J’ai découvert les magouilles du vote dans les prisons

[Source : RL]

Par Patrick Jardin

Quelques nouvelles de ma campagne. Évidemment je n’ai pas choisi le parti le plus facile, car Reconquête est sûrement un des partis les plus ostracisés de France, et le plus boycotté par les médias. Et en plus, lorsqu’on s’appelle Patrick Jardin… Au moins j’ai un avantage, j’ai l’habitude, vu que je sais très bien que la France est tout sauf une véritable démocratie !

Hier avec mon collègue de la 5e circonscription, nous nous sommes rendus ensemble à la prison d’Annoeullin ; cette prison est située sur le territoire de la 5e mais les votes sont attribués à la 4e. Pour faire notre travail de démarchage auprès des détenus vu qu’une nouvelle loi, de janvier 2022, autorise les candidats aux législatives à aller faire campagne dans les prisons, ce qui paraît-il n’a jamais été fait en France. Nous avions rendez-vous pour cela devant la prison avec la directrice de cet établissement pénitentiaire, et là, double surprise. Non seulement la directrice brillait par son absence, mais nous avons été reçus par le directeur des établissements pénitentiaires, qui nous signala bizarrement, puisque à aucun moment il ne nous en a été fait état, que nous ne pouvions pas entrer, car les votes étaient en train de se dérouler. Bien joué !

Bien entendu nous n’avons pas cru du tout ce brave rond-de-cuir, mais puisque le vote était en cours et que ma qualité de candidat fait de moi un délégué, j’ai immédiatement exigé de faire mon boulot de délégué pour vérifier que les opérations de vote se déroulaient dans de bonnes conditions. Surprise et embarras du rond-de-cuir qui nous a dit qu’il fallait qu’on attende la réponse de ses supérieurs. Appel à la préfecture qui se décharge sur le ministère. Bref, une demi-heure après, il revient avec la réponse : les bureaux de vote dans les prisons sont des bureaux de vote aléatoires et ne donnent pas accès aux délégués. Ce qui fait que c’est ouvert à toutes les magouilles.

Je ne suis pas juriste mais je sais lire et j’ai vérifié. Je n’ai rien vu dans les textes qui confirme cela, bien au contraire, il est bien spécifié que les bureaux de vote doivent être similaires aux bureaux de vote ordinaires. Donc les opérations de vote doivent se dérouler dans les mêmes conditions ! Je demande qu’il me donne la nature des textes auxquels ils se réfèrent pour affirmer cela. Il est bien incapable de me répondre, mais me laisse sa carte et me promet de m’envoyer lesdits textes. Comme je pense que ce type est franc comme un âne qui recule, je prends la précaution de lui confirmer tout cela par mail qui restera bien évidemment sans aucune réponse. Donc, dès lundi, je prends rendez-vous chez un avocat  spécialisé, afin de faire invalider les élections sur la 4e circonscription du Nord, ce qui sans aucun doute me permettra de récupérer tous les adhérents Reconquête de la métropole lilloise, pour recommencer la campagne, et pour le coup, peut-être entendrons-nous parler de Patrick Jardin et de la 4e circonscription du Nord !

Toujours hier, j’apprends qu’un débat aura lieu sur BFM LILLE TV avec les candidats de la 4e. Immédiatement je prends attache avec le directeur de la chaîne, qui me signifie qu’effectivement n’ont été invités que la députée sortante LREM, (qui cela dit en passant, n’a participé qu’à 5 votes sur 19 à l’Assemblée, puisqu’elle ne s’y rendait pratiquement jamais) ; 2 LR dont un seul a reçu l’investiture, l’autre ayant quitté le FN pour les LR, et la candidate RN, qui  a refusé l’invitation, et le candidat NUPES. Je demandais à cet homme quels étaient les critères de sélection : « ce n’est pas nous, c’est le CSA qui détermine cela en fonction des résultats des dernières élections ». Je lui répondis « qu’aux dernières élections les LR avaient fait 4 % et Reconquête 7,8 % ». Silence, puis : Ah oui ! mais ce ne sont pas celles-là, ce sont les anciennes législatives et là, il était sûr de gagner puisque Reconquête, premier parti de France, avec 126 500 adhérents, n’existait pas. Cela ne les empêche pas de leur refuser la parole ; encore un déni de démocratie ! J’ai quand même réussi à obtenir une interview, mais à ce jour je ne sais pas si elle sera diffusée, ni quand. Et bien qu’on ait promis de me faire parvenir l’enregistrement, je n’ai toujours rien reçu !

Enfin, comme beaucoup de candidats, j’ai eu un article sur moi dans la Voix du Nord, journal gaucho comme la plupart. Et là, ils ont fait fi de mon état de victime du Bataclan, mais ont insisté sur le fait que j’habitais en Belgique pour des raisons fiscales, ce qui est complètement faux, puisque j’ai acheté ma maison il y a 15 ans pour de simples raisons de coût, que j’étais fiché S et que j’avais déclaré suite à l’attentat de Brenton Tarrant que je n’étais qu’à moitié satisfait puisqu’il avait tué 49 musulmans alors qu’eux en avaient tués rien qu’au Bataclan 98 ! Merci donc à ce journal gaucho que tout le monde surnomme « la voix des ploucs ».

Mais vous me connaissez, il m’en faut d’autres pour me décourager. Ce ne sont pas les djihadistes en tout genre qui me font reculer. Ce ne sera pas non plus ces merdias qui me feront baisser les bras ! On n’a pas la presse avec nous ? Pas grave, on se démerde autrement. En tous cas j’estime que j’avais une équipe – que je remercie sincèrement – au top. On a bossé comme des fous, on a fait plein de vidéos pour les réseaux sociaux, les cadres de Reconquête ont été formidables et ont réalisé des vidéos de soutien. On a boîté tous les jours et même sous des trombes d’eau. On s’est rendu dans toutes les manifestations et dans tous les marchés de la circonscription. Encore ce soir on sera là jusque 24 h, et dimanche dans les bureaux de vote. Et on verra bien. Quoi qu’il arrive, on ne sera pas déçu puisque nous avons fait notre maximum dans un temps relativement court.

Donc si je suis au second tour, on rebossera encore une semaine, dans le cas contraire on n’aura aucun regret !




MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?

[Source : surgicalneurologyint.com]

Par Russel L. Blaylock
Neurochirurgien retraité, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

Adresse de correspondance :
Russell L. Blaylock, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

DOI : 10.25259/SNI_150_2022Copyright : © 2022 Surgical Neurology International Cet article en libre accès est distribué sous les termes de la licence Creative Commons Attribution-Non Commercial-Share Alike 4.0, qui permet à d’autres de remixer, transformer et s’appuyer sur le travail à des fins non commerciales, comme tant que l’auteur est crédité et que les nouvelles créations sont sous licence aux mêmes conditions.

Comment citer cet article : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22-Apr-2022;13:167

Comment citer cette URL : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22 avril 2022;13:167. Disponible sur :
https://surgicalneurologyint.com/surgicalint-articles/covid-update-what-is-the-truth/

La pandémie de COVID-19 est l’un des événements de maladies infectieuses les plus manipulés de l’histoire, caractérisé par des mensonges officiels dans un flux sans fin dirigé par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les commissions médicales, les médias et les agences internationales. 3 , 6 , 57 ] Nous avons été témoins d’une longue liste d’intrusions sans précédent dans la pratique médicale, y compris des attaques contre des experts médicaux, la destruction de carrières médicales parmi les médecins refusant de participer au meurtre de leurs patients et une réglementation massive des soins de santé, dirigée par des personnes non qualifiées disposant d’une richesse énorme , pouvoir et influence.

Pour la première fois dans l’histoire américaine, un président, des gouverneurs, des maires, des administrateurs d’hôpitaux et des bureaucrates fédéraux déterminent les traitements médicaux non pas sur la base d’informations scientifiques précises ou même sur l’expérience, mais plutôt pour forcer l’acceptation de formes spéciales de soins et de « prévention » – y compris le remdesivir, l’utilisation de respirateurs et finalement une série de vaccins à ARN messager essentiellement non testés. Pour la première fois dans l’histoire du traitement médical, les protocoles ne sont pas formulés sur la base de l’expérience des médecins traitant avec succès le plus grand nombre de patients, mais plutôt d’individus et de bureaucraties qui n’ont jamais traité un seul patient, notamment Anthony Fauci, Bill Gates, EcoHealth Alliance, le CDC, l’OMS, les agents de santé publique des États et les administrateurs d’hôpitaux. 23 , 38 ]

Les médias (télévision, journaux, magazines, etc.), les sociétés médicales, les conseils médicaux des États et les propriétaires des médias sociaux se sont désignés comme la seule source d’information concernant cette soi-disant « pandémie ». Des sites Web ont été supprimés, des médecins cliniciens hautement qualifiés et expérimentés et des experts scientifiques dans le domaine des maladies infectieuses ont été diabolisés, des carrières ont été détruites et toutes les informations dissidentes ont été qualifiées de « désinformation » et de « mensonges dangereux », même lorsqu’elles proviennent des meilleurs experts. dans les domaines de la virologie, des maladies infectieuses, des soins intensifs pulmonaires et de l’épidémiologie. Ces obscurcissements de la vérité se produisent même lorsque ces informations sont étayées par de nombreuses citations scientifiques de certains des spécialistes médicaux les plus qualifiés au monde.23 ] Incroyablement, même des individus, comme le Dr Michael Yeadon, un ancien scientifique en chef à la retraite et vice-président de la division scientifique de la société pharmaceutique Pfizer au Royaume-Uni, qui a accusé la société de fabriquer un vaccin extrêmement dangereux, sont ignorés et diabolisé. De plus, lui, ainsi que d’autres scientifiques hautement qualifiés, ont déclaré que personne ne devrait prendre ce vaccin.

Le Dr Peter McCullough, l’un des experts les plus cités dans son domaine, qui a traité avec succès plus de 2000 patients COVID en utilisant un protocole de traitement précoce (que les soi-disant experts ont complètement ignoré), a été victime d’un assaut particulièrement vicieux par ceux qui bénéficient financièrement des vaccins. Il a publié ses résultats dans des revues à comité de lecture, signalant une réduction de 80 % des hospitalisations et une réduction de 75 % des décès grâce à un traitement précoce. 44 ] Malgré cela, il subit une série d’attaques incessantes de la part des contrôleurs de l’information, dont aucun n’a traité un seul patient.

Ni Anthony Fauci, le CDC, l’OMS ni aucun établissement médical gouvernemental n’ont jamais proposé de traitement précoce autre que le Tylenol, l’hydratation et appeler une ambulance une fois que vous avez des difficultés à respirer. C’est sans précédent dans toute l’histoire des soins médicaux, car le traitement précoce des infections est essentiel pour sauver des vies et prévenir les complications graves. Non seulement ces organisations médicales et ces chiens de garde fédéraux n’ont même pas suggéré un traitement précoce, mais ils ont attaqué quiconque tentait d’initier un tel traitement avec toutes les armes à leur disposition – perte de licence, retrait des privilèges hospitaliers, honte, destruction de réputation et même arrestation. 2 ]

Un bon exemple de cet outrage à la liberté d’expression et à la fourniture d’informations sur le consentement éclairé est la récente suspension par le conseil médical du Maine de la licence médicale du Dr Meryl Nass et l’ordre de se soumettre à une évaluation psychiatrique pour avoir prescrit de l’ivermectine et partagé son expertise. dans ce champ.9 , 65 ] Je connais personnellement le Dr Nass et je peux témoigner de son intégrité, de son intelligence et de son dévouement à la vérité. Ses références scientifiques sont impeccables. Ce comportement d’une commission des licences médicales rappelle la méthodologie du KGB soviétique à l’époque où les dissidents étaient incarcérés dans des goulags psychiatriques pour faire taire leur dissidence.

D’AUTRES ATTAQUES SANS PRÉCÉDENT

Une autre tactique sans précédent consiste à retirer les médecins dissidents de leurs postes de rédacteurs en chef, de réviseurs et à retirer leurs articles scientifiques des revues, même après la publication de ces articles. Jusqu’à cet événement pandémique, je n’ai jamais vu autant d’articles de revues retirés – la grande majorité faisant la promotion d’alternatives au dogme officiel, surtout si les articles remettent en question la sécurité des vaccins. Normalement, un article ou une étude soumis est examiné par des experts dans le domaine, appelé examen par les pairs. Ces critiques peuvent être assez intenses et minutieuses, insistant pour que toutes les erreurs dans le document soient corrigées avant la publication. Ainsi, à moins qu’une fraude ou un autre problème caché majeur ne soit découvert après la publication de l’article, l’article reste dans la littérature scientifique.

Nous assistons maintenant à un nombre croissant d’excellents articles scientifiques, rédigés par les meilleurs experts dans le domaine, qui sont retirés des principales revues médicales et scientifiques des semaines, des mois, voire des années après leur publication. Un examen attentif indique que dans de trop nombreux cas, les auteurs ont osé remettre en question les dogmes acceptés par les contrôleurs des publications scientifiques, notamment en ce qui concerne la sécurité, les traitements alternatifs ou l’efficacité des vaccins. 12 , 63 ] Ces revues s’appuient sur la publicité abondante des sociétés pharmaceutiques pour leurs revenus. Plusieurs cas se sont produits où de puissantes sociétés pharmaceutiques ont exercé leur influence sur les propriétaires de ces revues pour supprimer des articles qui remettaient en question les produits de ces sociétés. 13 , 34 , 35 ]

Pire encore est la conception réelle d’articles médicaux pour la promotion de médicaments et de produits pharmaceutiques qui impliquent de fausses études, des soi-disant articles écrits par des fantômes. 49 , 64 ] Richard Horton est cité par le Guardian comme ayant déclaré que « les journaux se sont transformés en opérations de blanchiment d’informations pour l’industrie pharmaceutique. »13 , 63 ] Des articles frauduleux avérés « écrits par des fantômes » parrainés par des géants pharmaceutiques sont régulièrement publiés dans des revues cliniques de premier plan, telles que JAMA et New England Journal of Medicine, qui ne seront jamais supprimés malgré des abus scientifiques et une manipulation des données prouvés.49 , 63 ]

Les articles écrits par des fantômes impliquent l’utilisation de sociétés de planification dont le travail consiste à concevoir des articles contenant des données manipulées pour soutenir un produit pharmaceutique, puis à faire accepter ces articles par des revues cliniques à fort impact, c’est-à-dire les revues les plus susceptibles d’affecter la prise de décision clinique des médecins. De plus, ils fournissent aux médecins en pratique clinique des réimpressions gratuites de ces articles manipulés. The Guardian a trouvé 250 entreprises engagées dans cette activité d’écriture fantôme. L’étape finale dans la conception de ces articles pour publication dans les revues les plus prestigieuses est de recruter des experts médicaux reconnus dans des institutions prestigieuses, pour ajouter leur nom à ces articles. 11 ]

D’une importance vitale est l’observation par des experts dans le domaine de l’édition médicale que rien n’a été fait pour arrêter ces abus. Les éthiciens médicaux ont déploré qu’en raison de cette pratique répandue, « on ne puisse faire confiance à rien ». Alors que certaines revues insistent sur la divulgation d’informations, la plupart des médecins qui lisent ces articles ignorent ces informations ou les excusent et plusieurs revues rendent la divulgation plus difficile en demandant au lecteur de trouver les déclarations de divulgation à un autre endroit. De nombreuses revues ne contrôlent pas ces déclarations et les omissions des auteurs sont courantes et sans sanction.

En ce qui concerne les informations mises à la disposition du public, la quasi-totalité des médias est sous le contrôle de ces géants pharmaceutiques ou autres qui profitent de cette « pandémie ». Leurs histoires sont toutes les mêmes, à la fois dans le contenu et même dans la formulation. Des dissimulations orchestrées se produisent quotidiennement et des données massives exposant les mensonges générés par ces contrôleurs de l’information sont cachées au public. Toutes les données provenant des médias nationaux (télévision, journaux et magazines), ainsi que les nouvelles locales que vous regardez tous les jours, proviennent uniquement de sources « officielles » – dont la plupart sont des mensonges, des distorsions ou complètement fabriquées à partir de tissu entier – toutes visant à tromper le public.

Les médias télévisés reçoivent la majorité de leur budget publicitaire des sociétés pharmaceutiques internationales, ce qui crée une influence irrésistible pour rapporter toutes les études concoctées soutenant leurs vaccins et autres soi-disant traitements. 14 ] Rien qu’en 2020, les industries pharmaceutiques ont dépensé 6,56 milliards de dollars pour ce type de publicité.13 , 14 ] La publicité Pharma TV s’élevait à 4,58 milliards, un incroyable 75% de leur budget. Cela achète beaucoup d’influence et de contrôle sur les médias. Des experts de renommée mondiale dans tous les domaines des maladies infectieuses sont exclus de l’exposition médiatique et des médias sociaux s’ils s’écartent de quelque manière que ce soit des mensonges et des distorsions concoctés par les fabricants de ces vaccins. De plus, ces sociétés pharmaceutiques dépensent des dizaines de millions en publicité sur les réseaux sociaux, Pfizer étant en tête du peloton avec 55 millions de dollars en 2020.14 ]

Bien que ces attaques contre la liberté d’expression soient suffisamment terrifiantes, pire encore est le contrôle quasi universel que les administrateurs d’hôpitaux ont exercé sur les détails des soins médicaux dans les hôpitaux. Ces mercenaires indiquent maintenant aux médecins les protocoles de traitement auxquels ils adhéreront et les traitements qu’ils n’utiliseront pas, peu importe à quel point les traitements « approuvés » sont nocifs ou à quel point les traitements « non approuvés » sont bénéfiques. 33 , 57 ]

Jamais dans l’histoire de la médecine américaine les administrateurs d’hôpitaux n’ont dicté à leurs médecins comment ils pratiqueront la médecine et quels médicaments ils peuvent utiliser. Le CDC n’a pas le pouvoir de dicter aux hôpitaux ou aux médecins concernant les traitements médicaux. Pourtant, la plupart des médecins s’exécutèrent sans la moindre résistance.

La loi fédérale sur les soins a encouragé cette catastrophe humaine en offrant à tous les hôpitaux américains jusqu’à 39 000 dollars pour chaque patient des soins intensifs qu’ils mettent sous respirateur, malgré le fait qu’au début, il était évident que les respirateurs étaient une cause majeure de décès parmi ces patients confiants et sans méfiance. . De plus, les hôpitaux ont reçu 12 000 dollars pour chaque patient admis aux soins intensifs, ce qui explique, à mon avis et à d’autres, pourquoi toutes les bureaucraties médicales fédérales (CDC, FDA, NIAID, NIH, etc.) ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour empêcher la vie. – économiser les traitements précoces.46 ] Laisser les patients se détériorer au point d’avoir besoin d’être hospitalisés signifiait beaucoup d’argent pour tous les hôpitaux. Un nombre croissant d’hôpitaux sont menacés de faillite, et beaucoup ont fermé leurs portes, avant même cette « pandémie ».50 ] La plupart de ces hôpitaux appartiennent désormais à des sociétés nationales ou internationales, y compris des hôpitaux universitaires.dix ]

Il est également intéressant de noter qu’avec l’arrivée de cette « pandémie », nous avons assisté à une augmentation du nombre de chaînes d’entreprises hospitalières rachetant un certain nombre de ces hôpitaux financièrement à risque.1 , 54 ] Il a été noté que des milliards d’aide fédérale Covid sont utilisés par ces géants hospitaliers pour acquérir ces hôpitaux financièrement menacés, augmentant encore le pouvoir de la médecine d’entreprise sur l’indépendance des médecins. Les médecins expulsés de leurs hôpitaux ont du mal à trouver d’autres membres du personnel hospitalier à rejoindre, car eux aussi peuvent appartenir au même géant. En conséquence, les politiques de mandat de vaccination incluent un nombre beaucoup plus important d’employés hospitaliers. Par exemple, la Mayo Clinic a licencié 700 employés pour avoir exercé leur droit de refuser un vaccin expérimental dangereux, essentiellement non testé. 51 , 57 ] La Mayo Clinic l’a fait malgré le fait que bon nombre de ces employés ont travaillé pendant le pire de l’épidémie et sont licenciés lorsque la variante Omicron est la souche dominante du virus, a la pathogénicité d’un rhume pour la plupart et les vaccins sont inefficaces dans la prévention de l’infection.

De plus, il a été prouvé que la personne vaccinée asymptomatique a un titre nasopharyngé du virus aussi élevé qu’une personne infectée non vaccinée. Si le mandat du vaccin vise à prévenir la propagation du virus parmi le personnel hospitalier et les patients, ce sont les vaccinés qui présentent le plus grand risque de transmission, et non les non vaccinés. La différence est qu’une personne malade non vaccinée n’irait pas travailler, l’épandeur vacciné asymptomatique le fera.

Ce que nous savons, c’est que les principaux centres médicaux, tels que la Mayo Clinic, reçoivent chaque année des dizaines de millions de dollars en subventions des NIH ainsi que des fonds des fabricants pharmaceutiques de ces «vaccins» expérimentaux. À mon avis, c’est la véritable considération qui motive ces politiques. Si cela pouvait être prouvé devant un tribunal, les administrateurs faisant ces mandats devraient être poursuivis dans toute la mesure de la loi et poursuivis par toutes les parties lésées.

Le problème de la faillite des hôpitaux est devenu de plus en plus aigu en raison des mandats de vaccination des hôpitaux et du grand nombre de membres du personnel hospitalier, en particulier des infirmières, qui refusent d’être vaccinés de force. 17 , 51 ] Tout cela est sans précédent dans l’histoire des soins médicaux. Les médecins des hôpitaux sont responsables du traitement de leurs patients individuels et travaillent directement avec ces patients et leurs familles pour initier ces traitements. Des organisations extérieures, telles que le CDC, n’ont aucune autorité pour intervenir dans ces traitements et le faire expose les patients à de graves erreurs de la part d’une organisation qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19.

Lorsque cette pandémie a commencé, les hôpitaux ont reçu l’ordre du CDC de suivre un protocole de traitement qui a entraîné la mort de centaines de milliers de patients, dont la plupart se seraient rétablis si des traitements appropriés avaient été autorisés. 43 , 44 ] La majorité de ces décès auraient pu être évités si les médecins avaient été autorisés à utiliser un traitement précoce avec des produits tels que l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine et un certain nombre d’autres médicaments sûrs et composés naturels. Il a été estimé, sur la base des résultats de médecins traitant avec succès les patients les plus covid, que sur les 800 000 personnes dont on nous dit qu’elles sont mortes de Covid, 640 000 auraient non seulement pu être sauvées, mais auraient pu, dans de nombreux cas, retourner à leur pré -l’état de santé de l’infection avait exigé un traitement précoce avec ces méthodes éprouvées. Cette négligence du traitement précoce constitue un meurtre de masse. Cela signifie que 160 000 seraient en fait décédés, bien moins que le nombre de morts aux mains des bureaucraties, des associations médicales et des conseils médicaux qui ont refusé de défendre leurs patients. 43 , 44 ]

Incroyablement, ces médecins compétents ont été empêchés de sauver ces personnes infectées par le Covid-19. Ce devrait être un embarras pour la profession médicale que tant de médecins suivent sans réfléchir les protocoles mortels établis par les contrôleurs de la médecine.

Il faut aussi garder à l’esprit que cet événement n’a jamais rempli les critères d’une pandémie. L’Organisation mondiale de la santé a modifié les critères pour en faire une pandémie. Pour se qualifier pour un statut pandémique, le virus doit avoir un taux de mortalité élevé pour la grande majorité des gens, ce qu’il n’a pas fait (avec un taux de survie de 99,98 %), et il ne doit avoir aucun traitement existant connu – que ce virus avait – dans fait, un nombre croissant de traitements très efficaces.

Les mesures draconiennes mises en place pour contenir cette « pandémie » artificielle ne se sont jamais avérées efficaces, comme le masquage du public, les confinements et la distanciation sociale. Un certain nombre d’études soigneusement menées au cours des saisons grippales précédentes ont démontré que les masques, quels qu’ils soient, n’avaient jamais empêché la propagation du virus parmi le public. 60 ]

En fait, de très bonnes études ont suggéré que les masques propageaient en fait le virus en donnant aux gens un faux sentiment de sécurité et d’autres facteurs, tels que l’observation que les gens brisaient constamment la technique stérile en touchant leur masque, en l’enlevant de manière inappropriée et en laissant échapper des agents infectieux. aérosols autour des bords du masque. De plus, des masques étaient jetés dans les parkings, les sentiers pédestres, posés sur les tables des restaurants et placés dans les poches et les sacs à main.

Quelques minutes après la mise en place du masque, un certain nombre de bactéries pathogènes peuvent être cultivées à partir des masques, ce qui expose la personne immunodéprimée à un risque élevé de pneumonie bactérienne et les enfants à un risque plus élevé de méningite. 16 ] Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Floride a mis en culture plus de 11 bactéries pathogènes de l’intérieur du masque porté par les enfants dans les écoles.[ 40 ]

On savait également que les enfants ne couraient pratiquement aucun risque de tomber malades du virus ou de le transmettre.

De plus, il était également connu que le port du masque pendant plus de 4 heures (comme cela se produit dans toutes les écoles) entraînait une hypoxie (faible taux d’oxygène dans le sang) et une hypercapnie (taux de CO2 élevés) importantes, qui ont de nombreux effets délétères sur la santé, y compris entraver le développement du cerveau de l’enfant.4 , 72 , 52 ]

Nous savons que le développement du cerveau se poursuit longtemps après les années d’école primaire. Une étude récente a révélé que les enfants nés pendant la « pandémie » ont un QI nettement inférieur, mais les conseils scolaires, les directeurs d’école et les autres bureaucrates de l’éducation ne sont évidemment pas concernés.18 ]

LES OUTILS DU MÉTIER D’ENDOCTRINATION

Les concepteurs de cette pandémie anticipaient un refoulement du public et que de grandes questions embarrassantes seraient posées. Pour éviter cela, les contrôleurs ont nourri les médias d’un certain nombre de tactiques, l’une des plus couramment utilisées était et reste l’escroquerie de «vérification des faits». À chaque confrontation avec des preuves soigneusement documentées, les «vérificateurs des faits» des médias ont répliqué avec l’accusation de «désinformation» et une accusation infondée de «théorie du complot» qui a été, dans leur lexique, «démystifiée». On ne nous a jamais dit qui étaient les vérificateurs de faits ou la source de leurs informations de «démystification» – nous devions simplement croire les «vérificateurs de faits». Une récente affaire judiciaire a établi sous serment que les « vérificateurs de faits » de Facebook ont ​​utilisé l’opinion de leur propre personnel et non de vrais experts pour vérifier les « faits ».59 ] Lorsque des sources sont en fait révélées, il s’agit invariablement du CDC corrompu, de l’OMS ou d’Anthony Fauci ou simplement de leur opinion. Voici une liste de choses qui ont été qualifiées de « mythes » et de « désinformation » qui se sont avérées plus tard vraies.

  • Les vaccinés asymptomatiques propagent le virus de la même manière que les infectés symptomatiques non vaccinés.
  • Les vaccins ne peuvent pas protéger adéquatement contre les nouvelles variantes, telles que Delta et Omicron.
  • L’immunité naturelle est de loin supérieure à l’immunité vaccinale et dure très probablement toute la vie.
  • Non seulement l’immunité vaccinale diminue après plusieurs mois, mais toutes les cellules immunitaires sont altérées pendant de longues périodes, ce qui expose les vaccinés à un risque élevé d’infections et de cancer.
  • Les vaccins COVID peuvent provoquer une incidence significative de caillots sanguins et d’autres effets secondaires graves
  • Les partisans du vaccin exigeront de nombreux rappels à mesure que chaque variante apparaîtra sur la scène.
  • Fauci insistera sur le vaccin covid pour les petits enfants et même les bébés.
  • Des passeports de vaccination seront nécessaires pour entrer dans une entreprise, voler dans un avion et utiliser les transports en commun
  • Il y aura des camps d’internement pour les non vaccinés (comme en Australie, en Autriche et au Canada)
  • Les non-vaccinés se verront refuser un emploi.
  • Il existe des accords secrets entre le gouvernement, les institutions élitistes et les fabricants de vaccins
  • De nombreux hôpitaux étaient soit vides, soit peu occupés pendant la pandémie.
  • La protéine de pointe du vaccin pénètre dans le noyau de la cellule, altérant la fonction de réparation de l’ADN cellulaire.
  • Des centaines de milliers de personnes ont été tuées par les vaccins et beaucoup plus ont été endommagées de façon permanente.
  • Un traitement précoce aurait pu sauver la vie de la plupart des 700 000 personnes décédées.
  • La myocardite induite par le vaccin (qui a été niée initialement) est un problème important et disparaît en peu de temps.
  • Des lots mortels spéciaux (lots) de ces vaccins sont mélangés à la masse d’autres vaccins Covid-19

Plusieurs de ces affirmations de ceux qui s’opposent à ces vaccins apparaissent maintenant sur le site Web du CDC, la plupart encore identifiées comme des «mythes». Aujourd’hui, de nombreuses preuves ont confirmé que chacun de ces soi-disant «mythes» était en fait vrai. Beaucoup sont même admis par le « saint des vaccins », Anthony Fauci. Par exemple, on nous a dit, même par notre président déficient cognitif, qu’une fois le vaccin sorti, toutes les personnes vaccinées pourraient enlever leur masque. Oops! On nous a dit peu de temps après que les vaccinés ont des concentrations élevées (titres) du virus dans le nez et la bouche (nasopharynx) et peuvent transmettre le virus à d’autres personnes avec lesquelles ils entrent en contact, en particulier les membres de leur propre famille. Reprenez les masques – en fait, le double masquage est recommandé. 27 , 42 , 45 ]

Une autre tactique des partisans du vaccin consiste à diaboliser ceux qui refusent de se faire vacciner pour diverses raisons. Les médias qualifient ces personnes à l’esprit critique d' »anti-vaccins », de « négationnistes des vaccins », de « résistants aux vaccins », de « meurtres », d' »ennemis du plus grand bien » et de ceux qui prolongent la pandémie. J’ai été consterné par les attaques vicieuses, souvent sans cœur, de certaines personnes sur les réseaux sociaux lorsqu’un parent ou un être cher raconte l’histoire de la terrible souffrance et de la mort éventuelle qu’eux-mêmes ou leur proche ont subies à cause des vaccins. Certains psychopathes tweetent qu’ils sont heureux que l’être cher soit décédé ou que la personne vaccinée décédée soit un ennemi du bien pour avoir raconté l’événement et devrait être interdite. C’est difficile à conceptualiser. Ce niveau de cruauté est terrifiant et signifie l’effondrement d’une morale, décente,

C’est déjà assez grave pour le public de tomber aussi bas, mais les médias, les dirigeants politiques, les administrateurs d’hôpitaux, les associations médicales et les conseils d’administration des licences médicales agissent de la même manière moralement dysfonctionnelle et cruelle.

LA LOGIQUE, LE RAISONNEMENT ET LES PREUVES SCIENTIFIQUES ONT DISPARU DANS CET ÉVÉNEMENT

Les preuves scientifiques, les études soigneusement menées, l’expérience clinique et la logique médicale ont-elles eu un effet sur l’arrêt de ces vaccins inefficaces et dangereux ? Absolument pas! Les efforts draconiens pour vacciner tout le monde sur la planète se poursuivent (sauf l’élite, les postiers, les membres du Congrès et autres initiés).31 , 62 ]

Dans le cas de tous les autres médicaments et vaccins conventionnels antérieurs examinés par la FDA, les décès autrement inexpliqués de 50 personnes ou moins entraîneraient un arrêt de la distribution du produit, comme cela s’est produit en 1976 avec le vaccin contre la grippe porcine. Avec plus de 18 000 décès signalés par le système VAERS pour la période du 14 décembre 2020 au 31 décembre 2021 ainsi que 139 126 blessures graves (y compris les décès) pour la même période, il n’y a toujours aucun intérêt à arrêter ce programme de vaccination mortelle. 61 ] Pire encore, aucune agence gouvernementale n’a mené d’enquête sérieuse pour déterminer pourquoi ces personnes meurent et sont gravement et définitivement blessées par ces vaccins.15 , 67 ] Ce que nous voyons est une série continue de dissimulations et d’évasions par les fabricants de vaccins et leurs promoteurs.

La guerre contre les médicaments et les composés naturels efficaces, bon marché et très sûrs, qui ont prouvé sans aucun doute qu’ils ont sauvé des millions de vies partout dans le monde, s’est non seulement poursuivie, mais s’est intensifiée. 32 , 34 , 43 ]

Les médecins sont informés qu’ils ne peuvent pas fournir ces composés vitaux à leurs patients et s’ils le font, ils seront retirés de l’hôpital, verront leur licence médicale retirée ou seront punis de nombreuses autres manières. Un grand nombre de pharmacies ont refusé de remplir les ordonnances d’lvermectine ou d’hydroxychloroquine, alors que des millions de personnes ont pris ces médicaments en toute sécurité pendant plus de 60 ans dans le cas de l’hydroxychloroquine et des décennies pour l’ivermectine.33 , 36 ] Ce refus de remplir les ordonnances est sans précédent et a été conçu par ceux qui veulent empêcher les méthodes alternatives de traitement, toutes basées sur la protection de l’expansion du vaccin pour tous. Plusieurs entreprises qui fabriquent de l’hydroxychloroquine ont accepté de vider leurs stocks de médicament en les faisant don au Stock national stratégique, ce qui rend ce médicament beaucoup plus difficile à obtenir. 33 ] Pourquoi le gouvernement ferait-il cela alors que plus de 30 études bien faites ont montré que ce médicament réduisait les décès de 66% à 92% dans d’autres pays, comme l’Inde, l’Égypte, l’Argentine, la France, le Nigeria, l’Espagne, le Pérou, le Mexique, et d’autres?23 ]

Les détracteurs de ces deux médicaments qui sauvent des vies sont le plus souvent financés par Bill Gates et Anthony Fauci, qui gagnent tous deux des millions grâce à ces vaccins.48 , 15 ]

Pour arrêter davantage l’utilisation de ces médicaments, l’industrie pharmaceutique et Bill Gates/Anthony Fauci ont financé de fausses recherches pour prouver que l’hydroxychloroquine était un médicament dangereux et pouvait endommager le cœur. 34 ] Pour rendre ce cas frauduleux, les chercheurs ont administré au plus malade des patients covid une dose presque mortelle du médicament, à une dose bien supérieure à celle utilisée sur n’importe quel patient covid par le Dr Kory, McCullough et d’autres médecins, médecins « réels » et compatissants qui traitaient réellement des patients covid.23 ]

Bien sûr, les médias contrôlés et tout-petits ont martelé le public avec des histoires sur l’effet mortel de l’hydroxychloroquine, le tout avec un air terrifié de fausse panique. Toutes ces histoires de dangers de l’ivermectine se sont avérées fausses et certaines d’entre elles étaient incroyablement absurdes. 37 , 43 ]

L’attaque contre l’ivermectine a été encore plus vicieuse que contre l’hydroxy-chloroquine. Tout cela, et bien plus encore, est méticuleusement relaté dans l’excellent nouveau livre de Robert Kennedy, Jr. Le vrai Anthony Fauci. Bill Gates, Big Pharma et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique .32 ] Si vous êtes vraiment concerné par la vérité et par tout ce qui s’est passé depuis que cette atrocité a commencé, vous devez non seulement lire, mais étudier attentivement ce livre. Il est entièrement référencé et couvre tous les sujets de manière très détaillée. Il s’agit d’une tragédie humaine aux proportions bibliques conçue par certains des psychopathes les plus vils et sans cœur de l’histoire.

Des millions de personnes ont été délibérément tuées et paralysées, non seulement par ce virus artificiel, mais par le vaccin lui-même et par les mesures draconiennes utilisées par ces gouvernements pour « contrôler la propagation de la pandémie ». Il ne faut pas ignorer les « morts par désespoir » causées par ces mesures draconiennes, qui peuvent dépasser des centaines de milliers. En conséquence, des millions de personnes sont mortes de faim dans les pays du tiers monde. Rien qu’aux États-Unis, sur les 800 000 morts, revendiqués par les bureaucraties médicales, bien plus de 600 000 de ces décès étaient le résultat de la négligence délibérée d’un traitement précoce, bloquant l’utilisation de médicaments réutilisés hautement efficaces et sûrs, tels que l’hydroxy- la chloroquine et l’ivermectine, et l’utilisation forcée de traitements mortels tels que le remdesivir et l’utilisation de ventilateurs.

Pour aggraver tout cela, en raison des mandats de vaccination parmi tout le personnel hospitalier, des milliers d’infirmières et d’autres travailleurs hospitaliers ont démissionné ou ont été licenciés. 17 , 30 , 51 ] Cela a entraîné des pénuries critiques de ces travailleurs de la santé vitaux et des réductions dangereuses de lits de soins intensifs dans de nombreux hôpitaux. En outre, comme cela s’est produit dans le système de santé du comté de Lewis, un système hospitalier spécialisé à Lowville, NY, a fermé son unité de maternité à la suite de la démission de 30 membres du personnel hospitalier suite aux commandes de vaccins désastreuses de l’État. L’ironie dans tous ces cas de démissions est que les administrateurs ont accepté sans hésiter ces pertes massives d’effectifs malgré les élucubrations sur le manque d’effectifs en période de « crise ». Cela est particulièrement déroutant lorsque nous avons appris que les vaccins n’empêchaient pas la transmission virale et que la variante prédominante actuelle est d’une pathogénicité extrêmement faible.

LES DANGERS DES VACCINS SONT DE PLUS EN PLUS RÉVÉLÉS PAR LA SCIENCE

Alors que la plupart des chercheurs, virologues, chercheurs en maladies infectieuses et épidémiologistes ont été intimidés au silence, un nombre croissant de personnes hautement intègres et dotées d’une expertise considérable se sont manifestées pour dire la vérité, c’est-à-dire queces vaccins sont mortels.

La plupart des nouveaux vaccins doivent subir des tests de sécurité approfondis pendant des années avant d’être approuvés. Les nouvelles technologies, telles que les vaccins à ARNm et à ADN, nécessitent un minimum de 10 ans de tests minutieux et un suivi approfondi. Ces nouveaux soi-disant vaccins ont été « testés » pendant seulement 2 mois, puis les résultats de ces tests de sécurité ont été et continuent d’être tenus secrets. Le témoignage devant le sénateur Ron Johnson de plusieurs personnes qui ont participé à l’étude de 2 mois indique que pratiquement aucun suivi des participants à l’étude préalable à la libération n’a jamais été effectué.67 ] Les plaintes de complications ont été ignorées et malgré les promesses de Pfizer que toutes les dépenses médicales causées par les « vaccins » seraient payées par Pfizer, ces personnes ont déclaré qu’aucune n’avait été payée.66 ] Certaines dépenses médicales dépassent 100 000 dollars.

À titre d’exemple de la tromperie de Pfizer et des autres fabricants de vaccins à ARNm, citons le cas de Maddie de Garay, 12 ans, qui a participé à l’étude de sécurité préalable à la commercialisation du vaccin Pfizer. Lors de la présentation de la sénatrice Johnson aux familles des victimes du vaccin, sa mère a raconté les crises récurrentes de son enfant, qu’elle est maintenant confinée dans un fauteuil roulant, qu’elle doit être alimentée par sonde et qu’elle souffre de lésions cérébrales permanentes. Sur l’évaluation de la sécurité de Pfizer soumise à la FDA, son seul effet secondaire est répertorié comme ayant un « mal de ventre ». Chaque personne a soumis des histoires horribles similaires.

Les Japonais ont eu recours à un procès FOIA (Freedom of Information Act) pour forcer Pfizer à publier son étude secrète sur la biodistribution. La raison pour laquelle Pfizer voulait que cela reste secret est qu’il a démontré que Pfizer avait menti au public et aux organismes de réglementation sur le sort du contenu du vaccin injecté (le support nano-lipidique enfermé dans l’ARNm). Ils ont affirmé qu’il restait au site de l’injection (l’épaule), alors qu’en fait leur propre étude a révélé qu’il se propageait rapidement dans tout le corps par la circulation sanguine dans les 48 heures.

L’étude a également révélé que ces transporteurs de nano-lipides mortels s’accumulaient à des concentrations très élevées dans plusieurs organes, notamment les organes reproducteurs des hommes et des femmes, le cœur, le foie, la moelle osseuse et la rate (un organe immunitaire majeur). La concentration la plus élevée se trouvait dans les ovaires et la moelle osseuse. Ces transporteurs de nano-lipides ont également été déposés dans le cerveau.

Le Dr Ryan Cole, un pathologiste de l’Idaho, a signalé un pic spectaculaire de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées (non rapporté dans les médias). Il a découvert une incidence effroyablement élevée de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées, en particulier de mélanomes très invasifs chez les jeunes et de cancers de l’utérus chez les femmes.26 ] D’autres rapports d’activation de cancers précédemment contrôlés apparaissent également chez les patients cancéreux vaccinés. 47 ] Jusqu’à présent, aucune étude n’a été réalisée pour confirmer ces rapports, mais il est peu probable que de telles études soient réalisées, du moins des études financées par des subventions du NIH.

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les ovaires dans l’étude de biodistribution pourrait très bien altérer la fertilité chez les jeunes femmes, modifier les menstruations et les exposer à un risque accru de cancer de l’ovaire. La concentration élevée dans la moelle osseuse pourrait également exposer les vaccinés à un risque élevé de leucémie et de lymphome. Le risque de leucémie est très inquiétant maintenant qu’ils ont commencé à vacciner les enfants dès l’âge de 5 ans. Aucune étude à long terme n’a été menée par aucun de ces fabricants de vaccins Covid-19, notamment en ce qui concerne le risque d’induction de cancers. L’inflammation chronique est intimement liée à l’induction, à la croissance et à l’invasion du cancer et les vaccins stimulent l’inflammation.

On dit aux patients cancéreux qu’ils devraient se faire vacciner avec ces vaccins mortels. Ceci, à mon avis, est fou. Des études plus récentes ont montré que ce type de vaccin insère la protéine de pointe dans le noyau des cellules immunitaires (et très probablement de nombreux types de cellules) et une fois là, inhibe deux enzymes de réparation de l’ADN très importantes, BRCA1 et 53BP1, dont le devoir est de réparer dommages à l’ADN de la cellule.29 ] Les dommages à l’ADN non réparés jouent un rôle majeur dans le cancer.

Il existe une maladie héréditaire appelée xeroderma pigmentosum dans laquelle les enzymes de réparation de l’ADN sont défectueuses. Ces personnes malheureuses développent de multiples cancers de la peau et une incidence très élevée de cancers d’organes en conséquence. Ici, nous avons un vaccin qui fait la même chose, mais à un degré moins étendu.

L’une des enzymes de réparation défectueuses causées par ces vaccins est appelée BRCA1, qui est associée à une incidence significativement plus élevée de cancer du sein chez les femmes et de cancer de la prostate chez les hommes.

  • Il convient de noter qu’aucune étude n’a jamais été réalisée sur plusieurs aspects critiques de ce type de vaccin.
  • Ils n’ont jamais été testés pour les effets à long terme
  • Ils n’ont jamais été testés pour l’induction de l’auto-immunité
  • Ils n’ont jamais été correctement testés pour leur sécurité à n’importe quel stade de la grossesse
  • Aucune étude de suivi n’a été réalisée sur les bébés de femmes vaccinées
  • Il n’y a pas d’études à long terme sur les enfants de femmes enceintes vaccinées après leur naissance (surtout lorsque des étapes neurodéveloppementales se produisent).
  • Il n’a jamais été testé pour ses effets sur une longue liste de conditions médicales :
  • Diabète
  • Cardiopathie
  • Athérosclérose
  • Maladies neurodégénératives
  • Effets neuropsychiatriques
  • Induction des troubles du spectre autistique et de la schizophrénie
  • Fonction immunitaire à long terme
  • Transmission verticale des défauts et désordres
  • Cancer
  • Maladies auto-immunes

L’expérience antérieure avec les vaccins contre la grippe démontre clairement que les études de sécurité réalisées par les chercheurs et les médecins cliniciens liés aux sociétés pharmaceutiques étaient essentiellement toutes soit mal faites, soit délibérément conçues pour montrer à tort la sécurité et dissimuler les effets secondaires et les complications. Cela a été démontré de façon spectaculaire avec les fausses études mentionnées précédemment, conçues pour indiquer que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine étaient inefficaces et trop dangereuses à utiliser. 34 , 36 , 37 ] Ces fausses études ont entraîné des millions de décès et de graves catastrophes sanitaires dans le monde. Comme indiqué, 80 % de tous les décès n’étaient pas nécessaires et auraient pu être évités avec des médicaments réutilisés, sûrs et peu coûteux, avec un très long historique de sécurité parmi des millions de personnes qui les ont pris pendant des décennies, voire toute leur vie. 43 , 44 ]

Il est au-delà de l’ironie que ceux qui prétendent être responsables de la protection de notre santé aient approuvé un ensemble de vaccins mal testés qui a entraîné plus de décès en moins d’un an d’utilisation que tous les autres vaccins combinés administrés au cours des 30 dernières années. Leur excuse lorsqu’ils ont été confrontés était – « nous avons dû négliger certaines mesures de sécurité parce que c’était une pandémie mortelle ».28 , 46 ]

En 1986, le président Reagan a signé la National Childhood Vaccine Injury Act, qui accordait une protection générale aux fabricants pharmaceutiques de vaccins contre les litiges pour blessures intentés par les familles des personnes blessées par le vaccin. La Cour suprême, dans un avis de 57 pages, s’est prononcée en faveur des sociétés de vaccins, permettant effectivement aux fabricants de vaccins de fabriquer et de distribuer des vaccins dangereux, souvent inefficaces à la population sans crainte de conséquences juridiques. Le tribunal a insisté sur un système d’indemnisation des blessures causées par les vaccins qui n’a versé qu’un très petit nombre de récompenses à un grand nombre de personnes gravement blessées. On sait qu’il est très difficile de recevoir ces récompenses. Selon la Health Resources and Services Administration, depuis 1988, le Vaccine Injury Compensation Program (VICP) a accepté de payer 3 597 indemnités parmi 19, 098 personnes blessées par le vaccin ont fait une demande pour un montant total de 3,8 milliards de dollars. C’était avant l’introduction des vaccins Covid-19, dont les décès à eux seuls dépassent tous les décès liés à tous les vaccins confondus sur une période de trente ans.

En 2018, le président Trump a promulgué la loi sur le «droit d’essayer» qui autorisait l’utilisation de médicaments expérimentaux et de tous les traitements non conventionnels en cas de conditions médicales extrêmes. Comme nous l’avons vu avec le refus de nombreux hôpitaux et même le refus général des États d’autoriser l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine ou toute autre méthode «officielle» non approuvée pour traiter même les cas terminaux de Covid-19, ces individus infâmes ont ignoré cette loi.

Étrangement, ils n’ont pas utilisé cette même logique ou la même loi en ce qui concerne l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, qui ont toutes deux subi des tests de sécurité approfondis par plus de 30 études cliniques de haute qualité et ont donné des rapports élogieux sur l’efficacité et la sécurité dans de nombreux pays. . De plus, nous avions un dossier d’utilisation allant jusqu’à 60 ans par des millions de personnes, utilisant ces médicaments dans le monde entier, avec un excellent bilan de sécurité. Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement. Le livre de Kennedy présente ce cas en utilisant de nombreuses preuves et citations. 14 , 32 ]

Le Dr James Thorpe, expert en médecine materno-fœtale, démontre que ces vaccins covoid-19 administrés pendant la grossesse ont entraîné une incidence de fausse couche 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés. 28 ] Lorsque nous examinons son graphique sur les malformations fœtales, il y avait une incidence 144 fois plus élevée de malformations fœtales avec les vaccins Covid-19 administrés pendant la grossesse par rapport à tous les autres vaccins combinés. Pourtant, l’American Academy of Obstetrics and Gynecology et l’American College of Obstetrics and Gynecology approuvent l’innocuité de ces vaccins à tous les stades de la grossesse et chez les femmes qui allaitent leur bébé.

Il convient de noter que ces groupes de spécialités médicales ont reçu un financement important de la société pharmaceutique Pfizer. L’American College of Obstetrics and Gynecology, juste au 4ème trimestre de 2010, a reçu un total de 11 000 $ de la seule société pharmaceutique Pfizer.70 ] Le financement des subventions du NIH est beaucoup plus élevé.20 ] La meilleure façon de perdre ces subventions est de critiquer la source des fonds, leurs produits ou programmes pour animaux de compagnie. Peter Duesberg, en raison de son audace à remettre en question la théorie favorite de Fauci sur le sida causé par le virus du VIH, n’a plus reçu aucune des 30 demandes de subvention qu’il a soumises après avoir été rendues publiques. Avant cet épisode, en tant que principale autorité sur les rétrovirus dans le monde, il n’avait jamais été refusé pour une subvention du NIH. 39 ] C’est ainsi que fonctionne le système « corrompu », même si une grande partie de l’argent des subventions provient de nos impôts.

LOTS CHAUDS — LOTS MORTELS DE VACCINS

Une nouvelle étude a maintenant fait surface, dont les résultats sont terrifiants.25 ] Un chercheur de l’Université de Kingston à Londres, a réalisé une analyse approfondie des données des VAER (un sous-département du CDC qui recueille des données volontaires sur les complications des vaccins), dans laquelle il a regroupé les décès signalés à la suite des vaccins en fonction des numéros de lot du fabricant des vaccins. . Les vaccins sont fabriqués en grandes quantités appelées lots. Ce qu’il a découvert, c’est que les vaccins sont divisés en plus de 20 000 lots et qu’un sur 200 de ces lots (lots) est manifestement mortel pour quiconque reçoit un vaccin de ce lot, qui comprend des milliers de doses de vaccin.

Il a examiné tous les vaccins fabriqués – Pfizer, Moderna, Johnson et Johnson (Janssen), etc. Il a découvert que sur 200 lots de vaccins de Pfizer et d’autres fabricants, un lot sur 200 s’est avéré plus de 50 fois plus mortel que les vaccins. lots provenant d’autres lots. Les autres lots de vaccins (lots) provoquaient également des décès et des incapacités, mais loin d’être à ce point. Ces lots mortels auraient dû apparaître au hasard parmi tous les « vaccins » s’il s’agissait d’un événement non intentionnel. Cependant, il a constaté que 5% des vaccins étaient responsables de 90% des événements indésirables graves, y compris des décès. L’incidence des décès et des complications graves parmi ces « lots chauds » variait de plus de 1 000 % à plusieurs milliers de pour cent de plus que les lots comparables plus sûrs. Si vous pensez que c’était par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants. Dans l’un de ces scandales, des «lots chauds» d’un vaccin se sont tous retrouvés dans le même état et les dégâts sont immédiatement devenus évidents. Quelle a été la réponse du fabricant ? Ce n’était pas pour retirer les lots mortels du vaccin. Il a ordonné à son entreprise de disperser les lots chauds à travers le pays afin que les autorités ne voient pas l’effet mortel évident.

Tous les lots d’un vaccin sont numérotés, par exemple Modera les étiquette avec des codes tels que 013M20A. Il a été noté que les numéros de lot se terminaient par 20A ou 21A. Les lots se terminant par 20A étaient beaucoup plus toxiques que ceux se terminant par 21A. Les lots se terminant par 20A ont eu environ 1700 événements indésirables, contre quelques centaines à vingt ou trente événements pour les lots 21A. Cet exemple explique pourquoi certaines personnes ont eu peu ou pas d’effets indésirables après avoir pris le vaccin tandis que d’autres sont soit tuées, soit gravement et définitivement blessées. Pour voir l’explication du chercheur, rendez-vous surhttps://www.bitchute.com/video/6xIYPZBkydsu/À mon avis, ces exemples suggèrent fortement une altération intentionnelle de la production du « vaccin » pour inclure des lots mortels.

J’ai rencontré et travaillé avec un certain nombre de personnes concernées par la sécurité des vaccins et je peux vous dire qu’elles ne sont pas les méchants anti-vaccins qu’on vous dit qu’elles sont. Ce sont des personnes morales, pleines de principes et compatissantes, dont beaucoup sont des chercheurs de haut niveau et des personnes qui ont étudié la question de manière approfondie. Robert Kennedy, Jr, Barbara Lou Fisher, Dr Meryl Nass, Professeur Christopher Shaw, Megan Redshaw, Dr Sherri Tenpenny, Dr Joseph Mercola, Neil Z. Miller, Dr Lucija Tomjinovic, Dr Stephanie Seneff, Dr Steve Kirsch et le Dr Peter McCullough pour n’en nommer que quelques-uns. Ces gens n’ont rien à gagner et beaucoup à perdre. Ils sont violemment attaqués par les médias, les agences gouvernementales et les milliardaires d’élite qui pensent qu’ils devraient contrôler le monde et tous ses habitants.

POURQUOI FAUCI NE VOULAIT-IL AUCUNE AUTOPSIE DE CEUX QUI SONT DÉCÉDÉS APRÈS LA VACCINATION ?

Il y a beaucoup de choses à propos de cette « pandémie » qui sont sans précédent dans l’histoire médicale. L’un des plus surprenants est qu’au plus fort de la pandémie, si peu d’autopsies, en particulier d’autopsies totales, étaient pratiquées. Un virus mystérieux se propageait rapidement dans le monde, un groupe sélectionné de personnes dont le système immunitaire était affaibli tombaient gravement malades et beaucoup mouraient et la seule façon dont nous pouvions rapidement acquérir le plus de connaissances sur ce virus – une autopsie, était découragée.

Guerriero a noté qu’à la fin avril 2020, environ 150 000 personnes étaient décédées, mais il n’y avait que 16 autopsies réalisées et rapportées dans la littérature médicale. 24 ] Parmi celles-ci, seules sept étaient des autopsies complètes, les 9 restantes étant partielles ou par biopsie à l’aiguille ou biopsie incisionnelle. Ce n’est qu’après 170 000 décès par Covid-19 et quatre mois après le début de la pandémie que la première série d’autopsies a été effectivement réalisée, soit plus de dix. Et ce n’est qu’après 280 000 décès et un mois de plus que la première grande série d’autopsies a été réalisée, au nombre d’environ 80.22 ] Sperhake, dans un appel pour que les autopsies soient faites sans poser de questions, a noté que la première autopsie complète rapportée dans la littérature avec des photomicrographies est apparue dans une revue médico-légale de Chine en février 2020.41 , 68 ] Sperhake a exprimé sa confusion quant à la raison pour laquelle il y avait une réticence à effectuer des autopsies pendant la crise, mais il savait que cela ne venait pas des pathologistes. La littérature médicale était jonchée d’appels de pathologistes pour que davantage d’autopsies soient effectuées. 58 ] Sperhake a en outre noté que l’Institut Robert Koch (le système allemand de surveillance de la santé) a au moins initialement déconseillé de faire des autopsies. Il savait également qu’à l’époque, 200 institutions d’autopsie participantes aux États-Unis avaient pratiqué au moins 225 autopsies dans 14 États.

Certains ont affirmé que cette pénurie d’autopsies était basée sur la peur d’infection du gouvernement parmi les pathologistes, mais une étude de 225 autopsies sur des cas de Covid-19 a démontré un seul cas d’infection parmi le pathologiste et il a été conclu qu’il s’agissait d’une infection contractée. autre part.19 ] Guerriero termine son article appelant à davantage d’autopsies par cette observation : « Au coude à coude, les médecins légistes et cliniciens ont surmonté les obstacles des études d’autopsie chez les victimes de Covid-19 et ont ainsi généré des connaissances précieuses sur la physiopathologie de l’interaction entre le SARS-CoV- 2 et le corps humain, contribuant ainsi à notre compréhension de la maladie. »24 ]

Les soupçons concernant la réticence mondiale des nations à autoriser des études post mortem complètes des victimes de Covid-19 peuvent être basés sur l’idée que c’était plus que par hasard. Il y a au moins deux possibilités qui se démarquent. Premièrement, ceux qui ont mené la progression de cet événement « non pandémique » vers une « pandémie mortelle » mondiale perçue, cachaient un secret important que les autopsies pourraient documenter. À savoir, combien de décès ont été réellement causés par le virus ? Pour mettre en œuvre des mesures draconiennes, telles que le port obligatoire de masques, les fermetures, la destruction d’entreprises et finalement la vaccination forcée obligatoire, ils avaient besoin d’un très grand nombre de morts infectés par le covid-19. La peur serait le moteur de tous ces programmes destructeurs de lutte contre la pandémie.

  • Elder et al dans son étude ont classé les résultats de l’autopsie en quatre groupes. 22 ]
  • Mort certaine du Covid-19
  • Probablement la mort du Covid-19
  • Mort probable du Covid-19
  • Non associé au Covid-19, malgré le test positif.

Ce qui a peut-être inquiété ou même terrifié les ingénieurs de cette pandémie, c’est que les autopsies pourraient bien montrer, et ont montré, qu’un certain nombre de ces soi-disant décès de Covid-19 sont en réalité morts de leurs maladies comorbides. Dans la grande majorité des études d’autopsie rapportées, les pathologistes ont noté de multiples conditions comorbides, dont la plupart aux extrêmes de la vie pourraient à elles seules être mortelles. Auparavant, on savait que les virus du rhume avaient une mortalité de 8 % dans les maisons de retraite.

En outre, des preuves précieuses pourraient être obtenues à partir des autopsies qui amélioreraient les traitements cliniques et pourraient éventuellement démontrer l’effet mortel des protocoles mandatés par le CDC que tous les hôpitaux étaient tenus de suivre, tels que l’utilisation de respirateurs et le remdesivir, un médicament mortel qui détruit les reins. . Les autopsies ont également démontré une accumulation d’erreurs médicales et de soins de mauvaise qualité, car le fait de protéger les médecins des unités de soins intensifs des yeux des membres de la famille conduit inévitablement à des soins de moindre qualité, comme l’ont rapporté plusieurs infirmières travaillant dans ces domaines. 53 – 55 ]

Aussi mauvais que tout cela ait été, la même chose est faite dans le cas des décès dus au vaccin Covid – très peu d’autopsies complètes ont été effectuées pour comprendre pourquoi ces personnes sont mortes, c’est-à-dire jusqu’à récemment. Deux chercheurs hautement qualifiés, le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste et expert hautement qualifié en maladies infectieuses, et le Dr Arne Burkhardt, pathologiste faisant autorité et ayant été professeur de pathologie dans plusieurs institutions prestigieuses, ont récemment pratiqué des autopsies sur 15 personnes ayant mort après vaccination. Ce qu’ils ont trouvé explique pourquoi tant de personnes meurent et subissent des dommages aux organes et des caillots sanguins mortels. 5 ]

Ils ont déterminé que 14 des quinze personnes sont décédées des suites des vaccins et non d’autres causes. Le Dr Burkhardt, le pathologiste, a observé de nombreuses preuves d’une attaque immunitaire sur les organes et les tissus des individus autopsiés, en particulier leur cœur. Cette preuve comprenait une invasion étendue de petits vaisseaux sanguins avec un nombre massif de lymphocytes, qui provoquent une destruction cellulaire importante lorsqu’ils sont libérés. D’autres organes, tels que les poumons et le foie, ont également été gravement endommagés. Ces découvertes indiquent que les vaccins amenaient le corps à s’attaquer avec des conséquences mortelles. On peut facilement voir pourquoi Anthony Fauci, ainsi que les agents de santé publique et tous ceux qui font la promotion de ces vaccins, ont publiquement découragé les autopsies sur les vaccinés décédés par la suite. On peut aussi voir que dans le cas des vaccins, qui étaient essentiellement non testés avant d’être approuvés pour le grand public, au moins les organismes de réglementation auraient dû être tenus de surveiller et d’analyser attentivement toutes les complications graves, et certainement les décès, liés à ces vaccins. La meilleure façon de le faire est d’effectuer des autopsies complètes.

Bien que nous ayons appris des informations importantes de ces autopsies, ce qui est vraiment nécessaire, ce sont des études spéciales des tissus de ceux qui sont décédés après la vaccination pour la présence d’infiltration de protéines de pointe dans les organes et les tissus. Ce serait une information critique, car une telle infiltration entraînerait de graves dommages à tous les tissus et organes impliqués, en particulier le cœur, le cerveau et le système immunitaire. Des études animales l’ont démontré. Chez ces individus vaccinés, la source de ces protéines de pointe serait les porteurs nanolipidiques injectés de l’ARNm produisant la protéine de pointe.

CONCLUSION

Nous vivons tous l’un des changements les plus drastiques de notre culture, de notre système économique et de notre système politique de l’histoire de notre nation ainsi que du reste du monde. On nous a dit que nous ne reviendrions jamais à la « normale » et qu’une grande réinitialisation a été conçue pour créer un « nouvel ordre mondial ». Tout cela a été décrit par Klaus Schwab, chef du Forum économique mondial, dans son livre sur la « grande réinitialisation ».66 ] Ce livre donne beaucoup d’informations sur la pensée des utopistes qui sont fiers de revendiquer cette «crise» pandémique comme leur moyen d’inaugurer un nouveau monde. Ce nouvel ordre mondial est sur les planches à dessin des manipulateurs d’élite depuis plus d’un siècle.73 , 74 ] Dans cet article, je me suis concentré sur les effets dévastateurs que cela a eu sur le système de soins médicaux aux États-Unis, mais aussi sur une grande partie du monde occidental. Dans des articles antérieurs, j’ai discuté de la lente érosion des soins médicaux traditionnels aux États-Unis et de la façon dont ce système est devenu de plus en plus bureaucratisé et enrégimenté. sept , 8 ] Ce processus s’accélérait rapidement, mais l’apparition de cette « pandémie » fabriquée, à mon avis, a transformé notre système de santé du jour au lendemain.

Comme vous l’avez vu, une série d’événements sans précédent s’est produite au sein de ce système. Les administrateurs d’hôpitaux, par exemple, ont assumé la position de dictateurs médicaux, ordonnant aux médecins de suivre des protocoles dérivés non pas de ceux qui ont une vaste expérience dans le traitement de ce virus, mais plutôt d’une bureaucratie médicale qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19. L’utilisation obligatoire de respirateurs sur les patients des soins intensifs Covid-19, par exemple, a été imposée dans tous les systèmes médicaux et les médecins dissidents ont été rapidement démis de leurs fonctions de soignants, malgré leur démonstration de méthodes de traitement nettement améliorées. De plus, les médecins ont été invités à utiliser le médicament remdesivir malgré sa toxicité avérée, son manque d’efficacité et son taux de complications élevé. On leur a dit d’utiliser des médicaments qui nuisent à la respiration et de masquer chaque patient, malgré les difficultés respiratoires du patient. Dans chaque cas, ceux qui ont refusé d’abuser de leurs patients ont été renvoyés de l’hôpital et ont même fait face à une perte de licence ou pire.

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine moderne, le traitement médical précoce de ces patients infectés a été ignoré à l’échelle nationale. Des études ont montré qu’un traitement médical précoce permettait d’économiser 80 % du nombre plus élevé de ces personnes infectées lorsqu’il était initié par des médecins indépendants.43 , 44 ] Un traitement précoce aurait pu sauver plus de 640 000 vies au cours de cette « pandémie ». Malgré la démonstration de la puissance de ces premiers traitements, les forces de contrôle des soins médicaux ont poursuivi cette politique destructrice.

Les familles n’étaient pas autorisées à voir leurs proches, obligeant ces personnes très malades hospitalisées à affronter seules leur mort. Pour ajouter l’insulte à l’injure, les funérailles étaient limitées à quelques membres de la famille en deuil, qui n’étaient même pas autorisés à s’asseoir ensemble. Pendant tout ce temps, les grands magasins, tels que Walmart et Cosco, étaient autorisés à fonctionner avec des restrictions minimales. Les patients des maisons de soins infirmiers n’étaient pas non plus autorisés à recevoir des visites familiales, étant à nouveau forcés de mourir seuls. Pendant tout ce temps, dans un certain nombre d’États, le plus transparent étant celui de New York, des personnes âgées infectées ont été délibérément transférées des hôpitaux vers des maisons de retraite, ce qui a entraîné un taux de mortalité très élevé chez ces résidents de maisons de retraite. Au début de cette « pandémie », plus de 50 % de tous les décès survenaient dans des maisons de retraite.

Tout au long de cette « pandémie », nous avons été nourris d’une série interminable de mensonges, de distorsions et de désinformation de la part des médias, des responsables de la santé publique, des bureaucraties médicales (CDC, FDA et OMS) et des associations médicales. Des médecins, des scientifiques et des experts en traitements infectieux qui ont formé des associations visant à développer des traitements plus efficaces et plus sûrs, ont été régulièrement diabolisés, harcelés, honteux, humiliés et subissent une perte de licence, une perte de privilèges hospitaliers et, dans au moins un cas, ordonné de subir un examen psychiatrique.2 , 65 , 71 ]

Anthony Fauci a reçu le contrôle essentiellement absolu de toutes les formes de soins médicaux lors de cet événement, notamment en insistant pour que les médicaments dont il a bénéficié soient utilisés par tous les médecins traitants. Il a ordonné l’utilisation de masques, bien qu’il se soit d’abord moqué de l’utilisation de masques pour filtrer un virus. Les gouverneurs, les maires et de nombreuses entreprises ont suivi ses ordres sans poser de questions.

Les mesures draconiennes utilisées, le masquage, les verrouillages, les tests des personnes non infectées, l’utilisation du test PCR inexact, la distanciation sociale et la recherche des contacts s’étaient auparavant avérées peu ou pas utiles lors des pandémies précédentes, mais toutes les tentatives de rejeter ces méthodes n’ont servi à rien. Certains États ont ignoré ces ordonnances draconiennes et ont enregistré le même nombre de cas ou moins, ainsi que des décès, que les États avec les mesures les plus strictement appliquées. Encore une fois, aucune preuve ou démonstration évidente dans ce sens n’a eu d’effet sur la fin de ces mesures socialement destructrices. Même lorsque des pays entiers, comme la Suède, qui ont évité toutes ces mesures, ont démontré des taux d’infections et d’hospitalisation égaux à ceux des nations avec les mesures les plus strictes et les plus draconiennes, aucun changement de politique de la part des institutions de contrôle n’a eu lieu.

Les experts en psychologie des événements destructeurs, tels que les effondrements économiques, les catastrophes majeures et les pandémies précédentes, ont démontré que les mesures draconiennes s’accompagnent d’un coût énorme sous la forme de « morts de désespoir » et d’une augmentation spectaculaire des troubles psychologiques graves. Les effets de ces mesures pandémiques sur le développement neurologique des enfants sont catastrophiques et en grande partie irréversibles.

Au fil du temps, des dizaines de milliers de personnes pourraient mourir à la suite de ces dommages. Même lorsque ces prédictions ont commencé à apparaître, les contrôleurs de cette « pandémie » ont continué à toute vapeur. Augmentation drastique des suicides, augmentation de l’obésité, augmentation de la consommation de drogue et d’alcool, aggravation de nombreuses mesures sanitaires et augmentation terrifiante des troubles psychiatriques, notamment la dépression et l’anxiété, ont été ignorés par les responsables contrôlant cet événement.

Nous avons finalement appris que de nombreux décès étaient le résultat de négligence médicale. Les personnes atteintes de maladies chroniques, de diabète, de cancer, de maladies cardiovasculaires et de maladies neurologiques n’étaient plus suivies correctement dans leurs cliniques et cabinets médicaux. Les opérations non urgentes ont été suspendues. Beaucoup de ces patients ont choisi de mourir chez eux plutôt que de risquer d’aller à l’hôpital et beaucoup ont considéré les hôpitaux comme des « maisons de la mort ».

Les registres des décès ont montré qu’il y avait une augmentation des décès chez les personnes âgées de 75 ans et plus, principalement expliquée par les infections à Covid-19, mais pour les personnes âgées de 65 à 74 ans, les décès avaient augmenté bien avant le début de la pandémie. 69 ] Entre 18 ans et 65 ans, les dossiers démontrent une hausse choquante des décès non-Covid-19. Certains de ces décès s’expliquent par une augmentation spectaculaire des décès liés à la drogue, quelque 20 000 de plus qu’en 2019. Les décès liés à l’alcool ont également augmenté de manière substantielle et les homicides ont augmenté de près de 30 % dans le groupe des 18 à 65 ans.

Le chef de la compagnie d’assurance OneAmerica a déclaré que leurs données indiquaient que le taux de mortalité des personnes âgées de 18 à 64 ans avait augmenté de 40 % au cours de la période pré-pandémique.21 ] Scott Davidson, PDG de la société, a déclaré que cela représentait le taux de mortalité le plus élevé de l’histoire des dossiers d’assurance, qui collecte chaque année de nombreuses données sur les taux de mortalité. Davidson a également noté que cette augmentation du taux de mortalité n’avait jamais été observée dans l’histoire de la collecte de données sur les décès. Les catastrophes précédentes d’une ampleur monumentale n’ont augmenté les taux de mortalité que de 10%, 40% est sans précédent.

Le Dr Lindsay Weaver, médecin-chef de l’Indiana, a déclaré que les hospitalisations dans l’Indiana sont plus élevées qu’à tout moment au cours des cinq dernières années. Ceci est d’une importance cruciale puisque les vaccins étaient censés réduire considérablement les décès, mais c’est l’inverse qui s’est produit. Les hôpitaux sont inondés de complications liées aux vaccins et de personnes dans un état critique à cause de la négligence médicale causée par les fermetures et d’autres mesures pandémiques. 46 , 56 ]

Un nombre dramatique de ces personnes meurent maintenant, le pic se produisant après l’introduction des vaccins. Les mensonges de ceux qui se sont nommés dictateurs médicaux sont sans fin. D’abord, on nous a dit que le confinement ne durerait que deux semaines, ils ont duré plus d’un an. Ensuite, on nous a dit que les masques étaient inefficaces et n’avaient pas besoin d’être portés. Cela s’est vite inversé. Ensuite, on nous a dit que le masque en tissu était très efficace, maintenant ce n’est plus le cas et tout le monde devrait porter un masque N95 et avant cela, ils devraient porter un double masque. On nous a dit qu’il y avait une grave pénurie de respirateurs, puis nous découvrons qu’ils sont inutilisés dans les entrepôts et dans les dépotoirs de la ville, toujours dans leurs caisses d’emballage. Nous avons été informés que les hôpitaux étaient principalement remplis de personnes non vaccinées et nous avons découvert plus tard que c’était exactement le contraire dans le monde entier.

Lors de la sortie des vaccins, les femmes ont été informées que les vaccins étaient sûrs pendant tous les stades de la grossesse, seulement pour découvrir qu’aucune étude n’avait été réalisée sur la sécurité pendant la grossesse lors des «tests de sécurité» avant la sortie du vaccin. On nous a dit que des tests minutieux sur des volontaires avant l’approbation de l’EUA pour un usage public ont démontré l’extrême sécurité des vaccins, seulement pour apprendre que ces malheureux sujets n’étaient pas suivis, que les complications médicales causées par les vaccins n’étaient pas payées et que les médias couvraient tout cela .67 ] Nous avons également appris que les fabricants pharmaceutiques des vaccins avaient été informés par la FDA que d’autres tests sur les animaux n’étaient pas nécessaires (le grand public serait les cobayes.) Incroyablement, on nous a dit que les nouveaux vaccins à ARNm de Pfizer avaient été approuvés par la FDA. , qui était une tromperie de couperet, en ce qu’un autre vaccin avait l’approbation (comirnaty) et non celui utilisé, le vaccin BioNTech. Le vaccin communautaire approuvé n’était pas disponible aux États-Unis. Les médias nationaux ont déclaré au public que le vaccin Pfizer avait été approuvé et n’était plus classé comme expérimental, un mensonge flagrant. Ces mensonges mortels continuent. Il est temps d’arrêter cette folie et de traduire ces personnes en justice.

Clause de non-responsabilité

Les points de vue et opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de la Revue ou de sa direction.

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Les DOCUMENTS SECRETS DES ESSAIS PFIZER révèlent DEUX FOIS PLUS DE DÉCÈS PARMI LES VACCINÉS que les non-injectés

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Officiellement il y aurait eu 2 décès toutes causes parmi les vaccinés et 4 dans le groupe placebo lors des fameux effets Pfizer qui ont permis l’autorisation des injections.

Nous en sommes maintenant à 27 pour les vaccinés contre 15 parmi les non-vaccinés. 6 décès cachés se rajoutent en effet à la longue liste. Tous avaient eu au moins une injection.

Le mur de mensonges se lézarde depuis que la justice américaine a rendu obligatoire la diffusion des documents secrets des essais. Nous avons ainsi appris successivement que les essais portant sur 42 000 personnes :

  • n’avaient pas été mené sur six mois (7 % des cas), mais sur des périodes deux à trois fois plus courtes.
  • n’avaient pas testé la dangerosité pour les femmes enceintes et les plus âgés
  • n’avaient pas testé les risques de cancers
  • avaient testé (PCR) les non vaccinés bien plus souvent que les vaccinés
  • Nous avons trois étapes qui rendent confuses les données

1)- de la première injection à un mois après la deuxième dose donc au moins 7 semaines avec 8 décès toutes causes confondues (3 vaccinés 5 placebos)

2)- d’un mois après la deuxième dose à la fin de la période en double aveugle : on aurait 13décès de vaccinés et 10 non vaccinés

Les derniers documents révèlent 6 décès parmi les vaccinés soit 22 vaccinés au total de ces deux phases

3)- la période en double aveugle se termine l’observation se poursuit et on compte 5 décès de plus, tous vaccinés pour 41 000 participants

TOTAL : 27 VACCINÉS ET 15 NON-VACCINÉS

Les résultats des essais de vaccins randomisés publiés jusqu’à présent suggèrent que les vaccins sont efficaces pour réduire les infections symptomatiques pendant quelques semaines. La durée moyenne de suivi pour les personnes dans le premier rapport de l’essai Pfizer, sur lequel l’autorisation était basée, n’était que de 46 jours, par exemple. Le récent rapport sur les données de personnes ayant participé à l’essai pendant jusqu’à 6 mois a révélé que la durée totale moyenne de suivi pour le critère de jugement principal de l’essai en double aveugle était de 3,6 mois pour celles qui ont reçu le vaccin et 3,5 mois pour ceux affectés au placebo. De plus, seulement 7 % des participants sont restés dans l’essai en double aveugle pendant 6 mois. Les données du monde réel ne sont pas cohérentes avec les résultats de l’essai, avec un nombre élevé de cas chez des individus doublement vaccinés signalés au Royaume-Uni et en Israël, par exemple. Cela suggère soit que les effets des vaccins s’estompent rapidement, et/ou que certains biais se sont glissés dans les procédures d’essai originales, probablement en raison de la levée de l’aveugle causée par les réactions au vaccin ou d’autres irrégularités de procédure. Les mêmes données d’observation suggèrent que les vaccins peuvent réduire les hospitalisations et les décès dus à une infection par le covid, mais en l’absence de données provenant d’essais randomisés, il est difficile d’en être certain, car des facteurs inconnus peuvent biaiser les données dans les deux sens.

Plus alarmants encore, les troisième et quatrième injections de « rappel » n’ont été testées dans aucun essai randomisé, et les autres données sur l’efficacité et la sécurité de l’administration de doses supplémentaires sont rares.

https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2957lt).

Une étude canadienne sur les tristes enseignements des essais (sans les décès découverts récemment)

MAMMIE Bocock

@Medic4allHuman

Les données de Pfizer sur 6 mois montrent que les injections COVID-19 de Pfizer causent plus de maladies qu’elles n’en préviennent. Vous aurez aussi un aperçu des nombreux défauts de l’essai Pfizer dans la conception et l’exécution dans ce document

The-COVID-19-Inoculations-More-Harm-Than-Good-REV-Dec-16-2021
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ESSAI PFIZER/SEULS 7 % DES PATIENTS ONT été suivis pendant les 6 mois annoncés ! La Chambre des Lords hostile à la vaccination obligatoire des soignants, l’argumentation de prestigieux médecins et la bombe américaine sur les effets secondaires cachés du Pfizer… LA… Lire la suite →

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ESSAI PFIZER J’AI TOUT RECOMPTE ET C’EST ENCORE PIRE

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Entre la fin de l’année 2020 et la dernière édition de novembre 2021, j ai tout recompté et corrigé ce qui devait l’être. Problème je découvre maintenant qu’un groupe de 44 000 personnes n’enregistre toutes causes confondues que… Lire la suite →

ESSAI PFIZER/MA RÉPONSE AUX DÉTRACTEURS, JE PERSISTE IL Y A UN GROS PROBLÈME AVEC LA DURÉE OFFICIELLE DE L’ESSAI

Publié le 7 novembre 2021 par pgibertie

En étudiant les données démographiques de l’essai Pfizer j’ai mis en évidence l’impossibilité statistique d’un suivi sur 4 ou six mois. Il y avait trop peu de décès dans l’essai en comparaison du taux de mortalité attendu habituel. L’article… Lire la suite →

PFIZERGATE de gros doutes sur la durée du suivi…

Publié le 5 novembre 2021 par pgibertie

Les participants ont reçu deux injections, à 21 jours d’intervalle, de BNT162b2 ou de placebo, Les données sur les événements indésirables jusqu’à environ 14 semaines après la deuxième dose sont incluses dans ce rapport. NEJM C’est donc pendant 17 semaines… Lire la suite →

Il n’en reste plus qu’un… AstRa Zenneca, Jansen, Moderna, c’est fini ! Tous déconseillés… LE LOBBYSME DE PFIZER FAIT LA DIFFERENCE

Publié le 21 octobre 2021 par pgibertie

Il n’en reste plus qu’un… AstRa Zenneca, Jansen, Moderna, c’est fini ! Les rappels comme les premières piquouses se feront tous avec le Pfizer… On ne comprend même pas pourquoi… Ah si le lobbyisme… CET ARTICLE UN PEU LONG ENTEND INTERPELLER… Lire la suite →

On a enfin des résultats sur les conséquences du Pfizer sur les souris et on comprend mieux pourquoi ils refusent les autopsies post injections pour les humains décédés

Publié le 28 septembre 2021 par pgibertie

La meilleure manière de répondre à la censure : vous abonner au Blog Plusieurs articles en préparation , tous  argumentés avec des études scientifiques , vont entrainer leur censure sur les réseaux sociaux merci de vous abonner Ne dites plus »on n’a … Lire la suite →




Halte aux mensonges de l’AFP et des médias subventionnés à propos des vaccins expérimentaux Covid19

Par le DR G Delépine

Comme encore aux USA, les médias français continuent de désinformer. Mais les Américains commencent à faire leur mea culpa.

9 exemples de désinformation des autorités de la santé sur la COVID | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

« Le chef de la santé publique aux États-Unis, Dr Vivek Murthy, a lancé une campagne au mois de mars pour récolter des exemples de désinformation sur la santé et de leur impact sur le système de santé étasunien : #HealthMisinformation.

L’initiative un eu un effet boomerang.

Le ministre de la Justice de l’Indiana, Todd Rokita, et le Dr Jay Bhattacharya, co-auteur de la déclaration de Great Barrington et témoin expert dans la demande de jugement déclaratoire d’Entrepreneurs en action du Québec, lui ont transmis une liste de 9 exemples de désinformation du Centres for Disease Control (CDC) tout en exprimant leur accord sur les dommages causés par la désinformation :

Nous sommes d’accord sur le fait que la désinformation a été un problème majeur pendant la pandémie. La propagation d’information scientifique inexacte a compliqué les prises de décision du public [et] entraîné des conséquences graves sur la vie et les moyens de subsistance des Américains. Nous vous soumettons les exemples suivants de désinformation de la part du CDC et d’autres organismes de santé qui ont ébranlé la confiance du public dans la science et la santé publique, et prendront des décennies à réparer.”

Dr Jay Bhattacharya

Les 9 exemples de désinformation sont :

  1. Sur dénombrement de la COVID-19
  2. Remise en question de l’immunité naturelle
  3. Les vaccins contre la COVID-19 préviennent la transmission
  4. Les fermetures d’école ont été efficaces et n’ont rien coûté
  5. Tout le monde court le même risque d’être hospitalisé et de mourir d’une infection à la COVID-19
  6. Il n’y avait pas d’alternative raisonnable au confinement
  7. Les politiques de masque obligatoire sont efficaces pour réduire la propagation des maladies infectieuses virales
  8. Le dépistage de masse des personnes asymptomatiques et la recherche des contacts des cas positifs sont efficaces pour réduire la propagation de la maladie
  9. L’éradication de la COVID-19 est un objectif réalisable

Nos autorités ont elles aussi véhiculé une grande partie de cette désinformation. Voilà pourquoi l’auteure considère utile de partager ces informations qui seront probablement utiles à la défense des nombreux contrevenants pro-science qui ont osé défier les mesures antiscientifiques de la CAQ ».

Des médias allemands et anglais ont également fait mea culpa sur la désinformation des deux dernières années, et ce depuis plusieurs mois déjà.

« MEA CULPA – du journal Bild à la population allemande(([1] https://lesbelgessereveillent.be » mea-culpa-du-journal-bild-a-la
MEA CULPA – du journal Bild à la population allemande | Les Belges se réveillent (lesbelgessereveillent.be) ))

28/05/2021 — “Bild” affirme avoir indirectement collaboré au terrorisme sanitaire

Julian Reichelt, rédacteur en chef de la presse numéro 1 en Allemagne, le journal BILD, a présenté officiellement ses excuses à la population allemande et ses enfants, pour avoir infligé des violences, des négligences, de la solitude, de l’isolement et qu’à travers les médias, on leur a inculqué le sentiment qu’ils représentaient un danger pour la société.

