Philippe Argillier répond

[Source : RDH-Rassemblement Des Droits De L’Homme-Officiel sur Twitter]





Ahmed Bensaada et les « dommages collatéraux » : Les songes d’une nuit d’automne d’Omar Zelig-Chaulet

[Source : Algerie54]

Par Abdellali Merdaci*

Le dénommé Omar Zelig, nom de guerre de Luc Chaulet, époux de la journaliste Ghania Mouffok, aux identités nationales imperceptibles (Algériens, Français ou Franco-algériens ?), tous deux embusqués dans le fatras des réseaux sociaux, vient d’ajouter sa danse joyeuse sur le cadavre encore fumant du professeur Ammar Belhimer, relevé de ses fonctions de ministre de la Communication par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune. Zelig-Chaulet appelle, de son maquis – enfumé – la même disgrâce présidentielle pour l’éminent universitaire, écrivain et publiciste Ahmed Bensaada, le journal en ligne « La Patrie News » et les « autres consternations du boulevard des Martyrs », traités de « dommages collatéraux » dans un post fulminant.

Post d’Omar Zelig incriminant des « dommages collatéraux »

Il est vrai que l’œuvre critique de Bensaada secoue les marécages méphitiques d’une opposition strictement boboïste, plus justiciable du « demi-pression » dans les brasseries germanopratines et d’une militance protégée dans les gargotes dorés d’Alger, que des dédales d’une lointaine politique algérienne. Les motifs du vif ressentiment de Luc Chaulet et de Ghania Mouffok envers Bensaada sont certainement connus et entendus dans le cercle de leurs amis, notamment ceux d’Alger, depuis longtemps poussés dans le mouvement du néo-hirak et dans une campagne épouvantable contre le pouvoir de M. Tebboune et l’unité de la nation algérienne aux côtés des islamistes de Rachad et des séparatistes du MAK……

En vérité, Ahmed Bensaada dérange beaucoup de convictions délétères. Il a toujours préservé une vision largement documentée des événements politiques qui façonnent nos sociétés du Maghreb et du Moyen Orient. Il avait ainsi tenté d’expliquer, en interrogeant le contexte politique international, les « révolutions arabes » qui marquèrent leur auréole printanière. Il ne croyait pas à leur spontanéité et le faisait savoir, preuves à l’appui, dans un remarquable essai (1) qui décrypte les sources des surprenantes mutations de pays arabes (Tunisie, Libye, Syrie), de leurs acteurs, de leurs enjeux, de leurs commanditaires et de leurs ressources occultes. Accusait-il l’arrogante Amérique et ses agences de « démocratisation » du Moyen Orient, reprenant les semblables protocoles qui ont forgé en Europe de l’Est les fameuses révolutions colorées ? Derrière des élans populaires, les lecteurs de Bensaada apprenaient à reconnaître les inspirateurs de « soulèvements révolutionnaires » dans le monde arabe et découvraient leurs lignes de crédit patiemment retranscrites. La National Endowment for Democracy (NED), aux nombreuses succursales, reprenant des attributions de la CIA, est une hydre à sept têtes, posant sa semelle de plomb sur des États du Maghreb et du Moyen Orient réfractaires aux attentes de l’Amérique. Cette entreprise de démythification par Bensaada de ferveurs « printanistes » arabes, autant imprévues qu’inédites, hâtait de mordantes répliques de bien-pensants, principalement en Algérie.

En 2011, le vent du boulet du « printemps arabe » était-il passé si près des oreilles des dirigeants algériens, plus préoccupés par l’activisme indécent et foutraque d’un « Saïd Samedi » que de ses initiateurs américains et de leurs fondés de pouvoir locaux ? Bensaada ne pouvait admettre une Algérie formatée par les hérauts américains de la « démocratisation » du monde arabe, qui échouaient, en 2011, dans leurs menées et dans leurs diversions factieuses. Non pas, parce que l’État y faisait face, mais parce que les Algériens ne s’y prêtaient pas. Cette pétition de principe, éminemment patriotique, gonflera le remous d’attaques personnelles, pro domo, et de sermons rageurs. Le publiciste Ahmed Bensaada était déjà l’ennemi à abattre ? Avant les incantations d’Omar Zelig et de son impromptu automnal.

Hirak, néo-hirak et « ténors autoproclamés »

Le 22 février 2019, des marches populaires, sur l’origine et les motivations desquelles l’Histoire devra se prononcer, balaient les prétentions du régime honni des frères Bouteflika, dans les starters-blocks pour un cinquième mandat. Ce n’était plus un secret pour les Algériens que le président Abdelaziz Bouteflika, ingambe, ne disposait plus des capacités  – physiques – pour diriger le pays laissé à la discrétion de son cadet Saïd, vaguement conseiller à la présidence de la République. Depuis les désagréments de santé, au printemps 2013, Saïd Bouteflika incarnait à lui seul le pouvoir secondé par un clan d’oligarques, qui a, sous sa bienveillante direction, asséché la trésorerie de l’État. Le peuple algérien, unanime, ne voulait plus prolonger le règne césarien de la fratrie Bouteflika. Des grandes cités jusqu’aux hameaux d’Algérie soufflait une sourde révolte sans précédent dans l’histoire de l’Algérie indépendante. Des centaines de milliers d’Algériens marchaient chaque vendredi contre le 5e mandat présidentiel convoité par les frères Bouteflika et contre leur clientèle de mascarade, la « ’içaba ».

Par leur nombre, les marcheurs étaient légitimes dans leur demande de changement. L’Armée nationale populaire, dernier recours dans cette confrontation entre le peuple et le régime des frères Bouteflika, est intervenue, comme elle l’a fait, en 1991, devant la menace islamiste pour éviter l’effondrement de l’État et la désagrégation du pays. Le général Ahmed Gaïd Salah est apparu, à l’épreuve des faits, comme l’homme de la situation, obtenant le départ des Bouteflika et la mise en cause publique de la « ’içaba » prédatrice. Dans le calendrier républicain du commandement de l’Armée nationale populaire, le retour à l’élection et au verdict des urnes restait prioritaire. Beaucoup d’Algériens, si ce n’est la majorité d’entre eux, se sont rendus à la sagesse de cette proposition, pour prendre du recul d’avec les marches. Mais entre-temps, le hirak, en partie phagocyté par des activistes d’Alger, agents de la NED, repoussant le slogan du « khawa-khawa » et la fraternisation du peuple et de son armée, tentait de se structurer dans une direction séditieuse en répandant le mot d’ordre de rejet de l’élection présidentielle au profit d’un collège présidentiel et d’une assemblée constituante. C’est précisément sur cette phase décisive du hirak qu’Ahmed Bensaada apporte son analyse aiguisée des faits et sa probité intellectuelle dans leur compréhension exacte. La synthèse, toute stimulante, de son travail d’enquête est publiée, au printemps 2020, par l’éditeur algérois APIC sous le titre « Qui sont ces ténors autoproclamés du hirak ? ».

Dans cet opus, Bensaada démonte, pièce par pièce, l’OPA sur le hirak d’acteurs politiques et civils, tous formés et financés par la NED. Et reconstitue les phases d’un schéma d’agit-prop soigneusement pensé. À la manoeuvre, Lahouari Addi, sociologue français d’origine algérienne, conférencier de la NED, met en branle une instance présidentielle et en désigne les membres, les avocats Mustapha Bouchachi et Zoubida Assoul et le militant politique (sans parti agréé) Karim Tabbou, clients à divers titres de la NED, auxquels est assigné l’objectif de lancer une Assemblée constituante composée de membres cooptés. Cette démarche est nettement étayée par Ahmed Bensaada qui donne le détail des accointances et des financements par la NED des membres du triumvir présidentiel pressentis par Addi.

Cependant, au gré des marches, les rapports de force à l’intérieur d’un néo-hirak, qui n’a plus aucune légitimité populaire après l’élection du 12 décembre 2019 qui a consacré M. Tebboune, évoluent vers une nouvelle direction islamiste et un nouvel objectif qui est la destruction de l’État algérien. Les anciens membres du FIS dissous, réinvestis dans Rachad, Mourad Dhina et Larbi Zitout, appellent de Genève et Londres à un renversement du président de la République, élu légalement. Un dernier acteur dans l’opposition la plus extrême non seulement au pouvoir mais aussi à la nation algérienne est Ferhat Mehenni, chansonnier de Tizi Ouzou, président-fondateur, à Paris, du Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie (MAK). Si Rachad est à l’œuvre dans l’ensemble du pays, le MAK a la parfaite maîtrise de la Kabylie. Les activistes pro-américains, rejoints par la gauche communiste agréée (MDS, PST) et le Rassemblement algérien de la jeunesse (RAJ, interdit par décision de justice), apparaissent comme minoritaires dans cet échafaudage politico-insurrectionnel. Mais, leurs troupes  restent fidèles au pacte léonin qui les lie aux islamistes et aux séparatistes kabyles pour le renversement de l’État algérien et de son pouvoir légal. On verra ainsi, au printemps 2021, le journaliste Ihsène El Kadi (« Maghreb émergent », Radio M.) apporter sa caution à Rachad et au MAK alors qu’un maître de chaire réputé de sociologie de l’Université d’Alger louera dans un entretien avec « Le Quotidien indépendant », autre soutien du néo-hirak, les vertus démocratiques des chefs de Rachad.

Censuré dans la presse privée, affiliée au néo-hirak, le publiciste Ahmed Bensaada combattra-t-il avec vigueur dans la presse patriotique en ligne les parrains du néo-hirak ? Singulièrement, ses nouveaux ténors islamistes. Ils s’attacheront, ainsi que leurs hommes de main (et de plume), de Londres à Genève, Paris et Montréal, y compris Lahouari Addi à Lyon-France, à minorer l’auteur et son œuvre. Ahmed Bensaada, didacticien des sciences physiques reconnu et salué au Québec, est traité de « petit professeur » et son essai sur le néo-hirak de « koutiyyeb » (livret, « petit livre », dans un sens péjoratif ; fascicule). Au-delà d’attaques venimeuses au-dessous de la ceinture, Dhina, Zitout et leurs acolytes se gardent de lui opposer des contre-arguments. Parce qu’ils n’en ont pas. Discréditer l’homme ? Ce n’est pas très honorable, pour autant qu’un tueur islamiste respecte les règles de l’honneur, mais il n’en est rien resté.

Les Chaulet-Mouffok en marge du hirak

Je ne connais ni Luc Chaulet (alias Omar Zelig) ni Ghania Mouffok, ancienne journaliste d’« Algérie actualité », à Alger, un hebdomadaire gouvernemental à la ligne éditoriale flottante où elle pu raviver une aura de « rebelle » au système. Mais est-ce suffisant pour construire une histoire dans la presse ? Luc Chaulet, né à Alger en 1956, peut affirmer crânement dans un récent entretien avec le quotidien « El Moudjahid » (Alger) être un « Algérien à part entière » (2) alors que le site français d’informations littéraires Babelio le présente comme un « journaliste et producteur français ». Ce qu’il n’a ni corrigé ni démenti, craignant de sortir de cette  ambigüité à ses dépens.

Dans les années 1990, les Chaulet-Mouffok ont pris leur part de la tragédie nationale. Un exil parisien : quatre années ferme, entre 1994 et 1998, « sans papiers », mais pas pour autant des SDF. C’est à cette période contristée que Luc Chaulet forge son pseudonyme : double hommage à Woody Allen et à son personnage-caméléon Zelig et à une algérianité transcendante incarnée par le prénom Omar. Cet hybride juif new yorkais mâtiné d’Algérien ne manque pas de piquant (on pense à tous les « petits Omar », de Tlemcen à la Casbah d’Alger, de la fiction au réel). Et, de piquant, Luc Chaulet s’en est gargarisé dans une signalée carrière, toute inventive, à la Chaîne 3 de la radio algérienne. De retour à Alger, vers la fin des années 1990, il y reprendra sa place, même si comme il le confie à ses amis de la presse privée, « il n’y était plus attendu ». Comme à son habitude, le talent en bandoulière, il crée de nouveaux formats et concepts (ainsi, « Réactions en chaine ») dans une radio où il perdait ses repères, chamboulé par des vexations presque ordinaires et d’infamantes retenues sur salaire décidées par des chefaillons. Son métier de bourlingueur des ondes, dans une Algérie déboussolée, perdait son surcroit de poésie.

Lorsque, un 22-Février, se levèrent drues les graminées du hirak dans le vaste pays, Luc-Omar était prêt. Ce combat pour une Algérie « autre » ne pouvait échapper à sa candeur et à sa générosité et à ses mots parfois rageurs. Dans un dossier qu’il signe sur la révolution du bitume, qui ne fut pas heureuse, il reste un constat douloureux : « Bien sûr, dans les rangs des ‘‘hirakistes’’, on nie encore l’évidence, on veut encore se persuader que l’esprit du 20-02 existe encore, qu’il n’y a pas de défection dans les rangs, que le changement peut encore advenir pour peu que le peuple reste uni, mais il a du plomb dans l’aile le hirak, les mots et les slogans deviennent plus durs, on se traite facilement de khawana, de traître,  de harki, de collabo, de ouled franssa, enfant de la France, on refuse tout compromis, tout dialogue, on s’épuise à clamer que personne n’est habilité à parler au nom du hirak, et à réclamer la libération des détenus d’opinion, les suprématistes de la religion, de l’identité voire de l’armée en font des tonnes, et la pandémie du coronavirus, comme un allié mondial de tous les pouvoirs, vient l’achever, autour de la mi-mars, lorsqu’est instauré le confinement » (3). Acte de décès du hirak, lucide et sans fioritures. Dans les marches, on se bouffait le nez allègrement lorsque «  les suprématistes de la religion » le mettaient dehors sous la bourrasque. Mais Luc-Omar savait d’instinct – ou par imprégnation cultuelle ou historique, c’est un grand lecteur – que les révolutions mangent leurs lendemains qui chantent. C’était si vrai, à Moscou, en 1917, à Pékin, en 1947, à Alger en 2019. Les authentiques révolutions sont faites pour être dépeuplées et pleurées.

À Alger, Omar Zelig recherche des amitiés exigeantes. Celle d’Ihsène El Kadi, entre autres – il faudra y revenir. Il lui prête sa voix et son ingéniosité dans une émission de Radio M intitulée  évasivement « Mim ». Sans doute connaissait-il le mystérieux adage des Orientaux : « Garde le ‘‘mim’’, il te gardera ». Simplement malicieux. Cette amitié deviendra-t-elle nocive au gré des alliances intempestives d’El Kadi, enrégimenté dans un néo-hirak sulfureux ? Voire…

Brève évocation à propos de Ghania Mouffok, la compagne de Luc-Omar. Une image compassée de la journaliste passionnée des années 1980 ? Vieillotte et archaïque. Comme dans un palimpseste, elle se superpose à celle très actuelle de la militante des droits de l’homme, de l’experte de l’Unesco pour l’émancipation des femmes, de la journaliste indépendante et de l’écrivaine. Comme je ne suis pas accro aux télévisions françaises (TV5, France 24) auxquelles elle collabore, je ne peux me prononcer sur ses productions. J’ai, par contre, trouvé sur le site de la Ligue algérienne de défense des Droits de l’Homme (LADDH) sa défense et illustration du journaliste Khaled Drareni. Elle l’achève par cette déclaration bravache : « Je soussigné Ghania Mouffok, traître depuis cent ans, pour servir ce que de droit » (4). Mais, cette auto-assignation est franchement trop convenue. Et, sa traitrise, un fantasme.

Dans ce texte Ghania Mouffok expose sa conception du journalisme, très caricaturale. Lisons-là : « Les journalistes, et c’est ce qui fait ce métier, déjeunent, dinent, fréquentent toutes sortes de faunes, le matin avec un voleur de portable, le soir avec un ambassadeur et à midi avec un milliardaire, c’est ainsi qu’ils informent, se forment et informent quand ils prennent aux sérieux leur métier et c’est ce qui en fait par ailleurs le sel » (5). Dans les faits, le journaliste confronté au voleur de portable émarge dans un sous-compartiment de la rubrique « Société », les faits divers ou « chiens écrasés », pour remonter au temps de Rouletabille ; le milliardaire à midi ne saurait traiter qu’avec le directeur-général d’un titre ou le président de son conseil d’administration ; et, le soir, Son Excellence l’ambassadeur soupe avec des éditorialistes bien introduits dans les arcanes du système politique, le sommet de l’échelle dans une rédaction. En l’espèce, Mme Zelig pose un bémol : « Bien sûr, les ambassades n’invitent pas tous les journalistes mais ceux qu’ils espèrent, qu’ils estiment suffisamment influents, crédibles, pour éventuellement faire entendre leur voix » (6). Elle indique avoir été dans les agapes des ambassades, sans préciser si elle a rencontré tôt le matin un « voleur de portable ». Ce n’est plus Rouletabille, c’est Tintin au Congo. En quoi, cette mise en scène de comédie amende-t-elle son fils putatif (dans le journalisme) Khaled Drareni et ses virées chez M. l’ambassadeur. Du Burkina-Faso ? Non, de France, naturellement ? Comique, si n’est fâcheux.

J’ai retiré dans ce texte de la « copine du barbouze » cette exquise formule : « à mon âge fêlé ». Quelle poéticité, qui défie tous les savoirs rhétoriques ! Terminons par une note dysphorique : l’essayiste est éditée par Les Éditions la Découverte, du temps de François Gèze, et l’abominable RSF. Ses pensums, que je n’ai pas lus, sont collationnés dans « Mondafrique » de Nicolas Beau. Que de précieux amis de l’Algérie.

Les Zelig-Mouffok sont unis dans la créativité et militent vent debout contre le « système ». S’ils sont opportunément restés Algériens, comme le soutient véhémentement Luc Chaulet, ils ont possiblement, l’un et l’autre, comme beaucoup de leurs compatriotes, des raisons de détester et de contester le pouvoir d’Alger. Ils en ont le droit et l’entière liberté, lorsqu’ils en assument la responsabilité éthique, sans atermoiements. Est-ce que leurs raisons de titiller le pouvoir actuel sont celles d’Ihsène El Kadi et derrière lui de Mourad Dhina, porte-parole en France du FIS dans les années 1990, diffusant à Paris auprès des agences de presse, des journaux et des radios et télévisions d’Occident les bilans quotidiens des tueries des groupes islamistes armés, de Larbi Zitout, son alter ego, prêt à appliquer la « solution finale » dans l’Algérie d’aujourd’hui si les digues du pouvoir cédaient à Alger, de Ferhat Mehenni et de son MAK qui n’attendent que de prendre les armes pour tuer des Algériens de Kabylie et de toutes régions, et des activistes stipendiés par la NED, bourgeois bien installés d’Alger et petit-bourgeois, communistes orthodoxes et trotskystes, zélateurs du « Grand Soir » ?

Une impensable duplicité

Dans les fumeries (convient-il de s’attarder, ici, sur l’urgente demande de Luc Chaulet de libérer en Algérie le commerce du cannabis et d’ouvrir les frontières avec le Maroc ?) et dans les fumisteries de débats sibyllins, l’angle de vision de l’Algérie  et de l’islamisme algérien est certainement trouble et déformé. Luc Chaulet et Ghania Mouffok condamnent – vraisemblablement – les attentats islamistes à Paris, de janvier et de novembre 2015, et à Nice, au mois de juillet 2016, à Alger, ils sont, à la suite de leurs amis bobos, des défenseurs d’islamistes en costume-cravate grimés en « démocrates ». Amis d’Ihsène El Kadi, les Chaulet-Mouffok n’ont pas vidé leur sac de contradictions. Observons : c’est en « Algérien à part entière », bruyamment proclamé dans les colonnes d’« El Moudjahid », que Luc Chaulet  espère après l’éviction de M. Ammar Belhimer un mauvais sort carbonisant ses « dommages collatéraux », entre autres Ahmed Bensaada. Comment ne pas s’étonner de la complexité de cette filiation politique chassant l’oxymoron, d’El Kadi à Tebboune ?

Peut-on être à la fois le défenseur d’El Kadi et le solliciteur du président Tebboune ? Duplicité nuisible. Car, il est avéré que l’État algérien et ses institutions, spécialement la présidence de la République, sont dans la ligne de mire d’El Kadi et du néo-hirak. Omar Zelig-Luc Chaulet peut donc banqueter à Radio M et, dans le même temps, lorgner une rude sentence présidentielle contre Ahmed Bensaada et les contradicteurs de la politique antinationale d’El Kadi et de ses comparses islamo-séparatistes. Cette situation n’est pas exceptionnelle : beaucoup de bobos d’Alger ont un pied dans le pouvoir qu’ils se font un devoir d’étriper publiquement et un pied dans l’opposition, quelle qu’en soit la nature ; ils n’en ont cure. Et, c’est un trait inaltérable de la sociologie politique des classes supérieures de la société d’Alger, certains bobos, quel que soit leur positionnement politique, sont intouchables. Et, parmi eux, les Chaulet-Zelig-Mouffok ?

De Paris à Alger, le couple Omar Zelig-Ghania Mouffok se prévaut d’une infaillible défense des droits de l’Homme et de la liberté d’expression. Ces droits, sont-ils définitivement compromis en Algérie, dans l’Algérie de M. Tebboune ? Où aucun marcheur n’a été estropié comme un Gilet jaune, en France, ou tué comme c’est le cas en Colombie ou d’autres pays d’Amérique latine ou d’Asie. Cela mérite une explication. À Alger, il y a un président élu légalement, qui fait sa politique, bonne ou mauvaise, selon un programme largement répandu, et à l’heure du bilan, il  revient aux seuls électeurs de la reconduire ou de la sanctionner. Or, une cohorte d’Algériens et de binationaux franco-algériens, rassemblée dans un néo-hirak, noyauté par des organisations terroristes, refusant le passage par les urnes, entend prendre le pouvoir par la violence de la rue. C’est, résolument, Abdelouahab Fersaoui, ancien président du RAJ-dissous, activiste farouche, membre de la conspiration contre l’État, qui a déclaré que la démocratie n’a pas besoin d’urnes en Algérie (7). Pourquoi le pouvoir légal algérien n’aurait-il pas la ressource, comme dans toutes démocraties d’Occident, de se protéger contre les acteurs d’un coup de force prémédité ? Le président Tebboune aurait mille fois raison de dire qu’il n’y a pas un seul militant politique en prison ou dans l’attente d’être jugé par un tribunal en Algérie. Les seuls activistes du néo-hirak sont poursuivis devant la justice et parmi eux, a-t-il signalé, au magazine allemand « Der Spiegel » (8), « deux ou trois journalistes » auteurs de fausses nouvelles dans une population qui en compte plusieurs milliers. Et, hypothétiquement, des filous de partis qui nagent plus dans les eaux boueuses du droit commun que dans la politique. Évidemment, cela ne fait pas foule.

Les ligues des Droits de l’Homme devraient recenser, hors des agitateurs du néo-hirak, les citoyens poursuivis en raison de leur opinion politique. Il n’y en a pas. Il n’est interdit à aucun Algérien d’exprimer son opinion et beaucoup de journaux, leurs éditorialistes et leurs contributeurs le font régulièrement, stigmatisant le gouvernement du président Tebboune et pas seulement pour ce qui ressort de la gestion de la communication par M. Belhimer. J’ai lu sous la plume de l’excellent Djamel Labidi (9), au demeurant un grand patriote et témoin de l’histoire contemporaine de l’Algérie, une analyse sur la crise de la pomme de terre en Algérie qui devrait figurer par sa clarté et sa pédagogie dans un traité d’économie agricole algérienne, à contre-courant des thèses du ministre de l’Agriculture révoqué. Et, sur un autre registre, railleur, le billettiste Chawki Amari peut proférer dans « Le Quotidien indépendant » de graves et amères vérités sur le fonctionnement de l’État et de ses dirigeants. Si Ihsène El Kadi n’était que journaliste, rien ne devrait l’empêcher ainsi que ses titres de presse et leurs journalistes d’enquêter sur les failles nombreuses des ministres du gouvernement et d’éclairer les Algériens. Et, pas sur la seule patate. Qui ne défendrait pas sa liberté d’expression, comme celles de tous les journalistes algériens ? Or, le néo-hirakiste El Kadi, dans ses reliques de lieutenant des états-majors islamistes et séparatistes, est davantage dans une perspective de putschiste que de journaliste, fut-il un adepte du journalisme d’opinion. Il est distinctement sous une couverture de journaliste dans une association terroriste dont l’objectif est de briser par la violence l’État algérien, en disloquer le territoire et les institutions. De cette cruelle vérité, pourra-t-il se défendre ? Est-il, seulement, défendable ? Et, aussi, ses amis, les Chaulet-Mouffok, « copains du barbouze », embarqués dans ses choix et dans ses turpitudes.

Les espérances d’Ahmed Bensaada

Dans ses contributions données à la presse, dans ses conférences publiques, Ahmed Bensaada, qui est un esprit indépendant, met à nu le néo-hirak et son maléfique projet destructeur d’un autre temps. En paye-t-il le prix scélérat ? Cette antienne, servie dans les estaminets malfamés d’Oran, d’Alger et de Paris, qui traite d’officier des « services » tout Algérien qui défend son pays au-delà de ce que sont les pouvoirs, est tout autant injuste que malveillante.  Le couple Chaulet-Mouffok et ses amis de Paris et d’Alger (opposants de tout poil, souvent hirsutes, instruits par la lecture de Nicolas Beau, fondateur du site « Mondafrique », qui se connaît, semble-t-il, en généraux algériens), se rangeant derrière El Kadi et ses certitudes, en font un client du pouvoir lorsqu’il n’a aimé que l’Algérie. Omar Zelig attend de M. Tebboune de le bouter dans la même charrette mortuaire qu’Ammar Belhimer, dorénavant injurié. Mais les Chaulet-Mouffok, journalistes, savent-ils en quoi l’ancien ministre a démérité pour le couvrir d’opprobre ? Les hauts cadres de l’État ne sont-ils pas par nécessité – politique ou autre – appelés à des fins de fonctions ? Il aurait été souhaitable que les Chaulet-Zelig-Mouffok s’expriment sur les mutations les plus sensibles de la politique du pays. Omar Zelig, rajustant sur son visage le masque chaloupé d’« Algérien à part entière » de Luc, pérore sur l’Algérie et se félicite de la fin de mission d’un ministre algérien. Triomphe dérisoire.

Luc-Omar Chaulet-Zelig et sa compagne Ghania Mouffok (10) appartiennent à cette frange d’intellectuels en peau de mouton, qui s’arrogent le droit de rêver pour les autres, autrefois cloués au pilori par Ahmed Bensaada, morigénant leur comparse Kamel Daoud : « […] il se place de facto dans le quart qui sait ce que les autres quarts doivent faire, penser ou rêver. Le quart instruit, propre, civique, tolérant et qui abhorre la bigoterie » (11). Mais les temps changent. Foin de bigoterie !  À Alger, l’islamisme de Dhina et Zitout devient fréquentable pour être adoubé par des partis pseudo-démocrates ayant pignon sur rue et leurs claques. Ihsène El Kadi et ses amis du « premier quart » des sachant s’abreuvent d’une soupe malodorante et écœurante de conspirateurs contre l’État légal, s’inscrivant dans les rangs islamistes et de leurs alliés séparatistes, qui ne rêvent que de dépecer le pays et de le précipiter dans une furie sanglante ? Un rêve fou. Les Chaulet-Mouffok ne peuvent l’ignorer. Ce sont les nouveaux amis d’Ihsène El Kadi, les chefs de Rachad, continuateur du FIS-dissous, justifiant la mort de centaines de milliers d’Algériens, qui les ont condamnés, dans les années 1990, à l’exil.

Le trublion Omar Zelig doit s’éveiller au réel algérien, qu’il méconnaît totalement, qui est enseigné quotidiennement dans les lignes d’« El Moudjahid », qu’il ne lit pas. Insistons. Pourquoi veut-il que M. Tebboune exécute Ahmed Bensaada, comme il l’aurait fait pour M. Belhimer, nonobstant qu’il n’émarge ni dans les états de salaires du gouvernement ni dans ceux de ses administrations. Je comprends que les engagements de Bensaada, qui est une haute conscience de notre temps réprouvé, irritent comme du papier à gratter Dhina, Zitout, El Kadi – et, avec une inaccoutumée rage,  les bénéficiaires d’enveloppes de la NED,  à leur tête Mme Zoubida Assoul, qui lui a promis la géhenne des tribunaux de la République (12). Le néo-hirak, qui est un rassemblement terroriste, et ses spadassins décochent de mortelles imprécations contre l’empêcheur de rêver à leur monde démentiel. Omar Zelig y ajoute sa petite musique nocturne. Et ses terribles songes d’une nuit d’automne, précipitant dans le convoi funèbre du professeur Belhimer – sûrement déchu ? – outre Bensaada, « La Patrie News », fleuron de la nouvelle presse numérique, les radio et télévision d’État, qui n’ont pas touché à un iota de leur charte éditoriale depuis l’indépendance. Pittoresque, mais discernable regroupement. Et les horions infligés par Zelig-Chaulet à la radio nationale sont compréhensibles. N’a-t-il pas déclaré : « J’aime la radio quand elle ne prend pas les gens pour des cons » (13). Luc-Omar, qui lui a beaucoup donné, et la radio se sont tellement aimés, puis séparés pour une vilaine histoire de « cons ». Un drame.Cet inquiétant Ahmed Bensaada, qui tarabuste Omar Zelig-Luc Chaulet ! Il l’a déjà éreinté dans un post, en 2020, en admonestant Lahouari Addi sur une intangible question de morphologie du verbe, lui intimant, relativement aux griefs qu’il nourrissait envers Bensaada et son intention de le citer en justice après la publication de son enquête sur les « ténors autoproclamés du hirak », d’utiliser le futur de l’indicatif plutôt que le présent du conditionnel : « Je déposerai », mieux que « je déposerais ». Addi se réservait une part de doute et de patience, pas Zelig, méchamment acrimonieux. Fondamentale dispute linguistique : qu’en aurait-il été si le malencontreux Addi avait dégainé son subjonctif ? Cela se serait soldé fatalement par mort d’homme.

Post d’Omar Zelig adressé à Lahouari Addi

Ahmed Bensaada et Omar Zelig ne se connaissent pas. Ils se sont rencontrés une seule fois, à distance, dans un combat homérique. C’était en 2010. Au sens politique le plus conventionnel, le publiciste Bensaada pointait sur de nombreuses questions culturelles l’impréparation du gouvernement et ses lâchetés honteuses. Ainsi, la censure officielle du livre égyptien dans un Salon international du Livre d’Alger après une rapide et fulgurante guerre du football entre l’Algérie et l’Égypte. Je me souviens que nous en discutions, admettant que le livre porte une ineffable charge d’humanité, que la « trilogie du Caire » de Naguib Mahfouz vaut mieux qu’un précis de sociologie de l’Égypte contemporaine. Bensaada prenait seul l’initiative de faire circuler un appel aux quatre coins cardinaux du pays et d’ailleurs contre l’impéritie d’une ministre de la Culture de Bouteflika, contre une censure instituée. Le temps qui passe est étrange. Parmi de nombreux appuis à cet appel, d’écrivains, d’éditeurs, d’artistes, de journalistes, de citoyens, il y avait Omar Zelig. Et son compère Ihsène El Kadi.

Qu’est-ce qui a changé depuis cette avanie gouvernementale somptueusement vilipendée ? Les idées et les engagements d’un jour ne sont pas ceux du lendemain et les chemins, comme dans un récit ajouré de Borgès, bifurquent. Et, plus explicitement, les regards sur le monde. Mais ce fut, et cela ne se répétera plus, une belle victoire pour Bensaada, pour Zelig et El Kadi, qui l’ont rejoint, et leurs cosignataires, contre les errements d’une politique culturelle inepte.

Immuablement, le professeur Ahmed Bensaada cultive-t-il l’art de se faire des ennemis de tout bois, pas seulement dans les rangs désormais clairsemés du néo-hirak ? Ces derniers mois, analysant le dossier Graphika (14), il alertait l’Algérie sur la cyber-guerre qu’entreprennent contre elle des puissances étrangères. C’est plus qu’une éventualité, une menace minutieusement renseignée que le président de la République et le commandement de l’Armée algérienne n’excluent plus. Est-il vraiment le « dommage collatéral » contre lequel Omar Zelig rêve de voir le président Tebboune sévir ? Faudrait-il croire que dans l’Algérie idéale des Chaulet-Mouffok la prime du patriotisme reviendrait aux assassins d’Algériens Dhina et Zitout, aux mercenaires Bouchachi, Assoul, Tabbou, manœuvriers en sous-sol du néo-hirak, qui ont plus que les deux mains dans les canevas américains de « démocratisation » du monde arabe, au Français Lahouari Addi, au cabaretier kabyle Ferhat Mehenni, à Ihsène El Kadi et à tous les activistes islamistes et séparatistes qui veulent ébranler les assises de l’État algérien, plutôt qu’à Ahmed Bensaada – et, aussi, à « La Patrie News », la radio et la télévision d’État ?Dans l’Algérie d’aujourd’hui, toutes les convictions ne se valent pas. Ceux, qui au nom de l’aventurisme forcené, veulent détruire le pays, promettent aux Algériens  des houris pour ouvrir les frondaisons du ciel et les allées des cimetières, ceux qui rêvent de créer dans une région historique du pays un État-croupion de la France et d’Israël, ceux qui agitent l’abécédaire frelaté de la démocratie américaine et des lendemains qui chantent en espadrilles, veulent prospérer sur une Algérie en ruines. Voici la famille décriée de Luc Chaulet-Omar Zelig et de Ghania Mouffok, qui rêve d’écrire une histoire heurtée de la nation algérienne, une histoire de terreur, de larmes et de sang. Elle n’aura jamais raison contre les espérances d’Ahmed Bensaada d’un pays partagé et aimé, qui est le pays apaisé de tous les Algériens sans exclusive.

* Ecrivain, critique et historien de la littérature. 

Notes:

1.     Ahmed Bensaada, « Arabesque américaine. Le rôle des États-Unis dans les révolte de la rue arabe », Montréal, Michel Brûlé, 2011 (1ère éd. Dernière éditions revue et augmentée, Alger, ANEP, 2016).

2.     « Luc Chaulet : ‘‘Je suis Algérien à part entière’’ ». Entretien avec Soraya Guemmouri, « El Moudjahid », 2 novembre 2021.

3.     Omar Zelig, « Une symphonie algérienne inachevée », « El ‘Arabi-El Safir », 15 janvier 2021. Texte publié avec le soutien du Rosa Luxembourg Institute.

4.     Cf. Un journaliste n’est pas toujours un flic », Site de la Ligue algérienne de défense des Droits de l’Homme (LADDH), 12 novembre 2020.

5.     Id.

6.     Id.

7.     Abdellali Merdaci, « Médias. Vraiment la mise à mort du ‘‘Quotidien indépendant », « Algérie 54 » (Oran), 10 août 2021.

8.     Cf. le texte intégral de l’entretien du président Tebboune avec « Der Spiegel », reproduit dans « Le Jeune Indépendant » (Alger), 6 novembre 2021.

9.     Djamel Labidi, « La pomme de terre de la discorde », étude publiée dans « Le Quotidien d’Oran » (http://www.lequotidien-oran/index.php?newsz =5306601).

10.  Faudrait-il souligner la proximité et la complicité des Chaulet-Mouffok et d’El Kadi ? Dans son article « « À propos des Zelig-Mouffok copains du barbouze » (« Algérie 54 », 14 novembre 2021), Ahmed Bensaada publie des extraits d’une enquête de Boualem Snaoui (« Yetnahaw gaâ »), diffusée précédemment sut le site, qui incrimine les douces gâteries entre amis des Chaulet-Mouffok et du patron-activiste de Radio M.

11.  Ahmed Bensaada, « Kamel Daoud : Cologne, contre-enquête ». Préface de Jacques-Marie-Bourget, Boumerdès, Les Éditions Frantz Fanon, 2016, p. 75.

12.  Abdellali Merdaci, « Le hirak, la main de l’étranger et ses vérités des ténèbres », « Algérie 54 », 11 juillet 2020.

13.  « Omar Zelig : ‘‘J’aime la radio quand elle ne prend pas les gens pour des cons ! ». Entretien avec Adlène Meddi, « Le Quotidien indépendant », 1 février 2014.

14.  Lire sur ce dossier l’étude d’Ahmed Bensaada sur son site www.ahmedbensaada.com.




Qui sont les responsables de la crise mondiale Covid-19 ?

[Source : BibiCabaya]

Par Joachim Hagopian

Les Drs. Zelenko et Martin nomment les criminels génocidaires derrière l’arme biologique covid-19

[Ndlr : si le SRAS-CoV-2 est une arme biologique, alors il n’a pas fait le nombre de morts attendu par la simulation Event 201 (qui était de 65 millions).]

Au lieu d’utiliser des vaccins tueurs Covid-19, Vladimir Zelenko, docteur en médecine et praticien acclamé de chefs d’État, a guéri avec succès plus de 6000 patients Covid-19 par une combinaison d’hydroxychloroquine, de zinc, de quercétine, de vitamine C et de vitamine D en traitement alternatif qui a résulté en un taux de survie de 99%. Alors que ses réalisations notables lui ont valu des nominations pour le prix Nobel de la paix et la Médaille Présidentielle de la Liberté, le fait de s’exprimer publiquement contre les dangers des soi-disant vaccins l’a amené à endurer des menaces de mort quotidiennes, des tentatives de mort sociale et professionnelle ainsi qu’une censure généralisée. Exprimant courageusement la vérité et fournissant un remède de santé efficace et peu coûteux qui s’oppose ouvertement à l’agenda de dépopulation génocidaire de la Cabale, il est considéré comme une menace pour la tyrannie médicale et politique du Nouvel Ordre Mondial. Le Dr Zelenko nomme un chat un chat : donner ces «vaccins» aux enfants est un sacrifice de sang d’enfant, d’une part, et l’ordre du jour mondial d’obligation vaccinale est le sacrifice satanique de sang de l’ensemble de l’espèce humaine, d’autre part.

Après avoir été déréférencé de tous les réseaux sociaux prostitués au système et complices du génocide, le 25 octobre 2021 le Dr Zev Zelenko a audacieusement exposé les démons derrière ce complot diabolique visant à dépeupler la planète avec l’injection létale de Big Pharma :

« Je suis un réaliste du complot. Vanguard et BlackRock [sic] sont partie prenante de toutes les industries, médias, universités et politiques. Vanguard et BlackRock investissent l’un dans l’autre par le biais de ce qu’on appelle la propriété circulaire. Ainsi, il faut considérer Vanguard et BlackRock comme un monopole qui possède tout. Après avoir fait les vérifications nécessaires, vous découvrirez que les principaux actionnaires de ce monopole sont les :

• famille Rothschild
• famille Du Pont
• famille Rockefeller
• famille Carnegie
• famille Orsini
• famille royale britannique

qui utilisent les fondations suivantes pour fomenter le chaos dans le monde

• Fondation Bill et Melinda Gates
• Fondation Soros Open Society
• Fondation Clinton

Ces fondations contribuent à la déstabilisation géopolitique. Le chaos est profitable en affaires et sert à l’acquisition du pouvoir. Seule une force divinement inspirée peut vaincre ce Goliath. Le monde ne sera racheté que par des actes de bonté et de gentillesse. Nous avons besoin d’une conscience divine collective afin de mériter une intervention divine. Les propriétaires du monopole Vanguard/BlackRock sont une manifestation du serpent primordial. Je suis TRÈS optimiste quant à la survenue d’un événement rédempteur qui rééquilibrera notre monde obscur. Attachez vos ceintures et profitez du voyage. »

Vladimir Zev Zelenko,
docteur en médecine

Même un examen superficiel — étonnamment effectué par Tim Gielen et qui expose les deux plus importants actionnaires aux manettes aujourd’hui : Vanguard et BlackRock — montre que c’est ce même petit groupe de monopolistes, succinctement soulignés par le Dr Zelenko, qui possède et contrôle essentiellement le monde entier. Son pouvoir absolu sur l’humanité lui a permis jusqu’ici de s’en tirer pour meurtre tout en détruisant notre planète au moyen de produits toxiques. Par exemple, si on prend les principaux fabricants mondiaux de l’industrie alimentaire telles que les plus grandes marque populaires : Coca Cola, PepsiCo, Unilever, Nestlé et Mondelez International, on s’aperçoit que tous ces fabricants géants de nos aliments chimiquement transformés sont contrôlés par les deux mêmes investisseurs actionnaires monopolistes, Vanguard et BlackRock. Les troisième et quatrième plus grandes sociétés d’investissement au monde sont Berkshire Hathaway de Warren Buffet et State Street Corporation.

Les plus grandes entreprises de l’industrie des technologies sont un autre exemple de ce jeu de monopoly. Facebook possède WhatsApp et Instagram, tandis qu’Alphabet, en tant que maison-mère de toutes les entreprises Google, possède YouTube, Gmail et le plus grand sponsor d’Android — la plus grande plate-forme d’applications mobiles au monde, le système d’exploitation quasi exclusif de tous les smartphones — ainsi qu’Apple IOS, l’autre système d’exploitation majeur. Ainsi la société de Bill Gates, Microsoft Corporation, Facebook, Apple et Alphabet constituent les quatre plus grandes entreprises technologiques sur lesquelles fonctionnent pratiquement tous les ordinateurs, télex et smartphones du monde. Ces même deux principaux investisseurs — Vanguard et BlackRock — détiennent également des parts majoritaires d’actions dans toutes les sociétés de l’industrie BigTech. En fait, toutes les entreprises qui fabriquent des ordinateurs, des téléviseurs, des smartphones et des appareils électroménagers — IBM, Hewlett Packard, Intel, Sony et Dell, y compris les plus grands marchés en ligne Amazon et eBay —,  les plus grandes chaînes de grands magasins et d’épiceries, toutes les méthodes de paiement appartiennent toutes aux mêmes sociétés d’investissement géantes Vanguard et BlackRock.

Chaque industrie sur terre est détenue et contrôlée par ces deux mêmes grands investisseurs. Tous les produits agricoles, les semences appartenant à Monsanto, le tabac, l’alcool et les sociétés de BigPharma — qui sont en train de nous tuer en ce moment même avec des armes biologiques génocidaires déguisées en pseudo vaccins — appartiennent tous aux mêmes lignées. Le jeu économique est totalement truqué : à commencer par tous les meilleurs sites de voyage sur Internet, en passant par les meilleures compagnies aériennes ; les meilleurs avionneurs ; les meilleures chaînes d’hôtels et de restaurants ; les meilleures raffineries de pétrole qui alimentent tous les avions, trains, bateaux, camions et voitures ; les sociétés sidérurgiques et les sociétés minières qui fournissent toutes les matières premières utilisées dans tous les modes de transport ; le BTP ; la fabrication de textiles et la confection de vêtements : ils sont tous contrôlés par les mêmes propriétaires, y compris la prétendue industrie verte qui fabrique des panneaux solaires et des éoliennes. D’ici 2028, les actifs Bloomberg que possèdent ces deux propriétaires mondiaux — Vanguard et BlackRock — atteindront 20000 billiards de dollars. BlackRock est considérée comme le quatrième bras du gouvernement compte tenu de ses liens intimes avec les banques centrales Rothschild. Même le plus grand actionnaire de BlackRock est Vanguard et vice versa, bien que Vanguard assure l’anonymat complet de ses propriétaires particuliers. Mais récemment, des preuves accablantes ont montré que c’est ce même petit groupe de familles de la noblesse noire que le bon Dr Zelenko a dénoncé.

Récapitulation: tout sur terre est pratiquement détenu et contrôlé par ces mêmes sociétés d’investissement de premier plan ainsi que par les plus grandes banques, fonds communs de placement, compagnies d’assurance et même les nations politiques, propriétés contrôlées par la corruption et le chantage ; tous ces domaines sont complètement dominés par le mêmes lignées de contrôle — les dynasties des familles Rothschild, Rockefeller, Du Pont, Carnegie, Orsini, Bush et Windsor, ainsi que quelques clans moins connus mais tout aussi puissants couverts dans l’ouvrage de Fritz Springmeier Bloodlines of Illuminati [Les lignées des Illuminati]. Afin de parfaire leur emprise sur l’humanité, même les petites sociétés d’investissement de Fortune 500 appartiennent aux mêmes grandes sociétés connues au sein d’une structure de pouvoir de forme pyramidale à hiérarchie verticale. Comme l’a astucieusement observé le regretté grand comédien, George Carlin, il y a plus d’une douzaine d’années : tout cela n’est qu’un «grand club [de psychopathes] dont nous ne faisons pas partie» et qui contrôle pratiquement tous les aspects de nos vies et chaque entreprise de la planète, tant légales qu’illégales, sans exception.

Davantage d’identités de criminels du covid sont en train d’émerger. À part le Dr Mengele du génocide du coronavirus, nous avons dit le Dr Anthony Fauci, responsable des subventions de la recherche virale du NIH, et trois principaux complices — le Dr Ralph Baric de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, chargé d’exécuter l’ordre de Fauci de mener une étude sur une arme biologique létale à gain de fonction de coronavirus, jusqu’à ce que celle-ci soit interdite aux États-Unis, puis en envoyant 7,4 millions de dollars des contribuables américains au plus grand ennemi des États-Unis, la Chine communiste, et à la bat woman de son Institut de virologie de Wuhan, le Dr Shi Zhengli qui a averti que d’autres virus seront relâchés, et le racketteur en chef de la commercialisation des armes biologiques de Fauci et collègue terroriste intérieur, l’ancien vétérinaire de l’OMS, le Dr Peter Daszak — il y a plein d’autres coupables pointés du doigt, responsables criminels, derrière l’attaque d’aujourd’hui à l’arme biologique contre l’Humanité.

Selon le révélateur de vérité sur l’arme biologique Covid, le Dr David Martin, professeur, auteur, inventeur, chercheur et expert en brevets, vient de rendre public la liste de trois douzaines de noms d’autres criminels identifiés du programme de dépopulation de l’élite. Par ordre alphabétique des prénoms, ils sont :

1. Al Gore, vice-président des États-Unis (1993-2001), président et cofondateur de Generation Investment Management LLP  ·

2. André Hoffmann, vice-président de Roche  ·

3. Angel Gurria, Organisation de coopération et de développement économiques  ·

4. Bill Gates, Fondation Bill & Melinda Gates  ·

5. Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne  ·

6. Chrystia Freeland, vice-premier ministre et ministre des Finances, cabinet du vice-premier ministre du Canada  ·

(Source : THE CANADIAN PRESS/Adrian Wyld)

7. David M. Rubenstein, co-fondateur et co-président exécutif du Groupe Carlyle  ·

8. Dustin Moskovitz, Open Philanthropy, co-fondateur de Facebook  ·

9. Fabiola Gianotti, directrice générale, Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN)  ·

10. Feike Sybesma, président du Conseil de Surveillance de Royal Philip  ·

11. S.M. la Reine Rania Al Abdullah du royaume hachémite de Jordanie, reine du royaume hachémite de Jordanie, bureau de S.M la Reine Rania Al Abdullah  ·

12. Heizo Takenaka, professeur émérite à l’Université Keio  ·

13. Herman Gref, PDG et président du conseil d’administration de Sberbank  ·

14. Jim Hagemann Snabe, président de Siemens  ·

15. Julie Sweet, directrice générale d’Accenture  ·

16. Klaus Schwab, fondateur et président exécutif, Forum économique mondial  ·

17. Kristalina Georgeva, directrice générale, Fonds monétaire international (FMI)  ·

18. L. Rafael Reif, président, Massachusetts Institute of Technology  ·

19. Larry Page, Google  ·

20. Laurence D Fink, présidente et chef de la direction de BlackRock  ·

21. Luis Alberto Moreno, membre du conseil d’administration du Forum économique mondial  ·

22. Marc Benioff, président et chef de la direction de, Salesforce  ·

Source : REUTERS/Ruben Sprich – LR1ED1H1DWS0L

23. Mark Carney, envoyé spécial des Nations Unies pour l’action et le financement climatiques, Nations Unies  ·

Photographe : Patrick Doyle/Bloomberg via Getty Images

24. Mark Schneider, PDG de Nestlé  ·

25. Mark Zuckerberg, Facebook  ·

26. Mukesh D Ambani, président et directeur général de Reliance Industries  ·

27. Orit Gadiesh, président de Bain & Company  ·

28. Patrice Motsepe, fondateur et président exécutif d’African Rainbow Minerals  ·

29. Paula Ingabire, ministre des technologies de l’information et de l’innovation, ministère des technologies de l’information et de la communication et de l’innovation du Rwanda  ·

30. Peter Brabeck-Latmathe, vice-président du conseil d’administration du Forum économique mondial  ·

31. Peter Maurer, président du Comité international de la Croix-Rouge (CICR)  ·

32. Robert Mercer, Fonds Renaissance  ·

33. Tharman Shanmugaratnam, ministre principal du gouvernement de Singapour  ·

34. Thomas Buberi, directeur général d’AXA  ·

35. Yo-Yo Ma, violoncelliste  ·

Todd Rosenberg Photography 2010

36. Zhu Min, président de l’Institut national chinois de recherche financière  ·

LIEN :

Grâce aux Drs Zelenko et Martin, les criminels sont maintenant en ligne de mire. Bientôt, les procès Nuremberg 2.0 poursuivront les criminels de la Cabale énumérés ci-dessus. Un point clé très important à saisir est que les mêmes malfaiteurs derrière le génocide par injection létale sont les mêmes contrôleurs planétaires qui ont, à l’envi, violé, volé et pillé la terre pendant de nombreux siècles : ces mêmes lignées Illuminati commencent et terminent toutes les guerres, les dépressions économiques, les catastrophes non naturelles (ex. tremblements de terre, éruptions volcaniques, ouragans, inondations, sécheresse), les famines, les assassinats (comme celui de JFK) et le terrorisme tel que le 11 septembre et la guerre de dépeuplement covid-19 d’aujourd’hui contre l’espèce humaine, ainsi que le fléau de la pédocriminalité en tant que crime organisé dont la croissance est la plus rapide au monde — et plus généralement, le trafic sexuel d’êtres humains et d’enfants. Plus que jamais dans l’histoire, nous savons maintenant qui sont ces meurtriers lucifériens, et justice doit être rendue afin de mettre fin à leurs crimes brutaux contre l’Humanité.

Un cas d’espèce de criminels VIP faisant l’objet de poursuites judiciaires est le cas très médiatisé de Ghislaine Maxwell, l’ancienne petite amie britannique et présumée trafiquante sexuelle d’enfants de Jeffrey Epstein, dont le procès devrait commencé plus tard ce mois-ci. Nous verrons survenir d’autres inculpations. Par exemple, les derniers gros titres de ce scandale sans fin de l’État Profond viennent d’annoncer le renversement du PDG de Barclays Bank. Depuis 2019, le PDG de BarclaysJes Staley, fait l’objet d’une enquête sur 1200 courriels échangés entre 2008 et 2012 avec le pédocriminel international du trafic sexuel d’enfants, Jeffrey Epstein. Les deux hommes se sont rencontrés en 2000 lorsque Staley dirigeait la banque privée JP Morgan réservée uniquement à la clientèle la plus riche, comme Jeffrey Epstein, qui à son tour était financée par le fondateur du mega groupe sioniste et de L Brands, Les Wexner. La JP Morgan Chase Bank d’aujourd’hui a une longue histoire qui remonte à 1835 en tant que substitut de Rothschild opérant aux États-Unis. Le rapport d’enquête final mené ces dernières années par la Financial Conduct Authority (FCA) du Royaume-Uni et la Prudential Regulation Authority (PRA) de la Banque d’Angleterre étant sur le point d’être publié sur les affaires louches de Staley avec le pédocriminel le plus infâme d’Amérique, un avocat de Staley a catégoriquement nié la criminalité de son client et a entamé une procédure visant à contester le rapport préliminaire de ces autorités.

Ce qui est clair, c’est que Jes Staley a noué une amitié étroite et continue avec Epstein pendant au moins quinze ans — avant, pendant et après la condamnation pénale d’Epstein en 2009. Non seulement un nombre impressionnant de courriels ont été échangés au cours de cette seule période de quatre ans, mais Epstein y fait plusieurs références à «Blanche-Neige» dont on suppose qu’il s’agit d’un code. On a également appris que Staley rendait souvent visite au délinquant sexuel condamné — tandis qu’Epstein «endurait» son «traitement de faveur» d’une durée d’un an — en se présentant tous les soirs à la prison de Palm Beach pour des soirées pyjama. De plus, Staley fut également un invité du tristement célèbre complexe «Orgy Island» [Île d’Orgie] d’Epstein dans les Caraïbes, admettant qu’il avait vu Epstein en personne pour la dernière fois en 2015. Le résultat de l’enquête étant sur le point d’être rendu public, il y a quelques semaines, le puissant banquier de Barclays des six dernières années a été contraint de démissionner de sa fonction exaltée.

Barclays est officiellement devenu le successeur de Rothschild pour la fixation du cours de l’or en 2004, suivi deux ans plus tard par l’un des siens, Marcus Agius, marié à une Rothschild et nommé comme nouveau président de Barclays — et qui sera exposé six ans plus tard par le scandale de la fixation des taux chez Barclays en 2012. Et maintenant, moins d’une décennie plus tard, Barclays fait face à un nouveau scandale salace. La dynastie sioniste bancaire Rothschild semble se débarrasser de son dernier et plus bas fruit pourri, «Staley», afin de se distancer un tant soit peu de son légendaire marécage infesté de pédocriminels. Aussi gros que soient les efforts des Rothschild, leurs empreintes digitales très visibles et louches de marionnettistes sont indélébiles partout dans le commerce international du trafic sexuel d’enfants et ne peuvent jamais être effacées. Leur contrôle satanique de la planète est très certainement en déclin.

Et maintenant, avec le procès de Ghislaine Maxwell, la partenaire criminelle VIP d’Epstein dans le trafic sexuel, qui doit commencer plus tard ce mois-ci, il faut s’attendre à ce que davantage de personnages très en vue qui ont été pris en flagrant délit tombent de l’opération sioniste de chantage sexuel. Après tout, il y a toute une bande de princes, de présidents et de premiers ministres qui sont les partenaires sexuels connus et compromis d’Epstein et de Maxwell : c’est ce que l’élite criminelle fait régulièrement pour se divertir. Si vous avez encore du mal à y croire, jetez un œil à ma série très documentée de cinq livres : Pedophilia & Empire: Satan, Sodomy and the Deep State [Empire et pédocriminalité : Satan, la sodomie et l’État Profond]. La dépravation des dirigeants planétaires est entièrement accessible, ne pouvant plus être cachée de la vue de tous.

