Procès Reiner Fuellmich – Interview de Me Katja Wörmer – « Reiner est très combatif, le vent est en train de tourner »

[Source : francesoir.fr]

Mercredi 10 et vendredi 12 juillet se tenait la 19ème journée d’audience dans le cadre du procès opposant l’avocat Reiner Fuellmich à ses anciens associés du Comité Corona. Une histoire abracadabrante que Kerstin Heusinger journaliste citoyenne, a suivie pour France-Soir. En sortie d’audience, elle a interviewé Me Katja Wörmer l’avocate de Reiner Fuellmich.

Pour rappel, Reiner Fuellmich, avocat de grande renommée internationale pour, avoir pris la défense des droits des citoyens et pour ses victoires face à Volkswagen et Deutsche Bank, avait créé le Comité Corona avec 3 autres associés. Ces derniers l’ont accusé de détournement de fonds. Il est en détention depuis le mois d’octobre 2023 suite à sa « déportation » depuis le Mexique vers l’Allemagne où il a été arrêté.

Pour quelques centaines de milliers d’euros, dont la preuve du détournement n’a pas réellement été apportée, Reiner Fuellmich est maintenu en détention à la prison de Göttingen en Allemagne. Les demandes de mise en liberté conditionnelle faite par Me Wörmer et Me Misère ont été refusées au motif que Reiner Fuellmich pourrait être tenté de se soustraire à la justice.

Après une période difficile, le tribunal semble avoir pris la mesure des choses et les demandes de preuve de Me Wörmer et Me Misere sont nombreuses.  Ils ont déposé une nouvelle demande de mise en liberté conditionnelle. Reiner Fuellmich a indiqué qu’il voulait que le procès se tienne.

Les conditions de détention de Reiner Fuellmich sont dures, car il a été isolé des autres codétenus et doit faire ses promenades seul. Reiner a été mis à l’isolement car il donnait des conseils juridiques !  « Il ne peut pas s’en empêcher, Reiner est comme cela, à un moment, il y avait la queue pour ses conseils » indique Me Wörmer.

Il semble que ce soit un mal pour un bien. En effet, les conditions de détention dures ont alerté plusieurs personnes. Et, certains des codétenus et employés de la prison ont pris la mesure de cette procédure bâillon, en se rapprochant de lui. Certains exprimant leur regret sur le fait d’avoir pris l’injection covid. Un des codétenus criant même « Libérez Reiner ».

Le vent tourne et Reiner Fuellmich est déterminé à ce que le procès se tienne pour faire la lumière sur cette affaire.

Pendant ce temps-là, l’audit et la procédure sur la gestion de la crise mis en place par Reiner Fuellmich s’est arrêtée.  Doit-on voir une relation de cause à effet entre les actions de Fuellmich et la position du tribunal ? Il n’y a qu’un pas à franchir.




LE PROCÈS DE REINER FUELLMICH

[Source : ELO Trad]

Greg Reese nous explique la situation dans laquelle se trouve l’avocat Reiner Fuellmich du Comité Corona.
Il est actuellement en procès en Allemagne pour détournement de fonds, mais la réalité en est toute autre.
Il semble que la justice puisse enfin être rendue.

[Voir aussi :
Des nouvelles de Reiner Füellmich
et
Message personnel de Reiner Fuellmich au début de l’année]






Message personnel de Reiner Fuellmich au début de l’année

[Source : https://t.me/s/ReinerFuellmichEnglish ou https://t.me/s/ReinerFuellmich (allemand)]

Rosdorf, 03/01/2024

Chers amis, sympathisants et compagnons ! ❤️

Je souhaite à tous une bonne année et j’assure à chacun que je continuerai. Nous ne relâcherons pas notre travail d’éducation et l’enquête juridique qui s’ensuit sur la pandémie.

Bien sûr, il est très difficile pour moi d’être loin de ma femme, de mes chiens, de ma famille et de mes amis. Mais le fait que je reçoive toujours de nouvelles informations par le biais des nombreuses lettres et cartes postales, ainsi que des messages et des récits très personnels, m’aide beaucoup. Tout cela m’aide beaucoup. C’est pourquoi je peux encore dire avec une conviction et une détermination totales : certains craquent sous la pression, pas moi !

Les collègues internationaux, mon ami Dexter et tous les autres sont également toujours prêts à garantir la justice pour tous. Cette fois-ci, le système défaillant ne pourra pas se dresser pour [aider ou faire] le mal.

Dans une communication un peu plus longue dans les prochains jours, je serai en mesure d’expliquer des détails importants concernant à la fois le procès contre moi et notre travail juridique international.

Il ne fait aucun doute que les choses évoluent de plus en plus rapidement dans notre direction. Mais il ne fait aucun doute non plus que l’autre partie lutte pour sa survie, c’est-à-dire qu’elle reste très dangereuse. Ne vous laissez pas intimider ni même décourager : nous exposerons tout ce qui doit être mis au jour et nous ferons en sorte que l’effondrement du système et la transition vers une nouvelle coexistence humaine sans corruption et sans violence soient rendus possibles avec l’aide de la justice.

❤️ Je vous remercie encore pour votre soutien et je remercie notre équipe ICIC pour son travail. ❤️

Je suis convaincu que les criminels qui tentent de nous paralyser et de nous saigner financièrement, moi, ma femme, ma famille et mes amis, non seulement échoueront, mais que chacun d’entre eux paiera. Nous pouvons être ralentis, mais nous ne pouvons pas être arrêtés.

Meilleures salutations, Reiner Fuellmich




Des nouvelles de Reiner Füellmich

[Source : expose-news.com]

Mise à jour : Reiner Füellmich s’exprime. Sa déclaration personnelle et communiqué de presse de la défense

Par Patricia Harrité

Le Dr Reiner Füellmich est emprisonné depuis près de 11 semaines. Il a écrit son propre récit personnel, dont la première partie a été lue à haute voix sur Bittel TV et traduite. Il avait dit : « Ce n’est pas fini. » La pandémie du coronavirus n’était qu’un test pour savoir ce que les gens accepteraient lorsque nous les plongerions dans la panique par la psycho-terreur. Nous devons regarder derrière la propagande de panique pour voir la vérité. » Il a ajouté : « Sans justice, il n’y a pas de paix ni de retour à un monde humain. Cela vaut également pour mon cas. » La traduction anglaise de la première partie peut être trouvée ici.

La traduction officielle des parties 2 et 3 de l’équipe de Reiner Füellmich a été reçue par Elsa Scheider du Sommet de la Vérité la semaine dernière et a été republiée ci-dessous pour nos lecteurs qui ont manifesté leur inquiétude et leur intérêt pour la situation de Reiner (Source). Vient ensuite le communiqué de la défense publié le 23 décembre.

« La vérité — Déclaration personnelle du Dr Reiner Füellmich »

Partie 2 : Le début du Comité Corona

Chers amis, militants et êtres humains intéressés par la vérité.

Ceci est la 2e partie de ma « Déclaration personnelle » pour rendre transparents pour vous tous les événements des dernières semaines, mois et années.

Comment se fait-il que de graves allégations de détournement de fonds aient été portées contre moi publiquement et dans le cadre d’une plainte pénale par quatre anciens compagnons d’armes du Comité Corona ? À quelles personnes j’avais confiance lorsque je travaillais avec le Comité Corona ? Comment se fait-il que je me trouve aujourd’hui dans une prison de haute sécurité en Allemagne — et que je sois totalement innocent ?

Je dois surtout me le reprocher, car mon instinct professionnel m’a clairement trahi (ou je n’ai pas assez écouté), et je n’ai tout simplement pas suffisamment prêté attention aux détails des TO-DO quotidiennes, sinon je l’aurais remarqué le coup d’État prévu bien plus tôt.

Mais tout d’abord :

Ma femme Inka et moi avons vécu avec nos chiens dans notre ranch en Californie du Nord jusqu’au début du mois de juin 2020 et j’ai fait mon travail juridique principalement à partir de là. Lorsque la plandémie a commencé en 2020, nous avons tous deux été immédiatement convaincus que quelque chose n’allait pas ici. J’ai rapidement fait mes valises, car je voulais contribuer à faire la lumière sur la plandémie en Allemagne. Après tout, j’ai 30 ans d’expérience en tant que plaideur et j’ai passé de nombreuses années à étudier le droit médical et pharmaceutique à l’Université de Göttingen. De plus, j’ai eu de nombreux contacts issus de mon travail en droit médical.

Le Dr WW, en qui j’avais confiance à l’époque, m’a mis en relation avec Mme VF. Lors de la première rencontre en face à face à Berlin, j’ai été gêné par certains de ses comportements, mais j’ai décidé d’enlever mes lunettes critiques, d’ignorer mon intuition et de faire confiance à une amie.

Nous avons convenu de créer la commission Corona, car il était clair en juin 2020 que le Bundestag allemand, qui en était réellement responsable, ne lancerait pas sa propre enquête, pour des raisons qui ne m’étaient pas encore évidentes à l’époque. La commission Corona devait immédiatement clarifier ces questions clés :

  • 1. Dans quelle mesure le soi-disant nouveau virus corona est-il réellement dangereux ?
  • 2. Dans quelle mesure le test PCR est-il fiable et adapté à la détection des infections au coronavirus ?
  • 3. Dans quelle mesure les mesures liées au coronavirus, c’est-à-dire le confinement, l’obligation de porter un masque, la distanciation sociale et la menace de soi-disant vaccinations, sont-elles nocives ?

Les scientifiques, les médecins, les économistes, les avocats, les hommes politiques, etc. devraient nous aider à clarifier ces questions. Deux scientifiques allemands, un professeur de finance et un expert en immunologie et vaccination faisaient déjà partie de notre cercle. Malheureusement, ils n’étaient pas d’accord avec les contrats de VF établis par son notaire et nous ont donc quittés.

Je me souviens que l’un d’eux s’est également méfié de VF dès le début.

Nous avions besoin de remplacements rapidement. Deux ans plus tôt, alors que je travaillais pour l’ONG anticorruption Transparency International, j’avais rencontré le professeur de droit Martin Schwab et je suis depuis resté ami avec lui. À son tour, il m’avait présenté à deux avocats de Hambourg qu’il avait promus. Faisant confiance à l’expertise du professeur Schwab, je leur ai demandé à tous deux s’ils souhaitaient remplacer les scientifiques du comité Corona. Aujourd’hui, je sais que c’était le début de la fin. Tous deux ont rapidement montré que l’argent signifiait plus pour eux que la clarification et l’éclairage.

Le Comité Corona a rapidement rencontré un succès tout à fait inattendu. Depuis que nous avons mené les enquêtes d’experts en allemand et en anglais par flux vidéo, nos émissions du vendredi sont rapidement devenues populaires dans le monde entier. De nombreuses personnes étaient convaincues que nous utiliserions plus tard les résultats de ces entretiens comme preuve dans des procédures internationales de dommages et intérêts, comme dans le cadre d’un recours collectif. Nous étions au bon endroit au bon moment avec notre travail. J’en étais et j’en suis toujours convaincu.

En interne, malheureusement, les choses semblaient différentes. J’ai vite remarqué que VF et les autres montraient peu d’intérêt pour notre travail contrairement à moi qui me concentrais presque entièrement sur ce travail. En plus des interviews au sein de la commission, j’ai donné cinq interviews internationales à l’époque et je me suis ainsi efforcé de fournir des informations sur notre travail dans le monde entier et pas seulement en Allemagne.

Après avoir appris d’experts critiques qu’un test PCR ne pouvait en aucun cas détecter une infection, et qu’il avait été délibérément utilisé ici de manière abusive, j’ai publié une vidéo de 50 minutes en allemand et en anglais en septembre 2020. J’y expliquais que les mesures Corona, qui avaient déjà fait à cette époque toujours plus de victimes et de dégâts, pouvaient être qualifiées de crimes contre l’humanité, et qu’il valait mieux les clarifier juridiquement avec les moyens du droit anglo-américain. À ma grande surprise, la vidéo a été visionnée des millions de fois avant d’être soudainement supprimée par YouTube/Google.

Sur la base de cette vidéo, le collègue américain Robert F. Kennedy jr., que j’ai rencontré pour la première fois à Berlin en août 2020, a fondé le « groupe de travail PCR Test » sur sa plateforme CHD, avec l’aide de sa présidente Mary Holland. J’appartiens également à ce groupe. Depuis octobre 2020, des scientifiques, médecins, avocats, etc. respectés s’y réunissent chaque semaine pour discuter de tous les aspects liés à la plandémie.

Parallèlement, je résumais régulièrement nos longs entretiens au Comité Corona le dimanche sur la plateforme « Bittel.TV » de Roger Bittel. L’énorme popularité du Comité Corona a donné lieu à un grand nombre d’enquêtes dès août 2020. Les petites et moyennes entreprises souhaitaient notamment savoir comment elles pouvaient obtenir une indemnisation pour les dommages subis à la suite des confinements. Et des collègues avocats du monde entier voulaient être en contact avec les experts. À cette époque, de nombreux avocats pensaient encore qu’une audition judiciaire des preuves avec nos experts en tests PCR permettrait d’apaiser rapidement toute la panique, basée sur la tromperie et la manipulation.

Cela a permis de récolter des fonds (700 € par personne) pour un éventuel recours collectif. Les fonds sont tous là, mais ont été détournés frauduleusement vers un autre compte. J’en parlerai en détail ailleurs.

En raison de mon expérience de près de 30 ans en matière de contentieux, j’étais plutôt sceptique quant à la réussite rapide d’une approche juridique solide en Allemagne et dans le reste du monde. J’ai donc conseillé de mener un contentieux en dommages-intérêts dans un pays anglo-américain, où il existe une possibilité de recours collectifs et un réel droit de preuve et des dommages-intérêts punitifs pour les dommages intentionnels. Mes collègues internationaux y travaillent d’arrache-pied. La question des recours collectifs est plus que jamais d’actualité et nous sommes convaincus qu’elle mènera finalement au succès.

Partie 3 – La fin du Comité Corona — Circonstances malheureuses ou coup d’État planifié de longue date ?

Chers amis, militants et frères humains intéressés par la vérité,

dans la 3e partie de ma déclaration personnelle, il vous apparaîtra rapidement que j’étais de plus en plus un combattant solitaire dans les affaires du Comité Corona et que mes co-partenaires ont tiré une corde commune pour se débarrasser de moi et aussi pour me ruiner sur le plan privé. J’ai une part de responsabilité dans cette affaire. En tant qu’être humain, mais plus encore en tant qu’avocat, j’aurais dû voir venir les événements et les prévenir.

Revenons à mon compte. Ainsi, alors que j’étais en route, également avec des avocats internationaux, pour l’AC et que j’y mettais toute mon énergie, curieusement, les autres membres ne semblaient pas aussi conscients de l’importance du travail de la commission Corona. Aucun d’entre eux n’a assisté aux réunions stratégiques. Aucun d’entre eux n’a fait d’effort pour faire connaître le travail du Comité, en particulier au-delà des frontières de l’Allemagne. À partir de la fin de l’année 2020, JH et AF en particulier se sont uniquement intéressés à la manière dont ils pouvaient gagner le plus d’argent possible avec des mandats Corona dans le cadre de leur communauté de bureaux nouvellement créée.

Lorsque, fin 2021/début 2022, avec le groupe d’avocats internationaux, j’ai mené les enquêtes du Grand Jury avec l’aide de nos experts pour montrer que, et comment, une clarification juridique de la pandémie pouvait fonctionner, ces avocats n’ont plus du tout joué de rôle. Cependant, l’enquête modèle du Grand Jury est devenue un succès qui a attiré l’attention du monde entier.

Le travail du Comité Corona était désormais si populaire que, fin 2020, nous avions déjà reçu de nombreux dons. Cependant, nous n’avions besoin que d’une partie de cet argent pour payer notre technologie, notre informatique, nos traducteurs, les dépenses de mon bureau, etc. Il y avait une grosse somme d’argent sur notre compte de dons. Cet argent n’était pas en sécurité de notre point de vue. Un blocage ou une saisie des comptes nous aurait immédiatement mis hors d’état de nuire. C’est pourquoi VF et moi-même avons décidé de ne laisser sur le compte de dons que les montants directement nécessaires au travail du Comité Corona et de mettre à l’abri d’un accès éventuel les fonds dont nous n’avions pas besoin dans un premier temps.

Comme je le sais aujourd’hui, l’Office national des enquêtes criminelles de Basse-Saxe avait demandé au ministère public d’enquêter sur VF, RF, AF et JH, ainsi que sur un collègue qui avait géré temporairement le compte de dons, en raison de rapports suspects de blanchiment d’argent émanant des banques, qui avaient à plusieurs reprises clôturé notre compte de dons. Ces enquêtes ont été abandonnées par la suite.

Pour nous assurer que nous ne serions pas vulnérables en raison de la sécurisation de l’argent, nous avons conclu des accords de prêt, qui ont également été ouvertement présentés dans les états financiers annuels. Bien entendu, il n’y aurait eu aucun intérêt à transférer les prêts d’un compte divulgué à un autre compte ouvert. Nous avons donc décidé de les investir dans ma propriété allemande (en tant que valeur équivalente) et dans l’or en tant que réserve de valeur sûre. La maison avait une valeur de 1 345 000 euros. Nous voulions de toute façon la vendre et chercher un nouvel endroit où vivre en Allemagne. Par conséquent, l’argent que j’avais emprunté était en sécurité, comme je le pensais à l’époque. Mais les choses se sont passées différemment. Je ferai un rapport à ce sujet.

En outre, j’ai investi 1,1 million d’euros dans des dons en or. Cela a également été révélé ouvertement dans les états financiers annuels. La VF a également conclu un contrat avec le Comité Corona pour obtenir un prêt. Ce retrait a également servi à sécuriser notre argent. Le prêt a dépassé les 100 000 euros, ce qui est également indiqué dans les états financiers annuels.

En juillet/août 2021, JH et AF nous ont soudainement recontactés pour obtenir des informations sur les dons. Je soupçonnais que leurs démarches juridiques avaient échoué. Entre-temps, j’avais appris qu’ils ne disposaient d’aucune structure dans leur bureau et, en particulier, qu’ils n’avaient même pas été en mesure d’engager au moins une secrétaire. Je n’avais pas vérifié cela au début de notre collaboration, une erreur de ma part avec le recul.

Comme JH et AF avaient effectivement quitté le travail de la commission Corona et aussi parce qu’ils avaient récemment travaillé en étroite collaboration avec une personne qui, comme je le sais aujourd’hui, a infiltré le parti politique « dieBasis » en compagnie d’un franc-maçon, nous avons d’abord refusé de fournir ces informations.

Mais pour ne pas perdre d’énergie dans des discussions inutiles, nous avons finalement remis un aperçu des recettes et des dépenses. Il est rapidement apparu qu’ils voulaient « détourner » le Comité Corona et au moins m’en éliminer. Cette tentative ayant échoué, JH a proposé dans un accord écrit que lui et AF quittent l’entreprise si nous leur versons la moitié des dons sur un compte de leur mentor, le professeur Martin Schwab. Bien entendu, VF et moi-même avons rejeté cette proposition et avons demandé à JH et AF de ne plus se présenter au comité.

Nous n’avons pas eu de nouvelles d’eux pendant environ un an. Fin 2021, avec mon accord et avec l’aide de leur notaire, VF a créé une nouvelle société pour le fonctionnement du Comité Corona. VF et moi-même détenions une participation de 50 % dans cette société. Ce nouveau Comité Corona dispose de son propre compte et ne doit donc plus dépendre des comptes séquestres des avocats. Tous les droits de l’ancienne société ont également été transférés à cette nouvelle société. J’ai accepté les contrats qui m’ont été soumis par VF.

Au début de l’année 2022, il était devenu de plus en plus difficile de travailler avec VF. C’est pourquoi j’ai accepté la proposition de participer au Crimes Against Humanity Tour aux États-Unis. Cela signifiait que j’allais passer près de trois mois et demi à voyager dans neuf villes américaines et à donner des conférences avec deux scientifiques américains bien connus, le Dr Judy Mikovits et l’économiste et expert en technologie et transhumanisme, Patrick Wood. Cependant, à partir de là, j’ai continué toutes les activités liées au Comité Corona : j’ai continué les interviews via Zoom, j’ai donné en moyenne cinq interviews par semaine, j’ai participé aux conférences du groupe de travail sur le test PCR et j’ai résumé les réunions du Comité tous les week-ends sur Bittel.TV. En outre, j’ai travaillé avec des collègues internationaux pour entamer des procédures judiciaires dans le but d’intenter des actions en dommages et intérêts à grande échelle. À l’époque, j’étais au bord du burn-out…

Après mon retour des États-Unis, j’ai réalisé que l’incompétence chaotique de VF et son indifférence à l’égard de nos invités, que j’avais acceptées à contrecœur jusque-là, s’étaient encore aggravées. C’est pourquoi je l’ai confrontée en juillet 2022. Je l’ai informée que j’allais retourner dans mon ranch en Californie avec ma femme et mes chiens, également pour être plus proche de l’action en justice, mais que je continuerais à travailler au sein du comité comme d’habitude. En outre, j’avais désespérément besoin d’une plus grande participation de sa part !

Immédiatement après, comme je le sais aujourd’hui, VF a repris contact avec JH et AF, ainsi qu’avec leur collègue du cabinet d’avocats MT. En août 2022, il y a eu une réunion et une discussion. À la suite de cette réunion, la campagne commune de diffamation publique contre moi a commencé le 9-2-.2022 et des poursuites pénales ont été engagées contre moi le même jour. Je n’en savais rien à l’époque. En raison de la coïncidence entre la date du « licenciement » et celle de la plainte pénale, il est clair pour moi aujourd’hui que « l’autre partie » n’a jamais été intéressée par la résolution des différends.

Une semaine avant le 9-2-.2022, VF m’avait informé qu’il n’y aurait pas d’émission du comité Corona ce jour-là parce que la femme de notre directeur de la télévision allait avoir son deuxième enfant. Un mensonge, comme je l’ai compris plus tard. Mais j’ai cru à ce mensonge et je ne me suis pas présenté, VF et WW avaient — comme le dit VF — « un tir clair » sur moi. VF est apparue devant la caméra de la commission Corona, dramatiquement vêtue de noir. Elle a déclaré, sans m’en informer en tant que partenaire, que je n’étais plus autorisée à comparaître devant la commission Corona. Elle a donc décidé unilatéralement et de manière totalement arbitraire que je n’avais plus le droit d’être présent au sein de la commission Corona que j’avais façonnée jusqu’alors et dont je détenais 50 % des parts, hier comme aujourd’hui !

Pour justifier ses actions illégales et illicites, elle et WW, également devant la caméra, ont déclaré que j’étais accusé d’irrégularités financières et que j’étais par ailleurs « une grande gueule ». WW aimait particulièrement cette étiquette.

Je ne voulais pas encombrer inutilement la commission Corona et sa réputation mondiale avec des problèmes internes. Un espoir vain.

Peu de temps après, VF, WW, JH, AF et le partenaire de VF à l’époque sont apparus devant la caméra pour un procès d’une heure avec Reiner Fuellmich. Cette campagne a finalement culminé avec plusieurs vidéos de plus en plus insensées de VF affirmant que « les enfants du personnel de la commission doivent être affamés » à cause de moi. Apparemment complètement déséquilibrée, elle a finalement appelé à me « chasser » et a couronné cet appel par un « Halali », un cri de chasse allemand qui signale la fin d’une chasse. Non seulement moi, mais aussi les téléspectateurs avons été choqués, comme en témoignent les commentaires sur le chat.

Le contenu de la plainte pénale de 30 pages, que JH a également déposée au nom d’AF et de MT, est encore plus fou. JH, AF et MT savaient en 2020 que 700 000 euros avaient été garantis par moi par un contrat de prêt et garantis par ma propriété. Ils savaient également que la vente de ma maison était prévue depuis longtemps et qu’elle était imminente. Notre propriété a été vendue le 03/10/2022 pour 1 345 000,00 € en notre absence par l’intermédiaire d’un notaire. Comme je l’ai dit, nous n’avons jamais vu cet argent à ce jour ! Je vous expliquerai comment ce coup d’État a eu lieu dans la partie suivante.

Et c’est encore pire : Après avoir reçu la plainte pénale, j’aurais dû être entendu, conformément au principe audiatur et altera pars. Mais cela m’a été refusé. J’en connais aujourd’hui les raisons : JH a déclaré au parquet que je le menaçais « avec une Winchester ». Et comme cela ne semblait pas assez dangereux, il a poursuivi en affirmant qu’en tant que membre du parti « dieBasis », je radicaliserais d’autres membres et appellerais à la violence contre lui. En outre, j’étais antisémite et il se sentirait menacé en raison de son origine ethnique.

En raison de ces scénarios de menace totalement fictifs, ma femme et moi nous sommes vus refuser le droit à une clarification équitable de la situation par les autorités pendant plus d’un an. Apparemment, le ministère public s’est senti mis sous pression par ces scénarios de menace. JH a même dit aux autorités que les deux autres plaignants retireraient la plainte pénale si le ministère public m’accordait un procès équitable. Littéralement, il écrit : « … si Fuellmich ou l’un des autres accusés avaient la possibilité de s’exprimer avant l’ouverture de la procédure pénale, les témoins (c’est-à-dire VF, JH, AF et MT) s’abstiendraient de déposer la plainte pénale par crainte de menaces, de violences et de diffamation ».

Par la suite, le compte privé de ma femme a été saisi. Lorsque nos avocats ont demandé à ce que ma femme soit entendue, il leur a été répondu qu’ils ne recevraient aucune information, car elle faisait également l’objet d’une enquête. Un mandat d’arrêt européen a ensuite été émis à mon encontre le 15 mars 2023, bien entendu sans que je puisse être entendu.

Entre-temps, ma femme et moi étions partis pour un voyage au Pérou dans le cadre du recours collectif. Sur le chemin du retour, nous voulions rendre visite à des amis au Mexique et reprendre l’avion pour l’Allemagne. C’est là que nous avons été informés par notre ville natale que les autorités étaient prétendument à ma recherche. Malheureusement, les collègues de mon cabinet d’avocats n’ont reçu aucune information des autorités sur la situation. Nous ne pouvions donc pas vraiment évaluer le nouveau scénario dans notre pays, et nous sommes donc alors restés au Mexique.

En contrepartie de la commission Corona, je disposais désormais de mon propre label « ICIC », avec lequel, comme auparavant au sein de la commission, j’interrogeais des experts internationaux sur les crimes contre l’humanité à l’échelle mondiale. Un petit groupe de travail de l’ancienne commission Corona m’avait suivi et nous avons donc pu nous remettre rapidement au travail.

Néanmoins, en octobre 2023, tout est retombé dans le chaos le plus complet. Cela s’est terminé par l’exécution à Francfort du mandat d’arrêt européen susmentionné à mon encontre, après que j’ai été expulsé d’un pays non européen (le Mexique) sous protection policière. — Un suspense qui, comme je le sais aujourd’hui, était tout sauf une coïncidence. Je vous en parlerai dans le prochain épisode.

En conséquence, je suis en prison depuis des semaines. Les vrais coupables sont toujours en liberté. Ils possèdent également l’argent du recours collectif et l’argent de mon domicile privé. Je peux le prouver. Tous les documents sont conservés en toute sécurité par mon équipe juridique. Je vous expliquerai dans le prochain épisode comment les « agitateurs » ont fait en sorte que tout cela se termine de manière « fructueuse » pour eux. Source

Reiner Füellmich : Communiqué de presse de la Défense

Initialement publié par Elsa lors du Truth Summit le 23 décembre 2023.

On pourrait dire que la vérité est ennuyeuse — c’est-à-dire que Reiner a dit fondamentalement la même chose quelques jours après que VF ait parlé contre lui que ce qu’il dit maintenant, et que ce qui est indiqué dans le communiqué de presse de la défense. Il y a quelques détails supplémentaires. Ils ajoutent un tout petit peu, mais rien n’est changé.

Voici donc le communiqué de presse.

Le 17 novembre 2023, le parquet de Göttingen a porté plainte contre le Dr Reiner Füellmich sur la base d’une plainte pénale déposée par d’anciens actionnaires, sans que la défense ait eu préalablement accès à tous les volumes du dossier d’enquête ou ait eu la possibilité de formuler des observations. L’accusé n’a pas non plus été interrogé conformément à l’article 163a du code de procédure pénale allemand (StPO) avant le dépôt de l’acte d’accusation. De même, les témoins principalement cités dans l’acte d’accusation n’ont pas été interrogés.

D’une part, il s’agit de la somme de 700 000 euros, qui fait déjà l’objet d’un mandat d’arrêt. Or, la base du paiement des 700 000 € était constituée par deux contrats de prêt également signés par Viviane Fischer (l’un daté du 6 novembre 2020 pour 200 000 € et l’autre daté du 14 mai 2021 pour 500 000 €).

Le ministère public a supposé à tort, au moment de l’acte d’accusation, que les deux contrats de prêt impliquaient une opération intéressée inadmissible. Cependant, selon le procès-verbal complet de la fondation du 9 juillet 2020, les quatre actionnaires ont été nommés directeurs généraux avec un pouvoir de représentation unique, de sorte que Viviane Fischer a pu représenter efficacement la Corona-Commission-Entrepreneurial-company-in-formation seule dans les deux contrats de prêt.

À l’époque, des rumeurs circulaient sur la saisie de comptes à la FGMF ; en fait, les comptes du membre éminent Professeur Dr Hockertz ont été saisis, ainsi que, par la suite, ceux d’autres médecins poursuivis au pénal dans le cadre des mesures Corona, et enfin, exemple le plus marquant, ceux de Michael Ballweg, qui a également été placé en détention provisoire pendant 9 mois.

Les dons doivent donc être investis dans des réserves de valeur durables, telles que l’or ou l’immobilier. Le Comité Corona a acheté pour environ 1 million d’euros d’or, qui est toujours stocké en toute sécurité chez Degussa. Le bien immobilier de Reiner Füellmich devait servir de contre-valeur au montant du prêt de 700 000 euros.

Au moment de la vente, le 3 octobre 2022, le bien n’était pas grevé et les 700 000 euros devaient être remboursés au Comité Corona sur le prix d’achat de 1 345 000 euros. Cependant, cela a été empêché jusqu’à aujourd’hui par l’inscription d’une charge foncière le 18 novembre 2022, c’est-à-dire un mois et demi plus tard — à notre avis illégale — et le paiement d’un montant de 1 158 250 € en faveur du plaignant Marcel Templin. Cette question doit être clarifiée, y compris par le ministère public.

Il importe peu que des sommes aient été dépensées pour réaménager le jardin de la propriété, car cela a directement contribué à l’augmentation de la valeur et donc à l’obtention d’un prix d’achat plus élevé.

L’acte d’accusation fait également état de paiements effectués par le Comité Corona au cabinet d’avocats de Reiner Füellmich pour un montant de 25 000 euros par mois plus la TVA au cours de la période allant du 1er janvier 2021 au 31 juillet 2022. Selon l’acte d’accusation, ces fonds ont été utilisés pour payer les salaires et les cotisations de sécurité sociale des employés de son cabinet d’avocats.

Le ministère public ne reconnaît pas que les employés du cabinet d’avocats de Füellmich ont fourni un service en échange de ces paiements mensuels à la Commission Corona. Pendant deux ans, ils ont été presque exclusivement occupés à répondre aux demandes de renseignements adressées à la commission Corona. Plus de 300 000 courriels ont été traités, des centaines, voire des milliers d’appels téléphoniques ont été passés et des milliers de lettres ont été traitées. En raison du volume de courriers électroniques, un nouveau système informatique a dû être acheté. Ce travail, absolument indispensable à la poursuite de l’activité du Comité, n’a pas été effectué au siège du Comité à Berlin.

La communication avec les partisans de la commission Corona comprenait un premier conseil juridique pour ceux qui cherchaient de l’aide, l’acquisition d’interlocuteurs, la sélection de scientifiques et d’autres experts, qui ont finalement eu leur mot à dire lors des réunions hebdomadaires.

Si cette communication n’avait pas eu lieu, le Comité Corona aurait pu cesser ses activités peu de temps après sa création.

Les prestations fournies par les collaborateurs du cabinet d’avocats Füellmich faisaient donc partie de l’objet social de la commission. Les témoins cités par le procureur dans l’acte d’accusation pour cette série de crimes n’ont pas été entendus avant le dépôt de l’acte d’accusation, ce qui est inhabituel.

Source : Truth Summit

Elsa du Truth Summit ajoute — PS. Pour faire un don pour les dépenses juridiques et autres, voici le lien : https://www.givesendgo.com/GBBX2




Peter Koenig et Reiner Fuellmich sur l’état et l’avenir du monde

[Source : Ciel Voilé]






Coup d’État Mondial de l’OMS — Première Partie

[Source : AGORA TVNEWS]

Introduction et présentation de la conférence du 13.05.2023 avec le Professeur Christian Perronne, le Dr Astrid Stuckelberger, le Dr Geert Vanden Bossche et l’avocat suisse Philipp Kruse organisée par Réinfo Santé Internationale. Présentation de l’OMS par Delphine Héritier de Barros et Shehnaz.

Avec l’apparition du nouveau traité pandémique contraignant pour les pays signataires et des modifications du Règlement Sanitaire International qui prévoient des décisions au-dessus de l’autorité des pays et qui impacteraient les libertés de la population, quels sont les réels enjeux pour les 194 états membres de l’OMS et comment sortir d’un totalitarisme qui se précise avec le suivi des populations ?

[À partir de 5:00]




Défis de santé publique mondiale avec l’OMS et l’ONU : De la biologie à la population

[Source : Réinfo Santé Suisse International]

L’expérience de la structure et des systèmes complexes des Nations unies (dont l’Organisation mondiale de la santé est le chef de file en matière de santé mondiale) de la Dr Astrid Stuckelberger lui permet de mettre clairement en évidence les incohérences de l’urgence de santé publique Covid-19. Elle nous détaille :
– ce qui a été fait contrairement aux normes précédemment établies dans la gestion d’une épidémie
– ce qui aurait dû être fait pour préserver la santé de la population

Dr Stuckelberger nous partage divers plans de contrôle de l’OMS tels que :
– la numérisation de la santé
– l’édition du génome à l’intelligence artificielle

Elle mentionne également les conflits d’intérêts de l’organisation ainsi que l’influence de l’industrie dans la politique de santé publique. Bien au-delà de la politique et de l’argent, elle affirme qu’il s’agit d’une guerre physique et spirituelle contre l’humanité, et que la réponse la plus dangereuse est de rester silencieux.

[Voir aussi :
Déclaration sur l’isolement des virus
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert
Dr Sam Bailey sur l’histoire du Shedding vaxinal
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
et plus généralement les nombreux articles des dossier Vaccins et virus, 5G et ondes pulsées, Climat et Implants numériques qui apportent des informations complémentaires par rapport à ce que mentionne Astrid dans sa conférence.]

www.astridstuckelberger.com
www.reinfosante.ch

[À partir de 5:00]






PCB : Le monde de la science dure met en garde contre l’autodestruction

[Source : vkpatriarhat.org]

Par Patriarcat Catholique Byzantin

Après la fin de la campagne mondiale de vaccination expérimentale contre le Covid-19, de nombreux scientifiques, plus de 26 équipes, ont été chargés d’évaluer ces vaccins. Ils ont découvert des métaux tels que le gadolinium, l’aluminium, le césium, le strontium et le tungstène dans le sang des personnes vaccinées. Le strontium est particulièrement cancérigène.

Le Dr Mihalcea, des États-Unis, a mis en évidence le lien entre le Covid-19 et la géo-ingénierie. Le chercheur Clifford Carnicom étudie depuis plus de 20 ans le phénomène appelé morgellons et son lien avec les fibres polymères pulvérisées par les avions commerciaux et militaires. Les experts ont récemment trouvé une correspondance chimique entre ces fibres qui ont été pulvérisées dans l’environnement et les nanoparticules lipidiques contenues dans les vaccins Covid. La raison pour laquelle ils pulvérisent ces substances sur nous consiste à créer une fusion entre la biologie synthétique et notre biologie afin de nous transformer en cyborgs transhumains.

[Voir aussi :
Le sang de l’Humanité est-il en cours de modification ?
Sur les chemtrails :
« Il s’agit d’une lente opération d’empoisonnement de la population »
L’arme du climat, une guerre invisible
La maîtrise de la météo – une guerre secrète
Documentaires pour les jours de pluie sur la géo-ingénierie et les chemtrails]

Le Dr David Nixon a découvert que les vaccinés contre le Covid émettent une adresse MAC, et il a trouvé dans leur sang des fibres que le laboratoire La Quinta Columna avait décrites comme étant de l’oxyde de graphène. L’ingénieur Matt Taylor en a récemment découvert dans l’eau de pluie ou dans la masse.

[Voir aussi :
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?
La nanotechnologie dans les vaccins
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Nanotechnologie et « vaccins »]

En 2020, il y a eu une conférence en Europe intitulée « Euro Science — Open Forum ». On y a mentionné que ces technologies transhumanistes peuvent également être appliquées aux insectes dans l’agriculture.

La science maléfique modifie notre ADN, nos protéines grâce à la technologie moderne. On peut dire que ce plan diabolique vise à faire de la terre un véritable enfer. Puis à exterminer l’humanité et à l’envoyer dans l’enfer éternel. Le Dr Mihalcea étudie les effets des vaccins et du coronavirus, dont on sait déjà qu’il a été produit de façon artificielle. Au cours de ses expériences, elle a constaté qu’il réduisait jusqu’à 47 % la connectivité électrique du sang. Elle a clairement indiqué que les gens sont délibérément privés de leur force vitale. Cela s’applique également aux cas après vaccination et à ce que l’on appelle le Covid long.

Le Dr Mihalcea explique que les personnes atteintes de ce « Covid long » présentent les symptômes suivants : fatigue chronique, problèmes de mémoire, alors qu’elles n’ont que 20 ans, symptômes proches de la démence avec difficultés à trouver les mots, brouillard cérébral, anxiété extrême et dépression, ce qui, nous le savons, raccourcit l’espérance de vie. Et puis, avec cette fatigue chronique, les gens ne peuvent même pas monter les escaliers sans se sentir essoufflés ou sans avoir des palpitations cardiaques, parce que le sang s’est agglutiné dans ce que l’on appelle les rouleaux. D’autres symptômes sont les crises cardiaques ou les caillots sanguins.

[NDLR les symptômes du « Covid long » sont les mêmes que certains des effets des ondes pulsées vécus par les personnes électrohypersensibles.
Voir :
Le cauchemar de l’intolérance aux champs électromagnétiques
Pourquoi les scientifiques s’inquiètent-ils de la 5G ?
Témoignage d’une électrohypersensible
Les effets des ondes sur l’organisme
Présentation de l’électrohypersensibilité (EHS) par le Docteur Magali KOELMAN
et les autres articles du dossier 5G et ondes pulsées]

Le Dr Peter Garyaev, de Russie, qui était candidat au prix Nobel en 2021, a déclaré qu’il était possible, grâce à la 5G, de replier et de déployer les gènes pathogènes du coronavirus et de le rendre plus virulent. Il est décédé deux semaines après l’avoir annoncé.

Les élitistes mondiaux qui jouent le rôle de Dieu essaient de changer l’ordre des choses, de nous modifier, principalement de changer notre façon de penser depuis le vrai vers le faux, depuis le moral vers l’immoral. Que recouvre le concept de pensée ou d’esprit ? Ce n’est pas seulement la raison ou la logique ; c’est un concept plus large. Notre esprit est influencé par l’éducation, les informations vraies ou fausses, l’expérience personnelle, la vie morale ou immorale, les diverses dépendances. Les personnes dépendantes ne sont pas libres ; elles n’acceptent pas la vérité objective. C’est pourquoi nous devons faire la distinction entre la vraie et la fausse pensée.

La pensée est inspirée par un esprit, soit l’esprit de vérité, soit l’esprit de mensonge. Les inspirations peuvent être vraies ou fausses. Un homme bon recherche la vérité objective et le bien ; un homme mauvais cherche à détourner une certaine vérité pour tromper les autres et promouvoir le mal. Derrière l’homme mauvais se cache l’esprit du mensonge et de mort : le diable. Il est donc important de savoir dans quoi vous êtes enraciné. Si vous êtes enraciné dans l’aura de votre ego, vous êtes donc enraciné dans l’esprit du mensonge et de l’auto-illusion. Cet esprit pénètre alors l’ensemble de votre pensée et a un effet suggestif sur votre environnement. A l’extérieur, un tel menteur professionnel se présente comme un ange de lumière (cf. 2Cor 11:14f).

Comme le dit le proverbe, « Dis-moi ce que tu lis, ou éventuellement ce que tu écoutes, et je te dirai qui tu es ». Les gens d’aujourd’hui passent le plus clair de leur temps à écouter les menteurs professionnels du courant dominant. Ils sont remplis de mensonges et de vanité et sont donc incapables d’accepter et d’aimer la vérité, et encore moins de se sacrifier pour elle. Ils adoptent ces mensonges comme étant les leurs et sont prêts non seulement à faire des sacrifices, mais même à perdre leur vie pour l’amour d’un mensonge. Le mensonge est devenu l’arme la plus puissante dans le processus d’autodestruction de l’humanité. Derrière le mensonge se cache l’esprit du mensonge : le diable.

Jésus a dit à ceux qui avaient l’esprit du mensonge :

« Vous êtes de votre père, le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il fut un meurtrier dès le commencement… il est menteur et père du mensonge » (Jn 8:44).

Nous devons savoir que tous les êtres humains sont entachés du péché originel — la source du mal, la semence du diable, qui est programmée afin de provoquer l’autodestruction progressive de l’homme, non seulement temporelle mais aussi éternelle.

Nous assistons à une déchristianisation systématique. Elle est perpétrée de la manière la plus efficace par des théologiens hérétiques et des prélats apostats dirigés par le pseudo-pape François. Ils introduisent l’idolâtrie et la reconnaissance légale des perversions sexuelles par le biais du soi-disant parcours synodal LGBTQ.

L’intronisation du démon Pachamama au Vatican et le rituel sacrificiel au Canada constituent un exemple d’idolâtrie. Ici, le pseudo-pape, ainsi que les prélats présents, se sont fait consacrer à Satan pendant qu’un sorcier soufflait dans un sifflet en forme d’os de dinde sauvage.

Un cas effrayant de mensonge diabolique est le geste du pseudo-pape Bergoglio, qui a fait vacciner tout le Vatican à deux reprises. Ce faisant, il a créé un précédent des plus pernicieux pour toute l’humanité. Bergoglio connaissait la vérité et pourtant, il s’est cyniquement opposé à cette vérité et a menti de manière suggestive à toute l’humanité. S’il avait mis en garde contre la vaccination expérimentale depuis sa position de pape, qu’il occupe illégalement, tout le système de cette vaccination mortellement dangereuse aurait fait faillite.

La vérité, fruit du christianisme, protège l’individu et la société contre l’invasion du mensonge et du mal. Le christianisme formait l’opinion publique sur une base juste et sur des principes moraux naturels. L’opinion publique était ainsi intégrée aux commandements de Dieu. Elle favorisait un profond respect de l’homme. En revanche, le néopaganisme rampant, fondé sur le mensonge, favorise l’injustice, le mal et l’immoralité.

La stratégie du diable consiste à stimuler le mal qui prend sa source dans le cœur de l’homme. C’est pourquoi il tente de supprimer les inhibitions, telles que la conscience, la raison, les lois morales et les vérités, qui nous rappellent la mort, le jugement et l’éternité. La réalité du péché, et donc aussi la mort rédemptrice du Christ sur la croix, est reniée. La repentance salvatrice n’est plus proclamée. En conséquence, le mal, la perversion, le mensonge et le satanisme sont libres de progresser.

Nous assistons à la montée d’une nouvelle opinion publique qui accepte toutes les dépravations et tous les crimes. Ce résultat est obtenu grâce aux médias grand public, ou usines à mensonges, qui conduisent délibérément le monde à une dépopulation suicidaire. Le Dr Fuellmich affirme que le public a été hypnotisé par la manipulation diabolique des médias. Le terrorisme médiatique a été déclenché. Un exemple de cela est l’apparition d’une psychose de masse lors d’une fausse pandémie.

À qui revient-il en premier lieu de lutter pour le rétablissement de la société et le salut de l’humanité ? C’est avant tout la tâche de ceux qui se disent chrétiens. Par la repentance, c’est-à-dire par un véritable changement de mentalité — la metanoia —, les évêques, les prêtres et les croyants tièdes doivent devenir des disciples et des témoins du Christ — des martyres. Cela ouvrira la porte à Dieu et à Sa puissance salvatrice. Cette réforme spirituelle ne peut commencer sans un lien avec la transcendance. Il s’agit essentiellement de la prière intérieure, de la connexion de notre esprit à Dieu, la Vérité. Aucun changement positif n’est possible sans ce fondement spirituel de la prière et du repentir ou, en d’autres termes, sans un changement de pensée depuis le faux vers le vrai. Le bonheur véritable et éternel nous est donné en Jésus seul, crucifié et ressuscité.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires

Le 25 juin 2023



Le monde de la science dure met en garde contre l’autodestruction
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Reiner Fuellmich : Aux côtés des Māori de Nouvelle-Zélande qui n’ont jamais renoncé à leur indépendance

[Source : truthcomestolight.com]

Par Reiner Fuellmich
source : Reiner Fuellmich Telegram channel
23 avril 2024




Transcription traduite :

J’ai une annonce importante à faire.

Je suis un être humain libre, indépendant, libre de penser et libre d’agir. Je décide seul de ce que je veux et de ce que je ne veux pas. Et je veux une vraie justice.

Les Māori de Nouvelle-Zélande sont eux aussi des êtres humains libres et indépendants.

Contrairement à tous les autres êtres humains, ils n’ont jamais perdu ou cédé leur indépendance.

Celle-ci est inscrite dans leur déclaration d’indépendance, « He Whakaputangaa », rédigée en 1835.

Leur tradition tout aussi indépendante, vieille de plusieurs centaines d’années, s’appelle Tikanga. Il est destiné à rétablir la paix pour les Māori et pour le monde entier.

Les Māori nous rappellent qui nous sommes : des personnes libres et indépendantes qui font leurs propres choix et qui ne laissent personne leur dire ce qu’elles doivent faire ou ne pas faire.

Mon ami et collègue Dexter Ryneveldt et moi-même, au nom du groupe international d’avocats, avons discuté pendant de nombreuses semaines avec des représentants du gouvernement Māori et d’autres personnes qui soutiendront cette initiative.

Nous rétablirons tous la paix pour les Māori et pour le monde. Car c’est la raison d’être explicite de la tradition tikanga, précisément pour ce moment.

Je suis Reiner Fuellmich et je suis aux côtés des Māori parce que nous aimons la vie.


Informations générales sur le peuple maori, extraites du site web Te Wakaminenga o Nga Hapu o Nu Tireni :

Sur le gouvernement Māori :

1. Qu’est-ce que le gouvernement Māori et quel est son rôle ?

Le gouvernement Māori est l’organe administratif de Te Wakaminenga o Nga Hapu o Nu Tireni. Le gouvernement Māori aide à mettre en œuvre les décisions prises dans le cadre du Te Wakaminenga o Nga Hapu o Nu Tireni national, ou d’un hapu wakaminenga.

2. Qu’est-ce qu’un Wakaminenga ?

Il s’agit d’une confédération ou d’une assemblée générale des tribus unies qui se réunissent pour prendre des décisions et élaborer des lois conformément à leur constitution nationale « He Wakaputanga o Tino Rangatiratanga o Nu Tireni 1835 » (Déclaration d’indépendance o Nu Tireni 1835).

3. Sous quelle juridiction le gouvernement maori opère-t-il ?

Le gouvernement maori relève de la « Native Māori Jurisdiction » (juridiction indigène maorie). Il s’agit de la juridiction de la première nation de Nu Tireni (Nouvelle-Zélande). Elle est également reconnue dans le droit impérial britannique antérieur et postérieur au traité.

4. Que sont les Māori ?

Les Māori sont le peuple indigène de Nu Tireni. Les Māori sont également le peuple des Premières Nations.

5. Pourquoi les Māori ont-ils droit à leur propre gouvernement ?

Les Maoris avaient leur propre gouvernement avant la signature de Te Tiriti o Waitangi. Le gouvernement Māori a été reconnu pour la première fois en 1805 et avant. Il est également reconnu dans le droit impérial britannique antérieur et postérieur au traité.


Message du gouvernement Māori d’Aotearoa Nu Tireni

Le gouvernement Māori d’Aotearoa Nu Tireni est l’organe directeur de la nation souveraine d’Aotearoa Nu Tireni, qui existait avant 1840 et continue d’exister conformément à la déclaration d’indépendance de 1835 (He Wakaputanga).

Basé sur quatre [4] piliers :

  • l’autodétermination
  • la souveraineté
  • L’élaboration de lois pour le commerce et la justice
  • Garantie par la Couronne britannique de protection et d’accès au Commonwealth en échange d’une coopération mutuellement acceptable sur un pied d’égalité.

La Nation Souveraine d’Aotearoa Nu Tireni accueille tous les hommes et femmes vivants d’Aotearoa Nu Tireni pour s’unir sous sa protection et son adhésion bienveillante à tous les droits de l’homme tels que décrits dans le Code de Nuremberg et la Déclaration de l’UNESCO sur la bioéthique et les droits de l’homme, y compris la liberté de choisir, d’être pleinement informé et de rechercher le bien-être et le bonheur. Nous rejetons toute forme de coercition et de manipulation.

Ensemble, unis en tant qu’hommes et femmes vivants et souverains d’Aotearoa Nu Tireni, nous rejetons les règles et le contrôle du gouvernement totalitaire actuel de la Nouvelle-Zélande, une société cotée à la Bourse de New York.

Cette société ne représente pas les aspirations et les valeurs des hommes et des femmes vivants de ce pays. Ignorer nos voix est une tentative insidieuse d’imposer une « nouvelle » normalité sans notre consentement.

Par conséquent, nous choisissons librement d’abandonner la société NZ susmentionnée et d’apporter notre soutien total à la nation souveraine d’Aotearoa Nu Tireni, à ses représentants et à son gouvernement élu, le gouvernement Māori d’Aotearoa Nu Tireni.

Lire la suite… [en anglais]

La Déclaration d’indépendance de la Nouvelle-Zélande, signée par un certain nombre de chefs Māori en 1835, a proclamé l’indépendance souveraine de la Nouvelle-Zélande avant la signature du traité de Waitangi en 1840 :



La France et les pays de l’Union Européenne sont-ils des pays « test » pour l’agenda 2030 ?

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Le Forum économique mondial est l’un des promoteurs de « l’Agenda 2030 ».
 Photo de Evangeline Shaw sur unsplash.com]

Par Caroline Porteu et Xavier Azalbert pour France-Soir

TRIBUNE/OPINION — L’« Agenda 2030 » est à la fois celui des Nations Unies et celui du Forum économique mondial (World Economic Forum) à Davos. Dans un article de 2016 (Welcome To 2030: I Own Nothing, Have No Privacy And Life Has Never Been Better*), le magazine Forbes en proposait une description complète qui ne manquera pas d’attirer l’attention des lecteurs !

[Voir aussi :
But des Agendas 21 et 2030
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
Pourquoi le Great Reset est l’Agenda du Chaos….
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le Forum Économique Mondial nous promet l’esclavage par l’Intelligence Artificielle]

*Bienvenue en 2030 : Je ne possède rien, je n’ai aucune vie privée et la vie n’a jamais été meilleure

« Bienvenue en l’an 2030. Bienvenue dans ma ville — ou devrais-je dire, “notre ville”. Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun électroménager ni aucun vêtement.

Cela peut vous sembler étrange, mais c’est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est devenu un service. Nous avons accès au transport, à l’hébergement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. Une par une, toutes ces choses sont devenues gratuites, donc cela n’avait plus de sens pour nous de posséder beaucoup. »

Cependant la description, au demeurant fort intéressante de cet agenda, avait déjà été proposée voici une trentaine d’années par des Américains dans un document intitulé « Des armes silencieuses pour des guerres tranquilles ».

[Voir aussi :
Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste
Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial
500 millions (titre tiré du premier commandement des Georgia Guidstones)
Les Georgia Guidestones — Compte à rebours vers le Great Reset ?
Georgia Guidestones – Rétrospective en 5 Actes (22/03/1980 – 06/07/2022)
Pourquoi le français n’apparaît-il pas sur les Georgia Guidestones ?
Le nouvel ordre des barbares ou comment le Great Reset est programmé depuis 1969 au moins
La synagogue de Satan]

Quelques passages des objectifs et des stratégies sont repris ci-après pour illustrer cet article.

L’analyse proposée dans ce document aurait a priori été établie par des membres du Groupe Bilderberg et par des officiers américains ou des membres de la CIA. Toutes ces informations sont précisées dans l’introduction dont une lecture intégrale est fortement recommandée. Il a été rédigé et signé par Gregory Allan en 1996 (Tous les droits sont réservés).

[NDLR Behold A Pale Horse, publié en 1991 :
https://archive.org/details/william-cooper-behold-a-pale-horse]

Certains passages sont tellement explicites qu’ils sont repris intégralement et mis en exergue pour que le lecteur puisse les identifier :

À travers cet article, il devient possible d’identifier « pourquoi les pays de l’Union Européenne et la France en particulier sont des pays tests dans la mise en place de ce nouvel Agenda que l’on veut nous imposer ».

Indépendance liée à la structure économique des ménages

Ce texte a été préparé par des Américains pour leurs compatriotes dont la mentalité est éloignée de celle des Européens et plus particulièrement de la mentalité française.

Une illustration flagrante, en termes d’économie : les Américains sont les plus endettés au monde avec un taux d’épargne très faible. En décembre 2022, leur taux d’épargne était de 4,2 % contre 16,3 % pour la France, quatre fois moins. L’endettement peut être considéré comme un obstacle à l’exercice de la liberté — liberté d’agir et liberté de pensée. La première préoccupation des ménages devient le remboursement de leurs emprunts pour éviter la saisie de leurs biens à l’instar de ce qui s’est passé pendant la crise de 2008 (crise des subprimes) avec l’explosion de la bulle immobilière américaine.

On peut deviner que les réactions d’une population très endettée seront plus faciles à anticiper et prévoir. Ainsi les conditions sont réunies pour une mise en place plus aisée de différents éléments de contrôle économique et financier.

Ces réformes seront d’autant plus favorisées si les causes de leur mise en place sont liées à des facteurs ou phénomènes exogènes/extérieurs — comme par exemple une baisse significative du niveau de vie qui serait liée à une inflation due à des causes externes (guerre ou climat) ou une augmentation du chômage et des baisses de subvention.

N’est-ce pas très exactement ce que nous sommes en train de vivre au sein de l’Union Européenne ?

Niveaux d’instruction et d’alphabétisation intrinsèquement liés

Dans l’extrait cité plus haut, une phrase a une importance toute particulière :

« La qualité de l’éducation donnée à la classe inférieure doit être la plus pauvre, afin que le fossé d’ignorance qui isole la classe inférieure de la classe supérieure soit et reste incompréhensible pour la classe inférieure. »

L’objectif qui en découle est limpide : faire baisser le niveau de l’éducation et d’instruction au travers d’une stratégie basée sur l’attaque de la cellule familiale et le contrôle de l’éducation des jeunes.

[Voir aussi :
Enseignement : de la grande vadrouille à la grande déprime
SAUVEZ L’ENSEIGNEMENT DES MATHÉMATIQUES EN FRANCE !
Mathématiques et Enseignement : entre état des lieux et état d’urgence
Jean-Paul Brighelli sur l’école : de la fabrique du crétin au consommateur semi-illettré
L’Éducation nationale fabrique des consommateurs
Le déclin de l’intelligence et l’appauvrissement du langage
Réformes de l’instruction : Macron perpétue le pacte diabolique
Pourquoi les « scientifiques » ne font pas de science ? Pourquoi l’obscurantisme est-il la règle ?
France — Le ministre de l’Éducation fait de la sexualité à l’école une de ses priorités
France : comment l’Éducation Nationale flique ses profs pour installer la cancel culture
Des machines et des profs
Objectifs de la pédagogie drag : « déstabiliser » et « transformer l’éducation » des enfants
Quand la science devient pseudo-science
L’avis d’Hélène Carrère d’Encausse sur l’écriture inclusive
L’inculture organisée dès les années 60 et la tragédie de l’ignorance généralisée
Profs, médecins : deux métiers sous influence
L’école à la maison, c’est fini
Sur la stupidité]

Le cas de la France est assez illustratif. Nul ne contestera qu’au cours des dernières années, le niveau de l’enseignement s’est appauvri de manière considérable en partie lié à la destruction de l’enseignement public.

Une étude internationale rappelait en 2020 que « les élèves français de CM1 et quatrième parmi les pires de l’UE en maths et sciences » et un article s’inquiétait en 2022 de la diminution de moitié du niveau d’orthographe des Français suite à une enquête de la Depp (Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance).

De plus, très récemment, le ministre de l’Éducation nationale a décrété que l’enseignement « privé » devait également suivre cette pente très descendante, la France ayant également un problème à gérer avec le niveau des élèves issus de l’immigration récente, en particulier dans ce que l’on appelle désormais : « les territoires perdus de la République ».

La pénurie d’enseignants est devenue un mal récurrent en Europe, sans parler des conditions de salaires qui sont totalement incohérentes pour des pays qui se prétendent être une UNION économique et monétaire.

Pour l’éducation, le World Economic Forum a dû également s’inspirer de ces théories pour la mise en place de l’agenda 2030 puisqu’ils ont même créé un site spécifique dédié à l’éducation et aux écoles nécessaires : « Rencontrez les 16 écoles qui définissent l’avenir de l’éducation ».

Avec un extrait extrêmement intéressant :

« La promotion de ces compétences nécessitera une évolution vers de nouvelles approches radicales de l’apprentissage qui sont personnalisées et adaptées au rythme de chacun, accessibles et inclusives, axées sur les problèmes et collaboratives. Cet apprentissage dure toute la vie et est défini par les étudiants. »

Ce passage renvoie aux récentes déclarations du Président Macron sur la réforme de l’enseignement professionnel.

Le site du WEF va même jusqu’à proposer des écoles qui font de nouvelles formations, en particulier aux USA :

Prospect Schools (États-Unis) : ce réseau d’écoles a été conçu en mettant l’accent sur l’inclusion. Chaque classe est conçue pour être diversifiée et inclusive, assurant un équilibre entre la race et l’ethnicité des étudiants, la maîtrise de l’anglais, le sexe, l’identité de genre et l’orientation sexuelle. L’école embauche des enseignants pour refléter la diversité de leur population étudiante et les enseignants suivent régulièrement des formations sur l’égalité et l’inclusion tout au long de l’année.

De plus faire baisser le niveau d’instruction en attaquant la cellule familiale est également un objectif cité plus haut :

Qu’il s’agisse de familles monoparentales, de familles dont les deux parents travaillent, si les parents ne trouvent pas le temps de les aider, de leur faire réciter leurs leçons, ou de se faire aider, le niveau ne peut que baisser. Ce qui est parfaitement défini par le terme « orphelins du travail ».

Et c’est là où une partie de l’Europe, dont la France, diverge un peu sur la notion de structure familiale en fonction de la religion dominante. Sont visés ici bien entendu les pays latins : la France, l’Italie, l’Espagne ou le Portugal, pays dans lesquels la dominante catholique est incontestable, ce qui nous amène au point suivant.

Destruction des croyances, de la religion

Dans ce document intitulé « Armes silencieuses pour des Guerres Tranquilles », un paragraphe particulier attire l’attention. Celui qui s’intitule « Modèles d’habitudes » – Forces et faiblesses

Diverses méthodes y sont dénommées « méthodes d’adaptation — d’adaptabilité — comportement » : celles-là mêmes qui permettent d’échapper à la réalité. Elles se retrouvent côte à côte et mises au même niveau :

Les déclarations de Yuval Noah Harari, supposé conseiller de Klaus Schwab (leader du World Economic Forum), pour qui les religions sont des fakes news et « L’homme a acquis des pouvoirs divins pour régner sur l’humanité » prennent alors tout leur sens !

La France a (ou avait) la réputation d’être championne dans le domaine de l’esprit critique, développé depuis l’ère des lumières. La France était également la « fille aînée de l’Église » même si la mise en place de la loi de 1905 a réduit fortement l’influence du catholicisme, en particulier sur l’éducation des jeunes. Il est plus difficile d’obtenir un contrôle total des individus et de faire croire en une nouvelle religion si les dogmes de cette nouvelle religion sont en contradiction avec les dogmes de la religion préexistante.

Dans ce domaine, le catholicisme a cette particularité d’avoir des enseignants d’un niveau assez élevé et en particulier les prêtres (8 ans de séminaire) ainsi qu’une structure hiérarchique réelle très efficace. Cet aspect ne se retrouve pas dans le protestantisme ou l’Islam dont des interprétations divergentes du Coran existent.

Le dogme catholique apparaît aussi en totale opposition avec la plupart des principes de la « nouvelle religion de Davos » ainsi qu’un certain nombre de concepts issus du Wokisme comme l’identité de genre, l’homosexualité ou encore l’homme numérique, la relation à l’argent, l’usure…

Même si elle est en net déclin en France, la religion catholique devient par là même la première cible à abattre et à déconstruire.

La destruction de la cellule familiale fait partie des stratégies qui vont permettre une manipulation mentale plus efficace, en particulier sur les jeunes et les enfants, manipulation conforme aux moyens conseillés pour réaliser l’objectif de cet agenda 2030. La politique vaccinale Covid des enfants en est une illustration criante : seule l’autorité parentale d’un parent était requise pour faire vacciner un enfant alors que l’autorité parentale est normalement partagée par les deux parents. Cette destruction est également plus difficile dans les milieux catholiques pour qui la notion de famille revêt une importance considérable. Les récentes annonces de notre ministre de l’Éducation nationale sur l’enseignement privé (à majorité catholique dans notre pays) ne sont sans doute pas étrangères aux objectifs qui lui ont été fixés.

[Voir aussi :
La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò
Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

La laïcité française est-elle un obstacle à l’Agenda 2030 ?

La loi de 1905 avait comme objectif de mettre définitivement fin aux guerres de religion qui ont agité notre pays pendant plusieurs siècles et également d’ouvrir l’éducation à tous et à toutes, quels que soient l’origine, le milieu social, ou le genre.

Cette loi qui actait la neutralité de l’État vis-à-vis de la religion en instaurant une séparation totale entre l’Église et l’État proclamait également la liberté de conscience et le libre exercice des cultes, « La République assure la liberté de conscience ». Elle a pour corollaire la liberté religieuse, la liberté d’exercice du culte et la non-discrimination entre les religions.

Elle a également eu comme conséquence d’améliorer les conditions du « vivre ensemble » des différentes communautés vivant sur le territoire en augmentant leurs interactions, ce qui a provoqué une hausse très nette des « mariages mixtes » ce qui n’était pas le cas dans d’autres pays vivant selon les conceptions anglo-saxonnes qui font que les communautés se côtoient mais ne se mélangent pas, ce qui favorise le « Diviser pour régner ».

Il y a donc deux principes qui sont totalement antagonistes avec l’esprit de l’Agenda 2030 qui n’est rien d’autre qu’une nouvelle religion : la séparation de l’Église et de l’État et la liberté de conscience.

À partir du moment où cet agenda prévoit la mise en place d’un contrôle social total sur les individus, leurs modes de vie, leur consommation, leurs opinions, une séparation des pouvoirs devient inconcevable.

De la même manière, La liberté de conscience telle qu’elle est définie à l’article 18 de la DUDH (Déclaration Universelle des Droits de l’Homme) définie par l’Assemblée Générale des Nations unies en 1948 est totalement incompatible avec la manipulation mentale, les critères d’obéissance absolue qui caractérisent le Nouvel Homme Numérique de Davos.

« Article 18 : Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion » ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.

Cette loi légifère « le doute » et donc autorise et encourage « l’esprit critique ». Elle est par définition totalement incompatible avec le « contrôle social » et tout agenda qui chercherait à le mettre en place se trouverait confronté à cette difficulté constitutionnelle.

Cela permet d’apporter un éclairage sur l’attention toute particulière qui a été donné à la France dans ce domaine. Et plus particulièrement sur la pugnacité à la mise en place de l’Agenda 2030 en France. Car s’il passe en France, il passera probablement partout !




Dr Sam Bailey — Virologie en fuite — Marvin gagne au tribunal

[Source : Vidéos du net]

La dernière fois que j’ai interviewé Marvin Haberland, c’était en octobre 2022, alors qu’il contestait une amende infligée par un tribunal allemand. Il avait délibérément enfreint la législation « corona » pour dénoncer la nature frauduleuse de la virologie. Il a fait valoir que, la virologie ne suivant pas la méthode scientifique, les amendes imposées en vertu de la législation allemande sur les maladies infectieuses étaient illégales.

Marvin est finalement passé devant le tribunal le 26 avril 2023. Écoutez ce qui s’est passé et ce qui pourrait se passer ensuite, alors que la virologie déraille…

Sam Bailey







Pour en finir avec les plandémies

[Source : Vidéos du net]

Dr Sam Bailey et les Coronavirus de Reiner Fuellmich



La virologie pour les pays en développement… et les fanatiques du virus



[Voir aussi :]

40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »

Voici tous les faits et sources clés actualisés concernant la prétendue « pandémie », pour vous aider à comprendre ce qui s’est passé dans le monde depuis janvier 2020 et à éclairer ceux de vos amis qui seraient encore prisonniers du brouillard de la « nouvelle normalité ».


Commentaires sur le VIH de Montagnier

« Nous remercions Djamel Tahi et Huw Christie de nous avoir demandé de commenter les réponses données par le Professeur Luc Montagnier dans son interview avec Djamel Tahi. Avant de commenter, nous avons pensé qu’il serait utile de commencer par un bref rappel des méthodes utilisées pour prouver l’existence des rétrovirus, et des preuves apportées par Montagnier et coll. 1983 de l’existence du “VIH”. »

Un groupe de scientifiques australiens affirme que personne jusqu’à présent n’a isolé le virus du SIDA, le VIH. Pour eux, les règles d’isolement des rétrovirus n’ont pas été soigneusement respectées pour le VIH. Ces règles sont les suivantes : culture, purification du matériel par ultracentrifugation, photographies au microscope électronique (ME) du matériel qui présente des bandes à la densité du rétrovirus, caractérisation de ces particules, preuve de l’infectivité des particules.


À quel point les virus sont-ils morts ?

Voici une interview de Stefan Lanka par un magazine allemand traitant de la Santé, interview qui permet de mieux intégrer des points fondamentaux sur l’arnaque virale.

Toutes les affirmations sur l’existence du virus sont réfutées.


L’invention du « virus Ebola »

Voici le travail de recherche de Mike Stone sur l’arnaque du « virus Ebola ».


Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ?

Brève présentation de l’ouvrage.


Un nouveau paradigme médical

La médecine d’aujourd’hui se préoccupe d’éventuels dépistages précoces et dépense des millions d’euros pour éventuellement trouver un traitement pour tous les cancers ; pourtant, des millions de personnes meurent encore des cancers. Est-ce la bonne voie ? Ne devrions-nous pas plutôt nous préoccuper de comprendre pourquoi un cancer se déclenche ? Comment notre mode de vie est concerné ? Quel est le rôle de la génétique ? Pourquoi le cancer touche-t-il telles personnes et pas telles personnes ? Si une substance est cancérigène pourquoi ne tue-t-elle pas toutes les personnes en contact avec elle ? On comprend bien que le cancer est relié à l’histoire personnelle de l’individu. Elle touche tous les niveaux de son être : physiques, physiologiques et spirituelles. La médecine d’aujourd’hui ne peut répondre à cette nouvelle approche.


Go Virus Go !

Le Dr Stefan Lanka (…) raconte le « Procès du virus de la rougeole ». Stefan Lanka avait promis 100 000 euros à qui prouverait de manière scientifique l’existence du virus de la rougeole. Suite à l’action du Robert Koch Institut (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) par l’intermédiaire d’un médecin (le Dr Bardens) Lanka a été traduit en justice et sommé de payer les 100 000 euros. Après un premier jugement, en sa défaveur, car bâclé et rempli de vices de forme, il a porté l’affaire devant la Cour d’Appel de Stuttgart qui lui a donné raison, jugement confirmé par la plus haute juridiction allemande, la Cour Fédérale de Justice de Karlsruhe.

Ce jugement, qui disait textuellement qu’aucune étude scientifique n’avait prouvé l’existence du virus de la rougeole — et plus généralement l’existence des virus, aurait dû être un coup de tonnerre dans le monde médical et dans tous les médias. À cette occasion, ces derniers se sont révélés être ce qu’ils sont réellement : des merdias qui ignorent tout simplement ce qui les dérange et pourrait les empêcher de profiter des offrandes versées par les laboratoires. Il va sans dire qu’aucun laboratoire ou institution de santé publique ne s’est hasardé, et pour cause, à « remettre le couvert » lors d’un autre procès.


« Virus », des décennies d’escroqueries ?

Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Le Covid est-il le mensonge de trop ?


Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?

Le dérèglement climatique au secours de Big Pharma ?

Tour d’horizon des problèmes autour de la théorie virale.
Et la prochaine étape probable quand la vaccination ne fera plus recette.


La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire

Ce documentaire aborde en détail les différents mythes et procédures sur lesquels repose la théorie des germes pathogènes, prétendument à l’origine de phénomènes de contagion, aussi appelée théorie des germes ou théorie microbienne.

L’histoire des épidémies telle que la poliomyélite, la variole et la grippe espagnole est retracée et le jargon des virologues et leurs techniques comme la PCR, le séquençage, l’effet cytopathique, le microscope électronique, les cultures cellulaires, l’isolement, la purification ou encore le concept d’anticorps sont analysés pour mieux comprendre sur quoi repose la virologie moderne et la théorie des germes dans son ensemble.

(Vidéo > 2 h 30)


Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio

L’un des résultats du prétendu nouveau coronavirus qui a émergé publiquement en 2019 est que la spécialisation médicale de la virologie a été élevée à une stature presque divine dans les médias. Peu de gens comprennent les origines de la virologie et son élévation à un rôle de premier plan dans la pratique de la médecine d’aujourd’hui. Pour cela, il faut se pencher sur les origines et la politique du premier institut de recherche médicale américain, l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, aujourd’hui l’Université Rockefeller, et ses travaux sur ce qu’il prétendait être un virus de la polio.


Le mythe de la contamination épidémique

Examen du socle de l’idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination
(Vidéo 1 h 25)


Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène

La vision du monde de tous ceux qui défendaient avec véhémence que l’existence du coronavirus avait été démontrée scientifiquement doit et va s’effondrer.


Démontage de la théorie virale

L’existence des virus de la polio, de la rougeole, du VIH, du CMV, de l’EBV, de l’hépatite C, de l’Ebola, de la grippe, du Zika et maintenant du coronavirus a-t-elle été démontrée et scientifiquement prouvée ?


Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS

Le mot « influenza » (« grippe ») est originaire d’Italie. Le premier enregistrement de cette maladie étrange et inexplicable s’est produit vers l’année 1580. Alors que le phénomène se reproduisait, des observateurs perspicaces ont reconnu qu’il avait tendance à « apparaître » simultanément à plusieurs endroits, parfois sur plusieurs continents. Afin d’expliquer ce fait cognitivement dissonant, les « scientifiques » italiens ont examiné les enregistrements des taches solaires et ont remarqué que les épidémies semblaient toujours coïncider avec des pics d’activité des taches solaires.


Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki

L’histoire du VIH/SIDA. Le scandale a débuté le 23 avril 1984. L’histoire qui était « trop grosse pour échouer » était remplie de lacunes et cela devint clair lorsqu’en 1992 une Enquête Fédérale américaine a révélé que le Dr Robert Gallo avait commis une fraude scientifique.


Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant. TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement. La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations. (Vidéo 55 min)


Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde.


L’invention du SARS-CoV-2

Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie – Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2FR“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.


Analyse structurelle des données de séquençage en virologie — Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2

Stefan Lanka, en collaboration avec un mathématicien anonyme, a rendu publiques ses recherches sur l’analyse du génome du SARS-CoV-2 et des techniques et méthodes questionnables utilisées par les virologues.


L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka. (…) Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus. Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale (…)


Articles sur la théorie virale :
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la fraude des tests PCR :
Des courriels de 2020 font voler en éclats l’escroquerie du test PCR covid
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]

Et aussi les autres articles du dossier Vaccins et virus

Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19

Ricardo Delgado : « Malgré les preuves, ils continuent de nier. »

Des milliers de personnes, certaines vivant dans la ville de Séville (Espagne) et d’autres en streaming dans le reste du monde, ont pu contempler au microscope le contenu des vaccins, gardés secrets comme n’importe quelle arme de guerre.
Cet événement a eu lieu juste au troisième anniversaire de cette période de dystopie qu’ils ont appelée pandémie, causée par un virus tueur et contagieux qui n’existe pas, pas plus que les vagues épidémiques et les variants. Et oui, à la place, des milliers d’antennes 5G irradient des corps humains innocents, victimes du grand mensonge du système, inoculés avec une substance appelée vaccin qui contient de l’oxyde de graphène réduit, un nanomatériau qui marque l’avenir de l’humanité sur son chemin vers le transhumanisme.


Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur

Y aurait-il un lien entre le Coronavirus et la 5G ? Le chercheur et biologiste du bâtiment Paul Doyon a écrit un article brillant exposant les preuves. Et comment vous pouvez vous protéger : une stratégie de protection basée sur les champs électromagnétiques. Avertissement : il s’agit d’un article basé sur la science lourde avec près de 100 références à des études.


C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !

Après le 11 septembre, les armes biologiques sont devenues une préoccupation majeure avec des histoires effrayantes sur la possibilité que des échantillons de variole soient diffusés par aérosol contre des citoyens américains, obligeant l’administration Bush à stocker des vaccins. Il y avait des histoires terrifiantes de chercheurs recréant avec succès le génome de la grippe espagnole grâce à l’ingénierie inverse, ce qui était considéré comme une certitude de tomber accidentellement entre de mauvaises mains. Des mémos secrets ont été dévoilés de scientifiques recherchant la possibilité qu’al-Qaida ou ISIS utilise d’une manière ou d’une autre Ebola pour le bioterrorisme. Des rapports de laboratoires bricolant et modifiant génétiquement certains « virus » afin de les rendre plus mortels ont commencé à remplir les ondes des médias grand public. Les gens étaient conditionnés à se recroqueviller à l’idée que le terroriste acharné sécurise d’une manière ou d’une autre une arme biologique « virale » et déchaîne un fléau contagieux sur le monde. Les mini épidémies se produisent presque tous les deux ans depuis l’introduction du SRAS en 2003, préparant stratégiquement les masses pour l’événement du siècle avec le « SRAS-COV-2 ». Des théories ont été brandies sur le fait que les coupables invisibles impliqués dans ces épidémies étaient des créations concoctées en laboratoire et déchaînées sur la population sans méfiance. Ainsi, avec l’incertitude entourant l’origine animale du « SRAS-COV-2 », ce n’était qu’une question de temps avant que l’idée ne soit émise que ce n’était pas l’œuvre d’un « virus » naturel sautant d’un animal à l’autre et faisant des ravages à travers le monde avec une grippe légère. Ce « virus », associé à aucun nouveau symptôme de maladie, avait dû être créé de manière diabolique par des scientifiques fous dans les laboratoires de Wuhan.

Bien sûr, c’est un scénario qui est parfaitement logique pour les non informés, car l’Institut de virologie de Wuhan est en plein centre de Wuhan et ils ont une longue histoire d’expérimentation avec des « coronavirus » et des chauves-souris. Peu importe que les preuves du « SRAS-COV-2 » soient inexistantes, car dans ce scénario les virologues de Wuhan ont génétiquement conçu un tout nouveau « virus » à partir des restes d’autres « virus », conduisant ainsi à la « pandémie » même qui y est née. Ce « virus », créé grâce à des recherches secrètes sur le gain de fonction, avait dû s’échapper accidentellement du laboratoire ou être délibérément libéré à des fins néfastes. Cette intrigue de science-fiction conçue pour les films est défendue par ceux qui n’ont jamais remis en question le manque de preuves scientifiques de l’existence de « virus ». Cependant, pour ceux qui ont étudié ce sujet en profondeur, il est absolument clair que le récit du gain de fonction/de l’arme biologique/de la fuite de laboratoire est un appât basé sur la peur utilisé pour maintenir ceux qui remettent en question le scénario pharmaceutique officiel accrochés aux mensonges du complexe médico-industriel.


La virologie : pseudoscience au service de la domination

Tests PCR, absence de virus isolés, existence des exosomes, la « méthode » des virologues, le « séquençage » génétique… : un tour d’horizon des preuves du caractère non scientifique de la virologie.


Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?

Voici une synthèse du Dr Julien Devilléger, exposant les « preuves » fournies à ce jour d’un « virus SARS-CoV-2 » prétendument responsable du Covid, mais qui relèvent d’une farce.


Big Pharma (ô surprise !) a créé de toutes pièces la peur de l’hépatite B… pour vendre ses nouveaux vaccins

C’est l’une des interviews les plus révélatrices de l’histoire de l’industrie pharmaceutique.

En 1997, la revue Sciences et Avenir a publié un entretien avec un cadre du grand laboratoire pharmaceutique qui produisait le vaccin contre l’hépatite B.


Démantèlement de l’hypothèse virale

Le « virus de la rougeole » comme exemple. Les raisons pour lesquelles on devrait douter au sujet des affirmations concernant les virus. Que sont les virus et que ne sont-ils pas ? Comment l’existence des virus est-elle expérimentalement prouvée ?

Les scientifiques doivent douter. Ils doivent même douter de tout. Surtout de ce qui leur est cher, à savoir leurs propres découvertes et représentations. Cette règle de base du travail scientifique a pour but d’éviter les dérives et de mettre en évidence celles qui existent. De même, tout le monde a le droit de douter, si ce n’était pas le cas nous serions en dictature. De plus, la science n’est pas limitée à quelques institutions et spécialistes. Toute personne, disposant des connaissances nécessaires et des méthodes appropriées, peut et a le droit de pratiquer la science.

La science n’est science que si les affirmations sont vérifiables et compréhensibles et permettent des prédictions.


Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés

Voici un article fondamental qui montre bien que toute la virologie est une escroquerie.

Les virologues qui prétendent que des virus entraînent la maladie sont des fraudeurs scientifiques et doivent être poursuivis devant des tribunaux.


VIRUS TUEUR ??

Qu’est-ce qu’un virus ? Descendez au fond de l’antre où se cache le mystérieux virus et remettez tout en question. La pandémie bidon de coronavirus est une mystification monumentale, bien au-delà de ce que vous pourriez imaginer.


Épidémies et contagions

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voire fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.


Déclaration sur l’isolement des virus

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition du mot “isolement”, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :


Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies

Nous ne vivons pas une épidémie, nous vivons une épidémie de peur.
“La Virus Mania est une maladie de la société moderne. Pour la guérir, il faudra vaincre la peur, la peur étant le virus contagieux le plus mortel, le plus efficacement transmis par les médias… l’erreur est humaine, mais entretenir l’erreur est diabolique”.(…)
Le Dr Kohnlein réfute scientifiquement les idées reçues selon lesquelles le SARS Coronavirus, le SIDA, la grippe asiatique, l’hépatite, la polio et le cancer du col de l’utérus sont causés par un virus.


Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans

“Je ne perçois pas la crise du coronavirus de la même façon que la plupart des gens. Pour moi, elle constitue plutôt l’occasion d’ouvrir à nouveau une controverse scientifique vieille de 150 ans que la plupart des pays occidentaux ont oubliée.
Le scientifique français Louis Pasteur (1822-1895) est largement célébré comme « le père de la théorie des germes » — l’idée que nous devenons malades lorsque notre corps est envahi par des organismes étrangers tels que des bactéries, des moisissures, des champignons(…)
Ce que l’on sait moins, c’est que d’autres scientifiques français œuvrant à cette époque dans le même domaine avaient des convictions pour le moins différentes, connues sous le nom de « théorie du terrain ».”


Fauci et la grande arnaque du sida

Le tout nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr., « Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », n’est pas le livre d’un politicien qui cherche à attirer l’attention. C’est le livre d’un homme déterminé à mettre sa réputation, sa carrière et sa vie en jeu dans la lutte contre le bioterrorisme des gouvernements captifs de l’industrie pharmaceutique. Il appelle à l’insurrection de masse, et son dernier mot est : « On se retrouvera sur les barricades ! »


Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons

L’anthrax est officiellement une infection causée par la bactérie Bacillus anthracis. Elle peut se manifester sous quatre formes : cutanée, pulmonaire, intestinale et par injection. Les symptômes commencent entre un jour et plus de deux mois après que la personne ait contracté l’infection.
La forme cutanée se présente sous la forme d’une vésicule noire caractéristique. La forme par inhalation se manifeste par de la fièvre, des douleurs thoraciques et un essoufflement. La forme intestinale se manifeste par une diarrhée (qui peut contenir du sang), des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements. La forme injectable se manifeste par de la fièvre et un abcès au point d’injection du médicament.(…)
Les symptômes de l’empoisonnement à l’arsenic sont remarquablement similaires à ceux de l’”anthrax”, notamment l’apparition de lésions cutanées noires. Comme l’anthrax, l’arsenic peut empoisonner par contact avec la peau, par inhalation et par le tube digestif. Si une injection contient de l’arsenic, elle provoquera une lésion au niveau du site.(…)
Le véritable mystère est de savoir pourquoi les scientifiques de l’époque n’ont pas fait le lien entre l’anthrax et l’arsenic.


La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Vous pensez que le coronavirus s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan ? Vous pourriez souffrir de microbiophobie. Espérez-vous qu’un vaccin vous protégera contre le coronavirus ? Vous êtes probablement microbiophobe. Vous sentez-vous à l’abri du coronavirus en portant un masque, en vous isolant et en gardant une distance sociale ? Vous êtes certainement atteint de microbiophobie. La microbiophobie rampante – qui perturbe nos vies en raison de peurs irrationnelles des micro-organismes tels que les virus – est hors de contrôle dans nos sociétés ! Mais que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines.


Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies

Traduction de la table des matières et d’extraits du livre The Contagion Myth.
(Partie 1 : EXPOSER LA THÉORIE DU GERME
CHAPITRE 1 : CONTAGION
CHAPITRE 2 : ÉLECTRICITÉ ET MALADIE
CHAPITRE 3 : PANDÉMIES
CHAPITRE 4 : DU SIDA AU COVID
CHAPITRE 5 : TESTER L’ARNAQUE
CHAPITRE 6 : EXOSOMES
CHAPITRE 7 : RÉSONANCE
Partie 2 : QU’EST-CE QUI CAUSE LA MALADIE?
CHAPITRE 8 : L’EAU
CHAPITRE 9 : ALIMENTATION
CHAPITRE 10 : TOXINES
CHAPITRE 11 : L’ESPRIT, LE CORPS ET LE RÔLE DE LA PEUR
Partie 3: CHOIX…)


Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola (ou de Marburg) pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre. (…) La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie. (…) Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.


La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2

Après les deux clous précédents enfoncés dans le cercueil de la théorie virale, dans cette troisième phase, le Dr Stefan Lanka montre qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux, mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ». (Vidéo 8 min)


Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal

Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l’université de Caroline du Sud, puis s’est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l’université de Duke. Des virus aux injections et aux médicaments, cette vidéo (> 1 h 20) aborde les hypothèses de base qui sous-tendent l’ensemble du récit sur le covid.


L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».


L’enterrement de la théorie virale

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.




L’avocat Reiner Fuellmich sur la plandémie Covid et les possibilités d’actions judiciaires

[Source : AGORA TVNEWS]

[Voir aussi :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]






OMS et Nouvel Ordre Mondial

[Source : anthropo-logiques.org via RI]

Je suis profondément heureux de re-publier ici, avec son aimable autorisation, une nouvelle analyse magistrale de ma consœur Françoise Bloch au sujet de ce qui se trame à l’OMS et du rôle que d’aucuns aimeraient voir jouer à cette organisation profondément corrompue au sein du Nouvel Ordre Mondial…

Avec cet argument a priori imparable : si c’est pour la santé des populations, de quel droit oserait-on s’opposer aux décisions de cet organisme ?

Les manœuvres pour soumettre les pays aux décisions contraignantes (diktats) de l’OMS se déroulent déjà au grand jour depuis quelques années. Si les Occidentaux apparaissent soumis à cet agenda totalitaire mondial, la bonne surprise est venue à plusieurs reprises du reste du monde, à qui évidemment on ne la fait pas quand il s’agit d’imposer de nouvelles formes d’impérialisme.

Ceci advient à un moment où l’organisation n’en finit pas de se discréditer. En dépit de la quasi-absence de nouveaux cas, par exemple, l’OMS vient de reconduire la « variole du singe » comme urgence sanitaire internationale… Une urgence sanitaire sans cas est une innovation intéressante de plus dans le registre du théâtre de l’absurde… mais certainement pas de la santé publique !

Quant au très douteux scientifique Jeremy Farrar (directeur du Wellcome Trust), il vient, à peine élevé à la dignité de Chief Scientist de l’OMS, de proposer qu’on renonce aux investigations quant à l’origine du Sars-CoV-2 — question en effet sans importance ! Il s’en est ensuite défendu, sachant à quel point le sujet est chaud : pas moins de dix chimères de coronavirus de chauve-souris ont été produites dans le laboratoire de Wuhan après que Barack Obama ait interdit les recherches sur les gains de fonction sur les virus — le Sars-CoV-2 apparaissant désormais bien, comme l’avait dit très vite le Pr Luc Montagnier, un produit d’ingénierie du vivant…

Au-delà de ces vilaines péripéties se déploie un réel problème de fond : la volonté de subordonner de manière contraignante la souveraineté sanitaire des pays à une organisation internationale connue aujourd’hui comme étant LA plus corrompue au monde.

Françoise Bloch, en observatrice avertie, nous livre un article de haute tenue décrivant les risques et les enjeux de cette pièce maîtresse du dispositif de gouvernance mondiale en voie d’imposition par des pouvoirs étatiques mafieux. Engagés dans de véritables « crimes d’état contre la démocratie » selon le terme consacré par le professeur de sciences politiques américain Lance de Haven Smith…

Jean-Dominique Michel

[Mise à jour.
Voir aussi :
« Le Traité sur les pandémies de l’OMS instaurera un État mondial, policier, médical et scientifique », selon Francis Boyle, professeur de droit
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-traite-sur-les-pandemies-e-l-oms-instaureront-un-etat-mondial-policier
et
Un avocat révèle les projets de pouvoir de l’OMS]

La clef de voûte du Nouvel Ordre Mondial passe-t-elle par de nouvelles prérogatives attribuées à l’OMS ?

