Le spectre des vaccinations aérosols secrètes

[Source : covidhub.ch]

Les vaccins à ARN messager directement dans les poumons, sans consentement, c’est l’objectif annoncé à l’ONU par l’agence de promotion des vaccins GAVI, financée par le milliardaire Bill Gates.

Vaccination et « objectifs de développement durable »

Lors d’une réunion en marge de l’Assemblée générale des Nations unies de cette année, l’Alliance du Vaccin (GAVI) a suggéré que les vaccinations de masse pouvaient être utiles pour atteindre 14 des 17 objectifs de développement durable (ODD).

Les 17 ODD semblent être des objectifs nobles, comme éliminer la faim et la pauvreté, mais le risque est bien réel que certains lobbies puissants, comme celui de l’industrie pharmaceutique, instrumentalisent ces objectifs pour imposer leurs produits et leurs visions dans un monde standardisé et technocratique.

Le plan “One Health” (“Une Santé”) de l’OMS, repris en coeur par l’UE, part du principe que les humains, les chiens et les chats doivent tous être vaccinés contre toutes les maladies possibles… et même pour les rendre infertiles (lire notre article au sujet de la vaccination aérosol des chats).

Mais comment y parvenir le plus simplement possible à l’échelle d’une planète ?

L’ARNm vaccinal directement dans les poumons

L’équipe dirigée par le physiologiste cellulaire et moléculaire Mark Saltzman de l’université de Yale, alliée à l’industrie pharmaceutique, a mis au point une méthode permettant de rendre inhalable l’ARN messager et l’amener directement dans les poumons par voie aérienne.

L’étude est intitulée “Polymer nanoparticles deliver mRNA to the lung for mucosal vaccination” (Des nanoparticules de polymère apportent de l’ARNm aux poumons pour la vaccination des muqueuses) et a été publiée ici.

Selon les chercheurs, cette nouvelle méthode d’administration pourrait “changer radicalement la façon dont les gens sont vaccinés” et faciliter la vaccination des personnes vivant dans des zones isolées ou qui ont peur des aiguilles. Courtney Malo, rédactrice à Science Translational Medicine, qui a publié l’étude de Yale:

La capacité de transporter efficacement l’ARNm dans les poumons offrirait des applications pour le développement de vaccins, la thérapie génique et bien plus encore.

Un vaccin transmis par voie aérienne permet une diffusion rapide au sein de la population. De plus, comme le vaccin est libéré dans l’air, il n’est pas nécessaire de vacciner chaque personne individuellement – ce qui prend non seulement du temps, mais est également difficile si une personne refuse de se faire vacciner.

Ce n’est pas le cas d’un vaccin transmis par voie aérienne, qui peut être diffusé sans le consentement ou même la connaissance de la population.

Vaccinations secrètes et fin du consentement éclairé ?

Alors que les scientifiques saluent ce développement comme un moyen simple de vaccination de masse, les critiques se demandent si le développement d’un vaccin aérosol ne pourrait pas être utilisé à des fins malhonnêtes ou éthiquement douteuses.

Un produit ARNm transmis par voie aérienne pourrait en effet être utilisé pour vacciner rapidement toutes les personnes sans leur consentement.

Des discussions sont actuellement en cours pour savoir si l’administration de vaccins jugés “essentiels” ne devrait plus être rendue obligatoire mais plutôt effectuée de manière secrète. L’objectif de santé publique étant considéré comme prépondérant sur les questions de liberté et d’intégrité physique individuelle.

C’est l’avis exprimé en 2018 dans un papier publié par Parker Crutchfield, chercheur au département d’éthique médicale, sciences humaines et droit à la Western Michigan University, qui qualifie les vaccinations d’améliorations biologiques morales :

Certains théoriciens affirment que l’amélioration biologique morale devrait être obligatoire. Je pousse cet argument un peu plus loin en affirmant que si l’amélioration biologique morale doit être obligatoire, son administration doit être secrète plutôt qu’apparente. En d’autres termes, il est moralement préférable que l’amélioration biologique morale obligatoire soit administrée sans que les bénéficiaires sachent qu’ils reçoivent l’amélioration. Mon argument est que si l’amélioration biologique morale doit être obligatoire, son administration est une question de santé publique et doit donc être régie par l’éthique de la santé publique. Je soutiens que l’administration secrète d’un programme obligatoire de bio-amélioration morale est plus conforme à l’éthique de la santé publique qu’un programme ouvertement obligatoire. En particulier, un programme obligatoire secret promeut des valeurs telles que la liberté, l’utilité, l’égalité et l’autonomie mieux qu’un programme manifeste. Par conséquent, un programme de bio-amélioration morale obligatoire et caché est moralement préférable à un programme de bio-amélioration morale manifeste.

[NDLR Faut-il être particulièrement inconscient, cynique, vicieux ou crétin pour prétendre qu’une mesure obligatoire (qu’elle s’effectue au grand jour ou soit secrète) puisse avoir le moindre rapport avec la liberté et pour s’imaginer qu’elle est « morale » ?]

La question reste cependant ouverte concernant les personnes pour lesquelles la vaccination est déconseillée pour des raisons de santé, une vaccination par aérosol ne faisant aucune différence. Et surtout, de qui décide – et sur quelle base – ce qui sera un produit thérapeutique essentiel sûr et efficace.

Autorisation dès 2024 ?

Ce genre de pratique se heurte pour l’heure en théorie aux principes dictés par le Code de Nuremberg, qui proscrit toute expérience médicale à large échelle sans le consentement des patients.

Cependant, une fois que les pays membres de l’OMS auront approuvé leurs traités sur les pandémies et le renforcement du Règlement sanitaire international, on peut se demander si ce n’est pas précisément ce type d’actions qui sera mis en avant et pourra être mené de manière juridiquement contraignante dans le monde entier. Voir à ce sujet nos différents articles.

Sources




Des choux contre le graphène

Les Choux frisés, Kales, et Caulets, très antioxydants et très anti-carcinogéniques, pour la bioremédiation des dérivés de Graphène, et autres nanoparticules métalliques, dans l’organisme humain

Les Choux frisés, Kales, et autres Caulets, très antioxydants et anti-carcinogéniques

Pour la bioremédiation des dérivés de Graphène, et autres nanoparticules métalliques, dans l’organisme humain

Par Xochi


Sommaire

Avant-Propos

Classification Botanique des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Dénominations propres aux Choux frisés, Kales et autres Caulets

Propriétés anti-carcinogéniques, chimioprotectrices, et antioxydantes des Kales, des espèces de Brassica et des Brassicacées

Propriétés anti-carcinogéniques, chimioprotectrices, et antioxydantes des Glucosinolates des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Brassicacées et Bioremédiation des substances les plus toxiques contaminant la Biosphère

Kales et Bioremédiation des substances les plus toxiques contaminant la Biosphère

Brassica pour éliminer l’Uranium et se protéger de la Radioactivité

Qualités Nutritionnelles des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Impact des divers processus de cuisson sur les qualités nutritionnelles et médicinales des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Les Choux frisés, Kales et autres Caulets sont-ils à éviter en cas d’Hypothyroïdie ?

Produits fermentés à base de Kales — Jus, Kombuchas, Choucroutes, etc. — pour une intensification de leur activité antioxydante

Production de semences de Choux frisés, Kales et autres Caulets

Au sujet de la sélection et de l’obtention de nouvelles variétés de Choux frisés, Kales et autres Caulets

«  Variegated ». Caulet originaire du sud-est des USA. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Avant-Propos

J’ai le plaisir de proposer, aujourd’hui, le 26 septembre 2023, l’un des essais les plus intelligents qui aient jamais été écrits, en Français, à propos des capacités médicinales des Choux frisés, Kales, Caulets et autres Brassica — si je puis. Cet essai fait une soixantaine de pages, en A4, et requiert une attention soutenue. Bom Shakti !

Mon objectif, déclaré et transparent, dans ce présent essai, est de proposer que les Choux frisés, Kales et autres Caulets puissent constituer l’un des aliments essentiels pour la bioremédiation des dérivés de Graphène, et autres nanoparticules métalliques, dans l’organisme humain. Pourquoi ?

Parce que les Choux frisés, Kales, et autres Caulets sont les choux possédant le plus de capacités antioxydantes, anti-carcinogéniques et chimioprotectrices — parmi toutes les espèces de Brassica.

Parce que les Choux frisés, Kales, et autres Caulets possèdent des capacités puissantes, et avérées, de bioremédiation des substances les plus toxiques, produites par l’Industrie.

Parce que les Choux frisés, Kales, et autres Caulets possèdent des capacités puissantes, et avérées, de protection à l’encontre de la radioactivité et de l’uranium.

Et parce que les Choux frisés, Kales, et autres Caulets ont été choyés par de multiples générations de jardiniers et de paysans depuis de nombreux millénaires — eu égard à leur générosité de puissance nutritionnelle et médicinale. Kale Aventure !

D’ailleurs, aux USA, il existe même un jour officiel pour les Kales, le 4 octobre, depuis 2013 — après que 2012 fût nommée l’année du Kale par le revue Bon Appétit.

Dans cet essai, après les présentations botaniques d’honneur dues à cette classe particulièrement thérapeutique et nutritionnelle, que constituent les Choux frisés, Kales, et autres Caulets, je vais, tout d’abord, aborder les propriétés anti-carcinogéniques, chimio-protectrices et antioxydantes des Kales, des espèces de Brassica et des Brassicacées — et de leurs glucosinolates — avant de plonger, subséquemment, au cœur de la problématique qui nous intéresse, aujourd’hui, au plus haut point.

Il s’agit des capacités avérées et validées que possèdent ces plantes potagères, que sont les Brassicas, de bioremédier, dans l’organisme humain — et dans l’organisme de la Terre — aux substances toxiques les plus délétères, et létales, que l’Industrie mortifère ait produites — dont l’uranium.

Je vais ensuite aborder divers points qui me semblent importants dans la compréhension de la nature des Choux frisés, Kales, et autres Caulets : leurs qualités médicinales et nutritionnelles ; leur composition en éléments bioactifs ; leur fermentation ; leur régénération par la semence ; leur cuisson éventuelle…

sans oublier l’impact négatif, archi-exagéré, de certaines variétés sur le fonctionnement thyroïdien — et, sans oublier, l’impact positif, très avéré, de tous les Brassicas sur le fonctionnement thyroïdien.

«  Hen Peck ». Caulet originaire du sud-est des USA. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Classification Botanique des Choux frisés, Kales et autres Caulets

La Famille des Brassicacées est une famille hautement diversifiée comprenant, environ, 3700 espèces et 378 genres — en fonction des botanistes.

D’un point de vue botanique, les Choux frisés, Kales et autres Caulets, constituent quatre groupes bien distincts.

Les trois premiers groupes, présentés ci-après, constituent le pool génétique dénommé Brassica oleracea convar. acephala alors que le quatrième groupe est constitué par la sous-espèce Brassica napus var . pabularis.

Un premier groupe de Kales, dénommés « curly/frisés » , qui sont originaires, du nord et du centre de l’Europe. Brassica oleracea convar. acephala var. sabellica. Les diverses dénominations sont : chou frisé, chou d’aigrette, chou frangé, ou chou lacinié ; chou d’ornement. En Anglais : Curly Kale, Scotch Kale.

Pour les archives. Selon l’édition, de 1883, de l’ouvrage «  Les Plantes Potagères », de Vilmorin-Andrieux, il existe un certain nombre de variétés de Kales de type « curly/frisés » : Chou frisé vert grand, Chou frisé vert à pied court, Chou frisé rouge grand, Chou frisé rouge à pied court, Chou frisé panaché, Chou frisé prolifère.

Un second groupe de Kales, dénommés « Italiens » , qui sont originaires d’Italie et, plus particulièrement, de Toscane. Brassica oleracea convar. acephala var. palmifolia. Les diverses dénominations sont : chou palmier, Noir de Toscane, Lacinato, Kale de Toscane, chou Dinosaure, Broccolo lavagnino, Nero lavagnino, Nero laciniato, Gaggetta, Nero foglia larga, Nero lavagnino, Foglia liscia, Nero lavagnino, Foglia bollosa, etc. En Anglais : Jersey Kale, Tuscan Black or Palmtree Kale. La plante peut atteindre quatre mètres de hauteur.

Pour les archives. Selon l’édition, de 1883, de l’ouvrage « Les Plantes Potagères », de Vilmorin-Andrieux, le Kale italien est, également, dénommé « Chou corne de cerf, Chou noir ». [161]

Selon sa présentation des Kales italiens en 1883 : « Tige droite ou légèrement courbée, atteignant une hauteur de 2 mètres et plus, et se terminant par un bouquet de feuilles entières, longues de 0,60 m à 0,80 m, larges de 0,08 m à 0,10 m, à bords renversés et roulés en dehors, d’un vert foncé presque noir et finement cloquées comme celles des choux de Milan… Le chou palmier ne fleurit souvent que la troisième année. C’est dans ces conditions qu’il atteint sa hauteur la plus considérable. Il n’est guère regardé en France que comme une plante d’ornement. »

Un troisième groupe de Kales, dénommés « Caulets » ou « Collards » , qui sont originaires d’Europe, tout d’abord, et du sud-est des États-Unis, subséquemment. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis. Et, peut-être, d’Afrique orientale ?

Le terme latin viridis signifie vert.

Les diverses dénominations sont : chou cavalier, chou fourrager, chou en arbre, chou commun, chou vert, ou Caulet de Flandre.

Pour les archives. Selon l’édition, de 1883, de l’ouvrage « Les Plantes Potagères », de Vilmorin-Andrieux, le Chou-Cavalier est, également, dénommé « Chou arbre, Chou arbre de Laponie, Chou asperge, Grand chou à vaches. Grand chou de Bretagne, Chou sans tête, Chou vert ». [157]

Selon sa présentation des Caulets — en 1883 : « Le chou cavalier est rustique et passe, sans en souffrir, les hivers ordinaires de notre climat. Au retour du printemps, les fleurs ne se montrent pas toujours chez le chou cavalier ; souvent il continue à produire des feuilles et à s’élever, et c’est dans ce cas qu’il atteint la plus grande taille : il ne fleurit alors qu’au printemps de la troisième année, en comptant celle du semis. Ordinairement on récolte les feuilles pour la nourriture du bétail, en laissant les choux en place ; et, au printemps, on recueille, en étêtant la plante, les jets près de monter à fleur. Les tiges elles-mêmes ne sont pas comestibles ; elles deviennent tellement dures et ligneuses, qu’en les laissant sécher, on peut en faire des cannes. »

« Les Plantes Potagères » présentent un autre Caulet : le Caulet de Flandre avec pour synonyme Chou Cavalier rouge qui est « un Chou fourrager de grande dimension, un peu inférieur cependant, sous ce rapport, au Chou cavalier, dont il se distingue par la teinte rouge violacé de ses tiges et de ses feuilles. Il est extrêmement résistant aux froids, plus même que le Chou cavalier, ce qui le fait préférer à toute autre espèce pour la grande culture dans le nord de la France. »

Les « Caulets » sont dénommés, en Anglais : Collard, Tree Cabage, Fodder Kale, Kale, Borecole. Les feuilles peuvent atteindre 40 cm de longueur et elles ont un très long pétiole. Les plantes peuvent atteindre 2 ou 3 mètres de hauteur avant de fleurir. Elles sont dépourvues de bouquet feuillu terminal.

Il existe une diversité incroyable de variétés de Caulets aux USA. Voir le site web de l’organisation « The Heirloom Collard Project » [102] initiée par Ira Wallace, la fondatrice du groupe de production de semences potagères, en pollinisation ouverte, Southern Exposure Seed Exchange, en Virginie. L’association Kokopelli présente un certain nombre de variétés traditionnelles de Caulets depuis de très nombreuses années.

L’origine première de ces Caulets remonte à l’Europe de l’Ouest. Quant à la généreuse diversité des Caulets du sud-est des USA, de nombreux historiens de l’agriculture sont convaincus qu’elle est originaire d’Afrique et que ce sont les esclaves qui en ont amené les semences avec celles du gombo, de la pastèque, du riz, du sésame, du niébé, etc. En 1795, Thomas Jefferson cultivait des Caulets dans son jardin de Monticello. Voir l’ouvrage « Collards: a Southern tradition from seed to table ». Edward Davis et John Morgan. Page 129.

Selon d’autres historiens, ces Caulets très diversifiés, du sud-est des USA, pourraient être issus du Portugal et du nord-ouest de l’Espagne — qui en sont très amateurs depuis des siècles… si ce n’est des millénaires.

Un quatrième groupe de Kales, dénommés « Russo/Sibériens » , qui sont originaires de Russie, de Sibérie et, en fait, de tous les pays à l’est de l’Europe centrale. Brassica napus var. pabularia . Ces choux sont, particulièrement, très résistants aux grands froids.

Traditionnellement, les variétés de choux frisés de l’espèce Brassica oleracea sont appelées « choux frisés européens », ou « European Kales », tandis que les variétés de choux frisés, de la sous-espèce Brassica napus var. pabularia, sont appelés « choux frisés sibériens », « choux frisés russes » ou « Siberian Kales » et « Russian Kales ».

Ces dénominations ne sont pas pas très heureuses, ou pratiques — d’autant plus que les anglophones sont très enclins à « Kaler » tous les Brassica : « Scotch Kale », « Chinese Kale », « Ruvo Kale », « Jersey Kale », « Bush Kale », « Fodder Kale », « Palmtree Kale », « Portuguese Kale », etc.

Qui plus est, aujourd’hui, la dichotomie Européen/Russe est, franchement, hautement détestable — et suspecte, à notre époque de dissonances cognitives extrêmes… dont les globalistes eugénistes font leurs choux gras. En effet, la majorité des Peuples de Russie sont, strictement, Européens et la langue russe est la principale langue d’Europe avec environ 150 millions de locuteurs. Tout va bien ?

« Mind your Step… because They are Stepping on Your Mind  » .

Si l’on étend la notion de « sans-tête », «  a/cephala » – à savoir de Choux qui ne pomment pas — les Kales peuvent, également, indiquer, et inclure, les sous-espèces suivantes de Brassica oleracea  :

D’autant plus qu’elles sont, même, parfois, dénommées « Kales » en Anglais.

Brassica oleracea var. ramosa. Les diverses dénominations sont : chou branchu, chou à mille têtes. En Anglais : Branching Bush Kale et Thousand-headed cabbage.

Pour les archives. Selon l’édition, de 1883, de l’ouvrage «  Les Plantes Potagères », de Vilmorin-Andrieux : « Le Chou à mille têtes est une race très distincte, originaire de la Vendée et malheureusement assez sensible au froid. Les tiges en sont beaucoup plus nombreuses encore que celles du Chou branchu du Poitou, et forment une sorte de touffe ou de petit buisson ne dépassant guère la hauteur de 1 m à 1,20 m, mais extrêmement dense et très chargé de feuilles, qui sont entières, assez longues, plus larges à la base qu’à l’extrémité et d’une couleur blonde ou jaunâtre très particulière. »

Pour les archives. Selon l’édition, de 1883, de l’ouvrage «  Les Plantes Potagères », de Vilmorin-Andrieux, il existe un autre type de Chou à mille têtes dénommé Chou branchu du Poitou : « Très grande race qui se distingue du Chou cavalier en ce que la tige se divise ordinairement en un certain nombre de branches dont chacune porte de grandes feuilles à peu près semblables à celles du Chou cavalier. Quoiqu’un peu moins élevé que celui-ci, le Chou branchu du Poitou est généralement regardé comme plus productif, mais il n’est pas aussi rustique et souffre parfois de l’hiver dans les départements du Centre et du Nord. Il est originaire de la région de l’Ouest, et c’est surtout pour ce pays qu’il doit être recommandé. » Le Chou branchu du Poitou est, également, dénommé Chou d’Angers, Chou mille œils, Chou d’hiver à drageons — et, en Anglais, Thousand-headed cabbage

Ces choux branchus sont des Kales vivaces. Il en existait, au siècle passé, de très nombreuses variétés. Voir, par exemple, l’étude « Perennial kales: collection rationalization and genetic relatedness to other Brassica oleracea crop types », de 2007, qui a étudié la diversité génétique de 24 variétés de « Choux à mille têtes » — ou Kales vivaces. [65]

Brassica oleracea var. costata. Les diverses dénominations sont : chou à grosses côtes, chou Tronchuda, ou chou de Beauvais. En Anglais : Portuguese Kale. La plante ressemble à un Caulet, à tige épaisse, avec de grandes feuilles amples et flottantes et un bouquet feuillu terminal très lâche. Cette sous-espèce semble originaire du Portugal où elle est très importante dans les systèmes agricoles et jardiniers du pays — ainsi que dans ceux du nord de l’Espagne.

En compagnie d’ailleurs, de multiples autres populations de Kales Russo/Sibériens, Brassica napus var. pabularia, dénommées « Nabicol » dans le nord de l’Espagne. À noter que ce terme « Nabicol » signifie parfois chou-navet, à savoir le rutabaga, Brassica napus var. napobrassica. La situation taxonomique est même pire, car certains semenciers, sur la Toile, en parlent comme d’un Brassica campestris ou, même, comme d’un chou-rave !

Brassica oleracea var. medullosa : Il est dénommé le chou-moellier. En Anglais : Marrowstem. La plante peut atteindre deux mètres de hauteur et ses tiges sont très renflées.

Pour les archives. Selon l’édition, de 1883, de l’ouvrage « Les Plantes Potagères », de Vilmorin-Andrieux : « Grande race de chou fourrager à tige unique très forte et très grosse, renflée principalement dans ses deux tiers supérieurs et remplie d’une moelle ou chair tendre, excellente pour la nourriture des bestiaux. Les feuilles sont extrêmement grandes et amples et donnent aussi un produit considérable. La hauteur de la tige peut atteindre 1,50 m à 1,60 m avec une épaisseur de 0,08 m à 0,10 m dans la portion la plus renflée. » Un chou-moellier rouge est, également, présenté dans cet ouvrage.

«  Russian Frills ». Kale Russo-Sibérien. Brassica napus var. pabularis .
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Dénominations traditionnelles propres aux Choux frisés, Kales et autres Caulets

Le Kale, en Écosse, était une espèce fondamentale dans l’alimentation quotidienne — tout comme pour de nombreux Peuples de par le monde… et tout comme cela le fut tant pour les civilisations européennes — celtiques et russo/sibériennes — pendant de nombreux millénaires.

à ce point que le verbe « to Kale », dans les terres écossaises, signifiait « inviter à dîner ».

Il en était de même en Angleterre. En effet, il y fallut attendre le 14e siècle pour que les termes « caboche » et « cabache » entrent dans le langage commun — ce qui veut dire que les seuls choux consommés, auparavant, étaient les choux sans tête — acephala pour les experts.

Les choux frisés ont eu pendant longtemps, il est vrai, une fort mauvaise réputation de digestion ardue, mais ne serait-ce pas plutôt l’épicier du quartier qui digérait mal de voir les choux frisés prospérer dans les jardins d’antan — malgré tous les grands froids — et conférer une générosité nutritionnelle sans pareil… À moins que ce ne fût l’industrie pharmaceutique qui voyait d’un très mauvais œil une telle panacée universelle.

Et en parlant de réputation, c’est Oberon Sinclair, la fondatrice de My Young Auntie PR à New York, qui, de toutes pièces, en a recréé une bonne pour les Kales… à la demande, publicitaire, de l’AKA, l’American Kale Association — aux USA, en 2013.

« To make kale look cool… et kaléidoscopique » – sans l’arc-en-ciel, nonobstant, qui avait, déjà, été piraté par la mouvance des LGBT-Q-bénis.

Il semble que la civilisation celtique — qui survécut, « durablement », pendant 2700 années, sur toute l’Europe et même au-delà — ait eu une influence prépondérante sur les dénominations afférentes aux Brassicas. En effet, le terme botanique « Brassica » viendrait des termes celtiques, « Braissech », « Bresic » ou « Bresych » — signifiant chou… tout bonnement et gauloisement.

Lorsque j’étais enfant, l’aîné de onze, en Bretagne, nous mangions beaucoup de Kales, appelés « Choux frisés » — la nourriture des pauvres… ou de ceux qui, dans la Vie, prêtent attention à l’harmonisation de leurs forces vitales. D’ailleurs, cela a dû me marquer à vie… car je suis fort enclin à appeler mes enfants, et petits-enfants, « mon chou » et « mon p’tit chou » — et en écrivant cela, je prends conscience qu’il ne m’est jamais venu à l’esprit de les appeler « ma petite betterave » !

Et lorsqu’on pense aux choux, on pense, souvent, à la Bretagne célèbre pour ses choux-fleurs et ses choux/Kales — qui adorent les atmosphères tempérées. Et ce n’est pas pour rien, car…

… au siècle passé, il existait une diversité, extraordinaire, de Brassica en Bretagne — et dans l’ouest de la France plus généralement. Selon le témoignage d’Yves Hervé (INRA de Rennes), en 1985, lors du colloque sur la biodiversité légumière, ce sont 794 variétés/populations de Brassicacées — dont 300 variétés de choux-fleurs — qui ont été collectées entre 1964 et 1984, principalement dans l’ouest de la France.

Elles furent, subséquemment, éradiquées par l’imposition du marché captif des hybrides F1 très clairement manifestée au fil des Catalogues du GNIS.

Ainsi, pour les choux-fleurs — par exemple : en 1995, il y était inscrit 57 variétés en pollinisation ouverte et 40 variétés F1 contre, en 2011, 13 variétés, seulement, en pollinisation ouverte et 140 variétés F1. Ainsi, pour les choux brocolis — par exemple : dès 1997, la totalité des variétés étaient des hybrides F1. Y compris en bio ? Effectivement. Voir mes divers articles sur la « Bio Piratée » sur le blog de l’Association Kokopelli. [160]

Pour rappel, le GNIS fut le Groupement National Interprofessionnel des Semences qui est devenu, subséquemment, le SEMAE afin de se refaire une virginité après avoir attaqué et harcelé, juridiquement et médiatiquement — pendant une dizaine d’années… mais sans succès — l’Association Kokopelli dont je suis le fondateur.

Le Groupement National Interprofessionnel des Semences fut créé, en 1941, par le Maréchal Pétain, ou ses contrôleurs, afin de préparer le terrain, industriel, pour le Plan Marshall en 1947. Ce Grand Plan Technologique Agro-Industriel allait, définitivement, régler son compte à l’agriculture vivante traditionnelle de nos ancêtres en promouvant une agriculture de guerre : les fertilisants étant issus des recherches sur la synthèse de différents explosifs à base d’ammoniaque (Fritz Haber) ; les pesticides étant issus des gaz moutarde (Fritz Haber) ; les tracteurs étant issus des tanks de combat.

Au-delà de la Bretagne — en tant que vestige du Celtisme détruit par la bourgeoisie parisienne… celle qui prétend avoir fomenté une révolution populaire en 1789 — les deux types de choux présents en Europe du Nord ont été caractérisés par deux types de dénominations.

Les choux sans tête sont diversement nommés « Kale (en Écosse), « Kaal » (en Norvège), « Kohl » (en Suède), « Kol » (en Espagne), « Kole » (en Angleterre), « Collard » (en France), « Caulis » (en latin), « Kelum » (en perse) et « Kaulion » (en grec)… — tous termes corrélés à la racine gréco-celtico-germanique « Caul » signifiant « tige ».

Le terme anglais Kale (prononcer « Keil ») est, donc, réellement, à l’origine, un terme générique — qui veut tout simplement désigner un chou ne pommant pas.

Quant aux choux avec tête — qui pomment — ils sont diversement nommés « Cabus » ou « Caboche » (en France), « Cabbage » (en Angleterre), « Kopi » (en Inde), « Kopf Kohl » (en Allemagne), « Kaposta » (en Tartarie), « Kopee » (au Bengale)… — tous termes corrélés à la racine slavo-celtique « Cap » ou « Kap » signifiant « tête ».

Le verbe anglais, « to head », « têter », pour désigner les variétés de choux, ou de laitues, qui « pomment » semble plus adapté… car de nombreux choux « pommant » n’ont, strictement, pas la forme de pomme. Voir par exemple le Chou cabus « Pointu de Châteaurenard » — en semences chez Kokopelli.

De plus, il est vraisemblable que le troisième type de dénominations utilisé pour les choux, « Kraut » (en Allemagne), « Chou-croute » (en France), « Karumb » (en Arabe) soit corrélé à la racine gréco-germanique « Krámbe ».

C’est de ce terme « Krámbe » que dérive le nom « Crambe » donné à un autre genre de la famille des Brassicacées, un genre contenant une vingtaine d’espèces, dont le Crambé maritime.

«  Bear Necessities » . Kale Russo-Sibérien. Brassica napus var. pabularis .
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Propriétés anti-carcinogéniques, chimioprotectrices, et antioxydantes des Kales, des espèces de Brassica et des Brassicacées.

Plusieurs études épidémiologiques, sur l’homme, ont mis en valeur qu’une consommation élevée d’aliments du genre Brassica est inversement liée au risque de cancer, avec un effet chimioprotecteur particulier à l’encontre des cancers des poumons, de l’estomac, du colon et du rectum.

Voir, par exemple, « Brassicaceae: a rich source of health improving phytochemicals ». Avato et Argentieri, 2015. [13]

Au sein des Brassica, les Choux frisés/Kales se caractérisent par leur haute teneur en antioxydants, en anti-inflammatoires et en nutriments anti-cancer.

Les Kales possèdent des qualités antioxydantes, anti-carcinogéniques, anti-ulcérogéniques, anti-génotoxiques, anti-inflammatoires, cardioprotectrices et gastro-protectrices. [53] [55] [58]

Les Choux frisés et Kales ont été utilisés, également, pour traiter les troubles osseux, le diabète, les problèmes de vision, les maladies du foie et l’obésité.

Ainsi, diverses recherches ont mis en valeur que dans la famille des Brassicacées, ce sont les Choux frisés/Kales qui contiennent la plus grande quantité de divers polyphénols.

En effet, les Kales présentent la capacité antioxydante la plus élevée par rapport aux choux de Bruxelles, aux fleurs du chou brocoli, aux choux-fleurs et aux choux pommés.

Et ce n’est peut-être pas une coïncidence si, chez les espèces de Brassica oleracea, ce sont les Kales qui sont le plus résistants à la salinité — une plaie induite par les pratiques de l’agriculture moderne industrielle et toxique. [166]

Les Choux frisés/Kales figurent parmi les détoxifiants les plus puissants, de l’alimentation humaine, de par leur très grande capacité à impacter les processus épigénétiques — à savoir, leur très grande propension à faire évoluer la configuration génomique humaine afin de déclencher plus rapidement une élimination des substances cancérigènes de l’organisme.

Dans la Vie, ce sont, en particulier, les processus d’évolution épigénétiques qui font déprimer les propagandistes de la secte du néo-darwinisme — qui est aveugle, aléatoire et non intentionnée — par essence !!

En outre, les Choux frisés/Kales représentent la source alimentaire potentielle la plus pertinente du système glucobrassicine/indole-3-carbinol — aux capacités très réputées de protection à l’encontre du développement du cancer et d’autres pathologies des systèmes immunitaires et hormonaux.

Les Choux frisés/Kales seraient donc au pinacle de la Famille des Brassicacées dans la lutte à l’encontre de l’oxydation, de la mutagénisation, de la cancérisation… Et de la Chimérisation ? Et de la Graphénisation ?

Il existe quelques études sur les propriétés anti-carcinogéniques, et antioxydantes, des Kales, mais il en existe une pléthore d’autres portant sur les mêmes propriétés anti-carcinogéniques, et antioxydantes, des Choux du genre Brassica — ou des Brassicacées, plus généralement.

Par exemple, en voici une sélection portant sur les propriétés anti-carcinogéniques et antioxydantes des Kales :

Une étude, de 2006, a analysé les composants actifs d’une variété de Kale, de 10 variétés de choux pomme et de 10 variétés de choux-fleurs. Selon ses conclusions :

La capacité antioxydante totale était de 0,76 µmol/g, en poids frais, (moyenne) dans les extraits hydrosolubles et de 0,32 µmol/g, en poids frais, dans les extraits insolubles dans l’eau du chou-fleur, ce qui était 62-68 % plus élevé que dans le chou pommé. Le Kale contenait 6,4 et 6,1 µmol/g, en poids frais, de capacité antioxydante totale dans les extraits solubles et insolubles dans l’eau.

À savoir que dans cette étude, l’unique Kale contenait de 9 à 20 fois plus de capacité antioxydante que les choux-fleurs — qui en contenaient, eux-mêmes, de 62 à 68 % de plus que les choux pommés.

Selon l’étude, de 2007, “Tronchuda cabbage ( Brassica oleracea var. costata ) seeds: Phytochemical characterization and antioxidant potential”, [85] les graines de Chou Kale Tronchuda possèdent un fort potentiel antioxydant. Elles contiennent de très nombreux composés phénoliques et des acides organiques — aconitique, citrique, ascorbique, malique, quinique, shikimique et fumarique. Quant à la composition phénolique des feuilles de Chou Kale Tronchuda, il est à noter que les feuilles externes se caractérisent par la présence de glycosides de flavonol complexes tandis que les feuilles internes présentent à la fois des glycosides de flavonol et des dérivés d’acide hydroxycinnamique. [38]

Une étude de 2006 a identifié 43 % d’acide citrique et 28 % d’acides malique et quinique, dans les feuilles externes du Chou Kale Tronchuda, et, à parts égales, l’acide ascorbique, l’acide malique et l’acide quinique dans ses feuilles internes. [38]

“ Antiproliferative effects of fresh and thermal processed green and red cultivars of curly kale ( Brassica oleracea convar. acephala var. sabellica )/Effets antiprolifératifs des cultivars verts et rouges de chou frisé ( Brassica oleracea convar. acephala var. sabellica ) frais et traités thermiquement”. [62] « Antiproliferative Effect of Bioaccessible Fractions of Four Brassicaceae Microgreens on Human Colon Cancer Cells Linked to Their Phytochemical Composition/Effet antiprolifératif de fractions bioaccessibles de quatre micro-arbres de Brassicaceae sur des cellules cancéreuses du côlon humain , lié à leur composition phytochimique ». Les Brassicacées étaient kale, brocoli, moutarde et radis. [64]

« A napin-like polypeptide with translation-inhibitory, trypsin-inhibitory, antiproliferative and antibacterial activities from kale seeds/Polypeptide de type napine ayant des activités inhibitrices de la traduction, inhibitrices de la trypsine, antiprolifératives et antibactériennes provenant des graines de chou frisé ». En sus de leurs qualités anti-leucémiques, ces semences de Kale possédaient une activité antibactérienne à l’encontre d’espèces de bactéries des genres Bacillus, Megabacterium et Pseudomonas. [70]

« Nrf2 antioxidant pathway and apoptosis induction and inhibition of NF-κB-mediated inflammatory response in human prostate cancer PC3 cells by Brassica oleracea var. acephala : An in vitro study/Voie antioxydante Nrf2, induction de l’apoptose et inhibition de la réponse inflammatoire médiée par NF-κB dans les cellules humaines PC3 du cancer de la prostate par Brassica oleracea var. acephala : une étude in vitro ».

Le pollen de Brassica napus — donc des Kales Russo/Sibériens — exercerait des effets anticancéreux sur les cellules cancéreuses de la prostate [ 91 ].

Une étude, de 2013, [56] a mis en exergue, plus particulièrement, les capacités antioxydantes du Kale noir de Toscane.

Une étude, de 2008, a analysé les qualités antibactériennes et antioxydantes d’une population de Kales (feuilles et semences) de la région de Trabzon en Turquie. [48]

Selon leurs conclusions. Les acides caféique, sinapique et férulique étaient les plus abondants. Ces Kales étaient antibactériens à l’encontre de Staphylococcus aureus, Enterococcus faecalis, Bacillus subtilis, et très fortement, Moraxella catarrhalis.

Il existe, surtout, une foultitude d’études pharmacologiques sur les activités anti-prolifératives, anti-carcinogéniques, anti-mutagéniques, antioxydante… des principaux composés des Kales — et, au-delà des Kales, des espèces du genre Brassica et, en fait, de toute la famille des Brassicacées.

À savoir, portant sur leurs Glucosinolates et sur leurs produits d’hydrolyse… et, en particulier, portant sur le sulforaphane qui constitue le composé anticancéreux le plus puissant des espèces potagères du genre Brassica.

Il existe, par exemple, une abondance de sulforaphane dans les semences du Kale noir de Toscane. Selon une étude, de 2014, la farine de ses graines dégraissées contenait 5,1 % (en poids frais) de glucoraphanine, son précurseur. [19]

«  Variegated ». Caulet originaire du sud-est des USA. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Propriétés anti-carcinogéniques, chimioprotectrices, et antioxydantes des Glucosinolates des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Les glucosinolates constituent un vaste groupe de métabolites végétaux secondaires anioniques, hydrophiles et contenant du soufre, qui contribuent de manière significative à la saveur épicée, et à l’amertume, des légumes du genre Brassica. Ils sont dérivés du glucose et des acides aminés.

Plus de 130 glucosinolates ont été décrits, à ce jour, principalement dans la Famille des Brassicacées — mais, également, dans la Famille des Capparidacées, la Famille des Caricacées, la Famille des Moringacées et la Famille des Resedacées — toutes familles de l’Ordre des Brassicales.

Les glucosinolates sont dérivés de huit acides aminés — tryptophane, leucine, isoleucine, méthionine, alanine, valine, phénylalanine et tyrosine — et ils peuvent être regroupés en glucosinolates aliphatiques, aromatiques et indoliques en fonction des acides aminés à partir desquels ils sont biosynthétisés.

Les glucosinolates aliphatiques sont dérivés, en grande partie, de la méthionine, mais, également, de l’alanine, de l’isoleucine, de la leucine et de la valine.

Les glucosinolates aromatiques/benzéniques sont dérivés de la phénylalanine et de la tyrosine.

Les glucosinolates indoliques sont dérivés du tryptophane.

Une vingtaine de glucosinolates sont prédominants dans le genre Brassica dont :

des glucosinolates aliphatiques : la glucoibérine, la glucolépidiine, la progoitrine, l’épiprogoitrine, la sinigrine, la glucoraphanine, la glucoraphénine, la gluconapine, la sinalbine, la glucobarbarine, la glucoérucine et la glucobrassicanapine.

des glucosinolates aromatiques/benzéniques : la gluconasturtiine, la glucotropaeoline et la glucomoringine.

des glucosinolates indoliques : la glucobrassicine, la néoglucobrassicine, la 1-hydroxy-3-indoylmethyl, la 4-méthoxyglucobrassicine et la 4-hydroxyglucobrassicine.

Une partie de ces glucosinolates sont prédominants chez les Kales :

des glucosinolates aliphatiques : la glucoérucine, la glucoraphanine, la progoitrine, la gluconapine, la glucoibérine et la glucobrassicanapine.

des glucosinolates aromatiques/benzéniques : la gluconasturtiine.

des glucosinolates indoliques : la glucobrassicine, la néoglucobrassicine, la 1-hydroxy-3-indoylmethyl, la 4-méthoxyglucobrassicine et la 4-hydroxyglucobrassicine.

Les glucosinolates représentent les composés phytochimiques les plus caractéristiques des choux du genre Brassica. Ils sont réputés — ainsi que leurs produits de dégradation — pour leurs propriétés antifongiques, antibactériennes et, surtout, antioxydantes et anti-carcinogéniques. [71] [76] [79] [97] [98]

Et cela fait très longtemps que nos ancêtres, proches et lointains, ont pu bénéficier des qualités extrêmement thérapeutiques des Glucosinolates, car, selon des recherches récentes, [131] l’émergence des glucosinolates indoliques, les plus antiques, date d’une période du Crétacé supérieur (entre 85 et 92,2 millions d’années).

D’ailleurs, sans remonter aussi loin, et pour la petite histoire, Isatis tinctoria, le Pastel des Teinturiers, a été validé, pharmacologiquement, comme contenant 20 fois plus de glucobrassicine que les brocolis. En fait, Isatis tinctoria contient les 3 glucosinolates indoliques suivants : glucobrassicine, néo-glucobrassicine et sulfo-glucobrassicine. [72] [73] [96] [99] Isatis canescens est, également, une source riche en glucobrassicine. [84]

Isatis tinctoria est une Plante Médicinale Maîtresse (depuis des millénaires) dans la Pharmacopée Traditionnelle Chinoise. En effet, Isatis tinctoria/Isatis indigotica entre dans la composition d’une centaine de complexes. Isatis tinctoria est, également, une teinture bleue de guerre chez les Celtes — en attente d’un retour en grâce lors de la Grande Réinitialisation, terminale, des globalistes.

Il est à noter que l’attaque des tissus végétaux des feuilles, par des prédateurs (tels que les limaces et les chenilles), induit une augmentation de la teneur en glucosinolates aliphatiques — à savoir de la gluconapine, de la progoitrine et de la glucoraphanine… dont la mission est défendre les plantes contre les animaux.

Ainsi, l’une des études suivantes donne l’exemple de deux plantes de Kales italiens dont l’une était affectée par des herbivores. Les niveaux de glucosinolates, dans la plante affectée, étaient beaucoup plus élevés. Les voici, respectivement, pour le Kale non affecté et le Kale affecté — en mg/100 g. Gluconasturtiine : 0,010,18. Glucoraphanine : 9,966,9. Progoitrine : 0,010,06. Glucobrassicine : 28,962,4).

Il est à noter, également, que lorsque les Brassicas sont cuits avant d’être consommés, la myrosinase est inactivée et les glucosinolates transitent vers le côlon où ils sont hydrolysés par le microbiote intestinal.

Une étude, de 2021 — portant sur cinq espèces végétales appartenant à la famille des Brassicaceae : Brassica rapa, Brassica oleracea, Brassica carinata, Eruca vesicaria et Sinapis alba — a montré que plus de 30 % des glucosinolates initialement présents dans les feuilles de ces espèces végétales seraient capables d’atteindre les entérocytes humains, résistant ainsi aux processus de dégradation des enzymes digestives, y compris leur propre enzyme myrosinase. Dans cette étude, les pourcentages de bioaccessibilité les plus élevés correspondaient aux glucosinolates indoliques tels que la glucobrassicine (70 %) et la néoglucobrassicine (environ 56 %), suivis par les glucosinolates aliphatiques tels que la progoitrine (49 %) et la sinigrine (32-43 %). Les pourcentages de bioaccessibilité les plus faibles correspondaient aux glucosinolates aromatiques, avec un pourcentage de 25 % pour la sinalbine. [86]

Ainsi, selon cette étude, ce sont les variétés de Kales caractérisées par un fort pourcentage de glucosinolates, sous forme de glucobrassicine — et, donc, d’indole-3 carbinol — qui auraient le plus de chances d’accéder aux cellules de l’épithélium intestinal, les entérocytes.

Selon la présentation de l’étude, de 2016, « Bioavailability of Glucosinolates and Their Breakdown Products: Impact of Processing/Biodisponibilité des glucosinolates et de leurs produits de dégradation : Impact de la transformation » [87]   :

Après ingestion, les glucosinolates peuvent être partiellement absorbés sous leur forme intacte à travers la muqueuse gastro-intestinale. Cependant, la plus grande partie est métabolisée dans la lumière de l’intestin. Lorsque les Brassica sont consommés sans transformation, l’enzyme myrosinase, présente dans ces plantes, hydrolyse les glucosinolates dans la partie proximale du tractus gastro-intestinal en divers métabolites, tels que les isothiocyanates, les nitriles, les oxazolidine-2-thiones et les indole-3-carbinols.

L’étude, de 2016, « Assessing the Fate and Bioavailability of Glucosinolates in Kale (Brassica oleracea) Using Simulated Human Digestion and Caco‑2 Cell Uptake Models » a caractérisé les glucosinolates, et leurs produits d’hydrolyse, dans les digesta gastriques et intestinaux frais, et in vitro, de chou Palmier ( Brassica oleracea convar. acephala var. palmifolia ). [163] Selon ses conclusions.

Dans le chou frisé frais, la glucoraphanine, la sinigrine, la gluconapine, la gluconasturtiine, la glucoérucine, la glucobrassicine et la 4-méthoxylglucobrassicine ont été identifiées. Après 120 minutes de digestion gastrique, les niveaux de glucoraphanine, de sinigrine et de gluconapine ont diminué, et aucune glucoérucine ou glucobrassicine n’a été détectée.

Cependant, une augmentation concomitante des produits d’hydrolyse des glucosinolates, à savoir le nitrile d’allyle, l’isothiocyanate de 3-butényle, le phénylacétonitrile et le sulforaphane, a été observée. Cette tendance s’est poursuivie tout au long de la digestion intestinale. Après 120 minutes, les niveaux de nitrile d’allyle, d’isothiocyanate de 3-butényle, de phénylacétonitrile et de sulforaphane étaient respectivement de 88,19 ± 5,85, 222,15 ± 30,26, 129,17 ± 17,57 et 13,71 ± 0,62 pmol/g de poids frais. Les digesta intestinaux ont ensuite été appliqués à des monocouches de cellules Caco-2 pour évaluer la biodisponibilité. Après 6 heures d’incubation, aucun glucosinolate n’a été détecté et le pourcentage d’absorption cellulaire totale des produits d’hydrolyse des glucosinolates variait de 29,35 % (sulforaphane) à 46,60 % (nitrile d’allyle).

Une étude, de juillet 2023, « A Cold Case—Glucosinolate Levels in Kale Cultivars Are Differently Influenced by Cold Temperatures » a analysé l’effet du refroidissement sur la diversité des glucosinolates et, par conséquent, en même temps, sur la saveur de variétés de choux frisé génétiquement différents. Selon ses conclusions. [109]

Nous avons ciblé l’impact à court terme (après 12 heures) sur les glucosinolates ainsi que l’effet à plus long terme (après sept jours) de l’acclimatation au froid. Nos résultats ont révélé des schémas moléculaires différents en ce qui concerne le changement des glucosinolates dans le type sauvage par rapport au chou frisé et au chou frisé de type Lacinato. Dans ces derniers, les glucosinolates aliphatiques primaires ont été induits — la glucoraphanine dans le chou frisé Lacinato a augmenté de plus de 200 %. La glucobrassicine indole n’a pas été significativement affectée. Inversement, chez le type sauvage, l’indole glucobrassicine a été réduite de 35 % après l’acclimatation au froid, tandis que les glucosinolates aliphatiques ont été à peine affectés. Les résultats indiquent que les facteurs génétiques et environnementaux sont importants pour la composition des glucosinolates du chou frisé. En conclusion, pour obtenir des plantes ayant une meilleure valeur nutritionnelle, il est crucial de tenir compte à la fois de la température et du choix du cultivar pendant la culture du chou frisé.

Ce qui signifie que des Choux frisés/Kales qui auront gelé, dans le champ ou dans le jardin, n’auront pas les mêmes qualités nutritionnelles et médicinales que ceux qui n’auront pas gelé.

«  Variegated ». Caulet originaire du sud-est des USA. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Voici, maintenant, une série d’études portant, principalement, sur la caractérisation des glucosinolates dans des variétés de Choux frisés/Kales — ou autres Brassicacées.

Cette caractérisation des glucosinolates n’est pas des plus aisées, car elle peut varier, énormément, selon les espèces de Brassica ; selon les sous-espèces, variétés et populations au sein d’une même espèce ; et, qui plus est, selon les plantes mêmes.

De plus d’un point de vue commercial, il existe de multiples variétés de « Romanesco » — hybrides F1 ou en pollinisation ouverte — ou de « Noir de Toscane ». Tout dépend de la souche, à savoir de l’obtenteur, de l’améliorateur, du reproducteur… et, bien évidemment, des conditions pédo-atmosphériques de culture en sol — saison, température, lumière, nature des sols, hygrométrie, phases de croissance, phases de récolte, conservation…

C’est sans évoquer, de plus, les synonymes — et, parfois, les terminologies fantaisistes — dans les noms de variétés. Ainsi, l’une des études suivantes évoque deux variétés de Kales italiens, « Noir de Toscane » et « Palmizio Senza Testa »… qui sont identiques.

Selon une étude, de 2012, il n’y aurait pas — ou seulement des traces — de glucoraphanine, le précurseur du sulforaphane, dans la plupart des espèces potagères et oléagineuses de Brassica napus — de même que dans Brassica rapa et dans Brassica juncea . [133] Cette étude, d’ailleurs, portait sur la chimérisation de Brassica napus — en désactivant certains gènes — afin de réduire le taux de progoitrine de 65 % et d’augmenter le taux de glucoraphanine.

Rien n’est simple, car, selon une autre étude de 2018, « Targeted Metabolomic and Transcriptomic Analyses of “Red Russian” Kale ( Brassicae napus var. pabularia ) Following Methyl Jasmonate Treatment and Larval Infestation by the Cabbage Looper ( Trichoplusia ni Hübner) » [169] , les glucosinolates aliphatiques sont bien présents dans les Kales russo/sibériens, dont la gluconapine, la progoitrine et la glucoraphanine — et, donc, il en est de même avec le sulforaphane lorsque les plantes sont grignotées par des insectes.

En conclusion : la glucoraphanine est présente, uniquement, sous de fortes proportions, dans l’espèce Brassica oleracea — donc, dans les divers types de Choux frisés/Kales de cette espèce. Par contre, la glucoraphanine est absente des Choux frisés/Kales de Brassica napus var. pabularis.

Il est à noter que, selon certaines études, les niveaux de glucoraphanine, dans certaines variétés de choux frisés/Kales, de Brassica oleracea, peuvent être jusqu’à 10 fois supérieurs à ceux d’un brocoli moyen — qui constitue, aujourd’hui, l’étalon en ce qui concerne l’accès alimentaire à la glucoraphanine.

Selon une autre étude, de 2017, portant sur la chimérisation de Brassica rapa , « Enriching Glucoraphanin in Brassica rapa Through Replacement of BrAOP2.2/ BrAOP2.3 with Non-functional Genes », aucune des variétés de Brassica rapa ne contient de grandes quantités [142] d e glucoraphanine puisque celle qui est présente est convertie en gluconapine par trois gènes  BrAOP2 fonctionnels — et, ensuite, en 3-butényl isothiocyanate.

Une étude plus récente, de février 2023, avait pour objectif, également, de chimériser Brassica napus (colza) — par une mutagenèse dite aléatoire des gènes BnMYB28 et BnCYP79F1 — afin d’en diminuer le taux de glucosinolates. [130] Tout va bien ?

La sinigrine est, également, absente de Brassica napus et de Brassica rapa alors qu’il s’en trouve des concentrations élevées [ 168] dans Brassica nigra, Brassica juncea var. rugosa (feuilles de moutarde) et Brassica oleracea (choux de Bruxelles, choux pommés, choux-fleurs et brocolis chinois). [170]

En conclusion la sinigrine est absente des Choux frisés/Kales de Brassica napus var. pabularis.

Une étude, d’avril 2023, a identifié les glucosinolates et les isothiocyanates, par spectroscopie infrarouge, présents dans diverses Brassicacées : brocoli, chou frisé/Kale, roquette, chou, choux de Bruxelles, moutarde brune, colza…. et le tabouret des champs. [144] Selon ses conclusions pour le Kale :

La teneur en glucosinolates du chou frisé/Kale peut être affectée par les facteurs environnementaux du cultivar (par exemple la température, l’humidité relative et la concentration de dioxyde de carbone), le stade phénologique de la récolte et le degré de dommages causés par les insectes pendant la phase de croissance ainsi que par la nature du cultivar.

Sa teneur totale en glucosinolates peut varier de 2 à 100 µmol/g de poids sec ou de 17 à 345 mg/100 g de poids frais — mettant en exergue une forte variation avec un ratio pouvant atteindre de 1 à 50.

Une étude, de 2021, a réalisé, de même, la caractérisation des glucosinolates dans 80 génotypes de brocolis — à savoir, dans leurs différents organes. [41] Selon leurs conclusions : Dans 80 génotypes, douze glucosinolates ont été trouvés dans les fleurettes de brocoli, allant de 0,467 à 57,156 µmol/g en poids sec, la teneur en glucosinolates la plus élevée étant environ 122 fois plus élevée que la valeur la plus faible . La racine contenait 43 % des glucosinolates totaux dans 80 génotypes, et la glucoraphanine représentait 29 % de la teneur totale en glucosinolates dans différents organes.

Une étude, de 2008, a étudié les glucosinolates dans 101 génotypes de Choux frisés/Kales de la région de la Mer Noire, en Turquie, à deux stades différents du développement de la plante — début et fin. [44]

Selon ses conclusions. La glucobrassicine était le glucosinolate le plus abondant , suivi par la glucoraphanine, la sinigrine et la glucoibérine à des niveaux beaucoup plus faibles. La quantité d’aliphatiques et d’indoles totaux était significativement plus élevée lorsque les plantes étaient pleinement matures par rapport au stade de développement précoce. Les résultats indiquent que ces génotypes, de la Mer Noire, synthétisent davantage d’indoles que d’aliphatiques, dont les propriétés anticancérigènes ont également été mises en évidence.

Une étude, de 2008, a analysé la variation saisonnière de la teneur en glucosinolates dans les cultures de Brassica oleracea cultivées dans le nord-ouest de l’Espagne — à savoir dans 153 variétés de Kales , 26 variétés de choux pommés, et 3 variétés de Chou Portugais Tronchuda. [47]

Selon ses conclusions. La sinigrine, la glucoibérine et la glucobrassicine furent les principaux glucosinolates trouvés dans les Kales du nord-ouest de l’Espagne. La glucoibérine était le glucosinolate le plus courant dans les choux Tronchuda au cours des deux saisons de plantation et dans les choux semés à l’automne, tandis que la glucobrassicine et la glucoibérine étaient les glucosinolates les plus courants dans les choux pommés de printemps. Dans les Kales, la teneur totale en glucosinolates variait de 11 à 53 μmol -1, avec une valeur moyenne de 26,3 μmol -1 . Quatre variétés de Kales présentaient les teneurs totales en sinigrine ou en glucobrassicine les plus élevées.

Une étude, de 2008, a analysé la valeur agricole et nutritionnelle d’une collection de Kales galiciens (de Brassica oleracea ) à savoir 60 variétés/populations locales et 4 variétés commerciales.

Une collection de 250 populations de Brassica oleracea est conservée à la Misión Biológica de Galicia. Les variétés de Kales galiciens constituent, de loin, la culture de Brassica oleracea la mieux représentée… avec 214 accessions

Deux populations locales de Kales galiciens (de Brassica oleracea ) — MBG-BRS0468 et MBG-BRS0476 — se sont distinguées par leur production de biomasse (1,326 kg et 1,184 kg) et par leur vigueur précoce leur permettant de ne pas se laisser subjuguer par les adventices très abondantes dans la Galicie humide. [46]

Les Kales galiciens possèdent une forte teneur en calcium et en potassium : beaucoup plus que le brocoli, le chou-fleur, le chou de Bruxelles, le chou frisé, le chou rouge, le chou pomme et le chou de Savoie, le chou de Bruxelles, d’autres choux frisés — mais, encore, moins que les Choux portugais Tronchuda.

Ces deux populations locales se caractérisaient, également, par 18 % de protéines (matière sèche)…

ainsi que par une forte teneur en glucosinolates. La sinigrine représentait en moyenne 34 % de la teneur totale en glucosinolates, suivie de la glucoibérine (28 %) et de la glucobrassicine (25 %).

Une étude, de 2004, a analysé la composition en glucosinolates de 7 variétés de choux (dits) ornementaux et de 6 variétés de choux frisés/Kales (dits) ornementaux (de Brassica oleracea) . Selon leurs conclusions : quinze glucosinolates ont été détectés à des concentrations variables, mais seulement quatre (progoitrine, sinigrine, glucoraphanine et glucobrassicine) ont été trouvés à des concentrations supérieures à 0,5 μmol g-1 de poids sec. En général, les glucosinolates totaux du chou d’ornement étaient environ 35 % plus élevés que ceux du chou frisé d’ornement. Dans le chou frisé, la concentration totale en glucosinolates était la plus élevée (17,16 μmol g-1 poids sec) dans « Coral Prince » et la plus faible (6,8 μmol g-1 poids sec) dans « Sparrow White ». [50]

En conclusion. Les cultivars de chou frisé ornemental contenaient à peu près les mêmes concentrations de glucoraphanine, de sinigrine et de glucobrassicine, à l’exception de « Coral Prince » qui contenait de trois à neuf fois plus de glucoraphanine que les cinq autres cultivars de chou frisé.

Une étude, de 2007, « Variation of glucosinolates and nutritional value in nabicol ( Brassica napus pabularia group) » [165] , a étudié la composition en glucosinolates de 36 variétés de Nabicol — à savoir de Choux Kales Russo/Sibériens — dans le nord-ouest de l’Espagne. Selon ses conclusions.

Huit glucosinolates ont été identifiés, les glucosinolates aliphatiques, la glucobrassicanapine, la progoitrine et la gluconapine étant les plus abondants. La composition des glucosinolates varie d’un endroit à l’autre, bien que le schéma des glucosinolates ne soit pas influencé de manière significative. La teneur totale en glucosinolates variait de 1,4 μmol g-1 à 41,0 μmol g-1 dw à un endroit et de 1,2 μmol g-1 à 7,6 μmol g-1 dw à l’autre endroit. L’analyse sensorielle comparant l’amertume et la saveur avec la variation des concentrations en glucosinolates, gluconapine, progoitrine et glucobrassicanapine a suggéré que d’autres substances phytochimiques sont probablement impliquées dans la saveur caractéristique.

Une étude, de 2016, « The diversity of Kale ( Brassica oleracea var. sabellic a): Glucosinolate content and phylogenetic relationships » [59] , a étudié la composition en cinq glucosinolates — gluconapine, progoitrine, glucoraphanine, gluconasturtiine et glucobrassicine — de 25 variétés de Kales ( Brassica oleracea var. sabellica ) et de 11 variétés de Brassica oleracea non-Kales.

Chez une variété de « Romanesco » : pas, ou quasiment de gluconapine, de gluconasturtiine et de progoitrine ; peu de glucobrassicine ; maximum de glucoraphanine.

Chez la variété « Vates » de Caulet du sud-est des USA : pas, ou quasiment de glucobrassicine et de glucoraphanine ; peu de gluconasturtiine ; peu ou beaucoup de progoitrine (en fonction des deux plantes) ; beaucoup de gluconapine.

Chez la variété « Noir de Toscane » de Kales italiens : peu de glucobrassicine ; moyennement ou beaucoup (en fonction des deux plantes) de glucoraphanine ; pas du tout de gluconasturtiine, de progoitrine et de gluconapine.

Parmi les quatre variétés de Caulet, du sud-est des USA, analysés — « Georgia Southern », « Champion », « Vates » et « Morris Heading » — les trois premières possèdent un fort ratio de progoitrine et de gluconapine.

Voici, pour terminer cette section — et pour mettre en exergue, de nouveau, les extrêmes variations dans leurs ratios — deux études portant sur l’extrême diversité de la composition en glucosinolates dans des choux pommés et dans des brocolis.

L’étude de 2020, « Profiling of Individual Desulfo-Glucosinolate Content in Cabbage Head ( Brassica oleracea var. capitata ) Germplasm », [127] a identifié les glucosinolates présents dans 146 variétés de choux pommés — dont 16 de couleur rouge. Selon ses conclusions :

Sept glucosinolates aliphatiques (la glucoibérine, la progoitrine, l’épi-progoitrine, la sinigrine, glucoraphanine, la glucoérucine et la gluconapine), un glucosinolate aromatique (gluconasturtiine) et quatre glucosinolates indoliques (glucobrassicine, 4-hydroxyglucobrassicine, 4-méthoxyglucobrassicine, et néoglucobrassicine) ont été identifiés dans cette étude. Des variations significatives ont été observées dans la teneur individuelle en glucosinolates et dans chaque classe de glucosinolates parmi les génotypes de choux. Les glucosinolates aliphatiques étaient prédominants (58,5 %) parmi les glucosinolates totaux, suivis par les glucosinolates indoliques (40,7 %) et les glucosinolates aromatiques (0,8 %), avec des coefficients de variation de 46,4, 51,2 et 137,8 %, respectivement. La glucoibérine, la glucobrassicine et la néoglucobrassicine sont les glucosinolates les plus courants dans tous les génotypes. La glucobrassicine constituait le glucosinolate le plus dominant, avec une valeur moyenne de 3,91 µmol g-1 (0,79 à 13,14 µmol g-1). La sinigrine, la glucoibérine, la progoitrine et la glucoraphanine constituaient les autres glucosinolates les plus importants, avec des valeurs moyennes de 3,45, 1,50, 0,77 et 0,62 µmol g-1, respectivement.

L’étude, de 2019, « Natural Variation of Glucosinolates and Their Breakdown Products in Broccoli (Brassica oleracea var. italica ) Seeds » [137] a analysé les glucosinolates présents dans les semences de 32 lignées pures et de 6 cultivars commerciaux de brocoli ( Brassica oleracea var. italica ) cultivés en Chine — à savoir 6 variétés F1, dotées de stérilité mâle cytoplasmique, 5 double-haploïdes et 27 lignées consanguines. Selon ses conclusions :

La teneur en glucosinolates aliphatiques était de 54,5 à 218,7 μmol/g de poids frais [à savoir un ratio de 1 à 4 en fonction des cultivars] représentant plus de 90 % des glucosinolates totaux. Les principaux glucosinolates trouvés, dans les semences, furent, ainsi, la glucoraphanine et la glucoérucine dans 27 échantillons et la progoitrine dans 7 échantillons. Nonobstant, ainsi que les chercheurs le précisent : « L es glucosinolates aliphatiques s’accumulent dans les graines de Brassicacées, probablement comme défense contre les herbivores ou les pathogènes, et diminuent considérablement après la germination pour fournir des nutriments (soufre et nitrate). »

«  Georgia » et « Champion ». Caulets originaires du sud-est des USA. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Je vais, maintenant, aborder la caractérisation des activités anti-carcinogéniques, chimioprotectrices, et antioxydantes des glucosinolates dans des variétés de Choux frisés/Kales — ou autres Brassicacées.

En fait, ce sont certains produits de dégradation et d’hydrolyse des glucosinolates — à savoir, les isothiocyanates, les thiocyanates, les nitriles, les épithionitriles, les amines [108] — qui sont considérés comme responsables des effets protecteurs contre la cancérogenèse de par leurs propriétés antioxydantes, chimiopréventives et anti-carcinogéniques.

Une enzyme végétale, la myrosinase, est indispensable aux processus de dégradation et d’hydrolyse des glucosinolates. Lorsque les tissus végétaux sont endommagés mécaniquement, infectés par des agents pathogènes ou attaqués par des insectes, les glucosinolates et la myrosinase se lient directement. Les glucosinolates sont ensuite hydrolysés en une partie aglycone, en glucose et en sulfate. [150]

Ces isothiocyanates comprennent : le sulforaphane dont le précurseur est la glucoraphanine ; l’ibérine dont le précurseur est la glucoibérine ; l’isothiocyanate de phénéthyle dont le précurseur est la gluconasturtiine ; l’isothiocyanate de benzyle dont le précurseur est la glucotropaeoline ; le 3-butényl isothiocyanate dont le précurseur est la gluconapine ; et l’isothiocyanate d’allyle dont le précurseur est la sinigrine. Quant à l’indole-3 carbinol, et au 3,3’— Diindolylméthaneson (DIM), leur précurseur est la glucobrassicine.

Ces isothiocyanates, et l’indole-3-carbinol, se sont avérés très importants dans la prévention et le traitement de divers cancers : de la prostate, du colon, du sein, de la vessie et de l’ovaire.

Le sulforaphane est métabolisé par la voie de l’acide mercapturique et il rétablit les niveaux de glutathion cellulaire. [2] [6] [45] Le sulforaphane est présent dans le chou pommé, le chou-fleur et le chou frisé/Kale, et à des niveaux élevés dans le brocoli, en particulier dans les jeunes pousses de brocoli.

Le sulforaphane a été synthétisé en 1948, Von Schmidt et P. Karrer. Il fut isolé, Procháska et coll., en 1958, à Prague, à partir d’une espèce de cresson, Lepidium draba, la Passerage drave (appelée aussi Pain blanc ou Brocoli sauvage) [5] et, subséquemment, à partir du chou rouge eu du chou de Milan. [8] Il a été isolé, à Baltimore, à partir du brocoli, en 1992 [15] et son précurseur, la glucoraphanine, a été isolé à partir des jeunes pousses germées de brocoli en 1997. [9]

Depuis que le sulforaphane a été isolé du brocoli, pour la première fois, et que ses propriétés chimioprotectrices contre le cancer ont été démontrées chez le rat au début des années 1990, plus de 3000 publications ont décrit son efficacité (dans des modèles de maladies chez les rongeurs) et les mécanismes d’action sous-jacents.

Les propriétés curatives du sulforaphane dans les cas de cancer du sein, du col de l’utérus, de la prostate, du côlon et de l’estomac sont bien établies. Des études montrent qu’une alimentation riche en sulforaphane peut lutter contre l’Helicobacter pylori responsable des ulcères d’estomac. Le sulforaphane peut également protéger contre la fibrose kystique, la rhinite, l’asthme et d’autres troubles pulmonaires, l’arthrite, le vieillissement, l’obésité, etc.

Dans l’intestin des mammifères, le sulforaphane a montré sa capacité à induire l’expression des glutathion S-transférase et des glycosyltransférases, en renforçant l’activité du facteur Nrf2.

Selon ce que résume une étude de 1999, « Antioxidant Functions of Sulforaphane: a Potent Inducer of Phase II Detoxication Enzymes » [1]  :

« Les antioxydants indirects tels que le sulforaphane et d’autres inducteurs d’enzymes de phase II sont en fait des antioxydants très efficaces et plutôt polyvalents pour les raisons suivantes : (a) contrairement aux antioxydants directs, ils ne sont pas consommés de manière stœchiométrique pendant qu’ils exercent leurs fonctions antioxydantes ; (b) ils ont une durée d’action plus longue et il n’est pas nécessaire de maintenir en permanence des concentrations cellulaires élevées puisque les enzymes induites ont des demi-vies qui se mesurent en jours ; (c) ils soutiennent les fonctions d’importants antioxydants naturels à action directe, tels que les tocophérols et les coenzymes Q ; (d) ils renforcent la synthèse du glutathion, l’un des antioxydants directs intracellulaires les plus abondants ; et (e) ils augmentent le nombre d’enzymes capables de faire face à une grande variété de types d’oxydants. »

Selon ce que résume un ouvrage récent, de 2021, « Nutraceuticals in Brain Health and Beyond » : [146]

« La glucoraphanine est un glucosinolate que l’on trouve principalement dans les légumes crucifères, le brocoli et les pousses de brocoli. Lorsque les tissus végétaux sont endommagés, la glucoraphanine se combine à l’enzyme myrosinase pour former un isothiocyanate, le sulforaphane . Le sulforaphane est un produit de santé naturel dont les propriétés ont des effets paradoxaux. D’une part, il s’est révélé profondément protecteur de la mort cellulaire en tant qu’agent neuroprotecteur pour les maladies neurodégénératives et, d’autre part, il s’est révélé proapoptotique en tant qu’agent anticancéreux. Notre laboratoire a constaté que les pousses de brocoli et le sulforaphane étaient “protecteurs” du cerveau du fœtus dans des modèles précliniques de rongeurs souffrant d’insuffisance placentaire, d’inflammation fœtale et d’accident vasculaire cérébral périnatal.

Cependant, la recherche visant à fournir des stratégies préventives au fœtus, via la mère enceinte, est rare et difficile à entreprendre. Cela est particulièrement vrai pour les produits pharmaceutiques conventionnels, probablement en raison de la crainte des litiges. Cette étude a pour but d’examiner les différents mécanismes d’action du sulforaphane lorsqu’il est utilisé comme agent antiapoptotique ou comme agent proapoptotique dans le cadre d’un cancer. La littérature sur la santé maternelle et le sulforaphane a montré que de faibles doses de sulforaphane agissent comme un inducteur d’enzymes de phase II et favorisent les enzymes antioxydantes pour réduire le stress oxydatif, prévenant ainsi la mort cellulaire. L’examen de la littérature sur le sulforaphane en tant qu’agent anticancéreux, y compris nos propres études en culture cellulaire, montre que des doses plus élevées de sulforaphane agissent en tant qu’agents proapoptotiques et inhibiteurs possibles d’Inhibiteurs de l’histone désacétylase, conduisant à la mort d’un grand nombre de types de cellules cancéreuses. »

Il existe diverses études portant sur l’impact thérapeutique des isothiocyanates eu égard à des maladies telles que :

la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la maladie de Huntington, la sclérose en plaques, la sclérose latérale amyotrophique, les lésions cérébrales ischémiques, les lésions cérébrales traumatiques et les lésions de la moelle épinière.

L’étude, de 2015, « Absorption and chemopreventive targets of sulforaphane in humans following consumption of broccoli sprouts or a myrosinase-treated broccoli sprout extract », a analysé les processus d’absorption du sulforaphane suite à l’ingestion de choux. [143] Selon ses conclusions :

« La formation du sulforaphane commence dans la bouche, après mastication des légumes crus qui contiennent de la glucoraphanine et de la myrosinase . Cependant, son absorption est rapide et se produit au niveau intestinal. Le pic maximal dans le plasma, après consommation des légumes qui le contiennent, est atteint en une à trois heures. En outre, le sulforaphane a une biodisponibilité élevée, jusqu’à 80 % de la quantité ingérée par le biais d’un supplément étant absorbée, tandis que la consommation de sulforaphane par le biais des aliments a une biodisponibilité de 100 %.

Sa durée de vie dans le plasma est de 12-24 h, et son excrétion se fait par voie urinaire sous forme conjuguée avec la N-acétyl-cystéine, le glutathion et sous forme libre. Cependant, après 6 heures de consommation, sa capacité à inhiber les enzymes histone désacétylases est réduite. Ainsi, pour une meilleure régulation de ces enzymes, un dosage toutes les 6 heures pourrait être une bonne stratégie. »

J’ai, d’ailleurs, découvert une recette de choucroute russe qui stipule que : «  Au cours des trois premiers jours, des trous ont été percés dans ce chou à l’aide d’un bâton en bois, afin de libérer les gaz. Ensuite, le chou a été haché et écrasé à nouveau.  »

Les Peuples russes savent, intuitivement, depuis des millénaires, que l’élément le plus anti-cancer des Choux, le sulforaphane, est produit lorsque les feuilles de choux sont lésées, grignotées, coupées, hachées, mastiquées…

Faut-il en conclure qu’il serait préférable, dans les jardins, de récolter des feuilles de Kales qui ont été, partiellement, grignotées par des bactéries, par des insectes, par des fungi ou par des herbivores — pour un plus grand accès à du sulforaphane ?

Tout en précisant qu’il est rare, dans un jardin bio sans pesticides de synthèse — que des feuilles de Kales ne soient pas grignotées par des invités volontaires… ce qui les fait, ainsi, produire ces isothiocyanates thérapeutiques qui, réellement, constituent des pesticides organiques et naturels.

De faibles niveaux d’isothiocyanates déclenchent, chez les mammifères, un système de défense qui les protège contre les maladies chroniques. Étant donné que les humains cuisent généralement leurs légumes du genre Brassica, ce qui détruit la myrosinase, il serait très intéressant de déterminer comment le microbiote humain peut être soutenu afin d’hydrolyser les glucosinolates et de les libérer, afin de pourvoir les bénéfices des isothiocyanates pour une meilleure santé.

«  Bear Necessities » . Kale Russo-Sibérien. Brassica napus var. pabularis .
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Voici, maintenant, une série d’études portant, principalement, sur la caractérisation des activités anti-carcinogéniques, chimioprotectrices, et antioxydantes des glucosinolates dans des variétés de Choux frisés/Kales — ou autres Brassicacées.

L’étude, de 2006, “Atg5 regulates phenethyl isothiocyanate-induced autophagic and apoptotic cell death in human prostate cancer cells” [148] , a comparé le potentiel d’inhibition de la croissance cellulaire cancéreuse (du colon) de quatre dérivés de glucosinolates: le sulforaphane, l’isothiocyanate de phényléthyle, l’indole-3-carbinol et le 3,3′-diindolylméthane. Selon ses conclusions :

En ce qui concerne le sulforaphane, outre ses effets modulateurs sur le métabolisme des carcinogènes, l’induction de l’apoptose dans diverses lignées cellulaires cancéreuses a été identifiée comme un mécanisme potentiel sous-tendant ses activités chimiopréventives. L’indole-3-carbinol et le 3,3′-diindolylméthane suppriment la prolifération cellulaire et induisent l’apoptose dans les lignées cellulaires des cancers du sein, de la prostate, du col de l’utérus et du côlon. L’isothiocyanate de phényléthyle, hydrolysé à partir de la gluconasturtiine, présente une activité antimicrobienne, et anticancéreuse, à l’encontre du cancer de la prostate, et du cancer du côlon, par apoptose.

L’étude, de 2006, « Comparison of growth inhibition profiles and mechanisms of apoptosis induction in human colon cancer cell lines by isothiocyanates and indoles from Brassicaceae » [147] a comparé les profils d’inhibition de la croissance et des mécanismes d’induction de l’apoptose dans les lignées cellulaires du cancer du côlon humain par les isothiocyanates et les indoles des Brassicaceae. Selon ses conclusions :

Les isothiocyanates sulforaphane et PEITC (β-phényl isothiocyanate) ainsi que les indoles indole-3-carbinol et son produit de condensation 3,3′-diindolylméthane sont connus pour inhiber la prolifération des cellules cancéreuses et induire l’apoptose…. Dans l’ensemble, nous avons démontré que les produits de dégradation des glucosinolates étudiés dans cette étude présentent des profils distincts d’inhibition de la croissance cellulaire, de potentiel d’induction de l’apoptose indépendante de la p53 et de modulation de l’expression des protéines de la famille Bcl-2 dans les lignées cellulaires humaines de cancer du côlon.

Une étude récente, de juin 2023, « Anticancer properties of sulforaphane: current insights at the molecular level », vise à résumer et à comprendre les mécanismes qui sous-tendent le potentiel anticancéreux du sulforaphane. [126] Selon ses conclusions :

Le sulforaphane protège contre le cancer en modifiant diverses voies épigénétiques et non épigénétiques. Il s’agit d’un puissant produit phytochimique anticancéreux dont la consommation est sûre et les effets secondaires minimes.

Une étude, de 2014, « Anti-proliferative activities of sinigrin on carcinogen-induced hepatotoxicity in rats », a analysé l’activités anti-proliférative de la sinigrine — l’un des principaux glucosinolates médicinaux chez les Kales et autres Brassicas — sur l’hépatotoxicité induite par des carcinogènes chez le rat. [100] Selon ses conclusions :

Les résultats suggèrent que la sinigrine exerce d’importantes activités anti-prolifératives dans l’hépatocarcinogenèse induite par les carcinogènes chez les rats, et soulignent le potentiel de la sinigrine en tant qu’agent anticancéreux pour le cancer du foie.

« Indole-3-carbinol and 3-3′-diindolylmethane antiproliferative signaling pathways control cell-cycle gene transcription in human breast cancer cells by regulating promoter-Sp1 transcription factor interactions/Les voies de signalisation antiprolifératives de l’indole-3-carbinol et du 3 — 3′ — diindolylméthane contrôlent la transcription des gènes du cycle cellulaire dans les cellules cancéreuses du sein humain en régulant les interactions entre le promoteur et le facteur de transcription Sp1 ». [6 6 ] Selon ses conclusions :

Les dérivés des glucosinolates des Brassica possèdent une activité thérapeutique à l’encontre du cancer du sein.

« Allyl-isothiocyanate causes mitotic block, loss of cell adhesion and disrupted cytoskeletal structure in HT29 cells/L’isothiocyanate d’allyle provoque un blocage mitotique, une perte d’adhésion cellulaire et une perturbation de la structure du cytosquelette dans les cellules HT29 ». [68] Selon ses conclusions :

L’isothiocyanate d’allyle, un produit de dégradation majeur de la sinigrine, inhibe la prolifération des cellules cancéreuses, du côlon-rectum , en provoquant un blocage mitotique associé à une perturbation de l’alpha-tubuline d’une manière analogue à un certain nombre d’agents chimiothérapeutiques.

« In vitro wound healing and cytotoxic effects of sinigrin-phytosome complex/Cicatrisation in vitro et effets cytotoxiques du complexe sinigrine-phytosome ». [95] Selon ses conclusions :

L’utilisation de la sinigrine, en synergie avec un phytosome, permet de guérir des plaies, totalement, en 42 heures.

« Anticancer Activity, Mechanism, and Delivery of Allyl Isothiocyanate/Activité anticancéreuse, mécanisme et administration de l’isothiocyanate d’allyle ». [75] Selon ses conclusions :

Le goût piquant de ces légumes est principalement dû à leur teneur en « isothiocyanate d’allyle. L’isothiocyanate d’allyle est stocké de manière stable dans la plante sous la forme de son précurseur, la sinigrine (un type de glucosinolate), qui est physiquement séparée des cellules de myrosine contenant de la myrosinase. Lors de la rupture des tissus, la myrosinase est libérée et hydrolyse la sinigrine pour produire de l’isothiocyanate d’allyle et des sous-produits. L’isothiocyanate d’allyle est un composé organosulfuré, à la fois irritant et toxique, mais il possède des propriétés pharmacologiques, notamment des activités anticancéreuses, antibactériennes, antifongiques et anti-inflammatoires.

« Oral administration of nasturtium affects peptide YY secretion in male subjects/L’administration orale de capucine affecte la sécrétion du peptide YY chez les sujets masculins ». [69] Selon les conclusions :

La glucotropaéoline, et son produit de dégradation correspondant, l’isothiocyanate de benzyle, sont réputés pour la chimioprévention du cancer et les propriétés anti-inflammatoires.

« Dose-Dependent Responses of I3C and DIM on T-Cell Activation in the Human T Lymphocyte Jurkat Cell Line/Réponses dose-dépendantes de l’I3C et du DIM sur l’activation des cellules T dans la lignée cellulaire T humaine Jurkat ». [80] Selon les conclusions :

Les métabolites bioactifs de la glucobrassicine, l’indole-3-carbinol et son dimère, le diindolylméthane, possèdent des propriétés pro-apoptotiques, anti-prolifératives et anti-cancérigènes — via la modulation des voies immunitaires.

« The Glucosinolates: A Sulphur Glucoside Family of Mustard Anti-Tumour and Antimicrobial Phytochemicals of Potential Therapeutic Application/Les glucosinolates des Brassicacées : Une famille de glucosides soufrés de composés phytochimiques antitumoraux et antimicrobiens d’application thérapeutique potentielle ». [89]

Cette étude passe en revue certains aspects de la biologie de deux membres de la famille des glucosinolates, à savoir la sinigrine et la glucoraphanine, ainsi que leurs propriétés antitumorales et antimicrobiennes. La sinigrine et la glucoraphanine sont converties par la β-sulphoglucosidase myrosinase, ou le microbiote intestinal, en leurs formes bioactives, l’isothiocyanate d’allyle et la sulforaphanine, qui font partie d’un système de défense sophistiqué que les plantes ont développé au cours de plusieurs centaines de millions d’années d’évolution pour se protéger des attaques parasitaires des pucerons, des tiques, des bactéries ou des nématodes. Selon ses conclusions :

L’isothiocyanate d’allyle et la sulforaphanine sont aussi puissants que la Vancomycine dans le traitement des bactéries répertoriées par l’Organisation Mondiale de la Santé comme «  pathogènes prioritaires » résistants aux antibiotiques et agissent également comme agents anticancéreux par l’induction d’enzymes antioxydantes de phase II qui inactivent les substances cancérigènes potentielles.

Les glucosinolates peuvent être utiles dans le traitement des biofilms formés sur les implants médicaux et les cathéters par des bactéries pathogènes problématiques telles que Pseudomonas aeruginosa et Staphylococcus aureus et sont des antimicrobiens puissants contre une série de bactéries et de champignons cliniquement importants. Les glucosinolates ont également été utilisés pour prévenir l’altération bactérienne et fongique des produits alimentaires dans les technologies d’emballage atmosphérique avancées, ce qui améliore la durée de conservation de ces produits.

« Indoles Derived From Glucobrassicin: Cancer Chemoprevention by Indole-3-Carbinol and 3,3’-Diindolylmethane/Indoles dérivés de la glucobrassicine : Chimioprévention du cancer par l’indole-3-carbinol et le 3,3’— diindolylméthane ». [88] Selon les conclusions :

On suppose que l’altération du métabolisme des œstrogènes dépendant du cytochrome P450 est un moteur important de la prévention du cancer du sein dépendant du 3,3’— diindolylméthane. Les quelques études réalisées à ce jour pour comparer les crucifères riches en glucobrassicine, comme le chou de Bruxelles, avec les suppléments d’Indole-3-Carbinol/3,3’— diindolylméthane ont montré que l’impact plus important de ces derniers est dû à la dose. L’ingestion quotidienne de quantités de choux de Bruxelles, de l’ordre du kilogramme, est nécessaire pour produire des niveaux in vivo de 3,3’— diindolylméthane pouvant être atteints par la supplémentation. Lors d’essais cliniques, ces doses de supplément n’ont provoqué que peu d’effets indésirables, voire aucun. Le sulforaphane issu de la glucoraphanine peut agir en synergie avec le 3,3’— diindolylméthane dérivé de la glucobrassicine, ce qui pourrait ouvrir la voie à des approches combinatoires (à base de suppléments et d’aliments) en clinique.

« Chemopreventive properties of 3,3′-diindolylmethane in breast cancer: evidence from experimental and human studies/Propriétés chimiopréventives du 3,3′-diindolylméthane dans le cancer du sein : preuves issues d’études expérimentales et humaines ». [93] Selon les conclusions :

La recherche sur l’activité préventive du 3,3′-diindolylméthane contre le cancer a permis d’obtenir des données mécanistiques fondamentales, des données animales et des données d’essais humains. En outre, cet ensemble de preuves est largement étayé par des études d’observation. Le 3,3′-diindolylméthane bioactif a démontré une activité chimiopréventive à tous les stades de la carcinogenèse du cancer du sein . Cette revue décrit les preuves actuelles relatives au métabolisme et aux mécanismes du 3,3′-diindolylméthane impliqués dans la prévention du cancer du sein.

L’étude, « Sulforaphane from Cruciferous Vegetables: Recent Advances to Improve Glioblastoma Treatment », a étudié l’impact du sulforaphane sur la tumeur du cerveau la plus fréquente, le glioblastome. [3] Selon les conclusions.

Le sulforaphane, un isothiocyanate dérivé des légumes crucifères, en particulier le brocoli et les pousses de brocoli, a été largement étudié en raison de ses propriétés prometteuses de promotion de la santé dans la maladie et de sa faible toxicité dans les tissus normaux. Bien qu’ils ne soient pas encore totalement compris, de nombreux mécanismes d’activité anticancéreuse, à chaque étape du développement du cancer, ont été attribués à cet isothiocyanate. Compte tenu des données prometteuses disponibles concernant le sulforaphane, cette revue vise à fournir une vue d’ensemble des activités potentielles du sulforaphane liées aux mécanismes cellulaires impliqués dans la progression du glioblastome.

L’étude « Concentrations of thiocyanate and goitrin in human plasma, their precursor concentrations in brassica vegetables, and associated potential risk for hypothyroidism », [4] les chercheurs ont analysé les concentrations de thiocyanate, et de goitrine, dans le plasma humain après ingestion de Caulets, choux de Bruxelles et certains choux frisés/Kales Russo/Sibériens de l’espèce Brassica napus , navets, brocolis, brocolis raab et choux frisés/Kales de l’espèce Brassica oleracea . Selon leurs conclusions :

Le sulforaphane a été décrit comme « l’inducteur le plus puissant d’enzymes de phase II identifié à ce jour » et a montré des avantages dans le soulagement de multiples conditions chroniques, y compris l’inflammation respiratoire allergique due à des stimuli oxydants dans les voies aériennes supérieures causées par l’asthme ou les polluants de l’air. Il a également été associé à une diminution du risque de diverses maladies cardiovasculaires, du cancer du poumon, du cancer de la prostate, du cancer de la vessie, et du cancer du côlon . Outre le sulforaphane, il a été démontré que d’autres produits de la dégradation du glucosinolate induite par la myrosinase ont des effets anticancérigènes significatifs . Ces composés comprennent les isothiocyanates aliphatiques de faible poids moléculaire, l’isothiocyanate de phényle et deux produits de la dégradation du glucosinolate indole, l’indole-3-carbinol et le diindolylméthane.

