« Ça peut pas faire de mal. » — « C’est mieux que rien. » — Masque, peur, sidération, épuisement, etc.

11/12/2022 (2022-12-11)

Par Alain Tortosa

Préambule :

Ce texte s’appuie sur l’hypothèse que les trois théories (croyances) suivantes sont vraies :

  • Il existerait des entités virus1 que l’on n’a jamais pu observer in vivo qui se reproduiraient et survivraient en tuant des cellules hôtes.
  • Ces virus seraient contagieux et il y aurait transmission depuis un patient zéro vers une population de plus en plus importante jusqu’à la « vague » suivante.
  • Il serait possible de contrôler ces virus, de contenir, de prévenir, voire de les éradiquer par des mesures pharmaceutiques (médicaments, vaccins, etc.) et non pharmaceutiques (masques, confinements, etc.).

Vous ne pouvez pas croire en l’épidémie de Covid et aux mesures préconisées depuis le début de la crise sans adhérer pleinement à ces trois théories précédentes. Ce texte s’adresse donc principalement à celles et ceux qui y croient.

La « Vérité » :

Les « complotistes » étudient, critiquent, se font leur vérité quand bien même ils se tromperaient. En revanche, la quasi-totalité des vérités des humains lambda semble une adhésion pure et simple à l’information reçue (famille, amis, enseignants, spécialistes, médias, etc.)

Pour dire autrement :

« La vérité du commun des mortels est la vérité de la société. »

Elle n’est en aucune façon le fruit d’une réflexion, d’une critique ou de recherches personnelles.

Plus « l’information » distillée par les médias sera monocorde et plus la vérité sera simpliste et binaire.

Nous en avons eu une preuve flagrante avec les trois sujets suivants :

  • Covid.
  • Guerre en Ukraine.
  • Réchauffement climatique.

Sur ces trois sujets, et il y en a plein d’autres, il y a « consensus ». 100 % des médias mainstream, qu’ils soient dits de gauche ou dits de droite, tiennent exactement le même discours (à un ou deux pour cent près).

Il m’est arrivé de « discuter » avec des membres de l’Église du coronavirus et leur demander de m’expliquer leurs croyances. En entendant leur discours, j’étais inexorablement poussé à leur dire :

« Je ne te demande pas de me répéter le discours de BFM, du Figaro ou de Libération que je connais,
je te demande TON opinion. »

La plupart des humains croient « savoir » alors que dans les faits
ils ne sont que les « croyants » d’une religion inculquée par la société.

Pour être totalement honnête, les « complotistes » ne sont pas à l’abri de la croyance et peuvent parfois basculer dans une « anti-foi ». Ils prendront comme « Vérité » l’exact inverse du discours officiel sans étudier par eux-mêmes pour débusquer des mensonges.

Adhésion :

Hormis les « complotistes », espèce reconnue contagieuse par les autorités qui font tout pour les contrôler en espérant les éradiquer, la population a adhéré dans son ensemble aux mesures gouvernementales de « lutte contre le virus ».

Comme indiqué précédemment, cette adhésion est totalement déconnectée d’un travail de recherche, d’analyse et de critique personnelle.

« Si tout le monde (civilisé, non pas les complotistes malades, antisémites d’extrême droite) le dit et le répète,
c’est que c’est vrai ! »

Vérités :

Le public a donc majoritairement adhéré aux vérités suivantes citées au début de l’épidémie :

  • Le Covid est un virus inconnu « vachement dangereux ». (Dans les faits, il circulait des mois avant la déclaration officielle et n’est devenu dangereux qu’au moment où les médecins se sont vus interdits de soigner comme à l’accoutumée.)
  • Nouveau virus, donc absence de traitements, quand bien même il était d’une catégorie banale (coronavirus).
  • Les confinements sont efficaces – « logique », il suffit de s’isoler pour ne pas croiser de virus. (Ici encore, point de questionnement, point de références aux études passées, point de comparaison entre les pays qui confinent et ceux qui ne confinent pas. La Vérité vient d’en haut et on la croit. »
  • Le masque est « efficace ».
    [Le public qui adhère à l’inefficacité et à la dangerosité du masque en début de crise, grâce aux conseils des autorités, vérité scientifique rapportée par l’OMS, se met à adhérer tout autant à son « efficacité » et à l’obligation de le porter en tout lieu. Preuve s’il en est de l’adhésion aux paroles d’évangile sans la moindre réflexion de fond.]
  • Les gestes barrières sont efficaces.
    (Idem, aucune référence aux études ou aux statistiques. Notez que le spécialiste médiatique affirme et on ne lui demande JAMAIS ses sources.)
  • Le « vaccin » est efficace.
    (Se référer à mes écrits précédents. Il est intéressant de voir comment le public a suivi dès lors que les autorités ont déclaré qu’il était sûr et efficace. Et ce quand bien même l’autorisation de mise sur le marché était conditionnelle, que l’on était encore en phase expérimentale, que l’on vendait une technologie ARNm jamais déployée à grande échelle, et qu’il faut en général 10 ans de recul avant de commercialiser un nouveau vaccin. Ici, rien, même pas peur !)