Par Françoise Bloch[1]

« Qui écoute un témoin le devient à son tour…
Cela reste important de délivrer un message, pas seulement pour le peuple juif, mais pour la noblesse de l’être humain »

Elie Wiesel[2]

« Aujourd’hui plus que jamais, la conception de l’être vivant comme machine est indissolublement liée au fait que nous vivons dans une société capitaliste et industrielle : elle reflète ce que les instances qui dominent la société voudraient que le vivant soit, afin de pouvoir en faire ce que bon leur semble. »

Bertrand Louart[3]

Préambule

Selon Hannah Arendt[4]:

« Ce n’est que dans la mesure où il pense, et cela veut dire dans la mesure où il est sans âge — un “il” ou un “je” et non un “quelqu’un” comme le nomme si justement Kafka — que l’homme dans la pleine réalité de son être concret vit dans cette brèche entre le passé et le futur. Cette brèche n’est pas un phénomène moderne, peut-être même pas une donnée historique, mais va de pair avec l’existence de l’homme sur la terre. Il se peut bien qu’elle soit ce chemin frayé par la pensée, ce petit tracé de non-temps que l’activité de la pensée inscrit à l’intérieur de l’espace-temps des mortels (…). Ce petit non-espace-temps au cœur même du temps (…) peut seulement être indiqué, mais ne peut être ni transmis ou hérité du passé ; chaque génération nouvelle et même tout être humain nouveau en tant qu’il s’insère lui-même entre un passé infini et un futur infini, doit le découvrir et le frayer laborieusement à nouveau ».

J’ai donc essayé, durant ma vie y compris depuis ces trois ans de délire covidien, de me frayer ce chemin entre un passé et un avenir encore inconnu, mais que d’aucuns semblent vouloir écrire pour nous… en prolongeant un passé qu’ils se sont employés à reprendre à leur compte… pour leurs propres intérêts, n’ayant jamais su s’en détacher et voir que l’humain n’est pas qu’une « mécanique à réparer » ou à « perfectionner ». Les deux idéologies du 20e siècle, nées des conceptions scientistes du 18e et dont le capitalisme a finalement triomphé, n’ont su voir dans la vie et l’humain que la matérialité au point de désormais vouloir en faire un robot. Les hommes ne sont pas des machines que l’on peut télécommander par l’intelligence artificielle et autres béquilles technologiques même si celles-ci les fascinent. Il leur arrive même d’avoir une conscience et de penser dans cet espace-temps qui échappe aux soi-disant « élites mondialistes » dont les projets fous nous conduisent à un totalitarisme sanitaire et militaire si nous n’y prenons garde… et dont une partie est déjà en place, mais qu’ils accélèrent.

******

D’abord il nous faut faire un constat

De ces trois ans de « covidisme délirant », totalement déconnecté de la réalité de la situation et d’ailleurs de toutes les pratiques judicieuses et scientifiquement éprouvées en cas d’épidémie virale respiratoire voire de pandémie, mais fut simplement une « expérimentation d’ingénierie sociale », conçue et préparée de longue date[5].

Depuis l’arrivée du SRAS-CoV-2, nous pouvons énumérer les méthodes de manipulation de l’information qui ont été utilisées : essais cliniques falsifiés et données inaccessibles ; études truquées et en conflits d’intérêts ; dissimulation des effets secondaires à court terme des « injections géniques » nommées à tort « vaccins » et méconnaissance totale des effets à long terme de leur injection ; composition douteuse des « produits injectés » ; méthodes de test inadéquates ; gouvernements et organisations internationales corrompus ; médecins soudoyés ou menacés, voire interdits d’exercer leur métier ; dénigrement de scientifiques de renom ; interdiction de tout traitement alternatif efficace ; méthodes sociales liberticides et création de boucs émissaires — les non-vaccinés — pour diviser la population, monter les citoyens les uns contre les autres, et créer la discorde au sein des familles au point de pousser des enfants et adolescents au suicide ; utilisation par les gouvernements de techniques de modification du comportement et d’ingénierie sociale pour imposer l’enfermement, les masques et l’acceptation des injections ; censure des médias indépendants et discours planétaires uniformes, véhiculés par les médias les plus puissants du monde (trois agences de presse — AP, Reuters, AFP — toutes rachetées par des financiers et subventionnées, fournissant de quoi alimenter leurs articles)… et amplification du numérique à des fins de contrôle de la population.

Et pour conclure :

« En soutenant et en sélectionnant uniquement un côté de l’information scientifique tout en supprimant les points de vue alternatifs, et avec des conflits d’intérêts évidents, les gouvernements et les médias grand public ont constamment désinformé le public. Par conséquent, les lois de vaccination validées de manière non scientifique, issues de la science médicale contrôlée par l’industrie, ont conduit à l’adoption de mesures sociales pour la protection supposée de la santé publique, mais qui sont devenues de graves menaces tout à la fois pour la santé, les droits et les libertés des populations touchées »[6].

Après ce constat d’évidence

Fait par de nombreux chercheurs indépendants[7] et de citoyens et citoyennes éclairés, nous avons, de facto, vécu une expérimentation sociale, une forme particulière d’ingénierie sociale, longuement mûrie et préparée, que les « nouveaux maîtres du monde », à savoir les « élites mondialistes » auto-programmées et l’OMS, leur façade, considèrent finalement comme « réussie » puisque la grande majorité des citoyens — principalement occidentaux — ont consenti aux mesures préconisées y compris les plus coercitives. Car d’autres pays comme une bonne partie de l’Amérique latine, l’Égypte, plusieurs pays africains, la plupart des États indiens et y compris la Chine ont eu recours à des remèdes dits ancestraux — l’Artémisia annua par ex. — ou qui avaient fait leurs preuves scientifiquement. On peut donc constater que cette « expérimentation » n’a pas encore complètement atteint l’objectif visé par l’OMS et ses financeurs[8]. Elle a juste préparé ceux qui, sidérés et manipulés, n’ont pas pu ni su y résister : il s’agit désormais de contraindre tous ceux qui n’ont pas appliqué le « dispositif » ou qui ne l’ont pas atteint afin qu’ils se conforment au déroulement des prochains épisodes, c’est-à-dire l’objectif visé par ces élites mondialistes… et leurs complices : un contrôle totalitaire sur leurs vies au prétexte de prendre soin de leur santé… et de leur sécurité… par équité bien sûr ! En cela, malheureusement, l’OMS et ses complices trouvent chez certains ONG et partis politiques — essentiellement de gauche, « écologistes » et tiers-mondistes — des alliés objectifs au prétexte d’aide au développement et d’aide internationale aux pays les plus démunis financièrement. On reste stupéfait devant un tel aveuglement technophile, purement idéologique.

*****

Voyons maintenant les « préparatifs » de l’OMS en vue d’atteindre cet objectif — qui se veut mondial, question « d’équité », paraît-il — lors de l’Assemblée mondiale de la santé en mai 2023 : va-t-on vers un totalitarisme sanitaire et militaire ?

Pendant nos interrogations bien sûr légitimes sur ce que nous avons vécu parfois comme sidération et souvent comme maltraitance et le soin que nous apportons à en traiter les effets, de préférence avec bienveillance, l’OMS poursuit son agenda mondialiste, sous l’influence de ses financeurs à savoir les soi-disant « élites mondialistes » (dont bien sûr la Fondation Gates et la GAVI) réunies annuellement au Forum Économique Mondial (WEF) à Davos[9] par une intense activité de groupes de travail ; ceci d’autant plus que lors de l’Assemblée mondiale de la santé de 2022, plusieurs États membres, dont plusieurs africains, se sont opposés aux modifications du Règlement sanitaire international (RSI). Rappelons que, déjà en 2021, Urmie Ray dénonçait les dangers d’une mainmise accrue de l’OMS sur la santé mondiale[10]. Plusieurs groupes de travail — dont les membres sont cooptés — se sont déjà réunis plusieurs fois, en vue de :

  • – élaborer un nouveau traité, accord ou convention sur la prévention, la préparation et l’intervention en cas de pandémie[11],
  • – modifier le Règlement sanitaire international (RSI)
  • – amplifier les outils technologiques afin de poursuivre « une stratégie mondiale pour la santé numérique » (sic) censée façonner l’avenir de la santé mondiale[12].

Les nouvelles prérogatives que l’OMS cherche à se voir attribuer nous annoncent-elles la mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial de type totalitaire ? De nombreuses voix, essentiellement américaines, mais, quoique de façon moins audible, aussi européennes, s’élèvent pour dénoncer ce « coup d’État » qui militariserait la santé comme elle l’est déjà, depuis des décennies aux USA. Raison pour laquelle les Américains sont peut-être plus avertis des risques encourus puisqu’ils vivent déjà, sur leur territoire, leur accélération depuis la présidence de G. W. H. Bush durant laquelle la « guerre bioterroriste » a été conçue et lancée à travers diverses opérations : Dark Winter, Eco Global Health Security Initiative, Atlantic Storm et Event 201, que Monika Karkowska a déjà fort bien analysées[13].

Ainsi, le journaliste et chercheur indépendant James Roguski[14] dévoile, en s’appuyant sur un document interne de l’OMS[15], les effets qu’auraient les amendements proposés par l’OMS, dont ceux :

  • – de modifier la nature générale de l’Organisation mondiale de la santé, qui passerait d’une organisation consultative se contentant de formuler des recommandations à un organe directeur dont les proclamations seraient juridiquement contraignantes. (Article 1)
  • – d’étendre considérablement le champ d’application du RSI pour inclure des scénarios qui ont simplement un « potentiel d’impact sur la santé publique »
  • – de chercher à supprimer « le respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes. » (Article 3)
  • – de donner au directeur général de l’OMS le contrôle des moyens de production par le biais d’un « plan d’allocation de produits de santé » afin d’obliger les États-parties à fournir des produits de réponse à la « pandémie » dont la définition serait modifiée, selon ses instructions. (Article 13A)
  • – de donner à l’OMS le pouvoir d’exiger des examens médicaux, des preuves de prophylaxie, des preuves de vaccination et de mettre en œuvre la recherche des contacts, la quarantaine et bien sûr le traitement. (Article 18)
  • – d’instituer un système de certificats sanitaires mondiaux sous forme numérique ou papier, comprenant des certificats de test, des certificats de vaccin, des certificats de prophylaxie, des certificats de guérison, des formulaires de localisation des passagers et une déclaration sanitaire du voyageur. (Articles 18, 23, 24, 27, 28, 31,35, 36 et 44 et annexes 6, 7 et 8)
  • – de rediriger des milliards de dollars non spécifiés vers le complexe industriel d’urgence des hôpitaux pharmaceutiques sans aucune responsabilité. (Article 44A)
  • – de permettre la divulgation de données personnelles sur la santé. (Article 45)
  • – d’augmenter considérablement la capacité de l’OMS à censurer ce qu’elle considère comme de la désinformation et de la mésinformation. (Annexe1, page 36)
  • – de créer une obligation de construire, de fournir et de maintenir une infrastructure RSI aux points d’entrée. (Annexe 10)

Quelque peu réconforté par la 4e séance[16] de ce groupe de travail, puisque ses critiques auraient été entendues (!), J. Roguski en oublie que les modifications apportées au RSI ne sont qu’une partie du processus engagé.

Francis Boyle[17] élargit le propos

Expert en armes biologiques et professeur de droit international à l’Université de l’Illinois, il avait déjà été, en 1989, le rédacteur d’un rapport dénommé « Biological Weapons Anti-terrorism Act », présenté devant le Congrès US sous la présidence de G.H.W. Bush[18]. Récemment interviewé par « The Defender » au sujet des dernières propositions faites par l’OMS lors de négociations internes qui ont eu lieu à Genève du 6 au 13 février[19], il va nettement plus loin et soupçonne ces nouvelles prérogatives que veut s’attribuer l’OMS de revêtir toutes les composantes d’un « état totalitaire mondial de police médicale et scientifique » : celles-ci « pourraient violer le droit international et enlever toute souveraineté aux États en matière de politique de santé tout en s’assurant d’un contrôle sur la population mondiale par la mise en place de technologies numériques » ; tout ceci en vue d’atteindre « la stratégie mondiale de santé numérique » (sic), avec en vedette les GAFAM, l’IA, le contrôle accru des gouvernements et des citoyens qu’un autre groupe de travail étudie[20] en collaboration étroite avec le GHSI (Global Health Security Initiative)[21]. Très récemment, le Dr Mercola[22] annonce la nomination (fin décembre 2022) par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à la tête du GHSI, de son directeur — « un scientifique fou » — : le Dr Ferrar. On apprend que le Dr Ferrar était directeur, de 2013 à février 2023, du Wellcome Trust, complice de la dissimulation de l’origine du SRAS-CoV-2. Et que le Wellcome Trust et son directeur font partie du réseau technocratique mondialiste et du mouvement eugéniste moderne. Lorsque le SRAS-CoV-2 est apparu, M. Farrar a fondé Wellcome Leap, qui est en fait le DARPA de la santé mondiale (Defense Advanced Research Projects Agency, c. à d. une agence du département de la défense US). Cet organisme se concentre entièrement sur la recherche transhumaniste afin d’ouvrir la voie à la quatrième révolution industrielle. M. Farrar et le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, font par ailleurs partie d’un petit réseau mondial très soudé qui travaille en coulisse pour influencer la santé, la finance et la gouvernance mondiales… En coulisse donc.

Pour Francis Boyle, tous ces « préparatifs » qui brouillent les cartes entre « transparence relative et opacité » donnent toutefois une « cohérence » à l’ensemble des « préparatifs » que l’OMS compte faire voter par les États membres en mai 2023, mais ne doivent pas être analysés séparément même si tout est fait « pour noyer le poisson » et les faire apparaître comme séparés. Pris ensemble, ils vont dans le sens d’un pouvoir accru que l’OMS s’attribuerait y compris celui de contrôler l’application par les États de ses directives (mais aussi bien sûr le contrôle des citoyens du monde entier, ramenés au niveau d’enfants obéissants dans le meilleur des cas). De son rôle consultatif, la direction de l’OMS aurait désormais un rôle impératif dès lors que les 2/3 des États membres lui auraient donné un blanc-seing.

Et de préciser : le cadre du RSI de 2005 « permettait déjà au directeur de l’OMS de déclarer une urgence de santé publique dans n’importe quel pays, sans le consentement du gouvernement de ce pays, bien que le cadre exige que les deux parties tentent d’abord de parvenir à un accord ». « Selon le même document de l’OMS, les recommandations du comité d’examen du RSI et du groupe de travail des États membres sur les amendements au RSI de 2005 seront communiquées au directeur général de l’OMS, Tedros Adhanson Ghebreyesus, d’ici mi-janvier ». Cependant M. Boyle remet en question la légalité des documents susmentionnés, citant par exemple que le traité proposé par l’OMS viole la Convention de Vienne sur le droit des traités qui a été ratifiée en 1969 et que M. Boyle a décrite comme « le droit international des traités pour tous les États du monde »[23].

Il explique en outre la différence entre le dernier traité sur les pandémies et les propositions de modification du RSI : « Le traité sur les pandémies de l’OMS créerait une organisation internationale distincte, alors que les modifications proposées au RSI fonctionneraient dans le contexte de l’OMS telle qu’elle existe aujourd’hui ». Cependant, a-t-il déclaré « après avoir lu les deux documents, il s’agit d’une distinction sans différence. L’un ou l’autre, ou les deux, mettront en place un État policier médical et scientifique totalitaire mondial sous le contrôle de Tedros et de l’OMS, organisation de façade pour les CDC, que dirigeait Tony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, l’industrie de la guerre biologique et le gouvernement communiste chinois qui paie une partie de leurs factures… Soit ils obtiennent les règlements, soit ils obtiennent le traité, mais les deux sont existentiellement dangereux. Ce sont des documents vraiment dangereux… et insidieux ». Le Pr Boyle précise « n’avoir jamais lu de traités et de projets d’organisations internationales aussi complètement totalitaires que le règlement du RSI et le traité de l’OMS, car l’un et l’autre mettent en place un État policier médical et scientifique totalitaire qui échappera au contrôle des autorités nationales étatiques et locales » (et a fortiori aux citoyens) ; « … pour autant que je puisse en juger par leur lecture, ils sont, l’un et l’autre, conçus spécifiquement pour contourner les autorités nationales, étatiques et locales en matière de pandémies, de traitement de pandémies et de vaccins ».

Enfin, venons-en à Katherine WATT[24]

Dans un document qui retrace, année après année, une bonne partie des débats autour de la santé et de ses liens avec le DOD (département de la défense US) depuis le début du 20e siècle, elle montre que dès le début du siècle dernier, les élites américaines avaient, à plusieurs reprises, eu le projet de mettre en place un Nouvel Ordre mondial, velléités auxquelles seul Roosevelt, en 1933, avait — provisoirement — mis un terme. En outre, les élites US dès les années 20-30 avaient des projets de dépeuplement qui furent de nouveau approuvés en 1975 sous la présidence de G. Ford, dans le droit fil des théories eugénistes de la fin du 19e siècle que nous aborderons sommairement ultérieurement. Elle constate qu’aux USA, dès la fin des années 70 « la santé publique a été militarisée »[25] et que le personnel militaire a été utilisé comme « sujets » de recherches (ou plus exactement comme « cobayes ») pour les armes biologiques et chimiques, et que dans le prolongement de cette décision, « tout micro-organisme vivant, fabriqué par l’homme, a été considéré comme un objet brevetable (loi votée sous la présidence de Reagan en 1980) — ce que David Martin a très bien démontré[26] et contre quoi il nous mettait en garde — et qu’en 1986, sous la même présidence Reagan, « fut accordée aux fabricants de vaccins une immunité juridique pour les blessures et les décès causés par leurs produits » ; enfin que le HHS (le département de la santé et des services sociaux), dirigé par le Dr Fauci avait des liens structurels non seulement avec les multinationales pharmaceutiques, mais avec le Département de la Défense (DOD) en vue d’une guerre biologique et bioterroriste, toutes choses analysées par Monika Karbowska[27]. Lors d’une conférence de presse sur le déploiement en cours d’armes biologiques[28], K. Watt précise que de fait, depuis des années, « est utilisé un langage portant sur la santé publique afin de mener à bien une campagne militaire » dont nous avons d’ailleurs vu l’usage qu’en a fait, en France, le Président Macron, durant la crise dite du Covid, en s’entourant d’un Conseil de guerre constitué de militaires dont les propos furent tenus secrets. Je la cite :

“Ce que le Département de la défense et l’OMS ont l’intention de faire — ils sont allés assez loin pour cela sans pour autant atteindre leurs objectifs —, c’est de faire du monde entier leur terrain géographique : ils ciblent toute la population du monde, la durée de leur campagne et les armes qu’ils utilisent sont d’abord informationnelles, c’est-à-dire la propagande et la censure, les deuxièmes sont psychologiquesterreur et terrorisme — qui consistent à dire aux gens qu’ils doivent avoir peur en permanence et qu’ils doivent écouter le gouvernement, et enfin le 3e volet, les armes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires qui sont appelées dans leurs campagnes « vaccins pharmaceutiques », mais qui sont en fait des toxines et des agents pathogènes”.

Ensuite, K. Watt soulève les éléments juridiques et les aspects économiques et financiers qui permettent de mettre en place tout cet arsenal de mesures. Elle en conclut que ce projet dure depuis fort longtemps et que sont à la manœuvre des banquiers mondialistes et de nombreuses organisations apparentées qui cherchent à prendre le contrôle total des êtres humains par le biais de programmes bancaires et militaires. Tout ceci remonte au mieux aux années d’avant la 1re guerre mondiale, puis fut repris après la seconde, le nazisme ayant en partie échoué à éliminer une grande partie de la population mondiale (à l’exception tout de même des 60 millions de morts dont 26 à 28 millions de Soviétiques qui repoussèrent l’armée allemande, contribuant à lui faire perdre la guerre, et la quasi-totalité des juifs d’Europe !). « Les produits pharmaceutiques, grâce à l’immunité juridique qui les frappe, permettent le déni des intentions visées : ils peuvent atteindre l’objectif de tuer beaucoup de gens sans que leurs empreintes digitales soient partout »… à l’aide d’outils technologiques[29]… dont la 5 G !

[Voir aussi :
Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant
et
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

« Les contraintes financières passent par la Banque des Règlements internationaux (BRI) qui contrôle toutes les banques centrales et les institutions financières puis, tout du long, par les États, les gouvernements nationaux, locaux, municipaux, les écoles et les hôpitaux. Si vous vous conformez à ce qu’ils vous disent de faire, vous obtiendrez les moyens financiers pour ce dont vous avez besoin, pour gérer votre entreprise ou avoir un emploi et si vous ne consentez pas, ils peuvent vous couper tout ceci et c’est par là que tout a été réalisé. » En gros, précise, K. Watt : « C’est ce que nous avons déjà pu constater et vivre durant l’année 2021 et ladite « crise du Covid ».

Puis elle analyse tous les aspects juridiques qu’elle a repérés pour détourner les lois interdisant les armes chimiques et biologiques. Tous ces produits le sont à des fins “prophylactiques, protectrices ou défensives, cette dénomination étant fausse puisque tous ces produits biologiques sont agressifs, toxiques et mortels”, en sus d’être grandement inefficaces, comme nous l’avons constaté durant la crise du SRAS-CoV-2 et son cortège d’effets indésirables, pour la plupart censurés.

[Voir aussi :
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?
Nanotechnologie et « vaccins »
À quel point les virus sont-ils morts ?
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !]

Elle considère que l’OMS est la pierre angulaire de tous ces dispositifs et, selon elle, elle “n’est pas une organisation de santé, mais une organisation militaire, le bras militaire du gouvernement mondial unique que les élites essaient de mettre en place”. “Les amendements qu’ils veulent apporter au RSI visent à l’aggraver en exigeant des gouvernements nationaux la mise en place de mesures plus contraignantes et coercitives en cas d’épidémie de maladies transmissibles et le prétexte utilisé, formulé par les banquiers, est de protéger les entreprises des désagréments provoqués par les épidémies. Mais la vraie raison est le transfert des prérogatives des États Nations à l’OMS et à la BRI”.

Tous ces chercheurs américains en appellent à stopper le traité sur les pandémies et les modifications apportées au RSI, voire incitent leur pays à sortir de l’OMS. Peu de chance qu’ils soient entendus puisque les USA sont à la manœuvre depuis des années… sauf lorsque Trump voulut suspendre le financement US de l’OMS… mais certainement pas pour les mêmes raisons !

Ces éclaircissements, sous forme de révélations, nous éclairent désormais sur qui sont “les nouveaux maîtres du monde” à savoir les soi-disant élites mondialistes, essentiellement américaines, comme la plupart des multinationales pharmaceutiques et les banques à l’exception de la Banque des Règlements internationaux, la BRI, créée à Bâle en 1930, laquelle chapeaute toutes les banques centrales. On comprend aisément que la Suisse soit partie prenante de tous ces préparatifs et explique certainement la raison pour laquelle Genève accueille la plupart des Organisations internationales[30] dont l’immunité fut votée en 1945 par le Congrès US sous la présidence de Harry S. Truman ! La dernière en date, adoubée en 2015 par le Conseil fédéral Suisse comme Organisation internationale avec l’immunité juridique et les avantages y afférents, fut le WEF (Forum économique mondial) de Klaus Schwab[31] dont les modalités furent revisitées en 2020.

En conséquence et conclusion… toujours provisoire :

Si ces préparatifs de l’OMS aboutissaient, il en serait fini de la souveraineté des États comme des traités internationaux dont deux d’entre eux me semblent particulièrement importants : le Code de Nuremberg et les Protocoles d’Oviedo puisqu’il s’agit bien, dans tous ces “préparatifs”, de crimes contre l’humanité comme l’a démontré le Grand Jury sous la direction de Reiner Fuellmich et Viviane Fischer, et d’eugénisme dont je rappelle quelques éléments historiques.

[Voir aussi :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

L’eugénisme, théorie qui a prévalu à partir du milieu du 19e siècle en Occident, visait un programme de sélection artificielle pour produire une race humaine supérieure en s’appuyant sur la théorie de l’hérédité de W. Galton et sur celle de Darwin, appliquées aux êtres humains. Furent ainsi pratiquées, entre autres sous le nazisme, des expériences médicales sur l’humain, menées sur des détenus dans les camps de concentration (mais aussi sur les malades mentaux et les enfants). La plupart de ceux qui les pratiquèrent étaient médecins et, pour certains, professeurs d’Université, parfois même chercheurs réputés des expérimentations sur l’humain. Une toute petite partie d’entre eux (23 dont 20 médecins et une femme qui “officiait” comme médecin au camp de Ravensbrück[32]) furent traduits, en 1947, devant l’un des douze Tribunaux de Nuremberg, dont l’un, spécifique, concerna les seuls médecins[33].

[Voir aussi :
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
L’eugénisme, l’inavouable projet « scientiste » des philanthropes de la finance
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019]

De ces procès de Nuremberg est né le Code de Nuremberg qui établit une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 — août 1947), lesquels précisent les conditions auxquelles doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme “acceptables”. De là furent édictées des lois éthiques encadrant la pratique biomédicale[34].

Ces principes éthiques furent constamment remis en cause par les USA. L’OMS et les autorités politiques et sanitaires, notamment dans les pays occidentaux, s’en sont exonérées pendant ladite crise du SRAS-Cov2et ne fut pas plus tenu compte de la Convention et des Protocoles d’Oviedo[35] (avril1997), le seul instrument juridique international contraignant. Cette Convention-cadre et ses protocoles visent à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine. Refuser de se faire injecter des produits toxiques ne relève donc pas d’un “égoïsme” qui fut prêté aux “non-vaccinés”, mais bien d’une question éthique qui concerne toute l’humanité.

[Voir aussi :
Qu’est-ce que l’éthique en médecine ?]

Hannah Arendt dont l’œuvre gigantesque sur le totalitarisme fait référence[36] — que reprend à son compte Ariane Bilheran[37] — lors d’un dernier entretien réalisé par “les Crises” en 1973[38], jette un regard rétrospectif sur le nazisme, la banalité du mal, la raison d’État dont la sécurité nationale est issue et qui justifie les pires crimes, l’arrogance des puissants, et sur la peur que l’on ne s’avoue que rarement avoir, mais qui n’est que la peur de l’imprévu et de l’imprévisible fait de contingences, mais est surtout la peur de la liberté, celle en particulier de penser. Aurions-nous si peur d’être libres de penser par nous-mêmes de manière critique ? Et répondant à la question : qu’est-ce que la liberté de penser ? elle ajoute :

« Elle ne repose que sur la conviction que chaque être humain, en tant qu’être pensant, peut réfléchir aussi bien que moi, et peut former son propre jugement s’il le veut. (…) La seule chose qui peut vraiment nous aider, c’est vraiment de réfléchir. Réfléchir, cela signifie de toujours penser de manière critique. Et penser de manière critique, cela signifie que chaque pensée sape ce qu’il y a en fait de règles rigides et de convictions générales. Tout ce qui se passe lorsqu’on pense est soumis à un examen critique. C’est-à-dire qu’il n’existe pas de pensée dangereuse, pour la simple raison que le fait de penser est en lui même une entreprise très dangereuse. Mais ne pas penser est encore plus dangereux. Je ne nie pas le fait que réfléchir est dangereux, mais ne pas réfléchir, c’est plus dangereux, encore. »

[Voir aussi :
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »]

Il en est de la grande Histoire comme des histoires singulières, les mythes et les fables qui nous sont contés cachent souvent des secrets inavouables et n’ont pas grand-chose à voir avec la réalité toujours plus complexe. Ces “fables” se transmettent ainsi de génération en génération… qui les reprennent à leur compte. Ainsi Enzo Traverso dans son ouvrage sur « la violence nazie, une généalogie européenne »[39] fait-il remonter cette violence et l’extermination industrielle des juifs… et des Tziganes — les oubliés de l’Histoire comme le furent les colonisés — … à 250 ans, c’est-à-dire à l’épisode de la Terreur de 1793 lors de la Révolution française qui inventa la guillotine, aux guerres coloniales et aux abattoirs de Chicago créés au milieu du 19èmesiècle[40]. Jacques Pauwels, historien hétérodoxe, fait aussi tomber quelques fables qui nous furent contées — tout au moins pour ceux qui voulaient bien les croire —… et plus précisément celle que l’Europe aurait été sauvée par les Américains, “le pays de la Démocratie et de la Liberté[41].

De fait, les grands industriels américains (Ford, ITT, IBM, General Motors, Petroleum Oil, etc.), loin d’être antinazis, étaient racistes et eugénistes. Pour maximiser leurs profits que la grande dépression des années 20-30 avait fait chuter et lutter contre « les Rouges »c’est-à-dire les ouvriers — auxquels la Révolution bolchévique avait fait germer l’espoir d’un monde plus juste et égalitaire, ils collaborèrent avec Hitler puis changèrent d’alliance en mars 1941, après avoir voté un « prêt-bail » à la Grande-Bretagne… et à l’URSS, à charge pour eux d’un remboursement ultérieur : « une victoire hitlérienne aurait alors asséché l’abondante source de bénéfices que générait le “prêt-bail” (…) et celle sur l’URSS aurait été désastreuse pour leurs profits ». Ces élites US arborèrent alors la casquette de l’antifascisme, mais elles restèrent anticommunistes dans leur cœur » et racistes. De surcroît, l’arrestation de tous les opposants syndicaux, socialistes, et communistes allemands, dès la première heure de l’arrivée d’Hitler au pouvoir, et conduits en camps de concentration, firent plier les ouvriers qui, travaillant à l’économie de guerre dans les usines allemandes, se soumirent à des salaires de misère quand ils furent payés. Double objectif atteint pour ces « élites » qui s’enrichirent à tout va sous le nazisme : « l’incessante quête de profit amena les hommes d’affaires, et en tout premier lieu les chefs des grandes et puissantes entreprises à créer et à manipuler le régime nazi et à lui faire déclencher une guerre mondiale, afin de concrétiser ses objectifs »jusqu’à ce que ce régime ne leur convienne plus. Triste constat qui s’est prolongé durant le 20èmesiècle et se perpétue d’ailleurs actuellement avec les multiples guerres menées sous drapeau occidental : les alliances que les « élites » économiques et financières nouent servent toujours leurs profits. Évidemment à lire, ces ouvrages décoiffent quelque peu nos croyances qui sont transmises de génération en génération. Il semble qu’elles aient la vie dure. Qui n’a pas travaillé son histoire est condamné à la revivre… Il en est des histoires singulières comme de la Grande Histoire ! Si l’Histoire ne repasse jamais les plats, dit-on, il arrive qu’elle les resserve sous d’autres apparats !

Toutefois et heureusement, chaque jour nous apporte son lot de révélations ! dont celle du PDG de Moderna, pris « les doigts dans la confiture »[42] quand il a avoué, d’abord en aparté, puis au dernier Forum économique mondial à Davos, que les « vaccins » étaient prêts, en 2019, bien avant le déclenchement de l’épidémie de Sras-Cov2. La vérité finit toujours par être découverte : ces révélations font prendre conscience à certains États que leur souveraineté est en jeu et qu’il serait bon qu’ils s’opposent aux manœuvres de l’OMS et de ses complices, telle récemment l’Australie[43].

Espérons qu’ils seront suivis par d’autres États, mais surtout que les citoyens, les premiers concernés par le « Nouvel ordre mondial » que nous promeuvent l’OMS et les soi-disant élites mondiales rassemblées au Forum économique mondial (WEF), en y mettant tous les atours pour les séduire, comprendront que leur avenir est en jeu comme celui de leurs enfants. La seule « résilience » individuelle ne pourra pas panser leurs plaies quand, de facto, tout totalitarisme a toujours visé un effondrement sociétal tel que les élites l’ont prévu cette fois encore. Étrange rapprochement entre la résilience requise des habitants, contraints de vivre dans des zones contaminées après un accident nucléaire et celle qu’on leur suggère d’avoir pour « s’adapter » voire « consentir » à un totalitarisme sanitaire et militaire tel que prévu par l’OMS ! N’oublions pas que l’OMS collabore aussi étroitement avec l’AIEA et le Conseil de Sécurité et que la « radiophobie » fut évoquée concernant la peur ressentie par les habitants vivant en zones contaminées par les retombées de l’accident de Tchernobyl et que l’idéologie de la résilience peut être, en elle-même, au service de l’acceptabilité sociale de ce qui produit les nuisances[44]. Thierry Ribault rappelle, de façon symptomatique, qu’en France, la loi portant sur la question environnementale de 2021 a été nommée « loi climat et résilience », tandis que le déploiement de moyens militaires lors de la crise sanitaire de laCovid-19 a été dénommé « Opération résilience ». L’idéologie de la résilience est en fait considérée par Thierry Ribault « comme une sorte de nouvelle religion d’État, dans laquelle toutes les situations qui suscitent de la vulnérabilité sont considérées comme des opportunités de rebond et d’adaptation. Il s’agit ainsi d’une forme de justification de l’ordre des choses, puisqu’elle promeut un “faire avec” tout en individualisant la responsabilité de la catastrophe. »

Maisil serait souhaitable que les citoyens n’oublient pas que leur vie dépend de leur capacité à transcender la peur — même si celle-ci est parfois salutaire et a des raisons d’être ressentie quand de telles folies technophiles sont mises en œuvre — on peut aussi en avoir face à un avenir qui ne saurait se déduire du passé, mais qui reste à inventer. D’autres manières d’être ensemble — de se loger, de se nourrir, de s’aimer, de s’entraider, de donner, etc. — sont déjà expérimentées, rien n’empêche de s’y inscrire afin d’inventer, pour le bien commun de l’humanité, d’autres manières de vivre ensemble y compris de prendre soin de notre santé et de celle des autres. Là réside l’espoir d’un autre monde possible que celui que ces « élites » nous ont préparé de longue date et qui de toute manière s’effondrera… les crises, dont la crise écologique, le traversant, étant multiples.

La société n’est qu’une construction imaginaire[45] : rien ne nous empêche d’en imaginer une autre ! Certains s’y emploient et devraient être encouragés et rejoints au lieu d’être stigmatisés. L’important est le chemin, la voie[46] et pas uniquement l’objectif. Il est vrai que pour résister, il faut de la force d’âme, une des quatre vertus cardinales sur lesquelles repose la vie morale[47]. Il faut aussi du courage pour s’y engager ainsi qu’une intelligence du cœur, toutes vertus que les « soi-disant « élitesmondialistes » ignorent. Cette intelligence du cœur vient de notre conscience, celle de notre profonde interdépendance à l’égard des autres dans toute la diversité qui les constitue… et de la compassion que l’on est capable de ressentir face aux souffrances qu’ils endurent.

S’agissant du respect dû à chaque humain, Marcel Hénaff[48] montre que seul le don affronte cette question, car il implique la reconnaissance de l’autre et sa considération[49], c’est-à-dire ce en quoi autrui nous oblige inconditionnellement ; mais que l’argent a le pouvoir de détruire cette exigence et le lien qui unit les hommes entre eux. Il peut infiniment corrompre. Quant à la justice, je laisse le mot de la fin à Camus : « Il n’y a ni justice ni liberté possible tant que l’argent est roi ». Vaste sujet qui serait trop long à traiter dans cet article, mais qui le fut ailleurs[50].


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Inversion des valeurs et corruption juridique au cours de la crise Covid

[Source : anthropo-logiques.org]

Depuis le début de cette crise « sanitaire » qui aura vu les méthodes totalitaires chinoises être substituées aux bonnes réponses en santé publique (comme le Dr Fauci vient de l’admettre dans une déposition sous serment aux États-Unis !), l’avocate de Araujo-Recchia se bat pour faire connaître l’absolue gravité des transgressions en cours, lesquelles menacent littéralement la sécurité de l’état de droit.

Dans cette présentation, elle passe implacablement en revue les principales facettes de cette réalité que la plupart des gens (et des juristes !) préfèrent ne pas voir. Quelle absence en effet des professeurs de droit constitutionnel par exemple, mais aussi des juristes au service des gouvernements et même des cours de justice face à la redoutable gravité de cette inversion de la norme des hiérarchies juridiques !


Corruption juridique au cours de la crise Covid

Par Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate

Partie prenante à la procédure du Grand Jury du Dr Reiner Füllmich., Virginie de Araujo-Recchia a déposé de nombreuses plaintes dont une plainte pour « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide ».

Liste de ses actions : https://dar-avocats.com/actualites/

[Voir aussi :
La liberté d’expression des médecins, enseignants et chercheurs est-elle protégée en temps de crise sanitaire ? Me de Araujo-Recchia répond
Me Virginie de Araujo-Recchia communique suite à sa mise en garde à vue par la DGSI
Lettre d’informations sur les actions juridiques menées contre les mesures sanitaires par Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris
Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Résumé de la conférence par Mme Tatiana Tislenkoff.

https://www.youtube.com/embed/JoPdWCMTpW4

Autant nous assistons à l’inversement des valeurs au sein de nos sociétés occidentales, autant nous assistons à l’inversement de la hiérarchie des normes juridiques.

En effet, force est de constater que les grands principes juridiques applicables, en toutes circonstances, au sein/au cœur de toute société civilisée, sont désormais foulés au pied au détriment de l’intérêt des peuples et corrélativement au seul profit de la finance internationale mondialiste détenant notamment les groupes pharmaceutiques impliqués.

La fraude est commise sous l’égide de fondations, d’agences et de groupes de réflexion internationaux et au travers de la corruption des médias grand public et des plateformes numériques complices du cloisonnement de l’information et par conséquent d’un obscurantisme décomplexé.

Ainsi, une réglementation technocratique pullulante, incohérente et déracinée se substitue aux normes supérieures avec les conséquences désastreuses que nous connaissons.

Règne désormais un mépris total du droit à la vie, du principe de la dignité humaine, de la sacralité de l’esprit et du corps jusqu’à atteindre l’environnement du fœtus et le génome de l’être humain.

Ces questions nous mènent à la croisée du droit et de la philosophie.

I. Négation des lois non-écrites de la nature humaine et inversion de la hiérarchie des normes juridiques

I.1  Négation des lois non écrites

LE PRINCIPE DU RESPECT DE LA DIGNITÉ HUMAINE

Le principe de dignité exige de sauvegarder la personne humaine « contre toute forme d’asservissement ou de dégradation ».

La dignité implique que la personne reste maître de son corps et d’elle-même, ce qui suppose qu’elle ne se trouve pas aliénée ou asservie à des fins étrangères à elle-même.

Les textes de lois ont essayé de définir cette vie digne : une vie indépendante qui permet l’autonomie de choix et la participation à la vie sociale et culturelle.

D’ailleurs, la définition de la santé en tient compte : « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.»(([1] Extrait de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé, adoptée en 1946 à New-York et entrée en vigueur en 1948.))

Kant distingue ce qui a un prix et ce qui a une dignité : « Dans les règne des fins tout à un prix ou une dignité. Ce qui a un prix peut-être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre, d’équivalent ; au contraire, ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité.»(([2] Dans les Fondements de la Métaphysique des Mœurs de Kant.))

Par conséquent, toute violence, toute discrimination à l’encontre des personnes qui refusent de se faire injecter une substance expérimentale, surtout lorsque le produit pharmaceutique en question est inefficace et nocif, voire mortel, viole tous les principes rattachés au respect de la dignité humaine.

LE PRINCIPE DU RESPECT DE LA DIGNITE HUMAINE A SON COROLLAIRE : LA RESISTANCE A L’OPPRESSION EN CAS D’ATTEINTE À CE MÊME PRINCIPE

Le principe de résistance à l’oppression appartient aux lois non-écrites de la nature humaine et préexiste logiquement à l’État et à sa norme fondamentale suprême.

En effet, lorsque les institutions d’un État, dont la vocation première est d’assurer la protection de l’ordre public, la sauvegarde des principes fondamentaux, de la liberté et des droits du peuple, ne font plus obstacle à la dérive des régimes totalitaires, il est du devoir de chaque individu de résister à l’oppression.

« Le moteur de la résistance ce n’est ni la foule, ni la tribune, c’est l’individu qui a le goût politique et qui juge ; c’est le citoyen qui ne se laisse pas fasciner par « l’hypnose exercée par le pouvoir » ; celui qui refuse d’être dupe ». Parce qu’il faut qu’il y ait « au début du mouvement populaire, une réaction des consciences individuelles », sinon « ce sera une émeute ou une révolte, ce ne sera pas, dans le plein sens du mot, ce refus d’accepter plus longtemps l’arbitraire des gouvernants qui caractérise la résistance à l’oppression. »

« La résistance à l’oppression n’est pas révolutionnaire. Au contraire, elle est de nature conservatrice, sa mission étant de défendre l’ordre constitutionnel établi et de contribuer au retour du statu quo ante ».

I.2. Inversion de la hiérarchie des normes juridiques

Les mesures prises par le pouvoir exécutif français ont été à l’origine d’atteintes aux droits fondamentaux et libertés publiques sans précédent.

Des lois, décrets et arrêtés préfectoraux ont prévalu sur les normes du bloc constitutionnel sans que ces textes ne soient jamais remis en cause ou invalidés tant par le Conseil constitutionnel, que par les juridictions judiciaires et administratives, alors que lesdites mesures étaient clairement disproportionnées et contraires à bon nombre de textes conventionnels et européens ainsi qu’aux normes suprême du corpus constitutionnel.

L’ÉTAT DE DROIT A CÉDÉ LA PLACE A L’ARBITRAIRE

J’ai pu relever les atteintes majeures suivantes :

  • Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation.
  • Violation du droit à la vie et atteinte à l’intégrité des personnes.
  • Violation de la liberté individuelle au mépris de l’Habeas Corpus qui prévoie le contrôle du juge judiciaire à bref délai lorsque les mesures privatives de liberté sont appliquées.(([3] Confinements forcés de l’ensemble de la population.))
  • Violation du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation.
  • Violation de la liberté de circuler/liberté d’aller et venir.
  • Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction de visiter des proches à l’hôpital, d’assister à des funérailles, de se réunir en famille.
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler.
  • Violation du droit à l’éducation.
  • Violation de la liberté de culte.

Nous assistons à :

  • Une manipulation de l’opinion afin de faire régner la terreur et troubler l’ordre public.
  • Une gestion de crise disproportionnée et non conforme aux pratiques habituelles en la matière.
  • Une « épidémie » de tests RT-PCR qui ne permettent pas de déterminer si le patient est malade.
  • Une interdiction de traitements disponibles contre la Covid-19 en violation des droits du patient et de la liberté de prescrire.
  • Un homicide par administration de Rivotril dans les EHPAD.
  • Des crimes contre l’humanité.
  • Des actes de maltraitance et torture à l’égard des enfants.

Or, les magistrats de l’ordre administratif et les membres du Conseil constitutionnel ont utilisé le principe constitutionnel de protection de la santé pour entériner les mesures les plus iniques et les plus nocives pour la santé des français.

Pour le moment, il est devenu quasiment impossible d’échanger de manière objective devant les Cours et tribunaux français concernant les dommages causés par les mesures telles que les confinements forcés, les masques, les tests et la dangerosité des injections expérimentales.

Le principe constitutionnel de protection de la santé a été érigé en principe suprême, afin d’avaliser toutes les mesures prises par le pouvoir exécutif depuis mars 2020.

AFFAIRES DEVANT LES INSTANCES ADMINISTRATIVES, JUDICIAIRES, EUROPÉENNES ET INTERNATIONALES

À compter du mois de décembre 2020, des associations m’ont accompagné dans le cadre d’une action civile collective. Malgré la production de nombreuses études scientifiques dont la crédibilité ne peut être remise en cause, le tribunal judiciaire a refusé la discussion.

Il s’avère aujourd’hui que d’autres études scientifiques sont venues depuis confirmer la nocivité de la mesure de confinement forcé et le président du Conseil scientifique l’a reconnu publiquement.

Nous avons engagé d’autres actions devant les juridictions pénales, la Cour de Justice de la République, la Cour Européenne des Droite de l’Homme, à l’encontre des membres du gouvernement, de certains parlementaires, des médias grand public, des plateformes de réseaux sociaux ainsi que des intervenants propagandistes de plateau radio et télévision, notamment sur la base des chefs d’accusation suivants :

  • Abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse des français en état de sujétion psychologique résultant de techniques propres à altérer leur jugement.
  • Complicité d’extorsion et de tentative d’extorsion de consentement.
  • Tromperie aggravée et tentative de tromperie aggravée commise en bande organisée.
  • Escroquerie et tentative d’escroquerie.
  • Complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement.
  • Participation à une association de malfaiteurs.
  • Crime contre l’humanité – génocide et complicité de génocide.

J’ai également réclamé l’expertise des solutions injectables expérimentales contre la Covid-19, étant donné de fortes suspicions relatives à la présence de nanotechnologies, d’oxyde de graphène et autres substances toxiques, ce qui n’a pas encore été traité par les magistrats en charge de ces dossiers.

En parallèle, j’ai rejoint un groupe d’avocats et juges internationaux travaillant avec mon confrère Reiner Fuellmich. Nous avons créé la Cour internationale de l’opinion publique, afin de présenter publiquement les témoignages d’experts essentiels ainsi que l’ensemble des éléments que nous présentons régulièrement devant les tribunaux nationaux et qui ne sont pas pris en compte actuellement.

II. Le cartel « Finance/Pharma/Médias »

II.1 L’Oligopole

Le rapport intitulé Génocide économique des Nations de Juliette Marin détaille la mainmise des fonds d’investissement américains sur les sociétés françaises du CAC40. Ces mêmes fonds détiennent ainsi directement et indirectement les médias dominants ainsi que les laboratoires pharmaceutiques.

Je cite :

« Selon nos informations, les dix plus grands investisseurs institutionnels contrôlent à eux seuls environ 22’000 milliards de dollars et sont également présents en Europe.

Parmi ces investisseurs, beaucoup sont à la fois grands et diversifiés, comme BlackRock ou Vanguard.(…)

Même s’ils se retrouvent rarement actionnaires majoritaires d’une seule et même société, les effets de cette situation sur la concurrence sont semblables à ceux d’une situation d’oligopole.

(…)

L’étude de l’architecture du réseau de propriétés internationales et nationales, ainsi que le calcul du contrôle exercé par chaque acteur mondial dans son ensemble nous révèle un monopole de fait sur l’économie des nations du monde entier avec un accent sur l’analyse des sociétés françaises cotées en Bourse (CAC40). Nous constatons que les sociétés transnationales formant une structure géante de nœuds papillons et qu’une grande partie du contrôle se dirige vers un petit noyau d’institutions financières très unies.

Ce noyau peut être considéré comme une « super-entité » économique qui soulève de nouveaux problèmes importants pour les chercheurs et les décideurs. »

Le rapport relève les dirigeants impliqués dans le secteur des médias et également dans le secteur des biotechnologies.

II.2. L’Organisation Mondiale de la Santé

Le rapport n°12283 intitulé « La gestion de la pandémie H1N1 : nécessité de plus de transparence » de M. Paul Flynn en date du 7 juin 2010 est édifiant :

Je cite :

« De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence du processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer eu égard aux principales décisions relatives à la pandémie. Il est à craindre que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance accordée aux conseils émis par les grands organismes de santé publique. (…)

L’Assemblée a noté que les activités de lobbying non réglementées ou occultes peuvent constituer un danger et miner les principes démocratiques et la bonne gouvernance. (…) »

Les liens capitalistiques entre les médias grand public, les géants du numérique, les géants américains de la finance et l’OMS démontrent une réelle situation de collusion.

II.3 Le World Economic Forum (WEF)/Young Global Leaders a infiltré les pouvoirs publics

Depuis plus de cinquante ans, les principaux responsables économiques et politiques de la planète se retrouvent fin janvier à Davos pour la réunion annuelle du WEF.

Pour Kees van der Pijl, le WEF succéderait à d’autres organisations qui l’ont précédé, comme la franc-maçonnerie, le réseau gravitant autour de la Round Table à l’apogée de l’Empire britannique ou les conférences Bilderberg tout au long de la guerre froide et au-delà. Mais selon lui, à la fin des années 90, le WEF constituait bel et bien « le groupe de planification transnational le plus accompli, […] une véritable Internationale du capital ».(([4] Kees van der Pijl, Transnational Classes op. cit., p. 133.))

Son fondateur Klaus Schwab est un partisan de l’eugénisme et du transhumanisme. Il défend et promeut l’avènement de l’intelligence artificielle pour nos vies dans son ouvrage « La quatrième révolution industrielle » paru en 2017 et publie l’ouvrage intitulé « Le Great Reset » en 2019.

Je cite :

« Le Great Reset, c’est l’appel officiel à utiliser la pandémie et les confinements pour changer les comportements sociaux et sociétaux, une occasion historique d’accélérer la quatrième révolution industrielle, celle de la digitalisation. C’est aussi un éloge de l’intervention de l’État pour imposer la transition écologique et l’économie circulaire. C’est encore une justification à la surveillance de tous les individus grâce à Internet et à la reconnaissance faciale ».(([5] Eric Verhaeghe, ancien élève de l’ENA, haut fonctionnaire, auteur du livre « Le Great Reset : Mythes et réalités », 2021.))

Or dans le cadre d’un article en date du 28 octobre 2021, Éric Verhaeghe fait le constat suivant :

« Entre Emmanuel Macron et Mario Draghi, nul ne sait quel est le meilleur agent du Great Reset, et il n’est pas impossible que l’un et l’autre se tirent la bourre aujourd’hui pour en être les héros. Pour tous ceux qui se demandent encore si Emmanuel Macron est de gauche ou de droite, il n’est en tout cas pas inutile de comparer son œuvre politique déployée depuis un an avec le projet du Great Reset de Klaus Schwab. Les ressemblances sont si frappantes qu’on se demande même si la France n’est pas le champ d’expérimentation d’une doctrine que nous avons commentée en son temps dans notre ouvrage consacré au sujet.

Macron met en œuvre le Great Reset depuis un an. »(([6] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/10/28/comment-macron-a-mis-en-place-le-great-reset-en-france/))

En effet, Klaus Schwab décrit comment son mouvement subversif a infiltré avec succès les cabinets de plusieurs gouvernements mondiaux.

« Quand je mentionne des noms comme Angela Merkel et même Vladimir Poutine, et ainsi de suite, ils ont tous été des Young Global leaders du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes très fiers aujourd’hui, c’est la jeune génération comme le premier ministre Justin Trudeau, le président de l’Argentine, etc. Nous pénétrons les cabinets gouvernementaux. ».

Il ajoute que « ceci est aussi vrai en France, le président était un Young Global Leader ».(([7] https://humansbefree.com/2022/01/Klaus-schwab-brags-about-controlling-western-governments.htmlhttps://banned.video/watch?id=61f0562d17dfec17f412cd00))

II.4. Infiltration des pouvoirs publics par les consultants privés reliés au cartel

La commission d’enquête sénatoriale a publié en 2022 un rapport sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques.(([8] Rapport n°578 de la Commission d’enquête sénatoriale présidée par M. Arnaud Bazin, publié le 17 mars 2022 intitulé Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques.))

Dans ce rapport, on peut lire les propos de M. Frédéric Pierru, sociologue chargé de recherche au CNRS et spécialiste du secteur de la santé dont voici un extrait(([9] Op. cit. p. 32.)):

« Ce qui m’a étonné, c’est de voir un cabinet comme McKinsey, qui ne connaît rien à la vaccination, assister un ministre, alors que des spécialistes de la question sont disponibles à l’intérieur de l’État. L’administration de santé publique est capable d’élaborer logistiquement une campagne de vaccination, et on va chercher un consultant de McKinsey. »

McKinsey couramment appelé « La Firme » est non seulement tentaculaire mais elle est également reliée aux laboratoires pharmaceutiques ainsi qu’à certaines Fondations « lucratives », ce qui expliquerait pourquoi différents États occidentaux ont adopté les mêmes mesures liberticides et criminelles lors de la crise Covid-19.

McKinsey et Boston Consulting Group semblent avoir un impact démesuré sur le secteur mondial de la santé(([11] Comment McKinsey s’est infiltré dans le monde de la santé publique mondiale, article paru dans Vox le 13 décembre 2019. https://www-vox-com.translate.goog/science-and-health/2019/12/13/21004456/bill-gates-mckinsey-global-public-health-bcg?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp)). En effet, les deux entreprises ont toujours figuré parmi les cinq principaux prestataires de services professionnels de la Fondation Gates, selon les déclarations de revenus de la fondation, même après que l’organisation se soit engagée à réduire les dépenses de consultants à partir de 2015.

Comme l’a déclaré Devi Sridhar, titulaire de la chaire de santé publique mondiale à l’Université d’Edimbourg :

« Le défi est d’essayer de suivre l’argent et de comprendre les relations entre les bailleurs de fonds comme Gates, les sociétés de conseil et l’OMS. 

Comme Gates a commencé à payer régulièrement des consultants pour le compte d’institutions comme l’OMS, cela a créé une « dépendance » vis-à-vis des entreprises. Ensuite, il est devenu plus courant de faire appel à ces mêmes consultants pour la stratégie » (…)

Au total, la Fondation Gates a dépensé plus de 300 millions de dollars pour McKinsey et BCG entre 2006 et 2017 (…). C’est plus que le budget national de la santé pour tout un pays à faible revenu, comme Haïti.(…)

L’agence UNITAID a également été financée par la Fondation Gates, qui, dès le premier jour, a payé le travail de conseil de McKinsey, selon les procès-verbaux du conseil d’administration d’UNITAID de 2006 accessibles au public. (…)

Considérez le rôle de McKinsey dans l’épidémie d’opioïdes, qui a coûté la vie à près d’un million d’Américains depuis 1999. Les documents judiciaires qui ont fait surface dans le cadre d’un litige comprenait des allégations selon lesquelles McKinsey aurait conseillé deux sociétés sur la manière d’augmenter les ventes d’opioïdes sur ordonnance, du début des années 2000 jusqu’en 2014 au moins – lorsque l’épidémie de surdose était déjà bien connue. Une plainte alléguait que McKinsey avait conseillé à Johnson & Johnson de « faire prendre aux patients des doses plus élevées d’opioïdes » et d’étudier des techniques « pour garder les patients sous opioïdes plus longtemps », a rapporté le New York Times (…) »

Comme nous pouvons le constater, McKinsey et BCG travaillent étroitement avec Bill Gates, lequel affiche publiquement ses objectifs eugénistes et transhumanistes, qu’il partage avec Klaus Schwab, Henri Kissinger, Warren Buffet, tout comme les fondations Rockefeller, Rotschild, Open Society de Soros etc.

Toute cette oligarchie mondialiste considère que l’«hyper-class » doit inventer des technologies destinées à asservir les classes subalternes, réduire la population et faire scission avec cette majorité de sous-humains.(([12] Jacques Attali, Les clefs du XXIème siècle, édition avril 2000, p. 497s.))

À ce titre, un rapport(([13] https://twoplustwoequalsfournews-wordpress-com.translate.goog/2022/02/19/update-rockefeller-foundation-1968-annual-report-we-need-vaccines-to-reduce-fertility-and-address-the-population-problem/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp)) de la Fondation Rockefeller datant de 1968 décrit parfaitement la peur des oligarques concernant l’accroissement de la population et les solutions envisagées, notamment par la vaccination.

Un autre rapport(([14] https://archive.org/details/scenarios-for-the-future-of-technology-and-international-development-rockefeller-foundation)) de la Fondation Rockefeller datant de mai 2010, proposait entre autres, l’utilisation des confinements forcés.

Un article(([15] https://www-rockefellerfoundation-org.translate.goog/news/mercury-project-to-boost-covid-19-vaccination-rates-and-counter-public-health-mis-and-disinformation-in-17-countries-worldwide/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc)) du 23 août 2022, publié sur le site de la Fondation Rockefeller nous apprend que :

 « Le Social Science Research Council fournit 7,2 millions de dollars à 12 équipes qui font progresser des sciences sociales et comportementales ambitieuses et appliquées pour lutter contre la menace mondiale croissante posée par les faibles taux de vaccination contre le Covid-19 ainsi que la mésinformation et la désinformation en matière de santé publique. »

Pour aller plus loin, un article résume bien l’action de la Fondation Rockefeller contre la médecine naturelle, à partir de 1910, avec le rapport Flechner(([16] https://fr.sott.net/article/40467-Toxicologie-contre-Virologie-L-Institut-Rockefeller-et-la-fraude-criminelle-de-la-polio)) et le financement des écoles de médecine occidentales. On notera que l’École de médecine de Lyon fut créée à la demande du Dr Alexis Carrel, prix Nobel de son Institut new-yorkais, eugéniste.

III. Censure des véritables experts et des lanceurs d’alerte

III.1. La dépendance des médias grand public vis-à-vis des géants financiers américains entraine une disqualification des informations qui pourraient aller à l’encontre du plan mondialiste

Voici les propos très éclairants tenus par le journaliste enquêteur Laurent Mauduit, dans un article(([17] https://www.mediapart.fr/journal/economie/130218/les-milliardaires-de-la-presse-gaves-d-aides-publiques-et-privees?onglet=full)) datant du 13 février 2018, concernant les partenariats entre les médias grand public et les plateformes numériques dans le but de censurer l’information indépendante.

À propos du fact-checking :

« Ce type de nouvelle servitude acceptée par la presse française pose deux problèmes majeurs. Le premier est le lien de dépendance renforcé au plan financier vis-à-vis des géants américains de l’Internet dans lequel la presse française se place. Car accepter que Google et Facebook jouent ainsi un rôle majeur dans les circuits de l’information ne sera naturellement pas sans conséquence dans l’avenir :

Terrible situation de la presse française, sur laquelle une dizaine de milliardaires ont fait main basse et qui, comme cela ne suffisait pas, se jette dans les bras des oligopoles américains. (…)

En parallèle, une autre plateforme dont Google est partie prenante, et soutenue par Facebook, a également annoncé son lancement prochain : CrossCheck, au sein du projet First Draft. CrossCheck permettra au public de soumettre des questions et rassemblera les informations fournies par les seize médias français partenaires, dont à nouveau l’AFP, Le Monde, Libération, France Télévisions et France Médias Monde. (…)

Dans le cas du partenariat avec Facebook noué par ces journaux, un autre danger majeur plane : la transformation de la presse en auxiliaire ou en force supplétive des géants américains de l’Internet ; voire la constitution d’une sorte de police éditoriale, ayant un étrange pouvoir d’agrément ou de disqualification de certaines informations sensibles. ».

III.2. Le soutien des médias grand public au pouvoir politique

Les principaux détenteurs des médias grand public soutiennent le pouvoir politique pour des raisons économiques et financières.

Les médias grand public reçoivent les informations de Reuters ou de l’AFP. Cette dernière semble avoir reçu des fonds à hauteur de 45 millions de dollars de la part de la Fondation Bill & Melinda Gates, laquelle est au capital des sociétés pharmaceutiques Pfizer, BioNTech et Moderna.

Les géants du numérique tels que par exemple Google, Youtube, Facebook et Twitter, vérifient les faits et censurent les propos qui ne vont pas dans le sens des intérêts de leurs actionnaires, des géants financiers tels que Black Rock, Vanguard, la Fondation Bill & Melinda Gates, lesquels sont également au capital des laboratoires pharmaceutiques Pfizer et BioNTech.

La Fondation Bill & Melinda Gates, qui est au capital des laboratoires Pfizer et BioNTech est désormais le plus grand contributeur de l’OMS, laquelle force les populations à participer aux essais cliniques des laboratoires pharmaceutiques cités plus haut.(([18] https://youtu.be/BrHVeHGgg2Y))

Le professeur Mark qui a enseigné les médias, culture et communication à l’Université de New York pendant des années. Au cours de son témoignage devant le Grand Jury (session n°7, ce professeur a pu confirmer ces mécanismes de censure et a détaillé les modalités de financementles mécanismes de la propagande des médias et leur responsabilité dans le cadre de cette crise.(([19] https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Mark-Crispin-Miller:d))

L’intervention de Mark Sharman, ancien directeur information Sky News, le 1er avril 2022, dans le cadre de l’émission « The Lockdown Inquiry » de la chaîne britannique GBN, corrobore les affirmations du Professeur Mark Crispin Miller.(([20] https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1/trim.0DE51587-9F25-44BB-9432-2C78AB0EA2C4:b))

Nous pouvons en déduire que les médias dominants et les plateformes de réseaux sociaux sont responsables :

  • de l’absence délibérée de pluralité des sources d’information et de la non application du principe du contradictoire afin de traiter de l’opportunité des mesures prises par le pouvoir exécutif et les instances internationales ;
  • de la censure, la stigmatisation, la discrimination et la disqualification soigneusement organisée à l’encontre des voix discordantes, dont les réels experts, les lanceurs d’alerte et les victimes.

Conclusion

Cet oligopole tentaculaire détient un pouvoir extraordinairement démesuré et abusif sur les nations et donc une emprise ô combien dangereuse et nocive pour les peuples.

En suivant cette idéologie mortifère, le pouvoir exécutif de chacun des États impliqués porte actuellement atteinte aux intérêts fondamentaux de leur Nation et mène le peuple au suicide collectif, ce qui nous a d’ailleurs amené à déposer une plainte contre ces dérives sectaires en France.





Policiers et gendarmes protègent Macron : l’appel d’un colonel en retraite pour que ça change

[Source : profession-gendarme.com]

Par verdi verdi

Je recommande l’excellent site de Ronald Guillaumont « Profession Gendarme », un site de référence pour la résistance à la dictature macronienne, que les parlementaires lâches laissent perdurer : 
https://www.profession-gendarme.com/rappel-lettre-ouverte-aux-gardien-ne-s-de-la-paix/

Nouvelle attaque grave contre la liberté d’expression et de manifester, Macron veut infliger des amendes lourdes à ceux qui voudront le contester, de 500 à 1600 €. L’alerte du député LFI, Antoine Léaument :
https://www.youtube.com/watch?v=1A3503GHFEs

Scandaleux!! A Dijon, une femme de 77 ans décède au CHU après avoir été abandonnée seule sans soins ni nourriture pendant 4 jours :
https://profidecatholica.com/2022/11/09/le-chu-de-dijon-laisse-mourir-une-patiente-de-77-ans-video/

La vérité sur le mouvement transgenre :
https://www.youtube.com/watch?v=SMeB6URFwW4

Intimidation des soignants suspendus, une énième atteinte à la liberté par Macron, avec la complicité de la police : 
https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/10/alerte-des-soignants-suspendus-discretement-convoques-par-la-police/

La Nupes refuse de baisser la TVA sur l’énergie de 20 à 5,5% :
https://planetes360.fr/coucou-les-pauvres-cette-nuit-en-marche-et-la-nupes-ont-vote-contre-la-tva-a-55-sur-lenergie-elle-restera-donc-a-20/




Merci à Reiner Fuellmich et ensemble continuons le combat de l’information vraie

Par Nicole Delépine

Au cours des deux dernières années, les analyses de l’avocat Reiner Fuellmich nous ont éclairés et soutenus. Comprenant grâce à lui et de rares auteurs comme Pascal Sacré ou Denis Rancourt (articles sur les tests PCR sur mondialisation.ca dès juillet 2020) ce qu’il se passait en particulier sur les faux tests PCR dès juillet 2020, nous avons pu résister, car la connaissance aide à rester debout et à travailler dans le sens de la vérité.

Comme énormément de personnes perdues dans le monde, Reiner F. nous a permis de comprendre et donc de résister sans tomber dans la panique, le désespoir, la dépression voire le suicide pour certains. Nous avons pu grâce à lui donner de l’espoir à nos correspondants par mail et téléphones, et en publiant en France les résultats de son combat.1

Nous écrivions en octobre 2020 grâce à ses éclairages :

Vers la mise en place d’un Nuremberg du 2

Un grand motif d’espoir : des juristes préparent les fondements d’un procès Covid-Nuremberg international

Le scandale du coronavirus

Nous avons découvert avec joie la vidéo de Reiner Fullmich, juriste au barreau en Allemagne et en Californie, mise en ligne le 3 octobre 2020, traduite en français par le « fils du Pangolin ». Profitez-en avant qu’elle ne disparaisse de YouTube… Il est un des quatre membres de la commission allemande d’enquête sur le coronavirus.

https://www.youtube.com/watch?v=UQFZHtnW8DY (évidemment indisponible aujourd’hui !)

Enfin de bonnes nouvelles !

Un réseau international se forme contre « les crimes contre l’humanité » en cours, liés aux mesures totalitaires et complètement irresponsables eu égard à la santé de la population mondiale. Les mesures liberticides telles que le confinement aveugle, puis le port obligatoire du masque, dedans, dehors, partout, bientôt en famille, et dans les moments tendres, et les tests délirants car non fiables et multipliés à l’envi, imposés par les écoles, les entreprises et les hôpitaux qui les répètent de façon anarchique laissant le patient « urgent » dans un lit pendant plusieurs semaines attendant que le test d’entrée positif (évidemment trop souvent, pour être fiable) se négative. Mais s’il se négative, il faut vérifier trois jours plus tard et ainsi de suite.

Des sketchs ubuesques si la vie de patients et le moral des troupes n’étaient pas en jeu, avec leurs conséquences délétères sur l’immunité et l’apparition de maladies auto-immunes, cancers, sans parler de toutes les affections psychosomatiques.

Présentation de l’avocat allemand parlant au nom des 4 membres de la commission d’enquête allemande sur le coronavirus :

« Bonjour, je m’appelle Reiner Fuellmich et je suis admis au barreau en Allemagne et en Californie depuis 26 ans. J’ai pratiqué le droit principalement en tant qu’avocat plaidant contre des sociétés frauduleuses telles que la Deutsche Bank, autrefois l’une des plus grandes banques du monde et des plus respectées, aujourd’hui l’une des organisations criminelles les plus toxiques au monde. VW, l’un des constructeurs automobiles les plus importants et les plus respectés au monde, aujourd’hui connu pour sa fraude géante sur le diesel et Kuehne and Nagel, la plus grande compagnie maritime du monde, que nous poursuivons dans une affaire de corruption de plusieurs millions de dollars.

Je suis également l’un des quatre membres de la commission d’enquête allemande sur le Corona. Depuis le 10 juillet 2020, ce comité écoute un grand nombre de témoignages de scientifiques et d’experts internationaux pour trouver des réponses aux questions sur la crise du Corona, que de plus en plus de personnes dans le monde entier se posent. Tous les cas de corruption et de fraude commis par les entreprises allemandes mentionnés ci-dessus sont dérisoires en comparaison de l’ampleur des dommages que la crise du Corona a causés et continue de causer.

Cette crise du Corona, selon ce que nous savons aujourd’hui, doit être rebaptisée “scandale du Corona”. Et les responsables de cette crise doivent être poursuivis pénalement et pour dommage civil. Sur le plan politique, tout doit être fait pour que plus jamais personne ne soit en position de pouvoir tromper l’humanité ou tenter de nous manipuler avec ses programmes corrompus.

C’est pourquoi je vais maintenant vous expliquer comment et où un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : le scandale de la fraude Corona, qui s’est entre-temps transformée en probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis.

Les crimes contre l’humanité ont été définis pour la première fois dans le cadre des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire lorsqu’ils ont concerné les principaux criminels de guerre du Troisième Reich.

Aujourd’hui, les crimes contre l’humanité sont régis par l’article 7 du Code pénal international.(…) »

Nuremberg-Covid : un crime contre l’humanité qui doit être jugé !

18 octobre 2020 Nicole Delépine

Suite du premier volet.

Le combat se développe. Il faut en parler autour de vous, faire connaître cette enquête internationale, car curieusement les mails concernant ce scandale sont bloqués, comme si un algorithme très performant refusait qu’on le fasse connaître.
On peut aussi revenir au bon vieux temps et imprimer un maximum de « tracts » reprenant les idées majeures de ce texte à lire en totalité.

Quelques extraits de « scandale de fraude du coronavirus – Le plus important combat commence juste ». 18 Octobre 2020

« PROBABLEMENT LE PLUS GRAND CRIME CONTRE L’HUMANITÉ JAMAIS COMMIS »

  • – La commission d’enquête extraparlementaire allemande Corona (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss), lancée le 10 juillet 2020, a été fondée par quatre avocats pour enquêter et poursuivre les responsables de la mise en œuvre de confinements dévastateurs sur le plan économique dans le monde, ainsi que de l’utilisation de tests frauduleux pour faire croire à une pandémie dangereuse.
  • – les avocats soutiennent que les mesures pandémiques étaient destinées à semer la panique afin que les industries pharmaceutiques et technologiques puissent générer d’énormes profits grâce à la vente de tests PCR, de tests d’antigènes et d’anticorps et de vaccins, et de la récolte de nos empreintes génétiques.
  • – Les confinements n’étaient pas nécessaires et tout argument contraire est erroné,
    « Le virus était déjà en retrait et les taux d’infection commençaient à baisser lorsque des confinements furent imposés ; des preuves scientifiques montrent qu’une majorité de personnes sont déjà immunisées contre le virus en raison de l’immunité des cellules T à réactivité croisée, et le test PCR ne peut pas être utilisé pour identifier une infection active par le SRAS-CoV-2 ou tout autre virus. »

La pandémie n’a pas entraîné un nombre supplémentaire de décès ou un nombre de morts plus élevé que la normale, les dommages collatéraux des mesures de riposte à la pandémie sont presque incalculables.

Toutes les réunions sont diffusées en direct et disponibles sur la chaîne YouTube du Comité11 (du moins pour le moment).

Selon Fuellmich, un recours collectif international sera intenté contre les personnes responsables de la mise en œuvre des confinements économiquement dévastateurs dans le monde, ainsi que de l’utilisation de tests frauduleux pour créer l’apparence d’une pandémie dangereuse.

Cela inclut tout le monde, des décideurs politiques locaux à l’Organisation Mondiale de la Santé et aux laboratoires pharmaceutiques. Il affirme que plus de 50 autres pays suivront.

Fuellmich souligne qu’au plan politique, des efforts tous azimuts doivent être faits pour garantir que « personne ne sera plus jamais en mesure de frauder l’humanité ou de tenter de nous manipuler avec des projets corrompus. »

Un second Nuremberg

Les crimes contre l’humanité, définis pour la première fois lors des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, sont aujourd’hui réglementés à l’article 7 du Code pénal international.

Les trois questions auxquelles le comité cherche à répondre par voie judiciaire sont :

  1. Y a-t-il une pandémie de COVID-19 ou y a-t-il seulement une pandémie de test de réaction en chaîne par polymérase (PCR) ?
    Plus précisément, un résultat de test PCR positif signifie-t-il que l’individu est infecté par le SRAS-CoV-2 et a le COVID-19, ou cela ne signifie-t-il absolument rien en relation avec l’infection COVID-19 ?
  2. Les mesures de riposte à la pandémie telles que les confinements, les masques obligatoires, la distanciation sociale et les réglementations de quarantaine servent-elles à protéger la population mondiale du COVID-19, ou ces mesures ne servent-elles qu’à semer la panique ?
  3. Est-il vrai que le gouvernement allemand a fait l’objet de pressions massives — plus que tout autre pays — par les principaux protagonistes de cette pandémie de COVID-19 ?

Selon Fuellmich, l’Allemagne « est connue comme un pays particulièrement discipliné et devait donc devenir un modèle pour le reste du monde pour son adhésion stricte et, bien sûr, réussie » aux mesures contre la pandémie.

Le COVID CONTINUE A SEMER LA PANIQUE — IL FAUT DÉNONCER LES MENSONGES

Des réponses à ces questions sont nécessaires de toute urgence, car le SRAS-CoV-2, présenté comme l’une des menaces à la vie les plus graves de l’histoire moderne, « n’a causé aucune surmortalité nulle part dans le monde ».

Les mesures de pandémie, en revanche, ont « causé la perte d’innombrables vies humaines et détruit l’existence économique d’innombrables entreprises et individus dans le monde », dit Fuellmich.

Deux responsables de la panique, Ferguson et Drosten

(…) Le virologue allemand Christian Drosten est responsable des ordonnances de confinement en Allemagne.

Le virologue allemand Christian Drosten avait déjà semé la panique en 2009 avec des prophéties apocalyptiques pour la grippe porcine. Dans ces prévisions terrifiantes récurrentes, il semble bien le pendant de l’épidémiologiste Neil Ferguson dont les prévisions de décès ont servi d’excuses aux gouvernements de trop de pays pour imposer leurs mesures liberticides, en particulier en France.
Le moment venu de décider d’une réponse pour COVID-19, le gouvernement allemand s’est appuyé sur l’avis de Drosten uniquement.

« Dans une violation scandaleuse du principe universellement accepté d’auditor at ultra parse, ce qui signifie qu’il faut également entendre l’autre côté, la seule personne qu’ils ont écoutée était M. Drosten, c’est-à-dire la personne même dont l’horrible pronostic panique s’était avéré catastrophiquement faux 12 ans plus tôt », dit Fuellmich.

« De nombreux “scientifiques hautement renommés” ont brossé un tableau complètement différent de la pandémie du COVID-19. Parmi eux, le professeur John Ioannidis de l’Université de Stanford en Californie, le professeur Michael Levitt, biophysicien à l’Université de Stanford et lauréat du prix Nobel de chimie ; les professeurs allemands Karin Mulling, Sucharit Bhakdi, Klud Wittkowski et Stefan Homburg. »

AUCUNE SECONDE VAGUE EN VUE, SEULEMENT DE L’INTOXICATION VIA LES TESTS TROMPEURS

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, figure également sur cette liste. Yeadon a récemment déclaré publiquement qu’il n’y a aucune science suggérant qu’une deuxième vague devrait se produire » et que les résultats faussement positifs de tests PCR non fiables sont utilisés pour « fabriquer une » deuxième vague » à partir de « nouveaux cas ». 

« Ils ont estimé, et estiment toujours, qu’il n’y avait pas de maladie allant au-delà de la gravité de la grippe saisonnière ; que la population avait déjà acquis une immunité croisée ou des cellules T contre ce prétendument nouveau virus ; et qu’il n’y avait donc aucune raison pour des mesures spéciales et certainement pas pour les vaccinations », dit Fuellmich.

Il cite également un article scientifique publié en septembre 2020 par Yeadon et ses collègues, dans lequel ils déclarent :

« Nous fondons notre politique gouvernementale, notre politique économique et la politique de restriction des droits fondamentaux vraisemblablement sur des données et des hypothèses complètement fausses concernant le coronavirus.

Sans les résultats des tests qui sont constamment rapportés dans les médias, la pandémie serait finie, parce que rien ne s’est vraiment passé. »

Analyse de la situation

Commentant « la situation actuelle et réelle concernant le danger du virus, l’inutilité totale des tests PCR pour la détection des infections et les verrouillages basés sur des infections inexistantes », Fuellmich déclare :

« Nous savons que les systèmes de santé n’ont jamais risqué d’être submergés par le COVID-19. Au contraire, de nombreux hôpitaux restent vides à ce jour et certains sont aujourd’hui menacés de faillite. »

Le navire-hôpital Comfort qui ancré à New York à l’époque aurait pu accueillir un millier de patients n’a jamais hébergé plus d’une vingtaine de patients.

Nulle part il n’y a eu de surmortalité.

Des études menées par le professeur Ioannidis et d’autres ont montré que la mortalité du corona est équivalente à celle de la grippe saisonnière ; même les images de Bergame et de New York qui ont été utilisées pour démontrer au monde que la panique était de rigueur se sont avérées délibérément trompeuses.

Ensuite, le soi-disant « article de panique » a été divulgué, rédigé par le ministère allemand de l’Intérieur. Son contenu classifié montre sans l’ombre d’un doute qu’en fait la population a délibérément été amenée à paniquer par les politiciens et les médias traditionnels. »

À Bergame, en Italie, 94 % des décès n’étaient pas le résultat d’une infection au COVID-19 se propageant sans limites, mais plutôt la conséquence de la décision du gouvernement de transférer les patients malades des hôpitaux vers les maisons de retraite, où ils propageaient l’infection — rhume, grippe et SRAS-CoV-2 — parmi les personnes âgées et fragiles.

Cela a également été fait par le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, en violation directe des directives fédérales ainsi que dans le Minnesota, l’Ohio, en Pennsylvanie, dans le New Jersey, au Michigan et en Californie.

Fuellmich souligne également la faute professionnelle courante qui s’est produite dans certains des hôpitaux de New York, où tous les patients suspectés de COVID-19 ont été placés sous ventilateur mécanique, ce qui s’est avéré être une condamnation à mort.

Cependant, comme l’ont montré les autopsies, qui ont été effectuées en Allemagne, en particulier par le médecin légiste le professeur Klaus Püschel à Hambourg, les décès qu’il a examinés avaient presque tous été causés par des maladies préexistantes graves et presque toutes les personnes qui étaient décédées, décédées très vieilles, tout comme en Italie, c’est-à-dire qu’elles avaient vécu au-delà de leur espérance de vie moyenne.

Le RKI allemand, qui est encore l’équivalent du CDC, avait initialement, assez étrangement, recommandé qu’aucune autopsie ne soit pratiquée

Et il existe de nombreux rapports crédibles selon lesquels des médecins et des hôpitaux du monde entier ont été payés pour déclarer une personne décédée était victime du COVID-19 plutôt que d’écrire la véritable cause du décès sur le certificat de décès, par exemple une crise cardiaque ou une blessure par balle.

À Paris, des employés des pompes funèbres racontent maintenant comment ils furent choqués que les corps leur soient livrés, « non préparés, même pas lavés » et donc jamais revus par leurs familles, sans la possibilité de les préparer avant enterrement ou incinération. Ils précisent : tous les morts étaient « covid ». Aucune autre cause de décès déclaré. Ce fut un phénomène mondial et heureusement quelques légistes désobéirent aux USA, en Italie, en Allemagne (France ?) et effectuèrent des autopsies découvrant des morts par balle classés covid…

Nicole Delépine

Rendez-vous compte : nous savions tout ce qui s’est avéré vrai, en 2020 avant la campagne cruelle de vaccination que nous aurions pu éviter si la population n’avait été sous l’emprise mortifère du gouvernement et des médias

Il n’est pas étonnant que l’état profond tente de le décrédibiliser, car son travail est tellement important qu’il ne servirait à rien de l’éliminer et tenter de faire croire qu’il a menti ou triché est plus astucieux. Néanmoins ils n’y arriveront pas et comme conclut Reiner dans son mémoire à notre usage :

« Et enfin, bien sûr, nous gagnerons cette guerre qui est menée contre toute l’humanité. Il n’y a aucun doute dans mon esprit que ceux qui essaient de détruire l’humanité et qui essaient de jouer à Dieu sont condamnés ».

Restons forts ensemble.

Certaines personnes craquent sous la pression. Je ne le fais pas et je ne le ferai pas.

Et j’aimerais ajouter, la même chose est vraie pour les travailleurs de la santé grecs, et la même chose est vraie pour chacun d’entre vous.

Voici l’intégrale de sa mise au point :

Reiner Fuellmich : Mise à jour encourageante après de fausses allégations

Reiner Fuellmich: Encouraging update after false allegations (stopworldcontrol.com)

Au cours des derniers mois, une attaque vicieuse et perfide a été lancée contre l’une des personnes les plus influentes de tout le mouvement mondial pour la justice et un monde meilleur: le Dr Reiner Fuellmich.

Le Dr Fuellmich a travaillé sans relâche avec le Comité d’enquête Corona pour découvrir toutes les preuves qui révèlent comment la pandémie était une opération criminelle à grande échelle.

L’objectif de cette opération était double :

1) réduire considérablement la population mondiale par la guerre biologique, à la fois avec une maladie artificielle, et par des injections armées

2) soumettre ceux qui survivent à une tyrannie mondiale sans précédent, par le biais de passeports vaccinaux, d’identifications numériques, de surveillance 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, etc. 

Le Dr Fuellmich a réalisé plus de 400 entrevues, avec des experts de tous les domaines de la science, pour révéler ce programme néfaste.

Son travail pour l’humanité a été inestimable et est totalement inégalé dans l’histoire de notre monde. À ma connaissance, personne sur la surface de la Terre, depuis toujours, n’a jamais recueilli autant de données qui dévoilent comment des entités financières criminelles — qui opèrent derrière l’OMS, l’ONU, etc. — collaborent pour s’emparer de tous les droits et libertés de toute l’humanité, sous couvert de crises orchestrées.

Le Dr Fuellmich a également organisé un grand jury où les meilleurs experts de ces mêmes entités qui planifient la domination du monde ont témoigné devant 11 avocats et un juge. Ils ont présenté un aperçu clair de ce qui se passe, dans le but d’informer l’humanité et de donner aux gens les moyens de se défendre.

[Voir Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Le travail accompli par cet homme, par l’intermédiaire du Comité d’enquête Corona, est indescriptible. 

Tout au long de l’horrible découverte de ces événements terrifiants et dévastateurs dans notre monde, il a également continué à encourager et à donner aux gens l’espoir d’un avenir meilleur.

Le Dr Fuellmich n’a pas seulement exposé à quel point ce réseau maléfique est énorme dans le monde entier, il a également continuellement renforcé des millions de personnes dans le monde entier avec l’assurance que les bonnes personnes, avec l’aide de Dieu, seront victorieuses.

À travers cette tempête, notre monde entrera dans une nouvelle ère.

En raison de l’énorme influence de ce courageux enquêteur dans le monde entier, il n’est pas surprenant qu’il ait été sévèrement attaqué.

Sachant à quel point il est un avocat compétent, les élites savent qu’elles ne peuvent pas simplement l’arrêter. Par conséquent, l’attaque contre Reiner Fuellmich devait venir de l’intérieur, par l’intermédiaire de quelqu’un de proche.

Malheureusement, cela s’est effectivement produit, et au cours des derniers mois, la cofondatrice du CIC a commencé à accuser faussement le Dr Fuellmich.

Cela a causé de la confusion et du découragement chez de nombreuses personnes éveillées dans le monde entier, qui considèrent Fuellmich comme l’un de leurs dirigeants.

Quand j’ai appris ces allégations, j’ai appelé Reiner, et nous avons eu une bonne conversation. Il m’a assuré que les allégations étaient entièrement fausses. Cela a été confirmé par le procureur du district de Berlin qui a publiquement déclaré qu’il n’y avait aucune raison d’enquêter. Plusieurs psychologues se sont penchés sur la situation, exprimant des préoccupations quant au bien-être mental de l’accusateur.

Le Dr Reiner Fuellmich a accepté une entrevue avec Stop World Control pour en savoir plus sur cette situation.

Au cours de cette conversation — comme toujours, inspirante et encourageante — Reiner révèle également sa nouvelle organisation, qui sera plus professionnelle, avec une portée plus large: COMITÉ D’ENQUÊTE SUR LES CRIMES INTERNATIONAUX.

REGARDEZ CETTE MISE À JOUR
ENCOURAGEANTE DU DR REINER FUELLMICH

Déclaration officielle du Dr Reiner Fuellmich

[Pour voir la vidéo :
https://nouveau-monde.ca/mise-au-point-de-reiner-fuellmich-28-septembre-2022/]

Chers amis,

Maintenant que j’ai repris le contrôle de mes chaînes de télégrammes, il est temps d’envoyer un court message à ceux qui sont confus à cause des récentes rumeurs entourant le Comité d’enquête corona de Berlin.

Dans une longue interview avec la chaîne suisse de médias alternatifs Bitle.tv, qui a été interrompue par une déclaration troublante de la cofondatrice du Comité d’enquête Corona, j’ai déjà dit ce que j’avais à dire.

Les allégations de cette cofondatrice du Corona Investigative Committee sont complètement fabriquées et fausses.

En conséquence, les grands médias allemands viennent de rapporter que le bureau de la DA de Berlin a explicitement déclaré qu’il n’y avait aucune raison pour une enquête criminelle. Alors, faites confiance à votre instinct et regardez les faits qui sont disponibles.

En outre, je poursuivrai les travaux du Comité avec ma propre version, beaucoup plus professionnelle. Cette poursuite des travaux du Comité élargira la portée de l’enquête et montrera les concepts permettant de surmonter le système corrompu et en train de s’effondrer. Son nouveau nom sera International Crimes Investigative Committee, ICIC (I See, I See!)

Cependant, il y a trois choses qui, à mon avis, méritent une attention particulière dans cette lutte continue pour l’humanité. Premièrement, malgré le fait que travailler au sein du Comité d’enquête sur Corona a toujours été très difficile, nous avons, je crois, fait un assez bon travail pour obtenir la vérité sur Corona. Il ne s’agit pas d’une pandémie, mais plutôt d’une plandémie. Il est motivé par la panique intentionnelle et l’utilisation abusive du test PCR pour créer des cas qui n’ont jamais existé.

Cette pandémie n’est qu’un outil parmi les outils de ceux qui sont derrière cela. Et derrière cela, il y a quelques super-riches, des psychopathes mégalomanes, comme nous l’ont expliqué les experts en psychologie et en psychiatrie que nous avons interviewés.

Ils ont utilisé et utilisent des entreprises mondiales et des ONG mondiales qui se réunissent une fois par an à Davos sur la plate-forme du Forum économique mondial comme un moyen de mener à bien une prise de contrôle hostile de nos politiciens et de nos organismes publics sous le couvert du terme agréable de partenariats public-privé.

L’autre côté, comme je les appelle, ou M. Global, comme les appelle Catherine Austin Fitz, savent que beaucoup de gens ne croient plus à l’histoire dangereuse du virus. La variole du singe s’est avérée être un échec complet, un non-démarreur. Ils sont sur la défensive. Mais ils ont plus dans leur boîte à outils pour nous garder en mode panique, c’est-à-dire dans un état mental qui fera que beaucoup d’entre nous suivront n’importe quel ordre qui leur est donné. La crise ukrainienne, le réchauffement climatique, les pénuries alimentaires et les pénuries d’énergie ne sont que les outils les plus connus de leur panique.

Le but ultime de ces mégalomanes psychopathes est de prendre le contrôle total de nous tous en réduisant la population et en asservissant les survivants grâce à l’introduction d’un gouvernement mondial unique et d’une monnaie numérique mondiale unique, tous deux sous leur contrôle, bien sûr.

Les sujets mentionnés ci-dessus sont les sujets dont nous devrions nous inquiéter et qui doivent être exposés afin que même ceux qui ont d’abord été victimes de leur terrorisme psychologique, mais qui commencent maintenant à poser des questions. Nous obtiendrons des réponses et de l’aide, si cela devient nécessaire.

Ne nous laissons pas distraire par des spectacles secondaires non pertinents, surtout quand il ne s’agit que d’une autre illusion, bien que soigneusement créée, sans aucune substance.

Et enfin, bien sûr, nous gagnerons cette guerre qui est menée contre toute l’humanité. Il n’y a aucun doute dans mon esprit que ceux qui essaient de détruire l’humanité et qui essaient de jouer à Dieu sont condamnés.

Mais il n’y a pas une seule personne ou une seule institution qui sera en mesure de mettre fin à elle seule à cela. Cette fois, nous tous les humains ensemble, allons devoir être la cavalerie. Et il n’y a que deux choses qui comptent vraiment. La première est que nous devons comprendre que ce ne sont pas les Russes contre les Américains, les Français contre les Allemands, les Noirs contre les Blancs, les femmes contre les hommes ou les vaccinés contre les non-vaccinés.

Au lieu de cela, c’est nous tous les humains contre les criminels monstrueux qui faisons tout ce qu’ils peuvent pour nous pousser les uns contre les autres afin que notre attention soit distraite de leurs mauvaises actions.

La deuxième chose qui compte, c’est, je crois, que nous sommes vraiment proches d’un point de basculement et que nous avons peut-être même déjà gagné la guerre. C’est pourquoi l’autre côté, M. Global, est maintenant hors de contrôle, se déchaînant littéralement.

Mais nous devons être clairs à ce sujet : l’autre partie ne peut pas et ne veut pas abandonner, car il y a deux créanciers qui exigent le paiement de leurs crimes contre l’humanité. L’un des deux créanciers, c’est nous et notre système judiciaire, qui, si cela s’avère nécessaire, sera le nôtre, c’est-à-dire la propre création du peuple en dehors de son système corrompu.

L’autre créancier est ce que j’appelle les puissances spirituelles supérieures. D’autres l’appellent Dieu. C’est probablement la même chose. Et ceux qui jouent à Dieu ne sont jamais restés impunis, si je me souviens bien.