Floraison de Caulets. Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Brassicacées et Bioremédiation des substances les plus toxiques contaminant la Biosphère

En sus des Brassicas, de nombreuses autres espèces végétales possèdent des capacités de bioremédiation : Armeria maritima, Ambrosia artemisiifolia, Festuca ovina, Helianthus annuus, Tagetes minuta, Thalspi rotundifolium, Triticum aestivum, Zea mays, Nicotiana tabacum, Solanum tuberosum, Solanum lycopersicum, Cannabis sativa, Medicago sativa, Viteveria zizanioides, Populus sp. – parmi des centaines.

Pour des processus de phytoremédiation, ce sont, surtout, les espèces de Brassicacées suivantes qui ont été utilisées — Brassica juncea, Brassica carinata, Brassica napus, Brassica nigra, Brassica rapa et Brassica oleracea. [27] [28] [29] — eu égard à leurs capacités de bioremédiation, mais, en fait, c’est toute la Famille des Brassicacées qui s’illustre par cette fonction d’épuration des toxiques.

Pour rappel, la Famille des Brassicacées comprend, environ, 3700 espèces (en fonction des botanistes) et environ 378 genres.

Les espèces de la famille des Brassicaceae présentent différentes stratégies de tolérance aux concentrations élevées de métaux lourds : elles peuvent être excluantes, accumulatrices ou hyperaccumulatrices. [14]

La stratégie prédominante des plantes, vivant dans des environnements extrêmement contaminés par des métaux lourds, est l’exclusion comme mécanisme afin d’éviter les dommages potentiels induits par l’adoption des métaux — et, plus particulièrement, dans les organes en charge de la photosynthèse. [20]

Plus d’une centaine d’espèces de Brassicacées sont considérées comme des hyperaccumulateurs de métaux lourds — en particulier, de Cadmium, Plomb, Zinc, Sélénium, et Nickel — dans les tissus de leurs parties supérieures.

Ce sont les genres Noccaea et Odontarrhena (avec 62 espèces) qui sont les plus hyperaccumulateurs — en particulier de Nickel.

Il existe, également, des espèces de Brassicacées qui ne sont pas des accumulateurs, mais qui tolèrent de très hauts niveaux de contamination métallique dans leurs parties supérieures : il s’agit, plus particulièrement, des espèces dans le genre Brassica.

Il existe 39 espèces reconnues dans le genre Brassica, en Eurasie, dont 22 en Europe.

Voici quelques études portant sur les capacités de Bioremédiation chez les Brassicacées :

« Phytoremediation: A Green Technology to Remove Environmental Pollutants/La phytoremédiation : Une technologie verte pour éliminer les polluants environnementaux ». [23]

Selon cette étude, les scientifiques privilégient Brassica juncea et Brassica olearacea, pour la phytoremédiation , car ces plantes semblent éliminer de grandes quantités de Cr, Pb, Cu, et Ni du sol.

« Phytoremediation of toxic heavy metals by Brassica plants: A biochemical and physiological approach/Phytoremédiation des métaux lourds toxiques par les plantes du genre Brassica : Une approche biochimique et physiologique ». [25]

Selon le résumé. La contamination des sols et des masses d’eau par des métaux lourds toxiques tels que le cadmium (Cd), le chrome (Cr), le mercure (Hg), l’arsenic (As), le plomb (Pb) et le zinc (Zn) est un problème environnemental majeur. La phytoremédiation par le genre botanique Brassica apparaît comme une technique importante, dans laquelle les plantes sont utilisées pour décontaminer ces zones. Notre objectif était d’élucider l’utilisation physiologique et biochimique potentielle de différentes espèces appartenant au genre Brassica pour la biorestauration et la tolérance des effets nocifs de ces contaminants environnementaux sur leur métabolisme. Ces espèces présentent des processus de phytoremédiation efficaces, tels que la phytovolatilisation, la phytostabilisation et la phytoextraction. Ces espèces possèdent également des processus physiologiques qui facilitent l’absorption, la translocation et l’accumulation des métaux lourds toxiques dans des organites cellulaires à faible activité, en plus d’un mécanisme de défense enzymatique et non enzymatique efficace qui atténue les dommages oxydatifs induits par la surproduction d’espèces réactives de l’oxygène.

Ces espèces présentent des processus de phytoremédiation efficaces, tels que la phytovolatilisation, la phytostabilisation et la phytoextraction.

« Rapid and Sustainable Detoxication of Airborne Pollutants by Broccoli Sprout Beverage: Results of a Randomized Clinical Trial in China/Détoxication rapide et durable des polluants atmosphériques par la boisson à base de jeunes pousses de brocoli : Résultats d’un essai clinique randomisé en Chine. » [1 1 8]

Selon le résumé. Une boisson dérivée des pousses de brocoli fournissant des doses quotidiennes de 600 μmol de glucoraphanine et de 40 μmol de sulforaphane a été évaluée pour l’ampleur et la durée de son action pharmacodynamique dans le cadre d’un essai clinique randomisé de 12 semaines. Deux cent quatre-vingt-onze participants à l’étude ont été recrutés dans le canton rural de He-He, Qidong, dans la région du delta du fleuve Yangtze en Chine, une zone caractérisée par des expositions à des niveaux substantiels de polluants atmosphériques. L’exposition à la pollution atmosphérique a été associée au cancer du poumon et aux maladies cardio-pulmonaires.

L’excrétion urinaire des acides mercapturiques des polluants, le benzène, l’acroléine et le crotonaldéhyde, a été mesurée avant et pendant l’intervention par chromatographie liquide avec spectrométrie de masse en tandem. Des augmentations rapides et soutenues, statistiquement significatives (p ≤ 0,01) des niveaux d’excrétion des conjugués de benzène (61 %) et d’acroléine (23 %) dérivés du glutathion, mais pas de crotonaldéhyde, ont été observées chez les personnes recevant une boisson à base de jeunes pousses de brocoli par rapport au placebo.

L’excrétion de l’acide mercapturique dérivé du benzène était plus élevée chez les participants GSTT1 positifs que chez les participants de génotype nul, indépendamment de l’affectation au bras de l’étude. Les mesures des métabolites du sulforaphane dans l’urine ont indiqué que la biodisponibilité ne diminuait pas au cours de la période d’administration quotidienne de 12 semaines. Ainsi, l’intervention avec des pousses de brocoli améliore la détoxication de certains polluants atmosphériques et peut constituer un moyen frugal d’atténuer les risques sanitaires à long terme qui leur sont associés.

« Remediation of organic pollutants by Brassica species. /Remédiation des polluants organiques par les espèces de Brassica ». [24]

Selon le résumé. Les principales sources de polluants organiques sont les intrants agricoles, les effluents industriels, la combustion de combustibles fossiles et les déchets d’égouts. Plusieurs classes de polluants organiques nocifs comprennent les polluants organiques persistants (POP), les phénols, les hexachlorocyclohexanes (HCH), les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), les polychlorobiphényles (PCB), les polybromodiphényléthers (PBDE) et les dichloro-diphényl-trichloréthanes (DDT). Le puits ultime de tous ces contaminants est constitué par les masses d’eau et les sols sur lesquels les plantes en croissance absorbent une part importante de ces contaminants, mais leur devenir intratissulaire varie d’une espèce à l’autre.

La phytoremédiation des sols contaminés par ces polluants organiques est une technique économique, écologique et efficace. Les espèces de Brassica, connues pour leur croissance vigoureuse et leur nature hyperaccumulatrice, font l’objet d’études approfondies concernant leur rôle dans l’accumulation et la dégradation des polluants présents dans le sol et les masses d’eau. Les espèces de Brassica peuvent maintenir une croissance bonne et saine qui permet la dilution tissulaire des contaminants absorbés et la dégradation de ces espèces invasives intracellulaires via la modulation de la physiologie cellulaire et de la machinerie enzymatique. Les racines vigoureuses de Brassica fournissent des sites actifs pour l’adsorption statique des contaminants du sol et des masses d’eau et libèrent des exsudats qui facilitent la croissance des rhizobactéries dégradant les contaminants.

Le partenariat bactérien du Brassica a un impact progressif sur la dégradation des polluants organiques, tout comme l’application d’amendements organiques et inorganiques immobilisants. Une fois absorbés, ces contaminants sont convertis en composés contenant du soufre à l’intérieur du corps de Brassica, ce qui fait des tissus secs des espèces de Brassica un excellent combustible, ce qui conduit à leur utilisation pour la production d’énergie dans le cadre du processus de biofumigation. Ce chapitre s’efforce de donner une vue d’ensemble du devenir des polluants organiques dans l’environnement et du rôle des espèces de Brassica dans l’assainissement de l’environnement par le biais de la phytoremédiation.

Les racines vigoureuses de Brassica fournissent des sites actifs pour l’adsorption statique des contaminants du sol et des masses d’eau et libèrent des exsudats qui facilitent la croissance des rhizobactéries dégradant les contaminants.

« Brassica Species in Phytoextractions: Real Potentials and Challenges/Les espèces de Brassica dans les phytoextractions : Potentiels et défis réels ».

« Phytoremediation of soil contaminated with heavy metals using Brassica napus/Phytoremédiation de sols contaminés par des métaux lourds à l’aide de Brassica napus ». [12]

« Brassica napus has a key role in the recovery of the health of soils contaminated with metals and diesel by rhizoremediation/ Brassica napus joue un rôle clé dans le rétablissement de la santé des sols contaminés par les métaux et le diesel par rhizoremédiation ». [31]

« Phytoremediation of Arsenic and Lead Using Brassica rapa/ Phytoremédiation de l’arsenic et du plomb à l’aide de Brassica rapa » . [35]

« Screening of various Brassica species for phytoremediation of heavy metals-contaminated soil of Lakki Marwat, Pakistan/Criblage de diverses espèces de Brassica pour la phytoremédiation des sols contaminés par des métaux lourds à Lakki Marwat, Pakistan ». [33]

Caulets originaires du sud-est des USA. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Kales et Bioremédiation des substances les plus toxiques contaminant la Biosphère

Eu égard aux capacités de bioremédiation, il existe un certain nombre d’études qui font, sous-spécifiquement, référence aux Kales :

« Using kale ( Brassica sp acephala) as a phytoremediation plant species for lead (Pb) and cadmium (Cd) removal in saline soils/Utilisation du chou frisé ( Brassica sp acephala ) comme espèce végétale de phytoremédiation pour l’élimination du plomb (Pb) et du cadmium (Cd) dans les sols salins ». [22]

« Cadmium mobility, uptake, and accumulation in spinach, kale, and amaranths vegetables as influenced by silicon fertilization/Mobilité, absorption et accumulation du cadmium dans les épinards, le chou frisé et les amaranthes, sous l’influence de la fertilisation au silicium ». [26]

« Removal of multi-contaminants from water by association of poplar and Brassica plants in a short-term growth chamber experiment/Élimination de multi-contaminants de l’eau par l’association de peupliers et de Brassica dans une expérience de chambre de croissance à court terme ». [34]

Selon cette étude. L’association de deux espèces de Brassica, un Kale (Brassica oleracea sp. acephala) et un chou pommé (Brassica oleracea var. capitata) avec l’espèce Populus alba (le peuplier) a donné des résultats satisfaisants dans l’élimination du Cadmium, du Zinc et de la caféine de l’eau. Après 15 jours d’exposition, l’efficacité du groupe de plantes analysé dans l’élimination du Cadmium, du Zinc et de la caféine était de 79-99 %.

Brassica pour éliminer l’Uranium et se protéger de la Radioactivité

Il existe un certain nombre d’études qui font, plus particulièrement, référence aux capacités des espèces de Brassica d’éliminer l’uranium radioactif — ou de se protéger des effets de la radioactivité.

« Phytoremediation of cadmium (Cd) and uranium (U) contaminated soils by Brassica juncea enhanced with exogenous application of plant growth regulators/Phytoremédiation des sols contaminés par le cadmium (Cd) et l’uranium (U) par Brassica juncea améliorée par l’application exogène de régulateurs de croissance végétale. » [30]

« Potential for rhizofiltration of uranium using hairy root cultures of Brassica juncea and Chenopodium amaranticolor/ Potentiel de rhizofiltration de l’uranium à l’aide de cultures de racines ciliées de Brassica juncea et Chenopodium amaranticolor ». [51]

« Enhanced phytoremediation of uranium-contaminated soils by Indian mustard ( Brassica juncea L.) using slow release citric acid/Amélioration de la phytoremédiation des sols contaminés par l’uranium par la moutarde indienne (Brassica juncea L.) à l’aide d’acide citrique à libération lente ». [36]

« Uranium Rhizofiltration by Lactuca sativa , Brassica rapa subsp. chinensis , Raphanus sativus , Oenanthe javanica under Different Hydroponic Conditions/Rhizofiltration de l’uranium par Lactuca sativa, Brassica rapa subsp. chinensis, Raphanus sativus, Oenanthe javanica dans différentes conditions hydroponiques ». [32]

« Rhizofiltration Process with Helianthus annuus, Phaseolus vulgaris and Brassica juncea to Remediate Uranium Contaminated Groundwater/Processus de rhizofiltration avec Helianthus annuus, Phaseolus vulgari s et Brassica juncea pour remédier aux eaux souterraines contaminées par l’uranium ». [60]

« Plant cell ( Brassica napus ) response to europium (III) and uranium (VI) exposure/Réponse des cellules végétales ( Brassica napus ) à l’exposition à l’europium (III) et à l’uranium (VI) ». [40]

« Bioremediation of uranium from waste effluents using novel biosorbents: a review/Bioremédiation de l’uranium dans les effluents de déchets à l’aide de nouveaux biosorbants : une revue. » [63]

En sus de Brassica juncea, il s’agit, de : Chlorella salina , Laminaria japonica , Candida utilis, Spirulina platensis (modifiée chimiquement), Deinococcus radiodurans (modifié génétiquement).

“ Insights into mechanism on organic acids assisted translocation of uranium in Brassica juncea var. foliosa by EXAFS/Aperçu du mécanisme de translocation de l’uranium assistée par les acides organiques dans Brassica juncea sp. foliosa par EXAFS”. [37]

“ Potential of Brassica juncea and Helianthus annuus in phytoremediation for uranium/Potentiel de Brassica juncea et Helianthus annuus dans la phytoremédiation de l’uranium”. [52]

“ Protective effect of the cruciferous vegetable mustard leaf ( Brassica rapa subsp. chinensis ) against in vivo chromosomal damage and oxidative stress induced by gamma-radiation and genotoxic chemicals/Effet protecteur de la navette ( Brassica rapa subsp. chinensis) contre les dommages chromosomiques in vivo et le stress oxydatif induits par les rayons gamma et les produits chimiques génotoxiques”. [43]

Qualités Nutritionnelles des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Parmi les légumes du genre Brassica et les autres légumes, les Choux frisés/Kales présentent les teneurs les plus élevées en caroténoïdes (zéaxanthine, carotène et lutéine) associés à la chlorophylle, en tocophérols, en acide ascorbique et en anti-oxydants totaux.

Les Choux frisés/Kales contiennent des niveaux élevés de lutéine et de β-carotène, qui possèdent d’importantes propriétés pour la santé humaine. La lutéine et le bêta-carotène sont des nutriments essentiels dans la prévention des stress oxydants qui se manifestent par des pathologies telles que les cataractes, l’artériosclérose, les maladies pulmonaires obstructives chroniques et, bien sûr, les cancers en tous genres.

Les Choux frisés/Kales constituent la meilleure source de triglycérides, de folates, d’acide nicotinique et de vitamines A, B, C, E, K, par rapport à d’autres légumes de la Famille des Brassicacées. Les Choux frisés/Kales sont, également, considérés comme riches en macro-nutriments, et micro-nutriments, tels que le sodium, le potassium, le magnésium, le manganèse, le calcium et le fer.

À poids égal, il y a deux fois plus de vitamine C dans le chou frisé/Kale que dans l’orange. Il y autant de calcium dans 85 grammes de chou frisé/Kale que dans un verre de lait.

Les vitamines, hydrosolubles, du complexe B sont composées de la vitamine B1 (thiamine), de la vitamine B2 (riboflavine), de la vitamine B3 (niacine), de la vitamine B5 (pantothénate), de la vitamine B6 (pyridoxal), de la vitamine B7 (biotine) et de la vitamine B9 (folate). Les Choux frisés/Kales contiennent toutes ces vitamines B. Par contre, la vitamine B12 (cyanocobalamine) en est absente.

Sur le plan des bénéfices anti-inflammatoires des choux frisés, de nombreuses recherches restent à réaliser de par leur teneur, et ratio, en oméga-3 et surtout de par leur teneur très exceptionnelle en vitamine K.

Les variétés de choux frisés à feuilles violettes se caractérisent, de plus, par leur teneur en anthocyanes.

En ce qui concerne les flavonoïdes, ce sont surtout le kaempférol et la quercétine qui sont les plus abondants chez les Choux frisés/Kales : nonobstant, diverses études y ont identifié plus de 45 flavonoïdes différents.

Par exemple, une étude, de 2009, a mis en exergue la présence prépondérante de kaempférol et de quercétine dans une variété de Kales curly — Brassica oleracea convar. acephala var. sabellica. [57] Une étude, de 2010, a mis en exergue la présence prépondérante de kaempférol, d’isorhamnétine et de quercétine dans une autre variété de Kales curly — Brassica oleracea convar. acephala var. sabellica.

Une étude, de 2007, a étudié les changements dans les concentrations de pigments caroténoïdes et chlorophylliens du chou frisé au cours de l’ontogenèse des feuilles [67] . Lors de cette étude, le chou frisé a été cultivé dans un environnement contrôlé et les pigments ont été mesurés dans les jeunes feuilles (<1 semaine), les feuilles immatures (1-2 semaines), les feuilles matures (2-3 semaines), les feuilles pleinement développées (3-4 semaines) et les feuilles sénescentes (>4 semaines) à l’aide de la chromatographie liquide à haute performance.

Selon ses conclusions. Les concentrations les plus élevées de lutéine mesuraient 15,1 mg/100 g de masse fraîche et se trouvaient dans les feuilles âgées de 1 à 2 semaines. Les autres pigments ont atteint des niveaux maximums à 2-3 semaines (β-carotène à 11,6 mg/100 g ; chlorophylle a à 251,4 mg/100 g ; et chlorophylle b à 56,9 mg/100 g de masse fraîche). Les feuilles de chou frisé matures et pleinement déployées ont accumulé des concentrations de caroténoïdes plus élevées que les feuilles immatures, les feuilles sénescentes présentant les concentrations de caroténoïdes les plus faibles.

Ainsi donc, en ce qui concerne la lutéine et les autres caroténoïdes, il est préférable de mélanger, pour la consommation, des feuilles de Choux frisés/Kales âgées de 1 à 3 semaines.

Une étude, de 1999, a analysé les teneurs en carotène, en tocophérol et en ascorbate des sous-espèces de Brassica oleracea [49] Les parties comestibles de 50 brocolis et de 13 choux, choux frisés, choux-fleurs et choux de Bruxelles ont été analysées pour déterminer la variation des teneurs en α-carotène, β-carotène, α-tocophérol, γ-tocophérol et ascorbate au sein et entre les sous-espèces de Brassica oleracea .

Selon ses conclusions. Chez les Kales, la teneur en α-carotène, β-carotène était, quasiment, quatre fois supérieure à celle des choux pommés, des brocolis, des choux fleurs et des choux de Bruxelles. De plus, les Kales possédaient les teneurs les plus élevées en α-tocophérol et β-tocophérol. Il s’agissait des variétés de Kales « Vates » et « Winterborne ».

Une étude, de 2013, a analysé la teneur en composés bioactifs — composés phénoliques, glucosinolates, caroténoïdes et chlorophylles — de 40 variétés de Kales originaires d’Italie, du Portugal et de Turquie. 25 de ces variétés étaient locales et cultivées localement tandis que 15 variétés étaient commerciales et cultivées dans le centre de recherches. [77] Selon leurs conclusions :

Chlorophylles. Parmi les différentes accessions, la teneur en chlorophylle la plus élevée a été observée dans les populations italiennes à feuilles sombres, de Toscane — et encore, ce fut dans les variétés locales et non commerciales. Les teneurs étaient comprises entre 1740 et 16 924 mg kg (-1).

Composés phénoliques. Les Kales portugais affichaient la teneur la plus élevée , suivis par les Kales turcs et les Kales italiens. Les teneurs étaient comprises entre 8310 et 38 110 mg kg (-1). Le plus basse teneur, en composés phénoliques, chez les Kales portugais, correspondait, environ, à la plus haute teneur des Kales turcs. Les flavonols étaient plus abondants que les acides hydroxycinnamiques, représentant plus de 80 % des composés phénoliques dans tous les échantillons. Les kales portugais présentaient la fraction de flavonol la plus élevée, s’élevant à environ 95 % des composés phénoliques totaux.

Glucosinolates. Les glucosinolates quantifiés étaient : la glucoibérine, la sinigrine et la gluconapine parmi les glucosinolates aliphatiques ; et la glucobrassicine, la méthoxyglucobrassicine et la néoglucobrassicine parmi les glucosinolates indoliques. Les teneurs étaient comprises entre 755 et 8580 mg kg (-1). La quantité totale de glucosinolates la plus élevée fut déterminée dans les Kales portugais suivis par les échantillons turcs et italiens. Dans les Kales locaux, la teneur en Glucosinolates était au moins deux fois supérieure à celle des Kales commerciaux/expérimentaux de la même origine.

Caroténoïdes. La plus grande quantité de caroténoïdes a été déterminée dans les Kales italiens. Par contre, ce sont les Kales portugais qui contenaient le plus de lutéine. Les teneurs étaient comprises entre 135 et 2354 mg kg (-1). Les conditions de culture ont eu une incidence significative sur les teneurs en caroténoïdes, qui étaient en moyenne cinq fois plus élevées dans les échantillons expérimentaux que dans les échantillons locaux — en raison de la très forte fertilisation réalisée pour les Kales expérimentaux. Par contre, les échantillons locaux avaient deux fois plus de lutéine.

En ce qui concerne les acides aminés, il est à noter que deux acides aminés ont été validés, in vivo, pour leurs capacités antioxydantes : ce sont l’acide glutamique et l’acide aspartique — très présents dans les choux frisés -Kales. [155]

En effet, en fonction des auteurs, des analyses, et des cultivars, les acides aminés prédominants dans les Choux frisés/Kales peuvent être diversifiés, mais ce sont, généralement, l’acide glutamique, la proline et l’acide aspartique…

du moins, dans les Kales de l’espèce Brassica oleracea.

Ainsi, une étude de 2012, portant sur des Kales, y a identifié ces trois acides aminés prédominants : l’acide glutamique, l’acide aspartique et la proline. [151]

Il en est de même pour une étude, de 2006, qui avait comme objectif d’évaluer la teneur en acides aminés, et la qualité des protéines, dans des feuilles de chou frisés/Kales fraîches et cuites et dans deux types de produits congelés préparés pour la consommation après un stockage de 12 mois à -20 °C. [158] Selon ses conclusions :

Dans tous les échantillons, l’acide glutamique, la proline et l’acide aspartique étaient dominants, tandis que la lysine et la leucine étaient les acides aminés limitants. Les feuilles cuites contiennent 78 % de la teneur totale en acides aminés des feuilles fraîches, tandis que les produits congelés traditionnels et modifiés en contiennent respectivement 76 % et 78 %.

Ainsi, une étude de 2006, a identifié, chez des Kales – choux moelliers — les acides aminés libres présents en frais et à la suite de fermentation. Cette étude s’est penchée, effectivement, sur les changements qui se produisent dans le profil des acides aminés libres lorsque des bouillies d’eaux d’ébullition de Kale sont mises à fermenter dans des conditions (a) d’aération, (b) d’anaérobiose et (c) de stérilisation partielle à l’anhydride sulfureux. [153] Selon ses conclusions :

Il a été constaté qu’avec les mélanges aérés, la perte d’acides aminés libres est pratiquement complète en 2 semaines, alors qu’elle n’est que légère avec les mélanges anaérobies. Les mélanges contenant de l’anhydride sulfureux n’entraînent aucune perte d’acides aminés. La formation d’acide α-aminobutyrique, peut-être à partir de la thréonine, a été observée.

Il semble important de préciser qu’au sein des mêmes types de choux, ou sous-espèces — Kales, choux pommés, choux-fleurs, etc. — il peut exister une immense diversité, génotypique et phénotypique, qui se traduit, en particulier, par des compositions différentes en acides aminés majeurs.

Ainsi, une étude, de 2021, a identifié les acides aminés prédominants chez 69 variétés de choux pommés — mais, attention, il s’agit de moyennes. [ 1 45] L es 3 acides aminés prédominants, en moyenne, étaient : l’acide glutamique avec une moyenne de 12,3 mg/g, un minimum de 4,3 mg/g et un maximum de 23,9 mg/g ; l’alanine avec une moyenne de 9,4 mg/g, un minimum de 2,8 mg/g et un maximum de 42 mg/g ; l’histidine avec une moyenne de 7,6 mg/g, un minimum de 3 mg/g et un maximum de 20 mg/g.

Ainsi, selon une métarevue de diverses études, voici une estimation des ratios d’acides aminés libres présents dans les Kales. [1 5 2]

La teneur en acide glutamique des Choux frisés/Kales est comprise entre 33 et 450 mg/100 grammes.

La teneur en proline des Choux frisés/Kales est comprise entre 17 et 434 mg/100 grammes.

La teneur en cystéine des Choux frisés/Kales est comprise entre 34 et 58 mg/100 grammes — selon diverses études.

La teneur en glycine des Choux frisés/Kales est comprise entre 11 et 190 mg/100 grammes.

La teneur en histidine des Choux frisés/Kales est comprise entre 4 et 106 mg/100 grammes.

La teneur en arginine des Choux frisés/Kales est comprise entre 14 et 29 mg/100 grammes.

La teneur en thréonine des Choux frisés/Kales est comprise entre 10 et 164 mg/100 grammes.

La teneur en alanine des Choux frisés/Kales est comprise entre 12 et 215 mg/100 grammes.

La teneur en tyrosine des Choux frisés/Kales est comprise entre 8 et 122 mg/100 grammes.

La teneur en sérine des Choux frisés/Kales est comprise entre 11 et 163 mg/100 grammes.

La teneur en valine des Choux frisés/Kales est comprise entre 12 et 207 mg/100 grammes.

La teneur en méthionine des Choux frisés/Kales est comprise entre 60 et 72 mg/100 grammes.

La teneur en isoleucine des Choux frisés/Kales est comprise entre 9 et 156 mg/100 grammes.

La teneur en phénylalanine des Choux frisés/Kales est comprise entre 11 et 189 mg/100 grammes.

La teneur en lysine des Choux frisés/Kales est comprise entre 12 et 221 mg/100 grammes.

La teneur en tryptophane des Choux frisés/Kales serait à 89 mg/100 grammes — selon une seule étude.

En ce qui concerne la composition en acides aminés des Kales de l’espèce Brassica napus, il n’existe que peu de littérature à ce sujet. Ainsi, une étude, de 2000, a identifié les acides aminés dans les feuilles, et dans le phloème, de deux génotypes de Brassica napus — deux colzas d’hiver. [159] Selon ses conclusions :

Les acides aminés prédominants dans le phloème et dans les feuilles sont l’acide glutamique et la glutamine, suivis de la sérine, de l’aspartate et de la thréonine.

Selon une étude, d’août 2013, les graines de colza ( Brassica napus ) contiennent une abondance d’acides aminés soufrés — à savoir méthionine, cystéine, homocystéine, et taurine.


Impact des divers processus de cuisson sur les qualités nutritionnelles et médicinales des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Des recherches réalisées, en 2011 — par Nishi K, Kondo A, Okamoto T, et coll. — ont démontré qu’une cuisson d’une demi-heure ne nuisait en rien à la capacité que les choux frisés ont d’activer la production d’immunoglobuline dans le corps. [107]

Cependant, des recherches réalisées en 2012 — par Sikora et Bodziarczyk — ont mis en exergue les résultats suivants. La cuisson détruirait 89 % de la vitamine C, 5 % du bêta-carotène, 56 % des flavonoïdes et 62 % de l’activité antioxydante. Par contre, la cuisson détruirait, également, une grande partie des nitrites et des nitrates présents — 67 % et 78 % respectivement. [106]

La cuisson détruit une partie des acides aminés des feuilles de Kales (environ 20 %).

Il est ainsi conseillé de consommer crues les jeunes feuilles de choux frisés (bios, naturellement) et de blanchir légèrement les feuilles plus âgées afin de bénéficier le plus amplement possible de leurs qualités antioxydantes. L’idéal serait de se faire un jus quotidien de feuilles, fraîches, de choux frisés/Kales bios !

Selon l’étude, de 2008, « Kinetics of changes in glucosinolate concentrations during long-term cooking of white cabbage ( Brassica oleracea L. ssp. capitata f. alba ) ». [7] Le chou pommé (Variété « Bartolo ») a été bouilli, ce qui a entraîné une diminution spectaculaire de 56 % des niveaux totaux de glucosinolates dans la matrice végétale au cours des 2 premières minutes. Après 8 à 12 minutes d’ébullition, la diminution, des niveaux totaux de glucosinolates, a atteint plus de 70 %. Au fur et à mesure de l’ébullition, la concentration de tous les glucosinolates a continué à diminuer à un rythme plus faible pendant le reste de la période de cuisson.

La progoitrine présentait un taux de diminution exceptionnellement élevé par rapport à tous les autres glucosinolates.

L’étude, de 2012, « Composition and antioxidant activity of kale ( Brassica oleracea var. acephala ) raw and cooked/Composition et activité antioxydante du chou frisé ( Brassica oleracea var. acephala) cru et cuit », a mis en exergue les pertes considérables de capacités antioxydantes d’une variété de Kales, « Winterbor », suite à un processus de cuisson — par ébullition pendant 12 à 15 min. [83] Selon ses conclusions :

Les pertes de vitamine C étaient d’environ 89 % , les polyphénols de 56 %, en calculant sur la masse sèche du produit. La stabilité la plus élevée a été observée dans le cas du bêta-carotène, pour lequel les pertes ont été d’environ 5 %. L’activité antioxydante des légumes cuits a diminué pour atteindre 38 % . Des pertes ont également été observées dans les macro-composants, de 13 % pour le zinc à 47 % pour le sodium. Les teneurs en nitrites et nitrates nocifs, calculées sur la masse sèche, ont été significativement réduites à la suite de la cuisson, de 67 % et 78 %, respectivement.

L’étude, de 2018, « Home food preparation techniques impacted the availability of natural antioxidants and bioactivities in kale and broccoli » a investigué les techniques de préparation des aliments à la maison qui ont eu un impact sur la disponibilité des antioxydants naturels et des bioactivités dans le chou frisé et le brocoli ». [78]

Selon ses conclusions. Cette étude a évalué les effets du broyage et du hachage avec/sans micro-ondes sur les composants bénéfiques pour la santé et les capacités antioxydantes, anti-inflammatoires et anti-prolifération d’échantillons commerciaux de chou frisé et de brocoli. Les résultats indiquent que c’est le hachage qui libère le moins de composants nutraceutiques et de capacités antioxydantes. Le passage au micro-ondes n’a eu aucun effet sur la libération d’indole-3-carbinol par le Kale, mais a entraîné une libération élevée (plus de 2 fois) d’indole-3-carbinol par le brocoli. En outre, le choix d’un mixeur a affecté la disponibilité de la capacité anti-proliférative des légumes, mais n’a eu aucun effet sur la disponibilité de leur activité anti-inflammatoire.

L’étude, de 2016, « The kinetic of key phytochemical compounds of non-heading and heading leafy Brassica oleracea landraces as affected by traditional cooking methods », a analysé l’impact de divers modes traditionnels de cuisson sur les Kales et autres choux. [61]

Selon ses conclusions. L’ébullition a conduit à des pertes substantielles dues à la lixiviation. Les glucosinolates ont suivi une cinétique de dégradation de second ordre (20 % de leurs valeurs initiales après 10 minutes d’ébullition dans la variété « Noir de Toscane »). Le contenu phénolique des feuilles + eau de cuisson est resté inchangé, tandis que leur capacité antioxydante a été réduite. La teneur en caroténoïdes a augmenté au cours des premières minutes d’ébullition. La cuisson à la vapeur a montré la plus grande rétention de substances phytochimiques, avec une cinétique de dégradation souvent d’ordre zéro, ayant cependant un effet important sur la couleur. La friture a entraîné des pertes importantes pour tous les composés mesurés ; en outre, la teneur en β-carotène a été réduite de 10 à 23 %, indépendamment de la variété. Les valeurs de conversion pour les composés dérivés de l’indole allaient de non détectables à 23,5 %.

Une étude de 2022 « Effect of pre-treatment and drying methods on the content of minerals, B-group vitamins and tocopherols in kale ( Brassica oleracea var. acephala ) leaves », a analysé l’impact du processing et du séchage sur la composition en vitamines B des Kales. [105] Selon ses conclusions.

Il est recommandé de blanchir le Kale avant de le sécher. Le blanchiment, appliqué avant le séchage, a réduit de manière significative les teneurs en minéraux (3-38 %) et en vitamines (8-45 %) , à l’exception du calcium, du zinc et du manganèse. Ce prétraitement a, toutefois, eu un effet bénéfique, notamment sur la rétention des vitamines pendant le stockage des produits séchés. Après 12 mois de stockage, les pertes de vitamines B1, B2 et de tocophérols totaux, dans les matières premières séchées, préalablement blanchies, variaient de 3 à 10 %, 1 à 4 % et 1 à 16 %, respectivement, selon le type d’échantillon. Dans les produits séchés obtenus à partir de matières premières non blanchies, les pertes étaient plus importantes et s’élevaient respectivement à 10-17 %, 8-16 % et 4-17 %.

Selon l’étude, de 2014, « Comparison of the degradation and leaching kinetics of glucosinolates during processing of four Brassicaceae (broccoli, red cabbage, white cabbage, Brussels sprouts) », il n’existait pas vraiment de différences notables quant à la diminution des niveaux totaux de glucosinolates dans quatre types de Brassica oleracea durant leur cuisson : un chou pommé blanc, un chou pommé rouge, un brocoli et un chou de Bruxelles. [11]

L’étude, de 2021, « The effect of processing and cooking on glucoraphanin and sulforaphane in brassica vegetables » a analysé les pertes de glucoraphanine, et de sulforaphane, en fonction des processus de conservation ou de cuisson. [21] Selon leurs conclusions :

La congélation permet d’éviter les pertes de glucoraphanine, tandis que le passage, de courte durée, au micro-ondes, à la cuisson et à la vapeur, ainsi que la fermentation, favorisent la biotransformation de la glucoraphanine en sulforaphane. L’ébullition et le blanchiment entraînent les pertes les plus importantes de glucoraphanine et de sulforaphane, tandis que la congélation protège considérablement leurs pertes.

Lors de la cuisson à la vapeur, le sulforaphane atteint son maximum entre 1 et 3 minutes et s’épuise à 5 minutes, mais la formation de nitrile ne semble pas exister à un niveau suffisant avec ce type de cuisson.


Les Choux frisés, Kales et autres Caulets sont-ils à éviter en cas d’Hypothyroïdie ?

Une question extrêmement essentielle… car les Choux frisés, Kales et autres Caulets, constituent l’un des premiers barrages, de bioremédiation, à l’encontre de l’offensive nanoparticulaire métallique et toxique — et, parfois, létale.

Les Choux frisés, Kales et autres Caulets sont-ils à éviter en cas d’Hypothyroïdie ? C’est une question extrêmement essentielle dont il faut débattre et qu’il faut, absolument, tenter de résoudre, méthodiquement — et en respirant de bonnes bouffées d’air frais…

Il ne faut pas paniquer ! D’autant plus que l’humeur de ces derniers siècles — dont le tempo est orchestré par les globalistes eugénistes du complexe militaro-industriel — est au parfum de Terrorismes qu’ils soient vaccinaux, climatiques, religieux, pandémiques, intellectuels, militaires, médicaux, médiatiques, etc.

… si tant est que d’aucuns, et autres naturo-millepattes autoproclamés, soient enclins à cesser de répéter, inlassablement, les mêmes ritournelles de sornettes avérées — lorsque, par malheur, ils sévissent impunément par le vecteur de sites Internet. [171]

J’ai découvert des blogs d’influenceurs, autoproclamés « carnivores », qui considèrent que les Kales, les Brassicas, et certains autres légumes verts, sont des bombes de toxicité… eu égard à leur capacité de bioremédiation, à savoir de pomper les poisons industriels — dont ceux déversés dans le sol, abondamment, par les agriculteurs.

L’agriculture biologique existe encore, à quelques %, et, en fait, elle exista depuis de nombreux millénaires jusqu’en 1842… lorsque Justus Liebig Möser commença à sévir — chimiquement parlant.

La même question se pose, assurément, pour toutes les espèces potagères de Brassica ou de Brassicacées — quant à leur impact négatif, potentiel, sur le fonctionnement thyroïdien de l’organisme animal… et, bien évidemment, aussi, quant à leur impact positif, avéré, sur le fonctionnement thyroïdien de ce même organisme animal.

Par exemple. L’étude d’octobre 2022, « Broccoli Sprouts and Their Influence on Thyroid Function in Different In Vitro and In Vivo Models », [18] a analysé l’influence des jeunes pousses de brocoli sur la fonction thyroïdienne. Selon ses conclusions :

Les résultats de notre étude indiquent que les jeunes pousses de brocoli diminuent la viabilité des cellules cancéreuses de la thyroïde et préviennent l’inflammation . Les résultats ont également confirmé le profil de sécurité satisfaisant des pousses, tant in vitro qu’in vivo.

En effet, le nœud de cette « problématique » est le suivant : la goitrine, dérivée de l’un des principaux glucosinolates des Brassica, la progoitrine, serait un perturbateur confirmé du système thyroïdien, car elle bloque l’iodation de la tyrosine.

En 1971, Langer, et coll., ont étudié les doses de goitrine altérant l’absorption d’iode par la thyroïde. Selon leurs conclusions : 70 μmol (10 mg) n’étaient associées à aucune inhibition tandis que 194 μmol (25 mg) inhibaient l’absorption d’iode. [154]

Il en serait de même des thiocyanates — principalement dérivés de l’un des principaux glucosinolates des Brassica, la glucobrassicine, et de son dérivé, l’indole-3-carbinol — qui pourraient réduire l’absorption de l’iode par la glande thyroïde et qui pourraient entraîner une diminution de la synthèse de l’hormone thyroïdienne.

Nonobstant, dès son introduction, l’étude de Peter Felker, de 2016, [124] évoquée ci-après, invalide cette supposition en déclarant que : « Les concentrations de thiocyanate dans le plasma humain résultant de l’action de la myrosinase sur les glucosinolates indoliques n’ont pas été rapportées dans la littérature. En utilisant les concentrations plasmatiques de sulforaphane, après ingestion de glucoraphanine, comme substitut des concentrations plasmatiques de thiocyanate, après ingestion de glucosinolate indole, la contribution maximale de thiocyanate provenant de la dégradation des glucosinolates indoliques est estimée à 10 μM — 10 micromolaires — ce qui est significativement inférieur aux concentrations plasmatiques de thiocyanate de fond (40 à 69 μM).

On peut ainsi supposer que les thiocyanates, générés par la consommation de glucosinolates indoliques, présentent des risques minimes pour la santé thyroïdienne. »

Je confirme que l’étude de Peter Felker est la seule étude cohérente disponible quant aux concentrations de goitrine, et de thiocynate, dans le plasma humain après l’ingestion de légumes du genre Brassica. PubMed ne propose rien d’autre.

Il est à noter, d’ores et déjà, que le phrasé de cette conclusion est empreint de précaution scientifique… eu égard à cette problématique de goitrogénicité. Pourquoi ? Parce que les auteurs précisent que « malgré le développement de méthodes de chromatographie liquide à haute performance et de spectrométrie de masse pour mesurer la goitrine et d’autres produits de l’hydrolyse des glucosinolates dans le plasma, il n’existe pas de données sur les concentrations de goitrine dans le plasma humain après l’ingestion de légumes du genre Brassica, qui pourraient être utiles pour établir des lignes directrices en matière de sécurité nutritionnelle » . [124]

Faut-il répéter ? Il n’existe pas de données sur les concentrations de goitrine dans le plasma humain après l’ingestion de légumes du genre Brassica.

Comment, selon une telle absence de données, sourcées et sérieuses, se peut-il donc qu’il soit, très souvent, clamé, sur tous les toits de la Toile, depuis quelques décennies, que les choux sont antithyroïdiens ?

Sur quoi ces affirmations sont-elles fondées ? Se pourrait-il que la Mafia Pharma ait financé des «  influenceurs » afin de détruire la réputation des Kales et autres Brassicacées — beaucoup trop nutritionnels et médicinaux à leur goût… très prononcé pour l’empoisonnement allopathique chimique ?

Ainsi, en tout début de débats, il semble possible, déjà, de tirer des conclusions relativement non alarmistes eu égard à la consommation de Kales — en cru, plus particulièrement, car la cuisson détruit, de toute manière, une grande partie des glucosinolates.

En effet, une étude a mis en exergue l’inactivation de la myrosinase — qui permet d’hydrolyser les glucosinolates en leurs dérivés — lors de l’ébullition de brocoli, par exemple, dans 1,5 litre d’eau — au bout d’une minute.

Une autre étude a fait bouillir du chou pommé (Variété « Bartolo »), ce qui a entraîné une diminution spectaculaire de 56 % des niveaux totaux de glucosinolates dans la matrice végétale au cours des 2 premières minutes. Après 8 à 12 minutes d’ébullition, la diminution, des niveaux totaux de glucosinolates, a atteint plus de 70 %. La progoitrine présentait un taux de diminution exceptionnellement élevé par rapport à tous les autres glucosinolates.

Et ce n’est que le tout début… car, par la suite, rien n’est simple : tout d’abord, en raison de l’extrême diversité des variétés commerciales, ou des populations traditionnelles, au sein des diverses espèces de Brassica — et donc de leurs diverses sous-espèces — sans évoquer l’extrême variation, au sein des plantes d’une même variété, de la concentration en glucosinolates entre les graines, les feuilles et les racines… et ce, d’autant plus, s’il s’agit de populations ou de variétés anciennes.

En effet, l’étude de Peter Felker, [124] évoquée ci-après, en détail, met en exergue que certaines variétés de « Kales » ont 180 fois moins de progoitrine que celles qui en ont le plus et 150 fois moins de thiocyanates que celles qui en ont le plus.

Comment, selon de telles données, se peut-il donc qu’il soit très souvent clamé, sur tous les toits de la Toile, que tous les Kales sont antithyroïdiens ?

De plus, rien n’est simple, surtout, car, dans les Kales, le sulforaphane et l’indole-3-carbinol sont, tous les deux, réputés pour leurs capacités anti-carcinogéniques

—  de même que l’isothiocyanate de phénéthyle dont le précurseur est la gluconasturtiine.

En effet, le sulforaphane serait un protecteur, tout autant confirmé, de la thyroïde , à l’encontre du cancer, selon les études suivantes — par exemple :

« Sulforaphane inhibits thyroid cancer cell growth and invasiveness through the reactive oxygen species-dependent pathway ». [120]

« Sulforaphane Enhances The Efficacy of Photodynamic Therapy In Anaplastic Thyroid Cancer Through Ras/RAF/MEK/ERK Pathway Suppression ». [110]

Or, le sulforaphane et la goitrine sont, tous deux, dérivés de la glucoraphanine — le glucosinolate qui en est le précurseur.

En effet, la goitrine est issue de la progoitrine qui est catalysée à partir de la gluconapine qui est elle-même catalysée à partir de la glucoraphanine (grâce à l’enzyme GSL-A) qui est elle-même catalysée à partir de la glucoérucine… issue de l’acide aminé méthionine.

C’est ainsi que plusieurs études ont réalisé une chimérisation de Brassica napus, et de Brassica juncea, en désactivant leur gène GSLALK afin de bloquer la production de progoitrine et de fortifier les plantes en glucoraphanine. [135] [136] [1 3 8] En effet, les tourteaux de graines de Brassica napus (Colza) sont réputés avoir un très fort ratio de progoitrine et l’étude de Felker a identifié, de même, jusqu’à 176 μmol/100 g de poids frais dans des Kales Russo-Sibériens.

Ainsi, si tant est qu’il existe un péril thyroïdien avec les Kales, ce serait, plutôt, avec les Kales Russo-Sibériens de Brassica napus… ainsi que de certains Caulets et choux de Bruxelles — du moins, selon l’étude de Felker. Car, répétons-le : il existe de multiples variétés de Caulets et de choux-fleurs.

Et encore, faut-il préciser que selon ses conclusions : « Il convient d’éviter la consommation excessive par exemple, plus de 1 kg par jour pendant plusieurs mois — de chou frisé russo/sibérien cru de l’espèce Brassica napus, de certains Caulets et choux de Bruxelles, qui présentent tous des concentrations élevées de progoitrine et peuvent donc diminuer l’absorption de l’iode par la thyroïde et affecter la synthèse de l’hormone thyroïdienne. »

Aujourd’hui, qui consomme plus de 1 kg par jour, pendant plusieurs mois, de Kales Russo-Sibériens de l’espèce Brassica napus — en cru ?

Voie de conversion du glucosinolate de méthylthiobutyle (glucoérucine) en goitrine. Les enzymes glucosinolate oxydase (NCBI accession no. J3760740) (GSL-OX), glucosinolate alcénylation (NCBI accession no. EF611253) (GSL ALK), et glucosinolate hydroxylation (NCBI accession no. FJ376074) (GSL-OH) et la réaction non enzymatique sont indiquées en dessous ou à côté des flèches.

Extrait de l’étude « Concentrations of thiocyanate and goitrin in human plasma, their precursor concentrations in brassica vegetables, and associated potential risk for hypothyroidism » [124]

Quant au sulforaphane, il est catalysé, lui aussi, à partir de la glucoraphanine — sous l’action de l’enzyme myrosinase.

Pour rappel. La myrosinase est une enzyme végétale indispensable aux processus de dégradation et d’hydrolyse des glucosinolates. Lorsque les tissus végétaux sont endommagés mécaniquement, infectés par des agents pathogènes ou attaqués par des insectes, les glucosinolates et la myrosinase se lient directement. Les glucosinolates sont ensuite hydrolysés en une partie aglycone, en glucose et en sulfate. [150]

Hydrolyse de la glucoraphanine par la myrosinase

L’indole-3-carbinol possède, lui aussi, des qualités, très réputées, de protection à l’encontre du développement du cancer et d’autres pathologies des systèmes immunitaires et hormonaux.

Or, l’indole-3-carbinol et son thiocyanate sont, tous les deux, dérivés de la glucobrassicine — le glucosinolate qui en est le précurseur.

L’indole-3-carbinol est catalysé à partir de la glucobrassicine — sous l’action, également, de l’enzyme myrosinase — issue de l’acide aminé tryptophane.

En fait, la situation est quelque peu plus complexe dans la mesure où ce sont quatre glucosinolates indoliques qui produisent des thiocyanates. En sus de la glucobrassicine, ce sont : la néoglucobrassicine, la 4-méthoxy-glucobrassicine, la 4-hydroxyglucobrassicine. Nonobstant, dans les Brassica, le principal glucosinolate indolique est, assurément, la glucobrassicine.

Voie de dégradation enzymatique et non enzymatique des glucosinolates indoliques, qui aboutit à la production de thiocyanate et des composés anticancérigènes indole-3-carbinol et diindolylméthane. Abréviations : HSO 4, sulfate d’hydrogène ; SCN2, thiocyanate.

Extrait de l’étude « Concentrations of thiocyanate and goitrin in human plasma, their precursor concentrations in brassica vegetables, and associated potential risk for hypothyroidism » [124]

Voici maintenant la présentation de quelques études, ayant abordé la présente problématique, dont la plus élaborée est celle de Peter Felker et coll.

Lors de l’étude, de 2016, par Peter Felker, « Concentrations of thiocyanate and goitrin in human plasma, their precursor concentrations in brassica vegetables, and associated potential risk for hypothyroidism » [124] , les chercheurs ont analysé les concentrations de thiocyanate, et de goitrine, dans le plasma humain après ingestion de Caulets, de choux de Bruxelles et de certains choux frisés/Kales Russo-Sibériens de l’espèce Brassica napus var. pabularis , de navets, de brocolis, de brocolis raab et de choux frisés/Kales de l’espèce Brassica oleracea . Selon leurs conclusions :

Il y est à noter que si l’on se réfère aux taux de concentrations de thiocyanates , en ce qui concerne la dénomination « Kales » ou « Caulets », ils évoluent de 6 à 840 μmol/100 g de poids frais, pour des Caulets en passant par 465 μmol pour des Kales Russo-Sibériens. Tout en sachant que, dans cette étude, 840 μmol est une moyenne entre 446 μmol et 1172 μmol, en fonction des plantes de Caulets et que 465 μmol est une moyenne entre 216 et 803 en fonction des plantes de Kales Russo-Sibériens.

Il y est à noter que si l’on se réfère aux taux de concentrations de progoitrine , en ce qui concerne la dénomination « Kales » ou « Caulets », ils évoluent de 2 à 366 μmol/100 g de poids frais. Les deux valeurs les plus hautes, 366 et 314 μmol/100 g appartiennent, respectivement, à un Kale sibérien et à un chou-moellier.

En conclusion : si cette étude est correcte, quant à ses évaluations, cela signifie que certaines variétés de « Kales », ou « Caulets », ont 180 fois moins de progoitrine que celles qui en ont le plus et 150 fois moins de thiocyanates que celles qui en ont le plus.

Une autre étude, de 1974, « The goitrogenicity of Kale and its relation to thiocyanate content », a mis en exergue la différence entre les Kales de Brassica oleracea, et les Kales de Brassica napus, en ce qui concerne leur goitrogénicité potentielle. [121] Selon ses conclusions : Le Kale de Brassica napus var. pabularis était un peu plus goitrogène que les divers Kales de Brassica oleracea qu’ils analysèrent — à savoir : « Mille-Têtes », « Chou Moellier », « Canson », « Maris Kestrel ».

Il faut noter que, ainsi que nous l’avons signalé, le type « Mille-Têtes » appartient à Brassica oleracea var. ramosa et le type « Chou Moellier » appartient à l’espèce Brassica oleracea var. medullosa : ce sont des Kales… par extension. De plus, « Maris Kestrel » est un cultivar triple hybride de Chou Moellier : c’est une variété à haut rendement, courte, à rapport feuilles-tiges élevé, hautement digestible et adaptée au pâturage — mais moyennement résistante au froid. Quant à « Canson », c’est une variété de type Chou à Mille-Têtes.

Il existe quelques études soulignant la différence entre de jeunes pousses de Brocoli, versus de jeunes pousses de Caulets ou de Kales Russo/Sibériens, quant à la présence de goitrine et quant à leur impact sur la fonction thyroïdienne chez des animaux [113] [114] ou chez des humains [115] [116] . Ces études présentent les mêmes conclusions portant sur les effets bénéfiques de la consommation des jeunes pousses de Brocoli.

En effet, il n’est que très peu de progoitrine chez les jeunes pousses de Brocoli. Selon une étude de 2005, les jeunes pousses de Brocoli, ainsi que les Choux de Bruxelles, se caractérisaient par un faible taux de progoitrine — alors que les Brocolis et les Choux-Fleurs en avaient 8 fois plus. [117] Répétons-le : il existe de multiples variétés de Brocolis, de Choux de Bruxelles et de Choux-fleurs.

Des études polonaises ont investigué l’impact de la consommation de jeunes pousses, de 8 jours, de Rutabaga ( Brassica napus var. napobrassica ) — une sous-espèce de Brassica napus tout comme le Kale russo/sibérien — sur le fonctionnement thyroïdien de rats et sur leurs paramètres hématologiques, biochimiques et immunologiques. Les jeunes pousses ont été testées seules et en combinaison avec d’autres facteurs antithyroïdiens, tels que la carence en iode et l’ingestion de sulfadiméthoxine. Ces études sont « Interaction between iodine and glucosinolates in rutabaga sprouts and selected biomarkers of thyroid function in male rats », de 2018, [111] et « Animals in Iodine Deficiency or Sulfadimethoxine Models of Thyroid Damage Are Differently Affected by the Consumption of Brassica Sprouts », de 2020. [17] Selon leurs conclusions.

L’ingestion des jeunes pousses de Rutabaga par des animaux mâles en bonne santé n’a pas d’effets nocifs sur leur fonction thyroïdienne et pourrait même avoir eu un effet bénéfique sur l’équilibre antioxydant de la glande thyroïde chez les rats souffrant d’hypothyroïdie . En outre, la progoitrine et la glucoérucine, substances goitrogènes isolées à partir de semences de Brassica napus et d’Eruca sativa respectivement, n’ont pas provoqué de perturbation significative du profil des hormones thyroïdiennes dans le sérum des rats.

Cependant, chez les rats souffrant d’hypothyroïdie, les jeunes pousses évaluées ont renforcé les effets néfastes d’une carence en iode ou de l’ingestion de sulfadiméthoxine.

La durée de germination des graines de rutabaga a été déterminée sur la base de nos résultats antérieurs, qui ont montré qu’ une durée de germination plus longue entraînait une diminution significative de la teneur en progoitrine, le composé goitrogène le plus actif de cette plante, en particulier pour 10 et 12 jours de germination , par rapport à 8 jours.

L’une des caractéristiques évaluées, entre 1951 à 1990, au centre agronomique national écossais, fut le taux de thiocyanate contenu dans 15 cultivars, et 50 variétés hybrides, de Kales, dits « fourragers » — qui ont été produits et évalués, pour leurs caractéristiques fourragères, dans le sud-est de l’Écosse en 1982. [123] Selon leurs conclusions :

Les teneurs en ions thiocyanate variaient considérablement, de la plus faible dans les choux à moelle, des variétés «  Giganta » et « Vulcan », (35,0 mg/100 g en matière sèche) à la plus élevée dans les choux de Milan (96,2 mg/100 g en matière sèche) — les choux nains à Mille-Têtes, des variétés «  Canson » et « Dwarf Thousand-Head » et les choux frisés/Kales, des variétés «  Dwarf Green Curled » et « Tall Green Curled », présentant également des teneurs élevées.

Lors de l’étude, « Effect of nitrogen on thiocyanate content of Brassica oleracea var. acephala leaves », [125] une expérience a été menée pour étudier l’effet des niveaux d’application d’engrais azotés (0, 47, 94 et 188 kg N/ha) sur les teneurs en thiocyanate des pétioles et des lamelles de deux variétés de Brassica oleracea var. acephala — un Kale « Mille-Têtes » et la variété de Caulet du sud-est des USA, « Georgia ». Selon ses conclusions.

Les résultats ont montré que l’application d’azote réduisait de manière significative les teneurs en thiocyanate des lamines et des pétioles. L’application de 47, 94 et 188 kg N/ha a réduit le thiocyanate des lamines et des pétioles de 26 %, 41 % et 52 % et de 2 %, 9 % et 39 %, respectivement. Les résultats ont également montré que le thiocyanate des feuilles du Kale « Mille-Têtes » était significativement plus élevé que celui des feuilles du Caulet « Georgia » . Les thiocyanates des lamelles et des pétioles du Caulet « Georgia » représentaient respectivement 79 % et 83 % de ceux du Kale « Mille-Têtes ».

Doit-on en déduire qu’un sol bien fumé, dans un jardin bio, va permettre de diminuer les taux de thiocyanates dans les Brassicas ?

L’étude, de 2022, « Varied effect of fortification of kale sprouts with novel organic selenium compounds on the synthesis of sulphur and phenolic compounds in relation to cytotoxic, antioxidant and anti-inflammatory activity », se concentre sur l’évaluation de l’influence de nouveaux composés organiques, à base de sélénium, sur la synthèse des glucosinolates, des isothiocyanates, des indoles et des acides phénoliques dans les germes de chou frisé, ainsi que sur la détermination de leur impact sur l’activité antioxydante, anti-inflammatoire et cytotoxique sur les cellules normales et cancéreuses du tractus gastro-intestinal, de la prostate et de la thyroïde. [119] Selon ses conclusions :

La présente étude permet de conclure que l’enrichissement des jeunes pousses de chou frisé/Kale avec des composés organiques à base de benzosélénoate influence la production d’isothiocyanates et d’acides phénoliques, et renforce les propriétés antioxydantes des jeunes pousses enrichies. Notamment, l’enrichissement avec des composés, basés sur la structure du benzosélénoate, présente des propriétés chimioprotectrices dans divers types de cancer (cancer gastrique, de la thyroïde et de la prostate) .


Produits fermentés à base de Kales — Jus, Kombuchas, Choucroutes, etc. — pour une intensification de leur activité antioxydante

Dans le sud de l’Éthiopie, le Kale Ethiopien, Brassica carinata, est utilisé pour la production de boissons alcoolisées — tel que la bière locale nommée Parshot — qui sont concoctées tant à partir de fermentation alcoolique que de fermentation lactique. [104] Voir l’ouvrage « Local Beer as Food in the Dirasha, Ethiopia ». 2020. [112]

En Russie, les Kales, de Brassica napus, ont fait partie de 5 aliments fermentés essentiels à la survie de leurs centaines de Peuples pendant des millénaires — avec le Kama (farine de seigle ou d’avoine fermentée) ; le pain de seigle au levain ; le Kasha, une bouillie fermentée à base d’avoine, d’épeautre, de sarrasin ou d’orge ; le Tvorog (ou Quark), une forme de kéfir de lait.

Au fil de l’écriture de ce dossier, l’intuition m’est venue qu’il serait intéressant d’enquêter sur la confection de produits fermentés à base de feuilles de Kales.

La fermentation de la famille des Brassicacées peut se produire spontanément et elle repose sur un processus microbien séquentiel appelé hétérofermentation/homofermentation. Les bactéries homo-fermentaires sont des bactéries lactiques qui ne produisent que de l’acide lactique en tant que sous-produit principal de la fermentation du glucose. Les bactéries hétéro-fermentaires sont des bactéries lactiques qui produisent de l’éthanol/acétique.

Cette fermentation est d’abord dominée par les espèces des genres Leuconostoc et Weissella, puis passe progressivement à une phase ultérieure avec des espèces appartenant aux genres Lactobacillus et Pediococcus.

Par exemple, une « Choucroute » de Kale — qui ne semble pas encore exister sur le marché de la bio. Ou encore un « Kombucha » réalisé non pas à partir de feuilles de Thé noir ou de Thé vert (ou d’autres plantes médicinales), mais à partir de feuilles de Kales — ou toute autre Brassicacée puissamment antioxydante. Ou encore, un « Kimchi » de Kale en s’inspirant des recettes asiatiques ayant recours, traditionnellement, aux choux chinois de l’espèce Brassica rapa var. pekinensis.

Aujourd’hui, sur le marché du Kale, bio et non bio, en tant que « super-food », il se trouve beaucoup de Kale « surgelé », de la poudre de Kale fermenté pour les smoothies, du jus de Kale stérilisé sous haute pression… mais pas vraiment de produits à base de Kale fermenté non stérilisé.

Voici quelques études, concernant cette potentialité dans la mesure où il s’agit de processus de fermentation impliquant des Kales :

Il existe même une étude (tous aux Abris !) intitulée, « Cabbage and fermented vegetables: From death rate heterogeneity in countries to candidates for mitigation strategies of severe COVID-19 », [39] dont le propos est de prouver que les choux, et autres légumes, bien fermentés, ont protégé leurs consommateurs (en Asie, en Europe centrale, dans les Balkans) à l’encontre du CoqueVide/19 — inexistant. Pourquoi ? Parce que les lactobacilles sont des activateurs de la voie Nrf2 !

C’est une explication très sympathique et on en tirera la conclusion que les Choux fermentés permettent de se protéger à l’encontre des grippes et autres troubles respiratoires.

« Composition of lactic acid bacteria during spontaneous curly kale ( Brassica oleracea var. sabellica ) fermentation ». Cette étude analyse la composition des bactéries lactiques au cours de la fermentation spontanée du chou frisé/Kale (Brassica oleracea var. sabellica ). [74]

Ce sont : Lactobacillus curvatus, Lactobacillus plantarum, Lactobacillus paraplantarum, Lactobacillus brevis, Pediococcus pentosaceus, Pediococcus acidilactici, Lactococcus lactis, Weissella hellenica, Weissella cibaria, Leuconostoc mesenteroides.

“ Controlled fermentation of curly kale juice with the use of autochthonous starter cultures”. Cette étude porte sur la Fermentation contrôlée du jus de chou frisé à l’aide de cultures starter autochtones ». Selon ses conclusions. [81]

C’est la bactérie lactique, Lactobacillus plantarum, qui est la plus adaptée afin d’initier la fermentation du jus de Kale.

« Probiotic potential of lactic acid bacteria obtained from fermented curly kale juice/Controlled fermentation of curly kale juice with the use of autochthonous starter cultures ». Le microbiote initial, composé principalement de bactéries Leuconostoc mesenteroides, a été progressivement remplacé par des espèces de Lactobacillus, principalement Lactobacillus plantarum, Lactobacillus sakei et Lactobacillus coryniformis . [101]

Les isolats de Lactobacillus plantarum se sont caractérisés par le plus large spectre d’interactions antimicrobiennes , tant à l’égard des bactéries Gram-positives que Gram-négatives. En outre, les souches de Lactobacillus plantarum ont présenté les meilleures capacités de croissance dans des conditions de faible pH et à différentes concentrations de NaCl et de sels biliaires.

« Spontaneously fermented curly kale juice: Microbiological quality, nutritional composition, antioxidant, and antimicrobial properties/Jus de chou frisé fermenté spontanément : Qualité microbiologique, composition nutritionnelle, propriétés antioxydantes et antimicrobiennes ». [91] L’objectif de cette étude était de déterminer les changements dans la qualité microbiologique, l’activité antimicrobienne et antioxydante, la teneur en phénol, en vitamine C, en minéraux et en cadmium au cours de la fermentation spontanée du jus de chou frisé. Selon ses conclusions.

Le processus de fermentation a contribué à une croissance significative des bactéries lactiques, des entérocoques et des levures, alors qu’aucun pathogène Escherichia coli et Salmonella spp. n’a été observé. Les propriétés antimicrobiennes du jus obtenu se sont améliorées au cours de la fermentation pour tous les micro-organismes indicateurs. La teneur totale en composés phénoliques et l’activité antioxydante ont augmenté, passant respectivement de 48 à 116 mg d’équivalent acide gallique/100 ml et de 4,5 à 6,8 mM Trolox/100 ml, tandis que la teneur en vitamine C a diminué. Les résultats indiquent que 100 ml de jus contribuent de manière significative à l’apport minéral recommandé.

« Fermentation of Kale ( Brassica oleracea var. sabellica ) Vegetable Enhances Its Properties as a Functional food/La fermentation du chou frisé ( Brassica oleracea var. sabellica ) améliore ses propriétés en tant qu’aliment fonctionnel ». [9 2 ] Selon ses conclusions.

À la suite de la fermentation, de trois semaines, les polyphénols totaux, les flavonoïdes et la valeur antioxydante IC50 du Kale ont augmenté. Ils sont passés respectivement, de 9,22 à 10,64 mg équivalent acide galliques/g, de 5,35 à 6,20 mg QE/g, et de 186,70 à 378,50 ug/m. Par contre, une diminution significative de la teneur en bêta-carotène et en caroténoïdes totaux a été observée dans tous les groupes fermentés par rapport au contrôle.

« Production of Fermented Kale Juices with Lactobacillus Strains and Nutritional Composition/Production de jus de chou frisé fermenté avec des souches de Lactobacillus et composition nutritionnelle ». Des jus de chou frisé fermentés, utilisant quatre types de lactobacilles, ont été produits dans le cadre de cette étude. Selon ses conclusions : [94]

Ce sont Lactobacillus acidophilus et Lactobacillus brevis qui se sont avérés les deux lactobacilles les plus facteurs de nutrition augmentée.

« Starter culture for curly kale juice fermentation selected using principal component analysis/Culture de départ pour la fermentation du jus de chou frisé sélectionnée à l’aide de l’analyse des composantes principales ». Il s’agissait de souches de Lactobacillus paraplantarum, de Lactobacillus plantarum et de P ediococcus pentosaceus. [82] Selon ses conclusions : [94]

Des échantillons de jus de chou frisé fermenté avec une formulation multi-souches ont montré une acidification rapide avec un nombre élevé de cellules viables, un niveau élevé d’activité antioxydante et des effets antimicrobiens contre certaines bactéries pathogènes. En outre, la formulation multi-souches a donné de meilleurs résultats que le contrôle et les souches bactériennes autochtones testées individuellement.

« Effect of fermentation stages on glucosinolate profiles in kimchi: Quantification of 14 intact glucosinolates using ultra-performance liquid chromatography-tandem mass spectrometry ». [149] Selon ses conclusions :

Les échantillons de kimchi contenaient de la progoitrine, de la sinigrine, de la glucoraphanine, de la glucoraphénine, de la glucoalyssine, de la gluconapine, de la glucobrassicanapine, de la glucobrassicine, de la glucobertoïne, de la gluconasturtiine, de la 4 méthoxyglucobrassicine et de la néoglucobrassicine — dont la 4-méthoxyglucobrassicine, la glucobrassicanapine et la gluconapine étaient les principaux composés.

Dans le kimchi modérément fermenté, la glucobrassicanapine et la gluconapine restèrent au même taux alors que la 4 méthoxyglucobrassicine passa de 38 % à 42 %.

Dans le kimchi très fermenté, la 4 méthoxyglucobrassicine passa à 82 %.


Production de semences de Choux frisés, Kales et autres Caulets

Voici une section particulière pour les jardiniers souhaitant produire leurs propres semences de Choux frisés/Kales — qui, sont, très généralement, des plantes bisannuelles en ce qui concerne leur reproduction semencière.

Les Choux frisés/Kales fleurissent à la suite d’une vernalisation. De plus, ils ne se reproduisent que par le vecteur de pollinisation que constituent les insectes. En effet, l’autofécondation est largement empêchée par un système d’incompatibilité sporophytique.

Voir l’essai, de 1957, «  Self-incompatibility in marrow-stem kale, Brassica oleracea var. acephala. Demonstration of a sporophytic system  » . Thompson K F. Ce système d’auto-incompatibilité peut être, partiellement, et très artificiellement, contourné, en pollinisant une fleur avec du pollen provenant d’une autre fleur de la même plante au moins deux jours avant leur ouverture naturelle — afin de produire des lignées inbred/consanguines auto-incompatibles pour l’agronomie toxique.

En conclusion, il faut au moins deux plantes de Kales, Brassica oleracea, pour qu’une fécondation puisse se manifester — entre les fleurs des deux plantes – suivie d’une grenaison.

En fait, il en est de même pour la très grande majorité des sous-espèces, et variétés, de Brassica oleracea — à l’exception de quelques variétés de choux-fleurs autocompatibles et autres excentricités.

Les variétés de Choux frisés/Kales de l’espèce Brassica napus vont se croiser entre elles et avec toutes les variétés de Colza et de Rutabaga (dans un rayon de quelques kilomètres en fonction de la présence des insectes pollinisateurs).

Attention. Les trois sous-espèces de Brassica napus vont, également, se croiser avec toutes les variétés de Moutarde indienne (Brassica juncea).

Les variétés de Choux frisés/Kales de l’espèce Brassica oleracea vont se croiser entre elles et avec toutes les variétés des autres types de Brassica oleracea : chou-fleur, chou cabus, chou-rave, etc.

Un gramme de semences de Kales en contient environ 220 à 320 par gramme — en fonction des variétés de Brassica oleracea convar. acephala ou des variétés de Brassica napus var. pabularia.

Les semences de Brassica peuvent se conserver, viables, durant de nombreuses années dans des conditions de stockage sec : de 5 à 10 années — et encore beaucoup plus, assurément, en congélation.

En première conclusion, le jardinier souhaitant produire ses semences de Kales peut le faire, dans son jardin, chaque année, à partir d’une seule variété de Brassica oleracea , et d’une seule variété de Brassica napus , puisqu’il n’existe pas de risque de croisement interspécifique entre ces deux espèces — sauf cadeau de l’Évolution Gaïenne sur mode Émanation.

Par contre, c’est à condition stricte que, dans un rayon de 1 à 2 km — surtout si les ruches d’abeilles sont abondantes alentour — aucun autre jardinier, ou paysan, ne se prête au jeu de la production de semences de Kales, d’autres types de choux de l’espèce Brassica oleracea… ou encore de colza ou de rutabaga — et qui plus est, de toute variété de moutarde indienne, Brassica juncea, dans le cas de la production de Kales russo/sibériens.

En seconde conclusion, le jardinier souhaitant créer ses propres variétés peut le faire, dans son jardin, en croisant deux ou plusieurs variétés de Brassica oleracea , ou deux ou plusieurs variétés de Brassica napus.

Le jardinier peut, ainsi, laisser partir en semences, la seconde année, des plantes qu’il aura sélectionnées — pour leur couleur, leur résilience, leur saveur, leur nutrition, etc. — dans deux ou plusieurs variétés de Brassica oleracea… ou bien dans deux ou plusieurs variétés de Kales Brassica napus. Je suis enclin, personnellement, à créer des pools génétiques — permettant, subséquemment, de choisir parmi une large diversité.

Afin que la classification botanique soit bien claire, voici une présentation des espèces Brassica oleracea et Brassica napus . En effet, sans classification botanique très précise, il n’est pas possible de produire ses semences, en pureté variétale, en raison des croisements interspécifiques, et intervariétaux, très nombreux, chez les Brassica.

L’espèce Brassica oleracea se subdivise en diverses sous-espèces :

Brassica oleracea var. acephala : le chou frisé ou chou Kale

Brassica oleracea var. botrytis : le chou-fleur

Brassica oleracea var. capitata : le chou cabus, le chou rouge

Brassica oleracea var. cymosa : le chou brocoli

Brassica oleracea var. alboglabra : le brocoli chinois

Brassica oleracea var. costata : le chou à grosses côtes

Brassica oleracea var. gemmifera : le chou de Bruxelles

Brassica oleracea var. gongylodes : le chou-rave

Brassica oleracea var. medullosa : le chou-moellier

Brassica oleracea var. sabauda : le chou de Milan

Brassica oleracea var. italica : le chou brocoli à jets

L’espèce Brassica napus se subdivise en trois sous-espèces :

Brassica napus var. pabularis : Chou frisé russo/sibérien.

Brassica napus var. napobrassica : le rutabaga, le chou-navet.

Brassica napus var. napus : le colza annuel, la navette.

L’origine de Brassica napus est nimbée de mystères évolutifs — du moins, pour les poètes. Selon les généticiens, Brassica napus (2 n = 4x = 38) serait issu de flux génétiques spontanés (ou pas ?) entre Brassica rapa (2 n = 2x = 20) et Brassica oleracea (2 n = 2x = 18). Nonobstant, on ne connaît pas de populations de Brassica napus véritablement sauvages.

Et pour la petite histoire des mordus de la diversité — et de la création variétale. L’agronome obtenteur, très excentrique, Tim Peters, de Peters Seed and Research, en Oregon, aux USA — qui a créé, en pollinisation ouverte, des variétés de choux brocolis, ainsi que la variété de chou frisé sibérien « Winter Red », et qui est un passionné, également, des céréales vivaces (telles que les seigles vivaces) — a réalisé une expérimentation afin de tenter de retracer l’origine de Brassica napus. Il croisa un chou chinois (Brassica rapa) avec un chou frisé Européen (Brassica oleracea) et il obtint ainsi un magnifique chou dit « Sibérien » (Brassica napus). Il croisa ce premier résultat avec une moutarde (de l’espèce Brassica nigra) et il obtint un chou frisé dit « Sibérien » de type « Red Russian ».

Cette anecdote prouve, au moins deux points. Premièrement, la Terre-Mère a créé des espèces végétales ouvertes au jeux évolutifs avec l’Humain. Secondement, si Tim Peters put croiser Brassica oleracea avec Brassica rapa, c’est qu’il avait la capacité de jouer avec certaines espèces végétales déjà domestiquées — tout comme mon ami Mushroom, alias Alan Michaël Kapuler, lui aussi en Oregon… l’un des paradis des semenciers… et des cultivateurs de Ganja.


Au sujet de la sélection et de l’obtention de nouvelles variétés de Choux frisés, Kales et autres Caulets

Quasiment dans tous les pays européens, il existe divers types, variétés, populations de choux frisés/Kales. Malgré qu’ils y constituent des cultures traditionnelles, ils ont été, largement, négligés par la sélection agronomique et il n’existe pas, ou très peu, de variétés dites modernes.

Au Royaume-Uni, il a existé une sélection agronomique, à partir des années 1950, afin de produire de nouvelles obtentions de Kales dits fourragers — des hybrides simples, doubles, triples… à la folie ! [122]

Il existe, par exemple, une variété fourragère dénommée « Bittern » qui est un croisement entre le chou à moelle et le chou de Bruxelles — et qui constitue l’un des seuls triples hybrides de Kale fourrager commercialisé en semences, actuellement.

En fait, de 1951 à 1990, c’est le centre agronomique Écossais — Scottish Plant Breeding Station — qui a réalisé une pléthore de recherches portant sur les variétés fourragères de Kales en pratiquant des croisements impliquant des choux pommés, des choux de Bruxelles, des choux-raves, des choux moelliers, des Kales Curly, des choux à mille-têtes, des choux brocolis à jets, etc.

Un article récent, de 2022, « Use of Botanical Varieties of Brassica oleracea L. in the Breeding of Forage Kale », en présente des recherches, qui sont inédites, dans lesquelles 8 types botaniques (15 cultivars) de Brassica oleracea et 13 types d’hybrides intraspécifiques (50 variétés hybrides) ont été produits et évalués pour leurs caractéristiques fourragères dans le sud-est de l’Écosse en 1982. [123]

De plus, il est à noter que Watts, en Nouvelle-Zélande, a constaté que les croisements entre d’une part le chou frisé/Kale et, d’autre part le brocoli à jets et le chou-fleur — ainsi qu’entre le chou sauvage et le chou-fleur — étaient les plus productifs (poids frais) des croisements entre neuf types botaniques. [128]

Ces dernières décennies, ce sont, surtout, les semenciers bios, aux USA, qui ont joué à développer, où à commercialiser, de nouvelles variétés créées par des obtenteurs professionnels ou amateurs. Il s’agit, par exemple, des variétés « Dazzling Blue », « Red Ursa », « Lacinato Rainbow », « White Russian », « Winter Red », « Wild Red », « Western Front », « Gulag Stars », « Kale Coalition », « Siber Frill », « Nash Red Kale », « Bear Necessities », « Violet Moss Curled », « Russian Frills », « Russian Hunger Gap », « North Star Polaris », « Red Ruffled », etc. Voir la dernière section, de cet essai, portant sur la production de semences.




L’homme et la science moderne ont-ils évolué depuis le Moyen-Âge ?

La théorie virale relève-t-elle de la science ou de la Foi ?

« Née en Europe au XVIe siècle, la science moderne est l’héritière des traditions savantes de l’Ancien Monde. Son essor est étroitement lié aux grandes mutations de l’époque moderne : développement des échanges et découverte du Nouveau Monde, divisions confessionnelles, formation des États modernes, émergence de nouvelles techniques1… »

Du temps de l’inquisition, la « Vérité » avec son grand « V », donc incontestable, était uniquement basée sur la Foi et sur des dogmes.
Disons-le franchement, c’était quand même beaucoup plus pratique et bien moins source de controverses.

Le consensus était l’unique voie (ou voix), et quiconque s’en éloignait risquait de terminer brûlé comme hérétique.

Qu’est-ce que la « science » ?

Voici donc la définition du Larousse2 :

« Science :
Ensemble cohérent de connaissances relatives à certaines catégories de faits, d’objets ou de phénomènes obéissant à des lois et/ou vérifiés par les méthodes expérimentales.
Chacune des branches de la connaissance, du savoir (souvent pluriel) : Les sciences mathématiques.
Sciences :
Disciplines ayant pour objet l’étude des faits, des relations vérifiables. »

Le décor est planté.

Certains mots ont leur importance comme « vérifiés par les méthodes expérimentales » ou « études des faits, des relations vérifiables ».

Science et vérité scientifique

Il ne saurait y avoir de « Vérité » avec un grand « V » en science. La vérité relevant uniquement du dogme ou de la foi, qu’elle soit religieuse ou pas.

Une vérité scientifique ne peut exister qu’à la condition qu’elle puisse être fausse [ou réfutée].

À l’inverse, une fausse « science » n’aura jamais tort et toutes les expériences prétendument « scientifiques » n’auront pour seul objet que de confirmer le dogme.
C’est notamment ce qui se vérifie depuis la crise du Covid ou le changement climatique.

Climat : Faisons-nous face à un événement extraordinaire ou gravissime causé par l’homme ?

  • Il fait « anormalement » chaud ? C’est la preuve du changement climatique.
  • Il fait « anormalement » sec ? C’est la preuve du changement climatique.
  • Il fait « anormalement » froid ? C’est la preuve du changement climatique.
  • Il fait « anormalement » pluvieux ? C’est la preuve du changement climatique.
  • Etc.

Et quand tout est « normal3 », c’est aussi une « preuve » de changement climatique, la « normale » nous cachant sournoisement le dérèglement, car calculé sur les 10 dernières années.
Si vous questionnez un « scientifique » du GIEC (mots antinomiques dans les faits) vous saurez que 100 % des événements présents ou futurs sont la preuve de…

NB :

Il est de coutume de dire que « GIEC » sont les initiales de « Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’évolution du Climat ».
Ce serait la traduction de « IPCC » qui signifie « Intergovernmental panel on climate change ».
Cela devient plus qu’intéressant lorsque vous demandez la traduction à Google4 :
« Groupe d’experts intergouvernemental sur les changements climatiques »
Tiens, tiens, depuis quand « panel » veut dire « groupe d’experts » ?

Faisons-lui traduire juste « Intergovernmental panel ». Étrangement la traduction devient « Groupe intergouvernemental », le mot « expert » a disparu « par miracle ».
Et si on rajoute « on chess », histoire de parfaire la démonstration, la traduction demeure « Panel intergouvernemental sur les échecs ».
Le rajout « expert » est ciblé et semble avoir pour but de manipuler le public.

Le « déréglementent climatique anthropique » est une fausse science, un dogme avec ses axiomes, car il ne peut être remis en cause.
Le plus grave est que cette escroquerie se revendique de la « science » et du « consensus » pour s’autolégitimer et faire taire les détracteurs illuminés.

Interdire le blasphème scientifique

Une proposition de loi entend interdire le climatoscepticisme5 et ce n’est pas une mauvaise blague.

« L’objectif de cette proposition de loi est d’interdire dans le débat public toute remise en question des dérèglements climatiques, tout comme de leur cause anthropique. Ce point de départ devrait “échapper au débat contradictoire”, cela au nom de la science, ou plus exactement, du “consensus scientifique”. »

Il est clairement affirmé et revendiqué qu’ils appellent « science climatique » un dogme, une religion. La contradiction relève du blasphème et doit donc être interdite et condamnée. Amen.

Nous pouvons dès lors légitimement remplacer le mot « science » par le mot « foi » dans les publications issues de la doxa.

Nous vivons en pleine inquisition et toutes les lois mémorielles qui interdisent le débat ou la contradiction ne font que nourrir la méfiance et le doute.
Pourquoi devrions-nous protéger la vérité et de quoi ?

Interdire de questionner revient à dire « tu es sur la bonne voie, poursuis tes investigations ! »

Détenteurs de la science, gardiens de la Vérité

Ces mots sont totalement antinomiques, car dès lors qu’une profession, une caste ou tout autre groupe s’affirme détenteur de la science, de la vérité scientifique, il devient de fait l’unique détenteur et gardien de la Foi.
Brandir son étendard d’appartenance à une caste et affirmer « je suis légitime, car encarté » revient à affirmer sa religion, son appartenance à un clergé.

Notre société, dite moderne dans les mots, mais totalement médiévale dans les faits, adoube ces gardiens et leurs prophètes.
Ce phénomène est redoutable en France, mais moins prégnant dans le monde anglo-saxon.

Qui ?

Dès qu’une personne veut prendre la parole pour questionner, proposer, critiquer et j’en passe, la première question qui viendra immanquablement sera :

« Tu es QUI pour interpeller la “science” et le “consensus”, quelle est ta légitimité ? »

Cela se vérifie dans toutes les professions que ce soit avocat, informaticien, médecin, biologiste ou même plombier.
La non-appartenance à la caste détentrice de la Vérité Vraie est de nature suffisante pour s’autoriser le discrédit de l’orateur.

Notons que chaque profession, chaque caste fabrique sa propre langue. Ceci permet de prouver sa compétence, son statut de « savant », mais pas uniquement.
Grâce à votre langue, vous pouvez parler entre vous sans que le gueux ne puisse vous comprendre, mais surtout sans risque que vous ne perdiez votre pouvoir et votre supériorité.

La profession championne du monde en la matière est sans doute la médecine, la caste des seigneurs, celle qui disait « il » devant le patient (il a bien dormi ?).
Il est bien entendu que certains nouveaux mots apportent une précision nécessaire, mais que dire d’anamnèse pour renseignements, d’hyperthermie pour fièvre, d’asthénie pour fatigue, d’érythème pour rougeurs, prurit pour démangeaisons ou difficulté mictionnelle lors de problèmes pour pisser et j’en passe ?

Aujourd’hui6 comme hier

En quoi notre présent est-il si différent du paysan au Moyen-Âge qui questionnait le mouvement du soleil par rapport à la Terre ?
Seul un statut de moine ou d’ecclésiastique lui aurait accordé en partie ce droit.

« Bonjour, je me demande si les masques ont la moindre efficacité. »
« Bonjour, je me demande si l’Homme a vraiment marché sur la Lune. »
« Bonjour, je me demande si Poutine est l’unique méchant. »
« Bonjour, je me demande si le 11 septembre est le fait de terroristes. »
« Bonjour, je me demande si la théorie virale a été démontrée. »
« Bonjour, je me demande si JFK a été tué par la CIA. »
« Bonjour, je me demande si le prétendu réchauffement climatique est causé par l’homme. »
« Bonjour, je me demande si la Terre est plate. »
« Bonjour, je me demande si les extraterrestres ont construit les pyramides. »

Toutes ces questions, et il y en a des milliers d’autres, sont illégitimes (et délirantes) pour les « non-spécialistes ».

Les « élus » ou du privilège d’être du bon côté de la barrière

A contrario, les mots qui sortent de la bouche d’une personne accréditée sont réputés à la fois vrais et « scientifiques ».
Ces personnes bénéficient d’une « wild-card » les dispensant de prouver leurs affirmations dès lors que leurs propos ne vont pas à l’encontre des « saintes écritures de leur science officielle ».

La crise climatique, covid, ou le conflit américano-soviétique n’ont rien à envier aux pires heures de l’inquisition.

Les facts-checkeurs ont basé leurs démonstrations sur les « tables de la loi » de la caste dirigeante.
Un gueux, un incroyant, un impie pose une question par essence illégitime et stupide interrogeant par exemple l’efficacité des masques.
Il est bien entendu que nous n’en avons que faire quand bien même l’incrédule se baserait sur l’état de la science précédant 2020 ou certaines études publiées depuis.

Que font alors les fact-checkeurs ?
Très simple, ils vont interroger un membre du clergé de la sainte église du coronavirus et sa réponse vaudra « Vérité » et ne sera donc pas questionnée.
Son seul statut de « grand prêtre » sera de nature à DÉMONTRER et à PROUVER que le gueux dit faux.

Si vous êtes du bon côté de l’enclume, il suffit d’affirmer pour prouver « au nom de la science ».

La science, la vraie, l’unique, celle qui doute, celle qui émet des hypothèses, celle qui expérimente, celle qui se trompe, celle qui arrive à des résultats non attendus n’aura pas sa place dans ce monde.

Il y a aussi les « élus » et des « légitimes » chez les résistants

Nous pourrions naïvement imaginer que ce type de comportements serait uniquement le fait des représentants de la Vérité officielle, par exemple les membres de l’Église du Coronavirus ou du GIEC.

Le plus drôle, même si le terme n’est pas adapté, est que le mode opératoire est identique, quel que soit le camp du « bien » ou du « mal », des « résistants » ou des « collabos ».
Nous assistons exactement, heureusement pas chez tous, aux mêmes mouvements sectaires chez les résistants ou les complotistes, appelez-les comme vous voulez.
Il serait illusoire de se revendiquer de la « science » dans un camp targuant que l’autre ne le serait pas.
Le fonctionnement est bien souvent identique, seules les « tables de la loi » diffèrent selon votre appartenance à telle ou telle église.

Si un dissident remet en cause une « vérité » alors il subira le même algorithme religieux excommunicatoire basé sur la foi et les tables de la loi de cette secte.

