LE PROCÈS DE REINER FUELLMICH

[Source : ELO Trad]

Greg Reese nous explique la situation dans laquelle se trouve l’avocat Reiner Fuellmich du Comité Corona.
Il est actuellement en procès en Allemagne pour détournement de fonds, mais la réalité en est toute autre.
Il semble que la justice puisse enfin être rendue.

[Voir aussi :
Des nouvelles de Reiner Füellmich
et
Message personnel de Reiner Fuellmich au début de l’année]






France — La Loi Gayssot a fait taire tous les historiens, l’article 4 fera taire tous les scientifiques !

[Source : lemediaen442.fr]

Par Le Média en 4-4-2

La récente adoption de l’article 4 a suscité de vives réactions, certains dénonçant une atteinte à la liberté d’expression et une nouvelle étape vers un État totalitaire. Comparé à la loi Gayssot, qui réprime la contestation des crimes contre l’humanité, cet article vise à réprimer la provocation à l’abandon de soins. Il s’inscrit dans une tendance inquiétante de restriction des libertés individuelles.

[Voir aussi :
De la censure à la criminalisation de la dissidence]

Cette mesure a été adoptée après un débat houleux à l’Assemblée nationale, où certains députés ont exprimé leurs inquiétudes quant à son impact sur la liberté d’expression et sur le dialogue démocratique. Néanmoins, malgré les critiques, l’article a été voté avec une majorité de 182 voix pour et 137 voix contre.

Conformément à cette disposition, la provocation à l’abandon ou à l’abstention de soins sera passible d’une peine d’un an d’emprisonnement et d’une amende de 30 000 euros. Ces sanctions seront aggravées en cas de conséquences directes de la provocation, avec une peine pouvant atteindre trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende.

Les défenseurs de cette mesure, parmi lesquels la secrétaire d’État Sabrina Agresti Roubache, ont souligné la nécessité de lutter contre les dérives sectaires et complotistes, notamment sur internet, qui pourraient mettre en danger la santé publique.

Néanmoins, cette adoption suscite des inquiétudes quant à la liberté d’expression et à la possibilité pour les citoyens de remettre en question les politiques de santé publique. Certains y voient un précédent dangereux qui pourrait restreindre davantage les libertés individuelles dans le futur.

Cela nous rappelle l’opposition rencontrée lors de l’adoption de la loi Gayssot en 1990, qui a été l’objet de vifs débats et d’une opposition notable de la part de la droite parlementaire, alors majoritaire au Sénat. Cette loi, portant sur la répression de la contestation des crimes contre l’humanité, a été perçue comme une atteinte à la liberté d’expression par certains politiciens de droite.

Au Sénat, plusieurs votes de rejet ont eu lieu les 11, 29 et 30 juin 1990, illustrant l’opposition ferme de certains membres de la classe politique à cette proposition législative. Parmi les personnalités politiques qui se sont opposées à la loi Gayssot, on compte des figures influentes telles que Dominique Perben, Pascal Clément, François Fillon, Gilles de Robien, Jean-Louis Debré, Pierre Mazeaud, Jacques Chirac, Jean Foyer, Alain Peyrefitte et Simone Veil, ainsi que le député Jacques Toubon. Cette opposition soulignait les préoccupations quant à l’impact de la loi sur la liberté d’expression et son influence sur le récit historique.

Jacques Toubon, exprimant son désaccord, déclarait :

« Je suis contre le délit de révisionnisme, parce que je suis pour le droit et pour l’histoire, et que le délit de révisionnisme fait reculer le droit et affaiblit l’histoire ».

Après avoir restreint la liberté de recherche pour les historiens, le gouvernement semble désormais entraver la liberté d’expression des scientifiques. Cette tendance inquiétante pourrait conduire les citoyens à devoir se fier uniquement aux décisions politiques influencées par l’industrie pharmaceutique.

C’est comme si le silence autour de la loi Gayssot avait donné le feu vert pour la mise en place de l’article 4. Cela montre clairement comment restreindre la liberté d’expression peut ouvrir la porte à davantage de mesures restrictives.

Cela nous montre l’importance cruciale de lutter contre toutes les injustices qui restreignent la liberté d’expression. En laissant une restriction passer sans réagir, nous risquons d’ouvrir la porte à d’autres formes d’oppression et de censure. Il est essentiel de défendre activement la liberté d’expression pour préserver nos droits fondamentaux et maintenir un dialogue ouvert et démocratique dans la société.




Petit rappel à la Macronie : le français est la langue officielle de notre pays !

[Source : bvoltaire.fr]

Par Me Alain Belot

Six associations de défense de la langue française viennent de rédiger un communiqué de presse en commun afin de dénoncer ce qu’ils appellent un « véritable linguicide » initié par la Macronie.

Ces associations demandent instamment « de n’apporter aucun suffrage à ce parti présidentiel destructeur ». Et pour cause : le parti d’Emmanuel Macron, dont le mondialisme étouffant n’est plus à démontrer, s’en prend désormais à la langue française, lui préférant l’anglais, certainement plus à même de faire réussir la « start up nation ».

Le communiqué s’insurge d’abord contre la campagne d’affichage publicitaire de l’Union européenne qui a été diffusée en France aux mois de mars et novembre 2023. On pouvait lire alors sur les nombreuses affiches de propagande, en très gros caractères, ce même slogan : « YOU ARE UE ». La traduction était inscrite en bas de l’affiche, en minuscules et, naturellement, à peine visible.

Or, faisons d’abord remarquer que cette inscription est contraire à la loi Toubon du 4 août 1994, laquelle prévoit que la présentation en français doit être aussi lisible, audible ou intelligible que la présentation en langue étrangère. Sur le fond, cet affichage laisse peu de place à la contestation, dès lors que l’on ne se sentirait pas exactement faire partie de leur grande famille progressiste, de leur UE…

De surcroît, ce qui attise l’ire de ces associations de défense de la langue française, c’est bien la fameuse affiche de campagne dévoilée par Les Jeunes avec Macron, pour les élections européennes. L’affiche, manifestement copiée sur le sigle d’une grande société des GAFAM, contient le slogan suivant : « Think different, Renew Europe ». Dès lors, si on comprend bien le cheminement intellectuel macron-anachronique, avant de nous imposer leur « renaissance », on se devait d’être « en marche » et, désormais, on doit penser différemment, mais surtout en anglais ! Bref, ce n’est pas une surprise, Macron et ses jeunes ont, depuis longtemps, perdu leur latin.

Permettons, néanmoins, de rappeler à cette jeunesse mondialisée que l’article 2 de la Constitution dispose, en son premier alinéa : « La langue de la République est le français. » Mais, on le sait bien, ces jeunes gens se moquent autant du français que de la République. Ils ne comprennent d’ailleurs pas le problème de la polémique. Surtout que leur mentor n’a rien fait pour empêcher que l’anglais ne devienne la langue de travail de la Commission européenne, du Parquet européen ou encore de la Cour des comptes européenne.

C’est alors, encore et toujours, une lancinante humiliation faite au peuple français et à ceux qui défendent ses valeurs jusqu’à sa langue. Même la grande Histoire est méprisée quand on se souvient que François Ier, en déclarant, par l’ordonnance de Villers-Cotterêts de 1539, le français comme langue officielle, avait comme seul objectif d’unifier le royaume de France.




De la censure à la criminalisation de la dissidence

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Vue générale de l’Assemblée nationale française à Paris le 17 juillet 2023. (Bertrand Guay/AFP via Getty Images)]

Par Jeffrey A. Tucker

L’histoire avance rapidement.

Une bataille majeure se prépare dans le monde occidental sur le principe fondamental de la liberté d’expression. Nos droits à la liberté d’expression n’ont jamais été aussi fragiles.

En pleine nuit, en France, une nouvelle loi a été adoptée par l’Assemblée nationale, qui considère comme un délit le fait de critiquer les injections d’ARNm. Les critiques l’appellent la loi Pfizer. Elle prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 45 000 euros et éventuellement trois ans de prison.

Comme dans tous les pays occidentaux, les critiques à l’encontre de la plateforme mRNA font l’objet d’une vaste censure.

Plutôt que de reculer face au scepticisme de certains quant à l’efficacité et l’innocuité de ces vaccins, les gouvernements, piégés par les intérêts pharmaceutiques, prennent fait et cause pour les entreprises et les Big Techs en menaçant d’emprisonnement toute personne qui s’exprime ouvertement contre elles.

La censure devient alors une arme redoutable. C’est l’étape logique suivante. Dans un premier temps, vous déployez tous les moyens possibles pour empêcher toute dissidence sur les canaux de distribution de l’information. Quand ça ne marche pas, parce que les gens ont trouvé des moyens alternatifs pour faire passer l’information, vous intensifiez les choses et instituez des contrôles radicaux.

C’est logique. Après tout, la censure permet d’influer sur l’esprit du public afin d’étouffer toute opposition au régime. Lorsque les médias traditionnels s’effondrent et que de nouveaux médias se développent, l’étape suivante consiste à aller criminaliser l’opinion, comme le fait tout gouvernement totalitaire.

La politique aujourd’hui est planétaire. Les élites qui ont pris le contrôle de nos gouvernements se coordonnent au-delà des frontières.

En second lieu, un article important de la rubrique opinion du New York Times, se réjouit qu’une affaire de diffamation ait abouti. Michael Mann, professeur à l’université de Pennsylvanie a poursuivi un rédacteur de l’Institut Competitive Enterprise auquel il reproche d’avoir contesté son modèle de changement climatique, notamment ce que l’on appelle la crosse de hockey.

Ce n’est pas du domaine de tout le monde, mais il semble évident que la science climatique dominante devrait elle aussi faire l’objet d’une critique vigoureuse. Si l’ère Covid nous a appris quelque chose, c’est que le « consensus scientifique » peut être complètement faux.

Le scientifique Michael Mann assiste à la projection à New York du documentaire HBO « Comment lâcher prise sur le monde et toutes les choses que le climat ne peut pas changer » à New York le 21 juin 2016.
(Slaven Vlasic/Getty Images pour HBO)

La diffamation consiste à dire que les propos tenus ont cherché à mentir délibérément dans l’intention de nuire. On pourrait penser que peu de choses peuvent être qualifiées de la sorte, et certainement pas la critique d’un modèle climatique.

Cette accusation a pourtant été retenue par un juge américain. Après une dizaine d’années de procédure, le jury a fini par se prononcer en faveur des plaignants. L’un des défendeurs, Rand Simberg, a été condamné à payer 1000 dollars et l’autre, Mark Steyn… à 1 million de dollars. M. Simberg affirme qu’il fera appel et qu’il s’en tient à chaque mot qu’il a écrit. M. Steyn également.

Pour l’essentiel, ce verdict criminalise l’hyperbole, a déclaré l’avocat de la défense.

L’auteur de l’article d’opinion, quant à lui, estime qu’il s’agit d’une question de justice. « Notre récente victoire en première instance pourrait avoir des implications plus larges », déclare-t-il. « Elle a tracé une ligne dans le sable. Les scientifiques savent désormais qu’ils peuvent répondre aux attaques en intentant un procès pour diffamation ». Il mentionne en particulier les personnes qui ne sont pas d’accord avec le consensus Covid ou qui ont fait de fausses déclarations sur les effets néfastes des éoliennes sur la santé.

Vous imaginez ? Critiquer une éolienne ou une pandémie et se retrouver devant un juge !

Il est terrifiant de penser à ce que cela implique. Et l’auteur de l’article ne laisse rien à l’imagination. Il considère cette affaire comme un moyen de rendre la critique scientifique de n’importe quel domaine de la vie — des vaccins au changement climatique en passant par la transition vers les véhicules électriques — essentiellement illégale. En tout cas, si ce n’est pas le cas, il s’en rapproche en érigeant tellement de mines terrestres que les critiques vont se taire de peur de voir leur vie détruite.

Cette affaire a duré dix ans. Comment est-il possible que des plaideurs fassent durer une affaire aussi longtemps ? Il s’agit d’établir un précédent sérieux. Ce précédent est désormais clairement établi. La définition de la diffamation est tellement malléable que les jurys peuvent décider de tout. La seule perspective d’être traîné devant un juge pendant plus de dix ans suffit à dissuader les gens de s’exprimer.

En substance, tous les détracteurs du « consensus scientifique » en tous domaines ont été mis en garde. Ils sont d’ores et déjà des cibles de choix. C’est le monde vers lequel nous nous dirigeons.

La censure fonctionne lorsque le gouvernement peut contrôler tous les canaux de distribution de l’information. Et quand ce n’est plus le cas ? Les pouvoirs peuvent utiliser des méthodes plus directes.

Nombreux sont ceux qui se réjouissent de voir disparaître les médias traditionnels. C’est certainement mon cas, mais réfléchissez à la façon dont les censeurs vont réagir. Ils deviennent plus durs et utilisent davantage les tribunaux de justice. C’est l’avenir qui nous attend et il est extrêmement dangereux. Selon cette trajectoire, la liberté d’expression est appelée à disparaître.




La République française n’existe plus !

[Source : Valérie Bugault]

Dans cet épisode de Politique & Eco, Valérie Bugault, experte en géopolitique juridique et économique, discute de la disparition progressive de la République française et de l’État français, remplacés par des intérêts financiers supérieurs orchestrés depuis la City of London. Elle souligne que les véritables intérêts représentés politiquement sont ceux qui financent les partis politiques, remplaçant la Res Publica par la Res Privata.

📘 Valérie Bugault, également à la tête du projet Révoludroit, propose une réforme profonde à plusieurs niveaux : économique, juridique et étatique, en s’appuyant sur les principes fondamentaux de la civilisation chrétienne. Elle envisage une nouvelle organisation politique qui pourrait remédier à cette situation.

[Note de Joseph :
Le projet Révoludroit de Valérie Bugault (abordé en seconde partie de vidéo) part sans doute d’un bon sentiment. Cependant, si l’on se base sur le schéma suivant qui provient du site, il s’agirait de remplacer la lourdeur administrative actuelle par une autre structure lourde qui aurait toutes les chances d’involuer vers un nouveau système oppressif avec moult lois et règlements. Ceci apparaît très peu favorable à l’établissement d’une réelle souveraineté des individus et des groupes divers qu’ils peuvent constituer et à la liberté en général. Un tel modèle représente probablement une nouvelle cage, plus ou moins dorée au départ, mais dont le verni finirait par craqueler et révéler la réalité sous-jacente.
Un peuple a-t-il besoin de telles structures pour vivre et surtout pour vivre libre ? Les sociétés les plus libres sont celles qui fonctionnent sur la base de petites communautés et de manière décentralisée, admettant tout au plus un chef ou un guide. Et la réelle liberté dépend de deux facteurs sans lesquels elle n’est que superficielle, factice ou absente : la responsabilité et la vérité (voir Changer le Système ?). La responsabilité est notamment ce qui permet la préservation d’un grand degré de liberté de tous les participants à un groupe donné tout en conservant sa cohésion. Chaque communauté humaine devrait ainsi pouvoir bénéficier de sa propre manière d’envisager son organisation et son fonctionnement dans toutes ses dimensions (éducative, sociale, politique, judiciaire, économique…) en accord avec ses valeurs et ses croyances fondamentales (religieuses, spirituelles…).
En France, les valeurs et croyances ont des racines chrétiennes et le Christ ne proposait qu’un seul commandement, autrement dit une seule loi : aime ton prochain comme toi-même. Est-il utile de multiples règles, lois, textes et règlements lorsque la vie est basée sur ce principe ou sur les quatre piliers de l’enseignement du Christ que sont l’Amour, le Pardon, la Charité et l’Humilité ? Ma vision d’un nouveau paradigme civilisationnel (exposée dans le Manifeste pour un nouveau monde et quelques articles complémentaires) est nettement différente de la démarche de Valérie Bugault. Je ne souhaiterais pas vivre dans la France de Révoludroit.]




La vérité sur la guerre en Ukraine




Poutine veut que Biden reste au pouvoir pour provoquer la chute de l’empire américain

[Source : english.pravda.ru]

[Illustration : Photo de defense.gov par D. Myles Cullen (domaine public)]

Par Lyuba Lulko

Poutine préfère Biden parce qu’il est en train de ruiner l’Amérique de l’intérieur.

Les responsables occidentaux sont restés perplexes lorsque Poutine a déclaré qu’il préférait traiter avec Biden en tant que président américain plutôt qu’avec Donald Trump.

En début de semaine, le journaliste russe Pavel Zarubin a demandé au président russe Vladimir Poutine qui il préférerait voir comme prochain président des États-Unis : Joe Biden ou Donald Trump.

« Joe Biden est meilleur pour la Russie que Donald Trump, car c’est un politicien expérimenté de la vieille école et plus prévisible », a déclaré M. Poutine.

Le président russe ne considère pas M. Biden comme physiquement incapable :

« Lorsque j’ai rencontré Biden en Suisse — même si c’était il y a plusieurs années — certains disaient déjà qu’il n’était pas capable de travailler. Je n’ai rien remarqué de tel ».

Selon M. Poutine, M. Biden se pencherait sur ses documents et M. Poutine ferait de même. À propos de toutes les gaffes de Biden, Poutine a déclaré : « Quiconque dans notre pays ne s’est pas cogné la tête sur un hélicoptère(([1] En juin, Biden s’était cogné la tête en descendant d’un hélicoptère.
Voir https://www.watson.ch/fr/international/etats-unis/501552133-entre-biden-et-trump-poutine-fait-un-choix-surprenant
ou https://reseauinternational.net/nouvelle-interview-de-vladimir-poutine/)), qu’il soit le premier à me jeter une pierre ».

Les médias occidentaux sont restés perplexes face aux remarques de M. Poutine. Ils n’ont pas su dire si Poutine était sincère ou s’il se moquait de Biden.

Steve Rosenberg, journaliste à la BBC, a rappelé que M. Biden avait précédemment qualifié M. Poutine de « dictateur tueur » et l’avait accusé d’avoir « une soif effrénée de terres et de pouvoir ». Le journaliste doute que le Kremlin ait tout pardonné à Biden.

Les remarques de Poutine pourraient être une manœuvre habile pour soutenir Trump en tant que candidat républicain afin d’exclure toute accusation de collusion avec le Kremlin, comme cela s’est déjà produit, suppose M. Rosenberg.

Poutine dirige la campagne électorale de Trump ?

L’opinion dominante aux États-Unis est que Poutine est secrètement impliqué dans la campagne électorale de Trump, et que ce dernier le sait.

Cette opinion est basée sur la façon dont l’électeur de Trump voit la situation :

« Sous Obama, Poutine a arraché la Crimée, sous Biden, Poutine a envahi l’Ukraine, et sous Trump, il n’a pas osé commettre d’agression. Trump reviendra et montrera à nouveau la puissance américaine dont Poutine n’a pas besoin. »

En d’autres termes, le trumpiste prend ces déclarations de Poutine au sérieux, et Trump joue le jeu de cette opinion. Selon lui, « je m’entendais très bien avec Poutine dans le passé, mais il est clair qu’il ne m’aime pas et qu’il préfère Biden ».

« Biden donnera l’Ukraine à Poutine », a déclaré M. Trump lors d’un rassemblement en Caroline du Sud.

La Maison-Blanche a réagi en avertissant que Poutine « ne devrait pas se mêler de nos élections ».

L’administration américaine en place s’oppose activement à la Russie et a l’intention de continuer à le faire, a déclaré John Kirby lors d’une réunion d’information.

La Russie profite du fait que Biden met fin à l’hégémonie des États-Unis

La Russie a tout à gagner à traiter avec M. Biden en tant que président des États-Unis, et pas seulement parce qu’il est prévisible.

Biden est un dirigeant qui a de sérieux problèmes de santé et de capacité. Poutine nie ce fait afin de se dédouaner des accusations de partialité ou de mensonges délibérés (« Je ne suis pas médecin »). M. Biden ne participera pas à la Conférence de Munich sur la sécurité — c’est la vice-présidente Kamala Harris qui s’est envolée pour Munich.

Il s’agit d’une manifestation de faiblesse pure et simple, et tout pays s’affaiblit avec un dirigeant faible. Cela incite les satellites et les alliés étrangers à regarder autour d’eux et déclenche des processus centrifuges dans des régions telles que le Texas. La Russie profite de Biden, car il démolit les États-Unis et leur réputation internationale.