Je voudrais dire à des millions d’enfants de ce pays, dont nous sommes tous responsables en tant que société, ce que notre gouvernement fédéral et notre chancelier n’ont pas encore osé dire : nous vous demandons de nous pardonner. Nous vous demandons pardon pour un an et demi de politiques qui ont fait de vous des victimes.–Victimes de violence, de négligence, d’isolement, de solitude émotionnelle. Pour une politique et une couverture médiatique qui, aujourd’hui encore, comme un poison, vous donnent le sentiment d’être un danger mortel pour notre société.”–Version originale : Corona — BILD entschuldigt sich bei Kindern

À quel moment nos journaux et médias vont-ils enfin cesser ce jeu morbide qui de plus les dévalorise ?

À quand une AFP objective ?

En France, ceux qui prétendent corriger les fausses nouvelles propagées sur les réseaux sociaux en sont très souvent les pires propagateurs. L’AFP et Juliette Mansour sont particulièrement actives dans la diffusion de fausses nouvelles pour la propagande vaccinale en dépit des multiples informations qui circulent sur les effets secondaires des injections basées sur les agences officielles de santé (VAERS, EMA Eudravigilance MHRA, etc.).(([2] Le « vaccin » anti-covid doit être immédiatement retiré du marché dans le monde entier | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

En voici malheureusement un nouvel exemple.

Dans un “désinfox” du 27 avril 2022 l’AFP et Juliette Mansour prétendent ainsi : “les vaccins ne sont plus en phase expérimentale”, “les vaccins mis sur le marché ont été testés correctement” et citent à l’appui de leurs dires l’Agence nationale du médicament prétendant que “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients”.

Leurs affirmations, comme celles de l’ANSM sont tout simplement mensongères.

N’ont-ils pas comme nombre de leurs confrères étrangers consulter les documents Pfizer finalement publiés sur injonction d’un tribunal américain(([3] Welcome to Daily Clout! What’s our story?)). Lourd, mais très instructif travail :

Les WarRoom/DailyClout Pfizer Documents Research Volunteers, un groupe de 3 000 médecins, infirmières, biostatisticiens, enquêteurs sur la fraude médicale, cliniciens de laboratoire et chercheurs scientifiques hautement qualifiés, ont produit rapport après rapport, comme vous le savez peut-être, pour dire au monde ce que contiennent les 55 000 documents internes de Pfizer que la FDA avait demandé à un tribunal de garder secrets pendant 75 ans.

Par décision de justice, ces documents ont été divulgués de force. Et nos experts rendent service à l’humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples. Vous pouvez trouver tous les rapports des volontaires sur DailyClout.io.

Les mensonges révélés sont stupéfiants.

Les Volontaires du WarRoom/DailyClout ont confirmé :

que Pfizer (et donc la FDA) savait dès décembre 2020 que les vaccins ARNm ne fonctionnaient pas — qu’ils” perdaient de leur efficacité » et présentaient un » échec vaccinal « . L’un des effets secondaires de la vaccination, comme ils le savaient un mois après le lancement massif de 2020, était la « COVID ».

Pfizer savait en mai 2021 que le cœur de 35 jeunes avait été endommagé une semaine après l’injection d’ARNm — mais la FDA a quand même lancé la vaccination pour les adolescents un mois plus tard, et les parents n’ont pas reçu de communiqué de presse du gouvernement américain sur les dommages cardiaques avant août 2021, après que des milliers d’adolescents aient été vaccinés. [[Voir ceci]

Pfizer (et donc la FDA ; de nombreux documents portent la mention « FDA: CONFIDENTIEL » à la limite inférieure) savait que, contrairement à ce que les porte-parole grassement payés et les médecins achetés assuraient aux gens, les nanoparticules d’ARNm, de protéine de pointe et de lipide ne restaient pas dans le site d’injection dans le deltoïde, mais passaient, dans les 48 heures, dans la circulation sanguine, pour se loger dans le foie, la rate, les surrénales, les ganglions lymphatiques et, si vous êtes une femme, dans les ovaires.»

(([4] Chers amis, désolée d’annoncer un génocide. Naomi Wolf sur le « rapport confidentiel » de Pfizer | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation ou Chers amis, désolée d’annoncer un génocide))

Mais aussi entre autres découvertes :

“Les bénévoles ont examiné en profondeur les rapports des documents de Pfizer concernant la grossesse et ont découvert que l’assurance que le vaccin est « sûr et efficace » pour les femmes enceintes était basée sur une étude portant sur 44 rats français, suivis pendant 42 jours (les scientifiques qui ont mené l’étude sont des actionnaires ou des employés de BioNTech).

Les volontaires ont découvert que, bien que les femmes enceintes avaient été exclues des études internes, et donc de l’EUA [Emergency Use Authorization: Autorisation d’utilisation en cas d’urgence] sur la base de laquelle toutes les femmes enceintes ont été assurées que le vaccin était “sûr et efficace”, environ 270 femmes sont néanmoins tombées enceintes pendant l’étude. Plus de 230 d’entre elles ont été oubliées dans cette étude. Mais sur les 36 femmes enceintes dont l’évolution a été suivie, 28 ont perdu leur bébé.

Les volontaires ont découvert qu’un bébé est mort après avoir été allaité par une mère vaccinée, et qu’il souffrait d’une inflammation du foie.” “etc.

Prenez le temps de lire, pour vous-même, pour les autres, pour vos lecteurs.

Madame Mansour, les pseudo vaccins sont toujours expérimentaux !

Un médicament ou un vaccin n’est plus expérimental lorsque son essai phase 3 est terminé et a été examiné par les agences du médicament. Or actuellement aucun essai de ces pseudo vaccins n’a atteint ce stade. La preuve indiscutable est apportée par le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais en cours et précise leur niveau d’avancement. Si Juliette Mansour avait pris le temps de le consulter, elle aurait pu vérifier qu’aucune étude phase 3 n’a été terminée au 1/6/2022. Chacun peut vérifier facilement.

Ce qui confirme d’ailleurs ce que nous avions observé pour l’essai Pfizer.

Il est vraiment triste de constater que l’AFP et une de ses journalistes ne respectent pas l’éthique de leurs métiers et ne prennent pas le temps, ni de consulter le site officiel des essais, ni d’interroger les médecins qu’elles critiquent, pour se comporter comme des propagandistes niant les faits établis même lorsqu’ils sont facilement vérifiables.

Non, MadameMansour, les pseudo vaccins actuels n’ont pas été testés correctement !

Avant le Covid, la mise au point et les essais des vaccins utilisant des techniques pourtant parfaitement rodées de stérilisation ou d’atténuation de virus pathogène nécessitait en moyenne 10 à 15 ans dont la majeure partie consistait dans les essais destinés à vérifier leur efficacité et leur tolérance. Il a fallu 16 ans pour les vaccins contre les HPV ou les rotavirus(([5] https://www.ledevoir.com/societe/science/579612/combien-de-temps-faudra-t-il-pour-elaborer-un-vaccin-contre-la-covid-19)), 20 ans de recherche pour le Dengvaxia, plus de 30 ans pour le vaccin Mosquirix contre le paludisme, peut-être 50 ans pour le vaccin contre le sida. Le vaccin développé le plus rapidement dans l’histoire des vaccinations, celui contre l’Ebola, a exigé cinq ans d’efforts et paraît moins efficace que les vaccins antivarioliques ou anti-fièvre jaune aux dires des praticiens africains qui insistent sur la nécessité de poursuivre les mesures d’hygiène qui avaient été utilisées avec succès lors des épidémies précédentes.

Entre chacune des phases des essais nécessaires pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché (animaux, phase 1, phase 2, phase 3), on marquait habituellement une pause pour permettre aux scientifiques d’analyser leurs résultats avant de passer à la phase suivante.

Comment peut-on croire qu’un vaccin autorisé seulement 10 mois après l’apparition d’une maladie nouvelle au lieu des 10 à 20 ans habituels ait suivi le protocole normal et complet de mise au point et de vérification ? Ce médicament qui n’est pas un vaccin selon la définition de Pasteur (car il ne contient aucun antigène) n’a absolument pas suivi le processus normal de validation.

Lorsqu’on analyse le calendrier du développement, on remarque les considérables manquements au processus habituel des essais. Il n’y a pas eu d’extraction d’antigène à partir du virus, ni de tentative d’atténuation de celui-ci. Les essais de toxicité sur les animaux(([6] Particulièrement important ici, car les précédents vaccins contre les autres coronavirus ont été abandonnés après des essais sur l’animal montrant qu’ils aggravaient la maladie avec de nombreux décès.)) ont été abandonnés ou tronqués sous prétexte qu’on ne disposait pas assez d’animaux adaptés à l’étude, alors que c’est à ce stade que les candidats vaccins anti-coronavirus précédents ont été abandonnés, car ils augmentaient la gravité de la maladie !

Les phases 1, 2, 3 des essais ont été entremêlées au lieu de se succéder, empêchant toute analyse détaillée qui aurait permis d’utiliser les données de la phase 1 pour concevoir la phase 2, et celle de la phase 2, pour planifier la phase 3.

Les sujets sélectionnés pour l’essai phase 3 ne représentaient pas ceux auxquels les produits ont ensuite été administrés avec, en particulier, très peu de personnes très âgées, ou souffrant de comorbidité, elles qui ont ensuite été vaccinées en priorité. L’essai ne comportait ni femmes enceintes, ni enfants. Ces biais visaient à minimiser au maximum la toxicité apparente des injections.

Les critères de jugement de l’essai ne sont pas pertinents. Ce qui importe pour juger de l’efficacité d’un vaccin est de mesurer la protection qu’il apporte au vacciné contre le risque de contracter la maladie, d’en mourir et sa capacité d’empêcher définitivement la transmission de la maladie aux autres. Or ces critères ont été totalement abandonnés au profit de la mesure du taux des anticorps et du pourcentage de “cas” définis par un test diagnostique non spécifique.

Ces essais trop brefs ont été conçus uniquement pour dissimuler les effets secondaires possibles et surestimer l’efficacité des injections et les agences chargées de notre sécurité sanitaire ont été complices de cette manipulation qui a exposé la population à des complications multiples et continue de l’exposer.

Il est étonnant que les médias ne se soient toujours pas intéressés à la somme faramineuse de documents sur les essais que la justice américaine a forcé Pfizer à publier

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont menti sur l’efficacité des vaccins.

Ils ont prétendu que le vaccin était efficace à 97 %(([7] https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-le-vaccin-pfizer-efficace-a-97-contre-les-cas-symptomatiques-20210311))(([8] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/03/11/covid-19-dans-le-monde-le-vaccin-de-pfizer-biontech-efficace-a-97-contre-les-cas-symptomatiques_6072790_3244.html))(([9] https://www.lepoint.fr/sante/covid-19-le-vaccin-pfizer-biontech-serait-efficace-a-97-pour-les-cas-symptomatiques-11-03-2021-2417384_40.php)) sur la foi d’essais biaisés et répétés en boucle “tous vaccinés tous protégés”, alors que dès le mois de mai 2021 de nombreuses observations prouvaient que c’était faux comme l’épidémie apparue sur le porte-avions Queen Elizabeth dont tous les marins avaient été complètement vaccinés. L’examen des chiffres officiels de l’OMS retraçant évolution de la maladie montre qu’il n’y a pas eu de ralentissement de l’épidémie après les injections, mais au contraire un accroissement comme en Grande-Bretagne champion européen des injections.

Ou plus globalement dans le monde où les pays peu vaccinés ont été presque épargnés par la vague Omicron alors que cette vague a été particulièrement virulente dans les pays adeptes du tout vaccin.

La comparaison de l’évolution épidémique des deux pays frères ennemis, Israël champion de Pfizer et Palestine peu injectée montre que les injections ne diminuent pas le nombre de contaminations et paraissent même susceptibles de favoriser Omicron

Une constatation semblable peut être tirée de la comparaison entre les 2 îles africaines de l’océan Indien (Seychelles vaccinées à plus de 90 % et Madagascar et ses 2 % de vaccinés) pourtant semblables par les facteurs de risques de leurs populations et leur mode de vie.

Dans le monde réel, les injections anti-covid ne protègent donc pas des contaminations et paraissent même parfois les favoriser ! Le slogan gouvernemental “tous vaccinés tous protégés” est une contrevérité flagrante !

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont également menti en prétendant que les pseudo vaccins protégeaient des formes graves

Ne pouvant plus dire que les injections protégeaient de l’infection, leurs propagandistes ont enclenché une propagande massive pour faire croire qu’elles pourraient diminuer le risque de faire des formes graves. Tous les médias ont été mobilisés pour diffuser les communiqués fallacieux de la Drees(([10] https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/)) qui a toujours refusé de fournir des chiffres bruts vérifiables par des statisticiens indépendants.

Mais les chiffres de l’OMS et les exemples de pays étrangers plus transparents démontrent que les pseudo vaccins ne protègent pas plus des formes graves que des Covids ordinaires.

Les formes graves sont susceptibles d’entraîner la mort. Pour évaluer la fréquence des formes graves, il suffit de mesurer la mortalité. Pour apprécier l’effet des injections sur la fréquence des formes graves, on compare la mortalité avant et après les campagnes massives de vaccination.

Les courbes de l’OMS sont très démonstratives : au niveau mondial les campagnes de vaccination ont été suivies d’une augmentation franche de la mortalité qui a globalement plus que triplé !

L’incapacité des injections Pfizer à protéger des formes graves est évidente en Israël qui comptait 3000 décès covid avant les campagnes d’injections et qui, après l’injection de 15 018 677 doses de vaccin, en recense trois fois plus (10 860 au 2 juin 2022). De plus, la comparaison des mortalités en Israël championne des injections Pfizer et en Palestine très peu vaccinée confirme que les pseudo vaccins ne diminuent pas la fréquence des formes graves.

Même constatation dans les îles africaines de l’océan Indien :

Plus globalement, dans le monde, les pays champions des vaccins sont ceux qui présentent les plus hauts taux de mortalité :

Comment pourrait-on croire à un miracle français qui permettrait aux vaccins de nous protéger des formes graves et de la mort alors qu’ils en sont incapables partout ailleurs dans le monde ?

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont menti en prétendant que les pseudo vaccins protégeaient des formes graves. Cette désinformation systématique par l’appareil d’état est responsable de la crise de confiance croissante de la population.

Il est grand temps que ceux qui se présentent comme journalistes retrouvent leur éthique (enquête à charge et à décharge) ; analysent les faits avérés publiés par des sources fiables (OMS, université John Hopkins) et cessent de se comporter en propagandistes permanents des mensonges d’état.




Si le covid n’est pas un complot… — 2e volet

[Source : dondevamos]

Après avoir posé la question de la répétition des fausses alertes pandémiques et des traitements et vaccins toxiques développés par Bill Gates, fauci et leurs amis depuis 20 ans, en fait depuis 2001 et la création de la fondation Gates, la crise de l’anthrax et le 11 septembre, la question qui se pose forcément est : pourquoi retrouve-t-on les mêmes protagonistes ?

Nous allons en citer quelques-uns, d’abord en France, puis en Angleterre et aux USA, épicentres de la recherche sur les modélisations et les traitements à toutes les épidémies / pandémies.

3. Pourquoi les mêmes protagonistes d’une pandémie à l’autre ?

Si on voit arriver de nouvelles têtes, on compte un certain nombre de protagonistes du covid, parmi les plus acharnés à imposer la doxa covidiste, qui étaient déjà à la manoeuvre pour le H1N1 voire pour les autres « épidémies ». Cette persistance à la fois dans l’erreur et sur les écrans de télé est incohérente: normalement quand on fait des erreurs professionnelles, surtout si elles entraînent des gaspillages massifs d’argent public, on est sanctionné. 

Dans ces cas, on observe qu’il n’y a pas de sanctions, et on assiste à des évolutions de carrière vers les sommets.

Antoine Flahault :

Flahault

Référent grippe dans les années 2000, spécialiste des « modélisations mathématiques » des épidémies, il a été membre du Conseil d’Administration  du LEEM Recherche mais selon lui aucun « conflit d’intérêt » [1]

Il a officié comme télétoubib pendant le H1N1 puis le covid et a fondé à Rennes l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP) qu’il a dirigée de 2007 à 2012, avant de devenir prof de santé publique à l’école de médecine de Genève où il a créé l’ « Institue of Global Health ».

Il a publié 12 articles sur le covid en 2021, et fait divers « scénarios » d’épidémies.

H1N1 grippe porcine de 2009 :

Flahault disait le 5 mai 2009 que « nous sommes en situation de pandémie ». À ce moment, selon le rapport de la commission du Sénat sur la gestion du H1N1, il « affirmait dans la presse que près de 35 % de la population française pourrait être touchée par le virus H1N1, ce qui pourrait entraîner 30 000 morts lors d’un pic intervenant après l’été ».

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Il a indiqué à la commission d’enquête « qu’il n’entretenait pas de liens d’intérêts directs avec l’industrie pharmaceutique et qu’il n’appartenait plus au conseil d’administration du syndicat des entreprises du médicament, le « LEEM recherche ». Néanmoins, son nom apparaît parmi les membres de cette structure au titre de ses fonctions de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique, ce qui « ne constitue pas à ses yeux un lien d’intérêt ». En août 2009 Flahaut déclarait encore que « la grippe A cause 100 fois plus de morts directs que la grippe classique ».

Il déclarait dans Le Monde alors que seulement 1000 « cas » et 27 morts dans le monde étaient recensés :

« De fait, nous sommes en situation de pandémie. Tous les ingrédients sont déjà présents. Un virus grippal, nouveau du point de vue génétique et de ses propriétés immunologiques, se transmet de personne à personne et circule à travers le monde. L’épidémie n’est pas restée confinée dans le pays où elle a émergé et s’est diffusée via les connexions aériennes ».

Il présentait plusieurs scénarios dont un « soft » qu’il dit « proche de la pandémie de 1968 » soit « l’équivalent d’une grosse grippe saisonnière » avec « 20 à 30.000 décès« , qui  « serait susceptible d’entraîner une désorganisation du système de santé, de l’absentéisme et fragiliserait notre société, comme pourrait le faire un ouragan puissant ». On a eu une vingtaine de décès attribués au H1N1 au final. Son chiffre de 30.000 morts a été repris en boucle dans les médias.

Il recommandait d’utiliser le Tamiflu même s’il n’était pas super efficace car il servait seulement à « diminuer la pression virale ». En août 2009 il disait que le Tamiflu n’était « pas dangereux pour les enfants » après la parution d’une étude anglaise pointant les effets indésirables. Il misait sur le « vaccin » (pas encore créé) pour éviter la saturation des hôpitaux.

Quand tout le monde a compris que le H5N1 était passé tranquillement, il a Le déclaré le 18 février 2010 dans Le Figaro que le H1N1 « reviendra sans doute l’an prochain » et que les vaccins anti grippe devaient intégrer des souches du virus de 2009 et envisageait une vaccination de toute la population.

Flahault a tout de même admis en avril 2010 avoir exagéré ses prévisions du nombre de morts et que « le Tamiflu est très modérément efficace« , tout en recommandant de l’utiliser contre le H1N1.

Covid :

2022-05-29 15_24_47-_Dans cette crise, le masque est le préservatif du coronavirus_ _ Corse Matin -

Ce tenant du « zéro mort du covid » a appelé :

  • À « prendre des mesures fortes tout de suite, et jusqu’à l’été » type « confinement » dès le 13 mars 2020, soit 3 jours avant l’annonce de jupicrétin. Il voulait aussi que l’OMS « guide l’action des Etats ».
  • À porter des muselières.
  • À maintenir un état d’alerte permanent : « l’important aujourd’hui n’est pas tant de prédire que de se préparer à un scénario plausible et redoutable. Ma crainte aujourd’hui, c’est que la situation actuelle nous entraîne vers une augmentation très conséquente du nombre de malades et une poussée épidémique incontrôlable, à l’instar de ce que les Etats-Unis ont connu l’été dernier » disait-il en février 2021. De fait, il n’a cessé d’alerter sur les prochaines « vagues », comme ici en avril 2021 où il parlait déjà d’une « vague » à l’automne : « Pour cet expert, l’enthousiasme suscité par la vaccination ne doit pas nous exonérer d’une certaine vigilance vis-à-vis du virus, et du maintien de mesures de contrôle ».
  • À « vacciner » tout le monde régulièrement.
  • À ne pas utiliser la chloroquine car les essais n’avaient pas été menés selon les protocoles, qui pourtant n’ont pas été respectés pour le développement accéléré des « vaccins ». 

En février 2022 il est encore en train de dire qu’il ne faut pas de « relâchement » des « restrictions » pseudo sanitaires et garder le « pass vaccinal » jusqu’à la mi mars 2022 :

« La circulation du virus demeure très intense. En allégeant prématurément, les pays voisins risquent un ralentissement de la décrue et la mise en danger des populations vaccinées mais immunodéprimées, âgées, ou encore non vaccinées, comme les enfants ayant des facteurs de risque ».

Il est partisan des mesures les plus restrictives et ne se cache même pas de prendre l’Asie (comprendre : la Chine) comme exemple : « Préférons-nous revivre une année comme 2020, ou plutôt nous inspirer des pays d’Asie et du Pacifique ? ».

confinement

Début février 2022 il voulait imposer la « 3e dose », « Et les politiques peuvent traduire une telle recommandation par l’instauration d’un usage étendu du pass vaccinal » disait-il à Libération,

« Les hospitalisations pédiatriques atteignent aussi des niveaux records. Ne risque-t-on pas d’augmenter la circulation du virus en ôtant le masque trop tôt dans les écoles ? Le télétravail réduisait les interactions sociales sans trop peser sur l’économie générale. N’aurait-on pas pu attendre davantage avant d’en lever l’obligation ? Le vent d’optimisme qui souffle un peu rapidement en Europe risque d’inviter la population à baisser trop rapidement la garde et à renoncer aux gestes barrières, à la distanciation sociale qui la protégeaient contre la transmission du coronavirus. Cela pourrait retarder la décrue épidémique, voire relancer les transmissions et son cortège d’hospitalisations et de décès ».

Le 6 mai 2022, Flahault alertait sur le risque d’une énième « vague » de covid durant l’été et appelait les gouvernements à prendre « des mesures préventives »: « Si tous les indicateurs sanitaires repassent actuellement dans le vert en France comme dans toute l’Europe de l’Ouest, deux nouveaux sous-variants d’omicron, BA.4 et BA.5 pourraient dès la mi-juin relancer les contaminations, selon le professeur Antoine Flahault. L’épidémiologiste et enseignant de santé publique à l’université de Genève invite les pouvoirs publics à prendre des mesures préventives« . Et bien-sûr on le retrouve sur la variole du singe, qui selon lui pouvait évoluer en « pandémie ».

Jean-François Delfraissy

delfraissy

Cet expert du SIDA avait déjà 70 ans au début du covid. Quelques dates de sa carrière :

  • 1982-1986 : membre de la commission scientifique spécialisée en infection et immunité de l’Inserm.
  • 1984-1987 : Secrétariat général de la Société française d’immunologie.
  • 1990-1994 : conseiller médical auprès de la mission sida à la Direction des hôpitaux et membre du conseil d’administration Ensemble contre le sida
  • 2001-2005 : Dirige l’unité de recherche clinique Paris-Sud.
  • 2005-2017 : Directeur de l’Agence nationale de recherches sur le sida (ANRS)
  • 2008 : Directeur de l’I3M à l’Inserm et membre de la fondation de GSK
  • 2014 : Chargé par Valls du plan Ebola
  • 2016 : président du Comité consultatif national d’éthique
  • Mars 2020 : Président du « conseil scientifique covid » du micron.

H1N1 :

H1N1

Lors de son audition au Sénat en 2010 il a admis des liens avec l’industrie :

« Je suis directeur de l’Institut de microbiologie et des maladies infectieuses, professeur de médecine à Bicêtre et je dirige également l’Agence nationale de recherche sur le Sida et les hépatites virales. Je n’étais pas, jusqu’à mai 2009, expert de la grippe. Je n’avais donc pas de lien particulier avec les laboratoires de vaccins, ni avec les produits antigrippaux. 

Par ailleurs, dans le cadre du Sida, je suis expert international pour le compte d’un certain nombre de laboratoires pharmaceutiques.Lorsque j’ai pris mes fonctions de directeur, j’ai annoncé à mon conseil d’administration que j’arrêterai toute relation au niveau national mais que je garderai pour certaines formes d’expertises les boards internationaux de l’industrie, que je revendique comme nécessaires pour participer à la collaboration internationale. Il s’agit de Merck, Gilead et Tibotec ».

À ce moment il est toujours membre du conseil scientifique de GlaxoSmithKline, et a fait partie de la fondation Roche. Il dirigeit l’IMMI (Institut de Microbiologie et de Maladies Infectieuses) à qui la recherche sur le H1N1 a été confiée :

« Dès l’annonce de l’émergence du virus A(H1N1) et du risque pandémique qu’il représentait, les ministères chargés de la Recherche et de la Santé ont confié à l’IMMI, au nom d’AVIESAN, la coordination des recherches H1N1″.

Quand le président Autain lui demande « A partir de quel moment était-il scientifiquement établi que la grippe H1N1 serait majoritairement bénigne ? Dès lors que la virulence du virus était similaire à celle de la grippe saisonnière, pourquoi une double vaccination sur le modèle du vaccin H5N1 a-t-elle été jugée nécessaire ? » il répond qu’il n’a « pas tous les éléments de réponse » et que 15 à 20 millions de français ont « développé des formes asymptomatiques ».

Il appelait à se faire « vacciner », disant que c‘était sûr, mais devant la commission il a dit qu’il n’est pas spécialiste des vaccins.

Covid :

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Dès le début mars 2020 il tourne en boucle à la télé en tant que président du comité consultatif d’éthique (ex le 11 mars 2020 sur France Info ou le 3 mars 2020 sur Radio Classique  où il appelait déjà à « des mesures encore plus restrictives »  et disait que « La vision collective doit dépasser le droit individuel, à condition que cela soit clair, annoncé, transparent et transitoire« !). Cependant il admettait à ce moment-là que la « létalité du covid » était « faible ».

Le 24 mars il déclarait : « Nous n’avons pas de traitement » et évoquait l’absence problématique de « vaccin« .

7 avril 2020 Delfraissy déclare que ne pas obéir au « confinement » était un « suicide collectif » et appelait à maintenir la rétention de masse : « Selon le médecin, l’isolation que nous vivons depuis plusieurs semaines devrait se poursuivre encore plusieurs autres. Au moins jusqu’au mois de mai. « Je pense qu’il vaut mieux le dire d’emblée maintenant. Il est trop tôt pour prévoir une date de sortie« . Selon lui l’afflux de « malades » saturait les zopitaux et il y avait des effets positifs au « confinement ».

Au milieu du 1er « confinement » en avril 2020 il déclare que le covid aura « un rebond » à l’automne. Delfraissy est un adepte des « rebonds », qu’il annonce tous les 3 ou 4 mois (juin 2021novembre 2021mars 2022…). Il nie tout le temps avoir le moindre conflit d’intérêts mais annonce sa présence bénévole à plusieurs conseils consultatifs de labos ces dernières années dont Gilead.

Il a été nommé par le micron dès le début du « confinement » dans le nouveau conseil « scientifique » spécial covid, opaque, dont aucun compte rendu réunion n’existe, et dont le micron ne suivait l’avis que si ça l’arrangeait. Ses positions :

  • Pour le « confinement » qu’il regrette de ne pas avoir réclamé plus tôt, et qu’il voulait continuer
  • Contre l’hydroxychloroquine (HCQ) dès le départ (3 mars 2020)
  • Pour les tests PCR à fond dès le 20 mars 2020, dès la fin du « confinement ».
  • Pour les muselières partout quand on en a eu (avant il ne les trouvait pas utiles)
  • A parlé à longueur de temps de « saturation des zopitaux » à cause du covid même si on sait que c’est faux. Il n’a jamais fait aucun mea culpa ni là-dessus ni sur rien.

Didier HOUSSIN

Houssin
  • 2005-2011 : Directeur général de la Santé et délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire.
  • 2013 : président du conseil d’administration de l’Anses
  • Janvier 2020 : président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé (nommé à 70 ans)

H5N1 :

Moins connu car moins médatique, il est aujourd’hui à l’OMS à plus de 70 ans. Dès le début de l’alerte de l’OMS en mai 2009 en tant que directeur général de la santé (même poste que Salomon) il a enclenché la machine épidémique en France : campagne de propagande, recherche des cas potentiels, délcarations intempestives sur les injections de masse déjà prévues en mai 2009… L’ « épidémie » n’a démarré officiellement qu’en septembre 2009 en France. À ce moment il prévenait déjà qu’il faudra sûrement 2 injections au moins pour les jeunes.

En tant que DGS il a poussé les gens à se faire injecter, signant même des conventions avec diverses multinationales pour qu’elles incitent leurs salariés (BNP, Air France, IBM, Micghelin, PSA,Renault, Sanofi, SNCF). Il a aussi préconisé le traitement « systématique » avec le Tamiflu de Roche et sinon avec le Relenzea de GSK. Et alors que les mutations du virus étaient connues, il disait que les « vaccins » basés sur la première souche de virus étaient toujours « sûrs » et efficaces.

Il était aussi très favorable à l’utilisation à tout va du Tamiflu; disponible gratuitement en France pour toutes formes de grippe, bien que la seule étude dont on disposait était celle du frabriquant et que les données brutes étaient secrètes.

2022-05-29 21_14_05-Alerte 6 dans le monde, alerte 5 en France - L'Express - Opera

Devant la commission d’enquête du Sénat sur la préparation de la pandémié H1N1, Houssin a expliqué l’échec de les injections de masse en France parce que « nous n’étions pas suffisamment armés pour battre en brèche les argumentaires et les rumeurs qui se sont développés sur le réseau« , contrairement aux Américains, où le CDC d’Atlanta et la FDA avaient des « équipes qui ont pour seule tâche de suivre Facebook ou Twitter et de réagir dès l’apparition de signaux inquiétants » c’est-à-dire des gens qui posent des questions ou donnent des informations n’allant pas dans le sens de la propagande épidémico-vaccinale.

« Nous aurions aimé avoir une couverture vaccinale semblable à celles obtenues en Suède, en Norvège ou au Canada, mais il se trouve que la population française ne s’est pas montrée assez inquiète, craignant peut-être davantage le vaccin« , ajoutait-il. Là encore, la question de la dangerosité du H1N1 n’entre même pas en ligne de compte.

Il était très satisfait de sa gestion du H1N1 et trouvait que l’alerte de l‘OMS avait été super. En 2020, il expliquait avoir fortement renforcé la gestion « pandémique » au cours de l’épisode de la grippe porcine, bien que la H1N1 n’ait pas du tout eu l’ampleur espérée :

« le plan pandémie grippale avait été élaboré entre 2005 et 2009, dans le cadre de la menace H5N1, puis il a été amélioré en 2010 avec des fiches précises, notamment sur la réduction des déplacements en période épidémique (fiche C9) et celle des rassemblements (fiche C10). Nous avions beaucoup travaillé sur les plans de continuité d’activité dans de nombreux secteurs, avec le recours au télétravail. Nous avions aussi créé le Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires sociales (CORRUSS) au ministère de la Santé, ainsi que l’Établissement pour la réponse aux urgences sanitaire (EPRUS), ce dont j’étais le plus fier.

Dans la gestion de ces crises, on avait également tiré les leçons avec la nécessité d’une dimension interministérielle des plans. Nous avons aussi travaillé dans l’interdisciplinarité, en mixant les données issues de l’épidémiologie, des sciences de la communication, du droit et des sciences politiques et économiques« .

Bref, l’artillerille lourde était prête à être déployée un peu plus, peu importe qu’on tue les mouches au bazooka.

Covid :

2022-05-29 21_42_38-Confinement_ l'ancien directeur général de la Santé Didier Houssin affirme que _

Président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé et membre de l’académie de « médecine » en France. Dès avril 2020 il disait que tout le monde devait mettre un tissu facial y compris dans la rue, pour « se protéger mutuellement » y compris après la fin de la rétention de masse, mais comme ces machins ont une efficacité très limitée (on savait déjà qu’ils ne servent à rien) il trouvait que le « confinement » était tout à fait justifié. Bien-sûr, selon lui, le mieux était d’avoir un « vaccin ».

Il prenait exemple sur la gestion de crise à Wuhan pour expliquer qu’il « y aura une phase de transitioon, de réapprentissage de la vie normale« . C’est lui qui a lancé l’équipe d’enquête sur l’origine du virus qui n‘a rien donné, et considérait l’origine naturelle du virus comme la plus probable.

Selon lui il était « très peu probable » que le SARS Cov 2 vienne d’un laboratoire. Il défend une gestion préventive des maladies en mode guerrier face à un risque qu’il qualifie de « permanent »:

« On se prépare aux guerres, on a une armée, on l’entraine, on l’équipe, parce qu’on sait que les guerres peuvent survenir. C’est la même chose pour les épidémies. On n’est plus au temps de la peste et du choléra où il faut seulement subir, on peut aussi se préparer. Il faut intégrer dans les grands risques celui là »

Houssin livre

Le « comité d’urgence » covid de l’OMS basé à Genève qu’il préside, a maintenu la pression épidémique, par exemple fin octobre 2021 il annonçait que la « pandémie » était loin de finir et demandait aux Etats de « reconnaître tous les vaccins qui ont reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence » de l’OMS.

En avril 2022 alors plus rien ne se passait nulle part au niveau du covid, il considérait toujours que la « pandémie » était « une urgence de santé publique » et le comité de l’OMS déclarait -encore- que « la situation est loin d’être terminée«  et qu’il fallait continuer les tests. La situation était donc encore à l' »urgence », comme depuis 2 ans.

Il a poussé au développement des pouvoirs de l’OMS et à l’extension du règlement sanitaire international. Il disait « Et tout en continuant à faire face à la pandémie actuelle, l’OMS se prépare à la prochaine », et justement un mois plus tard, nouvelle alerte sur la variole du singe, dont Bill Gates avait parlé aussi.

Michel Cymes (télé)

H5N1:

cymes

Ce télétoubib par excellence a fait peur à tout le monde sur la gravité de la grippe A, puis a incité tout le monde à se « faire vacciner ». Le H1N1 lui avait déjà permis de faire « exploser l’audience de France 5 », annonçait un média télé le 2 décembre 2009, il a manifestement conservé la recette pour le covid.

En novembre 2009 il déclarait :

« À ceux qui prétendent que le vaccin contre la grippe A est dangereux ou qui m’accusent d’être à la botte des laboratoires pharmaceutiques, je réponds que c’est le devoir du service public d’inciter les gens à se faire vacciner. Il y aura probablement dans l’hiver plusieurs vagues de grippe. Et, si les corps politiques et médicaux ne sont pas clairs, moi, je prends position. C’est tout ».

Covid :

Pour le covid, il a d’abord été raisonnable en disant que c’était « une forme de grippe » et qu’il n’était « absolument pas inquiet« , puis a été critiqué, puis pris position en faveur des mesures les plus restrictives et des injections. Il a d’ailleurs fait deux doses puis a attrapé le covid.

Il traitait les critiques de « quelques centaines ou quelques milliers » de « complotistes complètement malades » et en août 2021 il traitait les « zantivax », « anti pass » et les manifestantspro libertés d’ « égoïstes » :

« L’énorme majorité des Français est pour la vaccination, l’énorme majorité des Français est pour le pass sanitaire. Il n’y a pas d’autre solution aujourd’hui. Et ces personnes égoïstes se baladent dans les rues en criant des slogans« .

En octobre 2021 il s’en prenait aussi aux soignants non injectés :

« Je pense qu’un jour il faudra demander des comptes à ceux qui ont été médecins ou infirmières et qui ont refusé de se faire vacciner pour des raisons qui leur sont probablement personnelles. Je ne m’apitoie absolument pas sur le sort des infirmières ou des médecins qui ont fini par quitter ce métier parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner. C’est leur choix, c’est leur problème« .

Il a fini par prendre sa retraite des plateaux télé pour tourner des séries.

Simon Cauchemez

Ce spécialiste non pas de la médecine mais des modélisations informatiques était déjà présent pour le H5N1 en 2005 puis en 2009 pour le H1N1, pas vraiment dans les médias à l’époque mais avec des modélisations sur la transmission du virus qui ont fait la une de la presse. 

H1N1 :

ferguson cauchemez

Pendant le H1N1 il était un collègue de Neil Ferguson, autre modélisateur star des médias, au département d’épidémiologie des maladies infectieuses de l’Imperial College de Londres. C’est là qu’ont été réalisés les « modèles » alermistes qui ont servi à orienter les politiques publiques.

En 2008, il publiait avec Flahault et Ferguson notamment une étude sur l’impact de la fermeture des écoles sur la transmission de la grippe dont la conclusion était que fermer les écoles durant une période prolongée réduisait le nombre de « cas », mais que si les enfants avaient quand-même des contacts sociaux l’impact de cette mesure était réduit.

Tous ces travaux ont été repris dans la presse, et le Guardian demandait en juillet 2009 s’il fallait fermer les écoles pour limiter l’ « épidémie » de HN1, puisque « les enfants sont plus contagieux et plus vulnérables au H1N1 » : « Le gouvernement devrait repenser sa politique actuelle de laisser les écoles ouvertes pendant la pandémie avant que les 30.000 écoles primaires et secondaires de Grande Bretagne ne terminent les vacances d’été, avertissent Cauchemetz et Ferguson ».

Covid : 

2022-05-28 19_15_01-Simon Cauchemez_ «Vaccins et météo ne seront pas suffisants pour tout relâcher l

Au moment du covid il avait rejoint l’unité de Modélisation Mathématique des Maladies Infectieuses de l’Institut Pasteur[2], qui « développe des outils de pointe pour l’étude des épidémies, qui aident à mettre en lumière leurs facteurs de risque ainsi que les ressorts et les profils de leur transmission, en vue d’améliorer les mesures prédictives et les campagnes de prévention« .

On a donc encore eu droit à ses modélisations sur la propagation du covid. France Info nous expliquait en décembre 2020 que « ce sont ses calculs qui orientent les choix du gouvernement face au covid« , et aussi ceux du Conseil « Scientifique » dont il est membre. Ils ont servi à justifier les « confinements », les « couvre-feu », la « vaccination » forcée par exemple.

Beaucoup d’observateurs tels que le statisticien Vincent Pavan reprochent à ces « modèles » leurs incertitudes, en particulier pour de nouveaux virus, puisqu’on manque de données à mouliner pour faire des prédictions fiables et que sur le plan purement mathématiques ces modèles n’ont pas plus de sens que la lecture de l’avenir dans les entrailles de poulet.

Même Cauchemez l’a admis devant France Info, expliquant que « Dans les premiers mois, les données restaient très limitées et nous devions donc travailler dans un contexte de grande incertitude. Aujourd’hui, nous commençons à avoir plus de recul (…) En général, au démarrage d’une épidémie, les données sont très limitées et de mauvaise qualité. Il y a beaucoup de biais potentiels. Par exemple, au début, nous n’allons voir que les cas les plus graves avec un risque de surestimer la mortalité. C’est ce qui s’était passé avec le virus H1N1 en 2009« . Il aurait été intéressant de le préciser à l’époque: nous aurions peut-être évité de détruire nos économies et la vie sociale.

Toutefois, pas moins d’une trentaine de « modèles » différents, réalisés avec des données différentes par des équipes différentes, ont été utilisés pendant le longépisode du covid.

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Cauchemetz est aussi membre d’un groupe modestement appelé « Midas Network » créé par le National Institute of General Medical Sciences (USA), et dont l’objectif est de « faire avancer la science pour améliorer la préparation et la réponse globale contre les menaces des maladies infectieuses, par la recherche, l’entrainement, la communication et les services« .

Sur la base de ses « modèles », il a poussé à des mesures ultra restritives : rétentions de masse, injections de masse censées réduire les hospitalisations, y compris bien-sûr les enfants (sans ça l’ « épidémie » ne pouvait pas être stoppée selon lui en avril 2021), ne voulait jamais « relâcher les efforts » (même en avril 2021) et a soutenu les politiques les plus liberticides au nom de cette grippe, se justifiant en agitant ses modélisations hasardeuses.

Cependant, cet oracle du covid qui n’a cessé de voir des « pics » et des « vagues » arriver a rapidement dit que même avec les injections de 90% de la population, la « vie normale » n’allait pas revenir. 

Ce sont encore des modélisations, auxquelles il a pu participer, qui ont affirmé que les mixtures anti covid étaient « efficaces ». Mais aucune modélisation n’a été faite sur les effets graves de ces produits expérimentaux.

Bruno Lina

Virologue au HCL (Lyon) et au CNRS déjà en 2009

Président du conseil scientifique que GEIG et conseiller de la directrice générale de l’OMS dans un comité technique sur l’évolution de la « pandémie « pendant le H1N1. Il était aussi membre du « comité de lutte contre la grippe » mis en place par Bachelot.

2020 : membre du conseil « scientifique » de macron et directeur du Centre national de référence de la grippe – Centre International de Recherche en Infectiologie – CIRI  à Lyon et coordonnateur au Centre national de référence enterovirus et parechovirus – Hospices Civils de Lyon.

Il collabore aussi centre de modélisation Covid de l’Institut Pasteur, pilotée par Simon Cauchemez.

H1N1:

2022-05-30 19_17_52-La-verite-sur-la-grippe-A-H1N1

Président du Conseil Scientifique du GEIG déjà au moment du H1N1 et encore au moment du covid. Le GIEG, financé à 100% par 5 grands labos[3], a été mis en cause pour avoir incité le gouvernement au tout vaccinal lors du H1N1.

Il a fait la promotion du test PCR développé par l’Institut Pasteur puis du Tamiflu de Gilead dont les effets favorables n’ont jamais été démontrés, et qui par contre a rapidement montré des effets toxique. Il répondait ainsi aux détracteurs en novembre 2011 qu’il  « n’existe pas d’essai clinique réalisé dans les règles qui permet de prouver l’efficacité du Tamiflu contre les cas de grippes sévères« , mais que « de nombreuses conclusions observationnelles montraient qu’il semblait réduire le nombre de morts dans les pays qui l’ont utilisé. En 2009, le Japon, qui a utilisé massivement le Tamiflu est aussi celui qui a eu le taux de mortalité le plus faible à cause de la grippe A« .

Dans les médias il a pris position en faveur des « vaccins », même développés de manière accélérée. Selon le Parisien du 29 octobre 2009, « le 20 octobre, à l’occasion du lancement officiel de la campagne de vaccination de la grippe A au ministère de la Santé, le professeur Lina était invité à s’exprimer, assis à la gauche de Roselyne Bachelot. Il a notamment répété qu’il était « très important de se faire vacciner » contre ce virus ».

2022-05-30 19_29_31-Grippe _ le Tamiflu accusé d'être inefficace - Opera

Il était parmi les alarmistes, déclarant par exemple (décembre 2009) que « tout est possible avec le virus de la grippe A« , même s’il devait admettre que rien n’était vraiment alarmant à ce moment.

Il a été défendu par Bachelot qui le trouvait très compétent et ne trouvait rien à redire sur ses conflits d’intérêts :

« En matière de grippe, je suis entourée d’un panel d’experts très large : Comité de lutte contre la grippe, Comité technique des vaccinations et Haut Conseil de la santé publique. Sans compter les réunions de travail avec des infectiologues, des pédiatres ou des urgentistes, ce qui fait au total plus d’une centaine de personnes.(…) Beaucoup des scientifiques remarquables que je consulte sont également sollicités par les laboratoires pharmaceutiques pour valider leurs produits et leurs procédures. Ces experts, qui font dans l’immense majorité des cas preuve d’une grande indépendance d’esprit, sont tenus de faire des déclarations d’intérêt public consultables par tous. Le professeur Bruno Lina, qui est l’un des meilleurs spécialistes mondiaux de la grippe, a été mis en cause de façon injuste.« 

En septembre 2009 il a publié avec Jérome Salomon un bouquin au titre prometteur : « La vérité sur la GRIPPE A H1N1« . Mui aussi oubliait de mentionner ses nombreux liens d’intérêts, à la télé et ailleurs.

En 2010, il a mené des travaux sur le croisement de H5N1 (grippe aviaire, assez violent mais peu contagieux) et H1N1 (grippe porcine, contagieux et peu virulent), au labo P4 de Lyon : « L’expérience, qui va coûter provisoirement 200 000 euros — après cette gabegie nous ne sommes plus à quelques euros près — a officiellement pour but d’anticiper une éventuelle mutation des deux virus« , expliquait la journaliste Pryska Ducoeurjoly.

Covid :

2022-05-30 20_04_49-Covid-19 _ « L’épidémie n’est pas finie », selon Bruno Lina, virologue et membre

SI en janvier 2020 il afirmait que « nous ne sommes pas face à un virus extrêmement dangereux (…) Ce virus a affecté 400 personnes et fait 9 décès. Au même stade, le SRAS, lui, avait déjà causé 200 décès pour 400 cas. « , il a rapidement changé d’avis.

Bruno Lina a incité tout le monde à se faire tester, puis à appliquer les fameux « gestes barrières » et compagnie. En juillet 2020 il a contribué à une étude avec François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah et d’autres qui annonçait l’efficacité du Remdesivir combiné à une autre moldécule.

Dès octobre 2021 il lançait la propagande sur les injections pour les 5 – 11 ans au nom du fameux « covid long »: « À partir du moment où le vaccin est disponible et que des enfants font des infections au coronavirus, la question se pose »

Il a soutenu l’essai Discovery auquel il a participé avec des patients à Lyon. Il a été stoppé avant la fin, après avoir traîné en longueur, et dit qu’on n’avait pas de preuve de l’efficacité de la chloroquine. En novembre 2021 il appelait à s’injecter la 3e dose appelée « dose de rappel » pour « retrouver une protection de très haut niveau« . Selon lui la 3e dose « remet les compteurs à zéro«  en termes de protection.

Au bout de la 4e dose il a dit qu’il fallait « changer la composition » des mixtures et s’est même interrogé sur l’intérêt d’une 4e dose tout en prévoyant des rappels sur « des années ».

Il disait aussi sur BFM qu’il n’y a aucun problème à s’injecter la mixture anti-covid en même temps que l’injection anti grippe saisonnière. Mais pour la chloroquine, il réclamait tout le temps des « preuves solides » ou davantage de patients pour les essais Discovery (inculant la chloroquine).

En janvier 2022 il admettait que tout le monde allait être immunisé : « il est probable que nous ayons tous acquis une forme d’immunité, par la vaccination, l’infection ou les deux » mais en mars 2022 ils déclarait que « l’épidémie n’est pas finie« .

Il déroulait dans le jargon covidiste l’argumentaire habituel fondé sur les « cas positifs » identifiés avec des PCR inappropriés:

« Certes Omicron est moins agressif que Delta ou Alpha mais il ne faudrait pas en tirer la conclusion erronée que c’est un virus banal et peu dangereux. L’épidémie n’est pas finie ; la vague BA.2 est le prolongement de la cinquième vague car nous ne sommes jamais retombés sous le seuil de 500 nouveaux cas positifs par jour pour 100 000 habitants en moyenne sur sept jours comme dans la période de calme de juin 2020 ou du début de l’été 2021« .

Roselyne Bachelot

H1N1;

2022-05-29 14_03_22-Grippe H1N1 _ quand la France s’était (trop) préparée à une pandémie _ Public Se

Ministre de la Santé après avoir travaillé plus 10 ans dans l’industrie pharma[4], elle a volontairement effrayé la population en annonçant la pandémie des mois avant que des cas ne surviennent en France. Par exemple, le 19 août 2009 -1 mois avant la déclaration de l’épidémie en France- elle disait qu’il fallait se préparer « au pire » et comptait sur le plan pandémies.

Elle a commandé 94 millions de doses de « vaccins » (alors qu’officiellement elle pensait qu’une seule dose surffirait) auprès de Sanofi, Novartis, Baxter, GlaxoSmithKline. Ces labos ont mis « la pression » sur les gouvernements pour passer très vite commande de bien plus de doses que nécessaire, avant même que les produits soient disponibles. 

Déjà, les labos étaient préservés de toute responsabilité, quoi qu’il y ait dans les produits injectés. Les clauses mentionnaient ainsi que « les opérations de vaccination de la population seront décidées par la seule administration et seront placées sous la seule responsabilité de l’Etat.

En conséquence, l’administration s’engage à garantir le titulaire [les labos] contre les conséquences de toute réclamation ou action judiciaire qui pourraient être élevées à l’encontre de ce dernier dans le cadre de ces opérations de vaccination, sauf en cas de faute établie du titulaire« . Un avenant a prévu qu’en cas de faute manifeste sur la conformité des produits, les labos pouvaient être poursuivis, mais sauf à démontrer cette « faute » c’était donc déjà au contribuable de tout assumer.

Les contrats, a juré Roselyne, ont été négocié par ses soins et pas du tout à l’Elysée.

Une fois ses commandes passées, Bachelot a très lourdement insisté pour que « toute la population » se fasse « vacciner », d’autant qu’en 2009 la France était le premier producteur de vaccins au monde. Le 16 septembre 2009 c’est elle qui a déclaré l’épidémie en France. Elle affirmait alors : « Nous avons décidé d’acquérir une quantité de vaccins suffisante pour nous permettre de proposer la vaccination à l’ensemble de nos concitoyens qui souhaiteront se faire vacciner. Les tout premiers vaccins nous ont été livrés début septembre.

Mais ces vaccins ne seront utilisés que dans le cadre d’autorisations de mise sur le marché (AMM) dûment délivrées par les autorités sanitaires européennes qui garantiront leur efficacité et leur sécurité (…) Je rappellerai simplement que, au-delà de la protection individuelle qu’elle procure, la vaccination est aussi un acte altruiste, en ce sens qu’elle contribue à protéger son entourage, ses proches, ses collègues.

vaccin-grippe-aviaire-bachelot_1

C’est particulièrement important lorsque ces derniers présentent des facteurs de risque qui les rendent plus vulnérables ou qu’ils ne peuvent pas être vaccinés eux-mêmes, du fait de contre-indications médicales« .

Elle a mis en place un « comité de lutte contre la grippe » dont elle a nommé les experts, tous liés à l’industrie pharma. Le H1N1 a été la première maladie pour laquelle des « vaccins » ont été développés si rapidement, sans avoir de recul avant d’être injectés à la population[5].

En août 2009, alors en  visite à La Réunion, en bonne VRP des laboratoires qu’elle fut pendant une vingtaine d’années, elle déclarait que « le pic épidémiologique sera certes dépassé à La Réunion à la mi-octobre mais la grippe n’aura pas disparu. Il faudra donc continuer à protéger le public et en particulier les populations les plus fragiles. Le vaccin restera utile et servira aussi à nous prémunir pour 2010 et 2011« .

C’est aussi la première fois qu’on utilisait un adjuvant à base de squalène et de polysorbate. Et bien que ce soit un bide, elle déclarait le 24 novembre 2009 que la campagne de « vaccination » était « un grand succès ».

En juin 2010 lors d’une audition au Sénat elle a déclaré : « En prévision des prochaines alertes, c’est bien notre capacité de préparation et d’adaptation que nous devons renforcer afin de choisir, le moment venu, la réponse la plus appropriée enrichie de l’expérience acquise.

Bachelot H1N1

Le virus grippal, vous l’avez bien compris, est un sujet de choix, puisque, dès juin 2009, vous avez initié un travail sur les mutations virales. L’émergence du virus pandémique H1N1 constitue un cas emblématique. Il s’agit bien d’un virus pandémique, mais nous avons su très vite qu’il n’était pas celui que nous attendions.

Je me réjouis qu’à travers vos travaux le Parlement ait pu produire sa propre expertise et, surtout, organisé un espace de dialogue fécond et serein entre le scientifique et le politique. Ainsi, pour la première fois, face à une alerte sanitaire, nous avons mis en œuvre une gestion pro-active, et non plus seulement réactive, en particulier grâce à la préparation et à la vaccination« . Cette campagne d’injections aurait selon elle coûté 500 millions d’euros, exactement le montant du déficit des hôpitaux publics cette année-là.

Les contrats passés avec les labos étaient déjà particulièrement opaques et favorables aux industriels, comme le fait de passer des commandes fermes, la confidentialité absolue des contrats, ou l’absence de toute responsabilité de la part des fabricants de « vaccins ». En janvier 2010 Bachelot a tout de même réussi à résilier une commande de 50 millions de doses tout en déclarant à la presse que « Cette grippe a tué 18 personnes ce week-end, en particulier des personnes qui n’avaient aucun facteur de risque« .

Covid :

Roselyne-Bachelot-une-insubmersible-au-ministere-de-la-Culture

Devenue ministre de la Culture, elle n’a pas hésité à sacrifier tout le secteur, qui a subi les « confinements » et autres « couvres-feu » avant d’être définitivement mis à terre par les laissez-passer « sanitaires » puis « vaccinaux ».

Aux artistes qui lui demandaient des sous ou des actions concrètes fin 2021, elle répondait contre toute évidence que « la culture n’est pas sacrifiée » et même qu’elle « continue« , se croyant obligée de souligner que « ce qui menace la culture, c’est la pandémie pas les mesures gouvernementales« . CQFD.

En tout cas, aujourd’hui en Europe la fréquentation des cinémas a chuté de 60% depuis la « crise sanitaire » et sa gestion lamentable.

En Février 2022, la fréquentation en France dans les salles de cinéma et de spectacle vivant (concerts, théâtres…) avait baissé d’environ 25 % par rapport à la même période avant la crise « sanitaire », selon les chiffres annoncés par le ministère de Roselyne Bachelot..

Neil Ferguson »

Ferguson cartoon

Cet informaticien hollandais financé par les labos et par Bill Gates était déjà à l’origine de modélisations dantesques qui ont littéralement créé la crise de la vache folle puis de la grippe dite  « aviaire » pour laquelle il avait pronostiqué jusqu’à 150 millions de morts alors qu’il y en a eu moins de 300 dans le monde.

« Comme le rapportait à l’époque le Daily Telegraph, c’était « la première fois que des épidémiologistes modélisaient une épidémie majeure au fur et à mesure qu’elle se déroulait, puis intervenaient pour changer son cours« . »C’est vraiment la pensée innovante de Neil sur le plan informatique qui a rendu cela possible », déclare Deirdre Hollingsworth, épidémiologiste de l’université d’Oxford qui a travaillé avec le professeur Ferguson à l’Imperial » (Financial Time, 20 mars 2020).

H1N1:

2022-05-30 21_25_58-First analysis of swine flu spread supports pandemic plan _ New Scientist - Oper

C’est encore à cause de ses modélisations pour le H1N1 que le tout début d’ « épidémie » a été repéré dans l’oeuf, et qu’en France l’Institut de veille sanitaire avait prédit jusqu’à 96.000 morts dans le pays (alors qu’on en a finalement dénombré 312). 

En 2009, celui qui est aujourd’hui surnommé « Dr Confinement » par les anglais était professeur de médecine à l’Imperial College et avait récemment travaillé de manière rémunérée pour Baxter, GSK et Roche.

Il était aussi membre du comité vaccination grippe A de l’OMS (créé en avril 2009), qui conseillait la directrice générale Margaret Chan, du groupe de travail scientifique européen sur la grippe (ESWI), et ses liens d’intérêts avec les fabricants de « vaccins » posaient déjà question.

Une étude qu’il a publiée en mai 2009 affirmait que le H1N1 était aussi grave que la grippe de 1957 qui aurait fait 2 millions de morts. Et alors que l’ « épidémie » régressait déjà au Mexique, l’OMS augmentait le niveau d’alerte mondial de 4 à 5. Un article de Futura Sciences expliquait : « Selon les auteurs, comme pour beaucoup d’autres, le nombre de cas réels ne peut qu’être sous-estimé car la maladie reste parfois bénigne chez des sujets qui, néanmoins, sont porteurs, et même colporteurs, du virus ». Au final il envisageait 65.000 morts en Grande-Bretagne en l’absence de mesures spectaculaires.

Le taux de létalité du virus était évalué entre 0,3% et 1,5%, ce qui change la donne, mais plus probablement à 0,4%. Ferguson et son équipe annonçaient donc qu’un tiers de la planète pourrait être infecté (The Guardian, 12/05/2009).

Comme Ferguson conseillait le comité d’urgence de l’OMS[6], son étude y a été prise très au sérieux. Quand il a fait ses modélisations en 2009 pour la grippe porcine, il n’y avait pas d’épidémie et l’OMS avait seulement détecté quelques cas avec des symptômes légers.

« Néanmoins, [l’OMS] décida, à l’issue de réunions secrètes, de déclarer une pandémie mondiale« , explique Kennedy dans son livre[7], et « fit pression sur divers pays africains et européens pour qu’ils passent des contrats avec GlaxoSmithKline et d’autres sociétés pharmaceutiques. Ces accords confidentiels obligeaient les nations signataires, dont l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Italie et la France, à acheter pour 18 milliards de dollars de divers vaccins contre la grippe H1N1 expérimentaux, non testés, adoptés en procédure accélérée et sans responsabilité pour les entreprises productrices ».

Covid :

Ferguson covid 1

Dès janvier 2020 l’équipe de Ferguson alertait sur la menace mortelle du SARS-Cov-2 qui était actif en Chine. En mars, une nouvelle modélisation annonçait 250 à 510.000 morts en Grande-Bretagne et 2,2 millions aux Etats-Unis. Elle a été diffusée auprès des gouvernements très rapidement début mars 2020, sans être publique ce qui empêchait de vérifier les calculs, qui de toute manière ne pouvaient à ce stade qu’être de la spéculation.

Le pire est que cette étude formulait des recommandations -baées sur les modélisations- pour enrayer ladite « épidémie », à savoir les mesures aussi liberticides qu’inutiles imposées dans les pays alignés : enfermement des populations pendant des mois d’affilée, traçage, injections de masse, sanctions, censure.

C’est cette étude qui a servi à justifier les mesures prises soudain par l’OMS comme par la plupart des gouvernements occidentaux. Elle était publiée le 16 mars, et le 17 le micron plaçait tout le pays en rétention à domicile. Même la fondation Héritage, dans un article de Kevin Dayaratna de mai 2020, soulignait l’opacité et les défauts des modèles de Ferguson :

« J’ai demandé à Ferguson et à ses collègues leur modèle à plusieurs reprises pour voir comment ils avaient obtenu leurs chiffres, mais ils n’ont jamais répondu à mes e-mails« . 

lockdwn london

En refaisant les calculs avec un collègue à partir de données récupérées à droite à gauche (comme Ferguson), « constaté que la mortalité prévue due à la maladie pourrait aller de près de 78 000 décès à 810 000 décès aux États-Unis au 1er août« . Un sacré écart, qui rend difficile un décision politique rationnelle en se basant sur de tels résultats. 

Concernant l’opacité des modèles de Ferguson, l’auteur de l’article ajoute :

« Après que nous ayons publié notre travail, la nouvelle a fait surface que Microsoft avait en fait fait des progrès dans la mise à disposition du modèle de l’équipe de l’Imperial College. Mais les codes qu’il a publiés sont une version hautement modifiée de ce que l’équipe impériale a réellement utilisé. Et, il s’avère que le modèle présente de graves défauts, dont un ancien ingénieur logiciel de Google discute longuement dans son blog« .

L’étude, dont les grandes lignes ont été largement reprises dans les médias, préconisait carrément de faire disparaître le virus. Sans aucune vérification, ni même temps de débat, l’OMS a repris ces chiffres alarmistes et fantaisistes pour effrayer les gouvernements et les populations, et les gouvernements occidentaux ont mis en application les mesures de Ferguson.

Ferguson ne conseillait pas seulement l’OMS, mais aussi le 1er ministre anglais qui l’a viré le 6 mai 2020 au prétexte [8] qu’il avait vu sa copine à plusieurs reprises en plein confinement qu’il avait lui-même inspiré. 

Pas plus tard qu’en mars 2022 il s’autocongratulait lors d’une conférence sur la pertinence de ses modèles, si utiles pour appuyer la décision politique.

ferguson model

Il contribue pourtant encore à diverses études, comme celle de janvier 2020 parue dans le Lancet (encore), pour assurer en se basant sur des modélisations que les injections avaient un intérêt vis-à-vis d’une dizaine de virus (papillomavirus, rotavirus, rubéole, fièvre jaune, encéphalite japonaise notamment). Celle-ci conclut que « la vaccination des dix agents pathogènes sélectionnés aura évité 69 millions de décès (intervalle de crédibilité à 95 % 52-88) entre 2000 et 2030, dont 37 millions ont été évités entre 2000 et 2019. De 2000 à 2019, cela représente une réduction de 45 % des décès par rapport au scénario contrefactuel sans vaccination » et surtout les meilleurs résultats concerneraient les enfants de moins de 5 ans.

Il est membre de la direction du Vaccine Impact Modelling Consortium créé et financé par la Fondation Gates et le GAVI, dont le président est José Manuel Barroso de Goldman Sachs, et qui lui-même est créé et financé par la fondation Gates, qui a pondu cette étude. L’objectif du Vaccine Impact Modelling Consortium est de « coordonner plusieurs groupes de recherche » pour modéliser l’impact des programmes de vaccination à travers le monde.

On retrouve comme « partenaire » de ce « consortium » avec le GAVI et la fondation Gates l’Imperial College de Londres où bosse Ferguson[9] et qui bénéficie de dons de la fondation Gates ainsi que de l’OMS, qui elle aussi reçoit d’importants financements de la fondation Gates.

En effet, Bill Gates se targue de modéliser les « pandémies » et finance les deux structures qui ont réalisé des modélisations du covid : l’institut de Ferguson à l’Imperial College de Londres qui a reçu plus de 184 millions de $ tout de même entre 2006 et 2018 de la fondation Gates, et l’institut de modélisation de l’université de l’Etat de Washington.

Anthony Fauci

Fauci H1N1

Avec Gates, Fauci, directeur de l’institut des maladies infectieuses du NIH, le NIAID depuis 1984, il est LE pilier de l’organisation de la gestion de crise « covid ». 

Durant son interminable mandat il a renforcé les liens du NIH et du NIAID avec l’industrie pharmaceutique au cours de la vague du SIDA –largement amplifiée par l’AZT dont Fauci a fait une promotion intensive. Sa femme Christine Grady est médecin et directrice du département de bioéthique du NIH depuis 2012, en charge des essais cliniques.

Il a commencé à collaborer avec Bill Gates dans le domaine de la santé dès 1998, deux ans avant la création de la fondation Gates en commençant par « vacciner » les populations d’Afrique et d’Amérique latine, avec une grande campagne contre la polio lancée en 2000, et en 2003 le lancement d’une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

H1N1:

Fauci 2022 - 1

À l’époque, comme il l’avait déjà fait pour l’anthrax, l’hépatite B ou le Zika par exemple, Fauci s’est montré très loquace dans les médias et très alarmiste, tenant absolument à parler de « pandémie » quand tous les signaux restaient au vert. Il expliquait qu’un tiers de la population américaine risquait d’être contaminée, si bien que le gouvernement US a commandé 195 millions de doses de « vaccins » (notamment en spray nasal) développés en express et à peine testés, livrables à partir d’octobre 2009.

Le développement desdits « vaccins » a été largement financé par le NIAID, dirigé par FAUCI. C’est le NIAID qui organisait les essais avec des médecins relais dans les hôpitaux depuis le mois d’août 2009, et l’OMS a recommandé d’y ajouter des adjuvants (comme le squalène qui se sont avérés toxiques) pour augmenter l’impact des mixtures et donc avoir plus de doses avec la même quantité de produit.

On doit noter que ces médecins relais touchent, comme les agents du NIAID, des royalties sur les produits développés, versées par les industriels. Il était questions de deux doses pour tout le monde même les enfants de moins de 10 ans, sauf pour les femmes enceintes qui étaient protégées avec une seule dose.

L’échec du H1N1, des « vaccins » et du Tamiflu n’a pas empêché Fauci de continuer à prêcher pour les vaccins à sa sauce, notamment un « vaccin universel contre la grippe ».

Covid :

Fauci Trump

Fauci n’est pas impliqué dans l’affaire du covid que par sa gestion de crise : il est aussi impliqué dans les recherches sur les gains de fonction qui permettent à des virus d’animaux de contaminer les humains, notamment sur des coronavirus de chauve-souris, et notamment au laboratoire de Wuhan. En effet, le NIAID finance depuis 2014 les recherches menées par une société appelée EcoHealth Alliance, qui pilote ce type de recherche à Wuhan[10].

En 2017 Fauci a encore filé 6 millions à EcoHealth Alliance pour tester le Remdesivir comme remède contre le SARS-Cov-2, toujours au labo de Wuhan.

En 2018, l’OMS a créé le Global Preparedness Monitoring Board pour préparer le monde aux futures « pandémies », dont Fauci a été co-président, et quand Trump a créé sa task-force covid le 29 janvier 2020 il mis Fauci à sa tête. Il y avait aussi plusieurs affidés de Fauci dans cette task force, comme Deborah Birx, ex médecin militaire et spécialiste des recherches sur le SIDA, ou Robert Redfield, directeur du CDC depuis 2018, ex médecin militaire spécialiste du SIDA également.

Durant l’été 2021, Fauci a contribué à l’organisation par Trump d’un grand exercice de simulation d’une pandémie appelé Crimson Contagion, qui impliquait des dizaines d’établissements de santé et d’institutions dans le pays. Le scénario était celui de touristes venus de Chine avec une « nouvelle forme de grippe ».

Fauci 2020

Avant le début de l’ « épidémie » à l’automne 2019, ce fanatique de ce qu’il qualifie de « vaccins » mais qui s’en éloigne de plus en plus en appelait à la création d’un « vaccin universel contre la grippe ».

Fauci était alerté depuis le 31 janvier 2020 par des scientifiques que le virus du covid avait l’air fabriqué et que son génome ne correspondait pas aux critères de l’évolution du virus. Kristian Andersen sous-entendait même qu’il pouvait avoir été développé dans le cadre de travaux financés par le NIAID. Le lendemain lors d’une conférence en visio deux virologues ont dit que le covid venait très probablement du labo de Wuhan.

Pourtant Fauci s’est empressé de qualifier de « théories du complot » toutes les interrogations sur l’origine non naturelle dudit virus. Comme c’est vers lui que les spécialistes occidentaux, comme chez nous Delfraissy, se sont tournés dès la fin 2020 et surtout en janvier et février 2021 pour prendre les informations sur la « pandémie », cette bonne parole s’est propagée sans difficulté à travers le monde occidental.

Fauci a vu dans le covid une nouvelle opportunité pour faire des affaires, et a créé dès le début de l’épidémie son « réseau de prévention covid » avec ses inspecteurs principaux les plus fidèles, pour obtenir l’approbation la plus rapide possible pour les « vaccins » qu’ils étaient déjà en train de développer pour le SIDA. Kenny explique : 

« Fauci a accompli cette mission redoutable en transformant ses essais de VIH existants, pratiquement du jour au lendemain, en essais de phase III sur le vaccin covid-19″.

En tous les cas, le 22 février 2020, Fauci a annoncé sur CNN : « on est au bord d’une pandémie« , et trois jours plus tard alors que seulement 14 cas de covid étaient déclarés aux USA, il lançait avec l’argent public du NIAID un essai de Remdesivir de Gildead à l’université du Nebraska. D’autres essais avaient lieu depuis février à Wuhan[11].

Deux mois plus tôt le Remdesivir n’avait donné aucun résultat contre le Zika, mais le 29 avril Fauci déclarait qu’il devenait aux Etats-Unis la « nouvelle norme de soins », donc le traitement de base donné aux gens contre le covid[12]. Certains pensent que c’est la raison du taux de décès hallucinant aux Etats-Unis. Et le 1er mai il était autorisé sans que les études n’aient été publiées[13].

FAuci CNN

En parallèle, il a tout fait pour dénigrer et bannir les traitements qui avaient déjà commencé à montrer leur efficacité, en premier lieu l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui, si elles avaient été autorisées, auraient empêché l’autorisation du Remdesivir. Le 29 août 2021 alors qu’on avait déjà des dizaines d’études disant le contraire, il déclarant « Il n’y a pas la moindre preuve que cela fonctionne, et cela pourrait potentiellement présenter une toxicité » et qu’il « n’y a aucune preuve clinique que cela fonctionne ».

Le NIAID et le CDC ont dépensé 79 millions de dollars d’argent public pour développer le Remdesivir. Lors des essais, un faux placebo toxique (le sulfobutyl) a été donné au groupe témoin, dont les résultats étaient forcément moins bons. Kennedy explique que Fauci a commencé à utiliser cette technique il y a déjà 40 ans pour bidonner les essais et dissimuler les effets indésirables de produits toxiques qu’il cherchait à développer.

Malgré ça les résultats n’ont pas été favorables. Fauci a donc changé les critères pour que les hospitalisations apparaissent plus courtes, mais une partie des cobayes ont du se faire réhospitaliser, ce qui montre qu’ils étaient sortis trop tôt. 

Et Fauci dictait les mesures à prendre, aussi bien au gouvernement US qu’au monde entier. En avril 2021, il expliquait sur France 24 que « une pandémie implique une réponse mondiale » pour dépasser les « divisions politiques ». Selon lui « Il y a eu beaucoup de divisions politiques qui ont rendu très difficile la tâche de faire face à la situation« .

2022-05-30 22_16_24-Fauci on possible lockdown_ 'Whatever it takes' - Opera

Ce qu’il qualifie de « politique » est ensuite précisé, et on comprend qu’en fait il s’agit de toutes les critiques par rapport à la doxa pseudo « sanitaire » qu’il a imposée :

« certaines questions liées à la pandémie ont acquis une connotation politique par exemple une réticence à porter le masque en raison d’une idéologie politique ou une réticence à éviter les attroupements ».

Selon lui « LA science a été très bonne parce que nous avons mettre au point des vaccins en un temps record« . On sait aujourd’hui par des dizaines d’études que ces « vaccins » sont complètement inutiles contre le covid. 

Selon une étude du Dr Michael Yeadon sur les effets des différents lots de vaccins, 5% des lots sont responsables de 90% des effets graves dont les décès.

« Si vous pensez que c’est par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants« , explique Russell L. Blylock, qui raconte un de ces scandales, étouffé : des lots pourris d’un « vaccin » se sont retrouvés dans le même Etat US et les dégâts sont donc devenus très vite évidents.

fauci vaccin

Du coup, pour éviter que ça ne se voie trop, le fabricant n’a pas retiré les lots mais les a dispatchés dans le pays pour diluer les effets graves.

Parmi les nombreux travaux sur les effets toxiques des « vaccins », Steve Kirsch qui a créé le Covid 19 Early Treatment Fund en mars 2020 a fait une étude de données basée sur huit méthodes différentes. Celle-ci attribue 150.000 décès aux « vaccins » aux USA depuis janvier 2020 jusqu’en octobre 2021. Il a été violemment attaqué dans des médias de masse et scientifiques.

« Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement« , analysait en avril 2022 le neurologue Russell L. Blaylock.

Il détaillait le rôle de chef d’orchestre joué par Fauci, à travers une série d’actions qui avaient pour objectifs :

  • Réduire de 3 ans à 6 mois les essais cliniques, puis injecter le groupe témoin de manière à ne plus pouvoir comparer les « vaccinés » aux non « vaccinés ». L’essai Pfizer devait initialement durer jusqu’au 2 mai 2023.
  • Refuser d’améliorer le système de suivi VAERS « conçu pour échouer » selon Kennedy, et « qui supprime systématiquement la déclaration de la plupart des dommages liés aux vaccins » et ne détecte au mieux qu’1% des problèmes liés aux « vaccins »[14].
  • Rallier les médias de masse et les fournisseurs de réseaux sociaux pour soutenir sa propagande et censurer les paroles dissidentes.
  • Amener le CDC à refuser les autopsies de personnes décédées après l’injection.
  • Placer dans les instances comme la FDA et le CDC des financiers et des fidèles du NIAID, du NIH et de la fondation Gates, pour s’assurer que les mixtures seraient directement approuvées sans qu’il n’y ait d’études sur les effets à long terme : « Plus de la moitié du comité VRBPAC de la FDA qui a approuvé les EUEA de Moderna, Johnson et Johnson et Pfizer, a accordé l’homologation finale du du vaccin Pfizer, était composé de bénéficiaires de subventions du NIH, du NIAID, de la BMGF et de sociétés pharmaceutiques. Plus de la moitié des participants au comité ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices) du CDC étaient aussi en situation de conflits d’intérêts« 
  • Vacciner l’ensemble de la population sans que cela soit justifié (d’ailleurs il a monté le taux de couverture immunitaire collective en cours de route), il s’est assuré qu’il n’y aurait plus de groupe contrôle. Et alors qu’il se disait contre la vaccination obligatoire, il a clairement changé d’avis quand tous les volontaires ont été piqués.

On sait parfaitement que les labos, notamment Pfizer, ont dissimulé les résultats des essais et menti dans les communiqués de presse qui étaient les seuls documents disponibles au moment où les premières décisions ont été prises.

Toujours à fond avec ses « vaccins », et après 40 ans de recherches infructueuses, le NIH lançait en mars 2022 de nouveaux essais cliniques pour tester 3 « vaccins » ARNm contre le SIDA. « Avec le succès de sécurité et de haute efficacité des vaccins contre le covid, nous avons une opportunité fantastique d’apprendre comme la technologie ARNm peut remplir les mêmes objectifs contre l’infection au HIV« avait déclaré Fauci.

Bill Gates

bill gates book

Bill Gates est bien connu, ce qui l’est moins ce sont ses liens avec le gouvernement et la sécurité US et la philosophie eugéniste de sa famille.

Son père Bill Gates Sr, avocat d’affaires, a été président du barreau de Washington et a créé le cabinet de lobbying Preston Gates & Ellis présent aussi en Chine. Il était aussi élu de la région de Seattle, était eugéniste et militait en faveur d’un « contrôle de la population », notamment en siégeant au conseil d’administration national du Planning Familial créé par l’eugéniste et raciste Margaret Sanger et de United Way, une ONG axée sur l’éducation.

Gates a pu bosser pour IBM grâce à sa mère qui était au conseil d‘administration et connaissait le PDG John OPEL. En 1982 il a éjecté son copain Paul Allen de Microsoft pendant qu’il a eu un cancer. En 1998 plusieurs procédures sont lancées contre lui pour abus de position dominante (trust) envers les consommateurs qui ne pouvaient pas télécharger d’autres logiciels que Microsoft sur leurs ordis équipés de Windows. Mais il a réussi à conserver sa branche « logiciels » et les ordinateurs et à n’avoir qu’une amende de 800.000$.

2022-05-31 21_49_50-Microsoft Co-founder Bill Gates Holding a CD-ROM Photo d'actualité - Getty Image

Bref, Gates se lance dans la philanthrope au milieu des années 90, avec la William H Gates foundation en 1995 déjà orientée sur la santé et sur l’éducation, l’International AIDS Vaccine Initiative (IAVI, lancé au forum de Davos sur le SIDA) en 1996, la Gates Learning Foundation en 1997, le Children’s Vaccine Program doté de 100 millions $ en 1998 année où il rencontre Fauci, puis le GAVI son alliance mondiale (argent) public- (bénéfice) privé pour les « vaccins » en 2000 année de création de la fondation Bill & Melinda Gates[15], devenue en quelques années la plus grosse fondation au monde par son budget.

Il a choisi le créneau des vaccins, expliquait un article du New York Times en novembre 2020, parce que les effets en termes de vies sauvées étaient facilement visibles et quantifiables, ce qui lui permettait de se refaire une image. C’est même lui a relancé l’industrie vaccinale, moribonde car ces produits, à la fin des années, n’étaient pas considérés comme « rentables » par l’industrie. 

De plus, il s’agissait de haute technologie, et il était à l’aise dans ce domaine. Au final, « Par ses dons, M. Gates a contribué à la création d’un nouveau modèle économique, qui mêle subventions, engagement anticipé sur des marchés et garantie d’un certain volume de commandes. Sa dimension incitative a attiré davantage de fabricants, dont certains issus de pays en développement, permettant ainsi de démultiplier la production de vaccins salutaires » s’enthousiasmait la journaliste du NYT.

D’aucuns ont même reconnu son « expertise technocratique », et on comprend que Gates est l’égérie de l’industrie phramaceutique et de se sactionnaires.

En 2003, il a lancé son Grand Challenge for Global Health (GCGH) destiné à orienter les financements du NIH vers des « vaccins » et autres traitements –mais surtout des « vaccins »- contre des maladies qui touchent d’autres continents ou n’existent pas encore[16]. Il a aussi lancé l’ère de la « santé globale », que certains qualifient de colonialisme sanitaire.

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Depuis, il finance à tour de bras, via sa fondation, des programmes de recherche, des entreprises privées, d’autres fondations comme la Johns Hopkins University, des médias et même l’OMS, dans de nombreux domaines liés de près ou de loin à la santé. Cela lui a permis de créer un réseau mondial tourné vers ses propres objectifs.

En mai 2005 Gates a ouvert la 58e assemblée de l’ONU pour faire sa propagande sur les « vaccins ».

« Il a annoncé que sa fondation augmentait de 250 millions de dollars sa contribution au projet «Grands défis pour la santé globale». Cette initiative lancée en 2003, avec une première dotation de 200 millions de dollars, vise à pallier le manque d’argent dont pâtirent la recherche et le développement de médicaments pour les maladies spécifiques aux pays pauvres, comme la malaria. Elle financera, dès cet été, des projets sélectionnés parmi plus de 1500 idées provenant de 75 pays, par exemple des vaccins qui n’ont pas besoin d’être conservés au frais ».

C’est aussi en 2005 que l’OMS a lancé son « Règlement sanitaire international », qui risque de s’imposer en Europe à l’initiative du micron.

En 2007 il créé le H8 qui réunit pour des rencontres discrètes OMS, UNICEF, le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), l’UNAIDS, la banque mondiale, la fondation Gates, GAVI et le Global Fund[20].

H1N1 :

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Une petite sauterie discrète de 14 milliardaires « philanthropes » et eugénistes a eu lieu le 5 mai 2009 quelques jours après que l’OMS déclare la « pandémie » H1N1. Cette réunion de ce qu’on a appelé le « Good Club » a été organisée à l’Université Rockefeller à l’instigation de la fondation Gates, de David Rockefeller et de Warren Buffet (qui avait transféré la plupart de sa fortune dans la fondation Gates, qu’il copilotait avec le couple).

Il y avait aussi George Soros, Michael Bloomberg, le fils Rockefeller qui s’appelle aussi David, des milliardaires dirigeants de multinationales, ou encore Oprah Winfrey.

Dans l’invitation il était question de faire face à la récession et de préparer le futur en développant leur « philanthropie » (qualifiée par le Guardian de « philanthro-capitalisme) et disant aux gouvernements ce qu’ils doivent faire.

Un des problèmes à régler, selon les dires d’un invité, était celui de la croissance de la population mondiale qui engendre « une menace environnementale, sociale et industrielle » (en rapport probablement avec les matières premières). C’est là que Gates a annoncé qu’il consacrerait la plus grande partie de sa fortune à « améliorer le monde ».

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Les membres de ce club se targuaient d’avoir donné plus de 70 milliards en bonnes œuvres les 12 dernières années.

Pour H1N1, Gates a évidemment promu ses « vaccins », car ils sont aussi un moyen de réduire la population « Avec de très bons résultats sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, on pourrait la réduire de, peut-être, 10 ou 15 pour cent » a-t-il expliqué lors d’une conférence TED en février 2010.

C’est l’OMS qui a lancé la « pandémie » de H1N1 en avril 2009 avec moult alertes graduelles[17] et le changement de la définition de la pandémie pour enlever le critère de mortalité. En 2009, l’OMS était déjà largement sous le contrôle du geek timbré qui en était déjà le principal donateur[18].

L’année précédente, la fondation Gates avait donné 39 millions de $ au PATH (Programme for Appropriate Technology in Health) pour « soutenir le développement rapide de vaccins pour se protéger contre une future pandémie de grippe » vec des partenaires publics et privés. 

Il y avait 4 axes de recherches: 

  • les vaccins antigrippaux vivants atténués ;
  • la technologie des vaccins recombinants ;
  • les vaccins à base de peptides ;
  • de nouveaux adjuvants, des ingrédients vaccinaux qui aident à stimuler la réponse immunitaire, permettant potentiellement d’étendre davantage l’approvisionnement en vaccins. Car de « nouvelles technologies » de « vaccins » seraient selon eux apyes à fournir les 14 mlliards de doses nécessaires en cas de « pandémie », au lieu des 400 millions produites chaque année pour la grippe saisonnière.
Gates agenda 2030

En 2008 également, la fondation Gates, le Wellcome Trust anglais et l’Institut pasteur ont entamé une collaboration pour lancer des projets afin d’ « améliorer l’effort de recherche et réduire le risque issu des menaces d’épidémies de grippe durant les prochaines décennies« , comme l’expliquait Yamada, un affidé de la fondation Gates:

« Au cours des 18 prochains mois, nous développerons, maintiendrons et diffuserons un inventaire central des activités de recherche financées qui sont pertinentes pour la grippe humaine afin de nous assurer que les intervenants sont bien informés. Nous coordonnerons également des exercices de feuille de route pour identifier les lacunes dans les connaissances. Ceux-ci aideront les bailleurs de fonds et les chercheurs à établir des priorités de financement de la recherche, en mettant l’accent sur les vaccins, les pharmacothérapies et l’épidémiologie/la science de la population (par exemple, le diagnostic, la surveillance, la transmission et la modélisation) ».