Oh, et encore une chose, comme Colombo avait l’habitude de dire. Le week-end dernier, le professeur Sushiri Bakti et moi-même avons eu le privilège et l’honneur d’être invités à Athènes, berceau de la démocratie, par les travailleurs de la santé grecs qui ont refusé de participer à ces crimes contre l’humanité et ont perdu leur emploi en conséquence. Le professeur Bakhti a expliqué en détail à quel point la situation est grave qu’il s’agit d’une question de vie ou de mort et de changements graves dans notre personnalité, en particulier en ce qui concerne les effets des injections d’ARNm. J’ai résumé les conclusions du Corona Investigative Committee et comment les efforts juridiques d’un nombre croissant d’avocats combatifs sont maintenant, dans certaines parties du monde, de plus en plus fructueux.

J’ai terminé ma présentation avec les mêmes mots que j’utilise ici :

certaines personnes craquent sous la pression. Je ne le fais pas et je ne le ferai pas.

Et j’aimerais ajouter, la même chose est vraie pour les travailleurs de la santé grecs, et la même chose est vraie pour chacun d’entre vous.

Faites confiance à votre instinct. Regardez les faits et vous verrez à travers tout cela, à travers chaque masque.

Dr Reiner Fuellmich
Comité d’enquête sur les crimes internationaux

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1 Nuremberg-Covid : un crime contre l’humanité qui doit être jugé ! — Riposte Laique

2 Vers la mise en place d’un Nuremberg du Covid — Riposte Laique




Mise au point de Reiner Fuellmich — 28 septembre 2022

[Source : Jocelyne Pauliac Traduction ]


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[Voir :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]




La face cachée de la campagne de vaccination — cas des « vaccins » à ARNm et ADN

Par Maître NONOBSTANT, avocat au barreau de la Science à l’occasion de la pandémie de Covid-19

(ebook gratuit au format PDF à télécharger et partager)

Découvrez pourquoi la pandémie de Covid-19 est sans doute la plus grosse arnaque de tous les temps et comment les artisans de cette escroquerie se sont organisés pour berner la population mondiale avec la complicité de l’OMS, des gouvernants et des médias mainstream. Découvrez en quoi consiste la démarche scientifique pour ne plus vous faire pigeonner par la propagande covidiste et l’argument d’autorité. Découvrez aussi les objectifs cachés du pass sanitaire/vaccinal et de la campagne de vaccination de masse. Découvrez enfin pourquoi la Résistance contre le covidisme est une nécessité, que vous soyez vacciné ou non.

[Voir aussi les articles complémentaires dans les dossiers :
Vaccins et virus
et
5G et ondes pulsées]

TABLE DES MATIÈRES

Remerciements

Informations juridiques sur les vaccins anti-Covid-19

RÉSUMÉ

Avant-propos

Abréviations, acronymes, conventions

Lexique

INTRODUCTION

Chapitre I. — Le consensus scientifique, la majorité ou l’unanimité font-ils la science ?

Chapitre II. — L’argument d’autorité, l’un des stratagèmes utilisés par l’establishment pour manipuler l’opinion publique

§1. Cas concrets de manipulation de l’opinion publique par les experts médiatiques

§2. Conditions de validité du consensus scientifique, d’une étude scientifique et de l’argument d’autorité

Chapitre III. — Les preuves de mensonges du discours de propagande des autorités, des médias et des experts officiels

§1. Mensonges sur la contagiosité

§2. Mensonges sur la réduction des formes graves

A. Les études princeps n’ont pas apporté la preuve scientifique de l’évitement des formes graves

B. Les études observationnelles ne montrent pas non plus une réduction des formes graves

§3. Contenu caché des vaccins

§4. Toxicité de la protéine Spike

§5. Toxicité des vaccins

§6. Effets indésirables : décès et pathologies multiples

 Décès
 Pathologies multiples
 Effets indésirables en images

§7. Imperfection de la pharmacovigilance

§8. Immunité collective

§9. Surestimation du rapport bénéfices/risques des vaccins

A. Cas des études interventionnelles

B. Cas des études observationnelles

§10. Saturation fictive des hôpitaux par la Covid-19

§11. Laxisme des agences de sécurité des médicaments

§12. Études truquées ou biaisées

A. Du LancetGate à Recovery et consorts

B. Les essais cliniques de Pfizer

C. Les essais cliniques sur les 12-15 ans et les moins de 5 ans

D. L’étude bidonnée de l’institut Pasteur

E. Les études justifiant le confinement

F. L’étude bidonnée de la DREES

 Les études bidonnées d’EPI-PHARE
 L’étude bidonnée du Conseil d’analyse économique
 Les études peu solides invoquées par la HAS et la FDA
 L’article de l’INSEE sur l’impact de l’épidémie de Covid-19

§13. Irresponsabilité pénale et civile de Big Pharma

§14. Vaccination des enfants et des adolescents en bonne santé

§15. Vaccination de masse en période épidémique

Chapitre IV. – Les artisans de la réponse globale à la pandémie et leurs stratagèmes pour cacher diverses arnaques

§1. Les artisans de la réponse globale à la pandémie

A. Dr Anthony Fauci, le patron de la santé publique américaine

B. Klaus Schwab, le fondateur et directeur du Forum économique mondial (Davos)

C. Bill Gates, le cofondateur de Microsoft et de la fondation éponyme

§2. Les diverses arnaques et les stratagèmes utilisés pour les cacher

A. Genèse de la Covid-19

     Origine controversée du SARS-Cov-2
     Succession de faits troublants avant et pendant la pandémie
 Gestion absurde de la crise sanitaire
 Instrumentalisation de la peur
 Contrôle total de la population
     La régulation du stock de la population mondiale
     L’identification biométrique et numérique des Terriens
         Identification biométrique, identité numérique, portefeuille numérique
         Traçage numérique, objets connectés, 5G
         Propagande du rapport sénatorial n° 673
     Un nouvel ordre mondial qui masque une dystopie transhumaniste
         Les prétendus complotistes ont tort d’avoir raison trop tôt
         Le transhumanisme comme horizon
         La nécessité d’une union sacrée pour un autre monde
 Plaintes pour crimes contre l’Humanité
 Bouc émissaire
 Théorie du complot
 Censure et désinformation

Chapitre V. — Bilan de la controverse autour de la balance bénéfices-risques des vaccins

CONCLUSION

BIBLIOGRAPHIE

  • Articles & rapports
  • Collectifs citoyens
  • Conférences
  • Entretiens et confessions
  • Désintoxication contre la protéine Spike et autres toxines vaccinales
  • Documentaires
  • Lanceurs d’alerte
  • Livres
  • Médias indépendants
  • Pfizer Gate
  • Procès Covid-19 pour crime et génocide contre l’Humanité
  • Scientifiques indépendants
  • Observatoires des effets indésirables
  • Observatoires de la pandémie
  • Observatoires des traitements
  • Observatoires de la prophylaxie

ANNEXE

 Le Great Reset et les agendas du Forum énonomique mondial
 Comment retrouver un lien mort ou une vidéo supprimée ?
 Où consulter les liens d’intérêts des professionnels de santé ?
 À l’attention de Monsieur X
 À l’attention des jeunes
 À l’attention des adultes
 Crise alimentaire planifiée pour poursuivre les agendas des globalistes

Article n°1. — Revue de presse internationale n°165 de Pierre Jovanovic
Article n°2. — 20 preuves qu’une pénurie alimentaire va bientôt toucher le monde entier

 Article de Michaël Lord : « Exposed: Klaus Schwab's School For Covid Dictators, Plan for 'Great Reset' (Videos) »
 Qu’en est-il des vaccins anti-Covid classiques, qui n’injectent pas l’ARNm ou l’ADN mais un virus inactivé ?
 Déclaration IV du Global Covid Summit
 Covid-19 : la face cachée de la croisade contre le Pr Raoult et l’hydroxychloroquine




The Big Reset – Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie

[Source : Infos et Culture via PG]

Liste des participants : Rashid Buttar, Christian Perronne, Heiko Schöning, Chinda Brandolino, Nadiya Popel, Wolfgang Wodard, Alexandre Juving-Brunet, Alexandra Henrion-Caude, Alfonso Longo, Carlos Vara De Rey, Cristina Martin Jiménez, Luis Miguel Benito, Carlos Astiz, Fernando Lopez Mirones, Gerard Guillaume, German Sarlangue, Grégory Catteau, Javier Villamor, Jean-Dominique Michel, Jon Ander Etxebarria, Louis Aubouin, Luc Montagnier, Michel Maffesoli, Oscar Aguilera, Pablo Campra, Pierre Jovanovic, Pierre Barnérias, Vincent Pavan, Steve Ohana, Valérie Bugault, Xavier Azalbert, Reiner Fullmich. Thebigresetmovie, le 11/09/22 – Version française.






« Il faut manipuler 2 émotions pour obtenir une soumission psychique » – Ariane Bilheran, Vincent. Pavan

[Source : epochtimes.fr]

Ariane Bilheran est docteur en psychopathologie, psychologue clinicienne et philosophe. Spécialiste de l’étude des manipulations, de la perversion, de la paranoïa et du harcèlement, elle a écrit de nombreux ouvrages et donné plusieurs conférences en lien avec ces sujets au cours de sa carrière.

 Vincent Pavan est maître de conférences et chercheur en mathématiques à l’université d’Aix-Marseille, département Polytech. Ses recherches portent notamment sur la théorie cinétique et l’équation de Boltzmann.

Il y a quelques mois, Ariane Bilheran et Vincent Pavan ont publié « Le Débat interdit – Langage, Covid et totalitarisme » aux éditions Guy Trédaniel.

Un ouvrage qui interroge la façon dont la langue, la logique et la science ont été dévoyées et perverties par le pouvoir politique, les médias ainsi que certains médecins et scientifiques pour exercer une contrainte psychique sur la population dans le cadre de la crise sanitaire.

 «  J’avais identifié que nous avions affaire à ce qu’on appelle un peu vulgairement une psychose de masse, c’est-à-dire un délire, une croyance totalement dénuée de rapport avec la réalité de l’expérience. Il fallait remonter aux premiers principes de ce délire paranoïaque, comprendre sur quoi il se fonde  », explique Ariane Bilheran.

 «  Il est très important de revenir aux racines du délire paranoïaque, que ce soit d’ailleurs pour l’individu ou pour le collectif, pour en saisir la nature et, surtout, le mensonge. C’est ce que nous avons fait en interrogeant les conditions d’exercice de la science. Nous avons fait un travail d’épistémologie et de condition philosophique, de philosophie des sciences. » Dès que l’on comprend qu’il y a eu une corruption de la science, et en particulier des mathématiques, une imposture frauduleuse dès le départ, on comprend aussi que toute la suite ne tient pas debout  », poursuit la philosophe.

Un constat que partage Vincent Pavan :

«  J’ai été bouleversé de me rendre compte que les mathématiques qui, normalement, sont une discipline très précise, très rigoureuse, ont été complètement dévoyées, qu’elles ne servaient pas à décrire le réel mais, au contraire, à créer l’illusion de façon totalement délirante.  »

 «  Ce discours mathématique dévoyé, ce discours scientiste, servait à la fois une idéologie politique et également un comportement psychique de nature sans doute paranoïaque ou pervers.  »

 «  Nous voulions comprendre l’articulation entre le discours scientiste et la façon dont il était récupéré par l’idéologie pour manipuler et faire en sorte que tout le monde avance dans le sens du délire  », observe le mathématicien.

 S’ils se sont attachés à mettre en lumière la façon dont les mathématiques et la science ont fait l’objet d’une instrumentalisation politique pendant la crise, Ariane Bilheran et Vincent Pavan ont également analysé la façon dont la langue et les discours ont été manipulés, corrompus et avilis afin de subjuguer la population et de justifier les mesures politiques prises dans le cadre de l’épidémie.

 «  Nous avons analysé la logique, la rationalité́ et, bien sûr, la question de l’utilisation de la langue pour créer le lavage de cerveau, ou, pour reprendre un terme de Mao, la rectification de la pensée  », souligne Ariane Bilheran.

 « Tous les phénomènes manipulateurs empruntent le chemin d’une imposture, d’une perversion au nom de la langue pour réussir à semer le doute, la confusion et entrainer l’autre dans sa propre histoire, c’est-à̀-dire dans une histoire où l’on voudrait qu’il soit prisonnier », ajoute-t-elle.

Dans le cadre de leur analyse de la corruption du langage, Ariane Bilheran et Vincent Pavan se sont notamment appuyés sur les travaux de Victor Klemperer, écrivain et philologue allemand victime des persécutions nazies qui a étudié les ressorts de la propagande du régime hitlérien et la façon dont la langue fut manipulée pour asseoir l’idéologie totalitaire du IIIe Reich.

 «  Dans le phénomène totalitaire, il y a la question de la censure de la liberté d’expression. Il y a des mots qui deviennent dangereux, que l’on n’a plus le droit de prononcer, et il y a des mots qui sont sanctifiés, que nous devons au contraire intégrer dans la nouvelle religion  », précise Ariane Bilheran

Pour les auteurs du « Débat interdit », les champs politique et médiatique n’ont d’ailleurs pas hésité à recourir à des mécanismes de manipulation bien connus en psychologie pendant l’épidémie liée au virus Sars-CoV-2, certaines méthodes employées s’apparentant, selon eux, à une forme de « torture psychologique ».

 «  Pour coloniser quelqu’un psychiquement, il faut rentrer chez lui. Pour rentrer chez lui, il faut créer un choc, il faut créer ce que l’on appelle une effraction psychique, une effraction traumatique, c’est-à̀-dire le sentiment d’une imminence de mort pour soi ou pour autrui. Cela a été́ largement agité dans les médias de masse  », explique Ariane Bilheran.

 «  Pour soumettre également quelqu’un, il faut réussir à créer ces chocs de façon répétée, sur la durée, en laissant des moments d’accalmie pour que la personne ait la sensation que c’est terminé. Ce sont des méthodes de torture psychologique  », ajoute-t-elle.

D’après Vincent Pavan, plusieurs médecins et scientifiques intervenus dans les médias ont joué un rôle néfaste en entretenant la peur à travers des prédictions alarmistes reposant sur des modèles et des données erronés :

 «  Il y a eu une manipulation de la parole scientifique, de la parole médicale qui s’apparente à une torture psychologique. En racontant des choses complétement fausses, en dehors de toutes les règles usuelles de prise de parole de la science ou de la médecine, on a plongé́ les gens dans une angoisse très importante.  »

 «  Tous les médecins de plateaux télé qui ont annoncé l’apocalypse ont participé à cette confusion mentale. Des personnes qui, normalement, doivent être dans la modération, dans la mesure, dans le soin, jamais dans le sensationnalisme, ont joué́ le rôle de prédicteurs d’apocalypse », poursuit le mathématicien.

Si les auteurs estiment que la gestion de la crise a mis en lumière la déconnexion entre la science et le réel, ils soulignent que les décisions prises et les discours tenus dans le cadre de l’épidémie révèlent aussi « un parti pris idéologique très puissant », la volonté de mettre en place une nouvelle organisation sociale dans laquelle l’homme serait privé de son humanité et de son identité propre afin d’être soumis à une logique techno-sanitaire.

 «  Ce qui est important, c’est de bien voir qu’il y a une véritable idéologie derrière. Elle s’impose de manière sournoise à travers la langue. L’étude de la langue dit souvent énormément de choses sur l’idéologie souterraine qui anime les décideurs, les idéologues, les propagandistes  », explique Vincent Pavan.

 «  On veut réduire l’individu à un QR code, le mettre dans des banques de données, le réduire à un flux d’informations. C’est comme cela que l’on voit l’individu de demain […]. Dans la société́ du futur, c’est l’algorithme optimal qui donnera le mode d’organisation de la société́, et si vous n’êtes pas d’accord, vous faites partie des gens qui n’auront vraisemblablement plus le droit de vivre en société.  »

Pour Vincent Pavan, cette idéologie sous-jacente est notamment caractérisée par l’hubris et le transhumanisme  :

 « Il y a cette idée que nous allons vers le futur homme-machine pour sauver l’individu, défini par son information et sa mémoire. L’augmentation de l’homme par la biotechnologie fait partie des moyens de le débarrasser des scories de son corps. »

 «  Le surhomme doit être créé pour aller vers une société́ optimale. Les mathématiques sont censées nous guider vers cette société optimale que seul l’ordinateur pourrait calculer en disposant de tous les paramètres. Dans les sociétés totalitaires, c’est toujours l’ensemble qui prime sur l’individu, et si la solution optimale pour l’ensemble nécessite que l’on se passe de certains, on le fera. Il y a cette idée des « inutiles », chère à Yuval Noah Harari(([1] « Le Covid est capital parce que c’est ce qui convainc les gens d’accepter, c’est ce qui légitime la surveillance biométrique totale », Yuval Noah Harari, conseiller principal de Klaus Schwab et leader du Forum économique mondial)), que l’on voit d’ailleurs à travers la suspension des personnels non vaccinés, qui sont considérés non essentiels alors que l’hôpital hurle du manque de moyens, que les pompiers se battent contre les incendies, etc… On les laisse en dehors car, refusant la biotechnologie que l’on veut leur imposer, ils ne peuvent prétendre au statut d’homme augmenté qui seul pourra, à l’avenir, permettre de constituer une société meilleure, optimale à tous les niveaux.  »

«  La division de la société́ entre des surhommes et des sous-hommes est aujourd’hui totalement assumée », ajoute Ariane Bilheran, « C’est quelque chose qui, à mon avis, doit poser question. La logique totalitaire est une logique de division, une logique de sacrifice de ceux qui, pour une raison ou pour une autre, ne peuvent pas accéder au nouveau stade du surhomme tel qu’il va être défini selon l’idéologie du moment.  »

 «  Dans la pensée paranoïaque, le corps humain est un objet inerte, une gestion statistique de corps infectés, non-infectés, l’individu est réduit à un cas. Il n’y a pas d’interactions complexes, les êtres humains sont réduits à des corps et à des chiffres, ce qui légitime l’utilisation de QR Codes et notre asservissement, voire une éventuelle éradication future, puisque s’il y a trop de chiffres dans l’équation, il faut bien les supprimer.  »

Pour Ariane Bilheran, la gestion de la crise sanitaire a ainsi consacré «  l’ambition de traiter les êtres humains comme des unités mathématiques  ».

 «  Cela traduit une société́ terrifiée par la vie, qui cherche à se maintenir dans la survie. La vie suppose des prises de risque et de l’aventure, c’est aussi de l’imprévu, de l’accident, du mouvement ; et c’est aussi la maladie et la mort.  »

Et la philosophe de conclure :

«  Je crois que la masse a rarement raison. Quand nous sommes témoins de phénomènes collectifs qui s’emballent, nous devons garder une certaine distance afin d’analyser ce qui se passe avant d’accepter d’y rentrer.  »

Epoch Times France


[Voir aussi :
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19]


À propos d’Ariane Bilheran :

Après avoir intégré l’Ecole Normale Supérieure (Ulm), Ariane Bilheran a choisi d’ajouter à sa formation initiale de lettres classiques un double cursus en troisième cycle de philosophie et de psychologie.

 Son doctorat de psychopathologie a porté sur la temporalité psychique dans la psychose.

 Ariane Bilheran exerce une activité de psychologue (consultations, formations, supervisions, diagnostics souffrance au travail) et enseigne la psychologie clinique à l’Université de Provence. Elle dirige également la société Sémiode, un cabinet de conseil et d’études de sémiologie et d’anthropologie culturelle.

 Depuis 2015, Ariane Bilheran réside en Amérique du Sud où elle poursuit son activité clinique ainsi que son travail de recherche et d’écriture, tout en consacrant une part de son temps à des actions agricoles et humanitaires.

Titre, Diplôme :
Normalienne (Ulm), Master Lettres Classiques, Philosophie et Psychologie.

Fonction actuelle :
Psychologue, Dirigeante de la société Sémiode.

Pour suivre Epoch Times France :

 Voir notamment les autres articles d’Ariane Bilheran [+ Vidéos] :

Référence :




REVUE DE PRESSE DU 27 JUILLET 2022

Par MF

ÉDITO
Le plus grand canular jamais perpétré sur un public peu méfiant

Phrase choc extraite des premières conclusions de l’enquête menée sous la direction de Me Reiner Fuellmich, tandis qu’un autre article rappelle que le test PCR n’est qu’une mascarade, ou encore un autre qui prouve un lien entre la 5G et la gravité de la « pandémie » de Covid-19, tandis que de nouvelles preuves d’efficacité négative des vaccins sont mises en évidence aux USA, où Fauci et des hauts responsables sont cités à comparaître ou à produire des documents sous 30 jours, tandis que les « rats » quittent le navire dans les CDC, NIH et autre FDA, par exigence morale ou crainte de poursuites ??

En France un comité scientifique chasse l’autre, et lave plus propre (indépendance, transparence, on attend de voir), tandis que l’OMS met à jour sa stratégie vaccinale et recrute la plus intransigeante des défenseurs de restrictions du Royaume-Uni, et que la Chine commence à utiliser un médicament anti-VIH dans le traitement de la Covid.

Et tandis qu’un médecin italien est réintégré en Sardaigne, trois autres meurent mystérieusement après la 4e injection au Canada.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Fin des mesures d’exception au 31 juillet 2022

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/Covid-19-le-parlement-vote-la-fin-des-mesures-d-exception-dont-le-passe-sanitaire_2177637.html

« En cas de crise sanitaire à l’avenir, si le gouvernement a besoin de pouvoirs exceptionnels, il devra les négocier un par un avec le Parlement »

Nouveau comité scientifique « commando »

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/Covid-19-le-ministre-de-la-sante-annonce-la-mise-en-place-d-un-nouveau-comite-scientifique-commando-dans-les-10-jours-qui-viennent_5279884.html

« Mis en place dans les 10 jours qui viennent pour pouvoir alerter le gouvernement en cas de nouveau risque sanitaire, équipe commando de scientifiques de très haut niveau, indépendant, transparent dans ses avis et extrêmement réactif ». Pas facile de trouver des scientifiques réellement indépendants, sans conflit d’intérêts. Quant à la réactivité, elle risque d’être encore synonyme de précipitation.

Le sénateur Bas reconnaît que les vaccinés meurent du Covid

Prise de conscience tardive, qui aboutit à ce que la commission donne plus d’importance aux tests qu’aux vaccins, ce qui montre qu’ils n’ont compris qu’une partie de la vérité (voir le chapitre « test » plus loin).

Deuxième dose de rappel pour les soignants et professionnels du médico-social

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/Covid-19-les-professionnels-de-sante-et-du-secteur-medico-social-peuvent-desormais-beneficier-de-la-deuxieme-dose-de-rappel_5278564.html

Mais pas obligatoire, pour l’instant !

Faut-il suivre encore les PU-PH ?

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/C97-7e-vague-faut-il-suivre-les-pu-ph

Une interview du Pr Gilles Pialoux contrée point par point, arguments à l’appui, et cerise sur le gâteau à la fin, les conflits d’intérêts de ce médecin.

ÉTRANGER

L’OMS met à jour sa stratégie de lutte contre le Covid

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/27/loms-met-a-jour-sa-strategie-de-lutte-contre-le-Covid/

Une mise à jour basée uniquement sur la vaccination et en aucun cas sur les soins aux malades en particulier les traitements ambulatoires précoces. Consciente de l’inefficacité des vaccins actuels, l’OMS s’entête et attend des vaccins « actualisés » !

Et recrute une extrémiste des mesures restrictives

https://www.anguillesousroche.com/sante/un-professeur-du-parti-communiste-britannique-qui-a-soutenu-les-methodes-de-surveillance-pendant-la-periode-Covid-rejoint-loms/

Mme Susan Michie est en faveur du maintien « pour toujours » des masques et des mandats de distanciation sociale !!!

USA — Démissions massives des experts des CDC, NIH et FDA

https://www.francesoir.fr/politique-monde/Covid-19-demissions-en-cascade-des-experts-en-sante-des-nih-et-des-cdc-americains

« Ces démissions font suite à celles des deux principaux responsables de la réglementation des vaccins à la FDA, le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause en raison des pressions politiques visant à autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes. Peu à peu, il semble que l’exigence morale des scientifiques et médecins ait pris le pas sur la peur à mesure qu’ils prenaient conscience de la dangerosité de ces politiques sanitaires inefficaces et délétère »

JUSTICE

ITALIE — le premier médecin réintégré en Sardaigne du Nord

https://resistance-mondiale.com/italie-medecin-non-vaccine-reintegre-le-premier-cas-en-sardaigne-du-nord

Le juge a également ordonné que lui soient versés les salaires accumulés depuis le jour de la suspension

USA — Fauci et des hauts responsables du gouvernement cités à comparaître ou à produire des documents sous 30 jours

https://www.anguillesousroche.com/technologie/fauci-et-de-hauts-responsables-de-biden-sont-cites-a-comparaitre-dans-le-cadre-dune-action-en-justice-alleguant-quils-ont-collabore-avec-les-medias-sociaux-pour-supprimer-la-liberte-dexpression/

« La présidente de Children’s Health Defense (CHD), Mary Holland, a salué ce jugement. Maintenant, grâce au processus que le juge DOUGHTY a autorisé, nous allons découvrir comment Meta, Instagram, Twitter et YouTube ont été de connivence avec le gouvernement fédéral pour freiner la soi-disant “désinformation” et “mésinformation”. C’est un nouveau jour. »

COVID

USA — Lien entre Covid et 5G dans une étude gouvernementale

https://geopolitique-profonde.com/2022/07/19/explosif-une-etude-gouvernementale-prouve-le-lien-entre-le-Covid-19-et-la-5g/

« le rayonnement de communication sans fil est devenue un facteur de stress environnemental omniprésent qui pourrait avoir contribué aux résultats négatifs sur la santé des patients infectés par le SRAS-CoV-2 et augmenté la gravité de la pandémie de Covid-19 »

Premières conclusions de l’enquête mondiale sur la crise sanitaire

https://www.covidhub.ch/la-mega-enquete-mondiale-de-me-reiner-fuellmich-sur-la-crise-sanitaire-premieres-conclusions/

L’essentiel est qu’il y a une hystérie publique totalement infondée, alimentée par les médias et les politiciens. C’est scandaleux.

C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public peu méfiant.

Le [Covid-19] n’est rien de plus qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas Ebola. Ce n’est pas le SRAS. C’est la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux. Des milliers de décès et d’effets secondaires graves sont rapportés à l’issue de la campagne en masse d’injection Covid. Il est presque certain que la vaccination de masse avec le Covid-19 est nuisible à la santé de la population générale. Les principes scientifiques dictent que la vaccination de masse avec les vaccins Covid-19 doit être arrêtée immédiatement, car nous sommes confrontés à une catastrophe de santé publique induite par les vaccins. Les quatre grandes entreprises qui ont mis au point ces vaccins génétiques (…) ont toutes décidé de choisir les parties les plus inappropriées du virus pour fabriquer un vaccin. Alors comment ces quatre sociétés ont-elles pu indépendamment, à moins d’être de connivence, faire exactement les mêmes erreurs ? Eh bien, non, elles n’ont pas pu. « Ce type de produit pharmaceutique n’était pas la spécialité de Pfizer mais “ILS” ont dit qu’il fallait le faire. Le code de Nuremberg stipule que “le consentement volontaire du sujet humain est absolument indispensable”. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques s’est fait l’écho de cette interdiction de l’expérimentation involontaire dans son texte de 1966, qui stipule : “Nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique ». Cette interdiction est désormais si universellement reconnue que certains tribunaux et universitaires ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier.

TESTS

Renonçons à la mascarade du test PCR

« Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les “cas” confirmés de Covid-19. »

TRAITEMENTS et STRATÉGIES

CHINE Traitement antiVIH contre le Covid

https://www.francesoir.fr/societe-sante/chine-approuve-un-traitement-anti-VIH-contre-Covid

« l’Histoire donne-t-elle raison au défunt professeur Montagnier ? »

INJECTIONS

Code de la Santé publique et cas des vaccins Covid

https://reinfocovid.fr/science/article-r4127-39-du-code-de-sante-publique-cas-des-vaccins-Covid/

« il est évident que la recommandation, de décembre 2020, des vaccins ARNm n’était aucunement scientifique et encore moins en accord avec l’article r4127-39 du CSP.

Il est difficile de comprendre que le ministre, le Directeur Général de la Santé, les Agence Régionales de Santé et autant de médecins aient décidé de ne pas respecter ce point du code de santé publique et de se mettre dans l’illégalité. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Vaccins anti-Covid, alerte rouge !

https://infodujour.fr/sante/59038-vaccins-anti-Covid-alerte-rouge

De nouvelles études mettent gravement en cause les vaccins anti-Covid, comme l’a révélé ici même Jean-Marc Sabatier, redoutant une « catastrophe sanitaire sans précédent ». La police néo-zélandaise envisage d’ouvrir une enquête sur les dégâts des vaccins.

Vaccin à ARNm, efficacité négative, selon le Pr Risch professeur d’épidémiologie à Yale

https://www.epochtimes.fr/face-aux-mutations-de-la-proteine-spike-les-anticorps-produits-par-les-vaccins-sont-davantage-interferents-que-neutralisants-explique-le-pr-risch-2077045.html

« Après la deuxième dose des vaccins à ARNm, il apparaît qu’ils offrent un intérêt contre l’infection symptomatique pour… la plupart des personnes pendant peut‑être 10 à 12 semaines. Après le premier rappel (la troisième dose), ce délai tombe à six ou huit semaines. Après la quatrième dose, il peut suffire de quatre semaines pour que l’efficacité s’estompe et commence à devenir négative. »

Les injections géniques inefficaces et dangereuses

https://docteur.nicoledelepine.fr/les-injections-geniques-sont-inefficaces-et-dangereuses-25-07-22/

Une image qui vaut mille mots, les décès liés à tous les vaccins en 33 ans, dans la base américaine des effets indésirables

Trois jeunes médecins meurent en trois jours dans le même hôpital, peu après la 4e injection

https://noqreport.com/2022/07/24/three-doctors-die-within-four-days-shortly-after-hospital-begins-injecting-staff-with-fourth-Covid-shots/

Quelle est la probabilité que ce soit une coïncidence dans cet hôpital canadien ?? « Cela s’ajoute à la montagne de preuves qu’il y a une véritable conspiration en jeu avec les piqûres de Covid. La vérité doit continuer à se frayer un chemin. »

RÉSISTANCES

Les non-vaccinés sont les héros de ces deux dernières années

https://lemediaen442.fr/le-producteur-de-cinema-del-bigtree-les-non-vaccines-sont-les-heros-de-ces-deux-dernieres-annees/

« Ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérience et de mettre en évidence la carence des vaccins Covid. Nous devrions tous essayer de trouver une certaine gratitude intérieure pour les non-vaccinés, car nous avons mordu à l’appât en les haïssant parce que leur persévérance et leur courage nous ont donné le temps de voir que nous avions tort. »




LE GRAND JURY révèle l’agenda pour la domination mondiale

NOTE DE COPYRIGHT

Ce document [PDF. Voir plus bas] contient une sélection des informations les plus importantes présentées au cours de la deuxième journée de la procédure modèle du Grand Jury, dirigée par le comité d’enquête Corona de l’avocat, le Dr Reiner Fuellmich.

Il n’y a aucun droit d’auteur sur ces informations et, en fait, chaque lecteur est encouragé à diffuser ces informations à grande échelle sous la stricte condition qu’elles ne soient pas vendues à des fins lucratives.

Des copies imprimées de ce document peuvent être obtenues sur le site Web suivant :
StopWorldControl.com/jury

Ce document fait partie de la première des cinq sessions du grand jury.

Les autres sessions seront également disponibles en format imprimable.

Traduction française par Dawid E.R. et google translate, pour cogiito.com

CONTENU

GRAND JURY
Présentation des preuves pour crimes contre l’humanité
PAGE 3

LA CITY DE LONDRES
L’élite Britannique et leur agenda pour la domination mondiale
PAGE 6

MANIPULATION PSYCHOLOGIQUE
Contrôler les esprits de la population pour changer leur comportement
PAGE 33

ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ
L’OMS a été mis en place pour fonctionner comme un gouvernement mondial unique
PAGE 54

CONCLUSION
Entités privées s’emparent du monde
PAGE 81

RESOURCES
More information about the criminal elite
PAGE 86

[Traduction de la page 86 :

Assurez-vous de consulter les ressources critiques suivantes qui en révèlent beaucoup plus sur les entités criminelles qui prévoient de réduire l’humanité en esclavage. Ces ressources fournissent plus d’informations, ce qui vous permet de résister à leurs plans et d’aider à construire un monde meilleur de liberté, de bonté et de vérité.

MONOPOLY

Le documentaire MONOPOLY – Who Owns the World (MONOPOLY – Qui possède le monde ?) est un documentaire brillant et éblouissant que tout le monde devrait regarder dans ce contexte. Ce film montre toutes les preuves de la façon dont pratiquement tout ce qui existe dans notre monde est détenu par un très petit groupe de personnes super riches. Nombreux sont ceux qui ont fait l’éloge de ce documentaire, le qualifiant d’incontournable pour toute l’humanité et d’un des meilleurs documentaires de tous les temps. Monopoly peut être visionné ici :
StopWorldControl.com/monopoly
[Version française :
Qui possède le monde ?]

LA CHUTE DE LA CABALE

Il s’agit de la meilleure ressource au monde pour en savoir plus sur l’identité de ces oligarques criminels et sur le type de crimes qu’ils commettent depuis des siècles. Il existe deux séries : la série originale Fall of the Cabal [La chute de la Cabale], qui expose les horreurs indicibles infligées à l’humanité – et en particulier aux enfants. La suite continue avec plus d’informations sur qui ils sont, quel genre d’organisations ils dirigent, et ainsi de suite. Ces séries changent la vie et doivent être vues par tous ceux qui veulent aider à mettre fin à ces crimes cruels et à construire un monde d’espoir pour nos enfants. Regardez The Fall of the Cabal ici :
StopWorldControl.com/cabal

RONALD BERNARD

Le témoignage de ce courageux dénonciateur est l’un des plus choquants et des plus révélateurs de tous les temps. Une fois que Ronald a accédé aux plus hauts niveaux du monde financier, il a été invité à participer au sacrifice d’enfants. Il a découvert que la plupart de ceux qui opèrent aux plus hauts niveaux, sont impliqués dans une religion appelée Luciférianisme. Ronald n’a pas pu le faire et s’en est éloigné. En conséquence, il a été physiquement torturé pour s’assurer qu’il ne révélerait aucun de leurs noms au monde. Dans la vidéo suivante, il confirme une grande partie de ce qui est dit par les dénonciateurs dans le résumé du Grand Jury. À voir absolument pour tous ceux qui veulent construire un monde meilleur.

Regardez Ronald Bernard ici :
StopWorldControl.com/bernard

RAPPORT SUR LA MORT PAR LES VACCINS

Le Vaccine Death Report est le rapport le plus complet et le plus détaillé au monde sur les destructions innommables causées par la thérapie génique expérimentale, faussement commercialisée sous forme de vaccins. Des millions de personnes sont déjà mortes, et des centaines de millions sont handicapées à vie. Et ce n’est que la première vague de dévastation à court terme. À long terme, les effets dépasseront toute imagination. Il s’agit véritablement de la pire attaque contre la race humaine de tous les temps. Téléchargez le rapport sur les décès dus aux vaccins ici :
StopWorldControl.com/report
[Version française :
Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français !]

L’ÂGE DES CYBORGS

L’une des réalités les plus inquiétantes révélées au cours de ce Grand Jury est la manière dont les oligarques prévoient de soumettre l’ensemble de l’humanité à un système sans précédent de contrôle total de nos esprits et de nos émotions. Nous préparons un documentaire qui montrera des dizaines de ces criminels parlant ouvertement de ce programme d’éradication complète du libre arbitre, de la libre pensée et de la libre émotion. Il s’agira du plus important cri d’alarme de l’humanité, de notre époque. Si ces psychopathes parviennent à réaliser leur projet fou, tout le monde sera un esclave contrôlé, dans son esprit, son âme et son corps. La 5G joue un rôle clé à cet égard, ainsi que l’oxyde de graphène, qui est ajouté aux vaccins, à l’eau potable, aux chemtrails, à la nourriture, aux compléments alimentaires, aux produits pour femmes, aux couches, etc. Une fois que le public sera suffisamment saturé d’oxyde de graphène, il pourra être contrôlé par la 5G. Inscrivez-vous à nos courriels gratuits pour rester informé de ce documentaire à venir, et pour recevoir d’autres informations critiques qui vous aideront à défendre votre vie.

Inscrivez-vous ici : StopWorldControl.com]

[Voir aussi les 8 vidéos du Grand Jury :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]




Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales

[Source : Jeanne traduction]

📍1:55 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge – Portugal
Résumé de la session précédente

📍5:28 ▪︎ Reiner Fuellmich, avocat – Allemagne & Etats-Unis

📍39:53 ▪︎ Dipali Ojha, avocate – Inde

📍45:35 ▪︎ Dexter Ryneveldt, avocat – Afrique du Sud

📍1:20:07 ▪︎ Virginie de Araujo-Recchia, avocate – France

📍2:08:15 ▪︎ Michael Swinwood, avocat – Canada

📍2:35:04 ▪︎ Ana Garner, avocate – Etats-Unis

📍3:03:32 ▪︎ Leslie Manookian, ex banquière d’investissement, présidente et fondatrice du Health Freedom Defense Fund – Etats-Unis




Vidéos précédentes en ordre chronologique décroissant

Jour 7

📍00:13 ▪︎ Viviane Fischer, avocate – Allemagne
Introduction

📍00:47 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
Résumé de la session précédente

📍06:49 ▪︎ Matthias Desmet, jusqu’à récemment maître de conférences en psychothérapie psychanalytique au département de psychanalyse et de consultation clinique de l’université de Gand, auteur de « La Psychologie du Totalitarisme » – Belgique
Les mécanismes de la « formation de masse », processus typique des régimes totalitaires. Pourquoi les gens adhèrent et pourquoi leur est-il presque impossible d’en sortir ?

📍1:22:15 ▪︎ Mark Crispin Miller, professeur de médias, de culture et de communication à l’université de New York, spécialiste de la propagande – Etats-Unis
Le rôle de la propagande dans les systèmes totalitaires, comment elle est utilisée et comment elle fonctionne.




Jour 6

📍01:28 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 5e session

📍07:13 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de mise en esclavage de l’humanité à travers les modifications génétiques et le « développement durable »

📍42:40 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:11:33 ▪︎ Matthew Ehret, journaliste, conférencier et fondateur de la Canadian Patriot Review.
Poursuite de l’exposé de Patrick Wood

📍1:43:40 ▪︎ Questions à Matthew Ehret

📍1:55:39 ▪︎ Ilana Rachel David, citoyenne israélienne
Israël, la population juive encore une fois victime d’expérimentations médicales et de répression.

📍2:18:06 ▪︎ Questions à Ilana Rachel David

📍2:28:18 ▪︎ Avital Livny, citoyenne israélienne, réalisatrice du documentaire The Testimonies Project
Face à l’inaction des israéliens, Avital décide de réaliser elle-même un documentaire afin d’informer son peuple et les peuples du monde de la réalité de ce qu’il se passe en Israël, la même chose que chez nous.

📍2:54:49 ▪︎ Questions à Avital Livny

📍3:12:55 ▪︎ Vera Sharav, juive allemande survivante des camps nazis, fondatrice de l’organisation sans but lucratif « Alliance for Human Research Protection », opposée fermement à l’industrie pharmaceutique responsable en grande partie de ce qu’ils s’est passé dans les années 30-40 et de ce qu’il se passe aujourd’hui.
Le parallèle établi entre la seconde guerre mondiale et ce qu’il se passe dans le monde occidental et la grippe espagnole.

📍3:43:04 ▪︎ Questions à Vera Sharav

📍4:07:08 ▪︎ Conclusion




Jour 5

📍00:13 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 4e session

📍03:23 ▪︎ Reiner Füllmich,docteur en droit, avocat, Allemagne
Introduction

📍05:52 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de réorganisation scientifique du système socio-économique

📍40:50 ▪︎ Interview en caméra cachée de Chris Cole, haut responsable de la FDA, sur le projet du gouvernement étasunien (Biden) d’instaurer les injections anti-covid de façon permanente.

📍45:30 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:16:45 ▪︎ Vidéo : florilège de déclarations sur l’Internet des corps (IoB) tenues par des acteurs de la « 4e révolution industrielle »

📍1:25:20 ▪︎ Leslie Manookian, ancien cadre dirigeant d’institutions financières, auteure et productrice de documentaires, directrice du Health Freedom Defense Fund (association qui lutte contre l’injustice en matière de santé), formée à l’homéopathie, USA
La « pandémie de Covid », paravent pour la démolition contrôlée de notre système politique et économique

📍1:54:20 ▪︎ Questions à Leslie Manookian

📍2:35:56 ▪︎ 3 Videos de victimes des 💉
🎞 Video #1: à Nashville, Tennessee (USA), une infirmière a contracté une paralysie de Bell
🎞 Video #2: une femme est atteinte de convulsions
🎞 Video #3: à Johannesburg (South Africa), une femme a développé de l’amphisème ainsi que des problèmes articulaires.
(
 Explications du phénomène ici : https://bit.ly/3INJTyU)

📍2:42:13 ▪︎ Björn Pirrwitz, juriste & expert financier, Allemagne, Roumanie
Démolition du système financier : nature du système, origine et principales étapes du processus, conséquences de la crise de 2008 et aperçu du nouveau système

📍3:12:34 ▪︎ Questions à Björn Pirrwitz

📍3:31:50 ▪︎ Christian Kreiss, professeur d’économie et ancien banquier d’affaires, Allemagne, Costa Rica
Seule une démarche spirituelle nous permettra de sortir de la nouvelle crise du capitalisme qui se cache derrière le Covid.
… (interruption de l’exposé du prof. Kreiss à cause d’un problème de connexion internet)

📍3:54:00 ▪︎ Leslie Manookian

📍3:59:39 ▪︎ Patrick Wood

📍4:03:49 ▪︎ Ana Garner, avocate, USA

📍4:07:41 ▪︎ Reprise de l’exposé du prof. Kreiss

📍4:16:49 🎞 Video #4: Yuval Harari parle du « piratage du comportement des êtres humains »

📍4:19:10 ▪︎ Commentaires de Leslie Manookian, An Garner et Dexter L-J. Ryneveldt

📍4:21:42 ▪︎ Conclusion




Jour 4

📍00:13 ▪️ Introduction

📍01:00 : Video #1 : Bill Gate$

📍03:29 : Video #2 : Terrance Munsamy, 40 ans, Durban, Afrique du Sud, victime de l’ 💉 modRNA,

📍06:55 ▪️ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal : Résumé de la 3e session

📍11:47 ▪️ 1. Les injections anti-covid ▪️

📍11:53 ▪️ Alexandra Henrion-Caude, docteure en génétique, ancienne directrice de recherches, France
Aperçu général des problèmes

📍28:24 ▪️ Questions au dr Henrion-Caude

📍47:10 ▪️ Vanessa Schmidt-Krüger, docteure en biologie, spécialisée en biologie moléculaire et cellulaire ainsi que dans les maladies cardio-vasculaires, Allemagne
Intérêt des vaccins contre les coronavirus ?

📍47:50 : 1e partie : un taux de léthalité nettement inférieur au taux officiel

📍50:12 : 2e partie : nous possédons déjà une forte immunité croisée contre tous les coronavirus !

📍1:00:47 : 3e Partie : les 💉 sont inefficaces et inutiles !

📍1:08:38 ▪️ Deanna McLeod, directrice de Kaleidoscope Strategic Inc., formation en immunologie et psychologie, Canada
Conception, mise en oeuvre et résultat des essais cliniques Pfizer

📍1:39:17 ▪️ Prof. em. Sucharit Bhakdi, docteur en médecine, microbiologiste, immunologiste et épidemiologiste, Allemagne

📍2:00:51 ▪️ Dr. Mike Yeadon, biologiste, immunologiste, toxicologue, biochimiste, ancien directeur scientifique du département maladies respiratoires chez Pfizer et ancien vice président de Pfizer, UK / USA
Quelle pouvait être l’intention pour vouloir fabriquer un « vaccin » 1) à partir de la pire des parties possibles du virus SARS-COV-2 et 2) dans un délai totalement insuffisant pour en garantir la standardisation et la sécurité ?

📍2:32:15 ▪️ Prof. Dr. Antionietta Gatti, physicienne et bio-ingenieure, nano-pathologiste, Italie
Composition chimique inattendue des injections expérimentales anti-covid

📍2:56:07 ▪️ Prof. em. Arne Burkhardt, docteur en médecine, anatomopathologiste, Allemagne
Autopsie des personnes décédées et étude histologique des complications en lien avec les injections anti-covid

📍3:33:11 ▪️ Prof. em. Dr. Ing. Werner Bergholz, professeur en ingénierie électrique et en gestion de la qualité et du risque, Allemagne
Injections covid-19 et conformité aux règles de contrôle qualité

📍3:51:40 ▪️ Questions

📍4:06:45 ▪️ Virginie de Araujo Recchia, avocate, France: Conclusion

📍4:13:39 ▪️ 2. La guerre psychologique ▪️

📍4:14:20 ▪️ Meredith Miller, coach & auteure spécialisée dans les traumatismes, USA
Principes du syndrôme de Stockholm et de la dissonance cognitive

📍4:37:44 ▪️ Ariane Bilheran, philosophe, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, France
Une dérive totalitaire qui repose sur le délire paranoïaque

📍5:13:48 ▪️ Questions

📍5:49:00 ▪️ Conclusion




Jour 3

📍 Introduction – début à 7:37

📍 Astrid Stuckelberger – 7:37 à 44:05
Les conflits d’intérêt autour du test PCR entre Drosten, la Charité de Berlin, GAVI, l’OMS.

📍 Ulrike Kämerrer – 44:05 à 1:31:44
Le fonctionnement et le rôle exacts du test PCR.

📍 Sonia Pekova – 1:31:44 à 2:13:29
Les différents génomes du virus, l’interdiction d’utiliser ses propres tests covid en République Tchèque et le trafic des résultats.

📍 Bryan Ardis – 2:13:29 à 3:19:45
Le Remdesivir, ou comment les hôpitaux ont littéralement tué des gens avec un « traitement » supposé les sauver.

📍 John O’Looney – 3:19:47 à 3:44:13
Directeur de pompe funèbre, il observe qu’il n’y a pas eu de surmortalité avant le début des campagnes d’injection ; alors qu’après la campagne elle a augmenté de 300% au Royaume-Uni. Il témoigne également de son séjour à l’hôpital où ils ont essayé de le tuer.

📍 Shankara Chetty – 3:44:47 à la fin
L’expérience d’un médecin généraliste Sud Africain, l’omerta sur les réels traitements.




Jour 2

📍Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

📍Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19eme siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

📍Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covis 19 n’est qu’une continuité, nous dit il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendu de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

📍Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

📍Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.

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Jour 1

Procédure du Grand Jury par le Tribunal D’opinion Publique des Peuples
Renforcer la conscience publique par le droit naturel
L’injustice faite à un seul est une injustice faite à tous

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons par la présente une enquête criminelle sur le modèle de la procédure du Grand Jury des États-Unis.
Cette enquête du Grand Jury sert de modèle de procédure légale pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles des Crimes contre l’Humanité du COVID-19 à ce jour contre les « leaders, organisateurs, instigateurs et complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.
Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans le cadre d’un plan commun visant à commettre des crimes contre l’humanité, et tous les actes criminels de ce type condamnés par les différentes communautés de jurés dans le monde.

Cette enquête est menée par le peuple, par le peuple et pour le peuple et sera désignée sous le nom de « Tribunal d’opinion publique des peuples ».
N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel.
Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal, et le bien du mal.

L’allégation est que les gouvernements du monde sont passés sous l’influence de structures de pouvoir corrompues et criminelles.
Ils se sont concertés pour mettre en scène une pandémie qu’ils planifiaient depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses déclarations de faits et d’une opération psychologique socialement élaborée dont les messages ont été transmis par les médias d’entreprise.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccinations » qui, entre-temps, se sont avérées ni efficaces, ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causés à la population mondiale se mesurent en quadrillions de dollars.

Les avocats énumérés ci-dessous, avec l’aide d’un certain nombre de scientifiques et d’experts très respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal,
mèneront cette enquête de grand jury et fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête du « Tribunal populaire de l’opinion publique » est double : D’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations contre certaines des figures de proue pénalement et civilement responsables de ces Crimes contre l’Humanité.
Et d’autre part, il s’agit – en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique – de créer une prise de conscience sur l’effondrement réel du système actuel, détourné, et de ses institutions, et, par conséquent la nécessité pour les peuples eux-mêmes de reprendre leur souveraineté, et la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette pandémie en refusant de s’y conformer, et la nécessité de lancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin de rétablir la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions.



Transcription complète

Grand Jury – Session 1

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich — Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha — Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont   malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




Les Français sont atteints du syndrome de Stockholm. Informons-les !

Par Dr Nicole Delépine

La France n’est pas sortie de la sidération de la peur (du virus, de la guerre, puis d’un autre virus). Elle est donc toujours sous emprise et dénigre ceux qui tentent de la sortir du gouffre comme Mme la Dr Wonner, une des seules députées à avoir défendu le peuple à l’assemblée et qui en est exclue.

Le premier tour des législatives a cruellement démontré que la France est encore hors sol, loin des problèmes concrets qui perturbent son quotidien. Elle est toujours dans sa bulle organisée par la clique de Davos et les médias aux ordres des milliardaires comme Bill Gates.

Les pseudo campagnes électorales pré-présidentielle et pré-législatives avaient déjà démontré la capacité du pouvoir en place de jouer le scénario « gare aux extrêmes ». Ce serait drôle si ce n’était pas si tragique. Transformer Marine maintenant normalisée(([1] Elle ne parle plus de Frexit, de sortie de l’euro ni de sortie du commandement intégré de l’Otan.)), et devenue opposante ( ?) contrôlée comme son débat avec E. M l’a démontré (pas une question qui pourrait fâcher) en épouvantail fasciste, ça relève de l’exploit.

Et cette semaine, diaboliser à son tour la NUPES qui a fait élire E.M. (en le préférant à Marine) relève du cynisme politique bien compris. Chapeau l’artiste.

Bref nous sommes loin d’une vraie campagne, de choix politiques, de débat d’idées, de projets pour la France. Marie-Estelle Dupont commentant cet épouvantable crime commis par un enfant de 14 ans explique que la raréfaction du langage (via les écrans depuis au moins deux décennies et aggravée par le confinement de fait depuis deux ans), ne permet plus aux émotions de s’exprimer et d’évacuer les sentiments ni en particulier la violence. Et cette violence peut alors s’exprimer de la façon la plus épouvantable.

Les Français sont inquiets et frustrés comme rarement auparavant. En l’absence de toute expression dans les urnes dont témoigne l’abstention toujours plus importante, on peut craindre aussi des explosions de violence.

En matière de campagne électorale, le langage paraît perdu aussi, et les débatteurs ne discutent que d’un même problème de soir en soir, avec les mêmes mots et très peu de réflexions (par exemple Damien Abad, en passe d’ailleurs d’être réélu, puis les mensonges de Darmanin, etc.).

Nous avons arrêté de penser, sur ordre – via la pensée unique, la censure, puis l’autocensure, par crainte d’être sanctionné si on se permet une phrase hérétique y compris dans les familles. Pour éviter les ruptures, pour éviter d’être exclu du groupe. Mais existe-t-il encore des relations humaines authentiques dans le non-dit permanent ?

ET L’OBLIGATION VACCINALE ?

En dehors du pouvoir d’achat que les politiques et journalistes voudraient imposer comme seul sujet, ceux de l’obligation vaccinale, de la suspension des soignants et des pompiers vaccino prudents , de la persistance du pass qui empêche les familles d’accompagner leurs malades, du vide hospitalier et des déserts médicaux, de la solitude et de l’abandon des résidents d’EHPAD en sont d’autres qui impactent lourdement la vie quotidienne, mais qui ont été complètement abandonnés, censurés, oubliés, cachés.

Combien de Français craignent une obligation de l’injection expérimentale chez les enfants y compris les plus petits à la rentrée ? Même s’ils tentent de faire l’autruche, de penser aux vacances, d’oublier « tout ça », ils savent et connaissent déjà un minimum de risques, les problèmes menstruels étant les plus évidents, ainsi que la perte de mémoire du grand-père (… mais il est vieux …). Les crises cardiaques des sportifs et des pilotes, les accidents post injections de Céline Dion et de Bieber en ont bien inquiété quelques-uns, mais on passe vite à autre chose. Quant aux AVC ou infarctus chez des amis, ce n’est vraiment pas de chance.

LA SANTÉ OUBLIÉE

On s’était désolé que ce sujet ne soit pas apparu au premier plan des programmes des candidats à l’heure où la crainte de fermeture des urgences en été se renforce. Mais il faut avouer qu’aucun parti (de l’extrême droite à l’extrême gauche comme dirait E.M, pourtant tous jumeaux ) n’en a fait un sujet prioritaire, et c’est désolant.

Moralité, nous sommes dévastés, choqués de découvrir l’élimination au premier tour des seuls défenseurs de votre santé, de votre patrimoine génétique, de la fertilité de la jeunesse, etc. et de leurs scores très faibles (Martine Wonner, Nicolas Dupont Aignan, Florian Philippot par exemple).

Et pendant ce temps-là, O. Véran – celui qui a interdit de soigner par les traitements précoces, celui qui a en permanence dédaigné les avis des médecins et chercheurs compétents, celui qui a en mars 2020 signé avec Édouard Philippe alors Premier ministre le décret favorisant l’élimination des anciens par injection létale de Rivotril, etc. – est en position favorable, de même que Mme Borne qui a signé le décret de suspension sans rémunération ni RSA des soignants et pompiers soucieux de leur intégrité de leur corps, de même que Mme Bourguignon son obéissante adjointe qui se contentait de fermer le micro lors d’auditions au Sénat.

Les Français sont-ils devenus masochistes et aimeraient-ils ceux qui leur font mal ? Ils étaient prêts pour ce totalitarisme qui avance à grands pas, nous explique Ariane Bilheran.

Car sinon pourquoi voter pour tous ceux qui ont imposé un enfermement si toxique pendant des semaines, ceux qui nous ont demandé de nous autoriser nous-mêmes à sortir une heure, ceux qui ont, pendant des mois, asséné des ordres contradictoires et obligatoires, ceux qui ont gâché une génération de bébés qui ne savent pas ce qu’est un visage, ceux qui ont abîmé une génération d’adolescents en imposant encore plus d’écrans et en les privant de relations humaines si capitales à cet âge… ? Et maintenant ils tuent … Et on nous prédit qu’ils tueront de plus en plus jeunes.

Le syndrome de Stockholm se développe de manière inconsciente et involontaire. Il s’agit de l’instinct de survie. En sommes-nous globalement atteints ?

Le concept de « syndrome de Stockholm »(([2] Syndrome de Stockholm : définition, symptômes, causes et traitement (sante-sur-le-net.com) )) est apparu il y a une quarantaine d’années à l’occasion d’une prise d’otages à Stockholm en Suède. Fin août 1973, 6 malfaiteurs braquent une banque suédoise et prennent en otage ses quatre employés pendant 6 jours. Après une longue attente très médiatisée, et à l’issue des négociations, tous les otages sont libérés sains et saufs. Mais les otages ont refusé de témoigner contre leurs agresseurs. Certains sont allés les voir en prison, et l’une d’entre elles a entretenu une relation amoureuse avec l’un des malfaiteurs.

Le syndrome de Stockholm survient en cas de situation de stress psychologique extrême.

Selon la description individuelle :

« la victime se retrouve d’abord dans un état de sidération rendant impossible toute prise de décision. Après le choc, une réorganisation psychologique s’opère. En effet, la victime s’adapte à la situation et trouve de nouveaux repères. La victime n’a plus aucune autonomie et dépend totalement de son bourreau pour satisfaire ses besoins. Finalement, c’est « grâce » à lui s’il peut manger, dormir, bouger, aller aux toilettes, etc. Lorsque l’agresseur n’abuse pas de la situation, sa victime le voit comme quelqu’un de bien. Certaines victimes peuvent ressentir un sentiment de gratitude envers leur agresseur, et adopter petit à petit la pensée et le code moral du bourreau ».

Ainsi on peut complètement transposer ce vécu à celui des populations confinées (qui supportent x fois dans la journée les informations et les ordres de nos « bourreaux » et même les messages subliminaux permanents sur les écrans de TV).

« Plus la situation s’éternise, plus cette nouvelle personnalité a de risques de s’implanter profondément dans l’individu, à tel point que certaines victimes se rangent parfois du côté de l’agresseur et s’opposent aux forces de l’ordre. »

Le fait de vivre sans contact avec le monde extérieur peut également induire le syndrome de Stockholm, mécanisme d’adaptation permettant aux victimes de survivre. En effet, cet ajustement permettrait de diminuer l’anxiété engendrée par une menace de mort imminente.

Parallèle entre les otages d’un braquage et une population confinée et menacée

Ainsi si on examine les caractéristiques du syndrome de Stockholm, on peut faire quelques analogies instructives avec la situation qu’on subit des milliards d’individus.

Un syndrome de Stockholm est caractérisé par la présence d’un lien d’attachement et d’empathie entre la victime et « l’agresseur », lien conscient ou inconscient. L’agresseur – ici le pouvoir politique – peut être vu par sa victime comme en souffrance, sincère et bienveillant.

Et c’est bien ce qui s’est passé avec nos gouvernements qui affirmaient « protéger les vieillards » (soumis au Rivotril par ailleurs) par les mesures de confinement contre le « virus ». Il a été bien démontré depuis lors la totale inefficacité sanitaire(([3] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown?
https://arxiv.org/abs/2005.02090v2))(([4] John Gibson AIER Staff Lockdowns Do Not Control the Coronavirus: The Evidence December 19, 2020))(([5] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.
doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.))(([6] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID Wins Nov 1, 2020))(([7] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no évident impacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))(([8] https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf)) et les graves conséquences sociales, éducatives, économiques, etc. de telles mesures. Le pouvoir se présentait aussi comme en souffrance lui-même vis-à-vis de la situation qu’il présentait (de façon mensongère). Syndrome du pompier pyromane.

Un sentiment d’impuissance exacerbé engendre une mise de côté de soi afin de survivre et ce fut bien le vécu des Français en proie à la peur du virus, de la mort rapide, et de plus dans la crainte de souffrances de détresse respiratoire mises en exergue dans les journaux TV. La PEUR que MACHIAVEL a bien décrite comme levier de gouvernement a été bien utilisée jusqu’à ce jour.(([9] Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Deux autres caractéristiques complètent ce parallèle :

  • dépendance totale qui engendre la perte d’autonomie de la victime (l’agresseur – ici le pouvoir – s’arrange pour être le seul à pouvoir répondre au besoin de sa victime pour obtenir sa soumission);
  • et une diminution, voire suppression des contacts avec l’extérieur  (critère réalisé par la pression pour les mesures coercitives pour absence de contact physique avec les autres, distanciation sociale épouvantable, etc..)

Rappelez-vous les cours d’école avec les carrés absurdes par enfant. Comment avons-nous pu accepter tout cela alors qu’on savait depuis le début que les enfants ne risquent rien du covid et qu’ils ne sont pas facteurs de transmission?

Effectivement, nous sommes atteints en partie ou complètement de ce syndrome qui explique pourquoi les électeurs ont chassé Martine Wonner du parlement et vont peut-être y réélire O Véran !

COMMENT EN SORTIR ?

Habituellement, la prise en chargeest un suivi psychologique ou psychiatrique très régulier. Mais alors que la TV continue de faire passer ses spots angoissants, que le pouvoir tente de remplacer la peur du covid par celle de la guerre en Ukraine, puis celle du virus du singe, comment diminuer la pression ?

« Le travail de reconstruction psychologique des victimes est très long et éprouvant. Parfois, le traumatisme est si important que la personnalité de la victime est profondément affectée. Le temps nécessaire à la reconstruction et au déconditionnement est variable selon la durée la période de violence et son contexte ». On peut imaginer que cela sera très difficile et que de longues années de souffrances diverses nous attendent.

L’ÉCRITURE THÉRAPEUTIQUE

Est, semble-t-il, un excellent moyen d’extérioriser les souffrances et de prendre de la distance vis-à-vis du traumatisme. Alors poussons tous nos concitoyens à écrire encore et encore, à titre de témoignages pour l’Histoire et d’évacuation de la douleur pour le présent, comme… les poilus de la guerre de 14 enfermés dans leurs tranchées qui nous ont légué de si poignantes lettres.

COMMENT SOMMES-NOUS ENCORE DANS CETTE PHASE DE SIDÉRATION ?(([10] https://nouveau-monde.ca/ariane-bilheran-lideologie-sanitaire-est-un-pretexte-a-une-gouvernance-totalitaire))

Selon A Bilheran, en 2020, « on n’a pas du tout pris les mesures nécessaires pour soigner. Au contraire, il y a eu une grande exposition des gens sur le plan de la santé, une politique de précarisation dans de nombreux pays du monde.

Quand on interdit à des médecins de prescrire ou de soigner, on crée des maladies. Quand on renvoie les gens chez eux avec du Doliprane, on crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie ».(([11] Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) Mise en avant d’une idéologie, d’une croyance fausse, d’un récit… qui se substitue à la réalité.
Dans le cas de la plandémie Covid, on observe donc :
• La prétention à sacrifier l’individu pour sauver le groupe ;
• La mise en place de l’agenda transhumaniste ;
• La tricherie permanente sur les morts, les cas, le prétendu bienfait des vaccins ; les incohérences temporelles et spatiales des mesures sanitaires ; la ségrégation des non-vaccinés ; etc. ;
• Le recours aux masques muselières, à la distanciation sociale, au confinement, au discours de peur… ;
• La mise en avant de l’ennemi viral et de théories délirantes jamais scientifiquement démontrées, telles que l’immunité de groupe, la contagion virale, le bienfait de poisons injectés sous forme de « vaccins », etc.))

Comment peut-on expliquer que la majorité des gens ne se rendent pas compte de tout cela ? (…)

«  C’est lié à la violence. Il y a eu des chocs traumatiques répétés envoyés aux populations. De diverses manières, avec différents décors. Et ces chocs traumatiques ont été créés par les discours politiques, par les décisions prises, dont l’absurdité et l’arbitraire ont cassé tous les repères des gens.

Cette violence entraîne, pour le psychisme, la mise en place de mécanismes de défense. Quand vous subissez un traumatisme grave, cela peut déclencher une amnésie. Ou bien on se réfugie dans le déni : le réel est tellement insupportable que je refuse de me le représenter.

Moins on s’attend à la violence, plus on est vulnérable. Nier la réalité de la violence, ou la justifier, dans la mesure où il y a en face un discours très séducteur du type «on fait ça pour votre bien» et bien c’est très tentant d’y entrer ».

« La majorité des gens ne parvenant pas à comprendre ni accepter l’existence de la violence que ça véhicule, régressent sur le plan psychologique et se laissent prendre en charge par le discours dominant.

Il y a également une bonne partie de gens qui préfère tout simplement ne pas s’interroger et suivre le mouvement, sans chercher à savoir si ce qu’il se passe est normal ou non. S’il devait penser vraiment ce qu’il se passe, probablement qu’il pourrait en devenir fou. »

Le psychisme protège, jusqu’à un certain point de ce basculement et de cette désintégration psychique.

Et ce n’est pas une question d’intellect, de connaissances, ni de niveau d’éducation .

« D’abord, c’est lié à une solidité psychologique et non pas à une intelligence. C’est lié à la capacité d’être ancré dans plusieurs choses et dans la capacité d’affronter la solitude, même si la majorité du groupe se désaxe. Ancré dans quoi? Dans le rapport à la réalité. Dans le désir de vérité. Dans la valeur morale de se rendre compte, dans le réel, qu’on fait du mal aux gens ».

Certains scientifiques, universitaires, chercheurs, médecins ont payé fort cher de livrer leur vérité. Si l’on n’est pas prêt à payer ce prix-là et si son groupe d’appartenance exige de manière implicite ou explicite une adhésion au dogme, pour accéder aux privilèges du sérail, on est réduit à une forme de soumission, consciente ou non. On devient un Kapo.

LA COLLABORATION DES INTELLECTUELS AVEC LES RÉGIMES TOTALITAIRES N’EST PAS NOUVELLE :

«  Hannah Arendt avait exprimé son dégoût des intellectuels dès le début des années 1930; Klemperer avait été sidéré par l’opportunisme de certains universitaires; Günther Anders avait dit son aversion pour la complaisance active d’Heidegger, en particulier car ce dernier avait tous les outils de philosophie politique pour penser ce qu’il se passait ».

LA CRISE SANITAIRE, ABOUTISSEMENT D’UN LONG PROCESSUS DE DESTRUCTION SOCIALE

« Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où «rien d’humain ne m’est étranger ».

Le totalitarisme est la proposition inverse.

Il est clair que la qualité de la médecine a effroyablement chuté depuis la fin du XXe siècle, lorsque sous prétexte de rationalisation « scientifique », mais en réalité financière, et idéologique, on nous a imposé des « protocoles uniformes pour tous » ( même si trompeusement appelés « personnalisés »). Les bureaucrates ont alors pu faire leurs ravages en contrôlant si les docteurs appliquaient bien les consignes des recommandations devenues rapidement obligatoires. La médecine agonisa… Homogénéiser les traitements a toujours été le contraire de la médecine d’Hippocrate, mais à grands coups de pub étatiques, de « plan cancer » de beaux bâtiments, de cellules d’organisation… on a acheté tout ce beau monde souvent inconscient du mal qu’ils allaient faire, et les citoyens manipulés comme à l’habitude ont applaudi.

Au sein du totalitarisme, l’individu n’est plus sacré en soi, mais plutôt quelque chose qui peut être éliminé si on en a besoin. Cette mutation est en cours depuis très longtemps : perte de la transcendance, de la transmission, de valeurs morales et spirituelles. C’est la profanation de tous les individus.

« Vous ne pourrez plus rien cacher», c’est la proposition totalitaire : l’exact inverse de la pudeur, socle de la civilisation selon Hegel. On doit cacher notre intimité, c’est un devoir, elle ne peut pas être profanée sous peine de sombrer dans la barbarie. »

A. Bilheran pense que cette évolution est détectable depuis longtemps dans l’évolution du management au travail, la prolifération des écrans pour les enfants, le succès de Facebook et autres réseaux sociaux.
L’enfant n’est plus qu’ un objet destiné à devenir pour un bon consommateur, un instrument de production, qu’on jette lorsqu’il ne sert plus à rien. Et la clique de Davos a l’impression qu’ils n’ont plus besoin que de quelques esclaves. Ils se trompent…

A. Bilheran explique qu’il y a conjonction de plusieurs facteurs dont :

« le transhumanisme est la référence nazie par excellence, celle du surhomme. Cela veut dire que le nazisme, dans sa valeur première de recherche d’immortalité matérielle et de surhomme humain, qui en même temps est un humain modifié, n’est pas mort.

L’idéologie de fond n’est pas morte. Le nazisme n’a pas été totalement pourchassé, il a fait des petits dans les sectes idéologiques de pouvoir qui ont pour vocation à s’étendre et visent l’expansion. Je pense que la question de la conquête idéologique d’un pouvoir mondial par des sectes occultes est rarement abordée, mais devrait être étudiée de très près. »

Par ailleurs le développement technologique a été trop rapide par rapport à nos facultés affectives d’en dominer les effets. Comme un enfant précoce a parfois beaucoup de difficultés à assumer ses trois ans d’avance. Il est encore petit…

« L’humanité engendre des monstruosités qu’elle n’a pas forcément les moyens de freiner, comme l’illustrent la création des chimères, le clonage, les trafics génétiques… Je pense que cela est aussi à œuvre ». Repensons à Einstein et son désespoir d’avoir engendré la bombe atomique, un tel outil de mort. Il y a aussi une volonté délibérée de supprimer l’apprentissage auprès des enfants.

La seule question qu’on aurait dû se poser près la Deuxième Guerre mondiale, c’est : comment en est-on arrivé à un tel degré d’autodestruction ?

Du point de vue du développement des technologies de masse, de la publicité, du marketing, etc., un encouragement à la dérégulation a fait que les individus n’ont plus été protégés, en particulier de l’émergence de ces nouvelles technologies, des écrans.

Et à partir du moment où l’on contrôle un cerveau et le temps de cerveau disponible, on contrôle toute possible révolte de la part des citoyens. Le monde de Huxley. C’est bien aussi ce qu’expliquait Patrick Le Lay parlant de la télévision au début des années 2000.

Écoutez :

« Cette crise est essentiellement psychologique, morale et spirituelle » – Ariane Bilheran | crise sanitaire | totalitarisme | Epoch Times.

Poursuivons l’analyse de la crise du Covid étape du totalitarisme montant, par notre philosophe.(([12] Psychopathologie du totalitarisme 3/3, par Ariane Bilheran))

Qui sont les résistants et que doivent-ils faire pour aider à en sortir ?

« Les rares qui ont compris dès les premiers signaux d’alerte, et n’ont pas besoin de l’expérience de la désolation pour mesurer le danger de la construction mentale délirante, incarnent le chemin étroit de la vérité et les résistants de la première heure ».

« Il faudra néanmoins attendre le réveil des masses, pour que le totalitarisme s’effondre, ces masses qui réagissent favorablement à la suggestion hypnotique, et se laissent facilement séduire, par le cadeau empoisonné de l’idéologie et son apparente cohérence ».

Les masses doivent cesser de collaborer et, partant, de croire. Et c’est inéluctable : l’expérience de la réalité totalitaire se chargera elle-même de la désillusion. Tous les totalitarismes de l’Histoire se sont effondrés, plus ou moins rapidement… C’est la question qui nous taraude évidemment.

« Les masses, en éprouvant le fait totalitaire dans leur chair, dans leurs familles, dans leurs individualités, confrontées à l’action mortifère de la secte, finiront par ouvrir les yeux ».

La diffusion de l’information, ainsi que le bouche-à-oreille de ceux qui témoignent à ceux qui les relaient, est également un facteur essentiel dans la désillusion des masses. DONC NE NOUS DÉCOURAGEONS PAS, poursuivons notre labeur, notre mission…Chacun à sa façon, selon ses compétences, ses affinités…

« Désobéir est vital. Faire partie des hérétiques au sens propre, de ceux qui font le choix de ne pas se plier à la croyance religieuse de l’idéologie totalitaire. Il y a autant de désobéissances que de spontanéités individuelles. L’artiste qui ne suit pas l’art totalitaire désobéit, et fait de la liberté sa foi. L’initiative intellectuelle, spirituelle et artistique est aussi dangereuse pour le totalitarisme que l’initiative criminelle de la populace, et l’une et l’autre sont plus dangereuses que la simple opposition politique ».

« Ne pas se soumettre au dogme, l’interroger et conserver son esprit critique, créer en-dehors de ce qui est permis, emprunter les sentiers de traverse, mais aussi archiver, conserver cet ancien que le pouvoir totalitaire désire détruire, informer, tout ceci fait partie de la résistance.

Le totalitarisme craint le primat de la subjectivité, la texture unique du témoin qui transcrit ses émotions, sa sensibilité, sa vie psychique et son humanité ; il redoute cette liberté de l’esprit contre la rigueur de la lettre, l’ironie ou « le trait d’esprit », le rire contagieux qui le détrône de sa toute-puissance ».

Penser est dangereux, mais « ne pas penser est encore plus dangereux. »

Une fois qu’on a pris le temps de se plonger dans tous ces écrits de Hannah Arendt, Ariane Bilheran et tous ceux à travers lesquels elles ont compris les mécanismes, il ne nous reste plus humblement qu’à poursuivre ce qui est dans nos cordes, informer encore et encore et par tous les canaux possibles, directement bien sûr via des rapports humains, des rencontres autour d’un goûter, un apéro, un repas citoyen, une manifestation, mais aussi la diffusion des vidéos, articles, témoignages, etc. sans sous-estimer chaque petite tâche. Une conversation avec la voisine ou avec la boulangère. Tout ce qui fait sens de l’Humain oublié pendant deux ans et demi.

Une plage de sable n’est jamais qu’une accumulation de grains de sable. Soyons ces grains..
Alors oui finalement il faut aller voter pour mettre les futurs élus au pied du mur.

INFORMONS ET DEMANDONS AUX FUTURS CANDIDATS UN ENGAGEMENT FORMEL CONTRE L’OBLIGATION VACCINALE ET POUR LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS ET POMPIERS

UTILISONS NOTRE BULLETIN DE VOTE POUR SAUVER LA SANTÉ DES ENFANTS

En conclusion, continuons notre travail d’information sans désespoir, sans dépression, ni découragement. En ce qui concerne les élections, et en tant que médecin très attaché à la liberté de penser, de prescrire, en tant que citoyen attaché à la liberté d’être soigné, il me semble que chaque citoyen dans sa circonscription doit interroger les candidats députés, quelle que soit l’étiquette de la personne et obtenir un engagement formel à voter contre la vaccination des enfants, et le pass vaccinal.

Chacun doit rappeler les engagements pris par la France en signant la convention d’Oviedo et notre fidélité au code de Nuremberg.(([13] Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? – AgoraVox le média citoyen))

Il est capital qu’un maximum de députés élus s’engage contre l’obligation vaccinale que l’UE veut imposer en prolongeant le pass vaccinal qui doit être voté courant juin 2022 pour un an. Les candidats et même les ex-députés n’ont souvent pas bénéficié de toutes les informations sur le caractère expérimental des pseudovaccins, sur l’importance des effets secondaires dont beaucoup sont létaux dans le monde, sur la tromperie de Pfizer sur les essais (maintenant publiée grâce aux juges américains).

Ne sous-estimez pas votre poids auprès de ces personnes. Nous en avons rencontré plusieurs qui nous ont avoué ne pas avoir été informés. INFORMEZ-LES !(([14] REFUSONS TOUTE OBLIGATION VACCINALE ANTICOVID le point le 8 mai 2022 – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([15] L’échec du zéro covid en Australie – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([16] Seule la liberté des médecins et soignants peut sauver la médecine pour les malades – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))





Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich

Voici l’interview récente faite par l’équipe de Reiner Fuellmich de l’archevêque Viganò. Ce dernier est le seul membre éminent de l’Église catholique (les autres églises ont également collaboré à fond à l’escroquerie Covid-19) à avoir eu la lucidité et le courage pour s’opposer au narratif de l’OMS, des laboratoires pharmaceutiques et des médias mainstream corrompus.

Jean Bitterlin

Interview partie I du 27 mai 2022

Comité Corona : Votre Excellence, de nombreuses personnes vous connaissent et vous apprécient beaucoup pour avoir été un homme sincère dans un environnement souvent malhonnête, même pendant votre service au Vatican. Vous avez servi comme diplomate de haut niveau, en particulier comme nonce du Vatican aux États-Unis, représentant le pape auprès des Églises locales aux États-Unis.

C’est pour nous un grand honneur et une grande joie de pouvoir vous parler aujourd’hui. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet et de vous demander votre avis sur la situation politique mondiale, notamment en ce qui concerne la crise dite de Corona, veuillez nous parler un peu de votre histoire personnelle, afin que les spectateurs qui ne vous connaissent pas encore sachent qui vous êtes.

Mgr Viganò : Tout d’abord, je voudrais vous adresser mes salutations les plus cordiales, Monsieur l’Avocat Reiner Füllmich, ainsi qu’à tous vos collaborateurs et collègues, et vous rendre hommage pour avoir développé l’idée de la Commission Corona. Vos recherches sur la gestion de l’urgence Covid-19 et des essais de masse contribuent largement à rassembler des preuves afin de traduire les responsables en justice et de les punir. C’est une contribution importante en vue de la création d’une alliance antimondialiste, car les auteurs de la farce de la pandémie sont les mêmes personnes qui veulent aujourd’hui pousser le monde vers une guerre totale et une crise énergétique permanente.

En ce qui concerne ma « carrière », il n’y a pas grand-chose à dire : je suis un archevêque catholique qui a occupé différents postes à responsabilité au Vatican, aussi bien à la Secrétairerie d’État du Saint-Siège qu’au gouvernorat de l’État de la Cité du Vatican et en tant que nonce apostolique au Nigeria et enfin, par la volonté de Benoît XVI, aux États-Unis. Ma notoriété — totalement involontaire — résulte de ma position sur le scandale sexuel de l’ancien cardinal américain Theodore McCarrick et d’autres affaires, non moins graves, impliquant des membres haut placés de la hiérarchie. En tant que successeur des apôtres, je ne pouvais pas rester silencieux face aux tentatives de dissimulation de ces faits honteux par la soi-disant mafia de la lavande, qui bénéficie du soutien et de la protection de Bergoglio.

Comité Corona : vous avez un CV impressionnant — mais si l’on cherche votre nom dans les anciens médias (mainstream), on trouve des articles diffamatoires qui vous accusent, entre autres, de diffuser de la propagande du Kremlin et de faire des déclarations confuses. En y regardant de plus près, il nous semble que ce n’est pas du tout le cas, bien au contraire, vous restez plutôt fidèle à votre réputation d’homme sincère même dans un environnement peu sincère, même si cela vous porte préjudice personnellement. Où voyez-vous la « césure » ou la « rupture » dans votre parcours, où cette vertu a été transformée en tare par les anciens médias ? Quelle ligne rouge avez-vous franchie ; sur quel sujet votre franchise est-elle devenue un danger pour le récit public ?

Mgr Vigano : Les fausses accusations sont l’un des moyens utilisés par ceux qui veulent éliminer un adversaire qu’ils craignent et ne peuvent pas combattre loyalement. En l’occurrence, je suis considéré comme inconfortable tant par les représentants de l’Église profonde que par la cabale bergoglienne, dont je dénonce les scandales et les dissimulations depuis l’affaire McCarrick. Et je suis tout aussi inconfortable pour l’État profond, qui a pu compter sur la complicité du Saint-Siège ainsi que de la quasi-totalité de l’épiscopat mondial dans les événements de ces dernières années. La voix dissonante d’un évêque, en particulier lorsqu’il formule des plaintes fondées sur des faits irréfutables, risque de remettre en question le récit officiel, tant en ce qui concerne le prétendu renouveau de l’Église sous ce « pontificat » que la farce de la pandémie et la « vaccination » de masse. Même dans la récente crise entre la Russie et l’Ukraine, l’élite mondialiste, l’OTAN, l’État profond américain, l’Union européenne, le Forum économique mondial, toute la machinerie médiatique et le Vatican sont du même côté. L’intervention de Poutine en Ukraine est considérée comme une menace pour le Nouvel Ordre Mondial, qui doit être neutralisée, même au prix d’un conflit mondial.

Si je dois donc identifier un « point de rupture » sur le front ecclésial, il a définitivement coïncidé avec ma dénonciation du réseau de complicités et des scandales de clercs et de prélats corrompus que Bergoglio a délibérément et obstinément tenté d’étouffer. Sur le front civil, la ligne rouge me semble avoir été franchie avec mon Appel pour l’Église et le monde d’il y a deux ans [en mai 2020], dans lequel je dénonçais la menace que représentait le coup d’État silencieux mené à l’aide de l’état d’urgence sanitaire. L’urgence énergétique et l’urgence alimentaire font toujours partie, avec l’urgence guerrière, des « scénarios » inquiétants que le Forum économique mondial et les Nations unies ont décrits de manière très détaillée longtemps à l’avance. Lorsqu’un jour, pas si lointain, un tribunal jugera ces criminels et leurs complices dans les institutions de presque toutes les nations occidentales, ces documents constitueront la preuve de la préparation du plus grand coup d’État de tous les temps. Et la même chose se produira en ce qui concerne les affaires ecclésiastiques, montrant que la déviation doctrinale et morale qui a commencé avec le Concile Vatican II a créé les conditions nécessaires à la corruption doctrinale et morale du clergé et à la délégitimation simultanée de l’autorité des pasteurs. N’oublions pas que les processus révolutionnaires se sont toujours appuyés sur les vices et les faiblesses de leurs représentants, aussi bien pour détruire l’État que pour affaiblir l’Église.

Comité Corona : Votre Excellence, la crise Corona et Measures entre dans sa troisième année ; entre-temps, la conduite de la guerre à l’Est et surtout l’incitation massive à la guerre par la politique et les médias sont venues s’y ajouter. Comment jugez-vous cette évolution ?

Mgr Vigano : Clarifions un point fondamental : La crise ukrainienne a été sciemment provoquée par l’État profond afin de contraindre le monde à mettre en œuvre les réformes du Great Reset, notamment ce que l’on appelle la « transition technologique » et le « tournant vert ». C’est la deuxième étape du coup d’État technocratique mondialiste après la farce de la pandémie.

La psychopandémie était la première étape d’une véritable attaque visant à prendre le contrôle des gouvernements. En réalité, ils ne cherchent aujourd’hui qu’à contourner le pouvoir politique, qui n’était jusqu’à présent qu’un simple exécutant d’ordres. Sous prétexte de pandémie, ils ont mis en place des systèmes de contrôle détaillé de la population, y compris des systèmes de traçabilité des citoyens individuels inoculés avec le sérum génétique expérimental.

Pas plus tard que ces derniers jours, le PDG de Pfizer Albert Burla a déclaré au Forum de Davos : « Imaginez une puce biologique contenue dans une pilule qui, lorsqu’elle est avalée, passe dans l’estomac et envoie un signal. […] Imaginez les applications, la possibilité de rendre les gens dociles. […] Ce qui se passe dans ce domaine est fascinant » (ici). Et Albert Bourla dit « ce qui se passe » parce qu’il parle de technologies existantes et non de projets imaginaires. L’existence du graphène et des nanocircuits auto-assemblés est désormais admise même par ceux qui, il y a un an encore, traitaient de « conspirationnistes » ceux qui tiraient la sonnette d’alarme. Les populations des pays qui ont adhéré à l’Agenda 2030 sont désormais pour la plupart « vaccinées », ou plutôt génétiquement modifiées, et leur système immunitaire est désormais affaibli de manière irréversible. Et peut-être — comme le dénoncent maintenant certains juristes — découvrira-t-on qu’on leur a injecté, en même temps que le sérum génétique, des puces capables de contrôler même les réactions des gens, d’influencer leur comportement et de les rendre dociles en cas de troubles, ou violents s’il est nécessaire d’avoir un prétexte pour des interventions militaires. Nous sommes bien au-delà d’un coup d’État global : il s’agit de la plus grande, de la plus retentissante, de la plus inédite attaque contre la personne humaine : contre la liberté de l’homme, sa conscience et sa volonté.

On imagine bien le risque qu’il y a à confier à l’OMS le contrôle souverain des systèmes de santé de différents pays en cas de pandémie, alors que ceux qui doivent décider des campagnes de vaccination et des traitements, des mesures d’endiguement et de confinement, sont tous financés par les grands groupes pharmaceutiques et par la Fondation Bill & Melinda Gates, qui théorise sur la pandémie éternelle et le vaccin de rappel éternel. Même la résolution qui devait être votée à l’OMS — et qui a été empêchée, du moins pour le moment — allait dans le sens d’un contrôle total par la synarchie mondialiste. Il ne faut donc pas s’étonner si l’OMS, dans une tentative lamentable de dissimuler les effets secondaires du sérum génétique expérimental, tire maintenant la sonnette d’alarme au sujet de la prétendue variole du singe, dont la symptomatologie ressemble étrangement à certains des effets secondaires du « vaccin » à ARNm (ici). Tant l’OMS que l’Agence européenne des médicaments (financée à 75 % par BigPharma) ont montré qu’elles se trouvent dans un conflit d’intérêts évident et qu’elles sont totalement dépendantes de l’industrie pharmaceutique.

En ce qui concerne la crise russo-ukrainienne, ce qui aurait dû être une opération de paix visant à mettre fin à la persécution ethnique de la minorité russophone d’Ukraine par des extrémistes néonazis s’est délibérément et coupablement transformé en guerre. Les appels répétés du président Poutine à la communauté internationale pour qu’elle respecte le protocole de Minsk sont tombés dans l’oreille d’un sourd.

Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il s’agissait d’une excellente opportunité.

Tout d’abord, c’était l’occasion de créer artificiellement une crise énergétique mondiale afin de forcer la transition vers des sources d’énergie alternatives, avec tout le business que cela implique. Sans crise, comment imposer l’augmentation des prix du gaz et de l’essence comme instrument pour contraindre les entreprises et les individus à la fameuse « transition écologique » que personne n’a jamais choisie et qui a été imposée par des bureaucrates, eux-mêmes asservis par les élites ?

Deuxièmement, pour détruire de manière contrôlée et impitoyable toutes les entreprises considérées comme inutiles ou nuisibles à l’économie globale des multinationales. Des millions d’entreprises artisanales, de petites entreprises qui font l’originalité des nations d’Europe et de l’Italie en particulier, ont été contraintes à la fermeture parce que, après les catastrophes provoquées par les bouclages et les règles de la psychopandémie, on a provoqué une hausse des prix du gaz et du pétrole, avec des spéculations criminelles du « marché » et sans que la Fédération de Russie n’obtienne un centime de plus. Tout cela a été provoqué par l’Union européenne, sur ordre de l’OTAN, à l’aide de sanctions qui se répercutent sur ceux qui les ont imposées. L’effondrement de l’économie traditionnelle n’est pas la conséquence malheureuse d’un conflit inattendu, mais l’action criminelle délibérée d’une mafia mondiale, en comparaison de laquelle la mafia traditionnelle apparaît comme un partenariat avantageux. L’avantage de cette opération subversive profite aux multinationales, qui peuvent racheter des entreprises et des biens immobiliers à des prix défiant toute concurrence, ainsi qu’aux sociétés financières, qui bénéficient de crédits accordés à des millions de nouveaux pauvres. Là encore, les objectifs idéologiques — et diaboliques — de l’élite se servent de la complicité de potentats économiques dont l’objectif est tout simplement de faire du profit. Avec la guerre, l’industrie de l’armement et la non moins florissante industrie des technologies de l’information et des mercenaires ont désormais la possibilité de conclure des affaires lucratives qui leur permettent de récompenser généreusement les politiciens qui ont voté pour la livraison d’armes et de soutien à l’Ukraine.

Troisièmement, la guerre en Ukraine devait notamment servir à étouffer le scandale Hunter Biden qui, avec la société Metabiota, a financé des laboratoires biologiques dans lesquels sont fabriquées des armes bactériologiques de destruction massive. Le siège de l’aciérie d’Azovstal était justement justifié par la nécessité de cacher aussi bien les membres des troupes étrangères de l’OTAN avec les néonazis d’Azov et de Pravij Sektor que les laboratoires biologiques interdits par les conventions internationales et dans lesquels des expériences devaient être menées sur la population locale.

Quatrièmement, parce que le récit de la pandémie peudo, malgré la complicité des médias mainstream, n’a pas pu empêcher la vérité d’éclater au grand jour et de se répandre progressivement dans des cercles de plus en plus larges de l’opinion publique : la crise ukrainienne devait être une opération bien organisée visant à détourner l’attention des masses afin d’empêcher que les nouvelles de plus en plus incontrôlables sur les effets mortels du sérum expérimental et les conséquences catastrophiques des mesures prises par les nations pendant la pandémie d’urgence ne soient connues. La falsification des données est désormais évidente ; la dissimulation délibérée des résultats de la première phase de l’expérience est admise par les entreprises pharmaceutiques elles-mêmes ; l’inutilité des masques et du confinement est prouvée par plusieurs études ; les dommages causés à l’équilibre psychophysique de la population et en particulier aux enfants et aux personnes âgées sont incalculables, tout comme les dommages causés aux étudiants par l’enseignement à distance. Retenir les gens devant la télévision ou dans les médias sociaux avec de la propagande antirusse pour les empêcher de comprendre ce qui leur a été fait est le moins que puissent faire ces criminels fous, des criminels qui sont autant responsables de la pandémie que de la crise russo-ukrainienne.