Astrid Stuckelberger aux rencontres citoyennes internationales de Vierzon

[Source : Dépêches_Citoyennes]

Par Dépêches Citoyennes

Nous avons échangé quelques mots avec le Dr Astrid Stuckelberger qui était présente à Vierzon aux rencontres citoyennes internationales des effets indésirables des covid long et vaccins.
Elle est la marraine de l’association Aresaj.org et considère comme uniques ces rencontres.
Elle considère que nous sommes dans une scène de crime avec ces injections alors que l’on sait qu’il y a une hausse de la mortalité. Depuis début 2021, des alertes sont données concernant le contenu des flacons de vaccins.
Elle déplore le mensonge et débat de la biologie synthétique avec des scientifiques du monde entier. BioNTech : bio nano techno !
Pour elle la cause de la mortalité est nanotechnologique.
Le tribunal d’Almeria a ordonné les analyses des flacons concernant l’oxyde de graphène.
Pourquoi l’OMS s’intéresse à l’édition du génome ?
Elle revient sur l’incident au congrès de Stockholm.
Enfin, elle nous parle de l’ONU et de l’OMS, institutions infiltrées, occupées et totalement sectaires aujourd’hui.






Qui était Navalny ? Et qui avait réellement intérêt à sa mort ?

🚨 LE PEN,BARDELLA,ZEMMOUR, BELLAMY,GLUCKSMANN, MÉLENCHON,AUBRY…
TOUS DERRIÈRE L’ONCLE SAM 🇺🇸 !

⚠️ Ce qui se joue en ce moment est très grave. Il apparaît clairement que l’État profond 🇺🇸 cherche à entrer en guerre frontale avec la Russie, première puissance nucléaire mondiale, et à envoyer les peuples d’Europe au massacre contre l’armée russe, après avoir anéanti 500 000 Ukrainiens.

Dans ce contexte explosif, tout dirigeant politique ayant le sens des responsabilités doit faire preuve de la plus grande prudence face aux événements, notamment face à l’annonce de la mort subite de Navalny.

Car, que l’on aime Poutine ou pas, force est de constater qu’il n’avait surtout pas intérêt à la mort de cet agent 🇺🇸 , perdu dans une prison de Sibérie et oublié de tous. Poutine venait en effet de réussir un coup de maître avec l’entretien télévisée de Tucker Carlson, vu par 1 milliard de Terriens, dans lequel il apparaît -à la grande fureur de la CIA- comme un dirigeant raisonnable, ayant des arguments solides, avec lequel on devait pouvoir bâtir un plan de paix.

En revanche, s’il y a bien un camp qui trouve un grand intérêt dans la mort de Navalny, c’est l’État profond 🇺🇸 et ses satellites de l’🇪🇺 .

Car cette mort :

▪️ relance à point nommé le narratif 🇺🇸 🇪🇺 sur la monstruosité de Poutine

▪️ ruine le bénéfice mondial tiré par Poutine de son interview de Tucker Carlson

▪️ rend politiquement et médiatiquement difficile aux parlementaires Républicains de continuer à refuser de voter une aide supplémentaire de 96 Mds $ à l’Ukraine

▪️ permet de faire silence sur le nouveau désastre militaire ukrainien : les forces russes ont remporté la ville stratégique et symbolique de Avdiivka.

Toutes ces raisons invitent donc à la plus grande prudence sur les causes exactes du décès de Navalny,si opportun pour l’OTAN.

En outre, les caractéristiques du défunt (néo-nazi, raciste, génocidaire, escroc patenté et arrêté pour cela, agent financé par la NED 🇺🇸 ) devraient inciter tous les dirigeants politiques à avoir la décence minimale de ne pas en faire un Saint de la démocratie et des libertés fondamentales !

Ce sont pourtant ces « éléments de langage » « made in CIA » que tous les faux « opposants » médiatisés ont entonnés à l’unisson, comme tous les dirigeants 🇺🇸 🇪🇺 .

😲 Le Pen pleure le «militant politique engagé dans la défense de la démocratie»

😲 Bardella s’incline devant le «défenseur des droits humains et des libertés fondamentales»

😲 Zemmour affirme que Navalny «entre la tête haute dans l’histoire» pour être «tombé sur le champ de bataille de la liberté»

😲 Bellamy cite Soljenitsyne en comparant la mort de Navalny au «sacrifice d’un être bon et démuni»

😲 Glucksmann affirme que ce néo-nazi -qui se filmait en expliquant comment il fallait écraser tous les musulmans comme des insectes nuisibles- «était le courage fait homme»

😲 Manon Aubry «soutient l’opposition démocratique russe» et prévient que «Poutine devra répondre de ce crime» 😲 Mélenchon lance : «honneur à la mémoire de Navalny et à la résistance des démocrates russes»

Etc.

⚠️ CONCLUSION

Cette reprise en chœur de la propagande 🇺🇸 🇪🇺 , présentant le néo-nazi criminel et escroc qu’était Navalny sous les traits d’un Saint et Martyr, en dit long sur la docilité aux États-Unis de toute notre classe politique médiatisée,en particulier des PSEUDO-OPPOSANTS RN, RECONQUÊTE, LR et LFI.

🚨 Ceux-ci portent une écrasante responsabilité puisqu’ils CONFORTENT LA PROPAGANDE QUI NOUS MÈNE TOUT DROIT À LA GUERRE.

Car, pour reprendre l’expression de Manon Aubry, comment amener Poutine à «répondre de ce crime», sinon en faisant la guerre à la Russie ?

Ces faux opposants ne disent d’ailleurs rien contre le nouvel Accord Macron-Zelensky qui vole encore 3 milliards € aux Français pour financer l’Ukraine et préparer la guerre !

✅ 🕊 LE 9 JUIN PROCHAIN, LE VOTE POUR LA LISTE ASSELINEAU UPR SERA LE SEUL MOYEN DE VOUS OPPOSER À LA GUERRE CONTRE LA RUSSIE.

Tous les autres sont déjà enrégimentés derrière l’OTAN.




Après la victoire du « Convoi de la Liberté » au tribunal, des Canadiens sont prêts à intenter une action en justice

[Source : epochtimes.fr]

À la suite d’une décision de la Cour fédérale contre le gouvernement canadien pour avoir utilisé à mauvais escient la Loi sur les mesures d’urgence lors du convoi, plusieurs plaignants envisagent une action en justice.

Par Matthew Horwood

Plusieurs manifestants du Convoi de la liberté ont été encouragés par une récente victoire devant un tribunal fédéral canadien, et ont déclaré qu’ils se préparaient à poursuivre le gouvernement fédéral, les banques et la police ayant brutalement mis fin à la manifestation de 2022.

[Voir aussi :
Canada : un énorme convoi de camions se dirige vers la capitale pour protester contre l’obligation vaccinale des camionneurs
Le Convoi de la Liberté « Plein d’amour » : Témoignage émouvant d’une jeune mère de famille (avant que la police ne vienne tabasser les manifestants)
Le Canada tout entier s’est joint au convoi, sauf Trudeau qui accuse Freedom Convoy 2022 de propager la haine, le racisme et la violence
La couverture biaisée par les grands médias de la manifestation des camionneurs canadiens
Loi martiale au Canada pour mater les camionneurs : « c’est comme tuer une mouche avec un bazooka »
Canada — Enquête sur la Loi sur les mesures d’urgence contre le Convoi de la liberté
Un an plus tard : ce que nous avons appris du Convoi de la liberté du Canada]

« Je pense qu’il s’agit de la deuxième phase de ce qui s’est passé avec le procès fédéral », a déclaré Eddie Cornell, vétéran militaire et plaignant. « Nous avons une grande pente à gravir, mais c’est quelque chose de nécessaire. Il faut le faire. »

Le 23 janvier 2024, le juge Richard Mosley de la Cour fédérale a rendu une décision contre l’invocation de la Loi sur les mesures d’urgence par le gouvernement fédéral en réponse aux manifestations et aux blocages qui avaient paralysé la capitale canadienne, Ottawa, pendant des semaines.

L’utilisation de la loi par le gouvernement « ne porte pas les marques du caractère raisonnable — justification, transparence et intelligibilité — et n’était pas justifiée par rapport aux contraintes factuelles et juridiques pertinentes devant être prises en considération », a écrit le juge Mosley dans sa décision.

Vincent Gircys, vétéran de la police et plaignant, dont le compte bancaire a été gelé pendant plus d’une semaine en vertu de la Loi sur les mesures d’urgence, a déclaré que bien qu’il ait été initialement « très déçu par le système judiciaire — y ayant travaillé pendant 32 ans » — il était heureux de voir « qu’un certain niveau de justice était rétabli ».

L’entrepreneur albertain Jeremiah Jost, qui s’était rendu à Ottawa avec sa femme dans le cadre du convoi, s’est dit « incroyablement encouragé par la décision du juge Mosley et par le courage dont il a fait preuve ».

Cette décision a probablement donné de l’espoir aux Canadiens mécontents du système judiciaire, a-t-il ajouté.

Le Convoi de la liberté, une action de protestation contre le mandat fédéral exigeant la vaccination contre le COVID-19 pour les camionneurs traversant la frontière entre le Canada et les États-Unis, a donné lieu à un campement de gros camions dans la capitale canadienne au début de l’année 2022.

L’action de protestation initiale, ayant débuté en janvier 2022, s’est rapidement transformée en un mouvement plus large et à grande échelle d’opposition aux mandats et aux restrictions de la pandémie, avec des manifestations similaires organisées à plusieurs postes-frontière entre le Canada et les États-Unis.

Le 14 février 2022, le gouvernement fédéral a invoqué la Loi sur les mesures d’urgence, pour la première fois depuis sa création en 1988. Cette Loi confère aux forces de l’ordre des pouvoirs étendus pour arrêter les manifestants et exiger des entreprises de remorquage qu’elles enlèvent les véhicules des manifestants du centre-ville d’Ottawa (certaines d’entre elles ont refusé de le faire).

Les mesures d’urgence ont également permis à la police nationale — la Gendarmerie royale du Canada (GRC), en anglais the Royal Canadian Mounted Police — de fournir aux banques et autres institutions financières une liste de personnes et d’entités impliquées dans les manifestations et de leur demander de geler leurs comptes.

Le juge Mosley a estimé que l’invocation de la Loi violait l’article 2(b) de la Charte, qui traite de la « liberté de pensée, de croyance, d’opinion et d’expression », et l’article 8, qui traite du « droit à la protection contre les fouilles, les perquisitions et les saisies abusives ».

L’action de geler les comptes bancaires n’était pas « minimalement préjudiciable », a déclaré le juge, car la mesure s’appliquait partout au Canada — y compris dans les zones où il n’y avait pas de manifestations — et parce qu’il y avait « des alternatives moins attentatoires disponibles » à Ottawa.

Quelques heures après la publication de la décision du juge Mosley, la vice-première ministre Chrystia Freeland a déclaré que le gouvernement libéral a l’intention de s’y opposer.

« Nous respectons beaucoup l’indépendance du système judiciaire canadien. Cependant, nous ne sommes pas d’accord avec cette décision. Nous ferons respectueusement appel de cette décision », a-t-elle déclaré le 23 janvier.

Un camion-remorque retire un camion du convoi après que la police ait libéré la rue Wellington,
précédemment occupée par le Convoi de la liberté, à Ottawa, le 19 février 2022.
(Andrej Ivanov/AFP via Getty Images)

Poursuites contre le gouvernement et les banques

La décision du juge Mosley a été rendue à la suite d’une action en justice intentée par cinq plaignants ayant participé à la manifestation, dont deux ont vu leur compte bancaire gelé.

Trois des plaignants — M. Jost, M. Gircys et M. Cornell — ont déclaré le 29 janvier qu’ils avaient l’intention d’intenter d’autres actions en justice contre « les membres du gouvernement, les institutions financières qui ont gelé les comptes bancaires des gens, et les policiers qui ont battu et blessé des Canadiens innocents ».

M. Cornell, cofondateur de l’organisation Vétérans pour la liberté, a déclaré que son équipe juridique avait obtenu un grand succès dans la décision de la Cour fédérale et qu’ils avaient fait valoir ses droits. Son compte bancaire est l’un de ceux qui ont été gelés.

Il a indiqué que son équipe avait mis en place une initiative appelée « The Accountability Project » (Projet d’imputabilité) afin de collecter des fonds pour l’action en justice prévue. L’équipe juridique, qui est actuellement en cours de constitution, décidera si le litige prendra la forme d’une action collective ou d’une action en responsabilité civile.

« Ils veulent être sûrs de faire les choses correctement. Nous faisons entièrement confiance à l’équipe, car ce sont les personnes qui ont obtenu gain de cause lors de la contestation devant la Cour fédérale », a déclaré M. Cornell.

« J’espère simplement que les Canadiens se mobiliseront et soutiendront cette initiative. »

Bien que le juge Mosley ait décidé que M. Jost n’avait pas qualité pour contester la décision relative à la Loi sur les mesures d’urgence et qu’il ait finalement rejeté sa demande, M. Jost a déclaré qu’il était heureux de pouvoir fournir des vidéos et des preuves de première main.

« J’ai pu être présent et témoigner qu’ils nous filmaient tous. Il y avait des tireurs d’élite sur le toit. Ils avaient des armes à feu, des matraques, des balles en caoutchouc, du gaz poivré, etc. Ils attrapaient les gens et les frappaient », a-t-il déclaré.

« Je suis donc reconnaissant d’avoir pu être une autre voix pour la vérité dans cette affaire. C’était vraiment mon objectif. »

Quelque chose d’historique

M. Gircys, qui a participé à la logistique et à la coordination de la manifestation d’Ottawa, a déclaré qu’il était « abasourdi » lorsque la police municipale est intervenue pour expulser les manifestants du centre-ville.

La police affronte des participants à la manifestation du Convoi de la liberté
après l’invocation de la loi sur les mesures d’urgence, le 19 février 2022.
(Scott Olson/Getty Images)

« L’événement était pacifique, et je n’aurais jamais cru que nos services de police s’en prendraient à des manifestants pacifiques », a-t-il déclaré.

M. Gircys, un ancien enquêteur judiciaire de la police provinciale de l’Ontario, a expliqué qu’il avait observé ce qui se passait en ce qui concerne les obligations vaccinales et les restrictions de voyage, et que lorsque le Convoi de camionneurs a convergé vers la capitale du pays, il s’est senti obligé d’aller voir de ses propres yeux.

« J’ai pensé que cela pourrait être quelque chose d’historique », a-t-il déclaré.

« Lorsque nous sommes arrivés — et mon intention était de rester une nuit et de repartir — je n’arrivais pas à croire l’ampleur de l’événement, le nombre de personnes présentes, à l’importance de l’événement et à l’incroyable joie et jovialité de tous ceux réunis d’un bout à l’autre du pays. »

M. Gircys, qui est basé dans la région de Toronto et qui s’était rendu à Ottawa avec son fils, a déclaré qu’il avait dû reconduire son fils à Toronto, mais qu’il était ensuite retourné dans la capitale et était resté pour la manifestation.

Il a déclaré que les citoyens s’étaient rassemblés « naturellement » pour s’assurer que les services nécessaires tels que les toilettes, les postes de secours et l’accès au carburant étaient fournis.

« Ce que j’ai constaté, en considérant toutes les rencontres et observations sur place, était qu’il s’agissait d’un événement très pacifique », a-t-il déclaré. « Je n’ai jamais vu autant d’unité dans notre pays, et je n’ai jamais vu un groupe aussi important de personnes aussi heureuses qu’elles l’étaient. Et pourtant, j’observe constamment, chaque soir, les journaux télévisés annoncer qu’il s’agissait d’un groupe violent et haineux, alors que rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. C’était de la propagande pure et simple ».

M. Gircys a déclaré qu’après l’invocation de la Loi sur les mesures d’urgence, il a entendu dire que les comptes bancaires de certaines personnes avaient été gelés. C’est alors que ça lui est arrivé.

Il a dit qu’il avait pu obtenir un peu d’argent « grâce à la bonté et à la gentillesse de mon entourage » pour faire le plein de son véhicule et rentrer chez lui.

« Ils violent les droits à grande échelle et de différentes manières, et finalement, ils ont eu recours à une intervention massive de la police », a-t-il déclaré.

« En tant qu’ancien officier de police, avec 32 ans de service et ayant passé du temps dans la gestion des urgences en tant que membre de l’équipe d’intervention d’urgence, je suis très conscient de ce qui était sur le point de se produire du côté des forces de l’ordre. »

« Je n’en croyais pas mes yeux, car l’événement était pacifique », a-t-il déclaré.

M. Gircys se réjouit que le tribunal ait jugé injustifiée l’invocation de la Loi sur les mesures d’urgence et il est impatient de porter plainte au civil avec M. Jost et M. Cornell.

La décision du tribunal a du mordant

Chris Barber, l’un des principaux organisateurs du convoi de la liberté, a déclaré que la décision du juge Mosley est un « pas dans la bonne direction » et qu’elle aidera de nombreux Canadiens à voir comment « le gouvernement nous a piétinés pendant les manifestations ».

Rassemblement près d’un viaduc routier à l’extérieur de Toronto, Canada, le 27 janvier 2022.
(Cole Burston/AFP via Getty Images)

Il a qualifié de « vindicative » l’intention du Cabinet de faire appel de la décision.

« Il y a beaucoup de gens qui voient à quel point ce gouvernement est motivé pour détruire les citoyens canadiens et tous ceux qui s’opposent à ce qu’ils nous font subir en ce moment. Je pense que cela nous ouvre les yeux », a-t-il déclaré.

M. Barber et sa collègue organisatrice Tamara Lich sont actuellement en procès à Ottawa pour méfait, en raison de leur rôle dans la manifestation.

M. Barber a déclaré que la récente décision « aidera certainement notre procès », qui a commencé en septembre 2023 et se prolongera probablement jusqu’à l’été.

Un autre organisateur du Convoi, Tom Marazzo, qui est un ancien militaire, a déclaré à Epoch Times que, contrairement à la Commission sur l’état d’urgence (CEDU), qui avait donné raison au gouvernement fédéral pour avoir invoqué la Loi, la récente décision de la Cour fédérale a « du mordant » et « rend le gouvernement responsable de ce qu’il a fait devant une cour de justice ».

Après l’invocation de la Loi sur les mesures d’urgence, comme l’exige la Loi, la CEDU a été constituée pour évaluer si son utilisation était justifiée. Elle a été supervisée par le juge Paul Rouleau, qui a été nommé commissaire. La commission n’est pas un tribunal, mais plutôt une enquête dont le rapport est présenté au Parlement.

M. Marazzo a déclaré qu’il n’était pas surpris que le gouvernement fédéral ait pris la « décision politique » de faire appel de la décision du juge Mosley.

« Personnellement, je ne pense pas qu’ils aient le choix. Ce qu’ils vont essayer de faire, c’est d’élaborer un récit pour faire de cette décision un point d’interrogation dans l’esprit des électeurs », a-t-il déclaré.

« Car s’ils acceptent la défaite et ne la contestent pas, c’est comme s’ils acceptaient une décision selon laquelle les libéraux ont fait quelque chose de mal. »

Si la contestation du gouvernement atteint la Cour suprême, M. Marazzo a déclaré que le gouvernement libéral pourrait « être en difficulté » si le juge en chef de la Cour suprême, Richard Wagner, est contraint de se récuser pour avoir déjà critiqué le Convoi, le qualifiant de « début de l’anarchie où certaines personnes ont décidé de prendre d’autres citoyens en otage ».

En mai 2022, un groupe d’avocats a déposé une plainte auprès du Conseil canadien de la magistrature, affirmant que les critiques du juge Wagner à l’égard du Convoi minaient la confiance dans l’impartialité des tribunaux en ce qui concerne la Loi sur les mesures d’urgence.

Marco Van Huigenbos, conseiller municipal de Fort Macleod (Alberta), qui est devenu le porte-parole officieux de la manifestation du Convoi de la liberté à Coutts (Alberta), a déclaré qu’en plus de montrer qu’Ottawa avait commis une erreur en invoquant la Loi sur les mesures d’urgence, la décision de la Cour fédérale modifie la perception que le public a de la manifestation, et remet en question le « récit initialement construit et véhiculé par les médias ».

« Pour de nombreuses personnes confrontées aux tribunaux, comme moi, étant donné que c’est le public qui est l’origine du jury, cela change l’attitude dans son ensemble. Même si l’on est totalement opposé à l’affaire, on se dit maintenant que ce n’est peut-être pas ce qu’ils voient, que le gouvernement a peut-être dépassé les bornes », a déclaré M. Van Huigenbos.

