L’étau se resserre sur la clique de Davos

Par Jean-Michel Grau

Rappelons en préambule que le procès intenté contre le Dr Drosten par l’avocat allemand Reiner Fuellmich a pour but de le poursuivre pour crimes contre l’humanité, pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, qui a amené les gouvernements occidentaux à prendre toutes les décisions ravageuses de confinements, couvre-feux, distanciations sociales et port du masque obligatoire. En préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient presque tous positifs, même avec des traces infimes de virus, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Voici le résumé traduit de la dernière communication du Docteur Fuellmich du 11/01/2021. (1)


« Les auditions menées par le Comité Covid de Berlin depuis le 10.07.2020 d’une centaine de scientifiques, d’experts médicaux, d’économistes, de juristes et de personnes de renommée internationale ont révélé que le scandale Covid19 n’a en aucun cas porté sur la santé. La dangerosité de ce prétendu nouveau virus correspond à celle d’une grippe, selon les études du professeur John Ioannides de l’université de Stanford, mais aussi selon l’évaluation de l’OMS. De plus, les tests PCR du Dr Drosten, que la direction de l’OMS sous contrôle financier de la Chine et de la Fondation Bill & Melinda Gates a recommandé comme norme mondiale de référence pour la détection des infections, ne conviennent en aucun cas à la détection des infections. »

« Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent. »

« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes. »

« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal”. »

« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires. »

Le krach financier de septembre 2019 dont presque personne n’a parlé

« À ce jour, il faut partir du principe que ce que nous appelons la clique de Davos (dirigée par Klaus Schwab, ndt) composée d’élites d’entreprises et d’élites politiques autoproclamées qui collaborent intensivement depuis au moins 20 ans dans le cadre des réunions de l’organisation privée du World Economic Forum (WEF) a menacé de donner l’alerte en septembre 2019. Car en septembre 2019, il y a eu un autre krach financier, encore plus grave que la crise financière de la Lehman il y a 12 ans. Cela n’a été rapporté que très brièvement, entre autres de manière très argumentée dans le journal DIE ZEIT, puis le reportage sur cette crise a complètement disparu. »

« Une fois de plus, tout le système financier a été au bord de l’effondrement, car il menaçait de dévoiler que pendant au moins 20 ans, il n’avait servi qu’à piller les contribuables au profit de sociétés agissant comme des mafieux, c’est-à-dire en transférant les actifs des citoyens vers les sociétés. Le meilleur exemple est celui de la fraude fiscale appelée CumEx (2)des financiers opérant en bandes organisées, qui sont restées sans sanction jusqu’à ce jour, grâce auxquelles les banques, les entreprises et les super-riches se sont fait rembourser deux ou trois fois des impôts qu’ils n’avaient payés qu’une seule fois. »

« Ainsi les financiers ont-ils collecté pendant de nombreuses années un total d’environ 38 milliards d’euros par le biais de la fraude fiscale. Cela est passé inaperçu, car le soutien politique pour faire advenir cela venait des politiciens eux-mêmes,qui avaient été rendus dociles par les élites des entreprises fraudeuses au cours des 20 dernières années au moins, en particulier par le biais des réunions privées du WEF. Le fait que le pouvoir judiciaire allemand n’ait rien pu faire montre combien ces financiers sont capables de dominer la politique jusque dans les tribunaux. »

« Nous constatons depuis longtemps, notamment dans le cadre de nos actions en responsabilité des banques pour le financement de l’immobilier bon marché, que quelque chose ne va pas. Car là aussi, il est apparu que la complicité de l’ancien patron de la Deutsche Bank, Josef Ackermann avec Angela Merkel était telle que non seulement il la rencontrait régulièrement à Davos, mais encore allait même jusqu’à fêter son 60e anniversaire directement dans le bureau de la chancelière. Ainsi, avait-il un accès direct aux tribunaux pour la politique et avait-il fait des juges des garçons de courses à sa disposition. Ce n’est que de cette manière que l’on peut expliquer que les juges allemands ont repris aveuglément dans leurs jugements l’affirmation de la Deutsche Bank selon laquelle il était habituel pour elle d’accorder des prêts à des personnes sans contrat de prêt si elles en faisaient la demande, dans l’espoir qu’un jour un contrat de prêt approprié serait conclu, car l’octroi d’un prêt à la demande d’un emprunteur potentiel conduit à la conclusion d’un contrat de prêt. Mais au moment où le contrat de prêt était conclu, la Deutsche Bank ne disposait pas des documents requis pour une conclusion effective du contrat, de sorte qu’aucun tribunal n’a pu constater que le contrat avait été réellement conclu en mettant l’argent à disposition, car sinon la Deutsche Bank aurait coulé comme une pierre ! »

« Aucun d’entre nous n’a tenu compte du fait que la Deutsche Bank est une composante importante du blanchiment d’argent de la clique de Davos, et qu’aujourd’hui, nous avons affaire à une petite élite d’entreprises totalement corrompues qui ne s’arrête devant rien. »

« Paul Schreyer décrit très bien dans son rapport “Pandemic-Planspiele” l’imbrication toujours plus étroite des élites d’entreprises avec les élites politiques depuis au moins 20 ans. (3) Il y décrit également comment ces élites tentent délibérément depuis des années, non seulement de conserver leur pouvoir illégitime, mais de l’étendre à l’infini à l’aide de mécanismes de contrôle massifs et inhumains, avant que les objets de ces mécanismes de contrôle, à savoir nous, ne le remarquent et puissent se révolter contre lui. »

« Le professeur Rainer Mausfeld explique à son tour, dans sa conférence “Pourquoi les agneaux se taisent-ils”, comment la politique depuis de nombreuses années (et sans que le public le remarque) met en scène à plusieurs reprises la peur et la panique pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement. » (4)

« Catherine Austin Fitts, ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquier d’affaires, explique dans “Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown” (5) comment ces “élites” sont en train de mettre en œuvre la prise de contrôle économique des richesses de toute la classe moyenne, car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement. Certains universitaires supposent même un pourcentage inférieur. »

« Cela suppose que les petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, soient fermées par le confinement, de sorte que ces entreprises ne peuvent plus obtenir de revenus, et donc plus payer leurs crédits. L’aide est annoncée, mais elle est en réalité versée avec parcimonie ou pas du tout. Ensuite — cela ne s’applique pour l’instant qu’aux États-Unis — des émeutes sont organisées dans ces régions, qui entraînent une destruction supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues en urgence. De ce fait, des investisseurs privilégiés sur le plan fiscal, à savoir ceux de la clique de Davos, reprennent ces entreprises quasi gratuitement. »

Les litiges juridiques maintenant

« Comme vous le savez, un certain nombre d’institutions et de cabinets d’avocats du monde entier se sont concertés pour dénoncer le contexte décrit ci-dessus avec l’aide des tribunaux et pour demander ensuite aux bailleurs de fonds et aux entreprises responsables d’indemniser les nombreuses victimes des confinements consécutifs au test du Dr Drosten. »

« Les litiges juridiques qui se déroulent actuellement dans le monde entier résultent essentiellement d’une planification conjointe approfondie des scientifiques et des juristes concernés. Car le fait que le test Drosten recommandé par l’OMS dans le monde entier ne puisse pas détecter les infections, et qu’il n’y ait pas d’infections asymptomatiques, donc pas de pandémie, tout au plus une pandémie de test PCR, est d’une importance capitale pour la conclusion de tous les litiges menés dans le monde entier, afin de faire s’écrouler partout le château de cartes des fraudeurs pandémiques. Cela signifie que tout ce qui est établi aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Italie, en France et ailleurs dans ce contexte avec l’aide de témoins et d’experts, peut être utilisé comme preuve dans tous les tribunaux du monde. »

Notre procès des tests PCR contre le Dr Drosten ainsi que les procès ultérieurs

« Le procès contre Drosten sera terminé dans les prochains jours et sera ensuite également déposé auprès du tribunal de grande instance de Berlin. Nous travaillons avec un groupe d’avocats pour préparer un certain nombre d’autres procès qui feront jurisprudence, mais surtout, parce que c’est plus rapide et moins coûteux. Nous obtiendrons ainsi un recours collectif allemand : les avis permettront de mettre sous pression les marionnettes visibles comme Drosten et Wieler, mais aussi les fonctionnaires de Leopoldina, y compris les personnes responsables auprès des autorités des ordres de quarantaine. »

Poursuite du procès des tests PCR à New York

« Les collègues américains du “Robert F. Kennedy Jr’s Childrens Health Defense group” ont déposé une plainte pour tests PCR frauduleux à New York le 16/12/2020, conseillés par les mêmes experts que nous pour un certain nombre de plaignants dont on peut lire le procès en anglais. » (6)

Le procès collectif canadien

« Le recours canadien va devenir un recours collectif international pour toutes les victimes de confinements suite aux tests PCR falsifiés du Dr Drosten.

Les collègues canadiens dirigés par Michael Swinwood ont déposé une action collective début janvier. Le recours collectif est composé d’Indiens et, entre autres, d’un groupe de propriétaires de petites entreprises et d’un représentant des handicapés.

Ce recours, contrairement à tous les autres recours introduits jusqu’à présent, décrit également le contexte historique des structures de pouvoir construites au cours des années derrière la clique de Davos mentionnée plus haut. Voir le procès canadien qu’on peut lire en anglais. » (7)

Jugements au Portugal

« Un premier jugement d’une cour d’appel du Portugal a déjà déclaré de façon spectaculaire que les tests PCR — tout comme leur inventeur, le prix Nobel Kary Mullis l’a souligné à maintes reprises — ne sont pas capables de détecter des infections ou même des maladies.

Ce jugement concerne quatre touristes allemands, dont l’un a été testé positif, ce qui a été considéré comme infectieux par les autorités sanitaires, tout comme par la fausse science allemande et les autorités administratives qui les suivaient aveuglément, entraînant une assignation à résidence jugée inconstitutionnelle par le tribunal, confirmant ainsi le tribunal de première instance. »

« Ce jugement invalide toutes les décisions des tribunaux administratifs allemands, qui ne pouvaient pas ne pas reconnaître dans les décisions d’urgence que les tests PCR ne peuvent pas détecter les infections, mais pensaient néanmoins, en agissant en véritables tribunaux de république bananière par un viol flagrant de la loi, qu’ils devaient suivre les fausses déclarations sanitaires qui mettaient l’accent sur les tests PCR frauduleux entraînant une surcharge accrue du système de soins de santé. »

Action en nullité pour cause de vaccin interdit et plainte constitutionnelle d’un juge allemand pour cause de destruction de la démocratie et de l’État de droit

« Parallèlement à toutes ces actions juridiques, la collègue italienne Dr Renate Holzeisen travaille avec notre aide et celle des experts sur un recours en annulation contre la Commission européenne en raison de l’approbation de vaccins non testés et très dangereux, en ce qui concerne les fabricants Pfizer/Biotech et Moderna, vaccins de facto interdits pour cause d’expériences génétiques sur les humains. De plus, en Italie, les procureurs antimafia, puissants et très bien formés, enquêtent, entre autres, sur l’OMS et ses gouverneurs italiens. En France, une plainte est par ailleurs en cours d’examen devant la Cour des droits de l’homme. »

« En outre, un juge allemand, avec lequel nous sommes en contact, a déposé une plainte constitutionnelle contre les mesures aveugles du gouvernement allemand qui détruisent la démocratie et l’État de droit. Cette Cour constitutionnelle peut être sollicitée par n’importe qui. »

« Nous continuerons à informer en permanence, y compris par des vidéos si nécessaire, sur les développements juridiques. Dans le même temps, nous devons tous nous efforcer de mettre les faits réels à la disposition du plus grand nombre de personnes possible. »

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Dr. Reiner Fuellmich


Notes

  1. fuellmich.com/news/mandanten-information-nr-03-corona-schadensersatzklage/
  2. fr.wikipedia.org/wiki/CumEx_Files
  3. youtube.com/watch?v=SSnJhHOU_28 (vidéo en allemand)
  4. youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w (vidéo en allemand)
  5. youtube.com/watch?v=MSAnq7HOmYs&feature=youtu.be (vidéo en allemand)
  6. fuellmich.com/wpcontent/uploads/content/newsletter/download/20210110/FILE_STAMPED_CO MPLAINT.pdf
  7. fuellmich.com/wp-content/uploads/content/newsletter/download/20210110/FINAL_statement-of- claim-A.pdf

Résumé et traduction du texte du Dr Fuellmich : Jean-Michel Grau




Le conseiller C. Drosten de Merkel une nouvelle fois en justice pour fausses allégations

Par Dre Nicole Delépine

Nouvelle attaque de l’avocat Fuellmich contre Drosten et ses conseils dramatiques la gestion du Covid

Le Dr Reiner Fuellmich, avocat, persiste et signe contre C. Drosten, conseiller de la chancelière et responsable de la cascade de décisions délétères à propos du Covid, dont les tragiques confinements.

En complément de la plainte pénale portée par Maître Fuellmich en novembre 2020 au nom de son client lésé par la fermeture autoritaire de son établissement bar avec karaoké, l’avocat fait une procédure judiciaire civile [1] pour obtention de dommages et intérêts, contre le directeur de l’institut Robert Koch et conseiller de Mme Merkel (et par dominos de l’ensemble des dirigeants mondiaux) sur la crise Covid, Mr C. Drosten. Nous rapporterons ici les éléments nouveaux et/ou majeurs sur lesquels insiste l’avocat, les articles précédents détaillant les arguments déjà évoqués.[2]

Cas du plaignant, exploitant d’un bar et représentant de fait de tous les petits entrepreneurs ruinés

Le plaignant est exploitant d’un grand bar à karaoké très populaire à Berlin, qui connaît un grand succès depuis des années. Depuis la mi-mars 2020, le plaignant n’a pu générer aucun revenu de ce bar, car il a été forcé de rester fermé en raison du confinement. Le demandeur n’a reçu aucun paiement en réponse à une demande d’aide d’urgence présentée par le demandeur.

Ce n’est qu’après la publication de la lettre d’avertissement sur laquelle se fonde cette action que le demandeur a soudainement reçu des paiements substantiels s’élevant — à ce jour — à 92 235,64 € ; l’aide de novembre et décembre a été promise. Toutefois, le demandeur n’est toujours pas autorisé à reprendre ses activités commerciales, de sorte que de nouveaux dommages s’accumulent ; cette action vise initialement à obtenir des dommages-intérêts partiels pour le mois de janvier 2021. La demande de jugement déclaratif garantit que les dommages futurs, encore non quantifiables, sont également couverts.

Dans cette procédure, l’avocat rappelle les exigences faites auprès de l’accusé (défendeur) C. Drosten, conseiller scientifique de la chancelière, par lettre extrajudiciaire datée de décembre 2020 : il lui a demandé de s’abstenir de faire un total de cinq fausses allégations factuelles et par ailleurs de rembourser au demandeur les dommages partiels du confinement résultant de ces fausses allégations factuelles et des recommandations du défendeur pour un montant initial de 50 000 euros.

L’avocat réexpose les allégations mensongères de l’accusé qui ont fondé la politique sanitaire du gouvernement allemand et en conséquence de la plupart des pays affiliés à l’OMS qui ont suivi les affirmations et conseils de C. Drosten l’accusé. Ces mensonges sont évidemment particulièrement graves en raison de leur impact mondial, les confinements ayant ruiné une bonne partie de l’humanité.

L’accusé C. Drosten qui joue en Allemagne le même rôle le professeur Delfraissy et coll. auprès du président français, est poursuivi pour cause d’omissions et de dommages et intérêts.

L’avocat demande

  1. de condamner l’accusé, sous peine d’une amende maximale de 250 000 euros ou, à défaut, d’un emprisonnement à durée indéterminée pouvant aller jusqu’à six mois s’il ne s’abstient pas de faire les déclarations suivantes et/ou de diffuser ces déclarations (mensongères) et/ou de les faire diffuser : Le CoV-2 du SRAS est un pathogène entièrement nouveau qui peut même être transmis par des personnes qui ne présentent elles-mêmes aucun symptôme. Par conséquent, la seule solution est de diagnostiquer la maladie COVID-19 (remarquée ou non) au moyen d’un test PCR. Deux affirmations qui sont des mensonges avérés qui ont conduit aux aberrations de confinement généralisé, masques, etc.
  2. L’accusé est condamné à verser au requérant des dommages-intérêts d’un montant de 5 000 euros.
  3. Il est déclaré par la présente que l’accusé est tenu d’indemniser le demandeur pour tous les autres dommages, non encore quantifiables, que le demandeur a subis et subira en raison des mesures de verrouillage fondées sur les allégations visées aux points 1. a et b ci-dessus.
  4. Condamner la partie défenderesse (accusée) aux dépens du litige.

    En outre, l’avocat demande

  5. Si aucune première date n’est fixée pour la procédure orale, au cas où l’accusé ne respecterait pas un délai qui lui a été fixé 3
  6. en vertu de l’article 283 du code de procédure civile, de présenter par écrit, dans un délai fixé par le tribunal, l’exposé des conclusions de l’opposant qui n’ont pas été communiquées en temps utile avant la date de l’audience ;
  7. une copie intégrale de l’arrêt
  8. dans le cas où le jugement est exécutoire à l’encontre du requérant, accorder un titre exécutoire
  9. de certifier la date de signification aux défendeurs.

Les fausses hypothèses fondement de la politique anticovid du gouvernement fédéral allemand basée sur les fausses affirmations de l’accusé

Les mesures prises par le gouvernement fédéral, puis par les gouvernements des États fédérés, pour endiguer la pandémie dite COVID-19 reposent sur les hypothèses suivantes, qui reposent sur les affirmations de l’accusé en tant que principal conseiller du gouvernement fédéral telles qu’elles ont déjà été exposées dans la lettre du 15.12.2020 (annexe K 1)

En bref : cinq affirmations erronées ont été à la source de manipulations majeures et fatales pour une bonne partie du monde :

  • pas d’immunité de base ;
  • deuxième fausse déclaration : infectiosité sans symptômes ;
  • la troisième fausse déclaration : les diagnostics basés sur la PCR ;
  • la quatrième fausse déclaration : surcharge imminente des systèmes de soins de santé ;
  • la cinquième fausse déclaration : les restrictions à la liberté comme remède, l’imbrication des allégations de verrouillage délibérément fausses.

Deux fausses affirmations sont détaillées dans la procédure.

  • C’est l’affirmation factuelle erronée selon laquelle il existe des infections asymptomatiques qui a conduit à l’erreur selon laquelle même les personnes ne présentant aucun symptôme de maladie sont potentiellement des sources très dangereuses d’infection par le virus CoV 2 du SRAS.
  • C’est l’affirmation factuelle erronée selon laquelle le test PCR de Drosten peut être utilisé pour déterminer des infections spécifiques et, plus important encore, l’infectiosité des « positifs » qui a conduit à l’erreur selon laquelle ce test peut être utilisé pour déterminer l’étendue des infections dans la population, sur la base de soi-disant « numéros de cas » spécifiques.

Les tests PCR ne sont pas seulement inadaptés au diagnostic individuel, mais aussi au dépistage. Le seul facteur décisif peut et doit être le nombre de personnes qui tombent malades, le nombre de celles qui doivent être hospitalisées, le nombre de celles qui doivent être traitées en soins intensifs et le nombre de celles qui doivent être ventilées.

L’instrument permettant d’évaluer de manière fiable ces événements existe depuis longtemps à l’Institut Robert Koch, notamment dans le domaine de la surveillance de la grippe : le programme sentinelle. Il est totalement incompréhensible que cela ne soit pas utilisé dans une plus large mesure pour le COVID-19. Le chef du département de santé publique d’Aichach-Friedberg (entre-temps transféré), Friedrich Pürner, avait récemment demandé à juste titre que les instruments sentinelles soient également utilisés pour la surveillance COVID-19.

L’OMS a également reconnu que le défendeur a trompé l’humanité entière dans le monde entier à l’aide de la méthode de test qu’il a mise au point par ses communiquées de décembre 2020 et janvier 2021, mettant en cause les tests PCR détachés de l’examen clinique.

Faits

Les parties affirment que les allégations de l’accusé exposées ci-dessus et ses recommandations de confinement basées sur celles-ci sont de fausses déclarations sur lesquelles les injonctions de confinement mises en œuvre par le gouvernement fédéral obligent le défendeur à payer des dommages et intérêts au plaignant.

Contexte international des positions de Drosten : le Great Reset

Le contexte plus large des déclarations litigieuses n’est qu’indirectement pertinent pour le jugement en l’espèce. Il concerne en particulier le fondateur de Microsoft Bill Gates pendant des années, notamment via le Forum économique mondial, qui a propagé ce que l’on appelle le « Great Reset » [La Grande Réinitialisation], très controversé, qui a pour objet un « redémarrage » sociopolitique mondial dirigé par les entreprises. [4]

Le journaliste Paul Schreyer décrit dans son rapport « Pandemic-Planspiele » l’imbrication des « élites » des entreprises avec les « élites » politiques, qui se rapprochent de plus en plus depuis au moins 20 ans.

Il y décrit également comment ces « élites » ont délibérément et pendant des années tenter non seulement de conserver leur pouvoir — illégitime —, mais de l’étendre à l’infini à l’aide des mécanismes de contrôle les plus massifs et les plus inhumains, avant que les objets (= tous les autres humains devenus parties prenantes donc objets) de ces mécanismes de contrôle ne le remarquent et ne puissent se révolter contre lui. Il faut ici penser aux contrôles des citoyens chinois par leur dictature que nos gouvernements occidentaux adeptes de la grande réinitialisation (lire le livre de Klaus Schwab) souhaitent appliquer aux peuples européens.

Le professeur de psychologie générale Dr Rainer Mausfeld avait expliqué au début de 2019, dans sa conférence « Pourquoi les agneaux sont-ils silencieux » comment la politique pendant de nombreuses années — inaperçue du public — met en scène de manière répétée la peur et la panique et l’utilise comme un outil pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement.[5] Et l’ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquière d’affaires Catherine Austin Fitts explique dans « Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown » [6] comment ces « élites » mettent en œuvre ou tentent de mettre en œuvre économiquement la reprise des actifs de la classe moyenne (car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement, certains scientifiques supposent même un pourcentage inférieur).

Cela s’explique notamment par le fait que les premières zones où se trouvent des petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, sont « fermées » par le confinement, de sorte que ces entreprises — comme le plaignant et son bar de karaoké — ne peuvent plus obtenir de revenus, notamment parce que leurs crédits et leurs loyers ne peuvent plus être payés.

L’aide est annoncée — comme dans le cas du plaignant — mais n’est en réalité versée que de manière limitée, voire pas du tout.

Ensuite, des émeutes sont organisées dans ces régions — cela ne s’applique peut-être actuellement qu’aux États-Unis — entraînent la destruction physique supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues. Les « investisseurs » privilégiés sur le plan fiscal, à savoir les sociétés susmentionnées, reprennent alors ces sociétés quasi gratuitement.

La pression des médias appartenant essentiellement aux milliardaires qui tentent de mettre en œuvre le Great Reset

Les mêmes personnes et sociétés qui ont investi dans les industries pharmaceutiques et technologiques dans le cadre de ce soi-disant « Great Reset » ont investi également massivement dans les médias grand public, par lesquels C. Drosten l’accusé a diffusé à plusieurs reprises ses allégations à un large public, y compris dans le cadre de son podcast dit NDR pendant de nombreux mois.

Le professeur Martin Schwab de l’université de Bielefeld a expliqué, dans une vaste expertise intitulée « Liberté d’opinion et discours scientifique dans la crise du Covid19 », comment les paiements massifs versés aux médias principaux, y compris publics, ont eu et continuent d’avoir un effet au détriment des reportages informatifs habituels, dans lequel il traite également de la diffusion des allégations de l’accusé via les Ndr-podcasts. Le professeur Schwab avait préparé cet avis d’expert pour le Dr Wolfgang Wodarg, un expert reconnu violemment diffamé au début de la crise Covid19 en raison de sa position critique.

Contexte de la personnalité et des antécédents du conseiller C. Drosten

En plus des faits rapportés dans la procédure initiale du 23 novembre, l’avocat revient sur le parcours de C Drosten qui conseille la chancelière allemande et de fait l’OMS et le monde entier. L’hebdomadaire Stern titrait, ébloui, en mars 2020 : « Le coronavirus a fait du virologue Christian Drosten l’homme le plus recherché de la République. Et une étoile. » [7]

Fuellmich s’étonne des éléments particuliers de son parcours professionnel discordant pour le moins avec l’importance et la gravité de ses fonctions.

Erreurs multiples dans les années précédentes lors des crises sanitaires

L’accusé est le directeur de l’Institut de virologie de la Charité Universitätsmedizin de Berlin. Dans le passé, il a attiré l’attention sur le fait que ses pronostics toujours alarmistes et extrêmement inquiétants sur certaines maladies virales, associés à des recommandations de vaccination, se sont révélés catastrophiquement erronés.

Par exemple, le cirque du SRAS

– lors de l’épidémie de SRAS en 2003, à propos du virus du SRAS (autre coronavirus), il a affirmé que ce virus pouvait être combattu avec un vaccin efficace, mais seulement en un ou deux ans, mais qu’il entraînerait — « si l’épidémie ne pouvait pas être repoussée » — de telles maladies pulmonaires encore et encore, et aurait « de graves effets sur les économies nationales ».

En fait, le SRAS s’est avéré relativement inoffensif. Selon l’OMS, il n’y a eu que 8096 cas de SRAS dans le monde depuis la découverte du virus du SRAS, avec 774 décès. En Allemagne, il y a eu 9 cas et pas un seul décès.

En ce qui concerne la grippe porcine 2009 (virus de la grippe, sous-type A/[H12N1] 2009/2010), qui s’est avérée être une grippe bénigne, il a lancé un appel urgent — sans aucune donnée fiable sur le nombre de cas — pour être vacciné contre la grippe porcine, affirmant que le vaccin n’était pas disponible : « La maladie est une infection virale grave et courante qui a des effets secondaires beaucoup plus graves que ce que l’on peut imaginer du pire vaccin ». L’épidémie qu’il avait prophétisée ne s’est jamais produite.

On remarque, comme le dit également Fuellmich le parallélisme entre les prophéties délirantes de Drosten et celle du mage anglais Ferguson, sur les mêmes sujets avec les mêmes déclarations fausses et délirantes, démontrant si besoin en était, la collusion des gouvernements occidentaux en accord avec le conseil sanitaire de l’OMS.

Les prophètes avaient provoqué la panique dans la politique en faveur des entreprises pharmaceutiques et commandé des vaccins pour des milliards d’euros — en Angleterre et en France seulement plus de 2 milliards d’euros — sur la base de contrats tenus secrets jusqu’à aujourd’hui, que la grande majorité de la population allemande (correctement conseillée par les médecins généralistes, qui à l’époque n’étaient pas encore contournés par les « centres de vaccination ») a cependant refusés. Lorsqu’il s’est avéré que la prétendue épidémie était une saison de grippe légère, les vaccins ont dû être détruits, ce qui a coûté des millions d’euros.

Toutefois, dans certaines régions d’Europe, les vaccins avaient déjà été inoculés et avaient causé des dommages bien plus graves que la grippe porcine elle-même, à savoir des handicaps graves et très sérieux chez environ 1 300 personnes, par exemple sous la forme de narcolepsie.

Le dossier universitaire de l’accusé également devenu très controversé

La recherche de sa thèse fut un long parcours du combattant pas vraiment couronné de succès.

Un rapport de synthèse sur les prédictions dramatiquement erronées, le parcours académique manifestement falsifié, mais aussi sur les liens financiers de l’accusé avec les fabricants de tests PCR et d’autres incohérences le concernant peut être trouvé sur le lien suivant : https://www.kla.tv/17877

La procédure revient sur ce que devrait être un conseiller des politiques à ce niveau de responsabilité

L’avocat évoque une des dernières prises de position de Drosten en décembre lors de la déclaration Léopoldine, l’équivalent de notre conseil scientifique.

« La déclaration dite ad hoc de Léopoldine n’est pas un document scientifique ni un résumé scientifique de l’état de la recherche. Il s’agit d’un assortiment de déclarations inquiétantes sur la situation actuelle, combinées à des propositions drastiques censées tirer leur autorité du fait que les auteurs occupent désormais des postes de haut niveau dans l’entreprise de recherche ».

Dans une lettre adressée à l’Académie des sciences de Mayence, Thomas Aigner a souligné avec insistance que peu après la publication du 7e avis ad hoc, des voix du terrain prédisaient l’échec de la politique de confinement.

« À mon avis, ce document n’est pas digne d’une science honnête, équilibrée, orientée vers le service et le bien-être ».

Cette évaluation est également pertinente sur le plan juridique.

Un chapitre de cette procédure civile est particulièrement pertinent et intéressant pour nous français, posant les qualités que devraient posséder les « experts » qui conseillent les présidents ou ministres, étant donné les enjeux majeurs de leurs préconisations. La procédure engagée ici contre « l’étoile allemande » Drosten, montre que ces messieurs ou dames ne devraient pas dormir tranquilles sur le tas de leurs diplômes universitaires réels ou fantasmés, et redouter que la roue tourne surtout quand tant de personnes vont sombrer dans la misère ou mourir à cause d’eux. Tels les membres de notre conseil scientifique dont les comptes-rendus de réunions ne sont pas accessibles, jamais écrits, semble-t-il.

Qualité des experts selon Maître Reiner Fuellmich exposée dans sa procédure contre Drosten.

Les exigences de base : Expertise, objectivité et neutralité

« Toute personne qui conseille l’État doit remplir trois postulats de base : expertise, objectivité et neutralité. Pour l’expert judiciaire, cela découle des codes de procédure : Il doit, du fait de la nature de l’affaire, représenter en sa personne l’expertise pertinente et, conformément à l’article 406 ZPO, s’expose à un refus pour crainte de partialité s’il n’utilise pas son expertise de manière objective et neutre. Cependant, rien d’autre ne s’applique aux conseils aux autres branches du pouvoir de l’État. [8]

En fournissant un avis expert, objectif et neutre, l’expert doit se montrer à la hauteur du rôle que l’organisme gouvernemental conseillé lui confie.

Le conseiller ne doit pas seulement se porter garant de ces postulats en sa personne, mais le résultat du conseil en tant que tel doit également témoigner de ces vertus.

Comme les conseils donnés aux hommes politiques conduisent délibérément à une action de l’État, ils ne sont pas non plus protégés par l’article 5.3 de la loi constitutionnelle. Le conseil politique participe plutôt à l’engagement des décideurs de l’État en faveur des droits fondamentaux.

Dans ce cas, l’argument bien connu de la Cour constitutionnelle fédérale en matière de confusion s’applique également à eux : quiconque est tenu à la liberté ne peut pas en même temps avoir droit à la liberté. [9]

Il ne peut y avoir aucun doute raisonnable sur le fait que l’activité de l’accusé telle qu’elle est décrite ci-dessus constitue un conseil politique. C’est ce qui ressort des explications données par l’accusé lui-même au sujet du document de Leopoldina mentionné ci-dessus.

Le 7e avis ad hoc doit être compris comme un “un avertissement clair et définitif de la science” aux politiciens. »

On peut conclure en conséquence que le conseiller Drosten est responsable de ses avis qui ont indéniablement influencé les politiques et les juges et donc en assumer les conséquences civiles et pénales. Cette responsabilité directe devrait s’appliquer aux membres du conseil scientifique français et singulièrement du Pr Delfraissy dont les déclarations télévisées exigeant un confinement dépassent ses missions, mais surtout dépriment les Français qui l’écoutent. Il devrait tenir compte du jugement du tribunal de Berlin déclarant inconstitutionnel le confinement et des nombreuses études internationales qui démontrent que les confinements n’ont pas sauvé de vies, mais ont tué des humains au contraire.[10] à [20]


Notes

[1] Green Mango GmbH, Bülowstrasse 56, 10783 Berlin, représentée par le directeur général, M. Nils Roth
– Demandeur –
représenté par : Dr Fuellmich & Associates, avocats, Sen-derstrasse 37, 37077 Göttingen, Allemagne
Sync and corrected by Dr. Jackson for
Christian Drosten, c/o Charité – Universitätsmedizin Berlin, Institut de virologie, Charitéplatz 1 à 10117 Berlin Tribunal d’arrondissement de Berlin Tegeler Weg 17 – 21
10589 Berlin 21 01 21

[2] Christian Drosten : l’heure des comptes ? (francesoir.fr)

[3] conformément à l’article 276, paragraphe 1, du code de procédure civile, de décider par défaut conformément à l’article 331, paragraphe 3, du code de procédure civile

[4] S’échapper du syndrome de Stockholm — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[5] https://www.youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w

[6] https://www.youtube.com/watch?v=LVuA98P4aA8&feature=youtu.be (version originale anglaise)

[7]  kla.tv/index. PHP a=showlanguage&lang=fr cité par Drosten poursuivi pour crimes contre l’humanité — (ripostelaique.com)

[8] Martin Schwab, Rechtsfragen der Politikberatung im Spannungsfeld zwischen Wissenschaftsfreiheit und Unternehmensschutz, 1999, p. 370 s.) :

[9] (BVerfGE 61, 82 100).

[10] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemics https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf

[11] Christof Kuhbandner, Stefan Homburg, Harald Walach, Stefan Hockertz. « Le verrouillage du Covid allemand était-il nécessaire ? » Sage Preprint, 23 juin 2020.

[12] Norvège : « le confinement n’était pas nécessaire contre le coronavirus » 29 mai 2020 Strategika

[13] Stefan Homburg et Christof Kuhbandner Commentaire sur Flaxman et coll. (2020) : Les effets illusoires des interventions non pharmaceutiques sur le COVID-19 en Europe » 17 juin 2020. Advance, Sage Pre-Print

[14] Rabail Chaudhry, George Dranitsaris, Talha Mubashir, Justyna Bartoszko, Sheila Riazi Une analyse nationale mesurant l’impact des actions gouvernementales, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[15] Surjit S Bhalla, directeur exécutif pour l’Inde du Fonds monétaire international « Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins » http://ssbhalla.org/wp-content/uploads/2020/10/Lockdowns-Closures-vs.-COVID19-Covid-Wins-Nov-4.pdf

[16] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.12.28.20248936v1.full.pdf

[17] Simon N. Wood. Les infections au COVID-19 ont-elles diminué avant le verrouillage du Royaume-Uni ? Préimpression de l’Université Cornell, 8 août 2020.

[18] R Shlomai, Ari Leshno, Ella H Sklan, Moshe Leshno Modélisation de stratégies de distanciation sociale pour empêcher la propagation du SRAS-CoV2 en Israël – Une analyse coût-efficacité » par Ami. Pré-impression MedRxiv. 20

[19] Morris Altman Smart Thinking, Lockdown et COVID-19 : Implications pour les politiques publiques

Journal of Behavioral Economics for Policy, 2020 Publié le : 26 mai 2020

[20] Christian Bjørnskov « Le verrouillage a-t-il fonctionné ? Comparaison transnationale d’un économiste » Document de travail du SSRN, 2 août 2020.




Après les tests PCR, le principe du confinement condamné par la justice

[Source : FranceSoir]

Un tribunal allemand déclare le confinement régional INCONSTITUTIONNEL, décision politiquement majeure

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir

Tribune : Un tribunal allemand déclare le confinement régional INCONSTITUTIONNEL, décision politiquement majeure[1]

Weimar sera-t-elle à nouveau le lieu de révolutions juridiques comme au temps où fut élaborée, après la première guerre mondiale, la constitution mettant fin à l’empire.[2] En tous cas le jugement qui déclare inconstitutionnel le confinement fait grand bruit en Allemagne et donne lieu à plusieurs articles. Espérons qu’il réveillera aussi les consciences françaises, leur donnant le courage d’attaquer en justice ces mesures liberticides et injustifiées inspirées par l’OMS qui guide nos gouvernements[3] et leur promet des aides financières via le FMI comme le président de Biélorussie l’a clairement exposé.[4]

Le jugement de Weimar considéré comme majeur

Les règles de distanciation sociale imposées par le gouvernement de Thuringe sont jugées incompatibles avec la Constitution du pays. Grâce à l’analyse médico-légale des données officielles, le jugement affirme que la situation épidémique utilisée pour justifier la loi n’existe pas. L’avocat Reiner Fuellmich qui a initié les premières plaintes et procédures allemandes et américaines commente ainsi[5] :

« Nous considérons ce jugement comme extraordinaire et d’une importance fondamentale. Il est transférable à toutes les violations des mesures Covid19. Il est également transférable au Confinement actuel renouvelé et à toutes les réglementations liées au coronavirus en vigueur. Parce que les “nombres de cas” diminuent, tout comme les patients des unités de soins intensifs ! Le juge le confirme avec une excellente démonstration. »

Récit

 A l’occasion d’un jugement d’un homme ayant selon l’accusation « violé » (voilà un bien grand mot), le confinement strict imposé par le gouvernement de l’État central de Thuringe au printemps dernier, la légalité des mesures imposées en Allemagne pour juguler une épidémie de gravité discutable revient à la une. Ceci est d’autant plus intéressant que certains pays dont le nôtre parle de reconfinement alors que l’épidémie stagne ou diminue, qu’il existe des traitements précoces efficaces et que l’écrasante majorité des hôpitaux ne sont pas pleins contrairement à ce que nos autorités annoncent ci et là.

Les faits

Ce monsieur avait célébré un anniversaire avec ses sept[6] amis. Le 24.04.2020, l’intéressé se trouvait dans la soirée avec au moins sept autres personnes dans l’arrière-cour de la maison X-Straße 1 à W. pour célébrer l’anniversaire de l’un des participants. Les huit participants au total se répartissaient entre sept ménages différents. Or le séjour dans l’espace public n’est autorisé que seul, dans le cercle des membres de son propre foyer et, en outre, au maximum avec une autre personne non-domestique » selon le règlement local.

 Le juge de Weimar a condamné une restriction limitant les rassemblements privés aux membres d’un même foyer et à une personne extérieure à celui-ci, règlement que n’avait pas respecté l’accusé. Le juge a déclaré que le gouvernement régional lui-même avait violé la « dignité humaine inviolablement garantie » garantie par l’article 1 de la loi fondamentale allemande en imposant de telles restrictions.

L’accusé a été acquitté et dispensé de la nécessité de payer une amende de 200 euros (243 dollars).

Aucune raison suffisante au confinement

 Selon le tribunal, le gouvernement n’avait pas de motifs suffisants pour imposer ces restrictions puisqu’il n’y avait pas de « situation épidémique d’importance nationale » à l’époque et que le système de santé ne risquait pas de s’effondrer, l’Institut Robert Koch ayant signalé que le coefficient de multiplication de Covid-19 était alors tombé en dessous de 1.

À aucun moment, il n’y a danger concret que le service de santé soit submergé par une « vague » de patients atteints de COVID-19. Selon le registre établi le 17 mars 2020, une moyenne d’au moins 40% de lits de soins intensifs en Allemagne étaient disponibles en permanence. En Thuringe, 378 lits ont été enregistrés occupés le 3 avril, dont 36 chez   des patients covid-19. Pendant ce temps, il y avait 417 lits vacants. Le 16 avril, deux jours avant la publication du règlement, 501 lits ont été enregistrés occupés, 56 covid-19, et 528 lits étaient vacants… La Thuringe a enregistré son plus grand nombre de patients covid-19 notifiés au printemps à 63 (le 28 avril). Ainsi, à aucun moment le nombre de patients atteints de COVID-19 n’a atteint un niveau qui aurait pu justifier les craintes d’un débordement du système de santé.

Cette estimation des dangers réels du COVID-19 au printemps 2020 est confirmée par une évaluation des données de 421 cliniques appartenant à l’Initiative Qualitätsmedizin, qui a constaté que le nombre de cas d’infections respiratoires aiguës ( IRA sévère)  hospitalisées en Allemagne au premier semestre 2020 était de 187 174 – inférieur au chiffre du premier semestre 2019 (221 841 cas) , même si ce chiffre incluait les cas d’IRA causés par covid. La même analyse a montré que le nombre de cas en soins intensifs était inférieur au premier semestre 2020 à celui de 2019…

Le juge a également déclaré que le gouvernement régional n’avait pas le droit d’introduire des mesures d’une telle portée puisqu’il appartenait au législateur de le faire (du parlement et non aux juridictions de district).

Le tribunal de Weimar a affirmé que le confinement printanier de la Thuringe était une « décision politique catastrophiquement erronée, avec des conséquences dramatiques pour presque tous les domaines de la vie des gens ».[7]

Situation sanitaire et confinement : décision disproportionnée

Le confinement imposé en Thuringe représente « les restrictions les plus complètes et les plus profondes des droits fondamentaux dans l’histoire de la République fédérale », a déclaré le tribunal, qualifiant ces mesures d’attaque « disproportionnée » contre les « fondements de notre société  ».

Conséquences d’une ordonnance régionale

La décision n’est pas juridiquement contraignante en dehors de Weimar, bien que chaque tribunal allemand puisse rendre un jugement sur la constitutionnalité des ordonnances émises par toute autorité autre que le Bundestag, parlement fédéral ou un parlement régional.  Sauf loi votée, chaque tribunal peut contredire les règlements s’ils paraissent injustifiés

Retentissement du jugement de Weimar parmi certains fonctionnaires et médias locaux

Comme les autres pays soumis au conseil sanitaire international de l’OMS, les mesures de confinement sont régulièrement re-imposées, et clairement sans aucun lien avec la virulence de l’épidémie variable selon les régions, mais suivant  fidèlement le schéma de Ferguson qui a prévu en mars 2020 (rapport 9) la succession de six confinements, afin de pouvoir passer à la grande réinitialisation prévue par le forum économique et mondial de Davos (lire le précis de Klaus Schwab disponible sur internet du même nom). Cette crise est purement politique avec un prétexte sanitaire.

L’Allemagne applique à nouveau un confinement strict assez similaire à celui qui a été imposé par le gouvernement fédéral en novembre et qui a été étendu et renforcé à plusieurs reprises depuis lors[8]. Le cabinet de la chancelière Angela Merkel a prolongé les restrictions jusqu’à la mi-février.

Appel de la région contre le jugement du tribunal de Weimar

Le ministère public régional de Thuringe a déposé une plainte contre la décision de justice, demandant qu’elle soit réexaminée et éventuellement annulée, l’affaire étant confiée à un autre juge. Le jugement doit être « révisé pour développer la loi et assurer une juridiction unifiée » en ce qui concerne le confinement et sa violation, selon un porte-parole du bureau du procureur, Hannes Gruenseisen, aux médias locaux.

Le confinement passe mal en Allemagne, d’autant que le pays a beaucoup mieux résisté que la France à l’épidémie probablement en raison du traitement précoce et discret des malades par l’hydroxychloroquine, antibiotiques et vitamines etc., dès le début, un isolement des malades, et souffre en conséquence[9] un plus faible taux de mortalité (622/million au 26/1, d’après l’OMS. La France au contraire a interdit les traitements précoces et pratiqué un confinement dit aveugle car mélangeant malades et bien portants conduisant à une explosion de la mortalité directe (1113/M) et indirecte par défaut de soins et autres complications du confinement.

L’Allemagne a connu à plusieurs reprises des manifestations contre cette mesure dans différentes villes au cours de l’automne et de l’hiver 2020. À un moment donné, les manifestants ont même comparé leur lutte à la résistance anti-nazie, ce qui n’a pas plus au ministre allemand des affaires étrangères Heiko Maas.

Justification de l’annulation de l’accusation

L’intéressé a dû être acquitté pour des raisons juridiques parce que les articles lesquels se basaient l’accusation sont inconstitutionnels et donc annulés.[10]

Le tribunal a décidé lui-même de la constitutionnalité des normes, car l’obligation de soumission selon la jurisprudence constante de la Cour constitutionnelle fédérale  s’applique uniquement aux lois officielles fédérales et des États, mais pas aux ordonnances statutaires de district.

« Le jugement est puissant[11] :

Le juge a conclu qu’il n’y avait pas de « lacunes inacceptables en matière de protection » qui auraient pu justifier le recours à des règlements généraux.  Ces mesures « violent la dignité humaine garantie inviolable » à l’article 1, paragraphe 1 de la Constitution fédérale. »

Accusation dévastatrice contre le gouvernement fédéral.

 Il est frappant de constater à quel point le juge Weimar a conclu froidement cette discussion de plusieurs mois :  l’interdiction générale des contacts est une intervention sévère en matière de droits civiques. Il fait partie des libertés fondamentales de l’individu dans une société libre de déterminer par lui-même avec qui (sur présomption de consentement) et dans quelles circonstances il ou elle entrera en contact.

La rencontre libre entre les gens à toutes fins imaginables est aussi une base fondamentale pour la société.

L’obligation de l’État en l’espèce est catégoriquement de s’abstenir de toute intervention qui réglemente et limite délibérément cette mesure. Les questions du nombre de personnes qu’un citoyen peut inviter à son domicile ou du nombre de personnes qu’un citoyen peut rencontrer dans un lieu public pour se promener, faire du sport, faire des courses ou s’asseoir sur un banc de parc n’ont absolument aucun intérêt légitime pour l’État.

En imposant une interdiction générale du contact, l’État – bien qu’avec de bonnes intentions – attaque les fondements de la société en imposant une distance physique entre les citoyens (« distanciation sociale »).

 Personne, même en janvier 2020, n’aurait pu imaginer, en Allemagne, être empêché par l’Etat sous peine d’une amende d’inviter ses parents chez eux sans bannir d’autres membres de leur famille de la maison, le temps qu’ils étaient là. Personne n’aurait pu imaginer qu’il soit interdit de s’asseoir avec trois amis sur un banc de parc. Jamais auparavant, en Allemagne, l’État n’avait eu l’idée d’imposer de telles mesures pour contrer une épidémie.

Même l’analyse des risques en 2013

« Pandémie causée par le virus de type SRAS » (publication du Bundestag 17/12051), qui décrivait un scénario de 7,5 millions de morts en 3 ans, ne considère pas d’interdiction générale des contacts (ou d’interdiction de quitter le domicile ou de suspension générale de la vie publique). Outre la quarantaine et l’isolement des personnes infectées, les seules mesures anti-épidémies dont il parle sont la fermeture d’écoles, l’annulation d’événements de masse et la question des recommandations d’hygiène »

(BT 17/12051, p. 61f).