Joachim Hagopian est diplômé de West Point, ancien officier de l’Armée et auteur de Don’t Let the Bastards Getcha Down [Ne laissez pas les salauds vous détruire] qui expose une direction militaire américaine défectueuse basée sur l‘ancienneté et qui élimine invariablement les meilleurs et les plus brillants, laissant la médiocrité et les partisans de l’ordre s’élever au sommet en tant que généraux politiciens-bureaucrates désignés pour perdre chaque guerre américaine moderne selon les desseins de l’élite. Après son séjour militaire, Joachim a obtenu une maîtrise en psychologie clinique et a travaillé comme thérapeute agréé dans le domaine de la santé mentale auprès de jeunes et d’adolescents maltraités, pendant plus d’un quart de siècle. À Los Angeles, il s’est retrouvé aux prises avec les plus grands services de protection de l’enfance du pays au sein du système américain complètement délabré et corrompu de la protection de l’enfance. L’expérience à la fois dans l’Armée et dans le système de protection de l’enfance l’a bien préparé en tant que chercheur et journaliste indépendant à exposer les maux de Big Pharma et la manière dont le système médical et psychiatrique contrôlé par Rockefeller inflige plus de mal que de bien ; par exemple, l’actuel canular pandémique diaboliquement mortel et génocidaire. Journaliste indépendant depuis 8 ans, Joachim a écrit des centaines d’articles pour de nombreux sites d’information, notamment Global Research et lewrockwell.com. En tant qu’auteur publié d’une série de 5 volumes intitulée Pedophilia & Empire: Satan, Sodomy & the Deep State, les livres et chapitres de Joachim sont des best-sellers d’Amazon dans les catégories défense des enfants et des droits de l’homme. Sa série de sources A-Z documente et expose entièrement le fléau mondial de la pédocriminalité et reste disponible gratuitement sur le blog de Joachim à l’adresse http://empireexposed.blogspot.com/ et https://pedoempire.org.

Traduit de l’anglais par BibiCabaya (15 novembre 2021).

Source originale : American Empire Exposed https://empireexposed.blogspot.com/ publié le 14 novembre 2021.

Partagé par Before It’s News https://beforeitsnews.com/global-unrest/2021/11/dr-zelenko-and-dr-martin-are-now-naming-names-of-the-genocidal-killers-behind-covid-19-bioweapon-2532878.html , publié le 15 novembre 2021.




« On ne croit plus dans les partis » — Les maires se rebellent et soutiennent un parti du peuple

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Les maires des petites communes ne se sentent pas écoutés. Pour l’élection présidentielle de 2022, trois élus de France décident de rassembler tous ceux ne croyant plus dans les partis traditionnels. Qu’ils soient maires d’une grande ville ou d’un village, peu importe, leurs signatures ont le même poids lorsqu’ils soutiennent un candidat. Nous avons reçu Fabrice Marchand et Thierry Renaux, deux des fondateurs du Collectif des maires résistants, pour un Entretien essentiel.



L’objectif de ce collectif des maires résistants sur le long terme est de « fusionner l’action du peuple avec l’action des maires ». À court terme, cela se traduit par le soutien qu’ils porteront à un candidat à la prochaine élection nationale pour un collectif qui émergera « du peuple pour le peuple ».

Déçus par les politiques appliquées en France depuis les dernières décennies, nos invités ne souhaitent pas voter pour le Parti socialiste, les Républicains, ni les extrêmes. Fabrice Marchand est également le premier Gilet jaune devenu maire, le seul à ce jour, dans son village des Ardennes. Ces deux élus ne souhaitent pas porter un programme précis, mais plutôt donner un élan pour un nouveau parti sensible aux besoins du peuple de cette France des petites villes : « tous les élus ensemble, nous sommes les serviteurs du peuple français ».

Selon eux, les maires des villages font partie de ceux qui sont au plus proche des problèmes du quotidien de leurs habitants. En France, près de 85% des communes sont des communes de moins de 500 habitants : « pourtant on n’écoute que les maires des très grandes villes », déplore Fabrice Marchand.

Les fondateurs du collectif des maires résistants appellent « tous les maires de la ruralité et d’ailleurs à rejoindre ce mouvement. Ce sera peut-être historique, ça n’a jamais existé, quelque chose comme cela, il faut être des milliers ». Sur notre média, ces élus lancent officiellement leur mouvement, en appelant à un grand rassemblement et une marche dans la ville de Roanne, dans la Loire, à 13 h 30, ce samedi 13 novembre 2021.

Avant son lancement officiel, le mouvement prend déjà forme sur tous les réseaux sociaux, explique Thierry Renaux : « on est motivés, quand on voit tous les gens qui viennent nous rejoindre. Quand on a créé ce collectif et notre page Facebook, on s’est très vite retrouvé avec 15 000 ou 20 000 abonnés en quelques jours, quelques semaines. Et là, on a d’autres groupes qui nous ont rejoints, si on additionne tout cela, on dépasse les centaines de milliers d’adhérents à ce projet ».

« De plus en plus de maires n’ont plus confiance dans la politique actuelle, surtout les maires des communes rurales. Ils ne veulent plus aller dans un parti, car ils savent qu’ils vont être trompés » témoigne Thierry Renaux.

Auteur(s): FranceSoir




La liberté d’information à l’épreuve d’une commission ? Arnaud Dimeglio au Défi de la vérité

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Arnaud Dimeglio a relevé le défi ! Avocat au barreau de Montpellier, spécialisé dans les nouvelles technologies, le droit de la communication et le droit de la propriété intellectuelle, ce docteur en droit, avocat de FranceSoir par ailleurs, revient sur l’actualité crispée autour des questions de vérité et de désinformations médiatiques et institutionnelles, plus particulièrement sur la mise en place de la commission Bronner du nom du sociologue Gérald Bronner.

Cette commission intitulée : « Les Lumières à l’ère du numérique » qui prétend lutter contre la désinformation et le complotisme, a inspiré un article dans lequel Arnaud Dimeglio a exposé ses réserves : les risques de la commission Bronner. Il y fustige une commission obscure (malgré son intitulé), censée lutter contre les diffuseurs de haine et de la désinformation, des notions vagues et floues juridiquement, et en liste les contradictions et zones d’ombre.



Pour contrer l’imprécision, il revient sur la définition que le droit français propose de la désinformation dans la loi de 1881 : délit de fausses nouvelles, de mauvaise foi, qui trouble la paix publique… Il évoque aussi la loi de 2018 : si elle complète et prévoit que les « fausses informations » doivent être sanctionnées, elle ne permet pas d’établir qu’une information contraire à la vérité « officielle » du pouvoir en place constituerait pour autant une « fausse information ».

C’est pourtant une définition qu’a donnée Gérald Bronner : serait théorie du complot toute théorie remettant en question la vérité officielle… Une déclaration choquante et dangereuse qui a soulevé l’indignation générale.

Pour lutter contre ces dérives, Arnaud Dimeglio propose de revenir aux définitions, et à la liberté d’expression, qui permet de diffuser des idées minoritaires qui ne font pas (…ou pas encore) consensus. Prenant l’exemple des effets secondaires du vaccin, et de ce qu’il est possible d’en écrire pour ne pas enfreindre la loi, il revient sur les fondements possibles.

Une réflexion sur les Gafam (Google, Apple, Facebook…) qui suppriment tous les contenus qui seraient contraires aux « consensus » de l’OMS et des autorités locales, tandis que la Cour européenne des droits de l’homme affirme qu’il faut admettre les idées minoritaires et non pas les informations largement admises, en matière de santé. La suppression de ces contenus est d’autant plus choquante que le consensus est mouvant et qu’une information considérée comme fausse un jour peut se révéler juste ou plausible quelques mois plus tard. Des géants du numérique, réseaux sociaux et autres plateformes, qui jouent un double jeu, entre leur rôle d’hébergeur et celui d’éditeur, souligne Arnaud Dimeglio – voire de juge ? 

L’avocat montpelliérain regrette enfin la proximité des médias et du pouvoir et invite, dès lors que la presse est le « quatrième pouvoir », à s’inspirer de la séparation des pouvoirs telle que Montesquieu l’avait pensée, et revient enfin sur les polémiques autour du rôle médiatique de médecins dans cette crise sanitaire.

Auteur(s): FranceSoir




Des médecins de soins intensifs et des scientifiques prestigieux sont menacés pour avoir sonné l’alarme sur les blessures causées par le vaccin COVID-19

[Source : MIRASTNEWS]

Par Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News

Aujourd’hui, je vous apporte plus de preuves que les dirigeants des agences de santé du gouvernement américain et les sociétés pharmaceutiques produisant les «vaccins» COVID-19 sont coupables de crimes contre l’humanité, y compris de meurtres de masse.

J’ai été critiqué et censuré par beaucoup, même dans les médias alternatifs, pour avoir utilisé un langage aussi fort, souvent accusé d’utiliser le « sensationnalisme ».

Mais quand la vérité et les faits sont aussi évidents qu’ils le sont aujourd’hui, le sensationnalisme n’est pas nécessaire. Juste le courage de dire la vérité et d’exposer les criminels, c’est tout ce qui est nécessaire pour avertir le public.

Et la vérité est que de plus en plus de médecins de première ligne qui travaillent avec des patients blessés par vaccin, ainsi que des scientifiques et chercheurs médicaux très prestigieux, ont tenté de dénoncer ceux qui sont tués et blessés par ces vaccins en informant les dirigeants de la FDA, CDC, NIH, etc., et non seulement leurs voix sont ignorées, il y a un effort concerté pour les faire taire.

Ces professionnels risquent non seulement leur carrière et leurs moyens de subsistance, mais peut-être leur vie même pour avoir révélé la vérité sur les dommages causés par ces injections expérimentales de modification génétique.

Les compagnies pharmaceutiques et les organismes de réglementation fédéraux savent très bien ce qui se passe, ce qui les rend complices de ces crimes contre l’humanité et de ces meurtres de masse.

C’est la vérité, et pour mes collègues des médias alternatifs qui n’ont pas le courage de sortir et de dire cela parce que vous avez peur d’être étiquetés avec un terme péjoratif qui pourrait affecter votre financement ou votre popularité, honte à vous !  

Vous aussi, vous êtes alors complice de ces crimes car ces monstres se précipitent aussi vite qu’ils le peuvent pour injecter autant d’enfants et d’autres personnes que possible avant que la vérité ne les rattrape enfin.

Parce que cela arrivera à un moment donné. À un moment donné, le récit public changera, car il y aura tellement de morts et de paralysés à cause des injections qu’il ne pourra plus être nié, même parmi la plupart des ignorants et des idiots.  

Aujourd’hui, je publie le travail de l’avocat Aaron Siri qui représente plus de 12 médecins des unités de soins intensifs et d’autres emplois hospitaliers de première ligne qui ont essayé de parler au CDC, à la FDA et à d’autres organisations de santé de ce qu’ils voient chez leurs patients vaccinés blessés, mais sont ignorés.

L’avocat Siri a déposé 11 déclarations contre ces agences et menace de nouvelles poursuites judiciaires.

Ensuite, j’ai également publié un autre orateur de la table ronde de la semaine dernière à Washington DC par le sénateur Ron Johnson, avec le Dr Retsef Levi, un professeur israélien à la MIT Sloan School of Management qui a également essayé d’avertir les responsables de la santé en Israël et ici aux États-Unis , mais a été censuré, notamment en se voyant refuser la publication dans des revues universitaires.

11 mois maintenant après le début des campagnes de vaccination de masse contre le COVID-19, il n’y a plus d’excuse pour ceux qui permettent à ces décès et blessures de continuer. Il est temps de commencer à arrêter les gens et de convoquer des grands jurys de citoyens pour commencer à juger leurs affaires, et s’ils sont reconnus coupables, ils devraient être exécutés publiquement, le tout conformément à la loi du pays, la Constitution des États-Unis d’Amérique.

Et ces criminels appartiennent aux deux partis politiques, donc plus vite nous arrêterons d’en faire une question partisane, plus vite nous pourrons commencer à arrêter et à juger les criminels.

Un médecin de soins intensifs courageux signalant des blessures causées par le vaccin Covid-19 en entraîne une douzaine de plus

Dr. Patricia Lee.

Par Aaron Siri

AaronSsiri.substack.com

Un acte de bravoure commence à faire boule de neige. Le Dr Patricia Lee « a tout risqué » pour s’avancer, après avoir été ignorée par les responsables de la santé publique, pour révéler la grave série de dommages dont elle a été témoin des vaccins Covid-19 dans son unité de soins intensifs.

Avec ce seul acte, mon cabinet a maintenant été contacté par plus d’une douzaine d’autres médecins. Vous trouverez ci-joint 11 déclarations de médecins de tout le pays attestant de graves dommages causés par les vaccins Covid-19.

Ces médecins, comme le Dr Lee, ont contacté les autorités de santé publique du CDC, de la FDA et du NIH pendant plus de dix mois, mais leurs préoccupations ont été rejetées ou ignorées.

Ces agences répondent généralement en disant que le VAERS ne montre pas de signal de sécurité, il n’y a donc rien à craindre.

Si vous ne le savez pas déjà, le VAERS est le système qui, selon le CDC et la FDA, ne peut pas montrer qu’un vaccin provoque une blessure, mais peut néanmoins montrer qu’un vaccin est sûr. C’est-à-dire qu’ils gagnent face, que vous perdez face.

Pire encore, bon nombre de ces médecins ont eux-mêmes été blessés par un vaccin Covid-19 et, bien qu’ils soient médecins, les médecins auprès desquels ces médecins blessés ont demandé un traitement ont également généralement rejeté leurs blessures. Et ce sont des médecins qui recherchent l’aide de leurs collègues médecins !

L’histoire que racontent la plupart de ces médecins ressemble à celle de Maddie de Garay qui, bien qu’elle soit en fauteuil roulant et qu’elle ait besoin d’une sonde d’alimentation par le nez, s’est fait dire que c’était psychologique.

Ces médecins ont été, incroyablement, presque tous initialement à dire la même chose. Ce n’est qu’après avoir demandé un traitement à des médecins qu’ils connaissaient du travail ou de la faculté de médecine que beaucoup d’entre eux ont cru.

Si les médecins sont rejetés comme « inventant », imaginez à quoi doit faire face la personne moyenne sans connaissances et accès médicaux après une blessure due au vaccin Covid-19.

Les autorités de santé publique nous disent de faire confiance aux médecins. Si des personnes ont des inquiétudes au sujet du vaccin, elles disent : « parlez avec votre médecin. » Ces mêmes médecins disent maintenant aux autorités sanitaires qu’il y a un grave problème.

Ils le disent à ces autorités sanitaires depuis des mois dans une myriade de correspondances. Et les 11 déclarations jointes sont probablement un petit échantillon – après tout, la lettre du Dr Patricia Lee n’a été publiée sur cette sous-pile que lorsqu’elle n’avait que quelques centaines d’abonnés. Cela a néanmoins déclenché une boule de neige de médecins tendant la main avec des histoires similaires qui se multiplient de jour en jour.

Il ne faudrait pas que les autorités de santé publique n’écoutent les médecins que s’ils répètent leur message préféré concernant les vaccins Covid-19.

Au contraire, les médecins devraient être particulièrement écoutés lorsque leur expérience clinique s’oppose directement à ce message. Mais l’expérience de ces médecins, et des nombreux autres qui ont contacté mon cabinet, prouve que c’est exactement le contraire qui est vrai.

Ces médecins, comme la plupart des médecins, sont les derniers individus à vouloir admettre qu’un vaccin Covid-19 a été la cause des blessures de leurs patients ou de leurs propres blessures. Et ils sont les derniers à vouloir faire publiquement un tel aveu. Vraiment.

Mais la réalité ne leur offre pas ce luxe. Les blessures qu’ils rapportent sont bien trop réelles et dévastatrices. Comme détaillé dans les déclarations ci-jointes, la plupart des médecins blessés ne peuvent plus travailler ou sont sévèrement limités dans leur capacité de travailler.

La leçon encore une fois est que les droits civils et individuels ne devraient jamais être subordonnés à une procédure médicale. Jamais.

Exiger un consentement éclairé – ce qui signifie donner à chaque Américain la possibilité de donner ou de refuser son consentement sans coercition – est le dernier et dernier filet de sécurité face aux dangers qui résultent lorsque nous permettons au gouvernement de décider ce qui doit être injecté ou placé dans ou sur notre corps.

Ce n’est pas une hyperbole car l’état actuel des choses est que vous ne pouvez pas poursuivre les fabricants pour les blessures du vaccin Covid-19, ne pouvez pas voir les données sous-jacentes à l’homologation du vaccin, ne pouvez pas discuter des blessures du vaccin Covid-19 sur les réseaux sociaux, et ne pouvez pas dire non au vaccin si vous souhaitez conserver votre emploi ou fréquenter de nombreuses universités.

Quel que soit votre point de vue sur le vaccin Covid-19 lui-même, chaque Américain devrait refuser de laisser le gouvernement décider des procédures médicales dans lesquelles il doit s’engager pour participer à la société civile.

Lisez l’article complet et consultez les pièces jointes sur AaronSsiri.substack.com.

Un scientifique israélien du MIT s’oppose au récit « grand public » du vaccin COVID-19 : « Vous devez être prudent car vous pourriez être éliminé »

Le Dr Retsef Levi est professeur à la MIT Sloan School of Management. Il était l’un des conférenciers invités la semaine dernière à Washington D.C. lors de la table ronde du sénateur Ron Johnson sur les mandats des vaccins COVID-19. Nous avons publié les présentations de nombreux autres participants qui ont assisté à cette réunion organisée par le sénateur Johnson. Voir:

Des médecins et des blessés par vaccin COVID-19 témoignent à Washington D.C. de crimes contre l’humanité – CDC, FDA, NIH, Fauci ne se présentent pas

Le Dr Levi est pro-vaccin et possède une biographie impressionnante en tant que scientifique et professeur à la MIT Sloan School of Management.

Retsef Levi est le professeur J. Spencer Standish (1945) de gestion des opérations à la MIT Sloan School of Management. Il est membre du groupe de gestion des opérations du MIT Sloan et affilié au MIT Operations Research Center. Levi est également codirecteur de la faculté des leaders du MIT pour les opérations mondiales (LGO).   

Avant de venir au MIT, il a passé un an au département des sciences mathématiques de l’IBM T.J. Watson Research Center en tant que titulaire de la bourse postdoctorale Goldstine.   

Il a obtenu un baccalauréat en mathématiques de l’Université de Tel-Aviv (Israël) en 2001, et un doctorat en recherche opérationnelle de l’Université Cornell en 2005.   

Levi a passé près de 12 ans dans les Forces de défense israéliennes en tant qu’officier de l’aile du renseignement et a été désigné officier du mérite supplémentaire. Après avoir quitté l’armée, Levi a rejoint une nouvelle entreprise de haute technologie israélienne émergente en tant que consultant en développement commercial.   

Les recherches actuelles de Levi sont axées sur la conception de modèles et d’outils d’aide à la décision basés sur des données analytiques traitant des décisions complexes de conception d’entreprise et de système dans des domaines tels que la gestion de la santé et des soins de santé, la chaîne d’approvisionnement, la gestion des achats et des stocks, la gestion des revenus, l’optimisation des prix et logistique.   

Levi a dirigé plusieurs efforts de recherche collaborative basés sur l’industrie avec certains des principaux hôpitaux universitaires de la région de Boston, tels que le Mass General Hospital (MGH), le Beth Israel Deaconess Medical Center (BIDMC), le Children’s Hospital et à travers les États-Unis (par ex. , Memorial Sloan Kettering Cancer Center, NYC Presbyterian Hospital System et l’American Association of Medical Colleges).  

Levi était l’IP dans le cadre d’un contrat du MIT avec la Federal Drug Administration (FDA) pour développer une approche systématique de gestion des risques afin de traiter les risques liés aux falsifications économiques d’aliments fabriqués dans les chaînes d’approvisionnement mondiales.   

Levi a diplômé 10 étudiants au doctorat, 34 étudiants à la maîtrise et 6 boursiers postdoctoraux. Il a également reçu plusieurs prix d’enseignement prestigieux. (Biographie complète ici.)

Comme vous pouvez le voir, il a beaucoup d’expérience dans le développement de médicaments et en collaboration avec la FDA.

Et pourtant, à l’instar des médecins de première ligne qui ont maintenant envoyé des déclarations à la FDA, au CDC et au HHS, ses inquiétudes concernant les dangers des vaccins COVID-19 ont été ignorées.

Il a déclaré:

Je ne suis pas un anti-vaccin. Je ne suis pas républicain, je ne suis pas démocrate.   

Il se trouve que je suis un scientifique qui remet en question le discours actuel qui domine les politiques de santé publique dans le monde, aux États-Unis et en Israël.  

Je peux vous dire que je connais de nombreux scientifiques et professionnels de la santé traditionnels, qui, comme moi, pensent que le récit actuel est extrême et faux.   

Mais très peu d’entre eux sont prêts à s’exprimer.   

Et je ne suis pas sûr de pouvoir les blâmer, car toute tentative de s’écarter du récit aujourd’hui se heurte à un mur d’hostilités, de rejet et même d’élimination de la part du gouvernement, y compris des agences de financement, des médias publics et, pire encore, de la communauté scientifique elle-même.

Le Dr Levi déclare ensuite qu’un de ses collègues au MIT qui est membre de la National Academy of Engineering lui a dit :

« Il faut faire attention, car on peut être éliminé. »

Le Dr Levi poursuit ensuite en parlant de la fraude universitaire et de la façon dont lui et de nombreux autres scientifiques ont tout de suite vu que ce que Pfizer publiait sur les résultats de leurs essais de vaccins COVID-19 était gravement erroné et que leurs déclarations concernant l’efficacité étaient fausses.

Et nous avons maintenant également un dénonciateur qui a travaillé sur les essais de vaccins COVID-19 pour Pfizer qui a également exposé la fraude chez Pfizer. Voir:

Un lanceur d’alerte révèle une fraude dans les essais de vaccins COVID de Pfizer alors que des enfants de 5 à 11 ans commencent à se faire injecter – Décès et blessures par vaccin à suivre

Ces scientifiques ont tenté de faire publier leurs critiques des études de Pfizer dans les revues universitaires, mais ont été déboutées. Les seules études publiées étaient celles qui se conformaient au récit dominant, et ces études étaient essentiellement de la camelote.

Le Dr Levi donne l’exemple des études qui viennent d’être publiées pour affirmer que les nouvelles injections de rappel étaient efficaces et sûres. La plupart des patients ayant reçu les injections dans les essais n’ont été suivis que pendant moins de deux semaines afin que les sociétés pharmaceutiques déclarent que les vaccins sont sûrs et efficaces.

Il est très critique à l’égard de ces journaux, car en ce qui concerne la sécurité, ils ne signalent aucun effet secondaire négatif, y compris des décès.

Le Dr Levi donne ensuite un exemple de cette censure académique.

Mes co-auteurs et moi avons souligné que lorsque vous examinez les appels des services d’urgence nationaux en Israël pour un arrêt cardiaque chez les jeunes de moins de 40 ans, vous constatez une augmentation spectaculaire de 25% de ces appels parallèlement à la campagne de vaccination en Israël au début de 2021, et nous voyons une association statistique à cette campagne.  

Nous avons écrit l’article à ce sujet, sans prétendre qu’il y a un effet occasionnel entre les vaccins et ce que nous voyons, car nous n’en avons pas la preuve.   

Mais nous avons soulevé la préoccupation et nous avons appelé les autorités pour vérifier ce qui se passait.   

Inutile de dire que nous n’avons jamais reçu de réponse des autorités, et en fait, elles ont rendu publiques et ont qualifié cette recherche de « fausse ».   

Mais encore plus inquiétant, revue après revue après revue dans la littérature académique rejette cet article, la plupart du temps en se basant sur l’argument qu’il n’est « pas une priorité ».  

Eh bien, je ne pense pas que qualifier les problèmes de sécurité de « faux » soit moralement juste ou scientifiquement juste.   

Je pense qu’il est clair que ces vaccins ne sont pas naïfs et qu’ils ont des effets secondaires graves et sans précédent.

Regardez la présentation complète du Dr Levi. C’est sur nos chaînes Rumble et Bitchute.



https://www.bitchute.com/embed/76q9F5B9qQiC/?feature=oembed#?secret=mVkOmPEUdd

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Health Impact News




Ubérisation de la politique et grand effondrement

[Source : Le Saker Francophone]

[Illustration : Infographie : l’ubérisation en 15 secteurs | Observatoire Uberisation et Economie Collaborative]

Par Nicolas Bonnal

Nicolas Bonnal

Zemmour, Macron, LREM, RN, LR, LFI… Nous nous approchons de ces élections dérisoires et nous découvrons de nouveaux partis politiques, vite créés, bâclés et usagés. La destruction en règle de la France depuis Chirac-Sarkozy-Lagarde concerne aussi les partis politiques. Elle gagne les services publics, l’hôpital et tout le reste et reflète notre vie ordinaire : nous sombrons dans le modèle Blade runner décrit par Ridley Scott il y a quarante ans (voyez mon livre), soit la misère et la précarité pendant qu’au sommet s’édifient des fortunes colossales qui ne se basent sur rien mais organisent notre dystopie parce qu’elles contrôlent notre mental (voyez le livre de ma femme sur Dick). Tesla devient la première marque vendue en Europe.

Rappelons ce que notre encyclopédie polyvalente et elle-même ubérisée (Wikipédia donc) nous dit de l’ubérisation :

L’ubérisation (du nom de l’entreprise Uber), ou la plateformisation, est un phénomène récent dans le domaine de l’économie consistant en l’utilisation de services permettant aux professionnels et aux clients de se mettre en contact direct, de manière quasi instantanée, grâce à l’utilisation des nouvelles technologies.

Toute cette technologie américaine réorganise le monde et nos sociétés, se vante Wikipédia :

La mutualisation de la gestion administrative et des infrastructures lourdes permet notamment de réduire le coût de revient de ce type de service ainsi que les poids des formalités pour les usagers. Les moyens technologiques permettant l’ubérisation sont la généralisation du haut débit, de l’internet mobile, des smartphones et de la géolocalisation.

C’est la fin du modèle des Trente Glorieuses, se vante  notre encyclopédie :

Ce modèle d’organisation du travail repose sur le travail à la tâche et s’oppose de fait à celui reconnu depuis des générations, et particulièrement depuis les Trente Glorieuses, c’est-à-dire le monde fixe et réglementé du salariat. L’ubérisation s’inscrit de manière plus large dans le cadre d’une branche intégrée au marché de l’économie à la tâche.

Le mot « ubérisation » vient du grand patron de Publicis qui soumit la presse dans les années 80 :

Le terme « ubérisation » est un néologisme, popularisé en francophonie par Maurice Lévy après un entretien accordé au Financial Times en décembre 2014. Le terme provient de l’entreprise Uber qui a généralisé à l’échelle planétaire un service de voiture de tourisme avec chauffeur entrant directement en concurrence avec les taxis.

La blague fut de nous faire croire que le taxi Uber est moins cher que nos taxis de la Marne ou leurs successeurs disparus. La fin de tout professionnalisme et de toute compétence est la clé du système : d’où la nullité des personnels politiques, diplomatiques et même militaires. Mais quand on rêve de grand effondrement…

Les caractéristiques de ce service sont en premier lieu les gains financiers importants liés à l’évitement des contraintes réglementaires et législatives de la concurrence classique (l’acquisition d’une licence de taxi dans le cadre d’Uber), mais aussi la quasi-instantanéité, la mutualisation de ressources et la faible part d’infrastructure lourde (bureaux, services supports, etc.) dans le coût du service, ainsi que la maîtrise des outils numériques.

On voit aussi ce que donne la fin des infrastructures lourdes chères à ces imbéciles : l’effondrement de l’infrastructure dans tous les pays occidentaux (USA, France, Allemagne).

[Note de Joseph Stroberg : si certaines élites semblent apprécier de passer par le chaos pour achever la construction de leur Nouvel Ordre Mondial, le résultat pourrait être bien différent de celui de leurs attentes, surtout si cet ordre lui-même subit un violent choc en retour. Au lieu d’asservir l’Homme et d’enchaîner l’Humanité à la machine, cela pourrait en fait aboutir à la libération de la Créativité et à la floraison de la Conscience : un nouveau ciel et une nouvelle terre pour une Humanité rénovée, souveraine depuis l’individu jusqu’à sa totalité, en conformité cette fois avec le dessein cosmique.]

Le Petit Larousse est lui-même euphorique sur le sujet :

Le terme « ubérisation » fait son apparition dans le dictionnaire Le Petit Larousse 2017, qui le définit comme : la « remise en cause du modèle économique d’une entreprise ou d’un secteur d’activité par l’arrivée d’un nouvel acteur proposant les mêmes services à des prix moindres, effectués par des indépendants plutôt que des salariés, le plus souvent via des plates-formes de réservation sur Internet.

Encore plus euphorique le Figaro (la presse aussi a été ubérisée, et depuis longtemps encore). Au sujet de l’ubérisation, Guillaume Sarlat explique dans Le Figaro :

L’ubérisation, tout le monde en parle aujourd’hui : tous les business models des grands groupes seraient sur le point d’être disruptés, ubérisés, désintermédiés, commoditisés, en un mot pulvérisés par une multitude de startups beaucoup plus agiles et innovantes.

Retenons le mot de pulvériser. Pour le reste le petit mange-merde du Figaro pulvérise la langue de Malherbe et de Chateaubriand. L’ubérisation amorce le bref règne des pignoufs qui veulent nous amener à un âge technocratique de ténèbres sauce Davos.

On a parlé d’économie à la tâche, alors expliquons :

L’économie à la tâche (de l’anglais gig economy, gig signifiant le concert, on a souvent payé les musiciens d’une soirée une fois le bal terminé) On la désigne aussi sous le nom d’économie à la demande ou économie des petits boulots. C’est un système basé sur des emplois flexibles, temporaires ou indépendants.

La politique est devenue un petit boulot. Chacun opinera et/ou appréciera.
L’optimisme médiatique ajoute :

En 2021, livraison de repas à domicile, voitures avec chauffeur, participation rémunérée à des sondages, micro-tâches d’assistance aux algorithmes, aux réseaux sociaux, aux corrections de données, « l’économie des petits boulots » génère un chiffre d’affaires mondial de 5 000 milliards de dollars.

Un petit bémol :

En 2025, 500 millions de personnes pourraient dépendre pour vivre des petits boulots associés à l’économie à la tâche. La liberté et la simplicité d’accès qui font le succès des plates-formes reposent aujourd’hui sur l’exploitation de ces travailleurs.

Les travailleurs ne sont pas les seuls exploités : les clients et les consommateurs aussi. L’ubérisation de la culture et de l’enseignement ont préparé les jeunes générations à accepter leur condition d’ilote. Le bobo d’aujourd’hui (et sa descendance ruineuse et efflanquée) a la sous-culture média de sa femme de ménage ubérisée.

Cette dégradation du matériel humain préparée depuis quarante ans (voyez ma Lettre ouverte à la vieille race blanche) était la condition sine qua non et le préalable du démantèlement terminal de notre société et de notre patrie. Le mécontentement étant lui-même ubérisé politiquement, la caste de Blade runner a peu de soucis à se faire.

Nicolas Bonnal 




Radio Courtoisie — Ligne droite du 4 novembre

[Source : Radio Courtoisie]

  • Bulletin d’actualités

Avec Eléonore de Vulpillières

  • La libre information : #Pfizergate !

Avec Surya Arby, informaticien, mathématicien, membre de l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Internationale et Bienveillante (AIMSIB)

  • Chronique des réseaux sociaux

Avec Alister Rivière, directeur de GETTR en France (le réseau social alternatif qui défend la liberté d’opinion)

  • L’éclairage du jour : La guerre UE-Pologne – une guerre idéologique

Avec Patrick Edery, dirigeant d’entreprise, éditorialiste à l’hebdomadaire du syndicat Solidarnosc et rédacteur en chef de sa version française en ligne

  • Table ronde : COP26 – climat et enjeux

Avec Philippe Charlez, expert en questions énergétiques à l’Institut Sapiens, auteur du livre L’Utopie de la croissance verte aux éditions Jacques-Marie Laffont

Avec Rémy Prud’homme, professeur émérite d’économie à l’Université de Paris XII, auteur notamment des livres L’idéologie du réchauffement. Science molle et doctrine dure et Le mythe des énergies renouvelables. Quand on aime on ne compte pas aux éditions de l’Artilleur

  • Bulletin des réseaux sociaux 

Avec Eléonore de Vulpillières

  • Grand angle

Avec Nicolas Vidal, fondateur et rédacteur en chef de Putsch

  • Vu de haut : Un député soutient la candidature d’Eric Zemmour aux élections présidentielles

Avec Joachim Son Forget, député (non inscrit) des Français établis hors de France

  • Focus matin : Zapping sur les autres matinales

Avec Vincent Lenoble





ILS AURONT TOUT OSÉ : POURSUIVRE D. RAOULT, HONNEUR DE LA MÉDECINE FRANÇAISE

Par Gérard Delépine

Docteur Gérard Delépine chirurgien et statisticien

(je déclare l’absence de tout lien d’intérêt avec des firmes du médicament) 

Alors que se poursuit sur les ondes médiatiques(([1] propriétés de huit milliardaires)) le défilé scandaleux de médecins incompétents et corrompus, ne déclarant jamais leurs conflits d’intérêts, donc en violant la loi « transparence en santé », la honteuse convocation devant le conseil de l’ordre des médecins de notre virologue mondialement reconnu et respecté fait la une des médias, qui osent lui coller le terme de charlatan…

Depuis deux ans, ils n’auront pas cessé d’user quotidiennement de l’inversion des valeurs. « La paix, c’est la guerre », remettant Orwell au goût du jour.

« Ainsi durant près de trois heures, la chambre disciplinaire, présidée par un magistrat administratif assisté de huit médecins, a examiné deux plaintes déposées fin 2020 par l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône et le Conseil national de l’Ordre des médecins ? Sur la base de plusieurs signalements initialement effectués par la société de pathologie infectieuse de langue française (Spilf), par des praticiens hospitaliers et des particuliers contre Didier Raoult ».

Qui sont-ils pour le « juger » ? Il n’a fait que guérir les patients qui venaient jusqu’à Marseille pour échapper au tragique « maison, Doliprane, détresse respiratoire et Rivotril (d’où euthanasie d’environ 10 000 personnes âgées »)…

Pendant que le ministre se permettait d’interdire aux médecins de soigner, en mars 2020, probablement pour la première fois au monde depuis Hippocrate et 2500 ans, et que la plupart des docteurs malgré leurs quinze ans de médecine se courbaient devant les menaces du conseil de l’ordre, reniant leur serment d’Hippocrate et leur métier, les rapides interventions du Pr Raoult nous ont vite revigorés, confirmant l’impression que la pandémie du coronavirus n’était qu’une grippe comme les autres, à condition toutefois de ne pas euthanasier les vieux susceptibles d’en être atteints, et de soigner les pneumopathies virales par les antibiotiques habituels associées au traitement déjà connu depuis 2003 pour le SRAS et republié par les Chinois quelques semaines plus tôt.

« Il est reproché au praticien marseillais d’avoir fait la promotion de l’hydroxychloroquine pour traiter le Covid-19, sans données scientifiques établies, ce qui s’apparente à du « charlatanisme » d’avoir pris des « risques inconsidérés » en soignant des patients avec ce traitement « non éprouvé par la science » et d’avoir « manqué à son devoir de confraternité » envers d’autres médecins, a détaillé la rapporteure de la chambre disciplinaire. »(([2] Didier Raoult : « On fait le procès de la réussite » se défend l’infectiologue marseillais, taxé de « charlatanisme » par ses pairs — ladepeche.fr))

Comment peut-on écrire une telle accusation alors que la nivaquine a été utilisée depuis 70 ans en usage libre sans ordonnance et après les nombreuses publications confirmant les premières de Raoult ?

« Pour Me P. Carlini, avocat de l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône, ces poursuites ont été entreprises pour soutenir les ‘médecins libéraux héroïques’ bousculés par « des patients angoissés » réclamant, « sans rien y connaitre », un traitement à l’hydroxychloroquine, en se basant uniquement « sur la parole d’un éminent scientifique marseillais émise sans aucune prudence » sur les plateaux télé et les réseaux sociaux. »

Comment peuvent-ils ignorer les nombreux(([3] Plus de 195 études ont été publiées dont 131 dans des revues à comité de lecture référencées sur PubMed et 70 % affirment l’efficacité de l’HCQ)) articles publiés dans des revues à comité de lecture et référencés sur les banques de données internationales telles que PubMed avant de faire de telles déclarations infondées ? Comment peuvent-ils ignorer que les autorités sanitaires de nombreux pays regroupant plus de la moitié de la population mondiale (Chine, Corée, Inde, Taiwan, Malaisie, Bahreïn, Turquie, Qatar, Maroc, Algérie, Nigéria, Sénégal, Cuba) ont recommandé ce traitement et qu’ils s’en sortent tous avec des mortalités Covid bien inférieures aux nôtres ?

Comment peuvent-ils ignorer que le Conseil d’État italien a fait droit au recours des médecins contre la note de l’Aifa(([4] Agence italienne du médicament)) qui suspendait l’utilisation de ce produit en soulignant que la « base de données cliniques non ambiguës affirme son efficacité au seul stade précoce de la maladie ».

Quant aux plateaux télé, ce ne sont pas particulièrement Didier Raoult ou ses collaborateurs qui les ont envahis, mais bien ceux qui ont tenté de le disqualifier en les calomniant. Et en faisant parfois la promotion de médicaments inefficaces, toxiques et très chers comme le Remdesivir déconseillé depuis par l’OMS.(([5] L’OMS ne recommande pas l’administration de Remdesivir aux patients COVID-19 20 novembre 2020 https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/who-recommends-against-the-use-of-remdesivir-in-covid-19-patients))

Quant à « l’héroïsme » des médecins libéraux qui n’ont su qu’obéir à la bureaucratie et se plier aux menaces du conseil de l’ordre et du ministre, il relève de la Novlangue, tant leur lâcheté vis-à-vis des patients a déshonoré notre profession et a été responsable de nombreuses morts évitables et de tragédies familiales (interdiction des visites, refus de voir et d’embrasser une dernière fois le défunt, pratiques dépourvues d’humanité, etc.).

À l’heure où ces mêmes médecins prétendument héroïques qui n’ont pas hésité à injecter un produit expérimental en phase trois, agissant sur l’ARN, et qu’explose le Pfizergate, comment peut-on entendre ces récriminations sur le Pr Raoult et ses collaborateurs, jusqu’à les accuser d’avoir traité des patients tuberculeux, les accusant d’essais cliniques illégaux. On a l’impression que trop de « médecins » ont oublié ce qu’est la médecine clinique, le traitement des malades… Quant aux bureaucrates, ils ne l’ont jamais su.

« Comme un criminel »

« Ce sont les médecins qui se plaignent de nous, pas les patients », a rétorqué Didier Raoult, assurant avoir reçu « plus de 600.000 patients » au sein de l’IHU durant la crise sanitaire, « sans aucune plainte ».

On peut être étonné et scandalisé que le Conseil de l’ordre fonde son accusation sur des études biaisées, incomplètes et mal conçues comme
« la britannique Recovery(([6] Étude qui utilisait des doses toxiques folles (4 fois la dose maximale prévue par le VIDAL) dans le seul but de disqualifier HCQ)), la française Hycovid(([7] Étude qui a été incapable de conclure faute de patients après un arrêt secondaire à la publication totalement fallacieuse du LancetGate)), ou Solidarity menée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) — qui ont toutes conclu que l’hydroxychloroquine n’était pas efficace contre le Covid-19, a pourtant rappelé la chambre disciplinaire ».

Pourtant la très mauvaise qualité de ces études parcellaires a largement été démontrée, tandis que les résultats mondiaux des antipaludéens ont démontré la véracité des thèses du Professeur Raoult, ne serait-ce que par le taux exceptionnellement bas de la mortalité par SARS-CoV-2 dans les pays d’Afrique dont la population est régulièrement sous hydroxychloroquine.(([8] L’Afrique, test géant pour la chloroquine. Comparaisons des mortalités Covid entre l’Afrique et l’Europe – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) et
https://reseauinternational.net/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/))

Pour Me Fabrice Di Vizio, avocat de D. Raoult, le sujet de l’hydroxychloroquine est un « faux débat ». Son client, dit-il, est jugé « comme un criminel », essentiellement pour ses prises de position critiques sur la gestion de la crise sanitaire par les autorités ».

Que le procès fait à Raoult devienne le procès d’un ordre à supprimer

Rappelons que l’ordre des médecins a été créé par Vichy et que sa première décision a été de radier les médecins juifs avant de les dénoncer aux Allemands ; qu’une de ses autres recommandations aux médecins a été de « dénoncer les blessures par balle aux autorités » (de Vichy) pour qu’elles puissent arrêter les résistants qu’ils auraient soignés.

Rappelons que la loi transparence santé l’a chargé de veiller au respect de la déclaration des liens d’intérêt avant toute annonce d’un médecin au public. Qu’il a pourtant systématiquement oublié de poursuivre les médecins de plateau télé pour ces absences répétées de déclaration d’intérêts même lorsqu’ils faisaient de la publicité pour des traitements inefficaces.

On peut tout autant s’étonner qu’il n’ait pas appelé le gouvernement au respect de la déontologie médicale et en particulier à l’indépendance des médecins dans le choix de leurs ordonnances et à respecter leur refus de délivrer des médicaments mortels (Rivotril).

Historiquement, les connotations négatives des Ordres professionnels et Corporations sont nombreuses… Renvoyant à un passé archaïque et condamnable fait de groupes professionnels fermés, protectionnistes, mercantiles, s’octroyant des privilèges et des monopoles, défendant leurs intérêts en dehors du bien collectif commun, ils peuvent aller jusqu’à freiner l’innovation. Reconnus « dangereux », ils ont été abolis par le Décret Allarde et la Loi Le Chapelier en 1791 lors de la Révolution Française.

Leur rétablissement a été soutenu par les pays dictatoriaux et le fascisme (Mussolini, Franco, Salazar, Pétain…). De Gaulle avait supprimé cet ordre des médecins en 1945. Mitterrand s’était engagé à supprimer cet ordre enfant de la philosophie fasciste. Battons-nous pour le supprimer au plus tôt !

Heureusement de courageux politiques appellent à sa dissolution comme Florian Philippot

et des citoyens le soutiennent à son arrivée à Bordeaux :

https://twitter.com/LE_GENERAL_OFFL/status/1456544547677347844




Monde. Une occasion cruciale d’interdire les robots tueurs – tant que cela est encore possible

[Source : Amnesty International]

Amnesty International et la campagne Stop Killer Robots dévoilent mardi 2 novembre un filtre pour réseaux sociaux donnant un aperçu terrifiant du futur de la guerre, du maintien de l’ordre et du contrôle aux frontières. Escape the Scan, un filtre destiné à Instagram et Facebook, fait partie d’une grande campagne en faveur d’une nouvelle législation internationale visant à interdire les systèmes d’armement autonomes. Il utilise la technologie de la réalité augmentée afin de montrer certains aspects de systèmes d’armement déjà en développement, tels que la reconnaissance faciale, les capteurs de déplacement, et d’autres dispositifs ayant la capacité de lancer des attaques contre des « cibles » sans véritable contrôle humain.

Plusieurs pays sont très investis dans le développement des armes autonomes, malgré les implications dévastatrices pour les droits humains que comporte le transfert à des machines de la responsabilité du recours à la force. En décembre, un groupe d’experts des Nations unies doit se réunir afin de déterminer s’il est opportun de négocier une nouvelle législation internationale relative à l’autonomie des systèmes d’armement. Amnesty International et Stop Killer Robots ont lancé une pétition demandant à tous les gouvernements d’exprimer leur soutien en faveur de négociations.

Nous basculons dans un scénario de cauchemar, un monde où des drones et d’autres armes avancées peuvent sélectionner et attaquer des cibles sans aucun contrôle humain

Verity Coyle, Amnesty International

« Nous basculons dans un scénario de cauchemar, un monde où des drones et d’autres armes avancées peuvent sélectionner et attaquer des cibles sans aucun contrôle humain. Ce filtre est conçu pour donner aux utilisateurs une idée de ce que les robots tueurs seraient bientôt capables de faire, et montrer pourquoi nous devons agir de toute urgence afin que les humains gardent le contrôle du recours à la force », a déclaré Verity Coyle, conseillère principale sur les équipements militaires, de sécurité et de police pour Amnesty International.

« Permettre à des machines de trancher des questions de vie ou de mort constitue une atteinte à la dignité humaine, et risque en outre de causer des violations dévastatrices des lois de la guerre et des droits humains. Cela exacerbera par ailleurs la déshumanisation de la société sur l’espace numérique, qui réduit les personnes à des points de données à traiter. Il nous faut un traité international robuste et juridiquement contraignant afin de faire cesser la prolifération des robots tueurs – avant qu’il ne soit trop tard. »

Escape the Scan sera disponible à compter du 2 novembre sur les comptes Instagram et Facebook de Stop Killer Robots. 

Une version grand format du filtre sera visible dans le cadre d’une expérience interactive à Westfield Stratford City – un des plus grands centres commerciaux d’Europe -, à Londres, pendant deux semaines à compter du 2 novembre.

We have had a decade of talks on autonomous weapons at the United Nations, but these are being blocked by the same states that are developing the weapons

Ousman Noor, Stop Killer Robots

Il est temps de fixer des limites

« Cela fait une décennie que l’on parle des armes autonomes aux Nations unies, mais ces discussions sont bloquées par les pays qui développent actuellement ces armes », a déclaré Ousman Noor, de la campagne Stop Killer Robots.

« Le secrétaire général des Nations unies, le Comité international de la Croix-Rouge, des prix Nobel, des milliers de scientifiques, de spécialistes de la robotique et de professionnel·le·s des technologies demandent un traité ayant force de loi afin d’empêcher que ces armes ne deviennent réalité. Les gouvernements doivent fixer des limites face à des machines capables de choisir de tuer. »

Le 2 décembre 2021, le Groupe d’experts gouvernementaux des parties à la Convention sur certaines armes classiques entamera des discussions cruciales, afin de déterminer s’il convient d’ouvrir des négociations sur un nouveau traité pour lutter contre la menace posée par des robots tueurs. Pour l’instant, 66 États ont appelé de leurs vœux un nouveau cadre juridiquement contraignant sur l’autonomie des systèmes d’armements. Les avancées sur ce terrain ont cependant été bloquées par un petit nombre d’États puissants, notamment la Russie, Israël et les États-Unis, qui considèrent que la création d’une nouvelle législation internationale est prématurée.

Quel est le problème ?

Le remplacement de soldat·e·s par des machines rendra la décision de partir en guerre plus facile. Par ailleurs, les machines ne peuvent pas effectuer de choix complexes sur le plan éthique dans des contextes imprévisibles comme les champs de bataille ou des scénarios du monde réel ; rien ne saurait remplacer une prise de décision humaine. Nous avons déjà vu que les technologies telles que la reconnaissance faciale, vocale, des émotions et de la démarche ont des difficultés à identifier les femmes, les personnes de couleur et les personnes présentant des handicaps ; et aussi qu’elles causent d’immenses torts aux droits humains lorsqu’elles « fonctionnent ». Employer ces technologies sur les champs de bataille, dans le domaine de l’application des lois ou de contrôle aux frontières, serait désastreux.

Malgré ces inquiétudes, des pays comme les États-Unis, la Chine, Israël, la Corée du Sud, la Russie, l’Australie, l’Inde, la Turquie et le Royaume-Uni effectuent de lourds investissements dans le développement de systèmes autonomes. Le Royaume-Uni développe par exemple actuellement un drone capable de voler en mode autonome et d’identifier une cible dans une zone programmée. La Chine est en train de créer de petits « essaims » de drones qui pourraient être programmés pour attaquer la moindre créature ayant une température corporelle, tandis que la Russie construit un tank robot sur lequel peuvent être fixés une mitrailleuse ou un lance-grenade.


Stop Killer Robots est une coalition mondiale de plus de 180 ONG internationales, régionales et nationales, et partenaires universitaires travaillant à travers 66 pays afin de garantir que les humains maintiennent un véritable contrôle du recours à la force, par le biais d’une nouvelle législation internationale. Amnesty International est une des neuf organisations faisant partie du comité directeur de cette coalition.




QAnon, mouvement manipulé par le régime communiste chinois ?

[Source : theepochtimes.com]

Une note des services de renseignement français, dont les éléments les plus saillants viennent d’être publiés dans les colonnes du JDD, jette une lumière crue sur la mouvance QAnon en France. On y découvre l’anatomie complexe d’une nébuleuse agrégeant des convictions diverses et d’apparence incompatibles, dans un corps protéiforme allant de la lutte contre les sociétés secrètes à la recherche de spiritualité, en passant par des groupuscules semi-militaires dont certains membres vont aujourd’hui, d’après la note, jusqu’à préparer des « projets de coup d’État et d’autres actions violentes ».

Les multiples comptes de réseaux sociaux des relais de QAnon en Occident varient dans leur style, mais se rejoignent sur certains éléments-clés, dont l’idée qu’un pouvoir corrompu œuvre au niveau mondial à la manipulation et l’asservissement des populations. Les multiples théories et rumeurs alimentant cette galaxie ont séduit aussi bien une large frange de survivalistes voyant dans notre mode de vie actuel une folie insoutenable, que des citoyens ne trouvant d’explication possible à l’absurdité du développement du monde que dans l’existence de forces liguées pour le mal de l’humanité.

L’ancien président Donald Trump a d’abord bénéficié, puis subi le fait d’être l’homme dit providentiel de la mouvance QAnon : les premiers patriotes conservateurs emmenant le mouvement ont progressivement été débordés par des messages de plus en plus radicaux, ce qui a offert aux opposants de Trump les munitions pour le qualifier, lui, d’agitateur et de danger pour la démocratie, et eux, d’extrémistes irrationnels.

Or, lorsqu’on observe l’évolution de QAnon, on est frappé de voir, sur le courant de 2020, émerger progressivement des rumeurs de plus en plus diverses et de moins en moins étayées, appuyées par un véritable matraquage sur Facebook. Les révélations factuelles de l’affaire Epstein et de l’implication du clan Clinton dans un trafic sexuel organisé ont ainsi progressivement été élargies, déformées, jusqu’à conduire à des accusations sans aucun élément tangible pour les soutenir. Dans le même temps, une version techno-ésotérique de l’idéal marxiste de lutte des classes s’est insinuée dans les réseaux QAnon, avec une identification du mal chez un « autre » représenté par la classe bourgeoise mondialiste des puissants.

L’observation de cette inquiétante inflexion trouve un éclairage particulier à la lecture du remarquable rapport « Les Opérations d’influence chinoise » de l’Institut de Recherche Stratégique de l’École Militaire. Celui-ci révèle que la Chine est l’acteur étatique « le plus impliqué dans l’amplification des récits QAnon sur Facebook ». Début 2021 par exemple, plus de la moitié des publications QAnon sur Facebook étaient ainsi originaires de Chine. Ceci éclaire brutalement l’évolution de QAnon, au point que le rapport reprend à son compte les conclusions de ses collègues du Soufan Center, pour qui, à travers QAnon, « l’objectif de la Chine est très probablement de semer la discorde et la division au sein de la population ».

[Voir aussi :
Les Opérations d’influence chinoises
Q-Anon a une ressemblance frappante avec la psy-op bolchevique des années 1920 connue sous le nom d’opération Trust
Note sur la lecture des événements]

Après le niveau élémentaire de l’infiltration, qui par la corruption et la propagande fait taire toutes les voix critiques, le « raffinement » de la stratégie guerrière du Parti communiste chinois se poursuit donc avec des niveaux secondaires et tertiaires : le régime chinois alimente avec son armée d’internautes des mythes urbains et diversions publiques qui ont le considérable avantage d’occuper les esprits. Cette stratégie permet aussi d’accumuler, petit à petit, tout le combustible pouvant permettre une flambée de guerres civiles dans les pays occidentaux. Démonstration sur le terrain : les partisans QAnon considèrent les progressistes et les électeurs de gauche comme des gens corrompus et dangereux contre qui il faut lutter ; ceux-ci considèrent les QAnon comme des extrémistes qu’il faut enfermer. Le mal est toujours chez l’autre. Pour le régime chinois, il n’est donc plus aujourd’hui nécessaire de soutenir un camp « ami » contre un autre : il est beaucoup plus efficace de pousser tous les camps à s’opposer l’un à l’autre de manière irréconciliable, jusqu’à l’autodestruction. Peu importe le sujet, qu’il s’agisse de lutte des femmes, de lutte des minorités sexuelles ou ethniques, de lutte des modestes contre les nantis : tant que la lutte des classes peut exister, elle peut être amplifiée, hystérisée par l’armée des trolls du Parti jusqu’à faire abandonner toute raison et mener à la censure outrée de toute idée différente.

Ceux et celles qui refusent d’être les marionnettes d’une « doxa », d’un « diktat », d’un « patriarcat » devraient donc aussi prendre garde à ne pas devenir eux-mêmes, involontairement, les idiots utiles de forces étrangères hostiles. C’est dans la capacité à voir que les opinions sont fragiles et ne définissent pas en profondeur qui nous sommes, que se trouve peut-être une partie du chemin vers plus de tolérance et de compréhension d’autrui… et vers l’identification des vrais ennemis.




Une vache folle dans chaque vaccin ?

[Source : ripostelaique.com]

Un train peut en cacher un autre, disait-on. Mais une mixture vaccinale peut aussi cacher une vache folle. Ou du moins des prions. En plus de tous les éléments nocifs qu’elle contient. Des prix Nobel le pensent et dénoncent les apprentis sorciers.

Tout est parti d’un délire de science fiction : le transhumanisme ou recherche de « l’homme augmenté ». Demain des supermen et des wonder women comme au cinéma. Avec le NZT-48, la pilule qui rend intelligent. Mais vu les effets secondaires désastreux, les cerveaux lents ne changez rien à vos habitudes !

Pour le moment on a le Modafinil qui booste les capacités intellectuelles avec le risque de vous transformer ultérieurement en légume. Néanmoins, les armées française et américaine l’utilisent pour maintenir la vigilance des soldats sans dormir pendant 3 jours. Mais les militaires veulent mieux que cette amphétamine…

Depuis 20 ans, on traficote dans les laboratoires secrets des grandes puissances toutes sortes de mixtures bizarroïdes à base d’ARN messager dont on attend des miracles. Les rats et les cochons qui y ont été soumis n’ont pas survécu.  Alors on a décidé de passer aux humains. Avec l’alibi du covid.

Les prions kézako ?

Dans les années 1980 le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine et de physiologie, avait entrepris une grande étude des prions.

Un prion est un agent pathogène constitué d’une protéine dont la conformation est anormale et qui, au contraire d’agents infectieux tels que les virus ne dispose pas d’acide nucléique (ADN ou ARN) comme support de l’information infectieuse.

Comme la nature a horreur du vide, le prion (acronyme de PROteinaceous INfectious particle ou particule protéique infectieuse) va se servir dans l’organisme hôte. Parmi les cellules saines ou les virus déjà en place. Provoquant des  dégénérescences du système nerveux central (cerveau et moelle épinière) liées à la propagation puis à la multiplication des prions chez l’hôte infecté.

On observe alors au niveau de l’encéphale la formation de « vacuoles » donnant un aspect spongieux au cerveau, d’où le nom de spongiforme, une mort des neurones et une déficience des glioses (cellules de soutien du système nerveux central) avec perte de contrôle des fonctions motrices et/ou intellectuelles.

Pour le grand public, c’est « la maladie de la vache folle ».

Une hypothèse inquiétante

Pour le moment, les spéculations intellectuelles s’appuient sur de troublantes observations. Des sommités scientifiques s’interrogent sur le rôle probable des brins d’ARN messager trafiqué dans la création de prions ou de néo-prions.

Étant donné l’évolution lente de ces dégradations, on ne dispose pas encore de suffisamment de cas d’étude dans la durée. Et quand on en aura, il sera trop tard.