Tout ceci étant bien entendu martelé 24 heures sur 24 par tous les médias, tout un chacun devenant à son tour le porte-parole de ces « vérités ».

Usure :

Notons qu’il existe un phénomène d’usure et de saturation.

L’objectif de la dictature est de nous maintenir dans la peur pour nous faire adhérer et même réclamer nos chaînes. La peur sidère, ou dit plus simplement, la peur rend con !

Le problème est que notre cerveau se lasse de la peur, il finit par mettre en place des contre-mesures afin de pouvoir se remettre à fonctionner.

Un exemple simple à comprendre est celui du soldat sur un champ de bataille. Je ne l’ai pas vécu, mais nous voyons bien que les premiers jours sont un enfer de chaque seconde.

« Vais-je me prendre une balle, un obus, un gaz mortel, un missile ou pire, une visite de Macron ? »

Impossible de dormir dans ces conditions !

Si vous retournez voir ce pauvre bougre quelques semaines plus tard, et s’il est encore vivant, vous pourrez voir qu’il dort comme un bébé au milieu de l’enfer et du chaos.

Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il a fait de son quotidien (le champ de bataille) une réalité sur laquelle il n’a pas de prise.

Il en est de même du Covid :

  • Dans un premier temps nos gouvernants nous décrivent l’enfer.
  • Puis ils prennent soin de nous le rappeler au quotidien, le tout avec quelques permissions en dehors du front (faire souffler du chaud et du froid en permanence).
  • Ils nous expliquent enfin que nous pouvons vaincre et que notre survie dépend de nous, de notre capacité à obéir aveuglément aux injonctions, quand bien même celles-ci seraient contradictoires.
    [C’est la même stratégie employée pour la crise de l’énergie. Les coupures aléatoires, pour faire peur, se sont pas « le fait de sanctions énergétiques à l’égard de Poutine, le fait de céder aux lobbies dits écologiques et de fermer des centrales nucléaires », mais de « la responsabilité du public qui doit faire cuire ses pâtes pendant 10 minutes dans de l’eau à 30 °C. »]
  • Semaine A, vous n’avez pas le droit de vous asseoir sur la plage avec le haut-parleur qui vous rappelle la menace et les consignes. Semaine B on vous dit qu’il ne faut surtout pas se déplacer, au risque de se faire contaminer ou de contaminer sur cette plage.
  • Les personnes sont dans la panique, elles obéissent sans se poser la moindre question.

Le battage médiatique est tel que l’être humain ne peut pas dormir dans sa tranchée, maintenu dans une même peur, durant des mois ou des années.

Nous assistons de plus en plus à la perte de peur du Covid.
Pas forcément qu’il est perçu comme « gentil », mais que le phénomène d’usure est là.

On n’y croit plus…

« Vous nous avez dit que si on se confinait on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on portait un masque on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on se faisait tester on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on se vaccinait on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on avait un QR code on le flinguerait ! »

Et là « vous dites qu’il faut faire une deuxième, troisième, quatrième, cinquième dose et vous n’osez plus dire que cela le tuera ! »

« Vous dites qu’il est indispensable de faire un truc auquel vous ne semblez même pas croire et qui ne servira de fait à rien ! »

Les autorités n’osent plus dire qu’une mesure sera efficace, mais juste « nécessaire » !

Il y a une combinaison de « c’est l’enfer » avec « on ne gagnera jamais », affirmant que l’ennemi aura toujours un coup d’avance.

Le discours est :

« il y a une pluie de bombes, prends un antalgique ! »

Raisons pour lesquelles nous avons eu droit à l’Ukraine 24 heures sur 24 et maintenant le réchauffement climatique.

Il n’y a plus que LCI qui fait de l’Ukraine non-stop à la télé.

Bruno Lemaire nous disait il y a plus de huit mois que la Russie serait à genoux avec les sanctions.