« Bien qu’il semble qu’un changement de valeurs ait eu lieu au cours des mois de la crise de Covid, avec pour conséquence que beaucoup de gens trouvent des procédures  autrefois considérées comme absolument exceptionnelles plus ou moins « normales » – ce qui, bien sûr, modifie également les perspectives sur la Constitution – il ne fait aucun doute qu’en imposant une interdiction générale des contacts, le parlement  démocratique a brisé ce qui était auparavant considéré comme un tabou évident. »

« Il convient également de noter – comme un aspect digne d’une attention particulière – que l’État, en imposant son interdiction générale des contacts dans le but de se protéger contre l’infection, traite chaque citoyen comme une menace potentielle pour la santé de tiers. Si chaque citoyen est considéré comme une menace dont les autres doivent être protégés, ce citoyen est également privé de la possibilité de décider quels risques prendre – qui est une liberté fondamentale. »

Le choix d’un citoyen de visiter un café ou un bar le soir et de courir le risque d’une infection respiratoire au nom de l’interaction sociale et du plaisir dans la vie, ou de faire preuve de prudence parce qu’il a un système immunitaire affaibli et préfère donc rester à la maison, est supprimé en vertu des dispositions d’une interdiction générale des contacts. »

Le rapport détaille ensuite l’examen par le juge des dommages collatéraux causés par le confinement

  • Les baisses de bénéfices, les pertes subies par les entreprises, les commerçants et les professionnels indépendants comme conséquences directes des restrictions imposées à leurs libertés. Pertes pour les fournisseurs d’entreprises directement touchées ; pertes résultant de la rupture des chaînes d’approvisionnement entraînant des arrêts de production ; pertes résultant de restrictions de voyage.
  • Pertes salariales dues à des heures réduites ou au chômage
  • Faillites et destruction des moyens de subsistance et coûts conséquents des faillites et destruction des moyens de subsistance ».

Pour Berlin, l’administration sénatoriale a rapporté une augmentation de 23 % des mauvais traitements infligés aux enfants pour le premier semestre 2020[12].

 Selon une enquête représentative (Steinert/Ebert), pendant la période de confinement  au printemps, environ 3 pour cent des femmes en Allemagne ont été victimes de violences physiques à domicile, 3,6 pour cent ont été violées par leur partenaire, et dans 6,5 pour cent de tous les foyers les enfants ont été sévèrement punis.

Le nombre de suicides enregistrés statistiquement en Allemagne n’est pas encore disponible pour 2020, mais l’administration sénatoriale de Berlin a fait état d’une augmentation potentiellement significative du nombre de suicides.

Lors du confinement du printemps, plus de 908.000 opérations ont été annulées en Allemagne, non seulement d’opérations dites non urgentes, telles que l’implantation de prothèses de l’articulation du genou et de la hanche, de l’arthroscopie du genou, des chirurgies de la cataracte, etc., mais aussi de 52 000 opérations contre le cancer.[13]

Selon une méta-analyse publiée (British Medical Journal) en novembre[14]  ce retard augmente déjà le risque de décès de 6 à 13 % selon le type de cancer, un report de huit semaines pour le cancer du sein de 13 pour cent, un report de douze semaines de 26 pour cent. Sans pouvoir chiffrer plus en détail, il ne fait aucun doute que l’annulation des opérations a également entraîné des décès en Allemagne.

Une étude menée par la Clinique du Haut-Rhin Waldshut-Tiengen[15] a examiné la surmortalité dans le district de Waldshut (170.000 habitants) en avril 2020. En moyenne, 165 personnes y sont mortes entre 2016 et 2019 en avril, contre 227 en 2020, soit une surmortalité de 37 %. Sur les 62 décès supplémentaires, 34 seulement ont pu être associés au covid19, 28, soit 45% de la surmortalité sont dus à d’autres causes de décès. Les auteurs de l’étude attribuent ces cas à la réduction de l’utilisation des structures médicales d’urgence. Deux fois plus de personnes ont été retrouvées mortes chez elles que la moyenne comparative.  Ces chiffres indiquent que des décès sont dus à une sous-utilisation ou à un retard dans l’utilisation des soins de santé.

Des dommages à court moyen et long terme ont été pointés par le tribunal

  • (1) Perte de scolarité, d’enseignement et atteinte au développement psychosocial des enfants en raison de l’échec ou des restrictions de l’enseignement scolaire ou de la fermeture d’autres établissements d’enseignement
  • (2) Perte de suggestions culturelles ou d’expériences dues à la fermeture de théâtres, de salles de concert ou d’opéra et de nombreuses autres institutions culturelles
  • (3) Perte de possibilités d’épanouissement artistique par des interdictions qui interdisent la musique commune dans les orchestres ou les chœurs.
  • (4) perte d’expériences communautaires/de cohabitation sociale personnelle en interdisant les réunions dans les associations, manifestations, rassemblements, en fermant les bars, etc.
  • (5) Réduction de possibilités de développement social pour les enfants en fermant les écoles maternelles
  • (6) Isolement des enfants dans des logements sans contact avec d’autres enfants en fermant des écoles, des jardins d’enfants et des aires de jeux

Le rapport du jugement souligne que l’école n’est pas seulement un lieu de transmission des connaissances, mais un lieu d’apprentissage social. Les fermetures d’écoles suppriment pratiquement totalement l’apprentissage social et défavorisent l’intégration des enfants et des jeunes.

L’enseignement par les parents est difficile particulièrement dans certains milieux défavorisés. La fracture sociale est donc renforcée. L’apprentissage de l’allemand chez les enfants de familles migrantes est également gravement perturbé. « La connaissance de  l’ allemand ? Catastrophique pour un tiers des élèves[16].

Conséquences économiques du confinement

 Selon le jugement de Weimar, on note

  • (1) Aides apportées par l’État fédéral et les Länder aux agents économiques
  • (2) Pertes fiscales dues à la limitation de l’activité économique due au confinement
  • (3) Allocations de chômage partiel et allocations de chômage qui ont dû être versées à la suite du confinement
  • (4) Aide sociale aux personnes dépendantes de l’aide sociale

Le « bouclier coronavirus », un paquet législatif adopté le 27.03.2020, en Allemagne  représentait à lui seul 1,173 milliards d’euros (353,3 milliards d’euros d’aide, 819,7 milliards d’euros de garanties). Les derniers budgets fédéraux étaient de 356,4 milliards d’euros (2019) et de 346,6 milliards d’euros (2018). Même si les garanties fournies ne sont pas en soi « perdues », les charges globales devraient atteindre le niveau global de plusieurs budgets fédéraux

Dommages sanitaires et économiques dans les pays du Sud secondaires aux confinements des pays riches occidentaux

 Les dommages collatéraux déjà survenus ou à prévoir sont énormes. Les raisons en sont l’interruption des programmes de lutte contre la tuberculose, des programmes de vaccination contre les maladies infantiles, les interruptions de l’approvisionnement alimentaire due à l’effondrement des chaînes d’approvisionnement, etc..

L’ONU prévoit la famine de plus de 10 000 enfants par mois pendant la première année de pandémie (plus de 10 000 enfants meurent de faim chaque mois à cause du covid19[17]

Rien qu’en Afrique, selon le ministre fédéral du Développement, M. Müller, 400.000 victimes supplémentaires sont attendues à cause du paludisme et du VIH et un demi-million de morts de tuberculose à la suite du confinement (plus de victimes par confinement que par le virus : en Afrique, les crises ont été considérablement aggravées. Selon un article de John Ioannidis [18] 1,4 million de décès supplémentaires de la tuberculose devraient même être à craindre au cours des cinq prochaines années.

À long terme, les mesures de surmortalité liées au confinement seront probablement nettement plus importantes que le nombre de morts de la COVID 19.

Étant donné que la politique de confinement en Thuringe fait partie d’une politique générale de la quasi-totalité des pays industrialisés occidentaux, ces dommages sont la conséquence indirecte également imputable au prorata et sont donc en principe liés à l’examen de proportionnalité.

Pour cette seule raison, les normes à évaluer ici ne répondent pas à l’exigence de proportionnalité. À cela s’ajoutent les restrictions directes et indirectes à la liberté, les dommages financiers gigantesques, les dommages immenses pour la santé et les dommages spirituels.

Le mot « disproportionné » est trop incolore pour indiquer les dimensions de ce qui s’est passé. La politique de confinement mise en œuvre par le gouvernement du Land au printemps (et aujourd’hui à nouveau), dont l’interdiction générale des contacts était (et reste) essentielle, est une « erreur politique catastrophique, avec des conséquences dramatiques pour presque tous les secteurs de la vie humaine, pour la société, pour l’État et pour les pays du Sud du monde entier ».

Constitutionnalité des normes

Dans le cas d’ordonnances légales qui n’ont pas été adoptées par le Bundestag ou un parlement régional, chaque tribunal est autorisé à décider lui-même de leur constitutionnalité.  Les articles cités[19] par l’accusation ne sont pas constitutionnels, car ils ne reposent pas sur une loi votée au parlement.

Ils sont inconstitutionnels pour des raisons formelles, car les dispositions qui empiètent profondément sur les droits fondamentaux ne sont pas couvertes par la base légale d’habilitation dans la loi sur la protection contre les infections.

Le législateur doit prendre lui-même toutes les décisions essentielles dans des domaines normatifs fondamentaux, en particulier dans le domaine de l’exercice des droits fondamentaux – dans la mesure où cette réglementation étatique est accessible – et ne doit pas les déléguer à l’exécutif régional.

Plus les règlements juridiques essentiels ou les autres actes de l’exécutif interfèrent avec les droits fondamentaux, plus les dispositions de la loi d’exécution doivent être précises.

Atteinte à la dignité humaine 

Ainsi en ce qui concerne l’isolement et interdiction de contact avec les personnes extérieures à la famille, Une interdiction générale de contact pose -au moins – la question de l’atteinte de la garantie de la dignité humaine.

 Ici l’interdiction pose problème car elle constitue une atteinte grave à la liberté d’action générale et aussi à la liberté de réunion, d’association, de religion, de profession et d’art, non seulement parce qu’elle s’adresse à tous les citoyens, indépendamment de la question de savoir s’ils sont ou non des suspects de maladie ou de contamination. 

En interdisant à tous les citoyens de se réunir avec plus d’une personne extérieure au ménage, en l’interdisant non seulement à l’espace public, mais aussi aux libertés dans le noyau familial, l’interdiction générale des contacts entraîne inévitablement d’autres restrictions aux droits fondamentaux.

 La loi fédérale dispose que si des personnes suspectes de maladie, contamination d’une maladie transmissible ont été identifiés, la restriction ne peut être prise que « dans la mesure nécessaire à la prévention de la propagation de la maladie », ce dernier n’étant rien de plus qu’une référence explicite au principe de proportionnalité déjà en vigueur.

Il ne s’agit là que de conditions minimales absolues. La loi ne peut porter que des mesures individuelles, telles que la fermeture de stations balnéaires (individuelles) et non une interdiction générale de contact.

Dans la mesure où une interdiction générale de contact peut être conforme à la Constitution, il faudrait au moins exiger une réglementation précise des conditions d’organisation afin de concrétiser précisément la situation de danger nécessaire, mais des dispositions concrètes seraient également nécessaires du point de vue des conséquences juridiques.

Le principe de l’État de droit est l’impératif de précision dans la législation. Les lois ne peuvent pas simplement imposer des règlements généraux, ce qui donnerait aux autorités la licence d’agir selon des caprices, ce qui équivaudrait à une règle arbitraire.

Selon la Loi fédérale sur la protection contre les infections (API), les « autorités compétentes » doivent imposer « les mesures de sécurité requises ». En temps normal, cela signifie que les épandeurs ou les personnes soupçonnées de propager une infection peuvent être placées des zones isolées ou contaminées fermées.

Plus un acte juridique de l’exécutif intervient dans les droits fondamentaux, plus les règlements de la loi d’habilitation doivent être PRECIS.

Les mesures à forte intensité d’intervention qui, en soi, nécessitent un régime spécifique, ne peuvent être autorisées que dans le cadre de « développements imprévus » en utilisant des clauses générales, cette condition n’est pas remplie en l’état.

Confinement local responsable au prorata des conséquences dans les pays industrialisés,  liés à l’examen de proportionnalité.

« Il ne fait aucun doute que le nombre de décès imputables aux mesures de la politique de confinement dépasse de plusieurs fois le nombre de décès évités par celui-ci. Pour cette seule raison, les normes à évaluer ici ne répondent pas à l’exigence de proportionnalité. À cela s’ajoutent les restrictions directes et indirectes à la liberté, les dommages financiers gigantesques, les dommages immenses pour la santé et les dommages spirituels ».

Le mot « disproportionné » est trop incolore pour indiquer les dimensions de ce qui s’est passé.


[Notes]

[1] Un tribunal allemand déclare le confinement régional INCONSTITUTIONNEL dans une décision «politiquement explosive» (exoportail.com).

[2] Nom donné au régime de l’Allemagne après la Première Guerre mondiale (1919-1933). Née de l’effondrement du régime impérial, la première république allemande, proclamée par le social-démocrate Scheidemann à Berlin, le 9 novembre 1918, ne prend forme qu’après l’écrasement de la révolution spartakiste (novembre 1918-janvier 1919). Elle tire son nom de la ville où se réunit en février 1919 une Assemblée nationale dominée par les sociaux-démocrates et les modérés, dont les travaux aboutissent à la promulgation (août 1919) d’une Constitution qui fait de l’Allemagne un État fédéral, le Reich, composé de 17 États (Länder) autonomes, eux-mêmes représentés au Reichsrat. Encyclopédie Larousse en ligne – République de Weimar.

[3] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr).

[4] 950 Millions d’euros lui furent promis s’il confinait son pays. Il a dit non et raconté que d’autres pays avaient refusé mais soupçonnait que les plus obéissants avaient cédé au mirage de l’argent facile.

[5] Tribunal d’instance Weimar 6 OWi-523 Js 202518/20 : Free Download, Borrow, Streaming : Internet Archive https://archive.org/details/tribunal-dinstance-weimar-6-owi-523-js-202518-20 via @internetarchive.

[6] pas une rave partie à 2000 qui au passage n’a d’ailleurs pas entrainé aucune vague de malades du Covid, ni même de poussée de contaminations, ni le moindre cluster.

[7] Tribunal d’instance Weimar, jugement du 11.01.2021 – 6 OWi-523 Js 202518/20 from Éditions Dédicaces https://www.rt.com/news/513443-german-court-covid-unconstitutional/ et https://openjur.de/u/2316798.html.

[8] Néanmoins toujours moins rigide qu’en France.

[9] Nous n’en avons eu confirmation que très tardivement.

[10] Le tribunal a décidé lui-même de la constitutionnalité des normes, car l’obligation de soumission selon l’article 100 Abs.1 GG selon la jurisprudence constante de la Cour constitutionnelle fédérale (BVerfG, arrêts du 20 mars 1952, 1 BvL 12/51, 1 BvL 15/51, 1 BvL 16/51, 1 BvL 24/51, 1 BvL 28/51) s’applique uniquement aux lois officielles fédérales et des États, mais pas aux ordonnances statutaires.

[11] 2020 news traduction de Northumbrian Nomad.

[12] Le niveau journalier du 02.07.2020, https://www.tagesspiegel.de/berlin/corona-krise-trifft-frauen-und-kinder-besonders-gewalt-eskaliert-in-berlin-immer-haeufiger/25970410.html).

[13] https://www.welt.de/wirtschaft/article208557665/Wegen-Corona-In-Deutschland-wurden-908-000-OPs-aufgeschoben.html).

[14] Hanna, Mortality due to cancer treatment delay: systematic review and meta-analysis, BMJ 2020, 371, https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4087).

[15] (Kortüm, Corona-Independent Excess Mortality Due to Reduced Use of Emergency Medical Care in the Corona Pandemic: A Population-Based Observational Study, https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.27.20220558v1)

[16] ». MONDE du 11.01.2021, https://www.welt.de/politik/deutschland/plus224000152/Geschlossene-Schulen-Was-das-fuer-Kinder-in-sozialen-Brennpunkten-bedeutet.html),

[17] https://rp-online.de/panorama/coronavirus/mehr-als-10000-kinder-verhungern-jeden-monat-krise-durch-corona-verschaerft_aid-52446949).

[18] Global perspective of COVID-19 epidemiology for a full-cycle pandemic, https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/eci.13423),

[19] III.L’article 2, paragraphe 1, et l’article 3, paragraphe 3, paragraphe 1, 3. ThürSARS-CoV-2-EindmaßnVO

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir




Drosten, l’homme le plus recherché d’Allemagne… pour crimes contre l’humanité

Par Jean-Michel Grau

Dans cette prise d’otages mondiale du Covid 19 manipulée par Klaus Schwab et ses acolytes du Forum de Davos, les rouages de cette gigantesque supercherie commencent maintenant à apparaître au grand jour. En d’autres termes, ce que l’on aurait appelé il y a encore un an « l’état profond » commence à montrer son vrai visage ou plutôt : ses visages.

Tout d’abord, à tout seigneur tout honneur : le grand architecte de cette machination criminelle :

Klaus Schwab, le dirigeant fondateur du Forum de Davos.

Pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore, rappelons brièvement qu’il est né en Allemagne en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum Économique Mondial (WEF) qui rassemble chaque année depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière, et des médias, parmi lesquels Jacques Attali, Emmanuel Macron, Angela Merkel, Christine Lagarde, Georges Soros, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockfeller.

Klaus Schwab a publié en juillet 2020 un livre : « Covid 19 : la grande réinitialisation » véritable programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler » et que l’UE avec la complicité des grands labos pharmaceutiques se chargent d’appliquer à la lettre avec des vaccins géniques pour réduire en esclavage des pans entiers de populations occidentales confinées et entretenues H24 par la peur permanente d’un virus monté en épingle par des médias à la solde de l’oligarchie financière. Pour en savoir plus, les journalistes dissidents du Guardian ont fourni une description détaillée de ce scénario cauchemardesque dont l’adaptation résumée se trouve ici.(1)

Mais nous allons nous intéresser aujourd’hui à l’ingénieur en chef de cette machine de guerre qu’on appelle désormais : « La grande pandémie du Covid 19 » : Christian Drosten.

Qui est Christian Drosten ?

Christian Drosten, virologue allemand, est directeur de l’Institut de virologie de l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin. Dans son édition du 30 mai 2020, le magazine allemand Der Spiegel titrait qu’il est aujourd’hui l’homme le plus honoré et le plus haï d’Allemagne.

Mais pourquoi donc ?

Les honneurs d’abord : l’hebdomadaire Stern, titrait lui, ébloui deux mois avant, en mars 2020 : « Le coronavirus a fait du virologue Christian Drosten l’homme le plus recherché de la République. Et une étoile. »(2)

Car c’est Christian Drosten qui, en janvier 2020, a mis au point le coronatest PCR, qui sert désormais de méthode standard pour détecter le coronavirus dans le monde entier. En tant que directeur de l’institut de la Charité de Berlin, il est un conseiller très influent d’Angela Merkel et a participé comme expert à de nombreuses conférences de presse gouvernementales. Ainsi, par ses évaluations, il a également influencé de manière déterminante des décisions politiques de grande envergure, telles que le port du masque obligatoire, la suspension des cours réguliers à l’école ou encore la fermeture de tout le secteur de la restauration.

La haine maintenant : le Dr Drosten, conseiller virologue d’Angela Merkel est aujourd’hui poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené tous les gouvernements occidentaux à prendre toutes ces décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient positifs, même avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.(3)

Aujourd’hui, dans ce désastre sanitaire mondial planifié de toutes pièces, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une « Class Action » sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit le Dr Drosten en justice.

Selon Reiner Fuellmich, tous les responsables de cette crise du Covid 19 doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de programmes corrompus. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid 19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Il est indéniable que dans ce crime, Christian Drosten occupe une place de choix.

Ainsi, dans une vidéo magistrale de 49 minutes traduite en français,(4) Reiner Fuellmich démontre que la pandémie de Covid 19 n’est rien d’autre qu’une gigantesque supercherie : « il n’existe pas de pandémie de Covid 19, juste une pandémie de tests PCR. Sans les résultats des tests publiés en permanence dans les médias, la pandémie serait déjà terminée. »

Mais ce n’est pas tout : dans une vidéo de 16 minutes, la chaîne allemande kla.tv vient de mettre à jour dans une enquête explosive « Le dossier Christian Drosten »(5), en faisant toute la lumière sur les antécédents peu connus, mais très importants du personnage qui mettent pour le moins en doute la crédibilité de « l’homme le plus recherché de la république » selon l’hebdomadaire Stern. Cette enquête soulève également selon les journalistes allemands de la chaîne « de graves questions concernant l’ensemble du scénario Corvid19, qui apparaît clairement comme la plus grande supercherie de l’histoire jamais mise en œuvre. »

« Ainsi, des erreurs de prévision fatales, de nombreuses incohérences inexpliquées concernant sa thèse de doctorat, un “test PCR Covid” développé à la hâte et présentant des défauts scientifiques fondamentaux, et un bourbier insoupçonné d’embrouilles financières, privent Christian Drosten de toute crédibilité ! »

« Si le personnage central de la crise du Covid s’avère être indigne de confiance après un examen plus approfondi, cela soulève de sérieuses questions :

  1. Sur la base de ce fondement non scientifique, l’ensemble de la pandémie du Coronavirus, avec la menace inévitable d’un effondrement économique et financier de nations entières, ne doit-il pas être enfin investigué pour connaître les tireurs de ficelles et les profiteurs en arrière-plan ?
  2. Cette crise du Coronavirus ne pourrait-elle donc pas s’apparenter à une prise de pouvoir par étapes et même conduire à la mise en place d’une surveillance numérique de peuples entiers sous prétexte de lutter contre une pandémie ?
  3. Pourquoi les grands médias, qui sont chargés de faire des reportages critiques, ne découvrent — ils pas le “dossier Drosten”, mais le gardent même secret ? »

Les journalistes de kla.tv en concluent que ces faits doivent être connus de tous. En effet, dès que les manœuvres criminelles de Drosten auront été démasquées, tout le château de cartes de la supercherie du Covid 19 s’effondrera et tous les peuples confinés pourront enfin reprendre leur liberté. C’est pourquoi, il convient de diffuser massivement cette vidéo, ainsi que l’interview de Reiner Fuellmich pour contribuer à appuyer sa « Class action » avec tous les avocats français prêts à y participer avec des milliers d’autres de par le monde pour mettre en place ce deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare contre Drosten et ses acolytes pour crimes contre l’humanité.


Notes

(1) Klaus Schwab et sa prise d’otages de masse 2.0

(2) stern.de/p/plus/gesundheit-wissenschaft/der-aufklaerer-so-wurde-christian-drosten-zum-wichtigsten-mann-deutschlands-9184616.html

(3) Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?

(4) youtube.com/watch?v=VWk90PvlJX0

(5) kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr


[Voir aussi :




Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL

Par Dr Nicole Delépine

L’UE impose des « tests négatifs » aux frontières alors que le test PCR est condamné en justice comme invalide dans plusieurs pays ! Déconnexion totale des décisions politiques de la réalité sanitaire et juridique. 

Les tests PCR IMPOSÉS AUX VOYAGEURS

À partir de dimanche 24 janvier minuit, un test PCR négatif de moins de 72 heures sera exigé pour l’entrée des Européens sur le territoire français. Décision confirmée à l’issue du Conseil européen tenu jeudi en visioconférence, la France rejoignant ainsi des pays ayant déjà mis en place cette mesure, l’Espagne, la Belgique, l’Allemagne et l’Italie. Et également annoncée par E Macron.

Cette décision démontre une nouvelle fois le caractère complètement hors sol et purement politique des décisions de l’UE et de la France en particulier dans cette « AFFAIRE COVID ». Car nous sortons bien d’une crise qui se prétend sanitaire depuis un an, date à laquelle la pseudo-épidémie a bousculé nos vies et pour laquelle on refusait tous les contrôles frontaliers. À l’époque, la recette des pays asiatiques (contrôle aux frontières, et l’isolement vrai des malades (avec symptômes cliniques avérés) aurait ralenti la diffusion de l’épidémie surtout si on l’avait complété par le traitement précoce des patients avec des traitements déjà connus depuis les précédentes épidémies de coronavirus de 2003 en particulier.[1]

Le dramatique échec de la politique sanitaire française décidée d’en haut par le conseil prétendument scientifique et de défense où ne siègent pas ou très peu de médecins cliniciens (les vrais docteurs, ceux qui soignent des malades au stade précoce des maladies) justifie d’en changer.

L’ensemble des Français devrait pouvoir reprendre une vie normale, sans restriction sanitaire ou autres. Or la soumission à l’autorité (en l’occurrence à Emmanuel Macron, Angela Merkel et l’OMS, appliquant le programme du forum de Davos)[2] est telle que chacun tente de trouver une demi-solution personnelle comme les restaurateurs et leurs plexiglas, certains médecins et leur conseil de masques partout[3] et pour tous (même à l’extérieur et même chez les enfants) alors que toutes les études scientifiques sérieuses montrent l’inefficacité[4] [5] et même le danger[6] [7] d’une telle mesure.

Et les biologistes au lieu de dire STOP DÉPISTAGE inefficace vont disserter des heures sur un test qui serait peut-être moins mauvais que la PCR. Peut-être pour des raisons financières[8], ils tentent de trouver un test qui cherchera un virus dont on se moque, car ne tue ni enfants, ni adultes et très peu de vieillards s’ils sont soignés précocement par les traitements disponibles.

Non, tant que vous êtes asymptomatique, refusez tous les tests y compris le dernier venu sorti du chapeau en janvier 21, quand le scandale de la PCR éclate pour faire croire au peuple qu’il y a intérêt à se faire tester quel que soit le test proposé. Ne soyez plus soumis. Ne vous laissez pas manipuler par ceux qui tuent progressivement le pays et ses habitants.

Un test PCR positif après plus de 30 cycles d’amplification ne signifie pas qu’une personne sans signe clinique ne soit ni contaminée, ni contagieuse[9] [10] [11] [12] ainsi que l’a affirmé l’OMS dès le 8 juin[13] : « il semble rare qu’une personne asymptomatique transmette la maladie » et récemment confirmé un dépistage massif portant sur 10 millions de Chinois[14].

Et si vous avez des symptômes, voyez un médecin qui pratique encore la médecine, l’examen clinique et le traitement en l’occurrence précoce qui fera disparaître vos signes en moins de 48 h. Il est temps de revenir à une vraie pratique de notre métier qui ne se résume pas à une ordonnance de radio pour une douleur dorsale ni à des tests pour un rhume ou une bronchite. La médecine 2.0 n’est pas de la médecine comme les malades en ont fait l’expérience dramatique toute l’année 2020 avec le pschitt de la télémédecine et la hausse des morts secondaires en l’absence de diagnostic pointu et de traitement adapté pour toutes les autres pathologies hors covid19.

Scandales du dépistage systématique des malades à l’entrée aux urgences, et des visiteurs des anciens en EHPAD

Ce scandale du dépistage s’ajoute à celui que nous dénonçons avec d’autres des mesures dites sanitaires privant de fait les vieillards en EHPAD de visites à travers les tests multiples imposés à répétition aux résidents et aux personnels alors que ces contacts sont nécessaires à leur survie pour éviter le syndrome de glissement et qu’il n’existe aucune démonstration scientifique de leur utilité ni de leur légalité.

Depuis plusieurs mois, des enquêtes suivies de plaintes et de procédures judiciaires ont démontré que ces tests ne sont qu’une supercherie[15]. La peur, outil magique du gouvernement mondial via l’OMS a été entretenue grâce aux médias et les mensonges permanents sur le nombre des malades, puis les cas, puis maintenant les variants de différentes provenances au fur et à mesure que la tricherie se dévoile. Ce test PCR est dénoncé depuis plusieurs mois et C. Drosten qui l’a vanté et mis sur le marché avec la complicité de l’OMS en janvier 2020 est maintenant poursuivi devant le tribunal de Berlin.

Drosten doit rendre des comptes : le « Monsieur Corona » allemand, le virologue Christian Drosten, va devoir répondre devant la justice des prémisses faussées de la gestion de crise. Il est poursuivi par l’avocat Reiner Fuellmich. Une nouvelle fois, il faut parler des tests PCR que les dirigeants, mais aussi les préfets, les patrons, les directeurs d’école continuent à imposer comme s’ils signifiaient quelque chose. Les pires sont les citoyens lambda qui courent se faire tester pour se « rassurer ». De quoi ont-ils peur ? Les virus sont des milliards autour de nous et manifestement ce coronavirus n’est pas pire que les autres (mortalité globale comparable aux années précédentes et mortalité spécifique inférieure à celle de la grippe asiatique). »[16]

À propos du test PCR : Maitre Fuellmich reproche à Drosten :

« Il n’a pas échappé à votre sagacité qu’un test PCR ne peut pas différencier un virus capable de se reproduire et des fragments de virus sans vie, et entre contamination et infection.

À propos de la valeur Ct, vous avez admis le 1er septembre 2020 [17] que la signification du résultat du test dépend de la charge virale. Cependant, vous vous êtes prononcé contre le réglage de Ct = 30 comme limite supérieure, car il existe des différences dans la qualité des réactifs de test et des machines. Vous admettez vous-même qu’un résultat de test positif n’est pas toujours un résultat de test positif. »[17]

Faux et usages de faux

Comment après tant d’articles scientifiques dénonçant l’absence de fiabilité des tests PCR peut — on aujourd’hui un an après le début de la mascarade exiger un faux à l’entrée d’un pays et imposer sept jours de confinement en attente de ce résultat non fiable aux non-résidents européens ? Officiellement pour des raisons sanitaires alors que cette épidémie proche de la grippe n’est pas plus mortelle que les autres et que l’épidémie est terminée, sauf dans les pays qui vaccinent le plus[18]. Le scénario tragique de la mise en condition des peuples dans un but de réorganisation de l’ordre mondial selon les critères de la clique de Davos est de plus en plus évident.

Nous rappellerons ici les principaux écueils du test PCR déjà détaillés ailleurs.[19]

LES ÉLÉMENTS PRINCIPAUX UTILISES EN JUSTICE CONTRE LES TESTS PCR DROSTEN

Les fautes majeures de la supercherie mise en place par Drosten en janvier 2020 sont exposées ici.

Erreurs dans la conception et le protocole des tests PCR pour SARS-CoV-2 [20]

  • « Le virus n’a pas été correctement isolé » la séquence génétique complète n’est pas incluse pour servir d’étalon — or » ou de guide standard pour le test PCR. »
  • « Conception inadéquate des “amorces” avec faible spécificité pour la détection de SARS-CoV-2. »
  • « Protocole de test inefficace, permet de conclure comme positif un échantillon avec seulement des fragments de virus SARS-CoV-2 (donc non infectieux) ou même d’autres coronavirus différents du SARS-CoV-2 qui peuvent être présents jusque chez 30 % de la population. »
  • Nombre recommandé de Cycles d’amplification trop élevé (au-dessus de 40) qui sensibilise excessivement le test, générant de la positivité chez les personnes en bonne santé. À Ct = 35, valeur utilisée pour signaler un résultat positif pour la PCR, moins de < 3 % des personnes testées positives au PCR ont des cultures positives ». (Jaafar, décembre 2020). « Le nombre de cycles recommandé pour les échantillons SARS-CoV-2 par l’étude Corman et Drosten […] varie entre 40 et 45 cycles, ce qui entraîne la positivité pour les échantillons non contagieux. »
  • « Le pharynx humain est l’un des plus contaminés du règne animal, il est très difficile d’isoler un échantillon viral purifié. » « L’écouvillon pharyngé réalisé pour les diagnostics de coronavirus est généralement contaminé par un matériel génétique abondant et qui, lors de son amplification, il peut facilement fausser les résultats. »
  • « une bonne proportion de “nouveaux” cas bénins et de personnes ne sont pas infectieux ou contagieux, éliminent simplement les particules virales inoffensives que leur système immunitaire a combattues efficacement. » (Santos, 23 septembre 2020).

L’inventeur de la PCR, Karys Mullis avait d’emblée averti que ce n’était pas un test permettant seul un diagnostic. Ce test manque de spécificité, en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (un seul fragment du virus). Et ce seul marqueur peut éventuellement se retrouver dans le génome d’autres virus tels que d’autres coronavirus sources d’infection saisonnière banale.

Pour pallier cette spécificité trop faible, les Chinois en recherchent plusieurs. La sensibilité et la spécificité dépendent beaucoup du nombre de cycles d’amplification réalisé ; lorsque ce nombre est faible, le test est spécifique, mais peu sensible ; mais lorsque le nombre de cycles d’amplification augmente et dépasse les 30, le test est très sensible, mais la spécificité devient très faible.

En France, comme dans beaucoup d’autres pays, le nombre d’amplifications dépasse les 40 entraînant un nombre considérable de faux positifs. Et même lorsque le test est juste, il ne signifie pas que la personne est malade, mais seulement qu’elle a rencontré le virus ». Ceci a conduit J. Salomon à demander un avis par saisine de la DGS[21].

Avis concernant l’interprétation de la valeur de Ct

« En médecine, même en situation épidémique ou pandémique, il est dangereux de placer les tests, examens, techniques au-dessus de l’évaluation clinique (symptômes, signes). C’est le contraire qui garantit une médecine de qualité. »

On a plaisir à lire cette évidence, mais on aimerait qu’elle soit appliquée en pratique quotidienne.

« La limite (faiblesse) principale du test RT-PCR, dans la situation pandémique actuelle, est son extrême sensibilité (faux positif) si on ne choisit pas un seuil de positivité (Ct) adapté. Aujourd’hui, des experts préconisent d’utiliser un seuil Ct maximal à 30 ».

« Ce seuil Ct doit être renseigné avec le résultat RT-PCR positif afin que le médecin sache comment interpréter ce résultat positif, surtout chez une personne asymptomatique, afin d’éviter des isolements, quarantaines, traumatismes psychologiques inutiles ».

« Outre la mention du Ct utilisé, les laboratoires doivent continuer de garantir la spécificité de leurs kits de détection au SRAS-CoV-2, en tenant compte de ses mutations les plus récentes, et doivent continuer d’utiliser trois gènes du génome viral étudié comme amorces ou, sinon, le mentionner. »

La société de microbiologie insiste sur une évidence oubliée pendant les derniers mois, l’IMPORTANCE DE LA CLINIQUE !

« Comme tout résultat biologique, l’interprétation qui doit en être faite pour estimer le risque infectieux doit prendre en compte divers paramètres tels que :
– La symptomatologie présentée par le patient puisque la toux et les éternuements sont les symptômes majoritairement associés à un risque d’aérosolisation dans l’environnement
– La date de début des signes cliniques pour les patients symptomatiques
– Le statut immunitaire individuel et la présence de comorbidités
– Les conditions environnementales de l’individu (entourage familial, vie en collectivité, situation d’hospitalisation, prise en charge en EHPAD…) »[22]

COMMENT LES TESTS POSITIFS SIGNALÉS CHAQUE SOIR À LA TÉLÉVISION PEUVENT-ILS AVOIR BÉNÉFICIÉ DE CETTE PROCÉDURE MÉDICALE NORMALE devenue exceptionnelle ?

« il convient de limiter au maximum les analyses de RT-PCR SARS-CoV-2 itératives chez les individus ne présentant pas de formes graves et de privilégier les stratégies de levée d’isolement selon une approche clinique prenant en compte les délais de précautions recommandées.

Ainsi, les réanalyses doivent être considérées au cas par cas et uniquement si la situation clinique l’exige (immunodépression profonde, nouveaux symptômes respiratoires quel que soit le résultat du bilan de sérologie anti-SARS-CoV-2, en cas de bilan pré hospitalisation/admission en structure collective si jugé nécessaire) »

Pourquoi avoir autorisé les gens à s’auto-prescrire à répétition de surcroît les tests gratuits (payés par nos cotisations) sans aucune régulation médicale ?

L’avis récent de l’OMS déconseille les tests PCR à l’aveugle

Mais cela continue en France et le ministre prévoit un million de tests chez les jeunes qui ne sont presque jamais malades (et jamais gravement), ne contaminent personne, ni les autres enfants ni les adultes. C’est inadmissible.

Le document du 7 décembre 2020, publié le 14 décembre, par l’Organisation Mondiale de la Santé, confirme que les tests utilisés pendant toute la période de médiatisation à outrance 24 h/24 h (presque toute l’année 2020 jusqu’à la date de cette notice — WHO-identifier 2020/5 version 1) au moins, sont non conformes pour la détection du SARS-CoV-2.

Rappelons-nous les solides études précitées, ainsi que les mises en garde de l’inventeur du PCR. : 97 % de faux positifs publiés comme positifs au public et souvent comme « malades » ont été utilisées — en France et dans le monde —, pour la définition de la politique de santé nationale et internationale, pour confiner, limiter et ruiner la santé, la vie sociale et économique des habitants de la France et d’une grande partie des pays de la planète.

La complicité de la presque totalité des médias avec le pouvoir politicofinancier, est évidente et leur responsabilité considérable, car tous les textes cités ici sont publics et disponibles facilement. Le ministre qui soi-disant soigne son dossier pénal ne se rend-il pas compte qu’il aggrave son cas à chaque décision antiscientifique, comme celle de tester un million de jeunes, et de mettre sur le marché des « vaccins géniques » très insuffisamment testés en particulier chez les pensionnaires d ’Ehpad alors que l’explosion des contaminations et de la mortalité depuis la vaccination en Israël et en Grande-Bretagne justifie au contraire de temporiser ?

La très tardive notice de l’OMS de décembre 2020 et rappelée le 13 janvier 2021 précise :

« Les utilisateurs de réactifs RT-PCR doivent lire attentivement la notice d’utilisation pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est nécessaire pour tenir compte de tout bruit de fond pouvant conduire à ce qu’un échantillon avec une valeur de seuil de cycle élevé (Ct) soit interprété comme un résultat positif.

Le principe de conception de la RT-PCR signifie que pour les patients présentant des niveaux élevés de virus en circulation (charge virale), relativement peu de cycles seront nécessaires pour détecter le virus et donc la valeur Ct sera faible.

Inversement, lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir. »

Le vent tournerait-il ?

En conclusion, nous rappellerons que de nombreuses procédures[23] sont par le monde contre l’usage fallacieux du test PCR de Drosten et que chaque personne soumise autoritairement à ce test peut se retourner vers les tribunaux indépendants afin d’obtenir réparation de la part de l’autorité qui lui a imposé le test. Souhaitons que les dirigeants prennent conscience de leur responsabilité. Le statut d’intouchable n’existe pas. Même certains capos nazis ont été condamnés à Nuremberg.

Le procès de Nuremberg du Covid est en gestation. Ils feraient bien d’y réfléchir au lieu de foncer dans le mur. Les gens se réveillent.

Les voyageurs devraient se rebeller contre ces mesures liberticides injustifiées concourant à la mise en scène d’une pseudo-pandémie pour transformer des peuples libres en esclaves du métro-boulot-dodo dépourvus de pensée libre et donc de culture, histoire, etc.


Notes

[1] Étude du Lancet de Fauci disant que l’hydroxychloroquine est efficace

[2] Lire le livre de Klaus Schwab sur covid et grande réinitialisation disponible sur internet

[3] En particulier à l’extérieur alors que la seule étude randomisée sur le sujet (Danmask 19) a démontré que le port du masque à l’extérieur ne diminuait pas le risque de contamination

[4] Nicolas Dugré – Masks for prevention of viral respiratory infections among health care workers and the public PEER umbrella systematic review Vol 66: JULY | JUILLET 2020 Le Médecin de famille canadien https://www.researchgate.net/publication/343047403_Masks_for_prevention_of_viral_respiratory_infections_among_health_care_workers_and_the_public_PEER_umbrella_systematic_review

[5] Dr François Pesty « Bas les masques : une efficacité trop incertaine » France Soir du 21/7/2020

[6] L’élastique des masques chirurgicaux peut-il stimuler la protrusion d’oreille chez les enfants ? Plast Surg esthétique 2020 octobre ; 44 (5) : 1947-1950.doi : 10.1007/s00266-020-01833-9. En ligne du 18 juin 2020.

[7] Dr Nicole Delépine MASQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS : MALTRAITANCE SANS FONDEMENT SCIENTIFIQUE
Économie Matin 14/11/2020 12438 180

[8] Le coût actuel des tests s’élèverait à plus de 3 milliards d’euros après actualisation des données publiées par l’express Le vrai coût des tests Covid : une facture à 2,8 milliards d’euros pour l’assurance maladie 14/1/21

[9] Dr Gérard Delépine Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! France soir https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-bien-portants-dits-asymptomatiques-ne-transmettent-pas-le-covid19-etude

[10] Andrew N. Cohen False positives in reverse transcription PCR testing for SARS-CoV-2 May 2020 medRxiv preprint https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.26.20080911v1.full.pdf

[11] Rita Jaafar Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère « On constate qu’à Ct = 25, jusqu’à 70 % des patients sont positifs en culture et à Ct = 30 cette valeur tombe à 20 %. Notons que même à Ct = 35, valeur utilisée pour signaler un résultat positif pour la PCR, moins de < 3 % des personnes testées positives au PCR ont des cultures positives ».

[12] Elena Surkova False-positive COVID-19 results : hidden problems and costs September 29, 2020
https://doi.org/10.1016/S2213-2600(20)30453-7

[13] Téléconférence du 8 juin de Maria Van Kerkhove

[14] Shiyi Cao, Yong Gan, Chao Wang, Max Bachmann, Shanbo Wei, Jie Gong, Yuchai Huang, Tiantian Wang, Liqing Li, Kai Lu, Heng Jiang, Yanhong Gong, Hongbin Xu, Xin Shen, Qingfeng Tian, Chuanzhu Lv, Chanson de Fujian, Xiaoxv Yin & Zuxun Lu Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China Nature Communications volume 11, Article number: 5917 (2020) : https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w

[15] Acté le 11 octobre par la cour d’appel de Lisbonne (Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés) ordonnant à ce motif la libération de touristes allemands mis en quarantaine sur la foi de tests PCR

[16] Christian Drosten : l’heure des comptes ? (francesoir.fr)

[17] « Vos déclarations de sept 2020 se rapportent-elles à celles du 7 mai 2020 (Coronavirus Update n ° 39, transcription p. 3), lorsque vous avez fait référence à une étude qui préconisait Ct = 25 comme “limite magique” ?

[18] Israël et la Grande-Bretagne ou les contaminations ont explosé depuis le début des vaccinations

[19] Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[20] D’après le rapport très détaillé de German Sarlangue avec totalité des références : adoratio : Dossier RT-PCR (adoratioiesuchristi.blogspot.com)

[21] SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE MICROBIOLOGIE (SFM) « Avis du 25 septembre 2020 de la Société Française de Microbiologie (SFM) relatif à l’interprétation de la valeur de Ct (estimation de la charge virale) obtenue en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positive sur les prélèvements cliniques réalisés à des fins diagnostiques ou de dépistage » Version 1 25/09/2020.
https://www.sfm-microbiologie.org/wp-content/uploads/2020/09/Avis-SFM-valeur-Ct-excr%C3%A9tion-virale-_-Version-Finale-25092020.pdf

[22] actuellement mi-janvier, les résultats PCR rendus au patient ne mentionnent pas systématiquement le nombre de Ct

[23] Procédure nationale canadienne contre l’OMS et ses alliés (francesoir.fr)

« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf

Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)




Les masques tombent sur la cruauté des mondialistes. MàJ

Par Jean-Michel Grau

Une étude allemande intitulée : « Corona children studies » vient de faire l’effet d’une bombe :

il s’agit de la première étude dans le monde à grande échelle sur plus de 25930 enfants scolarisés dans toute l’Allemagne, et qui révèle que les parents, les éducateurs et les médecins, signalent de plus en plus de problèmes et de plaintes de santé chez les enfants à cause du port du masque obligatoire. (1)

D’après cette étude, 68 % des parents rapportent que les enfants portant des masques seraient victimes d’impacts négatifs majeurs sur leur santé physique, psychologique et comportementale.

En outre, l’étude indique qu’en moyenne, les enfants scolarisés porteraient des masques 270 minutes par jour, c’est-à-dire près de 5 heures ! Des chiffres alarmistes qu’aucun média mainstream ne rapporte, sauf une video de France Soir. (2)

Selon cette étude,

« Il n’existe pas à ce jour d’études indépendantes de fabricants sur l’utilisation des masques pour enfants et adolescents, masques qui sont certifiés comme produits médicaux pour la sécurité du travail dans des applications professionnelles. En outre, en raison des matériaux inconnus utilisés, il n’y a pas d’indications sur les effets protecteurs ou les effets secondaires potentiels. »

Voici ce que l’on constate chez les enfants portant des masques dès l’âge de 6 ans :

Symptômes physiques :

  • Les maux de tête: 53,3%
  • Les difficultés de concentration : 49,5 %
  • Les malaises : 42,1 %
  • Les troubles de l’apprentissage : 38 %
  • La somnolence et la fatigue : 36,5 %
  • L’oppression sous le masque : 35,6 %
  • La sensation d’étouffement : 29,7 %
  • Les vertiges : 26,4 %
  • La gorge sèche : 22,7 %
  • La sensation de syncope : 20,7 %
  • Les démangeaisons dans le nez : 17,1 %
  • La nausée : 16,6 %
  • La sensation de faiblesse : 14,7 %
  • Les douleurs abdominales : 13,5 %
  • La respiration accélérée : 12,2 %
  • La sensation de maladie : 9,7 %
  • La sensation d’oppression dans la poitrine: 8 %

Symptômes comportementaux :

  • L’enfant est plus irrité : 60,4 %
  • L’enfant est de moins bonne humeur : 49,3 %
  • L’enfant ne veut plus aller à l’école ou à la maternelle : 44 %
  • L’enfant est plus agité qu’à l’accoutumée : 29,2 %
  • L’enfant dort moins bien que d’habitude : 31,1 %
  • L’enfant développe des angoisses : 25,3 %
  • L’enfant dort plus qu’à l’accoutumée : 25 %
  • L’enfant est réticent à bouger et à jouer : 17,9 %

Résultats de l’étude :

«La distribution de fréquence des effets secondaires associés aux masques est similaire dans les différents groupes d’âge : les maux de tête, les difficultés de concentration, les malaises, les difficultés d’apprentissage et la somnolence/fatigue étant les plus fréquents.