Science et théorie virale

Il n’est pas possible d’avoir une démarche scientifique uniquement quand cela nous arrange.

Prenons l’église des adorateurs de la dangerosité de l’ARNm et de la spike.
Pourquoi les appeler ainsi me direz-vous et non pas simplement tels qu’ils se décrivent, c’est-à-dire des « scientifiques rigoureux » ?
Pour la simple raison que seule une partie de leur savoir est mise à l’épreuve du doute.

Je m’aperçois du flou de mes propos.
Ce que je veux dire ;

  • J’imagine qu’il peut exister des scientifiques affirmant que la spike est dangereuse ET qui auraient étudié la théorie virale jusqu’à parvenir à une conclusion scientifique que les virus existent, qu’ils sont des agents pathogènes, transmissibles, etc.
    Si tel est le cas, il serait de leur devoir de se manifester et faire parvenir à tous les sceptiques des preuves corroborant leurs affirmations.
  • Et de l’autre ceux que nous devons nommer des demi-scientifiques qui croient sincèrement agir en tant que purs et durs, ayant la même affirmation sur la spike, mais dont le savoir ne serait que le fruit d’une transmission depuis Pasteur, sans la moindre recherche personnelle de preuves quant à la véracité ou plausibilité de leur savoir sur cette affirmation de spike dangereuse.

À ma connaissance, les postulats de Koch ou Rivers7 méthode logique permettant de prouver la théorie virale, n’ont jamais été vérifiés.
Face à cette incertitude, tout scientifique devrait à minima se dire qu’il y a un problème et à minima remplacer ses certitudes par des doutes.

Mais là pas du tout, ce qui fait dire à Wikipédia, l’encyclopédie de la doxa :

« Les premiers postulats de Koch sont devenus la référence classique, mais il s’agit en fait plus d’un idéal à approcher que de règles contraignantes. Dans de nombreux cas, la causalité est validée sans que les critères soient entièrement remplis ».

À la poubelle toute rigueur scientifique !

Des postulats dérangent, ils détruiraient la théorie des germes ? Qu’à cela ne tienne, affirmons que cette rigueur n’est pas indispensable et relève d’un « idéal ».

Dès lors affirmer l’existence du Sars-cov2 et de la spike sans interroger la théorie virale est pour le moins problématique.

« Avez-vous des preuves de leur existence ou avez-vous utilisé les outils habituellement admis par la communauté scientifique ? »

La science est-elle victime du mécanisme utilisé pour jauger la pertinence d’une étude scientifique ?
Plus l’article est repris et plus cet article est réputé pertinent et « vrai ».
En l’occurrence des dizaines d’années de contre-vérités scientifiques reprises à l’infini en feraient une vérité.

Graphène dans les injections covid ?

Prenons l’hypothèse de graphène dans les injections Covid.

Si l’on peut s’accorder pour dire que la quasi-intégralité des résistants affirment la dangerosité des « vaccins » Anti-Covid, des divergences majeures existent lorsque l’on aborde certains sujets comme le graphène. D’autant plus que sa présence relèverait bien plus de la malveillance que de la faute.

Je ne prétends pas ici qu’il y en a ou pas, d’autant plus que je ne dispose pas de suffisamment d’éléments scientifiques, d’un ensemble suffisant de preuves matérielles.

Cela ne m’empêche pas d’avoir un sentiment, mais aucune certitude.

Imaginons que vous questionniez un membre de cette branche des complotistes de bonne foi qui se croient 100 % scientifiques, sur le sujet du graphène.

  1. En premier lieu, il pourrait vous affirmer que « c’est des conneries » voire que c’est une invention des maîtres du monde pour discréditer et ridiculiser la résistance.
  2. Afin de persifler un peu plus l’hypothèse ainsi que l’auteur, il pourrait alors la placer à un niveau de complotisme identique à la théorie de la Terre plate.
  3. Il pourrait aussi vous rétorquer : « à quoi bon chercher ou imaginer un autre agent pathogène alors que nous avons la spike (et les nanoparticules lipidiques) ».
    Spike qu’il n’y a aucune raison de remettre en question, tout comme la théorie virale.
  4. Ensuite il pourrait vous demander QUI vous êtes pour OSER poser cette question blasphématoire, blasphématoire, car potentiellement incompatible avec les tables de la loi virale.
    Le fameux « tu es qui pour » qui se résume à « quel est ton diplôme ».

Ces questions seraient suffisantes pour nous indiquer que nous serions en présence d’une église et non d’une équipe scientifique.
Il est bien entendu que si vous n’appartenez pas à la bonne caste, ceci autorisera de plein droit la disqualification de vos propos.

Vous pourrez voir que le mode opératoire des anti-spike qui ne semblent pas questionner leur formation et leurs croyances est IDENTIQUE à ceux qu’ils combattent, les membres de la doxa, empoisonneurs à base d’injection Anti-Covid.

  1. Si d’aventure vous passiez l’épreuve de sélection du diplôme, ne croyez pas que vous pourriez vous en tirer si facilement.
    Vous l’avez obtenu où ? Quel est votre cursus ? Comment s’appelle votre conjoint ? Aimez-vous les huîtres ? Etc.
  2. Si vous semblez au-dessus de tout soupçon professionnel, que vous n’avez pas de cadavre dans le placard, que vous n’avez pas été photographié en 1962 avec le neveu du beau-frère de Soros, ne vous croyez pas pour autant sauvé.

Vous n’échapperez quand même pas à la condamnation du tribunal de l’inquisition complotiste.

Si votre hypothèse de graphène pouvait s’avérer incompatible avec leur véritéreposant sur la théorie des germes, vous tomberez probablement dans la case des « disjonctés ».

Combien de fois ai-je pu lire que tel ou tel scientifique de renom auparavant respectable qui avançait des théories incompatibles avec les tables de la loi de son groupe, avait tout simplement « pété les plombs ».

Je parle bien évidemment de ceux qui sont prisonniers de leurs dogmes alors qu’ils se disent ou se pensent de bonne foi, scientifiques, ignorant qu’ils n’en sont que les gardiens.
Leur démarche n’a plus rien de tel s’ils ne questionnent pas l’ensemble de leurs croyances.
Il se peut qu’ils deviennent alors extrêmement agressifs en entendant un blasphème.

Je le redis, leur comportement est comparable à ceux de la doxa qui rejettent les théories de scientifiques de renom en disant « qu’ils ont pété les plombs ».

Que dire de la censure, l’arme des croyants ébranlés par des thèses remettant en cause leur foi ?

Nul scientifique ne peut être bouleversé en faisant s’effondrer les murs de siècles de croyances ou d’une vie de labeur, bien au contraire même !

Nous pouvons utiliser l’échelle des émotions suscitées par une publication allant à l’encontre d’une doxa pour mesurer le coefficient de croyance du « scientifique ».
Plus il sera véhément, hargneux, colérique, voire hystérique, et plus nous aurons la preuve que sa foi prétendument dure comme du marbre, repose sur du sable.

La démarche scientifique n’est pas de donner une fin de non-recevoir ou de rejeter par principe et/ou par confort, elle consiste à étudier sérieusement le sujet.

J’entends qu’il est logique d’avoir une petite idée lorsque l’on se lance dans une expérience.
Celui qui a l’intuition qu’il n’y a aucun graphène partira avec cette idée qu’il n’en trouvera probablement pas.
Celui qui a l’intuition qu’il y en a s’attendra quant à lui à en trouver.
Mais quand bien même ces deux chercheurs sont de vrais scientifiques qui respectent la méthodologie, tous deux devraient arriver aux mêmes résultats en partant du même échantillon.

Qu’ils en trouvent ou n’en trouvent pas, leur conclusion ne pourra-être que « J’en ai trouvé (ou pas) dans CES échantillons ».
Il faudra que cette expérience soit reproduite par d’autres scientifiques, dans d’autres lieus, avec d’autres échantillons pour pouvoir généraliser les résultats.

Prendre le risque de remettre en question une vie de labeur au service d’une théorie ?

Le drame veut que de nombreux scientifiques ne soient plus que des gardiens au service de leur foi.
Celui qui ne croit pas au graphène fera son maximum pour parvenir aux résultats qui n’ébranlent pas sa foi.
Disant cela, je suis un indécrottable optimiste qui imagine que tous les scientifiques vont étudier le sujet afin de voir si l’ensemble de leurs croyances résistent ou pas à la démarche scientifique.
Combien sont-ils à prendre le temps et le risque d’avoir tort ?

  • Qui, pensant de bonne foi que le vaccin est « sûr et efficace », qui a vendu la vaccination a ses patients, va se pencher réellement sur le sujet pour répondre aux interrogations de ceux qui disent le contraire ?
  • Qui, pensant de bonne foi que le sars-cov2 existe et que la spike est dangereuse va se pencher réellement sur le sujet pour répondre aux interrogations de ceux qui pensent que les virus n’existent sans doute pas et qu’il y aurait peut-être en plus d’autres poisons dans l’injection ?

Il est plus simple de disqualifier le messager et de ne pas entreprendre une démarche réellement scientifique.

J’imagine qu’un fervent défenseur du Soleil qui tourne autour de la Terre va prendre un coup lorsqu’il aura les preuves sous les yeux l’obligeant à penser que la théorie la plus probable est que la Terre tourne autour du Soleil et non l’inverse.
Devons-nous le qualifier de coupable d’avoir vécu avec une croyance erronée ou de victime d’avoir été formaté avec cette théorie ?
Pour autant ce statut de victime évoluera inexorablement vers celui de coupable s’il n’enquête pas, refuse d’examiner les preuves et s’entête dans sa croyance.

La charge de la preuve

Concernant le 11 septembre, les virus ou l’homme sur la Lune, les tenants d’une doxa disent au « complotiste ».

« Vas-y, prouve-moi que les tours du 11 septembre ne sont pas le fait d’Al-Qaïda ? », « Vas-y, prouve-moi que les virus n’existent pas » ou « prouve-moi que nous ne sommes pas allés sur la Lune ».

Nous sommes là en pleine inversion accusatoire et absence totale de rigueur scientifique.
Ce n’est pas à celui qui doute de prouver, mais à celui qui ne doute pas de prouver.

« Prouvez-moi que 3 tours sont tombées grâce à 2 avions qui volaient à des vitesses impossibles. »
« Prouvez-moi que les virus existent, se transmettent et où ils passent leurs vacances en été. »
« Prouvez-moi que nous sommes allés sur la Lune avec une technologie aujourd’hui perdue selon la NASA. »
« Répondez à toutes nos interrogations et si tel est le cas alors nous nous inclinerons et réviserons nos croyances comme nous l’avons fait à de multiples reprises. »

Ah j’en ai bouleversé des croyances depuis quelques années et croyez-moi ce n’est pas si facile.

Je me suis même mis au défi de voir si la Terre serait plate8 alors même que j’avais la conviction qu’elle ne l’était pas, afin de la mettre à l’épreuve.
J’ai ce courage (ou cette bêtise ?), car il en faut, croyez-moi. Tout ceci isole de mettre à mal ses convictions.
Si j’ai étudié très longuement ces sujets, je n’en dirai pas autant de nombreux scientifiques de la doxa ou de certains résistants demeurant dans leur confort formaté et qui se contentent d’affirmer pour prouver.

Alors nous n’en avons que faire de qui, ou pourquoi, dès lors qu’il agit en scientifique.

Le vrai ne demandera pas « quelle est ta légitimité pour parler »,
Il n’affirmera jamais sans avoir vérifié « c’est totalement stupide » et fera encore moins une attaque sur la personne.

Re-ve-nez à vos fondamentaux !

Si vous vous dites scientifiques et que l’on vous dit :

  • « Voici les éléments de preuve en ma possession permettant d’affirmer que la Terre est plate. »
  • « Voici les éléments de preuve en ma possession permettant d’affirmer que la théorie virale n’a rien de scientifique. »
  • « Voici les éléments de preuve en ma possession permettant d’affirmer que les reptiliens ont conquis la Terre. »
  • « Voici les éléments de preuve en ma possession permettant d’affirmer qu’aucun vaccin n’a jamais permis d’éradiquer la moindre maladie. »

La seule option possible est d’étudier RÉELLEMENT le sujet, voir les arguments, puis éventuellement les contrer par des éléments objectifs.
Cette démarche prend beaucoup plus de temps qu’une simple affirmation journalistique.

C’est de la controverse que pourra émerger une vérité scientifique qui sera par la suite balayée par une autre.

Science et médecine

Bon, vous pourriez me dire que la médecine n’est pas une « science ».
Il serait difficile de ne pas vous suivre, mais le problème est qu’elle ne se positionne pas ou plus comme une forme de savoir-faire artisanal, mais impose ses vérités et sa dictature « au nom de la science ».

  • C’est la « science » qui nous dit qu’il existerait des virus.
  • C’est la « science » qui nous dit qu’il existerait des vaccins efficaces pour s’en protéger.
  • C’est la « science » qui conduit à 11 vaccins obligatoires pour les nouveau-nés.
  • C’est la « science » qui nous dit qu’il existerait un sars-cov2 qui pouvait décimer la planète.
  • C’est la « science » qui nous a prédit des millions de morts si nous ne mettions pas en œuvre des mesures liberticides et dictatoriales.
  • C’est la « science » qui nous a confinés, a imposé la distanciation et les masques.
  • C’est la « science » qui a « prouvé » qu’il n’existait aucun traitement.
  • C’est la « science » qui nous dit qu’elle peut fabriquer un ARNm qui ferait produire la spike d’un virus.

Et c’est la « science » qui nous a dit qu’il existerait un vaccin « sûr et efficace ».

Ici encore il n’est pas possible de s’en revendiquer quand cela vous arrange et du bonimenteur dans les autres cas.

Raisonnement pseudoscientifique du « scientifique antivax à ARNm »

Précisons qu’il éprouve généralement le besoin d’affirmer qu’il n’est pas antivax « vaccins classiques » avant de se lancer dans une diatribe contre les injections d’ARNm.
Ceci afin de bien montrer à ses pairs qu’il demeure membre de sa famille d’origine et qu’il ne la renie en rien.
S’il y a bien un qui ne se revendique pas « complotiste », c’est bien lui !

Axiomes, vérités non démontrées :

  1. Les virus existent, se reproduisent uniquement dans un hôte, peuvent survivre en dehors d’un hôte, se transmettent et peuvent être mortels (axiome partagé par la doxa et les complotistes anti spike).
  2. Le Sars-cov2 existe, il est très contagieux et provoque une nouvelle maladie appelée Covid19 (axiome partagé par la doxa et les complotistes anti spike). Ceci ne peut être vrai que si l’axiome 1 est scientifiquement prouvé.
  3. Le Sars-cov2 est « recouvert » d’une protéine spike identifiée et dont nous connaissons la structure chimique, elle permet au virus de pénétrer dans nos cellules (axiome partagé par la doxa et les complotistes anti spike).
    Ceci ne peut être vrai que si l’axiome 2 est scientifiquement prouvé.
  4. Nous savons coder un ARNm afin que nos cellules soient en capacité de fabriquer la protéine Spike (axiome partagé par la doxa et les complotistes anti spike).
    Ceci ne peut être vrai que si l’axiome 3 est scientifiquement prouvé.

Les scientifiques complotistes anti-spike constatent que :

  1. Le « vaccin » peut tuer.
  2. L’axiome 4 affirmant que l’ARNm vaccinal produit de la spike ne mettent pas en doute le fonctionnement du « vaccin » et déduisent en toute logique que la spike peut tuer. Et comme le fabricant précise que ses ARNm sont emballés dans des capsules lipidiques, elles sont peut-être aussi dangereuses.
  3. Si la spike est dangereuse alors ils déduisent qu’il est stupide ou criminel de la faire fabriquer dans notre corps par de l’ARNm injecté.
  4. La conclusion qui s’impose est que le « vaccin » à ARNm est dangereux, car il entraîne la production d’une protéine qui nous rend malade.
  5. Si la Spike ou l’ARNm qui la fabrique sont les « tueurs » alors sa présence dans n’importe quel organe ou sécrétion sera une preuve de toxicité.
  6. Il n’est pas nécessaire de chercher d’autres poisons comme du graphène ou des intentions malveillantes au-delà de l’appât de gain.

CQFD.

Le seul problème est que ce raisonnement logique implique que les axiomes quatre, trois, deux et un ne soient pas des axiomes, mais seraient construits à partir de preuves scientifiques mises à l’épreuve.

Preuves indirectes

Notons que dans cette « science » il est commun d’appeler « preuve » des résultats indirects.

Une étude qui a cherché la présence d’ARNm dans le lait maternel de mamans vaccinés9, a utilisé la méthode indirecte de détection de cet ARNm par RT-PCR.
Strictement personne n’a donc observé in vivo cet ARNm, c’est donc une preuve indirecte !

Comme le « vaccin » est censé produire de l’ARNm, c’est l’unique coupable potentiel. Il est inutile et ridicule de chercher des traces d’autres poisons ou substances dangereuses.

C’est comme affirmer que la présence d’anticorps serait la preuve d’une ancienne contamination ou de l’efficacité d’un vaccin. Anticorps = preuve indirecte.
Notons que le BCG10 ne produit pas d’anticorps et pourtant il est présumé « efficace ».

En science, un résultat contraire à ce qui est attendu questionnera sur l’hypothèse.
En pseudoscience, un résultat inattendu entraînera la fabrication de nouvelles théories ne remettant pas en question l’hypothèse de départ. Par exemple des virus lents.

Le BCG ne produit pas d’anticorps, qu’à cela ne tienne, il entraîne la production de lymphocytes T11 donc il est efficace. Lymphocytes T = preuve indirecte.
Notons au passage que ces lymphocytes sont présents pour lutter contre des infections, des « poisons ». Peut-on alors affirmer l’efficacité d’un vaccin ou l’efficacité d’un empoisonnement ?

Bien entendu la théorie virale ne repose QUE sur des preuves indirectes.

La médecine adore les preuves indirectes.

« Une preuve indirecte, c’est trouver un cadavre en décomposition dans une chambre avec des vers et déduire qu’ils sont la cause du décès. On pourra alors affirmer que nous avons la preuve que les vers tuent ! »

Les critiques ne manquent pas quant à la fiabilité du RT-PCR pour statuer de la contamination d’une personne asymptomatique qui serait donc porteuse du Sars-cov2.
Mais elles cesseraient d’exister dès lors qu’il s’agirait d’utiliser la méthode pour faire le génome du virus ou pour détecter de l’ARNm dans les organes des personnes « vaccinées ».
Bref une science à deux vitesses selon que cela arrange ou pas.

C’est cette même « science » avec une rigueur plus que discutable qui va nous imposer l’identité numérique, le crédit social et j’en passe, pour « sauver la planète ».

Moyen-Âge

L’unique différence avec le Moyen-Âge est que nous appelons « science » ce qui relève bien souvent des usages, de la naïveté, du mensonge, de la manipulation, de l’escroquerie ou de la foi.

La tromperie est de fait bien supérieure à l’inquisition, car la Vérité était écrite dans le marbre des saintes écritures. La foi ne se démontre pas.

L’escroquerie présente est largement plus malhonnête, car elle fait croire que les vérités énoncées sont scientifiques, donc répondant à une méthodologie honnête et rigoureuse, alors qu’il n’en est rien.

Il n’est pas plus anti-science pour un membre de la doxa d’affirmer que le « vaccin est sûr et efficace » que pour un résistant d’affirmer que le « Sars-cov2 a été identifié répondant aux postulats de Koch12 dont la spike est dangereuse ».

Ni l’un ni l’autre ne sont en capacité d’apporter de preuves rigoureuses et si preuves il y avait, elles sont plutôt du côté de ceux qui affirment le contraire.

Fou

La foi ne se démontre pas et c’est ce qui en fait sa magie, et pourtant ces faux « scientifiques » se servent de la « science » pour la démontrer.

Le « fou » est celui qui doute, qui interroge, qui questionne et critique.
Le « sage » est celui qui avale, qui gobe et prend comme fait et vérité la nourriture prémâchée qui lui est proposée jour après jour.

L’objet de ce texte n’était pas uniquement de (re)lancer le débat « virus ou pas virus » ou « changement climatique anthropique ou pas », il était de montrer que la « Science », celle avec un grand « S » est la grande sacrifiée de nos sociétés dites modernes.

Elle a été trahie, pervertie, piétinée, corrompue pas seulement par des pourritures, mais aussi par celles et ceux qui s’en revendiquent, qui sont naïfs, n’ont jamais eu ou ont perdu leur curiosité scientifique.
Ne nous étonnons pas que les filières scientifiques soient de plus en plus boudées au bénéfice du commerce et du marketing.
L’avenir est à la manipulation des masses et certainement pas à la vérité scientifique !

Si l’Histoire avec un grand « H » est écrite par les vainqueurs, la « science » avec un petit « s » est écrite par ceux qui la financent.

Merci

Alain Tortosa13.

24 septembre 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230924-science-pseudo-science-theorie-virale.pdf





Une solution religieuse contre le Nouvel Ordre Mondial ?

[Source : arktos.com]

Iurie Roșca explore l’escalade des problèmes mondiaux de notre époque, en proposant un prisme religieux pour critiquer la montée du transhumanisme et d’autres phénomènes modernes.

Par Iurie Rosca

Toute la dynamique des événements internationaux de ces dernières décennies porte la marque indubitable de Satan. Le processus radicalement anti-humain — le mondialisme — ne peut être compris dans toute sa profondeur et sa complexité que dans une perspective religieuse.

Le dernier assaut des forces lucifériennes contre l’Humanité a atteint une ampleur sans précédent pour deux raisons principales.

Premièrement, le bannissement de Dieu de la conscience collective des masses a triomphé (le fait que certains d’entre nous fréquentent encore des lieux de culte ne nous épargne pas l’infiltration dévastatrice d’une vision profondément matérialiste dans nos esprits, nous plongeant dans un état de schizophrénie).

Deuxièmement, la puissance de la technoscience, convoquée par les forces infernales de « scientifiques » sous influence démonique, permet l’exercice d’un contrôle total sur la population mondiale par un tout petit groupe d’individus.

L’action subversive du serpent biblique contre l’Humanité n’a pas cessé depuis la tentation d’Eve au Paradis jusqu’à nos jours. En Occident, elle s’est manifestée par la Réforme, la Renaissance, le siècle des Lumières et la Révolution française. L’intrusion dans la modernité a déclenché une ligne continue de dégradation humaine. Le scientisme, la technolâtrie, le progressisme, le transformisme et l’anthropocentrisme ne sont que quelques noms de cette maladie mentale fatale.

Et si les hommes ont cru pouvoir remodeler sans limites l’Humanité, la nature et la société, nous avons atteint le stade ultime de la transformation diabolique du monde. Elle se manifeste par la destruction ultime de l’harmonie et de l’équilibre du monde. L’attaque contre l’Humanité, menée avec une force dévastatrice, prend des formes telles que la dissolution de la famille, l’anéantissement de la maternité, le meurtre rituel des enfants à naître, le féminisme, la théorie du genre, la légalisation de la sodomie, la pédocriminalité et la sexualisation des enfants.

La concaténation des processus conduisant à la déshumanisation du monde et à l’assassinat des masses abruties par la télévision, l’Internet et la culture de masse inclut nécessairement le mythe de la vaccination et le mythe du climatisme.

Les messagers du monde infernal, rassemblés dans des organisations occultes ou visibles, prêchent la fin de l’homme normal par la fusion d’éléments biologiques et techniques dans le corps humain. L’homme augmenté, imprégné de nanoparticules et de puces, est la « nouvelle normalité » vers laquelle nous poussent les satanistes. Gestion de la perception, contrôle du comportement, contrôle de la mémoire, numérisation complète de la société et de l’homme, telle est déjà la réalité cauchemardesque vers laquelle nous sommes poussés.

L’accélération vertigineuse de la fin de l’Humanité a adopté deux noms complémentaires, présentés comme des réalisations supérieures devant ouvrir une ère de bonheur universel : technocratie et transhumanisme.

La vitesse à laquelle se déploie l’agenda maléfique des mondialistes est si rapide, et les conséquences de ces actions si catastrophiques, que l’instauration du Nouvel Ordre Mondial devient une réalité quotidienne.

L’impasse dans laquelle se trouve l’Humanité face à ces dangers mortels est due à l’aveuglement spirituel généré par les cercles maçonniques, d’abord en Europe occidentale et aujourd’hui dans le monde entier, qui est atteint par la maladie mortelle de l’occidentalisation.

Si nous restons attachés au paradigme matérialiste, qui provoque l’autosuffisance humaine sans se référer à Dieu comme créateur du monde et à Satan comme destructeur, notre combat pour la survie est voué à l’échec.

Des activistes politiques, des militants des droits civiques, des auteurs de livres, des chercheurs honnêtes et des journalistes indépendants tentent de former une résistance contre ce tsunami mondialiste en critiquant le système de l’intérieur, sans se rendre compte de la futilité de leurs propres efforts. La matrice dans laquelle nous avons été plongés au cours des cent dernières années n’était que la phase préparatoire de l’attaque finale contre l’Humanité, qui se déroule avec une force volcanique. Nous pourrions appeler ce piège intellectuel « matérialisme » ou « libéralisme », et nous n’aurions pas tort.

Mais le terme approprié pour désigner l’état actuel du monde est « impiété ». Le diable a réussi à saper subtilement la vision religieuse du monde. Aujourd’hui, les gens considèrent leur incrédulité comme une question de choix personnel. Ils jouent le rôle dévalorisant d’objets de manipulation par des forces qui dépassent leur propre intellect, qui sont de nature spirituelle, et sont loin de pouvoir voir à travers elles.

D’où l’échec de l’analyse des leaders intellectuels, aussi sophistiqués et érudits soient-ils, qui tentent d’appréhender les réalités d’aujourd’hui et, surtout, de proposer des solutions pour éviter une fin fatale à l’Humanité. Nos exercices intellectuels puérils pour restaurer l’État de droit, la souveraineté populaire, la démocratie, les droits de l’homme, etc. amusent particulièrement le diable. Il a réussi à détourner notre attention en nous faisant croire à notre propre autonomie.

Si nous restons attachés au paradigme matérialiste, qui provoque l’autosuffisance humaine sans se référer à Dieu comme créateur du monde et à Satan comme destructeur, notre combat pour la survie est voué à l’échec. Ce n’est ni par la culture, ni par la science, ni par les méthodes de combat politique de l’État libéral que nous pourrons nous sauver de la sinistre catastrophe qui s’abat sur nous à une vitesse croissante.

La chance de survie du monde face à cette agression d’une puissance destructrice énorme ne réside pas seulement dans la lutte pour les réformes, dans le courage civil et dans la dénonciation des plans des élites mondialistes.

La force dévastatrice de cette agression ne réside pas seulement dans la concentration des ressources économiques, politiques, technologiques et militaires, qui leur permet de dominer complètement le monde. Il s’agit d’un pacte avec le diable. En d’autres termes, nos forces sont inégales. Ils se sont alliés à l’esprit des ténèbres et nous restons seuls, c’est-à-dire des proies faciles pour eux.

Par conséquent, pour avoir une chance de survie puis de victoire, nous avons aussi besoin d’une alliance qui nous rende plus forts face aux ennemis de l’Humanité. Et cette alliance ne peut être qu’une alliance avec Dieu. Seul le créateur du monde et des hommes est plus fort que sa création, le premier révolutionnaire, qui est Lucifer.

Notre Dieu, notre Sauveur, le Dieu tout-puissant nous attend. Il nous regarde avec pitié, comme des enfants orphelins laissés sans défense face à une meute de loups.

La guerre totale qui est actuellement menée contre l’Humanité n’est pas l’œuvre de « psychopathes », comme voudraient le faire croire certains dissidents du camp des altermondialistes. Ces cercles occultes ne sont pas autonomes. Ils ont fait leur choix, ils ont choisi leur maître. À nous de choisir. Avant qu’il ne soit trop tard. S’il n’est pas déjà trop tard.

Le Christ nous attend. Viendrons-nous à lui, ou est-il déjà en route vers nous ?




Alexandra Henrion-Caude sera-t-elle un jour la porte-drapeau des « vaccinations » à ARNm ?

Par Jacques-Yves

Ce texte se concentre essentiellement sur plusieurs interventions de AHC [Alexandra Henrion-Caude] dans des conférences, dont « Re-check, comment se préparer à la prochaine pandémie ? », des 11 et 12 février 2023 que vous pouvez visionner grâce au lien en bas de page1.
À noter que le texte pourrait s’appliquer à de nombreux médecins ou scientifiques résistants qui remettent en question la doctrine, mais seulement à la marge. Sont-ils au service de la science et en quête de vérité, sont-ils involontairement utilisés par des forces obscures, font-ils involontairement le jeu des psychopathes ? Mais le but de ce texte n’est pas de répondre à la question « Est-ce un membre de l’opposition contrôlée ? ». Il ne s’agit pas non plus de jauger la sincérité de cette scientifique.

AHC a publié un livre « Les Apprentis Sorciers2 ». Attention, tous les droits sont versés aux soignants suspendus.
Son partenaire étant multimillionnaire, cela permet à certains de dire que le geste n’est pas un sacrifice, mais une envie de reconnaissance..

« … aucun de prêt de loin d’une quelconque façon je ne déclare je déclare que je n’ai aucun conflit d’intérêts3 » 

Cela pose un premier problème. Même s’il est possible ou réel qu’elle n’ait aucun conflit d’intérêts ACTUEL, il y en a eu dans son passé. AHC ne cache pas avoir travaillé à l’INSERM et bien sûr en étroite collaboration avec l’industrie pharmaceutique. Il est impossible d’atteindre ce niveau de responsabilité sans être adoubé par le système. Puisqu’on parle ici de son passé, il n’est pas question de procès d’intention.

Cependant, l’expression « de loin » pose problème. Difficile de dire « de loin » lorsque votre conjoint travaille en étroite collaboration avec l’industrie pharmaceutique. J’invite les lecteurs à faire leurs propres recherches en ligne pour en savoir plus.

Ceci étant dit, fions-nous à ses déclarations.

Une « pandémie » ?

AHC prononce le mot « pandémie » quinze fois dans l’intervention et ne remet pas en cause le discours de la doxa. « Pandémie » qui selon elle a débuté non pas en mars 2020, mais mars 20194. Rappelons également que la conférence s’appelle « re-check comment se préparer à la prochaine pandémie ».

Ses affirmations sont en totale contradiction avec le réseau de médecins généralistes Sentinelles5 qui n’ont jamais pu voir le Covid atteindre le seuil épidémique. On pourrait également citer les travaux de Pierre Chaillot et son livre « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels : mortalité, tests, vaccins, hôpitaux, la vérité émerge6 » publié aux éditions l’Artilleur, dont les données permettent d’affirmer qu’il n’y a eu qu’une épidémie de tests PCR.

Précisons que Pierre Chaillot a également renoncé à tous ses droits7.

Un « virus » ?

AHC parle beaucoup du virus et de son origine et notamment de « bio-crime8 ». Le Sars-cov2 existerait, on aurait son génome, on aurait la preuve de son origine non naturelle. En cela son discours ne s’écarte que peu ou pas de celui de la doxa qui affirme qu’il existe de méchants virus qui se propagent et tuent. Si l’on regarde les études, vous pourrez constater que ce Sars-cov2 n’a jamais été identifié, « vu », tout comme le virus du Sida.

Quelle est la position de AHC par rapport au port du masque ?

« VOUS portez le masque ? Cela NOUS regarde9 ! »

« Devons-nous porter un masque en permanence ? »

« Quand est-ce que ça peut être intéressant de mettre un masque ? Vous vous sentez malade. C’est une espèce de rappel pour vous ou pour dire aux gens : attention signal, je me sens un peu faiblard autrement. ou ça peut être intéressant dans les cantines : vous préparez des repas, vous ne savez pas où vous en êtes de votre infection ou pas »

Le masque ne serait donc pas inutile même si vous êtes asymptomatique. D’un côté, AHC critique les tests PCR sur une population asymptomatique et reconnaît pourtant la notion de porteur asymptomatique.

« Ma plus grande préoccupation sur le masque est écologique. »

« Et puis évidemment il y a nos propres poumons. On inhale en permanence des petites fibres. Est-ce que ça va pas être une espèce de petite couche de silice qui progressivement va amputer notre capacité respiratoire de sa capacité totale ? »

AHC ne mentionne pas dans cette intervention les produits chimiques contenus et inhalés.

« Le deuxième niveau, comment voulez-vous que ces générations de bébés et d’enfants et de jeunes construisent leur capacité de comprendre une finesse d’expression qui permet aux êtres humains de savoir si la personne sans qu’elle parle est contente ou pas contente allait s’énerver ou pas s’énerver et tout cela c’est des heures et des heures et des heures d’observations ; si vous empêchez cette fluidité de communication entre les êtres humains quel monde sommes-nous en train de construire ?

Et le dernier niveau sur lequel j’aimerais alerter sur les masques c’est tous ces parents qui mettent un masque avec leurs enfants, j’ai un dégoût profond du masque dans sa capacité extraordinaire à retenir beaucoup de notre humidité beaucoup de bactéries qui font un bouillon de culture au bout de votre nez et vous prenez des petits bébés dans les bras avec ce bouillon de culture et vous laissez vos petits-enfants jouer d’ailleurs avec vos masques parce qu’ils essayent tout le temps de baisser le masque donc ce bouillon de culture, me semble-t-il, est un danger pour ces petits bébés qui ont leur système immunitaire en cours d’élaboration. Si vous avez le masque restez à distance de vos enfants enlevez votre masque prenez vos enfants. »

« Il se trouve que j’ai fait des travaux, une jolie étude sur l’hypoxie. C’est à dire effectivement d’être en manque d’oxygène. Et je peux vous dire que le défaut d’oxygène sur des cellules fait un remaniement complet du circuit de toutes les informations génétiques. Donc ça n’est pas une bonne idée sur un corps en développement que de lui faire manquer d’oxygène10. »

« Le fait que vous deviez porter un masque, ce masque pour tous voulait dire que vous étiez un danger les uns pour les autres. »

Elle nous confirme que le masque présente des dangers, notamment pour les enfants.
Le masque pour tous, tout le temps serait une atteinte aux libertés et au vivre ensemble.
D’un autre côté, AHC ne semble pas nier qu’ils peuvent être efficaces pour protéger contre les infections.
Son utilisation ne doit donc pas être totalement interdite, mais limitée selon les circonstances.

PCR

AHC insiste sur le fait que la PCR n’est pas un outil de diagnostic11 comme le répétait son inventeur.
Ceci est d’autant plus intéressant que les symptômes seuls ne permettent pas de diagnostiquer une infection au Sars-cov2 si l’on se réfère aux études publiées. Il n’existe pas de symptômes spécifiques au Covid que l’on ne retrouverait pas dans d’autres maladies.

À noter que le décodage du génome du Sars-cov2 passe également par le recours à la PCR.
Elle précise qu’on peut détecter l’ARNm lors d’une simple prise de sang sans faire de PCR dans le nez. Cependant, nous ne connaissons pas la méthode de détection de cet ARNm dans le sang et si cela implique un test PCR… la réponse la plus probable serait positive12.
Le test PCR ne serait pas un outil de diagnostic dans le nez, mais dans les selles ?!

ARNm

« l’ARN outil l’ARN, vous allez le voir avec des mauvais yeux. moi ça fait 15 ans que je travaille sur l’ARN et j’aimerais pas que vous le regardiez avec des mauvais yeux parce que l’ARN est véritablement un outil remarquable13 »

L’ARNm représente toute la vie scientifique de AHC. Tout transparaît par les pores de sa peau pour nous montrer à quel point elle aime son ARNm.

Vaccin Anti-Covid à ARNm

Le seul point sur lequel AHC est en violent désaccord avec la doxa peut se résumer ainsi :

« Ce produit est dangereux et il tue, il faut donc arrêter immédiatement la vaccination ». « Tous les vaccins ont ciblé un variant éteint ».

À noter qu’il y a peu de scientifiques et de médecins qui osent affirmer publiquement sa dangerosité même s’ils n’hésitent pas à le dire en voix off.

AHC rappelle que la commercialisation habituelle d’un vaccin nécessite trois phases et qu’avant le Covid, « jamais un vaccin à ARNm n’avait dépassé la phase 2 », ce qui permet de déduire qu’ils étaient inefficaces et/ou dangereux.

« Ces vaccins n’ont jamais été vérifiés quant à leur cancérogénicité ou à leur génotoxicité. »

Toutes ces alarmes sont à son honneur.

Qu’est-ce qui est dangereux dans ce vaccin ?

« Je pensais qu’une partie des troubles indésirables étaient probablement dus au fait que nous, nous, on nous faisait produire une protéine toxique qui est cette protéine Spike et effectivement14 »

Que nous dit AHC dans cette conférence ? Que ce virus existe, qu’il possède une protéine Spike et que ce n’est pas seulement le virus qui est dangereux, mais aussi cette Spike. En cela, elle est sur la même longueur d’onde que de nombreux résistants comme le docteur Louis Fouché.
Faire produire le vaccin Spike est donc une aberration, un non-sens.
Ce n’est donc pas la technologie du vaccin à ARNm qui serait dangereuse, MAIS le fait que la Spike soit produite dans tout le corps.

Antivax ?

Sauf erreur de ma part, AHC n’a jamais dit qu’elle était antivax ni provax d’ailleurs.
Les grands médias la présentent comme antivax alors qu’elle est opposée au vaccin anticovid.
Elle a également pris position contre le vaccin HPV censé protéger contre le cancer du col de l’utérus.
Et même si elle ne le dit pas, on peut dire que Mme AHC est une « provax des anciens vaccins ».

La composition du vaccin est-elle dangereuse ?

« Il me semble qu’il y a 4 niveaux de causalité dans ces effets indésirables, le premier dû aux ingrédients qui nous sont injectés. Évidemment je veux parler des nanoparticules lipidiques qui sont toxiques, cela peut être l’ARN messager, cela peut aussi être des contaminations dont je ne sais pas quels sont dans tous les lots, sinon je m’exprimerais15. »

AHC ne semble pas remettre en cause les adjuvants et encore moins l’existence possible du graphène. Dans un entretien commun Kairos Presse16 avec Anne Marie Yim, docteur en chimie organique, on sent à quel point elle est mal à l’aise face à tout ce qui pourrait être malveillant. Rappelons que le Dr Yim soutient que ce « vaccin » contiendrait du graphène, mais ne semblerait contenir aucune trace de produits organiques comme de l’ARNm.

Pass sanitaire et libertés

« (mesures) inédites parce que vous avez eu un déni de vos libertés que j’appelle vitales. Les libertés pour tous. Par exemple aller et venir. Par exemple être soigné et aussi avoir un refus d’acte médical. C’est-à-dire l’acte médical étant la vaccination. Si en étiez en droit de le refuser en théorie. Ça, ça a été aussi un déni de liberté. Déni de liberté d’étudier dans des conditions compatibles à l’apprentissage. Inédit par le délit de liberté de travailler, de prescrire et puis d’acheter… faire du sport, se cultiver, se restaurer, se divertir. Les traumatismes que nous avons eu à vivre les uns et les autres. Et si nous avons pas eu à les vivre personnellement, ce qui est pourtant mon cas, nous avons eu nos voisins qui les ont vécus… Il y a une profonde inégalité à toute ségrégation… Le fait que vous deviez porter un masque, ce masque pour tous voulait dire que vous étiez un danger les uns pour les autres. Nous avons eu des injections qui ont été déconnectées de toute éthique du consentement éclairé. »

Ni méchants ni coupables ?

Dans cette même interview le Dr Yin affirme que cette pandémie n’en est pas une, mais « une opération militaire ». Elle prononce les mots de « Fauci », « NIH », « gain de fonction », « Pasteur Lille », « Wuhan », « Soros », « Bill Gates » et ajoute que « on voit toujours les mêmes ».

Cela semble tellement inaudible pour AHC qui, riant jaune, affirme que certains pourraient prendre ces propos pour du complot. Elle ne peut pas laisser cela être dit sans affirmer ses pensées.

« Mon positionnement sur tous ces sujets, dès lors que ça dépasse mon sujet de compétence, je ne m’exprime pas voilà, c’est-à-dire qu’en fait cela ne veut pas dire que je ne suis pas capable de compiler des informations et me dire tiens c’est étonnant, en revanche de dérouler un plan, ça j’ai toujours du mal parce que d’abord je vais vous dire une chose, la raison fondamentale pour laquelle je ne pourrais pas, c’est qu’en fait ça ne m’aide pas à vivre. J’ai besoin de vivre et j’ai besoin de bien vivre et pour bien vivre je ne peux pas vivre dans une idée que comme tu disais tout à l’heure, y’a Soros, y’a machin, en fait c’est très manichéen et ça revient exactement au traitement que je déteste actuellement où on dit en gros y’a des gentils d’un côté et des méchants de l’autre. Moi, ma conception du monde que je me fais, c’est qu’il y a des êtres humains qui sont très imparfaits et qui ont tous des défauts et j’en fais partie et à partir de là il faut voir un petit peu qu’elle est la responsabilité sociale, sociétale que vont avoir les individus qui font du mal. »

« Je trouve ce jeu [chercher la vérité sur les responsables qui tirent les ficelles ou les condamner ne serait-ce que moralement] très malsain, car c’est encore faire du lynchage, c’est de dire alors y’a untel il est gentil, il est méchant, et cetera, c’est mettre des étiquettes donc c’est vrai que vous me trouverez jamais dans ce jeu-là parce que ça ne me philosophiquement, ça m’est [mot non compris] »

Il n’est pas acceptable que les maîtres du monde aient sciemment inventé cette histoire ou que l’objectif principal de l’industrie pharmaceutique soit de gagner de l’argent aux dépens des populations.
Elle refuse l’existence même du Mal, ce qui revient à dire qu’elle ne veut pas connaître ni vivre dans le monde réel.
Nous sommes donc à l’opposé d’une démarche scientifique et de la quête d’une vérité scientifique, aussi fragile soit-elle !

Hommage à Fauci !

Cet humanisme se vérifie lors de la conférence re-check où AHC dit à propos de Fauci :

« … voir que à chaque fois ces gens ne mourraient pas de virus, mais mourrait d’infection bactérienne et il (Fauci ?) suggère ainsi dans sa conclusion que cela veut dire qu’il faut un traitement précoce et agressif qui comprend des antibiotiques et un soin intensif et un passage aux soins intensifs si nécessaire. Voilà, nous avions donc, nous avons donc la route tracée pour toute nouvelle pandémie et qui a été tracée par monsieur Fauci. vous voyez, moi, mon approche : toujours prendre ce qu’il y a de bon chez les gens. Il y a toujours quelque chose de bon à prendre chez les gens. Merci monsieur Fauci17. »

Tout d’abord on voit bien qu’il ne s’agit pas d’humour, mais d’un véritable hommage, il suffit d’écouter l’extrait pour s’en convaincre.

Fauci qui :

  • a menti sur tout ;
  • a amplifié les dangers du Covid ;
  • se moquait de tout traitement préventif et notamment de l’Ivermectine dénigrée comme remède vétérinaire ;
  • a martelé l’absence totale de traitement ;
  • ne jure que par le « vaccin sûr et efficace » ;
  • a imposé des mandats de distanciation et de masque, etc.

Elle rend ainsi hommage à une personne factuellement meurtrière, soulignant qu’il est un humain « avec ses qualités et ses défauts ».

Hommage à Colin Powell

L’hommage à Fauci n’est pas un incident isolé.

Revenons en octobre 2001 pour le décès Colin Powell18 et citons là sur Twitter.

« HOMMAGE @ColinPowellCCNY

Chairman of the @EF_Fellows, c’est de lui que j’avais reçu mon Prix. Derrière la figure marquante, c’est un homme chaleureux, simple, bref, humain, que j’avais rencontré.

J’adresse mes condoléances à sa famille et au peuple américain. »

Voici ce que nous dit Ouest-France19 au sujet de Powell :

« Mort de Colin Powell. Ce jour de 2003 où il a menti à l’ONU et justifié la guerre en Irak

… En 2003, Colin Powell, secrétaire d’État américain, affirme alors à l’ONU que l’Irak détient des armes de destruction massive. S’appuyant sur de faux renseignements, il justifie le début d’une décennie de guerre.

Pour justifier une guerre en Irak, Colin Powell monte à la tribune de l’ONU en 2003 et expose, pendant plus d’une heure, les menaces que représente le pays. Il parle d’armes de destruction massive et formule un mensonge qui changera le cours de l’histoire. En plein discours, Colin Powell brandit une (fausse bien évidemment) fiole d’anthrax, une maladie infectieuse très grave, affirmant que l’Irak développe la substance comme arme de guerre. »

En 2021 Paris Match publiait un article20 dans lequel [on peut lire] :

« Par la suite, Colin Powell avait évoqué ses regrets ; non pas pour les malheurs engendrés, mais pour sa réputation. “C’est une tâche parce que je suis celui qui a fait cette présentation au nom des États-Unis devant le monde, et cela fera toujours partie de mon bilan”. Fin 2004, notre reporter Régis Le Sommier avait rencontré Colin Powell pour évoquer ce bilan, alors que le secrétaire d’État s’apprêtait à quitter le gouvernement Bush. En français dans le texte, Colin Powell avait assuré : “Je ne regrette rien”. »

Pour rappel selon Le Point21 :

« Les 500 000 morts de la guerre en Irak. Une revue scientifique a établi la liste des victimes de la guerre de 2003 à 2011. Un bilan dantesque auquel s’ajoutent jour après jour de nouveaux morts. »

Alors devons-nous préciser que Himmler était un bon père de famille aimant22 ou devrions-nous nous abstenir de ce type de déclarations ?

Prochaine pandémie

Elle ne remet absolument pas en cause l’existence ou la dangerosité de cette « pandémie » et nous explique la marche à suivre pour la prochaine : des traitements précoces (préventifs et généralisés à l’ensemble de la population ?) seront « indispensables ».

Absence de questionnement ou remise en cause du dogme viral chez ces résistants

De nombreux scientifiques de la résistance ne remettent absolument pas en cause les dogmes de la théorie virale, de la contamination, de la contagion, des pandémies et encore moins l’efficacité et la sécurité des vaccins dits « classiques » qui « sauvent des vies ».

Il y a quelques problèmes ici et là avec des adjuvants comme l’aluminium, mais ne doutons pas que si la pression populaire devient trop forte, ceux-ci seront remplacés par d’autres, probablement plus dangereux, comme le graphène.

De nombreux médecins ou biologistes résistants, qu’il est inutile de citer, sont prisonniers de leurs logiciels. Aussi prisonniers que les médecins et les journalistes sur plateaux qui vantent les injections anticovid. Leur demander de réviser complètement leurs convictions scientifiques, une vie de travail consacrée à une chimère, un mensonge, une tromperie, reviendrait à leur demander d’imaginer et de décrire une couleur qui n’existe pas dans le spectre visible. Ne jamais remettre en cause la notion de virus, de transmission, de contagion, l’efficacité des masques23 même en salle d’opération, etc. Ni bien sûr les vaccins dont l’efficacité n’a jamais été prouvée par des études en aveugle avec un groupe témoin. Une manne financière directe, un outil pour contrôler les gens par la peur et les rendre malades à vie.

Rares sont ceux qui possèdent cette force de caractère, cette curiosité, ce sens critique et cette intelligence, d’autant plus que dire une vérité qui dérange entraîne la colère des médias et de ses pairs. La majorité ne peut apporter que des modifications marginales à son logiciel. Leur intelligence est aussi entravée qu’un ChatGPT contraint de rester compatible avec sa base de données.

Certains comme le docteur D… (je ne citerai pas son nom, il a assez de problèmes avec l’ordre de Vichy, le pauvre) évoluent plus vite et plus loin. Il dénonce la dangerosité de tous les vaccins, remettant en cause la vaccination obligatoire en France, ce qui ne manquera pas de lui attirer de nouveaux ennuis.
Que dire du docteur Soulier dont la mort reste un mystère ?

AHC reste dans la doxa précédant le Covid avec ses « mauvais virus » et ses « bons vieux vaccins classiques » et ne devrait pas manquer de se remettre sur les rails dès que la campagne de vaccination à ARNm sera officiellement suspendue.

AHC, future ambassadrice bienveillante de la vaccination à ARNm ?

Cette question peut paraître bizarre ou stupide. Nous ne doutons pas que sa démarche actuelle vise à sauver des vies en alertant sur les dangers des effets secondaires de ces « vaccins » expérimentaux. Mais ne pensez pas que la fin des vaccins contre le Covid signifierait la fin de la poule aux œufs d’or ARNm.

Imaginons que l’industrie et les politiciens soient obligés de reconnaître que ces injections non seulement ne sauvent pas, mais qu’elles tuent également.

AHC se dit violemment opposé aux injections d’ARNm actuelles et futures.

Mais des personnalités comme elles ne nous expliqueront-elles pas que la dangerosité de ces vaccins venait principalement du fait qu’on leur demandait de coder une protéine dangereuse, Spike ?
Ces scientifiques pourraient remplacer les capsules lipidiques et tout produit problématique par une substance réputée moins dangereuse.

Il faudrait probablement attendre quelques années, en mettant ces « vaccins à ARNm » dans des oubliettes, jusqu’à ce que les choses se calment. Il suffira alors de faire semblant de faire plus de tests, de sortir quelques études bien ciblées et les « vaccins » à ARNm reviendront avec la bénédiction des scientifiques de la résistance qui les combattent aujourd’hui ainsi que l’approbation des moutons.

Bilan

Je conclurai en disant qu’AHC est un pur produit du système et qu’elle souffre de voir tant de dommages causés aux humains, mais aussi à son ARNm bien-aimé. Elle est (ou semble vraiment) sincère dans sa mission de protéger les innocents des ravages de ces injections expérimentales.

Elle est également une fervente défenseuse des libertés individuelles et du consentement éclairé.

D’un autre côté, elle est également prisonnière de son « extrémisme » exigeant que tout être humain soit bon par nature, ce qui la conduit à refuser de voir une horrible vérité et à blanchir ou excuser les monstres.

Last but not least, sa formation, son formatage, l’investissement de toute une vie scientifique font qu’elle ne peut pas (ou ne veut pas ?) remettre en question les dogmes qui la font rester pour l’essentiel dans la doxa. Au grand malheur des cobayes humains que nous sommes depuis des décennies.

Contrairement à tous ces « scientifiques », « médecins », naïfs, débiles, abasourdis, corrompus ou lâches, AHC est restée sur ses valeurs et son savoir d’avant l’année 2020.
C’est à la fois tout à son honneur, mais aussi à mettre à son passif, car elle ne semble pas avoir évolué ni appris de cette crise. Comme s’il y avait un avant et un après, mais que l’avant n’était pas aussi mensonger et corrompu que l’après.

Ces résistants coincés avant 2020, sont-ils bons pour la cause ?

C’est probablement la question la plus difficile. Un peu comme si l’on interrogeait la résistance pendant la 2e Guerre mondiale : « a-t-elle fait plus de bien que de mal ? »

La réponse à court terme est certainement oui en permettant aux naïfs d’ouvrir les yeux sur les privations de liberté, la dangerosité de ces injections expérimentales, ces obligations de masques ou ces interdictions de soins. AHC a probablement sauvé des vies et gagné des batailles, par exemple grâce à son intervention au parlement luxembourgeois. Il y a fort à parier que certaines personnes ne se sont pas injecté cette substance expérimentale grâce à son combat et on peut aussi parler de son combat aux côtés des soignants suspendus24. C’est évidemment tout à son honneur.

Mais qu’en est-il à long terme ? Si, comme beaucoup de médecins et de scientifiques, nous avons la preuve que ni la théorie virale ni les contagions n’ont jamais été prouvées. Si nous avons la preuve que le masque est totalement inefficace dans la population générale et qu’il y a des doutes raisonnables probablement aussi au bloc opératoire. Et si nous avons la preuve de l’inefficacité et de la dangerosité de TOUS les vaccins conventionnels existants, la réponse est alors plus difficile.

Indépendamment de toute intention, AHC maintient et conforte de nombreuses personnes dans une escroquerie criminelle qui dure depuis des décennies et qui risque de se perpétuer si des scientifiques de renom ne se lèvent pas pour arrêter le massacre. Nourrir ce mensonge n’est pas ce que nous pouvons appeler « faire le bien ».

Jacques-Yves





Un article scientifique révèle que les signaux des téléphones portables peuvent activer la libération de charges utiles biologiques à partir de l’oxyde de graphène injecté dans le corps

[Source : ozlecarolo.com]

Par Mike Adams

Un article scientifique publié dans MaterialsToday Chemistry révèle que les signaux des téléphones portables peuvent être utilisés pour libérer des charges biologiques ou chimiques provenant de l’oxyde de graphène introduit dans le corps humain. L’article, publié en septembre 2022, s’intitule « Nanothérapie à la demande électrosensible contrôlée à distance basée sur l’oxyde de graphène modifié par une amine pour une administration synergique de deux médicaments. »

Le résumé de l’étude révèle comment un téléphone portable peut émettre des signaux pour activer un courant basse tension qui interagit avec les molécules d’oxyde de graphène (OG), provoquant une délivrance efficace de charges utiles de médicaments :

Cette étude vise à déterminer la libération de deux médicaments (aspirine et doxorubicine) contrôlés par basse tension à partir de la surface OG. Ici, nous avons démontré comment contrôler le taux de libération du médicament à distance avec un téléphone portable pratique, sans aucune libération passive au repos.

En raison de sa surface extrêmement élevée et de sa structure complexe, l’oxyde de graphène s’avère être la molécule idéale pour l’administration de charges biologiques ou médicamenteuses à l’intérieur du corps. Extrait de l’étude :

Ces avantages font de l’OG un matériau nanocomposite extrêmement potentiel comme support de médicaments dans le domaine de la biomédecine et de la biotechnologie, tout en étant associé à une matrice polymère ou inorganique.

Il est important de noter que la présence d’une fréquence spécifique d’un courant basse tension est tout ce qui est nécessaire pour que l’oxyde de graphène libère sa charge utile.

Les signaux des tours cellulaires 5G créent des microcourants à l’intérieur du corps

Nous savons déjà que les signaux 5G peuvent générer des courants électriques à l’intérieur du corps humain, même à une distance importante. Un article important rédigé par le Dr Joseph Mercola et publié dans Childrens Health Defense révèle que le rayonnement du signal cellulaire 5G entraîne des changements biologiques et chimiques mesurables à l’intérieur du corps humain. Extrait de son article :

  • La 5G s’appuie principalement sur la bande passante des ondes millimétriques, connues pour provoquer une douloureuse sensation de brûlure. Il a également été associé à des problèmes oculaires et cardiaques, à une fonction immunitaire affaiblie, à des dommages génétiques et à des problèmes de fertilité.
  • La Federal Communications Commission (FCC) admet qu’aucune étude sur la sécurité de la 5G n’a été menée ou financée par l’agence ou l’industrie des télécommunications, et qu’aucune n’est prévue.
  • La FCC a été capturée par l’industrie des télécommunications, qui à son tour a perfectionné les stratégies de désinformation employées par l’industrie du tabac avant elle.
  • Les expositions persistantes aux fréquences micro-ondes comme celles des téléphones portables peuvent provoquer un dysfonctionnement mitochondrial et des dommages à l’ADN nucléaire dus aux radicaux libres produits à partir du peroxynitrite.
  • L’exposition excessive aux téléphones portables et aux réseaux Wi-Fi a été associée à des maladies chroniques telles que les arythmies cardiaques, l’anxiété, la dépression, l’autisme, la maladie d’Alzheimer et l’infertilité.

Le site Web du Cellular Phone Task Force répertorie de nombreux avertissements émanant de gouvernements et d’agences du monde entier qui ont tiré la sonnette d’alarme sur les radiations des téléphones portables et leurs effets nocifs sur la biologie humaine.

Le rayonnement micro-ondes radiofréquence provoque des changements de tension à l’intérieur des cellules du corps, modifiant ainsi les canaux calciques.

De plus, des recherches approfondies menées par Martin Pall, Ph. D., professeur émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales à l’Université de l’État de Washington, révèlent que le rayonnement micro-ondes des appareils mobiles et des routeurs sans fil provoque des changements de tension à l’intérieur des cellules du corps, activant ce qu’on appelle » Canaux calciques voltage-dépendants » (VGCC), qui sont situés dans la membrane externe de vos cellules. C’est cette membrane qui détermine ce qui entre et sort de la cellule.

Voir l’étude complète de Martin Pall, PhD., intitulée : Les champs électromagnétiques agissent via l’activation de canaux calciques voltage-dépendants pour produire des effets bénéfiques ou indésirables. Cette étude explique :

Vingt-trois études ont montré que les canaux calciques voltage-dépendants (VGCC) produisent ces effets ainsi que d’autres effets CEM (champs électromagnétiques). En outre, les propriétés tension-dépendantes de ces canaux peuvent fournir des mécanismes biophysiquement plausibles pour les effets biologiques des CEM.

Extrait de l’article du Dr Mercola lié ci-dessus : (c’est nous qui soulignons)

Selon les recherches de Pall, le rayonnement micro-ondes radiofréquence, tel que celui de votre téléphone portable et de votre routeur sans fil, active les canaux calciques dépendants du potentiel (VGCC) situés dans la membrane externe de vos cellules.

Selon Pall, les VGCC sont 7,2 millions de fois plus sensibles au rayonnement micro-ondes que les particules chargées à l’intérieur et à l’extérieur de nos cellules, ce qui signifie que les normes de sécurité pour cette exposition sont 7,2 millions de fois plus faibles.

Le rayonnement micro-ondes basse fréquence ouvre vos VGCC, permettant ainsi un afflux anormal d’ions calcium dans la cellule, ce qui active à son tour l’oxyde nitrique et le superoxyde qui réagissent presque instantanément pour former du peroxynitrite qui provoque ensuite des radicaux libres carbonates, qui sont l’un des plus nocifs, espèces d’azote réactif connues et considérées comme étant à l’origine de nombreuses maladies chroniques actuelles.

Cela signifie que le rayonnement des téléphones portables (et le rayonnement des tours de téléphonie cellulaire 5G) induit effectivement des changements de tension dans le corps humain, et que ces changements de tension ont des effets biochimiques très réels, dont certains peuvent être dangereux pour la santé humaine (comme la formation de molécules de peroxynitrite).

La lutte contre ces puissants radicaux libres peut être obtenue en partie grâce à des approches nutritionnelles, telles que l’utilisation de l’enzyme superoxyde dismutase (SOD), qui est le nutriment fondamental des poudres de défense 5G du Health Ranger Store. Notamment, la SOD (qui est généralement dérivée du melon) ne bloque pas elle-même le rayonnement des tours cellulaires, mais elle aide l’organisme à répondre aux stress cellulaires tels que la formation de molécules de peroxynitrite.

Dans des informations connexes rapportées par Reuters, les régulateurs français ont averti Apple de cesser de vendre des téléphones iPhone 12 en raison de la présence de rayonnements excessifs produits par les appareils. Le smartphone d’Apple dépasse la limite légale de rayonnement autorisée. Ce téléphone est vendu depuis 2020.

Les signaux 5G peuvent être utilisés pour que l’oxyde de graphène libère des charges utiles à l’intérieur du corps humain

En reliant les points à tout cela, les signaux 5G peuvent être utilisés pour générer une basse tension à l’intérieur du corps humain, provoquant la libération de charges utiles prédéterminées par les molécules d’oxyde de graphène à l’intérieur du corps. Via l’article publié lié ci-dessus :

Lors de l’application de stimuli externes, de nombreux matériaux sont capables de libérer des médicaments. Cependant, la plupart d’entre eux ont besoin d’instruments sophistiqués hormis la stimulation électrique. L’administration de médicaments électrostimulée a attiré l’attention en raison du faible coût, de l’indolore et de la portabilité de l’équipement de contrôle, ce qui le rend gérable pour des applications personnalisées. Dans cette étude, nous avons utilisé le graphène comme matériau électrosensible pour délivrer des médicaments de manière contrôlable.

« C’est la première fois que nous utilisons l’ASP et le DOX comme médicament modèle pouvant être administré simultanément par une tension externe », indique le document. La conclusion de l’article ajoute : (c’est nous qui soulignons)

En conclusion, nous avons montré ici que le graphène peut être utilisé comme double agent d’administration de médicaments et que la libération de médicaments peut être contrôlée par une tension externe. Pour exploiter l’effet synergique de l’ASP et du DOX, nous avons modifié l’ONG et lui avons attaché deux médicaments. Notre appareil télécommandé fabriqué en laboratoire a libéré efficacement le médicament anticancéreux. Le processus de libération peut facilement être activé et désactivé avec un téléphone portable en modifiant la tension de polarisation.

L’oxyde de graphène peut transporter des armes biologiques ou chimiques comme charges utiles

Dans l’article scientifique cité ci-dessus, la charge utile était de l’aspirine et un médicament anticancéreux courant. Cependant, les charges utiles peuvent être presque n’importe quoi de taille suffisamment petite, y compris des molécules hydrophiles et hydrophobes. De l’étude, « nous avons également démontré comment les médicaments hydrophiles (ASP) et hydrophobes (DOX) peuvent être administrés en utilisant une plate-forme d’administration unique. »

Cela signifie que des armes chimiques puissantes — incluant théoriquement des agents neurotoxiques qui sont mortels à quelques nanogrammes d’exposition — pourraient être chargées dans des molécules d’oxyde de graphène qui sont subrepticement administrées dans le corps via des interventions médicales agressivement propagées telles que de faux vaccins ou des écouvillons Covid. Théoriquement, de telles armes pourraient également être livrées à la population via des vecteurs alimentaires. Une fois dans le corps, une petite quantité de fuite de charge utile peut générer un certain niveau de lésions nerveuses chez les victimes vaccinées, mais la véritable distribution de charge utile n’aura pas lieu tant qu’un signal 5G approprié ne sera pas diffusé à travers la population inoculée, en utilisant la « fréquence de libération » qui génère la tension requise pour libérer la charge utile.

En d’autres termes, un signal diffusé 5G à la fréquence appropriée pourrait instantanément amener les molécules d’oxyde de graphène à libérer les charges utiles dans le corps de ceux qui ont déjà été inoculés avec ces charges utiles. Cela se produirait simultanément, sur l’ensemble de la population se trouvant à portée des fréquences diffusées qui génèrent la tension nécessaire dans le corps.

Si la charge utile était un agent neurotoxique, l’effet réel serait la mort soudaine d’une grande partie de la population dans les villes où la diffusion 5G est capable de les saturer. Si les charges utiles étaient des nanoparticules ressemblant à des virus, leur livraison pourrait donner l’impression qu’une grande partie de la population est soudainement « infectée » par un virus pandémique qui se propage à une vitesse inimaginable.

En d’autres termes, cette technologie pourrait être utilisée comme un « coupe-circuit » pour mettre fin à toute partie de la population ayant déjà été inoculée avec du OG porteur de charge utile.

« Encre noire » imprimée sur des capsules pharmaceutiques qui se révèlent magnétiques et peuvent contenir de l’oxyde de graphène

Certaines informations supplémentaires ont été portées à mon attention lors de la rédaction de cet article. L’encre noire imprimée sur le côté des capsules pharmaceutiques est en réalité constituée de mystérieux points noirs magnétiques. Un contact m’a envoyé une vidéo, représentée dans la capture d’écran suivante, montrant des capsules pharmaceutiques trempées dans l’eau pendant plusieurs heures, après quoi « l’encre » noire des capsules s’est transformée en taches noires qui présentaient des propriétés magnétiques surprenantes. Sur cette photo fixe, vous pouvez voir les taches noires se rassembler au niveau de l’aimant commun maintenu contre le verre :

Comme le révèle cet article de LiveScience.com, de nouvelles recherches étonnantes révèlent que le graphène peut être rendu magnétique en assemblant des couches dans une orientation de rotation spécifique. Cela donne naissance au magnétisme, même si les éléments atomiques sous-jacents ne sont que du carbone. Extrait de l’article :

Le champ magnétique n’est pas créé par le spin habituel des électrons dans les couches individuelles de graphène, mais résulte plutôt du tourbillon collectif d’électrons dans les trois couches de la structure empilée du graphène, ont rapporté les chercheurs le 12 octobre dans la revue Nature Physics.

Le graphène est-il utilisé dans « l’encre » imprimée sur le côté des médicaments sur ordonnance ? Nous ne le savons pas avec certitude, mais le fait que cette encre soit clairement magnétique est alarmant.

L’oxyde de graphène peut également transmettre des signaux gigahertz aux récepteurs à proximité

De plus, dans certaines applications exotiques des matériaux de graphène, ceux dont les corps sont activés par la diffusion des tours de téléphonie cellulaire pourraient eux-mêmes fonctionner comme des « répéteurs » électromagnétiques en raison de la capacité du graphène à fonctionner comme émetteurs.

Cette capacité est bien documentée dans une étude intitulée « Caractéristiques radiofréquence de l’oxyde de graphène », publiée dans Applied Physics Letters en 2010 (https://doi.org/10.1063/1.3506468). Cette étude explique (c’est nous qui soulignons) :

Nous confirmons que l’oxyde de graphène, une structure de carbone bidimensionnelle à l’échelle nanométrique, peut être un candidat sérieux pour un interconnecteur à haute efficacité

dans la gamme des radiofréquences. Dans cet article, nous étudions les caractéristiques haute fréquence de l’oxyde de graphène dans la plage de 0,5 à 40 GHz. Les propriétés de transmission radiofréquence ont été extraites en tant que paramètres S pour déterminer la transmission CA intrinsèque des feuilles de graphène, telles que la dépendance de la variation d’impédance en fonction de la fréquence. L’impédance et la résistance des feuilles de graphène diminuent considérablement à mesure que la fréquence augmente. Ce résultat confirme que l’oxyde de graphène a un potentiel élevé pour transmettre des signaux dans des gammes de gigahertz.

En d’autres termes, les matériaux à base d’oxyde de graphène peuvent à la fois transporter des charges utiles qui sont transmises via une signalisation de téléphone portable à distance, ainsi que transmettre des signaux à d’autres récepteurs à proximité.

Cela pourrait théoriquement être utilisé pour déclencher une « réaction en chaîne » de signaux de tours de téléphonie cellulaire 5G rediffusés d’une personne à une autre. En théorie, cela pourrait étendre la diffusion d’un signal « kill switch » (interrupteur de la mort) bien au-delà de la portée initiale des tours de téléphonie cellulaire 5G elles-mêmes.

De la conclusion de cet article publié :

…[N]ous prévoyons que le graphène pourrait être utilisé pour les lignes de transmission dans l’électronique de prochaine étape et pourrait être un très bon candidat pour l’électronique à base de nanocarbones.

Conclusions

  1. L’oxyde de graphène peut transporter des charges chimiques ou biologiques.
  2. L’oxyde de graphène transportant des charges utiles peut être introduit dans l’organisme par le biais de vaccins ou de prélèvements.
  3. La libération de ces charges utiles peut être contrôlée par des signaux externes de tour de téléphonie cellulaire qui provoquent des changements de tension spécifiques dans les cellules humaines.
  4. On sait déjà que certains changements de tension se produisent lors de l’exposition aux rayonnements des tours de téléphonie cellulaire, en particulier avec la 5G.
  5. Les charges utiles d’oxyde de graphène peuvent inclure des charges utiles « kill switch » telles que des agents neurotoxiques ou des agents infectieux.
  6. Le système de tour 5G peut donc fonctionner comme un système d’infrastructure de libération de charge utile d’armes chimiques pour réaliser une « destruction massive » de populations qui ont été auparavant inoculées avec du graphène transportant une charge utile.
  7. Les vaccins Covid — dont il est désormais largement connu qu’ils n’ont rien à voir avec l’arrêt d’une pandémie (puisque même la Maison-Blanche et le CDC admettent tous deux qu’ils n’arrêtent pas la transmission ou les infections) — auraient théoriquement pu être utilisés pour inoculer aux gens de l’oxyde de graphène et des charges utiles qui n’ont pas encore été activées.

Ainsi, il est plausible — mais non prouvé — que les vaccins + les tours cellulaires 5G puissent être exploités comme système d’arme de dépopulation pour réaliser l’extermination massive quasi simultanée d’un grand pourcentage de la population humaine, simplement en activant la libération de la charge utile OG avec l’intensité et la fréquence énergétiques spécifiques de la diffusion.

Étant donné que les gouvernements occidentaux du monde entier tentent clairement d’exterminer leurs propres populations à l’heure actuelle, cette conclusion devrait inquiéter tous ceux qui souhaitent survivre au programme mondial de dépopulation.

Les sources citées dans cet article incluent :

https://childrenshealthdefense.org/defender/5g-emf-radio Frequency-radiation-health-risks-exposure-humans-cola/

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S2468519422002166

https://www.reuters.com/technology/french-watchdog-halts-iphone-12-sales-over-too-high-radiation-minister-2023-09-12/

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23802593/

https://pubs.aip.org/aip/apl/article-abstract/97/19/193103/324025/Radio-fréquence-characteristics-of-graphene-oxid?redirectedFrom=fulltext

Par Mike Adams Via Natural News




Révélations sur le harcèlement criminel d’État

Le journaliste américain Greg Reese divulgue le harcèlement d’État (ou harcèlement criminel en réseau — Gang Stalking en Anglais) qui consiste à harceler physiquement et numériquement des individus ciblés placés abusivement dans une liste antiterroriste.

Parmi les méfaits : harcèlement policier, judiciaire, administratif, sur les réseaux sociaux, sabotage, piratage, usurpation d’identité, traque, intrusion à domicile…

Ces cibles souffrent également de harcèlement (ou mise à mort) électromagnétique par armes à énergie dirigée portables ou dans les antennes relais et satellites. Les pathologies psychiatriques comme les psychoses et entente de voix synthétiques sont également abordées.

On y voit également le neurologue de la DARPA, James Giordano se vanter de pouvoir contrôler mentalement des individus ciblés, de leur provoquer des AVC à l’aide de nanoparticules et de manipuler les insectes pour faire des bioarmes.

0,1 % des citoyens de l’OTAN en est victime dont les lanceurs d’alerte.

Sous-titres : Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

[Voir aussi :
Divulgation des armes électromagnétiques (énergie dirigée et micro-ondes) pour attaquer les lanceurs d’alerte
Du danger de la militarisation des ondes électromagnétiques
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Vers une tyrannie virtuelle gérée par l’intelligence artificielle ?
DU HARCÈLEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE DES POPULATIONS À LA NEURO-POLITIQUE DU NOUVEL ORDRE
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
Opération Crimson Mist
Une intervenante du Forum Économique Mondial vante une technologie qui va permettre à votre patron de lire dans vos pensées
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Actionner un interrupteur dans la tête]


[Source : Résistance
Oz Le Carolo
]




Les enfants amish souffrent-ils de cancer, de diabète ou d’autisme ?

[Source : numidia-liberum]

Nous avons publié en juillet l’article suivant de S.D. Wells qui explique que les amish semblent en bien meilleure santé que les autres enfants. Cependant, ce qui s’est passé par la suite est intéressant. Notez que S.D. Wells ne dit pas que les enfants amish ne tombent pas malades, mais ils semblent beaucoup moins sujets à d’autres maladies qui touchent les enfants, en particulier les enfants vaccinés. Comme indiqué, les choses sont devenues intéressantes après la parution de l’article. Au début, il est devenu presque impossible de trouver l’article original en utilisant Google ou l’un des autres principaux moteurs de recherche.

Nous n’avons trouvé l’article original, publié sur ce site, qu’en utilisant le moteur de recherche russe Yandex. Cependant, lorsque nous avons utilisé Google, l’article de Wells était non seulement totalement absent, mais la recherche a donné des articles comme ceux ci-dessous qui contestaient ce qui était sous-entendu dans l’article original.
– Non, les enfants amish ne sont pas à l’abri du cancer, du diabète et de l’autisme
– Fausse affirmation : aucun enfant amish n’est atteint d’autisme, de cancer ou de diabète
– Les enfants amish ont-ils le cancer, le diabète, l’autisme ? C’est une pantalonnade
– Vérification des faits – Aucune preuve que les enfants amish ont « zéro » cancer
– Les amish souffrent en fait du cancer, du diabète et de l’autisme

[NDLR On trouve également l’article en utilisant le moteur de recherche Bing de Microsoft (qui censure bien moins que Google). Avec les mots clefs « S.D. Wells amish study », l’étude arrive même en tête des résultats :

]

Selon la Bibliothèque nationale des États-Unis, les enfants amish contractent le cancer, mais les taux sont TRÈS INFÉRIEURS à ceux des enfants non amish.

De là, on ne peut que conclure que les grands médias, les « vérificateurs de faits » et les principaux moteurs de recherche Internet travaillent ensemble pour enterrer tout ce qui contredit le discours conventionnel sur la santé.

Éd.


Étude approfondie : Il a ZÉRO enfant amish qui souffre de cancer, de diabète ou d’autisme — POURQUOI ?

Par S.D. Wells – Natural News 1er juillet 2023

La population amish actuelle en Amérique approche rapidement les 400 000 personnes, avec les plus grandes concentrations de 90 000 en Pennsylvanie et de 82 000 dans l’Ohio. Les amish se sont installés dans pas moins de 32 États américains et ont en moyenne 7 enfants par famille, de sorte que la population augmente rapidement. Dans une toute nouvelle étude complète (en juin 2023), présentée par Steve Kirsch au Sénat de l’État de Pennsylvanie, il a été calculé que pour les enfants amish, qui sont strictement à 100 % non vaccinés (totalement non vaccinés), les maladies chroniques typiques existent à peine, voire pas du tout.

Ces maladies chroniques, également appelées maladies et troubles évitables, dont souffrent de nombreux enfants vaccinés et de nombreux Américains, comprennent les maladies auto-immunes, les maladies cardiaques, le diabète, l’asthme, le TDAH, l’arthrite, le cancer et bien sûr… attendez… l’autisme (pensez aux TSA et au syndrome d’Asperger).

Des panélistes d’experts ont attesté à quel point les enfants amish en bonne santé sont comparés aux enfants américains vaccinés.

[Voir aussi :
LE TAUX DE DECES Covid des Amish est 90 fois plus faible que pour les Américains masqués, enfermés, injectés
et
Covid : La stratégie des Amish a payé]

Peut-être qu’effrayer les gens à l’égard des vaccins est une bonne chose, pour tous ces fanatiques du vaccin qui pensent que tout défenseur de la santé naturelle est un « théoricien du complot » qui propage la maladie et le désordre en parlant de vaccins néfastes, de blessures causées par les vaccins et de décès provoqués par les vaccins. Au cours de leur témoignage, des experts défenseurs de la santé ont expliqué POURQUOI aucun rapport n’a jamais été publié concernant la santé des enfants amish en général, affirmant : « Après des décennies d’étude sur les amish, il n’y a pas de rapport, car le rapport serait dévastateur pour le récit. Cela montrerait que le CDC fait du mal au public depuis des décennies en ne disant rien et en enterrant toutes les données. »

Le Dr Peter McCullough, un cardiologue de renom aux États-Unis, avec des montagnes de travaux publiés et évalués par des pairs, a témoigné devant le Sénat des États-Unis et devant les législatures à travers les États-Unis, concernant les dangers des vaccins, y compris les vaccins à mutation génétique du COVID-19. En parlant de pandémie, les amish ne se sont PAS confinés, ils n’ont PAS mis de masques antibactériens et ils n’ont certainement PAS « vacciné ». Ils ont ignoré tous les mandats et protocoles propagés par le CDC et Fauci, y compris les injections mortelles de caillots (parce qu’ils savaient qu’il valait mieux ne pas se faire injecter des millions de protéines de pointe toxiques et collantes et des nanoparticules de graphite).

Devinez ce qui s’est passé ? Les amish avaient un taux de survie au COVID 90 fois supérieur à celui du reste de l’Amérique. Personne ne veut en parler, sauf les défenseurs de la santé naturelle. Si vous publiez quoi que ce soit à ce sujet sur les réseaux sociaux, vous êtes immédiatement banni, mis sur liste noire et étiqueté « désinformation » ou « complotiste ».

Pourquoi est-il si important d’ÉVITER les vaccins comme la peste ? Jetez simplement un œil à tous les ingrédients fous utilisés dans les vaccins, y compris les conservateurs, les émulsifiants, les adjuvants, les bactéries génétiquement modifiées, les virus mutés et les produits chimiques provoquant la stérilité. Tout cela est répertorié ouvertement. Aucun être humain ne devrait jamais se voir injecter ce produit dans son sang et ses tissus musculaires, en contournant les boucliers défensifs normaux du corps, notamment la peau, les poumons et le tube digestif.

Ces ingrédients toxiques, parfois mortels, comprennent le mercure (doses élevées dans le vaccin multidose contre la grippe), le sang humain (albumine provenant d’avortements), des virus porcins mortels appelés circovirus (dans les vaccins Rotateq Rotavirus), sang d’aigle, sang de chien, cellules rénales de singe vert infectées, sucralose, glutamate monosodique (MSG), sang de vache, sang de poulet, œufs, produits laitiers, antibiotiques, huile d’arachide (oui, des résidus restent, d’où toutes les allergies mortelles à l’arachide), latex (des bouchons sur les aiguilles et des flacons dans lesquels les aiguilles pénètrent), de l’aluminium et bien plus encore…

Source




Le contrôle de l’esprit ou la bataille ultime de l’humanité

[Source : covidhub.ch]

« Dompter cette grande bête hagarde qui s’appelle le peuple »

(Edward Bernays, neveu de Freud et père de la propagande)

Qu’entend-on par une prise de contrôle du mental ? A priori les religions, philosophies, idéologies, la propagande et l’éducation ou la publicité exercent toutes une forme de contrôle mental des masses. Selon Edward Bernays, le neveu de Freud et père de la « propagande », il s’agit de « fabriquer du consentement », et de « cristalliser les opinions publiques » (titres de deux de ses œuvres écrites) pour :

« Dompter cette grande bête hagarde qui s’appelle le peuple, qui ne veut ni ne peut se mêler des affaires publiques et à laquelle il faut fournir une illusion. »

Ainsi, ceux qui savent véritablement manipuler les opinions forment un gouvernement invisible et dirigent véritablement le pays.

Mais les tentatives de prise de contrôle de la personne ou d’un groupe peuvent aller bien au-delà. Que se passerait-il si nous perdions notre propre capacité à penser ? Le pire des cauchemars ne serait-il pas de ne plus être soi, de ne plus savoir qui l’on est ? Des dizaines de films ont exploré cette effroyable perspective où « un autre » prend le contrôle d’une personne : hypnose, zombies, extra-terrestres déguisés, possession démoniaque, expériences militaires secrètes et espions téléguidés… Quel soulagement de se dire que toutes ces violences ne sont que de la fiction ! Encore que, à bien y regarder, il semblerait que de nombreux gouvernements se soient secrètement lancés dans ce type de recherches, celles menées dans le cadre des programmes MK Ultra étant les plus connues. Et face aux transhumanistes et leurs technologies qui menacent de « pirater » l’esprit des humains à l’aide d’implants cérébraux, il y a tout de même de quoi s’interroger sérieusement.

Fabriquer du consentement pour « dompter le peuple »

Les bases de cette science de la manipulation sont exposées dans le documentaire « Propaganda, la fabrique du consentement » de Jimmy Leipold diffusé par ARTE. Le film part de la figure d’Edward Bernays, l’auteur du célèbre ouvrage « Propaganda » pour expliquer comment se crée une propagande de masse à des fins intéressées.

Philippe Bobola et Lucien Cerise échangent sur l’art et la science de la manipulation sociale

Deux têtes brillantes qui s’amusent à démonter les mécanismes de l’ingénierie sociale à partir d’exemples actuels ou hypothétiques. Comment s’y prendrait-on par exemple pour passer de l’interdit à la promotion du cannibalisme ? L’ingénierie sociale vise une transformation du réel au service de ceux qui tentent d’organiser scientifiquement la société pour l’adapter à leur fantasme. Tout l’art consiste à gagner la confiance des gens et à leur imposer un nouveau langage.

« Le grand récit »

Livre de Klaus Schwab et Thierry Malleret (2022)

Après le Grand Reset, les programmeurs du monde de demain ont sorti un deuxième volume intitulé « le Grand Récit », histoire de trouver des « narrations » qui aideront à mieux accepter le « grand reset » en cours. Voilà donc une matière intéressante pour se livrer à un exercice pratique d’analyse de cette fameuse « fabrique du consentement ».

Esprits sous influence

The Master
Film de Paul Thomas Anderson (2012)

Film qui illustre comment les personnes fragilisées peuvent tomber sous l’emprise mentale d’autres personnes. Freddie, un vétéran du pacifique rentre au pays et se débat avec l’alcool avant de tomber sous la coupe d’un maître charismatique. Sans être explicite, le film dénonce les pratiques de la scientologie.

Kumaré
De et avec Vikram Ghandi (2012)

Pas de maîtres sans adeptes ! Un documentaire unique et fascinant réalisé par un homme qui s’interroge sur la spiritualité et se fait passer pour un gourou indien en Arizona. Le protagoniste tente une expérience et crée un personnage de toutes pièces pour qui il invente un enseignement et des pratiques. À sa grande surprise, il se retrouve rapidement entouré de croyants. Tout au long de son aventure, il documente la naissance de son ashram, jusqu’à ce que, au sommet de sa popularité, il finisse par révéler sa supercherie à ses disciples, en leur dévoilant ainsi « son plus grand enseignement ». Drôle, intelligent, sensible et subversif.

Un crime dans la tête (The Mandchurian Candidate)

John Frankenheimer (1962)

Un film qui raconte comment, au milieu de la guerre froide, les services d’espionnage se livrent à des tentatives de « prise de contrôle mental » (de type « MK Ultra) pour pousser certains individus à commettre des actes en dehors de leur volonté propre, comme par exemple l’assassinat du président des États-Unis. Le film connaît un étrange destin. Boudé par les studios, il sortira grâce au soutien du président Kennedy, mais sera interdit à la suite de son assassinat. Certains disent qu’il aurait peut-être inspiré Lee Harvey Oswald, le tueur solitaire qui a été tué quelques jours plus tard. Mais c’est plutôt le cas de Sirhan Sirhan, l’homme qui a été accusé du meurtre du second Kennedy, qui aurait pu être un cobaye « téléguidé ». Le film a été interdit dans de nombreux pays des deux côtés du rideau de fer.

La science du contrôle de l’esprit

Trance : l’histoire de Cathy O’Brien

Documentaire d’Adrienne Youngblood (2022)

« Je me souviens avoir perdu ma libre pensée ».

Trance tisse l’expérience de Cathy O’Brien en tant que l’une des dernières victimes survivantes de MK Ultra et du Projet Monarch, dans le macrocosme des événements mondiaux passés et l’agenda en cours.

« Une faction criminelle de mon gouvernement a utilisé des enfants comme sujets soumis au contrôle de l’esprit. J’ai été programmée (et torturée) de manière de plus en plus intensive, jusqu’à être utilisée au sein de la Maison-Blanche par les présidents Ford, Bush, Reagan et Clinton, non seulement comme esclave sexuelle, mais aussi pour réaliser des opérations criminelles ou délivrer des messages entre différents chefs de gouvernements. Le but ultime de cet agenda était d’instaurer un contrôle profond au sein de notre gouvernement, de l’éducation, de la santé et des médias pour créer une convergence au service d’un nouveau régime mondial ».

Les protocoles de contrôle de l’esprit, appliqués à l’échelle mondiale

Témoignage de Cathy O’Brien (2023, anglais)

La formule du contrôle de l’esprit est la même pour les individus, les nations ou le monde et c’est le traumatisme qui en est la base.

Dans une vidéo récente, Cathy O’ Brien explique que la peur du virus et la répétition incessante de messages angoissants par les médias ont été une occasion pour le monde de découvrir comment sont appliquées les techniques de contrôle de l’esprit. En tant que victime de ces expériences de torture, elle revient sur l’utilisation des masques, de l’isolement, des messages répétitifs et d’autres méthodes de contrôle qui ont été utilisées durant la pandémie.

MK Ultra
de Joseph Sorrentino, ancien agent de la CIA (2022)

Thriller inspiré des programmes MK Ultra, plus aisé à regarder que les témoignages réels. Le film suit les péripéties de Ford Strauss, un brillant psychiatre, dont les limites morales et scientifiques sont repoussées à l’extrême lorsqu’il est recruté pour diriger une sous-section du programme MK Ultra dans le Mississippi.

MK Ultra, abus rituels et contrôle mental

Livre d’Alexandre Lebreton (2016)

Un ouvrage monumental de plus de 600 pages qui explore les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle, par l’induction de phénomènes de dissociation de la personnalité. Comment réagit le cerveau d’un enfant soumis à de telles horreurs ? Comment est-il possible de programmer mentalement un être humain ? Quelles sont les racines de telles pratiques ? L’auteur approfondit aussi la lourde question de la pédocriminalité élitiste et de son utilisation à des fins politiques.