On considère néanmoins que les grandes fatigues et les comportements débiles-agressifs des piqués et multipiqués ne seraient pas provoqués uniquement par une réponse aberrante et aléatoire de l’ADN à l’ARN messager, au niveau des neurotransmetteurs.

À ces dysfonctionnements peut s’additionner la dégénérescence provoquée par les prions. Mais alors, le fardeau est tellement lourd pour l’organisme que la paraplégie survient quand ce n’est pas la mort immédiate.

Et si on veut le bouquet complet, la protéine Spike ne se contente pas d’accroître la probabilité d’apparition de prions, elle y ajoute le taux anormalement élevé de micro-caillots sanguins qui affectent les tissus cérébraux, en plus de provoquer des myocardites et des AVC.

En clair, si vous étiez déjà un peu jobard avant de vous faire vacciner, vous serez complètement barjot après. Si toutefois vous survivez.

Prions et prétendus vaccins covidiens

Même s’ils disent à la télé que les risques présentés par les prions sont  exagérés par les complotistes, le 27 juillet 2021, sur ordre du  dictateur Macronescu, les laboratoires français ont interrompu leurs travaux sur les prions au nom du principe de précaution, car il y a eu des contaminations mortelles.

Approcher les prions est très dangereux si un contact cutané s’établit, ou s’ils prolifèrent en aérosol dans l’air que vous respirez.

Mais si on vous les inocule dans les veines, il n’y aurait aucun danger !

De la même manière cynique et assassine, après plus de 30 ans d’interdictions,  l’Eurocrature vient d’autoriser à nouveau les farines animales pour nourrir le bétail et les poissons. Et donc contaminer les humains qui mangeront de la vache carnivore sans se douter de rien.

Alors qu’on sait que les prions franchissent aisément la barrière des espèces, donc sont transmissibles à l’homme et font preuve d’une résistance  exceptionnelle à la chaleur, aux rayonnements ionisants ou aux traitements chimiques, ce qui rend très compliquée toute thérapie.

Selon Montagnier, la protéine spike des vaccins a ARNm été modifiée de telle manière qu’elle risque de se comporter comme un prion dit aussi néo-prion.

 En Angleterre le « journal of Medical & Clinical Research », dans un article du 25 juin 2021 annonce que les patients vaccinés avec Astra Zeneca sont 2,6 fois plus touchés par le Parkinson, qui est une maladie à prions.

On finira bien par s’interroger aussi sur les raisons de la recrudescence d’Alzheimer précoces et fulgurants chez des vaccinés de quelques mois, jeunes ou d’âge moyen pour la plupart, alors que dans « le monde d’avant » c’était une maladie de vieillesse.

Il y a pire : toute votre descendance peut être contaminée !

Le passage de fragments du code génétique du virus du covid dans le génome humain est relativement rare mais pas impossible, et s’accroît à chaque nouvelle injection par effet cumulatif. C’est carrément l’ADN qui est modifié, pouvant créer à terme une nouvelle espèce. Plus docile et plus stupide pour faire des moutons. Ou plus agressive et plus bornée pour produire des miliciens.

Les virus mélangent depuis toujours des fragments de leur code génétique au génome humain, avec transmission à la descendance. Ainsi une part du génome humain est constitué de résidus de virus.

Ces fragments sont appelés rétrovirus endogènes, et en règle générale, leurs effets ne sont pas forcément négatifs. Les uns sont inactifs. Les autres peuvent renforcer les protections naturelles ou faciliter les échanges biochimiques. Mais nos lointains ancêtres ont mis des centaines de milliers d’années pour s’y adapter. Et si quelques groupes y ont gagné, beaucoup n’y ont pas résisté.

On peut supposer que l’extinction de Neandertal, de Denisova ou de Florensiensis, qui furent contemporains des premiers Sapiens, et fusionnèrent en partie avec eux, fut une résultante de l’action des virus préhistoriques.

En toute hypothèse, ce genre de mutation génétique ne peut s’envisager sur quelques années, sauf chez les mabouls du transhumanisme.

L’avis d’une généticienne de classe internationale

Conspuée dans les médias du NWO, Alexandra Henrion Caude, neurobiologiste à la Harvard Medical School puis ex-directrice de recherche à l’INSERM, est une scientifique de haut niveau, spécialiste de l’ARN dont les travaux faisaient autorité jusqu’à sa mise à la retraite à 50 ans.

Sa formation, son expérience et la qualité reconnue de ses publications lui donnent une réelle crédibilité lorsqu’elle se prononce sur des sujets scientifiques très pointus et prend un recul suffisant pour évaluer de façon exhaustive une situation sanitaire.

Elle n’a aucun lien avec Big Pharma et ne brigue aucun mandat ou sinécure. Elle fait donc partie de ces rares scientifiques dont la parole est libre.

Ses pairs soumis et/ou vendus lui reprochent de s’interroger sur l’innocuité des vaccins ARNm. Or n’est-ce pas le rôle de tout scientifique digne de ce nom d’alerter s’il lui apparaît, sans son domaine d’expertise, que des pratiques mal maîtrisées peuvent s’avérer dommageables pour des patients qui ne se doutent de rien ?

« Administrer des vaccins ARN à des individus sains est une pure folie », a-t-elle déclaré. Risquant de faire perdre de gros profits à Big Pharma. La réponse fut immédiate : bannissement des médias, censure sur FB et YT, traitée d’« égérie des complotistes » avec toute la délectation perfide des journaleux vendus.

On lui reproche d’avoir évoqué une possibilité de transformation de l’ARN en ADN par l’action de la transcriptase inverse. On lui oppose que l’enzyme utilisée pour cette transcription n’existerait pas pour le coronavirus, en théorie. Mais elle n’est pas la seule scientifique à avoir observé que des mutations induites peuvent créer cette enzyme. En ajoutant que, si l’on a des raisons objectives, du fait des observations in vivo de ne pas douter du phénomène, on ignore pour le moment sa fréquence, sa répétition, l’étendue de son action et l’importance du rôle qu’il joue dans l’apparition de néo-prions dans un contexte multifactoriel. Mais les prions sont bien là. Avec les prétendus vaccins. Ce n’est pas le fait du hasard.

Conclusion empruntées à ces 2 savants :

1/ Les effets secondaires des mixtures ne sont pas uniquement les réactions locales normales que l’on trouve pour n’importe quel vaccin, mais des réactions imprévisibles mettant en jeu la vie du destinataire comme le montre le test D-Dimère pour les caillots, ou les chocs anaphylactiques observés, ou une réaction auto-immune allant jusqu’à l’aplasie cellulaire (destruction des cellules cérébrales)

2/ Le manque de protection vaccinale est désormais patent puisqu’il est reconnu, même par une gaufre comme Blachier, que les vaccinés et polyvaccinés ne sont pas à l’abri d’une contamination et peuvent contaminer leur entourage. Pire, les anticorps produits par les pseudo-vaccins, fragiles et éphémères, peuvent annihiler les anticorps naturels, plus efficaces et durables, privant le sujet de toute défense.

3/ La production d’anticorps induits par la « vaccination » dans une population exposée au virus conduit à la sélection de variants résistants à ces anticorps, plus virulents et plus transmissibles que l’original. C’est ce que nous voyons maintenant. Une course sans fin de virus-vaccin à vaccin-virus qui tournera toujours à l’avantage pour le virus.

4/ Contrairement aux affirmations des fabricants des vaccins à ARN messager, il existe un risque d’intégration de l’ARN viral dans le génome humain.

En effet, chacune de nos cellules a des rétrovirus endogènes ayant la capacité de faire la transcriptase inverse de l’ARN dans l’ADN. On ne peut exclure son passage par l’ADN des cellules germinales et leur transmission aux générations futures.

Il ne vous reste plus qu’à prendre un billet à la loterie de la vache folle !

Vous pourrez y gagner des prions qui vous ramollissent le cerveau de suite, ou d’autres  en « stand by » qui ne se réveilleront que dans plusieurs années. Ou même jamais chez vous. Mais causeront des dégâts irréparables chez vos enfants à venir.

Tout est mis en œuvre pour étouffer ces questionnements légitimes.

La propaganda staffel (pardon les journalistes) applique l’omerta imposée par la mafia macronesque et interdit d’antenne quiconque aborde le sujet des neurotransmetteurs et des prions.

Les commissaires politiques (pardon les fact checkers) ratissent le web pour discréditer Alexandra Henrion Caudé et ridiculiser le professeur Luc Montagnier.

Les réseaux sociaux ne sont pas en reste. Évoquer ces risques est contraire à leur « charte de bonne conduire ». Les hérétiques sont bannis car il ne peut y avoir qu’une seule vérité : celle des médicastres stipendiés par Big Pharma.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/




Pourquoi faire croire à une efficacité à 90 % des pseudovaccins ? Énorme fake à visée parlementaire ?

Par Gérard Delépine

Pourquoi faire croire à une efficacité à 90 % des pseudovaccins ?
Énorme fake à visée parlementaire ?
Epiphare(([1] « Créé fin 2018 par l’ANSM et la Cnam, EPI-PHARE réalise, pilote et coordonne des études de pharmaco-épidémiologie à partir des données complexes et massives du Système National des Données de Santé (SNDS), pour éclairer les pouvoirs publics dans leur prise de décision. » GIS EPI-PHARE )) et O. Véran

Nos gouvernants se plaignent du manque de confiance de la population dans leurs propos, accusent les réseaux sociaux et viennent de créer le ministère de la Vérité conseillé par Orwell (via la commission Bronner) pour tous les apprentis dictateurs. Mais pour mériter notre confiance, il faudrait qu’ils arrêtent de mentir et l’intervention récente de O. Véran, le ministre de la Santé, montre qu’ils n’en prennent pas le chemin.

Aujourd’hui la propagande pour les pseudos vaccins expérimentaux s’appuie sur une désinformation clamant sur tous les médias et même au Parlement : « les vaccins sont efficaces à 90 % contre les formes graves de Covid », « les personnes vaccinées ont 9 fois moins de risque d’être hospitalisées ou de décéder de la Covid-19 que les personnes non vaccinées » en s’appuyant sur un texte d’Epi-phare(([2] Une étude chez 15,4 millions de personnes âgées de 50 à 74 ans (7,7 millions vaccinées comparées à 7,7 millions non vaccinées) l’autre chez 7,2 millions de personnes âgées de 75 ans et plus (3,6 millions vaccinées comparées à 3,6 millions non vaccinées). Les deux cohortes ont été suivies jusqu’au 20 juillet 2021.)) aussi biaisée que le célèbre article du LancetGate affirmant que la chloroquine était très toxique.

Les études Epiphare, auto-validation truquée de la politique du ministère(([3] P Chaillot, V. Pavan, Xavier Azalbert. Epi-phare, une étude d’auto-validation du ministre de la Santé. France Soir 12/10/2021
https://www.francesoir.fr/societe-sante/epi-phare-une-etude-dauto-validation-du-ministre-de-la-sante))(([4] EPIPHARE/DES QUESTIONS A POSER SUR LA FAMEUSE ÉTUDE DE VÉRAN QUI JUSTIFIE VÉRAN
https://pgibertie.com/2021/10/11/epiphare-des-questions-a-poser-sur-la-fameuse-etude-de-veran-qui-justifie-veran/))(([5] https://nice-provence.info/2021/10/19/etude-epi-phare-autoratification-veran/))

Les auteurs de l’étude dont Mahmoud Zureik, directeur de la structure Epi-Phare dépendent des responsables de la campagne de vaccination (Assurance maladie et l’Agence du médicament).

La méthode des « études » Epiphare ne respecte pas les critères scientifiques.

Les données utilisées ne sont pas fiables. Les auteurs de l’étude n’ont ni suivi ni examiné aucun des sujets de l’étude, mais seulement compilé des déclarations du Système National des Données de Santé qui ne sont pas conçues pour ce type d’étude.

Il ne s’agit pas d’études prospectives, mais rétrospectives qui créent a posteriori des groupes vaccinés/non-vaccinés.

L’absence de tirage au sort (indispensable pour obtenir deux groupes comparables) aboutit à créer des groupes non comparables en attribuant (si besoin ?) les malades mauvais pronostic aux groupes non vaccinés. De fait, dans l’étude Epiphare, sur les plus de 75 ans, on remarque que les non-vaccinés sont beaucoup plus fréquemment en situation de grande pauvreté, obèses, diabétiques, fragiles, alcooliques, et/ou fumeurs tous facteurs de mauvais pronostiques démontrés. Les groupes comparés dans cette étude ne sont donc effectivement pas comparables !

Cette étude n’a pas été déclarée ni enregistrée sur le site clinical trials.gov avant inclusion des patients, ce qui devrait lui interdire d’être publiée dans les revues médicales les plus sérieuses. Ce n’est d’ailleurs manifestement pas son ambition.

Les non-vaccinés sont bien plus souvent testés que les vaccinés (du fait de l’absence de passe sanitaire qui les oblige à répéter les tests à chaque tentative de sortie). Ainsi, un non-vacciné a beaucoup plus de chance d’avoir un test positif (majoritairement faux, s’il n’a aucun signe clinique) qu’un vacciné qui n’est testé qu’en cas de maladie symptomatique déclarée.

Tester massivement les non-vaccinés qui ne sont pas malades va nécessairement entraîner des comptages de faux positifs qui les feront compter « asymptomatiques » augmentant ainsi faussement le risque de contamination apparente d’un non-vacciné.

De plus, dans une critique précédente sur les statistiques de la DREES, il a été démontré que les non-vaccinés sont beaucoup plus souvent inscrits à l’hôpital dans la case Covid-19 que les vaccinés, même en l’absence de test positif de confirmation. L’étude Epiphare se base sur 26 000 hospitalisés entre le 11 février 2021 et le 20 juillet 2021 pour cause de Covid. Au cours de cette même période, Geodes en signale huit fois plus pour les catégories concernées : 80 % des hospitalisations Covid ont disparu…

Ces pseudo études affirment des choses numériquement impossibles 

L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,2 

Ils auraient inventé un million d’habitants…

Dans l’étude des 50 à 74 ans, les auteurs prétendent avoir comparé 7,7 millions de vaccinés à 7,7 millions de non-vaccinés. Or l’Insee estime à 20 495 198 le nombre de personnes de 50 à 74 ans et le ministère affirme que 16 302 772 d’entre elles étaient vaccinées(([6] D’après le ministère en juillet 2021 date de fin de l’étude)) ne laissant que 4,192 millions non vaccinés dans cette tranche d’âge. Comment Mahmoud Zureik a-t-il pu en trouver 7,7 millions ?

Concernant l’étude des 75 ans et plus, les auteurs prétendent suivre une cohorte de 3,6 millions de vaccinés et une cohorte de 3,6 millions de non-vaccinés en France, représentant 7,2 millions de personnes. Ce qui est contraire aux chiffres de l’Insee qui estime la population de plus de 75 ans à 6,4 millions de personnes.

Il y aurait donc 1,1 million de Français comptés 2 fois. Ce double comptage illogique crée un biais majeur dans les durées de suivi des deux groupes.

Ces articles proclament seulement que les vaccinés ont 90 % moins de chance d’être déclarés malades de la Covid-19 ou déclarés décédés de la Covid-19. Rien ne démontre que les vaccinés sont réellement moins hospitalisés (80 % des hospitalisations de la période n’ont pas été prises en compte) ou moins décédés que les non-vaccinés, d’autant que les considérables erreurs relevées ci-dessus sèment le doute sur la crédibilité des études Epiphare.

PROPAGANDE GROSSIÈRE

Méthodologie peu scientifique, auteurs liés aux responsables de la vaccination, critères de comparaison non pertinents, ces études n’ont pas été revues par des pairs…. Il s’agit d’un simple argument de propagande de circonstances, sans aucune valeur scientifique, destiné à tromper les parlementaires avant un vote important et la population.

SI ON VOULAIT CONNAÎTRE LA RÉALITÉ

Si le ministère voulait comparer le devenir des vaccinés et des non vaccinés, il pourrait très facilement publier les chiffres bruts de mortalité globale de ces deux groupes depuis la vaccination.

La CPAM connaît l’intégralité du statut vaccinal de ses administrés(([7] Qu’elle transmet aux médecins traitants et aux directeurs des établissements scolaires en rompant ainsi le secret médical)) et la date de décès des vaccinés et non vaccinés. Pourquoi ne les publie-t-elle pas ?

Ses conclusions sont de plus incompatibles avec les résultats officiels des autres pays.

Les résultats officiels de Grande-Bretagne démentent les affirmations d’O. Véran

Les responsables sanitaires britanniques, beaucoup plus transparents que le ministère de la santé français, publient chaque mois leurs constatations détaillées selon le statut vaccinal.

Leur dernier rapport (Public Health England technical briefing 23 du 17/9/2021) précise que sur les 2532 morts du Covid (variant delta) recensés entre le 1er février et le 12 septembre 2021, 78 % étaient vaccinés (dont 1613 plus de 14 jours après la deuxième dose) et seulement 722 (28 %) étaient non vaccinés. Comme environ 70 % de la population britannique était vaccinée mi-septembre, ces chiffres démontrent qu’en Angleterre la vaccination n’est pas efficace à 90 % et ne diminue pas le risque de mourir du Covid. Alors comment le feraient-ils en France ?

Les résultats officiels d’Israël démentent aussi les dires d’O. Véran

Israël champion de l’injection Pfizer n’est pas protégé du Covid et chaque nouvelle vague compte davantage de contamination que les précédentes.

Cette augmentation des contaminations s’accompagne d’une augmentation de la mortalité, ainsi que le montre ce graphique de l’université Johns Hopkins commenté par nos soins en rouge.

Dans les neuf premiers de l’épidémie (sans injection Pfizer) Israël comptabilisait 3015 décès attribués au Covid. Depuis la vaccination, en 9 mois ce chiffre atteint 8050 (+160 %).

Cette mortalité atteint préférentiellement les vaccinés, ainsi que l’objective ce schéma exposant les données officielles du ministère israélien. Dans ce pays la vaccination constitue un facteur aggravant le risque de mort.

En Israël la vaccination ne diminue pas le risque de mourir du Covid ; on peut même craindre qu’elle ne l’aggrave.(([8] http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?t=270811))(([9] http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?t=270873))

Ceux qui prétendent(([10] eight among ten co authors got funds from Pfizer, as detailed in there disclosure PDF, hence, most of the authors are in a situation of conflicts of interests, especially Professor Ran Balicer, the research team’s leader.)) le contraire biaisent leurs résultats,(([11] https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/la-vaccination-en-israel-le-diable-est-dans-les-details)) en ne considérant la mortalité des vaccinés que 15 jours après la deuxième injection, ignorant ainsi la poussée de mortalité qui suit la première injection.

Mais pour recevoir la 2e (ou 3e) injection, il faut avoir reçu la première ; la mortalité des vaccinés doit donc être calculée dès la première injection.

Les mensonges passés du gouvernement ont entraîné des conséquences sanitaires lourdes pour les populations. Les mensonges sur la pseudo vaccination sont encore plus dangereux

Ceux qui ont plus de 50 ans se souviennent de la catastrophe de Tchernobyl et de la campagne intense de désinformation du gouvernement de l’époque. « les retombées radioactives de Tchernobyl, en France, ne représentent aucun danger sanitaire ».

Et la télévision, carte à l’appui, montrait que les « vents chassent le nuage toxique vers le nord ». Depuis les chirurgiens corses ont déclaré avoir observé 4 fois plus de cancers de la thyroïde en Corse que sur le continent.(([12] https://www.amessi.org/4-fois-plus-de-cancers-de-la-thyroide-en-Corse-que-sur-le-continent))

Même désinformation organisée pour le Chlordécone, insecticide utilisé massivement aux Antilles dans la culture des bananes jusqu’en 1993, alors qu’il avait été interdit dès 1976 aux USA car augmentant par 2,5 le risque d’apparition et de récidive du cancer de la prostate.

Et que dire de l’agence du médicament qui a prolongé l’autorisation de vente du Médiator alors que sa toxicité connue l’avait fait interdire dans de nombreux pays voisins plusieurs années auparavant ?

Les mensonges sur la prétendue efficacité(([13] Il est maintenant reconnu par tous qu’ils n’empêchent pas d’être malade ni de transmettre la maladie)) et supposée innocuité des pseudo vaccins antiCovid et le chantage du passe sanitaire pour extorquer un consentement contraint auront bien plus de conséquences sanitaires que les précédents, car ils exposent l’ensemble de la population à des risques précoces lourds et des risques inconnus à moyen et long terme, particulièrement graves chez l’enfant.

Véran prétendant que les vaccins nous diminueraient le risque de mourir nous refait le coup du nuage de Tchernobyl, du chlordécone, du médiator, des masques ! Il sera responsable des complications des vaccins que les Français subissent déjà et subiront dans les années à venir et d’une perte de confiance de la population en les vrais vaccins.





Dictature, démocratie et liberté d’expression

Par Alain Tortosa

[Illustration : dessin d’Hector]

Aucune censure en France ?!

Les autorités et les Gafa tentent de nous museler
pour notre « bien » et « protéger la démocratie ».

Une limite à l’expression d’opinions est-elle compatible avec la démocratie ?

J’imagine que ce débat est aussi vieux que la politique. Notons que dans le domaine de la dictature, certains ont plus le droit de cité que d’autres. Il n’existe pas un jour sans un documentaire sur Hitler et les nazis sur les chaînes spécialisées. En revanche, vous verrez très rarement des documents sur Staline et strictement jamais sur la dictature chinoise et Mao. Il faut dire qu’il serait bien étrange de parler de cette dictature chinoise alors même qu’elle est importée dans notre pays chaque jour un peu plus. Les médias français ne manquant pas d’éloges sur la gestion et le contrôle de l’épidémie par les autorités chinoises.

Je vais donc me rabattre sur Pinochet, un dictateur de droite qu’il nous est permis de détester.

Sous son règne, un opposant qui prenait la parole était censuré, emprisonné, potentiellement torturé puis exécuté. Nous occidentaux criions avec justesse devant l’horrible censure de la dictature (et la cruauté du régime). Quand un opposant exilé écrivait un pamphlet dans lequel il appelait à renverser le régime, celui-ci avait toutes les louanges des « bons » occidentaux démocrates que nous sommes et pouvait même être couronné d’un prix Nobel de la paix. Au point que nul n’était choqué par un appel au meurtre du dictateur ou tout du moins que l’auteur se réjouirait de le voir mort.

Transposez exactement le même discours par le même opposant dans notre grande « démocratie ». L’opinion publique, les médias et les politiques trouveront totalement légitime de censurer l’auteur d’un texte visant à renverser notre Président. Et imaginez s’il appelait au meurtre de celui-ci ou du fait de se réjouir s’il venait à mourir… Pensez-vous un seul instant qu’il pourrait échapper à la condamnation morale, au matraquage médiatique, au procès et à la prison ferme ?

Même texte, même auteur, mais lieu ou régime « différent »…

Faire taire cet opposant en pleine « dictature » serait donc de la censure et en ferait un prisonnier politique à nos yeux. En revanche le faire taire en « démocratie » serait de la légitime défense et viserait à protéger notre système et nos valeurs pour le « bien commun »…

Cela ne vous ébranle pas ? Cela ne vous ébranle pas qu’un réseau social puisse censurer un président des États-Unis en exercice, un président brésilien ou une députée de la République française pendant son mandat ? Cela ne vous ébranle pas que nos médias nationaux (et publics) s’acharnent sur eux et les traîne dans la boue alors même qu’ils sont démocratiquement élus ?

Alors qui décide si nous vivons en dictature ou en démocratie ?

Il suffit de l’écrire sur un papier à en-tête ? Rappelez-vous de la RDA, République Démocratique Allemande !

Connaissez-vous des dictatures joyeuses qui clament leur statut haut et fort ? Le fait est que seul le vainqueur décide du vocabulaire adéquat.

Durant la 2e guerre mondiale (et dans tous les pays dans lesquels il y a opposition politique et/ou guerre civile), celui qui provoquait des attentats sur son propre sol était qualifié de « résistant » ou de « terroriste » selon le camp de chacun :

  • Les alliés ont gagné la guerre, l’auteur des attentats est donc devenu un « résistant » que l’on adule et que l’on célèbre. « Résistant » qui appelait à la révolte, « résistant » qui appelait au meurtre et « résistant » qui a assassiné « héroïquement ».
  • Si les nazis avaient gagné, l’auteur des attentats serait resté un « terroriste » que l’on déteste pour ses propos et ses meurtres odieux.

Prenons l’exemple un peu plus récent des brigades rouges en Italie. Ces antifascistes ont décidé de poursuivre la guerre et en sont arrivés à détruire des biens puis enlever et exécuter des personnes de pouvoir ou leurs proches. Ils ont terrorisé l’Italie pendant des années et fait couler du sang. Ils n’ont pas gagné, ils n’ont pas fait tomber le pouvoir en place et sont donc automatiquement décrits comme des « terroristes » qui ont provoqué des « attentats sanguinaires » et des « assassinats ».

Si ils avaient gagné, ils seraient fêtés comme des « héros de la révolution » pour leurs actes de « résistance » et « d’héroïsme ». Et ne croyez pas que si nous étions venus au monde juste après leur victoire nous aurions pensé qu’ils étaient des « criminels sanguinaires ». Nous les penserions « héros » comme tout le monde.

Ceci prouve à quel point notre vision est sous le prisme d’une idéologie et d’un formatage.

La censure n’existe que dans les dictatures tandis que dans les démocraties il n’y a que la protection de l’idéal démocratique et des personnes.

Nous sommes face à un dogme.

La censure ne peut donc PAS exister en démocratie, car si elle existait ce ne serait plus une démocratie.

Et comme il a été décidé que nous vivions en démocratie, il ne peut y avoir de censure. CQFD.

La « censure » ou la « protection de la démocratie » que nous subissons ou que nous vivons aujourd’hui est ainsi exactement du même ordre que durant la Deuxième Guerre mondiale ou les brigades rouges.

Revenons à notre présent…

S’il ne s’opère pas de changement majeur dans la gouvernance de notre pays et la gouvernance mondiale alors les personnes qui sont actuellement privées de liberté de parole demeureront des « complotistes », des « personnes d’extrême droite » ou des « antisémites » tels que décrits exclusivement et abondamment par les médias classiques.

Et tout naturellement si une nouvelle gouvernance et un nouveau modèle voyaient le jour alors les personnes qui sont actuellement privées de liberté de paroles deviendront des « résistants » et des « garants des droits de l’homme et des libertés » avec l’approbation des médias qui auront alors retourné leur veste sans le moindre éclair de conscience.

Toujours la même rengaine, même discours, mêmes actes, mais vocabulaire qui est défini par le vainqueur.

D’aucuns penseraient que la démocratie est l’expression du « bien » et du « sens moral »… Nous vivons en « démocratie » et nous sommes donc les « gentils ».

Avez-vous la naïveté de croire que la majorité du peuple allemand se sentait du côté des forces du mal et qu’il avait le sentiment de vivre en dictature durant la 2e guerre mondiale ? Avez-vous cette même naïveté concernant le peuple sous Staline ? Rappelez-vous la chanson de Sting « The Russians Love Their Children Too ».

Seuls les habitants des USA ou de l’Europe se pensaient être les « gentils » ? »

Demandez aux Français qui se confinent, portent des masques, s’injectent trois doses de médicaments expérimentaux, doivent présenter un passe-sanitaire pour aller au restaurant et voient d’autres Français interdits de voyages ou de sport, s’ils se sentent vivre en dictature ?

Pour autant, tout « démocrate » que nous sommes, tout adhérent à la doctrine des élections libres à scrutin majoritaire que nous sommes, nous demeurons viscéralement opposés à une démocratie qui autoriserait VRAIMENT le peuple à décider de la politique de son pays, et ce, quelle qu’elle soit.

Nous avons la naïveté ou l’aveuglement de croire que nos lois sont l’expression de la majorité alors même que nous dénions à la majorité le droit de décider librement des orientations du pays.

Vous voulez quelques exemples ?

  • Demain 70 % des Français décident que l’état islamique doit s’appliquer en France.
  • Demain 70 % des Français décident que toutes les personnes d’une certaine ethnie doivent être déportées et placées dans des camps pour « leur sécurité ». (Notons que cette annonce ferait scandale sauf si cette « ethnie » représentait les non-vaccinés comme cela est désormais proposé dans plusieurs pays.)

Vous êtes d’accord, vous acceptez la décision démocratique issue de cette majorité de français ? Au nom de quel principe aurions-nous le droit de refuser cette décision librement issue des urnes ? Ce ne serait « que » l’expression de la démocratie ! Ici encore, vous pourriez vous réfugier derrière la légendaire « moralité de la démocratie ».

Iriez-vous jusqu’à dire que tous les crimes odieux ou discriminations perpétrés dans le monde par des gouvernements n’étaient pas légaux ? Il y a toujours eu des lois pour autoriser des discriminations et même des meurtres ou des génocides. Je vous rappelle que l’assemblée a librement donné les pleins pouvoirs à P. Pétain en 1940 et qu’elle a donné les pleins pouvoirs à E. Macron en 2020.

Vous voyez, on veut bien d’une liberté, mais « encadrée ». Dès que l’on commence à parler de liberté d’expression… celui qui veut la limiter « pour notre bien » s’empresse de dire que ne pas mettre de limites reviendrait à avaliser l’anarchie et l’appel au meurtre. Trop facile comme pirouette !

Je vous rappelle que toutes les mesures de diminution de nos libertés sont systématiquement mises en œuvre pour le « bien commun ». Limitations de vitesse, contrôle technique, ceintures de sécurité, interdictions de fumer, vaccins obligatoires, normes en tout genre, passeports pour les déplacements, interdiction de véhicules anciens, etc. La prétendue sécurité grignote chaque jour un peu plus nos libertés depuis des dizaines d’années. Regardez les panneaux d’interdictions à l’entrée d’une plage ou d’un parc !

La crise Covid en est une apothéose avec les interdictions de déplacements, de loisirs, d’obligation d’une muselière, de passeport avec vaccination obligatoire pour aller au restaurant, et bientôt sans doute, un abonnement à vie à une injection expérimentale et dangereuse tous les 6 mois ! Le pire est que cette dictature Covid est d’une douceur extrême au regard de la dictature dite « écologique » en préparation qui va battre tous les records de suppression des droits de l’homme ad vitam æternam pour « sauver la planète » !

« Condamner l’humain pour sauver l’humanité ! » Tel pourrait être le slogan de Skynet dans Terminator.

Mais revenons à la liberté d’expression, le « démocrate » utilise des exemples extrêmes pour justifier la censure. En novlangue chère à Georges Orwell, « l’interdit c’est la liberté ».

Dans ce délire sécuritaire fantasmagorique, si une liberté sans limites n’est pas soutenable alors la limite devient légitime et souhaitable.

Bien entendu dès lors qu’il y a une limite, c’est la porte ouverte à l’arbitraire. Qui va décider du bon curseur ? Selon que vous êtes considéré comme « résistant » ou « complotiste » vous voyez bien que le réglage est totalement différent.

Mais suis-je bête ! Je n’ai toujours rien compris ! Dès lors que la limite est instaurée par un État démocratique, aucune limite ne peut être arbitraire ! Encore une fois, voyez comment nos libertés ne sont qu’un lointain souvenir dans le cadre de la dictature pseudo-sanitaire que nous subissons sans broncher.

Et une majorité de Français se révolte ou en redemande ?

Question pour un champion :

« Je ne veux pas mourir du méchant virus. Je suis un vieil obèse avec du diabète. »
« Je me suis éclaté pendant les années 60. »
« Ma maison a été payée par l’inflation. »
« J’ai une retraite indécente que la moitié des Français ne pourra pas toucher même durant sa période active… »
« Je ne veux pas mourir du méchant virus. »
« Je veux continuer à faire des croisières sur des paquebots géants au personnel réduit en esclavage, tandis que vous serez obligé d’aller au boulot en vélo ou dans un RER bondé ! »
« Je pense qu’il faut généraliser le pass sanitaire, rendre la vaccination obligatoire, masquer mes petits-enfants, enfermer les non-vaccinés dans des camps et piquer tous les nourrissons dès leur naissance tous les 6 mois ! »

Qui suis-je ?

« Je suis, je suis… »
« … Un enculé d’Occidental ! »

Mais bon, ce n’est pas parce que de nombreuses personnes sont absolument opposées à la liberté d’expression et à la liberté tout court que cela doit m’empêcher de poursuivre ma réflexion.

Une liberté totale d’opinion et d’expression est-elle viable sans tomber dans le chaos et la barbarie ?

Prenons un exemple extrême… Une démocratie peut-elle autoriser un individu ou un groupe d’individus à exprimer son désir de voir disparaître un autre individu ou un autre groupe d’individus ? Pour le législateur ou pour des millions de Français, cette question n’a pas de sens, mais poursuivons.

En premier lieu, il ne faut pas confondre l’interdiction de l’expression avec l’interdiction de la pensée. Vous pourrez empêcher (plus ou moins) une personne de s’exprimer publiquement, beaucoup moins en privé, mais vous ne pourrez pas l’empêcher de penser. Quel serait le but d’interdire l’expression d’une pensée ?

Sommes-nous plus protégés si nous ignorons que X ou Y veut tuer Z ?

Aux USA, le parti nazi a le droit d’exister, de s’exprimer et de défiler… Personnellement je pense que je me sentirais plus en sécurité si je pouvais comptabiliser mes ennemis. Ça m’intéresse de savoir s’ils sont 10 ou 10 millions ! Et comment le savoir s’ils doivent cacher leur pensée ?

En France, celui qui pense et dit qu’il faudrait exterminer X ou Y peut et même « doit » être condamné selon les lois en vigueur. Celui qui pense et dit que X ou Y est inférieur peut et « doit » aussi être condamné Et celui qui pense et dit qu’il n’y a pas eu de crime contre X ou Y par le passé peut et « doit » être condamné.

Toutes ces censures protègent-elles une victime potentielle d’une éventuelle agression ou d’un crime ?

Prenons l’exemple récent du pauvre Samuel Paty. Je ne me suis pas vraiment penché sur l’affaire, mais voilà ce que j’en ai retenu.

La légende voudrait que le malade mental en « mission divine » ait décapité cet homme grâce à la « complicité » ou tout du moins le « laisser faire » des réseaux sociaux. Nous avons donc « machin le taré » qui se balade sur Facebook, voit qu’un prof a « blasphémé » et va donc aiguiser sa hache pour lui couper la tète. Et toutes les bonnes âmes de penser que s’il n’avait pas disposé de l’information, il n’y aurait pas eu de victime. Permettez-moi d’en douter, car je peux supposer que son désir de couper des têtes avait débuté avant d’avoir accès à cette information sur Samuel Paty. Il n’est pas totalement illogique de supputer que son crime était en gestation et que s’il n’avait pas assassiné Paul, il eut été probable qu’il eut assassiné Jacques.

On peut donc se poser la question suivante :

« Qui a mis dans la tète de ce taré qu’il était juste de couper des têtes et que cela permettait d’aller au paradis ? »

Et là je marque un premier point… Tout simplement parce qu’il sera plus facile de repérer et suivre l’individu s’il a toute liberté de publier sur les réseaux sociaux son désir de couper des têtes que s’il garde l’information en lui ou dans son carnet planqué sous son matelas.

Vient alors le dernier argument « massue » de la « contagiosité de la folie ». Parce que notre taré a bien été influencé par d’autres tarés pour avoir cette idée de taré dans la tête. Et d’imaginer que si le taré qui lui a mis dans la tète n’avait pas pu lui communiquer l’idée tarée, notre exécuteur n’aurait pas été contaminé et ne serait pas passé à l’acte.

La « censure » ou « protection de la nation » viserait donc à empêcher le « taré penseur » de pouvoir répandre son fiel. (je n’aborderai pas le fait que le « taré penseur » est lui-même nourri par le « taré penseur précédent », etc.)

Nous arrivons là sur le seul argument qui pourrait tenir un peu la route pour justifier de la censure : « La contamination ! »

Empêcher un meurtrier d’annoncer son meurtre avant de le commettre me paraît complètement idiot. Si un gars écrit que demain il va buter Marcel, c’est plutôt une bonne chose qu’il l’annonce et que les forces de l’ordre enquêtent ou aillent l’interroger pour savoir si le gars fait « œuvre littéraire » ou qu’il a déjà la mitraillette chez lui. Bref un argument de plus en faveur de la liberté d’expression.

C’est donc principalement au nom de la « contamination » que tous les résistants à la dictature sanitaire sont entravés dans leur expression.

Questions :

  • Les crimes de masse existent-ils uniquement depuis l’avènement des réseaux sociaux ?
  • Les crimes de masse existent-ils uniquement depuis l’avènement de la télévision ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement du téléphone ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement de la radio ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement de l’imprimerie ?

Et bien non… Peut-être n’existaient-ils pas avant l’invention du langage, et encore, je n’en suis pas sûr.

Je poserai donc la question suivante pas moins inintéressante :

« Ces outils de communication toujours plus “efficaces” ont-ils été de nature à pouvoir prévenir ces crimes ? »
La réponse est tout aussi négative.

Donc si ces outils de communication ne sont pas de nature à pouvoir prévenir des crimes de masse, comment pourraient-ils être de nature à pouvoir les encourager ou les autoriser ?

La censure, la bonne arme pour prévenir et combattre les idées nauséabondes ?

A-t-on évalué l’efficacité des lois qui « encadrent » (limitent) la liberté d’expression afin de lutter contre le racisme, l’antisémitisme ou tous les « ismes » que vous voulez ? Ces lois qui ont juridicisé la prise de parole ont-elles été de nature à faire reculer ces idées (nauséabondes) dans l’opinion publique ? Peut-on dire que la France d’aujourd’hui (censurée) est moins raciste qu’il y a 30 ans grâce à ces lois ?

Alors le racisme a-t-il reculé grâce à ces lois ou l’iceberg est-il plus immergé ?

Je pense que l’on doit combattre les idées par les idées et non par la censure. Pour cela on doit pouvoir s’exprimer sur tout et débattre de tout.

Si nos valeurs humanistes sont les « bonnes », pourquoi devrions-nous penser qu’il nous est impossible de gagner le combat ? Si notre discours est vérité historique, pourquoi devrions-nous craindre le débat ? Pourquoi ne pourrions-nous pas éduquer, former, expliquer, pour convaincre que l’autre en face à tort ou que ce qu’il pense est mal.

À moins de penser que l’homme est foncièrement mauvais, je ne vois pas pourquoi il faudrait lui interdire d’exprimer ses pensées, ce qui au demeurant relève de l’utopie.

La censure n’est probablement pas de nature à tuer l’idée, mais au contraire un terreau fertile !

L’adhésion sera toujours plus efficace et durable que la contrainte qui ne fait que renforcer son opposition et fait grandir les rangs des « anti ».

Être en permanence, dans des propos victimaires, prêt à dégainer l’arme juridique est sans doute le meilleur moyen d’entretenir un fond de commerce d’un statut de victime.

Expression sans limites ? Probablement, car c’est cela la démocratie ET la méthode présente probablement le meilleur « rendement » en termes de paix sociale et de sécurité.

  • Au risque qu’un individu énonce qu’il serait justice que je sois mort ? Oui je préférerais en avoir connaissance avant qu’il ne passe à l’acte si telle était son intention.
  • Au risque qu’un groupe d’individus exprime qu’il serait juste que les blancs mâles hétérosexuels dont je fais partie n’existent plus ? Oui je préfère en avoir connaissance et combattre leurs idées.

Qui n’a jamais souhaité la mort de tel ou tel en se disant que le monde serait plus beau ou que si par le passé tel ou tel avait été éliminé alors cela aurait évité des massacres ?

Si ce groupe demeure au stade de la pensée « ce serait mieux si », alors il est libre de le dire. Si ce groupe bascule dans l’organisation et la mise en œuvre de l’idée, alors il est du ressort de la justice et condamnable. Aux forces de l’ordre de faire leur travail et d’enquêter sur les individus dangereux plutôt que de traquer des enfants sans pass sanitaire !

Le mot juste a son importance capitale…

Reprenons les exemples suivants avec monsieur X :

Il ne peut y avoir de limite à l’expression d’une idée :

« Je pense que le monde serait plus beau si M. X n’existait pas » est l’expression d’une idée que je ne partage peut-être pas, mais qui peut s’entendre et se contre-argumenter.

Et même que :

« Je pense que le monde serait plus beau si M. X était mort » est toujours l’expression d’une idée sur laquelle je n’ai pas vraiment évolué depuis la ligne précédente.

En revanche :

« Je pense qu’il faudrait tuer M. X ou tous ses frères » ne relève plus de la liberté d’expression, mais d’une volonté affichée de nuire. Nous sortons du domaine de la liberté d’expression, du domaine de la pensée, du domaine de l’opinion, pour passer dans le domaine du projet qui vise à nuire.

Expression de la pensée versus mise en œuvre de la pensée.

Une justice indépendante avec à sa tète un collège de magistrats élus par le peuple et représentant les principaux courants politiques et de pensée, serait garante de la liberté d’expression. Le juge élu, contrôlé et sanctionné par ses pairs en cas de manquement, serait là pour statuer si le propos de tel ou tel relève de l’opinion, de la liberté d’expression ou s’il préconise une mise en œuvre, une action visant à nuire à autrui.

Alors suis-je pour la démocratie ?
Encore faudrait-il la définir…

Chaque individu est pour la « démocratie », au sens de l’expression de la majorité, uniquement lorsqu’il peut adhérer à cette expression. Je ne peux adhérer à l’actuelle « démocratie » française faite de privations de liberté de mouvement, de travailler, etc. Je ne peux adhérer à cette « démocratie » qui prône l’obligation d’injections qu’elles soient expérimentales ou pas, efficaces ou pas, inoffensives ou pas. Je ne peux adhérer à cette « démocratie » qui valide le crédit social, met en œuvre un passe-sanitaire, la discrimination et entérine une forme d’apartheid.

Je confirme ainsi être contre toute forme de censure et que la liberté d’expression est sans limites.

  • Je reconnais le droit à un professeur de médecine médiatique de penser que l’injection d’enfants avec le risque d’en voir mourir, pour sauver officiellement des vieux grabataire, serait une bonne chose. Je lui reconnais le droit d’avoir cette pensée, de l’exprimer, mais pas de me l’imposer.
  • Je me reconnais le droit de combattre sa pensée et que ma parole ne soit pas censurée.

En revanche :

  • Promouvoir l’injection chez des enfants alors même qu’il aurait connaissance des risques de décès et de l’inefficacité de la mesure ne relève plus de la liberté d’expression, mais d’une volonté de nuire, ce qui pourrait être interdit de publication, mais aussi relever du pénal.

On ne peut pas condamner une personne pour l’expression de ses pensées, mais uniquement sur ses actes répréhensibles commis ou pour lesquels il n’y a aucun doute sur le fait qu’il allait passer à l’acte, l’organiser avec des complices ou entraîner autrui à passer à l’acte…

J’ai bien conscience que ma vision de la liberté d’expression est actuellement totalement illégale en France et que toute personne qui en userait pourrait être poursuivie et condamnée.

Raison pour laquelle je pense (et il y en a d’autres) que nous vivons dans une dictature que l’on nomme « démocratie ».

Et le fait que je puisse écrire ces mots sans être a priori inquiété ne prouve en rien que nous sommes en démocratie, mais prouve uniquement que la dictature me pense inoffensif ou « utile ».

Je me retrouve malgré moi dans le rôle involontaire d’une opposition contrôlée, un alibi qui montrerait à ceux qui doutent :

« Il a le droit de s’exprimer, c’est bien la preuve que nous ne vivons pas en dictature ».

Le corollaire serait la censure ou la condamnation politique comme « ennemi du peuple » qui permettrait à la dictature de se protéger tout en présentant l’inconvénient de la faire apparaître au grand jour.

Est-il dans ces conditions « logique » que des « complotistes » soient interdits de réseaux sociaux, que leurs discours soient supprimés, voire même qu’ils soient condamnés dans notre belle « démocratie » ?

Bien évidemment, car leurs propos s’opposent à la politique sanitaire, la seule, l’unique qu’il soit possible de mettre en œuvre selon le Ministère de la Vérité. Par leurs propos ou leurs actes, ils « menacent » la politique gouvernementale et sont de fait un danger pour cette « démocratie ».

Pourquoi en est-il encore ainsi aujourd’hui ?
Parce qu’à ce jour tous les résistants sont encore les perdants.

Nous demeurerons donc des « complotistes » jusqu’à que nous fassions tomber la dictature et que l’on soit alors considérés comme des résistants. Mais pour cela, il faut faire tomber de nombreux murs du mensonge qui demeurent debout même si ils sont de plus en plus lézardés par des vérités de plus en plus difficiles à dissimuler.

Vive la liberté d’expression sans limites.

Merci

Alain Tortosa.

26 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211026-liberte-expression-censure-democratie.pdf

[Voir aussi : Effets de la censure]




De nombreux députés et des millions de citoyens refusent la prolongation du pass liberticide, sans aucune justification sanitaire

Par Nicole Delépine

Loi de vigilance sanitaire, en direct de l’Assemblée nationale. Quelques extraits

Le gouvernement exige une nouvelle fois les pleins pouvoirs pour bloquer nos libertés et ce enjambant les élections. Il appelle cela une boite à outils ! Mais comme répond un député, cette boite à outils devrait être dans les mains du parlement et non de l’exécutif d’autant que l’épidémie en France a disparu et que personne ne le nie plus, même pas le pouvoir.

Les citoyens devant l’assemblée :

https://twitter.com/KARIMAMARKHODJ1/status/1450486392778276866

Des députés au parlement exigent des limites

Aurélien Pradié LR : la société du pass sanitaire n’est pas la société que vous voulez. NOUS DEVONS NOUS INQUIÉTER AUTANT DE LA SANTE DE LA DEMOCRATIE QUE DE CELLE DE NOS CONCITOYENS

le député José Evrard proteste contre cette politique d’atteinte aux libertés et rappelle la protestation importante dans le même temps devant l’Assemblée nationale que les médias ignorent !

https://twitter.com/Joseevrard62/status/1450503878147969024

« Vous massacrez les Français ! »

Prolongation de l’état d’urgence sanitaire, grosses tensions. le 1er article est adopté

par le député Ratenon : dénonciation de la violence
du gouvernement et rappel du gazage des soignants en Martinique.

également en commission

« Nous les pas plus, nous les pas moins ». Il est très choqué, car le ministre de la Santé est parti sans même lui répondre. Indifférence aux gueux, indifférence aux députés, des gueux comme les autres, probablement.

Lors de la commission des lois, le député JH Ratenon (LFI La Réunion) a interpellé O. Veran sur le pass sanitaire et les revirements du gouvernement.

O. Véran est parti sans avoir pris la peine de lui répondre.

« Le ministre de la Santé vient de faire la démonstration d’un total mépris des députés d’outre-mer, il refuse de répondre à nos questions, nos remarques, peut-être est-il en flagrant délit de mensonges ou tout simplement est-ce un réflexe colonial, et je dénonce cela avec la plus grande fermeté.

Aujourd’hui nous pouvons nous exprimer pour défendre l’intérêt de nos citoyens, des citoyens qui souffrent énormément de la politique de ce gouvernement et notamment du comportement sectaire de ce ministre de la Santé.

Je voudrais dire que ce comportement n’a pas sa place dans la République Française. »

Le député Ratenon

Via :

Le député François Ruffin se révolte contre cette nouvelle loi :

Et l’irrespect permanent pour nos représentants après la fête sans masque ni distanciation à l’Élysée il y a quelques jours, pourquoi nos députés devraient porter cette muselière tellement symbolique de leur interdiction de parler, d’exister.

Ainsi cette fois, des élus de droite comme de gauche dénoncent la perte de nos libertés

Enfin ils critiquent le projet de maintien du régime transitoire de sortie de l’État d’urgence sanitaire. Ils évoquent un « chèque en blanc », dans un « état d’exception » qui devient « la norme ».

« C’est le passe sanitaire à vie », a critiqué la candidate du RN à la présidentielle Marine Le Pen,

La communiste Karine Lebon a dénoncé un « déni de démocratie » et l’insoumise Mathilde Panot des décisions prises au gré « des ordres et des contre-ordres de Jupiter ».

le LR Philippe Gosselin a défendu en vain une motion de rejet contre cette « banalisation de l’état d’urgence ».

la député Emmanuel Ménard confirme : Des mesures d’exception sanitaire jusqu’à cet été ? Non, ça suffit !

https://www.facebook.com/watch/?v=4772197916138416

Mais trop d’absents, même si certains se battent avec conviction. Comparez à quelques minutes près :

Le SECRET MÉDICAL ÉCRASÉ

À l’occasion de cette extorsion de prolongation de l’état d’urgence, le ministre piétine encore plus le Secret médical : Olivier Véran veut autoriser les directeurs d’établissements à savoir si votre enfant est vacciné. Les maires n’ont pas connaissance des fichés S, mais on saura si les enfants seront ou pas vaccinés.(([1] Marcel D.@DubreuilhMarcel))

Les maires n’ont pas connaissance des fichés S, mais on saura si les enfants seront ou pas vaccinés. De quoi laisser rêveur Kim Jong-un. Mais peut-on envisager un amendement qui dévoile le statut vaccinal des sénateurs, députés et membres du gouvernement… ou bien tout ce beau monde restera-t-il exempté ?(([2] Secret médical : Olivier Véran veut autoriser les directeurs d’établissements à savoir si votre enfant est vacciné (lemediaen442.fr) ))

Si certains se battent pour nos libertés, d’autres en rajoutent, voire se ridiculisent comme la députée MODEM Sophie Mette, qui a osé déclarer :

« Pourtant, en dépit des critiques souvent stériles et excessives, jamais nous n’avons dévié de cette ligne — exigeante — qui porte pleinement ses fruits : la campagne de vaccination et le passe sanitaire sont une réussite. On compte 5 000 nouvelles contaminations par jour, en baisse régulière, et la décrue des hospitalisations, ainsi que des décès, est considérable. »

Ou comment confondre la confiance dans le vaccin et l’obligation d’être vacciné pour garder son emploi. Les 300 000 soignants qui ont refusé l’injection dangereuse (devant les nombreux accidents rencontrés depuis janvier) sont bannis de l’hôpital qui ne peut plus fonctionner, bannis de leurs amis qui ne comprennent pas, devant la publicité honteuse des médias. Combien de dépressions et de suicides, de soignants, de pompiers ?

Le député de Paris Pierre-Yves Bournazel en a rajouté une couche et commis cette phrase historique :

« Quelle est la raison d’être du passe sanitaire ? Il ne vise pas à restreindre nos libertés. Au contraire, c’est le seul moyen de retrouver notre liberté de déplacement en toute sécurité et de préparer sereinement l’avenir. »

Montrer ses papiers pour prendre un café ou assister à un concert, ça s’appelle retrouver sa liberté de déplacement ! La paix c’est la guerre, on commence à connaître Orwell par cœur !

LREM se défend curieusement alors que l’épidémie est terminée et de nombreux autres périls même sanitaires guettent les Français comme la dépression (voir le taux d’antidépresseurs prescrits) ou la tuberculose renaissante.
Le ministre a justifié cette proposition de loi par la nécessité de « rester vigilants, acteurs, actifs pour ne pas laisser la moindre prise au virus ».

Le gouvernement a insisté sur l’importance de la troisième dose du vaccin, « fondamentale » pour les plus fragiles, plus de 65 ans et personnes malades. « À terme, 22 millions de nos concitoyens sont appelés à recevoir ce rappel », a-t-il précisé. Donc un pseudovaccin qui ne protège pas, mais qu’il faut éternellement renouveler… Cela ne vous pose-t-il pas de question ?

Rappelons qu’il y a moins de vingt morts par jour de covid contre plus de cinq cents décès de cancer. Il laisse bien la moindre prise au crabe, mais aussi aux suicides qui se multiplient. Ensuite le ministre s’est échappé. Pourquoi répondre aux députés qui finalement sont traités honteusement comme des riens comme tous les autres français.

La validité du passe pour les plus de 65 ans et les plus fragiles pourrait aussi être soumise à l’injection d’une troisième dose de vaccin. « C’est une possibilité », a confirmé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.

La prorogation du passe sanitaire est discutée dans une précipitation inouïe — POURQUOI UNE PROCÉDURE D’URGENCE ? — à l’Assemblée nationale

On notera les propos hallucinés du rapporteur Jean-Pierre Pont… et l’amendement courageux porté par le macroniste parisien Pacôme Rupin.(([3] Passe sanitaire : quand les députés macroniens mangent des champignons hallucinogènes – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il faut absolument lire l’extravagant rapport sur le passe sanitaire rendu par le député LREM du Pas-de-Calais Jean-Pierre Pont, rapporteur de la loi scélérate qui proroge le passe sanitaire sans raison… sanitaire ! Ce texte digne de la propagande stalinienne à ses meilleures heures (..)

On récapitule : passe sanitaire grande réussite, qui a permis d’endiguer la quatrième vague, et de rendre aux Français la liberté que le virus leur avait volée.

Pas un mot sur la société de surveillance, pas un mot sur le crédit social, pas un mot des manifestations qui se déroulent chaque samedi en France, pas un mot sur les milliers de suspensions prononcées dans les hôpitaux.

Mais il est vrai que si l’on oublie ce point de détail, où 30 % des soignants n’ont accepté le vaccin que sous la menace de perdre leur emploi, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

LE PROJET DE LOI CONTINUE À ÊTRE DISCUTÉ CE JOUR ET DEMAIN AU PARLEMENT

Joignons nos députés dont certains répondent rapidement. Écrivez-leur votre propre missive ou envoyez-leur une lettre ouverte

Participez à leur information. Comme beaucoup de nos familles, ils ont été désinformés par le gouvernement, les médias et ont reçu très peu d’éléments de réflexion véritables. Certains comme le ministre qui répond aux députés craignent encore ce virus mythique, quand ils feraient mieux de craindre le cancer ou des effets secondaires de l’injection génique.


Notes




France — Contre la prorogation du passe sanitaire et de l’état d’urgence : lettre ouverte d’universitaires aux députés

[Source : enseignementrecherchelibertes.fr]

Lettre ouverte aux députés contre la prorogation du passe sanitaire et de l’état d’urgence

Syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! »

https://enseignementrecherchelibertes.fr/

enseignementrecherchelibertes@protonmail.com


Objet : Lettre ouverte aux députées et aux députés de la République Française

Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

Le syndicat d’enseignants, de chercheurs et de personnels d’éducation « Enseignement, Recherche et Libertés ! » a examiné le Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire, présenté par M. Jean Castex, Premier ministre, enregistré le 13 octobre et qui doit être discuté prochainement par l’Assemblée Nationale. En ce qui suit, notre syndicat propose une analyse des implications de l’« Exposé des motifs » censé justifier ce projet de loi. Nous comptons ainsi enrichir le débat autour de ce projet qui devrait s’ouvrir publiquement le 19 octobre 2021. Un tel sujet, qui affecte l’ensemble de la communauté nationale ne saurait se dérouler dans un cercle étroit : en citoyennes et citoyens, nous entendons faire valoir notre opinion et notre expertise dans ce domaine. Étant donné que nous avons traité plus en détail la dimension médicale et sanitaire de la crise épidémique que nous traversons dans la lettre ouverte adressée au Sénat le 7 octobre 2021, nous la mettons ici en annexe afin de nous concentrer à présent surtout sur les implications juridiques et politiques du présent Projet de loi.