D’autres plaintes ont été décrites :

Tout d’abord : 269 plaintes pour aggravation des problèmes de la peau, notamment l’augmentation des boutons, des éruptions cutanées et des phénomènes allergiques autour de la bouche jusqu’aux maladies fongiques dans et autour de la bouche.

Il y avait 151 plaintes pour saignements de nez, 122 pour le mécontentement scolaire allant jusqu’à l’anxiété scolaire / le refus d’aller à l’école, 64 pour transpiration accrue, 52 pour des points de pression et des blessures derrière les oreilles, 46 pour des lèvres douloureuses ou fissurées et partiellement sanglantes, 31 pour l’augmentation de la fréquence et de la sévérité des crises de migraine, 23 pour des troubles de la vision, 13 pour des aphtes.

Ensuite, parmi les problèmes de comportement :

60,4% des enfants masqués faisaient état d’irritabilité accrue, et l’on trouvait aussi 49,3% d’enfants moins heureux et 44% qui ne veulent plus aller à l’école. Dans chaque cas, les enfants de la catégorie d’âge 7-12 ans sont les plus touchés.

De plus, 25,3% des enfants ont déclaré avoir développé de nouvelles angoisses. Ainsi, 2 672 plaintes pour cette seule question mentionnent des spéculations explicites d’anxiété ou la réapparition de plusieurs anxiétés : en plus d’une peur générale de l’avenir, la peur de suffoquer avec un masque, ainsi que la peur de la mort ont été mentionnées. La peur de la mort de proches à cause du Covid est aussi la plus fréquemment rapportée. En outre, la peur d’être stigmatisé par le port ou non d’un masque dans l’environnement social est aussi mentionnée. Enfin, de nombreux parents font également état de cauchemars et de troubles anxieux liés à des personnes masquées dont les expressions faciales et l’identité ne sont pas reconnaissables par les enfants. »

Conclusion de l’étude :

« – Ce premier registre mondial sur les effets secondaires du masque reflète le spectre des symptômes chez les enfants et les adolescents.

-Les plaintes d’un certain pourcentage d’enfants et d’adolescents sont non négligeables lorsqu’ils portent le masque. Ces enfants ne doivent pas être stigmatisés.

-Une analyse précise du rapport bénéfice-risque est nécessaire de toute urgence. L’importance des effets secondaires rapportés chez les enfants suite au port des masques doit être prise au sérieux et nécessite une clarification précise des circonstances de santé qui l’accompagnent, de la situation du port du masque et de la façon dont il est utilisé. (durée, pauses et type de masque) et de la situation scolaire de l’école. Compte tenu des obligations variables des enfants et des adolescents de porter des masques à l’école sur une période plus longue, il y a un besoin urgent de recherche. »

Cette étude apporte de l’eau au moulin déjà bien rempli de l’avocat allemand Reiner Fuellmich, chargé de poursuivre au sein d’une «Class Action» sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux, tous les responsables du désastre sanitaire du Covid19 pour « crimes contre l’humanité ». (4)

Dans sa dernière interview du 31 décembre 2020, voici ce qu’il disait :

« Dans ce scandale sanitaire, le pire, ce sont les conséquences du confinement et du port du masque obligatoire, en particulier sur les enfants traumatisés en masse, avec des conséquences psychologiques à moyen et long terme. En Allemagne, des enfants sont enlevés à leurs parents s’ils ne respectent pas les consignes de quarantaine, de port du masque et de confinement. Par ailleurs, les masques représentent un risque très grave pour la santé, comme le montrent de plus en plus d’études indépendantes et de déclarations d’experts. Tous ces faits feront bientôt tomber les masques sur tous les responsables de ces crimes. » (3)

Il est plus qu’urgent de démasquer la cruauté des mondialistes pour les faire tomber au plus vite.

RESISTANCE !


(1) assets.researchsquare.com/files/rs-124394/v2/3c831c8c-03c2-4d1a-aa24-a92bbb272be3.pdf

(2) youtube.com/watch?v=e_5gqYsMdvw

(3) odysee.com/@JeanneTraduction:a/fuellmichsenta:1

(4) ripostelaique.com/est-ce-dans-ce-monde-la-que-nous-voulons-vivre.html


Information reprise aussi sous forme vidéo :

Source : FranceSoir

https://youtu.be/e_5gqYsMdvw



Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?

Par Jean-Michel Grau

  • Un monde où chacun d’entre nous est parqué chez soi arbitrairement de 18 h à 6 h pour un couvre-feu que seule une guerre peut justifier ;
  • Un monde où l’on ne peut plus se réunir à plus de 6 personnes, y compris chez soi ;
  • Un monde où l’on n’a plus aucune vie sociale, où l’on est isolés, claquemuré comme du bétail ;
  • Un monde où l’on n’a même plus le droit à la moindre détente, car les restaurants, les bars et les discothèques ont tous fermé ;
  • Un monde où l’on ne peut plus faire aucun projet de vacances, car tous les établissements hôteliers et touristiques ont fermé et que l’on est tous à la merci d’un nouveau confinement ;
  • Un monde paranoïaque où toute opposition est bannie et qualifiée de complotiste ;
  • Un monde où l’on ne peut plus entretenir son corps et sa santé, car les salles de sports ont fermé ;
  • Un monde où l’on interdit de se soigner avec les traitements qui on fait leurs preuves contre le Covid, car ceux-ci sont désormais interdits ;
  • Un monde où des conseils d’experts gouvernementaux autoproclamés décident de nos vies, de notre avenir et de celui de nos enfants sans nous consulter ;
  • Un monde où ces mêmes « experts » décident qui va à l’école, qui n’y va pas, qui travaille, qui ne travaille pas, qui sort, qui ne sort pas, sur des bases totalement arbitraires et non scientifiques ;
  • Un monde où l’on doit s’autoriser à sortir uniquement pour des « raisons essentielles » en période de confinement avec un « ausweis » dûment rempli sous peine d’amende sévère ;
  • Un monde où l’on ne peut sortir de chez soi qu’avec une muselière imposée dès l’âge de 6 ans, et où même les bébés sont privés du sourire de leurs assistantes maternelles à la crèche ;
  • Un monde où il est programmé de tous nous piquer comme des poulets génétiquement modifiés pour mieux nous tracer et nous enfermer dans une peur permanente de la contamination ;
  • Un monde où l’on veut nous imposer un passeport vaccinal pour créer des Alpha + et des Beta -;
  • Un monde à deux vitesses où seuls ceux qui auront pris le risque de servir de cobayes aux labos pharmaceutiques pourront circuler et voyager librement ;
  • Un monde où toute vie festive aura disparu et où la majorité d’entre nous n’aura plus d’emploi, car jugés « non essentiels » pour la « nouvelle société » que les mondialistes nous préparent ;
  • Un monde où les seuls signes de reconnaissance qui nous restent sont les gestes-barrière ;
  • Un monde de cruauté que même les nazis les plus fanatiques n’auraient jamais osé imaginer.

Tout cela pour un virus dont la létalité est de 0,05 %…

Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?

« Celui qui ne connaît pas la vérité n’est qu’un imbécile. Mais celui qui connaît la vérité et la qualifie de mensonge est un criminel. »

Bertold Brecht, La vie de Galilée

  • Il est grand temps de dire la vérité aux Français que tout a été prévu pour ruiner volontairement des pans entiers de l’économie occidentale en supprimant définitivement 75 % des restaurants indépendants par le renouvellement perpétuel des confinements jusqu’à la fin de l’année, comme prévu par le rapport Ferguson de l’Imperial College de Londres dont toutes les prédictions se sont révélées fausses (1), mais que le gouvernement suit à la lettre aveuglément.
  • Il est temps d’informer massivement les Français et d’abord tous ceux qui sont privés depuis bientôt un an de la liberté la plus élémentaire : celle de travailler, entraînant notre pays dans un désastre économique sans précédent : salariés du tourisme, de la culture, des sports et divertissements, de l’hôtellerie et de la restauration, des petits commerces, des PMI-PME, bref, tous les secteurs jugés non essentiels par l’oligarchie financière qui tient en main tous les rouages financiers, économiques, médiatiques et numériques mondiaux.
  • Il est temps de dévoiler aux Français que les raisons de ce cauchemar sanitaire n’ont rien à voir avec la propagande dont nous sommes abreuvés quotidiennement par le pouvoir et les médias, mais qu’il a été scrupuleusement planifié de A jusqu’à Z pour nous manipuler par la peur.
  • Il est temps de révéler que cette propagande mensongère n’a d’autre finalité que de réaliser le programme du Forum Économique Mondial. Il suffit de lire le livre « Covid-19 : la grande réinitialisation » de Klaus Schwab, le président fondateur du dit forum, où tout est décrit avec force détails, pour comprendre que la dictature sanitaire dans laquelle nous vivons aujourd’hui est le résultat d’une stratégie planifiée par Klaus Schwab et ses amis mondialistes à partir d’une pandémie prétexte pour mettre en œuvre le grand reset de l’économie mondiale. (2) À tel point qu’ils se sont même permis de faire une simulation de la pandémie du Covid 19 au forum de Davos en 2019 ! (3)

Ce programme délirant de Klaus Schwab dont la généralisation des vaccins géniques pour contenir, tracer et museler les populations par la peur menace directement la survie des démocraties, notre survie ! Tout est écrit par le menu dans le livre de Klaus Schwab : il suffit de le lire pour comprendre que le cauchemar que nous vivons aujourd’hui, confinés, muselés et bientôt piqués comme des poulets, n’est rien d’autre qu’une gigantesque prise d’otage.

C’est pourquoi il est absolument vital d’entrer dès maintenant en résistance pour éviter à tout prix qu’advienne cette gouvernance mondiale dont rêvent Klaus Schwab, Jacques Attali, Emmanuel Macron et quelques-uns de leurs amis mondialistes de la finance, des GAFAM et des médias.

Cette résistance a commencé dès la fin de l’année dernière : le Dr Drosten, le conseiller virologue d’Angela Merkel est poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené les gouvernements à prendre des décisions ravageuses de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient positifs, même avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Aujourd’hui, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une « Class Action » sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit le Dr Drosten en justice. À ce sujet, il est utile de rappeler que Reiner Fuellmich est l’avocat qui a réussi à condamner le géant de l’automobile Volkswagen dans l’affaire des pots catalytiques trafiqués. Et c’est le même avocat qui a réussi à condamner la Deutsche Bank comme entreprise criminelle.

« Le plus grand crime contre l’humanité jamais commis »

Reiner Fuellmich

Selon Reiner Fuellmich, toutes les fraudes des entreprises allemandes sont dérisoires comparées aux dommages que la crise du Covid19 a causé et continue de causer. Cette crise du Covid 19 doit être rebaptisée « Scandale du Covid 19 » et tous les responsables doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de programmes corrompus. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid 19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Une commission d’enquête Covid 19 a été ouverte à l’initiative d’un collectif d’avocats allemands dans le but de faire un recours collectif au niveau international en utilisant le droit anglo-saxon.

Dans une vidéo magistrale de 49 minutes traduite en français, (4) Reiner Fuellmich démontre que la pandémie de Covid 19 n’est rien d’autre qu’une gigantesque supercherie :

« il n’existe pas de pandémie de Covid 19, juste une pandémie de tests PCR. Sans les résultats des tests publiés en permanence dans les médias, la pandémie serait déjà terminée. »

Dans une deuxième vidéo passionnante de 24 minutes, il annonce l’arrivée en série des procès des tests PCR. (5) Il ajoute :

« Dans ce scandale sanitaire, le pire, ce sont les conséquences du confinement et du port du masque obligatoire, en particulier sur les enfants traumatisés en masse, avec des conséquences psychologiques à moyen ou long terme. En Allemagne, des enfants sont enlevés à leurs parents s’ils ne respectent pas les consignes de quarantaine, de port du masque et de confinement. Par ailleurs, les masques représentent un risque très grave pour la santé, comme le montrent de plus en plus d’études indépendantes et de déclarations d’experts. Tous ces faits feront bientôt tomber les masques sur tous les responsables de ces crimes. »

En parallèle avec la résistance judiciaire internationale se met en place une résistance médicale avec le « Collectif de médecins indépendants pour le Covid 19 », une initiative de médecins libres français représentant plus de 30000 médecins.

« Leur objectif est d’informer le plus grand nombre de personnes possible sur la vérité qui se cache derrière le Covid 19 en expliquant les mythes, les mystères, les controverses scientifiques et les mensonges purs et simples :

  • l’interdiction par le gouvernement d’utiliser des médicaments anti-inflammatoires et infectieux traditionnels et efficaces comme l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine ;
  • l’analyse des statistiques souvent fausses ou trompeuses sur les nouvelles infections, les nouveaux cas et le taux de mortalité ;
  • les différents aspects et risques des vaccins actuellement disponibles, en grande partie non testés en Occident, en particulier les dangers des vaccins de type ARN ;
  • l’information publique, actuellement sujette de désinformation, chaos de contradictions scientifiques et médicales, de manipulations des faits, de demi-vérités, de contre-vérités et de mensonges purs et simples ainsi que d’intenses campagnes de peur. Les personnes qui ont peur deviennent faibles moralement et physiquement, plus vulnérables aux maladies, obéissantes et déprimées, ce qui peut conduire au suicide. » (6)

« Cette coordination de médecins veut informer les citoyens sur la vérité qui se cache derrière les discours officiels. Cette fantastique initiative française est une vraie lueur d’espoir à l’horizon : de plus en plus de citoyens vont comprendre que cette opération Covid 19 est une affaire criminelle. »

Cette résistance qui s’organise au niveau juridique et médical montre une chose : tout espoir n’est pas perdu de renverser la vapeur, car tout est en train de se mettre en place pour faire éclater la vérité au grand jour. Ce virus Covid 19 sous faux drapeau d’une pandémie doit être pris pour ce qu’il est : une gigantesque arnaque qui restera dans l’histoire de l’humanité comme la plus énorme prise d’otage de masse par une oligarchie financière, pharmaceutique et médiatique corrompue. L’heure des comptes viendra où il nous appartiendra de solder devant les tribunaux le désastre sanitaire et humain qu’elle aura engendré.

Dans cette attente, il convient pour chacun d’entre nous de :

  • cesser d’avoir peur d’un virus pas plus dangereux que celui d’une grippe saisonnière en arrêtant de se soumettre aux tests PCR qui sont totalement bidon et dont le séquençage donnant des résultats à plus de 90 % positifs a été truqué uniquement dans le but d’entretenir la peur ;
  • bannir définitivement les médias mainstream, autrement dit mettre sa télé à la cave pour la remplacer par un aquarium 16/9e afin de mieux se concentrer sur les médias alternatifs d’internet qui ne débitent pas de la propagande H24 en copié-collé des dépêches AFP ;
  • faire pression sur les maires et les élus en général en leur rappelant qu’avec le Covid, le « remède » est bien pire que le mal, car la prolongation des restrictions sanitaires va tuer l’économie et que des centaines de milliers d’entreprises ne s’en relèveront jamais : petits commerces, cafés, hôtels, restaurants, discothèques, piscines, salles de sport, PMI-PME de toutes sortes…
    Et surtout : leur faire prendre conscience que notre jeunesse est la première menacée par ces mesures de confinement criminelles : selon l’OMS, plus d’un milliard d’élèves ont été touchés par des fermetures d’écoles, un jeune sur six a perdu son emploi pendant la pandémie et des troubles anxiogènes ont été détectés chez 90 % des jeunes. Tout cela pour éviter l’effondrement généralisé du néolibéralisme qu’une oligarchie financière corrompue a fait prospérer au-delà de tout contrôle…
  • se mobiliser massivement dans la rue pour le respect de nos libertés : liberté de travailler, circuler, exprimer ses opinions, aller au restaurant, au concert, au théâtre, aux expositions, dans les bars et les discothèques, et sans ces muselières qui ne sont que les signes de notre soumission planifiée par les oligarques mondialistes afin de nous réduire en esclavage.

En résumé : nous voulons REVIVRE.


[Notes]

(1) francesoir.fr/opinions-tribunes/ferguson-ment-grossierement-et-le-journal-nature-le-publie

(2) mondialisation.ca/klaus-schwab-et-sa-prise-dotages-de-masse-2-0/5652765

(3) youtube.com/watch?v=0-FQbhkWYuY&ab_channel=WorldEconomicForum

(4) youtube.com/watch?v=VWk90PvlJX0

(5) odysee.com/@JeanneTraduction:a/fuellmichsenta:1

(6) mondialisation.ca/medecins-francais-pour-la-verite-sur-la-covid-19/5652812




Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !

Par Dre Nicole Delépine

Tests PCR[1] condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants[2] !

« Nous sommes tous des Indiens maintenant »

Faux et usages de faux

Depuis plusieurs mois, la politique dite sanitaire des pays qui suivent les consignes de l’OMS, prend comme prétexte le taux des contaminations basées sur les tests PCR, pour justifier des mesures antidémocratiques inefficaces, quel que soit l’état épidémique réel de leur propre pays[3].

À partir de mai-juin 2020, les vrais malades Covid (ceux qui consultent leurs médecins de ville, vont aux urgences et sont hospitalisés pour traitement) se sont raréfiés. Pour continuer à imposer les mesures liberticides du projet Schwab (forum de Davos), nos dirigeants ont remplacé le décompte des malades par de faux malades, « les cas » simples porteurs d’un test PCR positif, même asymptomatiques (quand ce ne fut pas par le décompte des consultations de SOS Médecins ou aux urgences pour crainte de covid !).

Contexte des plaintes multiples

Les auditions d’une centaine de scientifiques, médecins, économistes, avocats et personnes invitées par le Comité coronavirus de Berlin depuis le 10 juillet 2020 organisé par Maître Reiner Fuellmich et al. ont montré que le scandale Corona n’a jamais porté sur la santé.

Le coronavirus provoquant le covid19 n’est pas plus dangereux que celui des grandes grippes de l’ère des transports aériens. La dangerosité de cette nouvelle souche de coronavirus est semblable à celui d’une grippe sévère, non seulement selon les études du Pr J. Ioannides (Université Stanford), mais aussi selon l’évaluation de l’OMS récente.

En résumé, voici les constatations majeures de Reiner Fuellmich et coll. qui ont permis d’éclairer l’escroquerie mondiale[4].

Les tests PCR sont de faux étalons-or qui permettent toutes les manipulations

Les tests PCR inventés par Drosten en janvier 2020 ne sont pas adaptés au dépistage des infections Covid19 actives. La direction de l’OMS les a pourtant recommandés à toute vitesse, comme l’étalon-or mondial pour la détection du covid19 deux jours après la publication de Drosten en janvier 2020[5].

Dénoncée entre autres depuis plusieurs mois par le Pr Denis Rancourt au Canada, le Dr Pascal Sacré, réanimateur belge, l’arnaque est ensuite analysée collectivement et de très nombreux articles y sont consacrés dans la littérature internationale, sans effet pour l’instant.

Le 27 septembre, 22 scientifiques font une analyse indépendante « par les pairs » de l’article original de Drosten et Corman et démontrent que le travail présente 9 erreurs majeures qui rendent les tests invalides pour le diagnostic d’infection par Sars-CoV-2. Dans leur publication de novembre 2020,[6] les chercheurs déclarent :

« l’utilisation des tests PCR en tant que méthode de mesure des infections, n’est pas seulement un non-sens scientifique,

mais a apparemment été délibérément conçue pour créer autant de faux positifs que possible (et paniquer ainsi le monde). »

Ceci est grave, car même si la supercherie était visible, nous n’avions pas imaginé une falsification préméditée. Ces universitaires internationaux très respectés ont rédigé un article de demande de rétractation appelant le rédacteur en chef du journal à retirer immédiatement ce non-sens. [7]

Les asymptomatiques positifs ne sont pas des malades

La deuxième affirmation faite par Drosten en janvier 2020 selon laquelle il existe des malades porteurs d’infections asymptomatiques est également fausse. Une étude récente chinoise vient de le prouver à nouveau par une grande étude impliquant 10 millions de personnes de Wuhan, que les asymptomatiques « positifs » n’excrètent pas de virus et sont incapables de contaminer leurs contacts. [8]

Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé. En conséquence, cela signifie que personne ne doit avoir peur des autres s’ils ne présentent pas de symptômes, et ne doit pas les forcer à se masquer.

Personne ne doit avoir peur d’un résultat de test positif et ne doit pas imaginer que la personne asymptomatique testée positive est infectée.

La surcharge des lits hospitaliers est récurrente et voulue (fermeture continue des lits) :

Les images pénibles de lits dans les couloirs d’hôpitaux réapparaissent presque chaque année pendant les épidémies hivernales de grippe ou de bronchiolite chez les tout petits. Elles sont maintenant instrumentalisées pour attiser la panique Covid.

Il n’y a toujours pas de surmortalité globale en Allemagne, il est « normal » que davantage de personnes meurent en hiver. Idem en France.

La clique de Davos au pouvoir veut faire disparaître la classe moyenne et les petits commerces

On peut supposer que la clique de Davos se sentant assez puissante a décidé de prendre directement le pouvoir. Elle est composée d’élites autoproclamées des entreprises mondialisées, de la finance et de dirigeants politiques, qui collaborent intensivement depuis au moins 20 ans dans le cadre des réunions de l’organisation privée World Economic Forum (WWF).

Paul Schreyer décrit très clairement cette imbrication des « élites » dans son rapport « Jeux de simulation de pandémie ».[9][10]

Et l’ancienne vice-ministre du Logement et banquier d’investissement américaine C. Austin Fitts explique dans « Catherine Austin Fitt’s Full Interview Planet Lockdown : « comment ces « élites » s’emparent économiquement des actifs de la classe moyenne ».

Des secteurs de la restauration et de la vente au détail sont autoritairement fermés par le confinement, de sorte que ces entreprises ne peuvent plus générer de revenus, payer leurs charges, ni rembourser leurs emprunts. L’aide est annoncée, mais en réalité versée avec grande parcimonie, ou pas du tout, afin de conduire ces entreprises à la faillite pour permettre ensuite à des « investisseurs » fiscalement privilégiés par leur implantation mondiale, de les reprendre pour presque rien.

https://www.youtube.com/watch?v=qoILpvheLWE
[Vidéo déjà censurée].

Alors, comment se défendre ?

Si seulement 10 % de la population le reconnaît, le château de cartes s’effondre immédiatement.

Il faut informer sur la supercherie de la pandémie et les moyens de s’en sortir, dont les procédures judiciaires

Vers les litiges : « un certain nombre d’institutions et de cabinets d’avocats du monde entier se sont coordonnés afin de faire établir les antécédents susmentionnés avec l’aide des tribunaux, puis d’exiger une compensation de la part des bailleurs de fonds et des entreprises responsables pour les nombreuses victimes du confinement reposant sur les tests PCR de Drosten ».

Riposte mondiale juridique organisée

Les différends juridiques qui se déroulent actuellement dans le monde ne surviennent pas au hasard, mais résultent principalement d’une planification conjointe détaillée par les scientifiques et les avocats impliqués.

LES ÉLÉMENTS PRINCIPAUX UTILISÉS EN JUSTICE CONTRE LES TESTS PCR DROSTEN

Les fautes majeures de la supercherie mise en place par Drosten en janvier 2020 sont exposées ici.

Erreurs dans la conception et le protocole des tests PCR pour SARS-CoV-2 [11]
  • « Le virus n’a pas été correctement isolé » la séquence génétique complète n’est pas incluse pour servir d’étalon — or » ou de guide standard pour le test PCR. »
  • « Conception inadéquate des “amorces” avec faible spécificité pour la détection de SARS-CoV-2. »
  • « Protocole de test inefficace, permet de conclure comme positif un échantillon avec seulement des fragments de virus SARS-CoV-2 (donc non infectieux) ou même d’autres coronavirus différents du SARS-CoV-2 qui peuvent être présents jusque chez 30 % de la population. »
  • « Nombre de Cycles d’amplification recommandé trop élevé (au-dessus de 40) qui sensibilise excessivement le test, générant de la positivité chez les personnes en bonne santé. »
  • « On constate qu’à Ct = 25, jusqu’à 70 % des patients sont positifs en culture et à Ct = 30 cette valeur tombe à 20 %. Notons que même à Ct = 35, valeur utilisée pour signaler un résultat positif pour la PCR, moins de < 3 % des personnes testées PCR positifs ont des cultures positives ». (Jaafar, décembre 2020). »
  • « Le nombre de cycles recommandé pour les échantillons SARS-CoV-2 par l’étude Corman et Drosten […] varie entre 40 et 45 cycles, ce qui entraîne la positivité pour les échantillons non contagieux. »
  • « Parce que le corps humain a en moyenne 10 micro-organismes (virus, bactéries, levures, champignons, protozoaires) pour chaque cellule humaine, il est très difficile d’isoler le matériel génétique d’un seul micro-organisme dans un échantillon. Et c’est pourquoi ce test n’est utile que dans des conditions de laboratoire. »
  • « Le pharynx humain est l’un des plus contaminés du règne animal, il est très difficile d’isoler un échantillon viral purifié. » « L’écouvillon pharyngé réalisé pour les diagnostics de coronavirus est généralement contaminé par un matériel génétique abondant et qui, lors de son amplification, il peut facilement fausser les résultats. »
  • « une bonne proportion de “nouveaux” cas bénins et de personnes ne sont pas infectieux ou contagieux, éliminent simplement les particules virales inoffensives que leur système immunitaire a combattues efficacement. » (Santos, 23 Septembre 2020).

L’inventeur de la PCR, Karys Mullis avait d’emblée averti que ce n’était pas un test permettant seul un diagnostic. Ce test manque de spécificité, en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (un seul fragment du virus). Et ce seul marqueur peut éventuellement se retrouver dans le génome d’autres virus tels que d’autres coronavirus sources d’infection saisonnière banale.

Pour pallier cette spécificité trop faible, les Chinois en recherchent plusieurs. La sensibilité et la spécificité dépendent beaucoup du nombre de cycles d’amplification réalisé ; lorsque ce nombre est faible, le test est spécifique, mais peu sensible ; mais lorsque le nombre de cycles d’amplification augmente et dépasse les 30, le test est très sensible, mais la spécificité diminue fortement.

En France, comme dans beaucoup d’autres pays, le nombre d’amplifications dépasse les 40 (pourquoi, qui a décidé ?) entraînant un nombre considérable de faux positifs. Et même lorsque le test est juste, il ne signifie pas que la personne est malade, mais seulement qu’elle a rencontré le virus ». Ceci a conduit le directeur général de la santé à demander un avis en septembre 2020, devant la polémique PCR de plus en plus difficile à étouffer[12].

Avis concernant l’interprétation de la valeur de Ct

« Par saisine de la DGS en date du 11 septembre 2020, le Directeur Général (Pr J.SALOMON) et la conseillère médicale Dr WORMS (cellule de gestion de crise sanitaire) de la DGS ont demandé à la Société Française de Microbiologie en lien avec le Centre National de Référence (CNR) des Virus respiratoires d’émettre un avis concernant l’interprétation de la valeur de Ct (cycle threshold, estimation de la charge virale) obtenue en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positive sur les prélèvements cliniques respiratoires réalisés à des fins diagnostiques ou de dépistage.

« En médecine, même en situation épidémique ou pandémique, il est dangereux de placer les tests, examens, techniques au-dessus de l’évaluation clinique (symptômes, signes). C’est le contraire qui garantit une médecine de qualité. »

On a plaisir à lire cette évidence, mais on aimerait qu’elle soit appliquée en pratique quotidienne.

« La limite (faiblesse) principale du test RT-PCR, dans la situation pandémique actuelle, est son extrême sensibilité (faux positif) si on ne choisit pas un seuil de positivité (Ct) adapté. Aujourd’hui, des experts préconisent d’utiliser un seuil Ct maximal à 30 ».

« Ce seuil Ct doit être renseigné avec le résultat RT-PCR positif afin que le médecin sache comment interpréter ce résultat positif, surtout chez une personne asymptomatique, afin d’éviter des isolements, quarantaines, traumatismes psychologiques inutiles ».

« Outre la mention du Ct utilisé, les laboratoires doivent continuer de garantir la spécificité de leurs kits de détection au SRAS-CoV-2, en tenant compte de ses mutations les plus récentes, et doivent continuer d’utiliser trois gènes du génome viral étudié comme amorces ou, sinon, le mentionner. »

La société de microbiologie insiste sur une évidence oubliée pendant les derniers mois, l’IMPORTANCE DE LA CLINIQUE !

« Comme tout résultat biologique, l’interprétation qui doit en être faite pour estimer le risque infectieux doit prendre en compte divers paramètres tels que :

  • La symptomatologie présentée par le patient puisque la toux et les éternuements sont les symptômes majoritairement associés à un risque d’aérosolisation dans l’environnement.
  • La date de début des signes cliniques pour les patients symptomatiques.
  • Le statut immunitaire individuel et la présence de comorbidités.
  • Les conditions environnementales de l’individu (entourage familial, vie en collectivité, situation d’hospitalisation, prise en charge en EHPAD…). »[13]

COMMENT LES TESTS POSITIFS SIGNALÉS CHAQUE SOIR À LA TÉLÉVISION PEUVENT-ILS AVOIR BÉNÉFICIÉ DE CETTE PROCÉDURE MÉDICALE NORMALE devenue exceptionnelle ?

« il convient de limiter au maximum les analyses de RT-PCR SARS-CoV-2 itératives chez les individus ne présentant pas de formes graves et de privilégier les stratégies de levée d’isolement selon une approche clinique prenant en compte les délais de précautions recommandées.

Ainsi, les réanalyses doivent être considérées au cas par cas et uniquement si la situation clinique l’exige (immunodépression profonde, nouveaux symptômes respiratoires quel que soit le résultat du bilan de sérologie anti-SARS-CoV-2, en cas de bilan pré hospitalisation/admission en structure collective si jugé nécessaire) »

Pourquoi avoir autorisé les gens à s’auto-prescrire, à répétition de surcroît, les tests gratuits (payés par nos cotisations) sans aucune régulation médicale ?

L’avis récent de l’OMS déconseille les tests PCR à l’aveugle

Mais cela continue en France et le ministre prévoit un million de tests chez les jeunes qui ne sont presque jamais malades (et jamais gravement), ne contaminent personne, ni les autres enfants ni les adultes. C’est inadmissible.

Le document du 7 décembre 2020, publié le 14 décembre, par l’Organisation Mondiale de la Santé, confirme que les tests utilisés pendant toute la période de médiatisation à outrance 24h/24h (presque toute l’année 2020 jusqu’à la date de cette notice (WHO-identifier 2020/5 version 1) au moins, sont non conformes pour la détection du SARS-CoV-2.

Rappelons-nous les études critiques et solides précitées, ainsi que les affirmations de l’inventeur du PCR. 97 % de faux positifs publiés comme positifs au public et souvent comme « malades » ont été utilisées — en France et dans le monde —, pour la définition de la politique de santé nationale et internationale, pour confiner, limiter et ruiner la santé, la vie sociale et économique des habitants de la France et d’une grande partie des pays de la planète.

La complicité évidente de la presque totalité des médias avec le pouvoir politicofinancier est capitale, car tous les textes cités ici sont publics et disponibles facilement. Le ministre qui soi-disant soigne son dossier pénal ne se rend-il pas compte qu’il aggrave son cas à chaque décision antiscientifique, comme celle de tester un million de jeunes, et de mettre sur le marché des « vaccins géniques » très insuffisamment testés en particulier chez les pensionnaires d’Ehpad ?

La très tardive notice de l’OMS de décembre 2020 précise :

« Les utilisateurs de réactifs RT-PCR doivent lire attentivement la notice d’utilisation pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est nécessaire pour tenir compte de tout bruit de fond pouvant conduire à ce qu’un échantillon avec une valeur de seuil de cycle élevé (Ct) soit interprété comme un résultat positif.

Le principe de conception de la RT-PCR signifie que pour les patients présentant des niveaux élevés de virus en circulation (charge virale), relativement peu de cycles seront nécessaires pour détecter le virus et donc la valeur Ct sera faible.

Inversement, lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir. »

Le vent tournerait-il ?

Plaintes internationales en cours

Il est évident que ces énormes aberrations dans l’usage du test PCR, pivot de la justification des mesures liberticides quasi mondiales, ont conduit à des réactions juridiques. Les plaintes se sont multipliées dans le deuxième semestre 2020, partout où la politique publique autour du test PCR suit la politique de santé dictée pour l’Organisation Mondiale de la Santé[14] et l’étude truquée de Cormen-Drosten[15].

Les procédures sont de plus en plus nombreuses. Nous rapportons ici quelques exemples centrés sur la supercherie du test PCR, mais de nombreuses autres sont en cours contre le port du masque, contre les vaccins géniques[16], contre le confinement, etc.

Allemagne

Une pandémie de tests

L’action en Justice du Dr Fuellmich[17][18] est symbolique et reproductible : le test Drosten ne peut détecter à lui seul aucune infection, et il n’y a pas de « malades asymptomatiques », et donc pas de pandémie (au mieux une pandémie de test PCR). Ceci est d’une importance capitale pour les décisions de tous les litiges juridiques menés dans le monde entier.

Cela devrait provoquer selon Fuellmich « l’effondrement du château de cartes des fraudeurs pandémiques ». En combien de temps ? Diffusons les informations le plus vite et le plus largement possible.

Tout ce qui est établi aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Italie, en France, etc. dans ce contexte, avec l’aide de témoins et d’experts, peut être utilisé comme preuve dans toutes les autres juridictions du monde. Cela donne du poids et gagne du temps.

Nouvelles des Procès contre le test PCR du Dr Wodarg et du procès contre Drosten, par Reiner Fuellmich

« Ce procès est en cours devant le tribunal régional de Berlin sous le numéro de dossier 27 O 436/20.

En raison d’un “oubli” extrêmement étrange, la plainte n’a été signifiée à l’autre partie que des semaines après son dépôt. Il semblerait que les frais de justice que nous avons payés aient été imputés par “inadvertance” comme paiement sur une facture finale, et ce n’est que lorsque — après notre appel — cet “oubli” a pu être clarifié, la présentation de la plainte à l’autre partie a eu lieu… Bizarre…

Le procès sera finalisé dans les prochains jours puis soumis au tribunal régional de Berlin ».

Une forme de recours collectif allemand :  informations par Maître Fuellmich

« Nous travaillons avec un groupe d’avocats pour préparer un certain nombre de procès, mais surtout (parce que c’est plus rapide et moins cher) un grand nombre de demandes de dommages et intérêts contre les responsables.

Les dommages garantissent que les marionnettes visibles Drosten, Wieler, mais aussi les responsables de la Leopoldina[19] et d’autres (y compris ceux personnellement responsables auprès des autorités des décrets de quarantaine et autres) sont mis sous pression, mais la justification nécessaire des demandes de compensation prend alors plusieurs mois ».

Pendant ce temps, quelques-uns des litiges juridiques précédents (qui concernent tous les tests PCR et les asymptomatiques) avec les preuves nécessaires (audition de témoins et d’experts) seront menés.

Leurs résultats pourront être utilisés pour le jugement de la procédure parallèle, qui jusque-là « dormait » comme procédure de relance, car ces litiges, jusque-là dormants, ne peuvent plus conduire à un résultat différent, sur fond de faits établis dans les précédents parallèles.

Canada : « Nous sommes tous des Indiens maintenant »

Nous avons rapporté antérieurement la procédure collective[20]. Les plaignants exigent des déclarations contre les gouvernements fédéral, provincial et municipal, sur une base provisoire, pour suspendre les mesures COVID-19 jusqu’à ce que la nécessité de telles mesures soit démontrée par la science et l’opinion médicale.

Ils demandent des

  • Dommages-intérêts généraux pour douleur, souffrance et perte de la jouissance de la vie
  • Dommages spéciaux dont le montant reste à déterminer
  • Dommages pour perte de revenu et/ou autre perte économique pour des montants déterminés
  • Les dommages-intérêts punitifs
  • Intérêts avant et après jugement conformément aux tribunaux Loi, LRO 1990, ch. C43 tel que modifié
  • Les frais de cette action sur une base d’indemnité substantielle plus la TVA
  • Tout autre redressement que cette honorable Cour peut juger juste

Le recours collectif canadien est de fait le recours collectif international pour toutes les victimes du confinement et des tests PCR.

Les avocats canadiens autour de Michael Swinwood ont déposé ce recours collectif. Le groupe de plaintes — initialement représenté — se compose des Indiens et, entre autres, d’un groupe de petits entrepreneurs et d’un représentant des handicapés.

Ce procès — contrairement à tous les autres procès intentés jusqu’à présent — fournit également un aperçu clair du contexte historique des structures de pouvoir construites au cours des siècles, derrière la clique de Davos mentionnée ci-dessus.

Les Indiens (Algonquins) en tant que groupe de plaignants revêtent une importance particulière, car ils ont été la cible de tentatives de génocide par les soi-disant conquérants pendant des siècles — tout comme les Indiens aux États-Unis et en Amérique latine.

Maintenant, comme l’explique Michael Swinwood, nous sommes tous des Indiens !

Procès du test PCR à New York le 16 décembre 2020

Les collègues américains dirigés par Robert F. Kennedy, Childrens Health Defence Group — conseillé par les mêmes experts que Fuellmich — ont déposé une plainte contre le test PCR à New York au nom d’un certain nombre de plaignants.

Autres états des États-Unis [21]

« L’État de Floride demande une étude des tests PCR, pour donner suite à plusieurs expertises menées dans les États du Massachusetts, de New York et du Nevada. »

« 1. Les experts ont compilé trois ensembles de données avec des responsables des États du Massachusetts, de New York et du Nevada qui concluent : “Jusqu’à 90 % des personnes testées positives ne portaient pas de virus”.

« 2. Le Wadworth Center, un laboratoire de l’État de New York, a analysé les résultats de ses tests de juillet à la demande du NYT : 794 tests positifs avec un Ct de 40 : “avec un Ct seuil de 35, environ la moitié de ces tests PCR ne peuvent plus être considérés comme positifs”, a déclaré le NYT. Environ 70 % ne seraient plus considérés comme positifs avec un Ct de 30 ».

« 3. Une nouvelle étude de l’Infectious Diseases Society of America a constaté qu’à 25 cycles d’amplification, 70 % des tests PCR “positifs” ne sont que des “cas” puisque le virus ne peut pas être cultivé (il est incomplet et incapable de se reproduire). Et à 35 cycles : 97 % des positifs ne sont pas cliniques ».

« 4. La PCR ne teste pas la maladie, il teste un fragment d’ARN spécifique et c’est le pivot clé. Lorsque vous montez à 25 cycles d’amplification, 70 % des résultats positifs ne sont pas vraiment “positifs” au sens clinique du terme, car cela ne peut pas vous rendre malade, vous ou quelqu’un d’autre. »

Le Portugal

a jugé qu’il était parfaitement illégal de placer un citoyen en quarantaine sur la base d’un « test PCR non fiable ».Cette décision récente et importante a été rendue par la Cour d’appel de Lisbonne le 11 novembre 2020 (1783/20.7T8PDL.L1-3, Margarida Ramos de Almeida. Ce premier jugement d’une cour d’appel du Portugal a donc acté que les tests PCR ne sont pas capables de détecter des infections ou diagnostiquer même des maladies. L’assignation à résidence était inconstitutionnelle.

Le tribunal portugais a levé le 11 novembre le confinement de 4 touristes allemands isolés pour avoir trouvé chez l’un d’entre eux un test PCR positif pour SARS-Cov-2.

« Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test est, en lui-même, incapable de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SRAS-CoV-2 »[22].

CONSÉQUENCES EN ALLEMAGNE DE LA JURISPRUDENCE PORTUGAISE ET ÉQUATORIENNE

Cette décision de la cour d’appel du Portugal entache tous les jugements des tribunaux administratifs allemands, obligés de reconnaître en référé que les tests PCR ne peuvent détecter aucune infection.

Mais néanmoinsau cours d’une perversion évidente de la loi — des tribunaux allemands ont estimé que malgré des déclarations erronées se référant aux tests PCR, ils devraient tout de même suivre l’institut Robert Koch et accepter la menace de demandes excessives sur le système de santé ! Où va la justice allemande ?

L’Équateur

Une décision de la Cour constitutionnelle équatorienne annoncée le 2 et 21 janvier a décidé que toutes les mesures anti-Corona étaient jusqu’à présent basées sur de simples hypothèses sans aucune base factuelle.

Au bout de 9 mois, les juges pensent qu’il doit enfin être possible pour les politiciens de communiquer des déclarations claires et fondées sur des preuves, et de fonder leurs mesures sur elles. Comme cela n’est pas le cas, toutes les mesures sont déclarées inconstitutionnelles[23] (lien vers le jugement sur le site du Comité Corona et celui des demandes de dommages-intérêts).

Les avocats allemands regrettent que le tribunal équatorien donne une leçon sur l’état de droit aux tribunaux allemands ! Aucun des tribunaux administratifs qui ont jusqu’à présent statué sur les demandes urgentes en Allemagne, pas même la Cour constitutionnelle fédérale, n’a jusqu’à présent pris cette décision d’inconstitutionnalité qui devrait s’appliquer également en Allemagne, en l’absence de preuves de la valeur du test PCR.

Conclusion : espoir de libération des peuples via les procédures juridiques

La liste des plaintes internationales ici survolée s’allonge de jour en jour, faisant espérer que le Droit fera exploser la supercherie des tests PCR et des mesures qui en découlent à travers la panique organisée. En effet confinement, masques et vaccins ne trouvent plus aucune justification possible par les dirigeants et médias à partir du moment où sera démontrée largement qu’il n’y a pas pandémie renouvelée, au maximum une pandémie de tests !

Ne vous faites plus tester ! N’acceptez pas les tests chez vos enfants dont le risque létal est quasiment zéro. Sans tests, pas de pandémie.


[Notes]

[1] Coût des tests PCR évalués en décembre par l’express : 2,7 Milliards d’€… Pour achever la sécurité sociale ?

[2] Une soignante d’EHPAD me disait en être à son dixième test en 2 mois… Et si vous arrivez pour une fracture de jambe, vous n’échappez pas au test avant tout autre soin !

[3] Curieusement cette similitude est soulignée par les médias à longueur d’émission pour justifier les mesures aberrantes du gouvernement !

[4] Newsletter 355, 6 janvier 2020 : Money Talks VI et les procès mondiaux

[5] Lui-même coéditeur de la revue ce qui lui a permis une pony express « revue par le comité de lecture » en deux jours

[6] Review Report by an International Consortium of Scientists in Life Sciences (ICSLS) – Corman-Drosten et al., Eurosurveillance 2020 (Updated : 29.11.2020)

[7] Conclusions de l’article original de Cormen-Drosten « le travail présente 9 erreurs graves qui déterminent l’invalidité des tests PCR pour Sars-CoV-2.
« Parmi les auteurs, l’ancien chef de la recherche de Pfizer, Dr Michael Yeadon, le généticien Kevin McKernan, initiateur du projet sur le génome humain, qui possède divers brevets dans le domaine des Diagnostics PCR, le généticien moléculaire Dr Pieter Borger, le Dr Fabio Frankchi, microbiologiste et immunologiste Prof. émérite Dr Makoto Ohashi et biologiste cellulaire Prof. Dr Ulrike Kämmerer. »
« Les scientifiques ont demandé au magazine Eurosurveillance de retirer l’article “Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel”, publié dans le numéro 25 en janv. 2020 qu’ils jugent non scientifique. » « Ceci représente la base des tests PCR et cette critique invalide totalement son utilité. »
Ils ont noté les conflits d’intérêt, toujours absents de la version PubMed
« Olfert Landt PDG de TIB Molbiol (le plus grand et le plus important fabricant de tests PCR). »
« Marco Kaiser chercheur principal pour GenExpress et conseiller scientifique de TIB Molbiol. »
TIB Molbiol, société qui aurait été la « première » à produire les kits de PCR (Light Mix) sur la base du protocole publié dans le manuscrit Drosten : « Nous rapportons l’établissement et validation d’un flux de travail de diagnostic pour la détection et la confirmation spécifiques du 2019-nCoV, CONÇU EN L’ABSENCE D’ISOLATIONS DE VIRUS DISPONIBLES OU D’ÉCHANTILLONS ORIGINAUX DE PATIENTS. La conception et la validation rendues possibles grâce à l’étroite relation génétique avec le SRAS-CoV 2003 et technologie des acides nucléiques synthétiques. » (Drosten, 2020) »

[8] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr)

[9] Il y décrit également comment ces « élites » ont essayé pendant des années de conserver leur pouvoir illégitime, l’étendre à l’infini à l’aide des mécanismes de contrôle les plus massifs et inhumains avant que les objets de ces mécanismes de contrôle — à savoir nous — le remarquions et s’y opposent.

