pakistan
Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?
Bitcoin et autres monnaies cryptées : instruments de libération ou de contrôle ?
et Argent et échanges dans le Manifeste pour un nouveau monde.]




Les 7 femmes québécoises les plus dangereuses




Être gouverné ?

Par Nicolas Bonnal

Proudhon :

« Être gouverné, c’est être gardé à vue, inspecté, espionné, dirigé, légiféré, réglementé, parqué, endoctriné, prêché, contrôlé, estimé, apprécié, censuré, commandé, par des êtres qui n’ont ni titre, ni la science, ni la vertu… Être gouverné, c’est être à chaque transaction, à chaque mouvement, noté, enregistré, recensé, tarifé, timbré, toisé, coté, cotisé, patenté, licencié, autorisé, admonesté, empêché, réformé, redressé, corrigé. C’est sous prétexte d’utilité publique et au nom de l’intérêt général être mis à contribution, exercé, rançonné, exploité, monopolisé, concussionné, pressuré, mystifié, volé ; puis, à la moindre réclamation, au premier mot de plainte, réprimé, amendé, vilipendé, vexé, traqué, houspillé, assommé, désarmé, garrotté, emprisonné, fusillé, mitraillé, jugé, condamné, déporté, sacrifié, vendu, trahi, et pour comble, joué, berné, outragé, déshonoré. Voilà le gouvernement, voilà sa justice, voilà sa morale ! »

Les froncés(([1] jeu de mots avec Français)) aiment le régime fort présidentiel, ils vont être servis.

Suite de la fameuse citation :

« Et qu’il y a parmi nous des démocrates qui prétendent que le gouvernement a du bon ; des socialistes qui soutiennent, au nom de la liberté, de l’égalité et de la fraternité, cette ignominie ; des prolétaires qui posent leur candidature à la présidence la République ! »

On a volé leur patrie aux Français, je veux dire qu’on la leur a rendue méconnaissable. Elle n’évoque même plus pour eux l’idée d’honneur ou de justice, car l’État ne connaît ni honneur ni justice. La France ne ressemble plus aux Français, elle n’a ni leurs vertus, ni leurs vices, ni aucun de ces défauts qui leur sont plus chers que leurs vices ou leurs vertus, elle ne parle même pas leur langage, elle ne dit rien, elle est l’idole muette d’un peuple bavard, L’État s’est substitué à la Patrie comme l’administration cléricale se serait substituée, depuis longtemps si Dieu n’y mettait ordre à la moribonde Chrétienté. Et les courtiers de ce troc, les légistes crasseux de la Renaissance, barbouillés de grec et de latin, ont mené l’opération avec toute la clairvoyance de la haine. Car ils haïssaient l’ancienne France, ils dédaignaient son idiome, ils méprisaient ses mœurs, ses arts, sa foi, ils l’eussent donnée tout entière pour la moindre des républiques transalpines — la France moderne a été faite par des gens qui tenaient l’ancienne en mépris (Bernanos).


[Note de Joseph :
Voir aussi :
La bureaucratie contre la liberté

Ou être libre ?

Manifeste pour un nouveau monde]




L’Italie se préoccupait des champs électromagnétiques dès les années 1960

[Source : maisonsaine.ca]

Par : André Fauteux

Il y a 35 ans, je découvrais les effets des champs électromagnétiques sur la santé grâce au docteur en architecture Andrew Michrowski, directeur de l’Association planétaire pour l’énergie propre (mieux connue sous son acronyme anglais PACE), basée à Ottawa. Dans cet entretien, il me raconte comment ses professeurs italiens l’ont initié au sujet des ondes nocives lorsque j’avais à peine un an ! Nous abordons aussi notamment son étude commandée par la SCHL sur Les champs électromagnétiques dans les maisons canadiennes : https://maisonsaine.ca/actualites/les-champs-electromagnetiques-dans-les-maisons-canadiennes. Il explique aussi comment réduire les surexpositions — notamment aux champs magnétiques — qui augmentent le risque de leucémie infantile.

Voici les limites d’exposition aux basses et hautes fréquences dans les chambres basées sur les effets biologiques néfastes causées par des expositions prolongées : Valeurs indicatives en baubiologie SBM-2015 pour les zones de repos

Son nouveau site : https://pacenetwork.org

[Voir aussi :
https://baubiologie.fr/
et
Le Luxembourg champion de l’habitat sain, y compris au chapitre électromagnétique]

André Fauteux

Journaliste de profession, André Fauteux fut reporter à The Gazette (1988) puis chez Habitabec (1989-1994) où il s’est spécialisé en maisons saines et écologiques. En 1994, il fondait La Maison du 21e siècle, premier magazine canadien en la matière, dont il est toujours l’éditeur et le rédacteur en chef. Il a également été collaborateur à La Presse et au magazine Guide Ressources pendant 15 ans, entre autres médias. Il est aussi un conseiller, formateur et conférencier recherché pour tout ce qui touche à l’habitat sain et durable.




Mise en garde contre un désastre dans le transport aérien dû aux vaccins Covid

[Source : echelledejacob via RI]

Par Sally Beck

Le capitaine Shane Murdock affirme que l’industrie aérienne est « au bord du désastre ». Pilote depuis plus de 40 ans et enquêteur qualifié sur les accidents aériens, il a présenté des données officielles qui étayent son affirmation d’une catastrophe mondiale imminente. Il ajoute :

« Lorsqu’elles sont corrélées, les données indiquent qu’il existe un énorme problème qui a et aura un impact significatif sur la sécurité aérienne dans le monde entier. Il y a suffisamment de preuves pour lancer des signaux d’alarme. »

Il y a eu de nombreuses tragédies cette année. Phil Thomas, un jeune diplômé de l’académie de formation au pilotage de Cadix, en Espagne, est tombé malade et est décédé subitement en avril. Il y a eu cinq incapacités de pilote en mars, dont un pilote de British Airways qui s’est effondré et est décédé au Caire, en Égypte, peu de temps avant son départ.

Les pilotes sont en excellente forme physique, alors pourquoi tant de morts subites ou d’effondrements ? Le Cpt Murdock conclut qu’ils souffrent de graves réactions indésirables aux vaccinations Covid-19, qui ont comme effets secondaires une myocardite (inflammation cardiaque), un brouillard cérébral, de l’insomnie, des caillots sanguins et une anaphylaxie.

Il pense que certains pilotes sont des bombes à retardement et affirme que beaucoup ne déclarent pas être en mauvaise santé. Il a déclaré :

« Ils ne signalent pas le brouillard cérébral, les battements anormaux du cœur et les étourdissements, parce qu’ils ne veulent pas perdre leur emploi. »

Les aviateurs subissent des contrôles de santé annuels complets, ou tous les six mois s’ils ont été malades. Les règles stipulent qu’ils ne peuvent réussir qu’avec moins de 1 pour cent de chances de souffrir d’une maladie qui pourrait les rendre incapables de piloter.

Comment passent-ils les examens médicaux s’ils souffrent de réactions indésirables graves ? L’année dernière, le régulateur mondial de l’aviation, la Federal Aviation Administration (FAA), a modifié les marqueurs de l’électrocardiogramme (ECG) qui mesurent « l’intervalle PR ». C’est le temps qu’il faut à une impulsion électrique pour se déplacer d’une partie du cœur à une autre et constitue un indicateur de la santé cardiaque. La nouvelle limite est 50 % plus longue que la limite précédente et signifie que si un pilote développe une maladie cardiaque, elle pourrait ne pas être détectée.

C’était le 15 novembre 2020, lorsque les compagnies aériennes australiennes ont rendu obligatoires les vaccins contre le Covid-19 pour 900 pilotes et tout le personnel navigant et au sol. Pfizer, AstraZeneca et Moderna étaient disponibles en Australie.

Aujourd’hui, c’est le troisième anniversaire de ce mandat de vaccination et le Cpt Murdock est l’un des 12 pilotes qui ont refusé l’inoculation. Il a bien sûr été licencié, accusé de faute professionnelle grave, une accusation généralement réservée aux comportements sexuels inappropriés ou aux comportements imprudents et dangereux.

M. Murdock, 60 ans, qui vit près de Sydney, en Australie, a volé en tant que capitaine de Virgin Australia pendant 20 ans et est titulaire d’une licence depuis 1984. Il est également titulaire d’une maîtrise en facteurs humains de l’aviation, la science qui sous-tend la façon dont les humains interagissent avec les machines. Il a déclaré :

« Quelque part sur le réseau international, vous découvrirez quotidiennement qu’un avion a été refoulé en raison d’une urgence sanitaire. Soit une urgence sanitaire pour les passagers, soit une urgence sanitaire pour l’équipage. »

Lorsque les pilotes lancent un appel radio au contrôle de la circulation aérienne, cet appel est surnommé « squawk ». Ils utilisent le code 7700 pour tous les appels de secours réservés aux incidents graves comme l’incapacité du pilote ou un incendie non maîtrisé à bord. Peu de scénarios justifient un Mayday ; les passagers et l’équipage doivent faire face à un véritable péril.

Il y a eu une augmentation sans précédent du nombre d’appels Mayday, suivis par un robot créé par le compte X @GCFlightAlerts. Il publie lorsqu’un pilote utilise le code 7700 n’importe où dans le monde.

Entre 2018 et 2019, la moyenne des appels de détresse représentait 29,1 % de tous les appels de détresse. En 2022, les appels de secours ont augmenté de 272 %. Au cours des trois premiers mois de 2023, l’augmentation était de 386 %. Le graphique montre qu’il y a eu une forte augmentation instantanée lorsque les vaccins ont été obligatoires pour les pilotes.

L’âge moyen du décès en Australie pendant la pandémie était de 85,3 ans. Les chiffres ne justifiaient pas d’imposer la vaccination aux pilotes en bonne santé et en bonne forme physique et de mettre en œuvre une politique sans vaccin, sans emploi. Cela a même violé leurs propres directives : selon les règles de la FAA, aucun pilote n’est autorisé à prendre un quelconque type de médicament à moins qu’il n’ait été approuvé et utilisé dans la population générale pendant 12 mois. Il est interdit aux pilotes de participer aux essais de médicaments et tous les vaccins contre le Covid-19 ont été autorisés sous autorisation d’utilisation d’urgence. La phase finale du procès se termine cette année.