Gates a aussi financé les modélisations flippantes de la « pandémie », qui déjà se sont avérées fausses et inutilement alarmistes[19]. Au tout début de l’épidémie, une étude financée par la fondation Gates et le National Institute of General Medical Sciences faisait remonter le H1N1 à la grippe espagnole et pôuvait donc se transmettre à l’homme et entre humains, ce qui a alimenté les titres de la presse.

Selon Kennedy, « En 2020 de nombreux essais de vaccins contre le VIH menés par Gates / Fauci en Afrique sont soudainement devenus des essais de vaccins contre le covid-19« .

En janvier 2010, vers la fin de l’ « épidémie », Gates a appelé à lancer la « décennie du vaccin ». 

Covid : 

gates fauci

La préparation du covid ou de la « pandémie » de covid, c’est selon, s’est accélérée avec la création en janvier 2017 au forum de Davos de la Coalition do Epidemic Preparadness and Innovations (CEPI) pour une gestion mondiale des épidémies et financer la recherche sur le développement de « vaccins » pour les « nouvelles épidémies« .

Financement : la Fondation Bill Gates, le Wellcome Trust, le forum de Davos au départ. Puis par des gouvernements (Belgique, Autriche, Australie, Canada, Danemark, Ethiopie, Grèce, Allemagne, Suisse, Arabie Saoudite, Luxembourg, Indonésie, Angleterre…) + USAID, Commission européenne + secteur privé (pas en 2021) + ONU via la fondation « Covid 19 solidarity reponse fund ».

Gates a toujours été très actif dans les « vaccins », jusque’à présent principalement en Afrique, et a redoublé d’efforts à l’approche du covid. En septembre 2017, quelques mois plus tard, c’est le 1er don du département de la Défense à EcoHealth Alliance pour des recherches sur les virus de chauve-souris dans l’ouest de l’Asie, puis en octobre a lieu un exercice pandémique organisé par Gates et Johns Hopkins sur une épidémie de coronavirus entre 2025 et 2028.

Bill gates 4

Cet exercice SPARS a eu lieu avec la participation de Luciana Borio vice-présidente d’In-Q-Tel une société d’investissement dans les technologies très proche de la CIA, Joseph Buccina d’In-Q-Tel et directeur de l’Intelligence Community Support, Walter Orenstein ex haut fonctionnaire de la Santé passé à la fondation Gates.

Dans cette simulation, les médias et les réseaux sociaux sont mobilisés pour diffuser en boucle les messages officiels de peur, rassurer sur les « vaccins » et occulter les vraies infos sur leurs effets toxiques, pour attaquer les voix dissidentes.

En mai 2018 après avoir financé trois exercices organisés par le John Hopkins Center for Public Health, Gates a mis en place le Global Preparadness Monitoring Board, créé officiellement par Tedros de l’OMS et par le président de la Banque Mondiale. Un de ses objectifs est de renforcer les pouvoirs de l’OMS et de mettre au pays défavorisés. 

On trouve au conseil d’administration qui est présidé par l’ancien secrétaire général de la Croix Rouge internationale, un représentant de la fondation Gates, Jeremy Farrar du Wellcome Trust, le directeur général du CDC chinois, et Anthony Fauci y siégeait encore récemment.

2022-05-31 19_08_57-Bill Gates, Emmanuel Macron, _Big Pharma_

Le 4 septembre 2019, la fondation Gates nouait un partenariat avec BionTech qui travaillait sur des vaccins ARNm, avec un investissement de 55 millions $ pouvant aller jusqu’à 100 millions sur la recherche autour de vaccins contre les « maladies infectieuses ». 2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ et préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul produit sur le marché.

En octobre 2019 c’est l’Event 201 organisé par la fondation Johns Hopkins, le forum de Davos et la fondation Gates pour préparer une pandémie mondiale.

Un focus important était fait sur le contrôle de l’information, notamment sur les réseaux, sociaux, ce qui est amusant quand on relève qu’en octobre 2019, justement, Zuckerberg devait s’expliquer devant le sénat US pour la censure intempestive d’informations, principalement au sujet de la dangerosité des « vaccins ».

2022-05-31 22_03_31-Bill Gates , co-founder and co-chair of the Bill & Melinda Gates

En janvier 2020, Bill Gates et le Wellcome Trust annoncent mettre 150 millions de dollars chacun à la Coalition for Epidemic Preparadness Innovations (Cepi) pour développer des « vaccins » covid (en réalité un remixage de « vaccins » contre le VIH qui ne donnaient rien).

Gates dit vouloir lever 3,5 milliards et organiser une grande conférence des donateurs le 8 mars à Londres. Et le 23 janvier l’OMS alerte d’une « flambée » de SARS Cov2 et prévient les Etats qu’il faut agir :

« Les pays doivent prêter une attention particulière à la réduction de l’infection chez l’homme, à la prévention de la transmission secondaire et de la propagation internationale, et s’attacher à contribuer à la riposte internationale moyennant des efforts multisectoriels de communication et de collaboration et une participation active à l’amélioration des connaissances sur le virus et la maladie, ainsi qu’aux progrès de la recherche. Les pays doivent aussi suivre les conseils de l’OMS concernant les voyages« .

Le même jour, l’OMS déclarait les tests RT-PCR valables pour le covid, en s’appuyant sur les recommandations d’un groupe de recherche en virologie basé à l’hôpital universitaire La Charité à Berlin, financé par la fondation Gates.

2022-05-31 20_20_21-Advancing research into accessible coronavirus treatments - COVID-19 Therapeutic

Juste avant le grand déclenchement des mesures « sanitaires » dans les pays alignés, le 10 mars 2020, la fondation Gates, le Wellcome Trust et Mastercard ont lancé le « COVID-19 Therapeutics Accelerator » (accélérateur thérapeutique COVID)  doté de 125 millions $ (+150 rajoutés peu après par Gates avec son argent personnel) pour « accélérer la réponse au covid ».

La fondation Gates expliquait alors que « L’accélérateur poursuivra plusieurs aspects du cycle de développement afin de rationaliser le cheminement du produit candidat à l‘évaluation clinique, à l’utilisation et à la fabrication« . 

L’initiative, qui pour l’instant n’a financé que des projets US et anglais, a été rejointe par d’autres organismes comme le GLOPID-R une structure destinée à nous « préparer aux épidémies de maladies infectieuses », et on trouve à sa direction Jeremy Farrar proche des renseignements US et dirigeant du Wellcome Trust, ou Barbara Kerstiens, en charge de ce sujet à la commission européenne et le désormais incontournable Yazdanpanah.

Parmi les grands donateurs de plus d’un million de $, il y a Zuckerberg de Facebook, Madonna, l’entrepreneur du net chinois Zhang Yiming qui a été désigné par le ministère américain de la Justice en septembre 2020 comme une tête de pont du parti communiste chinois (il a démissionné en mai 2021).

Quand Trump a lancé officiellement la procédure de retrait du financement US à l’OMS, en juillet 2020 (moins 400 millions de $ par anpour l’OMS) il a maintenu le financement de 1,16 milliard de $ au GAVI (via l’USAID) ce qui renforçait mécaniquement le poids de Bill Gates dans l’OMS. En juin 2020 les US ont aussi donné 8,8 milliards au GAVI sur 5 ans lors du « Global Vaccine Summit ».

En août 2020, pour accélérer la finalisation des candidats « vaccins » d’AstraZeneca, Johnson & Johnson, et Novavax, Gates a encore organisé la levée de 350 millions de $. 

La première « pandémie moderne »

2022-05-31 20_02_29-Bill Gates_ «Nous n’allons pas revenir à la normale avant un à deux ans» - Opera

Avant même que l’OMS déclence le scénario « pandémique », Gates a mobilisé les gouvernements occidentaux pour financer des recherches et la fourniture de mixtures partout dans le monde, sans que les pays défavorisés soient consultés. Ils devaient pourtant payer 1, 2 $ voir davantage, sans savoir ce qui allait leur être livré ni quand.

Des masses incroyables d’argent ont été draînées vers l’industrie pharma grâce à l’activisme pro « vaccins » et pro Big Pharma de Gates.

Le tout, en faisant sa propagande médiatique, car étrangement ce geek timbré est considéré par les médias et politiques mainstream comme le référent santé mondial. Il était pour un « confinement total » fin mars 2020 pour faire face au « genre de scénario cauchemardesque » (le covid) qui selon lui survenait, affirmant que si on confinait bien on n’aurait à le faire qu’une seule fois. Alors qu’il savait que comme ses mixtures n’arriveraient pas sur le marché immédiatement, le cirque allait forcément continuer.

Il va sans dire qu’il a soutenu les 2e, 3e (censée combattre les nouveaux variants avaec une ancienne souche de virus), 4e doses de mixtures. Finalement il a dit (janvier 2022) qu’on devra avoir une « dose annielle » de mixture anti-covid pendant plusieurs années.

Dès le 7 avril 2020, il annonçait qu’il allait financer pas moins de 7 vaccins en développement et les usines pour les fabriquer. Tout en déclarant quelques mois plus tard (en août) que « le vaccin initial ne sera pas idéal en termes d’efficacité contre la maladie et la transmission. Il n’aura peut-être pas une longue durée et sera principalement utilisé dans les pays riches comme mesure palliative » mais comptait déjà sur les « vaccins » suivants qui selon lui seraient plus efficaces.

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On a vu qu’en effet ils n’ont pas été efficaces, mais les suivants ne l’ont pas été davantage.

C’est encore lui qui donnait le tempo des « confinements » « déconfinements », du degré de mesures liberticides et de traçage qu’il convenait d’instaurer, etc.

Fin avril 2020 il annonçait que le fameux « retour à la normale » qui était en fait la carrotte pour que les citoyens crédules se montrent obéissants, ne reviendrait pas avaant un ou deux ans.

Il considérait que « Les gens seront très préoccupés par l’idée d’être infectés et changeront drastiquement leurs comportements, (…) tant qu’il ne sera pas prouvé que les thérapies ou un vaccin rendent le risque de mort résiduel ».  Il posait déjà ses conditions, et tout le monde avait compris que le plan était bien d »injecter massivement de nouveaux produits à un maximum de population mondiale.

Les pays occidentaux sortaient à peine de la première grande rétention de masse d’une population ahurie par la propagande, que Gates faisait ses petites prescriptions car évidemment la vie ne pouvait pas reprendre comme avant: pas de rassemblements avant le printemps 2021 (et c’est ce qu’il s’est passé en plus!), des distances « sanitaires » entre les gens, et surtout le « produit miracle » qu’il fallait attendre comme le messie :

« Si au printemps 2021, les gens pourront aller à de grands événements publics – comme un match ou un concert dans un stade – ce sera parce que nous aurons un traitement miraculeux qui a donne aux gens la confiance nécessaire pour sortir à nouveau« .

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En décembre 2020, quand ses produits « miracle » commençaient à être injectés à la population occidentale, il annonçait que « les 4 à 6 prochains mois pourraient être le pire de la pandémie » aux USA. 

En février 2021 il disait qu’on ne sortirait pas du covid avant 2022, date qu’il a toujours annoncée. On peut maintenant se demander si ce n’est pas parce que d’autres épidémies devaient arriver.

Quant à la chloroquine, Gates lui a réglé son compte en finançant une « grande étude » à l’université de Washington, qui a conclu que l’hydroxycholorquine n’empêchait pas d’attraper le covid et ne réduisait pas les symptomes. On notera que les essais sur l’hydroxychloquine menés par l’OMS, par les Etats-Unis, par la France et certainement ailleurs ont été stoppés d’un coup. On nous a dit qu’aucune efficacité n’était apparue, mais comme rien n’a été publié on est obligés de les croire sur parole.

Il y a été si fort avec sa propagande que 28% des Américains considéraient qu’il s’agitait ainsi dans le but d’implanter des micropuces aux gens par le biais des mixtures.

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Une des dernières inventions de Bill Gates dans l’affaire du covid, avant de passer à celle du monkeypox, est la création de la GERM Team (Global Epidemic Response and Mobilization) : une équipe internationale de 3000 experts pour intervenir partout dans le monde et prendre en main la gestion des « épidémies » à la place des gouvernements.

Il l’a lancée avec l’OMS, avec un budget estimé à 1 milliard de $ par an. Objectif affiché : casser les foyers de maladie avant qu’elles ne deviennent des « épidémies » [21]. De la santé globale préventive, en somme.

Il veut aussi « améliorer les systèmes de santé« , qui ont été détruits et doivent être reconstruits, à sa manière. Mais il faut dire que ce volet-là n’est pas prioritaire actuellement, Gates étant concerntré sur les nouvelles technologies de « vaccins ».

Investissements et conflits d’intérêts

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La fondation Gates a des liens d’intérêts et même des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Et contrairement à ce qu’ont dit certains « débunkers », sa fondation gagne bien de l’argent grâce à ses « investissements » dans des grandes et petites entreprises, notamment les biotechnologies.

Elle a ainsi des liens anciens avec Gilead, qui vend le Remdesivir. Il y a quelques années, elle a investi ainsi que le NIAID dans le développement de produits anti SIDA que Gilead a récupérés. Les deux ont collaboré pour essayer le Remdesivir en Afrique contre Enola et le Zika, sans succès.

En fait, la fondation Gates –tout comme le GAVI- subventionne depuis des années de nombreux travaux de développement de divers produits médicaux menés par d’obscures start-ups comme par des multinationales telles que Pfizer, GSK, Sanofi, Roche ou même des hôpitaux comme le Birmingham Hospital and Women Health (BWH) de Boston… Et elle « investit » comme le Wellcome Trust par exemple, en prenant des partis du capital de start-ups, touchant parfois le gros lot en cas de rachat.

Au titre des retours sur investissement, en 2016 la fondation Gates a touché 80 millions de $ de la part de Pfizer lors de la revente d’une start-up de biotechnologies, Anaacor Pharmaceuticalls dans laquelle la fondation avait pris des parts, à Pfizer.

En 2019 elle a investi 55 millions de $ (pouvant monter à 100 millions) dans BioNtech, qui développait justement un des « vaccins » anti covid mis sur le marché. 

2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ auprès d’investisseurs internationaux et elle préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul traitement sur le marché.

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D’un autre côté, le NIH a donné des centaines de millions de dollars aux programmes de recherche de la fondation Gates, notamment pour des « vaccins » contre le SIDA. En 2003 Fauci et Gates ont lancé une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

Avec Gilead, il était notamment question de traitements expérimentaux en Afrique contre le SIDA comme le Tenofovir[22], et Gilead Sciences est d’ailleurs le premier donateur pour les programmes anti-SIDA depuis au moins 2016, devant la fondation Gates sauf en 2020.

Il a financé dans les années 2000, via la fondation Gates, des travaux de Gilead -qui produisait le Tamiflu présenté comme le remède miracle contre le H1N1, sur le SIDA par exemple. À ce moment il y avait du beau linge au conseil d’administration de cette boîte qui démarrait seulement, comme Donald Rumsfeld (ex ministre de la Défense de Bush 2) qui en détenait aussi un paquet d’actions vendues avant que l’opinion ne se pose trop de questions sur l’inocuité ou l’efficacité de ce produit et George Schulz (ex ministre de l’Intérieur de Bush 2). En 2005 Bush 2 a mis 7 milliards pour la préparation d’urhence à une « pandémie » de grippe.

Angleterre

La fondation Gates collabore aussi avec Moderna  qui a reçu 125 millions de $ du HHS ainsi que des fonds de Gates pour un « vaccin » à ARN messager anti Zika en 2017 [23], et a subventionné Moderna pour  des « vaccins » à ARN messager contre le VIH. Elle a versé 20 millions de $ la première année en 2016 et les financements pouvaient monter jusqu’à 100 millions[24].

Moderna passait alors pour avoir « une approche disruptive » de la médecine avec ses « vaccins » à ARNm, qu’elle avait testé pour la première fois sur l’humain en 2010 avec un vaccin anti grippe. Et alors que toutes les grosses boîtes et start-ups qui avaient tenté de développer des « vaccins » à ARNm s’y étaient cassé les dents, il a été dit que les essais avaient été concluants et que ce produit était sûr.

En 2018 Moderna a encore levé plus de 500 millions de $ dont 230 millions de diverses fondations mais surtout celle de Gates, et valait 7 milliards. L’objectif était de « découvrir de nouveaux candidats-médicaments contre les maladies rares, tout en restant déterminé à faire progresser de nouveaux candidats au développement de vaccins pour répondre à de graves besoins non satisfaits ».

Forbes notait au moment de cette levée de fonds importante :

« Moderna affirme disposer de 1,4 milliard de dollars en espèces, en plus de la possibilité d’accéder à 250 millions de dollars supplémentaires en subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates et de plusieurs agences gouvernementales, notamment la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) et la Defense Advanced Research Projects. Agence (DARPA) ».

Avec tout cet argent, qui finit par faire la pluie et le beau temps dans de nombreux domaines de la recherche médicale à commencer par les biotechnologies et les « vaccins », Bill Gates est craint et l’autocensure à son sujet est la norme depuis bien longtemps aux USA. Il y a même une expression, explique le New York Times: le « Bill Chill« , comme un courant qui refroidit les ardeurs critiques dès qu’il est question de sa personne.

La commission européenne, soumise aux lobbys industriels et financiers, a aussi lancé son programme de financement de la « recherche » sur de nouvelles mixtures. En avril 2020, elle lance la « riposte mondiale au coronavirus », qui consiste à financer des recherches privées pour « développer et déployer des vaccins, des tests et des traitements contre le coronavirus » puis acheter des millions de doses de « vaccins » pour l’Europe et les pays défavorisés.

2022-06-01 22_12_33-(2) Commission européenne 🇪🇺 sur Twitter _ _

En décembre 2020 elle avait levé 16 milliards via une campagne de collecte menée avec l’ONG mondialiste Global Citizen. Un grand concert co-présenté par von der Leyen avec plein de stars made in USA (Shakira, Coldplay, Usher, Jennifer Hudson, Miley Cyrus, Justin Bieber…) a été organisé.

Le communiqué de la commission précise :

« Financée par Bloomberg Philanthropies, la Bill & Melinda Gates Foundation et le Wellcome Trust, cette campagne est axée sur les aspects suivants: remédier aux conséquences de la pandémie sur les communautés les plus vulnérables, garantir un accès équitable à des technologies abordables permettant de lutter contre le coronavirus et renforcer les systèmes de santé partout dans le monde« .

L’argent collecté devait être reversé à une série d’organismes bien connus :

Gates est en train de faire en Europe ce qu’il a fait aux Etats-Unis : réorienter l’argent public destiné à la santé des citoyens du pays vers la « santé globale », avec des canaux de financements mondiaux qui, on l’a vu, profitent toujours d’abord aux industries anglo-saxonnes.

4. Pourquoi une telle impunité, toujours renforcée ?

2022-06-02 20_46_47-Une gestion déplorable - ladepeche

La question qui vient logiquement ensuite est : Pourquoi des individus responsables de tant de désastres sont-ils toujours actifs lors de l’épidémie suivante ? On le voit avec la « variole du singe » : ce sont encore les mêmes protagonistes qui tournent en boucle à la télé, les mêmes qui sont aux postes de décision.

Par exemple, Delfraisssy, Flahault, Lina et Bachelot se sont retrouvés devant la commission d’enquête du Sénat « sur la manière dont a été programmée, expliquée et gérée la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) », mais sont encore là, à des postes clés. Il est vrai que cette commission ne cherchait pas à comprendre pourquoi on a misé sur des « vaccins » expérimentaux, mais pourquoi la vaccination avait raté.

Du coup les conclusions ont été qu’il fallait mieux « communiquer » :

« le message sanitaire délivré par les pouvoirs publics a été opacifié par un véritable brouillard médiatique, tandis que la communication institutionnelle, utilisant des instruments traditionnels, n’a pas su prendre la mesure de l’état d’esprit de la population et réagir correctement pour susciter son adhésion ».

En effet, la « menace » n’était pas perçue comme assez importante par les citoyens pour prendre le risque de se faire injecter, et au fil du temps la motivation déjà faible a littéralement chuté. Du coup, les sénateurs disaient qu’il fallait davantage « susciter l’adhésion » ce qui veut simplement dire qu’on allait devoir manipuler le consentement des citoyens par la propagande.

« Ce qui est regrettable, c’est certes que la communication n’ait pas été ajustée en conséquence, mais aussi que les décisions prises concernant l’organisation de la campagne n’aient pas mieux intégré la faible perception du risque par la population et la nécessité de susciter son adhésion et celle des professionnels de santé, notamment libéraux, à une campagne de vaccination que l’on souhaitait massive mais qui reposait sur la liberté de choix ».

2022-06-02 20_41_32-Covid-19 - Retrouvez toutes les campagnes de communication de l'ARS Auvergne-Rhô

On se souciait aussi déjà beaucoup d’ « internet », qui diffusait des informations contraires à la propagande officielle, et où les « messages institutionnels » n’étaient pas assez présents : on l’a vu, ça a été corrigé avec le covid où on a connu à la fois une propagande massive sur tous les canaux, et une censure jamais vue de toute opinion contraire à la doxa.

On nous parlait d’un « échec » de la « vaccination » sans jamais se demander si elle était justifiée au vu du nombre incroyablement bas de décès (323). L’utilité de cette campagne d’injections expérimentales n’a même pas été un sujet.

Au lieu de se féliciter qu’on ait évité de nombreuses victimes d’effets indésirables, la commission disait que « Les résultats de la campagne de vaccination contre le virus A(H1N1) sont indéniablement insatisfaisants : seule une très faible partie de la population a adhéré à la vaccination, alors même que les moyens, logistiques et financiers, déployés pour organiser la campagne, ont été particulièrement importants. Toutefois, la France n’est pas le seul pays à accuser un tel échec : celui-ci est très largement partagé« . Le seul objectif des sénateurs était-il de piquer tout le monde, peu importe la dangerosité du H1N1? On dirait.

Une des propositions de la commission pour régler le problème de l’influence des labos sur les décisions était de renforcer le rôle de l’Europe dans les achats de mixtures. Le rapport demande ainsi de « Promouvoir, au niveau communautaire, une meilleure coordination entre les États membres en matière de gestion de crise sanitaire et la mise en place d’une stratégie mutualisée d’achats de vaccins« .

carte H1N1

Le député François Autain, président de cette commission, avait beau jeu de dénoncer « la pression des laboratoires«  et le « chantage de l’industrie pharmaceutique » si sa commission réclame en parallèle une centralisation accrue des décisions, rendant encore plus facile le contrôle de la décision par l’industrie.

Il n’y a pas eu à ma connaissance de procédure judiciaire contre les responsables de ce gaspillage, ni de sanctions disciplinaires puisque tous ceux qui ont été impliqués ont poursuivi leurs carrières sans problème. Même les indemnisations des victimes des injections se font encore attendre pour la plupart des victimes.

D’ailleurs, l’Etat a été condamné par des tribunaux à en indemniser certaines, par exemple en 2020 quand le tribunal de Nanterre a obligé l’Etat à verser 558.000€ à une jeune femme atteinte de narcolepsie suite à l’injection anti H1N. Mais seulement une cinquantaine de dossiers auraient été définitivement indemnisés en 2021, certains sont en cours et beaucoup n’ontpas été reconnus.

En évitant de faire un bilan, voire même de régler les comptes après le H5N1, le H1N1, ainsi que sur toutes les mixtures injectées par Bill Gates et Fauci depuis 20 ans, on s’assure que le scénario sera encore pire la fois d’après. 

Le Sénat réclamait aussi que les préfets renforcent les « zones de défense » au niveau territorial : il fallait « Instituer dans chaque zone de défense un conseil zonal de préparation aux crises sanitaires présidé par le préfet de zone et composé de représentants de l’ensemble des acteurs de la gestion de crise sur le terrain« .

L’impunité organisée

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Pharmacovigilance, négociation des contrats, absence de débat contradictoire et scientifique, précipitation: une bonne partie des ingérdients qyi ont réaillé pour le H1N1 ont été reproduits et amplifiés avec le covid.

Par contre certaines choses intéressantes ont été dites par cette commission, comme le fait que les professionnels de santé ont été laissés complètement hors des réflexions et du dispositif, problèmes qui a été encore plus marqué dans le cas du covid avec une véritable éviction des médecins de ville de tout le dispositif, avec le résultat qu’on connait (pour les explications je renvoie notamment vers les travaux des membres du Conseil Scientifique Indépendant). 

La commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion par le gouverne-ment de la grippe A (H1N1), créée par le groupe Communiste, a été un peu plus loin.

Mais les parlementaires continuaient à faire comme si le H1N1 avait été grave (bien qu’ils reconnaissent que la « pandémie » annoncée n’était jamais arrivée) et recommandaient d’ « Elargir les plans de lutte antipandémiques à l’ensemble des maladies infectieuses » ou encore de renforcer les pouvoirs de l’Europe pour « une action concertée » même si on voit mal en quoi déconnecter davantage la décision du terrain et concentrer les pouvoirs entre les mains de quelques individus pourrait avoir un effet bénéfique. L’affaire du covid, notamment les magouilles de Von der Leyen pour les contrats des « vaccins », l’a d’ailleurs violemment montré.

11 vaccins

On a l’impression d’un système qui tourne tout seul, quelle que soit la dangerosité du virus. C’est comme si chaque acteur jouait sa partition, celle pour laquelle il est payé, celle à laquelle il a été préparé, c’est-à-dire une menace grave justifiant des actions mondiales, même si on est face à une épidémie de faible intensité. 

Peu importe la réalité: on plaque dessus un scénario établi d’avance au cours d’exercices, de conférences, d’études et rapports diffusés à grand renfort médiatique.

C’est un processus en deux temps : d’abord on injecte de l’argent dans des travaux de recherche ou des ONG sur tel ou tel sujet, par exemple les maladies infectieuses émergentes, puis cet argent diffuse, corrompt, fait oublier l’éthique partout où il passe, et la « pandémie » qui n’existe pas encore devient un sujet.

« Cette préparation collective, notamment de la communauté scientifique, à l’émergence d’une pandémie s’est auto-alimentée, comme le soulignait M. Jérôme Sclafer, avec l’accroissement de l’activité éditoriale autour de ce sujet : selon la base de données américaine Medline qui répertorie les principales revues médicales, si deux publications seulement en moyenne par an, dans les années 1980, portaient un titre contenant l’expression « grippe pandémique », en 1997, dix-huit publications avec un tel titre ont accompagné l’alerte sur la grippe de Hong Kong.

L’intérêt pour ce concept a encore augmenté à partir de 2003 puisque cinquante et une publications ont titré sur la grippe pandémique en 2004, cent vingt-quatre en 2005, puis plus de deux cents par an à partir de 2006″ notait le rapport sur le rôle de l’industrie pharmaceutique.

On imagine où on en est aujourd’hui.

dictature sanitaure 2

Concernant le H1N1, l’opinion publique a dû se contenter de ces deux enquêtes parlementaires pour comprendre comment une telle gabegie a été possible, pourquoi on a insisté pour refiler du Tamiflu et des « vaccins » à une population désinformée par les autorités, pourquoi on a effrayé la population alors que rien ne l’a jamais justifié. Aucun des problèmes n’a été réglé, la seule chose qui a avancé depuis est la gestion disproportionnée des « épidémies »qu’elles soient réelles ou purement hypothétiques.

En avril 2010, l’OMS a admis des erreurs dans sa communication sur les « incertitudes » de la « pandémie ». Le quotidien Le Monde notait alors que « Face aux recommandations de l’agence onusienne, les Etats ont accumulé des doses de vaccins qui n’ont finalement été d’aucune utilité. D’aucuns se sont interrogés sur les liens de l’OMS avec l’industrie pharmaceutique, notamment des laboratoires comme GlaxoSmithKline ».

Il n’y a évidemment pas eu d’enquêtes à ce sujet, au contraire les décisions suivantes ont montré que l’OMS a renforcé son processus d’alerte et de gestion « pandémiques », mais on y reviendra.

Définition Pandémie - rapport Sénat H1N1

D’ailleurs, l’OMS a expliqué que si la « vaccination » a été un bide, ce n’est pas du tout parce que le virus était bénin, mais à cause des « nouveaux médias » : les réseaux sociaux ! Le Monde relatait : « Les nouveaux médias – Twitter, blogs, email… – ont en outre perturbé la communication autour de la grippe, ont souligné les experts de l’OMS. Il y a eu « des informations, des rumeurs, beaucoup de spéculations et des critiques dans de nombreux supports » médiatiques, a rappelé Keiji Fukuda », spécialiste de la communication pandémique à l’OMS[25].

L’impunité vient de plusieurs facteurs, dont l’un des principaux est que beaucoup d’acteurs de la gestion « pandémique » baignent dans la propagande de l’industrie pharmaceutique qui les transforme progressivement en VRP de cette même industrie. Elle vient aussi du fait que personne n’ose remettre en question la « doxa » car les carrières sont souvent liées aux financements privés qui ont un intérêt à vendre toujours plus de produits, toujours plus chers. $

Beaucoup ont travaillé sur ces liens d’intérêt, comme Laurent Mucchielli dans plusieurs articles et dans ses livres « La doxa du covid« .

Est-ce que cela a changé depuis le H1N1 ? Au contraire, l’industrie pharma a encore grossi (1200 milliards de chiffre d’affaires en 2019) et l’étau s’est refermé davantage : les liens d’intérêt se sont renforcés, les membres des plus hautes instances n’ont aucune indépendance par rapport aux industries avec lesquelles ils collaborent de plus en plus étroitement [26].

On a même passé un cap assez hallucinant avec le conseil de « défense » du micron, dont les décisions sont secrètes pour 70 ans. Du jamais vu en matière « sanitaire ». Et comme le micron est irresponsable, on ne peut pas le poursuivre pour ce qu’il fait sauf à prouver la corruption active. Ce qui est impossible vu l’opacité complète sur l’ensemble de ses décisions.

Big Pharma 2021

Des médecins et des politiques au service de Big Pharma

En 2019, le Corporate Europe Observatory a souligné l’augmentation importante des dépenses de lobbying de l’industrie pharma en Europe. Un article du Point expliquait ainsi que les dix groupes pharmaceutiques les plus actifs en lobbying « disposent de 60 laissez-passer pour le Parlement européen et ils ont organisé 112 réunions avec des membres haut placés de la Commission européenne. Le budget annuel de lobbying de la seule Fédération européenne des industries et associations pharmaceutiques (EFPIA) atteint 5,5 millions d’euros, et même 6 millions si l’on ajoute ses deux sous-groupes, l’European Biopharmaceutical Enterprises et Vaccines Europe.

Au total, les 3 organismes ont obtenu 42 réunions avec des commissaires, leurs cabinets ou leurs directeurs généraux, et disposent de 10 laissez-passer au Parlement européen. L’EFPIA siège également dans 8 groupes de conseil à la Commission, qui fournissent aux législateurs leur expertise sur des questions politiques« . 

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Ce lobbying poursuit deux objectifs principaux (mais pas exclusifs): diffuser des messages alarmistes sur les maladies pour lesquelles de nouveaux traitements viennent d’être repositionnés ou développés par les labos, et augmenter les prix. En 2020 et 2021, les investissements de Big Pharma en lobbying avaient encore explosé, aussi bien aux USA qu’en Europe où on a atteint la somme de 50 millions de dollars -déclarés (mais la transparence en la matière n’est qu’un leurre).

« Outre l’omniprésence des lobbyistes pharmaceutiques, les statistiques des réunions permettent d’identifier les cinq visiteurs les plus fréquents lors des réunions sur la production et la distribution de vaccins et de médicaments. Elles se répartissent en trois catégories : les organisations internationales, les fondations philanthropiques et une organisation de la société civile.

Avec respectivement 5 et 7 réunions, le CEPI et Gavi sont deux des quatre groupes à l’origine de l’initiative internationale COVAX (les autres étant l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF), et ont été très actifs pour des raisons évidentes. Ils ont certainement besoin d’un soutien européen, financier et politique. Alors que leur objectif déclaré est de fournir au monde des médicaments et des vaccins contre le COVID-19, il y a un hic : ni le CEPI ni GAVI ne sont enclins à ouvrir une discussion sur les droits de propriété intellectuelle« , notait le Corporate Europe Observatory dans un autre rapport en mai 2021.

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On a vu avec le cas Bill Gates qu’un des moyens par lesquels l’industrie pharmaceutique diffuse l’argent est la rémunération d’études cliniques. Celles-ci peuvent aussi bénéficier d’argent public, mais ce sont bien les labos qui les mènent. Les médecins hospitaliers qui recutent des cobayes sont rémunérés par l’industrie, et cette rémunération peut mettre du beurre dans les épinards.

Ces médecins hopitaliers qui collaborent avec l’industrie pour des essais ou des travaux de recherche de molécules sont couvés par Big Pharma qui s’en sert comme « influenceurs », ou « Key Opinion Leaders », c’est-à-dire qu’ils sont en position de s’exprimer auprès des décieurs, des autres médecins ou du grand public.

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Du coup, ils touchent en moyenne 3.700€ annuels de cadeaux (davantage que la moyenne des médecins) pour faire la promotion de de tel ou tel produit, et surtout 41.000 € en moyenne pour des interventions à des congrès, des expertises spécifiques etc. Et cette rémunération augmente… en fonction du prix des traitements prescrits par le « médecin »: plus il prescrit de médocs chers, plus il touchera de l’industrie.

Des sommes qui sont dix fois plus importantes aux USA.

Evidemment, le top de l’influenceur est celui qui est présent dans des autorités décisionnaires en matière médicale. Il va être recruté comme « conseiller », ou carrément dans des conseils scientifiques et conseils d’administration des entreprises pharmaceutiques, ou même dans des organisations satellites. 

L’industrie pharma a aussi mis la main sur la presse médicale, en premier lieu les médias de référence comme le BMJ ou le Lancet[27]. Ce qui amène Laurent Mucchielli à parler de « trafic d’influence organisé par les industries pharmaceutiques, que l’on peut également qualifier de « corruption systémique » de la recherche médicale« . L’industrie ne rémunère pas tous les médecins, et cible des « influenceurs » (les télétoubibs qui oublient systématiquement de préciser leurs liens d’intérêts), qui ont reçu 3,5 milliards en France entre 2012 et 2018.

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Une étude française parue en 2021 dans le British Medical Journal a identifié 548 médecins « influenceurs » en France, qui interviennent dans des congrès, sont membres d’associations professionnelles, ont publié des recommandations entre 2014 et 2019. Durant cette période, les industriels ont versé 6 milliards d’euros pour les médecins dont 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature, et ces influenceurs ont une plus grosse part du grisbi.

Depuis 2016 une loi oblige pourtant ces gens à préciser leurs liens d’intérêt à chaque intervention publique. Mais cette loi n’est jamais appliquée et le CSA s’en tape.

Ces « influenceurs » n’hésitent pas à faire la promotion de la nouvelle pharmacopée. Par exemple en novembre 2019, donc quelques mois avant le début officiel du covid, 86 médecins regroupés dans un « collectif ACCèS+ » (dont Karine Lacombe) signaient une tribune dans l’Opinion pour accélérer la mise sur le marché des nouveaux médocs. À eux tous ils cumulaient 16 millions d’euros de liens d’intérêts avec l’industrie depuis 2013, soit une moyenne de 31.000€. Médiapart a ensuite montré que ladite tribune a été coordonnée par Agipharm, une association qui réunit 14 labos US.

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En 2020, Pfizer a annoncé un investissement de plus de 500 millions d’euros au macronistan. Objectif :

« travailler avec les établissements de santé en France pour augmenter de manière significative le nombre de patients inscrits dans ses essais cliniques au cours des cinq prochaines années. Cette démarche est soutenue par l’engagement continu du pays à vouloir simplifier les programmes d’accès précoce aux médicaments innovants, et permettre ainsi l’accès plus rapide aux patients en France dont les besoins médicaux ne sont pas couverts aujourd’hui« .

On ne reviendra pas sur la fameuse étude du Lancet contre l’hydroxychloroquine débunkée en 24h, qui est un cas emblématique du ridicule dans lequel s’est enfoncée une certaine « science ». Mais on notera que véran s’en est servi pour renforcer l’interdiction de l’HCQ dès le lendemain et qu’il n’est jamais revenu sur cette décision criminelle puisqu’elle a entraîné des décès qui auraient pu être évités. À ce moment, tous les « influençeurs » étaient vent debout contre l’hydroxychloroquine et contre Raoult, plus facile à attaquer que la chloroquine.

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Par ailleurs, il est devenu quasiment impossible de faire de la recherche dans le domaine médical sans recourir à l’argent du privé, grâce à la privatisation de la recherche universitaire introduite au début des années 2000 sur injonction européenne.

On notera aussi que l’industrie du « vaccin » est tenue par quatre géants : GSK, Merck, Pfizer et Sanofi dont les chiffres d’affaires de ce secteur en 2019 allaient respectivement de 9,2 milliards à 6,4.

Les manigances de big pharma sont connues depuis des lustres, il y a même parfois des condamnations (Pfizer les cumule, avec plus de 6 milliards versés en dédommagements aux USA), mais le système perdure et se renforce. La mainmise est aussi de plus en plus prégnante aux plus hauts niveaux politiques : on n’a pas fini d’étudier les liens de la micronie avec les labos, du micron avec Pfizer notamment[28], que ce soit ou non via McKinsey.

Avec le covid, des milliers de plaintes ont été envoyées à diverses institutions censées appliquer les lois, et aussitôt classées sans suite. Quand un tribunal décidait de faire sauter des mesures liberticides locales type couvre-feu, muselières obligatoires, déplacements limités etc. on a vu les préfets passer outre systématiquement.

L’impunité aujourd’hui est totale, et est facilitée par l’opacité totale dans laquelle sont prises les décisions : opacité du conseil de « défense » du micron où se décidait par exemple l’ouverture du Puy-du-Fou pendant une rétention de masse stricte, opacité des essais des labos, opacité des contrats, opacité sur les traitements efficaces, opacité sur les effets indésirables des « vaccins », censure systématique, en tous lieux et places, des contradictions.

2022-06-03 22_46_58-Emer Cooke, directrice de l'EMA et _apothicaire de l'Europe_, donne le feu vert

L’industrie aime aussi recruter les anciens décideurs politiques, ou envoyer ses dirigeants dans les instances de décision. Par exemple plusieurs membres de l’Agence Européenne du médicament ont aussi travaillé pour l’industrie pharma (comme sa directrice actuelle Emer Cooke qui a commencé sa carrière dans l’industrie et a notamment passé 7 ans à l’EFPIA, le lobby de Big Pharma auprès des instances européennes), ou bien y sont allés dès la fin de leurs fonctions, comme son Directeur exécutif, Thomas Lönngren, qui dès le lendemain de son départ en 2011 avait rejoint le conseil d’administration de NDA Ltd, société de lobbying au service des firmes pharmaceutiques, qui l’a recruté en tant qu’influenceur de premier plan. Il avait de nombreux autres liens d’intérêt avec diverses boîtes du secteur.

C’est cette agence européenne du médicament qui autorise les médicaments en Europe (Rmedesivir, vaccins etc.), qui assure l’opacité sur les essais cliniques et empêche le développement de médicaments génériques, par exemple.

L’infiltration est la même au niveau européen et international, notamment à l’OMS[29].

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Pourquoi cette corruption ne fait-elle que se renforcer ? Tout simplement parce qu’elle n’est pas exceptionnelle mais systémique et que l’argent est le nerf de la guerre. Et pour qu’elle soit systémique il faut bien que les conditions favorables soient réunies sur le long terme et cela n’est pas dû au hasard. Il n’y a qu’à considérer l’ampleur du phénomène dans le temps et dans l’espace, mais on va voir progressivement quels processus sont en cours.

On peut déjà être certains d’une chose : cette impunité ne va pas s’arrêter, au contraire elle va continuer à prendre de l’ampleur, probablement jusqu’à ce que l’industrie pharma et les instances de décision nationales et surtout internationales se confondent complètement.

Ne négligeons pas non plus la corruption, phénomène mal perçu aux plus hauts niveaux de l’Etat et des institutions internationales, mais qui pourtant est réel. Je ne donnerais qu’un chiffre à ce sujet: un rapport d’Interpol estimait qu’au bas mot 12,5 % des marchés publics passés en Europe sont des dessous de table. C’est-à-dire que si on paie 100 millions pour des « vaccins », 12,5 millions sont renvoyés aux politiques qui ont pris la décision et organisé le contrat des deux côtés. Selon l’OCDE, plus de la moitié des cas de corruption transnationale avaient pour objectif de remporter un marché public.

Selon le type de marché, les commissions et rétrocommissions peuvent représenter 10 à 25 % du montant des contrats selon Transparency International, 10 à 30 % pour l’OCDE. Au niveau européen, ça pourrait représenter 6,3% du PIB.


On sait qui a commis des erreurs mais on ne cherche pas à identifier les responsabilités sur le plan pénal. Il n’est donc pas question de protéger les citoyens mais les donneurs d’ordre. La corruption des différents niveaux de décision par l’argent de Big Pharma n’est pas un scoop; on le sait depuis des années. Mais rien n’est fait pour lutter contre, à part des règlements ineptes de fausse « transparence ». Ce qu’il faudrait, c’est cloisonner la décision politique ou sanitaire et l’industrie, empêcher l’infiltration. 

Au lieu de cela, l’influence de l’industrie pharma et de ses sbires ne cesse de se renforcer malgré les scandales. À ce stade la question à se poser est : à qui tout cela profite, et qui a les moyens d’empêcher que les citoyens ne se mêlent de leur prore santé?


[1] Dans son audition au Sénat le 28 avril 2010 devant la commission d’enquête il a déclaré : « J’ai été membre du LEEM Recherche, aux côtés d’ailleurs de la présidente de l’Institut Pasteur, du directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), du directeur général de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), au titre de ma fonction de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique ». Le 26 février le LEEM Recherche est devenu l’Alliance pour la recherche et l’innovation des industries de santé (ARIIS) et Flahaut était mentionné sur leur site mais niait encore faire partie de la structure.

[2] Apparemment c’est l’Institut Pasteur qui est allé le chercher en 2013 pour « disposer d’outils d’aide à la décision en cas de nouvelle pandémie« .

[3] Le GEIG organise des congrès financés par l’industrie pharma.

[4] Elle fut déléguée à l’information médicale des laboratoires ICI Pharma de 1969 à 1976, et chargée des Relations Publiques chez Soguipharm de 1984 à 1989, en gros elle gérait la com de ces labos. Entre les deux missions dans le privé elle a fait ses premiers pas en politique comme conseillère générale dans le fief de son père.

[5] Même l’OMS admettait en août 2009 que « par manque de temps, les données cliniques seront inévitablement limitées au moment où on commencera à administrer les vaccins contre la grippe pandémique. Les tests d’innocuité et d’efficacité devront donc se poursuivre après avoir commencé à les administrer« .

[6] Un comité dont quasiment tous les experts avaient des liens d’intérêts de longue date avec l’industrie pharma.

[7] « Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma – Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », paru en mars 2022.

[8] Ferguson était membre du Scientific Advisory Group for Emergencies (Sage) qui conseille le gouvernement anglais.

[9] Plus précisément au MRC Centre for Global Infectious Disease College créé pour modéliser les pandémies.

[10] Ce projet destiné à « comprendre le risque d’émergence d’un coronavirus de chauve-souris » devait initialement être financé par le NIAID jusqu’en juin 2024 mais il a été stoppé prématurément après que la DARPA ait compris qu’il y avait quelques problèmes de sécurité au laboratoire de Wuhan. On était alors en juin 2020.

[11] Les résultats de l’étude chinoise n’ont pas été favorables au Remdesivir, pointant ses dangers et son inutilité face au covid.

[12] La FDA l’a autorisé dans les jours suivants, ce qui a entraîné son remboursement à 100%, à un prix de plus de 2000$ le traitement.

[13] Une étude parue dans le Lancet en mai 2020 a montré que 12% des patients traités au Remdesivir avaient eu des effets graves et ont dû arrêter le traitement, contre 5% des patients non traités.

[14] En 2010 l’Agence fédérale pour la qualité des soins de santé (AHRQ) a évalué un système bien plus performant qui a été jeté aux oubliettes par le CDC car il a révélé que les « vaccins » causaient des dommages graves chez 1 personne sur 40. 

[15] La fondation Bill & Melinda Gates est née de la fusion de la Fondation William H. Gates et de la Gates Learning Foundation. En 2006 elle avait environ 30 milliards de $ de budget, quand Warren Buffet lui a donné une bonne partie de sa fortune, soit encore 30 milliards de $.

[16] Cf. « The grand impact of the Gates Foundation » de Kirstin RW Matthews et Vivian Ho. https://doi.org/10.1038/embor.2008.52

[17] Selon le rapport du Sénat sur le rôle de Big Pharma dans la « pandémie » H1N1, « l’OMS avait déjà, selon M. Ulrich Keil, directeur de l’Institut d’épidémiologie à l’Université de Munster, lancé plusieurs « fausses alertes » avant le déclenchement de la pandémie grippale de 2009. M. Ulrich Keil cite les exemples de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et de la grippe aviaire. Toutefois, à la différence des cas précédents, la grippe A (H1N1)v a donné lieu à l’engagement, pour la première fois dans de telles proportions, de mesures de production de vaccins, et à l’engagement de campagnes de vaccination de masse ».

[18] Gates finançait –et finance toujours- l’OMS via plusieurs canaux : sa fondation qui en 2008-2009 a donné 338 millions de $ (le gouvernement US, 1er donateur a donné 424,5 millions $), mais le GAVI qui reçoit des financements de sa fondation, a donné 85 millions à l’OMS, et le Programme for Appropriate Technology in Health (PATH) lui aussi principalement financé par la fondation Gates, a donné 9 millions $. De plus, la fondation Gates finançait déjà diverses structures qui donnaient aussi à l’OMS (par exemple la Johns Hopkins University, le International Development Research Centre, le Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria).

[19] Le centre de modélisation de l’Imperial College de Londres est financé par Bill Gates et c’est là que travaillait Neil Ferguson.

[20] Le « Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme », créé par l’OMS en 2001 avec l’appui du G8 et bien-sûr des financements de la fondation Gates (2,74 milliards $ tout de même depuis sa création, et 760 millions rien que pour 2020-2022).

[21] La GERM team a été présentée par Gates en avril 2022 dans une conf TED, en version intervention hollywoodienne : « Ce serait une équipe à temps plein dont la seule et unique priorité serait la prévention des pandémies. Elle serait constituée de divers spécialistes couvrant des domaines très variés : des épidémiologistes, des spécialistes des données, des logisticiens. Il faut davantage qu’un savoir-faire médical et scientifique, il faut aussi des compétences en communication et en diplomatie…« .

Il dit aussi que l’Australie a très bien géré la crise covid, mais il n’y a jamais eu de morts là-bas et a parlé d’un « médicament à inhaler ». Mais les « vaccins » doivent « être plus faciles à inoculer ».

[22] Que Gates compte apparemment donner en priorité aux « jeunes filles des bidonvilles« . 

[23] Le PDG de Moderna Stéphane Bancel déclarait que « Nous avons défini Moderna pour imiter la biologie en donnant à votre corps les instructions pour que vos cellules fabriquent les protéines dont vous avez besoin pour vous protéger« . À l’occasion de ce partenariat, CNBC notait : « En cas de succès, les méthodes de Moderna pourraient conduire à la production rapide de médicaments thérapeutiques et d’une myriade de vaccins à moindre coût. C’est un argumentaire qui a fait de Moderna Therapeutics, basée à Cambridge, dans le Massachusetts, actuellement évaluée à près de 5 milliards de $, la société de biotechnologie privée la plus valorisée des États-Unis. Sa réserve de 1,9 milliard $ en espèces a été levée auprès de financeurs et partenaires tels que les géants pharmaceutiques Merck et AstraZeneca et la Fondation Bill et Melinda Gates« .

[24] Les recherches étaient principalement menées par une filiale de Moderna spécialisée dans la recherche de « vaccins » contre les maladies infectieuses, Valera.

[25] On notera qu’il était toujours actif pour le covid, et n’a pris sa retraite aux Etats-Unis qu’en novembre 2021. Fukada a milité pour un renforcement du Règlement Sanitaire International pour que l’OMS puisse décider au niveau mondial des mesures à prendre en cas de « pandémie ».

[26] Les labos ont augmenté leurs actions de lobbying et les rémunérations diverses et variées auprès des médecins hospitaliers. Par exemple en 2020 Didier Raoult dénonçait l’entrisme de Gilead au sein du Collège des universitaires des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) : 97 des 114 médecins de ce comité avaient eu une rémunération ou un avantage de la part de Gilead depuis 2012.

[27] « En 2009, le docteur Marcia Angell, ancienne éditrice en chef du très célèbre New England Journal of Medicine déclarait qu’« il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches cliniques publiées, ni de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du NEJM » rappelle par exemple Mucchielli.

[28] Plusieurs éléments interrogent quant à la relation de jupicrétin avec Pfizer, comme l’argent qu’il a réellement touché du contrat Pfizer – Nestlé qu’il a négocié chez Rothschild pour 12 milliards de dollars (rachat par Nestlé de la branche nutrition infantile Pfizer Nutrition), la rpésence de VRP de Pfizer dans le cabinet de véran, comme le médecin de l’AP-HP François-Xavier Lescure conseiller covid de véran tout en étant rémunéré par Pfizer, ou le soutien actif de l’industrie pharmaceutique à sa campagne, en attente d’un retour sur investissement.

[29] Après le H1N1 déjà un rapport du conseil de l’Europe cité par Le Monde dénonçait « de graves lacunes (…) en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer à l’égard des principales décisions relatives à la pandémie ».




La DGSE s’est rendue à Davos et a découvert le vrai SPECTRE

[Source : jovanovic.com]

Par Pierre Jovanovic

Le SPECTRE de James Bond est là, et ne se cache même pas. Leur président Klaus Schwab et tous ses obligés n’ont qu’un seul motto, leur fameux « bbb » ou 666, mais présenté au public comme build back better.

Dès lors vous comprenez bien mieux toutes les allusions faites par Emmanuel Macron « la bête de l’événement est là », son jet-ski signé 666, les 666 jours (et pas un de plus) de confinement du Canada, etc., etc. je vous ai donné ici un nombre incalculable d’exemples.

Entre eux, tous ces gens finissent leurs mails par l’abréviation « bbb » et le répètent à l’envi en public, regardez bien cette vidéo qui vaut vraiment le coup d’œil, sachant que Bill Gates y figure en bonne place, mais pas que :

Point intéressant soulevé par Robert Kennedy Jr, est que c’est en fait Washington qui finance une très grande partie de l’organisation du Forum de Davos, alors que tout le monde pensait qu’il s’agissait de financements strictement privés :

« @open_the_books found that US taxpayers ponied up $60 million over the last 8 years to support the #WorldEconomicForum, which is hosting the 2022 meeting of the world’s billionaire business elite in #Davos.

It was mostly through the State Department’s USAID; taxpayers paid $16 million to support the WEF Grow Africa program, which facilitated trade partnerships between agricultural businesses and African governments. Another $43 million went to WEF’s Global Alliance for Trade Facilitation program, to «boost competitiveness and business conditions, which are key drivers of inclusive economic growth and poverty reduction» in developing countries »

Constat tout simple : si Washington finance (et depuis le débit donc) cette réunion des milliardaires et politiques « bien choisis conformes Young Leader » c’est tout simplement parce que les Américains sont en fait derrière le rideau de l’organisation, laissant à Klaus Schwab la lumière des médias et l’accueil des invités.

Et parmi ces derniers, dans la catégorie des invités « french », surprise, chers lecteurs, le directeur de la DGSE Bernard Emié s’y est rendu (pour la promotion du nouveau site de la DGSE, le lien ici ?), accompagné par François Villeroy de Galhau (gouverneur Banque de France). Bien entendu, ce dernier n’a pas pu s’empêcher de clamer publiquement son mépris des Français :

« L’inflation causée par le conflit en Ukraine est le prix à payer pour défendre nos valeurs » et aussi de mentir en promettant de « ramener l’inflation à 2 % en 2024 »

Fallait oser. Villeroy de Galhau n’a pas hésité à publiquement révéler que Macron et lui n’ont pas eu d’état d’âme à sacrifier l’économie de la France au profit de celle de l’Ukraine !!! Extrait de l’interview :

« Franceinfo : le monde économique a aussi un rôle à jouer dans le conflit en Ukraine ?

François Villeroy de Galhau : depuis le premier jour de l’invasion de l’Ukraine, les Européens et les démocraties en général ont fait un choix économique courageux. Nous savions que cela signifierait moins de croissance, plus d’inflation, mais d’une certaine façon, c’est le prix à payer pour défendre nos valeurs, pour défendre l’Ukraine et sa liberté. Il y a eu aussi un appel à l’aide, déjà à très court terme, sur la situation financière de l’Ukraine. Il se trouve que j’ai participé la semaine dernière à une réunion du G7 en Allemagne et la somme de 19 milliards d’euros pour aider l’Ukraine a déjà été réunie, c’est plus que ce qui était espéré. Je crois que la mobilisation est déjà très forte et c’est un cas où, en faveur de la démocratie, de la solidarité, de la paix, nous acceptons de payer un prix économique »

Lire ici la suite de l’interview France Info.

Incroyable ! Bernard Emié est-il notre James Bond, ou plutôt Coplan ? ou est-ce un traître « à la Macron » ? Le WEF est bien le SPECTRE, puisque Schwab l’a confirmé lui-même lors du discours d’ouverture :

Au moins les choses sont claires. Voici trois années, le même Schwab se ventait dans une vidéo de Harvard (ou Princeton ?) d’avoir infiltré presque tous les gouvernements du monde grâce à son programme de Young Leaders, qui avait très précisément identifié à l’avance aussi bien macron que Trudeau.

Commentaire d’un lecteur :

« La clique de Davos veut prendre le pouvoir, elle en a les moyens et peut acheter tous les gouvernements et toutes les organisations mondiales. Légitimité démocratique ? Ils n’en ont cure, ils sont riches et peuvent tout se permettre (croient-ils). »

Et pour bien montrer que cette fois Klaus Schwab et ses « amis » n’ont plus à se cacher, et encore moins à dissimuler leurs intentions, observez cette dame qui peint des demi-cercles (comme les OOO du logo de Davos) avec ses fesses…

Un hommage à Yves Klein ?

Pour animer les débats, une jeune femme peint avec un pinceau dans ses fesses (?) et ce serait amusant si ce n’était tragique, mais n’oubliez pas, c’est aussi un clin d’œil à Zelensky qui jouait du piano debout, un humour très apprécié dans les pays de l’Est voir la vidéo de la jeune Lempicka en herbe ici.

Curieux de savoir si notre espion en chef et notre banquier central ont assisté à ce « happening » d’art très… concentrique !

Cependant Bernard Emié, Mr DGSE a dû être plus intéressé par la « keynote » du marionnettiste en chef, George Soros, 90 ans, venu donner ses instructions au nom du « deep state » américain.

Si les Chinois avaient toujours été sa (lire : celle des Américains) cible favorite, cette fois Soros a ajouté la Russie et Poutine dans sa liste des « grands méchants » à abattre parce que « la civilisation pourrait ne pas y survivre », oubliant au passage que ce sont justement [les Américains] qui avaient balancé 2 bombes atomiques sur le Japon alors qu’une seul aurait largement suffi.

En bon hypocrite, il a expliqué que l’Union Européenne a été mise en place pour empêcher une nouvelle guerre, oubliant, là aussi, que c’est Washington qui a demandé à Zelensky de pousser les Russes à bout (la patience de Moscou a duré 8 ans — quand même). Mais le plus fou de ses déclarations se trouve dans cette phrase :

« Artificial Intelligence is particularly good at producing instruments of control that help repressive regimes and endanger open societies… Covid-19 helped legitimize instruments of control because they are really useful in dealing with the virus (…) In an open society, the role of the state is to protect the freedom of the individual; in a closed society the role of the individual is to serve the rulers of the state ».
[« L’intelligence artificielle est particulièrement douée pour produire des instruments de contrôle qui aident les régimes répressifs et mettent en danger les sociétés ouvertes…. Covid-19 a aidé à légitimer les instruments de contrôle parce qu’ils sont vraiment utiles pour faire face au virus (…) Dans une société ouverte, le rôle de l’État est de protéger la liberté de l’individu ; dans une société fermée, le rôle de l’individu est de servir les dirigeants de l’État ».]

Cela vous montre que le vieux grigou est parfaitement informé de tout ce que Davos-Washington veulent mettre en place dans les années à venir, objectif 2030. Au passage, Soros s’est félicité du succès incroyable remporté par toutes ses associations à interférer dans le fonctionnement des gouvernements opposés à ces directives (exemple : la Hongrie, Pologne, etc.) et aussi de ses actions sur les réseaux sociaux.

« The rapid development of AI has gone hand in hand with the rise of social media and tech platforms. These conglomerates have come to dominate the global economy. They are multinational and their reach extends around the world ».
[« Le développement rapide de l’IA est allé de pair avec l’essor des médias sociaux et des plateformes technologiques. Ces conglomérats en sont venus à dominer l’économie mondiale. Ils sont multinationaux et leur portée s’étend au monde entier ».]

Cerise sur le gâteau, au passage il a même félicité Emmanuel Macron !

C’est vous dire à quel point notre président (ou plutôt le leur) exécute le programme Soros à la lettre ! lire ici sa conférence

PS : comme Davos avait organisé avec des années d’avance la pénurie alimentaire à venir (les lois ont été votées d’avance pour permettre la commercialisation) merci à notre lecteur David qui nous a fait parvenir une photo des premières délices que Davos-Washington va proposer à manger aux gueux, toujours à cause de Vladimir Poutine !!!

Il faut le voir pour le croire !

PS2 : Notez que chaque année, tous ces gens atterrissent à Davos avec leur avion privé, mais leur empreinte carbone ne compte pas étant donné qu’ils ont 20 millions de dollars ou d’euros sur leur compte bancaire, et vous non ! Raison pour laquelle, Davos veut vous interdire d’utiliser votre vieille Renault ou Peugeot diesel.

PS3 : Dans James Bond, si l’organisation qui veut mettre l’Humanité en esclave s’appelle SPECTRE, dans Les Hommes d’UNCLE, l’organisation similaire s’appelle THRUSH… « In the UNCLE novels written by David McDaniel, TRUSH stands for the Technological Hierarchy for the Removal of Undesirables and the Subjugation of Humanity » autrement dit la Hiérarchie technologique pour le retrait des Indésirables et la Subjugation de l’Humanité… Chers lecteurs, clairement on y est.

PS4 : Ajoutons que la série BD des Barracuda (années 1960-1972), deux super agents combattent les manipulateurs du WAM qui, lui, tient pour Guerre Contre l’Humanité ou War Against Mankind. Les écrivains sont bien des visionnaires. Aujourd’hui le WEF de Klaus Schwab est bien la supra-organisation internationale qui a infiltré tous les gouvernements pour contrôler les populations et se débarrasser des improductifs. Le Covid-19 ayant nettoyé la population de tous les malades et/ou faibles, ma liste des licenciements s’est bien arrêtée ! 

Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.quotidien.com 2008-2022




Un milliard de personnes risquent de subir des coupures de courant en raison de la saturation des réseaux mondiaux

[Source : Aube Digitale]

Cet été, les réseaux électriques du monde entier ne produiront pas assez d’électricité pour répondre à la demande croissante, menaçant plus d’un milliard de personnes de coupures de courant. Les réseaux sont mis à rude épreuve par les pénuries de combustibles fossiles, la sécheresse et les vagues de chaleur, les perturbations des produits de base et la flambée des prix due à la guerre en Ukraine, ainsi que par l’échec de la transition vers l’énergie verte, les gestionnaires de réseaux ayant mis hors service un trop grand nombre de centrales à combustibles fossiles. Si l’on combine tout cela, une tempête parfaite de pannes d’électricité menace une grande partie de l’hémisphère nord.

La crise de l’électricité, qui touche une grande partie du monde et des économies de premier plan, pourrait survenir dans moins d’un mois, lorsque l’été commencera le 21 juin. Les régions qui préoccupent Bloomberg sont l’Asie, l’Europe et les États-Unis, où il n’y a pas assez d’électricité pour tout le monde, alors que la demande de climatisation va exploser, les ménages augmentant la puissance de leur climatiseur pour échapper à la chaleur étouffante.

La canicule en Asie a provoqué des pannes d’électricité quotidiennes qui durent plusieurs heures, mettant en danger plus d’un milliard de personnes au Pakistan, au Myanmar, au Sri Lanka et en Inde, sans qu’aucun répit ne soit en vue. Au début du mois, six centrales électriques texanes sont tombées en panne alors que la chaleur estivale commençait à peine à arriver, offrant ainsi un aperçu de ce qui nous attend. Au moins une douzaine d’États américains, de la Californie aux Grands Lacs, risquent de connaître des pannes d’électricité cet été. L’approvisionnement en électricité sera limité en Chine et au Japon. L’Afrique du Sud s’apprête à connaître une année record de coupures de courant. Et l’Europe se trouve dans une position précaire, bloquée par la Russie. Si Moscou interrompt l’approvisionnement en gaz naturel de la région, cela pourrait déclencher des pannes dans certains pays. –Bloomberg

Shantanu Jaiswal, analyste de BloombergNEF, estime que la combinaison de la « guerre et des sanctions » qui perturbent les marchés des matières premières, des « conditions météorologiques extrêmes » et du « rebond économique du COVID qui stimule la demande d’électricité » constitue une situation « unique » dont il « ne se souvient pas » de la dernière fois où une « confluence d’autant de facteurs » s’est produite. Comme nous l’avons noté au début, c’est une parfaite tempête de facteurs.

Henning Gloystein, un analyste d’Eurasia Group, prévient que si des pannes majeures se propagent dans le monde cet été, « cela pourrait déclencher une forme de crise humanitaire en termes de pénuries alimentaires et énergétiques à une échelle jamais vue depuis des décennies ».

Si les États-Unis sont un guide pour les réseaux électriques vacillants du monde, les régulateurs ont déclaré la semaine dernière que la moitié du pays pourrait connaître des pannes, des Grands Lacs à la côte ouest. La raison en est le manque de production d’électricité et une méga-sécheresse.

Les réseaux électriques du monde entier sont fragiles en raison du manque d’investissements dans les combustibles fossiles et de la réduction du nombre de centrales électriques à combustibles fossiles, les réseaux tentant de passer à des sources d’énergie plus propres et plus vertes.

Alex Whitworth, analyste chez Wood Mackenzie Ltd, souligne qu’à mesure que les réseaux passent aux énergies vertes, le manque de stockage par batterie lorsque le soleil ne brille pas ou que le vent ne souffle pas créera des instabilités et une plus grande pression sur les réseaux à un moment où les centrales à combustibles fossiles sont retirées à un rythme rapide.

« Vous serez confrontés à une crise d’approvisionnement chaque fois qu’il y aura des nuages, des tempêtes ou une sécheresse éolienne pendant une semaine », a déclaré M. Whitworth. « Nous nous attendons vraiment à ce que ces problèmes s’aggravent au cours des cinq prochaines années ».

Bloomberg donne un aperçu des réseaux les plus tendus qui pourraient entraîner des pannes de courant massives cet été :

États-Unis

Les approvisionnements en gaz naturel, le principal combustible des centrales électriques américaines, sont limités dans tout le pays et les prix s’envolent. Selon la North American Electric Reliability Corporation, l’électricité sera mise à rude épreuve dans une grande partie du pays et dans une partie du Canada. Il s’agit de l’une des évaluations les plus sombres jamais réalisées par l’organisme de réglementation. Les consommateurs seront invités à contribuer à la stabilité des réseaux en réduisant leur consommation.

En Californie, l’État le plus peuplé, l’approvisionnement en gaz est encore plus limité en raison de la rupture d’un gazoduc l’année dernière, qui a limité les importations. De plus, le changement climatique alimente la sécheresse, ce qui réduit considérablement l’approvisionnement en énergie hydroélectrique. Le California Independent System Operator a déclaré ce mois-ci que l’État risquait de connaître des pannes d’électricité au cours des prochains étés en raison de conditions météorologiques extrêmes.

Sur le réseau de 15 États exploité par le Midcontinent Independent System Operator (MISO), les consommateurs de 11 États risquent de subir des pannes. MISO, qui dessert environ 42 millions de personnes, prévoit que sa production d’électricité est « insuffisante » pour répondre aux périodes de forte demande cet été, en particulier dans les États du Midwest. Jamais auparavant le réseau n’avait donné un tel avertissement avant le début de la demande estivale.

Au Texas, le réseau « est toujours menacé » de pénurie malgré les efforts déployés par l’État pour améliorer sa résilience après la tempête hivernale de février 2021 qui a plongé des millions de personnes dans le noir pendant plusieurs jours, a déclaré Gary Cunningham, directeur des études de marché de la société de courtage Tradition Energy.

Les infrastructures vieillissantes et les retards de maintenance pendant la pandémie ont ajouté aux problèmes d’une météo plus sévère, a déclaré Teri Viswanath, économiste principal pour l’électricité, l’énergie et l’eau chez CoBank ACB.

« Les États-Unis connaissent plus de pannes au niveau mondial que tout autre pays industrialisé », a-t-elle déclaré. « Environ 70 % de notre réseau est proche de la fin de vie ».

Asie

L’épicentre des pannes a été jusqu’à présent l’Asie du Sud et du Sud-Est, où des vagues de chaleur brutales ont fait tourner les climatiseurs à plein régime. Les pannes ont touché l’ensemble du pays au Pakistan, au Sri Lanka et au Myanmar, où vivent 300 millions de personnes. En Inde, 16 des 28 États du pays, qui comptent plus de 700 millions d’habitants, sont aux prises avec des pannes de deux à dix heures par jour, a déclaré un responsable de l’État ce mois-ci.

Le gouvernement indien a récemment ordonné aux entreprises d’augmenter leurs achats de charbon étranger coûteux, tout en supprimant les protocoles environnementaux pour les expansions de mines afin d’essayer d’augmenter l’approvisionnement en combustible. Mais il reste à voir si ces mesures permettront d’alléger la pression. La mousson qui s’annonce devrait apporter des températures plus fraîches et réduire la demande d’énergie, mais elle peut aussi inonder les régions minières et entraver l’approvisionnement en combustible.

Au Viêt Nam, la compagnie d’électricité publique s’est préparée à des pénuries d’électricité depuis plus d’un mois, la demande augmentant alors que l’offre nationale de charbon a diminué et que les coûts des combustibles étrangers ont augmenté.

En Chine, où les pénuries de charbon ont entraîné des coupures de courant généralisées l’année dernière, les autorités ont promis de maintenir l’éclairage en 2022 et ont fait pression sur les mineurs de charbon pour qu’ils augmentent leur production à un niveau record. Malgré cela, les responsables de l’industrie ont prévenu que la situation de l’électricité serait tendue cet été dans le sud du pays, fortement industrialisé, qui est éloigné des centres miniers intérieurs et donc plus dépendant du charbon et du gaz étrangers coûteux.

Le Japon a connu une crise électrique en mars, lorsqu’une vague de froid a déclenché une hausse de la demande quelques jours seulement après qu’un tremblement de terre ait mis hors service plusieurs centrales à charbon et à gaz. L’offre d’électricité devrait être limitée au cours des prochains mois d’été, et la demande dépassera probablement l’offre l’hiver prochain également, selon les prévisions du réseau. Le gouvernement métropolitain de Tokyo a lancé une campagne d’économie d’énergie, demandant aux habitants de prendre des mesures comme regarder moins la télévision.

Europe

Le risque de pannes d’électricité est plus faible en Europe, car moins de personnes utilisent la climatisation à la maison. Le continent fait également la course pour remplir ses réserves de gaz.

Mais il y a peu de place pour l’erreur. Un printemps sec en Norvège a limité l’approvisionnement en énergie hydroélectrique. Les pannes prolongées des réacteurs nucléaires d’Électricité de France SA ajoutent à la pression sur les prix et les approvisionnements. Le plus grand producteur de la région a réduit son objectif de production nucléaire pour la troisième fois cette année, dernier signe en date de l’aggravation de la crise énergétique en Europe.

Si la Russie devait interrompre l’approvisionnement en gaz naturel de la région, cela pourrait suffire à déclencher des pannes de courant dans certains pays, a déclaré Fabian Ronningen, analyste des marchés de l’énergie chez Rystad Energy.

Bien qu’il ait déclaré que les chances que la Russie fasse ce geste audacieux sont « improbables », son point de vue est devenu plus pessimiste à mesure que la guerre en Ukraine se poursuit ; il y a deux mois, il aurait estimé que les chances étaient « hautement improbables ».

Certains pays ont reçu d’énormes importations de gaz naturel liquéfié et disposeraient probablement d’un approvisionnement suffisant pour absorber le choc, notamment l’Espagne, la France et le Royaume-Uni. La situation pourrait être différente en Europe de l’Est, où des pays comme la Grèce, la Lettonie et la Hongrie utilisent le gaz pour une part importante de leur énergie et sont fortement dépendants des approvisionnements russes. C’est là que le risque de pannes d’électricité serait le plus élevé, selon M. Ronningen.

« Je ne pense pas que les consommateurs européens puissent même imaginer un tel scénario », a-t-il déclaré. « Cela ne s’est jamais produit de notre vivant ».

Si les réseaux sont sous pression et tombent en panne cet été, ce serait un signe inquiétant pour les choses à venir cet hiver.




Revue de Presse 14/05/2022

Par MF

REVUE DE PRESSE DU 9 MAI 2022

ÉDITO — Moins ça marche, plus on continue !

Les preuves de l’inefficacité des vaccins anti-covid s’accumulent, qu’à cela ne tienne, on commande toujours des lots, y compris pour les enfants, on jette ceux qui sont périmés (en d’autres temps, on aurait appelé ça « jeter l’argent par les fenêtres »), on élargit le spectre des personnes habilitées à vacciner, y compris sans prescription médicale, et on accumule des données effrayantes sur les effets indésirables des injections, de l’hépatite auto-immune au syndrome d’immunodéficience acquise, du Creutzfeld-Jacob à la stérilité, n’en jetez plus il y en a 80 000 pages pour Pfizer et même l’ANSM détaille les effets de l’AstraZeneca !

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

L’OMS révèle ses techniques de manipulation de masse

Ce qui peut expliquer l’uniformité des stratégies européennes. Ça sent le McKinsey..

Le pire est à venir pour les enfants, la vaccination obligatoire

https://www.francesoir.fr/opinions-editos/allons-enfants-de-la-patrie-2

Jusqu’où iront-ils ?

Modalités de la vaccination des enfants et calendrier des directives

Au passage, on notera la disparition de l’avis médical…

La Réunion, dose de rappel obligatoire pour les soignants

https://la1ere.francetvinfo.fr/reunion/obligation-vaccinal-les-soignants-bientot-soumis-a-une-nouvelle-dose-de-rappel-pour-continuer-a-exercer-1283168.html

Interdits d’exercer et ne pouvant pas se faire remplacer, le bras de fer se poursuit entre autorités et soignants.

Une citoyenne blessée accuse les médias

https://www.francesoir.fr/politique-france/une-citoyenne-blessee-accuse-les-medias

et demande le retrait du titre « les non-vaccinés mettent en danger les vaccinés ».

Les preuves du crime dans le CSI du 12 mai 2022

Grand banditisme, et perversion des médias mainstream.

Un humain génétiquement modifié est-il brevetable ?

Une marche de plus vers l’enfer sur terre ?

D’autres pandémies à venir ?

https://www.midilibre.fr/2022/05/07/apres-le-covid-des-virus-emergents-inquietent-depuis-peu-les-scientifiques-a-quoi-faut-il-sattendre-10281113.php

Toujours le même discours pour faire peur, et la solution proposée, des vaccins !

Constat de l’état de l’AP-HP

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-martin-hirsch-a-lap-hp-des-annees-de-mauvaises-decisions-1406015

Un gâchis !

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-martin-hirsch-a-lap-hp-des-annees-de-mauvaises-decisions-1406015

Et le cynisme en prime !

ÉTRANGER

ALGÉRIE, chantage de Pfizer

https://www.jeuneafrique.com/1171814/politique/coronavirus-lalgerie-accuse-pfizer-de-chantage/

Et les gagnants sont… les vaccins chinois et russes !

CHINE, le confinement de Shanghai n’est pas une mesure sanitaire

Paranoïa de contrôle et préparation de la réélection du président.. . à vie ?

Et

Baisse des cas mais renforcement des restrictions

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/05/11/nouveau-resserrement-du-confinement-a-shanghai/

Pénurie de nourriture, hausse des prix, difficultés d’accès aux soins...

Et

Des employés s’enfuient de l’usine où ils étaient confinés

https://www.francesoir.fr/politique-monde/confinement-centaines-chinois-ont-fui-lusine-de-quanta

dans des conditions de travail et de vie insoutenables, sans pouvoir rentrer chez eux...

ITALIE, le cri d’alarme d’une députée contre l’obligation vaccinale

https://nouveau-monde.ca/nouveau-cri-dalarme-de-la-deputee-italienne-sarah-cunial-contre-lobligation-vaccinale/

Elle s’adresse au Pape « Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour, car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol. »

ITALIE, moratoire sur la vaccination à l’initiative d’un avocat

https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-confederation-legale-pour-les-droits-de-lhomme-exige-moratoire-vaccination

Manifeste signé par plus de 167 000 citoyens.

UE, comment elle s’apprête à confisquer nos données de santé

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/05/06/comment-lue-sapprete-a-confisque-nos-donnees-de-sante/

Le transfert progressif de notre souveraineté sanitaire vers l’Union, puis un jour vers l’OMS, est en marche.

L’OMS affole la presse avec 15 millions de morts du Covid

https://www.francesoir.fr/societe-sante/oms-15-millions-morts-covid-surmortalite-presse

Surmortalité liée aux mesures anti-covid et aux statistiques biaisées.

USA, combien Pfizer a-t-il payé à la FDA pour que son vaccin soit approuvé ?

https://vaccineimpact.com/2022/just-released-documents-by-pfizer-show-biontech-paid-fda-2875842-00-drug-user-fee-for-covid-19-vaccine-approval/

2875 millions de dollars !! Qui peut croire que ce vaccin devait protéger la population ??

USA, nouveau scandale, paiements occultés à Fauci et membres du NIH

https://www.epochtimes.fr/nouveau-scandale-350-millions-de-dollars-de-paiements-occultes-destines-a-fauci-collins-et-dautres-membres-des-nih-2022660.html

« Nous pensons qu’il existe un énorme conflit d’intérêts inhérent aux NIH »

L’État profond travaillait contre Trump pour gérer l’épidémie de Covid

https://www.epochtimes.fr/letat-profond-travaillait-contre-trump-reponse-covid-19-ancien-conseiller-departement-de-sante-devoile-2021175.html

« 90 % des personnes en 2020 et 2021, qui ont été désignées comme positives au Covid avec des tests PCR étaient faussement positives ». « Nous aurions pu gérer cette pandémie simplement en protégeant correctement les personnes vulnérables et en permettant à tous les autres de vivre une vie normale, de s’exposer naturellement et sans danger en étant immunisés naturellement », poursuit le Dr Alexander.

Pourquoi lancer un mandat d’arrêt contre Fauci ?

https://nouveau-monde.ca/pourquoi-lancer-un-mandat-darret-contre-le-docteur-de-lamerique-anthony-fauci/

Exposé détaillé des individus et sociétés responsables des stratégies de la pandémie et de leurs mensonges, à lire absolument !

JUSTICE

Trois médecins devant le Conseil de l’Ordre pour avoir prescrit des antihistaminiques

https://www.francesoir.fr/societe-sante/medecins-haute-savoie-antihistaminiques-conseil-de-lordre

Où commence et s’arrête la liberté de prescrire ?

Afrique du Sud, McKinsey, encore lui !

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/05/05/afrique-du-sud-mckinsey-et-les-societes-de-conseil-bouscules-par-les-scandales-de-corruption-de-l-ere-zuma_6124911_3212.html

Rapport de la commission Zondo consacré au pillage des caisses de l’État dans les années 2010.

INDE, la Cour suprême juge la vaccination obligatoire anticonstitutionnelle

https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-cour-supreme-indienne-juge-la-vaccination-obligatoire-anti-constitutionnelle

Respect de l’intégrité physique et de l’autonomie personnelle… à quand dans le monde ?

USA, le Missouri et la Louisiane intentent un procès à Biden, Fauci, etc.. pour collusion avec les réseaux sociaux (censure sur le covid et les vaccins)

https://nypost.com/2022/05/05/biden-sued-for-colluding-with-big-tech-to-suppress-free-speech-on-hunter-laptop/

et l’Arizona délivre un mandat d’arrêt contre Fauci pour avoir caché des traitements

https://reseauinternational.net/larizona-delivre-un-mandat-darret-contre-fauci-pour-avoir-cache-des-medicaments-et-des-traitements-salvateurs-contre-le-covid-au-public/

COVID

Les sous-variants BA4 et BA5

https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/04/30/omicron-ce-que-lon-sait-des-sous-variants-ba-4-et-ba-5

Apparus en Afrique du Sud, leur pouvoir infectieux est élevé et leur devenir épidémiologique inconnu à ce jour.

TRAITEMENTS ET PRÉVENTION

Aucune incidence du port du masque chez les enfants sur le taux de contamination

https://reinfocovid.fr/science/aucune-correlation-entre-le-port-du-masque-et-le-taux-de-sars-cov2-chez-les-enfants/

Les plus jeunes ont des indicateurs de transmission inférieurs à ceux des plus âgés.

USA, les hôpitaux payés pour utiliser un traitement inefficace et dangereux

Remdesivir, Paxlovid, Molnupiravir, 10 fois plus chers que l’ivermectine, efficace et non toxique.

INJECTIONS

La DREES affiche une chute d’efficacité des vaccins

https://www.francesoir.fr/societe-sante/drees-efficacite-vaccins

Les vaccinés sont surreprésentés dans les hospitalisations et décès.

Moderna ira jusqu’au bout alors que son vaccin est déconseillé aux moins de 30 ans !

https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-lagence-europeenne-des-medicaments-examine-lutilisation-du-vaccin-de-moderna-chez-les-moins-de-5-ans-05-05-2022-SGV56EUKHJE77CBVF2KV35GUZ4.php

Les enfants n’ont rien à craindre du Covid, mais tout des vaccins, il faut le répéter !!

EFFETS INDÉSIRABLES

Le 24 mai le Dr Amine Umlil sera auditionné au Sénat sur les effets indésirables des vaccins

https://www.francesoir.fr/politique-france/amine-umlil-auditionne-au-senat-le-24-mai

Audition publique et retransmise sur internet.

Allemagne, une étude confirme l’hépatite auto-immune sévère induite par le vaccin

https://lesakerfrancophone.fr/une-nouvelle-etude-confirme-que-le-vaccin-covid-provoque-une-hepatite-auto-immune-severe

Arrêtons la vaccination des enfants !!

Allemagne, le sang est modifié chez TOUS les vaccinés

https://www.kla.tv/Interviews-fr/22503

Il est possible de faire la distinction selon le statut vaccinal, ce qui pose la question d’un délit.

Allemagne, des complications 40 fois plus importantes que celles du rapport Ehrlich

https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccination-contre-le-sars-cov-2-une-etude-allemande-fait-etat-deffets-secondaires

Un demi-million d’effets secondaires graves !!

Royaume-Uni : Syndrome d’immunodéficience acquise après 3 doses

https://planetes360.fr/les-donnees-officielles-indiquent-que-les-personnes-triplement-vaccinees-developpent-le-syndrome-dimmunodeficience-acquise-a-un-rythme-alarmant/

Système immunitaire décimé, favorisant infections et cancers.

Déni concernant les effets très graves des injections chez les femmes enceintes

https://nouveau-monde.ca/pourquoi-un-tel-deni-des-effets-graves-des-vax-anticovid-chez-les-femmes-enceintes/

ANSM : AUCUN signal de sécurité n’existe à ce jour !!

Et

https://www.aimsib.org/2022/05/08/vacciner-les-femmes-enceintes-est-une-folie-absolue/

Ou comment clouer le bec d’un Conseiller Ordinal en manque d’informations valides !

80 000 pages d’effets indésirables décryptés (documents de Pfizer)



Alexandra Henrion-Caude les décode pour Radio Courtoisie.

Creutzfeld-Jacob, Pfizer dès 2020 avait signalé des contaminations du vaccin !!



mais envisagé seulement un risque théorique.

L’ANSM détaille tous les effets indésirables de l’AstraZeneca

https://www.lelibrepenseur.org/covid-19-lansm-detaille-tous-les-effets-indesirables-lies-au-vaccin-dastrazeneca/

Et la liste s’allonge…

Refuser l’obligation vaccinale prévue et informer, informer...

https://nouveau-monde.ca/refuser-lobligation-vaccinale-prevue-informons-chaque-jour/

Pour rappel, un accident indésirable sur 5 est un trouble cardiaque.