[10] Prof. Dr Rainer Mausfeld explique (complètement indépendamment de Corona en début 2019), dans sa conférence « Pourquoi les agneaux se taisent-ils » comment la politique pendant de nombreuses années — inaperçue du public — a mis en scène à plusieurs reprises la peur et la panique afin d’amener les gens à soutenir des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement. https://www.youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w

[11] D’après le rapport très détaillé de German Sarlangue avec totalité des références : adoratio : Dossier RT-PCR (adoratioiesuchristi.blogspot.com)

[12] SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE MICROBIOLOGIE (SFM) « Avis du 25 septembre 2020 de la Société Française de Microbiologie (SFM) relatif à l’interprétation de la valeur de Ct (estimation de la charge virale) obtenue en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positive sur les prélèvements cliniques réalisés à des fins diagnostiques ou de dépistage » Version 1 25/09/2020.
https://www.sfm-microbiologie.org/wp-content/uploads/2020/09/Avis-SFM-valeur-Ct-excr%C3%A9tion-virale-_-Version-Finale-25092020.pdf

[13] actuellement mi-janvier, les résultats PCR rendus au patient ne mentionnent pas systématiquement le nombre de Ct

[14] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr)

[15] Christian Drosten : l’heure des comptes ? (francesoir.fr)

[16] En Italie Dr Renate Holzeisen :« action en annulation de l’approbation des vaccins factuellement non testés et hautement dangereux contre la Commission européenne », qui au moins pour les fabricants Bioentech/Pfizer et Moderna sont en réalité des expériences génétiques — interdites — sur l’homme par la législation en cours.
En France procédure contre les vaccins géniques par Maître Brusa : voir www.reaction19fr

[17] « Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

[18] Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

[19] Même principe que notre conseil scientifique français

[20] Canadian National Procedure Against WHO and its Allies (francesoir.fr)
Procédure nationale canadienne contre l’OMS et ses alliés (francesoir.fr)

[21] : ADRIANA AVILES, Individually and as Parent and Natural Guardian of N.A., N.A. and A.A., STEPHANIE DENARO, Individually and as Parent and Natural Guardian of D.D. and H.D., CHRISTINE KALIKAZAROS, Individually and as Parent and Natural Guardian of Y.K., GAETANO LA MAZZA, Individually and as Parent and Natural Guardian of R.L., CRYSTAL LIA, Individually and as Parent and Natural Guardian of F.L., and CHILDREN’S HEALTH DEFENSE vs. BILL de BLASIO, in his official capacity as Mayor of the City of New York, DR. DAVIS

[22] « Correlation between 3790 qPCR positives samples and positive cell cultures including 1941 SARS-CoV-2 isolates » par Rita Jaafar, Sarah Aherfi, Nathalie Wurtz, Clio Grimaldier, Van Thuan Hoang, Philippe Colson, Didier Raoult, Bernard La Scola, Clinical Infectious Diseases, ciaa1491, https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491, à https://academic.oup.com/cid/advance-ar

[23] lien vers le jugement sur le site du Comité Corona et celui des demandes de dommages-intérêts https://ricapod.buzzsprout.com/1409218/7133344-verfassungsgericht-kippt-ausnahmstatus-wir-machenauf ?




Terrorisme d’État, crime contre l’humanité ?

Par Dr Nicole Delépine

« Terrorisme d’Etat, crime contre l’humanité. Une avocate dénonce les mesures sanitaires et la manipulation autour du Covid-19 [Interview] (breizh-info.com) 3/12/2020 »

Une avocate française dénonce les mesures sanitaires et la manipulation autour du Covid-19 sur breizh-info.com. Après la plainte allemande initiée par Reiner Fuellmich en vue d’un Nuremberg 2[1], et la jurisprudence portugaise condamnant l’utilisation du test PCR comme moyen insuffisant de diagnostic, d’autres juristes s’intéressent au sujet. Nous citerons come exemple, une interview de l’avocate Virginie de Araujo-Recchia sur Breizh-info (reprise par dreuz info) relatant son point de vue particulièrement sévère de la situation de notre pays, depuis presque un an.

A la suite de l’article de Breiz info s’interrogeant sur la possibilité de faire reconnaitre les mesures sanitaires et leurs conséquences sur la population française avec la dénomination de « torture », l’avocate a adressé au site cité un rapport accablant pour l’Etat Français.

Elle rapporte avoir relevé de nombreuses et graves atteintes à l’intégrité physique, psychique et morale des citoyens ainsi que de nombreuses atteintes aux intérêts fondamentaux de la Nation. Elle fait part de son analyse au regard des principes juridiques applicables et son anticipation des problématiques relatives à la vaccination.

Ce rapport contient une partie spécifique concernant le port du masque obligatoire pour les enfants et adolescents dès six ans, car l’atteinte à leur développement et à leur santé est extrêmement préoccupante.

Conclusions de l’avocate :

« Les mesures prises depuis le début de la crise et les techniques de manipulation employées tendent à qualifier pénalement ces actes de terrorisme d’Etat et de crime contre l’humanité, étant donné les graves atteintes portées à la santé physique et mentale des citoyens et plus généralement aux intérêts fondamentaux de la Nation, en troublant l’ordre public par l’usage de la peur et de la terreur.

En ce qui concerne les enfants et les adolescents, le fait d’imposer le port du masque obligatoire dès 6 ans, avec les conséquences que cela implique pour leur santé, correspond pénalement à un acte de maltraitance et de torture.

En outre, dans l’hypothèse où le vaccin/thérapie génique serait imposé dans le futur (à un groupe ou à l’intégralité de la population) par la voie légale ou par la terreur, alors qu’il s’agit d’un traitement expérimental, des poursuites pénales pourraient alors être engagées par dépôt de plainte pour acte de terrorisme et crime contre l’humanité. »

Virginie de Araujo-Recchia dit avoir analysé les faits pris dans leur ensemble afin de les qualifier juridiquement. Les actes de terrorisme et les crimes contre l’humanité sont clairement définis par le Code pénal français (articles du Code pénal repris in extenso dans le rapport).

« Pensez-vous que le fait de bâillonner et de confiner toute une population sans justification scientifique établie, le fait de manipuler la population en employant des techniques de torture décrites dans la Charte de Biderman ou les expériences de Milgram pour soumettre la population ne sont pas des procédés disproportionnés et criminels ? »

dit -elle.

Les griefs énoncés correspondent aux faits constatés et croyez-moi, cela ne me réjouit absolument pas de faire ce terrible constat.

 D’après Virginie de Araujo-Recchia : des actions juridiques sont envisageables à plusieurs niveaux :

– Sur le plan pénal, les tests PCR, utilisés pour justifier toutes les mesures liberticides prises en cascade ont déjà été condamnés par la cour d’appel de Lisbonne (arrêt du 11 novembre 2020 – 1783/20.7T8PDL.L1-3, Margarid Ramos de Almeida). Ce jugement a déclaré illégale une mesure de quarantaine car basée sur les seuls tests PCR positifs [2]

L’Allemagne a engagé des poursuites pour crime contre l’humanité et des associations de consommateurs italiennes ont déposé plainte auprès de neuf parquets, pour délit de fraude aggravée, fausse idéologie et homicide involontaire à l’encontre du gouvernement italien.

– L’avocate imagine encore que des parlementaires intègres pourraient engager les procédures suivantes :

« Une procédure de destitution du président de la République étant donné les graves manquements à ses devoirs manifestement incompatibles avec l’exercice de son mandat dont la mise en péril des intérêts fondamentaux de la Nation, terrorisme d’Etat et crime contre l’humanité (article 68 de la Constitution).

Une procédure de motion de censure à l’égard du gouvernement étant donné le caractère objectivement disproportionné des mesures prises depuis le début de la crise et pour les mêmes raisons sus-indiquées (article 49,3 de la Constitution) ».

L’avocate pense qu’il est urgent d’agir car « un test d’obéissance a été effectué à grande échelle et il porte ses fruits ». L’Europe serait pour elle, « un véritable champ d’expérimentation pour les plus grandes fortunes de la planète, adeptes du transhumanisme, vers un monde aux antipodes des aspirations de la majorité des citoyens ».

Virginie de Araujo-Recchia souhaite dire aux citoyens, qu’il n’est pas trop tard pour agir et revendiquer nos libertés les plus fondamentales, mais le temps nous est compté.

Quant aux dirigeants,

« ils sont responsables de dommages conséquents et irréversibles. A ce titre, l’atteinte est telle qu’ils ne pourront jamais indemniser les citoyens du temps de vie perdu tout au long de ces mois confinés, masqués, réprimés, abusés, manipulés, torturés, humiliés. »

« Il est encore temps de limiter les conséquences désastreuses de leurs décisions. Il est temps pour eux de démissionner pour laisser place à des personnes compétentes et intègres, qui ne seront pas à la solde d’intérêts supranationaux. Les citoyens français ont besoin qu’on leur fasse confiance et ils ont besoin de faire confiance pour avancer et reprendre le cours normal de leur existence ». [3]

Le rapport de l’avocate est très intéressant.[4] Il rappelle que 

« le principe de respect de la dignité de la personne humaine fait partie du bloc constitutionnel (i.e. ensemble des principes et dispositions que doivent respecter les lois, cet ensemble prime sur les Traités, les Conventions et le Droit européen dans la hiérarchie des normes).

« Concrètement, le principe de dignité exige, pour reprendre la formule du Conseil constitutionnel, de sauvegarder la personne humaine « contre toute forme d’asservissement ou de dégradation ». La dignité implique que la personne reste maître de son corps et d’elle-même, ce qui suppose qu’elle ne se trouve pas aliénée ou asservie à des fins étrangères à elle-même. »

Elle détaille dans son rapport des Décisions allant à l’encontre des intérêts fondamentaux de la Nation et des citoyens :

« Depuis la publication de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun pouvoir n’ait été en mesure de remettre en cause le caractère inconstitutionnel de ces mesures.

Nous pouvons notamment le constater à la lecture de la décision du Conseil constitutionnel n°2020-808 DC du 13 novembre 2020, relative à la loi autorisant la prolongation de l’état d’urgence sanitaire , par laquelle le Conseil constitutionnel refuse  de censurer ladite loi alors que: – le gouvernement a utilisé la procédure des votes bloqués (art. 44, al.3 de la Constitution), empêchant ainsi d’adopter un amendement réduisant la période de confinement (amendement qui avait été adopté lors du premier vote), l’exécutif bafoue continuellement le bloc constitutionnel depuis le début de la crise.

Les conséquences découlant de ces confinements sont désastreuses pour la santé,

– la vie des citoyens et l’économie du pays en violant par là même les droits du peuple :

  • Violation de la liberté individuelle et du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation.
  • Violation de la liberté de circuler/d’aller et venir : en ce sens l’Etat est coupable de détention arbitraire à l’égard des citoyens en temps de paix. Les citoyens qui contreviennent à une mesure de confinement sont verbalisés.
  • Volonté de mettre à l’isolement des citoyens « positifs » au test et non pas malades s’apparentera à des mesures de séquestration. L’État entend verbaliser les personnes qui enfreindraient la « quarantaine » à hauteur de 10 000 euros.
  • Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, de restreindre la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.
  • Violation de la liberté d’entreprendre et inégalité de traitement : les P.M.E. soit les commerçants, les indépendants, le secteur tout entier de la culture, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le secteur du tourisme, le secteur de l’évènementiel etc.

En somme tous les non-fonctionnaires (or alimentaire, pharmacie, journaux et tabac) pâtissent de ces mesures liberticides et mortifères. De nombreuses procédures de liquidation judiciaire sont attendues, mais les mesures ne sont pas levées malgré l’appel du peuple.

  • Violation du droit de manifester et de se rassembler : violences à l’encontre des manifestants ou interdiction pure et simple.
  • Violation du droit à l’éducation durant le premier confinement.
  • Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Églises de France alors que les croyants ont besoin d’apaisement.
  • Accord de la France concernant le plan de relance européen, lequel ouvre la porte à l’intégration européenne en créant un budget européen, sans qu’aucun débat politique n’ait été mené en France. Les citoyens doivent désormais s’attendre à la création d’un impôt européen. »

Il est évident que ce rapport est une mine d’informations qui justifiera plus amples commentaires et permettra à l’auteur de défendre les citoyens devant les tribunaux. Merci à elle pour cette immense aide pour tous.

Nos droits fondamentaux sont bafoués sans aucune raison sanitaire réelle. Nous ne pourrons retrouver nos libertés qu’en appuyant les plaintes en justice par des actions collectives massives.


[Notes]

[1] L’objectif des 5000 cas par jour : encore une énorme arnaque

« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays

Vers le faire part de décès des tests PCR

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques – Docteur Nicole Delépine

Recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales – Docteur Nicole Delépine

[2] Car les tests PCR positifs réalisés chez des sujets asymptomatiques avec plus de 40 cycles d’amplification correspondent dans 90% des cas à des personnes ni malades ou ni contagieuses.

[3] Propos recueillis par YV Breiz-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine.

[4] Télécharger ici.




Christian Drosten : l’heure des comptes ?

[Source : FranceSoir]

[Auteure : Nicole Delépine]

Le « Monsieur Corona » allemand, le virologue Christian Drosten, va devoir répondre devant la justice des prémisses faussés de la gestion de crise. Il est poursuivi par l’avocat Reiner Fuellmich.

Une nouvelle fois, il faut parler des tests PCR que les dirigeants, mais aussi les préfets, les patrons, les directeurs d’école continuent à imposer comme s’ils signifiaient quelque chose. Les pires sont les citoyens lambda qui courent se faire tester pour se « rassurer ». De quoi ont-ils peur ?  Les virus sont des milliards autour de nous et manifestement ce coronavirus n’est pas pire que les autres (mortalité globale comparable aux années précédentes et mortalité spécifique inférieure à celle de la grippe asiatique).

Il faut vraiment ouvrir les yeux et rappeler tous les mensonges qui nous ont conduit à la situation catastrophique actuelle. La responsabilité des décideurs et de certains de leurs conseillers est engagée et les problèmes actuels de C.Drosten leur ouvriront peut-être les yeux.

La plainte engagée contre le conseiller de Merkel résume toutes les fausses informations mondiales[1]

Ça chauffe pour Christian Drosten, le biologiste favori de Mme Merkel et grand ordonnateur des tests PCR frelatés dans le monde et en conséquence, des mesures liberticides, confinement, masques, fermetures des commerces, écoles, universités etc., bref, de la ruine des pays occidentaux soumis aux recommandations de l’OMS et imposées par une majorité des gouvernants des pays riches.

Lettre d’injonction de réparation

Le 15 décembre 2020, l’avocat Reiner Fuellmich, dont la plainte du 23 novembre centrée sur la fraude des tests PCR, a été largement médiatisée[2][3], diffuse une missive au Prof. Dr. Christian Drosten, en faveur de son client de Green Mango GmbH, patron d’un bar avec karaoké, représentée par Nils Roth.

Cette lettre longue de 18 pages de l’avocat Fuellmich défendant les intérêts de son client, expose au dr Drosten les dommages que ce dernier lui a fait subir, et lui fait l’injonction forte de les réparer avant le 22 décembre, faute de quoi se profilera un procès pénal.[4]

Mon client « a subi et subit encore des dommages considérables en raison des mesures manifestement disproportionnées imposées sans aucune base factuelle pour contenir la pandémie de COVID-19 ».

Démonstration de la cause des dommages du patron de bar allemand en grandes difficultés, par l’avocat.

Vous avez conseillé les politiques et affirmé des FAITS FAUX.

 « Vous êtes personnellement responsable de ces dommages parce que vous, en tant que l’une des personnes qui ont été impliquées dans le conseil politique de manière significative et décisive, avez intentionnellement affirmé et maintenez toujours des faits faux et – de même délibérément – caché des faits essentiels ».

La lettre détaille ensuite les points étayant la désinformation dont C Drosten est personnellement responsable et qu’il devrait retirer officiellement avant le 22 décembre.  Résumons ici les principaux arguments illustrés dans le texte de Reiner Fuellmich, par de nombreuses références bibliographiques disponibles sur PUBMED.

HYPOTHÈSES DE BASE DE LA POLITIQUE ANTICORONAVIRUS FAUSSES

Les hypothèses de base de la politique du coronavirus en Allemagne (qui seront suivies via l’OMS dans le monde et donc en France) sont basées sur des hypothèses fausses qui ont conduit à des mesures drastiques injustifiées.

1. La première fausse affirmation : pas d’immunité de base

« La thèse selon laquelle il s’agit d’un agent pathogène complètement nouveau devrait être confirmée si l’on voulait affirmer que personne n’est à l’abri du virus.

 En revanche, vous avez vous-même souligné dans plusieurs épisodes de votre podcast que le SRAS CoV-2 est étroitement lié à l’ancien virus du SRAS de 2003[5].

 Si le SRAS CoV-2 était vraiment un agent pathogène complètement nouveau, il serait impossible d’expliquer pourquoi (et aussi et surtout dans les États non verrouillés) tant de personnes ont survécu à la pandémie »[6] , « il ne serait pas non plus explicable pourquoi le taux de mortalité par infection se situe maintenant manifestement dans la plage d’une vague de grippe normale ».[7]  Ce point est confirmé par l’OMS elle-même, en octobre 2020.

« Il existe déjà une pré-immunité et pour cette raison, dans aucun des pays examinés, plus de 20% de la population était déjà infectée par le SRAS CoV-2. Les affirmations selon lesquelles personne n’est à l’abri et que n’importe qui peut être infecté ne sont pas fondées. »

L’avocat ne nie pas la possibilité de formes graves mais insiste sur le fait que l’ampleur qualitative a été largement surestimée.

2. Le mensonge terrible sur les bien-portants (dits « asymptomatiques »)

 La deuxième fausse allégation concerne les asymptomatiques, de fait les bien-portants qui pourraient transmettre silencieusement le virus.

« L’hypothèse est qu’une personne pourrait contracter le COVID-19 de façon complètement inaperçue et transmettre le virus à d’autres personnes de façon tout aussi inaperçue, car il ne présente aucun symptôme est un énorme mensonge ».

La rumeur encore présente en cette fin d’année continue à se propager via le premier ministre français. L’avocat démontre que cette fake news – comme on dit maintenant- a commencé le 5 mars quand Drosten a publié dans une revue autrefois noble, le NEJM, à propos d’une chinoise qui aurait rempli ces cases.  « De fait nous sûmes plus tard qu’elle avait reçu des médicaments pour ses symptômes ! PURE FRAUDE SCIENTIFIQUE JAMAIS RETIREE ». Nous en connaitrons bien d’autres au fil des mois et la rétractation de ces articles mensongers tarde, la rumeur court, et Castex veut nous faire déguster la dinde avec le masque entre deux bouchées.

« L’hypothèse d’une infection pré-symptomatique, que l’institut Robert Koch retient, a été massivement attaquée dans la littérature spécialisée[8]. L’immunologiste Beda Stadler, professeur émérite à l’Université de Berne, a souligné dans un article très remarqué de la Semaine suisse mondiale que l’idée que les virus peuvent se multiplier de manière incontrôlée dans le corps humain sans que nous nous en rendions compte est immunologiquement impensable. »

L’avocat décrit avec pur réalisme la société dans laquelle nous sommes entrés depuis la diffusion massive de cette allégation des bien-portants contagieux. La suspicion est partout et sert de prétexte à la séparation cruelle et honteuse des familles. L’image de cette petite fille de deux ans qui fait des sourires à sa grand-mère emprisonnée derrière une vitre en EHPAD est emblématique de la perversité de ce monde imposée par les puissants qui ne sauraient être dupes de leur rouerie. Encore la petite a-t-elle échappé au masque sadique, quelle chance !

« La fausse affirmation selon laquelle une personne peut transmettre le virus sans symptômes est particulièrement perfide car elle détruit la société : tout le monde ne voit que ses semblables comme un lanceur de virus très dangereux et y réagit avec dégoût, agressivité ou du moins avec peur et panique. Les écoliers étant également endoctrinés par les parents et les enseignants de cette manière, des troubles massifs du comportement et du développement sont déjà prévisibles. Vous serez également tenu responsable de cela. »

Des enfants ont d’ores et déjà présenté des troubles graves induits par ces peurs additionnées et le port du masque. Les orthophonistes ont récemment lancé un nouvel appel de détresse dans le désert médiatique.[9]

3. La troisième fausse allégation : les diagnostics basés sur la PCR

Les bien-portants ne nous mettent pas en danger, les asymptomatiques ne sont ni porteurs et contagieux. Le pseudo-risque porté par les asymptomatiques (en langage énarchique et orwellien) est un mensonge réitéré chaque heure, chaque jour dans tous les pays soumis à l’OMS, prive votre famille des câlins, bisous si nécessaire à l’équilibre mental, et devient vérité à force de répétition (comme expliquait Goebbels).

Comment affoler les foules, recruter les médias pour le tour de passe-passe du « tout le monde est à risque ».
N’embrassez personne, même chez vous et surtout n’allez pas voir les vieux, vous risqueriez de les contaminer avant qu’on ait eu le temps de leur injecter le Rivotril à la moindre toux.

ILS SONT FABULEUX : PAS DE CONTAGIEUX, PAS DE MALADES, pas de problème, ON EN INVENTE. L’histoire retiendra sûrement que le gouvernement mondial à l’essai auquel nos dirigeants ont obéi, doigt sur la couture du pantalon, furent créatifs de mesures aberrantes, en mesures grotesques, entrainant une sidération mentale majeure seule à même d’expliquer la folie mondiale et la bêtise apparente de milliards d’individus. Néanmoins, trop sûrs d’eux, ils ont diffusé les mêmes pubs mensongères au mot près dans des pays comme l’Allemagne et la France, dévoilant trop vite que l’on ne combattait pas un virus bien sensible à de nombreux traitements, mais bien des peuples et plus précisément les classes moyennes.[10]

« Et sans le mensonge d’un risque d’infection sans symptômes, personne n’aurait pensé à tester même des personnes en parfaite santé pour le SRAS CoV-2 en utilisant la PCR. »

Nous ne reprendrons pas ici toutes les démonstrations déjà publiées sur le test PCR frauduleux comme témoin d’une infection latente potentiellement dangereux[11] [12] [13] . Malgré les articles sur les tromperies de la PCR et les plaintes déjà victorieuses contre ces tests, le monde des puissants fait semblant de les ignorer et des politiques pensent se faire une beauté en proposant des tests à grande échelle dans leur fief. Bêtise, aveuglement ou compromission ?[14]

 Écoutons Maitre Fuellmich :

« Néanmoins, les tests continuent d’être effectués à grande échelle – malgré la prévalence encore faible du COVID-19. Et tous les systèmes de test utilisés ne sont pas également spécifiques – ne serait-ce que pour la raison qu’il n’est nulle part prescrit la spécificité minimale qu’un tel système doit avoir pour pouvoir être utilisé du tout.

Un exemple est un incident qui est devenu connu d’Augsbourg, que parmi une cohorte de 60 personnes, 58 ont testé des faux positifs. Et ceci à un moment proche de la décision de confinement de la conférence du premier ministre. Les résolutions de ce type sont prises sur la base de ces chiffrages de cas mal déterminés et ont donc des conséquences considérables ».

« Lorsque les nouveaux comptes de cas sont à nouveau additionnés, il n’est nulle part vérifié à quelle valeur Ct le seuil a été établi dans le cas de test positif respectif.

Le résultat d’un test PCR est donc très sensible à la manipulation – et donc sensible à l’influence politique lorsque des chiffres élevés de cas sont à nouveau « nécessaires » pour intimider la population. Dans tous les cas, les valeurs déterminées sur la base d’un test PCR ne sont pas une base suffisante pour bloquer complètement la vie publique et interférer avec les droits des personnes à la liberté d’une manière sans précédent.

Un test PCR ne permet pas de différencier une simple contamination d’une infection. » 

Un test PCR positif n’est pas toujours un test PCR positif

« Mike Yeadon, ancien médecin-chef de la société pharmaceutique Pfizer, déconseille d’urgence l’utilisation de la PCR pour le diagnostic du COVID-19 dans un article récent (https://lockdownsceptics.org/lies-damned-lies-and-health-statistics-the-deadly-danger-of-false-positives/).

 Et pourtant, chaque test positif est inclus dans les statistiques de l’Institut Robert Koch comme une prétendue « nouvelle infection » et donc dans la variable qui sert de base aux décisions politiques. Un autre facteur de complication est que si une personne est testée plusieurs fois en succession rapide, chaque résultat de test positif est déclaré comme une « nouvelle infection ».

« Les tests PCR ne conviennent pas seulement pour le diagnostic individuel, mais aussi pour le dépistage. Le seul facteur décisif est le nombre de personnes qui tombent malades, combien doivent être hospitalisées, combien sont traitées dans l’unité de soins intensifs et combien doivent être ventilées ».

4. Quatrième fausse affirmation : menace de surcharge des systèmes de santé

On constate dans le détail de la lettre de Fuellmich à C.Drosten que les mêmes mensonges, les mêmes récits sordides ont été racontés en Allemagne qu’en France. Les Allemands furent particulièrement surpris qu’après des mesures de restriction (plus relatives qu’en France) les médias annonçaient que l’Allemagne allait recevoir des malades français et italiens. Surchauffe ou foutage de g… Et finalement comme nous l’écrivions en France dans un grand silence :

« Les cliniques souffraient de sous-utilisation parce que les services médicaux essentiels n’étaient pas fournis aux autres patients, car il pourrait y avoir une forte attaque de patients COVID-19 à un moment donné. Les médecins et les infirmières ont été envoyés en chômage partiel ».

Comme en France décidément. Reiner écrit : « dans la mesure où les cliniques sonnent l’alarme sur la surcharge, ce n’est pas à cause d’un virus « nouveau et insidieux », mais parce que notre système clinique atteint ses limites de capacité chaque année dès que la saison grippale nous frappe ».

Comme chez nous, la dégradation des hôpitaux date de plusieurs années et des restrictions imposées par le FMI et l’UE ; un seul exemple parmi d’autres : « dès le 19 février 2013, WELT écrivait sous le titre « la vague de grippe à Cologne fermement sous contrôle » : « pénurie de lits dans les hôpitaux de Cologne ». Comme en France, le problème est lié au manque de personnel.

En décembre 2020, la situation n’a pas changé.  « Pire encore : malgré une supposée pandémie, les cures d’austérité en médecine de soins intensifs se sont poursuivies et au lieu de prendre des contre-mesures, des consultants comme vous conseillent que seul l’arrêt complet de la vie sociale devrait être la panacée. »

Dans son réquisitoire, l’avocat évoque la situation italienne et française où des fausses images ont été distribuées dans le monde dès mars 2020 et des faux rapports : une intervention ciblée de l’OMS par la nomination d’un gouverneur de l’OMS qui n’a pas hésité à falsifier les données dans les plans de pandémie. Un rapport de l’OMS, qui expliquait déjà en partie ces circonstances, a été retiré lorsqu’il est devenu clair qu’un plan de pandémie prétendument de 2016 était de 2006 et que la date avait été falsifiée.[15]

5. La cinquième fausse information : la privation de liberté serait un recours efficace

Si les mesures de confinement avaient dû apporter quelque chose, les pays qui ont imposé les coupes les plus sévères auraient dû obtenir les plus grands succès.

Au contraire : il existe aujourd’hui de nombreuses études qui prouvent l’inefficacité des mesures de confinement. Même l’OMS a publié en octobre un article de 91 pages dans lequel elle explique à quel point ces mesures (fermetures d’écoles, quarantaine de contact, éloignement social, etc.) sont peu adaptées à la lutte contre la grippe. Et tout cela devrait-il être le salut en cas de Covid19 ?

Reiner Fuellmich démontre à son tour que les confinements aveugles ont été nocifs à la population y compris les restrictions moins lourdes en Allemagne.

« Les dommages collatéraux causés par les restrictions à la liberté : des personnes atteintes de démence sont décédées faute de soins. Il y avait manifestement moins d’accidents vasculaires cérébraux et de crises cardiaques. Des cadavres pourris ont été trouvés, personnes barricadées chez elles qui pourrissaient dans leurs propres appartements au vrai sens du terme. Une augmentation significative des suicides a été signalée.

Les tests réalisés à grande échelle conduisent à des rejets mortels des autres malades chez les autorités sanitaires car elles ne rendent pas possibles les autres tâches. Le contrôle de l’eau potable est donc complètement paralysé ; il y a plus de décès par légionelles qu’auparavant.

Tous ceux qui ont encouragé des coupes dans la vie publique, décrété et imposé de tels blocages ont tué des milliers de personnes, y compris vous, le professeur Drosten. »

On retrouve dans les descriptions de l’avocat les situations vécues en France et décrites ici avec beaucoup plus de transparence que dans nos contrées. En particulier nous n’avons guère eu d’informations sur les cadavres retrouvés au domicile en France, et en aucun cas leur nombre, ni sur les légionelloses et la qualité de l’eau.

6. Le confinement et ses avantages : des allégations délibérément fausses

L’idée de confinement plus ou moins aveugle et sévère repose toujours sur l’existence factice de porteurs sains chez les bien-portants et potentiellement contagieux.  Ces mesures inappropriées sont perpétuées sans égard à la réalité de la situation, nous explique l’avocat.

«  Chacun de nous, c’est la doctrine[16], pourrait être le messager du virus mortel sans être reconnu ». Maintenant, en automne et en hiver, lorsque tous les agents pathogènes sont multiples. « De nouvelles infections » augmenteront le nombre de « cas » qui sera utilisé par les politiciens pour justifier de nouvelles coupes dans nos libertés.

« Parce que, malgré une meilleure connaissance, les tests positifs sont assimilés à de nouvelles infections, l’augmentation du nombre de « nouvelles infections » déclarées de cette manière alimentera à son tour le mensonge selon lequel le virus est très contagieux et que personne n’est à l’abri, et qu’il y a donc un risque d’effondrement du système de santé. »

La façon dont le processus d’infection est actuellement décrit est spécifiquement conçu pour garantir que le verrouillage ne se termine jamais.  

Puisque beaucoup de virus peuvent positiver le test, « si la présentation des données se poursuit de cette façon trompeuse et n’est pas arrêté le plus rapidement possible, nous serons tous enfermés jusqu’au printemps prochain. Tout le monde, vous y compris, peut imaginer ce que cela signifie pour le développement économique, mais aussi pour le développement sanitaire de la population, esquissé ci-dessus. »

Reiner Fuellmich insiste sur la responsabilité personnelle de Drosten qui n’a pas démenti les mensonges circulants

Dans vos déclarations, vous avez vous-même souligné la relation génétique entre le SRAS CoV-2 et l’ancien virus du SRAS. La question du niveau d’immunité de la population dépend de la connaissance d’un agent pathogène par l’organisme humain. Donc dire que les allemands n’avaient aucune immunité est une tromperie.

« D’un point de vue juridique, les assertions troubles confirment l’acte d’intention conditionnelle ».

 « Vous prétendez que nous ne sommes pas immunologiquement protégés contre le virus. Vous ne tenez pas compte de toutes les constatations divergentes dont vous avez connaissance qui indiquent que l’immunité de base existe depuis longtemps ».

Sur le risque d’infection sans symptôme : à ce stade, vous êtes accablé d’une faute particulièrement grave

Vous prétendez que nous ne sommes pas immunologiquement protégés contre le virus.

Vous ignorez toutes les constatations divergentes dont vous avez connaissance qui indiquent que l’immunité de base existe depuis longtemps. De toute évidence, vous n’avez pas démenti votre affirmation délibérément fausse selon laquelle des personnes pourraient s’infecter mutuellement avec le SRAS CoV. -2 sans symptômes.

« Le 1er novembre 2020 (vous avez dit sur ZDF ( https://www.zdf.de/nachrichten/panorama/coronavirus-drosten-ostern100.html ), que tout le monde devrait se comporter envers l’autre comme s’il était lui-même infecté et veulent protéger les autres d’eux-mêmes ; en même temps, il faut prétendre que l’autre est infecté et que l’on se protège de lui.

Ce faisant, vous alimentez exactement l’attitude d’esprit qui conduit de plus en plus à l’agression et à la brutalité dans la société : tout le monde ne voit tout le monde que comme le porteur du virus. Et vous pensez évidemment que c’est parfaitement bien ».

À propos du test PCR

« Il n’a pas échappé à votre sagacité qu’un test PCR ne peut pas différencier un virus capable de se reproduire et des fragments de virus sans vie, et entre contamination et infection.

À propos de la valeur Ct, vous avez admis le 1er septembre 2020[17] que la signification du résultat du test dépend de la charge virale.  Cependant, vous vous êtes prononcé contre le réglage de Ct = 30 comme limite supérieure, car il existe des différences dans la qualité des réactifs de test et des machines. Vous admettez vous-même qu’un résultat de test positif n’est pas toujours un résultat de test positif.[18] »

Vos recommandations de confinement

« Déjà dans le podcast du 18 mars 2020 19], vous avez appelé à une intervention drastique et intense (qui ne pouvait être que politique) pour empêcher la propagation prétendument exponentielle du coronavirus.

 Et peu de temps avant que le deuxième verrouillage ne soit décidé le 28 octobre 2020, vous avez fait un suivi dans le podcast NDR du 27 octobre 2020 (Coronavirus Update n ° 62) : au vu du nombre de cas, vous avez recommandé un verrouillage limité dans le temps aux politiciens ».

TROMPERIE CONSCIENTE ET RÉITÉRÉE

« Votre propre présentation dans le podcast du 7 mai 2020 montre que vous savez exactement à quel point la signification d’un test PCR diminue lorsque le nombre de cycles requis augmente. Néanmoins, vous avez recommandé le confinement, sans même remettre en question l’origine des nombres de cas ».

Vous ne pouviez pas ignorer les dommages collatéraux des mesures anticovid19. En recommandant un nouveau verrouillage le 27 octobre 2020 sans peser les menaces pour la vie humainevous êtes personnellement responsable de tous les dommages causés par les mesures anticovid.

Le papier Leopoldina du 8 décembre 2020 prévoit le confinement dur après Noël

Vous faites partie des signataires du papier Leopoldina du 8 décembre 2020, qui recommande un verrouillage dur après Noël.

 Même la description de la prétendue nécessité d’agir montre que, comme tous les cosignataires, vous vous êtes complètement éloigné des principes de la science factuelle.

 « Au cours des 7 derniers jours, plus de personnes sont mortes du coronavirus qu’en 2019. « Le facteur décisif, la préposition avec versus du, n’est pas utilisé. Les auteurs de l’article eux-mêmes admettent qu’ils parlent de décès pour lesquels la causalité du SRAS CoV-2 n’a pas été prouvée. »

« Selon votre article Leopoldina, un verrouillage renforcé devrait apporter la rédemption d’ici le 10 janvier 2021.

Qui devrait encore croire que le nombre d’infections générées artificiellement chutera à nouveau à partir du 11 janvier 2020 ? »

 L’Institut Robert Koch a admis dans le Bulletin Epidémiologique n ° 45/2020 que des tests non évalués s’accumulent dans les laboratoires depuis des semaines et avec une tendance croissante – ce qui est le cas des tests de masse insensés sur des personnes asymptomatiques.

 Cette évaluation sera effectuée à tout moment afin de produire de nouveaux résultats de tests positifs, sur la base desquels la population continuera alors à être harcelée et conduire l’économie allemande à la ruine finale. »

 Vous avez cosigné l’article de Leopoldina le 8 décembre 2020. Vous êtes entièrement responsable du contenu.

En réalité, les recommandations de verrouillage n’ont jamais été conçues pour promettre la libération aux gens après des semaines de privation. Ils nous poussent tous – dans le monde entier, et pas seulement en Allemagne – avec leurs conseils délibérément faux, dans le sens de dommages délibérément immoraux, à un confinement permanent.

Ils seront donc entièrement soumis au droit pénal et civil.

La responsabilité de C Drosten est mise en cause directement

Ceci est fondamental et devrait faire réfléchir les décideurs qui parlent, conseillent se croyant dépourvus de toute responsabilité le jour venu. L’avocat explique à Drosten qu’il ne pourra échapper à sa responsabilité personnelle pour tous ces dommages conseillés aux politiciens et aux autorités, qui ont décidé de toutes ces mesures désastreuses.

Au contraire, les dommages peuvent toujours lui être attribués en tant que son travail. Il ne peut pas avoir échappé au fait que ses conseils ont un impact sur les décideurs politiques et que ces derniers le consultent, car ils se sentent incapables d’évaluer correctement le risque posé par le SRAS CoV-2. Fournir une contribution aussi décisive est la véritable tâche de tout consultant en politique.

L’impact de ses fausses allégations sur la situation du Coronavirus est particulièrement évident dans les tribunaux : ce qui sort de sa bouche est repris sans contrôle.

PERSONNE N’A PROTÉGÉ LA POPULATION DES MENSONGES POLITIQUES ET MÉDIATIQUES

« Personne – jusqu’à présent – n’a protégé la population en général et les entreprises en particulier contre la désinformation sur laquelle se fonde la politique de verrouillage. Et pour cette désinformation, vous, en tant que personne dont le gouvernement a le plus écouté les conseils, êtes personnellement responsable, à la fois pénalement et civilement ».

« Vous avez un préjudice moral à de nombreuses personnes – et aussi un préjudice moral à notre client. Votre aide a eu un impact majeur sur ce qui s’est passé. Parce que les gens ne faisaient confiance aux gouvernements et aux autorités que parce qu’ils pensaient que l’évaluation des risques était scientifiquement fondée. Et les gens ont investi cette croyance précisément à cause de vous ».

CONSEQUENCES DE VOS CONSEILS : LE GOUVERNEMENT FEDERAL VA UTILISER LA BUNDESWEHR CONTRE LE PEUPLE

« C’est finalement grâce à vos conseils désastreux que les autorités sanitaires ne sont plus « en retard » dans l’évaluation des tests de masse et de la recherche des contacts et le gouvernement fédéral a ainsi un prétexte pour utiliser le levier de l’article 35 GG pour utiliser la Bundeswehr dans la recherche des contacts et donc pour intimider encore plus la population ».

Conséquences juridiques : la responsabilité civile et pénale de Mr Drosten est directement engagée

« En donnant délibérément des recommandations scientifiquement infondées à des politiciens ou en promouvant de telles mesures à partir d’une position influente, vous lui avez également délibérément infligé des dommages immoraux et êtes donc responsable envers notre client des dommages déjà subis en vertu de l’article 826 du Code civil allemand.

 En outre, vous devez personnellement corriger les informations erronées que vous avez fournies au monde de manière égale et de cette manière pour éviter d’autres dommages à notre client ».

Dommages civils réclamés à Mr Drosten

Les dommages déjà survenus s’élèvent à plusieurs centaines de milliers d’euros. Et chaque jour où le bar karaoké de notre client n’est pas autorisé à ouvrir, les dégâts continuent de s’aggraver.

« Nous réclamons par la présente un montant partiel de 50 000 € au nom et pour le compte de notre client. Nous vous demandons ce montant à notre client sur le compte bancaire indiqué dans le papier à en-tête de payer comptant. Nous attendons ce paiement jusqu’au 22 décembre 2020 avec impatience. »

L’avocat demande également à Mr Drosten de

« corriger les déclarations suivantes à l’intention des responsables politiques et du public.

Précisez officiellement

  • qu’il n’y a aucune raison de supposer que le SRAS CoV-2 pourrait causer un nombre incontrôlable de décès et de patients en soins intensifs
  • Précisez que l’étude de cas du New England Journal of Medicine du 5 mars 2020, dans laquelle vous étiez impliqué et qui est censée prouver un risque asymptomatique d’infection, repose sur une base de données incorrecte et aurait donc dû être retirée depuis longtemps !
  • Précisez qu’un test PCR positif ne peut pas détecter une infection active et n’est donc pas adapté pour établir seul un diagnostic de COVID-19 !
  • Précisez que les restrictions collectives de liberté ne garantissent pas qu’elles contribueront en quoi que ce soit à contenir la propagation, mais qu’il peut être démontré qu’elles causent d’énormes dommages collatéraux !

Nous vous demandons également de vous abstenir de déclarations contraires à l’avenir.

Les politiciens ne doivent plus être informés par des informations scientifiquement insuffisantes. Et le public ne doit plus être perturbé par de telles informations.

 Nous vous demandons également de soumettre la déclaration de cessation et de désistement et d’obligation jointe à cette lettre avant le 22 décembre 2020.

 Sachez que chaque jour où vous maintenez votre évaluation des risques délibérément faussés du COVID-19, vous ne faites qu’empirer les choses – pour d’innombrables personnes dans ce pays, mais aussi pour vous-même.

Car nous allons rendre toute cette lettre disponible pour des collègues prêts à représenter les clients qui ont subi des dommages à la suite des mesures anticovid19.

Si vous ne vous conformez pas à notre demande ci-dessus, un litige sera inévitable. Dans le cadre de ce différend, toute la vérité sur le verrouillage fera l’objet de preuves judiciaires ».

Références

[1]Avocat Dr. Reiner Fuellmich Green Mango GmbH, représentée par Nils Roth c. Prof. Dr. Christian Drosten

[2] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques – (nicoledelepine.fr)

[3] Recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[4] « Au nom et pour le compte de notre client, nous prétendons que vous corrigiez votre contribution erronée aux conseils politiques en rapport avec la crise du COVID-19 et que vous indemnisiez notre client pour les dommages déjà survenus ». 

[5] Par exemple dans le podcast du 18 mars 2020, Coronavirus Update n ° 16, transcription p. 3.

[6] Collectif d’auteurs de premier plan attire l’attention du lauréat du prix Nobel de chimie, Michael Levitt (Udi Qimron / Uri Ga vish / Eyal Shahar / Michael Levitt in Haaretz le 20 juillet 2020, https://www.drop box.com/s/72hi9jfcqfct1n9/Haaretz-20Jul20_ENGLISH%20120820%20v3.PDF).

[7] Confirmé par la méta-étude de John Ioannidis, qui a été publiée en ligne dans le Bulletin de l’OMS en octobre 2020 (https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf).

[8]Mark Slifka / Lina Gao dans Nature Medicine, https://doi.org/10.1038/s41591-020-0869-5 [2020]

[9] Cf article de France soir par les orthophonistes déc. 2020

[10] Par exemple l’épouvantable clip répétitif sur nos chaines de tv de cette petite fille qui embrasse sa grand-mère lors d’un repas familial, et la retrouve en réanimation quelques semaines plus tard.

[11] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques (nicoledelepine.fr)

[12] Recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales (nicoledelepine.fr)

[13] Terrorisme d’Etat, crime contre l’humanité ? (nicoledelepine.fr)

[14] Malheureusement l’exemple de Laurent Wauquiez dans sa région avec la publicité pour cette terrible manipulation 

[15] Plan de pandémie prétendument de 2016 était de 2006 et que la date avait été falsifiée. https://www.dors.it/documentazione/testo/202005/COVID-19-Italyresponse.pdf affirmation: les restrictions de

[16] Expression curieusement utilisée par le ministre en mai lors de son changement de position vis à vis du masque. La doctrine a changé. Mêmes mots, mêmes ordres venus de l’OMS dont les pays appliquant le plan : https://www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la-conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

[17] Coronavirus Update n ° 54, transcription p. 15)

[18] Vos déclarations de septembre 2020 se rapportent-elles à celles du 7 mai 2020 (Coronavirus Update n ° 39, transcription p. 3), lorsque vous avez fait référence à une étude qui préconisait Ct = 25 comme « limite magique » ?

[19] Coronavirus Update n ° 16, transcription p. 2

Auteur(s): Nicole Delépine




La législation européenne pourrait-elle permettre de briser le confinement attribué au coronavirus ?

Par Dr Nicole Delépine

La législation européenne pourrait-elle permettre de briser le confinement attribué au coronavirus ? [1]

Pour l’avocat Rolf Karpenstein[2] : le confinement viole le droit européen. Formidable espoir que cette affirmation de l’avocat allemand dont nous allons résumer ici l’interview qu’il a donné à un journal allemand.

Il est de plus en plus évident que le scénario tragique de la supercherie Covid19 n’est qu’un leurre pour transformer la crise monétaire héritée de 2008 en coup de bourse gagnant pour les multinationales. Il est clair que ça marche bien pour l’instant, puisqu’en cette année si difficile pour les peuples, les milliardaires auraient augmenté très largement leurs revenus[3]… Les restrictions seraient donc utilisées par les grandes entreprises et les politiciens pour saper de façon permanente les libertés civiles et transformer en esclaves obéissants et sous-payés les masses salariées et diminuer les pensions de retraite[4].

L’avocat examine le confinement du point de vue du droit européen.

Il est convaincu que la politique sanitaire des gouvernements (fédéral et des États) n’est pas orientée vers la meilleure protection de la santé possible pour les groupes à risque, mais vers des objectifs politiques et fiscaux. Plus le temps passe, et plus il devient évident également en France que les mesures liberticides décrétées quasiment chaque semaine n’ont aucun rapport avec une quelconque situation virale.

Les interdictions aux entrepreneurs et aux commerçants liées au confinement en cours ne sont pas compatibles avec les libertés de l’UE.

Il assure au Nordkurier qui l’interviewe qu’il ne veut inciter personne à enfreindre ouvertement la loi. Mais son point de vue est le suivant : les restrictions dites sanitaires elles-mêmes sont une violation de la loi.

Compatibilité de l’extension des confinements avec le droit européen

Karpenstein dit :

« après avoir longuement traité des arguments des organisations internationales et des agences gouvernementales ainsi que des faits complexes et des connexions mondiales depuis février 2020, il est clair pour moi qu’aucune des restrictions basées sur le Coronavirus n’est compatible avec le droit de l’Union qui prévaut. D’autant que dans tous les cas, cela s’applique à toutes les restrictions qui affectent les personnes asymptomatiques, c’est-à-dire en bonne santé ». 

Les personnes sans symptômes de la maladie sont pratiquement à peine contagieuses et ne doivent pas être placées sous le soupçon général, dans les démocraties, d’être un danger grave pour les autres.[5]

Dans le champ d’application du droit de l’UE, la libre circulation (article 21 TFUE), la libre circulation des services (article 56 TFUE), la liberté d’établissement essentiellement identique (article 49 TFUE) et la libre circulation des marchandises (article 28 TFUE) sont importantes pour les opérateurs économiques concernés par les blocages en Allemagne. Étant sous la même législation européenne, on peut soupçonner que les mêmes articles du droit européen s’appliquent à la France et les avocats français seront interrogés sur ces points par les nombreuses victimes de ces mesures arbitraires et dangereuses pour l’économie, la santé mentale et physique, l’enseignement, etc.

Ces normes ont préséance sur toute loi allemande (ou française soumise au même droit), qu’elle soit constituée d’une loi, d’une ordonnance, d’un acte administratif ou d’un acte réel d’un organe étatique. Le libellé des règlements mentionnés doit être respecté.

Les articles mentionnés sont des normes prohibitives adressées à chaque agence gouvernementale. Par exemple, l’article 56 du TFUE stipule qu’il est interdit à l’État membreet à toute agence gouvernementale au sens le plus large — de restreindre la libre prestation de services.

Une autorité étatique ne devrait déroger à cette interdiction que si elle prouve que des justifications exceptionnelles au sens des dispositions du droit de l’Union interviennent dans son interprétation par la jurisprudence de la CJCE.