Le Cpt Murdock a également examiné le nombre de licences pour équipage multiple délivrées par le régulateur australien, la Civil Aviation Safety Authority (CASA). Ils ont le pouvoir d’imposer des restrictions sur les licences de pilote de ligne (APTL). Une licence multi-équipage restreint les pilotes à opérer avec plusieurs membres d’équipage et est délivrée lorsque leur état médical montre une possibilité qu’ils puissent devenir frappés d’incapacité pendant le vol. CASA surveille et administre les certifications médicales et les licences de tous les pilotes australiens. Les données sur la liberté d’information montrent qu’il y a eu une augmentation sans précédent de 126 % des limitations.

On pourrait penser que cela entraînerait un examen majeur de la part de la CASA, mais ils ne feront rien tant que l’organisme australien de surveillance des médicaments, la Therapeutic Goods Administration (TGA), continue d’approuver la vaccination contre le Covid-19 pour tous. Il s’agit d’une porte tournante qui évite les responsabilités, ce qui est familier à ceux d’entre nous qui enquêtent sur les questions liées aux vaccins.

Le Cpt Murdock pense que l’inaction ne peut avoir qu’un seul résultat, et gardez à l’esprit que nous avons vu de nombreux avions effectuer des atterrissages d’urgence en raison de l’incapacité des pilotes. Il est sans équivoque et a déclaré :

« Des catastrophes se produiront et les équipages et les voyageurs mourront inutilement. »

Source


Vaccins Covid et malaises en vol




Qui dirige les pays occidentaux ? Faut-il désespérer de la politique ?

[Source : altersexualite.com via Profession Gendarme]

Par Lionel Labosse

Voici une brève séance de « Former l’esprit critique » que j’ai proposée à mes étudiants et qui les a intéressés. Je rappelle que je m’inscris dans le cadre des ressources de l’Éducation nationale que l’on trouve sur cette page (ce qui n’empêche pas qu’on peut se faire dénoncer, mais j’ai la chance d’avoir un public de classes populaires, qui globalement ont un niveau de bons sens dix fois supérieur à la plupart de mes collègues et voisins parisiens).
Lors de ces séances que je propose en apéritif à mes cours, échauffement des neurones, j’aborde avec réticence la politique, mais comme nous sommes en année électorale et que certains vont voter pour la première fois, j’essaie de les motiver. Voici un ensemble de courtes séquences vidéos dont je leur ai proposé de faire la synthèse en quelques phrases, et j’ai donc été étonné pour une fois que plusieurs aient donné leur opinion alors que d’habitude ils comptent les mouches au plafond. Je vous propose le même exercice. Je vous proposerai ma synthèse en fin d’article, mais faites la vôtre avant de regarder la mienne. Si la vôtre vous semble meilleure, n’hésitez pas à me l’envoyer, je reverrai ma copie. Attention, « synthèse » cela veut dire « concis », donc pas de dissertation, juste un condensé frappant des idées !

  1. Ce qui a valu des soucis à Jean-Claude Bourret… 1994 :



Jean-Claude Bourret est un ancien présentateur du JT, qui a connu une grande notoriété. Il vient de publier ses mémoires, et il est toujours complotiste.

  1. Liz Truss : « Le gouverneur de la Banque d’Angleterre a plus de pouvoir que le Premier ministre ». Liz Truss a été un éphémère 1er ministre du Royaume-Uni, entre Boris Johnson et Rishi Sunak. Elle s’exprime ici le 22 février 2024 au micro de Steve Bannon, à l’occasion d’un meeting de Donald Trump, d’où l’allusion au slogan de Trump, « MAGA » (Make America Great Again).
    « Ce que j’ai découvert, c’est que je ne tenais pas les leviers », a révélé l’ex-Premier ministre à Steve Bannon. « Ce que j’ai découvert en arrivant au 10 Downing Street, c’est que je pensais que si j’arrivais au sommet, je serais en mesure de mettre en œuvre ma politique. Les leviers étaient détenus par la Banque d’Angleterre », a constaté la candide Liz, débarquée après seulement 45 jours au « pouvoir ». Elle avait fait l’objet d’un pari sarcastique basée sur un calembour sur son nom, un combat contre une laitue (« lettuce » en anglais).



  1. En 2016, Alain Minc (vieille crapule invitée 500 fois par an sur les plateaux télé pour ses livres que personne ne lit) nous parlait déjà d’Emmanuel Macron et de son « métier de pute » au service de David de Rothschild. Extrait d’une émission d’Envoyé Spécial.

  1. Extrait de L’incroyable saga des Rothschild : le pouvoir d’un nom, rare émission consacrée à David de Rothschild (7’30), qui date de 2020, mais a été récemment mise en ligne sur YouTube. Écouter une minute à partir de 7’30.

  1. Vidéo sur la victoire de George Gallaway, candidat indépendant (qui n’est affilié ni au parti conservateur, ni au parti travailliste), élu de façon inattendue lors d’une élection législative partielle à Rochdale (banlieue de Manchester) le 29 février 2024. Il répond à un journaliste typique des médias du système le lendemain de son élection. Si vous faites une recherche sur l’élection de ce député vous tomberez sur une avalanche de réactions indignées de Rishi Sunak et toute la clique de vendus qui dirigent le Royaume-Uni.

« Vous parlez du Premier ministre comme s’il était Moïse » : à peine élu, le député George Galloway — critique d’Israël et de l’OTAN — fait déjà trembler Londres. « Ne me parlez pas de Rishi Sunak comme s’il était descendu de la montagne avec des tablettes de pierre », a lancé le nouveau député de Rochdale, pris à partie par le Premier ministre dans la foulée de son élection. « Je viens d’être élu avec une majorité écrasante. Pourquoi est-ce difficile pour vous à comprendre ? »

Voici la synthèse que je vous propose :
« On sait depuis fort longtemps, grâce à quelques esprits éclairés de complotistes courageux comme Jean-Claude Bourret, que notre démocratie est une illusion, et que c’est en réalité banque & finance qui dirigent les gouvernements occidentaux. Liz Truss l’a confirmé récemment en tirant les conclusions de son bref passage au 10 Downing Street. En France, Alain Minc, le faiseur de rois, a déclaré, en résumé, que Macron est la “pute” de David de Rothschild. Or ce dernier est le plus puissant banquier de la City de Londres, et en même temps règne sur la banque à Paris, et Macron est sa marionnette. Donc, à Londres comme à Paris, ce ne sont pas les politiques, mais c’est la finance qui dirige. Faut-il alors désespérer et ne plus voter ? Non, car grâce à un début de prise de conscience des peuples consécutive au “risque de génocide” en cours à Gaza, un candidat hors-système (enfin apparemment, car cela reste un politique et il faudrait mieux connaître ses antécédents pour être sûr) peut créer la surprise et déboussoler complètement un journaliste lui aussi pute du système.
Le covid, la guerre en Ukraine et maintenant la tentative de génocide à Gaza, ont réveillé de nombreux esprits partout dans le monde, et les putes du système partout en Occident s’agitent comme des canards sans tête, mais il se peut qu’ils soient en train de perdre la partie, car comme dit un vieux proverbe chinois : “complotiste un jour, complotiste toujours !” ».

Voir mon article « Londres 2024 : George Orwell l’avait pensé, le Brexit l’a fait ».

[Voir aussi :
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
Rothschild : les maîtres de la finance mondiale
Quelles sont les structures de pouvoir qui gouvernent le monde ?
« …des banquiers et des industriels qui, réduisent le monde entier à l’esclavage. » – Louis McFadden
La face cachée du pouvoir : « Ils sont intouchables ! »
Les projets des Maîtres du Monde
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Le monde dans le filet de la franc-maçonnerie]




L’euthanasie et les jeunes

[Source : Électrosensibilité Québec]




La veuve du feu journaliste Jean Pierre Pernaut affirme qu’il n’est pas mort d’un cancer, mais à cause du vax covid

Jean-Pierre Pernaut avec Nathalie Marquay, son épouse depuis 2007.
Photo par Georges Biard, CC BY-SA 3.0,
https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=10095278



400 antennes 4G et 5G à Lyon

[Source : Ciel Voilé]

[Voir aussi :
Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?
et le dossier 5G et ondes pulsées]




À Wuhan, ils ont utilisé de la 5G à 60 GHz, la fréquence d’absorption de l’Oxygène.
Voir Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
et la vidéo ci-dessous :




Le piège de l’affrontement BRICS-OTAN : un leurre…

[Source : MédiainfocitéTV2]

Par Isabelle

  • – Mes observations concernant l’état psychologique des gens et des enjeux hautement émotifs auxquels nous faisons face. Le déni est un puissant mécanisme de survie ou l’instrument redoutable des opportunistes…
  • – Les BRICS et le déclin PROGRAMMÉ de l’Occident ;
  • – Des révélations-chocs de Evelyn de Rothschild, de George Soros, de Henry Kissinger et Zbigniew Brzeziński ;
  • – Les sommets mondiaux (du WEF et de Poutine) nous annoncent le nouvel ordre mondial multipolaire depuis longtemps !
  • – Les fondations du nouvel ordre mondial multipolaire : l’Agenda 2030, les objectifs de développement durable, la paix, la sécurité et la prospérité ;
  • – La Russie et les BRICS sont totalement alignés à la mise en place d’une dystopie planétaire ;
  • – Des nouvelles récentes et étonnantes de Cyber Polygon, une simulation d’une cyberattaque mondiale…
  • – Les ambitions obscures et mystiques du « nouvel ordre des âges ([[1] NDLR, plus exactement des “siècles”]) » (novus ordo seclorum) ;
  • – Le nouvel ordre mondial après ou à la place de la guerre ?
  • – Le Tikkun olam : réparer le monde après le chaos…
  • – Espérer le meilleur, mais se préparer au pire.