Si nous examinons le scénario de ce drame planifié par l’élite mondialiste, nous constatons qu’en plus du scénario de la pandémie, il existe d’autres scènes planifiées qui ne sont pas moins inquiétantes et que nous pouvions déjà prévoir depuis l’année dernière dans les médias : la crise énergétique, qui n’est pas la conséquence regrettable d’une crise imprévisible en Ukraine, mais plutôt un moyen d’imposer d’une part l’« économie verte », justifiée par une urgence climatique inexistante, et d’autre part de détruire les économies nationales, en poussant les entreprises à la faillite au profit des multinationales, en créant du chômage et donc une main-d’œuvre sous-payée, en obligeant les nations à s’endetter parce qu’on les a dépossédées de leur souveraineté fiscale, ou en tout cas à s’endetter durablement à cause des prélèvements obligatoires.

L’urgence alimentaire est aussi dans le scénario de Klaus Schwab : elle a commencé pour certains produits aux États-Unis et en Europe, et plus généralement pour les céréales et les produits céréaliers dans de nombreux pays d’Afrique et d’Asie. Nous découvrons ensuite que Bill Gates est le plus grand propriétaire terrien des États-Unis lorsqu’il y a une pénurie de céréales et de produits agricoles ; et que Gates est le patron d’une start-up qui produit du « lait humain artificiel » lorsqu’il y a une pénurie de lait en poudre pour les bébés aux États-Unis. Et n’oublions pas que les multinationales de l’agroalimentaire parviennent à imposer l’utilisation de leurs semences stériles — qu’il faut racheter chaque année — et à interdire l’utilisation des semences traditionnelles, ce qui permettrait aux pays pauvres de ne pas être dépendants d’elles.

Celui qui a conçu la série de crises actuelles, dont les racines ont été posées au début des années 1990 avec la privatisation des entreprises publiques, a également veillé à ce que les personnes formées à cet effet par le Forum économique mondial siègent dans les gouvernements, les institutions et les agences internationales, à la tête des banques centrales et des grands actifs stratégiques, dans les médias et dans les principales religions du monde. Regardez les Premiers ministres des principaux pays européens, du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande : ils ont tous été recrutés au sein du groupe des « Young Global Leaders for Tomorrow », et le fait qu’ils siègent aux plus hauts niveaux de direction de ces nations, de l’ONU et de la Banque mondiale devrait être plus que suffisant pour les traduire en justice pour subversion et trahison. Ceux qui ont juré d’appliquer les lois dans l’intérêt de leurs propres nations commettent un parjure au moment où ils doivent répondre de leurs propres actions non pas devant les citoyens de leurs nations, mais devant des technocrates sans visage que personne n’a élus.

Il est facile de rejeter tout cela comme une « théorie du complot », mais un tel rejet n’est plus tenable, pas plus que l’accusation de « complicité » à l’encontre de quiconque exprime sa perplexité face à la crise russo-ukrainienne et à sa gestion au niveau international.

Ceux qui ne veulent pas comprendre l’intrigue, parce qu’ils ont peur de ce qu’ils pourraient découvrir, s’obstinent à nier qu’il y ait un scénario et un metteur en scène, qu’il y ait des acteurs et des figurants, des décors et des costumes. Mais peut-on vraiment croire que les personnes les plus riches et les plus puissantes du monde ont accepté de lancer une telle attaque contre l’humanité pour réaliser leur rêve mondialiste délirant, en déployant une quantité énorme d’énergie et de ressources, sans avoir tout planifié au préalable dans les moindres détails et en laissant tout au hasard ? Si les personnes qui veulent acheter une maison ou créer une entreprise planifient tout avec soin, pourquoi s’agirait-il d’une « théorie du complot » lorsqu’elles réalisent que l’élite doit recourir au mensonge et à la tromperie pour obtenir des résultats inconcevables et criminels ?

Si vous me permettez une analogie, je dirais que notre attitude face aux faits actuels est comparable à quelqu’un qui doit assembler un puzzle composé de milliers de pièces sans avoir l’image finale devant lui. Ceux qui ont assemblé le « puzzle » mondialiste l’ont fait dans l’intention de rendre méconnaissable l’image finale de ce qu’ils veulent obtenir. Mais celui qui voit l’image complète, ou même une partie importante, commence à voir comment les pièces s’assemblent. Et celui qui a vu l’image finale sait aussi comment interpréter le silence et la connivence des fonctionnaires du gouvernement et même des partis d’opposition, comment expliquer la complicité des médecins et des ambulanciers dans les crimes commis dans les hôpitaux contre toutes les connaissances scientifiques, et la complicité des évêques et des prêtres qui sont allés jusqu’à refuser les sacrements aux personnes non vaccinées. Dès que de grandes pièces du puzzle seront visibles — et c’est ce qui se passe actuellement —, il sera beaucoup plus facile de mettre les autres pièces à leur place. Et alors, Klaus Schwab, George Soros, Bill Gates, les autres conspirateurs et ceux qui dirigent dans l’ombre cette conspiration mondiale criminelle seront en fuite pour ne pas être lynchés.

[Voir aussi :
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]




Le mouvement canadien pour la liberté est-il mort ?

[Source : TMissingLink]

Publié initialement en anglais le 8 mai 2022.

« Je suis sûr que vous avez remarqué que le mouvement pour la liberté semble se calmer, que la participation aux rassemblements diminue, que les convois traversant les villes disparaissent, c’est le signe de Canadiens qui abandonnent. C’est un avertissement pour tous ceux qui défendent la liberté : le temps de l’action est venu. Si nous perdons la foi, nos enfants perdent leur avenir.

Ce que nous avons choisi de faire, c’est de former l’Association des Shérifs Constitutionnels. Nous attendons maintenant d’être sanctionnés pour que l’événement que nous avons planifié puisse aller de l’avant. Nous avons l’intention d’avoir le droit international de notre côté. Tous nos shérifs constitutionnels étaient d’anciens agents de la paix ou militaires. Nous avons l’intention d’aller de l’avant et de tenir pour responsables tous les individus qui ont agressé des hommes, des femmes et des enfants canadiens. Nous allons former un tribunal international et nous allons aller de l’avant avec un avocat international, l’événement entier sera exécuté sous le drapeau blanc, ce qui signifie parler.(([1] NDLR : il est possible que la démarche rejoigne celle du Grand Jury de l’avocat Reiner Fuellmich. Voir :
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !,
Grand Jury – Session 2
et
Jour 3 – Grand Jury))

Nous avons l’intention d’inciter les médias internationaux à se ranger de notre côté. En ce moment, ils sont intrigués par la force et l’engagement du peuple canadien.
Grâce au convoi de camionneurs, le monde se tourne vers le Canada dans l’espoir que nous donnions l’exemple pour mettre fin à la tyrannie gouvernementale.

Enfin, ceux d’entre vous qui sont restés ici avec nous sont les Canadiens qui feront la différence, nous pouvons regarder notre pays être déformé en un foyer que nous ne reconnaissons pas ou nous pouvons nous lever et redonner à ce pays sa gloire originelle. Comme vous l’avez déjà constaté, le gouvernement n’a que la peur comme arme, d’après mon expérience personnelle, je crois que l’amour peut vaincre la peur à chaque fois. Si nous aimons notre pays autant que nous aimons nos enfants, notre victoire est inévitable. »

Marcus Anthony Ray
Conférencier international primé,
Auteur international de best-sellers,
Fondateur de la Constitutional Sheriff’s Association of Canada.

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[Voir aussi :
Inversion accusatoire de Trudeau envers le mouvement de la liberté – Appel unifié avec les Premières Nations pour rétablir l’ordre constitutionnel canadien
Très important : comme leurs actions et revendications sont menées dans la non-violence, les camionneurs canadiens sont clairement protégés par la loi
L’ancien tireur d’élite de Trudeau coordonne la sécurité bénévolement pour les camionneurs après sa démission pour refus de se faire vacciner
La couverture biaisée par les grands médias de la manifestation des camionneurs canadiens
Le Canada à un carrefour dangereux entre liberté et tyrannie
Le Convoi de la Liberté « Plein d’amour » : Témoignage émouvant d’une jeune mère de famille (avant que la police ne vienne tabasser les manifestants)
La loi sur les mesures d’urgence invoquées par Justin Trudeau : une suspension autocratique des libertés civiles qui est un échec dangereux]

Vidéo en anglais :


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Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie !

Appel de R FJ Kennedy et son association CHD Children Health Defense(([1] Children’s Health Defense • Help Children’s Health Defense and RFK, Jr. end the epidemic of poor health plaguing our children. (childrenshealthdefense.org) )): nous devons stopper l’accord !

« Pensez-vous qu’il n’y a pas pire que le Great Reset ? Eh bien si !

Il y a le Great Reset associé au traité que l’OMS veut imposer partout et à tout prix…

La raison effrayante pour laquelle ils ne déclareront pas la fin de la pandémie. »

Alerte d’action : C’est maintenant ou jamais. Nous devons STOPPER L’OMS

#StopTheTreaty.(([2] Action Alert: It’s Now or Never. We Must #StopTheTreaty. • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) )) World Freedom Declaration—Health Freedom Defense Fund

Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund(([3] Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund))

La souveraineté des nations individuelles et les droits fondamentaux des citoyens garantis par la constitution sont en jeu.

Le 28 mai 22, l’organe directeur de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), se réunit pour discuter des modifications proposées au Règlement sanitaire international (RSI) existant à partir de 2005.(([4] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr) ))

Où en était-on en 2020 :

« Monsieur Perronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart “des gens normaux” qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzyn et son Comité scientifique “se sont retrouvés dépassés”.

En réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur même si c’est ce qu’ils voudraient bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil Mondial par le biais de l’OMS sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockefeller ».

Les évènements nous ont montré que l’auteur de l’article du Saker(([5] Tribune : Inspiré du « Décryptage de la Pandémie de Covid-19 : un exercice d’ingénierie sociale machiavélique » d’après Amar − Septembre 2020 sur Saker francophone)) que nous citions dans France soir avait complètement raison et que ce dont on parle aujourd’hui n’est que la continuité de ce qui est en marche depuis 2005.

Le conseil mondial de l’OMS : 194 états dans le monde ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

Ce règlement prévoyait déjà :

« en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états ».

Et il semble bien que ce soit exactement ce qui s’est passé et continue plus ou moins à se passer car quelques états ont néanmoins résisté comme la Suède, les Pays-Bas et la Biélorussie.

Règlement Sanitaire International :

Nous écrivions : cet instrument contraignant de droit international est entré en vigueur le 15 juin 2007.

Actuellement les gouvernements mondialistes réunis à Davos veulent renforcer le pouvoir de l’OMS en cas de pandémie… et vous savez que déclarer une pandémie dépend de leur bon vouloir et que les critères changent au gré de leurs désirs.

Ces règlements sont destinés à servir de fondement à un traité sur la pandémie qui favoriserait un « gouvernement mondial unique » au nom de la santé publique.

Les représentants de 194 pays, dont les États-Unis, décideront bientôt s’il convient d’accorder à l’OMS le pouvoir de gérer les futures pandémies à l’échelle mondiale, y compris le pouvoir de sanctionner les pays qui ne s’y conforment pas. Malheureusement, l’administration Biden est sur le point de céder le contrôle ultime du système de santé américain et de s’exonérer de toute responsabilité.(([6] https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA75/A75_18-fr.pdf))

Il faut néanmoins noter que plusieurs états dont la Floride aux USA refusent cet ukase des quelques milliers de puissants milliardaires et chefs d’État réunis à Davos.

Docteur Hamelin Md sur tweeter le 25 mai 2022

« Déjà la Russie, le Brésil, la Floride rejettent le Projet de souveraineté supra nationale de l’OMS Et 12/13 amendements requis par l’OMS sont retirés du Projet sous pression de pays adhérents Fox News alerte les sur le risque d’une perte de souveraineté sanitaire. Et les Media ? »

Plusieurs nouveaux amendements proposés par l’administration Biden élargiraient l’autorité et les ressources de l’OMS aux dépens des contribuables américains. Les modifications apportées aux articles 2, 3 et 5 de l’article 12 de l’IRH, qui traitent de la « détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale, d’une urgence de santé publique de portée régionale ou d’une alerte sanitaire intermédiaire, sont particulièrement préoccupantes. »

Ces modifications permettraient à l’OMS de déclarer unilatéralement une urgence de santé publique.

Pour les citoyens américains, cela signifie qu’une urgence de santé publique pourrait être déclarée par un responsable non élu, permettant aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC) de détenir, d’examiner et potentiellement de soigner les Américains soupçonnés d’être malades.

L’OMS aurait le pouvoir d’introduire des systèmes de surveillance, des mesures de conformité et la mise en œuvre de la réponse médicale dans le monde entier.

C’est une violation à la fois des droits inaliénables des individus et de la souveraineté des nations. Cela supprimerait également la transparence et la responsabilité, car l’OMS est à l’abri de toute forme de procédure judiciaire.

Tedros et ses successeurs (donc leur propriétaire B. Gates, Fauci et le WEF) auront tous les pouvoirs sur les peuples en s’affranchissant de l’accord des États pour déclarer les états d’urgence pandémiques et nous savons ce que cela veut dire depuis la crise Covid-19.

15 mai 2022·Twitter

@SoloBucketpond 15 mai L’article 12 donnerait pouvoir TOTAL au directeur de l’OMS (Tedros) de déclarer une pandémie SANS l’accord des chefs d’État des pays membres, ce qui est encore le cas à présent. Tedros s’arrogerait le droit de déclarer un état d’urgence mondial même si les critères n’étaient pas réunis et que les États membres n’étaient pas d’accord !

Les points 6 et 7 n’existent pas et sont rajoutés pour accroître encore plus leur pouvoir sur nous !

Article 59 : l’OMS retire le droit d’amender ce texte, donc à accepter tel quel ou à rejeter, ce qui est inédit ! Ils ne veulent pas que des modifications y soient apportées. Le totalitarisme sans aucune limite.

Et le délai de rétractation/rejet passe de 18 mois à 6 mois… (mare seau sur twitter 15 mai)

Normalement le texte proposé en mai 2022 aurait dû être proposé aux états quatre mois plutôt, mais ce n’était pas le vœu de Tedros ni du WEF [Forum Économique Mondial]

Le traité de l’OMS induirait la création d’un identifiant, un QR code numérique mondial. Le contrat a été passé par l’OMS à T-Systems, filiale de Deutsche Telekom. Voici la preuve qu’ils veulent nous surveiller comme du bétail. (philippe Murer sur twitter) :

NOUS NE POUVONS PAS PERMETTRE CET ABUS DE POUVOIR, VÉRITABLE COUP D’ÉTAT CONTRE LES DÉMOCRATIES

L’OMS triche

En redéfinissant une pandémie, l’OMS a affirmé que la grippe porcine était une grave crise de santé publique et a fait pression sur les gouvernements pour qu’ils acceptent un vaccin qui causait la narcolepsie et d’autres effets secondaires graves.

Pendant la pandémie de COVID, l’OMS a supprimé le traitement précoce et a encouragé l’utilisation d’interventions médicales qui n’étaient ni sûres ni efficaces.

« L’OMS a également lancé une campagne agressive et globale de “désinformation” qui a abouti à une censure flagrante, imposant le silence de la dissidence. Cette suppression du discours a bloqué des solutions potentielles qui auraient pu sauver d’innombrables vies ».

S’il était adopté, le Traité sur la pandémie proposé par l’OMS sera la fin pour l’autonomie corporelle et la souveraineté nationale. Nous devons agir maintenant pour #StopTheTreaty en exprimant notre opposition aux modifications du Règlement sanitaire international.

Remplissez le formulaire ci-dessous pour contacter vos élus au niveau des États et au niveau fédéral

et leur faire savoir que nous sommes dans ce schéma mondial corrompu et que nous ne resterons pas les bras croisés ou ne nous conformerons pas.

Signez la « Déclaration mondiale de la liberté » créée par nos amis du Health Freedom Defense Fund.

La Déclaration stipule :

« en tant que citoyens du monde, nous défendons les droits, les libertés et la vie privée de tous les membres de la communauté mondiale en appelant au rejet des amendements du RSI et à la tentative de l’OMS d’usurper le pouvoir et l’autorité de la politique de santé de sa place légitime — chez elle parmi les peuples ».

Nous ne pouvons pas nous permettre de centraliser le pouvoir sous l’égide d’une organisation mondiale de santé publique qui ne reconnaît pas les avantages de l’immunité naturelle, suggère que les vaccins sont le seul moyen de mobiliser l’immunité et s’est éloignée de la science, de la transparence et de la responsabilité. La santé publique est maintenant utilisée comme un moyen d’enchâsser des mesures tyranniques qui ne protégeront pas notre santé et réussiront à nous enlever notre autonomie. C’est un moment de liberté « utilisez-le ou perdez-le ».

Il y a urgence, agissez maintenant.

Inscrivez-vous pour recevoir gratuitement des nouvelles et des mises à jour de Robert F. Kennedy, Jr. et de la Children’s Health Defense. CHD met en œuvre de nombreuses stratégies, y compris juridiques, dans le but de défendre la santé de nos enfants et d’obtenir justice pour ceux qui ont déjà subi des complications. Votre soutien est essentiel à la réussite de la mission de CHD.

NOUS DEVONS STOPPER L’ACCORD

Déclaration pour la Liberté Mondiale

Nous, soussignés, nous opposons aux amendements proposés au Règlement sanitaire international (RSI), une tentative de mettre en œuvre l’équivalent en matière de santé publique d’un « gouvernement mondial unique », en violation des droits inaliénables et de la souveraineté des nations et des citoyens.

Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international

Les amendements au RSI doivent être votés lors de la 75e Assemblée mondiale de la santé, qui débutera le 22 mai 2022. S’ils sont acceptés, les amendements au Règlement sanitaire international entreront en vigueur dans les six mois pour tous les États membres qui les auront ratifiés et seront juridiquement contraignants pour ces États membres.

Adoptés en 2005, les RSI existants respectent la souveraineté de toutes les nations membres. Les amendements proposés, cependant, élargiraient et codifieraient l’autorité de l’OMS pour mettre en œuvre des mandats de santé mondiale en violation directe de la souveraineté nationale et des droits des citoyens.

Ces propositions tentent d’éliminer l’autonomie législative d’une nation, en cas d’urgence de santé publique réelle ou supposée, en accordant à l’OMS un pouvoir unilatéral d’évaluation et de détermination d’une urgence sanitaire et en donnant à l’OMS le pouvoir de dicter les politiques et les réponses.

Tout cela fait suite à la crise du COVID-19, au cours de laquelle l’OMS a grossièrement mal géré toutes les facettes de la réponse sanitaire mondiale en encourageant les blocages destructeurs de l’économie, en supprimant les traitements préventifs précoces et en recommandant des interventions sur les produits qui ne se sont révélées ni sûres ni efficaces.

Sous le couvert de règlements sanitaires, ces amendements permettraient à l’OMS de s’emparer des pouvoirs de gouvernance exécutifs sur les États membres, accordant des pouvoirs de direction à des bureaucrates non élus et non responsables.

Vous trouverez ci-dessous quelques-unes des nombreuses dispositions ambiguës et préoccupantes des amendements proposés par le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (US Department of Health & Human Services) le 18 janvier 2022.

Le nouveau texte proposé est affiché en gras et souligné, et les suppressions proposées du texte existant sont affichées en barré, exactement comme elles sont écrites dans la proposition. Tous les autres textes restent inchangés.

Article 5 : Surveillance

NOUVEAU 5 : L’OMS élabore des critères d’alerte rapide pour évaluer et mettre à jour progressivement le risque national, régional ou mondial que représente un événement de causes ou de sources inconnues…

Dans la pratique, cela donnerait à l’OMS l’autorité unilatérale de mettre en place un système universel de surveillance de la santé sans examen public ni transparence, laissant ouverte la possibilité de sources fabriquées.

Article 9, section 1

L’OMS peut prendre en compte des rapports provenant de sources autres que des notifications ou des consultations ; elle évalue ces rapports selon les principes épidémiologiques établis et communique ensuite des informations sur l’événement à l’État Partie sur le territoire duquel l’événement est censé se produire. Avant de prendre toute mesure fondée sur ces rapports, l’OMS consulte l’État Partie sur le territoire duquel l’événement est censé se produire et tente d’obtenir une vérification de sa part conformément à la procédure énoncée à l’article 10.

Cette suppression de l’article 9 élimine les consultations avec l’État membre lors d’une « prétendue » urgence sanitaire tout en plaçant l’OMS en position de dicter la manière dont un État Partie doit procéder à l’intérieur de ses propres frontières territoriales. Cela constitue une menace pour la souveraineté nationale et l’autodétermination.

Article 10, section 4

Si l’État Partie n’accepte pas l’offre de collaboration dans les 48 heures, l’OMS peut, lorsque l’ampleur du risque pour la santé publique le justifie, partager immédiatement avec d’autres États Parties les informations dont elle dispose, tout en encourageant l’État Partie à accepter l’offre de collaboration de l’OMS.

Toute nation qui rejette la déclaration de l’OMS n’aura que 48 heures pour reconsidérer sa position et se conformer à celle-ci, ou faire l’objet de pressions de la part d’autres nations et/ou de pénalités telles que des sanctions économiques. L’avis de la nation concernée ne sera plus pris en compte.

Article 12, section 2

Si le Directeur général estime, sur la base d’une évaluation effectuée en vertu du présent Règlement, qu’il se produit une urgence de santé publique de portée internationale, potentielle ou réelle, il en informe tous les États Parties et cherche à consulter l’État Partie… Si le Directeur général détermine et si l’État Partie est d’accord sur cette détermination que l’événement constitue une urgence de santé publique de portée internationale, le Directeur général, conformément à la procédure énoncée à l’article 49, demande l’avis du Comité établi en vertu de l’article (« Comité d’urgence ») sur les recommandations temporaires appropriées.

L’article 12 crée une nouvelle sous-classe d’urgence sanitaire habilitant le directeur général de l’OMS à déclencher unilatéralement les protocoles de pandémie sur la base de la simple supposition d’une menace « potentielle ». La stipulation selon laquelle une nation doit être d’accord avec l’évaluation du secrétaire général est éliminée. Des bureaucrates distants seraient habilités à promulguer une politique de santé non seulement sur des nations entières, mais aussi, par extension, sur des individus, sans tenir compte des souhaits de la nation ou du peuple.

Nouveau chapitre IV (article 53 bis-quater) : Le Comité de conformité

1. Les États Parties établissent un comité d’observation qui est chargé de : (a) Examiner les informations qui lui sont soumises par l’OMS et les États Parties concernant le respect des obligations découlant du présent Règlement ; (b) Contrôler, prodiguer des conseils et/ou faciliter l’assistance sur les questions relatives au respect des règles en vue d’aider les États Parties à se conformer aux obligations découlant du présent Règlement.

L’un des changements les plus insidieux des amendements au RSI est la création d’un « comité de conformité » qui servira de mécanisme administratif et d’application pour garantir que les États se conforment aux directives d’urgence de l’OMS concernant les infrastructures, les dépenses d’investissement, la collecte d’informations et la mise en œuvre de mesures d’urgence.

  • En résumé, les amendements au RSI permettraient, entre autres changements : Intensifier la surveillance de tous les pays et de leurs citoyens.
  • Donner à l’OMS le pouvoir de dire aux autres États membres quand un État membre ne fait pas de déclaration et de lancer des actions punitives.
  • Accorder au directeur général de l’OMS le pouvoir de déclarer quand et où une pandémie ou une « prétendue » urgence se produit en utilisant des sources non divulguées.
  • Conférer au directeur général des pouvoirs illimités pour définir et mettre en œuvre des interventions.
  • Donner à l’OMS la possibilité d’accéder à des capitaux et de les mobiliser en cas de pandémie.

Cette prise de pouvoir de l’OMS, de ses donateurs et des parties prenantes représente une attaque directe contre la souveraineté politique et économique de toutes les nations et de leurs citoyens.

En manquant de façon répétée à ses obligations envers les populations du monde entier par la promotion de politiques qui ont causé des dommages économiques, sociaux, physiques, émotionnels et mentaux catastrophiques dans le monde entier, l’OMS a failli à sa mission d’intendant mondial de la santé publique et ne peut plus être chargée de définir des politiques pour les citoyens du monde.

Pour ces raisons, l’OMS ne devrait pas se voir attribuer plus d’argent, de pouvoir ou d’autorité, ni être autorisée à contrôler l’agenda sanitaire mondial, ni à mettre en œuvre des mesures de biosécurité qui ne répondent pas aux besoins des populations.

Les accords mondiaux négociés par des bureaucrates non élus et non responsables ne doivent jamais être autorisés à gouverner une nation.

Il est impératif que chaque nation et territoire conserve sa souveraineté, surtout en période de crise, afin que l’ensemble de la communauté mondiale puisse être protégée des politiques dirigées au niveau mondial qui profitent aux grands acteurs financiers et idéologiques.

Les soussignés demandent respectueusement que toutes les nations et leurs représentants répudient de tels accords.

Nous nous opposons fermement aux amendements actuels du RSI qui exigeraient des nations et de leurs citoyens qu’ils adhèrent aux diktats d’un organisme mondial non responsable.

Nous nous opposons à toute participation à un traité, un accord ou tout autre document mondial juridiquement contraignant qui entraverait la souveraineté d’une nation dans le domaine de la santé publique.

Nous affirmons que les nations et leurs habitants sont les mieux placés et les mieux équipés pour prendre des décisions appropriées en matière de santé.

Nous demandons que les peuples de chaque nation soient chargés de déterminer leur réponse aux crises sanitaires.

En tant que citoyens du monde, nous exigeons le respect des droits, des libertés et de la vie privée de tous les membres de la communauté mondiale en rejetant les amendements au RSI et la tentative de l’OMS d’usurper le pouvoir et l’autorité de la politique de santé de la place qui lui revient, chez elle, parmi les gens.

Agissez dès maintenant en envoyant un courriel ou en téléphonant à votre président, Premier ministre, députés, sénateurs, représentants et autres fonctionnaires pour leur demander respectueusement de rejeter les amendements au RSI. Vous pouvez trouver des numéros de téléphone et des adresses électroniques en effectuant une recherche sur Internet. Veuillez partager cette information avec toutes les personnes que vous connaissez !

Le 18 mai 2022, cette déclaration a été rédigée et signée par,

Leslie Manookian
Health Freedom Defense Fund





Côtoyer des personnes « vaxxo »… ou pas

[Source : lumiere-dans-la-matrice.org]

Par Pierre Lassalle

Nous souhaitons, au travers de cet article, réaliser une mise au point sur ce que nous connaissons et pensons, concernant les changements irréversibles qui se sont produits ces deux dernières années sur la planète entière.

(…) il est bon que vous sachiez que, de nos jours, et du point de vue de la Justice (cf. les décisions de la Cour Suprême des États-Unis)(([1] Vaccinés brevetés : Micheldogna.fr/de-la-confusion-a-la-logique)), que les « vaxxés » du monde entier (nous les appelons des « injectés », car les « faux-vaxxins » n’ont jamais eu pour but de protéger du Covid-19 !), sont considérés comme des « produits brevetés » appartenant aux Big Pharma qui les ont « injectés » (Moderna, Pfizer, etc.). En tant que tels, ces gens ne sont plus considérés comme des humains, et ils sont donc déchus de leurs droits d’êtres humains, disent-ils, et sont appelés dorénavant des « transhumains ». Ceci est, notamment, dû au fait que le produit expérimental qu’ils ont accepté de se faire inoculer a transformé, de manière irréversible, la totalité de l’ADN de leurs cellules, qui sont désormais « génétiquement modifiées », et ce jusqu’à la fin de leur vie (cela commence six heures après l’injection, comme des scientifiques suédois viennent de le prouver)(([2] ADN modifié et protéine spike : Resistance-mondiale.com/etude-les-injections-pourraient-modifier-ladn-humain-en-produisant-de-la-proteine-spike-sur-le-long-terme))(([3] ADN modifié : Anguillesousroche.com/sante/une-nouvelle-etude-retentissante-prouve-que-le-vaccin-arnm-de-pfizer-modifie-de-facon-permanente-ladn-humain)).

[NDLR : voir aussi L’Homme génétiquement modifié devient-il brevetable ?.
Dans le document de la Cour Suprême, la question posée est celle de la possibilité ou non de breveter une technique particulière de manipulation chimique de l’ADN. Ce n’est pas celle de breveter l’individu qui subirait l’application de cette technique. Le parallèle avec les semences OGM de Bayer-Monsanto ne pourrait pas non plus tenir, car le commerce des êtres humains n’a pas encore officiellement lieu, contrairement à celui de variétés végétales. Autrement dit, si une entreprise peut actuellement essayer de revendiquer la possession de plantes biologiques qui se voient polluées par du matériel génétique issu de plantes OGM, elle ne peut pas pour l’instant le faire pour ce qui serait d’êtres humains pollués par des vaccins. Nous n’en sommes pas là, même si une telle aberration n’est pas exclue pour un avenir relativement proche au train où vont les choses.]

Beaucoup de gens ayant refusé la vaxxination se comportent « bizarrement », comme s’ils regrettaient (presque !) de ne pas être vaxxinés, et laissant entendre à tous les nigauds qui le veulent bien, qu’il n’existe aucune différence entre eux et les « vaxxés » ! Maintenant, vous savez que c’est faux (voir plus haut : la Justice ne pense pas la même chose qu’eux !)

De plus, la Justice française a décidé de considérer les « vaxxés » qui en meurent comme des gens qui se sont suicidés, étant donné, disent-ils, que le produit injecté n’était même pas un vaccin, qu’il était expérimental(([4] Evaluation d’essais cliniques du vaccin contre le Covid : Par Christine-cotton.1ere-page.fr/audition-opecst-christine-cotton)) et de surcroît non obligatoire. (Demandez à votre assureur, il vous le confirmera : les assureurs ne veulent plus assurer les « vaxxés » !).

[Voir aussi :
Simplissime : les contrats d’assurance-vie et de prêts interdisent la vaccination anti-covid]

[Également], depuis que la vaxxination est devenue « populaire » (un peu d’humour noir ne fait pas de mal !), des scientifiques, médecins et chercheurs indépendants ont effectué des recherches sur les « vaxxés », afin de comprendre le fonctionnement des « faux vaxxins ».

Notamment, l’un d’entre eux a découvert le phénomène suivant : réalisant de nombreuses prises de sang, il a constaté que le sang des « vaxxés » était contaminé par une substance « étrange », un nano matériau, identifié comme étant du graphène, c’est-à-dire du carbone.

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Piqûre de rappel : les informations cachées relatives aux « vaccins » anti-Covid
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Or, pour la petite histoire, il est bon de savoir que le carbone est la base du corps physique. Ainsi, injecter du carbone sous la forme du graphène (produit toxique pour l’être humain, notamment pour les voies respiratoires, et qui se trouve également dans les masques qui ne servent à rien !), amène l’être humain à se densifier davantage.

[NDLR : c’est sous forme d’oxyde que le graphène serait particulièrement toxique.]

La preuve ?

De nombreux chercheurs, ainsi que des infirmières et des tatoueurs, ont constaté que le sang des « vaxxés » s’épaississait de plus en plus, se coagulant et empêchant, notamment, les prises de sang ou les rendant très difficiles. Pour ces gens, ce fait démontre un « signe » de dégénérescence et de vieillesse prématurée !

[Voir aussi :
Témoignage d’un tatoueur sur le sang des vaccinés]

Pour en finir avec le carbone/graphène, sachez que sa composition atomique est : 6.6.6 !!! Eh oui, il comprend six électrons, six neutrons et six protons !

En résumé, le produit expérimental injecté transforme toutes les cellules, qui deviennent génétiquement modifiées de manière irréversible, et il densifie les gens, les faisant « descendre » lentement mais sûrement dans l’abîme ! Vive la Bête ! (Bon, encore de l’humour noir !).

Revenons à ce chercheur ayant effectué de nombreuses prises de sang, et qui a eu l’idée de comparer le sang des parents « vaxxés » à ceux de leurs enfants non vaxxés !

Résultat : Le sang des parents est contaminé, notamment par le graphène qui l’épaissit, mais celui des enfants également ! Il citait notamment le cas d’un enfant, dont le sang était « fichu », car contaminé au dernier degré, et qui devenait paralysé du bras droit et de la jambe droite, car il avait « absorbé » du graphène venant de ses parents ! Bravo les parents !

Eh oui, nous en arrivons au plus terrifiant de cette histoire : les gens « vaxxés », ces fameux « transhumains », projettent dans leur entourage une partie des « saletés » qui se trouvent dans le produit expérimental qu’on leur a injecté !(([5] Analyses sanguines : Changera3.blogspot.com/2022/03/trimission-du-graphene-entre-les-vaxxes par le Dr Philippe van Welbergen))

[NDLR : Pour établir scientifiquement hors de tout doute que cette apparente transmission de graphène (ou d’oxyde de graphène) aurait bien lieu, il faudrait s’assurer notamment que les enfants n’ont pas été injectés en douce par les parents ou des personnels de santé et qu’ils n’ont pas non plus été contaminés par des masques ou des écouvillons de tests PCR pouvant en contenir. Voir Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine.
Par ailleurs, le graphène est naturellement éliminé par le corps en quelques mois, ce qui fait que pour conserver ses effets nanotechnologiques potentiels, il est nécessaire d’en réinjecter régulièrement, au moins une fois tous les six mois, voire tous les trois mois pour mieux garantir le maintien de ses propriétés.
En absence de rappels d’injection, si les vaccins ne contenaient que du graphène ou de l’oxyde de graphène comme saletés, le retour à la santé serait toujours possible après moins d’un an.]

Et, d’après nos recherches, nous avons eu de multiples preuves de ces dangereuses projections des injectés. Nous connaissons environ cinquante personnes voire davantage, qui ont reçu des « saletés » provenant des injectés, simplement parce qu’ils n’ont pas été prudents et les ont côtoyés (parents, amis, compagnon/compagne, etc.).

Nous sommes certains pour l’avoir vérifié, que le fait de côtoyer des injectés durant quelques heures met votre vie en danger.

[NDLR : compte tenu de la remarque précédente sur la contamination possible par les masques et les écouvillons, on ne peut se montrer en toute rigueur aussi « certain » de l’existence d’une transmission de vaccinés à non-vaccinés.]

La projection la plus fréquente est un virus que ramassent les gens en contact avec un injecté. (Il suffit de quelques heures de proximité ou un bisou, voire se serrer la main). Or, ce virus « ramassé » n’est pas le Covid-19, mais un virus recombiné à l’intérieur des gens injectés par le produit qu’ils ont en eux. Et ce virus qu’ils projettent ensuite est beaucoup plus virulent que le Covid-19 ! Il vous laisse K.O. durant trois semaines environ avec des phases plus ou moins dangereuses selon votre état de santé. La cinquantaine de personnes que nous connaissons qui l’ont contracté étaient toutes des gens en pleine forme… Que se serait-il passé avec des gens faibles ou en mauvaise santé ?

[NDLR : il existe bien d’autres causes possibles à des états maladifs semblables à la grippe ou à la Covid-19, et notamment l’exposition à la 5G, alors que la théorie virale n’a jamais été validée scientifiquement et que la science véritable — pas le scientisme des virologues et autres microbiologistes — tend au contraire à démontrer la fausseté de cette théorie.
Voir :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies]

De plus en plus de chercheurs indépendants sont persuadés que les injectés projettent différents éléments du produit qu’ils ont reçu et qui peuvent être plus ou moins dangereux pour ceux qui les reçoivent. Bien sûr, cela dépend de l’état de santé des receveurs !

Selon certains témoignages de personnes que nous connaissons, et qui ont simplement été en contact de l’air ambiant où des injectés projettent leur propre air « mal habité », nous répertorions également des symptômes comme : maux de tête, problèmes respiratoires, extrême fatigue, étourdissements, orgelets, odeurs corporelles nauséabondes, envie de vomir ou vomissements, congestions nasales ou rhinites, toux anormale, déshydratation, dérèglements des menstruations, problèmes pour se connecter au monde spirituel, etc.

Une autre chose tout à fait étonnante : les injectés ont été transformés en antenne GPS !

En effet, ils émettent une adresse (informatique) MAC lisible sur n’importe quel smartphone. Pour le vérifier, télécharger sur votre smartphone l’application « Bluetooth scanner », puis ouvrez-la et activez le GPS du smartphone (acceptez la géolocalisation), enfin tapez sur recherche (ou « search ») : il apparaît alors des adresses MAC constituées de 12 chiffres/lettres ne correspondant à aucun appareil alentour… mais si vous cliquez sur chaque adresse, vous obtenez une estimation de la distance à laquelle se trouve la personne injectée « marquée » ! Cela signifie que les injectés sont marqués comme du bétail et qu’ils sont devenus des antennes GPS ambulantes !(([6] GPS : Micheldogna.fr/lindispensable-analyse-pour-tous-les-vaxxes/)) (trouvé sur www.micheldogna.fr). Serait-ce la « marque de la Bête », annoncée dans l’Apocalypse de Jean ?

[Voir aussi :
Projet Bluetooth Expérience X
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés]

Rappelons-nous ce que Bill Gates avait dit l’an dernier (2021) : d’après lui, il suffisait qu’un tiers de la population mondiale soit « vaxxée » pour que tous les autres soient contaminés !

Or, ce ne sont pas des paroles en l’air, quand nous savons que le Professeur Didier Raoult, l’un des plus grands spécialistes européens des virus et vaccins, a révélé dans une entrevue que Bill Gates dirigeait la vaccination mondiale depuis une quinzaine d’années ! Et, d’autant plus, si nous savons que Bill Gates fait partie d’une secte dont le « commandement » N° 1 est : maintenir la population mondiale sous le seuil des 500 millions de personnes… par respect envers la Nature !

Ce soi-disant philanthrope, fervent partisan des transhumanistes, est convaincu que l’avenir de l’humanité passe par une dépopulation… qu’il dirige activement !

Et l’oligarchie dont il fait partie se positionne aussi pour la dépopulation, afin de soi-disant lutter contre le réchauffement climatique !(([7] L’ouvrage : Covidisme et Messianisme de Youssef Hindi))(([8] Dépopulation Bill Gates : Strategika.fr/2022/01/27/vaccination-sterilisation-urgence-climatique-oms-gates-rockefeller-great-reset-demographique))

[Voir aussi :
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Les décès excessifs indiquent un programme de dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »]

Alors, nous laissons le lecteur franchir le petit pas restant, afin de saisir l’horrible complot mis en place par les scientifiques et médecins transhumanistes, avec l’aide des médias de masse et des politiciens, concernant la dangerosité des « faux vaxxins »…

La plupart des gens non vaxxinés ne se rendent pas du tout compte de ce qui vient de se passer dans le monde… et ils ont intérêt à se réveiller rapidement, car ce n’est pas fini !

Ainsi, et avant d’aller un peu plus loin, il nous faut retenir ceci :

  • Les gens « vaxxés » (avec deux doses et plus) ont toutes leurs cellules génétiquement modifiées.
  • Ce ne sont plus des êtres humains naturels ! C’est la raison pour laquelle la Justice américaine les considère comme des êtres « brevetés » et « transhumains », perdant ainsi tous leurs droits d’humains, puisqu’ils n’en sont plus !
  • Ces êtres, que nous appelons « injectés », disposent d’un sang contaminé, notamment par le graphène, un nano matériau(([9] Hydroxyde de graphène (nanolames) : Odysee.com/par Andreas Noack)). Leur sang s’épaissit, ce qui entraîne nombre de problèmes de santé, faisant d’eux des vieillards prématurés… si tant est que cela ne les tue pas rapidement.
  • Des scientifiques indépendants ont détecté et filmé des symbiotes dans les produits à ARNmessager. Oui, vous avez bien lu : des symbiotes, c’est-à-dire de tout petits « êtres » ayant l’aspect d’un poulpe avec de longs tentacules qui, bien évidemment, grandissent à l’intérieur du corps, et notamment le système nerveux.(([10] Symbiote « La Chose » : Rumble.com/oeufs-avec-tentacules-colores par le Dr Franc Zalewski))(([11] Symbiote « Hydra Vulgaris » : Micheldogna.fr/la-bestiole-de-cauchemar-trouvee-dans-les-vaxx-covid par le Dr Carrie Madej)) Le but de ces êtres monstrueux est de se connecter, une fois adulte, au cerveau de l’injecté pour le « téléguider » (en lien avec la 5G !)(([12] Contrôle de l’humain par l’ADNm et les ondes : Guyboulianne.com/2021/04/26/conference-du-dr-charles-morgan-a-lacademie-militaire-de-west-point-controler-a-distance-le-cerveau-humain-via-des-vaccins-arnm)). Les injectés, dans un premier temps, peuvent souffrir de toutes sortes de problèmes et dysfonctionnements au cerveau, voire dans un deuxième temps, en mourir !
  • Les injections de ces produits démoniaques se développent : un scientifique de chez Moderna a déclaré l’an dernier (2021) que leur soi-disant « vaxxin » était une « bombe à retardement ». D’autres chercheurs ont confirmé que ce produit expérimental se révélerait sur une longue durée (entre trois et cinq ans). Ainsi, nous ne verrons les dégâts totaux de ces horribles expériences que dans trois-quatre ans environ (2025).
  • Les injectés projettent un virus non identifié (nous l’appelons Covid-21 !), qui est plus virulent que le Covid-19, et donc dangereux, selon votre état de santé préalable.
  • De nombreux chercheurs indépendants soupçonnent que les injectés ne projettent pas que ce virus, et qu’à l’avenir d’autres « éléments » pourraient s’y ajouter.

Le mauvais virus qu’ils projettent se transmet par voie aérienne : le simple fait de respirer dans le même endroit qu’un injecté, durant plusieurs heures, vous met en danger !(([13] Vaccins auto-diffusants : Nexus.fr/actualite/vaccin/self-spreading-vaccines))

  • Des recherches sont en cours : les enfants non « vaxxés » attrapent facilement les « saletés » des « vaxxins » de leurs parents et se retrouvent avec un sang contaminé, ce qui met leur jeune vie en danger de mort !
  • Prendre quelqu’un dans ses bras, lui donner des bisous, ou pire de vrais baisers, ou vivre un acte sexuel… voire le simple fait de serrer la main d’un injecté… met votre vie en danger… et pourrait faire de vous, un jour, un injecté qui pourtant n’est pas « vaxxé » !

Des gens très naïfs et ignorants croient encore que les politiciens, les médecins, les scientifiques transhumanistes ou les médias de masse disent la vérité, ou certaines de temps en temps… En réalité, ce n’est JAMAIS le cas !

Ces gens rêvent que beaucoup de vaxxinés se sont fait piquer pour poursuivre leur métier exemplaire afin de continuer à servir les autres, ou pour le moins « protéger » leur famille… Belle chanson, et grosse illusion ! Certains médecins ont dénoncé leurs confrères qui se laissaient « vaxxer » pour continuer à gagner de grosses sommes d’argent : ils préfèrent l’argent à la vérité !

Certains rêveurs se disent aussi que c’est juste un mauvais moment à passer et que tout s’arrangera ensuite ! NON ! Rien ne va s’arranger tout seul ! Plus les gens se soumettent et plus les forces obscures se trouvant derrière ces méfaits se renforcent et enfoncent le clou !

Certains hurluberlus croient, ou essaient de se persuader, que les « vaxxins » ne vont pas couper les gens du monde spirituel : arrêtez de rêver ! Vous avez des yeux pour voir et une sensibilité pour vous en rendre compte ! Face à des injectés, il est évident qu’ils sont coupés du monde spirituel, puisqu’ils ne sont plus humains. Et il n’y aura pas de procédé « magique » qui va tout annuler d’un coup ! … N’en déplaise à de nombreux charlatans-naturopathes et autres hypnotiseurs de bas étage, qui s’inventent soudainement un nouveau métier de « faux sauveurs », avec des baguettes facticement magiques, qui ne visent qu’à s’attirer une nouvelle clientèle aux abois… troublée pas leur erreur, leurs symptômes et la peur de la mort !

Et, pour continuer cette idée de « perceptions », nous avons remarqué de manière notoire ces dernières années, à quel point les gens ont une sensibilité dangereusement défaillante ou très faible !

C’est dans la vingtaine que nous développons naturellement notre sensibilité. Il est certain, et cela a été prouvé notamment par le scientifique de l’INSERM, Michel Desmurget(([14] L’ouvrage : La Fabrique du Crétin Digital de Michel Desmurget)) que l’éducation et l’omniprésence des écrans tuent la sensibilité !

Ainsi est-il totalement anormal que les jeunes de la vingtaine ne ressentent pas (notamment) les effets nocifs de leur smartphone chéri ! Si ce n’est à cause d’une très, très mauvaise sensibilité…

Aussi bien le smartphone, que le compteur Linky, le wifi, ou la 5G qui débarque plein pot, émettent des ondes très nuisibles à l’être humain (et tout le vivant dans la Nature) ! Plus de dix mille études scientifiques dans le monde expliquent la dangerosité du smartphone ! Or, c’est notre sensibilité qui nous renseigne sur ces nuisances. Comment se fait-il que la majorité ne ressente rien ?

De nos jours, c’est le monde à l’envers : les gens qui disposent d’une sensibilité normale passent pour des malades ou des « demi-fous », parce qu’ils ont une hypersensibilité aux technologies destructrices d’aujourd’hui !

Notez que l’hypersensibilité aux ondes n’est pas récente, puisque les Russes appellent ce phénomène la « maladie des ondes » depuis un siècle ! (Sur ce sujet, et sur le diabète induit par la technologie moderne(([15] L’ouvrage L’Arc-en-Ciel Invisible d’Arthur Firstenberg))).

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]

Ce sont justement ces gens-là qu’il est bon d’écouter : ils nous avertissent des dangers que la masse des gens conditionnés est incapable de ressentir à cause d’une sensibilité malheureusement trop défectueuse !

Certains grands naïfs considèrent que les « vaxxés » sont des victimes ! En aucun cas, puisque les « vaxxins » n’étaient pas obligatoires et qu’ils sont arrivés après la fin de la pandémie : il suffisait de se renseigner et de faire preuve de discernement. Mais, ces gens qui vont vous justifier par x ou y fausse raison : « Je ne pouvais pas faire autrement ! », sont toujours ceux qui refusent de penser par eux-mêmes et se comportent comme des gens soumis.

Nous pouvons TOUJOURS « faire autrement », c’est la raison pour laquelle nous avons une pensée, ainsi que le discernement et le jugement sain qui l’accompagnent ! Si ce n’est pas le cas, alors nous avons affaire à des gens qui se sont couchés, se sont soumis au mal, et ont un peu trop facilement renié leur humanité !

Comme le disait un philosophe français (dont j’ai malheureusement oublié le nom) : « Ils se sont agenouillés sous la menace d’une… grippe ! » Eh oui, à l’origine les coronavirus sont des cousins des virus grippaux !

Finalement, la létalité du Covid-19 est de 0,23 %, ce qui signifie que 99,77 % des gens qui l’ont attrapé s’en sont sortis ! C’est mieux que pour certaines grippes !

De formidables ignorants croient encore que nous sommes déjà à l’ère du Verseau ! Heureusement que l’ère du Verseau, ce n’est pas « ça » ! Ils devraient se renseigner un peu et ils découvriraient que des catastrophes doivent arriver (pandémies, famines, guerres, tremblements de terre, etc.) bien avant l’aube de l’ère du Verseau.

Pour l’instant, nous vivons les prémisses des « moments difficiles » qui doivent advenir avant l’établissement d’un Nouveau Monde, qui nous mènera vers l’ère du Verseau !

Ces gens si naïfs préfèrent être « fraternels » (savent-ils ce que ce mot signifie ?) avec les injectés qui ont renié leur humanité, plutôt qu’avec leurs frères et sœurs en esprit, qui veulent bâtir le futur…

Alors, nous leur demandons : voulez-vous véritablement bâtir un Nouveau Monde ?

Combien d’entre eux répondront « Oui ! » ? Sans doute très peu, car la réalité est que ces gens veulent demeurer bien au chaud de « papa-maman », ou de leurs « frères-sœurs », ou encore de leurs « zamis », même s’ils sont injectés, uniquement par affectif, par habitude, voire par sécurité financière, parce qu’ils refusent le changement qui nous est proposé dans le monde. Bâtir un Nouveau Monde impliquera d’énormes changements !

Réveillez-vous !

En effet, il ne reste plus vraiment le temps de tourner en rond et de faire semblant que « tout va bien » ! Bientôt, il sera trop tard pour vous aussi…

Nous vous signalons que cette période de séparation ou de division, que nous avions prédite depuis plusieurs années, a été annoncée par le Christ, notre Dieu Créateur…

« Lorsque le Fils de l’homme viendra dans l’éclat de sa gloire, avec tous ses Anges, alors il siégera sur le trône de sa gloire. Et tous les peuples seront rassemblés devant sa face, et il séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les boucs. Et il placera les brebis à sa droite et les boucs à sa gauche. »

 (Matthieu 25, 31,33).

Le Fils de l’Homme venant dans l’éclat de sa gloire fait référence à la période actuelle de Sa Parousie.

La division ou séparation était inéluctable, car beaucoup trop de gens refusaient de penser par eux-mêmes et vivaient dans un tel état de soumission au mal qu’ils empêchaient l’humanité de progresser et la laissaient s’étouffer dans les griffes des forces ténébreuses.

Ce comportement inhumain ne peut demeurer sans conséquences. Elles se préparaient dans l’invisible depuis longtemps : maintenant, nous les avons sous le nez !

Nous vivons des temps apocalyptiques…

Une autre fois, peut-être, nous révélerons les arrière-plans spirituels de ce qui se passe actuellement…

Pour une Humanité épousée de l’Esprit de Vérité !

Pierre Lassalle




Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but

[Source anglaise : stopworldcontrol.com]

[Transmis par Philippe Loubière]

[NDLR : Le présent article représente une mise à jour du suivant :

]

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Notre objectif est de présenter des informations 100% précises. Chaque fait peut être vérifié dans les références au bas de la page. Si vous voyez quelque chose qui n’est pas correct à 100%, s’il vous plaît laissez-nous savoir.

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LE PLAN

L’Organisation mondiale de la santé a un plan pour dix ans de maladies infectieuses, selon un virologue de l’OMS

[Vidéo en anglais]


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Montrez au monde ce qui se passe.

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présentés dans LE PLAN

Des documents qui ouvrent les yeux de l’humanité

✔︎ Preuve du grand jury 1

✔︎ Rapport sur le décès par vaccin

Documents annonçant la pandémie de coronavirus

✔︎ Scénarios pour l’avenir par la Fondation Rockefeller

✔︎ Un scénario futuriste par le John Hopkins Center

✔︎ Plan australien de gestion de la santé pour la grippe pandémique

✔︎ L’OMS a demandé au monde de se préparer à une pandémie imminente de coronavirus

✔︎ La bande dessinée de l’UE montre la pandémie qui commence en Chine et la tyrannie médicale

Soyez conscient du niveau extrême d’hypocrisie qui se trouve dans ces documents. Ces criminels prétendent protéger l’humanité, alors qu’en réalité ils suppriment et interdisent tous les traitements efficaces contre le covid, tout en censurant, licenciant, arrêtant et même assassinant les médecins qui guérissent les patients covid.

Des milliers de médecins disent que la pandémie était planifiée

Un groupe de près d’un millier de médecins en Allemagne appelé « Médecins pour l’information », qui est soutenu par plus de 7 000 professionnels, y compris des avocats, des scientifiques, des enseignants, etc., a fait une déclaration choquante lors d’une conférence de presse nationale(([1] Groupe allemand de médecins pour information)):

« La panique corona est une pièce de théâtre. C’est une arnaque. Une escroquerie. Il est grand temps que nous comprenions que nous sommes au milieu d’un crime mondial. »

Ce grand groupe d’experts médicaux publie un journal à 500 000 exemplaires chaque semaine, pour alerter le public sur la désinformation dans les médias grand public sur le coronavirus. Ils organisent également des manifestations de masse avec des millions de personnes dans toute l’Europe.

Des centaines de médecins espagnols disent que la pandémie a été créée

En Espagne, un groupe de 600 médecins appelé « Médecins pour la vérité » a fait une déclaration similaire lors d’une conférence de presse.

« Le Covid-19 est une fausse pandémie créée à des fins politiques. C’est une dictature mondiale avec une excuse sanitaire. Nous exhortons les médecins, les médias et les autorités politiques à mettre fin à cette opération criminelle en répandant la vérité. »(([2] Groupe espagnol de Médecins pour la vérité))

Alliance mondiale des médecins

« Le plus grand crime de l’histoire »

« Médecins pour l’information » et « Médecins pour la vérité » ont uni leurs forces avec des groupes similaires de praticiens du monde entier dans le cadre de la « World Doctors Alliance »(([3] Alliance mondiale des médecins)). Cette alliance historique relie plus de cent mille professionnels de la santé à travers le monde. Ils révèlent comment la pandémie est le plus grand crime de l’histoire et offrent des preuves scientifiques solides à l’appui de cette affirmation. Ils engagent également des actions en justice contre les gouvernements qui jouent le jeu de cette opération criminelle.

Alliance mondiale pour la liberté

Connecter les avocats

De même, l’Alliance mondiale pour la liberté a été formée – un réseau d’avocats, d’experts médicaux, de politiciens, de banquiers et de nombreux autres professionnels qui travaillent ensemble pour dénoncer le « crime Covid » et qui commencent à construire un nouveau monde de liberté. Ils veulent s’assurer que ce genre d’escroqueries mondiales qui détruisent des millions de vies ne puisse plus jamais se reproduire.

QUE SAVENT-ILS?

Pourquoi des milliers d’experts médicaux dans le monls que la pandémie est un « crime mondial » ? ils que nous ne savons pas? Jetons un coup d’œil à quelques faits intéressants…

Des millions de trousses de dépistage de la COVID-19 vendues en 2017 et 2018

La nouvelle maladie COVID-19 est apparue en Chine vers la fin de 2019. C’est pourquoi il a été nommé COVID-19, qui est un acronyme pour Corona Virus Disease 2019. Les données de la Solution du commerce intégré mondial, cependant, montrent quelque chose d’étonnant:

En 2017 et 2018, des centaines de millions de kits de test COVID-19 ont été distribués dans le monde entier.

Cela a coulé une seconde: littéralement des centaines de millions de kits de test COVID-19 ont été exportés et importés, partout dans le monde, en 2017 et 2018.

Des centaines de millions !

« Vite! Cachez-le ! »

Ces données déconcertantes ont été découvertes par quelqu’un le 5 septembre 2020, qui les a publiées sur les médias sociaux. Il est devenu viral partout dans le monde. Le lendemain, le 6 septembre, le WITS a soudainement changé l’étiquette originale « COVID-19 » en « kits de test médical ». Mais leur dissimulation est arrivée trop tard : cette information critique a été découverte et est révélée par des millions de personnes dans le monde entier.

Vous pouvez télécharger un PDF qui montre les données originales de ce site Web. Il peut également être vu sur les archives Web.(([4] Méthode brevetée de Richard Rothschild pour tester la COVID-19 ))(([5] Inventions de R. Rothshild))

DISTRIBUTION DE MASSE

Pourquoi le monde entier a-t-il explosé dans la distribution massive de centaines de millions de kits de test COVID-19, juste avant que la pandémie mondiale ne frappe?

En 2017, Fauci a garanti une pandémie
dans les deux prochaines années

En 2017, Anthony Fauci a fait une prédiction très étrange, avec une certitude encore plus étrange. En toute confiance, Fauci a garanti que pendant le premier mandat du président Trump, une épidémie surprise d’une maladie infectieuse se produirait sûrement. Voici ce qu’il a dit(([6] Fauci garantit une épidémie dans les deux prochaines années)):

Il ne fait AUCUN DOUTE qu’il y aura un défi pour la prochaine administration dans le domaine des maladies infectieuses.

Il y aura une ÉPIDÉMIE SURPRISE.Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de quiconque à ce sujet.

Comment Fauci pourrait-il garantir une épidémie surprise pendant le premier mandat de l’administration Trump? Qu’est-ce qu’il savait que nous ne savons pas?

« Au cours des deux prochaines années, il y aura une épidémie surprise. Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de quiconque à ce sujet. »

ANTHONY FAUCI

Bill et Melinda Gates ont garanti une pandémie mondiale imminente

En 2018, Bill Gates a annoncé publiquement qu’une pandémie mondiale était en route qui pourrait anéantir 30 millions de personnes. Il a dit que cela se produirait probablement au cours de la prochaine décennie.(([7] Bill Gates annonce une pandémie mondiale))

Melinda Gates a ajouté qu’un virus artificiel est la plus grande menace de l’humanité, et a également assuré que cela frapperait l’humanité dans les années à venir.(([8] Melinda Gates dit que la plus grande menace de l’humanité est un virus artificiel))

Laissez leur choix de mots résonner dans votre esprit pendant un moment…

« Une pandémie mondiale est en route.
Un VIRUS ARTIFICIEL est la plus grande menace de l’humanité.
Cela se produira au cours de la PROCHAINE DÉCENNIE. »

BILL ET MELINDA GATES

Pratiquer pour une pandémie

Bill Gates est le premier distributeur mondial de vaccins, qui a doublé sa fortune de 50 milliards de dollars à plus de 100 milliards simplement en vendant des vaccins dans le monde entier. Il a dit que cela a été son « meilleur investissement commercial » de tous les temps. Quelques mois avant l’épidémie, Bill Gates a organisé un événement à New York appelé Event 201. Devinez en quoi consistait l’événement? C’était un « exercice de pandémie de coronavirus ».

Oui, vous avez bien lu : Bill Gates a organisé un exercice sur la pandémie de coronavirus, juste avant que la pandémie de coronavirus ne se produise !

Bill Gates a créé un événement de pratique pour une pandémie mondiale de coronavirus, juste avant qu’une pandémie mondiale de coronavirus ne se produise.

Enthousiasme à l’idée de vendre des vaccins au cours de la prochaine année

Après cet « exercice pour une pandémie de coronavirus », Bill Gates a tweeté :

Je suis particulièrement enthousiasmé par ce que l’année prochaine pourrait signifier pour l’un des meilleurs achats en santé mondiale : les vaccins.

Pensez-y : le numéro 1 mondial des distributeurs de vaccins garantit une pandémie mondiale dans les prochaines années, et sa femme dit que nous devrions tous craindre un virus artificiel qui est « en route ». Ensuite, ils organisent un exercice pour une pandémie mondiale imminente et disent que les vaccins seront la seule solution. Prochain… Bill Gates tweete à quel point il est enthousiaste à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine. Immédiatement après, la pandémie annoncée éclate.

Et en effet, d’emblée Bill Gates proclame que la seule solution pour l’humanité est d’acheter ses vaccins…

pandémie de coronavirus 2020 prévue en 2013

L’information suivante est particulièrement intéressante parce qu’elle montre combien d’informations sont disponibles, pour ceux qui osent faire la recherche. En 2013, un artiste musical au nom particulier de Dr. Creep a écrit une chanson de rap appelée PANDEMIC. Rien de spécial à ce sujet, n’est-ce pas que l’une de ses paroles se lit comme suit:(([9] Paroles de la chanson de 2013 qui a prédit la pandémie de coronavirus en 2020))

« 2020 combiné avec CoronaVirus, les corps s’empilent. »

Comment est-il possible qu’un musicien inconnu puisse prédire avec précision qu’une pandémie de coronavirus se produira sept ans plus tard?

La chanson a également prédit les émeutes qui ont fait rage dans toute l’Amérique pendant cette pandémie:

« L’État se révolte, utilisant la rue à l’extérieur. Ça vient à vos fenêtres. »

Encore une fois : comment un artiste louche pouvait-il savoir, en 2013, qu’en 2020, un coronavirus balayerait la terre, suivi d’émeutes de masse ? Sa réponse est intéressante :

« J’ai fait des recherches en 2012 et j’ai lu les soi-disant « théories du complot ». Vous savez, ces enquêtes que les médias ne veulent pas que nous examinions. Selon ces théories, les pandémies étaient inévitables au cours de la décennie 2020-2030. J’ai donc écrit la chanson Pandemic à ce sujet. »

Pigé ? Cet homme a fait des recherches sur ce que l’on appelle communément les « théories du complot ». Des choses que nous sommes programmés pour ignorer comme des « absurdités ». Mais apparemment, ces enquêtes ne sont pas toujours aussi stupides après tout, car certaines d’entre elles ont prédit avec précision que exactement en 2020, cette pandémie et les émeutes se produiraient.

Que peut-on découvrir d’autre lorsque nous commençons à faire de la recherche? Continuez à lire pour en savoir plus…

« Préparez-vous à une pandémie mondiale de coronavirus »

En septembre 2019 – également juste avant l’épidémie – le Conseil mondial de suivi de la préparation a publié un rapport intitulé « Un monde en danger ».

Il a souligné la nécessité d’être prêt à… une épidémie de coronavirus !

Sur la couverture du rapport se trouve la photo d’un coronavirus et de personnes portant des masques faciaux.

Dans le rapport, nous avons lu le paragraphe intéressant suivant:

« Les Nations Unies (y compris l’OMS) mènent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système. L’un d’eux implique la libération délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel. »

L’avez-vous saisi ? 

Annonce de l’épidémie en provenance de Chine

En 2018, l’Institut de modélisation des maladies a produit une vidéo montrant un virus de la grippe (qui est un coronavirus) originaire de Chine, de la région de Wuhan, et se propageant dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Ils l’ont appelé « Une simulation pour une pandémie mondiale de grippe ». C’est exactement ce qui s’est passé deux ans plus tard.

VIRUS DE WUHAN

Comment pouvaient-ils savoir qu’il y aurait une pandémie mondiale de coronavirus qui commencerait dans la région de Wuhan, en Chine? Comment pouvaient-ils le prédire avec autant de précision juste avant que cela ne se produise?

Ce coronavirus a-t-il été conçu ?

D’où vient le virus ? L’un des plus grands experts mondiaux en armes biologiques est le Dr Francis Boyle. Il est convaincu qu’il provient d’un laboratoire d’armes biologiques à Wuhan – le laboratoire de biosécurité de niveau 4.

Cette installation est spécialisée dans le développement de… les coronavirus !

Ils travaillent avec les virus existants pour les armer – ce qui signifie qu’ils les rendent beaucoup plus dangereux, pour être utilisés comme une arme biologique. Dans le clip vidéo de deux minutes suivant, vous voyez un porte-parole de l’administration Trump, l’expert en armes biologiques, le Dr Francis Boyle, et le président Trump parler de la façon dont ce virus est venu du laboratoire de Wuhan.

Vient maintenant la partie intéressante: en 2015, Anthony Fauci a donné à ce même laboratoire 3,7 millions de dollars.

Figurez-vous ceci: le même homme qui a garanti une épidémie surprise d’un virus dans les deux prochaines années, a donné près de 4 millions de dollars à un laboratoire qui développe des coronavirus armés. Dans le court clip ci-dessous, vous pouvez voir un journaliste interroger le président Trump sur cette subvention accordée par Fauci au laboratoire de Wuhan.

Plusieurs films ont prédit la pandémie de coronavirus

La programmation prédictive est le processus d’information de la population sur les événements qui vont bientôt se produire. Au cours des dernières années, plusieurs films et séries télévisées ont été produits sur… une pandémie mondiale de coronavirus !

Le film « Dead Plague »[peste noire] dépeint une pandémie mondiale avec un coronavirus, et mentionne même l’hydroxychloroquine comme remède.

Un autre film intitulé « Contagion » montre comment un coronavirus se propage dans le monde entier – avec la distanciation sociale, les masques faciaux, les confinements, le lavage des mains, etc. en conséquence.

Littéralement, tout ce que nous voyons maintenant est prédit en détail dans ces films.

La bande dessinée de l’Union européenne a visualisé la pandémie mondiale

En 2012, une étrange bande dessinée a été produite par l’Union européenne, pour être distribuée uniquement à leurs employés.(([10] La bande dessinée de l’UE dépeint la pandémie mondiale)) Le titre de la bande dessinée est « INFECTED », et il montre un nouveau virus originaire d’un laboratoire chinois et se propageant à travers le monde. La solution à cette pandémie est décrite dans la bande dessinée : les mondialistes appliquent un plan de santé mondial. Cela signifie : Plus de liberté médicale, mais la tyrannie médicale par des entités mondialistes.

Tel est le message de cette bande dessinée, publiée aux salariés de l’Union européenne. L’une des citations de la bande dessinée se lit comme suit:

« Les mesures de sécurité qui ont suivi ont rendu notre existence totalement insupportable. »

Pandémie représentée lors des Jeux olympiques d’été de 2012

Lors du spectacle d’ouverture des Jeux olympiques d’été de 2012, une pandémie de coronavirus s’est jouée aux yeux du monde entier. Des dizaines de lits d’hôpital, un grand nombre d’infirmières devenant les marionnettes d’un système de contrôle, la mort qui se cachait, un géant démoniaque se soulevant au-dessus du monde, et tout le théâtre était éclairé de telle sorte que, vu du ciel, il ressemblait à un coronavirus.

Pourquoi les Jeux Olympiques ont-ils montré une pandémie de coronavirus, dans leur spectacle d’ouverture?

Confinement mondial prévu en 2008

L’auteur et enquêteur Robin de Ruiter a prédit en 2008 qu’il y aurait un confinement mondial.(([11] Robin de Ruiter prédit des confinements))

Il a dit que le but de cela serait de créer un nouveau monde de contrôle autoritaire.

Parce qu’une grande partie de ce qu’il a écrit en 2008 se passe maintenant sous nos yeux, ce livre a été réédité.

Les journalistes ont prédit une pandémie planifiée

En 2014, le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit une pandémie mondiale planifiée et a expliqué pourquoi la « classe dirigeante » ferait une telle chose:

« Ils ne reculeront devant rien pour compléter leur boîte à outils de contrôle. L’une des choses qui manquaient dans leur boîte à outils était les quarantaines et les couvre-feux. Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »(([12] Harry Vox a prédit la pandémie mondiale))

« Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »

HARRY VOX, JOURNALISTE D’INVESTIGATION RENOMMÉ

« Scénario pour l’avenir » décrit la pandémie mondiale

Ce chercheur de renom fait référence à un document célèbre de la Fondation Rockefeller dans lequel tout ce que nous voyons se passer maintenant est littéralement prédit en détail: la pandémie mondiale, les confinements, l’effondrement de l’économie et l’imposition d’un contrôle autoritaire.

Tout est décrit avec une précision terrifiante… dix ans avant que cela ne se produise !

Le document s’intitule « Scénario pour l’avenir de la technologie et du développement international ».(([13] « Scénario pour l’avenir » décrit une pandémie mondiale)) Cela dit tout: un scénario pour l’avenir. Il a un chapitre intitulé « LockStep », dans lequel une pandémie mondiale est rapportée comme si elle s’était produite dans le passé, mais qui est clairement destinée à être une répétition pour l’avenir.

Le « Scénario pour l’avenir » se poursuit avec la comparaison de deux réponses différentes à leur pandémie prévue: les États-Unis n’ont « fortement découragé » que les personnes de prendre l’avion, tandis que la Chine a imposé une quarantaine obligatoire à tous les citoyens. La première réponse est accusée de propager encore plus le virus, tandis que l’imposition d’un confinement étouffant est saluée. Ensuite, il décrit la mise en œuvre du contrôle totalitaire : Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont fait preuve d’autorité et imposé des règles et des restrictions hermétiques, allant du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de la température corporelle aux entrées des espaces communs tels que les gares et les supermarchés.

Il est clair que la flexion de l’autorité est la réponse souhaitée. Mais la situation s’aggrave, selon ce « scénario du futur » :

« Même après l’estompement de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés, et même intensifiés. »

« Dans les pays développés, cette surveillance accrue a pris de nombreuses formes: des identifiants biométriques pour tous les citoyens, par exemple, et une réglementation plus stricte des industries clés dont la stabilité était jugée vitale pour les intérêts nationaux. »

Manuel pour le contrôle global

Maintenant que la pandémie annoncée est bel et bien là, la même Fondation Rockefeller a présenté la deuxième étape : un manuel sur la façon de mettre en œuvre de nouveaux systèmes de contrôle pendant cette pandémie. Le livre révèle que ce n’est que lorsque tous les réseaux de contrôle requis sont en place que le monde peut s’ouvrir à nouveau.

Lorsque vous combinez les deux documents Rockefeller, vous voyez le plan :

1) Tout d’abord, ils annoncent une pandémie mondiale avec un coronavirus et disent ce à quoi cela devrait conduire: un tout nouveau niveau de contrôle autoritaire.

2) Deuxièmement, ils donnent des étapes pratiques sur la façon d’appliquer ce système de contrôle.

Ce sont des illustrations et des citations de leur guide :

« Les applications numériques et les logiciels de suivi protégés par la vie privée devraient être largement utilisés pour permettre un suivi plus complet des contacts. »

« Afin de contrôler pleinement l’épidémie de Covid-19, nous devons tester la majorité de la population sur une base hebdomadaire. »

Conformément à leur « scénario de l’avenir », l’ensemble de la population mondiale devrait obtenir une identification numérique indiquant qui a reçu tous les vaccins. Sans vaccinations suffisantes, l’accès aux écoles, aux concerts, aux églises, aux transports en commun, etc., sera refusé.

Et maintenant, à partir de 2020, c’est exactement ce que Bill Gates et de nombreux gouvernements réclament.

Les contacts de chacun doivent être vérifiés

Dans une vidéo du gouvernement qui a fuité(([14] Andrew Cuomo s’entretient avec Bill Clinton sur le contrôle autoritaire)), nous voyons une conversation entre l’ancien président américain Bill Clinton et Andrew Cuomo, le gouverneur de l’État de New York. Ils discutent de la façon de mettre en place un grand système de contrôle pour tester l’ensemble de la population et vérifier tous leurs contacts. Ils discutent de la façon de construire une armée pour mener à bien ce système de contrôle.

ANDREW CUOMO,
GOUVERNEUR DE NEW YORK

Un tout nouveau niveau de contrôle mondial

Bill Gates a également précisé que seules les personnes vaccinées contre le Covid-19 devraient être autorisées à voyager, à aller à l’école, à assister à des réunions et à travailler.(([15] Bill Gates parle d’une identité numérique pour contrôler les gens)) Des identifiants numériques de vaccins sont déjà en cours de développement(([16] Relier les vaccins à une identification numérique)) et Gates détient un brevet sur la technologie qui permet de retracer le corps d’un individu n’importe où. Cette technologie s’appelle WO2020-060606(([17] Gates a un brevet sur la technologie pour retracer n’importe qui n’importe où)). En outre, Gates souhaite mettre en place un réseau mondial de surveillance qui suivra toutes les personnes ayant été en contact avec le Covid-19.(([18] Gates veut un système de surveillance mondial))

Connecter votre corps à l’intelligence artificielle

Big Tech et Big Pharma veulent nous connecter tous à des réseaux mondiaux qui peuvent nous surveiller 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et… décider si nous pouvons nous déplacer librement ou non. Dans cet esprit, une invention particulière de 2015 devient intrigante.

En 2015, Richard Rothschild a inventé une « méthode de test pour COVID-19 ». Cette méthode consiste à envoyer nos informations de santé personnelles au « cloud », qui est contrôlé par Big Tech.(([19] Inventions de Richard A Rothschild))

Richard Rothschild n’est pas un professionnel de la santé, mais un avocat. Pourquoi un avocat veut-il créer une méthode pour détecter les virus? Nous trouvons la réponse en regardant une autre de ses inventions. Il a développé un système dans lequel les gens sont filmés pour recueillir des informations détaillées sur leur visage, leur corps, leurs mouvements, etc. Ces données vidéo sont ensuite combinées avec d’autres informations personnelles et envoyées au cloud, où elles sont connectées à l’intelligence artificielle.

Si toutes nos données médicales personnelles sont « dans le cloud », elles peuvent être utilisées par les autorités pour nous surveiller et nous contrôler.

Le plan : injecter à l’humanité un vaccin altérant l’ADN

Le célèbre journaliste d’investigation Anthony Patch a fait des années de recherche sur les plans de contrôle du monde au moyen de pandémies créées et de vaccins obligatoires. Lors d’une entrevue en 2014, ce chercheur a prédit ce qui suit :

« Ils vont libérer un coronavirus d’origine humaine. En conséquence, les gens exigeront un vaccin pour les protéger. Ce vaccin ajoutera un troisième brin d’ADN au corps d’une personne, ce qui en fera essentiellement un hybride. Une fois qu’une personne est injectée, presque immédiatement son ADN subit une transformation. Ce changement génétique fera perdre aux gens la capacité de penser par eux-mêmes, sans même qu’ils soient conscients que cela s’est produit. Ainsi, ils peuvent être contrôlés plus facilement, pour devenir des esclaves pour l’élite. »

Bien sûr, cela semble fou – et c’est fou en effet. Pourtant, nous devons nous rendre compte que cet enquêteur professionnel n’est pas dupe. Il a investi des années de recherche sur ce sujet, et c’est ce qu’il a découvert pendant cette période.

20 ans de recherche disent : le vaccin va changer notre ADN

Docteur Carrie Madej a dirigé deux cliniques médicales en Géorgie, aux États-Unis, et a étudié l’ADN et les vaccins au cours des vingt dernières années. Elle a réalisé une vidéo urgente dans laquelle elle prévient qu’il existe un plan pour injecter à l’humanité des vaccins très dangereux contre le Covid-19. L’objectif de ces nouveaux vaccins sera double :

1) reprogrammer notre ADN et faire de nous des hybrides plus faciles à contrôler.
2) nous connecter à l’intelligence artificielle grâce à une identification numérique de vaccin, ce qui ouvrira également un tout nouveau domaine de contrôle.

Cette experte médicale dit avoir observé à plusieurs reprises comment les maladies se propageaient sur les populations par avion. Pour des raisons de sécurité, elle n’est pas en mesure de partager plus de détails à ce sujet en public.

Regardez ce documentaire critique sur les dangers des vaccins à venir :

Dépeupler la terre au moyen d’épidémies organisées

John Coleman était un officier de renseignement de la CIA qui a écrit un livre intitulé « Le Comité des 300 ». Dans le livre, il explique comment les sociétés secrètes manipulent les gouvernements, les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, etc. Ce livre peut être trouvé sur le site de la CIA.(([20] Télécharger le livre de l’officier de la CIA Coleman))

L’un des principaux objectifs des nombreuses sociétés secrètes qui contrôlent les gouvernements et les médias est de dépeupler la terre.

Le Dr Coleman dit ce qui suit au sujet de leur stratégie :

DR. JOHN COLEMAN,
CIA INTELLIGENCE OFFICER

Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000

En 1980, un monument en granit a été érigé en Géorgie, aux États-Unis, appelé les Guidestones. Un ensemble de 10 lignes directrices est inscrit sur la structure dans huit langues modernes, et un message plus court est inscrit au sommet de la structure dans quatre écritures de langues anciennes. La première ligne directrice est la suivante :

1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 en équilibre perpétuel avec la nature.

[Voir aussi :

https://nouveau-monde.ca/les-%e2%80%89georgia-guidestones%e2%80%89-ou-les-10-commandements-du-nouvel-ordre-mondial/

]

L’officier de la CIA, le Dr Coleman, a révélé que l’une de leurs méthodes pour « maintenir l’humanité » consiste à provoquer « des épidémies organisées de maladies mortelles à action rapide ».

Utiliser des vaccins pour réduire l’humanité

Lors d’une conférence TED, Bill Gates a fait écho à cet objectif, lorsqu’il a littéralement déclaré que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15 % !(([21] Gates parle de réduire la population mondiale en utilisant des vaccins))

Vaccin contre le Covid-19 pour le contrôle de la population ?

Mike Adams est un scientifique de l’alimentation publié, auteur du livre scientifique populaire Food Forensics et fondateur de CWC Labs accrédités iso. Il y a des années, il a dit ce qui suit :

Une arme biologique modifiée sera libérée dans les centres de population.

Il y aura des appels à un financement gouvernemental massif pour que l’industrie des vaccins propose un vaccin. Miraculeusement, ils auront un vaccin développé en un temps record. Tout le monde devra faire la queue et prendre ce vaccin.

Il y a en effet eu la publication d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccination, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie des vaccins et d’un vaccin qui a été développé en un temps record.

Le reste de son message est que ce vaccin commencera lentement à tuer des millions – voire des milliards – de personnes au cours de quelques années. Il s’agira d’un vaccin tueur à gages, conçu pour réduire la population mondiale.

RÉSUMÉ : La PANDÉMIE ÉTAIT-ELLE PLANIFIÉE ?

Des milliers de médecins du monde entier qualifient la pandémie de crime mondial, de dictature mondiale avec une excuse sanitaire.

Dans les années qui ont précédé la COVID-19, le monde entier a soudainement commencé à distribuer des centaines de millions de kits de test PCR pour la COVID-19.

En 2013, un chercheur a prédit qu’une pandémie mondiale avec un coronavirus se produirait en 2020. Il le savait en raison d’une enquête personnelle sur les soi-disant « théories du complot ».

En 2017, Anthony Fauci a garanti une épidémie surprise d’une maladie infectieuse au cours du premier mandat de l’administration Trump.

Juste avant le début de la pandémie mondiale de coronavirus, Bill Gates a organisé un exercice mondial sur la pandémie de coronavirus : Event 201.Peu de temps avant l’épidémie, le Global Preparedness Monitoring Board a dit au monde d’être prêt pour une pandémie de coronavirus.

En 2018, l’Institute for Disease Modeling a prédit une pandémie mondiale avec un virus de la grippe, originaire de Chine dans la région de Wuhan.

En 2018, Bill et Melinda Gates ont annoncé que dans les années à venir, il y aurait une pandémie mondiale d’un virus artificiel.

Le coronavirus SARS-CoV-2 pourrait avoir été créé dans le laboratoire de biosécurité de niveau 4 à Wuhan, qui a reçu des millions de dollars d’Anthony Fauci.

Des films several ont dépeint la pandémie de coronavirus avec beaucoup de détails et ont même mentionné l’hydroxychloroquine comme remède.

Une bande dessinée produite par l’Union européenne dépeint un virus qui se propage dans le monde entier. La crise est résolue par la mise en œuvre d’une tyrannie médicale totalitaire.

Les Jeux olympiques d’été de 2012 ont présenté dans leur spectacle d’ouverture le scénario d’une pandémie d’un coronavirus.

Le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit en 2014 qu’une pandémie mondiale serait créée afin que la « classe dirigeante » puisse mettre en œuvre un niveau plus élevé de contrôle autoritaire.

Le journaliste d’investigation Anthony Patch a prédit une pandémie mondiale avec un virus artificiel – qui serait utilisé pour forcer l’humanité à utiliser un vaccin altérant l’ADN.

Carrie Madej étudie l’ADN et les vaccins depuis des décennies, et ses recherches ont montré que le plan est d’utiliser le vaccin CONTRE LA COVID-19 pour lancer le processus de transhumanisme : reprogrammer l’ADN humain.

L’officier de la CIA, le Dr John Coleman, a étudié en profondeur les sociétés secrètes et déclare que leur objectif est de dépeupler la terre au moyen de pandémies organisées de maladies mortelles et à action rapide.

Dans l’État de Géorgie, aux États-Unis, un immense monument a été érigé en 1980 avec dix directives pour l’humanité en huit langues. Le premier de ces « Dix Commandements » est que l’humanité doit être réduite à un demi-milliard de personnes.

Bill Gates a déclaré lors d’une conférence TED que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15%.

Mike Adams, le « Health Ranger », a prédit il y a des années ce que nous voyons se produire aujourd’hui : la sortie d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccination, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie des vaccins et d’un vaccin qui a été développé en un temps record.

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié le « Scénario pour l’avenir…» dans lequel ils décrivent une pandémie mondiale à venir qui vise à entraîner la mise en œuvre d’un contrôle autoritaire sur le peuple et qui devrait s’intensifier après la pandémie.

En 2020, la Fondation Rockefeller a publié un manuel sur la façon de créer ce monde de contrôle, avec un guide étape par étape. Ils affirment que la vie ne peut pas revenir à la normale tant que le monde n’est pas devenu « verrouillé » avec ce contrôle descendant de gouvernements autoritaires.

Nous constatons en effet que Bill Gates et beaucoup d’autres dans le monde prennent immédiatement le contrôle de manière sans précédent: en appliquant les identifiants de vaccins (micropuces à implanter dans les personnes), en imposant le port de masques faciaux, la distanciation sociale, les confinements forcés, la recherche extrême des contacts, etc.

L’élément de ce contrôle descendant est la censure et la déplateforme extrêmes de littéralement chaque voix de médecins, de scientifiques et d’autres experts qui osent remettre en question ou critiquer ce qui se passe.

Toutes les prédictions ont été faites peu de temps avant que cela ne se produise

Le temps est maintenant

Noter que chaque prédiction de cette pandémie a été annoncée quelques années ou même des mois avant qu’elle ne se produise. Le fait qu’un événement aussi unique en histoire ait été prédit en détail – par des films, des émissions, des enquêteurs, des médecins, ceux qui financent les laboratoires qui développent ces virus, ceux qui gagnent des milliards de dollars de ces pandémies, et ceux qui veulent créer un tout nouveau niveau de contrôle dans notre monde, etc. – révèle clairement que c’était planifié.

Y a-t-il des signes que la pandémie est manipulée ?

Jusqu’à présent, nous avons examiné les indications que la pandémie avait été planifiée à l’avanceSi c’est effectivement orchestré, alors cela devrait aussi être évident pendant la pandémie. Une pandémie planifiée est aussi une pandémie contrôlée. Observe-t-on effectivement que la pandémie est manipulée ? Absolument. D’autres articles sur StopWorldControl.com révèlent à quel point littéralement toutes les voix médicales, scientifiques, gouvernementales, éducatives et journalistiques qui diffèrent de la propagande médiatique sont censurées de manière agressive.

Jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité il n’y a eu une telle censure mondiale des médecins et des scientifiques respectés du monde entier.

En outre, il y a un affichage sans précédent de la fraude mondiale avec les chiffres covid. Littéralement, chaque information sur la COVID-19 est fausse. Le personnel médical du monde entier a admis qu’il subissait de fortes pressions pour enregistrer chaque patient en tant que patient covid, et chaque décès – quelle qu’en soit la cause – en tant que décès covid.

Vous pouvez voir les preuves de cette affirmation scandaleuse dans cette révélation choquante de la plus grande fraude de l’histoire du monde.

Qui est derrière le plan pour contrôler le monde?

Nous avons parlé d’un groupe de personnes que l’on appelle les « mondialistes ». Alors, qui sont ces « mondialistes » de toute façon ? Ce sont des gens riches et influents dans le monde entier qui envisagent de créer un gouvernement mondial. Cela leur permettra de contrôler chaque être humain sur la planète. Leur stratégie est de dominer tous les domaines de nos sociétés: les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, les gouvernements, la religion – tout.

La domination totale du monde a été un désir diabolique de nombreux dirigeants puissants tout au long de l’histoire du monde. Il suffit de penser aux empires mondiaux notoires de Rome, de la Grande-Bretagne, des Perses, des Russes, etc.

Cette passion perverse n’a jamais quitté les cœurs corrompus de l’humanité, mais les moyens d’atteindre cet objectif ont changé. Au lieu d’envahir les nations avec des chars et des bazookas, ils asservissent maintenant l’humanité en utilisant la force de la peur. Une fois qu’ils peuvent créer suffisamment de panique, ils peuvent présenter la « solution ». Cette solution, cependant, signifie supprimer nos libertés et nous soumettre à leur contrôle.

Les principaux acteurs du mondialisme sont les Nations Unies, le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, l’Union européenne, le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et en particulier les nombreuses banques privées qui contrôlent déjà le monde. Ces entités visibles ne sont cependant qu’une façade qui cache les véritables pouvoirs, qui sont les nombreuses « Sociétés Secrètes ». Beaucoup de ces mondialistes se sont récemment réunis dans une petite ville appelée Davos, en Suisse, où ils ont exprimé comment la pandémie sera utilisée pour déployer leurs plans. Voici quelques-unes des déclarations qu’ils ont faites(([22] DAVOS et le rassemblement des mondialistes)):

« C’est maintenant le moment historique dans le temps, non seulement pour combattre le virus, mais aussi pour FAÇONNER LE SYSTÈME.

La pandémie représente une fenêtre d’opportunité pour RÉINITIALISER NOTRE MONDE.

Le monde doit agir conjointement et rapidement pour RÉORGANISER TOUS LES ASPECTS de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contacts sociaux et aux conditions de travail.

CHAQUE PAYS, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être TRANSFORMÉE. »

Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial

Le Forum économique mondial a créé un graphique « rouet » avec tous ses objectifs. Ici, nous pouvons voir les trois « projets » suivants: COVID19, suivi de la gouvernance mondiale et de la gouvernance de l’Internet.

Personne ne veut de ces organisations

Aucun humain sur la terre n’a voté pour que ces organisations existent, sans parler de prendre le contrôle total de nos vies, de nos familles, de nos communautés, de nos emplois, de notre santé, de nos industries, etc. Pourtant, ils se présentent comme nos « leaders mondiaux » qui planifient tout notre avenir.

L’Organisation mondiale de la santé s’est positionnée comme l’autorité sur notre santé, sans qu’aucun d’entre nous ne les ait choisies.

Ils appliquent une tyrannie dans les médias grand public et les médias sociaux, où aucune expression d’expertise médicale ou scientifique n’est autorisée, à moins qu’elle ne soit conforme aux directives de cette organisation « mondiale ».

Des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques ont été censurés dans le monde entier par Facebook, Youtube et Twitter. Pourquoi? Parce que ces géants des médias sociaux cherchent à dépeindre que SEULES les informations de l’Organisation mondiale de la santé sont vraies. C’est un exemple clair de la tyrannie mondiale des mondialistes. Ils installent leurs propres institutions « mondiales » – qui n’ont AUCUNE autorité sur l’un d’entre nous. Mais simplement parce qu’ils s’appellent eux-mêmes des leaders « mondiaux », ils assument l’autorité sur toute l’humanité.

Cela signifie la perte complète de la liberté médicale, la perte de la liberté d’expression, la perte de la vraie science, la perte du vrai journalisme et l’imposition de dictatures par des organisations pour lesquelles personne n’a voté, dirigées par des individus que personne n’a choisis ou voulus. Et pourtant, ils s’emparent simplement de la propriété de notre monde entier.

Ils sont le « gros, gros, méchant intimidateur sur le terrain de jeu » qui joue au patron sur tout le monde.