RÉSISTANCES

Conseil scientifique indépendant du 5 mai 2022

Hélène Banoun :

« La minute d’actu »

Claude Escarguel :

« “Les coopérations bactéries/virus et leurs implications thérapeutiques dans la prévention des formes graves et longue de Covid” »



HOLD-OUT, le film après Hold-up et Hold-on

https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/pierre-barnerias-hold-out

3e volet de ce documentaire avec des intervenants prestigieux.

Et

https://rumble.com/v134m5x-hold-out-film-complet-par-le-collectif-de-journalistes-indpendants-citizen-.html

et

https://dissidencetv.fr/19/04/2022/sante/covid-19/hold-out-film-complet/

12 min Base de données EMA, disparition des cas déclarés de décès d’enfants au fil du temps.

22 min, images impressionnantes de structures évoquant un champignon dans le vaccin Moderna, 24 min identification d’un ver de type helminthe, et structures non identifiées, organisées en ligne, le tout indique que les vaccins ont été conçus depuis longtemps.

47 min, des structures triangulaires (qui n’existent pas dans la nature)

Oxyde de graphène (totalement interdit !), transformant le corps humain en émetteur-récepteur ? Produits toxiques, comme le PEG induisant une réaction adverse du corps risque de maladies auto-immunes.

1 h 23, excipient du Janssen, formation d’une structure foliée, et de formes rondes se multipliant sous le microscope (phénomène microtubulaire soumis à une influence magnétique ??). Etc.




Variole du singe : le G7 lance une simulation mondiale, l’armée US fournit le vaccin

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Depuis hier, la variole du singe affole l’opinion publique, au point que les premiers articles sur les risques d’un nouvelle épidémie ont commencé à fleurir. De notre point de vue, il s’agit d’une fausse alerte comme, ces dernières semaines, nous en avons connu avec le virus de Marburg, la rougeole ou la méningite. Mais, s’agissant de la variole du singe, le processus est intéressant à décortiquer, car il montre comment s’est mis en place un processus bien rodé de diffusion de la peur.

[NDLR : cette fois pourrait cependant être la bonne, car une telle « épidémie » semble bien avoir été programmée.
Voir :
Un organisme financé par quelques milliardaires dont Bill Gates prévoyait une épidémie de variole du singe pour le 15 mai 2022
et
Un document de la Nuclear Threat Initiative datant de 2021 prévoyait une bio-attaque fictive de variole du singe le 15 mai 2022 – Aube Digitale]

Cameroun: des cas de variole du singe soulèvent un vent de panique dans le pays - Le360afrique.com

La variole du singe est devenue, en quelques heures, l’un des principaux sujets de préoccupation sur les réseaux sociaux. Et l’annonce, hier, de la découverte d’un cas suspect en France devrait assurer à la question une popularité durable. Mais, signe des temps, c’est autant le mode opératoire de cette diffusion que la maladie elle-même, qui se trouve au centre des préoccupations. Existe-t-il une machine épidémique qui manipule les peurs pour vendre des remèdes ?

[Voir :
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies]

La question est désormais sur toutes les lèvres.

La variole du singe, une épidémie inattendue ?

À la différence du COVID 19, la variole du singe n’est pas vraiment une maladie nouvelle. Elle est proche de la variole humaine, n’est que très rarement mortelle, et que très peu contagieuse entre humains.

Le ministère de la santé le rappelle dans une alerte diffusée hier :

A ce stade, les cas rapportés sont majoritairement bénins, et il n’y a pas de décès signalé.

Comme le rappelle également le ministère de la Santé, la maladie est endémique en Afrique.

Pour l’ensemble des cas confirmés, les analyses ont mis en évidence un virus appartenant au clade “Afrique de l’ouest” du virus MKP, suggérant un lien initial avec le Nigéria, pays dans lequel le virus circule régulièrement depuis 2017. Hormis le cas signalé au Royaume-Uni le 7 mai dernier importé du Nigéria, les nouveaux cas signalés ne rapportent pas de voyage en Afrique ou de lien avec une personne au retour d’Afrique.

Ce qui intrigue ici, c’est la diffusion quasi simultanée de la maladie dans plusieurs foyers de contaminations, sans lien apparent entre eux, notamment en Espagne, au Portugal, en Angleterre, en France. Manifestement, c’est une souche du Nigéria qui circule. Alors que la maladie est peu contagieuse, et qu’elle suppose une incubation de deux ou trois semaines, tout se passe comme si sa diffusion était fulgurante et sans explication rationnelle.

Une épidémie créée ?

Immédiatement a circulé l’idée que cette épidémie est tout sauf le fait du hasard.

Beaucoup d’internautes ont retrouvé un message diffusé il y a six mois par Bill Gates, selon lequel le monde pourrait souffrir d’un attaque bio-terroriste consistant à diffuser un virus de la variole dans 10 aéroports simultanément.

https://content.jwplatform.com/players/KLA20pmI-XLzx33eA.html

Tiens ! tiens !

Dans le même temps, Bill Gates annonçait investir des milliards dans la recherche contre cette maladie. On lira dans Newsweek le fact-checking embarrassé de cette nouvelle théorie complotiste. En réalité, Gates annonce l’épidémie de variole depuis 2017, et pousse l’OMS à mener des recherches en ce sens.

On ne sait pas trop ici si ce sont les avertissements de Bill Gates qui rendent l’opinion éruptive sur la question de la variole, ou si la possible épidémie est montée en épingle par la caste parce qu’elle est préparée de longue date.

L’étrange exercice de simulation du G7 sur… une épidémie de variole

L’information passe inaperçue en France, mais, le jour même où l’épidémie de variole commence à affoler les masses, les ministres de la Santé du G7 se retrouvent… pour annoncer la simulation entre eux d’une épidémie de variole du singe due à une morsure de léopard qui se répandrait dans le monde. Là encore, les anti-complotistes vont pouvoir faire leurs choux gras des déductions qui seront (trop hâtivement ?) tirées de cette coïncidence. Mais il est pour le moins difficile de ne pas se poser la question de l’influence exercée par Bill Gates sur les décisions ou les initiatives du G7.

On notera que le même G7 en a profité pour lancer une nouvelle ode au vaccin contre le COVID.

Le grand défi est ‘d’apporter le vaccin aux peuples’, a déclaré Schulze. De nombreux pays ne disposaient pas des infrastructures et du matériel nécessaires tels que des seringues ou des camions frigorifiques. Les États du G7 veulent ici davantage soutenir les pays du Sud.

De là à penser que l’épidémie soit l’habillage d’une grande opération destinée à vendre les vaccins de Bill Gates et consorts… il n’y a qu’un pas.

L’Espagne se lance dans l’achat de vaccins contre la variole

Sans surprise, l’Espagne a annoncé ses premières mesures de lutte contre la prétendue épidémie de variole : le pays achète des milliers de doses de vaccins contre la variole humaine.

D’après le quotidien El País, ce vaccin ne serait pas destiné à être administré à la population générale, mais uniquement aux malades dont l’infection est confirmée. “C’est un vaccin basé sur un type atténué d’un virus apparenté à la variole. Il est très sûr et peut également être administré aux personnes immunodéprimées, en plus d’avoir moins d’effets secondaires que les vaccins antivarioliques traditionnels”, explique Carlos Maluquer, professeur de virologie moléculaire à l’Université de Surrey (Royaume-Uni), à nos confrères espagnols.

On notera au passage que la FDA a validé le premier vaccin contre la variole du singe le 24 septembre 2019. Voilà qui tombe bien. Il s’agit du Jynneos, développé par l’armée américaine. De mieux en mieux !





La face cachée des réseaux sociaux (1)

[Source : libremedia.ca]

Par Laurie Michel

Les réseaux sociaux ont autant d’avantages que de désavantages. Dans cette chronique déconnexion signée par notre experte Laurie Michel, il sera d’abord question des effets négatifs de certaines de leurs fonctionnalités.

Une personne passe en moyenne 2 h 24 par jour sur les réseaux sociaux et il semble bien compliqué aujourd’hui de se séparer de ces plateformes populaires.

Il suffisait de prêter attention à la crise de panique générale survenue lors de la panne de Facebook, l’an passé, pour s’apercevoir que la vie n’est plus la même depuis leur arrivée parmi nous. 

Des débuts euphoriques  

Nous sommes dans les années 2000, le monde de l’informatique est en totale ébullition et les innovations sont fulgurantes. Parmi elles, les fameuses plateformes de réseaux sociaux qui vont provoquer un véritable changement sociétal.  Myspace ouvre le bal en 2003 aux côtés de Linkedin, qui est devenu depuis le plus grand réseau social professionnel au monde avec 774 millions de membres sur la planète. Un an plus tard, Facebook voit le jour, avant d’être suivi par Youtube en 2005 et Twitter en 2006. On tâtonne, à l’époque, sur cette maintenant devenue célèbre plateforme bleue se donnant pour mission de nous connecter avec le monde entier. 

On découvre tranquillement cette nouvelle façon de partager nos anecdotes de vie, parfois même les plus anodines, avec notre entourage et même des personnes que nous ne connaissons pas en dehors du web. 

La plateforme évolue rapidement et nous permet, dès 2007, de devenir «fan» de nos entreprises préférées. Les publicités numériques viennent ensuite s’afficher dans le fil d’actualité et avec elles se dessine la véritable mission de la plateforme: vendre de la publicité.

En parallèle de cette révolution, le premier iPhone voit le jour en 2007 et se positionne comme l’outil nouvelle génération à avoir dans les mains. Il ne permet pas seulement de téléphoner ou d’écrire un message texte! Grâce à lui, il est possible de prendre des photos, d’écouter de la musique, de naviguer sur Internet et de télécharger des applications, dont les fameux réseaux sociaux!  Terminé nos instants de calme et de réflexion personnelle, nous pouvons désormais être constamment occupés par le web, les messages et les urgences des autres. Et pour nous aider à ne jamais rien manquer, Apple introduit les notifications en 2009 afin que nous soyons informés immédiatement de ce qu’il se passe sur notre petit écran.

Le iPhone va ouvrir la porte à de nouvelles innovations dans le domaine des applications mobiles et c’est au tour d’Instagram et son concept de photo instantanée de voir le jour aux côtés de SnapChat avec son contenu qui expire. Avec elles de nouveaux métiers émergents, et nombreux sont ceux qui aspirent à devenir le futur youtubeur ou l’influenceuse populaire qui se prend en photo sur les plages mexicaines avec la dernière paire de lunettes de soleil sur le nez.

Pourquoi sont-ils si populaires?

Et voilà que nous sommes plus de 4,48 milliards d’utilisateurs de réseaux sociaux en 2021! 
La fonctionnalité qui va marquer le plus l’univers des réseaux sociaux, sera le bouton J’aime en 2009. Celui-ci va connaître son premier grand succès sur Facebook et va permettre aux utilisateurs de la plateforme de donner une opinion sur la publication.

D’autres plateformes vont reprendre ce principe, dont Youtube, qui va remplacer son système de notation pour intégrer ce fameux bouton et en ajouter même un autre: Je n’aime pas. Il est maintenant possible de juger la publication d’une personne en cliquant sur un simple bouton, et sans plus d’explication.  Au fur et à mesure les fonctionnalités s’étoffent avec l’envoi de notifications pour nous annoncer une demande d’amitié, une identification sur une photo ou un commentaire. Ces mécanismes sont pensés par des équipes composées notamment de neurologues, de psychologues pour penser des gestes qui vont ancrer des habitudes chez l’utilisateur. 

Ces mécanismes jouent avec le système de récompense de notre cerveau et mettent en place des fonctionnalités qui génèrent de la dopamine pour nous inciter à consommer sans fin. Les notifications nous invitent à revenir sur la plateforme et renforcent notre syndrome de FOMO (Fear Of Missing Out) et cette idée que nous manquons des choses à chacune de nos déconnexions.

La santé mentale de nombreuses personnes est mise à rude épreuve et de soudaines crises d’anxiété font surface. Un retour jugé insuffisant de commentaires ou de mentions j’aime à la suite du partage d’une publication peut générer de l’angoisse.

C’est un jeu d’enfants aujourd’hui de savoir ce que font nos amis et de se comparer aux autres à chacune de nos connexions. Cependant, il est important de rappeler que l’image en ligne ne correspond pas forcément à la véritable vie de la personne avec qui on se met en compétition. 

Pour comprendre cette obsession autour de la reconnaissance en ligne, il faut s’intéresser aux besoins fondamentaux humains et plus particulièrement à notre recherche d’approbation sociale. L’être humain a besoin d’être aimé et accepté par la communauté alors ne pas atteindre un certain nombre d’abonnés peut déclencher des troubles de l’estime de soi par exemple.

Peut-on se passer d’eux?

L’évolution des réseaux sociaux et leur multifonctionnalité en font aujourd’hui des outils indispensables pour beaucoup de leurs utilisateurs et il semble complexe pour de nombreux d’entre nous de s’imaginer vivre sans eux. 

Sachez qu’il est cependant possible de déprogrammer les gestes automatiques qu’ils nous ont inculqués au fil des ans. 

Interrogez-vous par exemple sur les autres alternatives que ces plateformes pour échanger avec votre famille et vos amis.  Si les confinements des derniers mois nous ont appris quelque chose, c’est que de serrer ses proches dans ses bras et vivre un moment avec eux en chair et en os ne pourra jamais être remplacé par aucun réseau social.  Il est important d’entretenir nos liens sociaux en dehors des écrans et de partager nos aventures de vive voix en plus de nos albums photos sur les réseaux sociaux!




A l’ONU, la Russie démontre les crimes de guerre ukrainiens et les falsifications des médias occidentaux

[Source : lecridespeuples.fr]

Remarques du Représentant permanent de la Russie Vassily Nebenzia et de son Premier Représentant permanent adjoint Dmitry Polyanskiy à la réunion « Arria-formula » des membres du Conseil de Sécurité de l’ONU sur les violations du Droit International Humanitaire et autres crimes commis par l’armée et les milices ukrainiennes, le 6 mai 2022.

Sources : Mission permanente de la Russie à l’ONU et Conseil de Sécurité de l’ONU

Traduction : lecridespeuples.fr

Note du Cri des Peuples : Nous n’avons pas eu le temps de sous-titrer en français les vidéos 4, 5, 8 et 9, mais elles sont sous-titrées en anglais.

Vassily Nebenzia : Chers collègues,

Nous vous souhaitons la bienvenue à notre réunion « Arria-formula » consacrée aux crimes commis par l’armée et les milices ukrainiennes dans le cadre de l’opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine. Aujourd’hui, nous allons essayer de parler le moins possible par nous-mêmes et de partager avec vous les récits des habitants de l’Est et du Sud de l’Ukraine et de donner la parole aux journalistes étrangers qui ont travaillé dans ces régions.

Si vous lisez les grands médias occidentaux et écoutez les politiciens occidentaux et ukrainiens, vous aurez dans votre esprit plus ou moins l’image suivante de ce qui se passe en Ukraine. « La Russie, jalouse de la réussite de son voisin et de ses perspectives de devenir membre de l’UE et de faire partie d’un monde libre et civilisé, a lancé une invasion à grande échelle contre ce pays. Les forces russes ont commis et continuent de commettre des atrocités [contre les civils], et les courageux militaires et défenseurs ukrainiens tentent de les mettre à l’abri des terribles bombardements russes aveugles. »

La réalité, cependant, est étonnamment différente, et les autorités ukrainiennes et leurs soutiens occidentaux ne sont pas intéressés à faire la lumière sur celle-ci. Je n’évoquerai pas ici la question des provocations flagrantes et odieuses de l’Ukraine et de ses parrains comme Boutcha, Kramatorsk et Irpin. Ces fabrications sont si évidentes que la présidence britannique du Conseil de sécurité a même décidé, en violation totale du règlement intérieur du Conseil, de nous refuser notre droit de demander une réunion d’urgence sur la provocation de Boutcha.

Je vais simplement essayer de réfuter certains des mythes promus par l’Ukraine en passant le micro à des concitoyens ukrainiens qui ont été confrontés à la terrible réalité sur le terrain.

Comme vous le savez tous, même les activités militaires ont leurs lois. Il s’agit du droit international humanitaire, qui se résume en gros, entre autres, aux principes suivants : pas d’utilisation d’infrastructures civiles à des fins militaires, pas de placement d’armes lourdes dans des zones résidentielles, pas d’utilisation de la population civile comme « bouclier humain » et traitement digne des prisonniers de guerre. Nous avons des raisons de croire que tous ces principes sont systématiquement violés par l’armée et les milices ukrainiennes.

De nombreux témoins affirment que l’armée ukrainienne utilise les civils comme otages et « boucliers humains ». Voici à quoi ressemblent, par exemple, les tactiques de défense du bataillon Azov dans les grandes villes, notamment Marioupol.

Vidéo 1 (original)

Vous pouvez voir à l’écran qu’ils se placent normalement au premier étage et aux étages supérieurs des immeubles résidentiels tandis que la population civile est prise en otage au milieu du bâtiment. Les chars sont placés sous les arches, s’il y en a. L’ensemble de l’édifice se transforme en position d’artillerie.

Il existe de nombreux témoignages attestant que les militaires ukrainiens placent des chars, des pièces d’artillerie et des systèmes de lancement de roquettes dans des zones résidentielles, souvent en dépit des protestations manifestes des habitants de ces quartiers, transformant ainsi ces bâtiments en une sorte de sandwich. Et c’est ainsi que les habitants des villes ukrainiennes décrivent la situation. Nous aimerions attirer votre attention sur les propos concernant le théâtre de Marioupol, qui aurait été détruit par les forces armées russes.

Vidéo 2 (original)

Nous avons de nombreux témoignages de personnes à qui l’on a interdit de sortir des villes assiégées par les couloirs humanitaires ouverts par la Russie et qui ignorent même l’existence de ces couloirs. Je m’excuse par avance auprès du public russophone. La vidéo suivante contient quelques obscénités, mais nous avons jugé nécessaire de conserver le discours tel quel.

Vidéo 3 (original)

Un grand nombre de ces crimes sont attribués aux soi-disant unités de défense territoriale qui ont été imprudemment armées par les autorités ukrainiennes malgré le fait qu’il y ait dans leurs rangs beaucoup de criminels condamnés et de détenus libérés de prison. Cela a entraîné l’anarchie et des pillages à grande échelle dans un certain nombre de villes. Il y a beaucoup de témoins d’attaques délibérées sur des blocs résidentiels, des maisons et des infrastructures civiles par des détachements d’Azov et de l’armée ukrainienne pour présenter cela comme le résultat d’une opération militaire russe, et ainsi compromettre nos affirmations selon lesquelles nous n’utilisons que des armes de haute précision et ne ciblons pas les infrastructures civiles.

VIDEO 4

La situation concernant l’évacuation des civils de Marioupol est largement couverte par les médias en ce moment, mais les informations pertinentes sont fortement déformées par les médias ukrainiens et occidentaux. Écoutons certains des témoins. Mon collègue, le premier Représentant permanent adjoint, Dmitry Polyanskiy, va maintenant prendre la parole pour vous présenter une interview intéressante.

VIDEO 5

Dmitry Polyanskiy : Le mérite de cette séquence émouvante revient à Patrick Lancaster, qui devait être avec nous aujourd’hui, mais qui n’a pas pu. Il s’agit de sa couverture de ce qui se passe actuellement à Marioupol.

Je veux faire référence au fait que les grands médias occidentaux couvrent le sujet des personnes évacuées de Marioupol. C’est déroutant, car ils disposent des mêmes matériaux que leurs collègues russes, des mêmes décors et des mêmes témoins. Il est extrêmement décevant de constater que, dans la plupart des cas, les journalistes occidentaux pratiquent la censure et dissimulent les informations gênantes au public occidental. C’est ainsi que l’on crée un nouveau rideau de fer. Je ne vous donnerai qu’un exemple très récent.

Le 2 mai, un groupe de journalistes de nombreux pays a interviewé un groupe de personnes évacuées de l’aciérie Azovstal. L’une d’entre elles, Natalia Usmanova, s’est montrée très loquace et émotive. C’est pourquoi elle est apparue dans de nombreuses séquences. Elle s’est entretenue avec Reuters, qui a publié un court article accompagné d’une séquence vidéo sur son site Internet.

Voici l’article de Reuters en question en intégralité :

BEZIMENNE, Ukraine, 1er mai (Reuters) – Recroquevillée dans le labyrinthe de bunkers datant de l’ère soviétique, profondément enfouie sous l’immense aciérie Azovstal, Natalia Usmanova a eu l’impression que son cœur allait s’arrêter tant elle était terrifiée par les bombes russes qui s’abattaient sur Marioupol, la saupoudrant de poussière de béton.

Usmanova, 37 ans, a parlé à Reuters dimanche après avoir été évacuée de l’usine, un complexe tentaculaire fondé sous Josef Staline et conçu avec un réseau souterrain de bunkers et de tunnels pour résister à une attaque.

« Je craignais que le bunker ne résiste pas, j’avais une peur terrible », a déclaré Usmanova, décrivant le temps passé à s’abriter sous terre.

« Lorsque le bunker a commencé à trembler, j’étais hystérique, mon mari peut en témoigner : j’avais tellement peur que le bunker s’effondre. »

« Nous n’avons pas vu le soleil pendant si longtemps », a-t-elle déclaré, s’exprimant dans le village de Bezimenne, dans une zone de Donetsk sous le contrôle des séparatistes soutenus par la Russie, à environ 30 km (20 miles) à l’est de Marioupol.

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Natalia Usmanova, 37 ans, employée de l’aciérie Azovstal, évacuée de Mariupol, réagit à son arrivée dans un centre d’hébergement temporaire pendant le conflit Ukraine-Russie dans le village de Bezimenne, dans la région de Donetsk, en Ukraine, le 1er mai 2022.
REUTERS/Alexander Ermochenko

Elle a remémoré le manque d’oxygène dans les abris et la peur qui s’est emparée des personnes qui s’y étaient entassées.

Mme Usmanova faisait partie des dizaines de civils évacués de l’usine de Marioupol, une ville portuaire du sud du pays assiégée par les forces russes depuis des semaines et laissée à l’abandon.

Usmanova dit avoir plaisanté avec son mari pendant le trajet en bus, dans un convoi agréé par les Nations unies et le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), en disant qu’ils n’auraient plus à se rendre aux toilettes avec une torche.

« Vous ne pouvez tout simplement pas imaginer ce que nous avons vécu : la terreur », a déclaré Usmanova. « J’ai vécu là-bas, j’y ai travaillé toute ma vie, mais ce que nous avons vu là-bas était tout simplement terrible. »

Quelle est l’impression que vous donne ce reportage ? Natalia est terrifiée, effrayée par les frappes russes, elle doit détester la Russie pour ce qu’elle a fait à l’Ukraine. Dieu merci, elle est en sécurité et peut se rendre en Ukraine : c’est l’impression que l’on a en regardant cette vidéo et en lisant le reportage sur le site de Reuters.

Mais en fait, Reuters a fortement censuré ce qu’elle a réellement dit. Regardons le reste du récit de Natalia, qui a été diffusé dans son intégralité à la télévision russe.

VIDÉO 6

Journaliste : Maintenant, où préfèreriez-vous aller, en Ukraine ou en Russie ?

Natalia Usmanova : En Russie, pas en Ukraine. En fait je ne sais même pas si je peux le dire. Franchement, on a peur. On ne sait pas ce qu’on peut dire ou pas.

Journaliste : Vous pouvez dire tout ce que vous voulez.

Natalia Usmanova : Franchement, je ne veux pas aller en Ukraine. Je ne veux pas aller en Ukraine. Notre famille a décidé à l’unanimité qu’on ne veut pas aller en Ukraine. Mais si on décide de revenir, alors ce sera seulement à Marioupol, c’est-à-dire en République populaire de Donetsk, pas en Ukraine.

En tant que citoyenne de l’Ukraine, je dois dire que ce pays en tant qu’Etat est mort à mes yeux. L’Etat et les politiciens et touts ceux qui nous ont infligé tout cela. Ils n’ont pas résolu ce conflit de manière pacifique dès le début.

Et j’ai une question : pourquoi les gens ont-ils été retenus de force dans la ville ? Dès que les tirs ont commencé, le maire a été le premier à quitter la ville. Il a évacué la ville alors que les citoyens étaient coincés. L’armée ukrainienne a tout simplement interdit aux civils de partir, même les enfants, les personnes âgées et les malades. Je veux demander pourquoi, dans quel but ils ont fait ça ?

Cette vidéo montre clairement quelle était l’humeur réelle de Natalia Usmanova. Il est vraiment difficile de commenter cette manipulation éhontée. Comment les téléspectateurs occidentaux apprendront-ils la vérité alors que les chaînes de télévision russes, comme nous le savons tous, sont interdites dans les pays occidentaux ? Qui diffuse de la propagande ici ? Jugez-en par vous-même. Et ma remarque personnelle : honte à vous, Reuters. Au lieu de promouvoir le journalisme, la liberté d’expression et l’accès à l’information, vous choisissez la voie qui consiste à devenir les soldats d’une guerre de l’information contre la Russie. Au fait, le journal allemand Der Spiegel a publié une version plus longue de l’interview de Natalia Usmanova et l’a supprimée après quelques heures. Nous ne doutons pas de la raison de cette censure.

Note du Cri des Peuples — Voici la brève réaction de Reuters à l’accusation russe de censure, qui évite courageusement de parler du fond :

L’ambassadeur adjoint de la Russie auprès de l’ONU, Dmitry Polyanskiy, a déclaré qu’un rapport de Reuters du 1er mai n’incluait pas un commentaire fait par une personne évacuée de l’aciérie. Dans son récit aux médias de l’Ukraine sous contrôle russe [il s’agit de la même interview donnée à plusieurs médias, dont Reuters], Natalia Usmanova a déclaré que les troupes ukrainiennes l’avaient maintenue, elle et d’autres civils, dans l’aciérie contre leur gré.

Un porte-parole de Reuters a déclaré que l’organisation s’en tenait à son reportage.

« Nous cherchons encore à vérifier des aspects essentiels du récit de Natalia Usmanova. Nous nous engageons à rendre compte du conflit en Ukraine de manière impartiale et indépendante, comme nous le faisons dans le monde entier. »

Le ministère de la Défense et l’état-major ukrainien n’ont pas immédiatement répondu aux demandes écrites de commentaires sur la remarque d’Usmanova.

« Reuters, en fait, a fortement censuré ce qu’elle a dit en réalité », a déclaré Polyanskiy lors d’une session informelle du Conseil de sécurité de l’ONU. Les réseaux de télévision russes ont diffusé le commentaire d’Usmanova.

Vassily Nebenzia : Après avoir visionné toutes ces vidéos, on peut se poser une question : pourquoi les combattants ukrainiens traitent-ils leurs concitoyens de manière aussi méprisante, dénigrante et inhumaine ? Pourquoi détruiraient-ils les villes ukrainiennes sans se soucier du sort des civils ? La réponse est très simple et pourtant difficile à digérer : les bataillons Azov et autres nationalistes ne traitent tout simplement pas la population russophone comme leurs égaux, comme des concitoyens de leur pays.

Une autre question importante que nous ne pouvons éviter d’aborder est la cruauté animale de la milice ukrainienne envers les détenus militaires russes. Nous n’allons volontairement pas montrer aujourd’hui les vidéos pertinentes, mais elles sont nombreuses sur les réseaux sociaux. Des soldats russes, les bras attachés dans le dos, reçoivent des balles dans les jambes, sont égorgés, battus de manière très violente et leurs os sont brisés de manière sadique. Et toutes ces tortures sont filmées par de « fiers » miliciens ukrainiens. Pour vous éviter de vous lancer dans une nouvelle série d’accusations inutiles de propagande russe, nous vous invitons simplement à regarder ce qui suit.

https://youtu.be/AB6GAQU2hjA
Vidéo 7 (original)

Chers collègues, nous avons essayé de vous montrer seulement quelques-uns des récits des victimes des crimes et des traitements dénigrants de l’armée ukrainienne et des nationalistes. Nous en avons beaucoup plus, ceci n’en est qu’une petite partie. Nous les documentons afin de garantir que ceux qui ont commis ces crimes rendent des comptes pour leurs actes. Mais en raison des limites de temps, nous allons nous arrêter là et donner la parole à nos distingués informateurs. Ils viennent de différents pays mais ont une chose en commun. Ils ont tous une expérience de première main du travail dans les zones de nos opérations militaires spéciales. Beaucoup d’entre eux ont également couvert la guerre de huit ans menée par l’Ukraine contre les habitants de Donetsk et de Lugansk.

Notre premier intervenant n’a pas besoin d’être présenté. Nous avons le plaisir d’accueillir Anne-Laure Bonnel, journaliste française, qui a déjà fait un travail inestimable pour faire la lumière sur la vie de la population civile de Donbass, qui a été simplement « annulée » dans l’Occident humaniste.

Intervention d’Anne-Laure Bonnel : « L’offensive russe de 2022 est une tragédie pour l’Ukraine, mais gardons à l’esprit que l’Est de l’Ukraine souffre depuis 2014. Le passé jette la lumière sur le présent. Mai 2014 : des hélicoptères ukrainiens tirant sur des civils tués instantanément ou pire, toujours vivants et parlant encore alors que leurs corps étaient coupés en deux. Ces images hanteront à jamais les gens de l’Est. Avec le massacre d’Odessa, ces crimes sont restés impunis.

Donc, oui, j’espère que les négociations en vue d’un accord de paix seront encore possibles.

De plus, nous sommes les rares journalistes français qui ont été témoins oculaires des derniers développements. Mon témoignage est en phase avec ceux de mes collègues. Liseron Boudoul de TF1, la première chaîne française, documente les tirs et bombardements sur Donetsk. De plus, la formation américaine des volontaires a été rapportée par le journaliste Régis Le Sommier pendant son séjour à Odessa.

La paix ne se fait pas seulement par des accords écrits. La paix est faite et maintenue par les peuples. Comment l’apaisement peut-il être garanti après un conflit si les communautés ont été retournées les unes contre les autres, armées encore et encore, et ont appris à se haïr et à se détester les unes les autres ?

En envoyant des armes de plus en plus lourdes et meurtrières en Ukraine, les dirigeants des pays non impliqués dans le conflit ne font que contribuer à une nouvelle escalade entraînant de plus en plus de victimes, de larmes et de ressentiment pendant des années et des décennies à venir.

Inonder un pays d’armes est loin d’unir les nations. N’oubliez pas votre rôle principal. Le monde entier doit immédiatement demander le dialogue et la médiation dans le but de rétablir la paix.

Pousser l’Allemagne vers la remilitarisation met en danger l’Europe. Le continent est au bord de l’effondrement. Une guerre mondiale dont l’épicentre serait en Europe devient de plus en plus plausible. Le danger nucléaire doit être pris au sérieux.

Le conflit dure depuis 8 ans. Est-ce le manque de dialogue et le non-respect des engagements précédents qui ont abouti à l’invasion tragique que nous regrettons maintenant ? Je me le demanderai à jamais.

La solution, le cas échéant, est entre vos mains.

L’humanité compte sur vous et sur les vertus de réunions comme celle de M. Guterres le 26 avril 2022 à Moscou. Chaque vie perdue est un échec. Chaque vie sauvée est une victoire.

Aujourd’hui, dans ce sanctuaire des Nations unies, c’est vous qui gardez les idéaux et la conscience. Cette lourde responsabilité et cet immense honneur qui vous sont accordés devraient vous encourager à donner la priorité au désarmement pacifique.

J’aimerais conclure par une citation. « L’humanité est maudite, si elle est condamnée à tuer pour toujours au nom du courage ». Le courage consiste plutôt à ne pas recourir à la force dans un conflit qui peut être résolu par la raison.

Merci.

J’aimerais vous montrer quelques-uns de mes témoignages sur la guerre du Donbass. 

Merci.

VIDEO 8

Merci Mme Bonnel.

Notre deuxième intervenant est Giorgio Bianchi, photojournaliste, réalisateur, cinéaste et écrivain italien. Il a largement couvert le conflit armé en Syrie et la crise ukrainienne à partir de l’ « EuroMaïdan ». Dans son travail, Giorgio accorde toujours une attention particulière aux questions humanitaires et anthropologiques. Il a également réalisé une interview de la jeune femme Marianna, dont les photos se sont répandues à la vitesse d’une fusée dans les médias occidentaux en tant que victimes de la prétendue attaque d’artillerie russe contre une maternité à Marioupol. Combien de fois avons-nous entendu ces mensonges flagrants au Conseil de sécurité de la part de nos collègues occidentaux ?

Bonsoir, c’est vraiment un honneur pour moi d’être ici.

Je suis récemment rentré du Donbass, où j’ai documenté le conflit pendant environ deux mois.

Je dois dire que je m’attendais à trouver une différence entre la réalité sur le terrain et dans les médias, mais pas à ce niveau.

Je peux comprendre la propagande russe, je peux comprendre la propagande ukrainienne. Ce qui reste incompréhensible pour moi, c’est la propagande européenne.

Avec les médias russes censurés, et avec tous les autres médias supposés officiels alignés sur la propagande ukrainienne, pour le public européen – je suis européen – il est pratiquement impossible de se faire une opinion objective sur la réalité sur le terrain. C’est pourquoi de plus en plus de personnes se tournent vers le web pour recevoir des informations équilibrées.

Les gouvernements et les plateformes numériques, au lieu de se questionner sur ce phénomène, tentent de limiter l’accès à l’information en ligne. Il semble que leur objectif soit de soutenir un seul récit des faits.

La guerre est traumatisante en soi, et j’en sais quelque chose. Il n’est pas nécessaire de la rendre encore plus horrible en inondant l’éther et le papier de fausses nouvelles. Je pense qu’il n’est pas utile d’alimenter le conflit ou de l’élargir, en nourrissant la haine.

Il me semble qu’il existe une sorte d’intérêt à ce que le conflit dure longtemps et s’étende.

J’ai personnellement dénoncé plusieurs fake news diffusées dans les médias européens : la honteuse une de La Stampa qui attribuait de manière mensongère le massacre de Donetsk du 14 mars aux Russes ; le fait que Marianna, la fille qui a symbolisé le bombardement de l’hôpital de Mariupol, n’avait pas été enlevée par les Russes ; le fait que les Russes n’expulsent pas les civils de Marioupol (ils n’ont pas pu évacuer tous les civils qui voulaient partir ; ils n’ont certainement pas emmené ceux qui voulaient rester).

Au contraire, j’ai montré que les soldats et miliciens ukrainiens ont largement utilisé les civils comme boucliers humains. Les témoignages que j’ai recueillis se comptent par dizaines et la grande majorité le confirme. Il n’y a aucune trace de ce travail de vérification des faits dans la presse grand public.

A quel jeu jouons-nous ? Voulons-nous une troisième guerre mondiale ? Voulons-nous réduire les populations européennes à la misère à force de sanctions ?

Je suis un journaliste indépendant. Mon travail a été reconnu internationalement. Mais je ne peux pas travailler en Ukraine car je figure sur une liste noire, Myrotvorets, dans laquelle je suis défini comme un « criminel », simplement pour avoir fait mon travail et pour avoir partagé mon point de vue avec le public, un point de vue documenté par huit années de travail sur le terrain.

Aujourd’hui, on m’accuse d’être un professionnel infiltré. Mais je ne peux pas travailler de l’autre côté car je risque d’être arrêté.

Pensez-vous que cela soit normal ?

Une autre fois : à quel jeu jouons-nous ?

Pour sûr, c’est un jeu très dangereux.

Merci beaucoup.

Merci M. Bianchi.

Nous sommes heureux de saluer aujourd’hui Salem Abdel-Munem, plus connu sous le nom de Salam Al-Obaidi. Il est le chef du bureau de Moscou et de l’Europe du Nord du réseau de télécommunications panarabe indépendant « Al-Mayadeen ». Il a commencé sa carrière journalistique à la fin des années 1980 du 20e siècle, en travaillant comme traducteur dans un certain nombre de publications soviétiques de radiodiffusion étrangère. Plus tard, il a travaillé comme correspondant pour un certain nombre de médias arabes à Moscou. Journaliste universel, il a couvert divers domaines de la vie en Russie, dans la CEI (Communauté des États indépendants), dans les États baltes et en Europe du Nord. Il a une grande expérience du travail dans les points chauds tels que l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, la Syrie, etc.

Al-Obaidi : Merci beaucoup, M. Nebenzia, et bonjour mesdames et messieurs. C’est un grand honneur pour moi de participer aujourd’hui à cet événement organisé par la Mission russe auprès des Nations Unies.

Tout d’abord, j’espère que mon humble participation nous rapprochera au moins un peu plus de la vérité sur ce qui se passe au Donbass, peut-être que cela vous aidera à prendre la bonne décision et à contribuer à mettre fin à l’effusion de sang en Ukraine. Pour cela, il est tout d’abord nécessaire, je pense, d’arrêter l’approvisionnement en armes au régime de Kiev.

Mesdames et Messieurs, je suis heureux d’avoir l’occasion de partager mes impressions avec vous. Après avoir visité un certain nombre de villes et villages du Donbass, la première chose que je veux dire est que je me suis concentré dans mes rapports sur les déclarations des habitants eux-mêmes, leurs humeurs et ces faits qui parlent d’eux-mêmes, où que je me trouve, que ce soit dans chaque maison détruite, dans la salle d’urgence d’un hôpital, devant une fenêtre brisée ou dans un terrain de sport à l’écol, et bien sûr il est impossible de passer outre le drame du théâtre de Marioupol.

C’est probablement la chose la plus importante que je veux souligner : malgré les excès des radicaux et nationalistes, les gens n’ont pas n’ont pas perdu leur humanité et leur soif de paix. J’étais dans le Donbass, dans les Républiques populaires de Donetsk et Lougansk début avril, et la ville de Marioupol était en grande partie libérée des radicaux alors. Nous avons aussi visité d’autres villes libérées. Dans les sept histoires que j’ai filmées là-bas, j’ai essayé de refléter l’image réelle de ce que j’ai vu et entendu. J’ai vu la destruction tout le temps, j’ai entendu les histoires de personnes courageuses qui veulent tourner cette page tragique dans le destin de leur terre et commencer une nouvelle vie en tant que peuple libre. Je vais vous présenter un extrait de mes sept histoires. S’il vous plait, lancez le film.

VIDEO 9

Vassily Nebenzia : Monsieur Al-Obaidi, voulez-vous ajouter quelque chose ?

Al-Obaidi : Oui. Je pense que la pire des choses, la pire des choses est d’avoir des yeux et de ne pas voir, ou de ne pas vouloir voir la vérité. C’est très facile de parler de la guerre assis sur votre chaise, que ce soit au bureau, dans un studio ou à la maison, mais c’est tout autre chose de la voir de vos propres yeux, à travers les yeux d’enfants qui ont vu toutes les horreurs de la guerre. J’ai vécu en Russie pendant de nombreuses années et je peux dire en toute confiance que les Russes ne veulent pas la guerre. Les résidents du Donbass ne veulent pas la guerre. La célèbre chanson [pacifiste soviétique] le dit bien : « Les Russes veulent-ils la guerre ? ».

Merci.

Merci M. Al-Obeidi. J’attire l’attention de l’audience sur le fait que nous n’éditons ni ne censurons aucun de nos briefings.

Bienvenue à Sonja van den Ende, des Pays-Bas, dont les témoignages sur les tragédies des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk sont également inestimables.

Sonja van den Ende : Bonjour. Tout d’abord, je vous remercie beaucoup M. l’ambassadeur et les membres de l’ONU de me donner l’occasion de m’exprimer aujourd’hui.

La semaine dernière, j’ai visité les républiques de luhansk et de donetsk, je me suis rendu tout d’abord dans la ville de Meliteopol. Nous y avons entendu une déclaration du nouveau maire, et elle nous a dit que l’ancien maire avait été kidnappé, et il est maintenant libre et il est en tournée en Europe. Il est en tournée sans que les gens sachent qu’il fait partie du bataillon Azov et du Secteur droit, qui est un parti populiste de droite. Il est accueilli par l’Europe démocratique. C‘est ce que je ne comprends pas : que l’Europe, l’Europe démocratique que je connais, surtout le pays d’où je viens c’est-à-dire les Pays-Bas, donnent la parole à des gens qui sont d’extrême droite, qui sont clairement avec le bataillon Azov, dont on peut voir l’emblème sur leurs costumes, leurs tenues, leurs drapeaux, vous pouvez le voir partout.

Et nous, journalistes occidentaux comme mon collègue d’Italie, sommes sur une liste (noire), nous sommes censurés en Europe, nous ne pouvons pas dire la vérité alors que nous étions là et que nous avons vu des choses horribles. J’étais par exemple aussi à Marioupol, j’ai vu la guerre, j’ai vu ce qu’elle fait aux enfants, j’ai entendu les bombardements. Je sais qu’il y avait des combats dans l’usine d’acier Azovstal. Mais il n’y a qu’un côté de l’histoire qui est présenté en Europe, l’autre côté n’est pas présenté car ils ne permettent pas aux journalistes européens d’aller en Russie, ou du moins du côté russe en Ukraine.

Aujourd’hui, M. Scholz, le chancelier allemand, a dû aller s’excuser parce que les Ukrainiens l’ont traité de « saucisse de foie », ce qui est une insulte terrible. Donc si les politiciens ne peuvent même pas aller en Russie ou parler avec la Russie, que veut l’Europe, que veut-elle ? La troisième guerre mondiale ? On dirait bien. Parce que les gens en Ukraine ne veulent pas de troisième guerre mondiale. J’ai vu la guerre dans leurs yeux, j’ai vu ce qui s’est passé. Et je veux aussi souligner la tragédie au théâtre de Marioupol. J’ai parlé là-bas avec un militaire russe qui m’a expliqué que ça n’a pas pu arriver à cause d’une bombe parce que le bâtiment a implosé de l’intérieur, donc sans aucun doute, il devait y avoir des armes stockées sous le théâtre. Et beaucoup de gens à qui j’ai parlé, des résidents, m’ont tous dit que la nuit ou le jour où c’est arrivé, il n’y a pas eu de bombardements Russes, alors pourquoi nous n’entendons pas cette histoire ? Pourquoi n’entendons-nous les histoires que du côté ukrainien ? Où est la presse libre ? Pourquoi Russia Today est-elle bannie en Europe ?

Pouvez-vous me dire que c’est l’Europe libre et démocratique où la liberté de la presse est au plus haut, comme on le prétend toujours ?  Ce n’est pas le cas, tout est censuré. Alors s’il vous plaît, membres de l’ONU, essayez de faire respecter la liberté de la presse, donnez aussi la parole à l’autre côté parce que dans une guerre, il y a toujours des choses qui arrivent, mais je suis 100% sûr que les Russes ne veulent pas la guerre, tout comme les Européens ne veulent pas la guerre, nous le voyons bien. On l’a vu à Marioupol, on l’a vu à Mélitopol, les gens ne veulent pas la guerre. Et le plus terrible aussi c’est qu’il y avait beaucoup de personnes âgées restant à Marioupol, cachées dans les caves, et beaucoup de gens m’ont dit qu’ils ont tous été utilisés comme boucliers humains, donc c’est très très terrible.

Pour conclure, s’il vous plaît, pensez à permettre la liberté de la presse, en nous donnant à nous les journalistes de guerre qui allons dans ces dans ces endroits pour vous rapporter ce qui se passe. Et au moins, assurez-vous que cette guerre ne va pas s’aggraver en une troisième guerre mondiale.

Merci beaucoup.

Vassily Nebenzia : Merci Mme van den Ende.

Et notre dernière invitée, mais non la moindre, est Asya Zuan, rédactrice en chef de l’édition bulgare de l’agence « News Front », qui connaît également très bien le contexte ukrainien, en particulier le Donbass.

Nous ne doutons pas que leurs exposés contribueront à diluer l’approche médiatique unilatérale des événements dans les régions orientales de l’Ukraine et permettront de voir et d’entendre d’autres témoignages de graves violations du droit international humanitaire et de crimes de guerre par les forces armées ukrainiennes et les bataillons nationalistes. Asya Zuan :

Asya Zuan : Merci beaucoup. Bonjour M. l’ambassadeur. Distingués délégués et chers collègues, je veux remercier tout d’abord mes collègues qui commencent à parler et à montrer la vérité. Si vous me le permettez, je voudrais commencer par une citation qui est vraiment très pertinente pour la situation actuelle : « La dernière guerre entre les peuples sera une guerre pour la vérité. Cette guerre sera dans chaque personne, la guerre contre sa propre ignorance, sa propre agression, sa propre irritation, et seule une transformation radicale de chaque individu peut devenir le début d’une vie paisible pour tous les peuples. »

Avant que je commence avec ma présentation, intitulée « Donbass : la vie sous le feu et le silence criminel du monde civilisé », je dois vous dire qu’avant notre réunion aujourd’hui, j’ai été informée et prévenue que je ne pourrai jamais revenir dans mon pays natal, la Bulgarie, si je participais à cette réunion. Mais j’ai quand même pris la décision de faire ce discours aujourd’hui parce que je crois que cette réunion est extrêmement importante pour la société mondiale et la sécurité globale.

Je suis une journaliste bulgare. J’ai visité le Donbass plusieurs fois. J’ai vu les yeux des gens. J’ai vu comment les armes ukrainiennes tirent sur leurs maisons, et j’ai commencé à montrer cela dans mon pays. Après ma première visite, j’ai uploadé [inaudible]. Je crois que c’est aussi une grande violation du droit international humanitaire, parce qu’aujourd’hui nous parlons tous de violations systématiques et massives, de graves violations du droit international humanitaire ainsi que d’autres crimes de guerre commis par les militaires et milices ukrainiens découverts au cours de l’opération militaire spéciale en cours.

Je veux prêter attention à plusieurs moments liés à la guerre de l’information, notamment les marins capturés, dont un bulgare, par les nationalistes d’Azov, et la situation sur le fait que les armes ukrainiennes sont fournies en quantité énorme par les Etats-unis.

Je voudrais poser une simple question : nous savons tous ce qu’est une arme : une arme est une chose que l’on utilise pour tuer des gens. Alors je crois qu’aujourd’hui il y a des représentants des États-Unis et laissez-moi vous poser quelques questions à ce sujet.

Je veux demander pourquoi cet argent que les États-Unis allouent pour les armes et la soi-disant assistance militaire n’est pas dirigée vers l’aide humanitaire, parce que je crois que les ukrainiens n’ont pas besoin d’armes. Je crois que les ukrainiens ont besoin de nourriture, d’éducation, d’aide psychologique et généralement d’une vie sans l’ « aide » des États-Unis. Je crois que si les Etats-Unis ne fournissent pas d’armes à l’Ukraine (et ne forcent pas les autres pays à le faire), il n’y aura pas de dette et pas de guerre. Si les états-unis ne dépensaient pas tant d’argent pour des activités militaires biologiques en Ukraine en particulier et globalement dans tout le monde et l’espace post-soviétique, il n’y aurait pas d’épidémies de maladies infectieuses inconnues et de morts. Parce que moi et ma collègue bulgare Esther Dilena Gatenzeva nous avons fait quelques enquêtes sur ce sujet.

J’aimerais vous poser une question : vous développez des armes biologiques en Ukraine. Pourquoi avez-vous besoin de tant de laboratoires là-bas ? Et n’est-ce pas une grande violation du droit international humanitaire ? Aussi je suppose que tout le monde a entendu parler de la situation à Marioupol où les nationalistes ont capturé plusieurs navires étrangers, dont le navire bulgare Tsarevna. Pourquoi les autorités bulgares ont-elles nié que les marins ont été secourus par la DPR et les forces armées de la Fédération russe ? Pourquoi ont-elles nié qu’Azov a a tiré depuis le navire ?

Les nationalistes d’Azov ont capturé deux navires bulgares, Sarena et Lady Augusta, et ont pris l’équipage en otage. L’information a été connue en avril, le 10 avril selon l’information de l’armée du peuple de la DPR. Le 8 avril, le chef du ministère des affaires étrangères en de la DPR, Natalia Nicanorovo, a signalé que l’armée ukrainienne avait bloqué au moins six navires étrangers dans le port de Marioupol. Ils ne pouvaient pas quitter le port en raison du risque d’utilisation d’armes ou en raison du risque potentiel que la la zone d’eau du port pourrait être minée. Sur le navire bloqué en particulier, il y avait des citoyens de Bulgarie, Syrie, Azerbaïdjan, Turquie, Libéria et Egypte. Je veux faire quelques citations de nos marins bulgares qui ont été sauvés par la DPR et les soldats russes. Nos marins ont dit : « Tout d’abord, je tiens à remercier la DPR du fond du coeur pour nous avoir sauvés, pour l’évacuation. C’est très touchant que des gens qui sont en première ligne essayent de nous calmer. Ils nous ont donné de la nourriture, de l’eau, des conserves. » Et quelque chose de très touchant, le deuxième ingénieur à bord a expliqué que le gouvernement de Bulgarie restait silencieux pour des raisons politiques.

Je voudrais demander : n’est-ce pas une violation du droit international humanitaire ? Aussi, une autre citation : « Il n’y a eu que la DPR pour nous sauver, il n’y avait personne d’autre pour nous sortir de là. Seulement la DPR et la Fédération de Russie. Je remercie la DPR et la Russie de nous avoir évacués, de nous avoir bien traités de nous avoir donné de la nourriture et de l’eau », a ajouté un autre marin, Radoslav Stryanov.

Cette situation a montré que les nationalistes d’Azov ont un tel sentiment d’impunité qu’ils se sont permis de traiter les gens d’autres pays ainsi en sachant ou en croyant que rien ne leur arrivera. N’est-ce pas une violation du droit humanitaire international ? Pourquoi la communauté internationale ferme-t-elle les yeux sur de telles choses ?

Egalement au sujet de cette guerre internationale d’information, je pense que tout le monde connaît cette incroyable femme, Angelina Jolie, que j’admire depuis mes années d’école. Cette femme incroyable, une grande mère et une actrice extrêmement talentueuse, a fait les titres quand elle est venue en Ukraine soutenir le peuple ukrainien. J’aimerais demander à Angelina Jolie pourquoi vous n’êtes jamais venue au Donbass pendant ces huit ans ? Quelle est la différence entre les gens du Donbass et les gens en Ukraine ? Pourquoi une telle différence de traitement entre les gens ?

Et si vous me permettez, depuis cette tribune, je veux dire aux autorités bulgares, parce que je suis bulgare et que mon pays fournit des armes à l’Ukraine, parce que je crois que ces armes sont utilisées pour tuer des gens et tuer les enfants dans le Donbass. Nous ne devons pas participer à de tels crimes de guerre. Et je pense qu’il est temps que les gens dans le monde entier disent la vérité pour arrêter cette guerre.

La situation est simple : les Etats-Unis et les autres pays occidentaux doivent cesser de fournir des armes à l’Ukraine et il n’y aura pas de guerre. Maintenant, je crois que la Russie fait de son mieux pour arrêter cette maladie nationaliste qui frappe toute l’Europe. Je crois que l’opération spéciale russe vise à l’arrêter, parce que quelqu’un doit arrêter les Etats-Unis qui utilisent l’Ukraine pour cette terrible guerre.

S’il n’y avait pas de fourniture d’armes, il n’y aurait pas eu de crimes aussi terribles. Comme d’autres journalistes, j’ai regardé des vidéos (des crimes ukrainiens dans le Donbass), et je n’ai pas dormi, j’ai pleuré.

Je crois que cette réunion maintenant est vraiment importante parce que si mes collègues d’autres pays commencent à parler de ça, nous pourrions tous ensemble arrêter cette guerre. Nous devons clairement identifier les coupables dans cette situation. Je ne veux pas que notre pays, la Bulgarie, fournisse des armes. Permettez-moi de m’adresser dans ma langue à mes autorités : [déclaration en bulgare].

Et maintenant je veux vous vous montrer une vidéo.

Vidéo 10

Avant de terminer, je voudrais partager quelques chiffres. Selon les données officielles du centre conjoint de contrôle et de coordination de la DPR, du 17 février au 6 mai 2022, pendant les 79 jours de l’escalade, 105 civils du Donbass ont été tués, dont 3 enfants. 460 civils dont 39 enfants ont été blessés.

Je vous remercie.

[Tour de table des membres du Conseil de Sécurité. La France, qui était courageusement absente durant la présentation, a fait une déclaration abjecte de servilité atlantiste, de négationnisme face aux crimes UkroNazis et de russophobie.]

Remarques finales de Vassily Nebenzia : Je pense que nous arrivons à la fin de notre réunion. Je remercie une fois de plus les informateurs, et pas seulement eux, mais aussi ceux qui ont été interviewés. Ces personnes ne sont pas assises à cette table. Elles se trouvent souvent dans des conditions terribles. Mais elles ont expliqué pourquoi ces conditions sont devenues possibles. Contrairement à ce que nous entendons dans les grands médias aujourd’hui, ils disent clairement qui est à blâmer pour ce qui leur est arrivé et ce qui leur arrive.

Chers collègues,

Nous espérons que cette réunion a été utile, pour présenter non pas une alternative, mais les véritables récits de ces témoins, quelle que soit leur opinion. Mais si vos yeux et vos oreilles sont fermés à la vérité, et que vous vous contentez de lire vos déclarations nationales dans vos journaux, nous ne pouvons rien y faire d’autre que d’essayer de revenir avec les véritables récits des personnes qui ont témoigné. Peut-être que certains d’entre vous se complaisent dans leur engourdissement confortable, mais cela ne changera rien à la vérité. Et cette vérité, vous l’avez entendue aujourd’hui de la part d’habitants de l’est et du sud de l’Ukraine et de journalistes qui y travaillent. Alors ouvrez les yeux et accueillez la vérité, même si elle est cruelle ou inconfortable.

Merci.

Voir notre dossier sur la situation en Ukraine.




Pour ceux qui ne comprennent toujours pas

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Sergey Glazyev [homme politique et économiste russe] – Le 4 mai 2022 – Source thesaker.is via glaziev.ru

Je vais essayer d’expliquer brièvement et de justifier les mesures nécessaires pour atteindre la Victoire. Une opération militaire spéciale (SVO) a révélé un plan préparé à l’avance par l’élite du pouvoir et de la finance américaine pour prendre le pouvoir en Russie. Il comprend les éléments et les étapes suivants.

1. Épuiser les forces armées russes dans une guerre avec des combattants bien entraînés et directement contrôlés par le Pentagone des Forces armées d’Ukraine, « cousues » par les nazis avec une verticale d’officiers nommés par les services spéciaux américains et britanniques. Transformer la population de l’Ukraine en zombies infectés par la russophobie. Dans le même temps, inciter la communauté internationale contre la Russie, en lançant des accusations de crimes de guerre et de génocide contre ses dirigeants. Sur cette base, confisquer les avoirs en devises de la Russie et imposer des sanctions totales contre elle, en causant le maximum de dommages possibles. Cette étape est en fait terminée.

2. Terroriser la population russe par le bombardement des colonies frontalières et des infrastructures militaires, le sabotage des transports et les attaques de pirates informatiques. Frapper la conscience publique par un déluge d’infox négatives et de propagande anti-gouvernementale via les réseaux sociaux. Imposer, par l’intermédiaire de leurs agents d’influence dans les autorités financières et économiques, une politique économique qui bloque la mobilisation des ressources, notamment : en gonflant les taux d’intérêt, en poursuivant l’exportation de capitaux, en encourageant la spéculation monétaire et financière, en manipulant le taux de change du rouble et en gonflant les prix. Ainsi, les sanctions peuvent être aggravées à plusieurs reprises et provoquer un effondrement de la production et une baisse du niveau de vie. Cette étape bat son plein.

3. Provoquer des humeurs protestataires et des actions sociopolitiques destructrices visant à renverser les autorités légitimes sur fond de baisse du niveau de vie et de pertes dans le cadre de leurs activités. L’utilisation de tout l’arsenal des méthodes d’organisation des « révolutions de couleur » financées par l’oligarchie compradore sous la promesse du déblocage des avoirs saisis dans la juridiction américano-européenne. En même temps, préparer les bases organisationnelles et idéologiques des actions séparatistes dans les régions. Cette étape est en cours de développement actif.

Ce plan prévoit également les tâches suivantes :

  • la consolidation du contrôle américain sur l’Union européenne et les pays de l’OTAN ;
  • l’utilisation des forces armées de la Pologne, de la Roumanie et des États baltes, ainsi que des mercenaires de l’Ouest, du Moyen-Orient et du Proche-Orient dans les opérations de combat contre la Russie ;
  • la destruction de la population masculine et l’asservissement effectif des femmes et des enfants d’Ukraine pour le développement ultérieur de ce territoire dans l’intérêt de l’élite du pouvoir et de la finance des États-Unis, de la Grande-Bretagne et d’Israël.
  • La mise en œuvre de ce plan, en fait, vise à détruire le monde russe, suivi par les plans de l’« État profond » américain pour détruire l’Iran et bloquer la Chine.

En raison des lois objectives du développement économique mondial, ce plan est voué à l’échec. Les États-Unis ne seront pas en mesure de gagner la guerre hybride mondiale qu’ils ont déclenchée pour maintenir leur hégémonie. Ils sont en train de la perdre irrémédiablement au profit de la Chine, qui se renforce rapidement à la suite des sanctions anti-russes.

Washington, Londres et Bruxelles ont joué leurs principaux atouts pour tenter d’infliger le plus de dommages possibles à la Russie : un monopole sur la question des monnaies mondiales, une image d’État « démocratique » légal exemplaire et une croyance dans le droit « sacré » de la propriété privée. Ils ont ainsi mis tous les pays indépendants devant la nécessité de trouver de nouveaux instruments monétaires mondiaux, des mécanismes d’assurance contre les risques, de rétablir les normes du droit international et de créer leurs propres systèmes de sécurité économique.

Les sanctions anti-russes n’ont pas renforcé, mais, au contraire, sapé la domination mondiale des États-Unis et de l’UE, que le reste du monde a commencé à traiter avec méfiance et appréhension. Ils ont accéléré de manière spectaculaire la transition vers un nouvel ordre économique mondial et le déplacement du centre de l’économie mondiale vers l’Asie du Sud-Est. La Russie doit tenir tête aux États-Unis et à l’OTAN dans leur confrontation, en la menant à sa conclusion logique, afin de ne pas être tiraillée entre eux et la Chine, qui devient irrémédiablement le leader de l’économie mondiale.

Sergey Glazyev

Note du Saker Francophone

Ce que Glazyev ne dit pas, c’est que ce ne sont pas seulement les pays indépendants qui s’opposent de plus en plus frontalement au bloc occidental mais toute une partie de sa population, un front intérieur, une vraie « 5ème colonne » mais légitime, elle, et de mieux en mieux informée surtout. Ce n’est pas le bloc occidental qui est isolé mais ses dirigeants. Au fur et à mesure que la crise économique, énergétique, financière, culturelle va se déployer, elle va toucher non seulement les couches basses de la population déjà victime de la globalisation (Gilets Jaunes) mais aussi les classes moyennes supérieures au cœur de la technocratie qui ont certes encore voté Macron en France mais en se faisant forcer gentiment la main sans avoir bien mesuré l’ampleur de ce qui arrive.

Leur colère, devant les premières assiettes vides, n’aura d’égal que leur coolitude et leurs certitudes actuelles. Ces fronts intérieurs vont donc probablement se dégrader très vite, de la part d’une population apparemment captive et surtout très proche physiquement des dirigeants. Et il n’y aura rien à faire pour la classe dirigeante car il n’y a aucune connexion directe, à par éventuellement internet pour couper temporairement l’accès aux analyses d’un Glaziev par exemple, entre les dirigeants de ces pays indépendants et la « 5ème colonne » qui pense et va agir en toute autonomie, n’est pas organisée, donc pas décapitable.

Si on veut être un peu taquin, l’image serait celle d’un filet à poisson industriel qui se resserre progressivement. Le moment de la prise de conscience se fait toujours après le point de non retour. On peut aussi penser à ces « mercenaires » qui trop confiants se sont faits enfermer dans Marioupol puis dans Azovstal puis dans les souterrains d’Azovstal.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Propriété privée en phase de confiscation

Par Adèle Hunter

L’Agenda 21. Bas les pattes sur nos propriétés !

Peut être que vos enfants n’auront plus droit à l’achat d’une maison ou d’un terrain. Peut-être que la succession se fera au seul profit de l’État ?

Rien n’est impossible vu que Blackrock et Vanguard rachètent tous les biens en Floride cette année, parfois à un prix supérieur au taux du marché.

Si cela se fait aux USA, cela viendra en France au futur. On a entendu la Wargon vociférer sur les pavillons privés et prétendre que l’enjeu climatique demande l’abandon des maisons individuelles. Un de ses confrères en Espagne a lâché que les trajets par avion finiront.

Le CEO de Blackrock ne se gêne pas pour visiter l’Élysée et prescrire ses recettes, c’est-à-dire la retraite à 65 ans. De fait en France à cause de ce président qui a fait noyauter le système par des cabinets privés américains, pour la Santé, l’Éducation et même l’Armée, et donc court-circuiter les institutions du pays y compris les élections avec des serveurs chez Verizon entre autres, la France est entortillée par des étrangers. La fusion est parfaite. Quand on sait les problèmes de démocratie aux USA, la corruption de toutes leurs instances, on ne peut que frémir pour notre pays. Il est vrai que les États y résistent au Fédéral et les tribunaux sont sans peur, mais une telle indépendance ne se retrouve pas ici où les magistrats sont nommés par l’exécutif et le jacobinisme issu de la Révolution de 1989 a rogné les prérogatives des régions et même corrompu les députés et sénateurs. Tous au garde-à-vous.

Mais on se concentre sur la propriété. Que permet-elle ? L’indépendance, la sécurité du logis et bien sûr des économies, les maisons prenant de la valeur tous les ans. Ce que les Américains nomment equity, le pouvoir d’amasser de l’argent sur un bien désirable. En plus, un bon terrain permet de faire pousser des légumes. En fait, la pleine propriété produit le calme et bien du bonheur.

C’est cela que les transhumanistes veulent détruire. Ils vous priveront de vos racines et empêcheront probablement vos enfants d’hériter pour sauver le climat ou tout autre argument ridicule qu’ils sont bien en peine de vérifier scientifiquement.

Donc c’est dans leurs papiers. Votre propriété peut être confisquée parce que vous refusez le vaccin de mort que l’OMS à prescrit internationalement. Grâce à la 5G on peut voir quand vos trajets automobiles dépassent votre quota. Ou bien votre crédit social est trop faible et vous osez vous plaindre dans les réseaux sociaux… C’est cela l’intelligence artificielle, les données amassées sur vous.

Certains commentateurs disent qu’on en revient au communisme. Rien ne vous appartient en propre et vous n’avez aucun intérêt dans la société qu’ils veulent créer. Évidemment, la confiscation n’est pas perdue pour tous. L’élite se l’appropriera.

Pour contrer cette peste, que faire ? Est-ce une bonne idée d’associer vos enfants à votre propriété et de n’en garder que l’usufruit ? Cela dissocierait votre cas particulier de résistant, rebelle, dissident pour donner votre propriété aux enfants.

On voit bien que la plate-forme d’obéissance civile pèse de tout son poids sur les malheureux humains. Le covid-19 n’a pas suffi, il leur faut le défi climatique. Tout dans l’urgence et le décret qui annule la Constitution, Nuremberg ou les acquis historiques.

On a vu les prix de l’électricité monter depuis l’ère de la vache sacrée, le « Renouvelable ». Encore un autre shibboleth [Un shibboleth est une coutume ou une tradition, généralement un choix de formulation ou même un seul mot, qui distingue un groupe de personnes d’un autre. Les shibboleths ont été utilisés tout au long de l’histoire dans de nombreuses sociétés comme mots de passe, simples moyens d’auto-identification, signalant la loyauté et l’affinité, maintenant la ségrégation traditionnelle ou protégeant des menaces réelles ou perçues.] et le troisième, cette fois pour anéantir l’espoir et l’enthousiasme des consommateurs.

En fait, le décor est planté pour gâcher la vie des gens avec les trois objectifs qui ne sont ni utiles ni scientifiquement reconnus, mais sont finalement délétères : vaccination, confiscation, urgence climatique. Ne vous laissez pas berner !!!!

Récemment, une obscure entité « International Energy Agency » (IEA), sortie de nulle part, a décrété que pour sauver le climat il fallait reconfiner l’humanité de nouveau. Ce sont toujours des gens sinistres qui font entendre le plus de paroles. Ils ont confisqué la rationalité et le bon sens et c’est la nef des fous ! Et les fous se sont emparés du gouvernail et voguent vers les récifs !




Le serment d’Hippocrate à géométrie variable du Collège national des généralistes enseignants (CNGE)

Par le Dr G Delépine

Le Collège national des généralistes enseignants (CNGE) a appelé à voter Macron relayé sur les réseaux sociaux par le Dr Jérôme Marty, président de l’UFML, le Syndicat national des jeunes médecins généralistes (SNJMG) ou encore le Dr Mathias Wargon(([1] En époux d’une ministre…)), chef des urgences de l’hôpital de Saint-Denis.

Ils affirment(([2] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/politique-de-sante/generalistes-enseignants-etudiants-universitaires-et-mutualite-appellent-clairement-faire-barrage)) que le serment d’Hippocrate serait :

« en totale contradiction avec celles de l’extrême droite qui a toujours prôné un discours d’exclusion, de sectarisme, d’intolérance et de xénophobie qui heurte au plus profond le, sens de nos pratiques et de nos engagements ».

Médecin qui se bat depuis toujours pour le strict respect de ce serment que j’ai juré de respecter et de défendre, je suis scandalisé de cette instrumentalisation politique par des organisations et des personnes qui ne l’ont jamais défendu contre les décisions du gouvernement Macron qui l’ont bafoué pendant ces deux dernières années telles que :

1°) L’interdiction faite aux médecins de prescrire de la Chloroquine sous le fallacieux prétexte d’une toxicité que seuls des articles mensongers signalaient (en totale contradiction avec l’expérience de 50 ans d’usage libre sans toxicité notable.) Interdiction sans précédent historique que le CNGE n’a pas dénoncée.

2°) L’injonction de ne donner que du Doliprane(([3] À risque par ailleurs :
http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/utilisation-paracetamol-erreur-prejudiciable-pour-la-sante))

Qu’ont-ils fait à ces moments pour « préserver l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. », comme ils l’ont juré ?

3°) Le décret Rivotril et l’instruction de pratiquer des euthanasies actives des personnes âgées au Rivotril sur simple suspicion de covid, sans l’avis des intéressés ni de leurs familles interdites de visite.

Qu’ont-ils fait pour défendre cette partie de leur serment : « Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. » ? Euthanasie active que trop peu médecins et en tout cas pas le CNGE ont dénoncée.(([4] Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion-223015))

4°) Et lors de l’instruction ministérielle de ne pas adresser aux urgences nos aînés suspects de covid, pourquoi le CNGE n’a-t-il pas répondu comme le serment le prévoit :

« Je ne permettrai pas que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, croyance… s’interposent entre mon devoir et mon patient ».

5°) Qu’a fait le CNGE lors des décisions Macron d’instaurer un apartheid avec les pass sanitaire puis vaccinal y compris dans les maternités et les hôpitaux ? A-t-il oublié que tout médecin a juré :

« Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. »

Tout au long de cette crise, la défense du serment d’Hippocrate n’a apparemment pas préoccupé le CNGE lors des violations réalisées par le gouvernement Macron. Mais elle monte un procès d’intention à M Le Pen ? Deux poids, deux mesures qui font fortement douter de l’éthique du CNGE.

De plus cette application à géométrie variable du serment d’Hippocrate se double d’un déni scientifique. L’ignorance du Collège national des généralistes enseignants atteint des sommets lorsqu’il affirme :

« , le Rassemblement national s’est illustré au cours de la crise Covid par des prises de position s’opposant brutalement aux données scientifiques. En deux ans, Marine Le Pen a défendu la liberté de prescription d’hydroxychloroquine ou s’est montrée “fondamentalement opposée à la vaccination Covid des enfants. »

En effet, il suffit de consulter les données publiées par l’OMS(([5] Consultable en français à « OMS coviddashboard » :
https://covid19.who.int/)) et les courbes de l’université John Hopkins pour vérifier que les affirmations du CNGE sur la chloroquine et les pseudo vaccins en contradiction totale avec données scientifiques du monde réel reposent uniquement sur le crédo gouvernemental.

1°) Que ce soit en Algérie qui a conseillé et appliqué le protocole Raoult et qui compte treize fois moins de morts par millions que nous(([6] https://ripostelaique.com/le-succes-de-lalgerie-face-au-covid-confirme-lefficacite-du-protocole-raoult.html)) alors que sa population partage les mêmes facteurs de risque (âge avancé(([7] Les 60 ans et plus représentent 25 % d la population algérienne : près de 11 millions, sur une population globale de plus de 40 millions d’après l’agence officielle d’Algérie.)), obésité, hypertension…) que la nôtre :

2°) Ou en Afrique équatoriale qui souffre du paludisme et dont les populations qui prennent quotidiennement des antipaludéens ont été largement épargnées(([8] https://nouveau-monde.ca/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/)):

3°) ou en Inde dont le Covid task force a refusé de suivre l’OMS et fortement conseillé l’usage préventif et précoce de la chloroquine

3°) Que les vaccins ont été incapables de diminuer la mortalité Covid. Les pays qui ont prescrit des traitements efficaces (HCQ, Artémisine, Ivermectine) comptent 5 à 20 fois moins de morts que ceux qui, comme la France, ont refusé les traitements précoces et imposé le crédo du tout vaccin

4°) que l’injection des enfants par des substances géniques expérimentales qui ne sont pas des vaccins(([9] Selon Pasteur un vaccin est constitué d’antigènes obtenus à partir de l’agent pathogène inactivé ou tué. Les pseudo vaccin covid ne contiennent pas d’antigène, mais seulement un ARN messager.)) est inutile et dangereuse n’est donc absolument pas justifiée.

Chez l’enfant, les pseudo vaccins ne peuvent pas lui être utiles. Toutes les études publiées et toutes les sociétés de pédiatrie du monde s’accordent pour affirmer que le covid est rare chez l’enfant et qu’il est le plus souvent asymptomatique et qu’il n’est pas dangereux. Le relevé de santé publique France montre que dans cette tranche d’âge, il est trois fois moins dangereux que la grippe. Les enfants ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel des injections anti-covid.(([10] Large bibliographie in « Les enfants sacrifiés du covid » par N et G Delépine éditions Fauves 2022))

Toutes les études épidémiologiques montrent que les enfants ne contaminent personne et qu’ils ne constituent pas un vecteur de transmission communautaire.

Leur injecter des produits expérimentaux qui se sont de plus révélés incapables de prévenir les transmissions ne présente donc aucun intérêt pour les personnes fragiles.

Surtout les injections géniques expérimentales sont dangereuses(([11] https://docteur.nicoledelepine.fr/le-point-sur-les-complications-des-pseudovaccins-anticovid-au-4-mars-2022/))(([12] https://pgibertie.com/2022/03/09/mise-en-danger-de-la-vie-dautrui-ils-savaient-et-pourtant-ils-ont-meme-pique-des-enfants-et-des-femmes-enceintes/)) et de nombreuses allergies, myocardites ont été signalées.

En France fin février 2022, on dénombrait selon l’ANSM déjà 44 enfants décédés de cette injection expérimentale et 241 en UE au 1er janvier 2022 selon l’Eudravigilance, site de l’agence européenne recensant les accidents médicamenteux.

Nous ne devrions pas mettre les enfants en danger par une vaccination de masse contre une maladie qui n’est pas dangereuse pour eux”, ont alerté 93 médecins israéliens devant la constatation des complications qu’ils constataient chez l’enfant.

La défense du serment d’Hippocrate doit être permanente et non partisane. Elle doit se baser sur les faits avérés et l’état des connaissances scientifiques. Le Collège national des généralistes enseignants et le Syndicat national des jeunes médecins généralistes n’ont pas dénoncé les multiples violations de ce serment par le gouvernement Macron. On s’étonne donc qu’ils s’en préoccupent aujourd’hui.

Leur communiqué actuel, par son orientation grossièrement partisane et son refus de reconnaître les faits établis publiés par l’OMS, ressemble plus à une Fatwa religieuse qu’à une appréciation objective des faits.

Quelle que soit l’opinion que l’on peut avoir sur tel ou tel candidat, le Collège national des généralistes enseignants et le Syndicat national des jeunes médecins généralistes devraient raison garder et ne pas nier les réalités de la science : les pseudo vaccins expérimentaux sont inefficaces, incapables de contenir le covid même avec des doses de rappel.

Même Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé l’a rappelé quelques jours avant noël(([13] https://www.france24.com/fr/sant%C3%A9/20211222-l-oms-affirme-que-les-doses-de-rappel-ne-mettront-pas-fin-%C3%A0-la-pand%C3%A9mie)):

« Aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie à coups de dose de rappel Des programmes de rappel sans discernement ont toutes les chances de prolonger la pandémie, plutôt que d’y mettre fin ».

Ce communiqué partisan et négationniste ne fait pas honneur à leurs signataires !





L’armée canadienne a-t-elle formé des membres du bataillon néonazi Azov en Ukraine ?

[Source : francais.rt.com]

[Photo : Soldats ukrainiens, dont un arborant un écusson associé à Azov lors d’un entraînement donné par l’armée canadienne en novembre 2020.]

Selon une enquête de Radio Canada basée sur l’analyse d’écussons perceptibles sur des photos officielles de soldats, des instructeurs militaires canadiens auraient formé des membres du bataillon néonazi Azov, contrairement aux engagements du pays.

L’armée canadienne, qui depuis 2014 participe à la formation des combattants ukrainiens pour leur faire intégrer les normes militaires occidentales, pourrait avoir par la même occasion formé des éléments du bataillon notoirement néonazi Azov, comme le révèle une enquête publiée le 11 avril par Radio Canada.

Basée entre autres sur des images publiées en novembre 2020 sur les réseaux sociaux par la garde nationale ukrainienne (à laquelle Azov a été intégré), l’enquête conclut que deux participants à une formation dispensée par des militaires canadiens portent un écusson emblématique du régiment.

L'armée canadienne a-t-elle formé des membres du bataillon néonazi Azov en Ukraine ?
Soldat arborant un écusson du régiment Azov au cours d’un entraînement dispensé par des militaires canadiens en Ukraine en 2020.

Autre élément gênant, sur une autre photo de la formation publiée cette fois par les forces canadiennes : un homme arbore un écusson de la division de la Waffen SS «Galicie», formée en 1943 avec des Ukrainiens, et dont la mémoire est encore célébrée de nos jours par des militants d’extrême droite dans le pays. Gêné par un de ces hommages, le président Volodymyr Zelensky et les autorités ukrainiennes avaient dû condamner cette pratique en 2021 en rappelant que l’utilisation de symboles du nazisme est interdite en Ukraine.

Interrogée, l’armée canadienne a démenti former des membres d’Azov, conformément aux engagements pris par le pays dès 2015. «Les militaires participant à l’op[ération] Unifier ont toujours reçu l’ordre de ne pas s’entraîner avec les membres du bataillon Azov et de n’avoir aucun contact avec eux», précise même l’institution dans un courriel. Mais dans le même temps, l’armée a reconnu ne pas avoir le pouvoir de contrôler les participants aux formations. 

Côté garde nationale ukrainienne, le démenti est total, mais l’enquête note pourtant qu’un communiqué publié sur son propre site web en août 2021 aurait mentionné «que des éléments du régiment Azov (aussi connu sous le nom de détachement spécial de l’unité militaire 3057) avaient reçu un entraînement auprès d’instructeurs formés selon un programme élaboré avec la participation de représentants de l’opération Unifier, appelé PR-1».

L’unité Azov est accusée dans un rapport de 2016 du Haut-Commissariat aux droits de l’Homme des Nations unies de crimes de guerre perpétrés pendant la guerre du Donbass. Elle a été formée par le militant néonazi Andriy Biletsky (député de 2014 à 2019) et son emblème originel faisait figurer un «soleil noir» (symbole du mysticisme nazi), ainsi qu’un Wolfsangel, symbole germanique qui fut utilisé comme emblème par la division SS Das Reich, responsable de nombreuses exactions comme le massacre d’Oradour-sur-Glane pendant la Seconde Guerre mondiale.

Aujourd’hui, les autorités ukrainiennes et Azov lui-même prétendent que le régiment s’est délesté de sa composante idéologique en rejoignant les forces armées pour n’être plus qu’une simple unité combattante, ce que certains observateurs réfutent. L’unité affronte notamment l’armée russe et les forces de la République autoproclamée de Donetsk à Marioupol

Des symboles gênants

La présence de combattants à l’idéologie explicite en Ukraine est régulièrement dénoncée par la Russie qui a justifié son intervention dans le pays par la nécessité d’une «dénazification». À contrario, Kiev et ses soutiens occidentaux démentent ces accusations, les désignant comme de la propagande prétexte à une invasion. 

Il n’empêche que des symboles nazis sont parfois visibles sur des uniformes de combattants ou miliciens ukrainiens. Le 8 mars, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, le ministère des Affaires étrangères ukrainien a publié une photo montrant une femme en treillis arborer un Soleil noir sur la poitrine. 




Rémi Tell : « Je me méfie plus de l’extrême centre que de l’extrême droite ! »

[Source : Sud Radio]

Avec Rémi Tell, entrepreneur et cofondateur du collectif Peuple Libre, auteur de Paroles révoltées, aux éditions Perspectives Libres.




Laurent Mucchielli : « Nous contredisons des forces politiques et financières extrêmement puissantes »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Dans les médias grand public, il avait droit de cité. Il en est désormais « blacklisté ». Jusqu’au déclenchement de la crise du Covid-19, il était considéré comme un adversaire majeur de l’extrême-droite. Le voilà désormais taxé d’extrême-droite. Laurent Mucchielli, directeur de recherche et sociologue au CNRS, est venu sur notre plateau témoigner de son combat d’universitaire au cours de ces deux dernières années et, en sa qualité de sociologue, livrer son analyse des causes et des mécanismes de cette « guerre d’influence » à laquelle nous sommes confrontés. Le chercheur, auteur de deux ouvrages sur la  « doxa du Covid », en est certain : « Nous enfreignons un tabou et nous venons contredire des forces politiques et financières extrêmement puissantes au niveau mondial ».



Le chercheur en sociologie, connu pour ses ouvrages sur la thématique de l’insécurité, compare la situation sociétale dans laquelle nous sommes plongés depuis le début de la crise du Covid-19 à celle de la période des « guerres de religion ». Une impression de rétropédalage au XVIᵉ siècle. Remettre en cause le bien-fondé des diverses mesures sanitaires ou celui du « miracle vaccinal », c’est professer une hérésie et s’excommunier, un phénomène particulièrement prégnant au sein de la communauté scientifique, nous rapporte Laurent Mucchielli : « Les plus agressifs, les plus arrogants sont une partie de mes collègues. C’est quelque chose que j’avais déjà analysé au moment du mouvement des gilets jaunes il y a 2 ans : une forme de racisme du diplôme ». Le directeur de recherche au CNRS rappelle que, pourtant, le fondement de la science, c’est « soumettre une vérité à la possibilité d’une réfutation ». Et de déplorer : « Or, là, on se heurte à des discours totalement dogmatiques qui, par définition, ne sont pas de la science ».

Il analyse aussi la communication médiatique branchée sur le registre émotionnel de la peur, une tactique qui a permis d’éteindre complètement les capacités d’analyse critique de nombreux Français. Cette peur qui « rend fou » traverse toute la société et n’a aucun rapport avec le niveau de diplôme, souligne le chercheur qui raconte : « J’ai vu d’éminents collègues se comporter comme des petits enfants, être prêt à gober n’importe quoi, et être incapable d’avoir la moindre argumentation, tout simplement parce qu’ils étaient terrorisés. »

Au cours de cet entretien, Laurent Mucchielli a aussi exprimé son effarement face à la censure qui sévit dans les médias largement responsables de cette panique, tel Médiapart, ou encore sur les réseaux sociaux. Autrefois porteurs d’une promesse de liberté et d’une meilleure participation des citoyens au débat public, pour le chercheur, ils sont aujourd’hui devenus « d’incroyables machines à formater la pensée ».

L’occasion aussi pour lui de dénoncer la malhonnêteté intellectuelle qui sous-tend le débat public. Dès 1984, sa première manifestation, alors qu’il n’était encore qu’au lycée, était organisée pour s’opposer à la venue de Jean-Marie le Pen dans sa ville. 36 années plus tard, en mars 2020, juste avant la crise du Covid-19, Laurent Mucchielli publiait un nouvel ouvrage intitulé La France telle qu’elle est : Pour en finir avec la complainte nationaliste. « Une sorte de manuel anti-Zemmour », explique-t-il. Pourtant, depuis ses prises de position sur le Covid, le sociologue serait désormais, pour une certaine presse… d’extrême-droite.