[Voir aussi :
articles liés au temple ou à Jérusalem ;
articles relatifs aux BRICS ;
sur l’agenda 2030]





JO de 2024 à Paris: l’an I de la surveillance algorithmique en France

[Source : epochtimes.fr]

Par Ludovic Genin

Cent ans après les derniers Jeux olympiques d’été organisés en France, ceux de Paris en 2024 ont, en effet, changé de siècle. Pour relever le défi sécuritaire, des caméras connectées à l’intelligence artificielle vont scanner les foules à la recherche de comportements anormaux.

Une caméra de vidéosurveillance depuis le toit de la Tour Montparnasse à Paris, (MARTIN BUREAU/AFP via Getty Images)
Une caméra de vidéosurveillance depuis le toit de la Tour Montparnasse à Paris,
(MARTIN BUREAU/AFP via Getty Images)

Le but, faciliter le contrôle des lieux publics par les forces de l’ordre ; le risque, une atteinte aux libertés individuelles.

Tout le monde a encore en tête le système de crédit social chinois, où une surveillance algorithmique généralisée scanne la population 24 h sur 24 pour leur attribuer une « note sociale » leur permettant (ou pas) de se déplacer, de rentrer dans des épiceries, des librairies, à l’hôpital, etc. en d’autres termes, la dictature numérique d’un régime autoritaire.

Mais, s’il faut continuer à être sur ses gardes, la France n’en est pas encore là et la vidéosurveillance pourrait aider contre la petite délinquance ou le terrorisme lors de grands événements sportifs comme les JO, si les images, bien évidement, ne sont pas détruites comme c’était le cas lors de la finale de la Ligue des champions en mai 2022.

Un outil autorisé et encadré par la loi

L’expérimentation des caméras de vidéosurveillance algorithmique a été votée et autorisée dans la loi olympique du 19 mai 2023. Les premiers tests n’ont été effectués que récemment lors des concerts du groupe Depeche Mode début mars à l’Accor Arena de Bercy.

L’article 10 de la loi olympique prévoit la possibilité de coupler les images issues des caméras de vidéosurveillance de la Préfecture de police à des algorithmes permettant de détecter automatiquement des « événements anormaux ».

Ces caméras, suppléées par l’intelligence artificielle (IA), sont autorisées à détecter huit types de situations suspectes : le non-respect du sens de circulation, le franchissement d’une zone interdite, la présence ou l’utilisation d’une arme, un départ de feu, un mouvement de foule, une personne au sol, une densité trop importante ou un colis abandonné.

La loi interdit cependant la reconnaissance faciale et le recoupement avec des fichiers judiciaires ou civils. L’IA derrière les caméras ne pourra pas, pour le moment, rechercher un individu à partir d’une banque d’images.

Un usage expérimental jusqu’en 2025

Quatre entreprises se sont partagé le budget de 8 millions d’euros alloué par le ministère de l’Intérieur pour la vidéosurveillance algorithmique des Jeux olympiques : Wintics, Videtics, Orange Business et Chapsvision.

Pour bien comprendre, ces entreprises transforment les images prises sur les vidéos en données statistiques grâce à une intelligence artificielle et l’IA pourra envoyer des alertes en temps réel aux autorités. Au ministère de l’Intérieur, on parle d’une aide numérique à la lecture des infractions et que ce sera toujours un « être humain » qui vérifiera les signalements envoyés pour décider de déclencher une réponse opérationnelle, comme l’intervention des pompiers, l’interpellation d’un suspect, l’appel de la brigade antiterroriste, etc.

Les machines, elles, n’ont pas de capacité d’analyse, il faut les calibrer avec de très nombreuses images pour qu’elles puissent reproduire l’identification d’une situation, mais la tâche est loin d’être facile.

Pour la présence ou l’utilisation d’une arme, par exemple, comment définir pour une IA ce qu’est une arme ou l’utilisation d’une arme ? Quelle est la différence entre une arme et un téléphone portable ou un parapluie ? Comment différencier une attaque sur une personne d’une embrassade ou d’une simple bousculade ? Le nombre de critères à prendre en compte est presque infini si l’on considère toutes les situations imprévues qui peuvent apparaître dans un espace public, compte tenu de la diversité des comportements humains, selon les âges, les professions et les cultures.

Chaque alerte d’une IA devra d’abord faire l’objet d’une vérification par les opérateurs privés puis par des agents des forces de l’ordre pour valider l’intervention. Il faut aussi que le calibrage ne soit ni trop large ni trop restrictif pour éviter une surinterprétation ou une sous-interprétation d’un comportement critique par l’IA.

Pour le moment, la technologie n’est pas opérationnelle et reste en phase de test. Selon, le secrétaire général de la CNIL Louis Dutheillet de Lamothe sur France Inter : « Il faut regarder si c’est utile ou pas pour sécuriser un événement, et il faut définir le bon équilibre. »

Des précautions et des besoins à prendre en compte

Le texte de loi olympique « intègre toutes les mesures indispensables au bon déroulement des Jeux […], le tout en assurant le plein respect des droits et libertés de nos concitoyens », assurait la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra en avril 2023 pour défendre l’adoption de la loi. Un son de cloche identique du côté du Sénat qui dit avoir multiplié « les garde-fous, les contrôles et les garanties » selon la rapporteure LR de la loi, Agnès Canayer.

« C’est une nouvelle technologie. Il y a de la surveillance, avec l’utilisation de données, avec de l’intelligence artificielle », souligne Louis Dutheillet de Lamothe. « Le rôle de la CNIL est d’être là du début à la fin. On était là pour la réflexion sur le bon cadre de la loi (en avril 2023), pour poser les limites. »

De l’autre côté, il y a une demande des villes pour plus de vidéosurveillance devant la recrudescence de l’insécurité et notamment l’explosion des vols et des agressions. Interrogé par Mediapart, l’adjoint à la sécurité de Châteauroux — où se tiendront les épreuves de tir sportif et où les moyens de vidéosurveillance ont été renforcés en prévision des Jeux, assure que « chaque semaine, je reçois des citoyens pour parler de leur sécurité. Dans 99 % des cas, ce qu’ils me disent, c’est qu’ils veulent une caméra en bas de chez eux ou de leur commerce. »

L’expérimentation de la vidéosurveillance algorithmique doit normalement se terminer le 31 mars 2025. Elle risque cependant d’être prolongée au-delà si l’on en croit la ministre des Sports : « Si elle fait ses preuves et avec des garanties, elle pourra être utilisée pour de grands événements » précisait Amélie Oudéa-Castéra.

Il reviendra aux élus, aux associations de défense des libertés individuelles et à la CNIL de rester attentifs afin d’éviter toutes dérives d’une technologie qui pourrait être utilisée à des fins politiques, pour imposer plus de contrôle à la population.




Maria Zakharova, symbole de la vulgarité et de l’arrogance impériales

[Source : telegra.ph]

Par Iurie Rosca

Les Russes ne sont pas les seuls à souffrir de complexes d’infériorité et d’un esprit d’imitation de l’Occident. Car seule l’obsession du mimétisme du modèle américain a permis à une dame aussi médiocre et impudente, sans aucun sens de l’élégance diplomatique ni raffinement d’expression, de devenir la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères.

Maria Zakharova, la favorite du ministre Lavrov, a habitué le monde à ses apparitions grossières, anathématisant l’establishment occidental avec un zèle patriotique et faisant preuve d’un sarcasme maladroit et d’un didactisme plein d’apaisement impérial. Mais la cible de la critique acide de cette dame extrêmement volubile et querelleuse, d’une qualité intellectuelle douteuse, n’est pas seulement la classe politique occidentale, mais aussi des personnes de la hiérarchie de l’État de la République de Moldavie. Il est notoire que les fonctionnaires de Moscou considèrent notre pays comme un territoire récupérable qui s’est temporairement éloigné des maîtres de l’ancien empire soviétique. D’où leur obsession à admonester à tout bout de champ les politiciens non affiliés au Kremlin.

Je suis loin de faire partie des partisans du gouvernement actuel en Moldavie. Je déteste le fait qu’il soit composé exclusivement de mercenaires de la ploutocratie mondialiste basée en Occident, mais je ne suis pas plus favorable aux mercenaires affiliés au pouvoir de Moscou. Et pourtant, lorsque la distinguée porte-parole du MAE(([1] Ministère des Affaires Étrangères)) russe se permet de railler les dirigeants de la Moldavie, je ne peux m’empêcher de constater avec indignation qu’il s’agit d’une ingérence dans les affaires intérieures de notre État.

Il y a quelques jours, un clip vidéo circulait sur l’internet, pris par les médias de Chisinau, dans lequel Maria Zakharova, s’exprimant lors du Forum mondial de la jeunesse à Sotchi, faisait une nouvelle fois référence à la langue d’État de notre pays (https://www.ziarulnational.md/video-limba-moldoveneasca-exista-maria-zaharova-a-izbucnit-in-ras-cand-a-facut-aceasta-afirmatie/). Elle a réitéré l’aberration cominterniste sur l’existence d’une langue moldave sur un ton dur qui s’est étrangement transformé en un rire bruyant, qui se voulait un signe de sarcasme. L’air de supériorité et la façon de faire la leçon de la dame en question étaient censés nous donner une nouvelle leçon sur le summum de l’arrogance impériale par rapport à notre propre identité ethnique et culturelle.

Je ne doute pas que cette figure emblématique du Kremlin ne sache rien de l’origine cominternienne de l’appellation linguistique « langue moldave » et de l’ethnonyme « peuple moldave », qui ont servi de justification à l’annexion de la Bessarabie par l’URSS. Ni le fait que dans la République de Moldavie, depuis la chute du communisme, les matières suivantes sont enseignées à l’école : la langue roumaine, la littérature roumaine et l’histoire roumaine. C’est la preuve la plus évidente du processus de renaissance nationale qui a mis fin à la russification et à l’assimilation pratiquées dans les empires soviétique et russe.

En fait, la situation en Transnistrie est une preuve frappante et tragique du fait que le régime d’occupation soviétique pratiquait la dénationalisation en imposant des mensonges sur l’identité nationale et linguistique dans les territoires occupés. C’est précisément en raison de la présence militaire russe, qui maintient abusivement son contingent militaire dans cette région, qu’il est possible de perpétuer un régime séparatiste qui est un représentant direct de la puissance occupante. Et la domination étrangère dans cette partie de notre pays se manifeste directement par l’imposition de la « langue moldave » dans les écoles. En outre, le régime séparatiste pro-russe interdit l’utilisation de l’alphabet latin et maintient l’alphabet russe par la force des armes et la terreur, comme cela s’est produit dans tout le pays sous le régime soviétique.

