Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays

[Source : anamihalceamdphd.substack.com]

Par Dr Ana Maria Mihalcea, MD, PhD

[Voir aussi :
Le but démontré des injections antiCovid]

Les programmes de vaccination COVID-19 doivent être arrêtés immédiatement. Le groupe de travail allemand pour l’analyse du vaccin COVID a rendu publiques ses premières conclusions dans un rapport de grande envergure :

  1. Des substances toxiques ont été trouvées dans tous les échantillons de vaccins COVID-19 — sans exception.
  2. Les échantillons de sang de toutes les personnes qui ont été vaccinées ont montré des changements marqués.
  3. Plus la stabilité de l’enveloppe des nanoparticules lipidiques est grande, plus les effets secondaires du vaccin sont fréquents.
  1. Dans tous les échantillons de vaccins COVID-19, sans exception, on a trouvé des composants, en utilisant plusieurs méthodes de mesure, qui :
    • sont, dans les quantités trouvées, toxiques selon les directives médicales,
    • n’avaient pas été déclarés par les fabricants comme étant présents dans les vaccins,
    • sont pour la plupart métalliques,
    • sont visibles au microscope à fond noir comme des structures distinctives et complexes de différentes tailles,
    • ne peuvent être expliqués que partiellement comme le résultat de processus de cristallisation ou de décomposition,
    • ne peuvent être expliqués comme une contamination provenant du processus de fabrication.
  2. La comparaison d’échantillons de sang de personnes non vaccinées et vaccinées au moyen de la microscopie à fond noir a montré des changements notables dans le sang de chaque personne qui avait été vaccinée avec les vaccins COVID-19. Ces changements étaient évidents même si ces personnes n’avaient pas encore manifesté de réaction visible aux vaccins. Des structures complexes similaires à celles des vaccins ont été trouvées dans les échantillons de sang des personnes vaccinées. L’analyse d’images par intelligence artificielle (IA) a permis de confirmer la différence entre le sang des personnes vaccinées et celui des personnes non vaccinées.
  3. La stabilité de l’enveloppe des nanoparticules lipidiques est étroitement liée à l’incidence des effets secondaires et des lésions des vaccins. Plus cette enveloppe est stable, plus la quantité d’ARNm qui pénètre dans les cellules, où la production de protéines de pointe a ensuite lieu, est importante. Ces résultats correspondent aux conclusions des pathologistes qui ont pratiqué des autopsies sur des personnes décédées à la suite d’une blessure vaccinale. Des protéines spike ont été détectées dans les tissus endommagés. Les chercheurs soupçonnent que la protéine spike est, en soi, toxique.

Les éléments suivants, essentiellement métalliques, ont été détectés de manière inattendue dans les doses d’AstraZeneca, BioNTech/Pfizer et Moderna :

  • Métaux alcalins : césium (Cs), potassium (K),
  • Métaux alcalino-terreux : calcium (Ca), baryum (Ba),
  • métaux de transition : cobalt (Co), fer (Fe), chrome (Cr), titane (Ti),
  • métaux des terres rares : cérium (Ce), gadolinium (Gd),
  • Groupe métal minier : aluminium (Al),
  • Groupe du carbone : silicium (Si) (en partie matériau de support/glace),
  • Groupe de l’oxygène : soufre (S).

Veuillez consulter cette recherche approfondie et cette excellente documentation ici :

Voici un autre chercheur qui a trouvé des nanostructures :

Nouvelles preuves scientifiques de la présence de nanostructures dans des flacons Pfizer en Nouvelle-Zélande [en anglais] :



Le Dr Daniel Nagase discute dans cette vidéo de la spectroscopie de masse qui n’a pas identifié de phosphore ou d’azote dans l’échantillon. Cela signifie qu’il n’y avait pas d’éléments liés à la vie, qui constituent des molécules comme l’ARN, l’ADN ou les protéines.

[Voir aussi :
https://guyboulianne.com/2022/08/15/le-dr-daniel-nagase-examine-deux-echantillons-des-vaccins-covid-19-a-arnm-et-montre-quils-ne-contiennent-aucun-element-de-la-vie/]

[En anglais :]


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Voici un article sur ses découvertes :

Des chercheurs canadiens trouvent des nanotechnologies de carbone et du thulium dans les injections de Covid de Moderna et Pfizer :

Voici une vaste documentation sur les nanoparticules dans le sang des patients vaccinés en Italie [en anglais] :

Veuillez également consulter cet article récemment publié par le Dr Robert Young qui montre dans son analyse la découverte de l’oxyde de graphène [en anglais] :

Résumé :

En tant que médecin, je suis horrifiée par cette information. Je veux que tout le monde voie ça, ce n’est pas normal. C’est une preuve indéniable. C’est l’agenda transhumaniste de l’IA dans toute sa force. Les vaccins doivent être arrêtés. C’est ce qu’on injecte aux enfants. On l’injecte à des gens bien qui ne savent rien de l’agenda diabolique qui se cache derrière les vaccins. Il y a tellement d’informations irréfutables maintenant, et tous les responsables doivent être tenus pour responsables. Lisez ceci. Regardez-le. Ceci a été injecté à 68 % de la population mondiale.

Je suis de tout cœur avec ceux qui ont cela dans leur corps. Faites quelque chose, partagez-la, parlez-en. Sauvez l’humanité. Merci.




Le but démontré des injections antiCovid

[Source : profession-gendarme.com]

La Quinta Columna est une organisation internationale qui est composée de scientifiques de toutes disciplines et du plus haut niveau…
Les conclusions qu’elle révèle aujourd’hui sont sans appel et collent parfaitement avec le projet mondialiste du WEF dirigé par Monsieur Klaus Schwab et aussi à ce qu’ont découvert d’autres scientifiques n’appartenant pas à ce groupe…
Exemple en SUISSE/Le Dr.J.BAUER. Ce qu’il a découvert dans les vaccins
https://rumble.com/v13yjt7-suisse-dr.j.bauer.ce-quil-a-dcouvert-dans-les-vaccins-hd-720.html
Voir aussi les liens qui y sont indiqués…

Dépopulation et Transhumanisation sont au cœur de leur projet pour que les « survivants post-vaccinaux » soient des objets 100 % connectés
et donc100 % contrôlés…

Voir Preuve que ce « vaccin de type ARNm » est au coeur du « plan de dépopulation » exposé en 2015 au WEF (World Economic Forum)
https://rumble.com/v1ddn61-vaccin-au-coeur-du-plan-de-dpopulation-expos-en-2015-au-wef.html

Notons qu’ils sont pour l’instant sur la bonne voie vu le « taux de population vacciné » de par le monde, mais il n’est pas sûr que ça dure bien longtemps, sauf s’ils créent de nouvelles peurs avec de nouveaux virus encore plus inquiétants, pour justifier de nouvelles injections…
… Ou s’il est démontré que pour avoir des défenses immunitaires face aux infections même les plus bénignes (les vaccins ayant eux-mêmes supprimé tout ou partie de nos défenses naturelles), les doses de « rappel » soient essentielles à la survie des concernés… On parle déjà de « rappels » tous les 6 mois pour éviter par exemple qu’une simple grippe se transforme en pneumonie…

Quoiqu’il en soit, « le mal », d’évidence dûment programmé, est en grande partie déjà fait.
Il semble irréversible… Ce serait donc déjà pour eux une première et grande victoire !!!

En face la vérité émerge peu à peu, mais il est clair que son chemin est pavé de très mauvaises intentions (crimes contre l’humanité) soutenues par tous les grands médias de la planète « vendus » à cette cause….C’est la raison pour laquelle, elle est si lente à se révéler…
De plus et en la circonstance beaucoup de gens préfèrent ne pas savoir, ce que l’on peut aussi comprendre…

[Voir aussi :
La nanotechnologie dans les vaccins (Communication antérieure de La quinta columna)
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
Sur le graphène :
La nanotechnologie dans les vaccins
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Sur la 5G et ondes em :
Faut-il se méfier de la 5G ?
La maladie des ondes radio : l’histoire de l’électrohypersensibilité
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
►Etc. (dossiers 5G et ondes pulsées et Vaccins et virus)]


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Source : Rumble




Dr RICHARD URSO — Explosion des Cancers et des maladies latentes

Retranscription de la traduction française de l’interview

Quelle est la biodistribution de ce produit, cette nanoparticule lipidique ? Eh bien, devinez quoi : elle se distribue partout ! C’est quelque chose que j’ai su tout de suite parce que je travaille avec des nanoparticules lipidiques. J’aurais pu vous dire que les nanoparticules lipidiques, j’ai l’habitude de dire : elles ont besoin d’une (petite) fente, alors que le virus a besoin d’une porte ouverte, et un vaccin normal a besoin d’une porte ouverte. Un vaccin normal reste dans le bras à peu près à 99,9 %. (????) Une nanoparticule lipidique a (juste) besoin d’une fente pour sortir. Une grande majorité de la nanoparticule lipidique ne reste pas dans le bras. En fait nous savons maintenant qu’une grande partie d’entre elles va dans le ganglion lymphatique juste en dessous d’ici et qu’elles continuent à produire des protéines de pointe (spike) jusqu’à 60 jours plus tard. 

C’est une merveilleuse étude de Cell. C’est ce qu’on appelle la pharmacocinétique qui aurait dû être examinée bien avant la sortie de ce produit. Ils n’ont jamais dit aux gens :

« nous allons le coller dans votre bras et il va apparaître dans votre ganglion lymphatique, il va apparaître dans votre cerveau, il va apparaître dans vos ovaires, dans votre moelle osseuse, vos glandes surrénales, votre foie et votre rate, qui va ensuite remonter par le nerf vague et aller jusqu’à vos ganglions de la base ».

Toutes ces choses se produisent. Pourquoi est-ce que je le sais ? Parce que les études ont été faites maintenant. Si elles n’ont pas été faites par Pfizer ou si Pfizer les a faites, ils n’en ont parlé à personne. Donc il ne reste pas dans le bras, il produit la protéine de pointe jusqu’à 60 jours. 

La Spike, comme nous le savons, est en fait retrouvée jusqu’à 15 mois plus tard dans les monocytes et d’autres cellules. Elle n’est pas dégradée. C’est un gros problème, les gens devraient avoir ces choses. Elle bloque le gène P53, le gardien du génome. Elle bloque le microRNA-27a qui est aussi présent dans le cancer du côlon. Elle affecte beaucoup de choses qui vont augmenter les cancers, le BCRA (le gène du cancer du sein) qui interfère avec ça. Ce sont des choses qui auraient dû être faites à l’avance. Ce que je vous dis… ces études sont faites, ce ne sont pas des opinions. Je ne donne pas d’opinions, je vous donne des données. Ça va partout. Elle bloque d’importants gènes de réparation des tumeurs appelés P53. Elle bloque le BCRA. Elle perturbe aussi le microRNA-27a (ce ?) qui provoque des poussées dans les cellules cancéreuses du colon.

Ça provoque une production pouvant aller jusqu’à 60 jours. Ça perturbe les récepteurs 7 et 8 que vous et moi avons de manière assez similaire. Ils font partie du génome de tous ceux qui sont dans cette pièce. Ils sont importants pour la surveillance immunitaire des virus. On va donc assister à une forte augmentation de tous les virus qui restent en sommeil dans notre corps, comme la famille des virus de l’herpès. Dans ma clinique, je vois en ce moment 3 à 5 personnes chaque semaine — car elles savent que je consacre beaucoup de temps au covid — elles viennent me voir avec un long covid et elles viennent me voir avec des problèmes post-vaccinaux. Ces gens viennent me voir, ils sont épuisés, ils ne se sentent pas bien et je constate qu’un très grand nombre d’entre eux ont réactivé l’Epstein-Barr, l’herpès simplex, l’herpès zooster, le CMV. Je n’ai jamais eu d’interview où j’ai révélé cela au grand public. C’est très important.

Beaucoup de gens se posent des questions sur ce long covid, si tout est lié à des problèmes viraux, en particulier la protéine spike ou à d’autres problèmes. Ils ne savent pas que nous assistons à une énorme réactivation des virus de la famille de l’herpès. Et nous avons un traitement pour que cela fonctionne vraiment bien. Ce sont des choses que nous devons faire connaître. Et nous voyons aussi une augmentation de 40 % des décès. Comme vous le savez, de 18 à 64 ans, ce sont les données funéraires. Personne ne les a renseignés pour leur dire de ne pas laisser passer cette information. Et de 25 à 44 ans, nous avons vu le dernier trimestre de l’année dernière une augmentation de 82 % des décès. Il y a beaucoup de données qui sont très troublantes et la plupart des gens ne sont pas au courant.

C’est notre travail de faire savoir aux gens que cette plate-forme de nanoparticules lipidiques de l’ARN messager — peu importe ce que vous y attachez — elle va toujours voyager partout. Ce sera toujours un problème. Et c’est pourquoi vous voyez que la distribution des troubles qui en découlent après le vaccin affecte tant les différents organes parce qu’elles se propagent partout. J’ai entendu quelqu’un dire : « Nous ne savons pas pourquoi il fait toutes ces choses ». Et bien, nous savons pourquoi, c’est parce que c’est une nanoparticule lipidique, elle va partout. Je dis aux gens : « C’est comme de l’ail ». Ce n’est pas quelque chose qui est contrôlable et peu importe si vous le faites pour le VRS, peu importe si vous le faites pour la grippe, si vous faites une plate-forme de nanoparticules lipidiques, vous cherchez des ennuis. Vous demandez un modèle de distribution incontrôlé. 

https://rumble.com/v12y1pz-dr-richard-urso-explosion-des-cancers-et-des-maladies-late.html

http://echelledejacob.blogspot.com/2022/07/dr-richard-urso-explosion-des-cancers.html




« Pensez-vous que le contenu du v4ccin soit biologique ? » La réponse du Dr. Daniel Nagase, médecin urgentiste, biologiste et physiologiste cellulaire canadien

[Source : planetes360.fr]



[Voir aussi :
La nanotechnologie dans les vaccins
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]




Youssef Hindi : « Cette guerre spirituelle, cette lutte culturelle, nous sommes en train de la remporter »

[Source : lemediaen442.fr]

Youssef Hindi est écrivain, conférencier, historien des religions et géopolitologue, mais aussi spécialiste du messianisme et de ses implications historiques. Il vient de publier « Covidisme et messianisme » où, comme son nom l’indique, il fait apparaître les liens intimes qui existent entre cette pandémie de covid-19 et le messianisme actif. Il est un des mieux placés pour comprendre et expliquer les tenants et les aboutissants de ce tournant historique de l’histoire de l’Humanité qui se déroule sous nos yeux. Un livre à lire d’urgence, et une interview qui en donne un avant-goût.

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Youssef, et bienvenue sur Le Média en 4-4-2. Un jour, en réunion, Marcel nous a dit : « Quand vous avez lu un livre de Youssef Hindi, vous savez où vous habitez ! » Nous sommes donc ravis de vous accueillir pour parler avec vous de votre dernier livre « Covidisme et messianisme », afin de mieux cerner la crise que nous traversons.

Le messianisme se fonde, entre autres, sur la croyance que « la rédemption du peuple juif et les temps messianiques doivent être précédés de grandes catastrophes et de bouleversements majeurs » (page 25) ; le messianisme actif consiste, lui, à conduire le monde au plus bas pour hâter la venue du Messie. Vous étudiez ces thématiques depuis plusieurs années. Qu’est-ce qui vous a fait dire en avril 2020 que le Covid n’était pas un simple virus provenant du marché de Wuhan  ?

Youssef Hindi : Il y a plusieurs indices qui m’ont mis la puce à l’oreille. Et surtout, je n’avais pas oublié le précédent : la pandémie de H1N1 en 2009 qui ressemblait, avec le recul, à une grande répétition du covid-19. Étant donné que les peuples ont la mémoire courte, il faut rappeler certains faits.
Tentant de provoquer une panique générale, les médias et les dirigeants nous ont présenté le H1N1 comme une pandémie dangereuse. Souvenez-vous aussi qu’AstraZeneca avait produit en un temps record un vaccin que le gouvernement de l’époque a tenté, en vain, d’imposer à la population qui n’avait pas été prise de panique. Rappelez-vous aussi de la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, qui a acheté avec l’argent du contribuable pour 712 millions d’euros de doses de vaccins AstraZeneca, laboratoire dont Mme Bachelot avait été salariée.
L’on entendait marteler une rhétorique similaire à celle qu’on nous assène depuis le début du covid-19. Le H1N1 était, dans la bouche de Bachelot, cette ancienne déléguée à l’information médicale chez AstraZeneca, un virus mortel. Elle disait, alors qu’elle était ministre de la Santé, que « cette grippe (H1N1) a tué dix-huit personnes ce week-end, en particulier des personnes qui n’avaient aucun facteur de risque » et elle appelait à « ne pas relâcher la garde sur la vaccination », précisant que « la semaine prochaine, les médecins généralistes volontaires pourront vacciner dans leur cabinet ».

À la fin de l’épidémie H1N1, en 2010, le virologue Bruno Lina a reconnu « on en a fait beaucoup plus que ce qui était nécessaire » contre la grippe A (H1N1), et d’ajouter que « le virus n’était pas aussi dangereux qu’on l’avait cru ».

C’est ce qui me conduit à qualifier le Covid-19 de remake du H1N1.

En outre, les idéologues messianistes nous ont servi, à l’occasion du covid-19, le même discours qu’à l’époque du H1N1. À chacune de ces « pandémies », Jacques Attali et d’autres personnages éminents de l’oligarchie occidentale (Henry Kissinger, Gordon Brown) nous ont tenu et nous tiennent un discours quant à la nécessité de mettre sur pied un « gouvernement mondial » pour lutter contre le virus.

Dans mon ouvrage, Covidisme et messianisme, je remonte aux origines de cette obsession messianique dont les pandémies, les guerres et les révolutions sont perçues par une certaine élite comme des occasions d’opérer un saut qualitatif vers le gouvernement mondial.

Cela fait plusieurs années que j’étudie l’histoire et les différentes formes du messianisme, et j’y ai consacré plusieurs ouvrages. Dans une conférence récente, le célèbre philosophe et historien Marcel Gauchet ne dit pas autre chose que moi lorsqu’il affirme que « le messianisme juif est un impérialisme mystique ».

Youssef Hindi

« Le covid-19 est considéré par les messianistes, laïcs ou religieux, comme l’une de ces catastrophes précédant les temps messianiques attendus fiévreusement »

Le Média en 4-4-2 : Vous expliquez en effet que ce messianisme actif a su, au cours de l’histoire, « révéler, accompagner ou prolonger certains événements et catastrophes historiques majeurs, à l’instar de la révolution de 1789, la révolution bolchevique, la Seconde Guerre mondiale, la chute du mur de Berlin et, aujourd’hui, la “pandémie” de covid-19 » (page 51) pour nous amener vers le gouvernement mondial tant désiré par cette élite. Sont-ils en train de pousser la dernière pièce d’un plan préparé depuis plusieurs siècles ? Sommes-nous proches de l’échec et mat, si nous ne faisons rien ?

Youssef Hindi : Je ne parle jamais de « plan préparé depuis des siècles ». Le messianisme n’est pas un plan, c’est une promesse eschatologique que l’on trouve inscrite dans la Bible hébraïque, c’est un mouvement, une espérance, une méthode de domination dans une certaine mesure. C’est un « impérialisme mystique ».

Tout au long de l’Histoire les messianistes ont cru voir dans certains événements les signes de la rédemption, de la venue du Messie ; et parfois ils ont suivi des personnages qui ont prétendu être « le Messie ».

Le Covid-19 est considéré par les messianistes, laïcs ou religieux, comme l’une de ces catastrophes précédant les temps messianiques attendus fiévreusement. Mais il ne s’agit pas de leur dernière pièce ni de la dernière catastrophe qui sera utilisée comme levier pour accéder à l’utopique gouvernement mondial.

Le 20 juillet 2020, le président du Forum économique mondial, Klaus Schwab, déclarait que l’on « ne prête pas suffisamment attention à l’effrayant scénario d’une cyberattaque globale qui occasionnerait un arrêt complet de l’approvisionnement en électricité, des transports, des services hospitaliers, de notre société dans son entièreté. « La crise du Covid-19 sera perçue, à cet égard, comme une petite perturbation en comparaison à une cyberattaque majeure ».

Demeure également le risque d’une guerre mondiale, une confrontation entre le bloc otanesque, d’un côté, et la Russie ainsi que la Chine, de l’autre.

Sans oublier les catastrophes écologiques. L’écologisme étant un volet important du globalisme. Je traite de cet aspect dans Covidisme et messianisme. De même que mon collègue et cofondateur de Strategika, Pierre-Antoine Plaquevent, qui a produit des dossiers extrêmement pointus sur la vaccination, la dépopulation et l’urgence climatique, pour notre site Strategika.fr.

Chacun de ces événements « apocalyptiques » sera l’occasion et le prétexte de tenter d’imposer aux peuples de l’Occident et de sa périphérie une gouvernance dite mondiale, tyrannique, sanitaire, numérique et policière.

L’Histoire ne connaît pas d’échec et mat, du moins tant qu’elle n’est pas terminée. Pour les chrétiens et les musulmans, l’Histoire se conclut par l’imposition de l’ordre divin, le retour du Christ et la défaite des forces antichristiques. D’ici là, le combat continue, la guerre se poursuit, et celle-ci est pavée de batailles gagnées et perdues.

Donc il ne faut en aucun cas désespérer ni s’affliger, car ces choses doivent arriver, et ceux qui persévéreront dans la Vérité seront sauvés. La Vérité quant à elle perdurera jusqu’à la dernière Heure n’en déplaise à nos ennemis.

Le Média en 4-4-2 : A plusieurs endroits de votre ouvrage, vous employez le qualificatif « utopique » pour qualifier le projet de mise en place d’une gouvernance mondiale. Pourtant de nombreux dirigeants mondialistes l’appellent de leurs vœux et tous les éléments semblent se mettre en place pour que cela se réalise. Qu’est-ce qui vous fait dire que ce projet n’est pas réalisable ?

Youssef Hindi : Le terme « utopia » désigne un monde idéal, une société parfaite qui n’existe pas, qui n’a jamais existé. Du point de vue de certains messianistes, le gouvernement mondial – comme la dictature du prolétariat rêvée par les communistes –, cette utopie, cette société parfaite, est un objectif à atteindre. Dans le messianisme traditionnel, l’utopie correspond au paradis terrestre, au jardin d’Eden que la Torah (dans le livre de la Genèse) situe sur Terre, en Mésopotamie, et qu’il s’agit de restaurer. Mais cette restauration s’accompagne d’éléments utopiques. Le monde post-historique, l’ère messianique, est une synthèse de restauration et d’utopie.

Ce projet de gouvernement mondial est irréalisable pour la simple raison que les pays où vit l’écrasante majorité des habitants de la Terre ont à leurs têtes des dirigeants qui n’entendent pas dissoudre leur État dans le moule globaliste. La Chine, l’Inde, la Russie, le Brésil et nombre de pays qui ne sont pas sous domination occidentale préservent, et parfois renforcent, leur souveraineté nationale.

[Ndlr : il est cependant à noter que tous les pays du monde — Chine, Inde, Russie et Brésil inclus — à l’exception d’une poignée font partie des l’ONU, de l’OMS, de l’OMC et d’autres organisations internationales.]

Seuls les États occidentaux, avec des nuances, suivent la voie du transfert de souveraineté vers des institutions supranationales comme l’Union européenne et acceptent d’abandonner leurs prérogatives régaliennes, à l’instar du contrôle monétaire. Il faudrait donc plutôt parler d’un gouvernement occidental, européen plus précisément. Mais il n’est pas certain que les peuples européens se laissent gouverner par un président de l’Union européenne prenant ses ordres à Washington sans heurts ni révoltes.

« La violence politique peut provoquer en retour des révoltes d’une intensité telle qu’ils regretteront les Gilets Jaunes »

Le Média en 4-4-2 : En parlant de vagues de révoltes, vous expliquez (page 87) que les élites ont précipité leur agenda avec le covid suite aux menaces qu’ont constitué le Brexit, l’élection de Trump en 2016 et les Gilets Jaunes. A se précipiter, ont-ils commis des erreurs qui pourraient jouer contre eux ? Et quel regard portez-vous sur les mouvements de contestation actuels ?

Youssef Hindi : La politique économique, depuis les années 80, consiste à détruire le monde ouvrier dans un premier temps et les classes moyennes dans un second. Les tenants du capitalisme financier qui dirigent l’économie occidentale prennent aujourd’hui un pari risqué : accélérer la destruction des classes moyennes tout en instaurant une tyrannie policière, numérique et sanitaire pour juguler et conjurer la révolte des peuples qui a commencé et qui risque de s’accentuer à cause de cette destruction socio-économique.

Cette stratégie est dangereuse pour l’oligarchie et le personnel politique, car la violence politique peut provoquer en retour des révoltes d’une intensité telle qu’ils regretteront les Gilets Jaunes.

Ce qui m’amène aux mouvements de contestations actuels. Je vais répéter ce que j’écris maintenant depuis plusieurs années. La destruction de l’économie et du Code du travail à la faveur du covid-19 conduit à une accélération de la paupérisation de la classe moyenne ; processus qui entraînera une révolte d’ampleur plus large que celle des Gilets Jaunes, par la jonction de la France périphérique (que représentent les Gilets Jaunes) et des catégories socio-professionnelles composant la classe moyenne.

Mais nous n’y sommes pas encore tout-à-fait, car les manifestations qui ont démarré cet été n’ont pas pour cause première l’appauvrissement de masse, lequel est provoqué sciemment par le pouvoir. Il s’agit de manifestations contre le pass sanitaire, contre la société discriminant les non-vaccinés, contre la tyrannie numérique et policière, en somme pour la liberté et l’égalité des droits. Les Gilets Jaunes manifestaient, quant à eux, pour leur survie, là est toute la différence. C’est d’ailleurs ce qui explique pourquoi les manifestations contre le pass sanitaire n’ont pas le caractère « violent » qu’avaient celles des Gilets jaunes.

D’après Stéphane Sirot, spécialiste des grèves et du syndicalisme, les manifestants contre le pass sanitaire « sont assez diplômés et font partie, pour un certain nombre d’entre eux, de ce qu’on appelle communément classes moyennes ».

Les manifestations anti-pass sanitaire amorcent l’entrée des catégories supérieures (aux Gilets Jaunes dont les revenus oscillent entre 1 000 et 1 500 euros net mensuels) dans le mouvement de révolte.

Cette dimension sociologique inquiète le pouvoir et l’intelligentsia aux ordres, car l’implication des éduqués supérieurs dans un mouvement de révolte, qui pourrait fusionner avec la France périphérique, augmente considérablement la possibilité d’une révolution future. C’est-à-dire la naissance d’un mouvement structuré intellectuellement, mettant hors jeu les syndicats et les organisations de gauche.

Ces manifestations ne sont pas violentes, mais elles sont massives et sociologiquement plus diverses que celles des Gilets Jaunes. La radicalisation de la révolte n’adviendra toutefois que lorsque l’appauvrissement des classes moyennes, des patrons de PME et des professions intermédiaires, sera insoutenable.

C’est une question de mois ou d’années.

Youssef Hindi à la Librairie Vincent le 13 mars 2021

« C’est une combinaison du néo-capitalisme et de l’écologisme qui visent le même objectif : la réduction de la population mondiale »

Le Média en 4-4-2: Cette attaque de la finance internationale contre les classes moyennes entre dans la stratégie du « great reset ». Cette destruction économique est accompagnée d’une spoliation ; le coupable désigné étant bien entendu le covid-19 (page 88)… Quelle va être selon vous la prochaine étape de l’oligarchie mondiale pour la mise en place de la « grande réinitialisation » voulue, entre autres, par le Forum Économique de Davos de Klaus Schwab ?

Youssef Hindi : J’ai évoqué plus haut la cyber-pandémie annoncée par Klaus Schwab comme éventuelle future catastrophe pour passer à l’étape supérieure de l’agenda oligarchique. Dans mon ouvrage, je traite également de ce qui nous est présenté comme le danger écologique imminent qui succédera, ou plutôt se combinera au covidisme.

C’est une combinaison du néo-capitalisme et de l’écologisme qui visent le même objectif : la réduction de la population mondiale. L’on est passé de la société de consommation, promue par le capitalisme industriel et productiviste, à ce que j’appelle « la société de consumation ». La consumation d’une énergie excédentaire, d’êtres humains surnuméraires, une main-d’œuvre devenue « inutile » et surtout dangereuse du point de vue du pouvoir occidental.

D’où le projet d’automatisation de nombre d’emplois (pour maintenir la distanciation sous couvert de lutte contre le virus), rédigé noir sur blanc dans le livre de Klaus Schwab que je cite dans mon dernier ouvrage. Schwab se réfère notamment à deux universitaires de l’université d’Oxford qui « en 2016, sont arrivés à la conclusion que jusqu’à 86 % des emplois dans les restaurants, 75 % des emplois dans le commerce de détail et 59 % des emplois dans le secteur du divertissement pourraient être automatisés d’ici 2035 ».

Et le président du Forum Économique de Davos d’ajouter que « la pandémie va accélérer l’adoption de l’automatisation sur le lieu de travail et l’introduction de plus de robots dans notre vie personnelle et professionnelle. Dès le début des confinements, ajoute Klaus Schwab, il est apparu que les robots et l’IA (intelligence artificielle) constituaient une alternative “naturelle” lorsque la main-d’œuvre humaine n’était pas disponible ».

Cela dans le but de « réduire les risques pour la santé des employés », ajoute-t-il.

L’on justifie là la suppression des emplois sous couvert de protection sanitaire. Vous serez au chômage, mais en bonne santé… Le système capitaliste passe de la croissance à l’a-croissance ; une destruction des emplois, des catégories populaires, des classes moyennes, et donc des hommes. Il s’agit d’un sacrifice économique pour sauver l’oligarchie.

Le discours écologique apporte à ce projet néo-capitaliste le mythe justificateur, le storytelling, qui se résume ainsi : « il faut réduire la population mondiale pour sauver la planète ». C’est la mise en place d’une politique de dépopulation pour combattre le réchauffement climatique.

Je rapporte dans mon livre des études mettant en évidence que les vaccins contre le covid-19 ont provoqué des troubles du cycle menstruel chez les femmes. Dans les prochaines années nous verrons si oui ou non ces vaccins ont conduit à une chute de la natalité.

Dénatalité, consumation économique, sacrifice écologique sont les différents volets du Covidisme.

Le Média en 4-4-2 : Dans votre ouvrage, vous évoquez aussi le rôle des GAFAM, qui « offrent aux États policiers les moyens technologiques pour maintenir en rang les populations spoliées » (page 103). En prenant du recul, on peut se rendre compte que tout a été fait au fil des décennies pour que la population s’accapare ces nouvelles technologies et en devienne dépendante pour qu’au final, elles puissent être utilisées contre elle par les élites. Comment pouvons-nous lutter au quotidien contre ces technologies ? Avons-nous encore les moyens de nous en défaire ?

Youssef Hindi : Ce n’est pas mon domaine de spécialisation. Je dirais que le meilleur moyen de combattre ces technologies et les tyrannies numériques est de s’en défaire. Or, aujourd’hui, quand vous faites vos courses, vous les payez à une caisse automatique, vous achetez vos billets de train et d’avion sur internet, et certaines démarches administratives ne se font plus que sur le web. Il devient rare, voire impossible, d’avoir un rendez-vous ou un fonctionnaire au bout du fil. Nous avons affaire, la plupart du temps, à des machines qui nous envoient des réponses automatiques.

L’automatisation et la numérisation de la vie sociale conduira peut-être de plus en plus de gens à fuir les villes pour créer des communautés dans les campagnes et retrouver une vie saine. Ceux-là qui ne supporteront plus la tyrannie sanitaire et policière, seront qualifiés de « sécessionnistes », de « survivalistes », voire de « terroristes ».

« Le troisième poste de dépense de l’État est le remboursement des intérêts de la dette, une dette illégitime. Les banquiers prennent en otage les États qui rackettent les peuples pour engraisser ces financiers »

Le Média en 4-4-2 : Vous expliquez que « l’État français cherche à mettre la main sur l’épargne du peuple », argent qui nous appartient, « tandis que le gouvernement détruit sciemment l’économie et les emplois » (page 99). Le covid étant « le moyen de spolier la bourgeoisie » qui s’imagine à l’abri (page 101). Comment vont-ils s’y prendre pour y arriver ?

Youssef Hindi : Les Français doivent savoir avant tout à quoi servent leurs impôts directs et indirects. Le troisième poste de dépense de l’État est le remboursement des intérêts de la dette, une dette illégitime. Depuis la loi n°73-7 du 3 janvier 1973 appelée Loi Pompidou-Giscard ou Loi Pompidou-Giscard-Rothschild, les emprunts de l’État ne se font plus auprès de la Banque de France à bas taux, mais auprès de banques privées. Depuis, la dette publique a explosé (2 762 milliards d’euros au deuxième trimestre 2021).

En langage clair, nos impôts vont dans la poche des banquiers. C’est un système que Karl Marx avait parfaitement décrit et qu’il appelait le « rançonnage de l’État » par la dette. Les banquiers prennent en otage les États qui rackettent les peuples pour engraisser ces financiers.

Aujourd’hui, l’État français cherche à mettre la main sur l’épargne des Français (qui a augmenté depuis le premier confinement) pour le compte des banques. Et il y a eu des précédents, en Italie, à Chypre. Et cela a été fait et se fera pour « résorber la dette ». Les confinements, semi-confinements, couvre-feux et autres restrictions contractent l’économie et augmentent la dette publique. Et le discours du pouvoir en place consiste à culpabiliser les épargnants qui ont mis de l’argent de côté pour faire face à cette destruction économique. Ainsi, l’État cherche une justification pour ponctionner une partie de votre épargne (10 % ou plus) pour participer à « l’effort de guerre anti-covid ».

« Ils pourront éventuellement conditionner l’octroi d’aides sociales (futur revenu universel, RSA, allocations familiales) à la vaccination, vous bannir de la société et vous réduire à la clochardisation instantanément »

Le Média en 4-4-2 : Parallèlement à cette spoliation, l’objectif des élites est aussi d’arriver au passeport numérique. « Les chercheurs travaillent également à augmenter la quantité de données pouvant être encodées, afin d’inclure des informations telles que la date d’administration et le numéro de lot du vaccin. Et pourquoi pas la pièce d’identité, le passeport, la carte bleue et le numéro de sécurité sociale ? » (page 111). Et pourquoi ne pas lier le futur revenu universel (qui remplacera toutes les autres aides de l’État) à la vaccination pour la rendre encore plus obligatoire ?

Youssef Hindi : Vous faites référence au chapitre de mon livre sur la surveillance numérique. Le passage que vous citez concerne une technologie en cours de développement par le Massachussetts Institute of Technology (MIT) et financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. Un vaccin au carnet de santé intégré sous forme de nanoparticules injectables sous-cutanées et lisibles par un Smartphone permettant de confirmer qu’une personne a bien été vaccinée. Cette étude du MIT a été publiée le 18 décembre 2019 dans Science Translational Medicine, alors que la pandémie de covid-19 démarrait.

La techno-tyrannie n’est plus du strict domaine de la science-fiction, c’est notre présent et notre avenir. Avec ce type de technologie tout devient possible. Ils pourront éventuellement conditionner l’octroi d’aides sociales (futur revenu universel, RSA, allocations familiales) à la vaccination, vous bannir de la société et vous réduire à la clochardisation instantanément.

« Je suis arrivé à la conclusion vertigineuse que nous étions face au plus grand sacrifice de l’histoire de l’humanité »

Le Média en 4-4-2 : Dans la troisième et dernière partie de votre livre, vous nous permettez de saisir les soubassements religieux et anthropologiques de cette révolution majeure que traverse l’Occident. Quand nous exposons cette vision de la pandémie d’un point de vue « messianique » à des proches, beaucoup utilisent Israël qui est à la pointe de la « vaccination » en nous rétorquant qu’ils ne pourraient pas « vacciner » de la sorte si leur « vaccin » n’était pas sûr. Pourtant, le peuple juif a souvent été sacrifié par ses maîtres, et vous nous donnez de nombreux exemples. Comprenez-vous que cela soit difficilement imaginable que de telles choses se reproduisent ?

Youssef Hindi : En Occident, les peuples vivent encore mentalement, mais de moins en moins, dans l’idée qu’ils sont gouvernés par des systèmes « démocratiques » et « libéraux », et conçoivent très difficilement que leurs dirigeants puissent mener des politiques volontairement mortifères. Des politiques économiques, sociales, sanitaires que les analystes et autres opposants expliquaient par l’incompétence de la caste dirigeante. Ils commettraient simplement des erreurs.

Mais à l’occasion de la gestion covidienne — qui permit de voir au grand jour l’emprise des laboratoires pharmaceutiques sur les gouvernements, et leur collusion capitalistique avec les grands média et les banques — de plus en plus de voix s’élèvent, notamment dans le monde scientifique, pour dénoncer une guerre menée contre les peuples.

Outre les techniques d’ingénierie psychosociale que j’ai analysées dans un récent article publié sur strategika.fr, j’ai expliqué dans mon livre Covidisme et messianisme comment et pourquoi les dirigeants israélo-occidentaux ont utilisé Israël comme laboratoire et modèle pour l’Occident.

Il y a là un non-dit religieux : le peuple juif, considéré par lui-même comme élu, a joué malgré lui dans cette affaire d’injection d’un produit expérimental son rôle de « guide », de « phare de l’humanité », de Messie collectif.

Il y a un autre non-dit sur lequel ont joué les dirigeants et les médias qui ont été les acteurs de la propagande du gouvernement israélien allié à Pfizer, qui ont fait d’Israël le laboratoire de la vaccination, du pass sanitaire et de la citoyenneté à deux vitesses (un modèle de société qui exclut les non-vaccinés) imposés en France et dans nombre de pays occidentaux.

Ce non-dit se fonde sur le stéréotype d’une unité du monde juif, une unité entre élites juives et peuple juif. Les dirigeants juifs protégeraient coûte que coûte leur communauté. Or, rien n’est plus faux et j’ai apporté les exemples historiques pour le démontrer aux lecteurs.

J’ai aussi analysé dans mon livre cette vaccination de masse sous l’angle anthropologique, et je suis arrivé à la conclusion vertigineuse que nous étions face au plus grand sacrifice de l’histoire de l’humanité. Un sacrifice silencieux, qui ne dit pas son nom, et qui en est plus difficile à identifier.

Pour faire accepter ce sacrifice déguisé en vaccination, l’on a commencé par le sacrifice du peuple juif, « peuple messie ». Un sacrifice rémunératoire qui a d’autant plus de valeur qu’il s’agit du « peuple élu ». Car l’on ne sacrifie, par définition, que ce qui nous est cher, ce qui a une valeur symbolique lourde. Ce sacrifice à grande échelle est directement corrélé au messianisme, et je pense que mon ouvrage le prouve.

Je ne vais pas développer plus en avant ici cette thèse, mais depuis que je l’ai avancée publiquement, sur strategika.fr en juin 2021, elle a fait son chemin et elle a été reprise notamment par l’ancien haut fonctionnaire Éric Verhaeghe dans un article du 30 septembre 2021, et par l’historien des religions, spécialiste du sacrifice, Christophe Lemardelé dans un texte publié le 26 octobre 2021 titré Vaccination : la logique du sacrifice.

COVIDISME ET MESSIANISME – Tyrannie sanitaire, crise religieuse et sacrifice de Hindi Youssef

« On demande aux peuples de se suicider, en utilisant la culpabilité »

Le Média en 4-4-2 : Votre comparaison entre les sacrifices des Aztèques et le « sacrifice silencieux » que nous observons actuellement est d’ailleurs très frappant. Vous avancez le chiffre de 3 milliards de personnes à éliminer pour sauver la planète, d’après, entre autres, un article du Monde de 2010. Quel est votre point de vue sur le réchauffement climatique ? Que se cache-t-il derrière les accusations « écologiques » de l’élite faites aux citoyens ?

Youssef Hindi : Pour être précis, je compare le sacrifice aztèque au sacrifice économique. J’aborde dans mon livre différents types de sacrifices. Votre question porte sur le sacrifice écologique. Comme je l’ai expliqué, ces différents types de sacrifices suivent une logique générale cohérente.

Et les chiffres délirants de réduction de la population mondiale ne sont pas issus de mon imagination. Tout ce que j’écris est parfaitement sourcé et officiel :

« Le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) a affirmé dans son rapport de 2009 sur l’état de la population mondiale, présenté lors de la conférence de Copenhague le 18 novembre 2009, que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale.

Quasiment au même moment, un rapport, élaboré par la London School of Economics (LSE) à la demande de l’Optimum Population Trust (OPT) — une ONG britannique militant pour réduire la population mondiale — estimait que le moyen le moins coûteux de résoudre le problème du réchauffement planétaire serait de réduire la population mondiale de 500 millions d’individus d’ici 2050. Or, comme la majorité des projections prévoient que la population totale devrait s’élever à plus de 9 milliards d’ici là, la proposition de réduire la population mondiale à seulement 6 milliards implique l’élimination de 3 milliards de personnes… »

N’étant pas scientifique, je n’ai pas d’avis tranché sur le réchauffement climatique. Je constate simplement que c’est un argument qui est utilisé pour faire culpabiliser les peuples. Le discours écologique consiste à dire que chaque bébé qui naît est « responsable de l’émission de x quantité de CO2 » conduisant au réchauffement climatique. Tout comme l’on fait porter la charge de la culpabilité sur les non-vaccinés qui seraient responsables de la diffusion du covid-19 (ce qui est scientifiquement erroné).

La solution est donc la réduction de la population mondiale par la diminution drastique du taux de natalité. On demande aux peuples de se suicider, en utilisant la culpabilité.
Là encore, l’anthropologie nous est d’un grand secours pour comprendre ce discours culpabilisant.

La culpabilité et le sacrifice sont intimement liés. Dans toutes les langues indo-européennes, les mots qui signifient « dette » sont synonymes de ceux qui signifient « péché » ou « culpabilité » (Geoffrey Ingham, The Nature of Money, 2004, p. 90). Le remboursement de la dette religieuse se faisait, dans quasiment toutes les cultures et traditions religieuses (hormis les religions monothéistes qui ont aboli le sacrifice expiatoire et rémunérateur), par le sacrifice d’un animal ou d’un être humain.

Cette dette-culpabilité était donc quantifiée, de la même façon que quantifient aujourd’hui les écologistes notre dette-culpabilité envers la Terre (qui redevient implicitement la déesse Gaïa pour qui il fallait sacrifier des animaux) : un bébé, nous dit une étude de l’université de l’Oregon sur laquelle s’appuient les écologistes malthusiens, est responsable de l’émission de 18 à 1 644 tonnes de CO2.

La solution, pour rembourser cette dette en CO2 est le renoncement à la procréation, l’avortement, un sacrifice d’enfants qui ne dit pas son nom. L’on peut se demander aujourd’hui pourquoi les laboratoires pharmaceutiques et certains États souhaitent vacciner les enfants, alors que ceux-là ne sont pas mis en danger par le covid-19…

Le Média en 4-4-2 : Merci Youssef pour le temps que vous avez consacré à cet entretien. Vu le contexte actuel, nul doute que vos propos vont inciter nos lecteurs à aller approfondir notre discussion en se procurant Covidisme et messianisme (KA Editions, Strategika). Nous vous laissons le mot de la fin si vous souhaitez aborder une dernière thématique.

Youssef Hindi : Je laisse aux lecteurs le soin de découvrir les autres thématiques que j’aborde dans mon ouvrage, mais je souhaite apporter une touche d’optimisme à ce tableau extrêmement sombre.

Tout ce travail analytique qui contraint les chercheurs comme moi à plonger au plus profond du mal vise à permettre à ceux qui nous lisent et nous écoutent à y voir clair dans les ténèbres, à identifier l’ennemi, sa nature, ses contours et le combattre de façon appropriée.

C’est le combat de l’esprit qui précède et guide le combat politique. Et cette guerre spirituelle, cette lutte culturelle, nous sommes en train de la remporter. Alors n’ayez pas peur et préservez d’ici là votre intégrité physique, mentale et spirituelle, quoi qu’il en coûte.

Pour aller plus loin :
– se procurer Covidisme et messianisme
– retrouver ses articles sur le site de Strategika
– son compte Twitter
– son canal Telegram


Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2




Santé publique : malgré leur toxicité, les nanoparticules sont partout y compris dans les vaccins et… dans la modification du climat !

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam

Roger Lenglet, est un philosophe français et un journaliste d’investigation.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Lenglet

Roger Lenglet parle des nanotechnologies et de leur présence massive sans que les informations n’aient été communiquées au grand public par peur probablement de son opposition. Je vous remets ce documentaire fondamental sur les nanos :

Si la révolution nanotechnologique est un formidable progrès industriel, il en va autrement de la santé publique. Et Roger Lenglet de comparer la toxicité des nanos à celle de l’amiante. Sujet qu’il maîtrise.

À l’heure actuelle, industriels, financiers et lobbyistes tiennent le couteau par le manche et mettent ces particules un peu partout….

https://www.60millions-mag.com/2017/08/24/des-nanoparticules-cachees-dans-nos-assiettes-11318

…Y compris dans les vaccins !

https://lilianeheldkhawam.com/2021/09/26/de-la-nanotechnologie-dans-les-vaccins-un-journal-grand-public-en-parle-on-progresse/

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Piqûre de rappel : les informations cachées relatives aux « vaccins » anti-Covid
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccin]

L’autre sujet majeur et vital dans lequel s’invite la nanotechnologie dans la modification du climat. Il ne s’agit de rien d’autre que du sprayage de notre planète avec minuscules particules dont l’issue peut être fatale pour la vie sur terre. On parle là de la géo-ingénierie.

Pour limiter le réchauffement planétaire, la commission étudie différentes possibilités. Parmi celles-ci, la capture et le stockage du carbone dans le sol. Mais aussi la possibilité d’utiliser la géo-ingénierie solaire pour contrôler le climat terrestre. Cette technologie s’inspire des grandes éruptions volcaniques qui créent une sorte de voile dans l’atmosphère, limitant ainsi le rayonnement solaire reçu à la surface de la Terre. “On parle d’injecter des milliers de millions de tonnes de particules dans la stratosphère chaque année, via des ballons ou de très grandes flottes d’avions porteurs qui feraient des rotations en permanence”, précise Stéphane Foucart. Cette technologie présente cependant de nombreux risques : perturbation du cycle de l’eau et des courants marins, l’acidification des pluies, entre autres. « Le seul avantage de la géo-ingénierie, affirme le journaliste spécialiste des sciences environnementales, serait de maintenir les températures à un niveau acceptable.” Mais si du jour au lendemain, on ne pouvait plus continuer à injecter ces particules dans l’atmosphère, à cause d’une catastrophe par exemple, la température pourrait augmenter spectaculairement et rendrait illusoire l’idée de pouvoir s’adapter au changement climatique.
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-interview/l-interview-de-secrets-d-info-du-samedi-04-juin-2022-3748138

Cependant les enjeux du contrôle du climat vont de pair avec ceux d’un business vorace qui veut redéfinir la vie de l’ensemble de la biosphère et même de l’atmosphère.

Voici au hasard un brevet qui mêle géo-ingénierie, nanotechnologie et business. On ne peut faire mieux pour sortir du déni ceux qui sont prompts à parler de complotisme.

1 .
Procédé commercial pour fournir une valeur commerciale à une entreprise de refroidissement global de géo-ingénierie d’une première partie, comprenant les étapes consistant à :
(a) fabriquer ou avoir fabriqué un dispositif ou un agent conçu pour réduire l’énergie incidente sur la Terre ou incidente sur ses océans, ses masses terrestres ou son atmosphère ;
(b) déployer ou faire déployer ledit dispositif ou agent ;
et,
(c) recevoir une compensation sous la forme d’un crédit négociable, ledit crédit étant délivré en tant que compensation par une seconde partie à la première partie en échange de ladite réduction de ladite énergie incidente ;
et,
(d) monétiser ledit crédit en vendant ledit crédit ou en l’échangeant contre d’autres instruments de valeur au second ou à un tiers, ces instruments comprenant des espèces, des billets, des prêts, des matériaux, des devises ou d’autres instruments négociables.

Juste avec cet extrait, vous voyez le business que ces gens peuvent déployer à l’heure où nous les humains n’aurons plus le droit de nous déplacer sans raison valable. Il suffit de voir toutes les compagnies d’aviation qui suppriment des vols juste au moment où les gens veulent partir en vacances. Pour les plus motivés, voici l’entier du brevet :

Dernier point, quand on parle de refroidir le climat, il faut avoir en tête que l’ensemble des composants de la planète est touché.

Rapport Réagir (100 Mo ) : ici

Une pure folie à laquelle l’ONU, la Commission européenne, les Etats occidentaux, bref tous ceux qui sont sous l’influence des lobbies, ont dit oui!

L’Agenda 21 voté à l’unanimité des Etats

LHK

D’autres vidéos de Roger Lenglet




Halte aux mensonges de l’AFP et des médias subventionnés à propos des vaccins expérimentaux Covid19

Par le DR G Delépine

Comme encore aux USA, les médias français continuent de désinformer. Mais les Américains commencent à faire leur mea culpa.

9 exemples de désinformation des autorités de la santé sur la COVID | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

« Le chef de la santé publique aux États-Unis, Dr Vivek Murthy, a lancé une campagne au mois de mars pour récolter des exemples de désinformation sur la santé et de leur impact sur le système de santé étasunien : #HealthMisinformation.

L’initiative un eu un effet boomerang.

Le ministre de la Justice de l’Indiana, Todd Rokita, et le Dr Jay Bhattacharya, co-auteur de la déclaration de Great Barrington et témoin expert dans la demande de jugement déclaratoire d’Entrepreneurs en action du Québec, lui ont transmis une liste de 9 exemples de désinformation du Centres for Disease Control (CDC) tout en exprimant leur accord sur les dommages causés par la désinformation :

Nous sommes d’accord sur le fait que la désinformation a été un problème majeur pendant la pandémie. La propagation d’information scientifique inexacte a compliqué les prises de décision du public [et] entraîné des conséquences graves sur la vie et les moyens de subsistance des Américains. Nous vous soumettons les exemples suivants de désinformation de la part du CDC et d’autres organismes de santé qui ont ébranlé la confiance du public dans la science et la santé publique, et prendront des décennies à réparer.”

Dr Jay Bhattacharya

Les 9 exemples de désinformation sont :

  1. Sur dénombrement de la COVID-19
  2. Remise en question de l’immunité naturelle
  3. Les vaccins contre la COVID-19 préviennent la transmission
  4. Les fermetures d’école ont été efficaces et n’ont rien coûté
  5. Tout le monde court le même risque d’être hospitalisé et de mourir d’une infection à la COVID-19
  6. Il n’y avait pas d’alternative raisonnable au confinement
  7. Les politiques de masque obligatoire sont efficaces pour réduire la propagation des maladies infectieuses virales
  8. Le dépistage de masse des personnes asymptomatiques et la recherche des contacts des cas positifs sont efficaces pour réduire la propagation de la maladie
  9. L’éradication de la COVID-19 est un objectif réalisable

Nos autorités ont elles aussi véhiculé une grande partie de cette désinformation. Voilà pourquoi l’auteure considère utile de partager ces informations qui seront probablement utiles à la défense des nombreux contrevenants pro-science qui ont osé défier les mesures antiscientifiques de la CAQ ».

Des médias allemands et anglais ont également fait mea culpa sur la désinformation des deux dernières années, et ce depuis plusieurs mois déjà.

« MEA CULPA – du journal Bild à la population allemande(([1] https://lesbelgessereveillent.be » mea-culpa-du-journal-bild-a-la
MEA CULPA – du journal Bild à la population allemande | Les Belges se réveillent (lesbelgessereveillent.be) ))

28/05/2021 — “Bild” affirme avoir indirectement collaboré au terrorisme sanitaire

Julian Reichelt, rédacteur en chef de la presse numéro 1 en Allemagne, le journal BILD, a présenté officiellement ses excuses à la population allemande et ses enfants, pour avoir infligé des violences, des négligences, de la solitude, de l’isolement et qu’à travers les médias, on leur a inculqué le sentiment qu’ils représentaient un danger pour la société.

Je voudrais dire à des millions d’enfants de ce pays, dont nous sommes tous responsables en tant que société, ce que notre gouvernement fédéral et notre chancelier n’ont pas encore osé dire : nous vous demandons de nous pardonner. Nous vous demandons pardon pour un an et demi de politiques qui ont fait de vous des victimes.–Victimes de violence, de négligence, d’isolement, de solitude émotionnelle. Pour une politique et une couverture médiatique qui, aujourd’hui encore, comme un poison, vous donnent le sentiment d’être un danger mortel pour notre société.”–Version originale : Corona — BILD entschuldigt sich bei Kindern

À quel moment nos journaux et médias vont-ils enfin cesser ce jeu morbide qui de plus les dévalorise ?

À quand une AFP objective ?

En France, ceux qui prétendent corriger les fausses nouvelles propagées sur les réseaux sociaux en sont très souvent les pires propagateurs. L’AFP et Juliette Mansour sont particulièrement actives dans la diffusion de fausses nouvelles pour la propagande vaccinale en dépit des multiples informations qui circulent sur les effets secondaires des injections basées sur les agences officielles de santé (VAERS, EMA Eudravigilance MHRA, etc.).(([2] Le « vaccin » anti-covid doit être immédiatement retiré du marché dans le monde entier | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

En voici malheureusement un nouvel exemple.

Dans un “désinfox” du 27 avril 2022 l’AFP et Juliette Mansour prétendent ainsi : “les vaccins ne sont plus en phase expérimentale”, “les vaccins mis sur le marché ont été testés correctement” et citent à l’appui de leurs dires l’Agence nationale du médicament prétendant que “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients”.

Leurs affirmations, comme celles de l’ANSM sont tout simplement mensongères.

N’ont-ils pas comme nombre de leurs confrères étrangers consulter les documents Pfizer finalement publiés sur injonction d’un tribunal américain(([3] Welcome to Daily Clout! What’s our story?)). Lourd, mais très instructif travail :

Les WarRoom/DailyClout Pfizer Documents Research Volunteers, un groupe de 3 000 médecins, infirmières, biostatisticiens, enquêteurs sur la fraude médicale, cliniciens de laboratoire et chercheurs scientifiques hautement qualifiés, ont produit rapport après rapport, comme vous le savez peut-être, pour dire au monde ce que contiennent les 55 000 documents internes de Pfizer que la FDA avait demandé à un tribunal de garder secrets pendant 75 ans.

Par décision de justice, ces documents ont été divulgués de force. Et nos experts rendent service à l’humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples. Vous pouvez trouver tous les rapports des volontaires sur DailyClout.io.

Les mensonges révélés sont stupéfiants.

Les Volontaires du WarRoom/DailyClout ont confirmé :

que Pfizer (et donc la FDA) savait dès décembre 2020 que les vaccins ARNm ne fonctionnaient pas — qu’ils” perdaient de leur efficacité » et présentaient un » échec vaccinal « . L’un des effets secondaires de la vaccination, comme ils le savaient un mois après le lancement massif de 2020, était la « COVID ».

Pfizer savait en mai 2021 que le cœur de 35 jeunes avait été endommagé une semaine après l’injection d’ARNm — mais la FDA a quand même lancé la vaccination pour les adolescents un mois plus tard, et les parents n’ont pas reçu de communiqué de presse du gouvernement américain sur les dommages cardiaques avant août 2021, après que des milliers d’adolescents aient été vaccinés. [[Voir ceci]

Pfizer (et donc la FDA ; de nombreux documents portent la mention « FDA: CONFIDENTIEL » à la limite inférieure) savait que, contrairement à ce que les porte-parole grassement payés et les médecins achetés assuraient aux gens, les nanoparticules d’ARNm, de protéine de pointe et de lipide ne restaient pas dans le site d’injection dans le deltoïde, mais passaient, dans les 48 heures, dans la circulation sanguine, pour se loger dans le foie, la rate, les surrénales, les ganglions lymphatiques et, si vous êtes une femme, dans les ovaires.»

(([4] Chers amis, désolée d’annoncer un génocide. Naomi Wolf sur le « rapport confidentiel » de Pfizer | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation ou Chers amis, désolée d’annoncer un génocide))

Mais aussi entre autres découvertes :

“Les bénévoles ont examiné en profondeur les rapports des documents de Pfizer concernant la grossesse et ont découvert que l’assurance que le vaccin est « sûr et efficace » pour les femmes enceintes était basée sur une étude portant sur 44 rats français, suivis pendant 42 jours (les scientifiques qui ont mené l’étude sont des actionnaires ou des employés de BioNTech).

Les volontaires ont découvert que, bien que les femmes enceintes avaient été exclues des études internes, et donc de l’EUA [Emergency Use Authorization: Autorisation d’utilisation en cas d’urgence] sur la base de laquelle toutes les femmes enceintes ont été assurées que le vaccin était “sûr et efficace”, environ 270 femmes sont néanmoins tombées enceintes pendant l’étude. Plus de 230 d’entre elles ont été oubliées dans cette étude. Mais sur les 36 femmes enceintes dont l’évolution a été suivie, 28 ont perdu leur bébé.

Les volontaires ont découvert qu’un bébé est mort après avoir été allaité par une mère vaccinée, et qu’il souffrait d’une inflammation du foie.” “etc.

Prenez le temps de lire, pour vous-même, pour les autres, pour vos lecteurs.

Madame Mansour, les pseudo vaccins sont toujours expérimentaux !

Un médicament ou un vaccin n’est plus expérimental lorsque son essai phase 3 est terminé et a été examiné par les agences du médicament. Or actuellement aucun essai de ces pseudo vaccins n’a atteint ce stade. La preuve indiscutable est apportée par le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais en cours et précise leur niveau d’avancement. Si Juliette Mansour avait pris le temps de le consulter, elle aurait pu vérifier qu’aucune étude phase 3 n’a été terminée au 1/6/2022. Chacun peut vérifier facilement.

Ce qui confirme d’ailleurs ce que nous avions observé pour l’essai Pfizer.

Il est vraiment triste de constater que l’AFP et une de ses journalistes ne respectent pas l’éthique de leurs métiers et ne prennent pas le temps, ni de consulter le site officiel des essais, ni d’interroger les médecins qu’elles critiquent, pour se comporter comme des propagandistes niant les faits établis même lorsqu’ils sont facilement vérifiables.

Non, MadameMansour, les pseudo vaccins actuels n’ont pas été testés correctement !

Avant le Covid, la mise au point et les essais des vaccins utilisant des techniques pourtant parfaitement rodées de stérilisation ou d’atténuation de virus pathogène nécessitait en moyenne 10 à 15 ans dont la majeure partie consistait dans les essais destinés à vérifier leur efficacité et leur tolérance. Il a fallu 16 ans pour les vaccins contre les HPV ou les rotavirus(([5] https://www.ledevoir.com/societe/science/579612/combien-de-temps-faudra-t-il-pour-elaborer-un-vaccin-contre-la-covid-19)), 20 ans de recherche pour le Dengvaxia, plus de 30 ans pour le vaccin Mosquirix contre le paludisme, peut-être 50 ans pour le vaccin contre le sida. Le vaccin développé le plus rapidement dans l’histoire des vaccinations, celui contre l’Ebola, a exigé cinq ans d’efforts et paraît moins efficace que les vaccins antivarioliques ou anti-fièvre jaune aux dires des praticiens africains qui insistent sur la nécessité de poursuivre les mesures d’hygiène qui avaient été utilisées avec succès lors des épidémies précédentes.

Entre chacune des phases des essais nécessaires pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché (animaux, phase 1, phase 2, phase 3), on marquait habituellement une pause pour permettre aux scientifiques d’analyser leurs résultats avant de passer à la phase suivante.

Comment peut-on croire qu’un vaccin autorisé seulement 10 mois après l’apparition d’une maladie nouvelle au lieu des 10 à 20 ans habituels ait suivi le protocole normal et complet de mise au point et de vérification ? Ce médicament qui n’est pas un vaccin selon la définition de Pasteur (car il ne contient aucun antigène) n’a absolument pas suivi le processus normal de validation.

Lorsqu’on analyse le calendrier du développement, on remarque les considérables manquements au processus habituel des essais. Il n’y a pas eu d’extraction d’antigène à partir du virus, ni de tentative d’atténuation de celui-ci. Les essais de toxicité sur les animaux(([6] Particulièrement important ici, car les précédents vaccins contre les autres coronavirus ont été abandonnés après des essais sur l’animal montrant qu’ils aggravaient la maladie avec de nombreux décès.)) ont été abandonnés ou tronqués sous prétexte qu’on ne disposait pas assez d’animaux adaptés à l’étude, alors que c’est à ce stade que les candidats vaccins anti-coronavirus précédents ont été abandonnés, car ils augmentaient la gravité de la maladie !

Les phases 1, 2, 3 des essais ont été entremêlées au lieu de se succéder, empêchant toute analyse détaillée qui aurait permis d’utiliser les données de la phase 1 pour concevoir la phase 2, et celle de la phase 2, pour planifier la phase 3.

Les sujets sélectionnés pour l’essai phase 3 ne représentaient pas ceux auxquels les produits ont ensuite été administrés avec, en particulier, très peu de personnes très âgées, ou souffrant de comorbidité, elles qui ont ensuite été vaccinées en priorité. L’essai ne comportait ni femmes enceintes, ni enfants. Ces biais visaient à minimiser au maximum la toxicité apparente des injections.

Les critères de jugement de l’essai ne sont pas pertinents. Ce qui importe pour juger de l’efficacité d’un vaccin est de mesurer la protection qu’il apporte au vacciné contre le risque de contracter la maladie, d’en mourir et sa capacité d’empêcher définitivement la transmission de la maladie aux autres. Or ces critères ont été totalement abandonnés au profit de la mesure du taux des anticorps et du pourcentage de “cas” définis par un test diagnostique non spécifique.

Ces essais trop brefs ont été conçus uniquement pour dissimuler les effets secondaires possibles et surestimer l’efficacité des injections et les agences chargées de notre sécurité sanitaire ont été complices de cette manipulation qui a exposé la population à des complications multiples et continue de l’exposer.

Il est étonnant que les médias ne se soient toujours pas intéressés à la somme faramineuse de documents sur les essais que la justice américaine a forcé Pfizer à publier

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont menti sur l’efficacité des vaccins.

Ils ont prétendu que le vaccin était efficace à 97 %(([7] https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-le-vaccin-pfizer-efficace-a-97-contre-les-cas-symptomatiques-20210311))(([8] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/03/11/covid-19-dans-le-monde-le-vaccin-de-pfizer-biontech-efficace-a-97-contre-les-cas-symptomatiques_6072790_3244.html))(([9] https://www.lepoint.fr/sante/covid-19-le-vaccin-pfizer-biontech-serait-efficace-a-97-pour-les-cas-symptomatiques-11-03-2021-2417384_40.php)) sur la foi d’essais biaisés et répétés en boucle “tous vaccinés tous protégés”, alors que dès le mois de mai 2021 de nombreuses observations prouvaient que c’était faux comme l’épidémie apparue sur le porte-avions Queen Elizabeth dont tous les marins avaient été complètement vaccinés. L’examen des chiffres officiels de l’OMS retraçant évolution de la maladie montre qu’il n’y a pas eu de ralentissement de l’épidémie après les injections, mais au contraire un accroissement comme en Grande-Bretagne champion européen des injections.

Ou plus globalement dans le monde où les pays peu vaccinés ont été presque épargnés par la vague Omicron alors que cette vague a été particulièrement virulente dans les pays adeptes du tout vaccin.

La comparaison de l’évolution épidémique des deux pays frères ennemis, Israël champion de Pfizer et Palestine peu injectée montre que les injections ne diminuent pas le nombre de contaminations et paraissent même susceptibles de favoriser Omicron

Une constatation semblable peut être tirée de la comparaison entre les 2 îles africaines de l’océan Indien (Seychelles vaccinées à plus de 90 % et Madagascar et ses 2 % de vaccinés) pourtant semblables par les facteurs de risques de leurs populations et leur mode de vie.

Dans le monde réel, les injections anti-covid ne protègent donc pas des contaminations et paraissent même parfois les favoriser ! Le slogan gouvernemental “tous vaccinés tous protégés” est une contrevérité flagrante !

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont également menti en prétendant que les pseudo vaccins protégeaient des formes graves

Ne pouvant plus dire que les injections protégeaient de l’infection, leurs propagandistes ont enclenché une propagande massive pour faire croire qu’elles pourraient diminuer le risque de faire des formes graves. Tous les médias ont été mobilisés pour diffuser les communiqués fallacieux de la Drees(([10] https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/)) qui a toujours refusé de fournir des chiffres bruts vérifiables par des statisticiens indépendants.

Mais les chiffres de l’OMS et les exemples de pays étrangers plus transparents démontrent que les pseudo vaccins ne protègent pas plus des formes graves que des Covids ordinaires.

Les formes graves sont susceptibles d’entraîner la mort. Pour évaluer la fréquence des formes graves, il suffit de mesurer la mortalité. Pour apprécier l’effet des injections sur la fréquence des formes graves, on compare la mortalité avant et après les campagnes massives de vaccination.

Les courbes de l’OMS sont très démonstratives : au niveau mondial les campagnes de vaccination ont été suivies d’une augmentation franche de la mortalité qui a globalement plus que triplé !

L’incapacité des injections Pfizer à protéger des formes graves est évidente en Israël qui comptait 3000 décès covid avant les campagnes d’injections et qui, après l’injection de 15 018 677 doses de vaccin, en recense trois fois plus (10 860 au 2 juin 2022). De plus, la comparaison des mortalités en Israël championne des injections Pfizer et en Palestine très peu vaccinée confirme que les pseudo vaccins ne diminuent pas la fréquence des formes graves.

Même constatation dans les îles africaines de l’océan Indien :

Plus globalement, dans le monde, les pays champions des vaccins sont ceux qui présentent les plus hauts taux de mortalité :

Comment pourrait-on croire à un miracle français qui permettrait aux vaccins de nous protéger des formes graves et de la mort alors qu’ils en sont incapables partout ailleurs dans le monde ?

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont menti en prétendant que les pseudo vaccins protégeaient des formes graves. Cette désinformation systématique par l’appareil d’état est responsable de la crise de confiance croissante de la population.

Il est grand temps que ceux qui se présentent comme journalistes retrouvent leur éthique (enquête à charge et à décharge) ; analysent les faits avérés publiés par des sources fiables (OMS, université John Hopkins) et cessent de se comporter en propagandistes permanents des mensonges d’état.




Chers amis, désolée d’annoncer un génocide

[Source : naomiwolf.substack.com]

Par Dr Naomi Wolf

C’est réellement vrai : ils savent qu’ils tuent les bébés

Je suis resté silencieuse pendant quelques semaines. Pardonnez-moi.

La vérité, c’est que je suis restée presque sans voix (ou l’équivalent littéraire de cela) parce que récemment j’ai eu la tâche peu enviable d’essayer d’annoncer au monde qu’en effet, un génocide — ou ce que j’ai appelé maladroitement mais de toute urgence une « mortalité de bébés » — est en cours.

Les volontaires de recherche WarRoom/DailyClout Pfizer Documents, un groupe de 3000 médecins hautement qualifiés, IA, biostatisticiens, enquêteurs sur la fraude médicale, cliniciens de laboratoire et chercheurs, ont produit rapport après rapport, comme vous le savez peut-être, pour dire au monde ce qui se trouve dans les 55 000 documents internes de Pfizer que la FDA avait demandé à un tribunal de garder secrets pendant 75 ans. Sur ordonnance du tribunal, ces documents ont été divulgués de force. Et nos experts servent l’humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples. Vous pouvez trouver tous les rapports des Volontaires sur DailyClout.io.

Les mensonges révélés sont stupéfiants.

Les bénévoles de WarRoom/DailyClout ont confirmé que Pfizer (et donc la FDA) savait en décembre 2020 que les vaccins à ARNm ne fonctionnaient pas — qu’ils « perdaient en efficacité » et présentaient « un échec vaccinal ». L’un des effets secondaires de la vaccination, comme ils le savaient un mois après le déploiement massif de 2020, était le « COVID ».

Pfizer savait en mai 2021 que le cœur de 35 mineurs avait été endommagé une semaine après l’injection d’ARNm — mais la FDA a quand même déployé l’EUA pour les adolescents un mois plus tard, et les parents n’ont pas reçu de communiqué de presse du gouvernement américain sur les dommages cardiaques jusqu’à ce que août 2021, après que des milliers d’adolescents ont été vaccinés. [https://dailyclout.io/pfizer-vaccine-fda-fails-to-mention-risk-of-heart-damage-in-teens/]

Pfizer (et donc la FDA ; de nombreux documents indiquent « FDA : CONFIDENTIEL » à la limite inférieure) savait que, contrairement à ce que les porte-parole hautement rémunérés et les médecins achetés assuraient aux gens, l’ARNm, les protéines de pointe et les nanoparticules lipidiques ne restaient pas sur le site d’injection dans le deltoïde, mais se propageaient plutôt dans les 48 heures dans la circulation sanguine, puis de là se logeaient dans le foie, la rate, les surrénales, les ganglions lymphatiques et, si vous êtes une femme, dans les ovaires. [https://dailyclout.io/internal-pfizer-documents-prove-knowledge-that-lipid-nanoparticles-in-mice-subjects-do-not-remain-in-muscle-but-were-shown-to-be-rapidly-distributed-in-the-blood-to-the-liver/]

Pfizer (et donc la FDA) savait que le vaccin Moderna contenait 100 mcg d’ARNM, de nanoparticules lipidiques et de protéines de pointe, soit plus de trois fois les 30 mcg de la dose adulte de Pfizer. Les documents internes de l’entreprise montrent un taux plus élevé d’événements indésirables avec la dose de 100 mcg. Ils ont donc cessé d’expérimenter cette quantité en interne en raison de sa « réactogénicité » — les mots de Pfizer — mais personne ne l’a dit à tous les millions d’Américains qui ont eu les première et deuxième doses de 100 mcg de Moderna, et les rappels .

Pfizer a faussé les sujets de l’essai de sorte que près des trois quarts étaient des femmes — sexe moins sujet aux lésions cardiaques. Pfizer a perdu les archives de ce qu’il est advenu de centaines de leurs sujets d’essai.

Dans les essais internes, il y a eu plus de 42 000 événements indésirables et plus de 1 200 personnes sont décédées. Quatre des personnes décédées sont décédées le jour où elles ont été injectées.

Les événements indésirables répertoriés dans les documents internes de Pfizer sont complètement différents de ceux signalés sur le site Web du CDC ou annoncés par des médecins, des organisations médicales et des hôpitaux corrompus. Ceux-ci comprennent de vastes colonnes de douleurs articulaires, des douleurs musculaires (myalgies), des masses d’effets neurologiques comme la sclérose en plaques, la paralysie de Guillain Barre et de Bell, l’encéphalie, toutes les itérations possibles de coagulation sanguine, la thrombocytopénie à grande échelle, les accidents vasculaires cérébraux, les hémorragies et de nombreux types de ruptures de membranes dans tout le corps humain. Les effets secondaires dont Pfizer et la FDA étaient au courant, mais pas vous, comprennent des problèmes de cloques, des éruptions cutanées, des bardeaux et des conditions herpétiques (en fait, une gamme de conditions de cloques annonçant étrangement les symptômes du monkeypox [la variole du singe]).

Les documents internes montrent que Pfizer (et donc la FDA) savait que les zébrures rouges ou l’urticaire étaient une réaction courante au PEG, un allergène dérivé du pétrole contenu dans les ingrédients du vaccin — un allergène que vous n’êtes certainement pas censé ingérer. En effet, le PEG est un allergène si sévère que de nombreuses personnes peuvent faire un choc anaphylactique si elles y sont exposées. Mais les personnes allergiques au PEG n’ont pas été mises en garde contre les vaccins ni même surveillées attentivement par leurs médecins, EpiPen à la main. Ils ont été laissés à leur choc.

Pfizer savait que « l’exposition » au vaccin était définie — selon ses propres termes — comme un contact sexuel (en particulier au moment de la conception), un contact cutané, une inhalation ou une lactation. [https://dailyclout.io/vaccine-shedding-can-this-be-real-after-all/]. Les « vérificateurs de faits » peuvent nier tout ce qu’ils veulent. Les documents parlent d’eux-mêmes.

Bien sûr, les personnes qui ont tenté de soulever l’un de ces problèmes ont été dépréciées, réprimandées par le président, traitées de fous et sévèrement punies.

Les athlètes, les étudiants et les adolescents s’effondrent sur les terrains de football et de soccer. Les médecins se tordent les mains et expriment leur mystification. Mais le dossier SEC de BioNTech montre un fait dont le CDC et l’AMA ne soufflent pas un mot : s’évanouir si violemment que vous pourriez vous blesser est l’un des effets secondaires suffisamment importants pour que BioNTech le souligne auprès de la SEC, mais pas pour le souligner à vous et moi.

J’ai pu traiter tout cela et continuer simplement à faire des rapports. Mais ces dernières semaines, l’horreur m’a submergé. Parce que maintenant, les volontaires, sous l’excellente direction de la responsable du programme Amy Kelly, ont confirmé qu’un génocide est en cours, intentionnellement ou non. Et la journaliste israélienne Etana Hecht a ajouté sa propre superbe analyse. Voici le résumé de Mme Hecht des conclusions des Volontaires :

Clown World – Honk
Femmes vaccinées
Le sujet des mères enceintes et allaitantes qui se font vacciner sous l’encouragement et la coercition est douloureux. C’est douloureux de faire des recherches, douloureux d’écrire et douloureux d’apprendre à quel point les plus précieux d’entre nous sont traités avec insouciance. L’essence même de la vie et de la nature vit chez les femmes enceintes et allaitantes. En réfléchissant au peu d’attention accordée à…
Lire la suite…

Il semble qu’il puisse effectivement y avoir un génocide fortuit. La reproduction elle-même est ciblée, intentionnellement ou non, par les vaccins à ARNm. Et si vous savez que la reproduction est altérée, et que les bébés et les fœtus sont altérés, et que vous savez que c’est à grande échelle, ce que tout le monde chez Pfizer et à la FDA qui a lu ces documents savait — et si vous n’arrêtez pas — alors est-ce que ça ne peut finalement pas devenir un génocide ?

Les bénévoles de WarRoom/DailyClout ont confirmé que les nanoparticules lipidiques (les minuscules enveloppes grasses dures qui contiennent l’ARNm) traversent la membrane amniotique. Cela signifie qu’ils pénètrent dans l’environnement fœtal, bien sûr. (Ils traversent également la barrière hémato-encéphalique, ce qui peut aider à expliquer les accidents vasculaires cérébraux post-ARNm et les problèmes cognitifs que nous observons). Les volontaires ont approfondi les rapports de Pfizer sur la grossesse et ont découvert que l’assurance que le vaccin est « sûr et efficace » pour les femmes enceintes était basée sur une étude de 44 rats français, suivis pendant 42 jours (les scientifiques qui ont dirigé l’étude sont actionnaires ou employés de BioNTech). [https://dailyclout.io/covid-19-vaccines-pregnancy-risky-business/]

Les Volontaires ont constaté que si les femmes enceintes étaient exclues des études internes, et donc de l’EUA sur la base de laquelle toutes les femmes enceintes étaient assurées que le vaccin était « sûr et efficace », néanmoins environ 270 femmes sont tombées enceintes au cours de l’étude. Plus de 230 d’entre elles ont été perdues d’une manière ou d’une autre en cours de route. Mais sur les 36 femmes enceintes dont les résultats ont été suivis, 28 ont perdu leur bébé.

Les volontaires ont découvert qu’un bébé était mort après avoir été allaité par une mère allaitante vaccinée et qu’il avait eu une inflammation du foie. De nombreux bébés allaités de mères vaccinées ont montré de l’agitation, des troubles gastro-intestinaux et un retard de croissance et étaient inconsolables.

J’entends maintenant des rapports anecdotiques de ces symptômes chez les bébés allaités par des mères vaccinées de partout au pays.

Les documents de Pfizer montrent également que certaines mères vaccinées avaient supprimé la lactation ou ne pouvaient produire aucun lait.

Les médecins, bien sûr, sont perplexes face à tout cela. Perplexes.

La base de données du NIH contient une étude préimprimée démontrant qu’il existe des quantités négligeables de PEG dans le lait maternel des femmes vaccinées. 
[https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8351783/]

Mais qu’est-ce qu’une quantité négligeable d’un produit pétrolier dans le lait maternel, quand on est un tout petit, nouveau-né sans immunité, qui vient d’arriver au monde ? La préimpression du NIH elle-même a signalé des niveaux plus élevés de détresse gastro-intestinale et d’insomnie chez les nourrissons étudiés, et une mère avait des niveaux élevés de PEG dans le lait maternel, et les petits caractères concluent qu’une étude plus approfondie est nécessaire :

« Des études plus importantes sont nécessaires pour accroître notre compréhension du transfert du PEG dans le lait maternel et des effets potentiels après ingestion par le nourrisson. Bien que le consensus des experts indique que le risque potentiel de la vaccination maternelle contre le COVID-19 est minime ou inexistant pour le nourrisson ( 20 , 21 ). Les symptômes mineurs qui ont été signalés (modifications du sommeil et symptômes gastro-intestinaux) pourraient être étudiés plus en détail dans de futures études pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. »

Étant donné qu’aucun bébé n’est mort dans le bref laps de temps de la petite étude, celle-ci a conclu que les bébés allaités ne souffraient d’aucun effet néfaste réel de la part des mères vaccinées. Mais l’étude n’a pas suivi ces pauvres bébés, avec leur insomnie reconnue et leur détresse gastro-intestinale confirmée, pour voir s’ils « prospéraient » réellement — prenaient du poids et se développaient normalement.