Autre exemple à l’appui de sa démonstration. La classe journalistique avait discrédité l’hydroxychloroquine en faisant valoir un rapport de pharmacovigilance de l’ANSM qui rapportait quatre morts, dont trois pourtant décédés par automédication, le quatrième s’étant suicidé par overdose plurimédicamenteuse. Or, mettre en avant la même pharmacovigilance pour alerter sur les effets secondaires du vaccin anti-Covid est, selon les mêmes personnes, une méthode qui « ne vaut rien ». « Le principe et la source même vous conviennent quand ça vous arrange et ne vous conviennent plus quand ça vous dérange », résume l’universitaire.

Laurent Mucchielli est aussi revenu sur l’International Covid Summit (ICS), congrès qui a réuni des experts scientifiques venus du monde entier à l’IHU Méditerranée Infection dirigé par le Pr Didier Raoult. Un succès, selon lui, qui a permis de faire vivre le débat scientifique. En fin d’entretien, le chercheur termine en expliquant que la crise que nous vivons est, au même titre que toutes les autres crises, « un moment d’accélération de l’histoire ». Cependant, en dépit des pressions, M. Mucchielli l’assure : « J’irai jusqu’au bout parce que le sujet le demande. »




Propagande : histoire et techniques de ses maîtres

[Source : maurizioblondet.it]

Par Roberto Pecchioli

Nous vivons dans la démocratie du spectateur, un concept du linguiste et sociologue Noam Chomsky emprunté aux idées du premier maître de la propagande et du conditionnement appliquées à la politique, Walter Lippman. Déjà dans les premières décennies du XXe siècle se posait le problème du contrôle de l’opinion publique dans les régimes formellement démocratiques. L’objectif était de contrôler les médias pour façonner, diriger et manipuler l’opinion publique, que Lippman appelait le troupeau perdu. La première grande opération de propagande a été commandée par le président américain Woodrow Wilson, pour pousser les États-Unis à entrer en guerre lors de la Première Guerre mondiale.

[Voir aussi :
Comment on manipule pour avoir le consentement
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Une brève histoire de la propagande
Théories de contrôle de l’esprit et techniques utilisées par les médias de masse
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin]

La majorité était contre, mais Wilson et l’establishment américain voulaient la guerre. Ils créèrent la Commission Creel, qui parvint en quelques mois à transformer une population encline à la neutralité en une masse hystérique qui poussa à l’intervention, alors que le théatre de guerre était l’Europe et que les Américains ne voyaient pas leurs intérêts menacés. Le succès convainquit le pouvoir et ses consultants — entre-temps celui d’Edward Bernays s’était ajouté à l’œuvre de Lippman — d’étendre les techniques de propagande à d’autres combats politiques, comme contrer les revendications des syndicats.

Le véritable objectif était la neutralisation de facto de la liberté de la presse et de la pensée critique elle-même. La puissance financière et entrepreneuriale, propriétaire des médias (la radio rejoignait les journaux et le cinéma) a encouragé l’opération. La question clé était d’obtenir le soutien des membres les plus influents de la société. C’était la leçon de la Commission Creel : quand la propagande est utilisée par l’État et soutenue par des classes à haut niveau culturel, l’effet multiplicateur est énorme. Les masses ont toujours tendance à imiter les classes dirigeantes.

La « démocratie des spectateurs » est née, un système sans la participation active du peuple. La thèse fondamentale de Lippman, qui était également un théoricien du libéralisme politique, était que la masse ne comprend pas les problèmes de la société et doit être guidée par des techniques psychologiques de consensus capables de rassembler « le troupeau perdu ». L’objectif était de produire un consensus pour les politiques gouvernementales grâce à l’avancée des nouvelles sciences, à commencer par la psychologie. Lippman a introduit une conception de la démocratie basée sur une idée simple : seule une petite élite est capable de définir les problèmes du reste des citoyens et d’indiquer la solution. L’idée — appelée démocratie progressive — était qu’il existe différents groupes de citoyens. Au premier rang se trouvent ceux qui jouent un rôle actif dans les questions relatives au gouvernement et à l’administration, la classe spécialisée. À l’extérieur se trouve la majorité de la population, le troupeau « beuglant et piétinant dont il faut se protéger ».

Les techniques expérimentées par Lippman étaient déjà utilisées dans le cadre de ce que l’on commençait à appeler les relations publiques, formule inventée par Edward Bernays en 1920, première brique d’une ingénierie du consensus fondée sur l’utilisation sans scrupules de techniques de manipulation psychologique. Le système de relations publiques, dans la sphère commerciale, a des objectifs qui n’ont rien à voir avec la vérité : vendre des produits et des services, promouvoir ou modifier l’image d’un client. À cette fin, il utilise des méthodes, des théories et des techniques issues de la publicité, du marketing, du design, de la politique, de la psychologie, de la sociologie et du journalisme. On estime qu’au moins quatre-vingts pour cent du contenu des médias proviennent aujourd’hui des activités des travailleurs de la communication.

Le domaine de la publicité commerciale ne cache pas ses objectifs : convaincre le plus grand nombre d’acheter un produit, d’adopter des modes de vie favorables à la consommation, de préférer une marque à une autre jusqu’à en faire une raison de vivre. Jean Baudrillard l’a expliqué dans Le système des objets, où il a découvert les notions de valeur symbolique et de valeur des signes, n’existant qu’au sein d’un système d’autres objets. De nombreux produits — et notamment les marques — n’ont ni fonction ni utilité, mais véhiculent une valeur sociale, un statut, un goût ou une classe sociale à laquelle le propriétaire appartient – ou aspire à appartenir – façonnés par le système de persuasion et de propagande.

Une amie s’est fait demander par sa nièce l’œuf de Pâques d’Elettra Lamborghini, une personnalité de la télévision à la mode et « influenceuse », c’est-à-dire une personne qui guide les goûts et les préférences des adeptes. Les mécanismes de la propagande politique sont identiques. Bernays a écrit : si nous comprenons le mécanisme et les motivations de l’esprit collectif, nous sommes capables de contrôler et d’enrégimenter les masses selon notre volonté sans qu’elles s’en aperçoivent.

La tâche de la culture est de mettre en évidence la tromperie, de faire prendre conscience aux gens qu’ils sont l’objet de la manipulation dont parle Bernays, capables de déterminer un consensus soumis, orienté à volonté par des campagnes spécifiques des gouvernants, par le biais d’experts de premier ordre, comme l’étaient Lippman et Bernays. Ce dernier — le premier spin doctor de l’histoire, c’est-à-dire un expert en communication — a travaillé indifféremment dans les domaines politique et commercial. Il a développé des théories sur la propagande et a inventé l’expression « fabrique du consentement », qu’il a définie comme l’essence de la démocratie. Un nouveau moyen très efficace de diffuser des informations dans le but d’orienter le comportement des masses.

L’exemple le plus déconcertant de l’interaction entre la publicité commerciale et la propagande politique est une campagne de Bernays pour la diffusion du tabagisme chez les femmes, commandée par les fabricants de tabac. Il a imaginé une série d’images qui montraient des femmes émancipées, en carrière, toujours avec la cigarette au bec. L’allumage des cigarettes est devenu un geste politique transgressif, les « torches de la liberté », avec une référence claire à la statue symbole des États-Unis.

Comme Lippman, Bernays travaille à la Commission Creel et dirige en 1924 la campagne politique du président Coolidge, la première organisée selon les critères de la propagande « scientifique ». Il faut reconnaître que les médias — propriété du haut niveau du capitalisme dans un régime de quasi-monopole — manipulent la vérité au service des intérêts de leurs maîtres. La démocratie du spectateur est l’attitude passive de ceux qui, devant un écran (télévision, PC, smartphone) reçoivent des informations qui les amènent à croire que le seul bien précieux est de consommer plus, et à faire confiance aux valeurs véhiculées par la société du spectacle.

Ceux qui sont capables de produire un consensus sont ceux qui ont les ressources et le pouvoir de le faire — la communauté financière et commerciale — et nous travaillons pour eux, a admis Bernays, ajoutant que la manipulation consciente et intelligente de la conduite organisée et des opinions des masses est un élément important de la société démocratique. « Ceux qui manipulent ce mécanisme caché de la société constituent le gouvernement invisible qui détient le véritable pouvoir qui régit le destin de notre pays. Ceux qui nous gouvernent, façonnent nos esprits, définissent nos goûts ou suggèrent nos idées sont en grande partie des gens dont nous n’avons jamais entendu parler ». L’un était lui-même, mort très riche à 104 ans en 1995, après avoir également travaillé pour la CIA.

L’année en cours est celle du centenaire de la publication de The Public Opinion de Walter Lippman, l’essai qui a forgé le concept. Le principe sous-jacent est que les gens sont trop stupides pour comprendre la politique. Si des individus essayaient de participer à la gestion des affaires qui les concernaient, ils créeraient des problèmes. Il serait donc inapproprié et immoral de leur permettre de le faire. Le troupeau désorienté et perdu doit être apprivoisé. Il n’a aucune possibilité de participer à l’action : cela ne ferait que causer des troubles ; il doit rester spectateur.

Lippman a théorisé une double voie pour deux humanités distinctes, dans laquelle même le système éducatif, de nature privée, s’adressait également à la classe spécialisée, pour l’instruire sur les valeurs et les intérêts du pouvoir et sur le lien corporatif à maintenir entre ses membres et au sein des institutions. Le reste du troupeau doit être distrait, confiné au rôle de récepteur passif, endoctriné, hétérodirigé et formé pour remplir efficacement le rôle social choisi par le niveau supérieur. Il y a une vérité pour l’élite et une pour le commun des mortels, comme le pressentait Gilbert Chesterton qui, dans les mêmes années que l’essor des techniques de propagande, affirmait : les journaux ont commencé à exister pour dire la vérité et aujourd’hui ils existent pour empêcher que la vérité soit dite.

Si l’on regarde aujourd’hui, que dire de l’immense pouvoir de la propagande sur le troupeau de la télé, des réseaux sociaux, des maîtres du discours (les habituels…) ? Peut-être les théoriciens mêmes des techniques psychologiques de conditionnement et de propagande ont-ils été surpris par leur succès et la facilité avec laquelle ils ont obtenu les succès escomptés. Nous parlons d’idées qui ont été développées il y a un siècle et qui ont atteint aujourd’hui une incroyable perfection, démontrant l’existence d’un projet à long terme de manipulation et de contrôle de l’opinion publique.

Le fondement théorique reposait sur la nécessité de former une classe dirigeante éclairée capable de prendre en charge l’État, l’économie et le pouvoir. Une vision oligarchique théorisée par le premier penseur américain influent, John Dewey, le philosophe du pragmatisme américain, compris comme la « philosophie du succès ». Pour lui, seule une élite intellectuelle peut comprendre quels sont les véritables intérêts communs, quels sont les enjeux, ce qu’il est opportun de faire, car comprendre tout cela est hors de portée des gens ordinaires. La distance entre le « récit » libéral et démocratique et la pratique concrète des classes dirigeantes est énorme. Lippman, parmi les premiers à partager le diagnostic, organisa des commissions de propagande sur l’expérience desquelles s’élabora la thèse élitiste dans l’exercice de la démocratie qui en est la négation.

La justification théorique — tout non-sens a ses docteurs subtils — était qu’il fallait respecter le principe démocratique, mais reconnaître sa faiblesse et sa complexité. La solution était la propagande, c’est-à-dire éliminer, ou du moins affaiblir toute dissidence par des slogans simples, répétés à l’infini, avec l’aide de personnages célèbres — les témoignages de la publicité — c’est-à-dire fabriquer le consensus, induire dans la population, par de nouvelles techniques, l’acceptation des idées du pouvoir, le discrédit de tous les autres, l’approbation des politiques et des actes initialement indésirables.

La seule différence par rapport à l’époque récente est que la théorisation — et la concrétisation subséquente — a eu lieu avec une clarté des termes et de l’intention. Puis nous avons connu une longue période d’hypocrisie et de dissimulation, abandonnée ces dernières années. Aujourd’hui, les maîtres universels sont suffisamment forts pour permettre à leurs responsables — propagandistes, économistes, professionnels de la communication, personnalités de la culture et du divertissement — de révéler ouvertement leur programme. En fait, au fil du temps, ils ont parfaitement réprimé les compétences analytiques de la masse par la décontextualisation simplificatrice des faits, la manipulation et la virtualisation de la réalité. L’amplification du registre émotif-sentimental rend crédibles les mensonges les plus flagrants : le public ne sait plus penser.

Pour Lippman, l’élite doit se protéger du peuple, le troupeau désorienté qui « hurle et piétine ». Il y a deux humanités : d’un côté, la classe spécialisée, les responsables, de l’autre, la masse, spectatrice passive. Il appartient à la sensibilité de chacun d’évaluer si cela est bon ou mauvais et si le concept totem de la démocratie est un mensonge ou une vérité. L’art de la démocratie, pour ceux qui la contrôlent, c’est de faire consensus : les décideurs donnent un sens tolérable de la réalité et inculquent les « bonnes » opinions, les leurs.

Qui ne veut pas être du troupeau et un spectateur se met à douter, à se méfier. Un grand intellectuel italien du XXe siècle, Giuseppe Prezzolini, a encouragé la création de l’association des apothes, ceux qui « ne l’achètent pas », c’est-à-dire ne croient pas aux versions des faits à l’usage des spectateurs. La propagande, le nom de scène du mensonge.




Lors du « massacre » de Bucha en Ukraine, un cadavre ressuscite !

[Source : lemediaen442.fr]

Sur les réseaux sociaux, c’est l’effervescence ! La page officielle du ministère de la Défense de l’Ukraine a publié sur sa page Twitter une vidéo qui laisserait supposer des exécutions sommaires et autres violations graves perpétrées par les forces russes. Cette vidéo se passe dans une rue où le véhicule slalome entre des cadavres à même le sol. Human Rights Watch y va de son commentaire « Ukraine : Crimes de guerre présumés dans les zones contrôlées par la Russie. »

Mais voilà ! la manipulation du ministère de la Défense est grossière et facilement démontable. Dans la vidéo du 2 avril ci-dessous le gouvernement russe à relevé sur son compte telegram une anomalie, un cadavre se met à bouger son bras droit au passage des militaires ukrainiens afin qu’il ne passe pas sous les roues du véhicule (6′), l’acteur au sol ne souhaitant pas être réellement blessé par ceux qui le paient pour jouer ce rôle. Nous sommes face à une campagne médiatique grossièrement mensongère, planifiée par les autorités ukrainiennes, afin de faire endosser à la Russie des crimes de guerre imaginaires.

[Voir aussi :
Festival de désinformation sur l’Ukraine par les médias mainstream
Réinformation sur l’Ukraine
7 FAKE NEWS en provenance d’Ukraine
Halte au délire occidental sur cette prétendue attaque russe contre la centrale nucléaire de Zaporodje, entre le Donbass et la Crimée !
Ce que personne ne vous a dit sur l’Ukraine et les journalistes – Époustouflant !]

Autre interrogation, les troupes russes ont quitté Bucha le 30 mars 2022. Pourquoi avoir attendu quatre jours pour faire ces révélations ? Problème d’acteurs à disposition ? La maquilleuse était en congé maladie ? Le zoom de l’appareil était défectueux ? C’est ce que Le ministère de la Défense de la Fédération de Russie a souligné : « Nous tenons à souligner en particulier que toutes les unités russes se sont complètement retirées de Bucha le 30 mars, au lendemain de la série de pourparlers en personne entre la Russie et l’Ukraine en TurquieLe 31 mars, le maire de Bucha, Anatoly Fedoruk, dans son message vidéo a confirmé qu’il n’y avait pas de militaires russes dans la ville, mais n’a pas mentionné d’ habitants locaux abattus dans les rues avec les mains liées. Par conséquent, il n’est pas surprenant que toutes les prétendues “preuves de crimes” à Bucha ne soient apparues que le quatrième jour, lorsque des officiers du SBU et des représentants de la télévision ukrainienne sont arrivés dans la ville. »

Le 31 mars, le maire de Bucha déclare (vidéo ci-dessous mise en ligne le 3 avril, mais datant du 31 mars) : « Regardez comme Bucha est paisible après l’invasion de la Russie. Dieu merci, nous sommes tous vivants et en bonne santé. Nous allons tout reconstruire ! »

Dans ce climat de fakenews, nous rappelons à nos lecteurs que les treize soldats ukrainiens annoncés morts sur Snake Island ont en réalité été faits prisonniers par les Russes. La propagande mensongère est à son maximum, la mise en avant de faux cadavres en devient une abomination et reflète encore une fois jusqu’où peuvent aller les soldats ukrainiens relayée servilement par les médias occidentaux.

Le Média en 4-4-2


Nous reproduisons la traduction du communiqué du ministère russe de la Défense qui réfute les accusations du régime de Kiev dans le meurtre présumé de civils dans le village de Bucha, dans la région de Kiev :

Toutes les photographies et vidéos publiées par le régime de Kiev, qui auraient témoigné d’une sorte de « crimes » commis par des militaires russes dans la ville de Bucha, dans la région de Kiev, sont une autre provocation.

Pendant la période où cette colonie était sous le contrôle des forces armées russes, pas un seul résident local n’a subi d’actions violentes. Dans les colonies de la région de Kiev, le personnel militaire russe a livré et délivré 452 tonnes d’aide humanitaire aux civils.

Pendant tout le temps où la ville était sous le contrôle des forces armées russes, et plus encore après, jusqu’à aujourd’hui, à Bucha, les résidents locaux se déplaçaient librement dans la ville et utilisaient les communications cellulaires.

Le départ de la ville de Bucha n’a pas été bloqué. Tous les résidents locaux ont eu la possibilité de quitter librement la colonie en direction du nord, y compris vers la République de Biélorussie. Dans le même temps, la périphérie sud de la ville, y compris les zones résidentielles, a été visée 24 heures sur 24 par les troupes ukrainiennes à partir d’artillerie de gros calibre, de chars et de systèmes de lance-roquettes multiples.

Nous tenons à souligner en particulier que toutes les unités russes se sont complètement retirées de Bucha le 30 mars, au lendemain de la série de pourparlers entre les représentants de la Russie et de l’Ukraine en Turquie.

De plus, le 31 mars, le maire de la ville de Bucha, Anatoly Fedoruk, a confirmé dans son message vidéo qu’il n’y avait pas de militaires russes dans la ville, mais n’a même pas mentionné d’habitants locaux abattus dans les rues les mains liées.

Par conséquent, il n’est pas surprenant que toutes les prétendues «preuves de crimes» à Bucha ne soient apparues que le 4e jour, lorsque des officiers du SBU et des représentants de la télévision ukrainienne sont arrivés dans la ville.

Il est particulièrement préoccupant de constater que tous les corps des personnes dont les images ont été publiées par le régime de Kiev, après au moins quatre jours, ne se sont pas raidis, n’ont pas de taches cadavériques caractéristiques et il y a du sang qui coagule dans les plaies.

Tout cela confirme irréfutablement que les photographies et les séquences vidéo de Bucha sont une autre production du régime de Kiev pour les médias occidentaux, comme ce fut le cas à Marioupol avec la maternité, ainsi que dans d’autres villes.




Ukraine : le ministère de la Vérité

[Source : legrandsoir.info]

Le journaliste José Manzaneda a pour habitude de faire une analyse des médias. Voici son texte sur la couverture du conflit en Ukraine par les médias occidentaux. Il a cependant oublié de mentionner la dernière sanction antirusse : Anne de Kiev sera déchue de son titre de reine de France, cette sanction rentrera en vigueur le premier avril prochain.

Par José MANZANEDA

Concernant la guerre en Ukraine, les médias et les gouvernements occidentaux nous interdisent de lire tout autre livre que celui écrit par l’OTAN.

Censure absolue : 1984

Les médias russes, qui ont été pendant des années un espace pour des analystes internationaux critiques (1) (2), ont été interdits par les États-Unis, l’Union européenne (3), le Royaume-Uni (4) et d’autres alliés. Sa diffusion en direct, ses chaînes YouTube (5) et tous ses réseaux sociaux. Sans aucune décision judiciaire.

Google a supprimé de son moteur de recherche ses contenus précédents, son hémérothèque (6). Réécrire l’histoire, comme le Ministère de la vérité du roman 1984.

Les médias appliquent une censure stricte. Laissant – bien sûr – quelques espaces de témoignage qui justifient leur fausse pluralité. Liu Sivaya, politologue russe, faisait face à une meute sur la chaîne espagnole Cuatro (7). En dénonçant les huit années de bombardements ukrainiens dans le Donbass, elle a dû entendre qu’il s’agissait de « nuances non pertinentes » : ”Cela me semble une véritable insulte que nous commencions par des nuances non pertinentes dans une situation si extrêmement claire, qu’elle ne permet pas de prendre des blancs et des noirs et dans laquelle il est très clair qui sont les bons et les mauvais », a déclaré l’intervenante Ketty Garat.

Précisément pour avoir rendu compte de la situation dans le Donbass, le journal français Le Figaro a censuré un reportage de sa correspondante Anne-Laure Bonnel (8). Le colonel espagnol Pedro Baños a décidé d’abandonner ses apparitions télévisées après avoir reçu de graves menaces. La raison : le ton neutre de ses analyses sur le conflit (9).

YouTube n’a pas seulement censuré les médias et les journalistes russes avec des millions d’abonnés (10). Aussi des documentaires comme « Ukraine on fire« , d’Oliver Stone, réalisés il y a déjà six ans (11).

Twitter a qualifié de « médias affiliés au gouvernement russe » les comptes de tous les journalistes qui ont collaboré, à un moment donné, avec une chaîne publique russe (12). C’est l’ »étoile jaune » avec laquelle les marquer, professionnellement, pour l’avenir (13).

Pour la propagande de guerre contre la Russie sur le réseau TikTok, Joe Biden a convoqué les 30 tiktokers les plus influents, leur donnant un message clair à diffuser : le coupable de l’inflation aux États-Unis est Poutine (14).

Facebook et Instagram ont levé l’interdiction des messages de haine s’ils sont contre la Russie, permettant les appels à tuer les présidents russe et biélorusse et les éloges pour le régiment nazi ukrainien Azov (15).

Les réseaux permettent et encouragent cette haine antirusse : des politiciens comme le sénateur américain Lindsey Graham ont appelé sur Twitter à l’assassinat du Président Vladimir Poutine, sans que le réseau ne les ait limités (16). Dans des « médias sérieux », tels que NBC News, un journaliste a proposé une attaque de l’OTAN contre des convois russes, ou ce qui est presque le même, le début de la Troisième Guerre mondiale (17).

Le journaliste russe qui a protesté à la télévision contre Poutine et qui n’a été condamné qu’à une amende est déjà une star mondiale (18). Mais à propos d’un journaliste européen, le Basque Pablo González, emprisonné et au secret en Pologne depuis près d’un mois, accusé d’être un “ espion russe ” pour avoir relaté le drame du Donbass, le silence médiatique est presque absolu (19).

Le bon Nazisme

Le journal catalan La Vanguardia a effectué une promotion commerciale avec le slogan « Arrêtez Poutine. La désinformation veut nous diviser  » (20). Traduit : l’unité contre le seul méchant (la Russie) nécessite d’écraser toutes les informations et opinions qui contredisent la version officielle européenne.

Effaçant pour cela, par exemple, les crimes de notre allié, l’Ukraine. Le journal espagnol ABC a supprimé les informations qu’il avait publiées, en 2016, sur les viols d’enfants par l’armée de Kiev (21).

Ils appellent une base d’entraînement de mercenaires un « Centre de maintien de la paix » (22). Mot – d’ailleurs – interdit dans les médias : ce sont des « combattants étrangers » (23). C’est ainsi qu’un journaliste espagnol a conclu l’entretien avec l’un d’eux : « Cet après-midi même, il part dans un bus pour l’Espagne, préparé avec des réfugiés ukrainiens et dans lequel certains des combattants étrangers espagnols vont se rendre. » Ce mercenaire d’extrême droite rentrera chez lui sans être arrêté ni interrogé. Sans passer par le calvaire policier et judiciaire subi par huit miliciens de gauche à leur retour du Donbass en 2015, après avoir été qualifiés par les médias espagnols de “ pro-russes ” (24).

Un média a-t-il parlé de Fahrudin Sharafmal, un présentateur ukrainien qui, en direct à l’antenne, a appelé à la décapitation de tous les enfants russes (25) ? Et à propos de Gennadiy Druzenko, directeur d’un hôpital volontaire mobile, qui a ordonné que les soldats russes soient castrés pour être des « cafards » (26) ? Et sur les actes d’humiliation publique, en Ukraine, de gitans, peints en vert et attachés à des poteaux (27) ? Rien.

Le régiment Azov, composé de néonazis, est une force de réserve volontaire des Forces armées ukrainiennes (28) (29). Et ses membres – les nazis – sont pour ainsi dire interviewés par des médias tels que CNN (30). Azov a reçu des armes de gouvernements européens, comme celle de l’Espagne (31) : achetées avec un milliard d’euros au « Fonds européen de Soutien – ne riez pas, ne riez pas – à la Paix” (32). Sur la chaîne espagnole Cuatro, un « expert” a calmement donné des leçons sur la façon d’utiliser cette arme pour « tuer plus de Russes“ (33) : ”Je suis optimiste d’une manière, rien de plus : nous devons tuer plus de Russes (…) Parce que le peuple ukrainien en a besoin pour pouvoir parvenir à une bonne négociation « , a déclaré l’instructeur militaire José Jiménez Planelles.

Au Portugal, un juge a levé l’obligation pour le néo-nazi Mario Machado de comparaître tous les quinze jours, après avoir proposé de se rendre en Ukraine pour fournir – continuez à contrôler le rire – une « aide humanitaire » (34).

Que le président Volodymyr Zelensky ait décerné le titre de Héros national de l’Ukraine à Dmytro Kotsyubail (35 ans), chef du groupe paramilitaire Pravy Sektor, l’architecte du massacre syndical d’Odessa en 2014, au cours duquel 46 personnes ont été brûlées vives (36 ans) ? Ils ne l’entendront pas.

Que les Services secrets ukrainiens ont assassiné un membre de leur propre délégation de négociation avec Moscou pour « trahison » (37) ? Des choses de la guerre.

À la télévision, ils nous montrent une exposition-manifestation pour les filles et les garçons morts, ces semaines-ci, en Ukraine (38). Excellent. Et l’exposition à Moscou « Regardez dans les yeux du Donbass », sur les plus de 150 mineurs tués par les forces ukrainiennes au cours des huit dernières années, sous quel format est-elle sortie (39) ?

Fake news for war

Vous devez transformer un char ukrainien qui écrase une voiture en un « char russe » (40). Un missile ukrainien qui fait tomber un bloc d’habitation sur un « missile russe » (41). Une fille du Donbass victime des troupes ukrainiennes, chez une fille de Kiev (42).

Il existe des centaines de fausses nouvelles similaires (43). Le journal télévisé d’Antena 3, le plus regardé d’Espagne, s’est ouvert avec des images d’une explosion en Chine comme s’il s’agissait de bombardements russes (44).

 » Un carnage « , titrait en première page le journal italien La Stampa, avec une photo de civils massacrés lors d’un bombardement russe (45). Russe ? Non. La photo provenait de Donetsk (Donbass), où des civils 30 ont été tués par un missile… Ukrainien (46).

Le gouvernement russe assure qu’il n’a pas commandé d’armes à la Chine. La Chine le confirme. Mais que nous disent les médias ? Mot pour mot, ce que dit le gouvernement des EU… (47) (48) (49).

Racisme classiste aux yeux bleus

La solidarité louable avec la population réfugiée de l’Ukraine passe, à maintes reprises, à travers un filtre de racisme classiste (50). Un journaliste de NBC : « Ce ne sont pas des réfugiés de Syrie, ils viennent de notre Ukraine voisine. Ce sont des chrétiens. Ils sont blancs. Ils nous ressemblent beaucoup  » (51). Un journaliste de CBS : « Ce n’est pas un endroit, avec tout le respect que je vous dois, comme l’Irak ou l’Afghanistan, qui a eu des conflits pendant des décennies, c’est un pays relativement civilisé et européen” (52). Une interviewée par la BBC : « Ce sont des Européens aux yeux bleus et aux cheveux blonds qui sont assassinés” (53). Un témoignage dans la sixième : “Ce ne sont pas les enfants qu’on a l’habitude de voir à la télévision, mais des enfants aux yeux bleus et c’est très important ” (54).

Et comme cerise sur le gâteau, un journal télévisé de 13 heures (et ce n’est pas une parodie) : « La situation des réfugiés ? Eh bien, vous pouvez l’imaginer. Et ce sont des gens comme toi et moi. J’ai vu des sacs Dolce & Gabbana, des vêtements Louis Vuitton, des gens qui pourraient parfaitement être à Madrid, ce sont des gens comme nous et ils vivent dans des conditions totalement déplorables  » (55).

Le New York Times a publié une carte sur le déplacement des personnes : les familles ukrainiennes en Pologne sont des « réfugiés » (56). Ceux du Donbass en Russie, cependant, sont des « migrants ». Même s’ils fuient les bombes ukrainiennes.

Alors que l’Union européenne a donné l’ordre de régulariser, de manière extraordinaire, des millions de personnes originaires d’Ukraine (57), la population africaine continue d’être reçue a coups de trique par la police européenne (58). Ceci c’est pour ceux qui arrivent vivants. Lors du dernier naufrage en mars, quarante-quatre personnes sont mortes au large des îles Canaries (59).

La géopolitique exige de ne pas marteler nos consciences avec les plus de 10 mille enfants tués au Yémen, par des missiles saoudiens (60). Dont le gouvernement, ami de l’Occident, ne reçoit pas de sanctions. Aucune.

Politique dans le sport : hier interdite, aujourd’hui obligatoire

Big Brother est également venu dans le domaine du sport. Les supporters de l’Étoile rouge de Belgrade ont protesté contre l’OTAN dans les tribunes de leur stade, rendant visibles les noms des pays qu’elle a bombardés (61). Immédiatement, la réaction du journalisme européen : mentir sur le prétendu caractère « néo-nazi » d’un tel passe-temps (62). Faux.

En 2009, le footballeur Frédéric Kanouté a été sanctionné par la FIFA de 3 000 euros pour avoir montré un maillot en soutien à la Palestine (63). En 2016, pour la même condamnation d’Israël par ses fans, l’UEFA a sanctionné le Celtic de Glasgow (64). Mais maintenant, faire de la politique sur le terrain et soutenir le gouvernement ukrainien est obligatoire pour tous les clubs de football.

« Deux individus déjà identifiés par l’Ertzaintza (police basque) ont manifesté leur soutien à la Russie. Drapeaux en faveur de la Russie sur (le terrain de) San Mamés. Drapeaux et bannières. L’Ertzaintza a déjà identifié les auteurs ” : c’est ce qu’a déclaré le commentateur catalan Josep Pedrerol, tentant de criminaliser ceux qui portaient des drapeaux de la République populaire de Donetsk (dans le Donbass), un peuple massacré, depuis huit ans, par l’armée ukrainienne et qui a massivement voté pour son indépendance (65). Mais dans les médias, nous avons lu qu’il s’agissait de « bannières en faveur de l’invasion russe” (66).

L’homme d’affaires russe Roman Abramovich a été contraint de vendre l’équipe de football anglaise de Chelsea, en raison de la pression politique et médiatique (67). Mais le royaume restera entre les mains de la Maison royale saoudienne, qui bombarde le Yémen depuis sept ans et y a fait plus de 300 000 morts (68). À propos, le 12 mars, 81 personnes ont été exécutées à Riyad en une seule journée (69). Mais la Supercoupe d’Espagne s’y tiendra toujours, en Arabie Saoudite, qui verse à la Fédération Espagnole de Football 30 millions par an (70). Tout est très cohérent.

La politique de chantage à l’échelle mondiale signifie que les hommes d’affaires russes sont sanctionnés non pas pour leurs décisions, mais pour celles du gouvernement russe. Tout comme leurs athlètes. Qu’ils ne peuvent concourir avec le drapeau de leur pays ni dans les Coupes du Monde ni aux Jeux olympiques (71). Le pilote russe Nikita Mazepin a été licencié de l’équipe Haas de Formule 1. (72). Le joueur de tennis Daniil Medvedev devra « renier Poutine » s’il veut participer à Wimbledon (73). Et le Grand maître des échecs Sergey Karjakin a reçu une sanction de six mois (74).

L’Association ukrainienne de football a retiré à Anatoliy Tymoschuk, l’un des meilleurs joueurs de son histoire, tous ses titres et sa licence d’entraîneur, en raison de “son silence face à l’invasion russe” (75). Le combattant ukrainien Maxim Ryndovskiy a été torturé et exécuté par des néonazis, accusés d’”équidistance » dans le conflit avec la Russie (76). Cela a-t-il scandalisé dans la presse sportive ?

Chasse aux sorcières dans la culture

La chasse aux sorcières est également entrée dans la culture. Le russe Valeri Guergiev a été démis de ses fonctions de chef de l’Orchestre philharmonique de Munich (77 ans). Les théâtres européens, comme le Teatro Real de Madrid, annulent les représentations du Ballet du Bolchoï (78). L’Orchestre philharmonique de Cardiff (Pays de Galles) a retiré les œuvres de Tchaïkovski (79) de son répertoire. En raison des protestations, l’Université de Milan a dû revenir sur sa décision d’éliminer un cours sur Dostoïevski (80). Et celui de Córdoba, a non seulement rompu les relations avec le personnel enseignant russe, mais a menacé de le faire avec celui de Cuba et de l’Iran “s’ils ne rejetaient pas l’invasion russe” (81). Le recteur de l’Université de Valence a appelé à “l’auto-expulsion” de tous les étudiants russes (82).

A Arlington (Virginie), un professeur d’école qui a inclus, dans un cours sur la guerre d’Ukraine, le point de vue de la Russie, a été filmé et dénoncé par un élève. Il a été immédiatement suspendu pour avoir diffusé de la  » propagande russe  » (83).

La folie ne s’arrête pas. Le nom du cosmonaute Youri Gagarine, le premier homme dans l’espace et décédé il y a 54 ans, a été retiré d’un événement caritatif de la Fondation spatiale des États-Unis (84). Beaucoup de médias ont diffusé le canular selon lequel la Russie allait abandonner un astronaute étasunien dans l’espace, ce qui est complètement faux (85). Comme faux, le costume jaune de certains cosmonautes russes sur la Station spatiale internationale était un « acte de soutien » à l’Ukraine (86).

Crimes de guerre ?

Poutine est accusé d’être un « criminel de guerre » dans les médias qui n’ont jamais appliqué ce terme à George W. Bush, José María Aznar ou Tony Blair, après l’invasion de l’Irak, qui provoquât des centaines de milliers de morts (87).

Une chaîne de télévision a-t-elle récupéré la vidéo de l’actuel président des EU sur le bombardement de la Yougoslavie ? Eh bien, il a dit exactement ceci : “C’est moi qui ai suggéré de bombarder Belgrade. C’est moi qui ai suggéré d’envoyer des pilotes américains détruire tous les ponts ” (88). C’était en 1999. L’OTAN a lancé 2 300 missiles et 14 000 bombes en 78 jours (89). L’organisation a assassiné plus de 2 000 civils (90). Et quel rôle ont joué les médias qui se parent aujourd’hui du drapeau de l’Ukraine ? Rappelons seulement la couverture du magazine Time : « Conduire les Serbes en enfer : un bombardement massif ouvre la porte à la paix » (91).

Autodétermination à la carte

Ils nous disent que Poutine est un tyran parce que – affirment-ils – il interdit les manifestations contre la guerre (92). Zelensky vient d’interdire l’activité de onze partis, presque tous de gauche, en plus du parti communiste, qui était déjà illégal (93). Pour être « pro-russe ». Le tout avec le soutien de l’Union européenne (94).

Le gouvernement lituanien a annulé un don de 400 000 vaccins anti-Covid19 au Bangladesh, car ce gouvernement s’est abstenu lors du vote pour condamner la Russie à l’ONU (95).

La Suisse, dont la banque a gardé l’or du IIIe Reich (96), qui protège les trafiquants de drogue et les fraudeurs de tous bords avec le secret bancaire, dans un « geste éthique – après l’étrange menace, peut-être ? (97) – ” abandonnera sa neutralité et se joindra aux sanctions économiques » contre la Russie (98).

Et enfin, parlons de souveraineté et de libre décision des peuples.

L’Espagne vient de suivre le cap fixé par Donald Trump vis-à-vis du Maroc (99) : elle accepte son occupation illégale du Sahara et donne un coup de poignard dans le dos au peuple sahraoui (100). Elle continue de souffrir des bombardements marocains (101).

Exactement comme pour le Sahara, ni l’Espagne, ni les États-Unis, ni l’Union européenne, ni l’Ukraine ne sont prêts à respecter la volonté sans équivoque, exprimée par référendum et près de 90%, de la population de Crimée (102) et du Donbass (103).

Est-ce que cela, dans les médias occidentaux, transformé en artillerie idéologique de l’OTAN, n’est même pas mentionné comme l’une des clés incontournables de la solution du conflit.

Aujourd’hui, nous vivons un maccarthysme dans son état le plus pur. Une Dictature Mondiale. Contre lequel il sera indispensable d’organiser la résistance (104).

Vidéo

En complément voici une vidéo (en espagnol) reprenant le texte. Je met une version sur Odysee car sur Youtube il y a une limite d’âge.

https://odysee.com/$/embed/Ucrania-el-Ministerio-de-la-Verdad/e4ae69bbffa1f07aad4b4811ec2434046bfd4839?r=Ge9kHQKaUKbGtarNYdtE8iKr4tsNYufW

José Manzaneda

Source : https://www.cubainformacion.tv/especiales/20220327/96415/96415-ucrania…

Références

  1. https://www.cubainformacion.tv/especiales/20220322/96246/96246-censura-de-guerra-rusia-y-cuba-italiano
  2. https://www.elconfidencial.com/espana/2022-03-12/television-rusa-manipulacion-kremlin-guerra-ucrania_3386028/
  3. https://www.lavanguardia.com/internacional/20220302/8095180/ucrania-rusia-rt-sputnik-ue-guerra-medios-television-sanciones.html
  4. https://www.europapress.es/internacional/noticia-reino-unido-suspende-definitivamente-cadena-rusa-rt-20220318102226.html
  5. https://www.prensa-latina.cu/2022/03/12/youtube-bloquea-medios-de-comunicacion-rusos
  6. https://twitter.com/ldejesusreyes/status/1500130333169172482?t=XSGwzRJD1txszfDPi73KiA&amp ;s=03
  7. https://www.huffingtonpost.es/entry/escandalo-y-tension-en-cuatro-al-dia-tras-las-palabras-de-una-politologa-rusa-es-un-insulto_es_62226c4be4b04a0545d65f3b
  8. https://sana.sy/es/?p=223367
  9. https://www.cuatro.com/horizonte/iker-jimenez-mensaje-coronel-banos-harto-amenazas-aislo_18_3296220018.html
  10. https://www.elpais.com.uy/domingo/inna-afinogenova-periodista-rusa-censurada-invasion-ucrania.html
  11. https://infocielo.com/documental/youtube-censura-un-documental-oliver-stone-ucrania-2016-n732806
  12. https://twitter.com/cgpenalva/status/1498333754431053827
  13. https://twitter.com/HelenaVillarRT/status/1498356980502695937?t=n4l0hk1eu7T9piaM6EocRw&amp ;s=03
  14. https://www.debate.com.mx/mundo/Ejercito-de-TikTokers.-Joe-Biden-recurre-a-influensers-de-TikTok-para-luchar-contra-la-desinformacion-de-la-la-invasion-de-Rusia-20220314-0029.html
  15. https://www.lavanguardia.com/tecnologia/aplicaciones/20220311/8116479/libre-haters-facebook-e-instagram-permitiran-desear-muerte-putin-pmv.html
  16. https://evtv.online/senador-graham-pide-el-asesinato-de-putin/
  17. https://twitter.com/pascual_serrano/status/1498726185437700106
  18. https://www.elperiodico.com/es/internacional/20220316/activista-guerra-interrumpe-informativo-television-13372817
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  26. http://pablohduarte.com/post/medico-ucraniano-ordeno-castrar-a-todo-soldado-ruso-capturado
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  39. https://venezuela-news.com/exposicion-mira-a-los-ojos-del-donbas-se-inauguro-en-moscu/
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  50. https://spanishrevolution.org/2022/03/04/video-rubios-y-de-ojos-azules-refugiados-de-primera/
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  52. https://twitter.com/Racismo_MX/status/1498656583089201167
  53. https://www.diariodemorelos.com/noticias/europeos-con-ojos-azules-son-asesinados-guerra-en-ucrania-destapa-racismo
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  55. https://twitter.com/HelenaVillarRT/status/1506827729135718402
  56. https://twitter.com/AnibalGarzon/status/1499159123690196996
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  58. https://rebelion.org/las-razones-de-la-presion-sin-precedentes-sobre-melilla/
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  71. https://www.europapress.es/deportes/olimpiadas-00169/noticia-coi-recomienda-vetar-deportistas-rusos-bielorrusos-20220228164029.html
  72. https://www.caranddriver.com/es/formula-1/a39332354/haas-despide-nikita-mazepin/
  73. https://www.abc.es/deportes/tenis/abci-wimbledon-peligra-para-medvedev-debe-renegar-putin-para-competir-202203151913_noticia.html
  74. https://www.20minutos.es/deportes/noticia/4974130/0/sergey-karjakin-sancion-apoyo-vladimir-putin/
  75. https://www.tudn.mx/futbol-internacional/anatoliy-tymoshchuk-queda-vetado-del-futbol-ucraniano-de-por-vida
  76. https://www.marca.com/otros-deportes/2022/03/06/62249a5422601d561a8b459e.html
  77. https://www.dw.com/es/la-filarm%C3%B3nica-de-m%C3%BAnich-cancela-su-colaboraci%C3%B3n-con-el-director-ruso-valery-gergiev/a-60957268
  78. https://elpais.com/cultura/2022-03-04/el-teatro-real-cancela-las-funciones-del-ballet-bolshoi.html
  79. https://rpp.pe/mundo/actualidad/orquesta-filarmonica-de-cardiff-retira-obra-de-tchaikovsky-por-conflicto-en-ucrania-noticia-1391772
  80. https://www.elperiodico.com/es/ocio-y-cultura/20220302/universidad-italiana-cancela-dostoievski-13311850
  81. https://cordopolis.eldiario.es/cordoba-hoy/sociedad/universidad-cordoba-rompera-relaciones-profesores-cubanos-iranies-si-no-rechazan-invasion-rusa_1_8801858.html
  82. https://www.elmundo.es/comunidad-valenciana/2022/03/14/622f71adfc6c8339528b4590.html
  83. https://twitter.com/brunosgarzini/status/1499761651385606144
  84. https://colectivo-news.com/internacional/una-fundacin-de-eeuu-censura-el-nombre-de-yuri-gagarin-en-un-evento-dedicado-al-espacio-por-el-conflicto-en-ucrania/
  85. https://www.tercerainformacion.es/articulo/ciencia/14/03/2022/roscosmos-desmiente-los-bulos-sobre-supuestos-planes-de-abandonar-a-un-astronauta-estadounidense-en-la-eei/?p=155749
  86. https://www.dw.com/es/astronautas-rusos-llegan-a-la-eei-vestidos-de-amarillo-y-azul-colores-de-la-bandera-de-ucrania/a-61206460
  87. https://elpais.com/internacional/2007/03/16/actualidad/1173999603_850215.html
  88. https://www.youtube.com/watch?v=54OVTfeXgNE
  89. https://es.wikipedia.org/wiki/Bombardeo_de_la_OTAN_sobre_Yugoslavia
  90. https://twitter.com/eutelia50/status/1503380585192083463?t=15f-_LAbnNIg5Lxbq8tVWg&amp ;s=03
  91. https://www.reddit.com/r/PropagandaPosters/comments/4bs62n/bringing_the_serbs_to_heel_a_massive_bombing/
  92. https://www.semana.com/mundo/articulo/rusia-sancionara-a-quienes-participen-en-manifestaciones-contra-la-guerra-en-ucrania/202222/
  93. https://es.euronews.com/2022/03/20/zelenski-suspende-la-actividad-de-al-menos-11-partidos-politicos-en-ucrania
  94. https://www.europapress.es/internacional/noticia-bruselas-enmarca-suspension-partidos-opositores-ucrania-ley-marcial-plena-invasion-rusa-20220322154330.html
  95. https://www.lrt.lt/en/news-in-english/19/1634221/lithuania-cancels-decision-to-donate-covid-19-vaccines-to-bangladesh-after-un-vote-on-russia
  96. https://elpais.com/diario/1998/05/26/internacional/896133609_850215.html
  97. https://www.france24.com/es/minuto-a-minuto/20220227-aumenta-la-presi%C3%B3n-sobre-suiza-para-que-se-una-a-las-sanciones-internacionales-contra-rusia
  98. https://www.abc.es/internacional/abci-suiza-abandona-tradicional-neutralidad-y-sanciones-economicas-contra-rusia-202202281528_noticia.html
  99. https://www.bbc.com/mundo/noticias-internacional-55267560
  100. https://www.cronicasdelanzarote.es/articulo/canarias/pedro-sanchez-traiciona-pueblo-saharaui-cediendo-chantaje-marruecos/20220322121635307667.html
  101. https://www.mundoobrero.es/pl.php?id=13074
  102. https://elpais.com/internacional/2014/03/16/actualidad/1394974142_352878.html
  103. https://elpais.com/internacional/2014/05/10/actualidad/1399756365_060753.html
  104. https://rebelion.org/informacion-falsa-imagenes-adulteradas-videos-trucados-y-censura-al-servicio-de-la-otan/



Une personne stupide est une personne qui crée des problèmes à une autre personne ou à un groupe de personnes sans en tirer elle-même le moindre bénéfice

[Source : nicolasbonnal]

Par Nicolas Bonnal

Apocalypse des abrutis et lois de la stupidité humaine. Biden file en Pologne préparer Armageddon et il promet aux Américains de crever de faim (famine et Reset accéléré grâce aux sanctions) : « votre mort à tous est le prix à payer pour lutter contre Poutine ». Ces criminels sont stupides et nous allons en crever.

Nicolas Bonnal

Carlo Cipolla avait établi 5 lois immuables de la stupidité.

Loi 1 : Toujours et inévitablement nous sous-estimons le nombre d’individus stupides en « liberté ».

Peu importe le nombre d’idiots que vous imaginez autour de vous, vous sous-estimez invariablement le total. Pourquoi ? Parce que vous partez du principe faux que certaines personnes sont intelligentes en fonction de leur travail, de leur niveau d’éducation, de leur apparence, de leur réussite… Ce n’est pas le cas.

Loi 2 : La probabilité qu’une personne soit stupide est indépendante des autres caractéristiques de cette personne.

La stupidité est une variable constante dans toutes les populations. Toutes les catégories qu’on peut imaginer — de genre, ethnique, religieuse, de nationalité, de niveau d’éducation, de revenus — possèdent un pourcentage fixe de personnes stupides. Il y a des professeurs d’université stupides. Il y a des gens stupides au Forum de Davos, à l’ONU et dans toutes les nations de la terre. Combien y en a-t-il ? Personne ne sait. Voir la Loi 1.

Loi 3 : Une personne stupide est une personne qui crée des problèmes à une autre personne ou à un groupe de personnes sans en tirer soi-même le moindre bénéfice.

Cette loi implique qu’il y ait trois autres sortes de personnes. Celles intelligentes dont les actions bénéficient à elles-mêmes et aux autres. Les voyous qui tirent des avantages pour eux-mêmes au détriment des autres. Et ceux qui enrichissent les autres à leur détriment. Les non stupides agissent de façon inconsistante. Parfois, nous nous comportons intelligemment, parfois comme des voyous et parfois contre nos intérêts.

Mais les stupides sont eux constants. C’est pour cela qu’ils sont si dangereux pour Marco Cipolla.

« Les personnes stupides sont dangereuses et créent des dommages avant tout parce que les gens raisonnables ont du mal à imaginer et à comprendre des comportements aberrants. Une personne intelligente peut comprendre la logique d’un voyou. Une rationalité détestable, mais une rationalité… Vous pouvez l’imaginer et vous défendre… Avec une personne stupide, c’est absolument impossible. Une personne stupide va vous harceler sans aucune raison, pour aucun avantage, sans aucun plan et aucune stratégie… Vous n’avez aucune façon rationnelle de savoir quand, où, comment et pourquoi une créature stupide va attaquer. Quand vous êtes confronté à un individu stupide, vous êtes complètement à sa merci… ».

C’est votre oncle qui ne peut pas s’empêcher de répandre des « fake news » sur les réseaux sociaux ou l’employé du service en ligne qui va vous raccrocher trois fois au nez et va finir par ne pas régler votre problème et vous en créer d’autres.

Loi 4 : les personnes non stupides sous-estiment toujours les dégâts que peuvent faire les individus stupides. Elles oublient en permanence que conclure un marché ou s’associer avec des personnes stupides est une erreur très coûteuse.

Nous sous-estimons le stupide à nos risques et périls.

Loi 5 : Une personne stupide est la plus dangereuse des personnes.

Elle est plus dangereuse qu’un voyou, car nous ne pouvons rien faire ou presque contre la stupidité. La différence entre les sociétés qui s’effondrent sous le poids de leurs citoyens stupides et celles qui surmontent cette difficulté tient à une chose : leur capacité à produire des citoyens se comportant de façon intelligente dans l’intérêt de tous.

Si dans la population non stupide, la proportion de voyous et de personnes agissant à l’encontre de leurs propres intérêts est trop importante : « le pays devient alors un enfer », conclut Marco Cipolla.




L’avocate Virginie de Araujo-Recchia placée en garde à vue

[Source : mediazone.zonefr.com]

Par Eric Montana

Dans nos démocraties de théâtre, on arrête même les avocats… Virginie est actuellement en garde à vue.
Son crime ? Sans doute qu’appartenir au collectif d’avocats internationaux avec Maître Reiner Fuellmich peut être une « raison »… Sa participation au Grand Jury pour dénoncer les tests bidons et les injections peut aussi être un facteur aggravant. Pour l’instant nous n’en voyons pas d’autres…

Mais par contre ce que nous constatons, c’est encore une preuve que nous ne vivons pas dans un Etat de droit…

Virginie de Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris, a été arrêtée tôt ce matin [le 22 mars] à son domicile et a été placée en garde à vue ce matin.

À l’heure actuelle, les faits qui lui sont reprochés ne sont pas encore connus. Un communiqué a cependant été publié et largement diffusé sur les réseaux sociaux:

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Puis en milieu d’après-midi, un second communiqué précisait que Maître Araujo-Recchia avait enfin été localisée et qu’un avocat l’assistait.

Rappelons que Maître Virginie Araujo-Recchia avait déposé plusieurs plaintes contre X visant les directeurs de publication des médias, ou contre les membres de la commission mixte paritaire ayant validé le passe vaccinal, et qu’elle faisait partie du collectif d’avocats du « Grand Jury » mis en place par Reiner Fuellmich.

D’après des sources proches du dossier, elle travaillait sur une plainte visant des partis politiques et les agissements de certains de leurs membres, et aurait été emmenée à la DGSI, à Levallois.

Cette nouvelle a suscité beaucoup d’interrogations, une immense émotion dans de nombreux pays, et de l’indignation chez tous ceux qui suivent son action avec bienveillance et attention. Cette avocate au courage exemplaire que nous suivons et que nous soutenons, représente un espoir que justice puisse enfin être rendue à toutes les victimes de cette campagne d’injections dont il est désormais prouvé que les conséquences et les effets secondaires tragiques ont généré plus de décès que le virus qu’elle est censée combattre.

Pour ce qui concerne MediaZOne, nous affirmons depuis le début que nous sommes dans le cadre d’une conspiration criminelle car le simple fait que les gouvernements occidentaux aient garanti l’impunité judiciaire aux labos pharmaceutiques qui produisent ces supposés vaccins, constitue la plus grave anomalie et la raison suprême qui nous permet de le déduire.

Et puis, ayant eu connaissance de la feuille de route que les gouvernements sont tenus d’appliquer, nous constatons que le plan se déroule comme il a été fixé et qu’à cette campagne d’injections va succéder une pénurie alimentaire dont même Macron s’est fait l’annonciateur.

Au fur et à mesure que les pièces du puzzle se mettent en place, nous avons de moins en moins de raisons de douter que cette conspiration a pour but la réduction de la population mondiale, la destruction de l’économie occidentale et la mise en place du Grand Reset transhumaniste.

Tôt ou tard les peuples vont prendre conscience de cet état de fait et il reste à espérer qu’ils réagiront et y mettront un terme. Notre passivité et notre indifférence sont les vrais dangers qui nous mèneraient vers le plus grand crime contre l’humanité de l’Histoire.

L’arrestation de cette jeune et brillante avocate constitue la preuve absolue que nous ne vivons ni dans une démocratie ni dans un Etat de droit. Une affaire que nous suivons avec beaucoup d’attention, qui appelle de plus amples informations, que nous ne manquerons pas de publier dès que nous en aurons.

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Stop au poison ! Une liste d’athlètes de classe mondiale qui sont morts ou ont subi des blessures graves après le vaccin COVID-19

[Source : thecovidworld.com]

[Traduction automatique]

La date de publication de COVID World : 7 novembre 2021

Il y a 18 mois à peine, le décès de plusieurs athlètes de classe mondiale sur le terrain, devant leurs fans et en direct à la télévision, aurait fait la une des journaux sur toutes les chaînes du monde entier – pourtant, nous sommes maintenant confrontés exactement à cette situation et les médias d’information sont silencieux.

Voici une liste des meilleurs athlètes du monde entier qui, au cours des dernières semaines et des derniers mois seulement, sont morts ou ont été blessés par les vaccins COVID-19.


Kjeld Nuis : 31 ans, double médaillé d’or olympique et détenteur du record du monde de patinage de vitesse, a développé une péricardite après un vaccin Pfizer

patineuse de vitesse néerlandaiseKjeld Nuisa reçu un diagnostic de péricardite une semaine après son premier vaccin Pfizer en juillet. Le double médaillé d’or olympique a publié sur son Instagram qu’il souffrait de graves symptômes de grippe et d’une pression thoracique avant d’être diagnostiqué par son médecin et cardiologue avec un péricarde enflammé.

Nuis a d’abord signalé qu’il était très malade, mais posté plus tard sur sonInstagramqu’il se remettait bien heureusement grâce au diagnostic précoce de son médecin du sport et cardiologue.

« Il y a exactement 2 semaines aujourd’hui, j’étais à l’hôpital avec un péricarde enflammé. Heureusement, mon médecin du sport était là très tôt et m’a examiné avec le cardiologue.

Lire l’histoire complèteici.


Pedro Obiang : un footballeur professionnel de 29 ans a souffert de myocardite après le vaccin contre le COVID-19, toujours sur la touche 5 mois plus tard

Ancien joueur de West Ham UnitedPedro Obianga reçu un diagnostic de myocardite après sa vaccination contre le COVID-19 en juillet. L’homme de 29 ans a été hospitalisé pour des problèmes cardiaques pendant 10 à 15 jours et a été exclu de toute activité sportive pendant au moins 6 mois après son diagnostic.

Un médecin a été citéen disant:

« Le joueur [Obiang] est venu nous voir pour son bilan de santé annuel afin de confirmer sa forme physique compétitive. Nous avons remarqué des anomalies qui n’étaient pas censées être là, nous avons donc programmé un test cardiaque le lendemain à l’hôpital Humanitas de Milan.

Le lendemain, vendredi (9 juillet), en accord avec les médecins de Sassuolo, nous l’avons fait admettre à la Polyclinique, où il est resté environ 10-15 jours. Il y était diagnostiqué avec une myocardite.

Il avait été vacciné trois à cinq jours auparavant, comme tous les joueurs.

Obiang, qui joue actuellement comme milieu de terrain pour le club de football italien Sassuolo et l’équipe nationale de Guinée équatoriale, n’est pas revenu sur le terrain depuis son diagnostic en juillet.

Lire l’histoire complèteici.


Yusuke Kinoshita : Un joueur de baseball professionnel de 27 ans est décédé 5 semaines après avoir été vacciné contre le COVID-19

joueur de baseball japonaisYusuke Kinoshitaest décédé 5 semaines après sa vaccination contre le COVID-19. Le joueur de 27 ans, qui a joué pour leDragons Chunichi, s’est effondré lors d’un entraînement de rééducation sur son épaule droite le 6 juillet et a été transporté d’urgence à l’hôpital où il a été mis sous ventilateur. Kinoshita est décédé sans avoir repris connaissance le 3 août.

Le joueur de baseball avait reçu son vaccin COVID huit jours avant son effondrement.

Le propriétaire des Dragons Chunichi, Uichiro Oshima,mentionnépeu avant sa mort :

« J’ai entendu dire qu’il était tombé malade après sa vaccination. Il est hospitalisé et se bat actuellement pour sa vie. Je ne connais pas le lien de cause à effet entre sa vaccination et l’effondrement.

Le lanceur de 27 ans d’Osaka aurait fait de l’exercice intensément immédiatement après sa vaccination, ce qui pourrait avoir été la cause de son effondrement et de sa mort.

Lire l’histoire complèteici.


Brandon Goodwin: Un joueur de la NBA de 26 ans a souffert de caillots sanguins peu de temps après sa vaccination contre le COVID-19, toujours mis à l’écart 7 mois plus tard

Ancien meneur des Atlanta HawksBrandon Goodwina développé des caillots sanguins après le vaccin COVID-19 qui l’a entraînédisparula fin de la saison NBA 2020-21.

Dans une vidéo publiée sur Ticle 29 septembre, Goodwin a déclaré : « Oui, le vaccin a mis fin à ma saison. Mille pour cent. Il a également dit qu’on lui avait dit : « de ne rien en dire, de ne le dire à personne ».

Il a continué:

« Je suis tombé malade et je ne m’en suis jamais tout à fait remis. J’avais toujours mal au dos, j’étais juste super fatigué pendant les matchs. J’avais l’impression que je ne pouvais pas courir d’un bout à l’autre du court. Mon dos me faisait mal. Mon dos a vraiment commencé à me faire très mal. Ensuite, je me dis, ‘OK. Je dois aller chez le médecin. C’est alors que j’ai découvert que j’avais des caillots sanguins. Tout s’est passé en l’espace d’un mois. J’allais bien jusque-là. J’allais bien jusqu’à ce que je prenne le vaccin, j’allais bien.

Goodwin a admis dans la vidéo qu’il avait des inquiétudes quant à son avenir en NBA :

« Je ne sais pas où je joue cette année. Je ne vais pas vous mentir, je ne sais pas.

Le meneur n’est pas revenu en NBA depuis qu’il a développé des caillots sanguins à cause du vaccin il y a 7 mois.

Lire l’histoire complèteici.


Greg Van Avermaet: l’ancien champion olympique de cyclisme sur route quitte la Coupe du monde de cyclisme en raison des effets secondaires des vaccins

Le cycliste médaillé d’or olympique 2016Greg Van Avermaetn’a pas participé aux Championnats du monde de cette année aprèsen disantson système immunitaire avait été compromis par le vaccin Pfizer qu’il avait reçu en juin.

« Mes valeurs sanguines ne montrent rien. Parfait, comme toujours, ce qui est aussi ma grande force. Mais d’autres données montrent qu’il y a quelque chose qui ne va pas avec mon système immunitaire. Mon corps combat un adversaire inconnu et c’est probablement le vaccin. Je dors bien, je m’entraîne bien et je me sens bien, mais il me manque 3 % de ma meilleure forme.

Van Avermaet n’a pas été le premier cycliste professionnel de haut niveau à s’inquiéter des effets du vaccin sur ses performances. En juillet, après le Tour de France, Jakob Fuglsang d’Astana-Premier Tech, qui n’a pas pris le départ de la dernière étape de la course pour cause de maladie et s’est classé 38e au général après le contre-la-montre individuel de la veille, a déclaré qu’il pensait que la vaccination était derrière son performance médiocre dans la course de trois semaines.

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Francesca Marcon : une joueuse de volley-ball de 38 ans a développé une péricardite après son deuxième vaccin contre Pfizer

joueuse de volley-ball italienneFrancesca Marcona immédiatement souffert d’essoufflement et de douleurs à la poitrine après sa vaccination Pfizer le 3 août. Elle est allée aux urgences le lendemain où les médecinsdiagnostiquéelle avec une péricardite.

La volleyeuse a partagé son expérience sur Instagram:

« Peut-être que mon discours est un peu blasphématoire, mais je me demande : n’y a-t-il aucune forme d’indemnisation pour ceux qui souffrent de problèmes de santé après avoir été vaccinés ? Je précise que je ne suis pas anti-vax mais je n’ai jamais été convaincu de prendre ce vaccin et maintenant je comprends pourquoi. Je ne sais pas si cela vous intéresse mais j’ai eu et j’ai toujours une péricardite post-vaccinale. Qui paie le prix de tout cela ?

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Antoine Méchin : le triathlète de 32 ans a souffert de caillots sanguins après le vaccin Moderna, possible fin de carrière

Le triathlète français Antoine Méchin a été contraint desuspendresa saison en septembre après une grave réaction indésirable au vaccin Moderna. Méchin a reçu sa première dose le 28 juin et sa deuxième le 16 août et souffrait d’essoufflement et de douleurs lombaires après les injections. Plusieurs tests ont montré plus tard qu’il avait développé uneembolie pulmonairesuite au vaccin.

Le triathlète a déclaré après son diagnostic:

« Je suis actuellement sous traitement et j’espère retrouver ma capacité pulmonaire (en 3-6-9-12 mois ?) D’ici là : repos et faible intensité pendant plusieurs mois.

Endommager les personnes saines pour préserver la santé des plus faibles, un choix de logique rétrograde. Je ne me ferais pas vacciner si c’était à refaire.

Méchin esttoujoursen convalescence à ce jour.

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Kyle Warner : un vététiste professionnel a souffert de plusieurs problèmes de santé après le vaccin Pfizer, possible fin de carrière

Le vététiste professionnel Kyle Warner a reçu un diagnostic de péricardite et de syndrome de tachycardie orthostatique posturale après le vaccin Pfizer. Warner a partagé sa blessure au vaccin début octobre dans une vidéo sur son Chaîne Youtube.

« La deuxième chose [en plus de la péricardite] à laquelle j’ai eu affaire pendant tout ce temps a été quelque chose appelé POTS (syndrome de tachycardie orthostatique posturale). J’ai reçu ce diagnostic l’autre jour au bureau du cardiologue, et ce qui était vraiment difficile, c’est qu’il m’a dit qu’ils ne savaient pas comment le traiter.

Il m’a ensuite dit que cela pourrait prendre 12 à 18 mois pour guérir de cela. J’étais un peu choqué quand j’ai entendu ça. Je suis rentré à la maison et j’ai éclaté en sanglots, principalement de frustration. Frustration qu’il n’y ait pas vraiment de voie claire à suivre. Je pense que ça a été la chose la plus difficile avec cette situation.

Warner aussipartagéson histoire lors d’une table ronde avec des experts médicaux et blessés par le vaccin COVID-19 sur les mandats fédéraux en matière de vaccins au Sénat américain le 3 novembre. Des citoyens souffrant de blessures causées par des vaccins sont venus de partout aux États-Unis pour partager leurs histoires dans la capitale nationale. 

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Jeremy Chardy: l’ancien joueur de tennis n ° 25 mondial de 34 ans termine la saison après une «douleur violente, presque paralysante» due à une blessure causée par un vaccin

joueuse de tennis française Jérémy Chardy a été contraint de suspendre sa saison en septembre après Souffrance une réaction débilitante au vaccin Pfizer COVID-19.

Chardy a déclaré à la presse :

« Depuis que j’ai eu mon vaccin (entre les JO et l’US Open), j’ai un problème. Je me bats. Je ne peux pas m’entraîner, je ne peux pas jouer. Dans ma tête, c’est difficile parce que je ne sais pas combien de temps ça va durer. Pour l’instant, ma saison est terminée et je ne sais pas quand elle reprendra.

C’est frustrant parce que j’ai très bien commencé l’année. Je jouais très bien et puis je suis allé aux Jeux Olympiques où je me sentais aussi très bien. C’est frustrant, surtout que je n’ai plus dix ans pour jouer. Je regrette d’avoir été vacciné, mais je ne pouvais pas savoir que cela arriverait. ”

Le joueur de 35 ans a admis qu’il était préoccupé par sa carrière de tennis :

« J’aurai 35 ans en février, donc en ce moment, je suis peut-être un peu négatif, mais c’est la première fois que je pense que cette saison pourrait être ma dernière. Je ne veux pas y penser… c’est difficile parce que je m’amusais et je veux jouer plus longtemps.

Chardy n’est pas revenu sur le terrain depuis sa blessure au vaccin début septembre.

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Florian Dagoury : détenteur du record du monde d’apnée en apnée statique a développé une myocardite et une péricardite après un vaccin Pfizer, possible fin de carrière

Florian Dagoury, actuellement le meilleur plongeur au monde en apnée statique, a reçu un diagnostic de myocardite et de péricardite 40 jours après sa deuxième dose du vaccin Pfizer. Dagoury est connu pour retenir son souffle pendant 10 minutes et 30 secondes.

L’élite Freedriver, d’origine française et basée en Thaïlande, a connu une diminution significative de sa capacité d’apnée et s’est rendue chez un cardiologue qui lui a dit que c’est un effet secondaire courant du vaccin Pfizer.

Dagoury a écrit surInstagram:

« Après ma 2e dose, j’ai remarqué que mon rythme cardiaque était bien plus élevé que la normale et que mes capacités d’apnée ont considérablement diminué. Pendant le sommeil, je suis à 65-70bpm au lieu de 37-45bpm. Pendant la journée, je suis maintenant toujours au-dessus de 100 bpm au lieu de 65 bpm, même lorsque je m’assois et que je me détends. J’ai même atteint une fois 177bpm en dînant avec des amis !!!! 10 jours après mon 2e vaccin, je suis allé voir un cardiologue et il m’a dit que c’était un effet secondaire courant du vaccin Pfizer, rien d’inquiétant, reposez-vous, ça passera.

40 jours après mon 2e jab, je n’avais aucun progrès alors je suis allé voir un autre cardiologue et j’ai reçu un diagnostic de myocardite, de péricardite et de régurgitation mitrale triviale ! Ce qui est essentiellement une inflammation des muscles cardiaques causée par le système immunitaire et quelques infimes fuites de sang des valves qui ne se ferment plus correctement. J’ai maintenant du mal à atteindre 8min d’apnée, 150m dyn et j’ai même une forte envie de respirer en faisant des plongeons de 40m. 30% de baisse sur mes performances en plongée environ. 

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Haziq Kamaruddin : un archer olympique à deux reprises de 27 ans est décédé 10 jours après le vaccin contre Pfizer

Archer malaisienHaziq Kamaruddinest décédé à l’âge de 27 ans le 14 mai après s’être effondré chez lui quelques jours aprèsrecevoirLe vaccin COVID-19 de Pfizer. L’archer olympique à deux reprises est décédé d’une artère coronaire bloquée.

Kamaruddin a reçu la première dose du vaccin le 13 avril et la seconde le 4 mai et a publié un photo sur Instagram.

Kamaruddin a représenté la Malaisie aux Jeux de Londres 2012 et de Rio 2016 et espérait se qualifier pour le Jeux olympiques de Tokyo cet été, avec le concours de qualification qui se déroulera à Paris en juin. Il était également membre de l’équipe classique de son pays qui a remporté l’argent aux Jeux asiatiques d’Incheon en 2014.

[Source : thecovidworld.com]

[Traduction automatique]

Une liste d’athlètes de classe mondiale qui sont morts ou ont subi des blessures graves après le vaccin COVID-19 – PARTIE 2

La date de publication de COVID World : 15 janvier 2022

De retour en novembre, Le monde COVIDpubliéun article avec 11 athlètes de classe mondiale décédés ou blessés peu de temps après avoir reçu le vaccin COVID-19. Nous n’avions pas prévu que les choses allaient si mal, qu’à peine deux mois plus tard, il y aurait suffisamment d’histoires pour faire une autre liste.

Cependant, ce qui suit est encore une fois une liste de 11 athlètes de classe mondiale du monde entier qui sont décédés ou ont été blessés au cours des derniers mois après avoir reçu le vaccin COVID-19 e.


Ricardo Gomes : un joueur de football de 30 ans s’est effondré pendant l’entraînement 6 semaines après avoir reçu le vaccin contre le COVID-19

footballeur capverdien Ricardo Gomess’est effondré lors d’une séance d’entraînement en décembre dernier et a été transporté d’urgence à l’hôpital. Le joueur de 30 ans, qui joue pour le club de football serbeFK Partizan Belgrade, avait reçu le vaccin COVID-19 six semaines seulement avant l’incident.

L’entraîneur-chef de l’équipe, Aleksandar Stanojevic , aurait déclaré après l’incident :

« Il [Gomes] s’est effondré à l’entraînement et la situation est extrêmement grave. 

Gomes , qui est considéré comme l’un des meilleurs joueurs duSuper Liga serbe, a reçu son vaccin COVID en octobre de l’année dernière avec son coéquipier Quincy Menig et l’entraîneur Stanojevic, qui ont personnellement emmené l’ international capverdien sur le site de vaccination, prétendument parce qu’il  hésitait à recevoir le coup.

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Ian Matos : un plongeur olympique brésilien de 32 ans est décédé des mois après avoir reçu le vaccin contre le COVID-19

plongeuse olympique brésilienneIan Matosest décédé à l’âge de 32 ans à la suite d’une hospitalisation de deux mois pour une infection pulmonaire, qui s’était développée peu de temps après sa vaccination contre la COVID-19.

Le Comité olympique brésilien a  déclaré dans un communiqué après sa mort :

« Nous sommes profondément attristés d’avoir appris la nouvelle du  décès prématuré  du plongeur olympique Ian Matos , âgé de seulement 32 ans.

L’équipe du Brésil reconnaît sa contribution à l’ évolution de la discipline.

Nos sincères condoléances à sa famille et ses amis. »

Le plongeur olympique avait déjà remporté trois médailles de bronze aux  Jeux sud-américains de 2010  avant de concourir dans letremplin synchronisé masculin de trois mètrescompétition aux  Jeux olympiques d’été de 2016 à Rio.

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Sarah Gigante : une cycliste olympique australienne de 21 ans a développé une myopéricardite après avoir été vaccinée contre le COVID-19

Cycliste olympique australienSarah Gigantea développé des problèmes cardiaques en août de l’année dernière, quelques jours seulement après avoir participé aux Jeux olympiques d’été de 2020 à Tokyo. Gigante a été hospitalisé à plusieurs reprises et a finalement reçu un diagnostic demyopéricardite, qui est une combinaison d’inflammation du muscle cardiaque et du péricarde, le sac entourant le cœur.

Le jeune homme de 21 ans avait été entièrement vacciné avant la crise sanitaire.

Gigante a été interrogé dans un Questions et réponses l’année dernière si elle croyait que son problème cardiaque était le résultat du vaccin COVID , auquel elle a répondu :

«Je ne sais pas ce qui a déclenché ma maladie (et il y a beaucoup de chances – certaines personnes dans la section des commentaires semblent positives que c’était le vaccin COVID ), mais peu importe ce que c’était, le fait est que j’étais extrêmement malheureux.

Je dois simplement dire que les vaccins fonctionnent, et ces vaccins surtout sauvent des vies. J’ai beaucoup de chance d’avoir été en mesure d’être protégé contre l’horrible maladie qu’est le COVID-19 et j’encourage tous ceux qui ont la chance de l’embrasser à bras ouverts et la manche relevée. 

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Sergio Aguero: la star du football entièrement vaccinée a été forcée de prendre sa retraite après une grave maladie cardiaque

attaquant argentinSergio Agüeroa annoncé sa retraite du football le mois dernier après avoir reçu un diagnostic de grave maladie cardiaque. L’attaquant de 33 ans l’a décrit en larmes comme « l’un des moments les plus difficiles de sa vie ».

Agüero a déclaré lors de la conférence de presse du mois dernier :

« J’ai décidé d’ arrêter de jouer au football professionnel. C’est un moment très difficile.

La décision que j’ai prise est pour ma santé ; après le problème [maladie cardiaque] qui avait commencé il y a un mois et demi. 

Les premiers problèmes médicaux d’Agüero sont apparus en octobre de l’année dernière lorsqu’il a été hospitalisé après un match de championnat contre Alaves, au cours duquel il a ressenti des douleurs à la poitrine  et  des difficultés respiratoires .

L’attaquant argentin avait été très favorable aux vaccins COVID ,promouvoirfortement sur les réseaux sociaux et encourageant l’adoption du jab chez les enfants dès l’âge de 5 ans .

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Daniel Aakervik : un skieur norvégien de 17 ans a été contraint de suspendre sa saison après une grave réaction au vaccin COVID-19

Le skieur de fond norvégien Daniel Aakervik a été contraint de suspendre sa saison l’année dernière après avoir développé des problèmes de santé causés par le vaccin COVID-19. Aakervik a déclaré qu’il « a immédiatement senti que quelque chose n’allait pas » et a déclaré que les médecins lui avaient dit que c’était  » probablement un effet secondaire du vaccin ».

Aakervik, qui est souvent appelé le plus grand talent norvégien en ski de fond et en biathlon , a remporté le Hovedlandsrennet (une compétition de ski de fond) à deux reprises et a remporté plusieurs victoires enbiathlon, un sport d’hiver qui allie ski de fond et tir à la carabine.

Le joueur de 17 ans a récemment partagé qu’il était revenu à la compétition, écrivant sur sonInstagram:

« Après un automne difficile, ça fait du bien de sentir que le corps fonctionne à nouveau et j’espère remporter une victoire dans la Norgescup . 

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Richard Harward : Un joueur de basket-ball universitaire a développé des caillots sanguins et des problèmes cardiaques pouvant mettre fin à sa carrière après avoir reçu le vaccin Pfizer COVID-19

Joueur de basket-ball universitaire Richard Harwardannoncéson congé du sport le mois dernier après avoir reçu un diagnostic de caillots sanguins et d’une maladie cardiaque à la suite du vaccin Pfizer COVID-19.

leCougars BYUjoueur a dit à propos de l’épreuve:

« La condition affectant mon cœur a développé d’autres complications. Pour ma santé et ma sécurité, il a été déterminé que je serai absent pour le reste de la saison. 

Il reste à voir si Harward , qui était auparavant en pleine forme, se rétablira un jour.

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Craig Jones: un combattant australien de MMA et champion du monde de Jiu-Jitsu de 29 ans a abandonné le combat de l’UFC après une blessure au vaccin Pfizer

Le combattant australien de l’UFC et champion du monde de jiu-jitsu Craig Jones a dû abandonner un combat l’année dernière après avoir subi une grave blessure suite à sa première dose du vaccin Pfizer COVID-19 qui avait fait que son estomac se remplissait de liquide.

Jones a posté ceci surInstagramtrois jours avant le combat.

«Je suis sorti les gars. Un des malchanceux qui a eu une réaction indésirable au vaccin Covid. Je ne vais pas vous ennuyer avec tous mes symptômes, mais j’ai fini par transporter beaucoup de liquide autour de mon estomac et je ne peux pas m’entraîner et encore moins concourir. 

Le combattant australien, qui possède une ceinture noire de jiu-jitsu brésilien , est considéré comme l’un des meilleurs grapplers de sa génération en remportant de nombreuses épreuves prestigieuses, dont plusieurs titres de ceinture. Jones a également terminé 2e auChampionnat du monde ADCCen 2019.

Tout en grimpant les échelons du jiu-jitsu , en compétition internationale, le joueur de 29 ans a également réussi à décrocher un diplôme enSciences du comportement(Psychologie).


John Fleck : un joueur de football écossais s’est effondré et a eu des convulsions pendant un match quelques mois seulement après avoir reçu le vaccin contre le COVID-19

footballeur écossaisJean Flecks’est effondré et a convulsé lors d’un match de championnat en novembre de l’année dernière et a été transporté d’urgence à l’hôpital. Fleck, qui joue comme milieu de terrain pour le club anglaisRoyaume-Uni de Sheffield, avait reçu sa deuxième dose du vaccin COVID en août de l’année dernière.

Le Dailymail a publié unarticlepeu de temps après l’incident en disant que « les scientifiques avaient confirmé » que l’effondrement de Fleck n’était pas dû au vaccin COVID. Cependant, aucun détail n’a été donné sur la manière dont cette conclusion a été tirée, à l’exception d’un cardiologue du sport, le professeurGuido Pielesen disant:

« A l’heure actuelle, je dirais que c’est encore une coïncidence . »

Fleck a commencé sa carrière avecRangers de Glasgowet a fait ses débuts senior en 2008 à l’âge de 16 ans seulement. Il a rejoint Sheffield United en 2016, aidant le club à obtenir deux promotions en trois ans, passant de la  Ligue 1  à la Premier League.

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Filip Ingebrigtsen : un athlète olympique de 28 ans a lutté pendant 7 mois après une grave réaction au vaccin COVID-19

athlète olympique norvégienPhilippe Ingebrigtsena subi une réaction « débilitante » du vaccin COVID-19 qui a duré plus de sept mois.

Ingebrigtsen, qui court dans la compétition de 1500 mètres , a réalisé des performances bien en deçà de son niveau habituel aux Jeux olympiques d’été de 2020 à Tokyo , sans aucune explication évidente de sa part et de son équipe. Cependant, des tests ont révélé plus tard qu’il souffrait des effets secondaires du premier vaccin COVID qu’il avait reçu en mars 2020.

Interrogé en octobre de l’année dernière sur le vaccin, le joueur de 28 ans a déclaré qu’il  » aurait refait la même chose « , reflétant une attitude quelque peu stoïque face à ses  » résultats négatifs « .

« Rétrospectivement, lorsque vous obtenez des résultats négatifs et que cela limite votre capacité à faire votre travail, vous le regrettez. Mais je suis sûr que j’aurais refait la même chose.

Je me sens mal que cela ait eu un effet si négatif et j’aimerais ne pas avoir ces problèmes. Je ne savais pas que ça se passerait comme ça. Malheureusement, cette fois, ça a mal tourné pour moi. 

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Paul Zipser: L’ancien joueur des Chicago Bulls a subi une hémorragie cérébrale après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson COVID-19

Basketteur du Bayern MunichPaul Zipsera été hospitalisé après être tombé malade peu de temps avant un match éliminatoire le 4 juin de l’année dernière. Le joueur de 27 ans a reçu un diagnostic de tumeur au cerveau sur son tronc cérébral un jour plus tard et a subi une intervention chirurgicale d’urgence, faisant craindre à sa famille et à son club pour sa vie.

La star allemande du basket-ball a développé la tumeur peu de temps après avoir été vaccinée avec une seule dose du vaccin Johnson & Johnson COVID-19.

Zipser a lentement repris une vie normale depuis la chirurgie cérébrale d’urgence il y a 9 mois, cependant, il reste beaucoup de doutes s’il pourra à nouveau jouer au basket à un niveau élevé. Néanmoins, dans un podcast récententretien, Zipser est resté optimiste quant à sa carrière :

« En dehors de la (bonne) formation au contact, il manque encore quelques choses, mais [mon retour] n’est plus qu’une question de temps maintenant. 

Zipser a été sélectionné par le Chicago Bulls avec le 48e choix au total lors du  repêchage de la NBA 2016 . L’Allemand a marqué un sommet en carrière de 21 points la même année lors d’une victoire de 112 à 73 contre les  Brooklyn Nets .


Fabienne Schlumpf : une coureuse de marathon olympique suisse de 31 ans a développé une myocardite après avoir reçu une injection de rappel COVID-19

Recordman suisse du marathon et athlète olympiqueFabienne Schlumpfa reçu un diagnostic de myocardite plus tôt ce mois-ci après avoir été vaccinée avec le vaccin de rappel COVID-19.

Schlumpf , spécialisé dans la 3000 mètres steeple, avait déclaré se sentir « fatigué » dans la vie de tous les jours peu de temps après le troisième coup.

La joueuse de 31 ans ne sait plus quand elle pourra à nouveau concourir :

« Personne ne peut dire combien de temps je dois mettre ma carrière entre parenthèses. »

L’athlète suisse avait déjà remporté une médaille d’argent aux  Championnats d’Europe 2018 et est l’actuel  détenteur du record national suisse au 3000 mètres steeple avec un record personnel de 9:37.81.

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[Voir aussi :
Liste de sportifs vax décédés, par un groupe d’avocats
Matt Le Tissier : « Je n’ai jamais rien vu de tel… C’est incroyable le nombre de sportifs qui s’effondrent »
2021 — Liste de sportifs professionnels et amateurs victimes des injections
Brisons le silence, sauvons nos enfants : la liste effroyable des décès de sportifs depuis le début de la vaccination !
Sportifs de haut niveau, les vaccins covid diminuent vos performances !]




La destruction de la médecine française achevée par le pouvoir macroniste. Pistes pour en sortir

Par Docteurs Nicole et Gérard Delépine

En 2000, le système sanitaire français était encore jugé l’un des meilleurs du monde. Mais en quarante ans depuis la politique Thatcher inaugurée en France par F. Mitterrand en 1983, la politique de restriction budgétaire et de gestion de plus en plus bureaucratique l’a mis au bord du gouffre.