Dans son bref discours sur la « question linguistique », Maria Zakharova a également comparé la discussion sur l’existence de la langue moldave à la théorie du genre, ce qui, nous devons le conclure, est aussi absurde que la négation du nom soviétique de la langue de mon pays. Je suis heureux que cette personne occupant une position élevée dans l’État russe rejette la théorie du genre, mais je regrette en même temps son ignorance en matière linguistique. Nous ne pensons pas que de telles pirouettes rhétoriques révèlent simplement un manque de capacités cognitives satisfaisantes et de tact diplomatique élémentaire. Il s’agit plutôt de ce que nous constatons depuis le titre de cet article, c’est-à-dire une arrogance impériale sans mesure qui traite tous les peuples de l’ancien empire comme des barbares et des sauvages qu’il faut élever aux normes civilisationnelles de l’occupant.

Cette rhétorique irrespectueuse n’affecte pas seulement les dirigeants de Chisinau, mais surtout les sensibilités de tout un peuple qui a souffert pendant des siècles de la domination étrangère. Ce sont les tics impériaux et l’esprit excessivement paternaliste, à la limite de la dictature, qui sont une caractéristique constante de la politique étrangère de la Russie postsoviétique à l’égard des périphéries de l’ex-URSS devenues des États indépendants, qui les font basculer dans le camp des ennemis géopolitiques de Moscou. Ainsi, la Russie et tous les pays ex-soviétiques qui se retrouvent dans les griffes de l’Occident collectif ont tout à y perdre.




Mort de Dieu ou de l’homme ?

[Source : arretsurinfo.ch]

Par Elias Zahlaoui

Behind the #Wall, 2013 Old Jerusalem Scene By Nabil Anani | Palestine …

Le grand romancier russe, Dostoïevski, a écrit un jour :

« Si Dieu meurt, tout est permis ».

Peu de temps après, le philosophe allemand, Nietzsche, déclarait :

« Dieu est bel et bien mort ! »

Peut-on nier que tous deux voyaient loin ? Aussi, faut-il être ignorant, et même aveugle, pour ne pas reconnaître, en toute objectivité, que les dynamiques et les réalisations déterminantes dans le monde contemporain, tant sur terre qu’en mer et dans les airs, se sont magistralement passées non seulement de Dieu, mais aussi de toute référence religieuse, éthique et, pour finir, humaine ! Que notre monde contemporain se trouve donc, en sa totalité, au bord d’un précipice, au point de menacer la survie même de notre splendide planète, n’étonne plus personne.

Je laisse à toutes sortes de spécialistes, en histoire, en pensée, en religion, en sciences, en économie, en politique, en informatique, en stratégie sur terre, en mer et dans les airs, le soin et le devoir d’expliquer et de justifier un monde si riche, devenu plus que fragile…

Pour ma part, je juge de mon devoir de prêtre arabe catholique de Syrie, de poser incessamment la question que j’ai choisie pour titre de cette approche.

Est-ce à dire qu’il faille tout simplement revenir à Dieu, pour sauver et l’espèce humaine et notre planète ?

Ce serait naïf de le penser. Mais il ne me semble pas du tout naïf, de se rappeler que la voix de Dieu s’est fait entendre, d’une façon ou d’une autre, sous tous les cieux, mais plus particulièrement pour les chrétiens, ainsi que pour nos frères juifs avant eux, et pour nos frères musulmans par la suite. Il n’est donc pas inutile de nous rappeler, en ces temps tragiques, l’une ou l’autre de ces manifestations, à partir de ces trois grandes religions.

Pour ce qui concerne les juifs, qu’il me suffise de rappeler un fait, un seul, mais hautement symbolique, relaté dans le chapitre 21, du Premier Livre des Rois.

C’est l’histoire de la vigne d’un paysan juif, dernier survivant de sa famille, du nom de Naboth. Le roi de Samarie, Achab, régnant vers la fin du 9e siècle av. J.-C., voulut s’approprier sa vigne, pour agrandir ses terres, déjà immenses. Naboth refusa de la lui céder. La reine Jézabel fait tuer Naboth, et engage le roi à s’offrir, en compagnie de son entourage, le luxe d’occuper le terrain. Sur ce, arrive, sur ordre de Yahvé, le Prophète Elie. Celui-ci lance à la face du roi Achab, en présence de tout son entourage, une prophétie terrible, lui annonçant sa mort ignoble et imminente, sur le terrain même de Naboth, ainsi que celle de sa femme Jézabel, au pied de leur palais.

Peu de temps après, cette double prophétie s’accomplit comme annoncée !

Quiconque médite l’histoire de la vigne de Naboth, à la lumière de l’histoire humaine, sous tous les cieux, il se rend à l’évidence qu’elle est devenue un symbole aux dimensions du monde, mais qui se concrétise depuis 75 ans en Palestine, et depuis 5 mois, d’une façon plus cruelle, à Gaza même ! Cependant, en dépit de l’universalisation de ce symbole, il nous faut reconnaître qu’un élément capital lui a presque toujours fait défaut : une voix prophétique, dénonçant les crimes qui se suivent en s’amplifiant en dimensions et horreurs, au détriment du monde arabe ! 2

Pour ce qui est des chrétiens, notre foi nous dit que c’est Dieu Lui-même qui s’est fait homme, par amour pour toute l’humanité, passée, présente et future. Il a choisi de vivre en Palestine de Syrie, pauvre au milieu des plus pauvres, mais riche d’un amour incommensurable, qu’Il voulait étendre à tout jamais, sur la terre entière. Il a aussi maintes fois déclaré, avec une clarté éblouissante, qu’Il s’identifiait à tout être humain, et plus particulièrement aux plus pauvres, aux plus démunis, aux laissés-pour-compte. Il a même poussé les déclarations de son identification totale avec cette catégorie de gens, jusqu’à en faire l’unique critère du jugement éternel qu’Il portera, lors du jugement dernier, sur chaque être humain !

En dépit de tout cela, Il a fini sur la Croix, mais en pardonnant à tous ses bourreaux, dont, bien sûr, les juifs !

Ici, je ne trouve pas inutile de rappeler certaines de ses recommandations, qui semblent avoir totalement disparu de l’horizon surtout des « Puissants » de ce monde, et de leurs nombreux acolytes en toute religion, dont, hélas, les si nombreux responsables des Églises d’Occident, le Vatican en tête !

Jésus a dit, entre autres :

– « Il n’y a pas de plus grand amour, que celui de donner sa vie pour ceux qu’on aime »

(Jean 15 : 13)

— « Le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir »

(Mat. 20 : 28)

– « Bienheureux les artisans de paix, car ils seront appelés enfants de Dieu »

(Mat. 5 : 9)

— « Nul ne peut servir deux maîtres : vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent »

(Mat. 6 : 24)

– « Tout ce que vous ferez à ces petits, au moindre de ces petits, c’est à Moi que vous le faites »

(Mat. 25 : 40)

Nous savons tous que la vie des premiers chrétiens n’a pas du tout été facile. Ils furent en Palestine même, puis au niveau de tout l’Empire romain, à commencer par Damas, soumis à une persécution continuelle et féroce, menée à la fois par les Pouvoirs romains et les Juifs.

Or seul, oui seul, le témoignage de leur foi héroïque a fini par vaincre l’invincible haine des païens, sans pour autant désarmer les juifs. L’Édit de Milan, proclamé en 313 par l’Empereur Constantin, leur reconnaissait enfin le droit de vivre en toute liberté, à l’instar des adeptes des autres religions…

Hélas, c’est de cette date fatidique (313), que commença la chute lente, mais continue. Jusqu’à ce jour, de toute l’Église du Christ Jésus, dans la troisième tentation que Jésus avait violemment rejetée au désert, face au démon ! (Mat. 4 : 8-11)

Un tel diagnostic peut paraître excessif. Qu’il me suffise, d’abord en prêtre catholique, d’inviter tout récalcitrant à lire un livre tout récent, publié en 1997, en trois langues à la fois, l’italien, l’anglais et le français, sur l’initiative du Pape Jean-Paul II, par son ami, le journaliste italien, Luigi Accattoli, sous le titre étonnant : « Quand le Pape demande pardon ». En effet, ce livre reproduit 94 déclarations officielles, faites par le Pape lui-même, un peu partout dans le monde, en des circonstances solennelles. Le Pape y demandait pardon à Dieu et aux hommes, pour, entre autres, les terribles méfaits de l’antisémitisme, de l’embourgeoisement galopant de la hiérarchie ecclésiastique, de l’esclavagisme, des entreprises coloniales appelées Croisades, de l’Inquisition, des génocides perpétrés dans le continent américain, après sa découverte, et plus tard en Australie et en Extrême-Orient, ainsi qu’en Afrique, de la traite des noirs, de l’autoritarisme de l’Église romaine vis-à-vis des pouvoirs politiques, ainsi que des mouvements de la

Réforme, des guerres de Religion, des schismes dans l’Église, tant en Orient qu’en Occident, ainsi que des multiples compromissions avec les dictatures, et des légitimations de toutes sortes d’injustices…

En somme, c’est tout le passé sombre du Catholicisme que le Pape Jean-Paul II a voulu au grand dam de certains cardinaux très haut placés, passer au crible des exigences de l’Évangile, dans un esprit de totale honnêteté intellectuelle et spirituelle.

En outre, en ma qualité de prêtre arabe catholique de Syrie, je trouve de mon devoir de relever le comportement plus que suspect de toute l’Église Catholique d’Occident, vis-à-vis des drames atroces qui ne cessent de ravager de fond en comble, tout le monde arabe surtout, depuis la fameuse déclaration Balfour, faite en (1917), concernant la création en Palestine, de ce qui a été appelé innocemment « le foyer national juif », avec l’ironique précision : « sans aucun préjudice aux habitants autochtones du pays » !…

Est-il donc permis d’ignorer les multiples catastrophes qu’a provoquées, depuis lors, la création de ce prétendu « foyer national juif », non seulement en Palestine même, mais bien au niveau du monde arabe en sa totalité ?