« Pour ceux qui savaient depuis le début qu’il y avait une mauvaise gestion, un manque de communication entre les différents niveaux de gouvernement et une volonté d’écraser cette [manifestation] au lieu de communiquer, c’est maintenant devenu le courant dominant. C’est maintenant le récit. »

Une manifestante tient une pancarte disant « Je veux retrouver ma liberté » lors d’une manifestation
contre les mandats liés aux vaccins COVID-19, dans le centre-ville de Toronto, au Canada, le 5 février 2022.
(Geoff Robins/AFP via Getty Images)

Les groupes de défense des libertés civiles soutiennent la décision

Deux groupes de défense des libertés civiles, l’Association canadienne des libertés civiles (ACLC) et la Fondation constitutionnelle canadienne (FCC), avaient fait valoir dans le cadre de l’affaire que le gouvernement libéral n’avait pas atteint le seuil juridique requis pour invoquer la Loi sur les mesures d’urgence.

Christine Van Geyn, directrice du contentieux de la FCC, s’est déclarée « ravie » de la décision du juge Mosley.

« Il s’agit de motifs très détaillés et d’une justification complète de la position des organisations de défense des libertés civiles qui considéraient l’invocation de la Loi sur les mesures d’urgence comme illégale, injustifiée et inconstitutionnelle », a-t-elle déclaré dans un communiqué du 23 janvier.

Mme Van Geyn a déclaré que le cabinet fédéral aura une « montagne à gravir » pour faire appel de la décision, et que son organisation « attend avec impatience le combat ».

Noa Mendelsohn Aviv, directrice générale et avocate générale de l’ACLC, a déclaré que la Cour fédérale était d’accord avec l’argument de son groupe selon lequel le seuil pour invoquer la Loi sur les mesures d’urgence est « extrêmement élevé » et qu’Ottawa n’a pas réussi à démontrer qu’il y avait des menaces à la sécurité du Canada qui justifiaient l’invocation de cette Loi.

« La décision de la Cour fédérale crée un précédent clair et crucial pour tous les gouvernements à venir », a-t-elle déclaré dans un communiqué publié le 23 janvier.

James Manson, directeur du Centre juridique pour les libertés constitutionnelles (CJLC), a déclaré à Epoch Times que la décision de la Cour avait donné à son organisation « un certain encouragement » et « un message clair que la Charte des droits existe toujours et qu’elle a encore un sens ».

Le CJLC a représenté plusieurs manifestants du Convoi de la liberté devant les tribunaux, et a notamment défendu un certain nombre d’organisateurs de manifestations et d’autres personnes contre un recours collectif de 290 millions de dollars intenté par des résidents et des entreprises d’Ottawa.

Selon M. Manson, la décision de la Cour fédérale introduit la possibilité d’intenter une action en justice contre le gouvernement fédéral pour les Canadiens dont les droits garantis par la Charte ont été violés à la suite du gel de leurs comptes bancaires en vertu de la Loi sur les mesures d’urgence.

« Cela nous encourage un peu à continuer et à être confiants que, même si la route est longue, nous allons dans la bonne direction. »




En campagne pour les présidentielles, KENNEDY affirme : « Les radiations des téléphones portables nous empoisonnent »

[Source : collectif1815 (Collectif de soutien aux victimes EHS/MCS menacées sur leur lieu de vie.) via PG]

Candidat à l’élection présidentielle 2024 aux États-Unis, Robert F. KENNEDY affirme que les radiations des téléphones portables nous empoisonnent, tout comme les glyphosates. Cette information, censurée, rebat les cartes et doit nous faire réfléchir.

« Personne ne peut affirmer que les radiations de la téléphonie mobile ne sont pas dangereuses pour la Santé », cet argument a été émis ces dernières années dans plusieurs décisions de justice françaises ayant entraîné la dépose de compteurs communicants, en cohérence avec notre Constitution.

« Tant que la résistance est possible, il est essentiel de résister »

Ariane BILHERAN,Psychopathologie du totalitarisme, Guy Trédaniel éditeur, Paris, 2023.

Malheureusement les Procureurs de la République, soumis au Garde des Sceaux, appliquent la politique de l’Exécutif. Le déploiement anarchique des technologies sans fil, imposé par la Commission européenne et l’Agenda 2030, s’oppose de fait au Principe de Précaution, et, à l’ensemble de nos droits fondamentaux garantis par les traités internationaux, au premier rang desquels, Nuremberg.

L’addiction de la population à ces technologies (non pas le consentement, ni l’adhésion, mais bel et bien l’addiction telle que projetée dés 2004 dans le Livre Bleu des industries électroniques et numériques) ne saurait en aucun cas justifier la torture permanente et la mise au ban de la société des seules personnes conscientes de cet empoisonnement : les personnes électro-hypersensibles (EHS).

[Voir aussi le dossier
5G et ondes pulsées]

La question qui se pose aux tenants du Droit, ainsi qu’aux « forces vives de la Nation », est la suivante : « Pensez-vous, comme d’autres, que notre Constitution ne vaille pas la peine d’être ardemment défendue, puisqu’elle-même illégale n’ayant jamais été promulguée dans le cadre de la Loi ? ». Nous parlons ici d’un « cataclysme juridique », qui vu les violences infligées à la population, et plus particulièrement aux personnes victimes des ondes, prend sens. Mais quand les tenants du Droit violent la Loi, il est temps de se poser les questions qui font mal.

C’est toujours des États-Unis que depuis quelques décennies ruissellent les grandes orientations politiques européennes et françaises, cela pour leurs profits, et à nos dépens. Et voilà, pour la première fois, un potentiel futur président, avocat, irréprochable de probité, nous annonce un changement de paradigme. Tout comme son adversaire, Donald J. TRUMP, KENNEDY dénonce la main mise d’un « état profond » sur les institutions, les administrations et la finance ; et tous deux annoncent défendre la Souveraineté des Peuples face aux élites autoproclamées.

La révolution digitale doit aussi faire face à une autre annonce commune à ces deux candidats. Diffuser les brevets TESLA, confisqués à la mort de celui-ci. Promesse non seulement de moyens de communication sans fil non toxiques, mais aussi de sources d’énergie « libres ». Nous assistons à un changement de paradigme complet face au programme de l’Agenda 2030 qui offre l’opportunité à tous de se repositionner, de se repentir pour certains, d’agir au nom du Bien (le Bien ne saurait se satisfaire de n’être que « commun », ou de quelconque épithète, le Bien est radical, nous rappellent à nos racines en Humanité, « seul le mal est extrême », nous apprend Hannah ARENDT).

L’empoisonnement des populations est massif. Ajouter au fait qu’une grande partie de nos élites se déclarent eugénistes, qu’une grande partie de nos élites participent de sociétés secrètes (autrement dit soumises au secret de ses membres), « Citoyens de seconde zone », nous nous devons de dénoncer nos bourreaux à toutes les échelles ; et, de faire savoir, encore et encore, jusqu’à la restauration de nos droits et jusqu’à la réparation des préjudices subis ; que oui, on nous inflige des traitements indignes, un harcèlement moral et électromagnétique permanent assimilable à de la torture, et que de plus ; oui, c’est l’ensemble de la population qui est empoisonné, par une clique, alors que nous, nous sommes le Peuple Souverain.

Nous ne sommes plus qu’une poignée d’EHS militants, tant la répression à notre égard a été violente et féroce. Mais officiellement, a minima nous représentons 5 % de la population française selon l’ANSES… Cette « guerre contre les peuples » dont Claire SEVERAC a payé de sa vie, à laquelle nous participons héroïquement, « chargeant des nids de mitrailleuses une baïonnette entre les dents », nous sommes en train de la gagner. Entendons bien que nous ne sommes plus seuls. Entendons bien que la machine de guerre, l’intelligence artificielle, est utilisée par toutes les parties. Soyons certains que ces algorithmes enregistrent chaque frappe de clavier, les classent et les enregistrent avant de les traiter par mots-clefs, cela en fonction de ses objectifs à terme.

Exposer les faits numériquement, c’est prendre activement part à cette guerre. EHS, nous nous devons cet effort, pour ne pas dire cette douleur pour ceux d’entre nous qui ne supportent plus la proximité d’une source électromagnétique artificielle. Le portail de justice.fr nous offre cette opportunité de participer activement à l’effondrement de ceux qui nous privent de nos droits. Et peu importe que les Procureurs se saisissent de nos plaintes, ce qui importe c’est de témoigner, de documenter, par là même de recouvrer notre Dignité et l’estime de soi. Les algorithmes, la machine numérique peuvent aussi être un allié, tout dépend de celui qui en analyse les données !

Force est de constater que « l’état profond » n’est plus seul à détenir ces technologies de contrôle. Aussi, français, de par les avancées exemplaires obtenues ses dix dernières années (handicap, accident du travail, maladie professionnelle, interdiction du wifi dans les crèches, déposes de compteurs communicants, protection préfectorale par arrêtés municipaux, remboursement de frais de blindage, trouble du voisinage…), il nous faut participer, encore, malgré tout, à ces derniers coups de boutoir et donner un signal clair tant à nos ennemis qu’à nos alliés ; et faire face à ceux qui voudraient nous médicaliser, tout en niant la toxicité des radiations non ionisantes concernées, cela alors même que le consentement du patient est remis en cause et que « la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique » pourrait constituer un délit passible d’un an emprisonnement et de quinze mille euros d’amende.

« Reprendre notre pouvoir, c’est avant tout reprendre notre pouvoir sur notre sphère émotionnelle (…), maintenir un état émotionnel a minima stable, a maxima joyeux. Car l’objectif du pouvoir harceleur est bien de nous maintenir dans cette terreur, dans cette culpabilité, dans cette tristesse et dans ce choc traumatique dont il se nourrira et à partir duquel il pourra continuer à nous manipuler »

Ariane BILHERAN, Psychopathologie du totalitarisme, Guy Trédaniel éditeur, Paris, 2023.






Le double discours de la propagande US : L’opposition CTRL-X — Parties 2 et 3

[Source : AKINA | Le Front Médiatique]

[Voir :
Le double discours de la propagande US : L’opposition CTRL-X (Partie 1/3)]








Le pape François, un hérétique

[Source : @Cielvoile]

[Voir aussi :
Mgr Viganò : L’intention de Bergoglio est de nuire aux âmes, de discréditer l’Église et d’offenser Dieu
PCB : L’histoire de l’Église et le Synode suicidaire sur la synodalité de Bergoglio
Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
La crise dans l’Église Catholique
François, est-il le pape du Great Reset ?
François, pape des pauvres et de l’écologie ? Ou pape de l’élite globale ?
Rien que la vérité sur la « démission » de Benoît XVI
Mort de Benoît XVI : du siège empêché au siège vacant. Le Pape François n’existe pas (mais l’antipape oui)]






Les fissures commencent à apparaître à Davos

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Simplicius Le Penseur — Le 2 février 2024 — Source Dark Futura

Le WEF 2024 à Davos — la principale retraite des mondialistes — s’est tenu du 15 au 19 janvier. À bien des égards, il s’agissait d’un événement particulier, car c’était le premier conclave de ce type où les élites affichaient une peur et une appréhension palpables face à la direction que prend la société et au retour de bâton d’une humanité de plus en plus défiante.

Officiellement, le climat et la désinformation ont dominé l’ordre du jour de leur programme, qui a été sponsorisé sous le titre « Reconstruire la confiance ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Qu’est-ce qui peut bien amener les élites à penser qu’elles ont rompu notre confiance ? se demande-t-on. Il apparaîtra clairement dans leurs moindres gestes au cours du déroulement du symposium que les élites sont terrifiées par les troubles qu’elles ont elles-mêmes créés.

Voici le rapport complet qu’ils ont publié à la veille de la convocation. L’ensemble est modelé sur la hiérarchie des risques suivante, montrant les perspectives à deux ans et à dix ans des risques, classés dans l’ordre :

Il est clair qu’à court terme, c’est la désinformation qui leur donne le plus de fil à retordre. Cela est dû, selon eux, au fait que les deux prochaines années seront riches en élections mondiales cruciales au cours desquelles la désinformation jouera un rôle de premier plan. Pour les perspectives à dix ans, ils battent naturellement les bongos du climat à pleines dents, car cela reste leur plus savant filon.

Dès les premières pages, ils commencent par admettre que la majorité des participants pensent que le modèle mondial unipolaire cessera de dominer au cours de la prochaine décennie :

Ces risques transnationaux deviendront plus difficiles à gérer à mesure que la coopération mondiale s’érodera. Dans l’enquête de cette année sur la perception des risques mondiaux, deux tiers des personnes interrogées prévoient qu’un ordre multipolaire dominera au cours des dix prochaines années, les puissances moyennes et les grandes puissances établissant et appliquant — mais aussi contestant — les règles et normes actuelles.

Le manque de conscience de soi des élites est cependant toujours stupéfiant. En lisant ces pages, on est surpris de constater que toutes les raisons invoquées pour expliquer pourquoi le monde se dirige vers ces eaux troubles pointent directement vers la mauvaise gestion des affaires mondiales par les élites elles-mêmes. Par exemple, ils pensent que le monde se précipite vers cette multipolarité « dangereusement instable » parce que la confiance dans les institutions occidentales, en particulier dans le leadership mondial, s’est érodée. Se sont-ils posé la question de savoir pourquoi il en est ainsi ?

Depuis plusieurs décennies, les États-Unis et leurs vassaux des Nations unies ont écrasé le monde en développement, menant sans relâche la guerre, la terreur et le chaos partout où ils le jugeaient bon. Les pays du Sud sont restés silencieux, attendant leur heure, uniquement parce qu’ils n’avaient pas la capacité de résister correctement. Mais maintenant qu’ils ont acquis cette capacité, nous sommes censés oublier le déchaînement vertigineux de l’Occident et l’étalage flagrant de son hypocrite « État de droit » et de ses « règles fondées sur l’ordre » ?

Ils se rapprochent d’un semblant de conscience de soi dans la section suivante, où ils citent les milliardaires non élus propulsés à de nouveaux sommets de pouvoir et d’influence par l’ère de l’IA comme une source d’inquiétude particulière :

Cela intervient juste après l’annonce que Microsoft vient de franchir le seuil des 3 000 milliards de dollars de capitalisation boursière, dépassant ainsi Apple pour redevenir la « société la plus précieuse » du monde. Apple et Microsoft représentent à eux deux plus de 13 % de l’ensemble du S&P 500.

Nous avons pu constater de visu le pouvoir que Bill Gates a exercé au cours de son ascension vers une sorte d’influence politique mondiale non élue. L’article du WEF craint à juste titre que le caractère « autoréférentiel » de la croissance des start-ups de l’IA permette aux entreprises qui réalisent des percées dans ces technologies, qui incluent l’informatique quantique, d’exercer de vastes pouvoirs en vertu de l’omniprésence de leurs technologies « à double usage et à usage général ».

La capitalisation boursière de Microsoft, qui s’élève à 3 000 milliards de dollars, représente une masse d’argent plus importante que le PIB de la majorité des pays de la planète. Une entreprise unique exerçant un tel pouvoir ne peut être comparée qu’à la Compagnie des Indes orientales des années 1600-1800, qui disposait de sa propre armée privée et pouvait facilement écraser des nations entières.

Mais venons-en à l’aspect le plus intéressant du conclave de cette année : la révolte tranquille des globalistes.

Cette année, on a enfin eu le sentiment que les technocrates globalistes n’étaient plus tous sur la même longueur d’onde. De tels groupes fonctionnent comme un sous-produit de la forte pression exercée sur le groupe pour qu’il se conforme à l’orthodoxie établie. Divers mécanismes permettent de maintenir l’uniformité, depuis les incitations commerciales jusqu’aux menaces pures et simples, en passant par le kompromat. Ainsi, lorsque les globalistes commencent à se révolter contre les leurs, remettant en cause le discours, rompant avec le sacro-saint ordre du jour, il s’agit d’un moment décisif de « rupture de barrage ».

La dernière retraite de Davos a été marquée par plusieurs cas de ce genre. Le plus médiatisé est le grand discours de Javier Milei sur la destruction du monde, qu’il a qualifié de « [planter] les idées de liberté dans un forum contaminé par l’agenda socialiste 2030 ».

En substance, il a prétendu avoir assisté à la réunion du WEF dans le seul but de subvertir les globalistes de l’intérieur. Faites-en ce que vous voulez — je suis moi-même assez ambivalent sur Milei, avec un fort penchant pour le scepticisme. Mais il est indéniable que son discours — en particulier la dernière partie — a servi de moment de raclement de gorge aux étatistes et aux globalistes présents.

Le plus remarquable est que, sur la grande scène du WEF lui-même, il a rejeté de manière significative le mandat du « changement climatique », ou le fait que les humains soient responsables de tout changement naturel dans l’environnement. On ne s’attendait pas à ce que cette déclaration soit prononcée à la tribune de l’institution la plus importante du monde en matière de changement climatique.

Le reste de sa polémique était terne, puisqu’il s’est attardé sur ce terrible cheval de bataille qu’est le « socialisme », le considérant comme le principal cheval de bataille de l’élite du WEF, se positionnant ainsi commodément comme le grand iconoclaste audacieux.

En réalité, Schwab et ses semblables ne se soucient pas le moins du monde de ce type d’encadrement sémantique — ils sont experts dans l’art de coopter et de s’approprier n’importe quel système pour parvenir à leurs fins. Si vous leur donnez le contrôle d’un pays « socialiste », ils utiliseront leur dirigeant fantoche pour imposer des obligations de haut en bas via la « planification centrale » qui correspond à leur agenda ; donnez-leur un pays « capitaliste de libre marché », et ils utiliseront leurs vastes sociétés transnationales pour déraciner et capturer toutes les industries, en les intégrant dans le méga-monopole mondial. En d’autres termes, ce n’est pas un système contre l’autre, c’est l’humanité contre une cabale d’élites financières contrôlant le système bancaire occidental et, par extension, toutes les entreprises et industries.

Prochain sur la liste de la révolte sans précédent de Davos : Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone.

Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone, déclare à la foule de Davos que les États-Unis ne sont pas prêts pour quatre années supplémentaires de déficits de 2 000 milliards de dollars de Biden, d’invasion de 8 millions de clandestins et d’un ratio dette/PIB de plus en plus élevé. Il a raison.

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il est suivi par le PDG de JPMorgan Chase, Jamie Dimon, qui déclare de manière très pressante :

« Si vous ne contrôlez pas les frontières, vous allez détruire notre pays ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

C’est ce fil X qui a le mieux rendu compte de l’étonnante évolution de l’esprit du temps :

Il y a ici quelque chose d’extrêmement important qui n’est pas reconnu, mais ceux qui savent lire entre les lignes s’en rendent compte et cela effraie les gens : Des éléments de la classe de Davos **se préparent à faire défection vers le mouvement Trump/populiste**.

Le monde actuel est terrifiant pour la classe Davos. Tout va mal, les populistes sont entrés dans le sanctuaire intérieur et disent ouvertement « vous êtes le problème, votre malheur est proche », et on a le sentiment que le système néolibéral international est au bord de l’abîme.

L’économie — qui est ce qui maintient à flot l’ordre international dirigé par les États-Unis (c’est-à-dire l’ordre néolibéral, alias l’empire américain) pour l’instant — est en train de se dégrader. Même si Trump devait *perdre* l’élection présidentielle, il est entendu que la situation se dégraderait.

Et ils ne pensent pas que Trump va perdre. Ces personnes, aussi désemparées qu’elles puissent être, voient également les sondages d’opinion et sentent où vont les choses.

Ce sentiment de malheur imminent crée BEAUCOUP de panique et de déni dans les cercles Démocrates et néolibéraux. Les élections sont impossibles à gagner, les voler à nouveau est plus difficile cette fois-ci parce que tout le monde a compris…

La légitimité de leur système (« méritocratie »/règle de l’expert) s’effondre (« adultes dans la pièce » est désormais une blague), l’environnement international ne peut pas tenir (voir : Ukraine, Israël, Taïwan, la mer Rouge, etc.), la coalition arc-en-ciel à l’intérieur commence à se déchirer elle-même…

Les Démocrates et les néolibéraux — qui ont passé 8 ans à se convaincre et à convaincre tout le monde que Trump était un dictateur imminent — sont convaincus qu’Orange Hitler est sur le point de s’emparer du Reichstag. Et à ce stade, Trump a dit : « Et puis merde, je serai le monstre que vous pensez que je suis ».

Mais voilà : tandis que les Démocrates et les progressistes crient que leur navire est en train de couler et que l’eau glacée les attend, certains centristes néolibéraux à la tête froide regardent les canots de sauvetage et se disent « … en fait, il y a peut-être une issue ici ».

Les membres de la classe de Davos n’en sont pas à leur premier coup d’essai. Ces financiers et hommes d’affaires ont vécu l’ascension de Poutine et la purge des oligarques, Xi faisant de même et imposant des « exigences » aux entreprises désireuses d’accéder au marché, etc.

Aujourd’hui, un bon nombre d’entre eux croient *véritablement* qu’une répétition de ces événements pourrait être à l’ordre du jour pour les États-Unis. Désireux de survivre, certains d’entre eux seront prêts à passer un accord avec le diable. Surtout s’il leur dit « signez maintenant ou sinon ».