Depuis de nombreuses années, les grèves quasi permanentes des personnels des hôpitaux psychiatriques et des urgences, les manifestations populaires des petites villes se battaient pour tenter d’éviter la fermeture des hôpitaux de proximité et en particulier des maternités. La mise en place des agences régionales d’hospitalisation (ARH) en 1996 par Alain Juppé, quelques mois après son échec de casse de la sécurité sociale, a conduit aux premières coupes en lits hospitaliers de proximité et aux manifestations fréquentes des personnels et citoyens de la Corrèze au Cotentin, en passant par le Jura et la Creuse. Dans le silence médiatique déjà et l’indifférence nationale.

En 2003, le plan cancer nationalisait la cancérologie (au bénéfice de Big Pharma) coupant toute possibilité de choix de traitement par le médecin et son patient. Test d’obéissance réussi. En ville les références médicales opposables transformées bientôt au début du XXIe siècle en recommandations imposées bloquaient la liberté de soigner des généralistes et spécialistes de ville. Le carcan se mettait en place sans réaction des médecins vite achetés par quelques avantages et paroles mielleuses.

La loi Bachelot(([1] Récompensée par le poste actuel de ministre de la Culture… ils sont tous liés.)) en 2008 sous Sarkozy a transformé les ARH en ARS — agences régionales de santé — mettant la main sur l’ensemble du système hospitalier tant public que privé. Les médecins du privé ont les mêmes obligations que ceux du public, en termes d’injonctions thérapeutiques, de réunions multiples et comités ad hoc, et accréditations via les agences au minimum tous les quatre ans. Pas d’accréditation, on ferme. Il n’y a plus de médecine libre ni privée en France depuis la loi de 2008. Cette dernière a été aggravée sous Hollande par la loi dite Touraine, ministre de la Santé dont O. Véran fut le rapporteur et Gabriel Attal membre de son cabinet entre autres.

Ainsi le ministère de la Santé sous E. Macron est la suite de la précédente législature dont il fut secrétaire général adjoint de l’Élysée sous F. Hollande avant d’être son ministre de l’Économie.

Continuité donc depuis de longues années sous l’apparence de changements politiques qui ne furent qu’esbroufe pour le public naïf.

REMERCIMENTS À BIG PHARMA

Ainsi le début du quinquennat Macron fut marqué par la rapide décision d’imposer 11 vaccins obligatoires à tous les enfants nés après le 1er janvier 2018 faisant fi des avis de la société civile, et surtout des dangers d’injecter tant de valences différentes aux tout petits avant qu’ils ne construisent leur système immunitaire. Mme Buzyn fut à la manœuvre et le président put remercier ses amis de Big Pharma. Cette décision n’avait jamais été évoquée pendant la campagne présidentielle.

Durant la crise Covid, A. Buzyn, puis O. Veran (ministres de la Santé) et le célèbre homme en noir du soir (le secrétaire général de la santé J. Salomon) se sont attaqués au nom de leur Président, aux principes mêmes de la médecine d’Hippocrate par des mesures autoritaires qu’aucun dirigeant n’avait jusqu’ici osé imposer. Rappelons-en quelques-unes.

NOUS SOMMES EN GUERRE, répéta E. Macron lors de sa première TV sur le Covid, oubliant de préciser contre qui… Contre les citoyens et en particulier ce qui restait de la médecine. On en eut vite quelques démonstrations.

N’allez pas consulter votre médecin !

Jamais dans l’histoire il n’avait été conseillé à un patient, en cas de maladie, de ne pas consulter son médecin, longuement formé pour vous examiner et porter un diagnostic et alors seulement, prescrire un traitement adapté à votre maladie en fonction de votre spécificité. Pourtant le ministère l’a fait dès mars 2020 en ces termes :

« Si vous présentez des symptômes pouvant indiquer une infection liée au coronavirus : toux, fièvre, écoulement nasal, mal de gorge, symptômes grippaux… restez chez vous. N’allez pas chez le médecin. »

Ça restera célèbre !

Même au temps de la peste, les médecins se rendaient au chevet des malades et leur portaient secours, car c’est depuis toujours leur mission. Mais le ministre a-t-il estimé qu’il saurait les soigner mieux qu’eux (et sans examiner personne) ou plutôt que ne pas les soigner du tout aggraverait de fait cette épidémie « providentielle » bien tombée pour imposer le Grand Reset ?

Interdictions de prescrire de la chloroquine puis l’Azithromycine et peut-être bientôt la vitamine D !

Jamais dans l’histoire le pouvoir en place n’avait interdit aux médecins de prescrire un médicament utilisé depuis longtemps sans complication. Ils l’ont fait. A. Buzyn a classé la chloroquine en médicament dangereux en janvier 2020 avant les premiers cas, alors que ce médicament était en vente libre depuis plus d’un demi-siècle et que chacun s’en procurait librement à l’occasion d’un voyage en Afrique, sans examen médical. Les militaires en mangent chaque jour comme des bonbons. Mais miracle, elle devient dangereuse alors qu’arrive le SARS-CoV-2 en France. Et Mme Buzyn osera répondre au Sénat comme « justification » que les Français consomment trop de médicaments.

Instrumentalisant l’article complètement bidon du Lancet d’ailleurs retiré peu de temps après sa publication (affaire dite du Lancet Gate(([2] Affaire du Lancet. On regrette que la presse française ne vérifie plus rien. The Gardian l’a fait. Premier résultat : les données sur l’Australie sont fausses
https://www.theguardian.com/science/2020/may/28/questions-raised-over-hydroxychloroquine-study-which-caused-who-to-halt-trials-for-covid-19On le redit, cette étude est une escroquerie intellectuelle L. Muchielli. La doxa du Covid
« Fin de partie » pour l’hydroxychloroquine ? Une escroquerie intel… | Le Club (mediapart.fr) ))), un décret paru le 27 mai 2020 au Journal Officiel interdit aux médecins de prescrire 
l’hydroxychloroquine contre le Covid pour soi-disant « toxicité cardiaque ». C’était d’autant plus surprenant que la nivaquine est commercialisée en France depuis plus de 70 ans (1949) et qu’elle n’avait pas jusqu’ici fait l’objet de signalement pour toxicité (sauf quelques rares cas lors d’automédication non surveillée par un médecin). Cette interdiction ministérielle a été soutenue par le Conseil de l’Ordre qui a systématiquement poursuivi les médecins qui défendaient ces médicaments en public comme les professeurs Raoult et Perronne et ceux qui guérissaient leurs malades grâce à eux, et encore en mars 2022 malgré l’accumulation de preuves internationales de l’absence de toxicité, mais surtout de la grande efficacité des schémas de traitement incluant la chloroquine ou dérivés !

Pourtant maître Krikorian démontra rapidement que cette interdiction n’était pas licite.

« …Le décret publié ce 27 mai 2020 tire une nouvelle fois les conclusions de l’avis du HCSP et modifie les conditions dérogatoires de prescription de l’hydroxychloroquine : que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19… »

Merci Mr Veran, car ce communiqué fut contesté dans sa valeur juridique, mais le mal était fait et court encore, exemple parfait de ce qu’est devenue la communication en France depuis le début du Covid et qui se poursuit avec la guerre en Ukraine, une version divulguée partout sur tous les Médias.

« Ce communiqué de presse a entraîné ce qui aujourd’hui peut être caractérisé comme une des plus grosses fake news puisque tous les médias ont repris cela en cœur et communiqué sur ce fait que le ministre avait interdit l’hydroxychloroquine. Ce “Ne doit pas” a eu un impact critique sur tous les médecins et Français et a entraîné une confusion générale. »

« Un élément des plus surprenants est l’asymétrie de traitement de l’information sur l’hydroxychloroquine. Le 27 mai 2020, le ministre de la Santé faisait le communiqué de presse avec ce “Ne doit pas”, mais, ce 11 juillet, alors que prenait fin cette interdiction, il n’y a eu aucun communiqué du ministre. Deux poids deux mesures. »(([3] La liberté de prescription des médecins est intacte ? (francesoir.fr) ))

« Le communiqué n’a donc aucun effet pour la juge, cependant il a été, pendant de nombreuses semaines, interprété par les médias, les patients et les médecins comme une interdiction. C’est la réalité sociologique que l’on retiendra et qui a créé beaucoup de confusion pour rien. La clarification demandée à ce sujet est donc importante et continue à mettre en évidence les incohérences ».

L’Azithromycine qui avait eu le tort d’être conseillée par le Pr Raoult en association avec l’hydroxychloroquine avec des résultats probants recueillis dans le monde entier, a été de même « interdite » par l’arrêté du 13 décembre 2021 pour soi-disant « éviter la trop grande prescription d’antibiotiques. » Mais là aussi avec un grand flou. Mais le mal est fait, démultiplié par les médias.

Jusqu’ici lorsqu’un médicament mis sur le marché se révélait dangereux, l’agence sanitaire émettait une alerte rappelant les risques signalés et le déconseillait, laissant aux médecins la liberté de le prescrire sous leur responsabilité personnelle. Ni l’hydroxychloroquine ni l’Azithromycine ni leur association n’exposent à des complications aux doses suggérées par le PR Raoult, et s’est révélée efficace et sans danger. Alors, pourquoi ?

L’Algérie, dont la population comporte les mêmes facteurs pronostiques péjoratifs que la population française (âge, obésité, diabète, hypertension), mais qui a instauré le traitement par le protocole Raoult pleure 13 fois moins de morts Covid par million d’habitants que la France

Les « interdictions » de traiter édictées par O. Véran sont vraisemblablement responsables d’une partie de l’excès de 120 000 morts français comptabilisés au nom du Covid et particulièrement chez les personnes âgées moins susceptibles de guérir spontanément. Les généralistes qui les suivaient pour leur « grippe » les années précédentes les traitaient avec l’Azithromycine pour leur infection pulmonaire et ils guérissaient.

Plus récemment, la vitamine D, dont de nombreux articles ont mis en évidence l’effet protecteur contre les formes graves de Covid, a, elle aussi, été menacée d’interdiction, car elle a été brutalement qualifiée de « perturbateur endocrinien ». L’imagination du ministère pour interdire tout traitement efficace contre le Covid n’a vraiment pas de limite !

Pour comprendre l’opiniâtreté du refus d’admettre l’efficacité des traitements précoces du Covid-19, il faut savoir que la reconnaissance officielle de l’efficacité d’un traitement médicamenteux contre le Covid aurait pu mettre en péril « l’autorisation conditionnelle » de mise sur le marché des pseudo vaccins, car celle-ci n’a été accordée que parce qu’il n’existait aucun traitement reconnu de l’infection. De fait, ils ont contourné les lois au fur et à mesure et en mars 2022, plusieurs médicaments (chers), des nouveautés, ont été acceptés. Mais en restreignant leurs indications, ce qui permet de faire croire qu’il n’existe pas de traitement pour tous les malades. Et pourtant, ivermectine, etc..

Refuser les vieux aux urgences et à l’hôpital !

L’état d’urgence sanitaire a été officiellement instauré en février 2020 pour « protéger les plus fragiles et en particulier les personnes âgées ».(([4] Mais l’analyse des actions gouvernementales réalisées depuis montre qu’en réalité, une des véritables intentions de cette suppression des droits élémentaires du citoyen est « éliminer les vieux » trop coûteux en termes de retraites, de soins. Un des thèmes préférés d’Attali (le mentor d’E. Macron), est l’élimination des retraités après 65 ans (oubliant son âge, mais c’est pour les gueux). La prévision télévisuelle de l’homme C. Barbier, à l’écharpe rouge est glaçante : Macron pourra être réélu en 2022 même s’il traite durement les retraités, car ils ne seront plus là pour voter.
Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? — AgoraVox le média citoyen)) Pour justifier les mesures restrictives des libertés prétendument sanitaires, les médias ont LARGEMENT insisté sur la priorité absolue « de protéger les plus vieux et les plus fragiles » faisant croire aux jeunes qu’ils se sacrifiaient pour les plus vieux. Mais diviser pour régner et mentir outrageusement est leur mantra. Les mesures imposées par nos gouvernants ont fait le contraire, en excluant cruellement les personnes âgées des soins.

Les mesures contre les personnes âgées se sont durcies avec les consignes de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 et plus encore le décret du 28 mars signé E. Philippe et O. Véran

« Ils prévoient, organisent et facilitent l’euthanasie des personnes âgées (âge non précisé : 60, 65, 75 ?) par injection intraveineuse d’un médicament contre-indiqué dans les détresses respiratoires. Injection qui va donc endormir le patient, aggraver son asphyxie et le mener à la mort. Le consentement éclairé est absent, de même que le simple choix du patient en abus de faiblesse. »(([4] Mais l’analyse des actions gouvernementales réalisées depuis montre qu’en réalité, une des véritables intentions de cette suppression des droits élémentaires du citoyen est « éliminer les vieux » trop coûteux en termes de retraites, de soins. Un des thèmes préférés d’Attali (le mentor d’E. Macron), est l’élimination des retraités après 65 ans (oubliant son âge, mais c’est pour les gueux). La prévision télévisuelle de l’homme C. Barbier, à l’écharpe rouge est glaçante : Macron pourra être réélu en 2022 même s’il traite durement les retraités, car ils ne seront plus là pour voter.
Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? — AgoraVox le média citoyen))

Les directeurs d’EHPAD ont reçu le document rédigé par le Dr Renaud Lévy, gériatre, membre du bureau de l’association nationale de médecins coordonnateurs d’EHPAD donnant l’instruction claire et nette de ne pas « emboliser le standard téléphonique du SAMU pour des patients qui n’iront pas à l’hôpital ». Le document ajoute à cette catégorie les personnes âgées pour qui l’hospitalisation ne serait pas bénéfique ». Évidemment les bureaucrates sont aptes à en juger. Mais la population sidérée se tait.

De plus, dans sa fiche de « RECOMMANDATIONS Gestion COVID-19 » à destination des établissements médicosociaux pour personnes en situation de handicap et établissements pour public en difficultés spécifiques(([5] https://www.hauts-de-france.ars.sante.fr/system/files/2020-03/Recommandations%20ESMS%20Mars%202020.pdf)), les ARS ne mentionnent nulle part la possibilité d’une hospitalisation.

Les ARS bras armé du ministère ont appliqué les instructions et ordonner de laisser les vieux atteints du Covid dans leur EHPAD d’origine ou le manque de personnel, d’espace et de moyens de protection a abouti à contaminer leurs compagnons d’infortune, de plus privés du soutien de leurs familles et d’une partie de leurs soignants habituels et ce de façon complètement incompréhensible et injustifiée. Du jour au lendemain, on prive nos parents de tous contacts, et on s’étonne qu’ils décèdent en grand nombre (non testés). La vie a besoin d’amour pour perdurer et le Covid-19 a bon dos. N’oublions pas que la dernière réunion de l’Assemblée nationale avant le coronacircus était consacré à l’étude de la réforme des retraites qui donnait lieu à de nombreuses voire violentes manifestations. Quelle aubaine, ce virus.

Les médecins ont reçu dès fin mars 2020 les instructions rédigées par la société savante de soins palliatifs.

Administrer du Rivotril pour euthanasier de fait les vieillards suspects de Covid

Fourniture du poison (Rivotril injectable) autorisé par le décret du 29 mars pour une période exceptionnelle (qui a eu vocation de durer…)

INCITE LES MÉDECINS ET SOIGNANTS À ACCÉLÉRER LA FIN DE VIE CHEZ LES PATIENTS QU’ILS ESTIMENT NE PAS POUVOIR PRENDRE EN CHARGE (faute de lits ou de probabilité suffisante de les guérir !)

SEULS, SANS CONSENTEMENT DU PATIENT NI DE SA FAMILLE QUI NE LE REVERRA PAS

 « Une internaute raconte : “on leur a amené ma grand-mère consciente, un peu gênée sans plus, ils nous ont rendu un cercueil fermé et l’interdiction de l’accompagner à plusieurs dans sa dernière demeure”. Nous pourrions vous en transcrire des centaines ».

Ce décret scélérat signé Veran-Philippe(([6] Un candidat à la présidence 2027 semble-t-il…))(([7] Décret n° 2020-360)) autorise la prescription de Rivotril sous forme injectable dans ces établissements et à domicile, aux malades infectés ou supposés tels (pas de test !). Le Rivotril injectable, puissant inhibiteur respiratoire est, selon la notice, contrindiqué dans les détresses respiratoires. C’est clair ! « Par dérogation à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, jusqu’au 15 avril 2020, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention “Prescription hors AMM dans le cadre du Covid-19” ». Le ministre pousse la générosité à rembourser le médicament à 100 %, 4 € plus généreux que les Chinois qui font payer la balle aux familles des condamnés à mort.

Les médecins reçoivent au début de leur garde une fiche-conseil pour la prise en charge des patients Covid(([8] Fiche conseil-urgence sanitaire patients Covid+ prise en charge des détresses respiratoires asphyxiques à domicile ou en EHPAD rédigée par la Société dite savante d’accompagnement et de soins palliatifs. « Ces propositions ne sont en aucun cas destinées à être appliquées dans d’autres circonstances que celles que nous rencontrons, déjà aujourd’hui pour certains et peut-être demain pour d’autres, liées à ce contexte dramatique d’épidémie de COVID-19 ». Travail coordonné par Pr Morel (président conseil scientifique de la SFAP), Pr Guirimand, Dr Michenot, Dr Sahut-d’Izarn.)). Injonction mortifère pour « euthanasie », mais sans consentement éclairé de l’intéressé, ni demande préalable à la famille, contraire à la loi Leonetti et même aux désirs des partisans de l’euthanasie qui la souhaitent toujours décidée par le patient lui-même.

Les fiches détaillent les étapes à suivre selon la gravité du tableau clinique (cf. article Agoravox réf.).

Le Rivotril est un puissant dépresseur respiratoire et sa notice indique qu’il est contre-indiqué en cas de difficultés respiratoires. Le donner à des vieillards souffrant de gêne respiratoire revient à les euthanasier activement ou plutôt à les assassiner puisque l’injection réalisée avec préméditation n’était pas faite à la demande du malade et que ses conséquences létales lui étaient cachées. Dix mille prescriptions supplémentaires de Rivotril par rapport à l’année 2019 ont été comptabilisées en mars et avril 2020. Dix mille morts par injection au minimum.

Plan blanc et ses milliers de « victimes collatérales »

Déclenché dès le 26 février 2020 dans les hôpitaux de Creil et de Compiègne, le plan blanc a été étendu par le Premier ministre E. Philippe dans les hôpitaux des régions du Grand Est et Île-de-France le 6 mars, avant d’être généralisé à tous les établissements de santé le 13 mars 2020.

Ce plan blanc interdit toute intervention ou traitement jugé non urgent par les Agences Régionales de Santé si ce traitement nécessite une hospitalisation (soit environ 70 % de l’activité chirurgicale normale).

Pour prétendument faire de la place pour les malades Covid, sur ordre du Premier ministre Édouard Philippe,(([9] Désastre sanitaire et économique du blocage de la chirurgie (economiematin.fr) )) les ARS ont interdit aux chirurgiens d’opérer sauf en cas d’urgence reconnue par leurs agents. Des bureaucrates décidant du degré d’urgence d’une intervention sans examiner le malade ! Par exemple, ils ont ainsi estimé que l’ablation des cancers du côlon n’était pas urgente et qu’elle pouvait être remplacée par de la radiothérapie (alors que ce cancer est très peu sensible aux rayons et qu’il y avait très peu de disponibilité de place en radiothérapie).

Cette interdiction d’opérer pour libérer des lits aux malades du Covid n’avait en réalité aucun intérêt, car les ARS ont généralement refusé de transférer les malades Covid des hôpitaux publics vers les cliniques privées qui sont restées majoritairement vides(([10] https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/31945-Podcast-On-prefere-eloigner-patients-alors-des-cliniques-restent-vides))(([11] https://www.lesechos.fr/economie-france/social/coronavirus-les-hopitaux-prives-non-lucratifs-veulent-etre-plus-sollicites-1186749))(([12] https://www.espaceinfirmier.fr/actualites/200416-Covid-19-les-cliniques-sont-elles-insuffisamment-sollicitees.html)) et ont dû, pour beaucoup d’entre elles, mettre leur personnel au chômage !

Ce blocage inutile des lits pendant trois mois a empêché de traiter convenablement les malades chroniques courants (cardiaques, diabétiques, insuffisants rénaux.), de pratiquer des greffes d’organes prévues, de dépister des cancers(([13] OMS le nombre de cancers diagnostiqués en avril de l’année dernière a par exemple « diminué de 30 à 40 % lors du premier confinement de 2020 » aux Pays-Bas et en Belgique,)), de faire les biopsies nécessaires au diagnostic précoce (objectif pourtant prioritaire de la médecine depuis 20 ans). On estime que les retards et défauts de soins consécutifs sur le plan blanc ont déjà causé le décès évitable de 5000 personnes par infarctus, embolie, accidents vasculaires cérébraux et qu’ils seront responsables de la mort de 15 000 à 20 000 cancéreux dans les prochaines années.(([14] OMS Déclaration du docteur Hans Henri P. Kluge, directeur régional de l’OMS pour l’Europe– L’impact catastrophique de la COVID-19 sur les soins du cancer Copenhague (Danemark), 4 février 2021))(([15] Dans son rapport, F Bizard précise : « selon les données de Doctolib, l’activité aurait baissé en avril 2020 par rapport à janvier 2020 de 44 % chez les médecins généralistes et de 71 % chez les spécialistes. La CNAMTS a confirmé une baisse d’activité de 40 % pour les médecins généralistes. Une moyenne de 70 % de perte d’activité chirurgicale a été constatée depuis le début du plan blanc ». L’impact de la crise Covid-19 a été estimé à une baisse de plus de 2 millions d’actes chirurgicaux, pour une date de levée du plan blanc postérieure au premier juin. Le nombre des décès secondaires aux retards de soin consécutifs à ce plan blanc est difficile à estimer pour l’instant, mais compte tenu du nombre considérable de malades concernés (plusieurs millions), il devrait très largement dépasser celui des victimes directes de l’épidémie.))

Ce plan blanc était inutile puisque le taux d’occupation des lits hospitaliers pour Covid est resté bas au cours de l’année 2020(([16] https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_Covid.pdf)), « les patients Covid ont représenté 2 % de l’ensemble des patients hospitalisés tous champs hospitaliers confondus » et « 5 % de l’ensemble des patients pris en charge en service de soins critiques. » AVEU terrible qui aurait dû entraîner des vagues de protestation, mais tout passe.

Néanmoins, les conséquences immédiates et à venir du plan blanc, totalement méprisées par le Premier ministre et les ministres successifs de la santé, Buzyn puis O Veran ont lourdement aggravé le bilan mortifère de la politique sanitaire du gouvernement.

Censure Covid servant de modèle à la censure généralisée en médecine.

Officiellement la censure est abolie en France et la loi n’interdit que :

« la négation des crimes contre l’humanité, les incitations à la haine raciale, et à la discrimination fondée sur l’appartenance ou la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion ».

Pourtant, depuis le début de la crise Covid, les dirigeants et les médias ont établi une censure sévère empêchant toute expression d’opinion mettant en doute le dogme corona officiel.

Chacun a pu l’observer sur Tweeter et LinkedIn où les donneurs d’alerte ont vu leur compte supprimé, sur Facebook qui a censuré d’un coup 8000 canaux de journalistes et de médecins indépendants, dans les journaux et à la télévision grand public où se sont succédé tous les jours des médecins très liés aux fabricants de vaccins ou aux organismes apôtres de la pseudo vaccination.

Tous les médias dominants et l’Agence France-Presse ont créé des services de « fast checkers » (souvent rémunérés par Bill Gates) qui se comportent en propagandistes sans vergogne de la stratégie « tout vaccinal »(([17] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/larnaque-des-fact-checkers))(([18] https://blogs.mediapart.fr/basicblog/blog/170721/Covid-medias-fact-checkers-fabriques-mensonges))(([19] https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/le-BMJ-etrille-le-fact-checking-de-facebook)) prétendant par exemple qu’il serait « possible éradiquer le virus par une immunité collective vaccinale »(([20] Hypothèse folle reconnue depuis impossible par la quasi-totalité des agences sanitaires qui en avaient pourtant fait un mantra.)), que les traitements précoces (Hydroxychloroquine, Ivermectine, Artémisine) étaient inefficaces et dangereux(([21] Affirmations démenties par les évolutions sanitaires des pays africains et de l’Inde qui les ont utilisés avec succès.)), que les mesures sanitaires étaient efficaces(([22] Prétention démentie par toutes les analyses indépendantes.)), que les « vaccins » seraient efficaces et sans danger(([23] L’inefficacité des vaccins est affirmée par la poursuite de l’épidémie dans tous les pays très vaccinés.))(([24] Les registres officiels américains, européen et français recensent un nombre de morts post injection sans précédent dans l’histoire des vaccins.)) et que l’injection des enfants pourrait protéger les personnes à risques

Et les médias qui publient ces désinformations refusent systématiquement un droit de réponse. À quand les poursuites juridiques contre les décideurs, mais aussi les journalistes complices ?

Parallèlement, la censure des opinions des médecins qui ne cadreraient pas avec le lobby pharmaceutique s’est élargie de jour en jour et elle est maintenant demandée par l’Institut du cancer qui réclame un collège d’expert qui aurait le pouvoir de juger qu’une information donnée dans n’importe quel domaine de la santé est une « fake news » ou pas, et d’imposer aux médias et aux réseaux sociaux sa « suppression pure et simple ».

Cette demande est intégrée au décret n° 2021-119 du 4 février 2021 qui définit la stratégie nationale de lutte contre le cancer.(([25] www.legifrance.gouv.fr/eli/décret/2021/2/4/SSAP2100774D/jo/texte Un dispositif de lutte contre les fake news réactif sera structuré. Il permettra d’éclairer les personnes face aux polémiques susceptibles de concerner les différents champs du cancer : prévention primaire, dépistage, traitements et soins complémentaires.))

Sur le même modèle, la création d’un dispositif type « CSA santé » serait étudiée, pour instaurer des règles en matière d’information en santé, prévues dans un accord-cadre avec les hébergeurs de contenus (médias, réseaux sociaux) pour qu’ils fassent « un travail d’élimination des fake news identifiées par un collège d’experts. » La menace d’une censure systématique de l’information médicale indépendante n’est donc pas un fantasme de complotiste.

Cette censure sévère et la diffamation systématique des opposants traités de complotistes, d’extrême droite, d’antisémites empêche tout débat démocratique sur la stratégie anti-Covid et autres sujets médicaux comme le traitement du cancer.

Et le gouvernement qui prétend que sa stratégie sanitaire est transparente a refusé de publier les comptes rendus du comité sanitaire de défense et les a même décrétés Secret-Défense pour 50 ans !

Rétablissement du délit d’opinion conduisant à l’interdiction d’exercer

Le délit d’opinion qui, du temps des rois, pouvait vous valoir la Bastille a été aboli lors de la Révolution française. La Déclaration des droits de l’homme du 26 août 1789 proclame : « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. ».

Mais le pouvoir macroniste a officiellement rétabli le délit d’opinion par le décret du 22 décembre 2021, modifiant le l’Article R. 4127— 19-1 du code de santé publique « relatif à leur communication professionnelle » afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle. Ses complices ont persécuté les médecins qui refusaient de se taire et continuent à interdire d’exercice quelques semaines des médecins ou plus, ceux auxquels il est reproché d’avoir guéri et/ou informé leurs malades comme tout récemment encore le Dr Philippe de Chazournes à la Réunion.

Ce décret visant à museler les médecins complète le décret de Macron— Veran qui a créé « le Conseil national de certification », investi du pouvoir exorbitant de retirer le droit d’exercer aux médecins qui n’obéissent pas. Le 19 juillet 2021, un Conseil des ministres, sans doute insatisfait d’un Conseil de l’Ordre qui n’a pas réussi à faire rentrer dans l’ordre les Pr Raoult et autres Perronne(([26] https://www.youtube.com/watch?v=9VkkvHeyq-o)), a créé ce nouvel organisme ayant le pouvoir d’évaluer, à tout moment de sa carrière, chaque médecin et donc de l’empêcher d’exercer s’il n’obéit pas servilement. Il semble que le Pr Perronne en ait été la première et célèbre victime.

L’interdiction d’exercer la médecine peut ainsi être décidée sans débat contradictoire, ni avocat, ni possibilité d’appel par des fonctionnaires nommés selon le bon vouloir des princes qui nous gouvernent selon le modèle de fonctionnement des tribunaux de l’Inquisition (la torture physique en moins).

Ainsi deux collaborateurs de la tyrannie élyséenne — la Haute Autorité de santé et le Conseil national de certification — seront désormais les gendarmes de l’exécutif pour mieux contrôler le Conseil de l’Ordre qui devra désormais appliquer à la lettre la politique inquisitoriale punitive de l’état. Les ARS ne suffisent plus. Y a-t-il des résistances internes ?

Pourtant l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) affirme la liberté d’expression :

« toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière»

Le Conseil constitutionnel français a précisé en 1994 que la liberté d’expression est une « liberté fondamentale » d’autant plus précieuse que son existence est une des garanties essentielles du respect des autres droits et libertés. » Période déjà lointaine…

Selon ces textes fondamentaux, chacun a le droit d’avoir son opinion, ses idées et de l’exprimer par n’importe quel moyen et sous n’importe quel format, sous réserve qu’il ne soit ni diffamatoire, ni négationniste, ni qu’il appelle au crime.

Serions-nous sortis de la démocratie européenne sans le savoir ?

Poursuite des suppressions de lits d’hospitalisation pendant la crise

Entre 2003 et 2019, le nombre de lits d’hospitalisation complète installés, tous établissements, toutes disciplines et tous secteurs confondus, est passé de 468 000 à 393 000, soit une diminution d’environ 75 000 dont environ 18 000 réalisée par les gouvernements Macron.(([27] la DREES édition 2021 de l’ouvrage « Les établissements de santé ».))

Durant la crise Covid, alors que le gouvernement affirmait que les restrictions sanitaires étaient dues au manque de lits hérité du passé, il a en même temps continué à en fermer, dont 5 700 en 2020 (dernier chiffre connu.)

Et les fermetures continuent en 2022 comme en témoigne la grève actuelle illimitée à l’hôpital Ravenel (Mirecourt) contre la possible suppression de l’unité pédopsychiatrique(([28 https://www.vosgesmatin.fr/sante/2022/03/08/mirecourt-une-greve-illimitee-a-l-hopital-ravenel-contre-la-possible-disparation-de-l-unite-pedopsychiatrie)), alors que les mesures sanitaires ubuesques ont fait exploser les problèmes psychiatriques des enfants.

Les mesures sanitaires inefficaces imposées « parce que nous manquions de lits » ont coûté près de 400 milliards € au pays, mais le ministre de la Santé n’en a pas trouvé 10 à 20 pour remettre immédiatement à niveau nos hôpitaux avant la prochaine crise.

On manque de soignants, mais la présidence et O. Véran les chassent de la profession

Dans son avis du 5 octobre 2021, le conseil scientifique affirmait que parmi les lits censés être ouverts :

« environ 20 % des lits fermés l’étaient du fait d’emplois vacants »… « Un certain nombre d’unités dans des hôpitaux sont obligées de fermer temporairement, ou de réduire la voilure, faute de soignants, faute surtout de pouvoir en recruter »

Le 20 octobre 2021, la Fédération Hospitalière de France faisait en plus état d’« un taux d’absentéisme de l’ordre de 10 % » et de « 2 à % de postes vacants de soignants » au sein des hôpitaux et des établissements médico-sociaux publics aggravant d’autant le manque de personnel.

Actuellement, plus de 25 000 postes hospitaliers de soignants ne trouvent pas de candidats du fait de salaires insuffisants, de conditions de travail de plus en plus pénibles sous le joug de cadres bureaucrates, d’une lourdeur administrative croissante et de l’obligation vaccinale.

Les médecins manquent tant à l’hôpital qu’en ville et les déserts médicaux se multiplient poussant certains maires à demander l’affectation autoritaire des nouveaux médecins, sans qu’ils ne se rendent compte que toutes les obligations dissuadent les médecins de s’installer et que mieux vaut renoncer à la profession sans liberté de soigner pour ne pas trahir le serment d’Hippocrate. Que ceux qui imaginent imposer des « gardes obligatoires » en ville ou ailleurs ne se fassent pas d’illusion, cela ne ferait que conduire à quelques démissions supplémentaires.

Si on veut relever la France, il faut sortir de cette gestion bureaucratique et autoritaire. Sans liberté, point de salut !

Pour tenter de colmater l’hémorragie des médecins qui abandonnent la profession, le gouvernement a proposé des rustines : une prime de solidarité territoriale pour les inciter à faire des gardes supplémentaires, 2000 assistants médicaux pour diminuer leur charge administrative, et le développement des pratiques avancées pour des infirmiers pour qu’ils pratiquent plus d’actes médicaux…

Les décideurs ne veulent pas voir qu’un médecin doit être LIBRE DES SES CHOIX PROFESSIONNELS ET EN PARTICULIER DU PREMIER D’ENTRE EUX, DE SES PRESCRIPTIONS et que le reste n’est que détail.

O. Véran prétend ne pas avoir les moyens humains pour venir à bout du problème qu’il a fortement aggravé par son obsession « vaccinale » :

« Je n’ai pas de médecins cachés dans le placard ni des infirmières qui attendent dans une salle qu’on appuie sur un bouton pour les déployer dans les hôpitaux. J’ai demandé à Pôle Emploi de repérer les soignants qui s’étaient inscrits en vue d’une reconversion professionnelle en essayant de comprendre pourquoi ils s’en vont ».

POURQUOI LES MÉDECINS ET INFIRMIERS SE RECONVERTISSENT !!

Être médecin et ne pas comprendre que cette profession ne peut se pratiquer que librement sans multiples garde-chiourmes à tous les étages, médecins CPAM, médecins ARS en ville, injonction d’appliquer les références médicales et recommandations. À l’hôpital également avec les multiples réunions imposées pour respect des normes toujours plus nombreuses et souvent imbéciles et la surveillance permanente et intrusive des cadres de santé dressés à cette tâche pour agir sur les durées de séjour et valoriser au maximum les séjours. Ce n’est plus de la médecine, pourquoi rester comme robot ?

Le ministre pourrait pourtant immédiatement ouvrir le placard dans lequel il a autoritairement enfermé plus de 10 % des soignants (les vaccino prudents). Ces soignants ne sont pas des antivax comme O. Véran et les médias les présentent ; ils ont, pour la plupart, précédemment largement injecté de vrais vaccins et n’ont pas rechigné à se faire vacciner. Mais mieux informés que le reste de la population, ils savent que ce qu’on leur propose n’est pas des vaccins, mais des médicaments géniques expérimentaux issus d’une technique jusqu’ici jamais utilisée en pathologie infectieuse.

Ils s’inquiètent de l’extrême rapidité avec laquelle ces prétendus vaccins ont été mis sur le marché alors qu’il faut normalement 9 à 15 ans pour vérifier la sécurité de tels produits. Ils savent que leur âge jeune les protège des complications du Covid-19 et que les nombreuses complications qu’ont subies leurs collègues injectés ont mis certains services hospitaliers hors d’état de fonctionner pendant plusieurs semaines ; ils ont observé que ces pseudo vaccins n’empêchaient ni d’attraper la maladie, ni de la transmettre, ni de se retrouver en réanimation et qu’ils entraînent parfois des complications graves. Ils attendent les résultats définitifs des essais pour se décider.

Cette obligation d’un médicament expérimental a constitué la goutte d’eau qui a fait déborder le ras-le-bol. Actuellement de nombreuses opérations sont reportées par manque de panseuses ; des urgences et même des services sont fermés faute de médecins et de personnel soignant et cela est directement la conséquence du totalitarisme vaccinal surajouté aux conditions déjà délétères.

Après n’avoir rien fait pour remettre les hôpitaux à niveau, O. Véran, par son obstination à injecter les soignants, injonction réitérée par le président récemment, a mis hors d’état de fonctionner un grand nombre d’entre eux. Et comme tout pompier pyromane, il prétend qu’il a fait tout pour éteindre l’incendie.

Suppression du secret médicalet transmission des données médicales personnelles à des tiers privés

Big Brother veut tout savoir de vous. Après l’échec relatif du dossier médical partagé qui traîne depuis plus de 15 ans sans efficacité, le ministère vient de créer « Mon espace santé » sans vraiment avertir la population de ses risques.

Ce dossier de santé numérique intitulé comprend déjà une version du Dossier médical partagé (DMP) stockant toutes les données de santé connues de l’assurance maladie — ordonnances, traitements, résultats d’examens, imageries médicales, antécédents médicaux et allergies, comptes rendus d’hospitalisation, vaccination.

Ce dossier numérique personnel sera prochainement complété par : un agenda santé pour gérer les rendez-vous médicaux et recevoir des rappels pour les dates clés des examens de contrôle (bilans, mammographie, vaccination…) et un catalogue d’applications certifiées par l’État pour « être mieux guidé dans le choix des outils numériques utilisés pour le suivi de votre santé. ».

C’est donc clairement la fin du secret médical ; l’état enregistrera tout de votre santé et de celle de vos proches : si vous êtes éthylique, drogué, cancéreux ou malade du sida, à quel âge votre fille a pris la pilule, si votre fils est homosexuel, si votre femme a avorté…

Et non content de rassembler et d’enregistrer ces données, l’état s’autorise à les transmettre à des sociétés privées. Ainsi l’arrêté du 21 avril 2020 a confié la collecte et l’hébergement des données de santé à la société Microsoft (Health Hub) et confié à différents prestataires privés, dont la société Doctolib, les données personnelles pour la gestion des rendez-vous de vaccination. Et le Conseil d’État a validé ces ruptures du secret médical !

Sachez que vous pouvez vous opposer à la création de votre espace santé en notifiant votre opposition dans le mois qui suit cette création automatique. Attention de le faire dans les délais, car l’absence de refus est considérée par l’état comme une acceptation. Si vous ne voulez pas que vos données médicales et celle de votre famille puissent être stockées par Microsoft et vendues à tous ceux que l’état prévoira, il est urgent que vous adressiez votre refus à votre conseiller Mon espace santé et que vous demandiez votre justificatif d’opposition.

Durant ces deux années le pouvoir macronien avec A Buzyn puis O. Véran comme chefs d’orchestre ont ainsi poursuivi une politique de destruction du système de santé tant en ville qu’à l’hôpital public ou privé, et des règles fondamentales de l’exercice médical avec en particulier la violation du secret médical, la création d’un délit d’opinion médicale, l’interdiction arbitraire de prescription de médicament mis sur le marché, l’incitation au meurtre de nos aînés en EHPAD par Rivotril, l’obligation d’un médicament génique expérimental scandaleusement qualifié de vaccin

Combien de temps accepterons-nous ? En tous cas les candidats à la présidence doivent en retenir les principaux enseignements.

Pour améliorer rapidement la situation, il ne sert à rien d’ouvrir des postes supplémentaires en ville ou à l’hôpital si on ne change pas radicalement les conditions d’exercice, car ils ne seraient pas pourvus

Augmentation des salaires des paramédicaux

Liberté de soigner découlant de la suppression des ARS sans les remplacer par d’autres pouvoirs bureaucratiques (préfets) et de la suppression du pouvoir du conseil de l’ordre d’interférer dans les prescriptions médicales et de constituer un tribunal d’exception.

Suppression de nombreuses agences sanitaires soi-disant indépendantes, mais dont les directeurs sont nommés par le ministère et dont les membres peuvent contracter des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique : HAS, INCA qui ne devraient posséder à la rigueur que des possibilités de conseil, mais jamais d’ukases ni de sanctions.

Lorsque le système de santé français brillait dans le monde, le diplôme de médecine était suffisant pour exercer ce noble métier et le médecin dispensait ses soins dans le cadre du colloque singulier avec son malade en respectant les données acquises de la science (arrêt Mercier 1936). Liberté au patient de porter plainte en cas de désaccord ou faute professionnelle supposée.

La multiplication des agences, comités, observatoires depuis les années 1995 que les députés n’arrivent plus à compter tant ils sont nombreux et opaques(([29] https://docteur.nicoledelepine.fr/destruction-de-la-securite-sociale-du-systeme-hospitalier-et-liberal-couplee-a-celui-de-luniversite-et-de-la-recherche-desastre-annonce/ diaporama)), a désorganisé la médecine en donnant des petits pouvoirs à des bureaucrates et détourné beaucoup de soignants de leur vocation, en les affectant à ces organismes inutiles, coûteux et minés par des conflits d’intérêts.

Il faut revenir à la médecine de base, libre, et pour les hôpitaux de proximité rendre le pouvoir de gestion aux maires, pour les CHU supprimer l’essentiel des PPT (partenariat public privé en expansion depuis la loi Bachelot) qui ont transformé des structures de soins en pôle de recherche aux dépens des patients, recherche tendue vers celle de crédits et des liens de plus en plus incestueux avec l’industrie pharmaceutique qui a pris la main non seulement sur la recherche et les soins, mais aussi sur l’enseignement.

Il faudra beaucoup de volonté politique pour remonter la pente, mais tous les dirigeants doivent comprendre qu’il n’y aura jamais de vraie médecine sans liberté de soigner et sans liberté de choix par les malades.





Les principes de la propagande de guerre

[Source : Nexus]

[Illustration : Pixabay]

Depuis le début du conflit entre la Russie et l’Ukraine, nous assistons à une lutte acharnée de communication politique et médiatique, destinée à gagner le combat de l’opinion publique. L’occasion de se pencher sur les principes de la propagande de guerre.

La machine propagande, qui est aujourd’hui appelée « communication », tourne à plein régime en période de guerre. Plusieurs auteurs, tels que Michel Collon, avec son site Investig’Action, ou Anne Morelli, avec son livre Principes élémentaires de propagande de guerre, se sont penchés sur ce sujet. 

◆ La communication comme arme

La propagande est un ensemble d’actions et de stratégies mises en place pour propager, par tous les moyens disponibles, une idée, une opinion, une idéologie ou une doctrine afin de pousser un public ciblé à adopter un nouveau comportement. Les propagandistes exploitent le pouvoir évocateur des mots et des images pour arriver à produire des messages visuels qui créeront de la crainte, de la colère, de la fierté et du patriotisme. Tout pays engagé dans une guerre utilise la propagande pour encourager sa population à faire des sacrifices et à participer à l’effort de guerre. La guerre en Ukraine nous donne un nouvel exemple de la propagande de guerre.

◆ Les cinq principes de propagande selon Michel Collon 

Le journaliste et essayiste, Michel Collon s’appuie sur cinq principes utilisés par la propagande pour justifier toute expédition guerrière :

  • Cacher les intérêts : les pays qui partent en guerre cachent toujours la vraie raison. La guerre au Mali est, selon lui, une guerre menée pour l’or, l’argent, le gaz, le pétrole et l’uranium, pour contrôler toutes les ressources de la région, dans l’intérêt des grandes firmes comme Bouygues, Areva, Alstom, Suez.
  • Cacher l’histoire : les pays vont omettre une partie de l’histoire, nécessaire à la compréhension des enjeux, afin d’imposer une version biaisée. Pour la guerre en Ukraine, l’on omet par exemple les promesses faites par l’Otan à la Russie, ainsi que les alertes des différents présidents russes concernant l’expansion de l’Otan vers l’est.
  • Se faire passer pour le défenseur des victimes : la France a été appelée à l’aide par le président intérimaire du Mali qui n’avait pas le pouvoir légitime de le faire, et elle a été appuyée par les dirigeants des États d’Afrique occidentale, « marionnettes installées par la France », selon Michel Collon.
  • Diaboliser l’ennemi : l’ennemi massacre volontairement ses opposants ainsi que sa population, et les gentils combattants des forces démocratiques apportent la paix et la sécurité sur le territoire. Cette justification a été utilisée, notamment, pour intervenir en Libye ainsi qu’en Syrie.
  • Monopoliser et empêcher le débat : vous êtes avec nous (les croisés) ou contre nous (l’Axe du mal). Toute opinion critique doit être bannie du champ médiatique, et toutes les voix dissidentes ou seulement contradictoires se verront accuser d’être des traîtres. D’où la tentation du pouvoir, ces derniers temps, de museler les médias russes. Ou encore la campagne de décrédibilisation faite à l’encontre de la journaliste Anne-Laure Bonnel, accusée d’être pro-Russes car montrant des images d’exactions faites par les Ukrainiens depuis plusieurs années au Donbass.
https://www.youtube.com/embed/MLtAWJZRwac

La capacité à faire preuve d’esprit critique face à la propagande, à la désinformation et aux fake news est essentielle. La propagande n’est pas seulement le fait des médias mainstream, mais également de la musique populaire, des films, des séries, des réseaux sociaux, de la publicité et de bien d’autres moyens. Dans un monde où la désinformation est de plus en plus présente, il est nécessaire de vérifier les informations qui nous sont données, et de remettre en question nos certitudes.




Ce que personne ne vous a dit sur l’Ukraine et les journalistes – Époustouflant !

[Source : numidia-liberum]

Par Hannibal Genséric

Quelque chose d’incroyable  a été révélé par un brave héros de l’humanité.
Udo Ulfkotte était le rédacteur en chef de l’un des plus grands journaux européens, le Frankfurter Algemeine Zeitung .
Il y a quelques années, il a avoué au monde que des journalistes du monde entier sont payés par la CIA, des sociétés secrètes, des gouvernements, des milliardaires, etc. pour…  
toujours mentir et ne jamais dire la vérité au public.

[Voir aussi :
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA]

Téléchargez ce mème pour pouvoir le partager sur les réseaux sociaux.

Cet éditeur de journal a avoué que les journalistes sont payés pour…  pousser à la guerre avec la Russie !

C’est là qu’Ulfkotte a tracé la ligne. Après avoir menti au public pendant plus de 25 ans, il ne pouvait plus vivre avec sa conscience. Il a publiquement avoué sa culpabilité et exposé le cartel mondial des médias criminels, qui conduit l’humanité à sa perte.
Peu de temps après ses aveux, Ulfkotte a été retrouvé mort.
Écoutez sa confession dans cette vidéo :


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Incroyable tromperie

Ce qu’Ulfkotte a avoué peut facilement être observé quand on regarde comment les médias du monde entier mentent sur l’Ukraine. Regardez les exemples suivants…

Une photo d’une explosion à Gaza il y a des années, est publiée comme si cela venait de se produire en Ukraine… :

Une explosion en Chine à partir de 2015 est publiée comme si elle s’était produite en Ukraine, tout à l’heure… :

Une image d’un film de 2010 est publiée comme si elle avait été prise en Ukraine… :

Une autre scène d’un film, est utilisée pour ‘reporter’ sur ce qui se passe en Ukraine… :

Une image d’une explosion de gaz en 2018 est utilisée pour montrer la « destruction causée en Ukraine par la Russie ». La dame montrée avec un visage couvert de sang, est un célèbre acteur de crise, qui apparaît dans des dizaines d’images de «catastrophes». Théâtre pur… :

Dans cette courte vidéo, vous pouvez voir comment cet acteur de crise  est souvent utilisé pour tromper le public :


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Une photo de 2016 sert à attiser l’émotion, alors qu’elle n’a rien à voir avec la situation en Ukraine… :

Une vidéo de 2017 d’une explosion est publiée comme si cela s’était passé tout à l’heure en Ukraine… :

Une autre explosion de 2015 est utilisée par CNN   pour créer l’illusion d’une explosion en cours en Ukraine… :

Une agence de presse israélienne diffuse des images supposées de la zone de guerre ukrainienne. Il s’avère qu’ils ont utilisé une scène d’un film Star Wars… :

Une fille victime d’un attentat à la bombe en Syrie en 2018,  est montrée aujourd’hui comme si elle avait été blessée lors d’attentats à la bombe en Ukraine. :

Ces exemples montrent à quel point le monde est trompé à grande échelle. Images de films, catastrophes passées, acteurs de crise, … tous les moyens sont justifiés pour mentir au public.

[Voir aussi :
7 FAKE NEWS en provenance d’Ukraine
Festival de désinformation sur l’Ukraine par les médias mainstream]

La vérité est cachée

D’un autre côté, les médias cachent des informations critiques, qui jettent une toute autre lumière sur toute cette situation. Voici quelques exemples…

LES RUSSES NOURRISSENT LES UKRAINIENS

L’armée russe livre des centaines de milliers de livres de nourriture au peuple ukrainien. Cela a été rapporté par l’agence de presse russe RT, qui est d’ailleurs l’une des très rares agences de presse au monde à avoir rapporté la vérité sur la pandémie.

Fait intéressant, RT a maintenant été interdit partout dans le monde. Il est clair que leurs reportages ne seront peut-être pas entendus par l’humanité !

ENFANTS TERRORISTES

Ce que les grands médias cachent aussi au monde, c’est comment des enfants sont entraînés en Ukraine à devenir des terroristes, sur le modèle de Daech ! Le fameux « bataillon AZOV », un groupe de nazis opérant en Ukraine depuis de nombreuses années, a été financé par les derniers gouvernements à Kiev.

[Voir aussi :
Des enfants conditionnés et enrolés comme soldats par les néo-nazis d’Ukraine]

JEUNES FORMÉS À ÊTRE FASCISTES

La montée dangereuse du nazisme et du fascisme en Ukraine est illustrée dans cette vidéo, où un grand groupe d’adolescents chante les lignes suivantes :

« Salut l’Ukraine, mort aux ennemis, salut l’Ukraine, pendez les Russes, l’Ukraine avant tout !, l’Ukraine avant tout ! »

NAZIS EN UKRAINE

Ce documentaire complet révèle le mouvement dangereusement croissant du néo-nazisme en Ukraine :


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[Voir aussi :
France — Sénat : JO du 10 juin 2021 — question sur les néonazis d’Ukraine
Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens
La vérité sur la révolution ukrainienne : des nazis soutenus par les USA !
Thierry Meyssan à propos des bataillons nazis ukrainiens
Convoi de la liberté, les croix gammées de qui? Justin Trudeau soutient les néo-nazis en Ukraine
Qui va dénazifier l’Ukraine ?]

BOMBARDANT LEUR PROPRE PEUPLE

Une autre réalité choquante dont vous n’entendrez pas un mot sur les grands médias, c’est la façon dont l’armée ukrainienne a bombardé  son propre peuple, après quoi elle a blâmé la Russie. Cette vidéo montre une jeune famille expliquant cette horreur. Alors que la Russie apporte des tonnes de nourriture au peuple ukrainien, sa propre armée le tue par des bombardements massifs :


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Leur histoire est confirmée par un reporter de guerre français du Donbass. Elle confirme que l’armée ukrainienne bombarde son propre peuple… :


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DES RÉVÉLATIONS INATTENDUES

Une émission de télévision française a fait une grosse erreur : ils ont invité une dame qui vit en Ukraine depuis 25 ans. Une fois qu’elle a commencé à dire la vérité sur ce qui se passe réellement là-bas, l’animatrice de télévision et les autres invités ont été choqués et ont commencé à se disputer dans une grande confusion.

L’une des choses que cette dame ukrainienne a révélées est la façon dont le gouvernement actuel s’est positionné, par la fraude électorale, comme un gouvernement fantoche pour les criminels.

Elle révèle comment les chaînes de télévision de l’opposition ont été interdites, de nombreux journalistes ont été assassinés et le pays fonctionne comme une dictature, alors que le monde extérieur l’a salué comme une «démocratie libre». Elle explique également comment des millions de personnes en Ukraine vivent dans des conditions terribles et que de nombreuses personnes sont en fait satisfaites de l’intervention de la Russie. Écoutez cette dame ukrainienne ici :


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NOUS AVONS DU PLAISIR À TUER

Dans le clip suivant, vous pouvez entendre des combattants ukrainiens parler de :

– comment ils suivent les ordres que leur donne l’Occident,
– comment ils s’amusent à tuer des gens,
– comment ils prévoient de faire de l’Ukraine une préoccupation pour le monde entier,
– comment ils envisagent de détruire la Russie.


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Les médias vous manipulent

Le but de cette guerre médiatique est d’inciter la population mondiale à la haine contre la Russie. Tout à coup, la Russie est le grand monstre noir. Bouh Poutine ! Tuez Poutine ! Quel méchant ! Mais… est-ce que les gens qui sont indignés maintenant se sont jamais souciés de l’une des guerres qui ont eu lieu récemment ? Les États-Unis ont largué au moins 337 000 bombes au cours des dernières années. Ils ont bombardé par exemple :

Syrie pendant 5 ans.
Yémen depuis 7 ans.
Somalie depuis 15 ans.
Irak pendant 16 ans.
Pakistan depuis 18 ans.
Afghanistan pendant 21 ans.

Personne ne s’en souciait. Aucune grande entreprise n’a appelé à la compassion envers aucun de ces pays. Il n’y a pas eu de boycott contre les USA. Aucun site Web, célébrité, entreprise technologique, restaurant, etc. ne diffusait de messages de soutien à l’un de ces pays. Alors… pourquoi le monde entier est-il soudainement indigné par l’Ukraine ?

Hypocrisie extrême

Les personnes mêmes qui accusent Poutine d’avoir fait quelque chose de « mal » sont celles qui ont assassiné des  millions de personnes, toute leur vie. Je vous ai déjà montré comment ces types ont largué des centaines de milliers de bombes –  souvent sur des civils innocents –  partout dans le monde. Mais ce sont aussi eux qui assassinent les enfants, avec la thérapie génique expérimentale, faussement étiquetée de v@ccine. Ce sont eux qui ont participé au lancement d’une pandémie sur l’humanité qui a tué plusieurs millions d’innocents (voir la preuve de la façon dont cela a été planifié).

Ce sont eux qui ont supprimé tous les remèdes contre le covid, assassinant efficacement des millions de personnes qui auraient pu être guéries avec un traitement précoce.

Ce sont eux qui détruisent systématiquement nos pays, afin de nous soumettre à un gouvernement mondial unique. Ce sont eux qui nous privent de nos libertés, de nos droits, de notre argent et, si nous les laissons faire, de nos vies. Ce sont eux qui poussent au génocide, pour réduire la population mondiale. Ce sont eux qui ont assassiné des scientifiques qui ont découvert des traitements anticancéreux salvateurs.

En bref, ce sont eux qui commettent des crimes contre l’humanité dans des proportions que nous ne pouvons même pas comprendre.

Et maintenant, ils se dressent contre le « mal » ? Ceux qui servent les forces du mal les plus profondes et les plus sombres dont la plupart d’entre nous ne peuvent même pas imaginer qu’elles existent ?  Réveillez-vous chères, bien-aimées, belles personnes! Vous êtes joué, trompé, soumis à un lavage de cerveau, manipulé par des gens si méchants qu’ils détruiraient tout ce qui vous est cher, y compris vous-même, si vous ne regardez pas.

Pourquoi ont-ils peur ?

Lorsque vous observez à quel point ces criminels veulent désespérément que vous haïssiez Poutine, vous devriez vous demander :  « Pourquoi ? Que fait Poutine, qui est apparemment une menace pour eux ?  Cela nous amène à une autre réalité de base : chaque fois que la cabale vous dit de haïr quelqu’un, cela signifie que cette personne est son ennemi, et probablement votre ami.

Avez-vous déjà vu quelqu’un à la télévision publique appeler à l’assassinat d’une personne ?  Pourtant, dans les médias américains, nous avons vu plusieurs personnes appeler au meurtre de Poutine. L’un d’eux est le sénateur américain Lindsey Graham. Il est d’abord apparu à la télévision, appelant au meurtre de Poutine, et il a répété son appel sur Twitter :

Pourquoi n’appellent-ils pas à l’élimination de George Soros, Bill Gates, Klaus Schwab, des Rothshild ou des Rockefeller, et de tous les autres maîtres criminels et meurtriers de masse, qui ont infligé au monde entier des souffrances que les mots ne peuvent même pas décrire?

Vous devez vous demander : pourquoi les dirigeants politiques et les personnalités des médias appellent-ils à l’assassinat de Poutine ? Que fait-il, que ces criminels soient si terrifiés par lui ?

Que se passe-t-il?

Comme nous le savons tous, la famille Biden a beaucoup traité avec le gouvernement ukrainien actuel et a reçu à plusieurs reprises plusieurs millions de dollars de sa part. Nous savons aussi à quel point les Biden sont criminels. Hunter Biden (le fils de Joe) a été surpris en train de maltraiter d’innombrables enfants, les achetant à des marchands d’enfants et les abusant de toutes les manières possibles. Son ordinateur portable a été saisi et les preuves sont là. Ici vous voyez une photo de l’ordinateur portable de Hunter, montrant une photo d’une fille kidnappée à Paris, et mise en vente sur le marché de la traite des êtres humains.

Joe Biden est également connu pour ses abus envers les enfants. Il ne peut pas garder ses mains loin d’un enfant qui s’approche de lui (tout comme zombie Joe, son père). La relation intime et continue de cette famille criminelle Biden avec le gouvernement ukrainien est assez révélatrice…

DIRIGEANTS UKRAINIENS SÉLECTIONNÉS PAR LES ÉTATS-UNIS

Un enregistrement audio a fait surface, révélant comment les politiciens américains – ceux qui font partie de l’État profond – sélectionnaient à la main qui ils mettraient dans le gouvernement ukrainien et qui ils garderaient à l’écart. Cela signifie que l’État profond contrôle complètement l’Ukraine !


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Aucune description de photo disponible.

POUTINE ÉLIMINE LES LABORATOIRES D’ARMES BIOLOGIQUES

Il existe plusieurs laboratoires américains d’armes biologiques en Ukraine, dont la plupart sont très proches de la frontière avec la Russie. Les rapports des frappes de Poutine montrent comment il a ciblé ces laboratoires d’armes biologiques ! L’État profond aux États-Unis essaie frénétiquement d’empêcher Poutine de détruire ces laboratoires d’armes biologiques ! (source). Poutine n’« envahit » pas l’Ukraine. Il détruit les laboratoires d’armes biologiques !  L’Ukraine était en train d’être préparée comme un bastion majeur pour les opérations de la cabale, en Europe et en Asie. Poutine fait simplement le ménage.

[Voir aussi :
Le Conseil de sécurité et les laboratoires biologiques ukrainiens
L’OMS a demandé à l’Ukraine de détruire les « agents pathogènes à haute menace » dans les laboratoires pour prévenir la propagation des maladies
Moscou accuse Kiev et Washington d’avoir mené des «programmes biologiques militaires» en Ukraine. Mise à jour
Poutine ordonne à l’armée de détruire les laboratoires biologiques en Ukraine alors que les États-Unis éliminent les preuves de leur existence. Mise à jour]

MISSILES AMÉRICAINS LE LONG DE LA FRONTIÈRE RUSSE

Dans la vidéo suivante, vous pouvez entendre Poutine expliquer comment les États-Unis ont positionné des missiles tout le long de la frontière ukrainienne avec la Russie Il explique que personne ne permettrait jamais à son voisin de faire une telle chose. que se passerait-il si la Russie positionnait des missiles nucléaires tout le long des frontières canado-mexicaine avec les États-Unis ? C’est une simple question de légitime défense, explique Poutine. L’Ukraine était en train d’être préparée comme un bastion majeur pour les opérations de la cabale, en Europe et en Asie. Leur but était d’anéantir la Russie. Poutine empêche simplement leur invasion, en éliminant les laboratoires d’armes biologiques, les bases militaires, les rampes de lancement de missiles, etc.

[Voir aussi :
Un ancien Premier ministre ukrainien affirme que Poutine a sauvé des centaines de milliers de vies
En pleine guerre de l’Ukraine, l’OTAN rattrapé par la vérité. Mise à jour 2
La Russie contre la guerre nucléaire, bactériologique et l’épuration ethnique qui étaient projetées par l’Ukraine
L’agenda du suicide occidental en profondeur
L’Ukraine n’est pas une victime, elle est partie prenante de l’agenda du Nouvel Ordre Mondial
Réinformation sur l’Ukraine. Mise à jour
Qui est responsable de la guerre en Ukraine ? Qui s’en réjouit ?
Le plan stratégique des États-Unis contre la fédération de Russie a été élaboré il y a trois ans par le think tank américain Rand Corporation
L’homme qui a vendu l’Ukraine
Héros de guerre ou coupable de haute trahison ? Un chef d’État au service de ses concitoyens ou à la solde d’une puissance étrangère ?
Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens
UKRAINE : Les vrais enjeux
L’Art de la guerre — Ukraine : c’est l’OTAN qui a lancé l’attaque il y a huit ans
Ukraine : dernier message du 24 février de Vladimir Poutine à son peuple]

Qui est Poutine –  Vraiment ?

Poutine a peut-être été formé en tant que jeune leader mondial par le WEF, il peut être impliqué dans la franc-maçonnerie (ce qu’il faut être, pour occuper ce genre de poste gouvernemental), cela ne signifie pas qu’il a embrassé leur programme diabolique dans son cœur . Certaines personnes très pieuses ont émergé de certains des environnements les plus sombres. Pensez à l’archevêque Carlo Maria Vigano, qui est une lumière brillante au Vatican, qui est le chef du serpent mondial de la cabale ! Ce héros de l’humanité a dénoncé la maltraitance intense des enfants et la corruption financière au Vatican, et se bat maintenant avec acharnement contre le nouvel ordre mondial, dans lequel le Vatican joue un rôle clé.

[Voir aussi :
L’Arche de Gabriel : de La Mecque à l’Antarctique
et
Les deux témoins]

Écoutez CE MESSAGE INCROYABLE


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Transcription en Français (
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale) :

Depuis maintenant deux ans, nous assistons à un coup d’État mondial dans lequel une élite financière et idéologique a réussi à prendre le contrôle d’une partie des gouvernements nationaux, des institutions publiques et privées, des médias, de la justice, des politiciens et des chefs religieux. Tous, sans distinction, sont devenus esclaves de ces nouveaux maîtres qui assurent pouvoir, argent et affirmation sociale à leurs complices. Les droits fondamentaux, qui jusqu’à hier étaient présentés comme inviolables, ont été foulés aux pieds au nom d’une urgence : aujourd’hui urgence sanitaire, demain urgence écologique, puis urgence internet.

Ce coup d’État mondial prive les citoyens de toute possibilité de défense, puisque les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire sont complices de la violation de la loi, de la justice et de l’objet pour lequel ils existent. C’est un coup d’État global car cette attaque criminelle contre des citoyens s’étend au monde entier, à de très rares exceptions près. C’est une guerre mondiale, où les ennemis sont nous tous, même ceux qui, sans le vouloir, n’ont pas encore compris la signification de ce qui se passe.

C’est une guerre menée non pas avec des armes mais avec des règles illégitimes, des politiques économiques perverses et des limitations intolérables des droits naturels. Des organisations supranationales, financées en grande partie par les conspirateurs de ce coup d’État, s’ingèrent dans le gouvernement des nations individuelles et dans la vie, les relations et la santé de milliards de personnes. Ils le font pour de l’argent, certes, mais plus encore pour centraliser le pouvoir afin d’établir une dictature planétaire. C’est la Grande Réinitialisation du Forum Economique Mondial,  l’Agenda 2030 des Nations Unies. C’est le plan du Nouvel Ordre mondial, dans lequel une république universelle asservit tout le monde et une religion de l’humanité annule la foi en Christ.

Face à ce coup d’État mondial, il est nécessaire de former une alliance anti-mondialiste internationale qui rassemble tous ceux qui veulent s’opposer à la dictature, qui n’ont pas l’intention de devenir les esclaves d’un pouvoir sans visage, qui ne veulent pas annuler leur propre identité, leur propre individualité, leur propre foi religieuse. Si l’attaque est globale, la défense doit aussi être globale.

J’appelle les dirigeants, les dirigeants politiques et religieux, les intellectuels et toutes les personnes de bonne volonté, les invitant à s’unir dans une alliance qui lance un manifeste anti-mondialiste, réfutant point par point les erreurs et les déviations de la dystopie du Nouvel Ordre mondial et proposant des alternatives concrètes pour un programme politique inspiré par le bien commun, les principes moraux du christianisme, les valeurs traditionnelles, la protection de la vie et de la famille naturelle, la protection de l’entreprise et du travail, la promotion de l’éducation et de la recherche, et le respect de la création.

Cette alliance anti-mondialiste devra rassembler les nations qui entendent échapper au joug infernal de la tyrannie et affirmer leur propre souveraineté, en concluant des accords de collaboration mutuelle avec des nations et des peuples qui partagent leurs principes et le désir commun de liberté, de justice et de bonté. Elle devra dénoncer les crimes des élites, identifier les responsables, les dénoncer devant les tribunaux internationaux, et limiter leur pouvoir excessif et leur influence néfaste. Elle devra empêcher l’action des lobbies, surtout en luttant contre la corruption des agents de l’État et de ceux qui travaillent dans l’industrie de l’information, et en gelant les capitaux servant à déstabiliser l’ordre social.

Dans les nations où les gouvernements sont inféodés aux élites, pourront être mis en place des mouvements de résistance populaire et des comités de libération nationale, comprenant des représentants de tous les secteurs de la société qui proposeront une réforme radicale de la politique, inspirée par le bien commun et fermement opposée au projet néo-malthusien de l’agenda mondialiste. J’invite tous ceux qui veulent défendre la société chrétienne traditionnelle à se réunir dans un forum international, qui se tiendra le plus tôt possible, dans lequel des représentants de diverses nations se réuniront pour présenter une proposition sérieuse, concrète et claire.

Mon appel s’adresse aux dirigeants politiques et aux gouvernants soucieux du bien de leurs citoyens, laissant de côté les anciens systèmes de partis politiques et la logique imposée par un système asservi au pouvoir et à l’argent. J’appelle les nations chrétiennes ensemble, d’est en ouest, invitant les chefs d’État et les forces saines des institutions, de l’économie, du travail, des universités, de la santé et de l’information à se joindre à un projet commun, perturbant les anciens systèmes et mettant de côté les hostilités qui sont désirées par les ennemis de l’humanité au nom de Divide et impera [diviser pour régner].

Nous n’acceptons pas les règles de notre adversaire, car elles sont précisément faites pour nous empêcher de réagir et d’organiser une opposition efficace et percutante. J’appelle les nations et leurs citoyens à s’allier sous la Croix de Notre-Seigneur Jésus-Christ, le seul Roi et Sauveur, le Prince de la Paix — In hoc signo vinces [par ce signe, tu vaincras].

Fondons cette alliance altermondialiste, donnons-lui un programme simple et clair, et libérons l’humanité d’un régime totalitaire qui rassemble en lui les horreurs des pires dictatures de tous les temps. Si nous continuons à tarder, si nous ne comprenons pas la menace qui pèse sur nous tous, si nous ne réagissons pas en nous organisant en une résistance ferme et courageuse, ce régime infernal qui s’installe partout ne sera pas arrêté. Et que Dieu tout-puissant nous assiste et nous protège.

[Voir aussi :
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

Peut être une image de texte qui dit ’Vatican City UN NWO Agenda 2030 Roman Law Washington D.C. Jerusalem Justitia Omnibus War Terror Zionist Government The City of London Wallstreet NY 出 Strige Money & Finance Rothschild Banking Jesuits 'Illuminati' Knights Templar Knights Malta 32°+ Freemasons Organized Religion Secret Services Societies Military, Police, Mafia UN, US. EU, G20, NATO Big Bank, Big Media, Big Industry National, Regional Local Politics NGOs, Think Tanks, Big Charities The Roman Power Pyramid’

De même, Poutine a toujours pris une position audacieuse contre le nouvel ordre mondial et a fait tout son possible pour exposer leurs plans. Ses discours sont partout sur Internet, où il met en garde l’humanité contre le gouvernement mondial satanique. Il a dénoncé publiquement des criminels comme George Soros, Bill Gates et les Rothschild, retirant autant qu’il le pouvait leur influence de la Russie.

Dans tout ce que Poutine a fait et dit au cours de la dernière décennie, il est devenu clair qu’il n’est pas un ami de la cabale, mais qu’il s’y oppose farouchement.

Cela devient d’autant plus évident par la façon dont la cabale essaie de détruire la Russie maintenant. Des dizaines de leurs grandes entreprises quittent maintenant la Russie, essayant de replonger la Russie dans l’âge des ténèbres avec l’absence des meilleurs services, solutions et technologies occidentales.

Ce qu’ils ne comprennent pas, c’est que cela encouragera les Russes à construire leurs propres systèmes, ce qui rendra la Russie d’autant plus puissante contre la cabale, car ils ne compteront plus sur leurs services.

Si des cyberattaques majeures se produisent, elles seront causées par la cabale, mais… d’autres seront blâmés, y compris la Russie. C’est toujours comme ça qu’ils fonctionnent : ils causent un désastre et blâment quelqu’un d’autre. Le fait que Schwab ait prédit des cyberattaques montre que c’est à leur ordre du jour.

Peut être une image de 2 personnes et texte

La seule façon de comprendre l’attaque mondiale actuelle contre la Russie est de savoir comment cette nation est un obstacle majeur pour le gouvernement mondial unique.

Il en va de même pour l’Amérique. La cabale a tenté de détruire à la fois la Russie et l’Amérique de l’intérieur, en positionnant des marionnettes corrompues au sein des gouvernements, et par la corruption massive et le chantage d’individus influents dans ces pays. Ils ont également essayé d’amener ces deux nations à déclencher une guerre nucléaire.

Ils ont raté.

Même maintenant, avec un gouvernement fantoche cabaliste en place, ils s’exposent plus que jamais, provoquant d’autant plus une montée de feu patriote à travers l’Amérique.

Rapide vue d’ensemble

✔︎ Poutine appelle au retour à Dieu, et à Ses valeurs, qui est l’exact opposé de la cabale, qui sert le royaume des ténèbres.

✔︎ Poutine a condamné la montée de la perversion, qui est l’exact opposé de la cabale, qui pousse à la perversion.

✔︎ Poutine a pris une position audacieuse contre le mondialisme et le Nouvel Ordre Mondial, faisant de lui un obstacle à leurs plans.

✔︎ C’est pourquoi la cabale a payé des journalistes en Amérique et en Europe, essayant de provoquer la guerre avec la Russie.

✔︎ La cabale s’est emparée de l’Ukraine et en a fait un bastion pour ses opérations,  ce qui constitue une menace majeure pour la Russie.

✔︎ Poutine a supprimé les stations de lancement de missiles et les laboratoires d’armes biologiques, qui étaient positionnés le long de la frontière avec la Russie.

✔︎ L’Ukraine est une plaque tournante du néo-nazisme, où les enfants sont entraînés à devenir des terroristes.

✔︎ Les combattants ukrainiens se vantent de s’amuser à tuer des gens, et comment l’Ukraine va devenir « une préoccupation pour le monde entier ».

✔︎ L’Ukraine a été profondément au lit avec la cabale, et Biden en est un exemple frappant.

✔︎ L’État profond américain a trié sur le volet le gouvernement ukrainien, en faisant un gouvernement fantoche aux mains de criminels.

✔︎ Pendant des décennies, la cabale a tenté de provoquer une guerre nucléaire avec la Russie, pour détruire cette nation.

✔︎ Maintenant, une fois de plus, les médias de la cabale du monde entier appellent à la guerre contre la Russie, ce qui montre qu’ils veulent détruire la nation.

✔︎ Les médias mentent sur la Russie, afin de mettre l’opinion publique de leur côté, lorsqu’ils les attaquent.

En substance, Poutine défend simplement la Russie, contre une menace toujours croissante posée par l’OTAN et l’État profond/la Cabale. Dans le même temps, il abolit leurs bastions en Ukraine, qui comprend une plaque tournante du trafic d’enfants. Et il délivre le peuple ukrainien d’un gouvernement criminel qui opprime le peuple.

Cyber-pandémies

Hillary Clinton et Biden ont tous deux appelé à des cyberattaques contre la Russie. Klaus Schwab du WEF a annoncé publiquement qu’après les pandémies biologiques, il y aura une vague de cyberattaques. Ce serait bien plus dévastateur que n’importe quel virus biologique, car il fermerait toute l’infrastructure mondiale et provoquerait des pannes de courant, des perturbations des lignes d’approvisionnement, etc.

Si des cyberattaques majeures se produisent, elles seront causées par la cabale, mais… d’autres seront blâmés, y compris la Russie. C’est toujours comme ça qu’ils fonctionnent : ils causent un désastre et blâment quelqu’un d’autre. Le fait que Schwab ait prédit des cyberattaques montre que c’est à leur ordre du jour.

CONCLUSION : LES JOURNAPUTES

À New York, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880, le célèbre journaliste John Swinton se fâche quand on propose de boire un toast à la liberté de la presse :

« Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurons à le faire, nous nous retrouverons à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! »

(Cité dans : Labor’s Untold Story, de Richard O. Boyer et Herbert M. Morais, NY, 1955/1979.)

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Quelques précisions  ici :

http://www.constitution.org/pub/swinton_press.htm

John Swinton sur l’indépendance de la presse

Des variations sur la citation ont été attribuées à tort à une réponse à un toast, par John Swinton, comme « l’ancien chef de cabinet du New York Times », devant le New York Press Club en 1953. Cependant, la recherche révèle que Swinton (1829 -1901), après avoir déménagé à New York, écrit un article occasionnel pour le New York Times et est embauché régulièrement en 1860 comme chef de la rédaction. Après avoir occupé ce poste tout au long de la guerre civile, il quitta le journal en 1870 et devint actif dans les luttes ouvrières de l’époque. Plus tard, il a occupé le même poste pendant huit ans dans le New York Sun et a ensuite publié une feuille de travail hebdomadaire, John Swinton’s Paper.

Les remarques ont apparemment été faites par Swinton, alors l’éminent journaliste new-yorkais, probablement une nuit de 1880. Swinton était l’invité d’honneur d’un banquet que lui offraient les dirigeants de son métier. Quelqu’un qui ne connaissait ni la presse ni Swinton a porté un toast à la presse indépendante. Swinton a indigné ses collègues en répondant :

Il n’existe pas, à cette date de l’histoire du monde, en Amérique, de presse indépendante. Tu le sais et je le sais.

Il n’y a pas un seul d’entre vous qui ose écrire ses opinions honnêtes, et si vous le faisiez, vous savez d’avance qu’elles ne paraîtraient jamais imprimées. Je suis payé chaque semaine pour garder mon opinion honnête hors du journal auquel je suis connecté. D’autres d’entre vous reçoivent des salaires similaires pour des choses similaires, et tous ceux d’entre vous qui seraient assez stupides pour écrire des opinions honnêtes se retrouveraient dans la rue à la recherche d’un autre emploi. Si je permettais à mes opinions honnêtes d’apparaître dans un seul numéro de mon journal, avant vingt-quatre heures, mon occupation serait terminée.

Le travail des journalistes est de détruire la vérité, de mentir carrément, de pervertir, de vilipender, de flatter aux pieds de Mammon, et de vendre son pays et sa race pour son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est-ce de porter un toast à une presse indépendante ?

Nous sommes les outils et les vassaux des hommes riches dans les coulisses. Nous sommes les pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d’autres hommes. Nous sommes des prostituées intellectuelles.

(Source : Labor’s Untold Story, par Richard O. Boyer et Herbert M. Morais, publié par United Electrical, Radio & Machine Workers of America, NY, 1955/1979.)

Hannibal Genséric




Il faut impérativement sauver les enfants de l’injection inutile et dangereuse, et refuser les ukases de la CPAM

Par Nicole Delépine

Il ne faut pas se laisser endormir par la suspension transitoire du pass à l’occasion des élections. Le silence des médias sur le covid depuis la guerre Ukraine-Russie ne doit pas vous tromper. Vos enfants restent en danger par la volonté persistante du pouvoir de les injecter.

Même la suppression du masque à l’école reste floue laissant persister la peur chez les enseignants, leurs syndicats et les enfants eux-mêmes. Il est clair que le pouvoir laissera subsister le scénario tragique aussi longtemps qu’il le pourra, menaçant d’autres virus si la peur de sars cov2 tombe trop vite.

Tant que tous ne seront pas injectés, et que les rappels pluriannuels ne seront pas rentrés dans les mœurs, ce pouvoir mondialiste tentera de nous maintenir la tête sous l’eau via les films d’horreur dans un temps où la fiction et la réalité ne sont plus évidentes à distinguer pour chacun d’entre nous tant la désinformation tient le haut du pavé.

La CPAM a osé rappeler aux médecins généralistes leur « devoir » de « vacciner les enfants » !

Faut-il répéter une nouvelle fois que les enfants ne risquent rien du covid, ne contaminent personne, ni les autres enfants, ni les adultes.(([1] https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/03/enfants-et-covid-1-MARS-22.pdf avec le diaporama sur l’absence d’efficacité des masques et leurs nombreuses complications)) Faut-il rappeler que les « vaxxins ne protègent pas des contaminations ni des formes graves » ?

Comment accepter ce nouvel ukase ? Alors que l’on dénombre en France déjà 44 enfants décédés de cette injection expérimentale en fin février selon l’ANSM elle-même, et 241 en UE au 1er janvier 2022 selon l’Eudravigilance, site des accidents médicamenteux de l’agence européenne.

La CPAM obéit au gouvernement qui ne « connaît » pas ou ne veut pas connaître les données sur l’inutilité et la dangerosité de la vaccination des enfants. Il a déjà commandé des doses et maintient le mythe de la protection vaccinale en imposant le pass sanitaire à l’hôpital et la vaccination aux soignants. C’est insupportable et le pire est la soumission des patients, des soignants, des médecins, des citoyens. Encore aujourd’hui, vous serez rejeté de l’hôpital si vous accompagnez votre vieille maman pour une urgence médicale, et que vous n’êtes pas vacciné, alors que l’épidémie est terminée selon l’aveu même du pouvoir. Et si vous n’êtes pas injecté, on vous retirera la tutelle de votre proche handicapé qui se verra injecté sans plus de discussion. De quel droit ? De quel droit les handicapés placés sont-ils devenus une chair à canon pour l’expérimentation mondiale avec ces substances géniques en essai ?

Des morts, des enfants perdus pour leur avenir sportif après une atteinte cardiaque lors d’un effort pour ceux qui survivront, des enfants devenus aveugles… Tout ça pour ça…, pour ne pas dire qu’on s’est fourvoyé en mettant trop vite sur le marché une « sorte de médicament »,(([2] Selon l’expression récente du Pr Delfraissy)) une injection expérimentale.

Voici le courrier adressé aux médecins par la CPAM destiné à favoriser la vaccination des enfants dès l’âge de 5 ans ! Comment ne pas tenir compte des chiffres français et internationaux sur le danger de ces vaccins complètement inutiles chez l’enfant ? Ces médecins ou ces administratifs, voire des juges pour les handicapés sous tutelle, qui imposent la vax se rendent-ils compte de la responsabilité pénale qu’ils encourent pour mise en danger de la vie d’autrui en cas de complication, voire de décès de l’enfant injecté ?

Le docteur Denis Agret a rappelé les données publiées par l’ANSM, l’agence du médicament française, le 5 mars 2022 lors d’une manifestation à Montpellier. La vidéo a sauté.

Nous avons fait récemment le point des effets secondaires avoués par les agences des différents pays,(([3] https://docteur.nicoledelepine.fr/le-point-sur-les-complications-des-pseudovaccins-anticovid-au-4-mars-2022/)) bien inférieurs probablement à la réalité, mais quand l’UE reconnaît près de 40 000 décès liés aux injections, que faut-il de plus pour exiger un ARRÊT IMMÉDIAT des pseudovaccins sans utilité contre la pandémie, mais avec d’énormes risques de décès ou aussi de handicaps (pour certains définitifs). De nombreux articles fouillés démontrent que les effets secondaires que nous découvrons avec horreur jour après jour étaient connus d’emblée par Pfizer et que les agences ont néanmoins donné des autorisations « provisoires ».

Lisez la belle mise au point de Patrice Gibertie sur son blog et vous tremblerez. Ils savaient…(([4] https://pgibertie.com/2022/03/09/mise-en-danger-de-la-vie-dautrui-ils-savaient-et-pourtant-ils-ont-meme-pique-des-enfants-et-des-femmes-enceintes/)) Et ils continuent : « Le vaccin ARNm produit plus de spike qu’une grosse infection et on a plus de mal à soigner les effets secondaires graves (très nombreux) que le COVID, même avancé. Le scandale : les effets secondaires sont connus depuis longtemps, les risques pour l’ADN, les risques pour les enfants, tout était connu et ils ont recommandé les injections ».

Vous avez eu trois doses, pour de toutes nouvelles études les mécanismes de la protéine spike injectée sont en pire ceux de la maladie contractée, certains ont même contracté un covid vaccinal symptomatique avec des formes aussi graves que la maladie. »

Moratoire, arrêt immédiat : c’est ce qu’ont redemandé une nouvelle fois des médecins anglais(([5] Open Letter from the Children’s Covid Vaccines Advisory Group (CCVAG) to the JCVI: Pause vaccines for children pending urgent review — HART (hartgroup.org) )) et d’autres insistent sur les risques des femmes enceintes pourtant poussées encore récemment par la DGS à la vaccination !(([6] FOIA docs reveal Pfizer shot caused avalanche of miscarriages, stillborn babies—LifeSite (lifesitenews.com) ))

Et pourtant la pandémie si elle a eu lieu est bel et bien terminée. Les chiffres officiels publiés : https://covid.irsan.eu 21 malades/100 000 habitants le 5 mars 2022. L’IRSAN est dirigé par Laurent Toubiana. Le seuil épidémique est à 170 malades/100 000 h !