De cette interdiction de rang supérieur découle une loi directement applicable des opérateurs économiques qui peuvent invoquer le droit de l’Union, qui peut s’opposer à toute agence gouvernementale.

 Et tout opérateur économique qui exerce au moins une profession potentiellement transfrontalière peut invoquer le droit de l’Union.

 Pour cela, il suffit, par exemple, que les investisseurs étrangers de l’UE soient également intéressés par le service limité. L’applicabilité immédiate des libertés de rang supérieur du droit de l’UE est une épée très tranchante contre les restrictions basées sur la supposée pandémie de coronavirus.

Exemple de l’hôtelier

Par exemple, un hôtelier peut directement contrer l’employé des autorités ou de la police qui lui demande de mettre en place une restriction basée sur le Coronavirus (ex. : masques au buffet) en répondant que cette restriction ne peut pas être appliquée. L’hôtelier invoque le droit de l’Union suprême, à savoir la libre prestation de services.

L’employé de l’autorité est lié par le droit de l’Union de rang supérieur et doit respecter sa priorité d’application. Même s’il ne veut souvent pas l’admettre, le fonctionnaire est contraint par une loi supérieure de s’abstenir de son plan et de l’application du règlement national sanitaire anti Covid19.

En tant que commerçant local, vous pouvez vous défendre contre le droit allemand et vous référer au droit de l’UE. Cependant, il faut généralement affirmer catégoriquement l’applicabilité directe des libertés civiles en vertu du droit de l’Union.

L’exemple des paris sportifs en Allemagne

Prenons l’exemple des milliers de bureaux de paris sportifs dans les centres-villes. Tous les bureaux de paris sportifs violent la loi allemande. Ils n’ont pas de « permis d’exploitation » depuis des décennies. L’exploitation sans permis est interdite et punissable — mais uniquement en vertu de la loi allemande. 

« Toutes les restrictions et normes pénales allemandes seront alors remplacées par le droit de l’Union et pourront ne pas être appliquées. 

Les tribunaux allemands et les autorités responsables l’ont compris et n’ont pas appliqué les restrictions et les normes de sanction allemandes à l’encontre des fournisseurs de paris. Cependant, cela a nécessité un travail intensif de la part des avocats des prestataires de paris sportifs ».

Pourquoi les régulateurs et les autorités ne se conforment-ils pas seuls aux normes d’interdiction les plus élevées du droit de l’Union ?

Malheureusement, la plupart des opérateurs économiques et des autorités ont encore une mauvaise compréhension ou connaissance du droit de l’Union.  La Cour de justice de l’Union européenne avait déjà précisé dans les années 1960 que le droit de l’Union et les libertés qui en découlent priment sur toute loi des États membres et sont directement applicables.

Mais trop peu d’avocats invoquent le droit de l’Union sur le problème des restrictions imposées sous prétexte de lutte contre le coronavirus. Et les tribunaux, du moins les tribunaux administratifs, sont malheureusement généralement en retard sur la politique. 

Les avocats devraient agir massivement et exiger le respect du droit de l’UE avec beaucoup plus de pugnacité.

Jusqu’à présent, l’avocat Karpenstein n’a relevé en Allemagne aucune décision de justice traitant du droit de l’Union au plus haut niveau. 

C’est difficile, car la protection de la santé est également explicitement mentionnée à l’article 36 du TFUE afin de légitimer les restrictions à la libre circulation des marchandises. Mais le simple recours à la protection de la santé ne suffit pas pour briser la priorité d’application de la libre prestation de services et de la libre circulation des marchandises.

De simples termes comme « événements infectieux » ou « cas d’infection » ou même « incidence » ne sont certainement pas suffisants pour justifier des restrictions aux libertés fondamentales en vertu du droit de l’Union ou même leur négation totale, tel qu’un confinement.

Les exigences de justification dans la jurisprudence de la CJCE sont complexes et élevées.

Selon l’avocat et son expérience récente, en aucun cas, une restriction fondée sur le Coronavirus n’a satisfait aux exigences de la jurisprudence de la CJE, pour une justification fiable en vertu du droit de l’Union.

« Tout d’abord, ce qui suit s’applique à la libre prestation de services : selon la jurisprudence de la CJCE, la restriction “vraiment” (au sens de véridique et pas simplement hypocrite) doit poursuivre l’objectif de l’intérêt général, invoqué par l’autorité. Ce n’est généralement pas le cas en matière d’argent et de pouvoir ».

Exemple mensonger des jeux d’argent dont le pouvoir revendique le monopole pour des raisons sanitaires

« Prenons l’exemple du monopole allemand des jeux d’argent, que les États fédéraux revendiquent pour eux-mêmes depuis des décennies, niant ainsi la liberté des opérateurs économiques privés de fournir des services : dans les jeux de hasard, les agences publiques s’appuient sur la protection de la santé pour exclure la concurrence au détriment des prestataires privés. Mais cela ne se produit que de manière hypocrite, pour ne pas dire : mensongère.

 En fait, le monopole allemand des jeux sert l’objectif de maximisation des revenus pour les États fédéraux et donc également des objectifs politiques ».

L’avocat fait le parallèle avec les mesures sanitaires sous prétexte de coronavirus

Et supposez-vous la même chose avec l’État en ce qui concerne les mesures corona ?

Il dit n’avoir pas vu une seule mesure depuis mars 2020, fédérale ou étatique vraiment sérieuse et visant systématiquement à renforcer le système immunitaire des groupes à risque. Et pourquoi demande-t-il le gouvernement fédéral dépense des millions de dollars de l’argent des contribuables pour imposer ses restrictions basées sur l’épidémie de coronavirus.

Si Covid 19 était la peste avec une forte possibilité d’infection, tout le monde serait volontairement prudent. Quand il y a plein de malades graves ou de morts dans votre entourage, il n’y a pas besoin de matraquage permanent à la télévision ou à la radio pour vous rendre prudents, ni d’un test PCR pour trouver ce virus censé vous sauter dessus.

Alors pourquoi tant de soumission ? Défendez-vous, en toute légalité

Un hôtelier auquel on impose la fermeture au lieu de mendier les aides qui ne viendront probablement jamais peut faire jouer le droit européen.

L’autorité qui interfère avec la libre prestation des services d’un hôtelier a la charge de la preuve. Il devrait légitimer sa violation des libertés de l’UE de rang supérieur auprès des citoyens et des tribunaux. 

Si l’autorité ne peut pas prouver par des faits, que sa décision est « vraiment » — dans le sens de « effectivement » — sur la meilleure protection sanitaire possible, la justification est écartée d’emblée.

Pour Maître Karpenstein, les restrictions de libertés dans presque tous les pays de l’UE qui sont justifiées par le coronavirus sont toutes infondées.

« Oui, en principe — sans connaître la situation exacte dans chaque État membre. Au cours de ma longue expérience professionnelle, je n’ai jamais vu que la politique et les grandes entreprises derrière la politique ont un réel intérêt à protéger de manière optimale la santé des petits groupes à risque ».

L’industrie pharmaceutique a besoin de clients, et ce sont les malades.

« Et Spahn[6] est un lobbyiste pour l’industrie pharmaceutique et non un apôtre de la santé qui veut la meilleure santé possible pour les gens. Si l’industrie et “leurs” politiciens voulaient la meilleure santé possible pour les gens, nos politiciens auraient préconisé depuis mars 2020 que les groupes à risque devraient faire de l’exercice, manger sainement, consommer des vitamines C, D et du zinc et avoir beaucoup d’air frais et de lumière pour renforcer leur système immunitaire. C’est exactement le contraire qui a été fait ».

Concordance des analyses avec le comité corona initié en juillet 2020 par les avocats Fuellmich et Fischer et al[7]

Reiner Füllmich a clairement démontré qu’il était convaincu que les objectifs politiques et budgétaires de pouvoir étaient à l’origine des restrictions globales attribuées au coronavirus : destruction de la classe moyenne ensuite reprise par les grandes entreprises pour peu d’argent. Il serait urgent que les restaurateurs, propriétaires de discothèques, bars ou de station de ski le comprennent et ne se laissent pas endormir par les promesses d’aides et leur bonne volonté contre un virus banal et disparu comme les autres coronavirus devenus de simples rhumes.

Le grand reset n’est pas du complotisme : il a été décrit dans le livre de Klaus Schwab patron du forum économique et social bien avant la crise actuelle.

Le reset s’étend à la grande réinitialisation du monde entier et à la quatrième révolution industrielle planifiée par le Forum économique mondial. Toutes ces politiques de pouvoir et ces intérêts mondialistes fiscaux sont évidents. Maintes déclarations depuis plus de 10 ans, disponibles sur internet en particulier celles d’Attali ou du milliardaire eugéniste Bill Gates ont décrit par avance ce qu’ils sont en train de nous imposer. Ces « penseurs » les gouvernements ont réussi le miracle de nous faire croire au danger extrême d’un petit virus pourtant curable si traité précocement par la bithérapie du Pr Raoult décrite dès fin février et médiatisée, ce qui explique la rage des autorités contre lui. Mais comme ils possèdent la grande majorité des médias mainstream ils ont pu redresser le tir en prolongeant la peur et en calomniant 24h/24 notre éminent infectiologue. Pour réinformer la population, les donneurs d’alerte ne disposent plus que les réseaux sociaux.

Ce résidu de liberté devenant de plus en plus insupportable pour les multimilliardaires en quête d’un pouvoir totalitaire ils ont créé des « décodeurs de fake news » qui traitent les donneurs d’alerte de complotistes et de fascistes pour discréditer leurs messages et les GAFA censurent toute opinion contraire à la doxa des gouvernements liés à l’OMS et Gates (tentative avortée de loi Avia en France).

En supprimant le compte tweeter du président des USA, ils ont oublié ses 88 millions et plus de followers mécontents et depuis le 9 janvier on assiste à une migration à toute vitesse des twittos sur les autres réseaux et à la chute de Twitter en Bourse. Ah si on pouvait supprimer ces peuples… ce serait si beau la France sans les Gaulois réfractaires ! Mais la vérité est tenace et la vie humaine qui a traversé des millions d’années ne va pas avoir peur d’un Zuzu (de facedebouc) tout puissant, mais moins qu’il ne l’imagine, ni de son affreux collègue barbu possesseur de Twitter.

À qui profite le crime des restrictions aberrantes ?

au prétexte d’une grippe sévère comme bien d’autres avant elle dont la grippe asiatique de 1958 qui a tué 2 millions de personnes dans le monde dont environ 100 000 en France.

La politique sert principalement les puissants et les super-riches et non les petits groupes à risque dans les maisons de retraite. Qui a pu faire croire aux « jeunes » que l’on fermait les universités, les bars et discothèques, bibliothèques, musées et stations de ski pour protéger les grands-parents qu’on reléguerait tout de même à la cuisine avec la bûche de Noël ? France Info, Libération, Le Figaro, l’Express ?

S’ils avaient lu quelques articles sur Agoravox, France Soir, Mondialisation.ca ou encore nouveau-monde.ca, ils auraient tilté sur le décret Rivotril signé par le Premier ministre Édouard Philippe et O. Veran qui interdisaient dès fin mars de traiter précocement les patients atteints de pneumonie compatible avec le covid, et conseillaient fortement de les « endormir » au Rivotril pour une euthanasie douce non demandée par le malade potentiel (contraire à la loi Leonetti) ni sa famille tenue à distance par ces interdictions monstrueuses de visite à des vieillards dont c’est le seul plaisir.

Les bénéficiaires des restrictions corona sont clairement visibles. En 2020, la richesse de la classe moyenne touchée par les confinements a été drainée vers les grandes entreprises, que les experts estiment à plus de 1 milliard de dollars. Les milliardaires ont gagné cette année plus de 269 milliards de plus pendant le Covid-19.

Qui dirige le Monde ? Ce sont les entreprises mondiales telles qu’Amazon, Black Rock, Google, Facebook et les banques. Et le comportement de FB, YouTube et Twitter bloquant l’expression du président des usa est la démonstration qu’il fallait pour ouvrir les yeux de tous ceux qui ne voulaient pas croire au « complot ». De fait ce n’est pas un complot, mais bien des décisions froides et délibérées de quelques milliardaires et leur armée d’affidés d’organiser le monde à leur façon, en astreignant les peuples au » boulot, métro, dodo » et quelques jeux télévisés à la place des jeux du cirque comme au temps des empereurs romains. Ne savent-ils pas que cela se finit toujours mal POUR EUX ?

Le confinement sur Noël a achevé la classe moyenne et a en grande partie tout transféré vers Amazon & Co. Avec des sommes aussi gigantesques, il est clair qu’il ne s’agit pas de mesures de protection pour les peuples. Le leurre du covid s’efface peu à peu et si trop de gens rivés à Bfm et France Info ont encore peur, l’éveil se fait progressivement sans que nul ne puisse prévoir les formes que prendront les explosions inéluctables.

Victimes et avocats devraient orienter les défenses sur les raisons profondes des mesures liberticides

« les tribunaux ne traitent pas du tout des motivations mondialistes qui sont vraiment derrière les restrictions : aucune restriction ne sert “vraiment” au bien-être de la population et certainement pas au bien-être de “l’homme ordinaire” ou même au bien-être des groupes à risque vulnérables » insiste l’avocat ».

Si une autorité poursuit réellement un intérêt légitime pour le bien commun — elle devrait prouver qu’il s’agit d’un intérêt supérieur. Les exigences du droit de l’Union sont ici plus élevées que celles du droit constitutionnel.

Dans le droit de l’Union, on ne peut pas simplement déclarer que tout le monde court un « risque général de mort », comme le font les politiques et aussi la Cour constitutionnelle fédérale, malheureusement plus ou moins soumise.

Comment justifier des restrictions de libertés fondamentales ?

Pour justifier une restriction des libertés fondamentales, il ne suffit en aucun cas de dire qu’il existe des maladies potentiellement létales. Les maladies ont toujours existé ! Si toutes les libertés civiles pouvaient être sapées par le mot clé protection de la santé ou « incidence », plus aucune liberté ne serait justifiée, puisque la mortalité est inéluctable de même que les maladies graves.

Un intérêt affirmé pour le bien commun

doit donc être impératif,

si impératif que la fermeture d’une entreprise et la suppression associée des droits à la liberté garantis par le droit de l’Union sont impératives.

Il n’y a pas d’alternative.

Mesures liberticides et proportionnalité

Selon l’avocat de Hambourg, Karpenstein, « il n’est certainement pas “impératif” d’imposer un verrouillage pour se protéger contre les maladies infectieuses. Je n’ai pas encore vu d’argument compréhensible pour légitimer un confinement ou la fermeture d’un magasin, d’un hôtel ou d’un restaurant avec des exigences impérieuses en matière de protection de la santé ».

L’accent doit être mis uniquement sur le manque de proportionnalité des restrictions liées au coronavirus. Les restrictions ne sont pas « réellement » fondées sur la protection de la santé ni « obligatoires ». Si une restriction est « réellement » fondée sur la protection de la santé et que, en même temps, il est prouvé qu’elle est absolument nécessaire pour atteindre le but recherché, cette restriction doit également être proportionnée. Il existe également d’innombrables arrêts de la CJE qui étayent l’exigence de proportionnalité en vertu du droit de l’Union.

Un confinement basé sur corona n’est proportionné sous aucun aspect imaginable.

Proportionnalité et cohérence

« Selon la jurisprudence constante de la Cour de justice du Luxembourg, une restriction à la libre prestation de services, tels que ceux d’un hôtelier ou d’un restaurateur, mais aussi de l’exploitant d’un domaine skiable, doit non seulement être obligatoire et proportionnée, mais aussi systématique et cohérente.

La restriction devrait s’inscrire dans un système global, logiquement et sans contradictions, et ne devrait pas être fragmentaire ».

La Cour européenne de justice se concentre sur la cohérence à la fois de la réglementation nationale et de sa mise en œuvre dans la pratique.

Entre la théorie et la pratique, la cohérence et les systématiques sont trop souvent oubliées.

« L’exigence de systématique et de cohérence est dans la législation et la pratique administrative des États, au moins dans les cas où la politique de pouvoir et les intérêts fiscaux ne sont en fin de compte en jeu, en fait jamais rencontrés ». « Les revenus issus des jeux de hasard étatiques sont utilisés par la politique pour se rendre “populaire” parmi la population. Les restrictions dans ce domaine sont donc uniquement basées sur l’hypocrisie de la protection de la santé (risque de dépendance au jeu) ».

En conséquence, il existe d’innombrables contradictions dans la réglementation et la pratique des autorités.

Karpenstein poursuit la comparaison entre les mesures pseudo sanitaires prises en Allemagne pour les jeux d’argent et les mesures liberticides soi-disant contre le corona.

« En Allemagne, vous pouvez mettre 50 € dans une machine dans les casinos publics, mais seulement deux euros dans les casinos privés. Il n’y a ici ni systématique ni cohérence, de sorte que la restriction à deux euros ne peut pas être justifiée au regard du droit de l’Union.

Dans le même temps, en raison du manque d’approche systématique et du manque de cohérence, les restrictions dans le domaine des paris sportifs ne peuvent être justifiées ».

« Les contradictions dans la réglementation et dans la pratique de la politique de jeu de l’État montrent clairement que les autorités de l’État ne sont pas vraiment concernées par les exigences impératives du bien commun, mais par les politiques de pouvoir et les intérêts fiscaux de ceux qui bénéficient des restrictions ».

Il en va de même pour les restrictions prétendument basées sur Corona.

Restrictions anti-corona et cohérence

« Ces restrictions ne sont pas systématiques et cohérentes, ni dans la réglementation ni dans la pratique. Prenons simplement la contradiction selon laquelle le gouvernement fédéral a convenu d’un verrouillage avec les États fédéraux au printemps 2020, mais interdit en même temps l’autopsie exacte de ceux qui seraient décédés sur ou avec Corona ».

« Personne en politique ne s’intéresse à la connaissance réelle du Corona, c’est-à-dire à la connaissance qui est effectivement bénéfique pour la santé et la protection des groupes à risque.

Chaque mesure prise par le gouvernement va de pair avec la restriction des libertés civiles, qui se reflète malheureusement de plus en plus dans le comportement de la police qui n’était auparavant connu que des États totalitaires ».

Les contradictions de la politique corona sont gigantesques et révélatrices

« Dans chaque État fédéral, pratiquement dans chaque municipalité, des réglementations et des pratiques administratives différentes s’appliquent. En fin de compte, tout est pur arbitraire et chicane. Aucune restriction n’est basée sur des preuves, encore moins un verrouillage complet. » décrit l’avocat sur la situation de l’Allemagne. On ne peut que faire le parallèle avec la situation vécue en France, pourtant non fédérale où la rigueur des amendes sur le port du masque, ou le respect du couvre-feu dépend très largement du maire et/ou du préfet et de son bon vouloir.

Exemple de réaction possible en mars 2020 et que personne n’a eu en raison de la sidération créée par la campagne de peur orchestrée de main de maître.

Contrairement à ce qui a été pensé et exprimé pendant les premiers mois de la supercherie, les gouvernements impliqués dans cette manipulation mondiale n’ont pas été incompétents, mais bien pervers. Ordres et analyses contradictoires d’un jour à l’autre, couplés à un discours déprimant quotidien comme un rituel, ont pour base connue l’ingénierie sociale pour mettre au pas les populations et les emporter, via la dissonance cognitive, vers le totalitarisme. De nombreux sociologues ont décrit le phénomène, tellement vrai que Twitter aujourd’hui rapporte les multiples bandes dessinées qui naissent alors que le livre 1984 tombe dans le domaine public et que les twitts comparant le récit d’Orwell et la situation actuelle abondent.

Qu’aurait-on pu faire en mars devant l’injonction de fermer mon hôtel ? Refuser !

Préciser à l’autorité la situation juridique en droit de l’Union à laquelle je fais référence et précisé à l’autorité qu’elle seule a la charge de me prouver qu’il est impératif, proportionné, systématique et cohérent que je ferme mon entreprise. 

Le droit de l’Union est directement applicable et ne nécessite pas de confirmation judiciaire pour avoir son effet principal.

Si l’autorité ne veut rien savoir et le fait tout de même ?

Faire usage de tous les recours juridiques et des recours juridiques contre l’exécution immédiatement. Intenter une action en justice contre l’autorité pour la responsabilité de l’État pour la violation du droit de l’Union pour les dommages encourus et futurs.

Personnellement, contacter le fonctionnaire responsable. Parce que cet employé est également lié par le droit de l’Union supérieur et doit protester contre des instructions contraires.

« S’il ne le fait pas, bien que je lui ai montré la bonne situation juridique, il court le risque d’être personnellement responsable, car l’autorité responsable de l’indemnisation peut intenter un recours contre lui. De plus, il se peut que l’employé de l’agence soit inculpé et condamné pour perversion à la loi — c’est-à-dire d’un crime — avec toutes les conséquences pour son avenir professionnel ».

Pour Maître Karpenstein, ce ne sont pas seulement le gouvernement fédéral et des États qui ont un devoir ici, mais également les employés des autorités individuelles ?

Oui, il le dit à l’article 339 du Code pénal qui non seulement prend délibérément des décisions erronées par les juges au détriment d’un opérateur économique sous peine de délit, mais aussi des décisions délibérément erronées des administrateurs en matière juridique au détriment du citoyen. 

« De nombreux responsables négligent le fait que l’arbitraire au détriment du citoyen relève de l’épée de Damoclès à l’article 339 du Code pénal. La peine minimale est d’un an et les conséquences pour les administrateurs ne sont pas vraiment roses » conclue l’avocat allemand.

Que recommandez-vous aux commerçants concernés par la fermeture qui souhaitent rouvrir ? En savoir plus sur la situation juridique régie par le droit de l’Union, puis décider quoi faire.

Toute personne dont le service ou la transaction commerciale a un lien transfrontière peut invoquer le droit de l’Union. Cette référence transfrontalière est interprétée au sens large par la Cour. Il n’est en aucun cas nécessaire que le service franchisse directement la frontière dans tous les cas, par exemple, qu’un avocat allemand ne fasse appel qu’à la CJE au Luxembourg.

Une référence transfrontalière « potentielle » est suffisante pour l’applicabilité du droit de l’Union.

« Dans le domaine de la libre prestation de services, cela signifie qu’il suffit, par exemple, qu’un investisseur ait un “intérêt transfrontalier garanti” dans le service limité. Cet intérêt transfrontalier garanti peut être accepté dans pratiquement tous les domaines qui existent également dans d’autres États membres, par exemple dans le domaine de l’exploitation d’hôtels ou de restaurants ou de stations de ski, etc. ».

« Dans le domaine de la libre circulation des marchandises, il est également vrai qu’une relation transfrontalière existe déjà dans la possibilité potentielle que la distribution restreinte affecte le commerce transfrontalier ».

Un bon exemple est le cas de la CJE Bluhme : le Danois Bluhme voulait garder des abeilles ordinaires sur l’île danoise de Lasö. Il a été condamné à une amende, car seule l’abeille spéciale « Apis mellifera mellifera » était autorisée sur l’île. Un avocat danois ingénieux a objecté à l’amende danoise devant un tribunal danois que l’amende violait la libre circulation des marchandises. On ne peut exclure que M. Bluhme gagne du miel avec ses abeilles et le vende à l’Allemagne, par exemple. La CJCE a confirmé l’applicabilité de la libre circulation des marchandises et donc l’inapplicabilité fondamentale de la restriction danoise !

Dans une affaire purement nationale, un résident peut invoquer les libertés fondamentales du droit de l’Union en raison de la possibilité d’exporter ses marchandises.

 Si cette jurisprudence de la CJCE est désormais appliquée aux restrictions coronavirus, il devient clair que le confinement actuel ne peut être justifié de manière fiable en vertu du droit de l’Union.

Cette revue était nécessaire pour exposer différents aspects de la loi européenne qui pourraient servir à protéger nos libertés individuelles, en particulier celles de circuler et de travailler. Espérons que les victimes des restrictions disproportionnées imposées sauront s’en saisir et que des avocats efficaces parviendront à les faire déclarer illégales en Europe et tout particulièrement en France.


[Notes]

[1] https://www.nordkurier.de/politik-und-wirtschaft/koennte-eu-recht-den-corona-lockdown-sprengen-0641971201.html Simone Schamann 01/06/2021

[2] spécialisé en droit européen, maintenant « droit de l’Union », depuis des décennies

[3] En dix ans, la #fortune des #milliardaires français a augmenté de 439 %

[… Que feriez-vous avec 360,7 milliards de dollars ? Cette somme astronomique correspond aux gains cumulés des milliardaires français sur la période 2009-2020, selon une étude publiée début octobre par la banque suisse #UBS et le cabinet d’audit et de conseils #PWC. Nos chers premiers de cordée se sont enrichis de 439 % dans la dernière décennie. De 82,2 milliards de dollars en 2009, leurs fortunes cumulées représentent désormais la bagatelle de 442,9 milliards de dollars…] En dix ans la #fortune des #milliardaires. | Alain Mondino (vk.com)

[4] Les pensions de retraite pourraient baisser en 2021 L’union 2/1/2021 https://www.lunion.fr/id220017/article/2021-01-02/les-pensions-de-retraites-pourraient-baisser-en-2021

[5] Confirmé par l’étude chinoise sur dix millions de personnes, les bien portants dits asymptomatiques ne transmettent pas le virus Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr)

[6] Ministre allemande de la Santé depuis 2018

[7] Vers la mise en place d’un Nuremberg du Covid – (ripostelaique.com)
Nuremberg-Covid : les confinements furent inutiles, et le demeurent (3) — ripostelaique.com) 




Notre expérience de la violation des lois éthiques de Nuremberg

Par Dr Nicole Delépine

[Photo : « Le consentement éclairé est un droit, pas une option. »]

NOTRE EXPÉRIENCE DE LA VIOLATION DES LOIS ÉTHIQUES[1] de NUREMBERG[2]

Conséquences désastreuses de la faillite des agences françaises en santé, le consentement éclairé est de plus en plus souvent bafoué

De nombreux essais thérapeutiques respectent encore le code éthique établi lors des procès de Nuremberg et mis à jour par l’Association Médicale Mondiale (déclaration d’Helsinki) ou l’ONU.

Malheureusement la pratique de beaucoup d’autres (en particulier les essais de nouveaux médicaments sponsorisés par l’industrie dans le but d’obtenir ou d’élargir l’Autorisation de Mise sur le Marché) le bafoue régulièrement et de plus en plus « naturellement » avec l’assentiment des agences sanitaires et d’hommes politiques manipulés ou corrompus sous prétexte d’un « possible progrès pour les malades futurs. » « Corruption ou crédulité » selon le titre d’un ouvrage du Pr Philippe Even sur le sujet.

Soulignons quelques-unes de ces violations des règles éthiques :

Pertes de chances des malades inclus dans les essais

Rappelons les articles 8 et 14 de la déclaration d’Helsinki à laquelle les promoteurs d’essai prétendent se conformer.

Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche.

Art. 8

…Les médecins qui associent la recherche médicale à des soins médicaux devraient impliquer leurs patients dans une recherche uniquement…. si les médecins ont de bonnes raisons de penser que la participation à la recherche ne portera pas atteinte à la santé des patients concernés.

Art. 14

La déclaration de l’AMM rappelle clairement qu’un essai n’est licite que s’il peut rendre service aux malades qui y sont soumis ; or ce n’est que trop rarement le cas en cancérologie.

En cancérologie pédiatrique, où on constate habituellement une perte de chances de guérison pour les malades inclus dans les essais comparés aux traitements de référence, nos macroanalyses, présentées en communication entre autres, lors du congrès international sur la chaîne des médicaments organisé par le GEIRSO à Montréal en septembre 2007 sous le titre « Méta-analyse des essais sur l’ostéosarcome de haut degré de malignité» mettent en évidence une perte de chances de guérison de plus de 25% pour les patients inclus dans les essais randomisés multicentriques.

Ce fait est observé dans l’écrasante majorité des essais et a même été reconnu par un directeur de l’IGR le plus fervent défenseur du tout essai dès les années 2000, mais il ne fallait surtout pas le dire au patient, ni le publier !

Pourtant nos autorités de tutelle, y compris les comités de protection de la personne humaine (dont le financement est malheureusement assuré en partie par les promoteurs des essais) acceptent très facilement que le bénéfice soit seulement ‘espéré pour les futurs malades’.

Ce qui est exactement ce que faisaient certains médecins nazis dans leurs expériences de tolérance au froid sur les prisonniers russes qu’ils sacrifiaient en espérant mettre au point des techniques permettant de sauver des soldats allemands, et qui leur a valu la pendaison !

Et jamais les promoteurs d’essai, ni les comités d’éthique n’évaluent, une fois l’essai terminé ces pertes de chances de guérison pour les malades inclus, contrairement à ce qui est prévu.

Consentement des malades insuffisamment éclairé

Rappelons les articles 22 et 25 de la déclaration d’Helsinki :

Le protocole devrait inclure des informations concernant le financement, les promoteurs, les affiliations institutionnelles, les conflits d’intérêts potentiels, les incitations pour les personnes impliquées dans la recherche…

Art. 22

Cette recommandation n’est jamais réellement respectée et lorsqu’en comité éthique ce point est réclamé, celui qui le demande passe pour un dangereux retardataire anti scientifique et se tait surtout s’il n’est pas médecin ! Ceci pose un problème sur la place des non-médecins qui parait plus formelle qu’efficace dans les comités d’éthique.

Il s’agit pourtant d’une information cruciale pour la décision du sujet de participer ou non. Le désir d’engagement du patient est en effet différent selon que le promoteur de l’essai est un organisme éthique sans but lucratif ou un major de l’industrie dont la motivation est le profit.

La confiance qu’accorde le sujet à l’investigateur est également différente selon que le chercheur altruiste n’est motivé que par le désir de connaissance ou qu’il l’est par des avantages personnels conséquents financiers, universitaires ou autres…

Lors d’un congrès sur la chaîne du médicament qui s’est tenu à Montréal en 2007, lors d’une session plénière à forte assistance internationale, à ma question « Informez-vous les patients des avantages financiers dont vous bénéficier lors de l’inclusion d’un patient ? » il m’a été répondu :

« Vous n’y pensez pas ! comment pourrais-je expliquer au malade à revenu modeste que le fait de l’inclure me rapporte environ 2 mois de son salaire ».

La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Bien qu’il puisse être opportun de consulter les membres de la famille ou les responsables de la communauté, aucune personne capable de donner un consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé.

Art. 25

Dans les essais des big pharma, le consentement du sujet n’est qu’exceptionnellement libre et vraiment éclairé. De nombreux malades ignorent qu’ils sont inclus dans un essai thérapeutique et croient avoir signé une autorisation de soins alors qu’il s’agit d’une autorisation d’essai3. L’information qu’on leur donne fait tout son possible pour leur cacher qu’il s’agit d’un traitement expérimental, dont on ne connaît pas, par définition, les résultats.

Elle parle habituellement de « protocole de traitement » et non pas d’essai. On a changé les mots pour plus d’opacité. Les patients pensent recevoir le traitement « standard » que tout le monde pratique. Il est effectivement standardisé, mais c’est un essai thérapeutique « caché » en jouant sur les mots. Certains formulaires inscrivent maintenant « protocole d’essai clinique ». Le patient assommé par le diagnostic de cancer qui vient de lui tomber sur la tête (ou les parents d’un enfant sont –ils en état de voir la subtilité. Ils vous disent tous, des mois plus tard, que c’était à cent lieues de leurs préoccupations ; donc l’enfumage est à la portée de tous.

Pour éviter que le malade comprenne que son traitement va être tiré au sort, on indique (au mieux) qu’il y aura « randomisation ».

Le plus grave est qu’on leur cache les autres options thérapeutiques (traditionnelles aux résultats publiés et connus) en prétendant que « tout le monde fait la même chose ». On leur fait miroiter que la drogue nouvelle qui va les améliorer voire les guérir (alors que par définition dans un essai on n’en sait rien) ne leur sera administrée que s’ils acceptent d’être inclus…

C’est doublement grave, car souvent même les jeunes médecins ne connaissent pas les autres options thérapeutiques. A la limite, ils sont sincères. ! On ne leur enseigne plus les résultats des travaux des quarante dernières années « c’est ringard » ! Un jeune neurochirurgien me disait à propos d’un enfant de trois ans atteint d’un médulloblastome, on ne peut rien faire puisqu’il n’a pas répondu à la chimiothérapie, le protocole dit qu’on ne fait la radiothérapie que si l’enfant est en rémission après la chimiothérapie. Incroyable perversion du système qui met sous le joug des chimiothérapeutes (eux-mêmes sous l’ukase des essais), les chirurgiens et les radiothérapeutes qui ne recevront les patients que sous autorisation des autres spécialistes. Dans ces conditions de pensée unique, déformée de surcroit, il n’y a véritablement plus d’information éclairée, puisque le médecin lui-même ne la connait plus. Il faudra peut-être passer par le droit pour imposer au médecin de prendre connaissance des travaux antérieurs avant d’informer un patient. Quelle éthique pour les robots ? Que signifie alors consentement éclairé !!!!

Instrumentalisation de la justice pour imposer l’inclusion dans un essai

ll y a maintenant plus de 15 ans, en France, l’atteinte aux droits de l’homme (de l’enfant), est devenue caricaturale en instrumentalisant la justice » pour imposer l’inclusion dans un essai lorsque les parents voulaient simplement choisir les soins médicaux pour leur enfant et avoir le droit de choisir les traitements éprouvés, publiés.

Des parents refusant d’inclure leur enfant dans l’essai thérapeutique en cours se sont vu retirer leur droit parental pour imposer un traitement expérimental à leur enfant. Une famille s’est fait retirer la garde de son enfant le temps de l’amputer contre leur volonté. Un enfant de 15 ans a été hospitalisé d’office avec interdiction du juge de lui permettre de voir ses parents tant qu’il n’accepterait pas une greffe de moelle (c’était la deuxième qu’on lui proposait après échec de la première et la suite a montré qu’elle était techniquement impossible !). Il a pu finalement récupérer sa liberté pour venir dans notre service grâce à une intense mobilisation associative et médiatique qui a permis d’obtenir une décision favorable en cour d’appel ! (Son témoignage télévisé est disponible puisque le patient a pu s’exprimer sur TF1).[4]

La perte du choix des traitements depuis le plan cancer

Depuis 2003, avec les plans cancer, le totalitarisme par et pour les Big pharma s’est institutionnalisé en France avec suppression administrative programmée de l’offre de soins qui n’appliquerait pas scrupuleusement les recommandations de l’Institut national du cancer INCa (dirigé par les promoteurs zélés du tout essai).

Cancérologues, médecins, chirurgiens ou radiothérapeutes sommes maintenant soumis, pour garder notre droit de traiter les cancéreux au bon vouloir de l’agence régionale de santé locale ( une par région)[5] qui accrédite ou pas les établissements dans lesquels nous travaillons (quels que soient nos résultats ou notre notoriété internationale).[6] Ainsi notre unité d’oncologie pédiatrique très réputée dans le traitement des sarcomes a été fermée car elle défendait la liberté thérapeutique, l’individualisation du traitement à chaque patient et le droit des malades au choix de leur traitement pourtant inscrits dans tous les textes internationaux et dans notre code de santé publique. Ainsi en France actuellement en traitement des cancers de l’enfant, il n’existe qu’un monopole duquel il est impossible de sortir sauf en choisissant de partir à l’étranger.

L’absence de publication des résultats défavorables aux drogues testées

Contraire aux articles 26 et 36 de la déclaration d’Helsinki :

… Toutes les personnes impliquées dans des recherches médicales devraient avoir le choix d’être informées des conclusions générales et des résultats de celles-ci.

Art. 26

…. Les chercheurs ont le devoir de mettre à la disposition du public les résultats de leurs recherches impliquant des êtres humains. Toutes les parties ont la responsabilité de fournir des rapports complets et précis…. Les résultats aussi bien négatifs et non concluants que positifs doivent être publiés ou rendus publics par un autre moyen. La publication doit mentionner les sources de financement, les affiliations institutionnelles et les conflits d’intérêts.

Art. 36

Ce droit et ce devoir ne sont pas respectés en France.

Il y a plus de 15 ans, une famille de malade et l’association Ametist7 qui voulaient obtenir les résultats d’un essai sur l’ostéosarcome (dans lequel le malade avait été inclus) ont frappé à toutes les portes, en vain. Après six mois de demande infructueuse, ils ont finalement été reçus au ministère pour s’entendre dire (8 ans après le début de l’essai) « c’est trop compliqué, nous n’avons pas eu le temps d’analyser les résultats ! » Cet essai qui n’a rien apporté à la science a finalement été publié 15 ans après son début et ses résultats ne montraient aucun progrès sensible.

Depuis la fin du siècle précédent, nous avons tenté, avec l’association Ametist, d’attirer l’attention des pouvoirs publics français sur les dérives de certains essais thérapeutiques (en général ceux financés par les big pharma afin d’obtenir une Autorisation de mise sur le marché) et sur le non-respect des droits de l’Homme dans leur pratique. Nos mises en garde ont été ignorées, caricaturées, et nous avons subi une intense campagne de calomnies et de harcèlement moral et professionnel, que seuls les whistle blowers internationaux (Genève) nous ont permis de comprendre lorsqu’ils nous ont conseillés de « cherchez l’argent et vous comprendrez ».

Des recherches génétiques dont vous n’êtes pas informées

Bafouant l’article 32 de la déclaration d’Helsinki

Pour la recherche médicale utilisant des tissus ou des données d’origine humaine, telles que les recherches sur tissus et données contenues dans les bio banques ou des dépôts similaires, les médecins doivent solliciter le consentement éclairé pour leur analyse, stockage et/ou réutilisation. Il peut se présenter des situations exceptionnelles où il est impraticable, voire impossible d’obtenir le consentement. Dans de telles situations, la recherche peut être entreprise uniquement après évaluation et approbation du comité d’éthique de la recherche concernée.

Art. 32

Depuis le plan cancer, en France le malade n’est habituellement pas informé de l’utilisation de ses tissus et cellules. Les promoteurs du « tout génétique » prétendent guérir le cancer par l’analyse des tissus des individus et de leurs tumeurs. Ils ont inclus dans leur directive la nécessité pour tout établissement qui traite les tumeurs d’avoir une convention avec une banque de tissus agréée et d’y adresser toutes les tumeurs (par l’intermédiaire des anatomo- pathologistes).

Ainsi le consentement pour utilisation des prélèvements biologiques et tumoraux parait le plus souvent bafoué dans la pratique. Sauf condamnation particulière, les citoyens peuvent refuser l’inclusion de leur empreinte génétique dans les banques de données judiciaires. Les malades ignorent généralement qu’ils sont systématiquement inclus dans des bio banques « scientifiques » dont le seul vrai but est de rechercher une anomalie brevetable qui permettra peut-être de proposer un test ou un traitement expérimental et couteux dont les bénéfices financiers iront à une start-up privée.

Pourquoi une telle attaque aux droits fondamentaux ?

Parce que de trop nombreux scientifiques sont corrompus par l’industrie, que la quasi-totalité des experts sont en situation de conflits d’intérêts majeurs et que les gains pour l’industrie mondialisée sont colossaux justifiant une campagne de lobbying intense, de corruption et au besoin de chantage aux emplois. Ces différents moyens lui ont permis de prendre progressivement le contrôle de fait du ministère de la santé et des agences sanitaires chargées de la sécurité sanitaire.

Des campagnes de publicité massives et constamment répétées (souvent sous le patronage du ministère de la santé !) enfoncent dans les têtes que seuls les essais font progresser la science pour nous guérir, alors que les essais actuels payés par les laboratoires ne sont le plus souvent destinés qu’à obtenir l’Autorisation de Mise sur le Marché (au besoin en truquant les résultats s’ils ne sont pas assez favorables). Pourtant, en 2013 l’Institut Gustave Roussy a avoué qu’il n’y a pas eu de progrès depuis 15 ans en cancérologie infantile (depuis qu’ils ont imposé le tout essai) ![8]

Pour éviter que des médecins trop respectueux de leur serment d’Hippocrate utilisent de vieux protocoles de traitements qui ont le tort de ne pas être assez onéreux (malgré leur efficacité prouvée), on leur retire leur droit de traiter (ou à leur service ou établissement) et on impose à tous les cancéreux des traitements expérimentaux (dits innovants) payés par la sécurité sociale à un prix souvent plus élevé que celui du diamant (au poids de principe « actif ») ![9] [10]

La « capture » règlementaire ou (instrumentalisation des agences de régulation au profit d’intérêt privés)

La théorie de la capture règlementaire a été énoncée et détaillée dès 1971 par le prix Nobel d’économie George Stigler dans son article « The Theory of Economic Regulation »[11]. Elle décrit une situation dans laquelle une institution publique de régulation, bien que destinée à agir en faveur de la collectivité, finit par servir prioritairement des intérêts commerciaux et/ou privé.

Trop de régulateurs, au ministère de la santé et dans les agences sanitaires, sont en forte empathie avec le discours et les intérêts des secteurs qu’ils régulent, dont ils finissent par partager totalement les points de vue. J Delpla fournit en un témoignage caricatural[12]

« un représentant du ministère de la Santé nous a indiqué, avec bonne conscience, que, pour le secteur des pharmaciens qu’il régule, les positions du gouvernement de la France à Bruxelles sont écrites par le lobby des pharmaciens … De même, les décrets concernant les pharmaciens sont écrits par le lobby et le gouvernement ne fait que les entériner. »

Les associations anticorruptions invitées au ministère de la santé pour donner leur avis sur la loi anticorruption ont fini par quitter la salle de discussion lorsqu’elles ont constaté que 

« les décrets d’application de la loi étaient en fait rédigés par les représentants de l’industrie pharmaceutique » aboutissant à une « Opacité totale sur les prestations de service des leaders d’opinion »[13] .

Cette instrumentalisation de la puissance publique (pourtant censée protéger l’intérêt général) par les grands groupes financiers pour leurs seuls intérêts s’observe de la même façon dans d’autres domaines aux dépens des droits de l’Homme. Ainsi la plupart des ministères en France se bornent à n’être que les porte-parole des secteurs qu’ils sont censés réguler.

Selon le journaliste Stéphane Horel :

« Sans aucun doute le public éprouve-t-il ce sentiment qu’il est brutalisé par erreur par un système devenu aveugle. Ou peut-être le système s’est-il totalement retourné contre lui et agit-il désormais à l’encontre de l’intérêt général. Car le programme de « capture » de la décision publique mis en œuvre par les industriels du tabac, de la chimie, de l’agrochimie, du pétrole ou de l’agroalimentaire implique que les intérêts du marché passent avant tout. Tout, y compris la santé des personnes et la préservation de l’environnement qui rend possible notre existence à tous. La réussite de ce programme repose, on l’a vu, sur la complicité des appareils gouvernementaux, des administrations, des agences règlementaires, et sur la neutralisation de tout ce qui est identifié par eux comme une adversité.

Agriculture : où les lobbys ont interdit l’usage de nombreuses semences traditionnelles au profit des produits brevetés et bientôt OGM, imposé les pesticides et les engrais chimiques sans limites, des conditions d’élevage et de production ignobles aux porcs et aux poules et qui utilisent antibiotiques et hormones sans se préoccuper des conséquences sanitaires pour l’homme…

Énergétique ou le tout nucléaire est imposé sans vrai débat.

Rappelons-nous Rabelais 1532 : « Science sans conscience n’est que la perte de l’âme ».

La situation en 2021

Ce rappel historique et éthique nous semble indispensable pour tous médecins, journalistes, citoyens assommés par la propagande orwellienne sur le vaccin génique expérimental du covid[14], que le gouvernement aimerait bien rendre obligatoire.

Le Nuremberg 2 prévu par une commission extraparlementaire allemande sous la direction de l’avocat Reiner Fuellmich constitue un réel espoir[15].


[NOTES]

[1] Biomédecine et droits de l’Homme : l’état des lieux vu du terrain par des cancérologues français en 2013

Par les docteurs Gérard Delépine chirurgien orthopédiste et oncologue et Nicole Delépine pédiatre et oncologue. www.nicoledelepine.fr nicole.delepine@bbox.fr

[2] Nuremberg et ses idéaux oubliés : « la civilisation est la véritable partie plaignante » (francesoir.fr)

[3] On parle de protocole, de test

[4] Nombreux exemples et témoignages dans neuf petits lits au fond du couloir chez Michalon par N Delépine et dans « ma liberté de soigner » chez Michalon par N Delépine ou auprès de l’association Ametist www.ametist.org ou sur sa page fb

[5] À quoi servent les ARS : à empêcher les docteurs de soigner ! – (ripostelaique.com)

[6] Le cancer un fléau qui rapporte Nicole Delépine 2013 éditions Michalon dans lequel l’auteur expose les règles juridiques qui régissent maintenant le traitement du cancer en France aboutissant à un véritable monopole dont le caractère éthique tant que légal au regard des lois européennes devra un jour ou l’autre être revisité.

[7] http://association.ametist.org/ ou sa page facedebouc

[8] http://www.lasantepublique.fr/politiques-publiques-et-organisation-des-soins/18062013, cancers-pediatriques-aucun-changement-depuis-15-ans, 346.html

[9] depuis 2003 en France le ministère établit une liste dite « en sus » de thérapies ciblées dites innovantes ou possiblement telles que la sécurité sociale paie directement aux firmes non facturées aux hôpitaux à des prix exorbitants décrétés par le laboratoire, les prix n’étant discutés qu’au moment de l’AMM. Ces molécules en expérimentation chez l’homme sont des essais cliniques payés par la sécurité sociale et malgré rapport IGAS 2012 et autres cela continue et revient pour la cancérologie à un milliard et demi d’euros annuel !

[10] De nombreux livres détaillent le détournement de la médecine scientifique depuis l’ancienne rédactrice en chef du Nejm Marcia Angel puis de son successeur Kisserer, du fondateur du Cochrane, Peter Goetsche et son livre remèdes mortels et crime organisé. Nous avons aussi publié chez Michalon médicaments nouveaux peu fiables souvent toxiques et hors de prix.