« Et si je ne m’inscris pas ? », se disent-ils. « Est-ce que je veux VRAIMENT prendre le risque d’être sur la liste de merde de l’administration Trump ? ». Dans un environnement populiste et anti-élite ? Dans un contexte de récession/dépression imminente ? Dans un environnement mondial de plus en plus multipolaire ? »

Donc, si vous êtes un type de la classe Davos — dans la finance, le capital-investissement, les entreprises multinationales, certains types de think tank/académiques/à but non lucratif qui dépendent des connexions politiques — votre instinct est de SURVIVRE à tout prix. Si cela implique un accord avec le populiste, alors…

L’OP s’inspire de ce nouvel article de Bloomberg :

https://www.bloomberg.com/news/articles/2024-01-19/davos-sees-the-global-economy-settling-into-strange-new-dynamic

Les six membres du panel ont été chargés de résumer l’ambiance à Davos après une semaine où les participants ont eu tendance à donner un visage courageux aux perspectives mondiales, en accentuant la probabilité qu’une récession profonde sera probablement évitée malgré un resserrement monétaire sans précédent pour maîtriser l’inflation.

L’article résume l’ambiance comme étant tendue, les élites inquiètes invoquant même ouvertement la possibilité que le dollar soit détrôné en tant que monnaie de réserve mondiale :

« Si nous ne résolvons pas ce problème (les questions budgétaires), quelque chose va arriver au dollar », a-t-il déclaré. « Si les États-Unis ne parviennent pas à se ressaisir sur le plan budgétaire, à un moment donné, les gens feront ce qu’ils ont fait à la livre sterling et au florin néerlandais il y a des années. »

Certains ont continué à porter des « masques de bravoure », mais d’autres ont exprimé leur incrédulité face à ce qui se passe :

Ken Rogoff, professeur à l’université de Harvard, s’est inquiété de ce que« la situation géopolitique ne ressemble à rien de ce que j’ai pu voir au cours de ma vie professionnelle ».

Enfin, le président de la Heritage Foundation, Kevin Roberts, a couronné la désillusion du WEF en assénant aux technocrates aux yeux écarquillés sa marque unique d’incision éloquente :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

La polémique de Roberts est ce que celle de Javier Milei aspirait à être. Il a donné la parole aux élites fatiguées, les déshabillant précisément sur les questions que tous les autres ont si peur d’aborder. La vérité, c’est qu’une grande partie des élites globales — même celles qui sont ostensiblement globalistes — ne sont pas d’accord avec les changements les plus extrêmes de ces derniers temps. Elles savent simplement qu’elles doivent porter la cruche d’eau pour BlackRock et consorts afin d’éviter certaines « pénalités » sociales et d’entreprise.

C’est pourquoi il y a de fortes chances que nous assistions dans les années à venir à une sorte de réorientation : les plus raisonnables d’entre eux reviendront du côté de la rationalité. Dans cette optique, la réunion de Davos pourrait être considérée comme l’un des premiers moments canaris dans la mine pour l’orientation des choses.

Les élites sont stratifiées comme tout le reste, ce qui signifie que les contingents les plus radicaux et les plus marginaux continueront à porter la lance de l’avant-garde pour avancer sur de nouveaux territoires. C’est pourquoi, malgré les fractures évidentes et la nervosité qui envahit leur classe pour la première fois, les ultra-radicaux parmi eux ont continué à faire avancer leurs plates-formes extrêmes.

La dernière menace prototypée à Davos est la « maladie X » :

Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus, a été accosté par un journaliste intrépide alors qu’il se rendait à la soirée de Schwab :

« Quand allez-vous lancer la maladie X ? »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Naturellement, l’objectif de cette génération de la peur est de nous ébranler suffisamment pour empêcher l’encre de sécher sur les approbations des thérapies géniques à l’ARNm par le biais de l’éternel « stratagème de la tension sans fin », ainsi que de préparer la table psychologique à l’éventualité d’une nouvelle fausse pandémie pour nous bloquer à un autre point clé, permettant de dissimuler une nouvelle fraude financière ou électorale historique.

Comme à l’accoutumée, l’agenda climatique a occupé la première place de l’événement. Certains des piliers reconnaissables qui ont inlassablement fait grimper le rocher frauduleux sur la colline pendant des années ont à nouveau alimenté le chœur :

Le gagnant de l’assaut le plus flagrant contre la rationalité a été le banquier suisse Hubert Keller pour sa conférence sur les effets néfastes du café sur l’environnement, avec l’implication que ceux qui ont une conscience devraient en boire beaucoup moins (sans parler de l’implication encore plus grave que les élites viendront un jour prendre tout notre café) :

« Chaque fois que nous buvons du café, nous rejetons du CO2 dans l’atmosphère. »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Sans blague !

Et pendant que ces dandys minaudant se livraient à des tête-à-tête dans les salles perverses de l’Imaginarium de Klaus Schwab, dans les zones interdites de leurs demesmes, les hordes opprimées étaient entrées dans une frénésie bacchanale ; le rite parisien, en particulier, était un offertoire d’abats pour les siècles à venir :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Macron, pendant ce temps, cosplayait avec les rois suédois, indifférent au cri de l’âme de son peuple :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Juxtaposition évocatrice ! [NDRL En français dans le texte original anglais.]

Les condamnations ne se sont pas limitées au café, mais, comme d’habitude, à l’ensemble de l’approvisionnement alimentaire, qui, selon l’élite, « carbonise la planète » :

L’information d’entreprise s’est jointe à l’incursion malthusienne chorégraphiée. Cette séquence classe effectivement les enfants dans la catégorie des accumulateurs de carbone :

Un lobbyiste de l’environnement a déclaré mardi aux téléspectateurs de la chaîne d’information britannique GB News que le fait d’avoir des enfants pose un « problème moral » en raison de la quantité de carbone qu’ils produiront au cours de leur vie.

Donnachadh McCarthy a affirmé que les gens devraient avoir moins d’enfants, et qu’avoir un seul enfant est « formidable ».

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Entre-temps, les capitales européennes se sont embrasées — les supermarchés du Paris dystopique se sont vidés en raison des grèves généralisées des agriculteurs :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Aujourd’hui encore, alors que les dirigeants européens se réunissaient au sommet de l’UE à Bruxelles, la dévastation régnait autour d’eux ; une statue de l’industriel John Cockerill a été symboliquement déboulonnée juste devant le parlement :

Des balles en caoutchouc et des canons à eau ont été déployés contre des centaines d’agriculteurs européens qui manifestaient devant le bâtiment du Parlement européen à Bruxelles ce jeudi. Les agriculteurs ont lancé des œufs, des feux d’artifice et des incendies à proximité du bâtiment, tout en exigeant que les dirigeants européens cessent de les punir en leur imposant davantage de taxes et de coûts pour financer un soi-disant« programme vert ».

Mais ne vous inquiétez pas, la Maison Blanche montre l’exemple en remplaçant John Kerry par un nouveau tsar du climat plus « sain » :

https://www.reuters.com/world/us/white-houses-podesta-replace-kerry-us-climate-envoy-wash-post-2024-01-31/

N’êtes-vous pas tout simplement soulagé de voir que certaines des plus brillantes personnalités de cette administration sont affectées aux tâches les plus urgentes ?

Mais le dernier point le plus troublant mis en avant par les globalistes concerne la « désinformation ». Ce qui est le plus frappant, c’est que leur ton correspond à l’urgence exprimée sur d’autres questions évoquées plus haut. Ici aussi, ils ont manifesté une crainte croissante de perdre la guerre des récits et d’aliéner la population.

Cela s’est produit à la suite de licenciements massifs dans l’ensemble des médias d’information et de l’industrie de la publication et de l’impression :

Taylor Lorenz l’a expliqué dans un document d’explication largement diffusé et à regarder absolument :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

ZeroHedge en a également parlé :

Tout le monde tombe !

BuzzFeed et Vice Media, deux anciens chouchous des médias numériques dont la taille et la pertinence ont diminué ces dernières années, sont susceptibles de devenir encore plus petits.

BuzzFeed, dont les actions ont perdu plus de 97 % de leur valeur depuis son entrée en bourse en 2021, cherche à vendre ses sites de cuisine, Tasty et First We Feast, selon des personnes au fait de la situation. Par ailleurs, Fortress Investment Group, qui a repris Vice en faillite l’année dernière, est en pourparlers pour vendre son site Refinery29, axé sur le style de vie des femmes, ont indiqué d’autres personnes.

Quel est donc le problème, exactement ? Pourquoi l’ensemble du secteur est-il en train de « s’effondrer », comme l’a dit Lorenz ? Et pourquoi les élites font-elles soudain preuve d’une conscience de soi aussi rare et inhabituelle dans leur horreur d’être remplacées ?

Le symposium du WEF a tenté de résoudre le dilemme :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il admet que, pour une fois, les gens exigent de leur journalisme qu’il rende des comptes. Ils veulent savoir comment leurs informations sont sourcées, d’où elles viennent et pourquoi. Et ce, après des années pendant lesquelles les organes d’information des grandes entreprises ont considéré leur liberté comme acquise et ont totalement érodé leur propre fiabilité en prenant des raccourcis, en contournant les règles et en suivant généralement des « règles non écrites » hautement contraires à l’éthique et politisées. Cela inclut les nouvelles normes modernes telles que les « sources anonymes » paresseuses qui remplacent les fuites politisées évidentes, et d’autres choses de ce genre.

Mais le problème le plus important est bien sûr la nouvelle prédominance des médias sociaux et des médias alternatifs, un sujet que j’ai largement abordé dans cet article :

En particulier depuis que Musk a abaissé les garde-fous en rachetant X, l’information [presque] libre circule sans être entravée par les reliques obsolètes des médias d’entreprise. C’est principalement pour cette raison que le consortium de Davos a placé la « désinformation » en tête de liste de ses ennemis à court terme.

L’ignoble dame Von Der Leyen le souligne dans son discours :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il n’est donc pas surprenant qu’elle cite la mise en œuvre par l’UE de la « loi sur les services numériques » comme le summum de la maîtrise de ce fléau existentiel qu’est la « liberté d’expression » et qui les a tant ébranlés. La loi sur les services numériques est un sujet que j’ai également abordé :

https://darkfutura.substack.com/p/censorship-clampdowns-redux-eu-dsa

Sans parler de l’anticipation des mesures de répression massives qui ne manqueraient pas d’arriver, tant la confiance de l’establishment avait été érodée.

Après tout, faut-il s’étonner que des gens comme eux n’arrivent pas à comprendre pourquoi plus personne ne les prend au sérieux ?

Ce qui précède n’est pas une blague, soit dit en passant. Plusieurs grands noms de l’information ont récemment dénoncé le laxisme de la censure chinoise à l’égard de leur poule aux œufs d’or, Israël : NYTimes et CNN notamment. Avez-vous jamais pensé que vous vivriez assez longtemps pour voir la propagande orwellienne à l’envers prendre une tournure telle qu’elle reproche à la Chine d’être trop libre ?

Les personnes qui nous ont fait la leçon sur les dangers de lire en dehors des lignes sont maintenant terrifiées que nous les ayons ignorées et que nous continuions à penser par nous-mêmes.

C’est le problème de ces globalistes : pour cacher leurs crimes, ils doivent continuer à doubler la mise, mais cela demande toujours plus d’efforts et une complexité croissante dans la mise en relation de points improbables et absurdes et dans la gymnastique de l’excuse. C’est un peu comme la théorie de la relativité et la vitesse de la lumière : plus on se rapproche de la vitesse, plus les besoins en énergie deviennent ridiculement irréalistes.

On a de plus en plus l’impression que les élites atteignent un niveau asymptotique, et que l’absurdité de leurs concoctions superposées est sur le point d’éclater.

Simplicius Le Penseur

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Science du climat : faiblesses et manquements

L’analyse d’un ingénieur

[Source : fr.irefeurope.org]

Par Pascal Iris

Un travail bibliographique, portant exclusivement sur les publications de chercheurs spécialisés reconnus par le GIEC, montre que les modèles de simulation climatique qui sont le cœur de la recherche climatique actuelle et les seuls outils susceptibles de fournir des prévisions chiffrées sont en réalité inexploitables.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce sont les numériciens du climat qui l’écrivent eux-mêmes dans des publications spécialisées qui restent confidentielles faute de relais médiatiques et institutionnels.

Le présent travail montre qu’en réalité la plus grande incertitude règne en la matière, avec l’incapacité de simuler certains phénomènes atmosphériques dominants (comme les nuages), l’absence de fiabilité des résultats et le caractère contestable de leur exploitation.

Pourtant ces modèles sont à l’origine de l’équation qui mène aujourd’hui le monde occidental vers la fameuse « neutralité carbone en 2050 » qui limiterait la hausse de la température mondiale à environ 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle.

Pour l’auteur, la société est ainsi entraînée sur la pente brutale de la décarbonation généralisée, malgré l’absence d’une information équilibrée sur l’état réel de la recherche scientifique qui fonde les décisions de politique publique.

Une démarche fondée sur la raison critique.

Pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté, posons en préambule qu’il est clair, pour nous comme pour la très grande majorité de la population, que la protection de l’environnement et l’utilisation sobre et rationnelle de l’énergie sont un enjeu majeur pour l’avenir. Il est également indéniable que la température moyenne de l’atmosphère a augmenté ces 200 dernières années.

Aujourd’hui des décisions drastiques et engageant l’avenir sont prises au motif que la science climatique aurait définitivement statué, science qui aurait « parlé », comme il est commun de l’entendre.

Sur le fond, constater l’élévation de température ces 200 dernières années est une chose (assez complexe en soi), en interpréter la cause en est une autre, et quantifier l’avenir une troisième : la thermodynamique de l’atmosphère n’a malheureusement pas la simplicité de la bille qui tombe sous l’effet de la pesanteur !

Elle est au contraire d’une extrême complexité, chacun le reconnaît et il y a un paradoxe entre cette complexité admise et la simplicité de « la seule faute au CO2 ».

Faisant totalement fi de ce paradoxe, les politiques publiques en la matière se résument désormais à la « décarbonation » de la société tout entière.

Alors, que dit vraiment la science du climat ?

Compte tenu des enjeux, il n’est pas inutile de se poser cette question, si peu abordée tant les choses paraissent certaines et sans appel.

Pour le savoir, un travail bibliographique a été entrepris, EXCLUSIVEMENT fondé sur des publications de scientifiques spécialisés reconnus, par le GIEC en particulier, de façon à éliminer tout biais qui pourrait qualifier la démarche de « climatosceptique ».

La modélisation numérique au cœur de la recherche climatique

Aujourd’hui, la climatologie est un large domaine d’étude et de recherche qui relève de nombreuses disciplines scientifiques distinctes les unes des autres (océanographie, glaciologie, hydrologie, astronomie, géologie, thermodynamique, paléoclimatologie, histoire, analyse numérique, physique du rayonnement, etc.).

Aucune de ces disciplines n’est, à elle seule, capable d’une interprétation globale et encore moins d’une évaluation quantitative.

Les seuls outils susceptibles d’évaluer les températures futures de la planète sont les modèles climatiques de simulation, les plus évolués étant dénommés « modèles climatiques globaux ».

Supposés intégrer l’ensemble des facteurs en jeu, ces outils de simulation sont à l’origine de l’équation du GIEC qui gouverne désormais l’avenir de nos sociétés européennes : neutralité carbone en 2050 = espérance d’une élévation de la température moyenne limitée à 1,5 °C en 2100 (par rapport à l’ère préindustrielle).

Si leur rôle est central, quelles sont les capacités réelles de ces modèles ?

Cette question, qui n’est jamais posée publiquement et dont le GIEC ne fait aucunement état dans ses « résumés aux décideurs », mérite pourtant de l’être.

La modélisation du climat est par ailleurs une discipline qui présente la particularité d’être hyper spécialisée, extrêmement complexe et surtout quasi confidentielle parce que les numériciens du climat représentent une infime minorité de chercheurs étiquetés « spécialistes du climat ».

Elle est de ce fait quasi inaccessible, y compris aux autres scientifiques et c’est là un second paradoxe, loin d’être négligeable vu l’importance stratégique de la discipline.

La question du « réglage » des modèles climatiques

Un modèle, c’est la représentation virtuelle et discrétisée d’un domaine au sein duquel se développent des phénomènes physiques que l’on formalise par des équations, dont on estime certains paramètres directeurs non mesurables et qu’on borne par des conditions spécifiques aux limites du domaine.

Qualité des « équations », « conditions aux limites » et « réglage » des paramètres directeurs sont les facteurs clefs de toute simulation numérique.

Des incertitudes peuvent concerner ces trois éléments, mais le plus critique, quand il s’agit de modéliser la géosphère (c’est-à-dire les milieux naturels), est l’estimation des paramètres directeurs des équations, dénommée souvent « calage » ou « réglage » du modèle. On le fait en ajustant les résultats de calcul sur des historiques pertinents de données, quand ils existent, ou bien on les estime comme on peut.

Le réglage est par conséquent un acte essentiel et délicat, consubstantiel à la modélisation elle-même. Les résultats de calcul y sont très sensibles et les paramètres non mesurables sont un des talons d’Achille de la modélisation des milieux naturels, tous les numériciens le savent et ont à gérer ce sujet. Cela fait partie de leur « art » qui ne relève en aucun cas du « presse bouton ».

Un résultat de modélisation doit par conséquent s’accompagner d’une notice sur ces paramètres, les hypothèses qu’ils contiennent et l’incertitude qu’ils produisent sur les résultats de calcul.

Dans le cadre d’une étude d’intercomparaison des modèles à l’échelle internationale reconnue par le GIEC, un article collectif publié en 2017 sous la direction de F. Hourdin du laboratoire de météorologie dynamique (CNRS — Université Pierre et Marie Curie)1 constate la très faible prise en compte de la question du « réglage » des modèles et regrette explicitement que le GIEC ne s’y intéresse pas. L’opacité sur le sujet est signalée par les auteurs qui y voient une lacune importante. Ils appellent explicitement à plus de transparence.

Le papier est très honnête, très direct et en même temps édifiant compte tenu de l’importance du sujet.

Je cite :

« Il existe une subjectivité dans le réglage du modèle climatique […]il est souvent ignoré lors des discussions sur les performances des modèles climatiques dans les analyses multimodèles […] Pourquoi un tel manque de transparence ?

« Cela est peut-être dû au fait que le réglage est souvent considéré comme un élément inévitable, mais sale de la modélisation du climat […]un acte de rafistolage qui ne mérite pas d’être écrit dans la littérature scientifique […]

« Le réglage peut en effet être considéré comme un moyen inracontable de compenser les erreurs de modèle. »

Au-delà de sa clarté, ce propos direct illustre parfaitement une lacune méthodologique majeure, car l’exploitation des résultats s’exonère manifestement de toute documentation sur les hypothèses de calcul, sur les conditions de réglage, sur la sensibilité des résultats aux paramètres, etc. toutes choses élémentaires et encore une fois consubstantielles à la simulation elle-même.

Un jury de thèse demanderait systématiquement ces éléments à un doctorant présentant des résultats de calcul. Cette situation n’est par conséquent pas conforme aux « règles de l’art » et les spécialistes la dénoncent à juste titre.

Mais les auteurs vont plus loin, je cite :

« Vingt-deux groupes sur 23 ont signalé avoir ajusté les paramètres du modèle pour obtenir les propriétés souhaitées, en particulier à la partie haute de l’atmosphère. »

Cette phrase ne peut que susciter davantage d’interrogations : suggérerait-elle que cette opacité permettrait de régler les modèles pour obtenir les résultats souhaités ?

À la recherche des résultats attendus

En creusant davantage, on découvre que tel est bien le cas, au moins dans un cas publié : un modèle, mis en œuvre en 2019 au sein de l’Institut Max Planck de climatologie en Allemagne2, conduisait à une sensibilité climatique à l’équilibre (ECS) de 7 °C jugée irréaliste (la sensibilité climatique est la variation de la température mondiale estimée pour un doublement du CO2 par rapport à l’ère préindustrielle).

On comprend qu’un paramètre de réglage de la convection atmosphérique a été multiplié par 10 par rapport à la valeur initialement estimée, pour corriger la chose et aboutir à une sensibilité considérée comme plus acceptable de 3 °C…

Je cite :

« […] nous avons décidé de viser une sensibilité climatique d’équilibre d’environ 3 °C. La réduction de la sensibilité du modèle a été principalement obtenue en augmentant le taux d’entraînement pour une convection peu profonde d’un facteur 10 […] dans le but de réduire la rétroaction des nuages tropicaux de basse altitude. »

On ne peut que s’interroger sur la pertinence de ce « réglage » de circonstance : pourquoi multiplier par 10 le paramètre jugé correct initialement, pourquoi pas 5, 20 ou 50… ?