Sur une telle science erronée, les femmes ont assuré que les vaccins étaient « sûrs et efficaces » pour elles et leurs bébés allaités.

Mais — quatre des femmes allaitantes vaccinées dans les documents de Pfizer ont signalé du lait maternel « bleu-vert ». Je ne l’invente pas. Et le bébé allaité qui est mort, avec une inflammation du foie — le cas a été enterré ; n’a pas fait la une des journaux.

Par coïncidence – ou non – la MÊME FDA qui a fermé les yeux sur les vastes méfaits causés aux humains et à la sous-catégorie des mères et des bébés, dans les documents de Pfizer, a déclaré qu’Abbot, un important producteur de lait maternisé aux États-Unis, devait fermer son usine. 
[https://www.cnbc.com/2022/05/16/abbott-reaches-agreement-with-fda-to-reopen-baby-formula-plant-to-ease-nationwide-shortage.html]

Par coïncidence, avec peu de préparations disponibles et avec certaines ou plusieurs (nous ne savons pas) mères vaccinées ayant un lait maternel compromis, il s’avère que Bill Gates, Jeff Bezos, Richard Branson et Mark Zuckerberg ont tous investi dans une startup appelée « BioMilq  » — qui produit du lait maternel cultivé en laboratoire à partir de cellules mammaires.
[https://www.cnbc.com/2020/06/16/biomilq-raises-3point5-million-from-bill-gates-investment-firm.html].
Les rapports de cette startup incluent ce langage à la Frankenstein comme si c’était normal :

« L’équipe BIOMILQ crée son produit à partir de cellules prélevées sur du tissu mammaire humain et du lait, données par des femmes de la communauté locale, qui reçoivent en retour une carte-cadeau Target. »

 [https://www.cnn.com/2022/05/03/business/lab-grown-human-milk-biomilq-health-climate-hnk-spc-intl/index.html]

Comme si tout cela n’était pas assez horrible, Mme Hecht a tiré des études de trois pays — le Canada, l’Écosse et maintenant Israël — pour montrer que les bébés meurent de manière disproportionnée, pendant et après 2021, dans les pays hautement vaccinés, et que les nouveau-nés meurent de manière disproportionnée s’ils ont des mères vaccinées versus des mères non vaccinées.

Dans une Écosse hautement vaccinée, près du double du nombre de bébés décédés en 2021 par rapport aux chiffres de référence. 
[https://www.heraldscotland.com/news/19726487.investigation-launched-abnormal-spike-newborn-baby-deaths-scotland/]. 
En Ontario, au Canada, 86 bébés sont décédés en 2021, contre une base de référence de quatre ou cinq ; il s’agissait d’une mortalité infantile si grave qu’un parlementaire courageux a porté la question au Parlement. 
[https://nonvenipacem.com/2021/12/10/explosive-rise-in-ontario-stillbirths-triggers-parliamentary-questions/].

En Israël, à l’hôpital RamBam de Haïfa, il y a eu 34 % d’avortements spontanés et de mortinaissances en plus chez les femmes vaccinées que chez les femmes non vaccinées.

Jonction Jackanapes
Mortinaissances, fausses couches et avortements chez les femmes vaccinées et non vaccinées
Les données de l’hôpital Rambam à Haïfa révèlent un taux de mortinatalité, de fausse couche et d’avortement (SBMA) de 6 % chez les femmes qui n’ont jamais reçu de vaccin COVID-19, contre 8 % chez les femmes qui ont été vaccinées avec au moins une dose (et n’ont jamais eu de vaccin). Infection par le SRAS-Cov-2…
Lire la suite…

Mme Hecht note également que le dérèglement menstruel chez les femmes vaccinées est maintenant pleinement confirmé par de nombreuses études, avec une moyenne d’un jour supplémentaire de saignement par mois (un effet secondaire à propos duquel j’avais mis en garde en mars 2021, qui à son tour m’a fait être traitée de tous les noms par un commentateur de CNN et définitivement virer de Twitter).

Vous n’avez pas besoin de connaître plus que la biologie de la huitième année [de scolarité] pour savoir qu’un cycle menstruel dérégulé, sans parler de l’accumulation de protéines de pointe dans les ovaires, sans parler de la traversée des membranes du corps, y compris le sac amniotique, par de minuscules graisses dures (les nanoparticules lipidiques), sans parler du PEG dans le lait maternel, vont toutes affecter la fertilité, la santé fœtale, l’accouchement et le bien-être ou la détresse gastro-intestinale des bébés, et donc leur capacité ou leur incapacité à se développer (et encore moins à créer des liens).

Et maintenant, les bébés meurent. Maintenant, étendez les données du Canada, de l’Écosse et d’Israël à toutes les nations vaccinées du monde.

Que fait-on de tout cela ?

Sachant comme je le sais maintenant, que Pfizer et la FDA savaient que les bébés mouraient et que le lait des mères se décolorait en regardant simplement leurs propres dossiers internes, sachant comme moi qu’ils n’ont alerté personne et encore moins arrêté ce qu’ils faisaient, et qu’à ce jour, Pfizer, la FDA et d’autres entités démoniaques de « Santé publique » poussent à vacciner de plus en plus de femmes enceintes, maintenant qu’ils sont sur le point d’imposer cela aux femmes d’Afrique et d’autres pays à faible revenu qui ne recherchent pas les vaccins à ARNm, selon le PDG de Pfizer, Bourla, la semaine dernière au WEF, et sachant que Pfizer fait pression et pourrait même recevoir un EUA américain pour des bébés aux enfants de cinq ans, je dois conclure que nous nous penchons sur un abîme du mal jamais vu depuis 1945.

Alors, je ne sais pas pour vous, mais moi, je dois changer de vitesse avec ce genre de savoir indicible pour tenir un autre genre de discours.

Je ne dis pas que c’est exactement comme trouver des preuves des expériences du Dr Mengele, mais je dis, avec ces résultats, que maintenant la comparaison n’est peut-être pas si excessive. Ces anti-humains chez Pfizer, parlant au WEF, ces anti-humains à la FDA sachant ce qu’ils savent ciblent le corps féminin miraculeux, avec sa capacité à concevoir, engendrer, donner naissance et nourrir la vie. Ils ciblent la capacité du corps féminin à soutenir un être humain nouveau-né avec rien d’autre que lui-même. Ils ciblent la membrane amniotique, les ovaires qui libèrent l’ovule, ils ciblent la lymphe et le sang qui aident à soutenir la formation du lait maternel, ils ciblent le fœtus in utero, impuissant.

Ils visent l’environnement même du fœtus humain, l’un des espaces les plus sacrés sur cette terre, sinon le plus sacré.

Et ils le savent.

Je ne sais pas pour vous, et je ne fais pas de prosélytisme, mais comme vous le savez peut-être si vous me lisez ici, en ces jours apocalyptiques, je me tourne vers la prière. J’ai commencé à dire en public, une fois que j’ai dû faire face au fait de la mort des bébés, que c’est un temps biblique, et je veux dire biblique de l’Ancien Testament.

C’est une époque comme celle de la construction de la tour de Babel — d’une arrogance massive contre les plans divins. Des hommes comme Bill Gates trafiquent et cherchent à surpasser les meilleures œuvres de Dieu, laboratoire après laboratoire, et Tech Bros « perturbe » la concurrence humaine pour leurs biens et services non recherchés, en ciblant les processus humains et en ruinant les corps créés à l’image de Dieu.

C’est un moment comme celui où les dix plaies ont assailli les Égyptiens dans Exode 11:4-6 :

« 4  Alors Moïse dit : « Voici ce que dit l’Éternel : « Vers minuit, j’irai dans toute l’Égypte. 
 Tout fils premier-né en Égypte mourra, depuis le fils premier-né de Pharaon, qui est assis sur le trône, jusqu’au fils premier-né de la servante, qui est à son moulin, et tous les premiers-nés du bétail. 
 Il y aura de grands gémissements dans toute l’Égypte, pires qu’il n’y en a jamais eu et qu’il n’y en aura jamais. »

Ce fut le pire fléau de tous, le meurtre du premier-né.

C’est un temps où ha-Satan — Satan — « va et vient sur la terre, et […] y marche de long en large », comme le décrit Job 2.

C’est une époque où les démons se promènent dans les espaces humains, bien qu’ils aient l’air assez humains eux-mêmes, suffisants dans leurs costumes italiens sur les panneaux du Forum économique mondial.

Ha-Satan – et ses armées : ruiner la conception, le lait, les règles, le toucher, bercer l’enfant par sa mère, ruiner l’alimentation de l’enfant, ruiner les bébés eux-mêmes.

Je lis beaucoup les prophètes ces temps-ci — car comment pourrais-je ne pas le faire ? Je cherche ce que l’écrivaine Annie Lamott a appelé « Mode d’emploi ». Que faites-vous lorsque l’humanité elle-même est menacée ? Quand il y a des bataillons professionnels et des départements bureaucratiques de personnes qui agissent avec anathème envers la race humaine ?

Il doit sûrement y avoir un indice.

Alors j’ai beaucoup relu l’histoire de Noé, et le livre d’Esther ces temps-ci. J’ai relu Jérémie.

Nous avons déjà connu ça. C’est souvent embarrassant, quand il s’agit de cela.

L’histoire est toujours la même, du moins dans la Bible hébraïque (dans le Nouveau Testament, bien sûr, Dieu saute à la fin et renverse l’intrigue).

Au moins dans la Bible hébraïque, Dieu essaie toujours d’attirer notre attention, toujours, semble-t-il, nous demandant simplement de marcher à ses côtés ; nous demandant simplement de garder ses commandements pas trop difficiles ; Ce n’est pas, en effet, demander beaucoup.

Jérémie 1:13 :

« Et l’Eternel me dit: Tu as bien vu; car je veille sur ma parole, pour l’exécuter. 
13 La parole de l’Eternel me fut adressée une seconde fois, en ces mots: Que vois-tu? Je répondis: Je vois une chaudière bouillante, du côté du septentrion. 
14 Et l’Eternel me dit: C’est du septentrion que la calamité se répandra sur tous les habitants du pays.
15 Car voici, je vais appeler tous les peuples des royaumes du septentrion, dit l’Eternel; ils viendront, et placeront chacun leur siège à l’entrée des portes de Jérusalem, contre ses murailles tout alentour, et contre toutes les villes de Juda. 
16 Je prononcerai mes jugements contre eux, à cause de toute leur méchanceté, parce qu’ils m’ont abandonné et ont offert de l’encens à d’autres dieux, et parce qu’ils se sont prosternés devant l’ouvrage de leurs mains. »

Dans la Bible hébraïque, en tout cas, le calcul est simple. Nous nous tournons, nous écoutons, et nous sommes sauvés ; ou bien nous continuons sans réfléchir, adorant ce que nos propres mains ont fait, salopes d’autres dieux — de la « science », des mensonges des médias, du narcissisme des conventions, pourrait-on dire aujourd’hui — et nous sommes perdus.

Nous avons été presque perdus, maintes et maintes fois.

Cette fois pourrait vraiment être la dernière fois. Ces monstres dans les labos, sur les panels transnationaux, sont tellement habiles, et si puissant, et leur travail sombre est si vaste.

Si Dieu est là — de nouveau — après toutes les fois où nous avons éprouvé sa patience (et qui le sait en effet ?) allons-nous lui tendre la main en retour, allons-nous sortir de cet abîme au dernier moment et trouver simplement un moyen de marcher à ses côtés ?

Ou allons-nous cette fois, en perdant les bébés, et en continuant malgré tout insouciant, être vraiment nous-mêmes perdus ?




Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Nous annonçons la sortie d’un nouveau dossier inédit de 53 pages intitulé « Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés ». Plusieurs équipes de chercheurs indépendants, issus de différentes disciplines ont fait depuis juin 2021 ce que les autorités sanitaires des pays occidentaux n’ont pas fait et n’ont pas voulu faire : observer à la microscopie et la spectroscopie le contenu des vaccins expérimentaux contre Covid. Les nanotechnologies identifiées et leur analyse permettent de comprendre ce que l’industrie pharmaceutique et ceux qui agissent en sous-main veulent faire des citoyens.

L’opinion publique est peu informée sur les possibilités technologiques qui se présentent depuis 15 ans et qui ont permis d’investiguer et de contrôler non pas l’espace, ni les profondeurs de la mer mais le corps humain et particulièrement le cerveau grâce aux nanobiotechnologies.

Des nanotechnologies dans les 4 vaccins

Les récentes découvertes (2021-2022) par l’observation et l’analyse indépendantes des sérums vaccinaux par des biologistes mais aussi des chimistes, des spécialistes des nanotechnologies ou des biotechnologies, des experts de la bioinformatique, des télécommunications sans fil, des nanoréseaux ou de l’internet des objets, nous conduisent à comprendre progressivement ce qu’ils envisagent et ont commencé à faire avec les citoyens, partout dans le monde. Ce nouveau dossier fait un état des lieux sur ce que nous savons aujourd’hui.

Parce que j’ai été confronté à l’incrédulité de certains lecteurs à plusieurs reprises lorsqu’était évoqué un projet transhumaniste dans nos lignes, j’ai pris la décision d’investiguer le sujet et d’apporter les preuves scientifiques requises. Les travaux du Dr Campra, de Mik Andersen (pseudonyme) et d’autres équipes multidisciplinaires permettent d’avancer des preuves de ce qu’on observe dans les sérums vaccinaux des 4 produits ayant actuellement reçu une autorisation conditionnelle de mise sur le marché : Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson. La comparaison des résultats liés à l’observation des sérums avec des informations issues de publications scientifiques permet de comprendre et de reconstituer un puzzle qui s’avère lisible et inquiétant.

[Voir aussi :
Piqûre de rappel : les informations cachées relatives aux « vaccins » anti-Covid
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Dossier 5G et ondes pulsées
Sur le transhumanisme :
Obsession vaccinale et transhumanisme
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Yuval Noah Harari, le gourou liberticide qui chuchote à l’oreille de Klaus Schwab
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !]

Des éléments de preuves accablants

Comme une majorité de lecteurs, je me suis demandé quelle pouvait être l’efficacité ou la nocivité de nanoparticules dans un organisme, l’efficacité de nanorouters ou de nanoantennes dans ce qui s’apparente à un nanoréseau de communications sans fil. Enfin, quelle influence peuvent avoir des nanotechnologies sur notre ADN (sujet abordé dans un article) et sur nos neurones ? Ce qui est proposé pourra laisser certains sans voix mais les preuves sont présentées dans ce dossier dont voici le sommaire :

  • 1. Qu’a-t-on découvert d’illicite dans les « sérums vaccinaux » contre le Covid
  • 1.1 Des nanorouteurs ou nanosenseurs
  • 1.2 Des nano antennes et des nano antennes plasmoniques
  • 1.3 Des nano antennes redresseuses
  • 1.4 Des hydrogels pour nanotechnologies
  • 1.5 Des codecs (codeurs-décodeurs) et des portes logiques
  • 1.6 Oxyde de graphène
  • 1.7 Les nanopoulpes de graphène ou hydres
  • 2. Nano-informatique et WBAN (Wireless Body Area Network)
  • 2.1 Quelques principes de base de la nano-informatique et de la bio-informatique
  • 2.2 Les réseaux sans fil intracorporels (WBAN)
  • 2.3 L’alimentation énergétique d’un réseau WBAN
  • 2.4 L’auto-assemblage des cristaux d’ADN
  • 3. La transhumanisation forcée des populations par l’inoculation de nanoréseaux complexes
  • 3.1 Présentation d’un modèle synthétique du WBAN à partir de l’analyse des sérums de vaccins Covid
  • 3.2 Communication avec l’extérieur et utilisation du protocole OS TOOK
  • 4. Prendre le contrôle du cerveau humain, dernier bastion des bioterroristes ?
  • 4.1 Qu’est-ce que la cybernétique ?
  • 4.2 Explication de la neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain
  • Conclusion

Il ne s’agit nullement d’une vue de l’esprit mais d’un ensemble d’éléments à charge qui ne peuvent plus laisser le lecteur dans le doute. Dans les jours à venir, nous publierons sous forme d’articles quelques extraits sur des thématiques choisies. Cependant la cohérence de ce dossier confirme que la préparation des vaccins a été réalisée en amont de l’épidémie et que l’épidémie de Sars-Cov 2 n’est ni naturelle ni accidentelle.




Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?

[Source : lepointcritique.fr]

Olivier Véran s’est toujours défendu d’avoir menti aux Français pendant la pandémie, allant jusqu’à qualifier la diffusion de fakenews de crime de « haute trahison ». Il n’aura pourtant reculé devant aucun mensonge pour forcer les Français à se faire vacciner. Le conflit d’intérêts soulevé par le scandale McKinsey est-il le chaînon manquant permettant enfin d’expliquer pourquoi il a choisi d’hypothéquer leur santé en leur dissimulant des informations cruciales ?

Six mensonges d'Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?
© Anita Jankovic

Combien de Français se seraient fait vacciner s’ils avaient su que le vaccin est toujours en phase de test et qu’ils contribuent en se vaccinant à déterminer si les injections sont sûres, comme le précise sur son propre site l’ANSM ? Combien savent que la Commission européenne a rappelé, le 13 janvier 2022, que l’actuelle vaccination contre le COVID est un essai clinique est qu’elle ne peut à ce titre être imposée à aucun citoyen, dont le consentement éclairé est une condition sine qua non ?

Peu sans doute, et c’est bien pour cela que l’obligation vaccinale n’a fait l’objet d’aucune loi. Convaincre plutôt que contraindre, mais à quel prix ? L’objectif de cet article n’est pas de faire l’inventaire des mensonges commis pendant deux ans par Olivier Véran mais de l’interpeller sur six d’entre eux, constitutifs d’une extorsion de consentement dont les conséquences sont potentiellement gravissimes pour le ministre mais aussi et surtout pour les Français.

Au-delà de cet inventaire, il nous paraît urgent, à l’heure de reconduire, ou pas, Emmanuel Macron à la tête de l’État, d’appeler un chat un chat et de demander au ministre s’il a bénéficier de contreparties pour accepter de prendre un tel risque.

Mensonge no 1 : Le vaccin n’est plus en phase de test

« Je vais me permettre peut-être d’éclaircir les choses. Lorsqu’un vaccin a été autorisé, ce qui a été le cas pour les vaccins que nous avons autorisés en France, il y a ensuite une phase d’examen en population générale qui va durer plusieurs années pour voir, et c’est pareil avec tous les médicaments et les produits de santé, ça s’appelle pas un médicament qui est en test, ça s’appelle si vous voulez un médicament qui est en phase de post-test. Un médicament qui est totalement validé ou un médicament qui est validé. […] On le sera pendant des années et ça n’a jamais posé de problème aux Français qui souffrent de maladies chroniques, lorsqu’un médicament innovant arrive et qu’il est validé, c’est-à-dire qu’on sait qu’il est sûr et efficace, derrière on va regarder en population générale. »

Olivier Véran, On est en direct, 26 mars 2022

Non, et le ministre le sait parfaitement, le vaccin ne bénéficie à ce jour que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, ce qui signifie concrètement que :

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus. » (Contrat albanais Pfizer, p. 19)

Source : PfizerLeak  les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes

  • Les PDG de Pfizer et Moderna ne se sont jamais cachés de ne pas être en mesure d’apporter les garanties minimales de sécurité attendues d’un vaccin, ils l’ont chacun reconnu publiquement :

« Si vous vouliez avoir des données scientifiques parfaites de 10 ans de recul et de sécurité, il faut attendre 10 ans, il n’y a pas de miracle. C’est une question de balance bénéfice-risque. C’est bien sûr une question personnelle. »

Stéphane Bancel, 10 décembre 2021

  • Le vaccin n’a jamais été évalué pour les utilisations suivantes [1, page 124-126] :
    Utilisation durant la grossesse et l’allaitement
    Utilisation chez les personnes immunodéprimées
    Utilisation chez les personnes fragiles avec comorbidités, dont : bronchite pulmonaire obstructive chronique (BPCO), diabète, maladie neurologique chronique, troubles cardio-vasculaires
    Utilisation chez les patients atteints de troubles auto-immuns ou inflammatoires
    Interaction avec d’autres vaccins
    Données de cancérogénicité et de génotoxicité » (p. 56)
  • On sait aujourd’hui que la mise sur le marché des vaccins est entachée d’une série de fraudes ou de manquements déontologiques gravissimes. La COVID Canadian Covid Care Alliance a publié plusieurs documents, dont une vidéo, une lanceuse d’alerte de l’entreprise Ventavia ayant coordonné l’essai clinique pour Pfizer attaque aujourd’hui le laboratoire. Son avocat expliquait le 23 février dernier :

« Les essais cliniques de Pfizer sont truffés de fraude et d’abus du processus scientifique au point qu’il ne reste plus aucune crédibilité. »

Mensonge no 2 : Les myocardites postvaccinales sont rares et d’évolution toujours favorable

« Aux États-Unis, ils ont fait 7 millions d’injections chez les 5-11 ans. Sur 7 millions d’injections, 14 effets indésirables à titre de myocardite réversible, c’est-à-dire qu’il y a plus de risques, et même beaucoup plus de risques statistiques de faire une forme grave de COVID quand on a entre 5 et 11 ans même quand on n’a pas de comorbidités que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié aux vaccins. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Le Pr P. McCullough, cofondateur et actuel président de la Cardiorenal Society of America, alertait au contraire à nouveau, le 26 janvier 2022, sur le risque de myocardite et de péricardite induites par les vaccins ARN messager, évoquant plus de 200 études confirmant la réalité d’un tel risque qui concernerait l’ensemble des enfants et des adultes de moins de 50 ans.

Il explique dans une autre intervention le rôle joué par les nanoparticules lipidiques :

« Les myocardites dues au covid sont légères. Par contre, la myocardite induite par le vaccin est un gros problème. Il y a des changements spectaculaires dans l’ECG. Les troponines sont de 10 fois à 100 fois plus élevées qu’avec l’infection naturelle. »

Selon une étude du réseau de soins américain Kaiser Permanente, publiée en preprint le 27 décembre 2021 [2], ce risque tous vaccins ARNm confondus (Pfizer et Moderna) serait de :

  • 1/2 700 pour les garçons de 12-17 ans.
  • 1/1 860 pour les hommes de 18-24 ans.

Ces incidences sont cohérentes avec celles retrouvées dans de nombreuses études [3-7], mais aussi et surtout avec la cardiotoxicité de la protéine Spike que le ministre de la Santé ne peut pas ignorer [8-13].

Peut-on supposer que les myocardites postvaccinales sont réversibles et sans gravité ?

  • Une étude parue en 2016 [14] décrit la myocardite comme « une maladie potentiellement mortelle associée à une morbidité élevée chez certains patients pédiatriques, en raison de sa capacité à se présenter comme une maladie aiguë et fulminante et à évoluer vers une cardiomyopathie dilatée ». Pourquoi supposer qu’il en serait autrement aujourd’hui ?
  • Les pathologistes allemands et américains disent avoir observé la présence de cicatrices précoces lors de l’autopsie de plusieurs adolescents vaccinés et alertent sur le fait que, dans la mesure où les cellules du cœur ne se renouvellent quasiment pas, les dommages induits par les myocardites postvaccinales sont irréversibles [15-18].
  • Ce risque est aujourd’hui confirmé par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américains [19] et par la Food and Drug Administration (FDA), qui reconnaît dans son rapport d’évaluation du booster Pfizer « des risques graves de myocardite et de péricardite », et n’exclut pas des séquelles potentielles à long terme.
  • La FDA a conditionné l’homologation du vaccin pédiatrique Pfizer à la réalisation d’une série d’essais pour évaluer la fréquence de cet effet secondaire, sa gravité, son mécanisme d’apparition et ses éventuelles séquelles. Six essais ont été exigés par le régulateur américain dont l’issue n’est pas connue à ce jour.
  • Enfin, dans un document daté du 26 octobre 2021, Pfizer reconnaît qu’il a besoin d’un délai de cinq ans pour déterminer si les myocardites vaccinales induiront ou non des séquelles. Dans un autre document (formulaire de consentement, p. 20), il estime que leur incidence se situe entre 1/1 000 et 1/10 000 cas.

Pour comprendre la gravité de ce phénomène, c’est la première fois dans l’histoire que les médecins sont confrontés à des infarctus chez les enfants, comme le relate ici une infirmière américaine lors de la table ronde COVID-19: A Second Opinion organisée fin janvier par le sénateur Ron Johnson :

« J’ai transporté à l’hôpital un enfant de 10 ans avec une crise cardiaque. Le médecin m’a dit : ce n’est pas possible, les enfants de 10 ans ne font pas de crise cardiaque ! Je lui ai répondu : il a été vacciné hier, c’est parfaitement possible ! »

(Nicole Sirotec, 26 janvier 2022)

Comment comprendre dans ces conditions le silence du corps médical français face à une telle situation et l’actuel acharnement à vouloir les vacciner dès l’âge de 5 ans alors qu’ils ne sont pour la majorité d’entre eux pas concernés par le COVID ?

On rappellera que ce n’est pas parce qu’une autorisation est délivrée afin de permettre l’administration du médicament, il doit nécessairement être imposé à l’ensemble d’une population :

  • au Japon, la revue MedCheck alerte sur « le risque de décès de causes cardio-vasculaires, en particulier AVC hémorragique et TV/PE » auquel la vaccination COVID-19 serait étroitement associée. Les éditeurs évoquent un risque de mortalité lié à la vaccination 5 fois plus élevé que celui lié au COVID-19 chez les personnes âgées de 20 à 29 ans ;
  • les autorités de santé britanniques ne recommandent pas le vaccin chez les adolescents en raison d’une balance bénéfice-risque qu’ils estiment défavorable [20] ;
  • la Floride recommande aujourd’hui de ne pas vacciner les enfants en bonne santé. C’est le premier État à le faire ;
  • après l’arrêt de la vaccination Moderna chez les jeunes adultes dans plusieurs pays d’Europe, le Vietnam et Taïwan ont suspendu la vaccination des adolescents et des enfants suite à des décès et des effets secondaires graves (TrialSite News). Le Brésil déclare l’envisager à son tour selon l’agence Reuters.

Combien de médecins se souviennent aujourd’hui que le premier principe qui leur a été inculqué lorsqu’ils débuté les études est « d’abord de ne pas nuire » (primum non nocere), qu’une balance bénéfice-risque s’évalue toujours individuellement et que le critère pour stopper un essai clinique n’est pas qu’il tue moins la maladie qu’il prétend combattre (est-ce seulement encore le cas depuis que l’on sait que l’immense majorité des personnes estampillées décédées du COVID sont simplement mortes avec le COVID ?), mais simplement qu’il tue ? Pour rappel, le Pr P. McCullough rappelait en juillet 2021 :

« Pour le vaccin de la grippe porcine 1976, ils l’ont arrêté après 25 décès. La limite pour arrêter un programme est de 25 à 50 morts. »

Mensonge no 3 : La balance bénéfice-risque de la vaccination serait systématiquement en faveur des vaccins, notamment chez les enfants

« Il y a plus de risque statistique de faire une forme grave de COVID-19 quand on a entre 5 et 11 ans, même quand on n’a pas de comorbidité que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié au vaccin. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Combien de parents ont fait vacciner leur enfant sur la base des déclarations du ministre de la Santé ? Nous avons détaillé cette balance dans un précédent article.
Parlons-nous la même langue que le ministre ?

Plus récemment, la chercheuse Stefanie Seneff (MIT) a cherché à calculer pour chaque tranche d’âge non pas la balance bénéfice-risque de la vaccination mais la balance coût-risque des injections, c’est-à-dire le risque de mourir de l’inoculation versus celui de mourir du COVID et le bénéfice de la vaccination pour réduire le risque de décéder du COVID.

Ses calculs aboutissent aux ratios suivants, sans appel pour les enfants et les adultes, y compris ceux de plus de 75 ans, le bénéfice (0,13 %) n’étant perceptible qu’au-delà de 80 ans et le risque de décès étant augmenté par la vaccination pour toutes les tranches d’âge [28] :

  • Âge < 18 ans : les personnes de cette tranche d’âge ont un risque augmenté de mourir du COVID si elles sont vaccinées et elles sont 51 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 18 à 29 ans : les personnes sont 16 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 8 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 30 à 39 ans : les personnes sont 15 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 7 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 40 à 49 ans : les personnes sont 9 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 5 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 50 à 59 ans : les personnes sont 2 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont légèrement plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.

Ses calculs sont par ailleurs cohérents avec plusieurs études majeures publiées récemment (PantazatosMeyerCrawfordOhanaKuhbandner) [29-33].

Le Pr Peyromaure dénonçait il y a quelques mois une hérésie (Europe 1). Le Pr Claverie et le Pr La Scola mettent en garde contre l’absence de recul concernant les risques vaccinaux, notamment d’apparition de pathologies cancéreuses ou dégénératives à moyen et long terme, l’étude clinique sur laquelle a été évaluée le vaccin ne comportant que 1 000 enfants.

L’article de Kostoff et al. de décembre 2021 Pourquoi vaccinons-nous les enfants contre le COVID-19 ? recense l’ensemble des arguments qui plaident contre l’utilité des injections au sein de cette tranche d’âge, au regard notamment des risques qu’elles engendrent [34]. Comment un ministre peut-il encore les recommander 4 mois plus tard après la publication de cette étude ?

Mensonge no 4 : Le vaccin est sûr pour les femmes enceintes

Conférence de presse d’Olivier Véran concernant la situation sanitaire et la vaccination, 26 août 2021

« Dire qu’on manquerait de recul sur les vaccins est erroné. Nous avons une expertise des vaccins plus importante que sur nombre de médicaments d’usage courant. […] Et je redis ici, les femmes enceintes doivent se faire vacciner pour se protéger et protéger leur bébé. »

Olivier Véran, 26 août 2021

Est-ce vraiment ce que dit la science ?

  • Les femmes enceintes et allaitantes ont été exclues de l’essai clinique, le vaccin n’a donc jamais été testé sur elles en amont de la campagne de vaccination. Les études viennent tout juste de commencer : les résultats ne seront pas connus avant août 2022 (Pfizer), 2024 (Moderna) et fin 2025 pour l’étude C-VIPER.
  • Olivier Véran a pourtant expliqué, le 26 août 2021, qu’aucune agence sanitaire ne peut autoriser l’inoculation d’un produit en l’absence de données cliniques. Or il n’y en a pour l’instant aucune.
  • Le risque d’effets nocifs sur l’embryon ou le fœtus est clairement mentionné dans le Plan de gestion des risques du vaccin Comirnaty® Pfizer [35, p. 110] qui mentionne l’existence de cinq essais en cours visant à évaluer ses risques (le premier se terminera le 30 avril 2023) [35, p. 133, 146, 155].
  • Une étude parue en novembre 2021 met à son tour en garde contre l’impact potentiel de la vaccination maternelle contre la COVID-19 sur le développement fœtal et néonatal [36] : « N’avons actuellement aucune donnée pour évaluer les résultats de la vaccination maternelle contre le COVID-19 sur la santé de la progéniture, et cela peut prendre des années à générer. »
  • Le Plan de management des risques du vaccin Pfizer est d’ailleurs formel :

« L’administration du vaccin ARNm COVID-19 pendant la grossesse ne doit être envisagée que lorsque les avantages potentiels l’emportent sur les risques potentiels pour la mère et le fœtus. » [35, p. 86]

Sur quelles bases s’est faite et continue à se faire la vaccination des femmes enceintes ? L’enthousiasme planétaire des agences de santé et leur confiance instinctive dans le vaccin sont-il une raison suffisante à leur imposer le vaccin ?

  • Les auteurs d’une étude parue en septembre 2021, bien après l’élargissement de la vaccination à l’ensemble des femmes enceintes, dénoncent des recommandations « à la fois mitigées et contradictoires » et « la nécessité d’identifier, de rassembler et de diffuser rapidement les données disponibles sur l’innocuité des vaccins » [37].
  • L’ANSM indique qu’aucun signal de sécurité n’existe à ce jour mais identifie à ce jour 6 événements indésirables à surveiller : événements thromboemboliques, contractions utérines douloureuses, morts in utero, HELLP syndrome, métrorragies, mastites [38, p. 9]. Les parturientes en sont-elles informées ?
  • Bien que l’Agence affirme que les données de pharmacovigilance française n’ont pas « montré de conséquences des vaccins à ARN messager sur le déroulement de la grossesse », elle réalise pourtant en parallèle une étude (Covacpreg) visant à suivre le déroulement des grossesses des femmes vaccinées.
  • Au 4 mars 2022, elle recensait 588 événements indésirables tous vaccins confondus [39], dont 70 % d’événements indésirables graves (+ 25 % en deux mois), alors que ce taux est seulement de 24 % en population générale. À aucun endroit ne sont précisés ni le nombre de doses administrées ni donc l’incidence de ces événements.
  • À titre d’information, trois médecins du Pentagone ont récemment alerté sur une explosion des effets au sein de l’Armée américaine depuis le déploiement des vaccins, la gravité de ces accusations ayant provoqué le lancement d’un essai clinique visant à les confirmer :
  • Fausses couches : + 279 % (x 3,79) ;
  • Malformations congénitales : + 155 % (x 2,55) ;
  • Infertilité féminine : + 471 % (x 5,71) ;
  • Dysfonctionnement ovarien : + 437 % (x 5,37).

Mensonge no 5 : Le vaccin n’a aucun impact sur la fécondité

« Non, les vaccins à ARN messager ne perturbent en aucun cas la fertilité des femmes. C’est aussi quelque chose qu’on entend souvent. Il n’y a aucun lien qui n’existe, ni en théorie ni dans la pratique, et ce après des mois de recul et des milliards de femmes vaccinées. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Non, il est impossible de l’affirmer et là encore, Olivier Véran ne peut l’ignorer puisque les études concernant les troubles menstruels n’ont commencé que fin juillet. Il le peut d’autant moins au regard des alertes émises par la communauté scientifique :

  • Des milliers de femmes dans le monde ont signalé l’apparition des troubles menstruels depuis le début de la campagne de vaccination : fausses couches, absence temporaire ou disparition des règles, entraînant un diagnostic de ménopause précoce. Ménopause ou stérilité ?
    D’autres évoquent des saignements ininterrompus pendant plusieurs semaines, avec pour possible conséquence la destruction prématurée de leur stock d’ovocytes. Le Collectif Où est mon cycle ? relate le cas d’une jeune femme ayant déclaré une endométriose peu de temps après sa vaccination, qui s’est résolue par l’ablation de son utérus.
    L’association Vérity (France), le collectif Real Not Rare (États-Unis) ou le Testimonies Project (Israël) diffusent quotidiennement de nouveaux témoignages de possibles effets secondaires des vaccins dont un grand nombre concerne des problèmes gynécologiques.

La parole se libère, les témoignages sont aujourd’hui légion (le collectif Où est mon cycle ? était reçu ces derniers jours au Parlement européen et par les sénateurs français) mais la question suivante se pose : ces drames étaient-ils évitables ?

La stérilité masculine est un autre point d’inquiétude :

  • Deux études parues l’une en octobre 2020 [45], l’autre en novembre 2020[46] ont montré que la protéine Spike se lie aux cellules ovocytaires, placentaires, mais également testiculaires, comme le montrait l’étude de biodistribution conduite par Pfizer [AMM p. 54].
  • De nouvelles données ont confirmé ce risque en 2021 : une étude publiée le 20 décembre 2021 [48] montre un remaniement des ovaires par la protéine Spike chez le Poisson-zèbre ; une autre, datée du 11 mai 2021 [49] identifie l’implication de la protéine Spike sur le système de reproduction masculin et la fertilitévia notamment la formation d’anticorps contre une hormone (la kisspeptine).

Peut-on raisonnablement dire qu’aucun lien n’existe ni en théorie ni dans la pratique et se satisfaire des propos rassurants du ministre évoquant les milliards de femmes injectées quand on sait que :

Mensonge no 6 : Le vaccin ne modifie pas le génome

« Non le vaccin ARN messager ne modifie pas le génome. D’ailleurs il ne peut même pas rentrer dans le noyau des cellules. Les noyaux sont des sortes de citadelles imprenables. L’ARN il est détruit en quelques heures, de jours, le temps de faire produire hors du noyau par nos cellules des anticorps contre le virus. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Aucune étude de génotoxicité n’a été réalisée par les laboratoires [1, p. 50], mais plusieurs scientifiques ont alerté en amont de la campagne de vaccination sur l’existence d’un possible risque de modification du génome par les vaccins ARNm [52, 53].

Les récentes découvertes scientifiques leur donnent aujourd’hui raison :

  • Ce risque a été confirmé in vitro dès mai 2021 par l’Académie des sciences [54].
  • Une étude publiée en juin 2021 a montré que les cellules de mammifères possèdent une transcriptase inverse native (la polymérase thêta, Polθ) permettront donc de réinscrire des segments d’ARN peuvent dans notre ADN [55, 56].
  • Un article daté du 25 février 2022 mettant en évidence une transformation de l’ARN du vaccin Pfizer en ADN dans des cultures de cellules hépatiques clôt à cette polémique [57].

Combien auraient accepté de « se faire injecter dans le corps un produit de thérapie ou cellulaire », qui est la catégorie dans laquelle la FDA et l’Agence européenne des médicaments classent les vaccins à ARN messager (pages 7 et 23 du formulaire de déclaration d’inscription en bourse de BioNTech) ? Selon Stefan Oelrich, le PDG de Bayer, qui s’interrogeait à voix haute lors du World Helath Summit 2021, ils auraient été… 0,5 %.

Ceci explique-t-il cela ?

De l’obligation vaccinale à l’extorsion de consentement

Nous n’avons relevé ici que les affirmations du ministre de la Santé qui sont factuellement mensongères. D’autres sont éminemment problématiques (le vaccin ne donne pas le cancer, le sida, la maladie de Creutzfelds-Jakob…), car elles ne reposent sur aucun fondement scientifique et sont donc de nature à biaiser le consentement des Français :

Nous avons dénoncé il y a plusieurs semaines le mensonge du ministre de la Santé devant la représentation nationale visant à exclure a priori le rôle du vaccin dans les décès recensés par l’ANSM, dont il est par ailleurs légitime de penser qu’ils sont largement sous-estimés par rapport à nos voisins européens :

  • pas de cause de décès retrouvée dans 44 % des cas étudiés ;
  • aucune ne recherche des causes du décès pour les personnes de plus de 50 ans, la conduisant à exclure de ses investigations 75 % des cas ;
  • pas d’objectif d’exhaustivité dans le recensement des cas (site de l’ANSM).

Son silence interroge et inquiète d’autant plus aujourd’hui puisque le Gouvernement refuse toujours catégoriquement de supprimer le passe vaccinal et de réintégrer les soignants alors que plus rien ne le justifie (déclarations d’Olivier Véran et d’Emmanuel Macron).

Risques vaccinaux réévalués

Études, données de pharmacovigilance, autopsies… les alertes concernant les risques vaccinaux ne cessent de se multiplier. Jamais un vaccin n’aura été associé à un volume aussi élevé d’effets secondaires, dont on considère habituellement (rapport Lazarus) [62]), comme l’a d’ailleurs confirmé récemment Martin Blachier, qu’ils ne sont déclarés qu’à hauteur de 1 % (selon d’autres études, le facteur de sous-déclaration serait de 20 [29] ou de 41 [63, 64]) :

  • L’OMS dénombre à ce jour (5 avril 2022) 3 541 451 effets secondaires observés dans le monde (source : http://www.vigiaccess.org/), dont 40 % se manifestent chez les 18-44 ans.
  • À titre de comparaison, elle dénombre 272 202 effets secondaires pour le vaccin contre la grippe, 15 085 pour le vaccin contre le tétanos, 711 pour le vaccin contre les oreillons survenus depuis 1968, c’est-à-dire survenus en plus de 30 ans versus 1 an. Ces événements indésirables représentent donc 13 fois le nombre d’effets secondaires recensés en plus de 50 ans après une vaccination contre la grippe.
  • Aux États-Unis, le VAERS recense 1 205 753 effets secondaires post vaccination COVID, dont 26 396 décès pour un total de 2 074 104 d’effets secondaires et 35 763 décès post-vaccinaux, ce qui représente 74 % des décès post-vaccinaux et 58 % des effets indésirables recensés en 31 ans, tous vaccins confondus sur le territoire américain.
  • En Europe, la base EudraVigilance (base officielle de l’EMA) recense début avril plus de 42 000 décès post vaccination COVID, tous vaccins confondus, le chiffre symbolique des 1 000 000 effets secondaires a été dépassé fin septembre, il s’élève aujourd’hui à 1  746 550.
  • En France, l’ANSM recensait en décembre 2021 [38] : 121 486 événements indésirables (soit 271 % des 45 000 cas/an moyens tous médicaments confondus), dont 29 157 événements indésirables graves, 1 512 décès (dont 1 167 pour le vaccin Pfizer), auxquels s’ajoutent : 8 454 hospitalisations ;
    680 invalidités ;
    1 300 mises en jeu du pronostic vital.
    Elle recense 152 308 événements indésirables au 04 avril 2022, soit 25 % de plus en 3 mois .

Le lien avec le vaccin est-il avéré ? Impossible de l’affirmer, mais la comparaison au sein de chaque base avec les années précédentes et les autres vaccins est édifiante. Pourquoi se cantonner aux seules données françaises, dont la présentation est particulièrement opaque alors que la promotion des vaccins s’est faite sur la base des données mondiales ? L’explication est peut-être à trouver ici :

D’autres signaux sont éminemment préoccupants, notamment :

  • La multiplication des études portant sur des séries de cas cliniques et/ou des mécanismes physiopathologiques pouvant expliquer l’incidence de ces effets secondaires : plus de 1 000 selon une revue de la littérature (non exhaustive) actualisée au 10 janvier 2022. À titre d’exemple, une étude parue le 3 avril 2022 dénonce, encore une fois, une toxicité cardiaque des vaccins COVID-19 « sans précédent » selon les auteurs [65].
  • Les premières autopsies de personnes vaccinées réalisées en Allemagne [16, 17, 66, 67] et aux États-Unis [18] : les pathologistes alertent depuis plus de six mois sur leurs découvertes (lésions inédites, incidence hors norme de décès de personnes jeunes, notamment mineures).
  • La réévaluation du nombre d’effets indésirables déclarés dans en pharmacovigilance sur la base d’une série d’études [28-33, 63, 64] et, de manière plus inquiétante, sur les données des assureurs allemands : 10 fois plus d’effets secondaires selon l’assureur allemand BKK ProVita. L’un des plus éminemment pathologistes au monde, le Dr Peter Schirmacher, qui a réalisé les toutes premières autopsies de personnes vaccinées alertait à nouveau le 23 mars 2022 30 % des décès suspects imputables au vaccin dans sa pratique, de nombreux cas probablement non signalés et l’inefficacité de la vaccination obligatoire en population générale.
  • L’identification régulière de nouveaux signaux potentiels de sécurité : aphasie postvaccinale (52 en 2019 vs 3 057 rattachés au COVID), pemphigoide bulleuse auto-immune, déjà évoquée comme possible effet secondaire en octobre 2021 (série de cas, dont un mortel), troubles auditifs (l’OMS se décide à enquêter), ces signaux viennent compléter une liste hors norme de pathologies postvaccinales (plus de 1 200 types d’effets secondaires surveillés par Pfizer, recrutement de 1 800 employés supplémentaires pour analyser les signalements d’effets secondaires) [68, p. 6, 30-38].
  • La publication des premières études visant à comparer les effets secondaires des vaccins contre le COVID et du vaccin contre la grippe [69]. Le résultat est sans appel :

« La dyspnée, l’arrêt respiratoire, l’embolie pulmonaire, l’infarctus du myocarde, la thrombose, les hémorragies cérébrales et la pneumonie étaient les effets indésirables les plus fréquemment mentionnés dans les rapports de décès. […] Il existe un important excès de risque de décès, d’hospitalisation et de rapports mettant en jeu le pronostic vital pour tous les vaccins COVID-19 par rapport aux vaccins antigrippaux. »

Que se passe-t-il avec le vaccin Pfizer, alors même que la FDA, dont le directeur général a récemment divulgué comment les laboratoires négociaient l’homologation de leurs produits (ce que confirme la lettre d’accompagnement du virement adressé par Pfizer à l’attention de la scientifique principale de la FDA, le Dr Marion Gruber, qui a démissionné de son poste en novembre 2021 après avoir approuvé le vaccin Pfizer et dont l’époux est le vice-président de la recherche et développement clinique des vaccins), a dû être contrainte par la justice de divulguer les données cliniques de la vaccination Pfizer (en cours de publication).

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1494059501070479360

Les études montrent par ailleurs aujourd’hui que :

  • les effets secondaires sont majorés en cas de vaccination d’une personne ayant été précédemment infectéeOn le sait depuis septembre 2021 : comment comprendre le slogan « Une injection = une infection », considéré comme aberrant par un grand nombre de scientifiques ? [70]
  • les injections répétées induisent une fatigue du système immunitaire et/ou une auto-immunité systémique [71-74]. On le sait en réalité depuis une étude de 2009 selon laquelle : « Une immunisation répétée avec un antigène provoque une auto-immunité systémique chez des souris autrement non sujettes à des maladies auto-immunes spontanées. » [74] Sur quels fondements scientifiques reposent les boosters, actuellement contestés par l’EMA et l’OMS ?
  • le PDG de Moderna l’a d’ailleurs confirmé en 2016 en mettant en cause l’exposition répétée aux nanoparticules lipidiques :

« Ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si un patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années. »

  • le mécanisme vaccinal auquel se réfère le ministre de la Santé a été démenti il y a plusieurs mois : la protéine Spike est non seulement toxique [75-84] mais elle atteint l’ensemble des organes [85-93] (c’est écrit noir sur blanc dans les AMM de Pfizer et de Moderna [93, p. 47]) où elle persiste pendant au moins 60 jours [94, 95] sans qu’on sache si le corps l’éliminera un jour ni pendant combien de temps l’ARNm de synthèse injecté continue d’en produire [96].

Cet échange entre deux médecins concernant l’explosion des décès dans l’Armée américaine devrait logiquement glacer le sang de tout ministre de la Santé :

« Il y a une augmentation de 4 133 % des notifications de décès de militaires dans VAERS (pharmacovigilance vaccinale) entre 2020 et 2021 ! […] Le Dr Theresa Long (lanceuse d’alerte) m’a dit que l’an dernier 88 soldats de Fort Bragg avaient été retrouvés morts dans leur lit ! »

Bénéfices individuels et collectifs imaginaires

Le miracle vaccinal s’est définitivement dissipé il y a plus de six mois :

  • les personnes vaccinées et non vaccinées transmettent le virus de la même manière [97-104] ;
  • une étude d’envergure a démontré en septembre 2021 que le nombre de contaminations n’est pas corrélé au niveau de la couverture vaccinale [105], les pays vaccinés étant au contraire ceux où le virus circule le plus (OMS).
  • l’Afrique enregistrait en octobre 2021 la baisse des nouveaux cas la plus significative malgré un niveau de vaccination le plus faible dans le monde alors que l’Europe rapporte le taux d’incidence hebdomadaire des cas le plus élevé (OMS). À titre d’exemple, le Nigeria, pionnier dans le recours aux traitements précoces, totalise 3 142 morts pour une population de 206 millions d’habitants (136 fois moins qu’en France) malgré le taux de vaccination le plus faible au monde (8 %).

Le variant Omicron a définitivement rebattu les cartes :

  • en France, le taux d’incidence est actuellement le plus élevé en Bretagne, région la plus vaccinée. Son plus bas niveau est a contrario observé en Guadeloupe, département le moins vacciné. Avec l’émergence du variant Omicron, on parle désormais d’une efficacité négative du vaccin sur les contaminations.
  • en Norvège, une étude vient de chiffrer l’efficacité du vaccin chez les adolescents deux mois après leur deuxième dose : 23 % [106], confirmant les résultats de l’étude danoise de décembre 2021 qui avait déjà montré que les personnes doublement vaccinées s’infectent désormais plus que les personnes non vaccinées (efficacité négative de – 76,5 % pour le vaccin Pfizer et – 39,3 % pour le vaccin Moderna) [107].
  • les données récentes de la littérature pointent au contraire une contribution majeure du vaccin dans le développement de formes graves (anticorps facilitants, patients immunodéprimés jamais inclus dans les essais cliniques…), les décès causés par Omicron touchant essentiellement des personnes vaccinées (> 94 %), quasi exclusivement de plus de 60 ans.
Statistiques des décès COVID France par statut vaccinal, décembre 2021, issues de la Drees

Le mythe de l’épidémie de vaccinés est désormais une illusion à ce point criante qu’aucun Français, y compris vacciné, ne peut décemment croire en une quelconque utilité du passe sanitaire.

Comment comprendre dès lors la volonté d’Olivier Véran et du Président de la République de continuer à imposer une obligation vaccinale, illégale au regard du droit européen, au nom d’un risque sanitaire qu’aucune donnée scientifique ne soutient plus désormais, sans s’alarmer à aucun moment ni de la gravité des alertes émises par les scientifiques, ni du poids que font peser sur l’hôpital et sur la société les effets secondaires des vaccins dont Olivier Véran a lui-même reconnu que 24 % d’entre eux étaient des effets secondaires graves ? Jusqu’à combien de doses sont-ils prêts à aller avant de reconnaître que ces vaccins ne sont pas efficaces, s’interrogeait à voix haute un professeur de biologie il y a déjà six mois ? [108]

Israël, laboratoire à ciel ouvert de la vaccination Pfizer avait déjà prévenu en août 2021 : « Ne pensez pas que les boosters sont la solution. » [109] La toute dernière étude du New England Journal of Medicine parue le 5 avril 2022 [110] le confirme pour la quatrième dose, avec :

  • une chute de l’efficacité à près de 10 % en deux semaines ;
  • qui commence à s’effriter après 4 semaines ;
  • qui reste relativement élevée contre les formes graves mais jusqu’à la 6e semaine seulement.

Chacun jugera s’il souhaite ou non se faire inoculer une quatrième fois en un an, en fonction de son risque individuel, mais il doit pouvoir décider en connaissance des risques. Selon le pathologiste Ryan Cole dont nous publions une interview il y a quelques semaines [60], la balance ne plaide pas en faveur d’une énième injection.

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1512309617522528259

Jacques Cohen, Pr émérite à l’URCA de Reims et immunologiste, le confirme d’ailleurs et exprime ses craintes concernant de futures injections : « On a vacciné avec un certain nombre d’incidents. Mais si on met une troisième dose, là, c’est un peu tenter le diable, c’est-à-dire augmenter le taux d’effets secondaires. » Les Dr Michael Palmer et Sucharit Bhakd du collectif Doctor for ethics l’expliquaient dans un article publié le 10 janvier 2022 [111].

La « réactogénicité plus sévère après la 2e dose » figure déjà parmi les signaux actuellement sous surveillance de l’ANSM. Sur quels critères scientifiques est-elle imposée aujourd’hui aux Français, il y a quinze jours au plus de 80 ans, depuis aujourd’hui au plus de 60 ans, et demain ?

L’ombre de la méthode McKinsey ?

Aucun médecin ne peut lucidement soutenir aujourd’hui un programme de vaccination non ciblée, encore moins l’imposer à la population. Aucune institution garante de la Constitution ne peut permettre une telle dérive et une telle entorse au droitpiétant plus de 10 textes de lois, dont le Code de Nuremberg. C’est précisément l’intelligence diabolique du passe sanitaire, qui présente accessoirement l’avantage pour le Gouvernement de ne pas avoir demain à indemniser les victimes, du moins si l’on en croit le rejet de l’amendement proposé par le sénateur Alain Houpert visant à corriger cette injustice puisqu’Olivier Véran a assuré le contraire, comme il avait assuré le 23 décembre 2020 que la vaccination ne serait jamais obligatoire et le passe sanitaire, limité aux événements exceptionnels :

Pourquoi en sommes donc nous là aujourd’hui ? Pourquoi des doses continuent-elles d’être commandées ? Pourquoi les Français doivent-ils vivre avec l’angoisse de devoir se soumettre à des injections objectivement délétères, sans aucune raison apparente ?
Est-on en droit de parler d’escroquerie ou de tromperie aggravée compte tenu de l’absence d’impact des vaccins sur la mortalité COVID, pourtant revendiquée dans l’AMM pour justifier la précipitation de sa mise sur le marché [1] ?

Le conflit d’intérêts entre le président du Conseil constitutionnel et le cabinet McKinsey est connu depuis des mois. On apprend aujourd’hui à la faveur du contexte électoral que c’est le même cabinet McKinsey qui assure depuis l’origine le pilotage de la stratégie vaccinale française sous la tutelle du ministre de la Santé.

Premier problème, des membres de McKinsey accompagnent gracieusement Emmanuel Macron depuis la création d’En marche ! dont plusieurs cadres sont également des associés du cabinet.

Y a-t-il eu appel d’offres ? On l’ignore, mais si tel est le cas, jamais il n’aurait pu être remporté par un prestataire dont le siège est basé dans un paradis fiscal, en l’occurrence le Delaware. Le Paquet national financier enquête, mais déjà certains s’interrogent.

Est-ce McKinsey qui a recommandé d’interdire aux médecins de prescrire, y compris pour eux-mêmes ou pour les proches ?
Lui a-t-il le cas échéant également dicté la liste des molécules censurées ?
Le gouverneur du Kansas vient de réhabiliter leur utilisation et de requalifier en « négligence délibérée » le refus de prescrire ou de délivrer de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité est à leurs yeux avérée :

Est-ce le cabinet McKinsey qui a suggéré que l’on remplace l’évaluation clinique des patients par des tests PCR dont on savait depuis le début qu’ils ne permettent pas d’identifier si une personne est contagieuse ou malade et dont on sait aujourd’hui qu’ils ont effectivement produit un nombre de faux positifs estimé dans certains pays à… 97 % ? (§ 17, iii du jugement rendu par la Cour d’appel de Lisbonne le 11/11/2020) ?

Est-ce également lui qui a proposé que les médecins puissent administrer du rivotril hors AMM sur la base d’un test PCR ?

Est-ce enfin le cabinet McKInsey qui a conseillé au Sénat de rejeter la demande du Pr Toubiana qui réclamait un accès complet aux statistiques de mortalité toutes causes confondues en fonction du profil de vaccination ? Peut-on parler d’« obstruction » comme le pense son auteur ?

Est-ce le cabinet McKInsey qui a encouragé les confinements dont l’échec est aujourd’hui acté [112-114] et dont le retentissement dramatique sur l’économie et la santé mentale autorise à le qualifier de « barbare » ?
Combien de Français se sont fait vacciner pour ne plus jamais revivre ça, combien de jeunes l’ont fait en toute confiance suite aux déclarations d’Olivier Véran ?
On se souvient du slogan qu’il avait utilisé, lors de la visite d’un vaccinodrome :

« Le vaccin est 100 % efficace contre les confinements » ?

Second problème, McKinsey est également actionnaire du laboratoire Pfizer [115, p. 262] dont il a assuré le placement des vaccins dans 78 pays (c’est en tout cas le nombre de pays où il est implanté), via les mandats de vaccination et les passeports sanitaires. Autrement dit, des obligations vaccinales déguisées reposant sur trois piliers fondamentaux : la pression économique, sociale et morale, le refus de soins pour les personnes non vaccinées et la confiance dans le vaccin. Or c’est là que les choses se compliquent.

Faut-il voir dans les mensonges d’Olivier Véran et dans les provocations du Président de la République à l’encontre des non-vaccinés une manière de responsabiliser les Français, quoi qu’il en coûte pour leur santé, ou bien plutôt une méthode de vente agressive ? McKinsey était-il informé des conclusions de l’essai clinique, dont la publication récente des données,sur ordre de la justice confirment selon Philip G. Kerpen ce que les scientifiques ont mis depuis en évidence :

  • Des effets secondaires plus graves et plus fréquents chez les plus jeunes, qui tendent à augmenter en fonction de la dose (p. 324)
  • Une baisse de l’immunité les deux jours suivant l’injection, persistante pendant sept jours (p. 319)
  • Pas ou peu de bénéfices chez ceux ayant déjà contracté le COVID.

Si tel était le cas, Olivier Véran l’était-il également ? La récente nomination (26 août 2021) au poste de directeur de l’Innovation de Pfizer de l’ancien consultant de McKinsey, Aamir Malik, alors en poste lors de la campagne de 2017 interdit-elle de le penser ?

Accélérer alors que tous les signaux sont au rouge, c’est en substance la méthode qu’a utilisée le cabinet McKinsey lors de la crise des opioïdes pour aider l’entreprise Purdue Pharma à augmenter ses ventes. Les décès par overdose augmentent et dissuadent les pharmaciens de maintenir la distribution d’Oxycontin ? Offrez-leur des rabais ! Cynique ? Oui. Bilan : 500 000 morts, un recul de l’espérance de vie des Américains et le plus gros scandale sanitaire de ce siècle. McKinsey sera condamné par la justice, en pleine crise du COVID, peu avant d’être reconduit dans ses missions par le Gouvernement, et s’engagera à ne plus conseiller aucune entreprise pour placer ses produits.

Les passeports sanitaires seraient-ils une alternative relevant du même procédé ? La justice le dira, une plainte a été déposée par plusieurs associations pour « corruption » et « recel de favoritisme ». Mais on ne peut que s’étonner du mimétisme entre la stratégie vaccinale française et celle adoptée pour le compte de Purdue Pharma puisque, depuis la promesse de ne pas imposer la vaccination aux Français et de limiter le pass sanitaire à des situations exceptionnelles, la réponse du Gouvernement face à la terreur des Français de se faire injecter le vaccin a toujours été la suivante :

  • élargir le nombre d’activités et de lieux soumis au pass sanitaire ;
  • augmenter le nombre d’injections requises pour son maintien ;
  • réduire arbitrairement la durée d’immunité sans jamais tenir compte des alertes émises par la communauté scientifique.

Il manquait en effet une explication rationnelle permettant de comprendre comment un ministre de la Santé avait pu mentir aux Français avec un tel aplomb et leur faire courir de tels risques.

Faut-il en conclure que l’acharnement vaccinal qu’ils subissent depuis un an et l’injonction qui leur est faite de se sacrifier au nom de l’intérêt supérieur de la nation n’a jamais eu d’autre finalité que de les transformer en produits de consommation de l’industrie pharmaceutique ?
Combien de millions ont-ils offerts aux laboratoires en leur permettant de tester gratuitement une nouvelle technologie et en effectuant pro bono le placement de leurs « vaccins » ?
Une compensation a-t-elle été négociée en échange de ce cadeau commercial ?

S’il y a une autre explication, il est urgent de la donner.

Références

  1. European Medicines Agency (EMA). Assessment report. Comirnaty: Common name: COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) Procedure No. EMEA/H/C/005735/0000. 2021 Feb 19. EMA/707383/2020 Corr.1*1 https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf.
  2. Institut Paul-Ehrlich. Rapport sur les cas suspects d’effets secondaires et de complications vaccinales après vaccination pour se protéger contre le COVID-19 (période de déclaration du 27 décembre 2020 au 31 août 2021). Langen. 2021 Szpt 20. https://www.pei.de/SharedDocs/Downloads/DE/newsroom/dossiers/sicherheitsberichte/sicherheitsbericht-27-12-bis-31-08-21.pdf.
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  4. Prasad V. Myocarditis under age 40: An update. Brownstone Institute. 2021 Dec 28. https://brownstone.org/articles/myocarditis-under-age-40-an-update/.
  5. Patone M, et al. Risks of myocarditis, pericarditis, and cardiac arrhythmias associated with COVID-19 vaccination or SARS-CoV-2 infection. Nature Medicine. 2021 Dec 14. DOI: 10.1038/s41591-021-01630-0.
  6. Mevorach D, et al. Myocarditis after BNT162b2 mRNA vaccine against Covid-19 in Israel. N Engl J Med. 2021; 385:2140-2149. DOI: 10.1056/NEJMoa2109730.
  7. Chua GT, et al. Epidemiology of acute myocarditis/pericarditis in Hong Kong adolescents following comirnaty vaccination. Clinical Infectious Diseases. 2021 Nov 28. ciab989. DOI: 10.1093/cid/ciab989.
  8. Nuovo GJ, et al. Endothelial cell damage is the central part of COVID-19 and a mouse model induced by injection of the S1 subunit of the spike protein. Ann Diagn Pathol. 2021 Apr;51:151682. DOI: 10.1016/j.anndiagpath.2020.151682.
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  98. Riemersma KK, et al. Shedding of Infectious SARS-CoV-2 Despite Vaccination. [Excrétion du SRAS-CoV-2 infectieux malgré la vaccination] 2021 Oct 15. DOI: https://doi.org/10.1101/2021.07.31.21261387.
  99. Brown CM, Vostok J, Johnson H, et al. Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021. MMWR Morb Mortal Wkly Rep 2021;70:1059-1062. DOI: 10.15585/mmwr.mm7031e2
  100. MSNBC. Dr. Fauci: “The CDC Hasn’t Changed, The Virus Has Changed”. 28/07/2021. https://www.youtube.com/watch?v=8Vgn43Ly-L8.
  101. Covid-19 Impfstoffe: Das israelische Fernsehen lässt die Bombe platzen [Vaccins contre le C vid-19 : la télévision israélienne largue la bombe]. 2021 Sept 27. https://uncutnews.ch/covid-19-impfstoffe-das-israelische-fernsehen-laesst-die-bombe-platzen/.
  102. Mallapaty S. COVID vaccines cut the risk of transmitting Delta — but not for long [Les vaccins COVID réduisent le risque de transmission de Delta – mais pas pour longtemps]. Nature. 2021 Oct 5. https://www.nature.com/articles/d41586-021-02689-y#ref-CR1.
  103. Servellita V, et al. Predominance of antibody-resistant SARS-CoV-2 variants in vaccine breakthrough cases from the San Francisco Bay Area, California. 2021 Aug 25. DOI: https://doi.org/10.1101/2021.08.19.21262139.
  104. Singanayagam A, et al. Community transmission and viral load kinetics of the SARS-CoV-2 delta (B.1.617.2) variant in vaccinated and unvaccinated individuals in the UK: a prospective, longitudinal, cohort study. Lancet Infect Dis. 2021 Oct 29;S1473-3099(21)00648-4. DOI: 10.1016/S1473-3099(21)00648-4.
  105. Subramanian SV, Kumar A. Increases in COVID-19 are unrelated to levels of vaccination across 68 countries and 2947 counties in the United States. Eur J Epidemiol. 2021 Sept 30. DOI: 10.1007/s10654-021-00808-7.
  106. Veneti L, et al. Vaccine effectiveness with BNT162b2 (Comirnaty, Pfizer-BioNTech) vaccine against reported SARS-CoV-2 Delta and Omicron infection among adolescents, Norway, August 2021 to January 2022. Mar 2022. DOI: 10.1101/2022.03.24.22272854.
  107. Hansen HC, et al. Vaccine effectiveness against SARS-CoV-2 infection with the Omicron or Delta variants following a two-dose or booster BNT162b2 or mRNA-1273 vaccination series: A Danish cohort study. 20/12/2021. DOI: 10.1101/2021.12.20.21267966.
  108. Bio Moon. Pfizer n’est pas Pasteur : la troisième dose, et après? FranceSoir. 2021 Oct 30. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pfizer-nest-pas-pasteur-la-3eme-dose-et-apres.
  109. Wadman M. A grim warning from Israel: Vaccination blunts, but does not defeat Delta. Science. 2021;373(6557). https://www.science.org/content/article/grim-warning-israel-vaccination-blunts-does-not-defeat-delta.
  110. Bar-On YM, et al. Protection by a fourth dose of BNT162b2 against Omicron in Israel. N Engl J Med. 2022 Apr 5. DOI: 10.1056/NEJMoa2201570.
  111. Palmer M, Bhakdi S. M Elementary, my dear Watson: why mRNA vaccines are a very bad idea. Doctors for COVID Ethics. 10/01/2022. https://doctors4covidethics.org/elementary-my-dear-watson-why-mrna-vaccines-are-a-very-bad-idea/.
  112. Drustan JY. Évaluation scientifique d’une idéologie sanitaire. LePointCritique. 2022 Mar 4. https://lepointcritique.fr/2022/03/04/evaluation-scientifique-ideologie-sanitaire/.
  113. Bendavid E, Oh C, Bhattacharya J, Ioannidis JP. Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19. Eur J Clin Invest. 2021 Apr;51(4):e13484. DOI: /10.1111/eci.13484.
  114. Alexander PE. Plus de 400 études sur l’échec des interventions Covid obligatoires (confinements, restrictions, fermetures). Browstone Institute. 2021 Nov 30. https://brownstone-org.translate.goog/articles/more-than-400-studies-on-the-failure-of-compulsory-covid-interventions/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=op,wapp.
  115. Assassi É, Bazin A (dir.). Rapport fait au nom de la commission d’enquête (1) sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques sur « Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques ». Rapport no 578, remis à M. le Président du Sénat le 16 mars 2022. https://t.co/oaaxcBw0wp.

Le site lepointcritique.fr ne se fixe pour mission que d’informer le public. Il n’a donc en aucun cas vocation à se substituer ni à un avis ni à un diagnostic médical, encore moins à conseiller ses lecteurs sur l’usage ou le non-usage d’un médicament.




Les venins dans nos médicaments : treize FAITS irréfutables sur le venin de serpent, Big Pharma et les armes biologiques

[Source : numidia-liberum]

Par Mike Adams

(Natural News) Alors que le concept de « théorie du venin » s’est répercuté dans le monde cette semaine, de nombreuses personnes sont choquées de réaliser combien de médicaments pharmaceutiques sont dérivés presque entièrement du venin de serpent à sonnette, du venin de reptile Gila Monster, du venin de vipère, du venin de scorpion et d’autres sources de ce type.

Un médicament contre la douleur nommé Prialt (voir Prialt.com) est en fait synthétisé en copiant le poison de l’escargot à cône magique (conus magus). Ce poison produit des hallucinations, de la confusion, des états de conscience altérés et plus encore. La notice du médicament Prialt contient des avertissements bizarres tels que « Des patients sont devenus insensibles ou stupides pendant qu’ils recevaient PRIALT ».

Les patients rendus inconscients par le médicament peuvent sembler parfaitement conscients, presque comme s’ils étaient dans un état zombie. La notice d’avertissement explique : « Pendant ces épisodes, les patients semblent parfois être conscients et la respiration n’est pas déprimée. Si des niveaux de conscience réduits se produisent, arrêtez PRIALT jusqu’à ce que l’événement se résolve… »

Nous reconnaissons que des médicaments comme Prialt peuvent avoir des applications pratiques et bénéfiques pour les personnes souffrant de douleur chronique, mais qui sont incapables de prendre des opioïdes hautement addictifs pour diverses raisons. Cependant, nous contestons le fait que les sociétés pharmaceutiques et les médecins semblent cacher aux patients l’origine de ces médicaments. La plupart des médecins ne savent même pas que les toxines, les poisons et les venins sont utilisés comme modèles pour synthétiser des peptides extrêmement toxiques qui sont fréquemment utilisés dans les médicaments sur ordonnance, y compris les médicaments contre les crises cardiaques, le diabète, l’hypertension artérielle et plus encore.

Les venins de reptiles peuvent être militarisés et transformés en systèmes d’armes chimiques à grande échelle

Pire encore, ces venins de reptiles peuvent être transformés en armes et produits en masse, puis utilisés dans une attaque chimique à grande échelle contre la population en introduisant ces toxines dans les aliments, l’eau, l’air ou les surfaces de contact. Tout comme le fentanyl peut être transformé en arme par aérosolisation et livraison par drone, ces peptides de venin de reptile peuvent également être transformés en armes et utilisés pour assassiner en masse un grand nombre de personnes.

Certains observateurs pensent que cela s’est déjà produit et que les « vaccins » à ARNm actuellement injectés aux personnes pourraient déposer des instructions pour la synthèse des peptides de venin dans les cellules du corps. Si c’est vrai, cela transformerait votre corps en une usine à venin reptilien de l’intérieur.

Cela pourrait également expliquer pourquoi tant d’effets secondaires des vaccins covid semblent s’aligner si étroitement sur les effets connus de l’envenimation (être mordu par un serpent, une vipère, un scorpion, etc.).

Le Dr Bryan Ardis couvre cela en détail dans la partie 3 de ma récente entrevue avec lui. Beaucoup de gens disent que cette troisième partie est de loin la plus informative, et tout est soutenu par une recherche scientifique méticuleuse :

Brighteon.com/0d74ac38-dcf9-44e6-99f6-96c6a59abcf9



Comme l’explique ToxinTech.com sur leur site Web, vantant le potentiel pharmaceutique des peptides de venin dans leur bibliothèque :

La fonction biologique des venins d’animaux est d’immobiliser et de tuer des proies ou des prédateurs en quelques secondes à quelques minutes… les toxines de venin ciblent… les fonctions neuromusculaires, cardiovasculaires, hémostatiques et autres. Les toxines se lient aux cibles avec une haute affinité et sont chimiquement stables.

Pour mémoire, nous n’attribuons pas d’intention néfaste de la part de ToxinTech. Cependant, nous reconnaissons que la bibliothèque de venins de ToxinTech peut être exploitée et mal utilisée par de mauvais acteurs pour créer des armes de destruction massive, toutes basées sur des peptides de venin conçus pour tuer.

Fait intéressant, l’image de la page d’accueil de ToxinTech pose une question plutôt directe qui pourrait facilement être mal interprétée : les toxines conçues… une cible ?

Dans le contexte des biosciences, cela signifie une cible moléculaire telle qu’une voie ou un canal enzymatique spécifique tel que les canaux calciques ou les canaux sodiques. Mais dans l’esprit d’un mauvais acteur aux intentions néfastes, il pourrait souhaiter cibler l’humanité, par exemple, avec une arme de dépopulation à base de venin.

13 faits irréfutables sur le venin de serpent, Big Pharma et les armes biologiques

Nous avons passé une grande partie de cette semaine à faire des recherches sur l’industrie des peptides de venin, et ce que nous avons trouvé est plutôt étonnant. En fait, je pense que c’est l’un des plus grands faits de l’histoire de la médecine pharmaceutique moderne. Voici ce que nous savons jusqu’à présent :

Fait #1 — Big Pharma utilise régulièrement du venin et des peptides de venin pour la découverte de médicaments. Environ 150 000 espèces animales sont connues pour produire des toxines, et les scientifiques estiment qu’il existe 20 millions de toxines (seule une petite fraction a été étudiée).

Fait #2 – Des bibliothèques à venin massives existent déjà (plus de 20 000 peptides de venin) et sont commercialisées auprès de l’industrie pharmaceutique pour la découverte de médicaments. Deux de ces sociétés sont Venomtech (Royaume-Uni) et ToxinTech (États-Unis).

Fait #3 —Une société de bibliothèque de venins célèbre la façon dont ses venins pour Big Pharma sont capables « d’immobiliser et de tuer des proies… en quelques secondes ou minutes ». Ils expliquent que les venins sont « perfectionnés par des millions d’années d’évolution » afin de cibler « les fonctions neuromusculaires, cardiovasculaires, hémostatiques et autres ». (Page d’accueil de ToxinTech.com, du 14 avril 2022) Cela signifie que les sociétés de licences de bibliothèques de venins reconnaissent la toxicité des composés qu’elles proposent aux sociétés pharmaceutiques. En fait, ils le déclarent dans leurs propres documents de marketing.

Fait #4 – Les venins de reptiles peuvent être transformés en armes biologiques. Les séquences de protéines sont fournies par les sociétés de bibliothèques de venins, ce qui permet la recherche sur le gain de fonction pour transformer les peptides de venin en charges utiles virales ou en thérapies d’ARNm. Parce que les venins sont des poisons, la connaissance de la façon de concevoir et de synthétiser ces poisons au niveau des acides aminés est également une connaissance de la façon de fabriquer des armes biologiques ou chimiques.

Fait #5 —Des dizaines de produits pharmaceutiques entièrement dérivés de venin animal existent déjà. Beaucoup sont approuvés par la FDA. Un tableau complet a été publié par Natural News et est également présenté ci-dessous.

Fait #6 — Big Pharma semble CACHER les origines du venin de leurs produits, faisant peu ou pas de divulgations sur les sites Web de marketing sur l’origine réelle de leurs médicaments. Il faudrait lire les notices et comprendre les noms latins pour savoir que leurs médicaments proviennent de venin animal.

Fait #7 — Presque aucun médecin ou patient ne connaît les origines du venin des médicaments dérivés du venin. Ainsi, les patients avalent de véritables molécules de venin de reptile, mais leur médecin leur dit qu’il s’agit d’un « médicament ». L’approbation par la FDA d’un venin en tant que médicament ne le transforme pas comme par magie en quelque chose de non toxique. La toxicité est simplement recadrée comme « thérapeutique » par la FDA, qui confie alors à la société pharmaceutique un monopole de marché pour vendre une molécule qui a été en fait piratée dans la nature.

Fait #8 —Les molécules de venin et les peptides de venin sont synthétisés en masse dans les usines pharmaceutiques. C’est une pratique courante. Ceci est mentionné par de nombreuses ressources scientifiques et bioscientifiques, y compris le Forum économique mondial.

Fait n° 9 —Les venins et les peptides de venin sont synthétisés comme « chimiquement stables » (ToxinTech.com) et sont régulièrement administrés via des solutions liquides sans aucun agent de conservation. (Ils n’ont pas besoin de conservateurs spéciaux pour maintenir leur structure et leur fonction.) Des nanoporteurs sont également disponibles pour stabiliser davantage les peptides de venin. (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31223083/).).

Fait n° 10 – Les venins peuvent être présentés par les sociétés pharmaceutiques comme « d’origine naturelle », car ils le sont. Pourtant, cette étiquette peut être trompeuse puisque les gens assimilent le mot « naturel » à « sain » ou « sûr ».

Fait #11 — Parce que les peptides de venin sont stables en solution, ils peuvent être transformés en armes et produits en masse, puis distribués via l’air, l’eau, les aliments ou les surfaces de contact. Cela signifie qu’il est tout à fait plausible qu’un empoisonnement de masse via des peptides de venin puisse être réalisé via l’approvisionnement en eau, ou l’approvisionnement alimentaire, ou largué sur des villes via des drones, etc. Ce ne sont pas du tout des idées farfelues. Le département américain de la Sécurité intérieure (DHS) a récemment mené des tests de simulation d’armes chimiques à New York, libérant du « gaz non toxique » dans les parcs de la ville et les stations de métro afin d’étudier cette chose même. S’il s’agit d’une « théorie du complot folle », alors quelqu’un doit le dire au DHS, car ils ont foré pour ce scénario exact.

Fait #12 — Certaines toxines pénètrent dans la peau et peuvent être absorbées simplement par le TOUCHER. (Pas un venin, mais une toxine ou un poison.) Tout cela a été admis dans une proposition de l’Ecohealth Alliance à la DARPA, comme indiqué dans cette histoire : Un document DARPA divulgué, une analyse DRASTIC confirme l’attaque contre l’humanité à l’aide de protéines de pointe de nanoparticules en aérosol et pénétrant dans la peau.

Fait #13 —Les venins et les peptides de venin produits pour l’industrie pharmaceutique sont si stables qu’ils survivent à l’acide gastrique, ce qui signifie que les peptides de venin sont stables en solution, y compris dans des solutions plutôt acides (réactives). Cela signifie qu’ils ne se décomposent pas automatiquement dans l’eau de la ville non plus. Si les toxines de venin n’étaient pas des molécules hautement stables, elles ne seraient pas de très bons venins en premier lieu. Comme l’explique ToxinTech, « des millions d’années d’évolution » ont perfectionné la fonctionnalité de ces molécules.

Voici une liste de certains des produits pharmaceutiques dérivés du venin, provenant à l’origine de The Encyclopedia of Toxicology, 3e édition, vol. 1 :

Le podcast de la mise à jour de la situation d’aujourd’hui traite des venins, de Big Pharma, des vaccins, de la transfection d’ARNm, du transhumanisme animal-reptile et plus encore :

Brighteon.com/9c7dbfe4-8acb-424d-be9c-2e12e556d19d




Maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale, une épidémie dans l’épidémie ?

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

Les signalements de cas suspects de maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale se multiplient depuis le mois d’octobre en France et dans le monde. Nous avons recensé une dizaine d’études documentant un possible lien avec le vaccin, mais celui-ci est formellement réfuté par l’ANSM. La précipitation de l’État à écarter cette hypothèse l’expose-t-elle demain à un nouveau scandale sanitaire ?

Le 15 octobre 2021, la France entière découvrait sur CNews l’histoire de Mauricette Doyer, cette femme de 72 ans ayant déclaré une forme atypique de maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) 15 jours après sa deuxième injection du vaccin Pfizer-BioNTech. Depuis la diffusion de son témoignage, son mari ne cesse d’alerter les autorités sanitaires et de recevoir des messages de proches de personnes vaccinées (une quarantaine à ce jour) relatant strictement le même récit, caractérisé par les mêmes symptômes et la même chronologie.

Ce lien entre les vaccins à ARN messager et la survenue d’une maladie à prions est-il suffisamment plausible pour être pris en compte par les autorités sanitaires ? Le ministère de la Santé a-t-il, à défaut de respecter le principe de précaution qui prévaudrait ici, agi conformément à ce qu’exigerait l’éthique ou plus prosaïquement la loi au regard de la spécificité de cette maladie à déclaration obligatoire ? C’est ce que nous avons cherché à comprendre.

La réponse du corps médical : écoute-t-on les bonnes personnes ?