[11]https://tspppa.gwu.edu/sites/g/files/zaxdzs2001/f/Carrigan%20Coglianese%202015%20George%20J.%20Stigler.pdf

[12] Jacques Delpla Un Etat capturé par les lobbys les échos 7 février 2008 https://www.lesechos.fr/2008/02/un-etat-capture-par-les-lobbys-480377

[13] Prescrire Décret sur la transparence en santé : opacité inacceptable sur les contrats des soignants avec les firmes https://www.prescrire.org/Fr/3/31/48599/0/NewsDetails.aspx

[14] Vaccin génique : essai thérapeutique à grande échelle, vous êtes le cobaye (francesoir.fr)

[15] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf

Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

Terrorisme d’Etat, crime contre l’humanité ? – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)




Poursuites judiciaires contre les mesures Covid-19

[Source : Docs4 Open Debate]

International

ACU 2020 lance un recours collectif – 17 oct. 2020
La commission extra-parlementaire allemande ACU 2020 – corona a recueilli les témoignages de nombreux experts scientifiques internationaux importants, démasquant ainsi la crise de corona comme un scandale/fraude de corona d’une ampleur sans précédent.
En la personne de l’avocat Fuellmich, les initiateurs d’Acu2020 lancent une des plus grande actions en justice jamais entreprise sous la forme d’un recours collectif, une forme de procès dans lequel de nombreuses victimes peuvent ouvrir un dossier contre un tiers responsable de dommages subis à grande échelle. Les organisations criminelles responsables de cette immense catastrophe sanitaire et économique mondiale de la population seront jugées pour crimes contre l’humanité.
Dans cette impressionnante vidéo de 49 minutes (sous-titrée en néerlandais) de l’avocat Reiner Fuellmich, tous les faits sont présentés de façon très claire.

https://www.youtube.com/watch?v=ly7flUk6swQ

[NdNM : voir aussi : articles et vidéos relatifs à Reiner FUELLMICH]

[Source : www.ellaster.nl. Traduction automatique non révisée]

Poursuite internationale pour fraude au test PCR

par ELLA STER le 17 OCTOBRE 2020

La soi-disant deuxième vague est largement basée sur les résultats positifs du test PCR, ce qui entraîne des verrouillages persistants ou nouveaux et des mesures corona sévères. Selon Reiner Fuellmich, il y a un scandale de fraude coronaire. Les parties responsables seront inculpées dans une affaire devant un tribunal international.

Le Dr Reiner Fuellmich est l’un des quatre membres du Comité allemand de recherche Corona mis en place le 10 juillet 2020 pour examiner de manière critique la justification des mesures corona, mais aussi leurs effets néfastes. Le comité consulte un grand nombre de scientifiques et d’experts de renommée internationale.

Reiner Fuellmich n’est pas le premier à être le meilleur. En tant qu’avocat, il est membre de l’Ordre des avocats en Allemagne et en Californie depuis 26 ans, une ordonnance d’avocats qui suivent la jurisprudence anglo-américaine. En tant qu’avocat de première instance, il a par le passé intenté des poursuites fructueuses dans des affaires de fraude contre des géants tels que : Deutsche Bank, Volkswagen et Kühne + Nagel, un fournisseur mondial de services logistiques.

Le scandale de la fraude corona

Maintenant, il travaille avec un réseau international d’avocats sur le scandale de fraude Corona, « le plus grand délit jamais » et « probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis. » Reiner Fuellmich soutient que les responsables du scandale de fraude corona au niveau politique devraient être poursuivis pénalement et inculpés de dommages et intérêts civils.

Les mesures corona prises par d’innombrables gouvernements du monde entier ont « coûté d’innombrables vies » et « détruit l’existence économique d’innombrables entreprises ». Les mesures sont basées uniquement sur les résultats des tests PCR, une méthode de recherche basée sur le test allemand de Dresde.

« Avec tout ce que nous savons aujourd’hui, il doit être rebaptisé scandale corona et les responsables doivent être poursuivis pénalement et inculpés de dommages et intérêts civils au niveau politique. »

Les résultats positifs des tests pcr ont été injustement rejetés en tant qu’«infections ». C’est la justification des blocages mondiaux, des fermetures d’entreprises et d’écoles, des mesures d’un mètre et demi et des bouches-à-oreille obligatoires. La question clé est de savoir si les mesures ont été prises principalement pour protéger la santé publique, ou pour obtenir plus de contrôle et générer plus de profits pour l’industrie pharmaceutique.

Lobby massif des compagnies pharmaceutiques en Allemagne

Selon Reiner Fuellmich, l’Allemagne était « le centre d’un lobby massif des industries pharmaceutiques et techniques, parce que le monde, en ce qui concerne les Allemands dits disciplinés, devrait faire ce que les Allemands font pour survivre à la pandémie ». Les chiffres suivants jouent un rôle important à cet égard :

Un groupe de scientifiques fait valoir qu’il n’y a aucune raison de prendre des mesures de grande envergure

Selon Reiner Fuellmich, il y a de plus en plus de dénonciateurs, de scientifiques de renom, de médecins et de juristes qui soutiennent que le coronavirus n’était pas une raison pour les mesures de grande envergure. Il s’agit notamment de:

Bien qu’il soit reconnu que covid-19 est une maladie dangereuse, qui, comme la grippe saisonnière, peut parfois prendre un cours clinique sérieux et dans certains cas peut même conduire à la mort, ils affirment que les chiffres montrent que la maladie n’était pas plus grave que la grippe saisonnière.

Dans la vidéo ci-dessous, Reiner Fuellmich rend compte des conclusions de la commission d’enquête :

  • Une grande partie de la population a déjà accumulé l’immunité intercell ou t-cellule, contre ce soi-disant nouveau virus. Par conséquent, il n’y a aucune raison pour des mesures spéciales et certainement pas pour les vaccinations.
  • Il n’était pas question que les hôpitaux risquent d’être submergés par covid-19. C’est le contraire qui s’est produit, car de nombreux hôpitaux restent vides à ce jour. Certains hôpitaux font maintenant face à la faillite en raison d’une pénurie de patients.
  • Il n’y a pas de mortalité élevée. Des études menées par le professeur Loannidis et d’autres montrent que la mortalité coronarienne est équivalente à celle de la grippe saisonnière.
  • Le taux de mortalité élevé chez les personnes âgées est plus susceptible d’être dû à l’échec des politiques, car les patients infectés par covid-19 ont été transférés des hôpitaux aux maisons de soins infirmiers. Là, ils ont infecté les personnes âgées avec un système immunitaire gravement affaibli, généralement en raison de conditions médicales préexistantes.

Alarmisme délibéré

Reiner Fuellmich affirme dans sa déclaration vidéo qu’un soi-disant « document de panique » a été divulgué écrit par le ministère allemand de l’Intérieur. Selon lui, le contenu secret montre hors de tout doute raisonnable que la population a en fait été délibérément poussée à la panique par les politiciens et les médias traditionnels. Il affirme également que M. Wheeler, le chef de la RIVM allemande, « a suivi ce script mot pour mot ». Reiner Fuellmich poursuit : « Dans ses déclarations publiques, il a continué à proclamer que la situation était très grave et menaçante, bien que les chiffres compilés par son propre institut aient prouvé exactement le contraire. »

« L’Allemagne était apparemment le centre d’un énorme lobby des industries pharmaceutiques et technologiques, parce que le monde, en ce qui concerne les Allemands soi-disant disciplinés, devrait faire ce que les Allemands font pour survivre à la pandémie. »

La vraie cause de la mort n’est pas cachée

En réalité, les autopsies réalisées en Allemagne par le professeur klaus Püschel, médecin légiste à Hambourg, ont montré que les décès qu’il avait examinés étaient presque tous causés par des conditions graves et préexistantes. En outre, presque toutes les personnes étaient mortes à un très âge, comme ce fut le cas en Italie.

Reinier Fullmich dit: « Le RKI allemand (l’équivalent du CDC) initialement, curieusement, a recommandé de ne pas effectuer d’autopsies. » Il parle également de « nombreux rapports crédibles selon laquelle les médecins et les hôpitaux du monde entier ont reçu de l’argent pour déclarer une personne décédée victime de COVID-19, plutôt que d’écrire la véritable cause du décès sur le certificat de décès.

Pas une pandémie coronale, mais une pandémie de PCR

La soi-disant « deuxième vague » qui a abouti au maintien des mesures, ou comme aux Pays-Bas un nouveau verrouillage, est basée uniquement sur les résultats positifs du test PCR. Cette méthode de test n’a jamais été approuvée à des fins diagnostiques. « Un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente, cela ne signifie pas qu’on est infecté, et encore moins par le virus infectieux du SRAS-CoV2. Même les CDC américains sont d’accord », dit Reiner Fuellmich.

« Un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente, cela ne signifie pas qu’on est infecté, et encore moins par le virus infectieux du SRAS-CoV2. Même la CDC des États-Unis (équivalent RIVM – n.) est d’accord.

DR REINER FUELLMICH

Le test PCR ne peut pas faire de distinction entre la matière inactive et la matière reproductrice (comme les particules infectieuses de réplication du virus – n.). Cela signifie qu’un résultat positif peut se produire, car le test détecte, par exemple, un fragment d’une molécule (froide). Cela ne peut être rien d’autre que de signaler que le système immunitaire de la personne testée a surmonté un rhume. « Les tests PCR sont si sensibles que même les personnes très en bonne santé et non infectieuses sont positives. »

Néanmoins, les médias grand public sèment la panique et la peur en supposant à tort que tous ces résultats positifs de PCR concerneraient les infections malades et infectieuses. Pendant ce temps, un certain nombre de scientifiques très respectés à travers le monde supposent qu’il n’y a jamais eu de pandémie corona, mais seulement une pandémie de test PCR. Ils soulignent explicitement qu’un test positif ne signifie pas qu’un virus intact a été trouvé.

« Il y a eu une véritable vague de maladies en mars et en avril, mais depuis, tout est revenu à la normale. Seuls les résultats positifs augmentent et tombent sauvagement maintes et maintes fois, selon le nombre de tests qui sont effectués. Mais les vrais cas de maladie sont terminés.

N’utilisez plus jamais les tests PCR comme outil de diagnostic

Carl Hennigan, professeur à la prestigieuse Université d’Oxford et directeur du Center for Evidence-Based Medicine, écrit que le virus COVID-19 ne disparaîtrait jamais si cette pratique de test se poursuivait, mais a toujours été détecté de manière incorrecte. Le Dr Mike Yeadon écrit que ce test n’est pas adapté, devrait être retiré immédiatement et ne devrait plus jamais être utilisé à ces fins. Le test PCR est maintenant injustement utilisé pour diagnostiquer une maladie, mais il semble créer la peur avant tout.

« Si les tests pcr n’avaient pas été utilisés comme outil de diagnostic pour les infections coronaires, il n’y aurait pas de pandémie et il n’y aurait pas de verrouillage, mais tout aurait été considéré comme une simple vague de grippe moyenne ou légère. »

Le « document de panique » détaillé et divulgué, rédigé par un fonctionnaire allemand au ministère de l’Intérieur, contient une évaluation des risques des mesures corona. On conclut qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves de graves risques pour la santé publique. Toutefois, on conclut qu’il existe de grandes preuves que les mesures corona mènent à d’énormes dommages pour la santé et l’économie. Reiner Fuellmich affirme que cela entraînera des demandes de dommages et intérêts très élevées, dont le gouvernement sera tenu responsable. Le fonctionnaire compétent et auteur du rapport a depuis été suspendu.

Responsable et complice

Reiner Fuellmich affirme que si des éléments de preuve irréfutables peuvent être démontrés que la fraude a été commise intentionnellement, comme la divulgation de faux faits relatifs aux critères pcr, il s’agit légalement d’un délit délictueux. Selon Reiner Fuellmich, ceux-ci peuvent même être légalement classés comme des crimes contre l’humanité réels, tels que définis à l’article 7 du Code pénal international. Les mesures corona qui en ont résulté ont causé des dommages dévastateurs à la santé publique et à l’économie.« Même en Allemagne et dans d’autres pays auparavant civilisés, les enfants sont enlevés à leurs parents s’ils ne respectent pas les règles de quarantaine. »

Parce que les grands médias n’ont pas signalé les faits réels de cette soi-disant pandémie, ils peuvent eux aussi être tenus responsables. Ils auraient pu savoir qu’il n’y avait pas de consensus sur le test PCR et auraient pu fournir aux opposants à la politique corona avec une plate-forme égale pour exprimer leurs points de vue. En raison des reportages non critiqués et unifatés, ils sont complices de créer une peur énorme parmi la population. Leur rôle a rendu impossible un débat ouvert sur les politiques et permet aux mesures de se poursuivre jusqu’à ce jour.

Avantages d’un recours collectif

Selon Reiner Fuellmich, un recours collectif est la meilleure façon de réclamer des dommages-intérêts aux parties responsables.

« L’avantage du recours collectif est qu’un seul procès est nécessaire. »

Un soi-disant recours collectif est fondé sur le droit anglais et est appliqué aux États-Unis et au Canada. Il permet à un tribunal d’accorder des dommages-intérêts sur la base d’un acte d’accusation, en vertu duquel d’autres parties dans d’autres pays ont la possibilité de se joindre au demandeur dans un délai qui doit être déterminé par le tribunal.

L’avantage du recours collectif est qu’un seul processus est nécessaire, à savoir traiter la plainte d’un demandeur représentatif. Les avantages sont les les plus importants :

  1. C’est moins cher.
  2. C’est plus rapide que des centaines de milliers de procès individuels.
  3. C’est moins onéreux pour les tribunaux.
  4. En règle générale, il permet un examen beaucoup plus précis des allégations.

En Allemagne, un groupe d’avocats s’est uni pour aider leurs clients à se remettre des dommages et intérêts. Ils ont depuis fourni aux demandeurs allemands tous les renseignements et formulaires pertinents pour évaluer les dommages qu’ils ont subis. Il existe également un réseau international d’avocats (qui s’agrandit de jour en jour) et s’occupe également de ce dossier.

Avec la conduite d’un procès (international), on peut non seulement obtenir des dommages-intérêts et de la justice, mais il conduira également à la divulgation et la divulgation de l’énorme fraude et les violations des droits de l’homme que de nombreux gouvernements et organisations ont commis.

https://youtu.be/ly7flUk6swQ

En cliquant sur le CC au bas de la vidéo, vous obtenez les sous-titres néerlandais. Si la vidéo est retirée de Youtube, vous pouvez la regarder sur Bitchute: https://www.bitchute.com/video/zarFW3hwuyBc/

Ella Ster* – France | source: ellaster.nl

Les articles écrits par moi ne peuvent être publiés que 1:1 ailleurs à condition que l’auteur Ella Ster* soit clairement répertorié en haut ou en bas de l’article. En outre, il doit être au bas de l’entrée: « Source: www.ellaster.nl »

À partager : une révélation absolue et un vrai must !

Belgique

-Arrêt de la Cour d’appel – 28 oct. 2020 
Arrêt de la Cour d’appel de Bruxelles sur le Covid 19 : Il n’y a pas de cadre juridique et les mesures ne reposent pas sur une base scientifique suffisante. Le texte a été distribué à tous les médias belges.
Le juge a décidé que les mesures prises doivent maintenant être scientifiquement justifiées, c’est-à-dire que leur utilité a été prouvée.
Les mesures proposées par les plaignants sont plausibles.
L’accent devrait être mis sur :

  • la protection des patients à haut risque
  • le renforcement des soins – médecins généralistes, hôpitaux, centres de soins lunaires
  • ouvrir l’économie et rendre la liberté au peuple

Ceci est en accord avec la Déclaration de Great Barrington : Protection ciblée
https://www.viruswaanzin.be/post/belgische-burgers-vs-belgische-staat-inzake-corona 

Texte de l’arrêt
Communiqué de presse Arrêt

-Un juge belge rejette une amende pour « non-respect de la quarantaine » comme étant anticonstitutionnelle – 13 oct 2020
https://www.rtl.be/info/belgique/faits-divers/coronavirus-prononcer-un-peine-pour-non-respect-du-confinement-est-illegal-a-decide-un-juge-du-hainaut-1251218.aspx?fbclid=IwAR26ANNvp6eijqJ-KKxEdv-XQVIV-5URf6FoyIFx4A0WnlkyNW-yxEvNP4E

-Les citoyens luttent contre le couvre-feu anticonstitutionnel – 26 oct. 2020
https://geenvodjepapier.be/open-brief/?fbclid=IwAR3dMcwvecBoehMWUjUKM_W5gDW_nejLh5oiIBPLh4kD-CCWSPmdyKVk78Y 

Allemagne

Le tribunal de Berlin rejette le couvre-feu pour les bars/restaurants comme étant disproportionné – 16 oct. 2020
https://www.dw.com/en/germany-berlin-court-suspends-bar-and-restaurant-curfew/a-55306096

Autriche

La Cour suprême autrichienne juge illégale l’obligation de porter un masque buccal pour les enfants 23 déc. 2020
https://www.20minutes.fr/monde/2938679-20201223-autriche-cour-supreme-juge-masque-obligatoire-ecole-cours-alternance-illegaux

Bosnie-Herzégovine

Cour suprême : L’obligation de porter un masque buccal ainsi que la restriction de la liberté de circulation sont inconstitutionnelles. 22 déc. 2020
https://www.fena.news/bih/constitutional-court-masks-and-movement-restriction-are-human-rights-violation/

Espagne

La Cour rejette le verrouillage partiel de Madrid – 8 oct. 2020
https://www.vrt.be/vrtnws/nl/2020/10/08/spaanse-rechtbank-verwerpt-gedeeltelijke-lockdown-in-hoofdstad-m/

France

Tribunal de Toulouse : Obligation de porter un masque illégal – Arriège 24 déc 2020
https://actu.fr/occitanie/foix_09122/ariege-l-arrete-prefectoral-imposant-le-port-du-masque-dans-tout-le-departement-juge-illegal_38340364.html?fbclid=IwAR3jtMuWq1oLWcKr1CeaxuD5QhDN0BdKs3bvt7sQ4UxMtOMhpLZ8ykCkOCw

Synthèse de toutes les procédures judiciaires en cours en France :
Ce site web contient des formes de responsabilité personnelle que chaque citoyen peut soumettre à son propre médecin, à ses ministres, …
https://reaction19.fr/

Portugal

La Cour d’appel portugaise estime que les tests PCR ne sont pas fiables et lève la quarantaine. Seuls les médecins sont légalement autorisés à déclarer une personne malade, personne ne peut déclarer une personne malade par décret ou loi ou comme conséquence administrative d’un test de laboratoire. Seul un médecin est autorisé à le faire.
https://tkp.at/2020/11/17/portugiesisches-berufungsgericht-haelt-pcr-tests-fuer-unzuverlaessig-und-hebt-quarantaene-auf/

Royaume-Uni

Une équipe juridique de haut niveau prépare les poursuites pénales individuelles du parlement qui a signé la loi Coronvirus 2020 pour fraude, trahison et génocide – inédites depuis W.O. II. – 16 oct 2020
https://niburu.co/37-artikelen/wereld/15613-advocaten-staan-op-om-overheden-strafrechtelijk-te-vervolgen

https://www.thebernician.net/private-criminal-prosecution-of-parliament-top-legal-team-engaged/?__cf_chl_jschl_tk__=bd5998bfbae59116f1893ec54ae4f083a6d58795-1604501709-0-ASPoFuOfgjF3L9lm0nSuChFtU8Y7ASFlRsWI780gwn8AqiHtoH_8sgwsZ0C3t60tQHP4mWNqMO8nhtJgzv5Ljau4WO4tflo8nyvRTtJhyCwIunjliRQzOmpDmgLJczWpIcMug4VRVi379KqnC-YzmSt6X5QvdZ3AFORWIXMj9MrlgKAduAOl7FJNKtW7Y4FoAVkGHmHY3fjTlB7jj-Ki7C_h6iAZ_s1XDza6NDw-fHCkZXzLe71ze9pM1o7yuI-jQR0I69JAyzzB27TKc2RjZYJ93yNXqBw7EkJHMZbTeIG0zvwp5LccM3V08HtFzzY1zgA6ztNluw3ONxeKfVKGCnUcg1GBM9PlTzB3VqMz50Cn

Australie

Une association d’avocats (www.concernedlawyersnetwork.net) lance une procédure de fraude Covid contre le gouvernement australien corrompu
https://principia-scientific.com/covid-fraud-lawyers-file-action-against-corrupt-australian-government/

Canada

Poursuite judiciaire : Déclarer les mesures actuelles prises non légales – poursuite contre l’État Canadien.  
Dépôt à la Cour du Québec (français) 18 décembre 2020

Les experts internationaux apportent des réponses fondées à de nombreuses questions pratiques.

Rapport d’experts
Rapport d’experts : Le Covid est-il un risque pour l’ensemble de la population ? Les verrouillages sont-ils utiles ? Les enfants peuvent-ils signaler des infections ? ….  18 déc. 2020

[Source : Guy Boulianne :




Nuremberg et ses idéaux oubliés : « la civilisation est la véritable partie plaignante »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir

Tribune : Jour après jour, décret après décret, nos droits inscrits dans la Constitution et dans les nombreuses conventions internationales signées depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, sont supprimés. La liberté de circuler est soumise à autorisation depuis plus de 10 mois, le droit de travailler aboli pour de nombreuses professions, l’obligation du port du masque est imposée depuis six mois, et le droit d’exprimer ses opinions limité chaque jour davantage[2] [3] [4] [5].

Le pouvoir mondialiste financier représenté chez nous par le président[6], fait appliquer les consignes dictées par l’organisme en cas de pandémie, comme dans la plupart des pays ayant signé l’accord avec l’OMS[7]. Il a suffi de déclarer une pandémie en janvier 2020 après en avoir modifié les critères, pour que la plupart des pays occidentaux obéissent à des directives pseudo-sanitaires liberticides comme le confinement policier, le masque, les faux tests PCR[8]et maintenant une vaccination expérimentale (aux dires même de Pfizer dans la rédaction de son essai publié sur clinicaltrials.gov)[9].

L’oubli de l’Histoire qu’ont instauré les pédagogues post-soixante huitards rend utile de rappeler les fondements de l’éthique médicale moderne que nos gouvernants piétinent allègrement.

Je fus un jour sidérée qu’un réanimateur pédiatrique, compétent par ailleurs, mais habitué à « AIDER » des petits patients handicapés à « partir » m’avoue ne pas connaitre le procès de Nuremberg, alors que je l’interpellais sur la « nouvelle mode » en oncologie pédiatrique depuis le début du siècle d’euthanasier les enfants considérés comme perdus[10].

Ce qui me choquait énormément, c’est que son raisonnement ignorait ou considérait sans intérêt le droit au choix de l’enfant et de ses parents. La médecine au service du malade que nous avions choisie comme vocation se transformait sous nos yeux ébahis en machine à essai thérapeutique et/ ou à décision individuelle du Dieu médecin.

A l’occasion de la cérémonie commémorative du 75ième anniversaire du procès de Nuremberg, début décembre nous avons souhaité en reparler. Les semaines passent, mais la situation s’aggrave, la dérive totalitaire s’imposant très vite, comme si nos dirigeants craignaient de ne plus avoir le temps…

Le procès de Nuremberg

« La véritable partie plaignante à la barre, c’est la civilisation », déclarait le procureur américain Robert Jackson, dans la salle d’audience 600 du tribunal, en présence de centaines de journalistes.

Alors que l’épidémie de covid ou pseudo-pandémie se meurt et n’a pas à ce jour fait plus de morts dans le monde que la grippe asiatique (2 millions de morts), la cérémonie commémorative du procès de Nuremberg s’est tenue à huis clos, sans public. Tout un symbole de lourde signification.

N’est -ce pas déjà un enterrement de première classe pour cet évènement, un des plus importants de l’histoire contemporaine que certains voudraient voir disparaitre des mémoires au nom du sempiternel ringardisation du passé. 

 Et pourtant la période troublée que nous vivons semble particulièrement bien choisie pour rappeler les bases éthiques de la civilisation que ce procès a énoncées et que nous sommes très nombreux, et singulièrement en Allemagne,[11] à vouloir consolider. La commission extraparlementaire corona fondée en juillet par les avocats Reiner Fuellmich et Viviane Fischer et al.[12] a d’emblée envisagé la mise en place à terme d’un Nuremberg du covid, et dans cette attente multiplie les plaintes contre les responsables de la mystification coronavirus, leurre pour détruire les fondements de la civilisation occidentale telle que nous la connaissions et l’apprécions.

Définition des crimes

 20 NOV 1945

Les accusés doivent répondre de complot, crimes de guerre, crimes contre la paix et, pour la première fois de l’histoire, de crimes contre l’humanité. Ceux-ci sont définis comme « l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation et tout autre acte inhumain commis contre toute population civile, avant ou pendant la guerre, ou bien les persécutions pour des motifs politiques, raciaux ou religieux ».

 La notion de génocide ne sera, elle, reconnue dans le droit international qu’en 1948.[13] ce procès hors-norme qui s’est tenu dans une ville en ruines, mais dont le palais de justice relié à une prison était encore debout. Nuremberg, ancienne cité impériale, reste depuis la ville symbole du nazisme où Hitler tenait ses grands rassemblements et où ont été promulguées en 1935 les lois anti-juives.

Nuremberg sera le lieu de douze autres procès de responsables nazis (docteurs, ministres, militaires…). 

« Ce procès a marqué l’acte de naissance de la justice internationale, prolongée des décennies plus tard par la création de tribunaux pour juger des génocidaires rwandais ou des acteurs de la guerre en ex-Yougoslavie, puis par la mise en place de la Cour pénale internationale »

“Les idéaux de Nuremberg ont été oubliés »(france24.com)

Le 20 novembre 1945 s’ouvrait le procès de Nuremberg pour juger les responsables nazis. L’Américain Ben Ferencz fut procureur en chef du « plus grand procès de l’Histoire », et il a ensuite voué sa carrière à la création d’une cour pénale internationale.

L’extraordinaire histoire de Ben Ferencz 

À seulement 27 ans, Ben Ferencz doit rassembler les preuves qui permettront de soutenir l’accusation contre ces hommes et devient le plus jeune procureur en chef de Nuremberg directement chargé de l’un des procès spéciaux, celui de 22 membres des Einsatzgruppen, ces unités responsables du massacre de plus d’un million de civils dans les territoires occupés en Europe de l’Est.

Toute sa vie, Ben Ferencz a été hanté par la répétition d’un nouvel Holocauste, avocat engagé, militant inlassablement pour l’émergence d’une vraie justice internationale.

 Son vœu est enfin devenu réalité en 1998 avec la signature du Traité de Rome prévoyant la création de la Cour pénale internationale

 À 95 ans, toujours actif, il participe notamment à de nombreuses conférences sur la paixIl explique à France 24 que « la justice est toujours le seul moyen qui permettra à l’humanité de survivre dans les 70 prochaines années »

« Nuremberg a défini un modèle dans son ensemble. Ce qui a été réalisé était la meilleure solution : faire traduire en justice des individus responsables de crimes, de limiter le procès aux responsables et de traiter chacun équitablement sous le coup de la loi. Cela a permis de faire condamner ce qui était alors un droit national, c’est-à-dire le droit de partir en guerre quand on estime que ses intérêts nationaux sont menacés. Ce droit national s’est transformé en crime international.

Mais les guerres ont continué et les idéaux de Nuremberg, dont nous espérions qu’ils allaient influencer le reste du monde, ont été oubliés. Les États-Unis les ont eux-mêmes bafoués lorsqu’ils sont allés au Vietnam par exemple. Au lieu d’utiliser des moyens pacifiques, nous avons voulu atteindre nos objectifs par la force. Nous avons payé un prix très sévère en raison de cette erreur fatale. Nous continuons de le payer aujourd’hui. »  

 Il est très pessimiste sur le devenir de l’humanité :

 « À moins d’accepter le principe de régler les conflits pacifiquement, il n’y aura plus personne sur notre planète dans 70 ans.

La Terre sera une planète vide, comme des milliards dans l’espace. Notre capacité à tuer dépasse de loin notre capacité à créer des institutions nécessaires pour empêcher ces violences. Si nous ne changeons pas, non seulement notre manière de vivre et notre façon de penser, mais aussi les méthodes selon lesquelles nous réglons les conflits, il ne restera plus personne dans 70 ans.

Je regarderai alors en bas depuis le paradis, ou en haut depuis l’enfer ou de je ne sais où, et je dirai ‘Je vous l’avais dit’.

Le Procès des médecins ou Procès des docteurs et le programme AKTION T 4[14]

 Le procès touchant un corps social débute par celui des médecins allemands car il s’agit de la population professionnelle la plus nazifiée de l’Allemagne (plus de 50 % des médecins sont alors membres du parti nazi – SA et SS)[1].

20 des 23 accusés avaient été médecins, les trois autres étant fonctionnaires nazis. Plaidant non coupables ( car selon eux, ils agissaient au nom de la médecine de guerre), ils ont tous été accusés de plusieurs chefs : l’expérimentation médicale nazie, le Programme Aktion T4.

Les attendus du jugement, appelés improprement Code de Nuremberg, ont été à la base des principes positifs éthiques de l’expérimentation clinique, plus tard décrits dans la Déclaration d’Helsinki dont nous allons parler.

Parmi les accusés :

 Karl Brandt, autorité médicale suprême du IIIe Reich. Chargé notamment du programme Aktion T4, utilisé pour euthanasier les malades mentaux et les handicapés. Il est condamné à mort et exécuté le 2 juin 1948.

Karl Gebhardt, médecin de Heinrich Himmler et président de la Croix-Rouge allemande. Jugé pour avoir pratiqué des expériences sur les prisonniers des camps, spécialement les femmes de Ravensbrück. Condamné à mort, il est exécuté le 2 juin 1948.

Waldemar Hoven, médecin du camp de Buchenwald. Jugé pour avoir euthanasié massivement les déportés. Condamné à mort, il est exécuté le 2 juin 1948.

Joachim Mrugowsky, médecin et chef de l’Institut d’hygiène de la SS. Jugé pour expérimentation sur les prisonniers des camps. Condamné à mort, il est exécuté le 2 juin 1948.

Wolfram Sievers, dirigeant de l’Ahnenerbe. Jugé pour ses expériences mortelles sur des humains. Condamné à mort, il est exécuté le 2 juin 1948.

Herta Oberheuser, médecin qui participe à l’injection de sulfamide. Seule femme à être jugée, elle est condamnée à 20 ans de prison.

Gerhard Rose, médecin commettant des sévices sur ses patients, condamné à mort.

Sont acquittés  Kurt Blome, scientifique ayant testé des vaccins sur des prisonniers de camp de concentration. Jugé pour extermination de prisonniers malades et expériences conduites sur des êtres humains., Adolf Pokorny , dermatologue, accusé d’avoir coopéré avec les programmes de stérilisation, acquitté « pas à cause de, mais malgré sa défense » qui était d’avoir su que la méthode proposée par lui dans une lettre n’était valable.

Qu’est devenu le Tribunal ?

Le docteur canadien Donald Ewen Cameron, fut plus tard le premier président de l’association mondiale de psychiatrie, après avoir travaillé pour la CIA dans le projet d’expérimentations illégales MKULTRA.

Le rapport Green produit par le Pr Anrew Ivy devant le tribunal fut rédigé suite à un débat prévu auprès d’une commission scientifique internationale mais signé hâtivement par l’American Medical Association pour la circonstance alors que cette commission n’avait pas été réunie, cette turpitude fut soulevée par la défense des médecins allemands.

Le code de Nuremberg et l’AMM (World Medical Association)

sont nés de ce procès. La déclaration d’Helsinki énonce les principes élaborés à la suite du procès de Nuremberg appelés code de Nuremberg.

La Déclaration d’Helsinki de L’AMM – Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains- a été adoptée par la 18e Assemblée générale de l’AMM, Helsinki, Finlande, Juin 1964 et amendée par les 29e Assemblée générale de l’AMM, Tokyo, Japon, Octobre 1975, 35e Assemblée générale de l’AMM, Venise, Italie, Octobre 1983,

Puis 41e Assemblée générale de l’AMM, Hong Kong, Septembre 1989

48e Assemblée générale de l’AMM, Somerset West, Afrique du Sud, Octobre 1996

52e Assemblée générale de l’AMM, Edimbourg, Ecosse, Octobre 2000

53e Assemblée générale de l’AMM, Washington DC, Etats Unis, Octobre 2002 (ajout d’une note de clarification)

55e Assemblée générale de l’AMM, Tokyo, Japon, Octobre 2004 (ajout d’une note de clarification)

59e Assemblée générale de l’AMM, Séoul, République de Corée, Octobre 2008

64e Assemblée générale de l’AMM, Fortaleza, Brésil, Octobre 2013

Qu’est- ce que la déclaration d’Helsinki ?  Un tout indissociable

L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains, y compris la recherche sur du matériel biologique humain et sur des données identifiables.[15]

Citons ici les énoncés exacts de la déclaration d’Helsinki.

Chaque paragraphe doit être appliqué en tenant compte de tous les autres paragraphes pertinents. Cette Déclaration s’adresse en priorité aux médecins, mais cependant les autres personnes engagées dans la recherche médicale impliquant des êtres humains à adopter ces principes.

Le serment d’Hippocrate a été remplacé par la déclaration de Genève. La déclaration de Genève a remplacé le serment d’Hippocrate, serment médical adopté par l’assemblée générale de l’Association médicale mondiale à Genève en septembre 1948. Elle a fait l’objet de 6 révisions, la dernière étant celle d’octobre 2017.

La mission du médecin est de promouvoir et de préserver la santé de l’être humain. Il exerce ce devoir dans la plénitude de son savoir et de sa conscience.

Cette déclaration s’attache spécifiquement à définir les objectifs humains de la médecine.

« la santé de mon patient prévaudra sur toutes les autres considérations » et le Code International d’Ethique Médicale déclare qu’un « médecin doit agir dans le meilleur intérêt du patient lorsqu’il le soigne ».

L’objectif premier de la recherche médicale impliquant des êtres humains :

comprendre les causes, le développement et les effets des maladies et d’améliorer les interventions préventives, diagnostiques et thérapeutiques (méthodes, procédures et traitements). Même les meilleures interventions éprouvées doivent être évaluées en permanence par des recherches portant sur leur sécurité, leur efficacité, leur pertinence, leur accessibilité et leur qualité.

La recherche médicale est soumise à des normes éthiques qui promeuvent et assurent le respect de tous les êtres humains et qui protègent leur santé et leurs droits.

Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche.

Il est du devoir des médecins engagés dans la recherche médicale de protéger la vie, la santé, la dignité, l’intégrité, le droit à l’auto-détermination, la vie privée et la confidentialité des informations des personnes impliquées dans la recherche.

La responsabilité de protéger les personnes impliquées dans la recherche doit toujours incomber à un médecin ou à un autre professionnel de santé et jamais aux personnes impliquées dans la recherche même si celles-ci ont donné leur consentement.

Dans la recherche médicale impliquant des êtres humains, les médecins doivent tenir compte des normes et standards éthiques, légaux et réglementaires applicables dans leur propre pays ainsi que des normes et standards internationaux.

Les médecins qui associent la recherche médicale à des soins médicaux devraient impliquer leurs patients dans une recherche uniquement dans la mesure où elle se justifie par sa valeur potentielle en matière de prévention, de diagnostic ou de traitement et si les médecins ont de bonnes raisons de penser que la participation à la recherche ne portera pas atteinte à la santé des patients concernés.

Ce protocole devrait contenir une déclaration sur les enjeux éthiques en question et indiquer comment les principes de la présente Déclaration ont été pris en considération.

Le protocole devrait inclure des informations concernant le financement, les promoteurs, les affiliations institutionnelles, les conflits d’intérêts potentiels, les incitations pour les personnes impliquées dans la recherche et des informations concernant les mesures prévues pour soigner et/ou dédommager celles ayant subi un préjudice en raison de leur participation à la recherche.

Dans les essais cliniques, le protocole doit également mentionner les dispositions appropriées prévues pour l’accès à l’intervention testée après l’essai clinique. Dans la recherche médicale comme dans la pratique médicale courante, la mise en œuvre de la plupart des méthodes diagnostiques, thérapeutiques et de prévention expose à des risques et à des contraintes.

L’investigateur doit être attentif aux dispositions éthiques, légales et réglementaires applicables à la recherche sur les sujets humains dans son propre pays ainsi qu’aux règles internationales applicables. Aucune disposition nationale d’ordre éthique, légal et réglementaire ne doit conduire à affaiblir ou supprimer les mesures protectrices énoncées dans la présente déclaration.

Comités d’éthique de la recherche

Le protocole de recherche doit être soumis au comité d’éthique de la recherche concerné pour évaluation, commentaires, conseils et approbation avant que la recherche ne commence. Ce comité doit être transparent dans son fonctionnement, doit être indépendant du chercheur, du promoteur et de toute autre influence indue et doit être dûment qualifié. Il doit prendre en considération les lois et réglementations du ou des pays où se déroule la recherche, ainsi que les normes et standards internationaux, mais ceux-ci ne doivent pas permettre de restreindre ou exclure l’une des protections garanties par la présente Déclaration aux personnes impliquées dans la recherche.

  Le comité doit avoir un droit de suivi sur les recherches en cours. Le chercheur doit fournir au comité des informations sur le suivi, notamment concernant tout évènement indésirable grave. Aucune modification ne peut être apportée au protocole sans évaluation et approbation par le comité. A la fin de la recherche, les chercheurs doivent soumettre au comité un rapport final contenant un résumé des découvertes et des conclusions de celle-ci.

Vie privée et confidentialité

 Toutes les précautions doivent être prises pour protéger la vie privée et la confidentialité des informations personnelles concernant les personnes impliquées dans la recherche.

Consentement éclairé

La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Bien qu’il puisse être opportun de consulter les membres de la famille ou les responsables de la communauté, aucune personne capable de donner un consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé.

Les études sur l’être humain doivent être conduites par des personnes scientifiquement qualifiées et sous le contrôle d’un médecin compétent. La responsabilité à l’égard d’un sujet inclus dans une recherche doit toujours incomber à une personne médicalement qualifiée et non au sujet, même consentant.

Toute étude doit être précédée d’une évaluation soigneuse du rapport entre d’une part, les risques et les contraintes et d’autre part, les avantages prévisibles pour le sujet ou d’autres personnes. Cela n’empêche pas la participation à des recherches médicales de volontaires sains. Le plan de toutes les études doit être accessible.

La personne pouvant potentiellement être impliquée dans la recherche doit être informé de son droit de refuser d’y participer ou de s’en retirer à tout moment sans mesure de rétorsion. Une attention particulière devrait être accordée aux besoins d’informations spécifiques de chaque personne pouvant potentiellement être impliquée dans la recherche ainsi qu’aux méthodes adoptées pour fournir les informations.

Lorsque le médecin ou une autre personne qualifiée en la matière a la certitude que la personne concernée a compris les informations, il doit alors solliciter son consentement libre et éclairé, de préférence par écrit. Si le consentement ne peut pas être donné par écrit, le consentement non écrit doit être formellement documenté en présence d’un témoin.

Toutes les personnes impliquées dans des recherches médicales devraient avoir le choix d’être informées des conclusions générales et des résultats de celles-ci.

Lorsqu’il sollicite le consentement éclairé d’une personne pour sa participation à une recherche, le médecin doit être particulièrement attentif lorsque cette dernière est dans une relation de dépendance avec lui ou pourrait donner son consentement sous la contrainte. Dans ce cas, le consentement éclairé doit être sollicité par une personne qualifiée en la matière et complètement indépendante de cette relation.

Personnes incapables ou inconscientes

Lorsque la recherche implique une personne incapable de donner un consentement éclairé, le médecin doit solliciter le consentement éclairé de son représentant légal.

Les personnes incapables ne doivent pas être incluses dans une recherche qui n’a aucune chance de leur être bénéfique sauf si celle-ci vise à améliorer la santé du groupe qu’elles représentent, qu’elle ne peut pas être réalisée avec des personnes capables de donner un consentement éclairé et qu’elle ne comporte que des risques et des inconvénients minimes.

Lorsqu’une personne considérée comme incapable de donner un consentement éclairé est en mesure de donner son assentiment concernant sa participation à la recherche, le médecin doit solliciter cet assentiment en complément du consentement de son représentant légal.

Le refus de la personne pouvant potentiellement être impliquée dans la recherche devrait être respecté.   La recherche impliquant des personnes physiquement ou mentalement incapables de donner leur consentement, par exemple des patients inconscients, peut être menée uniquement si l’état physique ou mental empêchant de donner un consentement éclairé est une caractéristique nécessaire du groupe sur lequel porte cette recherche.

Dans de telles circonstances, le médecin doit solliciter le consentement éclairé du représentant légal. En l’absence d’un représentant légal et si la recherche ne peut pas être retardée, celle-ci peut être lancée sans le consentement éclairé. Dans ce cas, le protocole de recherche doit mentionner les raisons spécifiques d’impliquer des personnes dont l’état les rend incapables de donner leur consentement éclairé et la recherche doit être approuvée par le comité d’éthique de la recherche concerné. Le consentement pour maintenir la personne concernée dans la recherche doit, dès que possible, être obtenu de la personne elle-même ou de son représentant légal.

Lorsque le consentement ne peut être obtenu sous forme écrite, la procédure de recueil doit être formellement explicitée et reposer sur l’intervention de témoins.

Informations détaillées à fournir au participant

Le médecin doit fournir des informations complètes au patient sur la nature des soins liés à la recherche. Le refus d’un patient de participer à une recherche ou sa décision de s’en retirer ne doit jamais nuire à la relation patient-médecin.

Pour la recherche médicale utilisant des tissus ou des données d’origine humaine, telles que les recherches sur tissus et données contenues dans les biobanques ou des dépôts similaires, les médecins doivent solliciter le consentement éclairé pour leur analyse, stockage et/ou réutilisation. Il peut se présenter des situations exceptionnelles où il est impraticable, voire impossible d’obtenir le consentement. Dans de telles situations, la recherche peut être entreprise uniquement après évaluation et approbation du comité d’éthique de la recherche concerné.

Utilisation de placebo

Les bénéfices, les risques, les inconvénients, ainsi que l’efficacité d’une nouvelle intervention doivent être testés et comparés à ceux des meilleures interventions avérées, sauf dans les circonstances suivantes :

Lorsqu’il n’existe pas d’intervention avérée, l’utilisation de placebo, ou la non-intervention, est acceptable ; ou bien lorsque pour des raisons de méthodologie incontournables et scientifiquement fondées l’utilisation de toute intervention moins efficace que la meilleure éprouvée, l’utilisation d’un placebo, ou la non-intervention, est nécessaire afin de déterminer l’efficacité ou la sécurité d’une intervention, et lorsque les patients recevant une intervention moins efficace que la meilleure éprouvée, un placebo, ou une non-intervention, ne courent pas de risques supplémentaires de préjudices graves ou irréversibles du fait de n’avoir pas reçu la meilleure intervention éprouvée.

« Le plus grand soin doit être apporté afin d’éviter tout abus de cette option », dont on décèle immédiatement les dangers….

Conditions de l’accès à l’intervention testée après l’essai clinique

« En prévision d’un essai clinique, les promoteurs, les chercheurs et les gouvernements des pays d’accueil devraient prévoir des dispositions pour que tous les participants qui ont encore besoin d’une intervention identifiée comme bénéfique dans l’essai puissent y accéder après celui-ci.

Cette information doit également être communiquée aux participants au cours du processus de consentement éclairé. »

Enregistrement des recherches, publication et dissémination des résultats

Toute recherche impliquant des êtres humains doit être enregistrée dans une banque de données accessible au public avant que ne soit recrutée la première personne impliquée dans la recherche.

   Les chercheurs, auteurs, promoteurs, rédacteurs et éditeurs ont tous des obligations éthiques concernant la publication et la dissémination des résultats de la recherche. Les chercheurs ont le devoir de mettre à la disposition du public les résultats de leurs recherches impliquant des êtres humains. Toutes les parties ont la responsabilité de fournir des rapports complets et précis. Ils devraient se conformer aux directives acceptées en matière d’éthique pour la rédaction de rapports. Les résultats aussi bien négatifs et non concluants que positifs doivent être publiés ou rendus publics par un autre moyen. La publication doit mentionner les sources de financement, les affiliations institutionnelles et les conflits d’intérêts. Les rapports de recherche non-conformes aux principes de la présente Déclaration ne devraient pas être acceptés pour publication.

Principes applicables à la recherche médicale conduite au cours d’un traitement

Dans le cadre du traitement d’un patient, faute d’interventions avérées ou faute d’efficacité de ces interventions, le médecin, après avoir sollicité les conseils d’experts et avec le consentement éclairé du patient ou de son représentant légal, peut recourir à une intervention non avérée si, selon son appréciation professionnelle, elle offre une chance de sauver la vie, rétablir la santé ou alléger les souffrances du patient.

Cette intervention devrait par la suite faire l’objet d’une recherche pour en évaluer la sécurité et l’efficacité. Dans tous les cas, les nouvelles informations doivent être enregistrées et, le cas échéant, rendues publiques.

Le médecin ne peut mener une recherche médicale au cours d’un traitement que dans la mesure où cette recherche est justifiée par un possible intérêt diagnostique, thérapeutique ou de prévention. Quand la recherche est associée à des soins médicaux, les patients se prêtant à la recherche doivent bénéficier de règles supplémentaires de protection.

Les avantages, les risques, les contraintes et l’efficacité d’une nouvelle méthode doivent être évalués par comparaison avec les meilleures méthodes diagnostiques, thérapeutiques ou de prévention en usage. Cela n’exclut ni le recours au placebo ni l’absence d’intervention dans les études pour lesquelles il n’existe pas de méthode diagnostique, thérapeutique ou de prévention éprouvée.

Tous les patients ayant participé à une étude doivent être assurés de bénéficier à son terme des moyens diagnostiques, thérapeutiques et de prévention dont l’étude aura montré la supériorité. (Note explicative)

Le médecin doit donner au patient une information complète sur les aspects des soins qui sont liés à des dispositions particulières du protocole de recherche. Le refus d’un patient de participer à une étude ne devra en aucun cas porter atteinte aux relations que le médecin entretient avec ce patient.