LCI continue de le répéter jour après jour.

« Poutine est foutu, l’économie russe est aux aboies, ils n’ont plus de missiles, etc. »

Le Français voit que les prix de l’énergie ou des denrées alimentaires explosent et n’en a plus rien à faire de Poutine. Le « nous allons nous prendre une ogive nucléaire sur la gueule et Poutine va visiter la tour Eiffel avec les troupes » ne fonctionne plus.

Le cobaye humain standard est saturé, il en a marre !

Panne de la vaccination

Une grande partie des Français est lassée et semble ne plus avoir vraiment peur du Covid. Ils ne sont plus convaincus de l’efficacité des mesures et encore moins du « sauveur », l’injection expérimentale ! La preuve en est du taux ridiculement bas d’injections du bivalent2.

Au 4 décembre, il y avait officiellement (chiffres probablement mensongers comme tous les autres) 3,1 % de Français injectés pour 80 % avec une seule dose. Pour ce qui est de la première dose, l’électro-encéphalogramme est plat depuis le début de l’année, plus de candidats à la première.

J’en reviens au bivalent, seuls 10 % des plus de 70 ans sont censés l’avoir reçu. D’autant plus intéressant que les personnes de plus de 80 ans ne sont pas à plus de 10 % non plus.

On sait que c’est une population captive en maison de retraite ou une population qui suit presque aveuglément les conseils de son médecin traitant sans poser de questions. Cette donnée permet ainsi d’affirmer que :

« Les médecins généralistes ont, eux aussi, renoncé au vaccin Covid. »

Relance de l’épidémie ?

Depuis quelques jours le gouvernement essaie de lancer la 9e vague pour introduire de l’angoisse pour les fêtes. Je ne suis pas dans le secret de Satan et je ne sais donc pas si c’est juste pour relancer le marché d’un produit qui n’intéresse plus ou pour relancer la dictature sanitaire.

La relancer ou tout du moins prendre le pouls de la population…

Est-elle prête à gober de nouveau et repartir comme en 14 ? Masques, confinements, vaccination obligatoire, passe sanitaire ? Je ne le sais pas.

Pour autant même les autorités et les corrompus sont bien timides et semblent marcher sur des œufs.

Les spécialistes et les politiques sont de retour, mais pour dire que « les personnes à risque » doivent porter le masque dans les lieux publics. Ils parlent d’une nécessité de rappel vaccinal uniquement pour cette même population. Exit les recommandations pour tout le monde.

Est-ce à dire qu’ils ont peur du procès, peur que les effets secondaires des injections expérimentales leur sautent au visage ? C’est assez crédible.

Le « tous vaccinés, tous protégés » est dans les poubelles de l’histoire, nul n’ose le dire encore.

De là à imaginer qu’ils vont relancer une fausse vague à un niveau biblique avec à nouveau des fausses saturations et des faux morts du Covid, j’ai quelques doutes, même si l’on peut s’attendre à tout de la part de psychopathes. Il n’en demeure pas moins vrai que la situation demeure anxiogène aussi bien pour les covidistes que pour les complotistes.

Les faits suite aux effets d’annonce

Pour autant nous voyons bien que les annonces gouvernementales, aussi bien des autorités que des médecins corrompus (ou avec conflit d’intérêts), ont leur effet.

Le fait est que le nombre de personnes masquées augmente. Je ne pense pas qu’elles soient toutes dans un mode « au secours on va tous mourir ». Le retour du masque chez les paniqués serait d’autant plus étrange que rien ne leur interdisait de continuer de le porter.

Jamais un quelconque responsable politique
ou médecin médiatique n’a annoncé la fin de l’épidémie en France !

Au contraire, le discours sur le retour du Malin en automne est généralisé.

J’entends que le mouton paniqué ne pense pas ou peu, mais quand même, si vous avez vraiment peur de mourir du Covid, d’autant plus que vous avez 5 doses d’un vaccin « efficace », il demeure relativement « logique » de le porter.

Cette augmentation n’est donc pas un effet de panique, mais de « prudence » (cela me fait mal aux tripes d’écrire de telles contre-vérités scientifiques).

J’ai donc, sinon l’intime conviction, la croyance que cette augmentation du nombre de masques repose sur mon titre !

« Ça peut pas faire de mal, c’est mieux que rien. »

C’est pas bien grave ? Là est le danger ! (Pour la santé, nos libertés et la démocratie.)

Nous l’avons croisé si souvent depuis des mois le fameux « c’est pas bien grave ».