À défaut de l’être par les autorités de santé (Olivier Véran n’a jamais pris la peine de contacter Marc Doyer, malgré son engagement à le faire), la situation particulière de Mauricette Doyer a interpellé le Pr Luc Montagnier, biologiste virologue, prix Nobel de médecine en 2008, qui alerte depuis des mois sur un possible lien entre les injections d’ARN messager (ARNm) et le déclenchement de la maladie de Creutzfeldt-Jakob :

« Cette maladie est très rare, normalement, quand elle est sporadique, c’est un cas sur un million. Là, c’est un groupe de 7 personnes indépendantes les unes des autres avec des médecins différents qui sont atteints de cette maladie. Le facteur commun est qu’ils ont été vaccinés par deux doses de vaccin Pfizer. C’est à la deuxième dose que ça apparaît des petits signes et puis les signes généraux de la maladie apparaissent. On ne peut pas prouver que c’est causé par les vaccins, mais il faut quand même regarder cette hypothèse. Parce que le seul facteur commun entre ces personnes, c’est d’avoir été vacciné par le même vaccin. »

Sud Radio, 17 novembre 2021

[Note de Joseph :
De nombreux articles indiquent la présence de graphène et d’éléments métalliques divers dans les vaxins.
Et l’article Explication de la maladie de la vache folle suggère la véritable cause probable de la maladie de Creutzfeldt-Jakob et de celle de la Vache folle. Il s’agirait de la conjugaison de certains métaux (comme le manganèse), de facteurs oxydants (chimiques — provenant par exemple de pesticides —, mais aussi électromagnétiques — UV, radars, micro-ondes de smartphones et autres, etc.)]

Le Pr Luc Montagnier faisait état en décembre 2021 de 21 décès survenus sur le territoire national post injection [1]. Peu avant son décès, il évoquait 40 cas suspects. Sans accuser formellement les vaccins, il questionne, car il n’est pas possible de fermer les yeux aujourd’hui. La responsabilité du vaccin dans la survenue de ces cas peut-elle être pour autant établie à ce stade ? Le cas échéant, s’agit-il d’un effet secondaire connu des vaccins ?

« Il y a visiblement un sujet commun au niveau mondial »

Selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude ancienne directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et accessoirement l’une des plus grandes spécialistes de l’ARN messager, on ne peut pas parler d’« effet connu » compte tenu de l’incidence extrêmement faible de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, mais la proximité de survenue de ces cas avec les injections est a minima inquiétante.

Interrogée par Clémence Houdiakova sur Radio Courtoisie, elle évoque un « pic d’intérêt » sur Internet (Google Trends) pour cette maladie rarissime, le dernier – de bien moindre amplitude – ayant été observé en 2016, ce qui l’amène à conclure que le cas de Mauricette n’est sans doute pas un cas isolé : « Il y a visiblement un sujet commun au niveau mondial, le dernier pic étant daté du 19 octobre 2021. »

Au Canada, les autorités sanitaires du Nouveau-Brunswick ont en effet annoncé l’ouverture d’une enquête sur une maladie d’atrophie cérébrale présentant des similarités avec la MCJ et ayant touché 42 personnes, dont 5 sont décédées. Faut-il voir là encore un possible lien avec le vaccin ?

Un faisceau d’indices en faveur d’un possible lien

C’est sans doute prématuré pour le dire, la presse évoque au contraire la piste d’un élevage de homards et l’utilisation d’un produit phytosanitaire. Dans le cas de Mauricette, ce lien a été établi a minima par son médecin traitant qui mettra un mois et demi avant de déclarer son cas à la pharmacovigilance comme cas suspect de maladie de Creutzfeldt-Jakob. Elle dénombre dans sa patientèle une seconde personne vaccinée ayant développé un tableau clinique similaire, également à proximité de l’injection.

La neurologue C. Moret Chalmin qui a étudié une dizaine de ces cas, dont celui de Mauricette exclut tout concours de circonstances au regard de la similarité des tableaux cliniques (démence, dyspraxie, mutisme akynétique), de la parfaite superposition de leur courbe d’évolution temporelle et de l’impossibilité d’expliquer statistiquement un tel nombre de cas, dont certains ont également été détectés en Suisse et en Belgique.

Que répondent les autorités sanitaires et le corps médical ?

En marge des explications psychologisantes avancées par plusieurs médecins dans les médias, évoquant systématiquement la tentation de « rechercher un coupable » (S. Haïk), et donc d’incriminer le vaccin face à une maladie rarissime et « extrêmement mystérieuse » dont « on ne connaît pas encore bien le mécanisme », les hypothèses émises par le corps médical s’orientent systématiquement vers un diagnostic d’exclusion a priori du rôle du vaccin : « Elle l’avait en elle, elle l’a déclenchée lors de la vaccination » ; « On ne sait pas, on verra s’il y a une explosion des cas ». Que sait-on des enquêtes de pharmacovigilance conduites en France et de l’incidence de la maladie ?

 Le caractère de maladie à déclaration obligatoire exige le signalement immédiat et systématique de tout cas suspecté ou avéré aux autorités sanitaires 

Épidémiologie de la maladie : est-il trop tôt pour s’inquiéter ?

Un article paru dans Libération le 31 janvier 2022 prétend faire le point sur cette question. Concernant l’incidence de la maladie, les données épidémiologiques françaises ne confirmeraient pas « pour le moment » le signal évoqué par Marc Doyer : : « Les spécialistes interrogés par CheckNews assurent que les délais d’apparition de cette maladie rendent impossible tout lien avec la vaccination », explique Libération en introduction de l’article.

Plus de cas suspects relevés en quelques semaines qu’en 27 ans

Interrogé par le journaliste de Libération, Jean-Philippe Brandel, neurologue à la Pitié-Salpêtrière et coordinateur de la Cellule nationale d’aide à la prise en charge des maladies de Creutzfeldt-Jakob, explique qu’aucune augmentation de l’incidence de cas suspects ou avérés n’a été enregistrée en 2020 et 2021 au sein du Réseau national de surveillance de la MCJ, dont le caractère de maladie à déclaration obligatoire exige le signalement immédiat et systématique de tout cas suspecté ou avéré aux autorités sanitaires.

Il rappelle également que l’incidence de la maladie est particulièrement stable, en moyenne de 150 cas par an, selon la forme de la maladie :

  • sporadique (de survenue aléatoire) : en moyenne 100 cas/an en France ;
  • héréditaire (familiale ou génétique) : en moyenne 8 à 10 cas/an en France ;
  • acquise (par contamination), avec deux formes spécifiques : les MCJ iatrogéniques (112 cas recensés en France entre 1992 et 2004) et la variante de la MCJ (vMCJ, 28 cas diagnostiqués entre 1992 et 2019 en France, 200 dans le monde depuis 1995), dont la plus connue est l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), à l’origine de la maladie dite « de la vache folle ».

Aucune inquiétude donc pour le moment, mais une vigilance : « Il y a une surveillance active qui est en place, et l’on va continuer à surveiller de près si l’on y voit une augmentation significative du nombre de suspicions. Mais pour le moment, ça n’est pas le cas », précise dans le même article le Dr Stéphane Haïk, neurologue responsable de l’équipe Maladie d’Alzheimer-Maladies à prions au sein de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM) et coordonnateur du Centre national de référence des prions.

Et si ce n’était pas le hasard ?

Cette inquiétude serait en effet majeure si le vaccin pouvait être à l’origine des cas cités par Marc Doyer, qui évoquait récemment une incidence anormale de la maladie en Israël, pointée par un professeur du département de Neurologie de l’université de Tel-Aviv. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier cette information, les autorités sanitaires ont-elles cherché à le faire ?

Le ministre des Solidarités et de la Santé est en tout cas formel. Il a récemment menacé en plein hémicycle une ancienne députée de la majorité, médecin, de poursuites pénales pour avoir suggéré une possible implication du vaccin dans la survenue de ces cas, qu’il qualifie de « délire complotiste » auquel il oppose le « fait scientifique » :

« Délires complotistes » sur les vaccins : « Les mandats s’arrêtent un jour et ceux qui continuent à tenir ces propos là seront susceptibles d’en rendre compte devant la justice… je le dis pour madame @MartineWonner », rappelle @olivierveran. #DirectAN #Covid19 pic.twitter.com/mSCv6Zbh9M

LCP (@LCP) February 24, 2022

Elle le serait d’autant plus si ces cas avaient pu échapper aux radars de la surveillance épidémiologique en raison de leur atypicité et de l’incrédulité des médecins dénoncée par un nombre inquiétant de personnes ayant déclaré un événement indésirable à proximité des injections. Omerta, tabou… ce sont les termes qui reviennent dans de nombreux témoignages pour décrire le refus du corps médical d’envisager l’hypothèse d’un possible lien avec le vaccin, à l’instar de celui de l’épouse de Jean-Pierre Pernaut dont les médecins ne parviennent pas à expliquer les 4 accidents vasculaires cérébraux (AVC) consécutifs à l’injection de sa 3e dose, mais qui ont une seule certitude qui les empêche de procéder à des investigations plus poussées : ça ne peut pas être le vaccin.

« On ne remet pas en cause la vaccination »

Peut-on douter du manque de sincérité ou de lucidité du corps médical, et donc de l’exhaustivité des cas déclarés dans les bases de pharmacovigilance ? C’est ce que suggère en tout cas le Dr Amine Umlil, pharmacien et juriste en droit de la santé, responsable du centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques (CTIAP) de Cholet, qui alerte depuis plusieurs mois sur la défaillance et les entorses au droit de la pharmacovigilance dans le cadre de l’actuelle campagne de vaccination.

Il motivait en ces termes sa démission du Comité scientifique permanent de l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM), intervenue en novembre 2021, dénonçant un «  tabou bien intériorisé  » : « On ne remet pas en cause la vaccination. »

Sans pour autant reprendre cette hypothèse, que sait-on de l’intégrité des enquêtes de pharmacovigilance évoquées par le Pr Adnet lors de l’émission Touche pas à mon poste du 21 janvier 2022 (74’) et le Dr Martin Blachier qui martèle à chacune de ses interventions médiatiques que l’ANSM enquête sur l’ensemble des cas, comme ici à l’antenne de CNews le 15 octobre 2021 : « Dès qu’il y a un signalement sur quelque chose de très rare, ils investiguent, ils recherchent. »

L’Agence européenne des médicaments qui a homologué le vaccin mentionne clairement ce risque dans un document daté du 30 novembre 2020

Exclusion du rôle du vaccin : sur quelles bases s’est fondée l’ANSM ?

L’ANSM recense sur son site 6 cas de suspicion de MCJ déclarés après une vaccination, dont 4 avec le vaccin Comirnaty (Pfizer-BioNTech), 1 avec Spikevax (Moderna) et 1 avec Vaxzevria (AstraZeneca). Or l’Agence précise de manière contradictoire que « ces cas ont fait l’objet d’une analyse approfondie par les CRPV » mais que « s’agissant d’une pathologie d’évolution très lente, le comité de suivi considère que le court délai de survenue ne permet pas de retenir le rôle des vaccins contre la COVID-19 dans la survenue de ces cas », tout en rappelant que « les suspicions de MCJ sont des maladies à déclaration obligatoire [pour lesquelles] le diagnostic est complexe et long ».

Un risque théorique mais jugé minime par l’Agence européenne des médicaments

Au-delà de cette étrange contorsion rhétorique, deux éléments interrogent quant à l’arbitrage de l’ANSM et à la communication qu’elle organise sur son site, à destination du grand public dont elle pourtant garante de l’information loyale sur laquelle se fonde légalement l’exercice du consentement libre et éclairé sanctifié par le Code de la santé publique (articles L. 1111-4 et R. 4127-36, CSP) :

l’Agence européenne des médicaments (European Medical Agency, EMA) qui a homologué le vaccin mentionne clairement ce risque dans un document daté du 30 novembre 2020 : « La Protéinase K utilisée dans la fabrication de DS et bouillon LB utilisé dans l’établissement du pST4-1525 MCB et WCB sont les seuls matériaux d’origine animale utilisés dans la fabrication du BNT162b2. Le demandeur a identifié une contamination du produit par des agents de l’encéphalopathie spongiforme transmissible (EST) [maladie à prion] comme principal risque théorique associé à ces ingrédients, jugé minime » ;
les enfants de Mauricette Doyer ont fini par obtenir des autorités sanitaires une exemption de vaccination en raison d’un possible terrain familial pouvant favoriser le déclenchement de la maladie. L’État admet donc tacitement que le lien ne peut être à ce stade formellement exclu.

Le principe de précaution a-t-il été respecté ?

Pourquoi, au vu de ces éléments, l’ANSM a-t-elle choisi de poser aussi rapidement un diagnostic d’exclusion plutôt que de signaler l’existence d’un lien possible entre ces cas de MCJ et le vaccin – et donc d’un risque, fût-il exceptionnel –, ou de se contenter d’indiquer qu’une enquête est en cours ?

Les bonnes pratiques de communication sur la sécurité d’emploi des médicaments, décrites dans le chapitre 7 du Guide de bonnes pratiques de pharmacovigilance de février 2018, édité par l’ANSM indiquent en effet clairement que « la communication sur la sécurité d’emploi de médicaments » doit être « claire et adaptée aux destinataires afin de répondre à leurs attentes », « présentée de manière objective et non trompeuse », « présente[r] toujours le risque en perspective du bénéfice attendu » et « fai[re] état des éventuelles incertitudes ».

Le Code de la santé publique précise de son côté que toute personne a le droit d’être informée sur « les risques fréquents ou graves normalement prévisibles » que comportent « les traitements ou actions de prévention qui [leur] sont proposés » (art. L. 1111-2), y compris les risques exceptionnels, comme l’a rappelé le Conseil d’État (décision no 181899, séance du 10 décembre 1999). Ce cadre est-il aujourd’hui respecté ?

Il est possible qu’en injectant à nouveau ce vaccin, on augmente le risque. Donc le danger est là.

Luc Montagnier

L’exclusion du vaccin s’est faite sur un seul critère : le délai d’apparition de la maladie

L’article de Libération apporte un éclairage plus précis sur le motif d’exclusion par l’ANSM du rôle des vaccins dans la survenue de ces cas : « Lorsque la maladie apparaît quelques semaines ou quelques mois après une vaccination, il est impossible en l’état actuel des connaissances que ce soit lié à la transmission d’un prion ou à l’injection d’une molécule qui induirait une conformation anormale de la protéine prion. » (S. Haïk)

Pour la forme acquise de la maladie, le délai d’apparition varierait de 1 an minimum en cas de contamination infectieuse jusqu’à 10 à 15 ans en cas de contamination iatrogénique. Les délais seraient selon eux beaucoup plus longs si un composant du vaccin avait déclenché une anomalie sur une protéine prion. Quant à l’accélération du développement d’une maladie sous-jacente, évoquée par certains médecins, elle ne serait suggérée par aucune donnée selon les neurologues interrogés par Libération.

Restent donc deux hypothèses pour expliquer la survenue de ces cas :

  • un concours de circonstances orientant le diagnostic vers la forme sporadique de la maladie (la plus commune), ce qui serait cohérent avec la « banalité » de leur incidence. Mais elle paraît de fait exclue en raison de la similarité des cas et de leur déclenchement systématique deux semaines après une injection ;
  • une contamination induite par les vaccins ou l’un de ses composants. Cette hypothèse ne peut être écartée d’un revers de la main puisqu’une telle contamination a été constatée par Pfizer lui-même sur l’un de ses sites de productions et recensée par l’EMA

Voici l’analyse que le Pr Luc Montagnier faisait de son côté de la situation commentée par les neurologues de la Pité-Salpêtrière, sur la base des mêmes éléments :

« C’est une maladie qui normalement arrive lentement mais sûrement et qui détruit les cellules du cerveau. Le temps travaille contre la personne qui reçoit. Plus on reçoit du vaccin, plus on fait une partie de la protéine qui est appelée “prion” car elle est capable de changer de forme, s’aplatir et de faire des agrégats insolubles et de tuer ainsi les cellules du cerveau. C’est une maladie très rare normalement, mais là nous avons déjà 8 cas signalés par des médecins neurologues. Plus on injecte, plus le risque augmente, car il est possible que ces prions se forment, c’est-à-dire s’aplatissent, quand ils sont en très grande quantité. Alors il est possible qu’en injectant à nouveau ce vaccin, on augmente le risque. Donc le danger est là. Donc j’informe les médecins qui injectent le Pfizer qu’ils risquent d’induire les maladies de Creutzfeldt-Jakob. »

Radio Courtoisie, 9 décembre 2021

Aucune cause alternative n’est avancée par l’ANSM

Revenons à l’enquête de pharmacovigilance. Selon l’ANSM, la fulgurance du développement de la maladie exclut formellement qu’elle puisse avoir été provoquée par les injections, mais les enquêtes se poursuivent en attendant qu’un diagnostic soit établi.

[…]

L’ANSM ne sait pas, donc elle exclut formellement le rôle du vaccin

C’est donc l’incapacité du corps médical à expliquer, à partir des données actuelles de la science, la manière dont le vaccin pourrait induire ces cas (suspects ou avérés) de maladie de Creutzfeldt-Jakob qui les conduit à réfuter cette hypothèse. Cette limite constitue-t-elle une objection suffisante dans le contexte d’une technologie vaccinale inédite ? Sur quelles données sémiologiques se sont basés les enquêteurs de l’ANSM pour exclure le vaccin ? Ont-ils pris en compte l’ensemble des études décrivant le mécanisme d’action des vaccins ou uniquement la documentation commerciale fournie par les laboratoires ?

La méthode d’imputabilité médicamenteuse inclut en effet la prise en compte des critères bibliographiques, c’est-à-dire le fait que cet événement indésirable soit ou non décrit dans la littérature. Or les preuves dont on dispose aujourd’hui sont à ce point accablantes qu’elles laissent penser que ce n’est pas le cas.

Les ARNm ne restent pas localisés au point d’injection mais circulent dans tout le corps via la circulation sanguine et le système lymphatique, atteignant la plupart des organes, notamment le cerveau

Mécanisme d’action des injections : les scientifiques alertent depuis plus d’un an sur ce risque

La science a progressé depuis les premiers communiqués des laboratoires et l’octroi de l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle. Un consensus domine désormais au sein de la communauté scientifique [3-14] concernant la toxicité intrinsèque de la protéine Spike et sa capacité à provoquer à elle seule tous les signes cliniques de forme sévère du COVID-19.

Toxicité des nanoparticules lipides

L’ARNm injecté dans le corps est un ARNm synthétique encapsulé dans des nanoparticules lipidiques (LNP), l’ALC-0159 (polyéthylène glycol, PEG) et l’ALC-0315, hautement inflammatoires [15-19]. Le PDG de Moderna évoquait déjà lui-même en 2016 le problème de la toxicité des nanoparticules lipidiques : « Ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si un patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années. »

Dans un article daté du 10 mars 2021, le British Medical Journal (BMJ) relatait également des inquiétudes formulées par des spécialistes dans le domaine de la biotechnologie pharmaceutique concernant la biodistribution de ces LNP : « Il est essentiel d’avoir des informations plus spécifiques pour savoir précisément où les nanoparticules liposomales vont après l’injection. » [20, 21] Que nous apprend la littérature sur cette question ?

Perturbation de la barrière hématoencéphalique

On sait aujourd’hui [15, 16, 22-28] que les ARNm ne restent pas localisés au point d’injection mais qu’ils circulent dans tout le corps via la circulation sanguine et le système lymphatique, atteignant la plupart des organes, notamment le cerveau. Les autorités sanitaires peuvent-elles décemment l’ignorer ?

Le rapport d’évaluation de l’EMA l’a confirmé pour le vaccin Moderna : « De faibles niveaux d’ARNm ont pu être détectés dans tous les tissus examinés à l’exception du rein. Cela comprenait le cœur, les poumons, les testicules et également les tissus cérébraux, indiquant que la plate-forme ARNm/LNP traversait la barrière hématoencéphalique, bien qu’à des niveaux très bas (2 à 4 % du niveau plasmatique). » [29, p. 47]

Ce risque est également évoqué par l’Agence concernant le vaccin Pfizer : « Plusieurs rapports de la littérature indiquent que les ARN formulés par LNP peuvent distribuer de manière plutôt non spécifique à plusieurs organes tels que la rate, le cœur, les reins, les poumons et le cerveau. » [30, p. 54]

Cet ARNm a pour objectif de faire produire massivement (l’équivalent de 6 750 L de fluide nasal infecté pour le vaccin Pfizer, de 23 m3 pour le vaccin Moderna [11, 31]) par les cellules de l’organisme des protéines de pointe (Spike) elles-mêmes circulantes, dont le caractère pathogène et hautement inflammatoire est aujourd’hui démontré [9, 11, 15, 32].

Des études récentes montrent plus spécifiquement que la perturbation de la barrière hématoencéphalique (BHE) par la protéine Spike [15, 33-35] est alors susceptible d’induire l’apparition de neuropathies, d’inflammations du système nerveux central (polyradiculonévrites notamment) et de maladies neurodégénératives [15, 33-45], dont plus spécifiquement des maladies à prions invalidantes [15, 33–34, 38-46].

Selon une étude, les vaccins Pfizer et Moderna contiennent une région de type “prion” susceptible de déclencher un jour une maladie de Creutzfeldt-Jakob

Identification d’une région de type « prion » dans la protéine Spike

Ce mécanisme d’action permet-il d’expliquer la survenue de ces cas dans des délais aussi rapides que ceux relatés par les proches des personnes vaccinées, compte tenu notamment de la réitération des injections et des quantités astronomiques d’ARNm contenu dans chaque dose ?

La chercheuse Stefanie Seneff (Massachusetts Institute of Technology) alerte pour sa part depuis plusieurs mois sur ce risque associé aux vaccins ARNm qu’elle estime majeur en raison de la nature de la protéine Spike : « Lorsque l’on considère que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 est une protéine transmembranaire et qu’elle contient cinq motifs GxxxG dans sa séquence, il devient extrêmement plausible qu’elle puisse se comporter comme un prion », expliquait-elle déjà en juillet 2021 [15] en se basant sur les travaux de plusieurs chercheurs [40].

Ce risque est aujourd’hui confirmé par une nouvelle étude, cosignée par le mathématicien J.-C. Perez, V. Lounas et le Pr L. Montagnier, selon laquelle les vaccins Pfizer et Moderna contiennent une région de type « prion » susceptible de déclencher un jour une maladie de Creutzfeldt-Jakob [46] :

« L’ARN messager permet la traduction de son message dans le corps tout entier sans le corps. Personne ne peut dire pour chacun d’entre nous où vont aller ces messages. C’est une inconnue terrible. Et on apprend maintenant, en fait c’est un travail qui a été publié depuis plus d’un an, que ces messages contiennent une région qu’on peut appeler “prion”, qui est une région capable d’induire des modifications de protéines dans notre corps d’une façon imprévisible. »

L. Montagnier, Parlement luxembourgeois, France, 12 janvier 2022 [1, 13’30”]

[…]

Quantité et qualité de l’ARN messager

Indépendamment du mécanisme d’action des vaccins ARNm, à mille lieues de celui décrit dans la documentation commerciale (reprise ici dans la rubrique « Les Décodeurs » du journal Le Monde) et d’une possible source de contamination par du matériel d’origine animale utilisé signalée par l’EMA, la présence dans le sérum injecté d’« espèces fragmentées » d’ARN, donc d’ARN de mauvaise qualité pourrait induire l’apparition de maladies auto-immunes, notamment à prions s’ils étaient reproduits et qu’une instruction aberrante était envoyée aux cellules [11]. La généticienne A. Henrion-Caude a elle-même alerté à de nombreuses reprises sur ce risque.

[…]

Une étude publiée dans la revue Nature le 22 novembre 2021 relate la détection d’un nouveau type d’impureté dans la préparation des ARNm vaccinaux. Les chercheurs [54] ont identifié une réaction chimique, invisible par les techniques d’analyse d’intégrité habituellement utilisées par les laboratoires pharmaceutiques, qui conduit à des ARNm « impropres à la consommation », incapables de produire des protéines Spike correctes.

[…]

Personne ne peut dire aujourd’hui quel sera l’impact de ces injections sur l’organisme, notamment le cerveau et le système immunitaire.

Persistance de la protéine Spike dans l’organisme

Ces inquiétudes sont renforcées par la persistance de deux inconnues majeures.

1/ Pendant combien de temps l’ARN va-t-il envoyer des instructions au corps pour qu’il fabrique la protéine Spike ? Pour S. Seneff, « Il n’existe bien sûr pas de réponses à cette question. Les laboratoires eux-mêmes n’ont pas la réponse » [34]. Même inquiétude du côté de ce professeur d’immunopathologie qui s’étonne de la présence de deux « codons-stops » sur la partie codante qui permet la production de la Spike censée reproduire la pointe du virus [11].

2/ Pendant combien de temps la protéine Spike va-t-elle persister dans l’organisme ? On ne le sait pas précisément, mais une étude anglaise [55] a montré que des fragments de la protéine Spike étaient détectables dans le plasma jusqu’à 29 jours après la première injection. Une seconde étude plus récente [56] a montré qu’elle était retrouvée dans les cellules au moins quatre mois après la 2e injection.

Tout ce que l’on sait aujourd’hui, c’est que l’ARN messager a été modifié afin de pénétrer dans l’ensemble des cellules et assurer la synthèse de nombreuses copies de la protéine de pointe.

Nous sommes donc en présence d’un vaccin reposant sur la manipulation génétique d’un ARN naturel [57] dont « le but est de garantir qu’on ne peut pas s’en débarrasser » [15] contrairement à ce qui est observé dans le vivant [11] : « “Normalement, un ARN messager est utilisé une fois et éliminé”Avec ces injections d’ARNm par Pfizer et Moderna, l’ARN messager est “utilisé maintes et maintes fois… encore et reste dans les cellules pendant [très] longtemps” », explique le Dr P. McCullough, spécialiste en médecine interne et maladies cardiovasculaires, vice chief of medicine à l’université Baylor du Texas, cofondateur et actuel président de la Cardiorenal Society of America.

En d’autres termes, personne ne peut dire aujourd’hui quel sera l’impact de ces injections sur l’organisme, notamment le cerveau et le système immunitaire, ni même ce qu’on injecte réellement aux personnes vaccinées puisque 20 % de la composition des vaccins est protégée par le secret de fabrication et que Pfizer, soutenu dans cette démarche par la FDA refuse de rendre cette information disponible, le laboratoire ayant récemment invoqué la loi sur les secrets commerciaux (Trade Secrets Act) pour demander l’octroi à la justice d’un sursis de 75 ans.

Les personnes ayant déclaré la maladie de Creutzfeld-Jakob sont-elles la confirmation qu’il est urgent de s’inquiéter des conséquences de ces injections ou doit-on s’enfouir la tête dans le sable pour sauver le vaccin, quoi qu’il en coûte aux personnes qui ont choisi de faire aveuglément confiance au Gouvernement ?

Si le vaccin est en cause, la politique sanitaire actuelle consiste à inoculer potentiellement sur injonction de l’État, à des enfants et des adultes en bonne santé, une maladie incurable

Les autorités sanitaires ont choisi : sacrifier les Français plutôt que le vaccin

La littérature concernant le risque associé aux vaccins ARN messager de déclencher, à court ou moyen terme, une maladie de Creutzfeldt-Jakob est aujourd’hui abondante. Il ne s’agit certes à ce stade que d’un risque, mais celui est susceptible d’être majoré par la réitération des injections.

Ces études ont-elles été prises en compte par l’ANSM ? Probablement pas. Comme ne l’ont probablement pas été les récits de pathologistes (ici le Dr R. Cole, cité par le Dr R. Malone, co-inventeur de la technologie des vaccins ARNm) disant avoir pu observer, chez des personnes vaccinées déclarant brutalement un cancer après leur vaccination, des cellules cancéreuses d’une taille qu’il n’avait encore jamais rencontrée se multiplier sous leurs yeux lorsqu’ils les étudiaient au microscope. Même fulgurance glaçante.

Or cette exclusion a priori du rôle possible du vaccin dans la survenue des cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob au seul titre de la fulgurance de leur forme, est éminemment problématique puisqu’elle corrompt l’intégrité de la pharmacovigilance et conduit à biaiser l’information sur laquelle doit se fonder aujourd’hui le consentement des patients et se fondera demain le renouvellement éventuel de l’AMM des vaccins.

Mensonge par omission : peut-on parler de mise en danger de la vie d’autrui ?

Dans le cadre d’une obligation vaccinale, réelle pour les soignants ou déguisée pour le reste de la population éligible au passe vaccinal, cette omerta est d’autant plus problématique que si le vaccin est en cause, la politique sanitaire actuelle consiste à inoculer potentiellement sur injonction de l’État, à des enfants et des adultes en bonne santé, une maladie incurable, et à hypothéquer la santé des Français pour ne pas sacrifier le vaccin.

Face à une telle imprudence, renforcée par le caractère de maladie à déclaration obligatoire de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, peut-on partager la confiance (faussement) naïve du Pr Adnet, qui affirmait récemment que « l’ANSM n’a aucun intérêt à promouvoir ces injections » ?

Si l’ANSM n’a pas d’intérêt à promouvoir le vaccin, elle a a minima, en tant qu’établissement public placé sous la tutelle du ministère des Solidarités et de la Santé, un devoir de loyauté à son égard. A-t-elle intérêt à dissimuler des effets secondaires ou à écarter la responsabilité éventuelle du vaccin dans leur survenue ?

En temps normal, si l’on exclut les considérations politiques et commerciales qui ont pu expliquer sa cécité dans d’autres circonstances, elle n’en a sans doute aucun. On rappellera toutefois que dans le scandale du Mediator, l’ANSM a été reconnue coupable il y a tout juste quelques mois d’avoir « failli dans (son) rôle de police sanitaire et de gendarme du médicament » et s’est vue infliger « la peine maximale de 225 000 euros pour “homicides et blessures involontaires” par négligence, à laquelle s’ajoutent des peines d’amendes contraventionnelles à hauteur de 78 000 euros ».

Qu’en est-il dans le cadre de l’actuelle campagne de vaccination où, pour la première fois dans l’histoire, les laboratoires ont négocié leur irresponsabilité juridique totale en cas d’apparition d’effets secondaires graves dont la possibilité est par ailleurs clairement mentionnée dans les contrats ?

Les laboratoires menant des recherches sur les prions ont tous été fermés fin juillet 2021, “par précaution”, suite à la découverte d’un cas de la maladie de Creutzfeldt-Jakob chez une ancienne laborantine

[…]

Vacciner, vacciner, vacciner, quoi qu’il en coûte

La liste des pays ayant requalifié le COVID comme maladie bénigne ou endémique ne cesse de s’allonger. Comment comprendre, dès lors, que le couple exécutif s’acharne à vouloir vacciner les Français, en particulier les enfants et les femmes enceintes pour lesquels la balance bénéfice-risque des injections est, si ce n’est déficitaire, nulle à de rares exceptions près, et à les exposer de fait à un risque gravissime, dûment notifié dans les documents de l’EMA et clairement identifié par la littérature ?

Des mesures de recherche (et à terme d’éviction) de l’agent infectieux pouvant expliquer l’incidence des cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob relatés notamment par le Pr Montagnier ont-elles été prises au nom du principe de précaution ? Olivier Véran s’était-il rapproché de son confrère, ou son appel, pourtant entendu par des millions de Français, n’est-il toujours pas parvenu à ses oreilles ?

Ce principe sacré a pourtant été récemment rappelé par Pierre Germain Sonigo, docteur en médecine et en biologie, qui a fait partie de l’équipe de l’Institut Pasteur ayant développé le vaccin contre l’hépatite B pour lequel des cas de sclérose en plaques se sont déclarés peu de temps après le début de la vaccination, et où une décision a dû être prise à l’époque :

« Il y a toujours des effets indésirables, la plupart du temps exceptionnels, mais s’il y a un effet exceptionnel grave – tous les 10000 – avec des gens qui meurent, dans ce cas, on sait qu’on risque de tuer des gens, alors on essaie d’en vacciner le moins possible. »

Conclusion

Faut-il en déduire qu’un arbitrage est aujourd’hui réalisé par le Gouvernement entre la santé des Français et l’intérêt des laboratoires ? Pour le dire autrement, le déni de tout risque vaccinal et l’injonction adressée aujourd’hui à l’ensemble des citoyens de se vacciner pour conserver leurs droits fondamentaux est-il le fait d’un ministre de la Santé et des Solidarités ou de l’avocat des laboratoires auquel il est de fait assimilé par les contrats ?

Sur ce principe, les médecins sont-ils seulement sûrs que si des risques documentés à la hauteur de ce qu’ils sont aujourd’hui (une revue de la littérature recense pas moins de 1 000 études pointant un possible lien entre le vaccin et des effets indésirables pour certains gravissimes) se concrétisent demain, l’État les protégera pour avoir fait le choix d’obéir à une simple injonction, portée par un ministre par nature éphémère, au mépris de la loi et de l’éthique la plus élémentaire ?

Car – c’est une hypothèse qui se précise de jour en jour au fur que les données épidémiologiques s’affinent et que la distinction entre mort avec et mort du COVID se fraie un chemin dans plusieurs pays –, si la véritable épidémie n’était pas le COVID ou sa résurgence, mais les effets secondaires qui se multiplient depuis le début de la campagne de vaccination et dont les autorités sanitaires refusent d’admettre simplement l’hypothèse malgré des données de pharmacovigilance littéralement alarmantes ?

Pourquoi ?

M. le Ministre et M. le Président, nous attendons votre réponse.


Avertissement

Une étude publiée en preprint depuis la rédaction de cet article, cosignée par la neurologue C. Moret Chalmin, le Pr L. Montagnier et le mathématicien J.-C. Pérez vient confirmer l’hypothèse que nous soutenons ici : « Vers l’émergence d’une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob neurodégénérative : Seize cas de MCJ déclarés quelques jours après un “vaccin” COVID-19 ». Les conclusions de cette étude seront présentées lors du 16e Congrès mondial des controverses en neurologie (CONy) qui se tiendra virtuellement à Londres du 24 au 27 mars 2022.

Note

On rappellera que Luc Montagnier et Alexandra Henrion-Caude avaient annoncé avoir découvert, lors du séquençage du génome du SARS-CoV2 réalisé peu de temps après sa mise à disposition : pour le premier, des séquences de HIV et de malaria ; pour la seconde, une séquence présente au niveau du site de clivage de la furine, retrouvée à l’identique dans un brevet déposé par Moderna en 2016, comme le confirme un article paru le 21 février 2022 dans la revue Frontiers of Virology qui démontre que la probabilité d’une origine naturelle du virus contenant une telle séquence brevetée est statistiquement nulle.

Références

Source et article complet :
https://lepointcritique.fr/2022/02/18/maladie-creutzfeldt-jakob-postvaccinale-epidemie-dans-epidemie/

Photo : Mauricette Doyer avec sa petite fille Léonie




Nanoparticules et nanotechnologies

[Source : Pascal Prod’]




Trudeau en Conflit d’Intérêts 

[Source : latableronde]

Quand il impose la Vaccination Obligatoire aux camionneurs et aux employés Fédéraux, M. Justin Trudeau est en Conflit d’Intérêts car il a déjà acheté 400 Millions de Vaccins pour une population de 40 Millions de Canadiens pour la somme astronomique de Mille Millions de Dollars qui lui rapportent des ristournes aux deux compagnies pharmaceutiques dont il est actionnaire. En effet, il détient 40% des actions de la Pharmaceutique Acuitas qui détient les brevets des nanoparticules utilisés dans les vaccins ARN… C’est illégal ! Ça s’appelle un Kickback en Anglais. Voir la vidéo plus bas…

 »P.M. Justin Trudeau Failled to Disclose that the Canadian Government Gets a Kick-Back for every one of the Pfizer & Moderna (Vaccine) Shots Because Two Pharmaceuticals of B.C. are the ones who invented the lipid particles that are Licensenced to inject the pathogen into everybody. Canada Win$ Everytime there is a Shot…This May Explain Why M. Trudeau ordered 10 Time$ More Vaccine$ than there are Canadians »…

This is called Racketeering, a type of organized crime or a Conflict of Interest …

Dr David Martin Ph.D, a spokesperson for global intellectual property accountability and quality reform, a former Assistant Professor at the University of Virginia’s School of Medicine.

Start at the 19th minute of this 40 min Video

[Traduction :

Le Premier ministre Justin Trudeau a omis de révéler que le gouvernement canadien reçoit une ristourne pour chacune des injections de Pfizer et Moderna (vaccins), car ce sont deux sociétés pharmaceutiques de la Colombie-Britannique qui ont inventé les particules lipidiques qui sont autorisées à injecter l’agent pathogène à tout le monde. Le Canada gagne à chaque fois qu’il y a un vaccin… Cela peut expliquer pourquoi M. Trudeau a commandé 10 fois plus de vaccins qu’il n’y a de Canadiens…

C’est ce qu’on appelle le racket, un type de crime organisé ou un conflit d’intérêts …

Dr David Martin Ph.D, un porte-parole pour la responsabilité de la propriété intellectuelle mondiale et la réforme de la qualité, un ancien professeur adjoint à l’école de médecine de l’Université de Virginie.

Commencez à la 19e minute de cette vidéo de 40 minutes.]






PCB : De courageux spécialistes des États-Unis, de Russie et de République tchèque partagent la vérité sur la vaccination

[Source : bcp-video.org]


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Les premiers mois de l’année dernière (2020) ont été marqués par l’épidémie d’une infection qui a causé moins de décès que la grippe saisonnière ordinaire. Cette pandémie artificielle a non seulement affecté les soins de santé, mais a également paralysé l’économie, l’éducation, la vie privée, et a sapé le moral. Le Vatican a pris une part active à cette pandémie artificielle. Le pseudo-pape lui a ouvert la voie par l’idolâtrie de Pachamama, promouvant sans relâche la légalisation de la sodomie. Dieu a placé devant nous le feu temporel (2P 2:6) et éternel (Jude 1:7) comme exemple d’avertissement de punition contre la sodomie. Par ses activités criminelles, Bergoglio a consciemment jeté une malédiction sur l’Église et sur l’humanité. Ce pseudo-pape a cyniquement boycotté les avertissements urgents des experts contre la vaccination par ARNm. Il a forcé tout le Vatican à se faire vacciner. Tous, à l’exception de trois gardes, ont succombé.

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB), d’autre part, a soutenu la véritable position des scientifiques moraux incorruptibles, qui ont défendu la vérité contre ce système de mensonge. Rappelons-nous leur voix. Ils comprennent des scientifiques américains de haut niveau tels que le Dr Judy Mikovits et le Dr David Martin, la microbiologiste tchèque Soňa Peková et le professeur Alexander Redko de Russie. Mentionnons brièvement la conférence scientifique à Saint-Pétersbourg qui s’est tenue les 20 et 21 octobre 2021, ainsi que le sommet des médecins à Rome, les 12 et 14 septembre 2021, où plus de 12.700 médecins et scientifiques ont signé la Déclaration de Rome. Ils ont qualifié la vaccination expérimentale forcée de crime contre l’humanité, comme cela est défini dans le Code de Nuremberg.

Comment les spécialistes américains David Martin et Judy Mikovits caractérisent-ils le vaccin ?

Dr David MartinCe n’est pas un vaccin. Il s’agit d’un ARN messager conditionné dans une enveloppe graisseuse qui est délivrée à une cellule. Il s’agit d’un dispositif médical conçu pour stimuler la cellule humaine afin qu’elle devienne un créateur d’agents pathogènes. Ce n’est pas un vaccin… Les vaccins sont en fait un terme défini par la loi. Il s’agit d’un terme légalement défini en vertu de la loi sur la santé publique et des normes du CDC et de la FDA.

Rocco Galati : Alors, comment dois-je m’y référer ? Un agent chimique ?

Dr Judy MikovitsExact. C’est un agent pathogène synthétique. Ils ont littéralement injecté la partie très pathogène du virus dans l’organisme.

Rocco GalatiSi c’est un agent pathogène, cela me dit que ça va me rendre malade.

Dr Judy MikovitsExact.

Dr David MartinOn vous injecte une substance chimique afin d’induire une maladie, pas pour induire une réponse immuno-transmissive. En d’autres termes : rien à ce sujet ne vous empêchera de transmettre quoi que ce soit. Il s’agit de vous rendre malade, et d’avoir vos propres cellules comme étant la chose qui vous rend malade.

Rocco GalatiCela va donc déclencher une réponse auto-immune ?

Dr. Judy MikovitsÇa peut, et ça le fera…

Dr David Martin… entre autres choses …

Dr Judy MikovitsCela peut causer directement la sclérose en plaques, la maladie de Lou Gehrig, la maladie d’Alzheimer, parce que c’est ce qu’est l’expression de cette enveloppe pathogène ; cela peut provoquer une accélération du cancer… C’est que l’expression de ce morceau de virus est connue depuis des décennies. On vous injecte la maladie – littéralement.

Les experts américains disent à propos du vaccin à ARNm que cette substance chimique ne peut même pas être qualifiée de vaccin selon les normes du CDC et de la FDA, et selon la loi sur la santé publique. Il faut savoir que tout chrétien est obligé en âme et conscience, et selon la loi de Dieu, de ne pas obéir à l’autorité ecclésiastique ni au Pape s’ils ordonnent aux gens de commettre un péché grave.

Aujourd’hui, le pape et la hiérarchie de l’Église se sont ouverts aux hérésies, et s’opposent publiquement à la loi de Dieu. Si ces apostats forcent les gens à se faire vacciner, alors il est littéralement vrai que : « Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes ! » (Actes 5:29.) L’apôtre Pierre souligne : « Jugez par vous-mêmes s’il est juste aux yeux de Dieu de vous obéir plutôt qu’à Dieu ».

Que dit l’expert en immunologie, le professeur Alexander Redko, de Saint-Pétersbourg en Russie, sur ce problème actuel ?

Professeur Alexander Redko : Je passe du temps dans les hôpitaux où ils traitent les patients Covid. Je suis bien renseigné; je suis l’évolution et je sais ce qui s’y passe… Et ce sont surtout ceux qui avaient été vaccinés qui tombent malades. Ils développent tous les symptômes évidents du coronavirus. Selon les données des pathologistes et des anatomistes, plus de 62 % des personnes hospitalisées dans les services d’hospitalisation pour malades du Covid, sont totalement vaccinées. Les codes QR désignent ceux qui sont bons et ceux qui sont mauvais. Les sains sont les mauvais, les malades et les vaccinés sont les bons. C’est ce que le code QR indique, rien de plus. Il n’y a pas de pandémie. Pour être admissible à une pandémie, il faut que l’épidémie soit présente dans tous les pays. Mais il n’y a pas d’épidémies, ici. Pour les épidémies, il faut que 5% (de la population) soient malades en même temps. Le test PCR est fait pour les virus à longue chaîne. Et c’est un virus à chaîne courte. Cela signifie qu’il vient d’un domaine complètement différent. Il n’est pas possible de l’utiliser (le test PCR) pour identifier le coronavirus. Nous mourrons tous d’un mensonge total. Parce que peu importe où vous allez, vous trouverez un mensonge. C’est un crime que de prescrire des antiviraux à quelqu’un s’il n’a pas le SRAS-Cov-2. Et cela se retrouve dans les protocoles du ministère de la Santé ! Que faire avec le ministère de la Santé ? Vous devez y répondre vous-mêmes. Maintenant, vous faites de nous tous des cinglés isolés. Vous allez nous enfermer et transférer les enfants dans un apprentissage à distance afin de détruire notre santé immunitaire. Ce n’est pas une pandémie, mais une infodémie. Et tout ce qui se passe n’est que de la politique et une expérience socio-économique utilisant notre population. Spoutnik V – ce n’est pas Spoutnik « Vee », mais « Five », car c’est le cinquième vaccin sur lequel ils ont travaillé dans l’histoire de leur entreprise. Et ils n’ont pas réussi à en faire un, de vaccin.

Je pense qu’il faut se faire vacciner si :

A) il y a un vaccin,
B) si le virus ne mute pas, autrement dit, si le vaccin peut aider à lutter contre ce qui est présent dans l’environnement. Le virus qui était là il y a quelque temps, n’est plus là. La chose contre laquelle ils veulent développer un vaccin – et qui prend généralement six ans à fabriquer – eh bien, ce virus n’est plus là. Il existe des variantes delta, ils peuvent les appeler comme ils veulent, mais c’est déjà quelque chose de complètement différent. Et vous dites que vous vous faites vacciner contre quelque chose qui était ici il y a deux ans – c’est une fraude. C’est une escroquerie criminelle. Ils disent que le vaccin n’aide plus, parce que nous avons une nouvelle mutation ici. Et pourquoi continuez-vous à vacciner ? Si vous vous souciez vraiment de cela, fabriquez un vaccin contre cette mutation ! C’est pourquoi ce qu’ils nous proposent n’est pas un vaccin. C’est l’adénovirus 26, l’adénovirus 5, sur lequel ils ont mis de la protéine de pointe – et pourquoi ? Ce n’est pas clair. Car le SRAS-Cov-2 n’a jamais été isolé. Ils offrent une récompense de 1,5 million d’euros à quelqu’un pour l’isoler. Et si personne ne l’a jamais isolé, contre quoi vaccinez-vous réellement ? Pourquoi trompez-vous les gens ? Il s’agit d’un projet commercial. Et j’insiste sur le fait qu’il n’est même pas possible d’en discuter, car

  • a) le virus n’a pas été isolé,
  • b) il n’y a pas de vaccin contre lui,
  • c) les essais cliniques se termineront le 31 décembre 2022 – et aujourd’hui, nous sommes en 2021.

Les essais ne sont pas terminés, les résultats de la première phase où tous les rats sont morts n’ont pas été publiés. Les résultats de la troisième phase ne sont pas non plus publiés, car ces essais ne sont pas terminés. Le titre d’anticorps n’a pas été déterminé, l’impact anti-épidémique n’a pas été identifié, la réponse immunitaire n’a pas été précisée – de quel type de résultats s’agit-il ?! En cas de tels résultats, le projet doit être arrêté, au lieu de commencer la vaccination de masse.

Mais les gens ne le savent pas. Ils disent : « J’ai été vacciné. Je vais bien ». 25% des gens reçoivent une injection de placebo, c’est ce qui vous fait vous sentir bien, et c’est la raison pour laquelle vous retombez malade. Mais ceux qui ont été vraiment vaccinés tombent plus gravement malades. Et ils attrapent tous un coronavirus à part entière avec tous les symptômes post-covid, avec des lésions pulmonaires, avec des lésions du système nerveux central, avec le syndrome de Guillain-Barré et tous les autres problèmes. Tout ce qui accompagne le Covid, le même est présent avec le vaccin.

Et j’ai beaucoup de connaissances et de connaissances de mes connaissances, qui

  • a) sont tombées malades et
  • b) ne sont plus en vie – après le vaccin.

Concrètement, après le vaccin ?

Oui, spécifiquement après le vaccin. Selon les données des pathologistes et des anatomistes, plus de 62 % des personnes hospitalisées dans les services d’hospitalisation pour malades du Covid sont totalement vaccinées. Les menteurs professionnels des médias grand public ainsi que les menteurs présents au sein de l’église, promeuvent une vaccination non testée et dangereuse. En revanche, un véritable expert, qui est une voix d’avertissement de vérité, et un reproche vivant pour beaucoup, crie : « Pourquoi trompez-vous les gens ? »

  • 1) Le virus n’a jamais été isolé,
  • 2) il n’existe aucun vaccin contre lui,
  • 3) les essais cliniques ne sont pas terminés.

Les fraudeurs n’ont pas dit que tous les rats étaient morts au cours de la première phase des essais. L’expert met en garde contre le terrorisme vaccinal anticonstitutionnel : « Nous mourrons tous d’un mensonge total. Parce que peu importe où vous allez, vous trouverez un mensonge ! ». En plus il contient de l’oxyde de graphène portant un identifiant.

Le pseudo-pape Bergoglio est le plus grand menteur. Il est bien conscient que ce pseudo-vaccin perturbe le génome humain, ce qui constitue une rébellion contre Dieu le Créateur. Il contient des nanoparticules, et fait partie d’un plan de puçage contre lequel la Bible met en garde en parlant du lac de feu ! Le pseudo-pape sait que le vaccin contient des tissus arrachés sadiquement aux poumons ou aux reins d’enfants à naître vivants, et qui sont ensuite assassinés. C’est de la diabolisation. Le sang des enfants assassinés lors de ce rituel satanique, est sur les personnes qui reçoivent ce pseudo-vaccin. C’est l’anti-baptême du diable par lequel ce menteur et ce meurtrier (le diable) réclame les âmes des vaccinés.

Et ces crimes de rébellion contre Dieu et contre l’humanité sont cyniquement appliqués par l’archi-hérétique qui occupe la papauté. Il proclame des slogans démagogiques et criminels : « Le vaccin (doit être) pour tous ! », et ce sans un seul argument scientifique et, en opposition à la loi de Dieu, il dit de sang-froid : « Il faut le faire ! ». Appeler ce crime scandaleux un acte d’amour est le comble de l’audace, de l’obstination diabolique et de l’impénitence. Nous demandons : Un acte d’amour envers qui ? Envers Satan ? De plus, cet archi-hérétique attise la haine et le lynchage des innocents par le mensonge lorsqu’il les accuse d’être une menace pour les bien-portants ! Mais la réalité est tout autre. Les vaccinés trompés deviennent des laboratoires qui produisent de nouveaux virus dangereux.

L’archi-menteur, Judas et imposteur religieux (Bergoglio) est suivi de nombreux évêques et prêtres traîtres, catholiques et orthodoxes. Ils imposent même la vaccination comme condition pour entrer dans les églises ! C’est un geste de trahison du Christ, et de service envers Satan. Un chrétien ne doit plus entrer dans une telle église, car cela le mettrait sur un chemin qui mène à la damnation éternelle. Le professeur Redko parle d’une voix prophétique d’avertissement : « Nous mourrons tous d’un mensonge total. » Et nous ajoutons : C’est surtout le mensonge des politiciens corrompus, des médias de masse et du clergé traître.

Qu’il y ait des évêques courageux, comme le bon pasteur Carlo Maria Viganò. qui adoptent la même position envers le coronavirus que les médecins courageux, appelant la vérité la vérité et un mensonge un mensonge.

Écoutons brièvement la microbiologiste tchèque Soňa Peková : 

« Au printemps 2020, nous l’avons traité de front, je veux dire, notre laboratoire, car c’est mon travail de détecter les maladies infectieuses chez les humains et les animaux. J’y travaille intensément depuis 2006. Nous avons abordé cette situation de manière professionnelle, et nous étions ravis d’aider au diagnostic. On a travaillé là-dessus tout le printemps, on s’est beaucoup impliqués, presque au point où ce n’était plus sain. Nous avons continué pendant l’été et jusqu’à l’automne 2020, bien sûr. À ce moment-là, j’ai compris ce qui se passait. Essentiellement, mes hypothèses selon lesquelles quelque chose de minable se passait ont été confirmées. Ensuite, nous nous sommes retirés des tests, car nous avons réalisé que le but de ce qui se passait n’était rien de plus qu’une intimidation brutale des gens et de la société, et tout ce qui était important était d’inciter constamment à la peur et de maintenir en vie ce sentiment de peur de toutes les manières possibles. Alors, ils continuent les tests, et de nouveaux foyers de cas positifs surgissent çà et là… Néanmoins, il y a actuellement peu de cas positifs. J’ai l’information des unités de soins intensifs de l’ARO, à Prague… Ce n’est donc pas une pandémie. En fait, nous aurions dû sonner la retraite il y a longtemps, et dire : Eh bien, nous avons tous été un peu confus, revenons en arrière, travaillons et allons à l’école et continuons à vivre une vie normale, et plus de masques faciaux ni quoi que ce soit de similaire. Le Covid n’est qu’un instrument de quelque chose qui apportera des changements au sein de la société, et puisque l’outil qu’ils avaient choisi d’utiliser est le plus fort, ils ont attaqué l’instinct le plus fort, qui est l’auto-préservation. Ils vous intimident en disant que vous allez mourir d’un virus, mais nous allons tous mourir : certains dans 30 ans, certains dans 2 ans, certains aujourd’hui. Personne ne sait quand cela se produit et les gens ne le voient pas, mais ils ont tous commencé à craindre terriblement de mourir d’un virus. Et c’est une guerre psychologique ».

L’année dernière, Soňa Peková et son laboratoire ont diagnostiqué 30.000 personnes, et sont arrivés à la conclusion qu’il ne s’agissait pas d’une pandémie et que le Covid n’était qu’un outil de guerre psychologique pour le changement de la société. L’instinct d’auto-préservation a été attaqué pour vous effrayer avec la pensée que vous mourrez d’un virus, mais nous mourrons tous tôt ou tard. Et les gens ne s’en rendent pas compte. Que dire de plus ?

Que les gens commencent à réaliser qu’ils finiront par mourir. C’est une réalité dont personne ne peut douter. Oui, une personne mourra plus tôt, une autre plus tard. La vraie sagesse consiste à penser à la fin, à se souvenir de la mort, du jugement de Dieu et de l’éternité. Que les gens commencent à s’en rendre compte, surtout en cette période de mensonges et de pressions relatifs au Covid, et visant à hâter la mort. La solution ne consiste pas à tomber dans le désespoir ; la solution est la Vérité, c’est-à-dire Jésus, le Fils de Dieu et le Sauveur. Il a gagné la vie éternelle pour nous. Il est la résurrection et la vie. Nous avons seulement besoin de Le recevoir : « Tous ceux qui L’ont reçu, Il leur a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu » (Jn 1,12). Pour pouvoir le recevoir et lui permettre de vivre en nous, il faut appeler la vérité la vérité et le mensonge le mensonge, aujourd’hui surtout en ce qui concerne la question de la fraude vaccinale. Que tous les professionnels de la santé courageux et véridiques soient pour nous un exemple sur le chemin de la vérité. Aujourd’hui, ils sont la voix prophétique salvatrice de toute l’humanité.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr               + Timothée OSBMr

Évêques secrétaires




Après des révélations militaires sur les effets du vaccin anti-Covid sur la fécondité, l’ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, demande des excuses aux médias pour leurs « mensonges »

[Source : michelledastier.com]

Par Michelle d’Astier de la Vigerie

Alors que les lanceurs d’alerte militaires américains ont confirmé une augmentation d’environ 300 % des fausses couches en 2021, le Dr Yeadon a critiqué les médias pour leurs attaques et calomnies qui avaient suivi ses premiers avertissements.

Après avoir été discrédité par les médias du Système concernant sa crainte que les vaccins  anti-COVID-19 puissent causer des problèmes de fertilité chez les jeunes femmes, le Dr Michael Yeadon demande maintenant les excuses de la part des médias alors que des données divulguées aux États-Unis de source militaire confirment ces résultats tragiques.

« Je ne suis pas vindicatif, mais je veux un peu d’humilité et de contrition de la part de la BBC et de tous les autres médias qui ont menti à leur public », a déclaré l’ancien vice-président de Pfizer et scientifique.

Yeadon, qui a passé 32 ans dans l’industrie à la tête de la recherche sur de nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec le poste de recherche le plus élevé dans son domaine, était l’auteur d’une pétition soumise à l’Agence européenne des médicaments (EMA) en décembre 2020 qui a soulevé d’importantes préoccupations concernant le manque de tests suffisants des vaccins expérimentaux anti-COVID-19, avant leurs autorisations d’utilisation d’urgence.

En ce qui concerne la possibilité que les injections mettent en danger la fertilité des femmes, Yeadon et son collègue, le Dr Wolfgang Wodarg, ont écrit :

« Rien n’indique si les anticorps contre les protéines de pointe des virus du SRAS agiraient également comme des anticorps anti-syncytine-1. Cependant, si tel devait être le cas, cela empêcherait également la formation d’un placenta qui rendrait les femmes vaccinées stériles».

« Il est important de noter qu’aucun de ces agents basés sur les gènes n’avait terminé ce qu’on appelle la » toxicologie de la reproduction « « , a souligné Yeadon dans sa récente déclaration. « Plus d’un an plus tard, cette batterie de tests sur les animaux n’a toujours pas été faite. Il n’y avait donc pas et il n’y a toujours pas d’ensemble de données soutenant la sécurité pendant la grossesse ou avant la conception

Le Professeur Yeadon rappelle la tragédie de la thalidomide, il y a plus de 60 ans et dit que la population pouvait espérer que certains, au moins dans les médias, auraient assez de mémoire pour prendre cette préoccupation au sérieux.

« Au lieu de cela, nous avons été attaqués, diffamés et vilipendés sur tous les supports, de Twitter à la BBC », ajoute le Professeur Yeadon, insistant sur le fait que les médias mainstream ont activement menti au public, déclarant explicitement que ces « vaccins » étaient totalement sans danger pendant la grossesse.

L’agence de presse Reuters avait particulièrement combattu les mises en garde de scientifiques et médecins à ce sujet.

Yeadon rappelle que l’animatrice de talk-show de la BBC Radio Emma Barnett, l’avait explicitement attaqué à l’antenne, ce qui l’a également conduit à accuser le programme de calomnie. En réponse, après un peu d’enquête, l’éditeur du programme s’est excusé auprès de Yeadon et a retiré leur fausse représentation de l’ancien scientifique de Pfizer de leur podcast enregistré.

Une source supplémentaire de préoccupation concernant la fertilité était que :

« les produits d’ARNm (Pfizer et Moderna) s’accumuleraient dans les ovaires« , a expliqué Yeadon.

« Une demande d’accès à l’information adressée à l’Agence japonaise des médicaments a révélé que l’accumulation de produit dans les ovaires s’est produite lors d’expériences sur des rongeurs. J’ai effectué des recherches dans la littérature sur la base de ces préoccupations spécifiques et j’ai trouvé une revue de 2012, attirant explicitement l’attention sur la preuve que les formulations de nanoparticules lipidiques en tant que classe s’accumulent en fait dans les ovaires et peuvent représenter un risque reproductif non apprécié pour les humains. C’était « un problème bien connu » des experts dans ce domaine », a expliqué Yeadon.

« Je le répète. L’industrie pharmaceutique savait bien, en 2012, que la formulation de ces agents dans des nanoparticules lipidiques les conduirait à s’accumuler dans les ovaires des femmes à qui ils étaient administrés ».

« Personne dans l’industrie ou dans les principaux médias ne pourrait prétendre qu’ils ne connaissaient pas ces risques pour une grossesse réussie », a-t-il souligné.

Les résultats de la fuite militaire américaine confirment les dommages causés aux enfants à naître et à la fertilité

« C’est donc avec une colère et une tristesse immenses que j’ai entendu des médecins militaires dénoncer les preuves de préjudices pendant la grossesse que leur base de données exclusive de surveillance de la sécurité avait rejetées », a déclaré Yeadon, faisant référence aux révélations de la semaine dernière lors d’une table ronde du Sénat américain .

Le rapport de source militaire apprend que les femmes de l’armée américaine vaccinées contre le Covid connaissent des taux de fausse couche 3 fois supérieures à la normale.

En fait, ces fuites de révélations faites par trois « militaires de haut rang décorés qui sont médecins et responsables de la santé publique », dans des déclarations sous serment sous peine de parjure, montrent plusieurs augmentations des impacts négatifs sur la fertilité, y compris l’avortement spontané, parmi cette population militaire. où l’application d’une obligation d’injection expérimentale de vaccin anti-COVID est strictement observée.

Selon les révélations de ces militaires, les augmentations suivantes de 2021 n’incluent que les 10 premiers mois de l’année (de janvier à octobre) et sont comparées à la moyenne complète sur cinq ans des chiffres pris de 2016 à 2020.

  • Fausses couches : augmentation de 279%
  • Infertilité féminine : augmentation de 471 %
  • Infertilité masculine : augmentation de 344 %
  • Malformations congénitales (malformations congénitales) : augmentation de 156 %

Et étant donné que la plupart des enfants conçus après ces injections ne sont pas nés avant novembre 2021, le chiffre final des malformations congénitales devrait également augmenter de manière significative.

Yeadon a poursuivi en implorant la population :

« S’il vous plaît, ne vous faites pas injecter ces produits expérimentaux intrinsèquement dangereux et inefficaces. Avertissez toutes vos connaissances des risques de grossesse, désormais confirmés par des dénonciateurs de médecins de l’armée américaine. »

« S’il vous plaît, dites-leur également qu’il est probable qu’il y ait d’autres conséquences sur la santé reproductive, même chez les jeunes filles, en raison de l’accumulation de nanoparticules lipidiques dans leurs ovaires. »

Ayant initialement alerté l’EMA de plusieurs autres résultats toxiques possibles dus aux injections, Yeadon a souligné que lui et le Dr Wodarg avaient malheureusement également raison sur leur avertissement de « réactions allergiques potentiellement mortelles à la vaccination », citant des exemples du Royaume-Uni d’urgence interventions et morts tragiques.

«Journalistes, régulateurs, professionnels de la santé et politiciens, ainsi, bien sûr, que les fabricants, je ne sais pas comment vous envisagez de vous en sortir avant que le grand public n’apprécie plus pleinement ce que vous avez fait », a écrit Yeadon.

« Une possibilité est que vous ne puissiez pas cacher votre complicité dans les torts massifs que vous avez causés à des millions de personnes. Dans ce cas, j’ai hâte de témoigner contre vous devant un tribunal », a-t-il conclu.




Une chercheuse dénonce la censure suite au retrait de son analyse des effets indésirables du vaccin contre le COVID-19 par un journal

[Source : Aube Digitale]

Jessica Rose n’a rien demandé de tout cela. Elle a commencé à analyser les données relatives aux effets indésirables des vaccins contre le COVID-19 dans le seul but de maîtriser un nouveau logiciel. Mais elle ne pouvait pas ignorer ce qu’elle voyait et a décidé de publier les résultats de son analyse. L’instant d’après, elle se trouvait dans un «monde bizarroïde », a-t-elle déclaré à The Epoch Times.

Un assistant en pharmacie d’investigation tient une dose du vaccin COVID-19 de Johnson & Johnson avant de l’administrer dans le cadre d’un essai clinique à Aurora,
dans le Colorado, le 15 décembre 2020.
(Michael Ciaglo/Getty Images)

Un article qu’elle a coécrit sur la base de son analyse a été retiré par la revue universitaire Elsevier dans des circonstances qui ont fait sourciller ses collègues. 

La revue a refusé de commenter l’affaire.

Rose a obtenu un doctorat en biologie computationnelle à l’université Bar-Ilan, en Israël. Après avoir terminé ses études post-doctorales sur la dynamique moléculaire de certaines protéines, elle était à la recherche d’un nouveau défi. Passant à un nouveau logiciel de calcul statistique, elle a cherché un ensemble de données intéressant pour aiguiser ses compétences. Elle a choisi le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), une base de données contenant des rapports sur des problèmes de santé survenus après une vaccination et pouvant ou non avoir été causés par celle-ci.

Une infirmière administre un vaccin Covid-19 à un membre du personnel de santé et de soins
à l’hôpital NHS Louisa Jordan de Glasgow,
en Écosse, le 23 janvier 2021.
(Jane Barlow/PA)

Elle a déclaré qu’elle ne cherchait rien de particulier dans ces données.

« Je ne me pose pas de questions », dit-elle.

Ce qu’elle a trouvé, cependant, l’a troublée.

La base de données VAERS existe depuis 1990 et a pour but de donner un signal d’alerte précoce en cas de problème avec un vaccin. N’importe qui peut soumettre les rapports, qui sont ensuite vérifiés pour éviter les doublons. Ils sont en grande partie déposés par le personnel de santé, sur la base de recherches antérieures. Habituellement, il y aurait environ 40 000 rapports par an, dont plusieurs centaines de décès.

Mais avec l’introduction des vaccins contre le COVID-19, les rapports du VAERS ont explosé. Le 7 janvier, on comptait plus d’un million de rapports, dont plus de 21 000 décès. Parmi les autres problèmes notables, on compte plus de 11 000 crises cardiaques, près de 13 000 cas de paralysie de Bell et plus de 25 000 cas de myocardite ou de péricardite.

Rose a trouvé ces données alarmantes, avant de réaliser que les autorités et même certains experts les rejetaient généralement.

« Il est clair que ces autorités et ces experts ne se préoccupent pas des personnes qui subissent des effets indésirables », a-t-elle déclaré.

Les arguments habituels contre les données du VAERS sont qu’elles ne sont pas vérifiées et ne sont pas fiables.

Rose, cependant, estime que ces arguments ne sont pas pertinents : le VAERS n’a jamais été conçu pour fournir des réponses définitives, mais pour donner une alerte rapide et, selon elle, c’est exactement ce qu’il fait.

« Il émet tellement de signaux de sécurité et ils sont ignorés », a-t-elle déclaré.

Une capture d’écran de la page d’accueil du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS),
qui est coparrainé par les CDC, la FDA et le HHS.
(Capture d’écran/The Epoch Times)

Elle a fait équipe avec Peter McCullough, interniste, cardiologue et épidémiologiste, pour rédiger un article sur les rapports du VAERS concernant la myocardite chez les jeunes – un problème déjà reconnu comme un effet secondaire de la vaccination, bien que généralement décrit comme rare.

Au 9 juillet, ils ont trouvé 559 rapports du VAERS de myocardite, dont 97 chez des enfants âgés de 12 à 15 ans. Certains d’entre eux peuvent avoir été liés au COVID lui-même, qui peut également causer des problèmes cardiaques, mais le nombre de cas était trop élevé pour écarter la probabilité que les vaccins soient impliqués, selon les auteurs.

« Dans les 8 semaines qui ont suivi l’offre publique des produits COVID-19 à la tranche d’âge 12-15 ans, nous avons trouvé 19 fois le nombre attendu de cas de myocardite chez les volontaires vaccinés par rapport aux taux de myocardite de base pour cette tranche d’âge« , indique l’article.

Deux semaines plus tard, le 15 octobre, l’article a disparu du site Web d’Elsevier, remplacé par un avis de « retrait temporaire ». Non seulement les auteurs n’ont pas été informés de la raison, mais ils n’ont pas été informés du tout, selon Rose.

« C’est sans précédent aux yeux de tous mes collègues », a-t-elle déclaré.

Lorsqu’ils ont soulevé la question auprès du journal, on leur a d’abord dit que l’article avait été retiré parce qu’il ne correspondait pas à une « invitation », a déclaré Rose. Cette réponse a été jugée non pertinente par McCullough, qui a menacé de porter plainte pour rupture de contrat. Le journal a alors invoqué ses conditions d’utilisation, affirmant qu’il avait le droit de refuser tout article pour quelque raison que ce soit.

La raison pour laquelle l’article a été retiré n’est toujours pas claire.

« Je m’excuse, mais Elsevier ne peut pas commenter cette enquête », a déclaré Jonathan Davis, responsable de la communication du journal, dans un courriel adressé à The Epoch Times.

Fin novembre, le document a été remplacé par un avis indiquant que « l’article a été retiré à la demande de l’auteur ou des auteurs et/ou de l’éditeur. »

« Cela ressemble juste à une censure bizarre qui n’est pas vraiment justifiée », a déclaré Rose.

Les conclusions de l’article ne sont pas nécessairement controversées. Une étude danoise récente a conclu, par exemple, à un risque élevé de myocardite chez les jeunes gens ayant reçu le vaccin contre le covid de Moderna.

Cependant, il est courant, même pour les articles qui examinent les problèmes potentiels liés aux vaccins, de présenter leurs résultats d’une manière qui soutient toujours la vaccination.

« C’est ce que vous devez dire pour que votre travail soit publié de nos jours », a déclaré Rose.

Son article ne fait rien de tel.

« Dans le cadre de toute analyse risques/bénéfices qui doit être effectuée dans le contexte de produits expérimentaux, les points mentionnés ici doivent être pris en compte avant qu’une décision puisse être prise concernant l’acceptation d’injections à deux doses de ces produits expérimentaux anti COVID-19, en particulier chez les enfants, et en aucun cas, le consentement parental ne doit être supprimé dans quelque circonstance que ce soit pour éviter que des enfants ne se portent volontaires pour des injections avec des produits dont la sécurité ou l’efficacité n’ont pas été prouvées », indique l’article.

Le document qualifie également les vaccins de « produits biologiques injectables », en référence au fait qu’ils sont différents de tous les autres vaccins traditionnels.

Un vaccin traditionnel utilise des « agents pathogènes entiers vivants ou atténués », tandis que les vaccins contre le COVID utilisent de « l’ARNm dans des nanoparticules lipidiques », a expliqué Mme Rose par courriel. Elle a précisé que les nanoparticules lipidiques comprennent « des lipides cationiques qui sont hautement toxiques ». Pfizer, le fabricant du vaccin contre le COVID-19 le plus populaire dans de nombreux pays, a abordé la question en affirmant que la dose est suffisamment faible pour garantir « une marge de sécurité acceptable », selon l’agence européenne des médicaments, le Comité des médicaments à usage humain (pdf).

Rose a également fait remarquer que les vaccins contre le COVID-19 n’ont pas subi « les 10 à 15 années de tests de sécurité auxquels les vaccins ont toujours été soumis… pour des raisons évidentes ».

A ce stade, Rose n’est plus un observateur impartial. La lecture des innombrables rapports VAERS lui a ouvert une fenêtre sur les difficultés de ceux qui pensent avoir été lésés par les vaccins.

« Je parle au nom de tous ces gens », dit-elle.

Un résident en médecine interne est assis dans une salle d’attente
avant de recevoir une dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19
dans un hôpital d’Aurora, dans le Colorado, le 16 décembre 2020.
(Michael Ciaglo/Getty Images)

Dans le passé, 50 rapports de décès dans le VAERS inciteraient les autorités à appuyer sur les freins et à enquêter, a déclaré Rose. Selon elle, cela aurait dû se produire avec les vaccins COVID-19 il y a un an.

Non seulement cela ne s’est pas produit, mais on ne sait même pas ce qui serait suffisant pour convaincre les autorités de le faire.

« Quel est le chiffre limite pour le nombre de décès ? » demande Rose.

Le contre-argument est que les vaccins sauvent plus de vies qu’ils n’en coûtent. Mais, selon Rose, cette logique est erronée puisque les vaccins n’existent pas depuis assez longtemps et n’ont pas fait l’objet d’études suffisamment approfondies pour permettre de déterminer le nombre de vies qu’ils peuvent coûter.

On sait toutefois que le VAERS sous-estime les effets indésirables des vaccins – par un facteur allant de 5 à 100, selon certaines estimations.

Soumettre un rapport VAERS prend environ 30 minutes et de nombreux médecins n’ont tout simplement pas le temps, a déclaré Rose. Certains peuvent avoir l’impression que le fait de remplir le rapport peut les faire passer pour des « anti-vaxx ». D’autres peuvent simplement ne pas associer le problème de santé auquel ils sont confrontés à la vaccination. D’autres encore ne sont peut-être même pas au courant de l’existence du VAERS.

Il est peu probable qu’un nombre significatif de rapports soient frauduleux, a-t-elle suggéré, rappelant que la soumission d’un faux rapport est un délit fédéral.

Rose a maintenant rejoint les rangs des médecins et chercheurs dissidents sceptiques à l’égard de la ligne officielle sur les vaccins et la pandémie en général. Elle décrit cette démarche comme quelque chose qu’elle est obligée de faire en dépit des obstacles qu’elle rencontre.

« Nous ne voulons pas faire cela. Mais c’est notre devoir. Les médecins ont fait le serment de ne pas faire de mal. Et les chercheurs intègres ne peuvent pas détourner le regard de cette question », a-t-elle déclaré par courrier électronique.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale




L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Par Stefan Lanka

Traduction : Jean Bitterlin

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka

[Voir la première partie :
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple]

La définition du SARS et Corona ou Covid-19 indique qu’une pneumonie atypique est considérée comme le tableau clinique qui caractérise la maladie. Si des germes pathogènes de la pneumonie connus peuvent être détectés, la pneumonie est considérée comme une pneumonie typique, si ce n’est pas le cas, elle est atypique. Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus.

Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale parce qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccins pour cette supposée nouvelle maladie.

À partir du moment où une procédure de test pour le supposé nouveau virus est offerte, ce qui est caché par ceux qui sont impliqués, des personnes en bonne santé testent également « positif », le nombre de cas augmente automatiquement. Au début les personnes avec une pneumonie typique sont également incluses, puis de plus en plus de personnes avec d’autres maladies. Ceci est considéré comme une preuve pratique de la propagation du virus. Automatiquement de plus en plus d’autres maladies sont ajoutées à la maladie initiale « pneumonie atypique » et ce « syndrome » est affiché comme étant « la maladie du nouveau virus ».

L’autre fait décisif, et pas seulement pour le SARS et la crise corona, est que, pour des raisons compréhensibles, les virologues, qui affirment que les virus causent la maladie, étouffent une situation ouvertement étalée. La procédure de test proposée est une méthode de détection génique. Les séquences géniques qu’ils utilisent pour le test de détection n’ont pas été isolées d’un virus. Ils isolent des séquences de gènes typiques qui sont libérées en quantités accrues lorsque le tissu et les cellules meurent. Ces séquences géniques généralement courtes sont des composants du métabolisme humain et sont la base sur laquelle s’appuie le travail ultérieur du laboratoire. Avec l’aide de programmes informatiques, les virologues ne sont que capables de construire mentalement de longs brins de matériaux génétiques à partir de courtes séquences de gènes. On fait ensuite passer ceux-ci comme étant de vrais génomes viraux. Ceci est la raison pour laquelle les résultats positifs de tests sont obtenus de manière répétée même chez les personnes en bonne santé.

Afin d’éviter d’avoir à se réfuter eux-mêmes, ces virologues, systématiquement, ne tiennent pas compte de deux lois prescrites par la science. L’une est de vérifier systématiquement toutes leurs propres affirmations. L’autre est de tester toutes leurs hypothèses et méthodes utilisées au moyen d’expériences de contrôle (appelées aussi contre-expériences ou encore expériences témoin). S’ils effectuaient les expériences de contrôle, ils trouveraient que TOUTES les séquences géniques courtes, qu’ils ne font que lier mentalement à un brin de génome de virus, proviennent du métabolisme humain et non de l’extérieur, d’un virus allégué.

La dynamique propre de la crise corona a été déclenchée le 30 décembre 2019 par le communiqué sur Internet d’un jeune ophtalmologiste, communiqué qui s’est immédiatement et très rapidement répandu. Il a informé des amis que dans son hôpital plusieurs personnes étaient placées en quarantaine, que sept cas de SARS (en français SRAS pour Syndrome Respiratoire Aigu Sévère – NdT) étaient confirmés, qu’ils (les amis – NdT) devaient être prudents et devaient se protéger. Le Professer Christian Drosten de (l’hôpital universitaire – NdT) de la Charité à Berlin en a entendu parler, a commencé immédiatement le développement d’un procédé de test pour virus SARS, avant même qu’il ne soit absolument clair ou puisse être clair, si le rapport provenant de Chine était vrai et prouvé, et par-dessus tout avant que les virologues chinois ne publient leurs résultats.

Les virologues concernés de la Commission Chinoise de Contrôle des Maladies (en anglais CCDC pour Chinese Disease Control Commission, l’équivalent du CDC américain — NdT) ont publié leurs résultats les 24 janvier 2020 et 3 février 2020. Ils font état dans leur rapport de l’isolation de nombreuses séquences de gènes qui, intellectuellement assemblées les unes aux autres, pourraient représenter un brin génétique d’un nouveau type de virus. Les auteurs indiquent de manière explicite — comme tous les autres virologues impliqués à ce jour — que les expériences impérativement nécessaires qui permettraient d’affirmer qu’il s’agit vraiment d’un brin génétique d’un virus pathogène n’ont pas encore été menées. Au contraire : les virologues chinois ont indiqué de manière explicite que le brin génétique construit avait 90 % de similitudes avec un allégué virus corona de chauve-souris, inoffensif et connu depuis des décennies.

Le 21 janvier 2020 (3 jours avant la première publication du CCDC !) l’OMS a recommandé à toutes les nations d’utiliser la procédure de test mise au point par le Professeur Drosten. En affirmant qu’il avait mis au point une procédure de test fiable pour le virus qui se propageait rapidement en Chine, le Professeur Drosten, au mépris de toutes les règles clairement définies du travail scientifique, règles qui font partie de son contrat de travail, et en violant les lois de la pensée et de la logique de la virologie, a déclenché et entraîné l’accroissement et la mondialisation de la panique chinoise de l’épidémie.

1. Début de la crise Corona

Lorsque le 30 décembre 2019 le jeune ophtalmologue Li Wenliang a informé sept de ses amis médecins de Wuhan via WhatsApp que dans son hôpital plusieurs personnes étaient mises en quarantaine, que sept cas de SARS avaient été confirmés, qu’ils devaient être prudents et se protéger, il n’avait pas l’intention de semer la panique. Si cela avait été le cas, il aurait mis cette communication sur Internet et averti le public. Un des sept destinataires de cette communication WhatsApp privée a publié sur Internet, sans se rendre compte des conséquences possibles, une « copie d’écran », donc une photo de cette communication. Naturellement, cette information s’est répandue très rapidement en Chine et ensuite dans le Monde entier.

Cette communication, à cause de la panique causée par la crise SARS, que l’Organisation Mondiale de la Santé avait classifiée le 12 mars 2003 comme « menace mondiale », a déclenché une vague de peur, de panique et d’enquêtes auprès des autorités de santé et du gouvernement chinois. Suite à cela, le 31 décembre 2019 le gouvernement de Pékin a envoyé à Wuhan une « équipe d’intervention » constituée d’épidémiologistes et de virologues de la Commission Chinoise de Contrôle des Maladies (CCDC) afin de soutenir les autorités de santé de la ville et celles de la province environnante de Hubei. Il s’agissait d’examiner et de vérifier les allégations au sujet du déclenchement d’une épidémie. Au cas où une épidémie s’était vraiment déclenchée, alors la situation devait être contrôlée de façon appropriée.