Pour plus d’objectivité, j’invite quiconque à lire l’un ou l’autre des livres d’histoires, écrits à ce sujet, par des écrivains juifs, voire israéliens. J’en cite :

  • — Dominique Vidal, en son livre « Le Péché originel d’Israël » (Paris 1997)
  • — Israël Shahak, en son livre « Le Racisme de l’État d’Israël » (1966)
  • — Gilad Atzmon, en son livre « La Parabole d’Esther » (2012)
  • — Ilan Halévy, en son livre « Sous Israël, la Palestine » (1978)
  • — Ilan Pappé, en son livre « La Propagande d’Israël » (2016)
  • — Israël Shamir, en son livre « Les fleurs de Galilée » (2004)
  • — Charles Enderlin, en son livre « Par le feu et par le sang » (2008)

Mais aussi, pour plus de crédibilité, je cite rapidement les dates des guerres successives : 1948, 1956, 1967, 1973…, la création entre-temps en Israël, par la France et l’Angleterre, du Centre Atomique Dimona, en (1955-1956), les multiples invasions du Liban, à partir surtout de (1982), jusqu’à la guerre au Sud-Liban (2006)… Peut-on aussi passer sous silence, la guerre civile au Liban (1973-1990), la guerre entre l’Irak et l’Iran (1980-1988), l’invasion « programmée » par les États-Unis, du Kuwait par l’Irak (1990), suivie de la guerre interminable menée par la Coalition internationale contre l’Irak (1991-2003…), la soi-disant révolution en Tunisie (fin 2010), puis en Égypte (début 2011), enfin en Lybie (2011), pour couronner le tout par le fameux « Printemps arabe » en Syrie, à la mi-mars 2011 ?

Or, au cours de tous ces enfers successifs, déchaînés contre le Monde arabe, par l’État Criminel par excellence, les États-Unis, pour les beaux yeux d’Israël, jamais, au grand jamais, aucun reproche n’a été fait par l’Église d’Occident, ni aux pays occidentaux responsables, ni à Israël !

Même la récente guerre, déclenchée à Gaza, le 7/10/2023, par la Résistance palestinienne, à laquelle a riposté Israël par un génocide, bel et bien programmé et continu jusqu’à ce jour du 26/2/2024, n’a pas réussi à arracher toute l’Église d’Occident, le Vatican en tête, à son silence de mort. Pourtant l’opinion publique en Occident, jusqu’ici plus qu’anesthésiée par une propagande maniée de main de maître, a rapidement réagi. Les gens déferlent sans relâche depuis des mois, dans les grandes villes, au niveau du monde, proclamant leur solidarité avec les Palestiniens… Même la Cour Internationale de Justice à Lahaye a fini par condamner Israël ! Mais le silence ahurissant de toute l’Église d’Occident se maintient, à l’encontre des exigences les plus évidentes de l’Évangile… et de la simple morale humaine ! 4

D’ailleurs même les réactions tardives du Pape François, face à ce qui se passe à Gaza, restent absolument incompréhensibles. Les évènements de Gaza datent du 7/10/2023. Or la première déclaration du Pape, touchant Gaza, remonte au 16/12/2023, à la suite de la mort de deux femmes chrétiennes, dans l’une des deux églises de Gaza…

Quant à sa seconde déclaration, il la fit début janvier 2024, rien que pour stigmatiser ce qu’il a appelé « le risque de recrudescence de l’antisémitisme » !

Hélas, Sainteté, laissez-moi vous rappeler que l’Antisémitisme a été une pure création de l’Église Post-Constantinienne, qui a fini, en fait, par envahir toute la société occidentale, durant des siècles, pour ne s’arrêter, hélas encore une fois, qu’avec Hitler ! Que tout cela ait laissé au cœur de tout l’Occident, Église et Société, un complexe de culpabilité vraiment morbide, qui ose en douter ? Et qu’il ait nourri chez les juifs en général — déjà « assurés » de leur supériorité sur tous les humains, par suite de leur prétendue « élection divine »… — une haine féroce contre les chrétiens, et par ricochet, contre le genre humain, semble être une évidence…

Faut-il pour autant que l’Église ferme pour de bon, et les yeux et la bouche, sur les crimes innombrables, commis en Palestine et dans le Monde arabe, par « Israël » depuis 75 ans ? Pourtant ces crimes dépassent toute horreur à Gaza. Ils ne sont rien moins qu’une négation radicale de tout ce qui est humain chez l’israélien, et dénient du coup, toute humanité au Palestinien. Est-ce ainsi que l’Église espère se faire pardonner cet autre crime séculaire, qui s’appelle l’Antisémitisme ?

Sainteté, n’est-il pas temps pour l’Église occidentale, de comprendre une fois pour toutes, qu’un crime ne peut aucunement se réparer par un crime pire ! Ne faut-il donc pas crier haut et fort, que si l’Église Post-Constantinienne avait tout simplement imité Jésus en Croix, en pardonnant aux Juifs de l’Empire romain, au lieu de faire édicter des lois anti-juives, dans l’espoir illusoire de les forcer à adopter le christianisme, ce maudit antisémitisme n’aurait jamais existé, et le cours de l’histoire humaine aurait été radicalement différent ?

Enfin, il me faut essayer d’entrevoir l’apport de l’Islam à la civilisation humaine, sous le regard de Dieu.

Face à l’islamophobie qui ne cesse de croître au niveau du monde, particulièrement en Occident, je trouve de mon devoir de prêtre catholique et arabe de Syrie, de rappeler deux vérités historiques sans lesquelles, toute approche risque d’être faussée. La première est récente, et comprend deux volets, la seconde remonte à l’origine de l’Islam, et l’a exceptionnellement accompagné tout au long de l’histoire jusqu’à ce jour.

Le premier de ces deux volets, remonte à la période qui a suivi la 2e guerre mondiale, au cours de laquelle des dizaines de milliers d’Arabes Nord-Africains ont émigré en Europe, surtout en France, dont un bon nombre avait servi dans l’armée française au cours de la guerre. Alléchés par toutes sortes de promesses et d’espoirs, ils ont fini par se faire embaucher dans les travaux routiers et de construction, que les Européens répugnaient à faire… Installés dans les banlieues des grandes villes de France et d’Europe, par suite des mesures discriminatoires prises par les différents gouvernements, la majorité d’entre eux et de leurs nombreuses descendances n’a pas eu la possibilité de s’intégrer pour de bon, dans les différentes sociétés européennes. Ils ont fini par constituer des agglomérations à part, quasi séparées de l’ensemble de la population. En somme, leurs réactions périodiques, massives et violentes, laissent toujours présager des jours sombres à l’avenir, pour quiconque cherche à les « utiliser », ou même à les exaspérer !

Le second volet est tout simplement « l’Islam Djihadiste », créé de toute pièce, au vu et au su du monde entier, par les États-Unis et leurs innombrables valets à travers le monde, dans le but « d’instaurer » dans les pays récalcitrants et opposés à leur Mondialisme féroce, « la Démocratie, la Liberté et les Droits de l’homme » !

Quant à la première vérité historique touchant l’Islam, elle est, comme la seconde, de l’ordre des faits, non de l’ordre de la foi.

Nul n’ignore que les conquêtes musulmanes furent les plus fulgurantes de l’histoire. Mais rares sont, me semble-t-il, ceux qui savent que les conquérants musulmans furent parmi les plus intelligents. Ils en donnèrent la preuve, lors de la conquête de Damas, en 635, et c’est par la suite, lors de la prise de Jérusalem en 639, de l’Égypte en 641, et surtout de Cordoue en Espagne, entre 711 et 1492, qu’ils en donnèrent toute la mesure.

Bref, ils surent respecter leurs engagements auprès des peuples conquis, quant aux habitations, travaux, administration civile, lieux de culte, en échange d’un tribut, qui s’avéra à Damas même, inférieur à celui que les chrétiens de cette ville payaient à leurs anciens maîtres, les chrétiens de Byzance. En outre, à Damas aussi, les musulmans, n’ayant pas de lieux de prière, s’entendirent avec les autorités religieuses pour s’acquitter de leurs prières dans la grandiose Basilique St Jean-Baptiste, qui occupait le cœur de la ville. En toutes ces conquêtes, les musulmans surent collaborer avec les administrations locales, au point de confier certains de leurs postes les plus importants, à des chrétiens ou à des juifs à la fois.

En somme, ce fut une période de collaboration et de convivialité, entre musulmans, chrétiens et juifs, propre aux sociétés musulmanes, telle que l’Occident n’en a jamais connue. Et pour qui a l’ombre d’un doute à ce sujet, je conseille la lecture des historiens juifs, et même israéliens. J’en cite surtout :

  • — Le diplomate israélien Aba Eban, en son livre « Mon Peuple », paru en France en 1975.
  • — Le rabbin juif français, Josy Eisenberg, en son livre « Une Histoire des Juifs », paru en France en 1970.
  • — L’historien juif américain, Abram Léon Zakhar, en son livre monumental « Histoire des Juifs », paru en France en 1973.

Toute cette politique de tolérance, pratiquée par les musulmans dans la plupart des pays conquis, au départ, semble avoir été appliquée aussi partout où l’Islam s’est répandu. Cela n’exclut sûrement pas les explosions de violences et d’injustices, dues, entre autres, à l’ivresse du Pouvoir, ainsi qu’aux humeurs personnelles de l’un ou l’autre des Califes, ou de leurs nombreux représentants… dans leurs immenses empires !

Reste ouverte cependant, la grande question de savoir où ces grands conquérants de l’Islam, ont puisé cet esprit de tolérance et de collaboration, pour avoir créé cette convivialité exceptionnelle, tout au cours de l’histoire, avec les chrétiens et les juifs !