Quel est le sens physique d’un tel réglage ?

Cette question précise est essentielle, car si l’on n’est pas capable de clarifier le sens physique d’un réglage, le modèle perd totalement de son intérêt et de sa pertinence : il fait l’objet d’un ajustement opportuniste sans nécessaire cohérence avec la physique des phénomènes simulés.

L’article n’en parle pas alors que c’est un des pièges bien connus du réglage ; on peut faire l’analogie (également bien connue des statisticiens) avec les corrélations sans cause.

Ce réglage montre simplement que, toute chose étant égale par ailleurs et en particulier à effet de serre donné, la mécanique interne de l’atmosphère, en l’occurrence la convection des nuages, a un impact considérable sur la température.

La mise en évidence de l’influence d’un tel « mécanisme interne » ne manque pas d’intérêt, à l’inverse de la température qui, calculée dans ces conditions, n’en présente aucun.

Tout cela pose question et c’est un euphémisme.

Des objets de recherche incertains.

En 2020, F. Hourdin et son équipe précisent la problématique à gérer et les modalités d’amélioration de leur modèle3.

Je cite :

« […]Il est communément admis qu’une grande partie de l’incertitude dans les projections futures du changement climatique avec les modèles climatiques mondiaux provient de la représentation de processus physiques non résolus par ce qu’on appelle des paramétrisations, et en particulier des paramétrisations de la turbulence, de la convection et des nuages. Les mêmes paramétrisations sont également responsables d’erreurs importantes, qui persistent dans la représentation du climat actuel avec les modèles globaux.

« […] L’amélioration des modèles numériques globaux est essentielle pour l’anticipation des changements climatiques futurs.

« […] Les améliorations sont basées sur des changements significatifs du contenu physique ainsi que sur une stratégie de réglage mieux contrôlée. »

Cette analyse confirme sans ambiguïté ce qui est évoqué plus haut, à savoir le champ considérable des inconnues et des insuffisances.

La qualité des équations est problématique puisque la physique de bon nombre de phénomènes n’est pas formulable explicitement, comme les nuages qui jouent un rôle majeur et variable selon leur configuration et leur extension.

Cette publication confirme que les modèles climatiques, sur lesquels tout repose, sont en fait eux-mêmes des objets de recherche, encore peu avancée compte tenu de la difficulté et de la complexité du sujet.

À l’évidence ce ne sont pas des outils numériques d’ingénierie prédictive, comme les modèles de calcul de structure ou de calcul thermique par exemple : dans ces deux cas, les équations sont connues et les paramètres mesurables par voie expérimentale ; il ne s’agit pas de simuler le milieu naturel.

En d’autres termes, le domaine du calcul climatique relève clairement de la « recherche » avec par essence ses incertitudes, ses inconnues et ses obstacles… à ne pas confondre avec la « science », c’est-à-dire un corpus de connaissances établies, fondées sur la théorie et l’expérience.

Cet état de fait n’est pas choquant en soi ; le fait que ce soit un non-dit masqué vis-à-vis des décideurs et du public est en revanche très choquant et révèle un problème épistémologique méconnu, mais majeur.

L’amalgame médiatique entre recherche et science est souvent fait par méconnaissance, abus de langage et confusion des termes.

Des calculs prédictifs inexploitables

Le 5 mai 2022, l’insuffisance majeure des modèles climatiques est explicitement admise dans un commentaire publié dans la revue Nature, co-signé par des spécialistes tout à fait reconnus, dont Gavin A. Schmidt, le directeur du GISS (Goddard Institute for Space Studies de la NASA)4. Le GISS est un des piliers mondiaux de la science climatique officielle.

Ce commentaire, destiné à alerter la communauté scientifique, intitulé « Reconnaître le problème du modèle chaud » se fonde sur la comparaison la plus récente de 50 modèles (CMIP6).

Il indique qu’une part significative de ces outils de dernière génération, supposés plus performants, « surchauffent » et sont incapables de reproduire le passé.

Je cite :

« Avis aux utilisateurs : un sous-ensemble de la dernière génération de modèles “surchauffe” et prévoit un réchauffement climatique en réponse aux émissions de dioxyde de carbone qui pourrait être plus important que celui obtenu à partir d’autres modèles. »

Et les auteurs d’expliquer :

« Auparavant, le GIEC et de nombreux autres chercheurs utilisaient simplement la moyenne et la dispersion des modèles pour estimer leurs impacts et leurs incertitudes. »

Il faut s’arrêter sur cette phrase, car on découvre à l’occasion une situation étonnante : on comprend que le GIEC estimerait la température future de la planète en faisant la moyenne des résultats des modèles climatiques globaux disponibles !

Cette forme de « démocratie numérique » n’a rien de scientifique et, sauf erreur, n’existe dans aucune autre discipline… un peu comme si on décrétait que le bon résultat d’une épreuve de mathématiques au bac n’était pas dans celle de la copie qui a 19/20, mais dans celle qui a 10/20, en faisant une moyenne avec les mauvaises notes qui pèseraient aussi lourd que les bonnes (à supposer qu’il y ait des bonnes notes en modélisation du climat… ce qu’on ne sait pas) !

La validation des modèles n’est manifestement pas faite comme il se doit, c’est-à-dire individuellement ; on fait la moyenne de tous les modèles.

L’incertitude ne repose pas sur une analyse de sensibilité aux paramètres pour chaque modèle, mais sur les écarts entre les modèles pris dans leur globalité.

Cette approche « démocratique » de la recherche est singulière pour ne pas dire baroque et conduit à s’interroger légitimement sur le GIEC qui, s’il s’appuie effectivement sur des résultats de recherche, les exploitent d’une façon sans doute politique, mais en aucun cas scientifique, comme ce type de moyenne inusitée le montre.

Mais l’article va plus loin. Je cite :

« Dans le rapport AR6(ndlr : sixième cycle d’évaluation du GIEC, le plus récent — 2021), ces méthodes simples ne fonctionnent plus(ndlr : il s’agit de cette moyenne): les modèles à haute sensibilité pris isolément n’ont pas le même poids que les autres pour estimer la température globale. Les auteurs du rapport AR6 ont décidé d’appliquer des pondérations à chaque modèle avant d’en faire la moyenne, afin de produire des projections de réchauffement climatique “réévaluées”. »

En d’autres termes, « le principe » qui consistait jusqu’à présent à prendre en compte la moyenne des résultats de tous les modèles pour prévoir l’avenir thermique de la planète n’est désormais plus valable… Les auteurs approuvent le principe d’une « pondération » effectuée par le GIEC de façon à limiter l’impact des modèles les plus récents qui « surchauffent » !

Que dire de cet invraisemblable bricolage manifestement destiné à aboutir aux valeurs qui conviennent ?

En réalité, les auteurs reconnaissent explicitement qu’il est impossible de quantifier l’avenir dans la mesure où il n’est pas possible de prendre en compte tous les facteurs de la thermodynamique atmosphérique (ils reviennent en particulier sur le rôle central des nuages quasi impossibles à représenter numériquement).

Je cite :

« La Terre est un système complexe dans lequel les océans, la terre, la glace et l’atmosphère sont interconnectés, et aucun modèle informatique ne pourra jamais en simuler exactement tous les aspects. […] »

« Les modèles varient dans leur complexité qui font chacun des hypothèses et des approximations différentes sur les processus qui se produisent à petite échelle, comme la formation de nuages. […] »

« Il y a de nombreux aspects du changement climatique que nous ne comprenons pas encore, d’où la nécessité de continuer à améliorer la science du climat. […] »

« Cependant, même si nous connaissions précisément ce volume (gaz à effet de serre), nous ne saurions toujours pas exactement quel serait le niveau de réchauffement de la planète. […] »

Et ils proposent tout simplement de ne plus utiliser ces outils pour faire des prévisions dans le temps !

Telle est la conclusion insoupçonnée à laquelle aboutissent aujourd’hui des spécialistes de haut niveau international, insoupçonnables de « climatoscepticisme », après des décennies de modélisation et de progrès supposés.

Les modèles les plus récents, c’est-à-dire les plus évolués, donnent de « mauvais » résultats, au point de devoir être massivement « pondérés ».

En matière d’évaluation et de prévision quantifiée, ces publications montrent que la science est en réalité du côté de la plus grande incertitude et nous sommes par conséquent très loin d’une ingénierie numérique exploitable contrairement à ce que l’on fait croire.

On ne sait pas évaluer les températures futures, on ne sait pas prendre en compte correctement une partie des phénomènes internes essentiels et cela se comprend très bien vu l’extrême complexité de l’objet simulé.

Ces chercheurs honnêtes l’écrivent, mais cela reste confidentiel faute de relais médiatiques et institutionnels.

Les rapports du GIEC cachent aux décideurs la réalité de ces insuffisances ; au contraire, ils assènent des certitudes : l’homme reste responsable du climat et il y a urgence à agir.

Il faut rappeler à ce stade que l’objet statutaire du GIEC n’est pas d’étudier le réchauffement climatique, mais d’étudier le réchauffement climatique d’origine humaine.

Ce biais originel a manifestement des conséquences considérables sur l’orientation des travaux de recherche à l’échelle mondiale, sachant que les rapports du GIEC sont approuvés formellement par chacun des États et deviennent de ce fait des éléments de politique publique, particulièrement suivis en Europe.

Une unanimité scientifique factice.

Au-delà de la science qui aurait parlé et dont on peut mesurer la faiblesse prédictive, on entend également en permanence qu’il y a unanimité de la communauté scientifique sur le sujet et qu’il faut « écouter les scientifiques ».

La responsabilité centrale du CO2 dans la perspective climatique catastrophique à venir est de ce fait considérée comme une vérité absolue.

Tout scientifique interrogé dans la rue le dira sans doute comme tout le monde, d’autant que le contester pourrait s’avérer préjudiciable à sa carrière. Mais qu’en est-il quand il s’exprime dans le cadre professionnel des publications scientifiques à comité de lecture, c’est-à-dire le seul qui compte ?

La référence est une étude australienne5 parue en 2013 (et reprise par Greenpeace) qui conclut effectivement que 97 % des scientifiques compétents considèrent que le réchauffement climatique est bien d’origine anthropique.

Le diable étant dans les détails, il faut regarder de plus près la méthodologie de l’étude : 11 944 publications (environ 25 000 coauteurs) dont les résumés contiennent les termes « global warming » et « global climate change », parues entre 1991 et 2011 dans des revues à comité de lecture, ont été analysées et classées.

Sur ces 11944, 7970 soit près de 70 % ne donnent aucun avis sur le sujet… et ont été éliminées du « panel » !

Sur les 30 % restantes, en réalité seules 1010 publications (soit 8,5 % du nombre initial) donnent un avis explicite et 986 d’entre elles indiquent effectivement que l’homme est responsable, soit bien 97,6 %. Mais… 97,6 % de 8,5 %, soit… 8,25 % du total !

Ainsi en réalité, 91,5 % de la communauté scientifique concernée ne donne aucun avis explicite professionnel sur la question et l’unanimité affichée par les medias (et Greenpeace) ne porte que sur un peu plus de 8 %. Une étude américaine de même nature publiée en 2021 conduit à des résultats comparables6.

L’unanimité scientifique sur l’origine humaine du réchauffement climatique relève clairement d’une exploitation fallacieuse des chiffres, si l’on s’en tient à la réalité des publications professionnelles sur laquelle est basée cette affirmation.

En matière de chiffres, le dernier rapport du GIEC suscite également bien des interrogations.

Les chiffres du GIEC… pas exactement l’idée qu’on s’en fait

Partons maintenant de l’hypothèse que les évaluations du GIEC sont fiables et intéressons-nous à l’impact du CO2.

Dans son dernier rapport aux décideurs concernant les aspects scientifiques7, il est indiqué (p9 A.1.3) que pour le passé et jusqu’à nos jours, le «probable réchauffement dû à l’homme depuis 1850-1900 est d’environ +1 °C ». Plus loin, il est écrit pour le futur (p35 D1.1) que « chaque tranche de 1000 Gt d’émissions cumulées de CO2 provoque une augmentation probable de la température mondiale de 0,45 °C (meilleure estimation) ».

On peut s’arrêter sur ce chiffre.

Les émissions annuelles de CO2 résultant de la combustion des hydrocarbures représentent aujourd’hui environ 35 GT.

Un calcul simple montre qu’en 2100, dans 80 ans et selon les hypothèses du GIEC, on aboutirait au rythme de la consommation mondiale actuelle (du fait des hydrocarbures) à une hausse de température estimée depuis 1850 de 2,3 °C (1+80*35/1000*0,45 °C = 2,26 °C)… à comparer avec l’objectif de neutralité carbone en 2050 qui conduirait à une hausse comprise limitée à 1,5 °C.

Soit un écart inférieur à 1 °C entre les deux scénarii d’émissions !

Ce faible écart estimé est à mettre en regard de l’objectif de « neutralité carbone en 2050 » qui lui, a contrario, représente bien une révolution industrielle, économique et sociale aussi faramineuse que brutale par rapport à notre mode de fonctionnement actuel où 80 % de l’énergie utilisée dans le monde est d’origine fossile. D’après l’Agence internationale de l’énergie8 en effet, pour atteindre la neutralité carbone en 2050, il faudrait réduire la consommation mondiale de charbon de 90 %, celle de pétrole de 75 % et celle de gaz naturel de 55 %.

Cet objectif de réduction drastique est colossal et ne peut s’obtenir que par une forte décroissance… pour moins de 1 °C d’écart estimé !

C’est assez surprenant, mais pour mieux comprendre, il faut savoir que le GIEC présente en fait différents scénarii d’émission de CO2 d’ici la fin du siècle. La hausse spectaculaire autour de 4,5 °C (voire plus) souvent mise en avant dans les médias, est en réalité « calculée » par le GIEC sur la base du scénario d’émission de CO2 le plus extrême (scénario SSP5-8.5 — voir 8 p.13 — fig. SPM.4) qui prévoit non pas la poursuite de nos émissions au niveau actuel, mais leur multiplication par deux d’ici 2050 puis par trois d’ici 2080… c’est-à-dire une croissance effrénée (et sans doute irréaliste) de la consommation d’hydrocarbures !

Malheureusement, les chiffres présentés dans les médias ne sont jamais assortis des hypothèses qui les sous- tendent, ce qui entretient la confusion.

Pour terminer de façon pratique, notons que la Chine, l’Inde et les pays dits « du Sud » qui représentent l’essentiel de l’humanité fondent leur développement majoritairement sur les énergies fossiles et n’ont pas l’intention d’y renoncer.

La Chine met en œuvre aujourd’hui un programme électro-charbonnier sur dix ans qui représente environ 300 GW, soit 5 à 6 fois la puissance électronucléaire totale installée en France, quand l’Inde multiplie les ouvertures de mines de charbon.

La France pèse moins de 1 % des émissions mondiales.

Un débat d’intérêt public interdit et une société prise en otage

Qu’ont à répondre sur le fond les spécialistes médiatiques de l’urgence (voire de la terreur climatique) et sur quoi fondent-ils précisément leur certitude affichée et chiffrée du rôle majeur, immédiat et catastrophique du CO2 ?

Quand on interroge les spécialistes et des leaders d’opinion, la réponse est toujours la même : pas de réponse. Tout cela est manifestement un non-sujet, n’a pas à être discuté et surtout l’expression du moindre doute apparaît comme une inadmissible transgression.

Or, comme pour tout domaine de recherche scientifique, le doute est non seulement légitime, mais salutaire et le débat contradictoire, nécessaire.

Au nom de quoi la climatologie serait-elle le seul domaine à pouvoir s’y soustraire ?

Les interdits intellectuels sont bien sûr antinomiques avec l’essence même de la recherche et posent un problème éthique, déontologique et épistémologique.

Nos médias donnent une parfaite illustration de cette situation, comme en témoigne la récente charte environnementale de Radio France, dont le premier article est le suivant, je cite :

« Article 1 : Nous nous tenons résolument du côté de la science, en sortant du champ du débat la crise climatique, son existence comme son origine humaine. Elle est un fait scientifique établi, pas une opinion comme une autre. »

Cette position officielle « d’autorité » qui s’exprime à longueur d’antenne sans la moindre contradiction (sur les radios de service public supposées pluralistes par leur statut) illustre à quel point l’idéologie, le militantisme, voire l’endoctrinement, ont pris la main.

C’est ce qui est dénoncé par de nombreux scientifiques au plan international, à l’image de l’américain John Clauser, prix Nobel de physique 2022, ou bien de Steven Koonin9, membre de l’Académie des sciences américaine, ancien sous-secrétaire d’État à la science du département de l’énergie de l’administration Obama.

Si cette affaire ne relevait que d’un débat savant, cela ne poserait pas vraiment de problème ; la tectonique des plaques a mis soixante ans avant d’être admise par la communauté des géologues.

Mais en l’occurrence, il s’agit de l’avenir de notre société et c’est une affaire d’État.

Nos concitoyens sentent bien qu’il y a sur ce sujet quelque chose d’anormal, même s’ils n’ont aucun outil ni aucune information structurée leur permettant des choix éclairés.

Ils ont raison, car on n’a sans doute jamais pris de décisions aux conséquences aussi lourdes sur des fondements aussi faibles.

Il n’est pas trop tard pour les décideurs d’en prendre la mesure et pour les experts d’avoir le courage de s’expliquer publiquement et contradictoirement.

Présentation de l’auteur

Citoyen ordinaire à la retraite, l’auteur est ingénieur (Mines de Nancy) et scientifique de formation (thèse de 3e cycle de mathématique appliquée en géosciences à l’École des Mines de Paris) ; ancien chef d’une entreprise technologique spécialisée dans les modèles numériques de simulation pour l’industrie mécanique et métallurgique (Transvalor SA), il a une expérience pratique de la modélisation numérique appliquée à différents domaines.

Il est familier du milieu de la recherche, ayant été pendant 20 ans directeur de l’association ARMINES, importante structure de recherche partenariale (partenariat recherche publique — recherche privée).

C’est bien sûr à titre strictement personnel qu’il s’exprime, considérant disposer de l’expérience et de la compétence pour exercer sa raison critique sur l’état de l’art de la modélisation climatique qui est à la source des prévisions chiffrées en la matière.

Références bibliographiques

1 Fréderic Hourdin et coll. : « The art and science of climate model tuning » — Bulletin of American Meteorological Society — BAMS mars 2017 98, n° 3, pp. 589-606

2 Thorsten Mauritsen et coll. : Développements dans le modèle du système terrestre MPI-M version 1.2 (MPI-ESM1.2) et sa réponse à l’augmentation du CO2 — Journal of advances in modelling earth systems — 13 janvier 2019

3 Frederic Hourdin, Catherine Rio, Jean-Yves Grandpeix, Jean Baptiste Madeleine, Frédérique Cheruy : La composante atmosphérique du modèle climatique IPSL avec une physique améliorée et mieux réglée — Journal of advances in modelling earth systems — 06 avril 2020.

4 Zeke Hausfather, Kate Marvel, Gavin A.Schmidt et coll. : « climate simulations : recognize the «hot model» problem » – Nature – vol 605 – 5 mai 2022

5 John Cook et coll. : Environmental research letters : Quantifying the consensus on anthropogenic global warming in the scientific literature—Environ. Res. Lett. 8 024024 — 15 05 2013

6 Mark Lynas, Benjamin Z Houlton et coll. : Environnemental research letters : Greater than 99% consensus on human caused climate change in the peer-reviewed scientific l — 19 October 2021

7 GIEC – Changement climatique 2021 — Les bases scientifiques physiques — résumé à l’intention des décideurs. (IPCC_AR6_WG1_SPM)

8 Net zero by 2050 — A roadmap for the global energy sector — AIE — mai 2021

9 Steven Koonin : « Climat, la part d’incertitude » Édition l’Artilleur — 2022




Immersion dans une ferme qui n’a pas bougé depuis 50 ans

[Source : neo – Sacrés Français]

Jean-Bernard Huon et sa compagne Florence ont toujours refusé de prendre le virage de l’agriculture moderne. Ils travaillent à l’ancienne comme leurs parents et grands-parents, sans tracteurs, sans machines, sans produits chimiques ni subventions. Le Finistérien laboure même ses champs avec des bœufs : « Tout le monde se moquait de moi. Personne ne pensait que j’y arriverais. Et pourtant ça fait plus de dix ans que je le fais ! » Des ovnis pour certains, des pionniers pour d’autres. « Je ne suis pas un mouton et je n’ai pas l’intention de rentrer à la bergerie ».