  • « Quelques semaines de confinement, c’est pas bien grave si ça peut permettre de se débarrasser du virus. »
  • « Quelques heures de masques par jour c’est pas bien grave si cela permet de contrôler l’épidémie et diminuer les contaminations. »
  • « Scanner un QR code, c’est pas bien grave, après tout qu’est-ce qu’elles (les autorités) en ont à faire de savoir si je suis allé au resto. »
  • « Se faire injecter un produit expérimental c’est pas bien grave si cela peut éviter un séjour en réanimation et de décéder d’une maladie mortelle. »
  • Etc.

Ce qu’il y a de formidable avec l’assujetti, c’est que « rien n’est grave », quel que soit le sujet!

  • Interdire la circulation de véhicules anciens ?
  • Interdire de dépasser le 90 km/h sur autoroute ?
  • Interdire (conseiller, car ils ne peuvent pas contrôler) de chauffer à plus de 19 °C ?
  • Interdire de fumer.
  • Obliger une ceinture de sécurité.
  • Censurer la liberté d’expression.
  • Interdire de prendre l’avion.
  • Obliger un vaccin expérimental pour des millions de personnes en contact avec le public.
  • 11 vaccins obligatoires à la naissance.
  • Faire des délestages d’électricité dont nous serions les responsables.
  • Etc., etc., etc.

Il y a des centaines d’autres exemples que nous ne voyons même plus au quotidien tant nous sommes habitués. Que répondre ?

« C’est pas bien grave ! »

De toutes les façons, pour cette population obéissante, « rien n’est grave » du moment qu’elle a un toit, à manger et qu’elle peut regarder le foot !

Il faut dire que le matraquage est ininterrompu, nous expliquant en novlangue que « la liberté c’est l’interdit ».

« Ça peut pas faire de mal » et « c’est mieux que rien. »

Qu’est-ce qui pousse à l’adhésion aux mesures les plus délirantes ou liberticides ?

Cette masse obéissante n’est pas extrémiste, car :

  • Si la majorité des masqués actuels ne sont pas paniqués à l’idée de mourir du virus.
  • Si la majorité des masqués n’est pas intimement convaincue de l’efficacité de la mesure.
  • Si la majorité des masqués pense que « c’est pas bien grave » de le porter. À noter que le « c’est pas bien grave » pourrait durer pendant 40 ans en l’absence d’opposition…

Le moteur est certainement lié de fait au « ça peut pas faire de mal »

À noter que les croyances sont les mêmes pour les couvre-feux, distanciations, confinements, QR-codes, passe vaccinal, etc., le leitmotiv demeure : « ça peut pas faire de mal ».

La conjonction de « y’a pas besoin d’en faire une affaire d’État »
combiné à « ça peut pas faire de mal » est la porte ouverte à la dictature de masse.

Ce concept de danger lié à des effets secondaires directs ou indirects semble difficilement appréhendable par cette population molle qui obéit sans se poser de (vraies) questions.

Il faut dire que les médias sont « d’une grande aide ».

Tout individu qui émet l’hypothèse d’une dangerosité du confinement,
du masque ou du vaccin et j’en passe,
est immédiatement factchecké, calomnié, censuré puis mis au ban de la société.

C’est d’une grande aide pour ne pas se poser de questions.

Concernant les masques, je pense qu’il est difficile pour le commun des mortels d’y voir une nuisance ou un danger. (Sans même tenir compte des autorités qui rassurent et mentent sur ce sujet).

Ils ne voient qu’un bout de tissu qui semble d’autant plus inoffensif qu’il est notamment utilisé par des chirurgiens. Le fameux argument « imparable ».

Bien heureusement, il est pris soin de passer sous silence :

  • Qu’un chirurgien ne le porte pas douze heures par jour.
  • Qu’il est changé à minima toutes les quatre heures ou entre chaque opération.
  • Qu’il est porté en atmosphère contrôlée, dans un lieu où la température n’excède pas les 19 °C.
  • Qu’il n’est jamais manipulé, enlevé, remis, déplacé.
  • Qu’il est porté par un adulte formé à son usage.
  • Qu’il a pour objet de protéger des bactéries et certainement pas des virus !