Serait-ce cela le grand défi que notre monde attend, face à une guerre dévastatrice, planifiée par le sionisme international et ses agents secrets, et exécutée par ses valets féroces, dans le but de mettre un terme à l’Islam tolérant, maintenant qu’il a presque anéanti le Christianisme en Occident, tandis qu’il est en train — comme il croit — de le détruire dans tout l’Orient arabe ? C’est alors qu’il pourra proclamer la mort de Dieu, après avoir tué l’homme !

C’est bien le cas de dire : qui vivra verra !

Pr. Elias Zahlaoui

Damas, le 26/2/2024




« Vous devez comprendre qu’il [Macron] n’a rien à envoyer. L’armée française est une force très légère conçue pour l’Afrique du Nord »




Macron, « l’ennemi de la France »

[Source : Magazine Nexus]

L’armée peut-elle désobéir à l’ordre d’un chef d’État ? Qui veut mourir pour l’Ukraine ? Dans un entretien qu’il a accordé au magazine Nexus, le général 2s André Coustou revient sur les récentes déclarations d’Emmanuel Macron. Le 27 février dernier, en effet, devant les représentants des 27 pays de l’UE, le chef de l’État n’excluait pas l’envoi de troupes françaises sur le sol ukrainien pour tenter de contrer l’avancée de l’armée russe. Cette déclaration avait provoqué un tollé au sein de l’OTAN. Pour le général Coustou, cette question de l’envoi de troupes françaises pose la question de la légalité ou non d’une telle opération. C’est ce qu’il fait savoir dans une lettre ouverte publiée sur le site Place d’armes. Pour le général André Coustou, l’ennemi n’est pas Vladimir Poutine, mais Emmanuel Macron…




« Bientôt, il n’y aura plus que deux types de journalistes au Canada : les journalistes du gouvernement, et les journalistes interdits »




Asselineau avait averti les Français en 2017

sur la base de l’observation, de la logique et de sa connaissance des textes européens.




Les USA et l’OTAN risquent une guerre nucléaire en se préparant à attaquer la Russie

[Source : World Socialist Web Site]

Déclaration du comité de rédaction du WSWS

Face à la détérioration de la position militaire de l’Ukraine et aux avancées significatives des forces russes, les puissances de l’OTAN menacent d’une escalade massive de la guerre avec l’envoi direct de troupes de l’OTAN sur le territoire ukrainien et des frappes contre les infrastructures et les villes russes.

Sur cette photo fournie par le ministère sud-coréen de la Défense,
un missile Taurus vole lors d’un exercice au large de la côte ouest du pays en Corée du Sud,
le mercredi 13 septembre 2017.
[AP Photo/Ministère sud-coréen de la Défense]

Après un retrait d’Avdiivka, les forces ukrainiennes se replient à nouveau. Au milieu de pertes massives, l’armée ukrainienne ne peut pas recruter de remplaçants sur le front. « Zelensky est dans l’impasse sur la façon d’enrôler plus de troupes au fur et à mesure que les forces russes avancent », titrait dimanche le New York Times.

La semaine dernière, les membres des gouvernements de quatre membres de l’OTAN — la France, le Canada, les Pays-Bas et la Lituanie — ont déclaré qu’ils envisageaient d’envoyer des troupes de combat pour combattre la Russie en Ukraine. Puis, vendredi, les médias russes ont publié une discussion divulguée entre les chefs militaires allemands sur l’utilisation d’armes allemandes à longue portée pour frapper la Crimée. En même temps, le gouvernement britannique a avoué avoir envoyé un « petit nombre » de troupes en Ukraine.

Cette escalade irresponsable de la guerre procède sans aucune explication publique de ce que prévoit l’OTAN, encore moins de reconnaissance franche des conséquences potentiellement catastrophiques de l’envoi de forces en Ukraine et d’attaques contre la Russie.

Rejetant l’avertissement explicite lancé la semaine dernière par Poutine, qui a déclaré qu’une intervention directe de l’OTAN en Ukraine pourrait conduire à l’usage d’armes nucléaires, les dirigeants et les médias de l’OTAN se moquent du danger et affirment que Poutine fait du bluff.

[NDLR Pourtant, en Russie, contrairement aux USA, on ne joue pas au Poker, mais plutôt aux échecs.]

Rien ne justifie une telle complaisance. L’administration Biden et ses alliés européens sont engagés dans un jeu de roulette russe nucléaire incroyablement téméraire.

Oubliant apparemment qu’au début de la guerre, en février 2022, ils déclaraient que l’intervention directe de l’OTAN signifierait une troisième guerre mondiale, les dirigeants impérialistes disent à présent que la Russie ne ripostera pas, même face à une attaque directe. De plus, même s’il existe la possibilité d’une contre-attaque massive, ils déclarent que l’OTAN ne doit pas être dissuadée par ce danger.

Un argument avancé dans les médias et par les think tanks est que l’OTAN a commis une faute en exprimant son inquiétude quant à l’escalade de la guerre en Ukraine vers une guerre nucléaire avec la Russie.

« Se plier au chantage nucléaire de Poutine rend la guerre nucléaire plus probable », dit Peter Dickinson de l’Atlantic Council, un think tank américain. « L’Ukraine a souvent dénoncé le bluff de Poutine, exposant la vacuité des fanfaronnades nucléaires du dictateur russe. » Il a conclu, « Si l’Ukraine refuse de se laisser intimider par le chantage nucléaire de Poutine, on ne peut pas en dire autant de l’Occident… La peur occidentale d’une escalade est le grand obstacle. »

En Allemagne, le Frankfurter Allgemeine Zeitung écrit que la menace russe d’utiliser l’arme nucléaire « ne sera pas réalisée. Pas même si, comme cela arrive régulièrement, des missiles de croisière américains et britanniques attaquent des cibles militaires dans le territoire ukrainien annexé par la Russie, y compris la Crimée. » L’Institut Lowy, un think tank pro-OTAN australien, dit : « La question clé est de savoir si l’Occident appellera le bluff de Poutine ou cédera à sa posture nucléaire à enjeux élevés, une décision qui façonnera l’issue du conflit. »

En affirmant publiquement que Poutine ne fait que bluffer, l’OTAN l’incite à réagir de manière agressive et à dénoncer son erreur de calcul.

Tout en affirmant haut et fort que la Russie ne répondra pas, les stratèges américains et européens évoquent la possibilité d’une escalade nucléaire. Le New York Times a commencé à publier dimanche une série d’articles d’opinion extraordinaires sous le titre « Au bord du gouffre », axé sur « la menace des armes nucléaires dans un monde instable ».

Le journaliste qui dirige cette série, W. J. Hennigan, l’a lancée avec une chronique, « Le bord », qui commence par déclarer :

« S’il semble alarmiste d’anticiper les conséquences horribles d’une attaque nucléaire, considérez ceci : les gouvernements des États-Unis et de l’Ukraine ont planifié ce scénario depuis au moins deux ans. »

À l’automne 2022, écrit-il, « une évaluation par le renseignement américain a estimé à 50 pour cent les chances que la Russie lance une frappe nucléaire pour arrêter les forces ukrainiennes si elles violaient sa défense de la Crimée ». Il ajoute qu’avant, « l’administration Biden avait demandé à un petit groupe d’experts et de stratèges, une “Équipe tigre”, de concevoir un nouveau “playbook” nucléaire ».

En annonçant la campagne présidentielle du Parti de l’égalité socialiste, le dirigeant national du SEP (États-Unis), David North, a déclaré :

« Les puissances de l’OTAN ont dit plusieurs fois que la menace du feu nucléaire ne les dissuaderait pas de poursuivre la guerre. Ainsi on normalise le recours délibéré aux armes nucléaires tactiques et stratégiques, rejeté pendant des décennies comme étant synonyme de folie, mais à présent traité de composante légitime de la stratégie géopolitique impérialiste ».

La guerre est poussée à une échelle beaucoup plus grande et plus sanglante. Tout cela se fait dans le dos de la population, en s’appuyant sur la désinformation. Lundi, l’État allemand a menti de manière flagrante, affirmant qu’une convocation d’urgence de l’ambassadeur allemand au ministère russe des Affaires étrangères n’avait rien à voir avec les discussions divulguées sur les missiles allemands ciblant la Crimée.

La classe dirigeante ment, car elle veut être libre de mener à bien ses complots militaires. Il y a déjà une large opposition parmi les travailleurs et les jeunes à l’escalade militaire. Selon les sondages, 68 pour cent des Français et 80 pour cent des Allemands s’opposent à l’envoi de troupes européennes en Ukraine combattre la Russie que propose Macron. Dans la mesure où des masses de gens aux États-Unis et dans tous les pays de l’OTAN prennent conscience de ce qui se passe, cette opposition va s’accroître.

Le World Socialist Web Site dénonce la conspiration de l’impérialisme otanien pour entraîner l’humanité dans une catastrophe nucléaire. Il faut ôter le pouvoir à ces fauteurs de guerre. Leurs actes menacent de détruire la civilisation humaine. Il faut organiser des manifestations de masse dans tous les pays pour exiger le retrait total des forces de l’OTAN d’Ukraine et la fin immédiate du conflit. Il faut lier ceci au développement d’un mouvement anti-impérialiste dans la classe ouvrière internationale, contrant la barbarie capitaliste avec le programme de la révolution socialiste mondiale.




Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?

[Source : JSF – TV]

Une émission du Dr Éric Loridan

Invités : Astrid Stuckelberger & Ricardo Delgado de la Quinta Columna.

Sujet. Nanotechnologie dans les vaccins : guerre ouverte contre les peuples ?

Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger sont les voix principales de la Résistance et de la dissidence. Les plus crédibles, les plus intègres, les plus compétentes. Grâce à leurs expertises nous avons la confirmation que ces prétendus « vaccins » ne sont qu’un concentré de nanotechnologie et constitue de fait, un danger mortel pour la santé.

Ricardo et Astrid abordent le sujet tabou sur le graphène et démontrent que cette campagne d’injections n’est rien d’autre qu’une machination criminelle à l’échelle planétaire. Un crime contre l’humanité construit sur le plus grand mensonge de l’Histoire.