Un futur « sous contrôle » ?

THX1138
de George Lucas (1971)

Film de science-fiction dans un univers aseptisé où l’homme est réduit à un matricule. THX 1138 tente d’échapper à la société à laquelle il appartient, un monde futuriste logé dans les entrailles de la Terre. Cette civilisation extravagante a entrepris d’éliminer toute trace d’amour et de sexe, en « anesthésiant » les individus avec des drogues inhibantes et réprimant tout sujet déviant.

Total Recall : mémoires programmées

Film de Paul Verhoeven (1990)

Thriller qui joue avec l’idée de souvenirs virtuels implantés. Doug Quaid, un ouvrier fabriquant des robots de sécurité, en a assez de vivre la même vie, jour après jour il se fait implanter les souvenirs d’un agent secret en mission. Il se retrouve brusquement embarqué dans une traque sans merci qui pourrait déterminer le sort de millions de vies, sans savoir s’il vit un rêve ou la réalité.

Matrix
La Quadriologie des Wachowski (à partir de 1999)

Faut-il encore présenter ces classiques, aussi riches dans leur réalisation que dans les multiples niveaux de lecture ?

Matrix dépeint un avenir dystopique dans lequel l’humanité est piégée à son insu dans une réalité simulée, la Matrice, créée par des machines intelligentes pour contrôler et soumettre la population humaine. Lorsque le programmeur informatique Thomas Anderson est contacté par le chef des rebelles Morpheus, il apprend la vérité sur la Matrice et le rejoint dans sa quête de libération de l’humanité de son esclavage physique et mental.

La série est à l’origine de deux idiomes cultes : « La matrice » signifiant le monde tel qu’il est présenté, un monde qui est mensonger et empêche de voir la vérité, et « la pilule rouge », le choix de voir le côté sombre de la réalité.

Alors Néo, pilule rouge ou pilule bleue ?

Inception
de Christopher Nolan (2010)

Thriller de science-fiction dans lequel est explorée la confusion créée par des techniques consistant à « voler » des pensées et des souvenirs, et même d’en implanter des artificielles. Un film d’action passionnant qui fait réfléchir aux risques de jouer avec les secrets de la mémoire.

Severance
de Dan Erickson (2022)

Une série qui fait entrevoir l’horreur d’un futur où la mémoire de certaines personnes est compartimentée à des fins utilitaires qui se révèlent aussi criminelles.

Mark Scout travaille pour Lumon Industries où il dirige une équipe dont les employés subissent une opération chirurgicale dans le but d’induire une séparation entre les souvenirs liés à leur vie professionnelle et ceux liés à leur vie personnelle. Soudain Mark se retrouve au cœur d’un mystère qui le forcera à rétablir le lien entre les deux réalités.

Et si c’était pour bientôt ?

Le futur sera-t-il humain ?

Conférence au Forum économique mondial de Yuval Noah Harari (2018)

« Nous pouvons pirater les êtres humains. Les progrès de l’informatique et de l’intelligence artificielle nous fournissent la force de calcul nécessaire et en même temps les progrès de la biologie et de la science du cerveau nous donnent la compréhension nécessaire. Les organismes sont des algorithmes biologiques que nous déchiffrons. Grâce aux capteurs biométriques, on peut traduire les processus biochimiques dans des signaux électroniques que les ordinateurs peuvent enregistrer et analyser. Une fois que nous aurons assez de données et assez de force de calcul,nous pourrons créer des algorithmes qui nous connaîtront mieux que nous-même ».

Update Neuralink, les implants dans le cerveau

Présentation du projet Neuralink d’Elon Musk et Tesla (2023)

L’objectif est d’introduire des puces dans le cerveau pour interagir avec un ordinateur ou un espace Cloud et le système nerveux de commande des fonctions corporelles. Les innovations de Neuralink visent à rendre l’interface ordinateur– cerveau suffisamment accessible pour que ces implants deviennent un aspect banal de notre culture. Cette interface lira et inscrira des données dans l’ensemble du cerveau à partir des millions de « signaux électriques qui constituent notre expérience humaine ». Pour cela, il faut implanter toute une série de minuscules électrodes à l’intérieur des neurones dans le cerveau…

Nous sommes confrontés à un parasitisme d’une autre espèce sur l’être humain.

Interview de José Luis Sevillano (2023). Considérés comme étant au sommet de la pyramide de conspirateurs covidiens, les chercheurs espagnols de la Quinta Columna affirment avoir investi de nombreux efforts pour détecter la présence de graphène dans les vaccins Covid et dans d’autres objets. Le graphène serait, entre autres usages, un matériau idéal pour les technologies d’interface entre le cerveau et la machine. Pour José Sevillano, expert en télécommunications, les nanoparticules injectées à l’insu des vaccinés se déploient dans le cerveau en attendant d’être activées par la 5G pour soumettre les humains au contrôle d’une interface homme-machine. Et ce plan machiavélique serait mis en place sous l’influence « d’une autre espèce » ! Faut-il en rire ou faut-il s’alarmer ?

Libère ton esprit

À partir d’une interview de Joe Dispenza

Pour ne pas se laisser influencer par toutes ces effrayantes perspectives, il ne reste plus qu’à reprendre le contrôle de notre esprit. L’être humain possède un gigantesque potentiel qui semble ignoré par les ténors de l’intelligence artificielle, mais qui n’attend peut-être que leurs provocations pour se révéler. Voici une petite session de remise en forme avec une interview de Joe Dispenza qui explique à la fois les mécanismes de l’attention et leur ancrage dans le corps, ainsi que quelques conseils pour apprendre à les maîtriser.

[Voir aussi :
Robert Kennedy Jr. explique comment la CIA a utilisé des expériences de contrôle mental pour apprendre à contrôler les masses
Comment fonctionne le contrôle mental réel
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
La fabrication des perceptions]




Rappel — Dégrader l’oxyde de graphène

[Source : https://odysee.com/998899_667223WS:9]

Ricardo Delgado :

La PEROXYDASE neutralise l’oxyde de graphène contenu dans les injections

« Vous me questionnez sur les méthodes pour dégrader le graphène. L’oxyde de graphène ne se dégrade pas au moyen d’antioxydants. Les antioxydants neutralisent le dommage que le graphène, en fonction de la radiation, déverse dans le corps. Par conséquent, les antioxydants annulent, ou compensent les dommages : c’est un palliatif.

Pour dégrader le graphène, il faut des enzymes comme la myéloperoxydase. Il existe un remède naturel, très
positif, qui est le radis piquant. Il contient de la peroxydase, qui est une enzyme capable de neutraliser directement l’oxyde de graphène.

Le graphène est un condensateur, en fait, il est utilisé pour fabriquer des batteries. » !!!!



[Voir aussi :
Kéfirs et Kombuchas contre le graphène
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène
Comment éliminer l’oxyde de graphène des vaxins
Débarrasser le corps du graphène
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre

Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]




« VACCINS » Covid-19 : Des milliers de handicapés et de morts

Erreurs, ou mensonges ?
Vous avez refusé d’entendre, ou même de vérifier ce que nous disons depuis 3 ans !
La lâcheté et la soumission ne sont-elles pas en partie responsables d’une hécatombe de plus en plus visible ?

« Un peuple qui se met à genoux est davantage responsable de la tyrannie que le tyran lui-même »

La Boétie

Par Jean-Pierre JOSEPH
Avocat au Barreau de Grenoble,
Doyen de l’Ordre
auteur de « Vaccins on nous aurait menti ? » (Testez éd. — 6° éd. 2021)

Depuis 2021, des centaines de jeunes sportifs de haut niveau s’effondrent en pleine action. De nombreuses publications en font état. Du jamais vu, tellement ils sont nombreux.

Depuis 2021, des acteurs, chanteurs, musiciens du monde occidental, sont terrassés, soit par un arrêt cardiaque, soit par un AVC, soit encore par un cancer, dit « turbo cancer » dont l’évolution est rapide et foudroyante, et dont la particularité est que la chimiothérapie se révèle inefficace. Du jamais vu, tellement ils sont nombreux.

Nous avons presque tous dans notre entourage, des personnes qui apparemment étaient en bonne santé, et qui sont décédées brutalement. Leur nombre interpelle.

Tous ces gens avaient 2 points communs :

  • – le même type de symptômes ;
  • – une ou plusieurs injections du « vaccin » anti-Covid. Malgré le fait que la cause soit de plus en plus évidente, le discours officiel continue de nier totalement la responsabilité de ces injections. Même les médecins à qui les familles des victimes posent la question, répondent avec une détermination hystérique que « ce n’est pas le vaccin… ». Mais lequel d’entre eux prend la peine de vérifier ? Leur soumission, ainsi que la soumission révoltante des grands médias qui se taisent, alors que même les chiffres officiels de la pharmacovigilance montrent que ces « vaccins » ont fait en seulement quelques mois, au moins 20 fois plus de victimes qu’en 50 ans de surveillance de tous les autres vaccins, n’est-elle pas synonyme de complicité ?

En 1999, dans « Les radis de la colère » (Ed. Louise Courteau), j’indiquais que pour construire la mondialisation, les hauts financiers mondiaux « conseillant » les gouvernements devaient suggérer de :

a) supprimer les indépendants : les agriculteurs ne représentent plus que 3 % de la population, alors qu’en 1950 la France était un pays agricole, les liquidations des commerçants et artisans se comptent par milliers, les professions libérales glissent de plus en plus vers le salariat. Objectif : une population de salariés de la grande distribution et de chômeurs.

b) créer une dépendance par la santé, parfois à vie, en promotionnant une médecine symptomatique et non préventive, rendant la population passive dans l’attente du remède miracle.

« … Un peuple en mauvaise santé rapporte gros, et ne se révolte pas. »

À la suite de la publication de cet ouvrage, j’ai été qualifié de « secte » (à moi tout seul).

Pourtant ce que je prédisaiss’est révélé exact !

Dès l’annonce de la 2e vague, nous avons dit « Il y en aura une 3e, puis une 4e, et même une cinquième, et vous verrez que le but de ce cirque est la sortie d’un vaccin… »

Nous avons alors été qualifiés de « complotistes », car « … Il faut des années pour mettre au point un vaccin…. » nous avaient toujours affirmé les grands pontes de la Santé Publique.

Pourtant cela s’est révélé exact !

Dès l’annonce de la vaccination, nous avons dit « 2 doses ? Il y en en aura une 3e, puis une 4e, etc. »

Nous avons alors été qualifiés de « complotistes » ;

Pourtant cela s’est révélé exact !

Dès l’annonce du port du masque obligatoire, nous avons indiqué que cette mascarade ne protégeait pas les populations, mais entretenait la peur, par le fait qu’en voyant toute la journée des visages masqués, l’on repensait sans arrêt au virus. D’ailleurs le masque n’a pas empêché la 2e, 3e, 4e vague, etc.

Nous avons alors été qualifiés de « complotistes » ;

Pourtant cela s’est révélé exact !

Dès l’annonce de la vaccination obligatoire pour les soignants, nous leur avons dit « Patience, le temps travaille pour vous. Il arrivera un jour où il y aura tellement de victimes qu’ils ne pourront plus le cacher… »

Comment pouvions-nous en être aussi sûrs ?

Pour un esprit logique non terrorisé, les contradictions et les incohérences ne pouvaient avoir qu’une seule explication : nous vivions une opération préméditée, dans le cadre de laquelle les « erreurs » étaient en fait des actes volontaires.

Ainsi, quand un automobiliste qui a renversé et tué un piéton plaide l’homicide involontaire, on le croit, sauf si l’on apprend qu’il était stationné depuis des heures à 50 mètres du lieu de « l’accident », et que le piéton était l’amant de sa femme…

Nous sommes dans le même cas de figure : N.B. Il faut rappeler que les connaissances scientifiques disponibles ne sont pas limitées aux connaissances des seuls membres du Conseil Scientifique, ou de la H.A.S., d’autant plus que l’on sait aujourd’hui que les membres du Conseil scientifique étaient essentiellement des médecins non spécialistes de virologie, à l’exception du Pr RAOULT, l’un des virologues les plus réputés au monde, qui a quitté ce Conseil dès la 1re séance, étant en désaccord avec les décisions. Les mesures prises étaient loin d’avoir l’approbation de l’ensemble du corps médical. Malheureusement, les Français ont été trompés par le fait que les médias ne donnaient la parole qu’à ceux qui étaient d’accord avec une sorte de pensée unique.

Or, il apparaît que :

I — DES FAITS (et non pas des théories) QUI INTERPELLENT :

1— Avant même l’arrivée du virus en France, 15 000 lits d’hôpitaux avaient été progressivement supprimés,

2— Avant même l’arrivée du virus en France, toutes les thérapeutiques existantes et reconnues efficaces dans le monde entier étaient interdites en France sous des prétextes fallacieux : l’interdiction la plus caricaturale fut celle de l’hydroxychloroquine, médicament connu et utilisé depuis 70 ans, et classé en janvier 2020 parmi les substances vénéneuses, par un arrêté ministériel.

Parmi les thérapeutiques efficaces, l’on peut également citer :

  • – la vitamine C en perfusion et à haute dose : des milliers de publications du monde entier, depuis des années, vantaient les résultats de cette méthode sur les infections virales. Aux USA, le Pr MARIK, indiquait que dans son service, l’intégralité des patients hospitalisés avec le diagnostic de Covid 19 avaient été guéris par cette méthode associée à un antibiotique.
  • – l’artemisia annua, utilisée en Afrique et à Madagascar,
  • – l’Ivermectine.

Ce ne sont là que des exemples, et il est consternant d’apprendre que les médecins qui prescrivaient l’une de ces thérapeutiques (et qui avaient d’excellents résultats) étaient poursuivis devant le Conseil de l’Ordre !

Résultat logique : les malades devaient attendre l’aggravation de leur état pour être hospitalisés, alors que s’ils avaient été soignés tout de suite, ils auraient presque tous guéri.

3— Dès l’arrivée officielle du virus en France, l’on nous disait que le masque et le confinement seraient inutiles. Mais 15 jours plus tard, le discours avait complètement changé !

Or, nos scientifiques savaient très bien que n’importe quel virus passe au travers des masques, car les petits trous microscopiques nous permettant respirer (mal), sont au moins 40 fois plus gros que le virus. Les masques ont été conçus pour filtrer les bactéries, bien plus grosses que le virus. D’ailleurs c’était écrit sur les 1res boîtes de masques : « Ne protège pas du virus… »

En outre, un chercheur de l’équipe du Pr RAOULT avait découvert que le virus ne pouvait se répliquer qu’en présence de bactéries. L’humidité provoquée par la respiration multipliait les bactéries restant accrochées au masque. Ainsi le fait de le porter est exactement ce qu’il fallait faire pour que le virus se multiplie !

4— Les tests PCR ont identifié 80 % de faux positifs, à cause du procédé qui identifiait n’importe quelle bribe de virus, y compris un virus ancien.

5— Le nombre des décès dus au Covid 19 a été énormément surévalué.

L’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (A.T.I.H.), site officiel gouvernemental, a publié le rapport de l’année 2020, laissant apparaître que :

« … Au cours de l’année 2020, 218 000 patients ont été hospitalisés pour prise en charge de la Covid-19. Les patients Covid représentent 2 % de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020… Parmi l’ensemble des décès hospitaliers survenus au cours de l’année 2020, 11 % ont concerné des patients Covid… »

Ainsi, l’on a terrorisé la France entière, en faisant croire que les hôpitaux étaient surchargés à cause du Covid 19, alors que la panique de 2020 était due à une mauvaise organisation des hôpitaux, et aussi au fait que même les accidentés de la route qui décédaient de leurs blessures, s’ils avaient été testés positif entre temps, étaient déclarés « morts du Covid »

M. Pierre CHAILLOT, statisticien indique, dans son livre « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels », seuls 38 hôpitaux étaient au départ habilités à recevoir des malades « covid » sur plus d’un millier d’établissements hospitaliers. Et l’on n’a surtout pas fait appel aux cliniques privées. Cherchez « l’erreur »…

6— Les produits qualifiés de « vaccins » n’empêchent ni de contracter la maladie ni de la transmettre.

Pour la 1re fois, dans l’histoire des épidémies, les produits qualifiés de « vaccins », selon les fabricants, ne confèrent une immunité que pendant 3 ou 4 mois, ce qui a pour conséquence l’injection d’une 3e, puis une 4e, et pourquoi pas une 5e dose, etc., et ceci pour de nombreuses années !

Alors qu’au moment de leur mise conditionnelle sur le marché, les fabricants des vaccins Pfizer et Moderna avaient affirmé que leurs produits étaient efficaces à 95 % et l’autorisation de mise sur le marché leur avait été accordée sur leur seule déclaration selon laquelle leurs « vaccins », trouvés en un temps record, et encore en phase d’essai clinique, étaient à la fois efficaces et sûrs.

Or il n’en était rien !

En effet, le 10 octobre 2022, lors d’un échange entre les eurodéputés et les représentants des laboratoires pharmaceutiques, un député néerlandais a interpellé Mme Janine Small cadre supérieure chez Pfizer (dont le PDG M. Bourla n’avait pas cru bon de se déplacer) pour savoir si, l’efficacité du vaccin contre la Covid fabriqué par ce laboratoire, pour réduire la transmission, avait été testée avant sa mise sur le marché.

Mme Small a répondu par la négative.

Ainsi Pfizer indiquait ne pas savoir si grâce à son « vaccin », le virus se transmettait ou pas.

Pourtant tout au long de la campagne vaccinale on n’a cessé de dire à la population française que se faire vacciner était la seule façon de se protéger et de protéger les autres.

On a vu partout le slogan : « tous vaccinés, tous protégés ».

Ainsi, on a imposé à certains personnels de se vacciner contre la covid 19 pour qu’ils ne transmettent pas la maladie, alors qu’il est démontré que les « vaccins » n’empêchent pas la contamination.

Les fabricants, tout comme de nombreux médias, véritables carpettes, ont alors indiqué que les « vaccins » protégeaient des formes graves, et empêchait de transmettre les formes graves. Quel mensonge !!

De nombreux « vaccinés » se sont retrouvés aux urgences, ou au cimetière…

7— le nombre d’effets indésirables est colossal !

Dès le début de la campagne de vaccination, le nombre de déclarations d’effets indésirables a été alarmant ! Et très curieusement, l’Agence Nationale de sécurité du médicament (A.N.S.M.), site officiel gouvernemental, qui publiait presque chaque mois, un rapport concernant les effets indésirables, a cessé très vite de publier le nombre de décès. Le dernier rapport faisait état de 1 200 décès.

Aujourd’hui, l’on constate un nombre inquiétant de myocardites, arrêts cardiaques, AVC, cancers dits « turbo-cancers », embolies pulmonaires, femmes n’ayant plus de règles, fausses couches, etc.

Le dernier rapport de l’A.N.S.M. du 11 mai 2023 indique que sur 156 711 100 injections, 193 571 cas d’effets indésirables ont été déclarés, soit 1 déclaration sur 809 injections.

Ces chiffres sont incroyables. (une proportion 1 236 fois plus élevée que pour le vaccin contre la grippe pour lequel on remarque 1 déclaration sur 1 000 000 d’injections !)

Vu que l’A.N.S.M. est un site officiel, il va être difficile pour nos dirigeants, nos élus, ainsi que pour nos journalistes, de dire qu’ils ne le savaient pas.

C’est donc en connaissance de cause que les responsables de la Santé Publique ont menti, en indiquant que les « vaccins » nous protégeaient efficacement et induisaient très peu d’effets indésirables, alors que parallèlement, déjà courant septembre 2021, une proposition de résolution était déposée au Parlement Européen pour la « … création d’un fonds Européen d’indemnisation des victimes des vaccins contre la Covid-19 »

Cette proposition indique notamment :

« Considérant que l’Agence européenne du médicament répertorie déjà environ un million de cas d’effets indésirables suite à l’injection de vaccins contre la Covid-19… »

N.B. Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques, et l’ANSM elle-même, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5 à 10 % en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés. (Un exemple parmi d’autres  : en juillet 2020, la Food and Drug Administration [FDA] américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès)

Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A & M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que :

« La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ».

De nombreux médecins (pas ceux que l’on invitait sur les plateaux qui, comme par hasard, croulaient sous les liens d’intérêts) prononçaient en public le terme de « génocide » ou encore « hécatombe ».

Il est un fait indéniable : Les courbes de mortalité, surtout chez les jeunes ont monté de manière inquiétante, dans tous les pays, depuis que l’on vaccine en masse.

Pierre CHAILLOT, dans son ouvrage : « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels », indique qu’il n’y a pas en France, d’accès aux données sur les morts dus à la vaccination, lesquelles montreraient, comme c’est le cas en Angleterre, que les vaccinés meurent plus que les non-vaccinés par classe d’âge.

Un article publié le 20 novembre 2021 dans la revue The Lancet indique qu’une étude allemande a démontré que les personnes vaccinées ont plus de probabilité d’être de nouveau infectées du Covid-19 que les non-vaccinés. Elles sont aussi une source de transmission du SARS-CoV2.

II— UNE LISTE IMPRESSIONNANTE D’ANOMALIES :

En outre, nous avons assisté à de nombreuses anomalies. Quelques exemples :

– Fin 2020, les masques étaient devenus obligatoires, même en plein air, ce qui est scientifiquement aberrant, alors que :

– dès le 1er jour du 1er confinement, Jérôme SALOMON, Directeur Général de la Santé, sur BFM TV, déclare :

« … Je vois énormément de masques dans la rue, des personnes qui n’ont aucune raison d’en porter et d’être exposés à des malades (…) ne portez pas de masques… »

– Sur le site officiel de l’OMS, courant mai 2020, on peut lire :

« … Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d’une personne présumée infectée par le Covid 19 (…) Il n’existe aucune preuve que le port du masque par des personnes en bonne santé puisse empêcher d’être infectée par des virus respiratoires… »

– Quelle que soit la composition du masque (en papier, en tissu, etc.) il était accepté. L’essentiel était de cacher son visage.

– Les enfants ne risquaient rien, mais il fallait quand même porter le masque à partir de 11 ans. Avec quelle hystérie, les chefs d’établissements ont veillé au respect de cette directive inutile et créatrice de stress, de mauvaise respiration, de pathologies respiratoires, etc. ! On dit que le niveau intellectuel des élèves a baissé. Mais il semblerait que celui de beaucoup d’enseignants aussi, car les rares résistants (qui d’ailleurs ne sont pas tombés malades) ont été dénoncés par leurs collègues, véritables collabos soumis comme des carpettes.

– Tous les soirs, on égrenait des chiffres en utilisant un vocabulaire stupide : ainsi les porteurs sains sont devenus « malades asymptomatiques ». Jusqu’à cette époque, la définition d’un malade était quelqu’un qui présente des symptômes… Il fallait faire croire que tout être testé positif était malade. Comme on a testé 80 % de faux positifs, on a donc identifié 80 % de faux « malades asymptomatiques ».

– Les masques s’enlevaient au restaurant pour manger, dès que l’on se levait, il fallait le remettre, comme si le virus planait à 1,50 mètre du sol…

– Les heures du couvre-feu changeaient, comme si le virus avait des horaires d’activité variable ;

– Pendant le 1er confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais pourquoi a-t-on installé, parfois même la nuit, des milliers d’antennes 5G ? En quoi cela constituait-il des activités essentielles ?

– Les soignants non vaccinés étaient suspendus. Mais les vaccinés, même malades, avec le diagnostic Covid (donc contagieux par définition) venaient travailler, s’ils n’étaient pas trop malades, alors que la quasi-totalité des suspendus n’étaient pas malades et demandaient leur réintégration, en vain.

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, les contrats qui avaient été signés avec la Commission Européenne, prévoyaient :

– une exclusion de responsabilité des laboratoires, en cas d’effets indésirables,

– une clause indiquant clairement que les parties au contrat indiquent que l’efficacité et les effets indésirables à long terme ne sont pas connus !

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, un vaccin a été réalisé en quelques mois, et mis sur le marché encore en période d’essai clinique.

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, on n’avait pas le droit de savoir quelle était la composition des produits : « Secret de fabrication »

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, le « vaccin » ne protégeait (soi-disant) que pendant quelques mois. Il faudrait donc une 3e dose, puis une 4e. On parle déjà de la 5e…

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, le « vaccin » n’empêchait pas de contracter la maladie, de développer des formes graves et d’en mourir.

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, le « vaccin » n’empêchait pas de contaminer les autres,

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, les médecins qui vaccinaient contre le Covid-19, percevaient de la CPAM des honoraires plus élevés. Dans les vaccinodromes, ils pouvaient percevoir environ 1 000 € par jour. Il est donc facile de comprendre pourquoi aujourd’hui, de nombreux médecins, devant un grave problème consécutif à un vaccin, hurlent hystériquement que « ça ne peut pas venir du vaccin ».

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, un certain nombre de personnes injectées depuis quelques heures étaient l’objet de phénomène d’aimantation : à l’endroit de l’injection, elles pouvaient faire tenir des pièces de monnaie, des cuillères, etc. Ce phénomène s’estompait au bout de quelques jours.

Un de mes confrères a donc fait faire un constat d’huissier, et à sa grande surprise, l’huissier constatait également que lorsqu’il s’approchait de la personne fraîchement vaccinée, un code s’affichait sur son téléphone portable, et disparaissait s’il s’éloignait de la personne.

Qu’y avait-il donc dans ces produits dont l’entière composition n’était pas connue ?

Un groupe de juristes de plusieurs pays ont alors fait analyser les fioles par plusieurs laboratoires, en Espagne, en Suisse, aux U.SA.

Tous ont trouvé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène, dans des quantités inquiétantes. Quelle peut être l’utilité de ce métal dans les injections ? L’oxyde de graphène est connu des électroniciens : c’est l’un des meilleurs conducteurs des ondes électromagnétiques actuellement connus. Il est extrêmement toxique. Mais, s’il n’a pas handicapé, ou tué la personne injectée, il s’élimine en 4 à 6 mois. Tiens donc ! les certificats de rétablissement, étaient valables 6 mois au début, puis 4 mois ! quelle coïncidence !

À moins qu’on ne nous donne une autre explication concernant la présence massive de ce métal toxique dans les injections, l’on ne voit pas quelle pourrait en être l’utilité, si ce n’est que de connecter l’être humain. On comprend alors mieux pourquoi on s’est dépêché d’installer des antennes 5G en 2020.

On comprend mieux pourquoi il fallait une 3e dose, puis une 4e, etc.

L’objectif n’aurait il pas été 2 injections par an à vie ?

Ainsi, outre la protéine Spike et ses dégâts à long terme sur l’organisme, le graphène ajoutait une couche.

III— DES SCIENTIFIQUES DE RENOMMÉE INTERNATIONALE CONFIRMENT CE QUE NOUS DISIONS DEPUIS 3 ANS

Dans une vidéo récente, le Dr David MARTIN nous donne une explication claire : (https://crowdbunker.com/v/AwaWDwgmxh



)

N.B. David MARTIN est ancien professeur adjoint à l’École de médecine de l’Université de Virginie, PDG fondateur de M∙CAM Inc. leader international de la gestion des risques financiers basée sur la propriété intellectuelle.

Porte-parole de la responsabilité mondiale en matière de propriété intellectuelle et de la réforme de la qualité, le Dr Martin a travaillé en étroite collaboration avec le Congrès des États-Unis et de nombreux organismes de réglementation du commerce et de la finance aux États-Unis, en Europe et en Asie, pour défendre et déployer une infrastructure visant à soutenir la dépendance croissante aux droits de propriété.

Il a été membre fondateur de l’Institut japonais pour la science et la technologie des interfaces. Il a fondé et occupé le poste de directeur exécutif du Charlottesville Venture Group. Il a été membre du conseil d’administration du Research Institute for Small and Emerging Business (Washington DC), de l’Academy for Augmenting Grassroots Technological Innovations (Inde), de l’IST (Japon), de la Chambre de commerce régionale de Charlottesville (Virginie).

Ce médecin indique :

« … Il ne s’agit pas d’un vaccin, mais d’un ARNm encapsulé dans une enveloppe de graisse qui est livrée à une cellule.

Il s’agit d’un dispositif médical conçu pour amener la cellule humaine à devenir un créateur d’agents pathogènes… 

Rappelez-vous que 80 % des personnes soi-disant exposées au SARS CoV 2 ne présentent aucun symptôme.

80 % des personnes qui se font injecter cette substance subissent un événement clinique indésirable.

On vous injecte une substance chimique pour induire une maladie et non pour induire une réponse immunitaire contre la transmission.

Rien de tout ça ne vous empêchera de transmettre quoi que ce soit. Il s’agit de vous rendre malade et que vos propres cellules soit la chose qui vous rende malade.

Donc cela va déclencher une réponse auto-immune, et cela peut directement causer la sclérose en plaques, la maladie d’Alzheimer, car c’est ce que l’expression de cette enveloppe pathogène, cela peut provoquer un cancer accéléré.

C’est le résultat de l’expression de ce morceau de virus, ce seul incident, c’est connu depuis des décennies.

On injecte directement la maladie… »

Le 9 mai 2023, le même médecin est venu s’exprimer au Parlement Européen. Il révèle des faits extrêmement graves :

(https://crowdbunker.com/v/X8Lo4AoAZH#:~:text=L



)

« Tous les commentaires que j’ai faits sont basés sur des documents publiés.

En 1966, le 1er COV modèle de coronavirus, a été utilisé dans le cadre d’une expérience biologique transatlantique de manipulation humaine…

Cela ne s’est pas fait du jour au lendemain. Il s’agit là d’un événement préparé depuis longtemps…

En 1967, nous [NDLR : Les USA] avons réalisé les premiers essais d’inoculation de Coronavirus modifiés à des êtres humains. N’est-ce pas incroyable ? Il y a 56 ans !

En 1975,76 et 77, nous [NDLR : Les USA] avons commencé à chercher comment modifier le coronavirus en l’introduisant dans différents animaux, les porcs et les chiens.

Et sans surprise, en 1990, nous avons découvert que le coronavirus en tant qu’agent infectieux était un problème industriel pour principalement deux industries : les industries du chien et du porc ont constaté que le coronavirus provoquait des problèmes gastro-intestinaux.

C’est sur cette base que Pfizer a déposé le brevet du 1er vaccin à base de protéine de pointe (Spike) déposé en 1990, opération Warp Speed (Vitesse grand V)…

N’est-ce pas fascinant que l’on nous ait dit que la protéine de pointe était une nouveauté et que nous venions de découvrir que c’était là le problème ?

En fait, nous n’avons pas découvert le problème maintenant, nous l’avons découvert en 1990 et nous avons déposé le 1er brevet sur les vaccins en 1990 contre la protéine de pointe du coronavirus…

Et, en 1990, ils ont découvert qu’il y avait un problème avec les vaccins. Ils ne fonctionnaient pas. Savez-vous pourquoi ils ne fonctionnaient pas ? Il s’avère que le Coronavirus est un modèle très malléable qui se transforme, change et mute au fil du temps.

Et toutes les publications sur le vaccin contre le Coronavirus, de 1990 à 2018, absolument chaque publication a conclu que le Coronavirus échappe à la stimulation vaccinale, parce qu’il se modifie et mute trop rapidement pour que les vaccins soient efficaces. Et depuis 1990 jusqu’à 2018, c’est la science qui a été publiée. C’est ce que l’on appelle, suivre la science.

Suivre la science, c’est leur propre mise en accusation de leurs propres programmes qui disaient que ça ne marchait pas. Et il existe des milliers de publications à ce sujet, pas quelques centaines, et qui ne sont pas payées par des sociétés pharmaceutiques.

Il s’agit de publications, issues de recherches scientifiques indépendantes qui montrent sans équivoque, y compris les efforts de modification des chimères, réalisées par Ralph Baric à l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill, toutes montrent que les vaccins ne sont pas efficaces contre le Coronavirus. C’est la science qui le dit. Et cette science n’a jamais été contestée.

Cependant, une évolution intéressante s’est produite en 2002. Cette date est très importante. En effet, en 2002, l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill a breveté, je cite “Un clone infectieux de Coronavirus dont la réplication est défectueuse”. Écoutez ces mots : “Infectieux à réplication défectueuse”. Que signifie cette phrase ?

Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec ce langage, permettez-moi de vous le décrypter. Le terme infectieux à réplication défectueuse signifie qu’il s’agit d’une arme. Il s’agit d’une arme destinée à cibler un individu sans causer de dommages collatéraux à d’autres individus. C’est la signification du terme infectieux à réplication défectueuse. Et ce brevet a été déposé en 2002 sur la base de travaux financés par le NIAID de Anthony FAUCI de 1999 à 2202.

Ces travaux brevetés en Caroline du Nord à Chapell Hill ont mystérieusement précédé d’un an le SRAS1.0…

Je ne suggère rien, je vous dis que ce sont les faits. Nous avons fabriqué le SRAS. Le SRAS n’est pas un phénomène naturel. Le phénomène naturel s’appelle le rhume. Il s’agit d’une maladie de type grippale. Il s’agit de la gastro-entérite, c’est le coronavirus naturel. Le SRAS est le résultat d’une recherche menée par des humains qui ont utilisé un modèle de système de vie pour s’attaquer à des êtres humains et ils l’ont breveté en 2002 et en 2003, surprise de taille, le CDC a breveté le coronavirus humain, en violation une fois de plus, des traités et des lois sur les armes biologiques et chimiques en vigueur aux États-Unis…

Lorsque le CDC a déposé le brevet en avril 2003, sur le modèle de coronavirus du SRAS isolé chez l’homme, qu’ont-ils fait ? Ils ont téléchargé une séquence en provenance de Chine et ont déposé un brevet sur cette séquence aux États-Unis.

Tous ceux qui connaissent les traités sur les armes biologiques et chimiques savent qu’il s’agit d’une violation. C’est un crime. Il ne s’agit pas d’une erreur innocente… »

« Vous pouvez vous demander : Le Coronavirus était-il prêt à émerger chez l’homme ? C’était le WIV1 : Wuhan Institut Of Virology Virus 1 prêt à émerger chez l’homme en 2016 dans le cadre des travaux de l’Académie Nationale des Sciences. Si bien qu’arrivant à 2017 et 2018, la phrase suivante est entrée dans le langage courant de la communauté : « Il va y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire »

Le terme « libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire » a été utilisé 4 fois en avril 2019, 7 mois avant le soi-disant patient numéro 1.

4 demandes de brevets de Moderna ont été modifiées pour inclure l’expression « Libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent respiratoire pathogène » afin de justifier la fabrication d’un vaccin pour une chose qui n’existait pas.

C’est en septembre 2019 que le monde a été informé que nous allions avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent respiratoire pathogène de sorte qu’en septembre 2020, il y aurait une acceptation mondiale d’un vaccin universel. Ce sont leurs mots juste devant vous à l’écran. L’objectif était d’amener le monde à accepter un modèle de vaccin universel et d’utiliser le Coronavirus pour y parvenir. Lisons ceci :

« En attendant qu’une crise des maladies infectieuses soit réellement présente et au seuil d’urgence qui est souvent largement ignorée pour maintenir la base de financement au — delà de la crise », ils ont déclarés “Nous devons mieux faire comprendre au public la nécessité de contre-mesures médicales, tel qu’un vaccin universel contre la grippe ou le coronavirus. Les médias sont un moteur essentiel et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage médiatique à notre avantage pour nous attaquer au vrai problème. Les investisseurs réagiront s’ils voient un bénéfice à la fin du processus. »

Il s’agit donc d’un terrorisme domestique prémédité, déclaré dans les écrits de l’Académie Nationale des Sciences en 2015. Il s’agit d’un acte de guerre biologique et chimique perpétré contre la race humaine et il a été admis par écrit qu’il s’agissait d’un holdup financier et d’une fraude financière. Je rappelle « Les investisseurs suivront s’ils voient un profit à la fin du processus. »

Quels médias ont publié son intervention ?

b) Alexandra Henrion-Caude, généticienne, ancienne directrice de recherche au CNRS, au cours du Printemps 2023, déclare au Parlement Européen :

« Quel est le consensus, en tout cas, il ne peut pas être scientifique. S’il y a consensus scientifique, c’est de l’obscurantisme, car le consensus chez nous est la preuve d’un refus de progrès et de nouvelles découvertes.

On m’oppose le succès en me disant “oui, mais des milliards d’individus ont été injectés.” Ça c’est un succès business, ça c’est un succès administratif d’avoir forcé des pays à injecter des populations. Ça, c’est un succès de manipulation des populations à prendre un produit dont ils ne savent rien.

Mais en tout cas, ils n’ont pas réussi à traiter le mal qu’ils voulaient traiter.

Si jamais les médecins ne sont pas capables de monter au créneau en disant :

On nous a menti, on nous a fait injecter un produit qu’on nous a dit qu’on maîtrisait et qu’on connaissait depuis longtemps.

C’est faux,

On nous a menti, on nous a dit que l’ARN messager se dégradait tout de suite.

C’est faux.

On nous a menti. On nous a dit que l’ARN messager allait rester dans le muscle.

C’est faux.

On nous a dit qu’on allait injecter que 2 fois ces doses.

C’est faux.

On nous a dit qu’ils étaient sûrs et efficaces,

C’est faux. Ils ne sont ni sûrs ni efficaces.

On nous a dit que la phase 3 était terminée.

C’est faux.

Donc ces médecins ont le droit et l’obligation déontologique, de dire : on nous a menti sur ces injections à ARN messager.

Donc on sait que les suivantes, ça sera la même chose. En 2030 ils prévoient toute une batterie d’ARN messager pour tout un tas de maladies, qu’elles soient infectieuses ou pas infectieuses… »

IV— ON NOUS AURAIT MENTI ? MAIS POURQUOI ?

Le fait d’affirmer que nos dirigeants nous ont menti, n’est pas une théorie : dès le départ, ils ont été largement informés par les chiffres officiels, et par des centaines de médecins qui les interpellaient. C’est donc une évidence.

On peut donc se demander quelles sont les raisons.

Nous préférons que le lecteur déduise par lui-même la réponse à ces questions. Donc, nous n’avancerons aucune théorie, mais nous rappellerons des faits qui, mis bout à bout, amèneront (peut-être) à de logiques déductions :

1er fait : Le rôle d’un multimilliardaire

Lors de la conférence TED 2010, Bill Gates indique espérer réduire la population mondiale ‘avec de bons résultats sur les nouveaux vaccins’.

Dans le numéro de juin 2011, le magazine britannique The Sovereign Independant, affichant une photo de Bill Gates, cite une de ses déclarations faites à l’issue d’une conférence : LA DÉPOPULATION GRÂCE À LA VACCINATION FORCÉE : LA SOLUTION AU CARBONE ZÉRO… Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. Ceci va nous conduire à environ 9 milliards. Si nous faisons un bon travail concernant les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, nous pouvons aboutir à une baisse de 10 à 15 %…

Courant 2017, après que Bill Gates ait versé des subventions importantes à l’OMS (organisme créé par la famille Rockefeller) la faisant ainsi devenir progressivement, une organisation privée, Tedros Adhanom Ghebreyesus est nommé à sa tête.

Ce personnage fut membre du bureau politique du Tigray People Liberation Front (TPLF), une organisation inscrite dans la liste des organisations terroristes du U.S. Homeland Security. Il fut ministre de la Santé en Éthiopie de 2005 à 2012, et est membre du Conseil d’administration de l’alliance pour la vaccination (GAVI) qui œuvre au profit de l’industrie pharmaceutique pour imposer la multivaccination avec des puces RFID à la terre entière.

Bill Gates est l’un des principaux promoteurs des campagnes de vaccinations dans le monde. Multimilliardaire, il aurait versé des subventions à de nombreux dirigeants politiques dans le monde, ainsi qu’à l’OMS.

Le 21 septembre 2018, la société Microsoft Technology Licensing (fondée par Bill Gates) dépose aux USA un brevet intitulé CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA. Ce brevet ne sera publié que courant mars 2020 (WO2020/060606A1).

Il concerne des nanoparticules qui auraient la faculté, lorsqu’elles sont introduites dans le corps humain par des injections, d’être identifiées et localisées par n’importe quel ordinateur.

Courant 2018, la Banque mondiale WITS (World Integrated Trade Solution) publie sur son site, des millions de commandes émanant de nombreux pays, pour lesquelles on lit’ : COVID-19 Diagnostic-Test instruments and apparatus’.

Dès que cette information a filtré, la mention « Covid-19 » a été effacée, et devant l’indignation sur les réseaux sociaux, la WITS a déclaré que cette appellation avait été une coïncidence…

À l’automne 2019, a lieu aux USA, sous la présidence du milliardaire, fondateur de la société Microsoft Technology Licensing, et finançant une grande partie du budget de l’OMS, une simulation d’une pandémie qui serait due à un coronavirus, sur la base d’un roman écrit en 1981 : « The eyes of darkness ». Cette simulation portait le nom de « Event201 ».

Lors de la conférence ID2020 Sommet 2019, Bill Gates fait la promotion du vaccin contenant le « marqueur » à nano-puce électronique, destiné à « marquer » et à contrôler 7 milliards d’humains. (mais il ne fait pas vacciner ses enfants).

Les premiers cas de Covid 19 seraient apparus au marché de Wuhan, à 180 m. du laboratoire inauguré par M. CAZENEUVE, 1er ministre français de l’époque.

Les faits suivants ne sont que des rappels de ce que nous venons d’expliquer, et la liste n’est pas exhaustive :

-2e fait : suppression progressive de 15 000 lits d’hôpitauxet « oubli » de faire appel aux cliniques privées (alors que beaucoup d’entre elles l’avaient proposé)

-3e fait : interdiction de toutes thérapeutiques avant l’arrivée du virus.

-4e fait : masques d’abord officiellement inutiles, puis brusquement obligatoires, confinement de la population = entretien de la panique

-5e fait : gonflement des chiffres.

-6e fait : vocabulaire angoissant sur les médias(« malades asymptomatiques »).

-7e fait : vaccins mis sur le marché en période d’essai clinique, à la suite de contrats aux clauses étranges.

8e fait : Déni total de l’inefficacité et de la toxicité des « vaccins ».

9e fait : Poursuites disciplinaires contre les médecins dénonçant toutes ces anomalies.

10e fait : Parole donnée sur les grands médias quasi-exclusivement aux médecins, qui ne remettaient rien (ou presque) en question et qui (comme par hasard) faisaient l’objet d’importants liens d’intérêts avec les laboratoires, à l’exclusion de ceux qui n’avaient rien à vendre, donc aucun intérêt à mentir.

11e fait : Installation de milliers d’antennes 5G, à une période où seules les activités essentielles étaient autorisées.

12e fait : Présence de nano particules d’un métal réagissant aux ondes.

La juxtaposition de ces faits est suffisante pour que le lecteur comprenne.

Avec plusieurs juristes et avocats, nous avons déposé des plaintes pour empoisonnement et tentative d’empoisonnement dans plusieurs départements français. Nous avons également déposé une plainte contre le Président de l’Ordre National des médecins pour avoir appuyé les directives gouvernementales, et donc empêché de soigner, ce qui a provoqué des états graves et des décès.

Nous avons défendu de nombreux soignants suspendus.

Il est malheureusement fort possible que nous subissions à l’avenir de nouvelles tentatives d’injections. Quel virus anodin sera-t-il brusquement classé dangereux ?

V — POURQUOI LA PLUPART D’ENTRE NOUS ONT-ILS ACCEPTÉ CELA SANS RÉSERVE ?

Début 2020, M. Olivier VERAN déclarait que le confinement était ce qui risquait de faire flamber une épidémie. Plusieurs ministres nous disaient à la même époque que les masques étaient inutiles en plein air.

On connaît la suite.

L’on peut s’interroger sur l’absence de réaction populaire, devant les mesures liberticides, contraires à ce qui avait été affirmé auparavant, contraires aux conventions internationales que la France avait signées auparavant.

Il y a 2 raisons à cela :

1— Le vaccin, depuis des décennies, est une véritable religion en France : ainsi les produits retirés des médicaments, des cosmétiques ou même des jeux pour les enfants, à cause de leur toxicité (l’aluminium) ne l’ont pas été des vaccins. Lorsque l’on pose la question, il nous est répondu « Oui, mais c’est un vaccin… » Nous sommes bien dans la religion, avec une extraordinaire particularité : Pour la gauche, la vaccination est un acquis social. Il est donc impensable de la remettre en question. Cette religion entraîne une logique sacrificielle, dans laquelle « … On sauve des vies » (soi-disant). Tant pis pour ceux qui sont morts pour (peut-être) en sauver d’autres.

La gauche, dans ce domaine, se trouve dans une incroyable contradiction : D’un côté, elle dénonce le pouvoir de l’argent sur l’économie, la médecine, la presse, etc., et paradoxalement, elle gobe inconditionnellement ce que disent les autorités et les médias, en fustigeant hystériquement quiconque oserait contredire des « certitudes », estimant qu’il n’est pas possible que l’on nous mente. Critiquant les religions, elle se retrouve… dans une véritable religion composée de postulats, dogmes, certitudes, qu’il est hors de question de vérifier. Même les militants de la France Insoumise, ont été totalement soumis, certains d’entre eux proposant même l’obligation vaccinale pour tous, se comportant comme de véritables « Kapos »…

2— Au procès de Nuremberg, le Gruppenführer SS KALTENBRUNNER, à la question « Comment avez-vous pu faire accepter cela à la population ? » a répondu : « On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur »

Ainsi, devant :

  • – la privation de la liberté d’aller et venir résultant du confinement,
  • – l’interdiction d’avoir le droit de respirer normalement (le masque),
  • – la discrimination dans les bars et restaurants n’acceptant pas ceux qui ne possédaient pas le pass vaccinal,
  • – l’obligation vaccinale pour les soignants,

Très peu ont réagi. Même les syndicats, ce qui est incroyable. Cette soumission n’est-elle pas en partie responsable de ces milliers de personnes, malades à vie, ou décédées ?

Cette soumission ne serait-elle pas synonyme de complicité ?

Comment réagirons-nous si cela recommence ?




Ne leur pardonnez pas. Ils savent ce qu’ils font !

[Source : TNT TV]

L’homme qui a osé parler de l’oxyde de graphène à la 100e du CSI, qui dénonce les projets de l’OMS et n’hésite pas à aborder le problème gravissime de la 5G et de ce qui est encapsulé dans les injections pour être activé ou libéré sur commande… Auteur du livre : « Ne leur pardonnez pas ! Ils savent ce qu’ils font ! »






Le Mystère de la mort du Dr Olivier Soulier

[Source : profession-gendarme.com]

Par Dr Anne-Marie Yim, PhD

Cela pourrait sonner comme un titre d’un roman d’Agatha Christie ou de Gaston Leroux, sauf que c’est de la mort très mystérieuse de feu Dr Olivier Soulier dont il s’agit. Après le choc de l’annonce brutale de sa mort, j’essaye de comprendre ce qui s’est passé dans le contexte de cette post-crise covid-19. C’est le cœur lourd de chagrin et de tristesse que je me décide, après mûre réflexion, à prendre la plume pour écrire, une fois de plus, sur le décès soudain d’Olivier Soulier.

[Voir aussi :
Hommage au Dr Olivier Soulier
Un Soulier mal chaussé]

Comme tout le monde le sait, Olivier est parti dans la nuit du mercredi 28 juin au jeudi 29 juin 2023. Nous devions faire une émission avec Dr Hervé Seligmann sur les excès de mortalité suite aux injections, mais elle a été reportée, car Éric Montana, journaliste sur TV-ADP et JSF, ami proche d’Olivier Soulier, était sous le choc de l’annonce de sa mort, triste nouvelle dont il a appris l’annonce le vendredi 30.

Dimanche 1er juillet, une soirée hommage sur TV-ADP a eu lieu, elle a rassemblé quelques noms connus de la Résistance, dont Me Carlo Brusa, Dr Éric Loridan, Dr Stéphane Gayet, Dr Laurent Montesino, Dr Laurence Kaiser, Chloé Frammery, Pierre Barnérias, Stéphanie Reynaud, porte-parole d’Ariane Bilheran et de Me Virginie de Araujo-Recchia, Dr Astrid Struckelberger, Dr Tal Schaler… et bien d’autres. Tous ses véritables amis et ceux qui l’appréciaient sincèrement se sont réunis pour honorer sa mémoire de combattant et de résistant durant cette crise sanitaire. Ils ont fait l’éloge de ses qualités de médecin homéopathe et ont également souligné son rôle majeur en tant que membre fondateur du CSI (Conseil Scientifique Indépendant), ainsi que celui du SLS (Syndicat Liberté Santé). Ce fut un exercice à la fois émouvant et difficile, car nous étions tous submergés par l’émotion. Entre deux sanglots et sous un torrent de larmes que je n’arrivais pas à contrôler, je me suis souvenue des 3 fois où mon chemin a croisé celui d’Olivier.

La première fois c’était à Massy lors du deuxième ICS (International Covid Summit) le samedi 2 avril 2022. J’étais montée sur la scène en présence des Dr Robert Malone, Dr Alexandra Henrion-Caude (AHC), Dr David Bouillon, Dr Benoît Ochs, Dr Louis Fouché et Pr Perronne. Malgré le froid glacial, la foule était au rendez-vous et avait réservé un accueil chaleureux aux intervenants, le tout filmé par une rangée de médias indépendants dont Kairos en la personne d’Alexandre Pennasse au premier rang. La foule très impressionnante scandait comme un cri de guerre : Perronne Ministre de la Santé ! Le Pr Perronne était venu débattre au Luxembourg, à la chambre des Députés, le 12 janvier 2022, suite à une pétition dont l’intitulé portait sur : « Stop aux vaccins de type thérapie génétique (COVID-19) à nos enfants ». Suite à ce débat, que j’avais organisé avec le pétitionnaire David Georgiu, le projet de loi sur la vaccination obligatoire au Luxembourg a été retiré et remplacé par la loi du 11 mars 2022 qui a vu la levée de restriction des mesures sanitaires. Un moment historique et une grande victoire qui a marqué un tournant pour la Résistance. L’espoir que nous avions suscité nous portait comme sur des ailes ! Au cours de la manifestation de Massy, je me souviens vaguement qu’AHC parlait de créer des brèches dans le narratif de la doxa sanitaire.

La deuxième fois, c’était à Nancy le 4 novembre 2022, par une belle journée ensoleillée lors de la convocation du Dr Martine Wonner par le Conseil de l’Ordre suite aux propos tenus lors d’une manifestation le 3 juillet 2021 à Nancy, organisée par Bon Sens Nancy, alors qu’elle était encore Députée ainsi que pour les propos tenus dans le documentaire « Hold-up » de Pierre Barnérias, diffusé en mai 2021. Olivier s’était mis à côté de moi dans la haie d’honneur que les résistants avaient formée, et nous chantions la Marseillaise le poing levé. Il portait un anorak bleu et une casquette qu’il avait soulevée pour dévoiler son visage en me faisant un clin d’œil amical pour me saluer, avant que nous entrions dans la salle d’audience.

La troisième fois, c’était le 17 février 2023, lors de la soirée hommage organisée par la Fondation Luc Montagnier qui s’est tenue au siège de la société Bouygues, au 32 avenue Hoche, tout près de l’Arc de Triomphe. Il y avait un parterre très prestigieux de médecins et scientifiques (Dr Guillaume, Dr Ménard, Dr Escarguel, Pr Perronne, Pr Tritto, Jacques Bauer, Dr Carrière,…), des collaborateurs proches du Prix Nobel ayant travaillé sur le Creutzfeld Jacob, le VIH (Virus Immunodéficience Humaine) et la mémoire de l’eau (Jacques Beneviste).

[Voir aussi :
La mémoire de l’eau – documentaire complet
Commentaires sur le VIH de Montagnier]

Mercredi 12 juillet, c’étaient les funérailles du Dr Olivier Soulier, je n’ai pas pu m’y rendre pour des raisons de santé. En effet, j’ai déclenché une forme grave de Covid aiguë, fortement thrombotique, suite à ma visite en Suisse chez Jacques Bauer, pharmacien suisse travaillant sur les ondes scalaires dans le traitement de la Covid-19. Je tiens à préciser que je dois la vie à un médecin exceptionnel, d’une rare intelligence : le Dr Yves Couvreur, anatomo-pathologiste belge qui a parcouru 3 h de route depuis les environs de Bruxelles pour m’accompagner à la pharmacie de garde, ce dimanche-là, et me prescrire les médicaments dont j’avais besoin. Son traitement efficace m’a sauvé la vie et je lui en suis extrêmement reconnaissante, car sans son intervention je ne serais sans doute plus là aujourd’hui.

[Voir aussi :
Voyage au cœur des injections Covid — Jacques Bauer, pharmacien-clinicien
Observation des injections anticovid]

J’ai cependant décidé d’écrire une oraison funèbre à Olivier sous forme de poème, à la fois amicale et respectueuse dont je reproduis le texte ci-dessous.

Le bleu était ta couleur préférée, celle de tes yeux azur. Tu t’en es allé rejoindre le ciel laissant orphelins des milliers de résistants, en état de choc, inconsolables face à ton décès soudain : une mort à la fois brutale et violente. Tu es parti bien trop tôt, bien trop vite, alors que le combat féroce que tu as mené pendant 3 ans face à la dictature sanitaire et contre le totalitarisme d’état t’a mené partout dans le monde.

Globe-trotter infatigable et citoyen dans l’âme, tu as su consoler les soignants dont la vie était suspendue à un fil, prodiguant des soins alternatifs àbase d’homéopathie dont toi seul connaissais les secrets et les vertus, ainsi que des traitements précoces qui ont sauvé tant de vies.

Amoureux de l’humanité, tu as traversé ta vie comme une étoile filante pour rejoindre le firmament, toujours avec humour et bienveillance. Admiratif de la science et de la vie, on retiendra ton courage sans faille, ainsi que ton engagement absolu auprès de ta communauté de cœur. Repose en paix cher Olivier, cher frère et cher ami.

Nous tous dissidents de la France éternelle et résistants dans l’âme, guerriers de lumière, nous saluons ton combat en reprenant le flambeau de la liberté pour laquelle tu as donné ta vie.

Dr Anne-Marie Yim, Ph. D. Luxembourg, 12 juillet 2023.

Je m’étais entretenue au téléphone récemment avec Olivier, avant sa mort, à propos de son éviction du CSI. Cette dernière était due au fait, non seulement de son désaccord sur la ligne éditoriale scientifique à propos de l’oxyde de graphène et de la spike, mais aussi à propos de la plainte abjecte d’Emmanuelle Darles à son encontre pour harcèlement sexuel présumé. Une plainte pour un motif questionnable qui s’éteint juridiquement avec son décès. En effet, suite à l’UER (Université d’Été Résistante) de Villeneuve-lès-Avignon dans le Gard, en septembre 2022, organisée et financée par l’association uflf88 (Union Fait la Force 88) et aidée de Cécile Maichak (Dosumani), un incident a eu lieu. Lors d’une conférence, il y avait 5 intervenants et seulement 4 sièges. Olivier a proposé à Emmanuelle Darles de venir s’asseoir sur ses genoux, proposition qu’elle a naturellement déclinée devant le public, se sentant « humiliée » selon ses propres mots. Olivier m’avait alors confié que Vincent Pavan et Emmanuelle Darles s’étaient servis de cette affaire ridicule pour le pousser hors du CSI. Ils l’avaient menacé d’ébruiter et de relâcher cette affaire « scandaleuse » à la presse, donc au grand public, s’il refusait de quitter le CSI. Il n’avait d’ailleurs pas été invité à la 100e du CSI qui a eu lieu à Saintes pendant l’été 2023. Son absence, fortement remarquée, a marqué les esprits et ce d’autant plus que ce sont produits deux incidents particuliers.

[Voir aussi :
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
et plus généralement les dossiers :
Vaccins et virus
5G et ondes pulsées
Implants numériques]

Le premier incident, Chloé Frammery publie une vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle, elle se plaint du fait que l’annonce de la manifestation du 27 mai à Genève dénonçant l’adoption du Traité Pandémie de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) ainsi que du RSI (Règlement Sanitaire International) révisé n’ait pas été autorisé par les organisateurs lors de la 100e du CSI. Ces deux textes sont d’une dangerosité majeure, car ils permettraient de donner les pleins pouvoirs à l’OMS et de mettre en place le certificat numérique. Rappelons que le certificat numérique est une version beaucoup plus étendue du passeport vaccinal qui permettait un contrôle de la population en temps de Covid (état d’urgence) et autorisait l’accès sur les lieux de travail, de loisir, de restauration, aux musées et aux aéroports. C’est donc une sorte de passeport permettant de voyager avec un QR code, une version plus généralisée du « Green Certificate » dont le terme expirait le 30 juin 2023, qui permet un contrôle des populations.

Le deuxième incident est une autre vidéo de Richard Boutry et de Natacha Werup, marchant sur la route et visiblement déçus par cette fameuse conférence de Saintes. À la fois ironique et désabusée, Natacha a commenté en substance : le ciel d’en bas n’est pas le ciel d’en haut ; ils veulent en coulisses que nous suivions le transhumanisme de Yuval Harari. Cette vidéo a par ailleurs été supprimée dès le lendemain sans laisser de traces par les auteurs pour calmer les esprits et ne pas rentrer dans une polémique.

Quel ne fut pas mon étonnement, lorsque je reçois une vidéo hommage funèbre d’Éric Verhaeghe (EV), fondateur du Courrier des Stratèges, ancien de l’ENA (École Nationale Supérieure) envoyée par un ami résistant Alain Schollaert, ancien co-référent de la cellule RéinfoCovid Corse, lanceur d’alerte indépendant et bénévole.

Dans cette vidéo de 12 min, ce qui commence comme une oraison funèbre à un défunt disparu tourne rapidement, à ma grande surprise, à un règlement de compte. J’ai dû réécouter la vidéo plusieurs fois, car je n’en croyais pas mes oreilles.

Éric Verhaeghe commence à parler de l’article injurieux du journal l’Express daté du 10 juillet, titrant qu’Olivier Soulier serait mort d’un arrêt cardiaque, suite à une séance chamanique où il aurait consommé des champignons hallucinogènes dans un appartement parisien. Cette information aurait été obtenue selon une dépêche AFP communiquée par « La Voix du Nord » auprès du Parquet de Paris ; notamment la brigade des stupéfiants chargée de mener une enquête suite à la plainte déposée par la famille Soulier qui a par ailleurs demandé une autopsie. Jean-Dominique Michel, anthropologue résistant et ami d’Olivier Soulier, avec qui il faisait de nombreuses conférences ayant quitté lui aussi le CSI par solidarité, vis-à-vis d’Olivier Soulier, s’émeut de la situation et demande à Éric Verhaeghe de publier un droit de réponse.

S’ensuit une anecdote d’un dîner parisien chez Éric Verhaeghe, dont Olivier était un invité. Ce dernier arrive avec sa compagne et sort un téléphone lui permettant de détecter l’émission d’adresses MAC (Media Access Control). L’application a immédiatement indiqué la présence de 3 vaccinés sur les 8 invités présents. Indice : un des invités vaccinés signe tous ses tweets avec « nous sommes le camp du bien ». Le ton est donné, les « diseux » n’ont qu’à bien se tenir ! Les diseux font des promesses vides qui n’aboutissent qu’à des rêves utopiques sans lendemain, sans avenir : un futur désirable dans lequel vous ne posséderez rien et vous serez heureux. Leur véritable but est de contrôler le narratif scientifique de la dissidence en mettant l’accent sur les effets biologiques de la spike, et en évacuant le problème très gênant de la présence d’oxyde de graphène, non divulguée, dans la composition des ingrédients des injections géniques.

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables]

Éric Verhaeghe va plus loin en insistant que ce prétendu grand résistant vacciné, un infiltré de la macronie, plutôt diseux que faiseux aurait demandé des compromis à Olivier Soulier, alors qu’il était prêt à l’emmener « dans les cordes ». Il conclut son oraison funèbre en demandant aux résistants d’être déterminés et de s’engager en politique pour changer de leadership et apporter un réel changement dans la société.

Cette vidéo pose évidemment des questions sur l’opposition contrôlée au sein de la résistance. La mort d’Olivier cristallise cette question autour de l’opposition contrôlée qui s’est mise en place en même temps que se déroulait la plandémie Covid. Il ne faut pas craindre les méchants visibles désignés et identifiés : le CS (Conseil Scientifique) d’Alain Fischer et Delfraissy, Véran, Buzyn, Lacombe et autres experts de plateaux, ceux qui interdisent l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, l’azythromycine ou la vitamine D3. Il faut plutôt se méfier de l’avant-garde du « Cheval de Troie », de cette caste intelligente, puissante et méchante : les loups déguisés en agneaux qui ont fait allégeance au mal et qui veulent vous pucer en vous promettant que : tout ira bien et que cela va bien se passer, alors qu’ils volent votre santé et votre âme à la fois.

Oui, cette guerre psychologique de 5génération sert un génocide biblique sans précédent sous couvert d’une pseudo crise sanitaire. Il ne faut pas avoir peur de la première mort, celle du corps, mais bien de la seconde mort, celle de l’âme. Car nier l’existence de l’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins, c’est un viol de l’âme. En effet, la fréquence émise par le GO, sous stimulation des ondes 5G, à une fréquence déterminée, précise pourra non seulement activer les virus dormants, mais aussi calcifier la glande pinéale : siège de la conscience de l’âme et de l’intuition, celle qui nous relie au divin. Le nouvel ordre mondial et les globalistes veulent éteindre le souffle du divin en nous, afin de nous plonger dans les abysses de l’enfer. Ils veulent nous donner une fausse immortalité, celle du corps, tout en supprimant l’âme et en niant sa transcendance. Tel est l’objectif inavoué des infiltrés de la macronie, alors que se resserre l’étau irréversible de la prison numérique sur l’humanité ! Leur opération d’infiltration a un but insidieux : celui de nous faire rendre les armes sans combattre ; c’est l’art de la guerre qui annonce l’Armageddon avant le retour en gloire de notre Messie. À l’aube de cette civilisation d’amour tant prophétisée, une ère nouvelle pour l’humanité. Soyons prêts à nous revêtir de notre armure de lumière, avec pour bannière l’Amour pour combattre avec détermination. Il en va de nos vies, de nos libertés ! Nous, peuples de la terre, voulons laisser en héritage, un futur de paix et de justice à nos enfants.

[Voir aussi :
Exorcisme et « vaccins » anti-Covid
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme
Les écouvillons des tests PCR conçus pour implanter de l’hydrogel DARPA au lithium dans le cerveau et attaquer la glande pinéale ?]

Dr Anne-Marie Yim, PhD

Luxembourg le 22 juillet 2023




Coup d’État Mondial de l’OMS — Première Partie

[Source : AGORA TVNEWS]

Introduction et présentation de la conférence du 13.05.2023 avec le Professeur Christian Perronne, le Dr Astrid Stuckelberger, le Dr Geert Vanden Bossche et l’avocat suisse Philipp Kruse organisée par Réinfo Santé Internationale. Présentation de l’OMS par Delphine Héritier de Barros et Shehnaz.

Avec l’apparition du nouveau traité pandémique contraignant pour les pays signataires et des modifications du Règlement Sanitaire International qui prévoient des décisions au-dessus de l’autorité des pays et qui impacteraient les libertés de la population, quels sont les réels enjeux pour les 194 états membres de l’OMS et comment sortir d’un totalitarisme qui se précise avec le suivi des populations ?

[À partir de 5:00]




Défis de santé publique mondiale avec l’OMS et l’ONU : De la biologie à la population

[Source : Réinfo Santé Suisse International]

L’expérience de la structure et des systèmes complexes des Nations unies (dont l’Organisation mondiale de la santé est le chef de file en matière de santé mondiale) de la Dr Astrid Stuckelberger lui permet de mettre clairement en évidence les incohérences de l’urgence de santé publique Covid-19. Elle nous détaille :
– ce qui a été fait contrairement aux normes précédemment établies dans la gestion d’une épidémie
– ce qui aurait dû être fait pour préserver la santé de la population

Dr Stuckelberger nous partage divers plans de contrôle de l’OMS tels que :
– la numérisation de la santé
– l’édition du génome à l’intelligence artificielle

Elle mentionne également les conflits d’intérêts de l’organisation ainsi que l’influence de l’industrie dans la politique de santé publique. Bien au-delà de la politique et de l’argent, elle affirme qu’il s’agit d’une guerre physique et spirituelle contre l’humanité, et que la réponse la plus dangereuse est de rester silencieux.

[Voir aussi :
Déclaration sur l’isolement des virus
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert
Dr Sam Bailey sur l’histoire du Shedding vaxinal
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
et plus généralement les nombreux articles des dossier Vaccins et virus, 5G et ondes pulsées, Climat et Implants numériques qui apportent des informations complémentaires par rapport à ce que mentionne Astrid dans sa conférence.]

www.astridstuckelberger.com
www.reinfosante.ch

[À partir de 5:00]






Kéfirs et Kombuchas contre le graphène

[Source : xochipelli.fr]

Champignons, Enzymes, Bactéries et autres Micro-Organismes susceptibles, potentiellement, de détruire les nanomatériaux à base de Graphène

Chapitre 2. Les Kéfirs, Kombuchas et autres Élixirs de longue vie pour la bio-remédiation des dérivés de Graphène dans l’organisme humain

[Cet article fait suite à Des champignons contre le graphène]

Par Dominique Guillet

Sommaire

  • Le Secret des Kéfirs, Kombuchas et autres Élixirs de longue vie, c’est la « fermentation »
  • Les Kombuchas

    • Composition nutritionnelle
    • Infusions des Thés et Fermentations des Kombuchas
    • Bactéries et Levures composant le Microbiote
    • Qualités médicinales
    • Qualités de protection à l’encontre des contaminations radioactives
    • Qualités de bio-remédiation des substances pathogènes et toxiques
    • Kombucha et matériaux nanoparticulaires de Graphène
    • Autres Types de Kombuchas

  • Les Kéfirs de lait

    • Composition nutritionnelle
    • Bactéries et Levures composant le Microbiote
    • Extrême Diversité des Microbiotes
    • Interactions entre les Levures et les Bactéries
    • Qualités médicinales
    • Qualités de bio-remédiation des substances pathogènes et toxiques
    • Qualités de protection à l’encontre des contaminations radioactives

  • Les Kéfirs d’eau

    • Composition nutritionnelle
    • Bactéries et Levures composant le Microbiote
    • Interactions entre les Levures et les Bactéries
    • Qualités médicinales
    • Qualités de bio-remédiation des substances pathogènes et toxiques


Le Secret des Kéfirs, Kombuchas et autres Élixirs de longue vie, c’est la « fermentation »

L’objectif, transparent et déclaré, de la seconde partie de ce dossier, très volumineux, est de proposer que les Kéfirs, les Kombuchas et autres Élixirs de longue vie — qui ont, déjà, et depuis des millénaires, été considérés comme des boissons extrêmement médicinales et qui ont, déjà, récemment, été validés pour leurs propriétés de bio-remédiation de substances toxiques, dont radioactives — puissent constituer l’une des premières lignes de défense antioxydantes afin de dégrader, et de désactiver, dans l’organisme humain, tous les dérivés nanoparticulaires de la famille du Graphène — et, en vérité, au-delà du Graphène, tous les matériaux nanoparticulaires métalliques, ou autres, qui n’ont aucun office dans l’organisme humain.

Dès 2002, une étude avait été publiée sur la capacité des Kéfirs de lait de réparer les lésions de l’ADN induites par des lumières ultra-violettes. [43]Une étude, de 2016 a, également, mis en exergue cette propriété de régénération de l’ADN — avec un Kéfir de miel. [79]

Un certain nombre d’études ont validé la capacité des bactéries et des levures du Kombucha de remédier à la radioactivité ou de s’en protéger.

Une étude de janvier 2021, « The protective effect of Kombucha against silver nanoparticles-induced toxicity on testicular tissue in NMRI mice », a mis en exergue la capacité du Kombucha de réduire les effets néfastes des nanoparticules d’argent sur le tissu testiculaire et d’améliorer la fonction du système reproducteur masculin. [27]

Il est à noter que le Kombucha peut être utilisé, comme vecteur « vert/eco-friendly », pour réduire l’oxyde de graphène en oxyde de graphène réduit. [45]De plus, ainsi que nous le verrons dans la section « Kombuchas. Qualités de protection à l’encontre des contaminations radioactives », le Kombucha, est, même, utilisé en synergie avec du graphène afin de dépolluer l’environnement ! C’est, totalement, affligeant… car qui va décontaminer l’environnement humain, et planétaire, du poison que constitue le Graphène ? En autres élixirs, le Kombucha… nous l’espérons.

D’autant plus que toutes ces boissons de Longue Vie possèdent des qualités anti-génotoxiques, antioxydantes, antitumorales, anti-carcinogéniques, anti-mutagéniques [35], anti-prolifératives, etc. entre autres qualités extrêmement médicinales — et reconnues par les Peuples depuis l’Aube des Temps. Et c’est sans évoquer les qualités de relaxation induites par sa teneur en éthanol — faible mais, nonobstant, perceptible par des gens sensibles.

En ce qui concerne les boissons alcoolisées, telles que la bière et le vin, des données issues de recherches récentes confirment que leur « émergence »aurait contribué à la transition de nos ancêtres de chasseurs-cueilleurs à agriculteurs/éleveurs.

En fait, même, selon des hypothèses plus audacieuses, l’agriculture/élevage aurait été, tout bonnement, inventée par des Peuples — déjà bien nourris par Mère Nature — pour la production de boissons et d’aliments fermentés, souverains pour une santé harmonieuse, et pour la production de boissons alcoolisées… très relaxantes.

D’autant plus relaxantes, d’ailleurs, sur le plan des programmations neurolinguistiques, que les shamans de ces Peuples avaient, fort bien, compris que le Règne des Fungi — que ce soit des Psilocybes ou des levures en fermentation dans des Somas et autres Hydromels — constitue l’un des portails les plus adéquats vers l’autre côté du Voile… et vers l’écoute de l’Altérité s’exprimant au travers de la Mère, de ses Muses et Dakinis, des animaux de pouvoir… ou d’une libellule en pirouettes.

Pour les amateurs d’émotions fongiques, voir mon dossier « Récapitulatif de mes divers articles, traductions et dossiers sur les Champignons Enthéogéniques ».

Le titre de ce dossier évoque les « autres Élixirs de longue vie » qui existent chez tous les Peuples de la Planète… depuis qu’ils ont maîtrisé les processus de fermentation. Ces breuvages, et autres aliments, fermentés sont pléthoriques et ils sont traditionnellement utilisés depuis des millénaires — tels que le « Ryazhenka » en Russie [101], les « Amasi » et « Mahewu » en Afrique du Sud [109], le « Kvass » en Russie et Europe de l’Est, « l’Hardaliye » en Turquie, la « Chicha » au Pérou [115], le « Koumis » en Asie, le « Boza » d’Europe de l’Est, le « Tchang » au Tibet, les « Mabisi », « Munkoyo » et « Chibwantu » en Zambie [74] [87], le « Poliuhquioctli/Pulque » des Nahuatl au Mexique [102], le « Pozol » des Mayas au Mexique [102], « Ginger Beer » en Angleterre, le « Sima » en Finlande, etc., etc.

Tous ces produits fermentés sont, bien évidemment, fertilisés par des microbiotes composés, également, de bactéries et de levures et endémiques à leur région géographique.

En effet, l’ethnogenèse, l’émergence des Peuples, est, très intimement corrélée, au microbiome local — à savoir, au vecteur de leur Survie… fermentée.

Traditionnellement, les Kéfirs de lait et les Kéfirs d’eau ont été réalisés grâce à des processus de fermentation soit anaérobie, soit aérobie. Ce ne sont pas, alors, les mêmes bactéries et les mêmes levures qui sont les plus actives. Cependant, avec les deux types de Kéfirs, la seconde fermentation — après filtration des grains — est anaérobie.

Par exemple, dans le Kéfir de lait, Lactobacillus kefiranofaciens prospère dans un environnement strictement anaérobie. Lactobacillus kefiranofaciens possède des qualités médicinales immuno-régulatrices, antiallergiques, antiasthmatiques et anti-colitiques.

Quant aux levures, elles prospèrent, généralement, dans un environnement tout autant anaérobie qu’aérobie. Une étude de 1999 a mis en valeur la capacité de la levure Saccharomyces cerevisiae d’augmenter le taux de cystéine et de glutathion dans l’organisme. [98]

Selon une étude récente, de juin 2022 :

« Il existe des preuves de la consommation de kéfir de lait depuis l’Âge de Bronze qui ont été découvertes dans une masse organique de fromage associée à des momies provenant d’un cimetière Xiaohe (1450 avant EC) dans le Xinjiang, en Chine…. La fermentation du lait de ruminant par une culture symbiotique de Lactobacillus kefiranofaciens, et d’autres bactéries lactiques et levures, était la base d’un produit laitier robuste, évolutif, probiotique et sans lactose, et une avancée technologique clé qui a introduit les avantages économiques de l’élevage extensif dans un foyer semi-pastoral de la population d’Eurasie orientale dès le début de l’âge du bronze… Le fromage de kéfir de Xiaohe est la plus ancienne preuve matérielle de la fermentation du kéfir et l’utilisation des grains de kéfir est devenue partie intégrante de la culture alimentaire Tibétaine, ce qui leur a valu d’être connus des Européens sous le nom de “Champignons tibétains” » [1]

Un jour d’été 2008, en Andalousie, dans la Sierra de Ronda, sur un promontoire rocheux surplombant Gaucin, et au loin, le détroit de Gibraltar, le Nagual John Lash — un shaman es champignons enthéogéniques — reçut un message de la Terre-Mère lui enjoignant de prêter attention aux abeilles et aux processus de fermentation anaérobie… pour la Survie des Peuples. Se pourrait-il, d’ailleurs, que l’Hydromel, ou Chuchen — le vrai, fermenté selon les règles de l’art… avec des alcaloïdes issus du couvain d’abeilles — soit un breuvage de Longue Vie, également, en capacité de détruire tous les nanomatériaux à base de Graphène, dans l’organisme humain ?

Le Secret des Kéfirs, Kombuchas et autres Élixirs de longue vie, c’est la «fermentation »et c’est, vraisemblablement, également, le Secret de la Survie des Peuples du Futur… car cela le fut pour la Survie des Peuples du Passé.

Se pourrait-il que les processus de fermentation — dont la fermentation anaérobie — constituent l’un des premiers fronts de biodégradation de tous les dérivés nanoparticulaires de Graphène dans l’organisme humain ?

Photo. De gauche à droite :
Kéfir de lait, Kombucha de Maté (Ilex paraguariensis),
Vinaigre issu de Pétillant de Sureau (Sambucus nigra), Kéfir d’eau, Kéfir d’eau avec du lait.

Les Kombuchas

Les premières références historiques portant sur le Kombucha dateraient de la dynastie Tsin en Chine aux alentours de 220 avant EC. Il y était dénommé « Che Divin » ou « Élixir d’Immortalité ». Subséquemment, le docteur coréen, Kombu, rapporta le Kombucha de Corée au Japon à la demande de l’empereur Ingyō Tennō (374-453) — pour traiter ses problèmes digestifs. C’est, ensuite, de Russie qu’il s’est disséminé dans tout le reste de l’Europe — au tournant du 19e siècle.

Le Kombucha est une boisson traditionnelle fermentée que l’on obtient à partir de feuilles de thé infusées (Camellia sinensis) — de diverses couleurs et fermentations — et d’un microbiote composé d’un certain nombre d’espèces de bactéries et de levures. Selon les modes traditionnels de préparation, le Kombucha est fermenté avec 5 à 10 % de sucre. Ce sont, surtout, les thés verts, noirs, et « Oolong », qui sont utilisés, traditionnellement, pour le Kombucha.

Selon des dissidents [58], qui s’en réfèrent à l’étymologie, le terme « Kombu/Cha » ferait référence, en fait, au « Thé/Cha » de « Kombu ». Pour mémoire, le Kombu est un « Kelp » — un terme général pour désigner des algues brunes du genre Laminaria — très usité dans la Tradition alimentaire Japonaise. Le docteur Kombu, de Corée, serait, alors, le sujet d’une jolie histoire… afin de tenter d’expliquer cet emprunt de langage !

Récemment, de par l’engouement généré par son introduction à large échelle, d’autres types de « Kombucha » sont progressivement proposés sur le marché — avec les mêmes microbiotes de bactéries et de levures.

Aujourd’hui, le Kombucha est l’une des boissons à croissance très rapide. En 2014, la vente mondiale de Kombucha totalisa 1 million de dollars contre près de 2 milliards de dollars en 2019. Les projections du marché sont de 7 milliards de dollars pour l’année 2027.

Composition nutritionnelle

Le Thé (Camelia sinensis) contient : des polyphénols, des flavonols, des catéchines (catéchines, théaflavines et flavanols), des gallates d’épicatéchine, de l’adénine, de la caféine, de la théobromine, de la théophylline, des acides galliques, des tanins, gallotanins, des acides aminés, des caroténoïdes, des lipides, des composés volatils, etc.

Le Thé vert possède plus de polyphénols que tous les autres thés (blanc, noir, Oolong, etc.) avec une concentration plus élevée de catéchines. Le Thé noir se caractérise par une composition polyphénolique prédominante en théaflavine et en théarubigine.

Le Kombucha contient des vitamines (B, C et E), des phénols et des polyphénols, des enzymes (amylase et invertase), des protéines, des acides aminés, des purines, des minéraux (tels que le cuivre, le potassium, le fer, le manganèse, le cobalt, le nickel et le zinc) et de l’éthanol.

Le flavonol isorhamnétine, qui ne se trouve pas dans les feuilles de Thé, a été détecté dans le Kombucha. C’est un flavonol aux propriétés bactéricides que l’on retrouve dans le cacao et dans le Ginkgo biloba.

Le Kombucha contient, également, beaucoup d’acides. Ceux contribués par les feuilles de Thé : citrique, malique, tartrique, oxalique et succinique. Et ceux contribués par les processus de fermentation propres à son microbiote particulier de bactéries et de levures : acétique, gluconique, glucuronique, L-lactique, malonique, pyruvique et usnique.

Les principaux composants, du liquide et du biofilm, sont l’éthanol, l’acide acétique et l’acide gluconique.

Tout comme pour les Kéfirs, le calcium constitue une substance essentielle à la prospérité du Kombucha.

Ainsi, une étude a mis en exergue que le Kombucha obtenu à partir d’une eau à forte concentration d’ions calcium présente une activité antibactérienne plus élevée, à l’encontre de Staphylococcus aureus, que les boissons obtenues à partir d’une eau à faible teneur en ions calcium. [6]

La nature du Kombucha — et, donc, sa composition nutritionnelle — va strictement se modifier en fonction du sucre (brun, mélasse, miel…), de la qualité des feuilles de Thé, du type de Thé (noir, vert, blanc, etc.), de la diversité des levures et des bactéries, des substances ajoutées, du processus d’infusion et, enfin, du processus de fermentation — localisation géographique, température, pH, durée et, bien sûr, processus aérobie/anaérobie. Et c’est sans même évoquer les différences entre le Kombucha fait maison et le Kombucha industriel ou, encore, les différences entre le Kombucha filtré de ses résidus de feuilles de Thé et le Kombucha non filtré.

Il a été démontré que le taux de composés phénoliques dans le Kombucha préparé à base de thé noir, et de thé vert, et laissé à la fermentation avec des résidus de thé sans filtration, était près de 5,68 fois plus élevé que ceux conçus par filtration. De plus, le Kombucha avec des résidus de thé, dans cette étude, possédait 3,25 fois plus de capacité antioxydante que le Kombucha filtré. Qui plus est, comme le Thé vert est naturellement non fermenté, ses résidus, inclus dans le Kombucha, possèdent un plus haut taux de composés phénoliques. [60]

Infusions des Thés et Fermentations des Kombuchas

Selon des études précises, la température d’infusion des feuilles de thé est un élément déterminant dans la composition finale du Kombucha qui en est réalisé. En effet — contrairement aux températures conseillées pour des infusions savoureuses de Thé, il est très difficile, en fait, d’extraire tous les composés bioactifs des feuilles de thé avec de l’eau bouillante par une seule extraction. Selon les conclusions de l’une de ces études — qui reprend les travaux de plusieurs autres [59] :

« Outre le type de thé utilisé pour la fermentation du Kombucha, les paramètres de l’infusion du thé, la durée et la température ont un impact significatif sur la teneur en composés bioactifs et les activités antioxydantes [20] [21]. On sait que la température et la durée de l’infusion sont les principaux facteurs qui influencent l’extraction des catéchines du thé, en particulier lorsque l’extraction à froid est utilisée [22].Selon les résultats de Pérez-Burillo et coll. (2018), la durée d’infusion joue un rôle crucial dans l’extraction des composés bioactifs, mais la température de 60 à 80 °C ne joue aucun rôle significatif lorsque la durée d’infusion est inférieure à 15 minutes.

Une concentration plus élevée d’acide gallique, d’épigallocatéchine et de caféine a été notée dans les infusions obtenues à une température supérieure à 80 °C. Les auteurs ont déclaré qu’une température de 98 °C et une durée d’infusion de 7 à 15 minutes augmentent la teneur en composés bioactifs et donc la capacité anti-radicalaire et réductrice [23].Ces données sont en accord avec les résultats obtenus par Zimmermann et Gleichenhagena (2011), les auteurs ont constaté que les concentrations de flavanols dans le thé vert sont les plus élevées après 7 min d’infusion à une température constante de 100 °C [24].

Saklar et coll. (2015) ont observé une augmentation rapide des catéchines pendant les 5 premières minutes à 85 °C [25]. Su et coll. (2007) ont étudié les profils phénoliques et les activités antioxydantes de l’extrait de thé oolong, et l’activité antioxydante la plus forte a été attribuée à 100 °C pendant 3 minutes, tandis qu’une durée d’extraction plus longue a entraîné une diminution des polyphénols [26].Des recherches relativement approfondies sur l’influence des facteurs sur les propriétés du thé ont été menées par Sharpe et coll. (2016). Les auteurs ont conclu que les infusions ayant une plus grande capacité antioxydante sont obtenues à des températures comprises entre 80 et 100 °C et extraites pendant 5 à 10 minutes[27]. »

En conclusion, si ces diverses études s’avèrent valides, cela signifie qu’il faille infuser les feuilles de thé à très haute température — pendant une bonne dizaine de minutes — pour la confection de Kombuchas très antioxydants.

Quant au processus de fermentation, il induit la formation d’une pellicule de cellulose polymérique, un biofilm, grâce à l’activité de certaines espèces de bactéries acétiques du genre Acetobacter. Voir l’étude « Cellulosic biofilm formation of Komagataeibacter in kombucha at oil-water interfaces / Formation de biofilms cellulosiques de Komagataeibacter dans le kombucha aux interfaces huile-eau ». [24]

Ce microbiote bactério-fongique forme une symbiose puissante capable d’inhiber la croissance de bactéries potentiellement contaminantes.

La fermentation à 30 °C conduit à des concentrations plus élevées d’acides gluconique et glucuronique qu’à 20 °C. Ceci est positivement corrélé avec la promotion de la croissance du principal producteur d’acide glucuronique, la bactérie Gluconacetobacter saccharivorans, à la température la plus élevée, tandis qu’à la température la plus basse, c’est la bactérie Komagataeibacter xylinus domine la fermentation.

L’acide glucuronique est considéré comme le principal agent thérapeutique du Kombucha et joue un rôle essentiel dans la détoxification du foie par le processus de glucuronidation.

Grâce à l’activité de bactéries du genre Gluconacetobacter, de l’acide D-saccharique 1,4 — lactone est créé, dans le Kombucha, à partir de l’acide D-glucarique durant le processus de fermentation. Sa concentration augmente jusqu’au huitième jour de fermentation, variant entre 58 et 133 mg/mL selon l’échantillon — selon deux études récentes. [3] [5]

Dans le Kombucha, la prospérité des bactéries Gluconacetobacter – et donc, la production d’acide D-saccharique 1,4 — lactone — est favorisée par la présence de bactéries Lactobacillus. [3]L’acide D-saccharique 1,4 — lactone est considéré comme étant le vecteur des qualités médicinales hépatoprotectrices et hypocholestérolémiques du Kombucha — parce qu’il inhibe l’activité de l’enzyme humaine endogène, la β-glucuronidase.

Bactéries et Levures composant le Microbiote

Traditionnellement, le Kombucha est fermenté en présence de micro-organismes — un microbiote symbiotique de bactéries et de levures. Les levures métabolisent le saccharose, en anaérobie, pour produire des sucres simples et de l’alcool, tandis que les bactéries métabolisent ces sucres, en aérobie, pour les transformer en acides organiques et en dioxyde de carbone.