Dans les premières publications pertinentes des auteurs du CCDC sur les résultats de leur recherche, « Un nouveau coronavirus chez des patients avec une pneumonie en Chine, 2019 »1 il n’est pas fait mention d’une accumulation de cas de pneumonies atypiques (« patients with pneumonia of unknown cause »). Ils écrivent dans le rapport que les patients constatés pouvaient être regroupés dans un « cluster », dans un groupe à caractéristiques communes. La caractéristique commune était la visite plus ou moins fréquente à un marché de gros de poissons (seafood wholesale market) de Wuhan. On peut juger à quel point le groupe de patients avec une pneumonie atypique était vraiment faible par le fait que le CCDC n’a prélevé des écouvillons et des fluides des voies respiratoires inférieures que sur quatre patients afin de rechercher des agents pathogènes connus et inconnus.

Entre-temps la panique à Wuhan et dans les environs progressait de manière extrême. Même les mesures prises par la police, mettant en demeure le 3 janvier 2020 l’ophtalmologue Li Wenliang, de s’engager par écrit en signant une déclaration avec une clause d’infraction à la loi, déclaration par laquelle il s’engageait à ne plus rien diffuser au sujet d’une possible épidémie de SARS, ne put plus ralentir la dynamique d’une panique qui s’aggravait dangereusement. Le 10 janvier 2020 Wenliang, et ses parents peu de temps, développèrent les symptômes d’une pneumonie. Li Wenliang s’isola de lui-même parce qu’il était persuadé qu’il avait été infecté la veille avec le virus SARS par une de ses patientes. Et cela aussi augmenta la panique.

Les médecins traitants ont effectué un grand nombre de tests différents, qui se sont tous révélés négatifs. Comme son état de santé se détériorait et que de plus en plus de personnes faisaient ouvertement état de leur sympathie envers son sort, il a continué à être testé jusqu’à ce qu’un premier test SARS soit, le 30 janvier 2020, évalué comme étant « positif ». Le désastre de la panique SARS croissante, qui mutait en une crise corona mondiale, a suivi son cours.

Li Wenliang a diffusé ce résultat sur Internet avec les mots suivants : « Today nucleic acid testing came back with a positive result, the dust has settled, finally diagnosed ». « Aujourd’hui le résultat du test génétique est revenu avec un résultat positif, la poussière est retombée, finalement diagnostiqué. »

Cette annonce a augmenté la panique déjà existante. Tout devint hors de contrôle lorsqu’il a publié sur Internet sa déclaration du 3 janvier 2020 qui lui avait été imposée par laquelle il s’engageait à ne plus rien diffuser. Cette diffusion, qui était dangereuse pour lui, était et est encore considérée comme étant une preuve pour toutes les personnes paniquées qu’il y avait une nouvelle épidémie de SARS, parce que le médecin, qui était lui-même touché, malgré la menace de sanctions, continuait à informer et à avertir l’opinion publique. La panique continuait à grandir parce que l’état de santé de Li Wenliang se détériorait malgré le recours intensif à de nombreuses substances antibiotiques, et que l’opinion publique y prenait régulièrement part. La situation était sur le point de dégénérer parce que l’information de sa mort avait été plus que chaotique et contradictoire. Ceci était et est encore la raison principale pour laquelle l’opinion publique chinoise et mondiale a accepté qu’à Wuhan une épidémie d’un nouveau SARS était apparue, qui cependant fut redéfinie en une nouvelle épidémie, une pandémie avec un nouveau nom, Covid-19.

2. Une des deux causes possibles de la peur de Li Wenliang

La peur de l’ophtalmologue Li Wenliang reposait sur des événements de 2003 en Chine, lorsque des scientifiques occidentaux affirmèrent qu’en Chine du Sud était apparu un grand nombre de pneumonies atypiques. Deux jours après l’élaboration intellectuelle du brin génomique du soi-disant nouveau virus (SARS-CoV-1) dans laquelle le Professeur Drosten était considérablement impliqué2, ce dernier a proposé un procédé de test pour ce prétendu nouveau virus3. Environ 800 personnes avec une pneumonie atypique, c’est-à-dire une pneumonie où l’on n’a pas pu démontrer la présence d’un agent pathogène connu, mais qui avec le test du Professeur Drosten avaient été testés positifs, sont décédées par conséquent — peut-être par sous ou surtraitement — avec le diagnostic SARS au lieu de « pneumonie atypique ».

Le fondement, que la peur du SARS s’était maintenue et avait augmenté jusqu’en 2019, ce sont deux publications de 2013 et 2017, les spéculations sur la possibilité de l’apparition d’un nouveau virus corona SARS. Les auteurs des deux publications ont indiqué qu’il y avait des indices de l’existence de séquences géniques courtes chez les chauves-souris saines qui pouvaient être interprétées comme étant des constituants d’un virus. Ces courtes séquences génomiques avaient des similitudes avec celles des courtes séquences génomiques qui en 2003 avaient été déclarées comme étant des composants du soi-disant Coronavirus SARS 1 (SARS-CoV-1). SARS (SRAS en français — NdT) signifie Syndrome Respiratoire Aigu Sévère ce qui est une autre description pour les symptômes d’une pneumonie atypique.

Au sujet de ces élaborations intellectuelles (fictives reformulées en réalité) de brins génétiques, il est affirmé qu’il est possible qu’ils se forment aussi en réalité et pourraient former un virus réel. Un tel prétendu virus, mais encore inoffensif chez les chauves-souris et chez d’autres animaux sauvages, pourrait par morsure, contact ou par consommation passer sur l’Homme (le fameux franchissement de la barrière d’espèce — NdT) pour devenir un virus tueur. Chez les Humains, ce virus inoffensif, par des changements (des mutations), pourrait effectivement se transformer en un nouveau coronavirus SARS qui cause une maladie. Il faut s’attendre à tout moment à un tel événement et à la vague de maladies en résultant, comme par exemple la pneumonie atypique.

À ce jour les virologues n’ont pas été capables d’isoler un virus SARS à partir d’un patient, d’une chauve-souris, d’un autre animal ou dans un laboratoire et ainsi prouver l’existence d’un brin de virus SARS intact et complet. La supposition des virologues qu’il existe également dans la réalité des brins génomiques viraux, qui sont construits de la même manière que les brins qui ont été assemblés intellectuellement à partir de courtes séquences génomiques n’a pas pu, à ce jour, être confirmée. Bien qu’il existe des techniques standards simples pour la détermination de la longueur des séquences géniques, on n’a pas réussi à prouver, d’une manière ou d’une autre, l’existence et la présence d’un brin génomique de virus SARS.

Les peurs massivement alimentées par de telles fausses affirmations étaient le fondement des craintes de l’ophtalmologue Li Wenliang tout comme chez les autres médecins et infectiologues et pas seulement à Wuhan. Ces affirmations sont la raison pour laquelle, à partir du 31 décembre 2019, les épidémiologistes et virologues du CCDC se sont focalisés sur la découverte de séquences génomiques similaires qui en 2003 avaient été définies comme composantes des coronavirus SARS (davantage sur ce propos plus bas).

3. La 2e des causes possibles de la peur de Li Wenliang

La crise SARS et Corona a débuté avec l’affirmation dans les médias qu’il y avait une prolifération de patients avec une pneumonie atypique. Cette affirmation n’a jamais été étayée. La seule chose qui ait été affirmée c’est que les pneumonies atypiques qui étaient survenues pouvaient être expliquées par l’acceptation de l’émergence d’un nouveau virus, parce que quelques-unes de ces personnes avec une pneumonie atypique avaient eu un contact avec des marchés d’animaux. Afin de pouvoir confirmer cette supposition qu’un virus inconnu puisse être à l’origine d’une pneumonie atypique, des faits connus et décrits dans la littérature scientifique médicale ont été supprimés. Il y a en effet un large spectre de causes non infectieuses pour les pneumonies atypiques. Ces pneumonies atypiques, pour différentes raisons, sont plus souvent mortelles que ce n’est le cas pour les pneumonies typiques.

Parmi les causes, il y a l’inhalation de gaz d’échappements, de solvants et de produits chimiques. L’introduction d’aliments, de boissons ou de contenu de l’estomac, lors de troubles de la déglutition ou de perte de connaissance, qui pénètrent dans les poumons peuvent également causer les pneumonies les plus graves (pneumonie d’aspiration). Rien que l’eau est suffisante et peut provoquer une grave pneumonie atypique lorsqu’elle parvient dans les poumons des noyés. Comme autre cause, il y a le spectre des dysfonctionnements immunologiques, tels que les allergies et les réactions auto-immunes. Il est également connu que les radiations dans le traitement du cancer peuvent également déclencher une pneumonie qui ne peut pas être distinguée d’une pneumonie typique. Les pneumonies hypostatiques (pneumonies qui évoluent sans symptômes permettant d’alerter — NdT) sont connues chez les personnes âgées. Celles-ci apparaissent suite à des rétentions d’eau (œdème) lors d’alitement prolongé, suite à des faiblesses cardiaques et rénales, ce qui peut entraîner une ventilation et une circulation sanguine insuffisantes dans le poumon, qui résulte directement en une inflammation du poumon et peut donc conduire à une pneumonie atypique.

De manière logique, une combinaison de causes qui par ailleurs sont à seuil bas agit également dans la pneumonie atypique. Une pneumonie atypique peut très rapidement se transformer en pneumonie typique, au cas où se produit une colonisation secondaire du poumon enflammé. C’est la raison pour laquelle la proportion de pneumonies atypiques est probablement plus élevée que les 20 à 30 % estimés.

Dans les études des cinq personnes qui sont documentées dans les deux publications pertinentes concernant la crise corona6, il n’y a pas eu de recherches sur la présence ou les antécédents possibles de signes, de mécanismes et d’effets de ces causes connues de la pneumonie atypique. De toute façon la plupart du temps les virologues ne font pas cela et, vu les circonstances entourant la panique, cela n’était pas non plus possible pour les membres du CCDC. L’exclusion de la mention de pneumonie atypique est la preuve d’une faute professionnelle médicale et empêche le bon traitement des patients. Les personnes affectées courent alors le danger d’être soumises à un mauvais traitement à base de cocktails d’antibiotiques avec de nombreux effets secondaires, surtout dans le cas de surdosage, qui est en lui-même en mesure d’aboutir aux décès des patients7. Il doit être bien clair que la panique extrême, surtout dans les problèmes respiratoires, peut, indépendamment de tout le reste, provoquer le décès. La panique peut tuer en très peu de temps, et pas seulement dans les problèmes cardiovasculaires.

La réponse à la question essentielle, si effectivement un nouveau virus a été détecté ou si de petites parties de matériel génétique provenant du corps ont été considérées ou mal interprétées comme étant des composants d’un virus, cette réponse est essentielle pour que la crise Corona puisse se terminer rapidement ou non. Comme pour le H1N1 les auteurs de la crise Corona disent que celle-ci ne peut se terminer que grâce à la vaccination. Mais l’idée de la vaccination peut également être réfutée, comme celle des virus.

Le souvenir de la pandémie de grippe porcine de 2009, qui entre temps a été oubliée, peut être très utile pour l’analyse et la qualification des événements entourant le déclenchement et le maintien de la crise Corona. La volonté majoritaire dans la population était alors de se laisser vacciner contre les virus allégués de la grippe porcine. Puis il y eut un retard dans les livraisons annoncées de vaccins. Les vaccins ne pouvaient pas être conditionnés dans des seringues prêtes à l’emploi, car les nouveaux stimulants qui étaient utilisés pour la première fois endommageaient le mélange du vaccin et le rendaient inutilisable. En conséquence, le vaccin a été conditionné dans des ampoules pour 10 personnes et le stimulant ne pouvait être rajouté que juste avant l’acte vaccinal.

À cette époque, on a appris que les stimulants, appelés adjuvants, sans lesquels le vaccin ne pourrait pas déployer son effet, sont nouveaux et non testés. On a appris que ces nouveaux adjuvants comportaient des nanoparticules. On sait que les nanoparticules, en raison de leur taille minuscule, sont très réactives, et utilisées à cause de cela comme catalyseurs dans de nombreuses réactions chimiques, par exemple elles agissent lors de processus techniques de telle manière que les surfaces se comportent de façon complètement différente par rapport à ce que l’on peut atteindre par des méthodes habituelles. Puis on apprit que la Chancelière Fédérale Angela Merkel et l’Armée Allemande devaient recevoir ce vaccin, mais sans le nouvel adjuvant à nanoparticules, contrairement à la Police et à la population qui elles recevraient le vaccin avec les nanoparticules non testées.

Le résultat fut que 93 % de la population a refusé le vaccin qui avait été produit pour elle. Seuls 7 % des Allemands se sont laissés administrer le vaccin. Le métabolisme humain ne peut pas métaboliser et extraire les nanoparticules. À cause de ce refus de la part de la presque totalité de la population, la grippe porcine disparut effectivement du jour au lendemain, comme par enchantement, hors des médias dans un naufrage et les vaccins dans un haut-fourneau. (On s’autorise une petite polémique : de manière étonnante le virus de la grippe porcine H1N1 a pris au grand galop la poudre d’escampette, n’a plus infecté d’autres personnes, n’a pas rendu malades les infectés, et a arrêté immédiatement sa présence dans les médias. Peut-être le virus de la grippe porcine s’est-il transformé en virus de la grippe halieutique, pour remonter les cours d’eau dans le corps des saumons et pour frapper à nouveau avec une force groupée sur le marché de Wuhan.)

Les épidémiologistes, infectiologues et virologues ont appris de l’échec de la planification de la pandémie qui n’a pas atteint l’apogée de la vaccination. Ils ont analysé les causes et publié leurs connaissances et recommandations pour le futur dans le n°12 de décembre 2010 du Bulletin de Santé Fédéral (en allemand : Bundesgesundheitsblatt — NdT). Le titre révélateur de ce numéro « Pandemien, Lessons learned » (Pandémies, leçons retenues — NdT) ce qui revient à dire : Les enseignements que nous avons tirés de la débâcle de la grippe porcine H1N1.

Quelques-unes des contributions de ce n° sont visibles sur Internet8, toutefois pas les plus importantes. Les recommandations clés pour la gestion de la pandémie sont :

  • S’assurer que les experts ne se contredisent pas lors de discussions publiques.
  • Implication précoce dans les médias dominants et les médias sociaux.
  • Contrôle d’Internet. Ceci pour éviter que des affirmations et des critiques du consensus et de ne pas mettre en danger l’acceptation des mesures politiques et sociales.

Ces recommandations ont maintenant été mises en œuvre avec succès ! Internet est censuré, les opposants critiques sont exclus avec, entre autres, des insultes. Les arguments irréfutables de l’acceptation de la pandémie qui ont réussi à pénétrer dans le débat public ne sont tout simplement pas abordés. Dans les médias et le personnel politique, on n’écoute qu’un seul expert, le professeur Drosten. La seule « critique » qui lui a été adressée, prononcée par un virologue VIH, avait pour but de renforcer l’affirmation centrale de l’existence d’une nouvelle sorte de virus, le SARS-CoV-2.

4. La mondialisation de la panique chinoise du virus SARS et la réorientation en crise corona par le Professeur Drosten

Le Professeur Christian Drosten de la Charité à Berlin (rappel la Charité est l’hôpital universitaire de Berlin — NdT) affirme qu’il a à partir du 1er janvier 2020 mis au point une méthode de détection génique avec laquelle il peut démontrer la présence du nouveau coronavirus chez les humains8. Le 21 janvier 2020, l’OMS a recommandé à la Chine et à toutes les autres nations le test fiable qu’il avait mis au point afin de pouvoir déterminer la propagation du prétendu nouveau coronavirus10.

Afin a) de pouvoir comprendre quelles hypothèses et quels faits sont à la base des affirmations du Professeur Drosten et b) pour vérifier si ses conclusions sur sa mise au point du test pour le nouveau coronavirus sont de manière logique et scientifiquement prouvées ou non, ou même réfutées, il est nécessaire d’expliquer les termes, techniques et représentations utilisés dans son argumentation et d’analyser les deux publications cruciales auxquelles se réfère le Professeur Drosten.

  • Comment sont définis un virus et un coronavirus ?
  • Comment dans ce contexte sont définies les séquences ?
  • Comment fonctionnent les détections de séquences désignées comme PCR, comme RT-PCR et comme « temps réel » PCR ?
  • À quel moment la détection de la présence de séquences chez les humains peut-elle être annoncée comme preuve de la présence d’un virus ?
  • Comment l’existence d’un virus est-elle démontrée scientifiquement ?

Terminologie

  • En science un virus est défini par son matériel génétique propre, qui n’appartient qu’à ce seul virus.
  • Le matériel génétique d’un virus est également désigné brin de matériel génétique, molécule génétique virale ou génome.
  • Le matériel génétique viral d’un virus contient successivement les différentes séquences génétiques pour la formation des différentes protéines virales, qui sont désignées comme étant des gènes viraux.
  • Le matériel génétique d’un virus peut être composé de l’une ou de l’autre des espèces moléculaires génétiques ADN ou ARN.
  • Les coronavirus sont ainsi définis qu’ils sont composés d’une molécule ARN spécifique qui est entourée d’une enveloppe.
  • Le matériel génétique d’un virus particulier est défini par sa longueur particulière précise et par la disposition exacte de la structure du brin génomique viral.
  • La composition du matériel génétique d’un virus résulte de la détermination exacte du nombre et de la succession spécifique des quatre éléments constitutifs (les 4 bases azotées appelées adénine, thymine, cytosine et guanine — NdT) dont se compose le matériel génétique. Les quatre éléments constitutifs sont appelés nucléotides.
  • Le processus de détermination de la succession (séquence— NdT) des éléments constitutifs d’un matériel génétique est appelé séquençage.
  • Le résultat de la détermination de la succession des éléments constitutifs d’un matériel génétique est appelé séquence ou séquence génétique.
  • Les virus pathogènes sont caractérisés par le fait que leur séquence est unique et n’apparaît pas dans des corps en bonne santé.
  • Afin de pouvoir démontrer et de déterminer la présence de matériel génétique d’un virus, selon les règles de la pensée et de la logique qui précèdent chaque science en tant que règle fondamentale, ce virus doit être isolé et être présenté sous forme pure, afin que les séquences géniques qui ne sont pas spécifiques ne soient pas mal interprétées comme étant des éléments du virus.
  • La disposition de la séquence d’un matériel génétique n’est possible que si elle se présente sous forme d’ADN.
  • Afin de pouvoir déterminer la séquence d’un matériel génétique, qui se présente sous forme d’ARN, il faut qu’elle soit auparavant transformée par voie biochimique en ADN.
  • Le processus de transformation d’un matériel génétique d’ARN en ADN est désigné par « Transcription Inverse » (en anglais « Reverse Transcription » ou RT — NdT) et abrégé en RT.

Les techniques utilisées par le Professeur Drosten et premières conclusions.

  • La présence et la longueur d’un matériel génétique sont déterminées par le fait qu’il est séparé selon sa longueur grâce à un champ électrique. Les petits morceaux migrent plus vite, les plus longs migrent plus lentement. En même temps sont ajoutées, afin de pouvoir déterminer la longueur du matériel génétique étudié, différentes longueurs de matériel génétique de longueurs connues. Cette technique standard fiable pour la détection et la détermination de la longueur d’un matériel génétique est appelée « électrophorèse sur gel ».
  • Si la concentration d’un matériel génétique donné est trop faible pour qu’elle soit détectable par « l’électrophorèse sur gel », alors elle peut être augmentée à volonté grâce à une technique de duplication illimitée d’ADN appelée Réaction de Polymérisation en Chaîne (en anglais Polymerase Chain Reaction d’où son nom de PCR — NdT). C’est ainsi que de l’ADN non détectable par électrophorèse peut être rendu visible. Ceci est un prérequis pour que du matériel génétique puisse subir des examens plus approfondis, surtout pour la cruciale détermination subséquente de sa longueur et séquence.

L’inventeur de cette technique PCR, Kary Mullis, qui en 1993 s’est vu décerner le Prix Nobel de Chimie (pour cette invention — NdT), a signalé très tôt que sa méthode qu’il avait développée pour l’analyse de la pureté de l’air dans les usines de fabrication de puces électroniques pour ordinateur était très sujette aux erreurs. Dans son discours à Stockholm, qui est sur la page du Comité du Prix Nobel, il a également souligné, qu’il n’y avait pas de preuve vérifiable, vraiment scientifique, que la substance génétique, qui est appelée génome du VIH, déclenche vraiment une faiblesse immunitaire ou une des différentes maladies qui, de manière inadmissible, sont résumées sous le terme « SIDA » et qui sont traitées avec une chimiothérapie hautement toxique. Il a souligné que le consensus « que le VIH déclenchait une déficience immunitaire » n’existait que chez les scientifiques impliqués (ayant des intérêts — NdT)

Afin de pouvoir multiplier un ADN avec la technique PCR, il est nécessaire d’en connaître la composition, la séquence de l’ADN. Parce qu’un ADN ne peut être multiplié avec la PCR que si au début et à la fin de l’ADN, se lient de petits fragments de gènes produits artificiellement qui correspondent aux séquences du début et de la fin de l’ADN à multiplier. Ces petits morceaux d’ADN artificiellement produits sont appelés pour cela « molécules amorces » de la PCR, ou Primer. Ils ont en général de 24 à 30 nucléotides (éléments constitutifs de la substance génétique).

Avec la PCR ne peuvent donc pas être détectés des séquences inconnues ou des virus inconnus. Ce n’est que la détermination de la séquence d’un virus qui rend possible la mise au point d’un test PCR pour la détection d’une séquence génique qui provient d’un virus.

  • Au tout début de la PCR, il n’était que possible de déterminer, au moyen de l’électrophorèse sur gel, la quantité d’ADN amplifié après l’arrêt de la réaction d’amplification PCR. Entre-temps ont été ajoutés certains colorants aux enzymes et substances nécessaires à la PCR. La détection de ces colorants lors du déroulement de la PCR indique à peu près quelles concentrations artificiellement amplifiées d’ADN sont apparues et environ quelle quantité d’ADN était réellement présente au début de la PCR. Puisque la détermination de la quantité d’ADN générée artificiellement peut être déterminée à peu près pendant le déroulement de la technique PCR, cette extension de la technique PCR est appelée « PCR temps réel » (RT-PCR en anglais – NdT). Comme un autre pas avait précédé la « PCR temps réel », la conversion d’ARN en ADN au moyen de la « Transcription Inverse » (en anglais Reverse Transcription ou RT – NdT), la « PCR temps réel » est appelée « RT-PCR temps réel » (en anglais « real time RT-PCR » – NdT).
  • Le Professeur Drosten utilise dans le test qu’il a mis au point pour la détection du nouveau coronavirus la technique « RT-PCR temps réel ». À cet effet, au premier janvier 2020 il a choisi dans une base de données de courtes séquences géniques proposées qui sont attribuées au virus SARS. Sur la base de ces séquences de petits fragments géniques qui ont été interprétés comme possibles composants des coronavirus, il a conçu les séquences PCR amorces (rappel : en anglais Primer — NdT) cruciales pour la PCR, afin de détecter avec sa « RT-PCR temps réel » le virus « encore » inconnu en Chine.

Lorsque les 10 et 12 janvier 2020 sont apparues sur Internet les compositions préliminaires de séquences qui ultérieurement ont été modifiées et qui ont été publiées11 les 24 janvier et 3 février 2020, cela représentait le résultat des deux premiers essais pour identifier le virus qui était encore inconnu. Les virologues du CCDC ont à cet effet réuni théoriquement, au moyen de programmes informatiques, les séquences des petits fragments géniques en un possible génome. Les virologues du CCDC déclarent dans les deux publications qu’il n’existe encore aucune preuve au sujet de ces propositions de séquence, qu’elles puissent effectivement déclencher des maladies. Les 10 et 12 janvier, les propositions chinoises de séquences étaient encore provisoires et n’avaient pas encore été soumises au processus strict, scientifiquement requis, de la vérification.

Par le fait que le 21 janvier 2020, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ait recommandé le test de détection PCR mis au point par le Professeur Drosten pour la détection du nouveau virus avant même la publication des deux premières propositions chinoises de séquences est un premier fait prouvé : le Professeur Drosten a utilisé des données non vérifiées pour son test PCR du 2019-nCoV rapidement mondialisé, qui le 7 février 202012 avec le concours du Professeur Drosten a été rebaptisé en SARS-CoV-2.

Avec le changement de dénomination de « nCoV » en « SARS-CoV-2’ au 7 février 2020 une simple hypothèse d’un virus défectueux ou inoffensif en un agent pathogène dangereux a donné l’impression à l’opinion publique qu’un virus SARS avait été découvert en Chine, qui déclenche une maladie dangereuse, à savoir le SARS et qui avait tué la nouvelle idole de Chine, Li Wenliang qui avait éclipsé la direction du parti (communiste chinois — NdT). En faisant cela, le Professeur Drosten et ses collègues du Groupe de Nomenclature des Virus ont répondu à l’attente d’une population effrayée jusqu’à la moelle : « Finally diagnosed », « Finalement diagnostiqué ». Cette attente a été réveillée par une dynamique propre de panique de masse déclenchée par le docteur en médecine Li Wenliang et apparemment remplie par le Professeur Drosten. Ce qui est important dans l’évaluation de ce fait est la réalité qu’à cette date tous les virologues directement impliqués ont témoigné — et jusqu’à ce jour témoignent —, qu’il n’y a pas de preuve que ce nouveau virus déclenche effectivement des maladies. Ou bien n’apparaît-il qu’en parallèle dans les maladies, lors des traitements des maladies, après les traitements, chez quelques personnes en bonne santé, chez de nombreuses personnes en bonne santé ou chez tout le monde ?

Rien que cela prouve que le Professeur Drosten a dépassé les frontières claires et visibles des pratiques scientifiques déloyales pour aller vers d’importantes et reconnaissables fraudes. Il ne pourra pas non plus avancer l’excuse d’avoir utilisé la publication au 23 janvier 202013 de sa procédure de test dans un journal, dans lequel les affirmations avancées n’ont pas été vérifiées avant la mise sous presse.

5. Les questions cruciales pour une fin rapide de la crise corona

La question centrale et décisive si le Professeur Drosten a respecté son devoir scientifique, qui fait partie de son contrat de travail14, de vérifier lui-même et de manière approfondie toutes les affirmations qui sont dans sa publication sur le procédé de détection qu’il a mis au point et sur ses déclarations publiques basées à ce sujet.

En raison de ce devoir scientifique central, il y a trois questions cruciales qui en découlent :

  1. Le Professeur Drosten a-t-il vérifié si les séquences géniques, qui sont la base de son procédé de test et qui ont été mises à sa disposition par les virologues chinois sont effectivement des séquences qui proviennent d’un virus ?
  2. Le Professeur Drosten a-t-il réalisé les expériences de contrôle qui en science sont impératives et qui prouvent si les séquences qu’il a utilisées proviennent effectivement d’un virus ? A-t-il réalisé ces expériences de contrôle, si les séquences qu’il a utilisées, qu’il attribue au nouveau virus, en réalité qui ne sont pas des séquences, qui apparaissent dans n’importe quel métabolisme, peut-être même dans des plantes, comme par exemple dans la papaye de Tanzanie15 ou dans les métabolismes lors de maladies ?
  3. Sur la base de quels hypothèses, expériences et contrôles le Professeur Drosten peut-il affirmer qu’avec son procédé de test, pour lequel il ne prouve que des zones partielles de 2 gènes du génome sur un total de 10 gènes du coronavirus, qu’il prouve la présence d’un virus entier, actif et causant des maladies ? Et pas seulement des fragments d’un virus après un supposé combat victorieux du système immunitaire, ou bien la présence de virus « défectueux » ou « incomplets » ou « inoffensifs » qui sont typiques dans notre matériel génétique et qui constituent 50 % de la masse des gènes de nos chromosomes ?

Les réponses proviennent, à ce jour, des faits documentés du Professeur Drosten lors de la mise au point du procédé de test et de non-faits documentés du Professeur Drosten. Le virologue Professeur Drosten, qui a mis au point la détection du nouveau coronavirus (appelé d’abord 2019-nCoV puis à partir du 7 février 2020 SARS-CoV-2), décrit la mise au point du procédé de test dans une publication publiée le 23 janvier 202016. Dans la page 3 de cet article, dans la colonne de gauche, 8 lignes du bas, il nous décrit le premier et décisif pas de sa démarche :

“Avant l’annonce publique de séquences de virus provenant de cas avec 2019-nCoV, nous nous sommes reposés sur les médias sociaux qui annonçaient la détection d’un virus similaire au SARS. C’est pour cela que nous avons supposé qu’un CoV relié au SARS est impliqué dans le déclenchement (de l’épidémie — NdT).”

Ce qui signifie que le Professeur Drosten et ses collaborateurs, sur la base d’annonces dans les médias sociaux, ont accepté que dans l’épidémie alléguée d’une pneumonie atypique un coronavirus en rapport avec le SARS pourrait être impliqué. À ce moment-là aucune donnée clinique n’était disponible qui aurait pu servir de base à une telle hypothèse. Quel était le pas suivant ?

“Nous avons téléchargé toutes les séquences de virus complètes et partielles (longueur moyenne > à 400 nucléotides) reliées au SARS qui, au 1er janvier 2020, étaient disponibles dans la GenBank (banque de gènes— NdT).” Ça continue dans la colonne de droite de la page 3, 3e ligne à partir du haut :

“Ces séquences nous les avons (Remarque de moi-même, Stefan Lanka : à partir d’une séquence standard de virus SARS prédéfinie) alignées et l’alignement a été utilisé pour la conception de l’essai (Figure supplémentaire S1 dans le supplément de cette publication).”

“Après la publication de la première séquence 2019-nCoV sur virological.org, nous avons choisi 3 tests avec comme base dans quelle mesure elles correspondaient au génome du 2019-nCoV (Figure 1).”

À partir de ces propos découlent des réponses, des conclusions et des conséquences claires :

  1. Le Professeur Drosten a-t-il vérifié si les séquences géniques qui sont la base de son procédé de test et qui ont été mises à sa disposition par les virologues chinois sont véritablement des séquences qui proviennent d’un virus ? La réponse est non ! Il ne pouvait pas vérifier si les séquences proposées provenaient d’un virus, parce que dans les deux publications décisives décrivant l’obtention des séquences géniques qu’il avait utilisées ces séquences n’étaient pas disponibles avant la mise sur le marché de son test.
  2. Le Professeur Drosten a-t-il réalisé les expériences de contrôle qui en science sont impératives et qui prouvent si les séquences qu’il a utilisées proviennent effectivement d’un virus. A-t-il réalisé les expériences de contrôle pour savoir si les séquences qu’il a utilisées, qu’il attribue au nouveau virus, ne sont pas en réalité des séquences qui apparaissent dans n’importe quel métabolisme, peut-être même dans des plantes, comme par exemple dans la papaye de Tanzanie15 ou dans les métabolismes lors de maladies ?
    La réponse est : Non ! Ni lui, ni les virologues du CCDC ou d’autres n’ont à ce jour de manière prouvée réalisé ces contrôles impératifs et dans le cas où ils les auraient réalisés alors ils ne les ont pas publiés. Pour ces expériences de contrôle cruciales, il faut utiliser de courtes séquences génétiques provenant du métabolisme de personnes en bonne santé afin de les séquencer. Ces courtes séquences géniques doivent, comme celles provenant de personnes malades, être assemblées en un long génome d’un virus, à l’aide des mêmes programmes informatiques. Cet essai n’a soit jamais été effectué ou n’a jamais été publié. Il n’est même pas fait mention de ce contrôle obligatoire et résultant des règles de la logique de la virologie — de contrôler ses propres résultats de manière approfondie. Au moment où cet essai est effectué et publié, la crise corona est instantanément terminée.
    L’autre test de contrôle, basé sur la logique scientifique, est le dépistage intensif, au moyen du procédé PCR (RT-PCR temps réel), d’échantillons cliniques de personnes avec d’autres maladies que celles qui sont décrites comme attribuées au virus et à partir d’échantillons provenant de personnes en bonne santé, d’animaux et de plantes, pour voir si ces échantillons ne sont pas également testés « positif ». Ces expériences de contrôle supplémentaires, qui logiquement sont obligatoirement nécessaires afin de valider un procédé de test, à savoir vérifier s’il est valable et a une signification, n’ont à ce jour jamais été effectuées et on n’a même pas affirmé qu’elles ont été effectuées. C’est la raison pour laquelle l’inventeur et les producteurs de ce procédé de test se sont couverts, par les renseignements correspondant sur la notice d’information, par exemple que le test n’est à utiliser qu’à fins d’études et n’est pas adapté à des fins de diagnostic.

Je peux prédire avec certitude que des personnes qui libèrent des séquences géniques d’un type de tissu de l’épithélium squameux, par exemple les patients insuffisants rénaux, seront testées positives à 100 % avec le test PCR développé par le Professeur Drosten, si la quantité de frottis prélevée sur elles est un peu multipliée et concentrée. Très vraisemblablement tous les organismes peuvent être testés positifs.

J’en appelle aux biochimistes, bio informaticiens, virologues et spécialistes de cultures cellulaires de réaliser ces essais de contrôle, de les diffuser et de m’en informer. J’ai conçu une expérience de contrôle où l’excuse que le matériau échantillon ait été contaminé avec le virus SARS-CoV-2 avant ou pendant l’essai de contrôle est exclue à l’avance.

Les coûts pour la réalisation des expériences de contrôle seront couverts si moi-même et d’autres observateurs neutres avons le droit d’être présents lors des expériences de contrôle et que chaque pas (de l’expérience — NdT) est décrit. Veuillez, pour la prise de contact, vous adresser à l’éditeur. Cela ne sert à rien s’il n’y a que moi à présenter les résultats des essais de contrôle.

  1. Sur la base de quels hypothèses, expériences et contrôles le Professeur Drosten peut-il affirmer qu’avec son procédé de test, pour lequel il ne prouve que des zones partielles de 2 gènes du génome sur un total de 10 gènes du coronavirus, qu’il prouve la présence d’un virus entier, actif et causant des maladies ? Et pas seulement des fragments d’un virus après un supposé combat victorieux du système immunitaire, ou bien la présence de virus « défectueux » ou « incomplets » ou « inoffensifs » qui sont typiques dans notre matériel génétique ?

Le Professeur Drosten n’a pas pris en considération ces questions logiques, car elles n’apparaissent nulle part dans ses publications et affirmations. La détection de seules quelques petites séquences de gènes d’un génome ne pourra jamais prouver la présence d’un virus intact et donc capable de se reproduire. Pour pouvoir qualifier de valide un tel test PCR, il faudrait d’abord entreprendre des études, dont les résultats montrent que la détection de petites séquences de gènes prouve automatiquement la présence d’un génome entier et intact d’un virus. De telles études logiques et impératives n’ont pas été menées ou signalées à ce jour.

La Professeure Karin Mölling, virologue de pointe dans le domaine des virus associés aux cellules, des virus décrits comme endogènes, incomplets ou défectueux, a qualifié les mesures adoptées comme étant injustifiées, et ce dès le début de la crise corona. Elle a démontré dans des publications et dans son livre17 que la moitié des génomes de l’être humain, par conséquent la moitié des séquences dont sont constitués nos chromosomes, proviennent de séquences géniques inactives et défectueuses. Ce qu’elle ne sait pas, ou cache, est la réalité que le métabolisme génère constamment une grande quantité de séquences géniques ARN de composition quelconque, qui n’apparaissent pas sous forme d’ADN dans les chromosomes. Cette réalité remet en question l’existence affirmée de tous les virus ARN, comme par exemple les coronavirus, les virus Ebola, le VIH, le virus de la Rougeole, et les virus SRAS. Ce fait est également le fondement de la raison pour laquelle, avec les expériences de contrôle, non seulement la crise Corona touchera à sa fin, mais également la peur et les traitements inadaptés dus à toute la virologie des présumés virus responsables de maladies. Je peux assurer que les vraies causes et phénomènes de l’infection, qui sont attribuées aux virus, sont prouvées au sens « positif » du mot « Science ». Je fais référence à cette fin aux contributions passées « Mauvaise interprétation du virus » du magazine WissenschafftPlus n°1/2020 qui peut aussi être obtenu en fichier PDF. Et naturellement les nombreuses contributions antérieures autour de cette problématique.

La suite « Mauvaise interprétation du virus III » suivra.

Sources :

  1. A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019. N Engl J Med 2020; 382: 727-33. DOI : 10.1056/NEJ- Moa2001017. Veröffentlicht am 24.1.2020.
  2. Von der Verantwortung eines Virologen. Ist Christian Drosten Opfer oder Täter? Veröffentlicht im Blog des Friedensaktivisten Peter Frey, peds-ansichten.de am 26.5.2020.
  3. SARS, Wikipedia. https://de.wikipedia.org/wiki/Schweres_akutes_Atemwegssyndrom (Eintrag vom 29.5.2020);
  4. Xing-Yi Ge et al., Isolation and characterization of a bat SARS-like coronavirus that uses the ACE2 receptor. Nature. Band 503, 2013, S. 535–538, doi:10.1038/nature12711;
  5. Discovery of a rich gene pool of bat SARS-related coronaviruses provides new insights into the origin of SARS coronavirus. Ben Hu, Lei-Ping Zeng, Xing-Lou Yang et al., PLoS Pathogens. 13(11): e1006698, doi:10.1371/journal.ppat.1006698;
  6. Siehe Quelle 1 und : A new coronavirus associated with human respiratory disease in China. Nature | Vol 579 | 12 March 2020 | 265-269.
    https://doi.org/10.1038/s41586-020-2008-3. Veröffentlicht am 3.2.2020.;
  7. Pathological findings of COVID-19 associated with acute respiratory distress syndrome. Lancet Respir Med 2020; 8: 420–22.
    Published Online February 17, 2020.
    https://doi.org/10.1016/ S2213-2600(20)30076-X;
  8. Bundesgesundheitsblatt, Ausgabe Nr. 12, Dezember 2010. Pandemien. Lessons learned https://link.springer.com/journal/103/53/12;
  9. Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR. Prof. Christian Drosten und Mitarbeiter. Euro Surveill. 2020;25(3):pii=2000045.
    https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045. Veröffentlicht am 23.1.2020.
  10. Diagnostika: Erster Test für neuartiges Coronavirus entwickelt. Medica Magazin vom 21.1.2020. https://www.medica.de/de/News/Archiv/Diagnostika;
  11. Siehe 6;
  12. Severe acute respiratory syndrome-related coronavirus: The species and its viruses — a statement of the Coronavirus Study Group. bioRxiv preprint doi: https://doi. org/10.1101/2020.02.07.937862;
  13. Siehe 9;
  14. §2 Grundsätze Guter Wissenschaftlicher Praxis: (1) u.a. „alle Ergebnisse konsequent selbst anzuzweifeln“ und „die anerkannten Grundsätze wissenschaftlicher Arbeit in den einzelnen Disziplinen einzuhalten.“ In: Neufassung der Satzung der Charité – Universitätsmedizin Berlin zur Sicherung Guter Wissenschaftlicher Praxis vom 20.06.2012 (AMB Charité Nr. 092, S. 658) Zu finden unter: https://www.charite.de/fileadmin/ user_upload/portal/charite/presse/publikationen/amtl-mittei lungsblatt/2016/AMB_208.pdf;
  15. Wie mit den Befunden in der Öffentlichkeit umgegangen wird, dass auch Früchte „positiv“ auf „SARS-Cov-2“ getestet werden ist, finden Sie beispielhaft hier: https://www.zdf.de/nachrichten/panorama/coronavirus-papaya-ziege-tansania-test-100. html
  16. Siehe 9;
  17. Siehe das Buch von Karin Mölling mit dem interessanten Titel „Viruses: More Friends Than Foes“, 420 Seiten, das 2016 auch auf Deutsch erschienen ist.

Traduction Jean Bitterlin 30 octobre 2020




La nanotechnologie dans les vaccins

[Source : La vérité]

Précisions par La Quinta Columna sur les composants de nanotechnologie dans les vaccins Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca et sur leurs effets.



[Voir aussi :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]




Le vote est devenu une escroquerie en bande organisée

[Source : profession-gendarme.com]

Le vote au suffrage universel est devenu une escroquerie politique en bande organisée. Il n’y a pas eu d’élections sincères en 2017, à cause des serveurs DOMINION et SCYTL, qui ont truqué le résultat du premier tour : Macron était à peine crédité de 11 % par les Français. Pourtant, il a été adoubé candidat du second tour contre M. Le Pen, en siphonnant les autres listes de candidats, y compris les petites listes comme l’UPR et le NPA.

1°) Excellent article rédigé par notre ami Dominique Kern !

Il n’y a pas eu d’élections en 2017 en France, mais une manipulation de l’opinion, avec la complicité du FN, pour faire accepter Macron

Ils ont tous accepté de « faire barrage », pour pimenter le jeu, avec des cartes (électorales) truquées.

Et Macron est sorti vainqueur, alors que le Peuple le détestait dès le départ.

C’est cette impasse imposée d’en haut, à la va-vite, que nous subissons aujourd’hui sous cette forme pandémiesque (pandémie et grotesque). C’est cette impasse qui est en train d’être démontrée, démontée, au grand jour en ce moment…

On ne peut pas dissocier Macron de toutes les tragédies qui ce sont abattues sur notre pays depuis son élection…

Incendie de Notre-Dame de Paris, volontaire ou pas.

Lubrizol, à Rouen, dont les conséquences ne sont même plus discutées.

La pandémie cache toutes les autres tragédies : c’est le cache-sexe idéal de toutes les saloperies qu’ils nous a imposées..

Pour favoriser ceux qui l’ont fait élire…

Le vote est devenu en France, comme aux USA, une escroquerie ouvertement en bande organisée.

Mr Donald Trump, quoi qu’on pense, a une assise dans le pays : les blancs victimes de la mondialisation, ce que les démocrates, souvent haïs, n’ont pas. Les démocrates ont cru à leur opération « assises minorités » : mais les minorités sont parties vers Trump.

Le pari Biden ne pouvait pas marcher. Ils le savait : pourquoi l’ont-ils essayé… ? Ils sont maintenant dans une énorme impasse.

En France, l’escroquerie dure depuis un moment, depuis l’élection de Jacques Chirac quand il fut opposé à Le Pen en 2002.

Depuis ils ont essayé de parfaire le scénario, qu’ils nous imposent à chaque fois.

Mais pour que ça marche, il faut qu’on y croie, sinon c’est la crise de confiance qui est en train d’avoir lieu.

2°) Brigitte Bouzonnie : Oui, il n’y a pas eu d’élections sincères en 2017.

À cause des serveurs DOMINION et SCYTL installés à Nice par la CIA, qui ont truqué le résultat au premier tour

Macron était à peine crédité de 11 % par le Peuple français. Mais pourtant, il a été adoubé candidat du second tour contre M. Le Pen, en siphonnant les autres listes de candidats, y compris les petites listes comme l’UPR et le NPA.

Je suis tout à fait d’accord pour dire que le Peuple français détestait Macron depuis le projet de loi Khomri ; qui devait s’appeler au départ : loi Macron 2. On rappelle que le refus de la loi Khomri a donné lieu à 14 journées nationales, un million de personnes dans la rue, rien que pour la journée du 31 mars 2016. Une forte ébullition sur les réseaux sociaux. Un pouvoir hollandiste en roue libre. Et, si nous n’avions pas eu de dirigeants syndicaux et politiques corrompus (coucou Martinez, coucou Mélenchon !), on aurait pu imaginer un renversement de pouvoir.

Ensuite, nous faire croire que Macron, avec son chapeau haut de forme de la Restauration de Juillet, avait rassemblé sincèrement 24 % le soir du premier tour, c’était vraiment nous prendre pour des billes !

Nous avons compris le mode opératoire précis utilisé par Macron et Hollande, grâce à l’article rédigé par Éric Montana sur MEDIAZONE du 24 novembre 2020 : « SCYTL, le logiciel qui rend nos votes inutiles » (voir article ci-dessous). Et quand Alexis Cossette a raconté le raid de Francfort, la mort de 5 GI, afin de récupérer les serveurs DOMINION, ayant truqué l’élection 2020 américaine entre Donald Trump et Biden.

Le rôle de la désorientation idéologique majeure, active à la tête de l’État

Outre les serveurs truqués, l’élection présidentielle est devenue une procédure irrationnelle et mensongère. Alain Badiou dénonce avec lucidité « la désorientation idéologique majeure, active à la tête de l’État, et dont souffre par ruissellement le Peuple français : l’amenant à voter pour des Chirac, Sarkosy, Hollande, Macron.

« Le rôle des affects collectifs ne peut être apprécié indépendamment des appareils idéologiques d’État chers à Althusser (partis, médias). Et qui sont des puissances de déraison et d’ignorance tout à fait spectaculaires. Leur fonction est justement de propager des affects dominants. Ils n’ont pas été pour rien en 2002, pour la “psychose Le Pen” : qui, après que le vieux pétainiste, quoique vieux cheval sur le retour fourbu, tiré d’écuries en ruine, a passé le premier tour, — M Le Pen second le 21 avril 2002, Jospin éliminé —, jeta la masse de jeunes lycéens épouvantés et de raisonnables intellectuels dans les bras d’un Chirac, qui, n’étant pas lui-même, en ce qui concerne la vigueur politique, de toute première fraîcheur » (sic) (« De quoi Sarkosy est-il le nom ? », édition Lignes, 2009).

De même, l’injonction au vote utile 2017, afin d’élire le candidat Macron, mauvais sur le plan intellectuel. Et faire de l’électorat français un Peuple apeuré, terrorisé devant le supposé danger Le Pen, imperméable à toute rationalité élémentaire.

Mais ce n’est pas tout : des mécanismes grossiers de tromperie majeure du Peuple français ont pétaradé à plein régime dans les télés officielles. La télévision a atteint des niveaux de déraison extraordinaires. Un exemple entre mille : .ainsi, plus de dix millions de Français ont assisté au premier débat entre les candidats de la présidentielle 2017. Avec un Mélenchon dominant largement le débat. Sortant des blagues : « il faut laisser les PS parler entre eux » (sic), à propos d’une algarade Hamon/Macron. Inversement, un Macron plus mauvais qu’un mauvais élève pris en faute. Pourtant, un quart d’heure avant la fin du débat, on nous a sorti un sondage proclamant Macron vainqueur, pour 29 % des sondés, tandis que JLM était loin derrière à 20 %. Pire encore, tout au long de la journée suivante, les médias inéquitables réussirent le tour de force de « commenter » le débat sans jamais citer Mélenchon.

Le vote au suffrage universel est devenu une escroquerie politique en bande organisée, permettant de faire élire la personne la plus détestée des Français. Désormais, nous n’irons plus voter. Ou voter sans aucune certitude de voir notre bulletin de vote pris en compte. La confiance populaire ayant disparu, cela va générer un taux d’abstention abyssal.

La démocratie parlementaire se meurt, la démocratie parlementaire est morte !

Elle ne se relèvera jamais de ces énormes triches à répétition, qui ont commencé aux Philippines, Cambodge, Taïwan, Hong Kong, puis en Allemagne, France, États-Unis. Elle ne se relèvera pas de tout le mensonge médiatique, qui l’entoure, réduisant notre intellect au degré zéro de l’entendement.

Il faut inventer un autre système de désignation honnête de nos dirigeants !

3°) « Scytl, le logiciel qui rend nos votes inutiles », article rédigé par Éric Montana le 24 novembre 2020 pour MEDIAZONE

Le logiciel qui permet de faire élire un inconnu, Président…

Il y a des événements qui servent parfois de déclic dans une vie. La fraude massive du candidat Biden dans les élections américaines en est un.

Nous découvrons avec effarement que l’on peut truquer des élections dans le pays qui se revendique « leader du monde libre » et lumière de la démocratie. Nous apprenons grâce à Internet et l’affaire Jeffrey Epstein, la corruption massive qui ronge la politique américaine, vendue à tous les lobbys. La dépravation maladive de dirigeants mondialement connus comme Bill Clinton et même Bill Gates, deux habitués des voyages sur le Lolita Express, l’avion qui servait à transporter ces bienfaiteurs de l’humanité sur l’île aux orgies appartenant à l’agent du Mossad, découvert si opportunément suicidé dans sa cellule new-yorkaise. Un État américain noyauté par des personnages soupçonnés ou accusés de pédophilie, de trafic et de crimes sexuels…

Nous apprenons l’existence d’un Deep State qui gouverne ce pays dans l’ombre. Nous réalisons avec effroi que la CIA, cet État dans l’État qui ne rend compte à personne, agit à sa guise avec la complicité de son frère jumeau le Mossad, dans le trafic d’armes, le trafic de drogues, le trafic d’êtres humains, les coups d’État, les révolutions colorées, les assassinats ciblés.

Nous découvrons que Soros finance les Black Lives Matter en payant les manifestants 15 dollars de l’heure pour semer le chaos et la violence, qu’il organise les caravanes de milliers de sud américains se dirigeant vers les États-Unis pour tenter de faire passer Trump qui s’oppose à ces arrivées massives de faux migrants, pour un président sans cœur et sans compassion et salir son image aux yeux des Américains et du reste du monde…

Et bien évidemment, on finit par s’interroger sur notre propre pays. Et en découvrant chaque jour que Dieu fait, la corruption de nos politiciens, leur soumission aux lobbys, leurs lois iniques votées contre le peuple, l’enrichissement rapide de certains d’entre eux, les privilèges indécents qu’ils s’accordent à eux-mêmes, l’impunité qu’ils se votent pour mieux se protéger de la justice, leurs vices cachés, on se dit que nous sommes exactement dans la même situation qu’aux États-Unis.

De plus, quand on découvre que la France possède aussi le logiciel Scytl qui a servi à truquer les élections américaines, les doutes légitimes que nous avions sur les élections présidentielles de 2017, qui ont vu la victoire d’un candidat sorti de nulle part, mais sélectionné par le groupe Bilderberg pour être le nouveau président de la République française, ne peuvent que revenir à la surface.

Personne n’a oublié comment Macron a été outrageusement avantagé dans les médias, dans la presse. L’inégalité du temps de parole appliqué scandaleusement aux autres candidats qui ont été marginalisés, maltraités, et qui malgré leurs légitimes revendications à bénéficier d’un temps de parole égal et d’une égalité de traitement, n’ont pas été entendus. Cette première et grave anomalie laissait déjà entrevoir le reste… Macron semblait être le candidat que le Système avait choisi pour la fonction suprême. Les sondages lui étaient systématiquement favorables alors qu’il était inconnu des Français et que la seule chose que l’on savait de lui, c’est qu’il a permis à la finance apatride de mettre la main sur les fleurons de notre industrie nationale.

Ses meetings électoraux avec des figurants, des salles à moitié vides alors que les médias parlaient d’enthousiasme et d’engouement « populaire » pour ce jeune candidat, ont été une autre anomalie qui aurait du mettre la puce à l’oreille de ceux qui prétendent faire de l’information. La campagne électorale de Macron avait tout d’une mise en scène et réunissait tous les ingrédients de la manipulation de masse. Puis l’utilisation de machines à voter informatisées, aussi peu fiables que les résultats finaux, a été une autre source de questionnement.

Ne parlons pas des résultats du premier tour où dans les grandes villes tenues par ses amis politiques, les bulletins blancs étaient inexistants, où les premiers comptages lui attribuaient de 6 à 9 % et parfois beaucoup moins… et qu’après une étrange panne informatique d’une demie-heure, on l’a donné en tête avec 22, 23 ou 24 %… Les miracles de l’informatique et du logiciel Scytl ?

Le soir même du premier tour et avant même que les résultats définitifs ne soient connus, Macron à l’instar de Sarkozy, fêtait déjà avec les élites de la finance, son élection prévisible et annoncée pour le second tour face à Marine Le Pen, la candidate choisie par le logiciel pour être l’épouvantail qui allait provoquer le ralliement massif de tous les « républicains » sur le candidat choisi par Bilderberg.

Puis « last but not least » [enfin, mais pas des moindres], le soir de son élection, le discours prononcé devant la symbolique pyramide du Louvre avec cette lumière rouge au-dessus de sa tête, comme l’œil d’Horus observant les événements, saluant la foule au signe du compas et de l’équerre devant des spectateurs et des figurants apparemment nombreux, mais télévisés à coups d’images rapides pour éviter le détail qui tue..

Tout cela faisait penser à la théâtralisation d’une cérémonie maçonnique. Les derniers détails qui confirmaient des doutes légitimes et l’idée que nous étions bien dans une élection étrange ne correspondant à rien de ce que nous avions vécu auparavant. Et puis cette sale impression que le groupe Bilderberg et la Franc-Maçonnerie l’avaient largement organisée et planifiée, et que grâce à l’ignorance et la naïveté des Français, la Cabale l’avait largement emportée.

Le vrai gagnant de ces élections ce n’était pas le peuple français, mais Rothschild et ses complices de l’État profond.

Depuis, la France est vendue à la découpe à la haute finance et les riches se sont enrichis et multipliés comme jamais auparavant. Ce pouvoir gouverne par la force et la violence. Du jamais vu en France ! La corruption explose faisant de notre pays l’un des pays le plus corrompu du monde. Les lois liberticides se succèdent les unes après les autres. Les droits sociaux sont démolis à coups de votes nocturnes à l’Assemblée et au Sénat et même la réforme des retraites contre laquelle des millions de Français ont protesté, a été votée en pleine nuit, en catimini grâce à une nouvelle traîtrise du groupe Les Républicains qui en ont pris l’initiative.

Et puis cerise sur le gâteau, l’État d’urgence sanitaire décrété grâce à un virus de laboratoire breveté et utilisé de manière criminelle, pour imposer aux Français un régime digne des pires dictatures.

La destruction de l’économie pour favoriser le Grand Reset à base de monnaie digitale, permettant de surveiller tous nos faits et gestes, les tests bidons pour continuer à gouverner par la peur, les chiffres truqués pour favoriser la psychose de la mort, la vaccination avec l’ajout de nanoparticules et d’ingrédients qui nous rendront encore plus malades, et bientôt la pénurie alimentaire, un nouveau Covid-21 et les camps d’internement pour faire plier les récalcitrants qui refusent en bloc le confinement, le masque obligatoire, l’interdiction de voyager, l’interdiction d’un retour à une vie normale et la folie criminelle de ce gouvernement d’imposteurs, d’assassins et de corrompus.

Et si les médias s’inquiètent de constater que 91 % des Français et 80 % d’entre nous, ne faisons plus confiance ni au gouvernement ni aux médias complices au sujet de cette gigantesque opération criminelle, c’est que nous sommes à la veille d’une révolte qui se transformera sans aucun doute, en insurrection violente.

Le peuple de France est victime d’une Cabale monstrueuse tout comme le peuple américain et d’autres peuples européens. Cette Cabale veut nous imposer le Nouvel Ordre Mondial totalitaire et génocidaire de gré ou de force, et pour l’instant c’est surtout la force et la violence qui sont employées. Nous sommes donc en situation de victimes.

Mais nous ne devons pas oublier que la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 énonce en son article 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »

Et si le réveil du peuple français semble lent et poussif, il est indéniable qu’il est massif.

Un autre monde est possible et cela ne dépend que de nous. Seuls nous ne sommes rien, ensemble soyons tout.

Comment un inconnu peut-il devenir Président ?

Source : Médiazone







Covid-19 — L’art de raisonner juste sur des hypothèses fausses

[Source : https://micheldogna.fr]

[Illustration : des hypothèses fausses ne peuvent qu’entraîner des conclusions fausses.]

Par Michel Dogna

[Note de Joseph :

Syllogisme et sophisme

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond à la réalité, aux faits observables (et parfois mesurables) ou objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut être cohérente et logique ou sembler l’être de prime abord avec un regard superficiel, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel. Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». La théorie virale relève de syllogisme, de sophisme et/ou d’illusion mentale ou intellectuelle, même si elle est presque mondialement considérée comme fondée et valable. (Voir aussi plus bas.)

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).]

Revenons début janvier 2020 à Wuhan : des gens tombent subitement morts en marchant dans la rue, d’autres meurent en quelques minutes d’une embolie pulmonaire, d’autres d’une crise cardiaque fatale… Panique !

Hypothèse officielle :

Un méchant coronavirus grippal nommé COV 19 échappé accidentellement du laboratoire P4 (haute sécurité expérimentale) de Wuhan — ceci agrémenté d’une histoire à dormir debout avec des pangolins et des chauves-souris…

Réalités associées :

  1. En décembre 2019 toute la population de Wuhan a reçu un vaccin obligatoire (déjà ARNmessager) contre la grippe, qui on le sait maintenant, a pour premier effet (confidentiellement classique) de faire chuter toutes les défenses immunitaires. Mais ce n’est pas tout, nous avons pu apprendre plus tard par la Dr Karen Kingston — ex-employée Pfizer, que ce vaccin avait été chargé d’oxyde de graphène nano – preuves à l’appui les factures du principal fabricant chinois qui attestent une très grosse vente aux grands labos à cette époque (revoir « Le grand secret de Pfizer » — news du 26 août 2021). On apprendra quelques mois plus tard par la Quinta Columna espagnole que tous les vaccins ARNm contiennent de l’oxyde de graphène qui génèrent des milliers de micro caillots sanguins. Ceux-ci ayant tendance à s’agglutiner occasionnent des thromboses subites, souvent fatales.
     
  2. 10 000 antennes relais 5G qui avaient été préalablement installées dans Wuhan ont été mises en service pile en même temps que l’alerte de l’hécatombe Corona Covid.
    Des études d’un laboratoire de recherche indépendant ont mis en évidence qu’une nouvelle fréquence porteuse 60 gigahertz de la 5G excite les atomes d’oxygène ambiant le rendant partiellement inutilisable par l’hémoglobine du sang — des pluies d’oiseaux et d’insectes morts en vol furent relatées à cette époque dans des journaux, ceci confirmant l’action asphyxiante du rayonnement 5G 60 gigahertz.
     
  3. On ne parle guère non plus de la protéine Spike des vaxx ARNm qui, à l’aide de l’hydrogel Darpa, s’invite à l’intérieur des cellules qu’elle rencontre, et embauche leur ARN pour la dupliquer à l’infini dans tout le corps — ceci endommageant gravement, voire mortellement, les réactions immunitaires face aux agressions des variants à venir. J’en reste là par souci de concision.

Arrêter de se tromper de cible

Nous avons là trois armes de destruction massive complémentaires et non répertoriées — puisqu’invisibles — qui ont permis de stigmatiser au départ le monde entier par des effets effrayants d’une soi-disant pandémie corona — car il fallait que personne ne comprenne l’origine top secret de la catastrophe. Oui il fallait un leurre, un faux drapeau pour détourner l’attention du public, et ce leurre a été le CoV 19 une simple grosse grippe que l’on a montée en mayonnaise, en interdisant tous les remèdes basiques efficaces.

Même la plupart des scientifiques s’y sont laissés prendre ! J’en suis aussi étonné que consterné, car je continue à voir encore maintenant au bout de deux ans, que parmi la plupart des « poids lourds » de la recherche et de la médecine, aucun, à part quelques rares « hors-pistes », ne relève la tête du guidon Covid/variants et ne prend en compte ce trio fatal « graphène/5G/spike ». Même chose dans la majorité des débats TV et vidéos !

On ne sort pas de ce mirage viral !!!

  • NOTA : savez-vous que tout vaxxé est sans le savoir porteur d’un identifiant détectable par un simple tél portable androïde ?

Quel est le rôle réel des 3, 4, 5e doses, dites « Boosters » ?

Nous avions vu que l’oxyde de graphène nano rend notre corps supraconducteur magnétique et électrique et en fait une excellente antenne. De son côté, la 5G sert de porteuse de télécommande pour programmer le corps (et éventuellement l’esprit) des vaxxés.
Mais nous avions vu aussi que le graphène rencontre des ennemis in situ, qui sont le L-Glutathion et possiblement les antidotes qui sont : la TM gemmo d’aiguille de pin et/ou le dioyde de chlore ClO²- – du Sanchlor. Donc, avec les semaines et les mois, les vaxxés s’appauvrissent en oxyde de graphène, ceci handicapant le contact radio de la 5G.

Considérez donc que les doses dites vaccinales anti-variants sont encore un joli mensonge — le seul but est de vous recharger en graphène pour entretenir le contact avec votre « maître » qu’est devenue la 5 G !

À titre de conclusion

  • Combien de temps va-t-on encore faire passer pour des vaccins, des soupes de Frankenstein qui ne sont faites que pour falsifier notre ARN puis notre ADN, ceci pour nous diminuer et non nous augmenter, nous blesser et non nous nous protéger, et faire des 10 % de survivants prévus « des robots » corvéables et jetables à souhait ?
     
  • Combien de temps va-t-on continuer à disserter à l’infini sur des chiffres et des statistiques contradictoires qui ne mènent qu’à des mesures de second ordre, autour d’un virus qui a vécu 70 jours comme tous les virus et qu’on n’a même jamais su isoler, ou de ses multiples variants aussi éphémères, vers un bourbier sans fin et sans solutions ?
     
  • Combien de millions de morts prématurées ou subites post vaccinales, combien de millions de grands-parents (les soi-disant inutiles), combien de millions de jeunes détruits physiquement et mentalement va-t-il falloir pour que le peuple sorte de sa torpeur disciplinée pour enfin, sans même avoir à se battre, DIRE ENSEMBLE NON A TOUT, ET ARRÊTER D’OBÉIR aux tyrans criminels ainsi qu’à leurs valets collabos profiteurs corrompus.
     
  • Rien ni personne ne peut faire quoique ce soit contre cela.
     
  • Nota : militaires, gendarmes et diverses forces de l’ordre n’attendent que cela pour se joindre au peuple et le soutenir.

[Voir aussi :

L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


Articles liés à la thérie virale, la vaccination et la santé en général :

Quelques bons gros mensonges scientifiques
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
1968-2018 : la descente aux enfers !
Si seulement les humains étaient aussi bons que les animaux. Le monde aurait alors de l’espoir
Coup de froid
Prendre sa santé en main
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Articles récents :
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie

Sur le graphène :
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Dossier 5G et ondes pulsées

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]

Meurtre par injection

Dans « Meurtre par injection : histoire de la conspiration mondiale contre la santé », Eustace Mullins décrit, preuves à l’appui, la prise de contrôle par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire dans ce qu’a découvert l’auteur : cette mainmise a été permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes.

Lire la suite]




Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés

[Source : Ciel Voilé]

Par Henri

Évidemment, c’est quelque chose d’énorme et qui devrait véritablement interpeller les gens, vaccinés ou pas. Mais il n’en n’est rien, les gens, dans leur majorité, même beaucoup de scientifiques, FUIENT ou se défaussent lorsque vous leur parlez de ça, alors qu’ils pourraient souvent le vérifier eux-mêmes. C’est donc bien une question de morale et non de capacité intellectuelle.

Attention ! Ça ne « marche pas » avec tous les vaccinés, seulement environ un sur deux selon mes observations personnelles. Ni avec tous les téléphones. L’un de ceux avec lesquels ça marche le mieux est le Xiaomi Redmi note 8 (150€) à condition d’activer l’affichage des périphériques BT sans nom. D’autres précisions sont données sur le site « de la dent bleue » indiqué plus bas.

De plus, comme l’expose plus ou moins clairement Me Brusa, les codes reçus changent tous les quarts d’heure environ. Ces codes ne sont PAS les adresses MAC des « périphériques-injectés », mais des adresses fictives qui masquent la véritable adresse du sujet, qui, elle, est fixe bien-sûr. Elle se déduit des adresses apparentes au moyen d’un décryptage dont la clé serait à demander à Big Brother. Ce système est classique et exposé dans une norme IEEE.

L’affaire a été relancée plusieurs fois ici-même et sur Profession Gendarme, mais ça ne « mord pas ». Il ne faut pas s’en étonner lorsque l’on pense que le simple constat visuel de la réalité des chemtrails donne lieu au même négationnisme, alors qu’il y a en plus ici une manipulation technique à effectuer.

Donnons une fois de plus les URL des sites clés sur le sujet, mais sans se faire d’illusions. Il est vrai que la rapidité de succession des thèmes abordés sur les blogs a pour effet de tout déclasser et d’enraciner les gens dans la culture de l’éphémère, plus encore lorsqu’ils regardent les sites sur un téléphone, instrument de l’éphémère par excellence puisqu’ils ne peuvent pas prendre de notes ni véritablement travailler sur les pages regardées (et non étudiées). Encore heureux s’ils ne font pas autre chose en même temps.

Le site de base est :

https://lmdb.ouvaton.org/doku.php?id=accueil

Il faut tout lire attentivement et ouvrir les liens. Les expériences relatées (et qui passent rapidement dans Hold On) ont été conduites par un pro, un expert en sécurité des réseaux, pas par un dilettante.

Le compte-rendu des expériences conduites tout-à-fait rigoureusement se trouve ici :

https://lmdb.ouvaton.org/lib/exe/fetch.php?media=2021_11_-_projet-bluetooth-experience-fr.pdf

Toutefois, on ne peut être véritablement convaincu que si l’on comprend ou du moins commence à comprendre comment, physiquement, ce phénomène inouï et inédit est possible. Disons tout de suite que les ingénieurs ayant fait leurs études il y a plus d’une quinzaine d’années et qui n’ont été en contact depuis leur sortie de l’école ni avec les nanoparticules ni avec le graphène, lesquels possèdent des propriétés totalement différentes des macro-matéraiux classiques, vont tomber de haut. Et pourtant …

Donc, pour savoir, au moins un peu, comment ça marche, c’est ici :

https://corona2inspect.blogspot.com/

Là encore, bien-entendu, il faut ouvrir les liens. On peut en général utiliser la traduction Google intégrée au site, mais elle se met en grève pour traduire les articles les plus explosifs (mais pas DeepL, procéder par copier-coller partiels successifs compte-tenu de la limitation de la version gratuite). Un minimum de connaissances en physique / électronique sont nécessaires pour suivre.

N.B. Depuis ce site espagnol, apparaissent des liens vers la Quinta Columna. Ils ne concernent pas directement le sujet abordé ici. Je le signale car si cette équipe de valeur a mené des recherches très fructueuses sur les éléments de graphène bizarres contenus dans les vaccins, à mon avis, elle est sorti de son domaine et s’est fourvoyée en affirmant l’inexistence d’un virus du covid. Je m’en désolidarise sur ce point mais c’est sans incidence sur le reste de leurs travaux (les « nageurs », etc.).

Voilà l’essentiel est dit. Celles et ceux qui veulent mordre peuvent partir des renseignements qui précèdent. Dans l’espoir que ça serve au moins à une personne !


[Voir aussi :
Projet Bluetooth Expérience X
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
La surveillance numérique – le vrai motif derrière la pression pour vacciner les enfants]




Un système d’esclavage à tous les étages

[Source : @quantumleaptraduction]



[Voir aussi :
Discours de Robert F. Kennedy, Jr. et de Catherine Austin Fitts à Milan, Italie le 13 novembre
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »]




Luxembourg — Lettre ouverte contre l’obligation vaccinale

[Transmis par Christine Côte]

E F V V – European Forum for Vaccine Vigilance
Jean-Pierre EUDIER, Président,
7, Rue des Maximins
8247 MAMER

Commission Consultative Nationale d’Éthique
Madame la Présidente
Julie-Suzanne BAUSCH
18-20, Montée de la Pétrusse
L-2327 Luxembourg

LETTRE OUVERTE

Luxembourg, le 3 janvier 2022

Conc. : Votre rapport du 8 décembre 2021 sur l’obligation vaccinale des majeurs

Madame la Présidente,

Dans votre rapport du 8 décembre 2021, vous ouvrez la porte à la vaccination des enfants ainsi qu’à l’obligation vaccinale des majeurs.

La Commission semblait naguère hostile à la vaccination obligatoire, peut-être reviendra-t-elle de nouveau sur cette opinion dans six mois. Vous avez avec vous votre conscience, votre morale et votre responsabilité.

Vos considérations semblent préparer l’opinion publique à briser le tabou de l’inviolabilité du corps humain et du droit de la personne, de refuser, d’interrompre ou de s’abstenir d’un soin.

Tout comme les membres de la Commission, nous sommes des membres de la société civile, comptant parmi nous des juristes, des médecins, des fonctionnaires concernés par la vie de la cité.

Nous sommes tout d’abord au regret de devoir évoquer la question des liens éventuels de certains membres de la Commission avec les membres du Gouvernement et d’autres personnalités du monde politique.

En particulier, nous vous prions de nous confirmer que l’homonymie de votre patronyme avec Monsieur le vice premier Ministre François BAUSCH, n’est qu’une pure coïncidence.

Votre Commission étant un rouage de la démocratie, cette question doit pouvoir être évoquée en toute quiétude et objectivité.

Votre confirmation nous suffira.

Nous nous devons de combattre votre point de vue.

En laissant disparaître la pensée individuelle, le conformisme favorise les dérives d’un processus de négation des libertés individuelles et d’acceptation d’une politique de ségrégation.

Aussi, nous nous permettons de vous adresser la présente lettre ouverte en vous invitant à venir débattre sachant que le travail de la Commission doit obéir à l’exigence systématique de « recherches et débats pluralistes, objectifs qui tiennent compte de la complexité de l’horizon normatif de notre société. »

« À qui est persuadé détenir une vérité universelle, il est indécent d’oser demander des preuves. C’est le principe de l’intégrisme religieux. La peur de la maladie et de la mort nous rendent vulnérables face aux marchands d’espoir. La démarche scientifique n’échappe pas aux règles de la psyché humaine. La science nous a sorti de l’obscurantisme, veillons à ce qu’elle ne nous y replonge pas. Ce n’est pas au réel de se plier à nos croyances. »

Peut-être n’y prêterez-vous aucune attention.

Il nous importe aussi de laisser le témoignage que nous nous y sommes opposés, l’avenir jugera ensuite de l’opinion et de l’attitude de chacun.

Il s’agit encore de faire prendre conscience à nos concitoyens que l’oppression et le chantage à la vaccination ne sont pas des choses normales et de leur donner les arguments juridiques afin de s’y opposer.

Nous évoquons ici non seulement les mesures liberticides sous prétexte de la crise sanitaire mais aussi et surtout au regard de la stigmatisation et la pression exercées sur une partie de la population.

La science et la rationalité ont disparu faisant place à une idéologie politique assumée visant à vacciner à tout prix l’ensemble de la population.

Le passage du système 3G au système 2G dans les cinémas et les restaurants en est l’exemple le plus éloquent. Cette politique apparaît ici contre-productive, voire potentiellement favorable à la diffusion du virus.

L’avis du Collège médical du 8 décembre 2021 est particulièrement éloquent dans ce contexte :

« le collège médical constate avec satisfaction que le gouvernement se propose donc de suivre cet avis d’augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée (seuls les certificats de vaccination et de rétablissement 2G sont admis pour les activités et les établissements dits de loisirs) ».

Le Collège médical appelle ainsi à des « mesures coercitives renforcées » sur les récalcitrants à la vaccination.

Ces termes sont terribles car ils opèrent un glissement dans une logique qui justifie l’exercice de la violence sur la population.

Vous l’admettez d’ailleurs vous-même dans votre rapport en stigmatisant ceux qui n’ont « pas fait leur devoir de citoyen ».

Jusqu’où irons-nous ? Après les avoir privés de leurs moyens de subsistance, faut-il enfermer les réfractaires ? Faudra-t-il même les priver de l’autorité parentale ? De leurs comptes bancaires ? Faudra-t-il aller jusqu’à les condamner pour mise en danger de la vie d’autrui ?

Tout est possible dans cette logique qui veut qu’ils soient les responsables de la pandémie !

La minorité est déjà fortement marginalisée par des communications agressives de personnalités influentes du monde politique, n’hésitant pas à la décrire comme complotiste et inconsciente des risques qu’elle fait encourir aux autres.

Après avoir été stigmatisés, culpabilisés puis privés de leurs droits, les réfractaires à la vaccination seront désormais « hors la loi » avec l’obligation déjà programmée à la vaccination, à en croire votre rapport.

Toutes ces annonces accentuent la dangereuse dérive vers une stratégie de désignation d’un bouc émissaire. Quand on désigne un groupe de personnes comme coupable de tous les maux d’un pays, l’Histoire nous montre que c’est non seulement toujours faux et qu’ensuite cela finit toujours très mal.

Vous rétorquerez très certainement que tel est le jeu de la démocratie et que la majorité des citoyens approuvent la politique du gouvernement.

L’anomalie devient la norme.

Des bonnes fois sont abusées, des mauvaises fois abusent.

Les citoyens ont l’impression d’être les jouets d’un scénario absurde. L’école est désorganisée, le monde économique est sur les nerfs. La science, la rationalité et le droit ont disparu, place aux passions.

La politique de ségrégation du laissez-passer vaccinal est présentée comme la seule alternative au confinement.

Près de deux ans après la sidération du confinement, les citoyens constatent à présent que nous n’avons ni la liberté, ni la sécurité et que nos enfants en subissent en première ligne les conséquences.

Nous ne concevons pas la démocratie comme la tyrannie de la majorité.

Il y a lieu de respecter les institutions gardiennes de la démocratie et notamment la Constitution mais aussi les traités internationaux comme la Convention européenne des Droits de l’Homme.

Le justiciable doit, en outre, pouvoir faire usage d’un recours effectif de constitutionnalité et non pas plusieurs mois ou même années après lorsqu’il est exposé à la suspension de ses revenus.

Or, les pouvoirs publics semblent miser sur la durée des procès tout en prenant de court le justiciable en transférant de surcroît la responsabilité de l’application de la loi sur les opérateurs économiques.

Il n’est donc pas surprenant qu’en se coupant des conseils de sagesse et de pondération que la constitution luxembourgeoise et européenne lui permettrait de conserver, il s’insinue une forme très archaïque de pouvoir dans une vision unilatérale de l’ordre social arrêtée depuis le choix de l’état d’urgence sanitaire.

Le Grand-Duché du Luxembourg doit respecter les engagements dont il est signataire et notamment la résolution 2361 de l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe votée le 27 janvier 2021 par tous les pays de la communauté laquelle prescrit une attitude respectueuse des libertés qu’elle énonce clairement dans les paragraphes suivant :

7.3.1 « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement; »

et 7.3.2 « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner; »

Les principes définis dans la résolution 2361 doivent être respectés.

Le respect de la parole donnée est une valeur essentielle qui fonde la confiance nécessaire à l’exercice du pouvoir.

Même sur le site Internet du Ministère de la Santé, à la question : est-ce que la vaccination contre la COVID-19 sera obligatoire, il est répondu : « Comme pour la plupart des vaccins dans notre pays, la vaccination contre la COVID-19 sera effectuée sur base volontaire »(https://covid19.public.lu/fr/vaccination.html).

Les citoyens se sentent trahis par l’application insidieuse du système « CovidCheck », d’abord sur une base volontaire, puis réservée aux manifestations nocturnes et à présent généralisée sous contrainte à une grande partie des activités sociales.

Un État qui ne respecte pas les obligations internationales qu’il a signées, pour imposer par la force un vaccin démontre qu’il remplace son devoir de convaincre par l’autoritarisme et rompt ainsi le contrat social.

Nous vous invitons également à la lecture de l’article 5 de la Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine signée le 4 avril 1997 à Oviedo (Espagne). Cette Convention est le seulinstrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’Homme dans le domaine biomédical.

Elle reprend les principes développés par la Convention européenne des Droits de l’Homme dans le domaine de la biologie et de la médecine.

Ce texte est une Convention cadre visant à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine.

Nous reproduisons ici son article 5 qui prévoit :

« Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé.

Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques.

La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. »

Un vaccin ou une injection dite « vaccinale » est bien évidemment « une intervention dans le domaine de la santé » au sens de la Convention.

Par conséquent la convention d’Oviedo telle qu’interprétée par le Conseil de l’Europe, interdit aux États signataires, le vaccin obligatoire, la contrainte et la discrimination des personnes non vaccinées.

Plus généralement, la convention d’Oviedo prohibe implicitement la politique du laissez-passer vaccinal, beaucoup ayant été contraints à la vaccination pour pouvoir retrouver leur vie sociale ou simplement travailler.

Il est vrai que l’article 26-1 de la Convention d’Oviedo prévoit une exception :

« L’exercice des droits et les dispositions de protection contenues dans la présente Convention ne peuvent faire l’objet d’autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sûreté publique, à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé publique ou à la protection des droits et libertés d’autrui. »

Toutefois, celle-ci ne s’applique pas en l’espèce.

La recherche médicale ne peut cependant pas faire l’objet de restrictions au libre consentement, conformément à l’article 16 de la Convention :

« Les restrictions visées à l’alinéa précédent ne peuvent être appliquées aux articles 11, 13, 14, 16, 17, 19, 20 et 21. »

Article 16 : Protection des personnes se prêtant à une recherche

« Aucune recherche ne peut être entreprise sur une personne à moins que les conditions suivantes ne soient réunies :

i. il n’existe pas de méthode alternative à la recherche sur des êtres humains, d’efficacité comparable ;

ii. les risques qui peuvent être encourus par la personne ne sont pas disproportionnés par rapport aux bénéfices potentiels de la recherche ;

iii. le projet de recherche a été approuvé par l’instance compétente, après avoir fait l’objet d’un examen indépendant sur le plan de sa pertinence scientifique, y compris une évaluation de l’importance de l’objectif de la recherche, ainsi que d’un examen pluridisciplinaire de son acceptabilité sur le plan éthique ;

iv. la personne se prêtant à une recherche est informée de ses droits et des garanties prévues par la loi pour sa protection ;

v. le consentement visé à l’article 5 a été donné expressément, spécifiquement et est consigné par écrit. Ce consentement peut, à tout moment, être librement retiré. »

Les vaccins disponibles sont en phase 3 d’essais cliniques, jusqu’au 27 octobre 2022 pour MODERNA et au 2 mai 2023 pour PFIZER. Jusqu’à ces dates, il ne s’agit que de médicaments expérimentaux. Les termes utilisés pour le vaccin PFIZER est « Investigational medicinal product » (IMP) (médicament expérimental) ; Protocole Pfizer pp. 46,139 clinicaltrialsregister.eu

Il s’agit d’essais cliniques au sens de l’article 2 du règlement UE 536/2014 pour lesquels l’Agence européenne du médicament n’a délivré qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle au sens de l’article 4 du Règlement 507/2006.