« Il faut frapper le Serpent à la tête… » dit Ricardo…

[Voir aussi notamment :
Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?
« Le Vaccin Covid est une arme biologique 100% SYNTHÉTIQUE »
Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges – Bill Gates est aux commandes »
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Débarrasser le corps du graphène
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur]






COVID-ARNAQUE — Royaume-Uni : pas de Covid, mais un meurtre de masse par le Midazolam

Source : La cause du peuple

Par Ben Bartee

Un homme politique australien publie des preuves du meurtre potentiel par le gouvernement britannique de dizaines de milliers de personnes âgées hospitalisées pour augmenter le nombre de « décès causés par Covid ».

Le directeur national du United Australia Party, Craig Kelly, a fait des allégations choquantes, voire surprenantes, contre le NHS en Grande-Bretagne.

Via Slay News :

Un nouveau rapport explosif a provoqué une onde de choc dans le monde entier après qu’une enquête sur le nombre élevé de « décès dus au Covid » pendant la pandémie a révélé des preuves que des dizaines de milliers de personnes âgées ont en fait été assassinées pour augmenter les taux de mortalité.

Les données produites pour le rapport indiquaient que des personnes étaient euthanasiées au moyen d’une injection mortelle de Midazolam.

La cause de leur décès a ensuite été répertoriée comme « Covid », indiquant que le virus tuait beaucoup plus de personnes âgées qu’il ne l’était réellement.

Les données explosives du rapport ont été rendues publiques par le politicien australien Craig Kelly, directeur national du United Australia Party.

Le rapport a obtenu des données officielles du gouvernement britannique sur les taux de mortalité et leurs causes.

Les données semblent montrer qu’un grand nombre de personnes âgées ont été assassinées par une injection du médicament en fin de vie Midazolam.

Selon Kelly, les patients ont été euthanasiés afin d’augmenter les « décès dus à Covid » et d’accroître la peur du public afin d’obtenir un soutien en faveur du confinement et des vaccins.

Tout en alertant le public sur ces données, Kelly a déclaré qu’elles révélaient « le crime du siècle ».

Extrait du rapport préimprimé, « Décès excessifs au Royaume-Uni : Midazolam et euthanasie dans la pandémie de Covid-19 » :

Les macrodonnées pendant la pandémie de Covid-19 au Royaume-Uni présentent des anomalies de données importantes et des incohérences avec les explications existantes.Cet article montre que le pic de décès au Royaume-Uni, attribué à tort à la pandémie de COVID-19 en avril 2020, n’était pas dû au virus SRAS-CoV-2, qui était largement absent, mais à l’utilisation généralisée des injections de Midazolam, qui étaient statistiquement très fortement corrélées (coefficient supérieur à 90 %) à la surmortalité dans toutes les régions d’Angleterre au cours de l’année 2020…

L’utilisation répandue et persistante du Midazolam au Royaume-Uni suggère une possible politique d’euthanasie systémique.

Le midazolam, une benzodiazépine (la même classe de médicaments qui comprend le Xanax et le Valium), est souvent utilisé pour endormir les patients hospitalisés en soins intensifs. C’est également — et quiconque a une vaste expérience directe des benzos comme moi peut en témoigner — extrêmement dangereux, en particulier lorsqu’il est directement introduit dans la circulation sanguine, comme cela se serait produit à grande échelle, comme procédure opératoire standard pour les patients hospitalisés atteints de Covid, dans les hôpitaux britanniques tout au long de 2020 et 2021.

[Voir aussi :
Pendant la Covid et le confinement, le gouvernement tuait les aînés
Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?
France — Le « décret Rivotril » un génocide organisé
Le scandale du Rivotril]

Via MédecinePlus :

L’injection de midazolam peut provoquer des problèmes respiratoires graves, voire potentiellement mortels, tels qu’une respiration superficielle, ralentie ou temporairement arrêtée, pouvant entraîner des lésions cérébrales permanentes ou la mort. Vous ne devez recevoir ce médicament que dans un hôpital ou un cabinet médical disposant de l’équipement nécessaire pour surveiller votre cœur et vos poumons et pour fournir rapidement un traitement médical vital si votre respiration ralentit ou s’arrête. Votre médecin ou votre infirmière vous surveillera de près après avoir reçu ce médicament pour s’assurer que vous respirez correctement. Informez votre médecin si vous avez une infection grave ou si vous avez ou avez déjà eu des problèmes pulmonaires, des voies respiratoires ou respiratoires ou une maladie cardiaque. Informez votre médecin et votre pharmacien si vous prenez l’un des médicaments suivants : antidépresseurs ; les barbituriques tels que le sécobarbital (Seconal) ; dropéridol (Inapsine) ; médicaments contre l’anxiété, la maladie mentale ou les convulsions ; médicaments opiacés contre la toux comme la codéine (dans Triacin-C, dans Tuzistra XR) ou l’hydrocodone (dans Anexsia, dans Norco, dans Zyfrel) ou pour la douleur comme la codéine, le fentanyl (Actiq, Duragesic, Subsys, autres), l’hydromorphone (Dilaudid , Exalgo), mépéridine (Demerol), méthadone (Dolophine, Methadose), morphine (Astramorph, Duramorph PF, Kadian), oxycodone (dans Oxycet, dans Percocet, dans Roxicet, autres) et tramadol (Conzip, Ultram, dans Ultracet) ; sédatifs ; somnifères ; ou des tranquillisants.

Cela représente beaucoup de contre-indications mortelles pour une population occidentale plus âgée, statistiquement susceptible de prendre beaucoup de médicaments pharmaceutiques.

Je ne suis pas médecin — je suis un simple « théoricien du complot », un journaliste spécialisé dans le « terrorisme intérieur », et j’en suis fier — mais il n’est pas nécessaire d’avoir fait des études de médecine pour comprendre que les benzodiazépines sont très rarement des interventions médicales bien conçues, surtout lorsqu’elles sont administrées par voie intraveineuse à un patient âgé qui a déjà du mal à respirer sous respirateur.

Si les accusations sont fondées, le midazolam aurait été une méthode d’exécution parfaite, car il est fréquemment utilisé dans ce type d’environnement (pour ne pas éveiller les soupçons) et il est difficile d’attribuer la cause du décès au midazolam plutôt qu’au COVID, surtout dans le contexte d’une ignorance délibérée. Dans le domaine des relations internationales, ce dilemme est appelé « brouillard de guerre », en référence à la difficulté d’attribuer correctement la source d’une attaque en temps réel sur le champ de bataille.

4 mars 2024

Extrait de prose d’Armageddon

Ben Bartee, auteur de Broken English Teacher : Notes From Exile, est un journaliste américain indépendant basé à Bangkok, aux pouces opposables.




Il dénonce le totalitarisme, alors qu’il en est le principal agent en France

Plus gonflé que lui, on meurt par explosion.

Cet homme sorti de nulle part a été porté au pouvoir par un coup d’État judiciaire dont les organisateurs devraient avoir à répondre devant la Nation. Il a méthodiquement détruit les institutions, les grands services publics, vendus à l’encan à ses maîtres américains les ressources du pays et voilà que ce psychopathe obsédé par son nombril se prend maintenant pour un chef de guerre ! Depuis le début Emmanuel Macron triche et ment en permanence. Aujourd’hui il s’invente un monde qui n’existe pas et bascule avec emphase dans le délire :

« Il conviendra de ne pas être lâche. (…) La guerre est revenue sur notre sol, des puissances devenues inarrêtables sont en train d’étendre la menace, de nous attaquer chaque jour davantage : il nous faudra être à la hauteur de l’Histoire et du courage qu’elle implique. »

Toute de boursouflure, cette tirade est ridiculement ubuesque. Une nouvelle fois, Macron nous humilie à la face du monde qui ricane devant notre pays abaissé, dirigé par un pareil tocard. La lecture de la presse internationale qui s’intéresse encore à ses foucades est de ce point de vue accablante. Comment pouvons-nous supporter ça ?




« Les délires va-t-en-guerre sont tous simplement criminels ».




Pourquoi l’IVG est-elle inscrite dans la constitution française ?

Une réponse possible :




Les églises brûlent aussi au Canada

[Source : quebecnouvelles.info]

[Illustration : une église en feu à Fort Chipewyan, dans le nord de l’Alberta, en août 2022. Le bâtiment plus que centenaire a été complètement détruit. (Photo d’archives)
PHOTO : FACEBOOK/ALLAN ADAM]

Traduit de l’anglais. Article de Robyn Urback publié le 22 février 2024 sur le site du Globe and Mail.

Par Robyn Urback

Le mot « épidémie », autrefois limité à la description de la propagation d’une maladie, a évolué, tant dans le langage courant que dans le langage officiel, pour désigner toutes sortes d’activités délétères qui se sont répandues. La violence sexiste est une épidémie, selon le gouvernement fédéral et diverses municipalités. Il en va de même pour la dépendance aux opioïdes et à d’autres drogues, comme le décrit le comité permanent de la santé du gouvernement. La solitude est une épidémie, selon l’Institut national du vieillissement. Même le problème des vols de voitures au Canada a été qualifié d’« épidémie » par divers médias.

[…]

Si le contexte était différent — cible différente, histoire différente, groupe différent d’auteurs présumés — les incendies criminels qui ont frappé les églises catholiques du Canada au cours des trois dernières années pourraient être qualifiés d’« épidémie ». Les militants des droits de l’homme se rassembleraient sur la colline du Parlement, brandissant des pancartes énumérant les noms des deux douzaines d’églises qui ont été complètement détruites par des incendies criminels confirmés depuis mai 2021 (selon un décompte du média de droite True North, 47 ont été endommagées par le feu — dont beaucoup dans des circonstances suspectes — et 53 autres ont été vandalisées). Les politiciens de tous les partis se lèveront dans l’hémicycle pour condamner les attaques. Les Canadiens exigeraient une enquête et le gouvernement nommerait un représentant spécial/envoyé/rapporteur chargé d’assurer la liaison avec les communautés et de faire rapport.