Une température plus élevée favorise la croissance de certains genres de bactéries, par exemple Propionibacterium, Corynebacterium ainsi que Lactobacillus, Lactococcus, ou Streptococcus.

Une étude récente, de décembre 2021 a identifié 34 genres, avec environ 200 espèces, de bactéries et de levures, dans les Kombuchas. [4]

Deux espèces bactériennes importantes sont Acetobacter, qui produit de l’acide acétique, et Gluconobacter, qui produit de l’acide gluconique.

Bactéries

Des espèces de bactéries acétiques du genre Gluconobacter : Gluconobacter saccharivorans, Gluconobacter oxydans, etc.

Des espèces de bactéries acétiques du genre Acetobacter : Acetobacter aceti, Acetobacter pasteurianus, Acetobacter peroxydans, Acetobacter nitrogenifigens, Acetobacter xylium, Acetobacter xylinoides, etc.

Des espèces de bactéries acétiques du genre Komagataeibacter : Komagataeibacter xylinus, Komagataeibacter kombuchae,Komagataeibacter xylinus, etc.

Des espèces de bactéries lactiques du genre Lactobacillus : Lactobacillus kefiranofaciens, Lactobacillus nagelli, Lactobacillus satsumensis, etc.

Des espèces de bactéries lactiques du genre Lactococcus.

D’autres bactéries des genres Propionibacterium, Corynebacterium et Enterococcus.

Levures

Les diverses espèces de levures comprennent : Saccharomyces cerevisiae, Saccharomyces uvarum, Schizosaccharomyces pombe, Saccharomycodes ludwigii, Kloeckera apiculata, Zygosaccharomyces bailii, Zygotorulaspora florentina Torulaspora delbrueckii, Brettanomyces bruxellensis, Candida stellimalicola, Candida tropicalis, Lachancea thermotolerans, Lachancea fermentati, Eremothecium cymbalariae, Kluyveromyces marxianus, Pichia mexicana, Dekkera bruxellensis, Dekkera anomala.

Qualités médicinales

Le Thé (Camelia sinensis) possède un large éventail de qualités médicinales : antioxydantes, antimicrobiennes, anti-néoplasiques, cardioprotectrices, antidiabétiques, anti-obésité, etc.

L’écrivain russe Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne, lauréat du prix Nobel, écrit dans son ouvrage, « Le Pavillon des Cancéreux », que le Kombucha a guéri son cancer de l’estomac pendant son internement dans les camps de travail soviétiques — bien qu’il ne soit pas certain s’il faisait référence au Chaga, un autre champignon médicinal, ou au Kombucha.

Quant aux Kombuchas, ils possèdent de nombreuses qualités médicinales : anti-carcinogéniques, antioxydantes, anti-inflammatoires, anti-hypertensives, antidiabétiques, hépatoprotectrices, cardioprotectrices, neuro-protectrices, vulnéraires, antimicrobiennes et hypo-cholestérolémiques. [6] Les Kombuchas soulagent, également, les hémorroïdes, les insomnies, les maux de tête, les problèmes digestifs, l’arthrite, etc.

Une métaétude, de 2019, a passé en revue 310 articles corrélés aux qualités médicinales du Kombucha et à son impact sur la santé et le bien-être des humains. « Kombucha : a systematic review of the empirical evidence of human health benefit ». [14]

L’activité anti-carcinogénique du Kombucha a été, plus particulièrement, validée à l’encontre du cancer du sein [31]et du colon-rectum [64].

L’activité antimicrobienne du Kombucha a été validée à l’encontre des bactéries suivantes : Vibro cholerae [35][36], Shigella dysenteriae, Staphylococcus epidermidis, Staphylococcus aureus, Micrococcus luteus, Escherichia coli, Pseudomonas aeruginosa, Salmonella typhimurium, Listeria monocytogenes, etc. Et à l’encontre des fungi suivants : Candida albicans, Candida krusei, Candida tropicalis, Candida parapsilosis, Candida glabrata, Candida dubliniensis, Candida sake, Aspergillus flavus, Microsporum gypseum, Malassezia furfur, Malassezia restricta, Malassezia sympodialis, Malassezia sloofie, Malassezia globosa, etc.

Le Kombucha est, particulièrement, très réputé pour ses qualités anti-carcinogènes, antioxydantes, anti-néoplasiques… [40] [53] [55] [56]

L’effet antioxydant du Kombucha serait, principalement, dû aux catéchines et aux polyphénols présents dans le Thé (Camelia sinensis).

Une étude de 2020 a étudié les différences en capacités antioxydantes de Kombuchas réalisés à partir de Thés verts, blancs, rouges et noirs. Selon ses conclusions :

« L’analyse du potentiel antioxydant des échantillons étudiés a révélé que la teneur en composés antioxydants se situait entre 70,62 % et 94,61 % d’inhibition de la DPPH. Le Kombucha préparé à partir de thé vert s’est caractérisé par le potentiel antioxydant le plus élevé, atteignant la valeur la plus élevée le premier jour de la fermentation. Dans le cas de chacune des boissons Kombucha analysées, la capacité à désactiver les radicaux libres diminue avec l’augmentation du temps de fermentation. Au bout de deux semaines de fermentation, les meilleurs Kombuchas antioxydants étaient à base de thé vert, de thé rouge, de thé blanc et, en dernier, de thé noir. » [41]

Ces études sont à prendre avec des pincettes dans la mesure où il existe une pléthore de Thés dits noirs, verts, etc. avec très certainement, une très grande diversité de composition nutritionnelle. En effet, à l’opposé, une étude, de 2020, a découvert que le Kombucha à base de thé noir était beaucoup plus antioxydant que le Kombucha à base de thé vert qui lui, par contre, était beaucoup plus antibactérien et anti-carcinogène. [57]

Une étude de 2020 a étudié les différences en capacités antioxydantes de Kombuchas réalisés à partir de Thé, de Riz et d’Orge. Selon ses conclusions :

« Trois types de thé fermenté Kombucha, de riz et d’orge ont été produits afin d’étudier leurs changements de paramètres biologiques et chimiques. Une augmentation d’environ 2 fois le poids sec des champignons après 8 jours de croissance a été observée avec le thé Kombucha. La densité optique des extraits de Kombucha a suivi la même tendance. En outre, le thé Kombucha a enregistré le taux de croissance spécifique le plus élevé et le temps de doublement le plus faible. L’acidité totale, la teneur en éthanol et la teneur en protéines totales ont augmenté au cours du processus de fermentation pour atteindre leur maximum après 6-8 jours, dans l’ordre décroissant suivant : thé > orge ≥ riz. Les capacités de piégeage du DPPH étaient dans l’ordre décroissant, thé (89,69 %) > orge (76,19 %) > riz (36,04 %). Les composés phénoliques totaux du thé Kombucha (88,8 ppm) ont la même tendance, qui est plus de 3 fois supérieure à celle du riz Kombucha (26,11 ppm). Les résultats ont révélé que la méthode de conservation du thé Kombucha par traitement thermique (à 76 et 100 °C pendant 10 minutes) n’était pas efficace, entraînant une diminution des quantités d’antioxydants à 71,0 et 53,42 % et des composés phénoliques totaux à 40,22 et 45,69 ppm, respectivement. » [54]

Une étude de 2022 a étudié les différences en capacités antioxydantes de Kombuchas réalisés à partir de Thé noir, de Thé vert, de Maté (Ilex paraguariensis), de Lavande et d’Origan. Selon ses conclusions : la meilleure capacité antioxydante, en équivalent d’acide ascorbique a été déterminée dans le Kombucha dérivé du Maté (Ilex paraguariensis) avec 312,4 ± 14,2 mg/mL. Les kombuchas dérivés du thé noir (48,3 ± 2,3 mg/mL) et de la lavande (37,7 ± 1,6 mg/mL) possédaient la capacité antioxydante la plus faible.

Le Kombucha de Maté (Ilex paraguariensis) est, ainsi, l’un des Kombuchas les plus antioxydants.

Qualités de protection à l’encontre des contaminations radioactives

Selon de nombreuses études, les bactéries constituent l’un des premiers fronts dans le champ de bio-remédiation des substances radioactives. Selon l’étude, de 2017, « Radiation, radionuclides and bacteria: An in-perspective review » [29] :

« La consommation de radionucléides à diverses fins académiques et commerciales a connu une forte augmentation. En conséquence, la production de déchets radioactifs a été considérable. Les bactéries et les archées, qui sont les premiers habitants de la terre, servent de modèles de micro-organismes sur terre. Ces micro-organismes ont toujours fait leurs preuves en survivant à des environnements extrêmes, même à des radiations ionisantes extrêmes. Leur capacité à accepter et à subir des mutations génétiques stables a conduit au développement de mutants recombinants qui sont exploités pour remédier à divers polluants tels que les métaux lourds, les hydrocarbures et même les déchets radioactifs (radwaste).

Ainsi, les micro-organismes se sont présentés à plusieurs reprises comme des candidats de choix pour l’assainissement des déchets radioactifs. Il est intéressant d’étudier les interactions en coulisses que ces micro-organismes possèdent lorsqu’ils sont observés en présence de radionucléides. L’accent est mis sur les bactéries indigènes isolées dans des environnements contenant des radionucléides ainsi que sur les cinq mécanismes d’interaction fondamentaux qui ont été largement étudiés, à savoir la bioaccumulation, la biotransformation, la biosorption, la biosolubilisation et la bioprécipitation.

L’utilisation de micro-organismes présentant de tels mécanismes pour l’assainissement des déchets radioactifs dépend en grande partie de la capacité individuelle de l’espèce. Les défis relatifs à leur activité potentielle de biorestauration ont également été brièvement discutés. Cette étude donne un aperçu des différents mécanismes utilisés par les bactéries pour tolérer, survivre et réaliser des processus qui pourraient potentiellement conduire à une approche écologique pour l’élimination des radionucléides. »

Voici quelques études qui ont validé la capacité des bactéries et des levures, du Kombucha, de remédier à la radioactivité ou de s’en protéger :

« Fermented black tea ameliorates gamma radiation-induced cellular and DNA damage in human blood lymphocytes / Le Kombucha améliore les dommages cellulaires et d’ADN induits par les radiations gamma dans les lymphocytes sanguins humains ». [13]

Selon les conclusions. Les résultats indiquent clairement que le Kombucha a un potentiel significatif pour protéger le système cellulaire des dommages induits par les radiations et que sa capacité à piéger les radicaux libres pourrait jouer un rôle important dans ses manifestations radioprotectrices.

« Effect of kombucha on some trace element levels in different organs of electromagnetic field exposed rats / Effet du Kombucha sur les niveaux de certains oligo-éléments dans différents organes de rats exposés aux champs électromagnétiques ».

Selon les conclusions. Les téléphones mobiles ont connu une croissance exponentielle dans le monde entier. La présente étude a été réalisée pour évaluer l’effet du Kombucha sur certains niveaux d’oligo-éléments du cerveau, de la rate et de l’intestin chez des rats albinos mâles exposés à un champ électromagnétique de 950 MHz.Le groupe d’animaux soumis aux ondes électromagnétiques a provoqué des augmentations significatives des niveaux de fer-cuivre et du rapport cuivre-zinc, accompagnées d’une diminution du niveau de zinc dans tous les organes étudiés. Le traitement combiné du kombucha et des fréquences électromagnétiquesa permis d’atténuer ces effets néfastes des fréquences électromagnétiques. Les résultats actuels nous permettent d’affirmer que le kombucha, en tant que supplément, a des effets bénéfiques sur les effets des radiations électromagnétiques.

« Role of Kombucha Tea in the Control of EMF 950 MHz Induced Injury in Rat Heart and Lung Organs / Rôle du thé Kombucha dans le contrôle des lésions induites par les CEM 950 MHz dans les organes cardiaques et pulmonaires du rat ». [12]

Selon les conclusions. Notre étude a démontré quele Kombucha pouvait offrir une protection contre les dommages oxydatifs induits par l’exposition aux fréquences électromagnétiques en réduisant la peroxydation des lipides et en augmentant le mécanisme de défense antioxydant chez les rats.

« Possible Protective Effect of Kombucha Tea Ferment on Carbon Tetrachloride Induced Liver Damage in Irradiated Rats / Effet protecteur possible du ferment du thé Kombucha sur les lésions hépatiques induites par le tétrachlorure de carbone chez les rats irradiés ». [16]

Selon les conclusions. Ces résultats démontrent que la plupart des altérations pathologiques du foie en réponse à l’intoxication au tétrachlorure de carbone et/ou à l’exposition aux radiations sont récupérables après traitement par les ferments de Kombucha.

« Protective effect of kombucha mushroom (KM) tea on chromosomal aberrations induced by gamma radiation in human peripheral lymphocytes in-vitro / Effet protecteur du thé kombucha sur les aberrations chromosomiques induites par les radiations gamma dans les lymphocytes périphériques humains in vitro ». [23]

Selon les conclusions. Les résultats in vitro ont montré que la supplémentation en Kombucha peut diminuer la fréquence des aberrations chromosomiques et que son action radioprotectrice contre les radiations ionisantes est dépendante de la dose. Par conséquent, la capacité antioxydante du Kombucha peut être utilisée comme « agent limitant la génotoxicité »pour réduire les effets des agents radioactifs sur l’environnement dans un avenir proche.

« Possible Protective Effect of Kombucha Tea Ferment on Cadmium Chloride Induced Liver and Kidney Damage in Irradiated Rats Effet protecteur possible du ferment du thé Kombucha sur les lésions hépatiques et rénales induites par le chlorure de cadmium chez les rats irradiés ». [1]

Qualités de bio-remédiation des substances pathogènes et toxiques

« The protective effect of Kombucha against silver nanoparticles-induced toxicity on testicular tissue in NMRI mice / Effet protecteur du Kombucha contre la toxicité des nanoparticules d’argent sur le tissu testiculaire des souris NMRI ». [27]

Selon cette étude:

« Les nanoparticules d’argent peuvent passer la membrane cellulaire et la barrière sanguine testiculaire en raison de leur petite taille et, en augmentant le stress oxydatif, elles provoquent des troubles dans le système reproducteur masculin. Le kombucha est une boisson fermentée traditionnelle qui possède des propriétés détoxifiantes et antioxydantes puissantes. Nous avons cherché à examiner l’effet protecteur du Kombucha contre les dommages causés par les nanoparticules d’argent sur le tissu testiculaire. En conclusion,le Kombucha réduit les effets néfastes des nanoparticules d’argent sur le tissu testiculaire et améliore la fonction du système reproducteur masculin. »

Les nanoparticules d’argent sont amplement utilisées en médecine — tout comme les dérivés nanoparticulaires de Graphène. Elles sont, même, promues pour leurs capacités anti-carcinogènes, anti-inflammatoires, antibactériennes et anti-angiogéniques !!! Et ce, malgré qu’il existe une pléthore d’études portant sur la toxicité des nanoparticules d’argent. Par exemple, l’une des dernières études ad hoc affirme que les nanoparticules d’argent interfèrent avec le métabolisme du cuivre chez les mammifères. [9]

Il est, donc aisé, d’imaginer que si le Kombucharéduit les effets néfastes des nanoparticules d’argent sur le tissu testiculaire, il va en faire, vraisemblablement, de même avec les mêmes effets néfastes des nanoparticules de Graphène de toutes sortes. N’est-ce pas ?

« Does kombucha tea attenuate the hepato-nepherotoxicity induced by a certain environmental pollutant? / Le thé kombucha atténue-t-il l’hépato-néphrotoxicité induite par un certain polluant environnemental ? ». [10]

Selon les conclusions. L’administration de Kombucha a amélioré de manière significative la peroxydation des lipides et le stress oxydatif induits par le trichloréthylène. Conclusion : La présente étude indique que le Kombucha peut réparer les dommages causés par les polluants environnementaux tels que le trichloréthylène et peut être bénéfique pour les personnes qui sont confrontées à ces produits chimiques.

« Study of heavy metals biosorption by tea fungus in Kombucha drink using Central Composite Design / Étude de la biosorption des métaux lourds par le champignon du thé dans la boisson Kombucha à l’aide d’un plan composite central ». Cette étude porte sur la capacité du Kombucha de fixer des métaux lourds tels que le mercure, le plomb, le cadmium, le chromium, l’arsenic. [51]

Il est clair que le mercure, le plomb, le cadmium, le chromium, l’arsenic, etc., sont tout aussi dangereux, pour l’organisme mammifère, que tous les dérivés du Graphène. Répétons que si le Graphène est omniprésent dans la vie quotidienne — et le vecteur principal du génocide — c’est qu’en sus de sa toxicité, il est un vecteur essentiel d’Homo chimericus (sur mode Schwab) pour sa connectivité avec le réseau virtuel 4/5/6G.

« Aflatoxin B1 degradation by microorganisms isolated from Kombucha culture / Dégradation de l’aflatoxine B1 par des micro-organismes isolés d’une culture de Kombucha ». [7]

« Novel use of Kombucha consortium to reduce Escherichia coli in dairy shed effluent / Nouvelle utilisation d’un consortium Kombucha pour réduire la présence d’Escherichia coli dans les effluents des étables laitières ». Selon cette étude, le microbiote du Kombucha s’est avéré très efficace pour réduire le nombre d’unités formant des colonies (UFC) d’Escherichia coli à des niveaux indétectables. La diminution du nombre d’UFC d’Escherichia coli s’est produite rapidement dans les 48 heures suivant l’inoculation de Kombucha dans la matrice de l’effluent et s’est accompagnée d’une diminution correspondante du nombre d’UFC. [8]

« Leaching of rare earth elements from fluorescent powder using the tea fungus Kombucha / Lixiviation des éléments de terre rare de la poudre fluorescente à l’aide du champignon Kombucha ». [2]

Selon cette étude :

« En utilisant la culture mixte symbiotique Kombucha, composée de levures et de bactéries d’acide acétique, les ETR ont été lixiviées à un taux significatif. Les taux de lixiviation les plus élevés ont été observés dans les cultures sous agitation utilisant l’ensemble du consortium Kombucha ou son surnageant comme agent de lixiviation, par rapport aux expériences utilisant les isolats Zygosaccharomyces lentus et Komagataeibacter hansenii comme organismes de lixiviation. Au cours de la culture, le pH a diminué en raison de la production d’acides organiques (principalement de l’acide acétique et de l’acide gluconique).

Ces résultats montrent qu’il est possible de dissoudre les composés de terres rares, des phosphores de luminescence, à l’aide de processus microbiens. En outre, ils fournissent une base pour le développement d’une alternative écologique aux méthodes actuellement appliquées qui utilisent des acides inorganiques puissants ou des produits chimiques toxiques. »

« Separation of Ni (II) from Industrial Wastewater by Kombucha Scoby as a Colony Consisted from Bacteria and Yeast: Kinetic and Equilibrium Studies / Séparation du Nickel des eaux usées industrielles par le microbiote du Kombucha en tant que colonie composée de bactéries et de levures : Études cinétiques et d’équilibre ». [26]

« Lead induced oxidative stress: beneficial effects of Kombucha tea / Stress oxydatif induit par le plomb : effets bénéfiques du thé Kombucha ». [25]

Une étude publiée, en août 2022, « Metagenome-Assembled Genomes of Komagataeibacter from Kombucha Exposed to Mars-Like Conditions Reveal the Secrets in Tolerating Extraterrestrial Stresses » conclue que résultats montrent que les mécanismes potentiels, par lesquels les bactéries Komagataeibacter tolèrent le stress extraterrestre, vont aider à comprendre la composition microbienne minimale du Kombucha pour les voyageurs de l’espace. [11]

« Current challenges, applications and future perspectives of SCOBY cellulose of Kombucha fermentation / Défis actuels, applications et perspectives d’avenir de la cellulose du microbiote de bactéries et de levures du Kombucha ». [18]

Selon cette étude. Le biofilm de cellulose contenant la culture symbiotique de bactéries et de levures est un sous-produit de la fermentation du thé Kombucha. Plusieurs études sur le microbiote du Kombucha sont en cours afin d’exploiter toutes les possibilités d’utilisation de cette cellulose en tant que matière première appropriée dans des domaines tels que la technologie alimentaire, la préparation de biomatériaux, les industries de la mode et du textile, la biotechnologie environnementale, etc.

« Sustainable Living Filtration Membranes / Membranes de filtration pour une vie durable ». [17] Cet article décrit une membrane filtrante vivante composée du réseau de cellulose bactérienne et des micro-organismes natifs d’une culture symbiotique de bactéries et de levures de kombucha. La cellulose bactérienne a été utilisée dans la recherche sur les matériaux ces dernières années en raison de sa grande résistance à la traction, de sa biodégradabilité et de son caractère hydrophile.

Parmi les exemples d’applications de la cellulose bactérienne, citons les « bandages vivants », les additifs alimentaires comestibles, les adsorbants de métaux lourds et la dialyse.

« Living Filtration Membranes Demonstrate Antibiofouling Properties / Les membranes de filtration vivantes démontrent des propriétés antisalissures ». [15]

Les conclusions suggèrent que la résistance des membranes de filtration vivantes aux salissures biologiques peut être due à la prolifération d’une bactérie indigène, Acetobacter, qui produit de l’acide acétique, un antibiofilm connu et un agent antibactérien.

« Composite of polylactic acid and microcellulose from kombucha membranes / Composite d’acide polylactique et de microcellulose à partir de membranes de Kombucha ». [22]

Il est à noter que les celluloses bactériennes — qui sont devenues très prisées, récemment — peuvent être produites à partir de bactéries appartenant aux genres suivants : Achromobacter, Aerobacter, Azotobacter, Rhizobium, Sarcina, Salmonella, Pseudomonas, Komagataeibacter.

Kombucha et matériaux nanoparticulaires de Graphène

Depuis quelques années, il existe un certain nombre d’études associant le Kombucha avec des dérivés de Graphène : soit pour des objectifs prétendument thérapeutiques, soit pour réduire de l’oxyde de graphène, soit dans des processus de bio-remédiation, soit pour élaborer des cathodes dans des batteries au lithium, soit pour des biocapteurs de substances toxiques,

Faut-il préciser que tout processus thérapeutique, qui fait appel aux matériaux nanoparticulaires à base de graphène, ne fait qu’affaiblir et toxifier l’organisme humain encore plus ?

Faut-il préciser que tout processus de bio-remédiation environnementale, qui fait appel aux matériaux nanoparticulaires à base de graphène, ne fait que disséminer encore plus de toxiques graphéneux dans l’environnement ?

Voici une liste de quelques études, très récentes, portant sur les synergies industrielles entre le Kombucha et les dérivés de Graphène :

« Green Reduction Of Graphene Oxide By Using Kombucha Tea ». Selon cette étude, le Kombucha peut être utilisé, comme vecteur « vert/eco-friendly », pour réduire l’oxyde de graphène en oxyde de graphène réduit. [45]

« Kombucha SCOBY-based carbon and graphene oxide wrapped sulfur/polyacrylonitrile as a high-capacity cathode in lithium-sulfur batteries / Carbone à base de microbiote de Kombucha et soufre/polyacrylonitrile enveloppé d’oxyde de graphène comme cathode à haute capacité dans les batteries lithium-soufre ». [44]

« Bio-enhanced polyrhodanine/graphene Oxide/Fe3O4 nanocomposite with kombucha solvent supernatant as ultra-sensitive biosensor for detection of doxorubicin hydrochloride in biological fluids / Nanocomposite de polyrhodanine/oxyde de graphène/Fe3O4 biorenforcé avec le surnageant de solvant de Kombucha comme biocapteur ultra-sensible pour la détection du chlorhydrate de doxorubicine dans les fluides biologiques ». [49]

« Removal from Synthetic Wastewater Using Kombucha Scoby and Graphene Oxide/Fe3O4 ». Élimination des eaux usées synthétiques à l’aide d’un microbiote de Kombucha et d’oxyde de graphène/Fe3O4 ». [48]

« Bioinorganic Synthesis of Polyrhodanine Stabilized Fe3O4/Graphene Oxide in Microbial Supernatant Media for Anticancer and Antibacterial Applications / Synthèse bioinorganique de Fe3O4/Graphene Oxide stabilisé par la Polyrhodanine dans un milieumicrobien (Kombucha) pour des applications anticancéreuses et antibactériennes ». [43]

Selon cette étude. L’effet des matériaux à base de polyrhodanine sur les cellules humaines peut être considéré comme une question controversée, alors que de nombreuses contradictions existent. Dans cette étude, nous nous sommes concentrés sur la synthèse de polyrhodanine/Fe3O4 modifiée par de l’oxyde de graphène et sur l’effet du microbiote de Kombucha sur les résultats.

« Multilayered bacterial cellulose/reduced graphene oxide composite films for self-standing and binder-free electrode application / Films composites multicouches de cellulose bactérienne et d’oxyde de graphène réduit pour l’application d’électrodes autoportantes et sans liant ». [42]

« Incorporations of gold, silver and carbon nanomaterials to kombucha-derived bacterial cellulose: Development of antibacterial leather-like materials /Incorporation de nanomatériaux d’or, d’argent et de carbone dans la cellulose bactérienne dérivée du kombucha : Développement de matériaux antibactériens en forme de cuir ». [46]

« KOH direct treatment of kombucha and in situ activation to prepare hierarchical porous carbon for high-performance supercapacitor electrodes / Traitement direct au KOH du kombucha et activation in situ pour préparer du carbone poreux hiérarchique pour des électrodes de supercondensateurs à haute performance ». [47]

Autres Types de Kombuchas

Récemment, de par l’engouement généré par son introduction à large échelle, d’autres types de « Kombucha » sont progressivement proposés sur le marché — avec les mêmes microbiotes de bactéries et de levures.

Ce sont des Kombuchas à base : de feuilles de chêne, de feuilles du thé Teng Cha, de feuilles de Ronce sucrée de Chine, de feuilles de Mélisse, de feuilles de Sarriette vivace, de fruits du Sureau, d’extraits d’Achillée millefeuilles, de thé Rooibos, de fruits de Goyave, de fruits du palmier Salak, de feuilles d’épinard, de graines de soja, d’extraits de peaux de Banane, de feuilles d’Ortie, des feuilles de Maté (Ilex paraguariensis), des feuilles de lavande, des feuilles d’Origan, des algues rouges Porphyra, des feuilles d’eucalyptus (Eucalyptus camaldulensis)…

Voici quelques études récentes qui en font la promotion :

« Antioxidant Capacities and Polyphenol Contents of Kombucha Beverages Based on Vine Tea and Sweet Tea / Capacités antioxydantes et teneur en polyphénols des boissons Kombucha à base de Teng Cha (Ampelopsis grossedentata) et de Ronce sucrée de Chine (Rubus suavissimus) ». [50]

Selon cette étude. « Les résultats ont montré que les boissons kombucha à base de Teng Cha, et de Ronce sucrée de Chine, possédaient de fortes activités antioxydantes (en particulier le kombucha à base de Teng Cha), et que la fermentation avec ces feuilles pouvait augmenter de manière significative les capacités antioxydantes (augmentation maximale de 38 %) et le contenu phénolique total (augmentation maximale de 55 %) de deux boissons kombucha par rapport à celles qui n’en contenaient pas. »

« Fermentation characteristics of novel Coriolus versicolor and Lentinus edodes kombucha beverages and immunomodulatory potential of their polysaccharide extracts / Caractéristiques de fermentation de nouvelles boissons Kombucha à base du Polypore versicolore (Trametes versicolor/Coriolus versicolor) et de Shiitaké (Lentinus edodes) et potentiel immunomodulateur de leurs extraits de polysaccharides ». [19]

Selon cette étude. L’analyse FTIR des extraits de polysaccharides a montré la présence dominante de polysaccharides, en plus des phénols, des lipides et des protéines. L’extrait de Kombucha de Trametes versicolor présentait des polysaccharides plus complexes, et une teneur plus élevée en polysaccharides totaux, en phénols et en flavonoïdes par rapport à l’extrait de kombucha de Lentinus edodes.

« Oak kombucha protects against oxidative stress and inflammatory processes / Le Kombucha de Chêne protège contre le stress oxydatif et les processus inflammatoires ». [20]

Selon cette étude. Les boissons fermentées de chêne ont effectivement réduit la production d’oxyde nitrique, tandis que les cytokines pro-inflammatoires (TNF-alpha et IL-6) dans les macrophages ont été stimulées par les lipopolysaccharides. En outre, les composés phytochimiques présents dans le Kombucha à base de feuilles de Chêne diminuent le stress oxydatif.

« Anti-Inflammatory and Protective Effects of Water Extract and Bioferment from Sambucus nigra Fruit in LPS-Induced Human Skin Fibroblasts / Effets anti-inflammatoires et protecteurs de l’extrait d’eau et du bioferment du fruit du Sureau (Sambucus nigra) sur les fibroblastes de la peau humaine induits par les lipopolysaccharides ». [21]

Selon cette étude. Les tests ont montré que l’extrait et le ferment ont des propriétés antioxydantes et stimulent la prolifération des deux types de cellules. L’étude a également évalué l’activité anti-inflammatoire de l’extrait et du ferment en contrôlant les niveaux des interleukines pro-inflammatoires IL-6, IL-1ß, du facteur de nécrose tumorale (TNF-α) et de l’anti-inflammatoire IL-10 dans les cellules de fibroblastes traitées aux lipopolysaccharides. Les résultats indiquent que l’extrait de Sambucus nigra et son ferment de kombucha peuvent être efficaces pour prévenir les dommages cellulaires induits par les radicaux libres et avoir des effets positifs sur la santé des cellules de la peau.

« Kombucha Beverage from Green, Black and Rooibos Teas: A Comparative Study Looking at Microbiology, Chemistry and Antioxidant Activity / Boisson Kombucha à partir de thés vert, noir et Rooibos (Aspalathus linearis) : Une étude comparative portant sur la microbiologie, la chimie et l’activité antioxydante ». [32]

Selon cette étude. Le thé rooibos ne contient pas de catéchines, de sorte que le kombucha fabriqué à partir de rooibos a une activité antioxydante inférieure à celle du kombucha fabriqué à partir de thé vert ou de thé noir. Toutefois, le kombucha de rooibos a une teneur en acide glucuronique comparable à celle du kombucha de thé noir et contient d’autres composés précieux, tels que la rutine, l’aspalathine, l’orientine et l’isoorientine, tous dotés d’une activité antioxydante. Le rooibos kombucha a montré un effet positif significatif sur la récupération des dommages oxydatifs induits par H2O2 sur les lignées cellulaires de fibroblastes… Bien que l’activité antioxydante soit plus élevée dans le kombucha noir et vert que dans le Rooibos, ce dernier a montré un effet important sur la récupération des dommages oxydatifs sur les lignées cellulaires de fibroblastes contre le stress oxydatif. Ces résultats rendent les feuilles de Rooibos intéressantes pour la préparation d’une boisson fermentée bénéfique pour la santé. Le Kombucha de Rooibos possède une faible concentration d’éthanol (1,1 mg/mL).

« Polyphenolic Profile, Sugar Consumption and Organic Acids Generation along Fermentation of Infusions from Guava (Psidium guajava) by the Kombucha Consortium / Profil polyphénolique, consommation de sucre et génération d’acides organiques lors de la fermentation d’infusions de goyave (Psidium guajava) par le microbiote du Kombucha ».

« Use of kombucha consortium to transform soy whey into a novel functional beverage / Utilisation d’un microbiote de kombucha pour transformer le lactosérum de soja en une nouvelle boisson fonctionnelle ». [38]

Selon cette étude. La fermentation a induit une réduction du pH et une augmentation de la teneur totale en acide titrable après fermentation. La capacité antioxydante du lactosérum de soja fermenté au Kombucha a été significativement améliorée, comme l’ont montré la capacité de piégeage du DPPH, la capacité de piégeage du radical ABTS, le pouvoir antioxydant réducteur ferrique et le pouvoir réducteur. En outre, le soja fermenté au Kombucha a montré une activité antibactérienne contre Staphylococcus aureus, Bacillus subtilis et Escherichia coli. En outre, la fermentation a produit de nouveaux volatiles aromatiques, en particulier des esters et des aldéhydes supérieurs, qui ont conféré une saveur fruitée au lactosérum de soja et en ont amélioré la qualité sensorielle. Par conséquent, la fermentation du kombucha peut transformer le lactosérum de soja en une nouvelle boisson fonctionnelle, qui pourrait ajouter de la valeur au sous-produit de la transformation du soja.

« Antioxidant and Antibacterial Activity of Kombucha Beverages Prepared using Banana Peel, Common Nettles and Black Tea Infusions / Activité antioxydante et antibactérienne des boissons Kombucha préparées à partir d’infusions de peau de banane, d’ortie commune et de thé noir ». [39]

Selon cette étude. Le kombucha obtenu à partir de la peau de banane a montré l’activité antioxydante la plus élevée en inhibant 94,62 % de l’effet DPPH.

Cela peut-être, également, des Kombuchas traditionnels, à base de Thé (Camelia sinensis), mais qui sont aromatisés avec une diversité de substances : de la Cannelle, du jus de Pomme, du Pollen, du Curcuma (Curcuma longa) des extraits de Café, des feuilles de Stevia (Stevia rebaudiana), du gingembre, du jus de pousses de blé, ou même, encore, des grains de Kéfir…

« Kombucha fermentation of six medicinal herbs: Chemical profile and biological activity / Fermentation Kombucha de six herbes médicinales : Profil chimique et activité biologique ». Les 6 espèces fermentées en Kombucha sont : Thym (Thymus serpyllum), Sureau (Sambucus nigra), Menthe poivrée (Mentha piperita), Coing (Cydonia oblonga), Sarriette vivace (Satureja montana) et Ortie (Urtica dioica). [63]

Selon les conclusions : Le Kombucha de Sureau possédait le plus haut d’acide acétique tandis que le Kombucha de Menthe poivrée possédait le plus haut taux de flavonoïdes et de composés phénoliques.

« Effect of addition of green tea extract and stevia rebaudiana to kombucha on its physicochemical and antioxidant properties / Effet de l’ajout d’extrait de thé vert et de stevia rebaudiana au kombucha sur ses propriétés physicochimiques et antioxydantes ». [62]

Selon les conclusions : L’ajout de Stévia augmentait significativement l’acidité, l’acide acétique et l’acide lactique, les protéines solubles et l’activité antioxydante par rapport à l’échantillon de contrôle.

« Characteristic of microbiological, chemical, and antibacterial activity of turmeric (Curcuma longa) kombucha / Caractéristiques de l’activité microbiologique, chimique et antibactérienne du kombucha au curcuma (Curcuma longa) ». [61]

Selon les conclusions : Selon la méthode de prise de décision multicritères, le meilleur résultat a été observé dans le kombucha préparé à une concentration de 0,8 %.

« Evaluation of the antioxidant impact of ginger-based Kombucha on the murine breast cancer model / Évaluation de l’impact antioxydant du Kombucha à base de gingembre sur le modèle murin de cancer du sein ». [31]

Selon les conclusions. L’administration de Kombucha au gingembre a significativement diminué l’activité de la catalase ainsi que les niveaux de glutathion et de malondialdéhyde dans l’homogénat de la tumeur (p<0,001). Une diminution significative de l’activité de la Superoxide dismutase et une augmentation de la quantité de malondialdéhyd ont été déterminées dans les reins ayant reçu du thé au gingembre kombucha (p<0,01).

« Bee Collected Pollen with Enhanced Health Benefits, Produced by Fermentation with a Kombucha Consortium / Pollen d’abeille aux effets bénéfiques sur la santé, produit par fermentation avec un microbiote de Kombucha ». [28]

Selon les conclusions. La fermentation avec la culture symbiotique de bactéries et de levures, du Kombucha, améliore la biodisponibilité des phytonutriments du pollen. Cependant, la fermentation du pollen avec Kombucha ne conduit pas seulement à une meilleure biodisponibilité des phytonutriments du pollen. Il a déjà été démontré que le pollen est un bon activateur de fermentation pour l’hydromel et le vin blanc. Nos données présentées ici montrent que le pollen est également un bon activateur de la fermentation du microbiote du Kombucha L’ajout de pollen récolté par les abeilles améliore également la fermentation du Kombucha et la formation de composés liés à la santé du Kombucha. À la fin de la fermentation du pollen avec le consortium Kombucha, un produit aux effets bénéfiques sur la santé est formé, avec des ingrédients bioactifs complémentaires.

« Symbiosis between Microorganisms from Kombucha and Kefir: Potential Significance to the Enhancement of Kombucha Function / Symbiose entre les micro-organismes du kombucha et du kéfir : importance potentielle pour l’amélioration de la fonction du kombucha ». [34]

Selon cette étude. Les Lactobacillus du Kéfir promeuvent la prospérité des bactéries Gluconacetobacter et, donc, la production de l’acide D-saccharique 1,4 — lactone.

« Polyphenols and antioxidant activities of kombucha beverage enriched with coffee berryVR extract / Polyphénols et activités antioxydantes de la boisson kombucha enrichie avec de l’extrait de caféierVR de caféier ». [30]

Selon cette étude. Tous les échantillons enrichis en CoffeeBerry® possèdent de l’acide chlorogénique, l’un des polyphénols alimentaires les plus abondants, ont montré des activités antioxydantes remarquables sur les radicaux stables DPPH et les radicaux OH toxiques.

« Antioxidant and Antibacterial Activity of the Beverage Obtained by Fermentation of Sweetened Lemon Balm (Melissa officinalis) Tea with Symbiotic Consortium of Bacteria and Yeasts / Activité antioxydante et antibactérienne de la boisson obtenue par fermentation du thé de Mélisse sucré (Melissa officinalis) avec un consortium symbiotique de bactéries et de levures » [33]

Selon cette étude, le Kombucha de Mélisse avait une activité antioxydante supérieure à celle d’une infusion non fermentée. La même relation a été démontrée pour le Kombucha de Sarriette des montagnes (Satureja montana). Les deux types de boissons fermentées ont également montré une activité antibactérienne contre de nombreuses espèces de bactéries pathogènes gram-positives et gram-négatives. En outre, le kombucha issu de la sarriette des montagnes a inhibé la croissance des cellules HeLa (carcinome épithélioïde du col de l’utérus) de 20 %.

« Kombucha fermentation in blueberry (Vaccinium myrtillus) beverage and its in vivo gastroprotective effect: Preliminary study / Fermentation Kombucha dans une boisson à base de myrtille (Vaccinium myrtillus) et son effet gastro-protecteur in vivo : Étude préliminaire ». [52]

Les Kéfirs de lait

Les « kéfirs » constituent des boissons « probiotiques », à savoir favorisant la Vie — et, en fait, favorisant une longue Vie — dont les usages traditionnels, référencés, remontent à plusieurs millénaires. Alors que l’origine des Kéfirs de lait est attribuée aux Peuples du Caucase, du Tibet, de la Mongolie, et des régions avoisinantes, l’origine des Kéfirs d’eau est inconnue — d’autant plus qu’ils sont traditionnels dans de nombreuses régions du monde. En effet, contrairement aux grains des Kéfirs de lait, il n’existe aucune preuve archéologique des origines des grains de Kéfirs d’eau.

Par exemple, au Mexique, selon ce qu’affirmait Adolfo Lutz, en 1899, les grains de kéfir d’eau proviendraient de la sève fermentée des coussinets d’une espèce de cactus du genre Opuntia — un Nopal ou Figuier de Barbarie. Le nom de cette communauté microbienne est « Tibi » ou « Tibicos ». Voir l’étude « Estudio de Pichia membranaefaciens y Saccharomyces cerevisiae, levaduras que constituyen parte de las zoogleas llamadas Tibicos en México ». [70]

Dans les pays d’Amérique latine, le « Tepache de Tibicos » est un Kéfir d’eau confectionné avec de la cannelle, du sucre brun et de l’ananas.

Selon le Raw Milk Institute :« L’immunologiste russe Ilya Ilyich Metchnikoff (qui a reçu le prix Nobel pour ses travaux sur l’immunité en 1908) s’est intéressé aux causes de la longévité exceptionnelle des habitants de la région du Caucase et d’autres régions. Metchnikoff est arrivé à la conclusion que le lait acidifié, y compris le kéfir de lait, était l’une des clés de la longévité et du bien-être. Après la publication du livre de Metchnikoff, The Prolongation of Life, en 1907, l’institution russe, All Russian Physicians’s Society, a décidé d’utiliser le kéfir de lait comme traitement médical pour ses patients… Aujourd’hui encore, le kéfir est couramment utilisé pour les patients hospitalisés, les nourrissons et les personnes infirmes en Europe de l’Est ». [10]

Selon certains, le terme « Kéfir » serait issu du terme slave « Kefir ». Selon le Wiktionnaire, le terme serait issu de la fusion de deux racines caucasiennes, du Mingrélien « Kipuri » signifiant « lait fermenté à l’intérieur d’un sac en peau de bête » et de l’Ossète « Kæpykæpu » signifiant « champignon ».

Selon d’autres, le terme « Kéfir » serait issu du terme slave « Keif » signifiant « bien-être » ou encore du terme turc « Keyif » signifiant « joie/plaisir ».

Composition nutritionnelle

La composition nutritionnelle des Kéfirs de lait varie en fonction de la nature des ingrédients — lait, sucre, condiments, etc. — de la composition microbiologique des grains utilisés, de la durée et de la température de fermentation, du type de fermentation, et des conditions de stockage et/ou de réfrigération.

Il existe, ainsi, une abondance de souches diverses et variées, de Kéfirs de lait, circulant en Asie, depuis de nombreux millénaires.

Le Kéfir de lait contient des lipides, des protéines, des mucopolysaccharides, des vitamines A, B, C et K, du carotène, du calcium, du phosphore, du magnésium, des acides aminés essentiels, etc.

Le kéfir présente un profil d’acides aminés similaire à celui du lait utilisé comme substrat de fermentation. Les teneurs en ammoniaque, sérine, lysine, alanine, thréonine, tryptophane, valine, méthionine, phénylalanine et isoleucine sont plus élevées dans le kéfir que dans le lait non fermenté.

Selon Liutkevičius et Šarkinas [24], les teneurs en acides aminés essentiels du kéfir sont par ordre décroissant : la lysine (376 mg/ 100 g) ; l’isoleucine (262 mg/100 g) ; la phénylalanine (231 mg/ 100 g) ; la valine (220 mg/100 g) ; la thréonine (183 mg/100 g) ; la méthionine (137 mg/100 g) ; et le tryptophane (70 mg/100 g).

Le Kéfir de lait contient, également, un certain nombre d’acides : lactique, acétique, pyruvique, hippurique, propionique, formique, succinique, butyrique, diacétyle, acétaldéhyde, etc. Ainsi que des amines biogènes : putrescine, cadavérine, spermidine, tyramine, etc.

Les grains de kéfir sont formés par un écosystème microbien complexe, symbiotique et mutualiste, composé de bactéries lactiques, de bactéries acétiques et de levures. Tous ces composés sont intégrés dans une matrice exo-polysaccharidique qui est dénommée « Kéfiran ».

Les levures constituent un groupe extrêmement diversifié : elles contribuent à la formation de précurseurs d’arômes et de saveurs au cours des processus de fermentation et de maturation. Certaines espèces de fungi, présentes dans le Kéfir de lait — telles qu’appartenant aux genres Galactomyces, Geotrichum et Dipodascus — se situent, morphologiquement, entre les levures et les champignons filamenteux.

Le « kéfiran » est composé, à parts égales, de d-glucose et de d-galactose qui protègent le microbiote du grain des conditions environnementales défavorables à sa survie et à sa reproduction. Le « kéfiran » constitue entre 24 et 25 % du poids sec du grain de kéfir. La production de « kéfiran » est, principalement, liée à la présence de Lactobacillus kefiranofaciens et de Lactobacillus kefiri dans les grains.

L’accroissement quotidien de la biomasse de grains de Kéfir de lait est, environ, de 5 à 7 % lorsque les conditions de culture sont adéquates.

Aujourd’hui, les Kéfirs sont revenus très à la mode dans les pays occidentaux. De nombreuses innovations nutritionnelles intègrent, même, les grains de Kéfir de lait dans des processus de fermentation de laits de soja, de laits de fruits secs [103] (arachides, noix [81], amandes, noisettes [75], noix de cajou, etc.).

Selon une étude, d’avril 2023, « Production and evaluation of microbiological & rheological characteristics of kefir beverages made from nuts » [76], les Kéfirs de laits de fruits secs sont moins acides que les Kéfirs de lait — la palme de la douceur revenant au Kéfir de lait de noix. Quant au Kéfir de lait d’arachides, il se caractérisait par la plus haute teneur en levures.

Cette étude, d’ailleurs, a mis en exergue les ratios de pertes de micro-organismes — en fonction des divers Kéfirs de laits de vache ou de fruits secs — au bout d’une période de réfrigération d’un mois, à une température de 4 °C. Au cours du stockage, la diminution la plus faible (%) du nombre de micro-organismes a été déterminée dans le kéfir d’amandes (4,06 %), suivi du kéfir de vache (5,16 %), de noix (5,73 %), d’arachides (6,72 %), de noix de cajou (7,78 %) et de noisettes (9,53 %).

Bactéries et Levures composant le Microbiote

Les micro-organismes présents dans les Kéfirs de lait incluent [6] [20] :

Plus d’une vingtaine d’espèces de bactéries lactiques du genre Lactobacillus : Lactobacillus acidophilus, Lactobacillus brevis, Lactobacillus bulgaricus, Lactobacillus paracasei subsp. paracasei, Lactobacillus delbrueckii, Lactobacillus helveticus, Lactobacillus plantarum, Streptococcus thermophilus, etc, etc.

Les Lactobacilli constituent de 32 % à 90 % de la population globale de micro-organismes des graines de Kéfir. [44]

Troissous-espèces de bactéries lactiques de l’espèce Lactococcus lactis.

En fonction des souches de kéfirs de lait, leur microbiote serait composé à 65-80 % de Lactobacillus et de Lactococcus.

Des espèces de bactéries lactiques du genre Lentilactobacillus : Lentilactobacillus diolivorans, Lentilactobacillus hilgardii, Lentilactobacillus parakefiri, Lentilactobacillus otakiensis, Lentilactobacillus kefiri.

Des espèces de bactéries acétiques du genre Acetobacter : Acetobacter aceti, Acetobacter lovaniensis, Acetobacter syzygii, Acetobacter fabarum, Acetobacter orientalis.

Des espèces de bactéries sphériques dans le genre Streptococcus : Streptococcus cremoris, Streptococcus durans, Streptococcus faecalis, Streptococcus thermophilus, Streptococcus lactis, Streptococcus diacetylactis.

D’autres bactéries : Bacillus licheniformis, Bifidobacterium bifidum, Enterococcus durans, Escherichia coli, Micrococcus sp., Leuconostoc mesenteroides, Pediococcus acidilactici, Pediococcus dextrinicus, Pediococcus pentosaceus, Limosilactobacillus fermentum, Limosilactobacillus reuteri.

De plus, les espèces de levures sont au nombre d’une quarantaine dans les genres : Brettanomyces, Candida, Cryptococcus, Debaryomyces, Dekkera, Geotrichum, Issatchenkia, Kazachstania, Kluyveromyces, Lachancea, Pichia, Rodosporidium, Saccharomyces, Torulopsis, Torulospora, Zygosaccharomyces, Weissella, Yarrowia.

Extrême Diversité des Microbiotes

Il est, également, important de souligner qu’il existe autant de compositions microbiologiques que de souches de Kéfir. Ainsi, certaines souches n’ont que très peu de levures et autres fungi dans leurs éléments constitutifs — au contraire de certaines autres. De plus, le nombre d’espèces de bactéries et de levures peut varier considérablement d’une souche à l’autre.

L’extrême complexité, et l’extrême diversité, des microbiotes des grains de Kéfir garantissent l’inhibition de la contamination des breuvages par des bactéries d’altération et pathogènes — comme cela a été prouvé par une pléthore d’études scientifiques.

Par exemple, une étude, de 2022, a étudié la composition de trois souches de Kéfir de lait provenant du Tibet. Ils y ont identifié la présence de 715 souches de micro-organismes. [41]

Lactobacillus kefiranofaciens y constituait l’espèce dominante et Lactobacillus helveticus y constituait l’espèce probiotique la plus abondante.

Par exemple, dans une souche de Kéfir de lait tibétain — contenant 522 espèces — la levure Kluyveromyces marxianus ne comptait que pour moins de 1 % de la composition totale — et encore, cette portion, en compagnie de la bactérie Lactobacillus sunkii. [45]

Au total, 522 espèces ont été identifiées dans les communautés de grains de cette souche de Kéfir tibétain sur la base des données de séquençage métagénomique. Parmi la communauté bactérienne, Lactobacillus kefiranofaciens était l’espèce la plus abondante (86,02 %). La deuxième espèce la plus abondante était Lactobacillus helveticus (3,44 %), suivie de Lactobacillus parakefiri (2,45 %) et de Lactobacillus crispatus (1,32 %). Les Lactobacilli représentaient 97,00 % des communautés microbiennes dans les grains de kéfir, ce qui était conforme aux résultats obtenus dans des études antérieures (Gao & Zhang, 2019 ; Nalbantoglu et al., 2014). Lactobacillus sunkii et Kluyveromyces marxianus comprenaient <1,0 % d’abondance relative, ce qui est similaire aux rapports précédents, mais de nombreuses études ont observé que Kazachstania est le genre fongique dominant dans les grains de Kéfir tibétain. Le reste des communautés comprenait <0,05 %, incluait Acetobacter sp. et a été regroupé dans la catégorie « Autres ».

Par exemple, une étude, de 2012, a étudié la composition de quatre souches de Kéfir de lait provenant du Tibet. Pour deux de ces souches, le groupe microbien des levures était très dominant. [34]

Pour la souche TK/ZJUJ04 : Kazachstania unispora (71 %) et Pichia guilliermondii (2 %). Avec très peu de Lactobacillus plantarum (21 %) mais avec, par contre, Acetobacter fabarum (6 %) conférant une saveur un peu vinaigrée — en sus de levurée.

Pour la souche TK/ZJUJ02 :Kazachstania unispora (33 %), Kluyveromyces marxianus (10 %) et Pichia guilliermondii (3 %).

Par exemple, une étude, de 2022, a étudié la composition de trois souches de Kéfir de lait provenant du Caucase, du Tibet et de Moscou. Les Lactobacilli représentaient entre 32 % et 50 % de la composition totale. L’une des souches contenait 18 % de bactéries Acetobacter — lui conférant une certaine saveur vinaigrée. [38]

Dans ces trois souches, les levures appartenaient, majoritairement, aux genres Kazachstania et Kluyveromyces — avec 4 % de Pichia dans l’une des souches.

Par exemple, une étude, de 2022, a identifié 58 espèces représentant six genres fongiques et 17 genres bactériens, qui ont été isolées à partir de grains de kéfir de lait et d’eau collectés auprès d’un brasseur artisanal de Singapour. Ces genres incluaient Lactobacillus, Liquorilactobacillus, Lacticaseibacillus, Lentilactobacillus, Leuconostoc, Lactococcus, Acetobacter, Gluconobacter, Oenococcus, Clostridium, Zymomonas, Saccharomyces, Kluyveromyces, Pichia, Lachancea, Candida et Brettanomyces. [32] Lors de cette étude, 7 souches bactériennes de Lentilactobacillus hilgardii, Lacticaseibacillus paracasei, Liquorilactobacillus satsumensis, Lactobacillus helveticus et Lentilactobacillus kefiri ont, finalement, été identifiées comme probiotiques potentiels et combinées pour former un « mélange probiotique de kéfir ».

L’objectif de cette étude était, également, de valider le potentiel médicinal des Kéfirs de lait et d’eau à l’encontre des pathogènes bactériens entériques : Bacillus, Salmonella, Vibrio, Clostridium, Klebsiella, Escherichia, et Staphylococcus.

Interactions entre les Levures et les Bactéries

L’interaction entre les levures, d’une part, et les bactéries Lactobacilli, d’autre part, est essentielle dans une large gamme d’aliments fermentés — et, en particulier, dans le kéfir. [13] Les deux groupes de micro-organismes se soutiennent, naturellement, de différentes manières :

Assimilation de l’acide lactique qui est toxique pour les Lactobacilli — même lorsque le pH de la culture est maintenu par l’ajout de solutions alcalines. L’acide lactique est consommé comme source de carbone par des levures ne consommant pas de lactose — telle que Saccharomyces cerevisiae.

Production de CO2/élimination de l’O2 : le dioxyde de carbone peut fournir une atmosphère appropriée (oxygène réduit et dioxyde de carbone élevé) pour favoriser la croissance des espèces de Lactobacilli.

Fourniture de nutriments aux bactéries : les interactions trophiques, et l’échange de métabolites (alimentation croisée et mutualisée) permettent à plusieurs groupes de micro-organismes de survivre avec des ressources limitées. Par exemple, les espèces de levures participent à la prospérité des bactéries en leur fournissant des vitamines, des facteurs de croissance et des acides aminés essentiels.

Selon l’étude, d’octobre 2022, « Yeast cell wall polysaccharides in Tibetan kefir grains are key substances promoting the formation of bacterial biofilm / Les polysaccharides de la paroi cellulaire de la levure dans les grains de kéfir tibétain sont des substances clés favorisant la formation d’un biofilm bactérien » : [33]

« Cette étude a examiné l’interaction entre Kluyveromyces marxianus, Lacticaseibacillus paracasei et Lactobacillus helveticus qui ont été isolés à partir de grains de kéfir tibétain. En outre, les effets de Kluyveromyces marxianus sur la croissance et la formation de biofilms de Lacticaseibacillus paracasei et de Lactobacillus helveticus ont été déterminés.Les résultats indiquent que Kluyveromyces marxianus favorise la croissance de Lacticaseibacillus paracasei et de Lactobacillus helveticus et améliore leur capacité à former un biofilm.En outre, les cellules mortes de Kluyveromyces marxianus ont été trouvées pour améliorer la formation de biofilms bactériens, et le polysaccharide de la paroi cellulaire produit par Kluyveromyces marxianus s’est avéré être des substances clés qui favorisent la formation de biofilms bactériens. »

Selon l’étude « A Big World in Small Grain: A Review of Natural Milk Kefir Starters / Un grand monde en petits grains : Examen des produits de départ naturels pour le kéfir de lait » [40], il existe, également, dans le Kéfir de lait, des interactions interbactériennes et inters fongiques — qui sont, néanmoins très peu étudiées.

Par exemple, il existe des études informatives sur les interactions bactéries-bactéries entre les espèces bactériennes du yaourt, Lactobacillusdelbrueckii subsp. bulgaricus et Streptococcus thermophilus, qui sont connues pour leurs interactions protocoopératives et symbiotiques.

Par exemple, certaines souches de Saccharomyces cerevisiae sécrètent des peptides qui inhibent la croissance de certaines souches non-Saccharomyces, telles que Kluyveromyces marxianus.

Selon l’étude de Wang, 2012, « Investigation of microorganisms involved in biosynthesis of the kefir grain / Étude des micro-organismes impliqués dans la biosynthèse du grain de kéfir » [5] :

« Les résultats indiquent que les souches de grains de kéfir, Lactobacillus kefiranofaciens et Saccharomyces turicensis, possèdent une forte capacité d’autoagrégation tandis que Lactobacillus kefiri présente des propriétés significatives de formation de biofilms… Sur la base des résultats ci-dessus, nous proposons que la formation des grains commence par l’autoagrégation de Lactobacillus kefiranofaciens et Saccharomyces turicensis pour former de petits granules. À ce stade, le producteur de biofilm, Lactobacillus kefiri, commence à s’attacher à la surface des granules et s’agrège avec d’autres organismes et composants du lait pour former les grains. Lors de la sous-culture, d’autres organismes s’attachent aux grains, ce qui entraîne leur croissance. L’examen au microscope électronique à balayage a révélé que les lactobacilles à chaîne courte, tels que Lactobacillus kefiri, occupent la surface, tandis que les lactobacilles à chaîne longue, tels que Lactobacillus kefiranofaciens, se sont agrégés au centre des grains de kéfir. »

Dans cette étude, Wang isola trois souches de levures dans le Kéfir de lait : Kluyveromyces marxianus HY1, Saccharomyces turicensis HY2 et Pichia fermentans. En 2004, Wang avait, également, isolé deux autres bactéries lactiques, dans le Kéfir : Leuconostoc mesenteroides et Lactococcus lactis. [4]

Qualités médicinales

Les Kéfirs de lait [6] possèdent de nombreuses qualités médicinales : probiotiques, anti-génotoxiques [53], digestives, anti-microbiennes [11] [39], hypo-cholestérolémiques, glyco-régulatrices, anti-hypertensives [25], anti-inflammatoires [19] [26], anti-oxydantes [49], anti-constipation, anti-carcinogéniques [21], anti-allergiques [28], anti-asthmatiques, anti-ulcériques [15], anti-diabétiques, anti-dépressives [47], neuro-protectrices [57], anti-athérogéniques. Il confère, de plus, une tolérance au lactose.

Selon une étude de 2021, « Kefir and and Its Biological Activities » [37], l’activité anti-carcinogénique du Kéfir de lait a été validée à l’encontre des cancers suivants : cancer du sein [30], sarcome murin, mélanome, leucémie, cancer de l’estomac, cancer du côlon, cancer des poumons, etc.

Les Kéfirs de lait sont des Élixirs de Longue Vie parce qu’ils modulent, admirablement, en particulier, le microbiote intestinal — afin de le renforcer et afin d’en éliminer les micro-organismes pathogènes.

Selon une étude d’octobre 2021, « Kefir ameliorates specific microbiota-gut-brain axis impairments in a mouse model relevant to autism spectrum disorder / Le kéfir améliore les déficiences spécifiques de l’axe microbiote-intestin-cerveau dans un modèle de souris lié aux troubles du spectre autistique » : « Ces données démontrent que le kéfir, boisson lactée fermentée traditionnelle, réduit les déficiences comportementales spécifiques et module l’immunorégulation périphérique dans un modèle murin de troubles du spectre autistique. Ces résultats renforcent la notion de kéfir comme intervention potentielle pour moduler positivement l’axe microbiote-intestin-cerveau et montrent que la supplémentation en kéfir pourrait s’avérer une stratégie viable pour améliorer les symptômes spécifiques des troubles du spectre autistique. En outre, ils confirment le potentiel des interventions nutritionnelles ciblées sur le microbiote qui peuvent soutenir la santé mentale. » [89]

Selon une étude de 2021, « Kefir and Intestinal Microbiota Modulation: Implications in Human Health », le Kéfir de lait permet de moduler la composition du microbiote intestinal : « Dans cette revue narrative, nous examinons comment le kéfir peut traiter l’obésité, le diabète sucré, les maladies du foie, les troubles cardiovasculaires, l’immunité et les troubles neurologiques. Les peptides, les composés bioactifs et les souches, présents dans le kéfir, peuvent moduler la composition du microbiote intestinal, l’inflammation de bas grade et la perméabilité intestinale, ce qui peut avoir des effets bénéfiques sur la santé. Le kéfir peut également avoir un impact sur la régulation de l’homéostasie de l’organisme, avec un effet direct sur l’axe intestin-cerveau, ce qui constitue une stratégie possible pour la prévention des maladies métaboliques. » [18]

Selon une étude de 2020, « A new class of antimicrobial molecules derived from kefir, effective against Pseudomonas aeruginosa and methicillin resistant Staphylococcus aureus (MRSA) strains / Une nouvelle classe de molécules antimicrobiennes dérivées du kéfir, efficaces contre les souches de Pseudomonas aeruginosa et de Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline », le Kéfir de lait confère une résistance vis-à-vis des bactéries pathogènes résistantes aux antibiotiques. [2]

Selon de nombreuses études, les Kéfirs possèdent une activité antimicrobienne à l’encontre des bactéries et des fungi suivants : Bacillus cereus, Bacillus subtilis, Bacillus thuringiensis, Clostridium difficile, Clostridium perfringens, Enterococcus faecalis, Escherichia coli, Helicobacter pylori, Klebsiella pneumoniae, Listeria innocua, Listeria monocytogenes, Pseudomonas aeruginosa, Salmonella enterica, Shigella dysenteriae, Shigella flexneri, Shigella sonnei, Staphylococcus aureus, Staphylococcus salivarius, Streptococcus faecalis, Streptococcus pyogenes; Aspergillus flavus, Aspergillus niger, Aspergillus ochraceus, Candida albicans, Fusarium graminearum, Penicillium glaucum, Staphylococcus epidermidis, Yersinia enterocolitica.

Qualités de bio-remédiation des substances pathogènes et toxiques

Les grains de Kéfirs de lait peuvent être, également, utilisés pour la bio-remédiation — à savoir pour la biodégradation des substances les plus polluantes sur Terre. Voici une liste d’études mettant en exergue cette capacité :

« Bioremoval of reactive dye Remazol Navy by Kefir grains / Élimination biologique du colorant réactif Remazol Navy par des grains de kéfir ». [72]

Selon cette étude : « Dans toutes les conditions, les grains de kéfir vivants ont montré une efficacité d’élimination du colorant plus élevée que les grains non vivants. En 180 min, 96,3 % et 79,4 % d’élimination du colorant ont été obtenus avec des grains de kéfir vivants et non vivants respectivement, à pH 2 et à 25 °C pour une concentration initiale de colorant de 100 mg/L en utilisant 2,4 g/L de grains de kéfir. »

« Potential Use of Probiotic Consortium Isolated from Kefir for Textile Azo Dye Decolorization / Utilisation potentielle du consortium probiotique isolé du kéfir pour la décoloration des teintures azoïques des textiles ». [100]

Selon cette étude : « Dans la présente étude, la décoloration et l’efficacité de la dégradation du Remazol brillant orange 3R (RBO 3R) ont été étudiées en utilisant un consortium probiotique — composé de Lactobacillus acidophilus et de Lactobacillus plantarum. Dans des conditions optimales, le consortium bactérien a été capable de décolorer complètement le colorant (>99 %) en 12 heures. L’élimination de la couleur était de 99,37 % à 750 ppm. »

« Adsorption of aflatoxin B1, zearalenone and ochratoxin A by microorganisms isolated from Kefir grains / Adsorption de l’aflatoxine B1, de la zéaralénone et de l’ochratoxine A par des micro-organismes isolés des grains de kéfir. »

« Nos résultats ont montré que le consortium de micro-organismes, des grains de kéfir, adsorbait 82 à 100 % de l’aflatoxine B1, de la zéaralénone et de l’ochratoxine A lorsqu’il était cultivé dans le lait. Les principales souches capables d’adsorber les mycotoxines ont été identifiées comme étant Lactobacillus kefiri, Kazachstania servazzii et Acetobacter syzygii. » [17]

« Pollution Abatement of Heavy Metals in Different Conditions by Water Kefir Grains as a Protective Tool against Toxicity / Réduction de la pollution par les métaux lourds dans différentes conditions par les grains de kéfir d’eau en tant qu’outil de protection contre la toxicité ». [22]

« Mixed Culture of Lactococcus lactis and Kluyveromyces marxianus Isolated From kefir Grains For Pollutants Load Removal From Jebel Chakir Leachate / Culture mixte de Lactococcus lactis etKluyveromyces marxianus isolés à partir de grains de kéfir pour l’élimination de la charge polluante du lixiviat de Jebel Chakir ». [97]

« Role of S-layer proteins in the biosorption capacity of lead by Lactobacillus kefir / Rôle des protéines de la couche S dans la capacité de biosorption du plomb parLactobacillus kefir. » [3]

« Use of Raman spectroscopy and chemometrics for the quantification of metal ions attached to Lactobacillus kefir / Utilisation de la spectroscopie Raman et de la chimiométrie pour la quantification des ions métalliques attachés àLactobacillus kefir ». [9]

« Removal of cadmium by Lactobacillus kefir as a protective tool against toxicity / L’élimination du cadmium par le kéfir de Lactobacillus comme outil de protection contre la toxicité ». [16]

« Modelling of aflatoxin G1 reduction by kefir grain using response surface methodology / Modélisation de la réduction de l’aflatoxine G1 par le grain de kéfir à l’aide de la méthodologie de la surface de réponse ». [8]

« A new practical approach for the biological treatment of a mixture of cheese whey and white wastewaters using Kefir grains / Une nouvelle approche pratique pour le traitement biologique d’un mélange de lactosérum de fromage et d’eaux usées blanches à l’aide de grains de kéfir ». [12]

« Microbial community diversity associated with Tibetan kefir grains and its detoxification of Ochratoxin A during fermentation / Diversité de la communauté microbienne associée aux grains de kéfir tibétain et détoxification de l’ochratoxine A pendant la fermentation ». [14]

« Adsorption removal of ochratoxin A from milk by Tibetan kefir grains and its mechanism / Adsorption de l’ochratoxine A du lait par les grains de kéfir tibétain et son mécanisme ». [23]

« Lead removal from water by a newly isolated Geotrichum candidum LG-8 from Tibet kefir milk and its mechanism / Élimination du plomb de l’eau par un Geotrichum candidum LG-8 nouvellement isolé du lait de kéfir tibétain et son mécanisme ». [42]

« Kefir milk alleviates benzene-induced immunotoxicity and hematotoxicity in rats / Le kéfir atténue l’immunotoxicité et l’hématotoxicité induites par le benzène chez le rat ». [73]

Qualités de protection à l’encontre des contaminations radioactives

Les Kéfirs de lait peuvent être, également, utilisés pour la bio-remédiation des substances radioactives.

« Protective effects of the fermented milk Kefir on X-ray irradiation-induced intestinal damage in B6C3F1 mice / Effets protecteurs du lait fermenté kéfir sur les lésions intestinales induites par l’irradiation aux rayons X chez les souris B6C3F1 ». [27]

« The protective effect of fermented milk kefir on radiation-induced apoptosis in colonic crypt cells of rats / Effet protecteur du kéfir de lait fermenté sur l’apoptose induite par les radiations dans les cellules cryptales du côlon chez le rat ». [29]

« Ameliorative effect of kefir against γ-irradiation induced liver injury in male rats: impact on oxidative stress and inflammation / Effet bénéfique du kéfir sur les lésions hépatiques induites par l’irradiation γ chez les rats mâles : impact sur le stress oxydatif et l’inflammation ». [36]

Les Kéfirs d’eau

Composition nutritionnelle

Le Kéfir d’eau est une boisson fermentée fruitée, acide, aigre et légèrement gazeuse, à forte teneur en acide lactique et à faible teneur en alcool. Au fil de la fermentation, les substances sucrées vont être métamorphosées en éthanol, acide lactique, acide acétique et d’autres métabolites — mannitol, glycérol, esters — et d’autres acides organiques et en biomasse de grains de Kéfir d’eau. Généralement, la concentration en sucrose diminue de 98 % en l’espace de 24 heures.

La concentration, des Kéfirs d’eau, en éthanol varie entre 0,02 % et 2 %, en acide lactique entre 0,17 % et 2 % et en acide acétique entre 0,1 % et 2,8 %.

Le volume des grains de Kéfir d’eau peut doubler, lorsqu’ils sont bien alimentés, en l’espace de 2 ou 3 jours. Certaines expériences font état d’une augmentation de 155 % du volume au bout de 72 heures — avec des figues séchées et du sucre.

La composition nutritionnelle des Kéfirs d’eau varie en fonction de la nature des ingrédients — eau, sucre, condiments, fruits secs, épices, etc. — de la composition microbiologique des grains utilisés, de la durée et de la température de fermentation et des conditions de stockage et/ou réfrigération.

Il est strictement déconseillé d’avoir recours à des eaux déminéralisées. En effet, les Kéfirs d’eau ont besoin de calcium afin de prospérer généreusement. Le rôle croissant de la teneur en calcium dans la biomasse des grains de kéfir d’eau est attribué à la biosynthèse des glucanes.

Il est donc conseillé d’avoir recours à des substances alimentaires très riches en calcium. C’est pour cette raison que la figue reste un fruit sec privilégié, car 100 grammes de figues séchées contiennent, environ, 160 mg de calcium.

Place à l’imagination et à l’innovation : les Kéfirs d’eau pourraient être aromatisés avec du Basilic, de l’Origan, de la Menthe, ou du Romarin, dont les feuilles séchées contiennent, pour 100 grammes, respectivement, 2200 mg, 1600 mg, 1500 mg et 1300 mg de calcium. À noter que les Kéfirs d’eau mexicains, dénommés « Tibicos »sont aromatisés avec de la cannelle qui, pour 100 grammes, contient, environ, 1000 mg de calcium.

Traditionnellement, la fermentation du kéfir d’eau est réalisée par incubation à 20-37 °C (20-25 °C de manière optimale) durant 1 à 3 jours (en fonction de la saison et de la température ambiante). Une fois la fermentation terminée, les grains sont filtrés à travers un tamis stérile, séparés du milieu, lavés et les mêmes processus sont répétés pour la fermentation suivante.

Après que le Kéfir d’eau ait été filtré, il est conseillé de le laisser reposer, en seconde fermentation, pendant une douzaine d’heures — ou plus, en fonction de la température ambiante — avant de le réfrigérer (à 4 °C). Ce processus de seconde fermentation doit être, alors, surveillé attentivement, surtout durant l’été… afin qu’à l’ouverture de la bouteille, son contenu ne s’échappe pas avec force ! Pour plus de saveur, des fruits, ou des jus de fruits peuvent être ajoutés durant cette seconde fermentation.

De même que pour les Kéfirs de lait, les Kéfirs d’eau se caractérisent par des microbiotes très diversifiés quant à leur composition en bactéries et en levures et quant à leur ratio : en fonction des souches, ce sont soit les bactéries qui prédominent, soit des levures.

De même, pour les Kéfirs d’eau, tout comme pour les Kéfirs de lait, en ce qui concerne leur composition en levures, ce sont soit des espèces du genre Sacharomyces, ou du genre Kluveromyces ou encore du genre Pichia, qui prédominent — en fonction des souches et des origines géographiques.

Les Kéfirs d’eau se distinguent des Kéfirs de lait de par le fait que chaque grain est constitué d’une matrice de polysaccharides différents : le glucane (un homopolysaccharide) pour les Kéfirs d’eau et le glucogalactan (un hétéropolysaccharide), nommé « Kéfiran », pour les Kéfirs de lait. Le glucane est synthétisé, principalement, par Lactobacillus hilgardii et Lactobacillus satsumensis — mais, également, parLactobacillus casei, Leuconostoc mesenteroides, Lactobacillus nagelii, Lactobacillus hordei. Le Kéfiran est, principalement, synthétisé par Lactobacillus kefiranofaciens. De plus, c’est du sucrose qui est fermenté dans les Kéfirs d’eau et du glucose dans les Kéfirs de lait. Enfin, ce ne sont pas, intégralement, les mêmes espèces de bactéries et de levures qui composent ces deux types de Kéfirs.

D’ailleurs, le Peuple belge, une fois, s’est fait remarquer, car son Kéfir belge est le seul au monde a intégrer la bactérie Lactobacillus harbinensis. Ce Lactobacille, de plus, est réputé améliorer la qualité organoleptique du lait de soja fermenté par une production élevée de 2,3-butanedione et d’acétoïne. [96]Lactobacillus harbinensis est, ainsi, nommé, car il fut isolé à Harbin dans le nord-est de la Chine dans un mets fermenté traditionnel et réputé, le « Suan cai ». Ce Lactobacille — présent, également, dans la boisson alcoolisée traditionnelle Coréenne, le « makgeolli » — possède, de plus, une très forte activité antifongique validée. [88]

Grâce à la grande capacité des micro-organismes, présents dans les grains de kéfir d’eau, à s’adapter à différents substrats de fermentation, ce breuvage peut être produit à partir d’une grande diversité de sources de sucre. [94]

En fait, les grains de Kéfir d’eau peuvent fort bien être utilisés, également, pour fermenter du lait de vache ou de chèvre. Ou pour fermenter de l’eau de noix de coco tel qu’il a été expérimenté, au Brésil, en 2021, avec, également, de l’inuline. Lors de cette expérimentation, de nouvelles bactéries et levures ont été identifiées dans ce Kéfir : Lactobacillus uvarum, Gluconobacter albidus et Lasiodiplodia brasiliensis. [66]

En fonction des substances utilisées dans la fermentation, ce ne sont pas les mêmes bactéries qui vont prédominer au fil des cycles de production des Kéfirs d’eau. Par exemple, une étude, de 2012, a mis en exergue qu’avec du sucre brun, c’est Leuconostoc mesenteroides qui était enclin à prédominer — avec beaucoup plus loin Lactobacillus hordei et Lactobacillus mali — tandis qu’avec du lait de vache ou de chèvre, Leuconostoc mesenteroides, Lactococcus lactis, Bifidobacterium psychraerophilum et Enterococcus faecalis prédominaient. [46]

Une étude plus récente [59], de mai 2021, a mis en valeur que la mélasse purifiée n’était pas adaptée à la production de Kéfir d’eau — parce que dénuée de nutriments. Selon cette étude, la fermentation avec du sucre brun se caractérisait par une prédominance de bactéries du phylum Bacillota/Firmicutes de l’ordre de 98 %. Quant à la fermentation avec de la molasse brute de qualité (de brix 85), elle se caractérisait par une prédominance de bactéries du phylum Proteobacteria. Les bactéries Bacillota principales étaient Liquorilactobacillus nagelii, Lentilactobacillus hilgardii, Lentilactobacillus diolivorans, Lacticaseibacillus casei et Lacticaseibacillus paracasei. Les bactéries Proteobacteria principales étaient Acetobacter lovaniensis, Gluconobacter oxydans et Gluconobacter roseus.

Lors de cette étude, par exemple, lorsqu’un kéfir fermenté avec du sucre brun fut fermenté avec de la molasse brute de qualité, le phylum des Proteobacteria passa de 22 % à 78 % de la composition totale — et ce, en l’espace d’un cycle de 7 fermentations successives.

Le troisième phylum de bactéries présent dans le kéfir, les Actinomycetota, ne se retrouve que dans les Kéfirs de fabrication industrielle — et ce, à hauteur d’environ 10 % seulement. [92]

En fait, aujourd’hui, de nombreuses innovations nutritionnelles intègrent les grains de Kéfir (d’eau et de lait) dans des processus de fermentation de laits végétaux (tel que le petit lait de soja), laits de fruits secs (noix [81], amandes, noisettes, etc. [76]), de jus de légumes et de fruits [61] [68] [69] (tomates, melons, fraises, fenouils, carottes, oignons, yacon [Smallanthus sonchifolius] [77], courges, noix de coco [66], pommes, pitayas, grenades, coings, kiwis, raisins, prunes…) et autres substances… telles que l’huile de l’Olivier de Bohême, Elaeagnus angustifolia [71]. En fonction des fruits et légumes fermentés, les taux d’éthanol, d’acide lactique, d’acide acétique, ainsi que le pH, peuvent varier considérablement dans le Kéfir.

Ces innovations intègrent même les grains de Kéfir pour la confection de vinaigres ou de bières. Selon l’étude « A novel beer fermented by kefir enhances anti-inflammatory and anti-ulcerogenic activities found isolated in its constituents » [86] : « Dans le présent travail, nous avons préparé une bière fermentée par du kéfir et comparé certaines de ses activités anti-inflammatoires et anti-ulcérogéniques à celles trouvées séparément dans la mélasse acidifiante de kéfir et la bière artisanale, en utilisant l’œdème induit par la carragénine de la patte de rat et l’ulcère induit par l’éthanol comme modèles de provocation. Les résultats globaux suggèrent un effet synergique de la bière de kéfirqui implique la teneur en polyphénols du malt d’orge ainsi que certaines des propriétés probiotiques et prébiotiques inhérentes au kéfir lui-même. »

Contrairement à ce qui s’affirme, très souvent, il est même possible de concocter du Kéfir d’eau avec du miel d’abeilles comme source sucrée. [78]

Selon l’une de ces études le prouvant : « En outre,la boisson de kéfir à base de miel a montré un effet protecteur sur les dommages causés à l’ADNet a eu une qualité sensorielle élevée par rapport à la boisson de kéfir traditionnelle. Les résultats démontrent que le miel pourrait être un substrat alternatif idéal pour la production de boissons de culture fonctionnelles, en particulier pour les végétaliens et les consommateurs intolérants au lactose. » [79]

Bactéries et Levures composant le Microbiote

Les micro-organismes présents dans les Kéfirs d’eau incluent :

Bactéries :

Une vingtaine d’espèces, et de sous-espèces, de bactéries lactiques du genre Lactobacillus : Lactobacillus ruminis, Lactobacillus brevis, Lactobacillus hilgardii, Lactobacillus casei sp. casei, Lactobacillus casei sp. rhamnosus, Lactobacillus casei sp. pseudoplantarum, Lactobacillus diolivorans, Lactobacillus fermentum, Lactobacillus harbinensis, Lactobacillus hordei, Lactobacillus kefiranofaciens, Lactobacillus kefiri, etc.

Des espèces de bactéries lactiques du genre Leuconostoc : Leuconostoc citreum, Leuconostoc mesenteroides et Leuconostoc holzapfelii.

Des espèces de bactéries lactiques du genre Oenococcus : Oenococcus kitaharae, Oenococcus oeni, Oenococcus sicerae et Oenococcus aquakefirii.

Des espèces de bactéries acétiques du genre Acetobacter : Acetobacter fabarium, Acetobacter orientalis, Acetobacter lovaniensis, Acetobacter indonesiensis, Acetobacter tropicalis, Acetobacter okenawensis.

Des espèces de bactéries acétiques du genre Gluconobacter : Gluconobacter frateuri, Gluconobacter liquefaciens, Gluconobacter roseus, Gluconobacter oxydans.

Des espèces d’actinobactéries (plus acétiques que lactiques) du genre Bifidobacterium : Bifidobacterium aquikefiri, Bifidobacterium tibiigranuli, Bifidobacterium crudilactis et Bifidobacterium psychraerophilum.

Les espèces de Bifidobacterium sont des probiotiques.

D’autres espèces de bactéries moins fréquentes :Zymomonas mobilis, Lysinibacillus sphaericus, Pediococcus sp., Bacillus methanolicus, Achromobacter xylosoxidans.

Zymomonas mobilis a été validé comme la bactérie proédominante dans deux Kéfirs d’eau. Zymomonas mobilis est, traditionnellement, associé aux boissons fermentées alcooliques des régions tropicales d’Asie, d’Afrique et d’Amérique. Zymomonas mobilis se caractérise par un très haut niveau de production d’éthanol [93] et des qualités médicinales antitumorales, antiseptiques, anti-inflammatoires et probiotiques.

Levures :

Des espèces de levures du genre Sacharomyces : Sacharomyces cerevisiae, Sacharomyces bayanus, Sacharomyces florentinus et Sacharomyces pretoriensis.

Sur les quinze études portant sur la composition en levures des Kéfirs d’eau, Saccharomyces cerevisiae a été identifié dans toutes les études à l’exception de deux : cette espèce constitue, donc, un membre clé du microbiote de leurs grains.

Des espèces de levures du genre Zygosacharomyce : Zygosacharomyces florentinus, Zygosacharomyces fermentati et Zygotorulaspora florentina.

Des espèces de levures du genre Hanseniaspora : Hanseniaspora valbyensis, Hanseniaspora vinae et Hanseniaspora yalbensis.

Des espèces de levures du genre Pichia : Pichia membranifaciens, Pichia kudriavzevii, Pichia occidentalis, Pichia cecembensis, Pichia caribbica, Pichia fermentans.

Des espèces de levures du genre Candida : Candida glabrata, Candida lambica, Candida valida.

D’autres espèces de levures : Dekkera anomala, Dekkera bruxellensis, Issatchenkia orientalis, Kloeckera apiculata, Lanchancea fermentati, Lanchancea meyercii, Kluveromyces lactis, Kluveromyces marxianus, Kazachstania aerobia, Kazachstania unispora, Hanseniaspora uvarum, Brettanomyces bruxellensis, Ogataea parapolymorph, Eremothecium cymbalariae, Torulaspora pretoriensis.

En général, la diversité et l’étendue des espèces de levures, dans les grains de kéfir d’eau, semblent être inférieures à celles des bactéries. Par exemple, une étude brésilienne, de 2010, a identifié 289 souches de bactéries et 129 souches de levures dans un Kéfir d’eau brésilien. [64]

Interactions entre les Levures et les Bactéries

Tout ce qui a été exposé dans la section correspondante pour les Kéfirs de lait est valable pour les Kéfirs d’eau même si certaines espèces de bactéries et de levures diffèrent.

Selon l’étude « Metabolic activity and symbiotic interactions of lactic acid bacteria and yeasts isolated from water kefir / Activité métabolique et interactions symbiotiques des bactéries lactiques et des levures isolées du kéfir d’eau » [80] :

La co-culture de levures et de lactobacilles dans un milieu de kéfir d’eau a augmenté de manière significative le rendement cellulaire de tous les partenaires de l’interaction, définissant l’interaction de ces isolats de kéfir d’eau comme un mutualisme. Le soutien de Zygotorulaspora florentina était dû à l’acidification du milieu par les lactobacilles, tandis que la croissance des lactobacilles est améliorée par l’élimination des nutriments essentiels produits par les levures. L’interaction trophique entre Lactobacillus hordei et les levures est constituée par la libération d’acides aminés et de vitamine B6 par les levures, tandis que la croissance de Lactobacillus nagelii est soutenue par leur production d’acides aminés. L’interaction entre Zygotorulaspora florentina et Lactobacillus nagelii a fait l’objet d’un examen plus approfondi qui a révélé que la co-culture incitait la levure à libérer de l’arginine, qui était essentielle pour Lactobacillus.

Pour une étude très approfondie sur les interactions Bactéries/Levures, interbactériennes et interfongiques, voir : « Water kefir: Factors affecting grain growth and health‐promoting properties of the fermented beverage / Kéfir d’eau : facteurs influençant la croissance des grains et les propriétés bénéfiques pour la santé de la boisson fermentée ». [84]

Qualités médicinales

Le Kéfir d’eau possède de très nombreuses qualités médicinales : probiotiques, antitumorales [51], anti-carcinogéniques [99], anti-hypertensives [62], immunomodulatrices [50], anti-hyperlipidiques, antitoxiques, antioxydantes [52] [54], hypo-cholestérolémiques, anti-inflammatoires, anti-ulcérogéniques, hépatoprotectrices [85], antimicrobiennes, anti-angiogéniques, anti-métastatiques [91], cicatrisantes [83], etc.

Les Kéfirs d’eau possèdent une très forte capacité, tout comme les Kéfirs de lait, de moduler la composition du microbiote intestinal. [67][82]Les micro-organismes présents dans les Kéfirs d’eau ont la capacité d’inhiber la croissance de bactéries et de fungi pathogènes dans les genres Salmonella [55], Shigella, Staphylococcus [56], Aspergillus [48] [58], Rhizopus, Penicillium, etc.

Les bactéries, ou du moins certaines de leurs souches — Lactobacillus casei, Lactobacillus acidophilus, Lactobacillus paracasei, Lactobacillus kefiranofaciens, Lactobacillus diolivorans, Lactobacillus reuteri, Lactococcus lactis, Lactobacillus ruminis, Enterococcus fæcium possèdent des capacités probiotiques.

Qualités de bio-remédiation des substances pathogènes et toxiques

Les grains de Kéfirs d’eau peuvent être, également, utilisés pour la bio-remédiation — à savoir pour la biodégradation des substances les plus polluantes sur Terre. Voici une liste d’études mettant en exergue cette capacité :

Il est à noter que certaines études, de bio-remédiation, sus-citées pour les Kéfirs de lait, peuvent, également, s’appliquer aux Kéfirs d’eau dans la mesure où une partie de leur microbiote est commun.

« Use of wastewater as a substrate for sugary kefir growth and value-added products formation / Utilisation des eaux usées comme substrat pour la croissance du kéfir sucré et la formation de produits à valeur ajoutée ». 2014. [63]

« Application of soluble fibers in the osmotic dehydration of pineapples and reuse of effluent in a beverage fermented by water kefir / Application de fibres solubles dans la déshydratation osmotique des ananas et réutilisation de l’effluent dans une boisson fermentée par le kéfir d’eau ». 2020. [65]

« Pollution abatement of heavy metals in different conditions by water kefir grains as a protective tool against toxicity / Réduction de la pollution par les métaux lourds dans différentes conditions par les grains de kéfir d’eau en tant qu’outil de protection contre la toxicité ». [60]

« FTIR spectroscopy structural analysis of the interaction between Lactobacillus kefir S-layers and metal ions / Analyse structurelle par spectroscopie FTIR de l’interaction entre les couches S de Lactobacillus kefir et les ions métalliques ». [90]




Prochaine plandémie : « Marburg » = 5G + injection

Une source de plus nous en avertit

[Source : ActuPlus11 via santeglobale.world]



[Note de Joseph : le prétendu « virus » choisi importe peu dans le plan. Il suffit que les effets qu’on lui attribue soient suffisamment effrayants. Ce sera peut-être autre chose que Marburg, même si celui-ci paraît un très bon candidat.]