L’application de ces normes interdit l’obligation ou la contrainte vaccinale car les vaccins ne sont pas définitivement agréés puisque les essais cliniques continuent.

Pour autant, même à supposer pour les besoins de notre raisonnement que les vaccins en question seraient définitivement agréés, les restrictions à l’article 5 de la Convention d’Oviedo doivent être proportionnelles et mesurées en tenant compte des droits fondamentaux.

Si suspendre les contrats de travail pourrait correspondre à un simple sentiment de protection de la santé publique liée à une épidémie qui fait plusieurs fois le tour du monde, laisser les travailleurs sans revenus de substitution, est un acte inhumain et dégradant.

La CEDH a constaté dans un arrêt de Grande Chambre que laisser des individus sans revenus pendant plusieurs mois, est bien un acte inhumain et dégradant au sens de l’article 3 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

ARRÊT DE LA GRANDE CHAMBRE M.S.S contre Grèce et Belgique requête 30696/09 du 21 janvier 2011

« 263. Au vu de ce qui précède et compte tenu des obligations reposant sur les autorités grecques en vertu de la directive européenne « Accueil » (paragraphe 84 ci-dessus), la Cour est d’avis qu’elles n’ont pas dûment tenu compte de la vulnérabilité du requérant comme demandeur d’asile et doivent être tenues pour responsables, en raison de leur passivité, des conditions dans lesquelles il s’est trouvé pendant des mois, vivant dans la rue, sans ressources, sans accès à des sanitaires, ne disposant d’aucun moyen de subvenir à ses besoins essentiels. La Cour estime que le requérant a été victime d’un traitement humiliant témoignant d’un manque de respect pour sa dignité et que cette situation a, sans aucun doute, suscité chez lui des sentiments de peur, d’angoisse ou d’infériorité propres à conduire au désespoir. Elle considère que de telles conditions d’existence, combinées avec l’incertitudeprolongée dans laquelle il est resté et l’absence totale de perspective de voir sa situation s’améliorer, ont atteint le seuil de gravité requis par l’article 3 de la Convention.

Il s’ensuit que le requérant s’est retrouvé, par le fait des autorités, dans une situation contraire à l’article 3 de la Convention. Dès lors, il y a eu violation de cette disposition. »

Nous vous invitons à considérer encore le règlement (UE) 2021/953 du Parlement européen et du Conseil du 14 juin 2021 relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE).

Celui-ci interdit clairement la discrimination à l’encontre des personnes ne souhaitant pas se faire vacciner :

« la délivrance de certificat en vertu du paragraphe 1 du présent article ne peut entraîner de discrimination fondée sur la possession d’une catégorie spécifique de certificats visées à l’article 5, 6 et 7 »

Il prohibe implicitement mais nécessairement l’obligation vaccinale. Nous vous rendons attentif au considérant 36 dudit règlement :

« Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auxquelles le vaccin contre la Covid 19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. »

Pour revenir à la vaccination des enfants :

Votre Commission admet elle-même dans son rapport que le risque est « assez limité » pour l’enfant de tomber malade mais que la vaccination des plus petits « augmente en chiffres absolus le taux de vaccination de la population » (sic).

Tout d’abord, il faut avoir bien peu de cœur pour imputer la propagation du virus à des enfants.

C’est l’intérêt personnel de nos enfants qui nous importe et non pas les objectifs d’augmentation du taux de vaccination.

Suivant la Convention internationale des droits de l’enfant, c’est d’ailleurs sur le seul critère de l’intérêt supérieur de l’enfant que doit être prise toute décision qui concerne un mineur.

La même notion est reprise au terme de la Charte des Droits fondamentaux de l’Union européenne en son article 24 :

« dans tous les actes relatifs aux enfants, qu’ils soient accomplis par des autorités publiques ou des institutions privées, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération primordiale. »

Nous estimons que des enquêtes sérieuses devraient être lancées avant de continuer la campagne de vaccination, ou du moins qu’il est impératif d’informer de manière claire le public du risque significatif d’apparition d’effets secondaires, y compris de décès.

Nous nous permettons de vous rappeler la campagne de vaccination de sinistre mémoire contre le papillomavirus.

Un article du 27 mars 2008 du journal « Le Jeudi », bien moins complaisant avec les autorités, dénonçait le manquement au devoir d’information du Ministre quant à l’efficacité du vaccin et les effets secondaires :

« Ce que le ministre de la santé n’a pas dit. Le ministre de la santé a failli dans sa mission d’information. Les parents doivent être mis en garde sur le fait que les signataires de cette lettre ne leur ont pas tout dit et même que certaines de leurs affirmations deviennent fausses par omission. »

La Cour européenne des Droits de l’Homme s’est prononcée au sujet de la légitimité de l’obligation vaccinale des enfants aux termes d’un arrêt du 8 avril 2021 (VAVRICKA c/ REP. TCHÈQUE).

Si la Cour européennes des Droits de l’Homme n’a pas sanctionné l’obligation vaccinale tchèque pour la vaccination traditionnelle, il ne s’agit pour autant en aucun cas d’une légitimation juridique de la vaccination obligatoire contre la COVID.

La Cour rappelle que, selon sa jurisprudence, la vaccination obligatoire, en tant qu’intervention médicale non volontaire, constitue une ingérence dans l’exercice du droit au respect de la vie privée tirée de l’article 8 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

La Cour européenne des Droits de l’Homme a donc rendu une décision in concreto en tenant compte de plusieurs éléments comme :

  • la vaccination existe depuis de nombreuses années,

    Ce n’est pas le cas du vaccin COVID élaboré dans un temps record et qui est encore en phase d’essai.

  • les maladies contre lesquelles le vaccin lutte sont graves,

    Dans l’immense majorité des cas de COVID-19, l’infection est bénigne. Les statistiques officielles ne montrent pas une surmortalité significative en 2020. Selon les statistiques officielles luxembourgeoise, 85 % des décès concernent des personnes âgées de plus de 60 ans. Après plus de deux ans de lutte, nous savons donc quelle doit être la cible prioritaire des soins.

  • les effets secondaires sont connus et peu significatifs,

    En décidant de vacciner une population en bonne santé face à un virus qui ne la tuera pas, il est indispensable d’avoir un très haut niveau de qualité du vaccin, ce qui est contredit par les chiffres officiels du ministère de la santé et les suspensions et retraits de vaccin pourtant déjà administrés.

    Surtout, une méfiance existe compte tenu des suspensions et interdictions de vaccins en cours (Johnson&Johnson et Astra Zeneca). Des cas de thrombose ont été révélés et il convient de déterminer s’ils sont sans lien avec les vaccins réalisés.

    Les 11 décès reconnus à Luxembourg sur une période de moins d’un an de vaccination constituent un chiffre considérable qui ne peut être passé sous silence.

  • les conséquences de la non-vaccination sont temporaires et limitées,

    Les conséquences de la non-vaccination sont extrêmement violentes allant jusqu’à la suspension des moyens de subsistances et l’exclusion des activités sociales et de loisirs.

  • la vaccination obligatoire n’entraînait pas de contrainte physique.

    Ce n’est pas encore le cas mais nous ne pouvons pas exclure une telle dérive au train où vont les choses.

Une lecture mesurée et raisonnable de la motivation de l’arrêt VAVRICKA ne plaide guère pour la légalité de l’obligation vaccinale pour le cas de la COVID-19.

Le temps du droit n’est pas le temps des médias et de la politique, il est d’ailleurs possible qu’une initiative si téméraire soit tuée dans l’œuf avant même sa mise effective en application.

Nous oublions nos principes, les engagements politiques et nos traités au profit d’une idéologie politique assumée visant à vacciner l’ensemble de la population.

Au nom de quels principes ?

Est-ce au nom du « bien commun » de la mythique immunité collective ?

Au Grand-Duché de Luxembourg, malgré un taux de vaccination de près de 80 %, nous atteignons des records de contamination, à savoir un taux quasi équivalent à celui de l’année précédente lorsque nous ne disposions pas du vaccin.

On promettait la liberté au Danemark en septembre dernier avec des taux record de vaccination. En décembre 2021, le pays est de nouveau confiné…

Un confinement a été décrété pour les fêtes de Noël aux Pays-Bas, dont le taux de vaccination de la population avoisine les 80%.

Malgré un taux de vaccination de quelques 80%, l’Islande connaît depuis novembre 2021 un pic de contamination inouï, deux fois supérieur à l’année précédente lorsque la population ne disposait pas du vaccin.

Voici la définition du mot « vaccin » dans le dictionnaire LAROUSSE :

« Substance d’origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l’égard d’autres infections. »

Il est désormais clair que la vaccination n’empêche pas la transmission du virus, rendant illusoire la mythique immunité collective.

Le vaccin ne peut tout au plus constituer un traitement prophylactique potentiel contre des formes graves.

Les études scientifiques et notamment la référence « LANCET » dans un article de Günter KAMPF du 19 novembre 2021 intitulé « The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is increasing » et une multitude d’autres recherches de la même teneur démontrentclairement que la vaccination n’empêche pas la propagation du virus.

Nous citons l’article scientifique précité :

Many decision makers assume that the vaccinated can be excluded as a source of transmission. It appears to be grossly negligent to ignore the vaccinated population as a possible and relevant source of transmission when deciding about public health control measures”.

Il faudrait donc multiplier les « boosters » (quel mot horrible !) à l’apparition d’un nouveau variant, sous peine de se voir privé de vie sociale et professionnelle, toujours sans garantie quant à l’efficacité, ni quant au danger potentiel du vaccin.

A cette course absurde, mais fort lucrative pour l’industrie pharmaceutique, nous serons toujours en retard d’une bataille.

D’ailleurs, qui en décidera ?

Délèguerons-nous à l’industrie pharmaceutique le pouvoir de décider du nombre de doses à administrer ?

Au-delà de la question des primo-vaccinés, cette pression intolérable concerne l’ensemble de la population, vaccinée ou non.

Si deux vaccins ont déjà échoué, on aura besoin d’urgence d’une troisième dose, puis d’une quatrième et ainsi de suite.

Combien de doses faudra-t-il encore avant d’admettre que les vaccins n’ont pas l’efficacité voulue ?

Les sources officielles révèlent que Commission européenne a 4,6 milliards de doses de vaccins contre la COVID-19 et des négociations sont en cours pour obtenir des doses supplémentaires,soit quelques 10 doses par personnes, enfants compris, en tenant compte de la population totale de l’Union européenne.

Tout vacciné est un futur non-vacciné s’il décide de ne plus se soumettre aux différents rappels de vaccination programmés.

La création d’un laissez-passer vaccinal, voire l’obligation vaccinale ne sont pas des réponses sérieuses pour lutter contre la pandémie quand près de 80 % des luxembourgeois sont déjà vaccinés.

Il y a un manque de proportion évident entre la lutte contre la pandémie de la COVID-19 et les droits fondamentaux des citoyens qui vont vivre une « mort sociale », alors que les mutations du virus, rendent la multiplication des doses vaccinales moins efficaces.

D’ailleurs, de plus en plus de scientifiques, voire même de politiques, prennent leurs distances avec la politique du tout vaccinal.

En Angleterre, le comité de la Chambre des Lords s’est déclaré hostile à l’obligation vaccinale et fustige les essais :

« il existe une incertitude considérable quant à l’efficacité des vaccins contre le covid, certaines complications graves à court terme et un manque de données sur les méfaits à long terme. »

Une information relayée par le « British Medical Journal » BMJ dont voici un extrait traduit :

« En tant que médecins et professionnels de la santé, dont beaucoup travaillent dans le NHS, nous tenons à exprimer notre opposition à ce que la vaccination anti-SRAS-CoV-2 soit obligatoire pour tout groupe de personnes, y compris les travailleurs de la santé et les soignants. Nous convenons avec le comité de la Chambre des Lords que les preuves sont insuffisantes pour justifier cette mesure, mais le gouvernement et le Parlement ne semblent pas être à l’écoute et les vaccins obligatoires pour lepersonnel du NHS devraient être promulgués cette semaine.

Nous ne contestons pas que le covid-19 peut être et a été une infection dangereuse, et nous convenons que les vaccins sont efficaces dans de nombreuses situations. Cependant, il existe une incertitude considérable quant à l’efficacité des vaccins contre le covid, certaines complications graves à court terme et un manque de données sur les méfaits à long terme. Dans cette situation, il est impératif queles gens soient en mesure de faire un choix en toute connaissance de cause quant à l’opportunité de se faire vacciner ou non. »

Dans son rapport de surveillance du vaccin COVID-19 de la semaine 42, l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni admet à la page 23 que les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination :

« (…) recent observations from UK Health Security Agency (UKHSA) surveillance data that N antibody levels appear to be lower in individuals who acquire infection following 2 doses of vaccination. »

L’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni poursuit en expliquant que cette baisse d’anticorps est pratiquement permanente.

A l’opposé, près de 140 publications scientifiques attestent l’efficacité de l’immunité naturelle à long terme après l’infection COVID-19 :

L’immunité est apparemment étudiée non seulement sous l’aspect des anticorps mais également des T cells (immunité à plus long terme), car l’immunité existe même en l’absence d’anticorps.

Elle est bien supérieure à la protection vaccinale.

L’immunité naturelle est occultée au Luxembourg, si bien que des personnes présentant un taux élevé d’anticorps doivent se soumettre à la vaccination après une période qui n’est pas déterminée par une consultation médicale individuelle préalable.

Alors qu’elle est parfaitement ignorée au Luxembourg, l’immunité naturelle fait l’objet d’un projet de loi aux États-Unis dénommé « Natural Immunity is real Act » :

« The applicable agency shall acknowledge, accept, agree to truthfully present, and incorporate, the consideration of natural immunity as it pertains to COVID–19 with respect to the individuals subject to the applicable regulations. »

Est-ce au nom de la préservation du système hospitalier ?

Nous observons que des épisodes grippaux d’une ampleur supérieure à la crise actuelle étaient relativement banalisés par le passé.

Nous nous permettons de citer ici la réponse de Madame la Ministre de la santé à la question parlementaire numéro 2697 du 25 janvier 2017 de Monsieur le Député Halsdorf concernant l’épidémie de grippe :

« La grippe causée par le virus influenza survient le plus souvent au Luxembourg vers janvier et février. Cet épisode est d’une durée d’environ deux mois (…) Cette saison-ci, la grippe a débuté au Luxembourg fin décembre 2016 et a atteint son pic à la mi-janvier 2017. Le nombre de cas semble actuellement aller en diminution. En parallèle à cet épisode, on constate une augmentation du nombre de décès toutes pathologies confondues.

L’inspection sanitaire de la direction de la santé suit le nombre hebdomadaire de décès et a constaté que ce nombre est passé d’une moyenne hebdomadaire d’environ 80 décès à 120 décès par semaine à la mi-janvier 2017. Ce phénomène est constaté tous les ans lors de l’épisode grippal. Le surplus de décès survient principalement auprès de personnes ayant des problèmes de santé graves et qui se trouvent en fin de vie. Les décès ne sont souvent pas directement dus à la grippe elle-même mais la conséquence de l’infection virale aggravant les problèmes de santé préexistants (…) »

Permettez-nous de reprendre les données figurant dans un avis juridique du cabinet d’avocats

« FRANK, COHRS & BOCK » en date du 14 octobre 2021 : « selon la carte sanitaire de 2019 du Ministère de la Santé (sortie en 2021), le nombre de lits disponibles s’élève à un total de 2.644 lits (2.221 dans les

4 centres hospitaliers et 423 dans les établissements hospitaliers spécialisés). Il s’avère que moins d’un pour cent (1%) des lits disponible est pris par des patients hospitalisés à cause ou avec le COVID-19 ».

D’après les données officielles du site du Ministère de la Santé, 51 personnes se trouvaient hospitalisées pour raisons de COVID-19 en date du 20 décembre 2021, soit moins de 2% du total des lits disponibles.

Nous devons également reprendre une statistique encore moins réjouissante, celle du nombre de décès et d’effets secondaires liés à l’administration du vaccin.

La communication gouvernementale prétendant que les vaccins sont sûrs, efficaces et sans dangers apparaît en contradiction avec les clauses d’exonération des contrats relatifs aux vaccins, mais aussi des données de la pharmacovigilance.

Suivant le rapport officiel du 1er novembre 2021 émis par le Ministère de la Santé, on recense quelques 1.940 cas d’effets secondaires immédiats des vaccins dont 430 cas graves et 11 décès.

Parmi les 430 cas, on recense 286 cas médicalement significatifs, 115 cas de recours à une hospitalisation, 18 cas de mise en jeu du pronostic vital et 11 décès.

Si une entreprise avait tué 11 personnes avec son produit, nous tenterions de mettre les responsables en prison.

On ne sait strictement rien du contenu des seringues vendues par Pfizer mais il nous est demandé de faire confiance à cette firme qui s’est précisément distinguée par son passé de malfaiteur et de charlatan.

Outre les effets secondaires thrombo-emboliques décrits en début de campagne de vaccination, d’autres pathologies inflammatoires se sont manifestées.

L’exemple le plus connu est celui de la découverte récente des problèmes de myocardite et péricardite et l’inclusion de ces signaux de sûreté (quoique tardive) dans les rapports de l’Agence Européenne du Médicament, dont on ne citera que celui lié au myocardites et péricardites et qui peut être consulté en suivant le lien ci-après :

https://www.ema.europa.eu/en/documents/prac-recommendation/updated-signal-assessment-report-myocarditis-pericarditis-tozinameran-covid-19-mrna-vaccine_en.pdf

Pour reprendre juste quelque lignes de ce document, contrairement à ce que la presse voudrait faire croire, les effets indésirables de ces produits ne sont pas du tout anodins allant jusqu’aux séquelles permanentes et irréversibles, une mortalité précoce ou même à la mort immédiatement après l’injection :

« In 50% of cases, acute myocarditis resolves quickly within 2-4 weeks, however 25% may develop persistent cardiac dysfunction and 25% may deteriorate to end-stage dilated cardiomyopath (p. 4/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis withTozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY) (…).

3.1.2.1. MYOCARDITIS As of 31 May 2021, in Eudravigilance were received 145 cases reporting myocarditis with Comirnaty vaccine in the EEA. In these 145 cases, 143 cases were assessed as serious for which the seriousness criteria was ticked 172 times as follows: 5 times‘Death’, 18 times Life-threatening, 104 times Hospitalization, 2 times Disablingand 43 times ‘Seriousness Other (p.34/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis with Tozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY) »

De plus, ces mêmes documents montrent clairement que les problèmes relatifs au profil de sûreté de ces produits sont loin d’être résolus, même dans le cas de signaux déjà documentés et acceptés par l’Agence Européenne du Médicament:

« Comment PRAC Rapporteur: The MAH (Marketing Autorisation Holder, dans ce cas ci Pfizer Biontech) did not provide the requested age strata under 25 years of age: 12-15, 16-19, 20-24. This is not acceptable as the current signal is strongest in those age groups. Moreover, the same predominance within these age groups is consistent in several other O/E analysis conducted by Israel, USA, UK and the WHO. Question 2 is not resolved.” (p. 18/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis with Tozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY,) »

De nouveaux effets secondaires apparaissent régulièrement.

Les nanoparticules lipidiques des vaccins à ARN-messager ont été pointées du doigt dans le risque de développer des maladies auto-immunes et allergiques.

Il est impossible de prévoir exactement à ce jour quels types de désordres immunitaires pourraient émerger à l’avenir pour chaque type de vaccin mis sur le marché.

Pourtant la campagne de vaccination bat son plein sans que nous ne puissions poser la moindre question et, les mêmes causes produisant les mêmes effets, elle fera encore immanquablement des décès.

Qui en assumera la responsabilité morale et judiciaire ? Souvenons-nous du « responsable mais pas coupable » lors du procès qui a suivi l’affaire du sang contaminé chez nos voisins?

Quant à la responsabilité financière, qui l’assumera sinon le contribuable ?

Compte tenu des risques qu’elle fait peser sur la santé de la population, nous estimons qu’il est très grave d’imposer la vaccination tant que nous ne disposons pas d’une information loyale et objective, telle que décrite par de nombreuses sources indépendantes, de tous les effets secondaires potentiels réparables ou irréparables à court, moyen et long terme, avec certification que tous les paramètres médicaux concernant les essais et les études requis ont été satisfaits.

Il ressort de ce qui précède que l’obligation vaccinale générale de la population n’est pas juridiquement défendable.

Dans le cadre de la vaccination contre la COVID-19, aucun des critères de proportionnalité et d’efficacité visés aux termes des Traités et principes européens, par rapport à l’objectif de santé suivi, n’apparait rempli compte tenu de :

  • La connaissance relativement incomplète de la maladie,
  • La capacité de mutation du virus,
  • La circonstance que les personnes à risque sont majoritairement vaccinées,
  • La vaccination diminue en efficacité avec le temps,
  • La vaccination n’arrête pas la propagation ni la contamination par le virus,
  • Les effets secondaires existent et restent inconnus à long terme,
  • Nous sommes toujours en phase d’essais cliniques,
  • Le vaccin n’empêche pas de tomber parfois sévèrement malade à cause des variants,
  • Aucun objectif d’éradication ne peut être scientifiquement avancé par rapport à un virus qui a déjà fait plusieurs fois le tour du monde.

Nous sommes partisans du principe de la vaccination, sous réserve que celle-ci soit sûre, efficace et nécessaire et qu’elle tienne compte de l’identité biologique de chaque individu, paramètre dangereusement oublié par le principe de l’obligation.

Tous ceux qui souhaitent être vaccinés contre la COVID -19 doivent pouvoir le faire, y compris en choisissant le vaccin approprié, notamment le vaccin chinois SINOVAC réalisé avec un virus désactivé sur base de la méthode traditionnelle.

Nous ne comprenons pas pourquoi le principe de la liberté de choix du vaccin approprié est ignoré au mépris des pétitions publiques.

La pétition publique n°1827 demande la distribution au Luxembourg du vaccin russe Sputnik V contre la COVID-19.

La pétition publique n°2141 demande à repousser la date des mesures « CovidCheck » au travail jusqu’à la disponibilité du nouveau vaccin « NOVAVAX ».

La pétition publique n°1950 plaide pour ne pas rendre la vaccination COVID-19 obligatoire et de ne pas instaurer, avec le temps, de discriminations entre les personnes vaccinées et les personnes non-vaccinées.

Elle a recueilli la signature de 11.456 (mauvais ?) citoyens.

La pétition publique n°2078 demande l’égalisation des mesures « CovidCheck » à l’ensemble de la population afin de lever les contraintes et discriminations qui se mettent en place pour forcer les non-vaccinés à céder et se laisser vacciner.

Elle a été signée par 5.722 citoyens.

S’agit-il de mauvais citoyens car ils ont osé émettre des réserves quant à la politique du tout vaccinal ?

Nous sommes inquiets de la violence du discours à l’encontre de la population non-vaccinée ou qui décidera de ne plus se soumettre aux injections à venir.

Subissant déjà une forte pression sociale en raison d’un choix personnel, nous craignons d’être soumis à la vindicte populaire devant un discours de plus en plus agressif, haineux et radical jusque dans les termes de votre rapport.

Nous estimons que, le traitement par l’anathème, la peur et la contrainte visant à imposer à tout prix la vaccination au mépris des droits fondamentaux issus des engagements internationaux, par :

  1. la radicalisation du discours des pouvoirs publics contre les réfractaires,
  2. la multiplication progressive des restrictions serrant comme dans un étau les réfractaires,
  3. les mesures discriminatoires imposées afin « d’augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée »,
  4. La mise en œuvre du laissez-passer vaccinal sur le lieu de travail sous peine de suspension des moyens de subsistance au mépris notamment du droit au travail garanti par la Constitution aux termes de son article 11: « la loi garantit le droit au travail et l’État veille à assurer à chaque citoyen l’exercice de ce droit. La loi garantit les libertés syndicales et organise le droit de grève » et du respect du principe de « l’égalité de traitement en matière d’emploi et de travail » (article L-251.1 du Code du Travail).

CONSTITUENT un traitement INHUMAIN et DÉGRADANT au sens de l’article 3 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

La finalité idéologique des mesures visant à « augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée » (sic) n’est en aucun cas une justification sanitaire, tout au plus un grave abus de droit sanctionné par l’article 54 de la Charte des Droits fondamentaux de l’Union européenne :

« Aucune des dispositions de la présente Charte ne doit être interprétée comme impliquant un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits ou libertés reconnus dans la présente Charte ou à des limitations plus amples des droits et libertés que celles qui sont prévues par la présente Charte. »

Nous comprenons certes la tentation accessoire d’instaurer un modèle de société de « la solidarité et de la responsabilité » en tirant les leçons de la crise COVID comme une « destruction créatrice » pour reprendre l’expression de Schumpeter.

Nous ne pouvons qu’être sceptiques face à ceux qui voient la crise sanitaire comme une « fenêtre d’opportunités » pour la transition vers la « société numérique », impliquant la numérisation de nos vies jusque dans notre for intime, la géolocalisation, l’inspection et, à terme, l’aliénation de l’individu et la servitude.

Beaucoup parmi nous sont issus des pays totalitaires de l’ancien bloc soviétique et sont légitimement hostiles aux modèles préfabriqués qui s’apparentent en réalité à une « construction destructrice ».

Les dispositions inédites dans l’histoire récente du Grand-Duché prennent des proportions totalitaires dans le sens premier et original du terme, à savoir une intrusion étatique sur la totalité des activités individuelles.

Certes, nous n’avons pas l’écho du bruit des bottes, mais les réfractaires à la vaccination verront leurs moyens de subsistance suspendus ou devront accepter un chantage à leur vie familiale et position sociale.

Beaucoup d’entre nous se sont battus pour leur liberté dans leur pays d’origine et ne sauraient à présent accepter de s’engouffrer vers un totalitarisme « soft » par confort ou par paresse.

Nous serions ravis d’échanger avec vous et nous vous montrerons que nous ne sommes nullement des irresponsables, des extrémistes « anti-vax » ou d’autres caricatures médiatiques, mais de simples citoyens.

Votre commission étant ouverte à l’échange et aux débats d’idées, nous nous permettons de vous inviter à débattre publiquement avec nous, avec nos juristes, avec nos médecins, nos comptables et nos fonctionnaires.

YES, WE CARE !

Nous vous prions d’agréer, Madame la Présidente, l’expression de nos sentiments très distingués.

Pour EFVV

Jean-Pierre Eudier

Président

Copie de ce courrier à :

  • Son Altesse Royale le Grand-Duc Henri
  • Xavier Bettel, Premier ministre, Ministre d‘Etat
  • Paulette Lenert, Ministre de la Santé
  • Fernand Etgen, Président de la Chambre des Députés

Copie de ce courrier par e-mail à :

  • Mesdames et Messieurs les Députés
  • Mesdames et Messieurs les Conseillers d’Etat
  • Représentants des organes de presse Grand-Ducale



La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins

[Source : Recherches Covid-19]

[Ndlr : de nombreux articles présentés par Nouveau Monde autour des approches alternatives à la théorie virale et à celle, plus générale, des germes proviennent du site Recherches Covid-19 qui effectue un remarquable travail de collecte d’informations dans ce domaine.]

Dans cette vidéo Stefan Lanka présente l’avancée de ses travaux sur les expériences témoins qui permettront de réfuter les affirmations des virologues qui affirment avoir découvert le génome du SARS-CoV-2 chez un patient à Wuhan, en démontrant que les méthodes utilisées sont à l’origine des résultats obtenus et qu’il est possible d’obtenir exactement les mêmes résultats à partir de prélèvements humains sains en reproduisant les mêmes méthodes et techniques.

[Voir aussi :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
et ses liens annexes.]

Il explique également les mécanismes qui conduisent les scientifiques à rechercher la cause d’une maladie sous la forme d’un élément matériel, dans ce cas d’un virus contagieux, avant même de se questionner sur les autres causes possibles, et la raison pour laquelle ce concept est majoritairement accepté sans être remis en cause.

Il évoque aussi les bases de la virologie avec la découverte du virus de la mosaïque du tabac et de la rage, et avertit sur les dangers potentiels des nanoparticules lipidiques présentes dans les vaccins, sujet occultés par l’engouement autour des innovations en biotechnologie et des craintes concernant le graphène dans les vaccins Covid.

Vidéo disponible intégralement ou en extraits courts :

Stefan Lanka – La vérité sur le graphène
Stefan Lanka – La vérité sur le virus de la mosaïque du tabac
Stefan Lanka – La vérité sur le virus de la rage
Stefan Lanka – 2e phase des expériences témoins (génétique)



Rapport de l’Institut Max Planck d’histoire des sciences de 1999 dont il est fait mention (traduction automatique en français)

Transcription interview complète

Vidéo originale sans sous-titres




La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité

[Source : cv19.fr (Recherches Covid-19)]

[Ndlr : de nombreux articles présentés par Nouveau Monde autour des approches alternatives à la théorie virale et à celle, plus générale, des germes proviennent du site Recherches Covid-19 qui effectue un remarquable travail de collecte d’informations dans ce domaine.]

Les docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith viennent de publier un article choc intitulé “La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité”.
Ils couvrent tout ce qui se cache derrière la fraude – y compris les acteurs, la PCR, la virologie, la modélisation et plus encore.


Contenus

Résumé

Première partie

L’agenda mondialiste
Le cheval de Troie
La double tromperie de la virologie
Les quatre piliers de la fraude COVID-19
Le premier pilier : L’isolement

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique
Le troisième pilier : La PCR
Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Troisième partie

En résumé
Conclusion
POST-SCRIPTUM
Crimes contre l’humanité
L’insulte finale
A propos des auteurs

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Résumé

Le COVID-19 est une fraude parce que son agent causal présumé, un prétendu nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, n’a pas été prouvé comme existant dans la nature et n’a donc pas été établi comme la cause du COVID-19, la maladie et la pandémie inventées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pour la même raison, il n’y a pas de variants du “virus”, qui n’existent que de manière hypothétique dans les ordinateurs, les banques de gènes en ligne et dans l’esprit de personnes innocentes qui ont été complètement bernées par leurs gouvernements.

La fraude du COVID-19, avec ses nombreuses allégations grotesques, ne constitue rien de moins qu’une guerre contre l’humanité menée par des organisations telles qu’Anser, Fors Marsh et Palantir qui mènent l’escroquerie par l’intermédiaire de Big Pharma, avec ses soutiens et ses complices, notamment le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les conglomérats technologiques, les médias de masse, les gouvernements complices et les “pirates” du COVID tels que l’UNC Chapel Hill et l’Imperial College London, pour ne citer que quelques bénéficiaires de la fraude.

Le COVID-19 est une guerre contre l’humanité parce que les politiciens et leurs gouvernements continuent d’utiliser cette maladie imaginaire pour terroriser et emprisonner leurs citoyens, en les privant de leurs droits fondamentaux et de leurs libertés, et en violant leurs corps autrefois inviolables par des injections expérimentales et dangereuses contenant une séquence d’ARNm de protéine spike générée par ordinateur qui ordonne au corps de s’empoisonner. Ces injections infâmes, qui contiennent également des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées, affectent des millions de personnes et en tuent plusieurs milliers dans le monde entier, dont 218 Néo-Zélandais au 2 octobre 2021.[1]

Une fraude virologique est au cœur de ces crimes contre l’humanité : le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé physiquement ni démontré comme étant l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Dans cet article, les auteurs examinent le monde illusoire de la virologie pour expliquer comment un virus que personne n’a vu ni ne sait d’où il vient, dont personne ne sait ce qu’il fait ni où il va, traverse, selon les fraudeurs, les frontières et les barrières et vient vous chercher où que vous soyez. Comment se fait-il, demandent les auteurs, que cette folie fantasmagorique se soit transformée en un monde empreint de peur, dans lequel les gouvernements démocratiques ont abandonné les principes démocratiques pour s’engager dans le contrôle et la “suppression d’êtres humains”, ce qui pourrait simplement se transformer en une “variante” de la troisième guerre mondiale ?[2]


[Voir aussi :
L’effondrement de l’hypothèse virale
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey

Sur le graphène :
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]


Première partie

L’agenda mondialiste

Ne vous méprenez pas, nous sommes actuellement assaillis par une fraude mondiale d’une telle ampleur et d’une telle malveillance qu’elle menace notre existence même telle que nous la connaissons sur cette planète.

L’escroquerie concerne un prétendu nouveau coronavirus, inventé et non découvert par la virologie, qui a permis à Bill Gates de prédire une pandémie unique en son genre, nécessitant des milliards de vaccins pour la combattre, ce qui lui permet d’augmenter considérablement les actifs du Bill and Melinda Gates Trust qui se trouve aux côtés de la Bill and Melinda Gates Foundation (BMGF).[3]

Un autre qui se préparait avec impatience au déploiement de ces ” vaccins ” de masse, qui ne sont pas des vaccins mais des armes biologiques, était Peter Daszak de EcoHealth Alliance. Comme il l’a déclaré en 2015, “nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité des MCM [Contre-mesures médicales], comme un vaccin pan-influenza ou pan-coronavirus. Les médias sont un facteur clé, et l’économie suit le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient des bénéfices à la fin du processus.”[4]

En septembre 2019, le Global Preparedness Monitoring Board, une création de l’OMS et de la Banque mondiale, a conseillé aux pays de se préparer à un potentiel “pathogène respiratoire mortel” en investissant dans “des vaccins et des thérapeutiques innovants, une augmentation de la capacité de fabrication, des antiviraux à large spectre et des interventions non pharmaceutiques appropriées”. [5] Ils ont également conseillé que “tous les pays doivent développer un système pour partager immédiatement les séquences génomiques de tout nouveau pathogène”.[6]

Le monde était préparé à une ” pandémie ” et le 4 décembre 2019, le Dr Anthony.
Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré que son agence ” menait et soutenait des recherches pour développer des technologies de plateforme vaccinale de pointe qui pourraient être utilisées pour développer des vaccins antigrippaux universels ainsi que pour améliorer la vitesse et l’agilité du processus de fabrication des vaccins antigrippaux “. Ces plates-formes technologiques comprennent l’ADN, l’ARN messager (ARNm), les particules de type viral, les vaccins à base de vecteurs et les nanoparticules auto-assemblées.[7] Tout était donc prêt pour libérer les technologies génétiques et les nanoparticules sur des populations sans méfiance, sous couvert d’une crise sanitaire à quelques semaines de distance. Il suffisait de remplacer la grippe, qui n’avait plus réussi à effrayer le monde depuis longtemps, par un “nouveau” coronavirus mortel imaginaire.

Les événements qui se sont déroulés au cours des 20 derniers mois auraient semblé inconcevables il y a encore deux ans, sauf dans l’esprit de personnes comme Gates et Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui avaient déjà imaginé de détruire la démocratie de l’intérieur par une réponse autodestructrice induite par la peur d’un tel virus. Comme Schwab l’a écrit dans La Grande Réinitialisation, semant les graines de son programme mondial : “Depuis qu’il a fait son entrée sur la scène mondiale, le COVID-19 a radicalement bouleversé la façon de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de prendre part à l’économie mondiale. “[8] C’était une affirmation extraordinaire pour un coronavirus si “nouveau” que les séquences des protéines de pointe (spike) étaient déjà brevetées par leurs inventeurs et, dans le cas du brevet américain 7279327 B2, attribué à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, aux États-Unis, en 2007, et prétendument fourni à Moderna en novembre 2019, un mois avant que le COVID-19 ne fasse son entrée sur la scène mondiale à Wuhan.[9] C’est la chanson que Schwab aime chanter avec Thierry Malleret : ” La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n’a pas de parallèle dans l’histoire moderne. Nous ne pouvons pas être accusés d’hyperbole lorsque nous disons qu’elle plonge notre monde dans son ensemble et chacun d’entre nous individuellement dans les moments les plus difficiles que nous ayons connus depuis des générations. C’est un moment décisif pour nous – nous aurons à faire face à ses retombées pendant des années, et beaucoup de choses changeront à jamais”.[10] La choriste mondialiste, ancienne Premier ministre néo-zélandaise, Helen Clark, coprésidente du Groupe indépendant de l’OMS pour la préparation et la réponse à la pandémie, reprend le même refrain hyperbolique : “En moins d’un an et demi, le COVID-19 a infecté au moins 150 millions de personnes et en a tué plus de trois millions. Il s’agit de la pire crise sanitaire et socio-économique combinée de mémoire d’homme, et d’une catastrophe à tous les niveaux… Le COVID-19 est le Tchernobyl du XXIe siècle – non pas parce qu’une épidémie est comparable à un accident nucléaire, mais parce qu’il a montré si clairement la gravité de la menace qui pèse sur notre santé et notre bien-être. Elle a provoqué une crise si profonde et si étendue que les présidents, les premiers ministres et les responsables d’organismes internationaux et régionaux doivent maintenant accepter d’urgence leur responsabilité de transformer la manière dont le monde se prépare et réagit aux menaces sanitaires mondiales.”[11]

Ces affirmations absurdes et non fondées des mondialistes constituent une source de peur sur laquelle s’appuient les entreprises pharmaceutiques telles que Pfizer pour soutirer de vastes sommes d’argent aux États-nations qui vendent leur peuple pour une bouchée de pain. Cette pratique d’extorsion est à la base de l’accord de fabrication et de distribution qui a fait l’objet d’une fuite entre Pfizer et l’Albanie, en vertu duquel la première exigeait de la seconde qu’elle accepte que le “vaccin” Pfizer soit soumis à des “risques et incertitudes significatifs”, qu’il “puisse ne pas réussir pour” un large éventail de raisons, et que Pfizer n’ait “aucune responsabilité pour tout échec … dans le développement ou l’obtention de l’autorisation du produit conformément aux dates estimées décrites dans cet accord.[12]

Derrière les “leurres”, comme David Martin décrit les principaux acteurs pharmaceutiques – Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Merck Ridgeback, Gilead Sciences – se trouvent les criminels parrainés par l’État, les “corsaires” : Anser, “le plus grand contractant de toute la campagne terroriste COVID”, qui gère l’opération Warp Speed ; Fors Marsh, l’agence qui a créé le label COVID-19 et qui est chargée de veiller à ce que le message COVID-19 soit le même dans le monde entier ; Palantir, de Peter Thiels, qui vous suit par téléphone où que vous soyez grâce à Gotham Data Tracking ; et Publicis Sapient, qui coordonne toutes les données COVID-19 et dit au monde entier combien il y a de cas COVID, bien qu’il n’y ait pas de cas COVID à compter.[13] Puis il y a les pirates, parmi lesquels on peut compter : Ralph Baric et son Chimera Laboratory à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, qui a reçu plus de 100 millions de dollars depuis 1999 pour transformer en armes les particules du coronavirus, dont 28 millions de dollars du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci pour transformer en armes la protéine spike ; Vanderbilt ; Emory ; Johns Hopkins University ; University of California System ; Massachusetts Institute of Technology ; New York University Langone ; German Centre for Infection Research ; Imperial College London ; Institute for Health Metrics and Evaluation ; et Erasmus.[14]

Le bouton “go” a été poussé sur cette fraude mondialiste lorsqu’un ouvrier de 41 ans s’est présenté à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec des symptômes indiscernables des autres maladies respiratoires courantes parmi les 11 millions de résidents qui subissent une pollution asphyxiante dans la capitale de la province chinoise du Hubei. Le génome d’un virus que personne n’avait vu, et encore moins isolé et purifié, a été publié début janvier 2020, rebaptisé SRAS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus le 11 février, le jour même où le chef d’orchestre de la fraude, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (Tedros), a annoncé son compagnon conséquent : “nous avons maintenant un nom pour la maladie : COVID-19. Je vais l’épeler : C-O-V-I-D trait d’union 1 9 – COVID-19”.[15]

À la fin du mois de mars 2020, la démocratie était à genoux, le peuple en tant que peuple exclu de la vie publique, emprisonné dans ses foyers. Les camps d’exclusion étaient désormais nos maisons. Et puis l’impensable : les politiciens ont annoncé qu’ils allaient inoculer à leurs populations des injections génétiques codées hautement expérimentales, jamais utilisées auparavant sur des humains, et dont les essais cliniques, déjà tronqués et grotesques, devaient encore durer des années.[16] Nos représentants élus n’ont pas pris la peine de nous le dire. Ils ne nous ont pas dit non plus que ceux qui semblaient tolérer l’inoculation initiale pouvaient transporter dans leur corps des bombes à retardement de maladies neurodégénératives et auto-immunes potentielles ainsi que des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées.[17]

Le cheval de Troie

Tout tourne autour de ces deux concepts : absence et présence. De quoi est fait le SARS-CoV-2 : d’absence ou de présence ? Telle est la question que nous devons trancher. Car sans la présence instanciée du SARS-CoV-2, il n’y a pas de cas de COVID-19 à compter, et donc pas de motif ou de justification pour la réponse d’un gouvernement à une pandémie fantôme.

Cet assaut contre l’humanité s’appuie sur un cheval de Troie pour introduire la tromperie dans nos esprits et nos corps, rendant possible la réalisation de l’agenda mondialiste d’un réseau de contrôle de la population dans le but ultime apparent de contrôler les populations de toutes les manières possibles.[18]

Alors que les débats se poursuivent dans le monde entier sur les origines du COVID-19, le nombre de cas les plus récents, sa létalité et l’efficacité des prétendus vaccins, les participants à ces débats semblent tenir pour acquis qu’un virus existe réellement. La grande majorité du public et du corps médical ignore que le cheval de Troie est la virologie moderne et ses méthodes antiscientifiques qui affirment l’existence de virus tels que le SARS-CoV-2. La plupart seraient surpris d’apprendre que le “virus” n’a jamais été trouvé à l’intérieur d’un seul être humain et qu’il n’a jamais été démontré qu’il était la cause d’une quelconque maladie.

La double tromperie de la virologie

Le crime contre l’humanité COVID-19 exige l’absence de ce virus. Il n’existe donc aucune référence matérielle permettant de recouper le génome fictif, afin d’établir, par exemple, si les prétendues protéines du SARS-CoV-2 proviennent spécifiquement du prétendu virus.

Ce tour illusoire repose sur la double tromperie de la virologie : (a) la substitution de la signification du dictionnaire et du postulat scientifique du substantif “isolement” par son contraire ; et (b) la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (CPE) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro par la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo pour établir la causalité entre le pathogène supposé et la maladie. Cependant, même l’utilisation de lignées cellulaires “normales” ne permettrait pas d’établir la causalité selon les postulats de Koch ou tout autre postulat scientifique, puisqu’il s’agit simplement d’observations en éprouvette impliquant des virus présumés.

Cette double tromperie constitue une violation des postulats sur lesquels la communauté scientifique s’appuie depuis longtemps. Cette absence physique fait du SARS-CoV-2 une fraude sans faille, que les virologues financés par l’industrie applaudissent et que le complexe médico-pharmaceutique exploite et récompense. Cet art noir est si obscur et son langage si ardu que peu de gens dans le grand public s’arrêteraient pour le remettre en question. Même Stephen Bustin, expert en réaction en chaîne par polymérase (PCR) et créateur des protocoles MIQE conçus pour dompter le “Far West” de la RT-PCR, se laisse prendre à cette fraude virologique, comme il l’a révélé dans son interview avec Eric Coppolino :

Eric Coppolino (EFC) : Mais il y a deux définitions différentes de l’isolement qui circulent. L’une est que vous le séparez de tout le reste, et l’autre est que vous le mettez dans un bouillon et vous le trouvez.
Stephen Bustin (SB) : Oui. Eh bien, ce n’est pas vraiment mon domaine d’expertise. En ce qui me concerne, j’ai lu les articles et si c’est la façon standard d’isoler un pathogène, alors je n’ai aucun problème avec cela.
EFC : Eh bien, c’est la façon actuelle qui est utilisée, je dirais, que l’idée d’une véritable purification vous le séparez dans une centrifugeuse, et vous savez que vous avez un échantillon de seulement cela. Et c’est ce qui est séquencé et utilisé pour amorcer la PCR. Il ne semble pas que ce soit ce qui se passe…
SB : Eh bien, la façon dont la séquence a été établie, en prenant les échantillons du patient original, en cultivant quelque chose, puis en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SRAS.[19] Qui ressemblait alors de très près à un virus du SRAS de chauve-souris. Et qui était évidemment différent. Donc, ça… Eh bien, vous savez, c’est une façon standard de faire les choses, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, sauf que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de faire.[20]

Les quatre piliers de la fraude COVID-19

Si p, alors q ; maintenant q est vrai ; donc p est vrai. Par exemple : “Si les porcs ont des ailes, alors certains animaux ailés sont bons à manger ; maintenant certains animaux ailés sont bons à manger ; donc les porcs ont des ailes. Cette forme de déduction est appelée méthode scientifique. “[21] Bertrand Russell, 1946

La fraude mondiale COVID-19 repose sur quatre piliers, tous interdépendants.

Le premier pilier : L’isolement

La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”.[22] Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes … pourrait être associée au virus de la rougeole. “[23]

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai – en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique.[24] Elles ont été utilisées par les médias du monde entier pour alimenter l’imagination du public sur l’existence d’un minuscule microbe ressemblant à une mine marine qui pourrait le frapper et le couler à tout moment. Quant aux images de micrographie électronique mises en avant dans les publications scientifiques, elles montrent simplement des nanoparticules dans et autour de cellules de culture, comme décrit dans les expériences de laboratoire ci-dessus.

Schéma 1. ” Effets cytopathiques – aucun virus requis”[25]

Elles sont censées être les virus du SARS-CoV-2 sur la base de déclarations arbitraires. Par définition, un virus est une particule infectieuse qui peut provoquer une maladie chez un hôte vivant. Aucune de ces propriétés essentielles n’a été démontrée dans les expériences virologiques décrivant l’isolement et la pathogénicité prétendus.

Les virologues ont passé des décennies à tenter de le faire sans succès et, au lieu d’admettre qu’il pouvait y avoir un problème avec la théorie des virus, ils ont simplement changé le sens du mot. C’est un état de fait scandaleux. Le monde est actuellement pris en otage parce que les virologues n’isolent pas réellement les virus, ils se contentent de dire qu’ils le font, et ne semblent pas s’inquiéter du fait que l’assaut actuel contre l’humanité repose sur cette fraude scientifique évidente.

La première fraude, fondamentale, consiste à affirmer que le virus a été isolé et qu’il est l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Si cette affirmation (toujours non fondée) n’était pas acceptée, la fraude du COVID-19 imploserait, tout comme la “pandémie du siècle” de Gates. En d’autres termes, la fraude de l’isolement repose sur la violation du sens accepté pour tromper, alors que, par exemple, un “isolat” n’a pas plus été isolé que de simples pensées. Cela met en place un discours circulaire vicieux auquel il est impossible d’échapper : la prémisse de l’existence est établie par le mensonge, et par son insistance absolue, l’existence du virus est “confirmée” de manière concluante et répétée. La virologie se nourrit de cette insistance, car sans elle, il n’y a pas de virus, pas de virologie, pas de “tests” PCR “positifs”, et plus d’emplois pour les virologues qui inventent des virus que Big Pharma combat avec des “vaccins” miraculeux. C’est également la raison pour laquelle les idées qui vont à l’encontre de ce récit sont censurées par le gouvernement et par les grands médias, et pourquoi les agences de sécurité de ce pays terrorisent les personnes qu’elles prétendent protéger, en leur imposant la fraude virologique sur laquelle repose toute la mascarade. L’ensemble de l’appareil d’État est actuellement dédié à cette cause.

Fan Wu et al.[26]

Plutôt que de recourir à la méthode largement utilisée par les virologues pour affirmer l’isolement et la pathogénicité par l’induction de CPE (effet cytopathique), Fan Wu et al, les premiers inventeurs du génome du SARS-CoV-2, ont envoyé l’échantillon extrait du liquide pulmonaire du patient directement au séquençage pour deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques ou “reads”.[27] Il est important de noter que les échantillons envoyés pour le séquençage n’étaient pas des virus physiquement isolés mais des échantillons bruts contenant des millions de fragments génétiques uniques provenant du patient lui-même, d’innombrables microbes, et même de l’air que le patient avait respiré sur le chemin de l’hôpital. Plus de 56,5 millions de “reads” ont été produites à partir de cette “soupe” génétique et assemblées pour créer 384 096 contigs (longues séquences génétiques) sur Megahit, et 1,32 million de contigs sur Trinity.[28] Peut-être avec une prédisposition à prouver leur canular infondé selon lequel il existe “la capacité continue de la propagation virale de l’animal à causer une maladie grave chez les humains”, Fan Wu et al. ont choisi la plus longue (30 474 nucléotides) qui, selon eux, avait une identité de nucléotides de 89,1 % avec le génome in silico du coronavirus de la chauve-souris (SL-CoVZC45) inventé en 2018.[29] Ainsi, un “génome” aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssinien est devenu le modèle utilisé pour la conception d’amorces pour la méthode RT-PCR afin de soi-disant détecter un virus dont l’existence n’avait pas été démontrée.[30] Par la suite, il a été décidé que le génome avait besoin d’un couper-coller, peut-être pour le faire paraître encore plus proche des 29 802 nucléotides du modèle de chauve-souris SL-CoVZC45 et il a été réduit à 29 875 nucléotides dans la version suivante sur GenBank.[31] Mais les artistes n’en avaient pas fini avec leur création et un troisième et dernier modèle a été dessiné avec une séquence terminale complètement différente comportant 23 bases adénines consécutives, ce qui ressemblait davantage au modèle de chauve-souris qui comportait 26 bases adénines consécutives en queue.[32] On ne sait pas très bien comment les virologues ont pu savoir quel “génome” choisir alors que toutes les options étaient des constructions informatiques hypothétiques. Il devient donc rapidement évident que l’anti-science de la virologie et la perversion du mot “isolement” sont non seulement délirantes mais aussi très trompeuses et qu’elles ne peuvent servir de base à quoi que ce soit, et encore moins à la santé et au bien-être de populations entières.

Un an plus tard, le Dr Wu Zunyou, du CDC chinois, dans une interview avec Janis Mackey-Frayer, déclarait que l’isolement n’avait jamais eu lieu : “Ils n’ont pas isolé le virus”, a-t-il déclaré. “C’est la question [pourquoi aucune donnée n’a été partagée]. Je ne soupçonne pas que cela provienne de ce à quoi nous pensions au départ.”[33]

Cette fraude fondatrice a été récompensée par des subventions en 2020 d’un montant total de 900 000 dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates accordées aux deux institutions auxquelles 14 des 19 coauteurs de la fraude étaient affiliés : L’Université Fudan a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-006277 ” pour soutenir l’étude épidémiologique et identifier les risques élevés d’infection par le COVID-19, ce qui contribuera à la stratégie d’intervention de santé publique nationale et internationale et au développement de produits “, pour un montant total de 300 000 dollars ; et le China CDC a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-005832 ” pour soutenir la réponse d’urgence et l’évaluation, et préparer la Chine à la pandémie potentielle, ce qui contribuera non seulement à contrôler et à contenir la maladie, mais aussi à apporter l’expérience de la Chine à la santé mondiale “, pour un montant total de 600 000 dollars.[34]

Peng Zhou et al.

Des méthodes pseudo-scientifiques similaires et la même fausse revendication d’isolement se retrouvent dans l’article de Peng Zhou et al. reçu par Nature 13 jours après celui de Fan Wu et al. mais publié en ligne dans le même volume, 579, le même jour, le 3 février 2020.[35] Ces auteurs revendiquent également l’isolement réussi de ce qu’ils appellent “2019-nCoV BetaCoV/Wuhan/WIVO4/2019” (EPI_ISL_402124) mais sur la base des CPE (effets cytopathiques) qu’ils ont observés dans trois lignées cellulaires.[36] Cependant, il s’agit de substituts illégitimes de l’infection postulée d’un animal ou d’un hôte sain (non malade). Les trois lignées cellulaires utilisées étaient les suivantes : Les cellules Vero E6 (aneuploïdes) dérivées du rein d’un singe vert africain ; Huh7, une lignée cellulaire d’hépatocytes humains prélevée sur une tumeur du foie en 1982 et cultivée par la suite ; et les cellules HeLa humaines dérivées d’une femme humaine en 1951 souffrant d’un carcinome cervical et cultivées par la suite.[37] Aucune de ces lignées cellulaires ne répond au critère postulé d’un hôte sain avec lequel on peut tester la pathogénicité, mais elles sont privilégiées car elles produisent les effets recherchés, c’est-à-dire un effet cytopathique et l’apparition de vésicules extracellulaires. Aux lignées cellulaires ont été ajoutés, entre autres, des sels inorganiques, du sérum bovin fœtal pour nourrir les cellules, et un ensemble d’éléments cytotoxiques tels que l’amphotéricine B – un antifongique, la trypsine – qui hydrolyse les protéines, la pénicilline – un antibiotique, la streptomycine – un autre antibiotique, le glutaraldéhyde – un désinfectant et un fixateur, le tétroxyde d’osmium – un agent oxydant à toxicité aiguë, et la résine époxy – pour créer un substrat solide pour le découpage en tranches ultrafines.[38] Bizarrement, en se basant sur le fait qu’un ARN de provenance inconnue faisait partie de la culture dans laquelle de nombreuses cellules sont mortes à la suite d’une famine induite et d’un stress avec des ingrédients cytotoxiques, les auteurs ont affirmé qu’ils avaient réussi à isoler leur virus, 2019-nCoV BetaCov, et non que le cocktail d’ingrédients cytotoxiques avait décimé leurs lignées cellulaires anormales.

En bref, Peng Zhou et al. n’ont rempli aucun des postulats permettant d’identifier le virus ou de confirmer qu’il est à l’origine d’une quelconque maladie. Le prétendu virus n’avait même pas été physiquement isolé et purifié pour une caractérisation biochimique et restait donc entièrement théorique.

Cela n’a apparemment pas inquiété la Fondation Bill et Melinda Gates, la fondation qui fournit à l’Académie chinoise des sciences, à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19, sous le numéro INV-006377, d’un montant total de 359 820 USD, dans le but suivant : “Soutenir le développement d’une plateforme d’essais pour la sélection de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation de produits pour le contrôle de la pandémie de COVID-19”.[39]

Na Zhu et al.

Publiés dans The New England Journal of Medicine le 20 février 2020, Na Zhu et ses collaborateurs décrivent leur étude des échantillons des voies respiratoires inférieures, y compris le liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA), prélevés chez quatre patients atteints de pneumonie de cause inconnue, qui s’étaient tous rendus au Huanan Seafood Market de Wuhan peu avant leur tableau clinique.[40]

Bien qu’ils affirment avoir isolé le virus, il est clair que les auteurs n’entendent pas le terme “isolement” dans le sens du dictionnaire et du principe, mais dans le sens antonymique de la virologie et dans celui de la substitution de cellules hôtes malades à des cellules non malades pour établir la causalité entre un prétendu virus et la maladie du patient.[41] Dans ce cas, le surnageant centrifugé à partir du LBA du patient “a été inoculé sur des cellules épithéliales humaines… réséquées à partir de patients subissant une chirurgie pour un cancer du poumon”, bien que prétendument exemptes d’agents pathogènes.[42] En tout état de cause, des cellules cancéreuses seraient présentes dans ces cellules et, comme elles ont l’habitude de le faire, ces cellules produiraient une abondance d’exosomes, qui seraient visibles par le biais de la microscopie électronique à transmission.[43] Contrairement à Fan Wu et al et Peng Zhou et al, Na Zhu et al ont bien produit des images de ce qu’ils ont décrit comme des “particules de 2019-nCoV” mais sans aucune vérification de leur composition biochimique à partir d’un spécimen purifié.[44] Il est tout simplement impossible d’établir, à partir des images proposées, que les particules sont des virus (c’est-à-dire infectieux et pathogènes) ou qu’elles contiennent le prétendu génome du SARS-CoV-2.

Pourtant, malgré cette double tromperie qui hante la virologie, les virologues s’accrochent à leurs convictions et à leur métier. Car comme le disent Na Zhu et al : “Bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan.”[45] La base de cette affirmation semble être que les auteurs ont placé des pointes en forme de flèche sur des vésicules extracellulaires de composition inconnue et les ont baptisées “2019-nCoV”.

L’implication et la composition inconnue étaient toutefois suffisantes pour la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a accordé à l’Institut national de contrôle et de prévention des maladies virales, auquel 13 des 18 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19 sous le numéro INV-019121 pour un montant de 71 700 dollars US “pour aider le CDC chinois à évaluer la qualité des réactifs de diagnostic sérologique du COVID-19 en Chine et fournir des preuves de l’utilisation scientifique des réactifs dans le diagnostic clinique et l’enquête épidémiologique”.[46]

Leon Caly et al.

Leon Caly et al. ont produit leur propre version sous le titre “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia” (isolement et partage rapide du nouveau coronavirus de 2019 (SRAS-CoV-2) chez le premier patient diagnostiqué avec COVID-19 en Australie) lorsqu’ils ont fait état d’un homme de 58 ans originaire de Wuhan qui s’est “senti mal” à son arrivée à Melbourne le 19 janvier 2020.[47]

Lorsqu’ils ont affirmé que les cellules Vero “présentaient des vésicules liées à la membrane cytoplasmique contenant des particules de coronavirus”, Caly et al. n’ont pas pu trouver de “virions” avec la prétendue protéine spike, ils ont donc ajouté de la trypsine au milieu de culture cellulaire, et avant qu’ils aient pu dire “Jack Robinson”, la trypsine, dont la fonction est de digérer les protéines, avait englouti la couche protéique externe d’un “virion” sphérique de 100 nm pour révéler “la frange caractéristique en forme de couronne des protéines spike”, ce qui, ajoutent-ils sans la moindre ironie, “a immédiatement amélioré la morphologie du virion”.[48] En d’autres termes, lorsque les exosomes ne ressemblaient pas au virus qu’ils souhaitaient, ils leur ont donné un petit coup de pouce trypsinisé. Les prétendus virions n’ayant pas été purifiés, leur composition biochimique n’a pas pu être établie : le “génome” proposé a en fait été constitué après avoir généré “environ 30 000 000 de “reads”” à partir du mélange de cultures de tissus.[49] Comme pour tous les autres articles de cette nature, aucune explication n’a été fournie quant à la manière dont ces particules seraient à l’origine de maladies ou si ces mêmes particules existent dans l’organisme humain. Là encore, on ne peut parler que de vésicules extracellulaires de signification inconnue, produites à partir de cellules rénales anormales de singe dans une éprouvette. Le problème supplémentaire de savoir si les images de micrographie électronique de tissus préparés in vitro ressemblent même à celles de cellules vivantes dépasse le cadre de cet essai.

Il n’est pas nécessaire d’en dire plus sur les folies de cet article et sur les absurdités virologiques qui le sous-tendent, si ce n’est pour ajouter que le ministère néo-zélandais de la santé (MOH) déclare qu’il s’agit d’un exemple “d’isolement et de culture du virus en laboratoire”.[50]

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique

Cette tragédie mondiale a été en grande partie rendue possible par le déclin de la science ” – l’étude systématique de la nature et du comportement de l’univers matériel et physique, basée sur l’observation, l’expérience et la mesure ” – vers le scientisme, “l’application non critique des méthodes scientifiques à des domaines d’étude inappropriés “.[51] Cela est devenu un système de croyance sécularisé dont l’autorité repose sur sa propre performativité et sur la présupposition d’une préexistence phénoménologique dans laquelle les suppositions et les hypothèses sont considérées comme concluantes et les abstractions sont traitées comme des répliques du réel.

Le deuxième pilier de la fraude COVID-19 est celui du séquençage génomique.

Les virologues prétendent avoir établi la structure génétique complète de virus tels que le ” SARS-CoV-2 ” et l’avoir téléchargée dans des banques de données, comme Fan Wu, Peng Zhou, Na Zhu, Leon Caly et leurs équipes l’ont fait au début de 2020, et comme beaucoup l’ont fait depuis. Là encore, ils affirment avoir un “isolat” du virus, mais cette déclaration est faite après avoir “construit” le génome à partir de leur mélange contenant des fragments génétiques de provenance inconnue. Dans le cas de Fan Wu et al, bien qu’il n’y ait pas de chauves-souris en vente dans le marché couvert de fruits de mer où le patient travaillait, et bien que les auteurs n’aient pas été en mesure de confirmer un hôte intermédiaire ou un réservoir pour leur virus, ils ont néanmoins choisi in silico (par ordinateur) un autre coronavirus de chauve-souris comme modèle pour créer WH-Human 1 (SARS.-CoV-2).[52] Tout cela, sans doute, fait partie intégrante du besoin de validation scientifique de la virologie, qui s’exprime dans sa quête depuis 20 ans de l’eldorado des chauves-souris où, selon elle, se trouvent tous les trésors du monde en matière de coronavirus.[53] En attendant, elle continue d’inventer des virus pour nourrir Big Pharma et se maintenir à flot.

Le processus utilisé par la virologie pour prétendre à “l’isolement” peut être résumé comme suit. À partir de la “soupe” biologique prélevée dans les poumons ou les écouvillons nasaux des patients, qui contient toutes sortes de matériel provenant du sujet humain, d’innombrables microbes commensaux et de contaminants potentiels, les plates-formes d’assemblage de novo recherchent de courts fragments génétiques. Après avoir trouvé des millions de fragments uniques dans le mélange, ces logiciels assemblent un “génome” (un long morceau) en fonction des paramètres définis dans le programme. En cours de route, il y a un peu de couper-coller et si des morceaux sont “manquants”, d’autres modèles prêts à l’emploi peuvent être ajoutés pour combler les lacunes. Cependant, les algorithmes, les modèles de probabilité et les sélections arbitraires créés par l’homme ne peuvent pas répondre par “oui” ou par “non” à la question de son existence physique dans la nature, notamment parce que tout “génome” de coronavirus utilisé comme modèle dans sa production sera également propositionnel, la méthodologie n’offrant aucun lien confirmable avec l’univers matériel ou physique, faisant du nouveau membre du genre Coronavirus un simple produit supplémentaire des processus sui-référentiels de la virologie.

Une analogie pour ces processus serait que vous trouviez un million de cartes sur le sol, chacune avec des phrases partielles. Vous commencez à les arranger pour en faire des phrases complètes, puis finalement une histoire. Si certaines parties ne correspondent pas, vous les jetez, et si des parties semblent manquer, vous empruntez un paragraphe d’une autre histoire. Mais comment savoir s’il s’agit d’une histoire existante et non d’une invention de votre part ? Et pourquoi n’y aurait-il pas dix petites histoires, ou pas d’histoire du tout ? En bref, vous ne pouvez pas prétendre connaître l’histoire si vous n’avez pas accès à l’histoire complète avant de commencer. Et c’est là que réside la tromperie de la virologie – les virologues ne travaillent pas avec un génome complet parce qu’ils ne travaillent pas avec un virus complet. Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et nous disent ensuite que cela constitue la preuve d’un virus. Cependant, ceux d’entre nous qui examinent attentivement leurs expériences peuvent voir qu’il y a un problème : il n’y a aucune preuve matérielle d’un quelconque virus.

En effet, ce que l’on ne dit pas au public, c’est qu’aucun virus appelé SARS-CoV-2 n’a jamais été réellement isolé et purifié en tant que structure unique. Ce qui se passe, c’est simplement le séquençage à l’aveugle d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance inconnue. Par conséquent, il n’existe aucune preuve, pas même la plus vague garantie, que le “génome” in silico qui en résulte existe dans la nature ou a quelque chose à voir avec un “virus”. De cette façon, cependant, l’invention du “virus” est présentée comme une découverte, son faux statut étant assuré rétroactivement par l’acte de dénotation par lequel sa dénomination prétend à son existence antérieure et à sa pathogénicité.

Qu’un génome hypothétique fictif inventé par une telle anti-science soit au cœur de cet assaut contre l’humanité est un scandale scientifique et éthique. C’est cette fausse science qui a mis le monde sens dessus dessous. C’est là le caractère insidieux du crime de la virologie, une version généralisée de la fausse revendication de l’isolement qui donne aux politiciens la “permission” de violer ceux qu’ils emploient, et d’étendre leur programme systématique de violation corporelle au secteur privé, les dernières victimes étant les travailleurs du commerce au détail et de l’hôtellerie.[54]

Pour le reste, le crime s’insinue dans notre conscience sous couvert de devoir et de bienfaisance, amenant nombre d’entre nous à accepter dans notre corps le contenu inconnu de flacons que le gouvernement n’a apparemment pas pris la peine de vérifier, produits par un fabricant ayant un palmarès spectaculaire de fraude médicale criminelle, contenu qui, en outre, introduit clandestinement dans notre corps des vecteurs génétiques aux effets mal déterminés, tout cela pour le plus grand bien de la protection de la société contre une maladie mortelle qui n’existe pas.[55]

La façon dont une démocratie contemporaine a pu se laisser prendre à une telle absurdité grotesque mais mortelle dépasse le cadre de cet essai. Il suffit de dire que c’est la raison pour laquelle le gouvernement néo-zélandais n’est pas “votre unique source de vérité”, mais un pourvoyeur criminel de mensonges monumentaux qu’il utilise pour couvrir ses lâches crimes contre l’humanité, ses actes de terreur et de démocide, ainsi que le carnage socio-économique généralisé et la dislocation qu’il continue d’infliger à la population de cette whenua [terre en Maori], reproduisant les circonstances antérieures à l’établissement des pires régimes totalitaires.

Le troisième pilier : La PCR

Le troisième pilier de la fraude COVID-19 concerne la mauvaise application de la PCR (modifiée en RT-PCR, reverse-transcriptase-PCR afin de détecter l’ARN monocaténaire, car la PCR ne peut qu’amplifier l’ADN avec précision). Cette application erronée porte sur l’amplification de séquences d’ARN prélevées sur des sujets humains qui appartiendraient au SARS-CoV-2 et à une maladie appelée COVID-19. Or, la PCR ne peut confirmer ni l’un ni l’autre de ces éléments ; sa capacité se limite uniquement à l’amplification des séquences nucléotidiques sélectionnées, et non à la détermination de leur provenance ou de leur signification. Cette fraude repose donc sur l’attribution d’une signification aux séquences amplifiées, qui est fournie par : (a) la référence au génome imaginaire in silico et non à une entité physique prouvée appelée SARS-CoV-2 ; et (b) une “maladie” qui, par un raisonnement circulaire absurde, a été définie par le résultat de la PCR lui-même. Le SARS-CoV-2 n’a jamais été localisé chez un sujet humain, isolé, purifié, puis photographié et caractérisé biochimiquement comme une structure unique. Il n’a pas été prouvé qu’il existe dans la nature ; en fait, des composants clés ont été brevetés en 2007, ce qui, par définition, signifierait qu’ils sont fabriqués par l’homme.[56] En ce qui concerne les courtes séquences nucléotidiques détectées par les kits PCR utilisés, elles existent mais proviennent d’ailleurs, et non d’un virus étiqueté ” SARS-CoV-2 ” (si la PCR est mal faite ou à des nombres de cycles élevés, comme c’est le cas habituellement, la séquence cible peut même ne pas exister dans l’échantillon et un résultat ” positif ” est simplement un artefact du processus). En outre, la PCR ne peut pas diagnostiquer le statut infectieux d’un humain de manière avérée et aucun lien cohérent n’a jamais été trouvé entre un état pathologique et les résultats de la PCR. En bref, la mauvaise application de la PCR signifie que le COVID-19 est une construction scientifiquement dénuée de sens qui ne représente rien de plus qu’une illusion référentielle.

Dès le départ, le but de cette application erronée était de fournir la base statistique d’une pandémie basée sur une maladie inventée par l’OMS au profit de l’élite et de certains membres de l’industrie pharmaceutique, et non pour l’humanité. Au 3 janvier 2020, avec seulement ” 44 cas-patients atteints de pneumonie d’étiologie inconnue “, il n’y avait aucune base pour amorcer le bouton de démarrage de la pandémie que l’OMS et l’industrie pharmaceutique recherchaient désespérément ; Moderna et BioNTech, le partenaire de Pfizer, avaient par exemple perdu près d’un milliard de dollars à eux deux en 2,5 années financières entre 2016 et 2019.[57]

Dr Kary Mullis, l’inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) : “Cela ne vous dit pas que vous êtes malade.” (Photo : LA Times 13 août 2019)

Cependant, après la publication sur le site Internet de l’OMS, les 13 et 17 janvier 2020, de séquences de tests PCR non évaluées par des pairs, conçues par Christian Drosten et al. pour détecter le prétendu virus, des tests conçus, comme l’ont reconnu les auteurs, ” sans disposer de matériel viral “, le nombre de cas de COVID-19 a commencé à augmenter.[58]

Entre le 22 et le 24 janvier, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence pour suivre la situation internationale, alors que seuls 17 décès et 581 cas avaient été signalés à ce stade.[59] Cette absence de cas posait un problème aux entreprises pharmaceutiques désireuses de mettre sur le marché leurs dispositifs hautement expérimentaux de codage génétique, déguisés en vaccins, sans avoir à passer par les processus d’approbation normaux, qu’elles doutaient de pouvoir satisfaire. [60] Une urgence de santé publique pourrait être le moyen de contourner les conditions d’autorisation rigoureuses des autorités réglementaires.[61] Les “tests” RT-PCR ont atteint leur objectif, produisant suffisamment de cas pour que Tedros déclare “une urgence de santé publique de portée internationale” (PHEIC), et pour alimenter la rhétorique : “L’heure est aux faits, pas à la peur. L’heure est à la science, pas aux rumeurs. L’heure est à la solidarité et non à la stigmatisation.”[62] En effet, en sept jours seulement, à partir du 24 janvier, le nombre de cas de COVID-19 a augmenté de 1 245,61 % dans le monde, passant de 581 à 7 818, dont 98 seulement en dehors de la Chine.[63] Le lendemain, le nombre total de cas était passé à 9 826.[64] La fraude internationale était là, au grand jour, avec la croissance astronomique d’un virus fantôme qui n’avait pas été isolé et dont on n’avait pas encore démontré qu’il était à l’origine d’une quelconque maladie. Tedros recommandait d’accélérer le “développement de vaccins, de thérapies et de diagnostics”, ce qui était encore plus important que “l’urgence de santé publique de portée internationale”.[65]

L’odeur de la fraude était partout. Drosten a omis de déclarer qu’il était membre du comité éditorial d’Eurosurveillance lorsque son article et celui de ses co-auteurs ont été publiés dans Eurosurveillance le 23 janvier, deux jours après avoir été soumis.[66] Il est également apparu que Drosten serait “probablement poursuivi en justice pour détention d’un titre de doctorat frauduleux”.[67] Un autre co-auteur, Chantal Reusken, a également omis de déclarer qu’elle faisait partie du comité éditorial d’Eurosurveillance, et un autre co-auteur de Drosten, Olfert Landt, PDG de TIB Molbiol, a omis de déclarer son conflit d’intérêts jusqu’au 29 juillet 2020, alors que sa société fabriquait un kit PCR basé sur les séquences de test publiées.[68] Pour Landt, la tromperie s’est avérée très payante, comme son entreprise l’indiquera plus tard : “TIB Molbiol … fournit des kits de test PCR COVID-19 depuis début janvier 2020. Au cours des 12 derniers mois, nous avons livré plus de 60 millions de tests.”[69]

Soudain, le monde a été plongé non pas dans une pandémie virale mais dans une pandémie de PCR générant la peur dans le monde entier. Mais la peur paie et paie bien. L’institution à laquelle les créateurs les plus éminents de cet article étaient associés, l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin, a reçu une subvention 2020 du BMGF sous le numéro INV-005971 “pour développer des outils de diagnostic et de virologie permettant une réponse rapide au nouveau coronavirus 2019” pour un montant total de 249 550 dollars.[70]

La pandémie de tests PCR a maintenant soutenu la pandémie fantôme de COVID-19 pendant presque deux ans. On prétend que la PCR peut détecter un virus et une infection, mais ce n’est qu’une tromperie de plus. La méthode PCR amplifie simplement des fragments génétiques, c’est tout. Comme nous l’avons établi, personne n’a de spécimen physiquement isolé ni même prouvé l’existence du virus. C’est pourquoi les séquences des tests PCR de Drosten ont été conçues sans virus, tout comme les séquences des tests des centres américains de contrôle et de protection des maladies (CDC).[71] En d’autres termes, la PCR a été calibrée pour détecter les séquences génétiques d’un “virus” dont l’existence dans la nature n’a pas été démontrée. Au lieu de cela, elle détecte des séquences de provenance inconnue que l’on trouve chez certains humains et, semble-t-il, chez certaines chèvres, une caille et un jaquier.[72] Comme l’a souligné Kary Mullis, l’inventeur de la PCR, lauréat du prix Nobel, la PCR “ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé va vous faire du mal ou quoi que ce soit de ce genre”.[73] En effet, bien qu’il se présente comme un “flux de travail diagnostique pour le 2019-nCoV”, l’article de Drosten décrit simplement la sensibilité analytique et la spécificité de leur protocole PCR pour amplifier les séquences nucléotidiques sélectionnées, il n’établit aucune spécificité diagnostique pour une quelconque condition clinique.[74] Ainsi, bien que les autorités sanitaires affirment que la PCR est adaptée au diagnostic du COVID-19, un tribunal autrichien a confirmé le contraire en mars 2021, son jugement faisant écho à celui de Mullis : “‘un test PCR n’est pas adapté au diagnostic et ne dit donc rien en soi sur la maladie ou l’infection d’une personne’”.[75] Le partenaire complémentaire dans le crime de la PCR est la définition de l’OMS d’un cas de “COVID-19”.[76] Essentiellement, un cas confirmé peut être et sera très probablement “une personne ayant un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) positif”, c’est-à-dire un test PCR, que la personne soit malade ou non.[77] Cela a créé une situation absurde où un cas de “COVID-19” n’est rien d’autre que le résultat du test PCR d’un test qui n’en est pas un, car le test PCR n’a aucune capacité de diagnostic à cet égard, puisqu’il s’agit simplement d’un outil d’amplification. Les tests PCR “positifs” sont ensuite affichés par des organisations telles que l’Université et la Médecine John Hopkins qui présentent des statistiques dénuées de sens comme si elles étaient légitimes. En d’autres termes, aucun des 243 554 336 cas de COVID-19 affichés sur le tableau de bord du coronavirus de Johns Hopkins au 25 octobre 2021 n’existe en dehors du discours vicieusement circulaire qui repose uniquement sur la double prémisse non prouvée selon laquelle le SARS-CoV-2 a été isolé et est à l’origine du COVID-19.[78]

En conséquence, nous vivons aujourd’hui une tyrannie médicale, déconnectée du monde naturel et tellement absurde que la détection de quelques fragments génétiques chez une personne peut servir d’excuse pour enfermer une nation entière.

Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Les nombres astronomiques de cas produits par la méthode PCR sont devenus la base du nombre de reproduction (R0) qui a initialisé tous les modèles épidémiologiques du COVID-19. Pourtant, même en s’appuyant sur ces chiffres sans valeur, la modélisation des épidémies, connue depuis longtemps pour sa faillibilité prédictive, a quand même réussi à produire des prédictions spectaculairement grotesques.