Lorsqu’au cours d’un traitement, les méthodes établies de prévention, de diagnostic ou de thérapeutique s’avèrent inexistantes ou insuffisamment efficaces, le médecin, avec le consentement éclairé du patient, doit pouvoir recourir à des méthodes non éprouvées ou nouvelles s’il juge que celles-ci offrent un espoir de sauver la vie, de rétablir la santé ou de soulager les souffrances du malade. Ces mesures doivent, dans toute la mesure du possible, faire l’objet d’une recherche destinée à évaluer leur sécurité et leur efficacité. Toute nouvelle information sera consignée et, le cas échéant, publiée. Les autres recommandations appropriées énoncées dans la présente déclaration s’appliquent.

En conclusion, ces rappels de conventions signées par la France et la grande majorité des pays devraient être lus et relus soigneusement par chacun d’entre nous, et particulièrement si nous sommes amenés à autoriser une recherche chez une autre personne comme un ainé en EHPAD, un enfant amené à être inclus dans un essai thérapeutique pour un cancer, ou encore un parent comateux en réanimation incapable de donner un consentement.

Des décisions lourdes qui entacheront le reste de votre vie et pas seulement celle du patient concerné. Comme les familles qui ont donné accord à l’euthanasie d’un proche, dans un moment de détresse et donc de faiblesse et qui ne s’en remettent jamais….

Bref, certains résidents d’EHPAD auraient reçu un document d’une cinquantaine de pages avant accord pour essai du vaccin expérimental Pfizer (selon les termes du laboratoire dans sa présentation sur  le site officiel américain clinicaltrials.gov). Tant mieux ! Et qu’ils les lisent ou au moins leurs proches ! Arrêtons, dans la foulée de certains ministres de prendre les résidents d ‘Ehpad pour des débiles. Même si certains souffrent de démence sénile, d’autres ont choisi ces établissements pour ne pas vivre seuls et être aidés dans leurs activités motrices. Ils ne savaient pas ce que certains d’entre eux allaient endurer, en particulier de perdre leurs droits de citoyens. Le chantage que certains subissent pour accepter le vaccin anticovid est inacceptable : si vous refusez la piqûre, vous resterez isolé dans votre chambre, privé des activités collectives et des visites de vos proches.[16]

 La longueur du document a fait curieusement  rire des commentateurs des médias,  un peu trop rapidement. Je leur conseille de se plonger dans le code de Nuremberg, ou s’ils préfèrent, le livre de Bruno Halioua sur le procès des médecins de Nuremberg ou encore « la resistible ascension d’ Arturo-UI de Bertold Brecht[17].

Il est des tragédies dont il faut garder souvenir pour tenter d’éviter, ou au moins minorer les malheurs à venir.   

 « Le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde. »[18]

[Notes]

[1] Il y a 75 ans, s’ouvrait à Nuremberg le plus grand procès de l’histoire (france24.com)

[2] C’est ainsi que certains médecins sont poursuivis par l’ordre pour avoir émis des opinions qui déplaisent au pouvoir

[3] Qu’une radio (RMC) est condamnée par le CSA pour n’avoir pas appliqué l’« obligation de maîtrise de l’antenne » face à un médecin qui rappelait que l ’efficacité de la chloroquine contre le covid était démontrée, ce que vient pourtant de confirmer la plus haute juridiction Italienne

[4] Que certains journaux sont menacés de perdre le statut de presse s’ils continuent de critiquer le dogme officiel

[5] [VIDEO] Debriefing Me Ludot : Dr Delepine, son référé sur la liberté d’expression des médecins (francesoir.fr)

[6] Comme au Canada par le premier ministre

[7] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr)

[8] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques – Docteur Delépine (nicoledelepine.fr) ; recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[9] Vaccin génique : essai thérapeutique à grande échelle, vous êtes le cobaye (francesoir.fr)

[10] Cf ma conférence à l’institut Bull en 2013 euthanasie pédiatrie – Bing

[11] Très marqués par le passé allemand de leurs grands-parents et le poids du nazisme qu’ils portent encore sur leurs épaules. Les allemands de l’est ont eux connus les affres de la dictature et de l’interdiction de parler, même à voix basse ou/et à son voisin et ne veulent à aucun prix revivre quelque chose qui y ressemblerait. De nombreux témoignages d’allemands en guerre contre la fraude covid nous sont parvenus.

[12] Christian Drosten : l’heure des comptes ? (francesoir.fr)

[13] Il y a 75 ans, s’ouvrait à Nuremberg le plus grand procès de l’histoire Publié le : 20/11/2020

[14] Officiellement (The United States of America v. Karl Brandt, et al.) l’été le premier des douze procès pour crimes de guerre fait par les autorités américaines dans leur zone d’occupation en Allemagne, à Nuremberg, après la fin de la Seconde Guerre mondiale

[15] Déclaration d’Helsinki de L’AMM – Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains – WMA – The World Medical Association

[16] Ce qui prouve que personne ne pense que les vaccinés seraient totalement protégés car sinon pourquoi éloigner les non vaccinés ?

[17] Une pièce qui démonte les mécanismes de la montée du totalitarisme, et dont le personnage central Arturo Ui s’inspire à la fois de l’ascension d’Hitler et de Richard III. Profitant du déclin du Trust du Chou-Fleur, ce petit gangster crevant d’ambition, propose aux marchands de légumes victimes du racket un nouveau système de protection…La Résistible Ascension d’Arturo Ui de Bertold Brecht : tirade d’Arturo Ui | La Compagnie Affable

[18] In 17

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir




Les Canadiens poursuivent en justice l’OMS, leur premier ministre Trudeau et leurs procureurs

Auteurs : Docteurs Nicole et Gérard Delépine

[Voir aussi : https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2020/10/COVID19-25-10-2020.pdf]

L’État de droit n’a rien à craindre des manifestants, mais des actes anticonstitutionnels des gouvernements complices de l’OMS.

Justin Trudeau, premier ministre canadien, est poursuivi directement en même temps que l’OMS ? Cela rendra-t-il prudents les dirigeants des autres pays complices du plan de l’instrumentalisation de la supercherie Covid19 ?

La révolte gronde. D’où viendra-t-elle avant de se répandre comme un tsunami impossible à contrôler ? Depuis le million de manifestants à Berlin fin août en présence de Robert F Kennedy, on aurait pu croire que la révolution viendrait d’Allemagne. Mais les manifestations pacifiques se sont multipliées dans de nombreux pays européens pendant souvent plusieurs semaines d’affilée comme en Italie, mais aussi en Amérique du Nord, et en particulier au Québec particulièrement touché par des restrictions extrêmement strictes des libertés.

La procédure en cours déposée le 21 décembre contre les responsables de ces mesures inefficaces devant le tribunal d’Ottawa, l’OMS, les Gavi et B Gates ainsi que le pape et la reine d’Angleterre en tant qu’inspirateurs d’ordre montre l’exaspération des victimes du monde entier. Elles ont compris que le but des restrictions des libertés n’est pas de sauver les peuples d’un virus[1], mais bien de ruiner les classes moyennes et de les transformer en esclaves modernes avec revenu minimal de subsistance et jeux débiles télévisés pour les endormir.

Le but devient plus clair depuis que les dirigeants trop sûrs d’eux ne s’en cachent plus. Des résistances s’organisent avec le pôle juridique initié par Reiner Fuellmich et son groupe allemand qui diffuse sur le monde occidental comme une traînée de poudre. Mais aussi directement par les peuples qui faute de mieux descendent dans la rue et résistent à la dictature de toutes les façons possibles.

Pour fêter la nouvelle année qui sera celle de la libération : les Autrichiens

Linz, Graz, Innsbruck, St Pölten : Un grand afflux de manifestants contre les mesures arbitraires et insupportables, injustifiées. Ces derniers jours, des milliers de personnes sont descendues dans la rue à St Pölten et Graz. Et[2] le premier janvier, Innsbruck a également manifesté. Les gens appellent pacifiquement, mais sûrement à respecter leurs droits fondamentaux et à rétablir la situation conforme à la Constitution.

« L’œil local à Linz. À partir de 16.00, plus de 1.000 personnes ont déjà déménagé sous la forme d’une « promenade » sur le site de la foire à Urfahr, puis sur la Linzer Landstraße. Le flux n’a pas voulu s’arrêter, le célèbre militant Martin Rutter, qui a parlé en direct de la manifestation, a même estimé jusqu’à 3.000 participants ». Sa diffusion en direct a été suivie par des milliers de spectateurs ».

« Les manifestations contre les mesures de Corona ne relèvent plus d’un camp politique. Peu importe qui est à gauche ou à droite, tout le monde veut la même chose : la fin des mesures, la liberté, les droits fondamentaux et le retour à une vie normale. Il ne faut pas se laisser monter les uns contre les autres, ne plus jouer le partage et le jeu « Gauche contre droite » qui permet aux dirigeants de museler les oppositions. »

La censure tout azimut et la propagande forcenée rend la mise en réseau de résistance importante

Il est important de se connecter maintenant. C’est ce qu’ont souligné de nombreux activistes sur le terrain ainsi que dans leurs diffusions en direct. Car la censure est omniprésente, chacun craint la suppression de ses apparitions sur l’internet, le non-respect par l’État de ses droits à la liberté d’expression.

À Linz, la police s’est remarquablement abstenue. Si, lors de la dernière marche silencieuse, on était martial avec au moins 20 voitures d’intervention, on se contentait aujourd’hui de quelques fonctionnaires. L’État de droit n’a rien à craindre des manifestants, mais est directement menacé par les actes anticonstitutionnels[3] du gouvernement.

Alors, manifestations plus plaintes de toutes sortes contre les masques, contre les vaccins par Maitre Brusa en France,[4] et puis cette étonnante procédure canadienne résumée dans notre papier publié dans France soir ce jour Procédure nationale canadienne contre l’OMS et ses alliés (francesoir.fr) 2 janvier 2020 :

Résumé de la procédure publiée à Ottawa le 21 décembre 2020, contre l’OMS et Cie

Nous tenterons ici d’en rapporter les principaux éléments, laissant au lecteur assidu le loisir de consulter la procédure in extenso avec toutes les références bibliographiques.

LA PROCEDURE CLASS ACTION DE L’ONTARIO[5] le 21 décembre 2020

LA COUR SUPÉRIEURE DE JUSTICE DE L’ONTARIO énonce la réclamation suivante entre :

Plaignants : Stacy Amikwabi, Shawn Brennan, George Fayad, Joshua Alas-wilson, Alice Tojcic, Jane Doe, John Doe, les demandeurs

-et- accusés :

  • Le Pape FRANÇOIS, au nom du saint- Siège et de l’état du Vatican, nonciature apostolique d’Ottawa
  • La Société de Jésus à Toronto
  • SM La Reine ELIZABETH II, Au Nom De L’ORDRE De La JARREILLE, Maison De WINDSOR (Ancien SAXE-COBOURG-GOTHA, Aux Bons Soins de L’utilisateur Du Bâton Noir Ottawa.
  • ALLIANCE MONDIALE Des VACCINS (GAVI) Washington DC
  • ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ De L’ONU – OMS Washington
  • SANTÉ PUBLIQUE ORGANISATION DU CANADA Ottawa
  • FONDATION B ET M GATES Seattles
  • Premier Ministre J. TRUDEAU Ottawa
  • DR. THERESA TAM, aux soins de l’Agence de Santé Publique du CANADA
  • Administrateur en chef de la santé publique, phac.cpho-acsp.aspc@canada.ca
  • Premier MINISTRE DOUG FORD, Toronto
  • Christine ELLIOTT, ministère de la Santé, Toronto (Ontario) M7A 2J3
  • MAIRE Jim WATSON, 110, avenue Laurier Ouest, Ottawa (Ontario)
  • PROCUREUR GÉNÉRAL DU CANADA Ministère de la Justice Canada
  • Bureau régional de l’Ontario, Toronto (Ontario)
  • PROCUREUR GÉNÉRAL DE L’ONTARIO Bureau du droit de la Couronne, Direction du droit constitutionnel

Défendeurs (accusés selon la terminologie française par les plaignants)

Procédure en vertu de la Loi de 1992 sur les recours collectifs[6]. Les adresses des défendeurs sont détaillées dans la procédure.

QUELLES SONT LES DEMANDES DES PLAIGNANTS ?

1. Les plaignants désirent :
  • obtenir une ordonnance certifiant cette instance en tant que recours collectif.
  • Affirmer que les décisions prises par J Trudeau sont invalides sur le plan juridique.
  • Ils exigent une déclaration selon laquelle les mesures prises par le Parlement du Canada conformément aux instructions du Premier ministre, déclarant une pandémie sur la base des conseils de l’OMS est ultra vires = invalide[7], eu égard à leur pouvoir et leur autorité.
  • Ils exigent une déclaration selon laquelle les protocoles Covid-19 nécessitaient un examen immédiat avant enregistrement totalement transparent de la science et des données historiques.
  • Ils souhaitent que soit fixée une date immédiate et urgente par la Cour pour permettre une audience sur l’examen des protocoles et règlements et des plans de vaccination par le gouvernement fédéral, provincial et municipal ainsi que l’OMS.
  • Ils exigent des Déclarations contre les gouvernements fédéral, provincial et municipal, sur une base provisoire, pour suspendre les mesures COVID-19 jusqu’à la nécessité de telles mesures soit démontré par la science et l’opinion médicale.
2. Le demandeur, Stacy Amikwabi, réclame en son propre nom et au nom de tous les membres de sa classe
  • Dommages-intérêts généraux pour douleur, souffrance et perte de la jouissance de la vie.
  • Dommages spéciaux dont le montant reste à déterminer.
  • Dommages pour perte de revenu et / ou autre perte économique pour des montants déterminés.
  • Les dommages-intérêts punitifs.
  • Intérêts avant et après jugement conformément aux tribunaux Loi, LRO 1990, ch. C43 tel que modifié.
  • Les frais de cette action sur une base d’indemnité substantielle plus la TVA.
  • Tout autre redressement que cette honorable Cour peut juger juste.

Le demandeur, Shawn Brennan, réclame en son propre nom et au nom de tous les membres de son Groupe les mêmes reconnaissances et compensations.

Les plaignants :
Peuples autochtones ruinés et manipulés pour les vaccins dans la réserve FRENCH RIVER

Stacy Amikwabi réside sur une réserve (Première Nation de Henvy Inlet), en fait French River Réserve indienne no 13 (Rowan Proclamation 1852). Stacy et sa femme ont été économiquement dévastés par le verrouillage et autres protocoles introduits dans la réserve par le gouvernement fédéral. Ils seront de plus confrontés avec les vaccins obligatoires.

Ils ont tous été déjà informés que des restrictions seront imposées pour ceux qui n’acceptent pas le vaccin. Stacey et sa famille ne peuvent pas donner leur consentement éclairé à une « thérapie génique expérimentale », à savoir l’inoculation d’ARNm, qui aurait été développée et administrée en réponse aux cas de COVID-19 ailleurs. 

En raison d’une censure évidente et de la suppression de l’expression de l‘opinion qui n’accepte pas la propagande mondiale d’une pandémie, Stacy ne peut fournir un consentement éclairé pour une « thérapie génique expérimentale ». 

Stacy Amikwabi se présente comme représentatif de tous les peuples autochtones lésés par l’obligation de protocoles et mesures qui sont une réaction excessive à des ensembles de données produites, manipulées et distribuées dans une volonté de faire valoir l’existence d’une pandémie.

Le plaignant, Shawn Brennan représente les propriétaires de petites entreprises, lésés par la peur organisée et les mesures non justifiées

Entrepreneur à Peterborough, en Ontario. Shawn Brennan & Business ont été largement dévastés par l’impact des protocoles et des réglementations qui ne sont étayés par aucune recherche scientifique et médicale appropriée.

La cellule familiale de Shawn Brennan a été soumis à un stress incroyable en raison de la peur engendrée par l’inflation et manipulation des statistiques de décès, dans ce pays et dans le monde. 

Le plaignant George Fayad est un représentant de tous les propriétaires de petites entreprises d’Ottawa lésés par les protocoles et règlement.

George est un petit garagiste qui réside à Ottawa, en Ontario. Ses activités ont été négativement affectées par confinements, protocoles et réglementations.

Le plaignant Joshua Alas-Wilson, jeune adulte vivant à Balderson, en Ontario, représente les handicapés qui ont grand besoin de socialisation, gravement lésés par les mesures inadaptées

Joshua atteint du syndrome de Williams, maladie génétique caractérisée par un retard cognitif, retard de développement, anxiété et dépression intermittente. En tant que personne qui a des difficultés formant néanmoins des liens durables avec ses pairs, il vit en assistant à des rassemblements sociaux hebdomadaires, en faisant du bénévolat. En raison des restrictions mises en place à cause du covid-19, il ne peut plus assister à son rassemblement hebdomadaire, marcher librement, se socialiser ni faire de bénévolat.

Cela a créé des sentiments extrêmes d’isolement se manifestant par une anxiété majeure, des palpitations cardiaques périodiques et dépression. Joshua a été insulté car se sentait mal à l’aise et critiqué en raison de son incapacité à porter un masque. 

L’incapacité de porter un masque a gravement limité tout contact social, ce qui l’a poussé à rechercher des interactions sociales via Internet où il a ensuite été victime d’intimidations, de harcèlement et de blessures.

Joshua est le représentant de toutes les personnes ayant des « besoins spéciaux » lésés par les protocoles et règlements covid-19.

Alisa, représentante des parents isolés qui ont vécu des situations tragiques pendant les confinements

La plaignante, Alisa Tojcic, mère célibataire et ses trois jeunes enfants vivant au centre-ville de Toronto via l’aide sociale sont restés chez eux pendant 57 jours pendant le premier confinement.  Ils vivent dans un appartement sans balcon et tous les patios du bâtiment et aire de jeux étaient fermés autour d’eux. 

Les enfants étaient terrifiés et Mme avait des crises de panique.  Son aîné a eu une commotion cérébrale, confiné dans sa chambre car la famille ne pouvait aller nulle part.

De plus, la famille qui compte sur les transports en commun, a été complètement bloquée lors du premier confinement

Alisa Tojcic est la représentante de tous les parents isolés et les enfants qui ont été lésés par les protocoles et règlements covid-19.

Les accouchées

Depuis mars. Jane Doe, mère plaignante qui a accouché depuis la mise en œuvre des protocoles et règlements covid. Son expérience, seule dans la salle d’accouchement et sans sonenfant après la naissance l’a traumatisé gravement. 

Jane représente toutes les nouvelles mamans depuis le 12 mars 2020 et leurs enfants, qui ont été lésés par les protocoles et règlements Covid-19.

Le plaignant, John Doe, est un travailleur de la construction dans la région d’Ottawa.  Contraventions ruineuses pour non-respect des mesures imposées !

Le ministère du travail a commencé à émettre des amendes pour avoir enfreint les protocoles de sécurité Covid-19, ne pas avoir observé la distanciation ou le port du masque. 

Les employés sont confrontés à la peur de recevoir une contravention sur la « nécessité de la sécurité » au travail. Dans certains cas, les revenus perçus pour le jour de travail est inférieur ou égal au montant de la contravention

John se dresse en tant que représentant de toutes les personnes qui ont été lésées par les protocoles Covid-19 et règlements et leur application par l’émission de contraventions et d’amendes.

Pourquoi les plaignants accusent-ils les personnalités citées plus haut ?

Les accusés cités sont les suivants
Le pape de Rome

L’accusé, le pape François, pontife romain, jésuite, membre de la Compagnie de Jésus. Le 3 octobre 2020, le Pape a publié l’Encyclique « Fratelli Tutti » dans laquelle il recommandait à toutes les nations de donner leur souveraineté à un gouvernement mondial et un nouvel ordre mondial.[8]

Le Saint-Siège entretient des relations diplomatiques avec d’autres États souverains et avec lesambassades accréditées auprès du Saint-Siège, pour permettre au Pape d’exercer une autorité universelle à l’échelle mondiale.

L’accusé, Etat du Vatican, a vu le jour le 11 Février 1929 par le Traité du Latran entre le Saint-Siège et l’Italie. Le siège du Saint-Siège (Sancta Sedes) est l’État de la Cité du Vatican. C’est un état qui appartient au Saint-Siège, siège de la juridiction épiscopale et du gouvernement central de l’Église catholique.

La cité du Vatican vaut des milliards et abrite de nombreux documents qui devraient être partagés avec l’humanité. Cet état connaît les méfaits et la manipulation de la Compagnie de Jésus depuis sa création en 1534 jusqu’à nos jours, selon les rédacteurs de la procédure résumée ici.

La Compagnie de Jésus

dans sa bulle d’autorisation, : « Regimen Ecclesiac Militants » (The Regime des militaires ecclésiastiques). 

En Europe, partout où l’intérêt de Rome obligeait le peuple à s’élever contre leur roi, ou si ces princes temporels avaient pris des décisions embarrassantes pour l’église », la Curie savait qu’elle ne trouverait pas plus habile, rusé ou audacieux à l’extérieur que la Compagnie de Jésus lorsqu’il s’agissait d’intrigues, de propagande ou même de rébellion ouverte.

Et plus loin dans le même livre :

« Il en va de même aujourd’hui, les 33000 membres officiels de la Société opèrent partout dans le monde en tant que personnel, officiers d’une armée vraiment secrète contenant dans ses rangs chefs de partis politiques, hauts fonctionnaires, généraux, magistrat, médecin, professeur de faculté, etc. tous s’efforcent de réaliser, dans leur propre espace, « Opus Dei, l’œuvre de Dieu », en réalité les plans du Directeur général et la papauté ».

Reine Elizabeth II

Conformément à l’article 9 de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique,1867, « le gouvernement exécutif et l’autorité du Canada continue à être dévolue à la reine. ». SM la reine Elizabeth II est également à la tête du groupe de travail fédéral sur Covid-19.  Le premier ministre Trudeau a nommé un haut officier militaire à la tête du groupe de travail pour Covid-19, qui doit rendre compte au commandant en chef, qui est Sa Majesté la reine Elizabeth II en vertu de l’article 15.

Ordre de la jarretière

L’Ordre de la Jarretière a été fondé par Édouard II, roi d’Angleterre en 1348 pour se protéger avec un groupe d’élite de propriétaires fonciers contre les gens du commun.  Le symbole de l’Ordre comprend la devise « Honni soit qui mal y pense ». » Le même symbole et la même devise se retrouvent partout au Canada sur les édifices gouvernementaux et palais de justice. L’Ordre de la Jarretière exécute les plans élitistes mondiaux de la royauté et des entreprises oligarques par rapport à un programme mondial élitiste, pleinement connu seulement d’un petit groupe au détriment des êtres humains sur la terre mère.

L’agenda mondial connu du Vatican et de la reine, soutenue par des sociétés telles que GAVI, Gates Fondation, entre autres, appliquant les ordres des directions mondiales de la santé émises par l’OMS, a mis des personnes au Canada en danger, voire dans le monde entier, selon la rédaction de cette procédure contre ces personnes et organisations. Ils sont donc poursuivis par cette procédure.

Alliance mondiale pour les vaccins et les immunisations (GAVI) et le célèbre Bill Gates

L’accusé GAVI

En 2000, Bill Gates a démissionné de ses fonctions de PDG de Microsoft, créé la « Fondation Gates » et avec d’autres parties a lancé l ‘ « Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination « GAVI ».[9]  Au 29 juillet 2020, la Fondation Gates s’est engagée pour 4,1 milliards de dollars américains. Le Canada est un membre de longue date de GAVI et membre de son conseil depuis sa création. 

Les membres de l’alliance GAVI sont : l’UNICEF, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates. 

GAVI a développé le Covid-19 Global Vaccine Access Facility (Covax Facility alias Gavi Covax AMC) pour répondre à ces « défis sans précédent » créés par la décision de l’OMS de déclarer une « pandémie ». Gavi Covax AMC sponsorise les fabricants qui souhaitent « investir dans le vaccin candidats avant leur licence. ». 

À ce jour, le Canada a fourni 1 milliard de dollars de financement directement à GAVI. Le 14 décembre 2020, Karina Gould (ministre du Développement international du Canada) a annoncé que le Canada versera 255 millions de dollars canadiens supplémentaires (200 millions de dollars américains).

LOBBYING ORGANISE ET FINANCE

La « Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) »[10], est un autre partenariat mondial formé entre les organisations publiques, privées, philanthropiques et la société civile pour consolider l’emprise élites mondiales et multinationales sur la santé publique.

Elle Fonctionne en tant que partenariat public-privé pour la santé mondiale ; l’objectif ultime de ces « partenariats » est de promouvoir les agendas mondiaux des entreprises participantes, en faisant du lobbying auprès des gouvernements et des organisations internationales afin de mettre en œuvre des politiques en leur faveur. 

Cela se fait aux dépens des citoyens des pays participants, et donc aussi des Canadiens.

Dans ce système, des fonds sont détournés des budgets nationaux pour financer des projets de sociétés sous l’égide de GAVI et al., mais uniquement au profit de ces entreprises.

Ces projets GAVI sont ensuite propagés dans le monde entier grâce à un partenariat spécial avec l’OMS pour accroître son influence et ses sources de profit et avec l’Agence de santé publique du Canada.

L’OMS[11]

L’accusée OMS. La création de l’OMS est entrée en vigueur le 7 avril 1948 et son rôle principal était de diriger et coordonner la santé internationale au sein du système des Nations Unies. 

En janvier 2010, Bill Gates a promis 10 milliards de dollars de financement à l’OMS et annoncé : « la décennie des vaccins ».

Gates et GAVI sont les deuxième et troisième bailleurs de fonds de l’OMS après le Gouvernement des USA, qui a récemment retiré son financement par décision du président Trump. Conformément au Règlement sanitaire international (RSI 2005) chaque État membre de l’OMS doit désigner un point focal national (PFN). Le NFP est accessible à tout moment pour les communications avec l’OMS concernant les risques pour la santé publique dans le monde.  L’’Agence de la santé publique du Canada (AAP). Cette agence suit les directives de l’OMS et non du gouvernement du Canada.

Fondation Bill et Melinda Gates

L’accusée Fondation Gates : les restrictions légales américaines interdisent la Fondation Gates (« Fondation ») de s’engager explicitement dans un lobbying normatif visible. Par conséquent, la Fondation se sert des bénéficiaires comme catalyseur de la mobilisation des ressources, et comme « éclaireur » de l’innovation scientifique par la promotion de vaccins pas encore complètement développés et tests de nouveaux vaccins sur les populations, en particulier les enfants et les jeunes adultes en Afrique, délivrés sous mandats de l’ONU ou de ses organisations comme l’OMS ou l’UNICEF. 

La Fondation « n’’était que le deuxième bailleur de fonds de l’OMS avec 531 millions de dollars. C’était plus que la Contribution du Royaume-Uni de 392 millions de dollars, et deuxième seulement après les États-Unis avec 873 millions de dollars »[12] en avril 2020, lorsque Trump a cessé le financement de l’OMS.

Dans un article des Pastors Chronicles, le titre suivant apparaît : « les vaccins des Nations Unies stérilisent 500 000 femmes au Kenya » le 8 décembre 2018.

« Le milliardaire Bill Gates aime vraiment aider les gens des pays pauvres à se faire vacciner.

Mais beaucoup disent que ses motivations ne sont peut-être pas si pures. En fait, beaucoup croient que ce mondialiste, avec les Nations Unies, mène un « effort de dépeuplement massif ».

Comme l’a rapporté l’Agence de Presse Africaine du Kenya :[13] 

« Odinga a déclaré que les filles et les femmes âgées de 14 à 49 ans sont celles qui connaissent la croissance la plus rapide les populations du pays n’auront pas d’enfants, en raison d’un exercice de stérilisation qui a été vendu au pays comme vaccin contre le tétanos ».

Et dans le premier article ci-dessus :

« À l’époque, l’Église catholique du Kenya affirmait que le vaccin antitétanique utilisé par

le gouvernement du Kenya et les agences des Nations Unies ont été contaminés par une hormone (HCG) qui peut provoquer des fausses couches et rendre certaines femmes stériles ».

Comme la Convention des Nations Unies sur le génocide de 1949 a défini la stérilisation comme l’une des définitions de génocide, basé sur ce qui précède, il est clair que les agences de l’ONU et les Bill et Melinda Gates Fondation soutiennent les actes de génocide à travers ses programmes de vaccination.

Premier ministre Justin Trudeau

L’accusé par les plaignants, J. Trudeau, a lors de sa dernière apparition à l’ONU, parlé du programme de « grande réinitialisation » poussée sur l’humanité par l’élite oligarque, Big-pharma, les grandes technologies et le Forum économique mondial. Il n’agit pas sur la base de données médicales et scientifiques solides pour guider les Canadiens et Autochtones à travers cette crise, mais fait écho à un programme néfaste maintenant à la vue de tous.

Or J. Trudeau titulaire d’une charge publique agit en dehors de son autorité législative. En nommant un officier supérieur à la tête du groupe de travail COVID-19, le Premier ministre invoque la reine Elizabeth II, commandant en chef de l’armée.

Le premier ministre et son cabinet ont de plus invité au Canada l’OMS et les grandes entreprises, qui sont par définition coupables de génocide au Kenya. Pfizer a payé 2,3 milliards de dollars le 2 septembre 2009 au ministère américain de la Justice, pour la plus grande fraude en matière de soins de santé dans l’histoire du ministère de la Justice.14

Dr Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique du Canada

T. Tam titulaire d’une charge publique est l’un des sept membres de l’Independent Oversight et du Comité consultatif du programme de l’OMS pour les urgences sanitaires. Récemment, la journaliste Sheila Gunn Reid (14 décembre 2020), a noté[15]:

« je voulais tout savoir sur les relations de Tam et de son agence avec l’OMS.

Quelles autres décisions, y compris celles que nous ignorons peut-être, ont été infectées par l’OMS et sa mission excentrique chinoise ratée ? »

Premier ministre de l’Ontario Doug Ford

Doug Ford, actuel premier ministre de l’Ontario, titulaire du Bureau a mis en œuvre des mesures, des lois et des règlements qui nuisent au grand public sans avis médical scientifique valable pour soutenir les mesures draconiennes.

L’isolement est défini comme de la torture et qualifié de crime contre l’humanité. Ce crime internationalement reconnu est devenu une infraction pénale légalement définie auCanada, en particulier en vertu de la Loi sur les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre.[16]

Christine Elliott

C. Elliott, actuelle ministre de la Santé et des Soins de longue durée. Pendant une conversation filmée entre le Dr Barbara Yaffe, chef adjoint du cabinet médical of Health et le Dr David Williams, médecin hygiéniste en chef de l’Ontario, un échange a eu lieu, dans lequel Barbara Yaffe s’est exclamée : 

« je ne sais pas pourquoi j’apporte tous ces papiers. Je ne les regarde jamais, « je dis juste n’importe quoi, ils écrivent pour moi »[17].

Ville d’Ottawa – maire J. Watson

Le maire de la ville d’Ottawa, Jim Watson, supervise les règlements municipaux sur les mesures COVID-19 et donc responsable des préjudices associés à la mise en œuvre et application des protocoles Covid-19 et mesures prises.

Procureur général du Canada

Il est constitutionnellement le juriste en chef du Canada, donc titulaire d’une charge publique et doit être nommé en tant que défendeur dans toute action en jugement déclaratoire, constitutionnellement responsable des actes et omissions des fonctionnaires.

Le procureur général de l’Ontario

Juriste en chef de la province de Ontario, titulaire d’une charge publique, doit être poursuivi en tant que défendeur dans toute action en jugement déclaratoire. Le procureur général de l’Ontario est responsable statutairement et constitutionnellement des actes et omissions des fonctionnaires.

APERÇU HISTORIQUE selon la procédure (traduction libre résumée)

Le 15 mai 1213, le roi Jean Ier dans une concession au pape Innocent III, a abandonné la souveraineté de la Grande-Bretagne et de l’Irlande, en payant une allocation annuelle, liant ses héritiers et successeurs à perpétuité. Aujourd’hui, SM la reine Elizabeth II rend compte au Pape et verse l’allocation annuelle.

Le Vatican appartient à la famille Rothschild. En 1880, les Rothschild ont fait un important prêt au Pape, se mettant ensuite en mesure de reprendre la Banque du Vatican. Ensemble, les Rothschild et le Vatican possèdent la Bank of America et Merrill Lynch, parmi de nombreuses autres propriétés partagées avec des familles d’oligarques, telles que les Rothschild et les Rockefeller.

La Compagnie de Jésus constituée par Ignace de Loyola en 1534 à Paris est restée secrète jusqu’en 1770. L’expression : « la fin justifie les moyens », émane du jésuite qui permet aux membres de mentir, tricher, adultérer, assassiner afin de réaliser leurs fins, aussi longtemps que c’est au nom de Jésus. Le livre, « l’histoire secrète des Jésuites »[18] d’Edmond Paris raconte leurs méfaits en fomentant la Première Guerre mondiale, la Grippe espagnole, la Seconde Guerre mondiale et maintenant une « pandémie ».[19]

L’Ordre de la Jarretière été fondé en 1348 par le roi Édouard III pour établir un cercle de noblesse d’élite, pour soutenir les trésors royaux et contrôler le peuple. Aujourd’hui, c’est la plus grande Organisation franc-maçonne dans le monde. La reine Elizabeth II est à la tête de l’Ordre royal de la Jarretière, dont la devise est « Honni soit qui mal y pense ».

L’huissier du bâton noir[29], un fonctionnaire du Parlement du Canada est le secrétaire de la reine au Canada, porte le bâton noir pour ouvrir le Parlement et l’inscription sur le Black Rod est « Honni soit qui mal y pense » témoignant du contrôle exercé par l’Ordre de la jarretière au Canada.

Le Canada demeure une colonie pour la reine. Le Premier Ministre du Canada a nommé l’armée à la tête du groupe de travail Covid-19.[20] Cela place la reine à la tête du groupe de travail Covid-19, en vertu de l’article 15 de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique,1867.

En octobre 2020, le Pape a publié sa lettre encyclique intitulée « Fratelli Tutti », traitant d’une nouvelle vision du monde. Il déclare : « je ne propose certainement pas un universalisme autoritaire et abstrait imaginé ou planifié par un petit groupe et présenté comme un idéal dans un souci de nivellement, de domination et le pillage. ». Bien qu’il dise le contraire, le Pape continue en recommandant aux États individuels d’abandonner leur souveraineté et confier la gouvernance aux Nations Unies afin que nous en ayons un gouvernement mondial dans un ordre mondial.[21]

Jus Cogens[22] = principes de droits réputés universels et supérieurs

La procédure rappelle les principes de JUS COGENS.

« Toute enquête sur les principes de justice fondamentale repose non seulement sur l’expérience et la jurisprudence canadiennes, mais aussi sur le droit international, y compris « jus cogens ».

Cela tient compte des obligations et des valeurs internationales du Canada tel qu’exprimé dans les diverses sources du droit international des droits de l’homme – déclarations, pactes, conventions, décisions judiciaires et quasi judiciaires des tribunaux internationaux et normes coutumières ». 

Les plaignants déclarent que le « jus cogens » est défini comme une norme pour laquelle aucune dérogation n’est autorisée et qui ne peut être modifiée que par une norme de droit international général ayant le même caractère.[23]

« Les plaignants accorderont une importance particulière à ce qui suit concernant les outils internationaux et nationaux ». Ils déclarent que les principes juridiques et moraux énoncés dans le les documents ci-dessous sont le prisme à travers lequel la crise mondiale actuelle doit être considérée :

  • Pacte international relatif aux droits civils et politiques[24] : 23 mars 1976 « Reconnaissant que, conformément à la Déclaration des droits de l’homme, l’idéal des êtres humains libres jouissant et la liberté politique et l’absence de peur, « nul ne peut être soumis sans son libre consentement à l’expérimentation scientifique. ».
  • Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide.[25]
  • Loi sur les crimes contre l’humanité et loi sur les crimes de guerre, SC 2000 C.24[26] 
  • Convention internationale sur la répression de la répression du crime d’Apartheid, 30 novembre 1973 
  • Convention pour la prévention des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain concernant l’application de la biologie et de la médecine (Convention d’Oviedo) avril 4, 1997[27]
    • Un traitement médical ne peut être effectué qu’après qu’un patient informé du but, de la nature, des droits et des conséquences de l’intervention et y a librement consenti. Ce principe a ses origines dans le « Code de Nuremberg » de 1947, qui a été développé lors du procès des Nazis médecins qui ont mené des recherches sur les prisonniers des camps de concentration.
    • Article 13 : « Une intervention visant à modifier le génome humain ne peut être entrepris à des fins préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si son but est de n’introduire aucune modification dans le génome de son descendants ».
  • Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, 13 septembre, 2007. 
CONSEQUENCES FINANCIERES AU CANADA

Depuis mai 2020 : plus de six millions de Canadiens ont demandé des prestations de chômage et 7,8 millions de Canadiens ont eu besoin d’un soutien du revenu d’urgence du gouvernement fédéral, en raison des fermetures économiques et des fermetures dictées par les mesures de Covid.

Estimations du déficit fédéral résultant de leur réponse au SRAS-CoV-2 (COVID-19) va jusqu’à 400 milliards de dollars. (Cela dépasse le budget national du Canada pour un an).

Décisions autoritaires et infondées scientifiquement

Le 20 mai 2020 – La Dr Tam a imposé l’utilisation de masques non médicaux destinés au grand public afin de fournir une « couche de protection supplémentaire » qui pourrait aider à empêcher les patients atteints de Covid-19 asymptomatiques ou pré-symptomatiques d’infecter les autres. Avis non étayé par des preuves scientifiques.

Le 22 mai 2020 – J Trudeau a déclaré aux journalistes que la « recherche des contacts » devait être accéléré à travers le comté. 

Le 25 mai 2020, le gouvernement fédéral a annoncé des dispositions d’un éventuel Code pénal faisant de la publication de « fausses informations » sur le COVID-19 une infraction pénale. La « désinformation » évolue rapidement pour signifier que toute opinion ou déclaration, même d’experts, qui contredit ou critique les mesures prises et / ou mandatées par l’OMS, mis en œuvre au niveau mondial par les gouvernements nationaux et régionaux, sera condamnée.

Le 23 juin 2020, le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles demande, dans un rapport de 69 pages, la fin des mesures de verrouillage sur la base d’une analyse du manque de connaissances médicales et scientifiques preuve de leur imposition et de l’infliction de violations graves et injustifiées de la Charte. Le 18 juin 2020, le premier ministre Doug Ford a annoncé une hausse et une accélération à venir de la mise en place d’une surveillance « traçabilité des contrats » par téléphone portable.

DÉFIS CONSTITUTIONNELS
Les plaignants évoqueront la violation des sections suivantes de la Charte canadienne des droits et libertés[28]

« Liberté de conscience et de religion, de pensée, de croyances et d’opinion et d’expression, y compris liberté de la presse et des autres médias, communication, liberté de réunion pacifique, liberté d’association. »

Ils rappellent que tout citoyen canadien a le droit d’entrer, de rester et de sortir du Canada.

Section 7

  • Toute personne a droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de sa personne et le droit de ne pas en être privé, sauf conformément aux principes de justice fondamentale.

L’article 8

  • Chacun a le droit d’être protégé contre fouilles ou fouilles abusives.

Article 12

  • Chacun a le droit de ne pas être soumis à des actes cruels et inhabituels, traitement ou punition.

Article 25

  • La garantie dans leur charte de certains droits et libertés ne doit pas être interprété de manière à abroger ou déroger à tout Autochtone, traité ou autre les droits des libertés qui concernent les peuples autochtones du Canada.

Article 26

  • La garantie dans leur charte de certains droits et libertés ne doit pas être interprété comme niant l’existence de tout autre droit ou liberté existant Canada.

Les plaignants reviennent sur des points majeurs des sous-sections de la Charte

Section 2

  • toutes les sous-sections engagées ensemble en vertu de la déclaration de pandémie sans preuve scientifique, manipulation des statistiques et nombre de « tests » PCR
  • introduction de vaccins par des entreprises autorisées à sauter les essais sur les animaux et à faire des êtres humains des cobayes pour «vaccin génique expérimental» qui mettrait alors les êtres humains en danger en risquant de perturber l’expression de nos gènes, de modifier la transcriptase inverse humaine (RT) dans le corps humain, pouvant entraîner la mort en raison de l’intrusion dans le pool génomique du corps humain, y compris la facilitation des réactions auto-immunes et le développement de protéines chimères et séquences génomiques en réponse.

Ces actions, isolées ou prises ensemble, violent toutes les sections.

Il est évident pour tous que l’article 2 (b) est particulièrement attaqué lorsque la censure prévaut sur toutes les plateformes médiatiques et la liberté de pensée, de croyance et d’opinion et l’expression sont gravement menacées.

Section 6

Ce droit a été bafoué par et l’exécutif agissant sans autorité, car il ne s’est pas informé sur la science du coronavirus, le test PCR, ni sur les vaccinations proposées. Cette abdication du devoir et la responsabilité envers le peuple est écrasante et évidente.

Section 7

Les protocoles imposés causant des effets mentaux, physiques, émotionnels et profonds, les dommages économiques ne sont pas fondés sur une science crédible quant à l’existence réelle d’une pandémie.

 L’OMS s’est livrée à tant de manipulations, même sur la définition de pandémie, que d’avoir un gouvernement fédéral s’attachant à une telle exagération est une violation flagrante de la vie, de la liberté et de la sécurité de la personne, en violation évidente des lois du Canada et des lois internationales et des engagements mentionnés ci-dessus, signés et ratifiés pour protéger les citoyens.

Violation de l’article 7 :

suppression des statistiques et des informations vitales, censure de la presse contre toute opinion opposée, manipulation des statistiques de décès et exagération du nombre de cas par des « tests » PRC inutiles et faux, introduction de sociétés pharmaceutiques privées invitées à conduire une thérapie génique expérimentale sur l’ARNm, pour une maladie dont 98,09% de la population récupère et bien qu’il existe des traitements connus pour la guérison … : équivaut à la violation flagrante de l’article 7.

Section 8

Les tests sont utilisés pour suivre des individus dans le monde entier. Ceux testés au Canada sont maintenant saisis dans une base de données policière. L’ordre du jour proposé par les sociétés pharmaceutiques semble chercher à modifier l’ADN de l’être humain et à insérer des micro-puces à des fins de surveillance satellite. Ce sont des violations majeures de l’article 8.

Section 12

Chacun a le droit… « de ne pas être soumis à des actes cruels et inhabituels traitement…« 

Article 25

Le gouvernement fédéral, par le biais de la loi relative à l’apartheid sur les Indiens, a établi une catégorie d ‘ « Indiens inscrits » et « autres » (article 25 de la Loi constitutionnelle de 1982).

Les « autres » sont les privés de leurs droits, les opprimés, les oubliés et blessés et à travers son agenda actuel, il fait que tout le monde « autres ». Les plus vulnérables de la population, les personnes âgées, les enfants et les autochtones entrent tous désormais dans la catégorie « autres ».

Article 35

Cet article de la Constitution confirme l’existence d’autres droits et libertés que les plaignants affirment comme incluant l’application des traités internationaux, et du jus cogens au droit interne. Le rejet de ce principe de relation internationale constitue une violation de l’article 26.

Les plaignants chercheront à tenir une audience, de toute urgence, sur la base d’un bref de quo warranto, certiorari, déclaration et injonction avancée à travers le prisme de la violation de la charte des droits et libertés et des outils internationaux de la protection contre la tyrannie.

DROITS DE L’HOMME AU CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ, À LA SANTÉ ET À L’INTÉGRITÉ CORPORELLE[29]

Les gens doivent bénéficier d’un consentement pleinement éclairé lorsqu’il s’agit d’injecter du matériel génétique étranger dans leur corps. Les législateurs n’ont pas les connaissances spécialisées nécessaires pour conduire l’analyse indispensable des risques bénéfices de l’individu. Seul l’individu, ou dans le cas d’un enfant, les parents peuvent posséder cette connaissance. Tous les vaccins comportent des risques.

La vaccination obligatoire constitue une violation flagrante du droit au consentement éclairé.

La Déclaration d’Helsinki déclare que chaque projet de recherche doit être précédée d’une évaluation minutieuse des risques et des charges prévisibles et comparaison avec les avantages prévisibles « (article 18). Il ajoute que la recherche devrait être stoppée lorsque les risques l’emportent sur les bénéfices potentiels (article 20) ». 

Le sujet THÉRAPIE GÉNIQUE

Ici, nous ne parlons pas seulement de thérapie génique expérimentale affectant quelques-uns mais de l’ARNm forcé qui n’est pas la vaccination telle que nous la connaissons, c’est une thérapie génique qui consiste à transjecter des êtres humains avec des protéines virales produites à partir de matériel d’origine non humaine.

La Déclaration d’Helsinki et le Conseil des organisations internationales des sciences médicales (CIOMS) exige que :

 « les personnes vulnérables ne devraient pas être incluses dans la recherche à moins que la recherche ne soit indispensable à l’amélioration de leur santé et cela ne peut se faire avec les personnes qui sont capables de donner leur consentement »

Selon les essais américains Pfizer et BioNTech, le risque d’infection est réduit de 0,39%. De plus, le test PCR 100% inutile ne peut pas établir que ces personnes pourraient avoir déjà subi une infection par le SRAS-CoV-2 de manière asymptomatique. 

La « vaccination » de masse prévue, non seulement ne demande pas le consentement éclairé, mais veut « vacciner » d’abord les personnes vulnérables et les enfants. » Les gouvernements doivent de toute urgence orienter les politiques de santé vers la protection, plutôt que vers la violation des droits de l’homme.

MODUS OPERANDI DES VIOLATIONS DES DROITS DE L’HOMME via l’EUGÉNISME

Les vaccins COVID sont des vaccins à ARNm. L’ARNm n’a jamais été utilisé comme vaccin. 

En substance, nous n’avons absolument aucune idée à quoi s’attendre de ce matériel qui est vendu au public comme « vaccin ». 

Le vaccin traditionnel introduit simplement des morceaux de virus pour stimuler une réaction immunitaire. Le nouveau vaccin ARNm est complètement différent. Il injecte en fait (transfecte) des molécules de matériel génétique synthétique provenant de sources non humaines dans nos cellules. Une fois dans les cellules, le matériel génétique interagit avec notre ARN de transfert (ARNt) pour fabriquer une protéine étrangère qui apprend au corps à détruire le virus pour lequel il est codé.