QUE FAUDRA-T-IL POUR FAIRE TOMBER LE MYTHE DE LA PANDÉMIE ET DE L’EFFICACITÉ DES INJECTIONS ?

Le mur de Berlin n’est tombé qu’en 1989 après construction et blocage des populations depuis 1961. Soyons patients ou mieux révoltés et informons malgré la redoutable efficacité des fabricants de mensonges tant sur les médias que sur les réseaux sociaux. Revenir aux messages papier, aux tracts, serait peut-être la meilleure solution. À chacun son idée, sa méthode, tout est bon à prendre sauf la soumission qui détruirait l’avenir de nos enfants.




Opération en Ukraine : une petite partie d’un vaste plan

[Source : rusreinfo.ru]

[Transmis par Christine Côte]

Il faut se souvenir que depuis l’arrivée de Vladimir Poutine au Kremlin le 31 décembre 1999, la Russie a connu un spectaculaire redressement tant économique et financier que militaire tout en affirmant sa spécificité face aux pays occidentaux sur le plan que l’on peut qualifier de « moral » : Alors que l’occident fonce droit dans le globalisme, reniant ses valeurs traditionnelles et se laissant conquérir par de nouveaux principes, la Russie reste fidèle à ses traditions culturelles et familiales. Ceci est un point des plus importants pour expliquer la situation aujourd’hui.

Depuis 2000 donc, deux grands courants s’affrontent en Russie, d’importance inégale : le courant traditionnel incarné par Vladimir Poutine, et le courant « occidental libéral » incarné par plusieurs politiciens de bien moindre envergure qui rêvent d’appliquer à la Russie le modèle occidental. Sur le plan économique, c’est ce second courant qui l’emporte largement depuis 25 ans puisque la Russie est entrée de plein fouet dans le capitalisme sauvage à Moscou bien sûr, mais également, bien que dans une moindre mesure, dans les régions. Si sur le plan économique l’immense majorité des Russes y a trouvé son compte, les choses ne sont pas si claires sur les autres plans et nombreux en Russie sont ceux qui se posent de sérieuses questions sur les relations avec les pays occidentaux.

On assiste en effet d’une part à une expansion de l’OTAN aux portes de la Russie malgré les promesses faites à l’époque de la chute de l’Union Soviétique, mais on voit aussi des tentatives américaines de saper l’influence de la Russie. Les États-Unis qui pillaient tranquillement le pays sous Eltsine, ont en effet vu leurs plans capoter avec l’arrivée de Vladimir Poutine et se sont rabattus sur des méthodes plus traditionnelles : L’ingérence dans les pays frontaliers traditionnellement alliés de la Russie, que ce soit en Géorgie, en Ukraine bien sûr, au Kazakhstan, en Tchétchénie également puisque les terroristes tchétchènes étaient armés et financés par les États-Unis, etc., etc. Et l’ingérence en Russie directement avec le financement des forces d’opposition sous le couvert des ONG.

Dans le même temps sur le plan politique, les États-Unis et les pays européens, avec qui la Russie voulait réellement s’associer à la chute de l’URSS, tentaient d’influencer la Russie pour qu’elle s’aligne sur leurs positions « morales » : Suppression de la peine de mort (elle n’est pas supprimée en Russie, mais n’est plus appliquée, ceci va d’ailleurs changer très prochainement), les valeurs familiales traditionnelles reniées par l’occident et que la Russie persiste à soutenir, la question de l’immigration alors que l’Europe ouvre grand ses portes à qui veut entrer et que la Russie renforce ses contrôles, etc., etc. Ces pressions en Russie sont faites par ceux que l’on nomme « la 5e colonne », animée par certains politiciens jusqu’au sommet de l’État et disposant d’une influence bien réelle qui tentent par des essais discrets d’imposer en Russie les « valeurs » occidentales. Et si à Moscou et Saint-Peterburg les « occidentalistes » sont majoritaires, ils sont une infime minorité à l’échelle du pays. Mais l’influence de Moscou est primordiale.

Durant ces années, Vladimir Poutine ne manque toutefois pas de montrer à l’Occident qu’il est bien déterminé à guider la Russie dans ce qu’il considère comme son intérêt et sa voie légitime, par exemple en intervenant en Géorgie alors que les minorités russes sont attaquées en Ossétie, en Crimée bien entendu alors que le putsch financé par les États-Unis en Ukraine met en péril les bases militaires russes de Sébastopol et la communauté russe y vivant, et en Syrie à l’appel du président Assad, en quasi-face-à-face avec les forces américaines. La riposte des pays occidentaux se fait sous la forme de « sanctions économiques » qui, si elles permettent en fait à la Russie de développer ses propres productions, montrent à Vladimir Poutine que les occidentaux ont toujours en vue la mise au pas de la Russie, sans toutefois vouloir appliquer de méthodes militaires.

Conscient de la lente glissade de la Russie vers ce qu’il considère comme l’Occident « décadent », Vladimir Poutine est également parfaitement conscient qu’il lui faudra bien quitter le Kremlin un jour et il veut transmettre à son successeur une Russie fière de ses valeurs ancestrales et suffisamment puissante pour être à l’abri des tentatives de subversion des pays occidentaux. Il y a environ 2 ans, il décide alors de passer à l’attaque à l’intérieur de la Russie contre la 5e colonne. Ceci se fera avec l’aide des services de sécurité qui d’une part démantèleront l’opposition « non légale » (c’est-à-dire financée par les pays étrangers, contrairement à l’opposition « légale » de partis politiques), et d’autre part lanceront le plan « Только свои » (« Seulement les nôtres ») qui ciblera et mettra hors d’état de nuire ceux nuisant gravement aux intérêts de la Russie.

Les choses suivent leur train et c’est dans ce contexte que les forces ukrainiennes décident, sur ordre des États-Unis, de se préparer à attaquer le Donbass qui a déclaré son indépendance en 2014. Depuis cette date d’ailleurs l’Ukraine bombardait régulièrement les populations civiles, faisant environ 14 000 morts. La Russie assistait discrètement les séparatistes, mais se refusait à intervenir directement : Ses forces armées n’étaient pas encore prêtes. En 2021 donc les forces ukrainiennes se massent aux frontières du Donbass et multiplient les bombardements à l’arme lourde. Et cette fois, l’armée russe est prête avec de nouvelles armes totalement inédites (lasers, armes à effet magnétiques, armes hypersoniques, etc.) dont certaines ont été testées avec succès en Syrie. Dans le même temps les services de Renseignement russes établissent que l’Ukraine a la volonté de s’équiper d’armes nucléaires malgré leur engagement de rester une « puissance non nucléaire », avec l’accord des américains.

C’est donc dans ce contexte que la Russie reconnaît l’indépendance des LDNR en février 2022 et décide d’une opération militaire destinée d’une part à défendre les populations russes du Donbass, d’autre part et surtout à neutraliser les factions néonazies ukrainiennes qui, manipulées par les pays occidentaux, représentent un véritable danger pour la Russie. Ceci déclenche une hystérie collective anti-russe en occident, qui en fait a l’effet contraire à celui escompté : alors qu’une partie relativement importante (disons un tiers) des Russes ne comprend pas bien le pourquoi de cette opération militaire, l’immense majorité (80 à 85 %) se ressoude immédiatement autour du Président Poutine quand les « sanctions » occidentales s’abattent sur la Russie. Ce sont en fait les Américains et les Européens qui font remonter la côte de popularité de Vladimir Poutine qui sait qu’il peut donc aller de l’avant pour l’autre partie de son plan.

L’autre partie de son plan, ce n’est pas d’attaquer d’autres pays européens comme le prétendent les propagandistes occidentaux désireux de garder leurs peuples en situation de panique pour mieux les asservir, c’est de remettre de l’ordre en Russie pour faire cesser la glissade vers cet « Occident décadent ». C’est ainsi que le Parlement vote actuellement des séries de lois destinées à rétablir la souveraineté de la Russie et à supprimer les moyens utilisés par la « 5e colonne » pour occidentaliser le pays. Rétablissement probable de la peine de mort, peines très sévères pour ceux qui dénigrent la Russie et l’opération militaire en cours (15 ans de prison ; Sont visés les agents de la 5e colonne), blocage des médias occidentaux faisant leur propagande contraire aux intérêts de la Russie, blocage des réseaux sociaux (Facebook, Twitter, YouTube) qui, aux mains des globalistes, font acte de subversion en Russie, prochain blocage des avoirs des banques étrangères et saisie des propriétés des compagnies étrangères en Russie (en réponse aux sanctions similaires occidentales), blocage des exportations d’engrais (la Russie fournit entre 15 et 20 % des engrais mondiaux, forte hausse des prix des produits agricoles en vue en Occident), actions sur le gaz et le pétrole bien, etc.

Si à l’issue de l’intervention russe en Ukraine certaines mesures économiques seront remises en cause par seul intérêt de la Russie, il est plus que probable que les mesures visant à « désoccidentaliser » la Russie resteront en place, alors que des discussions très approfondies sont en cours avec les pays d’Asie sur le plan économique et financier. On voit déjà en Russie d’éminents politiciens membres de cette « 5e colonne » qui disparaissent de la circulation et restent muets, ayant compris que la partie est perdue.

Il est bien entendu souhaitable que l’opération militaire se termine au plus vite, ses objectifs remplis. C’est en bonne voie, les forces russes avancent lentement, mais régulièrement avec la volonté d’éviter au maximum les victimes dans la population civile. Maintenant, la position des pays occidentaux reste déterminante : s’ils veulent intervenir directement, ils seront laminés. Mais dans tous les cas la Russie n’oubliera pas qu’ils fournissent des armes utilisées contre nos soldats. Ceci restera sur la facture finale et il est parfaitement clair qu’un nouveau « rideau de fer », idéologique bien plus que physique, est dorénavant en place entre la Russie et les pays occidentaux. Pays occidentaux qui, de fausse pandémie en crise climatique inexistante, enfermeront leurs peuples lobotomisés jusqu’à ce qu’un jour, peut-être, ceux-ci s’éveillent. Qu’ils sachent que si ce jour se présente, la Russie sera alors prête à les aider !

En près de 25 ans, Vladimir Poutine aura donc réussi le tour de force de faire de la Russie une grande puissance, de redonner aux Russes fierté et sécurité, et d’éviter enfin à la Russie de glisser dans l’abîme d’un occident en pleine dégringolade et en pleine décadence. Son successeur, déjà choisi pour se présenter avec le parrainage de Vladimir Poutine devant les Russes pour entrer au Kremlin, saura nous en sommes certains poursuivre sur le même chemin pour la grandeur de la Russie et la sécurité de son peuple.

La Rédaction [de RusReinfo]




Halte au délire occidental sur cette prétendue attaque russe contre la centrale nucléaire de Zaporodje, entre le Donbass et la Crimée !

[Source : guyboulianne.com]

Par Guy Boulianne

Le 4 mars 2022 à 2h00 du matin (heure de Russie), le détachement de la garde nationale ukrainienne est intervenu pour arrêter l’incursion d’un groupe de paramilitaires nationalistes, — c’est-à-dire les extrémistes ukrainiens néo-nazi —, dans le périmètre de la centrale nucléaire de Zaporodje, probablement venus pour y commettre un attentat sous faux drapeau. Or, les médias mainstream (c’est-à-dire les faiseurs de mensonges) se sont immédiatement jeté sur cet incident comme des charognards autour d’un morceau de viande avarié. Fidèles à eux-mêmes, ils en ont construit un narratif mensonger afin d’inculper les forces militaires russes et surtout le président de la fédération de Russie Vladimir Poutine. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est alors empressé de prendre la parole accusant Moscou de vouloir « répéter » la catastrophe de Tchernobyl. (!) Ce bouffon de pacotille était probablement si sincère, qu’il ne put s’empêcher de lire son texte écrit sur un bout de papier :

« Aucun autre pays hormis la Russie n’a jamais tiré sur des centrales nucléaires. C’est la première fois dans notre histoire, la première fois dans l’histoire de l’humanité. Cet État terroriste a maintenant recours à la terreur nucléaire », a-t-il affirmé dans une vidéo publiée par la présidence ukrainienne. « Nous avons survécu à une nuit qui aurait pu mettre un terme à l’Histoire. L’Histoire de l’Ukraine. L’Histoire de l’Europe », a-t-il ajouté.

Les gouvernements, les organisations et les médias alignés sur les forces atlantistes construisent des mensonges afin de nuire et de détruire l’intégrité morale de Vladimir Poutine. Roxane Trudel et Laurent Lavoie écrivent dans le Journal de Montréal : 

« Le monde a retenu momentanément son souffle hier soir. Un bombardement russe a provoqué un incendie dans la plus grosse centrale nucléaire de l’Ukraine, peu après qu’une ville voisine eut été prise d’assaut. À la suite d’un bombardement, un édifice d’entraînement de la centrale Zaporijjia a pris feu, a indiqué Andreï Touz, un porte-parole des lieux qui compte six réacteurs et fournit 25 % de l’énergie du pays. Les pompiers peinaient à se rendre sur les lieux pour éteindre le début d’incendie, l’armée russe continuant de pilonner la place, a indiqué le maire, Dmytro Orlov. »

Les médias comme Le Figaro, Le Monde, Euronews, Le Parisien, Les Échos et TV5monde vont jusqu’à manipuler les images de la vidéo surveillance faisant croire à un bombardement à la centrale nucléaire, située entre le Donbass et la Crimée. Le Parisien va jusqu’à simuler des tirs en direction de l’un des bâtiments annexes. Par chance, il y a des gens qui sont sur place pour rétablir les faits réels. C’est le cas de Erwan Castel, volontaire dans la Brigade internationale Piatnashka de l’armée de la République Populaire de Donetsk qui — le jour même — a écrit et publié un rapport sur son site internet et que je vous transmet ci-dessous. Vous y verrez les images réelles et sans montage de la vidéo surveillance.

Cela dit, je réaliserai une entrevue en direct de Moscou avec le sniper Erwan Castel, dimanche le 13 mars prochain à 11H (Montréal) — 19H (Moscou) — 17H (Paris). Cette entrevue sera diffusée simultanément sur YoutubeTwitter et VKontakte. Je vous invite donc à ne pas rater ce rendez-vous !


« Cessez de régler le réveil de votre conscience sur les psalmodies de BFM TV, et venez sur le terrain au lieu d’ânonner bêtement les prêches des propagandistes mondialistes. À bon entendeur, salut. »

 Erwan Castel


À propos de Erwan Castel (Кастель Ерван)

Né le 6 juin 1963, Erwan Castel rêve d’une « Europe aux cents drapeaux » dont l’unité serait fondée sur le respect de ses peuples natifs et fondateurs et la reconnaissance de leurs identités dans une vision fédérale fondée sur les principes de subsidiarité et de démocratie participative.

« Breton, polythéiste et européen », successivement officier parachutiste français, militant indépendantiste breton puis guide expédition en Amazonie française, il a décidé de rejoindre la rébellion du Donbass s’opposant à l’opération militaire lancée contre sa population russe en 2014 par les putschistes du Maïdan.

A l’issue d’études d’Histoire, Erwan Castel vit pendant 12 années une carrière d’officier au sein d’unités françaises spécialisées dans le renseignement aéroporté. Puis, il retourne en Bretagne pour militer au sein du mouvement culturel breton, notamment dans le sport et le chant traditionnels, avant de reprendre son sac à dos et de s’installer en Guyane française où il exercera le métier de Guide expédition en milieu amazonien pendant 14 ans.

Resté attentif à la tectonique géopolitique du monde, Erwan Castel qui s’est engagé depuis environ 25 ans dans un combat antimondialiste de plus en plus prononcé, décide au moment du Maïdan de dénoncer la propagande de guerre occidentale sur les réseaux sociaux où il essaye de ré-informer l’opinion. En juin 2014, il décide d’abandonner sa situation privée et professionnelle et de rejoindre le Donbass, ce qu’il réalisera en janvier 2015. Engagé début février 2015 dans l’armée de la République Populaire de Donetsk, il a servi sur les fronts de Debalsevo, Marinka, Dokuchaievsk et Donetsk avant de devenir volontaire en 2017 dans la Brigade internationale Piatnashka et servir sur le front de Yasinovataya en tant que sniper.

Opposé à toute forme de pensée unique (religieuse, économique, culturelle ou politique) et luttant contre la marchandisation du vivant engagée par une ploutocratie mondialiste amorale et criminelle, il inscrit ses principes et ses actes dans l’idéal d’une « révolution conservatrice » défendant la liberté des peuples à disposer d’eux mêmes et une subsidiarité ascendante des identités natives construisant un monde multipolaire. Il vit aujourd’hui au Nord de Donetsk à proximité de l’aéroport et se consacre exclusivement au travail de ré-information qu’il réalise seul, sur des blogs et les réseaux sociaux.




Halte au délire occidental !

Un rapport de Erwan Castel (4 mars 2022)

Depuis ce matin, je reçois des dizaines de messages concernant cette prétendue attaque russe sur la centrale nucléaire de Zaporodje, entre le Donbass et la Crimée, Qu’en est-il exactement de cette information farfelue et dont le seul but est de jeter de l’huile sur une russophobie de plus en plus délirante et de vouloir maintenir, après la gestion hallucinée du Covid, les populations occidentales dans une psychose servile.

Voici ce qui s’est passé réellement à 2h00 du matin sur le périmètre de la centrale nucléaire de Zaporodje :

Ce que l’on voit ici, sur les images de la vidéo surveillance, c’est une fusée éclairante arrivant près d’un bâtiment annexe loin des infrastructures sensibles de la centrale nucléaire et en aucun cas, comme le prétendent les « journalistes » occidentaux, un missile ou un obus tiré contre la centrale !



Suite à l’arrivée au sol de la fusée éclairante un tout petit incendie s’est déclaré (ici sur la droite de l’image) et qui a été immédiatement maîtrisé par les servicesde sécurité incendie présents H24 sur le site.

Les explications :

À 02h00 du matin le détachement de la garde nationale ukrainienne est intervenu pour stopper l’incursion d’un groupe de paramilitaires nationalistes dans le périmètre de la centrale venus probablement y commettre un attentat pour accuser ensuite l’armée russe. un échange de tirs aux armes légères a eu lieu lors de cette interception, et pour sécuriser leur action les soldats ukrainiens ont probablement tiré cette fusée éclairante.

Ce n’est pas la première fois que des accrochages graves se font entre radicaux nationalistes et soldats réguliers ukrainiens et quelques heures plus tard, un autre échange de tir a eu lieu sur le périmètre défensif de Marioupol entre des soldats apeurés de la 56ème brigade ukrainienne et des radicaux excités du régiment « Azov ».

Une bonne capture d’écran d’une fusée éclairante anodine et un titre sensationnaliste au service d’une psychose collective organisée pour conditionner les populations à haïr la Russie :

Que venaient faire exactement ces radicaux nationalistes dans le périmètre de la centrale nucléaire de Zaporodje ? C’est cette question plutôt inquiétante qui aurait dû faire la Une des médias occidentaux au lieu de ce fatras de conneries russophobes avec lesquelles ils veulent achever par la peur les dernières bribes d’esprit critique et de bon sens qui auraient échappé au grand lessivage de la pensée unique.

À l’Est de Zaporodje, sur la rive gauche du Dniepr, se trouve à Ernegodar cette plus grande centrale nucléaire d’Europe, et les forces russes, conscientes du danger potentiel du site, ont développé une tactique d’approche adaptée:

  • sans utiliser des armes lourdes capables d’endommager des infrastructures de fonctionnement de la centrale,
  • en abordant le secteur par des axes décalés pour ne pas mettre l’installation nucléaire dans le prolongement des tirs potentiels.

Mais concernant la fusée éclairante de Zaporodje, et qui plus est, est tirée par un soldat ukrainien, les thuriféraires de la russophobie hystérique piétinant toute forme de raisonnement, négligeant de vérifier l’information, voire travestissant volontairement la vérité, ont développé un tel discours apocalyptique et servile qu’on est en droit de s’interroger sérieusement sur leur santé mentale…

Quant aux journalopes français ils sont comme d’habitude sont sur le podium de l’imbécilité haineuse et servile, comme BFM TV, cette officine mondialiste de la marchandisation du Monde et asile des BHL, Ackermann and Co ! :

Et pour information, voilà à quoi ressemble un vrai bombardement russe :

Antenne de télévision de Kiev détruite par un missile russe le 1er mars, interrompant les diffusions des télévisions ukro-occidentales.

Et que surtout les journalistes ensuite ne s’étonnent pas qu’en Ukraine, les antennes de télévision de la propagande de guerre ukro-atlantiste soient prises pour cibles par les forces russes car bombarder de tels incendiaires médiatiques relève plus d’un acte humanitaire que d’un acte de guerre !

Merci de ne pas paniquer: les russes ne sont pas des fous comme ceux qui ont détruit Hiroshima, le Vietnam, la Serbie, l’Irak, la Syrie, la Lybie etc.. et voulaient détruire le Donbass !

Erwan Castel (signature)

Erwan Castel, 4 mars 2022


Entrevue en direct de Moscou avec le sniper Erwan Castel, volontaire dans la Brigade internationale Piatnashka de l’armée de la République Populaire de Donetsk. Dimanche le 13 mars 2022 à 11H (Montréal) — 19H (Moscou) — 17H (Paris) simultanément sur YoutubeTwitter et VKontakte. C’est un rendez-vous à ne surtout pas rater !




Fauci et la grande arnaque du SIDA. Mise à jour

[Source : childrenshealthdefense.eu]

Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique

Extrait:

En tant que défenseur de la santé publique, d’une science solide et d’autorités régulatrices indépendantes, libres de toute corruption et de tout lien financier avec l’industrie pharmaceutique, j’ai combattu le Dr Fauci pendant de nombreuses années. Je le connais personnellement, et l’impression que j’ai de lui est très différente de celle qu’ont mes collègues démocrates, qui l’ont d’abord connu comme la star des conférences de presse COVID télévisées de la Maison Blanche ; poli, humble, sérieux, attachant et endurant la critique sans broncher. Le Dr Fauci a joué un rôle historique en tant qu’architecte principal de la «capture des agences» – la prise de contrôle des agences de santé publique américaines par l’industrie pharmaceutique.

Hélas, l’incapacité du Dr Fauci à atteindre les objectifs de santé publique pendant la pandémie de COVID n’est pas surprenante. Elle découle d’un schéma trop classique dans lequel la santé et la sécurité publiques sont sacrifiées sur l’autel des profits pharmaceutiques et de l’intérêt personnel. Il a toujours fait primer les profits de l’industrie pharmaceutique sur la santé publique. Les lecteurs de ces pages apprendront comment, en exaltant la médecine brevetée, le Dr Fauci a, toute sa longue carrière durant, régulièrement falsifié la science, trompé le peuple et les médecins, et menti sur les questions d’innocuité et d’efficacité. Cet ouvrage, qui détaille les malversations du Dr Fauci, inclut ses crimes contre les centaines d’orphelins et enfants placés, noirs et hispaniques, auxquels il a infligé des expériences médicales cruelles et mortelles. Il traite également de son rôle – avec Bill Gates – dans la transformation de centaines de milliers d’Africains en rats de laboratoire pour des essais cliniques à moindre coût de médicaments expérimentaux dangereux qui, une fois approuvés, restent financièrement hors de portée de la plupart des autochtones. Vous apprendrez comment le Dr Fauci et Gates ont transformé le continent Africain en un dépotoir de médicaments périmés, néfastes et inefficaces, dont beaucoup ont été abandonnés pour des raisons de sécurité aux États-Unis et en Europe.

Vous découvrirez comment l’étrange fascination du Dr Fauci pour les expériences dites de «gain de fonction», visant à créer des superbactéries pandémiques, ainsi que ses généreuses subventions en faveur de ces essais, rendent plausible l’éventualité ironique qu’il ait pu jouer un rôle dans le déclenchement de la pandémie mondiale – dont deux présidents américains lui ont confié la gestion. Vous découvrirez également la stratégie qu’il a appliquée pendant 20 ans pour promouvoir de fausses pandémies dans le but de promouvoir de nouveaux vaccins, de nouveaux médicaments et de faire plaisir aux entreprises pharmaceutiques. Vous découvrirez comment il a dissimulé une contamination généralisée du sang et des vaccins, ses vendettas destructrices contre les scientifiques remettant en question le paradigme pharmaceutique, son sabotage délibéré des remèdes brevetés contre les maladies infectieuses (du VIH à la COVID-19) afin de laisser la voie libre à des remèdes moins efficaces – mais plus rentables. Vous découvrirez le nombre sidérant de cadavres qui se sont accumulés dans son sillage, parce qu’il a de sang-froid accordé la priorité aux profits de Big Pharma au détriment de la santé publique. Toutes les stratégies qu’il a fait adopter contre la COVID (falsifier la science pour mettre sur le marché des médicaments dangereux et inefficaces, supprimer et saboter les traitements concurrents dont les marges bénéficiaires sont plus faibles – même si le prix à payer est de prolonger les pandémies et de perdre des milliers de vies) ont un dénominateur commun: la dévotion myope à Big Pharma. Ce livre vous montrera que Tony Fauci ne fait pas de la santé publique; c’est un homme d’affaires qui a utilisé sa fonction pour enrichir ses partenaires de l’industrie pharmaceutique et élargir sa sphère d’influence. Elle fait de lui le médecin le plus puissant – et le plus despotique – de l’histoire de l’humanité. Pour certains lecteurs, arriver à cette conclusion nécessitera de franchir de nouveaux ponts. Quant à ceux qui connaissent intuitivement le vrai visage d’Anthony Fauci, ils ont seulement besoin d’avoir sous les yeux les faits éclairés et organisés.

J’ai écrit ce livre pour que vous puissiez comprendre le rôle pernicieux du Dr Fauci, qui permet aux entreprises pharmaceutiques d’asservir notre gouvernement et de subvertir notre démocratie. Je l’ai aussi écrit pour relater le rôle clef joué par le Dr Fauci dans le coup d’État qui se joue actuellement contre la démocratie.

À lire sur The Defender :

L’éditeur de «The Real Anthony Fauci » met les critiques au défi de trouver des erreurs factuelles dans le livre et appelle à un débat ouvert

Tony Lyons est avocat et président et éditeur de Skyhorse Publishing, éditeur du nouveau best-seller de Robert F. Kennedy Jr. aux USA, intitulé « The Real Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique. » Vous trouverez ci-dessous la note de l’éditeur que Lyons a écrite et qui figure à la page xii de l’édition américaine.

« Les problèmes scientifiques et moraux complexes ne sont pas résolus par la censure des opinions dissidentes, la suppression du contenu de l’internet ou la diffamation des scientifiques et des auteurs qui présentent des informations contestant les pouvoirs en place. La censure conduit plutôt à une plus grande méfiance envers les institutions gouvernementales et les grandes entreprises. Il n’y a pas d’idéologie ou de politique à souligner l’évidence : les erreurs scientifiques et les erreurs de politique publique existent – et peuvent avoir des conséquences dévastatrices. Les erreurs peuvent résulter d’une analyse défectueuse, de la précipitation, de l’arrogance et parfois de la corruption. Quelle que soit la cause, les solutions proviennent d’une exploration ouverte, d’une introspection et d’un examen constant. Idéalement, la science et les politiques publiques ne sont jamais statiques. Ils sont un processus, une collaboration, un débat et un partenariat.

Si des puissants contestés par ce livre prétendent qu’il contient des informations erronées, notre réponse est simplement la suivante : Dites-nous où vous pensez que quelque chose est incorrect, présentez vos meilleurs arguments et offrez le meilleur soutien disponible pour ces arguments.

Nous encourageons et invitons le dialogue, la critique, l’engagement – et chaque suggestion sera entendue et prise en compte.

Disponible en pré-commande sur le site de l’éditeur ici.



Présentation du livre lors de la conférence de presse CHD Europe à Bruxelles le 23 janvier 2022. Avec Senta Depuydt, présidente de CHD Europe, Professeur Christian Perronne, ancien VP du Groupe consultatif européen d’experts en vaccination de l’OMS, et Marco Pietteur, directeur des éditions Marco Pietteur,


[Source : E&R]

Par Laurent Guyénot

Le tout nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr., The Real Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health [Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique], n’est pas le livre d’un politicien qui cherche à attirer l’attention. C’est le livre d’un homme déterminé à mettre sa réputation, sa carrière et sa vie en jeu dans la lutte contre le bioterrorisme des gouvernements captifs de l’industrie pharmaceutique. Il appelle à l’insurrection de masse, et son dernier mot est : « On se retrouvera sur les barricades ! »

Le livre commence ainsi :

« J’ai écrit ce livre pour aider les Américains – et les citoyens du monde entier – à comprendre les fondements historiques du cataclysme affolant qui a commencé en 2020. Au cours de cette seule annus horribilis, la démocratie libérale s’est effectivement effondrée dans le monde entier. Les organismes gouvernementaux de santé publique, les patrons des réseaux sociaux et des médias d’information sur lesquels les populations idéalistes avaient cru voir les champions de la liberté, de la démocratie, des droits civils et des politiques publiques fondées sur des données fiables, ont fait collectivement volte-face pour s’attaquer directement à la liberté d’expression et aux libertés personnelles. Soudain, ces institutions qui nous inspiraient confiance ont agi de concert pour générer la peur, susciter l’obéissance, décourager la pensée critique et rassembler sept milliards de personnes dans une marche forcée vers une expérimentation de santé publique avec une nouvelle technologie mal testée et illégalement autorisée, une technologie si risquée que les fabricants ont refusé de la produire à moins que chaque gouvernement sur Terre ne les protège de toute responsabilité. […] Les objecteurs de conscience qui ont résisté à ces interventions médicales non sollicitées, expérimentales et à zéro responsabilité ont été déstabilisés, marginalisés et désignés comme boucs émissaires. Les vies et les moyens de subsistance des Américains ont été brisés par un éventail ahurissant de diktats draconiens imposés sans approbation législative et sans évaluation des risques. Sous le prétexte d’un état d’urgence, on a fermé nos entreprises, nos écoles et nos églises, on a fait des intrusions sans précédent dans la vie privée, et on a bouleversé nos relations sociales et familiales les plus précieuses. »

Kennedy n’est pas un nouveau venu dans cette effrayante dystopie. « Mes 40 ans de carrière en tant que défenseur de l’environnement et de la santé publique, écrit-il, m’ont donné une compréhension unique des mécanismes de corruption de la “capture réglementaire” (ou “captation de la réglementation”, le processus par lequel le régulateur devient redevable à l’industrie qu’il est censé réguler). » À partir du moment où il est entré dans le débat sur les vaccins en 2005, Kennedy s’est rendu compte que « le réseau profond d’enchevêtrements financiers entre Pharma et les agences de santé gouvernementales avait mis la capture réglementaire sous stéroïdes ». Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), par exemple, possèdent 57 brevets de vaccins et ont dépensé 4,9 milliards de dollars en 2019 pour acheter et distribuer des vaccins. La Food and Drug Administration (FDA) reçoit 45 % de son budget de l’industrie pharmaceutique. Les National Institutes of Health (NIH), avec leur budget de 42 milliards de dollars, possèdent des centaines de brevets de vaccins et profitent souvent de la vente de produits qu’ils sont censés réglementer. Les hauts fonctionnaires de ces agences reçoivent des émoluments annuels pouvant aller jusqu’à 150 000 dollars en redevances sur les produits qu’ils aident à développer puis à faire approuver.

Le Dr Anthony Fauci se tient au sommet de ce Léviathan. Depuis 1968, il a occupé divers postes au National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), un département clé du NIH dont il est devenu directeur en 1984. Avec un salaire annuel de 417 608 dollars, il est le mieux payé de tous les employés fédéraux, y compris le président des États-Unis. Au cours de son expérience de 50 ans en tant qu’administrateur d’une bureaucratie fédérale, il a conseillé six présidents, le Pentagone, des agences de renseignement, des gouvernements étrangers et l’OMS. Il entretient un réseau complexe d’enchevêtrements financiers qui a transformé le NIH en une filiale de Big Pharma. Puisant dans les poches profondes des fondations Clinton et Gates, il a utilisé son budget annuel de 6 milliards de dollars pour dominer et contrôler de nombreuses agences, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il peut faire et défaire des carrières, enrichir ou punir les centres de recherche universitaires, et dicter les résultats de la recherche scientifique à travers le monde, en donnant systématiquement la priorité aux bénéfices de l’industrie pharmaceutique sur la santé publique.

Le livre de Kennedy documente la stratégie systématique de Fauci de « promouvoir de fausses pandémies afin de promouvoir de nouveaux vaccins », ainsi que sa dissimulation des catastrophes sanitaires qu’il a provoquées, ses vendettas destructrices contre les savants qui défient le paradigme pharmaceutique, et son ​​sabotage délibéré des remèdes dont les brevets ont expiré.

Mais le livre de Kennedy n’est pas la biographie d’un homme : c’est un réquisitoire contre un système irrémédiablement corrompu et prédateur, créé aux États-Unis et exporté dans le monde entier. En fin de compte, cependant, le système est fabriqué et géré par des humains, et se concentrer sur son représentant le plus emblématique permet de mieux voir en transparence l’âme qui anime cet organisme, ou plutôt cette machine infernale.

Le livre de Kennedy place la crise actuelle dans une perspective historique. Mais il ne raconte pas l’histoire chronologiquement. Il débute par un très long premier chapitre sur la gestion de la pandémie du Covid-19, puis remonte, à partir du chapitre 3, aux années 1980 et à la recherche du vaccin contre le sida, qui a été le tremplin pour le coup d’État pharmaceutique qui se déroule sous nos yeux. Dans cette recension, je me concentrerai sur l’épisode du sida, car c’est la partie la moins familière d’une histoire couvrant cinquante ans, et elle aide à donner un sens à ce qu’il se passe aujourd’hui. C’est une histoire incroyable, que j’aurais eu du mal à croire il y a à peine trois ans, mais que notre asservissement actuel rend désormais très crédible.

Kennedy mérite notre gratitude pour l’énergie et le courage qu’il met à faire éclater cette histoire au grand jour, dans un exposé clair et bien documenté. Son livre, déjà un best-seller malgré le silence prévisible de la critique (Kennedy est déjà banni de presque tous les réseaux sociaux) est destiné à devenir un jalon dans la lutte pour la Vie et la Vérité, et dans la saga héroïque des Kennedy. Le présent article ne reflète qu’une fraction de ce que l’on peut apprendre de ses 480 pages remplies de données et de références.

Au commencement

Dans les premières lignes de son livre de 2014, Thimerosal : Let the Science Speak (qui a contribuer à faire connaître le lien de cause à effet entre les vaccins contre l’hépatite B et l’explosion de l’autisme aux États-Unis), Kennedy affirmait prudemment être « pro-vaccin » et « croire que les vaccins ont sauvé la vie de centaines de millions d’humains au cours du siècle dernier. » Il ne répète pas cela dans son nouveau livre. Au contraire, il se range du côté des critiques du dogme, citant une étude réalisée en 2000 par les scientifiques du CDC et de Johns Hopkins qui a conclu : « près de 90 % de la baisse de la mortalité par infection chez les enfants américains s’est produite avant 1940, lorsque peu d’antibiotiques ou de vaccins étaient disponibles. » Les principales causes de la baisse spectaculaire de 74 % de la mortalité due aux maladies infectieuses au cours de la première moitié du XXe siècle ont été l’amélioration de l’alimentation et l’assainissement des conditions de vie, à commencer par l’eau.

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Date d’introduction du vaccin (quand il existe) et baisse de la mortalité de six maladies
De gauche à droite et de haut en bas : rougeole, coqueluche, grippe, tuberculose, scarlatine, poliomyélite

Cette perspective révisionniste mais parfaitement objective explique pourquoi l’obsession de Fauci et Gates pour la vaccination a eu des impacts globaux négatifs sur la santé publique en Afrique et en Asie, en réduisant proportionnellement les flux d’aide pour l’alimentation, l’eau potable, les transports, l’hygiène et le développement économique. Gates et Fauci ont en fait détourné le programme de santé publique de l’OMS des projets qui ont fait leurs preuves pour lutter contre les maladies infectieuses.

Pour comprendre cet engouement pour les vaccins, Kennedy rappelle l’influence pionnière de la fondation Rockefeller. En 1911, après que la Cour suprême a statué que Standard Oil constituait un « monopole déraisonnable » et l’a divisé en trente-quatre sociétés, John D. Rockefeller a inauguré ce que Bill Gates appellera plus tard le « philanthro-capitalisme ». Il a accordé d’importantes subventions pour la synthèse et le brevetage de molécules chimiques. La fondation a fourni près de la moitié du budget initial de l’Organisation de la santé de la Société des Nations en 1922, et de son personnel. Elle a imprégné la Ligue de sa philosophie médicale technocratique, dont héritera l’OMS en 1948.

La fondation Rockefeller lança un « partenariat public-privé » appelé l’International Health Commission, qui commença par inoculer les populations des tropiques avec un vaccin contre la fièvre jaune. Au moment où John D. Rockefeller Jr. l’a dissoute en 1951, la Commission avait dépensé des milliards de dollars pour des campagnes contre les maladies tropicales dans près de 100 pays et colonies. Ces projets avaient un agenda caché, selon un rapport de 2017, U.S. Philanthrocapitalism and the Global Health Agenda : ils permirent à la famille Rockefeller d’ouvrir les marchés du monde émergeant pour le pétrole, l’exploitation minière, la banque et d’autres commerces rentables.

Dans les années 1970, le potentiel financier des produits pharmaceutiques eux-mêmes a explosé lorsque,

« une vague de nouvelles technologies, y compris les tests PCR et les microscopes électroniques super puissants, ouvrirent des fenêtres sur de nouveaux mondes grouillants contenant des millions d’espèces de virus auparavant inconnus des scientifiques. […] L’attrait de la gloire et de la fortune déclencha une révolution chaotique en virologie, tandis que de jeunes docteurs ambitieux s’efforçaient d’inculper les microbes nouvellement découverts comme étant la cause d’anciennes maladies. […] Sous cette nouvelle rubrique, chaque percée théorique, chaque découverte devenait potentiellement la base d’une nouvelle génération de médicaments. »

Au milieu des années 1970, le CDC cherchait à justifier son existence en traquant les clusters de rage. Entretenir la peur d’une pandémie était un moyen naturel pour les bureaucrates du NIAID et du CDC de justifier la pertinence de leurs agences. Le patron immédiat du Dr Fauci et son prédécesseur en tant que directeur du NIAID, Richard M. Krause, aida à lancer cette nouvelle stratégie en 1976. Cette année-là a été concoctée la fausse épidémie de grippe porcine. Le vaccin expérimental posait tant de problèmes que les Health and Human Services (HHS) l’ont retiré après avoir vacciné 49 millions d’Américains. Selon les articles de presse, l’incidence de la grippe était sept fois plus élevée chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. De plus, le vaccin a causé quelque 500 cas de maladie nerveuse dégénérative du syndrome de Guillain-Barré, 32 décès, plus de 400 paralysies et jusqu’à 4 000 autres effets indésirables. Les victimes ont déposé 1 604 plaintes. En avril 1985, le gouvernement avait versé 83 233 714 dollars et dépensé des dizaines de millions de dollars pour traiter et résoudre ces plaintes.

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Le président Ford montre l’exemple le 14 octobre 1976

Un autre scandale éclata en 1983, lorsqu’une étude de l’UCLA financée par le NIH révéla que le vaccin DTP développé par Wyeth – maintenant Pfizer – tuait ou causait de graves lésions cérébrales, et parfois la mort, chez un enfant vacciné sur 300. Tout en protégeant les enfants contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche, le vaccin DTC ruinait leur système immunitaire, les rendant vulnérables à un large éventail d’autres infections mortelles.

Les poursuites qui en ont résulté ont provoqué l’effondrement des marchés de l’assurance pour les vaccins et ont menacé de mettre l’industrie en faillite. Wyeth se plaignait de perdre 20 dollars en dommages et intérêts pour chaque dollar gagné sur les ventes de vaccins, et incita le Congrès à adopter en 1986 la National Childhood Vaccine Injury Act, qui protégeait les fabricants de vaccins de toute responsabilité légale. Cette incitation à la cupidité sans restriction sera renforcée en 2005 par une nouvelle loi signée par George W. Bush, le Public Readiness and Emergency Preparedness Act.

Le sida et l’AZT

En 1984, lorsque Fauci devin directeur du NIAID, la crise du sida (Syndrome d’immunodéficience acquise) devenait incontrôlable. Ce fut la rampe de lancement pour l’ascension du Dr Fauci. Lors d’une conférence de presse en avril 1984, le scientifique du NIH Robert Gallo établit le lien entre le sida et le virus qui allait bientôt être nommé VIH (virus de l’immunodéficience humaine). Le Dr Fauci s’empressa de revendiquer la compétence de son agence, contre le National Cancer Institute (NCI), une autre antenne du NIH. Fauci devint le nouveau tsar du sida, et prit le contrôle de presque toute la recherche consacrée à ce nouveau fléau. Imitant la promesse incantatoire du NCI de bientôt guérir le cancer, le Dr Fauci promit au Congrès qu’il produirait rapidement des médicaments et des vaccins pour éradiquer le sida.

Dans le même temps, il répandait la terreur de la contagion, avertissant dans un article alarmiste de 1983 que « l’étendue du syndrome peut être énorme », car « les contacts anodins, comme au sein d’un foyer familial, peuvent propager la maladie » – malgré le fait que le sida était presque exclusif aux utilisateurs de drogues intraveineuses et aux homosexuels masculins amateurs de poppers (vasodilatateur à base de nitrite d’amyle procurant une relaxation de la musculature anale). Un an plus tard, Fauci fut contraint d’admettre que les responsables de la santé n’avaient jamais détecté de cas de sida propagé par « contact anodin ». Néanmoins, le Dr Fauci continua de générer la panique, ce qui augmentait automatiquement son prestige et son pouvoir. L’amplification de la terreur des maladies infectieuses était déjà une réponse institutionnelle instinctive enracinée au NIAID.

Ayant pris le contrôle de la recherche sur le sida, Fauci capta l’essentiel du flot des crédits voté par le Congrès pour le sida, proportionnel au lobbying d’une communauté gay nouvellement organisée. En 1990, le budget annuel de lutte contre le sida du NIAID atteignait 3 milliards de dollars. Au cours des décennies qui ont suivi, le gouvernement fédéral dépensa plus d’un demi-milliard de dollars dans la recherche d’un vaccin qui ne s’est jamais matérialisé. Le Dr Fauci a injecté l’argent des contribuables dans près de 100 candidats vaccins, sans autre résultat que des transferts massifs d’argent public à ses partenaires pharmaceutiques, et des rivières de larmes pour des millions de malheureux cobayes humains. Le manque de capacité interne de développement de médicaments du NIAID signifiait que Fauci devait confier la recherche à un réseau de soi-disant « investigateurs principaux » (IP), des médecins et chercheurs universitaires contrôlés par des sociétés pharmaceutiques et agissant en tant que liaisons, recruteurs et porte-parole.

« Les IP sont des agents de l’industrie pharmaceutique qui jouent un rôle clé dans la promotion du paradigme pharmaceutique et fonctionnent comme les grands prêtres de toutes ses orthodoxies, pour lesquelles ils font du prosélytisme avec un zèle missionnaire. Ils utilisent leurs sièges dans les conseils médicaux et les présidences de départements universitaires pour propager le dogme et éradiquer l’hérésie. […] Ce sont les experts médicaux accrédités et choyés qui pronostiquent sur les chaînes de télévision – désormais dépendantes des revenus publicitaires pharmaceutiques – pour diffuser le message de Big Pharma. »

En choisissant de sous-traiter aux IP le développement de médicaments, Fauci abdiquait le mandat qui avait été donné au NIAID de trouver la source des épidémies de maladies allergiques et auto-immunes qui avait explosé sous sa surveillance vers 1989. Les crédits du NIAID sont devenus une subvention géante à l’industrie pharmaceutique, qui ne s’intéressait évidemment qu’au traitement des symptômes de ces maladies, et non à la suppression de leurs causes. À la fin des années 80 et au début des années 90, les IP recevaient chaque année entre 4 et 5 milliards de dollars du budget du NIH. Mais les « pots-de-vin légalisés » des sociétés pharmaceutiques et les paiements de redevances sur les produits pharmaceutiques éclipsaient leur financement gouvernemental.

Malgré ses piètres résultats en matière de réduction des maladies au cours de la décennie précédente, Fauci persuada le président Bill Clinton, en mai 1997, de fixer un nouvel objectif national pour la science. Dans un discours prononcé à la Morgan State University, Clinton imita – peut-être non sans une ironie d’initié – la promesse faite par Kennedy en 1961 d’aller sur la Lune, et déclara : « Aujourd’hui, engageons-nous à développer un vaccin contre le sida au cours de la prochaine décennie. »

Un an plus tard, Bill Gates, qui venait de fonder son International Aids Vaccine Initiative (IAVI), conclut un accord avec Fauci. « Au cours des deux décennies qui suivirent, ce partenariat se métastaserait pour inclure des sociétés pharmaceutiques, des agences militaires et du renseignement et des agences de santé internationales, collaborant toutes pour promouvoir des vaccins militarisés et une nouvelle sorte d’impérialisme d’entreprise enracinée dans l’idéologie de la biosécurité. » L’histoire de l’implication de Gates dans le secteur des vaccins, de ses expériences meurtrières en Afrique et en Inde, et de son ascension en tant que principal sponsor officieux de l’OMS (ordonnant en 2011 : « Tous les 193 États membres, vous devez faire des vaccins un point central de vos systèmes de santé. »), est racontée dans les chapitres 9 et 10 du livre de Kennedy.

Lorsque le Dr Fauci devin directeur du NIAID, l’azidothymidine, connue sous le nom d’AZT, était le seul candidat à titre de remède contre le sida. L’AZT est un « terminateur de chaîne d’ADN », détruisant au hasard la synthèse d’ADN dans les cellules en reproduction. Il avait été développé en 1964 pour le cancer, mais abandonné car trop toxique même pour une thérapie courte. Il était jugé si mauvais qu’il n’avait même pas été breveté. Mais en 1985, Samuel Broder, directeur du National Cancer Institute (NCI), affirma avoir découvert que l’AZT tuait le VIH dans des éprouvettes. La société britannique Burroughs Wellcome l’a alors breveté comme remède contre le sida. « Reconnaissant une opportunité financière dans le désespoir des jeunes patients atteints du SIDA face à une mort certaine, la société pharmaceutique fixa le prix jusqu’à 10 000 dollars par an et par patient, faisant de l’AZT l’un des médicaments les plus chers de l’histoire pharmaceutique. Étant donné que Burroughs Wellcome pouvait fabriquer de l’AZT pour quelques centimes par dose, la société anticipait une fortune. »

Fauci donna à Burroughs Wellcome un contrôle monopolistique sur la riposte du gouvernement au VIH. Mais tout ne s’est pas bien passé. « L’horrible toxicité de l’AZT entrava les efforts des chercheurs pour concevoir des protocoles d’étude qui le feraient paraître sûr ou efficace. » Un autre problème est que les médecins de proximité obtenaient des résultats prometteurs avec des médicaments thérapeutiques bon marché et hors brevet. Le Dr Fauci refusa de tester ces médicaments qui n’avaient pas de sponsors pharmaceutiques. Lorsqu’il mit néanmoins à l’essai le AL721, un antiviral bien moins toxique que l’AZT, il s’efforça de faire échouer les études et, n’y parvenant pas, annula brusquement la phase 2.

Pendant ce temps, il accéléra les tests d’AZT, sautant la phase d’essais sur des animaux et permettant à Burroughs Wellcome de passer directement aux essais sur les humains. En mars 1987, l’équipe de Fauci déclara que les essais humains étaient un succès après seulement quatre mois, et Fauci s’en félicita devant la presse. Cependant, lorsqu’en juillet 1987, le rapport officiel de l’essai de phase 2 de Burroughs Wellcome fut publié, des scientifiques européens se plaignirent que les données brutes ne montraient aucun avantage dans la réduction des symptômes. La FDA mena sa propre enquête dix-huit mois plus tard, mais garda ses résultats secrets, jusqu’à ce que le journaliste d’investigation John Lauritsen en obtienne certains au moyen du Freedom of Information Act ; les documents montrent que les équipes de recherche Fauci/Burroughs Wellcome s’étaient livrées à une falsification généralisée des données. Plus de la moitié des patients sous AZT subissaient des effets indésirables si mortels qu’ils avaient besoin de plusieurs transfusions sanguines pour simplement rester en vie. Néanmoins, Fauci continuait son ascension par le mensonge, avec le silence complaisant des grands médias (tout cela est dans le livre de Lauritsen, Poison by Prescription : The AZT Story).

L’AZT n’était pas le seul sujet d’intérêt pour Fauci. En juin 2003, le NIH menait 10 906 essais cliniques sur de nouvelles préparations antivirales dans 90 pays. Certains de ces essais semblaient sortis des pires cauchemars de Dickens. L’Alliance for Human Research Protection (AHRP), une organisation de surveillance de l’industrie médicale, a révélé qu’entre 1985 et 2005, le NIAID avait enrôlé au moins 532 enfants de familles d’accueil à New York en tant que sujets d’essais cliniques testant des médicaments et des vaccins expérimentaux contre le sida. Nombre de ces enfants étaient en parfaite santé et n’étaient peut-être même pas infectés par le VIH. Pourtant, 80 d’entre eux moururent. En 2004, le journaliste Liam Scheff a relaté les expériences secrètes du Dr Fauci sur des enfants en famille d’accueil à l’Incarnation Children’s Center (ICC) à New York et dans certaines installations sœurs entre 1988 et 2002. Ces révélations, commente Kennedy, soulèvent de nombreuses questions :

« De quel désert moral les monstres qui ont conçu et toléré ces expériences sont-ils descendus sur notre pays idéaliste ? Comment en sont-ils arrivés dernièrement à exercer un tel pouvoir tyrannique sur nos citoyens ? Quelle sorte de nation sommes-nous si nous leur permettons de continuer ? Surtout, n’est-il pas logique que l’esprit malveillant, l’éthique élastique, le jugement épouvantable, l’arrogance et la sauvagerie qui ont sanctionné cette brutalité barbare sur des enfants à l’Incarnation Children’s Center, et la torture d’animaux pour le profit de l’industrie, puissent également concocter une justification morale pour supprimer les remèdes salvateurs et prolonger une épidémie mortelle ? Se peut-il que ces mêmes alchimistes noirs aient développé une stratégie consistant à donner la priorité à leur projet de vaccin de 48 milliards de dollars sur la santé publique et la vie humaine ? »

L’Afrique est une terre promise pour les groupes pharmaceutiques à la recherche de gouvernements coopératifs et de populations illettrées. Les coûts pour des essais y sont très bas, et la surveillance des médias est plutôt laxiste. Au début des années 1990, certains dictateurs africains ont déroulé le tapis rouge pour Big Pharma. Et le 29 janvier 2003, le président George W. Bush a annoncé lors de son discours sur l’état de l’Union son Plan d’urgence pour la lutte contre le sida (PEPFAR), demandant au Congrès « d’engager 15 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années, dont près de 10 milliards de dollars d’argent frais, pour renverser la tendance contre le sida dans les pays les plus touchés d’Afrique et des Caraïbes. »

Le VIH cause-t-il le sida ?

Kennedy commence son chapitre 5, « The HIV Heresies », par cette note :

« J’ai hésité à inclure ce chapitre parce que toute remise en question de l’orthodoxie selon laquelle le VIH est la seule cause du sida reste une hérésie impardonnable, voire dangereuse, face au cartel médical régnant et à ses alliés médiatiques. Mais on ne peut pas écrire un livre complet sur Tony Fauci sans aborder la controverse scientifique interminable – et fascinante – sur ce qu’il qualifie de sa “plus grande réussite” et “l’œuvre de sa vie”. »

La controverse illustre comment les industries pharmaceutiques et les agences de santé, agissant de concert, forgent un consensus sur des théories incomplètes ou frauduleuses et répriment impitoyablement la dissidence même lorsqu’elle vient de savants mondialement reconnus. « Dès le départ, insiste Kennedy, je tiens à préciser que je ne prends aucune position sur la relation entre le VIH et le sida. » Cependant, il affirme :

« Au cours des trente-six ans depuis que le Dr Fauci et son collègue, le Dr Robert Gallo, ont affirmé pour la première fois que le VIH est la seule cause du sida, personne n’a été en mesure de citer une seule étude qui démontre leur hypothèse par des preuves scientifiques valides. […] Même aujourd’hui, l’incohérence, les lacunes dans les connaissances, et les contradictions continuent de jeter le doute sur le dogme officiel. »

La façon dont s’est imposé le dogme du VIH-sida illustre « les tactiques que le Dr Fauci a mises au point pour esquiver le débat, éblouir et embobiner la presse pour qu’elle évite toute enquête sur le credo, et dénigrer, intimider, punir, marginaliser et museler les critiques. » L’une des victimes de Fauci a été le Dr Peter Duesberg, qui en 1987 était encore reconnu comme le rétrovirologue le plus accompli au monde. Duesberg soutient que le VIH ne cause pas le sida, mais est essentiellement un « passager clandestin » commun aux populations à haut risque qui souffrent de suppression immunitaire en raison d’expositions environnementales. Le VIH, dit-il, est un virus passager inoffensif qui a presque certainement coexisté chez l’homme pendant des milliers de générations sans causer de maladie. Alors que le VIH peut être sexuellement transmissible, prétend Duesberg, le sida ne l’est pas.

Duesberg a publié ses opinions dans un article retentissant de 1987, puis dans un livre de 724 pages, L’Invention du virus du SIDA. Kennedy trouve les raisonnements de Duesberg « si clairs, si élégamment conçus et si convaincants qu’en les lisant, il semble impossible que l’ensemble de l’hypothèse orthodoxe ne s’effondre instantanément sous le poids étouffant d’une logique implacable. » Mais Fauci et Gallo n’ont jamais tenté de répondre à Duesberg. Blâmer le sida sur un virus était le pari qui avait permis au NIAID de s’approprier la responsabilité et les crédits pour la recherche sur le sida, auxquels auraient pu prétendre autrement le NCI, et Duesberg fut sévèrement puni pour avoir mis ce plan en danger.

« Le Dr Fauci a convoqué l’ensemble du haut clergé de son orthodoxie du VIH – ainsi que tous ses prêtres et même les enfants de chœur – pour déclencher une tempête de représailles féroces contre le virologue et ses partisans. […] L’establishment du sida, jusqu’à son plus humble médecin, a publiquement vilipendé Duesberg, le NIH lui a supprimé ses crédits, et le monde universitaire a ostracisé et exilé ce brillant professeur de Berkeley. La presse scientifique l’a pratiquement banni. Il est devenu radioactif. »

Étonnamment, cependant, le Dr Luc Montagnier, dont Gallo avait volé la découverte du VIH – comme il le reconnut en 1991 après des années de –, s’est rallié à la thèse de Duesberg, déclarant à la Conférence internationale sur le sida de San Francisco en juin 1990, que « le virus VIH est inoffensif et passif, un virus bénin. » Il a ajouté que, selon ses découvertes, le VIH ne devient dangereux qu’en présence d’un d’une bactérie de type mycoplasme. Montagnier, d’ailleurs, n’avait jamais prétendu que le VIH était le seul facteur du sida, et devint de plus en plus sceptique à l’égard de cette théorie. Sa remise en cause répétée du paradigme fétiche de l’establishment a marqué le début d’une campagne de dénigrement, dont son prix Nobel de médecine reçu en 2008 l’a néanmoins relativement protégé.

La « preuve » de Gallo que la cause du sida était un virus, par opposition à des expositions toxiques, avait fourni à Fauci la pierre angulaire de la carrière, lui permettant de prendre les commandes de la politique de lutte contre le sida, et de faire du NIAID le principal partenaire fédéral de l’industrie de la production de médicaments. Cela explique pourquoi Fauci n’a jamais financé aucune étude pour déterminer si le VIH causait réellement le sida et prit des mesures préventives vigoureuses contre toute étude de ce type.

Kennedy cite d’autres voix dissidentes sur l’épidémiologie du sida. Le Dr Shyh-Ching Lo, chercheur en chef chargé des programmes de lutte contre le sida pour l’Institut de pathologie des forces armées (Armed Forces Institute of Pathology), était choqué par l’affirmation d’Anthony Fauci selon laquelle les anticorps, qui normalement indiquent une réponse immunitaire robuste, devraient, avec le VIH, être le signal d’une mort imminente. Puisque les « tests VIH » ne détectent pas en réalité le virus insaisissable mais seulement les anticorps qui sont censés le combattre, n’a-t-on pas ici une inversion orwellienne, où la preuve de santé devient preuve de maladie ? Kennedy cite également le Dr David Rasnick, un biochimiste qui a travaillé pendant trente ans dans le domaine de la biotechnologie pharmaceutique :

« La confusion fondamentale de Fauci est qu’il a dit à tout le monde de diagnostiquer le sida sur la base de la présence d’anticorps anti-VIH. Avec toutes les autres maladies, la présence d’anticorps est le signal que le patient a vaincu la maladie. Avec le sida, Fauci et Gallo, et maintenant Gates, prétendent que c’est le signe que vous êtes sur le point de mourir. Réfléchissez : si l’objectif d’un vaccin contre le sida est de stimuler la production d’anticorps, alors le succès du vaccin signifierait que chaque personne vaccinée se retrouverait nécessairement avec un diagnostic de sida. C’est un sujet de comédie. Autant donner aux Pieds nickelés un budget annuel d’un milliard de dollars ! »

La nature du sida est elle-même sujette à questions, puisqu’il a été défini comme un « syndrome » englobant une galaxie d’une trentaine de maladies distinctes bien connues, qui surviennent toutes chez des individus qui n’ont pas d’infection VIH. « Entre les mains des IP opportunistes du Dr Fauci, le sida est devenu une maladie amorphe sujette à des définitions en constante évolution, englobant une multitude de maladies anciennes chez des hôtes dont le test de dépistage du VIH est positif. » Le lauréat du prix Nobel Kary Mullis, l’inventeur des tests PCR, a souligné que ces tests étaient capables de trouver des signaux VIH dans de larges segments de la population qui ne souffraient pas de symptômes du sida. D’un autre côté, le sida peut survenir chez les personnes dont le test de dépistage du VIH est négatif, comme Geoffrey Cowley l’a documenté dans un article de Newsweek de 1992, suivi de Steve Heimoff dans le Los Angeles Times. Les tests étaient d’ailleurs si relatifs et arbitraires que vous pouviez ne plus être infecté par le VIH en traversant simplement la frontière des USA vers le Canada, par exemple.

Ces incohérences n’étaient pas un problème pour Fauci et son armée de mercenaires pharmaceutiques. Bien au contraire : elles ont ouvert la manne africaine du sida. Des chercheurs financés par Fauci, utilisant des tests PCR et des modèles statistiques obscurs, ont déclaré que jusqu’à 30 millions d’Africains souffraient du SIDA, soit près de la moitié de la population adulte dans certains pays. Alors que dans les pays occidentaux, le sida continuait d’être une maladie de toxicomanes et de consommateurs de poppers adeptes de la sodomie (signalons que ces poppers étaient brevetés par Burroughs Wellcome qui en faisait la publicité dans la presse gay), mystérieusement, en Afrique, 59 % des cas de sida étaient des femmes et 85 % étaient des hétérosexuels. S’agissait-il vraiment de la même chose ? Et d’ailleurs, on nous annonçait une hécatombe qui ne s’est jamais manifestée, la population africaine continuant d’augmenter exponentiellement.

Parallèlement, en Occident, le caractère du sida a radicalement changé au début des années 90 avec la mise sur le marché de l’AZT. Lorsqu’ils ont commencé à administrer de l’AZT à des personnes qui n’étaient même pas malades mais simplement positives au test de dépistage du VIH, le sida s’est mis à ressembler de plus en plus à un empoisonnement à l’AZT. Et le taux de mortalité a grimpé en flèche. Selon les Duesbergiens, la grande majorité des « décès dus au sida » après 1987 étaient en fait dus à l’AZT. Il semblerait que le médicament prescrit par le Dr Fauci pour traiter les patients atteints du sida faisait en réalité ce que le virus ne pouvait pas faire : il causait le sida lui-même. En 1988, la durée de survie moyenne des patients sous AZT était de quatre mois. En 1997, reconnaissant l’effet mortel de l’AZT, les responsables de la santé ont réduit la dose de prescription ; la durée de vie moyenne des patients sous AZT est alors passée à vingt-quatre mois. Selon le Dr Claus Köhnlein, un oncologue allemand, « nous avons pratiquement tué toute une génération de patients atteints du sida sans même le remarquer car les symptômes de l’intoxication à l’AZT étaient presque impossibles à distinguer du SIDA ».

Conclusion

En juillet 2019, le Dr Fauci a fait une annonce surprise : il disposait enfin d’un vaccin fonctionnel contre le VIH. C’était potentiellement le « clou dans le cercueil » de l’épidémie. Il admit que son nouveau vaccin n’empêchait pas la transmission du sida, mais prédit que ceux qui recevraient le vaccin découvriraient que lorsqu’ils contracteraient le sida, les symptômes seraient considérablement réduits. Kennedy commente :

« Le Dr Fauci était si confiant dans la crédulité servile des médias qu’il supposa, à juste titre, qu’il n’aurait jamais besoin de répondre aux nombreuses questions soulevées par ce charabia fiévreux. Toute cette proposition étrange n’a reçu aucun commentaire critique dans la presse. La réussite de son stratagème consistant à mettre du rouge à lèvres sur son âne pour le vendre en tant que pur-sang l’a sans doute enhardi dans sa ruse, un an plus tard, à faire passer pour un vaccin contre le covid un produit qui n’empêche ni la maladie ni sa transmission. »

En 2019, la corde du sida a commencé à s’user. Qui se souciait encore du sida de toute façon ? La « pandémie de Covid-19 » s’est présentée comme l’occasion idéale pour une mise à jour (un reset) du racket pharmaceutique. Comme l’a dit un jour Winston Churchill : « Ne laissez jamais une bonne crise se perdre. » Grace à la complicité des médias occultant les antécédents scandaleux de sa mafia en blouse blanche, Fauci a réussi à se présenter, encore une fois, comme le sauveur.

« Est-il juste de blâmer le Dr Fauci pour une crise qui, bien sûr, a de nombreux auteurs ? » demande Kennedy. Oui, dans une certaine mesure.

« Sous la direction du Dr Fauci, les maladies allergiques, auto-immunes et chroniques que le Congrès a spécifiquement chargé le NIAID de prévenir, se sont multipliées pour affliger 54 % des enfants, contre 12,8 % lorsqu’il a pris le contrôle du NIAID en 1984. Le Dr Fauci n’a donné aucune explication quant aux raisons pour lesquelles les maladies allergiques comme l’asthme, l’eczéma, les allergies alimentaires, la rhinite allergique et l’anaphylaxie ont soudainement explosé à partir de 1989, cinq ans après son arrivée au pouvoir. Sur son site Web, le NIAID se vante que les maladies auto-immunes sont l’une des priorités de l’agence. Quelque 80 maladies auto-immunes, dont le diabète juvénile et la polyarthrite rhumatoïde, la maladie de Graves et la maladie de Crohn, qui étaient pratiquement inconnues avant 1984, sont soudainement devenues épidémiques sous sa surveillance. L’autisme, que de nombreux scientifiques considèrent désormais comme une maladie auto-immune, est passé de 2/10 000 à 4/10 000 Américains lorsque Tony Fauci a rejoint le NIAID, à un sur trente-quatre aujourd’hui. Les maladies neurologiques comme le TDA/H, les troubles de la parole et du sommeil, la narcolepsie, les tics faciaux et le syndrome de la Tourette sont devenues monnaie courante chez les enfants américains. Les coûts humains, sanitaires et économiques des maladies chroniques éclipsent les coûts de toutes les maladies infectieuses aux États-Unis. À la fin de cette décennie, l’obésité, le diabète et le prédiabète sont en passe d’affaiblir 85 % des citoyens américains. L’Amérique fait partie des dix pays les plus obèses de la planète. Les impacts sanitaires de ces épidémies, qui frappent principalement les jeunes, éclipsent même les impacts sanitaires les plus exagérés du Covid-19. »

Le Dr Fauci n’a rien fait pour honorer l’obligation fondamentale du NIAID de rechercher les causes des maladies allergiques et auto-immunes chroniques qui se sont multipliées sous son mandat. Au lieu de cela, Fauci a « transformé le NIAID en le principal incubateur de nouveaux produits pharmaceutiques, dont beaucoup, ironiquement, profitent de la pandémie de maladies chroniques en cascade ». Au lieu de rechercher les causes de la santé défaillante des Américains, le Dr Fauci consacre la majeure partie de son budget de 6 milliards de dollars à la recherche et au développement de nouveaux médicaments et vaccins qui sont en grande partie responsables de l’affaiblissement de leur immunité naturelle. « Ces derniers temps, il a joué un rôle central dans la sape de la santé publique et la subversion de la démocratie et de la gouvernance constitutionnelle dans le monde, et dans la transition de notre gouvernance civile vers le totalitarisme médical. »

Cela me fait penser au Dr Knock, personnage central du célèbre roman de Jules Romains, Knock ou le triomphe de la médecine, écrit en 1923. Le Dr Knock est un médecin louche d’origine douteuse qui professe que la « santé » est un concept obsolète et non scientifique, et que tout homme en bonne santé est un malade qui s’ignore. Pour convertir toute une ville en malades permanents, il fait appel à l’instituteur comme agent de propagande, et passe un marché avec le pharmacien, qui voit soudainement sa clientèle exploser (regardez ici et ici des moments inoubliables de l’adaptation cinématographique de Guy Lefranc avec Louis Jouvet). Fauci, c’est Knock à l’échelle mondiale.

Dans une certaine mesure, cependant, Fauci est lui-même le produit d’un choix civilisationnel qui, à long terme, ne pouvait conduire qu’à la technocratie médicale tyrannique qui essaie maintenant de nous asservir. Plutôt qu’un nouveau Dr Frankenstein, Fauci est notre propre monstre qui se retourne contre nous. Kennedy fait allusion à ce vaste aspect de la question, soulignant la nécessité d’un questionnement approfondi. La façon dont les Américains et les Occidentaux en général en sont venus à considérer les soins de santé a été façonnée par la philosophie de la fondation Rockefeller : a pill for an ill, soit « une pilule pour une maladie ». Dans le débat entre la « théorie des miasmes » – qui met l’accent sur la prévention des maladies en fortifiant le système immunitaire par la nutrition et en réduisant les expositions aux toxines et aux stress environnementaux – et la « théorie des germes » – qui attribue la maladie à des agents pathogènes microscopiques –, nous avons opté sans ambiguïté pour cette dernière. Nous avons souscrit à une approche de la maladie qui demande d’identifier le germe coupable et de trouver un poison pour le tuer. Nous avons confié la responsabilité de notre santé à des experts médicaux et à des courtiers d’assurance.

Comme le Dr Claus Köhnlein l’observe dans son livre Virus Mania (2007) cité par Kennedy : « l’idée que certains microbes – champignons, bactéries ou virus – sont des ennemis que nous devons combattre avec des bombes chimiques spéciales, s’est imprimée profondément dans la conscience collective. » C’est un paradigme guerrier, parfaitement adapté pour fabriquer le consentement sur la voie de la dictature. Comme Kennedy l’a écrit dans sa préface au livre du Dr Joseph Mercola, The Truth About Covid-19 (2021), « les démagogues doivent susciter la peur pour justifier leurs demandes d’obéissance aveugle. »

« Les technocrates du gouvernement, les oligarques milliardaires, Big Pharma, Big Data, Big Media, les barons de la haute finance et l’appareil de renseignement militaro-industriel, tous aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment les guerres et les attaques terroristes. Les crises catastrophiques créent des opportunités pratiques pour augmenter à la fois le pouvoir et la richesse. »

Laurent Guyénot

PS : pour les francophones désireux d’approfondir le sujet, je recommande vivement le livre de Peter Duesberg, L’Invention du virus du sida.(([1] Amazon.fr – L’invention du virus du sida – Duesberg, Peter H. – Livres))

[Voir aussi :
L’escroquerie du SIDA (sidasante.com)
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Notes




« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019

[Source : Nexus]

Senta Depuydt, journaliste indépendante belge et présidente de l’association Children’s Health Defense, est spécialisée dans la question des politiques vaccinales mondiales. En mars 2019, elle publiait dans le magazine Nexus n°121 une vaste enquête sur l’idéologie politique, institutionnelle et industrielle de la vaccination dans ce qui semblait émerger en tant que marché global mondial. [Nexus le propose] en accès libre, ainsi qu’un second article d’elle paru dans le même numéro, avec en bonus un entretien vidéo avec elle tourné en février 2022.

Le travail de Senta Depuydt a récemment été découvert par beaucoup et reconnu comme étant « prophétique » puisqu’il décrivait avec précision, un an avant le début de la crise Covid, toutes les mesures liberticides et l’idéologie vaccinale qui allaient être imposées aux populations.

La prophétie n’est pas l’objectif du journalisme, mais lorsqu’il se confond avec, alors on peut parler d’une enquête bien menée !

◆ Un article qui fait le buzz 3 ans après sa parution

Notre article de mars 2019 a rencontré un vif succès et a généré un buzz début janvier 2022 sur les réseaux sociaux : Twitter, Telegram, Facebook… Tout cela à partir d’un seul tweet. Les mots de cet article, avec le recul de la crise Covid, ont résonné fort dans l’esprit de beaucoup de Français :

Je viens de lire un article de Nexus qui date de mars 2019 et où tout ce qui arrive est décrit jusque dans le moindre détail.
Le prochain qui me dit qu’il n’y pas de plan, je lui fais bouffer le magazine feuillet par feuillet.

— Rhume 19 (@Rhume19) January 8, 2022

VACCINS UN PLAN MONDIAL

nexus n° 121 | mars-avril 2019

Vaccination tout au long de la vie, vaccination dans les pharmacies, les écoles, sur le lieu de travail ou au supermarché : une politi-que de vaccination constante à l’échelle planétaire se déploie à grande vitesse.

par Senta Depuydt

À PROPOS DE L’AUTEURE

Senta Depuydt est diplômée en communication et journalisme de l’université de Louvain et a travaillé plusieurs années dans des multinationales, tout en explorant des domaines parallèles. Confrontée à l’autisme, elle a mis en place de nouvelles approches médicales et éducatives, afin d’aider son fils à retrouver un développement optimal. Elle a ensuite approfondi et partagé abondamment ces informations dans des conférences et des articles, notamment lors du congrès Sortir de l’autisme, abordant aussi des sujets con-troversés comme l’impact des facteurs environnementaux ou de la vaccination.

Sans que cela ne provoque le moindre débat dans les médias ni au sein des assemblées, un programme de vaccination organise la mise en place d’un contrôle permanent des populations et des individus de tous âges. Cette stratégie élaborée dans le cadre de l’Agenda global pour la sécurité sanitaire, ou GHSA, est-elle en train de précipiter notre société à toute vitesse dans « le Meilleur des mondes » ?

Étrange passivité

C’est l’Argentine qui donne le coup d’envoi de cette politique de contrôle totalitaire par le biais de la vaccination. Le Congrès y a approuvé au mois de décembre une loi qui requiert de présenter le carnet de vaccination unique attestant d’une vaccination à jour lors de chaque formalité administrative : carte d’identité, passeport, permis de conduire, certificat pour une demande de mariage, etc.1 Alors que le pays s’est déchaîné sur les questions touchant à l’intégrité du corps, comme les lois concernant l’avortement ou pour le mariage pour tous, et s’est passionné pour des affaires d’abus de mineurs, c’est à l’unanimité et sans le moindre débat que cette loi imposant une ingérence permanente dans le corps de chaque individu a été votée. Bien évidemment, cette contrainte conditionne aussi l’accès à l’éducation, aux services de santé et à l’emploi.

Dans un magazine en ligne, un chroniqueur indépendant s’étouffe : « L’Argentine est devenue la première nation au monde constituée de rats de laboratoire2 », écrit-il, en référence aux multiples essais cliniques dangereux, voire mortels, qui y ont été menés sans consentement, notamment avec le vaccin Synflorix3. Les médias argentins se sont pourtant abstenus de toute critique, ne relayant que les propos officiels.

Renforcer le leadership

Selon le Dr Carla Vizzotti, présidente de la Société de vaccinologie et d’épidémiologie,

« il s’agit d’une grande nouvelle pour la santé publique. Un projet qui est devenu loi en moins d’un an, une loi fédérale, appuyée par tous les partis du Congrès. Elle instaure la vaccination tout au long de la vie pour tous les vaccins qui seront inscrits au programme national. Et elle définit aussi la vaccination comme un bien d’intérêt social qui établit la prévalence de la santé publique sur les intérêts particuliers. »

De l’Allemagne à la Russie, la Corée du Nord ou la Chine, cette rhétorique de la prévalence du bien commun sur les intérêts de l’individu est la porte ouverte à tous les abus.

Rappelons que c’est à Mar del Plata que se tenait le sommet du G20 en 2018. Lors de la réunion des ministres de la Santé, la vaccination y était largement à l’honneur, notamment avec le sujet de la résistance aux antibiotiques (contre laquelle la seule solution semble être la vaccination), mais aussi et surtout avec la thématique majeure de « la préparation aux menaces sanitaires et à de nouvelles pandémies ».

Dans la déclaration commune du 4 octobre 20184, sous présidence argentine, les pays du G20 appellent à renforcer l’importance des agences de santé nationales et le rôle central de l’OMS, afin de s’assurer que l’ONU dispose d’un système propre pour faire face à une future crise sanitaire mondiale. Ils se prononcent également en faveur d’un large financement de cette préparation à la pandémie, notamment par le soutien à la World Bank’s Pandemic Emergency Financing Facility, fruit récent d’un partenariat encore plus rapproché entre l’OMS et la Banque mondiale5.

Un carnet européen de vaccination

La volonté de créer cet ordre mondial de la santé est donc manifeste et le premier point de son agenda est et reste la vaccination. Si l’Argentine prend les devants avec cette mesure radicale, l’Europe semble lui emboîter le pas. Le 30 novembre, le Conseil de l’Union européenne (organe le plus influent parmi les institutions européennes) émet une recommandation pour « une collaboration renforcée dans la lutte contre les maladies à prévention vaccinale6 », dans laquelle il préconise entre autres mesures de renforcer la vaccination et son financement, d’organiser d’ici à 2020 un calendrier vaccinal européen conforme aux recommandations de l’OMS et de surveiller sa mise en œuvre par l’instauration d’un carnet européen numérique de vaccination, voire un « passeport ». Tout comme en Argentine, on y prévoit une vaccination « tout au long de la vie », avec des contrôles de routine et des occasions de rappels à la vaccination à tout âge, notamment lors de l’accès à la (pré)scolarité, aux soins de santé, au lieu de travail ou aux établissements de soins. Pour ce faire, l’Union met la priorité sur le développement de plateformes de santé numériques et de solutions big data.

Endoctrinement

C’est l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) en France, qui est chargé de piloter ce projet «Joint Action on Vaccination » (« Action commune en faveur de la vaccination ») et d’organiser une banque de données avec le statut vaccinal de chaque citoyen en temps réel, permettant de croiser et d’échanger les données entre différents systèmes de santé, ou d’envoyer des SMS ou des mails pour notifier les rappels de vaccins aux individus concernés.

La recommandation prévoit aussi d’inculquer les principes de la vaccination dans les écoles, notamment les écoles européennes, ainsi que dans tous les types d’enseignement. Par ailleurs, on prévoit d’éliminer les contestations sous prétexte d’une stratégie européenne pour lutter contre les fake news et la désinformation en ligne7. Enfin, démarche inquiétante, l’Union prévoit de financer la recherche en sciences sociales et comportementales pour déterminer les facteurs menant à la réticence à la vaccination dans différentes catégories de population et parmi les travailleurs de la santé (article 15 de la recommandation du Conseil de l’UE)8.

Des motifs de résistance

Il s’agit bien là d’une politique extrêmement contraignante et qui s’appliquera dans toute l’Europe, même s’il pourrait être difficile d’instaurer une obligation légale dans certains pays. Dans la plupart des démocraties d’Europe de l’Ouest, le principe du libre consentement éclairé et l’interdiction de l’expérimentation médicale forcée ont imprégné les esprits avec le procès et ensuite le code de Nuremberg, au sortir de la guerre et des atrocités nazies. D’ailleurs, Angela Merkel, interrogée en octobre 2017 alors que l’extension des obligations vaccinales en France était à l’ordre du jour, déclarait dans un podcast vidéo :

« En tant que citoyennes et citoyens responsables et indépendants, comme cela nous paraît tout à fait naturel en Allemagne, tout le monde devrait pouvoir peser sa propre décision. »

Quelques mois plus tôt, en mai 2017, le Parlement suédois avait lui aussi rejeté une loi instaurant des obligations vaccinales9, au motif que, d’une part, le programme vaccinal en place semblait remplir ses objectifs et que, d’autre part, les associations avaient rappelé à juste titre l’existence de dommages vaccinaux et le fait qu’une telle obligation était contraire aux libertés garanties par la Constitution.

Forcing

Quoi qu’il en soit, là où le respect du libre consentement semble bétonné par différentes lois, il sera toujours possible d’imposer une forme d’obligation dans la pratique. Les contraintes sont nombreuses : refus d’accès aux lieux et services publics, aux établissements d’enseignement ou centres commerciaux, ou aux moyens de transport, ce qui reviendrait presque à une forme d’assignation à résidence.

Les incitations à la vaccination pourraient se décliner à travers des bonus et des compensations ou, au contraire, une augmentation des tarifs d’assurance et de soins de santé, voire la diminution des allocations pour les non-vaccinés, comme c’est déjà le cas en Australie, où le gouvernement mène une politique draconienne.

En effet, à la suite de la campagne « No jab, no play », organisée par News Corp – le groupe de presse de Rupert Murdoch, dont le fils James a longtemps siégé au conseil d’administration du laboratoire GSK –, le gouvernement australien a adopté en janvier 2016 la loi coercitive « No jab, no play ; No jab, no pay » (« Pas de piqûre, pas de jeu ; Pas de piqûre, pas d’argent ») et a notamment supprimé une partie des allocations familiales aux parents dont les enfants ne sont pas vaccinés10.

Politique autoritaire

L’Australie semble inspirer l’Europe et cette ligne autoritaire et « criminalisante » a d’ailleurs été esquissée par Martin Seychell, le directeur général adjoint de la direction générale Santé et Sécurité alimentaire de la Commission européenne, lorsqu’il a affirmé que « la non-vaccination menace la vie d’autrui » dans une position qui exclut tout droit à la non-vaccination. S’adressant aux associations et partenaires de la société civile lors d’une réunion au Parlement organisée par Active Citizens in Europe advocate for vaccination (« Citoyens actifs en Europe pour la vaccination »), une ONG financée par MSD (Merck Sharp & Dohme, fabricant du vaccin Gardasil), il a insisté sur l’importance de renforcer le leadership et d’augmenter la surveillance. Parmi ses objectifs prioritaires : la vaccination de la population adulte et le rattrapage des « rappels ». C’est bien entendu le vaccin de la grippe qui sera au cœur de cette campagne, un produit qui a l’avantage commercial indéniable de devoir être refait chaque année.

Lors de cette réunion, un autre intervenant, le Dr David Salisbury, a poursuivi dans la même veine en vantant les bienfaits d’une vaccination « comme à l’armée ». Chaque citoyen sera convoqué par mail ou SMS via un message lui proposant une heure de rendez-vous dans un centre de vaccination où l’on vaccine à la chaîne, sans qu’une visite préalable soit nécessaire. Gain de temps, données inscrites sans délai dans le carnet de santé numérique, la vaccination devient une obligation citoyenne et passe de l’acte médical à l’acte administratif. Ce qui n’a rien de rassurant11.

Prudence de longue date

Le principe de l’obligation vaccinale a toujours été contesté partout, que ce soit en France, en Grande-Bretagne ou aux États-Unis, y compris à l’époque de la variole. C’est sur la seule base du caractère d’« état d’urgence » et de « danger imminent » que les premières obligations vaccinales ont été admises. Il est intéressant de noter que dans le verdict initial américain Jacobson vs Massachusetts rendu par la Cour suprême des États-Unis en 1905, et qui autorise pour la première fois une obligation vaccinale contre la variole en vertu de ce motif d’exception, on peut lire des mises en garde très sérieuses. Face à « la possibilité d’un usage arbitraire et oppresseur d’un pouvoir policier », ou au « fait d’aller bien au-delà de ce qui était indispensable pour assurer la santé publique », la Cour appelle clairement à rester « vigilant afin d’examiner et de contrecarrer les prétentions déraisonnables du pouvoir étatique12 ».