Le plus grand pourvoyeur de cette absurdité spéculative est Neil Ferguson de l’Imperial College London (ICL), auteur principal du rapport 9 de l’ICL, publié sans examen par les pairs le 16 mars 2021, qui prédit que 550 000 personnes au Royaume-Uni et 2,2 millions de personnes aux États-Unis mourraient dans un délai d’environ trois mois sans intervention non pharmacologique (masque, confinement…)[79] Ses prédictions catastrophiques ont amené les gouvernements à changer de cheval à mi-chemin et ont provoqué, comme on pouvait s’y attendre, une panique généralisée parmi un public non averti, créant un environnement de peur et une volonté de se conformer aux politiques de “santé” publique dans de nombreux pays. Lorsqu’il a finalement publié les programmes du rapport 9 pour les soumettre à l’examen du public, Ferguson a constaté qu’ils étaient ridiculisés par les experts commerciaux et universitaires. Un expert commercial a estimé qu’il s’agissait d’un “désordre bogué qui ressemble plus à un bol de pâtes aux cheveux d’ange qu’à une pièce de programmation finement réglée”, tandis que des scientifiques de l’université d’Édimbourg ont signalé qu’il échouait “au test scientifique de base consistant à produire les mêmes résultats à partir du même ensemble initial de paramètres”.[80] Dix jours plus tard, Ferguson, qui estime que les modèles sont des “versions simplifiées de la réalité”, prédit, dans un autre article cosigné par l’ICL, que 40 millions de personnes pourraient mourir dans le monde à cause du COVID-19.[81]

La modélisation du chaos en Nouvelle-Zélande a été largement le domaine de trois groupes. Le premier à publier son rapport, daté du 27 février 2020, a été le groupe de modélisation commandé par le gouvernement, l’University of Otago Wellington COVID-19 Response Group (UOWCRG). Dans ce rapport, les modélisateurs “estiment que le nombre de décès probables se situe entre 12 600 et 33 600”, ce qui correspond à 0,67 % de la population néo-zélandaise et à plus de 52 millions de décès dans le monde.[82] N’ayant effectué aucun contrôle préalable sur les circonstances de l’origine du SARS-CoV-2, mais ayant recueilli diverses informations à son sujet de toutes parts, y compris ses données de reproduction (R0) provenant de quatre sources différentes et le nombre de cas d’infection en Australie, l’UOWCRG a prédit que le système hospitalier du pays serait submergé par “336 000 personnes” nécessitant une “hospitalisation”, et entre 67 000 et 79 000 patients nécessitant des unités de soins intensifs dans le pire des cas.[83]

Cependant, la fantasmagorie de mort massive sur laquelle l’état d’exception a été décidé ne repose pas sur les modélisateurs mandatés par le gouvernement, mais sur deux rapports de modélisation non mandatés et non évalués par des pairs, dont les huit auteurs, quatre pour chaque rapport, n’avaient aucune qualification en épidémiologie ni aucune expérience préalable de la modélisation d’une épidémie humaine. Leurs prédictions astronomiques n’étaient pas le fruit d’une rigueur scientifique mais d’une spéculation algorithmique fondée sur des chiffres de cas provenant du ministère de la santé pour l’un des rapports, et pour l’autre, sur des “comparaisons avec des données internationales sur les parcours des cas et des études de modélisation pour les épidémies au Royaume-Uni et aux États-Unis (Ferguson et al 2020)” afin de calibrer leur “nombre de reproduction avec contrôle (Rc)”.[84] Le premier de ces rapports provient de Wigram Capital Advisors, une petite société de conseil en macroéconomie spécialisée dans la Chine et l’Asie.[85] L’autre, Te Pūnaha Matatini (TPM), qui se décrit comme un “Centre d’excellence en recherche sur les systèmes complexes”, est rattaché à l’université d’Auckland.[86] Les modèles de Wigram ont été “exécutés autour du 22 mars” et prévoyaient 4 000 cas de COVID-19 pour le 3 avril et 10 000 pour le 9 avril.[87] C’est à la modélisation de Wigram que le gouvernement s’est référé le 23 mars quand il a affirmé : “Si la transmission dans la communauté décolle, le nombre de cas doublera tous les cinq jours.”[88] Si l’Australie avait connu le même nombre de cas le même jour, doublant tous les cinq jours, sa population de 25,5 millions d’habitants aurait été infectée à la mi-juin et, sur la même base, la population mondiale de 7,8 milliards d’habitants aurait été infectée à la fin de juillet 2020.[89]

L’auteur principal de TPM est intervenu de manière spectaculaire le dimanche 22 mars, en s’adressant aux médias avec l’affirmation alarmante que sa modélisation provisoire, réalisée sur la table de sa cuisine, suggérait que 60 000 personnes allaient mourir à moins qu’une “stratégie de suppression agressive” ne soit mise en œuvre “dès que possible”, ce qui, par miracle, permettrait de sauver 50 000 de ces vies.[90] Les modélisateurs n’avaient aucun précédent auquel se référer concernant les effets d’une telle stratégie, mais surtout, ils n’avaient aucune idée de l’existence même du virus. Comme l’a admis l’auteur principal, ces résultats ont été produits avec “beaucoup d’approximation” en se basant sur des données provenant de l’étranger, tandis que la modélisation elle-même traitait “la Nouvelle-Zélande comme une grande ville où tout le monde a la possibilité d’infecter quelqu’un d’autre”, une erreur fondamentale qui a contribué aux prévisions de mortalité grotesques du rapport.[91] Le lendemain matin, les 60 000 de TPM étaient passés à 1,67 % de la population, soit 83 500 personnes qui pourraient mourir sans aucune mesure d’intervention de “santé” publique, une histoire fantaisiste sans fondement dans la réalité mais qui a fait trembler les parlementaires et à laquelle les apprentis sorciers croient encore un an plus tard.[92] Extrapolé à la population mondiale, “le ministère de I’autopromotion de TPM” venait de prédire que 130 260 000 personnes allaient mourir dans le monde. Le petit groupe TPM a été richement récompensé par le gouvernement avec un prix de 6 millions de dollars pour l’avoir aidé à promouvoir un récit absurde et à susciter une peur sans fondement dans la population de la Nouvelle-Zélande.[93] Si TPM a remporté le prix de la prédiction la plus grotesque, l’ICL de Neil Ferguson a été le grand gagnant. Gates, qui apprécie une histoire effrayante qui confirme ses “prédictions”, qui ferme une grande partie du monde et qui décide que seuls les “vaccins” peuvent le rouvrir, a puisé dans ses réserves pour son frère d’armes de l’ICL, sortant de sa poche arrière un ensemble de subventions pour 2020 d’un montant total de 91 494 791 dollars.[94] Parmi ces subventions, citons INV-016635, d’un montant total de 1 080 771 USD, pour “évaluer l’efficacité potentielle d’un vaccin à base d’acide ribonucléique (ARN) contre le COVID-19”, INV-023013, d’un montant total de 140 041 USD, pour “modéliser l’impact potentiel des diagnostics rapides pour le COVID-19”, et INV-023210, d’un montant total de 1 487 605 USD, pour comprendre comment les impacts sociaux et autres impacts indirects du COVID-19 (distanciation sociale, quarantaine, etc.) et les perceptions du risque influencent les comportements sexuels à risque qui pourraient conduire au VIH.[95] Si l’année 2020 a été une année record pour l’ICL, M. Gates s’occupait depuis longtemps de l’ICL, la Fondation Bill et Melinda Gates lui ayant accordé des subventions depuis 2002 pour un montant total de 302 164 640 USD, soit environ 16 000 000 USD par an au cours des 19 dernières années.[96]

Alors que la confusion et le débat font rage sur ces modèles, sur les raisons pour lesquelles le “virus” se comporte si différemment selon les endroits, sur l’existence d’une surmortalité et sur l’efficacité des “vaccins”, tout cela n’est qu’une distraction. Si l’on examine l’article d’origine de Fan Wu et al. et tous ceux qui ont suivi, la vérité est que l’existence du “SARS-CoV-2” n’a pas été démontrée. Il n’y a pas de “COVID-19” en dehors d’un récit malveillant imposé à l’humanité.

Troisième partie

En résumé

La fraude du COVID-19 est l’œuvre d’élites internationales, de l’industrie pharmaceutique et de politiciens complices travaillant à un programme mondialiste, dont l’objectif semble être l’extinction des droits de l’homme et des libertés et le démantèlement de la démocratie dans le but de contrôler les populations et d’extorquer de vastes sommes d’argent aux pays sur la base qu’une maladie, le COVID-19, inventée par l’OMS, représente une menace sérieuse pour leurs populations.

Le fondement de cet agenda est la fraude selon laquelle un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2 a été trouvé et isolé chez des sujets humains et qu’il a été démontré qu’il était la cause d’une maladie appelée COVID-19. Rien de tout cela ne s’est produit.

Le remède proposé pour ce supposé virus tueur est une protéine de pointe (spike) produite par une séquence génétique qui ne se trouve pas dans la nature mais dans un brevet américain de 2007. Les “vaccins” basés sur cette séquence ont tué plusieurs milliers de personnes dans le monde et en ont mutilé et blessé des millions d’autres.

La base statistique de cette pandémie fantôme a été déterminée par l’application erronée d’une méthode PCR qui n’a aucune spécificité diagnostique (clinique) établie. Elle n’a pas permis de diagnostiquer un seul cas d’une nouvelle maladie et n’a produit que des nombres de cas “COVID-19” sans signification.

En conséquence, le gouvernement néo-zélandais est complice de la fraude mondiale du COVID-19 et est donc accusé de crime inconsidéré, notamment de violation des droits de l’homme, de crimes contre l’humanité, de démocide, d’actes de terreur et de meurtre de masse.

Conclusion

Depuis l’entrée en vigueur, le 25 mars 2020, de l’Avis de préparation aux épidémies (COVID-19) 2020, nous vivons dans l’état d’urgence, que l’on peut décrire comme un espace liminal entre la loi et la vie, où la loi ne s’applique plus et où la force pure s’approprie l’anarchie pour se faire la loi.[97] Positionné dans une sorte de “no man’s land entre le droit public et le fait politique”, l’état d’urgence “n’est pas une dictature (qu’elle soit constitutionnelle ou inconstitutionnelle, commissariale ou souveraine) mais un espace dépourvu de droit, une zone d’anomie dans laquelle toutes les déterminations juridiques – et surtout la distinction même entre public et privé – sont désactivées.”[98] Nos maisons sont devenues des prisons, nos corps ne sont plus inviolables, la marque de l’aiguille détermine qui est inclus et qui est exclu, tout cela incarne l’état d’urgence et peut être considéré comme un signe avant-coureur de ce qui nous attend.

Pour conclure, nous espérons que cet essai pourra à la fois vous encourager et vous aider à vous préparer à ce qui nous attend. Car dans le climat actuel, dans ce contexte politique, les circonstances ne feront que continuer à se détériorer si nous ne nous soulevons pas en masse pour réclamer ce que nous avons appris qu’il est si facile de perdre mais volé par ce gouvernement en moins de deux ans, le tout sur la base d’une fraude imbécile qui a néanmoins terrorisé et divisé le peuple de Nouvelle-Zélande au point de le rendre dysfonctionnel, divisant les familles et les amis, les amants, les âmes sœurs, les collègues et les meilleurs amis.

Cet essai vise également à encourager la poursuite des recherches sur la légitimité des méthodologies employées par les virologues établis, ainsi que sur la mauvaise application de la PCR dans les diagnostics cliniques. Si ces méthodes anti-scientifiques continuent à être largement acceptées, nous risquons de voir encore plus de “pandémies” sans fondement, nécessitant encore plus de “vaccins”, se poursuivre indéfiniment dans le cadre de la “nouvelle normalité”. En fait, un fabricant a déjà fait part de son intention de “développer un vaccin combiné à ARNm “afin que les gens puissent recevoir une injection chaque automne pour une protection très efficace contre les virus respiratoires les plus problématiques”.[99]

Il n’y a rien de normal à ce que l’industrie pharmaceutique et les organisations mondialistes créent une demande de thérapies géniques inutiles par la peur et la création de pseudo-pandémies. Il n’y a rien de normal en ce qui concerne la censure sans précédent du débat scientifique et l’empêchement des praticiens médicaux de fournir un consentement éclairé à leurs communautés. Seuls les plus naïfs pourraient croire que, dans cet environnement artificiel, une cabale d’élites et une industrie ayant un bilan effroyable de préjudices et de décès font du monde un endroit plus sain pour ses habitants.

Les tyrannies naissent et disparaissent. Celle-ci, dans son ascension, est déjà en train de s’étouffer de son propre orgueil. Les façades scientifiques et idéologiques sur lesquelles cette escroquerie s’appuie entraîneront sa propre chute et, avec elle, une nouvelle ère dont nous hériterons tous. Les tyrans cachés, lorsqu’ils finissent par émerger, sont toujours nus, des vaisseaux vides remplis des idées des autres, faisant la guerre aux innocents pour se cacher de ce qui leur manque. Ils n’ont pas encore appris que le contrôle est une voie sans issue ou que ce qui fait s’élever l’esprit humain n’est rien d’autre que l’acceptation.

POST-SCRIPTUM

Dans le cadre du processus de reprise pacifique de ce qui appartient au peuple néo-zélandais, Heterodoxies Society Incorporated a déposé une procédure le 6 août 2021 devant la Haute Cour d’Auckland, CIV-2021-4041599. Malheureusement, depuis lors, sur la base d’un artifice juridique qui n’a aucune base statutaire apparente ou valeur juridique, l’affaire a été suspendue, c’est-à-dire confinée dans un équivalent de quarantaine juridique. Voici une partie de ce que la Cour a récemment refusé d’entendre.

Crimes contre l’humanité

“Il est question de bio-armement intentionnel de protéines de pointe à injecter aux gens pour les rendre dépendants d’un vaccin contre les ”pancoronavirus”. Cela n’a rien à voir avec un agent pathogène qui a été libéré… Il s’agit d’injecter aux gens une protéine S1 connue pour être nocive… La tragédie, c’est que nous sommes dans un monde où des centaines de millions de personnes se voient injecter une séquence informatique stimulant un agent pathogène… qui est vendue sous ce que l’office des brevets, la profession médicale et la FDA et ses propres normes cliniques ne considèrent pas comme un vaccin, mais en utilisant ce terme, nous soumettons maintenant des centaines de millions de personnes à ce que l’on savait être, en 2005, une arme biologique. ” Dr David Martin, 12 juillet 2021[100]

Le 20 septembre 2021, une conférence de presse s’est tenue à l’Institut de pathologie de Reutlingen, en Allemagne, afin de présenter, dans la première partie intitulée “Cause du décès après une vaccination Covid-19”, les conclusions des pathologistes Arne Burkhardt et Walter Lang qui avaient enquêté sur dix décès de personnes de plus de 50 ans décédées dans le contexte chronologique de l’administration de soi-disant vaccins COVID-19, dont le Comirnaty de Pfizer. Dans la deuxième partie, “Composants non déclarés des vaccins Covid-19”, les éléments non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits ont été présentés et discutés par divers participants, dont des médecins d’Allemagne et d’ailleurs.[101]

Le professeur Dr Burkhardt a enseigné pendant de nombreuses années aux universités de Hambourg, Berne et Tübingen, et a également été professeur invité/visiteur dans un certain nombre d’universités du monde entier. Il a dirigé l’Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans, après quoi il a exercé en tant que pathologiste. Il a publié plus de 150 articles dans des revues spécialisées. Le professeur Dr Walter Lang a travaillé comme pathologiste à la faculté de médecine de Hanovre de 1968 à 1985, puis a fondé un institut privé de pathologie à Hanovre où il a travaillé pendant 25 ans. De 1985 à 2020, il a effectué des examens de consultation pour la pathologie de la clinique pulmonaire de Herner. Ils étaient accompagnés dans cette présentation par le professeur Dr Werner Bergholz, ancien professeur d’électrotechnique spécialisé dans la gestion de la qualité et des risques à l’université Jacobs de Brême, qui avait travaillé pendant 17 ans dans la gestion de la production de puces chez Siemens avant cette nomination.[102]

Sur les dix personnes décédées qui ont subi un examen post mortem, Burkhardt et Lang, se fondant sur le matériel tissulaire obtenu auprès des médecins légistes qui avaient d’abord examiné les cas, ont estimé que cinq des décès étaient très probablement liés aux “vaccins” COVID-19, deux probablement, un n’était pas clair et ils ont considéré que deux n’avaient aucun lien de causalité.[103] “Dans trois cas, ils ont trouvé des maladies auto-immunes rares ; l’une d’entre elles était si rare qu’ils ne l’ont découverte qu’en regardant de près l’image numérisée. Il s’agissait de la maladie de Hashimoto, une hypothyroïdie déclenchée par une réaction auto-immune ; de la vascularite leucoclastique, une réaction inflammatoire dans les capillaires qui entraîne des saignements de la peau ; et du syndrome de Sjögren, une inflammation des glandes salivaires et lacrymales.”[104] On a observé un large éventail de maladies, certaines communes, d’autres rares. Les trouver dans un collectif de dix patients était “très extrême”, a déclaré Burkhardt.[105] Comme il le dit : “Nous sommes en présence d’un système immunitaire qui dépasse complètement les limites, qui s’attaque de lui-même à lui-même, et l’inflammation a lieu dans chaque organe, dans chaque vaisseau… et cela conduit à une forte réaction auto-immune et à des maladies. Ce sont des maladies, je dirais, qui sont de 1 pour 100 000 normalement.”[106]

Selon les pathologistes, les lymphocytes avaient afflué et causé une destruction cellulaire massive. Ils ont montré des images d’accumulations de lymphocytes dans une grande variété de tissus, du muscle cardiaque au rein, au foie, à la rate et à l’utérus”, et aussi “des images dans lesquelles le tissu a été massivement attaqué en conséquence, et toute une série de follicules lymphocytaires … au mauvais endroit, par exemple dans le tissu pulmonaire”.[107] Ils “ont également montré des détachements de cellules endothéliales – qui sont les cellules lisses qui forment la paroi des vaisseaux sanguins – des amas de globules rouges qui finissent par provoquer une thrombose, et des cellules géantes qui [s’étaient] formées autour des corps étrangers piégés”.[108] Burkhardt l’a décrit comme suit dans ce résumé paraphrasé de ses conclusions générales : “J’ai beaucoup réfléchi à ce que j’ai vu et je n’ai pu voir qu’une seule chose, à savoir des lymphocytes déchaînés (devenus fous furieux) dans tous les organes et tous les tissus. Nous assistons à une réaction immunitaire extrême, une attaque de soi-même contre soi-même (déclenchée par le vaccin). J’ai été témoin de l’hyperplasie (croissance excessive) et de l’activation des organes lymphatiques, des ganglions lymphatiques et de la rate, ainsi que de l’infiltration des lymphocytes dans les organes non lymphatiques. Le résultat (de cette tempête lymphocytaire) est la perte de la capacité et de la fonction immunitaires externes, combinée à une inflammation et une destruction des tissus causées par les lymphocytes, avec le risque d’une réaction auto-immune prolongée. Personne ne peut dire si et combien de temps il faudra à ces tissus pour se régénérer et retrouver leur état normal et sain.”[109]

Vous trouverez ci-dessous des diapositives représentatives préparées et présentées par le Dr Burkhardt lors de la conférence de presse :

Figure 2. Légende pour le cas 7 : C’est une image à plus haute résolution d’un follicule lymphatique dans le tissu alvéolaire pulmonaire. On voit également ces follicules lymphatiques autour des vaisseaux sanguins pulmonaires. Il s’agit d’une preuve évidente de dommages alvéolaires (dans les poumons). Ce qui se passe ici, c’est que l’appareil immunitaire d’une personne attaque ses propres tissus. Ainsi, les vaccins déclenchent des maladies auto-immunes qui peuvent ne pas se manifester avant plusieurs années. L’infiltration massive de lymphocytes dans les tissus cérébraux, cardiaques, pulmonaires et rénaux est un signal d’alarme pour les maladies auto-immunes et le cancer. Attendez-vous à voir les taux de cancer augmenter considérablement dans les années à venir.”
Figure 3. Légende pour le cas 2 : Cette diapositive montre des vaisseaux sanguins du tissu pulmonaire avec un amas d’érythrocytes (globules rouges).”
Figure 4. Légende : Le syncytium a englouti et tente de digérer une de ces structures non biologiques (identifiées par la flèche jaune) dans le tissu pulmonaire. Le syncytium va échouer dans sa tentative de digestion.”

Dans la deuxième partie, un large éventail d’images de corps étrangers trouvés dans les flacons des fabricants a été photographié et leurs mouvements enregistrés par vidéo. Selon les présentateurs, aucun de ces objets n’a jamais été trouvé dans les vaccins traditionnels et ne devrait se trouver dans le corps humain. Leurs formes vont de l’apparence d’une carte SIM à des filaments en forme de perles et à de grandes formes rocheuses. Ils semblent être des structures métalliques. Aucun des experts ne savait à quoi elles servaient. “Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience”, et pourtant “ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes”.[110]

Comme l’a dit Holger Fischer, avocat allemand et membre du panel, “nous n’avons pas à avoir la charge de la preuve. Si vous aviez une limonade présentant ce type de contamination, elle serait immédiatement retirée du marché.”[111] Maria Hubmer-Mogg, un médecin autrichien, a abondé dans le même sens. “Ces vaccins doivent être retirés immédiatement et leur utilisation d’urgence révoquée”.[112] Faisant référence au récit de la peur, elle a ajouté : “les gens veulent maintenant vacciner leurs enfants, même leurs tout-petits. C’est quelque chose d’inimaginable, c’est de la pure folie, et cette folie doit être arrêtée immédiatement.”[113]

Après plus de deux heures et demie, Fischer a clôturé la conférence de presse par la déclaration suivante : “Une chose est claire, quiconque persiste à poursuivre en connaissance de cause à partir d’aujourd’hui est légalement punissable ; ils ne peuvent pas dire qu’ils ne l’ont pas fait délibérément ou du moins en partie délibérément. Il s’agit d’un crime contre l’humanité que l’on appelle ” élimination d’êtres humains “, et les partis éliminent leur électorat ici … Beaucoup de gens ne savent pas à quel point ils sont malades. Beaucoup vont peut-être découvrir ce soir [qu’ils ont besoin] de se faire aider … Nous voulons sauver ce qui peut l’être chez ceux qui sont déjà vaccinés.”[114]

Vous trouverez ci-dessous une sélection d’images, présentées lors de la conférence, de nombreux objets non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits. Ces images devraient suffire à elles seules à mettre un terme immédiat au déploiement criminel du Comirnaty en Nouvelle-Zélande.

Figure 5. Légende : Le reste des diapositives montre des corps étrangers non biologiques trouvés dans les vaccins. Ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes. (Plusieurs des diapositives ont été fournies par d’autres médecins en Allemagne ou en Autriche). Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience.”
Figure 6. Légende : OVNIs trouvés dans les vaccins.”
Figure 7. Légende : (On dirait un téléphone portable pour moi !)”
Figure 8. Légende : Salamandre ?”
Figure 9. Légende : Un OVNI dans le sérum du vaccin.” Le Dr Burkhardt affirme en avoir vu des centaines dans des cellules, mais cette image est celle “d’une gouttelette de liquide vaccinal fortement agrandie par microscopie à champ sombre.”
Figure 10. Légende : Un autre filament perlé.”
Figure 11. Légende : Burkhardt remarque les rangées d’objets bleus sur la plus grande tache. Il se demande si ce ne sont pas des nanopuces en quelque sorte.” Ceci montre le corps étranger non biologique dans le liquide vaccinal.
Figure 12. Légende : “Burkhardt se demande si ceci est aussi une puce de graphène.” Est-ce qu’elle “transporte on ne sait quelle information vers l’appareil de fabrication des protéines dans les cellules.”

L’insulte finale

Alors que l’accord conclu par Pfizer avec le gouvernement néo-zélandais reste caché aux yeux du public, et que le contenu des flacons de Pfizer reste occulté par un gouvernement aveugle à sa propre perfidie, une fuite du contrat de fabrication et de fourniture de Pfizer avec l’Albanie ouvre une fenêtre sur le monde infâme dans lequel ce géant pharmaceutique exerce son pouvoir sur les Etats-nations et leur extorque de l’argent sur la base de la fraude COVID-19. Ce contrat, signé par trois fonctionnaires albanais, fait de leur gouvernement une partie au fait que “les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus.”[115] Pourtant, les énormes profits de Pfizer, qui s’élèvent à 12 dollars par flacon selon ce contrat, sont garantis même si une multitude de décès et de blessures surviennent, pour lesquels le gouvernement acheteur doit “indemniser, défendre et dégager de toute responsabilité Pfizer … contre tout procès, toute réclamation, toute action, toute demande, toute perte, tout dommage, toute responsabilité, tout règlement, toute pénalité, toute amende, tout coût et toute dépense … découlant du vaccin, s’y rapportant ou en résultant”.[116] S’agit-il du même type d’arrangement que celui auquel le ministre néo-zélandais des Finances a consenti lorsqu’il a accordé à Pfizer-BioNTech l’immunité de poursuites le 5 octobre 2020, un arrangement qui doit être notifié à la Chambre parce que l’indemnité dépasse 10 millions de dollars ?[117] Si c’est le cas, alors le gouvernement néo-zélandais est également lié par un contrat méprisable, qui sera caché au public pendant dix ans, pour l’achat d’un produit dont il sait et accepte qu’il est “sujet à des risques et des incertitudes significatifs… [et] peut ne pas être efficace”, mais qu’il n’a cessé de promouvoir comme “sûr et efficace”, qu’il a imposé à de larges pans de la population active et qu’il insiste pour que sa séquence de fabrication de poison et ses corps étrangers non déclarés soient introduits dans le corps de nos enfants.”[118]

À propos des auteurs

Dr Mark Bailey MB ChB (Bachelier en médecine et en chirurgie), PGDipMSM (Diplôme de troisième cycle en médecine musculo-squelettique), MHealSc (Maîtrise en sciences de la santé) (Otago)
Est un chercheur en microbiologie, industrie médicale et santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Dr John Bevan-Smith BA (Hons) First Class (Licence de lettres (4 ans) avec mention très bien), PhD (doctorat) (Auckland)
Est un chef d’entreprise, auteur et chercheur, qui a entrepris des recherches pour le Tribunal de Waitangi Te Rōpū Whakamana i te Tiriti o Waitangi/The Ministry of Justice Te Tāhū o te Ture.


Essai original (anglais) : https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/
Présentation vidéo de la partie 1 de l’essai par le Dr. Samantha Bailey (anglais) : The COVID-19 Fraud & War On Humanity (Part 1)
Traduction française : https://cv19.fr

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Références

↑1 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Conférence de presse, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 1:27:20 : https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/ ; Au 25/9/21, un total de 2 448 262 événements indésirables et 26 041 décès avaient été signalés à l’Agence européenne des médicaments (Europe) ; au 15/9/21, un total de 1 204 555 événements indésirables et 1 662 décès avaient été signalés à Yellow Card (Royaume-Uni) ; au 1/10/21, un total de 2 826 646 événements indésirables et 16 310 décès avaient été signalés à VAERS (États-Unis). Le nombre total d’événements indésirables signalés dans ces trois régions s’élève à 6 479 563 et le nombre total de décès à 44 013. Compte tenu de la sous-déclaration connue de ces événements, il est prévu que les chiffres réels pourraient être au moins cinq fois plus élevés.
Voir : America’s Frontline Doctors et al. v Xavier Becerra, Secretary of the U.S. Department of Health and Human Services, et al., Civil Action No. 2:21-cv-00702-CLM, dépôt le 19 juillet 2021, 41 ; Citizens’ Adverse Events register.
↑2 Holger Fischer, in Burkhardt et al., “Cause of death after Covid-19 vaccination”, 2:19:13.
↑3 Bill Gates, “Responding to Covid-19 – A Once-in-a-Century Pandemic ?”, The New England Journal of Medicine (28 février 20) : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762#article_references ; interview de Bill Gates par Ellen DeGeneres, “Bill Gates on Finding a Vaccine for COVID-19, the Economy, and Returning to ‘Normal Life’”, YouTube (14 avril 20) : https://www.youtube.com/watch?v=5oEcxMfwJnw
↑4 “Developing MCMs for Coronaviruses”, dans Rapid Medical Countermeasure Response to Infectious Diseases : Enabling Sustainable Capabilities Through Ongoing Public- and Private-Sector Partnerships : Workshop Summary (Washington DC : National Academies Press, 12 février 2021) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK349040/
↑5 Global Preparedness Monitoring Board, “A World at Risk”, (Sept 2019), https://constitutionwatch.com.au/wpcontent/uploads/A-world-at-risk-WHO.pdf
↑6 Ibid.
↑7 Anthony S. Fauci, “The Role of the National Institutes of Health in Research Addressing Seasonal and Pandemic Influenza”, témoignage devant le House Committee on Energy and Commerce Subcommittee on Oversight and Investigations (4 déc. 2019) :
https://energycommerce.house.gov/sites/democrats.energycommerce.house.gov/files/documents/Testimony%20-%20Fauci%20%28NIH%29%2012.04.2019.pdf
↑8 Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation (Forum Publishing, Genève, 2020), Couverture arrière
↑9 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No. : US 7,279,327 9 Oct 2007) ; Témoignage du Dr David Martin, “CDC Fraud”, audition de la commission d’enquête extraparlementaire German Corona (12 Jul 21) : https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/.
↑10 Schwab et Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation, 11.
↑11 Helen Clark et S.E. Ellen Johnson Sirleaf, coprésidentes du Groupe indépendant pour la préparation et la réponse aux pandémies, “COVID-19 : Make it the Last Pandemic”, OMS (mai 2021), 4.
↑12 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidentiel Protection Sociale, le Ministre d’Etat pour la Reconstruction et l’Institut de Santé Publique”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 7 (2.1 [b]-[d]) : http://ti-health.org/wp-content/uploads/2021/05/AlbaniaPfizer.pdf
↑13 Dr David Martin, Wise Traditions Conference 2021, “Follow the Patents, Then You Will Understand Covid”, (5 Nov 21) : https://rumble.com/vov60h-dr.-david-martin-follow-the-patents-then-you-will-understand-covid.html
↑14 Ibid, 25:11
↑15 “Remarques du Directeur général de l’OMS lors de la réunion d’information à l’intention des médias sur 2019-nCoV le 11 février 2020”, OMS (11 févr. 20), 2/4 : https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-remarks-at-the-mediabriefing-on-2019-ncov-on-11-february-2020 ; “Pourquoi le virus et la maladie ont-ils des noms différents ?”, OMS (11 févr. 20) : https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/technical-guidance/namingthe-coronavirus-disease-(covid-2019)-et-le-virus-qui-cause-it ; Fan Wu et al, “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank : MN908947.3, GenBank (18 mars 20, soumis le 5 janvier 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947
↑16 Paul D Thacker, “Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai vaccinal de Pfizer”, BMJ, 375/n2635 (2 Nov 21), 1-3 : https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635
↑17 Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause de la mort après la vaccination Covid-19”, Conférence de presse Conférence, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 2:19:13.
↑18 James Corbett, “Bill Gates et la grille de contrôle de la population”, The Corbett Report, (18 mai 20) :
https://odysee.com/@corbettreport:0/gatespopulation:b
↑19 Remarque : Bustin s’est trompé dans ses souvenirs. Comme nous l’expliquons ci-dessous, cette étape non valide n’a pas été effectuée par les inventeurs du SARS-CoV-2.
↑20 Stephen A Bustin, “Why the need for qPCR publication guidelines?-The case for MIQE”, Methods, 50 (16 Dec 2009), 218 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/ ; Interview de Stephen Bustin par Eric Coppolino, “Planet Waves FM Interview with Stephen Bustin conducted by Eric F Coppolino”, transcription par Joshua Halinen, New York 1er février 2021), 01:02:00 : https://cormandrostenreview.com/wp-content/uploads/2021/02/bustintranscript.pdf
↑21 Bertrand Russell, The Basic Writings of Bertrand Russell 1903-1959 (Londres : Routledge, 1992, publié pour la première fois 1961), 200
↑22 John F Enders et William C Peebles, “Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles”, Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine (PSEBM), 86 (reçu le 16 mai 1954), 277-286.
↑23 Ibid., 287.
↑24 https://www.qwant.com/?client=brz-brave&q=SARS-CoV-2+images&t=images
↑25 La méconnaissance du virus – La rougeole comme exemple; Wissenschafftplus Magazin 01/2020; https://cv19.fr/2021/03/07/la-meconnaissance-du-virus-la-rougeole-comme-exemple/
↑26 Fan Wu, ISPOR Summit (2018): https://www.ispor.org/conferences-education/conferences/past-conferences/ispor-summit-2018/program/speakers/speaker/fan-wu-md-phd
↑27 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, Nature, Vol 579 (3 Feb 20, author correction 2 Apr 20), 266, Methods page: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3
↑28 Ibid. Megahit et Trinity sont les noms de deux plateformes d’assemblage de novo.
↑29 bid., 265-6, Methods page.
↑30 Joan Pontius et al, “Initial sequence and comparative analysis of the cat genome”, Genome Research, 17 (2007), 1680.
↑31 Fan Wu et al., “Wuhan seafood market pneumonia virus isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.2, GenBank (14 Jan 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.2/ ; Dan Hu et al., “Bat SARS-like coronavirus isolate bat-SL-CoVZC45, complete genome”, GenBank : MG772933.1, GenBank (29 sept. 2020) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MG772933.
↑32 Fan Wu et al., “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.3, GenBank (18 Mar 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.3.
↑33 Interview par Janis Mackey-Frayer du Dr Wu Zunyou, “Wuhan maintenant un an après”, NBC Nightly News Broadcast (Full) – 23 janvier 2021 | NBC Nightly News, NBC (23 Jan 21), 13:30-13:50 : https://www.youtube.com/watch?v=TjjA-8JXzYI
↑34 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑35 Peng Zhou et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 579 (12 Mar 20), 270-273 plus 16 unnumbered supplementary papers: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7.pdf
↑36 Ibid., 272.
↑37 Ibid, Résumé du rapport, deuxième page non numérotée.
↑38 Ibid, “Methods”, première page non numérotée.
↑39 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑40 Na Zhu et al., “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”, The New England Journal of Medicine, 382 (20 Feb 20, first published 24 Jan 20, updated 29 Jan 20), 728.
↑41 Ibid., 728, 730-31.
↑42 Ibid., 728.
↑43 Ibid., 731.
↑44 Ibid.*
↑45 Ibid., 733. Emphasis added.
↑46 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021).
↑47 Leon Caly et al., “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia”, MJA, 212/10 (1 Jun 20, received 25 Feb 20, accepted Mar 20, published 9 Mar 20), 459 : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.5694/mja2.50569.
↑48 Ibid., 461-62.
↑49 Ibid., Supplementary methods: https://onlinelibrary.wiley.com/action/downloadSupplement?doi=10.5694%2Fmja2.50569&file=mja250569-sup-0001-Supinfo.pdf
↑50 Letter of Rebecca Drew, Group Manager, Science and Insights, COVID-19 Health System Response, undated OIA letter Ref: H202008345, Ministry of Health. https://fyi.org.nz/request/14170-request-for-records-held-by-ministry-of-health-describing-the-isolation-of-a-sars-cov-2-virus-directly-taken-from-a-symptomatic-patient-of-covid-19
↑51 Jeremy Butterfield, Editorial Director, Collins Concise Dictionary Fifth Edition (Glasgow: HarperCollins, 2003), 1348.
↑52 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, 265, 268-9.
↑53 David Cyranoski, “SARS outbreak linked to Chinese bat cave”, Nature, 552 (7 Dec 17), 15-16.
↑54 Rahul Battharai, épidémie de Covid 19 Delta : Businesses welcome vaccine certificates for retail and hospitality ” NZ Herald (26 Oct 21) : https://www.nzherald.co.nz/business/covid-19-delta-outbreak-businesses-welcome-vaccine-certificates-for-retail-and-hospitality/WB2WIX4KHGR27ZZNS6JJXFIGKQ/
↑55 “Le ministère de la Justice annonce le règlement le plus important de son histoire en matière de fraude aux soins de santé”, ministère de la Justice des États-Unis (2 septembre 2009), 2 : https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-announces-largest-health-care-fraud-settlement-its-history.
↑56 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No.: US 7,279,327 9 OcT 2007).
↑57 ” Novel Coronavirus (2019-nCoV) Situation Report – 1 “, OMS (21 jan 20), 1 : https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/330760/nCoVsitrep21Jan2020-eng.pdf?sequence=3&isAllowed=y . Moderna, Inc, ” United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement ” (9 nov 2018), 12, 94 ; BioNTech SE, United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement “, (sans date, supposé 2019), 5, F-7 : https://investors.biontech.de/static-files/0eb8771c-1cda-4868-bb9f-bdb22dfd29e4 . Les pertes de Moderna se sont élevées à 230 314 000 dollars pour 2016, 255 916 000 dollars pour 2017 et 243 308 000 dollars pour les neuf mois à fin septembre 2018, et auraient besoin de plus d’investissements. Bien qu’ayant levé 1,1 milliard de dollars depuis 2008 dans le cadre de placements privés de leurs actions, BioNTech a tout de même enregistré une perte avant impôts de 85 950 000 € pour 2017 et de 48 262 000 € pour 2018.
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↑95 Ibid.****
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↑107 “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination”, 1-2.
↑108 Ibid., 2.
↑109 Dr Calvin Luther Martin, “Close paraphrase of Dr Burkhardt’s overall conclusions” (accessed 13 Oct 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑110 Dr Burkhardt, “Slideshow presentation”, Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21); Ibid., 1:53:
↑111 2:19:13.
↑112 Ibid.*******
↑113 Ibid…
↑114 Ibid., 2:34:30.
↑115 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 19 (5.5).
↑116 Ibid., Attachment B – Delivery Schedule and Price, 22 (8.1).
↑117 Ben Strang, “Government grants vaccine suppliers indemnity against claims”, Stuff via Radio NZ (25 Jan 21): https://www.rnz.co.nz/news/alert-top/435107/government-grants-vaccine-suppliers-indemnity-against-claims
↑118 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 7 (2.1 [b]-[c]); “Dr Ashley Bloomfield and MedSafe’s Chris James talk about vaccine approvals”, Ministry of Health (4 Feb 21): https://www.youtube.com/watch?v=th4U_9Ddk4s



Philippe de Villiers : Ce que je ne savais pas… et vous non plus, sur « Le jour d’après »

[Source : profession-gendarme.com]

Avez vous 01 heure de votre temps à consacrer à l’écoute de cette vidéo ? Si oui vaus saurez tout sur la PLANDEMIE…

Conférence enregistrée à notre université d’été 2021 qui avait pour thème: Naissance d’une nouvelle religion, l’écolo-hygiénisme. https://renaissancecatholique.fr/

Source : Youtube

Si vous n’avez pas regardé jusqu’au bout nous pouvons en conclure que vous faites partie du “Troupeau” hypnotisé par les “Médias Mainstream” qui eux réfléchissent à votre place…




Le nouveau martyre

PCB : Réponse à une question sur la vaccination

Par Patriarcat Catholique Byzantin

vidéo : 
https://vkpatriarhat.org/fr/?p=14875
https://rumble.com/vrdy1d-rponse.html
https://les-yeux-sur-jesus.wistia.com/medias/i17lk3aw9e
ugetube.com/watch/fYMfWwhclhE8xkR
bitchute.com/video/ubzyPCQ4Nrx9/

Citation d’une lettre provenant d’une croyante catholique : 

« Je vis dans une incertitude constante. Je suppose que l’approbation d’une vaccination obligatoire sera bientôt effective. Quand je considère la situation en Autriche, ils prévoient des amendes pour non-respect à l’obligation vaccinale de 92.000 ou même jusqu’à 182.000 €, voire 4 mois de prison. On peut s’attendre à une situation similaire en République tchèque…

Je ne veux pas finir par vivre quelque part sous les ponts, surtout si l’on considère ce que signifie vivre dans la rue. C’est pourquoi je crains d’être obligée de me faire vacciner contre mon gré. Si la punition consistait juste à purger une peine de prison, je n’hésiterais pas. Pourriez-vous s’il vous plaît m’indiquer comment je dois agir si tout cela se produit ? Je m’inquiète beaucoup de ce qui se passe et de ce que je ne veux pas, et je ne peux pas non plus trahir Dieu.

La goutte d’eau qui fait déborder le vase fut une lettre pastorale de Son Eminence Dominik Duka, qui non seulement cite et est d’accord avec la lettre de Graubner, mais ajoute ses propres mots encourageant la vaccination ».

Chère Madame, nous vous comprenons, et particulièrement le fait que la lettre pastorale du cardinal Duka, qui a rejoint l’appel de Graubner, ait été pour vous la dernière goutte qui a fait déborder le vase. Que pouvons-nous dire ? Nous croyons et prions afin que le cardinal Duka fasse pénitence publique. Cela signifie de retirer ses paroles, et de dire courageusement la vérité et, ainsi, s’opposer à tout ce système suicidaire.

Le pape Marcellin était dans son bureau pendant le règne de Dioclétien et Maximien, à l’époque de la persécution la plus cruelle des chrétiens. En trente jours, ils torturèrent de différentes manières 17.000 chrétiens, hommes et femmes, à Rome. Ils capturèrent le pape et l’amenèrent devant Dioclétien pour un interrogatoire. Il eut peur des terribles tortures, déposa de l’encens sur un autel d’idoles et apporta un sacrifice aux idoles païennes Vesta et Isis. L’empereur l’honora, le revêtit d’une coûteuse robe de cérémonie et l’appela « son ami ». Marcellin rentra à la maison, il pleura et pleura amèrement comme l’apôtre Pierre l’avait fait lorsqu’il avait renoncé au Christ. Il était en colère contre lui-même, car alors qu’il fortifiait tant d’autres dans la foi et les encourageait à l’héroïsme du martyre, il tomba lui-même de façon terrible. Il souffrit dans son cœur de façon indicible. Une assemblée de prêtres locaux se réunit dans la ville voisine de Sinuessa, en Campanie, à la même époque. Elle réunit des évêques et des prêtres, environ 180 personnes. Marcellin, vêtu d’un sac, répandit des cendres sur sa tête et, le chagrin au cœur, il vint voir les pères présents à ce rassemblement. Il se tint devant eux comme un condamné, confessa clairement son péché et versa de nombreuses larmes. Il pleura et les supplia de le juger. Ils lui dirent : 

« Juge-toi par ta propre bouche. Le péché est sorti de ta bouche, que le jugement en sorte aussi. Nous savons que saint Pierre a renié le Christ par peur, mais il a pleuré amèrement, et le Seigneur lui a accordé une grâce renouvelée ».

Le pape Marcellin prononça ce jugement sur lui-même : 

« Je m’exclus de l’état clérical comme en étant indigne. Que mon corps ne soit pas enterré à ma mort, comme il est de coutume, mais qu’il soit jeté aux chiens pour qu’ils le mangent. Celui qui tenterait de m’enterrer, sera maudit ».

Après le retour de l’assemblée à Rome, Marcellin prit la robe de cérémonie coûteuse qu’il avait reçue de Dioclétien, et se précipita chez lui. Il la jeta à ses pieds, il réprimanda l’empereur et maudit ses faux dieux. Il confessa son grave péché et pleura. L’empereur se mit en colère, le livra à la torture et le condamna à mort. Le pape Marcellin mourut en martyr.

Chère Madame, vous êtes certainement consciente que nous nous trouvons dans une période de violence sans précédent, où aucun droit et aucun principe moral ne sont pris en considération. Cela nous rappelle l’époque où les chrétiens étaient persécutés. En 304, l’empereur Dioclétien publia un édit dans lequel il ordonnait à tout le monde d’apporter des sacrifices aux dieux païens – des démons – et ceux qui refuseraient, devaient être torturés et tués. Cependant, le sang des martyrs avait coulé depuis l’époque de l’empereur Néron jusqu’à l’an 313, date à laquelle une liberté religieuse fut déclarée. Il fallut plusieurs millions de martyrs.

Les jours présents inaugurent des temps similaires à cette persécution sanglante. Chaque chrétien doit se rendre compte de la gravité de la situation, et doit être prêt à mourir. Contrairement à la première persécution, le but actuel est le dépeuplement, c’est-à-dire le génocide. Quelle que soit la façon dont chacun prend sa décision, il/elle ne peut pas sauver sa vie physique. Mais il s’agit de bien plus ; il s’agit du salut ou de la damnation éternelle de notre âme.

Chacun doit s’arrêter et chercher la vérité pendant que les temps sont encore calmes. Il faut être conscient que le problème avec cette affaire de covid n’a rien à voir avec la santé ; ce n’est pas une véritable pandémie et il ne s’agit pas d’un véritable vaccin, mais bien d’un système de mensonges, à la racine duquel se trouve le satanisme. Son objectif n’est pas seulement l’élimination physique de l’humanité, mais l’enlèvement massif des âmes dans la damnation de l’enfer, en les attirant dans le système de la vaccination. Une personne trompée pense qu’en faisant cela, l’infection sera terminée. Ceci, cependant, est une énorme fraude !

Tout le monde doit faire face à la vérité et prendre une décision ferme de vie ou de mort. Si les personnes souhaitaient prendre une décision une fois qu’elles ont été mises sous pression, elles prendraient la mauvaise décision. Elles seraient manipulées et forcées, ce qui signifie qu’elles voudraient, en pratique, être trompées afin d’éviter les problèmes. En réalité, ces problèmes ne peuvent être évités et elles connaîtraient une souffrance beaucoup plus grande. Il y aura d’autres soi-disant vaccins, d’autres virus synthétiques, et même un puçage qui transforme les gens en robots biologiques. L’homme, dépourvu de sa volonté, est également dépourvu de sa capacité à se repentir et à obtenir le salut, et se retrouvera dans l’étang de feu après sa mort. C’est pourquoi il faut savoir que ces personnes doivent refuser la vaccination, et prendre la bonne décision dès le début. Celles qui ont déjà reçu un vaccin doivent se repentir radicalement, sinon elles ne pourront pas sortir du système auto-génocidaire. Le pénitent ne doit pas recevoir d’autres vaccins.

Une fois qu’une personne comprend qu’il ne s’agit plus de santé, mais qu’il existe un système trompeur, elle doit examiner les faits pour être sûre de la bonne décision à prendre. Elle doit savoir ce que cela va vraiment lui en coûter si elle prend le vaccin, ou si elle ne le prend pas.

Si la personne prend le vaccin :

  • 1) Elle peut mourir immédiatement après avoir pris ce vaccin expérimental à ARN messager ou, comme cela a été prédit par les spécialistes, dans les trois ans.
  • 2) La vaccination avec un vaccin à ARNm qui utilise des tissus d’enfants à naître et assassinés avant leur naissance, représente un anti-baptême satanique, à savoir la soumission à l’autorité de satan.
  • 3) Le vaccin à ARNm perturbe le génome, ce qui signifie qu’il provoque des réactions imprévues de l’organisme, telles que des maladies auto-immunes incurables, des maladies des vaisseaux sanguins, une inflammation du cœur, des reins, une paralysie, un cancer, des maladies du système nerveux central, des troubles mentaux, de la démence, des dépressions… cette personne devient martyr du système satanique.
  • 4) Le vaccin à ARNm contient déjà des nanoparticules, et ce système continue d’augmenter le niveau d’esclavage. Son objectif est de transformer les gens en robots biologiques qui se retrouvent, finalement, dans l’étang de feu. Ceux qui entrent dans ce système commettent un suicide physique et spirituel progressif.
  • 5) Chaque personne vaccinée soutient le système de l’avortement, et en est coresponsable.

Quel est le résumé des conséquences si la personne refuse le vaccin ?

  • 1) Elle sera persécutée, mais ne deviendra pas esclave du système satanique, qui aboutit à la mort temporelle et éternelle ; elle doit être mentalement préparée à une persécution et à une mort physique.
  • 2) La personne non-vaccinée a beaucoup plus d’espoir de survivre que celles qui ont participé au système de la vaccination et, qui plus est, elle sauvera son âme et vivra dans l’espoir de prolonger sa vie. Ceux qui succombent à ce système trompeur n’ont aucun espoir.
  • 3) Dieu est du côté de ceux qui ne se sont pas soumis au système du mensonge, et refusent le vaccin. Si la personne se tourne vers Dieu, Dieu la protégera d’une trahison et d’autres choses, et la renforcera de la même manière dont Il l’a fait pour des millions de martyrs, dans le passé récent et lointain.
  • 4) Par leur exemple, les non-vaccinés encourageront les autres et, de plus, ils feront l’expérience selon laquelle, s’ils se tournent vers Dieu dans des situations insolubles, Dieu leur fournit la solution. Lorsqu’une personne réussit une épreuve très difficile dans la vie, même si elle se termine par la mort après son martyre, elle recevra une couronne de gloire éternelle au Ciel.

Vous demandez : que dois-je faire ? Dans tous les cas, prenez votre temps et envisagez les deux scénarios. Chaque chrétien doit envisager une possibilité de persécution et une couronne de martyr, comme nous le faisons également. En d’autres termes, aujourd’hui, nous n’avons que deux options : l’une consiste à devenir un martyr pour le Christ, l’autre consiste à devenir un martyr pour satan.

D’ailleurs, vous savez bien que toute personne doit mourir de mort naturelle, mais mourir en martyr pour le Christ constitue un honneur extraordinaire. Selon l’enseignement de l’Église, un martyr est à l’abri des tourments du purgatoire, et va directement dans la gloire de Dieu. Si une personne ne se décide pas en faveur d’un martyre digne pour le Christ, elle sera entraînée dans un martyre pour satan par le système, et elle recevra la souffrance comme récompense dans cette vie, ainsi qu’une souffrance éternelle après sa mort.

Quant au scandale causé aux croyants par le cardinal Duka, que le repentir ardent du saint pape Marcellin soit un exemple pour lui.

Nous vous recommandons de lire un nouveau livre intitulé « Martyrs et autres saints » (vkpatriarhat.org/cz/?p=47197 ; ce livre n’est disponible qu’en tchèque et en ukrainien). Il constituera certainement un grand encouragement pour vous, et vous apportera lumière et espoir.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr             + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires






Ne croyez pas que la troisième dose ou les tests vous protégeront d’Omicron

Par Gérard Delépine

Depuis l’apparition d’Omicron le gouvernement et les médias essaient de raviver la peur et renforcent le chantage aux libertés confisquées (le passe) pour vendre une dose de plus de pseudo vaccin.

Mais ils oublient de dire que la troisième dose ne protège pas d’Omicron et qu’en fait, c’est une excellente nouvelle.

Les « vaccinés » à deux doses n’ont pas été protégés d’Omicron

Nos voisins anglais ont cru que les injections les protégeraient de la contamination Covid. Mais un taux d’injectés de 77 % ne leur a pas évité une poussée considérable de cas quotidien (très majoritairement Omicron) atteignant le quadruple des records d’avant les pseudo vaccins.

La troisième dose n’a pas ralenti l’épidémie.

Devant cette poussée incontrôlée d’infection, l’agence sanitaire a recommandé une troisième dose en espérant limiter ainsi la vague considérable de cas d’omicron qu’ils subissent depuis près de deux mois. Actuellement près de la moitié de la population a reçu une troisième dose ce qui n’a aucunement ralenti la poussée actuelle de cas qui continue de croitre, dépassant chaque jour le record de contaminations de la veille.

Être injecté ne diminue pas le risque d’hospitalisation

Le gouvernement anglais, plus transparents que le nôtre, ne cache pas les données brutes et l’agence de santé britannique, United Kingdom Health Security Agency (UKHS), publie régulièrement les résultats de ses préconisations sanitaires.

L’incapacité des pseudo vaccins à éviter les formes graves nécessitant l’hospitalisation avait été remarquée en Écosse où un taux de 90 % de la population injectée, loin de faire baisser le nombre d’hospitalisés, était suivi d’une forte augmentation de celui-ci.

Le dernier rapport de l’UKHS donne le pourcentage des malades hospitalisés en fonction de leur statut vaccinal détaillé (non vacciné : aucune dose, vacciné une dose, vacciné deux doses, vaccinés trois doses).

Ce rapport du 23 décembre(([1] United Kingdom Health Security Agency SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England Technical briefing 33, 23 December 2021)) montre que les injections ne diminuent pas le risque d’être hospitalisé : les non-vaccinés (qui représentent 23 % de la population) ne sont pas plus souvent hospitalisés pour Covid Omicron que les vaccinés.

Au total, les résultats avérés des pseudo vaccins montrent qu’ils sont incapables de prévenir ni de ralentir l’épidémie d’Omicron et ne sont pas même utiles pour diminuer le nombre de formes graves nécessitant une hospitalisation.

Le rapport 33 de l’UKHS portant sur 147 597 cas liés au variant Delta et 68 489 associés à l’Omicron entre le 27 novembre et le 17 décembre montre de plus que l’efficacité de la troisième injection baisse très rapidement : au bout de 10 semaines, elle ne dépasse pas 35 % pour Pfizer et 45 % pour Moderna. D’ailleurs la haute Autorité de Santé, après avoir préconisé un rappel après 4 mois propose maintenant de les pratiquer tous les trois mois ! Pour ne pas perdre son pass, faudra-t-il bientôt subir une injection mensuelle ?

Il n’y a donc aucune logique médicale à proposer une troisième dose. Injectés ou pas, Omicron vous contactera, mais c’est une bonne nouvelle !

Omicron est un véritable cadeau de Noël !

L’évolution naturelle des mutations virales favorise les souches plus contagieuses et moins mortifères. Omicron est caractéristique de cette évolution : extrêmement contagieux, il est aussi remarquablement bénin et lorsqu’il est symptomatique se traduit le plus souvent par un simple rhume.

Le Professeur Salim Abdool Karim, ancien responsable du Covid en Afrique du Sud a décrit ainsi l’arrivée d’Omicron :

« Nous voyons plus de cas asymptomatiques. Nous voyons maintenant moins de malades. Moins de malades nécessitent une hospitalisation et parmi ceux qui sont hospitalisés très peu ont besoin d’oxygénothérapie, encore moins ont besoin de soins de réanimation… »

Arnaud Fontanet, épidémiologiste à l’Institut Pasteur, a rappelé que l’étude sud-africaine comptabilisait une « baisse de 80 % des hospitalisations pour les personnes infectées avec Omicron par rapport au Delta ».

Surtout l’arrivée d’Omicronn’a pas entraîné d’augmentation de la mortalité quotidienne moyenne (35/J) qui reste quatre fois plus faible que la nôtre (160/J). Et contrairement à ce que prétendent certains médias ce n’est pas la pseudo vaccination qui explique cette évolution favorable, car le pourcentage d’injectés deux doses ne dépassent pas les 25 % !

On peut donc espérer que la prépondérance prochaine d’Omicron en France va être suivie de la même évolution immédiatement favorable et qu’à plus long terme l’immunité post guérison conférée par Omicron va nous débarrasser de la menace Covid, comme Jenner l’a fait en inoculant la vaccine pour prévenir la variole donnant son nom à la vaccination.

Il restera à sortir les Covidistes de leur enfermement dans la peur et la croyance aux catastrophes sanitaires, alors que les mesures mondialistes préparent tranquillement le chômage de masse et la transformation de nos sociétés heureuses en organisations autoritaires à la chinoise. Réveillez-vous.

Alors, comment comprendre le délire omicron et la capacité du gouvernement de faire peur avec un rhume ?

La regrettée Claire Séverac a écrit « la guerre secrète contre les peuples »(([2] “Quelles meilleures armes que celles qui se dissimulent sous des phénomènes naturels ! Beaucoup d’entre nous ont entendu parler des diverses expériences de la CIA, toutes plus horrifiantes les unes que les autres. Mais combien savent qu’elles touchent le commun des mortels, que nous sommes tous victimes des armes bactériologiques, des implants, des nanoparticules, des mutations génétiques, des manipulations mentales, exposés aux perspectives terrifiantes ouvertes par le transhumanisme et l’eugénisme qui sont le but de nos élites ? Si nous ne nous y opposons pas, demain, ces nouvelles technologies au service des puissants feront de nous au mieux des pions, au pire des esclaves. Plus ou moins tenus secrets, ces projets revêtent tous un alibi humanitaire : la faim dans le monde, le réchauffement climatique, la santé, l’écologie, la sécurité… En réalité, ils obéissent tous au plan d’une oligarchie qui n’a plus besoin de toutes “ces bouches inutiles”, comme ses membres nous appellent en privé, et qui se donne ouvertement comme objectif de réduire l’humanité à 500 millions d’individus. Le plus grand génocide de l’histoire est en marche dans la désinformation la plus totale » commentaire d’Amazon)) en 2015 exposant déjà ce que nous vivons aujourd’hui. Difficile de la croire à l’époque tant il est vrai qu’il est plus facile de croire un mensonge bien enrobé. La Fontaine le disait déjà…

Joyeuse crise et bonne nouvelle peur
[Au lieu de Joyeux Noël et bonne année]

Pourquoi tant de Français ont-ils couru se faire tester avant Noël alors que nombre d’entre nous — dont le célèbre avocat Reiner Fuellmich — ne cessent de répéter que ce test ne démontre en rien le Covid, que le positif témoigne d’une grippe aussi bien que d’un coronavirus d’il y a 10 ans ou de rien du tout si l’amplification a été poussée et que chez une personne asymptomatique il n’indique jamais qu’elle est ou sera malade ni contagieuse.

D’ailleurs, la FDA ne reconnaît plus ce test à partir du 31 décembre(([3] CDC 07/21/2021: Lab Alert: Changes to CDC RT-PCR for SARS-CoV-2 Testing
https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html)) justement en raison de son incapacité à différencier Sars Cov 2 et grippe ou autre.

Que va faire l’UE ? Comme si de rien n’était, ne suivant les recommandations de l’OMS uniquement si ça l’arrange ?

Dr Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste réputé en santé publiqueprécise :

« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements, appuyés par des conseils scientifiques et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessives comme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels (…) sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels… »

UNE VÉRITABLE BOMBE : AUX ÉTATS-UNIS LE CDC NE RECONNAÎT PLUS LE TEST PCR COMME UNE MÉTHODE VALIDE POUR DÉTECTER LES « CAS CONFIRMÉS DE Covid-19 » — JEMINFORMETV.COM

Une preuve accablante : le CDC déclare que le test PCR est invalide. 

Il ne fait pas la différence entre le Covid-19 et la grippe saisonnière. 

Il ne détecte ni identifie le SARS-CoV-2 et ses variants.

Les 260 millions de soi-disant « cas confirmés de Covid-19 » collectés et compilés dans le monde depuis le début de la prétendue pandémie n’ont aucun sens.

Il leur a fallu près de deux ans pour reconnaître que le test PCR est défaillant et invalide.

Lisez attentivement, ce que cette directive du CDC admet, c’est que le test PCR ne peut pas différencier entre les « virus du SRAS-CoV-2 et de la grippe » . Nous le savions depuis le début. Cet avis du CDC émis en juillet 2021 doit être appliqué au cours de la prochaine semaine à l’échéance du 1er janvier 2022. Sera-t-il réalisé ? Visiblement, il n’y a pas de transition vers « un autre test Covid-19 autorisé ».

POURQUOI le CDC attend-il jusqu’au 31 décembre 2021 pour imposer la suspension du test PCR invalide et erroné ?

La grippe saisonnière qui débute en octobre a contribué à augmenter le nombre de cas dits de « cas confirmés de Covid-19 ».

Et dans les développements récents, ces cas positifs par PCR sont systématiquement classés dans la catégorie « Cas confirmés du variant Covid-19 Omicron ». 

C’est aussi une période de l’année où les gens attrapent un rhume qui se traduit souvent par un PCR positif.

DES MILLIONS DE PERSONNES DANS LE MONDE FONT LA QUEUE POUR ÊTRE TESTÉES AINSI QUE VACCINÉES croyant ainsi « SE PROTÉGER » CONTRE LE SARS-COV-2 (QUI NE PEUT EN AUCUN CAS ÊTRE IDENTIFIÉ PAR LE TEST PCR).

Une folie collective qui ruine la sécurité sociale en prime

Plus de 6,2 millions de tests de dépistage du Covid-19 ont été réalisés la semaine du 13 au 19 décembre, dépassant le nombre record de la semaine précédente, selon le ministère de la Santé, forte hausse pour les 16-25 ans et les 26-40 ans, les moins de 16 ans 10 % moins nombreux à se faire dépister.

STOPPEZ LES TESTS !

et la mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) dénoncée sans écho depuis septembre 2020, à de nombreuses reprises et en novembre 21, sans perturber qui que ce soit, pas même les citoyens…

La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur — Profession Gendarme (profession-gendarme.com)

Informez ! Que les gens cessent de courir pour un test faux et inutile qui n’entretient que l’autoritarisme des gouvernements mondialistes.

DÉLIRE COLLECTIF ENTRETENU PAR LE GOUVERNEMENT ET LES COVIDISTES OBÉISSANTS EN UE

Pourtant même le ministre avoue :

« Omicron n’entraîne pas de vagues d’hospitalisations ».

Depuis la confirmation de la grande gentillesse de ce variant par les Anglais, et la suppression de toutes les restrictions chez eux (passons la Manche pour aller danser ?), les autorités françaises ne peuvent plus faire croire que le virus est à la fois supercontagieux et supermortel.

Et les Guadeloupéens sauvent l’honneur de la France

Des manifestants du collectif antipass sanitaire ont fait irruption dans les locaux du conseil régional de Guadeloupe, à Basse-Terre.

« Le collectif a cassé le portail d’entrée et la porte du hall d’accueil, et ils sont entrés dans l’hémicycle alors que s’achevait une plénière », témoigne une responsable de la communication à la région. « Pour l’heure, les manifestants alternent entre des slogans scandés avec force et des chants revendicatifs »,

rapporte Guadeloupe La 1re.

Mais la folie a envahi l’Europe, ou ses dirigeants qui sont peut-être et probablement plus pervers que fous font régner la terreur et les contraintes contre toute évidence.

En Espagne 250 cas, c’est-à-dire juste avec le nez qui coule, suffisent à confiner 100 000 personnes la nuit… Si les Catalans ne comprennent pas la disproportion entre la réalité du risque et la mesure.

Néanmoins, les Belges wallons ont sauté le pas : ils sont allés au cinéma malgré l’interdiction et avec l’accord des Policiers qui ont laissé faire. Bravo à tous !

https://lesoir.be/414625/article/2021-12-26/pendant-la-manif-contre-la-fermeture-le-spectacle-continue-dans-les-salles





Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?

[Source : OnNeNousDitPasTout]



[Voir aussi, sur le graphène :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

sur la 5G
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?]
5G : installation à marche forcée malgré les risques
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)
Un cimetière d’abeilles sous les antennes 5G à Toulouse
Localisation des antennes 5G en France

sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
La Criminelle Arnaque du COVID-19 : 98 % de tous les cas de myocardite chez les enfants sont dus aux injections d’ARNm Covid-19
Les triples vaccinés se rendent compte qu’ils se sont fait berner par le gouvernement
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins
La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire

sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

sur la fraude des tests PCR :
Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 »
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

sur le contrôle :
Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Science-fiction ou réalité ? Contrôler le cerveau via des vaccins ARNm ?

sur le dépeuplement possible :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?]




Conférence – les mensonges du COVID

[Source : Agoratvnews]



[Voir aussi :
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective
Crise Covid : comment sortir de l’hypnose négative ? – Du problème aux solutions
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Alexandre Boisson, ex-policier du GSPR : Covid-19, manipulation des foules & résilience alimentaire
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mécanismes des régimes totalitaires
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Comment on manipule pour avoir le consentement
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]




Philippe de Villiers dénonce l’apartheid vaccinal, alors que son ami Zemmour est favorable à la vaccination

[Source : RL]

« Mon message est sans ambiguïté : j’invite toutes ces personnes âgées et fragiles qui ne le seraient pas déjà à se faire vacciner, y compris avec une troisième dose, afin qu’elles réduisent les chances de faire des formes graves de la maladie et d’engorger notre système hospitalier. »

Éric Zemmour

Dans une tribune publiée  dans L’Opinion Éric Zemmour a clarifié sa position quant à la politique « sanitaire » de Macron.  

Vacciné lui même, il croit aux vertus de ces technologies pour bétail,  qui ne marchent même pas après la troisième dose…  et qui ont de redoutables effets secondaires, sans parler de qui pourra advenir dans le futur… Il ne dénonce pas la mafia Big Pharma, ses dérives gravissimes et ses sbires… pas davantage la société atrocement liberticide ainsi instaurée et les outils numériques en place et à venir, tel l’ignoble portefeuille digital et la société totalitaire que nous prépare l’UE…  Déjà lors de son voyage en Alsace, il avait évoqué les « nouveaux traitements », sans parler de ceux existant…

Il a le mérite d’être enfin très clair et de permettre à ceux qui sont révoltés par ces mesures ignobles de ne pas voter pour lui malgré ses nombreuses qualités.

Plus courageux ou plus lucide, invité d’Europe1, Philippe de Villiers a évoqué la vaccination, comparant le passe sanitaire à l’apartheid :

« Je dis : liberté vaccinale. Je pense qu’il y a des publics très anciens ou avec des comorbidités qui ont intérêt à utiliser le vaccin. Mais la liberté vaccinale doit être première. Je suis hostile à la vaccination des enfants et je suis hostile au pass sanitaire parce que le pass sanitaire, c’est de l’apartheid. Il y a deux catégories de citoyens. » « Quand vous désignez dans une société un bouc-émissaire, ça s’appelle comment? On explique que c’est à cause des non-vaccinés qu’on se trouve dans cette situation. C’est scandaleux, c’est un mensonge ».

« Quand vous choisissez de gouverner par la peur, dans l’histoire ça a toujours été comme ça, quand vous faites peur à un peuple, il obéit. Il ne pense plus, il ne pense plus qu’à sa santé. Mettre cette peur au-dessus de tout permet de le tenir au calme. C’est une aubaine pour Macron, en pleine campagne présidentielle, ça permet de ne plus faire de meetings, ça ne permet plus aux candidats d’aller sur le terrain. Ça change la donne, mais ça va se retourner contre lui ».

Philippe de Villiers nous avait avisé de tout.

Le passe dit sanitaire n’est qu’une étape d’une feuille de route écrite depuis des années. Il s’agit d’un plan mortifère d’asservissement mondial des peuples au  profit d’une élite mondialisée, dont les politiques français et les GAFAM se réjouissent.

Décideurs et scientifiques savaient depuis longtemps qu’un jour ou l’autre, sur une planète sans frontières de cinq milliards d’individus, adviendrait une pandémie.

Le 12 septembre 2019, à l’initiative de la Commission de Bruxelles et des chefs d’État européens, lors d’un sommet avec l’OMS se décida un passeport vaccinal obligatoire.

Le 19 décembre, Le Monde publiait un article expliquant que le Kenya et le Malawi étaient des zones tests pour un carnet de vaccination injecté sous la peau, encapsulé dans des nanoparticules.

Le 18 octobre 2019, à New York, Big Data, Big Finance, Big Pharma ont procédé à un exercice de simulation d’une pandémie de coronavirus dans des ports brésiliens, engendrant 45 millions de décès.

Le  2 juin 2020, le président du Forum de Davos, celui qui avait adoubé Macron en 2016, Klauss  Schwab, publiait Covid-19 La grande réinitialisation du monde, ouvrage dans lequel il considérait que cette épidémie était une chance, représentant une fenêtre d’opportunités…

À l’été 2020, Elon Musk, le milliardaire américain à l’origine de Tesla et de Space X, a vanté les avancées d’un projet sur les implants cérébraux, piloté par sa Start up Neuralink, innovation expérimentée sur des cochons.

Le 19 décembre suivant, Ouest France expliquait que le Chili allait modifier sa Constitution afin d’empêcher que les cerveaux de ses concitoyens puissent être hackés ou manipulés. Le gouvernement s’opposait vivement aux implants cérébraux,  permettant aux géants du numérique et aux politiques de lire dans les ondes cérébrales, pour mieux installer leur surveillance marchande.

Toutes ces informations sont sourcées dans l’ouvrage de Philippe de Villiers, Le jour d’après.

Depuis le printemps dernier et la sortie de ce livre, il a multiplié les alertes , appelant à la « résistance », persuadé que la France a basculé « dans un régime totalitaire »,  et contre les « trois grands remplacements » qui mettraient la France « en danger de mort » :

« Un remplacement de la population par une autre population, (…) un remplacement de notre civilisation par une autre civilisation (…) et un grand remplacement de nos repères de vie, d’une société millénaire par une autre société hygiéniste, eugéniste, transhumaniste ».

L’on ne peut que déplorer que le valeureux Philippe de Villiers ne soit pas candidat tant nous aurions besoin d’un homme tel que lui pour sauver et protéger les Français.

Mitrophane Crapoussin




Nouvelle fausse pandémie en vue ?

Transmis par Philippe Loubière

[Note de Joseph : l’intérêt d’une telle vidéo n’est pas de faire peur, mais d’une part de comparer avec la crise Covid et d’autre part de se préparer aux éventualités présentées.

Si une fausse pandémie virale est préparée à l’aide d’une nouvelle arme biologique vaccinale, on peut au moins en diminuer les effets en renforçant son système immunitaire. Celui-ci est renforcé par notamment :
– l’absence de peur (garder confiance ou, mieux, la foi) ;
– une nourriture saine et équilibrée (donc au minimum non industrielle, bio et si possible issue de producteurs locaux, mais non pas de multinationales de l’agroalimentaire) ;
– des émotions positives ;
– des pensées saines ;
– l’absence de sources électromagnétiques artificielles (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 5G…) dans l’environnement quotidien (au besoin en se procurant des moyens de les contrer) ;
– etc.
]



Extraits :

Marburg le nouveau virus : arme biologique absolue

Soyons attentifs aux paroles de ces chercheurs : les Drs Kieran Morrisey et Roberto Petrella qui risquent leur vie à nous informer.

Bonjour. Je m’appelle Kieran Morrisey. Je suis un ingénieur de 61 ans et j’ai travaillé ces 22 dernières années dans un grand hôpital universitaire de Dublin où j’ai acquis une connaissance approfondie du fonctionnement du système de santé irlandais.

Attention à ce que je vais vous dire : il y aura bientôt une fausse pandémie appelée Marburg. « Ils l’ont déjà préparée… ».

Au cours de mes récentes études sur l’immunologie et la virologie pour essayer de mieux comprendre ce qui se passe avec les virus et les vaccins qu’ils promeuvent, j’ai découvert un article en 2017 écrit par deux scientifiques italiens — le couple Gatti et Montanari — qui testent des vaccins depuis 2004. Ils en ont examiné 44 au total et ont découvert que ces vaccins sont contaminés avec des nanoparticules inorganiques, y compris toutes sortes de substances telles que les métaux lourds, le plomb, etc.

Cela m’amène à penser que les vaccins provoquent des réactions immunitaires depuis de nombreuses années qui peuvent se présenter comme des grippes et d’autres maladies. Plus les symptômes apparaissent, plus on administre de vaccins pour tenter de les prévenir. Il me semble qu’il y a une sorte de boucle sans fin entre les vaccins et les maladies. Les vaccins provoquent des maladies qui exigent plus de vaccins. Nous devons aller au fond des choses. Cependant, au cours de l’enquête, j’ai découvert quelque chose d’encore plus inquiétant.

En avril, Bill Gates — GAVI a publié un article sur son site web dans lequel il affirmait que Marburg était la prochaine grande pandémie dont nous devions nous inquiéter. Marburg est une fièvre hémorragique relativement rare. Nous n’avons eu que 16 cas depuis 2005. Qu’est-ce que Bill Gates et GAVI savent que nous ne savons pas ? Pourquoi est-ce une menace ? Pourquoi l’OMS et les médias conventionnels publient-ils des articles sur cette maladie rare ?

J’ai fait des recherches approfondies et j’ai découvert qu’ils avaient déjà développé un test PCR pour cela. C’est très inquiétant, car maintenant ils peuvent prouver que n’importe qui pourrait avoir le Marburg avec ce test, comme dans le cas du Covid. Comme avec le test PCR actuel, il serait difficile de le réfuter. J’ai aussi trouvé qu’ils ont publié des articles qui affirment que la maladie de Marburg se transmet par les chauves-souris de façon asymptomatique, ce qui a été réfuté pendant la pandémie de Covid.

Si vous n’avez pas de symptômes, vous n’avez pas le virus, donc vous ne pouvez pas le transmettre asymptomatiquement.

Il n’y a pas de propagation asymptomatique d’un virus. Cela a déjà été accepté.

Cependant, des articles qui disent le contraire ont été publiés.

La nouveauté la plus inquiétante que j’ai découverte, c’est qu’on est en train de développer rapidement un nouveau vaccin pour Marburg appelé Rivax, qui contient de la ricine, une substance toxique utilisée dans les attentats terroristes du métro de Tokyo pour tuer un grand nombre de personnes.

Pourquoi auraient-ils mis une toxine si dangereuse dans un vaccin ? C’est très étrange et inquiétant. Mais comment pourraient-ils initier cette pandémie de Marburg sans la propager ? Très simple. Ils l’ont déjà initiée. Les lésions causées par les vaccins Covid comprennent des hémorragies et des caillots, qui sont très semblables à celles de la fièvre hémorragique. En administrant les vaccins de rappel aux prisonniers, dans les maisons de retraite et les hôpitaux, et aux enfants en contact étroit dans les écoles, ils provoquent davantage d’hémorragies et de caillots qu’ils appellent fièvre hémorragique. Ils feront le test avec leur nouveau test PCR et diront que c’est le Marburg.

Cela expliquerait le nombre excessif de morts que nous voyons dans les hôpitaux, ce sera une couverture. Ils diront que les décès ne sont pas dus à des lésions causées par le vaccin Covid, mais au Marburg. Il y aura une soudaine et très grande panique. Il y aura une hystérie de masse jamais vue auparavant. Les gens feront tout pour obtenir quelque chose qui les protège. Le vaccin Rivax sera lancé rapidement et administré à titre expérimental, comme ça s’est passé avec le vaccin Covid. Cependant, une grande différence avec le vaccin de ricine, c’est que l’infrastructure est en marche et les ressources sont déjà en place pour la développer et la gérer dans un laps de temps très court. Ils pourraient atteindre une couverture de 100 % de la population en un temps très court. La ricine contenue dans le vaccin va tuer des milliards de personnes très rapidement. Il n’y a aucun moyen de l’arrêter une fois que c’est commencé. Arrêter de se faire vacciner par le Covid est le seul moyen d’arrêter cette épidémie de Marburg annoncée par Bill Gates, GAVI, l’OMS et qui que ce soit d’autre derrière tout ça.

Nous devons convaincre nos amis, notre famille et tout le monde que c’est une erreur., que ce vaccin les rendra encore plus malades.

Vous devez compter sur votre immunité naturelle et la renforcer avec de la vitamine C et de la vitamine D, du zinc et tous les autres minéraux nécessaires. Si vous êtes atteint de Covid, l’ivermectine et l’hydroxychloroquine sont très efficaces. Nous n’avons pas besoin d’un vaccin qui provoque des symptômes de fièvre hémorragique. Nous devons arrêter ça immédiatement. Si nous ne le faisons pas, nous serons confrontés à une prétendue pandémie de Marburg qui sera le prétexte pour lancer le vaccin à base de ricine qui tuera des milliards de personnes. Nous sommes en mission urgente pour essayer d’arrêter ça avant que ça ne commence. Veuillez faire connaître cette vidéo à tout le monde. J’ai publié toutes les recherches dont j’ai parlé ici sur lewrockwell.com. S’il vous plaît, lisez-le. S’il vous plaît, faites vos propres recherches. Vous verrez que ce que je dis est vrai. Vous vous rendrez également compte que je ne gagne rien à dire tout cela, mais que je perds plutôt.

Je suis sur que mon travail à l’hôpital est en danger, et Dieu sait quoi d’autre. Mais je crois fermement que nous devons faire quelque chose avant qu’ils ne lancent cette menace de Marburg, prétexte pour injecter des substances toxiques de ricine.

Faire connaître cette vidéo (ou ce document).

Tedros le directeur de l’OMS lui-même annonce ce virus et les mesures terribles qui vont être prises…

« Le virus de Marburg est très différent de celui du Covid-19, mais la plupart des éléments de la solution sont les mêmes : isoler et traiter les personnes infectées, suivre et mettre en quarantaine les contacts et impliquer les communautés locales dans la solution. Il n’y a pas encore de vaccin autorisé contre le Marburg, mais plusieurs sont en cours de développement. L’OMS collabore avec ses partenaires pour suivre l’évolution de cette épidémie. »

Écoutons aussi ce que nous dit également le Dr Roberto Petrella médecin gynécologue italien.

Il s’agit d’une fièvre hémorragique similaire à celle du virus Ebola. Elle présentera les effets indésirables des vaccins Covid actuels : thrombose, microembolie, embolie diffuse qui (attention) se fera passer pour des symptômes de Marburg, c’est-à-dire d’un nouveau virus. Et vous, les Italiens (mais aussi les Français NDLR), vous allez y croire ! »

Quant à nos « amis » Bill Gates et Belinda, quelques milliards de cadavres, cela les fait sourire !


La solution ?

Horizontale : informer et arrêter ces vaxxxxxins mortels

Verticale : prier, car les messages du Ciel nous disent en substance : ceux qui n’ont rien à craindre sont ceux qui ont l’âme en paix. Le mal, c’est la peur.




Un Plan Pour Le Monde

[Source : Planète Homéopathie (planete-homeopathie.org)]

Par le Dr. Édouard Broussalian

À tous ceux qui sont tombés pour la manifestation de la Vérité, préférant suivre leur conscience plutôt que leur intérêt. Magna est veritas et praevalebit !

À toi, portier du consulat, qui fait attendre debout, dehors, au soleil, durant une heure une femme enceinte de 9 mois au prétexte qu’elle refuse de masquer son enfant de 5 ans pour entrer. Tu ne vois pas de rapport avec le nazisme et tu t’offusques qu’on ose te le dire.

À toi ma boulangère, qui du haut de ton Bac me donne des leçons sur la manière de porter un masque.

À toi mégère anonyme qui te saisis de ton téléphone pour dénoncer le vilain client qui foule le même sol que toi dans un magasin, mais qui refuse de porter un masque. Tu n’hésites pas à appeler les flics, demain ce sera pour « emmener » ces asociaux dans des camps de « regroupement ». Leur destination finale t’importera peu, tu auras la satisfaction du devoir accompli comme tous ceux qui avant toi ont réalisé les mêmes gestes.

À tous les médiocres qui de tout temps ont formé le lit du despotisme grâce à leur servilité aveugle, et qui réalisent à leur insu les paroles du Messie :

« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive »

Mt 10 :34

[Voir : L’épée, le bon grain et l’ivraie]

Un plan pour le monde

Par le Dr. Édouard Broussalian, 18 Novembre 2021

« Sous la roue qui sans fin poursuit sa ronde deux sortes de gens vivent sans tourments : ceux qui savent les secrets du monde, et ceux qui les ignorent totalement ».

Omar Kayyam.

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans. … Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux lumières de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »

David Rockefeller.[1]

« Lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme »

Dr. Nicole Delépine.