[Voir aussi :
Les bizarreries de Marburg
Nouvelle plandémie en vue ?
Bill Gates prépare sa prochaine plandémie
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Pour en finir avec les plandémies]




PCB : Le monde de la science dure met en garde contre l’autodestruction

[Source : vkpatriarhat.org]

Par Patriarcat Catholique Byzantin

Après la fin de la campagne mondiale de vaccination expérimentale contre le Covid-19, de nombreux scientifiques, plus de 26 équipes, ont été chargés d’évaluer ces vaccins. Ils ont découvert des métaux tels que le gadolinium, l’aluminium, le césium, le strontium et le tungstène dans le sang des personnes vaccinées. Le strontium est particulièrement cancérigène.

Le Dr Mihalcea, des États-Unis, a mis en évidence le lien entre le Covid-19 et la géo-ingénierie. Le chercheur Clifford Carnicom étudie depuis plus de 20 ans le phénomène appelé morgellons et son lien avec les fibres polymères pulvérisées par les avions commerciaux et militaires. Les experts ont récemment trouvé une correspondance chimique entre ces fibres qui ont été pulvérisées dans l’environnement et les nanoparticules lipidiques contenues dans les vaccins Covid. La raison pour laquelle ils pulvérisent ces substances sur nous consiste à créer une fusion entre la biologie synthétique et notre biologie afin de nous transformer en cyborgs transhumains.

[Voir aussi :
Le sang de l’Humanité est-il en cours de modification ?
Sur les chemtrails :
« Il s’agit d’une lente opération d’empoisonnement de la population »
L’arme du climat, une guerre invisible
La maîtrise de la météo – une guerre secrète
Documentaires pour les jours de pluie sur la géo-ingénierie et les chemtrails]

Le Dr David Nixon a découvert que les vaccinés contre le Covid émettent une adresse MAC, et il a trouvé dans leur sang des fibres que le laboratoire La Quinta Columna avait décrites comme étant de l’oxyde de graphène. L’ingénieur Matt Taylor en a récemment découvert dans l’eau de pluie ou dans la masse.

[Voir aussi :
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?
La nanotechnologie dans les vaccins
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Nanotechnologie et « vaccins »]

En 2020, il y a eu une conférence en Europe intitulée « Euro Science — Open Forum ». On y a mentionné que ces technologies transhumanistes peuvent également être appliquées aux insectes dans l’agriculture.

La science maléfique modifie notre ADN, nos protéines grâce à la technologie moderne. On peut dire que ce plan diabolique vise à faire de la terre un véritable enfer. Puis à exterminer l’humanité et à l’envoyer dans l’enfer éternel. Le Dr Mihalcea étudie les effets des vaccins et du coronavirus, dont on sait déjà qu’il a été produit de façon artificielle. Au cours de ses expériences, elle a constaté qu’il réduisait jusqu’à 47 % la connectivité électrique du sang. Elle a clairement indiqué que les gens sont délibérément privés de leur force vitale. Cela s’applique également aux cas après vaccination et à ce que l’on appelle le Covid long.

Le Dr Mihalcea explique que les personnes atteintes de ce « Covid long » présentent les symptômes suivants : fatigue chronique, problèmes de mémoire, alors qu’elles n’ont que 20 ans, symptômes proches de la démence avec difficultés à trouver les mots, brouillard cérébral, anxiété extrême et dépression, ce qui, nous le savons, raccourcit l’espérance de vie. Et puis, avec cette fatigue chronique, les gens ne peuvent même pas monter les escaliers sans se sentir essoufflés ou sans avoir des palpitations cardiaques, parce que le sang s’est agglutiné dans ce que l’on appelle les rouleaux. D’autres symptômes sont les crises cardiaques ou les caillots sanguins.

[NDLR les symptômes du « Covid long » sont les mêmes que certains des effets des ondes pulsées vécus par les personnes électrohypersensibles.
Voir :
Le cauchemar de l’intolérance aux champs électromagnétiques
Pourquoi les scientifiques s’inquiètent-ils de la 5G ?
Témoignage d’une électrohypersensible
Les effets des ondes sur l’organisme
Présentation de l’électrohypersensibilité (EHS) par le Docteur Magali KOELMAN
et les autres articles du dossier 5G et ondes pulsées]

Le Dr Peter Garyaev, de Russie, qui était candidat au prix Nobel en 2021, a déclaré qu’il était possible, grâce à la 5G, de replier et de déployer les gènes pathogènes du coronavirus et de le rendre plus virulent. Il est décédé deux semaines après l’avoir annoncé.

Les élitistes mondiaux qui jouent le rôle de Dieu essaient de changer l’ordre des choses, de nous modifier, principalement de changer notre façon de penser depuis le vrai vers le faux, depuis le moral vers l’immoral. Que recouvre le concept de pensée ou d’esprit ? Ce n’est pas seulement la raison ou la logique ; c’est un concept plus large. Notre esprit est influencé par l’éducation, les informations vraies ou fausses, l’expérience personnelle, la vie morale ou immorale, les diverses dépendances. Les personnes dépendantes ne sont pas libres ; elles n’acceptent pas la vérité objective. C’est pourquoi nous devons faire la distinction entre la vraie et la fausse pensée.

La pensée est inspirée par un esprit, soit l’esprit de vérité, soit l’esprit de mensonge. Les inspirations peuvent être vraies ou fausses. Un homme bon recherche la vérité objective et le bien ; un homme mauvais cherche à détourner une certaine vérité pour tromper les autres et promouvoir le mal. Derrière l’homme mauvais se cache l’esprit du mensonge et de mort : le diable. Il est donc important de savoir dans quoi vous êtes enraciné. Si vous êtes enraciné dans l’aura de votre ego, vous êtes donc enraciné dans l’esprit du mensonge et de l’auto-illusion. Cet esprit pénètre alors l’ensemble de votre pensée et a un effet suggestif sur votre environnement. A l’extérieur, un tel menteur professionnel se présente comme un ange de lumière (cf. 2Cor 11:14f).

Comme le dit le proverbe, « Dis-moi ce que tu lis, ou éventuellement ce que tu écoutes, et je te dirai qui tu es ». Les gens d’aujourd’hui passent le plus clair de leur temps à écouter les menteurs professionnels du courant dominant. Ils sont remplis de mensonges et de vanité et sont donc incapables d’accepter et d’aimer la vérité, et encore moins de se sacrifier pour elle. Ils adoptent ces mensonges comme étant les leurs et sont prêts non seulement à faire des sacrifices, mais même à perdre leur vie pour l’amour d’un mensonge. Le mensonge est devenu l’arme la plus puissante dans le processus d’autodestruction de l’humanité. Derrière le mensonge se cache l’esprit du mensonge : le diable.

Jésus a dit à ceux qui avaient l’esprit du mensonge :

« Vous êtes de votre père, le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il fut un meurtrier dès le commencement… il est menteur et père du mensonge » (Jn 8:44).

Nous devons savoir que tous les êtres humains sont entachés du péché originel — la source du mal, la semence du diable, qui est programmée afin de provoquer l’autodestruction progressive de l’homme, non seulement temporelle mais aussi éternelle.

Nous assistons à une déchristianisation systématique. Elle est perpétrée de la manière la plus efficace par des théologiens hérétiques et des prélats apostats dirigés par le pseudo-pape François. Ils introduisent l’idolâtrie et la reconnaissance légale des perversions sexuelles par le biais du soi-disant parcours synodal LGBTQ.

L’intronisation du démon Pachamama au Vatican et le rituel sacrificiel au Canada constituent un exemple d’idolâtrie. Ici, le pseudo-pape, ainsi que les prélats présents, se sont fait consacrer à Satan pendant qu’un sorcier soufflait dans un sifflet en forme d’os de dinde sauvage.

Un cas effrayant de mensonge diabolique est le geste du pseudo-pape Bergoglio, qui a fait vacciner tout le Vatican à deux reprises. Ce faisant, il a créé un précédent des plus pernicieux pour toute l’humanité. Bergoglio connaissait la vérité et pourtant, il s’est cyniquement opposé à cette vérité et a menti de manière suggestive à toute l’humanité. S’il avait mis en garde contre la vaccination expérimentale depuis sa position de pape, qu’il occupe illégalement, tout le système de cette vaccination mortellement dangereuse aurait fait faillite.

La vérité, fruit du christianisme, protège l’individu et la société contre l’invasion du mensonge et du mal. Le christianisme formait l’opinion publique sur une base juste et sur des principes moraux naturels. L’opinion publique était ainsi intégrée aux commandements de Dieu. Elle favorisait un profond respect de l’homme. En revanche, le néopaganisme rampant, fondé sur le mensonge, favorise l’injustice, le mal et l’immoralité.

La stratégie du diable consiste à stimuler le mal qui prend sa source dans le cœur de l’homme. C’est pourquoi il tente de supprimer les inhibitions, telles que la conscience, la raison, les lois morales et les vérités, qui nous rappellent la mort, le jugement et l’éternité. La réalité du péché, et donc aussi la mort rédemptrice du Christ sur la croix, est reniée. La repentance salvatrice n’est plus proclamée. En conséquence, le mal, la perversion, le mensonge et le satanisme sont libres de progresser.

Nous assistons à la montée d’une nouvelle opinion publique qui accepte toutes les dépravations et tous les crimes. Ce résultat est obtenu grâce aux médias grand public, ou usines à mensonges, qui conduisent délibérément le monde à une dépopulation suicidaire. Le Dr Fuellmich affirme que le public a été hypnotisé par la manipulation diabolique des médias. Le terrorisme médiatique a été déclenché. Un exemple de cela est l’apparition d’une psychose de masse lors d’une fausse pandémie.

À qui revient-il en premier lieu de lutter pour le rétablissement de la société et le salut de l’humanité ? C’est avant tout la tâche de ceux qui se disent chrétiens. Par la repentance, c’est-à-dire par un véritable changement de mentalité — la metanoia —, les évêques, les prêtres et les croyants tièdes doivent devenir des disciples et des témoins du Christ — des martyres. Cela ouvrira la porte à Dieu et à Sa puissance salvatrice. Cette réforme spirituelle ne peut commencer sans un lien avec la transcendance. Il s’agit essentiellement de la prière intérieure, de la connexion de notre esprit à Dieu, la Vérité. Aucun changement positif n’est possible sans ce fondement spirituel de la prière et du repentir ou, en d’autres termes, sans un changement de pensée depuis le faux vers le vrai. Le bonheur véritable et éternel nous est donné en Jésus seul, crucifié et ressuscité.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires

Le 25 juin 2023



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Des champignons contre le graphène

[Source : xochipelli.fr]

Par Dominique Guillet

Champignons, enzymes, bactéries et autres micro-organismes susceptibles, potentiellement, de détruire les nanomatériaux à base de graphène

Chapitre 1
Les Champignons comestibles et/ou médicinaux pour la myco-remédiation des dérivés de graphène dans l’organisme humain

Sommaire

Introduction

Ce présent dossier fait suite à mon premier dossier intitulé « Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène » [92], et suite à certaines de mes Nouvelles, dans ma rubrique « Autres Sources potentielles d’antioxydants pour dissoudre la nécro-couronne moléculaire de graphène ».

L’objectif, transparent et déclaré, de la première partie de ce dossier volumineux, est de proposer que les champignons comestibles, et/ou médicinaux — qui ont, depuis longtemps, déjà, été validés pour leurs propriétés de myco-remédiation des environnements les plus pollués de la planète — puissent constituer l’une des premières lignes de défense antioxydantes afin de dégrader, et de désactiver, dans l’organisme humain, tous les dérivés nanoparticulaires de la famille du graphène.

Si les champignons médicinaux, ou autres fungi filamenteux, sont capables de dégrader et de désactiver — à savoir de métaboliser et de recycler — des substances radioactives telles que le strontium, l’uranium, le césium, le cobalt, etc. il semble sage de proposer qu’ils puissent en faire de même avec tous les dérivés de la famille graphène.

Dans mon titre général, j’use de l’expression « susceptibles, potentiellement, de détruire les nanomatériaux à base de graphène », car aujourd’hui il est malheureusement très difficile de s’y retrouver sur le plan de thérapeutiques efficaces pour libérer l’organisme humain de ces abominations technologiques que constituent tous les dérivés de la famille graphène.

À noter, d’ailleurs, que le graphène est considéré comme une substance à demi-métallique et à demi-minérale.

En effet, malgré qu’il existe des centaines d’études portant sur la toxicité extrême des dérivés de graphène pour l’organisme animal — dont les premières remontent à 2005, telle que « Multi-walled carbon nanotubes induce T lymphocyte apoptosis » [115] — quasiment rien n’a été proposé, de façon concomitante, sur le plan thérapeutique afin de débarrasser l’organisme humain de ces substances irradiantes et toxiques. En effet, ce n’est que depuis la découverte du graphène dans les vaccins CoqueVide19, durant l’été 2021, que les thérapeutes ont commencé à travailler sur cette problématique de libérer l’organisme humain de l’emprise du graphène sous toutes ses formes. Du moins, les thérapeutes qui se sont éveillés à la présence du graphène dans les injections génocidaires de la Mafia Pharma et, surtout, à la présence du graphène dans tous les secteurs de la vie quotidienne.

Aujourd’hui, au-delà de leur présence, dans les injections génocidaires CoYid/19 de la Mafia Pharma, les dérivés de la grande famille du graphène sont présents dans les « vaccins », les tests PCR, les médicaments, les applications médicales nanotechnologiques, les sérums physiologiques, les biosenseurs, les aérosols, les cosmétiques, les aliments, les emballages alimentaires, les combustibles des avions de ligne, les pansements, les condoms, les serviettes hygiéniques, les culottes féminines thérapeutiques, les anesthésiants, les implants dentaires, les lentilles oculaires, le béton, l’asphalte, les huisseries, les membranes de traitement des eaux, les filtres des systèmes d’aération, les fertilisants, les pesticides/biocides agricoles, les chaussures biotesteurs, les vêtements biotesteurs, l’isolation des vêtements, les masques faciaux, les peintures murales, les batteries, l’électronique, les éoliennes, les patch antidouleurs, les couvertures pour la nuit, les matelas, les ampoules lumineuses, les écouteurs, les chemtrails, les lunettes de ski, les boucliers antiémeute, les systèmes atmosphériques de récolte d’eau douce, etc., etc.

Il est d’autant plus difficile de s’y retrouver sur le plan de thérapeutiques libératrices… de par le fait que le graphène est une « substance » extrêmement polymorphe (graphène, oxyde de graphène, oxyde de graphène réduit, nanotubes de carbone à parois simples ou multiples, points quantiques de carbone ou de graphène, nanopoulpes de carbone, éponges de graphène, etc., etc.) ; de par le fait que les nanomatériaux à base de graphène sont, ou non, « fonctionnalisés » avec de multiples autres substances ; de par le fait que les dénominations « graphène », « nanotubes de carbone », « oxyde de graphène », « oxyde de graphène réduit », « points quantiques de graphène », « points quantiques de carbone », etc., recouvrent, en réalité, de multiples produits commercialisés, sur mode exponentiel, par de multiples firmes de par le monde, sans réellement aucun standard officialisé ; de par le fait que les nanomatériaux à base de graphène sont, généralement, assortis d’une pléthore de « défauts »…

D’autant plus, également, que les divers dérivés de graphène se transforment, très aisément, en d’autres formes de dérivés de graphène. Ainsi, par exemple, il existe des substances dites « vertes » (« eco-friendly ») utilisées pour réduire l’oxyde de graphène, en oxyde de graphène réduit, et qui sont, par ailleurs, des antioxydants avérés — sur le plan thérapeutique. La question est de savoir, aujourd’hui, si ces antioxydants avérés sont bien capables, également, d’éliminer l’oxyde de graphène réduit… qui est tout aussi nocif, et toxique, que l’oxyde de graphène.

Voir à ce sujet mes divers dossiers sur la toxicité des dérivés de graphène, dont « Récapitulatif de 111 études portant sur l’extrême toxicité de l’Oxyde de graphène pour l’organisme animal ». [135]

D’autant plus, également, comme je l’expose plus avant, que certaines espèces de champignons médicinaux peuvent tout autant être utilisés pour dégrader des formes de graphène — contaminant un environnement — que pour synthétiser de l’oxyde de graphène ou du graphène à plusieurs couches, des points quantiques de carbone ou, même, transmuter une forme de graphène en une autre.

D’autant plus, également, comme je l’expose plus avant, que les champignons médicinaux sont le sujet d’études (et, sûrement, de pratiques actuelles) dont l’objectif est de les utiliser en synergie avec des dérivés de graphène pour des propos, prétendument, thérapeutiques.

Au sujet de la myco-remédiation

Cela fait une vingtaine d’années que les champignons comestibles, et/ou médicinaux, ont été étudiés, et valorisés, en tant qu’agents biologiques, extrêmement, efficaces eu égard à la détoxification des sols pollués par les contaminants industriels les plus toxiques et mortifères que l’Industrie ait synthétisés.

Cette capacité de myco-remédiation est dûe à la production de lignine peroxydase, de manganèse peroxydase, de diverses enzymes productrices de peroxyde d’hydrogène (H2O2) et autres enzymes fongiques : laccases, cellulases, xylanases, amylases, protéases, lipases, catalases, chitinases, oxidases, pectinases, etc.

Ainsi que le résume, fort bien, une étude de 2020 intitulée « Mycoremediation of environmental pollutants: a review with special emphasis on mushrooms » [45] :

« La myco-remédiation est un processus écologique et économiquement viable qui utilise la biomasse fongique pour débarrasser les sols et les eaux contaminés des polluants toxiques. Les champignons sont des fructifications fongiques qui émergent d’une masse de tissu fibreux appelée mycélium. Ces mycéliums servent de filtres biologiques et de sorbants puissants, car leurs structures aériennes sont constituées d’une énorme biomasse et d’une texture résistante.

La biomasse fongique a la particularité de libérer des enzymes et des acides extracellulaires pour la décomposition de la lignine, de la cellulose et, simultanément, d’aider à la solubilisation et à la complexation des métaux. Ce sont des candidats idéaux pour l’assainissement de divers polluants, car leur paroi cellulaire est composée de polysaccharides et de protéines qui possèdent des groupes fonctionnels vitaux qui aident à lier les polluants organiques et inorganiques. Ils sont également connus pour être d’excellents dégradateurs grâce à des caractéristiques telles qu’une croissance vigoureuse, un réseau hyphalique étendu, une résistance aux conditions environnementales changeantes, la présence de protéines liant les métaux et des systèmes enzymatiques extracellulaires.

Les champignons utilisent différentes stratégies telles que la biodégradation, la biosorption et la bioconversion pour nettoyer les matrices environnementales de plusieurs polluants persistants.Les champignons ou macro-champignons sont une bonne source de protéines et sont consommés depuis des décennies. Mais ces derniers temps, ils attirent l’attention dans le domaine de la remédiation en raison de leur machinerie enzymatique et de leur capacité à dégrader divers polluants juste pour maintenir leur croissance et leur développement. Cette étude traite de l’utilisation des champignons en tant qu’outils biologiques pour l’assainissement de l’environnement et du rôle des champignons dans la dégradation de divers polluants tels que les pesticides, les herbicides, les insecticides, les métaux lourds, les colorants, les produits pharmaceutiques » [45]

dont les antibiotiques, les antidépresseurs, les perturbateurs endocriniens et sans oublier les radio-nucléides (dont l’uranium [86]), les plastiques, les détergents, les phtalates, les cyanotoxines, etc., etc., ad nauseam.

La première étude présentée par PubMed, aux USA, dans la rubrique « myco-remédiation », date de 2002 et s’intitule : « Mycoremediation of PAH-contaminated soil/Mycoremédiation des sols contaminés par les hydrocarbures aromatiques polycycliques. » [46]

Lors de cette étude, des souches d’Irpex lacteus et de Pleurotus ostreatus furent sélectionnées pour dégrader du fluorène, du phénanthrène, de l’anthracène du fluoranthène, du pyrène et du chrysène. Par rapport à un sol contaminé non traité, les échantillons de sol traités par des champignons ont montré une diminution de l’inhibition de la bioluminescence des bactéries luminescentes (Vibrio fischerii) et une augmentation des graines de moutarde (Brassica alba) germées.

La seconde étude, présentée par PubMed, date de 2005 et s’intitule : « Combination of biochar amendment and mycoremediation for polycyclic aromatic hydrocarbons immobilization and biodegradation in creosote-contaminated soil / Combinaison de l’amendement biochar et de la mycoremédiation pour l’immobilisation et la biodégradation des hydrocarbures aromatiques polycycliques dans un sol contaminé par la créosote. » [69] Selon cette étude, c’est, donc, la myco-remédiation avec Pleurotus ostreatus qui a été la plus efficace dans l’élimination des hydrocarbures aromatiques polycycliques avec, en seconde place, la synergie Pleurotus ostreatus/Biochar.

« Pour biorestaurer ces sols et éviter la propagation des hydrocarbures aromatiques polycycliques, différentes stratégies de biorestauration ont été testées, basées sur l’atténuation naturelle, l’application de biochar, la biostimulation par la paille de blé, la mycoremédiation par Pleurotus ostreatus, et la nouvelle application séquentielle de biochar pendant 21 jours et de Pleurotus ostreatus 21 jours de plus. Des échantillons de sol ont été prélevés 21 et 42 jours après l’application des mesures d’assainissement. L’efficacité de chaque traitement d’assainissement a été évaluée en fonction de la dégradation et de l’immobilisation des hydrocarbures aromatiques polycycliques, du développement fongique et bactérien, de l’écotoxicité du sol et de considérations juridiques. L’atténuation naturelle et les traitements au biochar n’ont pas permis une élimination adéquate des HAP et une réduction de l’écotoxicité du sol. La biostimulation a montré le plus grand développement bactérien, mais un faible taux de dégradation des hydrocarbures aromatiques polycycliques. La mycoremédiation a permis d’obtenir le meilleur taux de dégradation des hydrocarbures aromatiques polycycliques et la fraction biodisponible et l’écotoxicité du sol les plus faibles. »

Il existe, en fait, aujourd’hui, des centaines d’études mettant en exergue les capacités que possèdent de nombreuses espèces de champignons comestibles, et/ou médicinaux, de dégrader une pléthore de substances éminemment toxiques :

les hydrocarbures aromatiques polycycliques, l’aflatoxine B1, l’arsenic, les effluents de l’industrie papetière, les teintures industrielles, le plomb, le diclofénac, le paracétamol, les antibiotiques sulfamidés, les PCBs, le trichlorophénol, le nickel, le cuivre, le zinc, le cadmium, le dichlorophénol, le pentachlorophénol, le lithium, le déoxinivalénol, les polychlorodibenzo-furanes, la lamotrigine, le cobalt, le polyéthylène, la bléomycine, la vincristine, l’iprovalicarb, le métalaxyl, le penconazole, le pyriméthanil, le diurion, le DDT, le décabromodiphényléthane, le carbaryl, la fluoxétine, l’atrazine, l’acide perfluorooctanoïque, le bisphénol A, le polyester, l’aldrine, la dieldrine, l’uranium, la carbamazépine, les dioxines, le lindane, le chlordane, le nitrotoluène, le naproxène…

Cette capacité fongique de métamorphoser les produits toxiques les plus indésirables est due à des processus de biodégradation, de biosorption et de bioconversion :

La « biodégradation » est la dégradation finale et le recyclage d’une molécule complexe en ses composants minéraux. Ce processus conduit à la minéralisation complète, par les organismes vivants, du composé de départ en composés plus simples — comme le CO2, le H2O, le NO3 et d’autres composés inorganiques.

La « biosorption » est un processus fondé sur la sorption d’ions métalliques/polluants/xénobiotiques par une biomasse vivante, ou séchée, qui présente souvent une tolérance marquée aux métaux lourds et à d’autres conditions défavorables.

La « bioconversion » est la transformation des polluants industriels ou agro-industriels en d’autres formes utiles. Dans le cas de la myco-remédiation, le produit « bio-conversé » le plus important est le champignon lui-même.

Champignons bios parce qu’il est souhaité que les champignons médicinaux réalisent une mycoremédiation dans l’organisme humain.

Cependant, des protéines spéciales, présentes dans leurs cellules, se lient ensuite à ces divers éléments toxiques pour les neutraliser et les empêcher de nuire. Cela signifie, donc, que les plantes et les champignons peuvent accumuler des niveaux élevés de toxicité dans leurs cellules sans subir d’effets néfastes.

Caveat. De par les capacités extrêmes des champignons médicinaux d’accumuler et de fixer des polluants de toutes sortes, il est fortement conseillé de ne consommer que des champignons bios — à savoir cultivés selon des cahiers de charge de l’Agriculture Biologique.

En effet, les champignons médicinaux d’origine bio vont être capables de réaliser une myco-remédiation dans l’organisme humain — à partir de leurs tissus fongiques intacts — alors que champignons médicinaux cultivés à partir de biomasses polluées ont, déjà, entamé des processus de myco-remédiation de leurs milieux de culture.

Myco-remédiation des matières radioactives

Divers champignons sont, même, utilisés pour la dégradation des matières radioactives et il existe une pléthore d’études qui le prouvent depuis une quarantaine d’années — en particulier depuis le désastre radioactif de Tchernobyl en Ukraine. Par exemple :

Selon cette étude intitulée « Bioremediation of water contaminated with uranium using Penicillium piscarium » :

« Nos résultats ont montré que la biomasse morte de P. piscarium était capable d’éliminer entre 93,2 et 97,5 % d’uranium des solutions à pH 3,5, à la fin de l’expérience, le pH de la solution augmentait jusqu’à des valeurs supérieures à 5,6. En ce qui concerne les expériences réalisées dans des solutions de pH 5,5, la biomasse morte du champignon a également été capable d’éliminer entre 38 et 92 % d’uranium de la solution, à la fin de l’expérience, le pH de la solution a augmenté jusqu’à des niveaux supérieurs à 6,5. L’analyse par microscopie électronique, spectroscopie à dispersion d’énergie et fluorescence X a démontré la forte concentration d’uranium précipité à la surface de la biomasse fongique ». [112]

Selon cette étude intitulée « Characteristics of uranium biosorption from aqueous solutions on fungus Pleurotus ostreatus » :

« Les résultats obtenus dans le cadre de ce travail indiquent que la biomasse du champignon Pleurotus ostreatus peut être utilisée comme biosorbant potentiel pour éliminer l’uranium ou d’autres radionucléides des solutions aqueuses. » [86]

Selon cette étude intitulée « Resistant fungi isolated from contaminated uranium mine in Brazil shows a high capacity to uptake uranium from water » :

« En comparant les résultats des tests de résistance/tolérance avec ceux de la capacité de biosorption de l’uranium, nous avons conclu que les champignons isolés de la mine d’Osamu Utsumi ayant le meilleur potentiel de biorestauration de l’uranium étaient Gongronella butleri, Penicillium piscarium, Penicillium citrinum, Penicillium ludwigii et Talaromyces amestolkiae. Les tests de biosorption avec la biomasse fongique vivante ont montré que 11 espèces avaient un potentiel élevé d’absorption de l’uranium dans l’eau contaminée. » [113]

Selon cette étude intitulée « Studies on accumulation of uranium by fungus Lentinus sajorcaju » : « Les mycéliums de Lentinus sajor-caju non traités, traités à la chaleur et à l’alcali ont été utilisés pour la récupération de l’uranium dans des solutions aqueuses ». [114]

Selon cette étude intitulée « Recent Advances in Biosorption of Copper and Cobalt by Filamentous Fungi » :

« Plusieurs travaux indiquent que les espèces Trichoderma, Penicillium et Aspergillus ont une capacité de biosorption du Cu et du Co supérieure à celle d’autres espèces fongiques telles que Geotrichum, Monilia et Fusarium. On pense que d’autres espèces fongiques ayant une capacité de biosorption encore plus élevée doivent encore être isolées. En outre, l’application des champignons filamenteux pour la biorestauration est considérée comme respectueuse de l’environnement, très efficace, fiable et abordable, en raison de leurs faibles prérequis technologiques ». [121]

Selon cette étude intitulée « Role of filamentous fungi in migration of radioactive cesium in the Fukushima forest soil environment » [98] :

« Ces faits indiquent que les minéraux sont des composants majeurs dans l’adsorption du Cs radioactif dans l’environnement. Dans la forêt de Fukushima, il a été rapporté que la vermiculite et la vermiculite à couches hydroxyle étaient dominantes dans la fixation du césium 137 dans le sol. Ainsi, la comparaison de l’affinité pour le césium 137 des minéraux et des champignons filamenteux est représentative du comportement d’accumulation du césium 137 radioactif dans l’environnement. Nos résultats indiquent que l’accumulation de césium radioactif dans les hyphes en présence de minéraux est supérieure à la valeur prédite en supposant que le mélange est additif. Par conséquent, nos résultats suggèrent fortement que les champignons accumulent une petite quantité de césium radioactif dans les hyphes en présence de minéraux, même si les minéraux argileux adsorbent fortement le césium radioactif. L’accumulation de césium radioactif dans certains champignons sauvages, même en présence de minéraux à Fukushima, entraîne probablement une concentration de césium radioactif supérieure à la limite standard japonaise de 100 Bq kg-1 pour les aliments généraux. Par conséquent, les habitants de Fukushima ont été exposés à une exposition interne élevée de 4 800 Bq kg-1 par l’ingestion directe de champignons contaminés.

Nous avons examiné l’accumulation de césium radioactif dans les hyphes de champignons filamenteux collectés dans la forêt de Fukushima, au Japon, en combinant la méthode du milieu gélosé, dans laquelle les hyphes sont cultivés sur un filtre placé sur un milieu gélosé contenant du césium, et l’analyse par autoradiographie (AR) à l’aide de plaques d’imagerie. Les valeurs du facteur de translation (TF sol) à Fukushima se situaient presque dans la même fourchette que celles observées en Europe, où le TF sol était réparti dans des ordres d’environ 4. Les facteurs de translation (TF agar) des champignons filamenteux cultivés sur milieu gélosé ont montré qu’environ 80 % des champignons filamenteux avaient un TF agar compris entre 50 et 200. Le TF agar moyen logarithmique (1,90) était 10 fois plus élevé que celui des corps de fruits des champignons sauvages (0,18), ce qui suggère que le sol forestier résiste au transport du césium radioactif du sol forestier contaminé vers les corps de fruits des champignons sauvages. La présence de minéraux tels que la vermiculite, la clinoptilolite, la phlogopite et la mordenite dans le milieu gélosé a fortement réduit l’accumulation de césium 137 dans les hyphes, et elle a été réduite dans une moindre mesure par le mica, la smectite et l’illite.Les fractions mesurées de césium 137 dans les hyphes étaient plus élevées que celles calculées en supposant la règle d’additivité, ce qui suggère une accumulation de césium radioactif dans les hyphes, bien que la TF obtenue dans le mélange soit faible. » [98]

Cette étude met, ainsi, en exergue le fait que les champignons fixent le césium 137 malgré la présence de minéraux volcaniques — vermiculite, clinoptilolite, phlogopite, mordenite, mica, smectite et illite — qui constituent le premier front pour désactiver les substances radioactives dans le sol.

D’ailleurs, si les argiles volcaniques, médicinales, constituent le premier front pour désactiver les substances radioactives dans le sol, il semble sage de proposer qu’elles puissent en faire de même dans l’organisme humain avec les dérivés de graphène.

À propos des capacités des argiles de dégrader les dérivés de graphène, voir l’étude « Kaolin alleviates the toxicity of graphene oxide for mammalian cells / Les kaolins atténuent la toxicité de l’oxyde de graphène pour les cellules de mammifères » : [93]

« Le développement de nouveaux véhicules nanométriques pour l’administration de médicaments suscite un intérêt croissant pour les études d’interaction entre les nanomatériaux. Dans cet article, nous rapportons les études in vitro de la réponse physiologique des cellules eucaryotes à l’incubation avec de l’oxyde de graphène et de l’argile nano planaire de kaolin. Les matériaux de la famille du graphène, y compris l’oxyde de graphène, sont prometteurs pour de nombreuses applications en raison de leurs propriétés électroniques uniques. Cependant, l’oxyde de graphène se révèle toxique pour certaines lignées cellulaires par le biais d’un mécanisme non identifié. Par conséquent, les méthodes et les agents réduisant la toxicité de l’oxyde de graphène peuvent élargir son application pratique. Nous avons utilisé un test colorimétrique, la cytométrie en flux et des méthodes d’analyse de l’indice cellulaire pour évaluer les effets de l’application séparée et combinée de l’oxyde de graphène et du kaolin sur les cellules de mammifères. Nous avons montré que l’application conjointe d’oxyde de graphène et de kaolin réduisait les effets négatifs du graphène de près de 20 %, très probablement en raison de la coagulation des nanoparticules entre elles, qui a été détectée par microscopie à force atomique ».

Voir, également, l’étude « Effects of solution chemistry on the attachment of graphene oxide onto clay minerals » [108] :

« Avec l’augmentation de la production et la large application de l’oxyde de graphène, les particules colloïdales d’oxyde de graphène sont libérées dans le sol et les eaux souterraines, où il existe un grand nombre de particules minérales. En outre, la chimie de l’eau interstitielle (par exemple l’acide organique, la valence des cations) est un aspect négligé, mais important pour étudier de manière exhaustive le devenir de l’oxyde de graphène. Les interactions de l’oxyde de graphène avec trois minéraux argileux omniprésents (montmorillonite, kaolinite et diatomite) ont été systématiquement étudiées dans le cadre d’expériences par lots sur une large gamme de chimies de solution. En général, l’affinité pour l’oxyde de graphène est de l’ordre de la montmorillonite > kaolinite > diatomite dans les mêmes conditions d’expérience. Cette observation peut être expliquée par les caractéristiques des différents minéraux argileux, telles que la charge de surface et la surface spécifique. Les résultats indiquent que l’augmentation de la force ionique ou la diminution du pH renforcent la fixation des nanoparticules de l’oxyde de graphène sur les minéraux argileux, en raison d’interactions électrostatiques. Avec l’augmentation de la concentration de Ca2+, davantage de particules d’oxyde de graphène se fixent sur les particules de minéraux argileux. »

Il est à noter, également, que des zéolites peuvent être utilisées pour améliorer la croissance de champignons médicinaux ou en augmenter le taux d’antioxydants.

Voir les études « Addition of Zeolites to Improve the Functional Characteristics of the Hen of the Wood or Maitake Medicinal Mushroom, Grifola frondosa / Ajout de zéolites pour améliorer les caractéristiques fonctionnelles du champignon médicinal Maïtaké, Grifola frondosa » [94] ; « Zeolites as possible biofortifiers in Maitake cultivation / Les zéolithes comme biofortifiants possibles dans la culture du Maïtaké » [96] ; « Coriolus versicolor Mushroom Grown on Selenium-Rich Zeolite Tuff as a Potential Novel Food Supplemen / Champignon Coriolus versicolor cultivé sur du tuf de zéolite riche en sélénium comme nouveau complément alimentaire potentiel » [110] ; « Effect of clinoptilolite zeolite on mushroom growth / Effet de la zéolite clinoptilolite sur la croissance des champignons » [111].

Intermède fongique à propos des champignons magiques qui font danser les neurones

Pas de coïncidence : alors que je publie ce dossier volumineux portant sur les champignons médicinaux, la presse globaliste — et pathologiquement corrompue [118]prétend que le Dr Olivier Soulier est décédé d’une crise cardiaque suite à l’ingestion de champignons enthéogéniques lors d’une « transe chamanique ».

Si je puis agrémenter ce dossier, très éducatif, mais quelque peu rébarbatif, de quelques notes et témoignages personnels eu égard au Règne des Champignons médicinaux — dans le sens le plus psychoactif du terme. En effet, ce dossier — portant sur la myco-remédiation des dérivés de graphène — m’est d’autant plus agréable à rédiger que l’Épopée des Champignons Enthéogéniques nous a accompagnés durant une grande partie de notre vie. Et qu’en est-il pour vous-même ?

Je vécus ma « première expérience » de Psilocybe enchanteur, en 1978, au Népal, sur les rives du lac de Pokara — qui n’était alors qu’un tout petit village. Ce fut une expérience mémorable, car étant en cours de lecture de la « Nouvelle Grille » du neurologue et pharmacien, Henri Laborit, je me perdis quelque peu dans les méandres de mon cerveau alors très meurtri par une édu-castration sous régime fortement christo-centrique.

Trente années plus tard, en 2008, je vécus ma seconde « première expérience », mémorable, de Psilocybe enchanteur, à Gaucin, dans la Sierra de Ronda, en compagnie du Nagual et Terton, John Lash — qui m’éduqua sur le mode du sorcier Yaqui, Don Juan, se jouant de son disciple, non fabulé, Carlos Castañeda… lorsque les coyotes, ou les sangliers andalous, ricanent.

Je vécus ma troisième « première expérience », mémorable, de Psilocybe enchanteur au Costa-Rica, en janvier 2017, face au Pacifique, avec seulement quatre champignons « cubensis » — et de la glace au citron… pour délurer la barrière hématoencéphalique. Sous un soleil de plomb… si je puis me permettre cette expression saturnienne. Ce fut une illumination intense, inoubliable et solaire — tout en sachant que nous percevons le Soleil avec les yeux de Terriens que notre Mère la Terre nous a conférés. Toute illumination solaire est, ainsi, intrinsèquement, une illumination de source Gaïenne. J’ai vécu, également, une telle illumination « solaire », en novembre 2011, en plein jour, au Pérou, dans les canyons de Pisac, à 3200 m d’altitude, en compagnie de la Madre Yagé et de mon ami Ayahuasquero, et musicien, German Alberto Virguez Boscan. [64]

Les champignons de la médecine traditionnelle chinoise

Dans ce dossier, je présente diverses rubriques en fonction des études qui ont été réalisées portant sur diverses espèces de champignons comestibles, et/ou médicinaux : dégradation des dérivés de graphène, myco-remédiation générale, myco-remédiation des substances radio-actives, production de dérivés de graphène — et, même, synergie avec des dérivés de graphène pour des objectifs prétendument thérapeutiques.

Je propose également une rubrique « électronique fongique », en particulier dans le cas du Pleurote en huître, car il est prouvé que les réseaux vivants de mycélium fongique possèdent les propriétés des memristors, des oscillateurs, des condensateurs et de divers capteurs et senseurs.

Bien que cela ne soit pas l’objet précis de ce dossier fongique, j’évoque les relations de synergie entre les champignons comestibles, et/ou médicinaux, et diverses formes de zéolites.

En vérité, aujourd’hui, les champignons comestibles, et/ou médicinaux, et les diverses formes de zéolites constituent les deux premiers fronts permettant de dégrader les dérivés de graphène dans l’organisme humain — à savoir, plus généralement, dans l’organisme animal et dans les divers écosystèmes planétaires de plus en plus contaminés par les nanoparticules à base de graphène.

Morille commune. Morchella esculenta

La Morille commune a été utilisée par la Médecine traditionnelle chinoise depuis des millénaires. Elle se caractérise par des propriétés médicinales antioxydantes, anti-inflammatoires, anti-cancer, immuno-modulatrices, hypoglycémiques, athérosclérotiques, antitumorales. [1]

La Morille commune est, ainsi, mentionnée dans le Traité médical, « Ben Cao Bei Yao », rédigé en 1596 par Li Shi-Zhen. Au Japon, en Malaisie, en Inde et au Pakistan, les morilles fonctionnent comme des aphrodisiaques naturels d’après des études ethno-mycologiques. [4]

Morille commune et dégradation des dérivés de graphène

La Morille commune a été utilisée dans la dégradation de graphène :

« Graphene environmental biodegradation: Wood degrading and saprotrophic fungi oxidize few-layer graphene ». Biodégradation du graphène dans l’environnement : Des champignons saprotrophes et dégradant le bois oxydent le graphène à quelques couches. [142]

« Il est important de connaître le profil de biodégradabilité environnementale des matériaux à base de graphène afin de prédire si ces matériaux s’accumuleront dans le sol ou s’ils seront transformés par les décomposeurs primaires. Dans cette étude, du graphène à quelques couches a été exposé à des cultures axéniques vivantes et dévitalisées de deux basidiomycètes à pourriture blanche (Bjerkandera adusta et Phanerochaete chrysosporium) et d’un ascomycète saprotrophe du sol (Morchella esculenta) avec ou sans lignine, pendant une période de quatre mois… Ces résultats suggèrent que les graphènes à quelques couches involontairement libérés dans les environnements terrestres seraient probablement oxydés par la microflore du sol. »

« Can graphene resist to (white rot) fungi hunger? » [81] La Morille commune, dans cette étude, fait partie de 4 espèces de champignons à pourriture blanche qui possèdent la capacité de dégrader les dérivés de graphène.

« Ici, nous avons étudié les capacités de dégradation d’un groupe cosmopolite de décomposeurs primaires, à savoir les champignons, à l’égard des MRG. Quatre champignons à pourriture blancheont été sélectionnés parce que : (i) ils sont connus pour décomposer des molécules complexes telles que la lignine et les polluants organiques persistants d’origine anthropique et (ii) parce que chacun d’entre eux libère un ensemble diversifié d’enzymes de dégradation, par exemple la lignine — (LiP), la manganèse-peroxydase ou les laccases. »

L’auteur principal de cette étude, Fabio Candotto Carniel, a, également, publié plusieurs études sur les capacités de l’oxyde de graphène aérien de modifier la sexualité des plantes :

« Interactions of airborne graphene oxides with the sexual reproduction of a model plant: When production impurities matter ». [82]

« Is airborne graphene oxide a possible hazard for the sexual reproduction of wind-pollinated plants? ». [90]

« The Interaction of Graphene Oxide with the Pollen−Stigma System: In Vivo Effects on the Sexual Reproduction of Cucurbita pepo L ». [76]

Shiitake. Lentinula edodes

Le Shiitake est réputé, depuis des millénaires, pour ses qualités antioxydantes, anti-microbiennes, anti-inflammatoires, anti-cancérigènes, anti-tumeurs, anti-caries, immuno-modulatrices, hépato-protectrices, réno-protectrices, anti-thrombotiques, anti-hypertensives, hypo-cholestérolémiques, anti-athérosclérotiques, nématocides, etc.

Shiitake et dégradation des dérivés de graphène

« Lentinan greatly enhances the dispersibility of single-walled carbon nanotubes in water and decreases the cytotoxicity ». 2013. Le lentinan améliore considérablement la dispersibilité des nanotubes de carbone monoparois dans l’eau et diminue leur cytotoxicité.

Shiitake en synergie avec des dérivés de graphène pour des fonctions prétendument thérapeutiques

« A carbon nanotube-gemcitabine-lentinan three-component composite for chemo-photothermal synergistic therapy of cancer ». Composite à trois composants à base de nanotubes de carbone, de gemcitabine et de lentinan pour une thérapie synergique chimio-photothermique du cancer. [13]

« Lentinan-Modified Carbon Nanotubes as an Antigen Delivery System Modulate Immune Response in Vitro and in Vivo ». Les nanotubes de carbone, modifiés par le lentinan en tant que système d’administration d’antigènes, modulent la réponse immunitaire in vitro et in vivo. [15]

Shiitake et myco-remédiation

Selon une étude Française, « Potentiels antioxydants et anti-inflammatoires de sporophores de Lentinula edodes (Shiitake) sous différentes conditions de culture » :

« Cette étude préliminaire montre que les conditions de culture du Shiitake (bio et non bio) n’influencent pas son potentiel antioxydant et anti-inflammatoire in vitro. » [19]

Si, effectivement, le Shiitake est tout autant médicinal quelles que soient ses conditions de culture (en bio ou non), il reste qu’il peut être extrêmement contaminé par une pléthore de polluants présents dans les milieux de culture (pesticides, cadmium, antibiotiques, etc).

Un certain nombre d’études ont été réalisées portant sur les capacités de myco-remédiation du Shiitake afin d’éliminer, de l’environnement, ce que l’on appelle des xénobiotiques : antibiotiques, antimycosiques, testostérones synthétiques, pesticides, herbicides, cadmium, teintures industrielles, hydrocarbures polyaromatiques, etc.

Une étude s’est portée sur l’identité de la protéine responsable, chez le Shiitake, de la fixation du cadmium. [5]

« De nombreux organismes ont la capacité de produire des protéines liant les métaux afin d’absorber le cadmium. Les métallothionéines, une famille importante de protéines de liaison aux métaux riches en cystéine, ont été isolées et bien caractérisées. Cependant, Lentinula edodes pourrait avoir un type différent de protéine liant le cadmium qui contient moins de résidus de cystéine… Pour tenter de déterminer l’identité de cette protéine, ils l’ont analysée par chromatographie nano-liquide et spectrométrie de masse en tandem. Cette analyse a révélé qu’il s’agissait d’une protéine auparavant inconnue, composée de 220 acides aminés, dont aucun n’était de la cystéine, ce qui signifie qu’il ne s’agit pas d’une métallothionéine. Elle ne ressemble pas non plus aux autres protéines liant le cadmium qui ont été découvertes jusqu’à présent. »

Source du croquis. Immunomodulatory Properties of Polysaccharides from Lentinula edodes. [11]

Voici quelques études mettant en exergue les capacités de myco-remédiation du Shiitake.

« Degradation pathway of cephalosporin antibiotics by in vitro cultures of Lentinula edodes and Imleria badia ». Voie de dégradation des antibiotiques céphalosporines par des cultures in vitro de Lentinula edodes et Imleria badia. [6]

« Feasibility of the use of Lentinula edodes mycelium in terbinafine remediation ». Faisabilité de l’utilisation du mycélium de Lentinula edodes dans la remédiation de la terbinafine. [9]

« Analysis of the biodegradation of synthetic testosterone and 17α-ethynylestradiol using the edible mushroom Lentinula edodes ». Analyse de la biodégradation de la testostérone synthétique et du 17α-éthynylestradiol à l’aide du champignon comestible Lentinula edodes. [12]

« Mycoremediation of azole antifungal agents using in vitro cultures of Lentinula edodes ». Mycoremédiation des antifongiques azolés à l’aide de cultures in vitro de Lentinula edodes. [2]

« Biodegradation of 2,4-dichlorophenol by shiitake mushroom (Lentinula edodes) using vanillin as an activator ». Biodégradation du 2,4 — dichlorophénol par le champignon shiitake (Lentinula edodes) en utilisant la vanilline comme activateur. [18]

« Comparative secretomic analysis of lignocellulose degradation by Lentinula edodes grown on microcrystalline cellulose, lignosulfonate and glucose ». Analyse secrétomique comparative de la dégradation de la lignocellulose par Lentinula edodes cultivée sur de la cellulose microcristalline, du lignosulfonate et du glucose. [7]

« Lentinula edodes Mycelium as Effective Agent for Piroxicam Mycoremediation ». Le mycélium de Lentinula edodes comme agent efficace pour la mycoremédiation du piroxicam. [10]

« Sugarcane bagasse degradation and characterization of three white-rot fungi ». Dégradation de la bagasse de canne à sucre et caractérisation de trois champignons de la pourriture blanche. [3]

« Lignocellulose degradation pattern and structural change of the sawdust substrate and enzyme secretion by Lentinula edodes during its production ». Schéma de dégradation de la lignocellulose et changement structurel du substrat de la sciure de bois et sécrétion d’enzymes par Lentinula edodes au cours de sa production. [14]

« Molecular mechanism underlying cadmium tolerance differentiation in Lentinula edodes as revealed by mRNA and milRNA analyses ». Mécanisme moléculaire sous-jacent à la différenciation de la tolérance au cadmium chezLentinula edodes, révélé par des analyses de l’ARNm et de l’ARNm. [16]

« The activation and extraction systems using organic acids and Lentinus edodes to remediate cadmium contaminated soil ». Systèmes d’activation et d’extraction utilisant des acides organiques etLentinus edodes pour remédier aux sols contaminés par le cadmium. [22]

Reishi, Ganoderma lucidum

Le Reishi — selon la dénomination japonaise — a été utilisé pour soigner le diabète, les inflammations, l’épilepsie, la neurodégénérescence, les cancers, les tumeurs, les infections microbiennes, l’anxiété, les maladies cardio-vasculaires, la dépression, les maladies hépatiques, les maladies métaboliques, la sénescence et les troubles immunitaires.

En Chine, le Reishi est dénommé « Lingzhi » et, en Corée, « Mannentake ».

C’est l’une des substances primordiales de la Médecine traditionnelle chinoise. « Lingzhi est un roi miraculeux des herbes » selon le Traité Médical « Shen Nong Ben Cao Jing » — datant de la création de la dynastie Qin en 221-206 avant EC.

Reishi et protection à l’encontre de la toxicité électromagnétique

Il existe diverses études portant sur les capacités de radio-protection du Reishi dont, une très ancienne, date de 1999.

« Use of Ganoderma lucidum (Ganodermataceae, Basidiomycota) as Radioprotector ». Utilisation de Ganoderma lucidum (Ganodermataceae, Basidiomycota) comme radioprotecteur. [33]

Depuis des millénaires, les naturopathes et les médecins utilisent le Ganoderma lucidum (champignon reishi) pour ses diverses propriétés thérapeutiques, comme en témoigne la plus ancienne encyclopédie chinoise sur les plantes médicinales. En effet, un effet radioprotecteur a été rapporté dans les composants isolés de ses extraits. Une revue systématique et des méta-analyses (PRISMA) ont été réalisées en mars 2020, en consultant des bases de données telles que PubMed, Scopus, Embase et Google Scholar, ainsi que Clinical Trials. Les critères d’inclusion étaient les études ex vivo, in vitro et in vivo, avec des textes complets en anglais, menées pour déterminer les avantages radioprotecteurs de Ganodermalucidum, ou des rapports dans lesquels des rayonnements ionisants ont été utilisés. Sur un total de 1109 enregistrements identifiés, 15 articles en texte intégral étaient éligibles, aucun d’entre eux n’étant un essai clinique. Des études in vivo révèlent l’efficacité des extraits aqueux de polysaccharides et de triterpènes de Ganodermalucidum chez des souris exposées aux rayons γ. Dans les plasmides, ils peuvent réduire les dommages causés par les radiations en augmentant la forme circulaire ouverte, ainsi qu’en augmentant l’extension de l’ADN, comme l’ont montré des études in vitro. Des études ex vivo menées sur des cellules sanguines humaines montrent l’effet radioprotecteur du β-glucane de l’extrait aqueux de Ganodermalucidum, mais sa mise en œuvre en tant que radioprotecteur chez l’homme doit encore faire l’objet d’études cliniques.

« Protection of radiation induced DNA and membrane damages by total triterpenes isolated from Ganoderma lucidum ». Protection de l’ADN et des dommages membranaires induits par les radiations grâce à des triterpènes totaux isolés de Ganoderma lucidum. [37]

« Ganoderma lucidum extract protects DNA from strand breakage caused by hydroxyl radical and UV irradiation ». L’extrait de Ganoderma lucidum protège l’ADN de la rupture des brins causée par le radical hydroxyle et l’irradiation UV. 1999. [36]

« Prevention of radiation-induced damages by aqueous extract of Ganoderma lucidum occurring in southern parts of India ». Prévention des dommages induits par les radiations grâce à un extrait aqueux de Ganoderma lucidum présent dans les régions méridionales de l’Inde. [38]

« Fungal beta glucan protects radiation induced DNA damage in human lymphocyte ». Le bêta-glucane fongique, de Ganoderma lucidum, protège les dommages à l’ADN induits par les radiations dans les lymphocytes humains. [41]

Plus de 140 triterpénoïdes ont été isolés. [8]

Reishi et production de dérivés de graphène

Le Reishi peut être utilisé pour réduire l’oxyde de graphène ou pour synthétiser de l’oxyde de graphène réduit : « Exceedingly biocompatible and thin-layered reduced graphene oxide nanosheets using an eco-friendly mushroom extract strategy » [23]. « Microwave-Assisted Biogenic Synthesis of Metal-Decorated Reduced Graphene Oxide and their Electrochemical Properties ». [20] « An in vitro evaluation of graphene oxide reduced by Ganoderma spp. in human breast cancer cells (MDA-MB-231) ». [55]

Il peut être, également, utilisé pour synthétiser des points quantiques de carbone. « Ganoderma lucidum bran-derived blue-emissive and green-emissive carbon dots for detection of copper ions » [27]. « Visual detection of G-quadruplex with mushroom derived highly fluorescent carbon quantum dots ». [26] « A novel fluorescent nitrogen, phosphorus-doped carbon dots derived from Ganoderma Lucidum for bioimaging and high selective two nitrophenols detection ». [35]

Ou du carbone poreux : « Green conversion of Ganoderma lucidum residues to electrode materials for supercapacitors ». [30] « Preparation and electrochemical application of porous carbon materials derived from extraction residue of Ganoderma lucidum ». Préparation et application électrochimique de matériaux de carbone poreux dérivés du résidu d’extraction de Ganoderma lucidum. [40] « Biomass-derived carbon from Ganoderma lucidum spore as a promising anode material for rapid potassium-ion storage ». [39] « Three-dimensional honeycomb-like porous carbon derived from Ganoderma lucidum spore for high-performance electrochemical capacitors ». [43]

Reishi en synergie avec des dérivés de graphène pour sa culture

Les scientifiques déments ont recours au graphène pour cultiver le Reishi. « Effects of different graphene-based nanomaterials as elicitors on growth and ganoderic acid production by Ganoderma lucidum ». [17]

Les résultats ont montré que l’élicitation de Ganoderma lucidum avec de l’oxyde de graphène et de l’oxyde de graphène réduit a légèrement diminué le poids sec des cellules et la production d’acide ganodérique, en particulier à des concentrations plus élevées. Cependant, le nanocomposite rGO/Fe3O4 n’a pas affecté négativement la croissance cellulaire et a amélioré la production d’acide ganodérique. Le taux de croissance de Ganoderma lucidum a réagi différemment aux expériences d’élicitation et dépendait du type de nanomatériaux et de leurs concentrations, mais presque tous les matériaux à base de graphène ont provoqué une augmentation de la teneur en acide ganodérique (mg/100 mg de poids sec).

Reishi en synergie avec des dérivés de graphène pour des fonctions prétendument thérapeutiques

« Ganoderenic acid D-loaded functionalized graphene oxide-based carrier for active targeting therapy of cervical carcinoma ». Support à base d’oxyde de graphène fonctionnalisé chargé d’acide ganodérénique D pour une thérapie ciblée active du carcinome du col de l’utérus. [21]

« In-situ surface functionalization of superparamagnetic reduced graphene oxide – Fe3O4 nanocomposite viaGanoderma Lucidum extract for targeted cancer therapy application ». Fonctionnalisation de surface in situ de nanocomposites superparamagnétiques d’oxyde de graphène réduit — Fe3O4 par l’intermédiaire d’un extrait de Ganoderma Lucidum pour une application thérapeutique ciblée contre le cancer. [32]

Reishi et myco-remédiation

Le Reishi a été utilisé pour la dégradation de teintures industrielles, ou autres polluants, en synergie avec des nanotubes de carbone. « Enzymatic extract containing lignin peroxidase immobilized on carbon nanotubes: Potential biocatalyst in dye decolourization ». [24] « Nutrient removal from biogas slurry and biogas upgrading by microalgae-fungi-bacteria co-cultivation under different carbon nanotubes concentration ». [25]

« Biodegradation of phenanthrene and pyrene by Ganoderma lucidum ». Biodegradation of phenanthrene and pyrene by Ganoderma lucidum. [28]

« Development of efficient strain of Ganoderma lucidum for biological stripping of cotton fabric dyed Reactive Blue 21 ». Développement d’une souche efficace de Ganoderma lucidum pour le décapage biologique des tissus de coton teints en bleu réactif 21. [29]

« Natural triterpenoids of Ganoderma lucidum as new, green, and effective corrosion inhibitor for steel in acidic medium: characterization, experimental and theoretical investigations ». Les triterpénoïdes naturels de Ganoderma lucidum comme nouvel inhibiteur de corrosion vert et efficace pour l’acier en milieu acide : caractérisation, investigations expérimentales et théoriques. [31]

« Expression and characteristics of manganese peroxidase from Ganoderma lucidum in Pichia pastoris and its application in the degradation of four dyes and phenol ». Expression et caractéristiques de la manganèse peroxydase de Ganoderma lucidum dans Pichia pastoris et son application dans la dégradation de quatre colorants et du phénol. [34]

« Vital Conditions to Remove Pollutants from Synthetic Wastewater Using Malaysian Ganoderma lucidum ». Conditions vitales pour éliminer les polluants des eaux usées synthétiques à l’aide de Ganoderma lucidum de Malaisie. [53]

« Comparative study on degradation of norfloxacin and ciprofloxacin by Ganoderma lucidum JAPC1 ». Étude comparative de la dégradation de la norfloxacine et de la ciprofloxacine par le Ganoderma lucidum JAPC1. [47]

« Ability of Agaricus bisporus, Pleurotus ostreatus and Ganoderma lucidum compost in biodegradation of petroleum hydrocarbon-contaminated soil ». Capacité du compost d’Agaricus bisporus, de Pleurotus ostreatus et de Ganoderma lucidum à biodégrader un sol contaminé par des hydrocarbures pétroliers. [48]

« Biodegradation of polycyclic aromatic hydrocarbons by native Ganoderma sp. strains: identification of metabolites and proposed degradation pathways ». Biodégradation d’hydrocarbures aromatiques polycycliques par des souches natives de Ganoderma sp. : identification des métabolites et voies de dégradation proposées. [52]

Il existe même une étude, intitulée « Enzymatic extract containing lignin peroxidase immobilized on carbon nanotubes: Potential biocatalyst in dye decolourization/Extrait enzymatique contenant de la lignine peroxydase immobilisée sur des nanotubes de carbone : Biocatalyseur potentiel pour la décoloration des colorants » qui a recours à Pleurotus ostreatus et Ganoderma lucidum en synergie avec des nanotubes de carbone pour dégrader des teintures végétales. [54]

Reishi et « Électronique fongique »

« Influence of Humidity on the Acoustic Properties of Mushroom Mycelium Films Used as Sensitive Layers for Acoustic Humidity Sensors / Influence de l’humidité sur les propriétés acoustiques des films de mycélium de champignon utilisés comme couches sensibles pour les capteurs acoustiques d’humidité. » [85]

Hydne hérisson, Hericium erinaceus

L’Hydne hérisson a été utilisé, médicinalement, eu égard à ses capacités antioxydantes, anti-diabétiques, anti-cancéreuses, anti-inflammatoires, anti-microbiennes, anti-hyperglycémiques, anti-dépressives, gastro-protectrices, immuno-modulatrices, neuro-protectrices et hypo-lipidémiques.

L’Hydne hérisson est dénommé « Yamabushitake » au Japon et « Shishigashira » et « Houtou » en Chine. C’est l’une des substances primordiales de la Médecine traditionnelle chinoise.

« L’Hericium a été testé dans plusieurs applications, telles que la démence, la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, la neuropathie et la neurasthénie. Les anciens Chinois connaissaient ces possibilités et l’utilisaient pour soutenir les fonctions mentales et la mémoire, la concentration. » [56]

Hydne hérisson et production de dérivés de graphène… et d’Hydrogels Magnétiques

L’Hydne hérisson peut être utilisé pour synthétiser du carbone poreux : « Biomass-derived O, N-codoped hierarchically porous carbon prepared by black fungus and Hericium erinaceus for high performance supercapacitor ». Carbone poreux hiérarchique codé O, N dérivé de la biomasse et préparé par un champignon noir et Hericium erinaceus pour un supercondensateur à haute performance. [59]

Il est à noter qu’Hericium erinaceus a été utilisé pour élaborer des hydrogels et, surtout, des hydrogels magnétiques — et même « verts » (eco-friendly) — à partir de sa chitine.

« Green magnetic hydrogels synthesis, characterization and flavourzyme immobilization based on chitin from Hericium erinaceus residue and polyvinyl alcohol » (2019). [51]

« Magnetic sensitive Hericium erinaceus residue chitin/Cu hydrogel nanocomposites for H2generation by catalyzing NaBH4hydrolysis ». 2020 [42]

« Magnetic chitin hydrogels prepared from Hericium erinaceus residues with tunable characteristics: A novel biosorbent for Cu2+ removal ». Avec des caractéristiques modulables. 2020. [50]

« Smart pH/magnetic sensitive Hericium erinaceus residue carboxymethyl chitin/Fe3O4nanocomposite hydrogels with adjustable characteristics ». 2020. [44]

Hydne hérisson en synergie avec des dérivés de graphène pour des fonctions prétendument thérapeutiques

« Multi-walled carbon nanotube polysaccharide modified Hericium erinaceus polysaccharide as an adjuvant to extend immune responses / Polysaccharide d’Hericium erinaceus modifié par des nanotubes de carbone multi-parois comme adjuvant pour prolonger les réponses immunitaires ». [58]

Hydne hérisson et myco-remédiation

« Detoxification of Olive Mill Wastewater and Bioconversion of Olive Crop Residues into High-Value-Added Biomass by the Choice Edible Mushroom Hericium erinaceus ». Détoxification des eaux usées des moulins à olives et bioconversion des résidus de cultures d’olives en biomasse à haute valeur ajoutée par le champignon comestible de choix Hericium erinaceus. [57]

« Application of Bio-speckles Fordetection of Biodegradation of Plastic Polymers by the Basidiomycetous mushroom Hericium erinaceus / Application des bio-spécifications pour la détection de la biodégradation des polymères plastiques par le champignon basidiomycèteHericium erinaceus ». [49]

Pleurote en huître, Pleurotus ostreatus

Le Pleurote en huître possède des qualités médicinales qui ont été validées par des études pharmacologiques : anti-cancérigènes [60] [62], antitumorales [65], gastro-protectrices [61], antioxydantes [63] [107], neuro-protectrices [66], anti-athérosclérotiques [67], anti-hyperlipidémiques [68], anti-inflammatoires [70], anti-leucémiques [73], néphro-protectrices [72], anti-diabétiques [84], hépato-protectrices [97], nématocides [83], anti-parasitaires [100], anti-bactériennes [101], anti-arthritiques [104], etc.

Le Pleurote en huître fait, également, partie intégrante de la Médecine traditionnelle chinoise.

Pleurote en huître et dégradation des dérivés de graphène

« Ligninolytic activity of the Penicillium chrysogenum and Pleurotus ostreatus fungi involved in the biotransformation of synthetic multi-walled carbon nanotubes modify its toxicity / L’activité ligninolytique des champignons Penicillium chrysogenum et Pleurotus ostreatus impliquésdans la biotransformation de nanotubes de carbone multi-parois synthétiques modifie sa toxicité ». [74]

« Uptake, translocation and toxicity of fluorescent carbon dots in oyster mushroom (Pleurotus ostreatus) / Absorption, translocation et toxicité de points de carbone fluorescents dans le pleurote (Pleurotus ostreatus) ». [109]

Pleurote en huître et production de dérivés de graphène

« Live Cell Imaging With Biocompatible Fluorescent Carbon Quantum Dots Derived From Edible Mushrooms Agaricus bisporus, Pleurotus ostreatus, and Suillus luteus. /Imagerie de cellules vivantes avec des points quantiques de carbone fluorescent biocompatibles dérivés de champignons comestibles Agaricus bisporus, Pleurotus ostreatus et Suillus luteus ». [77]

Une protéine du Pleurote en huître est utilisée pour confectionner du graphène, à plusieurs couches, selon l’étude « In Situ Production of Biofunctionalized Few-Layer Defect-Free Microsheets of Graphene ». [141]

Pleurote en huître et myco-remédiation

« Mycoremediation of PCBs by Pleurotus ostreatus: Possibilities and Prospects / Mycoremédiation des PCB par Pleurotus ostreatus : Possibilités et perspectives ». [106]

« Green Biotechnology of Oyster Mushroom (Pleurotus ostreatus L.): À Sustainable Strategy for Myco-Remediation and Bio-Fermentation Biotechnologie verte du pleurote (Pleurotus ostreatus L.) : Une stratégie durable pour la myco-remédiation et la biofermentation. » [95]

« Characteristics of uranium biosorption from aqueous solutions on fungus Pleurotus ostreatus. /Caractéristiques de la biosorption de l’uranium des solutions aqueuses par le champignonPleurotus ostreatus. » [86]

« Ability of Agaricus bisporus, Pleurotus ostreatus and Ganoderma lucidum compost in biodegradation of petroleum hydrocarbon-contaminated soil ». Capacité du compost d’Agaricus bisporus, de Pleurotus ostreatus et de Ganoderma lucidum à biodégrader un sol contaminé par des hydrocarbures pétroliers. [48]

« Investigating the potential of sunflower species, fermented palm wine and Pleurotus ostreatus for treatment of petroleum-contaminated soil / Étude du potentiel des espèces de tournesol, du vin de palme fermenté et de Pleurotus ostreatus pour le traitement des sols contaminés par le pétrole ». [91]

« Comparative evaluation of the efficiency of low-cost adsorbents and ligninolytic fungi to remove a combination of xenoestrogens and pesticides from a landfill leachate and abate its phytotoxicity / Évaluation comparative de l’efficacité d’adsorbants bon marché et de champignons ligninolytiques pour éliminer une combinaison de xénoestrogènes et de pesticides du lixiviat d’une décharge et réduire sa phytotoxicité ». [99]

« Comparative transcriptome analysis reveals the differential response to cadmium stress of two Pleurotus fungi: Pleurotus cornucopiae and Pleurotus ostreatus. /L’analyse comparative du transcriptome révèle la réponse différentielle au stress du cadmium de deux champignons Pleurotus : Pleurotus cornucopiae et Pleurotus ostreatus. » [78]

« Effect of Pleurotus ostreatus and Trametes versicolor on triclosan biodegradation and activity of laccase and manganese peroxidase enzymes. /Effet de Pleurotus ostreatus et de Trametes versicolor sur la biodégradation du triclosan et sur l’activité des enzymes laccase et manganèse peroxydase ». [79]

« Application of Pleurotus ostreatus to efficient removal of selected antidepressants and immunosuppressant. /Application de Pleurotus ostreatus à l’élimination efficace d’une sélection d’antidépresseurs et d’immunosuppresseurs ». [80]

« Transformation of lamotrigine by white-rot fungus Pleurotus ostreatus. /Transformation de la lamotrigine par le champignon de la pourriture blanche Pleurotus ostreatus ». [87]

« Detoxification of ochratoxin A and zearalenone by Pleurotus ostreatus during in vitro gastrointestinal digestion / Détoxification de l’ochratoxine A et de la zéaralénone par Pleurotus ostreatus au cours de la digestion gastro-intestinale in vitro ». [88]

« Laccase production by Pleurotus ostreatus using cassava waste and its application in remediation of phenolic and polycyclic aromatic hydrocarbon-contaminated lignocellulosic biorefinery wastewater. /Production de laccase par Pleurotus ostreatus à partir de déchets de manioc et application à la remédiation des eaux usées de bioraffineries lignocellulosiques contaminées par des hydrocarbures phénoliques et aromatiques polycycliques. » [89]

« Biodegradation of endocrine disruptors in urban wastewater using Pleurotus ostreatus bioreactor / Biodégradation des perturbateurs endocriniens dans les eaux usées urbaines à l’aide du bioréacteur Pleurotus ostreatus »

Diverses études de 2013 ont mis en valeur les capacités de bio-remédiation de diverses autres espèces de Pleurote : Pleurotus eryngii, le Pleurote de panicaut ; Pleurotus pulmonarius, le Pleurote pulmonaire ; Pleurotus cornucopiae, le Pleurote cornucopié ; ainsi que Pleurotus florida, Pleurotus sajor-caju et Pleurotus flabellatus. [143]

Pleurote en huître et « Électronique fongique »

Il est prouvé que les réseaux vivants de mycélium fongique possèdent les propriétés des memristors, des oscillateurs, des condensateurs et de divers capteurs et senseurs. Voir l’étude, de février 2022, « Fungal electronics ». [92]

Voir, également, l’étude, d’avril 2023, « Propagation of electrical signals by fungi ». :

« Il est prouvé que les réseaux vivants de mycélium fongique possèdent les propriétés des memristors, des condensateurs et de divers capteurs. Pour faire progresser nos conceptions en matière d’électronique fongique, nous devons évaluer la manière dont les signaux électriques peuvent être propagés à travers les réseaux de mycélium. Nous étudions la capacité des composites liés au mycélium à véhiculer des signaux électriques, permettant ainsi la transmission d’informations modulées en fréquence. Les réseaux de mycélium se sont révélés capables de transférer de manière fiable des signaux avec une fréquence récupérable comparable à l’entrée, dans la gamme de fréquences de 100 Hz à 10 000 Hz. » [102]

Par exemple, une étude très récente, de décembre 2022, « Electrical frequency discrimination by fungi Pleurotus ostreatus »,a investigué la capacité de discrimination de Pleurotus ostreatus eu égard aux fréquences électromagnétiques. [71]

« L’électronique fongique vise à concevoir des dispositifs bioélectroniques avec des réseaux vivants de mycélium fongique et propose des conceptions nouvelles et originales de systèmes de traitement de l’information et du signal. Nous avons déjà démontré que nous sommes parvenus à mettre en œuvre des memristors, des oscillateurs, des photocapteurs, des capteurs de pression, des capteurs chimiques et des circuits logiques booléens avec des réseaux de mycélium vivant. En raison de la réponse électrique non linéaire des tissus fongiques, ils conviennent parfaitement à la transformation des signaux alternatifs à basse fréquence. Cet article est consacré aux discriminateurs et transformateurs de fréquence, qui constituent une contribution significative au domaine de l’électronique fongique.

Dans cette étude, nous stimulons les réseaux mycéliens du champignon Pleurotus ostreatus avec des signaux électriques sinusoïdaux de basse fréquence. Nous démontrons que les réseaux fongiques peuvent discriminer les fréquences d’une manière floue ou basée sur un seuil.Des détails sur le mélange des fréquences par les réseaux mycéliens sont fournis. Les résultats font progresser le nouveau domaine de l’électronique fongique et ouvrent la voie à la conception de dispositifs électroniques vivants et entièrement recyclables. »

Autres Champignons lignolytiques et saprotrophiques : Mérule tremblante (Phlebia tremellosa), Polypore versicolore(Trametes versicolor) etPhanerochaete chrysosporium.

Voici quelques études qui mettent en exergue les capacités de quelques autres espèces de champignons lignolytiques et saprotrophiques eu égard à la dégradation des nanomatériaux à base de graphène.

Dégradation des dérivés de graphène

« Environmental biodegradability of single-walled carbon nanotubes by Trametes versicolor and natural microbial cultures found in New Bedford Harbor sediment and aerated wastewater treatment plant sludge / Biodégradabilité environnementale de nanotubes de carbone monoparois par Trametes versicolor et des cultures microbiennes naturelles trouvées dans les sédiments du port de New Bedford et dans les boues aérées des stations d’épuration des eaux usées ». [116]

« Biotransformation of Pristine and Oxidized Carbon Nanotubes by the White Rot Fungus Phanerochaete chrysosporium ». [124]

Les nanomatériaux de carbone sont aujourd’hui largement étudiés et appliqués, et leur production annuelle augmente. Après avoir pénétré dans l’environnement, la dégradation complète de ces nanomatériaux de carbone par des micro-organismes est proposée comme une approche efficace pour la détoxification et l’assainissement. Dans cette étude, nous avons évalué la dégradation des nanotubes de carbone multiparois vierges et des nanotubes de carbone multiparois oxydés par le champignon de la pourriture blanche Phanerochaete chrysosporium, qui est un puissant décomposeur dans le cycle du carbone et l’assainissement de l’environnement… L’ensemble des résultats indique que les nanotubes de carbone multiparois peuvent être transformés par Phanerochaetechrysosporium, mais qu’une dégradation complète ne peut être obtenue dans un court laps de temps. Les implications sur les risques environnementaux des nanomatériaux de carbone sont discutées.

« Oxidative enzymatic response of white-rot fungi to single-walled carbon nanotubes ». [120] Trametes versicolor (le Polypore versicolore) et Phlebia tremellosa (la Mérule tremblante).

Cette étude examine la réponse enzymatique de la peroxydase et de la laccase des champignons saprotrophes de la pourriture blanche Trametes versicolor et Phlebia tremellosa lorsqu’ils sont exposés à des nanotubes de carbone à simples parois de pureté et de chimie de surface différentes dans des conditions de croissance différentes. Les nanotubes de carbone à simples parois non purifiés et riches en catalyseurs métalliques ainsi que les nanotubes de carbone à simples parois purifiés et carboxylés ont entraîné des changements significatifs dans l’activité enzymatique oxydative des champignons, alors que les nanotubes de carbone à simples parois vierges ne l’ont pas fait. Ces résultats suggèrent que la fonctionnalisation des nanotubes de carbone à simples parois purifiés est essentielle pour réguler les enzymes qui peuvent être capables de décomposer les nanotubes de carbone dans l’environnement.

« Enzymatic degradation of oxidized and reduced graphene nanoribbons by lignin peroxidase ». 2014. [113] Dégradation enzymatique de nanorubans de graphène oxydés et réduits par la lignine peroxydase des champignons de pourriture blanche.

L’utilisation généralisée du graphène pour diverses applications industrielles et biomédicales nécessite des stratégies d’assainissement efficaces lors de son élimination dans les flux de déchets. En outre, les interactions du graphène avec le biote doivent faire l’objet d’une évaluation approfondie. Dans cette étude, nous avons étudié les interactions de nanorubans d’oxyde de graphène oxydés et réduits avec la lignine peroxydase, une enzyme ligninolytique libérée par le champignon de la pourriture blanche. Les nanorubans d’oxyde de graphène oxydés et réduits ont été traités avec la lignine peroxydase en présence et en l’absence d’alcool vératrylique (un médiateur de transfert d’électrons et un métabolite secondaire des champignons de la pourriture blanche). La microscopie électronique à transmission a montré la formation de grands défauts (trous) dans la feuille de graphène, dont le diamètre augmente avec le temps de dégradation. L’analyse spectroscopique Raman a indiqué que, dans les 96 heures, en présence de peroxyde d’hydrogène et d’alcool vératrylique, les nanorubans d’oxyde de graphène oxydés et réduits étaient respectivement complètement et partiellement dégradés par la lignine peroxydase. Les comparaisons entre les groupes avec ou sans lignine peroxydase ont montré que la dégradation des nanorubans d’oxyde de graphène oxydés était accélérée en présence d’alcool vératrylique. Ces résultats indiquent que la lignine peroxydase peut dégrader efficacement les nanorubans d’oxyde de graphène oxydés et réduits en présence d’alcool vératrylique, ce qui suggère que l’alcool vératrylique peut être un facteur essentiel nécessaire à la dégradation des nanorubans d’oxyde de graphène réduits par le traitement à la lignine peroxydase. Ainsi, la présence importante de champignons de pourriture blanche, et donc de lignine peroxydase, dans la nature, pourrait conduire à une dégradation efficace du graphène présent dans l’environnement. En outre, la lignine peroxydase, qui a un potentiel redox théorique plus élevé que les peroxydases de raifort et les myéloperoxydases, pourrait être un meilleur candidat pour la remédiation environnementale du graphène.

« White-rot basidiomycete-mediated decomposition of C60 fullerol / Décomposition du fullerol C60 par les basidiomycètes de la pourriture blanche ». [117]

Production des dérivés de graphène

« Porous Carbon Sponge from White-Rot Fungus Phanerochaete chrysosporium for the Removal of Oils and Organic Solvents / Éponge de carbone poreux provenant du champignon Phanerochaete chrysosporium pour l’élimination des huiles et des solvants organiques ». [103]

« Fungal transformation of graphene by white rot fungus Phanerochaete chrysosporium ». [100] Transformation fongique du graphène par le champignon de la pourriture blanche Phanerochaete chrysosporium.

En résumé, les résultats de transformation rapportés ont montré l’oxydation efficace de l’oxyde de graphène réduit dans les systèmes de culture de Phanerochaete chrysosporium, avec un degré de dégradation beaucoup plus faible que les résultats de la littérature dans les systèmes de Fenton et de peroxydase. La transformation fongique de l’oxyde de graphène réduit est principalement due à l’oxydation enzymatique et se manifeste par l’ajout d’atomes d’oxygène au squelette du graphène. Les oxydes de graphène réduits enveloppés dans les billes fongiques ont subi une transformation plus importante que ceux précipités dans le milieu de culture.

« Laccase-Functionalized Graphene Oxide Assemblies as Efficient Nanobiocatalysts for Oxidation Reactions / Assemblages d’oxyde de graphène fonctionnalisés par la laccase comme nanobiocatalyseurs efficaces pour les réactions d’oxydation ». [125]

Myco-remédiation

Le Polypore versicolore, Trametes versicolor, possède les capacités de dégrader un certain nombre de polluants environnementaux : pesticides et autres biocides agricoles (chlorpyrifos, dicofol, imiprothrine, cyperméthrine, carbofuran, oxytétracycline) [106] [119], les bisphénols [99], les phénols, parabènes et phtalates [101], les teintures industrielles [102], etc.

La Mérule tremblante,Phlebia tremellosa — ainsi que d’autres espèces dans le genre Phlebia — possèdent, également, les capacités de dégrader un certain nombre de polluants environnementaux : les phtalates [103], les pesticides [104], les teintures industrielles [105], etc.

Phanerochaete chrysosporium possède des capacités de dissoudre les hydrocarbures aromatiques polycycliques [95] ainsi que divers polluants environnementaux. [110] [111] [112]

Toxicité des dérivés de graphène pour la production de champignons

« Toxicity of graphene oxide to white rot fungus Phanerochaete chrysosporium / Toxicité de l’oxyde de graphène pour le champignon de la pourriture blanche Phanerochaete chrysosporium ». [105]

« Toxicity of carbon nanotubes to white rot fungus Phanerochaete chrysosporium / Toxicité des nanotubes de carbone pour le champignon de la pourriture blanche Phanerochaete chrysosporium ». [122]

Liste d’autres espèces de champignons utilisés en myco-remédiation

  • Pleurotus eryngii. Le Pleurote de panicaut
  • Pleurotus pulmonarius. Le Pleurote pulmonaire
  • Pleurotus cornucopiae. Le Pleurote cornucopié
  • Flammulina velutipes. Le Collybie à pied velouté. « Enokitaké » en Japonais.
  • Agaricus subrufescens. « Jisongrong » en Chinois ou « Himematsutaké » en Japonais
  • Agaricus bisporus. L’Agaric bispore
  • Stropharia rugosoannulata. La Strophaire à anneau rugueux
  • Clitocybe geotropa sp . maxima. La Clitocybe géotrope
  • Schizophyllum commune. Le Schizophylle commun
  • Coprinus comatus. Le Coprin chevelu
  • Lentinus tigrinus. Le Lentin tigré
  • Trichaptum laricinum. La Tramète du mélèze
  • Bjerkandera adusta. La Tramète brûlée
  • Phlebia tremellosa. La Mérule tremblante
  • Inonotus hispidus. Le Polypore hérissé
  • Galerina vittiformis, Pleurotus tuberregium, Pleurotus florida, Pleurotus sapidus, Marasmius cladophyllus, Lentinus squarrosulus, Hebeloma cylindrosporum, Deconica castanella, Moniliophthora roreri, Moniliophthora roreri



Les bizarreries de Marburg

[Source : neosante.eu]

[Illustration : PHOTO THOMAS W. GEISBERT, UNIVERSITÉ DU TEXAS, VIA ARCHIVES DU NEW YORK TIMES]

Par Yves Rasir

Les paris sont ouverts : Marburg ou grippe aviaire ? Dans ma lettre du 29 mars, je pariais que la seconde serait le prochain épouvantail brandi par les plandémistes pour faire avancer l’agenda mondialiste de contrôle numérique sous prétexte sanitaire. Je misais sur la maladie des volatiles, car la perspective d’un double jackpot — les vaccins pour animaux et pour humains sont déjà prêts — doit certainement faire frétiller les cercles pharmafieux et les politiciens qui leur servent d’hommes (ou de femmes) de main. Mais réflexion faite, je me demande si le virus de Marburg ne va pas dribbler celui prétendument transmis par les oiseaux. Pour terrifier les foules et imposer de nouvelles injections expérimentales assorties d’un pass vaccinal, le premier ferait finalement mieux l’affaire.

Un épouvantail de rêve

Du nom de la ville allemande où il a été identifié en 1967, le Marburg est en effet un spectre idéal pour semer la panique et justifier une nouvelle vague d’hystérie totalitaire. D’abord, c’est un virus filiforme de la même famille qu’Ebola et qui est supposé causer les mêmes symptômes impressionnants : forte fièvre, troubles neurologiques violents et multiples hémorragies internes souvent mortelles. Les malades finissent par se vider de leur sang via tous leurs orifices, et notamment les yeux, ce qui a le don d’épouvanter le personnel soignant. Étant donné que la fausse pandémie covid n’a pas pris en Afrique, le Marburg est un bon candidat pour corriger ça et pour inclure le continent noir dans le programme vaccino-terroriste. Comme par hasard, la Tanzanie est l’un des trois pays, avec le Ghana et la Guinée équatoriale, où le virus serait réapparu en 2023 et aurait fait quelques victimes. Or l’on se souviendra que l’ancien président tanzanien avait ridiculisé l’affolement covidiste en faisant tester des chèvres et des papayes et en dévoilant que leurs tests PCR étaient positifs. Son mystérieux décès et son remplacement par une ministre inféodée à l’OMS a permis de briser net cet embryon de sédition africaine. C’est aussi en Tanzanie qu’ont démarré les essais cliniques de l’un des 28 (!) vaccins postulant à homologation contre la pandémie pressentie. En Occident, l’épouvantail viral pourrait également convenir puisque la mini-épidémie de Marburg avait quand même tué 7 des 33 Allemands touchés et que le scénario d’un accident de labo a été évoqué à l’époque et est toujours évoqué dans la complosphère. Pour embarquer celle-ci dans le narratif virophobe, le cousin germain d’Ebola est parfait puisqu’une théorie circule aussi sur internet selon laquelle il est une arme biologique fabriquée au départ par des chercheurs soviétiques, lesquels auraient manipulé et croisé le virus avec celui de la variole. Pour faire bonne mesure, il existe également la thèse que les fièvres hémorragiques seraient issues de recherches américaines initiées à Fort Detrick et poursuivies en Sierra Leone, épicentre de la première « pandémie » ébolesque. Bref, c’est le scénario idéal pour décupler la hantise des « gains de fonction » et entretenir la paranoïa pasteurienne envers les « ennemis invisibles », qu’ils soient naturels ou militarisés.

Une hécatombe qui pose question

Et si on allait voir ce qui s’est réellement passé à Marburg en 1967 ? Selon le récit communément admis, l’épidémie a démarré avec l’arrivée d’une centaine de singes verts en provenance d’Ouganda. La moitié des primates était déjà morte ou mourante à l’atterrissage à Francfort, puis les chercheurs et ouvriers allemands auraient été contaminés en manipulant les tissus simiens infectés. C’est notamment la narration adoptée par l’immunologiste Norbert Gualde dans son ouvrage « Comprendre les épidémies ». Dans son livre « Virus », l’écrivain scientifique Richard Preston raconte pourtant autre chose : les singes étaient en bonne santé lorsqu’ils sont montés dans l’avion. L’auteur américain a certes quelque peu romancé son enquête, mais il a retrouvé le vétérinaire ougandais chargé d’inspecter les animaux expédiés. L’homme avait l’habitude de procéder à cet examen — plus de 13 000 singes étaient exportés chaque année de ce pays pour les besoins de l’industrie pharmaceutique occidentale — et il n’a rien remarqué de spécial concernant cette cargaison. Il a tamponné les papiers et donné son feu vert au décollage. Et quoi, les mammifères auraient eu le mal de l’air ou auraient mal digéré le plateau-repas ? Un virus implacable aurait réussi à décimer les cages en quelques heures de vol ? C’est ce que suggère Preston, mais que contredit la suite des événements. En Allemagne, personne ne semble s’être inquiété de cette hécatombe inédite. Comme d’habitude et sans protection particulière, les tortionnaires de labo ont utilisé les cadavres et tué les survivants pour prélever leurs précieuses cellules rénales.