Passe-droit incompréhensible

Un siècle plus tard, les obligations sont désormais motivées par de simples impératifs commerciaux, sans qu’il y ait la moindre urgence de santé publique. Il faut se rappeler qu’en France, il y a à peine deux ans, l’État avait été condamné pour excès de pouvoir, car en l’absence d’un triple vaccin DTP sur le marché correspondant aux vaccins prescrits par la loi, il imposait dans les faits l’utilisation d’un vaccin hexavalent13. En l’absence d’épidémies de polio ou de diphtérie (le tétanos n’étant jamais contagieux), le maintien de telles obligations ne se justifiait plus14 et la France aurait pu les supprimer, s’alignant ainsi sur le principe du libre choix comme c’est le cas dans de nombreuses démocraties européennes. Malheureusement, l’État a choisi d’étendre et d’adapter les obligations à l’offre du marché. Avec une législation solide en faveur des droits des patients, des experts partagés sur la sûreté, l’utilité et l’efficacité des vaccins et des taux de vaccination en hausse, personne n’imaginait que cette mesure puisse être votée. Pourtant, un passe-droit a été créé avec la redoutable « stratégie de la menace », développée et menée à l’échelle internationale par le GHSA (Agenda global pour la sécurité sanitaire) à travers la campagne d’une menace du retour de la rougeole.

[Voir cependant :
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
et
Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie]

État d’urgence permanent

C’est en novembre 2014, lors d’une première réunion à la Maison-Blanche, que le GHSA a véritablement lancé cette stratégie globale de la menace. Y participaient non seulement les principaux responsables de la santé du monde entier, mais aussi le département de la Défense américain et Interpol. Alors que l’objectif du GHSA est d’assurer la sécurité sanitaire en cas d’alerte majeure pour la santé, par exemple en cas d’accident nucléaire ou de bioterrorisme (imaginons la réintroduction de la variole lors d’une guerre), une première dérive s’opère d’emblée dans la désignation de la rougeole comme menace sanitaire. Élément essentiel déjà évoqué, l’argument sécuritaire est en réalité le seul qui permette de contourner toutes les législations en faveur du libre consentement éclairé. Mais la désignation de la rougeole, maladie généralement bénigne, comme menace sanitaire n’est pas innocente. Elle intervient quelques mois à peine après que l’expert des CDC (Centers for Disease Control and Prevention – Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) William Thompson a avoué avoir falsifié la principale étude qui servait de référence pour rejeter le lien entre l’autisme et le vaccin rougeole, oreillons, rubéole15. Loin de représenter un véritable danger, la menace de la rougeole intervient comme une contre-attaque face aux accusations de fraude scientifique, tandis que la vaccination en masse et surtout les obligations se profilent comme le moyen le plus efficace de garantir un marché qui pourrait accuser des pertes.

Les principaux objectifs annoncés à l’issue de cette réunion furent de développer une surveillance accrue, de renforcer les leaderships et de modifier les législations nationales en faveur de la vaccination généralisée. Pour la rougeole, il s’agit de viser une couverture de 95 % sur toute la planète afin d’atteindre « l’immunité de groupe16 ». L’Italie fut désignée comme précurseur de la mise en place du programme. Deux ans plus tard, quelques jours avant l’élection de Trump, Barack Obama et Bill Gates signèrent en hâte un important financement visant à accélérer la mise en place du programme à l’échelle mondiale et lancèrent ainsi la grande campagne de la menace du retour de la rougeole.

Stratégie de la menace

Comme la rougeole ne décime pas des populations et que les taux de vaccination ont augmenté dans la majorité des pays, le cœur de la stratégie se concentre sur la menace virtuelle et le danger permanent.

Ce sera soit le danger de la « possible diminution de la vaccination » et du grand retour des maladies « à cause de la désinformation sur les réseaux sociaux », soit le danger inconnu, comme « la fameuse grippe que l’on ne connaît pas, mais qui arrivera tôt ou tard17 ». La grippe est l’un des thèmes favoris de Bill Gates et des producteurs de vaccins, mais en 2018 s’ajoute dans la liste des dangers prioritaires la « maladie X18 », une maladie qui n’existe pas encore, mais qui permet de financer en priorité « les programmes de préparation à la catastrophe », comme prévu avec la Banque mondiale.

[Note de Joseph : cette maladie X a été nommée Covid-19, mais son virus n’a jamais été effectivement isolé, de même que pour les autres prétendues maladies virales, et ses symptômes regroupent ceux d’affections déjà connues, notamment les grippaux. Voir notamment :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais (leur nombre dépasse maintenant les 120)
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur]

Tout récemment, l’OMS a même qualifié les réticences à la vaccination comme étant l’une des dix principales menaces sur la santé19. Si les médias et les nombreux lobbies scientifiques sont déjà sous contrôle des institutions et de l’industrie, le rôle de l’information sur les réseaux sociaux et dans les médias alternatifs sera sans doute un élément décisif dans cette bataille pour un libre choix.

Autre dérive qui s’inscrit dans la même logique de menace sanitaire : « Les maladies à prévention vaccinale sont considérées comme des fléaux majeurs ! » selon les textes de l’Union européenne20. En d’autres termes, peu importe la maladie et son degré de dangerosité ou de contagion. Il suffit qu’un vaccin soit développé pour que cela puisse justifier le fait de le promouvoir, et même de le rendre obligatoire. Au-delà d’une interrogation légitime sur ce qui s’apparente à une forme de racket, il est aussi nécessaire d’envisager cette politique de vaccination sous d’autres aspects.

Contrôle des citoyens

Par la mise en œuvre des carnets de santé électroniques, prévus par l’Union européenne, il y a un glissement manifeste qui s’opère de la surveillance des maladies, où il s’agit de détecter les foyers infectieux et d’y apporter une réponse sanitaire, à une surveillance accrue des citoyens. À partir de là, différentes dérives sont susceptibles de se produire. D’une part, les données récoltées pourraient être utilisées (« valorisées », c’est-à-dire commercialisées) ou exploitées d’une manière ou d’une autre (par les assurances notamment), sans le moindre consentement.

Le suivi des recommandations officielles pourrait-il conditionner l’accès à d’autres prestations ou leur remboursement ? Ne risquerait-on pas d’aboutir à une sorte de carnet de santé à points ?

D’autre part, Interpol (organisation internationale de police criminelle) participe au GHSA et gère un fichier centralisé qui permet de poursuivre les individus à travers différents États. On peut s’interroger sur son rôle éventuel dans le maintien des politiques vaccinales, si un individu Eugenics Building au Kansas Free Fair était qualifié de dangereux ou de déviant pour avoir refusé un vaccin. Sachant que l’OMS a déclaré que les « réticences à la vaccination sont une des principales menaces à la santé globale » et que l’Union européenne finance par ailleurs des programmes pour étudier le comportement et le profil psychologique des individus réticents à la vaccination, il y a de quoi s’inquiéter.

Mot tabou : eugénisme

Il ne s’agit pas ici de porter des accusations ni de spéculer sur les intentions des politiques actuelles, mais de fournir des éléments permettant de comprendre les enjeux de la vaccination dans un cadre élargi, afin de mettre en place une série de garde-fous. Ce sujet n’est jamais abordé de manière sérieuse, alors que l’on ne cesse d’évoquer les dangers des mouvements extrémistes tout en menant des politiques de plus en plus autoritaires. Trois questions se posent :

  • Y a-t-il eu des individus aux opi-nions nazies ou eugénistes parmi ceux qui ont conçu et financé le développement de vaccins ?
  • Y a-t-il des vaccins contraceptifs ou stérilisants ?
  • L’eugénisme a-t-il fait partie de programmes politiques ?

La réponse à ces trois questions est clairement oui.

Éliminer les faibles

Il est intéressant de se pencher sur l’exemple de la Fondation Rockefeller, qui joue un rôle crucial dans les politiques vaccinales depuis plus d’un siècle. L’institut de recherche de la fondation a été créé en 1901 sous la direction de William Welch, un scientifique dont une des priorités était la mise au point du premier vaccin contre la polio. Welch, comme nombre de ses collaborateurs, était un eugéniste notoire et siégeait au conseil d’administration de l’Eugenics Record Office21, un organisme qui avait entrepris de ficher des millions d’Américains afin d’identifier les lignées les plus faibles de la population et de les éliminer par différentes méthodes, incluant la stérilisation et l’euthanasie22. D’après les documents retracés dans l’ouvrage d’Edwin Black War Against the Weak : Eugenics and America’s Campaign to Create a Master Race (Guerre contre les faibles : l’eugénisme et la campagne américaine visant à créer une race de maîtres) (Expanded Edition, Dialog Press, 2012), les racines idéologiques et même les méthodes d’extermination nazies, y compris les chambres à gaz, furent empruntées aux eugénistes californiens. La Fondation Rockefeller aurait versé près de 100 millions de dollars à l’Eugenics Record Office, mais elle joua aussi un rôle capital dans le développement des instituts eugénistes en Allemagne, notamment le Keiser Wilhelm Institute. Elle y soutenait déjà les travaux de l’épouvantable Dr Mengele avant la guerre, ainsi que ceux de Rudin23. Rockefeller était le principal actionnaire de la Standard Oil avec la compagnie Allemande IG Farben24. La Standard Oil poursuivit son partenariat avec IG pendant la guerre et facilita le déploiement militaire allemand. IG Farben est la compagnie qui fit construire des camps de travail à Auschwitz et participa aux expérimentations humaines dans les camps de concentration, dont certaines portaient d’ailleurs sur le développement de vaccins en infectant des prisonniers avec le typhus et d’autres maladies25. C’est aussi IG Farben qui fabriquait le gaz zyklon B utilisé pour les chambres à gaz.

Contrôle démographique

Malheureusement, la guerre n’a pas mis fin aux politiques eugénistes et la Fondation Rockefeller a continué de les soutenir via les programmes menés sur le plan national et international. Aux États-Unis, les programmes de stérilisation ont eu lieu jusque dans les années 1950 ou même 1970 (en Caroline du Nord)26 et ce n’est que récemment que des programmes d’indemnisation des victimes ont été approuvés27. De nombreux présidents américains ont partagé ces mêmes conceptions et objectifs politiques. En 1913, dans une lettre à Charles Davenport, un des leaders du mouvement eugéniste, Theodore Roosevelt estime « que la société ne peut pas permettre aux dégénérés de se reproduire28 ». Entre la Deuxième Guerre mondiale et la fin des années 1980, plusieurs générations de la famille Bush sont aussi étroitement impliquées dans les politiques eugénistes en lien avec la Fondation Rockefeller29. En 1974, Kissinger adresse un rapport secret au Conseil national de sécurité américain dans lequel il définit les grandes lignes d’un agenda de contrôle mondial de la population, dont la mise en œuvre est notamment prévue par des programmes internationaux comme l’USAID30.

C’est principalement sous l’impulsion du Britannique Julian Huxley, ancien directeur général de l’Unesco et fervent défenseur de l’eugénisme avec son frère Aldous, auteur du Meilleur des mondes, que le contrôle de la population a été intégré de manière systématique dans un agenda mondial31.

Bien que farouchement opposé au nazisme (car il contestait la sélection à partir de la race), Huxley était toutefois profondément influencé par les théories évolutionnistes et prônait une philosophie sociale enracinée dans la biologie… En résumé, éliminer les plus faibles, pour favoriser les plus forts. Julian Huxley s’est appliqué à inscrire le contrôle des populations dans les programmes de l’UNESCO, de la FAO et de l’OMS, instituant le Conseil de la population et veillant à associer de manière systématique les politiques de contrôle démographique aux aides apportées aux pays en voie de développement (dont la principale demeure la vaccination).

Deux en un !

Le projet de développer des vaccins stérilisants a été lancé par l’OMS en 197232 en collaboration avec le FNUP (Fonds des Nations unies pour la population), le PNUD (Programme des Nations unies pour le développement), la Banque mondiale et leurs partenaires privilégiés (Rockefeller, Planned Parenthood, UNAIDS, etc.) dans le cadre du « Expanded Program of Research, Development, and Research Training in Human Reproduction33 » (« Programme élargi de recherche, de développement et de formation sur la reproduction humaine »). Il impliquait 650 chercheurs dans plus de 60 pays et différentes méthodes parmi lesquelles l’avortement, la stérilisation et les vaccins contraceptifs.

En 199334, un premier vaccin efficace est mis au point en combinant la toxine du tétanos avec une hormone de grossesse (hCG). Ce vaccin a donc des propriétés abortives chez les femmes enceintes et inhibe la grossesse chez les femmes non fécondées pour une période allant de six mois à un an. Essentiellement destinés aux pays en voie de développement, ces vaccins étaient censés être proposés comme contraceptif à des femmes qui en font la demande « en toute connaissance de cause », mais qu’en est-il dans la pratique ?

Libre consentement bafoué

Aujourd’hui, de nouveaux produits sont apparus et le terme de vaccin contraceptif ou anti-grossesse est abandonné au profit des noms plus neutres de produits ou de leurs composants35. Par exemple, le DMPA, ou Depo-Provera, contraceptif injectable qui est largement promu par la fondation Bill et Melinda Gates dans le cadre du plan de planning familial FP2020, une campagne amorcée avec le gouvernement britannique et qui cible particulièrement les pauvres, notamment en Inde (Mission Parivar Vikas). Ce produit a pourtant reçu une mention « black box36 » aux États-Unis, car il est associé à une augmentation des cancers du sein, de l’ostéoporose et d’un retour à la fertilité difficile après arrêt du traitement. Selon la porte-parole de l’ONG Centre for Health and Social Justice dans un article paru dans la presse indienne en 201737, le libre consentement éclairé affiché de cette campagne est une farce. On attire des femmes illettrées en leur donnant cent roupies sans leur parler des risques, alors qu’il existe sans doute d’autres moyens contraceptifs plus sûrs et plus appropriés à leur besoin.

En Inde, la plupart des médecins ont encore une approche très malthusienne de la santé et la société est toujours imprégnée du système de castes et de divisions ethniques. Aussi, quand le gouvernement a introduit les campagnes de contraceptifs injectables, de nombreuses associations s’y sont opposées, afin de se prémunir contre d’éventuelles dérives eugénistes. Par ailleurs, comme le précisent ces associations, promouvoir de telles options, sans même prendre en considération la santé globale et le bien-être de la femme, résulte tout simplement d’une forme de contrôle et de privation de liberté des femmes.

En ayant cela à l’esprit, s’interroger sur les campagnes de vaccination menées par les puissants de la planète et les organisations internationales qu’ils dirigent tient d’un devoir de précaution légitime. Les faits qui se sont déroulés il y a quelques années au Kenya en sont bien la preuve.

Tétanos à l’hormone de grossesse

En novembre 2014, l’Église catholique du Kenya a sonné l’alarme après avoir constaté une importante augmentation de fausses couches et de problèmes de fertilité. Des médecins kényans avaient fait analyser dans quatre laboratoires du pays des échantillons du vaccin antitétanique distribué par l’OMS. Près de la moitié des lots semblaient contenir des hormones de grossesse. L’association des médecins catholiques a accusé l’OMS de procéder à un programme de dépopulation. Le fait que le calendrier vaccinal proposé ait différé du calendrier habituel recommandé pour le tétanos indique qu’il s’agit là soit d’une grave négligence, soit d’un acte intentionnel38.

Si l’OMS a bien rédigé une réponse indignée devant des accusations aussi lourdes, elle s’est contentée de discréditer la fiabilité des laboratoires ayant procédé aux analyses.

Contraceptif télécommandé

Les récentes plaintes pour faits de sexisme et de discrimination raciale systématique au siège même de l’OMS viennent ternir un peu plus les images d’humanité et de bienfaisance véhiculées dans les campagnes de communication de l’organisation.

Pas de quoi renforcer la confiance dans l’OMS, ni en Bill Gates, qui en est le principal financier et pour qui le contrôle de la population sous toutes ses formes semble être une obsession majeure, comme en témoigne une conférence Tedx 201039, alimentant depuis longtemps les doutes quant à ses véritables intentions. S’il n’affiche pas d’opinion raciste ou ouvertement eugéniste, il faut noter que ses parents étaient parmi les dirigeants de « Planned Parenthood », organisation qu’il gère encore actuellement et dont l’activité principale consiste à pratiquer l’avortement. Or, à l’origine, cette association plaidait ouvertement pour une stérilisation forcée des « moins désirables », minorités pauvres (en particulier Afro-Américains), handicapés physiques et mentaux ou même épileptiques40.

La fondation Gates finance en tout cas de nombreuses recherches sur la contraception, notamment un contraceptif télécommandé via une microcapsule qui libère des hormones durant près de seize ans, mais qui peut être désactivée par un signal envoyé par un médecin… Plutôt stressant lorsque l’on apprend que la FDA a émis une mise en garde préalable sur le fait que ce type de dispositif est susceptible d’être piraté41 !

Il est aussi effrayant de voir à quel point toutes ces « avancées » impliquent un assujettissement accru au corps médical.

Stérilité et vaccin anti-HPV

Élaborés avec l’aide du gouvernement américain 42, les vaccins contre le papillomavirus Gardasil et Cervarix ont été accusés de provoquer des troubles du fonctionnement ovarien43, des problèmes de ménopause précoce et des cas de cancer du col. L’utilisation de polysorbate 8044 et de borate45 pourrait en être la cause. Ces deux produits ont une action toxique sur le système reproductif et peuvent provoquer une dégénérescence des organes sexuels, la diminution du sperme et de l’ovulation ainsi que des malformations fœtales. Une étude récente de Gayle DeLong a noté que, dans une population de 8 millions de femmes entre 25 et 29 ans, celles vaccinées avec l’anti-HPV avaient presque deux fois moins de grossesses46. Pour l’instant, il n’y a, comme souvent, pas assez de données permettant de confirmer ou de réfuter un lien de causalité entre l’infertilité et le vaccin.

Drones, satellites et colliers à puce

Big Data et les nouvelles technologies sont en tout cas au rendez-vous de l’agenda vaccinal, et les organisations internationales investissent dans ces outils pour assurer leur mission. Dans une interview de novembre 201747, Seth Berkley, le directeur de l’Alliance globale pour la vaccination et l’immunisation, précise ses ambitions :

« Des millions d’enfants n’ont pas de papiers d’identité, encore moins de carnet de santé, mais l’un des objectifs du programme de développement durable des Nations unies est que chaque être humain soit enregistré sous une identité légale d’ici à 2030. Cela peut se faire en déployant un ensemble de technologies numériques et c’est un objectif qui se combine parfaitement avec la vaccination.

Par exemple, à l’aide du Big Data, l’on peut anticiper la localisation et le déploiement de futures épidémies et y répondre par une campagne de vaccination. On peut aussi utiliser les techniques de localisation géospatiales et les caméras de surveillance par drone pour repérer des ethnies qui n’ont pas encore été vaccinées, comme cela se fait au Nigeria. »

L’utilisation régulière de drones pour le transport de vaccins commence aussi à se répandre, notamment au Rwanda ou dans l’archipel de Vanuatu48. Enfin, il explique qu’au Rajasthan en Inde, GAVI, l’Alliance du vaccin travaille avec une compagnie nommée Khushi Babies qui a développé un carnet de vaccination sous forme de collier à puce électronique. Ce collier peut être scanné et mis à jour avec un téléphone portable par les équipes de vaccination, afin d’avoir une information fiable. Toujours selon Berkley, tout cela devrait permettre de devenir plus ambitieux et de viser une couverture vaccinale de 100 % des vaccins recommandés pour tous les enfants par l’OMS.

Face à un tel déploiement de moyens, il convient de s’interroger. Bien entendu, il ne s’agit pas de mettre en cause le développement de la recherche ou de la technologie. Des thérapies génétiques pourraient un jour renverser un pronostic mortel, et un médicament délivré en urgence par drone sauver une vie. Mais les meilleures intentions peuvent aussi avoir les pires conséquences. Plus que jamais, il convient de rester vigilant. Ces questions doivent impérativement être évaluées sur un plan éthique, car elles peuvent entraîner une forme d’assujettissement de la personne et un risque de privation de liberté peu acceptables.

[Note de Joseph : les thérapies géniques ont largement démontré leur nocivité et leur incapacité à réellement améliorer la santé humaine, notamment par les récents pseudo vaccins anti-Covid.
Voir :
La thérapie génique ou le modèle machine de la biologie, la négation du mystère, le réductionnisme biologique et le scientifique qui a tenté de nous mettre en garde
Sauvons les enfants des injections géniques
Pseudovaccination en Grande-Bretagne, bilan au 5 février 2022 : les injections géniques ne protègent ni des formes graves ni de la mortalité
Injection génique chez les enfants : aberration inutile et dangereuse. MàJ
Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts
Note sur les fake news relatives aux chiffres concernant les effets secondaires des thérapies géniques chez les enfants de 0 à 17 ans
Dernier mensonge médiatique à dénoncer : les pseudo vaccins actuels qui protègeraient des formes graves de Covid-19]

Vaccins et injections transhumantes

Pour voir encore plus loin la portée des enjeux d’une politique de vaccination obligatoire et massive, il faut s’intéresser au développement de nouvelles technologies dans le domaine des vaccins et des injections. L’immunoprophylaxie par transfert génétique pourrait se présenter comme l’avenir du vaccin, mais aussi inaugurer la voie du transhumanisme. Il s’agit d’appliquer le principe des OGM à l’être humain. Ici, l’on n’injecte plus un antigène (par exemple le virus atténué de la rougeole) pour susciter une réponse sous forme d’anticorps, mais un nouveau matériel génétique synthétique véhiculé par un vecteur (un virus qui circule rapidement), encodant des protéines résistantes à diverses maladies. Cette nouvelle approche, que l’on nomme aussi plus discrètement immunoprophylaxie vectorielle49, court-circuite le fonctionnement traditionnel du système immunitaire et modifie le profil génétique de l’individu vacciné. Les recherches actuelles visent à l’utiliser pour des vaccins contre la malaria, la dengue, l’hépatite C, le VIH et… la grippe.

On imagine facilement que ces nouveaux produits pourraient venir à point nommé remplacer les vaccins classiques trop critiqués en raison de la toxicité de leurs adjuvants. Mais d’autres risques se profilent… celui de la mutagenèse (ou la modification non prévue du patrimoine génétique propre). De même, que penser de la tolérance et des effets à long terme d’une technologie dont on ignore tout ? Enfin, cela met à disposition de ceux qui contrôlent la production et la diffusion des vaccins un moyen de modification constant de la génétique de différents groupes d’êtres humains.

Il est temps de comprendre que les enjeux des politiques vaccinales vont bien au-delà du risque d’éventuelles complications de la grippe ou de la rougeole. Une politique d’obligations et de surveillance à l’échelle mondiale, associée à une concentration de pouvoirs anormale, menée sans transparence ni contrôle indépendant, avec des mesures de censure et, in fine, la possibilité d’expérimenter des programmes eugénistes et transhumanistes est une situation hautement alarmante. Un débat ouvert sur la démographie, la contraception ou les modifications génétiques doit pouvoir avoir lieu, mais le plus urgent est de sauvegarder nos libertés et nos droits fondamentaux.

Senta Depuydt

Références

Note : seuls quelques liens sont fonctionnels…

  1. https://www.lanacion.com.ar/2202208-para-renovar-dni-pasaporte-registro-habra-presentar
  2. https://loveartnotpeople.org/2018/12/20/mi-resena-de-como-la-verdadera-vio-lacion-no-fue-la-de-juan-darthes-sino-la-del- estado-entongado-con-dios-sabe-quien-forzandonos-a-darnos-todas-las-vacunas-contra-nuestra-voluntad/
  3. https://redbioetica.com.ar/glaxosmithkline-sigue-pagando-multas/
  4. http://www.g20.utoronto.ca/2018/2018-10-04-health.html
  5. https://www.worldbank.org/en/news/press- release/2018/09/10/global-prepa-redness-monitoring-board- convenes-for-the-first-time-in-geneva ; https:// www.who.int/ news-room/detail/24-05-2018-who-and-world-bank-group-join-forces-to-strengthen-global-health-security
  6. https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/14152_2018_en.pdf
  7. Commission Communication on Tackling Online Disinformation: a European Approach, COM(2018) 236. Communication de la commission intitulée « Lutter contre la désinformation en ligne : une approche européenne », COM(2018) 236 final.
  8. https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/14152_2018_en.pdf
  9. http://freedomeurope.net/en/riksdagen-rostade-nej-till-lagar-om-obligatorisk-vaccinering/
  10. https://www.ageofautism.com/2018/07/are-the-murdochs-dictating-vaccina-tion-policy-in-australia-in-the-best-interests-of-glaxosmithkline.html
  11. Propos entendus lors de la réunion « Active Citizens for vaccination in Eu-rope » du 7 novembre 2018 au Parlement européen et article
    https://www.euractiv.fr/section/sante-modes-%20de-vie/news/no-freedom-of-choice-in-vaccination-top-eu-health-official-insists/
  12. https://supreme.justia.com/cases/federal/us/197/11/ et https://childrenshealthdefense.org/news/vaccine-mandates-results-dont-safeguard-chil-drens-rights-or-health-how-did-we-get-here/
  13. http://www.avocat-bergel.com/wp-content/uploads/2017/06/VACCINS-let-tre-à-la-Ministre-exécution-2.pdf
  14. Depuydt Senta, « Autisme, vaccin et politique, tout sur un sale business », NEXUS n° 109 (mars-avril 2017).
  15. Depuydt Senta, « Rougeole, faut-il craindre de nouvelles épidémies ? », NEXUS n° 117 (juillet-août 2018) ;
    Depuydt Senta, « Autisme, vaccin et politi-que, tout sur un sale business », NEXUS n° 109 (mars-avril 2017) ;
    Aveux enre-gistrés dans le documentaire Vaxxed :
    www.vaxxedthemovie.com/fr ;
    Déclara-tion officielle de William Thompson suite au documentaire :
    https://www.rescuepost.com/files/william-thompson-statement-27-august-2014-3.pdf
  16. Ce dogme est pourtant contredit par la réalité épidémiologique : le vaccin n’offre qu’une protection temporaire, ne fonctionne pas dans 10 % des cas et n’agit que sur certaines souches, ce qui explique que la rougeole affecte aussi les personnes vaccinées. Malheureusement, même si des experts réputés tels que le professeur Didier Raoult ou l’épidémiologiste Bernard Guennebaud n’hési-tent pas à la qualifier de « fantascience », cette notion fait passer la vaccination de masse pour un acte éthique et scientifique (cf. Depuydt Senta, « Rougeole, faut-il craindre de nouvelles épidémies ? », NEXUS n° 117, juillet-août 2018). Interview par Prévention Santé du professeur Didier Raoult : « Vaccins, Science et Vérité » :
    https:// www.youtube.com/watch?v=gssKVHpKBwk&t=773s
  17. https://www.who.int/emergencies/ten-threats-to-global-health-in-2019
  18. https://www.who.int/blueprint/priority-diseases/en/ ;
    https://www.sciencesetavenir.fr/sante/l-oms-estime-que-la-maladie-x-pourrait-etre-la-prochaine-menace-mondiale_121999
  19. https://www.newsweek.com/world-health-organization-who-un- global-health-air-pollution-anti-vaxxers-1292493
  20. https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/ ;
    http://data.consilium.europa.eu/doc/document/ST-8679-2018-INIT/en/pdf
  21. https://www.dnalc.org/view/10950-Eugenics-Record-Office-board-of-scien-tific-directors-and-functions.html
  22. https://vactruth.com/2010/08/18/rockefeller-vaccine-secret-revealed/ ;
    http://ahrp.org/eugenics-the- california-connection-to-nazi-policies/ et
    https://www.sfgate.com/opinion/article/Eugenics-and-the-Nazis-the-California-2549771.php
  23. Black E., « The horrifying American roots of Nazi Eugenics », History News Network, Columbian College of Arts and Science, G. Washington University, sept. 2003 :
    http://historynewsnetwork.org/article/1796
  24. https://www.legrandsoir.info/rockefeller-un-symbole-de-l-emprise-des-lob-bies-sur-les-politiques-de-sante-publique.html ;
    http://theamericanchronicle.blogspot.com/2012/02/treason-of-standard-oil-exxon-during.html ; http://www.gabyweber.com/dwnld/artikel/eichmann/ingles/se-cret_pact_standard_oil.pdf
  25. Weindling P. « Consent, Care and Commemoration: the Nuremberg Medical Trial and Its Legacies for Victims of Human Experiment », p. 29-33, dans Si-lence, Scapegoats, Self-Refelection: the Shadow of Nazi Medical Crimes on Medicine and Bioethics, Roekcle V, V&R. Unipress, 2014 ;
    http://www.operationpaperclip.info/kurt-blome.php
  26. https://files.nc.gov/ncdoa/JSV/JS-brochure.pdf
  27. https://leginfo.legislature.ca.gov/faces/billTextClient.xhtml
  28. https://www.dnalc.org/view/11219-T-Roosevelt-letter-to-C-Davenport-about-degenerates-reproducing-.html
  29. Tarplay W. et Chaitkin A., « The Bush family Ties to Eugenics and Race Hygiene », Press for Conversion !, issue 54, 2004 et « Race Hygiene: Three Bush Family Alliances » (chapitre 3), in George Bush: The Unauthorized Bio-graphy, 1991 :
    http://coat.ncf.ca/our_magazine/ links/54/54_26-34.pdf
  30. https://www.hli.org/resources/exposing-the-global-population-control/ ; https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/Pcaab500.pdf
  31. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4366572 ;
    https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/extraits-d-ouvrages/article/la-face-cachee-d-al-dous-huxley-183372
  32. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1874951
  33. https://royalsocietypublishing.org/doi/10.1098/rspb.1976.0103
  34. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8439385
  35. Gupta Satish Kumar, Shrestha Abhinav & Minhas Vidisha (2014), « Milesto-nes in contraceptive vaccines development and hurdles in their application », Human Vaccines & Immunotherapeutics, 10:4, 911-925, DOI: 10.4161/ hv.27202.
  36. https://www.accessdata.fda.gov/drugsatfda_docs/label/2010/ 020246s036lbl.pdf
  37. https://fit.thequint.com/her-health/risks-in-contraception-and-pregnancies-in-india-2
  38. Oller J. W., Shaw C. A., Tomljenovic L., Karanja S. K., Ngare W., Clement F. M. and Pillette J. R. (2017), « HCG Found in WHO Tetanus Vaccine in Ke-nya Raises Concern in the Developing World », Open Access Library Journal, 4: e3937 :
    https://doi.org/10.4236/oalib.1103937 ;
    https://africa24.info/2018/03/21/un-ancien-premier-ministre-programme-cible-de-sterilisation-de-masse/
  39. https://www.ted.com/talks/bill_gates/transcript?language=fr
  40. https://www.americamagazine.org/politics-society/2017/11/27/margaret-san-ger-was-eugenicist-why-are-we-still-celebrating-her
  41. https://www.theverge.com/2014/7/7/5876837/the-gates-foundation-is-deve-loping-a-remote-control-contraceptive
  42. https://www.ageofautism.com/2016/07/gardasil-a-license-to-kill-what-has-changed-since-this-report-in-2010.html
  43. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26125978
  44. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8473002
  45. http://www.sordalab.com/RESSOURCES/documents/FR/141644.pdf
  46. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29889622
  47. S. Berkley, « Immunization needs a technology boost », Nature 273, 16 no-vembre 2017, vol. 551.
  48. https://www.vaccinestoday.eu/stories/adult-vaccination-can-technology-help-improve-access-and-uptake/
  49. https://tdtmvjournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/ s40794-017-0046-0

◆ Un retour trois ans plus tard, en 2022

Senta Depuydt revient dans un entretien au micro de Nexus sur les raisons de ce succès, les enjeux et les contours de l’idéologie vaccinale mondiale, les grandes institutions impliquées dans l’agenda vaccinal, le lien avec la crise Covid et les solutions qui s’offrent aux citoyens.

Interview intitulée « Covid-19 & Vaccination mondiale, retour sur la “prophétie Nexus” avec Senta Depuydt »(([1] https://odysee.com/@MagazineNexus:b/LaProphetieNexus:5 ))




Ma femme a du crédit

[Extraits de : crashdebug.fr]

Par folamour

Documentaire de LCP sur le système de crédit social chinois. Le fait est que nous avons des informations sur la structure, le système goblablement, mais pas beaucoup d’autres infos.

Sébastien Le Belzic et sa femme chinoise Lulu témoignent d’une partie de leur vie en Chine.

Le crédit social chinois vient de l’étude de la législation américaine sur les crédits.

Vous allez le voir ‘in-vivo’ en action, et c’est glaçant. Le système a été mis en partie en place lors des JO de Pékin en 2008. Il devrait être finalisé rapidement. Or on sait les souhaits de notre gouvernement [de France] et de Thalès, et des autres acteurs du secteur…, de faire de notre pays une ‘vitrine technologique’ (destinée à la vente), de nos capacités de surveillance pour les JO de 2024.

On sait aussi que le noyau dur de leur carte d’identité numérique européenne sera le dossier numérique de santé, aussi vous avez jusqu’à la fin du mois pour le désactiver.

Ce documentaire est un peu comme une bouteille à la mer avant le désastre.

Le motif « sécuritaire » et terroriste en France est en partie bidon puisque le gouvernement fricotte avec des groupes terroristes depuis 1982.

De plus…, à partir de votre score, ils pourront vous refuser des assurances ou des crédits, voire de voyager, et n’oubliez pas qu’à partir de cela, ils pourront faire comme dans minority report, de la « justice prédictive…« .

Bref, c’est l’enfer sur Terre du traçage et de l’évaluation permanente, une société des « citoyens sains avec des corps sains », et des « devoirs avant les droits » comme appelé des vœux de notre président, bref une « énorme prison » à ciel ouvert, où vous ne pouvez pas vous cacher, grâce à la monnaie digitale et au mariage de la High-tech et du capitalisme, sur fond de vieux rèves d’eugénisme nazis (il faut le rappeler quand même), ceci avec l’accord de ce qui nous sert gouvernement ‘officiel’ bien sûr.

Et vu les forces en présence, et les intérêts gouvernementaux et financiers, peu d’espoir d’une prise de conscience salvatrice qui nous permettrait communément d’éviter ce piège du « crédit social », en le refusant massivement.

Pour cela il faudrait que les gens soient informés, aussi si le cœur vous en dit, partagez ce documentaire sur vos réseaux sociaux, et désactivez votre « espace santé« , noyau dur du dispostif européen.



Une société entièrement placée sous surveillance. Des caméras dans les rues, une pour deux habitants. Des applications sur le téléphone portable qui vous tracent à chacun de vos déplacements et enregistrent tout de vos habitudes de consommation. Voilà le quotidien de Lulu et de ses compatriotes, confrontés à cette technologie qui juge leurs vies chaque jour, chaque heure, chaque seconde. Lulu est la femme de Sébastien Le Belzic. Journaliste installé à Pékin depuis 2007, il a décidé de filmer son quotidien pour comprendre en quoi cette révolution technologique et sociale impacte la vie de son épouse.




Biden et le Hirak frelaté de Montréal

Par Ahmed Bensaada

Alors qu’il était président de la commission des Affaires étrangères du Sénat, Joe Biden (démocrate) avait activement collaboré avec l’administration Bush fils (républicain) et joué un rôle majeur dans le déclanchement de la guerre contre l’Irak. À cette même période, il a aussi été très proche de la National Endowment for Democracy (NED) comme l’indique sa participation à la cérémonie de remise des « Prix de la démocratie » annuellement octroyés par cet organisme de promotion de la démocratie « Made in USA ». Sur le site de la NED, on peut lire le communiqué suivant :

« Lors d’une cérémonie au Capitole le 9 juillet 2002, la Première Dame Laura Bush a remis le prix annuel de la démocratie du NED à quatre militantes exceptionnelles du monde musulman. Rejointe par le président du CA de la NED, Vin Weber, la sous-secrétaire d’État aux affaires internationales, Paula Dobriansky, et les sénateurs Joseph Biden et Bill Frist, Mme Bush a rendu hommage au travail courageux de ces femmes pour promouvoir la démocratie, les droits de l’homme et la croissance de la société civile dans leur pays respectifs ».

Il faut peut-être rappeler que la NED fait partie d’un important dispositif américain spécialement conçu pour l’ « exportation » de la démocratie au service du Département d’État et de la politique étrangère des États-Unis. En plus de la NED, qui a été créée pour remplacer la CIA dans certaines de ses « missions »,  les acteurs les plus connus dans ce domaine sont l’United States Agency for International Development (USAID), l’International Republican Institute (IRI), le National Democratic Institute for International Affairs (NDI), Freedom House (FH) et l’Open Society Foundation (OSF). Ces organismes sont tous financés par le budget américain ou par des capitaux privés américains et leur rôle de premier plan dans la fomentation des révolutions « colorées » et du « printemps » arabe a été clairement établi.

Après cette nécessaire parenthèse, revenons au communiqué de la NED. Mais qui étaient donc ces quatre lauréates dont on précisait la « musulmanité » de leurs pays? Leurs noms étaient listés dans le texte :

Nadjet Bouda Algérie
Mehrangiz Kar Iran
Mariam Hussein Mohamed Somalie
Muborak Tashpoulatova Ouzbékistan

Et voici la photo officielle de la NED immortalisant l’évènement :

Photo souvenir de l’édition 2002 de la cérémonie de remise des « Prix de la démocratie » de la NED
(Washington, le 9 juillet 2002).
Notes : Carl Gershman a été président de la NED pendant 37 ans(!). Il a récemment pris sa retraite.Vin Weber a occupé le poste de président du CA de la NED de 2001 à 2009.Paula Dobriansky a été sous-secrétaire d’État à la démocratie et aux affaires internationales (2001-2009) sous George W. Bush, membre du CA de Freedom House et membre fondatrice du Project for the New American Century (PNAC), think tank néoconservateur qui a eu une influence considérable sur l’administration Bush fils.

Joe Biden et Bill Frist n’apparaissent pas dans cette photo, mais ils étaient présents à la cérémonie comme le confirme l’article du Los Angeles Times dans lequel on peut lire les déclarations de l’actuel président des États-Unis :

« Je pense que [National Endowment for Democracy] a fait plus pour promouvoir la démocratie dans le monde que toute autre organisation. Vous savez que nous [au Congrès] débattons et votons, et nous prenons des positions controversées. Si nous perdons, nous sommes vaincus et nous touchons une pension. Si vous perdez, vous vous faites tirer dessus. Si vous perdez, vous êtes emprisonné. C’est le véritable test, le véritable test authentique d’un engagement envers la démocratie »

Un bel avenir promis par un faucon pour des dames, certaines dans la fleur de l’âge, qu’on pousse à concocter des « regime change » dans leurs propres pays!

Nadjet Bouda recevant le « Prix de la démocratie » des mains de Laura Bush, la Première dame des États-Unis
(Washington, le 9 juillet 2002).

En fouillant un peu plus dans les archives de la NED, on obtient les biographies des récipiendaires. Voici ce qui est écrit dans le paragraphe consacré à Nadjet Bouda:

« Nadjet Bouda, à 23 ans, est déjà une militante des droits de l’homme bien connue. Elle travaille actuellement avec « SOS Disparus », une organisation qui défend les intérêts des centaines d’Algériens qui ont « disparu » à cause de la guerre civile en cours en Algérie. À l’âge de 16 ans, Mme Bouda a rejoint « Rassemblement Actions Jeunesse » (RAJ), une ONG qui développe et met en œuvre des programmes d’éducation civique et de sensibilisation aux droits humains avec et pour la jeunesse algérienne ; à l’âge de 20 ans, elle était présidente et porte-parole de l’organisation. Son activisme reflète l’importance de la jeunesse dans l’effort de diffusion des valeurs démocratiques dans le monde musulman ».

On apprend donc que la lauréate algérienne, Nadjet Bouda, a été une activiste au sein du RAJ et de « SOS Disparus », deux ONG algériennes très largement financées par la NED (pour plus de détails consulter les  articles suivants: article 1article 2article 3).

Ces deux organismes ont été impliqués en 2011 dans la « Coordination nationale pour le changement et la démocratie » (CNCD), une coalition créée dans le sillage du « printemps » arabe mais qui a rapidement périclité. Ils font aussi partie des groupes qui ont surfé sur le Hirak algérien pour le mener à une impasse dangereuse et néfaste pour la souveraineté et l’intégrité de l’Algérie. Le RAJ a été interdit à cause de ses activités illégales, mais « SOS Disparus » continue (avec d’autres entités du Hirak frelaté) son travail de sape envers l’État-nation algérien. À la voie constitutionnelle sagement choisie en Algérie, ces activistes opposent un dégagisme qui aurait mené le pays vers un inévitable chaos.

Sur son profil LinkedIn, Nadjet Bouda donne des précisions :

  • Octobre 1994 – janvier 2000 : Membre, ensuite présidente et Porte-parole par intérim du RAJ
  • Novembre 2001 – juin 2002 : Assistante de direction de « SOS Disparus »

Et ce n’est pas tout car le CV de Mme Bouda est diversifié. On y apprend aussi qu’elle a travaillé pour le NDI de 2002 à 2005 (en Algérie) et pour Amnesty International de 2005 à 2008 (au Royaume- Uni).

Le NDI est un des quatre satellites de la NED. Il a pour présidente du conseil d’administration nulle autre que Madeleine Albright, l’ancienne secrétaire d’État dans l’administration de Bill Clinton. Albright s’était rendu célèbre par sa fameuse déclaration sur les enfants irakiens : en sacrifier 500 000 est un prix qui « en valait la peine » avait-elle déclaré dans une interview.

De son côté, Amnesty International est un organisme qui est financé par l’Open Society Foundation de G. Soros et on se rappellera qu’il faisait partie de ce groupe d’entités droitdelhommistes qui étaient derrière la résolution du Parlement européen contre l’Algérie, juste quelques jours avant le référendum sur la nouvelle constitution.

Mme Bouda travaille actuellement comme « Chargée de programme principale, Afrique du Nord et Moyen-Orient » au sein d’Equitas, une organisation canadienne d’éducation au droits humains, anciennement connue sous le nom de « Fondation canadienne des droits de la personne ».

Comme bon nombre d’organismes droitdelhommistes, Equitas est financé par une myriade d’organismes nationaux et internationaux dont, évidemment, la NED. Tiens, tiens…NED un jour, NED pour toujours!

Cette activiste algérienne a été très impliquée dans le Hirak frelaté de Montréal. De nombreuses vidéos publiées sur les réseaux sociaux montrent qu’elle a participé aux manifestations qui se sont déroulées à Montréal et, régulièrement (pendant plusieurs années!), en face du consulat général de l’Algérie à Montréal.

La vidéo ci-dessous, par exemple, est filmée en face du consulat, le 12 décembre 2019.

Nadjet Bouda haranguant la foule devant le consulat général d’Algérie à Montréal
(12 décembre 2019)
Cliquez sur l’image pour visionner la vidéo

Sa prise de parole devant la foule le 12 décembre 2019, c’est-à-dire le jour même de l’élection présidentielle algérienne, montre qu’elle faisait partie des personnes qui ont intimidé les citoyens algériens ayant décidé de se présenter au bureau de scrutin du consulat pour exercer leur droit de vote. On peut d’ailleurs l’entendre haranguer la foule tout en dévalorisant l’élection présidentielle et scandant à tue-tête des « Yetnahaw gaâ » (ils doivent tous partir).

Comme je l’ai écrit à l’époque dans un article : « Empêcher de voter, est-ce un acte démocratique? ». Cette question est d’autant plus cruciale sachant que Mme Bouda vit dans un pays où les élections sont un moment solennel de la vie politique.

Nadjet Bouda a continué de surfer sur le Hirak en utilisant le cyberespace. Elle a coanimé une émission diffusée sur le Web à partir de Montréal à laquelle le « célébrissime » Lahouari Addi était convié.

Lahouari Addi interviewé par Nadjet Bouda et Mouloud Idir 
(3 juin 2020)
Cliquez sur l’image pour visionner la vidéo

Déjà, le générique donnait un avant-goût de la discussion. En effet, dans un étrange lexique déroulant inséré au début de la vidéo, on pouvait lire :

« Abdelmadjid Tebboune : Président de la République algérienne démocratique et populaire depuis le 19 décembre 2019, figure imposée par les généraux de façon frauduleuse ».

L’orientation de la discussion était clairement fixée.

Mais ce n’est pas la qualité de l’entretien, médiocre et insipide, qui retient l’attention (il n’y a qu’à voir le nombre de vues et de commentaires), mais c’est plutôt le dénominateur commun entre Addi et Bouda.

J’ai expliqué dans mon livre « Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak algérien? » que Lahouari Addi a été membre de l’ « International Forum for Democratic Studies Research Council », le think tank de la NED et ce, de 1997 à 2008, soit pendant douze années consécutives. Et même avant d’en être membre officiel, Addi avait participé à des réunions organisées par ce forum dont la mission est clairement formulée :

« L’International Forum for Democratic Studies de la National Endowment for Democracy (NED) est un important centre d’analyse et de discussion sur la théorie et la pratique de la démocratie dans le monde. Le Forum complète la mission principale de la NED – aider les groupes de la société civile à l’étranger dans leurs efforts pour favoriser et renforcer la démocratie – en reliant la communauté universitaire avec des militants du monde entier. Par ses activités multiformes, le Forum répond aux défis auxquels sont confrontés les pays du monde entier en analysant les opportunités de transition démocratique, de réforme et de consolidation ».

On se rend compte, en comparant les dates, que lorsque Nadjet Bouda recevait son prix à Washington des mains de Mme Bush, Lahouari Addi était membre du think tank de la NED. Se seraient-ils par hasard rencontrés à cette occasion au Capitol Hill, pour « aider les groupes de la société civile à l’étranger dans leurs efforts pour favoriser et renforcer la démocratie »et discutailler sur le sort de l’Algérie?

Il est quand même étrange de voir, dans ce Hirak frelaté et dénaturé, autant de personnes ayant des accointances avec la « NED & Co. » se métamorphoser en leaders de la démocratie, de la liberté et des droits de l’homme!

Nadjet Bouda, la « ténore autoproclamée » de Montréal pourra certes se vanter d’avoir rencontré le président Joe Biden en chair et en os et approché de tellement si près Laura Bush, LA première dame des États-Unis. Tout comme Fodil Boumala et Barak Obama. Et tous les autres activistes du « printemps » arabe qui ont eu cru avoir ce « privilège ».

Hillary Clinton et Bassem Samir(Activiste égyptien)
Dalia Ziada et Bill Clinton(Activiste égyptienne)
Ammar Abdulhamid ( à gauche) et George W. Bush(Activiste syrien)
Hillary Clinton et Radwan Ziadeh(Activiste syrien)
Tawakkol Karman et Hillary Clinton(Activiste yéménite)
Bill Clinton et Tawakkol Karman(Activiste yéménite)
Laura Bush et Nadjet Bouda(Activiste algérienne)

Y voyez-vous une quelconque similitude?

Les activistes se sont-ils demandés, ne serait-ce qu’un instant, pourquoi ce « privilège » leur a été accordé?

La réponse? Égypte, Libye, Syrie, Yémen, …


Documents complémentaires

Déclaration de Nadjet Bouda concernant le boycott de l’élection présidentielle algérienne 2019
(Date: 12 décembre 2019)
La déclaration a été diffusée en direct par AlternaTV
Cliquez sur l’image pour visionner la vidéo

Veillée organisée devant le consulat d’Algérie à Montréal. Intervention de Nadjet Bouda 
(Date: 7 novembre 2019)
Évènement diffusé en direct par AlternaTV
Cliquez sur l’image pour visionner la vidéo

Pour plus d’information sur AlternaTV, cliquez sur le logo ci-dessous




Laurent Mucchielli décrit l’état du monde à partir de la crise Covid

[Source : AIMSIB]

J’ai également beaucoup apprécié le combat de Laurent Mucchielli et son livre en est le reflet que beaucoup auront intérêt à lire pour mieux comprendre ce qui s’est passé depuis deux ans
Merci à lui de son effort de synthèse dans son livre « la doxa du covid »

Nicole Delépine

Il fallait s’y attendre, quand un immense sociologue formé à l’histoire, de surcroît parfaitement imperméable aux pressions extérieures, décide de publier un ouvrage sur la crise de la Covid-19, les révélations et les mises en accusations pleuvent dru. Toutes y sont disséquées, démontrées, évidemment parfaitement sourcées. On plaint presque tous ceux qui apparaissent au fil du livre, car on comprend que quand la justice se penchera enfin sur leurs implications diverses et variées, leurs projets d’avenir s’en verront radicalement modifiés. (…)

Ins Montagnier

Vincent RELIQUET (V.R.) – Cher Laurent, il faut d’abord te présenter à notre public bien que probablement ce préalable ne soit plus d’une très grande utilité aujourd’hui. Tu es chercheur au CNRS depuis 1997, médaillé par lui, élevé au grade de directeur de recherche en 2006, tu as participé à la réalisation d’une foule énorme d’ouvrages et d’articles (*). Depuis le début de la crise sanitaire, tu as publié toute une enquête sur ton blog chez Mediapart mais hélas ta liberté de parole, qu’on aurait attendu comme plutôt encouragée sur ce type de site, t’a valu de découvrir la censure en août 2021, poussé par un collectif de « bien-pensants » qui souhaitait laisser toute la place au récitatif covid officiel. Tu leur as pardonné depuis ?

Laurent MUCCHIELLI (L.M.) – Non, j’estime que ce que fait Mediapart depuis le début de cette crise est impardonnable. Je peux évidemment comprendre toutes les personnes qui doutent et qui hésitent, ou encore celles qui ont suivi le discours officiel au début mais le regrettent aujourd’hui. J’en connais beaucoup, y compris dans mon entourage. Nous avons tous été victimes d’une propagande industrielle et politique massive. Mais je ne peux pas oublier celles et ceux qui ont joué un rôle aussi actif et nocif dans le débat public que Mediapart. La chasse à l’homme qu’ils ont décidé d’orchestrer (avec d’autres journalistes parisiens, au Monde, à Libération, à l’Express, à Marianne notamment) au détriment de Didier Raoult est une faute à la fois intellectuelle et morale car, derrière le personnage qui a évidemment ses qualités comme ses défauts, des questions majeures de stratégie sanitaire étaient en jeu. Questions qu’ils ont fortement contribué à rendre invisibles et incompréhensibles en concentrant l’attention sur une seule personne, déchaînant contre elle cette espèce de cancel culture qui a envahi les réseaux sociaux et où tous les coups sont permis dans le but de tuer symboliquement les personnes. Et ils ont fait le même coup à d’autres comme le Dr Louis Fouché. Loin d’aider à réfléchir collectivement et d’apporter du débat contradictoire, ils ont parfaitement servi la propagande industrielle et politique du moment. Ceci s’est illustré jusqu’à la caricature vis-à-vis des nouvelles thérapies géniques improprement appelées « vaccins ». Leur positionnement pro-vax (pour reprendre ces raccourcis ordinaires du débat public) est confondant de simplisme et de naïveté. Ils ont ainsi joué un rôle important dans le naufrage de la gauche politique durant cette crise. Pire encore, ils ont joué un rôle dans la dérive autoritariste d’un gouvernement qui n’a trouvé aucun contre-pouvoir capable de lui rappeler les limites à ne pas franchir.

Leur attitude à mon égard participe de cet ensemble. Pour faire court, en transformant mon blog en une sorte de mini-revue en ligne où j’ai publié près de 70 articles et 46 auteurs (universitaires et/ou médecins pour la plupart), je leur amenais une véritable contre-enquête, un véritable débat contradictoire et accessoirement des lecteurs. Ils auraient pu s’en réjouir, nous aurions même pu travailler en collaboration plus étroite. J’ai tenté à plusieurs reprises de dialoguer en écrivant à Edwy Plenel, à Fabrice Arfi ainsi qu’à la rédaction de la partie blog du journal. Je n’ai reçu en retour qu’un grand silence méprisant. Eux qui prétendent défendre la liberté d’expression, valoriser les lanceurs d’alerte et faire alliance avec les intellectuels critiques, ont pourtant fait exactement le contraire. Ils m’ont d’abord invisibilisé le plus possible sur leur propre site (via des procédés de shadow-banning), et finalement ils m’ont censuré à quatre reprises. Et pas simplement moi mais aussi les universitaires et les médecins que je publiais, nous traitant de complotistes et de propagateurs de « fake news », en chœur avec des lobbies liés aux industries pharmaceutiques, se réclamant de la « vraie science » et qui sont spécialisés dans le harcèlement en ligne, l’attaque ad hominem et la dénonciation calomnieuse. On a connu mieux que ce parti-pris superficiel digne d’une chaîne d’information en continu. Edwy Plenel se vante d’avoir sorti l’affaire Cahuzac, il devrait se souvenir que cette affaire était aussi celle de mallettes qui transitaient entre la Suisse et Paris, ayant pour origine un grand industriel de la pharmacie qui est devenu milliardaire grâce à la gestion calamiteuse de cette épidémie.

Se faisant, Mediapart s’est mis au même niveau que tous ces petits sites de prétendu « fact-checking » que l’on voit fleurir sur Internet et qui permettent à quelques influenceurs à la mode de propager leur médiocrité intellectuelle dans le débat public. Je pense à « Fact and furious » créé par un ancien militaire (Antoine Daoust) qui se fait manifestement un devoir de protéger le gouvernement contre toute critique de sa politique de santé. Je pense à « Conspiracy watch », dont le fondateur (Rudy Reichstadt) est un proche des milieux de pensée extrême-droitisant, dont on se souvient de la façon dont, après un sondage de l’IFOP, il se moquait des « pauvres gens » qui pouvaient penser que le virus avait pour origine un accident de laboratoire à Wuhan. Ce ridicule ne l’empêche pas d’être invité jusque sur les plateaux de télévision du service public, à la place des chercheurs qui ont de véritables compétences sur ce sujet. Je pense encore à « La Tronche en biais », alias Thomas Durand, un influenceur qui utilise YouTube et des outils de « co-financement » anonymes comme Tipeee pour faire commerce de la propagande, qui est aussi accueilli comme rédacteur par le magazine de l’Association Française pour l’Information Scientifique (AFIS), un lobby aux positions pro-OGM, pro-glyphosate, pro-big-pharma, pro-nucléaire et j’en passe, tout en se permettant de se proclamer « indépendant » (quelle farce !).

Alors oui, c’est bien un naufrage pour Mediapart, et cela m’attriste beaucoup car j’étais un soutien et un abonné de la première heure, qui donc s’en ira désormais proposer ailleurs son travail de chercheur désintéressé et d’intellectuel engagé.

V.R. – Quand on veut savoir « à qui on a affaire » aujourd’hui s’agissant d’un personnage public, c’est très simple : on regarde d’abord ce qui s’écrit d’officiel sur le web et en général on est vite renseigné sur la façon dont l’establishment le considère. Par exemple ta page Wikipédia [1] nous fait comprendre immédiatement que tu sens depuis peu franchement le souffre, regarde :

Wikipedia, capt. écran

Tu as suscité « une guerre d’édition » ! Espérons que tu ne vas pas faire sauter le serveur de leur site et quelques lignes plus loin la catastrophe se confirme : tu serais l’auteur de « propos controversés et propagateur de fausses nouvelles sur la dangerosité du virus…/… participant à la désinformation sur la pandémie de la Covid-19 ». On pourrait pleurer de tristesse devant tant d’imbéciles accusations, dont la puérilité et l’absence de fond démontre toute la nullité partisane de tes détracteurs chez Wikipedia. Sérieusement, de tels écrits t’ont-ils blessé voire gênés dans l’exercice de ton travail quotidien de chercheur ?

L.M – Tu connais le dicton sur la bave du crapaud et la blanche colombe… Non, sincèrement, je ne suis pas atteint par le torrent d’imbécilités plus ou moins malveillantes qu’on peut trouver sur Internet aujourd’hui me concernant. Cela ne fait que confirmer et exemplifier mon analyse du fonctionnement du débat public. L’un des volets de mon enquête consiste précisément à essayer de comprendre comment un ensemble d’acteurs (parmi lesquels la plupart des journalistes) se sont de facto associés pour organiser la clôture du débat public, l’érection de frontières entre ce qu’il est permis ou non de penser et de dire, contribuant massivement à imposer comme seule légitime la narration globale que j’appelle la Doxa du Covid. Quant à Wikipedia, chacun comprend désormais que cette entreprise collective au départ pleine de promesses démocratiques (comme Internet et les réseaux sociaux de manière générale) et animée par des bénévoles enthousiastes, est devenue le lieu d’une lutte d’influence où les trolls et les lobbyistes se déchainent pour imposer la vision du monde découlant de leurs intérêts politiques ou commerciaux. C’est triste là encore, mais c’est la réalité. Tous les chercheurs et tous les enseignants doivent en tirer les leçons et expliquer notamment aux jeunes qu’ils ne doivent pas manipuler ce site naïvement. Wikipedia n’est pas une « encyclopédie en ligne » où l’on pourrait se faire une connaissance minimale de l’état des savoirs sur n’importe quelle question. Beaucoup de contenus sont utilement informatifs mais ils perdent toute neutralité dès que les questions posées prennent une dimension politique ou économique. Ils deviennent alors au mieux l’expression du point de vue dominant dans le débat public d’un pays, à un moment donné de son histoire, au pire l’expression de la petite propagande des influenceurs qui ont réussi provisoirement à gagner la « guerre d’édition » dont tu parles.

V.R. – Avant d’aborder le fond de ton dernier ouvrage, je souhaiterais que tu visionnes ce sujet diffusé pendant le JT de TF1 en février 2010 par Corinne Lalo (aimsib) [2] et Etienne Bourbotte, au sujet de la grippe porcine de 2009 :https://www.youtube.com/embed/GfB–uQA4iU?controls=0

L.M. – Ce rappel est salutaire. L’espèce d’amnésie qui a frappé un peu tout le monde en février-mars 2020 est l’une des choses qui m’a le plus étonné. L’affaire de la pandémie de grippe H1N1 en 2009-2010 a en effet de nombreux points communs cruciaux avec ce que nous venons de vivre. Cela ressemble à une sorte de premier essai non transformé pour les industries pharmaceutiques, le philanthrocapitalisme de la galaxie Bill Gates et tous leurs affidés que l’on trouve dans les organisations supranationales comme l’OMS et la Commission européenne, ainsi que dans la haute administration sanitaire et parmi les politiques dans de nombreux pays du monde, à commencer bien sûr par les riches pays occidentaux. Le drame est que nous n’avons pas su tirer les leçons d’H1N1. La raison fondamentale, à mon avis, est la sous-estimation de l’ampleur et de l’efficacité des trafics d’influence et de la corruption organisée par ces industries et par ce philanthrocapitalisme. Les quelques outils de contrôle supplémentaires mis en place après 2009 ont montré leurs terribles limites. A quoi cela sert-il d’obliger les médecins à déclarer leurs liens d’intérêts avec les industries si, le moment venu, aucun d’entre eux n’a l’honnêteté d’en faire état quand il intervient dans les médias ou même dans une enceinte parlementaire ? Et si aucun journaliste n’a ni la présence d’esprit de faire trois clics sur son ordinateur pour chercher ces liens d’intérêt, ni le courage de les signifier à son interlocuteur lorsque celui-ci s’exprime publiquement sur les stratégies sanitaires à adopter ?

Voyez aussi le déni de la pharmacovigilance en matière d’effets indésirables des nouvelles thérapies géniques. Cette affaire trahit globalement un échec cuisant pour la démocratie sanitaire à laquelle beaucoup travaillent depuis des décennies. Nos instruments de contrôle de l’industrie et de protection des populations sont clairement sous-calibrés. Ils n’ont pas pesé lourd face à la déferlante de la communication biaisée de l’OMS et des gouvernements, suscitée par les puissances financières qui leur murmurent aux oreilles.
Entendons-nous bien : l’épidémie de 2020-21 est clairement plus redoutable que celle de 2009. Cela semble dû essentiellement à la contagiosité et la mutagénicité plus fortes du Sars-CoV-2 dont il est presque certain désormais qu’il est le produit accidentel d’expériences virologiques de laboratoire menées en Chine avec le soutien financier massif des Etats-Unis. Or, précisément, les corrupteurs sont allés jusqu’à tenter d’interdire même ce questionnement sur l’origine du virus, le qualifiant de « complotiste ». Et la plupart des gens sont tombés dans le panneau.

V.R. – Tu portes à notre connaissance une nouvelle proprement inouïe et qui a échappé à nombre d’entre nous : En 2020 le vrai patron de l’OMS, à savoir son financier Bill Gates, a réussi à publier un article dans le New England Journal of Medicine ! [3] On y lit qu’il veut sauver des vies, ce qui demeure pour le moins suspect quand on connaît sa position résolument « réductionniste » qu’il souhaite appliquer à la population du monde. Mais le meilleur est à venir, il écrit : « …/… Scientists sequenced the genome of the virus and developed several promising vaccine candidates in a matter of days, and the Coalition for Epidemic Preparedness Innovations is already preparing up to eight promising vaccine candidates for clinical trials .” [4] Ton avis sur l’intrusion de Gates l’informaticien dans la médecine des épidémies ?

https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762

L.M. – Pendant longtemps, j’ai vécu sur le souvenir de mes cours de fac en droit international (j’ai fait du droit avant de faire de l’histoire et de la sociologie) où l’on présentait à juste titre l’OMS comme une organisation financée par les pays occidentaux. Mais c’était à la fin des années 1980… En 2019, mon attention avait été attirée par le petit livre d’un journaliste français (Lionel Astruc, L’art de la fausse générosité. La fondation Bill et Melinda Gates, Actes Sud). Et en 2020, dès que j’ai compris que l’OMS était en train de créer une nouvelle panique mondiale, comme en 2009, j’ai commencé à chercher des informations sur les enjeux financiers sous-jacents. J’ai, entre autres, fait une chose très simple : regarder le financement de l’OMS. J’ai fait alors cette « découverte » :  Le premier financeur de l’OMS n’est plus le gouvernement américain, c’est un financeur privé : Bill GatesJ’ai poursuivi en essayant d’objectiver le réseau de fondations et d’associations philanthropiques, de partenariats et de systèmes de dons (défiscalisés bien entendu), mis en place ces vingt dernières années par celui qui fut longtemps l’homme le plus riche du monde (avant d’être détrôné par Jeff Bezos, propriétaire d’Amazon, et Elon Musk, propriétaire de Tesla). J’ai alors compris que le Sars-CoV-2 était l’occasion rêvée, l’aubaine tant attendue, de déployer le grand projet de vaccination intégrale du monde dont Bill Gates ne se cache pas, et ce depuis des années. Sa présence dans le champ des politiques mondiales de santé est devenue tellement banale que l’on peut en effet assister, médusé, à ce que je raconte page 77 de mon livre, à savoir le fait que Bill Gates peut se permettre et se voir autorisé, par une rédaction soi-disant scientifique et indépendante, à publier un article dans une des plus prestigieuses revues médicales du monde (le New England Journal of Medicine) en avril 2020. Article dans lequel on trouve un concentré de la doxa : c’est la « pandémie du siècle », le virus est hyper-dangereux même pour les gens « en bonne santé », mais tout va bien car la science va fabriquer un vaccin sûr et efficace « en quelques jours », là où il fallait des années jusque-là. On croit rêver, et pourtant ce n’est pas le cas.

La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste

Lionel Astruc est l’auteur d’une enquête approfondie sur la Fondation Bill et Melinda Gates. Créée en 2000 par l’un des hommes les plus riches de la planète, Bill Gates, le père de Microsoft (fortune personnelle estimée à 96,5 milliards de dollars, selon le classement Forbes 2019), la Fondation Bill et Melinda Gates se donne pour missions la lutte contre la pauvreté, la protection de la santé, le renforcement de l’éducation, la promotion d’une agriculture intensive…

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V.R. –  A partir de la page 79, tu nous brosses un portrait glaçant de l’expansion financière des firmes pharmaceutiques et parallèlement tu cites Jean-Dominique Michel, un autre de nos membres d’élite, qui ne cesse jamais de dénoncer la « corruption systémique » [5] régulièrement utilisée par ces entreprises. Quelques exemples consternants sont relatés dans ton ouvrage. Sans tout révéler, peux-tu nous en dire un mot ici ?

L.M. L’essentiel tient en trois constats :
1) Le premier est celui de l’importance de ce secteur économique et financier. Avec près de 1 200 milliards de dollars américains de chiffre d’affaires en 2019, soit une multiplication par 3 depuis le début du 21ème siècle, l’industrie pharmaceutique est devenue l’un des plus grands secteurs industriels du monde et peut-être le plus rentable de tous. Les grands groupes pharmaceutiques qui se sont constitués rivalisent désormais avec l’industrie pétrolière, les groupes bancaires, les GAFAM, l’industrie du luxe, l’industrie automobile et les cigarettiers. Ils font partie de ces multinationales interconnectées par le jeu des participations croisées dans l’actionnariat, qui dominent le monde et y imposent leurs intérêts. Ils développent également les mêmes stratégies de maximisation des profits que la plupart de ces multinationales (rachats d’entreprises, licenciements dans les pays d’origine, délocalisation dans les pays pauvres, tricherie sur les prix, évasion fiscale, lobbying intense, détournement des aides publiques à leur profit, etc.). Les patrons de ces firmes sont parmi les mieux payés du monde et les dividendes qu’elles reversent à leurs actionnaires sont parmi les plus importants du monde. Ils sont donc devenus un acteur central du nouveau capitalisme financier dominant la planète.
2) Le second constat est que ces gigantesques groupes pharmaceutiques dominent non seulement le marché mondial des médicaments, mais ils influencent aussi de plus en plus la recherche médicale, au point de la contrôler en grande partie dans certains domaines. Les fameux essais cliniques (ou essais thérapeutiques) sont financés et réalisés très majoritairement par ces industriels, parfois à la demande des agences publiques comme la Food and Drug Administration aux USA ou l’Agence Européenne du Médicament. C’est dans cette mouvance politico-industrielle que s’est fixée une sorte d’ersatz de l’Evidence Based Medecine (« médecine fondée sur des preuves ») avec ces méthodes statistiques de randomisation donnant l’illusion d’une démonstration mathématique infalsifiable, à grand renfort de données collectées à l’aide de moyens financiers que seule l’industrie peut généralement s’offrir, créant ainsi des standards artificiels souvent inaccessibles pour la recherche publique indépendante. Le principe est de substituer le calcul statistique à l’expérience clinique, la démonstration mathématique à la pratique médicale. Conséquence d’un tel système : un nombre croissant de médecins-chercheurs multiplient les publications sur les maladies et les médicaments, lors même qu’ils n’en ont pas de pratique médicale. Les malades sont devenus de simples unités statistiques.
3) Et le troisième constat est relatif au trafic d’influence et à la corruption, qui est plus forte que jamais. Les laboratoires payent des études à ces médecins-chercheurs testant leurs médicaments, ils en déterminent les protocoles et vont jusqu’à payer plusieurs milliers d’euros par patients inclus dans l’étude. Ils organisent également des boards et autres « réunions stratégiques » dans lesquels les médecins-chercheurs sont associés à la détermination des projets des laboratoires et pour lesquels ils sont fréquemment payés entre 1 000 et 2 000 euros la journée. Les laboratoires financent également les voyages et tous les frais de ces médecins-chercheurs pour qu’ils aillent présenter leurs résultats dans des colloques internationaux dont l’organisation est elle-même très largement financée par les industriels. Dans certains cas, ces derniers vont jusqu’à réaliser eux-mêmes les études dans leurs laboratoires et proposer ensuite à des médecins universitaires plus ou moins renommés de les signer de leurs noms. Cela s’appelle le ghostwriting et a donné lieu à de nombreuses fraudes ces dernières années, à l’image du Lancet Gate en mai 2020.
Mais la question de la corruption ne se limite pas à l’univers médical. Ce qui donne à la corruption une ampleur démesurée, c’est aussi la transformation des rapports entre organisations publiques et privées. En cause, la circulation des mêmes personnes entre ces deux univers aux logiques de fonctionnement et aux finalités pourtant théoriquement opposées (le bien public pour les unes, l’enrichissement personnel pour les autres). Au-delà même du phénomène que l’on appelle en France le « pantouflage », le problème majeur qui se pose désormais est celui du changement de la nature de ces relations. Nous avons été habitués à penser un monde dans lequel les puissances publiques (Etats et organisations supranationales) sont un peu les gendarmes du monde économique privé. Or, ce monde est en train de disparaître sous nos yeux.  Nous entrons dans un monde où les puissances publiques deviennent des partenaires des groupes commerciaux privés dont certains ont de fait acquis autant de pouvoir qu’un Etat. Ceci se voit très bien dans plusieurs pays, dont la France. Ceci devrait faire l’objet de grandes discussions politiques. Je n’en vois guère pour le moment.

V.R. – De Gilead à Air France, tu me vois venir ? Qu’est-ce qu’il faut retenir en peu de mots sur cette énorme boite américaine méconnue en France qu’est Gilead ?

L.M. – Le groupe américain Gilead Sciences emploie près de 12 000 personnes et a fait un chiffre d’affaires de 22,5 milliards de dollars en 2019. Parmi ses actionnaires, figurent certains des plus gros fonds d’investissement américains. Le premier est The Vanguard Group, concurrent direct de Black Rock (le plus gros gestionnaire d’actifs du monde et l’un des plus importants actionnaires du CAC40). Vanguard est par ailleurs le premier actionnaire d’Apple, possède 5% d’Amazon et est entré au capital de nombre de grandes entreprises françaises. Même chose pour le second actionnaire de Gilead, Capital Research and Management, qui possède des parts du capital de la Caisse des Dépôts et Consignations, de Veolia, de Bouygues, de Schneider, de la Société Générale, de Pernod et d’Air France. Nous sommes donc bien ici au cœur du capitalisme financier actuel, c’est-à-dire celui qui est entièrement dominé par les banques et autres fonds d’investissements contrôlant l’actionnariat des grandes entreprises et ayant pour logique fondamentale la maximisation de la valeur pour l’actionnaire.

Au demeurant, la suite n’aurait pas dû surprendre tant Gilead était déjà connu pour pratiquer une exagération des prix à des fins d’enrichissement maximum. Je rappelle dans mon livre l’affaire du Sovaldi dans la lutte contre l’hépatite C, affaire qui a fait la fortune de Gilead. Dès le tout début de la crise du Covid, ce dernier a voulu refaire le coup en faisant acheter par tous les pays du monde un antiviral pour traiter le Covid : le Remdesivir. L’industriel y travaille depuis l’épidémie du virus Ebola qui traversa l’Afrique de l’Ouest en 2014-2015. Les recherches montreront pourtant par la suite que ce médicament était déjà inefficace sur Ebola. Mais qu’à cela ne tienne, face à la nouvelle pandémie de coronavirus, tout l’enjeu pour cet industriel était de convaincre que son produit était le plus efficace pour traiter les personnes infectées, et lancer ainsi sa production industrielle de masse. Il a en ce sens déployé toute sa puissance de lobbying et de trafic d’influence, au point que, dès le départ, l’OMS et un certain nombre de chercheurs importants dans plusieurs pays occidentaux (tels Yazdan Yazdanpanah et Franck Chauvin en France, tous deux membres du Conseil scientifique Covid-19, le second étant aussi le président du Haut Conseil de la Santé Publique qui fera d’emblée barrage à la proposition de l’IHU de Marseille au profit du Remdesivir) annonçaient déjà que l’antiviral de Gilead était la solution la plus prometteuse. Étrangement, tandis qu’elle bloquera l’hydroxychloroquine, l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) délivrera très rapidement une autorisation de mise sur le marché (AMM) pour le Remdesivir.
On sait aujourd’hui que ce médicament est inefficace et même dangereux. Il n’est quasiment plus utilisé dans les pays occidentaux. Mais si Gilead est passé une fois encore à côté du jackpot mondial, il s’est quand même enrichi grâce à la seconde grande stratégie des nouvelles industries capitalistiques : la spéculation boursière. Enfin, son intense lobbying lui permettra de parvenir tout de même à fourguer pour 1,2 milliard de son produit à l’Union Européenne fin 2020, avant que cette dernière ne s’en débarrasse vers les pays pauvres en ayant de surcroît l’indécence de présenter la chose comme de la générosité. La chose se reproduira du reste avec le « vaccin » d’AstraZeneca. Je note toutefois que certains pays africains (comme le Nigeria) ont bien compris l’arnaque et répondent « non merci » à cette fausse générosité.

V.R. – Le délire corruptif qui règne à l’Agence Européenne du Médicament (EMA) semble t’avoir particulièrement intéressé, je te remercie d’ailleurs d’avoir cité un de mes articles dans ta démonstration. Ce passage de ton livre est vraiment sidérant…

L.M. – L’affaire Ursula Von der Leyen est un révélateur du trafic d’influence et de la corruption qui sévissent en effet au sein de la Commission européenne et d’agences comme l’EMA. Madame négocie personnellement avec le PDG de Pfizer des contrats dont le contenu est étrangement tenu top secret, tout en ayant un mari travaille dans l’industrie des biotechs et un fils qui travaille chez Mc Kinsey, le cabinet de conseil qui s’enrichit démesurément en organisant la communication (i.e. la propagande) des campagnes vaccinales de nombreux pays (dont la France). Et quand on demande des comptes à madame, elle répond qu’elle a malencontreusement effacé ses conversations avec monsieur Bourla, avec lequel on la voit s’enlacer à la cérémonie de l’Atlantic Council récompensant les meilleurs business-leaders du moment. On nous prend vraiment pour des imbéciles et c’est gros comme le nez au milieu du visage. Et pourtant, à une ou deux exceptions près (comme Etienne Campion à Marianne), aucun journaliste ne s’en est inquiété. Voilà typiquement le sujet d’intérêt public majeur dont un journal comme Mediapart aurait dû s’emparer, plutôt que de s’enfermer dans sa haineuse petite entreprise de démolition de Didier Raoult. Et les intellectuels ne valent guère mieux hélas. Où sont passés tous les universitaires et les journalistes dits « d’investigation » qui ont travaillé ces dernières années sur ces phénomènes de lobbying et de corruption organisée par les industriels, comme sur les nouvelles formes de marketing, de propagande et autres méthodes de story telling ? Toute cette affaire est une dramatique défaite de la pensée.

V.R. – Tu abordes ensuite le point le plus crucial de ton livre, à mon avis, et c’est ce que tu appelles le « viol des foules », qui ne comprend pas cette manipulation mentale abominable se met immédiatement en position de se faire à nouveau duper lors de la prochaine crise, le Dr Pascal Sacré avait déjà abordé ce phénomène chez nous, il y a un an [6]…

L.M. – J’ai intitulé ce chapitre « Le viol des foules par la propagande politique », reprenant le titre d’un vieux livre de Serge Tchakhotine, paru en 1939, interdit en France et même brûlé ensuite par la Gestapo. Les dictatures n’aiment pas que l’on objective leurs stratégies d’endoctrinement des masses. Mais il faut croire que les démocraties ne l’aiment pas non plus. A moins qu’elles ne soient déjà plus vraiment des démocraties. Quoi qu’il en soit, j’analyse effectivement les formes et les contenus de l’intense propagande que le gouvernement français (parmi d’autres) a déployé pour faire croire à la population que le vaccin était la fin de l’histoire, qu’il fallait d’urgence injecter à tout le monde (adultes, personnes âgées, enfants, femmes enceintes) ces produits prétendus « totalement sûrs », qui allaient « nous débarrasser de l’épidémie » (en bloquant la contagion) et qui étaient « efficaces à 95% » pour empêcher les formes graves de Covid. Ah, la magie des chiffres…

Je montre que, pour réaliser cette grande manipulation, le gouvernement a usé de toutes les ficelles et tout le registre de la propagande : technique de « la bouse blanche » consistant à envoyer dans les médias des médecins triés sur le volet pour vanter les mérites de la nouvelle politique vaccinale, technique du « choix truqué » consistant à placer les citoyens devant un prétendu choix entre la solution qu’on veut leur imposer et une fausse alternative en réalité inacceptable (du genre : préférez-vous être vaccinés ou reconfinés ?), et enfin bien entendu la technique de « la grenouille ébouillantée » consistant à amener progressivement les gens vers le point d’arrivée prévu en réalité dès le départ, mais en y allant par étapes, à coups de demi-mensonges successifs, afin de faire accepter très progressivement quelque chose qui, si il avait énoncé d’emblée, aurait été jugé inacceptable pour beaucoup. En l’occurrence, il fallait amener doucement les citoyens à renoncer à une de leurs libertés fondamentales en acceptant l’idée que seule une vaccination intégrale et forcée de la population s’imposait pour nous « libérer » de l’épidémie.

V.R. – L’heure de nous quitter est venue. Nous ne sortons pas de ton interview beaucoup plus optimiste qu’au moment où nous l’avons abordée, mais avec une envie bien plus grande de dévorer ton passionnant bouquin. Vivement le tome II, on s’y prépare avec délectation. Ton mot de la fin ?

L.M. – D’abord je te remercie de me donner ainsi la parole et de traiter mon travail avec sérieux. Le tome 2 paraîtra en mars, il reprendra les meilleurs « épisodes » de ma série initiée en mars 2020, avec 40 chapitres et 30 auteurs. C’est un travail collectif qui n’est certainement pas parfait mais dont je suis fier et qui me donne le sentiment d’avoir fait ce que je devais faire.

Ensuite un mot pour dire que j’avais depuis longtemps l’habitude d’être attaqué, essentiellement par l’extrême droite, du fait de mes travaux sur la sécurité (qui montrent notamment comment on passe là aussi son temps à effrayer la population pour mieux vendre de l’idéologie sécuritaire et des technologies très coûteuses comme la vidéosurveillance). Mais depuis le début de la crise du Covid, j’ai été couvert d’insultes et de calomnies à un point que je n’avais jamais connu. Et surtout, indépendamment des affidés des industriels et des intellectuels de cour (comme le très macroniste Gérald Bronner qui a publié contre moi en août 2021, dans Le Monde, une tribune aussi agressive que dénuée de contenu, avant d’être nommé par l’Elysée à la tête d’une commission), la plupart de ces insultes sont venues de gens qui disent appartenir à la gauche intellectuelle et politique. Certains sont même allés jusqu’à m’accuser de complicité avec l’extrême droite, moi qui la combat depuis 30 ans et qui y avait consacré tout mon dernier livre paru juste avant le premier confinement (La France telle qu’elle est. Pour en finir avec la complainte nationaliste, Fayard, 2020). C’est dire à quel point nous sommes en pleine confusion mentale. Il faudra du temps pour en sortir et essayer de rebâtir quelques digues intellectuelles et éthiques. La chose est essentielle car l’histoire est loin d’être terminée. D’autres crises sécuritaires, sanitaires et écologiques sont à venir. Et si nous ne sommes pas mieux armés pour les affronter, j’ai peur que les dégâts individuels et collectifs soient plus importants encore, notamment que l’idéal démocratique finisse par disparaître au profit d’une gestion autoritaire des biens publics par des intérêts privés.

Crédit photo : © Editions Eolienne

(*) Ouvrages de Laurent MUCCHIELLI :

Direction d’ouvrage

  • Histoire de la criminologie française, Paris, L’Harmattan, 1995, 535 p. (ISBN2-7384-3136-4, notice BnF no FRBNF36685469)
  • Avec Massimo Borlandi, La Sociologie et sa méthode : les règles de Durkheim un siècle après, Paris, L’Harmattan, 1995, 415 p. (ISBN2-7384-4033-9, notice BnF no FRBNF35804890)
  • Avec Dominique Duprez, Les Désordres urbains : regards sociologiques, Chêne-Bourg-Genève, Médecine et hygiène, 2000, 440 p. (ISBN2-8257-0726-0, notice BnF no FRBNF37733537)
  • Avec Philippe RobertCrime et sécurité : l’état des savoirs, Paris, La Découverte, coll. « Textes à l’appui », 2002, 438 p. (ISBN2-7071-3620-4, notice BnF no FRBNF38811277)
  • Gendarmes et voleurs : de l’évolution de la délinquance aux défis du métier, Paris, L’Harmattan2007
  • Avec Véronique Le Goaziou, Quand les banlieues brûlent : retour sur les émeutes de novembre 2005, Paris, La Découverte, 2eédition 2007
  • Avec Marwan MohammedLes Bandes de jeunes : des blousons noirs à nos jours, Paris, La Découverte, 2007
  • La Frénésie sécuritaire : retour à l’ordre et nouveau contrôle social, Paris, La Découverte, 2008
  • Avec Pieter Spierenburg, Histoire de l’homicide en Europe, de la fin du Moyen Âge à nos jours, Paris, La Découverte, 2009
  • Avec Xavier Crettiez, Les Violences politiques en Europe : un état des lieux, Paris, La Découverte, 2010, 336 p. (ISBN9782707164582)
  • Avec Christian Mouhanna,La police contre les citoyens ?, Nîmes, Champ social, coll. « Question de société », 2011, 182 p. (ISBN978-2-35371-105-5)

En collaboration

Notes et sources:

[1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Mucchielli
[2] https://www.aimsib.org/2021/12/09/encore-des-hormones-mais-pour-combien-de-temps/
[3] Gates B,Responding to Covid-19 — A Once-in-a-Century Pandemic? N Engl J Med 2020; 382:1677-1679 DOI: 10.1056/NEJMp2003762 https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762
[4] Traduction : Les scientifiques ont séquencé le génome du virus et développé plusieurs vaccins candidats prometteurs en quelques jours, et la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations prépare déjà jusqu’à huit vaccins candidats prometteurs pour des essais cliniques.
[5] Michel JD, Covid : anatomie d’une crise sanitaire, Paris, HumenSciences, 2020, p.109
[6] Pascal Sacré, « Pavlov ou la Covid-19, comprendre l’inhibition transmarginale » https://www.aimsib.org/2021/01/17/pavlov-ou-la-covid-19-comprendre-linhibition-transmarginale/