L’Organisation mondiale de la santé est dirigée par un terroriste

Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un parti communiste révolutionnaire violent en Éthiopie : le Front de libération du peuple du Tigré.(([23] Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un groupe terroriste violent)) Le département de la Sécurité intérieure indique clairement:

« Le TPLF se qualifie d’organisation terroriste de niveau III… sur la base de ses activités violentes… »

Laissez-vous comprendre : l’homme qui dirige l’Organisation mondiale de la santé est littéralement un terroriste communiste, qui a été impliqué dans l’imposition du communisme en Éthiopie. Ce même homme intimide maintenant le monde entier, nous dit à tous ce que nous pouvons et ne pouvons pas faire, censure tous les professionnels de la santé qui ont une opinion différente, exigeant l’obéissance aveugle de toute l’humanité, tout en imposant des mandats de vaccination au sponsor financier numéro un de l’OMS: Bill Gates.

Est-ce le monde dans lequel vous voulez vivre, à partir de maintenant?

De plus en plus de pandémies, jusqu’à ce que l’humanité se soumette

Les mondialistes theses menacent également l’humanité de plus de souffrances si nous ne nous soumettons pas à leur contrôle total. Le prince Charles a récemment rejoint les mondialistes et a déclaré publiquement:

Il y aura de plus en plus de pandémies, si nous ne faisons pas « la grande réinitialisation » maintenant.(([24] DAVOS et le rassemblement des mondialistes))

Bill Gates appelle déjà cela « pandémie un » et parle de « pandémie deux et trois ». L’enquêteur qui, en 2013, avait prédit qu’une pandémie de coronavirus se produirait en 2020, suivie d’émeutes, a déclaré que le plan était de créer une série de pandémies au cours de 2020-2030.

Cette décennie est la période choisie pour transformer le monde en une grande prison.

Les mondialistes prévoient de provoquer autant de pandémies que nécessaire afin de briser l’épine dorsale de l’humanité, jusqu’à ce que tout le monde se soumette à son contrôle mondial. L’obligation de vacciner est essentielle à leur plan, car les vaccins nous connecteront aux systèmes de contrôle mondiaux. Seuls les vaccinés pourront se déplacer librement.

Commencez-vous à comprendre pourquoi plus de 700 médecins d’Allemagne, 600 médecins d’Espagne, des milliers d’experts médicaux des États-Unis et bien d’autres dans le monde entier qualifient cette pandémie de crime « mondial »?

Des dirigeants de l’Église catholique mettent en garde l’humanité

L’archevêque d’An et plusieurs cardinaux de l’Église catholique romaine ont écrit une lettre à l’humanité, pour nous avertir de la tyrannie mondiale sous le couvert de COVID-19. Ceci est un extrait de ce message historique, qui a été traduit dans de nombreuses langues et envoyé aux dirigeants du monde entier.(([25] Lettre de l’archevêque et des cardinaux à l’humanité))

[Voir aussi :
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles]

Nous avons des raisons de croire, sur la base des données officielles sur l’incidence de l’épidémie en fonction du nombre de morts, qu’il existe des puissances intéressées à créer la panique parmi la population mondiale dans le seul but d’imposer en permanence des formes inacceptables de restriction des libertés, de contrôle des personnes et de suivi de leurs mouvements. L’imposition de ces mesures illibérales est un prélude inquiétant à la réalisation d’un gouvernement mondial hors de tout contrôle.

Y a-t-il de l’espoir? Que pouvons-nous faire?

Y a-t-il un espoir pour notre avenir, ou sommes-nous livrés aux mains impitoyables de ces méchants méga-milliardaires qui veulent dépeupler la terre et prendre le contrôle total de l’humanité ?

Oui, il y a de l’espoir. L’avenir est plus brillant que nous ne pouvons même l’imaginer !

Ce n’est pas un scénario pessimiste, mais un signal d’alarme pour que l’humanité cesse de croire aveuglément les médias mafieux et les politiciens pervers, et qu’elle se lève comme un seul homme pour un avenir de liberté. Je vous invite à vous joindre à un mouvement unique et historique de Combattants mondiaux de la liberté, qui conduiront l’humanité dans une nouvelle ère d’espoir, de restauration et de plus de liberté que nous n’en avons jamais connue.

Soutenez la lutte pour la liberté

Bonjour,

Je m’appelle David Sorensen. Je suis l’auteur de StopWorldControl.com. Je l’offre comme une ressource gratuite pour toute l’humanité, afin de protéger notre liberté et notre avenir.

Titulaire d’une maîtrise en communication, j’ai choisi de laisser derrière moi une vie de gros sous, de servir le monde avec mes capacités.

Des appels désespérés à l’aide du monde entier inondent ma boîte aux lettres. Les gens de Chine, de Slovaquie, du Moyen-Orient, d’Amérique du Sud, etc. voient comment leur vie leur est enlevée, et la tyrannie est imposée par des gouvernements corrompus, soutenus par des médias appartenant aux criminels trillionaires.

La clé pour briser leur emprise diabolique sur l’humanité est la VÉRITÉ. Par conséquent, je veux répondre aux appels à l’aide et traduire le site Web dans autant de langues que possible, afin d’informer toute l’humanité.

C’est une tâche monumentale qui nécessite des fonds. Si vous souhaitez m’aider à me battre pour la liberté du monde, alors s’il vous plaît envisager de faire un don généreux ici. S’il vous plaît, ouvrez votre cœur et soutenez cette plate-forme unique pour la voix de la liberté.

Ensemble, nous pouvons aider à protéger l’humanité des fous avides de pouvoir et à créer un monde de liberté et de bonheur.

Références




France : l’avocate qui a porté plainte contre plusieurs ministres placée en garde à vue avant d’être relâchée. Mise à jour

Mise à jour


[Source : covidhub.ch]

Me Virginie de Araujo-Recchia a été interpellée mardi à l’aube à son domicile puis gardée 48h dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure. Un procédé qui interroge, visant une des avocates les plus actives contre la politique liberticide de l’état français.

25 mars 2022·
Dernière mise à jour : 26 mars 2022

Par Jean-Dominique Michel, référent en santé publique de Covidhub.

Déclaration de lien d’intérêt : Me de Araujo m’a représenté lors d’une campagne de calomnie qui m’a visé dans le cadre du Congrès « scientifique » TimeWorld au mois de mai 2021.

Me de Araujo-Recchia a déployé au cours des deux années écoulées une activité  professionnelle intense pour dénoncer les violations des droits et libertés présentées comme nécessaires par les autorités françaises dans le cadre de la gestion de l’épidémie de Covid.  Outre la publication d’avis de droit, elle a saisi différentes juridictions pour des associations comme Bon Sens ou l’AIMSIB (association internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante).

Elle fait également partie du regroupement d’avocats internationaux instruisant actuellement une mise en accusation des gouvernements et organisations internationales dans le cadre du Grand Jury de l’Opinion Publique mis sur pied par l’avocat allemand Reiner Fuellmich.

C’est dire si son interpellation puis sa garde à vue ont suscité une onde de choc, provoquant un vaste mouvement de soutien tant en France qu’à travers le monde. Le procédé a choqué tant sur la forme (Me de Araujo a été « embarquée » à son domicile, au petit matin, devant ses enfants) que sur le fond. Active en tant que représentante de plaignants dans le cadre de procédures en  justice, de quoi Me de Araujo pouvait-elle bien être soupçonnée pour mériter un tel traitement ?

Dans un premier temps, personne ne pouvait même localiser l’avocate, pas même ses proches, ni les confrères avec lesquels elle travaillait

On apprit mardi en début d’après-midi que Virginie de Araujo était placée en garde à vue dans les locaux de la DGSI (direction générale de la sécurité intérieure), service dont la réputation n’est pas franchement immaculée… Les lecteurs étrangers à la France et à ses mœurs ne sauront peut-être pas que des officines policières se sont rendues coupables au cours du temps de nombreuses actions franchement en marge de la légalité comme des cambriolages, des chantages, intimidations ou même menaces de mort. Ainsi qu’un célèbre humoriste devenu exaspérant pour le pouvoir de l’époque en avait fait la rude expérience…

  • Pour voir « Coluche, un clown ennemi d’état – enquête » : cliquer ici

Presse et propagande

Ce fut dans la presse que sortirent les premières informations, franchement rocambolesques : Me de Araujo serait soupçonnée d’avoir été en contact avec un réseau projetant un coup d’État pour renverser Emmanuel Macron ! On a beau être à proximité du 1er avril, l’accusation peine à être trouvée drôle, pas plus qu’elle paraît crédible. Une pareille absurdité rappelle plutôt comment, en Suisse, la presse d’état avait essayé de faire croire que des « antivaxx » projetaient rien moins… qu’une prise d’assaut du Palais fédéral à la manière de l’invasion du Capitole à Washington !

Des médias subventionnés à hauteur de centaines de millions d’euros par l’état macronien n’en ont pas moins embouché les trompettes de la (mauvaise) renommée : parlant tour à tour de Me de Araujo-Recchia comme « l’avocate des covido-sceptiques » ou encore « l’avocate proche des milieux complotistes » selon les termes de l’hebdomadaire Marianne, comme si ces qualificatifs -au demeurant stupides- avaient une quelconque valeur juridique.

Si on ignore encore exactement ce que la justice reproche à Virginie de Araujo-Recchia et si elle est liée, ou non, aux projets d’actions terroristes que Rémy Daillet et son groupe sont soupçonnés d’avoir préparés, l’avocate est déjà connue comme une figure des milieux covido-sceptiques. Proche du collectif Réinfo Covid, fondé par le médecin anesthésiste marseillais Louis Fouché, un groupe de désinformation qui milite activement contre la vaccination et les mesures sanitaires.

[Voir aussi :
L’avocate Virginie de Araujo-Recchia placée en garde à vue
et
Gilets jaunes, avocate, naturopathe, ex-militaire : les profils hétéroclites des partisans du projet secret de coup d’État sur l’affaire avec Remy Daillet]

On décèle dans cet extrait les bonnes grosses ficelles de la manipulation : on « ignore exactement ce que la justice reproche » à l’avocate, mais ses liens et relations avec des personnes et groupes vilipendés (de manière calomnieuse en ce qui concerne Réinfo Covid) suffit à jeter l’opprobre sur elle en suggérant une hypothétique culpabilité.

On amalgame de surcroît des personnalités plus ou mois sulfureuses au sein d’un même « groupuscule » avec l’intention de compromettre simultanément différents groupes honnis, comme le montre le titre transparent du quotidien Le Parisien, propriété du milliardaire Bernard Arnaud :

Gilets jaunes, avocate, naturopathe, ex-militaire : les profils hétéroclites des partisans du projet secret de coup d’État

Ce qui a fait réagir sur twitter l’avocat et militant Juan Branco, conseil d’un des incriminés.

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Ces procédés de suspicion floue sont devenus monnaie courante. Ils reposent principalement sur l’exploitation de l’étiquette de « complotiste », trouvaille inspirée de la CIA… pour masquer les crimes d’état. A tel point que selon l’analyse savante de Lance de HavenSmith, professeur en sciences politiques, cette étiquette, lorsqu’elle fait florès, est l’indice sûr que des crimes d’état sont en cours que les gouvernants et la presse cherchent à dissimuler.

  • Pour lire « Vous avez dit « complotiste » ?! » sur Anthropo-logiques : cliquer ici.
  • Pour lire la notice du livre « Aux origines de la théorie du complot – un outil de contrôle de la pensée » de Lance deHavenSmith aux éditions Yves Michel : cliquer ici.

L’essayiste et rédacteur en chef du Courrier des Stratèges Eric Verhaege (un des meilleurs analystes du Great Reset, projet délirant qu’il a lu avec ses lunettes d’énarque et d’ancien haut fonctionnaire) est pour sa part convaincu que le procédé utilisé contre Me de Araujo traduit une volonté d’intimidation et de « character assassination » (destruction de réputation) comme l’on dit en anglais. Et inaugure selon toute vraisemblance un cycle de montée en puissance de la répression des opposants à sa politique liberticide par le gouvernement français.

  • Pour voir : « Soutien à l’avocate Virginie de Araujo-Vecchia, résistante en garde à vue » sur le Courrier des stratèges : cliquer ici.

Voyage au pays des oligarques

La mitraille de la titraille des médias subventionnés ne laisse guère de doute, à une époque où la presse n’est plus qu’une entreprise de propagande au service d’intérêts douteux, comme Idriss Aberkanne l’a récemment analysé au sujet du groupe Altice (propriétaire grâce à sa montagne de dettes accumulées de titres comme BFM TV, RMC, Libération, L’Express).

La militante Vera Sharav, survivante de l’Holocauste, insiste quant à elle que les gouvernements de l’Occident sont aujourd’hui inféodés à des oligarques répétant les manières de faire du nazisme. Cette analyse a évidemment provoqué des réactions outrées, mais la vénérable activiste n’en démord pas,  affirmant que les procédés sont exactement les mêmes, et que le fameux slogan « plus jamais ça », pour ne pas rester creux, doit nous conduire à agir contre la menace existant actuellement.

  • Pour lire « Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis » sur France Soir : cliquer ici.

Me Virginie de Araujo-Recchia a finalement été libérée jeudi soir. Elle a fait savoir qu’elle s’exprimerait prochainement.

Rappelons à toutes fins utiles qu’elle a saisi différentes juridictions dans le cadre de procédures visant des membres des pouvoirs exécutif et législatif français (milieu que les observateurs appellent la « Macronie »).

Une avocate sachant défendre… et attaquer

Me de Araujo-Recchia a rédigé une première analyse (intitulée « Rapport terrorisme 2020 ») dans laquelle elle estimait que les agissements du gouvernement français relevaient juridiquement d’actes de terrorisme et crime contre l’humanité (atteinte volontaire à la vie et à l’intégrité des personnes, diffuser des substances de nature à créer un danger pour autrui, violations du Code de Nuremberg), d’apologie du terrorisme par médias et scientifiques en conflit d’intérêts, d’actes de maltraitance et de torture/traitements inhumains à l’égard des enfants.

  • Pour lire « Rapport terrorisme 2020 » : cliquer ici.

Entre autres faits d’armes (juridiques) elle a ensuite publié un « Rappel à la loi » à l’occasion de l’imposition d’un pass sanitaire puis vaccinal dont même Olivier Véran reconnaît aujourd’hui l’inutilité et que sa nature discriminatoire rendait parfaitement illégal.

  • Pour lire « Rappel à la loi – passe sanitaire » : cliquer ici.

Me de Araujo-Recchia a également déposé différents plaintes contre les acteurs de la dérive anti-démocratique en cours pour divers mandants.

  • Pour lire « Interview | Me Virginie de Araujo-Recchia : avocate au barreau de Paris », 11 février 2021 sur France-Soir : cliquer ici.
  • Pour lire « Maître de Araujo-Recchia dépose plainte contre les parlementaires ayant voté la loi du 5 août » sur France-Soir : cliquer ici.
  • Pour lire « L’heure des comptes Covid sonnera un jour, la justice pénale est saisie » sur le site de l’AIMSIB : cliquer ici.
  • Pour lire la plainte des associations Bon Sens et AIMSIB contre les ministres Castex, Véran et Blanquer, rédigée par Me de Araujo-Recchia : cliquer ici.

Le Grand Jury de l’Opinion Publique

Surtout, elle participe activement aux travaux du Grand Jury, lequel, jour après jour, révèle et démonte implacablement l’envergure de ce qui apparaît de plus en plus comme une opération criminelle de grande envergure, préméditée depuis longtemps – c’est en tout cas l’hypothèse forte qui se dessine selon le communiqué inaugural de cette instance ad hoc:

COMMUNIQUÉ

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, annonçons par la présente que nous mènerons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du grand jury des États-Unis. Cette procédure du Grand Jury sert de modèle de procédure juridique pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles à ce jour des crimes Covid-19 contre l’humanité à l’encontre « les dirigeants, des organisateurs, des instigateurs et des complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie. Les crimes, objet de l’enquête, englobent tous les actes commis par une personne en vertu d’un dessein partagé de commettre des crimes contre l’humanité et tous ces actes criminels seront condamnés dans les diverses communautés de jurés à travers le monde.

Cette procédure porte sur le peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle est appelée le « Tribunal populaire » de l’opinion publique ». N’ayant pas été en mesure de trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles observées devant les tribunaux du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel, en nous fondant sur le droit naturel. Ceci, à son tour, est fondé sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement faire la distinction entre le bien et le mal, et entre le vrai et le faux.

L’allégation principale repose sur le fait que : « les gouvernements du monde entier sont sous l’influence de structures corrompues et de puissances criminelles. Une entente a été établie afin de mettre en scène une pandémie planifiée depuis des années. Dans ce but, une panique de masse a été délibérément créée, soutenue par de fausses déclarations de faits. Une opération sociale psychologique « psy-ops » a été aussi conçue dont les messages ont été transmis et relayés par le biais des médias corporatifs.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccins » qui se sont entre temps révélés n’être ni efficaces, ni sûrs, mais extrêmement dangereux, voire mortels.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causé à la population mondiale peuvent être mesurés en quadrillions de dollars.

Cette procédure du Grand Jury sera menée par les avocats susnommés, avec l’aide d’un grand nombre de scientifiques et d’experts hautement respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal.

Ils fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête de la Cour populaire de l’opinion publique est double : d’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations, contre certaines des figures de proue, criminellement et civilement responsables de ces crimes contre l’Humanité. D’autre part, en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique, il s’agit de sensibiliser le public à

  • l’effondrement factuel du système actuel, détourné et de ses institutions, et, par conséquent,
  • la nécessité pour le peuple lui-même de reprendre sa souveraineté, et
  • la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette « plandémie » en refusant de s’y conformer, et
  • la nécessité de relancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin que la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions soient rétablis.

La Cour populaire de l’opinion publique fonctionne indépendamment de tout gouvernement et de toute organisation non gouvernementale. Le soutien logistique est assuré par le Comité d’enquête sur le Corona de Berlin www.corona-ausschuss.de

Retrouvez les vidéos sur www.grand-jury.net contact@grand-jury.net

Les experts du Grand-jury :-

  • Virginie de Araujo Recchia, avocate, France
  • Juge Rui Fonseca E Castro, avocat au Portugal
  • Claire Deeks, avocat en Nouvelle-Zélande
  • Viviane Fischer, avocat en Allemagne
  • Dr. Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne
  • N. Ana Garner, avocate, États-Unis
  • Dr. Renate Holzeisen, avocate, Italie
  • Tony Nikolic, avocat, Australie
  • Dipali Ojha, avocate, Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt (Adv.), avocat, Afrique du Sud
  • Deana Sacks, avocat États-Unis
  • Michael Swinwood, avocat, Canada

  • Pour lire « La procédure de Reiner Fuellmich lancée : un « Grand Jury » par la Cour populaire de l’Opinion Publique » sur France Soir : cliquer ici.

[Voir aussi :
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

Grand Jury – Session 2

Jour 3 – Grand Jury]

Too much is too much [Trop, c’est trop]

Nous ne pouvons bien sûr préjuger de ce qui est reproché à Me de Araujo. Mais l’hypothèse que l’avocate aurait trempé dans une conspiration ayant pour finalité un coup d’Etat est tellement peu crédible qu’il faut à ce stade en privilégier d’autres. Les progrès du Grand Jury et ce que ses travaux dévoilent semblent constituer un motif bien plus plausible à ce stade pour expliquer la nervosité extrême du pouvoir en France.

Un pouvoir en pleine dérive autoritaire et dont l’on doit se demander avec le plus grand sérieux s’il n’a pas purement et simplement basculé dans une psychopathologie paranoïaque- laquelle est historiquement la grande signature psychique de ceux qui perpétuent les dérives totalitaires. Au cours desquelles -c’est leur nature intrinsèque révélée par l’étymologie- ne sont plus supportées aucune contestation, aucune divergence d’opinion, aucune opposition d’aucune sorte.

Lorsque d’aucunes se manifestent (rappelons au passage qu’elles sont les garantes nécessaires de la démocratie comme de l’intelligence), reste à les écraser en faisant usage de tous moyens utiles.

C’est dans cette boursouflure qu’il est plus que probable hélas que soit tombée la macronie. Après avoir commencé par régler leur compte aux scientifiques, médecins, universitaires et parlementaires qui ont au l’audace de contester ce que le gouverneur de Floride appelle « la pièce de théâtre du Covid » ayant servi à la destruction des libertés et des fondements de l’état de droit, elle semble maintenant prête à s’en prendre aux quelques journalistes et aux avocats qui osent défier sa toute-puissance.

Jeu à double-tranchant et même à vrai dire dangereux pour elle tant elle risque par là de révéler ouvertement son vrai visage.

  • Pour lire « Il est plus que temps d’arrêter le théâtre du Covid » selon le Gouverneur de Floride sur Covidhub : cliquer ici.



Une avocate antivax kidnappée et séquestrée par les barbouzes de Macron

[Source : RL]

Par Christian Navis

Le 22 mars 2022 la macronestapo procédait à la rafle matinale de Maître Virginie de Araujo Recchia, et à sa séquestration en un lieu tenu secret, en violation de ses droits. Une info étouffée dans le silence complice des médias main stream.

[Voir aussi :
L’avocate Virginie de Araujo-Recchia placée en garde à vue]

Cette juriste opposée à la dictature sanitaire travaillait avec Reiner Fuellmich, son confrère qui a initié contre Macronescu une procédure internationale en crimes contre l’humanité.

Cette procédure s’articule, entre autres griefs, sur les contraintes vaccinales sous menaces et chantages, en violation du code de la santé français et du code de Nuremberg.  Aggravées par les nombreux accidents, certains mortels, résultant de ces thérapies expérimentales rendues obligatoires sur des cobayes  humains.

Mais je vous parie que les nervis du pouvoir vont « découvrir » quelques grammes de coke chez elle, ou une arme ayant servi à un hold up, ou alléguer tout autre prétexte permettant de la séquestrer. Et après ça, la macronaillerie traite Poutine de dictateur !

Elle a commis des fautes impardonnables !

À l’été 2021, après que Macronescu a imposé l’obligation vaccinale pour tous les soignants et la généralisation du passe nazitaire pour l’ensemble des Français ne voulant plus rester enfermés chez eux, elle clamait dans une vidéo virale qui n’allait pas tarder à être cenSSurée, que les mesures gouvernementales covidesques, notamment la vaccination forcée et le port du masque obligatoire, participaient à un génocide dans un pays où la séparation des pouvoirs n’existait plus.

Puis en février 2022, elle rassemble des preuves pour le Tribunal international (non reconnu par la France, comme les nazis récusaient Nuremberg) mis en place par l’avocat allemand Reiner Fuellmich afin de juger les politiciens cupides qui ont contribué, avec leurs pseudo-vaccins, à tuer plus de gens que le virus de la grippe pangoline.

Il tombe sous le sens que les voyous qui ont pris la France en otage ne pouvaient tolérer pareilles dénonciations.

Peu de temps auparavant, elle avait rendu public son rapport intitulé « Dictature 2020 » accusant le pouvoir macronien et ses sbires de « terrorisme d’État, atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation et crimes contre l’humanité ».

Ce document devait constituer la base des poursuites pénales contre les membres de ce gouvernement de république bananière.

Elle ne fait qu’énoncer des évidences lorsqu’elle écrit : « On empêche les gens de travailler, on empêche les gens d’avoir une vie sociale, on isole les personnes depuis plusieurs mois, après leur avoir fait croire que tout irait mieux en portant le masque. »

Mais le dictateur et ses séides n’aiment pas entendre de genre de vérités. Malgré l’armada des journaleux vendus et des médias pourris qui chantent leurs louanges 24/24, ils craignent que les yeux des électeurs s’ouvrent avant l’élection.



Dénoncer les crapules au pouvoir est le crime le plus horrible !

Elle aurait été arrêtée sans mandat par des agents se prétendant de la DGSI, agence gouvernementale chargée de l’espionnage et du contre-terrorisme. Aucun chef d’inculpation n’a été notifié et il semblerait qu’on lui ait refusé le coup de téléphone et la présence d’un confrère, dont bénéficient les braqueurs, les narcos et les égorgeurs.

On a une chance de la revoir vivante car mieux vaut prendre des coups de Bottin sur la tête que d’avoir affaire à ces officines parallèles qui, de Ben Barka à Doucet, de Boulin à Bérégovoy, de François de Grossouvre à Jean-Edern Hallier et Claire Séverac ont su neutraliser les gêneurs.

Quand ils ne font pas disparaître discrètement les corps, les nettoyeurs s’y entendent pour qu’il leur arrive des accidents de bicyclette, des noyades dans une flaque d’eau, ou qu’ils se suicident de deux balles dans la nuque.

Virginie de Araujo-Recchia avait déjà déposé plusieurs plaintes au pénal contre le répugnant Emmanuel Lechypre et contre le fantoche Blachier, ainsi que contre les directeurs de publication de plusieurs médias menteurs complices des covideurs. De même que contre les membres de la commission mixte paritaire ayant validé le scélérat passe vaccinal. Et elle envisageait d’assigner des ministres corrompus.

Bien évidemment, Dupond le Yéti avait donné ordre à ses parquetiers de classer ces affaires, ce qui fut fait promptement.

Mais par effet Streisand, entre cenSSure, dénégations insensées et mensonges incohérents, un nombre croissant de personnes, ré informées par le web, ont commencé à se poser des questions. Auxquelles le paltoquet ne répondra pas puisqu’il refuse tout débat. Mais auxquelles des électeurs moins stupides qu’il l’imagine, trouveront tout seuls les bonnes réponses.

Le tyran craint pour son trône

On imagine le paltoquet hystérique, trépignant, éructant, hurlant et se bavant dessus devant Jean-Britt désemparé, incapable de consoler le gamin.

Si Macronescu se fait jeter, fini la belle vie aux frais des contribuables ! Fini la protection des banksters puisqu’il ne leur servira plus à rien ! Fini surtout l’immunité de la fonction et donc le risque de devoir répondre de ses méfaits. De tous ses crimes. À commencer par ceux contre les Gilets jaunes. En continuant par les expérimentations de masse sur des êtres humains contre leur volonté.

Il n’y a pas que la dictature sanitaire !

Des juristes que j’ai consultés m’ont confirmé que des éléments constitutifs de crimes contre l’humanité étaient incriminants depuis les Gilets jaunes.

Et si le manque de réaction des partis et des institutions, et la lâcheté des politiques, ont été pour Macronescu un encouragement à aller plus loin, en terrorisant les gens pour leur imposer ses décisions arbitraires d’autocrate capricieux et immature, ce n’est pas une excuse.

Si l’on s’en tient à la lettre du Code pénal, Macron et ses complices devraient être accusés de crimes contre l’humanité selon les dispositions de l’art 212-1 – 2°, 5° et 11° du code pénal ainsi libellés :

« Constitue un crime contre l’humanité et est puni de la réclusion criminelle à perpétuité l’un des actes ci-après commis en exécution d’un plan concerté à l’encontre d’un groupe de population civile dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique :(…..)

2° L’extermination,

5° L’emprisonnement ou toute autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ;

(…..)

11° Les actes inhumains causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou psychique. »

Pourraient trouver également application les dispositions de l’art 211-1 punissant de la réclusion criminelle à perpétuité « tout plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe déterminé à partir de tout critère arbitraire et de commettre ou faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie (…..) »

Les faits vus au travers du Droit :

1 / Sur le chef d’accusation du 212 – 1 11° : 11°alors que la menace d’épidémie était connue dès le mois de décembre 2019, un arrêté du 13 janvier 2020 a déclaré « substance vénéneuse » l’hydroxychloroquine, une molécule utilisée depuis 80 ans, tombée dans le domaine public donc bon marché, et dont les effets anti-viraux étaient connus.

Puis est venue une nouvelle mesure cynique : par décret du 25 mars 2020, le gouvernement a limité l’usage de ce remède aux cas désespérés afin de pouvoir en dénoncer l’inefficacité. Surtout quand on sait que prescrire de l’hydroxychloroquine à un moribond sans le combiner à l’azithromycine revient à traiter un cancéreux avec de la tisane de queues de cerise…

Le tout assorti d’une campagne médiatique hystérique de dénigrement des médecins qui proposaient cette thérapie. Brocardés, contredits et insultés par des journaleux agressifs dont la plupart n’ont pas le niveau scientifique d’un BEPC d’antan.

Menacés par ailleurs des foudres de l’administration s’ils revendiquaient le droit de choisir librement leurs prescriptions, conformément au code de déontologie. Même Pétain et Laval lorsqu’ils ont créé l’Ordre n’avaient pas osé aller aussi loin !

Aujourd’hui il est permis de s’étonner de la célérité avec laquelle l’ANSM a donné des « avis » conformes aux décisions du dictateur. L’ANSM impliquée dans les scandales du Médiator, de la Dépakine et du Levothyrox, et traduite en justice pour ses nombreuses erreurs.

On doit ajouter au désastre initial l’impossibilité matérielle pour des millions de personnes de soigner leurs maladies chroniques, perdant ainsi des chances de vie. De même que des affections autres que celles résultant du covid, du fait de la fermeture arbitraire des cabinets médicaux et de l’interdiction faite aux patients de se déplacer normalement.

S’y est ajoutée par la suite l’interdiction d’accès aux hôpitaux pour les gens non vaxinés, quel que soit le mal dont ils souffrent, soumis à un véritable chantage : Faites-vous piquer sinon on vous laissera crever la gueule ouverte pleine de mouches !

Bien que rackettés toute leur vie par une Sécu qui ne profite réellement qu’aux étrangers de préférence en situation irrégulière couverts à 100 % sans avoir jamais cotisé, on refuse de soigner les Français qui ne veulent pas servir de cobayes.

Les médicastres qui se déshonorent ainsi devront eux aussi rendre des comptes, le moment venu.

Une inconséquence criminelle peut être lue à travers la chronologie des faits et leur réitération malgré les nombreuses réserves et mises en garde provenant d’une partie du corps médical honnête et des virologues et épidémiologistes scrupuleux.

Lesquels ont été bâillonnés afin de ne pas nuire aux intérêts d’entreprises pharmaceutiques dont les dirigeants, proches du tyran et des membres de son gouvernement, devront répondre du chef de corruption active et de conflits d’intérêts, en plus de complicité d’homicides.

2/ En ce qui concerne la définition du 2e des crimes contre l’humanité, le décret du 28 mars 2020 prescrivant, facilitant et incitant à l’usage de Rivotril afin d’achever les personnes les plus âgées répond au qualificatif juridique d’ « extermination », tuerie de masse délibérément organisée selon des critères discriminatifs précis : l’âge et le niveau socio-économique.

3/ Pour ce qui relève du 5e des crimes contre l’humanitépeuvent être considérées comme constitutives d’atteintes graves et répétées aux droits civils des citoyens : l’assignation à domicile arbitraire de toute une population, sans condamnation préalable des personnes pour quelque délit que ce soit, instaurant une présomption de culpabilité généralisée s’appliquant de façon aveugle à chacun dans un climat de méfiance, de mal-être et de terreur entretenus par des harcèlements systématiques opérés par des milices qui n’ont plus rien à voir avec une police républicaine.

Le tout encadré par des sanctions pénales abusives décidées pour appuyer ces mesures autoritaires sans que les représentants élus du peuple en aient débattu et les aient votées.

Même si ces diktats furent validés ultérieurement par le Conseil anticonstitutionnel, ce rattrapage a piétiné le principe général de non-rétroactivité des lois pénales. Outre le fait qu’ils intervenaient dans le domaine dévolu à la loi, même si on les a qualifiés de « contraventions » dont les peines étaient supérieures à certains délits !

4/ En ce qui concerne le 212 – 1 – 11°,  Les piquouses forcées avec des produits dangereux sont bien des actes inhumains intentionnels causant des atteintes graves à l’intégrité physique ou psychique des personnes, passibles de la réclusion criminelle à perpétuité.

On peut y ajouter l’état de sidération dans lequel on a maintenu les enfants pendant 2 ans, en les terrorisant et en les contraignant à porter en permanence une muselière nocive, provoquant des troubles cutanés et respiratoires, et altérant gravement leur développement psychique et intellectuel en les privant des indispensables interactions visuelles avec leurs interlocuteurs.

 Tout cela s’ajoute aux crime constitués avant par les ordres donnés pour terroriser, éborgner et mutiler des manifestants pacifiques en utilisant, pendant toute une année, chaque semaine de façon délibérée, une panoplie d’armes létales telles que des grenades de combat rapproché et des balles renforcées à projection ultra rapide dites de dispersion, spécialement calibrées pour faire le plus de dégâts possible, et dont on savait qu’elles provoquaient des énucléations et des amputations à répétition.

Sans oublier les jet de gaz corrosifs et asphyxiants en plein visage, provoquant des cécités et des défigurations, pour le plus grand amusement des nervis.

Ces crimes ont occasionné des dommages physiques et psychiques à plusieurs milliers de personnes, et parmi elles des centaines de blessés très graves qui devront obtenir réparation. En attestent l’abondante documentation vidéo, les nombreuses déclarations des soignants ainsi que les témoignages de quelques policiers qui ont préféré se porter malades ou prendre des congés plutôt que de se rendre complices du dictateur.

Je connais personnellement un haut gradé, « en maladie diplomatique » prêt à témoigner à charge, une fois que Macronescu et sa clique auront été inculpés.

Les autres gradés et subalternes de la force publique auteurs d’agressions physiques devront être poursuivis du chef de coups et blessures volontaires, tentatives d’homicides, tortures et traitements dégradants. Y compris ceux qui ont impunément harcelé, tabassé et racketté d’innocents promeneurs pour une muselière de travers.

Leur culpabilité sera établie en fonction du degré de zèle avec lequel chacun a suivi des ordres manifestement illégaux.

En vertu de la jurisprudence de Nuremberg selon laquelle :

« L’obéissance aveugle à des ordres injustes ou illégaux n’exonère pas les exécutants de leur responsabilité pénale personnelle. »

SVP n’oubliez pas  Virginie de Araujo Recchia et racontez partout où vous pouvez le traitement odieux que lui infligent les tontons macoutes du despote. Seule une vague d’indignation soutenue pourra la sauver de ses tortionnaires !

Christian Navis




L’avocate Virginie de Araujo-Recchia placée en garde à vue

[Source : mediazone.zonefr.com]

Par Eric Montana

Dans nos démocraties de théâtre, on arrête même les avocats… Virginie est actuellement en garde à vue.
Son crime ? Sans doute qu’appartenir au collectif d’avocats internationaux avec Maître Reiner Fuellmich peut être une « raison »… Sa participation au Grand Jury pour dénoncer les tests bidons et les injections peut aussi être un facteur aggravant. Pour l’instant nous n’en voyons pas d’autres…

Mais par contre ce que nous constatons, c’est encore une preuve que nous ne vivons pas dans un Etat de droit…

Virginie de Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris, a été arrêtée tôt ce matin [le 22 mars] à son domicile et a été placée en garde à vue ce matin.

À l’heure actuelle, les faits qui lui sont reprochés ne sont pas encore connus. Un communiqué a cependant été publié et largement diffusé sur les réseaux sociaux:

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Puis en milieu d’après-midi, un second communiqué précisait que Maître Araujo-Recchia avait enfin été localisée et qu’un avocat l’assistait.

Rappelons que Maître Virginie Araujo-Recchia avait déposé plusieurs plaintes contre X visant les directeurs de publication des médias, ou contre les membres de la commission mixte paritaire ayant validé le passe vaccinal, et qu’elle faisait partie du collectif d’avocats du « Grand Jury » mis en place par Reiner Fuellmich.

D’après des sources proches du dossier, elle travaillait sur une plainte visant des partis politiques et les agissements de certains de leurs membres, et aurait été emmenée à la DGSI, à Levallois.

Cette nouvelle a suscité beaucoup d’interrogations, une immense émotion dans de nombreux pays, et de l’indignation chez tous ceux qui suivent son action avec bienveillance et attention. Cette avocate au courage exemplaire que nous suivons et que nous soutenons, représente un espoir que justice puisse enfin être rendue à toutes les victimes de cette campagne d’injections dont il est désormais prouvé que les conséquences et les effets secondaires tragiques ont généré plus de décès que le virus qu’elle est censée combattre.

Pour ce qui concerne MediaZOne, nous affirmons depuis le début que nous sommes dans le cadre d’une conspiration criminelle car le simple fait que les gouvernements occidentaux aient garanti l’impunité judiciaire aux labos pharmaceutiques qui produisent ces supposés vaccins, constitue la plus grave anomalie et la raison suprême qui nous permet de le déduire.

Et puis, ayant eu connaissance de la feuille de route que les gouvernements sont tenus d’appliquer, nous constatons que le plan se déroule comme il a été fixé et qu’à cette campagne d’injections va succéder une pénurie alimentaire dont même Macron s’est fait l’annonciateur.

Au fur et à mesure que les pièces du puzzle se mettent en place, nous avons de moins en moins de raisons de douter que cette conspiration a pour but la réduction de la population mondiale, la destruction de l’économie occidentale et la mise en place du Grand Reset transhumaniste.

Tôt ou tard les peuples vont prendre conscience de cet état de fait et il reste à espérer qu’ils réagiront et y mettront un terme. Notre passivité et notre indifférence sont les vrais dangers qui nous mèneraient vers le plus grand crime contre l’humanité de l’Histoire.

L’arrestation de cette jeune et brillante avocate constitue la preuve absolue que nous ne vivons ni dans une démocratie ni dans un Etat de droit. Une affaire que nous suivons avec beaucoup d’attention, qui appelle de plus amples informations, que nous ne manquerons pas de publier dès que nous en aurons.

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Jour 3 – Grand Jury

[Source : @JeanneTraduction]




Grand Jury – Session 2

Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !




Grand Jury – Session 2

[Sources : la-verite-vous-rendra-libres.org et @JeanneTraduction]

Aperçu

Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19e siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian Gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covid-19 n’est qu’une continuité, nous dit-il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendue de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées.
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.



Transcription

0:14 Reiner Fullmich :

Bonsoir ou bonjour, où que vous soyez. C’est le deuxième jour de l’enquête du grand jury. Il s’agit d’une procédure modèle qui va examiner de très près l’ensemble de la pandémie du Coronavirus, comment elle a commencé, les détails des tests PCR. Mais nous allons commencer aujourd’hui par un examen plus approfondi du contexte historique et géopolitique. Commençons donc par notre premier expert. Et c’est Matthew. Ce n’est pas vous. C’est Alex, Alex Thompson. Alex, s’il vous plaît, présentez-vous et ensuite nous allons passer directement in medias res [au cœur du sujet] comme le disent les latinistes. Votre micro est éteint.

1:10 Alex Thomson :

Merci beaucoup. Reiner. Je suis Alex Thomson. Pendant huit ans, j’ai fait partie de l’agence britannique de renseignement GCHQ, l’agence partenaire de la NSA. Ensuite, j’ai été un officier responsable pour l’ancienne Union Soviétique. Et un transcripteur en plusieurs langues, y compris le russe et l’allemand, de matériel intercepté. Dans la seconde moitié de cette période, j’ai également été membre de l’équipe interdisciplinaire du GCHQ pour les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires, la CBRN. En cette qualité, j’ai appris à connaître la façon dont les services de renseignement et l’establishment militaire anglo-américains considèrent leur état de domination en toute connaissance de cause, pour tout ce qui peut affecter la santé à grande échelle, et le potentiel de militarisation de ces agents. Mais vous m’avez demandé de faire un résumé d’environ 20 minutes de la situation géopolitique telle qu’elle se présentait dans le monde au cours de la période charnière qui a précédé l’après-Seconde Guerre mondiale, car la majeure partie des témoignages de ce soir et des sessions suivantes du grand jury se concentreront sur le monde d’après-1945. Et c’est à cette époque que de nombreux plans pour unifier les gouvernements mondiaux ont commencé à se mettre en place en théorie, dont les questions de santé qui vous préoccupent. Et je soutiens que la puissance dominante dans le monde, à savoir la City de Londres, le cœur financier de l’Empire britannique, s’est préparée à cette situation, à partir de 1870 environ. Dans le monde moderne, la monopolisation, la cartellisation du monde commence en théorie à cette époque. Tout ce que nous faisons, et par « nous », j’entends la chaîne UK Column news, car je suis également rejoint ce soir par Brian Gerrish, le co-rédacteur en chef, qui témoignera plus tard… Toutes nos enquêtes sur la corruption émanant des monopoles de la Couronne britannique et de l’argent de la City de Londres semblent remonter à cette période autour de 1870, au cours de laquelle, en résumé, plusieurs révolutions ont été menées par l’élite britannique, et toutes visaient à contenir la productivité et à empêcher la croissance de l’intelligence et de la propriété intellectuelle parmi les peuples autochtones de l’Empire britannique et des nations concurrentes. Il y a donc eu une révolution dans ce que vous pourriez appeler l’espace mental, qui depuis 2010, est un terme explicitement utilisé par le département central du gouvernement britannique, le Cabinet Office. Une révolution dans la qualité de l’éducation offerte aux écoliers britanniques et plus tard aux autres écoliers occidentaux, une révolution dans le vol de la propriété intellectuelle par l’élite. Une révolution dans le modèle des soins de santé et de leur libre accès, et chez nous, une révolution constitutionnelle, du modèle classique de démocratie libérale britannique, dont je sais qu’il a été explicitement copié sur la Grande-Bretagne par le continent européen et ses écoles de droit, à un modèle qui contrôle rigoureusement ce qui se passe au Parlement et dans les agences dirigées par les gouvernements utilisant le système des instructions de vote des partis. Tout cela s’est produit, comme je l’ai dit, autour de 1870 et, chez nous, en Grande-Bretagne, cela a été en grande partie achevé par l’année charnière entre 1947 et 1948, lorsque la Grande-Bretagne avait un service national de santé unique, autre que le Canada, qu’elle ouvrait la voie à l’unification militaire du continent européen et de l’ensemble de l’OTAN et que, de bien d’autres façons, y compris à travers la planification du droit et de la citoyenneté, elle menait le monde en réinventant la façon dont elle gérait sa population. Le nœud central ici est la ville de Londres, c’est-à-dire la City au cœur même de ce qu’on appelle aujourd’hui le Grand Londres. Ce point est important parce que la City de Londres et l’Église d’Angleterre sont les seules institutions qui ont survécu à toutes les révolutions constitutionnelles dans les îles britanniques, en gardant leurs privilèges et leur immense richesse intacts. La City de Londres se distingue des autres mégapoles mondiales en ce qu’elle a choisi de rester géographiquement petite alors que la zone urbaine qui l’entoure se développait. La City de Londres a toujours un statut juridique distinct des 32 autres arrondissements londoniens, et ne fait pas vraiment partie du Grand Londres en tant que tel, ses privilèges ayant été consacrés dès la Magna Carta de 1215. Son gouvernement autonome n’a jamais été remis en question. À plusieurs reprises au cours de son histoire, elle a exercé un pouvoir sur la couronne britannique et donc, sur une grande partie de la planète pendant l’Empire britannique, notamment pendant les guerres civiles du milieu du 17e siècle, lorsque la City de Londres est restée une puissance financière rivale de la couronne et a même, d’une certaine manière, aboli cette dernière pendant plus d’une décennie. Et après la restauration des couronnes et finalement la révolution anglaise. Six ans seulement après, avec l’arrivée du roi hollandais Guillaume III sur le trône de Grande-Bretagne, la Banque d’Angleterre a été créée en 1694 avec une injection de 12,5 millions de livres sterling de liquidités dans la couronne par ces actionnaires privés, dont on nous dit avec certitude qu’elles forment la base de toutes les dettes engendrées depuis lors jusqu’à ce jour, et les descendants actuels de ces actionnaires et autres personnes ayant droit à des parts de la Banque d’Angleterre sont tenus secrets. La City de Londres exerce également un pouvoir et un contrôle sur ce que l’on appelle la « mère des parlements », le parlement de Westminster, notamment sous la forme d’un fonctionnaire de la City de Londres, connu sous le nom de « remembrancer », qui siège à la Chambre des communes, où même le monarque n’est pas autorisé à entrer et qui enregistre les propos tenus au sujet des intérêts financiers. Il est trop compliqué de donner une définition de la Couronne selon le modèle britannique. Mais ce qui est important, c’est que le Cabinet Office et ministère qui a été créé au début du 20e siècle est le dépositaire effectif des prérogatives de la Couronne. Ainsi, lorsque des personnes extérieures au Royaume-Uni pensent à la Couronne, elles pensent souvent de manière excessive à l’ancienne situation où le monarque prêtait serment lors de son couronnement et était responsable devant le peuple. Dans la pratique, à partir de 1870 environ, la révolution constitutionnelle a fait en sorte que les financiers qui contrôlaient les partis politiques tirent en fait les leviers des prérogatives de la Couronne. Dans les coulisses, le modèle de gouvernement que la Grande-Bretagne possède encore et qu’elle a exporté dans le Commonwealth et dans le monde entier est celui d’un sanctuaire intérieur, le Conseil privé, qui gouverne en fait au nom de la Couronne, et ce n’est qu’en apparence, comme l’ont admis les principaux auteurs constitutionnels depuis les années 1870, c’est seulement pour le spectacle que le Parlement et les ministères sont consultés, comme s’il existait une séparation entre le pouvoir législatif exécutif et le pouvoir judiciaire au niveau du Conseil privé. Or, ce n’est pas le cas. Durant cette période cruciale dont nous parlons, l’éminent constitutionnaliste anglais Walter Bagehot, l’a admis au 17e siècle. Dans la deuxième édition de son livre, « La constitution anglaise », écrit en 1873, juste au moment où les instructions de vote des partis modernes ainsi que le think tank se mettaient en place pour établir la volonté du monopoleur dans la City de Londres, Walter Bagehot a écrit dans un paragraphe qu’il y avait une distinction entre, je cite, « les parties prestigieuses du gouvernement », c’est-à-dire les parties qui sont là pour le spectacle, et plus personnellement la Couronne et, je cite, « les parties efficaces dans le sens des parties fonctionnelles de la machine ». Et il admet que les parties attrayantes ont un but, mais servent seulement à attirer la force du soutien national vers les parties qui travaillent vraiment dans les coulisses. Maintenant, pour simplifier au maximum, je pense qu’il est important de souligner que l’universitaire en histoire de l’université de Georgetown, Carroll Quigley, ça s’épelle CARROLL Quigley, qui était le tuteur de Bill Clinton, entre autres, a écrit très franchement dans son livre, « Tragédie et Espoir », l’histoire du monde à cette époque, qu’il y a eu quatre révolutions industrielles. Oui, ce langage familier venant du Forum économique mondial a déjà été utilisé dans les années 1960 par Quigley et nous ne comprendrons pas cela à moins de voir que le point de vue adopté ici est celui de qui possède la population, d’abord en Grande-Bretagne et ensuite dans l’Empire britannique. Lors de la première révolution, la propriété de la terre et des moyens agricoles fournit la richesse, puis il y a une révolution industrielle mécanique, une deuxième révolution, puis une autre au cours de laquelle le capital financier domine le monde. Et c’est à partir de cette période, vers 1870, que la réserve d’argent de la City de Londres se rend compte que même cette bulle va éclater. Et que la meilleure façon de dominer le monde à l’avenir sera de posséder les esprits, la productivité et les pensées de ceux qui sont dans le modèle pour les empêcher de s’enfuir et de devenir un surproduit de leurs patrons. Ainsi, l’ère moderne de la capitalisation à la fois dans l’industrie et la géopolitique a commencé autour de l’année 1870. En l’espace de quelques années à peine, le monde est passé d’une situation dans laquelle la City de Londres et l’Empire britannique n’avaient aucune concurrence sérieuse à un monde dans lequel plusieurs économies industrialisées ont été capables de concurrencer la Grande-Bretagne. L’Empire britannique et son centre financier, la City de Londres, s’étaient massivement étendus en Asie au cours de la génération précédente, notamment avec les guerres afghanes et les guerres de l’opium dans les années 1840, les guerres de Crimée et la mutinerie indienne des années 1850. L’une des banques les plus puissantes de la City de Londres, la HSBC, date en fait de l’époque du commerce de l’opium chinois : la criminalité imprègne donc les banques de la City de Londres dès le départ. En Europe, l’ordre post-napoléonien imposé par la Grande-Bretagne lors du Congrès de Vienne en 1815 a commencé à s’effriter avec la réussite et l’échec des révolutions socialistes de 1848. La Russie et l’Autriche-Hongrie ainsi que les pays d’Europe de l’Est disposaient des armées terrestres les plus puissantes de l’époque, et ce sont eux qui ont sauvegardé l’Europe en restaurant les têtes couronnées. Par conséquent, l’obsession de la politique étrangère britannique depuis le milieu du 19e siècle — et c’est quelque chose que j’ai vu lorsque j’ai assisté aux réunions de Chatham House, le groupe de réflexion géopolitique suprême du monde à bien des égards, qui dit au Ministère des affaires étrangères ce qu’il doit faire — l’obsession de la politique étrangère britannique à partir du milieu du 19e siècle était une nouvelle stratégie, à savoir s’allier avec les grands rivaux du passé, la France et jusqu’à l’Empire ottoman, contre les alliés historiques de la Grande-Bretagne en Europe du Nord et en Europe centrale, afin d’empêcher toute future alliance russo-allemande qui pourrait devenir le bloc dominant du monde. Une seconde stratégie consistait à empêcher la montée fulgurante de la productivité intellectuelle américaine et la démocratisation de l’invention, et à essayer de capturer cela. Dès 1812, les troupes britanniques envahissant Washington DC ont notamment épargné l’office des brevets parce qu’elles savaient qu’en le brûlant, elles se tireraient une balle dans le pied et ne pourraient plus dominer les inventions américaines après la Révolution américaine. Vers 1860, sous l’impulsion de Bismarck, Garibaldi et du tsar Nicolas 1er, les trois plus grandes nations européennes, qui n’étaient auparavant grandes qu’en termes de culture, sont soudain devenues des États politiquement unifiés et économiquement modernes. Avec le débat de la grande et de la petite Allemagne, des signes sérieux indiquaient que l’Allemagne pourrait s’allier à l’Autriche pour former un seul État germanophone, et il était évident pour l’élite britannique qu’en l’espace d’une génération ou deux, ces trois pays, l’Allemagne, l’Italie et la Russie, deviendraient de grandes puissances, à peu près au même niveau que la Grande-Bretagne et la France. Les États-Unis sont sortis de la guerre civile en 1865 et ont entamé une ascension fulgurante vers la suprématie industrielle. L’élite britannique a correctement prévu que vers 1900, ces quatre nouvelles puissances commenceraient à avoir des forces navales aussi fortes que celles de la France ou de la Grande-Bretagne, et a prévu que les armées terrestres de ces puissances européennes seraient beaucoup plus fortes que celle de la Grande-Bretagne, de sorte que seule une alliance franco-britannique au nom des droits de l’homme et de la diffusion de la démocratie libérale, auparavant impensable, aurait pu tenir ces puissances en échec. En 1880, ce que l’on appelle la ruée vers l’Afrique battait son plein, ce qui a permis même à des nations européennes mineures sur le plan territorial, comme la Belgique et le Portugal, d’acquérir des ressources substantielles grâce à la colonisation de l’intérieur de l’Afrique, et de devenir de sérieux rivaux pour l’industrie et le commerce britanniques. Cela a mis la City de Londres dans un sérieux embarras, car, par exemple, le Portugal était le plus ancien allié de la Grande-Bretagne et la Belgique était un État qui devait son existence même à la négociation britannique de 1815. Des historiens ont avancé de sérieux arguments indiquant que la vague d’assassinats de l’ère édouardienne, notamment l’assassinat de la famille royale portugaise en 1908, et celui de l’archiduc François-Ferdinand en 1914, a été fomentée avec la connivence secrète de la City de Londres. Un pays asiatique est également devenu une grande puissance industrielle et militaire à la fin du 19e siècle, le Japon, et, à la grande surprise du monde entier, il a battu la Russie en 1905, donnant ainsi à de nombreuses populations coloniales d’Afrique et d’Asie l’idée qu’il n’y avait aucune raison pour qu’elles ne puissent pas elles aussi s’affirmer face à la domination européenne, comme l’avaient déjà fait les républiques d’Amérique latine contre l’Espagne. L’année suivante, 1906, fut celle de la course navale, de la crise du Dreadnought, qui a peut-être inévitablement déclenché le compte à rebours vers la Grande Guerre, la Première Guerre mondiale, car l’élite britannique et l’élite allemande étaient désormais déterminées à obtenir la weltherrschaft ou domination mondiale. Les deux pays se méfiaient à juste titre des motivations de l’autre. Ils étaient tous deux techniquement capables de dominer le monde, tant sur le plan industriel que dans l’espace mental, et disposaient tous deux pour la première fois de puissants blocs alliés. En résumé, le changement provoqué par la crise existentielle du milieu à la fin du 19e siècle a été le modèle commercial de la City de Londres tel que décrit par Quigley, les vagues successives de monopoles. Ce modèle en est venu à souligner l’importance de contrôler non plus seulement la force militaire ou les ressources matérielles, mais l’esprit des personnes désormais connues sous le nom de ressources humaines dans l’Empire britannique, et au-delà, et c’est pourquoi la science-fiction commence à parler de la propriété du patrimoine génétique de l’homme à partir de cette époque, afin que la City de Londres puisse vendre des biens et de plus en plus de services au reste du monde, qui ne pourrait jamais rattraper son retard dans l’espace mental. Le UK Column, les chercheurs et les commentateurs alliés constatent régulièrement que la City de Londres et les très riches institutions de pouvoir d’influence de la Grande-Bretagne, celles que Tony Blair, ce mois-ci encore, nous a dit que nous devions continuer à bien utiliser, mais en les dominant, comme le British Council, la BBC, les universités britanniques et l’Église d’Angleterre, que ces institutions continuent de considérer cette bataille pour l’esprit comme leur priorité absolue pour la domination du monde, et qu’elles considèrent la santé comme un sous-secteur de cette bataille. Nous sommes également pleinement convaincus, grâce à des découvertes répétées, que l’élite britannique se considère, à juste titre, comme la première puissance mondiale dans l’espace mental. En d’autres termes, la City de Londres fait faire aux autres nations le sale boulot pour elle. Et elle le fait surtout en réussissant le tour de force de faire en sorte que sa propre population, la Grande-Bretagne, le Commonwealth et les élites des autres nations adhèrent à sa perspective et à son récit, plutôt qu’à leurs propres perspectives et récits. C’est la vision que j’ai reçue lors de mon éducation d’élite britannique. Et c’est la vision que les agences de renseignement britanniques ont reçue pendant les deux guerres mondiales et la guerre froide. Ce n’est pas une stratégie officielle qui est enseignée dans les internats, les universités, les agences de renseignement ou lors de la formation des agents. Mais c’est en grande partie le credo des soi-disant lignées de familles d’élite qui dirigent la City de Londres. Et c’est le modus operandi des fondations anglo-américaines exonérées d’impôts, et des groupes de réflexion tels que Chatham House, une bulle qui a imposé les agendas de ces lignées aux gouvernements occidentaux. Une figure clé de l’année 1870 est celle de John Ruskin, apparemment inoffensif car il était le premier professeur d’art à Oxford. Mais il a apporté la doctrine selon laquelle l’élite britannique se devait d’exporter sa propre vision du monde au reste de la planète en termes très généraux. Et parmi les principaux étudiants qu’il influença, il y avait Cecil Rhodes, qui, bien sûr, est devenu fabuleusement riche en Afrique australe. Cecil Rhodes, et tout cela est documenté par de très nombreux historiens, a écrit des journaux secrets et formé des sociétés secrètes en 1891. Après 16 ans de planification, sa principale société secrète a été fondée. Les bourses Rhodes font partie de cette société. Les membres d’Oxford du réseau de Rhodes étaient des gens comme Lord Toynbee et Lord Milner, des géostratégistes bien connus. À Cambridge, il y avait le futur ministre des Affaires étrangères Lord Gray, et Lord Isha [orthographe incertaine]. À Londres, il y avait le journaliste de premier plan de l’époque, WT Stead, ainsi que des initiés et des membres du comité exécutif de Cecil Rhodes, parmi lesquels les hommes susmentionnés, plus Lord Rothschild. Après la mort de Rhodes en 1902, d’autres lignées anglaises de premier plan qui ont à plusieurs reprises entaché l’histoire de la City de Londres, comme les Astor, sont entrées dans ce cercle. Le cercle extérieur visant à réaliser la volonté de Cecil Rhodes — cette vision apparemment bénigne de la Grande-Bretagne forçant le monde à accepter sa démocratie libérale et à accepter cette façon de voir le monde — le cercle extérieur est devenu connu sous le nom de groupes de la Table ronde, qui sont toujours actifs aux États-Unis et dans sept autres pays et ont été mis en place à partir de 1909. Ce groupe considérait le succès de la Fédération canadienne de 1867 comme sa principale étude de cas, vous en entendrez parler plus tard par Matthew Ehret. Le Canada a été effectivement unifié politiquement et plus tard les autres colonies blanchies, les territoires blancs. Afin d’éviter la propagation de points de vue différents et de démocraties anglophones différentes dans le monde, ils devaient tous être rattachés au contrôle de la City de Londres. Ceci est également très contemporain, car parmi les nombreux boursiers de Rhodes qui dominent la politique mondiale et poussent le monde vers la globalisation, on trouve Bill Clinton, déjà mentionné, et au Forum Économique Mondial, la Professeur néo-zélandaise Ngaire Woods, qui s’est fait connaître cette année pour avoir déclaré au FEM que l’élite pouvait faire de grandes choses si elle s’unissait et si les gens du monde acceptaient simplement qu’elle était à leur tête. Rhodes a écrit dans l’un de ses journaux secrets, je cite, « pourquoi ne devrions-nous pas former de société secrète, avec un objectif », c’est-à-dire avec un seul objectif, « la promotion de l’Empire britannique, et la mise sous tutelle britannique de l’ensemble du monde non civilisé pour le rétablissement », à savoir le rétablissement de la Grande-Bretagne, « des États-Unis, et pour faire de la race anglo-saxonne un seul et unique empire ».

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Il a également écrit : « Formons le même genre de société, une église pour l’extension de l’Empire britannique ». On parle ici d’espace mental. Rhodes continue « une société qui devrait disposer de ses membres dans chaque partie de l’Empire britannique, œuvrant pour un objectif et une idée. Nous devrions placer ses membres dans nos universités et nos écoles, et nous devrions regarder la jeunesse anglaise passer entre leurs mains. Un seul peut-être sur 1000 aurait l’esprit et les sentiments adaptés à un tel objectif ». C’est à cela que servent les bourses Rhodes. « Il devrait être jugé de toutes les manières, il devrait être testé, pour voir s’il est endurant, doté d’éloquence, indifférent aux détails insignifiants de la vie, et s’il s’avère qu’il est ainsi », en d’autres termes, c’est un test psychologique, « alors il devrait être élu et prêter serment, ou jurer de garder le secret, pour servir durant le reste de sa vie son pays. Il devrait ensuite être soutenu, s’il n’en a pas les moyens, par la société et envoyé dans la partie de l’empire qui juge sa présence utile ». Et dans cette vision, bien sûr, les États-Unis font partie de l’empire. Dans un autre de ses testaments, Rhodes décrit plus en détail son intention, je cite : « pour l’établissement, la promotion et le développement d’une société secrète. Le véritable but et objet de cette société sera l’extension de la domination britannique à travers le monde. La colonisation par des sujets britanniques de toutes les terres où les moyens de subsistance sont accessibles par l’énergie, le travail et l’entreprise, et en particulier l’occupation par les colons britanniques de tout le continent africain, de la Terre Sainte, de la vallée de l’Euphrate », à savoir l’Irak moderne, « des îles de Chypre, et de l’île de Candie », à savoir la Crète, « de l’ensemble de – Pas sûr de l’ortographe du nom – l’Amérique du Sud, des îles du Pacifique n’étant pas jusqu’ici détenues par la Grande-Bretagne, de l’ensemble de l’archipel malais, de ceux longeant la Chine et le Japon », à savoir au large de la Chine et du Japon, « et le rétablissement final des États-Unis d’Amérique comme partie intégrante de l’Empire britannique ». Cette vision n’est pas l’apanage d’un Anglais particulièrement riche, mais elle s’est imposée aux États-Unis, dans ce qu’on appelle l’establishment de l’Est, la côte orientale, au moment où les États-Unis devenaient la puissance dominante du monde. Le témoignage clé à ce sujet est celui de Norman Dodd, DODD, donné peu avant sa mort en 1982 à G. Edward Griffin, que l’on trouve facilement en ligne en tapant Norman Dodd et fondations exonérées d’impôts. Dodd était le principal collaborateur de Reese, le membre du Congrès de l’est du Tennessee ou EECE, qui, dans les années 1950, a mené une enquête au nom du Congrès sur l’effet de ces fondations exonérées d’impôts aux États-Unis, lesquelles ont adopté la vision de la City de Londres et de Cecil Rhodes afin de dominer la richesse.

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Maintenant, je vais lire ce que Dodd a dit dans cette interview. Il indique avoir embauché une avocate sceptique à Washington. C’était dans les années 1950 et il l’a envoyée à la bibliothèque de la Fondation Carnegie, l’une des principales fondations exonérées d’impôts, à laquelle elle a eu accès avec une ceinture de dictaphone, la technologie de l’époque pour enregistrer efficacement ce qu’elle lisait, afin de scanner la bibliothèque et de voir ce qui se disait à partir des années 1906 dont j’ai parlé plus tôt, et cette femme initialement sceptique je cite, indifférente aux objectifs du comité des risques, a découvert cela, ce qui l’a horrifiée. Elle a dicté dans sa ceinture, selon Dodd, « nous sommes maintenant en 1908, l’année où la Fondation Carnegie a commencé ses opérations. Et cette année-là », lit-elle tandis qu’elle se trouve dans la bibliothèque de la Fondation Carnegie, « la réunion des fiduciaires a pour la première fois soulevé une question précise dont ils ont discuté pendant tout le reste de l’année d’une manière très savante. Et la question est la suivante : existe-t-il un moyen connu, plus efficace que la guerre, en supposant que vous souhaitiez modifier la vie d’un peuple entier ? », et ils concluent que non, « aucun moyen plus efficace que la guerre, à cette fin, n’est connu de l’humanité ». La Fondation Carnegie a soulevé la deuxième question et en a discuté, à savoir, « comment impliquer les États-Unis dans une guerre » ? Je pourrais continuer sur cette lancée mais je n’ai pas le temps. Mais je pense que cela suffit en soi à donner les grandes lignes aux gens. Il ne suffit pas d’être de loin la plus grande puissance militaire et économique au monde, comme l’ont été les États-Unis avant et après la Première Guerre mondiale si votre espace mental est toujours contrôlé par l’idée selon laquelle le modèle démocratique libéral anglo -saxon est la seule possibilité. S’il est toujours contrôlé par l’hypothèse non vérifiée que tout le monde au sommet de ce modèle est payé pour la liberté, alors vous allez toujours trouver qu’un club d’intérêt personnel va diriger le monde. Et même dans des domaines tels que les soins de santé, que la Grande-Bretagne a été le premier pays au monde à nationaliser en 1948, vous allez découvrir que les gens supposent à tort et aveuglément que leurs meilleurs intérêts sont gardés à cœur. Dans deux minutes peut-être, j’aborderai l’autre point que je souhaite soulever, à savoir le financement des deux axes lors des deux guerres mondiales par la City de Londres et ses ramifications à Manhattan, Wall Street. Maintenant, ce n’est pas, encore une fois, une revendication sortie de nulle part. Des universitaires sérieux comme Anthony Sutton, qui travaillait à l’Institut Hoover de l’Université de Stanford en Californie, ont écrit des livres entiers à ce sujet, intitulés « Wall Street et la révolution bolchévique », et « Wall Street et l’ascension d’Hitler ». Tout cela est bien connu de ceux qui prennent la peine de s’informer à ce sujet. Il y avait toute une série de documents, qui ont été récupérés par Anthony Sutton : cela lui a coûté sa titularisation à Stanford. Il a mis tout ça dans ses livres. Et ce qu’il a découvert, c’est que, pour résumer, l’Union soviétique et le Troisième Reich ont été créés dans l’intérêt de la City de Londres et plus particulièrement de sa ramification à Wall Street. Et donc, si vous pouvez faire apparaître brièvement la première diapositive, que je vous ai demandé de mettre à l’écran, vous verrez un résultat de cela, à savoir qu’IBM avait une filiale monopolistique en Allemagne, dénommée Hollerith. Hollerit était le nom du propriétaire allemand. Pouvez-vous confirmer que cela est à l’écran en ce moment ? On va attendre un peu. Merci. Oui. Vous pouvez donc voir ici que Hollerith, le propriétaire allemand nominal de cette filiale d’IBM, propose au Troisième Reich Übersicht, ou une surveillance, en utilisant des cartes perforées, une technologie américaine concédée au Troisième Reich. En bas, vous pouvez lire Übersicht mit Hollerith Lochkarten, la connaissance totale de l’information par le biais des cartes perforées Hollerith. Et le nom de la société en bas est Deutsche Hollerith Maschinen Gesellschaft MBH, qui était à Berlin Lichterfelde.

28:01

La deuxième diapositive, que j’ai là, n’est qu’un exemple de l’étendue globale des services de renseignements britanniques dans des domaines que la constitution ne permet pas d’avoir. Vous pouvez voir ici un symbole d’arbre de Noël, indiquant que le MI5, même avant la Seconde Guerre mondiale, contrôlait qui accédait aux ondes de la BBC, qui était promu et qui était transféré. Tout cela se faisait donc sous le contrôle du MI5, les renseignements britanniques, qui sont théoriquement là pour la nation, mais qui ont en réalité été mis en place par les lignées dont je parle pour servir leurs objectifs privés. C’est en tout cas ainsi qu’ils considèrent la gestion du renseignement britannique. La troisième de mes quatre diapositives montre comment cela émerge en 2010, lorsque le Cabinet Office britannique, en collaboration avec un groupe de réflexion, l’Institute for Government, parle ouvertement de contrôler la pensée du monde et la pensée du peuple britannique. Ils étiquettent les parties du cerveau sous l’étiquette d’espace mental. Et sur la droite, je peux voir que vous avez mis le texte clé des pages 66 et 67 de ce document de 2010. Il est dit « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental » — c’est-à-dire en faisant pression pour que les gens se comportent comme le souhaitent les lignées plutôt que de mandater leurs gouvernements pour agir en leur nom — « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental, ils peuvent s’opposer aux moyens servant à l’atteindre. Les différents effets de l’espace mental entraîneront différents niveaux de controverse. Il existe plusieurs facteurs qui déterminent la controverse ». En d’autres termes, ils prévoient qu’on leur dira qu’il s’agit d’un renversement des objectifs du gouvernement, y compris dans le domaine des soins de santé, bien sûr. Ils poursuivent « Comme indiqué, les effets de l’espace mental dépendent au moins en partie du système automatique. Cela signifie que les citoyens peuvent ne pas réaliser pleinement que leur comportement est modifié, ou du moins de quelle manière il l’est. Il est clair que cela expose le gouvernement à des accusations de manipulation. Les gens ont tendance à penser que les tentatives visant à modifier leur comportement seront efficaces si on leur fournit simplement des informations de manière transparente. Cette aversion a un fondement psychologique, mais c’est essentiellement une question de confiance dans le gouvernement. L’absence de contrôle conscient a également des répercussions sur le consentement et la liberté de choix. Tout d’abord, il crée un besoin plus important pour les citoyens d’approuver l’utilisation du changement de comportement, peut-être en utilisant de nouvelles formes d’engagement démocratique ». On voit que dans ce modèle, la démocratie est le bien le plus élevé qui soit vendu, mais les leviers de manipulation de la démocratie sont entre les mains du cartel. « Deuxièmement, si l’effet fonctionne automatiquement, il offre peu de possibilités aux citoyens de se retirer ou de faire d’autres choix ; le concept d’architecture de choix est moins utile ici. Toute action susceptible de réduire le droit à l’erreur », le droit de refuser un traitement, par exemple, « sera très controversée. Bien sûr, certaines tentatives traditionnelles de changement de comportement ne sont pas explicites et elles ont suscité la controverse. Mais elles sont rarement accusées de manipulation, parce qu’elles sont fondées sur des actions conscientes visant à fournir et à enregistrer des informations, plutôt que sur des réactions inconscientes ». Je pense que cela établit assez bien le principe selon lequel nous sommes formés dans ce monde moderne dominé par la City de Londres et ses institutions dotées d’un pouvoir d’influence à penser que nous avons notre destin en main, parce que la démocratie libérale est souvent présentée comme étant le bon modèle face auquel tous les autres systèmes sont plus tyranniques et moins souhaitables. Mais toute la force du modèle de la City de Londres est qu’il peut même opérer à distance à travers d’autres pays comme les États-Unis et l’Allemagne, comme cela a été démontré ici, pour persuader les gens que ce qu’ils voulaient avant n’est pas vraiment ce qu’ils veulent maintenant. Et c’est le remplissage de l’espace mental, qui est, je pense, l’arme la plus puissante. C’est ce qui est disponible ici. Maintenant, je vois que j’ai dépassé le temps imparti. Je vais donc laisser le reste des détails, je n’aurais jamais pu espérer être exhaustif. Mais j’espère avoir donné aux gens un petit aperçu de la longue série de recherches historiques solides menées par des personnes connaissant bien l’establishment britannique afin d’établir que l’establishment britannique ne s’est pas battu loyalement depuis environ 1870. Et que la plupart des révolutions qu’il souhaitait provoquer, le contrôle de la démocratie par les instructions de vote des partis, le contrôle des soins de santé par les États obligatoires, les soins de santé fournis dans le modèle britannique et canadien, étaient tous en place dans la période d’après-guerre, qui est la période que Matthew Ehret va traiter d’après ce que j’ai compris pour nous amener dans l’ère d’après-1945.

32:56 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex, c’est une parfaite vue d’ensemble qui explique comment nous en sommes arrivés là. Si vous le permettez, j’aimerais juste poser quelques questions. Bien sûr, mes confrères feront de même. Mais est-il exact que la City de Londres est le véritable centre névralgique du Royaume-Uni ?

33:22 Alex Thomson :

Sans l’ombre d’un doute. Si vous avez eu mon parcours, c’est quelque chose que vous apprenez à l’internat, sans parler de l’université, dans le cadre du rugby et de Cambridge pour moi, et au moment où vous entrez dans la fonction publique, on vous regarde bizarrement si vous suggérez que le peuple de Grande-Bretagne ou de tout autre pays du Commonwealth est doté d’autodétermination. Non, il est entendu que la City de Londres possède le corps, l’âme et l’esprit du peuple.

33:49 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, cela semble avoir commencé assez tôt. Je ne sais plus si ça a commencé en 1870 ou au début des années 1900, mais c’est le contrôle de l’esprit des gens que la City de Londres a voulu atteindre pour réaliser son objectif de domination mondiale, est-ce exact ?

34:13 Alex Thomson :

Oui, et ce n’est plus un problème spécifiquement anglo- saxon. Cela concerne aussi des pays du continent européen, l’Allemagne est l’un d’entre eux depuis 1949, la république fédérale bien sûr, la Belgique en est un autre qui, comme je l’ai dit dans ma présentation, a été créé par l’insistance britannique en 1815. Je traduis à un très haut niveau des communications gouvernementales issues des soi-disant agences nationales de santé de ces pays et destinées à leurs citoyens. Je les traduis en anglais pour les expatriés de ces pays, et les gouvernements belge et allemand, pour ne citer que ces deux exemples, suivent explicitement le point de vue de la City de Londres. Ils écrivent à la population en termes de gestion de la santé, en leur disant que leur mode de vie n’est pas assez bon ; leur corps, leur esprit, leur génétique, leur intelligence n’ont pas été optimisés. Et donc, ce bétail, cette population, n’est pas compétitive comme elle devrait l’être dans le monde. Il s’agit donc d’une extension du modèle de la City de Londres au continent européen, où il a su, à bien des égards, s’adapter aussi bien aux juridictions de droit civil codifié, très respectueuses de l’état de droit, qu’aux juridictions de common law.

35:22 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce que nous voyons, c’est une institution très puissante financièrement, la City de Londres, qui s’étend sur l’Atlantique comme une cinquième colonne, comme certains le prétendent, car ils ont Wall Street. Ces deux puissances unies étaient ou sont encore le centre du pouvoir dans ce monde ?

35:52 Alex Thomson :

Oui, il y a eu de nombreux rebondissements, surtout au milieu du 20ème siècle, mais ce que vous avez dit est un résumé utile de l’ensemble du 20ème siècle, au cours duquel il y a eu des luttes. Pendant longtemps, il y a eu une guerre froide tout à fait exceptionnelle, avec des branches de l’aristocratie de la City de Londres qui étaient à la fois pro et anti Union soviétique. Je pourrais parler de cela pendant des heures, mais c’est secondaire par rapport au fait qu’il ne doit y avoir qu’un bloc allemand et qu’un bloc russe en Eurasie, et que ces deux blocs doivent être contrôlés et entravés par la puissance maritime britannique ou anglo-américaine et le pouvoir d’influence anglo-américain, qui établissent les modèles pour eux.

36:33 Reiner Fuellmich :

Je voulais clarifier une autre chose : vous avez mentionné que ce sont juste quelques familles qui dirigent vraiment la City de Londres. Vous avez donné les noms de Rothschild, Rhodes et Astor. Est-il vrai que seules quelques familles essaient de dominer le monde à travers la City de Londres ?

36:57 Alex Thomson :

Oui, je n’ai jamais trouvé meilleur matériel que celui d’un duo d’écrivains, qui est néerlandais et germano-américain. Le Hollandais s’appelle Robin de Ruiter, RUITER. Le co-auteur, le germano -américain de Caroline du Sud, s’appelle Fritz Springmeier. Leur livre porte le titre plutôt choquant de « Les lignées Illuminati », mais leur travail est solide. Et ils montrent systématiquement que la City de Londres, Manhattan et le continent européen sont très largement dominés par un petit nombre de familles. Souvent, on nous parle de 13 familles super puissantes. Mais il y a des niveaux au-dessous. Les Français, par exemple, parlent souvent des 200 familles qui dirigent l’État profond, mais les plus anciennes terrorisent les plus jeunes dans ce modèle, et le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre avant de sombrer dans des affirmations nébuleuses selon lesquelles Satan dirigerait le monde — ce que je crois en fin de compte — le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre est un niveau auquel les lignées germaniques d’Europe centrale font difficilement la trêve avec les lignées des îles britanniques, dont la plupart sont maintenant basées aux États-Unis. C’est le modèle le plus important et toutes les frustrations géopolitiques du 20e siècle sont en fin de compte liées à l’un ou l’autre de ces camps qui tentent de prendre l’ascendant : devons-nous suivre la City ou la renverser ? Et cela a à voir avec la frustration des superpuissances émergentes, notamment les Russes qui essaient de jouer à armes égales avec ce cartel de lignées, et qui échouent.

38:27 Reiner Fuellmich :

Et l’un des principaux moyens par lesquels ces quelques familles tentent de dominer le reste du monde semble être à travers l’espace mental, ce qui ressemble un peu au contrôle mental : est-ce que cela implique des opérations psychologiques ?

38:48 Alex Thomson :

Tout à fait. Aucune nation n’est entrée dans le jeu des opérations psychologiques avant la Grande-Bretagne. Dès qu’il y a eu des agences de renseignement officielles en Grande-Bretagne, à l’époque édouardienne, juste avant la Première Guerre mondiale, cela est devenu un point clé. Mais ils ont emprunté beaucoup de leurs idées à Vienne et à l’Allemagne, qui étaient à l’avant-garde dans le domaine de la psychologie à l’époque. Il s’agit donc d’un intérêt transnational des zones anglophones et germaniques pour dominer le monde de l’époque en utilisant les astuces de l’espace mental, qui ont été largement perfectionnées lorsque l’Amérique a acquis une hégémonie incontestée après 1945. Comme dans tant d’autres domaines, tels que l’opération Paperclip pour les domaines techniques, on a utilisé beaucoup d’esprits du Troisième Reich et de l’Union soviétique transférés aux États-Unis de manière clandestine. Cela a été considéré, depuis l’époque d’Edward Bernays et de Freud, comme le moyen le plus puissant de contrôler l’action dans le monde réel. Parce que si vous ne pouvez pas percevoir qu’il existe une autre façon de faire les choses que celle que l’on vous dit être la bonne, alors c’est évidemment le pouvoir suprême que vous pouvez avoir. Si vous avez ce pouvoir, vous contrôlez des gens qui sont plus nombreux, plus intelligents et plus forts que vous.

40:01 Reiner Fuellmich :

Ai-je bien entendu : vous avez utilisé le terme « bétail » ? Est-ce vraiment la vision que ces gens ont du reste du monde ?

40:10 Alex Thomson :

Dans les années 1990, lorsque j’étais dans un pensionnat britannique supérieur, ce terme était utilisé ouvertement par les petits-fils de personnes haut-placées à la City de Londres pour décrire la population britannique qui passait sous leurs propres fenêtres et se rendait en cours ou au travail en ville. Les termes qui étaient utilisés à leur sujet tournaient autour de l’idée qu’ils étaient du bétail, et ne méritaient pas une place dans le monde autre que sous la direction de l’élite britannique.

40:44 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex. Je ne veux pas empêcher mes confrères de poser des questions.

Alors s’il vous plaît, à votre tour.

40:56 Dexter L-J Ryneveldt :

Bonjour, M. Thomson, merci beaucoup pour votre témoignage. Vous m’entendez bien ?

Alex Thomson :

Très bien, merci.

Dexter L-J Ryneveldt :

Excellent. M. Thomson, je voudrais savoir, et vous avez en fait abordé le continent africain et plus précisément, vous avez mentionné Cecil John Roberts, j’aimerais que vous me disiez quel rôle joue actuellement la City de Londres sur le continent africain ? Pouvez-vous, s’il vous plaît, développer ce point ?

41:28 Alex Thomson :

Le rôle qu’elle joue est très sombre et complexe, et on le voit surtout lorsque des coups d’État et des révolutions se produisent dans les anciennes colonies britanniques. Bien sûr, il y a tout un groupe de pays anciennement colorés en rose sur la carte, allant du Caire jusqu’au Cap, où la Grande-Bretagne a presque installé un chemin de fer et une unique colonie. Et c’est dans ces pays qu’on le voit le plus clairement. Le fils de Mme Thatcher a été impliqué dans une tentative de coup d’État ratée dans un pays africain non anglophone, la Guinée équatoriale. Ce n’est qu’un exemple de tentative ratée, et les sponsors de la City de Londres ont laissé Margaret Thatcher nettoyer ça toute seule pour ainsi dire, lorsque cela a échoué. Je pense que ce que nous voyons plus particulièrement dans l’ancienne Rhodésie, maintenant la Zambie et le Zimbabwe, c’est qu’il y a eu un nœud où la City de Londres a engagé des personnes financièrement corrompues et puissantes et les contingents locaux des SAS de l’ère du pouvoir blanc, qui ont fait une grande partie du sale boulot, y compris à Londres dans la période d’après-guerre. Cela s’est fait sur la base de la possession, sur papier, de riches actifs miniers en Afrique australe. Voilà ce que je peux en dire en gros. Il y a même des morts suspectes jusqu’à la Chambre des tribunaux de Lancaster en 1979, ouvrant la voie au ZANU-PF pour prendre le relais du gouvernement Smith en Rhodésie, devenu par la suite le Zimbabwe, avec des avocats tombant, soi-disant, morts par la fenêtre. C’est un tableau extrêmement sombre. Et plus vous regardez certaines des entreprises impliquées, Kroll Security en est une qui me vient à l’esprit, plus vous voyez qu’il y a un lien entre le MI6, les SAS et la City de Londres. Et cela concerne l’Afrique du Sud, en particulier, comme principal atout.

43:17 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup. Êtes-vous donc d’accord avec moi, M. Thomson, pour dire qu’en ce qui concerne la domination financière, on voit que la dette est au cœur du COVID-19 ? Donc êtes-vous d’accord pour dire que la domination financière est au cœur de la pandémie de COVID-19 ?

43:36 Alex Thomson :

Oui, je le suis. Et je le nuancerais très légèrement en vous rappelant que, dans le résumé de Carroll Quigley sur la vision du monde de l’establishment de l’élite anglo-américaine, il souligne que la propriété des actifs financiers est déjà dépassée dans les années 1960. Et il sait que les grands esprits, pas nécessairement les bons, un siècle avant lui, l’avaient déjà vu venir. Ils considéraient que la vraie richesse était l’esprit humain, la santé humaine et la capacité de modifier et de transformer l’être humain en un nouveau modèle qui se comporterait comme prévu. C’est la grande richesse du monde. Mais avec cette réserve, si nous appelons ça la richesse, et par extension, nous pouvons l’appeler la richesse financière, alors oui, c’est le prix le plus élevé qui soit. Le problème de la City de Londres, c’est que si vous êtes quelque peu doué intellectuellement, et que vous venez d’un milieu britannique privilégié d’Oxford et de Cambridge, vous n’avez véritablement le choix qu’entre gagner de l’argent dans la City de Londres, ou vous engager dans une branche du service national, comme les services secrets ou l’armée. Et la différence que j’ai constatée à maintes reprises entre moi et ceux qui ont suivi l’autre voie dans ma cohorte était le principe qu’aucun des deux groupes ne doutait du fait que le véritable pouvoir dans le monde était de posséder le capital. Il s’agit juste de savoir si vous souhaitez être un agent du renseignement qui informe la City de Londres, ou si vous souhaitez faire partie du processus qui génère de l’argent. Il n’y a pas d’idéal plus élevé que cela dans le modèle américain.

45:08 Reiner Fuellmich :

D’accord, merci beaucoup. Je n’ai pas d’autres questions. Merci. Des questions de la part d’Ana ou de Virginie ? Ou Dipali ?

45:22 Ana Garner :

Oh, non, je pense que c’était vraiment excellent. La seule question que je voudrais poser est la suivante : comment expliquez-vous cela ? Vous avez mentionné plusieurs choses comme le copywriting, le copywriting de l’esprit humain, peut-être même de la génétique. Pensez-vous qu’il y ait un lien entre les vaccins actuels, les soi-disant vaccins de Pfizer, Moderna, Janssen et AstraZeneca : pensez-vous qu’il y ait une relation entre eux et cet objectif de copywriter les humains ?

45:53 Alex Thomson :

Je crois fermement que je ne suis pas qualifié d’un point de vue médical ou biotechnologique pour expliquer la part de vérité qu’il peut y avoir dans tout cela. Mais j’ai vu à maintes reprises que lorsqu’il y a de la hauteur, et lorsqu’il y a une croyance pseudo théologique parmi l’élite en Grande-Bretagne et en Amérique, on peut atteindre un certain objectif en faisant un certain tour, par exemple en modifiant un gène et en apposant un copyright sur le corps humain, c’est une motivation suffisante en soi pour alimenter une sérieuse tentative d’aller dans ce sens. Et je sais que lorsque Debi Evans interviendra dans le créneau de Brian Gerrish, plus tard dans la soirée, elle parlera de l’idée que l’édition génétique permettra de facto de copier sournoisement le nombre d’âmes et de corps de l’humanité qui sont concernés, de sorte qu’ils ne seront plus sous la protection du Créateur.

Ana Garner :

Merci. Merci.

46:48 Reiner Fullmich :

Ok, cela conclut le témoignage d’Alex Thomson. Nous allons maintenant écouter Matthew Ehret.

47:00 Matthew Ehret :

Merci, je dois dire que cette présentation a dépassé mes attentes. Et je pense qu’elle donne très bien le ton pour que je puisse reprendre le flambeau. Je voudrais juste revenir sur un seul point, qui est que peu importe ce que l’oligarchie peut souhaiter, légalement ou officiellement, la revendication de posséder l’âme ou le corps et la liberté des gens n’a aucun rapport avec la réalité. Il y a une loi naturelle qui est supérieure à la loi qu’ils souhaitent imposer à l’univers. Et c’est une partie du problème avec les penseurs de la tour d’ivoire. Ils veulent toujours que l’univers obéisse à leurs modèles mathématiques. Et ils piquent des crises de rage lorsqu’ils découvrent que l’univers est beaucoup plus créatif et bien moins linéaire qu’ils ne le souhaitent. Il s’agit donc d’une sorte de complexe de Dieu, qui signe finalement la chute des empires dans l’histoire, à chaque fois que vous voyez l’oligarchie s’auto-cannibaliser et s’effondrer sous ses propres contradictions. C’est quelque chose de naturel, ça doit se produire ainsi. La question est de savoir si nous sommes prêts à tolérer ce niveau de folie et d’immoralité, au point de sombrer avec ? Et c’est le même défi pour chaque génération. Ce n’est pas nouveau. Et à l’évidence, nous sommes au bout du système.

Je vais faire quelque chose d’un peu différent. Au départ, j’avais l’intention de parler davantage d’eugénisme. Mais à présent, je comprends que le 26 février, nous allons nous concentrer beaucoup plus sur l’eugénisme. Je ne le ferai donc pas. Je poursuivrai le thème qu’Alex a soulevé, mais je le ferai en traitant d’abord de la situation actuelle pendant environ huit minutes juste pour faire comprendre ce qu’est la mainmise britannique dans les affaires mondiales actuelles. Entrons dans les détails, à l’aide d’une petite vidéo d’une minute de Justin Trudeau, ici au Canada, où on voit cette ombre, une ombre qui a été imposée au peuple pour mener une politique qui ne vient pas vraiment de lui. Je pense que tout le monde reconnaît qu’il n’est pas vraiment aux manettes. C’est un peu une jeune version de Biden. Toute sa vie a été en quelque sorte manipulée. Mais la question qui se pose est la suivante : si ce type ressemble trop à une poupée Ken, sans cerveau ni âme pour prendre des décisions, quel est alors le pouvoir derrière le pseudo trône ? Je vais donc commencer par une vidéo. Ensuite, je reviendrai en arrière au 19ème siècle, en me focalisant un peu plus sur le Canada. Juste parce que c’est quelque chose d’actuel vu ce qui se passe en ce moment à Ottawa. Et nous continuerons ensuite jusqu’aux batailles de l’après -guerre pour voir comment cette chose s’est métamorphosée et recalibrée après la Seconde Guerre mondiale. Donc, nous allons faire cela de façon sommaire. Je vais essayer de ne pas trop simplifier, mais évidemment, c’est une question complexe, et je vais essayer de restituer ce qui doit être compris en étant rigoureux. La première chose, c’est la vidéo que j’ai promise, que je vais lancer maintenant. Elle dure environ une minute et demie. Est-ce que ça va le son ? J’espère que vous entendez. Ce n’est pas la vidéo. Je suis vraiment désolé. Je réessaie. Ok. Vous arrivez à voir « Canadian Press » ?

Reiner Fullmich :

Je la vois.

50:21 Matthew Ehret :

« Moi, Justin PJ. Trudeau, jure d’être fidèle et de porter une véritable allégeance à Sa Majesté la reine Elizabeth II, reine du Canada, à ses héritiers et successeurs, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin PJ. Trudeau, jure solennellement et sincèrement d’être un serviteur fidèle et loyal de Sa Majesté la reine Elizabeth II, en tant que membre du Conseil privé de Sa Majesté pour le Canada. Je déclarerai fidèlement, honnêtement et véritablement ma pensée et mon opinion sur toutes les questions à traiter, à débattre et à résoudre au Conseil privé. Je garderai secrètes toutes les affaires qui me seront confiées et révélées en cette qualité, ou qui seront traitées secrètement en conseil. D’une manière générale, je ferai en toutes choses ce qu’un fidèle et véritable serviteur doit faire pour Sa Majesté, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin P. J. Trudeau, je promets et jure solennellement et sincèrement que j’exercerai véritablement et fidèlement, au mieux de mes compétences et de mes connaissances, les pouvoirs et la confiance qui me sont conférés en tant que Premier ministre, avec l’aide de Dieu. »

C’est assez déroutant pour les personnes qui ont vu cela en 2017. Ce n’est pas le genre de chose que l’on attendrait d’un chef d’État prétendument démocrate lorsqu’il prononce son serment après une élection. Mais là encore, Trudeau n’est pas vraiment le chef de l’État, comme nous avons pu le constater. Il est à la fois membre du Conseil privé, ce qui est indispensable pour occuper un poste ministériel, au gouvernement ou dans l’opposition. Et le véritable chef d’État est le gouverneur général, cet homme plus âgé qui se tient à côté de lui et qui est la personne nommée pour exécuter les pouvoirs et l’autorité de la Couronne afin de donner la sanction royale à tout texte de loi qui devient loi au Canada.