À 76 ans, Jean-Bernard, poète et philosophe à ses heures perdues, continue de travailler sur sa ferme de 15 hectares et à transmettre sa passion. Lui et sa femme reçoivent même des woofers du monde entier.




L’UE est en train de réaliser sous nos yeux un véritable coup d’État

L’UE est en train de réaliser sous nos yeux un véritable coup d’État

[Source: RL]

Par Bernard GERMAIN

C’est terminé, l’Union européenne vient de franchir le Rubicon en votant la création d’un « État européen ». Comprenez bien qu’en prenant cette décision, l’UE vient de décider que cet État européen va se substituer à toutes les nations existantes, membres de l’Union européenne.

Cette forfaiture vient d’être commise avec les voix de TOUS les macronistes.

Lorsque ces mesures seront mises en place, les pays de l’UE ne seront plus que des « régions » ou des « provinces » mais plus des États à part entière. Les conséquences de cette révolution, car c’en est une, sont incalculables.

Ne tournons pas autour du pot. N’ayons pas peur d’utiliser les mots appropriés, nous assistons en direct à un authentique coup d’État.

Parmi les principales mesures (liste non exhaustive), voyons celles qui sont les plus importantes :

  • La prise de décision à l’unanimité des États membres devient l’exception. Le vote à la majorité simple ou qualifiée la règle.

On rappellera à ce sujet que c’est le général De Gaulle en 1966 qui a imposé le vote des États membres à l’unanimité sur les questions importantes (Accord de Luxembourg). Il l’a obtenu en pratiquant la politique de la « chaise vide » en réponse à Walter Hallstein qui voulait imposer son projet d’Europe fédérale. À l’époque, De Gaulle avait obtenu gain de cause, et même le départ de Walter Hallstein en 1967.

On assiste au retour du même projet, mais en bien pire que ce que prévoyait Hallstein en 1966.

  • Création d’une fonction de « Président de l’Union européenne » en remplacement des présidents du « Conseil européen » et de la Commission européenne » qui est elle-même remplacée par un « exécutif ».
  • La politique étrangère et de sécurité commune n’est plus adoptée à l’unanimité mais à la majorité qualifiée.

Qui est assez naïf pour croire que le président ou le dirigeant d’un pays membre pourra encore prendre des décisions dans le cadre de la souveraineté et l’indépendance nationale de chaque pays ? L’UE annonce la mise en place d’un exécutif qui va se substituer à tous les pouvoirs nationaux.

Les dirigeants de chaque pays ne seront plus que les exécutants des décisions de l’exécutif européen.

  • La politique étrangère et de sécurité commune n’est plus adoptée à l’unanimité mais à la majorité qualifiée.
  • Création d’une « union de la défense » dotée de « capacités militaires » sous le « commandement opérationnel de l’UE » qui peut acquérir des armes au nom de l’UE ainsi que la constitution d’une véritable armée de l’UE.

L’arme nucléaire française va-telle être mutualisée ou cédée à l’exécutif européen qui serait le seul à avoir les codes de mise à feu ?

Et le siège de la France au Conseil de sécurité de l’ONU va-t-il être donné à l’UE ?

Mise en place d’un mécanisme de défense collective : une attaque contre un État membre de l’UE est considérée comme une attaque contre tous ses États membres

  • L’UE pourra avoir recours à des moyens civils et militaires contre… les campagnes de désinformation.

C’est une véritable dictature qui est en train de se mettre en place. Sera qualifié de « désinformation », et donc poursuivi, tout ce qui sera contraire à la doxa. Le délit d’opinion et les procès politiques vont devenir la règle et la démocratie, un lointain souvenir.

  • Les compétences de l’Europe ne sont plus partagées.

Jusqu’à maintenant, il y avait trois types de compétences. Les compétences exclusives de l’Europe, les compétences partagées (qui en fait n’existaient pas puisque c’étaient celles sur lesquelles elle n’avait pas légiféré ou dont elle ne voulait pas s’occuper. Mais dès qu’elle s’en occupait, ces compétences devenaient exclusives). Enfin il y avait les compétences appartenant à chaque État.

Même ces dernières sont supprimées. Donc l’UE devient décisionnaire sur tous les domaines. Et chaque État est tenu d’appliquer ce que l’UE aura décidé.

  • La politique commune migratoire devra tenir compte de la stabilité économique et sociale des États membres et répondre aux besoins de mains-d’œuvre du marché unique.

Nos dirigeants sont de bons petits caniches obéissants. Ils connaissaient ce souhait de l’Europe et sont déjà en train de le mettre en œuvre. Cela s’appelle l’immigration choisie pour répondre aux « métiers en tension ».

  • Création d’un « État d’urgence » européen : le Parlement européen, à la majorité simple, avec le Conseil européen, à la majorité qualifiée, pourront donner des pouvoirs extraordinaires à la Commission (l’exécutif).

Et la cerise sur le gâteau, c’est la possibilité de mettre en place un état d’urgence. Comprenez, si les peuples se mettaient dans la tête de se rebeller, l’UE pourrait employer la force pour les mâter.

Il y a quelques décennies, c’était les communistes qui avaient mis en place, dans le cadre du Pacte de Varsovie, ce type de système. À l’époque les pays de l’Ouest appelaient cela une dictature.

Aujourd’hui les mêmes pays de l’Ouest mettent en place un système identique. Mais comme c’est à « l’Ouest », on est prié d’appeler cela… la démocratie.

On n’oubliera pas non plus les GOPÉ, c’est-à-dire les Grandes Orientations des Politiques Économiques qui sont imposées chaque année à chaque pays et qu’il est tenu d’appliquer sous peine de sanctions économiques très lourdes (0,1 à 0,5 % du PIB). Ne pensez pas que c’est insignifiant. Le PIB de la France est d’environ 2 800 milliards d’euros. Donc 0,5 % c’est 14 milliards d’euros. Pour mémoire c’est le montant du déficit du régime de retraite qui a été le justificatif de Macron pour faire sa réforme des retraites.

Avec les GOPÉ on comprend que les discussions sur les politiques à conduire dans chaque pays sont des blagues. C’est l’Union européenne qui pilote depuis des années et les élus ne font qu’appliquer ce que l’UE a décidé. Même la France Insoumise (Manon Aubry) l’a reconnu en déclarant en mars 2023 que la réforme des retraites (64 ans) était noir sur blanc dans les GOPÉ de la France et que Macron ne faisait qu’appliquer ce que l’UE avait décidé.

Cette fois-ci tous les peuples d’Europe sont au pied du mur :

  • Soit l’UE impose son projet et c’est clairement une dictature qui va s’imposer à tous.
  • Soit les peuples d’Europe se révoltent et font voler en éclat cette construction machiavélique et diabolique qui s’appelle l’Union européenne.

Pour conclure, l’affaire est tellement importante qu’il me paraît impossible que l’UE décide de passer en force c’est-à-dire refuse de consulter les peuples des pays membres par référendum.

Si l’UE refuse d’organiser ce référendum, il faut engager immédiatement le combat pour imposer ce référendum. Sinon, c’est que nous acceptons la dictature et il ne faudra plus se plaindre de rien.

Je rappelle, et ce n’est pas un détail, qu’à part le Parlement européen (qui n’a quasiment aucun pouvoir) personne n’est élu parmi les dirigeants de l’Union européenne. Et pourtant ils imposent leurs volontés à près de 500 millions de personnes.

Il est absolument vital de sortir… et vite de ce système entièrement dictatorial.

Un dernier mot pour signaler que j’ai écrit un livre sur l’Union européenne qui reprend tous ces points et expose pourquoi il faut en sortir au plus vite.

Il sort dans les premiers jours de décembre. Il est publié chez Synthèse Nationale.




Qui va sauver nos enfants de leur exposition à la sexualisation précoce, hébergée par les… garderies et écoles ?

[Source : lilianeheldkhawam.com]
Par Liliane Held-Khawam

Rapport explosif de SOS Education

Qui est Alfred Kinsey, le prophète de la curieuse éducation sexuelle ?

Le prophète de ce qui ressemble à une violence (pour ne pas dire violation) mentale qui devrait aboutir tôt ou tard à une violence physique, venant par exemple des petits copains, eux-mêmes traumatisés, est le sinistre Alfred Kinsey. L’idéologie de cet homme a trouvé écho dans les antres de l’OMS, financée copieusement par la Fondation Gates. Or Bill Gates a été éclaboussé par le scandale du pédophile notoire Epstein.

« En 1947, il a fondé au sein de l’université de l’Indiana à Bloomington, un Institute for Sex Research (“Institut pour la recherche sur le sexe”), rebaptisé plus tard Kinsey Institute for Research in Sex, Gender and Reproduction (appelé couramment Kinsey Institute). L’Institute for Sex Research est à ce jour le seul institut de recherche spécialisé dans l’étude de la sexualité humaine dans le monde anglo-saxon et l’un des rares au monde parmi la quinzaine d’actives. Dans le milieu germanophone, c’est l’Institut pour la recherche sexuelle de Magnus Hirschfeld à l’université de Berlin qui sera le premier fondé en 1919. Dans le milieu francophone, c’est l’Université du Québec à Montréal qui fondera un département de sexologie indépendant en 1969, auquel sont greffés deux chaires de recherches actives. »

Ses travaux ont suscité maintes controverses tant scientifiques que non scientifiques. On lui a principalement reproché ses motivations personnelles à promouvoir son objet d’étude et la médiocre représentativité de l’échantillon de population étudié par son institut.

« Kinsey est accusé d’avoir obtenu les résultats de ses recherches en ayant eu recours aux services d’un nombre inconnu de pédophiles. L’Institut Kinsey s’est toujours refusé à révéler les sources de l’échantillonnage et le contenu de ses archives sensibles. Certains noms ont cependant été mentionnés, comme celui du pédocriminel notoire “Rex King” alias “Mister X” »

Wikipédia

Vincent Held a très tôt alerté sur ce sujet scabreux, intégré au programme scolaire. Et là la Suisse est aux avant-postes. Écoles catholiques incluses.

Sexualisation précoce des enfants : la Suisse aux avant-postes !

C’est un fait : le gouvernement suisse approuve ouvertement les standards de l’OMS en matière d’éducation sexuelle, qu’il considère comme « scientifiquement fondés ». En février 2018, le Conseil fédéral avait ainsi apporté son soutien officiel à la fondation lausannoise Santé Sexuelle Suisse (SSS), une organisation dédiée à la promotion de ces méthodes éducatives « basées sur les droits » :

« SANTÉ SEXUELLE SUISSE […] promeut en Suisse une éducation sexuelle holistique selon les standards OMS Europe. » [5]

Compte tenu de l’horreur absolue de la situation et de l’impératif de voir parents et forces de l’ordre intervenir pour faire cesser ce jeu de massacre toute affaire cessante, Vincent Held a mis en accès libre son livre Asservissement.

Asservissement en accès libre !

Table des matières de Asservissement
Téléchargement du livre, cliquer sur les liens :

vincent-held-asservissement
vincent-held-asservissement (compressé)

Nous saluons le travail de SOS Education et nous invitons tout adulte à s’impliquer dans ce sujet qui ne peut s’accommoder de compromis.

LHK




« Transition énergétique », « crise climatique » et autres lubies pour sauver les profits

[Source : France Culture via les7duquebec.net]

La transition énergétique ambitionne de favoriser et valoriser les énergies renouvelables et de baisser la consommation d’énergie. L’historien Jean-Baptiste Fressoz, spécialiste des techniques, explique qu’une nouvelle énergie n’en remplace jamais une ancienne. Au contraire. 💬 « La fonction de la transition énergétique de nos jours est une fonction de procrastination : c’est l’idée que si l’on a un problème de changement climatique, on va faire une transition énergétique comme si c’était possible ».
L’historien des sciences est l’invité de Guillaume Erner.

[NDLR Guillaume Erner est visiblement croyant dans le supposé changement climatique par le CO2. Cependant, cela ne nuit pas nécessairement au reste de son exposé, notamment en ce qui concerne l’imbrication des différentes sources énergétiques.]




France — Toujours en difficulté, des agriculteurs poursuivent leur lutte

J’ai 3000 euros de prêt à payer chaque mois. Je ne peux même pas produire mon fromage et en plus de ça j’ai l’électricité, les assurances à payer […] je n’ai plus qu’une solution, c’est la générosité et la solidarité des gens. Sinon ma ferme coule, et mes chèvres partiront à l’abattoir.

Delphine Serreau, éleveuse de chèvres qui a lancé une cagnotte en ligne sur Leetchi. (Source)




France — Communiqué au sujet de la loi sur « la lutte contre les dérives sectaires »

[Source : bonsens.info]

L’article 4 du projet de loi prétendument destiné à renforcer les dérives sectaires, refusé par le Sénat, réintroduit par la Commission des lois, rejeté par l’Assemblée nationale a été réintroduit par un amendement finalement adopté ce 14 février 2024.

L’association BonSens.org, après étude détaillée de ces nouvelles dispositions, se réserve la possibilité de participer à sa demande de retrait en cas de saisine du Conseil Constitutionnel.

Nous ferons un communiqué plus complet dans la journée, mais voici déjà nos premières réflexions sur ce qui a été voté hier par l’Assemblée.

Nous attirons l’attention de nos lecteurs qu’avant d’être voté cet article 4 a été largement édulcoré par les législateurs au vu des vives critiques justifiées qu’il avait suscitées.

Ainsi, le nouvel article 4 voté précise que la « provocation » à s’abstenir de suivre un traitement doit avoir été faite « au moyen de pressions ou de manœuvres réitérées de toute personne atteinte d’une pathologie » et précise dans un alinéa que le délit n’est pas constitué si ladite provocation « s’accompagne d’une information claire et complète quant aux conséquences pour la santé et que les conditions dans lesquelles cette provocation a été faite ne remettent pas en cause la volonté libre et éclairée de la personne« . 

« Art. 223‑1‑2. – Est punie d’un an d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende la provocation au moyen de pressions ou de manœuvres réitérées de toute personne atteinte d’une pathologie à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elle, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences particulièrement graves pour sa santé physique ou psychique. »

 » Lorsque la provocation s’accompagne d’une information claire et complète quant aux conséquences pour la santé et que les conditions dans lesquelles cette provocation a été faite ne remettent pas en cause la volonté libre et éclairée de la personne, les délits définis au présent article ne sont pas constitués. »

De plus, un dernier alinéa écarte les lanceurs d’alerte. 

 » L’information signalée ou divulguée par le lanceur d’alerte dans les conditions prévues à l’article 6 de la loi n° 2016‑1691 du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique ne constitue pas une provocation au sens du présent article. »

Par conséquent, le délit est caractérisé pour des pressions individuelles sur une personne. 

En conséquence, une étude ou un avis argumenté publié mettant en doute l’efficacité d’un traitement ou une alerte sur la dangerosité d’un traitement n’entrent plus dans le champ du délit, à la différence de la rédaction initiale




Les sombres origines des campagnes d’injection$

[Source : Jérémie Mercier]

Et si tout ce que nous avons vécu en 2020-2022 n’était qu’une répétition de méthodes déjà utilisées il y a bien longtemps… il y a plus de 200 ans en fait ? Jérémie Mercier, Modeste Schwartz et Pierre Chaillot reviennent dans cette vidéo sur l’histoire des premières campagnes de vaccination obligatoire : de véritables expériences totalitaires qui ne datent pas d’hier.




« Le Vaccin Covid est une arme biologique 100% SYNTHÉTIQUE »

[Source : stewpeters.com via PG]

« Les personnes qui véhiculent le narratif ARNm-spike sont plus que des menteurs : ils déforment la vérité et la science de façon à diriger les gens sur la mauvaise piste, les empêchant de comprendre, d’analyser et de trouver des remèdes »

Dr Astrid Stuckelberger

Astrid Stuckelberger est de retour pour parler de son expérience au sein de l’Organisation mondiale de la santé et du rôle complexe que celle-ci joue dans la tyrannie covidienne.

Le 16 mars 2020, Anthony Fauci a reçu un courriel de Michael Liu lui demandant de « verrouiller le monde, maintenant ».

L’un des aspects de l’histoire du Covid-19 est que le monde entier a été infecté par le « virus » au même moment.

D’un point de vue médical, il est impossible qu’un virus se propage dans le monde entier dans le laps de temps où les premiers cas ont été signalés en Chine.

Les autopsies ont été interdites pour empêcher les analystes de vérifier si les gens mouraient d’un virus respiratoire.

Il existe des preuves irréfutables que les rayonnements de la 5G peuvent tuer et rendre les gens malades.

Charles Morgan, qui a soutenu une grande partie des recherches du Dr Stuckelberger, affirme que l’oxyde de graphène et d’autres nanotechnologies ont été utilisés pour prendre le contrôle de la main d’un chirurgien afin de faire effectuer des interventions chirurgicales par des médecins inexpérimentés.

Cette nouvelle technologie, combinée à l’IA, permettra au contrôle mental et à la programmation prédictive de devenir encore plus dangereux pour l’humanité.

[Source]

[Voir aussi :
Astrid Stuckelberger aux rencontres citoyennes internationales de Vierzon
Dr Lee Vliet : 5G et mortalité Covid
Le Guide complet de la 5 G
Qu’est-ce que l’oxyde de graphène et les nanotechnologies ont à voir avec la 5G ?
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]

Interview complète, en anglais

Exclusif : un lanceur d’alerte de l’OMS confirme l’horreur :
De l’oxyde de graphène dans les Vaxins
manipulé par la technologie 5G






«L’intelligence artificielle est un projet néolibéral pour l’enseignement»

[Source : reporterre.net]

[Illustration : Le gouvernement a prévu de généraliser l’usage de l’IA pour personnaliser les exercices en classe de 2de.
Flickr / CC BY-SA 2.0 Deed / Ecole polytechnique]

La généralisation de l’intelligence artificielle à l’école entraîne un appauvrissement de l’enseignement, en plus d’une empreinte écologique considérable, dénonce l’ancien ingénieur Olivier Lefebvre.

Olivier Lefebvre est chargé de mission transition écologique et sociale à l’Institut national polytechnique de Toulouse, et enseignant, auteur de Lettre aux ingénieurs qui doutent (L’Échappée, 2023).


Par Olivier Lefebvre

À peine plus d’un an après la sortie de ChatGPT, son utilisation s’est déjà largement répandue dans le monde de l’enseignement. Il est devenu banal pour certains enseignants de consulter le chatbot pour produire des sujets d’examens, des syllabus, des rapports d’activité et même des cours. D’innombrables sites internet expliquent déjà comment ChatGPT peut améliorer l’efficacité de la pédagogie. Son interdiction à Sciences Po Paris stipule d’ailleurs expressément qu’elle s’applique, « à l’exception d’un usage pédagogique encadré par une enseignante ou un enseignant ».

Depuis la secousse provoquée par l’explosion des technologies d’intelligence artificielle (IA) génératives, de nombreuses voix se sont élevées pour rappeler les conditions de travail des « travailleurs du clic », alerter sur la disparition de certains métiers pourtant porteurs de sens, s’inquiéter ici ou que la délégation des facultés de juger, de décider et de créer n’engendre une diminution de ces capacités typiquement humaines, critiquer des biais de ces systèmes, qui reflètent les idéologies de leurs concepteurs, questionner l’empreinte environnementale de ces technologies, qui contribuent vraisemblablement à la croissance exponentielle de celle du numérique.

L’IA pour « personnaliser les exercices »

Dans l’enseignement, on a spécifiquement parlé des nouvelles possibilités de triche qui s’offrent aux étudiants et certains ont également critiqué un rapport à la connaissance et à l’apprentissage dégradé par ces technologies.

Comment expliquer alors que le monde de l’enseignement offre si peu de résistance à cette sourde colonisation ? L’une des raisons est que la numérisation de l’enseignement n’est pas un fait nouveau. L’introduction des technologies d’IA s’inscrit en effet dans un vaste mouvement qui a vu au cours des dix dernières années les « plateformes de gestion d’enseignements » (gestion des notes, emplois du temps, devoirs…) se généraliser et un système comme Parcoursup être adopté. Le plan de « choc des savoirs » présenté par Gabriel Attal, alors ministre de l’Éducation, le 5 octobre, va plus loin et prévoit de « généraliser à tous les élèves de 2de l’usage de l’intelligence artificielle pour personnaliser les exercices à la maison en mathématiques et en français » dès la rentrée 2024.

« Un emballement indissociable d’un projet de privatisation de l’enseignement »

Il existe à l’évidence dans les cabinets ministériels un véritable engouement pour ces technologies numériques et d’IA, un techno-enthousiasme qui résonne avec l’esprit de « start-up nation » insufflé par le président de la République.