1. Un passe socio-économique sans aucune pertinence sanitaire  

Le premier ministre M. Jean Castex, à peine quelques mois après la mise en place du système du passe, dit « sanitaire », se présente devant les élus de la Nation pour demander – ou plutôt exiger – la prolongation de l’état d’urgence et la poursuite de l’implémentation de ce système. Revenir sur ces questions en « procédure accélérée » n’est pas sans évoquer une sensation de déjà vu des scènes déroulées en juillet 2021. Après le débat orageux à l’Assemblée et au Sénat, le ministre de la Santé, M. Olivier Véran n’avait pas hésité à déclarer alors que : «À l’heure où certains taxent le gouvernement de faire preuve d’autoritarisme, parlent de dérive autocratique voire pourquoi pas de dictature, la meilleure réponse que vous pouvez apporter, c’est celle (…) qui consiste à avoir recueilli la majorité tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat». Il n’a pas hésité à se féliciter de « l’union nationale retrouvée ». Maniant ainsi à son habitude la désinformation, il oubliait de mentionner que la loi avait été votée avec 156 voix pour, 60 voix contre et 14 abstentions, avec non moins de 60 % d’absentéisme sur un total de 557 députés. Dans le rythme effréné imposé alors par l’agenda du gouvernement, le texte a été arraché, selon l’expression des sénateurs, « avec un pistolet sur la tempe »[1]. Faisant usage de fausses informations scientifiques, entretenant un climat de peur par les médias autour de l’explosion de cas du variant Delta (alors que l’on faisait à l’époque entre 4 et 5 millions de tests par semaine), et mettant une incroyable pression sur les parlementaires, l’exécutif avait précisément éveillé les spectres de « l’autoritarisme », de la « dérive autocratique » voire « pourquoi pas la dictature » que le ministre de la Santé voulait conjurer par sa rhétorique.

Malgré ce passage en force et les problèmes posés par rapport aux valeurs de la République, le Conseil Constitutionnel avait néanmoins validé le projet de loi, avec à peine quelques modifications à la marge, le 5 août 2021[2]. Selon la décision de la haute juridiction, cela était justifié par « l’existence d’une catastrophe sanitaire et du risque qu’elle persiste dans les deux prochains mois », prémisse que le Conseil, loin de vérifier par ses propres spécialistes, acceptait sur la foi de l’exécutif. Le dispositif du passe dit « sanitaire » s’était donc mis en place dans un contexte d’urgence habilement entretenu par la propagande de l’exécutif. De sorte que les mises en garde de l’opposition et de la Défenseure des Droits, Madame Claire Hédon, quant aux risques démocratiques que comportait ce dispositif sans précédent dans l’histoire de notre République, n’ont pas été véritablement prises en compte. (Nous y reviendrons dans la partie finale de notre analyse).   

Le jour suivant, le 6 août 2021, le Conseil Constitutionnel a néanmoins acté sur une « Proposition de loi de programmation pour garantir un accès universel à un service public hospitalier de qualité ». Cette proposition de loi était portée par l’association « Notre hôpital, c’est vous », composée de collectifs de soignants et ONG caritatives, et soutenue par plus de 200 députés et sénateurs issus de 11 groupes politiques d’opposition, tant de gauche que de droite. Son objectif était de mettre « la question de l’hôpital au centre de la grande explication démocratique qui vient », à savoir les élections de 2022 et, concrètement, d’augmenter les moyens des hôpitaux, en particulier « en termes de lits et de soignants »[3]. En pleine pandémie, on aurait pu croire qu’un tel objectif était pourtant essentiel. Mais malgré toutes les attentes, butant sur un petit détail technique, le Conseil Constitutionnel, qui n’avait trouvé que peu à redire sur le passe dit « sanitaire », a considéré une si opportune proposition de loi comme étant tout simplement « contraire à la Constitution »[4].

Nous rappelons cette succession des faits qui soulève trois questions de fond. Pourquoi ce n’est pas le gouvernement Jean Castex qui a élaboré une loi en faveur d’un hôpital public de qualité ? Pourquoi, si l’opposition l’a initiée en fin de compte, le gouvernement n’a pas appuyé une si généreuse initiative ? Et quelles ont été les véritables priorités du Conseil Constitutionnel s’il a pu signer l’échec d’une initiative sincèrement dédiée à la santé publique et à l’urgence de la crise sanitaire, tout en donnant feu vert aux mesures liberticides et sans pertinence sanitaire dudit passe ?

Les deux décisions du Conseil Constitutionnel du 5 et du 6 août 2021 doivent donc se lire comme la face et le revers d’une seule et même médaille. Promouvant l’un et interdisant l’autre, le Conseil Constitutionnel a fait malgré tout le choix conscient de favoriser une certaine ligne politique fidèle à l’agenda de l’exécutif, dont la dimension sanitaire et le sort de l’hôpital n’étaient que le cadet de ses soucis.

Le principe du passe dit « sanitaire » s’appuyait toutefois sur deux prémisses de base concernant les vaccins : une efficacité réputée exceptionnelle d’environ 95 %, avec pour résultat l’empêchement de la transmission de la maladie une fois le schéma vaccinal de deux doses accompli par le patient. Selon les déclarations publiques répétées du ministre de la Santé, les personnes doublement vaccinées seraient devenues « complètement immunisées ». Qui pourrait en effet s’opposer à une perspective aussi prometteuse ?

Pourtant, ce fut précisément durant la discussion du passe dit « sanitaire » que des nouvelles préoccupantes parvinrent en France depuis Israël et d’autres pays connaissant une forte vaccination et qui subissaient en juillet-août 2021 une forte hausse des contaminations due à la progression du variant Delta[5].

En effet, on l’a appris alors que : 

  • 1)    Les vaccins n’empêchent les personnes vaccinées ni de se contaminer ni d’être contagieuses.
  • 2)    L’immunité qu’ils confèrent se réduit comme peau de chagrin en six mois : baissée devant le variant Delta à seulement 39 %, elle arrive après six mois à environ 16 %. C’est précisément de ce constat qu’il apparut très vite la nécessité d’introduire une troisième et une quatrième dose[6]

Ainsi, en vertu du point 2), il apparut de manière claire que les assertions du ministre Olivier Véran, qui se référait aux personnes doublement vaccinées comme étant « complètement immunisées » étaient au mieux une forte exagération et au pire une fausse publicité. Mais, ce qui était encore plus inquiétant, le point 1) révélait que le dispositif du passe dit « sanitaire » était en fait dépourvu de toute véritable efficacité sanitaire. Questionné à ce sujet, le professeur Éric Caumes a reconnu le 6 septembre que les vaccins n’empêchaient pas les infections, voire des formes graves de la maladie. De ce fait, il concédait que le passe dit « sanitaire » était en réalité plutôt un « passe socio-économique »[7].

2. Le passe socio-économique : un dispositif éphémère et limité juridiquement

Malgré son penchant certain en faveur du gouvernement, le Conseil d’État n’a validé le dispositif du passe « sanitaire » que d’une manière extrêmement circonscrite. Il faut relire attentivement son Avis du 19 juillet 2021 relatif à l’adaptation des outils de gestion de la crise sanitaire, qui est loin du résumé que l’on veut en donner[8].

D’abord le Conseil d’État reconnaît que ce dispositif porte une grave atteinte aux libertés fondamentales :

« cependant une telle mesure, en particulier lorsqu’elle porte sur des activités de la vie quotidienne, est susceptible de porter une atteinte particulièrement forte aux libertés des personnes concernées ainsi qu’à leur droit au respect de la vie privée et familiale ».

Ensuite, il reconnaît qu’une telle mesure pourrait avoir pour conséquence d’entraîner une « obligation de soins » :

« le fait de subordonner certaines de ces activités à l’obligation de détenir un certificat de vaccination ou de rétablissement ou un justificatif de dépistage récent peut, dans certaines hypothèses, avoir des effets équivalents à une obligation de soin ».

De surcroît, le Conseil rappelle que le passe « sanitaire » ne doit pas être un outil de contrainte à la vaccination. La formule est incisive :

« l’application du passe sanitaire à chacune des activités pour lesquelles il est envisagé de l’appliquer doit être justifiée par l’intérêt spécifique de la mesure pour limiter la propagation de l’épidémie, au vu des critères mentionnés précédemment et non par un objectif qui consisterait à inciter les personnes concernées à se faire vacciner ».

Enfin, pour justifier la légalité de la mesure, le Conseil d’État analyse minutieusement les indicateurs de l’épidémie à la date de sa saisine et rappelle les modélisations de l’Institut Pasteur : diffusion du variant Delta (80,2% de tests révélant sa présence), transmissibilité du virus accru de 60%, taux d’incidence de 96% pour 100.000 habitants, admission à l’hôpital (+ 57%) et en soins critiques (+67%), couverture vaccinale de 46,4%…

Pourtant, il est apparu très vite que les modélisations de l’Institut Pasteur, qui ont servi comme base du discours du 12 juillet 2021 et de l’action du gouvernement étaient tirées d’une étude non publiée et non revue par les pairs produite à l’occasion. Ces informations ont été soumises à une critique par le professeur Peter McCullough, de l’université Baylor du Texas, une des autorités mondiales en matière de Covid-19[9] et par le mathématicien Vincent Pavan[10]. Non seulement les données se révèlent fausses, mais il apparaît même qu’elles auraient été consciemment manipulées. Il est digne de noter que, après ces critiques, l’équipe de l’Institut Pasteur a rétracté l’étude concernée… mais les décisions politiques extrêmes prises sous son influence, elles, sont restées en place, affectant la vie de 67 millions de Français. Cela évoque un parfum de scandale politico-scientifique, comme la célèbre étude frauduleuse du Lancet, qui avait permis au même ministre Olivier Véran d’interdire en été 2020 les traitements de la Covid-19 en France. La fraude a été alors vite démontrée par les scientifiques, l’étude publiée retirée avec un grand retentissement (Lancetgate) ; nonobstant la décision d’Olivier Véran est restée en vigueur, avec des conséquences catastrophiques sur le nombre de morts en France durant la pandémie (118 000, comparé au Japon, qui n’a eu que 18.000 morts de Covid-19 pour une population deux fois plus nombreuse, plus dense et plus âgée)[11].

En matière de libertés fondamentales, les plus hautes juridictions de la République Française ne contestent donc pas que le passe socio-économique dit « sanitaire » constitue une atteinte grave aux droits des citoyens. Le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État n’ont pas manqué de le souligner, tout en précisant que ce système était acceptable, soit du fait de sa limitation dans le temps, soit du fait de sa proportionnalité avec la situation sanitaire au moment de son adoption. L’instauration, le maintien et surtout la prolongation de ce dispositif soulèvent toutefois de nombreuses interrogations juridiques.

3.  Obligation vaccinale détournée et discriminations scandaleuses

 Aucune étude ne permet de démontrer l’efficacité de ce dispositif. Il est en effet impossible de mesurer spécifiquement l’efficacité d’une mesure sanitaire donnée, notamment parce qu’elle n’est pas appliquée de manière exclusive mais associée à un panel de mesures incluant notamment la vaccination massive et les mesures barrières. Au surplus,

« la circulation virale est également influencée par des paramètres sociologiques tels que la mobilité, la fréquentation des transports, commerces, entreprises, et leur densité de population, les brassages associés aux vacances, la rentrée scolaire » [12].

Nos représentants politiques l’avouent d’ailleurs : il s’agissait en fait d’un moyen pour « inciter fortement » les Français récalcitrants à se faire vacciner, comme le rappelait même le ministre des Transports, M. Jean-Baptiste Djebbari[13]. Les conséquences du refus de cette vaccination, accentuées par le non-remboursement des tests et la fin des autotests constituent les prémisses d’une véritable mort sociale. Les personnes non vaccinées sont exclues directement ou indirectement d’une partie des transports publics, des cafés, des restaurants, des bibliothèques et autres lieux culturels, des associations sportives…  Aussi surprenant que cela puisse être, nous avons affaire à des instances gouvernementales qui assument de travailler activement pour la persécution des citoyennes et des citoyens de France, qui entre autres bénéfices considérables, leur paient le salaire.  Au-delà de cette aberration démocratique de fait, les actions du gouvernement contreviennent frontalement à la législation nationale et européenne. 

Le Conseil d’État a souligné, à deux reprises, l’obligation vaccinale que pouvait entraîner l’instauration du passe dit « sanitaire » :

« Il rappelle, ainsi qu’il l’avait relevé dans son avis n° 401741 du 17 décembre 2020 sur le projet de loi relatif au régime pérenne de gestion des crises sanitaires, que le fait de subordonner certaines de ces activités à l’obligation de détenir un certificat de vaccination ou de rétablissement ou un justificatif de dépistage récent peut, dans certaines hypothèses, avoir des effets équivalents à une obligation de soins[14] ».

En ce sens, le passe dit « sanitaire » est un outil de contrainte plus qu’un outil sanitaire et, incontestablement il est vecteur de discriminations. Or, ces deux aspects ont été fermement condamnés par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe dans ses Considérations éthiques, juridiques et pratiques sur la vaccination contre la Covid 19. Ainsi au point 7.3 du texte :

« 7.3 pour ce qui est de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins :

7.3.1 de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ;

7.3.2 de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner » [15].

Force est donc de constater que le système mis en place par le gouvernement Jean Castex est l’exact contraire de ce texte.

4. Un régime de privation de libertés hors cadre et déconnecté de la réalité de l’épidémie

Ce système entraîne au surplus une privation de liberté doublement incompréhensible. Ainsi qu’a pu le souligner Guillaume Zambrano, maître de conférences à la faculté de droit de Nîmes, cette restriction de liberté est décidée de manière arbitraire, par simple effet mécanique d’un texte et sans aucun débat contradictoire alors que « toute personne privée de liberté a le droit de passer devant un juge. De fait, quand une personne est assignée à résidence ou condamnée à porter un bracelet électronique, la mesure doit être approuvée par le juge des libertés et de la détention. Quand on condamne des personnes pour des dommages sociaux comme le vol, la fraude fiscale, les coups et blessures, elles ont eu droit à un procès ». Qui plus est, cette restriction ne repose que sur une simple présomption de contagion. Autrement dit, on applique une sanction très lourde et significative sur de simples suppositions. Il s’agit d’une forme d’application d’un principe de précaution dont on laisse le soin aux citoyens de contrôler l’application[16].

Le Conseil d’État, saisi en référé de plusieurs requêtes visant à suspendre le passe dit « sanitaire », n’a pas estimé qu’il existait un doute suffisamment sérieux sur sa légalité l’autorisant à faire droit aux demandes. Il a cependant expressément lié ces décisions aux données scientifiques existantes permettant d’établir un tableau de l’épidémie en temps réel. Dans une série d’ordonnances en date du 26 juillet 2021, le juge des référés du Conseil d’État a ainsi insisté sur la dégradation de la situation sanitaire en France,

« avec une diffusion croissante du variant Delta, particulièrement transmissible. À la date du 19 juillet, le nombre de personnes infectées par la covid-19 a augmenté de 111 % par rapport à la semaine précédente et de 244 % par rapport à la semaine du 3 juin. Le nombre d’hospitalisations a quant à lui augmenté de 57 % voire 67 % pour les admissions en service de soins critiques. Par ailleurs, les modélisations de l’Institut Pasteur font craindre une aggravation encore plus importante en août, avec une couverture vaccinale encore insuffisante pour permettre un recul durable de l’épidémie[17] ».

Même dans la décision du Conseil Constitutionnel du 5 août on trouve également cette délimitation par le principe de proportionnalité :

« 23. Les mesures prévues dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire ne peuvent en tout état de cause être prises qu’aux seules fins de garantir la santé publique. Selon le paragraphe III du même article, elles doivent être strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. Il y est mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. Le juge est chargé de s’assurer que de telles mesures sont adaptées, nécessaires et proportionnées à la finalité qu’elles poursuivent.

24. En dernier lieu, quand la situation sanitaire le permet, il doit être mis fin à l’état d’urgence sanitaire par décret en conseil des ministres avant l’expiration du délai fixé par la loi le prorogeant »  [18].

Par rapport à ce cadre législatif contraignant, il faut remarquer que l’ « Exposé des motifs » du projet de Loi par lequel le gouvernement entend justifier une décision de prorogation du passe « sanitaire » et de l’état d’urgence, n’avance au total que deux arguments, qui sont tous les deux d’une pauvreté surprenante.

Premièrement, il est affirmé que les mesures prises (état d’urgence sanitaire, vaccination, passe sanitaire) auraient « contenu » l’épidémie. La vérité est qu’il n’en existe aucune preuve scientifique. Bien au contraire, une étude toute récente publiée par S.V. Subramanian et A. Kumar, comparant les États-Unis avec d’autres pays hautement vaccinés souligne que « les pays dont le pourcentage de la population entièrement vaccinée est plus élevé présentent un plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants. Notamment, Israël, dont plus de 60 % de la population est totalement vaccinée, a enregistré le plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants au cours des 7 derniers jours. L’absence d’association significative entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est également illustrée, par exemple, par la comparaison entre l’Islande et le Portugal. Ces deux pays, dont plus de 75 % de la population est entièrement vaccinée, comptent plus de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud, dont environ 10 % de la population est entièrement vaccinée ». Croire ainsi qu’une vaccination massive de la population aurait conféré une protection générale s’avère être une chimère, contraire aux études les plus récentes, car les personnes vaccinées continuent d’être porteuses, malades et vectrices du virus[19].

Deuxièmement, dans le même « Exposé des motifs », le gouvernement affirme qu’il y aurait malgré tout un « risque » de rebond épidémique. Ainsi, c’est le gouvernement qui, après avoir « fortement incité » – pour utiliser une litote – à la vaccination de plus de 70% de la population, doute lui-même des résultats de sa propre politique sanitaire ? Néanmoins, il est impossible de fonder des décisions politiques aussi liberticides sur des divinations de cette nature. Il y aura toujours à l’avenir un risque quelconque : à ce compte-là, le passe et l’état d’urgence devraient être éternels.

En revanche, l’ « Exposé des motifs » est complètement muet sur le seul élément qui serait déterminant pour asseoir une telle décision : l’état actuel de l’épidémie. Or selon le bulletin du Réseau sentinelles INSERM du 13/10/2021, le taux d’incidence de la Covid-19 est de 3 cas pour 100 000 habitants : « Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021 s40), le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [2 ; 5]), ce qui représente 2 181 [1 187 ; 3 175] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste[20]. L’ « Exposé des motifs » du premier ministre Jean Castex n’apporte à cette réalité aucun démenti.

Or, dans la mesure où tant le Conseil d’État que le Conseil Constitutionnel lient l’existence et non simplement l’application du passe dit « sanitaire » à la réalité de l’épidémie, et non aux divinations doctes qui se sont tant de fois trompées jusqu’à présent, au regard des mêmes indicateurs, il résulte que le maintien du passe socio-économique ne devrait même pas être débattu… Et cela d’autant moins que le Conseil scientifique, dans son avis du 5 octobre, reconnaît que l’on ne peut lier passe « sanitaire » et amélioration de la situation épidémique[21].

5. Un projet de loi d’inspiration totalitaire chinoise

Il y a ainsi un très grand écart entre les objectifs sanitaires affichés par l’exécutif, validés sur la foi du gouvernement par les hautes juridictions de la République, et le « passe socio-économique » qui a finalement été mis en œuvre. Ce qui devient encore plus inquiétant désormais est l’utilisation politique du passe dit « sanitaire » pour exercer un contrôle généralisé de la population et la priver, comme c’est déjà le cas, de vie sociale (voire, comme en Italie ou en Israël, de vie professionnelle). Cela constitue une atteinte insupportable aux droits fondamentaux que rien, et surtout pas une maladie au taux de mortalité comparable à celui de la grippe dont le taux d’incidence est négligeable depuis plusieurs mois, ne saurait justifier[22].

Le grand philosophe italien Giorgio Agamben, un disciple de Michel Foucault et spécialiste de la question du biopolitique, a admirablement expliqué récemment devant le Sénat italien, le 7 octobre 2021, le problème politique (non médical) posé par une vaccination assortie à un « Green Pass » :

« nos sociétés sont passées du modèle qu’on appelait autrefois de la « société disciplinaire » à celui d’une « société de contrôle » ; de société fondées sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme. Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je vous demande : jusqu’où sommes-nous prêts à accepter que ce contrôle aille ? Est-il possible que les citoyens d’une société prétendument démocratique soient dans une situation pire que les citoyens de l’Union soviétique sous Staline ? Vous savez peut-être que les citoyens soviétiques étaient obligés de présenter une propiska, un laissez-passer pour tout déplacement d’un endroit à un autre. Mais on est aussi obligé de montrer un passe sanitaire pour aller au restaurant, voire même pour aller au musée ou au cinéma. Et maintenant —ce qui est encore plus grave avec le décret que vous devez transformer en loi— même à chaque fois que vous allez travailler »[23].

Si l’on essaie de faire la généalogie intellectuelle des mesures du gouvernement Castex, on peut noter que leur inspiration remonte directement au rapport du Sénat du 3 juin 2021, intitulé Crises sanitaires et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés[24]. Défendant le principe selon lequel « si une dictature sauve des vies pendant qu’une démocratie pleure ses morts », les auteurs du rapport invitaient à adopter « la bonne attitude [qui] n’est pas de se réfugier dans des positions de principe, mais de s’interroger sur les moyens concrets, à la fois techniques et juridiques, de concilier efficacité et respect de nos valeurs » (sic !)[25]. À cet effet, ils saluaient le principe de passe(port) sanitaire comme une « bonne nouvelle », et ceci même au prix de prendre le contre-pied de la critique sévère de la Défenseure des droits[26] qui, déjà dans son avis du 17 mai adressé au Parlement, avait sévèrement jugé le dispositif présenté par le Gouvernement[27]. On réalise ainsi que ce rapport opposait sans sourciller les valeurs de la République, incarnées par la Défenseure des droits, à un dispositif directement inspiré – comme le reconnaissent les auteurs eux-mêmes – du modèle chinois, pays qui a vu, selon leur analyse, la mise en place des premiers passes sanitaire et vaccinal[28].

Reconstituer la généalogie de l’idée et du système de passe « sanitaire », fait ainsi remonter les origines intellectuelles du présent projet de loi jusqu’au modèle totalitaire chinois, que le gouvernement Jean Castex a adopté, une rhétorique habile à l’appui, presque intégralement, sans faire beaucoup de cas des mises en garde de la Défenseure des Droits en faveur de la défense des valeurs de la République Française. Mais le premier ministre n’est pas le seul à pouvoir s’attribuer ce mérite. Il faut également reconnaître que, dans la mise en place de ce système inspiré de la Chine communiste, le ministre de la Santé M. Olivier Véran a joué aussi un rôle capital. Comme le révèle l’enquête du Monde publiée en mai 2020 par les journalistes Solenn de Royer et Harold Thibault sur le réseau tentaculaire de la Fondation France – Chine, l’actuel ministre de la Santé en était une des plus brillantes recrues, bien que loin d’être le seul.  

« Le monde est tout petit », reconnaît l’ambassadeur de France en Afrique du Sud Aurélien Lechevallier, ex-conseiller diplomatique d’Emmanuel Macron, qui a, pour sa part, rencontré M. Macquin à HEC et M. Lenain à Washington, où ils ont été tous deux en poste. Intégré à la promotion 2017-2018, M. Lechevallier a aidé le trio à repérer les valeurs montantes de la Macronie, comme les ministres Brune Poirson et Agnès Pannier-Runacher ou la députée (La République en marche, LRM) Coralie Dubost, qui a coopté l’année suivante Olivier Véran, son compagnon et futur ministre de la Santé »[29].

Les assertions des journalistes du Monde sont d’ailleurs confirmées par les données publiques de la Fondation France – Chine, qui a en effet l’honneur de compter M. Olivier Véran parmi les membres de la promotion 2019[30]. Selon l’analyse du Monde, ce « réseau puissant » où « se fabrique l’influence » est un réseau « sous le contrôle total du Parti Communiste Chinois ». Selon l’ambassadeur Aurélien Lechevallier, ce réseau de soft power « offre aux Chinois un accès privilégié à des responsables politiques de haut niveau et à des PDG dans des secteurs stratégiques. Certes pas à des secrets d’État, mais à un niveau d’interlocuteurs inégalé ». Or, force est de constater que, à force de côtoyer les Young Leaders chinois et les hauts responsables de la République Populaire de Chine, le gouvernement Jean Castex, où les ministres Olivier Véran, Brune Poirson et Agnès Pannier-Runacher jouent un rôle déterminant dans la construction du programme sanitaire, est en train de mettre en place précisément un système de contrôle socio-économique inspiré du modèle totalitaire chinois.

À la lumière de ce constat, les dix points d’alerte de la Défenseure des Droits ne font que gagner encore plus une brûlante actualité[31]. Sous le rouleau compresseur de ce modèle d’inspiration totalitaire, on constate plus que jamais « la nécessité d’un débat démocratique » qui fait défaut en raison de la sourde oreille que le gouvernement prête à l’opposition et à la population qui, depuis plus de 14 semaines, manifeste dans la rue contre la mise en œuvre de ce système. Avançant masqué, ce projet totalitaire se décline dans une avalanche de documents normatifs, rédigés dans une novlangue qui pose des problèmes d’« intelligibilité du texte », laissant de « nombreuses zones d’ombre » qui confèrent une énorme marge d’action au gouvernement. Nous avons tous pu constater à quel point les mesures élaborées depuis début août 2021 par le gouvernement ont provoqué des « restrictions d’accès aux transports publics et aux biens et services ». La « mise en œuvre des restrictions d’accès » a incité « le contrôle d’une partie de la population par une autre », situation typique d’un régime totalitaire qui rompt décisivement avec l’idée même de fraternité de la République française.

Cette société de surveillance est en même temps également une société de discriminations, qui n’en sont que la conséquence naturelle. Ainsi La Défenseure des droits avait souligné « les risques de discriminations dans l’emploi », rappelant « qu’aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié, ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, telle que définie à l’article 1er de la loi du 27 mai 2008 ». Toutefois les « mesures d’isolement étendues » et la « vaccination obligatoire pour certaines professions » ont conduit au licenciement de dizaines de milliers de médecins et de soignants, ordonné de manière autoritaire par le ministre Olivier Véran, ce qui n’a fait que donner justice à cet avertissement formulé par Madame Claire Hédon. Cela marque une rupture radicale avec le système de protection du travail mis en place par le Préambule de la Constitution de 1946, qui fait partie de notre socle constitutionnel.

Mais ce qui est encore plus grave c’est que le passe socio-économique, prétendument « sanitaire » a entraîné « des risques considérables d’atteinte aux droits de l’enfant ». Se fondant sur les données scientifiques, la Défenseure des droits était « favorable à ce que, pour les mineurs de 12 à 18 ans, la vaccination reste uniquement encouragée et ne tombe pas sous le coup d’une obligation déguisée. Elle considère en outre que, pour les mineurs de moins de 12 ans, le projet de loi devrait indiquer de manière expresse qu’ils sont exemptés de la vaccination ». Allant à l’encontre de ces recommandations, le gouvernement a incité fortement la vaccination massive des jeunes, en conditionnant leur vie sociale à la possession d’un passe « sanitaire ». Dans le pays des Droits de l’Homme, non seulement les vies des adultes mais aussi celles des enfants et des adolescents sont désormais conditionnées par la possession de cet artefact d’inspiration chinoise.

Ensuite, le passe socio-économique contribue à exclure « Les personnes en situation de pauvreté », qui « pourraient (en) être doublement victimes ». Comme par la politique catastrophique des trois confinements ordonnés de manière autoritaire par le président Emmanuel Macron un million de personnes ont basculé dans la catégorie des pauvres, ces mesures doublement discriminatoires affectent plus de 10 millions de personnes. Enfin, « les risques liés au traitement des données » ont été prouvés par les fuites de données de santé de millions de citoyens : si même les passes « sanitaires » du premier ministre Jean Castex et du président Emmanuel Macron se sont retrouvés en accès libre sur les réseaux sociaux, quelle protection du secret de la santé peut dès lors espérer le citoyen commun ? Jamais en reste de décliner sa responsabilité, l’Elysée a fustigé « une faille déontologique » et « la négligence ou la malveillance de professionnels de santé ». Alors qu’en réalité, c’était au responsable de la mise en place de ce système de surveillance généralisée que le président de la République aurait dû s’en prendre… en se regardant dans le miroir.

Désormais cependant, c’est un 11e point d’alerte que la Défenseure des droits devrait ajouter dans sa liste. Il s’agit d’une alerte suprêmement politique. Car le gouvernement Jean Castex, en tentant de nouveau d’imposer en force la prorogation du passe « sanitaire » jusqu’en été 2022, ne cache même plus ses velléités de biaiser fortement le déroulement des élections présidentielles et législatives de l’année prochaine en faveur du président Emmanuel Macron et de sa future majorité. Parmi les nombreuses déclarations en ce sens, celle du ministre de l’Intérieur, M. Gérald Darmanin, sont peut-être les plus inquiétantes. Dans son entretien dans le JDD, il n’a pas caché son plan de « vouloir peser sur le scrutin » présidentiel de 2022.

« Ce qu’ambitionne le ministre de l’Intérieur c’est avant tout d’être le ministre de l’Intérieur de la réélection d’Emmanuel Macron. « Je suis candidat à ça : montrer la force du Président sur le régalien », confie Darmanin, qui y voit sa « responsabilité dans la campagne » et se dépeint en « garant, en partie » de ce front » [32].

Ces déclarations sont d’une gravité sans précédent et nous tenons à avertir les députés de leur signification : dans tous les régimes autoritaires ou dictatoriaux, les ministres de l’intérieur contribuent à faire élire le président sortant, tout en sauvant les apparences du contraire. Alors que, en France, le ministre de l’Intérieur proclame haut et fort son projet dans ce sens ! C’est donc une alerte démocratique d’une extrême urgence que pose, en fin de compte, le projet de loi présenté par le gouvernement.

En conclusion de cette analyse, le syndicat « ERL ! » attire l’attention sur le manque d’arguments scientifiques et juridiques du projet du passe socio-économique, faussement nommé « sanitaire ». De surcroît, ce projet dont nous épinglons l’inspiration totalitaire, pose un grave problème démocratique durant une année électorale qui a déjà commencé. À ce titre, le livre récent d’enquête publié par les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme, a révélé une série de détails sur l’origine du mouvement. En particulier, nous retenons la signification du nom « En Marche ! », que d’ailleurs le parti LREM a conservé jusqu’à présent :

« C’est Brigitte Macron qui choisit finalement En Marche ! En effet, l’unanimité n’est pas immédiate ; l’avocat François Sureau, membre de la bande quoique proche de François Fillon (en macronie, tout devient possible), n’est franchement pas fan. Au cours d’un déjeuner, il s’emporte : « C’est pas possible que ça s’appelle En Marche ! Ça rappelle la Grande Marche sur Rome de Mussolini ! La définition du fascisme, c’est le mouvement, sans direction… » L’avocat, homme de culture, jette un froid, ses objections portent. « À ce moment-là, pour nous, le nom est flingué, opine [Stanislas] Guerini. Et là, Brigitte dit : “Moi, j’aime bien.” L’argument historico-intellectuel est balayé. »[33].

En tant que scientifiques, nous mettrons au contraire devant les députés de la Nation précisément cet argument historico-intellectuel. Nous nous permettons de vous rappeler que vous n’êtes pas les élus d’un président, ni d’un parti, mais d’abord et avant tout celles et ceux de la Nation française. Nous vous appelons, toutes et tous, membres de l’opposition tout comme de la majorité, à un véritable sursaut démocratique. Vous ne voudrez pas rester dans l’histoire comme les garants de la mise en place définitive d’un programme de contrôle de la population française et, partant, de la démocratie de notre République, inspiré du modèle totalitaire du Parti Communiste Chinois ou d’autres régimes du passé. Pour toutes ces raisons, le syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! » s’adresse à tous les parlementaires pour les persuader de rejeter cette proposition de loi au nom des valeurs suprêmes de la République Française : Liberté, Égalité et Fraternité que le système du passe socio-économique bafoue au point qu’il finit par menacer désormais l’existence même de notre République.

Recevez, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés, y compris de la majorité présidentielle, les meilleures salutations des membres du syndicat « Enseignement, Recherche et Libertés ! » et de ses sympathisants.

Paris – Aix-en-Provence – Poitiers

17 octobre 2021





Des journalistes mainstream se rebiffent-ils contre la propagande vaccinale ?

Par Diane Vincero

Appel à témoins sur CNews

🚨📢🔴🇲🇫 Sur CNEWS ce soir, Pascal Praud invite toutes les personnes victimes d’effets secondaires du vaccin à venir témoigner sur son plateau.

Faites tourner partout pour inonder la chaine.
Pascal Praud attend vos appels.
Soyez nombreux pour témoigner et dénoncer.

Pascal Praud ne croyant pas ce que vient de dire Yvan Rioufol sur Cnews à savoir qu’il y a de nombreux effets secondaires suite aux vaccins et qu’il suffisait de lire les témoignages sur les réseaux sociaux…
Praud met en doute les réseaux sociaux et affirme qu’il n’y a pas d’effets secondaires car personne n’en témoigne sur les plateaux TV.

Rioufol repond que c’est normal car personne n’invite les victimes à témoigner !

Praud lance donc un appel à témoignages pour inviter des personnes à témoigner sur le plateau appeler Cnews.

Numéros de CNews :
0171355555
0146964433

S’ils ne vous répondent pas, vous avez le mail Yvan Rioufol : irioufol@lefigaro.fr

N’hésitez pas à relayer au maximum

Rejoignez la Vérité Censurée
https://t.me/LaveriteCensure

Vidéo d’un collectif de journalistes

[Source : https://www.bitchute.com/video/fbmeXnSvUKYR/]






Comment on manipule pour avoir le consentement

[Source : Contrepoints]

[Transmis par Françoise Joët]

[Ndlr : emphases visuelles dans le texte (caractères gras et couleurs), par Christine Côte…]

Par Yannick Harrel.

L’époque des années 1950 et 1960 en sciences comportementales est fascinante puisque leurs résultats continuent d’irriguer nos sociétés : ainsi tant les expériences de Asch que celles de Bateson ou de Milgram sont essentielles pour comprendre comment les sociétés actuelles peuvent réagir ou sont forcées de réagir suite à des stimuli spécifiques. Un apport scientifique que de nombreux dirigeants se sont empressés d’expérimenter à grande échelle au sein des démocraties libérales jusqu’à les pervertir de l’intérieur, a fortiori en temps de crise.

Il y a eu bien entendu des recherches, des analyses et des pratiques sur la manipulation des foules antérieurement à ces études.

Rappelons par exemple La psychologie des foules de Gustave Le Bon (1841-1931), Le viol des foules par la propagande politique de Serge Tchakhotine (1883-1973) ou la Commission Creel avec son plus éminent spécialiste, Edward Bernays (1891-1995), par ailleurs neveu et lecteur assidu des travaux de Sigmund Freud (revoir à bon escient le document Propaganda : la fabrique du consentement diffusé sur Arte).

Toutefois, les trois chercheurs précités ont œuvré dans un cadre spécifique : celui de la démocratie libérale. Le principal obstacle dans une démocratie libérale c’est précisément l’obtention d’un consentement, pas obligatoirement exprès, mais tout aussi bien tacite. Et c’est précisément sur ce point central que les trois maîtres du consentement moderne vont œuvrer.

LES TROIS MAÎTRES DU CONSENTEMENT MODERNE

Il convient de rappeler, même brièvement à quoi correspondent les travaux de cette trinité dans l’étude sociocomportementale.

Solomon Asch (1907-1996) a travaillé sur le conformisme des individus en manipulant plusieurs paramètres psychologiques afin que le réfractaire de départ se convertisse peu à peu à la directive initiale.

Gregory Bateson (1904-1980) a analysé le phénomène des injonctions paradoxales, appelées aussi contradictoires ou double contrainte, plongeant le sujet dans un état d’incapacité à atteindre les objectifs fixés, le rendant ainsi plus malléable et corvéable.

Stanley Milgram (1933-1984) est le plus connu du public puisque son expérience a eu un large retentissement en établissant un lien entre la désinhibition d’individus obéissant à des ordres pourtant contraires à la morale et à leurs valeurs, mais couverts par l’autorité officielle.

Or dans une démocratie libérale, animée théoriquement par le respect des libertés fondamentales, le respect d’autrui, la transition apaisée et loyale du pouvoir, ces travaux prennent une valeur inestimable. Comme il n’est pas possible de procéder de la même manière qu’un régime totalitaire qui réclame prioritairement l’obéissance, le consentement, théoriquement libre et éclairé, doit être obtenu par un procédé détourné.

L’INFORMATIQUE CONNECTÉE COMME ADJUVANT

La grande nouveauté dans l’application de ces études à notre époque contemporaine se situe dans l’utilisation massive des métadonnées couplées à des traitements automatisés à grande échelle pour obtenir des baromètres de l’état de l’opinion et des prédictions quant à l’évolution probable de celle-ci (ainsi qu’une surveillance de masse, mais ce sujet, doit être traité à part). Dans les années 1950 et 1960, les ordinateurs étaient uniquement des super-calculateurs occupant une immense pièce entière sécurisée, il était alors hors de question de les employer pour des problématiques autres que la sphère militaire ou la recherche stratégique comme le nucléaire.

Du reste, la simple puissance de calcul n’aurait pas été suffisante. Deux éléments complémentaires ont contribué à l’amplification des techniques de fabrication du consentement :

  • la démocratisation d’Internet dans les années 1990,
  • l’émergence des réseaux sociaux dans les années 2000.

Ainsi, l’accumulation des métadonnées devenait possible pour établir rapidement une cartographie de la population selon son âge, son statut professionnel, son statut marital, ses loisirs, ses relations amicales, ses partenaires d’affaires et même des données autrefois taboues comme sa religion, son appartenance politique, sa localisation géographique, son origine ethnique et même son état médical. Nanti de ces données formant à leur tour un ensemble informatif, le bénéficiaire était en mesure de moduler un discours afin de plaire à différentes communautés et viser a minima la majorité relative, désormais suffisante pour gouverner dans les régimes démocratiques.

Loin de rendre obsolète lesdites études, l’informatique connectée leur fournit une capacité démultipliée de contrôle encore plus fine que dans un régime usant de méthodes autoritaires et grossières, facilitée en outre par l’abandon volontaire par les intéressés de toute donnée de nature privée en contrepartie d’une mise en réseau : la crainte d’une déconnexion sociale par toute une partie de la population raffermit cet afflux de données.

CRISE SYSTÉMIQUE ET CONSENTEMENT

La survenance d’une crise d’importance peut dans un premier temps bouleverser les plans originaux d’un dirigeant, mais les accélérer dans un second pour peu qu’il sache l’exploiter à escient en travaillant sur son magistère (l’autorité), sur la confusion mentale (la peur) et sur le fait majoritaire (le consentement progressif).

Dans le cas d’une pandémie par exemple, la population peut être abreuvée d’informations tantôt alarmantes tantôt rassurantes, de statistiques pléthoriques et invérifiables, de semonces gouvernementales, le tout par des relais médiatiques complaisants ou forcés par lesquels défilent des experts certifiés conformes. L’objectif est de maintenir la population sous contrôle, avec un impératif d’efficacité maximum (l’optimum est la norme hors contexte de crise), lequel peut être obtenu avec le renfort volontaire de la population acquise aux mesures décidées. Telle est l’acmé de tout système de conditionnement social : lorsque la majorité de la population enjoint les réfractaires à se conformer à la norme présentée comme celle qui ramènera la sécurité (sanitaire dans le cas présent, mais qui peut tout aussi bien être environnementale, économique, financière, routière, etc.). Le pouvoir en place doit à terme pouvoir se décharger partiellement de son contrôle sur les esprits en le déléguant à la partie de la population la plus zélée avec l’approbation silencieuse de la majorité.

La terminologie est de ce point de vue essentielle : le terme de menace est préféré à celui de danger, car il justifie par ses vagues temporalité et matérialité la perpétuation de mesures dans le temps et l’espace, jusqu’à l’intégration desdites mesures dans le droit commun.

Si le conditionnement est habilement mené, vous obtenez un peuple zombie et des libertés du même acabit. Rappelons que le cheminement en est d’autant plus facilité dans les esprits que dans une démocratie, la majorité de la population est acquise au principe de bénéficier du meilleur des régimes et de la bienveillance naturelle du dirigeant. Ces présomptions facilitent l’avènement de ce qu’Alexis de Tocqueville craignait le plus, le despotisme démocratique assuré par ce fameux pouvoir immense et tutélaire.

Nombre de lecteurs et commentateurs ne manqueront pas d’y ajouter leurs propres références. Cependant les invariants de l’exposé demeurent : le contrôle des foules nécessite de procéder obligatoirement par le canal émotionnel, et non le canal rationnel. Ce dernier est entièrement inefficace pour disposer à sa guise d’une population, et encore moins pour les opposants de la modifier.

FAIBLESSES DU CONTRÔLE ET CONTRE-MESURES

Le contrôle des populations nécessite un certain doigté, un équilibre permanent entre carotte et bâton pour simplifier. Or, plus le temps passe, plus l’équilibre devient complexe et coûteux, surtout avec le changement générationnel. L’inflation du contrôle produit un effet pervers qui accroît les risques de dysfonctionnement et les moyens alloués.

D’autres éléments internes peuvent rendre l’équation plus précaire : le comportement du dirigeant ou du cercle dirigeant (exemple : une tentation vers l’hybris, la tentation de la démesure) ou le remplacement imprévu du dirigeant (exemple : dans le cas d’une maladie foudroyante).

Des éléments externes peuvent aussi y contribuer : une pression étatique étrangère (exemple : par la création d’un mouvement d’opinion concurrent ou la subversion d’une fraction de la population) ou une catastrophe remettant radicalement en cause le narratif du pouvoir (exemple : la catastrophe de Tchernobyl en Union soviétique).

L’autre limite est celle de l’emploi des algorithmes. Si ceux-ci peuvent fournir une bien utile cartographie de l’état de l’opinion, les prédictions issues de ceux-ci sont sujettes à des variations de plus en plus conséquentes au fur et à mesure qu’elles visent une ligne temporelle plus tendue. Pour simplifier : il y a érosion de la fiabilité de toute prédiction algorithmique sur le temps long. Or, les dirigeants ont rapidement tendance à se soumettre eux-mêmes à une addiction aux algorithmes. D’utilisateurs, ils en deviennent esclaves, les employant de plus en plus régulièrement et intensivement pour envisager les effets des mesures et les décisions à imposer afin d’obtenir la soumission de la population. Cette addiction est une faiblesse inhérente à la technophilie des dirigeants actuels.

Les contre-mesures sont existantes, elles réclament de la constance et de l’aplomb pour leur mise en place.

La première d’entre elles, et la plus économique, est le Non. L’adverbe signifiant la négation est en effet particulièrement efficace dès lors que le ton est posé de façon adéquate. L’homo democraticus next gen est en effet conditionné pour dire Oui à tout. Or, lui signifier frontalement et fermement son opposition, c’est un choc émotionnel (rappelons-nous que le rationnel n’est pas efficace sur les personnes déjà conditionnées, il le reste toutefois sur les personnes hésitantes ou curieuses). Dire Non, c’est effriter sa confiance d’être dans le sens de l’autorité juste et bienveillante.

La seconde est plus pernicieuse, elle consiste à réfléchir en oblique. L’idée est d’être moins frontal et de faire dysfonctionner le consentement. Cela passe généralement par une méthodologie que l’on peut retrouver dans les techniques managériales et qui puise ses origines dans la pensée aristotélicienne, que l’on peut déterminer comme Q3OPC2 (Qui, Quand, Quoi, Où, Pourquoi, Comment, Combien). Nous la retrouvons aussi sous la dénomination d’analyse de cause racine (ACR en français, RCA en anglais). Approuvez les dires de la personne, mais répliquez-y par une question. Le but est de pousser jusqu’aux retranchements et faire disjoncter la programmation mentale.

La troisième, et non exhaustive, contre-mesure implique de manier l’ironie socratique. Bien employée, celle-ci agit comme un dissolvant puisqu’elle raille les mesures et les arguments adverses tout en permettant à l’auditoire de s’en amuser. Nul pouvoir n’apprécie la raillerie qui est un signe de défiance, et dans le cas du conditionnement social, un risque de perdre le contrôle. Se différenciant du procédé scolastique, le principe est de tourner en dérision les mesures prises. Le laconisme se mariant à merveille à cette méthode afin de porter un coup bref, mais tranchant dans la certitude d’autrui.

L’AVANT-GARDE ÉCLAIRÉE

Il n’en reste pas moins que le meilleur rempart contre les tentatives de manipulation psychosociale est la culture : se cultiver demeure le meilleur antidote face à ce type de contrôle (à ce titre, ne jamais confondre le diplôme et la culture, comme le diplôme et l’intelligence). Reste qu’au-delà de cette thématique, il est impératif de déterminer quelle société désirent les citoyens/les sujets eux-mêmes. Le savent-ils eux-mêmes et pis, sont-ils encore capables de l’exprimer distinctement ? Comme le problème récurrent des régimes politiques tient plus aux hommes qu’aux structures (la meilleure des organisations finira toujours pas être corrompue par des hommes animés de mauvaises intentions tandis que les hommes bienveillants finiront toujours par bonifier une organisation même dépravée).

Il est assez judicieux à ce titre de relire La fin de l’Histoire et le dernier homme de Francis Fukuyama (1952), et de le parcourir jusqu’à la dernière ligne (et je souligne cette phrase), pour constater que ce sont en réalité les forces illibérales qui ont pris possession des centres de pouvoir : n’est-il pas temps que l’avant-garde éclairée se mette en ordre de bataille ?


[À propos de l’auteur]

Yannick HARREL : De formation supérieure en sociologie, droit et ingénierie minière, il est expert-chercheur sur les problématiques liées aux stratégies de la donnée et sur l’écosystème des mobilités 3.0. Outre de nombreux articles et interventions pour journaux et radios, il tient des conférences thématiques en France et à l’étranger, il a publié trois ouvrages devenus des références sur la cyberstratégie russe, les cyberstratégies économiques et financières et les automobiles 3.0 aux éditions Nuvis. Il intervient pour le compte d’administrations, d’entreprises et d’instituts d’enseignement supérieur.


[Ajouté par Christine Côte :]

L’expérience de Milgram :

La Fin du Covid -- Expérience de Milgram : Comment transformer sa  population en bourreaux sans scrupules (tunnel)

Expérience de Milgram : définition, utilité, conséquences – Ooreka

Vidéo: (1’50’’)

Livre : La fin de l’Histoire et le dernier homme de Francis Fukuyama (1952)

LA FIN DE L’HISTOIRE ET LE DERNIER HOMME : FUKUYAMA,FRANCIS: Amazon.ca: Livres




Petite annonce : « Cherche leader charismatique et intègre pour sauver le pays de la dictature. »…

Par Alain Tortosa

Petite annonce :

« Cherche leader charismatique et intègre pour sauver le pays de la dictature. »
« CDD(([1] Contrat à durée déterminée)) dont le mandat prendra fin à la libération. »
« Possibilité de conversion en CDI(([2] Contrat à durée indéterminée (ex-président de la République) ))
si le peuple le réclame à une vraie majorité. »

Je ne suis pas et ne serais pas ce leader…
Je prétends ne pas être totalement nul pour écrire, mais je ne possède pas ces qualités nécessaires à un leader.
Les grandes foules, les envolées lyriques, les groupies qui lancent leurs culottes, ce n’est pas mon truc.

Et pourtant je pense sincèrement que nous ne pourrons pas nous en sortir sans une tête de liste.
Nous n’avons aucunement besoin de réveiller les Français manipulés par la dictature sanitaire.
Nous sommes des millions d’adultes non vaccinés qui, par cet acte, affirment leur attachement à la liberté et à la démocratie.

Nous sommes très nombreux à répéter depuis des mois que nous avons besoin de nous unir et de nous coordonner.
Je ne crois pas à l’action individuelle que certains pourraient qualifier de « terroriste ».
Chacun peut avoir ses petites victoires locales, mes enfants sont sans masque au collège, mais cela ne fait pas une révolution.
Cela participe au bâton dans les roues, mais n’est pas de nature à faire plier la dictature.

Un soignant en grève seul devant son hôpital a l’air d’un crétin. Avec 10 collègues il devient un mouvement revendicatif et à 100 il bloque l’hôpital qui n’a de choix que de céder.

Voici donc ma petite annonce :

« Cherche leader charismatique et intègre pour aider le peuple à faire tomber la dictature. »
« CDD dont le mandat prendra fin à la libération du pays. »
« Possibilité de conversion en CDI si le peuple le réclame à une vraie majorité. »

Descriptif du poste.

Le leader devra :

  • Être intègre et incorruptible.
  • Être viscéralement opposé à la dictature.
  • Être viscéralement attaché aux libertés individuelles qui doivent primer.
  • Être farouchement opposé à remplacer le mot « liberté » par le mot « sécurité » sur les frontons des mairies.
  • Être le moins clivant possible.
  • Être sans conflits d’intérêts financiers ou relationnels et ne pas être financé par la dictature.
  • Être un homme ou une femme ayant une expérience de la vie.
  • Avoir pris des baffes dans la vie dont il (ne comptez pas sur moi pour écrire en inclusif) se serait relevé serait un bon point.
  • Ne pas souffrir de troubles psychiatriques forts de type narcissique ou antisocial.
  • Aimer sincèrement les humains.
  • Avoir un passé de non-collaboration (ou alors être un repenti sincère et le prouver).
  • Laisser la place une fois le pays libéré (sauf si les Français demandent qu’il reste à une vraie majorité).
  • Aimer les grandes assemblées, les grandes foules, les grands discours.
  • Être déterminé et fort pour résister aux attaques les plus viles.
  • Être en capacité de déléguer et s’entourer de conseils.

Un casier judiciaire vierge n’est pas indispensable, on peut commettre des erreurs et les réparer.
Son mandat sera soumis à contrôle tout au long de son action et le peuple pourra le démettre s’il trahit ses engagements.
Il ne pourra pas être marqué « extrême-gauche », « extrême-droite » ou « extrême-centre », mais uniquement « extrême-liberté ».
Ses opinions religieuses, s’il en a, devront demeurer dans la sphère privée.

Quelques candidats potentiels(([3] Par ordre alphabétique))?

Carlo Alberto Brusa

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire et très écouté.
  • Une mine de savoir.
  • Très présent sur les réseaux sociaux et très suivi.
  • Incorruptible.
  • Indestructible. (…et tellement beau gosse)
  • Ne peut prétendre à une carrière politique.

Contre :

  • Ne s’est pas positionné comme leader de la résistance.
  • Ne peut prétendre à une carrière politique (encore qu’une loi, ça se change).
  • Clivant par son côté grande-gueule, mais honnête qui est aussi sa force.

Louis Fouché.

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire auprès des résistants et très écouté.
  • Un puits de science.
  • Ne cherche pas la gloire.
  • Considéré d’extrême droite par les personnes d’extrême gauche et d’extrême gauche par les personnes d’extrême droite.

Contre :

  • Subissait des pressions de sa hiérarchie.
  • Ne veut pas être le leader qu’il est devenu en partie malgré lui.
  • Ne cherche pas la gloire.
  • Clivant par certains discours jugés trop « prudents », trop « policés ».
  • Considéré d’extrême droite par les personnes d’extrême gauche et d’extrême gauche par les personnes d’extrême droite.

Alexandra Henrion-Caude.

Pour :

  • Résistante de la première heure.
  • Extrêmement populaire auprès des résistants et très écouté.
  • Une mine de savoir.
  • Sincère, honnête et lumineuse.

Contre :

  • C’est une scientifique pas une politique, son domaine c’est la science.
  • Trop humaine (peut-être trop fragile pour encaisser les coups).
  • Clivante par sa foi qu’elle ne cache pas et peut choquer certains.

Francis Lalanne.

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire.
  • Sincère, honnête et passionné.
  • Humain (trop ?).

Contre :

  • Clivant par son passé de gilet jaune.
  • Ne laisse pas indifférent souvent adulé ou détesté.
  • Peut-être trop sensible.

Florian Philippot.

Pour :

  • Est sur le terrain de la résistance depuis des mois qu’il vente ou qu’il neige.
  • Veut être leader.
  • Populaire.
  • Sait parler au peuple et galvaniser des troupes.
  • Très présent sur les réseaux sociaux et très suivi.
  • N’a pas peur de prendre des coups.
  • Expérience politique.

Contre :

  • Clivant par son passé d’extrême droite.
  • Passé de non-résistant pro masque et pro confinement.
  • Expérience politique.

Silvano Trotta.

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire auprès des résistants et très écouté.
  • Très présent sur les réseaux sociaux et très suivi.
  • Incorruptible et indestructible.
  • Une mine de savoir.
  • Ne rechigne pas à la besogne.
  • Ne semble pas vouloir de ce rôle.

Contre :

  • Ne semble pas vouloir de ce rôle.
  • Discrédité par certains à cause de ses positionnements autres (Ovni,…), mais toujours debout fidèle au poste.

Martine Wonner.

Pour

  • Résistante de la première heure.
  • Sincère et intègre.
  • Populaire.
  • Veut bien du rôle de leader.
  • Expérience politique.
  • Pas extrémiste.
  • Toujours debout malgré les attaques violentes.
  • Ils n’ont ni réussi à l’acheter ni à la détruire.

Contre

  • Pas encore totalement positionnée (ou sous-médiatisée) sur son rôle de leader.
  • Relativement peut présente médiatiquement.
  • Pas de groupe Telegram (que je connaisse), pas de chaîne TV d’envergure ni de live réguliers.
  • Pas encore un phare incontournable dans la nuit.
  • Clivante par son passé de femme politique même si sa carrière est récente.
  • Discours un peu trop policé (politique) qui peut être anxiogène pour certains.

Il y en a probablement d’autres, mais si je ne les cite pas c’est soit que je ne les vois pas comme leader soit qu’ils ne le sont pas encore.

En tous les cas, j’imagine mal nous en sortir sans un leader ou une forme de gouvernance collégiale de plusieurs leaders qui se coordonnent pour nous fédérer et lancer des actions concrètes et massives de lutte contre la dictature.
Nous sommes trop nombreux à dire que nous devons nous unir et au final ne pas le faire.

Nous avons besoin d’une coordination des forces.
Nous avons besoin d’un leader de la résistance, d’un porte-parole pour nous mener à la victoire, quitte à le guillotiner s’il faut après la libération !

Merci

Alain Tortosa.

15 octobre 2021. https://7milliards.fr/tortosa20211015-petite-annonce-cherche-leader.pdf




L’étude foireuse de Véran pour s’autojustifier

[Source : pgibertie.com]

Epi-Phare — des questions à poser sur la fameuse étude de Véran qui justifie Véran

… Covid-19 : une étude française confirme l’efficacité des vaccins sur plus de 22 millions de personnes

Fait sans précédent, ces deux analyses ont été réalisées sur un total de 22,6 millions de personnes. Ce sont « les études épidémiologiques analysant l’efficacité “en vie réelle” des vaccins qui portent sur le plus grand nombre de personnes dans le monde », souligne Antoine Flahault, professeur d’épidémiologie et directeur de l’Institut de santé globale à Genève. « Les études israéliennes sur le sujet, elles, ont inclus près de 6,5 millions de participants, les études britanniques 2,6 millions et les études nord-américaines 3,4 millions », précise l’épidémiologiste suisse.