Il y aurait très certainement une réaction nationale vigoureuse si des mosquées ou des synagogues étaient incendiées, plutôt que des églises. Mais les chrétiens du Canada ne sont généralement pas considérés comme une minorité persécutée (même si le fait de voir leurs lieux de culte incendiés constitue sans doute un certain degré de persécution). De plus, l’histoire de cette affaire est complexe : Les incendies ont débuté à la suite d’informations faisant état de tombes anonymes sur les sites d’anciens pensionnats gérés par l’Église. Si l’on ajoute à cela une politique sociale inconfortable — dans certains cas au moins, les incendiaires présumés sont des autochtones —, ce que l’on pourrait qualifier d’« épidémie » nationale est pour l’essentiel passé sous silence.

Au début du mois, le pasteur de la paroisse Blessed Sacrament de Regina a diffusé des images de surveillance montrant un homme tentant de mettre le feu à l’église. Le député de Saskatoon-University Corey Tochor a demandé le consentement unanime de la Chambre pour condamner l’acte, mais cela lui a été refusé. L’année dernière, après l’incendie de deux églises dans sa circonscription, le député de Peace River-Westlock, Arnold Viersen, a tenté à plusieurs reprises de faire adopter par la commission permanente des affaires autochtones et du Nord une motion condamnant ces actes. Il s’est heurté à la même fin de non-recevoir.

Nous ne savons pas si tous les incendies criminels ou les actes de vandalisme perpétrés dans les églises au cours des trois dernières années étaient l’expression d’une vengeance calculée à l’encontre de l’Église catholique. D’une part, l’histoire des tombes anonymes sur les sites des pensionnats est devenue plus alambiquée ; sur la grande majorité des sites signalés, aucun reste n’a été trouvé jusqu’à présent (ce qui ne veut pas dire que des enfants ne sont pas morts dans des circonstances horribles dans ces pensionnats). Les incendies n’en ont pas moins continué. Quatre églises de l’Alberta ont brûlé en décembre ; la police enquête sur ces incendies criminels.

Bon nombre des personnes accusées de vandalisme ou d’incendies suspects dans diverses églises semblent être touchées par des problèmes tels que le sans-abrisme, la toxicomanie et l’anarchie chez les jeunes, ce qui suggère que, comme pour la plupart des épidémies sociales, il n’y a pas de cause fondamentale unique. Mais l’effet est plus simple : les communautés perdent leurs lieux de culte et les individus perdent le sentiment de sécurité dont ils devraient jouir dans l’endroit où ils choisissent de pratiquer leur foi. Les églises, comme tous les espaces religieux, ne sont pas de simples structures ; elles fonctionnent plutôt comme des symboles de leurs communautés. C’est pourquoi, lorsqu’elles sont attaquées, c’est l’ensemble du groupe religieux — et pas seulement certains paroissiens ou fidèles — qui se sent victime.

Il n’est pas surprenant que certains dirigeants politiques ou militants sociaux hésitent à condamner les attaques contre les églises. Nous vivons à une époque où les hiérarchies de pouvoir perçues régissent les dogmes et où les personnes et les institutions sont classées dans les catégories inamovibles d’« oppresseurs » et d’« opprimés ». Et qui veut être vu en train de défendre la grande et puissante église au détriment de ceux qui ont été historiquement marginalisés ? (Un fait gênant est que certaines des églises détruites étaient situées dans des communautés autochtones et comptaient des fidèles indigènes).

[…]

Pour lire l’article dans sa forme originale

[Voir aussi :
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2039965/eglise-feu-canada]




La nouvelle histoire Le nouveau délit belge : « l’atteinte méchante à l’autorité de l’État »

[Source : bam.news]

Par Marcan

Le 22 février, le Parlement belge adoptait le livre II du Code pénal au sein duquel figure un nouveau délit aussi vague que préoccupant : l’atteinte méchante à l’autorité de l’État.
Après le DSA européen et la loi française contre les dérives dites sectaires (adoptée dans un simulacre de démocratie), cette criminalisation de la contestation constitue un clou supplémentaire dans le cercueil de la liberté d’expression. Mais dormez sur vos deux oreilles, c’est sous le noble prétexte de « protéger les valeurs fondamentales de notre démocratie » qu’on nous présente ces merveilleuses initiatives…

Inscrite dans une mise à jour exhaustive du Code pénal belge, la nouvelle notion d’« atteinte méchante à l’autorité de l’État » côtoie dans une même loi les crimes de guerre, la prise d’otages, l’écocide, la torture, les homicides intrafamiliaux, le voyeurisme, le viol…

Dans sa formulation initiale, l’article de loi définissait l’« atteinte méchante à l’autorité de l’État » comme un acte intentionnellement nuisible et manifeste, qui défie directement l’autorité légale ou encourage la désobéissance. La version finale de cet article de loi introduit cependant des distinctions importantes : elle réprime non seulement les actes nuisant à l’autorité de l’État, mais aussi ceux menaçant la sécurité nationale, perturbant l’ordre public ou entravant la prévention des infractions. Elle impose également des peines plus rigoureuses, tout en les modulant en fonction de la catégorie de la loi transgressée et de la sévérité de l’infraction commise.

Peine de niveau 1 : Travail d’intérêt général ou amende de 80 à 800 €.
Peine de niveau 2 : Jusqu’à 3 ans de prison pour des infractions plus graves, avec des alternatives comme les amendes (de 200 € à 2000 €) ou le travail d’intérêt général.
Peine de niveau 5 : De 10 à 15 ans de prison pour des infractions très graves, telles que la prise d’otage ou la torture de personnes vulnérables1

Avis négatif du Conseil d’État

Les débats parlementaires avaient pourtant révélé une tension notable entre la volonté de renforcer l’autorité de l’État et la nécessité de préserver les libertés fondamentales.

Le Conseil d’État a mis en évidence l’importance d’une définition précise des termes tels que « ordre public » et « atteinte à l’autorité de l’État », soulignant le risque d’une interprétation trop large qui pourrait engendrer des restrictions disproportionnées des libertés individuelles. Le besoin d’aligner strictement toute nouvelle législation avec les directives de la Cour européenne des droits de l’Homme a été un leitmotiv, avec des rappels fréquents sur la nécessité de maintenir un équilibre entre la sécurité de l’État et les libertés démocratiques.

Des membres du parlement fédéral, tels que Mme Rajae Maouane (Ecolo‑Groen) et M. Philippe Lamberts (Ecolo‑Groen), ont exprimé leur inquiétude sur la possibilité que la loi soit utilisée pour restreindre indûment les manifestations et la liberté d’expression, des piliers démocratiques essentiels inscrits dans la constitution. Ils ont plaidé pour une approche mesurée et proportionnée, en accord avec la jurisprudence existante.

Des débats ont également porté sur la redondance potentielle de la loi, avec des arguments selon lesquels les infractions déjà existantes couvraient suffisamment le champ d’action de la nouvelle loi proposée. Cela a soulevé des questions sur l’utilité concrète de cet article, avec certains intervenants craignant qu’il ne serve à introduire des mesures punitives supplémentaires non nécessaires, qui pourraient être exploitées de manière arbitraire.

Mme Sophie Rohonyi (DéFI) a rappelé l’importance cruciale de la loi dans la protection de la liberté de la presse et de la critique gouvernementale, évoquant la nécessité de garantir que toute mesure législative soutienne et ne mine pas ces droits fondamentaux.

Un collectif de 513 signataires tire la sonnette d’alarme

Dans une carte blanche publiée dans Le soir du 15 février2, un collectif de 513 signataires issus du monde associatif, universitaire, judiciaire et de la société civile ont attiré l’attention des politiques et du public sur les dangers d’une telle loi pour la liberté d’expression et la démocratie.

Nature antidémocratique de la proposition

Le collectif considère que la désobéissance civile, qui consiste en des actes de transgression de la loi de façon publique, collective, consciente et non violente, est un élément fondamental et traditionnel dans l’évolution des civilisations. Ils soulignent que la désobéissance civile ne remet pas en cause l’État de droit, mais vise à instaurer un débat public essentiel à la démocratie. Les auteurs de la carte blanche rappellent que la désobéissance civile a été un moteur important de changement social et politique tout au long de l’histoire. La désobéissance civile a été cruciale pour le mouvement des droits civiques aux États‑Unis, aboutissant au Civil Rights Act de 1964 avec Martin Luther King. Elle a également mené à l’indépendance de l’Inde avec Gandhi. Son rôle a été déterminant dans l’acquisition du suffrage féminin. Enfin, elle a contribué à la fin de l’apartheid en Afrique du Sud avec Nelson Mandela. La loi proposée, en criminalisant de telles actions, sape les fondements de la démocratie.

Dangers liés à l’application de la loi

Le collectif considère également que son champ d’application trop étendu, permet potentiellement la criminalisation de la protestation dans un sens large et compromet gravement le droit à la liberté d’expression et de protestation. De plus, son application pourrait créer des inégalités devant la loi et compromettre la sécurité juridique.

Redondance et inutilité de la loi

À l’instar de certains parlementaires, le collectif considère que la disposition est redondante, car la désobéissance civile est déjà couverte par la liberté d’expression protégée par des textes internationaux, européens, régionaux et nationaux. Ils affirment que la nouvelle infraction ne représenterait aucun avantage et que des dispositions similaires, qui finissent par être utilisées dans un contexte différent de celui initialement prévu, ont déjà été observées par le passé.

Le collectif insiste donc sur le fait que cette proposition de loi est antidémocratique, dangereuse et inutile et qu’elle contredit la tendance au sein même du monde politique à reconnaître l’importance de la désobéissance civile pour le débat démocratique. Ils exhortent les parlementaires à rejeter fermement cette disposition, la considérant comme une menace sérieuse pour les droits fondamentaux.

« Qu’à cela ne tienne ! »

Malgré le concert de désapprobations émanant du Conseil d’État, de l’Institut Fédéral des Droits Humains, ainsi que des voix associatives, universitaires, judiciaires et de la société civile, la majorité du parlement est resté sourde et a finalement adopté la loi3.

Maigre consolation : l’État, dans sa grande mansuétude, appliquera la loi deux ans après sa publication… Probablement le temps de s’accoutumer à notre nouveau régime démocratique en apprenant à ne pas être méchant envers l’autorité de l’État… En route pour la démocratie absolue, où l’allégeance pour le pouvoir est inscrite dans le Code pénal.

Marcan pour BAM !


1 Un nouveau code pénal adapté au 21e siècle — Team Justice