Vous avez des lieutenants-gouverneurs, positionnés dans chaque province. Vous avez un bureau du Conseil privé. Vous avez toute cette structure byzantine étrange au-dessus de l’aspect public apparent de notre prétendue démocratie dans cette monarchie du Nord, qui est, encore une fois, très déroutante pour beaucoup de gens.

Nous allons approfondir un peu plus ce dont il s’agit. Quelle est cette anomalie et de quoi fait-elle partie au niveau international ? Comment a-t-elle vu le jour ?

J’ai donc préparé une série de diapositives. Il faut simplement retenir que le Canada fait, après tout, partie du Commonwealth, le Commonwealth britannique. C’est quelque chose qui a été créé à la fin des années 1930 afin de préparer, pour ainsi dire, la transformation de l’image extérieure de l’Empire britannique.

Aujourd’hui, il y a environ 54 pays dans le Commonwealth britannique, dont le centre est le Royaume-Uni. La reine d’Angleterre en est le chef. Cette entité occupe un territoire d’environ 12,2 millions de miles carrés, 2,4 milliards de personnes sont représentées sur ce territoire, soit 21 % de la superficie mondiale.

Et les gens célèbrent cette chose comme si c’était une institution démocratique. Et c’est quelque peu étrange. Quelle est cette chose ? En outre, si vous regardez beaucoup de ces territoires, une grande partie se trouve dans les Caraïbes, les zones d’Amérique latine ne sont pas vraiment concernées, mais une grande partie des Caraïbes l’est. Une grande partie de l’Afrique : il y a 19 nations africaines d’Afrique sub-saharienne. Il y a huit nations asiatiques, l’Inde étant la plus importante. Le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, évidemment, les Five Eyes moins les États-Unis.

Mais comparons cela à l’ancien Empire britannique. C’est une capture d’écran de la carte de 1920. C’est assez similaire, n’est-ce pas ?

Et les gens pensent : « L’empire britannique a tout bonnement disparu après la seconde guerre mondiale. Il a laissé ses territoires libres. Et maintenant l’Empire est le grand méchant empire américain. » C’est la mythologie qui nous a été transmise. Et c’est une mythologie. Comme Alex l’a expliqué, de manière très concise, le véritable pouvoir qui contrôle la cinquième colonne à l’intérieur des États-Unis, qui a toujours été là depuis 1776, a toujours été centralisé à Londres. Nous allons développer un peu plus ce point. Mais il n’a jamais disparu. Aucun empire de ce genre ne donne jamais volontairement la liberté. La liberté est quelque chose pour laquelle on se bat. En quelques mots, la question des intérêts miniers actuels, ce n’est pas quelque chose qui s’est produit dans les années 1880-1890 avec l’accaparement des terres en Afrique et la création par Cecil Rhodes de De Beers et Lonrho et d’autres intérêts miniers.

Il s’agit d’un rapport de 2016. C’est un rapport incroyable rédigé par une organisation à but non lucratif qui a réalisé des audits sur les intérêts britanniques. Ces intérêts qui contrôlent l’exploitation minière en Afrique, avec des sièges sociaux soit au Royaume-Uni, soit dans les territoires du Commonwealth, cotés à la Bourse de Londres. Et j’ai ajouté une petite citation ici, c’est un nouveau colonialisme britannique qui se bat pour les ressources énergétiques et minières africaines. Il est dit que : « 101 sociétés cotées à la Bourse de Londres — la plupart d’entre elles britanniques — possèdent des exploitations minières dans 37 pays d’Afrique subsaharienne. Ensemble, elles contrôlent plus de 1 000 milliards de dollars des ressources les plus précieuses de l’Afrique. Le gouvernement britannique a utilisé son pouvoir et son influence pour faire en sorte que les sociétés minières britanniques aient accès aux matières premières de l’Afrique. C’était le cas pendant la période coloniale, et c’est encore le cas aujourd’hui. » Ce rapport est disponible gratuitement en ligne au format PDF. Je ne vais pas entrer dans les détails. Il s’agit de plus de 70 % des intérêts miniers, qui comprennent également le raffinage des matériaux par des entreprises qui se trouvent dans les territoires sous contrôle britannique. Quelle est l’infrastructure qui permet cela ? Il y a quelque chose que beaucoup de gens ne savent pas. Il s’agit d’une organisation affiliée à la Fondation Bill & Melinda Gates ainsi qu’à la Banque mondiale, appelée Crown Agents [Agents de la Couronne]. Elle a été créée en 1833, selon son auto-description officielle, comme une émanation de la Couronne. Elle ne fait pas partie du gouvernement, mais son autorité provient de la source de tous les honneurs, la Couronne elle-même, c’est ainsi qu’est formée cette sorte de structure byzantine — de gouvernement fantôme. Il y a une sorte de hiérarchie de l’autorité. Elle ne vient pas du consentement des gouvernés. Elle vient du souverain singulier, la Couronne, qui que ce soit, en tant qu’institution héréditaire. Donc, cette organisation a été créée en 1833 en tant que filiale du Bureau des colonies britanniques pour gérer l’infrastructure matérielle, entre autres, des colonies internationales de l’Empire. Elle a changé plusieurs fois de nom au fil des ans et, en 1996, elle a été rebaptisée « Agents de la Couronne pour l’administration des gouvernements étrangers », et elle gère également l’infrastructure sanitaire, y compris les protocoles Covid de l’Europe de l’Est, en particulier de l’Ukraine. Elle gère de nombreux pays africains, le Sud-Soudan, la Birmanie. Et elle s’occupe de la gouvernance. Elle aide ces pays à adapter leurs mécanismes de gouvernance en fonction des normes de la Banque mondiale et du FMI. Elle est présente et fait cela depuis très longtemps, ce qui est très étrange. Et encore une fois, ils se nomment eux-mêmes agents de la Couronne ; ce n’est pas moi qui les calomnie ou les qualifie ainsi. Et cela existe, comme je l’ai dit, depuis très, très longtemps. C’est donc un aspect de cette chose en termes de maintien de l’Empire de l’ombre.

En ce qui concerne ce système géré par le Commonwealth et la City de Londres, les îles Caïmans et les banques offshore en sont le centre. Il existe un merveilleux documentaire que les gens peuvent regarder, intitulé The Spider’s Web : Britain’s Second Empire, qui est même disponible sur YouTube. Il aborde le sujet de manière plaisante, mais il montre clairement qu’à l’échelle internationale, 24 % des services financiers transitent par un grand nombre de paradis fiscaux des îles Caïmans, des Caraïbes et d’autres paradis fiscaux offshore contrôlés par les Britanniques.

Mais c’est aussi là que se trouve le centre mondial du blanchiment d’argent de la drogue et du financement du terrorisme. Les gens se disent : « La drogue, c’est juste un fléau naturel de notre société. Le terrorisme. C’est juste une chose naturelle qui est survenue. » Mais en réalité ce n’est pas le cas, c’est très artificiel. Ce n’est pas comme ça que la société humaine produit ces fléaux sociologiques. Ce sont des maladies créées qui sont de nature géopolitique, pas même de nature religieuse, qui sont cultivées depuis le sommet.

Il s’agit d’un rapport sénatorial de 2012 mené sur une longue période par le sénateur Carl Levin, récemment décédé, qui s’appelle « Vulnérabilités des États-Unis en matière de blanchiment d’argent, de drogue et de financement du terrorisme — l’affaire HSBC » dans le cadre duquel il a été révélé que HSBC était la première banque offshore au monde en matière de blanchiment d’argent. Comme Alex l’a souligné, la HSBC a été créée en 1865 afin de mettre en œuvre ou de gérer le commerce de l’opium, pour détruire la Chine — cela n’a jamais cessé. Ils ont été reconnus coupables. Ils se sont fait taper sur les doigts avec une amende de 1,9 milliards de dollars. Puis ils ont été autorisés à nommer leur propre commissaire aux comptes, qui a siégé pendant cinq ans. Et pour autant que je sache, ils continuent à faire ce qu’ils ont toujours fait. Ils possèdent également une énorme participation dans Air Canada. Toute personne qui prend un avion Air Canada verra des panneaux HSBC partout. Il s’agit d’un énorme élément d’infrastructure dans le cadre du triangle d’argent qui a été mis en place tout au long du 20e siècle. Vous avez la photo de la Reine à côté de Coutts. C’est la banque personnelle de la Reine, qui a également été reconnue coupable en 2012 de blanchiment d’argent de la drogue. Elle a payé sa petite amende de 10 millions de dollars, je crois, et la mauvaise publicité a fait que les comptes offshore responsables de la faillite qui effectuaient le blanchiment ont été vendus à la Banque Royale du Canada, qui effectue actuellement les mêmes opérations. Et c’est tout.

L’Afrique, en plus des 177 milliards de dollars de dettes qui la tiennent en otage, a environ 944 milliards de dollars de revenus provenant de l’extraction de richesses, qui se trouvent sur des comptes offshores britanniques. Il ne s’agit donc pas d’une nation débitrice, mais d’une nation créditrice en masse. C’est toute une histoire en soi.

La City de Londres, comme Alex l’a souligné, est une entité distincte. Même le gouvernement britannique ne peut pas vraiment faire grand-chose légalement pour l’arrêter. Ils ont leurs propres tribunaux, leur propre police. C’est une structure bizarre.

Et je voulais juste ajouter ceci. Et je n’ai même pas parlé de la guerre en Irak, des dossiers douteux créés par les services de renseignements britanniques qui ont permis de justifier les bombardements de l’Irak, de la Libye aussi — c’était plutôt des renseignements du MI6 — je n’ai pas parlé de ça. Je n’ai pas parlé des dossiers douteux sur les armes chimiques en Syrie, dont l’utilisation par Assad n’a jamais été prouvée, mais qui ont été utilisés pour justifier les sanctions et le changement de régime qu’ils tentent d’imposer depuis sept ans. Je n’ai pas parlé de cela. Mais tout ce que j’ai à dire, c’est que c’est omniprésent. La main britannique est partout, dès que vous creusez un peu. Même au niveau des dossiers douteux pour essayer de faire passer Poutine pour le grand ennemi qui contrôlerait Trump. Ces dossiers douteux nous ont été apportés par des gens comme Sir Richard Dearlove, l’homme qui à qui on doit l’affaire du Yellowcake [uranium] de la guerre en Irak. Cela a toujours été un mensonge et le rapport de la Commission Chilcot l’a prouvé. Et aussi, la question des boursiers Rhodes, des gens comme Strobe Talbott, qui est un boursier Rhodes, qui est arrivé avec Clinton et qui dirige Brookings depuis très longtemps. Il a également été derrière le Russiagate avec de nombreux autres boursiers Rhodes qui gèrent actuellement l’administration Biden, comme Jake Sullivan, Susan Rice, Eric Lander. Les Sciences sont des boursiers de Rhodes. Ils sont juste partout. Et je ne vais pas m’étendre là-dessus.

À présent, un peu de contexte historique. Je suis canadien. Donc, la question de Justin Trudeau, j’espère que c’est encore imprimé dans l’esprit des gens : qu’est-ce que c’est que ça ?

Donc, le Bureau du Conseil privé… contrairement à la Constitution ou à la Déclaration des États-Unis, le Canada a été fondé en 1867. La conférence originale avec nos Pères Fondateurs ne résultait pas d’une lutte pour la liberté, contrairement aux États-Unis, mais d’un rassemblement de loyalistes britanniques, des anti-républicains, qui étaient tous comme notre Père Fondateur, qui se trouve là dans le tableau. Johnny McDonald était un patriote de race aryenne, qui voulait un Canada aryen et qui disait : « Je suis né britannique et je mourrai britannique ». C’était une ordure immorale et répugnante. Et ce sont ces gens-là qui sont célébrés comme nos vaches sacrées que nous sommes censés honorer au Canada. Or, contrairement aux États-Unis — qui consacrent le droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur dans la Déclaration d’indépendance, ainsi que l’idée du principe du bien-être général, aujourd’hui et pour la postérité, dans la Constitution — le document fondateur canadien dit littéralement : « Attendu que les Provinces du Canada… », au nombre de quatre à l’époque « … ont exprimé leur désir d’être unies au niveau fédéral en un seul Dominion sous la Couronne du Royaume — Uni et de la Grande-Bretagne et de l’Irlande, avec une constitution similaire en principe à celle du Royaume-Uni. » — ce qui est en soi dans une certaine mesure une escroquerie puisque le Royaume-Uni n’a pas vraiment de constitution et qu’il s’agit donc d’une sorte de miroir de l’ombre. Et : « Considérant qu’une telle union contribuerait à la prospérité de ces provinces et favoriserait les intérêts de l’Empire britannique. » Donc notre fameux préambule est de promouvoir les intérêts de l’Empire britannique. C’est pour cela que nous avons été créés. Nous avons également été créés par cette conférence qui s’est tenue trois ans plus tôt, en 1864, alors que la guerre de Sécession touchait à sa fin, mais qu’elle était toujours en cours. Les Britanniques avaient consacré beaucoup de ressources à l’éclatement de l’Union, comme je l’ai expliqué dans des présentations précédentes. J’en ai également parlé dans mes livres Clash of the Two Americas et The Untold History of Canada.

Ce qui effrayait les Britanniques, comme je le démontre, c’est que le Canada comptait des hommes d’État pro -Lincoln à des postes de direction qui se battaient pour créer un pays indépendant à cette époque. Il y avait aussi des gens qui travaillaient à la création d’un Zollverein américain avec le Canada et les États-Unis réunis dans une union douanière basée sur le développement industriel, avec un type de politique, non pas comme l’Amérique d’aujourd’hui, mais une politique différente de l’orientation Lincoln-McKinley basée sur une véritable pensée à long terme où les êtres humains étaient considérés comme une créature que l’argent devait servir en investissant dans des infrastructures à grande échelle, dans la science et la technologie, mais aussi en travaillant à l’étranger avec l’Allemagne, qui faisait la même chose sous Otto von Bismarck, avec la Russie qui venait de vendre le territoire de l’Alaska aux États-Unis dans l’intention de construire un chemin de fer à travers le continent jusqu’en Eurasie. On considérait donc qu’il s’agissait d’un territoire vital qui devait rester sous le contrôle du ministère britannique des Affaires étrangères. Et cette Constitution a alors été rédigée. Les alliés de Lincoln ont été évincés du pouvoir et la Constitution a été gardée comme un rempart contre le danger d’une collaboration entre les États-Unis et la Russie. Sauf qu’un admirateur de Lincoln est devenu Premier ministre à un certain moment, Wilfrid Laurier, et il a organisé en 1911 la création d’une union douanière, et tous les projets de loi ont été adoptés et ils étaient enfin sur le point d’entrer en vigueur. Et malheureusement, il a été évincé lors d’un coup d’état orchestré par la Table ronde et certains francs-maçons orangistes qui ont la Reine et la Couronne, à la tête de ces différentes formations maçonniques libres. J’ai rédigé un article que j’ai publié sur le site de Canadian Patriot et qui reprend ces détails. A peine deux ans plus tard, Wilfrid Laurier écrit à son proche allié Oscar Douglas Skelton que : « Le Canada est maintenant gouverné par une junte siégeant à Londres, connue sous le nom de “Table ronde”, avec des ramifications à Toronto, à Winnipeg, à Victoria, les Tories (les conservateurs) et les Grits (les libéraux) recevant leurs idées de Londres et les imposant insidieusement à leurs partis respectifs. » C’était donc un aveu direct de l’homme lui-même. Il avait pour projet de faire du Canada, en l’espace d’une génération, une nation à l’image de Lincoln avec une population de 60 millions d’habitants, basée sur l’électrification et l’industrialisation à grande échelle — tout cela a été évincé, terminé, et la Table Ronde a repris le contrôle. Robert Borden, son remplaçant, était un membre de la Table Ronde qui a fini par contrôler la Chatham House du Canada dès sa création en tant que premier président. En 1918, la Table Ronde avait déjà initié une prise de contrôle du gouvernement britannique. Ils avaient évincé Herbert Asquith du gouvernement travailliste en 1916, non pas qu’il soit un type formidable, mais ils voulaient vraiment avoir un contrôle total sur les termes du Traité de Versailles et la fin de la Première Guerre mondiale. L’un des problèmes était qu’ils avaient besoin des États-Unis, ils avaient vraiment besoin de la puissance des États-Unis derrière eux et cela a toujours été l’objectif de la conception de Cecil Rhodes. Lord Lothian, qui était un membre éminent de la Table Ronde à l’époque et ambassadeur aux États-Unis, avait écrit — son autre nom était Philip Kerr, ils ont toujours des noms qui ressemblent aux méchants de Star Wars — il a écrit que le problème de la psyché américaine qui devait être traité était le suivant : « Il y a un concept fondamentalement différent en ce qui concerne la question entre la Grande-Bretagne et les États-Unis quant à la nécessité d’un contrôle civilisé sur des peuples politiquement arriérés… Les habitants de l’Afrique et de certaines parties de l’Asie se sont révélés incapables de se gouverner eux-mêmes… Pourtant, l’Amérique n’a non seulement aucune notion de cet aspect du problème, mais a été amenée à croire que le fait d’assumer ce type de responsabilité relève de…», je n’arrive pas à dire ce mot, « … d’un impérialisme inique. » Donc, c’est un problème, non ? Les Américains auraient ce problème qu’ils ne comprennent pas qu’il y a une responsabilité qui incombe à l’homme blanc, qu’ils doivent imposer parce qu’ils sont tout simplement scientifiquement meilleurs que les personnes à la peau plus foncée. Ils doivent imposer moralement et scientifiquement un contrôle anglo-américain sur les peuples arriérés et ils ne le comprennent pas. Et c’était un problème. Non pas qu’il n’y ait pas eu d’Américains qui l’aient compris — et cela fait à nouveau partie du problème de l’État profond américain que j’ai mentionné, qu’Alex a un peu évoqué, mais que s’est-il passé ?

Il y a donc eu plusieurs tentatives de nouveaux ordres mondiaux. Ce que nous voyons aujourd’hui n’est pas nouveau. J’y ai fait allusion dans des présentations précédentes, mais en 1919, vous avez eu la création de la Chatham House, vous avez eu la création de Versailles, la Société des Nations, le tout orchestré par Lord Milner qui, à cette époque, était une figure de proue contrôlant la politique étrangère britannique avec beaucoup d’autres membres de la Table Ronde. L’idée de la Société des Nations était de créer un pacte de sécurité collective, l’article 10, de se débarrasser de la souveraineté nationale sur l’économie et les affaires militaires et de créer effectivement un gouvernement mondial unique. Une partie de cela faisait également partie de la Fédération impériale, un peu comme l’Union européenne, c’est ce qu’ils voulaient pour, en résumé, pour le monde. Pourquoi cela a-t-il échoué ? Parce qu’il y a eu des gens au Canada, les libéraux avaient fait un retour aux années 1920 et ils ont résisté, les mouvements de l’État libre d’Irlande ont résisté, des gens comme Warren Harding, qui a été assassiné — je dis assassiné, je n’ai jamais vu de preuve du contraire, le président américain est mort après avoir mangé des huîtres empoisonnées. Mais le fait est que des nationalistes ont résisté et n’ont pas succombé à cette pression à l’époque. Donc, ça s’est essoufflé mais ils ont réessayé. En 1933, il y a eu la Conférence Internationale des Banquiers à Londres, centrée sur la Banque des Règlements Internationaux, la Banque d’Angleterre, et 66 nations y ont participé. L’idée était que la Grande Dépression serait résolue en transférant la souveraineté économique des États-nations vers une codification bancaire officiellement essentielle sous l’égide de la Banque d’Angleterre. Et la seule raison pour laquelle, après six mois, cela a échoué est que Franklin Roosevelt a retiré les délégations américaines de toute participation et que tout s’est écroulé. J’en ai parlé en détail dans le chapitre sept de mon livre Clash of the Two Americas. Puis il y a eu une autre tentative en 1944. Là encore, Roosevelt n’était pas encore décédé. John Maynard Keynes a été désigné cette fois-ci pour représenter l’Empire britannique à la conférence de Bretton Woods avec l’idée d’une monnaie mondiale unique gérée par la banque d’Angleterre appelée le « bancor », un taux de change international qui serait à nouveau effectivement une monnaie mondiale unique, en imaginant que les Américains, qui étaient sortis de la Seconde Guerre mondiale comme le seul pays intact, seraient le moteur ou les exécutants d’une reconquête anglo-américaine des nations du monde, dont beaucoup avaient combattu pendant la guerre et dont beaucoup avaient des idées d’indépendance et de liberté bien vivantes dans leur cœur. Ce n’était pas acceptable. J’ai une petite citation de Franklin Roosevelt, que j’aime beaucoup, dans laquelle il dit que « Ceux qui cherchent à établir des systèmes de gouvernement basés sur l’enrégimentement de tous les êtres humains par une poignée de dirigeants individuels appellent cela un nouvel ordre. Ce n’est pas nouveau et ce n’est pas un ordre. » C’était une citation très forte.

Donc, pour reprendre un peu là où Alex s’est arrêté, il y a un livre intitulé As He Saw It, écrit en 1946 par le fils de Roosevelt et son assistant, son assistant personnel, Elliot Roosevelt. Et il y retrace une grande partie des luttes entre Roosevelt et le gang de Churchill qui essayait toujours d’entraîner les États-Unis dans une confrérie de contrôle, à la Cecil Rhodes, à la Five Eyes, ce qui était déjà en train de se produire depuis la transformation de la Black Chamber en NSA en 1930, qui s’est intégrée de plus en plus dans le système britannique des Five Eyes, ce qui a toujours été la volonté de Cecil Rhodes. Mais dans ce livre… C’est un excellent livre. Les gens peuvent le trouver en ligne ; ils pourraient l’acheter ; ils devraient l’acheter. Il est sur archive.org. Je l’utilise beaucoup. Mais en 1944 après un conflit avec Churchill, à la conférence de Téhéran il me semble, je ne suis pas trop sûr de quelle conférence, mais il s’adresse à Elliot en disant : « Tu sais, à de nombreuses reprises, les hommes du Département d’État ont essayé de me cacher des messages, de les retarder, de les retenir d’une manière ou d’une autre, juste parce que certains de ces diplomates de carrière ne sont pas en accord avec ce qu’ils savent, je pense. Ils devraient travailler pour Winston. En fait, la plupart du temps, ils travaillent [pour Churchill]. Quand on y pense, un certain nombre d’entre eux sont convaincus que la façon dont l’Amérique doit mener sa politique étrangère est de découvrir ce que font les Britanniques et de le copier ! On m’a dit… il y a six ans, de nettoyer le Département d’État. C’est comme le bureau des affaires étrangères britannique. » Ainsi, le Bureau des services stratégiques, l’OSS [Office of Strategic Services] n’avait pas été nettoyé et l’OSS avait beaucoup de problèmes, mais il y avait encore beaucoup de patriotes et de nationalistes intégrés dans les services de renseignement américains au sein de l’OSS qui posaient problème à ceux qui essayaient de prendre le contrôle, qui occupaient déjà la plupart du Département d’État à cette époque.

Dans le livre d’Elliott, il y a une autre conflit fascinant entre lui et Churchill qui a été mise en évidence sur ce que serait l’après- guerre, quel type de principes de fonctionnement la gouvernerait, où la vision de Roosevelt pour le verdissement des déserts africains, l’extension de la Tennessee Valley Authority, les projets d’électrification rurale qui sortiraient les gens de la pauvreté et de la marginalisation aux États-Unis, qui seraient étendus grâce à des prêts à grande échelle au niveau international pour aider d’autres pays à avoir leurs propres programmes industriels, leurs propres autorités de la Tennessee Valley, et pour étendre véritablement le principe des quatre libertés au monde entier, à savoir que nous ne sommes pas censés nous contenter de belles paroles, mais que nous devons être réellement actifs. C’est pourquoi Bretton Woods, l’équipe keynésienne, a perdu. Et Harry Dexter White, qui est devenu le premier directeur du FMI — lui aussi mort dans des circonstances mystérieuses — la délégation américaine sous sa direction avait gagné et s’était assurée que même la Chine, l’Inde, l’Afrique, l’Amérique du Sud, la Russie participeraient toutes à la réception des projets de la Tennessee Valley Authority, tous approuvés par la délégation américaine. La délégation britannique s’est opposée à tous ces projets. Et même à cette époque, alors que Roosevelt avait pour socle une alliance Russie-Chine-États-Unis, la Russie a souscrit à hauteur d’un milliard de dollars au FMI à l’origine, avant que le rideau de fer ne l’oblige à en sortir. Tout cela pour dire que je radote, mais dans ce petit extrait que j’ai sélectionné, il décrit la soirée, en parlant avec Elliot après s’être confronté à Churchill, en disant : « Je parle d’une autre guerre. Je parle de ce qui arrivera à notre monde si, après cette guerre, nous permettons à des millions de gens de retomber dans le même semi-esclavage ! Ne pense pas un instant, Elliott, que les Américains seraient en train de mourir dans le Pacifique ce soir, s’il n’y avait pas eu la cupidité à courte vue des Français, des Britanniques et des Hollandais. Devrions-nous les laisser faire, encore une fois ? Ton fils aura à peu près le bon âge, dans quinze ou vingt ans. Une phrase, Elliot. Ensuite, je te flanquerai dehors. Je suis fatigué. C’est cette phrase : Quand nous aurons gagné la guerre, je ferai tout mon possible pour que les États-Unis ne soient pas forcés d’accepter un plan qui servira les ambitions impérialistes de la France, ou qui aidera ou soutiendra l’Empire britannique dans ses ambitions impériales. »

Puis, c’est le moment où se produit la tragédie. Wallace, c’est une longue histoire, mais Wallace est remplacé par Harry Truman, qui est une sorte de prototype de George Bush, le jeune anglophile des banquiers. Et il est nommé nouveau vice-président. Donc, Wallace était le Vice-président qui était complètement en phase avec la vision de Roosevelt. Roosevelt meurt le 12 avril ; aucune autopsie n’est jamais réalisée. Et immédiatement au cours du mois, des bombes nucléaires sont larguées sur un Japon vaincu par Truman. Le 20 septembre, l’OSS, l’agence de renseignement américaine, est dissoute. Et une purge, une purge massive commence. Si quelqu’un qui avait connaissance des financiers de Wall Street et de Londres à l’origine de la montée du fascisme et de l’eugénisme, il y a eu de nombreux rapports à ce sujet, ils ont tous été bannis dans l’année qui a suivi. Et à ce moment-là, le discours sur le rideau de fer est lancé et les gens se disent : « Ce sont les Américains qui ont créé le rideau de fer, qui a fait de la Russie et de la Chine leurs ennemis ». Non. C’est Winston Churchill qui est venu aux États-Unis, a séjourné à la Maison Blanche pendant une période prolongée, et a prononcé son discours où il a déclaré : « Ni la prévention de la guerre sur le rivage, ni l’essor continu de l’organisation mondiale ne seront gagnés sans ce que j’ai appelé l’Association fraternelle des peuples de langue anglaise. Cela signifie une relation spéciale entre le Commonwealth et l’Empire britannique et les États-Unis. » Henry Wallace, juste avant d’être limogé, était secrétaire au commerce et se battait contre cette folie qui lavait le cerveau des Américains pour en faire des foules paranoïaques, effrayées par l’infiltration et la conspiration. Tout le maccarthysme était une véritable atrocité dirigée par le FBI comme une dictature, ce qui était le cas, les États-Unis étaient devenus une dictature sous le FBI, dit : « Le fascisme [prévient-il] dans l’après-guerre poussera inévitablement à l’impérialisme anglo- saxon et finalement à la guerre avec la Russie. Déjà, les fascistes américains discutent et écrivent sur ce conflit et l’utilisent comme excuse pour leurs haines internes et leurs intolérances envers certaines races, croyances et classes. »

Évidemment, il y a un retour de bâton raciste total, encore une fois, sous l’égide de J. Edgar Hoover — un autre franc-maçon du 33e degré qui a dirigé le FBI pendant sept présidences américaines — qui soutenait la montée du racisme, le démantèlement des libertés civiles pour les Afro -Américains entre autres, mais aussi la coordination avec la CIA qui est bientôt reconstituée pour créer un nouveau système de gestion beaucoup plus conforme à la politique étrangère britannique. Des activités comme MK Ultra qui, à l’origine, utilisait une science élaborée par Tavistock, la branche des services secrets britanniques chargée de la guerre psychologique, l’infiltration Cointelpro qui reflétait aussi l’opération Gladio en Europe. Toutes ces choses ont été déployées et justifiées par les termes et conditions de l’ère de la « destruction mutuelle assurée ».

Donc, ça continue. Wallace est renvoyé après avoir prononcé son discours. La doctrine Truman est annoncée, une fois de plus. Qui est le principal organisateur de la Doctrine Truman ? L’un des principaux est George McGee, un boursier de Rhodes. La CIA centrale est créée en septembre 1918. C’est alors une sorte de nouvelle agence de renseignement reconstituée et nettoyée. Harry Dexter White meurt. Le FMI est détourné, car lui faisait partie de l’équipe de Roosevelt qui, à ce moment-là en 1948, se battait pour faire élire Wallace sous la direction du Parti progressiste aux élections de 48. Vous trouverez de nombreux grands patriotes des États-Unis qui sont morts ou ont vu leur carrière anéantie au sein de ce réseau. Et puis, il y a ce fameux mémorandum du Conseil de sécurité nationale (NSC) de juillet 1950 pour « sauver l’Empire britannique ». Je ne plaisante pas. Il s’agit littéralement d’un protocole émis en vertu de la logique selon laquelle si les Britanniques affaiblissent leurs intérêts économiques impériaux, alors les Soviétiques prendront et rempliront cet espace. Donc, l’intérêt de la politique étrangère américaine doit être de préserver les intérêts britanniques à l’étranger. Et c’est là que le FMI et la Banque mondiale ont été de plus en plus remaniés pour utiliser le colonialisme économique partout où cela était nécessaire. Si vous ne pouvez pas empêcher l’indépendance politique d’une nation, sabotez au moins son indépendance économique.

Une figure intéressante est celle de Clément Atlee, Premier ministre de l’après-Seconde Guerre mondiale, qui affirme avec force :

« Nous avons vu à maintes reprises qu’il existe un autre pouvoir que celui qui a son siège à Westminster. La City de Londres, un terme commode pour désigner un ensemble d’intérêts financiers, est en mesure de s’opposer au gouvernement du pays. Ceux qui contrôlent l’argent peuvent mener une politique intérieure et extérieure contraire à celle décidée par le peuple »

Encore une fois, vous avez même des Britanniques… donc ce n’est pas le gouvernement britannique, le peuple britannique est également victime, ainsi que de nombreuses personnalités au sein du gouvernement britannique, de ce pouvoir au-dessus des branches officielles visibles du gouvernement.

Tout au long de la guerre froide, et encore une fois, si vous ne pouvez pas comprendre l’architecture de la guerre froide, la question de la destruction mutuelle, de la guerre asymétrique, de la doctrine de la théorie des jeux, de l’application de l’analyse des systèmes pour gérer les renversements géopolitiques de gouvernements, des choses comme la guerre du Vietnam… Si vous ne prenez pas en compte des gens comme Dean Rusk, boursier de Rhodes, Walt Whitman Rostow, qui a dirigé la NSA pendant trois ans, qui était un boursier Rhodes de Balliol, Escott Reid, qui a été l’architecte de l’OTAN pour priver la Russie de toute influence sur les affaires militaires au Conseil de sécurité. L’OTAN, c’était Escott Reid, boursier de Rhodes, William Fulbright, boursier de Rhodes. Il y a tellement de choses qui se chevauchent. Donc, encore une fois, vous ne pouvez pas vraiment comprendre quelle est cette chose que JFK repoussait et essayait de combattre… Quelle était la chose contre laquelle Eisenhower mettait en garde dans son discours sur le complexe militaro-industriel ? Vous ne pouvez pas comprendre cela si vous ne regardez pas ces idéologues qui ont été infiltrés pendant des décennies. Il y en a eu 3 000 jusqu’ici au 20ème siècle qui ont été formés dans les couloirs d’Oxford. Non pas qu’ils soient tous mauvais. Je pense que Kristoffer Kristofferson est un acteur correct et peut-être que ses choix de films ne sont pas si bons parfois, mais je ne pense pas qu’il soit une mauvaise personne. Bien qu’il soit un boursier de Rhodes. Vous constaterez donc que vous ne pouvez pas être coupable par association, mais que vous ne pouvez rien comprendre si vous ne comprenez pas cette ruche très contrôlée et centralisée. Cela se coordonne également avec le mouvement de la Table Ronde américaine, qui est le Council on Foreign Relations [Conseil des relations étrangères]. Ce que Hillary Clinton a appelé « le vaisseau-mère » dans un discours de 2011, c’est le cas depuis 1921, la table ronde britannique en Amérique. Et même des gens que vous considérez comme des grands concepteurs géopolitiques américains comme Kissinger, Zbigniew Brzezinski, Samuel P. Huntington, le Choc des civilisations… un Canadien, Pierre Trudeau, qui a instauré sa propre loi martiale en 1970 et a vraiment réorganisé l’ensemble du gouvernement en un système cybernétique technocratique. Ils ont tous été formés par William Yandell Elliott à Harvard, qui dirigeait une structure que certains ont appelé la Chatham House de Harvard. William Yandell Elliott faisait partie de ces gens qui aimaient avoir de jeunes garçons sociopathes talentueux autour de lui, et il a formé des générations de ces géopoliticiens qui sont préparés. C’est comme une recherche de talents, comme Rhodes le décrit, c’est exactement ce qu’ils ont fait, et ensuite ils ont été placés à des postes d’autorité idéologique pour mener à bien une politique dont ils n’étaient pas à l’origine en soi, mais ils ont été mis en position de la réaliser.

Il y a eu des objections, et je souhaite juste rappeler les voix dissidentes, car ce n’est pas comme s’il s’agissait de créatures divines, n’est-ce pas ? Il y avait de vrais êtres humains, de vrais hommes d’État, surtout dans les années 1960. Vous avez Enrico Mattei, l’industriel italien. Vous avez Dag Hammarskjöld, le secrétaire général de l’ONU, qui avait un grand programme pour mettre fin à l’impérialisme et promouvoir le développement industriel dans divers pays, notamment en Afrique du Sud. Charles de Gaulle avait évité 30 tentatives d’assassinat. John F. Kennedy, évidemment. Patrice Lumumba. Je n’ai pas cité ici tous ceux qui ont été assassinés ou renversés par des coups d’État dirigés par la CIA et le MI6. Mais tout cela pour dire que c’était une période de potentiel majeur où le thème commun était la coopération et la rupture avec les méthodes mathématiques de gouvernance, l’introduction de nouvelles technologies, de nouvelles découvertes qui n’étaient pas monopolisées, et le faire en recherchant une coopération gagnant-gagnant, des points d’intérêt commun. C’est pourquoi JFK a offert aux Russes la possibilité de travailler avec les États-Unis sur un programme spatial commun. Cela permettrait de rompre avec ce mode de gouvernance basé sur l’équilibre mathématique de la terreur et de nous en libérer.

Je termine là-dessus, je pense qu’il me reste encore trois ou quatre minutes.

Donc, après l’ère des assassinats, dans les années 60, encore une fois très parallèle à ce qui s’est passé après les années 1890 jusqu’à la Première Guerre mondiale, l’ère des assassinats totaux et des coups d’État révolutionnaires colorés, la scène était désormais prête pour une recolonisation économique complète des États-Unis, en particulier. L’objectif a toujours été de reprendre le contrôle des États-Unis. Plusieurs choses se produisent. Et Kissinger est un personnage clé dans la plupart de ces événements. Vous avez la création en janvier 1971 du Groupe Inter-Alpha, créé selon le plan de Lord Jacob Rothschild, qui dirigeait N M Rothschild & Sons, mais qui a également constitué un intérêt financier bancaire majeur en tant que membre d’une dynastie de mercenaires depuis les années 1700. Ainsi, le Groupe Inter-Alpha des banques était une coterie, il y a une photo ici, des banques membres avec les principales banques mises en place dans chacun des pays européens ciblés pour promouvoir une nouvelle doctrine de déréglementation, de centralisation du pouvoir à l’écart des États-nations, en particulier en Europe, et son transfert vers la coterie supranationale privée des intérêts corporatifs et financiers au-dessus des autorités nationales. Je n’ai pas le temps d’entrer dans les détails, mais c’est en 1971 que ce groupe a été fondé. Il a depuis évolué en nombre depuis ses six fondateurs initiaux. Beaucoup de ces banques étaient toutes liées à des activités financières soutenant la montée du fascisme, que ce soit Franco, Mussolini ou Hitler, et plus récemment, à du blanchiment. Puis, le même mois, le Forum économique mondial est fondé par l’un des prodiges de Kissinger, que nous connaissons et méprisons tous, Klaus Schwab. En outre, l’un des cofondateurs était Maurice Strong — un oligarque canadien qui a été recruté par les Rockefeller et a été cofondateur du Club de Rome canadien, acteur majeur avec le Prince Philip, qui est celui qui souhaitait être réincarné en virus mortel — qui a dirigé le Forum économique mondial. Dans ma présentation du 26 février, nous entrerons en détail dans ce sujet [ ]. Donc, Maurice Strong, une autre figure qui est un cofondateur et un inspirateur de Klaus Schwab.

Puis vous avez la grande affaire du 15 août 1971, lorsque le dollar américain est devenu flottant. Kissinger et Schultz, à la tête de l’administration Nixon, orchestrent le retrait du dollar de la réserve d’or, le système d’échange d’or ou le système de taux de change fixe, qui empêchait la spéculation sur les devises et les matières premières. Tant qu’il n’y avait pas de spéculation, il était difficile de mener le genre de guerre économique contre les nations qui essayaient de développer leurs infrastructures et leur base industrielle, ce qui a toujours été, même en remontant au 19ème siècle, un outil utilisé par l’Empire pour maintenir les nations déstabilisées, cette guerre économique. Donc, le taux de change fixe devait disparaître. Il garantissait trop de stabilité. Vous pouviez penser à des projets à long terme, sur 5 ou 20 ans, lorsque vous aviez une stabilité relative des monnaies. Et cela s’est répercuté sur les marchés flottants. Ainsi, tout d’un coup, les marchés sont devenus le facteur déterminant de la valeur du dollar, qui est devenu de plus en plus lié, toujours sous l’impulsion de Kissinger, au prix du pétrole sur les marchés au comptant. Donc, tout d’un coup, un certain chaos a été créé. Vous ne pouviez plus vraiment construire, maintenir ou améliorer votre infrastructure, c’est cette partie de votre économie à forte intensité de capital que vous devriez toujours avoir comme base de votre valeur économique dans le système, qui s’est atrophiée. Et de plus en plus, l’ère de la dérégulation et de la spéculation s’est ancrée. J’ai mentionné ici, pour faire bonne mesure, la Commission Trilatérale, fondée en 1973 par Brzezinski, Kissinger et David Rockefeller. Là encore, l’influence du Council on Foreign Relations, qui est à nouveau le mouvement de la Table ronde, est toujours là, de même que le groupe Bilderberg, qui est toujours là. Beaucoup de ces figures se recoupent avec cette autre entité dont je parlerai plus en détail le 26 février. Donc, voici ce qui prend le dessus sous Carter, la Commission Trilatérale. Presque tous les membres du cabinet de Carter sont membres de la Commission Trilatérale. Des gens comme Paul Volcker, qui devient le président de la Fed, appelle à une désintégration contrôlée de l’économie américaine en 1979, c’est-à-dire que les taux d’intérêt sont portés à 20 % ou plus pendant deux ans, détruisant les petites et moyennes entreprises et ne laissant que ces mastodontes de multinationales capables de survivre et de prospérer et de se faire engloutir par des fusions et acquisitions.

Henry Kissinger prononce, à ce moment-là, un discours à la Chatham House au Royaume-Uni, décrivant la différence entre les points de vue de Churchill et de Roosevelt sur l’après-guerre et décrivant, et les gens peuvent le lire, le discours complet est en annexe de mon deuxième volume. Il décrit comment il préférait la manière de concevoir la géopolitique de Churchill à celle de Roosevelt, qu’il considérait comme obsolète et incompatible avec la réalité. Mais il y décrit aussi l’époque où il était secrétaire d’État sous Nixon, où il dit : « Les Britanniques ont été en réalité tellement utiles qu’ils sont devenus un participant des délibérations internes américaines, à un degré probablement jamais pratiqué entre nations souveraines… », « Au cours de mes fonctions à la Maison Blanche, je tenais alors le bureau des affaires étrangères britannique mieux informé et plus étroitement engagé que le département d’État américain… C’était symptomatique. » Un aveu total. Ils ne cachent même pas ça en disant « non, ce n’est pas exactement ça ». Non, ils l’admettent tout simplement. Ils supposent juste que nous sommes trop bêtes pour mettre en relation les mots et les actions. Lord Jacob Rothschild en 1983 a prononcé un discours disant que : « Deux grands types d’institutions géantes, la société de services financiers mondiale et la banque commerciale internationale avec une compétence commerciale mondiale, peuvent converger pour former le conglomérat financier ultime, tout-puissant et à plusieurs têtes. » Il fait référence à l’effondrement de la division des activités bancaires : commerce, investissement, fiducie, assurance. Toutes ces activités avaient auparavant, sous Roosevelt, été conçues dans des compartiments séparés afin que vous ne puissiez pas spéculer avec l’épargne des gens. Vous ne pouviez pas le faire légalement. Il parlait de supprimer ces compartiments afin de pouvoir créer un nouveau type de banque universelle qui fait tout, ce que nous pourrions appeler aujourd’hui « too big to fail » [trop gros pour faire faillite]. C’est ce qui a été fait à l’origine en Grande-Bretagne sous le Big Bang de Margaret Thatcher, où la première vague de banque universelle a été créée à Londres, ce qui lui a permis de reprendre encore plus de contrôle qu’auparavant. On assiste à l’effondrement quasi total d’une bulle spéculative qui entraîne l’effondrement de 25 % de la bourse de New York. Pour éviter l’effondrement, Alan Greenspan est appelé à la rescousse et normalise immédiatement les instruments financiers créatifs, autrement appelés dérivés, qui étaient auparavant illégaux pour la plupart. Ces instruments étaient connus sous le nom de « junk bonds », des dettes titrisées qui n’avaient aucune valeur mais qui étaient tout de même titrisées, puis investies dans des assurances qui étaient également titrisées afin que les gens puissent… — c’est complexe, mais c’est fou. Ce n’est pas une façon de créer de la valeur. Et c’est devenu une sorte de tumeur cancéreuse qui s’est développée dans l’économie au point qu’en 1992, lorsque le traité de Maastricht a été signé — créant l’Union européenne comme une nouvelle consolidation pour se débarrasser des États-nations et du droit des nations à émettre leur propre crédit et à le contrôler en Europe – il y avait environ 2 000 milliards de dollars de produits dérivés. La même année, l’Union soviétique s’est dissoute. On célèbre la fin de l’histoire. George Bush dit en 1990 à l’ouverture de la guerre du Koweït que : « Nous avons devant nous l’opportunité de forger pour nous-mêmes et pour les générations futures un nouvel ordre mondial — lorsque nous réussirons — et nous réussirons — nous avons une véritable opportunité avec ce nouvel ordre mondial. » C’est donc à ce moment-là que Margaret Thatcher se vante d’avoir durci la position de Bush, qui hésitait sur la question de l’opération « Tempête du désert ». Mais encore une fois, l’idée était toujours la fin du système de l’État-nation. Finalement, à la fin de la guerre froide, c’est une ère unipolaire de ce qu’on pourrait appeler aujourd’hui l’ordre mondial néolibéral. L’Union soviétique est totalement privatisée, détruite, ciblée pour une destruction supervisée par Strobe Talbott, qui est l’homme de pointe sur le terrain, boursier de Rhodes, travaillant étroitement avec le FMI. L’ALENA est signé afin de se débarrasser à nouveau des pouvoirs des États-nations en Amérique du Nord et de faire passer les pouvoirs dans les mains des sociétés privées avant les nations. L’Organisation mondiale du commerce et ensuite le Glass Steagall : la séparation entre le commerce bancaire américain et la spéculation est brisée par Clinton, boursier de Rhodes, lors de son dernier mandat.

À partir de ce moment-là, on assiste à l’apparition du plus grand cancer des produits dérivés, qui passe de 2 000 milliards en 1992 à 70 000 milliards en 1999, ce qui correspond au PIB mondial des États-Unis. Au point que seulement dix ans plus tard, on assiste à la déréglementation complète des produits dérivés négociés de gré à gré, car le Glass Steagall a disparu, trop gros pour faire faillite, pour devenir plus grand que Dieu, ou c’est ce qu’ils veulent nous faire croire, alors nous devons les renflouer. En cas de faillite, c’est comme un pistolet sur la tempe. Et en 2007, lorsque survient effondrement suivant, 708 000 milliards de dollars de produits dérivés pèsent sur le système, dépassant de loin les 15 000 milliards de dollars du PIB américain.

Strobe Talbott en 1992 a déclaré dans son manifeste : « Tous les pays sont fondamentalement des arrangements sociaux… Peu importe à quel point ils peuvent sembler permanents ou même sacrés à un moment donné, en réalité, ils sont tous artificiels et temporaires… Peut-être que la souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout… Mais il a fallu les événements de notre propre siècle, merveilleux et terrible, pour plaider en faveur d’un gouvernement mondial. » C’est tiré de Birth of a Global Nation.

Deux dernières diapositives et je termine.

Pour être clair, la prise de contrôle des services financiers et l’effondrement de l’économie réelle : la partie réelle qui a de la valeur, qui maintient la vie est désormais la tendance. Vous avez le croisement de ce que vous avez ici, la location immobilière, le crédit-bail, la spéculation financière qui se chevauchent en 1987 avec la base manufacturière physique. Ce n’est qu’un des nombreux graphiques mis en avant. Une économie réelle ne fonctionne que si le côté financier est toujours au service de l’amélioration du côté réel : fabrication, infrastructure, science. Si le côté financier n’assure pas ce service, c’est du faux, c’est une bulle et la bulle éclatera. Et c’est pourquoi la bulle qui a été créée aujourd’hui, et qui éclate, était une désintégration planifiée, qui a toujours été prévue, depuis 1971.

La question est de savoir quand aura lieu la rupture ? La rupture a eu lieu. La question est de savoir pourquoi la Chine et la Russie sont encerclées par l’armée américaine et britannique. Pourquoi y a-t-il toutes ces opérations psychologiques ? Pourquoi y a-t-il tant de types différents d’opérations liées à la CIA pour détruire et déstabiliser l’Eurasie en ce moment ? J’en ai parlé dans ma dernière présentation, et c’est bien documenté. Que se passe-t-il ? De quoi ont-ils peur ?

Je vais terminer par cette dernière citation de Poutine. Les gens peuvent ressentir un sentiment de rage lorsqu’ils voient le visage de Poutine parce qu’ils ont été nourris de beaucoup de propagande dans les médias, ça m’est égal. Mais dans un récent discours, Poutine a déclaré :

« Seuls les États souverains peuvent répondre efficacement aux défis de l’époque et aux demandes des citoyens. Par conséquent, tout ordre international efficace devrait prendre en compte les intérêts et les capacités de l’État et procéder sur cette base, et non essayer de prouver qu’ils ne devraient pas exister. En outre, il est impossible d’imposer quoi que ce soit à quiconque, qu’il s’agisse des principes qui sous-tendent la structure sociopolitique ou des valeurs que quelqu’un, pour des raisons qui lui sont propres, a qualifiées d’universelles. Après tout, il est clair que lorsqu’une véritable crise survient, il ne reste qu’une seule valeur universelle, à savoir la vie humaine, que chaque État décide lui-même de protéger au mieux en fonction de ses capacités, de sa culture et de ses traditions. »

J’ai dépassé mon temps de parole. Je suis vraiment désolé, mais je tenais à présenter quelques enseignements clés de l’histoire mondiale. Et s’il y a des questions, s’il y a du temps pour cela, je serais heureux de répondre.

1:36:12 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. Permettez-moi de vérifier que je vous ai bien compris. Le point principal est que l’Empire britannique n’a jamais cessé d’exister. Il est toujours là. Le colonialisme existe toujours, sauf qu’il existe sous un autre nom. Il n’a jamais cessé d’essayer de tirer les États-Unis en arrière, mais pour une raison qui nous échappe, il n’a pas vraiment réussi. Est-ce le résultat de tout cela, est-ce ce que nous voyons avec l’idée de l’État profond ? Est-ce que l’État profond est cette partie du pays qui essaie en résumé de réintroduire les États-Unis dans le système anglo-américain et dans la City de Londres ?

1:37:11 Matthew Ehret :

Je n’ai aucun problème avec ce que vous venez de dire. Oui, je n’ai aucun problème avec ça.

1:37:18 Reiner Fuellmich :

Pour autant que je sache, d’après ce que vous nous dites, cela n’a pas échoué au Canada. Leur tentative de garder le Canada sous contrôle a été très réussie. Je veux dire, rien qu’en écoutant comment Justin Trudeau a prêté son serment, il a juré allégeance à la Couronne britannique, à la Reine d’Angleterre. Cela ne dérange-t-il pas les Canadiens ?

1:37:49 Matthew Ehret :

Pour ceux qui le savent, c’est un changement de paradigme, mais il y a une grande dissonance cognitive qui a été mise en place par des années et des générations de conditionnement. Voici ce qu’il en est. Dans un des chapitres que je traite, la création d’un nationalisme synthétique au Canada a été organisée par nul autre que Lord Milner lui-même, qui a dirigé le Rhodes Trust en 1909 et est venu au Canada avec McIntyre, qui est le fondateur de la géopolitique dans sa forme moderne, mais à l’époque il était le directeur de la London School of Economics de la Fabian Society. Il a démissionné de son poste de directeur de la London School, suite à une offre faite par Lord Milner, qui fait partie de la Table Ronde, ce qui passe donc par Oxford. Donc, vous avez la LSC et ensuite Oxford. Il a donc démissionné de son poste pour venir au Canada avec Milner afin de formuler une grande stratégie visant à déterminer comment maintenir le Canada comme un rempart entre la Russie et les États-Unis et aussi avec l’Allemagne, car à l’époque, l’Allemagne n’était pas du tout un État fasciste. Il y avait encore beaucoup d’impulsions anticoloniales et antifascistes à des postes de pouvoir très élevés, autour de la Société Friedrich List et d’autres. Donc, il y a justement une citation où Milner a dit : « Parmi les trois plus grands dangers pour l’Empire britannique, ce que l’on préfère est une plus grande cohésion ». Donc, les trois principaux scénarios pour l’avenir du Canada sont : le premier, une plus grande cohésion et une intégration à la Fédération britannique. Cela ne va probablement pas se produire. Vous avez toujours Wilfrid Laurier, un admirateur de Lincoln, et d’autres, vous vous souvenez ? Donc, ça n’arrivera pas. Il a dit : le plus grand danger est une plus grande coopération avec les États-Unis, des États de 1909, c’est la plus grande menace pour l’Empire britannique. Le juste milieu est la croissance d’un nationalisme canadien. Et il rajoute : « Les Canadiens sont si merveilleusement ignorants des forces plus vastes de l’histoire, et ils se sentent supérieurs aux Américains dans presque tous les domaines. C’est facétieux et c’est fantastique. » Ce sont ses mots : « C’est juste fantastique à quel point ils sont ignorants ». « Et nous devrions suivre cette perspective et leur créer véritablement un nouveau nationalisme. » Et c’est exactement ce qui est devenu toute la tendance du 20ème siècle, aboutissant à la création artificielle du drapeau canadien avec une feuille d’érable qui ne veut rien dire. Contrairement aux autres pays qui ont des drapeaux qui signifient quelque chose, c’est littéralement juste une feuille d’érable. C’est ce qu’elle signifie. Et des gens comme Vincent Massey, qui était son prodige, est devenu notre premier gouverneur général canadien, qui a dirigé et géré une grande partie de tout cela. C’étaient tous des eugénistes. Ils ont également créé la Canadian Fabian Society, qui est toute une histoire dirigée par cinq boursiers de Rhodes en 1931.

Mais oui, au Canada, il y a une grande dissonance cognitive et beaucoup de mythes qui ont été créés et qui sont des vaches sacrées auxquelles nos esprits ont peur de se frotter. Mais maintenant que nous voyons le système démontrer sa véritable nature tyrannique, qu’il a toujours eue, mais comme nous n’y résistions pas, nous ne la ressentions pas. Mais à présent, dès que vous demandez quelque chose d’humain comme la liberté, vous voyez le masque tomber. Désormais, je pense que les gens sont beaucoup plus réceptifs à l’idée de se demander « Mais qu’est-ce qui se passe vraiment ? Qu’est-ce que cette chose appelée Canada ? » Et je pense que dans l’ensemble, les leçons des grands patriotes qui ont été évincés dans l’histoire du Canada… par exemple, nous avons eu notre dernier gouvernement national en 1963 qui a été renversé par un coup d’État dirigé par un boursier de Rhodes. En 1963, c’était notre dernier gouvernement national.

Il y a donc une soif de comprendre et je pense que plus les gens voient et réfléchissent à ce que Justin Trudeau a dit en 2017 et qu’ils observent ce qui s’est passé, plus ils arrivent à relier les choses entre elles. Ce qui est très important, c’est de se demander ce que devrait être une véritable nation souveraine. Nous savons ce qu’elle n’est pas maintenant, mais que devrait-elle faire ? Parce que nous avons de sérieux objectifs en matière de prix, la répartition de la production alimentaire, des chaînes d’approvisionnement et des infrastructures. Comment gérer cela de manière cohérente pour s’assurer que nos enfants, non seulement ne deviennent pas des esclaves dans ce système dystopique, mais qu’ils aient une vie dans laquelle ils puissent s’épanouir, où nous puissions investir dans une banque nationale qui serve les intérêts du peuple, avec d’autres nations qui s’organisent de manière commune. C’est toute une discussion qui doit vraiment avoir lieu. Et je pense que les manifestations actuelles à Ottawa sont une bonne étincelle. Il y a une aspiration à présent, comme je n’en ai jamais vu, pour ces grandes idées.

1:42:12 Reiner Fuellmich :

C’est le nationalisme canadien,…. nationalisme s’affirmant plutôt contre la couronne britannique, en substance, non ?

Matthew Ehret :

En substance. C’est basé sur un principe qui n’est pas artificiel. C’est vraiment basé sur le droit de nourrir nos familles, de travailler, d’avoir une vie. Les choses absolument fonda-mentales.

1:42:33 Reiner Fuellmich :

Une dernière question. Le pouvoir de la City de Londres combiné à la cinquième colonne de Wall Street, est-ce bien le cas ? Ai-je bien compris ? Que tout cet argent, tout ce pou-voir, était en mesure de déclencher deux guerres mondiales ? La première et la deuxième guerre mondiale, avec ces mastodontes financiers finançant les deux camps ?

1:43:04 Matthew Ehret :

Oh, oui. Absolument. J’ai l’impression d’avoir utilisé beaucoup de temps. Mais oui.

1:43:11 Reiner Fuellmich :

Ok. Je voulais juste m’assurer que je ne vous avais pas mal compris. Et enfin, les deux guerres mondiales, quiconque peut commencer deux guerres mondiales, n’a probable-ment aucun problème, parce que je l’ai noté quand vous l’avez dit, pour créer des mala-dies comme le terrorisme et le commerce de la drogue. Donc, en substance, cela a aussi eté créé, ou a été mise en place par ces mastodontes financiers que sont la City de Londres et Wall Street.

1:43:44 Matthew Ehret :

Oui, et je voudrais juste ajouter une petite chose à ce sujet, c’est que les Britanniques, et j’ai réalisé une interview avec Alex Craner basée sur une merveilleuse trilogie qu’il a écrite sur le projet britannique initial du Nouvel Ordre Mondial sous la direction de personnes comme Lord Halifax, les conciliateurs de la Grande-Bretagne qui étaient des gens comme Neville Chamberlain, qui faisaient partie d’une opération qui, jusqu’en 1939-1940, voulait toujours avoir des alliances fascistes anglo- américaines avec Hitler, et Mussolini et d’autres… pour gérer le monde dans le cadre d’un Nouvel Ordre Mondial et appliquer la po-litique eugéniste de contrôle de la population dans le cadre d’une société gérée de ma-nière scientifique depuis le plus haut niveau. C’était un projet, jusqu’à l’éviction de Neville Chamberlain, lorsque Hitler est devenu un monstre à la Frankenstein qui ne se conformait plus aux ordres et qu’il avait de plus grandes ambitions pour être à la tête du monde — au lieu d’être un exécutant secondaire de la volonté d’une classe bancaire. C’est alors qu’ils ont dû changer de stratégie et abandonner ce plan. Il y a toute une histoire là-dessus, mais oui, l’oligarchie… la leçon que j’en tire et que je souhaite que tout le monde puisse ti-rer de ça, c’est que les oligarchies se plantent beaucoup. Elles ne sont pas aussi puis-santes qu’elles veulent nous le faire croire, ce qui est, vous savez, une intimidation de l’es-prit. Chaque fois que vous regardez ce qu’ils essaient de faire… ce qu’ils essaient de faire aujourd’hui n’est pas nouveau, ils ont essayé de nombreuses fois, et généralement ça leur explose à la figure. Et cela leur porte préjudice aussi. Alors ils doivent se réorganiser et es-sayer quelque chose de nouveau.

1:45:13 Reiner Fuellmich :

Je comprends maintenant, cependant, que Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, dit qu’elle ne peut pas croire qu’elle combat les mêmes personnes, les mêmes structures, à nouveau, qu’elle a combattu il y a 75 ans, parce qu’il semble que ce qui s’est passé alors se reproduit. Matthew, je ne veux pas priver mes estimés collègues de poser des ques-tions. Alors, s’il vous plaît, allez-y, posez vos questions.

1:45:43 Dexter Ryneveldt :

Je vous remercie beaucoup pour votre témoignage. Matthiew, le sens même de votre dé-claration, le témoignage que vous avez donné, vous parlez de la nature et du droit. Comme nous le savons tous, le droit substantiel que nous utilisons dans ce grand jury est le droit naturel. J’aimerais donc que vous me disiez, sur la base de toutes les recherches que vous avez effectuées, quelle est l’importance du droit naturel pour la survie de l’huma-nité ? Et plus important encore, comment est-il lié au droit constitutionnel ? Merci.

Matthew Ehret :

Dexter, c’est une question formidable. C’est une très bonne question. D’après moi, toute l’histoire du monde a été façonnée par une bataille entre la loi artificielle — je veux dire, l’humanité est la seule espèce que nous connaissons qui crée et améliore les lois des sys-tèmes autour desquels nous nous organisons. Les autres animaux sont régis par leur géné-tique, leur environnement et leur nature pour être ce qu’ils sont, et c’est très bien ainsi. Mais les êtres humains sont les seuls à pouvoir élaborer des conceptions et à les appliquer pour gérer, volontairement, leur propre existence. Et puis, encore une fois, à pouvoir iden-tifier les problèmes de la pseudo machine métaphysique invisible de l’État et les améliorer. Mais sur quelle base devons-nous nous améliorer ? Selon quelle norme jugeons-nous les lois que nous créons nous-mêmes pour dire « Celle-ci est conforme à ce qui a été conçu par Dieu ». Et quelles sont celles qui sont déséquilibrées, qui ne sont pas en harmonie, que nous de-vons corriger, qui sont illégitimes ou, comme Thomas d’Aquin le dirait, qui constituent des formes de violence. Donc, si une loi peut effectivement détruire, vous priver de votre ca-pacité innée à exprimer votre vie, votre liberté, votre bonheur, vos pouvoirs créatifs… si c’est ce qu’une loi fait, ce n’est pas une loi, c’est une forme de violence. Elle n’a pas à être respectée. Et c’est ce que les pères fondateurs… si vous lisez les écrits de Benjamin Frank-lin, de Thomas Paine, ils étaient très sensibles au fait qu’il existe une loi supérieure. Elle n’est même pas séparée de la loi scientifique. C’est pourquoi Benjamin Franklin était à la fois un scientifique qui a découvert des principes d’électricité qu’il partageait. Mais dans son esprit, ses découvertes des lois de l’électricité n’étaient pas séparées des lois morales métaphysiques qui sont devenues le fondement de l’effort de sa vie pour créer une Répu-blique d’autogouvernance, fondée sur les droits inaliénables de l’individu et non sur les institutions héréditaires qui avaient gouverné la société pendant des milliers d’années. C’était la première fois que cela se faisait. Encore une fois, dans son esprit, il s’agissait de deux faces d’une même chose. La vraie science ne constitue pas une description mathé-matique ou une tentative d’imposer une formule à l’univers et d’attendre que l’univers s’y conforme. Il s’agit d’accorder notre propre raison créative en harmonie avec cet univers, qui sera alors toujours plus facile à découvrir. Et chaque fois que nous transmettons ces nouvelles découvertes dans n’importe quel domaine à nos semblables et que nous les ap-pliquons au processus de production, l’univers réagit en nous donnant des niveaux de vie plus élevés. Nous pouvons faire vivre un plus grand nombre de personnes à un niveau de vie supérieur à celui que nous aurions pu avoir si nous n’avions pas l’électricité, si nous n’avions pas la connaissance du feu, où nous vivions, par exemple, comme des bestiaux dans des grottes.

Mais cette nature réciproque de l’univers ayant cette qualité, que l’humanité a créée à l’image de cet univers sous certaines conditions, si nous respectons certains de ces prin-cipes, comme Benjamin Franklin et d’autres l’ont compris, nous en tirerons une plus grande émancipation. L’Empire, le système oligarchique d’une élite héréditaire, perdra les appuis où planter ses griffes, comme le parasite qu’il est, dans l’hôte. Il n’aura plus grand-chose à quoi s’accrocher, il perdra son pouvoir et implosera de lui-même, comme je pense que nous le voyons en ce moment.

1:49:19 Alex Thomson :

Puis-je ajouter quelque chose très brièvement, ce que nous voyons maintenant dans les ju-ridictions du Royaume-Uni, il y a la juridiction d’Angleterre et du Pays de Galles, la juridic-tion d’Irlande du Nord, la juridiction d’Ecosse. Les systèmes judiciaires de tous ces pays, qui relèvent essentiellement de la common law, commencent à s’attribuer, au niveau judi-ciaire, le pouvoir de décider de la « Mens Rea » ou ils sont plus avancés que n’importe quelle juridiction de common law ou de droit civil, comme nous l’avons constaté à plu-sieurs reprises, en affirmant que même si un jury est là pour la forme, et ils semblent es-sayer de s’en débarrasser maintenant sous la prétention fallacieuse que les exigences des traités internationaux les obligent à réduire l’utilisation des jurys, même si un jury est là pour la forme, ils se réservent le droit de déterminer ce qui était dans l’esprit de l’auteur du crime. Et très souvent maintenant, c’est une rédaction qui vient des fondations exo-nérées d’impôts telles que la Fondation Carnegie dont j’ai parlé plus tôt, via la bibliothèque de la Chambre des Communes, qui dit aux législateurs de Grande-Bretagne, qui ensuite entraînera d’autres pays sur la même voie, et que les législateurs sont informés qu’il existe une version terrestre du bien public ou du bien-être public, maintenant appelée bien-être collectif. C’est ce que les fondations ont fait tout au long du 20ème siècle, en créant des ennemis dans ce but précis. Et maintenant les tribunaux disent, si vous avez offensé la société, alors il n’y a pas de réparation, vous êtes coupable. Et c’est le plus grand pas en avant vers l’élimination du droit naturel que j’aie jamais vu. C’est allé plus loin que n’importe quel État totalitaire européen, que n’importe quelle cour internationale, c’est maintenant au niveau national britannique, par le biais de la législation et finalement des groupes de réflexion, que l’on abolit le concept selon lequel la loi naturelle décide si vous êtes coupable ou non.

1:51:04 Viviane Fischer :

Merci pour votre opinion, parce que nous voyons que ce n’est pas une constellation de pays fermés à 100 %. En ce moment, nous avons des réglementations encore très strictes en Australie et au Canada et ailleurs, mais vous dites qu’en Angleterre, c’est comme s’ils planifiaient ça sous un angle différent. C’est donc apparemment plus détendu pour le mo-mene, mais je veux dire qu’ils se préparent à finaliser sous un angle différent, en disant… sous un angle différent, comme créer une pénurie alimentaire en fait.

1:51:41 Alex Thomson :

Oui, j’en suis absolument convaincu, le Royaume-Uni est en tête, l’Anglo Commonwealth en second, et la résistance à cette idée sera en fait largement le fait des pays d’Europe centrale, parce qu’ils accordent plus de poids à l’état de droit et aux institutions des tribu-naux qu’aux jurés, par exemple, ils montreront une plus grande résistance, une résistance bienvenue pour ce cas. C’est certainement la Grande-Bretagne ou les groupes de réflexion basés en Grande-Bretagne qui poussent nos législateurs plus que partout ailleurs dans le monde, cette idée que si quelqu’un répond aux exigences d’un texte, il est convaincu qu’il est condamné sans aucune défense possible. C’est donc cette idée fallacieuse qui se cache derrière : « vous voulez offensé les intérêts du bien commun ? »C’est ce que je crains, et c’est ce qu’on peut comprendre, d’après ce que Matt a dit, mais je pense qu’en fait, ceux qui disent ça, c’est qu’ils ont peur, et qu’ils ne veulent aucune menace à leur narratif.

1:52:41 Reiner Fuellmich :

D’autres questions d’Ana, de Dipali, de Dexter ou de Virginie ? J’ai une question. Est-il possible que non seulement en Europe, mais aussi aux États-Unis, il y ait un mouvement qui, ayant compris ce qui se passe, essaie de prendre ses distances. Je parle des États-Unis qui essaient de prendre leurs distances par rapport aux Européens, et en particulier par rap-port à la City de Londres, parce que nous sommes tout simplement ensevelis sous les dettes, et que nous portons trop de poids mort avec nous. Je dis ça en termes courants. Qu’en pensez-vous, Alex ? Et Matthew ?

1:53:34 Alex Thomson :

Pour ma part, absolument. Et puis le récent témoignage que je vous ai donné, j’ai parlé de ça, qu’il y a une grande partie de l’Amérique centrale qui s’est réveillée et qui voit mainte-nant ce qu’ils considèrent comme un problème anglo ou anglo- européen les diriger, et je pense qu’ils commencent à en avoir marre de tout ça, à cause de la quantité de trahison impliquée et juste comme codicille au témoignage de Matt sur 1971, quand le coup finan-cier a été réalisé, une des indications que les Américains ont été utilisés comme des pions malheureux est que cette même année, Kissinger aurait dit que les militaires, et par là il entendait surtout les militaires américains, étaient des bêtes brutes et stupides qui fai-saient ce que d’autres leur demandaient et cette même année, étant le nouveau Secré-taire d’État sous l’administration Nixon. Il a obtenu d’un fabricant du Massachusetts, le seul fabricant au monde capable de produire des roulements à billes de précision, Brian Chucking Grinder, qu’il fournisse des roulements à billes à l’Union soviétique, afin de leur permettre de développer de multiples ogives pour « véhicules de rentrée indépendant », ce qui, je le sais, fait l’objet d’un de nos témoignages supplémentaires ce soir de la part de Jim Bush, alors qu’il était personnellement impliqué dans la partie américaine de cette af-faire, La quantité de trahison impliquée est telle que là où les États-Unis avaient une avance militaire ou économique, la cabale dont nous parlons l’a délibérément abolie et j’ai le sentiment très fort, grâce à mes contacts prolongés avec les États-Unis, qu’une grande partie des Américains ne souhaitent pas abolir leur héritage anglo-saxon, leur héritage de common law, mais ils en ont complètement assez du leadership intellectuel britannique et européen.

1:55:14 Reiner Fuellmich :

C’est parfaitement logique.

1:55:16 Matthew Ehret :

Je ne voudrais pas trop parler, parce que je sais que nous sommes en train de dépasser le temps imparti ici. Mais juste rapidement : il y a des cinquièmes colonnes en Russie, chaque pays a ses propres colonnes, ils ont leurs propres batailles entre les forces légi-times qui représentent leurs cultures contre ces autres infiltrations parasitaires. Je dirais qu’en Eurasie, vous avez eu un sérieux… un repli plus sérieux au point qu’il y a une véritable… Je ne pense pas que ce soit un jeu, je pense qu’il y a une véritable stratégie alterna-tive qui a été déployée en dehors du cadre de la prison de l’OTAN qui est en train d’imploser. Et qui n’est pas toujours… qui a toujours été conçue pour imploser. Et je pense qu’il y a des forces aux Etats-Unis, je le vois plus actuellement au niveau des Etats, qui ne veulent pas sombrer avec le bateau qui coule, il y a des forces partout en Europe. Malheu-reusement, les pouvoirs exécutifs fédéraux de la plupart des gouvernements transatlan-tiques ont été en grande partie récupérés, pas toujours entièrement, mais à un niveau dé-primant. Donc je n’ai pas… je ne suis pas un expert en planification géopolitique. Et j’espère que les forces créatives seront capables d’utiliser les auto-contradictions et la folie de l’empire à leur avantage, puisqu’encore une fois, cet empire est… il ne peut qu’une fois… il ne peut réussir qu’à se détruire. Et je vois qu’il y a des gens qui veulent avoir un futur, qui veulent survivre, et qui s’organisent naturellement. Et je pense juste qu’ils doivent affiner leur plan stratégique, en termes de ce qu’ils comprennent du monde, car beaucoup de gens pensent encore, surtout en Amérique… Beaucoup de patriotes qui n’aiment pas la grande réinitialisation ont tendance à tomber dans certains pièges qui sont tendus du récit de la guerre froide, que le vrai ennemi derrière tout n’est pas l’empire britannique, ce n’est pas l’oligarchie, ce n’est pas ça, ce seraient les communistes chinois qui voudraient dé-truire vos libertés, c’est ce qui serait derrière tout cela. Et vous savez, beaucoup de gens tombent dans ce piège. Et je crois que dans la mesure où ils s’accrochent à ces récits de Guerre Froide, ils vont auto- saboter leurs désirs communs de gagner la bataille contre cette menace oligarchique. Voilà, c’est ce que je tenais à dire.

1:57:31 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. D’autres questions d’Ana ou de Dexter ? Ou Virginie ? Ou Dipali ?

1:57:39 Dexter Ryneveldt :

Pas d’autres questions pour ma part.

1:57:43 Ana Garner :

Aucune pour moi. Merci. Quelle belle présentation.

1:57:46 Reiner Fuellmich :

Oui, merci, Matthew. S’il n’y a pas d’autres questions, votre témoignage est terminé. Mat-thew, merci beaucoup. Nous allons maintenant nous tourner vers Brian Gerrish et Debbie Evans, pour leur présentation.

1:58:04 Brian Gerrish :

Merci beaucoup de m’avoir invité à participer. Vous m’avez demandé de me présenter. Je vais donc dire que ma première carrière a été celle d’un officier de la Royal Navy britannique. J’étais spécialisé dans la guerre anti-sous-marine. J’ai donc passé une grande partie de mon temps à traquer les sous-marins nucléaires russes, au plus fort de la guerre froide. Et bien sûr, je dirai qu’avec le temps, en vieillissant et en devenant plus sage, je me suis rendu compte que beaucoup de ce que je croyais à l’époque était incorrect. Mais pour vous donner une partie de mon expérience, j’étais très impliqué dans le système militaire à l’époque de la guerre froide. Et quand j’ai quitté la marine en 1993, j’ai découvert que tout n’était pas comme il semblait, dans la société et au Royaume-Uni. Et à force de traquer, principalement la fraude et la corruption dans ma propre ville, et d’entrer en contact avec des personnes qui voyaient la fraude et la corruption dans d’autres grandes villes britanniques, j’ai commencé à m’intéresser aux organisations qui, je le voyais, contrôlaient les événements, mais ces organisations n’étaient pas bien connues du public. Et où cela m’a mené, j’ai finalement rencontré un groupe de personnes formidables. Et maintenant, nous gérons UK Column en produisant des nouvelles trois fois par semaine. Auparavant, nous produisions un journal écrit, mais nous analysons constamment ce qui se passe.

C’est donc sur la base de mon expérience militaire antérieure, de mon expérience dans le monde civil, y compris les analyses à travers UK Column que je peux vous apporter mon témoignage ce soir. Et j’ajouterai que je suis ravi d’être accompagné d’une dame appelée Debbie Evans, qui a fait des recherches très approfondies avec nous, et j’ai pensé qu’il était tout à fait approprié qu’elle puisse donner une information de grand intérêt qu’elle a trouvé.

Maintenant, je n’ai que 30 minutes. Je vais donc essayer d’aller très vite. Et la première chose que j’aimerais faire est d’essayer d’élargir la portée de ce que nos intervenants initiaux avaient à dire dans leur témoignage. Et je crois que l’analyse démontre qu’ils ont créé des fondations, des start up et développé des organisations de gangsters. Et nous avons suivi leur histoire, nous avons appris bien des choses sur ces gens, leurs réseaux, leur mode d’opération, nous avons quelques preuves d’événements mondiaux qui nous montrent que ces groupes opèrent.

Si nous regardons comment les gangsters ont été traités et éliminés avec succès dans le passé, si nous nous intéressons à Al Capone ou d’autres gangsters, l’Amérique est probablement le bon endroit pour ce genre d’analogie.

On les a fait tomber en enquêtant sur les crimes qu’ils ont commis et en recueillant les preuves réelles de ces crimes, qu’il s’agisse de meurtres, de trafic de drogue ou de prostitution, il fallait les preuves réelles du crime, il fallait prouver l’intention. Il devait y avoir les personnes nommées qui étaient impliquées dans ces crimes.

Et ce n’est que lorsque les preuves ont été apportées qu’ils ont pu être traduits en justice et déclarés coupables, ou du moins traduits devant la loi, et finalement purger leur peine. Je vais donc dire que pour notre jury, qui est un public mondial, les deux premiers intervenants ont fait un excellent travail en disant qu’il y a une conspiration, un groupe de gangsters qui opèrent, ils ont un pouvoir et une richesse énormes.

Qu’est-ce que ces gangsters essaient de faire ? Je pense que l’objectif de ces gangsters est la domination du monde. Ils veulent tout contrôler, la société, les matières premières, les méthodes de production, les gens, la politique, tout doit passer sous leur contrôle. Et finalement, nous disons alors, quels sont les crimes ? Eh bien, le gardien des crimes les notait pendant que j’écoutais les orateurs. Nous regardons l’oppression, nous regardons l’esclavage. Nous parlons de la pauvreté, de la faim, de la traite des êtres humains. Et finalement, nous parlons de la mort. Et à ce stade, je crois que nous avons maintenant un événement mondial majeur très important qui se produit. Il s’agit de la pandémie de COVID 19, suivie d’un programme de vaccination, parce que, selon moi, les preuves irréfutables montrent que ces gangsters tuent des gens. Nous sommes donc ici pour, un recours à la loi pour parler de crime.

Quel est le crime, à mon avis, le crime est de perpétrer la mort. Les années précédentes, nous avons vu des gens mourir à cause des guerres qu’ils avaient créées. Mais plus récemment, nous voyons des gens mourir à cause de l’introduction d’une pandémie, et de la façon dont cette pandémie a été traitée, et de la façon dont elle est traitée entre guillemets avec un programme de vaccination. Maintenant, les deux intervenants ont mentionné quelque chose, qui je pense est très important. Alex a dit qu’ils veulent contrôler les esprits, et qu’ils veulent « un contrôle civil sur des personnes politiquement attardées ».. Et cette dernière citation montre absolument l’arrogance de ces individus, de ces gangsters, parce qu’ils croient que toute opinion qu’ils ont est l’opinion correcte, la valeur correcte. Et toute personne qui les conteste est un vaurien, qu’ils veulent en fin de compte éliminer de leur champ d’action, et qu’est-ce que cela signifie ? En fin de compte, ils voudraient que ces gens disparaissent et meurent.

Alors rappelons-nous et faisons le lien avec le fait que nous avons dit que c’est une bataille pour nos esprits, et c’est très vrai en ce moment lorsque je vous livre mes premières pensées sur ce qui se passe. Mais nous devons être conscients qu’à côté de la pandémie de COVID 19 et du programme de vaccination qui en découle, nous devons être conscients qu’il y a une bataille contre nos esprits avec une attaque psychologique politique appliquée. Donc, il se trouve que j’ai deux documents avec moi, le premier est intitulé santé mentale. Le sous -titre est planification stratégique pour la santé mentale, il a été rédigé par un certain JL Reese.

Il est intéressant de noter que la date figurant sur ce document que je détiens est octobre 1940. Donc, au milieu de la Seconde Guerre mondiale, au début de la Seconde Guerre mondiale, je devrais dire, nous avions un groupe de personnes qui allaient plus tard devenir très puissantes au sein du système de l’Organisation mondiale de la santé, qui discutaient de la manière dont ils allaient mettre en œuvre ce qu’ils appelaient l’hygiène mentale dans la nouvelle société.

Et ils ne se sont pas gênés parce qu’ils ont dit qu’en faisant cela, ils allaient infiltrer les organisations sociales, ils allaient attaquer les professions, ils allaient infiltrer les activités sociales, et les sociétés professionnelles, et qu’ils allaient déclencher un plan et une propagande à long terme. Et je vais appuyer ce document de 1940 en disant très rapidement, j’en ai un autre entre mes mains, que je suis bien sûr heureux de partager ceci en tant que preuve. Il s’intitule Psychiatrie, il fait partie du « Journal of the biology and pathology of interpersonal relations », il est daté de février 1946.

Et il parle du rétablissement de la société en temps de paix, et l’auteur est un certain G.B Chiesel2. Et si les gens font des recherches sur ce nom, ils trouveront un autre personnage qui est profondément lié au type de sociétés que les sujets nous présentent de manière très concise. Pourquoi devrions-nous y prêter attention aujourd’hui ? Parce qu’il parle de l’utilisation du système psychiatrique, afin de mettre en œuvre ce programme d’hygiène mentale. Et si notre jury souhaite savoir ce que signifie « l’hygiène mentale », et bien cela signifie essentiellement que vous n’êtes pas apte à être un être humain, à moins que vous n’adoptiez les vues, les valeurs et les opinions des gangsters qui, nous l’avons déjà identifié, ont un plan de domination.

Je voudrais dire que lorsque j’ai commencé à faire des recherches sur ce qui se passait au Royaume-Uni du point de vue de la criminalité et de la fraude, des menaces et des brimades au niveau local, j’ai rapidement établi, à mon grand étonnement, qu’il existait une organisation caritative, appelée « Common Purpose », qui agissait de manière très politique en créant de futurs leaders. Et j’ai été fasciné par le fait que ces personnes s’installaient dans les villes britanniques et manipulaient de manière efficace en prenant le contrôle, pourrait-on dire, de la politique dans ces villes.

Donc, il y avait un groupe de personnes qui recrutaient des gens, qu’ils pouvaient considérer comme de futurs leaders, et qui commençaient à prendre le contrôle de villes au Royaume-Uni. Eh bien, si j’élargis le propos, en quelques années, cette organisation a opéré à l’étranger, dans des pays comme l’Allemagne, la Hollande, l’Inde, l’Australie, où ils recrutent des gens dans ces pays, afin de les intégrer dans un programme « d’agents du changement » pour changer notre façon de penser et de faire des affaires dans la société. Et si nous demandons d’où vient cette organisation, elle a été créée en 1985 environ, à la suite du retour d’une femme en particulier, la directrice générale de l’époque, Julia Middleton, de Chicago, me semble t’il, mais en tout cas, elle disait avoir appris des choses étonnantes sur la façon de changer la société. Et le point intéressant était qu’une grande somme d’argent a été collectée auprès d’un certain nombre de banques. Et rappelez-vous, le pouvoir monétaire a été au centre du dialogue des deux premiers intervenants, mais « Common Purpose » a pu se lancer grâce à des fonds provenant de grandes banques qui n’ont jamais été divulgués. Cependant, je peux dire avec une grande certitude que la Deutsche Bank était l’une des principales banques travaillant avec cette organisation.

Maintenant, pourquoi est ce que je parle de « Common Purpose » ? Eh bien, « Common Purpose » était un exemple clé d’une organisation que vous pouviez suivre, vous pouviez consulter les documents, vous ne pouviez pas voir les gens. Et vous pouviez constater qu’elle mettait en place un plan pour changer notre société sans que le citoyen moyen ne le réalise.

Alors où voulons-nous en venir maintenant ? Je pense que nous devons faire un petit récapitulatif de ce qu’Alex a mentionné, parce que j’aimerais vous ramener au document sur le concept mental, qui est ma première diapositive, si nous pouvons l’afficher à l’écran. – Introuvable sur internet, retranscription phonétique du nom énoncé à l’oral. Et ce document produit par le « Cabinet Office Britannique », est un document dans lequel ils ont travaillé avec des psychologues pendant longtemps, pour apprendre comment changer la façon dont les gens pensent et se comportent, sans que les gens comprennent ce qui se passe.

Ce n’est pas une simple opinion de ma part, car si nous passons à la deuxième diapositive, j’espère qu’elle s’affiche à l’écran. Si vous lisez le texte à l’écran, il est dit que le gouvernement, le gouvernement britannique, serait capable de contrôler les pensées des gens, la façon dont ils pensent et les comportements qu’ils adoptent. Et les gens ne se rendent pas nécessairement compte que cela s’est produit, il n’auraient pas conscience, que leur comportement, leurs pensées auraient changé, ils ne le sauraient pas. Mais le document précise encore que si les gens se rendaient compte que leur comportement avait changé, ils ne sauraient pas nécessairement comment cela aurait été fait.

Maintenant, laissez-moi relier cela, plus ou moins à ce jour avec la pandémie de COVID 19, parce que si nous amenons la diapositive trois, sur votre écran, ce sont les rapports de « Spy B », comme on l’appelle, c’est une section des scientifiques experts du gouvernement britannique, des groupes d’experts, qui faisaient des commentaires sur la façon dont nous devrions, je cite, combattre le COVID. Mais « Spy B » était une équipe de spécialistes, y compris des spécialistes du comportement, qui ont utilisé la psychologie appliquée pour amener les gens à adhérer à la politique du gouvernement britannique sur le COVID-19. Et c’est pourquoi j’attire l’attention des gens sur deux paragraphes : l’un se trouve en bas de la page de gauche, où il est dit que le niveau perçu de menace personnelle doit être augmenté chez les personnes confiantes, en utilisant des messages émotionnels percutants.

C’était donc une équipe gouvernementale qui préconisait l’utilisation de la psychologie appliquée pour rendre les gens craintifs. Et je dirais qu’il n’est pas étonnant que nous ayons maintenant des psychologues et des psychiatres qualifiés qui soulignent le danger de rendre les gens peureux, en particulier si vous utilisez des techniques qui impliquent qu’ils n’ont aucun moyen de savoir d’où vient cette peur. Ce n’est pas mon jugement, je cite directement les propos de l’homme du gouvernement britannique. Et ce qui est tout aussi inquiétant, c’est qu’un paragraphe ultérieur, le paragraphe sept, parle de coercition, dans lequel il est dit que l’on devrait envisager l’utilisation de la désapprobation sociale. Mais avec une forte mise en garde concernant les conséquences négatives indésirables. Ce dont ils parlent, c’est d’utiliser les gens pour faire la police entre eux, pour dire, je porte un masque, vous ne portez pas de masque, vous êtes une mauvaise personne, sortez de mon chemin. Mais la mise en garde qu’ils ont introduite à ce sujet est qu’ils reconnaissent que cette technologie psychologique pourrait déclencher la violence dans les communautés.

Maintenant, je passe rapidement dans cette présentation sur la façon dont ils parlent dans le domaine du contrôle des populations où nous voyons le gouvernement britannique en 2009 en 2010, figurant sur ce document original, mais jusqu’à aujourd’hui aussi, se vanter du fait qu’il pourrait utiliser la psychologie appliquée pour changer la façon dont les gens pensent et la façon dont les gens se comportent.

Qu’ont-ils fait de cette méthodologie ? Cette psychologie a été en fait vendue initialement aux États-Unis et à l’Australie… regardez ce qui se passe en Australie avec le verrouillage COVID en ce moment, mais finalement, ces technologies psychologiques, comme Debbie va en parler dans quelques instants, ont été vendues dans le monde entier.

Nous avons donc maintenant des gouvernements du monde entier capables d’utiliser cette psychologie comportementale appliquée pour changer les opinions, les valeurs et le comportement des gens qui ne savent tout simplement pas que cela a été utilisé contre eux. Et pour renforcer ce point, si on peut faire apparaître à l’écran la quatrième diapositive, voici un document que je n’ai trouvé que très récemment, mais qui s’intitule « Behavioural Insights applied to policy, Germany country overview », c’est un document de l’UE, qui vante effectivement exactement la même chose, à savoir comment la psychologie comportementale appliquée peut être utilisée pour changer l’opinion publique communautaire. Et il donne toute une liste d’organisations allemandes, dont je suis sûr qu’elles seront, pardon, je suis sûr qu’elles seront beaucoup plus significatives pour le jury que pour moi, mais beaucoup d’entre elles sont des universités et des organismes de recherche.

Ce document est la preuve vraiment évidente que ces techniques de psychologie politique ont certainement été répandues dans toute l’Europe.

Je vais donc suggérer qu’il est très clair que nous avons une équipe de gangsters au pouvoir, qu’il s’agisse du Royaume-Uni, de l’Union européenne ou des États-Unis, et qu’entre les mains de ces gangsters, il y a une méthode de psychologie comportementale très dangereuse.

Permettez-moi maintenant de passer au sujet du COVID-19, et en particulier aux effets des vaccins.

Au Royaume-Uni, nous avons la « Medicine and Health Products Regulatory organization », la MHRA, qui est censée assurer la sécurité du public en ce qui concerne les produits pharmaceutiques et les vaccins. Et dans le cadre du programme de vaccination au Royaume-Uni, ils ont recueilli des données sur les effets indésirables des vaccins, excusez-moi… qu’ils appellent les « Yellow Cards ». Et à ce jour, si je peux trouver les chiffres, parce que je les ai notés, aujourd’hui… leurs propres statistiques disent qu’il y a eu près un million et demi d’effets indésirables des vaccins, et qu’il y a eu près 2000 décès, avec une mise en garde qu’ils ont faite eux-mêmes pour dire qu’ils pensent qu’il est probable que seulement 10 % des effets indésirables des vaccins qui se sont réellement produits ont été enregistrés. Bien entendu, cela fait passer le nombre de décès de 2000 à 20 000.