Une étude  chez 15,4 millions de personnes âgées de 50 à 74 ans (7,7 millions vaccinées comparées à 7,7 millions non vaccinées) l’autre chez 7,2 millions de personnes âgées de 75 ans et plus (3,6 millions vaccinées comparées à 3,6 millions non vaccinées). Les deux cohortes ont été suivies jusqu’au 20 juillet 2021.

Une presse d’investigation se serait posée la question des conflits d’intérêt : Véran justifiant Véran  et surtout elle aurait lu l’étude

Il me semble utile de poser quelques questions sur la fiabilité de l’étude.

1) Il n’est pas vrai que la totalité des Français de plus de 50 ans soient incorporés dans cette étude et nous ne pouvons que le regretter…

L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200000

Ils auraient inventé un million d’habitants…

https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/france/structure-population/population-ages/

https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381474

Pour les 50 à 75 ans , ils en étudient 15,4millions, l’INSEE en compte 21M soit …

Ce serait donc plus de 85% des plus de 50 ans  en France qui auraient été suivis depuis le 11 février et jusqu’au 20 juillet , pour moitié  non vaccinés pour une autre moitié  à partir de la première dose

2) Toutes les hospitalisations covid n’ont pas été prises en compte

Un total de 26000 hospitalisés depuis  le 11 février  jusqu’au 20 juillet pour cause de covid selon l’étude

Au cours de cette même période selon Geodes nous en obtenons huit fois plus  pour les catégories concernées : 80% des hospitalisations covid ont disparu…

La Drees nous a habitué à des choix sélectifs et l’ont ne peut que s’en inquiéter.

Nous constatons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte pour les vaccinés , nous pouvons être certains qu’au moins 90%  des hospitalisés Covid ont été testé covid via un test pcr, mais ils ne doivent être que 60% des hospitalisés non vaccinés à être certifiés covid.

3) En réalité il n’y a pas eu de suivi de tous les Français de plus de 50 ans

mais des « appariements de vaccinés et non vaccinés pouvant être utilisés plusieurs fois, un non-vacciné servant  ensuite après la vaccination comme vacciné dans la poursuite de l’étude.

L’étude reconnait les appariements.

Les groupes « vaccinés » et « non vaccinés » ont été constitués, en appariant chronologiquement (du 27
décembre 2020 au 30 avril 2021) chaque sujet vacciné à un sujet non vacciné à la date de vaccination (ou
date index) de mêmes âge, sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans
PUI (pharmacie à usage intérieur)). Les personnes vaccinées et non vaccinées ont été suivies de la date
de vaccination jusqu’au 20 juillet 2021.

Nous retrouvons les même défauts dans une étude israélienne, la même opacité des données  avec plusieurs biais évidents :

Le biais chronologique reconnu de l’étude israélienne : risque de mettre dans le même couple un vacciné et un non vacciné  mais pour des périodes chronologiques différentes , les non vaccinés sont très nombreux pour les groupes âgés en pleine pandémie ( février mars  avril) et sils seront très exposés à la maladie. Si on les compare à un nombre équivalent de vaccinés  en mai ou juin , les vaccinés tomberont moins malades non parce qu’ils sont vaccinés mais parce que la pandémie est terminée…

Ils nous garantissent bien un appariement chronologique entre le 27 décembre et le 30 avril …Je veux bien mais il y a un os.

Très concrètement parlons des vaccinés Pfizer suivis après le 14e jour  post deuxième dose. Il y en a beaucoup parmi les plus de 75 ans après le mois de mai , qu’ils en aient trouvé  1M700 000 n’est pas difficile. Mais pour trouver un nombre équivalent de non vaccinés, il y a un os dans le yaourt…

Mais à qui feront ils croire qu’ils ont pu suivre un nombre équivalent  de plus de 75 ans  non vaccinés et de vaccinés après le 30 avril ? ….Au début mai il n’y avait en France que 1,5 millions de plus de 75 ans  , et leur nombre n’ a cessé depuis de diminuer…

À moins d’inventer un million de plus de 75 ans non vaccinés, l’étude était impossible à réaliser pour cette période faute d’effectifs

À moins de ne pas respecter l’appariement chronologique et de comparer ce qui ne l’est pas , des vaccinés

Merci de me rassurer.

Reprenons donc l’étude en attendant des précisions sur les comparaison s à long terme qui me posent problème.

Plus de 75 ans : le risque  d’hospitalisation réduit des deux tiers.

Non=vaccinés 5 471 / 3 645 744 (0.15 %)
Vaccinés à partir de la première dose 1 540 / 3 645 744 (0.04 %)

Pour les 50 74 ans Le risque d’hospitalisation  réduit de moins des deux tiers   et seulement de moitié avec moderna :

Non-vaccinés 13 223 / 7 754 912 (0.17 %)
Vaccinés après la première dose 4 317 / 7 754 912 (0.06 %)

On nous dit qu’il ne s’agit que des hospitalisations covid  Rien donc sur l’ensemble des hospitalisations qui auraient pu nous interpeler sur les effets secondaires. Cependant entreau cours de la deuxième semaine qui suit la première inoculation il se passe quelque chose d’étrange

Suivi du 7e jour jusqu’au 13e jour après la 1re dose :

Moderna

Non-vaccinés 139 / 288 795 (0.05 %)
Vaccinés 179 / 288 795 (0.06 %)

Pfizer

Non-vaccinés 1 926/ 2 823 965 (0.07 %)
Vaccinés 1 234 / 2 823 965 (0.04 %)

Il n’y a aucune différence [franche] entre vaccinés et non-vaccinés.

Une protection liée à la vaccination de un à trois pour les hospitalisations semble cohérente avec des statistiques d’autres pays.

Pour arriver à un à neuf il faut s’appuyer sur des comparaisons post deuxième doses qui butent sur des impossibilités démographiques étudiées plus haut.

CE QUE L’ON POUVAIT ATTENDRE.

Si l’on applique  la règle Véran ( le vaccin réduit la mortalité de 90% on tombe alors sur des absurdités statistiques). En effet sans le vaccin il faudrait multiplier par dix le nombre de morts vaccinés  pour avoir le nombre de décès évités

Sans le vaccin , cet été la France aurait eu plus de mort que l’hiver dernier avec deux fois moins de cas … Impossible

Israël et le Royaume Uni auraient dû avoir  depuis mars   trois fois plus de décès que n’en ont enregistré les statistiques de ces pays , bien plus que cet hiver

DEUX POSSIBILITES

  1. L’étude est truandée
  2. La France est protégée par Jupiter

Voir la démonstration par l’absurde sur Twitter  par un biologiste dissimulé par le pseudo Mounotella.

L’équipe de France Soir met en évidence d’autre biais :

Epi-phare, une étude d’auto-validation du ministre de la Santé (francesoir.fr)


[Source : francesoir.fr]

Epi-Phare, une étude d’auto-validation du ministre de la Santé

Une si petite chose, et tant d’effets
Pixabay

Auteur(s) : Pierre Chaillot, statisticien, Vincent Pavan, mathématicien, et Xavier Azalbert, pour FranceSoir

ANALYSE — Ce lundi 11 octobre, le groupement Epi-Phare a publié deux études affirmant que « la vaccination est efficace à plus de 90 % pour réduire les formes graves de Covid-19 chez les personnes de plus de 50 ans en France ». Cette étude sort à quatre jours des discussions au Sénat sur la vaccination obligatoire en France. Depuis près de 18 mois, les experts nous vantent les mérites des études randomisées en double aveugle publiées après revue par les pairs dans des journaux indépendants sans que les auteurs n’aient de lien d’intérêt. Le canon de la science nous dit-on, malgré le fait que nous avons dû faire face à une nouvelle maladie qui aurait dû entraîner au sein de la loi d’urgence des « décisions adéquates ». Les études définies comme « best practice » font l’objet de protocoles enregistrés (clinicaltrials.gov ou bien Prospero) afin de s’assurer que celles-ci respectent les normes et règles établies. Le lecteur de cette dernière étude ne pourra donc qu’être surpris de l’absence de déclaration préalable de cette étude ou de l’absence de revue par les pairs. Le « deux poids, deux mesures » dénoncés par bien des scientifiques lors des derniers mois prend toute sa mesure avec cette nouvelle étude qui s’apparente plus à une autoévaluation ou auto-validation du ministre de la Santé Olivier Véran. Avant de rentrer dans les biais méthodologiques, les travers de cette étude au niveau macro sont nombreux : absence de revue par les pairs, non-déclaration préalable, lien entre Epi-phare, l’ANSM et le ministère de la Santé, sans parler de l’absence de validation ou calibration au réel en comparant à d’autres pays.

Transparence

L’étude Epi-Phare mesure-t-elle vraiment l’impact de la vaccination ?

La méthodologie d’Epi-phare est sensiblement la même que celle utilisée pour Israël dans l’étude de Dagan et al, dont la critique a été faite dans l’article « A-t-on encore le droit de questionner la politique vaccinale ? » Elle utilise le même type de données, les mêmes outils d’analyses, porte donc les mêmes biais et arrive aux mêmes conclusions. Les résultats dépendent entièrement de la manière dont ont été remonté les hospitalisations et décès liés à la Covid-19.

Cette étude montre seulement que les vaccinés ont 90 % moins de chance d’être déclarés malades de la Covid-19 ou décédés de la Covid-19. Rien ne nous montre que les vaccinés sont réellement moins hospitalisés ou décédés que les non-vaccinés. Il serait pourtant très simple de vérifier si la vaccination a un impact positif sur la santé.

La méthode volontairement borgne, biaisée d’emblée

La méthode de cette étude est décrite en page 7 ou 8 selon l’une ou l’autre des deux études : La cohorte de sujets vaccinés a été identifiée à partir de la base des données nationales pseudonymisées VAC-SI mise en œuvre par l’Assurance maladie. Ces données ont été couplées au Système national des données de santé (SNDS) afin de décrire leurs caractéristiques sociodémographiques et leurs comorbidités ainsi que d’identifier la cohorte de sujets non vaccinée.

Cela signifie que l’étude peut suivre tous les événements intéressants des vaccinés et non vaccinés intervenant à l’hôpital et les comparer.

Les événements d’intérêt (hospitalisation pour COVID, décès survenant au cours de l’hospitalisation pour COVID-19) ont été définis à partir des données d’hospitalisation du Programme de médicalisation des systèmes d’information (PMSI) Fast Track collecté et restitué par l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH).

Cela signifie que seuls les évènements déclarés comme liés à la Covid-19 seront analysés. C’est un énorme biais.

En premier lieu, comme il a été montré dans la dernière revue des statistiques de la DREES, les non-vaccinés sont bien plus souvent testés que les vaccinés (pass sanitaire oblige). Ainsi, un non-vacciné a beaucoup plus de chance d’avoir un test positif qu’un vacciné.

Rappelons ici que la Haute autorité de santé considère que la spécificité des tests Covid-19 est de 98%. Ainsi, jusqu’à 2 % de faux positifs peuvent être comptabilisés. Tester massivement les non-vaccinés qui ne sont pas malades va nécessairement entraîner des comptages de faux positifs qui seront rangés dans la case « asymptomatique ». Si on testait tous les millions de petits garçons français avec un test de grossesse, on en trouverait forcément quelques-uns de positifs. Avec la nouvelle logique Covid, il faudrait donc les déclarer en « grossesse asymptomatique ».

Ainsi, tous ces non-vaccinés, surtestés et donc positifs par le hasard des choses, vont voir leurs évènements indésirables classés en « Covid ». Biaisant ainsi tous les résultats statistiques.

De plus, dans cette dernière critique sur les statistiques de la DREES, il a été montré que les non-vaccinés sont beaucoup plus souvent inscrits à l’hôpital dans la case Covid-19 que les vaccinés, même sans test positif de confirmation.

Chacun peut vérifier que dans le tableau 1 de sa dernière étude, la DREES informe des entrées à l’hôpital, soins critiques et décès pour cause Covid-19, selon le statut vaccinal et la présence d’un test RT-PCR positif. Ainsi, sur la période du 30 août au 5 septembre, 619 personnes ont été déclarées décédées de la covid-19 à l’hôpital. Parmi elles, 466 étaient non vaccinées et 130 avaient une vaccination complète. Étonnamment, seuls 61% des non-vaccinés déclarés décédés de la Covid avaient bien un test positif (286/466) contre 92% des vaccinés (119/130).

Cette étude d’Epi-Phare n’est pas une étude randomisée. Il ne s’agit pas d’un groupe d’étude et d’un groupe de contrôle choisis au hasard et portant des caractéristiques similaires. Cette étude est construite à partir de données administratives médicales. Il n’y a donc absolument aucun contrôle scientifique préalable sur leur qualité. Personne ne sait si la déclaration « hospitalisation Covid-19 » ou « décès Covid-19 » est sans biais relatif au statut vaccinal. Les statistiques semblent plutôt révéler un biais en accord avec des pressions politiques ou financières, comme nous avons pu le voir sur l’aspect « surdéclaration » expliqué dans cette vidéo ou l’étrange répartition géographique expliquée dans cet article.

Ainsi, ces études d’Epi-Phare contiennent les mêmes biais de sélections que les statistiques de la DREES, il est donc normal d’y retrouver les mêmes ordres de grandeur des résultats.

Une méthodologie complexe permet de masquer les incohérences

S’il y a bien une maladie qui s’est répandue depuis 2020 dans le monde scientifique, c’est la modélite aiguë. Désormais, toute étude semble devoir s’appuyer sur des modèles. Cela a le double avantage de donner un caractère sérieux à n’importe quel résultat trivial ou même invraisemblable, tout en éliminant toute relecture par des personnes non initiées à ces cascades. Lorsqu’on a été formé à comprendre les mécanismes de ces modèles, on est souvent surpris de la distance séparant le titre de l’étude des statistiques utilisées.

Un appariement étrange vaccinés/non-vaccinés

Concernant l’étude des 75 ans et plus, les auteurs annoncent page 5 suivre une cohorte de vaccinés et une cohorte de non-vaccinés en France, représentant 7,2 millions de personnes. Il est étonnant d’avoir les données d’autant de personnes puisque l’Insee estime la population de France (donc incluant les DOM-TOM) de plus de 75 ans à 6,4 millions de personnes. Une erreur de 800 000 personnes de la part de l’institut semblerait assez improbable, surtout s’il s’agit de personnes ayant leurs données SNDS disponibles.

À la page 11, les auteurs précisent : 2 486 060 (40,5%) sujets inclus uniquement dans le groupe « vaccinés », 2 486 060 (40,5%) sujets inclus uniquement dans le groupe « non vaccinés » et 1 160 913 (19,0%) sujets initialement inclus dans le groupe « non-vaccinés » puis devenus vaccinés par la suite, et donc inclus successivement dans le groupe « non-vaccinés » puis le groupe « vaccinés ».

Ainsi, la cohorte suivie serait en réalité de 6,1 millions de personnes (et pas 7,2), dont 1,1 million comptés 2 fois.

Ce double comptage est à la fois incompréhensible et problématique. Les auteurs écrivent en page 8 : 

Afin de rendre comparable les groupes « vaccinés » et « non vaccinés », nous avons constitué des couples (1 personne vaccinée et 1 personne non-vaccinée), en appariant chronologiquement (de 27 décembre 2020 au 30 avril 2021) chaque sujet vacciné à un sujet non vacciné à la date de vaccination (ou date index) de mêmes âge (même année de naissance), sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans PUI (pharmacie à usage intérieur)). Ces informations constituent les variables d’appariement. Les sujets non vaccinés (témoins) ne pouvaient être appariés qu’à une seule personne vaccinée. Si un sujet témoin était vacciné au cours du suivi, le suivi était aussitôt arrêté pour l’ensemble du couple auquel il appartenait, puis le sujet nouvellement vacciné était de nouveau éligible pour être inclus dans la cohorte en tant que vacciné.

Ainsi, avec cette méthode, les premiers vaccinés sont très rapidement sortis de l’étude puisqu’ils ont beaucoup de chance d’être appariés à un non-vacciné qui va se faire vacciner rapidement. Dès lors, il paraît tout à fait normal que l’étude ne soit pas capable de détecter de baisse d’efficacité vaccinale, puisqu’elle se débarrasse des primo-vaccinés au fur et à mesure. Les 1,1 million de comptés 2 fois signifient que l’étude de 1,1 million des 2,4 millions de vaccinés qui n’ont pas changé de groupe s’est arrêté précocement soit 45%.

Pourtant, il est trivial de savoir qui dans toute la cohorte sera un jour vacciné. Il ne faut donc pas apparier un vacciné avec un futur vacciné pour ne pas perdre son suivi.

Des non-vaccinés en bien mauvaise santé

Les auteurs ont apparié vaccinés et non-vaccinés selon quatre critères : même âge (même année de naissance), sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans PUI (pharmacie à usage intérieur)).

Pourtant, les nombreuses études à disposition montrent que l’état de santé d’une personne est déterminant sur son risque d’être hospitalisée ou même de décéder. À la page 16 de l’étude, on apprend que les non-vaccinés sont plus souvent :

  • En situation de grande défavorisation (indice 4 et 5)
  • Fragiles
  • Alcooliques
  • Obèses
  • Diabétiques
  • Fumeurs

Précisons à ce stade que les personnes défavorisées sont le plus souvent sous-diagnostiquées, ainsi les problèmes médicaux identifiés ont une probabilité plus grande d’être sous-estimés.

Il est donc « étonnant » que l’appariement n’ait pas eu lieu également sur ce type de critère qui risque fort de biaiser les résultats.

« Nous demandons que soit réalisé un appariement cohérent avec les variables affectant le résultat. »

Au lieu d’améliorer la qualité de l’appariement, les auteurs ont décidé d’établir une méthode pour corriger les biais des covariables citées. Le modèle de Cox est censé proposer des résultats sans biais. Pour appliquer cette méthode il faut supposer que l’évènement que l’on suit (décès ou hospitalisation) résulte d’une somme de facteurs et que certaines hypothèses soient vérifiées.

Ainsi, il faut que le risque porté par chaque covariable soit constant. Le modèle ne tient pas la route si le risque d’être hospitalisé pour Covid-19 lorsque l’on est fumeur dépend de la période de l’année. Étant donné que ce risque est fortement lié à la saison (beaucoup d’hospitalisations et de décès l’hiver et très peu l’été).

« Il faut donc que soient publiées les vérifications d’hypothèses permettant de justifier le modèle. »

Ajoutons que cette régression de Cox qui additionne des facteurs de risque n’a aucun sens si on considère que les risques ne s’additionnent pas. Ainsi, pour simplifier, si on considère que le risque porté par le fait de fumer et d’être obèse à la fois, est bien plus grand que le risque d’être fumeur additionné au risque d’être obèse, ce modèle ne tient pas non plus. Pourtant, cette augmentation du risque plus forte qu’un simple cumul semble bien probable dans la vraie vie. À l’inverse, si les risque ne s’additionnent pas et que le plus grand l’emporte, par exemple, le modèle s’écroule aussi.

Une méthode sans biais pourtant facile à mettre en œuvre

Il serait extrêmement facile pour Epi-Phare de retirer le biais de sélection sur l’enregistrement « Covid ». Il suffirait de garder la même étude, mais de choisir comme évènement d’intérêt « hospitalisation » et « décès », à la place d’« hospitalisation Covid » et « décès Covid ».

Cette étude permettrait en plus d’évaluer le bénéfice total de la vaccination, rapporté à ses risques. En effet, même si nous supposions que la déclaration Covid-19 n’a aucun biais de sélection entre non-vacciné et vacciné, il reste le biais lié à l’injection en elle-même. Si jamais l’injection est associée à une augmentation de la mortalité, même faible, des plus fragiles, alors les plus fragiles sont décédés avant d’être malades de la Covid-19. On trouvera alors un taux de mortalité lié à la Covid-19 plus faible chez les vaccinés, car certains seront morts avant.

Ainsi, comme pour l’étude de Dagan et al., nous demandons que soient considérés comme évènements d’intérêt les « décès » et « hospitalisations ». Cela nous permettra de savoir si ces injections ont un réel intérêt pour la santé publique.

D’autres personnes se sont interrogées sur cette étude

Sur les réseaux sociaux, plusieurs personnes se sont employées à critiquer cette pseudo-étude, comme Patrice Gibertie sur son blog Epiphare/des questions a poser sur la fameuse étude de veran qui justifie veran.

L’analyse la plus intéressante porte sur la validation exogène de l’étude en appliquant les données à d’autres pays comme Israël ou le Royaume uni pour analyser qu’en appliquant les ratios (1/10 décès de vaccinés) de l’étude Epi-Phare au Royaume uni il y aurait donc au 15650 décès de plus de 50 ans s’il n’y avait pas eu les vaccins. La calibration au réel est une phase essentielle de toute étude rétrospective et visiblement elle a été totalement omise de l’étude Epi=Phare comme si les autres pays n’existaient pas.

Et d’un point de vue de la dépense publique et du rapport coût-bénéfice ?

Il ne fait aucun doute que, si la Covid-19 est bien une maladie hautement contagieuse et mortelle dont les vaccins protègent à plus de 90%, il devrait apparaître nettement un intérêt de ces produits pour les décès et hospitalisations toutes causes.

Rappelons que cette demande a été clairement formulée par la Cour des comptes. Dans son rapport du 22 septembre 2021, la Cour des comptes analyse les statistiques mises à disposition par le gouvernement pour « informer » sur la situation actuelle et surtout justifier sa politique

La Cour des comptes est donc bien consciente que les statistiques estampillées « Covid » n’apportent absolument aucune information sur la situation sanitaire, et ce depuis le début de cette crise. Le terme « opaque » est bien évidemment le doux euphémisme de « propagande ».

Vu les sommes actuellement engagées dans cette politique vaccinale (5,7 milliards d’euros) alors qu’est maintenu le choix de supprimer les lits d’hôpitaux (-5 700 en 2020), il est plus que temps de prouver l’intérêt de cette stratégie, sans biais.

Un gain ridicule au regard de son coût

À partir de la page 23 sont listées les différences entre vaccinés et non-vaccinés selon la méthode utilisée. Même si nous n’avions pas relevé de problème de méthode dans cette étude, il faut réaliser le piètre bénéfice révélé ici.

Pour une somme engagée de 5,7 milliards d’euros, la politique du tout-vaccinal « permettrait » de passer d’un taux de 0,31% d’hospitalisation des personnes de 75 ans et plus à 0,03%, soit de 19 000 à 2 000 (-17 000 séjours) pour 6,2 millions de personnes. Pour les 20 millions de 50-74 ans, le risque passerait de 0,05% à 0,01%, soit de 9 000 à 1000 (-8 000).

Cela fait donc 5,7 milliards dépensés pour « éviter » 25 000 hospitalisations. En comparaison l’hôpital a enregistré en 2019 11,7 millions de séjours en hospitalisation complète et 17,6 millions de journées en hospitalisation partielle. Ce 25 000 est donc complètement insignifiant sur l’activité hospitalière française (0,21%) comme le révèle la quasi-impossibilité de l’observer graphiquement.

En revanche, en 2019, les dépenses de consommation de soins hospitaliers (secteurs public et privé, hors soins de longue durée) s’élèvent à 97,1 milliards d’euros. Les 5,7 milliards dépensés représentent près de 6 % de ce budget.

Constater un tel montant d’argent public ainsi dépensé au bénéfice des grands industriels pharmaceutiques, alors que le gain que l’État s’échine à vouloir justifier n’a pas le moindre rapport avec le coût de la vaccination, n’est qu’une preuve supplémentaire qu’à aucun moment depuis 18 mois il n’a été question de santé publique.

La transparence est le socle de toute étude scientifique, permettant à tous les chercheurs de réaliser des analyses sur la même base de données publiques. Si le gouvernement est aussi sûr de lui sur l’efficacité des vaccins, qu’il permette enfin aux chercheurs indépendants d’accéder aux données. C’est normalement le fondement de toute étude scientifique de nous permettre de réaliser aussi des analyses sur la même base. Pourquoi continuer à cacher des données pseudonymisées qui d’après eux prouvent le miracle de la vaccination en sauvant de nombreuses vies ? Ouvrez enfin les accès pour que nous puissions, nous aussi, être enfin convaincus par votre politique, au lieu d’avoir à subir vos conclusions sans pouvoir les vérifier.

Jacques Attali a bien déclaré que « faire confiance doit devenir un droit de l’Homme » et Lénine que « La confiance n’exclut pas le contrôle. » 

Auteur(s): Pierre Chaillot, statisticien, Vincent Pavan, mathématicien, et Xavier Azalbert, pour FranceSoir


[Source : pgibertie.com]

Même si Pascal Praud ne le veut pas, l’étude de Véran est foireuse

Non, Mr Praud vous ne pouvez renvoyer Yvan Rioufol dans les cordes par un simple argument d’autorité. L’étude EPI-PHARE est indigne, comparable à celle menée par la call-girl américaine pour discréditer l’hydroxychloroquine et permettre l’arrêt des expériences sur la molécule.

Non M Praud vous ne pouvez renvoyer Yvan Rioufol dans les cordes par un simple argument d’autorité. L’etude EPI PHARE est indigne, comparable a celle menée par la call girl américaine pour discréditer l’hydroxychloroquine et permettre l’arret des expériences sur la molécule.

Tout comme pour le Lancet Gate les observateurs découvrent le pot aux roses en mettant en évidence des impossibilités statistiques. J’avais exposé les mêmes remarques pour une étude qui prétendait suivre via des appariements presque toute la population israélienne. Depuis le biais chronologique a été reconnu : risque de mettre dans le même couple un vacciné et un non-vacciné, mais pour des périodes chronologiques différentes, les non-vaccinés sont très nombreux pour les groupes âgés en pleine pandémie (février mars avril) et ils seront très exposés à la maladie. Si on les compare à un nombre équivalent de vaccinés en mai ou juin, les vaccinés tomberont moins malades non parce qu’ils sont vaccinés, mais parce que la pandémie est terminée…

L’étude de Mr Véran s’en défend, mais alors nous nous heurtons à des impossibilités statistiques : comment trouver des non-vaccinés en nombre suffisant en mai juin juillet ?

L’étude explose sous les incohérences ! Les données de l’Assurance Maladies et celles de Santé publique France sont en contradiction sur de multiples points avec celles de ladite étude. Vérifiez !

Si l’on applique la règle Véran (le vaccin réduit la mortalité de 90 % on tombe alors sur des absurdités statistiques). En effet sans le vaccin il faudrait multiplier par dix le nombre de morts vaccinés pour avoir le nombre de décès évités

sans le vaccin, cet été la France aurait eu plus de morts que l’hiver dernier avec deux fois moins de cas… Impossible

Israël et le Royaume-Uni auraient dû avoir depuis mars trois fois plus de décès que n’en ont enregistré les statistiques de ces pays, bien plus que cet hiver

Aux 722 décédés britanniques non vaccinés il faudrait rajouter 1700 vaccinés décédés et donc 17 000 décédés évités par le vaccin selon Véran. 20 000 MORTS au lieu de 2400… Impossible !

Vous avez lancé un appel à témoignage, nous serons des centaines d’universitaires à vous répondre sur tous les points précis, mais en attendant :

Comment expliquez-vous que cette étude qui prétend suivre 22 millions de Français sur plusieurs mois puisse y parvenir ?

Le diable se cache dans les détails :

20 % DES PLUS DE 55/74 ANS FUMENT, l’étude n’en trouve que 5 %.

10 % DES PLUS DE 74 ANS FUMENT L’ÉTUDE EN TROUVE 1 %.

Les statistiques officielles comptent 170 000 personnes prises en charge pour Parkinson dans toute la France, l’étude en trouve le double pour les plus de 50 ans.

Des différences inexplicables en plus ou en moins sont vérifiables pour le diabète ou Alzheimer.

Les groupes de non-vaccinés sont deux fois plus nombreux à ne pas être vaccinés contre la grippe. Les lecteurs de ce blog n’ignorent pas que la moitié des Covid graves sont associés à une grippe préparant le terrain à la Covid.

la différence est conséquente pour les plus de 75 ans parmi lesquels on compte 700 000 non vaccinés contre la grippe de plus dans le groupe des non-vaccinés Covid.

L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200 000

1,1 M DE VACCINES AURAIENT ÉTÉ COMPTES ET APPARIES DEUX FOIS

Au début de la période considérée 1,1 M de vaccinés contre I, 1 million de non vaccinés, mais au fur et à mesure où les non-vaccinés se font vacciner, ils deviennent dans l’étude des vaccinés et sont appariés à de nouveaux non vaccinés. Les 1,1 M de vaccinés avec lesquels ils étaient appariés sont retirés définitivement de l’étude et par conséquent cessent d’être suivis. S’ils tombent malades par la suite, au pire moment de la pandémie, cela ne sera pas pris en compte.

Étudions ce qui se passe au cours du dernier mois de ladite étude

CONTRADICTION ENTRE SANTÉ PUBLIQUE France ET L’ÉTUDE EPI-FOIRE : 600 vaccinés hospitalisés manquent à l’appel en juillet

Entre le 20 juin et le 21 juillet selon Geodes nous avons eu en tout 730 hospitalisations de plus de 75 ans

Par ailleurs selon Epi Phare l’étude se serait poursuivie avec en appariement un million de non vaccinés de cette tranche d’âge, soit a minima, tous ceux qui vivent dans le pays à ce moment-là…

Et un million de vaccinés (faciles à trouver). Mais à qui feront-ils croire qu’ils ont pu suivre un nombre équivalent de plus de 75 ans non vaccinés et de vaccinés après le 30 avril ? … Au début mai il n’y avait en France que 1,5 million de plus de 75 ans, et leur nombre n’a cessé depuis de diminuer…

Toujours selon EPI-PHARE il y aurait eu pour tous les non-vaccinés disponibles dans le pays 154 hospitalisations… On devrait en déduire que les hospitalisés vaccinés de plus de 75 ans sont 730-154 soit 576… Pas du tout ils n’en trouvent que 25

Problèmes majeurs c’est de cette période que l’on tire les enseignements sur l’efficacité à long terme des vaccins contre le Delta

En recoupant les statistiques de l’étude avec celles de la DREES, nous observons deux biais majeurs :

  • les vaccinés se font tester dix fois moins que les non-vaccinés ce qui rend impossibles les comparaisons de risques de contamination entre les deux catégories. Les études sérieuses portent sur la charge virale dans les muqueuses, elle est identique ce qui démontre que la vaccination ne protège pas de la contamination
  • nous pouvons être certains qu’au moins 90 % des hospitalisés vaccinés Covid ont été testés Covid via un test PCR, mais ils ne doivent être que 60 % des hospitalisés non vaccinés à être certifiés Covid

La sous-évaluation des vaccinés hospitalisés est donc là encore évidente !




Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison ?…

Par Alain Tortosa

Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison…
Et si je me faisais des idées, et si je m’étais pris à mon propre piège.
Et si nous vivions en démocratie, et si nos gouvernants et l’industrie étaient « bons ».
Et si les médias étaient ce qu’ils disent :
compétents, intègres, intelligents, professionnels et indépendants ?

Liberté ?

Hier j’étais encore une fois de plus en train de manifester aux cris de « liberté » et de « dictature ». Nous étions bien entendu peu nombreux au regard de la population.

Je n’avais pas l’impression que ceux qui nous dévisageaient avaient le sentiment de ne pas être libres. Ni même ceux que nous pouvons croiser (pas moi, je n’y mets plus les pieds) dans un supermarché avec un masque jusqu’au front et trois doses de « vaccin ».

Dictature ?

Voilà un mot que nous devrions bannir ou manier avec précaution comme ne manque pas de nous le rappeler les « journalistes » tous les jours. Ceci n’étant « qu’une simple marque de respect à l’égard des peuples opprimés » qui eux, vivent « vraiment » dans une dictature !

Si j’interroge nom voisin en évoquant les mots de « dictature sanitaire », il va me regarder avec des yeux exorbités comme si je lui avais annoncé avoir vu une soucoupe volante débarquer dans mon jardin.

La masse, le peuple français, ne vit pas en dictature… mais pourquoi moi oui ?

Histoire d’enfoncer encore plus le clou, j’ajouterais que je vivais déjà en dictature avant même la crise du Covid, c’est dire si je dois être complètement « allumé » aux yeux de certains.

Afin de tenter de mettre un peu d’objectivité, je vais d’abord me référer à la définition du dictionnaire.

Si l’on en croit Le Larousse, une dictature c’est un :

« Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes (junte) qui l’exercent sans contrôle, de façon autoritaire »

Tout être « raisonnable » ou « journaliste » confirmera que nous vivons bien dans une « démocratie ». Et oui, où avais-je la tête… nous avons un président élu, un gouvernement, un parlement élu, des institutions, des contre-pouvoirs, des juges « indépendants », une presse « libre » et surtout des « élections libres »… Comment pourrions-nous vivre en dic-ta-tu-re ?

Mais j’y pense, Hitler est bien arrivé au pouvoir par des élections, Pétain a bien obtenu les pleins pouvoirs par les députés, il y a aussi un parlement en Corée du Nord où le dictateur a été élu ! En fait, si on y regarde bien, quasi tous les régimes totalitaires ont des élections et un parlement, non ?

Et voilà, emporté par ma crise délirante, je me mets à oser comparer la France à la Corée du Nord ! Tout être de raison sera bien conscient que mes propos sont outranciers et frisent le ridicule…

Vous dites « Un parlement » ?

Pour autant, une démocratie existe principalement par la liberté d’expression et ses contre-pouvoirs.

Or, depuis le début de la crise, le Conseil d’État et même le Conseil Constitutionnel approuvent des lois d’exception que ledit conseil reconnaît non-constitutionnelles, mais « acceptables » au motif que nous vivons un état d’urgence, une crise « exceptionnelle » et que ces lois sont « temporaires ».

Je vous rappelle pour exemple que le « temporaire » du passe sanitaire qui est censé prendre fin le 15 novembre sera probablement reconduit jusqu’à l’été prochain « pour notre sécurité »…

Depuis le début de la prétendue crise sanitaire, les décisions sont prises en dehors de toute transparence, de tout contre-pouvoir et par un « conseil de défense ». Les lois d’urgence sont votées par un parlement qui, lorsque les décisions ne sont pas en accord avec le gouvernement, sont revotées le plus « légalement » du monde… dans l’indifférence quasi générale.

Cette « démocratie » a pour le moins un fonctionnement bien étrange. Elle donne le sentiment que TOUS les pouvoirs sont dans les mains d’un seul homme, le Président de la République, président dont nous ne savons pas précisément de qui il tient les siens.

Tout ceci serait votre définition d’une démocratie ?

L’indice de bonheur et le totalitarisme ?

Les Français semblent globalement heureux. Je ne perçois pas le moindre désespoir chez tous ces masqués, vaccinés, passe-sanités… Ils sont confinés, privés de liberté de mouvement, privés de loisirs, contraints à porter une muselière, contraints de se vacciner pour avoir le droit de vivre, mais… heureux. Nous pouvons supposer que si nous vivions en dictature ils seraient écrasés par tout ceci ?!

Et bien non !

« Le bonheur ne se mesure pas non plus à la liberté.

Je ne pense pas qu’il y avait de sondages, mais le peuple allemand semblait heureux en Allemagne pendant la période nazie (avant 1944).

Ils avaient leur ennemi commun, de quoi manger, du travail… et ils croyaient en leur leader charismatique qui allait les sauver et leur rendre leur honneur.

Un article publié par Forbes en 2008 “Chasing Happiness” (à la poursuite du bonheur), indique : “Les données révèlent que le bonheur n’est pas proportionnel au revenu moyen, au type de gouvernement — démocratie contre dictature…” »(([1] Extrait « 7 milliards d’esclaves et demain ? »))

Nous voyons donc que celui qui vit dans une dictature, mais qui n’est pas ciblé par cette même dictature pourra être aussi heureux que dans une démocratie.

Mais pourquoi ne suis-je pas comme tout le monde ? Les droits de l’homme sont pour moi une donnée non négociable alors qu’ils semblent totalement annexes pour des millions de Français.

Démocratie, liberté d’expression et censure ?

Nous vivons à ce point une période « merveilleuse » qu’il n’existe aucune censure en France. Non, non, ne riez pas ! Je ne fais que rapporter le sentiment de la masse.

Une majorité de Français adhère à la propagande et regrette que les réseaux sociaux soient si laxistes. D’aucuns pensent même que les médias classiques font une part trop belle aux « complotistes ».
Et oui !
Il n’y a de fait aucune « censure » en France, mais uniquement une chasse à la « désinformation ».

Une preuve de plus que nous vivons donc bien en démocratie pour la majorité des Français qui approuvent la suppression des « informations mensongères ». C’est d’autant plus intéressant que cette même majorité, totalement servile, se dit à la fois « Charlie » et pour la « liberté d’expression ».

Rappelons que celui qui ne suit pas la Doxa est un « ennemi du peuple », un « assassin » en puissance. Allons bon, ne pas adhérer, discuter, critiquer toutes les mesures mises en œuvre « pour notre bien » ne peut qu’être « objectivement » criminel.

Par exemple, celui qui ne met pas de masque (comme votre serviteur) et qui affirme que celui-ci est inefficace, contre-productif et dangereux va, de fait, automatiquement mettre en danger les personnes qui sont autour de lui. Il n’y a donc pas « censure » en le muselant, mais « suppression de propos dangereux ».

Le monde est à ce point délirant que l’on applaudit l’interdiction de publier sur Facebook ou Twitter à un président des États-Unis en exercice et démocratiquement élu…

Démocratie qui définit donc ce qui est vrai ou pas, acceptable ou pas, dangereux ou pas. Tout français est ainsi totalement libre de dire ce qui est autorisé par le Ministère de la Vérité.

Nous ne serions donc pas dans une « dictature qui censure la liberté d’expression », mais dans une « démocratie qui protège son peuple de personnes dangereuses ».

Et moi, naïf, qui m’obstine à nommer un tel régime une dictature. L’idée de l’État « grand frère » et bienveillant qui me protège choque profondément mes valeurs.
Éduquer, oui, mettre en garde oui, interdire non !

Les confinements ?

Étant indécrottable, je n’ai toujours pas digéré le fait d’avoir été assigné à résidence en l’absence d’accusation, de procès et de jugement. Procédé qui me semble plus présent dans un régime dictatorial qu’en démocratie…

Pour être honnête, le confinement a été plutôt agréable pour ma famille. Notre dictateur bienfaiteur a acheté notre silence (que nous devrons rembourser avec intérêts)… Et puis nous avions la chance de sortir sans les nuisances des voitures, les enfants étaient heureux de ne pas aller à l’école… Je confesse que cette période était pour moi à la fois viscéralement inacceptable et dans le même temps plutôt agréable.

Ici encore mon émoi n’était pas celui de la majorité des Français.

« Mais n’as-tu pas compris qu’à virus exceptionnel, solution exceptionnelle ? »

Ben non, quand bien même, la fin ne justifie pas les moyens !

Petit rappel des déclarations du président du conseil scientifique en juin 2020 :

« Nous assumons le fait d’avoir proposé le confinement durant les trois journées très difficiles des 12, 13 et 14  mars. Ce n’était pas notre décision, car elle appartient au politique.

Ce n’était pas une bonne décision, mais la moins mauvaise, étant donné les outils que nous avions. » 

Une autorité a dit aux Français, en dehors de toute preuve scientifique, qu’il fallait confiner ensemble malades et bien portants pour éviter le pire. Puis cette autorité leur a dit que ce confinement a sauvé des dizaines de milliers de vies. Et enfin nombreux sont celles et ceux qui croient encore à ce joli conte pour enfants.

Les catastrophes économiques, sur la santé mentale, sur la violence conjugale, sur les retards de soin ? Cela n’interpelle que les Français concernés. Pour les autres, c’était plutôt des vacances payées. Et si vous leur dites que les pays qui n’ont pas confiné ont eu moins de morts par habitant que nous, ils ne peuvent l’entendre, grâce au soutien actif de la propagande.

Alors ?

  • Si je ne m’obstinais pas à vouloir me rappeler le « liberté égalité fraternité » sur le fronton de toutes les mairies…
  • Si j’oubliais que je pouvais me prendre 135 euros d’amende juste pour être sorti de mon domicile…
  • Qu’il y avait des haut-parleurs dans la ville répétant les consignes…
  • Que des drones tournaient sur la plage au cas où un promeneur en plein hiver contaminait une mouette…
  • Ceci tandis que l’on pouvait s’entasser devant des supermarchés bondés…

Alors j’aurais peut-être pu me convaincre que nous étions en démocratie et que le confinement des personnes non malades était une « bonne » chose.

  • Aussi « bonne » que de dire aux malades de rester chez eux et de ne surtout pas se rendre chez leur médecin de famille avant d’être à l’article de la mort ?
  • Aussi « bonne » que d’interdire les médecins de prescrire ?
  • Aussi « bonne » que de « finir » les vieux au Rivotril ?

Les masques ?

Et que dire de ces « appendices naturels » ? Encore aujourd’hui je croise des centaines de personnes qui ne semblent souffrir en rien avec leur accessoire sur le nez. Après tout, ce n’est qu’un bout de tissu ou du plastique devant la bouche. Elles semblent ne présenter aucune souffrance, même si je ne peux voir leur visage.

Pire encore, elles continuent de le porter et je vois encore des cours d’école pleines d’enfants masqués alors même que le seigneur du département (préfet) a supprimé son arrêté l’obligeant à l’extérieur. Je ne supporte pas de les voir, cela me retourne les tripes à en avoir physiquement mal.

Suis-je juste un crétin d’égoïste (comme le disent les autorités ou les masqués que je croise) ? Le plus drôle avec l’affaire du masque est qu’elle a eu des débuts rocambolesques. Sans doute le seul épisode de la crise qui a débuté par une vérité « le masque ne sert à rien et est dangereux » Pour terminer en « le masque est vital pour ne pas assister à la fin du monde », masque qui demeure indispensable pour protéger les vaccinés d’un « vaccin efficace à 90 % ». L’affaire est à ce point comique que le français manipulé croit que c’est la première annonce qui était un mensonge et la deuxième une vérité.

Ici encore mon problème est que je sais lire et que je ne me contente pas d’écouter la Pravda.

  • Que dois-je faire de toutes les études publiées avant la crise, y compris des écrits de l’OMS, qui affirmaient que ce masque en population générale ne sert strictement à rien, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur ?
  • Que dois-je penser des pays qui n’ont pas masqué leur population et qui n’ont pas plus de décès ?
  • Que dois-je faire du nombre de cas qui n’a cessé d’augmenter au fil de la généralisation du port du masque ?
  • Que dois-je faire de la dangerosité du produit et du faux sentiment de sécurité qui était aussi affirmé par l’OMS ?
  • Que dois-je faire de ce nid à bactéries, de cet appendice qui augmente votre taux de CO2 et diminue votre oxygène ?
  • Que dois-je faire des troubles psychiques induits chez les bébés, les enfants et même les adultes ?
  • Que dois-je faire d’une société qui fait d’une personne en bonne santé une menace pour la vie d’autrui et dont on doit se méfier ?

De toute évidence, aucune de ces pensées ne traverse l’esprit de celles et ceux qui le portent toute la journée y compris seuls dans une voiture.

Une autorité qu’ils ne peuvent penser malveillante leur a dit qu’il fallait le porter et ils arrêteront de le porter temporairement uniquement le jour où cette même autorité leur dira qu’il n’est plus nécessaire.

Autorités qui nous ont dit que le confinement nous sauverait, puis que la distanciation nous sauverait, puis que les tests PCR nous sauveraient, puis que le masque nous sauverait, puis que le vaccin nous sauverait, puis que le passe sanitaire nous sauverait… et aujourd’hui ?

Aujourd’hui, on vous dit que la suppression en tous lieux du masque n’est pas à l’ordre du jour et que ce serait même irresponsable, alors même que 90 % des personnes à risque seraient injectées… Cela gêne-t-il ou questionne-t-il ces mêmes Français qui le portent sans colère ni révolte ?
Non, absolument pas… « C’est comme ça et c’est pas bien grave ».

Je m’aperçois de l’échec qui se dessine au fil de mon écriture… comment pourrais-je raisonnablement adhérer à la doxa et me dire que je me fourvoie depuis le début de la crise ?

Le vaccin et le passe sanitaire ?

C’est peut-être ma dernière chance de « pouvoir me réveiller, de sortir de mes délires complotistes et enfin revenir vers le bon sens ». Comment douter de la vérité sanitaire quand 100 % des politiques, médecins médiatiques, journalistes vous répètent depuis des mois que les « vaccins » sont efficaces et sans danger ? Après tout, je ne vois pas les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’ils sont presque tout injectés. OK, mais je n’ai pas vu les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’il y avait cette fameuse terrible pandémie !

Pourquoi des personnes en bonne santé, et encore plus des enfants, se feraient-elles injecter ces produits expérimentaux pour lesquels nous n’avons que quelques mois de recul ? Même la majorité des médecins corrompus reconnaît que le Covid ne touche que les personnes en mauvaise santé, aux défenses immunitaires défaillantes.

Je suis décidément sur une très mauvaise pente et je sens déjà les portes de l’enfer se refermer sur moi. Mais j’ai encore une petite chance de pouvoir revenir dans le bon chemin. Tel un éclair d’espoir, une lumière vient d’apparaître… Une étude « indépendante » vient d’être publiée en France sur l’efficacité des vaccins. Réjouissons-nous mes frères, les vaccins sont bien efficaces à plus de 90 % comme on le pensait, pour réduire les hospitalisations ! C’est une étude « indépendante » (si, si, c’est écrit sur leur site) conduite par « epi-phare », une émanation de l’ANSM (qui évalue la sécurité des médicaments pour le ministère). Je vais enfin pouvoir cesser de regarder les courbes épidémiques des pays qui ont massivement vacciné et pour lesquels nous assistons à une explosion des cas et des décès.. Et puis pourquoi irais-je chercher la petite bête comme le fait que l’étude s’arrête juste avant la remontée des décès de la 4e vague ? Ou quelle compare 3,6 millions de vaccinés à 3,6 millions de non vaccinés de plus de 75 ans alors même que plus de 75 % des personnes dans la tranche d’âge étaient vaccinés vers la fin de l’étude et que de fait il n’y avait plus suffisamment de non-vaccinés pour en trouver autant que de vaccinés. Le plus rigolo est qu’il semble que l’étude portait sur 7,5 millions de plus de 75 ans alors que la France en compterait un million de moins !
Et voilà, mes délires me reprennent, je vais chercher la petite bête au lieu de me contenter de cette simple affirmation d’efficacité.

Quand bien même le risque de s’injecter et d’avoir des séquelles graves ou de mourir ne serait que d’un sur un million, pourquoi le prendre ? Comment pourrais-je survivre à la mort de mon enfant en pleine santé si d’aventure il décédait d’une injection expérimentale ?

Vient alors le mythe de la vaccination solidaire et altruiste. Il faut que je me ressaisisse et me rappelle que le français de 2020 et 2021 est devenu so-li-dai-re !
Ça va rentrer oui ?

Je dois absolument m’empêcher de penser que même les autorités sanitaires reconnaissent et insistent sur le fait que les vaccinés sont contaminants, qu’ils doivent continuer à porter le masque et qu’ils doivent désormais prendre une troisième dose d’un produit « efficace » pour le rendre « efficace ».

Effacer de ma mémoire les pays qui ont eu un recours massif à l’injection et dont la situation est catastrophique.

Pendant ce temps, tout ce petit monde de « vaccinés » vit comme si tout ceci n’était que mythe ! Pour être honnête, ce n’est pas tout à fait vrai, la plupart ignorent totalement les faits que j’ai relatés, n’ayant qu’une unique source « d’informations ».

Mais revenons au fameux « vaccin solidaire » qui vise à injecter tous les enfants pour (officiellement) empêcher de vieux grabataires de mourir…

Qui peut croire qu’un humain s’injecterait ces poisons ou qu’il l’injecterait à ses enfants pour protéger quiconque s’il avait le sentiment que ces produits sont potentiellement dangereux ou mortels ?

Seule la publicité peut nous faire gober un truc pareil. Les injections sont purement égoïstes. POINT.

Nous avons eu dans un premier temps une petite frange de la population paniquée qui s’est vaccinée « volontairement » pour se protéger du « méchant virus ». Puis le gros de la troupe s’est fait injecter pour aller en vacances, au cinéma ou au restaurant. Croyez-vous que ces millions de Français auraient fait ces injections s’ils avaient pensé qu’il y avait un risque, même infinitésimal, pour leur propre vie ou celle de leurs enfants ? Non, ils sont à ce point crédules (j’avais ajouté « et con », mais je suis désormais politiquement correct) pour gober les mensonges de la dictature et croire ce que les médias vomissent à longueur de journée :

« Une injection expérimentale de masse inédite d’ARNm sur des sujets sains et jeunes ne présente aucun danger ni à court ni à long terme ! »

Ce monde est merveilleux.

À noter que par le passé, l’alcool, le tabac, les rayonnements ionisants, le mercure, l’amiante et j’en passe… ne présentaient aucun danger pour la santé et, qui plus est, étaient considérés pour certains comme bénéfiques, alors pourquoi pas de l’ARN messager ?!

Donc ici aussi je ne peux pas… Je suis dans l’incapacité de croire que cette injection d’ARNm sur tous les habitants de la planète permettra d’éradiquer un virus qu’ils croient dangereux et que cet acte ne présente strictement aucun danger pour la santé.

Nous, les complotistes dissidents, disposons de milliers de témoignages d’effets secondaires graves, nous disposons de centaines de témoignages sur la planète de médecins qui signalent des effets secondaires et des décès à court terme chez des enfants. Nous disposons aussi de témoignages sur les soignants menacés et interdits de faire remonter ces informations. Tous ces soignants respectés hier seraient-ils devenus soudainement fous ou menteurs ?

Mais quand bien même toutes mes objections ne seraient que délire complotiste… Pourquoi prendre le risque d’un cancer à 20 ou 30 ans pour une maladie somme toute bénigne qui ne menace que des personnes à risques spécifiques et pour laquelle il est désormais prouvé que l’injection massive n’amènera pas une immunité de masse ?

Qui est le fou, l’irresponsable ou le criminel comme certains aiment à l’affirmer ? Celui qui critique comme moi ou celui qui injecte ses propres enfants ?

Alors ?

Et moi dans tout ça ?
Je ne suis pas comme tous ces Français absents, je vis les débuts d’une vraie dictature dans laquelle la censure est « juste », dans laquelle il n’y a plus de parlement, ni même de gouvernement et encore moins de juges, mais un « conseil de défense ».
Je suis victime de discrimination, interdit de commerces, de restaurants, de cinémas, de vacances, de voyages et bientôt de travail au nom de la « sécurité ».

Je souffre, je hurle, je pleure… souffrance d’autant plus grande que je ne vois pas les endormis souffrir.
Je suis bien sûr interdit de communication avec toutes ces personnes « heureuses », les médias ne cessant de les mettre en garde contre moi le non-malade, mais pour autant potentiellement contaminateur d’idées. Je possède non pas des indices, mais des centaines de preuves que mes pensées ne sortent pas d’un chapeau, mais toute discussion est vaine et interdite. Tous ces masqués, confinés, vaccinés ne veulent surtout pas savoir… alors je suis leur con et la réciproque l’est tout autant. Ces pourritures de vérificateurs qui pleuvent sur tous les médias de toutes les grandes chaînes rient en parlant de nous les « complotistes ». Ils font de nous des débiles, des naïfs, des analphabètes ou de dangereux psychopathes d’extrême droite de la fachosphère et donc bien sûr antisémites comme il se doit. Ceci afin de bien dédouaner les « bons » Français de discuter avec nous, les « pervers manipulateurs ».

J’ai passé et je passe encore des milliers d’heures à étudier la maladie, les symptômes, les publics touchés, les traitements, les statistiques, l’efficacité de telle ou telle mesure, les « vaccins » ou les études scientifiques publiées avant ou depuis la crise.

Et pourtant ma parole a moins de crédit à leurs yeux qu’un « médecin » médiatique :

  • Qui passe sa vie sur un plateau TV.
  • Qui est allé jusqu’à approuver l’interdiction de prescrire.
  • Dont la « vérité » se résume à la vérité médiatique.
  • Qui de fait n’a pas lu la moindre étude.
  • Et, qui plus est, croule sous les conflits d’intérêts.

Dans notre monde qui a perdu toutes ses valeurs, un tel gars corrompu est crédible, car il passe dans les grands médias et a un diplôme.

Au-delà de l’injustice, au-delà de ce procès en sorcellerie, au-delà de cette interdiction qui m’est faite de discuter, d’argumenter, de prouver mon absence de folie…

Ces autorités, ces médias et ces moutons (comment les appeler autrement ?) m’ont fait un mal terrible.

ILS ont tué (ou tout du moins blessé mortellement) mon empathie ! Je confesse n’en avoir plus rien à faire de leur sort. Je suis usé, lessivé…

Ils veulent continuer à porter leur muselière jusqu’à la fin de leurs jours, vivre comme des moutons et diminuer leurs défenses immunitaires… je n’en ai plus que faire. Ils veulent prendre le risque d’avoir des effets secondaires graves à court, moyen ou long terme ou même mourir de ces injections expérimentales… Grand bien leur fasse ! Pire encore, ils ont pris la décision d’injecter leurs propres enfants dont certains sont déjà ou vont décéder pour qu’ils puissent jouer au foot… Eh bien, cela ne me fait plus rien.

J’ai fait ma part. J’ai écrit des dizaines d’articles sur la dangerosité et la totale inutilité de ces poisons. Ils veulent croire la propagande ? Ils veulent croire l’industrie pharmaceutique alors qu’elle est la plus pourrie de toutes les industries qui de plus prétend agir pour nous ?

Grand bien leur fasse !… Ils m’ont à ce point déçu. Ils ont à ce point cette volonté de mettre la tête dans le sable, de ne pas vouloir savoir… que je ne peux plus RIEN pour eux.

Je les vois tel un banc de sardines. Leur survie est purement statistique comme la survie d’une sardine l’est aussi. D’un côté nous avons (pour peu que les sardines et la masse des Français pensent) « avec de la chance, je vais survivre à l’attaque des requins » et de l’autre « avec de la chance, je vais survivre au vaccin ». Ils ne comptent que sur le faible pourcentage de risques, à leurs yeux inexistants, tout en croyant à la dangerosité de ce virus… statistiquement anodin.

C’est trop tard. Je ne peux plus être empathique. J’ai acquis la conviction que si on leur disait de marcher à quatre pattes ou qu’on les faisait monter dans des trains pour aller dans des camps « afin de se mettre à l’abri du virus », ils le feraient sans la moindre réaction.

Ma survie n’est plus que pur égoïsme pour moi et pour les miens. Tous les résistants, les personnes qui réfléchissent et doutent, nous allons finir par faire tomber cette dictature immonde qui se drape sous ses airs de « bienveillance ». Mais personnellement, et même s’ils en tireront aussi les bénéfices, je ne le fais plus du tout pour eux.
Ils ont tué cette lumière en moi et je ne suis pas prêt de leur pardonner.