Rien ne me prédisposait à jouer les Cassandre quand voici déjà plus d’un an je prédisais la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui plongés. Peut-être un lien immatériel peut-il réunir mes racines du Bosphore avec la fille de Priam, roi de Troie ? Défenseur de l’homéopathie depuis 40 ans face à la rhétorique pourrie du système et de ses séides, porteur épigénétique des effets du premier génocide[2] du XXème siècle et de 800 ans de dhimmitude[3], on se trouve mieux outillé intellectuellement pour envisager la notion terrifiante d’un gouvernement apparemment élu par le Peuple mais qui travaille désormais contre le Peuple.[4] Quand j’ai déclaré publiquement en Septembre 2020[5] que cette pandémie factice n’était qu’un hold-up mondial destiné à mettre en place une dictature, et que seule l’insurrection populaire sera notre salut, je n’ai pas été mieux cru que Cassandre lorsqu’elle annonçait que le cheval de Troie était une ruse qui allait aboutir à la ruine de la cité. Peu de gens ont compris dès le début :

  1. Que cette « pandémie » était grandement exagérée[6] puisqu’on s’est rapidement trouvés au point où il fallait se faire tester pour voir si l’on était malade —quant à lui, le rapport[7] de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation révèle que le Covid n’a représenté que 2% des hospitalisation en 2020 :
    1. Seul le tripotage dès 2009 de la notion même de pandémie a permis d’en arriver où nous sommes. [8]
    2. Pour les cliniciens sur le terrain nous avons tous identifié une forme de coryza pouvant évoluer relativement rapidement vers une toux avec une dyspnée importante puis une détresse respiratoire.
    3. Confiants en l’expérience de succès magistraux ininterrompus enregistrés en deux siècles, nous savions que l’homéopathie se montrerait comme de coutume extrêmement efficace pour traiter n’importe quelle épidémie.[9] Ce n’est sans doute pas pour rien si la guerre totale a été déclarée contre l’homéopathie peu avant la survenue de toute cette affaire sous forme d’une attaque orchestrée mondialement peu avant la survenue des premiers cas COVID-19. Après l’attaque délirante des 124 parfaits inconnus[10] relayés dans tous les médias, sans que jamais on ne nous ait accordé le moindre droit de réponse, ce fut la fameuse étude australienne du NHMRC qui fit le tour du monde pour servir d’alibi gouvernemental en France et ailleurs pour justifier des mesures contre l’homéopathie, alors qu’une enquête sénatoriale[11] australienne a révélé la falsification[12] de l’étude. Aucun démenti n’a jamais été publié dans la presse mais la coordination de l’attaque témoignait bien de l’organisation pyramidale des médias compliants. La démarche est en tout point semblable à ce qui s’est passé avec l’étude bidonnée[13] publiée dans le Lancet et qui démolissait l’hydroxychloroquine.[14] L’étude a servi de prétexte à nos gouvernants pour retirer un produit devenu dangereux alors qu’il était prescrit à plus de 1 milliards de personnes durant 70 ans. Et comme de coutume, la rétractation de l’étude n’a jamais engendré celle des mesures prises en l’utilisant comme prétexte. Encore plus lamentable : l’institut Pasteur rétracte l’étude bidonnée qui a servi à justifier le passe sanitaire… mais le passe demeure.[15]
    4. Le totalitarisme s’empare de la science pour confirmer ce qui lui convient, l’idée est de créer une surréalité à laquelle les « croyants » vont adhérer — c’est le cas de la création de l’Islam par les Califes[16] et de la narration autour d’un prophète imaginaire, ou le bolchévisme avec la promotion de ses demi-dieux et du narratif autour du projet grandiose. Finalement tout cela correspond exactement à ce qu’a fait Auguste quand il a pris le pouvoir en s’assurant du contrôle religieux et des augures —d’où son nom. Au sujet des prédictions, quelqu’un a-t-il des nouvelles des 500.000 morts de 2020 et des 400.000 du premier trimestre 2021 que nous avait annoncé l’infâme Macron ? Pourtant tout ce que nous subissons, c’est au nom de ces morts imaginaires, de cette fausse pandémie et de ce pseudo-Covid-19.
  2. Que sans tests PCR il n’y avait point de pandémie[17] et que le test était parfaitement vérolé de manière à détecter un maximum de « cas ». Mais c’était tout ce qu’il fallait pour aller dans le sens de la nouvelle définition de « pandémie », juste des « cas », pas forcément des vrais malades et encore moins de mortalité. Un document[18] qui vient d’être publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume. Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.[19]
    1. De manière parfaitement incroyable, l’article de Corman-Drosten[20] a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne.
    2. Plus incroyable encore, le protocole de test Drosten, alors qu’il avait déjà envoyé son texte à l’OMS à Genève le 17 janvier 2020, a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan, avant même que l’article ne soit publié.
    3. Que dire du scandale des cycles d’amplification ? L’OMS et Drosten ont recommandé un Ct de 45 cycles. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les « positifs » PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles, il ne resterait plus que 3% de vrais positifs ! Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 est scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30).
    4. Le 27 novembre 2020, un groupe[21] très respecté de plus de 20 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à Eurosurveillance pour retirer l’article du 23 janvier 2020 du « Dr » Christian Drosten, l’inventeur du dit « test » PCR. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable « examen par les pairs ». Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique « fatale » et de failles dans la promotion de leur test.
    5. Il est même possible que ce test fourré au fond du nez serve rapidement à ficher toute la population avec l’ADN des frottis. Une firme britannique entend gagner ainsi beaucoup d’argent.[22]
  3. Que seule la complicité servile des mé(r)dias —hormis en France l’exception notable de France Soir[23] et quelques rares autres— soutenue par une censure féroce dans tous les réseaux sociaux[24] a permis d’installer la doxa officielle[25] dans les cerveaux d’une population hypnotisée[26], abasourdie. Toute forme de pensée critique, quelle qu’elle soit, est immédiatement suspectée d’être complotiste,[27] la plupart des professionnels compétents sont muselés par la peur du dénigrement ![28] Le grand test que fut la grippe H1N1 a appris aux mondialistes que le contrôle absolu des médias conditionnait la réussite du projet. C’est aujourd’hui chose faite. Devant des médias complices de la conspiration, débitant ad nauseam la doxa du système, la censure systématique —notamment sur les réseaux sociaux— et la ridiculisation de toute voix discordante à l’aide d’étiquettes telles que « complotisme » ou « anti-vax ». La censure organisée sur tous les réseaux sociaux et dans la pressetituée[29],[30] nous a prouvé très tôt l’existence d’un projet, d’une volonté, d’une coordination du crime, avec les fameux « fact-checkers » —simples informaticiens ou joueurs de jeux vidéo autoproclamés défenseurs de la « science »[31]— formant les bataillons de la répression afin de maintenir à tout prix la vision et les ordres de l’OMS. Voyons ce narratif :
    1. Une épidémie terrifiante (par exemple les images d’horreur, à la sauce Timisoara[32] des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui sont en fait celles de chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale)
      1. L’épidémie de COVID-19 n’est pas un drame sanitaire mais un crime de masse.
      2. Pour les moins de 60 ans, l’année 2020 est la moins mortelle de toute l’histoire de France.[33]
    2. Pas de traitement (précoce) efficace existant, interdiction faite aux médecins de prescrire, prescription de médicaments qui tuent (Valium, Rivotril) :
      1. « Démontrer que le virus n’a pas de thérapie a été une lutte de tous les instants au risque d’étaler au grand jour les incompétences crasses des uns et des autres. » Ecrit le Dr. Michel de Lorgeril, qui ajoute « et tout scientifique qui osera dire le contraire sera lynché et traité de complotiste. »
      2. Les médecins généralistes qui doivent naturellement encaisser frontalement le choc de toute épidémie se sont vus dessaisis des cas et interdire de prescrire l’hydroxychloroquine / azithro qui fonctionne remarquablement bien[34], de sorte que de nombreux cas ont pu évoluer vers des formes graves et encombrer les hôpitaux. Partout dans le monde, des gouvernements criminels comme celui de la France ont interdit la prescription qui aurait sauvé de nombreuses vies, interdiction basée sur un article bidonné à souhait paru dans une revue « prestigieuse », et qui illustre bien jusqu’où est tombée la médecine classique. De nombreux protocoles avec l’Ivermectine[35] ont aussi largement prouvé leur efficacité.
      3. Le réseau sentinelle a été pareillement limogé car ses vrais chiffres contredisaient la propagande étatique.[36]
      4. Selon toutes les apparences, les autorités sanitaires et politiques françaises ont tout fait pour que les malades de la COVID-19 meurent en masse en suivant cinq stratégies simultanées :
  • Refuser l’accès aux hôpitaux à la majorité des malades, c’est-à-dire les personnes âgées ;
  • Refuser l’accès aux services de réanimation aux personnes âgées hospitalisées ;
  • Conseiller des traitements inutiles ;
  • Interdire les traitements efficaces ;
  • Tuer au lieu de soigner.

L’intention criminelle préméditée est prouvée par les documents officiels autorisant l’administration de poisons mortels aux patients tout en interdisant la prescription des thérapies les plus prometteuses. En France, les plus de 70 ans ont été refoulés des services de réanimation alors que plus de la moitié des lits étaient vides.[37] « Le confinement des mois de novembre-décembre n’a pas modifié la consommation des médicaments conseillés dans les cas de COVID-19. Si les confinements ne modifient pas les prescriptions hospitalières dans le cas général, on en vient à penser qu’il y a eu un défaut de prescriptions précisément envers les patients souffrant de la COVID-19 pendant la « première vague ». Considérant le nombre très important de cas répertoriés, une telle diminution est incongrue. Comment expliquer qu’en pleine épidémie on puisse atteindre un record historique de sous-prescriptions des médicaments indiqués pour soigner ladite épidémie ? »
Un décret du gouvernement en date du 28 mars 2020[38] a autorisé exceptionnellement l’usage du Rivotril dans les cas de COVID-19, sachant que seulement une à deux injections sont suffisantes pour tuer un malade. Il n’est donc pas étonnant de constater, à l’inverse des médicaments qui soignent, une sur-prescription massive des médicaments qui tuent. Les prescriptions de Valium injectable ont augmenté de 53 % à 63 % en avril-mai par rapport à la moyenne de 2017-2019. Quant au Rivotril injectable, sa consommation a explosé, multipliée par 3,9 en avril pendant le pic épidémique, et depuis reste 2,3 fois supérieure à la moyenne de 2017-2019.

  1. Les mesures de contrainte fondamentales tant qu’on n’a pas d’immunité collective vaccinale (la notion d’immunité naturelle étant désormais bannie de l’OMS[39],[40]
    1. Les mesures appliquées en guise de « prévention » chez les personnes âgées les ont sans doute fait mourir de chagrin, isolées dans une chambre.
    2. Lors des audiences du Congrès, le représentant James Jordan (R-OH) a demandé au Dr Fauci d’expliquer pourquoi la prévalence de la maladie dans le Michigan fermé est pire que dans le Wisconsin voisin qui est depuis longtemps entièrement ouvert. Fauci a prétendu qu’il n’avait pas entendu la question, qu’il n’avait pas vu le tableau et qu’il n’avait pas compris. Finalement, il est resté assis, silencieux, après avoir prononcé quelques banalités sur les différences de mise en application. Les « confineurs » sont maintenant confrontés à l’énorme problème du Texas. Cet état est totalement ouvert, sans aucune restriction. Les cas et les décès ont chuté de façon spectaculaire au cours de la même période. Fauci n’a pas de réponse. Ou alors, comparez la Californie fermée avec la Floride ouverte : taux de mortalité similaires. Nous disposons d’une gamme complète d’expériences aux États-Unis qui permettent de comparer l’ouverture et la fermeture et les résultats des maladies. Il n’y a pas de relation.
  2. Seule la vaccination nous sauverait, débloquerait la situation[41] et ferait cesser la maltraitance des Peuples.

« Et si vous croyez que l’engrenage s’arrêtera à un laissez-passer pour les plages, jetez un coup d’œil en arrière : quelle est la ligne rouge impensable qui n’a pas été finalement franchie par les gouvernements ces treize derniers mois ? Quel est le droit inaliénable de la personne qui n’a pas été violé ? Dès le moment où l’État s’arroge l’accès à votre corps, quel que soit le motif, il en devient propriétaire. Il en dispose. » Slobodan Despot.

    1. Pour un homéopathe habitué à critiquer la médecine officielle, il est évident dès le début que tout serait fait pour trafiquer la fameuse notion de bénéfices [pour les labos] / risques [pour les victimes] —surtout que les « études » n’incorporaient pratiquement pas de gens âgés alors que ce sont justement eux qu’on se proposait de protéger en priorité.
    2. La démarche habituelle consiste à maximiser la gravité de la maladie (par exemple, instructions données aux pompes funèbres[42] de déclarer en morts Covid toute personne ayant eu de la toux et de la fièvre et n’importe quel symptôme vague) tandis qu’on dissimule les effets secondaires.[43],[44],[45] Or ici c’est une explosion d’effets secondaires qu’on ne parvient plus à dissimuler. Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant.[46] Omerta, silence des médias ne suffisant plus c’est maintenant le caviardage des bases de données qui est entrepris à grande échelle.[47] La député Mathilde Panot signe un discours remarquable qui dénonce la situation,[48] cela détonne dans le marais collaborationniste ambiant. Pour ceux qui n’ont pas encore compris, la seule immunité est celle des laboratoires qui ont réussi à imposer des contrats aux clauses léonines[49] à tous les états, contrats signés pour ce qui concerne l’Europe par une seule personne, Stella Kyriakides qui a touché plusieurs millions en pots de vins.[50]
    3. L’injection —que l’on ne peut pas appeler vaccin, même si Merriam-Webster a eu le culot de modifier la définition du terme pour devenir corona-compliant je suppose— se confirme mois après mois être un produit hautement toxique. Le viol génétique conduit nos cellules (la plupart du temps celles de l’endothélium vasculaire) à produire de la protéine Spike S1. Or la Spike est elle-même responsable de la maladie qui est essentiellement endo-vasculaire, sa présence à la surface des cellules conduit à des processus de coagulation.[51],[52],[53],[54] Au microscope se produit en peu de temps une coagulation quand le sang entre en contact avec le produit, il est raisonnable de supposer que le graphène arrache des molécules de fer aux globules rouges, ce qui entraîne une activation de l’injection et explique peut-être les effets magnétiques observés. [55]
      En outre ces produits contiennent probablement des substances qui ne sont pas supposées être présentes, comme l’oxyde de graphène.[56] De nombreuses personnes ont constaté que la région injectée puis d’autres zones du corps deviennent magnétiques.[57] Certaines sources mentionnent même la présence de parasites ou d’œufs de parasites.[58] L’empoisonnement volontaire —et forcé— représente certainement l’un des objectifs de la crise actuelle et rendra difficile à nos gouvernants de plaider non-coupable quand ils passeront en cour martiale. Le principe éthique classique des « essais cliniques » consiste à stopper les recherches expérimentales thérapeutiques dès lors que l’essai atteint la vie d’autrui et sa santé. Certaines études ont arrêté l’essai thérapeutique autorisé par la FDA déjà après un seul décès comme c’est le cas pour un laboratoire pharmaceutique français[59], alors que d’autres experts estiment à un maximum 20 à 50 décès sont amplement nécessaires pour établir une « dangerosité » du produit utilisé et stopper l’expérience.Avec plus de 13 000 rapports aux CDC concernant des décès dus aux vaccins COVID-19, les vaccins COVID-19 ont maintenant le taux de mortalité le plus élevé de tous les vaccins de l’histoire. En effet, la moyenne des décès dus aux vaccins signalés chaque année aux CDC, avant le COVID-19, était d’un peu plus de 100 par an. En d’autres termes, les vaccins COVID-19 ont environ 100 fois plus de rapports de décès par an que la moyenne des rapports pour tous les autres vaccins combinés. Dans le passé, des vaccins individuels ont été retirés du marché pour seulement 12 à 50 décès signalés. Les décès liés au vaccin COVID-19 sont catastrophiques et, pire encore, les décès signalés ne reflètent qu’une petite fraction des décès réels liés au vaccin dans la communauté.[60]
    4. Il suffit pourtant d’examiner l’histoire récente des maladies transmissibles – avec de nouveaux agents infectieux (HIV-sida, Ebola, Zika, Chikungunya, Dengue, Borrélioses…) – pour ajouter plusieurs bémols à la douce mélodie voulant faire croire que la technologie des vaccins va apporter des solutions miraculeuses à la crise du COVID-19.
    5. L’histoire nous rappelle que :
    6. 1- Toutes les épidémies finissent par s’éteindre spontanément
    7. 2- Jamais un vaccin n’a permis d’éteindre une épidémie.
    8. 3- La vaccination durant une épidémie entraîne toujours une surenchère de mortalité par effet Buchwald.[61]
    9. Et quand on nous sert l’exemple de l’éradication de la variole ce n’est que la référence à un mythe. Le rapport final[62] admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits » Encore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » Nous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. »
    10. Nous subissons le totalitarisme des concepts mentaux : Il est décidé dans les sphères dirigeantes que les obstacles à la vaccination doivent être éliminés, car le vaccin est « notre porte de sortie de la crise ». Nous développerons dans le second chapitre comment la médecine industrielle porte en elle le despotisme, en ne traitant plus que des masses amorphes non individualisées. Cela a commencé avec la préparation de la vaccine sur les orphelins pour maintenir la souche, Pasteur a continué sur la même lancée, en fraudant massivement ses résultats —les héritiers du Dr. Roux, illustre collaborateur de Pasteur, ont publié la correspondance entre Brouardel et Pasteur, nous faisant ainsi découvrir comment on a masqué la mort d’un enfant inoculé par de l’extrait de moelle desséchée d’animal rabique en la faisant passer pour une crise d’urémie, permettant ainsi de sauver la science française.[63] En ce qui concerne l’éthique, en 1884, Louis Pasteur lui-même écrit à l’empereur du Brésil pour lui demander l’autorisation de contaminer des condamnés à mort avec le choléra afin d’essayer sur eux des traitements.[64]
    11. Au nom maintenant d’une théorie délirante comme la heird immunity l’immunité du troupeau —enfin de groupe— le massacre va maintenant porter aussi sur les enfants[65], surtout que nous sommes sur le chemin de l’élimination du consentement parental.[66] et les femmes enceintes —une méta-analyse a recensé 192 études et trouvé un taux de létalité chez les femmes enceintes atteintes de Covid-19 de 0,02%, décès toutes causes.[67]
    12. Et nous devrions croire sur parole des laboratoires véreux[68] qu’une injection génique expérimentale, produirait —sans le moindre recul connu— le résultat que jamais la vaccination n’a atteinte depuis que la pratique existe ?
    13. Pour ma part j’ai vraiment éclaté de rire quand on nous a annoncé une efficacité de 95% avec des études qui ne sont même pas en double aveugle. En cette fin de 2021, les preuves ne cessent de s’accumuler concernant la supercherie de ces « zétudes ».[69],[70],[71],[72] Dès le début il était facile aussi de penser que la mutation incessante du Coronavirus servirait d’excuse facile aux inoculateurs pour justifier leurs lamentables échecs. Quant à la blague que constitue les autorisations de mise sur le marché, l’ANSM, gendarme Français du médicament, se désintéresse totalement du fait qu’à ce jour (29/10/21) la dispensation des quatre vaccins anti-Covid puisse être réalisée de manière parfaitement illégale sur son sol : En effet, celle-ci se trouvait incapable de documenter que les Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles (AMMc) régissant l’écoulement de ces produits n’existent encore…[73]
    14. Un groupe de 57 scientifiques, médecins et experts politiques de premier plan a publié un rapport appelant à remettre en question la sécurité et l’efficacité des « vaccins » COVID-19 actuels, et réclame maintenant la fin immédiate de tous les programmes de vaccination. Parmi eux se trouve la généticienne Alexandra Henrion-Caude —qui mérite d’être élue femme de l’année.[74]
    15. Nous étudierons en détails dans le chapitre suivant « Et vous Peuples infortunés » les ravages de la vaccination forcée. 
    16. Le tout étant servi aux Peuples grâce à un appareil de propagande relayé par les innombrables collabos et autres idiots utiles[75],[76],[77] qui relègue au niveau de la maternelle les Goebbels et maîtres à penser de la manipulation des masses, mettant en jeu des mécanismes comme la réduction de dissonance cognitive ou le syndrome de Stockholm :
      1. Souvenons-nous comment Orson Wells[78] —l’ancêtre de nos manipulateurs actuels— avait réussi à faire croire à un débarquement des martiens seulement en se servant d’une chaîne de radio. Imaginez la puissance de feu de tous les médias confondus…

« L’affirmation pure et simple, dégagée de tout raisonnement et de toute preuve, est un des plus sûrs moyens de faire pénétrer une idée dans l’esprit des foules. Plus l’affirmation est concise, plus elle est dépourvue de toute apparence de preuves et de démonstration, plus elle a d’autorité. » Gustave Le Bon.

    1. La première des erreurs les plus communes[79] sur la façon dont fonctionne la propagande officielle consiste à penser que son but est de tromper le public en lui faisant croire des choses fausses (le masque nous protège, le vaccin nous protège, les mesures sanitaires nous protègent, etc)… Toutefois, même si les propagandistes sont bien contents quand quelqu’un croit à leurs mensonges, la tromperie n’est pas leur but premier.
    2. Le premier des buts de la propagande officielle est de générer une « narrative » qui peut être mécaniquement répétée par les classes supérieures et ceux qui les soutiennent et s’y identifient. Cette narrative officielle n’a pas à être cohérente ou crédible, ni à résister à l’examen critique. Sa plausibilité n’est pas l’important. L’important est de dessiner une ligne Maginot, une frontière idéologique défensive, entre le « Bien » tel que défini par les classes supérieures et les vérités qui contredisent la narrative officielle.
    3. Dans des sociétés ouvertement despotiques, les enjeux de ce type de choix (se conformer ou désobéir) sont souvent la vie ou la mort. Dans nos sociétés occidentales (pour ceux d’entre nous qui ne sommes pas des guérilleros militants), les conséquences du non-conformisme sont généralement plus subtiles, mais les pressions restent intenses. Se conformer à la « réalité » consensuelle produite par ces narratives est le prix de l’admission dans le saint des saints où les emplois, l’argent, le prestige professionnel et les autres récompenses du capitalisme se trouvent. Se conformer aux narratives n’implique pas d’y croire. Cela demande juste une allégeance et une obéissance inconditionnelle. Ce que l’on croit en réalité n’a aucune importance, du moment que l’on répète, comme un perroquet, la narrative officielle du moment.
    4. Pour résumer, la propagande officielle n’est pas destinée à duper le public (pas plus que les phrases d’un rôle d’acteur ne sont destinées à tromper l’acteur). Elle est destinée à être absorbée et répétée, quelle que soit son invraisemblance. De fait, elle est souvent plus efficace quand ceux qui sont forcés de la répéter comme des robots savent qu’elle est complètement stupide, parce que l’humiliation d’avoir à le faire cimente leur allégeance à la classe supérieure.[80]
  1. Que les mesures imposées liberticides, incohérentes, illogiques et arbitraires (port du masque, distanciation, assignation à domicile, fermeture de tous les magasins) étaient non seulement hors de proportion avec le fléau supposé mais contraires au bon sens, sans la moindre justification scientifique, ou ayant déjà fait preuve de leur inefficacité.[81], [82], [83], [84], [85], [86], [87]
    1. Combien de vies ont été sauvées grâce à la fermeture des rayons slips, chaussettes et tee-shirts ? Combien de transmissions n’ont pas eu lieu grâce à l’arrosage frénétique des mains avec des produits chimiques déversés par milliards de tonnes dans la nature, et remplis de perturbateurs endocriniens ?[88] Plus de 150 milliards de masques sont produits chaque mois, sans le moindre recyclage.[89] Il est à craindre qu’un nouveau continent de plastique ne flotte à la surface de ce qui reste de nos océans.
    2. Concernant les masques, personne ne s’est soucié de citer la grande étude chinoise[90] publiée dans Nature, aux chiffres astronomiques de 10 millions de patients (la dictature a parfois du bon) qui a clairement montré que les sujets asymptomatiques ne sont pas contagieux.
    3. Le port du masque est un marqueur de la soumission populaire aux mesures débiles gouvernementales —on imagine la jouissance perverse des Macron et consorts à l’idée d’avoir réussi à faire respirer tout le monde dans ses propres crachats… Au même titre que le voile islamique dans les pays soumis à l’oppression de la charia, le despotisme d’état se charge par la violence de vous rappeler à l’ordre établi.[91]
    4. L’assignation à résidence— justifiée par des modélisations douteuses, notamment celle du très influent Pr. Ferguson. Sans doute dans le besoin malgré les généreux financements de la Fondation Gates, ce dernier a utilisé un programme digne de Sim City, lui permettant de prévoir 500.000 morts en Grande Bretagne, puis finalement 20.000.[92] La plus grande panique de l’histoire et la paralysie inédite de l’économie reposent sur des spéculations délirantes. Le code concernait un modèle de grippe conçu en 2005 pour Taïwan.[93] Plutôt que de mettre le code à la disposition des autres acteurs du domaine pour qu’ils puissent l’examiner à ce moment-là et contribuer à influencer les mesures prises par les gouvernements, Ferguson a choisi de s’adresser à Microsoft. Pourquoi ? Pour réécrire le code et l’améliorer. Ainsi, personne n’a pu voir le vilain code original utilisé pour créer un mauvais modèle que les gouvernements ont utilisé pour enfermer tout le monde. Depuis quand Microsoft est-il devenu l’expert en modélisation des épidémies ? De toutes les mesures qu’il aurait pu prendre, il s’est adressé à Microsoft, et non à d’autres experts en la matière pour modéliser correctement la pandémie. C’est troublant. Pourquoi ? Serait-ce dû à une certaine loyauté ou influence liée à Microsoft ? Peut-être au fondateur de Microsoft, Bill Gates ? La Fondation Gates a financé l’Imperial College à différents moments. Observez l’écart des dates entre lesquelles le financement a été multiplié par … 29 ! (29x).
      En 2010, 2 millions de dollars ont été versés à l’Imperial College :
      https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates1.jpg
      En mars 2020, ce sont 79 millions de dollars qui ont été versés à l’Imperial College: ! https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates2.jpg

Partout où l’on se tourne, on retrouve l’empreinte de la main de Gates au travers de sa Fondation Bill et Melinda Gates.[94]

  1. Que tout serait fait pour pousser à la vaccination obligatoire —et même sous contrainte— de la population mondiale, si tant est qu’on appelle « vaccins » des injections géniques expérimentales effectuées en violation du droit international.[95]
  2. Que les voyages mais aussi tous nos gestes quotidiens seraient soumis à l’obligation vaccinale qui sera appelée à devenir perpétuelle,
  3. Que la restriction des libertés annonçait la mise en place d’une dictature à la chinoise[96], basée sur un techno-contrôle permanent d’abord au moyen de passeports sanitaires, puis à terme à base de puces RFID, reconnaissance faciale et autres 5G, le sujet du système devenant « connecté » au même titre que sa voiture ou son frigo.[97]

Le loup mondialiste est sorti du bois.

Cette guerre contre les Peuples ne nous laisse d’alternative que de vaincre ou mourir. Non, il n’y aura plus jamais ni repos ni retour en arrière tant que n’auront pas été châtiés les instigateurs et les complices de ce « coup » mondial avec son narratif délirant et burlesque d’une pandémie qui n’existe pas, imposé à l’unisson[98] par les gouvernants et relayé en boucle par les médias. John Ioannidis, probablement le plus grand épidémiologiste actuel, affirme dans une étude publiée par l’OMS[99], mais passée complètement à la trappe depuis octobre 2020 que

« The inferred infection fatality rates tended to be much lower than estimates made earlier in the pandemic. »

Notre savant aime les euphémismes : il y a en effet un facteur 14 entre les premiers chiffres — qui ont servis de référence pour déclarer la pandémie et imposer toutes les mesures folles— donnés par les autorités sanitaires chinoises et la valeur constatée par le Dr Ioannidis. Grâce au Covid, la corruption généralisée apparaît au grand jour et beaucoup de nos confrères qui vivaient dans le confort douillet du consensus découvrent en exerçant leur sens critique l’horreur de la guerre permanente de désinformation, le mensonge dans lequel notre profession baigne, la répression en cas de transgression de la doxa officielle, et la manipulation dont ils sont l’objet pour les inciter à croire qu’en étant au « top » des nouveautés, ils font de la bonne médecine.[100] Cette même guerre qui nous était livrée depuis des générations d’homéopathes est désormais devenue mondiale.

La science représente un puissant outil dans la recherche de la vérité, mais quand elle est dévoyée par l’argent, surgit la fallacieuse notion de « preuve scientifique », un oxymore destiné à vendre aussi bien une traversée en Titanic ou un vaccin.

Il est probable que jamais l’humanité n’a encore dans son histoire encouru une telle menace, non pas à cause d’un virus mortel, mais d’un simple rhume qui sert de prétexte à l’instauration d’une tyrannie oligarchique. Si l’on m’explique que vous avez bouté le feu à votre maison parce qu’il y avait un moustique dans le salon, c’est la preuve que soit vous êtes complètement fou, soit que le moustique ne fait que servir d’excuse au pyromane. De même les mesures apparemment démentes prises comme un seul homme par (presque) tous les gouvernements face à une menace nulle ne deviennent logiques que si l’on change de paradigme et qu’on réalise que les gouvernements n’œuvrent plus dans l’intérêt des peuples et des nations, mais selon l’agenda d’une structure supérieure qui les contrôle tous :

:.

Les tendances et les déclarations financières mondiales indiquent une refonte sismique de la gouvernance et des systèmes financiers qui se joue sous la surface de la pandémie de Covid-19 et qui va bien au-delà du domaine de la santé.

Le renforcement du contrôle centralisé peut créer un gouffre infranchissable entre une petite poignée de gagnants et une majorité de perdants. ….

Les preuves suggèrent que les vaccins coronavirus, véritables chevaux de Troie, pourraient remettre en cause l’intégrité corporelle et le consentement éclairé de manière totalement nouvelle, en transportant des technologies invasives dans le cerveau et le corps des gens.

Des technologies telles que les interfaces cerveau-machine, les dispositifs de suivi de l’identité numérique et les puces compatibles avec les crypto-monnaies contribueraient à l’objectif de la banque centrale de remplacer les monnaies par des systèmes de transaction et d’identification numériques et de créer une grille de contrôle mondiale qui relie la population mondiale au nuage de renseignements militaires-pharmaceutiques des technocrates mondiaux. En outre, l’utilisation des vaccins comme vecteur des technologies de surveillance annule toute responsabilité juridique.[101]

Tant pis — ou tant mieux ?— si je heurte ceux encore douillettement endormis dans le confort de la Doxa du système et qui se font une joie de partir à l’abattoir en chantant. Je n’ai jamais eu l’habitude de mâcher mes mots —pas plus que le Dr. Zelenko[102] ou Dr. Sucharit Bhakdi[103] ou encore le Dr. Michael Yeadon[104] dont je partage ici complètement les analyses : au-delà d’un simple crime crapuleux destiné à l’enrichissement sans limite de l’industrie, c’est probablement un génocide planétaire qui se prépare dans la joie et l’insouciance, avec le consentement —je devrais dire la soumission— d’une grande partie de la population.

Qu’on ne se méprenne pas : le sens du mot « génocide » est chevillé dans mes cellules, le néologisme a été forgé par Lemkin en prenant pour modèle le génocide arménien. Son professeur de droit lui ayant expliqué que les gouvernements pouvaient faire ce qu’ils voulaient des peuples administrés, comme on le fait d’un élevage de poulets, Lemkin s’est écrié « mais les gens ne sont pas des poulets ! » J’envie la France quand elle pleure un Oradour. Nous en avons connu des milliers dans le cours d’une extermination systématique, sans distinction d’âge ou de sexe.

C’est donc bien en pleine acceptation du terme que je déclare qu’à mesure que nous découvrons les effets et le contenu des « vaccins » imposés de vive force contre toute science ou raison par les gouvernements, nous avons la preuve d’une tentative de génocide. J’ignore quelle proportion de l’humanité survivra à ces poisons. Des plaintes devant la Cour Pénale Internationale[105],[106] ont été déposées, en Inde L’avocate Dipali Ojha,[107] principale avocate de l’Association du barreau indien, a intenté des poursuites pénales contre le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes, mais on se doute vu la corruption et le crime organisé que les chances d’aboutir sont minimes.

Au vu de la perversité —ce terme reviendra souvent dans mes commentaires— que nous constatons partout où l’on se retourne, seul Tocqueville me semble avoir clairement décrit pareille situation :

« Les Espagnols, à l’aide de monstruosités sans exemples, en se couvrant d’une honte ineffaçable, n’ont pu parvenir à exterminer la race indienne, ni même à l’empêcher de partager leurs droits ; les Américains des États-Unis ont atteint ce double résultat avec une merveilleuse facilité, tranquillement, légalement, philanthropiquement, sans répandre de sang, sans violer un seul des grands principes de la morale aux yeux du monde. On ne saurait détruire les hommes en respectant mieux les lois de l’humanité.[108] »

J’accuse !

J’accuse les mondialistes — cette ultra-minorité constituée de quelques grandes familles (Rothschild, Rockefeller, Carnegie, DuPont, Bush, Morgan, etc. et leurs coryphées comme Bezos, Soros, et Gates)[109] :

  • D’être majoritairement de dangereux psychopathes[110] avides uniquement de jouissance perverse ou des pires transgressions pour se sentir exister.[111]
  • D’avoir peu à peu accaparé la création de la monnaie dans le monde entier[112] depuis au moins la chute du Premier Empire.[113]
  • De contrôler ainsi les destinées des nations depuis au moins la fin du XIXème siècle, organisant pour leur profit les guerres ou révolutions qu’ils jugent utiles[114] : Guerre des Boers, Première Guerre Mondiale, Révolution Russe et instauration du Communisme,[115] etc.
  • De fomenter un complot mondial depuis des générations, en vue d’instaurer une gouvernance mondiale[116] sous forme d’un collectivisme oligarchique[117] dont la Chine représente le modèle —dès le 30 Mars 2020 Gordon Brown appelait à un gouvernement mondial « intérimaire », Attali au gouvernement mondial installé à Jérusalem[118],
  • De poursuivre depuis des générations une guerre mondiale secrète contre les Peuples[119] et de vampiriser les nations en forçant les états à une dette fictive en échange de la création de monnaie ex-nihilo.
  • D’avoir fabriqué de toutes pièces la pandémie Covid.[120],[121],[122],[123],[124],[125]
  • D’avoir breveté —à travers une multitude de sociétés dont le CDC, Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson— le génome sous tous ses aspects du SARS-Cov-2 depuis au moins 20 ans pour réaliser leurs objectifs,[126],[127]
  • D’annoncer la pandémie depuis des années avec beaucoup de perversion[128] via quelques porte-paroles dont Bill Gates[129] qui semble être le grand prêtre du système.[130],[131] Soudainement autoproclamé spécialiste de tous les problèmes planétaires et virologue, celui que l’histoire regardera sans doute comme l’un des plus grands criminels de tous les temps nous annonçait, dès le mois de Février 2020, qu’il n’y aurait pas de retour à la normale sans que la planète entière ne soit vaccinée.[132],[133]
  • De recourir sans scrupule à l’ingénierie sociale[134],[135] —notion purement communiste— au crime contre l’humanité et probablement au génocide mondial pour façonner « l’homme nouveau » — dont la tentation a toujours été la marque des régimes totalitaires —, issu de leur ancien délire eugéniste et transhumaniste.[136],[137],[138]
  • De ruiner l’économie mondiale afin d’imposer une future monnaie numérique[139] et un contrôle total technocratique[140] de la population [restante…] réduite en esclavage.[141] Tout sera fait pour nous présenter comme seule solution le gouvernement mondial pour « sauver les banques. »
  • D’organiser une destruction —une sape— des fondements de la société[142], notamment de par l’Open Society de Soros,[143] et une corruption systémique dont on ne peut se faire de représentation tant elle est omniprésente et disséminée.[144],[145] Il a suffi ainsi de faire déclarer la pandémie par le bon Tedros[146],[147] —l’homme de paille de Gates— pour que tout se mettre en branle comme une cascade de dominos, toutes les nations signataires du Règlement sanitaire international de l’OMS étant légalement tenues de suivre ce que le directeur général décide de faire en cas d’urgence.[148] L’affaire a été préparée d’avance selon un agenda qui force l’admiration : en faisant passer un rhume pour la peste noire, les corrompus savaient qu’ils pouvaient ensuite compter sur la lâcheté généralisée, la fuite de toute responsabilité pour entraîner le reste du monde avec eux.
  • D’avoir noyauté et infiltré à peu près tous les gouvernements, et toutes les instances internationales et nationales, officielles (comme l’OMS, la Banque Mondiale, le GAVI, etc.) ou officieuses (franc-maçonnerie dévoyée en parti politique comme le Grand Orient en France) [149],[150] et de posséder à peu près toutes les firmes industrielles, bancaires et technologiques.[151]
  • De ne même plus prendre la peine de dissimuler leurs objectifs mais de diffuser leur doctrine à travers des organisations comme le World Economic Forum[152] —son patron et maître à penser, Klaus Schwab étant aussi un Rothschild[153], la Fabian Society ou autres revues comme The Economist. La stratégie habituelle consistant à utiliser la fenêtre d’Overton pour habituer peu à peu la pensée du public à ce qui aurait été inimaginable auparavant.

J’accuse les trois secteurs criminels de plus en plus imbriqués —Big Finance, Big Tech et Big Pharma— de récolter les fruits de la « pandémie » Covid-19, tout en bénéficiant de relations étroites avec l’appareil de renseignement militaire[154],[155] . Ceci a permis de créer le plus grand transfert de richesses de l’histoire de l’humanité et une montée en puissance énorme de la technocratie mondiale, une forme de contrôle centralisé, dirigé par des experts, sur la production et la consommation des ressources, que le Wall Street Journal a qualifié de « règle antidémocratique par des élites qui pensent mieux savoir. »[156]

J’accuse les laboratoires pharmaceutiques —notamment Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson, Astra Zeneca— de constituer depuis le début du XXème siècle les pires organisations criminelles que le monde ait connues :

  • D’avoir déposé des milliers de brevets concernant le Coronavirus depuis 2000, d’avoir préparé et planifié la crise actuelle de concert avec la troïka Gates, Fauci, Tedros. Le génome du SARS-Cov2 a été ainsi breveté depuis de longues années, avec toutes les variantes connues de la protéine Spike (malgré leurs moyens illimités, ces messieurs ont quand même réussi à faire la bourde de déposer le brevet du futur vaccin quelques heures avant le dépôt du brevet du Coronavirus).[157]
  • D’avoir provoqué la fermeture de tous les hôpitaux homéopathiques[158] aux USA dès les années 1910 et imposé la médecine chimique sous la forme que nous connaissons, détruisant la santé de l’humanité depuis des générations.
  • D’être obsédés par la destruction de l’homéopathie, le seul édifice médical logique et scientifique capable de leur faire de l’ombre et de guérir les gens
  • De mener depuis cent ans une guerre incessante contre l’homéopathie afin de la discréditer[159] et détenir le monopole d’une médecine non-scientifique basée sur l’administration arbitraire de drogues pétrochimiques au gré de statistiques toujours falsifiées.

J’accuse la troïka Gates — à travers de sa fondation « philanthropique » Bill et Melinda et autres affidés comme l’Open society de Soros et la Clinton fundationFauci[160] — avec sa mainmise sur les CDC, ce dernier se retrouve aujourd’hui accusé d’avoir pris des mesures contraires à l’éthique et aux connaissances,[161] Tedros —avec sa haute main sur l’OMS, d’être les exécutants d’une affaire patiemment préparée —un hold-up mondial— depuis au moins deux décennies, aboutissant à une ahurissante toile d’araignées impliquant à peu près tous les secteurs[162] — avec l’aide inestimable du Parti Communiste Chinois[163] dont notamment :

  • Tripotage de la définition de la pandémie dès 2009[164]
  • Assujettissement des gouvernements aux décisions de l’OMS en cas de pandémie
  • Infiltration de toutes les instances internationales comme l’ONU, la Banque Mondiale, etc.
  • Recyclage de l’argent sale grâce à une galaxie d’ONG et autres fondations —gravitant autour de l’ONU par exemple— n’ayant de comptes à rendre à personne.[165]
  • Contrôle total des médias (ANP, AFP, REUTERS, eux même affiliés à European journalism center et Project syndicate, lesquels appartiennent comme le reste du monde à des compagnies comme Black RockVanguardStreet State ou Berkshire Hataway) et des réseaux sociaux via leur complices. Citons en France par exemple les dix milliardaires qui contrôlent toute la presse.[166]

J’accuse nos gouvernants de complicité totale avec les mondialistes et de conspirer contre la paix en créant une fracture irréconciliable de la population au moyen de mesures discriminatoires qui violent toutes les constitutions démocratiques[167] —le citoyen qui cotise pourtant à ses assurances sociales se voit refuser l’entrée à l’hôpital (chose jamais vue de mémoire d’homme), les délations pleuvent contre les mauvais porteurs de masque qui ont l’outrecuidance d’entrer dans un magasin, on refuse d’évacuer des non-vaccinés[168], les brutalités policières innommables s’abattent sur les gens au prétexte de non-port de masque[169], etc.

J’accuse l’ensemble de la classe politique —à de rares exceptions près— de connivence avec les gouvernements en place. Leur silence assourdissant alors que tous les principes démocratiques sont violés quotidiennement démontre leur culpabilité, et signe le pourrissement déjà ancien de nos sociétés où la démocratie est réduite à un simple théâtre avec de l’opposition contrôlée.

J’accuse de collaboration et de trahison tous les minables appartenant à des rouages divers de la société et qui ont tout fait pour imposer le nouvel ordre établi : Ordre des Médecins, Juges autres magistrats, Policiers, Syndicats, etc.

  • Une mention particulière ici au sujet de la lâcheté de l’immense majorité des médecins qui ont servilement accepté les consignes gouvernementales tout en sachant pertinemment leur absurdité. Ils ont ainsi trahi la confiance de leurs patients, tout en se couvrant d’une honte qui sera difficile à effacer.

Tous ces gens, du haut en bas de l’échelle, devront répondre avec leurs maîtres mondialistes des accusations de :

  • Complot mondial et escroquerie en bande organisée
  • Crime contre l’humanité (refus de soins à la population, meurtre des personnes âgées, injection forcée de substances expérimentales en violation du droit international,[170] de la liberté du refus de soin, et de toute éthique[171])
  • Crime contre l’économie (destruction volontaire de pans entiers de l’économie, assujettissement des victimes aux « aides » fournies et chantage au vote —c’est la même relation entre un mari alcoolique violent et son épouse—, pénuries organisées, inflation massive notamment des denrées céréalières[172])
  • Crime contre la société :
    • Ingénierie sociale,
    • Discrimination,[173] qui constitue le premier pas vers l’exclusion puis l’extermination, car il est facile de prévoir que tout sera fait pour faire porter le chapeau aux non-vaccinés —la situation sera bientôt catastrophique selon soit les effets délétères des vaccins soit carrément de par l’émergence de nouveaux variants naturels ou pas. L’Autriche, partie natale d’un artiste peintre tristement célèbre, vient de décider de confiner les non-vaccinés ![174]« La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. » Mathieu Slama
    • Agnotologie (production méthodique de la bêtise, de l’ign
    • orance, du doute et de la désinformation), l’affiche ci-contre illustre bien le propos[175]
    • Destruction systématique de tous les repères —ainsi que l’avait annoncé Soljenitsyne dans son fameux discours de Harvard[176],
    • « Cancel culture » et autres aberrations comme la théorie du genre.

L’issue de la crise passera par une révolution sociétale de fond en comble avec la révision du rôle de l’industrie, notamment dans la médecine, et la remise en cause de la notion d’enrichissement personnel illimité introduit par Voltaire.[177] Rousseau quant à lui avait bien réalisé que :

Jamais dans une monarchie l’opulence d’un particulier ne peut le mettre au-dessus de la volonté du prince. En revanche dans une république elle peut le mettre aisément au-dessus des lois.

Seule l’insurrection populaire permettra de mettre les mondialistes et leurs complices hors d’état de nuire. Ces hyènes agissant dans l’ombre depuis toujours ne sont que des tigres en papier, futurs gibiers de potence et les peuples forcés à l’inoculation de poisons se trouvent désormais en situation de légitime défense. Que la sainte colère des peuples abusés se lève !

« Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. » Ep 6.12

A titre de réflexion songeons que les Français ont décapité un roi innocent et qui ne voulait que le bonheur de son peuple. Que ferons-nous d’un Macron, séide des mondialistes, qui empoisonne délibérément les Français ?

Les derniers mots de Louis XVI sur l’échafaud « Et vous peuple infortuné » résonnent à nos oreilles comme une douloureuse prophétie. Ce sera le titre de notre prochain chapitre.

Il faut détruire le mondialisme ![178]