Ce qui est intéressant, c’est que nous commençons à voir les décès dus aux vaccins dépasser les dommages causés par le COVID-19. Mais nous devons nous rappeler que la MHRA est un département gouvernemental parfaitement prêt à utiliser les mêmes compétences en psychologie appliquée, que le gouvernement britannique s’est vanté de pouvoir utiliser, pour tromper le public et changer son comportement.

Ainsi, lorsque nous nous sommes adressés à la MHRA et que nous leur avons posé une question simple : où est votre évaluation quantitative des risques pour montrer que les effets indésirables des vaccins ne sont pas le résultat des vaccinations elles-mêmes ? La MHRA s’abstient de répondre et produit des réponses très confuses. Mais le fait est que cette organisation clé, la MHRA, n’a pas mené d’évaluation quantitative des risques concernant les effets indésirables des vaccinations.

Et je veux dire au jury, nous sommes dans un tribunal, la MHRA a le devoir de protéger le public des produits pharmaceutiques dangereux. Elle sait que des gens meurent à cause de la campagne de vaccination. Et je voudrais ajouter que le gouvernement britannique le sait certainement. Mais il est prêt à utiliser la psychologie dans tous les domaines, écrits et médiatiques, autour des dangers du COVID dans la politique de vaccination.

Avant de céder la parole à Debbie pour qu’elle explique le fonctionnement du système. Je voulais juste souligner que, bien sûr, l’ensemble du contrôle de la politique du COVID-19, et la soi-disant politique de soins de santé autour des vaccinations COVID-19 a été effectué par le Cabinet Office britannique qui a une équipe de psychologie comportementale appliquée intégrée. Nous savons donc de quoi ils sont capables, ils s’en vantent dans leur propre document. Et finalement, nous voyons la preuve réelle que des gens souffrent et meurent.

Mais j’aimerais passer la parole à Debbie, parce que si nous suivons cette piste, nous arrivons à la façon dont le système fonctionne au Royaume-Uni, où du moins, nous assistons à une forme de fascisme médical, entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique mondiale, travaillant aux côtés des universités et des organisations caritatives dans ce qui a été appelé le Triangle d’or au Royaume-Uni. Donc permettez moi de passer la parole à Debbie, pour utiliser les 15 dernières minutes.

2:21:23 Debi Evans

Merci, Brian. Bonsoir à tous. Mon nom est Debbie Evans. Je suis une infirmière diplômée d’État à la retraite. J’ai été formée au Royal Free Hospital de Londres, où, par coïncidence, on soigne la fièvre de Lassa depuis aujourd’hui au Royaume-Uni. Et j’ai suivi une formation postuniversitaire à l’hôpital St. Bartholomew dans la ville de Londres. Et j’ai été conseiller au ministère de la santé pour le gouvernement britannique pendant cinq ans et je suis un chercheur médical et Brian nous a amené là dans ce que nous appelons au Royaume – Uni le triangle des hôpitaux ou les université d’or, le triangle d’or des universités, et il y a une capture d’écran d’une carte du Royaume-Uni, si vous pouvez l’afficher juste pour montrer les emplacements d’Oxford, Cambridge et Londres, dans ce triangle, je ne sais pas si vous pouvez le voir ou non. Vous pouvez le voir fabuleux.

Cambridge est le plus grand centre de technologie numérique du Royaume-Uni. Elle est classée 12e dans l’indice numérique européen, et elle est en fait connue sous le nom de Silicon Fen. Il y a un énorme campus biomédical sur le site, il y a une capture d’écran du campus biomédical, qui vous indiquera ce qu’il y a sur le puissant campus biomédical et ce qu’on y trouve, entre autres l’hôpital Papworth, qui a été déplacé sur le campus biomédical et qui est spécialisé dans le cœur et les poumons. Nous avons également l’hôpital d’Addenbrooke, spécialisé dans les dons d’organes et les transplantations. Boris Johnson, notre Premier ministre, nous a également annoncé qu’un hôpital de recherche sur le can-cer serait également érigé sur ce campus, ce qui représente un coût énorme malgré le fait que les taux de cancer au Royaume-Uni sont en baisse, le Medical Research Council Can-cer Research UK, sur lequel je reviendrai dans une minute, le laboratoire régénératif McLa-ren et le centre de transfusion sanguine du NHS. Donc tout cela est entre autres, à Cam-bridge et AstraZeneca a son siège avec GlaxoSmithKline aussi, ce qui est intéressant à propos de Cambridge, c’est que Cancer Research UK, qui est censé être une organisation caritative, mais semble ne pas l’être du tout.

Le professeur Robert West est consultant pour Cancer Research UK. Et il fait également partie de l’équipe B, l’équipe comportementale dont Brian vient de parler à propos de « Sage ». La femme du professeur Robert West, le professeur Susan Michie, est à la tête de l’équipe Behavioural Insights au cabinet ministériel. C’est une communiste de longue date, qui a conçu la méthode de changement de comportement et l’a déployée dans de nombreux pays. Le Behavioural Insights Team semble être devenu mondial.

En ce qui concerne le triangle d’or d’Oxford, nous avons l’une des économies de technolo-gie numérique les plus dynamiques du Royaume-Uni, avec un grand campus, Oxford Nano-pore, de très haute technologie, et un campus médical. Nous avons aussi Milton Keynes, qui est mentionnée dans ce triangle d’or parce que c’est la première ville intelligente du Royaume-Uni qui utilise des capteurs, et je reviendrai sur l’innovation technologique.

Donc, en arrivant à Londres, il y a une autre diapositive, Med city. Si vous pouvez la voir, qui est une ville économique de la connaissance, elle est censée être la capitale numé-rique de l’Europe. Et elle a été nommée par Tech Nation, attirant 2,1 milliards de milliards d’investissements. Donc le Triangle d’Or au Royaume-Uni est l’endroit où toute l’attention semble être concentrée. Le gouvernement britannique vient d’ailleurs de l’annoncer, en in-vestissant 5,5 milliards dans les infrastructures autour du Triangle d’Or, parfois connu sous le nom de « Lox Bridge Triangle » et de « The Brain Curve », je crois qu’on l’appelle aussi ainsi. Ainsi, lorsque nous examinons le Triangle d’Or, et que les universités sont mieux impli-quées, nous pouvons voir que les « Universités d’Or » Oxford et Cambridge, j’y ai également rattaché le Russell Group, qui sont 24 universités au sein du Russell Group, qui travaillent très étroitement avec les universités du Triangle d’Or et reçoivent beaucoup de fonds.

Ce que je vois, c’est que deux choses se profilent à l’horizon. La première est que la MHRA, au Royaume-Uni, souhaite devenir l’organisme de réglementation mondial. Raj Long, qui est directrice adjointe de la Fondation Bill et Melinda Gates, siège à son conseil d’adminis-tration. Elle est spécialisée dans la sécurité et la pharmacovigilance et est également le scientifique en chef de Microsoft. Nous voyons donc d’énormes conflits d’intérêts ici. Nous constatons également des conflits d’intérêts entre le gouvernement britannique et les mi-nistres. Certains ministres ont des intérêts dans les quatre grandes sociétés d’audit, KPMG et Microsoft, ainsi que dans Deloitte, AstraZeneca, Goldman Sachs et la Banque euro-péenne d’investissement. Donc beaucoup de nos ministres ont des conflits d’intérêts dans ces… dans ces domaines.

Ce que nous pouvons voir, c’est que Deloitte en particulier, en se concentrant sur Deloitte pour une minute, parce que Deloitte & Ernst, KPMG, et Price Waterhouse Coopers repré-sentent 67 % de la gestion comptable mondiale, soit quatre sociétés basées à Londres.

Deloitte a été central dans le « test and trace »

Lord Bethel, qui a maintenant démissionné, avait une société qui ne faisait que du lob-bying au nom de Deloitte, pour des appels d’offres. Et c’est très inquiétant de voir que lorsque vous voyez toutes ces sociétés imbriquées les unes dans les autres, ce qui pourrait se passer à l’avenir, et je veux juste revenir très rapidement sur la façon dont les orga-nismes de bienfaisance semblent être impliqués dans cette affaire ainsi que les organisa-tions gouvernementales et ce que j’appellerais en fait le cancer du Royaume Unis. Je cherche mes notes. Je suis vraiment désolé. J’ai un carnet de notes pour essayer d’être très rapide, parce que je sais que nous n’avons pas beaucoup de temps.

On ne peut pas dire que le Royaume-Uni soit financé par de nombreuses sociétés pharma-ceutiques. En fait, je dirais que c’est le centre de recherche et de développement des so-ciétés pharmaceutiques, AstraZeneca GlaxoSmithKline, Bill et Melinda Gates, mais aussi le professeur Robert West, le mari du professeur Susan Michies, qui conseille la recherche sur le cancer, une équipe d’analyse comportementale, financée par Pfizer et par Cancer Research UK, qui se trouve également au milieu du campus biomédical de Cambridge. En outre, en ce qui concerne le gouvernement britannique, il a publié un guide sur l’hésitation à se faire vacciner avec des mesures d’intervention le 27 septembre 2019, bien avant que Wuhan ne soit mentionné. Ils se penchent également sur la résistance aux antibiotiques, qui me préoccupe beaucoup.

Le gouvernement britannique a son propre représentant, Sally Davis, qui a été notre chef du département de la santé, et qui est la représentante du Royaume-Uni pour la résistance anti-microbienne. Et ce que je vois venir, c’est que les gens sont testés pour le VIH, mais selon Forbes, la prochaine pandémie devrait être la tuberculose. Je sais que le professeur Montagnier, — j’aimerais envoyer mes sincères condoléances à sa famille et à tous ceux qui le connaissent, c’est extrêmement triste qu’il soit décédé récemment. Mais le Professeur Montagnier faisait allusion à l’un de ses collègues à propos du vaccin BCG. Et il semblerait que le professeur Chris Whitty, notre médecin en chef, ait fait une présentation à la maison Gresham il y a trois nuits, et qu’il ait également fait le lien entre la tuberculose et le VIH. Et l’Organisation Mondiale de la Santé est très désireuse d’éradiquer la résistance aux antimicrobiens. Et la tuberculose, — nous avons le BCG pour la tuberculose, depuis très longtemps, et on pense que les taux de tuberculose augmentent de façon exponentielle, y compris ici au Royaume-Uni. Et nous assistons maintenant au développement de nouveaux vaccins contre la tuberculose et de nouvelles installations de dépistage de la tuberculose.

Je regarde donc l’ensemble et je vois des références à la tuberculose. Je m’intéresse également au cancer et à la démence, car il semblerait qu’ils soient également en augmentation. En particulier, en ce qui concerne le cancer, nous ne connaissons évidemment pas les effets secondaires à long terme des vaccins, ni s’ils peuvent être cancérigènes, mais il est certain que l’un des antiviraux qu’ils utilisent ici au Royaume-Uni et au Royaume-Uni seul, le Molnupinavir, semblerait être cancérigène, tératogène et mutagène. Nous l’utilisons ici dans le cadre d’un essai clinique avec le panoramique, de sorte que les patients qui le reçoivent sont immédiatement connectés à l’essai.

Toutes ces choses que nous voyons maintenant se dérouler, je ne sais pas si vous êtes au courant de la pandémie SPARS de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste. Je pense que Brian pourrait probablement vous en montrer une copie. Je pense qu’il en a une à portée de main. Pandémie SPARS, de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste du Centre John Hopkins sur ce qui se passerait si un coronavirus infectait le monde. Cela vous liste les événements mois par mois : ce à quoi vous pouvez vous attendre de la part des médias, des entreprises pharmaceutiques, des gouvernements, en ce qui concerne les confinements, les tests, les antibiotiques et la résistance aux antibiotiques. La résistance aux antibiotiques est un sujet très, très important, sur lequel tout le monde se penche, la Banque Mondiale, le Forum Economique Mondial, le gouvernement britannique, presque tous les gouvernements du monde s’intéressent à la résistance aux antibiotiques. Je me dis donc que nous pourrions peut-être nous intéresser aux superbactéries à l’avenir.

En ce qui concerne le retour aux Big 4, mais il semblerait que nous ayons également des conflits d’intérêts en ce qui concerne le PDG de Deloitte, qui a quitté Deloitte pour prendre sa retraite, mais qui fait maintenant partie du conseil d’administration de Pfizer.

Nous avons également le gouvernement britannique, le Hansard du gouvernement britannique. En mai 2014, il devait y avoir une fusion entre Pfizer et AstraZeneca. Mais le gouvernement britannique était très indécis à ce sujet. Il y a donc une référence dans l’Hansard au volume 753, elle a été débattue le 6 mai 2014, et encore dans la colonne 161 le 7 mai 2014, avec l’ancien secrétaire d’État Matt Hancock qui parle.

Notre gouvernement britannique est impliqué jusqu’au cou, je crois, en ce qui concerne les produits pharmaceutiques, nous semblons nous diriger vers une superpuissance mondiale des sciences de la vie, depuis que nous avons eu le Brexit, la plupart de l’agenda concerne les sciences de la vie et comment nous pouvons être le partenaire mondial des sciences de la vie.

Cancer Research UK et l’organisation Francis Crick travaillent ensemble et sont financés en grande partie par des dons publics, mais aussi par les grandes entreprises pharmaceutiques. Il y a aussi des publicités dans les médias grand public pour une société appelée Omaze, et c’est un concours où vous pouvez gagner une maison de 3 millions de livres, mais les dons et les recettes vont au Cancer Research UK. Certains des bailleurs de fonds de Cancer Research UK, qui sont basés sur le campus biomédical de Cambridge, sont la Fondation Bill et Melinda Gates, Google, le Forum Economique Mondial, Imperial College, Cambridge, UKRI3, la Banque d’Angleterre AstraZeneca, le Crick Institute, CQC, et la BBC. Ils sont donc très, très lourdement financés. Et je ne pense pas que le public le sache lorsqu’il saute d’un avion pour essayer de collecter des fonds pour la recherche sur le cancer.

Le Pr. Witthey et que tous nos experts nous disent que les taux de cancer sont en baisse. Cependant, nous semblons tester des personnes en bonne santé au Royaume-Uni pour le cancer en utilisant une société de Bill Gates, Grail, qui était une coentreprise avec Jeff Bezos, elle a maintenant été contractée pour travailler au sein du National Health Service, afin de séquencer le génome en utilisant le cancer, nous testons des personnes en bonne santé. Et je voudrais demander pourquoi nous testons des personnes en bonne santé. La raison invoquée par les gouvernements est que le fardeau et le coût du cancer, du vieillissement et de la démence sont si élevés que nous devons accélérer rapidement le diagnostic et le traitement. En fait, la sécurité passe à peu près à la trappe, comme c’est le cas pour le développement des vaccins, qui va maintenant être confié à Bill et Melinda Gates et à Patrick Balance, dans le cadre de la « 100 Days Mission ». Ainsi, pour toute autre pandémie qui pourrait survenir, vous pouvez garantir que vous disposerez d’un vaccin dans les 100 jours, conformément à la « 100 Days Mission ». Mais je ne sais pas si quelqu’un veut poser des questions, je suis très consciente que je suis en train de dépasser le temps. Donc je ne veux pas prendre trop de place.

2:37:31 Ana Garner :

Je voudrais poser des questions à chacun d’entre vous, s’il vous plaît, concernant la manipulation psychologique qui a eu lieu. Je m’appelle Ana Garner et je viens du Nouveau Mexique, aux États-Unis. Mlle Evans, vous avez mentionné que vous aviez été conseillère du gouvernement au ministère de la Santé. Et c’est très pertinent ici. Parce que j’ai l’impression que cela s’est passé aux États-Unis de manière extensive. En tant que conseiller du département de la santé publique. Savez-vous qu’ils utilisent les techniques psychologiques et comportementales dont M. Gerrish a parlé, comme un moyen d’appliquer leur programme de coercition et d’isolement social, la coercition des personnes subissant des interventions médicales expérimentales, avez-vous remarqué que cela fait partie de leur modus operandi, dirons-nous ?

2:38:29 Debi Evans :

Lorsque j’étais conseillère au ministère de la Santé, ce qui devenait flagrant, c’est que tout conseiller était vraiment là pour la forme, et que nous n’étions pas vraiment écoutés. Beaucoup d’entre nous étaient ignorés. Je ne dirais pas que nous avons été contraints. Je n’ai certainement pas l’impression d’avoir été forcée à dire ou à faire quoi que ce soit. Je suis assez forte. Alors je les ai défié, probablement que le fait que je défie les gens causait plus d’ennuis parce que je ne me conformais pas. Mais c’était purement symbolique. Pour la coercition, oui, je pouvais voir d’énormes problèmes au sein de la fonction publique, beaucoup de problèmes personnels, beaucoup d’intimidation. J’étais très proche de l’un — A prononcer U-K-R-I — des hauts fonctionnaires de notre conseil d’administration, dirigé par Norman Lamb, le secrétaire d’État de l’époque, et il y avait beaucoup d’intimidation. Il y avait beaucoup de compétition au sein de la fonction publique, nous l’avons remarqué, mais en tant que conseiller, je ne faisais pas partie de la fonction publique. Donc c’était juste mes observations.

2:39:40 Ana Garner :

Je ne veux pas vous interrompre ou quoi que ce soit, mais ce à quoi je faisais référence sont les techniques psychologiques pour contraindre les gens, par opposition aux personnes impliquées dans le conseil, plutôt le public.

2:39:56 Brian Gerrish :

Puis-je intervenir ?

2:39:59 Ana Garner :

Oui.

2:40:00 Brian Gerrish :

Je vais répondre. Dans le cadre des recherches avec UK Column, nous l’avons fait par le biais de UK Column. L’un des domaines qui nous intéressait le plus était la formation au sein de notre service national de santé par cette organisation caritative, qui sélectionnait les futurs dirigeants. C’était donc Common Purpose. Nous avons donc vu la manipulation des gens et de leurs valeurs par cette organisation particulière. Et cela s’est transformé en un secteur spécifique du NHS, appelé NHS leaders. Il s’agissait soi-disant de personnes à la carrière accélérée qui allaient mener le NHS vers des soins de santé encore meilleurs. Mais ce que nous constatons, c’est qu’au fur et à mesure que ces leaders, avec leurs valeurs nouvellement acquises, se sont révélés, le style de gestion du NHS est devenu de plus en plus dominateur et intimidant. Et les idées sont devenues de moins en moins axées sur les soins et le traitement des personnes malades ou blessées. Et ça s’est plus axé sur l’importance des profits et de l’argent au sein du NHS. Il était évident que la psychologie des gens était manipulée. Nous avons mis en ligne sur le site UK Column un article intitulé « Vers un million d’agents de changement ». Et ce n’était pas notre titre. C’est le titre d’unarticle écrit par un membre du NHS, formé par Common Purpose, qui a dit que le NHS, afin d’atteindre, selon mes mots « une future utopie », allait avoir besoin d’un million d’agents de changement. Et qu’est-ce qu’ils entendent par là ? Des personnes qui allaient perturber les performances du NHS, afin d’assurer sa transition vers ce qui était censé être une prestation de classe mondiale. Je peux donc vous donner un exemple spécifique où nous avons examiné comment la gestion et le leadership au sein du NHS et de la présidence ont changé.

Je vais vous donner un exemple très simple sur la psychologie appliquée dans le NHS pendant la crise du COVID. Parce que des mantras ont été introduits, au lieu de décisions médicales, les infirmières et les médecins ont commencé à suivre des mantras. Et l’un de ceux qui nous a été dit par un médecin pleinement qualifié ou hautement qualifié au cours des derniers jours, et par les proches de quelqu’un qui avait souffert était que le mantra était « Non vacciné, mort assurée », « Non vacciné, mort assurée ».

C’est simplement que si la personne était considérée ou étiquetée comme ayant le COVID, s’il a été déterminé qu’elle n’était pas vaccinée, le seul résultat de leur traitement médical était la voie de la mort. Et il ne fait aucun doute que ces mantras de trois mots que nous avons vus utilisés par le gouvernement en particulier ont été transmis au NHS, à tel point, que des médecins qualifiés nous ont dit qu’ils étaient stupéfaits de ne pas pouvoir discuter des chiffres authentiques du gouvernement sur, par exemple, les effets indésirables des vaccins, parce que la personne se détourne simplement d’eux, refuse de leur parler ou devient très agressive. Et le fait psychologique sur lequel nous pouvons nous appuyer en ce moment dans le témoignage est la disonnance cognitive chez les individus qui résulte du changement de leurs valeurs mentales. Je pourrais en parler pendant longtemps, mais je vais dire que oui, nous constatons certainement qu’il y a une application de la psychologie dans de nombreux domaines du NHS, et son effet global est une dégradation du traitement des soins de santé. Dans la mesure où des personnes sont tuées alors qu’elles auraient pu survivre sans problème si elles avaient reçu le bon traitement.

2:44:44 Ana Garner :

Oui, merci pour cette clarification. Et j’avais aussi une question complémentaire pour vous, M. Gerrish, qui est la suivante. Cette opération psychologique par définition semble être très subtile et la plupart des gens n’ont pas conscience d’être manipulés. Si c’est le cas, avez-vous une opinion sur la façon dont on peut atteindre ces personnes de manière à les réveiller ? J’ai entendu parler de la dissonance psychologique et de ce genre de choses, la dissonance cognitive, y a-t-il un moyen d’encourager ces personnes à voir ce qui se passe réellement, qu’elles sont manipulées de cette façon ?

2:45:27 Brian Gerrish :

C’est bien sûr une question très importante, et la réponse, et je parle en mon nom ici, parce que je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie. Mais à la suite de mon travail et de mes enquêtes depuis de nombreuses années, et des conseils que j’ai reçus de personnes pleinement qualifiées, je vais emettre un commentaire personnel, mais je crois que c’est très approprié. Si vous appliquez une forme d’hypnose aux gens, l’effet sur un public ciblé forme généralement une courbe en cloche.

Vous trouverez que certaines personnes peuvent être complètement hypnotisées, j’ai fait des mises en scène pour démontrer comment les gens feraient des choses qu’ils ne feraient pas normalement devant un public parce qu’ils sont dans un état de transe. Mais si nous utilisons plus de formes de manipulation, l’effet sur le public cible est une courbe en cloche. Certaines personnes sont très absorbées par le message qui a été transmis, mais ca tombe d’un côté ou de l’autre pour certaines personnes sur qui ça ne prend pas.

Les indications que nous avons eues jusqu’à présent, et qui ont été confirmées par des psychologues qualifiés, sont les suivantes : en premier lieu, nous devons nous concentrer sur les personnes qui ne sont manifestement pas affectées afin de diffuser le message d’avertissement sur ce qui se passe. Nous devons clairement cibler les professionnels de la psychologie et de la psychiatrie pour dire qu’il s’agit d’un abus de ces professions particulières, en particulier les psychologues cliniques et les psychiatres, qui peuvent dire qu’il y a un résultat bénéfique pour la santé. Et aussi de se rendre compte que les gens qui ont été soumis à cette forme de recadrage ou de manipulation mentale sont des victimes, et donc il faut les traiter de manière très douce et rassurante. Pourquoi ? Parce que si nous les abordons d’une manière très brutale, d’une manière noire et blanche pour essayer de leur faire voir la vérité, le résultat est que soit ils vont devenir très hostiles, le résultat sera une dissonance cognitive, ou peut-être qu’ils vont devenir malades mentalement en raison de l’immense attaque contre leur système de valeurs.

Je voudrais juste vous dire qu’il est très significatif que dans toute la documentation sur l’utilisation de la psychologie appliquée par le gouvernement britannique pour faire passer son agenda politique, il n’y a absolument aucune évaluation des effets négatifs de la psychologie de recherche, sur les personnes qui ont peut-être des problèmes sous-jacents de santé mentale, d’anxiété ou de dépression. Et en effet, lorsque les gens ont des problèmes de santé mentale non diagnostiqués, ils ne sont même pas conscients qu’ils ont un problème. Si quelqu’un utilise cette psychologie sur eux, il peut faire d’immenses dégâts. Et je crois que c’est nouveau, excusez-moi, ce n’est pas une coïncidence que les statistiques officielles au Royaume-Uni montrent maintenant que la politique de confinement a provoqué une énorme poussée de suicides, et de maladies mentales, en particulier chez les jeunes personnes tragiquement.

Mais encore une fois, nous pouvons démontrer que le gouvernement britannique cache ou manipule, les ensembles de données qui le montrent, ou qu’il utilise la psychologie appliquée dans la façon dont il présente ces ensembles de données au public, afin d’induire le public en erreur. C’est la nature de la bête. Une fois que vous comprenez que vous avez ce que je vais appeler un système politique criminel, qui a la capacité d’utiliser la psychologie appliquée, pour changer la façon dont le public pense, nous avons une arme très, très dangereuse dans les mains de ces élitistes, et cela est facilement prouvé par un document clé où ils se vantaient que nous devons rendre les gens plus craintifs, plus anxieux. Et il y a beaucoup d’autres documents qui ont également démontré, — au bénéfice des Allemands parmi le public et dans l’équipe, que la psychologie comportementale appliquée a maintenant été lâchée en Allemagne, certainement en France, parce que l’un des membres de l’équipe personnelle de Sarkozy, un monsieur appelé Ivor Williams4, a eu des réunions au Royaume-Uni, facilitées par le conseil franco-britannique en 2010, pour discuter de la façon dont les experts français, neurologiques et psychologiques vont travailler avec les Britanniques, afin de développer ces techniques psychologiques appliquées. Les preuves sont là. Quand vous savez ce que vous cherchez c’est évident. Mais mon Dieu, c’est la chose la plus dangereuse que nous ayons jamais vue.

Si vous aviez de la propagande et de la manipulation politique au sein de l’Allemagne nazie, de bien des façons, on peut voir les parades, les bannières, les lumières, la rhétorique, les affiches, mais ce que nous avons déclenché sur nous maintenant est une attaque subliminale sur nos esprits. Et tant que nous n’aurons pas fait toute la lumière sur cette affaire, il sera très, très difficile pour nous d’enlever le couvercle de ce que ces gens font par le biais de leur COVID et de leur attaque de vaccination sur les gens. Chacune des compagnies pharmaceutiques a accès à ces armes psychologiques, chacune des sociétés juridiques…

Donc partout où nous voyons des organisations caritatives, des industries, des organismes publics travaillant avec le gouvernement britannique, nous savons que l’utilisation de la psychologie est répartie entre eux. Donc nous devons commencer à parler de ça de manière très importante. Et nous devons tout d’abord nous occuper des personnes qui ne sont pas affectées, qui réalisent que quelque chose ne va pas, mais qui ne savent pas ce que c’est. Et puis dans le public, il pourrait y avoir des professionnels très intelligents et hautement qualifiés. Et je vais vous laisser réfléchir à ce qu’un psychologue hautement qualifié m’a dit, c’est un ouï-dire, mais je vais répéter ce qu’il m’a dit, « Brian, la chose à retenir, est que les gens qui sont intelligents et ont un esprit très interrogatif, peuvent être plus sensibles à l’utilisation de l’hypnose, au recadrage de la psychologie appliquée que quelqu’un qui est moins intelligent, et qui a un esprit moins interrogatif. » Donc c’est très faux. Si quelqu’un pense : « Je suis une personne brillante, je suis intelligent, je suis hautement qualifié, cela ne m’affectera pas. » Au contraire, vous serez peut-être plus vulnérable.

2:53:36 Debi Evans :

C’est une cascade d’informations. Les professionnels du NSH auxquels je parle, tous ceux à qui je parle, sont très confus. Il y a une cascade d’informations chaque jour, les choses changent. Je vois des professionnels du NHS faire des choses qui leur seraient complètement étrangères, donner des dépresseurs respiratoires à des patients souffrant de troubles respiratoires. C’est tout simplement étranger à ce qu’on nous a appris. Les gens sont donc effrayés. Et je me fais l’écho de ce que Brian a dit, quand les gens commencent à se réveiller, ils ont peur. Ils ne savent pas ce qui se passe. Ils ont besoin que nous les rassurions parce qu’en ce moment, l’ordre du jour est la confusion, le chaos et la crise.

Pour en revenir à ce que Brian vient de dire, à propos de Deloitte et des Big 4, — pour ceux qui ne connaissent pas Deloitte, ils ont écrit des articles sur l’avenir de la ville de Londres, les essais cliniques, leur ancien PDG est maintenant membre du conseil d’administration de Pfizer, ils sont impliqués dans le NHS, ils sont impliqués dans l’intelligence corporative, comme les trois autres. Et clairement, lorsque Brian mentionnait la SPARS pandémie qui va de pair, avec l’opération Clade X et Crimson Contagion. Clade X a été tenu par l’Université Johns Hopkins, en 2018 je pense, simulant 900 millions de morts, et Crimson Contagion, un autre exercice aussi, qui a été fait pendant le règne de Trump pour la réponse à une pandémie, une pandémie de grippe en cours. Donc, tout cela a été bien documenté, et bien documenté dans le brevet pour le test COVID par les Rothschild. Encore une fois, tout ce que nous pouvons voir dans ce brevet dans le document principal, nous le voyons être déployé maintenant, y compris les biocapteurs. Beaucoup de gens ont parlé des puces RFID, mais peu de gens parlent de l’avènement des biocapteurs, et du fait que les biocapteurs n’ont pas besoin d’Internet. Ils peuvent se trouver dans vos vêtements, sur la — À vérifier — semelle de vos chaussures ou dans votre nourriture. Et les biocapteurs semblent être la voie à suivre, au point qu’il existe un institut de biocapteurs ici au Royaume-Uni, à Bristol, et que la MHRA a approuvé l’un des biocapteurs, car les gens auront des biocapteurs dans leur voiture, sur leur ordinateur portable, et leurs données biométriques seront renvoyées, de sorte que toutes vos données biométriques indiquent si vous êtes apte à conduire un train, apte à conduire un car, apte à faire quoi que ce soit. Vos données biométriques seront stockées, et ça se passe en ce moment.

2:56:38 Brian Gerrish :

Donc, si je résume un peu. Ce que nous voyons, c’est un système politique intégré avec des sociétés commerciales mondiales, des sociétés pharmaceutiques, qui mettent en place un programme, qui consiste à tester des vaccins sur une population sans se soucier des dommages et des morts. Où vont-ils ? Ils vont manipuler nos gènes, il n’y a aucun doute là-dessus. Toutes les données que nous voyons en ce moment disent que c’est le Royaume-Uni qui dit qu’il va prendre la tête du monde dans la mise en place de ce programme. Le Royaume-Uni, et je vais nuancer cela et dire que je crois que cela sera finalement dirigé par la City de Londres. Mais tous les documents britanniques disent « nous allons prendre la tête du monde ». Et c’est le même Royaume-Uni qui a libéré cette psychologie appliquée malveillante pour changer la façon dont les processus cognitifs fonctionnent. C’est une combinaison très, très dangereuse.

2:57:55 Debi Evans :

Et peut-être que nous pourrions souligner — pardon, mon dernier point Alex, c’est que l’argument de vente unique du Royaume-Uni est le National Health Service, il n’y a aucun moyen d’y renoncer. Donc dès le moment où vous êtes conçu, que les mères enceintes ont eu un écographie, il y a des données sur cet être humain particulier jusqu’au jour de notre mort, il n’y a aucun moyen de se retirer du NHS. Donc les données du NHS sont très, très précieuses. Et c’est complètement unique au reste du monde.

2:58:31 Alex Thomson :

Si nous pouvions illustrer succinctement cela avec la diapositive que je n’ai pas montrée, je pense qu’elle résume en fait ce que Brian et Debi viennent de dire, si Paul peut la trouver en quelques secondes. C’est une diapositive que UK Column a beaucoup utilisé, un organigramme de l’agence dirigeante du gouvernement britannique, le Cabinet Office avec un nouveau groupe, nouveau depuis que j’ai quitté le renseignement britannique appelé le Conseil National de Sécurité, comme l’exemple américain, de l’ère FDR, il n’est pas original et pas constitutionnel. Et tous les organes qui se détachent du cabinet et qui sont sous son contrôle dans le cadre de cet organigramme ont pour but de contrôler l’agenda. Et pour répondre à la question qui a été posée ici, pour nous empêcher de montrer à plus de gens quel est le paradigme, c’est pour les empêcher d’être effrayés par la psychologie appliquée qui leur est enseignée.

L’armée est impliquée en tant que 77e régiment, 13e brigade des transmissions, il y a une toute nouvelle agence de sécurité du gouvernement britannique, la soi-disant Agence de sécurité sanitaire, le Centre conjoint de biosécurité, toutes ces agences ont été créées depuis mon époque et la responsabilité incombe à ce cabinet. Et toutes les bonnes études sur le Cabinet Office vous montreront que les comités de direction ont une ligne directe avec la City de Londres, qu’ils représentent une volonté d’élite, qu’il n’y a aucun contrôle démocratique et que même la couronne personnelle du monarque n’est pas impliquée. Je ne sais pas si cela a été montré à l’écran il y a un instant ou non, mais les gens peuvent aussi facilement le trouver comme l’un des principaux graphiques de UK Column, « Cabinet Office Censorship Network », je crois que nous l’avons nommé ainsi dans une version.

3:00:07 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce à quoi nous avons affaire est un système britannique de manipulation psychiatrique, qui a été vendu dans le monde entier, plus ou moins. Nous avons la City de Londres, encore une fois, qui vise le contrôle mondial. Est-ce que c’est pour cela que les gens de Common Purpose créent leurs propres futurs leaders, est-ce que c’est une position spéciale, distincte du programme Young Global Leaders ?

3:00:44 Brian Gerrish :

Eh bien, l’attaque vient d’actions parallèles. Je pense fortement que beaucoup de gens qui sont à common Purpose n’ont aucune idée de ce qu’est l’objectif général, ils sont recrutés. A l’époque où j’ai fait des recherches approfondies, quelqu’un était recruté localement et on lui demandait de nous rejoindre, ce n’était pas comme si les gens allaient à Common Purpose pour rejoindre le réseau, Common Purpose cherchait les personnes qu’il voulait. Et l’agenda était clairement de former ce futur leader à travailler avec d’autres futurs leaders de Common Purpose. Et c’est pourquoi il est si significatif de voir que Common Purpose fonctionne maintenant, par exemple, très fortement en Inde, et l’ancien Premier ministre David Cameron faisait partie de l’équipe qui a promu Common Purpose en Inde. Common Purpose est donc l’une des voies par lesquelles les gens sont recrutés et recadrés.

Le Forum Economique Mondial, Young Global Leaders seraient une autre voie par laquelle des personnes probablement plus puissantes sont recrutées, recadrées pour les mettre en phase avec leur nouveau rôle. Ainsi, Common Purpose fonctionne particulièrement avec le niveau public de bas niveau dans un premier temps. Mais au fur et à mesure que le temps passait, à partir de 1985, il était clair de voir qu’ils s’impliquaient avec les entreprises, les grandes multionationnales beaucoup plus fortement. Et puis à partir de là, ils ont atteint leur statut de mondial. Mais qu’est-ce qu’on fait ? On sélectionne des gens, on caresse leur ego, parce que quelqu’un suggère qu’ils vont devenir un futur leader très important. Le Forum Economique Mondial les appelle des leaders mondiaux. Et puis ces personnes sont rassemblées pour changer le monde. C’est ça l’objectif.

3:03:52 Reiner Fuellmich :

Eh bien, merci beaucoup. Je pense que notre prochain témoin, Whitney Webb, est un peu stressée. Je déteste vous interrompre, mais c’est pourquoi je pense que nous devons lui donner une chance de combler les lacunes, ce que nous allons essayer de faire en posant des questions. À moins que mes estimés collègues n’aient d’autres questions, nous aimerions vous remercier tous les trois pour vos excellentes présentations. Et ensuite, nous allons passer à Whitney, est-ce que cela vous convient ?

Eh bien, merci beaucoup, Brian, Alex et Debbie. C’est très important. En ce qui concerne le contexte géopolitique et historique de ce dont nous sommes témoins, et Matthew bien sûr. Whitney, l’une des questions que je continue à me poser est de savoir quel est le rôle de la Chine dans tout cela ? Si vous regardez cela comme un jeu dominé par les Anglo-Américains ou la City de Londres, quel est vraiment le rôle de la Chine dans tout cela ?

3:04:29 Whitney Webb :

Bonjour, vous m’entendez bien ?

3:04:30 Reiner Fuellmich :

Oui, nous pouvons vous entendre.

3:04:31 Withney Webb :

Ok, super. Alors, je ne suis pas vraiment une experte de la Chine, mais j’ai fait quelques travaux sur les réseaux transnationaux de capital et d’influence, pour ainsi dire, ce nœud en quelques sortes, dont les gens ont parlé jusqu’à présent aujourd’hui. La City de Londres, Wall Street, et comment ils sont très influents en Chine. L’exemple le plus accessible est sans doute celui de Steve Schwarzman, un capital de Blackstone, qui finance le programme d’une université chinoise, je ne sais plus laquelle exactement, mais elle est très prestigieuse. Et c’est un peu sa version personnelle du programme des Young Global Leaders du WEF. Le Blackstone Group est intimement lié à BlackRock, étant issu de la même sphère à Wall Street. Il est considéré comme l’un des chuchoteurs américains de la Chine, tout comme, bien sûr, la figure originale de la politique américaine qui a porté ce genre de titre : Henry Kissinger.

En outre, vous avez quelqu’un comme Henry Paulson, qui a été secrétaire au Trésor sous George W. Bush, et qui travaillait auparavant pour Goldman Sachs. Il est également très impliqué en Chine et possède une fondation philanthropique axée sur la Chine. Mike Bloomberg est un autre individu qui a ressuscité un événement qui était organisé par le Forum Economique Mondial en Chine, je crois qu’il s’appelait la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui a cessé en 2018. Depuis 2018, il s’agit du Bloomberg New Economy Forum, qui est essentiellement axé sur les relations entre les États-Unis et la Chine, et que s’y passe-t-il ? Les décisions prises lors de cette réunion sont là pour faciliter la création de ce système particulier dont les gens ont parlé, cette sorte de grille de contrôle technocratique, qui a été construite conjointement par les dirigeants américains et chinois. Et il y a une autre chose sur laquelle j’ai écrit il y a quelques années, c’est cette organisation appelée la « Commission de sécurité nationale sur l’intelligence artificielle », qui était dirigée par Eric Schmidt, l’ancien PDG de Google. Dans cette commission, c’était principalement la Silicon Valley, l’armée américaine et la communauté du renseignement américaine qui étaient représentées. Et en 2019, avant le COVID, ils ont parlé de la nécessité de battre la Chine dans la course à l’armement de l’IA, ou de travailler ensemble avec la Chine dans la construction de cette sorte de grille de contrôle technocratique pilotée par l’IA, comme un moyen d’éviter une guerre mondiale.

C’était une idée défendue par Henry Kissinger, dans l’un des événements de cette commission particulière, et Eric Schmidt l’a également soulignée. Et donc, dans un sens, cela est lié au Great Reset, comme on l’appelle souvent, qui se déroule dans le monde entier. Mais aux États-Unis, en particulier, dans ce contexte, il y a un effort pour numériser complètement chaque secteur de l’économie et de la société afin d’amasser des données pour les utiliser pour former des algorithmes d’IA. Fondamentalement, cette commission, et les forces représentées là-bas considèrent qu’il est nécessaire pour les États-Unis de maintenir leur hégémonie militaire et économique actuelle, d’avoir les meilleurs algorithmes d’IA, ils ont besoin d’avoir les plus grandes réserves de données. Ils reconnaissent que la Chine, en raison de sa grande population, et plus de systèmes de contrôle technologique déjà en place est loin devant les États-Unis en termes d’amasser ce type de données.

Et donc les Etats-Unis, cette organisation, avant le COVID, parlaient de la nécessité de forcer de toute urgence les gens à tout faire en ligne, du shopping au télétravail et toutes ces choses, à la télémédecine, et bien sûr, il y a eu une énorme poussée pour cela, pendant le COVID-19. Et lorsqu’ils ont envisagé cet espèce de contexte de nouvelle guerre froide, ils ont déclaré dans leurs propres documents qu’il était nécessaire de le faire avec la Chine, en créant essentiellement le même système de manière parallèle et en collaboration, afin d’éviter une guerre mondiale, et c’est essentiellement ce qui se passe lors d’événements comme le Bloomberg New Economy Forum et d’autres choses de ce genre. Je ne sais pas si vous voulez que j’aille plus loin parce que je sais qu’il y a une limite de temps et que je dois partir dans 30 minutes.

3:09:03 Reiner Fuellmich :

Le système de crédit social, c’est une invention de qui ? Est-ce vraiment les Chinois ? Et quand je dis les Chinois, je veux dire, les dirigeants chinois, pas le peuple chinois. A-t-il été inventé par les dirigeants chinois, ou cela a été inventé en coopération avec la City de Londres et les intérêts financiers anglo -américains ?

3:09:28 Withney Webb :

Je n’ai jamais vraiment écrit sur l’origine de ce système. Donc je ne pense pas être la bonne personne pour parler de ça spécifiquement. Mais d’après ce que je comprends, il y a manifestement une sorte de système technocratique biométrique qui existe en Chine. Et évidemment, il a été développé par les dirigeants chinois, ou du moins avec leur bénédiction, et mis en œuvre par le gouvernement là-bas. Mais il convient de souligner également que depuis l’ouverture de la Chine, pendant l’ère Nixon, — qui a bien sûr impliqué Kissinger de manière assez intime, il y a eu beaucoup d’échanges entre les dirigeants chinois, bien qu’ils soient publiquement étiquetés communistes, avec les mêmes réseaux transnationaux de capitaux occidentaux. Et aussi, des négociations avec les dirigeants occidentaux qui, en fin de compte, ont leurs gouvernements essentiellement co -optés par ce même réseau transnational de capital.

3:10:29 Viviane Fischer :

Nous voyons quelqu’un comme Henry Kissinger surgir, encore et encore. Cela a-t-il changé entre -temps ? Il ne s’agit plus tellement de figures individuelles, mais plutôt d’un réseau de personnes qui se connectent entre ces différents domaines d’intérêt ?

3:10:50 Withney Webb :

Bien sûr, je pense que Kissinger est définitivement en voie de disparition, à cause de son âge, et ce depuis un certain temps. Il y a donc beaucoup de personnes qu’il a encadrées, en particulier lorsqu’il enseignait à Harvard, qui sont devenues la nouvelle génération de Kissinger, avec Klaus Schwab, qui en est fièrement l’exemple principal.

Je vois que Matthew a commenté, et il est probablement plus qualifié pour parler de certaines de ces choses que moi, car j’avais l’impression qu’il allait parler de Dark Winter et de l’Anthrax, mais je peux continuer à parler de cela si vous préférez.

3:11:32 Matthew Ehret :

Si vous voulez parler de Dark Winter et de l’Anthrax, vous devriez le faire. Je pensais que la présentation était terminée.

3:11:38 Reiner Fuellmich :

Non, non, non. Avez-vous une réponse à cette question : quel est le rôle de la Chine dans tout cela, Matthew ?

3:11:48 Matthew Ehret :

Oui j’en ai une, mais c’est assez long. J’allais juste demander, est-ce que vous êtes au courant que Soros s’est fait virer en 89 lors de l’éviction de Zhao Ziyang ? Et le Club de Rome en Chine ?

3:12:00 Reiner Fuellmich :

Non je ne le savais pas.

3:12:04 Matthew Ehret :

Zhao Ziyang… Je peux peut-être intervenir une minute, mais je ne veux pas du tout empiéter sur le temps de Whitney, Zhao Ziyang est l’homme de Soros en Chine, il était surnommé « le Gorbatchev de la Chine ». Il a dirigé le parti communiste chinois pendant deux ans en 87 -88 et 89, et il a d’ailleurs dirigé un groupe de réflexion avec Soros. Il a fait venir Alvin Toffler, le transhumaniste, il a appelé à la quatrième révolution industrielle et a fait venir le Club de Rome et ses modèles informatiques pour gérer la politique de l’enfant unique en 79 et 80. C’était l’un de ses principaux collaborateurs. Et durant toutes les années 80, un effort a été engagé pour obtenir un processus de perestroïka à la Eltsine en Chine, ce qui se passait en Russie pour privatiser tout leur système bancaire et apporter les technocrates, Milton Friedman et tout le reste. Mais il a été évincé parce qu’il y a eu un coup d’état en 89 qu’il était censé diriger. La CIA et le MI6 ont publié un article à ce sujet, mais il est utile de se pencher sur ces anomalies, par exemple pourquoi Soros n’a-t-il pas été autorisé à opérer en Chine au cours des 30 dernières années, alors qu’il dirige l’Occident ?

3:12:58 Reiner Fuellmich :

Oui, pourquoi cela ?

3:13:01 Matthew Ehret :

Oui, c’est toute une histoire. Je pourrais en parler plus tard. Whitney est brillante, je ne veux pas rendre sa place.

3:13:07 Reiner Fuellmich :

Essayez de nous donner les bases de tout cela.

3:13:11 Matthew Ehret :

Très bien, pour l’essentiel je pense que c’est très lié à ce contre quoi Gutierrez a mis en garde quand il a dit que deux paradigmes opposés différents émergent autour de la géopolitique de l’IA, l’année dernière, ou même pas, c’était en novembre dernier. Mais jusqu’en 2010-2011, Soros disait encore que la Chine était le modèle à suivre parce qu’ils aiment le crédit social, ils aiment les contrôles technocratiques, les contrôles centralisés, ils aiment ces choses, les transhumanistes « Borgs » de l’Occident, ils adorent ça. Ils n’aiment pas l’utilisation réelle du crédit national, car la Chine n’a jamais privatisé sa banque centrale. Et ils n’aiment pas non plus le développement d’infrastructures à grande échelle, le train à grande vitesse, toutes ces choses qui ont sorti les gens de la pauvreté, environ un milliard de personnes, en à peine 20 ans. Ils détestent l’idée qu’un État-nation détermine leur destin économique. Donc il y a une opposition sur le fait que l’IA ne disparaîtra pas, beaucoup de ces choses ne disparaîtront pas. Et la Chine a été pénétrée par des colonnes de l’État profond, comme des cinquièmes colonnes, pendant longtemps, qu’elle a essayé d’éliminer. Jack Ma est un excellent exemple. C’est un administrateur du Forum Economique Mondial, qui a appelé au renversement, en résumé, à un changement de régime économique en Chine l’année dernière. Et il a plus ou moins été évincé, c’est comme s’il avait été totalement dépouillé de son pouvoir. Vous avez donc la preuve de ces luttes, en particulier avec la clique de milliardaires de Shanghai qui s’est alliée aux listes libérales occidentales. La Russie fait de même. Ils ont leurs propres cinquièmes colonnes autour de leur banque centrale libérale, privatisée et en lien avec l’Occident, qui est liée à beaucoup de ces réseaux pharmaceutiques à l’intérieur de la Russie. Donc il y a des combats qui se déroulent un peu partout. Mais je pense que l’encerclement militaire de la Chine et de la Russie est une question sérieuse à laquelle les gens devraient réfléchir. C’est comme s’il y avait quelque chose qui effrayait l’oligarchie au point qu’ils étaient… je ne sais pas ce que vous pensez de ça, comme pourquoi mettraient-ils tant d’efforts pour procéder à cet endiguement total, cette domination totale de la Chine et de la Russie ?

3:15:09 Reiner Fuellmich :

Whitney, James Bush est avec nous et il va nous donner les détails de l’opération Dark Winter, l’opération Lockstep des Rockefeller et l’Event 201. Mais si vous pouviez nous présenter cela, ce sera probablement très utile.

3:15:28 Withney Webb :

Eh bien, j’allais parler de quelque chose qui est probablement un peu différent, plus de l’importance de Dark Winter, certains des parallèles entre 2001 et certaines des figures qui étaient derrière le COVID et l’Anthrax, ont en commun des choses comme ça. Je vais donc être assez brève.

Je vais le laisser, puisqu’il est là, parler de Dark Winter en détail. Mais pour ceux qui ne le savent pas, il s’agissait d’une simulation d’une épidémie de variole, mais elle incluait également la menace potentielle d’une attaque à l’Anthrax, elle prévoyait des parties importantes de ce qui deviendrait le récit du 11 septembre 2001, les personnes qui ont participé à cet exercice immédiatement après le 11 septembre ont montré une apparente prescience de ces attaques, les attaques à l’Anthrax qui ont suivi peu après. Nous avons donc, bien sûr, la simulation précédant l’Event 201, nous l’avons aussi. Il y a aussi Crimson Contagion, que Debbie a mentionnée, il y a quelques instants.

Et c’est significatif parce que la personne qui a prononcé le nom de Dark Winter dans l’exercice, Robert Kadlec, le secrétaire adjoint du HHS pour la préparation et la réponse sous l’administration Trump, il a dirigé cet exercice Crimson Contagion en 2019. Après les attaques à l’Anthrax de 2001, il a assumé beaucoup de pouvoir et a essentiellement construit ce poste de secrétaire adjoint pendant un peu moins de 20 ans, et puis il l’a occupé juste au moment où le COVID a eu lieu. Quelle coïncidence. Mais Crimson Contagion est importante car elle n’a pas duré que quelques jours, comme l’Event 201 ou Dark Winter, cela a duré de janvier 2019 à août 2019. Et elle a impliqué une coopération public-privé, elle s’est produite au niveau fédéral, au niveau régional, au niveau local, au niveau municipal, c’était très étendu. Et aussi, on pourrait dire, dans un sens, que c’est un peu plus prédictif que ce qui est arrivé plus tard comme l’Event 201, dans le sens où il se concentrait sur l’apparition d’une pandémie de grippe en Chine, alors que l’Event 201 avait lieu en Amérique du Sud.

Mais l’Event 201 et Dark Winter ont des liens très importants. Principalement, les personnes impliquées dans ces deux événements, comme Thomas Inglesby, avaient des liens avec des organisations comme l’Institute for Homeland Security, créé à la fin des années 90, qui était intimement lié à la CIA, et d’autres institutions qui avaient également des liens avec les services de renseignement.

Au-delà des points communs entre ces deux simulations, entre les attaques à l’Anthrax et le COVID, il y a le spectre de la recherche sur les gains de fonction qui est très présent. Ainsi, dans le cas de l’Anthrax, en 1997, le Pentagone a élaboré des plans pour créer génétiquement une variété plus puissante d’Anthrax, soit-disant parce qu’un scientifique russe avait prétendu avoir créé une souche d’Anthrax résistante au vaccin standard contre l’Anthrax et aux études sur les animaux, mais pas nécessairement dans un but de guerre biologique ou de défense biologique, mais le Pentagone s’en est servi pour justifier ces expériences de gain de fonction.

À la même époque, en 1997, la CIA a également commencé à mener des expériences de gain de fonction sur l’Anthrax. Et ces expériences se déroulaient dans une installation appelée Battelle, située à West Jefferson, dans l’Ohio, qui a actuellement des liens avec la fondation Leslie Wexner pour les personnes qui connaissant son rôle dans le réseau Epstein, mais qui est aussi un sous -traitant de la CIA et de l’armée. Je ne vais pas entrer dans les détails extrêmes sur ce sujet. Mais essentiellement un atout de la CIA à l’époque, un transfuge du programme d’armes biologiques et de défense biologique de l’Union soviétique, Ken Alibek, était le directeur de programme pour ces études de gain de fonction à Battelle, et lui et un autre personnage du nom de William Patrick, qui n’était pas initialement suspecté des attaques mais qui a ensuite été ajouté à l’enquête, il a couvert ces attaques, ils étaient essentiellement les personnes dirigeant ce gain de fonction. Et la plupart des gens qui se penchent sur les attaques à l’Anthrax et qui savent que Bruce Ivens n’était pas un loup solitaire et sont conscients de l’inexactitude de la narration, y compris plusieurs procureurs américains qu’a eu Ivens à l’époque, qui se sont suicidés très prématurément, croient que Battelle était responsable et tous les chercheurs sérieux sur l’Anthrax de 2001 que je connais, pensent que Battelle était le site de l’Anthrax qui a été utilisé dans les attaques.

Passons à un autre parallèle : les solutions de biosurveillance. C’est sans doute l’une des plus importantes dans le contexte de ce dont nous avons parlé aujourd’hui.

Donc, après les attaques à l’Anthrax, et aussi le 11 septembre, il y a eu une poussée pour créer un système au sein de la DARPA, appelé « la conscience totale de l’information ». L’un de ces programmes s’appelait le programme de biosurveillance, qui visait à développer, je cite « les technologies de l’information nécessaires et les prototypes qui en résultent, capables de détecter automatiquement la libération couverte d’un agent pathogène biologique ». Et cela serait accompli par la surveillance de sources de données non traditionnelles, de données médicales pré-diagnostiques et d’indicateurs comportementaux obtenus à partir de données civiles, essentiellement. Même s’ils prétendaient se concentrer sur les attaques bioterroristes, ils voulaient acquérir des capacités de détection précoce pour toute sorte d’épidémie normale, qui seraient ensuite automatisées, avec certains, je suppose les précurseurs des algorithmes d’intelligence artificielle d’aujourd’hui. Et ils voulaient en gros un programme d’exploration massive de données. C’était essentiellement le but de cela.

3:21:36

« La connaissance totale de l’information » a été rejetée par le Congrès parce qu’il a été souligné avec précision qu’elle éliminerait entièrement les libertés civiles pour les Américains, et que le droit à la vie privée n’existerait plus, donc il a été mis au rebut. Mais les architectes de « la connaissance totale de l’information », y compris la figure néoconservatrice Richard Perle, ont travaillé main dans la main avec Peter Thiel et Alex Karp pour créer Palantir, qui est le successeur privé de « la connaissance totale de l’information », « la connaissance totale de l’information » ayant été un partenariat public-privé avec l’armée américaine. Mais Palantir n’était pas tellement impliqué avec les militaires après sa création, il était plus intimement impliqué avec la CIA, la CIA pouvait les aider à créer leur produit et la CIA était leur seul client de 2005 à 2008.

Certains aspects du Programme de « connaissance totale de l’information », qui a été supprimé, comme le programme de biosurveillance, ont été ressuscités à l’époque du COVID sous la direction de personnes comme Robert Kadlec, comme la surveillance des systèmes d’eaux usées, pour détecter les épidémies, tout cela avait été planifié à cette époque. Et ce n’est pas une coïncidence si toutes ces données, de nos jours, dans cette ère COVID particulière, — si vous voulez l’appeler ainsi, sont introduites dans une base de données gérée par Palantir. Et le Royaume-Uni, le NHS, les données COVID sont gérées par Palantir aussi. C’est donc une sorte de grille de contrôle anglo-américaine de la connaissance totale de l’information, qui est apparue dans Palantir et qui ne reçoit certainement pas l’attention qu’elle mérite, mais ses origines remontent à cette période particulière en 2001, chez ceux qui l’ont mis en place il y a de nombreux acteurs qui reviennent. Il faut aussi souligner que Peter Thiel est un important bailleur de fonds des médias de droite, y compris dans la sphère des médias alternatifs. — Je vais laisser cela de côté, car c’est pour une autre fois. —La dernière chose que je veux souligner, c’est que la situation de l’Anthrax et ce qui se passe avec le COVID-19 est le sauvetage fortuit de sociétés de vaccins en péril ayant des liens profonds avec l’armée américaine.

Donc le premier serait Bioport, qui est aujourd’hui Emergent Biosolutions. Ils ont changé son nom en 2004 à cause de la controverse autour de leur vaccin contre l’Anthrax, sur lequel ils avaient le monopole de la production et de la vente dans l’armée américaine, ce même réseau responsable des attaques à l’Anthrax a mandaté l’utilisation du vaccin contre l’Anthrax pour les troupes américaines.

Il a fini par provoquer ce que l’on appelle souvent le syndrome de la guerre du Golfe et toute une série d’effets indésirables. Et ils ont été renfloués par le Pentagone plusieurs fois parce que leurs usines ont été fermées à plusieurs reprises en raison de violations des règles de sécurité et de santé, entre autres choses, et ils n’ont pas utilisé l’argent pour réparer ces usines. Ils utilisaient les primes pour les cadres et les réaménagements des bureaux des cadres, entre autres choses, ce qui est tout à fait typique dans ces milieux, semble-t-il.

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Mais quoi qu’il en soit, ils se sont associés à Battelle à la fin de l’année 2000. Comme je l’ai mentionné, Battelle effectuait ce gain de fonction pour le Pentagone et la CIA à l’époque, et ces recherches sont entrées dans une nouvelle phase lorsque ce partenariat a commencé, car elles concernaient directement le vaccin contre l’anthrax.

En septembre 2001, le Pentagone allait publier un rapport sur la manière de poursuivre son programme de vaccination obligatoire contre l’Anthrax sans cette société, et le 11 septembre 2001 a fait dérailler ce projet, car l’aile administrative qui travaillait sur ce rapport a été frappée par un avion le 11 septembre 2001, alors qu’elle menait cette enquête, et Donald Rumsfeld a décidé de sauver ce programme.

Et les préoccupations qui ont été entendues au Congrès et dans tout le système politique américain, au niveau national à l’époque au sujet de ce produit vaccinal particulier ont disparu dans la panique des attaques à l’Anthrax, et elles ont été remplacées par des appels non seulement à rendre la campagne de vaccination obligatoire pour l’armée, mais aussi pour les services de secours, pour les enseignants, les pompiers, les policiers, et ainsi de suite.

Et, bien sûr, aujourd’hui le point commun de ce genre d’entrepris est Moderna. Ils ont même admis maintenant qu’ils étaient sur le point de s’effondrer, s’il n’y avait pas eu l’arrivée du COVID-19 au moment précis où il est arrivé.

Je tiens à souligner que un mois ou deux de différence et ils auraient totalement fait faillite. Et bien sûr, Moderna a des liens très étroits avec l’armée américaine, plus précisément avec la DARPA, qui les finance depuis 2012, je crois. Pour plus d’informations sur ces choses là, vous pouvez aller sur mon site web, unlimitedhangout.com et regarder la série d’enquêtes, « l’Ingénierie de la contagion » sur la question de l’Anthrax. Et puis j’en ai une appelée Moderna, sur Moderna. J’ai oublié le nom exact de la série, je crois qu’elle s’appelle « Moderna obtient son miracle » ou quelque chose comme ça pour le COVID-19.

Je vais m’arrêter là, car il me reste 10 minutes au cas où vous voudriez poser des questions sur un autre sujet.

3:26:53 Viviane Fischer :

Une petite question sur Emergent Biosolutions, ils sont impliqués dans la production des vaccins maintenant, est-ce exact ?

3:27:02 Whitney Webb :

Oui, eh bien, à l’origine, ils étaient, je pense qu’après avoir produit, je crois six… un nombre très important de doses pour le vaccin Johnson & Johnson qui ont été jugées contaminées et inutilisables, je pense qu’ils sont passés à la trappe. Mais il est intéressant de souligner que Robert Kadlec, que j’ai mentionné plus tôt, a des liens profonds et de longue date avec cette société et a en fait fondé une société distincte avec le fondateur d’Emergent Biosolutions. Et même le Washington Post, a été forcé d’admettre qu’il a fait preuve de favoritisme dans l’attribution des contrats pour le COVID-19.

Donc, malgré leurs antécédents vraiment épouvantables, et même des plaintes au sein du système, ils ont obtenu des contrats pour produire des vaccins. Je ne me souviens plus exactement quelles étaient les entreprises concernées, mais le vaccin de Johnson & Johnson en faisait partie, et ils ont été très critiquées.

Donc je ne suis pas sûre qu’ils en fabriquent encore. Mais je dirais que certaines de ces entreprises d’ARNm, en particulier Moderna, ont maintenant décidé d’utiliser une nouvelle entreprise créée à l’époque du COVID, appelée « Resilience », pour produire leur ARN spécifiquement pour leur vaccin. Il y a des personnes de la Fondation Bill et Melinda Gates, de la FDA, du conseil d’administration de Pfizer, un membre de la Commission du 11 septembre, le directeur d’In-Q-Tel, la société de capital-risque de la CIA, entre autres groupes, qui fabriquent leurs produits, et cette entreprise a été créée en novembre 2020. Et ils espèrent produire de l’ARNm pour les États-Unis et au Canada.

3:28:45 Viviane Fischer :

Il semble qu’il y ait des luttes internes, mais tous ces intérêts différents tirent dans la même direction. Mais il n’est pas clair qui va faire le, qui va être le leader de la meute.

3:29:00 Whitney Webb :

Oui. Je pense que les querelles internes sont plus liées au processus qu’à l’agenda général.

3:29:16 Reiner Fuellmich :

Les deux sociétés d’ARNm, Moderna et BioN’Tech, qui sont utilisées par Pfizer, ont toutes deux été soumises à une forte pression récemment. Le prix de leurs actions s’est plus ou moins effondré. Cela est dû au fait qu’une décision prise aux États-Unis, oblige Pfizer à déclassifier plus ou moins les documents qu’elle voulait cacher au public, et que, tout d’un coup, — il y a une interview récente d’un banquier d’affaires du nom d’Ed Dowd l’explique en détail, tout d’un coup lorsque les gens voient ce qui se passe réellement, ils décident de vendre leurs actions. Le sauvetage semble donc ne pas avoir vraiment fonctionné. Mais c’est seulement parce que d’autres personnes ont exposé ce qui se passe réellement.

3:30:14 Whitney Webb :

Exact, et je ne pense pas qu’ils l’aient vraiment prévu…

3:30:21 Reiner Fuellmich :

Cela prouve le point de Matthews, ils n’ont pas vraiment tout sous contrôle.

3:30:25 Whitney Webb :

Oui, je suis d’accord avec ça aussi. Et je pense que c’est la raison pour laquelle nous les voyons, par exemple, dans divers pays, en particulier les pays occidentaux, lever les restrictions pour le moment, comme l’a dit Leana Wen, l’experte médicale de CNN, afin que la confiance du public puisse être restaurée. Nous pouvons donc utiliser ces mesures, encore une fois, à l’avenir, pour une « deuxième pandémie », ou une sorte d’événement dans cet genre.

Et si vous regardez le Forum Economique Mondial depuis l’année dernière, leur thème principal pour l’année dernière était de rétablir la confiance avec le public. C’est donc quelque chose qui les préoccupe vraiment, le manque de confiance du public envers les élites. Mais je pense qu’ils sont encore dans cet état d’esprit, « eh bien, même s’ils commencent à ne plus nous faire confiance en masse, qu’allons-nous faire à ce sujet ? »

Je pense que c’est essentiellement de ça qu’il s’agit, mais je pense qu’ils prévoient aussi d’essayer d’intensifier différentes choses qui ne sont pas forcément le COVID au fur et à mesure que ce récit particulier s’effrite, pour essayer de garder les gens divisés, distraits et confus par la masse d’informations qui sortent tout le temps. Ce qui est, comme je l’ai déjà expliqué, une sorte de PsyOp, c’est le côté opération psychologique de ce qui se passe.

3:31:47 Reiner Fuellmich :

Ok, bon, y a-t-il d’autres questions de votre part, Virginie, ou Dexter, ou Ana ? Ou Dipali ?

3:32:00 Dexter Ryneveldt :

Pas de questions de ma part. Merci beaucoup. Mrs. Webb

3:32:05 Reiner Fuellmich :

Oui, merci beaucoup. Merci beaucoup. Et nous allons maintenant… Allez-y s’il vous plaît.

3:32:12 Viviane Fischer :

Oui, nous allons maintenant insérer quelques témoins, parce que, vous savez, nous le devons, — pour les archives, et pour que le public voit que nous savons ce qui se passe vraiment. Et c’est tellement fou, ce que nous avons vécu au cours de ces deux années que nous semblons parfois oublier, ce que nous avions, ce que nous pensions être la façon normale dont les choses seraient traitées, que vous pouviez choisir sans être trompés, si vous vouliez avoir un traitement médical, ou si vous vouliez protester contre quelque chose comme, sans avoir affaire à la police et ainsi de suite.

Et donc nous avons préparé, je pense que c’est deux vidéos. Et nous avons deux témoins, un en direct ici avec nous, et un autre dans le zoom. Et je voudrais commencer à vous montrer ce que nous avons vécu, lorsque nous avons appris par un lanceur d’alerte que dans une maison de retraite ici à Berlin, qu’une certaine vaccination allait avoir lieu, je pense que c’était un dimanche, et les flacons étaient fournis, ou du moins amenés par des soldats.

Et donc lorsque les personnes âgées ont été confrontées à des soldats, quand ils ont travaillé avec les médecins pour faire le vaccin, et certains, une personne n’était pas vraiment volontaire pour l’accepter. Je veux dire, — c’était dans la « section démence » de cette maison de retraite, et certains d’entre eux n’étaient manifestement pas en mesure de signer les papiers eux-mêmes. Mais il faut quand même respecter une sorte de volonté naturelle, ils doivent exprimer s’ils veulent être traités ou non.

Nous allons donc voir cela. Nous avons donc eu un dénonciateur qui nous a parlé de cet incident, et ce qui s’est passé ensuite, c’est que sur ces 31 personnes qui ont été vaccinées, huit sont décédées assez rapidement après la vaccination, dans les quelques semainesqui ont suivi, et je pense que la dernière personne qui est morte, c’était deux ou trois mois plus tard, et ils étaient vraiment en bonne forme, c’était…

3:34:47 Reiner Fuellmich :

Avant le vaccin.

3:34:50 Viviane Fischer :

Avant la vaccination, c’était la section où ils pouvaient se promener librement, et certains faisaient du jogging tous les jours, quelqu’un jouait du piano. Et donc, ils chantaient des chansons la nuit précédente. Et puis déjà le soir, certains d’entre eux avaient de sérieux problèmes.

Et ce qui est également intéressant à ce sujet, c’est que plus tard, nous avons pris contact avec la police, et j’ai personnellement désposé une accusation criminelle, une plainte, et je leur ai demandé, — parce que des deux personnes qui sont décédées, les dernières, les corps étaient encore aux pompes funèbres. Donc, nous avons informé la police et ous leur avons qu’ils devraient enquêter à ce sujet avec le procureur de district. Et ils nous ont envoyé une lettre disant qu’ils ne voyaient rien de suspect, et qu’ils ne pouvaient pas commencer à enquêter. Vous savez, je pense que c’est particulier. Et donc après que nous ayons fait l’interview du lanceur d’alerte, un deuxième lanceur d’alerte, s’est présenté et a fourni quelques images que vous pouvez voir maintenant.

3:36:09 Reiner Fuellmich :

C’est pour illustrer ce dont nous parlons vraiment. Parce qu’aujourd’hui, ce soir, nous avons parlé de la préparation de ce qui se passe réellement, et maintenant nous examinons les conséquences. Parce que je pense qu’il est important pour nous et pour le jury de comprendre que nous ne parlons pas seulement de jeux non pertinents qui sont joués, de jeux de pouvoir, mais que ces jeux ont des conséquences très graves. Et c’est ce que ce clip vidéo illustre très clairement.

3:36:45 Vidéo #1 — Sous-titrage

De l’armée. Le médecin de la maison est toujours présent… et des aides-soignants. Donc un groupe de trois : un soignant, un médecin et un soldat. Quel rôle jouent les soldats ? Personne qui travaille dans les soins infirmiers… avec les malades mentaux ou physiques, ou la démence ne peut me dire… que la force n’est pas utilisée … à la fois mentalement et physiquement… Non, personne n’a rien dit, mais mon impression était… que les soldats… étaient là pour garder le vaccin. Et après, il était très clair pour moi… que c’était pour envoyer une « déclaration » aux personnes âgées. Parce que vous pouviez sentir… l’atmosphère d’intimidation. On ne reconnaissait pas nos résidents. Ce n’étaient pas les mêmes vieux résidents… qui faisaient librement… ce qu’ils font instinctivement. mais assis… et étaient complètement silencieux et immobiles. Comment ont-ils montré cette peur ? Pouvaient-ils la verbaliser ? Vous pouviez le voir… à partir de leur comportement différent. Ils étaient très intimidés, très calmes, très renfermés, ils ne sont pas encore prêts à mourir. Leurs yeux sont ouverts. Ils sont agités. Ce fort tremblement… modifie leur respiration. La pâleur de leur visage est très différente. Ils sont très déstabilisés, avec cette secousse. Et cette fois, comme dit : Ce tremblement constant du haut du corps… ce tremblement, avec lequel je ne suis pas familier… dans cette situation non plus… qui s’est produit avec beaucoup… C’est la force physique et psychologique, également pour le test PCR. C’est une violence appliquée qui est utilisée… pour faire ces procédures. Aussi cette vaccination… c’est de la violence, violence physique et mentale. Ils passent tout simplement à travers. Et pour les résidents ? Exactement la même chose. Intimidation totale. Je crois que c’était aussi cette dynamique de groupe. Ces quatre personnes au même endroit… et soudain, voyant ces sauvages étrangers… Ils étaient tous intimidés… Une résidente, elle avait montré des signes de résistance… comme nous le savons déjà d’elle. Quand il n’y avait que trois personnes dans la pièce, on remarque immédiatement que la situation est différente. Clairement, ils viennent vous voir dans votre lit. Mais vous pouvez dire…

3:38:55 Reiner Fuellmich :

Donc ça montre que… ce que vous avez dit Brian, ils tuent des gens. Ils ne tuent pas des gens en théorie, ils tuent des gens dans la vie réelle. Une des personnes que nous avons vu dans cette vidéo, qui a été filmée avec une caméra cachée est morte, le vieil homme en pyjama est mort.

C’est donc de cela qu’il s’agit. Il y a des conséquences réelles. En conséquence de ces soi-disant jeux de pouvoir, il s’agit en fait de contrôle. Et il s’agit en fait de réduire la population. Comme l’illustre clairement ce court clip vidéo, et ce n’est qu’un exemple. Il existe de nombreux autres exemples de ce type. Nous avons obtenu de nombreuses informations de maisons de retraite similaires où la même chose s’est produite.

Cet exemple est particulièrement impressionnant pour nous, car il se déroule ici même à Berlin. 31 personnes ont été vaccinées et en l’espace de deux semaines environ, huit d’entre elles étaient décédées, 11 autres avaient développé des symptômes très graves. Nous ne savons pas ce qui leur est arrivé, mais ces huit personnes décédées, l’une d’entre elles, comme l’a mentionné Viviane, jouait du piano la veille de sa vaccination, une autre était un coureur et il courait la veille de son injection. C’est de cela qu’il s’agit vraiment.

3:40:34 Viviane Fischer :

Oui, alors maintenant, nous avons un autre clip vidéo que nous allons voir. Il s’agit d’une petite manifestation, comme une veillée, qui a eu lieu pendant, — je pense que le témoin va nous le dire dans une seconde, plusieurs jours, 60 -62 jours, et c’était le dernier jour où il y avait soi-disant une petite réunion. Mais c’était un petit événement et vous serez surpris par le nombre de policiers par rapport à la taille de l’événement que vous allez voir et par la dureté avec laquelle ils y ont mis fin. Je pense que nous allons d’abord montrer le clip et ensuite nous allons parler à Roman Mironov.

Vidéo #2 —En allemand

3:41:28

3:41:41 : — Nos enfants vaccinés n’ont pas    de protection

3:41:48 : Nos enfants n’ont que nous et…

3:41:54 : — Attention, Attention, la Police vous parle, s’il vous plaît, pour votre compréhension

3:42:03 : — Je dois parler

Chers messieurs, laissez tomber votre vieille culpabilité, laissez tomber votre matérialisme

3:42:10 : laisser tomber et donne-leur de voir leur foyer

3:42:17 : — Cela signifie que votre manifestation doit s’arrêter, vous devez vous diriger direction Gare Centrale

3:42:23 : Je répète, en raison du non-respect des mesures sanitaires…

3:42:38 Viviane Fischer :

Vous pouvez voir à quel point c’est disproportionné par rapport à ce qui se passe, il n’y avait même pas de « normes sanitaires » qui sont enfreintes. Et à une époque antérieure, nous aurions pensé que c’était un événement normal. Mais peut-être que nous allons juste parler à Roman Mironov.

Reiner Fuellmich :

Roman, que s’est-il passé ?

3:43:07 Roman Mironov :

Je ne parle pas très bien anglais, alors je vais devoir parler en allemand.

3:43:15 Viviane Fischer  :

En quelques mots, pouvez-vous nous expliquer que vous aviez fait cette démonstration 60 fois et pourquoi elle s’est terminée de cette façon.

3:43:30 Roman Mironov :

Exactement, j’avais organisé une veillée devant le bureau du chancelier parce que les manifestations n’étaient plus possibles à Berlin, parce que ça a toujours dégénéré en violence policière, et donc j’ai organisé une veillée parce qu’avec quelques personnes juste devant le bureau du chancelier, la police ne peut pas déborder aussi facilement et nous avons fait ça sur une période de plus de deux mois. Et très fréquemment il y avait des médias avec nous et ils nous écrivaient, et ils n’ont jamais fait de reportage sur nous, ils étaient juste là parce qu’il se passait quelque chose au bureau du chancelier. L’un d’entre nous s’était inscrit au bureau du Chancelier et le dernier jour, le 1er juin, était la Journée mondiale de l’enfance. Nous avons résisté là-bas. Nous n’avons pas mis de masque, c’est le moindre niveau de résistance que l’on puisse offrir, et bien sûr, ça a dégénéré et notre assemblée a été dissoute.

3:44:30 Viviane Fischer :

Nous allons avoir d’autres exemples mais je résume rapidement, deux mois après la Malwacher, à un moment où, de toute façon, il ne devait pas se tenir de manifestation importante, c’était une manifestation qui était directement liée aux enfants.

Et en fait, il y avait beaucoup de médias habituellement là et mais ils n’ont jamais parlé de cette manifestation parce qu’ils voulaient la garder sous le tapis, ne pas en parler. La seule chose qui n’a pas été respectée, c’est qu’à l’extérieur, il fallait porter des masques, même si les gens gardaient leurs distances. Et donc vous pouvez voir que la police a immédiatement décidé de tuer cette petite manifestation ou cette petite protestation à ce moment-là.

Donc Roman, merci beaucoup pour votre déclaration et pour avoir partagé cette expérience avec nous. Oui, maintenant nous avons…

3:46:05 Reiner Fuellmich

C’est maintenant à James Bush.

3:46:12 Viviane Fischer :

Puis nous continuerons avec d’autres exemples à l’avenir.

3:46:17 Reiner Fuellmich :

Oui. Maintenant, James, vous avez attendu pendant un certain temps, mais nous sommes très intéressés à entendre parler de l’opération Dark Winter, la simulation Lockstep des Rockefeller et l’Event 201.

3:46:45 James Bush :

Ok. Je suis absolument sidéré par tout ce que j’ai entendu aujourd’hui, et par l’intelligence et l’expérience de l’équipe qui produit ceci, alors je voulais tous vous remercier.

Mon passif est très simple. J’ai pris ma retraite après 20 ans dans le Corps des Marines des États-Unis en tant que Lieutenant Colonel. J’étais un officier d’infanterie, un officier de reconnaissance des forces. Puis je suis devenu ingénieur et j’ai travaillé pour la société Honeywell en tant qu’ingénieur de guidage de lancement pour le programme Shuttle. Puis je suis devenu ingénieur des opérations spéciales pour les environnements spéciaux et les systèmes mécaniques. J’étais le responsable de l’ingénierie et le gestionnaire du North Colorado Medical Center pour le Centre de recherche sur les maladies infectieuses de l’Université d’État du Colorado. Et pour le centre de recherche sur les vecteurs du Centre de contrôle des maladies du Colorado, Fort Collins. Mon intérêt pour ce sujet a été éveillé bien avant que je ne sois au courant de ce qui se passe aujourd’hui, je travaillais pour Hewlett Packard. Dans le cadre de mes fonctions d’ingénieur, j’étais le responsable de la biosécurité pour les Rocheuses de l’Ouest et j’ai été invité à participer à un programme appelé Dark Winter à Oklahoma City en juin 2001. Et à ce stade, je ne suis pas sûr de savoir comment… je vais partager mon écran et je vais afficher une présentation assez rapide et je suis sincère, c’est plus rapide que les autres.

C’est le résumé de qui je suis, je l’ai déjà parcouru avec vous. J’ai un Master en ingénierie mécanique, un Bachelor en épidémiologie.

Voici Dark Winter, vous en avez entendu parler et vous le savez peut-être déjà, mais c’était ostensiblement un programme soutenu par le gouvernement et des organisations privées les 22 et 23 juin 2001 à la base aérienne d’Andrews à Oklahoma City.

Vous trouvez également ANSER Homeland Security et CSIS. L’Oklahoma National Memorial Center pour la biodéfense civile, ce sont des organisations qui ont été les précurseurs de tous les éléments nécessaires à la création d’un système d’armes biologiques aux États-Unis.

Donc Dark Winter, ces diapositives que vous allez voir ne sont qu’une très, très petite partie d’un jeu de diapositives qui a été généré pendant cette présentation. Et ce n’était pas une présentation. Ce n’était pas une véritable étude, ils nous ont appelé pour étudier cela. Mais en fait, quand nous sommes arrivés, ils ont dit : « Ok, voici ce que nous faisons, asseyez-vous et regardez et voici les conclusions auxquelles nous sommes parvenus. S’il vous plaît, ramenez ceci dans vos entreprises, dans vos organisations et partagez le avec elles. » Parce que le gouvernement contrôlait totalement la procédure.

Il s’agissait d’un exercice conçu pour simuler la réaction possible à une introduction délibérée de la variole dans trois États en 2002.

Dark Winter a été développé en tant que programme par les Centers for Strategic and International Studies, et le Johns Hopkins Center et l’ANSER pour la sécurité intérieure, et je crois que vous avez tous déjà entendu ces noms, vous allez continuer à les entendre au cours de ce processus d’analyse de ce qui arrive à notre pays.

L’ANSER Institute for Homeland Security a finalement été converti en un cabinet ministériel financé au niveau national, appelé Homeland Security.

Les participants clés, nous allons vous montrer qui ils sont, quels sont les objectifs. A l’origine c’était un scénario. Donc notre gouvernement, comme vous le savez, et beaucoup de gouvernements aiment vraiment les scénarios, ils aiment bien, « Et si on faisait ça ? Et si ça arrivait ? Quelles seraient les prochaines étapes ? »

C’était censé être une étude de scénario, mais il faut connaître les personnages qui jouent ce rôle. Nous sommes en 2001, et certaines des personnes les plus importantes du gouvernement et de la défense des États-Unis d’Amérique ont pris leur congé pour aller à Oklahoma City, et ont posé la question, que se passe-t-il si on est frappé par la variole ? Et la variole est clairement définie par toutes les organisations, l’Organisation Mondiale de la Santé, le CDC, la FEMA, tout le monde dit que c’est une maladie pandémique parce qu’elle a un taux de mortalité d’environ 32 à 33 %.

3:52:21

Par opposition au coronavirus, qui, selon la personne à laquelle on s’adresse aujourd’hui, représente peut-être 0,01 % ou 0,02 %. Ils ont donc utilisé une véritable maladie pandémique pour voir ce qui se passerait, mais les personnes qui sont venues étaient Sam Nunn, le sénateur américain, Frank Keating, il était le gouverneur de l’Oklahoma, le conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, le directeur de la CIA des États-Unis, le secrétaire à la Défense John White, le président de l’armée américaine, le chef d’état-major, le général John Tilelli, le secrétaire d’État des États-Unis Frank Wisner, la secrétaire à la santé et aux services sociaux Margaret Hamburg, le procureur général George Terwilliger, le directeur de la FEMA, Jerry Hauer, et le directeur du FBI.

Maintenant, et je suis sûr que ce type d’assemblage de personnes a été formé auparavant. Mais je ne pense pas que dans l’histoire des États-Unis, ils soient jamais venus à une réunion comme celle-ci, ont créé un document, ont créé un scénario et ont ensuite disparu, parce que dans les deux ou trois jours suivant la fin de ce programme, certains d’entre nous ont obtenu des copies réelles des diapositives. Et partout ailleurs ça a disparu, c’était sur internet pendant un moment, mais si vous vous souvenez, en 2001, internet n’était pas ce qu’il est aujourd’hui. Et il m’a fallu plusieurs années pour trouver cela sur Internet. En attendant, j’en avais une copie sur mon ordinateur. Et plus tard, lorsque je travaillais pour le centre de contrôle des maladies, le CDC, j’en parlais à divers chercheurs et leur demandais ce qu’ils en pensaient et ils ont tous en quelque sorte tourné le dos et sont partis. Ils ne voulaient pas parler de ce dont il s’agissait.

La question est donc de savoir ce qui se passerait si une attaque locale d’armes biologiques devait frapper l’Amérique avec un agent pathogène contagieux qui pourrait paralyser le pays, la réponse du gouvernement posera un énorme défi aux libertés civiles, le moins nous sommes préparés aux plus grandes menaces, plus il y aura de menaces sur les libertés civiles.

Donc, dans la documentation de départ, les premiers mots sont sur nos libertés civiles qu’ils vont prendre au cours de cet événement. Je vais donc rester sur cette page un moment et vous dire que pendant cette étude, qui a duré deux jours, nous sommes sortis tôt, parce que cette étude, quand nous sommes arrivés, ils avaient toutes sortes de diapositives, et je serai heureux de montrer ces diapositives à tous ceux qui veulent les voir. Mais les diapositives montrent vraiment le processus de réflexion, l’initiation d’un agenda, par lequel ils voulaient partager avec les gens dans la salle, et les gens dans la salle étaient des personnes issues de la science, de l’industrie et des affaires. Et ils nous disaient, comment cela va-t-il vous affecter ? Ils ont montré ce qui s’est passé après un jour, après six jours, après trois jours, combien de personnes sont malades, combien de personnes ont été blessées, combien de personnes sont mortes, et comment cela progresse.

Ce document a été fourni comme un moyen de créer deux ou trois choses. La première est un tutoriel sur la façon d’initier et d’obtenir les résultats que nous voulons d’une maladie pandémique. L’autre serait de savoir comment contrôler, quels seraient les résultats. Combien de personnes mourraient ? Comment s’occuper des inoculations ?

Il s’agissait d’une maladie connue, qui avait un taux de mortalité extraordinairement élevé. Et ils ont traduit cela dans la réalité et cela leur a donné l’opportunité de créer une ébauche, une amorce, un document qu’ils peuvent utiliser, lorsqu’il s’agit de créer une arme biologique, un événement pandémique de sécurité nationale.

C’est ce qu’ils ont fait. Et comme je l’ai dit, je serai heureux de partager le reste de ces documents. Ma présentation actuelle sur Dark Winter dure environ 2h30, parce que j’entre dans tous les détails de ce qu’est une installation de niveau de biosécurité 1, 2, 3 et 4, où elles se trouvent, comment elles sont utilisées et comment notre gouvernement et nos universités étudient cela. Mais il y a une richesse d’informations que ce diaporama et Reiner m’a demandé de rester relativement court.

Donc c’est le début. C’est la première étape, où notre gouvernement a engagé certaines des personnes les plus puissantes de notre administration pour mettre en avant ce concept. La suivante était l’opération Lockstep et l’opération Lockstep était ostensiblement faite par Ralph Emerson. Il n’arrêtait pas de faire référence à John D. Rockefeller.

Il était prétendu que c’était une approche en trois étapes pour un confinement permanent résultant en une dépopulation massive. J’ai fait d’importantes recherches sur ce sujet. Et l’Operation Lockstep était en fait un concept créé par des personnes faisant des recherches. Non seulement l’Operation Lockstep, mais aussi sur le livre de 54 pages de Ralph Emerson… Excusez-moi, Ralph Emerson a écrit le livre, The New World Order et il faisait 320 pages. Et l’information principale de toute cette Operation Lockstep vient de la page 18 de ce livre.

Il y avait deux éléments, l’Operation Lockstep a été créée par des informations provenant de l’agenda du New World Order, et un autre programme qui est sorti de l’institution Rockefeller. Donc ma question est, qu’est-ce que c’est vraiment ? Donc le document publié est essentiellement, des gens se sont réunis et ont dit, « Ok, basé sur la lecture des informations du nouvel ordre mondial, voici ce que nous voyons se passer » et cela correspond parfaitement à ce qui est dans le document de 320 pages du New World Order.

Et c’est un modèle très clair de ce qui s’est réellement passé. Et la raison pour cela, c’est que l’Operation Lockstep est sortie à la mi-juin ou juillet de l’année dernière, beaucoup de gens ont essayé de la réfuter, mais il n’y avait personne qui…

3:59:47 Reiner Fuellmich

Que s’est-il passé ?

3:59:50 James Bush :

… créé selon les documents, en 1989. Donc vous avez 2001, Dark Winter, vous avez 1989 quand l’Opération Lockstep et les premiers documents ont été créés pour cela, et puis nous avançons au fur et à mesure de l’histoire de notre nation. Vous voyez le New World Order de Ralph Emerson, vous voyez la Fondation Rockefeller et la Global Trading Organization qui ont contribué au New World Order, Rockefeller a contribué au livre suivant, qui est un livre d’environ 54 pages appelé « scénarios pour le futur de la technologie et du développement international ».

Cela a été fait par la Fondation Rockefeller. Et sur Internet, vous trouvez qu’il fait constamment référence à ce que vous voyez sur le côté droit de la page, c’est-à-dire la première phase, la deuxième phase, la troisième phase En 1989, personne ne savait rien des radiations 5G. Personne ne savait rien de précis sur le Coronavirus.

Donc, quelque part cette information est sortie, mais c’était vraiment une combinaison de données créées dans le New World Order et je ne sais pas combien de personnes ont lu le New World Order, mais c’est un livre d’instruction malveillant et dégoûtant sur la façon de détruire la civilisation occidentale. Et il cite George Bush et toute la litanie de personnes dont nous parlons souvent.

4:01:40 Reiner Fuellmich :

James, pouvez-vous nous faire une faveur et lire ces trois paragraphes ? Parce que je pense que c’est extrêmement important pour que les gens comprennent ce qui s’est passé en 1989.

4:01:52 James Bush :

Je serai heureux de le faire.

Première phase : rhume, grippe, symptômes bénins, tout au plus une approbation médiatique de la paranoïa et de la peur de masse, des systèmes de test défectueux, qui détectent tout matériel génétique dans le corps et déclenche un résultat positif. Le nombre de cas de COVID est gonflé par la modification des certificats de décès, qui comptent double et classent tous les décès, y compris les autres maladies et les causes naturelles, dans la catégorie COVID-19. Le confinement nous conditionnera à vivre sous des lois draconiennes, empêchera les protestations et identifiera la résistance publique. C’est la première étape.

La deuxième phase. La première phase conduira à la compromission et à la fragilité du système immunitaire par le manque de nourriture, l’éloignement social, le port du masque et le manque de contact avec la lumière du soleil et les bactéries saines. L’exposition aux radiations de 5G attaquera encore plus le système immunitaire. Ainsi, lorsque les gens réapparaîtront dans la société, davantage de personnes tomberont malades. On en attribuera la responsabilité au COVID-19. Tout cela se produira avant que la vaccination ne soit prête, afin de la justifier. Un confinement plus long et plus puissant suivra jusqu’à ce que tout le monde prenne le vaccin. — C’est leur intention. —

Troisième phase. Si une majorité de la population résiste au vaccin, un virus SRAS VIH MERS militarisé sera libéré. Beaucoup de gens en mourront. Il y aura des survivants, ce sera la survie du plus fort. Ce sera aussi l’ultime poussée pour que tout le monde se fasse vacciner afin de revenir à la normale. Ceux qui se seront fait vacciner seront en guerre contre ceux qui ne l’auront pas fait. Ce sera l’anarchie.