Alain Tortosa

12 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211012-et-si-ils-avaient-raison.pdf




Cette révolte des peuples contre la tyrannie sanitaire dont les médias subventionnés ne parlent pas

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Edouard Husson

Les oppositions à la dictature sanitaire, qui a désormais pris la forme de la vaccination forcée, sont désormais nombreuses et répondues dans tous les pays. Il est important d’en prendre conscience car les médias subventionnés garderont le silence à leur propos tant qu’elles pourront. Peut-être l’Italie va-t-elle représenter un point de basculement, si le pays entre dans une vraie grève générale. Mais il est important de comprendre qu’aucun de ces combats n’est inutile. Ceux-ci font douter la caste au pouvoir. Ils retardent d’autant la possibilité d’imposer une vaccination universelle. Ils laissent à tous ceux qui enquêtent sur le caractère bâclé des vaccins proposés, le temps d’étayer leurs études. Nous devons être optimistes. À la fin les peuples reprendront le contrôle.

Il est 16h22 ce mardi 12 octobre 2022. Avez-vous participé, dans notre fuseau horaire, au Black Out mondial, entre 16h et 16h21, qui voulait que nous cessions de nous servir de nos appareils électriques et électroniques? Vous n’étiez pas au courant? Mais quelles sont vos sources d’information?  Vous n’en aviez pas entendu parler sur BFM TV ni dans le Monde? C’est normal. Vous devriez diversifier vos sources d’information et vous abonner à quelques canaux télégrammes où vous saurez ce qui se passe actuellement dans le monde. Car on assiste à une révolte mondiale des peuples de plus en plus marquée. Il arrivera certainement un moment où cela ne sera plus possible pour les médias subventionnés de dissimuler ce qui se passe. En attendant, proposons un tour du monde. 

La caste est inquiète : elle crie au complot

Les complotistes, dans notre monde, sont d’abord les tenants du système. Lisez bien le tweet publié hier par Madame Haim, correspondante à Washington pour divers médias subventionnés français, se sent obligés de parler de la grève, par refus de la vaccination obligatoire, qui a obligé la compagnie Southwest, la fin de semaine dernière, à annuler 2000 vols. Une grève qui continuait lundi. Il suffit de se documenter en anglais sur internet pour comprendre la gravité de la situation. Au public français, Madame Haim préfère servir sa mauvaise soupe conspirationniste: un peu de trumpisme, un peu de Qanon, et hop, voilà le spectre de l’extrême droite qui débarque. De même, franceinfotv s’est fait l’écho de la la très importante manifestation de Rome, samedi dernier uniquement sous l’angle de “l’ultradroite” et des incidents de fin de manifestation. 

En réalité, si Madame Haim faisait son travail sur ce qui se passe aux Etats-Unis, elle devrait parler de la division croissante entre Républicains et Démocrates sur le sujet de la politique sanitaire.  le gouverneur du Texas a interdit la vaccination obligatoire, y compris chez les employeurs du secteur privé. Quant à l’Italie, on peut se demander dans quelle mesure elle pourrait somber dans le chaos dans les prochains jours. 

L’Italie est-elle proche de la grève générale?

Le compte twitter @AnonymeCitoyen fait un énorme travail d’information de même que de nombreux canaux Telegram. Son animateur juge anormal que les médias subventionnés ne rapportent pas les faits. Mais il s’agit d’un fait bien établi: sinon, ils n’auraient pas besoin de subvention pour survivre, puisqu’ils draineraient assez de lecteurs ou d’auditeurs. Alors, oui, il vaut mieux s’informer aujourd’hui sur les réseaux sociaux. Et constater que la presse étrangère est souvent moins verrouillée que les médias français établis. La presse italienne, en tout cas, commence à devoir parler de la situation très instable dans le pays. 

Pour la seule journée d’hier, Alitalia a été obligée d’annuler 127 vols. Les lignes du métro de Rome ont été profondément perturbées. Des manifestations fournies ont eu lieu  dans une quarantaine de villes qui ont rassemblé 100 000 personnes dans toute l’Italie. De façon significative, les manifestations s’emparent aussi du sujet des augmentations du prix de l’énergie. Et à Piacenza, un entrepôt d’Amazon a été bloqué. Un million de personnes se sont mises en grèves. 

Ce matin 12 octobre, le port de Gênes était bloqué par les dockers et les routiers. Le port de Trieste était menacé du même sort. Et le bilan social de la journée devrait être équivalent à celui d’hier. 

On est à J-3 du pass sanitaire obligatoire dans toutes les entreprises du pays. Or il y a encore des milliers de policiers non vaccinés et qui ne pourront pas prendre part au maintien de l’ordre puisqu’il refuse de se faire vacciner. Un syndicat de police a voulu rencontrer la ministre de l’Intérieur, Luciana Lamorgese. Mais elle n’a pas daigné même envoyer un message.  le pays risque-t-il de sombrer dans le chaos vendredi? 

Résistances à travers le monde : pourquoi elles sont utiles

Quand on prend l’habitude se s’informer hors des médias subventionnés, en particulier français, on prend conscience de la multiplication des points de résistance dans la monde. 

Depuis deux semaines, on a recensé des manifestations contre le pass sanitaire ou la vaccination obligatoire, en Belgique, aux Pays-Bas, en Slovénie, en Israël, en Suisse, en France. Dans notre pays, non seulement les manifestations du samedi continuent mais l’outre-mer est largement mobilisé : AntillesGuyane, Polynésie, Nouvelle Calédonie. 

Un point particulier de fixation a été, ces dernières semaines, l’Australie, celui des pays occidentaux où, sans doute, les attaques du gouvernement contre les Principes du Droit (rule of law) ont été les plus fortes, avec des gouvernements d’Etats poursuivant brutalement un objectif de “Zero Covid” et testant des systèmes de quarantaine surveillée. Des manifestations ont eu lieu qui ont été l’occasion d’une répression policière contestée (en particulier à Melbourne) mais aussi le refus d’une partie de la police d’appliquer les mesures gouvernementales de répression mais aussi la vaccination obligatoire

Bien entendu, les pessimistes souligneront les effets de la coercition – l’acceptation de la vaccination par une majorité de la population. Mais c’est oublier que ce qui se joue n’est pas seulement la vaccination 2021, c’est le risque d’être enfermé dans un système de vaccination récurrente. C’est la généralisation de la vaccination obligatoire. Au moment où je finis cet article, une foule de quelques centaines de personnes s’est rassemblée devant le Sénat, à Paris, pour rappeler aux sénateurs qu’il ne s’agit pas de faire rentrer par la fenêtre le rejet de l’obligation vaccinale qui a eu lieu en Commission le 6 octobre 2021. 

Et puis rappelons-nous qu’un grand nombre de pays, à commencer par l’Inde et des pays africains, sont en train d’apporter la preuve qu’il est possible de vaincre l’épidémie de Covid sans vaccins – par exemple avec l’Ivermectine. Or l’industrie pharmaceutique souhaiterait y imposer des politiques de vaccination généralisée. Résister dans nos pays – en particulier contre les poussées vers la vaccination des enfants – est essentiel pour faire gagner du temps et permettre aux personnes qui font ressortir les effets secondaires graves de vaccins bâclés de gagner en audience. 




« Je n’en peux plus »

[Source en allemand : multipolar-magazin.de]

Dans une lettre ouverte, un collaborateur d’ARD critique un an et demi de reportages sur la Covid-19. Ole Skambraks travaille depuis 12 ans comme collaborateur éditorial et rédacteur en chef de la radio publique.


Par OLE SKAMBRAKS

Je ne peux plus me taire. Je ne peux plus accepter sans mot dire ce qui se passe depuis maintenant un an et demi chez mon employeur, la radiodiffusion de service public. Les statuts et les traités d’État sur les médias consacrent des éléments tels que « l’équilibre », la « cohésion sociale » et la « diversité » dans la couverture médiatique. C’est tout le contraire qui se pratique. Il n’y a pas de véritable discours et d’échange dans lequel toutes les composantes de la société se retrouvent.

Dès le début, j’ai estimé que la radiodiffusion de service public devait remplir précisément cet espace : promouvoir le dialogue entre les partisans de l’action et les critiques, entre les personnes qui ont peur du virus et les personnes qui ont peur de perdre leurs droits fondamentaux, entre les partisans de la vaccination et les sceptiques de la vaccination. Mais depuis un an et demi, l’espace de discussion s’est considérablement rétréci.

Les scientifiques et les experts respectés avant la Covid-19, qui ont reçu un espace dans le discours public, sont soudainement des cinglés, des porteurs de chapeaux d’aluminium ou des covidiots. L’exemple cité est celui de Wolfgang Wodarg. Il est médecin spécialiste, épidémiologiste et politicien de longue date en santé. Jusqu’à la crise Covid, il a également siégé au conseil d’administration de Transparency International. En 2010, en tant que président de la commission de la santé publique du Conseil de l’Europe, il a mis au jour l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la pandémie de grippe porcine. À l’époque, il pouvait exprimer personnellement son opinion à la radio publique, et ce n’est plus possible depuis la Covid-19. Il a été remplacé par ce que l’on appelle des vérificateurs de faits [ou « fact checkers » en anglais] qui le discréditent.

Un consensus paralysant

Au lieu d’un échange de vues ouvert, un « consensus scientifique » a été proclamé, qu’il convient de défendre. Ceux qui en doutent et réclament une perspective multidimensionnelle sur la pandémie récoltent l’indignation et l’hésitation.

Ce schéma fonctionne aussi au sein des rédactions. Depuis un an et demi, je ne travaille plus dans les actualités quotidiennes, ce dont je suis très heureux. Dans ma position actuelle, je ne participe pas aux décisions sur les questions qui seront traitées ni sur la manière dont elles le seront. Je décris ici ma perception des conférences de rédaction et d’une analyse de la couverture médiatique. Pendant longtemps, je n’ai pas osé sortir du rôle d’observateur, le prétendu consensus semblait trop absolu et à l’unisson.

Depuis quelques mois, je m’aventure sur la glace [au risque de glisser] et j’apporte ici et là une remarque critique lors de conférences. Il est souvent suivi d’un silence affecté, parfois d’un « merci pour l’indication » et parfois d’une leçon sur les raisons pour lesquelles ce n’est pas vrai. Cela n’a jamais donné lieu à des reportages.

Le résultat d’un an et demi de Covid-19 est une division de la société sans équivalent [dans l’Histoire]. La radiodiffusion de service public y a largement contribué. Elle assume de moins en moins sa responsabilité de construire des ponts entre les camps et de promouvoir les échanges.

On avance souvent l’argument selon lequel les critiques constituent une petite minorité qui n’a pas besoin d’être concertée, à qui il ne faut pas accorder trop de place pour des raisons de proportion. Cela devrait être réfuté au plus tard depuis le référendum en Suisse sur les mesures sanitaires. Bien qu’il n’y ait pas non plus d’échanges de vues libres dans les médias, le vote n’y a été que de 60 pour le gouvernement contre 40.(([1] L’exception était la couverture du référendum, pendant laquelle la télévision suisse était tenue de donner aux deux parties la même place de diffusion (vidéo ici) )) Peut-on parler d’une petite minorité à 40 % des suffrages exprimés ? Il convient de mentionner que le gouvernement suisse avait lié l’aide Covid au vote, ce qui a pu influencer la décision de certains de cocher le « oui » [en faveur du gouvernement].

Les développements de cette crise se déroulent à tant de niveaux, avec des répercussions sur toutes les composantes de la société, qu’en ce moment même, il faut non pas moins d’espace de débat, mais plus de liberté de débat.

Ceci n’est pas révélateur de tout ce qui est discuté à la radio publique, mais de ce qui n’est pas évoqué. Les raisons en sont multiples et nécessitent une analyse interne honnête. Les publications du chercheur en médias et ancien conseiller de la radio MDR Uwe Krüger peuvent y contribuer, comme par exemple son livre « Grand public — Pourquoi nous ne faisons plus confiance aux médias ».

Quoi qu’il en soit, il faut beaucoup de courage pour nager à contre-courant lors de conférences où des sujets sont débattus et discutés. Souvent, c’est celui qui est le plus éloquent qui peut présenter ses arguments, qui les imposent, et en cas de doute, c’est bien sûr la direction de la rédaction qui décide. Très tôt, l’équation a été que la critique des mesures sanitaires appartient au spectre de droite. Quel rédacteur en chef ose encore formuler une pensée contraire ?

Questions en suspens

Ainsi, la liste des incohérences et des questions en suspens qui n’ont pas reçu de rapports substantiels est très large :

  • Pourquoi en savons-nous si peu dans la recherche de « gain de fonction » sur la façon de rendre les virus plus dangereux pour l’homme ?
  • Pourquoi la nouvelle loi sur la protection contre les infections stipule-t-elle que le droit fondamental à l’intégrité physique et l’inviolabilité du logement peuvent désormais être restreints, indépendamment d’une situation épidémique ?
  • Pourquoi les personnes qui avaient déjà eu la Covid-19 doivent-elles se faire vacciner alors qu’elles sont au moins aussi bien protégées que les personnes vaccinées ?
  • Pourquoi ne parle-t-on pas de l’événement 201 et des exercices pandémiques mondiaux avant la propagation du SRAS-CoV-2 ou seulement en liaison avec des mythes conspirationnistes ?(([2] Les autres exercices d’urgence pandémique étaient « Clade X » (2018), « Atlantic Storm » (2005), « Global Mercury » (2003) et « Dark Winter » (2001). Ces exercices ont toujours porté sur la gestion de l’information.))
  • Pourquoi le document interne du ministère fédéral de l’Intérieur, connu des médias, n’a-t-il pas été publié dans son intégralité — et a-t-il été discuté par l’opinion publique ? — alors qu’il demandait que les autorités aient un « effet de choc » pour mettre en évidence les effets de la pandémie Covid sur la société humaine ?
  • Pourquoi l’étude du Professeur Ioannidis sur le taux de survie (99,41 % chez les moins de 70 ans) n’arrive-t-elle pas à faire les gros titres, alors que les projections fatalement fausses de l’Imperial College l’ont déjà fait (Neil Fergusson a prédit un demi-million de morts de la Covid-19 au Royaume-Uni au printemps 2020 et plus de 2 millions aux États-Unis) ?
  • Pourquoi un rapport d’expertise a-t-il été établi pour le ministère fédéral de la Santé que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients de Covid-19 n’était que de 2 % en 2020 ?
  • Pourquoi Brême a-t-elle de loin l’incidence la plus élevée (113 le 4/10/2021) et de loin le taux de vaccination le plus élevé en Allemagne (79 %) ?
  • Pourquoi des paiements de 4 millions d’euros ont-ils été versés sur un compte familial de la commissaire européenne chargée de la santé, Stella Kyriakides, responsable de la conclusion des premiers contrats européens de vaccins avec les groupes pharmaceutiques ?(([3] Panorama a fait état des paiements, mais le rôle des Kyriakides dans les contrats de vaccin anti-Covid n’a pas été clairement indiqué. Pour le reste, le sujet n’a pas eu beaucoup d’importance dans les médias.))
  • Pourquoi les personnes ayant de graves effets vaccinaux ne sont-elles pas dépeintes dans la même mesure qu’en 2020 les personnes atteintes de Covid-19 l’étaient ?(([4] Par exemple, la radio publique n’a guère parlé du musicien britannique Eric Clapton, qui a développé de vives réactions après la vaccination et qui les regrette aujourd’hui.))
  • Pourquoi personne ne s’inquiète-t-il de l’impropre comptage des « cas » de contamination ?(([5] Selon l’ICR, il y a un « cas » si un vacciné présente à la fois un test positif et des symptômes — pour les personnes non vaccinées, un test positif suffit. De cette manière, les personnes non vaccinées sont statistiquement plus importantes.))
  • Pourquoi les Pays-Bas signalent-ils beaucoup plus d’effets indésirables des vaccins Covid-19 que les autres pays ?
  • Pourquoi la description de l’efficacité des vaccins Covid-19 du côté de l’Institut Paul Ehrlich a-t-elle changé trois fois au cours des dernières semaines ? « Les vaccins Covid-19 protègent contre les infections par le virus SRAS-CoV-2. » (15 août 2021) « Les vaccins Covid-19 protègent contre toute infection grave par le virus SRAS-CoV-2 » (7. « Les vaccins Covid-19 sont indiqués pour l’immunisation active pour la prévention de la maladie de Covid-19 causée par le virus SRAS-CoV-2 » (27 septembre 2021)(([6] sous la rubrique « Liste des vaccins autorisés » ; éditions de sites web précédents de PEI accessibles via les archives Internet Wayback Machine (ici, ici, et ici).))

Je voudrais aborder quelques points en détail.

« Gain de fonction » et « Fuite de laboratoire »

En ce qui concerne la recherche sur le gain de fonction — c’est la recherche pour rendre les virus plus dangereux, ce qui a été pratiqué à l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, et financé par les États-Unis — je n’ai rien entendu ni lu de substantiel à ce jour. Cette recherche a lieu dans ce que l’on appelle les laboratoires P4, où l’on travaille depuis des décennies à la manière dont les virus présents dans le règne animal peuvent être modifiés pour devenir dangereux pour l’homme. Jusqu’à présent, ARD et ZDF ont fait un grand pas en avant sur cette question, alors qu’il faut clairement discuter de cette question. Une première question à débattre pourrait être, par exemple, la suivante : voulons-nous, en tant que société, une telle recherche ?

La théorie de la fuite du laboratoire — c’est-à-dire l’hypothèse que le SRAS-CoV-2 est issu d’un laboratoire — a fait l’objet de nombreux rapports. Il convient de mentionner que cette question a été immédiatement qualifiée de mythe conspirationniste l’année dernière. Les médias alternatifs qui ont suivi cette piste ont été bannis des réseaux sociaux tels que YouTube et Twitter et les informations ont été supprimées. Les scientifiques qui ont exprimé cette thèse ont été massivement attaqués. Aujourd’hui, la théorie de la « fuite du laboratoire » est au moins aussi plausible que la transmission par une chauve-souris. Le journaliste d’investigation américain Paul Thacker a publié dans le British Medical Journal les résultats de ses recherches minutieuses. À ce sujet, le Dr Ingrid Mühlhauser, professeur de sciences de la santé à l’Université de Hambourg, écrit :

« Pas à pas, il montre [Thacker] comment les opérateurs d’un groupe de laboratoires américain développent de manière ciblée une théorie du complot pour masquer leur accident de laboratoire à Wuhan comme un complot. Le mythe est soutenu par des magazines prestigieux comme le Lancet. Les journalistes scientifiques et les prestataires de services de vérification des faits prennent en charge les informations sans réfléchir. Les scientifiques impliqués se taisent de peur de perdre du prestige et du soutien pour leur recherche. Facebook bloque pendant près d’un an les messages qui remettent en question l’origine naturelle du SRAS-CoV-2. Si la thèse de l’accident de laboratoire était confirmée, ZDF et d’autres médias auraient défendu les mythes conspirationnistes. »

Ivermectine et alternatives à la vaccination

Depuis des mois, on voit également qu’il existe des traitements efficaces et peu coûteux contre la Covid-19 qui [pourtant et officiellement] ne doivent pas être utilisés. Les données à ce sujet sont claires. Mais les campagnes pseudo-scientifiques de désinformation contre ces moyens sont révélatrices de l’état de notre médecine. L’hydroxychloroquine est connue depuis des décennies et a été utilisée des millions de fois contre le paludisme et les maladies rhumatismales. L’année dernière, elle a été soudainement déclaré dangereuse. La déclaration du président Donald Trump selon laquelle l’hydroxychloroquine est un « changement de jeu » a fait le reste pour la discréditer. La raison politique ne permettait plus une confrontation scientifique sur l’HCQ [l’hydroxychloroquine].

Tous les médias ont largement parlé de la situation catastrophique en Inde due à la prolifération du Delta au printemps (à l’époque, on parlait encore de la variante indienne du virus). En revanche, le fait que l’Inde ait maîtrisé la situation assez rapidement et que le médicament ivermectine ait joué un rôle déterminant à cet égard dans de grands États comme l’Uttar Pradesh ne valait plus la peine d’être rapporté.(([7] L’OMS a même fait l’éloge de l’État indien de l’Uttar Pradesh pour sa politique covidienne, mais sans mentionner l’ivermectine. Le taux de vaccination dans l’Uttar Pradesh est inférieur à 10 %.))

L’ivermectine est également autorisée provisoirement en République tchèque et en Slovaquie pour le traitement des patients atteints de Covid-19. C’est tout de même ce que rapporte le MDR, mais avec une connotation négative.

Dans la liste des médicaments possibles de la Bayerische Rundfunk, l’ivermectine n’est même pas mentionnée, et à l’hydroxychloroquine sont citées seulement des études négatives et non positives.

La molécule clofoctol a également démontré un bon effet contre le SRAS-CoV-2 lors des tests effectués en laboratoire au cours de l’été 2020. Jusqu’en 2005, l’antibiotique était commercialisé en France et en Italie sous les noms d’Octofene et Gramplus. À plusieurs reprises, les autorités françaises ont empêché l’Institut Pasteur de Lille de réaliser une étude portant sur des patients atteints de Covid-19. Après plusieurs tentatives, ils ont recruté le premier patient début septembre.

Pourquoi les autorités sanitaires s’opposent-elles avec véhémence aux traitements qui auraient été disponibles dès le début de la pandémie ? Pour ce faire, j’aurais souhaité des recherches d’investigation de l’ARD ! Il convient de mentionner que les nouveaux vaccins anti-Covid n’ont pu obtenir une autorisation d’urgence que parce qu’il n’existait pas de traitement officiellement reconnu pour le SRAS-CoV-2.

Il ne s’agit pas de vanter n’importe quel remède miracle contre la Covid-19. Je voudrais mettre en évidence des faits qui n’ont pas reçu l’attention nécessaire. Dès le début, le discours public a fait état de l’opinion selon laquelle seule une vaccination peut y remédier. L’OMS est même allée temporairement jusqu’à modifier la définition de « l’immunité collective » dans le sens où celle-ci ne peut être obtenue que par la vaccination et non plus par une infection antérieure comme c’était le cas jusqu’à présent.

Et si la voie empruntée était une impasse ?

Questions sur l’efficacité vaccinale

Les données des pays où les taux de vaccination sont particulièrement élevés montrent que les infections par le SRAS-CoV-2 ne sont pas rares, même chez les personnes entièrement vaccinées, mais qu’elles sont monnaie courante. Le Dr Kobi Haviv, directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem, dit que 85 à 90 % des personnes gravement malades sont doublement vaccinées dans ses soins intensifs.(([8] Voir aussi la réunion de la FDA du 17 septembre 2021, à 5:47:25))

Le magazine Science écrit en référence à tout Israël : « Le 15 août, 514 Israéliens ont été hospitalisés avec des maladies graves ou critiques de Covid-19… Parmi ces 514 personnes, 59 % étaient entièrement vaccinées. Parmi les personnes vaccinées, 87 % avaient 60 ans ou plus. » Science cite un conseiller du gouvernement israélien qui dit : « L’une des grandes histoires d’Israël est : « Les vaccins fonctionnent, mais pas assez bien ».

En outre, il est désormais évident que les personnes vaccinées ont en elles (et le répandent) autant de matériel viral de la variante Delta que les personnes non vaccinées.

Qu’en est-il de ces données en Allemagne ? — Un verrouillage spécifiquement pour les personnes non ou insuffisamment vaccinées ou : la règle 2G. La société est de facto divisée en deux classes. Les personnes vaccinées retrouvent leurs libertés (parce qu’elles ne représentent [soi-disant] aucun risque pour les autres), les personnes non vaccinées (car présentant un risque potentiel pour les autres) doivent se soumettre à des tests qu’elles sont censées payer elles-mêmes et ne reçoivent plus de paiement de salaire en cas de quarantaine. De même, les interdictions d’emploi et les licenciements dus au statut vaccinal ne sont plus exclus et les caisses de maladie pourraient imposer à l’avenir des tarifs moins favorables aux non-vaccinés. Pourquoi cette pression sur les non-vaccinés ? D’un point de vue scientifique, ce n’est pas justifiable et très dommageable sur le plan social.

Les anticorps générés par la vaccination diminuent considérablement au bout de quelques mois. Le regard porté sur Israël montre qu’après la deuxième vaccination, il y a maintenant la troisième dose pour l’ensemble de la population et que la quatrième est déjà annoncée. Ceux qui ne rafraîchissent pas la vaccination au bout de six mois ne sont plus considérés comme immunisés et perdent leur « passeport vert » (la carte de vaccination numérique introduite par Israël). Aux États-Unis, Joe Biden parle maintenant de boosters anti-Covid à injecter tous les 5 mois. Marion Pepper, immunologue à l’Université de Washington, remet toutefois en question cette stratégie. Elle a déclaré au New York Times que « la stimulation répétée des défenses de l’organisme peut aussi conduire à un phénomène appelé « l’épuisement immunitaire » ».

On discute peu du fait que l’infection naturelle peut créer une immunité nettement plus robuste. Des anticorps ultrapuissants ou une « super-immunité » ont été trouvés chez des personnes infectées par le SRAS-CoV-2 l’année dernière. Ces anticorps réagissent à plus de 20 mutations virales différentes et sont conservés plus longtemps que les anticorps générés par le vaccin.

Après tout, le ministre de la Santé, Jens Spahn, vient d’annoncer qu’une détection d’anticorps serait également autorisée. Toutefois, pour être officiellement considéré comme immunisé, une vaccination doit toujours suivre. Qui comprend cette logique ? Une interview de CNN avec le Dr Anthony Fauci, président de l’Institut national de santé (l’équivalent américain de l’ICR), illustre l’absurdité. Jusqu’à présent, les personnes ayant une immunité naturelle ne sont pas prises en considération par la politique !

Je connais un médecin qui essaie désespérément d’obtenir une réponse de la part des autorités sanitaires et de l’ICR à ce sujet : un de ses patients a un titre d’anticorps IgG de 400 UI/ml, bien plus que beaucoup de vaccins. Son infection Covid remonte à plus de six mois, donc il n’est plus considéré comme immunisé. La réponse qu’il a reçue était : « Vaccinez-le ! », ce que le médecin refuse de faire [du fait de l’immunité naturelle acquise].

Absence de compréhension journalistique de base

Le moyen de sortir de la pandémie, prôné par la politique et les médias, s’avère être un abonnement de vaccination permanente. Les scientifiques qui demandent une approche différente sur la Covid n’obtiennent toujours pas une place adéquate dans les médias publics, comme l’a montré une fois de plus la couverture médiatique parfois diffamatoire de l’action #allesaufdentisch. Au lieu de discuter avec les participants du contenu des vidéos, des experts ont été recherchés pour discréditer la campagne. Ce faisant, les justiciables font exactement l’erreur qu’ils accusent #allesaufdentisch.

Le journaliste du Spiegel Anton Rainer a déclaré dans l’interview du CES à propos de l’action vidéo qu’il ne s’agissait pas d’interviews au sens classique du terme : « En principe, on voit deux personnes se donnant raison l’une à l’autre. » J’ai eu mal au ventre après avoir écouté la couverture de ma chaîne et j’ai été totalement irrité par l’absence de compréhension journalistique fondamentale de laisser l’autre partie prendre la parole.(([9] Les rapports les plus justes viennent du BR, où, là aussi, on a débattu, mais pas seulement avec une partie. Le MDR offre sur son portail de médias une analyse complète et différenciée.)) J’ai fait part de mes préoccupations par courrier électronique aux parties concernées et à la direction de la rédaction.

Une mention classique dans les conférences est qu’un sujet est « déjà traité ». Par exemple, lorsque j’ai évoqué la très probable sous-couverture des complications vaccinales. Oui, c’est vrai, le sujet a été abordé avec l’expert de la maison qui a conclu — c’est peu surprenant — qu’il n’y avait pas de sous-couverture. « L’autre côté » est mentionné ici et là, mais très rarement sous la forme de parler réellement aux personnes qui adoptent des points de vue critiques.

Les critiques sous pression

Les critiques les plus claires doivent s’attendre à des perquisitions, poursuites, fermeture de compte, transfert ou licenciement, jusqu’à l’internement en psychiatrie. Même s’il s’agit d’opinions dont on ne partage pas les positions, cela ne doit pas exister dans un État de droit.

Aux États-Unis, on discute déjà de la question de savoir si la critique scientifique doit être considérée comme un « hate crime » (crime de haine). La Fondation Rockefeller a décerné 13,5 millions de dollars pour la censure de la désinformation dans le domaine de la santé.

Jörg Schönenborn, directeur de la télévision WDR, a déclaré : « Les faits sont des faits qui sont établis ». Si tel était le cas, comment est-il possible que des scientifiques se disputent sans cesse à huis clos et soient même profondément divisés sur certaines questions assez fondamentales ? Tant que nous ne nous en rendrons pas compte, toute hypothèse d’objectivité présumée conduira à une impasse. Nous ne pouvons que nous rapprocher de la réalité — et cela ne peut se faire que dans un discours ouvert d’opinions et de connaissances scientifiques.

Ce qui se passe en ce moment n’est pas une lutte sincère contre les « fausses nouvelles ». On a plutôt l’impression que toute information, toute preuve ou discussion contraire au récit officiel est interdite.

Un exemple récent est la vidéo objective et scientifiquement transparente de l’informaticien Marcel Barz. Lors d’une analyse de données brutes, Barz constate avec étonnement que ni les chiffres relatifs à la surmortalité, ni à l’occupation des lits, ni à l’infection ne correspondent à ce que nous avons lu ou entendu des médias et de la politique depuis un an et demi. Il montre également comment ces données peuvent constituer une pandémie et explique pourquoi c’est malhonnête pour lui. La vidéo a été supprimée par YouTube après 145 000 visonnements au bout de trois jours (et n’a été de nouveau rendue accessible qu’après l’opposition de Barz et beaucoup de protestation). La raison invoquée est la « désinformation médicale ». Ici aussi, la question est la suivante : qui a pris une telle décision, et sur quelle base ?

Les fact checkers du contrefacteur discréditent Marcel Barz comme un faux. Le jugement de Correctiv est un peu plus clément (Barz y a répondu publiquement et en détail). L’expertise réalisée pour le ministère fédéral de la Santé, qui montre que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients atteints de Covid-19 en 2020 n’était que de 2 %, lui donne raison. Barz a contacté la presse avec son analyse, mais n’a pas reçu d’attention. Dans un discours qui fonctionne, nos médias l’inviteraient au débat.

Des millions de fois, le contenu sur les sujets Covid a été supprimé, comme le montre la journaliste Laurie Clarke dans le British Medical Journal, Facebook et Cie sont des entreprises privées et peuvent donc décider de ce qui sera publié sur leurs plateformes. Mais peuvent-ils contrôler le discours ?

La radiodiffusion de service public pourrait apporter un équilibre important en assurant un échange de vues ouvert. Malheureusement, mauvaise indication !

Passeports d’application numériques et surveillance

Les fondations Gates et Rockefeller ont conçu et financé les directives de l’OMS pour les passeports d’application numériques. Ceux-ci sont maintenant introduits dans le monde entier. Ce n’est qu’avec eux que la vie publique doit être possible, qu’il s’agisse de prendre le tramway, de prendre un café ou de recevoir un traitement médical. L’exemple français montre que cette carte d’identité numérique doit être maintenue même après la fin de la pandémie. La députée Emanuelle Ménard a demandé l’ajout suivant dans le texte de loi : le passeport de vaccination numérique « prendra fin si la propagation du virus ne présente plus un risque suffisant pour justifier son application ». Son amendement a été rejeté. Le pas vers le contrôle mondial de la population, voire vers l’État de surveillance, par le biais de projets tels que ID2020, est donc très petit.

L’Australie teste maintenant une demande de reconnaissance faciale pour s’assurer que les gens restent en quarantaine à la maison. Israël utilise des bracelets électroniques. Dans une ville italienne, des drones sont testés pour mesurer la température des visiteurs de la plage, et en France, la loi est en cours de modification pour permettre la surveillance par drones à grande échelle.

Tous ces sujets nécessitent des échanges intenses et critiques au sein de la société. Mais il n’a pas lieu suffisamment dans la couverture médiatique de nos radiodiffuseurs et n’a pas fait l’objet d’une campagne électorale.

Point de vue rétréci

La manière dont le point de vue du discours est rétréci est révélatrice des « gardiens de la porte de l’information ». Jan Böhmermann fournit un exemple récent en demandant que le virologue Hendrik Streeck et le professeur Alexander S. Kekulé ne soient plus en place parce qu’ils ne sont pas compétents.

Outre le fait que les deux médecins ont une Vita [?] extrêmement respectable, Böhmermann a ainsi réajusté ses œillères. Ne faut-il même plus entendre les gens qui présentent leur critique du cours du gouvernement avec des gants de velours ?

La limitation du discours est désormais telle que la Bayerische Rundfunk n’a pas diffusé à plusieurs reprises, lors de la retransmission des débats parlementaires du parlement régional, les discours de députés critiques à l’égard des mesures.

Telle est la nouvelle conception de la démocratie de la radiodiffusion de service public ? Les plateformes médiatiques alternatives prospèrent d’abord parce que les personnes établies ne remplissent plus leurs fonctions de correctif démocratique.

Quelque chose a mal tourné

Pendant longtemps, j’ai pu dire avec fierté et joie que je travaillais à la radio publique. De nombreux formats, recherches et contenus exceptionnels viennent d’ARD, de ZDF et de la radio allemande. Les normes de qualité sont extrêmement élevées et des milliers de collaborateurs font un excellent travail, même sous une pression accrue sur les coûts et des objectifs d’économie. Mais quelque chose a mal tourné avec la Covid-19. Soudain, je perçois une vue de tunnel et des œillères et un prétendu consensus qui n’est plus remis en question.(([10] Je ne veux pas parler d’une véritable « opinion unique » des justiciables publics. Il y a toujours eu des contributions critiques et des changements de cap dans les rapports. Mais c’est toujours une question de contexte, de temps d’antenne et d’étendue de la façon dont un sujet est traité. Mes observations ont également été faites par d’autres collègues.))

La chaîne autrichienne Servus TV montre qu’il en va autrement. Dans l’émission « Corona-Quartet » / « Talk im Hanger 7 », les partisans et les critiques prennent également la parole. Pourquoi cela ne serait-il pas possible à la télévision allemande ?(([11] Des formats frais comme « Sur le canapé » du ZDF donnent de l’espoir, même si je ne pense pas qu’il y aura bientôt une Karina Reiß ou un Wolfgang Wodarg.)) « Il ne faut pas donner une place à tous les cinglés », c’est la réponse rapide. Il faut éviter le faux équilibre, le fait que les opinions sérieuses et peu sérieuses soient entendues doit être évité. — Un argument d’homicide involontaire qui n’est pas scientifique. Le principe fondamental de la science est le doute, la remise en question, la vérification. Si ça n’a plus lieu, la science deviendra une religion. [Ndlr : c’est déjà le cas en médecine, en climatologie et dans d’autres domaines politisés.]

Oui, il y a en fait un faux équilibre. C’est la tache aveugle qui est revenue dans nos esprits, qui ne permet plus une véritable confrontation. On se jette des faits apparents, mais on ne peut plus s’écouter. Le mépris remplace la compréhension, la lutte contre l’autre opinion remplace la tolérance. Les valeurs fondamentales de notre société sont balancées par-dessus bord. Ici, on dit que les gens qui ne veulent pas se faire vacciner sont fous, qu’ils disent : « Honte aux brebis endormies ».

Pendant que nous nous disputons, nous ne réalisons pas que le monde qui nous entoure change à une vitesse fulgurante. Presque tous les domaines de notre vie sont en pleine transformation. La manière dont cela se passe est déterminante pour notre capacité de coopération, de compassion et de conscience de nous-mêmes et de nos paroles et de nos actes. Pour notre santé mentale, nous ferions bien d’ouvrir l’espace de débat, avec attention, respect et compréhension des différentes perspectives.(([12] L’initiative « Dialogue culture » ouvre des approches valables qui peuvent également intéresser les formats de médias.))

En écrivant ces lignes, j’ai l’impression d’être un hérétique, quelqu’un qui commet une trahison et qui doit s’attendre à une punition. Ce n’est peut-être pas le cas. Je ne risquerai peut-être pas mon travail et la liberté d’expression et le pluralisme ne sont pas menacés. Je le souhaite vivement et je me réjouis d’un échange constructif avec mes collègues.

Ole Skambraks

ole.skambraks@protonmail.com

À propos de l’auteur :

Ole Skambraks, né en 1979, a étudié les sciences politiques et le français à l’Université Queen Mary, à Londres et à la gestion des médias à l’ESCP Business School, Paris. Il était présentateur, reporter et auteur à Radio France Internationale, rédacteur en ligne et community manager chez cafebabel.com, directeur de l’émission du matin chez MDR Spoutnik et rédacteur chez WDR Funkhaus Europa / Cosmo. Actuellement, il travaille en tant que rédacteur en chef dans la gestion/conception de son de programmes chez SWR2.

Informations complémentaires de l’auteur

P.S. Pour les vérificateurs factuels et les personnes intéressées par une perspective multiple, voici les contre-positions aux points abordés dans le texte :

Étude ARD-ZDF

https://www.rnd.de/medien/kritik-an-corona-berichterstattung-von-ard-und-zdf-sender-wehren-sich-gegen-medienstudie-C3B4FEKAMNBFBNTKGO5EETMR3E.html

Pr John Ioannidis

https://www.faz.net/aktuell/wissen/forscher-john-ioannidis-verharmlost-corona-und-provoziert-17290403.html

Imperial College Modelling

https://blogs.bmj.com/bmj/2020/10/07/Covid-19-modelling-the-pandemic/

Gain of function reserch

https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/nipah-virus

Hydroxychloroquine/ivermectine

https://www.br.de/nachrichten/wissen/corona-malaria-mittel-hydroxychloroquin-bei-Covid-19-unwirksam,RtghbZ4

https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-therapeutics-2021.2

https://www.forbes.com/sites/siladityaray/2021/05/11/indian-state-will-offer-ivermectin-to-entire-adult-population—even-as-who-warns-against-its-use-as-Covid-19-treatment/

Immunité des personnes vaccinées

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.08.23.457229v1

Immunité des convalescents

https://science.orf.at/stories/3208411/?utm_source=pocket-newtab-global-de-DE

https://www.businessinsider.com/fauci-why-covid-vaccines-work-better-than-natural-infection-alone-2021-5

Percées / pandémie

https://www.spektrum.de/news/corona-impfung-wie-viele-geimpfte-liegen-im-krankenhaus/1921090#Echobox=1631206725

https://www.mdr.de/wissen/covid-corona-impfdurchbrueche-sind-selten-100.html

https://www.businessinsider.de/wissenschaft/gesundheit/neue-daten-risiko-an-Covid-19-zu-sterben-fuer-ungeimpfte-elfmal-hoeher-a/

Pseudo-experts / Négationnistes / PRINCIPE PLURV

https://www.ndr.de/nachrichten/info/82-Coronavirus-Update-Die-Lage-ist-ernst,podcastcoronavirus300.html#Argument

Notes :




La Commission Bronner en guerre contre la liberté d’expression

Par Nicole Delépine

[Photo : Le sociologue Gérald Bronner préside cette commission. AFP/Ludovic Marin]

Qui sont les complotistes ? Ceux qui posent les questions, ou bien ceux qui refusent d’y répondre et mentent en permanence, les médias dominants et les comploteurs du pouvoir… ? Écoutez cette interview de Mme Anne Sophie Chazaud, essayiste et auteur du livre « la liberté d’expression » sur Sud radio par André Bercoff.

Le nom de la commission fait appel « aux Lumières » ce qui est en soi une inversion à la Orwell ! « La paix, c’est la guerre !(([1] Dans 1984 ou il décrit le parfait totalitarisme qu’il a combattu les armes à la main et disséqué ensuite finement dans ses romans))». Pour saluer la création d’un ministère de la Vérité de Macron ?

L’auteur du livre confirme que cette commission traduit l’obsession de la Macronie de bloquer le débat démocratique depuis quatre ans et d’interdire progressivement le droit à l’expression. Cette commission vient compléter l’arsenal mis en place depuis 2017 : la loi anti-fake news, la tentative de la loi Avia (qui revient par la fenêtre), la tentative de Conseil de l’Ordre des journalismes et le décret de décembre 2020 qui interdit la liberté de paroles des médecins dorénavant appelés à défendre le point de vue gouvernemental sur tous les sujets médicaux. Très épouvantable enterrement d’Hippocrate qui a toujours spécifié :

« Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. »(([2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Serment_d%27Hippocrate))

Pour Anne-Sophie, cette commission contre le « complotisme vise à compléter l’arsenal de l’entrée en campagne d’Emmanuel Macron, qui a annoncé sa volonté de prolonger le passe sanitaire jusqu’après l’élection. (ne serait-ce pas pour empêcher ses opposants d’entrer dans les bureaux de vote, évitant ainsi qu’ils soient scrutateurs et qu’ils veillent sur les urnes et/ou pour justifier le vote par correspondance aboli jadis parce qu’il permettait les trucages ?).

Cette commission, qui va déclarer qui est complotiste ou non, est présidée par Bronner, lui-même auteur dans son livre de fake news que Bercoff signale ! Quant à Guy Vallancien, macroniste fervent et défenseur de l’industrie pharmaceutique convaincu, il a été condamné par le Conseil de l’Ordre pour mensonges et a exprimé son humanité en laissant pourrir et manger par les rats les corps des personnes confiés à sa garde…

Mais qu’importe ces personnes qui seront toujours discutables car sans légitimité démocratique puisque choisies par le prince, c’est le principe lui-même de la commission qu’il faut combattre !

Qu’est-ce qui est acceptable alors que toute pensée divergente de la pensée du Président est considérée comme complotiste ?

Mélange des genres dans cette commission, le fait du Prince. Sur la question de la vérité, qui va décréter que ce qui va se dire est la vérité ou pas ? On est dans une démarche politique, et purement politique.

L’État veut contrôler l’information. Le concept de fake news a été monté en épingle au moment de l’élection de Trump pour le décrédibiliser et est devenu à la mode en France et pourtant !

André Bercoff confirme que dans les main stream il y a autant d’informations fausses, mais cela n’a pas attendu l’informatique et il rappelle par exemple les fausses nouvelles de la guerre de 14.  Et nous ajouterons les charniers de Timisoara ou les mensonges majeurs de la guerre d’Algérie. Alors oui les réseaux sociaux peuvent receler de fausses informations, mais cela ne date pas d’aujourd’hui mais dès qu’il y a information.

Le pouvoir s’en sert d’ailleurs largement quand il répand sur les réseaux et les TV des clips faisant croire que les petits-enfants pourraient infecter leurs grands-parents, que les vaccins actuels auraient terminés leurs essais et qu’ils seraient efficaces et sans dangers  ce qui sont d’énormes fake news à l’origine de bien des malheurs, des familles privées de contact, aux enfants et adolescents « vaccinés » par extorsion de consentement sur fausse info, et des effets secondaires parfois graves, perte de vue, troubles neurologiques peu réversibles, voire décès.

Et La MHRA dispose désormais de suffisamment de preuves sur le système de la carte jaune pour déclarer les vaccins Covid-19 dangereux pour une utilisation chez l’homme. Des préparatifs doivent être faits pour intensifier les efforts humanitaires afin d’aider les personnes touchées.(([3] Mark Ready Visage souriant avec des yeux rieurs Fleur de cerisier @MarkReady47    2 oct))

À qui va profiter cette commission ? Il s’agit de délégitimer les opposants du pouvoir, purement et simplement.

Et par ailleurs le pouvoir utilise les mensonges à longueur de journée. Il va falloir faire taire les opposants. Avec la loi fake news, le juge va établir ce qu’est la vérité et a le droit de faire supprimer en 48 h un contenu.  Nous arrivons au modèle chinois ou nord-coréen, et au ministère de la Vérité d’Orwell.

Néanmoins il y a raidissement autoritaire par la panique, car l’opinion commence à comprendre, comme le démontrent les centaines de milliers de manifestants qui arpentent les rues chaque week end et les blocages qui commencent à se multiplier.

Même si le pouvoir tente de bloquer encore plus les réseaux sociaux déjà largement censurés sur Facebook et Twitter (qu’il faut abandonner largement), cela nous contraindra à reprendre les bonnes vieilles méthodes des tracts, du boîtage aux lettres, des discussions à la sortie du métro ou des magasins et finalement à toucher beaucoup plus de personnes éloignées jusque-là de nos circuits. Le mieux est l’ennemi du bien, mais les énarques ne l’apprennent probablement pas dans leur monde coupé de la réalité.

Le pouvoir panique. Doucement les covidistes sincères prennent conscience. Poursuivons l’information par les faits avérés, rien que les faits, seuls capables de désintoxiquer les cerveaux conditionnés par la propagande effrénée du pouvoir depuis 20 mois. Défendons l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme de 1789 La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement.

GARDONS ESPOIR
Et n’oublions pas que les peuples se réveillent partout dans le monde.

Opération escargot dans les Alpes-Maritimes le 4 oct 2021 en opposition au passe sanitaire sur la A 8

https://twitter.com/i/status/1444996010049163268

blocage de l’ARS de Rouen, journée nationale de blocage contre le passe sanitaire et l’obligation vaccinale.

Blocage en Charente contre le passe sanitaire en ce lundi noir

RUNGIS « il y a des blocages en Île-de-France, on passe à l’action »

On va bloquer le pays on est contre le passe sanitaire et contre l’obligation vaccinale, on veut une augmentation des salaires

Opération escargot sur la rocade de Bordeaux (33) tôt ce matin / des blocages aussi dans toute la France ce matin : Vichy, Belfort, Chambéry, La Rochelle, Charente, Alpes-Maritimes…

Écoutez l’interview du Pr Raoult sur l’information et les faits réels :

où il commence par se poser la question du harcèlement sur l’IHU et sur sa personne et la gravité de ces mœurs anti-élite qui règnent en France et qui ne sont pas combattus par les autorités.




Facebook, Instagram, WhatsApp tombent en rade dans le monde entier après la disparition des registres DNS (C’est même encore pire que ça !)

[Source : Aube Digitale]

[Note de Joseph : si les réseaux virtuels tombent en panne, il reste les relations réelles (à recréer au besoin, ce qui n’exige aucune technologie).]

Mise à jour (20h07) : Facebook semble avoir plus que des problèmes de registres DNS, comme le rapporte Sheera Frenkel du NYT :

« Je viens de parler au téléphone avec une personne qui travaille pour FB et qui a décrit des employés incapables d’entrer dans les bâtiments ce matin pour commencer à évaluer l’étendue de la panne parce que leurs badges ne fonctionnaient pas pour accéder aux portes. »

Mise à jour : Cela fait plusieurs heures, et Facebook, Instagram, Whatsapp, et Facebook Messenger, sont toujours hors service. Selon des chercheurs Internet, Facebook semble être confronté à un problème de système de nom de domaine (DNS).

Le chercheur en sécurité Internet Brian Krebs a tweeté :

Confirmé : Les enregistrements DNS qui indiquent aux systèmes comment trouver Facebook.com ou Instagram.com ont été retirés ce matin des tables de routage mondiales. Pouvez-vous imaginer travailler chez FB en ce moment, lorsque votre courriel ne fonctionne plus et que tous vos outils internes basés sur FB tombent en panne ?

Pour être plus précis (et facteur 5 du Geek), les routes BGP desservant le DNS faisant autorité de Facebook ont été retirées, rendant tous les domaines Facebook inaccessibles. C’est ce qu’affirme @DougMadory , qui s’y connaît un peu en BGP/DNS.

La recherche des enregistrements DNS de Facebook ne donne rien.

Kevin Collier de NBC News a qualifié les problèmes de DNS chez Facebook de « vraiment mauvais ».

Nous ne savons pas encore exactement ce qui se cache derrière le problème de DNS qui a mis Facebook/Instagram/WhatsApp hors ligne, mais c’est vraiment mauvais. Pratiquement tout ce qui passe par ces trois entreprises est inaccessible. Les employés ne peuvent même pas entrer dans les salles de conférence parce qu’elles sont *internet des objets* !

Il y a même une réaction en chaîne sur Internet.

Pendant ce temps, tout le monde sur Twitter…

Downdetector rapporte que Facebook, Instagram, Whatsapp et Facebook Messenger connaissent des problèmes et/ou des pannes dans le monde entier. Cette panne intervient juste avant qu’un lanceur d’alerte de Facebook ne témoigne devant le Congrès mardi.

Les utilisateurs ont commencé à signaler des problèmes sur la plateforme de médias sociaux vers 17h20.

Les utilisateurs de Facebook signalent que le site Web ne se charge pas, avec un message d’erreur indiquant :

« Désolé, un problème est survenu. Nous y travaillons et nous le réparerons dès que possible. »

Andy Stone, porte-parole de Facebook, a reconnu sur Twitter que « certaines personnes ont des difficultés à accéder à nos applications et produits. »

Ces pannes généralisées surviennent alors qu’une lanceuse d’alertes de Facebook doit témoigner devant le Congrès mardi. La lanceuse d’alerte est apparue dans l’émission « 60 Minutes » dimanche, décrivant en détail la mission de l’entreprise technologique, qui consiste à faire passer le profit avant « ce qui est bon pour le public », notamment en luttant contre les discours haineux.

Les actions de l’entreprise technologique ont chuté de 6 % en début d’après-midi, en raison non seulement de la lanceuse d’alertes, mais aussi de la panne mondiale.

Les utilisateurs de Facebook se sont rendus sur Twitter pour se plaindre des pannes :

… et il y a ça :

L’utilisateur de Twitter Chad Loder a tweeté : « Quelqu’un a détruit les enregistrements DNS A et AAA de Facebook, Instagram et WhatsApp. »

Le PDG de Twitter, Jack Dorsey, a répondu au tweet de Loder et demande « A combien? »

Laissez les théoriciens du complot se déchaîner avec les événements d’aujourd’hui :

« Facebook est en panne parce que la lanceuse d’alertes faisait le buzz aujourd’hui avant son témoignage au congrès. Maintenant, il y a une panne qui est en train de buzzer. Un astucieux coup de coms », a déclaré un utilisateur de Twitter.

Le bon côté des choses, c’est qu’avec une grande partie des plateformes de médias sociaux hors service aujourd’hui, les gens vont peut-être se remettre au travail et stimuler la productivité mondiale puisque la panne est généralisée.




Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Alors que l’obligation vaccinale a été votée début septembre en Nouvelle-Calédonie et que l’actualité s’y montre dense depuis, nous avons recueilli les propos de l’association ReinfoCovid sur place pour faire un point sur la situation sanitaire :

En Nouvelle-Calédonie, l’obligation vaccinale pour les majeurs à été votée au début du mois. Comment voyez-vous l’épidémie évoluer depuis ?

L’obligation vaccinale pour les majeurs a été votée le 03 septembre 2021 par le Congrès, quelques jours avant la détection d’un premier cas officiel de covid-19 en Nouvelle-Calédonie sur l’année 2021, jusque-là « Covid-free ». Depuis la détection de ce premier cas, de nombreux cas ont été détectés, avec, d’après les chiffres officiels au 25 septembre, 339 hospitalisations, 56 réanimations, 1 986 guérisons et 73 décès. Nous regrettons et dénonçons la décision de classer « covid » tout décès spontané sur le territoire, ce qui fausse les chiffres à la hausse et crée de la panique au sein de la population à l’annonce des décès dits « Covid » dans les médias locaux.

Pourtant, de nouvelles mesures de restrictions ont été remises en place juste après, et le gouvernement a annoncé renforcer ses aides économiques pour les entreprises calédoniennes. Comment la population réagit-elle face à cela ?

Le confinement strict a été annoncé le lendemain de la détection du premier cas covid-19, pour une durée de 15 jours, et a par la suite été prolongé jusqu’au 4 octobre (au moins). La population reste divisée sur la prolongation du confinement. Malgré les aides économiques, l’impact reste important, et d’autres secteurs comme l’éducation, avec la fermeture des établissements scolaires, sont fortement impactés. Une partie de la population est consciente qu’il n’a jamais été prouvé que le confinement réduisait la propagation de l’épidémie.

La population réagit très globalement dans la peur, celle d’attraper le virus et d’en mourir, comme cela est martelé quotidiennement dans les médias, avec désormais cette obligation à la vaccination pour les plus de 18 ans, qui est présentée comme la seule et unique solution pour éviter la mort.

Pour autant, le travail de ré-information de RéinfoCovid NC, depuis des mois maintenant, invite la population à la plus grande prudence face à l’injection expérimentale, avec le recul que l’on a des pays très majoritairement vaccinés. Ces derniers n’ont toujours pas « éradiqué » l’épidémie, bien au contraire, ils connaissent une recrudescence sans précédent de malades du covid parmi la population vaccinée et l’encombrement des hôpitaux.

La population du pays est de plus en plus consciente du besoin de traitements qui fonctionnent partout dans le monde, comme l’ivermectine, bien que les autorités locales ne permettent pas aux médecins de prescrire ces traitements précoces, ce que nous condamnons formellement. Depuis le vote de l’obligation vaccinale pour les plus de 18 ans, une partie de la population s’est jetée sur les « vaccinodromes » déployés en masse partout dans le pays. Après une quinzaine de jours, le rythme de vaccination a fortement diminué, ce que l’on explique par la réticence de la population non vaccinée à recevoir un produit expérimental, et du fait aussi de la survenue de nombreux effets indésirables, parmi lesquels plusieurs décès post-vaccinaux, qui n’ont pas fait la une des journaux locaux mais qui font l’objet de témoignages sur les réseaux sociaux.

D’un point de vue juridique, plusieurs recours en référé contre la délibération 44/CP ont été portés, notamment par une association locale et des citoyens.

Vous parliez d’un grand jour et d’un « ultimatum pour le gouvernement », pouvez-vous nous expliquer ?

Mercredi 22 septembre 2021, a été remis au gouvernement, au Congrès et au Haut-Commissariat de la République (représentant l’État français), un courrier commun signé par une quinzaine de collectifs, d’associations, de syndicats, de représentants du personnel, de professionnels et de citoyens, dans lequel nous demandons l’annulation pure et simple de la délibération 44/CP portant sur l’obligation vaccinale, pour laisser libre choix à chacun d’une liberté vaccinale avec une information claire, loyale, libre et appropriée.

Nous demandions également la mise en place de protocoles thérapeutiques préventifs et précoces pour la prise en charge du covid-19, en particulier l’ivermectine, l’hydroxychloroquine et certains antibiotiques (azytromicine et doxycycline). Nous réclamions également la libre prescription par les médecins de terrain.

Nous demandions enfin de cesser les discussions visant à l’instauration d’un « passe sanitaire » en Nouvelle-Calédonie, dispositif liberticide et discriminatoire qui ne sera pas accepté par la population.

Dans ce courrier, nous avions invité expressément les autorités à accueillir les représentants de chaque entité signataire sous 48h afin d’obtenir une réponse à nos demandes. Aucune réponse n’a été faite à l’heure actuelle.

En parallèle, un rassemblement pacifique citoyen a été organisé à Nouméa par les entités signataires le 25 septembre, rassemblant environ 8 000 personnes, pour la liberté vaccinale, pour l’annulation de la délibération 44/CP, pour la liberté de se soigner, pour la libre prescription des médecins et le refus du « passe sanitaire ».