Notes

  1. David Rockefeller lors de la réunion des Bilderberger, à Baden en Allemagne, en juin 1991. Rockefeller a consacré sa vie au gouvernement mondial unique, c’est-à-dire au Nouvel Ordre Mondial (NWO). Il a fondé la Commission trilatérale et fait partie intégrante du Council on Foreign Relations. 
  2. Pour ceux qui désirent en savoir plus sur le génocide arménien, le site « Imprescriptible » est une référence. 
  3. Pour savoir ce qu’est le sort et la condition du dimmi en terre d’Islam. 
  4. Voir la Déclaration des Droits de l’homme de 1793-ch 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ». 
  5. Voir le documentaire Hold-Up de Pierre Barnerias et Philippe Cossé. Mon intervention complète en HD, ici
  6. Voir l’article de notre excellente Nicole Delepine : La peur basée sur une épidémie de rhume. Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.Même si le Covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.N’ayez plus peur. 
  7. Voir l’article sur le Courrier des Stratèges, et le pdf du rapport ici
  8. De 2003 à 2009, une pandémie a été définie par l’apparition de « plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies » ; un changement a été opéré entre le 1er et le 9 mai 2009, faisant disparaître le critère de gravité. Le contenu des pages Internet de l’OMS a été modifié, sans changer la date affichée.Pour sa part, l’OMS affirme que la définition de base de la pandémie n’a jamais changé. Citée par M. Tom Jefferson lors de son audition par la commission des questions sociales, de la santé et de la famille de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe le 29 mars 2010, Mme Nathalie Boudou, porte-parole de l’OMS, a justifié le changement de définition sur le site de l’OMS par la correction d’une « erreur », en affirmant que la définition correcte d’une pandémie devait faire référence à l’apparition de foyers dans au moins deux régions du monde, mais n’avait rien à voir avec la gravité de la maladie ou le nombre de décès. Voir le pdf
  9. La plupart des cas ont réagi favorablement pour amener à une guérison en quelques jours après la prise d’Ammonium Carbonicum, médicament dominant de l’épidémie, déterminé dès avril 2020. Nous comptabilisons avec nos étudiants plus de cent cas traités avec succès, dans n’importe quel stade de l’affection. 
  10. Voir le Figaro
  11. Voir le résultat de la commission sénatoriale. 
  12. Voir la falsification de l’étude, jamais publiée dans les médias standards et bien entendu aucune mesures prises à l’encontre de l’homéopathie n’ont été remises en cause… 
  13. À l’origine de cette étude bidon financée indirectement pas les sociétés-écrans de Bill Gates et un hôpital londonien, il y avait la société Quartz Clinical et sa directrice du marketing et des ventes, une certaine Ariane Anderson. Directrice marketing et des ventes d’une société qui produit une étude mondiale sur les dangers d’un médicament qui a été consommé par des milliards d’individus (il a en été vendu jusqu’à 1 milliard de cachets par an dans le monde), c’est quand même un sacré poste à responsabilité ! La société à l’origine de « l’article » du Lancet, la société de Big Data qui a fourni les « données » d’observation de l’étude… n’existe pas !C’est une société totalement bidon. Elle aurait été créée en 2007 par Sapan Desai, un des auteurs de l’article, et n’a jamais connu la moindre activité, n’a jamais payé d’impôts, aurait été dissoute ou suspendue à plusieurs reprises. Voir l’article de RR.On se dit que cette dame doit être bardée de diplômes et qu’elle doit avoir une expérience professionnelle à faire pâlir le docteur Raoult et les plus grands experts chinois qui ont osé vanter les effets thérapeutiques de ce médicament. On trouvera plein de photos de la dame à divers degrés d’habillement sur Internet. Cependant les « meilleures » ont déjà été retirées du Web… Voir ici
  14. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  15. Une honte de plus pour l’institut Pasteur, qui reste fidèle cependant au modèle de fausse science de son fondateur. L’étude truquée, prépubliée en juin, a été supprimée, d’un coup de baguette magique ! Tout simplement ! Plus besoin de revue par les pairs ! (L’investisseur sans costume l’a cependant soigneusement conservée  pour ceux que ne rebute pas un texte scientifique en anglais.) 
  16. Voir à cet égard le remarquable travail de vulgarisation et de synthèse accompli par Odon Lafontaine au travers du Grand Secret de l’Islam
  17. Voici le résumé par Fuellmich lui-même « Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent ».« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes ».« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé —n’en déplaise au bon Docteur Knock. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement ‘normal’ ».« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires ». 
  18. Voir ici le pdf officiel de la FDA. On peut lire que « Étant donné qu’aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude a été réalisée, les tests conçus pour la détection de l’ARN du 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/µL) introduit dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique. »Une autre révélation du document est l’admission par la FDA que les résultats des tests sont « regroupés » pour produire des chiffres inexacts. La FDA fabrique littéralement des données dans le cadre du récit de la pandémie, et tout cela est révélé dans le document.Voir aussi l’excellent article de FDA.News : “FDA document admits “covid” PCR test was developed without isolated covid samples for test calibration, effectively admitting it’s testing something else” 
  19. Nicole Delépine signe un nouvel excellent article sur la PCR ici. Elle déclare : « En conclusion, la confirmation que les tests PCR ne sont pas fiables et ne devraient en aucun cas être utilisés par les gouvernements comme preuve de la « pandémie » vient de la FDA elle-même. Il est grand temps que nos dirigeants reviennent aux moyens classiques d’évaluer les épidémies : le comptage des malades et celui des morts de la maladie. » 
  20. Voir l’article ici
  21. Voir l’article de France Soir (l’un des seuls journaux ayant gardé l’éthique du journalisme). Voir sur KLA.TV le dossier Drosten, proprement accablant, puisque ce malfaiteur a même usurpé son titre de médecin, ainsi que l’a révélé Fuellmich. 
  22. Voir dans Times: « Testing firm can profit from sale of Covid swabs”. Il est ainsi possible que l’un des objectifs du test antigéniques soit le fichage généralisé de la population. Les mondialistes ont des dizaines de coups d’avance sur nous. 
  23. France Soir, RT, et Sud Radio, méritent toute notre admiration. Ce sont probablement les seuls médias qui respectent la vocation du journalisme et la charte de Munich qui demande entre autres de recueillir, analyser, vérifier, les informations de toutes origines afin de fournir une information loyale au lecteur. 
  24. En Belgique par exemple, La Libre offrait à ses lecteurs son petit manuel de diagnostic et conduite à tenir devant les vilains complotistes. Tandis que sur Facebook il était impossible de mentionner ne serait-ce que l’adresse www.adrreports.eu, site officiel européen de statistique des décès/var/folders/mr/_9dvc9_x6xgfbhgg6j3hcwk80000gn/T/com.apple.Notes/HardLinkURLTemp/AF2BDCA7-B473-4738-B82D-00C9604CD739/La Libre.png ../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-05-31%20à%2008.23.17.png 
  25. Voir la « Stratégie du choc » de Naomi Klein. Ne pas manquer cette vidéo
  26. « Voix ou pas voix, le peuple peut toujours être amené à se plier aux exigences des dirigeants. C’est facile. Il suffit de leur dire qu’ils sont attaqués et de dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme et pour le risque qu’ils font courir au pays. Cela fonctionne de la même manière dans n’importe quel pays. » Hermann Goering. 
  27. Le 14 octobre dernier, une rencontre avec Barbara Stiegler a été organisée par la librairie Mollat de Bordeaux à l’occasion de la sortie de son livre « Nietzsche et la vie : une nouvelle histoire de la philosophie » paru aux éditions Gallimard. La philosophe a pu présenter son ouvrage, et a livré une analyse très intéressante sur la manière dont le mot « complotisme » est instrumentalisé pour museler les oppositions. 
  28. Les exemples surabondent. Je me contente de citer ici l’article de l’express qui dénigre Mme Wonner, photographiée sous l’angle le moins avantageux possible. C’est un modèle du genre. 
  29. Nous devons ce bon mot à Christian Greiling, le remarquable auteur entre autres du blog les Chroniques du grand jeu
  30. Le Monde se vante d’avoir publié en son temps le manifeste des 343 mais refuse de publier toute tribune de discussion sur la vaccination. Les exemples peuvent se multiplier à l’infini. 
  31. Citons rapidement ici les cuistres comme La tronche en biais, les cercles zététiques. M. Buisseret, mieux que quiconque incarne ce phénomène : aucune formation scientifique, ayant à son actif la réalisation d’un film pitoyable, il est persuadé de devenir l’arbitre des élégances en science. Quelle déchéance ! 
  32. Voir par exemple cet article, pour ceux qui n’ont pas eu la chance de connaître en « live » ces événements en Roumanie. 
  33. « COVID-19 – du mythe aux statistiques », auteur anonyme, 9 février 2021, lien direct, lien archivé. Observons combien de morts en plus nous aurions eu à déplorer de 2015 à 2019 si pendant ces années nous avions souffert de la mortalité de 2020 hors-COVID-19. Le tableau suivant tient compte des décès déclarés « COVID-19 » à l’hôpital et en EHPAD, mais pas à domicile [47–50, 54, 56] :
    annéesurmortalité2015-490362016-331592017-339472018-256932019-1762Les grippes saisonnières ? Disparues ! Des dizaines de milliers de personnes ne seraient pas mortes si de 2015 à 2019 nous avions refusé l’accès des hôpitaux aux personnes âgées, dissuadé les malades de consulter, diminuer significativement la consommation de médicaments et paralysé l’économie pendant des mois. C’est à se demander si les autorités sanitaires n’étaient pas complètement folles de ne pas mettre à la poubelle plus tôt toute l’organisation publique de la santé. Grâce à la COVID-19, la France a connu en 2020 un âge d’or médical parfaitement inconnu avant le 17 mars 2020. Faut-il considérer que la COVID-19, les confinements, les couvre-feu, les abandons de soins, les lits d’hôpitaux supprimés, les médecins maltraités, les populations martyrisées, les enfants traumatisés, les commerçants ruinés et les libertés individuelles annulées on réussi à vaincre le cancer, la grippe, le diabète, l’hypertension, la sclérose en plaques, bref, toutes les maladies à l’exception de la COVID-19 ? Voir l’article complet ici. 
  34. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  35. Voir l’article complet sur le site de l’AIMSIB. En Inde 97% de guérison rapide avec le variant Delta. Chez nous, la permanence Riviera-Chablais, qui traitait les patients Covid avec de l’ivermectine depuis janvier 2021 et jusqu’à la semaine dernière, les bons résultats du traitement vantés sur Facebook ont valu aux responsables de la Providence une convocation face au Comité Médical de l’HRC, composé de tous les médecins chef(fe)s de service, du directeur médical, et du doyen. Résultat : malgré un bilan de 350 à 400 patients guéris jusqu’ici, l’ivermectine est désormais interdite. 
  36. Par exemple les données Sentinelles (711 généralistes et 70 pédiatres libéraux) montrent un taux d’incidence de 24/100.000 en semaine 10 !Le taux d’incidence du SARS-CoV-2 de la 10ème semaine de 2021 est de 24 cas/100.000, et non de 700 (Alpes maritimes) ou 900 (Dunkerque) comme l’affirme le gouvernement pour terroriser tout le monde !La tendance est plutôt stable depuis mi-novembre dans toutes les tranches d’âge, selon ce rapport, ce que l’on appelle des données consolidées depuis 4 mois maintenant.Ce chiffre correspond à 16.177 nouveaux cas pour toute la semaine 10, ce qui représente 2311 par jour dans toute la France et non les 40.000 cas annoncés ! 
  37. Voir l’article remarquable sur le site Anthropologiques. 
  38. Philippe Édouard (Premier ministre), « Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire », Journal Officiel de la République Française, lois et décrets, no. 77, texte 11, 33-34 (29 mars 2020), lien sur le site de Légifrance
  39. Jusqu’en novembre 2020, l’OMS admettait que l’immunité peut être procurée par l’infection ou par la vaccination, le 13 novembre 2020, l’OMS affirme que l’immunité collective d’une population ne peut être atteinte que par la vaccination et non par l’infection naturelle ! Ceci est réaffirmé le 31 décembre 2020 pour la Covid-19, tout en reconnaissant qu’on ne connaît pas le seuil de couverture vaccinale à obtenir pour atteindre cette immunité collective !A noter que seule la définition du 31 décembre 2020 est encore accessible, les précédentes sont visibles sur la capture d’écran ci-dessous)../../../Downloads/capture-decran-2021-10-02-a-103329.pngDans une récente publication, l’institut John Hopkins n’évoque que l’immunité vaccinale dans une discussion au sujet de l’hypothétique immunité de groupe à attendre contre la Covid (2).Même le Wall Street Journal, incroyablement pro-vaccins, a récemment publié un article sur ce sujet. Habituellement, le WSJ laisse ses articles sur la page des opinions pendant environ une semaine. Mais en moins de 24 heures, le WSJ a enterré cet article sur l’immunité naturelle. L’article du WSJ traite de l’immunité des muqueuses par rapport à l’immunité interne. L’auteur (un neurologue) affirme que si les vaccins stimulent l’immunité interne, ils ne font rien pour l’immunité des muqueuses. 
  40. L’immunité naturelle est au bas mot 13 fois supérieure à celle supposée du vaccin. « Une nouvelle étude israélienne suggère que l’infection naturelle offre une bien meilleure protection contre la variante delta que les vaccins, et ce après qu’on ait dit aux Américains que les vaccins offraient une meilleure protection que les infections naturelles. Le Dr Anthony Fauci et le reste des conseillers COVID du président Biden ont une fois de plus prouvé qu’ils avaient tort concernant la « science » des vaccins COVID. L’étude a été décrite par Bloomberg comme « la plus grande analyse réelle comparant l’immunité naturelle – acquise lors d’une infection antérieure – à la protection fournie par l’un des vaccins les plus puissants actuellement utilisés. » 
  41. Voir la propagande vomitive qui a été servie sans cesse à tous les peuples par les médias aux ordres. Par exemple en France : « Vers un retour à la normale à l’hiver 2021 ? C’est ce qu’affirme le fabricant de vaccins BioNTech » ; « Covid-19 : à quand, grâce au vaccin, un retour à la vie normale ? » ; « Pour une majorité de la population, le retour à la vie normale passe par la vaccination, dit une étude » ; « Covid-19 – Vers un retour à la normale à l’automne 2021 ‘si on arrive à vacciner 80-90% des Français’, selon le Pr Fontanet » ; « Covid-19 : un an après le confinement, quand espérer un retour à la ‘normale’ ? » ; « « Sans vaccin, pas de retour à la normale dans le sport », prévient Roxana Maracineanu » 
  42. Voir le terrible témoignage de ce directeur de pompes funèbres. 
  43. Ne manquez pas l’étude bidon commanditée par Veran pour confirmer son propre discours. L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200000. Les vrais journalistes d’investigation de France soir y sont allés de leur côté, ils trouvent une explications au million mystérieux; 1,1M de vaccines auraient été comptés et appariés deux fois. Toutes les hospitalisations Covid n’ont pas été prises en compte. Un total de 26000 hospitalisés depuis le 11 février jusqu’au 20 juillet pour cause de Covid selon l’étude, or au cours de cette même période selon Geodes nous en obtenons huit fois plus pour les catégories concernées : 80% des hospitalisations Covid ont disparu… 
  44. Ainsi Moderna a dissimulé 300.000 effets secondaires graves. Cette fuite provient d’un employé de la société de sous-traitance qui gère les déclarations. 
  45. Lorsqu’une personne décède dans les 60 ou 28 jours suivant un test positif au covid-19 – même si le résultat du test était faux – elle est automatiquement traitée comme un décès dû au covid-19 pour faire grimper les chiffres. Mais lorsque des jeunes gens en bonne santé meurent quelques heures après avoir été vaccinés, ces décès sont considérés comme de simples coïncidences. 
  46. Je renvoie le lecteur au site Sens et Symboles de l’excellent Dr. Olivier Soulier. Je le cite : « Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant. Au départ, j’avais cru à une simple coïncidence. Mais depuis, cette observation s’est confirmée à peu près partout dans le monde ! On a même vu plusieurs États, comme le Cambodge, qui n’avaient quasiment pas un seul mort de la Covid… jusqu’à ce qu’ils commencent le programme de vaccination de leur population :Le déploiement de la vaccination au Cambodge en février-mars a été suivi d’un pic de mortalité, alors que le pays avait été épargné par la Covid. Le même phénomène a eu lieu à Gibraltar, petit territoire britannique qui a vacciné encore plus massivement qu’Israël : alors qu’il n’y avait eu que 10 décès Covid au total en 2020, Gibraltar a déploré 44 morts Covid en deux semaines, en pleine campagne vaccinale.(À propos de Gibraltar, cela fait plus d’un mois et demi que 100 % de la population est vaccinée avec deux doses, ce dont rêve Emmanuel Macron… et pourtant, il y a là-bas 23 cas en ce moment, soit l’équivalent de 45 000 cas par jour en France !).Au total, il ne fait aucun doute que le vaccin commence par aggraver la situation avant d’avoir [éventuellement—NDLR] un effet positif sur les formes graves. Dans une analyse bénéfice-risque du vaccin, il faut absolument prendre cela en compte !Les calculs d’efficacité du vaccin qu’on vous donne dans les médias sont totalement faussés, parce qu’on ne regarde le risque de contamination qu’après 2 doses ! Or, cela écarte du calcul tous ceux qui ont été contaminés entre la 1ère et la 2ème dose à cause du vaccin ! C’est une raison de plus pour laquelle les « 95 % de protection » qu’on vous rabâche sont purement fictifs, l’efficacité du vaccin est certainement beaucoup plus faible ! 
  47. Les données VAERS publiées aujourd’hui par les CDC font état d’un total de 545 338 signalements d’effets indésirables, tous groupes d’âge confondus, après la vaccination par COVID, dont 12 366 décès et 70 105 lésions graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021. Voir ici
  48. Voir la vidéo de la députée. Mathilde Panot massacre la macronie avec élégance, et sans qu’on puisse vraiment lui opposer d’arguments tant la situation est folle. 
  49. Pfizer et BioNTech auraient donc obtenu un contrat commercial faramineusement avantageux pour eux. Le prétexte de la pandémie COVID 19 leur auraient permis d’être dégagé de toute responsabilité et de ne pas indemniser les victimes d’effets indésirables lors de cette phase 3 d’essai clinique en population générale. Les Etats supporteront le coût des indemnisations à moins de réussir à prouver que le laboratoire a commis une faute intentionnelle ou que les produits étaient défectueux. Sur ce dernier point cela sera proche de l’impossible tant les éléments de défense que pourraient évoquer le laboratoire pharmaceutique seront nombreux : rupture de la chaine du froid, erreur lors de la dilution, utilisation de 3 doses alors que le protocole n’en prévoit que 2, mélange entre les vaccins anti covid sur le marché, délai entre les deux doses non respecté… 
  50. La commissaire européenne a touché des millions en pots de vin pour signer les contrats Pfizer. Cela a été étouffé le plus vite possible et seul RT garde un page sur le sujet. Tout ceci est vraiment épouvantable. 
  51. Voir ici la remarquable étude du Stalk Institue. Scientists have known for a while that SARS-CoV-2’s distinctive “spike” proteins help the virus infect its host by latching on to healthy cells. Now, a major new study shows that the virus spike proteins (which behave very differently than those safely encoded by vaccines) also play a key role in the disease itself. The paper, published on April 30, 2021, in Circulation Research, also shows conclusively that COVID-19 is a vascular disease, demonstrating exactly how the SARS-CoV-2 virus damages and attacks the vascular system on a cellular level. The findings help explain COVID-19’s wide variety of seemingly unconnected complications, and could open the door for new research into more effective therapies. “A lot of people think of it as a respiratory disease, but it’s really a vascular disease,” says Assistant Research Professor Uri Manor, who is co-senior author of the study. 
  52. La Spike se retrouve à la surface des cellules endothéliales, ce qui explique sans doute que les effets massifs juste après les injections sont sans doute liés à une effraction vasculaire. De sorte que de très nombreux patients ont des d-dimères positifs : des milliards de capillaires sont affectés et cela génère des caillots. Les tissus cérébraux, spinaux, ou le muscle cardiaque sont directement attaqués. Au niveau pulmonaire on aura bientôt de nombreux cas d’hypertension pulmonaire avec au final défaillance du cœur droit. Voir ici le témoignage d’un médecin français. 
  53. On regardera avec profit le Dr. Hoffe détailler les effets du vaccin que les laboratoires et les gouvernants vont s’échiner à dissimuler. 
  54. Dans cette vidéo, le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., et plusieurs de ses collègues ont averti l’Agence européenne dès le début 2021 du danger potentiel de caillots sanguins et de thrombose veineuse cérébrale chez des millions de personnes recevant des injections expérimentales géniques.Dans cet épisode de Perspectives, le professeur Bhakdi explique la science derrière le problème, pourquoi il ne se limite pas aux produits déjà suspendus et pourquoi, à long terme, nous pourrions créer des systèmes immunitaires dangereusement hyperactifs chez des milliards de sujets involontaires). 
  55. Voir le Dr. Fleming sur Rumble. «  » Ajoutez le vaccin Pfizer et les globules rouges perdent leur capacité de transport d’oxygène et les globules rouges commencent à coaguler…. C’est exactement ce que nous constatons dans les rapports du VAERS. C’est exactement ce que nous constatons avec les dommages neurologiques, cardiaques et les caillots sanguins qui se forment dans le corps. C’est la preuve que ces vaccins causent ce type de dommages au microscope, simplement en étant ajoutés au sang d’un être humain… Je pense qu’il est temps que la FDA et le CDC fassent leur travail au lieu de faire semblant. » 
  56. Voir les articles désormais nombreux à la suite de la Quinta Columna qui a découvert le pot aux roses. Voir Graphene-based “neuromodulation” technology is REAL: Press release from INBRAIN Neuroelectronics describes brain controlling biocircuits using AI-powered graphene. Ceux que le sujet du graphene intéresse découvriront que la question n’est pas nouvelle :https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/03602559.2018.1542714?journalCode=lpte21https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0379677914001441https://aip.scitation.org/doi/abs/10.1063/5.0009186https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0008622312000644https://pubs.rsc.org/en/content/articlelanding/2015/ra/c4ra12591f/unauth#!divAbstracthttps://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0272884216301584https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0169433215008193https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X11007531https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X13007933 
  57. Voir cette vidéo de la Quinta Columna par exemple. 
  58. Voir ici le papier du Dr. Zalewski qui ne semble pas être un fumiste. Certains flacons de vaccins ne contiendraient qu’une solution saline, d’autres seraient « chargés ». 
  59. Voir le sort de l’action Cellectis par exemple. 
  60. Voir ici l’intervention du Dr. Peter McCullough. 
  61. Voir sur AIMSIB, la vaccination des sujets contacts, et l’effet Buchwald. Voir aussi l’article suivant : « en matière sanitaire les solutions à l’emporte-pièce brutales, généralisées et intuitives sont rarement génératrices des succès espérés. Nos formidables élites vont-elles se souvenir des erreurs passées ou replongeront-elles dans les mêmes ornières ? » 
  62. Pour rappel ici : ce n’est pas la vaccination qui a permis d’éradiquer la variole mais bien le confinement. Voir le rapport de l’OMS dont je cite maintenant des extraits. La létalité de la terrible maladie ne se compare en rien avec celle du Covid-19 :../../../Desktop/Létalité%20de%20la%20variole,%20rapport%20final%20OMS%20p19.pngLe rapport admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits :../../../Desktop/p32%20nécessité%20de%20l'endiguement.pngComme ici :../../../Desktop/p%2042%20soudan.pngEncore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » ../../../Desktop/p32%20changement%20de%20stratégie.pngNous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. » 
  63. Voir l’excellent ouvrage du Dr. Eric Ancelet, « Pour en finir avec Pasteur : Un siècle de mystification scientifique. » 
  64. L. Pasteur, Lettre adressée à Pedro II, empereur du Brésil, 22 sept. 1884, Archives Nationales, AB/XIX/3332. 
  65. Le risque de mourir du Covid pour un enfant est proche de zéro. La corruption généralisée vient de donner le feu vert à Pfizer pour injecter les enfants de 5 à 11 ans. On frémit quant à la suite. Nous nageons en plein cauchemar. 
  66. Le parallèle devient de plus en plus frappant avec le recrutement des Jeunesses hitlériennes, ce qui à soi seul nous montre la progression de la dictature. Voici deux gamins montrant fièrement leur point d’injection, heureux de pouvoir protéger les autres !  
  67. Voir l’étude du BMJ ici. Voir aussi l’excellent article de l’AIMSIB sur la vaccination des femmes enceintes. La plupart des essais ont également exclu les volontaires enceintes et allaitantes, ainsi que celles souffrant d’affections chroniques et graves telles que la tuberculose, l’hépatite C, l’auto-immunité, les coagulopathies, le cancer et l’immunosuppression Il n’y a évidemment aucun intérêt à vacciner, mon avis personnel est que cette vaccination doit aussi générer de nombreuses fausses-couches. Notez que les autorités fédérales ont décrété que les femmes enceintes font partie des personnes vulnérable, comme toujours avec du cherry-picking des études. Nous ne sommes plus à une honte près. 
  68. Voir ici la liste des amendes infligées depuis l’an 2000 à ces organisations criminelles. 
  69. La firme pharmaceutique Pfizer a probablement lancé la production de son vaccin anti Covid-19 à ARNm bien avant d’avoir obtenu de la communauté européenne l’aménagement CE2020/1043 s’agissant de la levée de la protection de ses habitants vis à vis des OGM et avant même d’avoir lancé sa phase III d’essais cliniques, persuadée de pouvoir obtenir son autorisation de mise sur le marché partout dans le monde en faisant intervenir l’ancien Directeur Général de la FDA américaine, Scott Gottlieb, qu’elle a recruté depuis peu.La technologie vaccinale employée est embryonnaire sur le plan des connaissances scientifiques et contient de nombreuses incertitudes en termes d’effets secondaires au-delà de 6 mois, tous non étudiés. La mutation naturelle des coronavirus est importante et de nombreux co-variants du SARS-CoV-2 initial circulent déjà sur l’ensemble du globe rendant chimérique l’idée d’un vaccin unique, efficace sur toutes ses formes actuelles ou futures.La responsabilité financière des effets post-vaccinaux graves de ces vaccins a été transférée sans difficulté aux Etats acheteurs, ce qui doit faire craindre une absence totale de prudence comme de transparence de la part de l’ensemble des fabricants qui essayeront de placer leurs produits au plus vite dans cette course au rendement financier, le respect des règles déontologiques de ces firmes étant rappelé comme nul depuis de longue date.De nombreuses voix émanant de la société civile s’élèvent déjà pour inciter à une vaccination ou obligatoire, ou ségrégationniste, reléguant les non-vaccinés Covid au rang de citoyens de seconde zone, sans aucune conscience de la manipulation financière qu’ils installent, aux dépens évidents de la santé humaine et de la paix civile.Les études cliniques parues dans le New England devraient attirer l’attention du lecteur sur un détail très inhabituel : Pfizer aussi bien que Moderna parlent de « observer blind ». Habituellement, on mentionne « double blind », et une recherche sur Google vous convaincra que ce terme est pour ainsi dire absent de la littérature. Voilà qui est étrange.PfizerModernaIci je dois évoquer la réponse embrouillée du Dr. Siegrist à ma question, en tentant de me convaincre qu’il s’agit d’un double —mais dans ce cas pourquoi ne pas l’écrire comme telle ?— tout en me disant qu’on avait levé le secret pour les testeurs. Nous sommes donc priés de croire au double aveugle alors qu’il y a eu « unblinding » ? Pour le Dr. Michel de Lorgeril que je respecte comme l’un de nos plus grands spécialistes en matière de statistiques et d’études cliniques, la réponse est claire : ce n’est pas une étude en double aveugle et dès lors les effets placebo sont majeurs, les deux études, Pfizer et Moderna, profondément biaisées.Peter Doshi, dans un article remarquable et incontournable, évoque ce qui ressemble bien à un joli bidonnage de l’étude de Pfizer, grâce aux données supplémentaires fournies par la firme à la FDA. Bricolage de groupes, exclusions arbitraires, tout fleure bon la fraude.Doshi écrit par exemple :« Toute l’attention s’est concentrée sur les résultats d’efficacité spectaculaires: Pfizer a signalé 170 cas de covid-19 confirmés par PCR, répartis de 8 à 162 entre les groupes vaccin et placebo. Mais ces chiffres étaient éclipsés par une catégorie de maladie appelée «covid-19 suspectée» – ceux avec un covid-19 symptomatique qui n’ont pas été confirmés par PCR. Selon le rapport de la FDA sur le vaccin de Pfizer , il y a eu «3410 cas au total de covid-19 suspectés, mais non confirmés, dans la population globale de l’étude, 1594 dans le groupe vacciné contre 1816 dans le groupe placebo. »« Avec 20 fois plus de cas suspects que de cas confirmés, cette catégorie de maladie ne peut être ignorée simplement parce qu’il n’y avait pas de résultat positif au test PCR. »« Même après élimination des cas survenus dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sous vaccin Pfizer vs 287 sous placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réactogénicité du vaccin à court terme, l’efficacité du vaccin reste faible: 29% »Que dire de la déclaration de partage de données de Moderna qui indique que les données « peuvent être disponibles sur demande une fois l’essai terminé ». Cela se traduit entre le milieu et la fin de 2022, car un suivi est prévu sur 2 ans ! Les choses ne seront pas différentes pour le vaccin Oxford / AstraZeneca, qui a promis des données au niveau des patients « lorsque l’essai sera terminé ». Et l’entrée ClinicalTrials.gov pour le vaccin russe Spoutnik V indique qu’il n’est pas prévu de partager les données individuelles des participants.Bien d’autres points pourront être soulevés, parmi lesquels le traitement à part des patients HIV. Pour quelle raison ? S’il s’agit de l’immunodépression, je gage que bien d’autres cas existent parmi 40.000 personnes. En outre quelle surprise de ne constater aucun décès parmi tous ces gens exposés au virus… 
  70. Voir l’article de l’AIMSIB qui démonte cette pantalonnade. Cette étude ne montre donc absolument Aucun bénéfice pour empêcher la mort par Covid-19 et encore moins un effet sur la mortalité globale de la part du vaccin Pfizer-BioNTech. Au contraire, le risque d’hospitalisation pour effets secondaires grave est plus que doublé.Dans ces conditions et avec cette étude publiée voici à peine plus d’1 mois, comment peuvent-ils encore affirmer que ces vaccins empêchent de mourir de la maladie, qu’ils sont sûrs et efficaces et surtout qu’il n’y a pas d’effets secondaires graves ou de morts provoqués par ces vaccins ? L’étude de Pfizer dit exactement le contraire.Un produit pareil en temps normal n’aurait JAMAIS été approuvé et/ou aurait été retiré immédiatement avec de telles données à 6 mois. Le bénéfice de ces injections est tout simplement négatif !En langage comptable cela se nomme un DÉFICIT ou une PERTE dont l’ampleur ou l’accumulation peut conduire à un redressement ou à une liquidation…De surcroît, n’oublions pas que ces données sont basées sur la souche initiale de Wuhan plus mortelle que le variant Delta. La balance bénéfice risque est donc encore plus négative aujourd’hui
  71. Une fraude de grande ampleur déjà surnommée le PfizerGate, impliquant la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais cliniques, et la Food and Drug Aministration (FDA), a été révélée hier par le British Medical Journal
  72. Le Dr. Peter Doshi, l’un des rares scientifiques à se battre pour la vérité déclare au Sénat américain : « Les essais cliniques n’ont pas prouvé que les vaccins géniques sauvent des vies. »Les études, réalisées par la société pharmaceutique elle-même, ont montré des incohérences et des dissimulations de données. Celles-ci laissent apparaître d’une part qu’elles ont été intentionnellement falsifiées pour pouvoir affirmer des résultats probants, d’autre part qu’en réalité, l’efficacité des injections géniques n’a jamais dépassé le seuil des 20 à 30%.Elles n’auraient donc jamais dû être approuvées pour leur mise sur le marché.Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses (article de Jean-Dominique Michel) : cliquer ici.Does the FDA think these data justify the first full approval of a Covid-19 vaccine? (article en anglais de P. Doshi dans le BMJ) : cliquer ici.Pfizer contre Pfizer : la dernière étude est frauduleuse, article sur Covidhub : cliquer ici
  73. Article AIMSIB
  74. Voir ici
  75. Comique, mais pas drôle, citons la mort d’un arrêt cardiaque juste après son injection, du grand acteur indien Vivekh engagé pour faire la promotion de l’inoculation. Il faut admettre aussi que le port du masque en solitaire dans sa voiture nous a révélé un nouvel étalon or de la connerie comme dirait Audiard
  76. La propagande totalitaire devrait tout de même essayer de se renouveler de temps en temps. Comparaison n’est par raison, mais les similitudes sont frappantes. Bon, évidemment notre médecin cantonal on ne l’imagine pas attaquer l’armée de César à lui tout seul et je ne suis pas certain de lire dans ses yeux l’éclat d’une intelligence surhumaine. Mais la même pose que les autres pour nous déclarer —aux antipodes de la science supposée— sa croyance dans la haute efficacité d’un vaccin aux statistiques bidonnées, c’est cocasse et navrant.
  77. Il est intéressant de noter l’évolution des concepts de la propagande sanitaire :je me vaccine pour être sauvé (marketing sanitaire), puisje me vaccine pour pouvoir voyager (marketing pour la liberté), puisje me vaccine pour ne pas tuer mes grand parents ouje me vaccine par solidarité (marketing de la culpabilisation)et maintenant la menace et l’intimidation. Si vous ne vous faites pas vacciner on va vous pourrir la vie.On va aussi faire croire aux vaccinés que tout est de la faute des non vaccinés (voir Veran). Tout est fait pour diviser le peuple en deux alors que toute la situation est due exclusivement à nos gouvernants. 
  78. Voir sur RTL le canular radiophonique qui faisait paniquer l’Amérique. 
  79. Lire absolument l’article complet en anglais sur Counterpunch qui pose dès 2017 la question : pourquoi la propagande officielle ridicule marche quand même ? 
  80. Voir le livre de Bruno Bettleheim, Le Coeur conscient, dans lequel une psychologue allemande décrit comment elle s’était rangée aux côtés des nazis pendant la Deuxième Guerre mondiale. L’obligation de saluer le drapeau nazi chaque matin sans y croire était rapidement devenu trop humiliante pour elle, de sorte qu’elle avait fini par lâcher prise et par le saluer avec le plus grand enthousiasme. Ainsi, pour échapper à la honte de s’abaisser à saluer des idées qu’elle méprisait, elle était devenue une nazie loyale. 
  81. Depuis la peste de Marseille en 1720, on sait parfaitement que le confinement des gens sains est parfaitement contre-indiqué. Par ailleurs, seul le confinement des personnes malades a permis d’éradiquer la variole, non pas la vaccination comme aiment encore à le dire de nombreux « spécialistes ». 
  82. Jingyi Xiao et autres (2020) « Mesures non pharmaceutiques en cas de pandémie de grippe dans des contextes autres que ceux des soins de santé – Mesures de protection personnelle et environnementale » : « Bien que des études mécanistes confirment l’effet potentiel de l’hygiène des mains ou des masques faciaux, les résultats de 14 essais contrôlés randomisés de ces mesures n’ont pas permis de conclure à un effet substantiel sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire. De même, nous avons trouvé des preuves limitées de l’efficacité d’une meilleure hygiène et d’un meilleur nettoyage de l’environnement ». 
  83. Denis G. Rancourt (2020) : « Les masques ne marchent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale autour de la COVID-19 ». 
  84. Wittoria Offeddu et autres (2017) « Efficacité des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : Un examen systématique et méta-analyse « : « La preuve d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre une infection respiratoire vérifiée (IRM) n’était pas statistiquement significative ». 
  85. Faisal Bin-Reza et autres (2011) « L’utilisation de masques et de respirateurs pour prévenir la transmission de la grippe : une revue systématique des preuves scientifiques – Grippe et autres virus respiratoires » : « Une revue systématique a été entreprise pour aider à éclairer les directives sur la grippe pandémique au Royaume-Uni. La revue initiale a été réalisée en novembre 2009 et mise à jour en juin 2010 et janvier 2011. Les critères d’inclusion comprenaient des essais contrôlés randomisés et des études quasi expérimentales et observationnelles sur des humains et publiées en anglais avec un résultat de grippe confirmée en laboratoire ou cliniquement diagnostiquée et d’autres études sur les infections respiratoires virales. Il y avait 17 études éligibles. Six des huit essais contrôlés randomisés n’ont trouvé aucune différence significative entre les groupes témoin et d’intervention (masques avec ou sans hygiène des mains ; respirateurs N95 / P2) (…) Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation d’un masque / respirateur et la protection contre l’infection grippale (…) ». 
  86. B. J. Cowling et autres (2010) « Masques faciaux pour prévenir la transmission du virus de la grippe : une étude systématique » : « Aucune des études examinées n’a démontré un bénéfice du port d’un masque, que ce soit dans le cadre du travail de santé ou dans la communauté membres des ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs 1 et 2 ». 
  87. Joshua L. Jacobs et autres (2009) « Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les professionnels de la santé (HCW) au Japon : Un essai contrôlé randomisé » : « Les travailleurs de la santé masqués N95 étaient significativement plus susceptibles d’avoir des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les HCW présentait des avantages en termes de symptômes du rhume ou de prise de froid » 
  88. Les gels hydroalcooliques contiennent des perturbateurs endocriniens. Voir ici
  89. Voir le MIT mais aussi de nombreux articles dans Children Health Defense
  90. Voir Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China. 
  91. Voir Le messie et son prophète, vol II, p70 par E. M. Gallez. « Pour les femmes, les conséquences sont en tout cas funestes ; en bien des lieux où la Charia {saritah) ou loi islamique est imposée, il devient dangereux d’avoir été violée, ou d’être enceinte sans être mariée, ou même simplement d’être non mariée. 
  92. Voir notamment – Aurélie Haroche. Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie. JIM (Journal International de Médecine). 25 Avril 2020.- Jean-François Toussaint, Andy Marc. Sortir d’un confinement aveugle. La Recherche. 22 Avril 2020.- Tom Jefferson and Carl Heneghan. Modelling the models. CEBM (Centre for Evidence-Based Medicine). 3 Avril 2020. 
  93. Voir l’article complet en anglais
  94. Gates a patiemment infiltré la presse mondiale depuis des années. « Mais elle introduit un conflit d’intérêts flagrant, dans la mesure où les institutions mêmes sur lesquelles nous comptons pour demander des comptes à l’un des hommes les plus riches et les plus puissants de l’histoire de la planète sont discrètement financées par lui. Ce conflit d’intérêts est celui que les médias institutionnels ont largement tenté d’ignorer, tandis que le philanthrope prétendument altruiste qu’est Gates continue de s’enrichir, en riant aux éclats. »Voir la liste non exhaustive des médias arrosés par Gates ici, ainsi qu’un très intéressant développement sur le philathro-capitalisme. 
  95. Le vacciné participe sans son consentement à une gigantesque expérimentation médicale. Nous sommes donc pleinement en contradiction avec la loi. N’est-il pas fascinant que dans un bel unisson toute la classe politique confondue et toutes les rédactions de presse foulent au pied la Convention d’Oviedo que la Suisse a ratifié en 2008 et la France en 2012, dans le but d’encenser un produit qui n’a même pas encore reçu d’autorisation de mise sur le marché ? Pourquoi avoir pendu des nazis à Nuremberg pour en arriver là ? La situation s’est encore aggravée depuis que j’écris ces lignes car nous n’en sommes plus au consentement non éclairé mais à la coercition vaccinale, ce qui permettra d’ôter toute circonstance atténuante quand ces bureaucrates comparaîtront devant la cour martiale internationale. 
  96. Seul Bruno Riondel a dressé une analyse saisissante et percutante de la situation dans son intervention « D’octobre 17 au grand reset ». 
  97. Pour vous donner une idée du flicage déjà en place, regardez ce que votre IPhone enregistre à votre insu comme données sur vous. : 
  98. Sauf si l’on exclut la Suède, et quelques autres pays comme la Tanzanie —dont le président John Magufuli, n’a pas voulu reconnaître la pandémie, a demandé aux médias de ne pas parler de l’infection, mais qui est décédé dans des conditions étranges non sans avoir montré en Mai 2020 la fraude des tests PCR positifs de manière aussi drôle que concluante avec des échantillons de Durian et autres fruits ou animaux (chèvres et caille) ! 
  99. https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf. Lire aussi dans IL FOGLIO du 4 Mai 2020 au sujet de Ioannidis : « Ioannidis est bien connu pour avoir écrit peut-être l’article scientifique le plus lu de l’histoire de la biomédecine, qui s’intitule Pourquoi la plupart des résultats produits par la recherche sont faux. La thèse était que la plupart des études menées dans le domaine biomédical ne sont pas reproductibles. Non seulement ou pas tant en raison du fait que de nombreuses expériences sont mal conçues – Ionannidis le reconnaît et stigmatise la négligence et l’angoisse de publier des données – mais parce que la variabilité causale inhérente aux phénomènes étudiés rend certains résultats faux. Il s’agit d’un concept quelque peu sophistiqué pour une communauté scientifique cherchant à appliquer des modèles mécanistes aux phénomènes darwiniens » Ah ! qu’en termes galants ces choses-là sont mises (Le Misanthrope, I, 2, 314). 
  100. Le Dr. Richard Horton, éditeur en chef de la prestigieuse revue « The Lancet » déclare: « Les accusations contre la science sont simples : une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est tout simplement fausse … la science a pris un virage vers l’obscurité. »Le Dr. Marcia Angell enfonce le clou : « Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée … Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, que j’ai atteinte lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédactrice en chef du New England Journal of Medicine ».Qu’en est-il d’une « vérité scientifique » réduite à la statistique dans un champ aussi complexe que la « Médecine » ? 
  101. Ce remarquable article de l’équipe Kennedy nous donne une idée précise du panier de crabes en action. Plus de 50 millions d’Américains ont perdu leur emploi à l’automne 20 tandis que la fortune des milliardaires a augmenté de mille milliards de dollars soit 40 milliards par semaine en moyenne. 
  102. Voir son intervention devant la haute autorité Rabbinique d’Israël, ainsi que sa récente interview de cet homme admirable qui n’a de compte à rendre qu’à Dieu. Il a probablement soigné à lui seul plus de cas de Covid que n’importe quel autre et dénonce le mise en route d’un génocide planétaire. 
  103. Voir l’interview du Dr . Bhakdi. 
  104. Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer dont il fut scientifique en chef pour les allergies et les voies respiratoires, a passé 32 ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le poste de recherche le plus élevé» en son domaine. Il dénonce la propagande des gouvernements au sujet du COVID-19, y compris le «mensonge» de variants dangereux, l’aspect totalitaire des «passeports vaccinaux» et la forte possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait conduire à quelque chose de bien pire que les guerres et les massacres du 20e siècle. 
  105. Le CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) a déposé en date du 28 juin dernier devant la CPI une plainte pénale avec demande d’ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide, sous le numéro OTP-CR-271/21visant le président Emmanuel Macron, le gouvernement et les haut-fonctionnaires impliqués dans la gestion criminelle de l’épidémie de Covid. 
  106. La plainte déposée début Mars 2021 devant le TPI a été reçue. L’organisation People of Truth a déposé une plainte contre le gouvernement israélien, qui mène des expériences illégales sur des citoyens israéliens au travers de la vaccination Pfizer. L’avocate Ruth Makhachovsky a déclaré à Israel News : « L’expérience que Pfizer mène dans l’Etat d’Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye. Nous attendons maintenant une décision. » Lien vers les observations du Conseil européen. 
  107. Voir ici l’article de Nicole Delépine, « Un jour viendra où les négationnistes des traitements précoces devront rendre des comptes. En Inde, une représentante de l’OMS est mise en accusation. » 
  108. Alexis de Tocqueville (1835), De la démocratie en Amérique I (deuxième partie), chapitre X. 
  109. Les intrications sont probablement plus complexes encore que les liens féodaux du Moyen-Age, j’ai voulu simplifier ici en ne citant que les plus grands noms.La famille Wallenberg par exemple détient des parts de Astra-Zeneca par intermédiaire de sa très puissante société d’investissements Investor AB. Mais il y a aussi des miracles … il faut suivre le parcours exceptionnel d’un des membres de la famille, Raoul Wallemberg qui sauva la vie de plusieurs milliers de juifs pendant la guerre.Pour le lien entre l’agriculture et big-pharma, on peut simplement remonter à Elf-Aquitaine (qui sera absorbé par le groupe Total) et à la création de Sanofi … le lien est direct. Il est tout aussi direct avec le monde du luxe : famille Bettencourt (avec André Bettencourt en leader cagoulard et collaborateur) et la famille Arnault (avec là aussi le père et le beau-fils, Xavier Niel, qui s’occupe d’agriculture depuis peu de temps).Nous sommes ici très près des fabricants d’armes Lagardère et Dassault.On se souviendra alors de l’affaire Elf et de ce personnage extrêmement trouble qui a rôdé dans les souterrains du pouvoir à partir des années 30 : Etienne Léandri … collaborateur, agent de la mafia sicilienne en France, donc lié à la CIA, « parrain protecteur » de Charles Pasqua et grand stratège de la « France Afrique » …Quand on est sur les traces de Léandri, on remonte assez vite à Georges Alberini, collaborateur lui aussi et parrain du patronat français. Conseiller de l’ombre de Georges Pompidou … duquel sera proche Jacques Chirac.Pompidou, agent Rothschild (dont Vincent Bolloré, qui rachètera la banque Worms, protectrice d’Albertini après-guerre, est l’un des membres par sa grand-mère), qui organisera la réforme financière qui donnera naissance à la dette d’état.Dans cette réforme financière, seront sans doute associés Michel Cicurel (frère de Ilana Cicurel, cousine de Tristan Mendès-France qui ont tant critiqué le film Hold Up à sa sortie) et un certain Jean-René Bernard, banquier condamné, dont la fille est Présidente, nommée par Emmanuel Macron, de la CNIL et le beau-fils, le président très controversé de la 7ème banque française (qui détient la cagnotte Leetchi), sommé très récemment de démissionner sous la pression, mais remplacé par un certain Julien Carmona, copain de promotion d’Edouard Philippe. Julien Carmona dont le père n’était autre que l’un des derniers confidents de …. Etienne Léandri …Dont l’un des proches était Achille Peretti, beau-père de … Nicolas Sarkozy, bien entendu, dont le nom est apparu, rapidement, dans l’affaire de drogue « Air Cocaïne » … mais ceci est une autre histoire, même si le trafic de drogue est complètement lié à big-pharma et aux découvertes des chercheurs allemands de chez Bayer. La morphine sera diffusée en masse pendant la première guerre mondiale, au moment où on constatera l’efficacité des nitrates chimiques sur la pousse de l’herbe rendue plus haute et plus verte dans les champs de bataille de Verdun… 
  110. Macron ou Trudeau constituent à cet égard des exemples typiques de psychopathie avec leurs belles gueules. Ils sont si pervers que même les employer à jardiner ne serait pas sans danger… Voyez l’analyse remarquable de Macron par un grand professeur de psychiatrie italien. 
  111. Le divorce du couple Melinda et Bill repose non seulement sur son infidélité débridée mais probablement aussi dans la relation de Bill avec le sinistre Epstein « suicidé » dans sa cellule.Dans la biographie de 1997 Overdrive : Bill Gates et la course pour contrôler le cyberespace, le biographe James Wallace a déclaré que le style de vie extravagant de Bill Gates était connu de la plupart des gens, mais que la presse grand public avait décidé de ne pas y faire allusion. Le “mythe” Gates ne pouvait pas être touché. Le fondateur de Microsoft, en effet, aurait payé à l’époque des danseurs pour nager nus avec ses invités dans sa piscine couverte. Rien de nouveau, pour ceux qui le connaissaient vraiment : à Harvard, le magnat était « habitué à fréquenter la Combat Zone à Boston, avec ses shows pornos, ses prostituées et ses clubs avec des strip-teaseuses ». Un style de vie de rock star qu’il a ensuite maintenu, précise Wallace, même dans les premières années avec Melinda.En 2013 Epstein et Gates visitent Strasbourg pour avoir une vue complète de l’organisation de la santé en Europe. A cette époque ce dernier n’est que le PDG de Microsoft. Il en profite pour aller en Norvège afin de tenter de corrompre le jury prix Nobel pour se faire décerner le prix Nobel de la paix. Epstein était son pass car il a piégé de nombreuses têtes couronnées — il fournissait par exemple le Prince Andrew en filles. 
  112. Voir La Guerre des Monnaies classique devenu le livre de chevet des membres du Comité Central du Parti Communiste et des banquiers chinois. Le best-seller chinois de Hongbing Song, déroule l’histoire de la grande cabale monétaire qui a façonné le monde depuis plus de deux cents ans, de la constitution de la dynastie des Rothschild la fin du 18ème siècle jusqu’à la crise de 2008. 
  113. Le premier à se faire berner par les financiers Rothschild fut le roi d’Angleterre. Nathan est aussi à cet égard le pionnier de l’utilisation de la panique et de la fausse nouvelle : ayant appris la nouvelle de la défaite française de Waterloo 24 heures avant tout le monde, il s’installe à la Bourse, appuyé sur « son pilier » favori et commence à vendre. Tout le monde se dit que Rothschild « sait quelque chose », chacun se met à liquider ses positions. A la fin de la journée, Nathan rachète l’ensemble de la Bourse pour 5% de sa valeur. Bonaparte à peine élu Premier Consul crée la Banque dite de France, une institution privée, au même titre par exemple que la Fed américaine. Ce sont ces banquiers suisses dépendant aussi des Rothschild qui feront et déferont le Premier Empire dès que l’Empereur ne servira plus assez leurs intérêts. 
  114. L’ouvrage indispensable est Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, de Quigley. L’auteur développe et explique à partir d’abondantes pièces d’archives que les élites anglo-saxonnes ont élaborées, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, un véritable plan de bataille afin de permettre à l’Empire britannique associé aux États-Unis d’asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l’œuvre d’une poignée d’hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. Tout un groupe, issu de la haute aristocratie et bourgeoisie britannique en liaison avec une élite américaine, émerge. Fort d’un travail de bénédictin, Carroll Quigley recense les noms et expose les ambitions de cette « super classe « ou « famille technocratique » avant l’heure définie par des liens sociaux et familiaux étroits.Si vous n’avez jamais entendu parler du Groupe Milner (que se muera plus tard en d’autres associations comme Bilderberg), et si les noms de Sazonov, ou Izvolsky, vous sont étrangers alors vous devez lire aussi Docherty et McGregor, qui ont montré —à la suite de Quigley— les ressorts secrets de la Première Guerre mondiale dans Les origines secrètes de la première guerre mondiale. Leurs travaux sont largement confortés par McMeekin dans son fameux Russian Origins of the First World War
  115. Je renvoie le lecteur aux principaux ouvrages de Bruno Riondel touchant au communisme. Son classique L’effroyable vérité montre les horreurs de la mise en place du système et de l’ingénierie sociale, et démontre que le communisme n’est pas mort et qu’il présente des liens profonds avec le capitalisme. Une excellente conférence, censurée par YouTube se trouve ici
  116. Conclusions du Conseil européen sur la COVID-19, l’énergie, le commerce et les relations extérieures, 21 octobre 2021 :“accroître encore les taux de vaccination”“vaincre la méfiance en luttant contre la désinformation sur les réseaux sociaux”“coordination pour faciliter la libre circulation” (ce qui signifie passe sanitaire en langage diplomatique)“mesures législatives relatives à l’union de la sant锓accès aux médicaments dans tous les Etats membres”“accès aux vaccins pour tous”“rôle fort et central de l’OMS dans la future gouvernance mondiale de la sant锓traité international sur les pandémies”Dans son excellent article du Courrier des stratèges, Éric Verhaeghe de conclure : « Cette énumération permet de vérifier à quel point les gouvernements européens sont ligués autour d’un “mainstream” commun en matière de pandémie, avec des éléments de langage qui reviennent sans cesse à tous les étages de la fusée multilatérale.On retiendra du conseil européen qu’il vise aussi à préparer la réunion du G20 où la question de la pandémie sera évoquée. Nous baignons ici dans les eaux du multilatéralisme le plus pur. On découvre que les dirigeants européens parlent de préparer la “future gouvernance mondiale de la santé” avec l’OMS. On n’avait pas clairement entendu parler de ce projet entre nous, et on le découvre un peu sans qu’il n’ait été discuté par personne. Au fond, c’est en lisant les conclusions des Conseils européens qu’on comprend ce qui se trame en sous-main dans les arcanes du monde multilatéral. L’idée dominante est de transformer l’Organisation Mondiale de la Santé en structure de gouvernance mondiale pour les pandémies. C’est donc l’OMS qui déciderait de tout : des vaccins, des traitements, des mesures d’urgence.Pareil transfert de souveraineté n’est évidemment ni expliqué aux peuples de l’Union, ni discuté avec eux. La décision est prise et il n’y a plus qu’à l’appliquer. La pandémie aura donc aussi servi à déposséder les peuples de leurs droits et à favoriser l’avènement d’une caste multilatérale toute-puissante. » 
  117. Voir Théorie et pratique du collectivisme oligarchique de J.B.E. Goldstein. Quels que soient l’origine sulfureuse de l’ouvrage, supposément daté de 1948, ou ses liens avec le fameux 1984 d’Orwell (Eric Arthur Blair de son vrai nom), le texte nous éclaire sur la pensée mondialiste et ses ressorts : le rôle du secret, des alcôves de la République et des sociétés secrètes, sur cette aristocratie cachée qui a coupé la tête du roi pour recréer sa propre aristocratie obscure et avilie, et qui lutte contre le catholicisme pour recréer sa propre religion syncrétique et anti-catholique. On trouvera dans un site qui met Karl Polanyi à l’honneur —l’auteur de la Grande Transformation— un article intéressant sur le supposé Goldstein. 
  118. Nous reviendrons plus loin sur le sinistre personnage de Jacques Attali, grand-prêtre des mondialistes depuis toujours, et qui est aussi celui qui a fait la fabrication et la promotion de Macron. Citons ici son article de 2009 « Avancer par peur » : Une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé. Admirons au passage le sublime oxymore de l’altruisme intéressé, et Jérusalem comme future capitale du nouvel ordre mondial. 
  119. Je fais allusion ici à l’ouvrage de Claire Séverac: La guerre secrète contre les peuples, un essai parfaitement documenté sur des faits sciemment négligés voire rejetés par nos médias tous dans la main de cette caste omnipotente. Le lecteur ne trouvera que des faits avérés, difficilement contestables et patiemment compilés par Claire Séverac qui, sans doute, paya de sa vie son honnêteté et son intégrité. Ce livre est une somme et même un ouvrage de référence sur ce sujet sensible. Et les derniers développements de cette course folle et mortifère vers ce « nouvel ordre mondial «, comme ils l’appellent pour ne pas dire « dictature globale «, ne font que confirmer ses dires. C’est un réquisitoire en règle. Tout y passe depuis le programme « HAARP « qui consiste à bombarder l’ionosphère d’ondes à très hautes fréquences pour déclencher artificiellement tempêtes, tremblements de terre, voire tsunamis, jusqu’aux OGM en passant par les nanotechnologies, la bio-ingénierie, le transhumanisme, sans oublier toutes les arnaques comme le prétexte climatique ou sanitaire avec les campagnes de vaccination de Bill Gates dans le Tiers-Monde cause de stérilité des femmes ou de maladies bien plus graves. 
  120. Voir l’article du Courrier des stratègesPremière certitude : l’épidémie de covid-19 a commencé à Wuhan bien avant décembre 2019. Des photos américaines prises par satellite ont repéré deux fois plus de voitures que d’ordinaire sur les parkings des principaux hôpitaux de Wuhan dès le mois d’août 2019.Deuxième certitude : le gouvernement chinois, avec les réflexes typiques d’un régime communiste, a dissimulé le plus longtemps possible l’existence de l’épidémie et n’en a parlé au monde que contraint et forcé, en janvier 2020 quand elle n’était plus possible à dissimuler.Troisième certitude : Le Dr. Anthony Fauci a tout fait pour empêcher Donald Trump de remonter la piste d’un accident de laboratoire au P4 de Wuhan car il avait, directement ou indirectement, autorisé des financements à destination du laboratoire de Wuhan.  Les révélations se sont multipliées à cet égard ces dernières semaines. En bref, les recherches dites de “gain de fonction”, consistant à transformer le génome de virus pour le rendre plus dangereux pour l’homme a été interdite aux Etats-Unis entre 2013 et 2017. Des chercheurs américains ont pu néanmoins continuer à faire de telles recherches au laboratoire de Wuhan avec, entre autres ressources, de l’argent du Pentagone transféré par une ONG appelée EcoHealth Alliance.  Le 20 juillet 2021, Anthony Fauci avait encore nié  l’existence de ce type de recherches mais un réseau de chercheurs appelé DRASTIC (Decentralized Radical Autonomous Search Team Investigating COVID-19) ne cesse d’amener des preuves du contraire.Quatrième certitude: la thèse de la transmission naturelle du virus à l’homme a de moins en moins de partisans. La thèse d’un accident de laboratoire devient majoritaire, d’autant plus que tout le monde s’accorde à dire que les Chinois ont mené avec un niveau de sécurité 2, à Wuhan, des recherches qui demandaient un niveau de sécurité 4.Cinquième certitude: l’Armée chinoise se serait bien passée de la publicité faite au laboratoire de Wuhan puisqu’elle y menait, en lien avec la recherche civile, une recherche sur les armes biologiques du futur. 
  121. L’article très raisonné et persuasif, du journaliste Nicholas Wade a marqué la prise de conscience de la manipulation virale. Bien que l’auteur ait passé plus de quatre décennies comme grand reporter scientifique au New York Times et dans d’autres grands médias, son travail a été discrètement publié le 2 mai sur le site de blogs Medium, sans aucun soutien ni imprimatur prestigieux, puis republié le 5 mai par le site à faible trafic du Bulletin of Atomic Scientists. On pourra aussi lire L’origine du Covid: retournement orwellien et pétard mouillé
  122. Des virologues affirment que des “empreintes” génétiques prouvent que le COVID-19 est d’origine humaine et qu’il n’a pas d’ancêtre naturel crédible. Bref résumé : l’étude suggère que des scientifiques chinois ont créé le virus alors qu’ils travaillaient sur un projet de gain de fonction dans un laboratoire de Wuhan.La recherche sur le gain de fonction, qui a été temporairement interdite aux États-Unis, consiste à modifier des virus naturels pour les rendre plus infectieux afin d’étudier leurs effets potentiels sur l’homme.Selon l’article, les scientifiques chinois ont pris la « colonne vertébrale » d’un coronavirus naturel trouvé chez les chauves-souris des grottes chinoises et y ont ajouté une nouvelle « pointe », le transformant en COVID-19, un virus mortel et hautement transmissible.Les chercheurs, qui ont conclu que le COVID-19 « n’a pas d’ancêtre naturel crédible », pensent également que les scientifiques ont procédé à une rétro-ingénierie des versions du virus pour brouiller les pistes.« Nous pensons que des virus de rétro-ingénierie ont été créés », a déclaré Dalgleish au DailyMail.com. Ils ont modifié le virus, puis ont essayé de faire croire qu’il était dans une séquence il y a des années ».L’étude fait également état de « destruction, dissimulation ou contamination délibérée de données » dans les laboratoires chinois et note que « les scientifiques qui souhaitaient partager leurs découvertes n’ont pas pu le faire ou ont disparu ».Jusqu’à récemment, la plupart des experts ont fermement nié que les origines du virus étaient autre chose qu’une infection naturelle passant des animaux aux humains.En début de semaine, le Dr Anthony Fauci a défendu le financement américain de l’Institut de virologie de Wuhan, affirmant que la subvention de 600 000 dollars n’avait pas été approuvée pour la recherche sur le Gain de Fonction. 
  123. Voir Covid-19 : l’origine du virus – L’analyse du Pr Tritto confirme celle du Pr Montagnier. Un livre polémique vient de sortir en Italie sur les origines de ce virus qui a bouleversé le monde au cours des six derniers mois. Le professeur Luc Montagnier, décrié dans les médias en avril dernier, voit son affirmation selon laquelle le virus était le résultat d’une manipulation humaine s’étant échappé (accidentellement) du laboratoire de Wuhan, aujourd’hui reprise dans ce livre.  Nous retraçons les évènements et les extraits d’une interview de l’auteur du livre, le Pr Tritto, dans le média italien Libero.Le 17 avril 2020, sur Cnews, le professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine en 2008 pour sa participation à la découverte du virus responsable du sida, confirmait sa déclaration que le SARS-CoV-2 est une fabrication humaine. « Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH » « Ce n’est pas naturel, c’est un travail de professionnel, de biologiste moléculaire, d’horloger des séquences. Dans quel but ? Une de mes hypothèses est qu’ils ont voulu faire un vaccin contre le sida »Le Pr. Montagnier fait sa démonstration le 30 Juillet 2020 dans un article paru sous contrôle de pairs, et qui ne sera jamais cité dans les autres revues —autocensure et omerta— ni les merdias. En résumé : « L’analogie suivante permet d’illustrer cette conclusion : imaginons un puzzle principal « coronavirus » de 30 000 pièces et après plusieurs autres puzzles de 9000 pièces chacun que nous appellerons VIH 1, VIH 2 et SIV (rétrovirus proche du VIH-2 dont la cible est le singe). La preuve mathématique démontrée, peut être illustrée de la manière suivante : dans le puzzle de 30 000 pièces, à un endroit précis se trouvent trois pièces contiguës (côte à côte) issues chacune de l’un des trois autres puzzles. La probabilité que ce résultat soit naturel est nulle. » 
  124. Un ancien communiste chinois, Wei Jingsheng affirme que le SARS-Cov2 a été inoculé volontairement lors des Jeux Militaires Internationaux qui ont eu lieu à Wuhan en octobre 2019. Dans le documentaire de Sky News intitulé « What Really Happened in Wuhan », l’ancien communiste chinois a déclaré que le gouvernement de Pékin aurait profité des Jeux mondiaux militaires pour répandre le virus.Cet événement a réuni 9.000 athlètes en provenance de différents pays du monde en octobre 2019, soit deux mois avant la déclaration officielle de l’existence du virus. Par ailleurs, cette rencontre sportive s’est tenue dans la ville de Wuhan, le premier foyer de l’épidémie.A l’époque, toujours selon M Jingsheng, les participants à l’évènement, notamment les athlètes allemands, français et américains, ont été atteints d’une maladie mystérieuse. Ils présentaient les symptômes du Covid-19 mais n’ont jamais fait l’objet d’un test. Voir aussi l’article de Mail Online
  125. Voir l’incontournable article de Eric Verhaeghe. « Dans ce troisième volet de l’enquête, nous allons voir comment l’Occident, Etats-Unis et France en tête, portent une lourde responsabilité dans l’émergence du COVID-19. Cela ne dédouane en rien la Chine communiste de sa responsabilité première et principale dans les origines et la diffusion de la pandémie. Cependant, c’est bien la recherche occidentale qui a permis à la chercheuse Shi Zhengli, de Wuhan, de devenir le Frankenstein de cette histoire, à qui sa créature monstrueuse a échappé. » 
  126. Ces machinations furent dénoncées en France par le Pr. Fourtillan qui s’est retrouvé emprisonné arbitrairement, hospitalisé de force en hôpital psychiatrique —les vieilles recettes soviétiques fonctionnent toujours. Voir sur Qactus. Le Pr. Montagnier a aussi été l’un des premiers à monter l’origine artificielle du virus avant d’être enseveli sous des torrents de calomnies de la part des merdias officiels, ses vidéos effacées de tous les supports comme Facebook. 
  127. Voir https://denisbider.blogspot.com/2021/07/dr-david-martin-with-reiner-fuellmich.htmlLes découvertes fondamentales réalisées par le Dr. David Martin au sein de son entreprise M-CAM. L’interview par Robert Füllmich montre que plus de 4000 brevets ont été déposés sur le Coronavirus et le SARS. Martin a comparé les enregistrements de brevets disponibles au printemps 2020 avec la séquence de gènes isolée en tant que nouveau virus défini comme tel par le Comité international sur la taxonomie des virus de l’OMS. Son équipe a ainsi trouvé plus de 120 éléments de preuve brevetées qui suggèrent qu’il ne s’agit en rien d’un nouveau coronavirus mais au contraire d’innombrables modifications très subtiles des séquences de coronavirus. Il n’y a donc pas en tant que tel de nouveau coronavirus identifié.../../../Downloads/david%20martin.png Le premier vaccin jamais breveté contre le coronavirus a été déposé par Pfizer et comprenait spécifiquement la protéine Spike « S » – cette même protéine qui aurait été inventée à la hâte. La première demande a été soumise le 28 janvier 2000.L’idée que l’on soit mystérieusement tombés sur le moyen de trouver si rapidement des vaccins n’est pas seulement ridicule, elle est carrément inconcevable. Le 28 janvier 2000, Timothy Miller, Sharon Klepfer, Albert Paul Reed et Elaine Jones ont déposé ce qui a finalement été publié sous le nom de brevet américain 6372224, à savoir le vaccin à protéine Spike contre le coronavirus canin.Le SARS n’est en rien l’évolution naturelle d’une modification zoogène du coronavirus. En 1999, Anthony Fauci a financé des recherches à l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill. À partir d’une demande de brevet déposée le 19 avril 2002, le NIAID a construit un coronavirus infectieux à réplication défectueuse ciblant l’épithélium pulmonaire humain. En d’autres termes, nous avons créé le SARS et nous l’avons breveté avant même qu’il n’y ait une prétendue épidémie en Asie, qui a suivi plusieurs mois après. Ce brevet américain 7279327 expose clairement dans un séquençage génétique très spécifique que nous connaissions le récepteur ACE, le domaine de liaison ACE-2, la protéine Spike S1 et d’autres éléments du Covid-19. Il a été conçu et transformé de manière synthétique en laboratoire à l’aide des technologies de séquençage des gènes, en prenant un code informatique pour le transformer en un agent pathogène ou en un intermédiaire d’agent pathogène. Au début, cette technologie a été financée exclusivement comme un moyen d’exploiter le coronavirus comme vecteur pour distribuer le vaccin contre le VIH.À l’automne 2001, M-CAM a commencé à surveiller un nombre énorme d’agents pathogènes bactériens et viraux qui étaient brevetés par le NIH, le NIAID, l’USAMRIID et d’autres agences internationales. Ils étaient préoccupés par le fait que le coronavirus était considéré non seulement comme un agent manipulable potentiel pouvant être utilisé comme vecteur de vaccin, mais aussi comme un candidat à l’arme biologique.La prétendue épidémie de SARS qui a eu lieu en Chine en 2002-2003 a donné lieu à un dépôt de brevet problématique en avril 2003 par le CDC américain. Celui-ci a déposé une demande de brevet sur la séquence génétique complète de ce qui est devenu le coronavirus du SARS, ce qui constitue une violation de la section 101 de l’article 35 USC — on ne peut pas breveter une substance naturelle. Il s’agissait du brevet 7220852, avec des brevets dérivés, notamment les brevets 46592703p et 7776521. Ces brevets couvraient également les moyens de détection du coronavirus par RT-PCR.Cela pose problème car celui qui possède à la fois le brevet sur le gène lui-même et sur sa détection possède du même coup l’avantage de pouvoir contrôler à 100% la provenance non seulement du virus lui-même mais aussi sa détection. Vous avez un contrôle total de l’aspect scientifique et de la communication.Ce brevet demandé par le CDC a été prétendument justifié par son équipe de relations publiques dans le but de permettre à tout le monde de faire des recherches sur le coronavirus. C’est un mensonge car l’office des brevets a rejeté à deux reprises le brevet sur la séquence du gène comme étant non brevetable – l’office des brevets a trouvé une identité de 99,9% avec le coronavirus déjà existant dans le domaine public. Malgré le rejet de l’examinateur de brevets, et après avoir dû payer une amende en appel en 2006 et 2007, le CDC a passé outre le rejet de l’office des brevets et a finalement obtenu en 2007 le brevet sur le coronavirus du SARS.Toutes les déclarations du CDC selon lesquelles il s’agissait de l’intérêt public sont démenties par le pot-de-vin qu’il a lui-même versé à l’office des brevets. Le CDC a payé une taxe supplémentaire pour que leur demande reste privée. Les fact checkers ont déclaré à plusieurs reprises que le nouveau coronavirus SARS-CoV-2 est distinct du brevet des CDC. La séquence génétique déposée par les CDC en 2003, 2005 et 2006 présente une identité dans 89 à 99 % de la séquence qui recouvre le SARS-CoV-2. La désignation principale du coronavirus du SARS et le sous-clade SARS-CoV-2 doivent se chevaucher d’un point de vue taxonomique.Le 28 avril 2003, Sequoia Pharmaceuticals, situé dans le Maryland, a déposé le brevet américain 7151163 sur les agents antiviraux pour le traitement et le contrôle des infections par coronavirus. C’était 3 jours après que le CDC ait déposé le brevet sur le coronavirus du SARS. Sequoia Pharmaceuticals et, en fin de compte, Ablynx Pharmaceuticals, ont été intégrés dans les fonds propres de Pfizer, Crucell et Johnson & Johnson. Comment peut-on avoir un brevet sur un traitement pour une chose qui a été inventée 3 jours plus tôt ?Le brevet de Sequoia sur le traitement du coronavirus a été délivré et publié avant que le brevet du CDC sur le coronavirus ne soit autorisé. La seule façon pour Sequoia de connaître les informations contenues dans le brevet du CDC était par un moyen interne, car le CDC avait payé pour garder le secret. C’est la définition même de la conspiration criminelle, du racket et de la collusion. Ce n’est pas une théorie, c’est une preuve. C’est une affaire RICO.Le schéma RICO établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s’est déroulé selon le même calendrier pour le SARS-CoV-2. Moderna a obtenu la séquence de la protéine spike par téléphone auprès du centre de recherche sur les vaccins du NIAID avant la définition de la nouvelle sous-classe. Comment traite-t-on une chose avant de la connaître ?Le 5 juin 2008, soit à peu près au moment où la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency (« Agence pour les projets de recherche avancée de défense) s’est intéressée activement au coronavirus en tant qu’arme biologique, Ablynx, qui fait maintenant partie de Sanofi, a déposé une série de brevets visant ce que l’on nous a dit être de nouvelles caractéristiques du SARS-CoV-2. Ils visaient le site de clivage polybasique du SARS-CoV, la nouvelle protéine de pointe et le domaine de liaison du récepteur ACE-2. Ces éléments sont prétendument nouveaux pour le SARS-CoV-2, et tous ont été brevetés le 5 juin 2008. Les brevets ont été délivrés entre le 24 novembre 2015 (brevet américain 9193780 ; celui-ci a été délivré après le moratoire sur la recherche sur le gain de fonction, après l’épidémie de MERS au Moyen-Orient), suivi en 2016, 2017, 2019 par une série de brevets couvrant non seulement les brins d’ARN mais aussi les sous-composants des brins de gènes, tous délivrés à Ablynx et Sanofi.Crucell, Rubius Therapeutics, Children’s Medical Corporation, et de nombreux autres, dont la Ludwig Maximilian’s Universität de Munich, Protein Science Corporation, le Dana Farber Cancer Institute, l’Université de l’Iowa, l’Université de Hong Kong, le Chinese National Human Genome Center de Shanghai, tous identifiés dans des dépôts de brevets allant de 2008 à 2017, chaque attribut étant prétendument publié de manière unique par la seule publication de référence «The Novel Bat Coronavirus», l’article qui a été systématiquement utilisé pour identifier le nouveau virus.Si vous regardez réellement ce qu’ils déclarent être nouveau, vous trouvez 73 brevets délivrés entre 2008 et 2019 qui ont les éléments qui étaient prétendument nouveaux dans le SARS-CoV-2. Plus précisément, le site de clivage polybasique, le domaine de liaison du récepteur ACE-2 et la protéine spike.Il n’y a pas eu d’épidémie de SARS parce que nous avions modifié tous les éléments de ce virus. En 2016, un article de Ralph Baric a été financé pendant le moratoire sur le gain de fonction, disant que le coronavirus du SARS était prêt pour l’émergence humaine. À ce moment-là, non seulement il était prêt pour l’émergence humaine, mais il avait été breveté 73 fois pour une exploitation commerciale !Les gens de Moderna savaient qu’ils allaient être placés en première ligne du développement d’un vaccin en mars 2019. À ce moment-là, pour des raisons qui ne sont pas transparentes, ils ont modifié une série de dépôts de brevets rejetés pour faire spécifiquement référence à une libération délibérée ou accidentelle de coronavirus. Ils ont modifié 4 demandes de brevet rejetées pour commencer le processus de développement d’un vaccin contre le coronavirus. Ensuite, ils ont commencé à s’attaquer à un problème de taille, à savoir qu’ils s’appuyaient sur une technologie qu’ils ne possédaient pas. Deux entreprises canadiennes, Arbutus et Acuitas, détiennent en fait le brevet sur l’enveloppe de nanoparticules lipidiques nécessaire à l’injection du fragment d’ARNm. Ces brevets ont été délivrés au Canada, aux États-Unis et dans le monde entier. Moderna ne possédait pas les droits et a commencé à négocier avec Arbutus et Acuitas pour obtenir une résolution de la technologie LNP disponible pour l’intégrer dans un vaccin. En novembre, la société a conclu un accord de coopération en matière de recherche et développement avec l’UNC Chapel Hill en vue d’obtenir la protéine Spike à placer à l’intérieur du LNP, de sorte qu’elle disposait d’un candidat-vaccin avant même qu’un agent pathogène ne soit prétendument en circulation.Leur procédure régulière est similaire à celle d’autres sociétés pharmaceutiques, où les demandes sont renouvelées et modifiées en permanence pour bénéficier des premières dates de priorité disponibles. De 2016 à 2019, à chacune des réunions du conseil consultatif du NIAID, Anthony Fauci se lamentait de ne pas avoir réussi à trouver un moyen de faire accepter le vaccin universel contre la grippe, qui était sa cible favorite pour amener la population à s’engager dans ce processus…En mars 2019, dans les dépôts de brevets modifiés de Moderna, nous voyons apparaître une pensée illluminante : «Et s’il y avait une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire ?» La phrase est exactement récitée dans le livre A World at Risk, qui est le scénario mis en place par l’OMS en septembre 2019 – des mois avant qu’il y ait un pathogène présumé – qui dit : «Nous avons besoin d’une expérience mondiale coordonnée de la libération d’un pathogène respiratoire, qui, d’ici septembre 2020, doit mettre en place une capacité universelle de gestion des relations publiques, de contrôle des foules et d’acceptation d’un mandat universel de vaccination.» Le langage d’une libération intentionnelle d’un pathogène respiratoire a été écrit dans le scénario qui «doit être achevé d’ici septembre 2020» dans la déclaration unifiée du Global Preparedness Monitoring Board. Un certain nombre de personnes s’en sont attribuées le mérite, puis ont fait marche arrière.Toute affirmation selon laquelle cet agent pathogène est en quoi que ce soit unique ou nouveau s’effondre sur les séquences génétiques réelles qui sont publiées dans le dossier de brevet. Plus grave encore, Peter Daszak lui-même déclare que nous devons créer un battage médiatique pour que le public accepte la contre-mesure médicale que constitue un vaccin contre le pan-coronavirus. Ce qui est le plus ridicule, c’est que l’OMS a déclaré que le coronavirus n’avait plus d’intérêt – que nous avions éradiqué le coronavirus en tant que préoccupation. Alors pourquoi, après l’avoir éradiqué en 2007 et 2008, avons-nous commencé à dépenser des milliards de dollars dans le monde pour un vaccin contre une maladie qui avait été éradiquée par déclaration en 2008 ?Cette arme biologique était considérée comme très malléable. En 2005, c’était incontestablement une arme de choix. L’illusion dans laquelle nous continuons à voir des personnes bien intentionnées se faire piéger consiste à discuter de la question de savoir si nous disposons d’un vaccin contre un virus. Ce n’est pas le cas. Nous injectons une séquence ARNm de protéine de pointe qui est le résultat d’une simulation informatique, non dérivée de la nature, d’une séquence qui est connue et brevetée depuis des années.La nature ridicule de l’histoire selon laquelle il s’agirait d’un traitement prophylactique ou préventif va à l’encontre de toutes les preuves. Les preuves montrent clairement qu’aucune société pharmaceutique n’a fait d’efforts pour combattre le virus. Il s’agit d’injecter aux gens la protéine Spike S1, connue pour être nocive
  128. Un mot ici sur le concept de predictive programming qui consiste à faire passer les idées du développement mondialiste dans le monde courant. Il s’agit d’utiliser les émissions de télévision, les films, les bandes dessinées, les magazines, l’Internet bien sûr, les chansons, les animateurs, le ténors du genre Attali, etc. pour mettre dans la tête des masses l’idée d’un sujet spécifique. Puis, des années plus tard, le sujet devient réalité. C’est une méthode de lavage de cerveau, de sorte que lorsque les temps sont mûrs, il n’y a plus aucune difficulté à accepter l’idée comme normale. Bertrand Russell, HG Wells, et la famille Huxley sont de parfaits exemples —je passe ici tout ce qui concerne les Black Lives Matter ou même les Antifas — voir The Quad, S02.Les simulations diverses issues des grandes fondations jouent le même rôle. La « Rockefeller Foundation » nous prévient ainsi du maintien sous ferme contrôle de la population même après que l’épidémie soit terminée : “Even after the pandemic faded, this more authoritarian control and oversight of citizens and their activities stuck and even intensified. In order to protect themselves from the spread of increasingly global problems — from pandemics and transnational terrorism to environmental crises and rising poverty — leaders around the world took a firmer grip on power (p.19)”Les Protocoles des sages de Sion : quel qu’en soit l’auteur, les Protocoles ne font jamais qu’envisager la prise de pouvoir souterraine par une caste déterminée, tout en reprenant des idées qui étaient dans l’air du temps à la fin du 19ème siècle. Après tout, la démocratie ne serait-elle pas un masque et un moyen transitoire permettant d’instaurer une forme de despotisme d’origine orientale. C’était là, en tout cas, chose que pressentait le marquis de Custine, dans ses Lettres de Russie, dès la première moitié du 19ème siècle. La pertinence du texte écrit voici au moins cent ans laisse pantois : tout ce qui nous arrive aujourd’hui semble y être décrit. Je laisse au lecteur le soin de creuser cette piste qui sort de ma compétence.Dans La machine à explorer le temps (1895) HG Wells décrit le monde du futur où les habitants de la planète sont séparés en deux groupes, les Morlocks vivant sous terre et les Eloïs profitant du paradis qu’est devenu la Terre.Dans Le Meilleur des mondes (1932) Aldous Huxley a gratifié le monde d’une fiction visionnaire qui se rapproche de la réalité. L’esprit du livre a inspiré des générations entières de romanciers et de philosophes. Sexe, drogue, sécurité, loisirs, manipulation : Aldous Huxley avait tout compris. Serge Carfantan écrit un résumé de la pensée d’Aldous en 2007 —intitulé « Leçon 163 : Sagesse et révolte » :« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. […]Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste.Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée.Surtout pas de philosophie. Là encore il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des informations et des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif.On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique.Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains.Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté : de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. »Les films : Songbird qui évoque à peu près tout depuis la pandémie, au port obligatoire des masques et la passe sanitaire ; L’armée des 12 singes avec la dissémination volontaire d’un virus mortel ; The Crossing, on y parle d’un virus pandémique qui a été libéré dans le monde deux ans dans le futur et qui s’est répandu dans le présent. Bien sûr, on cite les vaccins toxiques et la mise en quarantaine également. Cette série est sortie en 2018, bien avant cette pandémie. 
  129. Voir ici, l’article de l’Obs glorifie Gates qui a prévu la pandémie alors qu’elle était planifiée depuis le début des années 2000. 
  130. Dès le mois d’Octobre 2019, la simulation Event 201 tenue à l’Université Johns Hopkins en présence du gratin mondialiste, étudiait l’impact d’une pandémie au coronavirus. Quand on possède tout, il n’est même plus besoin de se cacher pour comploter. Gates a par la suite osé prétendre qu’il n’était pas présent à la réunion. La lecture des recommandations ne manque pas de sel quand on connaît le niveau de corruption et d’interpénétration des toutes les instances citées. « Industry, national governments, and international organizations should work together » et « Governments and the private sector should assign a greater priority to developing methods to combat mis- and disinformation” pour ne citer que ces deux-là. 
  131. Voir le reportage ahurissant sur ce triste sire, qui a triplé sa fortune depuis qu’il est devenu « philanthrope. » Le bon Gates annonçait il y a 6 ans la survenue d’une épidémie mondiale avec un virus proche de la grippe. 
  132. Vous pouvez l’écouter ici dans une version plus « soft » que la vidéo d’origine où il s’exprime de manière très excitée avec de grands gestes simiesques. 
  133. Discours de Bill Gates, « Innover vers zéro » à la conférence annuelle TED2010 à Long Beach en Californie, le 18 février 2010. Ce dernier déclare vers la minute 4, Gates déclare : « Voyons d’abord la population. Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de gens. Il se dirige vers environ 9 milliards. Or, si nous faisons un excellent travail sur de nouveaux vaccins, soins de santé, services de santé génitrice (reproductive), nous abaissons cela de 10 ou 15 pour cent. »../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-10-26%20à%2011.34.53.png 
  134. Aujourd’hui, nous remarquons que la crise sanitaire mobilise dans un accord presque parfait pouvoir politique, médias, administration, partis politiques, syndicats, institutions scolaires, institutions culturelles, religions… tous suivant comme un seul homme le pouvoir, sans esprit critique. Mais le plus important c’est la formidable manipulation des esprits dont nous sommes victimes. Les ingénieurs sociaux du communisme instrumentalisaient les crises et les fléaux, dramatisaient sciemment pour maintenir les individus dans l’anxiété permanente et obtenir une soumission accrue. L’instrumentalisation des pénuries, le soupçon permanent de complot qui était dénoncé, la dramatisation de l’épidémie… étaient des pratiques courantes pour tenir les masses par la peur, les rendant totalement dépendantes de l’Etat nourricier. 
  135. Voir l’interview de Marion Maréchal Le Pen : «Chaque Européen se verra attribuer une identité numérique qui contiendra toutes nos informations sociales, fiscales, bancaires et sanitaires pour mieux nous contrôler » 
  136. Citons ici l’essai de Sir Julian Huxley qui a inventé le terme de transhumanisme et fondé l’UNESCO : « La qualité des personnes et non la seule quantité est ce que nous devons viser : par conséquent, une politique concertée est nécessaire pour empêcher le flot croissant de population de submerger tous nos espoirs d’un monde meilleur ». 
  137. Le terme « transhumanisme » remonte aux années 1950, mais sa popularisation date des années 1990, lorsque les chercheurs commencent à cerner les promesses de la convergence NBIC : les nanotechnologies (N), la biologie (B), l’informatique (I) et les sciences cognitives (intelligence artificielle et sciences du cerveau -C) progressent et convergent de façon explosive. Le désir d’immortalité est au cœur de cette nouvelle religion qui prend la suite du scientisme et du positivisme. Seule la vision allopathique industrielle d’un homme composé d’organes permet d’asseoir ce nouveau délire, permettant déjà tous les trafics de fœtus via des constellations d’ONG.L’inventeur et propagandiste du transhumanisme est Sir Julian Huxley (1887-1975), biologiste de haut niveau, premier directeur de l’Unesco et cofondateur du WWF. Le mot « eugénisme » étant devenu sulfureux après les horreurs nazies, Julian Huxley inventa donc, en 1957, un néologisme synonyme d’eugénisme de gauche, le « transhumanisme ». Son frère Aldous Huxley (1894-1963) écrira « Le meilleur des mondes » décrivant la société eugéniste idéale en 1931. C’est l’un des nombreux exemples de predictive programming qui permet d’annoncer la direction que doit prendre le monde sous l’égide mondialiste. 
  138. Songeons que le Prince Philip demandait à se réincarner en virus particulièrement meurtrier. La surpopulation est l’un des thèmes récurrents des mondialistes. 
  139. Nous insérons ci-contre l’illustration de la page de couverture de « The Economist » de Mai 21 annonçant la future monnaie numérique qui nous sera servie après l’effondrement économique —il est probable que dès la rentrée les fonds de pension en faillite amèneront les gouvernants à annoncer la suite du programme. Ce qui est lassant avec les mondialistes, c’est leur côté « tradi » comme le dit si bien Pierre Hillard (voir une excellente conférence ici). Ils utilisent toujours les mêmes symboles : à gauche le temple, à droite l’œil qui sort des nuées au sommet de la pyramide (tout comme sur le billet de 1 dollar), la lettre G qui est celle des compagnons au second grade maçonnique. Comme rien n’est dû au hasard chez ces gens, il faut aussi remarquer la puce rectangulaire placée au milieu de la lettre G. Cela pourrait être une référence à peine voilée au contrôle des populations grâce à des implants, en coupe sagittale en effet le mésencéphale ressemble à la lettre G. Pour terminer, ce n’est même plus en Dieu que nous avons confiance mais dans la technologie.Nous nous souviendrons que les millionnaires veulent faire de l’argent, les milliardaires veulent faire l’histoire. Mais les multi-milliardaires vont plus loin dans leur délire de démiurges : ils veulent que l’humanité s’adapte à leurs besoins et à leurs souhaits. Quant aux personnes qui contrôlent des milliards et des milliards, eh bien, elles se soucient de nos souhaits autant que nous nous soucions des fourmis en balayant le jardin. 
  140. En tant qu’idéologie, la technocratie exalte la connaissance et l’expertise en tant que principales sources de pouvoir et d’autorité légitimes et pour affirmer qu’il existe « une meilleure façon de faire » que seuls les « experts » (par exemple, les ingénieurs, les scientifiques et les médecins) peuvent déterminer. 
  141. Voir la fameux brevet 060606 —troublante référence à l’Apocalypse de Jean— de Microsoft en vue de créer une monnaie numérique intégrée corporellement, sans doute testée au Rwanda. Un article intéressant ici
  142. Voir à cet égard le discours prophétique de Soljenitsyne à Harvard sur la perte du courage en Occident et la folie de détruire les murs porteurs de nos sociétés. Historiquement le meurtre de Louis XVI marque la première atteinte à l’image du père, qui incarne symboliquement la loi. Le mouvement s’est poursuivi jusqu’à nos jours où toutes les qualités viriles sont systématiquement niées au profit par exemple de notions délirantes comme la théorie du genre. 
  143. Comme le rappelle Eric Verhaeghe, immigration et libertés ne font qu’un seul et même sujet : « sont les deux faces d’un seul et même projet de dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé, servile et formaté pour les besoins d’un nouveau capitalisme de connivence ». « Le spéculateur américano-hongrois Soros, élève de Karl Popper, a créé une fondation qui prétend renverser, ou aider au renversement, des sociétés “traditionnelles”, c’est-à-dire des bons vieux Etats-nations occidentaux. Pour diluer leur identité, Soros n’a pas hésité à financer abondamment les ONG qui organisent la crise migratoire. Son projet est clair et assumé : il s’agit de diluer les vieilles résistances nationales en Europe, et de promouvoir un “activisme inclusif” grâce auquel nos sociétés ne feraient plus aucune distinction entre les individus, soit sur des critères culturels, ou ethniques, ou de genre. Dans cette vision de la société ouverte, l’obligation vaccinale, le passe sanitaire, le crédit social, la peur de la maladie, jouent des rôles essentiels. »Jeune Juif « adopté » par un SS, échappant ainsi au massacre généralisé, il est indéniable avec un tel bagage que Soros ne s’en est pas sorti indemne psychologiquement… 
  144. Notre amie, le Dr. Astrid Stuckelberger a réalisé un tour d’horizon de la corruption concernant l’OMS dans l’article ici. Elle souligne à juste titre le statut exceptionnel du GAVI, comparable à la BRI (Banque des Ressources Internationales, qui a servi à la City de New York à faire passer de nombreux brevets à l’Allemagne nazie jusque fin 1944). Ces deux institutions fonctionnent comme un état dans l’état : intouchables et inattaquables. 
  145. Gates a même envahi l’un des derniers bastions de résistance scientifique dans la médecine officielle en prenant le contrôle de Cochrane
  146. Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus. L’OMS —qui s’est illustrée pour sa gestion lamentable de l’épidémie si son but était l’intérêt des malades— n’est pas une organisation internationale œuvrant pour le bien de l’humanité, mais plutôt un organe accaparé par quelques groupes d’intérêt, où domine Bill Gates. Personne n’en parle mais la corruption systémique de l’OMS est telle que 200 millions de dollars sont dépensés chaque année en frais de voyage, ce qui représente plus que les crédits alloués à la lutte contre le sida. Tedros, constitue l’exemple type de ces hommes « moyens » comme on a décrit la plupart des nazis jugés à Nuremberg. Élu en 2017 à la tête de cette organisation désormais mafieuse, il a été membre du CA du Global Fund de 2009 à 2011, et président du conseil de la GAVI vaccine Alliance en 2008-2009 avant d’être élu à la direction de l’OMS. Signe que ces crapules n’ont plus la moindre limite : il avait nommé à son arrivée à l’OMS… Robert Mugabe comme ambassadeur de bonne volonté ! Le Guardian nous explique en 2015 que : A partir de janvier 1983, une campagne de terreur a été menée contre le peuple Ndebele au Matabeleland, dans l’ouest du Zimbabwe. Les soi-disant massacres de Gukurahundi appartiennent à la période la plus sombre de l’histoire post-indépendance du pays, lorsque plus de 20 000 civils ont été tués par la redoutable cinquième brigade de Robert Mugabe.Le bon Tedros, accusé de crime contre l’humanité, est le premier non-médecin à diriger l’OMS. Tedros est membre du « Front de libération du peuple tigré » (TPLF), une organisation terroriste, fondée en tant que parti révolutionnaire communiste, ceci explique sans doute l’extase qu’il manifeste pour le Parti communiste chinois au pouvoir. Au programme : traque des dissidents, camouflage d’épidémie de choléra, famine organisée, torture sur prisonniers politiques, vente de terrains éthiopiens à des firmes internationales prix bradés, répression brutale de manifestations (500 morts), j’en passe et des meilleures. Encensé par les médias complices, ce gibier de potence doit son élection à la Fondation Bill et Melinda Gates qui a su utiliser le processus labyrinthique de nomination dans l’Organisation. 
  147. Pour compléter le tour d’horizon au sujet de cette pourriture de Tedros, je recommande au lecteur la visite du blog de l’inestimable Liliane Held-Khawam
  148. Seule la Russie a inscrit l’an passé dans sa constitution que les lois nationales passent avant les lois internationales. Un véritable pied de nez aux institutions supra-nationales mondiales. Il semble que la liberté se trouve désormais de l’autre côté de l’ancien « Mur ». 
  149. Il est difficile de se représenter l’interpénétration de toutes ces instances. Il existe des liens étroits entre des organisations et des entreprises comme la Fondation Rockefeller, Microsoft, le lobby pharmaceutique et le groupe de la Banque mondiale, sans parler des prestataires de services secondaires. 
  150. La quasi-totalité de Big Pharma apparient à deux sociétés : Vanguard et BlackRock. Vanguard et BlackRock sont les deux principaux propriétaires de Time Warner, Comcast, Disney et News Corp, quatre des six sociétés de médias qui contrôlent plus de 90 % du paysage médiatique américain.BlackRock et Vanguard forment un monopole secret qui possède à peu près tout ce que vous pouvez penser. Au total, ils détiennent des participations dans 1 600 entreprises américaines, dont les revenus combinés s’élevaient à 9,1 milliards de milliards de dollars en 2015. Si l’on ajoute le troisième plus grand propriétaire mondial, State Street, leur propriété combinée englobe près de 90 % de toutes les entreprises du S&P 500.Vanguard est le principal actionnaire de BlackRock. Vanguard lui-même, d’autre part, possède une structure unique qui rend sa propriété plus difficile à discerner, mais beaucoup des familles les plus anciennes et les plus riches du monde peuvent être sourcées aux fonds Vanguard. 
  151. L’un des premiers objectifs des mondialistes fut d’abattre l’Ancien Régime. La ‘Révolution française’ a fait plus de morts en un mois au nom de l’athéisme que l’Inquisition au nom de Dieu pendant tout le Moyen-Âge et dans toute l’Europe. Ce fait a été démontré par un historien sérieux (et protestant), Pierre Chaunu. On en retrouve l’analyse dans le quatrième numéro hors-série de L’Homme Nouveau consacré à quelques mythes de l’histoire antichrétienne, dont l’Inquisition. Un ensemble d’extraits de cette analyse est ici.C’est Voltaire et le cher Jean-Jacques qui ont pour la première fois introduit la notion d’enrichissement illimité alors que le roi, tenu par la religion, n’aurait jamais osé rêver un tel scénario qui rendit possible l’émergence de la bourgeoisie puis des industriels. Voir absolument La Laïcité, mère porteuse de l’islam, par Odon Lafontaine, l’ouvrage de référence sur ces sujets. 
  152. Je suggère au lecteur d’entreprendre la lecture barbante mais éclairante du torchon fameux de Klaus Schwab intitulé Le Grand Reset. Pour gagner du temps, cet article pourra vous intéresser. Beaucoup des mondialistes sont d’obédience gnostique, en tant que tels ils adorent semer la confusion, notamment en tentant d’inverser les causes et les conséquences. On voit ici Schwab admettre en p222 que la pandémie est la moins mortelle que l’humanité n’ait jamais connue, ce qui ne l’empêche pas d’utiliser cette opportunité pour vouloir façonner le monde selon ses vues. 
  153. Voici l’arbre généalogique de Schwab, juste histoire de nous donner une vague idée de l’interpénétration de tous les acteurs de la crise actuelle. 
  154. Voir Glaser, A. (2020, July 8). Thousands of contracts highlight quiet ties between Big Tech and U.S. military. NBC News. https://www.nbcnews.com/tech/tech-news/thousands-contracts-highlight-quiet-ties-between-big-tech-u-s-n1233171Voir Usdin, S. (2020, March 19). DARPA’s gambles might have created the best hopes for stopping COVID-19. BioCentury. https://www.biocentury.com/article/304691/darpa-jump-started-technologies-behind-some-of-the-leading-covid-19-vaccine-and-antibody-hopes
  155. Ces organisations criminelles ont déjà été condamnées à de nombreuses reprises à payer des sommes énormes, qui ne sont qu’une goutte d’eau dans leur budget : 3,75 milliards pour GlaxoSmithKline ; 3,3 milliards pour Pfizer, etc. Voir la liste officielle de la FDAViolation Tracker Agency Summary Page, qui totalise 19, 5 milliards d’amendes au total. 
  156. Wood, P. M. (2018). Technocracy: The Hard Road to World Order. Mesa, AZ: Coherent Publishing, LLC.Fitts, C. A. (2019). Will ESG Turn the Red Button Green? The Solari Report.Fitts, C. A. (2020a). The State of Our Currencies: The End of Currencies. The Solari Report.Fitts, C. A. (2020b, May 27). The injection fraud – It’s not a vaccine. The Solari Report.Schinder, R. J. (2020, January 26). The Davos crowd embraces big global government. The Wall Street Journal.Schumacher, K. (2020, March 14). Technocracy and sustainable development. Redoubt News.White, J. (2020, April 27). Technocracy after COVID-19. Boston Review
  157. Voir les révélations de Martin Füllmich et du Dr. David Martin dans cette vidéo historique. David E. Martin est le fondateur et le président de M-CAM Inc, le leader international du financement de l’innovation, du commerce et des actifs incorporels. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques basé sur l’innovation et est l’associé directeur des Purple Bridge Funds. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques au monde – le CNBC IQ100 alimenté par M-CAM. Activement engagé dans le développement économique éthique mondial, le travail du Dr Martin comprend l’ingénierie financière et l’investissement, les conférences publiques, l’écriture et la fourniture de services de conseil financier à la majorité des pays du monde. Le Dr Martin est l’architecte et le fondateur du Global Innovation Commons et l’auteur du cadre juridique international des programmes Heritable Knowledge Trust et Heritable Innovation Trust. Il est à l’origine de programmes mondiaux visant à apporter la transparence des entreprises et des marchés boursiers aux industries extractives multinationales et a joué un rôle déterminant dans le rapatriement de la valeur dans les pays qui ont été victimes d’abus financiers et d’entreprises. 
  158. Voir dans « Grippes et Pneumonies » le chapitre consacré à la destruction de l’homéopathie sous l’égide de Rockefeller —injectant pour la manœuvre plus de 225 milliards de dollars actuels. Le second statut de l’AMA était « l’éradication de l’homéopathie du sol américain ». Voir enfin le travail documenté de Thierry Lestrade « Comment l’AMA a éradiqué ». 
  159. Selon M. Kory, l’OMS ne fait que participer aux tactiques d’un « manuel de désinformation » usé par le temps. Ce terme a été inventé par l’Union of Concerned Scientists il y a 50 ans afin de décrire les stratégies que les entreprises ont développées au fil des décennies pour « attaquer la science lorsqu’elle va à l’encontre de leurs intérêts financiers ».Il se compose de cinq parties :L’imposture – Mener des recherches contrefaites et tenter de les faire passer pour des recherches légitimes.
    Le blitz – Harceler les scientifiques qui s’expriment sur des résultats qui dérangent l’industrie.
    La diversion – Fabriquer de l’incertitude sur la science là où il n’y en a pas ou peu.
    L’écran – Acheter de la crédibilité par le biais d’alliances avec le monde universitaire ou des sociétés professionnelles.
    La solution – Manipuler les fonctionnaires ou les processus gouvernementaux pour influencer les politiques de manière inappropriée.Dans l’intégralité de l’appel Zoom, censuré depuis par YouTube mais disponible sur Bitchute, Pierre Kory décrit comment les cinq phases ont été déployées contre les résultats scientifiques de l’ivermectine. Un exemple concret serait celui de la corruption des principales revues médicales, dont les rédacteurs en chef refusent que les études sur l’ivermectine soient soumises à un examen par les pairs. 
  160. Les emails de Fauci sur une certaine période ont pu être rendus publics, révélant un véritable scandale, à savoir que l’intéressé y admet que :Le coronavirus a été crééL’HQ traite la maladie avec succèsLes sujets asymptomatiques ne transmettent pas la maladieLes masques ne servent à rienLes confinements sont inutilesFacebook a participé à la promotion d’une propagande autoritaire du Covid.Le comptage des décès était largement trafiquéEt qu’il a délibérément menti au Congrès sous sermentCes informations éclaboussent aussi le Pr. Delfraissy (encore un collabo comme tant d’autres) exprimant ses affres pour résister à la pression d’autoriser l’hydroxychloroquine. « J’ai une énorme pression politique pour libérer l’accès à l’hydroxychloroquine pour tout le monde, mais je résiste », écrit-il au bon docteur Fauci. Une semaine plus tard, le Conseil scientifique rendra un avis critique sur le protocole Raoult, ayant donc visiblement résisté à ces « pressions ». Voir article du Parisien.Que s’est-il passé avec quelque chose d’aussi énorme ? Rien.Télécharger les emails. Voir le New York Post, voir Fauci is a liar
  161. J’ai de la peine à prononcer le nom de Fauci sans avoir la nausée. Dans « Les erreurs du Monsieur Covid américain impactent le monde occidental, Suisse comprise » Jamais encore des idées comme le confinement d’une population en bonne santé, l’imposition généralisée du port du masque contre un virus ou la « vaccination » de catégories de la population courant plus de risques avec la vaccination qu’avec la maladie n’avaient été envisagées, tant elles sont contraires à l’éthique et aux connaissances scientifiques. Un défilé continu de médecins de plateaux télévisés pétris de conflits d’intérêts est venu brouiller cette évidence, sans que les défenseurs des bonnes pratiques aient voix au chapitre. Ne manquez pas cette tribune écrite par les deux plus grands experts au monde, les Pr Kulldorff et Bhattacharya. 
  162. Voir le premier document magistral des analystes allemands (leur interview ici) qui ont scanné avec l’aide de l’intelligence artificielle plusieurs millions de documents. Cela a permis de mettre à jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre dite « anticovid », de démontrer qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit et chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population mondiale à se soumettre au dictat d’intérêts privés sous prétexte de “santé publique.L’analyse se divise ainsi :- Les 20 à 30 figures-clefs qui poursuivent tranquillement leur œuvre à l’ombre des figures notoires telles Gates ou Schwab ;- Les flux financiers internationaux et leur montant (colossal) ;- Les ONG (dont le rôle notamment dans le financement est fondamental), les universités et entreprises-clef par lesquelles transitent les fonds.Ces flux ont été chiffrés par Schneeten et Röper. L’attention des analystes a été attirée – pour ne donner qu’un exemple – par un petit pavillon insignifiant de banlieue aux États-Unis, utilisé comme “boîte postale” par plusieurs ONG disposant de dizaines de millions de dollars.- Le mode opératoire de prise de contrôle des gouvernements et institutions occidentaux.Voici par exemple les ramification de le fondation Bill et Melinda Gates, dont le véritable gestionnaire est probablement le sioniste et démocrate Warren Buffet, a plusieurs intérêts :1- c’est un outil d’optimisation fiscale qui permet à ses responsables d’échapper aux impôts et de décupler leur fortune ;2- la mécanique de ses « donations » reposent sur l’investissement dans les marchés financiers et les grosses sociétés (Total, Exxon, Shell, Monsanto, McDonald’s, The Coca-Cola Company) ;3- les « dons » sont alloués à un faisceau d’organisations allant toutes dans le sens du mondialisme et de la grande industrie pharmaceutique…Probablement recruté dans les années 70 à Harvard (Gates est le premier Zuckerberg), Bill Gates est à la fois un agent de croissance et un agent d’influence du Nouvel ordre mondial oligarchique, un épouvantail mis en avant pour prendre les coups, un rouage d’un réseau allant de Wall Street à Israël en passant par Bill Clinton et Jeffrey Epstein. Voir l’article da E&R ici.../../../Downloads/Corona%20links%20analyse/Netzwerkanalyse-Corona-Komplex_Page_049.jpg 
  163. ../../../Downloads/Xi-Jinping.jpgPour parler d’autre chose que du virus, il me semble opportun de dire un mot de la crise financière qui se profile, avec le brûlot Evergrande qui risque d’ébranler le marché immobilier chinois et le reste du monde par contagion —mot qui me paraît ici très approprié. Le Parti Communiste Chinois (PCC) ne semble guère décidé à agir dans la crise financière qui se profile, avec un éclatement de la bulle immobilière. Loin de vouloir éviter la crise, les autorités chinoises semblent plutôt décidées à la laisser éclater pour justifier une reprise en main de l’économie du pays. De là à penser que cette stratégie vise aussi à affaiblir l’Occident en le contaminant avec une crise financière, il n’y a qu’un pas. Une fois de plus, le Great Reset et sa théorie du Big Government modifient les analyses habituelles et pourraient mettre les épargnants du monde entier en situation difficile.Et l’excellent Verhaeghe de conclure : « Progressivement, on comprend que Xi Jinping, qui n’est pas un tendre, ni un libéral façon Deng Xiaoping, s’apprête à laisser éclater une crise financière qui devrait ruiner les exubérances “capitalistes” de l’économie chinoise, mais pourrait aussi contaminer le monde. Cette option déjà déployée dans l’affaire du COVID 19, où les communications internes à la Chine étaient suspendues quand les habitants de Wuhan pouvaient facilement circuler dans le reste du monde, ressemble beaucoup à une tentative de déstabilisation de l’économie mondiale. On ne peut ici s’empêcher de penser que la crise immobilière qui se fait jour n’est, pour le PCC, qu’une pièce dans le puzzle d’un Great Reset géostratégique permettant à la fois de liquider la libéralisation de l’économie intérieure et de saper la prospérité de l’Occident. Nous maintenons donc notre pronostic d’une instrumentalisation de la crise qui pourrait déboucher sur un désordre mondial. » 
  164. C’est en manipulant la définition de « pandémie » que toute l’affaire a été préparée de longue date par l’appareil mondialiste dont Gates est l’un des coryphées. Dès 2013 on pouvait comprendre que ce petit jeu était destiné à servir les intérêts de laboratoires afin de créer autant de pandémies que nécessaires à la promulgation de vaccins en nombre illimité. En 2009, l’OMS avait en fait supprimé la notion de mortalité (nécessité d’un grand nombre de morts) pour pouvoir enclencher l’alerte pandémique maximale, qui conditionne en fait le début de la production de vaccins. Cette modification des critères avait donc permis aux fabricants de vaccins de s’enrichir de façon scandaleuse avec la vente de vaccins expérimentaux contre une grippe H1N1 qui faisait pourtant très peu de morts et qui était même plus bénigne que la traditionnelle grippe saisonnière.Le Dr. Lydia Archilède écrivait dès 2013 : « le système va devenir moins précis, donc PLUS FLOU avec passage de 7 critères à 4, ce flou allant évidemment profiter aux fabricants de vaccins et d’antiviraux, bien davantage qu’à la sécurité réelle des citoyens. Au prétexte d’être basé sur « le risque », il sera en réalité plutôt basé sur « la possibilité d’un risque hypothétique » avec maintien quasi permanent des citoyens les plus crédules dans « la peur de la pandémie à venir » ! Finalement, la phase de transition se confondra tôt ou tard avec la phase d’« interpandémie » et nous serons donc maintenus dans une sorte d’état d’alerte permanent pour le plus grand bonheur de Big Pharma et de ses investissements ! »Et notre consœur de conclure que « le modus operandi opaque inchangé au niveau du fonctionnement de l’OMS. Celle-ci garde son influence dictatoriale puisque les Etats qui pourront soi-disant évaluer eux-mêmes le risque au niveau national, « devront tenir compte des estimations faites par l’OMS ». Et par ailleurs, la décision finale quant aux pandémies reste aux mains d’une seule personne, le directeur de l’OMS, qui continuera de se faire conseiller par le même genre de petit « comité d’experts», qui fut pourtant à la base de tout le fiasco et de tout le gaspillage inimaginables du H1N1 ! » 
  165. Le lecteur pourra au sujet de ce cloaque regarder avec intérêt quelques épisodes du « Fall of the cabal » de Janet Ossebaard et Cyntha Koeter. Même si les premiers épisodes nous semblent largement discutables —je n’adhère en rien à la narration— ceux de l’ère moderne sont assez bien documentés. Je recommande de commencer par le Numéro 6
  166. Bouygues, Xavier Niel, Dassault, Bernard Arnault, Bolloré, Pierre Bergé, Patrick Drahi, François Pinault, Matthieu Pigasse et Lagardère, voilà les dix milliardaires qui possèdent les médias français. Tous les quotidiens nationaux (Le Monde, Libération et Le Figaro), toutes les chaînes d’info (LCI, I-Télé, BFM-TV), l’essentiel des hebdomadaires de référence (Le NouvelObs, L’Express, Le Point) et des chaînes de TV privées (Canal+, TF1) appartiennent à de grands milliardaires. Une telle concentration a rendue aisée la tache de Gates pour faire marcher tout le monde à l’unisson. Voir ici
  167. Voir la remarquable contribution sur Rumble : « Coronavirus. Violation des droits fondamentaux des peuples du monde par des mesures anti-humaines : enfermement, mode masque, enseignement à distance. » 
  168. Nous en sommes déjà à refuser d’évacuer une île des caraïbes la partie de la population non-vaccinée ! 
  169. Mon disque dur se remplit d’images horrifiantes montrant avec quelle cruauté les flics se jettent sur les gens, les martyrisent, pour des prétextes délirants comme le non port du masque en plein air par exemple. La France, l’Allemagne, l’Australie sont les pays où ces exactions sont devenues monnaie courante. Voyez déjà l’article suivant
  170. Le propre du fascisme : faire passer un prétendu intérêt collectif avant l’intérêt individuel : lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme.Otto Dietrich explique en 1934 : « « La pensée individualiste repose sur le postulat que l’homme est un individu. Ce postulat est faux. L’homme n’apparaît dans le monde que comme membre d’une communauté. Dans tous ses actes, l’homme est un être collectif et ne peut être pensé que comme tel. Les seules données réelles du monde sont les races, les peuples, les nations et non les individus. Le national-socialisme considère le Volk comme la seule réalité organique. »Et Capitant, ministre de De Gaulle de commenter ce délire : « La doctrine nazie inverse toutes les valeurs. Non seulement l’individu est désormais privé d’existence et donc de droits, comme le note Capitant, mais encore, il perd toute autonomie dans la mesure où cette exaltation de la communauté débouche sur l’obéissance prétendument volontaire à un Chef. Le règne du nazisme, c’est celui de l’hétéronomie et de la servitude volontaire ».Lire l’article du Dr. Delépine 
  171. Voir l’article remarquable de Philippe Ségur, Professeur de droit public à l’Université de Perpignan Via Domitia. 
  172. En un an, les prix agricoles à la production ont littéralement explosé, avec une hausse de 13,6% qui annonce le retour à l’hyper-inflation. Cette hausse concerne tout particulièrement les céréales qui dépassent les 35% d’augmentation sur l’année. Durablement, le monde industrialisé est donc exposé à une crise agricole qui pourrait enrichir les spéculateurs, et fortement précariser les consommateurs. Il est donc temps de stocker gentiment les produits agricoles à base de céréales, voire de cultiver celles-ci soi-même.L’explosion des prix agricoles à la production en un an est parfaitement illustrée par le graphique ci-dessus. Pour les céréales, pour un indice 120 début 2021 (indice 100 début 2019), les prix ont désormais grimpé en octobre à un indice proche de 150. En deux ans, les prix ont donc augmenté de 50%. Rappelons que l’indice 120 n’a été atteint qu’une seule fois à l’automne 2018.Autrement dit, le prix des céréales à la production bat actuellement des records historiques, très au-delà des scénarios connus ces dernières années. On y verra le signe d’une crise profonde. Source : Le Courrier des stratèges. 
  173. Pas d’évacuation d’une île où sévit une éruption volcanique dans les Caraïbes si vous n’êtes pas vacciné. Le gauchiste Chomsky déclare déjà qu’il faut enfermer les dangereux non-vaccinés. Et le misérable Berset, n’hésite pas à déclarer que tout sera de la faute des non-vaccinés : 
  174. Voir le remarquable article de Mathieu Slama: « Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire ». 
  175. Étant taxé d’anti-vax, anti-masque et anti-PCR dans un courrier officiel de l’assistante du médecin cantonal à mon attention, je mesure chaque jour le naufrage de notre société. L’un des exemples ultimes étant —selon moi— l’adoption de noms comme « Avenue du Mondial » un peu partout dans les villes de France. Un beau recoupement d’agnotologie et du vieux principe panem circenses
  176. Voir par exemple ici quelques commentaires pertinents sur le discours à Harvard. 
  177. Voir Laïcié mère porteuse de l’Islam, par Odon Lafontaine. Article ici
  178. A son époque Caton l’Ancien concluait tous ses brillants discours par Delenda est Carthago ! Il faut détruire Carthage. « Il faut détruire le mondialisme » doit devenir notre devise, notre seul but si nous voulons que nos enfants vivent dans un monde libre.