Cet emballement ministériel pour l’IA et ses promesses d’individualisation des apprentissages est en outre indissociable d’un projet de privatisation de l’enseignement. Il existe une relation entre la dégradation des conditions d’enseignement dans l’éducation nationale et le supérieur, et la promotion enthousiaste des technologies pour l’apprentissage par les ministères. Les technologies d’IA représentent un moyen particulièrement efficace de mettre en œuvre un projet d’inspiration néolibérale dans l’enseignement, dont la réduction des effectifs enseignants n’est que la partie la plus visible. La personnalisation par des algorithmes comme panacée de la pédagogie prolonge le fantasme d’une individualisation totale de l’existence.

L’impact environnemental de l’IA est absent de la communication du gouvernement.
Flickr/CC BY-SA 2.0 Deed/Ecole polytechnique

Alors qu’on entend parfois ces technologies être qualifiées « d’outils », qu’il s’agirait d’apprendre à utiliser correctement pour se prémunir de leurs éventuels effets indésirables, tout montre au contraire que les effets de la numérisation de l’éducation et de l’intégration de systèmes d’IA au cœur des moyens pédagogiques débordent largement des usages qui en sont faits, fussent-ils bons ou mauvais.

La technologie pilote de manière voilée une transformation sociale profonde et la culture est sommée de s’adapter. Il est par exemple évident que la généralisation de l’utilisation de ChatGPT produit une uniformisation des productions textuelles. Ses arguments consensuels, son style aseptisé et parfaitement « moyen » — jamais brillant mais jamais complètement mauvais pour autant — sont amenés à devenir un standard d’écriture. À chaque fois qu’un enseignant utilise ChatGPT, il contribue à cette standardisation — paradoxe savoureux quand on se rappelle des promesses d’individualisation des contenus. Un texte moyen et insipide devient ainsi progressivement une norme à laquelle tout le monde est tenu de se conformer.

« Une posture de résistance serait sans aucun doute la plus appropriée »

Quelle posture le corps enseignant pourrait-il adopter face à ce que l’on peut incontestablement qualifier, sans risquer d’être taxé de technophobe hystérique, de déferlante ? Une posture de résistance serait sans aucun doute la plus appropriée.

Demander à ce qu’un moratoire soit mis en place, afin de s’interroger sur les transformations que ces technologies produisent sur leur métier, sur la pédagogie, sur les notions même de savoirs et de connaissances.

S’accorder une pause, le temps de résoudre cette forme de dissonance cognitive généralisée qu’on observe entre des analyses globalement sceptiques et des pratiques totalement débridées.

Résister à l’idéologie de l’inéluctabilité qui voudrait que la seule attitude raisonnable soit de s’adapter à ces technologies sous peine de devenir obsolète.

Sortir du « somnambulisme technologique »

Rappeler constamment les problématiques environnementales majeures soulevées par ces technologies. Même si cela reste invisible pour les utilisateurs, leur production et leur usage nécessitent de très grandes quantités d’énergie et de métaux spécifiques, l’extraction de ceux-ci étant extrêmement polluante. Par ailleurs, les effets rebonds font que les gains d’efficacité escomptés ne l’emportent jamais sur la croissance des usages. Il est frappant de constater que les enjeux environnementaux de ces technologies sont totalement absents de la communication ministérielle.

Enfin, même s’il faut se garder de faire peser la responsabilité sur les seuls utilisateurs, la résistance commence sans doute par le fait de refuser d’utiliser ChatGPT et d’autres IA dans son activité professionnelle. Elle consiste également à sortir de cette forme de « somnambulisme technologique » (([1] Expression du philosophe Langdon Winner proposée dans son ouvrage La Baleine et le réacteur paru en 1986.])) et pour cela à ouvrir des espaces de réflexion et de discussion dans les établissements.

Notes




Le FEM annonce un « nouveau monde », une « humanocratie » fondée sur l’IA

[Source : aubedigitale.com]

Par Frank Bergman

Le fondateur et président du Forum économique mondial (FEM), Klaus Schwab, vient d’annoncer des plans pour un « nouveau monde » qui fera « entrer l’humanité dans une nouvelle ère ». Lors d’une intervention au sommet des gouvernements mondiaux à Dubaï, M. Schwab a dévoilé des plans pour une « humanocratie ».

Il a décrit une « fusion » inquiétante entre les êtres humains et la technologie de l’intelligence artificielle (IA).

Selon Schwab, les plans du FEM pour le « nouveau monde » impliquent une « fusion entre nos dimensions physiques, numériques et biologiques. » Schwab a déclaré qu’une fois ce projet mis en œuvre à l’échelle mondiale, une « nouvelle ère » d’« humanocratie » s’ouvrirait.

REGARDEZ :

Au cours de l’événement, Schwab a prononcé un discours dédié dans lequel il a exposé les projets du FEM aux dirigeants du monde entier. Le chef du FEM a fait cette annonce lors d’un discours sur le thème du transhumanisme intitulé « Les civilisations de demain : construites pour échouer ou pour s’élever ? »

Schwab a vanté les mérites d’une nouvelle « ère intelligente », portée par ce qu’il a décrit à plusieurs reprises comme une « quatrième révolution industrielle ». Il y a une centaine d’années, nous sommes passés de la société agricole à la société industrielle, mais aujourd’hui, nous parlons d’une transition vers ce que j’appellerais « l’ère intelligente » », a déclaré Schwab.

REGARDEZ :

Il a déclaré que « l’humanité bénéficiera de beaucoup plus d’opportunités et de possibilités » grâce à cette fusion avec la technologie. Nous ne voulons pas utiliser la quatrième révolution industrielle pour en faire une bureaucratie froide ; nous ne voulons pas aller vers une technocratie ; nous voulons aller vers ce que j’appellerais une « humanocratie » ».

REGARDEZ :

Dans une section bizarre du discours, Schwab a évoqué une « conversation » qu’il a eue avec ChatGPT. Il a déclaré que le chatbot doté d’une intelligence artificielle lui avait dit : « Envisageant un avenir propulsé par les technologies de la quatrième révolution industrielle, nous voyons une nouvelle naissance de la civilisation humaine, qui harmonise la technologie avec les besoins et les aspirations les plus profonds de l’humanité ».

REGARDEZ :

« Cette mission s’inscrit dans une société où l’intelligence artificielle, la robotique, l’internet des objets, l’impression 3D, le génie génétique et l’informatique quantique deviennent les fondements de notre vie quotidienne, tout en étant guidés par un profond respect des valeurs humaines, de la créativité et du monde naturel », a poursuivi Schwab.

REGARDEZ :

« Avec cette nouvelle ère intelligente, la technologie n’est pas simplement un outil ou une extension des capacités humaines ; elle est une partenaire dans la construction d’un monde où chaque individu a la possibilité d’atteindre son plein potentiel », a ajouté Schwab.

DISCOURS COMPLET :

La « quatrième révolution industrielle » vantée par Schwab est un élément clé de son programme de « grande remise à zéro ».

Ce plan implique l’élimination du capitalisme et le remplacement des gouvernements élus par des bureaucrates non élus et des élites d’entreprise.

La vision du FEM prévoit le remplacement d’une grande partie de la main-d’œuvre humaine par des machines pilotées par l’IA.

Cependant, Schwab et ses alliés du FEM ont admis que ce programme créera une nouvelle « classe d’humains inutiles » qui ne seront « plus nécessaires » dans le « nouveau monde ».

Ce « problème » a amené les membres du FEM à appeler à une dépopulation massive.

L’un des architectes de l’agenda du FEM a appelé à une réduction globale de 86 % de la population afin de garantir à l’élite mondiale « la liberté » et un « niveau de vie élevé » en plafonnant à 1 milliard le nombre d’êtres humains sur Terre.

Un autre membre du FEM affirme qu’une réduction de 90 % de la population mondiale résoudrait les « problèmes » des mondialistes et les « aiderait » à atteindre leurs objectifs « Net Zéro ».

Traduction de Slay News par Aube Digitale




La morale bobo contre le bien commun

[Source : Chaîne officielle TVL]

François-Marie Blanc-Brude est essayiste. Homme de gauche, il a un temps milité pour la CGT et Europe Ecologie-Les Verts. Dans son nouvel ouvrage, « Les angles morts » (éditions Godefroy de Bouillon), il dénonce l’islamisation de la France et la subversion de ses valeurs. Désormais convaincu que seule la droite conservatrice se trouve en capacité de redresser notre pays, François-Marie Blanc-Brude appelle de ses vœux une union du peuple français autour de tous les patriotes sincères.




Lutter contre la dépression en améliorant les conditions du sommeil et en essayant ces 3 stratégies

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : F01 PHOTO/Shutterstock]

Par Amber Yang

Pour lutter naturellement contre la dépression, on doit se concentrer d’abord sur un sommeil de bonne qualité.

La dépression peut entraîner une baisse de l’humeur, des pensées négatives, des insomnies et une série de complications physiques. Dans les cas les plus extrêmes, elle peut conduire au suicide. Bien qu’il existe des options pharmaceutiques pour traiter la dépression, une fois que l’on commence à les prendre, un arrêt du traitement est extrêmement délicat et doit faire l’objet de sérieuses précautions, car cela peut avoir des conséquences profondes.

Chen Junru, de la clinique de médecine traditionnelle chinoise Jinghe à Taïwan, nous aide à comprendre ce qui se passe avec la dépression et comment la traiter naturellement.

La dépression est un trouble très répandu. La médecine occidentale diagnostique une dépression lorsque cinq des neuf symptômes suivants durent plus de deux semaines :

Humeur maussade

Perte d’intérêt pour les choses que l’on aimait auparavant

Changement d’appétit, perte ou prise de poids

Fatigue et/ou insomnie

Léthargie

Fatigue ou manque de vitalité

Faible estime de soi, sentiments intenses de culpabilité et de désespoir, voire pensées ou comportements suicidaires

Manque de concentration ou indécision

Pensées négatives fréquentes

Effets secondaires de l’arrêt des médicaments

Les cellules nerveuses sont interconnectées sous forme de synapses, formant un réseau neuronal qui transmet et reçoit des messages en libérant des neurotransmetteurs. La recherche a montré que de faibles concentrations de ces neurotransmetteurs, tels que la dopamine, la sérotonine ou la noradrénaline, peuvent être liées à la dépression. Par conséquent, le traitement de la médecine occidentale est axé sur l’augmentation de la concentration des neurotransmetteurs, en particulier de la sérotonine, entre les synapses afin de soulager les symptômes.

Il convient de noter que la théorie de la sérotonine sur la dépression a été de plus en plus remise en question ces dernières années, notamment dans une étude de 2022 publiée dans la revue Nature’s Molecular Psychiatry, qui a largement discrédité le lien entre la sérotonine et la dépression.

Cependant, une fois que l’on commence un traitement avec de tels médicaments, on ne peut pas arrêter de les prendre à volonté. Selon Chen Junru, qu’il s’agisse de somnifères ou d’anxiolytiques, ces médicaments apportent au cerveau une quantité supplémentaire de sérotonine. Toutefois, si ces médicaments sont arrêtés brusquement, le cerveau n’a pas le temps de produire sa propre sérotonine et l’humeur peut en être affectée, voire s’effondrer. Cela peut entraîner des effets indésirables allant de l’incapacité à dormir toute la nuit au suicide. Par conséquent, si on est en cours d’arrêt de traitement psychiatrique, il est sage de s’aider par d’autres moyens, tels que l’acupuncture et l’exercice physique.

L’arrêt d’un traitement de la médecine traditionnelle chinoise (MTC) n’entraîne pas les mêmes problèmes, car le concept même de la MTC consiste à rétablir l’équilibre à partir d’un état déséquilibré à l’aide de plantes médicinales. Outre les troubles de l’humeur, de nombreuses personnes souffrent également de problèmes de sommeil. Lorsque la qualité du sommeil n’est pas bonne, l’humeur chute. Chen Junru estime que la première étape du traitement de la dépression consiste à remédier aux problèmes de sommeil.

Résoudre les problèmes de sommeil pour traiter la dépression

De nombreuses personnes développent à la fois une dépression et des problèmes de sommeil en raison des nombreux facteurs de stress de la vie. Leur cerveau ne cesse de tourner lorsqu’il est temps de dormir. Il s’agit d’un problème de sommeil de type trouble du système nerveux autonome, et la solution commence par l’ajustement du système nerveux autonome.

Il existe deux types de nerfs autonomes, le sympathique et le parasympathique, qui sont de nature opposée. Le nerf sympathique est comme l’accélérateur, tandis que le nerf parasympathique agit comme le frein. Une bonne nuit de sommeil résulte de la combinaison optimale des deux.

Du point de vue de la MTC, le nerf sympathique appartient au yang et le nerf parasympathique au yin. Un sommeil réparateur n’est possible que si le yin et le yang sont équilibrés. L’équilibre du yin et du yang est au cœur de la théorie de la MTC et constitue une condition essentielle de la santé humaine. Les différentes activités physiologiques du corps humain peuvent être classées en yin et yang. Lorsque le yin et le yang sont équilibrés, le corps est en bonne santé ; à l’inverse, un déséquilibre provoque des maladies. C’est pourquoi la MTC met l’accent sur l’équilibre du yin et du yang, qui est la clé d’une bonne santé.

Chen Junru a expliqué que de nombreuses plantes médicinales chinoises régulent l’équilibre du yin et du yang, comme la décoction de bupleurum et de cyperus, (souchet), la décoction de bupleurum ramuli et de cannelle, ou la poudre de bupleurum et de pivoine, qui sont toutes des modulateurs qui calment le système sympathique et permettent à la fonction parasympathique de fonctionner.

Bien entendu, la MTC dispose également de plusieurs prescriptions qui ciblent le sommeil, comme les pilules de ginseng et de ziziphus, (ou jujubier), la décoction de jujube acide et la décoction de bupleurum et de bobe de dragon, qui ont toutes pour effet de stabiliser le cerveau. En outre, l’acupuncture peut également équilibrer les nerfs autonomes. Par exemple, les points d’acupuncture huatuojiaji situés de part et d’autre du méridien de la vessie sont les chaînes nerveuses sympathiques du système nerveux autonome. Le massage ou l’acupuncture sur ces points permet d’ajuster efficacement le système nerveux autonome.

Les muscles tendus peuvent également entraîner une mauvaise qualité de sommeil. Lorsque l’on ressent trop de tension dans le corps, on peut utiliser un peigne pour masser le cuir chevelu avant de se coucher afin de détendre les muscles et d’augmenter le flux sanguin vers le cerveau, améliorant ainsi la qualité du sommeil. Toutefois, pour lutter contre la dépression et l’insomnie, l’option préférée de Chen Junru est l’exercice physique.

Elle explique que de nombreux hommes d’affaires prospères (c’était notamment le cas de Steve Jobs, qui était co-fondateur d’Apple) pratiquent une activité physique régulière afin d’entraîner leur corps tout en libérant leur cerveau du travail. Lors d’un changement d’environnement ou d’état d’esprit, des inspirations et des solutions peuvent parfois émerger pendant que l’on fait de l’exercice. Par ailleurs, il est prouvé que l’exercice physique améliore l’humeur, ce qui aide à mieux dormir la nuit et réduit la vulnérabilité à la dépression.

3 conseils pour lutter contre la dépression

En faisant de l’exercice, non seulement les pensées distrayantes se dissipent et la volonté de surmonter les difficultés se renforce, mais les solutions aux problèmes ont tendance à émerger de manière involontaire. Outre l’exercice, voici trois autres conseils pour lutter contre la dépression.

1. Connaître les signes subtils

Les méridiens du foie exercent la circulation entre 1 heure et 3 heures du matin. Le foie régule les nerfs sympathiques et parasympathiques. En d’autres termes, si on ne se repose pas quand on le doit, c’est que quelque chose perturbe les méridiens du foie. Si on se réveille à 3 heures du matin, c’est un premier signe d’inquiétude ou de contrariété.

Le foie dont il est question dans la MTC n’est pas seulement l’organe ; il comprend également les parties où circulent les méridiens du foie. Le système hépatique régit également les systèmes reproductif, nerveux autonome, émotionnel et endocrinien.

2. Analyser les sources probables des émotions

La dépression est intrinsèquement liée aux émotions. On doit s’efforcer de trouver ce qui nous perturbe, et analyser pourquoi cela nous rend inquiet et irritable. Je pratique la discipline spirituelle Falun Gong, qui m’aide énormément à analyser mes émotions de manière rationnelle.

Par exemple, certains de ces sentiments peuvent être la jalousie des autres qui semblent meilleurs que moi, la compétitivité qui devient agressive, les plaintes contre mon patron, la peur d’être trompé et la peur de « perdre » en ne réalisant pas tout mon potentiel au travail. Ces émotions peuvent être à l’origine d’un sentiment de dépression et de contrariété. Une fois que l’on a compris la source de ces émotions, on peut prendre les mesures qui conviennent.

3. Réaliser que certaines choses ne peuvent pas être changées

Pendant mon enfance, ma mère me disait souvent : « Fais de ton mieux et crois au destin ». Cela signifie qu’il faut travailler dur, mais que si l’on ne parvient toujours pas à obtenir ce que l’on veut, c’est peut-être moins le résultat de sa propre faute que celui du destin.

Il est donc essentiel de distinguer ce que l’on peut changer de ce que l’on ne peut pas changer. On ne peut surmonter les choses qui ne peuvent être changées qu’en y étant moins attachés. Bien sûr, il n’est pas facile de lâcher prise. C’est pourquoi, en faisant de l’exercice, en cultivant les relations et en étant actif, on peut se libérer de l’espace inhibiteur qui contrôle les émotions, et visualiser le problème plus clairement.

Certaines des herbes médicinales mentionnées ci-dessus peuvent sembler peu familières, mais on peut en trouver un grand nombre dans les épiceries asiatiques et les magasins d’aliments naturels. Toutefois, il convient de consulter un médecin professionnel pour des plans de traitement spécifiques, car la constitution corporelle diffère d’une personne à l’autre.




« L’éducation positive, c’est le règne absolu de l’enfant roi, l’interdiction de sanctionner »

[Source : epochtimes.fr]

[Crédit photo : Sylvia Galmot]

Par Julian Herrero

Dans un entretien accordé à Epoch Times, l’ancien ministre de l’Éducation nationale, Luc Ferry, revient sur son dernier ouvrage « La frénésie du bonheur. Du bonheur différé au bonheur immédiat » aux Éditions de l’Observatoire. Pour lui, la psychologie positive est une « idéologie mortifère en phase parfaite avec l’effondrement de l’Occident ». L’essayiste met également en garde contre les risques que font courir les métavers qui « prétendent offrir une seconde vie plus réussie que la vraie ».

Epoch Times – Dans votre dernier livre, vous portez un regard critique sur certaines théories à succès promettant le bonheur immédiat et plus particulièrement la psychologie positive. Selon vous, même si la psychologie positive ne permet pas d’atteindre un bonheur durable, peut-elle apporter une forme d’apaisement ou de réconfort à des personnes stressées ou qui n’ont aucune confiance en eux ?

Comme toujours, l’enfer est pavé de bonnes intentions. Je ne doute pas une seconde qu’il y ait parmi les tenants de la psychologie positive et du développement personnel des personnes honorables qui sont convaincues d’œuvrer pour leur bien comme pour celui des autres.

Le problème, c’est que la promesse du bonheur est déjà en soi une pure illusion, à vrai dire un mensonge : contrairement au plaisir ou même à la joie, la notion de bonheur implique un état durable, stable. Or, sur terre, pour les mortels que nous sommes, c’est évidemment impossible. Nous pouvons connaître des plaisirs, des moments de joie, voire des plages de sérénité, mais en ce bas monde, rien n’est durable ni stable.

Comme le disaient Rousseau et Kant, la notion de bonheur n’a, en réalité, de sens que dans une perspective religieuse, dans l’au-delà, mais dès qu’on aime autre chose que son nombril, on est en danger, car notre sérénité dépend évidemment de celle des autres, en particulier de ceux que nous aimons, et ils sont mortels.

[Voir aussi :
Note sur la recherche du bonheur]

Dire que le bonheur ne dépend que de notre « état d’être intérieur » n’aurait de sens que si nous n’aimions personne, que si nous nous moquions complètement de l’état du monde extérieur. De là l’éloge de l’égoïsme et du narcissisme que se plaisent à faire les tenants de la psychologie positive et du développement personnel. C’est à mes yeux non seulement assez immonde moralement, mais c’est en outre politiquement absurde et à vrai dire mortel pour nos démocraties.

Le succès de la psychologie positive reflète-t-il un mal-être au sein de notre société ?