Lien vers la vidéo du rassemblement

Non loin de chez vous, le Dr Théron, qui exerce sur l’île de Tahiti, a été placé en garde à vue au début du mois. Avez-vous eu vent des réactions en Polynésie ?


En effet, nous avons vu les réactions vives de la population, en soutien au Dr Théron, suite à cette mise en garde à vue. Les images de son « interpellation », où il a été trainé littéralement comme un terroriste par les forces de l’ordre ont profondément choqué les populations dans toute la zone pacifique.
 Nous adressons tout notre soutien au Dr Théron, ainsi qu’à la population de la Polynésie. En Nouvelle-Calédonie, la pétition de soutien au Dr Théron a été relayée massivement.

À la proue du monde, l’île va être un théâtre expérimental surprenant. Que le monde ouvre l’œil. Le peuple est éveillé. Témoignages et plaintes risquent de bouleverser l’épisode insulaire…

Auteur(s): FranceSoir




Scandale de la crise covid-19 : un panorama des liens et possibles conflits d’intérêt

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Pixabay FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Une enquête en immersion dans la « fricosphère »

La bulle science est-elle bien couverte ? Pure et sans tache, exempte d’éléments matériels froids, métalliques, pouvant la salir ? Debout ! Tournez donc le dos aux conflits d’intérêt nuisant à l’intérêt du patient ! Au garde-à-vous devant la Vertu ! Les médecins auraient-ils étudié la médecine seulement pour l’argent, ou plutôt, nous l’espérons, pour soigner nos semblables ?

Trois panoramas ont déjà été publiés évoquant tour à tour :

  • le panorama de l’escroquerie (diagnostic, traitement et vaccin) – le Pr Buzyn et le Pr Karine Lacombe ont été mises en examen quelques jours après.
  • celui du harcèlement organisé contre l’IHU et le Professeur Raoult – que le Pr Raoult n’a pas hésité à dénoncer comme de la « délinquance antiélitisme ». Des plaintes ont été constituées ou vont l’être.
  • Et pour finir celui autour de RéInfoCovid, le collectif créé par le Dr Fouché et plus particulièrement de l’association RéInfo Liberté – pour lequel l’avocat Me Heringuez a dû se fendre d’un courrier de mise en demeure au journal « le Monde » pour avoir enfreint le code de déontologie journalistique à plusieurs reprises.

Quelques pépites dans ces enquêtes. Voici aujourd’hui, la suite sur les conflits d’intérêts et comment se plonger dans l’analyse et leur identification. Remontant la chaine des liens éventuels à partir d’ exemples concrets. « Qui est le jouet des apparences se laisse séduire par des mensonges ». écrivait Anatole France en 1901 . 

Avant-propos

Inutile de revenir en longueur sur ce qu’a déjà mis en lumière FranceSoir quant aux conflits d’intérêts de l’OMS ou aux conflits d’intérêt financiers des médecins plateaux TV parmi lesquels le Professeur Lacombe reléguée au pied du podium – un petit rappel suffit :

Pas plus qu’il n’est utile de revenir sur les essais cliniques randomisés que le chercheur Valère Lounnas décrivait comme « la nouvelle arme médiatique des laboratoires pharmaceutiques ».

Voici un petit exemple pratique autour d’un article scientifique pouvant mettre le lecteur sur la voie et faire comprendre comment un article peut être entaché de liens d’intérêts modifiant ses conclusions. Et faire taire ceux qui se mettent à hurler sur les réseaux sociaux dès que leurs turpitudes sont mises à jour. L’inélégance du hérisson urticant (@Sonic_Urticant identifié dans la harcelosphère contre l’IHU) ou le spécialiste du publireportage Pokemon @Willvs (alias William Audureau du Monde).

Le commencement passe par une analyse méthodique. Pour cela nous ferons appel à la méthode des « no Fake med » (groupe s’étant violement opposé à la recherche de l’IHU du Pr Didier Raoult pour des raisons de faiblesses méthodologiques !). Deux groupes sont nécessaire.

  • Un contrôle et
  • un soumis au dictat des intérêts matériels.

Le groupe contrôle

Pour commencer nous prenons l’étude italienne sur 3500 patients qui concluait à un bénéfice significatif du traitement des patients hospitalisés covid-19 avec l’hydroxychloroquine. Résultat : une baisse significative statistiquement de la mortalité de 30%.

Ce résultat correspond à celui observé à l’IHU du Pr Raoult sur la cohorte de 2000 patients hospitalisés (30% de baisse du risque de décès).

La réplicabilité des résultats est retrouvée dans deux autres études avec des cohortes similaires. En Italie, l’étude Di Castelnuovo sur 4000 patients – avec un bénéfice confirmé chez les patients à risque faible avant traitement. Cateau et al en Belgique reproduit aussi le bénéfice pour l’hydroxychloroquine. Autant pour les « no fake med » qui disent que le consensus scientifique conclut que l’hydroxychloroquine ne marche pas.

Le groupe à analyser

En continuant le parallèle, il est important de regarder le groupe à analyser. En l’occurrence les études ne reproduisant pas les résultats ci-dessus. Sands et al 2021 montre qu’il n’y a pas de bénéfice clinique chez les patients hospitalisés. Essayons de comprendre pourquoi ?

Le premier réflexe est de chercher les différences dans les conditions expérimentales ou des biais systématiques – suspecter un conflit d’intérêt.

Pourquoi tant de discordance et un effet diamétralement opposé ?

D’un côté un effet bénéfique prouvé dans de nombreux articles et de l’autre un effet délétère ? Ceci défie toute logique, y compris celle affectée des No Fake med.

Analysons ! Quels sont les biais ? Recherchons les conflits d’intérêt. A première vue, tout va bien, les auteurs ne déclarant pas de conflit d’intérêt.

Analysons plus en détail. Y aurait t-il (ô subtilité !) un lien d’intérêt ? Oui, la recherche a été financée par « HCA health system ». C’est le second réflexe à avoir – demander qui paie la recherche et les auteurs ?

Dans le cas présent, bien que les auteurs n’aient pas été payés directement par HCA health system, ceci constitue sans aucun doute un paramètre à prendre en compte. Il faut aussi bien regarder les affiliations des auteurs.
Et, oui les auteurs, employés HCA health system, doivent leur poste et leur travail à qui les emploie.

Les auteurs sont payés par le financeur de la recherche exposée dans l’article.

Cependant il faut chercher plus loin pour comprendre. A commencer par la taille des enjeux financiers. Oui, le pouvoir et l’argent mènent ce monde étranger à ses origines, depuis la chute des valeurs ou perte de bien des repères.

Qui est HCA health system ?

Le plus grand groupe hospitalier privé au monde avec 50 milliards de dollars de chiffres d’affaire en 2020. Le réflexe 2 est donc d’analyser la taille des enjeux financiers. 50 milliards ce n’est pas une paille.

Comprenons que HCA health system a une vocation lucrative et non pas humaniste et académique. Le bien-être du patient ne serait ainsi pas, pour cette corporation, une priorité !

Continuons par paraphraser Monsieur Philippe de Villiers, nous dirons que nous avons tiré sur le fil du conflit d’intérêt et tout est venu.

Le réflexe 4 est donc de clarifier les financeurs du financeur de la recherche. Regardons les actionnaires de la société HCA. Vanguard, un financier américain, truste sept des quinze premières places en terme d’actionnariat.

Continuons à tirer sur le fil de la pelote en remontant les actionnaires. Les médias mainstream diraient-ils que nous complotons?

Non, nous enquêtons – Vanguard Blackrock serait un financeur majeur en lien avec HCA health system.

Et nous associons et synthétisons nos découvertes.

Nous découvrons, ô hasard, que Vanguard Blackrock est un financeur indirect d’Elsevier, la maison d’édition du fameux (fake) article concluant en la nocivité de l’hydroxychloroquine.

Et nous tombons aussitôt sur les liens unissant SPILF – ELSEVIER- et le Dr Nathan Peiffer Smadja qui a été un des « négationnistes de l’efficacité de l’hydroxychloroquine » et un « promoteur du Remdesivir » (section plus bas dans l’article). A commencer par sa fameuse méta-analyse qu’il n’a sans doute pas écrite (contrairement à ce qu’il a affirmé par écrit sur l’article) car il n’était pas auteur dans la prépublication, et par des colloques SPILF.

https://www.elsevier.com/fr-fr/clinical-solutions/evenements/serie-infectio-le-point-sur

Parallèlement le Professeur Karine Lacombe tente de faire la promotion de ce traitement sur des critères intermédiaires (durée d’hospitalisation diminuée grâce à ce traitement, sans jamais mentionner les effets indésirables ni l’absence d’impact sur la mortalité).

Parallèlement, nous remarquons que le journal dans lequel est paru l’article incriminé est celui d’une société savante « International Society for Infectious disease (ISID) »… financée par… Pfizer.

Tirons la pelote. Les « No fake med » opposants affichés à l’IHU vont-ils apprécier ? Ils devraient puisqu’ils sont les champions du monde de l’intégrité !

Tirons la pelote et apparaît encore Vanguard Blackrock, financeur de Pfizer.

Patience, tirons encore un peu sur le fil ! Soyez attentifs, lecteurs, journalistes et médecins des plateaux TV !

Il ne reste plus qu’à reconstituer le puzzle et regarder tous ces liens pouvant entacher l’intégrité scientifique.

Pfizer et le vaccin d’un côté, Gilead et le Remdesivir de l’autre

Rappelons le LIEN d’intérêt unissant le jeune Docteur Nathan Peiffer Smadja avec la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF), et son mentor le Professeur Yasdan Yasdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19. L’association savante des infectiologues français a des liens si étroits avec Gilead que le laboratoire américain sponsorise les badges de leur colloque annuel

Rappelons (nous l’avions mentionné en début d’article) que François-Xavier Lescure de Paris – Bichat (qui a reçu de l’argent de Gilead) est l’adjoint du Pr Yazdan Yazdanpanah. Il a publiquement critiqué l’équipe de Marseille pour discréditer l’hydroxychloroquine. Il est co-auteur de l’étude très contestable sur le remdésivir de Gilead, publiée dans le New England Journal of Medicine.

Peut-être est ce pour cette raison que le jeune Nathan a recommandé le Remdesivir dans un « élan fougueux ». Cela a déjà été écrit mais rappelons les faits : https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-19-diagnostic-traitements-vaccin-panorama-dune-escroquerie

Son thread fait croire que le HCSP a recommandé, en mars 2020, des thérapies cliniques alors que ce n’est pas sa mission. L’avis disait à Mr Véran de prendre un arrêté pour usage compassionnel du #remdesivir, ce qu’il n’a pas fait.

Attention, les conséquences sont concrètes ; cet article relate la toxicité de ce médicament utilisé à l’hôpital Bichât chez François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah (et donc chez le Dr Nathan Peiffer-Smadja).

Sur cinq patients, quatre effets indésirables hépatiques et/ou rénaux, dont deux patients en dialyse !

Mais, intérêt oblige le délire continue ! https://twitter.com/VirusWar/status/1439159792921190405?s=20

Autorisation en décembre 2020

Autorisation en juin 2021 !

Et pourtant une nouvelle étude parue dans le Lancet confirme l’absence d’intérêt du Remdesivir :

Attention, concernant la malhonnêteté, il y a des cas particuliers…

Il ne reste plus qu’à finir l’analyse par une bonne méthodologie pour faire plaisir aux « No Fake Med » que certains n’hésitent pas à décrire comme des « scientistes étroits ». Le « cas contrôle » n’avait pas de liens financiers pouvant influencer ses conclusions.

Pour conclure, quand vous lisez un article scientifique, n’hésitez pas à remonter le fil des financements et des liens d’intérêt; reconstituez vous-même le puzzle !

Rappelons que certains avocats ont déjà déposé des plaintes à la Cour pénale internationale et n’hésitent plus à le comparer au procès dit de Nuremberg.

Si vous êtes arrivés jusqu’ici, ne croyez pas un mot de ce qui est écrit, vérifiez par vous-même.

Enquête réalisée par la rédaction de FranceSoir avec le Collectif Citoyen.

Auteur(s): FranceSoir




Une ex-employée de Facebook fait trembler le géant américain avec ses révélations

[Source : sputniknews.com]

[Photo : © REUTERS / Stephen Lam]

Par Julia Belyakova

Une série de révélations a été faite grâce à des documents connus sous le nom de Facebook Files, transmis à la Security and Exchange Commission par une lanceuse d’alertes. Selon le Wall Street Journal, qui a pu consulter des documents, le fonctionnement de l’entreprise semble ne toujours pas correspondre au discours public de la direction.Est-ce que des temps difficiles attendent l’entreprise Facebook et sa direction? Une lanceuse d’alertes qui avait déjà révélé une partie des documents portant sur des règlements intérieurs de travail du réseau social, donnant la base à une série de publications par le Wall Street Journal qui a pu les consulter, aurait promis de sortir de l’ombre ce dimanche 3 octobre dans l’émission 60 Minutes de la chaîne CBS.

Toutefois, elle avait déjà transmis certains documents, connus sous le nom de Facebook Files, pour une étude à la Security and Exchange Commission (SEC), l’organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers. Et selon les investigations menées par le Wall Street Journal, parmi les révélations faites par cette lanceuse d’alertes, il y a l’effet négatif d’Instagram sur les jeunes, jamais communiqué par Facebook, alors qu’il s’agit de résultats d’une étude interne, la censure manuelle des comptes de personnalités et influenceurs, ce qui prouverait l’implication du facteur humain dans cette censure qui comme il s’avère n’est pas faite par des robots.

L’influence négative d’Instagram

Les chercheurs d’Instagram, qui appartient à Facebook, étudient depuis des années comment l’application de partage de photos touche des millions de jeunes utilisateurs. À plusieurs reprises, la société a constaté qu’Instagram était nuisible pour un pourcentage important d’entre eux, en particulier les adolescentes, plus que d’autres plateformes de réseaux sociaux. En public, Facebook a constamment minimisé les effets négatifs de l’application, y compris dans les déclarations au Congrès, et n’a pas rendu sa recherche publique ou disponible pour les universitaires ou les législateurs qui l’ont demandée. En réponse, Facebook dit que les effets négatifs ne sont pas répandus, que la recherche en santé mentale est précieuse et que certains des aspects nocifs ne sont pas faciles à traiter, précise le Wall Street Journal dans sa publication.

Les comptes privilégiés

Mark Zuckerberg a publiquement déclaré que Facebook permettait à ses plus de trois milliards d’utilisateurs de parler sur un pied d’égalité avec les élites de la politique, de la culture et du journalisme, et que ses normes de comportement s’appliquent à tous, peu importe leur statut ou leur renommée, rappelle le média. En privé, l’entreprise a conçu un programme, connu sous le nom de « vérification croisée » ou « XCheck », créé comme une mesure de contrôle de la qualité pour les comptes de haut niveau. Aujourd’hui, il protège des millions de comptes privilégiés, montrent les documents. Beaucoup abusent de ce privilège, publiant des images relevant du harcèlement et de l’incitation à la violence qui conduiraient généralement à des sanctions. Les comptes de personnalités faisant partie de ces listes « privilégiées » sont traités manuellement, ainsi cela prend plus de temps et la modération n’est pas exempte d’un facteur et jugement humains. Cela concerne presque six millions de comptes (5,8 millions à en croire les documents dévoilés). Parfois, XCheck avait protégé des personnalités publiques dont les messages contiennent du harcèlement ou de l’incitation à la violence, violations qui généralement conduiraient à des sanctions pour les utilisateurs réguliers. En 2019, il a permis à la star internationale du football Neymar de montrer des photos nues d’une femme, qui l’avait accusé de viol, à des dizaines de millions de ses fans avant que le contenu ne soit supprimé par Facebook, démontrent les documents.

L’un des documents internes consultés explique aux employés ce qu’est le programme XCheck de la manière suivante:

« Cela signifie que, pour un petit nombre de membres de notre communauté, nous n’appliquons pas nos politiques et nos normes. Contrairement au reste de notre communauté, ces personnes peuvent violer nos normes sans aucune conséquence », indique le Wall Street Journal, citant l’une des notes il a pu consulter.

Facebook a répondu pour sa part que critiquer ce programme était justifié, qu’il a été conçu pour un bon but et que l’entreprise travaillait à le corriger.

Le trafic d’organes humains, la pornographie et les cartels de la drogue

De nombreux documents Facebook examinés par le Wall Street Journal montrent des employés s’alarmant de la façon dont la plateforme est utilisée dans les pays en développement, où sa base d’utilisateurs est énorme et en expansion. Des employés ont signalé que les trafiquants d’êtres humains au Moyen-Orient utilisaient le site pour attirer les femmes. Ils ont averti que les groupes armés éthiopiens utilisaient le site pour inciter à la violence contre les minorités ethniques. Ils ont envoyé des alertes à leurs patrons sur la vente d’organes, la pornographie et l’action du gouvernement contre la dissidence politique, selon les documents. Ils montrent également la réaction de l’entreprise, qui dans de nombreux cas est inadéquate ou reste sans réponse.

Notamment, en janvier 2021, un ancien policier devenu enquêteur pour Facebook a publié une note de service pour tout le personnel sur le tableau des messages internes où il a détaillé un nouvel ensemble de ce qu’il a appelé « les apprentissages ». Le plus important d’entre eux était celui qui portait sur un cartel mexicain de la drogue utilisant Facebook pour recruter, former et payer les tueurs à gages, donne comme exemple le Wall Street Journal, en se référant aux documents révélés. Le comportement était choquant dans nombre de cas rapportés et en violation flagrante des règles de Facebook. Mais l’entreprise n’a pas empêché le cartel de publier sur Facebook ou Instagram.

Un porte-parole de Facebook a déclaré que l’entreprise avait déployé des équipes à travers le monde, des partenariats locaux et des vérificateurs de faits tiers pour augmenter la sécurité des utilisateurs.

L’impact de Facebook dans la campagne vaccinale

Facebook a pesé de tout son poids dans la promotion des vaccins contre le Covid-19, « une priorité de compagnie supérieure », souligne une note interne, dans une démonstration de Mark Zuckerberg pour faire valoir que sa création est une force pour le bien dans le monde. Il a fini par démontrer des lacunes entre ses aspirations et la réalité de la plus grande plateforme sociale du monde. Les activistes ont inondé le réseau, selon les notes internes consultées par le quotidien. Ils ont utilisé les outils de Facebook pour semer le doute sur la gravité de la menace de la pandémie et la sécurité de la principale arme des autorités pour la combattre. Les problèmes liés au Covid-19 ont créé des difficultés pour la direction de Facebook. Même quand il fixait un objectif, le chef de l’exécutif ne pouvait pas diriger la plateforme comme il le voulait. Un porte-parole de Facebook a déclaré dans un communiqué que les données montrent que l’hésitation vaccinale des gens aux États-Unis sur Facebook a diminué d’environ 50% depuis janvier, et que les documents montrent le « processus de routine de l’entreprise pour faire face à des défis difficiles ».

Une fuite précédente liée à Cambridge Analytica

Il ne s’agit pas de la première fuite géante chez Facebook. En 2018, le scandale autour du cabinet britannique Cambridge Analytica, qui avait récupéré les données de 87 millions d’utilisateurs à des fins de propagande politique, avait porté un coup dur à la réputation du réseau social qui compte actuellement près de 2,8 milliards d’usagers mensuels.

En octobre 2020, une association de consommateurs a annoncé lancer une action en justice au Royaume-Uni contre Facebook pour l’utilisation illégale de données d’utilisateurs en Angleterre et au pays de Galles, à la suite de l’affaire Cambridge Analytica. Précédemment, Facebook avait accepté de payer une amende de 500.000 livres sterling (585.000 euros) au Royaume-Uni.




Cancers et « vaccins » anti-Covid

Par Nicole Delépine

COÏNCIDENCES ? LE MOT CLEF

Nous avions, il y a déjà plusieurs mois, émis des réserves au moins théoriques à vacciner les patients cancéreux ou les anciens malades guéris, en raison du mécanisme envisagé de l’injection génique sur l’immunité. Plusieurs généticiens avaient d’ailleurs exprimé leurs inquiétudes sur la possible interférence entre des cellules cancéreuses actives, ou des cellules en sommeil et l’activité de la thérapie génique sur les lymphocytes en particulier.

Les mois ont passé, et la folie vaccinale s’est amplifiée, conduisant à refuser les patients dépourvus de passe dans les hôpitaux (destinés, c’est bien connu à ne recevoir que des bien-portants) et à exiger des patients de se faire vacciner absolument avant de recevoir tout traitement, y compris les cancéreux.

Nous sommes dans un monde devenu fou et pourtant ces histoires se multiplient, tel ce jeune homme de 22 ans qui a vu apparaître une toux chronique conduisant à une radio découvrant une masse médiastinale. Les deux gros hôpitaux parisiens qui l’ont reçu refusent de débuter le traitement (sans qu’il soit expliqué en détail) si le patient refuse l’injection expérimentale, d’effets absolument inconnus sur le développement des cancers. La justification des médecins ? Aucune : « c’est comme cela », et nous l’avons bien accepté !

Silence sur les collègues suspendus faute d’obéissance et encore plus sur les raisons objectives qui leur ont fait préférer perdre leur emploi, leur rémunération, leur maison, leur famille intolérante à ces décisions aussi plutôt que de soumettre à l’ukase présidentiel d’accepter des médicaments expérimentaux…

Plus de trois cent mille soignants (chiffre probablement fortement sous-estimé vu le nombre d’hôpitaux et cliniques actuellement obligés de fermer des lits et de reporter des interventions faute de personnel) seraient-ils fous, complotistes ou délirants au point de se mettre en grand danger personnel, social, familial, professionnel, psychologique ? Les médecins qui affirment que se vacciner est sans danger ont-ils pris le temps de regarder les statistiques des effets signalés et acceptés par les agences officielles ? Les FDA EMA MHRA sont-elles aussi « complotistes quand elles affichent comme le VAERS :

Le VAERS au 26 septembre 2021

Plus de 726 000 effets indésirables liés au vaccin Covid signalés au VAERS alors que le CDC et la FDA annulent les recommandations des comités consultatifs sur le troisième vaccin de Pfizer.

Les données VAERS publiées par le CDC comprenaient un total de 726 965 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge suivant les vaccins contre la Covid, dont 15 386 décès et 99 410 complications graves entre le 14 décembre 2020 et le 17 septembre 2021.(([1] More Than 726,000 COVID Vaccine Injuries Reported to VAERS as CDC, FDA Overrule Advisory Committees’ Recommandations on Third Pfizer Shot • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Ou Eudra Vigilance organisme de pharmacovigilance de l’agence européenne du médicament

Ou même l’ANSM notre agence française qui affiche plus de 1200 décès acceptés comme en lien au moins possible avec ces injections expérimentales

Tous les essais thérapeutiques depuis cinquante ans étaient stoppés après quelques morts pour enquête (53 morts ont fait stopper le vaccin H1N1). Ici des milliers de décès par le monde et on s’attaque aux enfants sans vergogne.(([2] Les simulations, alibi truqué de la vaccination extorquée aux enfants — Docteur Nicole Delépine)) Comment peut-on continuer à croire que c’est une politique sanitaire ?

Pourquoi ce déni digne des sectes les plus solides de la part de médecins théoriquement instruits, capables de s’informer directement aux sources fiables et dotés d’un cerveau ? La peur du chef, du patron, du directeur, qui d’ici quelques mois seront inéluctablement mis en cause, puisque de nombreux pays rétropédalent et même l’Allemagne veut sortir du terrorisme vaccinal peut-être à l’occasion du départ de Mme Merkel.(([3] Les médecins libéraux allemands pour la fin de « la politique de la panique »
le 27/09/2021 Dr Stephan Hofmeister, Dr Andreas Gassen, Dr Thomas Kriedel
KBV Lopata/axentis.de     France-Soir
Les principales organisations de médecins conventionnés en Allemagne exigent la fin immédiate des mesures « anti-corona » et la fin de « la rhétorique de l’horreur et la politique de la panique ».
Lors de la convention des délégués des médecins conventionnés allemands, le directeur adjoint de la Kassenärztlichen Bundesvereinigung (KBV, association nationale des médecins de l’assurance maladie) le Dr Stephan Hofmeister, et le président, le Dr Andreas Gassen, ont exigé la fin des mesures dites « anti-Corona » en Allemagne et la fin de la « politique de la panique et la rhétorique de l’horreur ».
Le communiqué de presse de la KBV déclare : « tous ceux qui souhaitent se faire vacciner ont la possibilité de le faire. Désormais ce n’est plus une décision qui revient à l’État : chacun doit décider à titre individuel pour lui-même. » Selon le Dr Hofmeister les sondages indiquent que plus insistantes se font les pressions politiques, plus les gens refusent toute vaccination en signe de protestation. « C’est une confusion malsaine », a-t-il dit en exigeant que l’on arrête cette politique de la peur.))

« Les principales organisations de médecins conventionnés en Allemagne exigent la fin immédiate des mesures « anti-corona » et la fin de ‘la rhétorique de l’horreur et la politique de la panique ». Manifestement les médecins hospitaliers français parisiens, et d’ailleurs, ne lisent pas les journaux allemands et sont terrorisés par les menaces de leur Conseil de l’Ordre, leur ministre, et deviennent des kapos(([4] Ainsi étaient appelés les déportés qui, en échange de quelques avantages, devenaient complices des nazis et se montraient parfois aussi inhumains que leurs bourreaux.)) et terrorisent leurs patients.

DES TÉMOIGNAGES DE PLUS EN PLUS NOMBREUX SE RAPPROCHENT DE TOUS

Quoi qu’il en soit de leurs inacceptables raisons, les témoignages se multiplient.

Une jeune fille accompagne son amie à l’enterrement de sa mère… telle maman, mère d’une amie de lycée, de 34 ans, en rémission d’un cancer du sein depuis deux ans qui se fait injecter la fameuse piquouse et s’écroule quelques jours plus tard dans le coma et meurt après trois jours d’hospitalisation… Explication politiquement correcte : le cancer a explosé et l’a emportée. Fermez le chapitre et le cercueil.

Qu’en aurait dit Maigret ?

Mais trop de coïncidences choquent les enquêteurs de la police devant un cadavre. Seuls les médecins n’auraient pas le droit de réfléchir aux coïncidences de temps, par exemple : « temporalité » est leur mot clef…

Comme le slogan trompeur, « les chiffres ont toujours raison ». Oui s’ils sont vrais et observés dans le monde réel. Mais quelle confiance peut-on accorder à ceux des simulations truquées dont nous abreuvent le gouvernement et les médias sans jamais préciser qu’il ne s’agit que de prédictions ou d’estimation ?(([5] RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA « PLANDEMIE » COVID – Docteur Nicole Delépine)) Mais on fait ce qu’on veut avec les chiffres, lorsqu’on les choisit, ou les crée pour justifier l’hypothèse choisie, et le téléspectateur ne peut y voir que du feu.

En tous cas, en ce qui concerne « cancer et injection génique », le flou se dissipe malheureusement devant la multitude de récits terribles.  De la collègue qui voit apparaître des « boules » multiples sous ses aisselles, que des bilans dans tous les sens à l’hôpital n’expliquent pas… Évidemment aucun lien possible avec le vax. Et pourtant les ganglions qui apparaissent quelque temps après l’injection sont une observation fréquente après ces vax.

Alors clairement il semble bien exister trois situations :

  • L’apparition d’un cancer rapidement après l’injection (deux semaines à quelques mois) et très évolutif, chez une personne jusque-là indemne de pathologies carcinologiques connues.
  • La reprise évolutive d’un cancer chez un patient en rémission complète depuis plusieurs mois ou années.
  • L’évolution rapide, voire explosive, d’un cancer encore non contrôlé.

Au-delà des témoignages qui affluent chez des proches ou leurs amis et sur les réseaux sociaux, un journal suisse a enfin abordé le sujet de façon plus large.

Voici quelques extraits de leur article(([6] Covid Vaccines and Cancer – Swiss Policy Research (swprs.org) )) et de leurs références(([7] The Testimonies Project – Israeli Jab Victims Speak Out [VIDEO] | Europe Reloaded)):

“Les vaccins covid peuvent-ils causer le cancer ?

Dans certains cas, la réponse semble être oui. Certes, il n’y a aucune preuve que les vaccins covid eux-mêmes sont cancérigènes. Cependant, il a été démontré que chez jusqu’à 50 % des vaccinés, les vaccins covid peuvent induire une immunosuppression temporaire ou un dérèglement immunitaire (lymphocytopénie) qui peut durer environ une semaine ou peut-être plus.

En outre, il a été démontré que les vaccins à ARNm covid “reprogramment” (c’est-à-dire influencent) les réponses immunitaires adaptatives et innées et, en particulier, qu’ils régulent à la baisse la voie dite TLR4, qui est connue pour jouer un rôle important dans la réponse immunitaire aux infections et aux cellules cancéreuses”.

Ainsi les auteurs en concluent qu’il est bien possible que ces modifications immunitaires puissent entraîner des conséquences imprévues sur l’état du receveur de l’injection génique.  Question de bon sens de fait !

« Ainsi, s’il y a déjà une tumeur quelque part — connue ou inconnue —, ou s’il y a une prédisposition à un certain type de cancer, un tel état de suppression immunitaire induite par le vaccin ou de dérèglement immunitaire pourrait potentiellement déclencher une croissance tumorale soudaine et un cancer dans les semaines suivant la vaccination. Il est à noter que la lymphocytopénie a également été fréquemment observée dans les cas de covid sévère ».

Il a par ailleurs été constaté une réactivation post-vaccination des infections virales latentes, notamment du virus du zona, l’EBV (Epstein-Barr) et le virus de l’hépatite.

« L’immunosuppression temporaire induite par le vaccin est également un facteur susceptible de contribuer au pic post-vaccination des infections à coronavirus, observé dans de nombreux pays ».

FRÉQUENCE DES ÉVÉNEMENTS LIÉS AU VACCIN EN CANCÉROLOGIE : INCONNUE

Il existe déjà quelques milliers d’observations dans les rapports officiels de déclaration des événements indésirables et dans les groupes de patients en ligne. Il y a certainement de véritables coïncidences ou des retards diagnostiques en raison d’un diagnostic retardé lié au confinement. Mais nous ne devrions pas rayer d’un revers de manches les énormes problèmes que posent ces vraies personnes affectées dans leur quotidien et plus encore la responsabilité que prennent les médecins cancérologues en imposant l’injection avant tout traitement ou toute poursuite de protocole. Leur principal argument : « nous, on l’a bien fait, sans discuter » ne paraît pas digne d’une profession autrefois pensante.

En août 2021, le Dr Ryan Cole,(([8] Dr Ryan Cole sur le cancer post-vaccination :
Le docteur Ryan Cole constate une recrudescence de cas de cancers comme jamais auparavant. Vidéo. | Pro Fide Catholica)) américain, anatomopathologiste depuis de très longues années a décrit une augmentation significative de certains types de cancer (par exemple le cancer de l’endomètre, utérus) depuis le début de la campagne de vaccination de masse covid. Plus récemment, les pathologistes allemands ont également noté le problème de la dérégulation immunitaire post-vaccination et de la croissance tumorale soudaine chez certains patients.

Sur les réseaux français, plusieurs témoignages coïncident avec la réapparition d’hémorragies vaginales chez des femmes âgées de plus de 85 ans aboutissant au diagnostic de cancer de l’endomètre et au décès rapide… La protéine spike fabriquée par l’organisme à la suite de l’injection est particulièrement attirée par les organes génitaux, et c’en serait une nouvelle démonstration.

Alors en attendant d’en savoir plus, soyons prudents, tant médecins que soignants, et ne jouons pas à l’apprenti sorcier !

La prudence s’impose avec tous les traitements expérimentaux et encore plus lorsqu’ils sont le fruit d’une technique jamais utilisée auparavant en pathologie infectieuse. D’abord ne pas nuire doit guider les décisions de tout médecin fidèle à son serment d’Hippocrate.





BRAS DE FER : SOIGNANTS — VÉRAN

Par Nicole Delépine

Grève de la faim de soignants à Nice. Qui en parle ?

Nice — Quatre cent cinquante soignants suspendus au CHU

Ils veulent nous faire croire que le refus de l’obligation vaccinale est anecdotique, d’autant qu’ils ont imposé depuis des mois un lavage de cerveau permanent, quotidiennement répété et des chantages (sur nos déplacements et même sur le droit au travail) pour nous extorquer l’accord à l’injection génique. La population et les élus de tous bords devraient s’interroger sur les raisons de ce refus

Les soignants comme les pompiers ne sont pas des antivax primaires (ils se sont toujours fait vacciner et ont vacciné leurs malades), mais ils sont aux premières loges pour constater les dégâts chez les vaccinés, qu’on peut à la télé transformer en malades officiellement non vaccinés, mais pas au lit du malade.

Les accidents vasculaires cérébraux, troubles neurologiques, infarctus survenus avant la quatorzaine suivant la deuxième dose ont été catalogués « prévaccinaux » et non déclarés le plus souvent comme effet indésirable du vaccin.

Les coïncidences étaient très nombreuses en cette année 2021, de quoi dégoûter tous les Mégret ou enquêteurs de police du monde !

UNE GRÈVE DE LA FAIM DÉBUTÉE LE JOUR FATIDIQUE DE L’OBLIGATION DANS LE SILENCE MÉDIATIQUE

« Je rappelle qu’il y a qui font en ce moment la grève de la faim à Nice devant l’hôpital, Christophe & Thierry aide-soignant et pompier. Nous leur manifestons tout notre soutien, ils n’ont plus de salaire et de boulot » tweet du 20 septembre pour une grève commencée le 15 septembre, date terrible pour ceux qui refusent l’injection génique aux effets secondaires multiples et sans efficacité comme le montre la malheureuse expérience israélienne hyper-vaccinée qui souffre actuellement d’une mortalité quotidienne record

Une chaîne d’humains pour les soutenir

18 sept. Nice pour les soignants et pompiers en grève de la faim depuis le 15 septembre 2021

@LE_GENERAL_OFF_ 18 sept.

4e jour de Grève de la faim pour Thierry Pompier & Agent Incendie au CHU de Nice il campe devant le CHU #Nice suspendu à cause de l’obligation vax. Pour le soutenir, ce soir une aide-soignante, suspendue elle aussi après 20 ans de service, vient camper avec lui #solidarite

Et les conséquences des suspensions : des services ou des hôpitaux fermés faute de personnel, des grèves, des déserts médicaux passés sous silence des médias complices. Pas le moment de tomber malade !

Quelques exemples

Montpellier

Des soignants de la clinique Millénaire de Montpellier en grève contre l’obligation vaccinale(([1] Mercredi 15 septembre 2021 à 6 h 14 —
Par Virginie VandevilleFrance Bleu Hérault
Montpellier))

Près de cinquante soignants étaient mobilisés devant la clinique Millénaire de Montpellier. Une mobilisation destinée à dénoncer l’obligation vaccinale, et pour réclamer des hausses de salaire et une amélioration de leurs conditions de travail. »

Une cinquantaine de soignants étaient mobilisés ce mardi devant la clinique du Millénaire.
© Radio France — Virginie Vandeville en grève devant les grilles. 

Des témoignages poignants, tous plus bouleversants les uns que les autres

Nous en trouvons à la pelle sur les réseaux sociaux, mais comme ils disent tout le monde s’en fiche, l’hôpital se meurt depuis trente ans dans l’indifférence générale et cela continue. Le réveil est individuel quand le drame frappe à la porte et qu’on découvre que ces bruits des professionnels de santé faisant depuis des années des grèves symboliques en travaillant avec une pancarte sur le dos de la blouse « en grève » correspondaient à quelque chose de grave. Évident que les pouvoirs publics nationaux ou locaux ricanaient de notre naïveté de gréviste au boulot, réquisitionné si besoin et que cela n’impressionnait personne.

« Dimanche, j’ai travaillé. C’était mon dernier jour, c’était étrange. Je me suis dit, tu sors de la clinique et tu n’auras plus le droit d’y rentrer mercredi », explique une infirmière présente. Depuis une vingtaine d’années, elle travaille en tant que CDD. Elle aimait sa vie de soignante. « Dimanche, je pouvais encore soigner des patients. Là, je ne peux plus le faire. Je ne suis plus rien. » 

Cette obligation a eu raison de l’amour de son métier.

« Évidemment de temps en temps, je me suis dit que ce n’était finalement qu’une piqûre. Mais j’ai des valeurs, des valeurs qui grandissent et je ne peux pas les bafouer », affirme celle qui souligne le caractère expérimental et le manque de recul du vaccin.

« Pour ce qui est de la suite, je vais chercher du travail dans des boîtes d’intérim, je vais demander dans des supermarchés qui ne demandent pas de pass sanitaire. Je ne m’inquiète pas trop pour cela. » 

Cassés, écoeurés, scandalisés, en colère confinant au désespoir, pour la plupart, ils ne reviendront pas

Reprendre sa vie d’infirmière plus tard ? « Il faudra des mois et des mois pour digérer tout cela. Je ne me vois plus rentrer de nouveau dans ce monde »

« Je ne savais pas que je pouvais être dans le camp des résistants. »

« Même chose pour la collègue : “J’ai peur. Mais je me dis que je ne trouve plus de sens à mon métier et qu’il est temps de changer”. Infirmière depuis 20 ans. Son opposition au vaccin s’est dessinée progressivement. “Je me suis souvent demandé de quel côté je me placerais s’il y avait une révolution dans notre pays. Je ne savais pas que je pouvais être dans le camp des résistants, enfin si l’on peut appeler cela de la résistance. Finalement, c’est ce que je fais aujourd’hui”.

Selon les délégués CGT de l’établissement de santé, les non-vaccinés représentent 10% des effectifs de la clinique. Avec leur suspension, les conditions de travail vont obligatoirement se détériorer. Lits fermés, cadences élevées, multiplication des accidents de travail, des arrêts, des burnout, démissions, etc.. QUE CROYAIT LE GOUVERNEMENT ? L’espérait-il dans son désir de fermer toujours plus de lits ?

La mascarade du Ségur de la santé de juillet 2020

Des conditions de travail déjà très dégradées avant ce coup de massue des suspensions, avec de nombreux démissions et départs dans l’établissement et partout en France à la suite en particulier du Ségur de la santé de juillet 2020 qui ne fut qu’une mascarade.

Ils inventent des primes pour incitation à recrutement :
la direction a lancé depuis fin août la prime de cooptation pour les soignants, depuis le 7 septembre pour les aides-soignants. Une prime de 300 euros destinée à inciter le personnel à recommander des personnes pour venir travailler. Même pas en rêve !

La Roche-sur-Yon

Jeanne entame son 5e jour de grève de la faim devant la préfecture de La Roche-sur-Yon.

Soutien aux soignants qu’on a applaudi l’année dernière »(([2] Tweet 19 sept.-21.@BIKETTEClash))

Digne-les-Bains

Lits fermés, records d’arrêts maladie : à l’hôpital de Digne-les-Bains, les conséquences du vaccin obligatoire”(([3] par Alice Kachaner publié le 15 septembre 2021 à 17 h 45
Lits fermés, records d’arrêts maladie : à l’hôpital de Digne-les-Bains, les conséquences du vaccin obligatoire (franceinter.fr) ))

Dans les Alpes-de-Haute-Provence, plusieurs hôpitaux sont contraints de fermer des lits, faute de bras. Avec l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale, les arrêts maladie explosent.

Face à l’obligation vaccinale, les réticences des soignants à la vaccination varient selon les établissements et les territoires, mais à l’hôpital de Digne, elles sont particulièrement importantes. Selon le dernier comptage, 82% du personnel était en règle à la veille de l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale. Pour éviter des sanctions, certains agents se mettent également en arrêt maladie.

On a des arrêts de travail, beaucoup plus nombreux que d’habitude, notamment de toute une partie des personnes qui ne souhaitent pas se faire vacciner”, constate Franck Pouilly, directeur du groupement hospitalier des Alpes-de-Haute-Provence.

La semaine dernière, nous avons enregistré 20 arrêts, rien que sur l’hôpital de Digne. C’est un record jamais atteint sur une semaine. »

Des efforts supplémentaires sont demandés aux personnels vaccinés. « C’est une pression pour les agents. Il y a eu des rappels de soignants, un recours accru aux heures supplémentaires.

Le directeur qui n’exclut pas de nouvelles fermetures de lits, liées aux suspensions de contrats et démissions.

COMBIEN FAUT-IL D’EXEMPLES ?

Mulhouse

22-09-21 Urgences fermées pour 1 semaine à l’hôpital Diaconat à Mulhouse par manque de personnel suspendu pour cause de non-vaccination = 169 personnes dans tout l’hôpital !!  

Ainsi, la clinique du Diaconat a déprogrammé des opérations pour des raisons d’absence de personnel et ses urgences sont fermées jusqu’au 28 septembre.(([4] Information DNA 22-09-2021 & confirmé par France Bleu Alsace & France 3 à 12 h 30 dans leurs informations.))

Curieusement alors que les personnels non vaccinés seraient peu nombreux et ne compromettraient pas le fonctionnement du système le plan blanc est déclenché dans le Haut — Rhin.

Obligation vaccinale : les hôpitaux du Haut-Rhin contraints de déclencher le plan blanc

Le 22 septembre —L’hôpital de Mulhouse et le Groupement hospitalier Mulhouse Sud Alsace (GHRMSA) annoncent déclencher le plan blanc dans leur établissement.

En cause, l’éviction temporaire des soignants qui ne se sont pas soumis à l’obligation vaccinale. Ainsi, selon la direction du GHRMSA, environ 8 % des 5 500 agents ne sont pas vaccinés et 169 personnels ont dû être suspendus.”

Le groupe hospitalier explique être confronté à “une situation critique marquée par la poursuite de la gestion de la crise sanitaire, le besoin en renforts de ressources humaines, la réduction du nombre de lits liée à un absentéisme conséquent”. Seules les interventions urgentes sont maintenues.

Première alerte, après que, déjà, les hôpitaux de Montélimar et de Nice ont dû organiser des déprogrammations (sans activer le plan blanc) pour les mêmes raisons de manque d’effectifs.(([5] Copyright © http://www.jim.fr))

On semble loin, en tout cas, des déclarations rassurantes d’Olivier Véran qui ne comptait que 3 000 suspensions dans toute la France… bien qu’au moins 5 % des agents hospitaliers ne soient pas vaccinés, soit des dizaines de milliers de personnes.”

Le combat paye : les Antillais ont fait reculer le gouvernement

Près de 70% de soignants guadeloupéens ont décidé de refuser l’obligation vaccinale. Devant leur détermination le directeur du CHU a cédé en autorisant les non vaccinés à poursuivre leurs activités professionnelles.

À Saint-Barth

Aussi la résistance des soignants est majoritaire.

Et le ministre de la Santé a décidé de laisser tranquilles les soignants antillais et de ne pas leur imposer tout de suite la vaccination obligatoire. “Un sursis, temporaire seulement” dit-il, mais en France le temporaire dure longtemps et celui-là durera aussi longtemps que le personnel se battra pour la liberté.

Les exemples sont nombreux à travers la France

Cachés ou parfois relatés via de petits journaux locaux ou via les réseaux sociaux. Faut-il épiloguer et faire défiler la litanie des drames locaux ? Ou bien est — il temps de revenir à la réalité du pourquoi ?

Il n’existe plus aucune raison sanitaire pour une obligation d’un produit expérimental (épidémie terminée)(([6] Sources de données : https://www.sen (tiweb.fr/document/5408,
https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/ site=fr, http://www.sentiweb.fr/france/fr/
page=epidemies
Le réseau Sentinelles est développé sous la tutelle conjointe de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) et de Sorbonne Université, a pour objectif le suivi des épidémies de COVID-19, de GRIPPE ainsi que celles dues aux autres virus respiratoires saisonniers (VRS, rhinovirus et métapneumovirus). Pour plus de détails et de commentaires sur la lecture de données vous pouvez nous contacter https://reaction19.fr/contacts))

Bulletin épidémiologique du réseau sentinelle semaine 36 (du 6 septembre au 12 septembre 2021) :

L’incidence est de 7 malades covid-19 pour 100 000 habitants.

Il n’y a donc actuellement aucune épidémie due à la covid-19 : le taux d’alerte épidémique pour la grippe saisonnière est de 170 malades pour 100 000 habitants). Pour la grippe type A (H1N1 pdm09 B) le pic d’incidence épidémique 2019 atteignait 599/100 000 (sans confinement, sans vaccination, sans imbroglio de pass sanitaire/green pass) L’incitation forcée à la “vaccination” — thérapie génique continue, mais elle n’a pas pour objectif de prévenir et d’endiguer la Covid-19

➢ Le passe sanitaire n’est qu’un moyen de chantage dont le seul objectif est de contraindre à une “vaccination” inutile (au vu des données épidémiques qui sont disponibles) et d’attribuer un QR code à tous les Français afin de préparer un flicage à la chinoise. Certains politiques du pouvoir l’ont dit clairement !

QU’ESPÈRE LE GOUVERNEMENT AVEC CE BRAS DE FER AVEC SOIGNANTS ET POMPIERS ?

A-t-il sous-estimé la résistance de terrain et cru que les manifestations suffiraient à calmer les rien, les sans dents et bientôt sans soins, les soumis permanents ?

Il continue à instrumentaliser la peur (alors que l’épidémie est terminée en France !) pour poursuivre son plan d’injection généralisée génique aux effets délétères et sans aucune efficacité réelle sur un virus très sensible aux traitements précoces.

La victoire rapide contre la maladie dans tous les pays qui utilisent les traitements comme l’Ivermectine démontre, s’il le fallait, que cette stratégie n’a rien de sanitaire, mais qu’elle est politique avec pour seul but de supprimer nos libertés fondamentales et d’instaurer une société selon le modèle chinois ou chacun est fliqué par son QR code.

LA CERISE SUR LE GÂTEAU 
POUR ÊTRE EMBAUCHÉ À L’HÔPITAL, DEUX CONDITIONS :
VACCIN ET OBÉISSANCE

Suivez sur Telegram les actualités moins censurées(([7] https://t.me/toutelesinfos/1323 Toute l’info, [Sep 22, 2021 at 2:58 a.m.])) “— Le CHU de Lille recrute une cinquantaine d’agents de service hospitalier vaccinés sans expérience”.(([8] Au CHU de Lille gros manque de personnels suite à l’obligation vaccinale où plusieurs soignants sont suspendus ou en arrêt maladie.
https://www.lavoixdunord.fr/1071084/article/2021-09-17/le-chu-de-lille-recrute-une-cinquantaine-d-agents-de-service-hospitalier-ni-cv
https://t.me/toutelesinfos))

L’agence de pôle emploi de Lille Grand Sud et le CHU de Lille vont collaborer avec l’accord de l’ARS pour recruter du personnel vacciné sans expérience et sans CV, juste en faisant un test et un entretien !

Test où les sujets sont : respect des consignes, faculté à maintenir l’attention, facilité relationnelle et capacité à travailler sous pression : CQFD

Ceux qui ont la moyenne poursuivent avec un entretien de motivation avec la direction des ressources humaines du CHU de Lille. S’ils réussissent, ils seront embauchés.

L’histoire ne dit pas sur quels critères le DRH est embauché.

On peut s’étonner de la discordance entre le faible pourcentage de personnels soignants non vaccinés, donc suspendus, et les énormes difficultés rencontrées dans tout le territoire français dont nous n’avons cité que quelques exemples : trois mille suspensions pour 2,7 millions de personnels soignants désorganiseraient-ils tellement le système, ou bien comme pour tout le reste de la gestion de cette crise, le mensonge sur le nombre de non vaccinés est-il l’explication ?

Portez-vous bien !





La Gestapo 2.0 : un médecin arrêté pour avoir traité ses patients contre la Covid. Mise à jour 2

Mise à jour :

Le Dr Théron ne se laissera pas intimider

https://t.me/Laveritecensure/6182
La Vérité Censurée, [Sep 21, 2021 at 13:51]

L’avocat du Dr jean-Paul Théron s’exprime :

« Vous avez quelqu’un qui soigne, qui se bat pour soigner ses 80 patients, ils ont confisqué son téléphone et son ordinateur et l’ont mis en garde à vue »

https://t.me/Laveritecensure/6184
La Vérité Censurée, [Sep 21, 2021 at 17:09]

Les conditions d’interpellation du Dr Tharon sont affreuses, dignes d’un régime communiste. Il a sauvé dernièrement plus de 80 patients grâce au traitement du Pr Raoult.

https://t.me/Laveritecensure/6186
La Vérité Censurée, [Sep 21, 2021 at 19:22]

Voici les conditions d’arrestation du Dr Theron (63 ans) qui demande à plusieurs reprises l’assistance d’un médecin avant d’être violemment traîné dehors. Son tort : il soigne avec le protocole du Pr Raoult.

Témoignage de la fille de Dr Theron :

« À 9 h 17, pendant qu’il se lavait les mains aux toilettes de la salle, les gendarmes sont venus le placer en garde à vue. Le choc ! La brutalité et l’humiliation de cette arrestation jusque dans les toilettes. 63 ans, père de famille et grand-père. »

Voici Message du fils du Dr Théron, très violemment arrêté en Polynésie française :

« Le pharmacien Jérôme Rondan a rompu le secret professionnel en balançant l’ordonnance du médecin Theron sur les réseaux sociaux et est à l’origine de l’arrestation de ce dernier. »

#LiberezTheron
#Polynésie
#Theron

Rejoignez la Vérité Censurée
https://t.me/Laveritecensure


Mise à jour 2 :

Résister peut porter ses fruits :

L’Ordre des médecins annule la décision de suspension du Dr Nagib Moatassime pour avoir prescrit de l’Ivermectine !

Le fait de déposer plainte pour prescriptions d’Ivermectine est déjà extrêmement choquant en soi. Heureusement que l’Ordre national a annulé la suspension du Dr Nagib Moatassime en espérant qu’elle fera jurisprudence et donnera du courage à ses autres confrères.

https://twitter.com/BBR_06/status/1432652912187125762?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1432652912187125762%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.lelibrepenseur.org%2Flordre-des-medecins-annule-la-decision-de-suspension-du-dr-nagib-moatassime-pour-avoir-prescrit-de-livermectine%2F



L’arnaque des « fact-checkers » : Pierre de « Décoder l’éco » répond aux attaques

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Pierre, animateur de la chaîne Décoder l’éco
©FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

TRIBUNE – Ce 17 septembre, pour la deuxième fois concernant mes travaux statistiques, un article s’est vanté d’avoir réussi à contredire mes arguments sur la situation de la Covid-19 en Israël. Il y a quelques mois, les décodeurs du journal le Monde s’étaient prêtés à l’exercice. Ils avaient sobrement repris la vignette de ma vidéo en écrivant « FAUX » par-dessus, sans apporter d’argument contredisant ma démonstration. J’y avais répondu sous forme d’une vidéo et d’un article. Aujourd’hui c’est un petit média internet qui se lance dans cette entreprise. On y voit cette fois-ci plutôt mon visage et ma bibliothèque avec la mention « DEBUNKED », et une petite phrase qui commence par le mot « non », histoire bien évidemment de montrer que mes propos sont un mensonge, mais « avec de vrais chiffres ». 

Le comportement parasitaire des « fact-checkers » 

Dans un pays qui se dit démocratique, défendant une « liberté de la presse », il paraît tout à fait normal d’encourager les débats contradictoires. Je « m’étonne » du traitement réservé depuis 18 mois à tous ceux qui refusent de soutenir la version officielle de la terreur légitimant la « nécessité » de la mise en retrait des « Libertés » pour le « bien commun ». Je pense par exemple à Laurent Mucchielli, autrefois porté aux nues par la presse dite « de gauche » et se trouvant aujourd’hui complètement ostracisé, catalogué complotiste d’extrême-droite, voire antisémite, aucun qualificatif n’étant oublié pour discréditer une personne auprès du lectorat visé. 

Il me semble qu’un comportement « humain » raisonnable, qui devrait servir de base au métier de journaliste, est de discuter des arguments avancés par les personnes qui publient. Je m’étonne qu’à aucun moment, aucun de leurs journalistes ne soit venu discuter de mes chiffres de façon à avancer dans la compréhension du sujet. Je lis tous les messages qui me sont adressés et répond à la quasi-totalité d’entre eux. Les personnes publiant des articles ou des vidéos sur Iinternet de façon publique sont nécessairement dans une posture d’échange. Jamais aucun « fact-checker » n’a souhaité dialoguer pour lancer un débat contradictoire. Leur but n’est pas de faire avancer la connaissance et de questionner, mais de défendre leur point de vue, leur groupe. 

Ces « fact-checkers » n’ont pas d’autre horizon que d’empêcher le débat en discréditant ceux qu’ils considèrent comme leurs « adversaires ». Leurs articles posent les barrières infranchissables de l’information. La publication de petits articles avec les mots « FAUX », « DEBUNKED » ou autre « FAKE NEWS », permettent d’éviter que leur lectorat ne « s’égare » en lisant une information contraire aux croyances du groupe. Le journalisme en est réduit au niveau de harceleurs de collège où certains groupes prennent le leadership de la classe en choisissant des cibles à exclure du groupe. 

Enfin, il me semble déplorable d’encourager un journalisme dont le rôle assumé est de ne rien produire, mais de passer son temps sur le derrière de personnes qui pensent différemment d’eux, pour essayer de les dénigrer. Leur rôle n’est pas de comprendre et synthétiser les informations à leur disposition, mais de suivre paresseusement leurs cibles en vivant au crochet de leurs travaux. Il est finalement peu étonnant que ce type de journalisme du niveau cours de récré sans aucune plus-value soit financé par les réseaux sociaux. L’ère de la médiocrité intellectuelle est à l’œuvre. 

Toujours la même méthode : l’attaque ad hominem 

La première attaque des « fact-checkers » est toujours la même : discréditer l’auteur. Cette première partie est toujours composée d’attaques ad hominem. Elle permet de conforter d’emblée le lectorat sur la lecture qui suit : le monsieur est un menteur, il ne faut pas l’écouter. Il y a quelques mois il ne fallait pas m’écouter parce que j’étais un inconnu, aujourd’hui c’est parce que je suis devenu une « égérie ». La fenêtre d’écoute raisonnable semble étroite. Au passage, j’apprends que l’égérie des complotistes et des désinformateurs, c’est moi. Désolé pour tous ceux qui étaient dans la course pour ce titre en 2021, la place est prise. 

En journalisme, on apprend que seul le début de l’article est lu. Il s’agit donc de mettre l’information la plus importante en premier car l’écrasante majorité des lecteurs s’arrêtera là. Nous savons donc que l’information majeure que ce journaliste souhaite apporter : c’est que je suis un « complotiste ». Cela suffit à ce que l’article soit partagé et retweeté sans avoir besoin d’aller plus loin. Vous trouverez quelques perles de ce genre en commentaire de ma vidéo ayant subi le « fact-checking » des « Décodeurs » : des personnes se vantant de n’avoir pas regardé la vidéo, mais venant quand même mettre un post pour dire qu’elle n’est qu’un amas de « mensonges complotistes ». Je découvre la nature humaine et le besoin pour certains d’une vérité absolue sans qu’aucune nuance ne soit tolérable. 