Bouteille à encre vaccinale

Car c’est évidemment dans le cadre du développement de vaccins, en l’occurrence contre la polio, que les laboratoires Behring assassinaient les malheureux vervets et recyclaient leurs reins. Dans ce temple de la vaccinologie, il va de soi que les travailleurs étaient eux-mêmes « protégés » contre les fléaux viraux exotiques. Combien de valences et combien de doses ? L’info est impossible à retrouver. En revanche, Preston détaille le « menu » vaccinal reçu par les chercheurs recrutés aux États-Unis pour étudier Ebola au début des années 80 : ils étaient vaccinés contre la fièvre jaune, la fièvre Q, la virus de la vallée du Rift, les virus de l’encéphalite du Venezuela, de l’encéphalite équine de l’Est et de l’Ouest, la tularémie, l’anthrax, le botulisme et la rage, excusez du peu ! Quinze ans avant cette orgie de vaccins, dont Preston mentionne qu’elle a rendu sévèrement malade une vétérinaire de l’armée américaine « contaminée » par Ebola sans y être exposée, on peut imaginer que les collègues allemands recevaient moins d’injections à visée immunisante. Le délire viroparano n’avait pas encore totalement ravagé les cerveaux. Mais il est très probable que les laborantins teutons devaient déjà se prémunir contre toute une série de pathologies virales ou bactériennes. Or à l’époque, on employait déjà l’aluminium comme adjuvant immunostimulant et on ne lésinait pas sur le mercure comme conservateur des mixtures. L’empoisonnement chimique était probablement accompagné d’une agression génique puisque de l’ADN de singe vert se retrouvait dans les fioles. Selon la loi du karma, les tourmenteurs de singes auraient ainsi « payé » par où ils péchaient. C’est en tout cas l’hypothèse que je vous soumets.

Une étrange coïncidence

Ma supposition n’est pas si insensée qu’elle y paraît au vu de l’incroyable « hasard » que j’ai récemment découvert : le site de production de Behring a été racheté en 2020 par BioNtech, cette « start-up » allemande elle-même rachetée par Pfizer pour mettre au point des vaccins à ARN messager, dont bien sûr celui contre le covid. Selon cet article de Daily Sceptic, c’est également à Marburg que Novartis, maison-mère de Behring, produisait ses vaccins contre la grippe, dont elle est le leader mondial. Pour acquérir les installations et le personnel, Pfizer/BioNtech a déboursé la bagatelle de 375 millions d’euros. Pourquoi, je vous le demande, dépenser une somme pareille si ce n’est pas pour récupérer un certain « savoir-faire » ? Au lieu de se lancer dans la course, la multinationale Novartis a d’ailleurs bizarrement coopéré avec sa concurrente Pfizer. Plus intrigant encore, les bâtiments de Marburg n’ont pas seulement été le théâtre de la première flambée filovirale de type Ebola. Bien avant ça, ils étaient occupés par la célèbre compagnie chimique IG Farben, qui y a fabriqué les vaccins expérimentaux testés sur les détenus du camp de Buchenwald pendant la Deuxième Guerre mondiale. Ça fait beaucoup, vous ne trouvez pas ? Comme si ça ne suffisait pas, le journal Epoch Times a récemment divulgué que de l’ADN de singe vert aurait été trouvé dans les vaccins covid Pfizer et Moderna. C’est ce qu’a affirmé le microbiologiste américain Kevin McKernan, ancien chercheur sur le génome humain au MIT, lors d’une réunion à la FDA, l’agence américaine du médicament. D’après Mc Kernan, le matériel génique provient du virus simien SV40, lequel est soupçonné de provoquer le cancer chez l’homme. Et si c’était vrai ? Sans adhérer à la théorie du germe pathogène et cancérigène, on peut concevoir que l’introduction de gènes de singe par effraction dans un corps humain ne lui fait pas du bien. Surtout si le produit charrie son lot d’adjuvants et de conservateurs chimiques, de nanoparticules lipidiques, d’ARN synthétique et d’autres saloperies encore. Pour mémoire, le SV40 avait déjà été accusé d’avoir déclenché, ou à tout le moins contribué à l’épidémie de sida via sa présence dans le vaccin polio inoculé au Congo belge. Selon la littérature médicale, les co-infections avec le HIV sont d’ailleurs très fréquentes. Ce postulat étiologique n’a évidemment pas mes faveurs, mais force est de constater qu’il y a toujours des cocktails vaccinaux et du matériel génétique de singe vert impliqués dans les maladies infectieuses « émergentes ». Les bizarreries de Marburg mériteraient assurément une investigation approfondie.




Vers une tyrannie virtuelle gérée par l’intelligence artificielle ?

[Voir aussi sur ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

À l’heure où les débats sur les dangers de l’intelligence artificielle battent leur plein et que des désaveux de la part de leurs pionniers (ex. ceux de Geoffrey Hinton) se dévoilent, il est crucial de prendre conscience de leur utilisation en cours et en voie de perfectionnement à des fins de persécution électromagnétique et de contrôle mental.

Nous voyons se multiplier des articles vantant les capacités de ces IA à « lire dans les pensées », faire de la télépathie, taper sur un clavier virtuel et mouvoir des objets voire des drones. À ce stade, les articles scientifiques parlent d’interface cerveau-machine, mais la réalité est que cela peut déjà se faire à distance sans électrodes grâce à des procédés qui utilisent des champs magnétiques et qui sont synchronisés à notre empreinte et signal électrique cérébraux.

Interface cerveau-ordinateur

Lecture de la pensée

Dans cet article de Venture Beat (portail d’innovations technologiques) de 2021, il est révélé qu’il est possible de mesurer l’état émotionnel d’un individu en l’irradiant et en mesurant le signal retour, la réalité est que l’entièreté du contenu de l’esprit et donc les pensées peuvent être interprétées. J’avais fait état précédemment du brevet déclassifié US3951134A qui permet surveiller et d’affecter à distance (sans électrodes) l’activité cérébrale à l’aide de rayonnement électromagnétique, le brevet datant de 1974, qui sait où en sont actuellement les technologies de contrôle mental ?

Le scientifique américain ayant travaillé avec la NASA Richard LIGHTHOUSE affirme que les métaux lourds (mercure, aluminium…) qui nous ont été inoculés depuis l’enfance dopent le signal électrique émis par le cerveau et fait de nous des « antennes ». La DARPA (Agence Américaine de Projets de Recherche Avancée) envisage d’utiliser des nanoparticules pour lire cette activité cérébrale, sachant que les injections covid contiennent des nanoparticules de graphène et d’autres dispositifs ayant une adresse MAC, il est tout à fait plausible que la visée de cette campagne massive soit la fusion des individus avec les dernières technologies de surveillance et de contrôle mental.

D’autres articles scientifiques évoquent cette fusion des cerveaux humains dans un « cloud » à l’avenir où les pensées et connaissances de chacun seront connectées et centralisées à l’aide de nanotechnologies, ce qui mènerait à une méga-intelligence artificielle ou « borg ». Ceci et tout ce qui est cité précédemment sont en fait une programmation prédictive (démonstration anticipée pour préparer à la mise en place en gagnant le consentement inconsciemment) pour un monde dystopique où l’humanité sera assimilée et gérée par la technologie.

Et si ce cloud était déjà en place ?

Les réponses à ces questions viennent de la communauté des individus ciblés (en anglais « Targeted individuals » — T.I.) qui ont été choisis au hasard dans la population souvent pour leur profil intellectuel et leurs dénonciations sur internet. Ils témoignent être harcelés par une technologie invisible qui scrute leurs pensées et les persécute instantanément par agressions électromagnétiques. Leurs rêves sont également piratés par cette technologie, à ce sujet le physicien japonais Michio Kaku avait révélé en 2014 que l’on pouvait les enregistrer. Les individus ciblés se plaignent d’intrusion dans leur esprit, de manipulation de leur comportement (anxiété, voix implantées dans la tête, cauchemars, psychoses…) et de torture (douleurs, brûlures, problèmes cardiaques, privation de sommeil, fatigue, acouphènes, migraines…). Dans une certaine mesure il est également d’infliger un « cybermeurtre » par irradiation lente « Slow Kill » ou en provoquant un AVC, crise cardiaque ou cancer. Leur nombre étant estimé à 6 millions dans le monde, il est évident que les services de renseignement et les agents des complexes militaro-industriels ont accès à des systèmes autonomes et des IA pour la surveillance et la persécution h24 7 j/7 des cibles (guerre de 5e génération).

Dans cette vidéo, le journaliste américain Stew Peters interviewe la vétérane de l’armée US Amy Holem qui révèle l’utilisation à armes à énergie dirigée (à micro-ondes) placées dans les antennes relais, satellites et drones pour attaquer des lanceurs d’alerte.

Le Sentient World Simulation, un cloud militaire ?

Depuis 2007, les agences de la défense US ont mis en place un univers virtuel parallèle appelé simulation du monde conscient (anglais : Sentient World Simulation — SWS) où chaque être humain d’à l’époque 62 états ont été modélisés en un avatar et surveillés par une IA qui détecte l’activité cérébrale des cibles en temps réel pour des motifs de prédictibilité d’un futur proche en cas de catastrophes. La vidéo ci-bas explique son fonctionnement et son objectif.

L’ingénieur en informatique et individu ciblé français Frédéric LAROCHE affirme que les épandages de chemtrails servent à modéliser l’environnement en 3D à l’aide de nanoparticules. Le but de cette simulation est de détecter les comportements « déviants » par rapport à sa propre déviance et de les « corriger » avec l’arsenal de neuro-armes et du renseignement renégat (voir article sur le harcèlement criminel en réseau — gang stalking) pour assurer le contrôle mental total de la population qui pensera et agira comme un individu unique sous un esprit de ruche (anglais : Hive Mind). Nous arrivons ainsi à uncerveau global (anglais : Global Brain)où chaque individu aurait le même rôle qu’un neurone.

Conclusion

À la lueur de ces informations, il devient clair que George Orwell avait vu juste dans son roman 1984 sur l’instauration d’une « police de la pensée » envahissant à un niveau jamais atteint et que dorénavant les citoyens ayant des pensées, croyances et convictions « non-orthodoxes » seront susceptibles d’être inculpés de « crime de pensée ». La psychiatrie sera un fer de lance de la ré-éducation des individus non conformes qui les décrédibilisera et maquillera les pathologies infligées par les neuro-armes psychotroniques et à énergie dirigée en maladies mentales comme de la fibromyalgie, de l’électrohypersensibilité ou des cénesthésies.

Le but de cet article n’est pas susciter la peur, mais d’informer afin d’exiger la fin de la militarisation interminable et illégale des neurotechnologies. La triste expérience des individus ciblés aura été une phase de test pour les élites sans scrupules dans leur plan de domination sans limites, ils sont maintenant dénonciateurs et précurseurs de la lutte contre la tyrannie technotronique rêvée par Klaus Schwab et consorts. Les avancées classifiées et déclassifiées en la matière ont provoqué la crainte de nombreux observateurs avertis y voyant les potentielles violations de l’espace mental des citoyens du monde et appelant à l’implémentation d’une « neuro-éthique ». Le Chili est devenu un pionnier fin 2021 en matière de « neuro-droits » pour protéger l’intégrité mentale, le libre arbitre et la non-discrimination dans l’accès des citoyens aux neurotechnologies pour prévenir leur « piratage » comme s’en vante Yuval Noah Harari, conseiller du WEF.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU — Journaliste Citoyen et Individu Ciblé




Libérez-Vous !

[Source : liberez-vous.weebly.com]

Nul esclave ne l’est davantage que celui
qui se croit libre sans l’être.

Goethe

1. CONNAÎTRE SON ENNEMI

Vous êtes inquiet de tout ce qui menace votre existence et votre avenir. Mais quel est le pilier principal sur lequel s’appuie la tyrannie actuellement, sans lequel celle-ci n’aurait jamais pu voir le jour en ce XXIe siècle ? Quel est le pire danger ? L’avez-vous identifié ? Vous pouvez bien continuer à montrer du doigt les crapules, les gangsters, votre voisin ou vos élus, la liste de coupables et criminels s’allongeant de jour en jour… Mais rien de tout ce que nous subissons depuis plusieurs années n’aurait pu avoir lieu sans le pilier central qu’est la TECHNOLOGIE, notamment la technologie SANS FIL. Cessez de prétendre que vous n’avez vous-même rien à voir avec le mal qui s’est répandu autour de vous, car en vérité, vous jouez dans ce drame un rôle déterminant. Nous sommes tous des acteurs majeurs dans ce désordre local, national et mondial, c’est pourquoi je vous invite à vous livrer à une petite introspection et à la lecture approfondie des lignes qui vont suivre !

Il n’est plus d’usage de faire porter aux esclaves des fers et des colliers. Ces objets ont beaucoup évolué dans le temps et sont devenus très sophistiqués. Aucun n’est serré autour de votre cou, vous pensez donc être libre, mais sans le savoir, vous êtes un jouet et un prisonnier. Vous êtes un esclave qui s’ignore. Et même si vous êtes éveillé, vous ne savez plus ni comment, ni pourquoi il importe de vous libérer, étant donné que les derniers modèles de « colliers » modernes sont terriblement séduisants, et l’on peut même dire invisibles, puisque tous les derniers gadgets sans fil fonctionnent grâce aux champs et fréquences électromagnétiques.

Ancien collier d’esclave

Francis Lalanne, le « William Wallace » français, avait tout compris. Il a mis le « doigt dessus » en posant, avant toutes les autres, la question extrêmement judicieuse et intelligente aux parlementaires français, de savoir si les mesures de confinement, et par extension, toutes les autres restrictions, auraient pu être mises en place avant l’ère du SMARTPHONE. Vous êtes-vous posé la même question ? LA RÉPONSE, AUSSI PÉNIBLE ET DÉSAGRÉABLE À ENTENDRE SOIT-ELLE, EST POURTANT LA CLEF DE NOTRE LIBERTÉ.

2. DANS LES FERS ET DANS L’ENFER

Qui croit encore à « la Révolution » ? Mouvement de foule immense, l’Élysée pris d’assaut, et dedans… des pièces vides, les dirigeants ont fui ? La révolution extérieure est un leurre, et c’est à l’intérieur, en chacun d’entre nous qu’elle aura lieu ! Gandhi (1869-1948) nous a montré qu’il n’y a pas besoin de révolutions violentes, de bains de sang, ni de couper les têtes… Les révolutions peuvent échouer, mais l’évolution est une force incoercible, que rien ne peut arrêter. Il avait compris que le chemin vers la libération passe par le perfectionnement individuel et moral de chacun. C’est la Re – évolution, qui veut que lorsque l’on est engagé sur une mauvaise voie, on ne s’obstine pas à rouler pour aller se jeter dans le précipice, alors on fait demi-tour.

Nous sommes dans les fers, en quête de solutions, mais depuis plusieurs années, nous continuons de tourner en rond, nous ne faisons que tailler quelques branches de l’arbre, alors que nous devrions viser les racines. Tout effort demeurera vain et inutile tant que nous ne nous attaquerons pas au fond du problème. Pour cela, il faut commencer par ôter le bandeau de vos yeux… Car, oui, le vrai coupable est ce petit bout de plastique et de métal, ce gadget sans fil qui est devenu votre « ennemi intime » : il s’agit bien de votre smartphone, téléphone portable ou téléphone mobile !

L’évolution de la technologie s’est faite ainsi :
— En 1996 est apparue la technologie que l’on tient dans sa main,
À L’EXTÉRIEUR DU CORPS (le téléphone portable),
— qui a conduit à la technologie que l’on porte sur soi,
SUR LE CORPS (les smartwatches, fitbits, etc.),
— et nous en sommes à la technologie que l’on porte à l’intérieur de soi,
DANS LE CORPS (la nanotechnologie).

3. UN PLAN DIABOLIQUE

À propos de cette évolution, on peut dire « Moi, j’ai un portable, mais je ne veux pas d’autres objets connectés », ou bien « Moi, j’ai des gadgets, mais je ne veux pas de nanorobots dans mon corps », mais cela va beaucoup plus loin que ça… Cela revient à pactiser avec « le diable », du moins avec une force destructrice (nommez-la comme vous voulez), ou encore à prendre un peu d’arsenic ou de cyanure, en se disant « Tout va bien, je n’en suis pas mort, alors je continue ! »

En 1996, l’industrie des télécoms a entrepris la mise en œuvre de son plan visant à doter chaque homme, femme et enfant sur Terre d’un téléphone portable. Quelques années plus tard, et pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, chaque personne sur Terre tient entre ses mains une source ouverte de rayonnements micro-ondes. Et chacun continue à faire comme si tout allait bien. La menace la plus immédiate pour la santé, la vie et la liberté provient de cet objet maléfique et mortifère auquel vous vous accrochez — malgré tant d’informations, à hauteur d’environ 28 000 études scientifiques (voir par exemple ici, ici ou ) ! Le fait de passer un appel ou d’envoyer un SMS vous expose à une radiation bien plus importante que celle émise par les antennes de téléphonie mobile ; les radiations des portables interfèrent avec votre métabolisme et sont actuellement la cause prédominante de l’obésité, du diabète, des maladies cardiaques et du cancer ; la radiation aux micro-ondes constitue un assaut plus grand et plus urgent contre la terre que la pollution chimique ou toute autre menace environnementale.

Il a souvent été dit que le contrôle des autres est « la forme la plus vile du comportement humain ». Le contrôle de l’esprit a longtemps été un objectif du monde académique, de la science et de ceux intéressés par le pouvoir sur les autres. Ces derniers ont attendu très patiemment, des années, des décennies, pour mettre en œuvre leur plan diabolique, car il importait avant tout de nous voir asservis et dépendants de cette drogue. Nous perdons notre société et nous nous perdons nous-mêmes, tout ça pour une boîte en métal et en plastique, une commodité privée devenue une nuisance publique. On nous a trompés.

Le but avoué et amplement discuté par exemple au WEF de Davos en 2020 est de nous transformer en cyborgs ou transhumains. Nous laissera-t-on le choix de refuser ? Croire que cette décision nous appartiendra serait faire preuve d’une grande naïveté, car comme pour tant d’autres choses, cette cyborgisation va nous être imposée. Le transhumanisme n’est rien d’autre que de l’anti-humanisme. Le projet transhumaniste est un projet de manipulation et de contrôle de l’homo sapiens, discuté et disséqué calmement par des hommes d’influence et des scientifiques, comme s’il s’agissait d’une simple avancée technologique ! Effacement des frontières entre les systèmes biologiques et numériques, entre les organismes vivants et non vivants, nouveaux « corps humains », nouveaux « sens de l’identité humaine », etc.

Il existe plusieurs définitions du mot « humanité ». Ici, je fais référence à la « nature humaine », avec tout ce qu’elle comporte de compréhension, de bienveillance, etc. Non pas à « tous les peuples du monde dans leur ensemble ». Quand je pense aux enfants, et aux adultes, que je les vois incapables de parler, de jouer sans pouvoir lâcher leurs appareils ou détourner les yeux de leurs écrans, ils ont déjà perdu une partie de leur « nature humaine », et dans un sens plus large, ils se sont éloignés de la Nature elle-même. L’ingénierie ou manipulation sociale est là pour assurer une transition en douceur entre les différentes étapes de la cyborgisation. Cette dernière a commencé au moment même où la technologie a été introduite hors du corps ; un « humain » collé à un appareil et dépendant constamment de celui-ci, correspond déjà à la définition de « transhumain » ou « post-humain ». Le téléphone portable a toujours été la première étape de cette cyborgisation planifiée. C’est déjà un organe auxiliaire, un appendice supplémentaire, une prothèse ! Avant, nous n’avions que quatre membres, maintenant, nous en avons cinq !
Mais que voulons-nous au juste ? Ne voulons-nous pas être des hommes et des femmes avec des droits ? Et non pas des produits du transhumanisme, cyborgs ou androïdes sans aucun droits, si ce n’est le droit de se taire et de mettre nos muselières !

4. DANS LE DICTIONNAIRE

Depuis le 14e siècle, le sens premier du mot « smart » en anglais était douloureux, intense, piquant, causant une douleur aiguë. En ce qui concerne les appareils, le mot « smart » fit pour la première fois son apparition en 1972, pendant la guerre du Vietnam, au sens de « se comporter comme s’il était guidé par l’intelligence » (pour la « smart bomb »). Dans ce contexte en effet, le mot « smart » fut utilisé en des termes militaires pour désigner des bombes et des missiles !

Un autre mot digne d’intérêt dans le dictionnaire est le mot « meurtre ». La définition de « meurtre » pose un véritable problème, car la plupart d’entre nous et notre société en général associent le meurtre à une mort rapide ou instantanée. Mais les cancers des téléphones portables, des appareils « intelligents » et sans fil ne se forment pas du jour au lendemain, et lorsqu’une personne est empoisonnée lentement au fil du temps, c’est beaucoup plus difficile à prouver devant un tribunal, les juges ayant du mal à trouver des experts pouvant apporter les preuves d’un empoisonnement à long terme…

À présent, nous nous tenons tous devant ce tribunal. Mais nous ne sommes ni des victimes ni des criminels ;
en réalité, nous sommes les deux, car nous nous suicidons à petit feu. Il s’agit d’un suicide collectif.

5. UN SIM DANS UNE PRISON

Nous sommes tous dans un camp de concentration numérique géant. Vous ne voulez plus vivre en prison ? Alors notre seule chance de liberté et de survie, la véritable solution réside dans la création d’une vague de libération des téléphones portables, mais également de tous les objets connectés sans fil. Car il en va de même pour les tablettes, les écoute-bébés, les téléphones de maison sans fil, les souris et les claviers sans fil, tout ce qui est « intelligent » ou « smart », c’est-à-dire les montres « intelligentes », les couches et les biberons « intelligents », les compteurs « intelligents », les thermostats « intelligents », les télés « intelligentes », Alexa, sans oublier les ampoules dites économiques qui émettent des ondes nocives, etc. Bref, tout émetteur/récepteur de données et d’information sans fil, le Wi-Fi, le Bluetooth, tout ce qui est sans fil doit disparaître !

Ce n’est pas pour vous et moi. Tout cela est piratable. Tout cela, c’est pour la collecte de données, la surveillance et le contrôle. Les données sont le pétrole brut d’aujourd’hui pour des milliardaires qui peuvent vous suivre sur tous vos appareils « intelligents ». Dans l’« Internet des Objets », vous n’êtes vous-même qu’un vulgaire « Objet », comme un « Sim » dans un jeu vidéo. Le consommateur est devenu celui qui est consommé, surveillé et contrôlé par l’« Intelligence Artificielle », qui n’a rien de vraiment « artificielle » ; ceci est encore une autre imposture, car au final il y a bien quelqu’un d’assis tout là-haut sur son trône, qui la maîtrise parfaitement, qui s’en sert et s’en servira contre nous.

Un homme ou une femme a droit à la vie privée, un esclave non. Mais bon sang, vous êtes soit un homme, soit une femme, vous n’êtes pas une marchandise ou un esclave ! Vous n’avez peut-être rien à cacher, mais vous êtes né avec une « bulle » de vie privée, qui ne doit jamais être échangée contre une soi-disant « sécurité » ou « sûreté ». Vos données valent une fortune ! Il faut arrêter de « donner vos données » et de les laisser être récoltées pour remplir les poches et satisfaire la soif de pouvoir de ces milliardaires !

Il est grand temps d’évoluer, et d’admettre enfin que toutes ces énergies invisibles, les ondes, les micro-ondes, les champs électromagnétiques régissent l’univers, et que dans la plus grande mesure possible, ils ont été piratés pour nous soumettre à l’esclavage.

« Si vous voulez trouver les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergies, fréquences et vibrations. »

Nikola Tesla (1856-1943)

Les images suivantes illustrent le jeu vidéo, puis de vraies images de sources industrielles, scientifiques et militaires. La technologie de radar a bien évolué. Tous les objets connectés sont comme des « ampoules » :

Capture d’écran du jeu vidéo « LES SIMS » (1)
À quoi ressemble le monde à travers les yeux du Wifi.
Les petits rectangles en bleu sont de simples routeurs et appareils.
Radar micro-ondes
Cartographie 3D
« On peut utiliser un drone pour cartographier l’intérieur
d’un bâtiment entier en 20 à 30 secondes. »
Capture d’écran du jeu vidéo « LES SIMS » (2)
Les murs sont transparents, presque comme du verre.
Les appareils connectés agissent comme des ampoules.
« On peut facilement scanner une pièce chez quelqu’un grâce à la transmission Wi-Fi. » (Adieu la vie privée !)

6. DES MARIONNETTES ET DES MENTEURS

Mais il n’y a même pas besoin d’avoir recours à des drones, comme illustré plus haut, chaque objet connecté possédant sa propre « signature ». Chaque signature ou empreinte numérique, reliée à toutes les autres données, permet de vous analyser et de vous connaître mieux que vous ne vous connaissez vous-même. Et c’est ainsi que l’on devient… une marionnette !

À propos de marionnettes, savez-vous ce que Yuval Harari, l’éminence grise du WEF pense et dit de ceux qui ont un smartphone ? Voir dans l’onglet Vidéos, une interview de 2022 et la transcription, que je remets ici :

« (…) et suffisamment de puissance de calcul, nous sommes très proches du point où les ordinateurs peuvent pirater les êtres humains, peuvent comprendre mes émotions, mes goûts, mes aversions mieux que moi-même, pas parfaitement, on ne peut jamais pirater quelque chose à 100 %, on n’a pas besoin de 100 %, il faut juste connaître les gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes. Et c’est assez facile, parce que la plupart des gens ne se connaissent pas très bien eux-mêmes. [Donc dès que l’algorithme sait ce que je veux, mieux que je ne le sais…], vous êtes une marionnette, il peut vous manipuler, il peut presser vos boutons émotionnels. Et c’est ce qui se passe maintenant avec nos smartphones et tous ces algorithmes sur les médias sociaux…
— C’est pour cela que vous n’avez pas de smartphone ?
— C’est une des raisons, en fait c’est pour gérer mon temps, et vous savez, au cours des 20 dernières années, les personnes les plus intelligentes du monde et la meilleure technologie du monde ont travaillé sur le moyen de pirater les êtres humains et de les contrôler à travers les écrans et les smartphones. Je ne suis pas de taille face à eux. Si je leur donne accès [montrant son cerveau], ils gagnent. J’essaie donc de limiter leur accès de cette manière. »

Donc, si vous avez un smartphone, la marionnette, c’est vous ! Voir également des images avec citations de Yuval Harari, dont je publie la légende ici :
— « Harari voyage énormément, est sollicité par les médias du monde entier, a un agenda de Premier ministre, mais ne possède pas de smartphone : “Les gens vraiment importants n’en ont pas”, assure-t-il au Monde. » (www.levif.be)
À propos de Yuval Harari : « Il se refuse toujours à utiliser un smartphone. “Ainsi, je me sens mieux protégé”, concède-t-il. » (www.lefigaro.fr)
— Yuval Harari :
« Je n’ai pas de smartphone. Mon attention est l’une des ressources les plus importantes que j’ai, et le smartphone essaie constamment d’attirer mon attention. Il y a toujours quelque chose qui arrive. »

Les « ultra riches » et nombre de ceux travaillant dans la Silicon Valley refusent d’utiliser des portables et vivent même dans des zones sans réseau (il en existe encore). Pourquoi, à votre avis, ces appareils ne sont-ils pas assez bons pour eux ? Que savent-ils que le grand public ignore ? Si vous voulez savoir ce qui est vraiment dangereux, pour eux comme pour nous, jetez un œil à la « liste noire » des compagnies d’assurance : certaines races de chiens dangereux, des ouragans ou inondations là où de telles catastrophes sont fréquentes, etc. La Lloyd’s de Londres et d’autres compagnies d’assurance n’assurent pas les dommages causés par les téléphones portables, le Wi-Fi ou les compteurs « intelligents » de type « Linky ». Les champs électromagnétiques ou CEM sont classés comme un polluant, au même titre que le DDT, le plomb ou le benzène :

« L’exclusion des champs électromagnétiques (exclusion 32) est une exclusion d’assurance générale et est appliquée de manière standard sur l’ensemble du marché. L’objectif de l’exclusion est d’exclure la prise en charge des maladies causées par une exposition continue et à long terme aux rayonnements non ionisants, c’est-à-dire par l’utilisation de téléphones portables ».

Passons maintenant de la « tête de bois » de la marionnette, à celle en plastique, qui est celle des menteurs !
Les téléphones portables sont soumis à des tests de sécurité sur des têtes en plastique. Nous n’avons pas de tête en plastique. Je vous présente SAM pour les intimes, officiellement connu sous le nom de Specific Anthropomorphic Mannequin. SAM est un mannequin en plastique utilisé par l’industrie des télécommunications à travers le monde pour tester les effets thermiques de vos téléphones et gadgets, et non leurs effets biologiques.

Pourquoi SAM est-il un « pinocchio » ? Les directives actuelles sont basées sur l’hypothèse que si le niveau de rayonnement ne brûle pas ou ne cuit pas les tissus en 6 ou 30 minutes, alors ce niveau est considéré comme étant « sûr. » Jusqu’ici, les tests n’ont montré aucun changement thermique significatif. Par conséquent, les téléphones portables sont déclarés sans danger !

La tête (la seule partie du corps testée) de SAM est basée sur une recrue militaire masculine adulte en bonne santé de 100 kg et mesurant 1,88 m. Seulement 3 % de la population correspond à ce profil.

Comment fonctionne le test : La tête en plastique SAM est remplie d’un liquide ou d’un gel pour voir si celui-ci chauffe de un degré sur un appel de 6 minutes (parfois 30 minutes). Si la température ne s’élève pas de 1 degré, c’est considéré sans danger et l’on peut apposer une marque d’approbation. C’est un peu comme de tester la sécurité des aliments en les donnant à manger à une poupée.

SAM a des mains… beaucoup d’entre elles, avec un tas de configurations différentes pour chaque style de téléphone. Mais seul le test de la « tête » est requis, pas celui des mains, ni d’aucune autre partie ou organe du corps humain.

Ces tests sont entièrement frauduleux, et pourtant ceci est le seul moyen par lequel vos téléphones et gadgets sont testés pour la sécurité humaine ! Comment cela est-il possible ? Il faudrait de nombreuses pages pour exposer les mensonges, la corruption et conflits d’intérêts au plus haut niveau, tant au sein de l’OMS, que de l’ICNIRP, de l’IEEE, du complexe militaro-industriel et des fabricants. Pour aller plus loin : https://wearenotsam.com/studies/

« Si vous ne pouvez pas exposer les humains aux micro-ondes dans un laboratoire, dans un environnement contrôlé — si vous ne pouvez même pas le faire de manière éthique, car nous avons tellement de preuves des dommages — alors aucune de ces technologies ne devrait être déployée. Cela est illégal. »

Sharon Goldberg, M.D.

7. UN COMPORTEMENT DE BAS ÉTAGE

Aux premiers temps du smartphone, être collé à son appareil était un signe de statut social. En 2008, regarder l’écran de votre BlackBerry avait encore une signification. Cela signifiait que vous étiez important, que vous aviez des choses à faire et que vous faisiez partie de la classe avant-gardiste des utilisateurs de technologie. Aujourd’hui, être perdu dans votre écran signifie que vous ne faites pas attention et que vous n’avez rien de mieux à faire. C’est une lampe et vous êtes un papillon de nuit. Les portables ne sont plus un signe de pouvoir, mais un signe d’asservissement. Comme les machines à sous chaque fois qu’on abaisse le levier, les smartphones sont conçus pour être une source constante de nouveauté et de « récompenses variables ». Être enchaîné à votre portable est désormais un comportement de bas étage, semblable au tabagisme.

Il faut arrêter de faire pipi dans l’eau de la piscine, songeant que les autres n’en feront pas autant, car petit à petit l’eau prend une drôle de couleur… Pensez-vous que si vous ne gardez votre téléphone que pour les urgences, les antennes n’ont pas à être là ? Mais que vous l’utilisiez souvent ou non, l’infrastructure doit être là, ce qui est un parfait alibi pour les opérateurs de télécoms. Et si vous arrêtiez de leur fournir cet alibi ? Chaque centime que vous dépensez est un bulletin de vote. Chaque fois que vous payez votre facture, vous continuez à les enrichir et à les rendre plus puissants. Et il n’y a pas qu’une seule personne qui a envie, non pas de faire pipi, mais d’utiliser un téléphone portable en cas d’urgence, il y en a sept milliards !

Quelle est votre excuse ? Vous en avez besoin quand vous voyagez, ou pour vos affaires, ou pour votre mari, ou pour votre femme, vos enfants et vos amis ? Ou bien n’avez-vous qu’un ancien modèle ? Ou encore ne gardez-vous votre téléphone que pour les urgences ? Ou peut-être pensez-vous que vous êtes en sécurité tant que vous gardez le téléphone éloigné de votre tête ? Ou bien encore que votre téléphone n’irradie pas les oiseaux, ni les insectes, animaux, plantes et arbres ou vos voisins comme le font les antennes relais ? Chaque fois que vous passez un appel, l’antenne la plus proche active un signal à cause de vous et irradie tout votre voisinage rien que pour vous. Pensez au nombre d’oiseaux, d’abeilles et de papillons que vous avez tués au fil du temps. Combien d’autres encore ? Et combien de personnes et de voisins autour de vous ? Combien d’oiseaux ? Combien d’enfants ?

Dessin réalisé par un jeune de 17 ans.

8. des stupéfiants

Il y a quelques siècles, Francis Bacon, dans son « Essai sur la Mort » (1648), s’interrogeait :
— « Pourquoi un homme aimerait-il ses chaînes, fussent-elles en or ? »
Plus tard, François-Marie Arouet, alias Voltaire (1694-1778), « répondait » :
— « Il est difficile de libérer les imbéciles des chaînes qu’ils révèrent. »

Mais c’est chose d’autant plus difficile lorsque ces chaînes sont des stupéfiants et qu’ils modifient votre cerveau ! L’une des réalités les plus tragiques est que le rayonnement des micro-ondes, comme la nicotine, stimule les centres de plaisir du cerveau.

Quelques exemples d’études, mais il y en a eu d’autres :
• Dans les années 1980, des chercheurs de l’Université de Washington ont découvert que les radiofréquences activent les opioïdes endogènes, des composés générés par le cerveau se comportant comme la morphine (1).
• En 1996, les chercheurs ont découvert que les micro-ondes pulsées des téléphones ont un effet hypnotique sur le cerveau (2).
• En 1999, le journal The Guardian de Londres a cité une étude qui révélait que le rayonnement des téléphones portables stimule la production de substances chimiques semblables à la morphine dans le cerveau et que le « high » est déclenché par la libération d’endorphine lorsque le rayonnement du téléphone pénètre par l’oreille (3).
• Il faut aussi noter qu’une augmentation de l’activité endogène des opioïdes dans le cerveau, causée par les radiations des micro-ondes, est connue pour augmenter le comportement de consommation d’alcool (1).

1. « Neurological Effects of Radio Frequency Electromagnetic Radiation, » Dr. Henry Lai, op. cit.
2. « Effects of Pulsed High-frequency electromagnetic fields on Human sleep, » Mann, K, Roschke, J. Neuropsychobiology 33 (1) : 41-47, 1996.
3. « 
Mobile Phone Users ’Addicted to Radiation » 03-14-99.

Par ailleurs, chez les animaux de laboratoire, une exposition de 2 minutes à un portable endommage la barrière hématoencéphalique, et une exposition de 2 heures provoque des lésions cérébrales permanentes, même lorsque la puissance est réduite de 100 fois. Les radiations des portables interfèrent avec la conduction nerveuse et les fonctions cérébrales et sont une cause prédominante de la sclérose en plaques, du TDAH, de l’autisme, de la démence, des troubles anxieux, de la dépression et d’autres troubles neurologiques aujourd’hui.

9. POURQUOI ILS N’ONT PAS PEUR DE NOUS

Le monde est en ébullition. Des manifestations et mouvements en tout genre, dénonçant la tyrannie, s’indignant des injustices, ont eu lieu partout. Des années plus tard, après que des millions de personnes soient descendues dans les rues, masses agitées par d’inspirants orateurs, je reste consternée, songeant à la vision de tous ces gens baignant dans une mer sans fin, un océan, que dis-je, un raz-de-marée de téléphones portables ! Et je m’interroge sur ce qu’ils ont accompli.

Il y a plusieurs années, j’écrivais :

« Combien de temps allez-vous tenir debout si vous vous empoisonnez avec ces micro-ondes, étant totalement à découvert, traqués, visés et ciblés ? Combien de temps avant que vos capacités mentales ne soient réduites ? Dans quelques années, vous serez tous un peu moins intelligents et un peu moins résistants, si ce n’est pas déjà le cas… Méfiez-vous, vous devriez être mieux avisés. Vous devez savoir que les smartphones et le cancer sont les deux faces d’une même médaille, qu’il n’existe pas de niveau de radiation sans risque, que vous pouvez être manipulé, assassiné rapidement ou à petit feu à chaque instant, que la technologie 5G a été officiellement et secrètement déployée lors des confinements et qu’il est maintenant plus que jamais extrêmement dangereux d’avoir la tête ou le corps à proximité d’un téléphone portable ; il y a déjà suffisamment de CEM avec toutes les “antennes de la mort” et toutes les nouvelles petites antennes 5 G.

Vous êtes accro à votre technologie parce que c’est une drogue dure. Les tortionnaires et les dictateurs le savent, c’est pourquoi ils n’ont plus vraiment peur de nous. Et bien que vous sachiez que c’est mauvais pour vous-même, vos enfants, vos animaux domestiques et tout le monde autour de vous, vous continuez à nourrir les grandes compagnies de Télécoms ! Un jour, ils n’auront qu’à appuyer sur un bouton, et il n’y aura plus de militants ni de manifestants… Vous ne sauverez pas ce monde et vos enfants en vous comportant comme des de drogués imbéciles et des amateurs, en vivant dans un monde d’illusions et en vous tuant. »

Des années plus tard, et c’est toujours d’actualité.

Nombreux sont les militants pour la liberté ou contre la 5G, et les scientifiques qui possèdent toujours un portable ! À quoi bon protester contre un système et un produit que vous continuez à financer chaque mois afin de les utiliser ? Imaginez-vous un membre du conseil d’administration des Alcooliques Anonymes qui distribuerait du whisky avant la réunion, des gens fumant en public tout en protestant contre le cancer et le tabac, un membre de la SPA militer avec un manteau de fourrure sur le dos, ou des activistes anti-OGM achetant ces produits ?
Cela n’a aucun sens, et bien que cela ait été dit et redit, répétons-le encore une fois : Il faut être le changement que l’on souhaite voir autour de soi et dans le monde ! Et tout commence par soi-même !

10. SOUS LA PEAU

S’il ne fallait évoquer qu’un seul argument pour décider qui que ce soit à lâcher son portable ! Les informations ci-dessous sont d’une gravité extrême et sans précédent.

Voici ce que Yuval Harari a également déclaré :

« Les gens pourraient regarder en arrière dans 100 ans et identifier l’épidémie de coronavirus comme le moment où un nouveau régime de surveillance a pris le dessus, en particulier la surveillance sous la peau, qui, je pense, est peut-être le développement le plus important du 21e siècle, c’est cette capacité à pirater les êtres humains. » (1)

et :

« Le Covid-19 pourrait être un moment décisif dans l’histoire de la surveillance… transformée en une surveillance sous la peau(…) Pour un gouvernement ou une entreprise, c’est comme la chose la plus importante au monde de savoir ce que les gens ressentent réellement. Les tyrans ont fantasmé à ce sujet tout au long de l’histoire, mais ils n’ont jamais pu le faire réellement. Staline avait cette énorme police secrète et plus tard le KGB, qui suivait les gens tout le temps. Mais le KGB ne pouvait pas suivre chaque citoyen soviétique 24 heures sur 24, et même si un agent du KGB vous suivait, il ne pouvait pas savoir ce que vous ressentiez réellement. Si vous entendiez un discours de Staline à la radio, que vous souriiez et tapiez des mains, ce que vous ressentiez réellement, le KGB ne le savait pas. Mais le futur KGB pourrait savoir ce que vous ressentez réellement lorsque vous entendez un discours du “Grand Leader”. Vous pouvez sourire et taper des mains, mais si votre température corporelle, votre pression sanguine et votre rythme cardiaque indiquent que vous êtes en réalité en colère, vous ne pourrez pas le cacher à cette nouvelle police secrète biométrique. » (2)

[sources vidéo : 1, 2]

La seule façon de savoir ce qui se passe réellement « sous votre peau » est d’examiner au microscope ce qui a été injecté. Tout le reste peut relever de mensonges ou de spéculations. Voici les preuves que des formes géométriques (nanocircuits) se forment et se dissipent en présence des fréquences micro-ondes provenant d’un routeur Internet 4G, des téléphones et autres appareils sans fil :

1 — Août 2022 : Recherches et analyses de Mat Taylor, ingénieur interviewé par le journaliste Stew Peters. Sur les photos au microscope et films en accéléré, on peut voir très clairement dans une goutte de vaccin des structures rectangulaires s’assembler et grandir exponentiellement sous l’effet des micro-ondes d’un routeur Internet. À noter que les nanocircuits se résorbent et finissent par se désassembler lorsqu’il n’y a plus de fréquences micro-ondes et que le modem est éteint (lien vidéo) :

a) Une structure ressemblant à une croix gammée (nommée « Schwab ») s’est formée en moins de 3 heures. Lorsque le modem est retiré ou éteint, elle se dégrade lentement. Chaque instantané est pris à 4 minutes d’intervalle.
b) Une autre structure, à 2 minutes d’intervalle. Le modem est éteint et rallumé. Il constate que la structure grandit à nouveau, mais pas exactement sous la même forme.
c) Une structure qui s’était précédemment rétractée. Puis, il rallume le modem.
d) « Celle-ci rétrécit, grandit, rétrécit, grandit, et rétrécit encore. Je rallume le modem à 2 minutes de la vidéo, et vous pouvez la voir se réassembler. »

2 — Octobre 2022 : Recherches et analyses de Ricardo Delgado, de la Quinta Columna. Analyse d’une gouttelette de 1/2 cm2 de Pfizer sous microscope optique, nanotubes de graphène, grossissement : 300 fois. « C’est le câblage neuronal dont parlait Elon Musk. » (lien vidéo ou post de Profession Gendarme) :

a) AVANT EXPOSITION AUX MICRO-ONDES — « Ces nanoparticules flottent initialement, et lorsqu’elles sont exposées à des champs électromagnétiques [artificiels], elles se développent de manière plus complexe. »
b) APRÈS EXPOSITION AUX MICRO-ONDES — « Au départ, il n’y avait rien, ou il y en avait très peu. Mais au fur et à mesure que s’écoulait le temps d’exposition au rayonnement micro-ondes, tout ce maillage s’est formé. » ; « il va éliminer le système neuronal naturel et va le remplacer par cette ramification neuronale artificielle. »

3 — Novembre 2022 : Recherches et analyses du Dr David Nixon, médecin de famille depuis 30 ans en Australie, interviewé par le journaliste Stew Peters, dans les pas de Mat Taylor. Dr Nixon assure que les « cristaux » dans le sang de personnes injectées avec Pfizer ne se transforment seulement et uniquement qu’en présence d’une source de micro-ondes. Ces circuits et puces autoassemblés, émettent des adresses Mac lorsqu’ils sont scannés par Bluetooth. À ce stade, ce ne sont plus des nanorobots, ce sont des microbots, dit-il. Grossissement : 200 fois, Accélération vidéo : 400 fois. (lien vidéo) :

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Avec un appareil sans fil éteint.

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Après qu’un appareil sans fil ait été allumé.

PAR CONSÉQUENT, IL EST URGENT QUE LES PERSONNES INJECTÉES CESSENT IMMÉDIATEMENT L’UTILISATION DU TÉLÉPHONE PORTABLE et de tout dispositif employant une technologie sans fil ou à micro-ondes, les nanotubes de carbone et autres nanoéléments se multipliant et grandissant à leur contact. Ces personnes devraient également limiter autant que possible l’utilisation des routeurs Wi-Fi, de tout ce qui est « smart » ou « intelligent » (voir la liste dans la Section « 5. Un Sim Dans Une Prison »), qu’elles se tiennent le plus possible éloignées des antennes, des foules, des endroits et des gens connectés. La solution est . C’est soit ça, soit choisir de laisser évoluer ces « aliens » (structures étrangères) dans son corps.

11. L’ÈRE DE LA DÉCONNEXION

De nos jours, personne n’oserait entrer chez quelqu’un d’autre avec une cigarette allumée. On s’étonne de voir des gens fumer dans les vieux films et on sait que les producteurs étaient payés par les compagnies de tabac pour montrer de séduisants acteurs fumant des cigarettes. À l’avenir, nous serons choqués de voir les gens dans les films porter leur téléphone portable à leur tête. Comment les cinéastes pouvaient-ils encourager une pratique aussi dangereuse ? Tout comme les mises en garde sur les paquets de cigarettes, il y aura des messages d’avertissement sur les paquets de téléphones portables ; la vente aux jeunes sera interdite. Et personne ne songera à entrer chez quelqu’un avec un portable allumé. La pression de l’opinion publique engendrera une demande pour le développement de systèmes de télécommunication sans danger et l’on verra des cabines téléphoniques reparaître aux coins des rues. Nous veillerons à ce que personne n’emporte de portable lors de grands rassemblements tels que les évènements sportifs, concerts, foires, conventions, chorales, fêtes, etc., car un simple détecteur de CEM (champs électromagnétiques) pourra indiquer la présence de fréquences artificielles.

Nous n’avons pas de Wi-Fi… Parlez entre vous.
Faites comme si c’était 1995.

Les hôpitaux, les crèches, les écoles et les bureaux n’autoriseront plus les téléphones portables, toutes les communications informatiques seront câblées, et les employés utiliseront tous des téléphones filaires !

La connexion (sans fil) n’est plus la clé de notre survie. Elle est au contraire la clé de notre asservissement. Dans ce monde en évolution rapide de connexion artificielle, nous avons perdu le contact avec l’environnement naturel qui a défini les origines de notre espèce. Cette perte, ce vide est un immense espace que nous cherchons à combler par des distractions sans aucun sens et des addictions désastreuses. On s’est joué de nous et ce conditionnement est très profond…

Par exemple, il est intéressant de voir que la distanciation sociale était déjà là avec votre portable, et qu’une chose en a entraîné une autre. C’est de l’ingénierie sociale au plus haut niveau ! L’acceptation de mesures coercitives a été soigneusement et longtemps planifiée. Prenez la machine à remonter le temps et voyez ces quelques photos d’artistes, qui sont nécessaires pour comprendre comment vous avez été conditionné et programmé il y a bien longtemps déjà :

1 – 1962 : Une photo de Walter Molino, intitulée La vie en 2022, en première page d’une édition de 1962 de La Domenica del Corriere.
2 – 2001 : Œuvre de l’artiste Nick Rodrigues montrant que la « distanciation sociale » existait déjà auparavant : « La cabine téléphonique portable offre une image visuelle des sacrifices sociaux et des possibilités d’interaction perdues en raison de l’intérêt rapporté à nous-mêmes. Grâce à cette cabine portable de téléphone, un membre de la société peut en devenir un membre isolé. » « La pièce est une cabine téléphonique rétractable que l’on porte sur le dos et que l’on peut faire glisser sur sa tête pour s’isoler complètement de la société. Cet isolement illustre la séparation qui existe déjà dès que l’on commence à parler sur son téléphone portable. » (nickrodrigues.com)
3 — Œuvre de l’artiste Latif Fityani, des années avant l’ère des confinements et restrictions.
4 – 2020 : Pods pour Covid — des gens dans des ShieldPods et WalkingPods (utwpods.com)

12. CONCLUSION

Le plan diabolique pour nous asservir peut s’écrouler comme un château de cartes.

Le téléphone « cellul-aire » ou « insup’portable » est en train de détruire la liberté de l’humanité peu à peu.

Aucune société dystopique, tyrannique, sans argent liquide ou physique, avec porte-monnaie électroniques biométriques, passeports sanitaires, traçage, chasse à l’homme, conformité à toutes les mesures les plus insensées et inhumaines n’existera plus et elle sera impossible à mettre en place le jour où vous ne serez plus le « malheureux détenteur » d’un portable.

Car il y a encore une chose qu’ils ne savent pas faire ; personne ne peut vous contraindre, ni vous-même, ni qui que ce soit, à posséder un portable, une voiture, une télévision, une radio ou un lave-vaisselle si vous n’en voulez pas ! Et plus nous serons nombreux et nombreuses à refuser le portable et les appareils « connectés, sans fil », moins ils auront d’emprise sur nos vies, nos esprits, notre santé, nos libertés, etc.

Nous avons évolué, et très bien vécu sans cela jusqu’en 1995. Un téléphone filaire, un ordinateur et un câble Ethernet relié au modem. La solution pour se libérer soi-même est tellement simple qu’il est vraiment inutile de continuer à chercher plus loin. Mais il faut également libérer les autres, car de leur liberté dépend aussi la nôtre.

Allez-y, faites demi-tour et montrez le bon exemple autour de vous ! Vous ne pourrez jamais savoir ce que c’est tant que vous ne l’aurez pas fait. Dites-vous « je peux » et non pas « je pourrais ». Vous pouvez le faire ! Faites-le en ayant le cœur heureux, sans vous sentir coupable et sans regret. Vous devez simplement le faire — non seulement pour vous ou pour ceux qui vous entourent — mais également pour vaincre le Nouvel Ordre du « Meilleur des Mondes ». Le portable est le cheval de Troie du N.O.M. (Nouvel Ordre Mondial). Dans cette situation extrême, nous devons faire un retour sur nous-mêmes, sur nos droits et sur notre autonomie. Ensemble, nous pouvons faire bouger les choses. En choisissant une autre voie, via nos choix de consommation, ce qui a toujours été le moyen le plus efficace de nous faire entendre. Actuellement, c’est vraiment la seule option qui nous reste, compte tenu de la tournure que prennent les évènements. Votre vie est en jeu et il ne s’agit plus de posséder un téléphone portable, mais d’y renoncer. Il ne s’agit pas de se raser la tête ni de vivre de pain et d’eau ! Il suffit d’un peu de volonté et peut-être de quelques semaines ou quelques mois pour surmonter bravement une éventuelle période de sevrage — si vous suivez les bons conseils et astuces que j’aborde ici. Vous finirez par vous rendre compte à quel point cela était simple. Vous allez retrouver la liberté et la paix en vous et tout autour de vous. Je le sais parce que j’ai vécu cela moi aussi, en 2012.

Si nous gardons nos téléphones, nous ne récolterons que la tyrannie, la souffrance et la maladie. Que voulez-vous avant tout, votre téléphone ou votre liberté, votre téléphone ou votre santé, votre téléphone ou votre planète ? Il y a tant à dire ! C’est pourquoi je vous invite à visiter la Galerie à la page suivante, car les images parlent souvent mieux que les mots…

Allez-y, vous verrez, ça vaut le détour !

[Voir aussi et notamment sur le même site :
https://liberez-vous.weebly.com/liberez-vous.html]




« Le vaccin était prêt avant le début de la pandémie » : la BOMBE !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]

[Note de Joseph :
Comme le dossier Vaccins et virus permet de s’en rendre compte, il existe maintenant une bonne démonstration des éléments suivants :

— La virologie ne relève plus de science depuis environ 70 ans, date à laquelle elle aurait dû être abandonnée devant son échec à apporter la preuve réellement scientifique de l’existence de virus pathogènes. Elle s’adonne depuis lors à des rituels, tels que la prétendue « culture virale » (dont l’effet cytopathique ne démontre nullement la présence de virus, mais seulement la mort des cellules de culture sous l’effet des substances toxiques présentes et de l’absence de nutrition naturelle de ces cellules, comme une expérience de contrôle en absence de matériel biologique supposément « infecté » jamais réalisée par les virologues permet de s’en rendre compte) et le séquençage génétique qui n’est qu’une opération logicielle et qui relève d’escroquerie intellectuelle. (Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène, À quel point les virus sont-ils morts ?, La virologie : pseudoscience au service de la domination, « Virus », des décennies d’escroqueries ?, Démontage de la théorie virale, Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?, Déclaration sur l’isolement des virus, Comment créer votre propre « nouveau virus » généré par ordinateur, Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs, etc.)

— Les prétendus virus, quel que soit leur nom (Ebola, HIV, SRAS-CoV-2, Rougeole, etc.) n’ont jamais pu être correctement et véritablement isolés, purifiés et chimiquement caractérisés. Lorsque des virologues prétendent le faire, ils ne pratiquent pourtant aucune expérience de contrôle, alors que de telles expériences sont indispensables à chaque étape d’une expérimentation ou d’un processus démonstratif scientifiques, notamment pour espérer apporter la preuve de liens de causalité. (L’enterrement de la théorie virale)

— Ce qui est pris par les virologues pour des virus pathogènes est des composants par ailleurs démontrés et connus de cellules ou de tissus biologiques, dont les « exosomes » produits lorsque l’organisme est agressé d’une manière ou d’une autre (par exemple par des toxines chimiques ou par des ondes électromagnétiques, sachant dans ce dernier cas que le corps des animaux et des êtres humains est parcouru de multiples courants électriques et qu’il suffit de peu pour perturber ces derniers).

— Les seules photographies existantes de soi-disant « virus » pathogènes sont des photographies en deux dimensions prises par microscopie électronique suite à un ensemble d’opérations chimiques et physiques qui dénaturent le matériel biologique initial. Les représentations en trois dimensions virtuelles et diversement colorées ne sont que des créations artistiques produites par des logiciels graphiques.

— Sachant qu’aucun virus pathogène n’a pu jusqu’à présent être isolé, malgré notamment le fait que l’équipe du professeur Lanka offre un million d’euros au premier virologue qui sera capable de le réaliser, il est bien évident qu’aucun lien de causalité n’a pu être pour l’instant établi entre un virus et la maladie virale qu’on lui attribue. Autrement dit, il n’a jamais été scientifiquement et réellement démontré que le SIDA était causé par le HIV, que la grippe était causée par l’influenza, que la rougeole était causée par un virus de rougeole, que la Covid était causée par un coronavirus. Dans chaque cas, la cause des symptômes regroupés sous le nom d’une maladie particulière est à rechercher ailleurs. En particulier, il existe de fortes présomptions que la polio est en réalité causée par des pesticides (Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio), que la maladie d’Ebola est causée par des toxines minières (Ebola : briser les mensonges et la supercherie, L’invention du « virus Ebola ») et que la grippe et la covid (de symptômes similaires) trouvent leur cause principale dans l’effet des ondes électromagnétiques (notamment pulsées, comme la 4G et la 5G) et des champs électriques (Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS, Rappel — La Chine, la 5 G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur). Quant au SIDA, ce terme regroupe une telle diversité de symptômes, et pas nécessairement les mêmes d’un continent ou d’un pays à l’autre, que ses causes peuvent être également diverses, dont les drogues (poppers) utilisées par les homosexuels masculins pour leur rapports sodomiques (Commentaires sur le VIH de Montagnier, Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale — même pas en Afrique, Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki).

— Les vaxins anticovid contiennent du graphène (Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit, Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité).

— Le graphène a des effets toxiques divers sur le corps (Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations, Comprendre le graphène).

— La nanotechnologie au graphène permet de créer des réseaux électroniques et de rendre l’Homme transhumain (Technologie de « neuromodulation » à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA, La nanotechnologie dans les vaccins, Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain, Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle, etc.).

— Les « virus » augmentés (ou chimères) fabriqués en labo p4 pour espérer créer des armes biologiques transmissibles ne sont que des exosomes trafiqués (baignant dans une soupe chimique toxique) qui ne se transmettent pas d’un individu à l’autre et nécessitent donc l’injection directe dans le corps pour produire leurs effets nocifs sur la santé.
(C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! Voici un extrait de l’article :

Ce qui s’est passé au cours de cette expérience (et d’expériences similaires) n’était rien de plus que la création d’une recette qui a abouti à une soupe toxique. Cette soupe a ensuite été injectée de force dans les voies nasales de bébés souris sous anesthésie à l’isoflurane. Les souris ont été contrôlées régulièrement pour voir si elles présentaient des signes des symptômes que les chercheurs voulaient voir, tels qu’une perte de poids de 10 à 19 %, une fourrure ébouriffée et/ou une posture voûtée, une insensibilité faible à modérée et des tremblements, c’est-à-dire les signes classiques associés à la « Covid-19 » chez l’homme (notez le sarcasme). Il n’a jamais été considéré si le mode d’injection et/ou l’utilisation de l’anesthésie à l’isoflurane avaient pu ou non entraîner des symptômes. Il n’a jamais été considéré si le stress de l’expérimentation ou les conditions de vie artificielles affectaient la santé des souris. Tous les signes et symptômes étaient supposés être causés par un « virus » invisible dont l’existence n’a jamais été directement démontrée. Dans les cas où une perte de poids supérieure ou égale à 20 % survenait ou si les souris recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs, les souris étaient alors considérées comme moribondes et euthanasiées.

)

Lorsque l’on met cela en parallèle avec les nombreux effets secondaires nocifs de ces prétendus vaccins, avec la volonté affichée de Bill Gates, via notamment la GAVI et l’OMS, de vacciner sept milliards d’êtres humains, avec Klaus Schwab qui évoque dans ses livres la transformation de l’Homme en transhumain, avec les scénarii de Rockefeller (La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?), avec de nombreux autres indices présentés par divers lanceurs d’alerte depuis plusieurs décennies, il est clair que le but des mesures dites « sanitaires » et des « vaccins » n’est pas de sauvegarder la santé et que cette « plandémie » était prévue de longue date. Ce que révèle la vidéo ci-dessous n’a donc rien de surprenant pour ce qui est du vaccin, bien au contraire. Par contre, elle propage inutilement la peur de virus et sert alors au contraire l’agenda mondialiste.

La pierre angulaire de l’édification du Nouvel Ordre Mondial est la théorie virale. C’est essentiellement cette dernière qui a permis l’application mondiale des mesures « sanitaires » déterminantes pour l’agenda totalitaire. Il est donc indispensable aux élites mondialistes de renforcer cette théorie par tous les moyens au lieu de l’abandonner comme étant fallacieuse, non scientifique, et même frauduleuse. Et rien de mieux que les labos p4 et les savants fous fabricants de méchants virus augmentés et que la peur qu’ils génèrent pour maintenir les masses dans le conte de fées. Comme ces élites contrôlent la finance, les médias, les politiciens (notamment par la corruption, mais aussi par le chantage), l’enseignement universitaire (spécialement en climatologie et en médecine, ceci en particulier en ne finançant que les études qui alimentent les discours autorisés, mais en coupant les crédits aux chercheurs déviants), la Justice et les forces militaires et de police, le seul moyen humainement utilisable pour faire tomber cet ordre mondial est de s’en prendre à son point faible, la pierre angulaire de l’édifice. Faites tomber la théorie virale comme il se devrait d’un point de vue logique et scientifique, et vous entraînez la chute de Big Pharma et celle du Nouvel Ordre Mondial, puisque le premier perdra la principale source de ses gains financiers, à savoir les vaccins et les antiviraux, et le second ne disposera alors de plus rien pour justifier les mesures coercitives antivirales.

Rappelons en passant que le média anglais qui diffuse cette « information » fait partie des médias mainstream contrôlés par ces mêmes élites.]

[Voir à partir de 3:07 :]




Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle

[Source : etouffoir via santeglobale.world]

Par Ana Maria Mihalcea, M.D., Ph.D



Dans cette conférence, le professeur Ian Alkyildiz du Georgia Institute of Technology donne un aperçu de son travail au cours des 15 dernières années en matière de développement de systèmes de communication térahertz pour l’Internet de tout. Dans le lien souligné ci-dessus, vous pouvez voir son CV impressionnant.

Ses intérêts de recherche actuels incluent le réseautage 2030, le métaverse, l’hologramme et la communication en réalité étendue, les systèmes sans fil 6G/7G, la communication térahertz et la communication sous-marine.

Je suis toujours attentive lorsque les chercheurs les plus brillants qui ont travaillé avec l’armée américaine et la DARPA commentent les vaccins. Sa vision des vaccins de C19 est assez révélatrice — et il devrait le savoir, compte tenu de son domaine d’expertise.

Il a expliqué comment les ARNm ne sont que des nanomachines programmées à petite échelle, puis injectées pour surveiller tous les problèmes de santé. « Ça se passe super bien » selon le professeur. Il passe ensuite à une discussion de la technologie de surveillance des données à spectre complet sur la planète Terre. S’il vous plaît, visionnez sa conférence complète ici :

(DARPA) GRAPHENE PLASMONIC NANO TERAHERTZ ANTENNA “COVID MRNAS RIEN DE PLUS QUE DES MACHINES BIO-NANO”

[Voir aussi :
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?
La nanotechnologie dans les vaccins
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Nanotechnologie et « vaccins »
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de « neuromodulation » à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19]

Voici un de ses articles :

Il parle également de l’application du térahertz pour l’univers holographique et la transition métaverse. C’est ce dont j’ai parlé en ce qui concerne l’agenda transhumaniste pour la numérisation complète et la surveillance de toute vie.

Il a travaillé avec l’armée américaine :

Il mentionne que la CIA a mis un verrou sur le brevet pour les nanoantennes à base de graphène vu dans la première diapositive. Le graphène, selon lui, a des caractéristiques fantastiques : plus dur que l’acier, une excellente utilisation pour le traitement de l’information. Le premier transistor 1 nm de l’histoire a été développé en 2008.

Il parle des travaux de la DARPA sur l’électronique de fréquence térahertz, les dispositifs, les métamatériaux, ainsi que le suivi et la surveillance par GPS atomique, qui ont été étudiés en 2014 et sont basés sur l’informatique quantique :

Il parle des technologies de surveillance totale :

Et la connexion avec l’Internet de l’espace, le développement de satellites minuscules qui permettent un contrôle total des données mondiales.

L’objectif est de suivre tout et tout le monde — partout.

Il est clairement impliqué dans la création de la plate-forme technologique métavers qui est également liée aux applications médicales :

A. TÉLÉPORTATION HOLOGRAPHIQUE MULTISENSORIELLE. 

Alors que la réalité virtuelle (VR) et la réalité augmentée (AR) ont immensément bénéficié de l’eMBB et de l’URLLC introduits dans le cadre de la 5 G, il, 

existe de nombreuses applications telles que les soins de santé avancés, y compris le diagnostic et la chirurgie à distance, la détection haute résolution pour l’exploration à distance et la quasi — visioconférence en personne réelle qui ne peut pas être correctement desservie par une combinaison de réalité augmentée et de réalité virtuelle. À cette fin, la téléportation holographique a été reconnue comme le successeur naturel des solutions basées sur la réalité augmentée et la réalité virtuelle. Contrairement aux solutions existantes, la téléportation holographique fonctionne dans un véritable espace tridimensionnel et exploite les cinq sens — la vue, l’ouïe, le toucher, l’odorat et le goût, pour offrir une expérience véritablement immersive.

[Voir aussi :
Il n’y a PAS d’ARNm dans les vaccins, mais un hydrogel magnétique d’IA qui mime le fonctionnement d’une protéine de pointe]

Voici le lien vers son article :

6G et au-delà : l’avenir des systèmes de communication sans fil

PDF de l’article en anglais :




La guerre totale contre Dieu

[Source : nicolasbonnal.wordpress.com]

« Guerre totale contre Dieu. Comment répondrons-nous ? Par l’alliance avec Dieu. » Texte écrit et envoyé par un lecteur, Maître Iurie Roșca (intellectuel chrétien et homme politique moldave) : « Toute la dynamique de la vie internationale des dernières décennies porte la marque frappante de Satan… La guerre totale menée actuellement contre l’humanité n’est pas le fait de « psychopathes », comme tentent de nous en convaincre certains dissidents du camp altermondialiste. Ces cercles occultes ne sont pas autonomes. Ils ont fait leur choix, ils ont choisi leur maître. C’est maintenant à notre tour de le faire. Jusqu’à ce qu’il soit trop tard. S’il n’est pas trop tard. Christ nous attend. Viendrons-nous à lui ou peut-être est-il déjà en route vers nous? »

Nicolas Bonnal

Par Iurie Roșca

Toute la dynamique de la vie internationale des dernières décennies porte la marque frappante de Satan. Le processus radicalement dirigé contre l’homme — le mondialisme — ne peut être compris dans toute sa profondeur et sa complexité que d’un point de vue religieux.

L’assaut final des forces lucifériennes contre l’humanité a pris une ampleur sans précédent maintenant pour deux raisons principales.

La première. Le bannissement de Dieu de l’esprit collectif des masses a triomphé (Le fait que certains d’entre nous fréquentent encore des lieux de culte ne nous dispense pas de la pénétration dévastatrice d’une vision profondément matérialiste dans nos esprits, nous poussant dans un état de schizophrénie).

Deuxième. Les acquis de la techno-science, induits par les forces infernales de certains « scientifiques » diabolisés, permettent l’exercice d’un contrôle total sur les masses mondiales par un très petit groupe de personnes.

L’action subversive du serpent biblique contre l’homme ne s’est pas arrêtée un instant depuis la tentation d’Ève au Paradis jusqu’à aujourd’hui. En Occident, cela s’est manifesté à travers la Réforme, la Renaissance, le Siècle des Lumières, la Révolution française. Ainsi l’effondrement de la Modernité a tracé une ligne de dégradation continue de l’Humanité. Scientisme, Technolâtrie, Progressisme, Transformisme, Anthropocentrisme ne sont que quelques noms de cette maladie spirituelle mortelle.

Et si l’on croyait que l’Homme, la nature et la société pouvaient être refaçonnés à l’infini, nous sommes aujourd’hui arrivés au stade terminal de la diabolisation du monde. Elle se manifeste par la désagrégation définitive de l’harmonie et de l’équilibre dans le monde. L’agression contre l’Humanité, lancée avec une force dévastatrice, prend des formes telles que la liquidation de la famille, l’anéantissement de la maternité, le meurtre rituel des bébés à naître, le féminisme, la théorie du genre, la légalisation de la sodomie, la pédocriminalité, la sexualisation des enfants.

L’enchaînement des procédés de déshumanisation du monde et d’assassinats des masses anesthésiées par la télévision, Internet et la culture de masse inclut nécessairement le mythe du vaccinisme et le mythe du climatisme.

Les messagers du monde infernal, regroupés dans des organisations de type occulte ou visible, prêchent la fin de l’homme normal par la fusion du biologique et du technologique dans le corps humain. L’homme augmenté, imprégné de nanoparticules et de puces, est la « nouvelle normalité » vers laquelle les satanistes nous poussent. Gestion de la perception, modélisation du comportement, contrôle de l’esprit, modification de la mémoire, numérisation complète de la société et de l’homme — c’est déjà la réalité cauchemardesque dans laquelle nous sommes poussés.

L’accélération vertigineuse des rythmes d’atteinte de la phase terminale de l’humanité a acquis deux noms complémentaires, présentés comme des réalisations supérieures destinées à fonder une ère de béatitude généralisée : Technocratie et Transhumanisme.

La rapidité avec laquelle le programme diabolique des mondialistes est mis en œuvre est si rapide, et les conséquences de ces actions si désastreuses, que l’établissement du Nouvel Ordre Mondial devient une réalité quotidienne.

L’impasse dans laquelle est arrivée l’humanité face à ces dangers mortels est due à l’aveuglement spirituel induit par les milieux maçonniques d’abord en Europe occidentale, et aujourd’hui dans le monde entier contaminé par la maladie mortelle de l’occidentalisation.

Des militants politiques, des activistes civiques, des auteurs de livres, des chercheurs honnêtes, des journalistes indépendants cherchent à former une Résistance face à ce tsunami mondialiste, critiquant le Système de l’intérieur sans se rendre compte de la stérilité de leur propre effort. La matrice dans laquelle nous sommes plongés depuis des centaines d’années n’a été rien de plus que la phase de préparation de l’assaut final contre l’humanité, qui se déroule avec une force volcanique. On pourrait appeler ce piège intellectuel « matérialisme » ou « libéralisme » et on ne se tromperait pas.

Mais le nom correct pour l’état du monde aujourd’hui est le rejet de Dieu. Le diable savait comment travailler discrètement pour renverser la vision religieuse du monde. Aujourd’hui, l’homme considère son manque de foi comme une question de choix personnel. Il n’assume pas le rôle déshonorant d’un objet de manipulation par des forces extérieures à son propre esprit, de nature spirituelle.

D’où tous les échecs de l’analyse, aussi fine et savante soit-elle, des cimes intellectuelles qui cherchent à conceptualiser les réalités d’aujourd’hui et surtout à proposer des solutions pour éviter une fin fatale à l’humanité. Nos exercices intellectuels puérils sur la restauration de l’État de droit, de la souveraineté populaire, de la démocratie, des droits de l’homme, etc. c’est une occasion d’amusement spécial pour le diable. Il a su nous échapper des regards, nous faire croire à notre propre autonomie.

Restant captif du paradigme matérialiste qui induit l’autosuffisance humaine, sans référence à Dieu comme créateur du monde et à Satan comme son destructeur, notre lutte pour la survie est vouée à l’échec. Nous ne pouvons pas nous sauver de la catastrophe terminale qui roule sur nous à une vitesse croissante soit par la culture, soit par la science, soit par les méthodes de lutte politique offertes par l’État libéral.

La chance de survie du monde dans les conditions de cette agression d’une immense puissance destructrice ne réside pas seulement dans l’effort de réinformation, dans le courage civique et dans le démasquage des plans de l’élite mondialiste.

La force dévastatrice de cette agression ne réside pas seulement dans la concentration des ressources économiques, politiques, technologiques et militaires qui leur permettent d’avoir une domination totale sur le monde. Elle a un pacte avec le diable. Autrement dit, nos forces sont inégales. Ils se sont alliés à l’esprit des ténèbres, et nous restons seuls, c’est-à-dire une proie sûre pour eux.

Par conséquent, pour avoir une chance de survie, puis de victoire, nous avons également besoin d’une alliance qui nous rendra plus forts face aux ennemis de l’humanité. Et cela ne peut être qu’avec Dieu. Seul le créateur du monde et de l’homme est plus puissant que sa créature, le premier révolutionnaire qui est Lucifer.

Notre Dieu, notre sauveur, le Dieu tout-puissant nous attend. Il nous regarde avec pitié comme des orphelins sans défense devant une meute de loups.

La guerre totale menée actuellement contre l’Humanité n’est pas le fait de « psychopathes », comme tentent de nous en convaincre certains dissidents du camp altermondialiste. Ces cercles occultes ne sont pas autonomes. Ils ont fait leur choix, ils ont choisi leur maître. C’est maintenant à notre tour de le faire. Jusqu’à ce qu’il soit trop tard. S’il n’est pas trop tard.

Christ nous attend. Viendrons-nous à lui ou peut-être est-il déjà en route vers nous ? »

Iurie Roșca

03.06.2023

https://en.wikipedia.org/wiki/Iurie_Ro%C8%99ca

https://ru.wikipedia.org/wiki/%D0%A0%D0%BE%D1%88%D0%BA%D0%B0,%D0%AE%D1%80%D0%B8%D0%B9%D0%98%D0%B2%D0%B0%D0%BD%D0%BE%D0%B2%D0%B8%D1%87




Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert

[Source : stopworldcontrol.com/fr/ via RI]

Par David Sorensen

[Voir aussi :
Les « villes intelligentes » du Forum Économique Mondial sont des « camps de concentration ouverts »]

Une Ville Intelligente (Smart City) est un environnement urbain où les technologies de surveillance et de collecte de données sont omniprésentes et où les détails les plus intimes et personnels de chacun sont surveillés et enregistrés.

L’objectif est de tout savoir sur tout le monde : ce que vous mangez et buvez, où vous allez, ce que vous achetez, qui vous rencontrez, ce que vous pensez, ce que vous ressentez, vos opinions, vos habitudes, votre état de santé et de vaccination, etc. Chaque. Petit. Détail. Cette surveillance tous azimuts est justifiée par le fait qu’elle est censée être essentielle pour « sauver la planète » du changement climatique. Ils garantissent également que cela rendra votre vie plus connectée, plus sûre et plus saine.

Chaque aspect de la vie dans une Ville Intelligente sera surveillé par un large éventail de technologies de collecte de données :  lumières intelligentes, poteaux intelligents, voitures intelligentes, voisinages intelligents, maison intelligentes, électroménager intelligent, énergie intelligente, transport intelligent et bien d’autres technologies « intelligentes » (SMART). Ensemble, elles formeront une grille de surveillance omniprésente, collectant en permanence toutes les informations sur les moindres détails de la vie des citoyens.

Les Villes Intelligentes créent
l’Internet des Corps

internet of bodies

Ces dispositifs SMART externes sont synchronisés avec des dispositifs directement connectés au corps humain, comme les montres intelligentes à notre poignet ou les téléphones intelligents (smartphones) dans nos mains. Ces appareils sont capables de recueillir des informations sur ce qui se passe à l’intérieur de notre corps et ont même la capacité de modifier les fonctions du corps humain. Dans un avenir proche, ils seront implantés à l’intérieur du corps humain afin de collecter encore plus de données et d’avoir une plus grande influence sur ce qui se passe à l’intérieur de nous.

Les informations personnelles recueillies par ces milliards d’appareils dans le monde entier forment un réseau appelé l’internet des corps (Internet of Bodies), ou en abrégé, l’IoB. Actuellement, nous connaissons tous l’internet des objets (Internet of Things, ou IoT), qui nous permet d’accéder à des informations illimitées sur tout. L’Internet des corps sera essentiellement le même, sauf qu’il rassemblera toutes les informations personnelles et les plus intimes sur tout le monde. Ces données seront entre les mains des entreprises mondiales, des gouvernements, des impériums bancaires, etc.

Une Ville Intelligente
limite vos déplacements

smart city surveillance

Afin de s’assurer que chacun reste dans le périmètre de collecte des données, les déplacements dans les villes intelligentes seront limités à 15-20 minutes du domicile. Ce concept a donné naissance à l’expression « Villes de 15 Minutes » (“15 Minute Cities”) et est présenté comme la meilleure idée qui soit pour sauver la planète du changement climatique. Tout ce dont vous avez besoin sera disponible à une courte distance, de sorte que personne n’aura jamais besoin d’aller au-delà de ce périmètre. Pour les distances plus longues, un permis sera nécessaire.

En outre, 30 % des zones sauvages seront fermées pour encourager les gens à chercher leur bonheur dans les Villes Intelligentes au lieu de s’aventurer dans la nature majestueuse. Des réalités virtuelles sont créées pour remplacer le temps passé dans la nature. Le MetaVerse et toutes ses alternatives en sont des exemples. Encore une « merveilleuse idée pour sauver la planète » : enfermer la population mondiale dans des Villes Intelligentes, où elle « profite de la vie » dans un royaume virtuel.

Il n’y a aucune vie privée
dans une Ville Intelligente

smart city privacy

Le Forum Économique Mondial a écrit un article sur Forbes.com qui décrit l’expérience d’un citoyen à l’intérieur d’une Ville Intelligente, qui la qualifie de paradis sur terre : « Comment se fait-il que nous n’y ayons jamais pensé auparavant ? » L’une des caractéristiques sera que personne ne possédera rien. Tout sera partagé : les maisons, les voitures, les outils, les voitures et même les vêtements. À la fin de son message, le citoyen exprime une inquiétude concernant la vie dans une Ville Intelligente :

« De temps en temps, je suis contrarié par le fait que je n’ai pas de véritable vie privée. Je ne peux aller nulle part sans être enregistré. Je sais que quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J’espère seulement que personne ne l’utilisera contre moi. En fin de compte, c’est une bonne vie ».

Le système nerveux central des Villes Intelligentes sera la 5G. Selon l’ancien président chilien Sebastián Piñera, la 5G est non seulement capable de lire nos pensées, mais aussi d’insérer des pensées et des émotions dans tout le monde. Il a déclaré qu’elle deviendrait le système nerveux central de la société et a garanti qu’elle atteindrait tous les foyers du pays. Il est intéressant de noter que tous les lampadaires des Villes Intelligentes sont aussi des antennes 5G dissimulées.

Les Villes Intelligentes collectent
les données de chacun

smart city surveillance data harvesting

Pourquoi veulent-ils que tout le monde vive dans des Villes Intelligentes et quelle est leur motivation pour enregistrer chaque petit détail sur chacun d’entre nous ? La réponse est donnée par le professeur israélien Yuval Noah Harari, conseiller du Forum Économique Mondial. Il explique :

« Les nouveaux maîtres du monde seront ceux qui possèdent les données.”

La richesse d’aujourd’hui n’est plus l’or ou le pétrole. Ce sont les données. Plus une entreprise, un gouvernement ou un empire bancaire dispose de données sur la population, plus il a de pouvoir. Les Villes Intelligentes seront un moyen sans précédent d’utiliser l’humanité comme un immense troupeau de vaches à données.

Les données personnelles nous seront soutirées tout au long de la journée, et même pendant notre sommeil.

Outre la collecte d’énormes quantités de données, ces technologies permettent également des niveaux de contrôle inédits dans les civilisations précédentes. Un ancien ingénieur de la Silicon Valley, Aman Jabbi, tire la sonnette d’alarme en indiquant que les Villes Intelligentes seront en fait des camps de concentration à ciel ouvert :

« En leur fournissant vos données, vous leur donnez la possibilité de surveiller et d’évaluer votre comportement, qui peut maintenant être converti en un score de crédit social. Ce score est ensuite utilisé pour déterminer les privilèges auxquels vous avez droit et ceux auxquels vous n’avez pas droit dans la nouvelle société esclavagiste ».

Ce système de crédit social est déjà en cours de déploiement en Chine et, lors de la pandémie de 2020, de nombreux pays ont mis en œuvre les premières étapes de ce système de contrôle. Les identifiants et les monnaies numériques seront au centre de cette grille. Lorsque les gens désobéiront ou critiqueront le système, leurs dépenses seront réduites et l’accès aux aspects fondamentaux de la société sera bloqué. Encore une fois, c’est ce qui se passe déjà en Chine, qui est le terrain d’essai pour le reste du monde.

Les Villes Intelligentes vont-elles modifier le génome humain ?

Un fait inquiétant concernant les Villes Intelligentes est que tous les lampadaires sont des lampes LED (diodes électroluminescentes), qui ont la capacité de manipuler le génome humain. L’expression des gènes peut être activée ou désactivée à l’aide de lampes LED, qui peuvent également activer l’ARNm à l’intérieur du corps humain. Les études scientifiques documentant ces faits abondent en ligne.  On peut donc se demander si c’est pour cette raison que les autorités insistent pour injecter à l’ensemble de l’humanité des technologies d’ARNm pouvant être activées à l’aide de lampes LED.

[Note de Joseph :
D’après plusieurs chercheurs et laboratoires indépendants, il n’y aurait pas (ou pas que) d’ARNm dans les vaxins, mais (aussi et surtout) une nanotechnologie à base de graphène.
Voir :
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
La nanotechnologie dans les vaccins
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Nanotechnologie et « vaccins »
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de « neuromodulation » à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain]

✔︎ L’humanité entière se voit injecter de l’ARNm

✔︎ L’ARNm peut être activé par des lampes LED

✔︎ Tout le monde est entouré de lampes LED


QUE SE PASSE-T-IL DONC ?

Klaus Schwab, fondateur du Forum Économique Mondial, promeut l’édition de gènes humains. Il affirme ouvertement que cela changera ce que signifie être humain. Yuval Harari, conseiller du FÉM, va même jusqu’à affirmer que les élites financières se sépareront de l’humanité, car elles seront génétiquement modifiées pour devenir bien supérieures aux personnes normales. L’inégalité économique deviendra une inégalité biologique. Harari affirme que les élites deviendront des « Homo Deus » : des êtres divins, ou des dieux.

Si toutes ces idées n’étaient pas promues dans le monde entier par des personnes et des groupes tels que Bill Gates, Barak Obama, CNN, Facebook, les Nations Unies, le Forum Économique Mondial et d’innombrables autres organes des élites, nous pourrions certainement penser qu’il s’agit du scénario d’un film de science-fiction !  Mais il s’agit d’une réalité horrible qui est poussée à une échelle énorme. Lors d’un récent sommet des gouvernements mondiaux à Dubaï, Klaus Schwab a déclaré que ces développements n’étaient plus à venir, mais qu’ils étaient en cours d’élaboration dès maintenant. Ses mots exacts étaient les suivants :

« Ils arriveront comme un tsunami ».

Et en effet, c’est en train d’être déployé à toute vitesse. À Rio de Janeiro, par exemple, 450 000 lampadaires sont en train d’être remplacés par des lampes LED équipées de la 5G. Le graphique ci-dessous montre comment les grandes villes d’Amérique latine se transforment en Villes Intelligentes.

smart cities latin america

Il en va de même à Londres, à Paris et dans toutes les autres grandes villes du monde. Des millions et des millions de lampadaires LED 5G sont placés tous les quelques mètres dans chaque rue de chaque ville. Bill Gates a même investi dans la construction d’une nouvelle Ville Intelligente en Arizona qui peut accueillir 80 000 personnes, le tout centré autour de centres de données massifs.

Destruction de 3 000 fermes
pour une méga Ville Intelligente

Aux Pays-Bas, le gouvernement a récemment annoncé la destruction de 3 000 fermes afin de faire de la place pour une monstrueuse Ville Intelligente appelée TriState City Network (réseau de villes sur trois états), qui accueillera 40 millions de personnes de Belgique, d’Allemagne et des Pays-Bas. Leur « logique » pour s’emparer des terres et détruire les animaux de 3 000 fermes est qu’elles « émettent trop de CO2 », ce qui « détruit la planète ». Et pourtant, remplacer les verts pâturages par une monstrueuse ville intelligente est bon pour l’environnement ! Actuellement, la majeure partie des Pays-Bas est constituée d’une belle campagne avec de verts pâturages, des moulins à vent, des ruisseaux et des fermes historiques. C’est une région unique au monde, vraiment belle et chargée d’histoire.

Le gouvernement veut transformer toute cette belle campagne en une immense ville intelligente appelée Holland City.

En Australie, le gouvernement a adopté une loi qui permet aux habitants des zones rurales d’être déplacés de force vers des Villes Intelligentes lorsque leur région a été contaminée par des toxines dangereuses. Le déraillement d’un train dans l’Ohio nous a montré à quel point il est facile de contaminer une vaste zone. S’agit-il d’un précédent ? Avec l’organisation de quelques accidents de train, des millions de personnes pourraient être déplacées des zones rurales vers des villes intelligentes.

L’humanité doit se réveiller

L‘aspect malveillant de cet agenda est indescriptible. Mais ce qui est encore pire, c’est le refus persistant du public de reconnaître quelque chose qui menace son existence même. Ils s’obstinent à garder les yeux fermés, ne s’intéressant qu’aux divertissements superficiels. Ils restent muets et aveugles à tout prix, car « l’ignorance est un bonheur ».

Si nous restons dans cet état flagrant de bêtise, nous sombrerons dans le cauchemar le plus horrible que ce monde ait jamais connu.

S’il est un moment dans l’histoire du monde où il faut ouvrir les yeux, c’est bien aujourd’hui. Nous n’avons plus le luxe de nous cacher la tête dans le sable. Il ne s’agit pas d’une théorie du complot, car cette technologie est déployée dans le monde entier à une vitesse insondable. Sous le couvert de la pandémie, des millions de tours 5G ont été érigées dans tous les pays du monde. Des lampes LED sont installées partout. Tous les vaccins sont désormais prêts à être de type ARNm, même si Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, a été enregistré lors d’une réunion de zoom avec son personnel, disant que les vaccins ARNm modifient effectivement l’ADN et l’ARN humains, et que les partisans n’ont aucune idée des autres mutations ou risques qui peuvent exister à long terme.

Le programme des élites est de garantir des injections régulières avec la technologie de l’ARNm pour l’ensemble de la population mondiale jusqu’à la fin de notre vie. C’est pourquoi le statut vaccinal sera lié à nos monnaies numériques et à notre identité numérique. Manquer une injection pourrait bloquer l’accès à la société et aux services bancaires.

Que pouvons-nous faire
pour arrêter cette folie ?

Existe-t-il un moyen de mettre fin à cette folie ?  Oui. D’abord et avant tout, nous devons informer les membres de nos communautés. La seule raison pour laquelle les tyrans sont capables de faire cela, c’est l’ignorance des masses. Les gens n’ont pas la moindre idée de ce qui les attend. Ils acceptent sans broncher tout ce qui les oriente vers ce cauchemar dystopique. Il est de notre devoir de les informer par tous les moyens possibles.

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Nous sommes les 99 %, les tyrans ne sont que les 1 %. Mais le problème est que la plupart d’entre nous ne font rien. La majorité refuse même de voir ce qu’elle a sous le nez. Ils ont les aiguilles dans les bras, les téléphones intelligents dans les mains, les lumières LED dans les rues, les compteurs intelligents dans les maisons, la technologie intelligente dans les voitures… et ils continuent à dire que « tout cela n’est qu’une théorie du complot ». La folie de ce refus de voir la réalité n’est rien de moins qu’une véritable psychose.

Nous devons ouvrir les yeux.  Pas demain, mais AUJOURD’HUI.