Plus qu’un mal-être, cette idéologie est en phase parfaite avec l’effondrement de l’Occident dans l’individualisme narcissique le plus délétère. C’est le contraire exact de ce qu’il nous faudrait : le sens du collectif, le souci non pas de soi, mais des autres, le courage et la lucidité face à la dureté du monde qui vient et qui n’est pas peuplé de « Bisounours » narcissiques préoccupés par leur petit « état d’être intérieur », mais de fanatiques nationalistes et de fondamentalistes religieux qui aujourd’hui haïssent cet ancien colonisateur que fut l’Occident….

Vous critiquez l’inefficacité de l’éducation positive sur les enfants et vous citez Victor Hugo : « L’éducation, c’est la famille qui la donne ; l’instruction, c’est l’État qui la doit ». Aujourd’hui, certaines personnalités politiques, plutôt de droite, dénoncent une confusion dans les rôles respectifs de l’école et des parents, la jugeant responsable de « l’effondrement de l’école ». Pour clarifier les rôles de chacun, faudrait-il, selon vous, remplacer le ministère de l’Éducation nationale par un ministère de l’Instruction publique ?

À part faire hurler les « pédagos », changer le papier à en-tête du ministère ne changerait hélas rien. Pour autant, c’est vrai, et il faut sans cesse y revenir, ces mots ont un sens : éducation et enseignement ne se confondent pas.

L’éducation, relève des parents, s’adresse aux enfants et s’incarne pour l’essentiel dans la sphère privée de la famille ; l’enseignement est d’abord et avant tout l’affaire des professeurs, il s’adresse aux élèves et il se dispense dans la sphère publique des établissements scolaires. Il y a bien entendu des recoupements entre les deux sphères. Les parents peuvent aider leurs enfants à faire leurs devoirs et les professeurs sont bien obligés de remettre parfois les pendules à l’heure en rappelant les formes élémentaires de la civilité. Malgré tout, chacun a sa part, son travail à faire, et, pour l’essentiel, les tâches ne sont pas identiques.

Or je prétends que si les principes de base d’une éducation traditionnelle, de la politesse et du respect des autres, en particulier des adultes, n’ont pas été transmis très tôt, avant même la scolarisation, si nos enfants sont, comme on disait sans fard naguère encore, « mal élevés », l’enseignement devient tout simplement impossible. Inutile de forger de grands desseins au ministère de l’Éducation si les familles ne permettent plus aux enseignants d’exercer leur métier dans des conditions minimales de décence.

Or les traités d’éducation positive sont sur ce point un véritable désastre. Comme la psychologie positive dont ils sont issus, ils défendent très exactement le contraire de ce dont nous avons besoin. L’éducation positive, c’est le règne absolu de l’enfant roi, l’interdiction de sanctionner, de mettre des notes, d’installer l’autorité des adultes. On fait tout pour fabriquer à la maison un futur élève qui sera plus tard ingérable par des professeurs dont ce n’est pas le métier de se substituer à des parents défaillants.

Une partie de votre ouvrage est consacrée au métavers. Si vous écrivez que les métavers sont « le futur du Net », vous mettez toutefois en garde contre le « risque des effets d’une fuite hors du réel sur le psychisme des enfants comme d’ailleurs celui des adultes ». Pensez-vous que nos dirigeants seront amenés à encadrer légalement les métavers comme ils le font, par exemple, avec la consommation d’alcool ? Le pourront-ils ?

En quelques décennies, nous avons vécu en France la déconstruction, puis l’effondrement des deux grandes religions de salut céleste (le catholicisme) et terrestre (le communisme). En 1950, plus de 90 % des Français étaient baptisés, ils ne sont plus que 30 % ! 45 000 prêtres diocésains prêchaient dans nos églises, ils ne sont plus que 4500 tandis que l’électorat communiste est passé de 25 % à 2,5 % !

En conséquence, s’il n’y a plus d’après, plus de deuxième vie après la mort ou la Révolution, c’est ici et maintenant qu’il s’agit d’être heureux et nous vivons le passage de l’acceptation d’un bonheur différé [dans l’au-delà — NDLR] à l’exigence du bonheur immédiat. Pour donner une image, nous étions comme le troisième petit cochon qui travaille d’abord et s’amuse après, nous sommes devenus le premier, qui veut tout, tout de suite.

La naissance des métavers s’inscrit dans ce même effondrement narcissique. Ils prétendent nous offrir une « seconde vie » plus réussie que la vraie. Ce sera évidemment impossible à encadrer et le grand risque, c’est qu’en redescendant sur terre, le passage du virtuel au réel sera terrible pour ceux qui seront tombés dans l’addiction. Seule l’éducation pourra enrayer la vague qui vient, mais l’éducation positive y pousse de toute part…

En conclusion de votre ouvrage, vous proposez comme alternative au narcissisme et à la recherche du bonheur immédiat la « spiritualité laïque […] faisant l’éloge de l’excellence et du travail bien fait, celui du don de soi et de l’esprit de sacrifice, de la sérénité et de la possibilité de la joie, plutôt que du repli sur soi, et avant toute chose, celui de l’amour des autres et de l’altérité plus que de l’amour de soi ». Les mots « spiritualité » et « laïque », ne sont-ils pas contradictoires ? La notion de spiritualité peut être séparée de la religion ?

Une spiritualité peut-elle être laïque ? N’est-ce pas jouer sur les mots que de prétendre que la philosophie est une « spiritualité laïque » ? Et si ce n’est pas une formule creuse, que signifie cette expression étrange, pour ne pas dire à première vue franchement contradictoire ?

Pour le comprendre, il faut faire une distinction cruciale à mes yeux, peut-être bien la plus cruciale entre toutes d’un point de vue philosophique, une distinction hélas le plus souvent occultée dans le débat public entre deux types, deux sphères de valeurs très différentes par rapport auxquelles nos vies s’orientent sans cesse : les valeurs morales d’un côté, les valeurs spirituelles de l’autre.

La morale, en quelque sens qu’on l’entende, c’est le respect de l’autre, disons les droits de l’homme avec, de surcroît, la bienveillance, la générosité. Se conduire moralement, c’est respecter autrui et lui vouloir activement du bien. Imaginons un instant que nous disposions d’une baguette magique qui nous permettrait de faire en sorte que tous les humains se conduisent moralement les uns vis-à-vis des autres. Si nous appliquions parfaitement les valeurs morales, il n’y aurait plus sur cette planète, ni massacres, ni viols, ni vols, ni meurtres, ni injustices ni probablement même d’inégalités sociales très grandes. Ce serait une révolution.

Et pourtant — et c’est là qu’apparaît au grand jour la différence entre valeurs morales et valeurs spirituelles, cela ne nous empêcherait ni de vieillir, ni de mourir, ni de perdre un être cher, ni même d’être le cas échéant malheureux en amour ou, tout simplement, de nous ennuyer au fil d’une vie quotidienne engluée dans la banalité. Car ces questions — celle des âges de la vie, du deuil, de l’amour ou de l’ennui — ne sont pas essentiellement morales.

Vous pourriez vivre comme un saint, être gentil comme un ange, respecter et aider autrui à merveille, appliquer les droits de l’homme comme personne… et vieillir, et mourir, et souffrir. Car ces réalités, comme dit Pascal, sont d’un autre ordre, qui relève de la « spiritualité » entendue au sens de la vie de l’esprit, laquelle ne se limite pas au religieux et va bien au-delà de la morale. De quoi s’occupe-t-elle ? De notre rapport à la mort ou de la question d’avoir une vie bonne pour les mortels. Or, de ce point de vue, il y a deux types de spiritualités, deux manières d’aborder la question de savoir ce que c’est qu’une vie bonne pour ceux qui vont mourir et qui le savent : des spiritualités avec des dieux et par la foi, ce sont les religions, et des spiritualités sans Dieu et par les voies de la simple raison, et ce sont les grandes philosophies dont j’analyse dans mon livre les grandes réponses à la fois spirituelles et laïques.




France — Le scandale du double vote pour l’amendement de l’article 4 de censure de la médecine

Dérives sectaires : l’assemblée s’oppose à la création d’un délit d’incitation à l’abandon de soins

Alors que l’Assemblée nationale a entamé, mardi 13 février, l’examen du projet de loi visant à « renforcer la lutte contre les dérives sectaires », le gouvernement et sa majorité relative ont été mis en minorité sur l’instauration d’un délit visant à punir spécifiquement les dérives à caractère thérapeutique. Cet article, qui constituait le cœur du texte, a été supprimé. 

Mais

Le texte est finalement passé.

Commentaire d’un internaute

Un leurre ? Pour alimenter autocensure ?

Ce texte serait inapplicable en l’état tellement il est alambiqué, tellement il ouvre des portes, tellement il est écrit par des incompétents… C’est donc un chiffon rouge de plus agité pour dissimuler d’autres actualités.

Critique :

« Art. 223 ‑1‑2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende la provocation au moyen de pressions ou de manœuvres réitérées de toute personne atteinte d’une pathologie » : on va galérer sur la définition de la pathologie…

« à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique » : si c’est prophylactique, c’est qu’il n’y a pas de pathologie, le texte n’est pas clair…

« lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées » : on va galérer sur la définition de ce qui est bénéfique et de la balance bénéfice/risque…

« alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales » : on va bien être obligé de passer par une expertise médicale pour savoir quel est l’état des connaissances médicales, les juges ne sont pas au fait de ses connaissances !…

« manifestement susceptible d’entraîner pour elle : manifestement, ça ouvre une marge de manœuvre… Ça ne va pas être simple !

« compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences particulièrement graves pour sa santé physique ou psychique. » : oui, c’est sûr, il va falloir passer par une expertise médicale…

« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques » : bon sang, qu’est-ce qu’on va qualifier comme étant des pratiques…

« présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique alors qu’il est manifeste, en l’état des connaissances médicales, que ces pratiques exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente. » : encore une fois, il y a la l’obligation de recourir à une expertise médicale… Et ça ne va pas être simple ! En plus, on parle d’exposé à un risque, quelque chose d’un certain, ça ne va vraiment pas être simple !

« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. » : ce n’est pas brillant, ils ont oublié de qualifier les effets, négatif ou positif ?

« Lorsque la provocation s’accompagne d’une information claire et complète quant aux conséquences pour la santé et que les conditions dans lesquelles cette provocation a été faite ne remettent pas en cause la volonté libre et éclairée de la personne, les délits définis au présent article ne sont pas constitués. » : quand on prévoit un délit, et ensuite une clause pour dire qu’en cas d’information claire et complète, il n’y a pas de délit, on est manifestement en train de créer un délit pour rien.

« Pour l’application du précédent alinéa, lorsque la personne est placée ou maintenue dans un état de sujétion psychologique ou physique, l’information donnée est présumée ne pas permettre de garantir la volonté libre et éclairée de la personne. » : et quand on crée un délit, puis une clause pour dire qu’il n’y aura pas de délit, puis une clause pour dire qu’il y aura quand même délit… On est vraiment en train de… Vous savez, faire des trucs avec des mouches, enfin bref je me comprends. Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément, non ?

« L’information signalée ou divulguée par le lanceur d’alerte dans les conditions prévues à l’article 6 de la loi n° 2016 ‑1691 du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique ne constitue pas une provocation au sens du présent article. » : idem.

« Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. » : en gros, démerdez-vous…

#LaJusticeEstUneInconnue




Fraude pharmaceutique et découverte du « Rotavirus »

[Source : @TheAmir]

Le sous-titre de notre livre Virus Mania est « How the Medical Industry Continually Invents Epidemics, Making Billion-Dollar Profits at Our Expense » (Comment l’industrie médicale invente continuellement des épidémies, réalisant des profits de plusieurs milliards de dollars à nos dépens) et dans le chapitre 9 du livre, nous avons mentionné l’introduction scandaleuse des vaccins contre le rotavirus dans les années 1990.

Le Health Freedom Defense Fund (Fonds de défense de la liberté de la santé — HFDF) a depuis mené une enquête plus approfondie sur ce sujet et publié un essai intitulé « The Childhood Vaccination Schedule—Part Two: The Rotavirus Vaccines » (Le calendrier de vaccination des enfants — Deuxième partie : les vaccins contre le rotavirus).

Cette vidéo est une version modifiée de l’essai complet et des liens vers toutes les références sont disponibles sur le site web du HFDF.

Il suffit de regarder l’histoire du rotavirus pour voir comment un virus est inventé de toutes pièces et prétendument à l’origine d’une maladie spécifique, sans se soucier du fait que le prétendu virus n’« infecte » que des personnes fragilisées.

L’industrie médico-pharmaceutique propose ensuite sa « solution » avec les vaccins, tandis que les véritables causes de la maladie et les moyens simples d’y remédier sont ignorés.

L’industrie pharmaceutique et ses amis qui colportent ces produits bénéficient d’un modèle commercial récurrent et le jackpot est le calendrier de vaccination des enfants. Grâce à des discours alarmistes persistants et injustifiés, les parents sont poussés à soumettre leurs enfants à des préparations inutiles et dangereuses telles que les vaccins contre le rotavirus. Tout repose sur une autre invention : l’histoire selon laquelle les « microbes » sont là pour nous tuer…

Le Health Freedom Defense Fund défend la liberté, le choix et le plus fondamental des droits de l’homme, l’autonomie corporelle. En plus de soutenir de nombreux recours juridiques contre les mandats COVID, l’équipe du HFDF a produit de nombreux essais dénonçant la corruption dans les industries médicales et pharmaceutiques.

J’ai déjà produit des versions vidéo de deux autres essais du HFDF : « L’histoire de Pfizer Inc. une étude de cas sur l’empire pharmaceutique et la corruption des entreprises » et « Italie 2020 —La pandémie grotesque ».

Dr. Samantha Bailey

Source :

https://odysee.com/@drsambailey:c/Pharmaceutical-Fraud-and-the-Discovery-of-Rotavirus:0

Linkographie :

https://mega.nz/file/rM5zDS4C#FHNWgBmODUtlFKnEpWfIGv3ObQOD46NUMDsjWj5yHeU






Dr Lee Vliet : 5G et mortalité Covid

[Source : @Cielvoile]

Dr Lee Vliet

Médecin spécialiste de la médecine préventive et de la médecine climatique, engagé dans le serment d’Hippocrate à servir le patient individuel au mieux de ses capacités et de son jugement. Pratique médicale indépendante active en Arizona et au Texas, offrant des consultations approfondies aux hommes et aux femmes. Spécialiste des soins médicaux et défenseur des patients à la recherche de soins médico-chirurgicaux individualisés, de qualité supérieure et à moindre coût, à l’étranger, pour passer plus de temps avec les médecins et préserver la liberté médicale, la vie privée et l’accès aux services en temps opportun.

(Source)

Elizabeth Lee Vliet, M.D., est une spécialiste de la médecine préventive et climatique qui exerce à Tucson AZ et à Dallas TX. Elle adopte une approche intégrée de l’évaluation et du traitement des femmes et des hommes souffrant de problèmes médicaux et hormonaux complexes. Le Dr Vliet est également président de International Health Strategies, Ltd, dont la mission est double : liberté et respect de la vie privée dans les options de traitement et préservation du serment d’Hippocrate, qui met l’accent sur le patient individuel.
Le Dr Vliet a reçu en 2007 le prix Voice of Women décerné par l’Arizona Foundation for Women pour son action pionnière en faveur des connexions hormonales négligées dans la santé des femmes. Le Dr Vliet a obtenu son diplôme de médecin et son internat en médecine interne à l’Eastern Virginia Medical School, puis a suivi une formation spécialisée à l’hôpital Johns Hopkins.

(Source)

[Voir aussi :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
et
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur]






Comment les médias créent de la confusion sur l’immigration et la pénurie de main d’œuvre

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Anthony Tremblay

Un récent sondage a démontré qu’il n’existait plus de différences notables entre les opinions des Québécois et des Canadiens quant aux conséquences des politiques d’immigration massives des libéraux. Qu’il s’agisse du logement, des soins de santé, de l’éducation ou de la pénurie de main-d’œuvre, québécois comme Canadiens pensent de façon similaire. Par contre, il faut noter que les Québécois sont nombreux à penser que l’immigration est une solution à la pénurie de main-d’œuvre. Un sophisme économique amplement démonté par plusieurs spécialistes, et aussi le sens commun. Faisons le tour de ce sondage et ce qu’il nous dit sur l’agenda médiatique au Québec.

Selon une étude Léger, une forte majorité de Québécois, à 61 %, et un nombre légèrement plus bas de Canadiens, à 56 %, pensent que l’on devrait accueillir moins d’immigrants. Le pourcentage estimant que l’on devrait en accueillir autant est un peu plus élevé au Canada à 27 %, alors qu’il est à 25 % au Québec. Ce qui fait dire que l’époque où le Canada voyait de haut le Québec avec ses revendications identitaires est loin derrière nous. En seulement quelques mois, nous avons assisté à un retournement complet de l’opinion publique au Canada.

S’il faut se réjouir de cette prise de conscience, il demeure quand même que le message poussé de façon récurrente par certains médias aura pour encore longtemps la vie dure. Par exemple, que 72 % des Québécois et des Canadiens estiment que l’immigration est la solution à la pénurie de main-d’œuvre. Or, cela est un sophisme démonté par plusieurs économistes. Pierre Fortin, que l’on ne peut accuser d’être un bolchévique souhaitant détruire le système, affirme :

« De 2015 à 2019 par exemple, le solde migratoire total du Québec, qui prend en compte l’addition annuelle nette de tous les immigrants permanents et temporaires, a quadruplé, passant de 24 800 à 93 500 personnes. Mais plutôt que de diminuer, le taux de postes vacants a doublé au Québec pendant ce temps, passant de 1,8 % de postes disponibles en 2015 à 3,5 % en 2019. »

Ce qui signifie en gros que pour chaque immigrant, qui gagnera des revenus et aura besoin de services, [cela] nécessitera la création de nouveaux emplois. Une idée défendue par d’autres économistes serait que le gouvernement ne devrait essayer de pourvoir que des postes vacants, pas pour de nouveaux postes. On estime à cinq le nombre d’emplois indirects créés par un nouveau poste direct. D’où la contradiction d’un François Legault qui souhaite créer de nouveaux emplois dans de nouvelles industries, alors que nous devrions davantage penser à pourvoir les postes déjà disponibles depuis longtemps. Pensons notamment au secteur de la santé.

Bien sûr, c’est connu qu’il s’agit d’un sophisme économique. Qu’il s’agit de faire venir toujours plus de gens pour combler une pénurie qui ne fait que s’aggraver à mesure que la population augmente. Les journaux sont en partie responsables de la situation. À force de marteler le même message avec des entrepreneurs en détresse, qui affirment perdre des contrats, car ils n’ont pas assez d’employés, ou bien que les jeunes ne « veulent plus travailler », on a fini par convaincre la population qu’il fallait toujours faire venir plus de gens de l’étranger.

C’est ironique venant de Québecor, entreprise que l’on estimerait nationaliste, de pousser un agenda immigrationniste aussi intense. On ne compte plus le nombre de reportages d’industries en crise, qui cherchent désespérément des travailleurs. Par contre, pas grand-chose n’est dit sur les conditions de travail dans les champs, les entrepôts, les usines. Il y a peut-être des raisons pourquoi les jeunes ne veulent plus travailler aux mêmes conditions que leurs parents s’ils ont le choix entre l’usine ou de vendre des téléphones cellulaires par exemple.

Nous pourrions aussi parler du vieillissent de la population. Selon la thèse généralement défendue, l’immigration ferait baisser l’âge moyen de la population. Néanmoins, selon le démographe Guillaume Marois, dans son essai coup de poing Le remède imaginaire (2011), il y affirme que les immigrants qui arrivent au Canada et au Québec sont trop âgés pour réellement inverser la courbe démographique. Il faudrait qu’ils soient des enfants ou des adolescents pour qu’ils puissent faire une vraie différence.

Les médias ont largement leur part de responsabilité dans cette perception contradictoire des conséquences de l’immigration sur notre pays. D’un côté, on voit l’effet de faire entrer plus d’un million de personnes par année sur notre parc locatif. C’est mathématique. L’offre et la demande demeureront pour toujours la règle de base de l’économie de marché. De même, les conséquences sur les systèmes d’éducation et de santé sont connues également. Mais l’argument qui consiste à penser que l’on peut pourvoir des postes en faisant venir des immigrants doit être contredit. Plusieurs économistes l’affirment : pour chaque poste comblé, il faudra toujours en créer un nouveau.




L’acrobatie politique du PM anglais face à un vaxiné




Macron, le sous-secrétaire d’un État européen piloté par des gens non élus

[NDLR Von der Leyen est alors une secrétaire. Le vrai pouvoir provient de la finance.]