Notamment, ces protéines nouvellement créées ne sont pas régulées par notre propre ADN, et sont donc complètement étrangères à nos cellules. Ce qu’ils sont pleinement capables de faire est inconnu.

Plus récemment, des études de Zhang L et al.,[30] publiées le 13 décembre 2020, ont fourni la preuve que le génome du SRAS-CoV-2 transfecté dans le corps humain avait déclenché une réponse du corps humain consistant à intégrer le génome du SRAS-CoV-2 dans l’ADN humain. Des études dès 2003 avaient montré que cela serait probablement facilité dans les testicules et les ovaires entre autres organes.

Par conséquent, des preuves claires de la manipulation et de la mutation du génome humain pourraient être déjà établies. 

Forcer les gens à accepter une transvection avec du matériel d’ARNm qui changera leur génome est en fin de compte un programme eugénique imposé par le gouvernement

Ces nouveaux « vaccins » sont en outre contaminés par de l’aluminium, du mercure et peut-être du formaldéhyde. Les fabricants n’ont pas encore révélé les autres toxines qu’ils contiennent.

Étant donné que les virus mutent fréquemment, la probabilité que tout vaccin fonctionne pendant plus d’un an est improbable. Dire aux gens que le vaccin développé sans utiliser de matériel viral isolé et cultivé est une pure illusion. Aucune étude d’innocuité à long terme n’aura été réalisée pour s’assurer que l’un de ces vaccins ne causera pas le cancer, des convulsions, des maladies cardiaques, des allergies et les maladies auto-immunes observées avec autres vaccins.

Si vous avez toujours voulu être cobaye pour Big Pharma, c’est maintenant une opportunité en or.

CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ

Les plaignants déclarent que depuis le 3 mars 2020 les conditions imposées correspondent à la deuxième définition du génocide. La convention des Nations Unies sur le génocide déclare : « Imposer des conditions de vie conçues pour causer un préjudice mental ou physique. »  les dirigeants ont négligé les êtres humains sur le plan spirituel, émotionnel, mental et physique depuis le 2 mars 2020.

Les plaignants réclament des dommages-intérêts de la part des accusés pour fait de génocide et apartheid depuis cette date jusqu’à la fin de l’oppression.

Les plaignants déclarent que certains accusés ont été publiquement identifiés pour avoir commis un acte de génocide au Kenya – OMS, Fondation Gates. Ceux qui coopèrent maintenant avec eux dans la folie des vaccinations de masse dans le monde entier, pour une maladie de source inconnue et au taux de guérison de 98,01%, sont également complices des crimes de génocide et apartheid.

L’AGENDA

L’ordre du jour mondial semble tourner autour de la pandémie, des tests et de la vaccination. Les plaignants déclarent que le les informations scientifiques et médicales accessibles au public n’appuient pas la déclaration d’une pandémie. Ils prouveront que la définition de pandémie a été manipulée par l’OMS pour des raisons néfastes et non pour des raisons médicales ou scientifiques.

Le Directeur général de l’OMS, le Dr Tedros A Ghebreyesus a été accusé de génocide à la Cour pénale internationale. L’ONU et l’OMS avec le projet de loi et la Fondation Gates a commis un génocide au Kenya.

Le concept de pandémie a été déclaré, non pour lutter contre une maladie infectieuse connu sous le nom de COVID-19 (bien qu’il ait toujours existé), mais pour répondre à un ordre du jour néfaste. La maladie peut être correctement traitée sans vaccination, il s’agit d’un taux de récupération de 98,01% et les traitements appropriés pour la maladie ont été supprimés dans le monde entier.

Plus inquiétant est une censure mondiale contre quiconque défie la sagesse conventionnelle de la nécessité de déclarer une pandémie. Le groupe déclare que la censure viole leur Charte des droits des alinéas 2a) et 2b) et leur donne droit à une indemnisation conformément à l’article 24 de la Charte.

PANDÉMIE

Les plaignants déclarent que l’utilisation de la terreur des enfants et des personnes âgées fait partie l’agenda de ceux qui manipulent cette crise sanitaire. L’obligation de conditions de vie depuis le 2 mars 2020, a causé des dommages mentaux et physiques aux enfants et aux personnes âgées.

Le groupe réclame des dommages-intérêts pour les tests PCR du génocide et de l’apartheid le au nom des enfants et des personnes âgées.

TESTS

Les plaignants déclarent qu’il existe de nombreuses preuves scientifiques et médicales prouvant que le «test » PCR est inutile. La plupart des scientifiques conviendront que la définition des cycles de la PCR au-delà du seuil de cycle de 25 cycles, rend l’outil inutile. 

La plupart des kits de test PCR, sinon tous, sont fixés à 45, ce qui rend les résultats inutiles et fallacieux. Cependant, les résultats positifs sont utilisés pour augmenter le nombre affiché de malades pour alimenter le mensonge de la propagation de la maladie – juste cela – un mensonge. Le demandeur et la classe action affirment que des médecins du monde entier reçoivent un supplément d’honoraires pour déclarer un cœur mort d’attaque ou mort d’un accident de voiture, mort de COVID-19. Pourquoi ? Subterfuge ? 

VACCINATIONS

Les plaignants déclarent que la Fondation OMS / Gates / ONU a été identifiées comme ayant commis un acte de génocide en stérilisant 500000 filles et des femmes kényanes. Ils déclarent qu’ils sont confrontés à un autre acte de génocide à moins qu’il ne soit arrêté rapidement et que les responsables et les autorités s’expliquent. Ils déclarent que ce n’est pas la grippe qui a tué dans la grippe espagnole de 1917, mais les vaccinations qui ont fait 50 millions de morts dans le monde.

Ils déclarent que le programme de vaccination proposé dans le monde est une guerre biologique livrée à l’humanité.

DOMMAGES / INFRACTIONS

Mesures Covid : les plaignants déclarent que les gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux ont suivi l’exemple « d’une déclaration de pandémie par l’OMS », organisation qui a manipulé la définition de pandémie pour l’adapter à son propre programme néfaste (et engagée dans un acte de génocide au Kenya). La déclaration de pandémie n’était pas fondée sur des avis médicaux, mais plutôt sur les conseils d’une organisation corrompue et génocidaire.

Tous provinciaux et gouvernements municipaux ont emboîté le pas en fondant leurs actions sur une déclaration de pandémie par l’OMS.

Mesures fédérales

J. Trudeau a tenu (tient) des conférences de presse quotidiennes pour « informer » les Canadiens sur décrets et arrêtés, tels que « rester à la maison », qui n’ont aucune valeur juridique, nonobstant le fait qu’ils ont été appliqués par des agents d’exécution municipaux et provinciaux, mais à aucun moment le Parlement fédéral n’a invoqué la loi fédérale sur les urgences.

Mesures provinciales

Le 17 mars 2020, le premier ministre de l’Ontario, et son gouvernement ont invoqué la loi provinciale sur la gestion des urgences et la protection civile, avec un état déclaré « urgence », prorogé en Juillet 2020, et ont adopté à ce jour, 48 règlements avec ordonnances d’exécution.

L’effet net et sommaire des ordonnances contenues dans le règlement est le suivant :

Ordonner la fermeture de toutes les entreprises, à l’exception des entreprises «  essentielles  » liées à la nourriture et à la médecine.

Une «distance sociale» de deux (2) mètres; pas de «  rassemblement public  » de plus de cinq personnes sans lien de parenté, avec distance « de deux mètres, augmentée par la suite à dix personnes; fermetures de restaurants et de bars, à l’exception du service à emporter; fermeture matérielle de toutes les écoles, garderies et universités publiques et privées ; usage obligatoire des masques faciaux, mandaté par le Ministère de la Santé, à tous les collèges de services médicaux de réglementation médicale, pour diriger tous leurs membres autorisés d’imposer le masquage obligatoire de tous les patients, employés et membres, dans leur lieu de travail; fermeture de toutes les commodités du parc, y compris toutes les aires de jeux et les installations les enfants ; élimination des programmes individuels et de tous les autres programmes destinés aux enfants ayant des besoins spéciaux, et ceux qui souffrent de handicaps neurologiques et physiques

Interdire tous les rassemblements publics de plus de cinq personnes, nonobstant une distance de deux mètres, y compris l’interdiction des services religieux, y compris restriction sur les mariages, les funérailles et autres actions religieuses, rituels et rites.

La disposition relative aux infractions, à la mise en accusation et à l’imposition de lourdes amendes violation des ordonnances, avec l’impossibilité de contester ces amendes en tant que la Cour des infractions était (et pourrait à nouveau) être physiquement fermée et la Cour provinciale les contraventions à la Loi sur les infractions indiquent clairement que l’accusation et la ligne ne peuvent pas être «  postées  » mais que la personne doit se présenter physiquement à la Cour des infractions provinciales pour déposer une défense des accusations, seulement pour trouver un palais de justice fermé.

La Ville d’Ottawa a adopté des règles provinciales et municipales qui imposent des exigences et restrictions sur : masques faciaux, rassemblements sociaux, restaurants, bars, espaces de réunion et d’événement, sports, exercices et gymnases, lieux de culte, casinos, salles de bingo et établissements de jeux, cinémas, installations pour les arts de la scène, vente au détail, services de soins personnels et la liste est longue[31].

Les demandeurs déclarent que les allégations de l’OMS, notre organisme fédéral, les gouvernements provinciaux et municipaux, ainsi que les médias grand public, affirmant que nous sommes face à la plus grande menace pour l’humanité de notre vivant, sont FAUSSES. La modélisation mathématique utilisée pour justifier les mesures de confinement extrême est invalide. 

De plus, la grande majorité de la population ne court aucun risque de complications, ni mortalité résultant de l’exposition au COVID-19.

L’endiguement massif et aveugle des citoyens, la restriction de l’accès à notre économie, aux tribunaux, au parlement et à nos moyens de subsistance, aux soins médicaux et thérapeutiques, et l’obligation de la distanciation physique et d’autres restrictions sont des mesures qui n’ont jamais été mis en œuvre ni testées, sans base scientifique ou médicale.

L’impact de ces mesures sur les plans physique, émotionnel, psychologique et le bien-être économique est profondément destructeur, injustifié et manifestement non durable.

Ces mesures d’isolement drastiques ne sont pas étayées par des preuves. Il existe un consensus considérable dans la communauté scientifique sur le fait que de telles mesures ne sont ni durables ni justifiées, et bien que ces mesures puissent retarder propagation virale, il est peu probable qu’ils aient un impact sur la morbidité globale.

Le fait est que ce discours sur la pandémie du COVID-19 suscite une panique inutile utilisée pour justifier les violations systématiques par le gouvernement des droits et libertés qui forment la base de notre société, y compris nos droits constitutionnels, notre souveraineté, notre vie privée, notre règle de la loi, la sécurité financière et même notre démocratie même. il est clair que des violations significatives des droits et libertés des demandeurs ont été perpétrées par les gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux et les autorités sanitaires.

Le fait est qu’en raison de tout ce qui précède, les demandeurs ont souffert et continuent de souffrir, de graves violations de leurs droits constitutionnels qui ne sont justifiées par aucun mesure, y compris l’art. 1 de la Charte.

Les préjudices / actes répréhensibles des plaignants seront plus spécifiquement placés dans un futur document. L’urgence de déposer ce document est primordiale.

CONCLUSION

Les plaignants allèguent d’actions délictuelles générales et manquement à obligation fiduciaire, méfait dans la fonction publique, négligence grave, ainsi que délits de voies de fait, y compris délit de génocide et apartheid et complicité de génocide et d’apartheid.

Ils déclarent que leurs avocats participent à une alliance mondiale avec avocats, médecins, scientifiques qui expriment une alarme collective contre ces mesures draconiennes non étayées par une démonstration médicale ou scientifique. Ils proposent que l’affaire soit jugée à Ottawa.

Date : 21 décembre 2020

ELDERS WITHOUT BORDERS, MICHAEL SWINWOOD / LIZA SWALE spiritualelders@gmail.com

STACY AMIKWABE et coll. -et- PAPE FRANÇOIS, et al

Les demandeurs


[Notes]

[1] parfaitement traitable par des médicaments classiques comme l’hydroxychloroquine et plusieurs antibiotiques mais aussi, et pour encore moins cher, par l’artémisine ou l’ivermectine,

[2] Linz, Graz, Innsbruck, St. Pölten: Riesiger Zulauf bei Corona-Demos (wochenblick.at) [En allemand]

[3] Certaines décès mesures ont été ainsi qualifiées par la cour constitutionnelle d’Autriche

[4] Plainte contre vaccins géniques reaction19fr

[5] Procédure en vertu de la Loi de 1992 sur les recours collectifs

[6]

[7] Ultra vires (Latin : « beyond the powers ») is a Latin phrase used in law to describe an Act which requires legal authority but is done without it. Its opposite, an act done under proper authority, is intra vires (« within the powers »)

[8] http://www.vatican.va/content/francesco/en/encyclicals/documents/papa-francesco_20201003_enciclica-fratelli-tutti.html

[9] https://www.gavi.org/history-gavi
https://www.gavi.org/operating-model/gavis-partnership-model/bill-melinda-gates-foundation
GAVI-The Vaccine Alliance. L’opportunité d’investissement GAVI COVAX AMC-An. Perspectives de potentiel investisseurs : www.gavi.org

[10] Nouvelles du CEPI. Le Canada augmente le financement de la recherche sur le vaccin COVID-19 du CEPI. 14 décembre 2020 :

https://cepi.net/news_cepi/canada-boosts-funding-for-cepis-covid-19-vaccine-research/

[11]  https://www.who.int/about/who-we-are/history

[12] « Trump et l’OMS : combien les États-Unis donnent-ils ? Quel est l’impact d’une interruption du financement ? », NPR.org. 15 avril 2020; Lee Harding, «Gates, WHO, and Abortion Vaccines», in Frontiers Center for Public Policy, juillet, 19, 2020.

[13] Raila Odinga « La vaccination contre le tétanos est une stérilisation de masse chez les femmes », 12 septembre 201 : https://www.standardmedia.co.ke/kenya/article/2001254261/raila-tetanus-vaccination-is-a-mass-sterilization-on-.

[14] Département américain de la justice. Bureau des affaires publiques. « Le ministère de la Justice annonce la plus grande fraude dans les soins de santé : « Pfizer paiera 2,3 milliards de dollars pour un marketing frauduleux ». 2 septembre 2009.

[15] 20 Sheila Gunn Reid. « Le gouvernement fédéral garde des records sur le rôle de Theresa Tam à l’Organisation mondiale de la santé ». 14 décembre 2020.

[16] Gouvernement du Canada. Actes codifiés. Loi sur les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre. SC 2000, ch. 24.

[17] 22 Dr David Williams, médecin hygiéniste en chef de l’Ontario, et Dre Barbara Yaffe, médecin-chef adjoint agent de santé, fait le point sur le COVID-19, sur : Le Parlement de l’Ontario

[18] « Les Constitutions de la Compagnie de Jésus et leurs normes complémentaires : une traduction anglaise complète des textes latins officiels », Institut des sources jésuites, (Saint Louis, 1996).

[19] Histoire secrète, Paris, supra note 4.

[20] Le major-général Dany Fortin, ancien commandant de l’OTAN en Irak, supervisera le groupe de travail conformément à l’annonce du 27 novembre 2020. Sa Majesté la Reine Elizabeth II fait rapport à Rome, le Canada est une colonie, tous les chemins mènent à Rome.

[21] http://www.vatican.va/content/francesco/en/encyclicals/documents/papa-francesco_20150524_enciclica-laudato-si.html Lettre encyclique Fratelli Tutti., (3 octobre 2020), supra note 1.

[22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jus_cogens :
Le jus cogens (du latin droit contraignant, souvent traduit par norme impérative) concerne des principes de droits réputés universels et supérieurs et devant constituer les bases des normes impératives de droit international général. Cette notion est définie par la Convention de Vienne du 23 mai 1969, dans son article 53 : « Aux fins de la présente Convention, une norme impérative de droit international général est une norme acceptée et reconnue par la communauté internationale des États dans son ensemble en tant que norme à laquelle aucune dérogation n’est permise et qui ne peut être modifiée que par une nouvelle norme du droit international général ayant le même caractère.

[23] -Convention des Nations Unies pour la prévention et la répression du crime de génocide. Résolution 260 A de l’Assemblée générale (III) du 9 décembre 1948 12 janvier 1951, conformément à l’article XIII. (Convention sur le génocide, 1948).
– La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (DNUDPA) a été adoptée par l’Assemblée du jeudi 13 septembre 2007.
– Loi sur les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre. SC 2000, ch. 2.
– Code criminel du Canada (LRC, 1985, c. C-46), art. 318 (2).

[24] ONU, Pacte international relatif aux droits civils et politiques, 1966
Gouvernement du Canada, Loi sur les crimes contre l’humanité et Loi sur les crimes de guerre, SC 2000 C.24

[25] Génocide signifie : « Tuer des membres du groupe, Imposer des conditions de vie conçues pour causer un préjudice physique ou mental ; Soumettre délibérément au groupe des conditions de vie censées apporter de sa destruction physique en tout ou en partie ; Imposition d’une mesure destinée à empêcher les naissances au sein du groupe ; Transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe ».

[26] En particulier : attaque dirigée contre toute population civile signifie un comportement impliquant les multiples commissions d’actes visées au paragraphe 1 contre toute population civile, en vertu de ou en faveur d’un état de politique organisationnelle pour commettre de telles attaques

[27] Un traitement médical ne peut être effectué qu’après qu’un patient informé du but, de la nature, des droits et des conséquences de l’intervention et y a librement consenti. Ce principe a ses origines dans le « Code de Nuremberg » de 1947, qui a été développé lors du procès des Nazis médecins qui ont mené des recherches sur les prisonniers des camps de concentration.
Article 13 : « Une intervention visant à modifier le génome humain ne peut être entrepris à des fins préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si son but est de n’introduire aucune modification dans le génome de ses descendants.

[28] Partie I de la Loi constitutionnelle de 1982. Charte canadienne des droits et libertés, art 7, partie 1 de la Loi constitutionnelle, 1982, étant l’annexe B de la Loi de 1982 sur le Canada (Royaume-Uni), 1982, c 11.

[29] Déclaration universelle sur le génome humain et les droits de l’homme (1997), Convention d’Oviedo. Les chercheurs doivent assurer un équilibre entre les risques potentiels et les bénéfices de la recherche et que les risques ont été minimisés (ligne directrice 8).

[30] 57 Zhang L 2020bioRxiv

[31] Note de l’auteur de l’article : nous ne pouvons qu’être fascinés par le copier-coller des mesures de restriction à travers le monde indépendamment d’une quelconque extension de l’épidémie alléguée. Cela confirme que tous les gouvernements soumis à l’OMS ont pris leurs ordres auprès de l’organisation comme le stipulait l’accord des 194 pays signés en 2017. Contrairement à l’incompétence alléguée pendant les premiers mois de la crise, tout était soigneusement préparé. www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la-conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont




Reiner Fuellmich : avocats et médecins contre l’arnaque du COVID-19!

[Source : Jeanne Traduction via Planetes360]




Le plan diabolique de la Cabale pour la France

[Source : La cause du peuple]

[Auteur : Hannibal GENSÉRIC]

Et bien nous y voilà. Ce que nous refusions de croire se produit dans notre pays. L’impensable, l’inimaginable nous allons le subir aussi, à moins d’un miracle. L’urgence sanitaire permettra d’emprisonner tout citoyen au nom de la lutte contre le Covid. Par ailleurs François Bayrou nommé par Macron au Haut Commissariat au Plan est chargé de la mise en œuvre du plan imposé par les cartels bancaires !

Voilà le pouvoir exorbitant accordé au gouvernement par 399 députés LREM, LR et Modem :

Image

C’est désormais notre tour aussi…

Et bien nous y voilà. Ce que nous refusions de croire se produit dans notre pays. L’impensable, l’inimaginable nous allons le subir aussi, à moins d’un miracle.
La dictature continue à se mettre en place semaine après semaine dans l’indifférence générale !
Cette loi adoptée le 4/11/2020 permettra à la police de nous emprisonner SANS passer par un Juge sous prétexte de lutte contre la pandémie ! Et cela, quelle que soit la gravité ou non de notre prétendu délit !

Sans aucun jugement nous pourrons être « incarcéré ou transféré dans un établissement pénitentiaire à des fins de lutte contre l’épidémie de COVID« 
Donc mise en place de la vaccination obligatoire par la force.

Source : Assemblée Nationale 

François Bayrou nommé par Macron au Haut Commissariat au Plan est chargé de la mise en oeuvre du plan imposé par les cartels bancaires ! Vous noterez que ce plan est identique à la virgule près, à celui qui a été révélé par Randy Hillier, le député canadien de l’Ontario, sur la tyrannie qui se met en place au Canada et que nous avons publié il y a une semaine. Cet article révélant ce plan diabolique, avec preuves à l’appui, est depuis une semaine, massivement lu et partagé sur la toile. La preuve que nous sommes nombreux à prendre conscience des dangers qui nous menacent.

Ce plan criminel est dénoncé par des députés canadiens intègres, par des collectifs de médecins, de virologues, de scientifiques de nombreux pays, par le général Mike Flynn, l’archevêque Vigano, Robert F. Kennedy, par le collectif d’avocats regroupant 60 pays et dont Maître Reiner Fuellmich est la figure marquante. 

De nombreux journalistes indépendants dont votre serviteur, sont censurés par Facebook et Youtube ainsi que de nombreux lanceurs d’alerte comme Silvano Trotta en France, Jean Jacques Crevecoeur et Alexis Cossette-Trudel au Canada. Nous sommes très nombreux à voir nos comptes fermés sur les réseaux sociaux américains, véritables machines à censure de la Résistance internationale qui s’organise dans tous les pays.

Malgré cette censure massive et systématique, l’information libre et indépendante réussit à se faire entendre et sur Mediazone, nous faisons l’impossible pour vous tenir informés de tout ce que les médias mainstream, complices des gouvernements criminels, vous cachent.

Donc voici l’essentiel de ce qu’il est vital que vous sachiez.
Ne gardez pas l’information pour vous seuls. Même si l’on se moque de vous et que l’on vous traite de complotistes et d’illuminés, n’en tenez pas compte ! Écoutez la voix de votre conscience et partagez cette information car elle est vitale pour nous tous. Si nous arrivons à vaincre la Cabale ou à empêcher la réalisation de son plan diabolique, même les incrédules et les ingrats vous remercieront de leur avoir ouvert les yeux !

La France doit donc appliquer la même feuille de route que les autres pays. Pour l’instant les pays membres du Commonwealth, CanadaAustralie,  Nouvelle Zélande suivis du Royaume Uni ont mis en application le plan imposé par le FMI et la Banque Mondiale et sont même en avance sur nous ! Mais les autres pays de l’OTAN ne sont pas en reste et continuent d’imposer les mêmes mesures suicidaires, mesures qui conduisent à la destruction de l’économie et qui favoriseront le grand hold up des cartels bancaires sur la propriété privée, en échange du revenu universel, lié bien sûr à l’acceptation de la vaccination. Difficile de ne pas voir derrière cette stratégie la mise en esclavage de l’humanité.

C’est maintenant notre tour !

À peine arrivé au Haut Commissariat au Plan, François Bayrou n’a pas attendu longtemps pour se mettre au travail et profiter de cette pseudo-crise covidienne pour mener à bien la suite de l’agenda prévu par l’Élite. Dans une note qui nous a été transmise, il propose au gouvernement une série d’actions délirantes et inquiétantes afin de nous amener au Grand Reset financier voulu par la Cabale.

Voici, en résumé, ce que prévoit cette note :

  • Mise en place progressive des restrictions de circulation sur une base continue, en commençant par les grandes régions métropolitaines d’abord et s’étendant vers l’extérieur.
    Prévu d’ici novembre 2020.
  • Accélérer l’acquisition (ou la construction) d’installations d’isolement dans chaque région et département.
    Prévu d’ici décembre 2020.
  • De nouveaux cas quotidiens de COVID-19 surviendront au-delà de la capacité de test, y compris des augmentations de COVID, décès « liés » suivant les mêmes courbes de croissance.
    Attendu d’ici fin novembre 2020.
  • Confinement complet et total (beaucoup plus strict que la première et la deuxième phase de restrictions).
    Prévu fin décembre 2020 – début janvier 2021
  • – Réforme et extension du programme de chômage pour faire la transition vers le programme de base de revenu universel.
    Prévu d’ici le premier trimestre 2021.
  • Mutation projetée du COVID-19 et/ou co-infection avec un virus secondaire (appelé COVID-21) conduisant à une troisième vague avec un taux de mortalité et un taux d’infection beaucoup plus élevé.
    Attendu pour février 2021.
  • De nouveaux cas quotidiens d’hospitalisations au COVID-21 et de décès liés au COVID-19 et au COVID-21 vont  dépasser la capacité des établissements de soins médicaux.
    Prévu T1 – T2 2021.
  • De nouvelles restrictions (appelé troisième confinement ) seront mises en œuvre.
    Prévu T2 2021.
  • Transition des individus dans le programme de revenu de base universel.
    Prévu mi T2 2021.
  • Ruptures projetées de la chaîne d’approvisionnement alimentaire, pénuries de stocks de tous ordres, grande instabilité économique.
    Prévu tard T2 2021.
  • Déploiement de personnel militaire dans les principales métropoles ainsi que sur toutes les routes principales pour établir des points de contrôle de voyage. Limitation des déplacements.
    Prévu pour le troisième trimestre 2021.

[Voir aussi, avec le même genre de calendrier : LE CANADA DEVIENT TYRANNIQUE! 2nd verrouillage «total»; CAMPS DE CONCENTRATION pour réfractaires. S’agit-il dans les deux cas d’un canular ? Ou bien est-ce réel ? À chacun d’en juger.]

Parallèlement à cette feuille de route fournie, le Commissariat au plan a été invité à concevoir un moyen de transition pour répondre à une mobilisation économique sans précédent. Cela changerait le visage de chaque nation et changera à jamais la vie des citoyens.

Ce qu’on nous a dit, c’est que pour compenser ce qui était essentiellement un effondrement économique à l’échelle internationale, le gouvernement allait offrir aux citoyens une annulation totale de la dette.

Voici comment cela fonctionne : le gouvernement offrira d’éliminer toutes les dettes personnelles (hypothèques, prêts, cartes de crédit, etc.) dont tout le financement sera fourni à chaque nation par le FMI dans le cadre de ce qui deviendra le programme mondial de réinitialisation de la dette.

En échange de l’acceptation de cette remise totale de la dette, l’individu perdrait la possession de tous ses biens, de toutes propriétés et actifs pour toujours.

L’individu devrait également accepter de participer au Calendrier de vaccination COVID-21, qui offrirait à l’individu la possibilité de voyager sans restriction et de vivre sans restriction, même sous un confinement complet grâce à l’utilisation d’une pièce d’identité avec photo (Passeport Santé Biométrique).

Cette feuille de route est semblable à celle que l’on pourrait trouver dans la plupart des pays du monde et déjà mise en œuvre avec succès dans les pays faibles comme le Bengladesh.

La lutte entre l’Alliance et la Cabale entamant son dernier round, les événements s’accélèrent.

Vous constatez tous que nous ne sommes pas dans un délire de complotistes mais dans une effrayante réalité. Ceux qui continuent à douter ne viendront pas gémir quand le piège se sera refermé sur eux. On ne peut pas convaincre les incrédules, les endormis, les naïfs et les inconscients.  

Nous journalistes indépendants – (Vanessa Beeley, Pepe Escobar, Youssef Hindi, Darvinson Rojas, Alexis Cossette-Trudel, Chen Qiushi, Mohammad Masaed, Ruth Michaelson, Szabolsc Panyi, et beaucoup d’autres) – avons subi censures sur les réseaux sociaux, insultes et moqueries dans les médias mainstream et menaces depuis le début de cette fausse pandémie, pandémie que nous dénonçons comme la plus vaste conspiration criminelle imposée à l’humanité, basée sur des mensonges d’Etats. Et pourtant tout ce que nous écrivons depuis début 2020 se confirme aujourd’hui sous nos yeux !

Le collectif d’avocats regroupant 60 pays du monde mené par Maître Reiner Fuellmich qui traine en justice les corporations impliquées dans ce plan machiavélique pour crimes contre l’humanité, constitue la preuve ultime que les journalistes indépendants disaient la vérité.

Beaucoup attendent que Trump soit le sauveur du monde et qu’il empêchera cette conspiration criminelle d’atteindre ses objectifs. Ne rêvez pas car même si Trump est élu ou battu, les États-Unis vont sombrer dans la guerre civile. C’est le plan de balkanisation qu’a prévu la Cabale pour détruire ce pays. La guerre de tous contre tous pour que les Américains s’épuisent, s’autodétruisent et pour que les survivants finissent par supplier de vivre en sécurité sous le régime totalitaire des banquiers.

L’heure n’est plus aux incantations et aux faux espoirs mais à l’urgence vitale de sauver nos vies et la vie de nos familles et de nos enfants. Préparez-vous et organisez-vous pour votre propre survie. Si vous le pouvez, commencez à regrouper vos forces et vos moyens car affronter seuls et isolés des autres le malheur qui va s’abattre sur nous, équivaut à un suicide !

Ne vous laissez pas manipuler par les attentats sous faux drapeau attribués à des prétendus « islamistes » car ces opérations n’ont pour but que de détourner votre attention, faire monter la peur et la tension.

Les gouvernements occidentaux sont tous soumis à la Cabale, à Bilderberg, à la Banque Mondiale et au FMI. Ils sont leurs agents. Ce sont tous des corrompus et des criminels n’en doutez pas et les mesures anti-covid qui vont détruire l’économie et nos vies sont bien la preuve qu’ils sont en mission pour le Grand Reset au service des cartels bancaires.

Prions pour que la journée du 3 novembre nous soit favorable et signe l’arrêt de mort de ce maléfique gouvernement mondial mais charité bien ordonnée commence par soi-même.

Prions en espérant le meilleur mais soyons prêts à affronter le pire.

Source : Le Pouvoir Mondial aux Peuples

NOTES

[1]  Canada. Le gouvernement acquiert des «guillotines hydrauliques programmables» nécessaires «à l’appui de la réponse au COVID-19»
–  Canada. Ce n’est plus une théorie du complot: le premier ministre canadien Justin Trudeau annonce que la pandémie de COVID-19 est une «opportunité» pour la «grande réinitialisation»
–  COVID-Arnaque. Voici le plan (fuité) du verrouillage mondial et de la confiscation de nos biens et de nos libertés

Hannibal GENSÉRIC




La fausse pandémie de Covid-19 est le plus grand crime contre l’Humanité, selon un avocat allemand

[Source : Fils de Pangolin]

Bonjour, je m’appelle Reiner Fuellmich et je suis admis au barreau en Allemagne et en Californie depuis 26 ans. J’ai pratiqué le droit principalement en tant qu’avocat plaidant contre des sociétés frauduleuses telles que la Deutsche Bank, autrefois l’une des plus grandes banques du monde et des plus respectées, aujourd’hui l’une des organisations criminelles les plus toxiques au monde. VW, l’un des constructeurs automobiles les plus importants et les plus respectés au monde, aujourd’hui connu pour sa fraude géante sur le diesel et Kuehne and Nagel, la plus grande compagnie maritime du monde, que nous poursuivons dans une affaire de corruption de plusieurs millions de dollars. Je suis également l’un des quatre membres de la commission d’enquête allemande sur le Corona. Depuis le 10 juillet 2020, ce comité écoute un grand nombre de témoignages de scientifiques et d’experts internationaux pour trouver des réponses aux questions sur la crise du Corona, que de plus en plus de personnes dans le monde entier se posent. Tous les cas de corruption et de fraude commis par les entreprises allemandes mentionnés ci-dessus sont dérisoires en comparaison de l’ampleur des dommages que la crise du Corona a causés et continue de causer. Cette crise du Corona, selon ce que nous savons aujourd’hui, doit être rebaptisée « scandale du Corona ». Et les responsables de cette crise doivent être poursuivis pénalement et pour dommage civil. Sur le plan politique, tout doit être fait pour que plus jamais personne ne soit en position de pouvoir tromper l’humanité ou tenter de nous manipuler avec ses programmes corrompus. C’est pourquoi je vais maintenant vous expliquer comment et où un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : le scandale de la fraude Corona, qui s’est entre-temps transformée en probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis.

Les crimes contre l’humanité ont été définis pour la première fois dans le cadre des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire lorsqu’ils ont concerné les principaux criminels de guerre du troisième Reich. Aujourd’hui, les crimes contre l’humanité sont régis par l’article 7 du Code pénal international. Les trois grandes questions auxquelles il faut répondre dans le cadre d’une approche judiciaire du scandale du Corona sont les suivantes:
1- Y a-t-il une pandémie de Corona ou seulement une pandémie de test PCR ? Plus précisément, un résultat positif au test PCR signifie-t-il que la personne testée est infectée par le Covid-19 ou cela ne signifie-t-il absolument rien en rapport avec l’infection par le Covid-19 ?

2- Les mesures dites anticorona telles que le confinement, les masques faciaux obligatoires, la distanciation sociale et les règlements de quarantaine servent-ils à protéger la population mondiale contre le Corona ? Ou ces mesures ne servent-elles qu’à faire paniquer les gens pour qu’ils croient, sans se poser de questions, que leur vie est en danger afin, qu’en fin de compte, les industries pharmaceutiques et technologiques puissent générer d’énormes profits grâce à la vente des tests PCR, tests antigènes et anticorps et vaccins, ainsi qu’à la récolte de nos empreintes digitales génétiques ?

Et 3- Est-il vrai que le gouvernement allemand a fait l’objet d’un lobbying massif ? Plus que tout autre pays, les principaux protagonistes de cette soi-disant pandémie de Corona, M. Drosten, virologiste à l’hôpital de la Charité à Berlin, M. Wheeler, vétérinaire et chef de l’équivalent allemand du CDC, le RKI, et M. Tedros, chef de l’Organisation mondiale de la santé ou OMS, ont fait savoir que l’Allemagne était un pays particulièrement discipliné et qu’elle devait donc devenir un modèle pour le reste du monde pour son respect strict, et bien sûr réussi, des mesures de lutte contre le Corona.

Source [en anglais] ➡️ https://youtu.be/kr04gHbP5MQ

https://youtu.be/UQFZHtnW8DY



Me Carlo Alberto Brusa dépose une plainte pénale relative aux vaccins auprès du Procureur de la République près le Tribunal Judiciaire de Paris sous le numéro 20351000746

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Me Carlo Alberto Brusa, président du cabinet CAB Associés, dépose une plainte pénale relative aux vaccins COVID-19 auprès du Procureur de la République près le Tribunal Judiciaire de Paris, en France, sous le numéro 20351000746. Me Brusa est un exemple à suivre par tous les avocats, de tous les pays.

Cette plainte de l’association Réaction 19, présidée par Messieurs Carlo Alberto Brusa et Riccardo Mereu, sera assurément transmise aux Premiers Ministres du Canada, du Québec et des autres provinces canadiennes, aux Directeurs de la santé publique du Canada, aux Ordres professionnels, aux personnes et organismes impliqués, à des degrés divers, dans les restrictions injustifiées et imposées au peuple canadien dans le cadre de la crise de Covid-19. Cette plainte française leur sera transmise pour les avertir que des procédures légales très sérieuses seront bientôt entreprises contre eux.

Le Gouvernement use d’une stratégie visant à faire régner la terreur au sein de la population, et d’une interdiction de déplacement et d’accès à certains lieux publics afin de contraindre moralement la population à adopter une thérapie génique. En effet, au vu de l’ensemble des études réalisées et des risques constatés, ainsi que de la stratégie mise en place, il ne fait aucun doute que le Gouvernement avait conscience qu’il ne pouvait obtenir l’accord de la population sans exercer cette contrainte morale.

Le délit d’extorsion est donc caractérisé. Au surplus, l’extorsion, lorsqu’elle est commise au préjudice d’une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur, est aggravée. « Commet une extorsion quiconque, sans justification ou excuse raisonnable et avec l’intention d’obtenir quelque chose, par menaces, accusations ou violence, induit ou tente d’induire une personne, que ce soit ou non la personne menacée ou accusée, ou celle contre qui la violence est exercée, à accomplir ou à faire accomplir quelque chose. » (Code criminel (L.R.C. (1985), ch. C-46))

En l’espèce, ce délit est commis en priorité à l’encontre des personnes âgées et présentant des comorbidités, c’est-à-dire souffrant d’une pathologie préexistante à l’infection. La condition d’âge avancé et de maladie ne peut être ignorée par le Gouvernement puisque ces conditions constituent l’objet même de leur intervention. Le délit d’extorsion aggravé est donc caractérisé en tous ses éléments.

https://youtu.be/IPCxf-qS5wo

Crime contre l’humanité — Le code de Nuremberg

Nous avisons aussi les Gouvernements fédéral et provinciaux du Canada, les Ordres professionnels du Canada, les personnes et organismes canadiens impliqués, à des degrés divers, dans les restrictions injustifiées et imposées au peuple canadien dans le cadre de la crise de Covid-19, que des procédures judiciaires sont actuellement entreprises auprès de la Cour pénale internationale dans le cadre d’une plainte pour crime contre l’humanité.

Il s’agit d’un travail international incluant des avocats français, allemands, italiens, américains. On y retrouve bien sûr Me Carlo Alberto Brusa du cabinet CAB Associés, Me Reiner Fuellmich (médecin légiste) du cabinet Dr Fuellmich, ainsi que Robert F. Kennedy Jr., fils de Robert F. Kennedy et neveu de l’ancien président John F. Kennedy. Ce dernier est associé dans le cabinet d’avocats Kennedy & Madonna, LLP. Évidemment, cette plainte s’étendra au Canada devant la Cour pénale internationale.

Le code de Nuremberg n’est nullement le point de départ de la réflexion éthique et juridique sur l’expérimentation humaine : il récapitule des principes connus et acceptés très antérieurement au jugement, depuis au moins le début du XXe siècle. Toutefois, il constitue bien le premier texte à prétention universelle (internationale) sur le sujet. Ainsi, le tribunal n’a pas jugé sur des règles qui auraient été inventées spécialement pour le procès (ce qui aurait été contraire à tous les principes du droit pénal), mais selon les règles coutumières communément acceptées « dans les nations civilisées »



Trials of War Criminals Before the Nuernberg Military Tribunals Under Control Council Law No. 10. October 1946 – April 1949, Vol. II, Chap. XII Judgment, « Permissable Medical Experiments », pp. 181-184.

Les expériences médicales acceptables :

  1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ;
  2. L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature ;
  3. L’expérience doit être construite et fondée de façon telle sur les résultats de l’expérimentation animale et de la connaissance de l’histoire naturelle de la maladie ou autre problème à l’étude, que les résultats attendus justifient la réalisation de l’expérience ;
  4. L’expérience doit être conduite de façon telle que soient évitées toute souffrance et toute atteinte, physiques et mentales, non nécessaires ;
  5. Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori de croire que la mort ou des blessures invalidantes surviendront ; sauf, peut-être, dans ces expériences où les médecins expérimentateurs servent aussi de sujets ;
  6. Le niveau des risques devant être pris ne doit jamais excéder celui de l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience ;
  7. Les dispositions doivent être prises et les moyens fournis pour protéger le sujet d’expérience contre les éventualités, même ténues, de blessure, infirmité ou décès ;
  8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes scientifiquement qualifiées. Le plus haut degré de compétence professionnelle doit être exigé tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent ;
  9. Dans le déroulement de l’expérience, le sujet humain doit être libre de mettre un terme à l’expérience s’il a atteint l’état physique ou mental où la continuation de l’expérience lui semble impossible ;
  10. Dans le déroulement de l’expérience, le scientifique qui en a la charge doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a été conduit à croire — dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence du plus haut niveau et du jugement prudent qui sont requis de lui — qu’une continuation de l’expérience pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet d’expérience.

Sur les dix principes énoncés, ce qui nous intéresse judiciairement, bien entendu, ce sont les exigences qui sont de nature purement juridique — ou qui, au moins, sont si clairement liés aux questions juridiques qu’elles nous aideront à déterminer la culpabilité et la sanction criminelles. Aller au-­delà nous conduirait sur un terrain qui excède notre sphère de compétence. (Plus d’information sur cette page)



EXPOSÉ DES FAITS ET DE LA PROCÉDURE :

1. Le contexte sanitaire et politique :

Depuis le début de la crise sanitaire liée à la maladie virale Covid-19, le « vaccin » est désigné comme l’unique solution pour mettre un terme définitif à la pandémie de la Covid-19, dont l’origine demeure encore inconnue. Dès mars 2020, les laboratoires se sont engagés à fournir un « vaccin » contre la Covid-19 dans les 12 à 18 mois à venir, et ce alors même que « l’élaboration d’un vaccin s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans ».

À la mi-novembre, plusieurs laboratoires pharmaceutiques ont diffusé, par voies de communiqués de presse, les premiers résultats d’efficacité. Les laboratoires Pfizer, BioNTech puis Moderna annoncent à tour de rôle avoir créé un « vaccin » contre la Covid-19 efficace à plus de 90%, puis 95%. L’ensemble de ces études a été réalisé de manière totalement opaque, en un temps record préoccupant, et sans permettre la moindre vérification de leurs résultats par un organisme indépendant.

En ce sens, le Professeur Christian Perronne a alerté lors d’une déclaration publiée par France Soir le 8 décembre 2020 dans les termes qui suivent :

« Le plus inquiétant : de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels et fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse. »

En effet, il est avéré qu’il n’y a, aujourd’hui, aucune certitude quant à l’efficacité de ce « vaccin ». Preuve en est, Monsieur Alain Fischer lui-même, médecin immunologue désigné par le Premier Ministre pour coordonner la stratégie vaccinale de l’État contre le Covid-19, a déclaré le 5 décembre 2020 :

« La solution prendra du temps, c’est de savoir si le vaccin, d’une part, protège l’individu vacciné contre l’infection {.) mais aussi protège contre la transmission (…) Il faudra probablement plusieurs mois pour avoir ce dernier type d’information qui aura un impact sur les politiques de vaccination » (mis en gras par nos soins).

Ainsi, la personne en charge de la vaccination en France explique clairement, qu’au 5 décembre, et ce pendant encore plusieurs mois, il est impossible de connaître l’efficacité du « vaccin » proposé par les différents laboratoires. Plus troublant encore, le groupe pharmaceutique Pfizer à déjà fait l’objet d’une plainte aux États-Unis pour « pratiques commerciales frauduleuses » à propos de la commercialisation de plusieurs médicaments (le Bextra, le Zyvox, le Geodon et le Lyrica) et a été contraint de verser une amende « record » de 2,3 milliards de dollars.

En outre, les essais cliniques ont alerté sur les effets secondaires constatés après avoir reçu le vaccin Pfizer contre la Covid-19 :

« Après avoir reçu l’injection, 63 % des sujets de l’essai ont signalé de la fatigue et 55 % ont déclaré souffrir de maux de tête. Des frissons ont été signalés par 32% des participants, 24 % se sont plaints de douleurs articulaires et 14 % ont développé une fièvre. »

Plus grave encore, certains patients auraient contracté la paralysie de Bell, un trouble du nerf facial qui entraîne une paralysie du visage, et six d’entre eux sont décédés pendant les essais cliniques.

Or, c’est dans ce contexte de risques et d’incertitude la plus totale que le Président de la République a affirmé, lors de son allocution du 24 novembre 2020, en violation évidente du principe de précaution, que la « campagne de vaccination » commencerait « dès fin décembre, début janvier ».

Au surplus, cette annonce a été réalisée alors que l’opportunité du principe même de la vaccination dans le cadre du virus de la Covid-19 est très controversée dans le milieu médical, notamment eu égard à sa faible efficacité, à sa dangerosité et au manque de recul face à cette nouvelle technologie.

VOUS POUVEZ TÉLÉCHARGER :

À propos de Maître Carlo Alberto Brusa

Maître Carlo Alberto Brusa préside le cabinet CAB Associés et coordonne l’ensemble des dossiers traités par les avocats collaborateurs. Il a été chargé de cours de Droit à l’Université de Paris II Assas et de l’Université Paris IV, Panthéon Sorbonne et a commencé son activité d’avocat en 1994. En 1996 il créait son cabinet individuel dont l’enseigne est devenue Cabinet Brusa en 2001. Le Cabinet Brusa s’est développé jusqu’à devenir, au 1er janvier 2017, la société d’avocats CAB Associés, dont Maître Carlo Alberto Brusa est le président.

Il a créé avec Riccardo Mereu et Hélène Plumet une association sans but lucratif, ayant pour dénomination « Réaction 19 ». Le premier objectif de cette association est :

« De mettre en œuvre toutes les voies de droit, toutes les actions juridiques et judiciaires, tant civiles que pénales, pour voir sanctionner et réparer toutes les atteintes portées aux personnes physiques et morales à la suite notamment des mesures législatives, décrétales et réglementaires, des décisions administratives individuelles et collectives, prises par toutes les autorités de l’Etat français et de l’Union européenne dans le cadre de la pandémie du Covid-19, ayant eu comme effet de priver les citoyens de leurs droits essentiels, notamment le droit à la santé, le doit d’aller et venir, le droit au travail, le droit d’entreprendre, le droit au commerce ainsi que le droit à sauvegarder un lien générationnel avec les personnes âgées. »


  • Loi sur les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre (L.C. 2000, ch. 24) : Loi concernant le génocide, les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre et visant la mise en oeuvre du Statut de Rome de la Cour pénale internationale, et modifiant certaines lois en conséquence.
  • Le Statut de Rome de la Cour pénale internationale (le Statut) : « Aux fins du présent Statut, on entend par crime contre l’humanité l’un quelconque des actes ci-après lorsqu’il est commis dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique lancée contre toute population civile et en connaissance de cette attaque : Extermination, Réduction en esclavage ; (…), Stérilisation forcée, (…), Autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale. »
https://youtu.be/27pr7DaewFc