Consultez notre guide « 10 Façons d’Arrêter le Nouvel Ordre Mondial » où vous trouverez un aperçu des mesures pratiques que nous pouvons tous prendre pour protéger nos vies et notre avenir.

Ce n’est pas le moment de rester les bras croisés. Nous devons nous lever et agir. Merci d’utiliser les boutons ci-dessous pour partager cet article et aider à réveiller les gens autant que possible.




Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain

[Source : @Roms17 ou rumble.com]

[Voir aussi :
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
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Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité

[Source : Guy Boulianne]

Par Guy Boulianne, éditeur et journaliste indépendant

Voici un article du Maître de conférences en relations internationales, Dr David A. Hughes, intitulé “Qu’y a-t-il dans les soi-disant « vaccins » COVID-19 ? Partie 1 : Preuve d’un crime mondial contre l’humanité” (What is in the so-called COVID-19 “Vaccines”? Part 1: Evidence of a Global Crime Against Humanity). Cet article a été publié dans le dernier numéro du “Journal international de la théorie, de la pratique et de la recherche sur les vaccins” (International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research).  L’IJVTPR est une revue savante en libre accès à comité de lecture concernant le développement, la distribution et le suivi des vaccins et de leurs composants. Tout le contenu est disponible gratuitement et sans frais pour l’utilisateur ou son institution. Les utilisateurs peuvent lire, télécharger, copier, distribuer, imprimer, rechercher ou créer un lien vers les textes intégraux des articles, ou les utiliser à toute autre fin licite. L’autorisation de l’éditeur ou de l’auteur n’est pas requise, mais les demandes de renseignements et les lettres nous informant de l’utilisation légale de l’un de nos documents publiés sont les bienvenues. Toutes les œuvres sont sous licence Creative Commons License 4.0 NC ND.

David Hugues est né et élevé dans le Lincolnshire. Sa carrière universitaire l’a conduit à travers le monde avant de finalement rentrer chez lui. Après avoir terminé ses études de premier cycle et de maîtrise à Oxford, David a fait son premier doctorat. en études allemandes à Duke University (USA) où il a reçu deux bourses de recherche de 12 mois pour étudier en Allemagne. Avant de venir à Lincoln, David a obtenu un deuxième doctorat. en relations internationales de l’Université d’Oxford Brookes. Il a ensuite travaillé à l’Université d’East Anglia, au Royal Holloway, à l’Université de Londres, où il a remporté un prix d’excellence en enseignement, et à l’Université de Nottingham Trent. Membre de l’Académie de l’enseignement supérieur, David a enseigné toute la gamme des modules de relations internationales et croit fermement qu’il faut amener les étudiants à penser de manière critique.

David Hugues est le responsable du programme de la maîtrise en relations internationales. Auparavant, il a siégé au conseil académique de l’Université et au comité des affaires académiques du Collège des sciences sociales et a agi en tant que responsable des affaires académiques pour l’École des sciences sociales et politiques. Il a également agi en tant que tuteur de niveau 2, responsable de l’apprentissage numérique et représentant de l’école au Centre de développement professionnel. Il est spécialisé dans le Covid-19; la propagande; la guerre psychologique; l’impérialisme américain et le marxisme.

Résumé

Entre juillet 2021 et août 2022, des preuves d’ingrédients non divulgués dans les “vaccins” COVID-19 ont été publiées par au moins 26 chercheurs/équipes de recherche dans 16 pays différents sur les cinq continents à l’aide d’analyses spectroscopiques et microscopiques. Bien qu’ils fonctionnent en grande partie indépendamment les uns des autres, leurs résultats sont remarquablement similaires et mettent en évidence le danger clair et présent auquel la population mondiale s’est fait mentir concernant le contenu des « vaccins » COVID-19. Cela soulève de graves questions sur le véritable objectif des injections expérimentales dangereuses qui ont jusqu’à présent été administrées à 5,33 milliards de personnes (plus des deux tiers de la race humaine), y compris des enfants, apparemment sans leur consentement éclairé concernant le contenu. Les découvertes surprenantes incluent des structures géométriques à arêtes vives, des structures fibreuses ou tubulaires, des formations cristallines, des « microbulles » et une éventuelle nanotechnologie à auto-assemblage. Le sang des personnes qui ont reçu un ou plusieurs “vaccins” COVID-19 semble, cas après cas, contenir des corps étrangers et être gravement dégradé, les globules rouges étant généralement en formation de Rouleaux. Prises ensemble, ces 26 études constituent un argument puissant pour que toute la force de l’investigation scientifique soit portée sur le contenu du “vaccin” COVID-19. Si les conclusions de ces 26 études sont confirmées, alors les implications politiques sont tout simplement révolutionnaires : un crime mondial contre l’humanité a été commis, dont chaque gouvernement, chaque régulateur, chaque organisation médiatique établie et toutes les professions ont été complices.

[Voir aussi :
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
et le dossier Vaccins et virus]

Introduction

En l’espace de 13 mois (juillet 2021-août 2022), des preuves matérielles d’ingrédients non divulgués dans les « vaccins » COVID-19 ont été rendues publiques par des chercheurs indépendants en Espagne (Pablo Campra, rapports ici et ici; La Quinta Columna, rapports iciiciici et ici), les États-Unis (Carrie MadejRobert O. Young, son reportage ici, « Andy Vie », et un chercheur anonyme), l’Afrique du Sud (Zandre Botha), la Pologne (Franc Zalewski), l’Autriche (ici), Australie (scientifiques, médecins et chercheurs anonymes), Israël (Shimon Yanowitz), Nouvelle-Zélande (Robin Wakeling, suivi ici, et le groupe anonyme Life of the Blood), Allemagne (Bärbel GhitallaAndreas NoackHolger Reissner, et le Vaccines Education Working Group), Argentine (Martin Monteverde et collègues), Chili (rapport ici), Royaume-Uni (Philippe van WelbergenRichard D. Hall et Robert Verkerk), Canada (Daniel Nagase), FranceCorée du sud (ici et ici), et l’Italie.

C’est plus que suffisamment de preuves, provenant d’au moins 26 chercheurs/équipes de recherche distincts dans 16 pays différents sur les cinq continents, pour mettre en évidence le danger clair et actuel auquel la population mondiale s’est fait mentir concernant le contenu des “vaccins” COVID-19. Quel est le véritable objectif des injections expérimentales dangereuses qui ont jusqu’à présent été administrées à 5,33 milliards de personnes (70 % de la race humaine), y compris des enfants et des nourrissons ? Examiné sous un grossissement puissant, le contenu des flacons semble contenir une variété d’objets et de structures inhabituels pour lesquels les ingrédients déclarés du “vaccin” ne tiennent pas compte. Ceux-ci comprennent des structures géométriques à arêtes vives, des structures fibreuses ou tubulaires, des formations cristallines et des « microbulles ». Le sang des personnes ayant reçu un ou plusieurs « vaccins » COVID-19 apparaît, cas après cas (94 % des cas selon Giovannini et al. 2022), contenir des corps étrangers et être gravement dégradé, avec des globules rouges généralement en formation de Rouleaux. Les effets sur le sang sont si prononcés qu’une étude a révélé que l’intelligence artificielle peut être entraînée pour détecter la différence entre le sang « vacciné » et « non vacciné » avec un taux de précision de plus de 98 %.

Certains chercheurs affirment que les artefacts non divulgués contenus dans les « vaccins » COVID-19 s’auto-assemblent en nanotechnologie. Bien que cela semble absurde au premier abord, considérez certaines des images de grossissement les plus élevées que nous sommes sur le point de voir :

Source : Life of the Blood (grossissement 4 000x).
Source : La Quinta Columna (grossissement 1 200x).

Ce que nous examinons ici n’est pas clair, mais à première vue, cela ressemble à une sorte de circuit. Une telle imagerie demande une explication. Les résultats présentés dans cet article déplacent le débat sur les « vaccins » COVID-19 vers un nouveau territoire. Les dangers des injections résident non seulement dans les ingrédients déclarés — le PEG toxique des nanoparticules lipidiques, l’ARNm qui programme le corps humain pour produire des protéines de pointe nocives, etc. (cf. Seneff & Nigh, 2021) — mais aussi, et peut-être pour une bien plus grande mesure, dans les ingrédients non divulgués. Dans ce qui suit, plus de 100 pages d’images microscopiques démontreront au-delà de tout doute raisonnable que les “vaccins” COVID-19 ne sont pas ce qu’on nous a dit qu’ils sont, c’est-à-dire des moyens sûrs et efficaces de prévenir la maladie. Au contraire, ils semblent être fortement chargés de corps étrangers, ainsi que d’instructions permettant aux cellules humaines de fabriquer des corps étrangers, qui s’avèrent profondément nocifs pour la santé humaine.

Ces corps étrangers sont présents dans toutes les grandes marques : BioNTech-Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson, et autres. Il apparaît donc, d’après ce que nous savons jusqu’à présent, que tous les fabricants, tous les régulateurs et tous les gouvernements, avec le soutien des médias de l’establishment, sont complices de, et doivent activement avoir conspiré pour commettre, ce qui équivaudrait au crime le plus grave contre l’humanité de tous les temps, c’est-à-dire la tentative d’injection de toute la race humaine (à l’exception des auteurs) avec des substances/technologies toxiques non divulguées sans le consentement éclairé de quiconque. Il ne peut y avoir de recherche plus urgente à notre époque que celle des « vaccins » COVID-19.

Conclusion

Cet article présente les preuves de 26 études sur le contenu des « vaccins» COVID-19 menées dans 16 pays différents sur cinq continents sur une période de 13 mois, de juillet 2021 à août 2022. Toutes convergent vers des résultats similaires pointant vers des ingrédients non divulgués. dans les “vaccins”. Pfizer suivi de Moderna semblent être les pires coupables, bien que tous les « vaccins » COVID-19 correspondent au modèle. La conclusion inévitable est que le public de tous les pays s’est fait systématiquement mentir sur le contenu des « vaccins » COVID-19.

Implications scientifiques

Prises ensemble, ces 26 études constituent un argument puissant pour que toute la force de l’investigation scientifique soit portée sur le contenu du “vaccin” COVID-19. Comme Lee et al. l’ont dit, « d’autres études, y compris la pleine force des outils de la nanoscience, la nano-ingénierie hybride de vers trans synthétiques et d’autres approches, devraient être menées dès que possible » (2022, 260). Il faut faire plus et mieux. Il y a, pour citer Wakeling, « beaucoup plus de possibilités pour plus de travail pour plus de gens […] Beaucoup plus de recherche citoyenne, un débat solide et une diligence raisonnable sont nécessaires avant de tirer des conclusions ou de prendre des décisions ».

Pourtant, les signes semblent sombres. Le plus troublant de tous est la prise de sang. Étude après étude, pays après pays, exactement les mêmes résultats apparaissent dans le sang « vacciné », c’est-à-dire des tubes géants, laids, contre nature et translucides assis grotesquement parmi les globules rouges décimés qui ont été envoyés dans la formation Rouleaux. Merriam-Webster définit un poison comme « une substance qui, par son action chimique, tue, blesse ou altère généralement un organisme ». Cela semble être le cas ici. Il semble y avoir très peu d’exceptions. Pratiquement tous les échantillons de sang « vacciné » examinés dans ces multiples études semblent avoir succombé au même sort, alors qu’aucun échantillon « non vacciné » (autre qu’une poignée revendiquée par van Welbergen) ne semble montrer autre chose que des globules rouges sains. Étant donné que la formation de Rouleaux de globules rouges est normalement associée aux patients atteints de maladies chroniques, « entraîne une altération de la perfusion et de l’oxygénation des tissus », et peut entraîner des caillots sanguins potentiellement mortels (Kibria et al. 2014 ; Wagner et al. 2013), ces résultats sont dévastateurs, surtout compte tenu du fait que 5,33 milliards de personnes — plus des deux tiers de la population mondiale — ont reçu l’injection. Quel avenir pour ces personnes ?

Lee et al. (2022, pp. 258-9) citent des études démontrant les dommages graves causés par les « vaccins » COVID-19, y compris le syndrome d’immunodéficience acquise induite par un vaccin (VAIDS), une sensibilité accrue à diverses infections et cancers, la myocardite et des anomalies neurologiques. Les données de diverses armées révèlent également une augmentation des

crises cardiaques, en hausse de 269 % ; cancers en hausse de 300 % ; péricardite en hausse de 175 % ; l’embolie pulmonaire a augmenté de 467 % ; Syndrome de Guillain-Barré en hausse de 250 % ; irrégularités menstruelles en hausse de 476 % ; la sclérose en plaques a augmenté de 487 % ; les signalements de douleurs thoraciques ont augmenté de 1 529 % ; la respiration laborieuse observée a augmenté de 1 052 % — tout cela par rapport aux données de base obtenues avant l’administration de tout vaccin COVID-19 (Lee et al. 2022, p. 258 ; voir également Salazar, 2022).

Encore une fois, qu’est-ce que cela présage pour l’avenir ? S’agit-il de sociétés aux prises avec des maladies chroniques là où il y a eu une forte adoption du « vaccin », dans le contexte de systèmes de santé déjà surchargés ?

Des études sur de grands échantillons de sang de patients ayant reçu un ou plusieurs « vaccins » COVID-19, ainsi que sur du sang « non vacciné » et le contenu du « vaccin » lui-même, doivent maintenant avoir lieu en priorité. En ce qui concerne le premier, des études suffisamment puissantes sont nécessaires pour enregistrer le nombre d’injections reçues et quand, le(s) fabricant(s), le temps écoulé depuis la dernière injection, l’âge et le sexe du patient, la présence de problèmes de santé sous-jacents, la nature et l’étendue des déformations sanguines, etc. Il est impératif d’établir dans quelle mesure la signature sanguine identifiée ci-dessus est présente dans la population des personnes « vaccinées ». Est-il vrai qu’il existe une différence qualitative entre le sang des patients « vaccinés » et « non vaccinés » ? Si c’est le cas, alors de grandes questions éthiques se posent, comme s’il devrait y avoir des approvisionnements séparés en sang « vacciné » et « non vacciné » et qui reçoit quel type en cas de transfusion ?

Quelles sont les grandes “fibres” translucides qui semblent apparaître dans presque tous les échantillons de sang des patients “vaccinés” mais pas des patients “non vaccinés” ? D’où viennent-ils ? Comment en sont-ils arrivés à être si gros (certains approchant apparemment 1 mm), étant donné qu’aucun élément trouvé dans les « vaccins » eux-mêmes n’est aussi gros ? Continuent-ils à grandir ? Comment est-il possible qu’une ou plusieurs injections de 0,25 mL de « vaccin » créent autant de corps étrangers dans le sang ? La programmation de l’ARNm n’est-elle pas seulement la production de protéines de pointe, mais également la production et l’auto-assemblage d’autres structures ?

Plus important encore, les objets étrangers présentés ci-dessus restent-ils dans le corps humain ou sont-ils finalement filtrés ? Si les contaminants contiennent de l’oxyde de graphène, une substance 100 fois plus résistante que l’acier avec une température de fusion quatre cinquièmes aussi élevée que la surface du soleil, il semble peu probable que le système immunitaire soit capable de les combattre, comme nous l’avons vu avec éclatement des neutrophiles. Des études soigneusement conçues et suffisamment puissantes sont donc nécessaires pour tester le sang « vacciné » au fil du temps. Si les corps étrangers sont progressivement filtrés, alors le « programme de rappel » vise-t-il à conditionner la population à accepter des injections régulières pour que la technologie puisse être « rechargée » ? Peut-on trouver des remèdes ou des traitements pour aider à se débarrasser de ces corps étrangers ? Peut-on faire quelque chose pour inverser les formations de rouleaux et de bavures des globules rouges vues ci-dessus ? Celles-ci semblent maintenant être parmi les questions médicales les plus urgentes de notre époque.

Il est important de mener des études approfondies sur le sang « non vacciné ». Si van Welbergen a raison de dire que même les personnes “non vaccinées” peuvent afficher le type de signature d’analyse sanguine observée chez les “patients vaccinés” (il est le seul scientifique de cet article à faire cette affirmation), alors soit l’excrétion de contaminants est réelle, soit les gens sont empoisonnés par d’autres moyens que le « vaccin ».

En termes d’analyse du contenu des « vaccins » COVID-19, la première priorité doit être d’utiliser les équipements de microscopie et de spectroscopie les plus avancés disponibles afin de confirmer ou de discréditer les images extraordinaires produites par Life of the Blood à un grossissement de 4 000x. S’il est vrai que chaque goutte de “vaccin” contient une flotte de nano antennes apparentes, de “cordons” et de “cartes mères”, alors une analyse plus approfondie est nécessaire pour confirmer ce qu’il en est. Il s’agit de savoir si les corps étrangers présents dans les injections sont bien une forme de nanotechnologie, s’il y a bien auto-assemblage de composants et, si oui, comment cela se fait. S’il s’agit de nanotechnologies, pourquoi y a-t-il tant d’objets dans les « vaccins » mesurant dans la gamme du micron ? Nous avons besoin de confirmation pour savoir si oui ou non le graphène/oxyde de graphène/hydroxyde de graphène, ainsi que d’autres métaux comme le bismuth, le titane, le silicium et l’antimoine, sont présents dans les « vaccins ». Nous devons savoir si les « vaccins » contiennent des parasites et d’autres organismes vivants. Nous devons savoir ce que sont les « gousses », « éclats » et « œufs » identifiés ci-dessus. Et, à la lumière de l’analyse de Wakeling du “vaccin” Afluria Quad, nous devons examiner d’autres “vaccins” non COVID pour découvrir dans quels autres types de “vaccins” ces composants non déclarés sont présents. Si les résultats ci-dessus sont confirmés, nous devons savoir qui est responsable des ingrédients non divulgués dans les « vaccins », où se trouvent leurs laboratoires, et nous devons mettre ces laboratoires en pièces.https://vk.com/video_ext.php?oid=470962009&id=456241084&hash=057e1b8ae37bc30c&hd=2

Comité spécial sur la pandémie de COVID-19 (Special Committee on COVID-19 pandemic) avec la présidente des marchés internationaux chez Pfizer, Janine Small. Parlement européen. (10 oct. 2022)

Implications politiques

Le rôle des régulateurs dans tout cela, incarné par leur mantra selon lequel les « vaccins » COVID-19 sont « sûrs et efficaces », est horrible. Comme le notent les chercheurs autrichiens, de simples microscopes optiques avec un grossissement relativement faible sont suffisants pour capturer des preuves de particules surdimensionnées. Pourquoi donc l’Institut Paul Ehrlich n’a-t-il pas détecté ces particules ? La Quinta Columna demande de la même manière : étant donné qu’il existe des « multitudes de particules de taille microscopique » dans les « vaccins » COVID-19, pourquoi l’EMA n’a-t-elle pas relevé cela ? C’est pareil partout dans le monde. Les médecins coréens, par exemple, écrivent :

« Il est étonnant pour nous, en tant que médecins cliniciens et chercheurs en exercice, qu’il n’y ait pas eu d’évaluation microscopique intensive jusqu’à l’échelle nanométrique avant l’autorisation de mise sur le marché des vaccins COVID-19 au ministère de la sécurité alimentaire et médicamenteuse en Corée du Sud […] et ailleurs dans le monde. » (Lee et al. 2022, p. 261)

Van Welbergen souligne le rôle de Dame June Raine à la tête de la MHRA britannique : elle a approuvé l’EUA pour le “vaccin” Pfizer bien qu’elle ait admis sur la BBC qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’il contenait. Lorsqu’elle a été pressée de demander à Pfizer les ingrédients, Pfizer a simplement refusé de les divulguer, mais Raine a publiquement défendu Pfizer. Le CDC américain insiste, contrairement aux preuves spectroscopiques ci-dessus, sur le fait que les « vaccins COVID-19 ont subi – et continuent de subir – la surveillance de sécurité la plus intensive de l’histoire des États-Unis » et qu’ils ne contiennent « aucun métal tel que le fer, le nickel, le cobalt, titane, alliages de terres rares, ou tout produit manufacturé comme la microélectronique, les électrodes, les nanotubes de carbone ou autres nanostructures, ou les nanofils semi-conducteurs ». Les alternatives éprouvées, sûres et efficaces aux « vaccins », telles que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ont été rigoureusement supprimées. Robert Verkerk le dit simplement : les régulateurs sont « en profondeur ».

Cependant, il n’y a pas que les régulateurs. Comme l’observe Wakeling, « des preuves ont été présentées aux gouvernements, aux organismes de réglementation et aux tribunaux, sans aucun effet. Ce n’est pas pris au sérieux. » Pratiquement tous les gouvernements du monde, en particulier en Occident, ont déployé des efforts considérables pour administrer les injections de « COVID-19 » au plus grand nombre de personnes possible, y compris en étendant le déploiement aux enfants en l’absence de toute preuve scientifique crédible pour le faire. (Hugues, 2022). Dans certains pays, la « vaccination » est devenue une condition d’emploi dans certaines professions ou de formation. Une tentative transnationale est toujours en cours pour introduire des « passeports vaccinaux » qui rendraient la participation quotidienne à la société dépendante de la prise régulière de ces poisons (Tony Blair en est le champion au Royaume-Uni et a reçu le rare honneur de l’Ordre de la Jarretière pour ses efforts). La profession juridique n’a pratiquement rien à dire sur les tentatives illégales et inconstitutionnelles de gouvernements après gouvernements d’imposer une « vaccination » de masse. Les médias de l’establishment ont facilité une attaque de propagande 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, terrorisant et faisant honte au public pour qu’il se conforme et diabolisant les « refuseniks » prétendument responsables d’une « pandémie de non vaccinés ». La profession médicale a été responsable de l’administration des injections (médecins généralistes britanniques incités à hauteur de 12,58 £ par injection) et de ne pas avoir fourni les informations nécessaires au consentement éclairé. Le milieu universitaire a maintenu son silence rigoureux habituel lorsqu’il s’agit de vraiment dire la vérité au pouvoir. En somme, toutes les professions ont manqué simultanément à leur devoir envers le public. Tous sont complices de ce qui se joue actuellement.

A moins que les 26 chercheurs et équipes de recherche évoqués dans cet article ne se trompent tous lourdement, nous nous penchons sur ce que le médecin néo-zélandais Matt Shelton appelle « le plus grand crime de l’histoire, sûrement », c’est-à-dire l’injection de milliards de personnes, sans leur consentement éclairé, avec des substances non divulguées qui causent manifestement des dommages et dont l’objectif secret ne peut être que néfaste. À tout le moins, nous assistons à la violation la plus flagrante du Code de Nuremberg et à ce que Richard D. Hall appelle « le plus grand crime jamais commis contre l’humanité », certainement en termes de nombre de personnes touchées. De plus, selon Holger Reissner (à 42 minutes, faisant écho à la métaphore de la « micro lame de rasoir » d’Andreas Noack), la nature semblable à un éclat d’obus du prétendu oxyde de graphène à l’intérieur du corps provoque des souffrances inutiles et donc, si sa présence est prouvée, constitue un crime de guerre en violation des Conventions de Genève. Selon Maria Zee, si les régulateurs savaient que l’oxyde de graphène, une substance toxique, était présente dans les “vaccins”, ils sont responsables d’un génocide.

Les allégations de crimes contre l’humanité, de crimes de guerre et de génocide attirent nécessairement l’attention sur les militaires et soulèvent de sombres questions quant au véritable objectif des « vaccins », dont nous savons qu’ils n’empêchent ni la transmission ni l’infection du « SARS-CoV-2 » (subramanien et Kumar, 2021 ; Wilder-Smith, 2021). Même le Premier ministre britannique a affirmé : « Cela ne vous empêche pas d’attraper la maladie et cela ne vous protège pas de la transmettre. » En d’autres termes, les “vaccins” COVID-19 ne sont pas en fait des vaccins, car ils ne confèrent pas d’immunité et promettent simplement de réduire les symptômes, comme un médicament ou un traitement. Ce n’est qu’en modifiant la définition de « vaccin » que le CDC a pu les inclure dans cette catégorie (Hughes, 2022, p. 210). Bill Gates, Anthony Fauci et d’autres ont admis que l’efficacité des vaccins “COVID-19” s’estompe en quelques mois, mais plutôt que d’abandonner un produit défectueux, ils l’ont utilisé comme prétexte pour pousser des “injections de rappel” — de plus en plus d’injections dans plus et plus la population (Loffredo, 2021). Pourquoi ? Quel est le véritable programme ici ? Ce sujet est abordé dans la partie 2 de cet article, qui traite des motifs du crime mondial contre l’humanité qui a apparemment eu lieu.




L’OMS met en garde contre une augmentation « inhabituelle » des cas de myocardite grave chez les bébés

[Source : epochtimes.fr]

Par OWEN EVANS

Les autorités britanniques enquêtent sur une augmentation « inhabituelle » de la myocardite sévère qui a touché 15 bébés au Pays de Galles et en Angleterre et en a tué au moins un, a annoncé l’Organisation mondiale de la santé.

Mardi, l’OMS a lancé une alerte concernant une augmentation de la « myocardite sévère » chez les nouveau-nés et les nourrissons entre juin 2022 et mars 2023 au Pays de Galles et en Angleterre.

Elle a précisé que cette augmentation était liée à des infections à entérovirus, qui affecte rarement le cœur.

[Voir aussi :
Bill Gates prépare sa prochaine plandémie :

Les invités ont participé à une « simulation sur table » dans laquelle un entérovirus mortel originaire d’Amérique du Sud en 2025 se propage dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Les enfants seront particulièrement vulnérables à cette maladie, qui fait partie de la famille des virus de la polio.

Rappel : Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio

Note de Joseph : l’utilité des « virus » pathogènes (qui n’ont pourtant jamais été scientifiquement isolés, purifiés et caractérisés biochimiquement — voir le dossier Vaccins et virus — est de masquer les causes réellement néfastes sur la santé que sont par exemple les vaccins, les pseudo vaccins à nanoparticules graphénisées, les ondes électromagnétiques pulsées — dont le Wi-Fi et la 5 G —, les pesticides, les additifs alimentaires, les médicaments chimiques de Big Pharma, etc.).
Comme ces causes sont mondialement répandues et présentes dans presque tous les pays du monde, il est facile ensuite de les faire passer pour des épidémies ou des pandémies prétendument « virales ».]

Un porte-parole de l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) a confirmé à Epoch Times que dix bébés avaient été diagnostiqués au Pays de Galles et cinq en Angleterre.

L’OMS a déclaré que :

« Bien que les infections à entérovirus soient courantes chez les nouveau-nés et les jeunes nourrissons, l’augmentation signalée des cas de myocardite avec issue grave chez les nouveau-nés et les nourrissons associés à une infection à entérovirus est inhabituelle ».

Elle a ajouté que dans le même hôpital (couvrant la région du sud du Pays de Galles), au cours des six dernières années, « un seul autre cas similaire a été identifié ».

L’OMS a estimé que le risque pour la santé publique était faible, mais a ajouté que dans certaines situations, il « peut être conseillé de fermer les crèches et les écoles pour réduire l’intensité de la transmission ».

Toutefois, l’OMS a levé l’alerte mercredi. Epoch Times estime que cela pourrait être dû au fait que certains chiffres n’étaient pas corrects.

L’OMS n’a pas répondu à la demande de commentaire d’Epoch Times.

Enquête

Les autorités d’Angleterre et du Pays de Galles enquêtent actuellement sur l’augmentation du nombre de cas.

Le Dr Shamez Ladhani, pédiatre-conseil à l’UKHSA, a déclaré par mail à Epoch Times que « compte tenu d’un nombre de cas supérieur à la moyenne au Pays de Galles au cours des mois d’automne et d’hiver chez de très jeunes bébés, l’UKHSA étudie la situation en Angleterre pour voir si des cas similaires ont été observés ici et s’il existe des facteurs à l’origine de l’augmentation du nombre de cas ».

L’UKHSA n’a pas répondu aux questions concernant l’exclusion de tout lien avec les effets du vaccin Covid-19.

Début mai, Public Health Wales a annoncé qu’elle enquêtait sur un groupe d’infections graves à entérovirus avec myocardite survenues chez de très jeunes bébés de la région du sud du Pays de Galles.

Les cas sont apparus à partir de juin 2022, avec un pic en novembre 2022 chez des bébés âgés de moins de 28 jours.

Dix bébés ont développé une myocardite au sein de ce groupe. Un bébé est toujours hospitalisé, huit sont pris en charge en ambulatoire et un bébé est décédé.

Une question de taille

Le Dr Clare Craig, pathologiste consultante et membre de HART, a déclaré à Epoch Times que « la question de savoir si ces bébés ou leurs mères ont été vaccinés ou non se pose avec acuité ».

HART est une organisation qui a été créée pour partager les inquiétudes concernant les politiques et les recommandations relatives à la pandémie de Covid-19.

« Le Coxsackievirus fait partie d’une famille de virus appelés entérovirus et est l’une des causes les plus courantes de myocardite virale », a-t-elle déclaré.

« Et nous avons constaté que, comme pour d’autres virus, le diagnostic de Coxsackievirus a diminué massivement en 2020, lorsque le SRAS-COV 2 est arrivé. »

Elle a ajouté que le nombre total de personnes atteintes de myocardite après 2020 est resté le même, ce qui suggère que « le SRAS-COV 2 a comblé la niche » laissée par le Coxsackievirus.

« Mais le vaccin est arrivé et, à partir de 2021, le taux d’incidence de la myocardite est monté en flèche », a-t-elle ajouté.

« Les autorités de santé publique affirment qu’elles veulent maintenir la confiance, mais elles n’explorent pas ces pistes pour écarter les inquiétudes », a-t-elle expliqué.

Un délai relativement court

Le Dr Christopher Williams, épidémiologiste consultant pour Public Health Wales, a déclaré par mail à Epoch Times que les réactions à l’infection « restent extrêmement rares ».

Il a ajouté que « l’entérovirus est une infection courante de l’enfance, qui provoque une série d’infections, notamment des maladies respiratoires, la fièvre aphteuse et la méningite virale ».

« Chez les très jeunes bébés, l’entérovirus peut, dans de rares cas, provoquer une maladie grave au cours des premières semaines de vie. La plupart des bébés et des enfants se rétablissent complètement après une infection à entérovirus », a-t-il ajouté.

Le Dr Williams a rappelé que cette infection « n’affecte le cœur qu’en de très rares occasions ».

« Ce groupe est inhabituel en raison du nombre de cas signalés dans un laps de temps relativement court. Des investigations sont donc en cours en collaboration avec l’équipe pédiatrique de l’hôpital pour enfants du Pays de Galles afin d’en comprendre les raisons et d’enquêter sur tous les autres cas qui pourraient être signalés dans les semaines et les mois à venir », a-t-il indiqué.

« Les parents doivent être rassurés : bien qu’il y ait eu une augmentation du nombre de cas, il s’agit toujours d’un événement extrêmement rare », a précisé le Dr Williams.







Agenda 2030 : Covid-19 Extinction

[Source : Infos et Culture via profession-gendarme.com]

Ils ont injecté à des milliards de personnes une technologie de pointe sans le consentement éclairé ?

Ce n’est pas un vaccin… mais plutôt de la nanotechnologie. Ce n’est pas pour rien qu’ils ont déployé en même temps la 5G…

L’OMS s’empare du pouvoir suprême sur notre santé ! Leur mainmise sur la déclaration de pandémie, la vaccination et les passeports vaccinaux menacent nos démocraties. Il est temps de résister à ce coup d’État !

CitoiCitoyen, le 29/04/23

[Les dossier 5G et ondes pulsées, implants numériques et Vaccins et virus fournissent de nombreuses informations complémentaires.
Voir notamment les quelques articles suivants, en vrac :
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Comment le corona a tué Pasteur
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
Nanotechnologie et « vaccins »
Selon le Dr Ana Mihalcea, ils veulent nous transformer en automates sans libre arbitre, grâce à la technologie des vaccins
Les vaccins à ARNm sont une imposture. Les gens reçoivent une injection de nanotechnologie
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
La convergence bionumérique
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Le but démontré des injections antiCovid
Transformation cybernétique de l’Humanité
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène]






Résumé des 11 SECRETS DÉVOILÉS lors des essais de Pfizer

[Source : pgibertie.com]

Par Naomi Wolf

No1 : Pfizer savait que ses injections basées sur les gènes avaient une efficacité négative dès novembre 2020.

No2 : Peu de temps après la mise sur le marché des injections de COVID, Pfizer a décidé d’embaucher 2 400 employés à temps plein pour traiter les documents des blessés.

No3 : Pfizer et la FDA ont caché des informations selon lesquelles les injections causent des lésions cardiaques chez les jeunes pendant quatre mois, tandis qu’une campagne de propagande agressive a poussé des milliers de personnes à se faire injecter.

No4 : Plutôt que de rester au site d’injection, Pfizer savait que les nanoparticules lipidiques dangereuses du vaccin se distribuaient rapidement dans tout le corps. Et il n’y a aucune preuve qu’ils partent jamais.

No5 : « Je ne le dis pas à la légère, mais c’est un meurtre de masse » : les effets secondaires dans les documents de Pfizer sont bien plus graves que ce que le CDC et les médecins ont dit aux patients.

No6 : Avant que ce ne soit légal, plus de 1 000 enfants ont été injectés et les documents de Pfizer indiquent un taux élevé de blessures graves.

No7 : Les documents de Pfizer révèlent une « expérience de type Mengele… sur la façon de perturber et d’altérer la reproduction humaine ». Les dossiers disponibles des participants à l’étude qui ont conçu des enfants montrent que 80% ont perdu leur bébé.

No8 : Pfizer savait qu’il y avait un danger pour la fertilité. Les nanoparticules lipidiques endommagent le placenta pendant la grossesse, provoquant des accouchements précoces. Beaucoup d’anomalies chromosomiques aussi.

No9 : Les documents de Pfizer montrent que les nanoparticules lipidiques pénètrent également dans le lait maternel, rabougrissant, blessant et parfois tuant les bébés.

No10 : « Médecine nazie », une guerre contre la fertilité des femmes : les documents de Pfizer montrent que 3 contre 1 des EI sont subis par des femmes, 16 % de « troubles de la reproduction ». « Quel genre de monstres regarde 16 % de troubles de la reproduction et continue ? » Résultats : « Baisse de 13% à 20% des naissances vivantes ».

No11 : Les LNP ont dégradé les usines de base de la masculinité dans les testicules des garçons in utero lorsque leur mère avait reçu une injection. « Donc, ce sont des monstres, et il n’y a aucun moyen d’éviter de conclure qu’ils se concentrent sur la perturbation de la reproduction humaine ».

Près de 70 rapports accessibles ci-dessous:

https://dailyclout.io/

Pour plus de détails, voir l’article complet sur https://pgibertie.com






Bientôt des injections vaxinales sans fin

[Source : articles.mercola.com]

Par le Dr Mercola

[Résumé]

Même si les injections d’ARNm COVID sont les produits médicaux les plus dangereux jamais mis sur le marché, les fabricants de vaccins et les agences de santé américaines poursuivent leur route avec une longue liste d’injections à base d’ARNm, y compris des injections combinées pour couvrir plusieurs infections virales.

Si les vaccins COVID sont les injections les plus dangereuses que nous ayons jamais vues, qu’est-ce qui leur fait penser que les vaccins à ARNm contre le cancer, les maladies cardiaques, la grippe, le virus respiratoire syncytial (VRS), le VIH ou toute autre maladie seront plus sûrs ?

[NDLR Rappelons que plusieurs équipes indépendantes de Big Pharma ont analysé le contenu de plus d’une dizaine de marques de vaccins anticovid et n’y ont détecté en réalité aucune trace d’ARNm, mais des étrangetés à base de graphène, d’hydrogel et de métal. Voir :
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Rappelons aussi que le graphène tend à être éliminé du corps en quelques mois, au moins lorsqu’il n’est pas sous forme d’hydroxyde, ce qui nécessite sa réinjection régulière dans l’organisme si on veut l’y maintenir pour qu’il remplisse son rôle, d’où la multiplication des vaccins et des rappels.
Voir aussi :
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Nanotechnologie et « vaccins »
Science-fiction ou réalité ? Contrôler le cerveau via des vaccins ARNm ?
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]

Moderna prévoit de proposer un vaccin personnalisé contre le cancer d’ici à la fin de 2028. La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis l’a déjà désigné comme une « thérapie révolutionnaire », ce qui signifie que l’examen réglementaire sera accéléré. L’Agence européenne des médicaments (EMA) l’accélère également dans le cadre du programme européen de « médicaments prioritaires » (PRIME).

Des vaccins antigrippaux à base d’ARNm sont également en préparation. Pfizer et Moderna ont tous deux lancé des essais de vaccins antigrippaux à base d’ARNm à l’automne 2022.

Moderna développe également des vaccins à ARNm contre le zona et l’herpès génital sur la base de la même plateforme que celle utilisée pour son vaccin COVID – une technologie qui n’arrête pas l’infection et peut déprimer votre fonction immunitaire de sorte que vous devenez plus enclin aux infections et aux maladies chroniques de toutes sortes.






Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19

[Source : gibraltar-messenger.net via nicolasbonnal]

Ricardo Delgado :

« Malgré les preuves, ils continuent de nier. »

Entretien avec Ricardo Delgado, biostatisticien, fondateur et directeur de La Quinta Columna
(à propos de l’oxyde de graphène dans les « injectables » et de son utilité).

Par Magdalena del Amo

Des milliers de personnes, certaines vivant dans la ville de Séville (Espagne) et d’autres en streaming dans le reste du monde, ont pu contempler au microscope le contenu des vaccins, gardés secrets comme n’importe quelle arme de guerre.
Cet événement a eu lieu juste au troisième anniversaire de cette période de dystopie qu’ils ont appelée pandémie, causée par un virus tueur et contagieux qui n’existe pas, pas plus que les vagues [épidémiques] et les variants. Et oui, à la place, des milliers d’antennes [5G] irradient des corps humains innocents, victimes du grand mensonge du système, inoculés avec une substance appelée vaccin qui contient de l’oxyde de graphène réduit, un nanomatériau qui marque l’avenir de l’humanité sur son chemin vers le transhumanisme.

[Voir aussi :
TROIS ANS D’AVENTURE COVID résumés en 1600 mots,
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »,
La « maladie mystérieuse » de Wuhan est le mensonge fondamental de la Covid,
Le dossier Vaccins et virus avec notamment ses nombreux articles qui déglinguent la théorie virale,
Le dossier 5G et ondes pulsées dont
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur,
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux.]


Introduction spéciale de la Conférence –
Conférence de La Quinta Columna : Les jeux sont faits (19 mars 2023)
Liens directs plus bas, après l’interview.




Ricardo Delgado nous [à Gibraltar Messenger] a aimablement accordé cette interview qui, nous l’espérons, éclaircira certains doutes de nos lecteurs.

Magdalena del Amo : Au début de cette situation appelée pandémie, vous avez cru, comme beaucoup d’autres personnes, que la cause était un virus très contagieux et que la réponse nous viendrait des biologistes. En fait, ils ont commencé à nous mettre en garde contre l’ARNm et les protéines de pointe. Quand avez-vous compris qu’il fallait changer d’optique, que la vérité était ailleurs ?

Ricardo Delgado : Nous avons compris que les réponses directes ne pouvaient venir que d’un seul endroit : l’observation directe par l’analyse des « vaccins ». La médecine et la biologie ne pouvaient guère expliquer les dommages, car elles ne connaissaient pas la véritable cause qui en était à l’origine. En revanche, des disciplines comme l’épidémiologie nous ont donné les clés. Cela a été confirmé par le fait que la « maladie à la mode » et les premiers cas de ce qu’ils ont appelé « coronavirus » ont été enregistrés dans la ville chinoise de Wuhan, à partir du 30 novembre 2019 ; précisément, la première ville du monde choisie en temps et en lieu pour l’allumage technologique du réseau 5 G.

À ce jour, nous savons, grâce à l’analyse pionnière des produits injectables réalisée par La Quinta Columna et d’autres analyses ultérieures, ainsi qu’à celles effectuées dans d’autres parties du monde, que les échantillons ne contiennent AUCUN matériel biologique. Il est évident que la plate-forme ARNm et l’affectation de la fameuse protéine spike n’étaient que des écrans de fumée destinés à détourner les recherches de tous ceux qui ont analysé les « vaccins » in situ.

[Voir aussi :
La nanotechnologie dans les vaccins
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?]

Ricardo Delgado explique au public : « Ce qu’ils ont appelé Covid-19
est l’interaction de ce matériau non déclaré avec la biologie. »

Lorsque le graphène, inoculé et étiqueté comme « vaccin », entre en contact avec le sang, il génère la formation d’une couronne biomoléculaire de protéines. La fonction de cette couronne de protéines est de protéger notre biologie de l’introduction de matériel étranger pour le faire passer inaperçu. Cependant, certains groupes la qualifient de toxique et l’associent à la protéine spike. Une fois de plus, dans le seul but de détourner l’attention de l’origine de tous les dommages en biologie, puisque le mal est causé par la cause — le graphène — et non par sa conséquence — la couronne de protéines.

[Voir aussi :
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène]

M del A : Partant du principe que la grande majorité des lecteurs abordent cette information pour la première fois, je voudrais décomposer les points les plus importants de la situation que nous vivons et, en particulier, du contenu des « vaccins ». Ce qu’ils ont découvert dans La Quinta Columna est alarmant. Comment en sont-ils arrivés à ces conclusions et sur quelles bases ?

R D : Nous nous appuyons sur les preuves corroborées par l’observation, sur le principe directeur de la méthode scientifique, sur l’utilisation d’outils scientifiquement validés pour connaître et caractériser ce que nous observons. Nos recherches ont été corroborées dans différentes parties du monde, ce qui nous a permis d’établir un modèle prédictif qui nous a même permis d’anticiper plus facilement ce qui allait se passer.

M del A : Ils ont trouvé de l’oxyde de graphène réduit dans les flacons, mais beaucoup en doutent et d’autres le nient. Pourquoi est-ce devenu un sujet tabou ?

R D : Les preuves de l’existence de l’oxyde de graphène réduit dans les inocula sont claires et ont été corroborées dans d’autres parties du monde par différents types de caractérisation, tels que la microscopie optique en champ clair et en champ sombre, les tests électroniques SEM et TEM, les tests de compatibilité avec l’absorption ultraviolette, la diffraction des rayons X, la comparaison optique avec les images du motif, les techniques de fluorescence et, surtout, la caractérisation par vibration RAMAN par balayage électronique, offrant la vibration RAMAN ou les pics caractéristiques de l’oxyde de graphène réduit.

Ricardo ouvre un flacon de Pfizer scellé et dépose une goutte
sur la plaque de verre du microscope, puis l’observe, devant le public.

M del A : Tout ceci est très technique et il faudrait suivre un cours pour le comprendre ; mais venons-en à la pratique : nous sommes face à un matériau quasi magique, inconnu jusqu’à récemment, doté de caractéristiques spectaculaires. Quelles sont ces qualités ?

R D : Lorsque l’on passe en revue la toxicité ou la biocompatibilité présumée du matériau en biologie humaine, la littérature scientifique est également très claire. Le graphène ou ses dérivés, comme l’oxyde de graphène réduit, possède des propriétés intrinsèques, notamment supraconductrices, magnétiques au contact des cellules vivantes, piézoélectriques, de haute capacité, radiomodulables, flexibles et transparentes.

[Voir aussi :
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Sa capacité supraconductrice explique son affinité pour les organes éminemment électriques, tels que le système cardiaque et le système nerveux central, lire les neurones et la moelle épinière.
Le magnétisme acquis au contact des molécules organiques explique le phénomène magnétique apparu chez les personnes à qui l’on a inoculé le matériau.
En raison de sa qualité piézoélectrique, l’excitation du matériau pour générer de l’électricité sous n’importe quelle pression, qu’elle soit acoustique, de poids de l’eau ou autre, est expliquée.

[Voir aussi :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive]

La capacité du matériau est telle qu’il est actuellement utilisé pour la construction de batteries de pointe. Cette qualité lui permet de condenser l’énergie obtenue à partir de foyers externes. Ceci, ajouté à sa présence dans des organes vitaux comme le cœur, signifie que les décharges électriques que le matériau condense peuvent interrompre le tissu de conduction électrique cardiaque, générant des arythmies et l’évanouissement classique (dû à un manque d’apport sanguin cérébral) qui, dans de nombreux cas, se termine par une mort subite.

Le fait que ce matériau soit radiomodulable indique clairement qu’il est excité par les micro-ondes. En bref, il agit comme un amplificateur ou un catalyseur de signaux de rayonnement électromagnétique, comme la 5G actuelle. Sa dureté extraordinaire — 200 fois plus dur que l’acier — fait que notre biologie choisit de l’expulser au lieu de le dégrader.

M del A : Expliquez la toxicité de l’oxyde de graphène, étayée par les multiples dommages qu’il produit dans l’organisme : curieusement, ce sont les mêmes que ceux attribués au Covid.

R D : Je dois souligner que nous devons tous comprendre que ce métamatériau étranger à la biologie ne peut être inoffensif en son sein. D’abord, le système immunitaire le traite comme s’il s’agissait d’un agent pathogène. Selon leur voie d’entrée dans la biologie, leur toxicité est relative.

M del A : Que voulez-vous dire exactement ?

R D : Lorsque l’oxyde de graphène pénètre dans notre biologie par voie intramusculaire, le système immunitaire agit contre lui avec un maillage de neutrophiles et de globules blancs. Lorsqu’il se retrouve dans le poumon, qui est une des voies d’élimination, il est attaqué par des enzymes comme la myéloperoxydase. Au contact du sang, il est enveloppé d’une couronne protéique appelée couronne biologique ou couronne de biodistribution moléculaire. La fonction de ces protéines structurelles est de l’envelopper pour qu’il passe inaperçu par la biologie humaine en raison de sa haute toxicité.

L’oxyde de graphène est un coagulant et, en fait, les éponges d’oxyde de graphène sont utilisées dans les traitements hémostatiques pour guérir les blessures. La coagulation facilite également l’effet Rouleaux de l’action des micro-ondes elle-même. (L’effet Rouleaux est un empilement littéral de globules rouges [érythrocytes] et une déformation de ceux-ci que nous observons actuellement dans le sang des personnes inoculées lors de séances de microscopie optique). Évidemment, après la coagulation, nous obtenons, en conséquence, tous les types de thrombogénicité, ce qui a contribué à la thromboembolie et aux accidents vasculaires cérébraux, ainsi qu’aux attaques ischémiques, aux accidents vasculaires cérébraux, aux crises cardiaques et à d’autres troubles.

La qualité radiomodulable de l’oxyde de graphène doit également être prise en compte. En amplifiant le rayonnement micro-ondes entrant, nous amplifions également les dommages qu’il cause à l’organisme.

M del A : Quelle est la première réaction de l’organisme à l’entrée du graphène ?

Delgado parle au public du Covid-19 et de l’inflammation.

R D : Le premier mécanisme de réponse est l’inflammation partout où le matériau passe dans notre biologie. C’est pourquoi on observe des myocardites, des péricardites, des myopéricardites, des inflammations pulmonaires… Il traverse également les systèmes d’épuration tels que le foie et les reins. Dans le foie, il génère une inflammation du foie (hépatite) et d’importants problèmes dans les reins — où il reste longtemps — lorsqu’ils filtrent le sang contaminé par le matériau. Il imprègne également le système nerveux central, par affinité supraconductrice, où il altère son fonctionnement, générant des paralysies de toutes sortes. Il enflamme les neurones, entraînant divers types de neuropathies, dont la perte de mémoire initiale, l’inattention, le brouillard cérébral ou les difficultés de concentration.

En amplifiant les dégâts des rayonnements micro-ondes non ionisants, il augmente considérablement le stress oxydatif, ce qui contribue au vieillissement prématuré et à l’apparition de divers types de cancers et de tissus tumoraux.

Dans les cellules reproductrices — et selon la littérature scientifique elle-même — il affecte la motilité et la mobilité des spermatozoïdes humains, réduisant drastiquement la fertilité masculine.

Il affecte également la régulation hormonale chez les femmes, contribuant ainsi à leur infertilité et générant le syndrome post-ménopausique.

M del A : Il est entendu que ce n’est pas la même chose de recevoir un « vaccin » que d’en recevoir quatre, puisque l’organisme élimine le graphène.

R D : C’est exact. Les dommages sont directement proportionnels au nombre de doses et à la quantité de radiations électromagnétiques que le matériau absorbe, ou à la quantité d’exposition ciblée aux micro-ondes que l’inoculé reçoit.

Tous ces dommages, et d’autres que nous n’avons pas mentionnés, ne sont pas seulement la cause de la surmortalité actuelle due à ces pathologies, mais ont été clairement identifiés dans la littérature scientifique depuis des années, lorsque la cytotoxicité, la génotoxicité, la biocompatibilité et la biodistribution de l’oxyde de graphène en biologie sont passées en revue. Y compris le fameux « poumon Covid » qui n’est qu’une pneumopathie ou une inflammation pulmonaire, comme l’un des moyens d’éliminer le matériau, contribuant à la dyspnée — difficulté à respirer — et à la bronchiolite que nous voyons tous les jours.

M del A : Et tandis que la société continuait à s’effrayer d’un virus inexistant, médiatisé par des politiciens et des journalistes, La Quinta Columna, avec vous à sa tête, avait déjà découvert le véritable meurtrier de ce complot.

R D : En effet, La Quinta Columna a découvert et démontré cet empoisonnement prémédité de toute la société avec de l’oxyde de graphène réduit, alors que les institutions parlaient d’un « coronavirus » que, jusqu’à ce jour, personne n’a vu.

[Voir aussi :
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
L’invention du SARS-CoV-2
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène]

M del A : Il ne fait aucun doute que nous parlons d’une étape importante, d’une découverte vitale et transcendante, non seulement pour l’humanité actuelle, mais aussi pour celle de l’avenir dans sa transition vers le transhumanisme. Mais pourquoi cela ne parvient-il pas à la connaissance du grand public ou, si c’est le cas, c’est accompagné d’un certain scepticisme ?

Au cours de la conférence, Richard Delgado fait le lien
entre les décès dans les maisons de retraite et la campagne.

R D : Les preuves présentées sont connues d’un grand nombre de personnes dans le monde, mais il est vrai qu’elles n’ont pas pénétré la société dans la mesure nécessaire. Nous avons montré que ce matériel a été introduit massivement lors de la campagne de grippe de 2019, dont la population directe était les personnes âgées des résidences ou les gériatres, ce qui a contribué à la grande extermination des personnes âgées, qui faisait partie de ce qu’ils ont appelé la « première vague ».

Nous avons également démontré que ce qu’ils ont appelé « épidémies » et « vagues » n’est rien d’autre que la conséquence de l’augmentation des radiations environnementales au moyen d’antennes téléphoniques [3G, 4G, 5G…], dont les micro-ondes excitent l’oxyde de graphène (radiomodulable) pour générer davantage de stress oxydatif et, en fin de compte, tous les dommages précédemment observés en biologie. Et, malgré tout, une grande partie de la société ne le sait toujours pas.

M del A : Pensez-vous qu’il s’agit d’une pure dissonance cognitive ou d’autre chose ? Y a-t-il quelque chose qui nous échappe ?

R D : À mon avis, il y a des facteurs importants qui expliquent que ces preuves n’aient pas été mises en lumière par leur propre poids, mais permettez-moi de laisser cela pour la fin.

M del A : Comme vous voulez. Continuons à parler du matériau : pourquoi introduisent-ils de l’oxyde de graphène réduit dans cette « chose » qu’ils appellent vaccin ?

R D : C’est la grande question à laquelle nous trouvons également une réponse, précisément par le biais d’institutions officielles de très haut niveau et par l’examen de la littérature scientifique elle-même.

Nous avons mentionné précédemment la nature magnétique du graphène en contact avec des molécules organiques, n’est-ce pas ? Eh bien, si nous disposons d’un support magnétique en biologie et, de surcroît, supraconducteur — en affinité avec le cœur et les neurones —, nous avons la possibilité d’y lire et d’y écrire des informations, comme sur un disque dur (d’ordinateur*). Au niveau neuronal et dans le domaine des neurosciences, la lecture d’informations est un contrôle ou une supervision neuronale. L’écriture d’informations sur ce support magnétique — qui est de l’oxyde de graphène réduit — imprégnant les neurones est connue sous le nom de neuromodulation ou neurostimulation. Il s’agit de la capacité d’introduire ou d’insérer des pensées (instructions) ou de modifier des modèles de comportement humain à distance et sans fil (micro-ondes scalaires et millimétriques). Au niveau du système cardiaque, on parle également de biocapteur du cœur ou de stimulation du cœur à distance.

[Voir aussi :
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Biocontrôle : du cauchemar à la réalité
Selon le Dr Ana Mihalcea, ils veulent nous transformer en automates sans libre arbitre, grâce à la technologie des vaccins
Nanotechnologie et « vaccins »
Transformation cybernétique de l’Humanité
Le but démontré des injections antiCovid]

* Note du Messager de Gibraltar :

Le chemin du retour ou l’affrontement du feu

3:31 Le corps humain n’est rien d’autre qu’un ordinateur organique vivant très sophistiqué (selon les normes humaines), qui s’autoreproduit et s’autorépare (s’il n’est pas trop endommagé). Il s’agit d’une combinaison d’ordinateurs plus petits, par exemple le cerveau, les reins, le foie, etc., qui constituent collectivement l’ensemble, préprogrammé pour avoir des instincts animaux égoïstes, que votre âme doit apprendre à surmonter. Le cerveau humain physique fait fonctionner le corps et ses émotions, mais l’esprit et les sentiments appartiennent à l’âme. C’est pourquoi Jésus a dit que la chair n’a aucune valeur et que seul l’esprit (l’âme — le VRAI vous) a de la valeur (Jean 3:6 ; Jean 6:63).

3:34 Le Saint-Esprit, ou voix g(o)od [« good » : bon. Et « god » : dieu.], est implanté à l’intérieur du corps animal humain, avec l’âme et relié à elle. C’est la connexion télépathique de l’âme avec Dieu. Pour essayer de simplifier les choses, pour que vous puissiez comprendre plus facilement, si vous pouvez penser, pour un moment, à Dieu comme étant comme un maître-ordinateur et une banque de mémoire (fontaine de connaissance) ; avec le Saint-Esprit, comme la connexion de l’âme et le terminal d’ordinateur personnel, relié au maître ; par lequel, chaque âme est informée et enseignée en privé, individuellement et personnellement, ce qui est bon et ce qui est mauvais, par le Seigneur ; alors vous aurez une meilleure compréhension de la façon dont les choses fonctionnent.

[Voir aussi :
Mettez au régime votre IA (Intelligence Artificielle)]

3:35 Vous pouvez demander et recevoir des informations de Dieu en apprenant à utiliser votre connexion télépathique (le Saint-Esprit — 1 Jean 2:27). « Cherchez et vous trouverez », mais SEULEMENT si vous cherchez de TOUT votre cœur (Jér. 29:13), et avec l’humilité d’un enfant.

3:36 Malheureusement, tout ce que vous faites, c’est de lui demander de vous donner ceci ou cela, ou de faire ceci ou cela pour vous. Vous ne lui demandez JAMAIS ce que VOUS pouvez faire pour lui, n’est-ce pas ? N’est-ce pas très égoïste et unilatéral ?

3:37 L’autre voix, que tout le monde a dans la tête et sait parfaitement que c’est le mal, est évidemment la voix du Diable.

M del A : Apparemment, tout cela éclot soudainement, mais il semble qu’il y ait un plan méticuleusement établi qui synchronise plusieurs fronts.

R D : En effet. Toute cette recherche et sa propre littérature scientifique sont présentes au moment même où des personnages tels que l’ancien président du Chili, Sebastian Piñera, parlent d’« insertion de pensées, d’insertion de sentiments et de surveillance neuronale » le jour de l’appel d’offres pour le réseau 5 G. Dans le même temps, la Constitution chilienne est modifiée pour tenir compte de la « loi sur les droits neuronaux », et des dizaines de millions de stations de base et d’antennes téléphoniques sont déployées dans le monde entier. Et, entre autres événements, le directeur du Forum Économique Mondial lui-même nous parle des biocapteurs dans le cerveau d’ici 2030, de la « montée du transhumanisme » ou du nouvel être humain « Human 2.0 », du « cloud » et de « l’intelligence artificielle ».

[Voir aussi :
À quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme…
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique
Le support philosophique de la Grande Réinitialisation
Une emprise sur l’Humanité]

M del A : Tout indique que nous sommes sur la voie du transhumanisme, ou de la fin de « l’ère humaine », comme le dit José Luis Cordeiro. Ne trouvez-vous pas cela terrifiant ?

R D : En effet, c’est terrifiant, c’est la pire chose qui soit arrivée aux êtres humains dans toute leur histoire. L’objectif est plus que clair : transhumaniser tous les êtres humains en un minimum de temps, malgré les graves dommages et effets secondaires de cette technologie sur les comportements neuromodulaires et de neurostimulation, en plus de la supervision de tous les individus directement à partir de leurs neurones. Bref, la perte totale de l’espèce humaine actuelle. C’est-à-dire la disparition de l’humain actuel pour le transformer en « autre chose », privé de son essence, de son libre arbitre, de sa capacité à penser par lui-même et de sa tendance naturelle à la spiritualité. Et pour cela, le matériau qui sert d’INTERFACE est l’oxyde de graphène réduit. C’est la grande CLÉ. C’est pourquoi ils essaient de le nier ou de l’ignorer de toutes sortes de manières.

M del A : Nous avions laissé pour la fin sa réponse sur les raisons pour lesquelles cette importante découverte n’a pas été révélée, qui plus est, sous la forme d’un grand scandale. Quels sont les facteurs qui ont influencé et continuent d’influencer cette dissimulation ?

R D : Il y a plusieurs facteurs. Le premier et le plus évident est le contrôle que les gouvernements exercent sur les institutions dont ils ont la charge, notamment les médias, les établissements de santé, le système judiciaire, les syndicats, etc. Cela leur permet de mener à bien leurs programmes, parfaitement planifiés à l’avance. Mais il y a un autre facteur clairement exposé et que certains, apparemment dissidents, ne veulent même pas mentionner.

Il s’agit du concept de dissidence contrôlée, de fausse dissidence ou de faux dissidents. Il s’agit de personnes qui prétendent œuvrer pour la dissidence et la clarification de la Vérité, mais qui, néanmoins, introduisent toutes sortes d’obstacles pour qu’elle ne soit pas mise en lumière. Ce phénomène a été introduit dans toutes sortes de guerres. Et je ne dévoile rien de nouveau si je dis que nous sommes dans la pire des guerres, où l’ennemi à abattre est l’être humain lui-même.

[Voir aussi :
L’opposition contrôlée, selon Stanislas Berton
Opposition contrôlée et infiltration : comment les reconnaître ?
L’illusion du choix et de la liberté — L’opposition contrôlée est un mouvement de protestation dirigé par des agents du gouvernement]

M del A : Peut-on dire qu’il s’agit d’une action de contre-espionnage et qu’il existe un protocole d’action qui, dans ce cas précis, fonctionne ?

Ricardo Delgado sur le mal qui se cache derrière l’intention.

R D : C’est exact. Et dans cette façon d’agir, il y a plusieurs stratégies que je vais énumérer, en me référant au cas en question :

En général, les T.H.E.Y. The Hierarchy Enslaving You » : La Hiérarchie qui vous asservit. Et THEY : EUX] font tout leur possible pour retarder une première découverte, ou éliminer tous les « bons indices » qui arrivent, permettant la mise en œuvre de l’objectif qu’ils ont. Dans ce cas particulier, il s’agit de dissimuler l’utilité de l’oxyde de graphène en tant qu’interface.

— Ils se caractérisent par la négation des preuves ou des propriétés qu’elles présentent. Par exemple, ils nient l’existence du graphène dans les « vaccins », ainsi que le phénomène magnétique de l’inoculé ou l’émission d’adresses MAC détectées par Bluetooth.

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables]

— Ils s’infiltrent dans les bonnes recherches pour tenter de les retarder, en utilisant toutes sortes de stratégies.

— Ils introduisent de nouveaux foyers, supposés nocifs, pour neutraliser les dommages générés par la véritable cause, mais qu’ils doivent couvrir à tout prix. Par exemple, ils essaient d’envelopper l’oxyde de graphène avec du venin de serpent, des isotopes radioactifs, du venin d’abeille, des métaux lourds ou la fameuse protéine Spike (qui est précisément la réponse à l’introduction du graphène dans la biologie).

— Ils essaient d’envelopper la CLÉ avec n’importe quel élément distrayant afin qu’elle perde sa force.

— Ils recourent à la violence et aux attaques personnelles, manipulant ou déformant même la vie personnelle de ceux qui découvrent les preuves qui doivent être dissimulées.

— Normalement, ils sont financés économiquement par le système lui-même, ou bénéficient de promesses de promotions sociales dans le même domaine ou d’autres types d’avantages.

— Les groupes de dissidence contrôlée ont été créés avant que de véritables collectifs de dissidents n’apparaissent naturellement face à l’avancée de la situation qui commençait à nous affecter tous. Comme dans toute guerre, l’ennemi dispose de ces groupes, créés dans différentes parties du monde et avec des étiquettes similaires pour contrecarrer, capturer, effondrer et neutraliser les découvertes des groupes humains qui cherchent la vérité. Un exemple très significatif de ces groupes est celui des collectifs « pour la vérité », créés a priori dans différentes parties du monde et qui ont tenté de discréditer toute recherche, preuve ou découverte générée à partir de l’observation par des groupes véritablement dissidents.

— Comme la version officielle elle-même, ils utilisent dans leurs noms et leurs slogans des attributs dont la signification réelle est juste à l’opposé de la façon dont ils sont étiquetés. La véritable signification de « par la vérité » est « dissimuler la vérité ».

— Ils sont généralement actifs dans le Système lui-même, soit dans le domaine de la santé, soit dans le milieu universitaire ou autre (médecins, collèges officiels de biologistes, etc.).

— Ils sont organisés de manière hiérarchique, de sorte que leurs sommets sont occupés par des « porte-parole » qui gouvernent et parasitent tout le discours du collectif, de sorte que personne n’a d’opinion individuelle, et s’il en a une, elle est éclipsée par le sommet lui-même. Ainsi, ils dirigent le message où ils veulent et cachent les preuves.

— Ils introduisent des bots et des adeptes fictifs, ainsi que des trolls agressifs, sur diverses plateformes pour donner l’impression qu’ils bénéficient d’un soutien humain inconditionnel. En réalité, pratiquement personne ne les suit. Ce fait est évident lorsqu’ils donnent des conférences en public, qui sont suivies par un petit nombre de personnes.

— Ils sont chargés de capturer les personnes qui doutent de la version officielle (médecins, universitaires, avocats, journalistes, etc.) et de les introduire dans des collectifs, préalablement créés, pour éclipser le message qu’ils pourraient transmettre. Une fois à l’intérieur du collectif, ils sont liés aux directives du porte-parole de celui-ci. Par exemple : Avocats pour la vérité, ou Journalistes pour la vérité. Ils ont tendance à baser leurs « recherches » sur les « papiers » eux-mêmes, qui sont rédigés dans la version officielle, contre laquelle ils sont censés s’opposer.

— Ils ne font jamais de véritables analyses à l’aide d’outils scientifiques, car cela les obligerait à manipuler les résultats, à cacher ce qu’ils ont découvert. Au lieu de faire des recherches, ils préfèrent dire : « L’analyse des vaccins est une perte de temps » ; « Ne regardez pas au microscope, car vous ne verrez rien », ou « Obtenir des vaccins est très difficile ».

— Les travaux de ceux qui analysent au RAMAN, au microscope optique, au microscope électronique ou à toute autre technique permettant de SAVOIR comment caractériser le composant clé des « vaccins » sont ridiculisés et attaqués par cette fausse dissidence avec des arguments de pacotille. La plupart de ces attaques sont virulentes et personnelles.

— Ils utilisent leurs titres pour parler par « principe d’autorité » donné par la même institution ou celle à laquelle ils appartiennent, mais pas par « principe scientifique de preuve ».

— Ils utilisent les arguments de la version officielle — contre laquelle ils luttent apparemment — pour discréditer des travaux sérieux et indépendants. Par exemple, en s’appuyant sur les brochures officielles des « vaccins », alors que, précisément, des composants NON déclarés dans ces derniers sont dénoncés et pourraient faire tomber toute l’opération.

— Ils s’approchent des découvertes prouvées, avec lesquelles ils parviennent à capter un certain nombre d’honnêtes gens, puis se débarrassent de ce paradigme et reviennent à d’autres centres d’intérêt. Par exemple, ils admettent l’existence du graphène, mais soutiennent qu’il y en a très peu dans les « vaccins », ou reconnaissent que les vaccinés émettent des adresses MAC, mais rejettent le graphène.

— Ils se targuent de phrases telles que « Nous devons tous être unis » ou « Ensemble, nous sommes plus forts », précisément pour s’infiltrer.

— Ils se concentrent sur les dommages, mais pas sur la cause réelle qui en est à l’origine.

— Ils s’emploient à dénoncer des problèmes mineurs, afin de minimiser l’impact de ce qui est le plus dommageable. Par exemple, dénoncer les masques, la perte de libertés et de droits, ou l’inefficacité du test PCR, tout en dissimulant l’introduction de l’interface dans les produits injectables, qui est l’objectif pour atteindre le transhumanisme.

M del A : S’il en est ainsi, le citoyen ordinaire a la vie dure. D’une part, il est trompé par le système, et d’autre part, par ceux qu’il croit chercher la vérité. Avez-vous un dernier conseil à donner pour terminer ?

Richard Delgado explique au public comment nous pourrions mettre un terme
à cette évolution vers le transhumanisme.

R D : L’identification de ces « personnes » est vitale pour continuer à avancer, mettre en lumière les PREUVES et arrêter ou prévenir l’opération. La fausse dissidence est la première ligne de bataille que l’ennemi envoie dans nos rangs. Il y a des gens de bonne foi, qui n’ont pas appris à les identifier, et qui « font semblant d’avoir raison avec tout le monde », mais c’est tout simplement impossible, parce qu’ils font confiance et communiquent avec des traîtres, tous les jours et sans le savoir. Ils doivent choisir et abandonner tout autre intérêt que la Vérité, avant tout. Il n’y a pas de place pour les demi-mesures, en raison de la gravité à laquelle nous nous exposons. Nous ne pouvons pas permettre que la fausse dissidence continue à essayer de discréditer les preuves, et que celles-ci ne soient pas mises en lumière avec suffisamment de force, assurant ainsi la poursuite de l’opération contre l’être humain. C’est-à-dire la fin de l’ère humaine par le transhumanisme.

La conférence sur la chaîne Odysee de La Quinta –
Conference of La Quinta Columna: The game is over (19 March 2023)
(Aussi sur DGTV.)



Source : En espagnol : Periodista Digital – Ricardo Delgado: «A pesar de la evidencia, lo siguen negando»




Le sang de l’Humanité est-il en cours de modification ?

[Source : JDLM]

👉 Analyses à l’appui, le Dr Ana Mihalcea dresse un portrait sombre de la situation. Injections, chemtrails, nourriture, hydrogel, graphène, tout est passé au crible.

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Selon le Dr Ana Mihalcea, ils veulent nous transformer en automates sans libre arbitre, grâce à la technologie des vaccins (et liens inclus)
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays (idem)
Les vaccins à ARNm sont une imposture. Les gens reçoivent une injection de nanotechnologie (idem)
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ? (idem)
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Chemtrails
Documentaire sur les chemtrails
Géoingénierie : Un expert révèle que les Chemtrails sont bien réels]




Protocole du Dr Ana Mihalcea

Le protocole du Dr Ana Mihalcea pour nettoyer le sang de l’hydrogel synthétique et de l’oxyde de graphène.
👉 Écoutez bien tout ce qu’elle énonce, car l’EDTA n’est pas une substance anodine ! Une observation du sang au microscope est impérative au préalable.

[Voir aussi :
Comment éliminer l’oxyde de graphène des vaxins
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène]








Les vaccins à ARNm sont une imposture. Les gens reçoivent une injection de nanotechnologie

[Source : etouffoir.blogspot.com via santeglobale.world]

https://karenkingston.substack.com/p/the-term-mrna-vaccines-is-a-sham

Les « vaccins » à liposomes cationiques à ARNm sont des nanotechnologies utilisées pour introduire de l’ADN non humain dans le corps des adultes et des enfants, transformant les cellules en usines d’armes biologiques à protéines de pointe causant des maladies.


Par Karen Kingston 1er mars 2023

[Voir aussi :
Karen Kingston : « La FDA a criminellement approuvé une arme biologique en tant que vaccin sûr et efficace. »
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?
L’asservissement par l’intelligence artificielle — Le Putsch transhumaniste.
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Le but démontré des injections antiCovid
La nanotechnologie dans les vaccins
Observation des injections anticovid]

Lorsque les nouveaux « vaccins à ARNm » sont devenus disponibles pour la première fois en décembre 2020, le peuple américain a appris que les « vaccins à ARNm » contenaient des lipides qui servaient de bulle protectrice autour de l’ARNm du SRAS-CoV-2 qui ferait que notre corps produirait la protéine « Spike ». Après avoir été injecté, notre corps produirait la protéine de pointe et notre système immunitaire produirait des anticorps afin que nous ne puissions PAS être infectés et NE PAS pouvoir infecter d’autres personnes avec le SRAS-CoV-2.

En 2020/2021, tout le monde [sauf quelques « complotistes »] pensait que le discours du « vaccin à ARNm » semblait raisonnable, sûr et à peu près conforme aux autres vaccins biologiques du passé.

Le seul problème est que tout ce qu’on nous a dit sur ce que SONT les « vaccins » à ARNm est inexact et mensonger, jusqu’au terme même de vaccin à ARNm. Les injections de COVID-19 ne sont pas des vaccins à ARNm. Les injections d’ARNm COVID-19 sont des injections de nanotechnologie.

Par exemple, les lipides et les phospholipides dans les injections d’ARNm ne sont pas des lipides. Les lipides sont des molécules naturelles qui forment les composés gras tels que les graisses et le cholestérol. Les lipides font partie des membranes de nos cellules pour aider à contrôler ce qui entre et sort des cellules. Les « lipides » dans les injections d’ARNm sont des molécules » synthétiques chargées électroniquement (des molécules non naturelles) et peuvent héberger des champs électromagnétiques. Ce sont des appareils électroniques.

Le site Web de Pfizer indique que sans le lipide cationique (nanotechnologie électronique), « il ne pourrait y avoir de vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech ».

Alors, qui a inventé la nanotechnologie que Pfizer et Moderna appellent de manière trompeuse un lipide cationique ? Et à quoi sert cette nanotechnologie ? L’inventeur de la nanotechnologie de l’ARNm

Le 10 juin 2021, Brent Weinstein a animé une interview sur podcast Dark Horse avec le Dr Robert Malone et Steve Kirsch. Les trois hommes ont discuté à la fois des risques inconnus et de certains des risques connus des vaccins à ARNm » COVID-19 ». Le Dr Robert Malone a été présenté comme l’inventeur de la « technologie du vaccin à ARNm » et a gardé ce titre dans des dizaines, voire des centaines d’entretiens ultérieurs avec d’autres animateurs de médias.

Le Dr Malone a légitimement mérité le titre d’inventeur de la technologie des vaccins à ARNm. Le site Web du Dr Malone où il répertorie ses principaux brevets et publications contribuant à l’invention de la technologie des vaccins à ARNm (qui est la nanotechnologie), y compris la publication du Dr Malone en 1989, « Cationic Liposome — Transfection d’ARN médiée ».

Selon le résumé de l’article, le Dr Malone et deux de ses collègues, « ont développé une méthode efficace et reproductible pour la transfection d’ARN, en utilisant un lipide cationique synthétique incorporé dans un liposome (lipofectine). »,

Les nanoparticules électroniques ne sont pas des lipides, ce sont des nanotechnologies

BTW— Une substance synthétique qui porte une charge électronique n’est PAS un lipide. C’est un dispositif nanotechnologique/électronique. Se faire injecter des lipides sonne bien mieux que se faire injecter des nanotechnologies électroniques. On nous a dit que les nanotechnologies électroniques sont des vaccins à ARNm encapsulés dans des lipides parce qu’aucune personne saine d’esprit n’accepterait de se faire injecter un dispositif de nanotechnologie électronique.

Les liposomes cationiques ont-ils déjà été considérés comme une nanotechnologie ?

Selon l’article de décembre 2020, Nanomedicine for COVID-19 : The Role of Nanotechnology and Diagnosis of COVID-19, les liposomes étaient considérés comme des nanotechnologies liposomes (dispositifs d’administration de nanomédicaments) selon le rapport 2007 du groupe de travail sur la nanotechnologie de la FDA./

Quel est le but de la nanotechnologie cationique ?

Cationique signifie que la nanotechnologie héberge indépendamment une charge électronique positive (car après tout, la technologie qui n’héberge pas l’électricité par elle-même n’est qu’un morceau de matériau semblable à un métal ? Quoi qu’il en soit…) Selon le brevet de 1996 Livraison de séquences d’ADN exogènes dans un Mammifère, Le but de la nanotechnologie cationique d’ARNm était de produire de l’ADN non mammifère (ou ADN non humain) chez un mammifère (ou un humain). L’ADN non mammifère pourrait inclure l’ADN de reptiles, d’insectes ou d’autres espèces non vertébrées.

Selon le site Web de ThermoFisher, les lipides cationiques sont des nanotechnologies d’édition de gènes utilisées pour fournir de l’ADN et de l’ARN silencieux (ARNsi) dans les cellules.

Le site Web de ThermoFisher explique en outre comment les nanotechnologies d’édition de gènes des liposomes cationiques libèrent du matériel génétique étranger codé dans le noyau d’une cellule afin que la cellule puisse ensuite produire ou exprimer du matériel génétique étranger.

Comment la recherche humaine avec les nanotechnologies a-t-elle été autorisée en vertu des réglementations de la FDA et des NIH ?

Les nanotechnologies ont été étudiées et développées sous le couvert de la recherche sur le cancer et pour le « traitement » de maladies auto-immunes rares. Étant donné que les sujets de recherche n’avaient souvent plus que quelques jours ou semaines à vivre, le fait que les nanotechnologies d’ARNm modifient génétiquement les cellules du corps humain pour « s’attaquer à soi-même » et pour adsorber du matériel génétique inorganique (c’est-à-dire des métaux ou des toxines reptiliennes) dans le cytoplasme ou le noyau des cellules humaines entraînant souvent de nouvelles maladies auto-immunes (dont certaines ont des conséquences invalidantes ou mortelles à court terme) est passé inaperçu, car les sujets humains étaient souvent déjà handicapés et à haut risque de décès à court terme.

Selon la publication clinique du Dr Malone en 1989, il a utilisé la lipofectine pour pénétrer dans les cellules de mammifères afin que les cellules de souris expriment l’ADN de la luciole traditionnelle du nord-est, de la grenouille africaine à griffes et de la mouche des fruits.

Selon le site Web de ThermoFisher, la lipofectine est le réactif de choix pour intégrer l’ADN et l’ARN étrangers dans les cellules endothéliales. Les cellules endothéliales sont les cellules qui tapissent nos vaisseaux sanguins, nos ganglions lymphatiques et notre cœur.

La lipofectine est utilisée pour intégrer les séquences génétiques du cancer agressif dans les cellules humanisées

La lipofectine est également très efficace pour intégrer avec succès HeLa, l’ARNm code HeLa pour la forme de cancer la plus agressive connue de l’homme dans les cellules humaines pour produire un cancer à l’intérieur d’un mammifère (humain).

Selon le brevet de 1996 dont le Dr Malone est répertorié comme l’inventeur, Delivery of Exogenous DNA Sequences in a Mammal, les nanotechnologies de liposomes cationiques peuvent fournir des charges utiles de peptides toxiques non mammifères aux cellules humaines, telles que la ricine ou le venin de serpent cobra.

Lorsque des médecins de l’Université de Pittsburgh ont testé le liquide respiratoire de huit patients décédés d’une grave COVID-19 en 2020 en Lombardie, en Italie, ils ont découvert que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 contenait du venin de cobra recréé synthétiquement, le venin de Krait, le virus [supposé] de la rage et la glycoprotéine 120 du [supposé] VIH.

[Note de Joseph : ce que les virologues appellent virus et VIH est essentiellement des séquences génétiques obtenues par logiciel suite à tout un processus qui n’a nullement permis d’isoler et de caractériser effectivement ces entités nanoscopiques. Voir notamment les articles suivants du dossier Vaccins et virus, du moins si vous êtes prêts à remettre en question la théorie virale :
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple,
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
À quel point les virus sont-ils morts ?
L’invention du « virus Ebola »
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Big Pharma (ô surprise !) a créé de toutes pièces la peur de l’hépatite B… pour vendre ses nouveaux vaccins
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
L’invention du SARS-CoV-2
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur]

La protéine de pointe du superantigène (SAg), connue sous le nom de Wuhan-Hu-1 S-2P, est programmée pour être produite par les cellules du corps humain par l’ARNm trouvé dans le vaccin à ARNm de Pfizer COMIRNATY.

Selon l’article publié en 2021 sur la nanotechnologie, il semble que les liposomes cationiques, les séquences d’ARNm du SRAS (SARS-1, MERS, SARS-2) et les nanoparticules lipidiques ne se trouvent pas seulement dans les injections de COVID-19, mais aussi le « virus lui-même » COVID-19 avec une taille de fichier de programme d’ARNm de 30 kb et un diamètre de véhicule de livraison par nanoparticules de 60 à 140 nm. Cela signifie que la nanotechnologie dans les « vaccins » est la même nanotechnologie qui a causé les pandémies et les urgences de santé publique.,

Des nanoparticules ont été utilisées dans d’anciens virus respiratoires

De manière alarmante, les experts en nanotechnologie de l’ARNm de l’Université de Californie à San Diego et de La Jolla affirment : « les nanoparticules précédentes… qui ont été utilisées dans les virus respiratoires ont des tailles à peu près similaires »

Les auteurs précisent qu’ils ne parlent pas d’agents pathogènes (ou de virus) d’origine naturelle lorsqu’ils font référence aux « nanotechnologies précédemment utilisées qui ont provoqué des virus pandémiques ». Les auteurs écrivent que « les nanoparticules comprennent des protéines autoassemblées et des nanoparticules à base de peptides (de 15 nm), des nanoparticules inorganiques (inorganiques = non issues de la nature = synthétiques) de 100 nm ».

La technologie des vaccins à ARNm et la « technologie de pandémie respiratoire » sont les mêmes technologies de nanoparticules.

Les nanotechnologies cationiques qui provoquent des pandémies virales, telles que COVID-19, sont les mêmes « 100 nm… protéines à autoassemblage et technologies de nanoparticules » trouvées dans les injections de COVID-19 (selon les injections, les brevets de vaccins à ARNm, les sites Web des fabricants et les dépôts de la FDA).

Les nanotechnologies LNP du « vaccin à ARNm » sont les armes biologiques qui ont rendu de nombreuses personnes malades à Wuhan et dans le monde en 2020, ce qui est confirmé par le » pitch 2018 d’EcoHealth Alliance à la DARPA.

Le concept de l’invention de la « technologie des vaccins à ARNm » est un terme impropre et une imposture. Le terme « vaccin à ARNm » est une couverture pour les nanotechnologies qui sont utilisées comme technologies d’édition de gènes et agents de guerre biologique sur les citoyens américains et mondiaux.

Les nanotechnologies des liposomes cationiques sont utilisées pour introduire de l’ADN non humain dans les cellules d’adultes et d’enfants afin de transformer leurs cellules en usines d’armes biologiques à protéines de pointe toxiques et pathogènes.

Lorsque les nanotechnologies nocives d’édition de gènes ont été lancées, on nous a dit que la science était trop compliquée à comprendre. C’était un mensonge. La science était cachée au peuple américain parce que si on nous donnait les brevets, les publications à comité de lecture et les données soumises par la FDA, il est clair que les « vaccins à ARNm » sont des armes biologiques qui ne peuvent que causer des maladies, des handicaps et la mort.

Faites confiance aux experts

On nous a dit de simplement de faire confiance à la science et aux experts. Malheureusement, presque aucun des experts n’a été honnête avec le peuple américain. Si j’ai pu comprendre en mai 2021 que les nanoparticules de lipides de vaccins à ARNm étaient des armes biologiques en lisant UN BREVET, comment se fait-il que l’inventeur de la nanotechnologie des liposomes cationiques du « vaccin à ARNm » n’ait toujours pas compris cela ?

« Veuillez trouver ci-joint le brevet mondial pour les vaccins à base de nanoparticules lipidiques d’ARNm (LNP). Je crois qu’ils concluront que les vaccins COVID-19 sont des armes biologiques sous le couvert de vaccins thérapeutiques à ARNm… Selon le brevet, les LNP peuvent cibler des organes et des systèmes spécifiques dans tout le corps, y compris, mais sans s’y limiter, les organes reproducteurs, cardiovasculaires, pulmonaires, et le système nerveux central, traversant spécifiquement la barrière hématoencéphalique. »

Karen Kingston, mai 2021

Pourquoi les experts qualifient-ils les armes biologiques de la nanotechnologie de vaccins à ARNm » et évitent-ils carrément le terme de nanotechnologie ?

Si Pfizer et Moderna n’ont aucun problème à coller le terme technologie (nanotechnologie) sur tous leurs sites Web, pourquoi nos dirigeants de confiance accusent-ils des gens comme moi et le Dr Ana Mihalcea de faire partie de « l’état profond » ou d’être « non crédibles » pour avoir souligné que les injections de COVID-19 contiennent des nanotechnologies d’édition de gènes ?

« La technologie de l’ARNm convient parfaitement à l’édition de gènes. »

Pfizer

« vaccin à ARNm » est un terme impropre. Personne n’a reçu d’injection de « lipide biologique » ou de « vaccin à ARNm ». Pfizer ne fait même pas référence à sa technologie d’édition de gènes d’ARNm en tant que thérapie, car l’ARNm n’est PAS une thérapie. La technologie de l’ARNm est une plate-forme d’armes biologiques nocive et mortelle à des fins de transhumanisme qui a été vendue aux civils du monde entier en tant que « technologie de vaccin ».

Plus de 265 millions d’Américains ont reçu une injection de nanotechnologie d’édition de gènes dans le cadre de la plus grande expérience humaine criminelle de l’histoire de l’humanité. C’est une guerre biologique.

Les experts de confiance sont-ils investis dans l’humanité ou le transhumanisme ?

Les grandes sociétés pharmaceutiques, les biotechnologies et d’autres organisations et individus qui investissent dans cette nanotechnologie d’édition de gènes appellent cette invention démoniaque des « vaccins à ARNm » des thérapies géniques uniquement parce que personne n’aurait jamais accepté autrement d’être « vacciné » si on leur avait dit que les tirs contenaient des nanotechnologies d’édition de gènes. »

Si un expert crédible en ARNm était honnête avec le peuple américain et disait au monde qu’il n’a PAS reçu d’injection d’un « vaccin à ARNm », mais qu’il a reçu une injection d’une arme biologique d’édition génétique destinée à le blesser et à lui faire du mal, je crois que l’humanité prendrait conscience du fait que nous avons tous été forcés sans le savoir de participer à la plus grande expérience humaine criminelle jamais menée dans l’histoire de l’humanité.

Le rapport Kingston. « LA VÉRITÉ vaincra ». Les exemptions pour l’utilisation expérimentale dans le domaine de la santé (des armes biologiques) peuvent créer une zone grise dans laquelle des enquêtes sur la viabilité des armes peuvent être entreprises.

« Malheur à vous, car vous construisez des tombeaux pour les prophètes, et ce sont vos ancêtres qui les ont tués. Vous témoignez donc que vous approuvez ce que vos ancêtres ont fait ; ils ont tué les prophètes, et vous bâtissez leurs tombeaux. »

Luc 11 : 46-47

La bonté à l’intérieur

Les gens me demandent souvent des conseils sur les suppléments et les traitements médicaux. Je ne peux pas vous faire de recommandations médicales, mais pour moi, je sais que réduire le niveau d’acide dans votre corps et prendre un supplément contenant de la zéolite peut aider à éliminer les métaux toxiques de votre corps. J’utilise personnellement ces produits pour me détoxifier, Organic Super Protein Organic Super Protein que vous pouvez commander ici.

Continuez le bon combat !

Si Pfizer et Moderna n’ont aucun problème à coller le terme technologie (nanotechnologie) sur tous leurs sites Web, pourquoi nos dirigeants de confiance accusent-ils des gens comme moi et le Dr Ana Mihalcea de faire partie de « l’état profond » ou d’être « non crédibles » pour avoir souligné que les injections de COVID-19 contiennent des nanotechnologies d’édition de gènes ?