Quelques dangers directs ou indirects du masque :

  • Augmente la quantité de CO2 inhalé.
  • Nid à champignons, bactéries qui se développent dans le milieu humide (d’autant plus qu’il est gardé pendant des heures, des semaines ou des mois, rangé dans une poche et manipulé hors protocole).
  • Substances chimiques inhalées dont microparticules qui se retrouvent dans les poumons.
  • Graphène selon les modèles de masque.
  • Perturbations dans la communication non verbale
  • Problèmes d’apprentissage des langues et des émotions.
  • Induction de la peur d’autrui, autrui qui devient potentiellement un danger mortel.
  • Problèmes relationnels, amplification de troubles psychologiques.
  • Détruit la convivialité, la légèreté, le vivre ensemble.
  • Rend visible une épidémie dont on ignorerait l’existence sans les médias ou le masque.
  • Sentiment de sécurité illusoire. (Comme le contrôle technique générateur d’accidents du fait d’un excès de confiance dans un véhicule âgé.)
  • Et pour ceux qui croiraient à son efficacité, dangereux, car il mettrait à mal les défenses immunitaires, exposerait à des maladies et condamnerait le porteur à le garder jusqu’à sa mort.

Le plus délirant est qu’il est déclaré indispensable
pour des personnes qui ont des problèmes respiratoires !

Les faits sur la dangerosité réelle du masque n’entrent pas
dans le processus décisionnel de le porter ou pas.

Quand bien même l’ensemble des dangers sont ou seraient connus, ils ne sont jamais additionnés.

Le porteur pourra dire « oui, c’est vrai » à propos d’une affirmation, mais n’en fera pas un tout, un objet dangereux (sans même parler de son inefficace légendaire).

Penser que le masque c’est dangereux, c’est comme penser que l’excès de sucre c’est dangereux ou que la cigarette est dangereuse. C’est un danger relatif, presque imaginaire !

Paradoxe des peurs et de la réalité de la menace

C’est là que l’on touche du doigt un énorme paradoxe.

Ce public n’a pas peur de porter pendant des heures, des jours,
des semaines, des mois un produit factuellement dangereux.

Une dangerosité dont on peut discuter des conséquences, mais dont nul (honnête) ne peut nier la réalité. Je vous rappelle que nous naissons sans masque et que l’espèce a pu survivre jusqu’à présent. Que le masque est à l’intérieur de notre corps dans nos systèmes de défense contre les agressions extérieures.

La peur de cet objet objectivement dangereux n’est pas conscientisée.

En revanche :

Les porteurs de masque ont peur d’un virus qu’ils n’ont jamais vu
pour lequel ils ont besoin de faire un test pour savoir s’ils sont « malades »
et dont la mortalité est statistiquement anodine.

Qui connaît une personne jeune, en bonne santé, non vaccinée, qui aurait été terrassée par ce virus ? Je pense que je peux répondre sans risque : Personne !

Je peux affirmer que les masqués dans la rue ou dans le bus sont aussi les vaccinés. Vous connaissez peut être une exception sait-on jamais ?!

Plus vous avez de doses de rappels et plus il est probable
que vous ayez peur de ce virus et plus vous êtes masqué.

Et c’est là que l’on touche au merveilleux. Le multi-injecté croit que son vaccin le protège des formes graves. Il en est à ce point convaincu qu’à sa sortie de réa diagnostiqué Covid, il pourra déclarer sans sourciller :

« Heureusement que j’étais vacciné », sous-entendu que le vaccin lui a sauvé la vie.

N’espérons pas faire pénétrer le doute et lui suggérer que le dit vaccin serait totalement inefficace ou pire, à l’origine de ses troubles.

Le multivacciné est donc à la fois intimement convaincu de l’efficacité
de ses injections et en même temps, a d’autant plus peur du Covid qu’il a de doses !
Plus il sera protégé et plus il sera prompt à remettre un masque.

Ce multirécidiviste de l’injection « efficace et inoffensive » se sentira protégé d’un virus mortel par un masque dont la dangerosité réelle sera de fait totalement inexistante.

Parler d’un rapport bénéfice vs risque pour le masque n’a donc pas de sens pour celui qui le porte « volontairement ».

Face à la peur de mourir :

  • La dangerosité réelle du masque devient imaginaire.

Tandis que :

  • L’efficacité imaginaire du masque devient réelle, réelle, car anxiolytique.

La question est donc :

Cette masse a-t-elle encore assez peur pour se masquer massivement et exiger plus de dictature ou pas ? L’augmentation du nombre de masques dans la rue ou les magasins n’est pas forcément rassurante, mais il est à mettre en balance avec le taux ridicule de personnes qui ont fait leur bivalent.

Merci.

Alain Tortosa3.
7 décembre 2022.
https://7milliards.fr/tortosa20221207-masque-peut-pas-faire-de-mal.pdf

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