Les fameuses questions rhétoriques 

L’auteur de l’article fait semblant de se demander pourquoi j’affirme qu’il n’y a pas de surmortalité globale, alors qu’il y a une surmortalité vaccinale. Il s’agit bien évidemment de faire croire à une contradiction. J’explique précisément dans l’article que la surmortalité liée à la vaccination est faible (quelques personnes pour 100 000). Dès lors, elle est indétectable dans la population générale en période hivernale. La mortalité hivernale est bien plus élevée que ce phénomène pour les personnes âgées. Pour cette raison, la seule population sur laquelle cette surmortalité est mesurable est la population jeune, car elle n’est pas soumise à la hausse de mortalité hivernale. En faisant le calcul, je montre une surmortalité des jeunes de 60 personnes sur la totalité de la période vaccinale. Cela ne peut pas être visible dans la mortalité générale du pays. Rappelons qu’il meurt en Israël entre 3500 et 5000 personnes tous les mois

Les soi-disant données cachées (ou ce « cherry-picking » qui serait la marque des complotistes) 

L’auteur m’accuse de masquer une partie des données. C’est assez intéressant me concernant puisque je fais l’effort de mettre tous les liens de toutes mes sources avec mes vidéos, mais qu’en plus, je prépare des fichiers prêts à l’emploi, car je sais que beaucoup se découragent au moment de télécharger les fichiers. L’auteur m’accuse donc de masquer les données de la « pandémie », autrement dit les décès estampillés Covid-19. Cela fait maintenant 18 mois que le principal apport de tous mes travaux est de montrer que les comptages Covid n’ont absolument aucun sens et qu’il faut raisonner en mortalité toutes causes confondues. La « rigueur statistique », c’est de travailler sur des données sans biais. C’est bien l’objet de mon article sur Israël. Je signale à l’auteur que toute la deuxième partie de mon article est consacré à l’absurdité du comptage de « cas » de Covid-19 en Israël à l’aide de celui des résultats de tests. Alors, oubli volontaire ? 

Les morts post-vaccination seraient des morts Covid 

L’argument suivant de l’auteur concerne les graphiques permettant d’observer une corrélation parfaite entre vaccination et mortalité. Il se base sur deux points. Le premier est de dire que les hausses de mortalité observées ne sont pas dues à la vaccination, mais à la Covid-19. L’auteur répète d’ailleurs cet argument dans un paragraphe suivant. Il serait intéressant que l’auteur nous dise où il a bien pu lire que la Covid-19 entraîne une hausse de mortalité chez les jeunes. Je signale qu’aucun pays sur lequel nous disposons de données, ni en Israël, ni dans toute l’Europe (consultez l’étude que j’ai pu réaliser sur 33 pays européens) ne montre la moindre hausse de mortalité en période Covid chez les moins de 40 ans, à l’exception des pays ayant massivement vacciné ces tranches d’âges (notamment Hongrie et Israël). La mortalité toutes causes ne montre pas de quoi décèdent ces jeunes, mais, même en considérant que c’est la Covid, faut-il quand même vacciner les jeunes si on observe que le nombre de morts Covid des jeunes augmente à cette occasion ?  

Le deuxième point concerne une deuxième hausse de mortalité visible entre deux et trois mois après les injections de masses. L’auteur en déduit que cette deuxième hausse est une preuve que la première n’a pas de rapport avec la vaccination. Je le remercie de mordre à cet hameçon, même si j’espérais plutôt que cela vienne d’un chercheur curieux de l’étude des effets secondaires. On constate en effet une deuxième hausse dans quasiment toutes les tranches d’âges, sauf les plus âgées. Il est intéressant d’observer le biais cognitif de l’auteur qui, abreuvé de l’information que la vaccination est « nécessairement » sans risque, est incapable d’envisager que des effets secondaires puissent arriver. En effet, un décès causé par une injection ou une intervention dans les jours qui suivent est un effet primaire de l’évènement. Il s’agit d’une suite directe ce qui est subi. La corrélation parfaite que nous montrons à J+5 ne présage pas qu’il n’existe pas d’autres effets plus tardifs. Il s’agit d’ailleurs du principe des études de long terme de le déterminer. Ici nous observons une deuxième remontée après les injections. En trouver une avant aurait été un indice fort de non-causalité. En trouver une après va plutôt dans le sens de ce que nous montrons. Merci donc de la souligner. 

Par ailleurs, l’auteur soulève que cette bosse est surtout observable pour les plus jeunes, et de moins en moins pour les plus âgés. C’est un indice supplémentaire. Imaginez que vous distribuez un poison à toute une population. Les plus fragiles et les plus sensibles à ce poison vont décéder en nombre très vite. Les plus jeunes résisteront bien mieux et certains résisteront longtemps avant de succomber. Si on considère que la vaccination entraîne chez certains personnes la création de caillots sanguins, il est probable que les moins de 40 ans puissent en supporter bien plus et pendant plus longtemps que les plus de 80 ans. 

Les mauvaises fréquentations 

Afin d’enfoncer le clou sur mon compte et surtout « protéger » son lectorat des « méchants », l’auteur en profite pour rappeler que mon étude se base sur les mêmes observations que celle d’Alexandra Henrion-Caude et Steve Ohana. Nous arrivons ainsi aux mêmes conclusions. Ce procédé fonctionne comme un avertissement contre tous ceux qui souhaiteraient suivre le même chemin. Il avertit les journalistes, chercheurs, lecteurs, politiques, que toute personne surprise à oser lire, commenter ou pire, approuver le document d’une personne considérée « complotiste » rentrera immédiatement dans la même case. Un certain nombre de personnes (en accord ou désaccord avec mon point de vue) me font la remarque du « consensus » scientifique sur la gravité de la situation. 

Il n’y a pas et n’a jamais eu de consensus. Il y a une pression et un acharnement délétère envers tous ceux qui osent contredire ce qui est considéré médiatiquement comme « la vérité ». De nombreux chercheurs et auteurs français (Laurent Toubiana, Jean-François Toussaint, Vincent Pavan…) autrefois considérés comme parmi les meilleurs dans leurs domaines ont subit une destruction systématique de tous leurs travaux par les médias. Qui peut croire qu’autant de personnes reconnues auraient simultanément grillé un fusible ? J’ai pu observer en direct le rejet subi par certain d’entre eux par leurs propres collègues, instituts, laboratoires. Non pas à cause d’arguments contradictoires à leurs travaux, mais bien par souci des nombreux pervers narcissiques aspirant à de hautes destinées de préserver leur précieuse image. Ces exemples destructeurs ont évidemment servi à décourager tous ceux qui souhaiteraient encore se lancer dans ce type de travaux. Je témoigne d’ailleurs (en ayant des traces mails à l’appui) avoir vu deux études se faire censurer par les hébergeurs MedRxiv et SSRN, sans aucun motif. Cette censure a bien évidemment empêché toute relecture possible par des pairs et donc toute publication. Je gage que ces deux articles ne sont pas les seuls à avoir subi ce tri. La pseudo-uniformité des résultats est donc artificiellement créée. 

La stratégie de l’inversion : me faire dire ce que je ne dis pas 

Je précise dans toutes mes vidéos que corrélation n’est pas causalité. Il n’existe pas de preuve par la statistique. D’ailleurs c’est un résultat intéressant à garder en mémoire lorsque vous lisez une étude d’un laboratoire pharmaceutique vous vantant les résultats miraculeux de son produit miracle à l’aide d’une étude statistique, souvent en double aveugle. L’étude ne vous amène qu’une corrélation et il existe autant de façon de maîtriser cette corrélation que d’auteurs rémunérés directement par ces mêmes laboratoires. On note d’ailleurs qu’une fois de plus l’auteur ne remet jamais en question le principe de causalité pour les morts de la Covid-19. On note par exemple que parmi les personnes qui décèdent, certains sont positifs aux tests Covid-19. On en déduit simplement que ces personnes sont mortes de la Covid-19. La corrélation devient causalité sans faire lever le moindre sourcil à notre « fact-checker » anglo-latiniste. On lui fera remarquer que l’écrasante majorité des personnes avec un test positif n’a absolument rien. L’auteur les classera certainement dans la case « asymptomatique », puisqu’à notre époque, « Tout bien-portant est un malade qui s’ignore. »  De la même manière, à aucun moment je ne suppose que les jeunes meurent tous de la vaccination. Je note une surmortalité (donc pas tous les décès, mais seulement ceux au-dessus de la mortalité habituelle) après les campagnes d’injections de masse. Je dénombre cette surmortalité et je constate qu’elle est cohérente avec les travaux déjà réalisés sur la pharmacovigilance. L’objet de cette étude est donc d’alerter les pouvoirs publics sur des corrélations parfaites dans tous les pays ayant mis en place cette stratégie. 

Auteur(s): FranceSoir




Nous Français et Occidentaux sommes les plus « intelligents »… raison pour laquelle une majorité d’entre nous restera dans l’ignorance et la soumission jusqu’à la lie

Par Alain Tortosa

Cela fait des siècles que nous sommes formatés à « l’intelligence ». Et encore plus le Français qui a « TOUT » inventé depuis la nuit des temps.

Les hommes politiques, les médias ne se privent pas de rappeler que les Français sont intelligents, qu’ils ont du bon sens, et qu’il suffit de leur expliquer pour qu’ils comprennent. Ils rajoutent même qu’il est « impossible » de les tromper et les prendre pour des imbéciles… ben oui, « on le verrait tout de suite ! ».

De bien entendu, nous sommes tous « Charlie », ouverts d’esprit, ouverts au débat, pour la liberté d’expression et bien entendu totalement « antiracistes », c’est bien connu.

Cela ne nous empêche pas de penser ou de dire en petit comité que l’Afrique en est encore à la préhistoire en cassant des noix de coco tandis que nous, les Occidentaux, envoyons des astronautes sur la Lune. (sourire).

Si on interroge le Français moyen, il regarde tous les jours la chaîne de TV Arte alors que si on analyse la réalité, le fait est que son émission préférée sera plus « touche pas à mon poste » animée par le grand Cyril Hanouna et des intervenants dont l’intelligence ferait rougir de honte un prix Nobel…

Nous sommes les plus « intelligents » alors même que le niveau scolaire ne fait que décroître d’année en année, que l’on formate les élèves à se gaver d’un savoir monolithique et que dans le même temps tout est fait pour leur interdire de penser et d’avoir un esprit critique.

L’enseignement officiel a pour objet de fabriquer des clones avec le minimum de libre arbitre… et bien entendu, c’est exactement le contraire qui est valorisé par les mots et certainement pas par les actes.

La dictature nous manipule en jouant sur notre « intelligence »

C’est un des plans machiavéliques utilisés par l’État profond pour endormir notre cerveau et notre esprit critique. Comment les êtres les plus intelligents du monde (les Occidentaux), et encore plus les Français, pourraient-ils être manipulés ?

À la rigueur mon voisin, qui par axiome, est totalement idiot, mais moi ??

Dès lors que les « intelligents » que nous sommes ont gobé au mois de mars 2020 que nous étions menacés par un « terrible virus » et que l’unique solution était de confiner la population mondiale, c’était gagné pour la dictature.

Il a suffi de balancer quelques fausses données dans tous les « médias » avec des prévisions apocalyptiques pour nous précipiter dans la fosse.

Rendez-vous compte que l’on a réussi à faire croire à une majorité de Français que le confinement de malades et de bien portants dans un même lieu était de nature à juguler une épidémie et sauver des vies.

On a même réussi à nous faire croire à nous, « les êtres les plus intelligents du système solaire », qu’il était « vital » d’enfermer les personnes en bonne santé pour endiguer une épidémie !

On a réussi à nous faire croire que si nous avions des symptômes, il ne fallait surtout PAS se rendre chez notre médecin, mais attendre l’article de la mort pour nous précipiter à l’hôpital et nous faire exploser les bronches avec de l’oxygène à haute pression pour mourir 5 jours plus tard !

Oui dès ce jour béni de l’obscurantisme scientifique et digne de l’inquisition, l’affaire était gagnée, la marche arrière devenait impossible !

Qui plus est sans heurter le moins du monde les plus grands défenseurs des droits de l’homme conscients que « la fin justifie les moyens ».

La pensée la plus présente chez les covidistes étant :

« Comment moi, une personne supérieurement intelligente, aurais pu être débile et manipulable au point de gober une histoire aussi énorme, aussi mal foutue, autant improvisée, autant créée de toutes pièces avec des bouts de ficelle. »

Nous avons été terrorisés par un virus télévisuel « aussi mortel que la peste » alors même que nous n’avions pas vu le moindre mort. (Et encore aujourd’hui qui connaît une personne en bonne santé et non en fin de vie ou avec de fortes comorbidités décédée réellement du Covid… et non avec le Covid.)

En fait, le mois de mars 2020 était un remake de « La Guerre des Mondes » diffusée en 1938 ayant provoqué la panique chez les auditeurs convaincus qu’une attaque extraterrestre était en cours.

Idem en mars 2020 où des millions de Français ont été convaincus de l’attaque d’un virus dont pas grand monde n’en a vu la couleur… Une sale grippe en 2019 serait passée inaperçue, mais un supposé (supposé, car nous n’avions aucun test à l’époque) sars-cov2 en 2020 à symptômes identiques, était du domaine de l’enfer.

Plus les mois ont passé, plus les mensonges ont grandi, plus les incohérences se sont multipliées et plus le piège se resserrait sur nous !

Comment ouvrir les yeux aujourd’hui ?

Comment accepter que l’on ait pu être idiot au point de gober un an et demi de mensonges aussi énormes et aussi anti-scientifiques les uns que les autres.

À ce point de mon récit, il est probable que j’ai déjà perdu une énorme partie du lectorat membre de l’église du coronavirus qui a autre chose à faire que lire des élucubrations complotistes…

C’est ainsi que notre cerveau est devenu le plus grand complice de cette supercherie à l’échelle mondiale !

Tel le syndrome de Stockholm, chaque Français est devenu complice de ses preneurs d’otages.

Il est devenu vital pour la santé mentale de chacun que cette pandémie soit à ce point terrible. Vital que les mesures prises fussent les « bonnes », compte tenu de la situation qui risquait de conduire à l’apocalypse et à l’anéantissement de l’espèce humaine.

LE point de non-retour a été franchi avec les injections et pour de très très nombreuses années.

Des parents ont injecté à leurs enfants des substances inutiles, expérimentales à l’inefficacité prouvée et à la dangerosité tout aussi prouvée, mais cachée par les médias menteurs !

Cette vérité statistique est TOTALEMENT inacceptable pour un parent.

C’est pour cela que tous les parents qui ont injecté leur enfant, sont condamnés à avoir l’intime conviction d’avoir agi, non pas pour le bien de la communauté dont tout le monde se moque éperdument, mais d’avoir agi directement ou indirectement pour le bien de leur enfant.

Imaginez qu’un vaccin sur le marché depuis 20 ans présente des contre-indications potentiellement mortelles même si elles sont rarissimes. Mais que dire d’une injection d’ARNm dont les premiers essais sur l’homme ont eu lieu au mois de mai 2020 ! Alors même si l’on tablait sur un risque de décès de 1 sur 1 million d’injections, cela veut dire que mathématiquement des enfants vont et sont déjà décédés de cette injection (ce qui est confirmé par les statistiques).

Mais à la différence d’un vaccin classique qui protège l’enfant d’une maladie potentiellement mortelle pour lui, la thérapie génique à ARN messager ne le protège en rien d’une maladie qui ne le concerne PAS s’il est en bonne santé… car le Covid n’est PAS une maladie infantile comme l’écrit régulièrement l’association française de pédiatrie.

Bref, le retour en arrière est donc désormais totalement impossible.

Les « convaincus » ne peuvent PAS ou PLUS croire que dès le mois de mars 2020 :

  • De nombreuses études sur la (non) dangerosité du virus étaient parues.
  • L’on savait quelles étaient les personnes à risque et donc les personnes non à risque comme les enfants.
  • Que les confinements d’une population générale étaient contre-productifs.
  • Que le confinement du mois de mars 2020 était un échec avant même de commencer, car il était déjà un échec en Italie. Mais par contre, la méthode sud-coréenne de tracing sans confinement fonctionnait parfaitement.
  • Que les masques en population générale étaient dangereux, inefficaces et contre-productifs.
  • Qu’un vaccin contre un coronavirus (qui ne fait que muter) était OBLIGATOIREMENT une impasse thérapeutique.
  • Que l’immunité vaccinale de masse était de fait un leurre.
  • Que l’HCQ (introduite et étudiée par les Chinois et non par Raoult) et certains antibiotiques étaient efficaces avant l’orage.
  • Que seule l’immunité naturelle pouvait nous sauver, car « adaptative ».
  • Que les tests PCR ne sont pas prédictifs
  • Que les gestes barrières relèvent de la pensée magique
  • Etc.

La propagande est même arrivée à leur faire croire que l’AstraZeneca, un adénovirus génétiquement modifié, était plus dangereux qu’un ARNm expérimental. ARN messager testé par le passé à petite échelle sur des malades en phase terminale. Qui plus est encore en phase III expérimentale et ARNm « bizarrement » jamais utilisé contre la grippe.

AUCUN parent qui a gobé toute cette mascarade macabre ne peut ouvrir les yeux aujourd’hui et se dire désormais :

« J’ai pris le risque de provoquer un cancer à 10 ans pour mon enfant, mis peut-être en péril sa capacité reproductive, alors même qu’il ne risque RIEN de cette maladie et que le vaccin ne protège pas de la contamination et qu’il n’a donc RIEN de solidaire. »

Une personne « intelligente » et manipulée depuis le début et qui aurait fait l’effort de lire mon texte jusqu’à cette ligne ne peut pas se poser sereinement la question et se dire :

« Et si ce qui est écrit là était véridique ? »

Il est alors naturel d’utiliser des mécanismes de défenses classiques, se poser des questions sur l’auteur et non sur le fond, botter en touche, ricaner, mais il est à parier que le lecteur ne prendra pas le risque de faire un travail de recherche qu’il n’a JAMAIS entrepris depuis le début de l’affaire.

Travail d’autant plus facile aujourd’hui qu’il a été prémâché par de si nombreux scientifiques ou lanceurs d’alertes qui facilitent l’accès aux informations et à leurs sources.

Dédouaner « l’être supérieur »

Le gouvernement, les médecins corrompus et les médias achetés ont fait un travail formidable de décrédibilisation de la parole dissidente.

Au point que de très nombreux manipulés CROIENT qu’il y a un quasi-consensus scientifique mondial et que les dissidents sont quasi inexistants et relèvent (tous ?) de la psychiatrie.

La Pravda a donc rabâché jour après jour que tous ceux qui avaient une parole dissidente étaient des « complotistes » dont la crédibilité était proche de ceux qui pensent que les extraterrestres ont remplacé les chefs d’État par des clones.

Ces « complotistes » sont, dans la bouche des médias, à la fois des psychopathes d’extrême droite et antisémites qui ont réussi à manipuler un flot de débiles profonds analphabètes, paumés et en perte de repères.

« Un être doué d’intelligence ne pouvant prêter foi à des théories qui vont à l’encontre de la pensée unique. »

La manipulation de la dictature a été à ce point intelligente et diabolique qu’elle a dit à tous les êtres intelligents et supérieurs que nous sommes qu’il ne fallait surtout pas discuter avec les « autres »  !

Ne surtout par argumenter parce que « les complotistes sont des pervers manipulateurs qui peuvent retourner votre honnête cerveau ». On nous a donc expliqué qu’il ne fallait pas nous fabriquer NOTRE propre opinion, car nous serions manipulés par ces malfaisants.

La parfaite illustration en fut le film documentaire « hold-up ».

Question à une personne « intelligente » : « Tu as vu hold-up ? » Réponse ; « Non c’est un ramassis de théories complotistes d’extrême droite avec des intervenants dissidents rejetés par leurs pairs. »

Rendez-vous compte que la « sagesse », la démarche « intelligente et scientifique » n’était plus de regarder hold-up, puis d’aller étudier et vérifier chacune des affirmations pour se faire sa propre opinion, mais d’obéir à la consigne officielle :

« Surtout, ne regarde pas, c’est une dangereuse perte de temps ! »

Nous étions dédouanés d’avoir une démarche scientifique, dédouanés de ne pas nous interroger grâce aux « décodeurs de l’information » qui l’avaient fait pour nous.

La pensée unique

Nous avons vécu et vivons encore une période où le révisionnisme est roi ! L’OMS a réécrit son site, des études sont venues dire le contraire de dizaines d’années de travail… pas de soucis. Le Lancet, quant à lui, a fait des faux ou censuré des études dans l’indifférence générale.

On a même inventé la vérification de l’information dans le but, toujours le même, d’empêcher les êtres « intelligents » que nous sommes, d’aller nous renseigner et étudier pour nous forger notre opinion.

Le principe de la « vérification de l’information » est très simple à mettre en œuvre.

  • Un « illuminé » affirme une pensée déviante.
  • Vous allez interroger un « spécialiste » qui est d’accord avec vous et la pensée unique qui répond « Non cette affirmation est fausse ! ».
  • Ainsi vous avez « démontré » que ces propos complotistes étaient ridicules !

Petit à petit les manipulés ont acquis l’intime conviction que le récit mondialiste était vrai parce que tous les médias traditionnels, ainsi que tous les « scientifiques » médiatiques (toujours les mêmes d’ailleurs) avaient le même discours parfois au mot près.

« S’ils disent tous la même chose, c’est bien que c’est vrai ! »

Nous aurions pu trouver étrange que la quasi-intégralité des médias se contente de reprendre les dépêches AFP sans rien vérifier, mais non !

Presse considérée « indépendante » alors que sa survie repose EXCLUSIVEMENT sur les aides de l’État !

Donc soit la masse s’est contentée de l’affirmation de tel ou tel média de « confiance », genre France Inter, BFM ou Cnews, soit elle a fait « un travail d’enquête » en lisant plusieurs journaux mainstream différents qui disaient tous la même chose !

D’innombrables « débats » ont eu lieu sur les chaînes d’info où des personnes d’accord entre elles débattaient pendant des heures. Ceci entrecoupé 5 minutes par semaine d’un invité (généralement invité qu’une seule fois) qui cherchait à se défendre face à plusieurs accusateurs médiatiques présents pour le lyncher.

Ainsi la recherche de la vérité, la recherche de sa propre opinion ne procédait plus en la lecture d’auteurs, d’études ou d’opinions diamétralement opposées, mais en la lecture d’informations concordantes appelées « consensus ».

La plupart des Charlie se réjouissaient que le temps d’antenne des complotistes soit le plus bref possible et que les réseaux sociaux censurent à tout va… L’apothéose étant de trouver normal qu’un président américain élu soit censuré par des entreprises privées !

Le CSA veillant scrupuleusement à l’absence de pluralisme et sanctionnant les rares émissions où un « ennemi du peuple » pouvait prendre la parole sans contradicteurs autres que le « journaliste » présent pour le descendre en flèche.

Comment survivre face à toutes les incohérences ?

On a beau être manipulé, on a beau se voiler la face et ne rien lier, les incohérences sont parfois trop énormes pour arriver à se les cacher.

  • Il est compliqué de trouver logique d’utiliser des drones ou des hélicoptères pour verbaliser des personnes seules sur une plage ou dans une montagne durant un confinement alors que dans le même temps on peut s’entasser dans un supermarché.
  • Compliqué que le masque soit inutile et dangereux le lundi puis obligatoire et vital le mardi.
  • Compliqué qu’il faille rester enfermé le mercredi et sortir le plus possible le jeudi.
  • Compliqué de voir que l’on diminue les budgets dans la santé, que l’on ferme des lits alors même que l’on dépense des millions pour recruter des vigiles.
  • Compliqué que l’on interdise de s’asseoir en terrasse, mais que l’on autorise d’être entassé sur le quai d’un RER.
  • Compliqué que l’on interdise les médecins de prescrire et qu’on les sanctionne s’ils le font.
  • Compliqué que l’on impose une troisième dose du même vaccin alors même que le virus a muté (comme si le vaccin pour la grippe était le même tous les ans).
  • Etc., etc.

Alors comme je suis un être « supérieurement intelligent », je décide que ceci n’est pas de la malveillance, de l’intention de nuire, mais de la bêtise humaine.

Le fait que ces « erreurs » soient répétées à l’infini ne me choque pas tant que ça… que les parlementaires guignols continuent à n’être que les membres d’une chambre d’enregistrement et que tout soit décidé par un conseil de défense totalement opaque, pas de soucis. Que les mêmes soient encore aux commandes comme le Ministre de la Santé malgré tous les échecs et mensonges, no problem !

L’indispensable amnésie et surtout ne rien lier

Pour ne pas faire exploser notre cerveau nous devons avoir la mémoire courte et ou-bli-er ! Oublier tous les scandales, les milliards de dollars d’amendes de Pfizer pour tromperie, corruption de médecins, etc. Oublier les lobbies en Europe qui pèsent un poids délirant ainsi que les chaises musicales, passage du privé au public et inversement. Ignorer que l’OMS, sans les fonds de Bill Gates et des laboratoires pharmaceutiques, mettrait la clef sous la porte. Ignorer que des personnalités politiques doivent leur poste grâce au soutien financier des dits laboratoires. Ignorer que des chercheurs ne pourraient plus conduire de recherches sans la participation financière des laboratoires.

AUCUN LIEN entre les sujets !

  • Un taux de suicide en explosion chez des enfants et des personnes âgées.
  • Une explosion de la violence intrafamiliale.
  • Une explosion de la dette.
  • Des maladies graves non diagnostiquées en temps et en heure.
  • Une précarité financière dramatique chez les étudiants, petits boulots…
  • Des pertes de QI chez les enfants.
  • La destruction du lien social et voir en autrui une menace.
  • La suppression des droits de l’homme et des libertés.

Mais aussi des reportages sur Arte sur la dépendance de l’OMS, la corruption mise en œuvre par l’industrie pharmaceutique et les lobbies, le rôle vital des virus pour notre santé, l’indispensable respiration d’un bon air… Tout ceci n’est JAMAIS mis en balance et corrélé avec les mesures dites « sanitaires »…

Les données ignorées

Sans compter les chiffres et la réalité qui sont totalement biaisés.

  • C’est la première fois au monde que l’on ne remet pas à zéro le compteur de décès annuels.
  • L’OMS qui oblige à comptabiliser les faux morts (ex cancer)
  • Le réseau Sentinel qui compte les malades remplacé par un décompte de positifs dix fois plus nombreux.
  • Une épidémie de positifs (nullement malades et statistiquement nullement contagieux).
  • Le nombre d’hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de personnes en réanimation « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de morts « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de patients vaccinés hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par la DRESS)
  • Les pays pauvres qui ont 5, 10 ou 100 fois moins de morts par habitant.
  • Un premier confinement qui n’a JAMAIS aplati la courbe et qui pourtant a été répété.
  • Une augmentation du nombre de cas d’autant plus que le masque devenait de plus en plus obligatoire.
  • Les pays qui ont massivement vacciné et qui ont eu une explosion du nombre de morts depuis la vaccination.
  • La situation catastrophique en Israël qui n’arrive pas à endiguer les décès même avec la 3e dose.
  • L’absence de corrélation en France métropolitaine et dans les DOM entre le taux de vaccination et le taux d’incidence (selon les données officielles, mais pas selon la propagande médiatique).
  • Des effets secondaires dramatiques de la vaccination qui sont minimisés ou ignorés en France.
  • Des membres de la FDA qui affirment que le vaccin tue plus qu’il ne sauve.
  • Des spécialistes qui osent affirmer une autre voie et qui sont ridiculisés et traînés dans la boue.
  • Des pays qui ont utilisé l’Ivermectine avec des résultats spectaculaires.
  • Des pays qui n’ont jamais confiné et pourtant avec largement moins de morts.
  • Des pays qui n’ont jamais imposé de masque et sans le moindre geste barrière.
  • Le Rivotril dans les maisons de retraite. L’année d’avant on soignait les malades de la grippe notamment avec des antibiotiques, en 2020 on les a achevés…
  • L’interdiction de prescrire de l’HCQ ou de l’Ivermectine.
  • La négation de l’efficacité des méthodes préventives pour booster son immunité.
  • Etc.

Ma liste est loin d’être exhaustive. Tous ces arguments sont ignorés, méprisés, balayés et surtout « non liés ».

Alors pour s’en sortir, pour ne pas avoir à reprogrammer son cerveau, on va dire soit « mensonges » avec la complicité active des « vérificateurs » et des médecins de plateau arrosés, soit dans le cas d’autres pays, on affirmera que « on ne peut pas comparer ».

En France on ne peut strictement jamais comparer d’ailleurs si on les écoute, en fait si on peut, mais uniquement quand c’est pire ailleurs.

Rien, rien, rien n’est jamais lié…

Par exemple, depuis juin 2020 on nous a promis des clusters après les grands rassemblements, clusters qui n’ont JAMAIS existé. Depuis le mois de juillet 2021, il y a des centaines de milliers de manifestants dans les rues toutes les semaines en France dans des centaines de villes. Pour la plupart les manifestants sont non vaccinés, sans masque, sans distanciation, sans le moindre geste barrière et de tout âge. On s’embrasse, on se serre la main, on se partage des bouteilles d’eau et ZÉRO cluster !

Et on continue à se foutre de nous et nous dire qu’il faut respecter les gestes barrières et porter des masques !

On continue de terroriser nos enfants, à leur dire qu’ils vont tuer papi et mamie alors même que papi et mamie seront bientôt vaccinés trois doses avec un vaccin présumé « efficace » selon la propagande.

Mais là aussi pas de lien… que l’on nous terrorise en nous disant que les non-vaccinés, non malades peuvent tuer des personnes qui sont injectées avec un « vaccin » dit « efficace » ne fait pas réagir…

Jamais le moindre lien, jamais la moindre réflexion de fond… et sans compter le régulier « on ignore encore tout de ce virus » dès que les données sont franchement contre vous !

Dans les fait, le sars-cov2 demeure un gentil virus qui ne fait qu’accompagner dans la mort des personnes en fin de vie, personnes privées volontairement de traitements dont l’efficacité n’est plus à démontrer, mais qui, hélas, ne coûtent rien.

Mais en parallèle les médias et médecins corrompus continuent à vous dire que la population en réa est de plus en plus jeune et que nul n’est à l’abri pour une maladie dont l’âge médian des décès est de 85 ans !

Depuis le début la crise, strictement aucune mesure n’a jamais été prise en direction des personnes à risque à la différence de la Corée du Sud (même niveau de vie, même pyramide des âges, même densité de population que la France). Corée du Sud qui déplore 47 morts par million d’habitants versus 1 700 pour la France soit 36 fois moins !

Avec une politique identique et en partant du chiffre mensonger de 100 000 morts en France par année de Covid, nous aurions eu 2 800 décès du Covid en France en mettant en œuvre la politique coréenne. Certains « spécialistes » osent dire que l’on n’aurait pas pu mettre en œuvre en France la politique sud-coréenne « anti-démocratique » de tracing alors même que nous sommes masqués, confinés, vaccinés de force et avons un pass sanitaire pour aller faire des courses au supermarché.

Mais on se moque de qui ? Pourquoi M. Veran est encore ministre, pourquoi M. Macron n’a pas démissionné ? Pourquoi l’opposition est-elle silencieuse ? Pourquoi les médias applaudissent-ils au lieu de crier au scandale ?

Cela interroge-t-il les aveuglés ? Absolument pas !

Les médias sont même allés jusqu’à dire qu’il serait injuste ou illégal de confiner les personnes à risque alors que l’on ne se prive pas de supprimer les droits de l’homme de la population en bonne santé. Toutes les mesures dictatoriales ont été uniquement ciblées en direction des personnes en bonne santé qui risquent plus d’être foudroyées que de mourir du Covid. Tout a été fait pour massacrer les défenses immunitaires des plus faibles et prescrire du paracétamol (contre-indiqué) et obtenir un maximum de morts… Nous aurions voulu faire pire qu’il eut été quasi impossible d’y parvenir…

Pour se rassurer, on énonce alors que notre politique Anti-Covid ne peut pas être si « mauvaise » quand quasi tous les pays européens et occidentaux ont pratiqué la même.

Afrique : 150 morts par million d’habitants. Asie : 235 morts par million d’habitants. Europe : 1600 morts par million d’habitants ! Vous ne pensez pas qu’il y a un ÉNORME problème ?

De la conviction prémâchée et prédigérée

« Si tous les médias le disent, c’est que c’est vrai »

« Les journalistes sont trop fiers pour se faire commander ! »

Nous sommes si « intelligents », si « supérieurs » aux peuples des pays sous-développés, que nous n’avons pas besoin de nous poser la moindre question ni regarder ce qu’il se passe à l’étranger.

La « vérité » des paniqués est ainsi considérée comme aussi légitime et valide que celles et ceux qui ont passé des milliers d’heures à étudier profondément le sujet depuis des mois.

Se sont-ils posées les mêmes questions, ont-ils lu les mêmes études, les mêmes stats, investi du temps pour se faire LEUR propre opinion, et non le pré-mâchage médiatique, puis arrivé à des conclusions diamétralement opposées à celles des « complotistes » ?

Bien sûr que non, à quoi bon perdre son temps face à des « allumés » qui racontent n’importe quoi quand une presse « indépendante » fait le travail pour vous !

Pas de coupables, pas de meurtres !

Le dernier argument qui permet de se dédouaner et de retourner se coucher est le suivant :

« OK d’accord tout serait faux, mais alors c’est organisé par qui et pour quoi ? »

Imaginons que vous disposez de toutes les preuves (facilement disponibles) que toute cette pandémie est un faux et que ce sars-cov2, probablement fabriqué, n’est pas plus méchant que les virus respiratoires habituels. Vous avez alors tous les éléments de preuve, mais, sous prétexte que les coupables ou complices ne sont pas identifiés, alors les preuves peuvent être discréditées et celui qui vous les a amenés devient un complotiste illuminé…

C’est comme si vous étiez policier… vous arrivez sur les lieux d’un crime et découvrez un cadavre. Vous posez alors la question :

« Vous connaissez le meurtrier et ses motivations ? »

Et si la réponse est « non » alors vous déduisez « bon ça doit être une erreur, on a imaginé le meurtre ! »

Personnellement, même si j’ai quelques éléments, quelques indices, je ne possède strictement aucune preuve quant aux commanditaires, complices, opportunistes, desseins…

Je croule juste sous les preuves que :

  • Bill Gates n’est pas clair.
  • L’OMS est corrompue.
  • Les laboratoires pharmaceutiques n’ont strictement aucune valeur morale.
  • Des politiques disposent d’informations, mais agissent contre l’intérêt commun.
  • Les lobbies et la corruption vont bon train.
  • Les médecins médiatiques ont des conflits d’intérêts.
  • Ce virus est un gentil virus dont nous n’aurions JAMAIS entendu parler si les médecins avaient conservé le droit de soigner les malades et que les politiques et médias n’avaient pas monté l’affaire en épingle.
  • Les données sanitaires sont des faux.
  • Il existe des traitements.
  • Les prétendus « vaccins » sont inutiles, inefficaces et dangereux.
  • Etc.

Les « possédés » n’ouvriront pas les yeux

C’est lorsque l’autorité qui leur a dit « blanc » dira « noir » qu’ils acquiesceront et changeront d’avis, pardon… adhéreront à la nouvelle « vérité ».

Se poser les questions, chercher les réponses (bien entendu en dehors des médias classiques) ouvre une boîte de pandore trop violente.

« Comment moi, une personne si intelligente, ai-je pu tomber dans un piège qui, si on le regarde de l’extérieur, est extrêmement grossier ? »

C’est ce que se disent les personnes, pourtant intelligentes, qui sortent de secte…

Cette révélation est désormais d’autant plus difficile pour celles et ceux qui se sont injectés « volontairement » qui vont découvrir que la substance expérimentale est d’autant plus dangereuse que l’on s’injecte de doses, mais aussi qu’elle ne protège en rien de la contamination et de fait qu’elle n’aidera pas à mettre fin à la « pandémie ». Substance dont on ignore totalement les effets à long terme (une première mondiale à l’échelle de la planète). Et que dire de la violence de la révélation pour les parents qui ont injecté les thérapies géniques à leurs propres enfants et qui leur ont fait courir un risque (peut être minime, mais réel) pour RIEN ou pire… pour aller en vacances.

C’est donc grâce à notre « intelligence supérieure », grâce à l’impossibilité de se tromper (à ce point) qui nous est conférée par celle-ci (que les complotistes n’ont pas bien évidemment) que nous les Occidentaux et surtout les Français resterons dans l’ignorance… pour l’instant.

Pour l’instant, car si on regarde ce qu’il se passe à l’étranger, l’édifice commence à se fissurer de toutes parts… Et quand la vérité sortira, elle fera mal à tous les manipulés et complices malgré eux.

Personnellement j’ai dépensé suffisamment d’énergie pour les aider…

Merci Alain Tortosa.
20 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210920-intelligence-superieure-francais.pdf


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Voir aussi : Le défi de l’intelligence
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Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations

[Source : REINFOCOVID]

Il a circulé récemment sur les réseaux sociaux des allégations sur la présence non déclarée de nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19. Cet article tente de faire le point au sujet des nanoparticules d’oxyde de graphène afin de démêler le faux du vrai. VERSION PDF

Les nanoparticules de graphènes (oxyde de graphène, oxyde de graphène réduit et graphène quantum dots) : Propriétés, applications, toxicité et réglementations

À RETENIR

  • Les études de toxicités des nanoparticules d’oxyde de graphène ne permettent pas encore une application pratique dans le domaine des médicaments, des vaccins ou des dispositifs médicaux.
  • L’élimination rapide par le système immunitaire des nanoparticules d’oxyde de graphène rend difficilement possible la thèse d’une administration frauduleuse.

Il a circulé récemment sur les réseaux sociaux des allégations sur la présence non déclarée de nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19 (voir encadré). Certains sont même allés jusqu’à évoquer son utilisation (frauduleuse donc) pour une connexion des individus à la 5G et ont proposé des méthodes de détoxification au glutathion, N acétylcystéine (acides aminé précurseur du glutathion endogène), Zinc et autres [1]. Ricardo Delgado de La Quinta Columna [2] affirme avoir fait réaliser par des chercheurs espagnols des études observationnelles de doses de vaccin par microscopie optique et électronique, allant jusqu’à affirmer avoir dosé 747 ng de graphène. Certains sites vont jusqu’à affirmer que cette substance serait également présente dans les tests PCR, antigénique et les masques [3]. Mais il n’existe à ce jour aucune publication revue par des pairs.

Cet article tente de faire le point sur les propriétés physico chimiques, l’état de la recherche et les applications industrielles en cours, particulièrement dans les vaccins, la toxicité et la réglementation actuelle au sujet des nanoparticules d’oxyde de graphène afin de démêler le faux du vrai.

Composition du produit PFIZER (source : 
https://faqs.in.gov/hc/en-us/articles/360054190632-What-are-the-components-of-the-Pfizer-vaccine-shot-)

Ingredient actif

  • ARNm modifié codant pour la glycoproteine virale Spike du SARS-CoV-2

Lipides

  • (4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis (ALC-3015)
  • (2- hexyldecanoate),2-[(polyethylene glycol)-2000]-N,N-ditetradecylacetamide (ALC-0159)
  • 1,2-distearoyl-snglycero-3-phosphocholine (DPSC)
  • cholesterol

Sels

  • potassium chloride
  • monobasic potassium phosphate
  • sodium chloride
  • basic sodium phosphate dihydrate

Autre

  • sucrose

1/ Propriétés chimiques et physiques de l’oxyde de grahène NP

Le GO est un isolant et un semi-conducteur électrique (cependant moins fort que le Graphène pur). Il s’agit d’une monocouche de carbone de structure hexagonale en nid d’abeille avec des groupes hydroxyde (OH) et carboxyliques COOH.

En raison de ses défauts dans la structure, des propriétés magnétiques locales ont été observées de différents types (ferromagnétique, paramagnétique, antiferromagnétique) du fait de ses propriétés semi-métalliques. Pour résumer, le magnétisme n’est pas une propriété inhérente du GO mais liée à la quantité de défauts de structures et son analyse physique est en cours.

Concernant le magnétisme des nanoparticules de ces composés, des recherches visent actuellement à régler deux problématiques pour activer leur magnétisme :

  1. la nécessité d’une consommation élevée d’énergie
  2. la contrainte d’un température ambiante (20°C) pour réussir à activer ce magnétisme

2/ Recherches et applications Industrielles

On distingue 3 structures : l’oxyde de graphène (GO), l’oxyde de graphène réduit (rGO) et le graphène quantum dots (GQD) qui sont des nanoparticules (donc de moins de 100 nm).

Les nanoparticules de GO sont actuellement étudiées et développées comme nano-supports pour une variété d’agents biologiquement actifs (biocatalyseurs, biocapteurs et médicaments).

De nombreuses applications utilisant des nanoparticules (NP) de GO sont envisagées :

  • Environnementale : formant des complexes avec des polluants organiques / métalliques, il peut être utilisé comme dépolluant, pour purifier l’eau (salée) en améliorant l’hydrophilie des membranes de purification et en facilitant la photo-oxydation des molécules polluantes de l’eau.
  • La production d’énergie par conversion de lipides en carburants par des lipases encapsulées.
  • Médecine : les quantum dots (nanocristaux semi-conducteurs) – de graphène et de nano-composites magnétiques (Fe3O4) offrent un ensemble unique de propriétés optiques et magnétiques pour les futures applications énergétiques et médicales. Ils peuvent également être utilisés en imagerie médicale comme agent de contraste. De plus, les propriétés magnétiques des nanoparticules Fe3O4 en font un excellent agent de contraste pour les applications IRM. Ils montrent également une excellente réponse à la luminescence lorsqu’ils sont exposés à la lumière UV, entraînant une émission de lumière visible.

Les GO peuvent être utilisés pour faciliter la pénétration et l’absorption d’anticorps, d’enzyme, des médicaments, des protéines. Cependant des limitations à l’usage et l’application des nanoparticules magnétiques telle que l’agrégation et la précipitation à l’intérieur des vaisseaux sanguins, peuvent entraîner de graves conséquences. Enfin il y a des applications potentielles en thérapies anticancéreuses par ciblage actif de cellules tumorales ou ciblage passif quand des NP chargées positivement s’accumulent au niveau des sites tumoraux en raison des fuites vasculaires et de la faiblesse du système immunitaire fonctionnel de la région. Toutes ces applications n’ont pas encore abouti à des applications commerciales concrètes.

3/ La nanotechnologie et les vaccins à base d’ARNm basés sur le SARS-CoV-2 

Les vaccins de Pfizer/BioNTech et Moderna utilisent un ARNm de synthèse protégé par une bicouche lipidique, elle-même constituée de nanoparticules lipidiques (McGill COVID19 Vaccine Tracker Team, 2021) afin de permettre l’entrée de l’ARNm dans la cellule. Il n’y a pas de GO déclaré par le fabricant.

Pourtant, les NP GO et Graphène ont retenu l’attention en raison de leurs propriétés antimicrobiennes et antivirales. Le graphène favorise l’absorption de médicaments et de macromolécules (acides nucléiques, protéines…). Gao et al., en 2020 [4] ont développé un nouveau vaccin contre le COVID-19 en utilisant la combinaison d’un nano adjuvant et d’oxyde de graphène. Cette étude, réalisée sur souris, montre que ce vaccin peut induire des anticorps anti-SARS-CoV-2 RBD à titre élevé neutralisant le SARS-CoV-2 chez la souris en 2 semaines. Les auteurs concluent sur l’efficacité du vaccin à induire une réponse immunitaire mais également sur la nécessité d’études complémentaires sur la dégradation du graphène in vivo afin de construire un vaccin répondant aux critères de sécurité et de biocompatibilité

Des équipes de recherches travaillant actuellement sur NP de GO-Polyethylène glycol- polyethyleneimine, dans le cadre du développement d’immunothérapies anticancéreuses, tentent de retarder leur phagocytose (absorption et destruction de molécules par certaines cellules immunitaires) afin de rendre possible leur utilisation dans de telles thérapies.

Un autre aspect limitant de son utilisation est la toxicité potentielle in vivo du graphène. Ce sujet de débat et le manque d’informations suffisantes pour autoriser légalement les applications humaines semblent sa commercialisation peu probable dans l’état actuel des connaissances. Ainsi, son instabilité et l’agrégation du graphène en solution sont un défi supplémentaire alors que la solution des médicaments et des vaccins a besoin de stabilité [5].

4/ Toxicité des nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO)

Le projet européen Graphene Flagship étudie la toxicité de ce matériau (environnemental, santé) du fait de l’utilisation prometteuse dans l’administration de médicaments, la bio-imagerie, l’ingénierie tissulaire, la biodétection [6]. Un rapport de 2016 de l’Agence suédoise KEMI fournit un état des lieux très complet en 2019 sur l’absorption et la biodistribution de NPs, étape cruciale avant la toxicité potentielle des NPs [7].

Leur toxicité est dépendante de la biodégradation qui dépend elle-même fortement du pourcentage d’oxygène, du type de groupes fonctionnels (comme des epoxy), des défauts, de la taille et du nombre de couches. Plusieurs mécanismes cellulaires de toxicité des nanomatériaux de GO ont été identifiés : le stress oxydatif (inflammation), dommages à l’ADN (impact de la réplication cellulaire), réponse inflammatoire ou encore la destruction cellulaire par différents mécanismes : apoptose, autophagie, nécrose.

Le GO serait dégradé par une enzyme (la myéloperoxydase) produite par des globules blancs (neutrophiles) arrivant sur un site d’infection.

Toxicité cutanée : Selon Wang et al, 2016 [8], la majorité des études existantes suggèrent que les graphène quantum dots (GQD) ont une toxicité in vivo et in vitro relativement faible et une excellente biocompatibilité, par rapport avec notamment l’oxyde de graphène (GO), les nanotubes de carbone et les semi-conducteurs conventionnels. Mais le profil de toxicité des GQD varie selon les tests et la production de GQD. Les GQD voient leur pénétration cutanée augmenter avec l’exposition aux UV ou si la barrière cutanée est détériorée. D’une manière générale l’absorption systémique dépend de nombreux facteurs comme la taille, la charge de surface, le revêtement des NP, l’agglomération des NP, la composition du milieu et son pH. D’une manière générale, par la voie cutanée, la voie de pénétration par les follicules pileux (cavité à la base du poil) serait considérable, surtout pour les petites NP inférieures à 20 nm.

En intramusculaire et en sous cutané chez la souris, les QD de carbone se diffusent rapidement depuis le point d’injection. Après 24h, il n’y a plus d’identification dans aucun organe, suggérant une élimination totale des nanoparticules de carbone. En injection sous-cutanée, ils se retrouvent dans les ganglions lymphatiques entraînant une importante réponse immunitaire rapide.

Administrées par voie intranasale, des NPs de polymères de carbone polyanhydre sont aussi rapidement dispersées. Certaines, hydrophobes, peuvent persister cependant dans le tissu pulmonaire. D’une manière générale, les NPs par voie intranasale, surtout quand elles sont très petites, traversent la muqueuse olfactive et sont véhiculées en quantité importante dans le bulbe olfactif et autres parties du cerveau.

Injectés directement dans le sang, les quantum dots (QD) se retrouvent principalement dans le foie, la rate et les reins, qui sont les organes de « détoxifications » et en faible quantité dans le cerveau (0.1%). D’une manière générale, injectées dans le sang, les NP, en fonction de leur taille et de leur charge, peuvent subir une adsorption ou une opsonisation (= liaison à un anticorps) par les protéines sériques. Cette opsonisation favorise sa clairance (la purification par cette voie dépend de la taille des particules : plus le diamètre est grand, plus la clairance est cependant ralentie). Les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins, forment une barrière semi-sélective selon la taille des nanoparticules : au niveau de l’endothélium vasculaire, des pores de 5nm permettent le passage des QD, ce qui fait qu’ils atteignent rapidement l’espace extracellulaire extravasculaire alors que les plus grandes >5nm restent plus longtemps dans la circulation sanguine où elles subissent une phagocytose et sont donc évacuées.

En résumé, les NP de Graphène (Go, G, GQD) sont d’autant plus toxiques que leur taille est grande (micron). Les groupements époxy du GO peuvent entraîner un stress oxydatif (inflammation) pouvant conduire à la mort cellulaire. Elles sont cependant plus facilement dégradées par des enzymes comme les peroxydases.

Des études visant à réduire leur toxicité en les liant à des polymères biocompatibles sont actuellement en cours. A l’heure actuelle, la toxicité du graphène est encore insuffisamment définie et seuls les effets aigus (court terme) et subaigu (moyen terme) ont été déterminés.

Le schéma de distribution des NP confirme que les molécules sont phagocytées et donc rapidement neutralisées. Cette distribution et leur accumulation/dégradation dépendent de la taille, la forme et la charge de surface des particules mais également de l’organe cible, le flux sanguin, le nombre de cellules phagocytaires.

5/ Réglementation

L’UE ne précise pas de consignes particulières concernant les nanomatériaux utilisées dans les dispositifs médicaux, il y a peu de détails dans le règlement 2017/74/CE mais d’autres Réglementations Européennes telles que REACH 1907/2006/CE (qui concerne la mise sur le marché des produits chimiques) considèrent les propriétés et dangerosités propres aux nanomatériaux.

Il existe un guide du comité scientifique dédié aux risques émergents (SCENIHR) de 2015 qui précise certaines recommandations pour l’évaluation des risques sanitaires et environnementaux des nanomatériaux. Ces risques sont principalement liés aux NP libres dans les dispositifs médicaux et la durée d’exposition ainsi que la nécessité d’étudier la distribution et la persistance dans des organes spécifiques.

L’oxyde de graphène (GO) n’est pas officiellement classifié selon le règlement relatif à la classification, à l’étiquetage et à l’emballage, CLP 1272/2008/CE. Il existe cependant une Valeur Limite Professionnelle de 3.6 mg/m3 par inhalation.

Il est à noter également, que les nanomatériaux de la famille du graphène ne sont pas approuvés par la FDA aux États-Unis pour la consommation humaine. Selon la FDA, le graphène, l’oxyde de graphène et l’oxyde de graphène réduit provoquent des effets toxiques à la fois in vitro et in vivo et leurs utilisations ne sont donc pas autorisées.

RETOUR à LA RUMEUR ….

La présence de l’oxyde de graphène dans le vaccin est née d’une observation au microscope électronique à transmission demandée par R. Delgado Martin au Prof. Dr. Pablo Campra Madrid (Ecole supérieure d’ingénieurs Univ. Almeria, Espagne). Il ne s’agit donc pas d’un travail de recherche revu par des pairs mais d’une commande privée. Ce dernier a rendu un rapport non publié dans une revue à comité de lecture. Il a comparé le résultat à un article de Choucair publié en 2009 dans Nature Nanotechnology [9] montrant une observation de graphène. La lecture de ces deux publications souligne deux points qui s’opposent à la présence supposée d’oxyde de graphène dans les vaccins à ARNm :

  1. La publication de référence (Choucair et al., 2009) montre une analyse en microscopie électronique de graphène obtenu par pyrolyse et non d’oxyde de graphène. L’obtention de l’échantillon par pyrolyse confirme que cette référence ne montre pas un oxyde de graphène.
  2. Cette analyse proposée par Delgado est basée sur des observations par diverses techniques et il est surprenant qu’elles n’aient pas été confirmées par une analyse chimique qui validerait le résultat et la substance observée dans l’échantillon étudié.

C’est d’autant plus surprenant qu’un brevet, intitulé « Vaccin recombinant nano-coronavirus prenant de l’oxyde de graphène comme vecteur » a été déposé par Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology Co Ltd depuis le 27 Septembre 2020 et n’a à ce jour pas été accepté [10].

CONCLUSION

Face à la crainte légitime qu’inspire actuellement le projet transhumaniste, il est compréhensible de s’interroger sur les intentions et applications possibles et souhaitables pour l’humanité.  Cependant il faut bien distinguer les utilisations existantes, possibles et potentielles.

L’oxyde de graphène peut jouer un rôle de vecteur ou de ciblage comme le montrent certains projets de recherche biomédicale en cours. Mais, à ce jour, peut-on répondre de la manière la plus objective possible, à la question : est –il possible qu’il y ait de l’oxyde de graphène dans les vaccins et pourquoi y en aurait-il ?

Au regard de la réglementation, les études de toxicités des NP de l’oxyde de graphène ne permettent pas encore une application pratique dans le domaine des médicaments, des vaccins ou des dispositifs médicaux. Si des progrès certains sont à noter dans le domaine de leurs propriétés de surfaces pour améliorer leur biosolubilité et leur biocompatibilité, il reste encore trop de données manquantes en toxicité in vivo, mais aussi en cancérogénèse, mutagénèse et génotoxicité ainsi que dans la compréhension de la phagocytose dans les monocytes (foie, rate, ganglions lymphatiques). Ces données issues de tests standardisés sont nécessaires aux fins d’autorisation réglementaire et cela exclut l’usage actuel dans le domaine des vaccins, même si cela est envisagé.

Dans le cas des « vaccins » actuels contre la COVID-19, administrés en injection intramusculaire, l’élimination rapide par phagocytose des nanoparticules d’oxyde de graphène rend difficilement possible la thèse d’une administration frauduleuse en vue d’une connexion furtive à la 5G qui plus est. Il paraît plus probable que si une telle connexion était à envisager entre un serveur et un individu, elle se fera d’abord par des objets connectés portés de manière volontaire ou contrainte (smartphones), puis par une micropuce sous-cutanée implantée, mais pas via une injection systémique de NP dispersées censées s’accumuler dans un organe (cerveau, cœur…), compte tenu de leur élimination rapide que ce soit par réactions d’oxydation pour le GO ou par phagocytose pour le graphène. Par la voie systémique, l’utilisation à venir dans un avenir proche ne peut qu’être ponctuelle comme en imagerie ou en thérapie anticancéreuse par exemple.

BIBLIOGRAPHIE

[1] https://rumble.com/vkipvb-comment-degrader-loxyde-de-graphene-version-franaise.html

[2] https://www.henrymakow.com/upload_docs/4_5976673186836646447.pdf

[3] https://chemicalviolence.com/2021-07-14-spanish-study-pfizer-vaccine-toxic-graphene-oxide.html

[4] Gao A., Liang H., Shen Q., Zhou C., Chen X.M., Tian J., …Cui D. Designing a novel nano-vaccine against SARS-CoV-2. Nano Biomedicine and Engineering. 2020;12(4):321–324.

[5] Ghaemi F, Amiri A, Bajuri MY,Yuhana NY,Ferrara M, Role of different types of nanomaterials against diagnosis, prevention and therapy of COVID-19. Sustainable Cities and Society, 25 May 2021, 72:103046

[6] https://graphene-flagship.eu/

[7] https://www.kemi.dtu.dk/nyheder/2019/07/opening_the_door_to_hybrid_2d_materials?id=363e4fee-645b-42ba-8aa1-ce8ca23528e6

[8] S. Wang, I. S. Cole, and Q. Li, “The toxicity of graphene quantum dots,” RSC Advances, vol. 6, no. 92, pp. 89867–89878, 2016.

[9] Mohammad Choucair, Pall Thordarson and John A. Stride, 10.1038/NNANO.2008.365 “Gram-scale production of graphene based on solvothermal synthesis and sonication, Feb 2009.

Uptake and biodistribution of nanoparticles – a review, Report 12/16, Swedish Chemicals Agency. Stockholm 2016

[10] Nano coronavirus recombinant vaccine taking graphene oxide as carrier (depuis 27/9/2020) par Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology Co Ltd
https://patents.google.com/patent/CN112220919A/en