L’extrait provient de la page 18. Et l’autre document, qui est « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international ». Donc tout cela est lié. Et cela a étédivulgué, et il a été conçu comme un document pour faire deux choses. Dire aux gens où ils vont. Et si vous dites à quelqu’un que ça va arriver et que vous continuez à le lire, les gens finissent par accepter que ça arrive. Nous avons entendu ça tous les jours.

Passons à la suivante. Lockstep est l’accomplissement des concepts et des objectifs exprimés et sollicités dans les philosophies du New World Order, et les scénarios pour le futur de la Technologie et du Développement International. Ces concepts et ces programmes ont été mis en œuvre pour la pandémie COVID-19. L’auteur réel des documents Lockstep est inconnu, mais il est clair que le Lockstep a été créé en 1989. Je suis désolé, le New World Order a été créé en 1989. Et les « Scénarios pour les Technologies Futures » ont été créés en 2010. Et c’est à ce moment que l’autre documentconnu sous le nom de Lockstep a été créé.

La page suivante, je ne sais pas si vous pouvez tous la lire, je vais essayer de ne pas trop m’y attarder. Mais c’est le concept du scénario. C’est le scénario Lockstep. C’est un scénario réalisé par notre gouvernement, qui étudie ce que devrait être le Lockstep.

« Un monde où le gouvernement exerce un contrôle plus strict et un leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une résistance croissante des citoyens. En 2012, la pandémie que le monde avait anticipée depuis des années a finalement frappé.

Contrairement à 2019, H1N1, cette nouvelle une souche de grippe provenant d’oies sauvages, — c’est une supposition —, était extrêmement virulente et mortelle. Même les nations les mieux préparées à une pandémie ont été rapidement dépassées par le virus qui s’est répandu dans le monde entier, infectant près de 20 % de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement 7 mois. La majorité d’entre eux étaient de jeunes adultes en bonne santé. La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies, la mobilité internationale et l’immobilisation des personnes et des biens, affaiblissant des industries comme le tourisme et brisant les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même au niveau local, des magasins et des bâtiments normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. La pandémie a touché la planète en dirigeant de manière disproportionnée l’Afrique, l’Asie du Sud-Est et l’Amérique du Sud, où le virus s’est répandu comme une traînée de poudre en l’absence de protocoles officiels de confinement. Mais même dans les pays développés, le confinement était un défi. La politique initiale des États-Unis consistant à « déconseiller fortement » aux citoyens de prendre l’avion s’est avérée mortelle dans son indulgence. »

— Je vais sauter la suite. —

Cependant, quelques pays s’en sont mieux sortis, la Chine en particulier. Le gouvernement chinois a mis rapidement en place une quarantaine obligatoire pour tous les citoyens ainsi que la fermeture quasi hermétique et immédiate des frontières, ce qui a sauvé des millions. »

Cette information a été écrite, c’est de là que vient le concept entier. Ils ont donc eu le Dark Winter, ils ont décidé qu’ils ne voulaient vraiment pas utiliser quelque chose comme la variole, et le développement et les modifications génétiques des maladies sont pratiquées dans le monde entier. Et ostensiblement, c’est utilisé pour le développement de médicaments et la médecine préventive. Mais en réalité, et je le dis pour avoir dirigé des laboratoires, j’ai travaillé sur 6 Coronavirus, j’ai travaillé sur 78 autres maladies de niveau de biosécurité 3 et 3+. La raison pour laquelle les universités, l’armée et le gouvernement font ces recherches est un programme d’armes biologiques, ils essaient de trouver des outils moins coûteux à utiliser contre un ennemi commun. Ils développent des outils dont ils peuvent contrôler l’’ensemble du développement du processus…

04:08:02

Là où j’ai travaillé, pour le CDC et le CSU….. Je n’ai jamais vu un vaccin sortir en moins de

six ans. Et ils ont essayé de nous dire, ils ont essayé de dire aux scientifiques qu’ils ont créé des vaccins qui sont sûrs. Qu’il y a quatre vaccins différents, qui font des choses différentes au corps humain. Et d’ailleurs ils l’ont fait en moins de neuf mois. Mesdames et Messieurs, je ne peux que vous dire que de mon point de vue, ce sont des mensonges, des mensonges et encore des mensonges. Enfin, le 18 octobre 2019, beaucoup d’entre vous savent déjà ce qui s’est passé, mais le Centre John Hopkins, le groupe Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial ; ici nous revenons à l’aspect financier de cette atrocité, le Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire en partenariat avec le Forum économique mondial et la fondation Bill et Melinda gates ont organisé l’événement 201. Un exercice de pandémie de haut niveau, le 18 octobre 2019 à New York, l’exercice a illustré les domaines où les partenariats public-privé seraient nécessaires en cas de réponse à une pandémie grave, afin de diminuer les conséquences économiques et sociales à grande échelle. Il y a eu des déclarations sur le nouveau Coronavirus, des exercices de pandémie.

Ces dernières années, le monde a connu un nombre croissant d’événements épidémiques : environ 200 événements par an. Ces événements sont en augmentation, et ainsi de suite. Les experts s’accordent à dire que ce n’est qu’une question de temps avant que les épidémies ne deviennent mondiales. Comment ont-ils pu organiser une réunion avec toutes les personnes les plus importantes de la côte Est à New York le 28 octobre, pour que tout à coup, moins d’un mois plus tard, nous ayons maintenant le coronavirus qui émerge, de la province de Wuhan ?

Je vais vous dire comment on gère un laboratoire. J’ai géré l’un des plus grands du pays, celui de l’Université d’État du Colorado. Les virus n’en sortent pas accidentellement. Vous pouviez les sortir vous-mêmes, du temps où j’y travaillais. Je peux en sortir n’importe quand avec le virus de la peste, avec le VIH, avec la tuberculose, avec toutes sortes de Corona ; D’ailleurs les Coronas n’étaient même pas utilisées dans les installations de niveau 3. C’était des niveau 2. Vous vous demandez pourquoi ? Voyez avec la CIA. Donc la question demeure : comment se fait-il que dans tous les médias, vous vous levez le matin, vous écoutez une station de radio, vous allez sur une chaîne de télévision, et ils disent tous exactement la même chose ? Connaissez-vous tous l’opération Mockingbird ? Mockingbird est un programme de la CIA qui a été créé après la seconde guerre mondiale et qui est toujours opérationnel aujourd’hui. C’est comme ça que la CIA crée un dialogue et travaille avec les six ou sept grands systèmes médiatiques du monde.

Et je peux dire ceci, parce que vous ne connaissez pas son nom : Ma fille est un officier de renseignement militaire dans l’armée américaine. Elle y est depuis 12 ans. Elle est major, sélectionnée pour être lieutenant-colonel. Je lui ai montré tout ça et elle a dit : « oui, c’est ce qu’ils font. Ils le font maintenant ». Donc la question… il y a beaucoup de questions sur le pourquoi. Et je pense que les bonnes questions sont celles que vous avez posées aujourd’hui. Mais il y a une information importante que je voulais partager avec vous. Lorsque j’ai commencé à gérer les centres de recherche sur les maladies infectieuses, tous deux à Fort Collins, il y a environ 14 ans, il y avait 25 à 27 laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde. Nous sommes maintenant en 2022, et ceci provient directement du site web du CDC, je l’ai comparé à d’autres sites web également : c’est la répartition des laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde et vous pouvez voir que l’Australie en a quatre, presque tous les autres pays en ont un ou deux, l’Allemagne en a trois, l’Inde en a trois. Le Royaume-Uni en a six. Les États-Unis en ont 15, et quand j’ai commencé cette activité, ils n’en avait que trois.

le niveau de biosécurité trois, ce sont ceux qui travaillent sur des maladies comme le coronavirus, la grippe, le VIH, des virus qui ne sont pas extraordinairement puissants. Ils en font des armes biologique. Mais le niveau 3 est le banc d’essai du niveau 4. Il y a plusieurs petits pays… plusieurs petits pays ont un ou deux niveau 3. Tous les pays sur la liste des niveaux 4 ont autant de niveau 3 que de niveau 4. Les États-Unis ont plus de 200 laboratoire de biosécurité niveau 3 sur le territoire américain. Donc, entre les niveaux de sécurité 3 et 4, les États-Unis d’Amérique ont 215 installations de recherche sur les armes biologiques, qu’ils appellent « recherches normales ». Mais je peux vous dire que ce n’est pas le cas.

04:14:59 Reiner Fuellmich :

Une question. Je dois vous poser ces deux questions, car après avoir regardé les documents que vous nous avez montrés de l’opération lockstep… je veux dire… vous avez cité ces trois paragraphes. ces termes étaient-ils vraiment inclus dans ce document ? Je veux dire, des termes comme « COVID-19 ». Et l’autre terme aussi : « 5G » ? Etaient-il vraiment inclus ?

04:15:28 Vivianne Fischer :

Cela vient d’un livre.

05:15:31 James Bush :

[Il s’embrouille dans les pages de son document]
Vous êtes observateur. Et c’est absolument… Hier, une question a été posée sur les documents utilisés dans l’opération lockstep. C’est exactement ce qu’ils sont. C’est le… je pensais que ce document était partout sur internet… J’ai dit que je ne pouvais pas trouver l’auteur de ce document en particulier. Il était dit que c’était à la page 18 dans toutes les références… au lieu de cela… Oui c’était page 18. Et la page 18 à laquelle il se référait était la page du scénario que j’avais trouvée. Je vais voir si je peux revenir en arrière.

04:16:07 Viviane Fischer :

Ok, mais en gros, c’est comme une inspiration qu’ils ont utilisé pour le scénario lockstep.

04:16:14 Reiner Fuellmich :

La question est de savoir si c’était vraiment inclus à l’époque, en 1989, ces deux termes ?

04:16:20 James Bush : [Toujours embrouillé dans ses notes]

Non, C’est donc qu’il y a, il y a le document… le document 2020 qui était sur internet. Et dans le scénario pour la technologie future et le développement international… je suis désolé, j’allais mettre la page 18. Attendez non ! C’EST la page 18, les scénarios lockstep ?

04:16:44 Reiner Fuellmich :

Non, l’autre, avec les trois paragraphes. On vient de le regarder. C’est la diapositive numéro 10. La numéro 10, c’est ça.

04:16:53 James Bush :

C’est celle-ci, sur laquelle on était.

Reiner Fuellmich :

C’est ça, la numéro 10

James Bush :

La 10.

Reiner Fuellmich :

Celle-là.

James Bush :

Cette, cette diapositive sur le côté droit ?

04:17:07 Reiner Fuellmich :

Oui. Est-ce que ça vient vraiment de ce livre écrit en 1989 ?

04:17:12 James Bush :

Non, ça ne vient pas de là. Ce que je veux dire, c’est que ce document et cette diapositive ont été créés par quelqu’un qui s’est référé à cette page, vous la voyez ? cela provient de l’opération lockstep qui a été créée par l’Institut Rockefeller. Ils ont pris ça et ils ont modifié les événements actuels, ils y ont ajouté les concepts de ce paragraphe, et ils ont… et le monde y a cru. Et ce qui est ironique, c’est que si vous regardez le contenu du paragraphe des scénarios pour le futur du document technologique, c’est de là qu’ils ont tiré cette information. Et la 5g et le COVID-19 ne sont pas dans ce paragraphe.

04:18:09 Reiner Fuellmich :

C’est ce que je pensais.

04:18:10 James Bush :

Oui. Mais ça relie quand même tout ça, parce que l’information était là en 1989, 2001, 2010. Et à présent pour l’événement 201, en 2019. Il y a donc une progression qui va de pair avec le dialogue historique que vos autres conférenciers et experts en histoire ont présenté. Et celui-ci partage vraiment l’information. Et de mon point de vue, le Dark Winter est un facteur critique pour montrer qu’ils ont la capacité et l’intention de faire quelque chose de similaire à l’evenement 20. L’evenement 201 est le second dark winter.

Voilà pour Dark Winter. C’est l’information que je peux partager avec vous sur l’opération Mockingbird, et l’opération lockstep. Pour l’opération lockstep, après que nous ayons commencé à faire plus de recherches, j’ai voulu faire exactement ce que vous avez dit, j’ai voulu trouver cette page particulière dans ce livre, Le Nouvel Ordre Mondial par Ralph Epperson. Je l’ai lu, mais il n’y avait rien, j’ai cherché les scénarios pour l’avenir de la technologie, il n’y avait rien. J’ai cherché toutes les informations que je pouvais sur Internet. Et clairement, quelqu’un a fait ce document particulier pour le faire correspondre. Et c’était une tentative de, de coordonner ça. Ca donne du crédit au Nouvel Ordre Mondial. Je ne sais pas combien de personnes dans le groupe, ici, ont lu le Nouvel Ordre Mondial ? Je dois essayer de m’en sortir.

04:20:22 Reiner Fuellmich :

Eh bien, le problème avec des documents comme celui-là, c’est qu’ils sont non seulement déroutants, mais ils nous font paraître mauvais.

04:20:35 James Bush :

C’est pourquoi je voulais vous le montrer. Parce que je ne suis pas sûr que nous puissions parler de l’opération lockstep, à moins de nous référer simplement au livre « le Nouvel Ordre Mondial » et aux scénarios. Ceux-là sont plus crédibles, mais pas lockstep.

04:20:56 Reiner Fuellmich :

Je comprends.

Eh bien, merci, James, cela nous mène tout droit au rôle probable de l’Organisation mondiale de la santé dans tout cela. Nous avons deux autres intervenants pour cela. Mais en attendant, y a-t-il des questions que Virginie, Dexter, Dipali, voulez poser ?

04:21:29 Dexter Ryneveldt :

M. Bush, merci pour le témoignage. Je voudrais juste que vous me disiez : vous avez mentionné que, d’après votre expérience, il faut environ au moins six ans avant qu’un vaccin soit mis sur le marché. J’aimerais faire un rapprochement avec l’operation ward speed. Comment ses informations sont-elles liées ? Parce que dans un sens, il semble qu’ils aient mis très rapidement des vaccins contre le covid-19 sur le marché. Ils se justifient en disant que c’est grâce à l’opération warpspeed. Pouvez-vous éclaircir ce point ?

04:22:14 James Bush :

La réponse à cette question est qu’ils ne font pas un vrai vaccin, ils créent un modificateur d’ADN qui n’a rien à voir avec le processus normal. Le processus de découvrir une maladie et d’apprendre à lutter contre elle au sein du corps humain, en appliquant les bons produits chimiques, en effectunt les bons tests, en faisant des tests sur l’homme, sur l’animal, et en développant un vrai vaccin.

Le matériel qu’ils injectent aux gens aujourd’hui, en ce qui me concerne… Et comme je l’ai dit, j’ai travaillé sur des vaccins pendant 12 ans dans des environnements où mon travail, dans ces installations, était de diriger le comité de biosécurité et d’empêcher la maladie de se propager. Pendant mon mandat, il y avait 6000 chercheurs dans ces installations, et personne n’est jamais tombé malade. Donc nous savions ce qui causait la maladie, nous avons pu l’arrêter. Mais il a également été intégré dans la compréhension de la connaissance que vous ne pouvez pas développer un vaccin avec précision en moins de six ans. Et donc quand j’ai commencé à entendre les gens dire que nous allions en avoir un cette année… Ils injectent des produits dont on ne sait pas ce qu’ils contiennent. Je ne suis pas chimiste, je ne suis pas médecin. Je ne suis pas un docteur de recherche, mais j’ai travaillé avec eux. Et je peux vous dire qu’il n’y aura jamais d’inoculation dans mes bras ou dans ceux de quelqu’un de ma famille. Parce que j’ai peur de ce qu’il y a là-dedans. Et c’est ce que certains de vos autres experts vont dire, également. Regardez les documents dont nous avons déjà parlé aujourd’hui, comment les gens réagissent, ils réagissent très rapidement, sûrement après avoir reçu l’inoculation, et cela ne serait pas le cas avec une vraie vaccination.

04:24:16 Dexter Ryneveldt :

Merci, Monsieur.

04:24:21 James Bush :

Et je veux juste répéter, pour le cas où il y aurait la moindre question, au sujet d’un virus qui se serait échappé de Wuhan. Le laboratoire de Wuhan est un la boratoire de niveau trois. Le virus sur lequel ils travaillaient en Chine était dans un niveau 3. Il ne répond donc pas aux exigences de soin, de considération et de sécurité extrêmes d’un niveau 4. Et quand je gérais les installations du Colorado, nous avons fait des tests pour savoir si les gens pouvaient sortir de notre bâtiment avec un agent selectif, c’est-a-dire un virus dangereux. Encore une fois, allez sur le site du CDC et cherchez « agent selectif ». Et ça vous dit en gros qu’un agent selectif peut être génétiquement modifié pour devenir une arme de destruction massive. C’est pour ça qu’on les appelle des agents sélectifs. Mais à l’époque, on a fait des tests, on a fait venir des gens du Corps des ingénieurs de l’Armée, du FBI, des pompiers locaux, de la police, et on a fait des tests pour savoir si quelqu’un pouvait sortir de notre installation. Il n’y avait aucun moyen de les arrêter. Si quelqu’un voulait sortir avec ce matériel, on ne pouvait pas l’arrêter. Donc là, dans ces laboratoires dont je viens de vous montrer les chiffres, il n’y a aucun moyen d’empêcher quiconque de sortir ces choses. Donc ce sur quoi ils travaillent dans ces laboratoires, c’est, en ce qui me concerne, un programme d’armes biologiques. Et ce sur quoi ils travaillent est essentiellement la capacité de modifier d’autres formes d’injections pour contrôler et tuer la population générale. Et c’est pour ça qu’ils le font au pas de course. C’est une chimère, vous connaissez tous le concept de chimère ?

04:26:28 Dexter Ryneveldt :

Vous pouvez expliquer le concept ?

04:26:33 James Bush :

Un vaccin chimérique consiste à développer un médicament et à l’injecter à un animal ou à une personne. Et cela prépare le corps à certaines réactions. Et puis vous revenez avec la deuxième partie de la chimère, vous l’injectez et cela provoque des changements extraordinairement grands, voire la mort. Donc je crois que les injections sont chimériques, et pour aller dans le sens de votre question sur les vaccins eux-mêmes : Comment est-il possible que vous ayez une maladie ? Il y a deux questions en fait : comment est-il possible d’avoir une maladie qui est en train d’être résolue grâce à un vaccin avec une efficacité de 95 à 100 %, avec quatre types différents d’injections qui ne se ressemblent même pas dans leur contenu, et qu’au-delà de ça, dans l’histoire de l’humanité, la science et la médecine n’ont jamais trouvé de remède pour le rhume et la grippe, qui sont tous deux des coronavirus.

04:27:53 Reiner Fuellmich :

Pardon, Dexter.

04:27:56 Dexter Ryneveldt :

Pas de souci. On peut passer à vous, Reiner ?

04:27:58 Reiner Fuellmich :

Je voulais juste mentionner que d’autres experts qui vont témoigner ont entre-temps clarifié la situation, du moins en ce qui concerne Pfizer biontech. Pfizer est concerné, il n’a pas une efficacité de 95 %. C’est moins de 1 %. Certaines personnes disent même qu’il n’a absolument aucune efficacité. C’est parce que nous voyons que les pays qui ont un taux de vaccination très élevé, ont également un taux de contamination très élevé, comme Israël, comme le Royaume-Uni. Ils ont également un taux très élevé de contamination. En d’autres termes, les vaccins ne semblent pas du tout fonctionner. Ca signifie vous avez probablement raison, Jim. Nous ne pouvons pas appeler ces injections des vaccins, mais d’autres experts nous en apprendront davantage à ce sujet.

04:28:51 James Bush :

Merci pour tout ce que vous faites, et si je peux aider davantage, je le ferai.

04:28:54 Reiner Fuellmich :

Jim, merci beaucoup. Merci beaucoup de nous avoir guidés à travers ces interventions. Bon, maintenant nous allons parler au Dr Astrid StuckelBerger et le Dr Sylvia Behrendt. Toutes deux travaillent pour l’Organisation Mondiale de la Santé. Qui commence ?

04:29:18 Sylvia Behrendt :

Je pense que c’est moi. Et ensuite Astrid va continuer.

Reiner Fuellmich :

Très bien.

04:29:24 Sylvia Behrendt :

Merci beaucoup. Mes références sont les suivantes : j’ai obtenu mon doctorat à l’Université de Saint-Gall, en Suisse, sur le thème du Règlement sanitaire international et de l’autorité exécutive de l’Organisation mondiale de la santé en cas d’urgence de santé publique de portée internationale, titre très long. Et ce n’est pas mon téléphone qui sonne. Et j’étais un chercheur invité à Georgetown Law, par le professeur Gaston, financé par le Fonds national suisse. Plus tard, j’ai collaboré avec le secrétariat du règlement sanitaire international à Genève, à l’Organisation mondiale de la santé, et j’ai effectué des missions dans les pays de l’O. M. S. dans le but de mettre en œuvre au niveau national le règlement sanitaire de l’Internet. Voilà.

Les autres experts qui ont fourni leur expertise, la dernière fois, nous avons entendu M. Bush, qui a parlé de l’engrenage financier, les questions politiques et de sécurité, en particulier sous le paradigme du bioterrorisme qui fournissent la preuve qu’il ya une dérive qui a conduit à la pandémie actuelle COVID 19. Je voudrais attirer l’attention sur le fait que nous ne sommes pas actuellement confrontés à la réponse médicale à une pandémie. La plupart des critiques formulées par les scientifiques et les médecins portaient sur le fait que, d’un point de vue purement médical, toutes les mesures sanitaires recommandées et exigées par les autorités sanitaires nationales sont en fait contraires aux connaissances épidémiologiques et médicales. Et ce, à dessein. Je l’affirme, parce que le concept sous-jacent utilisé pour COVID-19 ne suit pas les principes scientifiques établis, mais plutôt une idéologie différente, qualifiée de sécurité sanitaire mondiale, et censée traiter la santé comme une question de sécurité nationale, en instaurant partout des états d’urgence et d’exception pour y faire face. Par conséquent, je considère qu’il est crucial de fournir une brève analyse historique de ce concept. Afin de comprendre que la crise sanitaire mondiale actuelle à laquelle nous sommes confrontée ne concerne pas la science médicale, et la santé au sens commun, comme on pourrait l’espérer. Le remplacement progressif des objectifs médicaux par des objectifs politiques a commencé dans le contexte des maladies infectieuses émergentes au début des années 1990. Comme nous l’avons déjà entendu, ce sont les États-Unis qui, en peu de temps, ont institutionnalisé cette nouvelle approche, mais en créant rapidement une toute nouvelle division appelée « maladies infectieuses émergentes et informations ». Il est intéressant de noter qu’ils n’ont pas engagé le personnel du département de contrôle des maladies transmissibles à ce moment-là.

Cette politique a confirmé le nouveau changement de paradigme, qui consistait initialement à réduire l’incidence des maladies endémiques régionales, et qui consiste maintenant à se concentrer uniquement sur la prévention de la propagation internationale en temps réel, et de préférence dans un délai de 24 heures. Il était donc nécessaire de mettre en place un appareil technocratique de réseaux de surveillance capable de faire face à ces nouvelles menaces. Par conséquent, en 2001, l’Assemblée mondiale de la santé a adopté une résolution qui introduisait déjà ce nouveau concept et appelait pour la première fois à trouver une définition de l’urgence de santé publique de portée internationale, dans le but de réviser les lois sanitaires obsolètes, appelées Règlement sanitaire international, car personne ne s’intéressait aux lois sanitaires à cette époque. Le problème était qu’elles avaient un champ d’application très étroit et ne s’appliquaient qu’à la fièvre jaune, de couleur noire. Dans le même temps, en particulier dans le cadre de la planification de scénarios bioterroristes aux États-Unis, nous avons tous entendu beaucoup de choses au niveau militaire et universitaire, mais l’exercice le plus important,

nous avons tous entendu en ce moment beaucoup de choses, au niveau militaire et académique, mais l’evenement le plus important, comme Dark Winter,

a été organisé et, curieusement, tous ces événements ont été très brefs après cela. Mais ce qui est aussi très intéressant et que nous n’avons pas entendu, c’est que non seulement les exercices ont eu lieu, mais qu’ils se sont aussi transformés en réalité, la législation aux Etats-Unis a été préparée pour réduire les libertés civiles pour la lutte contre le bioterrorisme à partir de 1999. Cette entreprise a été lancée par le CDC et finalement finalisée par des professeurs de l’université de Georgetown comme le professeur Gostin, en collaboration avec l’université Johns Hopkins, et elle a été appelée la « loi modèle sur les pouvoirs sanitaires d’urgence des États ». Ce modèle de loi a été vivement critiqué à l’époque aux États-Unis pour avoir transformé la gouvernance en dictature, qui a fini par s’étendre à de nombreux États. Ainsi, l’étape la plus importante du processus de révision du Règlement sanitaire international, qui est un traité international, a été l’apparition du syndrome respiratoire aigu sévère, abrégé en SARS comme nous le savons tous, en 2002, qui s’est accompagnée d’une alerte médiatique sans commune mesure avec la menace de la maladie, qui était remarquablement faible. En outre, il y avait un quasi-consensus parmi les scientifiques sur le fait que la nouvelle épidémie de SARS aurait pu avoir un potentiel bioterroriste. Cet optique politique bioterroriste qui parlait d’explosion de cas, a conduit à l’accord de la communauté internationale sur le fait que les anciennes lois devaient être réécrites par l’OMS pour inclure le bioterrorisme, mais sans nommer officiellement cet objectif. Cela s’inscrivait dans le paradigme d’une approche ouverte de tous les risques, ce qui signifie que non seulement diverses sources de risques sont incluses, mais aussi que toute dissémination de virus intentionnelle relèverait du paradigme de l’OMS, et que les règles sanitaires internationales devait être révisées. Ainsi, la dimension juridique du concept de sécurité sanitaire mondiale a finalement été intégrée avec succès dans les règlements sanitaires internationaux en 2005. Et c’est le modèle américain des urgences de santé publique, qui a été exporté à la communauté internationale, et qui est maintenant fusionné aux constitutions internationales qui ont atteint le stade où nous n’avons jamais eu de telles dispositions constitutionnelles d’urgence. Ensuite, les dispositions internationales obsolètes de confinement des maladies ont été remplacées pour inclure les agents pathogènes, qui constituent une menace pour la sécurité nationale, et nécessitent un régime d’urgence qui permet cette inflation des normes juridiques, non seulement en termes de réglementation de la sécurité médicale, mais aussi en termes de normes fondamentales, de libertés et de droits civils. Selon ce nouveau paradigme, les maladies endémiques qui comptent pour le plus grand nombre de décès ne relèvent pas de l’attention de cet ensemble de règles mondiales, qui sont maintenant la procédure standard pour les pandémies, mais seulement les pathogènes nouvellement identifiés sans traitement médical, qui nécessitent donc une autorisation d’urgence car ces substances sont toutes non autorisées. En outre, l’importance des diagnostics est apparue dans le cadre de l’idéologie de la sécurité sanitaire mondiale comme une nouvelle question prioritaire car, selon cette idéologie, la menace doit être identifiée et combattue avant d’avoir des effets dévastateurs. Ainsi, la disponibilité des diagnostics est considérée comme une exigence nécessaire pour la préparation et la réponse à la pandémie. J’espère que vous pouvez suivre.

En outre, sous la menace du bioterrorisme, la construction de laboratoires a été stimulé dans le monde entier, comme M. Bush nous l’a déjà expliqué, parce que les armes biologiques sont définies comme des armes de destruction massive et constituent un crime en vertu du droit international, la seule voie légale pour entreprendre légalement des recherches et des traitements médicaux est appelée biodéfense, qui a lieu dans les laboratoires comme nous l’avons appris. Je voudrais rappeler que tous les coronavirus du SARS sont généralemnt classés dans la catégorie américaine C des agents potentiels de bioterrorisme, et également classé sous le régime d’experts de l’UE pour le double usage, qui se réfère au potentiel de l’utilisation civile et militaire. Cela aide maintenant à dépeindre l’image plus clairement. Certaines connaissances historiques sont nécessaires pour comprendre que L’OMS et la communauté mondiale ne combatent pas le covid-19 conformément à l’avancée de nos connaissances. Après avoir lutté contre le covid comme contre une menace pour la nation, de façon disproportionnée, avec une terminologie militaire au lieu de la terminologie médicale, on parle maintenant de contre-mesures médicales et non médicales. Et dans tous les ministères de la santé, de nouveaux départements sont créés, appelés départements de sécurité sanitaire nationale. C’était donc la première partie de mon expertise. Avez-vous des questions, parce que j’aimerais expliquer comment toutes ces maladies nouvellement identifiées sont arrivées à l’OMS. On avance ? Ok, Si vous n’avez pas de questions. Dans un deuxième temps, j’aimerais parler plus en détail du petit nombre de cas de pneumonie classique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, qui a été signalé à qui et s’est rapidement transformé en une urgence de santé publique de dimension internationale.

Dans un deuxième temps, je voudrais expliquer plus en détail pourquoi le petit nombre de cas de pneumonie d’un opposant typique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, ont été signalés à l’oms et ont rapidement abouti à une urgence de santé publique de portée internationale, et peu après à une pandémie. Tout cela est dû au Règlement sanitaire international et à sa révision. De plus, les règles sanitaires auxquels on fait référence incluent une approche tous risques. Certains agents pathogènes, comme toute nouvelle souche d’un sous-type de grippe ou tout coronavirus de service, sont toujours prioritaires et doivent être signalés dans un délai de 24 heures à l’OMS. L’identification de ce nouveau virus a été possible parce que la Chine a un régime de dépistage très strict pour les maladies respiratoires, depuis l’épidémie de SRAS en 2002. Donc il a été possible pour la Chine d’identifier ce nouveau pathogène. Le 1er Janvier déjà, l’OMS a demandé plus d’informations sur l’épidémie. Le 3 janvier, la Chine a notifié officiellement l’existence d’un groupe de 44 patients, dont 11 étaient gravement atteints de pneumonie d’étiologie inconnue.

04:40:09 Reiner Fuellmich :

Ca ne ressemble pas à une pandémie.

04:40:13 Sylvia Behrendt :

Oui, c’est vrai. L’OMS a demandé plus d’informations, et il y a eu la fermeture du marché de Wuhan. Donc cette politisation, et l’intérêt de l’OMS à ce stade très précoce au premier janvier, alors que seulement 44 personnes ont eu cette pneumonie atypique et que 11 personnes ont souffert gravement de cette pneumonie atypique est effectivement un aspect intéressant. Cela devrait conduire à certaines précautions, mais comment la crise a-t-elle commencé, sachant qu’aucun décès n’a été signalé ni aucun cas international, et que le potentiel de transmission interhumaine n’a pas été évalué à ce moment-là. Entre-temps, le nouveau virus a été identifié comme étant le SARS-Coronavirus. Cela signifie donc que l’identification de ce nouveau virus relève du Règlement sanitaire international. Cela nécessite un rapport officiel de l’OMS, et le directeur général est obligé de constituer un comité d’urgence en vertu des règles internationales. Une fois que cette notification officielle a été reçue, il est donc légalement obligé de constituer le comité d’urgence. Et là, ça devient intéressant. Dans le même temps, le professeur Drosten et d’autres personnes ont travaillé intensément au sein de la présidence pour fournir à l’oms un test de diagnostic, par exemple via la méthode PCR, pour ce nouveau virus. Le professeur Drosten a également été le chercheur le plus misen avant en 2003, lorsque le nouveau coronavirus du SRAS a été identifié, et depuis lors, il a été nommé expert de l’oms. son premier protocole a été officiellement remis à l’oms le 13 janvier 2020, ce qui implique qu’il avait bien sûr travaillé avant cette date de soumission, et l’oms a immédiatement recueilli ce premier protocole de cet essai. Plus tard, cet essai a été un peu révisé et finalement publié dans l’eurosurveillance tour le 23 Janvier. Il a également contribué à l’orientation provisoire de « loms qu’ils ont fait le 10 janvier, et cette orientation provisoire a été publiée. Vous pourrez avoir plus d’informations plus tard, si vous voulez, mais ça devient compliqué. Ce guide d’information a été publié dans le cadre d’un ensemble complet d’environ 10 documents d’orientation de l’OMS, a destination des pays, couvrant des sujets liés à la gestion d’une épidémie de la nouvelle souche de coronavirus. Donc, le 10 janvier, un ensemble complet de documents avait déjà été publié à ce moment-là, ce qui est intéressant

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Alors qu’il n’y avait littéralement aucun cas à l’exception des 44 cas.

04:43:03 Sylvia Behrendt :

Et ca a été publié officiellement, pourtant il faut beaucoup de temps pour que l’oms publie quelque chose parce que cela doit être approuvé. Il est important de noter que, comme toute demande liée au sars-coronavirus, ou notification officielle, le directeur général a dû convoquer un comité d’urgence COVID-19 comme une obligation légale. Vous pouvez trouver sur le site de l’OMS les experts qui sont dans ce comité, et lire leur CV. Ce comité d’urgence conseille le directeur général quand il déclare qu’une urgence de santé publique de portée internationale existe. C’est une autorité exécutive du directeur général en conformité avec les principes juridiques énoncés en vertu des règles internationales. La première réunion s’est tenue le 22 janvier et les experts ne sont pas tombés d’accord sur l’existence ou non d’une urgence de santé publique de portée internationale. Et ils ont convenu qu’il n’y avait pas de propagation internationale de l’épidémie du nouveau coronavirus. Il y avait alors 17 décès et 557 cas confirmés le 22 janvier. Ils ont donc décidé que 10 jours plus tard, ils se reuniraient à nouveau et se consulteraient pour évaluer la situation actuelle des nouveaux cas. C’est ce qu’ils ont fait le 30 janvier et, à ce moment-là, les cas sont passés de plus de 500 à 14 fois plus, soit 7711 cas confirmés et 12 167 cas suspects. Tout cela figure dans la déclaration du second comité d’urgence de l’OMS, dans les informations officielles, que vous pouvez consulter vous-même.

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Est-ce que les cas sont définis par des résultats de tests positifs ?

04:45:04 Sylvia Behrendt :

Eh bien, les cas sont définis ainsi selon l’essai du professeur Drosten, parce que c’était une publication officielle diffusée le 13 janvier. Et il a également été intégré dans le guide publié plus tard, intitulé « Tests de laboratoire pour les cas suspectés de coronavirus ». Ces documents sont toujours en ligne sur le site de l’OMS. Parfois on les supprime, mais ceux-là sont toujours en ligne et peuvent toujours être consultés. Et c’est toujours une référence à Drosten et à sa publication.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Quand a eu lieu la première réunion d’urgence et quand a eu lieu la seconde ?

04:45:49 Sylvia Behrendt :

La première a eu lieu le 22 janvier et ils se sont mis d’accord pour ne pas y assister. Ils n’avaient pas assez de cas parce qu’il n’y avait que 555 ou 557 cas. Et il n’y avait pas de propagation internationale et la propagation internationale est une condition préalable pour parler d’urgence sanitaire publique. Donc ils ont du attendre 10 jours, et à ce moment, les cas avaient été multipliés par 14. Le tout détecté par diagnostic rapide. Le comité a mentionné ces diagnostics rapides dans leurs déclarations et se sont satisfait de leur utilisation, qui a permis de diagnostiqué cette nouvelle menace appelé SARS-CoV-2.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Donc ce qu’il s’est passé, c’est que Drosten a livré son kit de test à l’Organisation mondiale de la santé et grâce à l’utilisation de son nouveau test, tout d’un coup, nous avions 14 fois le nombre de cas qui existaient avant qu’il utilise son test.

04:46:56 Sylvia Behrendt :

C’est ce que disent les documents

04:46:59 Vivianne Fischer :

Je voudrais faire une remarque à ce sujet, parce que nous avons également des informations provenant du Freedom of Information Act, que nous avons faite avec la Charité, et vous savez, il s’avère qu’en fait la société Tib Molbiol a produit et developpé le test avec Drosten. Ils ont été répertoriés comme tels, et ils s’occupaient essentiellement de la logistique dont la Charité a parlé. Quand quelq’un entrait en contact avec Drosten… les nouveaux pays savaient que Drosten était encharge et développaient ces tests, conformément au kit d’information émis par l’OMS.

04:47:53 Sylvia Behrendt :

Les essais de tests

04:47:55 Vivianne Fischer :

Les essais de tests

04:47:56 Sylvia Behrendt :

Envoyé par l’OMS aux états membres, car c’était alors une directive officielle

04:48:01 Vivianne Fischer :

Mais il y avait un échangé d’information entre Drosten et Tib Molbiol. Ils pouvaient échanger, puis Tib Molbiol pouvait expédier pour Drosten ou pourd’autres. Donc ils avaient les cartes en main et pouvaient expédier des tets dans le monde entier. Ca ne passait pas par l’OMS, à mon avis, mais par cette connexion, et cela leur donnait un avantage.

04:48:31 Reiner Fuellmich :

Ce que ça signifie, c’est que les cas de contaminations dont ils avaient besoin pour déclarer un état d’urgence sanitaire international, ces cas sont arivés à cause des tests, c’est exact ?

04:48:48 Sylvia Behrendt :

Ils leur fallait au moins des contaminations internationales et ils devaient les diagnostiquer. Et sans test de diagnostic, ce n’est pas possible. Or le seul qui a donné ces tests est désigné dans le document sous le nom Drosten, c’est ce que disent les documents.

04:49:05 Reiner Fuellmich :

Sans ces tests, l’OMS 10 jours plus tard aurait encore eu probablement 44 cas ou peut-être 500 cas, mais pas 15 fois plus.

04:49:19 Sylvia Behrendt :

S’il n’y a pas de test, vous ne pouvez pas parler de nouveau virus. C’est là le problème. La chose vraiment importante que tout le monde devrait savoir est la proclamation d’une urgence de santé publique de portée internationale. Parce que c’est lié à la fabrication de vaccins. C’est en fait la chose la plus importante que toute personne légale ou quiconque devrait savoir, ce n’est pas la pandémie, il n’y a aucune conséquence légale si l’OMS proclame ou définit une pandémie. C’est juste intéressant pour les médias. Mais l’urgence de santé publique est liée à la réglementation et à l’autorisation d’utilisation d’urgence.

04:50:03 Reiner Fuellmich :

Sans une urgence de santé publique de portée internationale, il ne peut y avoir aucune utilisation de médicaments non testés comme les vaccins.

04:50:12 Sylvia Behrendt :

C’est vrai, parce que toutes les lois secondaires comme celles de l’UE, de la FDA aux États-Unis, utilisent le concept d’urgence de santé publique, également proclamé par l’OMS

04:50:24 Reiner Fuellmich :

Ok, Virginie veut poser une question.

04:50:28 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, Mme Behrendt, Virginie de Araujo, avocate en France. Je voudrais confirmer avec vous que M. Bill Gates a fait pression sur l’OMS déclarer la pandémie et nous savons que la Charité, qui est lié à Drosten a développé ces tests, avec le financement de la Fondation Bill et Melinda Gates et Wellcome Trust. Je ne sais pas si vous pouvez confirmer cela.

04:51:00 Sylvia Behrendt :

Peut-être Astrid… je ne suis pas très au courant du financement. Je suis plutôt sur les questions de réglementation.

04:51:09 Astrid Stuckelberger :

C’est une bonne question. Ce que nous pouvons confirmer, et c’est ce que j’allais vous expliquer, c’est qu’il y a vraiment un plan depuis 2000, peut-être même avant, 1999, il y a un plan que vous pouvez voir chronologiquement avec les événements, qui consiste à monter l’organisation GAVI, l’Alliance pour les vaccins de l’UNICEF pour commencer à rejoindre les Nations Unies, pas seulement avec l’UNICEF, mais avec la Banque Mondiale et l’OMS par le biais d’un financement d’IFFM, l’International Financing Facility Immunization. Ils ont donc fait un trio, c’était en 2006. Ils ont commencé cela, et en même temps, GAVI est devenu une alliance globale en Suisse, en tant que fondation. Ils se sont donc enregistrés en 2006. Dans le même temps, ils ont formé un accord tripartite entre la banque mondiale, l’OMS et GAVI pour recevoir le financement des états membres. Vous pouvez trouver cela sur le web. Donc, c’était la première étape. Et comme vous le savez, en 2006, la réglementation sanitaire internationale a commencé à être dans la phase de mise en œuvre. Et ce que nous pouvons découvrir, c’est qu’en suivant ce qu’elle fait… je vais aller à l’essentiel. En 2009 elle s’est enregistrée en tant qu’organisation internationale en Suisse, d’un nouveau type, et nous avons un communiqué de presse du gouvernement suisse qui montre qu’elle a été créée spécifiquement pour M. Bill Gates.

Cette organisation internationale aurait une immunité totale, vous ne pouvez rien faire, vous ne pouvez même pas l’envoyer au tribunal, ils font leur propre tribunal s’ils ont un désaccord. Et à partir de là, ca a commencé, nous avons les documents de l’OMS, le logo, ils ont des conseils exécutifs, j’ai découvert récemment qu’on peut tout trouver sur le web, donc on peut trouver ça. Ils ont choisi la décennie 2010-2020 comme la décennie du vaccin. Et nous avons mis en œuvre des règlementations sanitaires, parce qu’il a fallu instruire et former les pays pour qu’ils soient prêts. Et nous avons terminé le premier cycle en 2012.

De 2009 à 2012, nous avons reçu l’Université de Georgetown, l’université de Pretoria, et j’étais avec l’Université de Genève. Et à ce moment-là, quand nous avons fini le cycle, nous avons reçu des fonds à nouveau du Japon, et soudain, ça s’est arrêté : ils ont dit qu’il n’y avait plus de fonds. Pourtant nous avions presque un contrat signé. J’ai découvert pourquoi : parce qu’en 2012, à l’Assemblée Mondiale de la Santé, ils ont désigné Bill Gates comme chef de file du plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Donc tout s’éclaire. A partir de ce moment il était aux commandes. Et c’est mentionné, ils savent que GAVI est le leader de tout ce qui concerne les vaccins. Et plus seulement pour les enfants comme avec l’UNICEF, pour le monde entier. Donc vous pouvez le voir, c’est une preuve suffisante qu’il y a au moins un plan.

Et ça continue, Bill Gates est dans le groupe de travail SAGE, le groupe consultatif des experts stratégiques, et ils ont même… c’est très drôle… Enfin non, ce n’est pas drôle, mais ils ont même fait en 2016, un rapport d’évaluation de ce plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Et en 2016, ils étaient très énervés parce qu’ils n’ont pas immunisé le monde entier. Pour eux, l’immunisation c’est la vaccination, ils prendraient n’importe quel prétexte pour vacciner. Et ne parlent pas d’expérimentation ou de validation, ils ne parlent que du vaccin, bien sûr, et en 2016, on voit vraiment qu’ils ne sont pas contents.

M. Gavi/Global dit que nous devons vraiment faire un effort. Donc ils ont fait un programme qui s’appelle « le programme accélérateur » pour les vaccins. Voilà, donc c’est au moins une partie des étapes que vous pouvez voir très clairement, tout est sur le web, sans parler du financement, dont je peux parler aussi…

04:55:53 Reiner Fuellmich :

Qu’est-ce qui s’est passé ? Qui a reçu l’immunité diplomatique en 2009 ? Était-ce GAVI ou la Fondation Bill et Melinda Gates ? Ou était-ce un Bill Gates personnellement, ou tous ces gens ?

04:56:07 Astrid Stuckelberger :

C’est vraiment GAVI Alliance, la fondation GAVI, mais ils ont enlevé le nom de Fondation. Et dans l’accord, c’est bien GAVI, l’Alliance globale pour la vaccination. Oui, je peux trouver le terme exact dans mon papier. Mais la Fondation Bill et Melinda Gates, d’après ce que je découvre de plus en plus, c’est plutôt le mécanisme financier, le financement, ou la réception des fonds pour les programmes. Et j’ai découvert encore une fois, que le gouvernement Suisse, la FDA de la Suisse, a signé un accord pour la période 2020-2023, pour fournir à la Bill et Melinda Gates Foundation 900 000 dollars en 3 ans, donc 300 000 chaque année pour son programme, son projet. Et vous ne pouvez pas voir ça dans le papier, vous devez aller chercher dans les projets. Je n’y suis pas allé, mais ça concerne le vaccin. Donc je suppose que lorsqu’on prend le modèle suisse, ou comme Sylvia l’a dit, la mécanique entre la réglementation nationale et internationale, on applique ce système comme un modèle partout dans le monde, et la loi sur les épidémies d’un pays est contrainte par les règlements de santé internationaux. Nous avons constaté qu’en Suisse, même la constitution suisse contient une petite ligne qu’ils ont ajoutée sans nous demander notre avis, qui dit que le droit international supplante le droit national en matière de santé. Et puis vous pouvez voir cela dans la loi sur les épidémies qui a été adoptée en 2016. Donc probablement dans tous les pays, il faudrait vérifier, j’en suis presque sûre, — on l’a vu au Canada, il y a une loi sur les épidémies ou une loi d’urgence qui dit aux pays, qu’ils doivent obéir au règlement sanitaire international. Et donc si une urgence de santé publique internationale est déclarée, chaque pays doit se mettre immédiatement à obéir.

Et c’est ce qui explique pourquoi le 16 ou le 17 mars, le monde entier s’est verrouillé, c’est une situation compréhensible, avec ce règlement sanitaire international. Avec le sars-cov-1, ça ne s’était pas passé comme ça, que soudainement le virus soit partout. Mais c’est ce qui se passe avec Omicron, ça commence en Afrique du Sud et le jour suivant, c’est dans le monde entier.

04:58:56 Reiner Fuellmich :

Oui… Mais est-ce qu’il y a, en ce qui concerne le Règlement sanitaire international, Sylvia et Astrid, est-ce qu’il y a une légitimité démocratique à ce Règlement sanitaire international ? Est-ce que ceux qui ont inventé ces règlements sanitaires internationales ont été élus à un poste quelconque ? Y a-t-il une quelconque légitimité démocratique à cela ? Ou s’agit-il simplement d’une entreprise privée dirigée par des personnes qui contrôlent l’Organisation Mondiale de la Santé ?

04:59:29 Astrid Stuckelberger :

Je peux répondre à votre première question et ensuite Sylvia pourra compléter. Quand nous enseignions et formions, au sujet du règlement sanitaire international, c’était la question qui revenait très souvent, comment se fait-il que cela soit contraignant pour les États membres ? Et c’était une réponse extraordinaire, qui vous expliquera à quel point il est important de regarder ce nouveau traité sur la pandémie. L’OMS, et j’ai vraiment fouillé et fouillée, est le seul programme spécialisée des Nations Unis, ou la seule Agence qui possède une Constitution. La Constitution de l’OMS. Pas convention, Constitution. Les article 21, 19, 21.1 et 21.2 engagent directement les états membres s’ils adoptent le règlement sanitaire international. Donc ils n’ont pas besoin de passer par toute la procédure du traité. C’est pour cela que c’est très dangereux, car cette constitution semble destinée à remplacer toutes les constitutions du monde, autrement pourquoi utiliser le mot Constitution ? Et donc la réponse des juristes de l’OMS a toujours été : « Oh, nous avons adopté ça à l’assemblée générale de 2005 sous la Constitution de l’OMS, article 21. A et article 2. »

5:00:58 Reiner Fuellmich :

Oui, mais ce qui est drôle, et ce n’est pas drôle du tout, c’est que ceux qui ont créé les règlements sanitaires internationaux n’ont pas été élus… ou ne possèdent aucune autorité ? Ou bien existe-t-il un lien entre le peuple des États membres, pas leurs gouvernements, le peuple des États membres et ces règlements sanitaires internationaux ? Ou bien n’y a-t-il que la constitution qu’ils ont eux-mêmes inventée ?

5:01:29 Astrid Stuckelberger :

Alors, permettez-moi d’expliquer les rouages des Nations Unies. Et c’est presque pareil pour toutes ces grandes agences comme le Bureau International du Travail, l’ITU télécommunication, pour les réfugiés ; chaque année, vous avez une assemblée mondiale, comme pour une ONG, une Assemblée Mondiale de la Santé se déroule chaque année aux Nations Unies à Genève, en mai, la troisième semaine de mai, tous les états membres ont leur petit siège et sont réunis. Ils ont un programme et décident ensemble de celui du monde. Normalement, s’il faut prendre une décision importante, ils ne sont que des représentants de l’Assemblée générale des Nations unies. Ils doivent donc s’adresser à l’Assemblée générale, et obtenir la bénédiction du Secrétaire général, le chef des Nations Unies, qui lui doit donner sa bénédiction à l’OMS. Je ne vois pas cela dans le cas de la réglementation internationale de la santé, si c’est une piste, euh, un indice.

5:02:40 Silvia Behrendt :

J’ajoute à cela les règlements internationaux en matière de santé, car nous avons commencé vers 18:15, il y a quelques heures. Et c’est un régime très intéressant parce que ce traité international remonte aux Conventions Sanitaires de 1850. C’est donc l’un des plus anciens régimes juridiques internationaux, qui a été repris par l’OMS et qui a été reconnu dans la constitution de l’OMS, parce qu’ils avaient déjà à l’esprit, et c’est très vrai, qu’ils voulaient instaurer un régime réglementaire de procédure accélérée. Ils ont donc mis en place un processus réglementaire qui stipule que, dans le cadre des règlements relatifs aux pertes sanitaires, qui sont à présent les pertes liées à une pandémie, auxquels vous pouvez vous référer, les États membres doivent choisir de ne pas participer, et non de participer. Ainsi, en vertu de la résolution adoptée, un traité international doit entrer en vigueur dans l’État membre, sinon celui-ci doit se retirer volontairement. C’est donc le processus inverse du droit international. Et c’est un élément très singulier. Et je pense qu’aucune autre organisation internationale, je n’ai trouvé aucune autre organisation internationale possédant cette capacité. Mais ce qu’ils ont réalisé est démocratique, car il s’agissait d’un processus de négociation intergouvernemental. Et ce qui est intéressant, c’est qu’uniquement à cause de l’émergence du SRAS, ils ont développé cette nouvelle idéologie adaptée de l’idée de sécurité sanitaire globale selon laquelle ce ne sont pas les maladies endémiques qui sont dévastatrices pour les populations, mais seulement les nouvelles maladies pour lesquelles il n’existe pas de traitement médical. Ils ont donc inséré ce nouveau concept dans les anciennes lois qui avaient toujours existé, l’OMS existait dans le monde. Ils ont donc adopté ce tout nouveau concept… Oui, une idéologie. Et c’est la situation extrêmement frappante que nous vivons maintenant. Et cela a été adopté sous forme de résolution. Et point intéressant, il s’agit d’un traité international et l’OMS n’en fait pas partie. Elle est seulement liée par la résolution de divers autres traités internationaux, comme la convention-cadre pour la lutte antitabac, dont l’OMS est signataire. C’est donc une loi internationale un peu délicate.

5:05:02 Reiner Fuellmich :

Je ne comprends toujours pas. Je ne vois pas de lien entre moi, mes compatriotes et ces règlements sanitaires internationaux.

05:05:12 Dr Silvia Behrendt :

C’est le problème du droit international.

05:05:20 Reiner Fuellmich :

Eh bien, pas vraiment, je pense que c’est assez unique.

05:05:23 Silvia Behrendt :

Parce que les États membres l’ont adopté, ils ont donné leur accord en 2005. Ils ont tous dit qu’ils souhaitaient ce nouveau type de règles en droit international. Et maintenant, ils sont obligés de l’appliquer au niveau national, ou depuis 2007. C’est entré en vigueur, et ils sont tenus de l’appliquer. Et par exemple, l’Autriche, je vis en Autriche, notre Constitution ne comporte pas de clause d’urgence. Et nous n’avons pas adopté de lois sanitaires, nos lois épidémiologiques, il n’y a pas de clause d’urgence et nous avons toujours le même système. C’est ce que je dis toujours, quel que soit le système juridique et la constitution des pays, évidemment le système peut avoir un impact sur n’importe quel pays et n’importe quel système constitutionnel et régime juridique, c’est possible avec ou sans clause d’urgence, ils appliquent des règles d’urgence. C’est ce que je vois, du moins c’est mon opinion.

05:06:24 Astrid Stuckelberger :

C’est comme pour les Objectifs de Développement du Millénaire, et les Objectifs de Développement Durable qui semblaient correspondre, vous savez, de 2000 à 2015, et 2015 à 2030. Avec les Objectifs de Développement Durable qu’ils ont créé, ils mettent en place tout un mécanisme là-autour, et cela devient de plus en plus obscur, et il est de plus en plus difficile de savoir à quel point nos citoyens décident vraiment, et nous ne décidons plus rien. Parce que ça devient tellement complexe et opaque.

05:06:54 Reiner Fuellmich :

Nous devons absolument reconquérir notre souveraineté. C’est la conclusion que j’en tire. Parce que même si l’UE veut proposer une nouvelle loi, par exemple, elle peut décider d’introduire ces lois, mais à moins que les États membres ne la ratifient dans leur propre pays, elle ne devient pas une loi dans leur pays. C’est donc assez surprenant pour moi. Et je pense à tous ces juristes qui devraient aussi être au courant de ces questions. C’est très inquiétant, je pense.

05:07:56 Silvia Behrendt :

Et l’UE a créé cette agence HERA, qui est similaire, mais probablement beaucoup plus coercitive, et c’est un énorme, énorme problème. Et ils ne possèdent aucune autorité en matière de santé, mais ils prétendent quand même l’avoir, ils créent les agences et nous donnent des instructions sans processus démocratique.

05:07:53 Reiner Fuellmich :

HERA est l’acronyme de Health Emergency Response Agency (Agence d’intervention d’urgence sanitaire). En effet. Et n’y a-t-il pas une rumeur selon laquelle si les gouvernements des États membres de l’UE s’effondrent, ils prendront le relais avec une sorte de mini gouvernement mondial sous la Commission européenne ? Est-ce que cela semble plausible ?

05:08:16 Dr Silvia Behrendt :

Je n’en ai aucune idée, mais je suis sûre qu’ils en seraient ravis.

05:08:20 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est l’idée de ce traité sur la pandémie. Parce que ce traité sur la pandémie contient des articles à la fin qui disent qu’avec la Constitution de l’OMS, nous n’avons pas besoin d’autres Constitutions en tant qu’États membres, et non seulement ils diminuent le pouvoir des États membres, — ce qui est la raison de l’existence des Nations Unies, mais ils ont invité tout un tas d’acteurs non étatiques, comme ils les appellent, les ONG, Gavi, les ONG intergouvernementales, les organisations internationales, parce que vous pouvez utiliser beaucoup de choses, Bill & Melinda Gates pourrait être une ONG et puis ils ont différentes activités, la Fondation Rockefeller, je les ai rencontrés à l’OMS, ils viennent, ils participent à des réunions, et ce sont des ONG, nous ne savons pas qui elles sont. Les acteurs non étatiques sont donc également invités à participer à ce nouveau traité, qui reprendrait littéralement, par le biais de la constitution de l’OMS, une constitution mondiale en cas de pandémie.

05:09:20 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, nous sommes en présence d’associations privées, voire de particuliers, qui prennent le contrôle de nos gouvernements nationaux par le biais de l’Organisation mondiale de la santé et qui utilisent la santé comme un levier pour faire ce qu’ils veulent.

05:09:40 Astrid Stuckelberger :

Oui, on pourrait dire cela parce que le partenariat public-privé a été utilisé, vous pouvez le voir à travers le financement, parce que GAVI et les partenaires privés ont commencé à envahir et à interférer dans l’ensemble des Nations Unies. En fait, je me suis penchée sur cette question lors de l’organisation des journées portes-ouvertes de l’adhésion de la Suisse aux Nations Unies, pendant deux jours, etc. J’ai donc découvert nombre d’organisations dont personne n’entend parler, et l’une d’entre elles est une entité privée appelée le Pacte Mondial des Nations unies. Ce Pacte mondial des Nations Unies ne concerne que le secteur privé. Et ils peuvent, par exemple, financer. Je veux dire, c’est ouvert aux partenariats.

05:10:33 Silvia Behrendt :

Oui. Et juste pour compléter cela, la mise en œuvre du Règlement sanitaire international, c’est très étrange, parce que c’est fait par des évaluations externes de Trump effectuées par le Global Health Security Agenda (Agenda de la sécurité sanitaire mondiale). Et si vous regardez leur page web, vous verrez qu’ils ont un consortium privé, et vous ne savez pas, vous n’avez aucune information, quel consortium privé fait ça. Mais vous savez que ces évaluateurs externes vont en Allemagne, vont dans tous les pays, cela figure même sur le site web du RKI. Et ils chantent à quel point c’est fantastique. Mais ils ne disent pas que c’est mis en œuvre par des entités privées, vous ne savez pas. Je ne veux donc pas de lois exécutées par des entités privées. C’est absolument contraire à la démocratie. Et ils en sont très fiers. Très fiers.

05:11:28 Reiner Fuellmich :

C’est bizarre.

05:11:31 Virginie de Araujo Recchia :

Si je comprends bien, il n’y a pas de conseillers privés qui travaillent aussi avec l’OMS comme McKinsey et Centure ? Ils sont aussi le bras de la Fondation Bill Gates ?

05:11:48 Astrid Stuckelberger :

Hum, oui, c’est une bonne question. En fait, j’ai cherché le lien entre McKinsey et l’OMS parce que nous savons qu’ils créent la communication. Et je pense qu’ils l’ont placée sous quelque chose qu’ils sont en train de mettre en place, un panel intergouvernemental, quel est le titre exact, panel intergouvernemental pour ce traité, pour négocier, réseau de négociation intergouvernemental, quelque chose comme ça. Donc, cela vient de se dérouler au conseil exécutif. C’est un peu inquiétant parce que je pense que toutes ces agences de communication sont noyées là-dedans. Il n’y en a pas qu’une.

05:12:34 Viviane Fischer :

Qu’est-ce que ce traité ajoute à la situation actuelle ?

05:12:39 Dr Silvia Behrendt :

Eh bien, le traité est vraiment mythique. Je viens d’entendre l’ancien conseiller juridique de l’OMS en parler, c’est disponible sur internet. Et c’est très politique, c’est probablement, le partisan le plus féroce est Charles Michel, il a suggéré ce traité à l’Union européenne, une fois que ce traité, les États-Unis sont une sorte de poster, ils ont proposé que les RH soient renforcées. Le problème sera donc un monde à double voie, car s’ils se précipitent sur un traité, seul un petit nombre de signataires le signeront, alors que les RH sont un outil universellement reconnu. Et nous n’avons pas mentionné qu’il contiendrait en fait de bons aspects, qui sont négligés et violés. Il comporte une clause de mise en œuvre des droits de l’homme qui n’est pas respectée, carrément violée. Il y a donc eu des compromis à la fin, lorsqu’ils ont adopté la résolution. Mais c’est juste qu’ils ne sont pas mentionnés, et personne ne le fait, aucun tribunal, vous savez, ne trouve une violation de ceci. Le problème est donc que ce qu’ils aimeraient mettre en place, c’est en amont et en aval de l’industrie pharmaceutique, probablement parce que le champ d’application du traité n’est même pas clair. La seule chose est que cela suscite beaucoup de communication. Le directeur général est un très grand partisan de ce traité, parce qu’il est très politique d’une certaine manière. Et c’est très, très étrange, le genre d’intentions qui se cachent là-derrière. Et on y fait appel pour la préparation et la réponse. Donc ce que nous savons, c’est qu’ils ont inventé une nouvelle procédure qui est aussi problématique. C’est ce qu’on appelle l’utilisation d’urgence de la récession par l’OMS, c’est une très grosse entreprise, Big Pharma peut s’adresser à l’OMS et dire : « Je suis en train d’inventer un nouveau produit pharmaceutique ou un nouvel ensemble de diagnostic pour ce type de maladie pour cette urgence de santé publique. Et nous aimerions que vous l’inscriviez sur notre liste », et ensuite, celui qui l’inscrit sur la liste ajoute une clause de non-responsabilité, indiquant qu’il n’y a aucune garantie et aucune approbation de l’OMS et que si quelqu’un meurt, ce n’est pas la faute de l’OMS, ce n’est qu’une liste. Et puis GAVI prend cette liste et dit : « Oh, nous pouvons l’exporter dans le monde entier, même sans autorités médicales rigoureuses et très compétentes. Nous avons cette liste de l’OMS, maintenant nous pouvons l’offrir au monde entier. » C’est ce qu’ils font. Dans les traités de Gavi et de l’Alliance pour les vaccins, ce centre Covax, comme on l’appelle. Le troisième pilote de cet accélérateur ACT (https://www.who.int/fr/initiatives/act-accelerator) (Dispositif pour accélérer l’accès aux outils de lutte contre la COVID-19). Donc, aujourd’hui, on aimerait probablement trouver de meilleurs moyens de réglementation pour que le fait que les grandes entreprises pharmaceutiques s’adressent à une organisation internationale devienne un processus normal. Mais il s’agit en fait, d’un traité de droit international privé, pas de droit international public. Parce que le problème du droit international coutumier n’est pas reconnu. Son cas d’utilisation ius cogens (loi impérieuse), ça veut dire que c’est une norme à laquelle vous ne pouvez pas déroger, qu’il n’existe aucun traitement médical quel qu’il soit, proprement sans votre consentement. Donc, oui, c’est un énorme problème.

05:16:13 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc appris ce soir de la part de tous les autres experts, y compris bien sûr des trois qui ont témoigné au début de cette session, que par exemple au Royaume-Uni, les soins de santé ont été largement privatisés, ils sont contrôlés par des groupes privés, voire des organisations caritatives privées. Nous avons appris que grâce à cette privatisation, même leur système psychiatrique a été privatisé. Des privés se trouvent derrière tout ça, et c’est comme ça qu’ils contrôlent tout. Ils créent même leurs propres futurs leaders, à l’instar du Forum économique mondial. Cela signifie qu’ils disposent de leurs propres membres à qui ils semblent dire ce qu’ils doivent faire à des postes de pouvoir au sein du gouvernement. Maintenant, si je regarde l’OMS, il y a un homme du nom de Tedros. C’est le directeur général. Qui est-il ? J’ai lu dans les journaux que dans son propre pays, les gens sont… et qu’une plainte pénale a été déposée contre lui pour génocide. Est-ce la marionnette typique, disons, que les entités privées qui dirigent le spectacle de la santé utilisent pour atteindre leurs objectifs ?

05:17:46 Astrid Stuckelberger :

Non, je dois dire que je n’ai jamais vu un tel directeur général. J’en ai connu beaucoup… Je sais aussi de l’intérieur que le personnel était très mécontent de lui. Et ils ont demandé sa démission et bien sûr, cela ne s’est jamais produit. Donc, oui.

Et un autre scoop, si je ne l’ai pas déjà dit, est que dans le conseil d’administration de la fondation GAVI, vous pouvez voir les noms des personnes qui ont fait partie de GAVI. Eh bien, Tedros a fait partie de GAVI avant d’être élu directeur général, conflit d’intérêts. Il a donc fait partie du conseil d’administration entre, je l’ai écrit ici, le 22 janvier 2009 et septembre 2011. C’est l’un d’entre eux. Et l’autre personne en conflit d’intérêt, la présidente de l’Irlande, qui était à la tête de la Commission des droits de l’homme. Je la connais mais je suis très surprise qu’elle ait été là avec le président, avec même la signature de GAVI, de novembre 2008 à septembre 2011. Je peux vous donner les papiers, pas de problème. Vous savez, c’est très précis, du 25 novembre 2008 au 14 septembre 2011.

Donc vous voyez, il y a beaucoup de noms que je ne connais pas. Et je suis sûre que vous y trouverez de nombreux noms que vous pouvez peut-être aussi trouver dans vos pays. Parce que des représentants de pays siègent à GAVI avant même d’être en poste. Il est donc clair qu’il était déjà lié à Bill Gates.

05:19:23 Reiner Fuellmich :

Donc, où que vous regardiez, vous voyez des conflits d’intérêts. Debi et Ana lèvent la main.

05:19:32 Ana Garner :

Oui, j’ai vérifié pour voir quels pays sont membres de l’OMS, et vous ? J’en vois beaucoup, beaucoup, beaucoup, en fait, je n’en vois aucun que je ne reconnais pas. Est-ce qu’il y a des pays ? 194 ? Y a-t-il des pays qui ne sont pas membres de l’OMS ?

05:19:53 Astrid Stuckelberger :

Pour le moment ? Je pense les Etats-Unis… ah non ils sont revenus. Non, le Vatican est un observateur aux Nations Unies, comme vous le savez peut-être ou pas. Et c’est aussi un sujet que je voulais aborder quand vous parlez des valeurs, de la religion, d’opérations psychologiques. Oui, donc ce sont des observateurs et ils sont partout. Les autres religions siègent en général au Conseil Mondial des Églises, juste en face du grand bâtiment que Bill Gates a construit avec notre argent suisse en trois ans. Je veux dire, vous devez le savoir.

Oh, non, c’était une question, alors j’ai répondu…

05:20:37 Ana Garner :

Il n’y a donc pas de pays qui ne soient pas membres. Le Vatican est peut-être un observateur, mais n’est pas un membre. Mais…

05:20:46 Astrid Stuckelberger :

Non, non. Je ne sais pas s’il y en a, Sylvia, que diriez-vous ? Même s’il y en avait 196 ? Votre son est coupé, Sylvia.

05:20:56 Silvia Behrendt :

Il y en a donc 196 dans le Règlement sanitaire international, parce que le Vatican et le Liechtenstein ne sont pas membres de l’OMS. Mais ils sont signataires du Règlement sanitaire international.

05:21:10 Reiner Fuellmich :

Debi a levé la main.

05:21:12 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter quelque chose qui pourrait être intéressant sur le plan juridique. Dans l’annexe, dans les notes à la fin de ce règlement sanitaire international de 2005, deux pays ont émis des réserves, disant qu’ils n’étaient pas entièrement d’accord avec ce règlement, parce qu’ils voulaient appliquer leur sécurité globale au niveau national, et vous devinez de qui il s’agit. Les États-Unis et l’Iran. Il est donc intéressant de voir que deux pays ont réussi à émettre une réserve à ce sujet. Comment se fait-il que les autres ne l’aient pas fait ?

05:21:48 Reiner Fuellmich :

C’est parce que leur peuple n’a pas encore parlé, mais il le fera. Debi ?

05:21:52 Debi Evans :

Oh, merci. Je voudrais juste mentionner très rapidement, lorsque vous avez parlé du Royaume-Uni, que nous avons également un sérieux problème ici avec les personnes non vaccinées, car toute personne admise à l’hôpital positive au COVID-19 semble ou semblerait être placée dans un programme de soins de fin de vie accéléré, et il semble que l’on administre aux patients du Midazolam et de la morphine. Et ce, sans leur consentement. Sans le consentement de leur famille. Ces décisions sont prises par les praticiens seuls. Et les familles et le patient n’ont rien à dire. Je voulais donc m’assurer d’inclure les victimes de ce désastre absolu qui ne sont pas vaccinées. Et aussi, juste pour attirer votre attention sur le Cepi. Il a été fondé en 2017. Et Cepi et GAVI ont travaillé en étroite collaboration, en fait, financièrement très proches. Et lorsque le Cepi a été lancé en 2017, Bill Gates, lors du lancement du Forum économique mondial, a déclaré qu’en gros, ils allaient supprimer la sécurité des essais cliniques, ce serait seulement, et il l’a dit sans détour, et en fait la colonne des nouvelles du Royaume-Uni l’a relaté. Mais Bill Gates a déclaré que les données relatives à la sécurité et à la fabrication seraient réduites, ce qui permettrait à la mission « 100 jours » d’aller de l’avant et de déployer les vaccins dans les 100 jours suivant la déclaration de pandémie par l’Organisation mondiale de la santé. Je tenais donc à le mentionner. Et aussi, concernant Whitney qui parlait plus tôt de la DARPA, nous avons notre propre DARPA en version diluée, si vous voulez, nous avons la nôtre, mais nous avons aussi Wellcome Leap sur lequel Whitney a obtenu beaucoup d’informations quand il s’agit d’acheter des armes et de fabriquer des produits biochimiques. Et je vais aussi juste revenir sur le brevet, parce que le brevet de Rothschild de 2015, si vous regardez le document complet, tout ce que nous voyons aujourd’hui fait partie de ce brevet qui a été approuvé en 2020. Mais on lui a donné la priorité en 2015. Il a donc été rédigé en 2015. Et ce que nous voyons aujourd’hui, c’est tout ce qui se trouve dans ce brevet, de sorte qu’avec la pandémie de SPARS et la pandémie de SPARS 2025 à 2028, il y avait un coronavirus, et certains des noms sont les mêmes que dans le scénario futuriste de John Hopkins, comme Corovax. Cela présente donc beaucoup de similitudes.

Et je sais que nous avons parlé, vous avez parlé de parallèle, mais je voudrais juste rappeler aux gens que SPARS pandémie 2025 à 28, donne une répartition mensuelle. Et si vous regardez quand nous avons commencé, en mars, quand nous avons eu le premier cas, dans notre pays en tout cas, ou en décembre à Wuhan, cela progresse littéralement mois par mois. La prédiction pour l’avenir semble donc être la résistance aux antimicrobiens, ce qui est déjà écrit dans le SPARS. Et nous constatons que de nombreuses personnes dans ce pays ne sont pas en mesure d’accéder à des antibiotiques et que les généralistes et les médecins ici ne veulent pas en prescrire. Je voulais juste ajouter ça. Merci.

05:25:35 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc de nombreuses raisons de nous inquiéter de notre souveraineté. L’une d’entre elles, et non la moindre, est le Règlement sanitaire international de l’Organisation mondiale de la santé. Cela semble être le thème principal. Il s’agit de la manière dont, par le biais de leur constitution et de la révision du Règlement sanitaire international, ils semblent essayer de prendre le contrôle du reste du monde, y compris, bien sûr, de l’ensemble des 196 États membres. Cette évaluation est-elle correcte ?

05:26:09 Silvia Behrendt :

Oui, du moins je le pense, car dans la première partie de mon expertise, j’ai souligné que cet agenda incluait les aspects militaires, mais ils n’avaient pas été nommés. C’est la raison pour laquelle nous avons maintenant une sorte de réponse à la pandémie non médicale, disproportionnée et politique. Et nous ne nous en rendons pas compte. Parce qu’ils ont inclus ce scénario bio- terroriste et ont adapté le langage à la sécurité sanitaire mondiale, c’est aussi ce centre de bio défense civile ou quelque chose comme ça. Au temps de Dark Winter, ça s’appelait Johns Hopkins Global Health Security Center, centre pour la bio défense civile, je crois que c’était le nom correct. Et ils avaient aussi un journal appelé Bio -terrorisme, ou Bio -défense et maintenant il s’appelle Global health security (Sécurité sanitaire mondiale). Nous ne devons donc pas oublier que le travail sur la bio-défense peut continuer du moins. C’est donc bien plus politique, comme en conviennent les politiciens eux-mêmes.

05:27:19 Astrid Stuckelberger :

J’ajouterai deux points : d’une part, nous devrions nous inquiéter de l’ensemble des Nations Unies, car les Objectifs de Développement Durable sont 17 objectifs et 169 cibles, c’est l’Agenda 2030. Et tout cela est imbriqué surtout avec le changement climatique par exemple, mais il faudrait examiner de nombreux autres mécanismes.

Le second, l’Alliance des Nations Unies pour le financement des SDG, de quoi s’agit-il ? Quand vous creusez, vous découvrez de nombreux éléments très mystérieux que nous devons comprendre. Mais l’autre point qui pourrait vous intéresser… rappelez-vous que la pandémie, ou l’urgence de santé publique de portée internationale comporte quatre typologies, je prenais en charge les études de cas, et il était très important de les distinguer. Et c’est ce que nous devrions faire avec ce qui se passe maintenant, parce que nous sommes tous concentrés sur le facteur biologique. Mais en fait, le premier est la biologie infectieuse. Le second est la biologie alimentaire. Et il y a toute une organisation là-derrière qui s’appelle Infostan. Le troisième est chimique, et le chimique c’est le mercure, peut être le métal, etc. Et j’invitais un expert Karsten Gutschmidt, un Allemand, il présentait toujours de très bons rapports, mais il était très difficile de trouver des experts là-bas. Et la quatrième, qui est très importante, vous allez voir pourquoi, c’est la radiation radionucléaire. Et c’est encore plus difficile de trouver des experts.

Et je m’en rends compte, parce que dans nos cours, nous avons invité des personnes qui s’occupent de cela. Il s’agit de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique basée à Vienne, des experts en matière de radionucléaire, Tchernobyl, Fukushima, ils sont les premiers concernés. Et ce qui m’a choquée lorsque nous faisions les études de cas de Fukushima, nous avions également demandé ce que l’OMS avait fait. Et ils ont dit non, l’OMS n’a pas été autorisée à accéder à Fukushima, le visa leur a été refusé. Parce que le premier à être présent est l’AIEA, l’Agence Internationale de l’Energie Atomique. Et ce qui est très étrange, c’est qu’ils ont un accord, ou en tout cas, une déclaration écrite qui leur donne le pouvoir sur l’OMS. Je suis donc allée voir ce qu’ils font avec le COVID aujourd’hui même. Je suis donc très heureuse ou très effrayée de vous annoncer qu’ils sont en charge du kit RT-PCR.

Et en fait, juste avant de dire comment ils ont présenté ça, si ils sont indépendants des Nations Unies, ils possèdent leur propre traité international. Et ils font chaque année un rapport à l’Assemblée générale des Nations Unies et au Conseil de Sécurité. C’est pour les menaces de bombe nucléaire qui pourraient tuer la planète entière. Donc, ils disent que l’AIEA a développé une technologie de diagnostic dérivée du nucléaire qui peut aider à détecter et identifier le COVID ou n’importe quoi d’autre chez nous, chez les humains et chez les animaux. Parce que les animaux sont traités par des vétérinaires et par la FAO, l’Organisation de l’Administration Alimentaire. Et ils ont développé ce test. Et ce test est très efficace, la RT-PCR, parce que c’est une réaction en chaîne par polymérase et un test rapide, ils pensent qu’ils sont les experts, en particulier pour Ebola, Zika, et le virus de la peste porcine africaine. Donc, j’ai lu ça juste aujourd’hui. Et pour moi, ça sonne l’alarme, parce qu’ils offrent maintenant le kit de test PCR, et leur laboratoire. Ils sont donc liés à des laboratoires. Et nous en parlions, c’est là où se trouve le pouvoir et où les choses doivent être, je pense, examinées de plus près, je ne sais pas ce que vous pensez, c’est un peu inquiétant.

05:31:53 Reiner Fuellmich :

Vous voulez dire que d’autres organisations privées ou semi-privées ou la plupart de ces organisations, dont nous avons parlé ce soir, presque toutes les organisations internationales sont plus ou moins contrôlées par des citoyens privés, par des groupes privés, des organisations caritatives, etc. Cela nous ramène au thème dont nous avons entendu parler aujourd’hui, à savoir que la City de Londres, la grande finance, contrôle tout, par l’intermédiaire de ses émissaires, de privés qui tentent de contrôler le reste du monde. Encore une fois, nous devons reprendre notre souveraineté, c’est tout ce que cela me dit en ce moment. Et nous devons également examiner de plus près les tests PCR, ce que nous ferons dans la séance de demain.

05:32:44 Astrid Stuckelberger :

Et peut-être aussi regarder toutes les ONG. Parce que l’OMS gère l’alliance mondiale des hôpitaux, l’alliance mondiale des alliances d’alliances. Beaucoup de Britanniques sont responsables. Et vous devez aussi savoir que de nombreux militaires sont là, car le CDC aux États-Unis, était autrefois militaire. Et je pense qu’il l’est toujours, d’ailleurs. Donc, je pense que nous devons démêler les ONG mondiales, ou les BINGO, les intérêts financiers des ONG, parce que ces mécanismes les rendent très difficile à trouver. Et elles ont beaucoup de pouvoir, plus que nous le pensons.

05:33:27 Reiner Fuellmich :

Les gens doivent apprendre qu’ils doivent se déconnecter et observer, regarder, démarrer la démocratie de base, regarder leurs régions et leurs communautés. Ce sont eux qui savent le mieux ce qui est bon pour eux. Il est déjà très tard. Je sais que Dipali a quelques heures d’avance sur nous, trois ou quatre heures, n’est-ce pas ? Dipali ?

05:33:52 Dipali Ojha :

Oui, quatre heures et demie.

05:33:54 Reiner Fuellmich :

Oh, mon Dieu ! La journée a été très longue. Et à moins qu’il y ait d’autres questions, je pense que nous devrions clore cette session pour ce soir. Oui, allez-y, Dexter, je vous en prie.

05:34:07 Dexter L-J Ryneveldt :

Oui, je veux juste parler au Dr Silvia, vous avez mentionné la sécurité sanitaire mondiale. Et j’aimerais peut-être juste la mettre en perspective par rapport aux changements de définition de l’Organisation Mondiale de la Santé en 2009.

05:34:25 Silvia Behrendt :

Eh bien, vous voulez dire que vous vous référez à ce troisième critère de pandémie ?

05:34:31 Dexter L-J Ryneveldt :

C’est exact. Oui.

05:34:34 Silvia Behrendt :

Mon opinion est qu’ils ont juste réalisé que l’OMS a compris qu’elle n’avait plus besoin d’une définition de pandémie. Parce que tout ce qui est nécessaire est un simulacre, une urgence de santé publique de portée internationale, parce qu’ils veulent fabriquer des vaccins. Et la façon dont la pandémie est définie dans les documents non juridiques n’a pas d’importance. Ils ont donc réduit le seuil très élevé, car ils ont réalisé qu’ils pouvaient, à tout moment, faire de l’urgence de santé publique une urgence de portée internationale. Tant qu’ils disposent de diagnostics. Ils n’ont donc pas prêté attention à ce thème, je pense. Et c’est notre problème. Et aussi pour les avocats qui cherchent toujours cette définition de pandémie. Mais il n’y a pas de conséquences juridiques liées à la définition d’une pandémie. Par contre, les conséquences juridiques sont énormes si vous proclamez, si le directeur général prend cette autorité et proclame une urgence de santé publique de portée internationale.

05:35:43 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup.

05:35:47 Virginie de Araujo Recchia :

Est-ce que ça explique peut-être pourquoi ils utilisent les modèles de Sir Ferguson pour augmenter la peur et expliquer qu’il y a une pandémie parce qu’avec les mathématiques épidémiologiques qu’ils ont utilisées là-dessus, ça ne sert à rien. C’est utilisé à tort pour étudier la propagation du virus, ils utilisent ces informations synthétiques à partir de ces modèles, peut-être, parce que ça paraît très étrange qu’ils utilisent les modèles de Sir Ferguson, et ça ne marche pas du tout. Et ces modèles ont été dupliqués dans d’autres pays, comme en France, par exemple. Et nous avons pris cela pour acquis. Ce n’est pas du tout basé sur l’expérience de la médecine, ce ne sont que des mathématiques. On ne peut pas du tout utiliser ça. Mais j’aimerais savoir si c’est pour cette raison que l’OMS a utilisé ces modèles, pour augmenter la peur de la pandémie et pour manipuler les masses.

05:37:12 Silvia Behrendt :

Je ne connais pas les détails, parce qu’en fait, ils avaient tout ce qu’il fallait pour proclamer une urgence de santé publique et les gouvernements nationaux avaient besoin de la population pour qu’elle accepte, je suppose. Ils en avaient donc besoin pour la population, car il y a aussi eu le premier simulacre déclaré en 2009, où des vaccins ont été fabriqués, mais personne n’a été menacé. En tout cas, je n’ai pas été menacée par cette simulation parce qu’il n’y avait pas de communiqués de presse qui nous menaçaient, mais maintenant ils avaient besoin que la population reste à la maison pendant les confinements et pour se faire vacciner à la fin, c’est mon explication personnelle, je ne sais pas.

05:37:53 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, d’après le modèle de Sir Ferguson, les vaccins étaient la seule solution, pas de traitement du tout, seulement des vaccins.

05:38:07 Astrid Stuckelberger :

Je pourrais juste ajouter, ils ont changé beaucoup de définitions, ou de définitions scientifiques, pas seulement la pandémie, ils ont changé la définition des professionnels de santé, c’est tout le monde, ils ont changé la confidentialité des données, il n’y a plus de confidentialité des données. Ils n’ont pas fait d’éthique, par exemple, dans la communication dans le cours de la mise en œuvre du règlement sanitaire international. On devrait en faire, c’est pour rassurer les gens, « on ne sait pas, on cherche quelque chose, vous allez être fixé vous allez savoir ce qui se passe ». Et petit à petit, on tient les gens informés. Et là, c’était la peur, tout de suite. Et non seulement c’était une opération psychologique qui vise à instiller cette peur, cette peur constante avec des cas, avec des images de mort qui n’étaient pas des morts, parce que nous savons aujourd’hui qu’il n’y a pas plus de mortalité en 2020, mais aussi avec des contradictions déjà mentionnées. C’est dans la psychologie de Melanie Klein, vous rendez les gens et les enfants psychotiques quand vous dites « je t’aime mais je te déteste » et vous faites pression ou vous dites je « t’aime et je te déteste » en même temps par votre comportement.

Ils ont donc fabriqué un délire de cohérence, pas de contrôle, pas de sentiment de contrôle. C’est aussi un autre concept en psychologie. Et ils ont totalement insécurisé les gens, ce qui diminue leur immunité, d’ailleurs, et psychologiquement, ils ont aussi supprimé toutes les religions et tous les systèmes de croyance. C’est quelque chose qui maintient les gens en vie et ils ont censuré la religion, ils ont censuré la mort. Ils ont interdit le rituel de la mort qui est l’un des plus importants si vous voulez bien faire votre deuil. Je veux dire, la cohérence et la guérison. Ils ont donc fait beaucoup de choses. Pas seulement cette manipulation… Je ne connais pas M. Ferguson, mais je pense que je pourrais en ajouter une, ils ont complètement inversé les valeurs. Et c’est un peu le syndrome psychotique de Melanie Klein, je l’appelle le syndrome d’Hansel et Gretel, « parce que je vous aime, je vais vous donner ça, je vais être éthique, nous allons bien vous traiter avec le vaccin », et ils les tuent. Et ils ont complètement abrogé les directives de recherche éthique, que nous avons élaborées entre 2006 et 2009. J’étais impliquée là-dedans. Donc, toutes les valeurs sont aussi une opération psychologique. Ils ont changé les valeurs et les définitions.

05:40:50 Reiner Fuellmich :

Il est certain qu’il ne s’agit pas de santé.

05:40:55 Debi Evans :

En ce qui concerne le Professeur Ferguson, si je peux juste clarifier le point de vue du Professeur en 2002. Il a modélisé la survenue de 50 000 décès au Royaume-Uni à cause de la maladie de la vache folle. Et il l’a modélisé de manière complètement incorrecte, alors nous avons incinéré tout notre bétail à cause de 150 décès. C’était donc très incorrect. Nous avons été très surpris au Royaume-Uni lorsque nous avons appris que Neil Ferguson était responsable de la modélisation de cette pandémie, car il s’était montré très imprécis lors de la précédente. Il a également fait la une des journaux à plusieurs reprises et a dû démissionner de son poste à SAGE parce qu’il a été pris en train d’enfreindre les règles de confinement. Je voulais juste ajouter cela à son propos.

05:41:38 Reiner Fuellmich :

La question est : comment se fait-il qu’il soit toujours en poste ?

05:41:41 Debi Evans :

C’est une très bonne question. Et je ne peux pas y répondre. Je crains que ce soit le cas. Il ne devrait pas…

05:41:47 Astrid Stuckelberger :

Conflit d’intérêt.

05:41:50 Debi Evans :

Absolument.

05:41:51 Astrid Stuckelberger :

Ou népotisme..

05:41:53 Debi Evans :

Il travaille aussi en étroite collaboration avec l’Arabie Saoudite. J’ai oublié de trouver le nom, je n’arrive ni à le lire ni à le prononcer. Mais il travaille à l’Imperial College qui a le plus grand nombre d’anciens élèves chinois. Quand le président Xi est venu en visite officielle, la seule université qu’il a visitée était l’Imperial qui a d’énormes liens avec la Chine. Et ils ont aussi racheté un certain nombre de nos hôpitaux, si bien que nous avons maintenant un NHS Trust impérial. Donc l’Imperial, je pourrais continuer pendant des heures sur l’Imperial et le professeur Alice Gast qui en est la présidente, elle a donné une conférence basée sur 1984, George Orwell, 1984. Beaucoup de choses se passent à l’Imperial et je pourrais en dire beaucoup plus, mais le professeur Ferguson a été discrédité en 2002 pour la maladie de la vache folle, et je voulais juste le mentionner. Merci.

05:42:55 Reiner Fuellmich :

C’est étonnant effectivement, le nombre de personnes qui sont totalement incompétentes dans leur domaine. L’une d’entre elles est la personne qui dirige la Commission européenne, elle a échoué à tous les postes qu’elle a occupés. C’est incroyable le nombre d’incompétents qui sont maintenus en poste, évidemment par ceux qui les y ont mis. Ces gens super riches, d’une manière ou d’une autre, semblent être alimentés et maintenus en vie par la City de Londres et ses cinquièmes colonnes qui semblent être partout dans le monde. Nous devrons examiner de plus près tous ces événements.

05:43:43 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter une chose, nous parlions de McKinsey, et le fils de Von der Leyen travaille pour McKinsey, et le fils de Fabius en France travaille pour McKinsey. Et vous connaissez le népotisme ? C’est un terme utilisé pour les Papes…

05:44:03 Virginie de Araujo Recchia :

Ursula von der Leyen a aussi eu un problème quand elle était ministre de la défense en Allemagne, je crois.

05:44:07 Reiner Fuellmich :

Et aussi quand elle était secrétaire aux familles, je crois, ou quelque chose comme ça. Elle a toujours eu des problèmes, mais elle a toujours été maintenue en poste.

05:44:17 Virginie de Araujo :

Et c’était déjà un problème avec les contrats de McKinsey.

05:44:21 Reiner Fuellmich :

C’est majeur. Je pense que McKinsey est une institution majeure et tout cela parce que nous avons appris par un autre expert que Bill Gates utilise McKinsey pour s’assurer que ses conseillers deviennent les conseillers de, par exemple, Ursula von der Leyen et de toutes les autres personnalités politiques majeures, par le biais de McKinsey et de leur réseau.

05:44:55 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est incroyable que nous ayons exactement les mêmes messages il y a deux ans dans les magasins et dans les aéroports, et maintenant. Vous savez, lavez-vous les mains, mettez votre masque, je veux dire, en Europe, du moins pour ceux qui ont ces mesures, et c’est la même voix. C’est comme une agence de marketing.

05:45:15 Reiner Fuellmich :

Tout à fait.

05:45:16 Astrid Stuckelberger :

Alors il faut aussi analyser ça, si c’est la même voix partout. Il y a quelque chose de bizarre.

05:45:22 Reiner Fuellmich :

Nous nous penchons également sur cette question. Mais ce soir, la journée a été très longue. Et je sais que Dipali a besoin de sommeil, comme nous tous. Donc, à moins qu’il n’y ait d’autres questions auxquelles il est urgent de répondre, je pense que nous devrions clore notre séance du jour. Et je tiens vraiment à remercier tout le monde, cela a été extrêmement précieux. Merci, Astrid. Merci, Virginie. Merci, Silvia. Merci, Dexter, Ana et Dipali. Et bien sûr, merci, Debi. Merci beaucoup, beaucoup. Un grand pas de fait. Merci.